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1 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
Des Leçons cliniques sur les mala-dies des vieillards et les maladies chroniques , faites en 1866, et recueillies par M. B. Bail; —
; — 4° de ses mémoires et observations sur la Goutte et le rhumatisme chronique ; — 5° de Varia sur les maladies des vieillards.
TEUR1 Les « Leçons sur les Maladies des vieillards et les Ma-ladies chroniques , » commencées à une époque de la vie où l'horizon
nt la distinction établie entre les maladies aiguës et les affections chroniques , qui répond évidemment aux données de l'observati
une ligne de démarcation absolue, puisque la forme aiguë et la forme chronique d'un seul et même état pathologique se confondent
rtaines intoxications lentes, telles que le saturnisme, l'al-coolisme chronique , que l'on est parvenu à reproduire chez les anima
a plupart des maladies de la poitrine, celles du cœur, les affections chroniques de la peau étaient une terre à peu près inexploré
— Organisation de la Salpêtrière an point de vue médical. — Maladies chroniques ; maladies des vieillards. — Historique de la pat
mprend des femmes de tout âge, frappées, pour la plupart, de maladies chroniques réputées incurables, et qui les ont réduites à un
lle mérite, à tous égards, d'être placée au premier rang des maladies chroniques rassemblées dans cet asile et qui devront fixer v
logie des vieillards, mais aussi sur l'histoire de plusieurs maladies chroniques , se trou-vent accumulées dans ce vaste recueil.
ogique de la goutte Sommaire. — Fréquence du rhumatisme articulaire chronique à la Salpè-trière. — Ses ressemblances avec la go
entreprendre l'étude préalable de la goutte avant celle du rhumatisme chronique . — Diathèse goutteuse : ses caractères généraux.
res généraux. — Goutte régulière, irrégu-lière : goutte aiguë, goutte chronique . — Hématologie pathologique de cette affection. —
hui, je me propose d'appeler votre attention sur l'une des affections chroniques qui se rencontrent le plus communément dans cet h
s communément dans cet hospice. Il s'agit du rhumatisme articulaire chronique , qui con-stitue, à coup sûr, l'une des infirmités
omparer entre eux les types si divers que peut affecter le rhumatisme chronique . Mais, au seuil même de la question une difficu
e profonde analogie, il faut convenir que c'est surtout dans la forme chronique de ces deux affections que la ressemblance devien
ticulaire aigu. Ce fut un peu plus tard que le rhumatisme articulaire chronique acquit, à son tour, une autonomie longtemps conte
cile de distinguer la goutte du rhumatisme, surtout dans leurs formes chroniques ; et le nom de rhumatisme goutteux, qu'on applique
de la diathèse que nous allons étudier. La goutte est une affection chronique et constitutionnelle, le plus souvent héréditai
essieurs, que vous nous entendrez parler de goutte aiguë et de goutte chronique . Or, la goutte est une affection essentiellement
de goutte chronique. Or, la goutte est une affection essentiellement chronique , et qui ne peut jamais être aiguë : cependant ces
s matérielles appréciables sont au contraire assez rares. La goutte chronique , qui peut survenir d'emblée, ne vient en général
es jointures, puis dans les organes intérieurs ; c'est dans la goutte chronique qu'on trouve surtout ces affections viscérales, p
. Ce phénomène existe d'une manière permanente dans les cas de goutte chronique ; mais il augmente d'intensité avant les accès, p
raste évident avec l'anémie rhuma-tismale ; tandis que dans la goutte chronique , il se produit, à 1. Journal de pharmacie. Octo
, soit dans le sang, soit dans l'excrétion urinaire. Dans la goutte chronique , la tendance à la diminution s'ac-cuse de plus en
constituent une partie importante de la Symptomato-logie de la goutte chronique , car leur présence se révèle sou-vent pendant la
employée pour désigner les tumeurs osseuses du rhumatisme articulaire chronique . Ces masses crayeuses, à la première période de
te une déviation angulaire des doigts, analogue à celle du rhumatisme chronique ; la seule considération des défor-mations articu
'on a rencontrées chez des sujets atteints de goutte soit aiguë, soit chronique , lorsqu'une affection inter-mittente ou les progr
eler la gravelle du rein. Elle présente les caractères de la néphrite chronique interstitielle ; mais elle est surtout caracté-ri
i ont été désignées sous ce nom doivent être rapportées au rhumatisme chronique . Il est incontestable, en tous cas, que chez cert
Séméiologie de la Goutte. — Diathèse urique. -Goutte aiguë. — Goutte chronique . Sommaire. — Doux formes principales de la gout
mmaire. — Doux formes principales de la goutte : goutte aiguë, goutte chronique . — La goutte est toujours au fond une maladie chr
aiguë, goutte chronique. — La goutte est toujours au fond une maladie chronique : mais l'accès aigu a une physionomie bien différ
r des accès. — Transformation insensible de la goutte aiguë en goutte chronique . — Ca-chexie goutteuse. — Gravité des affections
rcurrentes. — Goutte chro-nique succédant à la goutte aiguë. — Goutte chronique d'emblée. — Evolution des tophiis. Messieurs,
tions. Dès le principe, nous avons établi que, tantôt aiguë, tantôt chronique , la goutte se présente sous deux formes principal
ier que la goutte est, dans tous les cas, une maladie essentiellement chronique . En effet,le premier accès est la manifestation p
Nous allons donc étudier successivement la goutte aiguë et la goutte chronique , nous conformant ainsi à la tradition uni-versell
nostic est en général peu favorable, et qui passe volontiers à l'état chronique . Mais la goutte, ainsi que nous l'avons déjà fa
ue nous l'avons déjà fait observer, est une affection essentiellement chronique , même dans sa forme aiguë. 11 est donc indispensa
ennent tous les trois ou quatre mois ; c'est déjà le passage à l'état chronique . Il faut se rappeler d'ailleurs que des conditi
, et présente une tendance de plus en plus marquée à revêtir la forme chronique . On voit alors les grandes jointures subir un env
e qu'elle perd en profondeur. Mais, à ce moment, c'est déjà la goutte chronique . Nous allons étudier maintenant les carac-tères d
dier maintenant les carac-tères de cette dernière affection. Goutte chronique . — Cette forme de la goutte a pour carac-tère ess
foie, du cœur, et du système vasculaire en général. Mais la goutte chronique , qui succède ordinairement à la goutte aiguë, p
peu différents. A. Quand elle succède à la goutte aiguë, la goutte chronique s'établit presque en permanence sur les articulat
dents viscéraux plus prononcés. B. Quand au contraire la goutte est chronique d'emblée, on voit souvent les tophus se former de
e l'estomac que Scudamore avait depuis longtemps signalé dans les cas chroniques de cette maladie. Il est d'ailleurs probable qu
es, au contraire, dans les diver-ses formes du rhumalisme articulaire chronique . C'est là un caractère distinetif qu'il n'est pas
tions permanentes du rein deviennent presque la règle, dans la goutte chronique ; il s'agit d'une néphrite albumineuse, offrant de
'ouïe. Or, il nous pa-raît certain que les malades affectés de goutte chronique sont exposés à devenir sourds; il serait fort int
r de ces faits la suppuration du globe de l'œil dans un cas de goutte chronique (4), et le défaut de consolidation des fractures.
vi), survient surtout chez les sujets débi-lités atteints de la forme chronique de la goutte, et présentant des tophus (6). p.
i-nistré qu'avec la plus grande réserve aux sujets atteints de goutte chronique , s'il existe chez eux quelques indices d'une affe
(2), est fréquente chez les sujets atteints de rhumatisme articulaire chronique . Chez les goutteux, au contraire, elle se présent
qui ont autrefois exercé de grands ravages, et de certaines maladies chroniques qui ont attiré, de tout temps, les regards des ob
e souvent aux Indes, sous la forme aiguë aussi bien que sous la forme chronique : aussi, pour nous servir de l'expression de Muhr
ate. Sous ce rapport, comme nous le verrons bientôt, le rhuma-tisme chronique diffère essentiellement de la goutte. Il existe c
s le cours de nos leçons a démon-tré : 1° que dans la goutte aiguë ou chronique , l'acide urique 1. On Gout and rheumatism. Lond
ter ce sujet au moment où nous aborderons le traitement du rhumatisme chronique ; nous trouverons dans ce rapproche-ment les éléme
s instructif que curieux. ONZIÈME LEÇON Du rhumatisme articulaire chronique et de ses lésions anatomiques. Sommaire. — Le r
t de ses lésions anatomiques. Sommaire. — Le rhumatisme articulaire chronique est une affection essen-tiellement nosocomialc. —
u. — Principales variétés de cette maladie. — Rhuma-tisme articulaire chronique progressif (rhumatisme goutteux). — Rhuma-tisme a
chronique progressif (rhumatisme goutteux). — Rhuma-tisme articulaire chronique partiel. — Nodosités d'Hcberden : elles ne doi-ve
es avec la goutte. Caractères anatomiques du rhumatisme articulaire chronique . — Né-cessité d'étudier avec soin les lésions loc
tent à ce sujet. Caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale chronique . — Alté-ration de la synoviale ; des cartilages d
t qu'il faut réserver une place à part pour le rhumatisme articulaire chronique , qui va maintenant devenir le sujet de nos leçons
s que la goutte est presque inconnnue à la Salpêtrière, le rhumatisme chronique est, au contraire, l'une des infirmités les plus
qu'on voit quel-quefois, au lit du malade, le rhumatisme articulaire chronique procéder directement du rhumatisme articulaire ai
u rhumatisme articulaire aigu, absolu-ment comme la pneumonie lobaire chronique peut succéder à la pneumonie aiguë. Il est vrai,
la pneumonie aiguë. Il est vrai, toutefois, que nous voyons la forme chronique du rhumatisme articulaire se développer presque t
n radicale entre ces deux maladies. II. Le rhumatisme articulaire chronique se présente sous des aspects variés et tellement
noueux n'est autre chose que le rhumatisme poly-arti-culaire à l'état chronique , mais qu'ils se refusent à reconnaître l'origine
clinique, d'étudier séparément les principales variétés du rhumatisme chronique , comme s'il s'agissait, en réalité, de plusieurs
le lien commun qui les réunit. Les types du rhumatisme articulaire chronique sont fort nombreux ; mais nous porterons principa
ement notre atten-tion sur les suivants : 1° Rhumatisme articulaire chronique progressif. C'est le rhumatisme goutteux, ou rh
u ( et qui en procèdent quelquefois), et tantôt propres au rhumatisme chronique ; il faut ranger dans cette dernière catégorie Yo
de Varthrite sèche, qui sont d'ailleurs communes à toutes les formes chroniques , sauf quelques modifications secondaires. 2° Rh
sauf quelques modifications secondaires. 2° Rhumatisme articulaire chronique partiel. Dans ce type, les jointures affectées
ons maintenant nous occuper des caractères anato-miques du rhumatisme chronique . Lorsque nous avons essayé de tracer l'histoire
nrique. Nous ne trouvons, pour nous guider dans l'étude du rhumatisme chronique , aucun caractère d'une portée aussi générale ; et
se-condaire. Elle nous permet, en second lieu, de rattacher la forme chronique du rhumatisme articulaire à la forme aiguë ou sub
médecine, et les fouilles de Pompéi nous ont appris que le rhumatisme chronique existait déjà au Ier siècle de l'ère chrétienne.
urait donc exister aucun doute sur ce point; toutefois, le rhumatisme chronique n'a été reconnu comme une espèce morbide à part,
peu plus tard que les traits fondamentaux de l'arthrite rhumatismale chronique ont été mis en lumière ; en France, Lobstein (183
appris comment chaque tissu se modifie sous l'influence du rhumatisme chronique , et ont ainsi donné la raison de plusieurs phénom
ation sommaire des caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale chronique . L'affection que nous allons étudier porte sur
ription du travail morbide qui caracté-rise le rhumatisme articulaire chronique . forme de fibrilles, puis ces fibrilles elles-m
qui correspondent aux formes principales du rhumatisme articulaire chronique . La description que nous venons de donner s'app
l nous reste à comparer, sous le rapport de l'anatomie, le rhumatisme chronique aux autres arthropathies à lente évolution.Mais a
sujet, nous voulons vous signaler les analogies qui relient la forme chronique du rhumatisme articulaire à la forme aiguë. DOU
e aiguë. DOUZIÈME LEÇON Parallèle entre le rhumatisme articulaire chronique et les autres arthropathies constitutionnelles, a
e. Sommaire. — Analogie entre les lésions du rhumatisme articulaire chronique , et celles du rhumatisme articulaire aigu. — Alté
cavité synoviale. — Analogie de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique . Caractères qui distinguent l'arthrite déforman
hilitiques. — Arthropathie goutteuse. Les altérations du rhumatisme chronique n'ont pas un caractère spéci-fique. — Elles peuve
lles sont alors, presque toujours, monoarticulaires. — Le rhu-matisme chronique est le plus souvent polyarticulaire. Messieurs,
u point de vue de l'anatomie pathologique, le rhumatisme ar-ticulaire chronique aux autres arthropathies à lente évo-lution. Ma
contact qui existent entre les alté-rations du rhumatisme articulaire chronique et celles du rhu- I. — Altérations des jointure
e rapproche déjà, par certains carac-tères, du rhumatisme articulaire chronique . Ainsi, dans cette forme de maladie, les affect
iculaire aigu. Nous reconnaîtrons bientôt que les lésions de la forme chronique ne sont, pour ainsi dire, que la plus haute expre
vue anatomique, une transition entre les formes aiguës et les formes chroniques du rhumatisme articulaire. vent affectées, et q
Ces altérations, qui présentent avec celles du rhumatisme articulaire chronique des analogies incontestables, s'en rap-prochent e
essant de l'affection rhumatismale, la maladie est devenue décidément chronique . Les altérations sont alors plus profondes ; les
tères qui distinguent l'ar-thrite déformante des autres arthropathies chroniques . 1° Arthrite par repos prolongé. — Au premier d
ection vénérienne. se rapprochent de certaines formes du rhumatisme chronique ; ces dernières sont les seules qu'il ait été pos
: 1° l'unité des diverses formes cliniques du rhumatisme articulaire chronique au point de vue de l'anatomie morbide ; 2° l'exis
e l'arthro-rhumatisme aigu et celle de l'anthro-rhumatisme partiel ou chronique ; 3° l'exis-tence d'une séparation tranchée, touj
? Pour ne parler que de ce qui concerne le rhumatisme arti-culaire chronique , nous avons été conduits à admettre, même au poin
idéré spéciale-ment dans ses rapports avec le rhumatisme arti-culaire chronique et de la goutte. Sommaire. - Description succin
atisme articulaire aigu et subaigu. — Son analogie avec le rhumatisme chronique ; différences qui le séparent de la goutte. —Rhum
iculaire ; rien de plus fréquent chez eux, au contraire, que la forme chronique de cette maladie : nous vous l'avons déjà prouvé.
tiellement distincte de la goutte. Le rhumatisme aigu, le rhumatisme chronique et le rhumatisme subaigu qui sert de transition e
N Des affections viscérales dans le rhumatisme arti-culaire aigu et chronique Sommaire. — Parallèle entre les affections visc
es affections viscérales de la goutte et celles du rhumatisme aigu ou chronique . — Développement tardif des affections vis-cérale
igu. — Ces lésions ne se manifestent que plus tard dans le rhumatisme chronique . — Différence entre la nature des lésions viscéra
capillaires. — Lésions de canalisation. — Etat typhoïde. — Période chronique de la maladie. — Affections multiples qui sont la
ent exister aussi dans le rhuma-matisme subaigu et dans le rhumatisme chronique . — Lésions de l'appareil respiratoire. — Pleurési
atisme aigu se retrouvent, avec les mêmes caractères, dans les formes chroniques de la maladie. Pendant le cours des accès de la
errière elles des traces indélébiles de leur passage. Le rhumatisme chronique primitif diffère à cet égard de la forme aiguë. L
'on peut dire que plus la maladie a de la tendance à revêtir la forme chronique , plus il est rare de voir de pareilles lésions se
Thèse de concours pour l'agrégation, 1866, p. 28. trentà la période chronique de la maladie. Le travail phleg-masique se propag
les affections du cœur et le rhumatisme. C'est surtout dans la forme chronique que ce point est important à noter, comme nous le
ans, qui fut atteint d'un rhuma-tisme articulaire, d'abord aigu, puis chronique . Il présentait, pendant la vie, un bruit de souff
bdite et de la péricabdite dans le rhuma-tisme abticulaibe suraigu et chronique . Messieurs, après avoir ainsi tracé l'histoire
s'agit de prouver que ces lésions peuvent exister dans le rhumatisme chronique proprement dit, dans rhumatisme noueux. Io II f
des bruits de souffle évidents chez les sujets atteints de rhumatisme chronique ; mais l'anatomie pa-thologique permet d'établir,
r, à cet égard, un rapport depárente entre la forme aiguë et la forme chronique du rhumatisme articulaire, qui prouve, une fois d
dans les-quelles l'endocardite s'est développée chez des rhumatisants chroniques , sans que la maladie ait jamais affecté la forme
tait à la main droite les déformations caractéristiques du rhumatisme chronique . Elle attribuait cette maladie à l'humidité de la
rencontrer des lésions organiques du cœur dans le cours du rhumatisme chronique primitif. 2° Lapéricardite est probablement fré
2° Lapéricardite est probablement fréquente chez les rhu-matisants chroniques , car sur neuf autopsies que j'ai prati-quées en 1
Mémoire sur les coïncidences pathologiques du rhumatisme articulaire chronique . {Mémoires de la Soc. de Biologie, t. IV, 4e séri
ante etonze ans, depuis long-temps atteinte de rhumatisme articulaire chronique et de catarrhe pulmonaire, il s'est manifesté tou
Barthez. Chez un enfant de dix ans, atteint de rhumatisme articulaire chronique , on vit se développer une péricardite caractérisé
xa-cerbationsdes arthropafhies chez dessujefs atteints de rhuma-tisme chronique . Les faits que je viens de rapporter se trou-vent
ractère moins sérieux lorsqu'elles se dévelop-pent dans le rhumatisme chronique . III. — Des autres affections abarticulaires da
e. III. — Des autres affections abarticulaires dans le rhumatisme chronique . Les affections cardiaques ne sont pas les seul
u se rencontrent plus rarement que les précédentes dans le rhumatisme chronique . Mais nous reconnaîtrons bientôt que, par contre,
— La pleurésie se retrouve dans le rhumatisme articulaire subaigu et chronique ; mais elle est beaucoup plus rare que dans la for
l'arthro-rhumatisme aigu; je ne l'ai jamais rencontrée dans la forme chronique . J'ai observé, sans doute, quelques cas de pneumo
forme chronique. J'ai observé, sans doute, quelques cas de pneumonie chronique chez les rhumatisants, mais c'étaient des sujets
es à une mort presque subite, peut se rencontrer dans le rhumatisme chronique ou subaigu. M. le docteur Bail en a rapporté un c
ertaines affections thoraciques se présentent surtout dans les formes chroniques et mal définies du rhumatisme articu-laire. L'ast
rticulaire d'abord aigu, puis subaigu, qui a fini par passer à l'état chronique . La coïncidence de l'asthme chez cette malade ave
tisme aigu. Garrod a décrit aussi une forme particulière de laryngite chronique dans le rhumatisme noueux. La phtisie pulmonair
ux. La phtisie pulmonaire a-t-elle des rapports avec le rhuma-tisme chronique ? Cette question est encore douteuse, et nous nou
te, les altérations du rein sont presque la règle. Dans le rhumatisme chronique , la néphrite albumineuse est assez fréquente dans
tiennent à la concentration extrême des urines. Dans le rhumatisme chronique , la cystite est au contraire L Cette observatio
. Des accidents de cette espèce on été signalés dans le rhu-matisme chronique par Fuller et M. Vidal. Mais ces faits sont peu c
'intervalle des accès de goutte, se retrouve aussi dans le rhumatisme chronique (1). B. Affections médullaires. —La chorée, don
aigu sont si bien démontrés, ne paraît pas exister dans le rhumatisme chronique ; du moins, je ne l'ai jamais rencontrée dans cet
qui se rattachent à la moelle épi-nière se rencontrent dans la forme chronique du rhumatisme. La paralysie agitante, ou tout a
ou tout au moins le tremblement, peuvent coïncider avec le rhumatisme chronique partiel ou généralisé. J'ai vu plusieurs cas d'
ec-tions abarticulaires ; il en est de même dans les formes aiguës et chroniques du rhumatisme. Ainsi les douleurs musculaires d
aigu : mais on les trouve bien plus souvent encore dans le rhumatisme chronique . Les névralgies sciatiques et trifaciales, qui
ent dans le rhumatisme subaigu (Garrod, Fuller) et dans le rhumatisme chronique (Cornil). Il s'agit en général d'une iritis, mais
goutte et le rhumatisme aigu, se rencontrent aussi dans le rhumatisme chronique . Elles sont peu communes dans la forme intense
me intense de cette maladie; on les trouve surtout dans le rhumatisme chronique partiel, M. Bazin fait remarquer, du reste, que l
rononcées. Nous avons plusieurs fois retrouvé chez les rhumatisants chroniques les affections cutanées décrites par M. Bazin : Y
a prochaine séance, nous aborderons la Symptoma-tologie du rhumatisme chronique . QUINZIÈME LEÇON Symptomatologie du rhumatism
nique. QUINZIÈME LEÇON Symptomatologie du rhumatisme articulaire, chronique progressif. Sommaire. — Trois types fondamentau
sif. Sommaire. — Trois types fondamentaux du rhumatisme articulaire chronique . — Ils constituent, au fond, une seule et môme
ituent, au fond, une seule et môme maladie. — Rhumatisme ar-ticulaire chronique progressif ou rhumatisme noueux. — Souvent confon
s. Jusqu'ici nous n'avons guère envisagé le rhumatisme arti-culaire chronique que par un seul côté. L'anatomie patholo-gique de
, vous le savez déjà, du rhumatisme noueux, ou rhumatisme articulaire chronique progressif, du rhumatisme articulaire chronique p
humatisme articulaire chronique progressif, du rhumatisme articulaire chronique partiel et du rhumatisme d'Heberden. Ce ne sont
le traitement diffèrent dans chacun de ces trois types du rhu-matisme chronique . Nous consacrerons cette leçon à l'étude du rhu
. Nous consacrerons cette leçon à l'étude du rhumatisme articulaire chronique progressif. Le rhumatisme noueux constitue, au
e unique. Le rhumatisme noueux est aux autres formes de rhuma-tisme chronique ce que le rhumatisme aigu généralisé est au rhuma
rquons toutefois que, dans quelques cas exception-nels, le rhumatisme chronique est asymétrique : et la rareté du fait nous engag
oint semblables à celles qu'on observe dans le rhumatisme articulaire chronique . Il serait d'ailleurs impossible de nier l'exis
ntures, la symétrie des lésions, distinguent les effets du rhumatisme chronique de ceux que produisent la paralysie agitante et d
i-même examiné le sang dans trente-cinq cas de rhumatisme articulaire chronique , sans jamais y trouver la moindre trace de ce pri
formes essen-tiellement distinctes. Dans le rhumatisme articulaire chronique à évolution ra-pide, il s'agit habituellement de
re ici que le rhumatisme d'abord aigu, a pris ultérieurement la forme chronique : cette opinion sou-tenue par divers auteurs peut
croyons toutefois qu'il s'agit ici, le plus souvent, d'un rhumatisme chronique d'emblée, mais dont la marche présente quelques-u
ndant une an-née entière, puis le malade guérit. Dans le rhumatisme chronique à évolution lente, il s'agiten général de sujets
ten. Erlangen, 1860. SEIZIÈME LEÇON Symptomatologie du rhumatisme chronique partiel et des nodosités d'Heberden. Sommaire.
ronique partiel et des nodosités d'Heberden. Sommaire. — Rhumatisme chronique partiel. — Dénominations diverses qu'il a reçues.
rticulations sont le plus souvent frappées. — Début insidieux ; forme chronique d'emblée. — Déformations articulaires. — Manifest
s, Nous allons compléter la description des symptômes du rhumatisme chronique , par l'étude des deux formes principa-les de cett
ans la classification que nous avons adoptée. Il s'agit du rhumatisme chronique partiel, et des nodosités d'Heberden. Le rhumat
tisme chronique partiel, et des nodosités d'Heberden. Le rhumatisme chronique partiel dont nous allons nous occuper d'abord,
ellement at-teintes, sont ici frappées le plus souvent. 3° La forme chronique d'emblée est ici la règle. Le début est le plus s
se révèle par le fait même de leur coïncidence avec des arthropathies chroniques . Remarquons d'ailleurs que la localisation du m
appent sur-tout par leur singularité. Les arthropathies du rhumatisme chronique partiel se montrent très fréquemment avec tous ce
ommes pla-cés, nous intéressent plus spécialement. A. Le rhumatisme chronique partiel paraît succéder quel-quefois au rhumatism
s que le rhumatisme aigu pré-sente, en germe, les lésions de la forme chronique . B. Le début de l'arthrite déformante peut être
du rhumatisme partiel, lorsque l'affection s'est constituée à l'état chronique , c'est plutôt une infirmité qu'une maladie. — Je
peau rougit, et l'on constate une aggravation évidente des phénomènes chroniques . Les phénomènes purement articulaires, lorsque
nous occu-per des nodosités d'Heberden, forme spéciale du rhumatisme chronique , qui n'a pas encore été suffisamment décrite, et
uve ici, comme dans les deux autres formes de rhuma-tisme articulaire chronique , les altérations de l'arthrite sèche : c'est un f
famille, les uns ont le rhumatisme d'Heberden, d'autres le rhumatisme chronique généralisé, d'autres enfin le rhumatisme partiel
au voisinage des pôles et de l'équateur. — Le rhumatisme articulaire chronique abonde dans les pays tempérés, mais il existe aus
ue du rhumatisme aigu s'étend de quinze à trente ans. — Le rhumatisme chronique se rencontre surtout à deux périodes de la vie :
la littérature médicale, au moins pour ce qui concerne le rhumatisme chronique : dans plusieurs cas, on a constaté, sur ces débr
e trente rhumatisants. Pour ce qui touche au rhumatisme articulaire chronique , on ne possède aucun renseignement précis. Il est
e, la proportion est de 50 pour 100. Pour le rhumatisme articulaire chronique , de nouvelles recherches seraient indispensables.
e d'hérédité, soit du rhumatisme aigu, soit directement du rhumatisme chronique . Il faut cependant établir ici une distinction
Garrod avait déjà fait ressortir. En ce qui concerne le rhumatisme chronique partiel, la question est encore à l'étude, et je
c commis une erreur en rattachant presque exclusivement le rhumatisme chronique à la ménopause. Néanmoins cette maladie peut se
r développer, soit le rhumatisme articulaire aigu, soit le rhumatisme chronique , à évolution rapide. Mais nous sommes loin de c
s qui se retrouvent chez la plupart des sujets atteints de rhumatisme chronique . En outre, la plupart des malades ont séjourné lo
ossédons plusieurs observations dans lesquelles le rhumatisme aigu ou chronique s'est développé à la suite d'un coup, d'une chute
des, et M. Lorrain m'en a communiqué un second. Enfin le rhumatisme chronique , avec déformation des join-tures, peut aussi se d
est vrai, non seulement pour la formeaiguë, mais encore pour laforme chronique de la maladie. En effet, l'apparition des règle
orose des jeunes filles, et l'on sait aussi que souvent le rhumatisme chronique se développe à cette période de la vie. 1. Voye
les diverses formes du rhumatisme (surtout le rhumatisme sub-aigu ou chronique ) peuvent souvent se présenter, c'est Y allaitemen
manière générale, les causes du rhumatisme, et sur-tout du rhumatisme chronique , sont plutôt la misère, le froid humide, l'insuff
e diabète ait jamais été observé comme une complication du rhumatisme chronique . 2. J'ai vu la gravelle urique coexister avec l
très souvent parmi les antécédents des sujets atteints de rhumatisme chronique progressif. Il est très fréquent de voir ces suje
dire à Juncker : Rheumatismus arthritidem ordine antecedit ? tisme chronique , peu communes, au contraire, chezles goutteux.
ITIÈME LEÇON Traitement de la goutte et du rhumatisme articulaire chronique Sommaire. — Considérations générales sur le tra
anormale. — Régime diététique. Traitement du rhumatisme articulaire chronique . — Etat peu satisfaisant de nos connaissances à c
e pouvoir le mettre en parallèle avec celui du rhumatisme articulaire chronique . C'est ce sujet qui va nous occuper aujourd'hui.
a goutte est une maladie héréditaire constitutionnelle, primitivement chronique , mal-gré ses manifestations aiguës. Mais la gou
stations périodicpies, les paroxys-mes de la goutte, soit aiguë, soit chronique , sont accompa-gnées de souffrances exquises et pr
d de ce dernier point. B. Traitement, des acres de goutte aiguë et, chronique . — Il s'agit ici d'un traitement en grande partie
is on peut l'utiliser cependant dans certains paroxysmes de la goutte chronique . On l'accuse quelquefois de prolonger les accès;
outte que dans le rhumatisme aigu. Dans les exacerbations de l'état chronique , le sulfate de quinine est encore utile. En dehor
ard. J'ai administré maintes fois à des sujets atteints de rhumatisme chronique le bicar-bonate de soude à la dose, en apparence,
oir de dissoudre les tophus, et elles sont peu utiles, dans la goutte chronique , à moins qu'il n'existe de la dyspepsie. Les ea
ton et Contrexeville. Elles sont souvent très utiles dans la goutte chronique . Nous avons vu plusieurs l'ois les eaux de Contre
; le changement de climat est Traitement du rhumatisme articulaire chronique . Les détails dans lesquels nous venons d'entrer
d'ailleurs, on peut dire que le traitement du rhumatisme articulaire chronique est encore moins efficace que celui de la goutte:
otassium a été quelquefois prescrit avec suc-cès contre le rhumatisme chronique . Chez les sujets chlorotiques ou débilités, le
dernier moyen est surtout utile dans la forme partielle du rhumatisme chronique . Quant aux eaux minérales, on a conseillé le Mo
longue liste des remè-des qui ont été préconisés contre le rhumatisme chronique par divers auteurs, ou que nous avons expérimenté
'efficacité la plus réelle : mais, il faut en convenir, le rhumatisme chronique est une affection que toutes lesressources de la
ttacherons à traiter avec détails l'histoire de plusieurs affec-tions chroniques du système nerveux central, qu'il nous est donné
xemples de ce genre qu'on pourrait citer sont relatifs à des maladies chroniques . Au premier rang, on doit placer les affections c
re a été ob-servé (Wolff) assez fréquemment dans la folie subaiguë ou chronique , avec symptômes de dépression, principalement dan
asthénique primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire chronique (forme primitive), etc. ÉTUDES POUR SERVIR A L'
THÉNIQUE PRIMITIVE nodosités des jointures rhumatisme articulaire chronique (forme primitive), etc. (Thèse de doctorat, 185
ombre de ces infirmités reconnais-sent pour cause diverses affections chroniques des jointures. Placé comme élève interne dans c
e appréciable, mais ils s'accompagnent quelquefois de vives douleurs. Chronique dès son origine, la maladie qui les a produits n'
ion succincte dans l'histoire du rhumatisme articulaire primilivement chronique (Chomel et Requin (1), Bouillaud). M. Piorry (2)
M. Piorry (2) les étudie dans le chapitre où il traite des arthrites chroniques , et des arthropathies indépendantes de Thémite. E
re s'observe assez rarement, dans le cours du rhumatisme arti-culaire chronique , et ne se manifeste généralement que si la maladi
n rhumatisme articulaire aigu; la grand'mère avait eu des rhumatismes chroniques , et les mains déformées, comme les a notre malade
Pas d'antécédents héréditaires (?). — Habi-tation humide. — Bronchite chronique à 47 ans. — Début des accidents rhumatismaux à 59
s, elle a éprouvé des étouffements, et a été atteinte d'une bronchite chronique qui l'incommode encore de temps à autre. Elle éta
e des phénomènes dyspepsiques dans le cours du rhumatisme articulaire chronique . Pour nous, nous n'avons guère noté, dans nos obs
n de sa thèse, aucun cas de mort par suite du rhumatisme articu-laire chronique . Etiologie. Presque tous les auteurs qui ont
. Cruveilhier comme une cause occasionnelle de rhumatisme articulaire chronique . MM. Chomel et Requin, M. Piorry, admettent, comm
des affections viscérales très diverses (pneumonie, phtisie, entérite chronique ulcéreuse, etc.). Ces femmes étaient âgées de cin
lupart des auteurs des altérations propres au rhuma-tisme articulaire chronique , par Lobstein de l'épiphlogose articulaire, et to
e la Salpêtrière reconnaissent pour cause une affection primitivement chronique , qui a pour siège de prédilection les petites joi
, par la plupart des auteurs, au rhumatisme articulaire primitivement chronique , à ces différences près, qu'elles siégeaient dans
a été donnée, par la plupart des auteurs, du rhu-matisme articulaire chronique , et par M. le professeur Piorry des arthrites chr
e articulaire chronique, et par M. le professeur Piorry des arthrites chroniques et des arthropathies, indépendantes de l'hémite.
, d'après ce que nous avons lu, que parmi les ob-servations de goutte chronique , froide, asthénique, qui existent dans la science
en est beaucoup qu'il faut considérer comme des exemples d'arthrites chroniques , rhumatismales, fixées sur les petites jointures.
un parallèle plus complet entre la goutte et l'arthrite rhumatismale chronique des petites jointures, si nous avions été assez h
rit et fait représenter les altérations que subisssent dans la goutte chronique les carti-lages articulaires. Cet auteur a vu la
ieures, ob-servés le plus fréquemment clans le rhumatisme articulaire chronique progressif. Nécroscopie. Examen des jointures.
vient de lire l'ob-servation, que nous avions affaire à un rhumatisme chronique , d'autant mieux qu'elle nous offrait un type parf
figuré par M. Charcot (PL II, fig. 2) dans sa thèse sur le rhumatisme chronique . (Voir plus haut, p. 303 à 351.) En outre, comme
servation démontre que le diagnostic entre la goutte et le rhumatisme chronique est par-fois impossible par la seule inspection d
e albumineuse avec la goutte. Il s'agissait, dans ces cas, des formes chroniques d'albuminurie, dont on a voulu faire, dans ces de
ce d'établir qu'il y a constamment une forme particulière de néphrite chronique qu'il appelle le rein goutteux, gouty kydney. L
sur les-quels s'appuie le docteur Todd pour différencier la néphrite chronique des goutteux de la maladie de Bright aiguë et chr
mique quelquefois très avancée des reins, qui consiste dans une forme chronique de la néphrite albumineuse (néphrite parenchymate
phrite albumineuse (néphrite parenchymateuse), ou dans une altération chronique , carac-térisée par l'atrophie du parenchyme, avec
ici d'abord l'histoire détaillée d'un cas assez remarquable de goutte chronique développée chez un peintre en bâtiments atteint p
t fait songer, tout d'abord, à l'existence du rhu-matisme articulaire chronique primitif ; mais un examen plus attentif fait reco
latérale qu'on observe si fréquemment dans le rhumatisme articulaire chronique progressif. Les pieds n'offrent d'ailleurs aucune
evenir continue et prend enfin décidément les allures d'une affection chronique . Par suite, la plupart des articulations des memb
andis que cet excès existe constamment dans le cas de goutte aiguë ou chronique . Nous pouvons ajouter que, clans les cas, — peu n
s ajouter que, clans les cas, — peu nombreux à la vérité, — de goutte chronique que nous avons observés, nous avons toujours cons
et 30 ans), avec un caractère de sévérité extrême ; elle est d'emblée chronique et se présente avec toutes les lésions de la gout
granuleuse. Le malade est depuis déjà longtemps atteint de bronchite chronique avec emphysème ; mais c'est depuis un an seulemen
VII. Altérations des articulations dans le rhumatisme articulaire chronique ; fausse contracture rhuma-tismale ; ankyloses (1
e à éclairer plusieurs points de l'histoire du rhumatisme articulaire chronique . Les articulations présentent en effet à tous les
ntôt le rhumatisme articulaire aigu, tantôt le rhumatisme articulaire chronique généralisé, (rhumatisme noueux ou partiel, arthri
ce : 1° le rhumatisme articulaire aigu; 2° le rhumatisme articu-laire chronique primitif. — L'angine tonsillaire est souvent le p
gie peut également être le point de départ du rhumatisme arti-culaire chronique avec déformation (rhumatisme noueux). Vous en ave
iens ont vu fréquemment Y arthrite sèche (ce que j'appelle rhumatisme chronique primitif partiel) naître, à la suite d'un coup po
ad. des Vieillards. 32 En ce qui concerne le rhumatisme articulaire chronique , il serait difficile de signaler, chez les ancien
érations paraissent devoir être rapportées au rhuma-tisme articulaire chronique . On pourrait s'en convaincre en consultant les de
insi dire, des monuments qui témoignent de l'anti-quité du rhumatisme chronique , mieux encore que ne le pour-raient faire quelque
ici question était des plus prononcées (p. 21 de la trad.). Goutte chronique d'emblée. — La goutte peut, comme le rhu-matisme
ut, comme le rhu-matisme articulaire, revêtir dès l'origine, la forme chronique , pour spécitier les cas de ce genre, M. le profes
ce genre, M. le professeur Monneret propose la dénomination de goutte chronique d'emblée, qui mé-rite d'être acceptée (Programme
nt exact, au moins pour un certain nombre de cas (p. 30). La goutte chronique comparée au rhumatisme noueux. — A ne considére
parvenue à cette époque de son évolution et le rhumatisme articulaire chronique d'emblée, de forme pro-gressive — (rhumatisme gou
me genre, et parmi les cas très nombreux de cette forme de rhumatisme chronique que j'ai observés, dans l'espace de six années, à
leurs, le plus souvent dans la goutte. Dans le rhumatisme articulaire chronique partiel, au contraire, — et c'est un point sur le
là nous ne trouvons rien qui ne se rencontre également dans la goutte chronique généralisée. Aux membres supérieurs les doigts so
e qu'on rencontre généralement chez les indivi-dus atteints de goutte chronique . Sur un bon nombre de jointures, les surfaces a
là aucune des altérations qui caractérisent le rhumatisme articulaire chronique . Voici d'ailleurs, en peu de mots, quel était l
ne trouvait là aucune altération révélant un tra-vail d'inflammation chronique . Il n'en était pas tout à fait cle même, ainsi qu
Déformations permanentes des jointures dans certains cas de goutte chronique . — Les déformations permanentes des join-tures qu
permanentes des join-tures qu'on observe dans certains cas de goutte chronique se présentent sous des aspects en apparence très-
atisme noueux (E. Vidal, Considérations sur le rhumatisme articulaire chronique primitif. Thèse inaugurale. Paris, 1855, p. 25),
ment dans les mêmes lieux, sous l'influence du rhumatisme articulaire chronique progressif. Cela ne saurait surprendre lorsqu'on
érieures, observés le plus fréquemment dans le rhumatisme articulaire chronique progressif (premier type ou type de flexion. — Vo
serait facile de multiplier les exemples et de montrer que la goutte chronique peut reproduire fort exactement les autres types
e qu'ils sont habituels, au contraire, dans le rhumatisme articulaire chronique progressif. IL Quand aux déformations que produ
moins tuméfiées et déformées. Il en est tout autrement dans la goutte chronique , lorsque les déformations y sont produites par le
enre, a conseillé l'emploi des exu-toires dans certains cas de goutte chronique , et il rapporte l'his- toire d'un goutteux chez
5). Absence d'urate de soude dans le rhumatisme articulaire aigu et chronique . — A l'aide de son procédé du fil, M. Garrod a fa
ès existe, au con-traire, constamment dans les cas de goutte aiguë ou chronique . (Observai, on certain pathol. condit. of. the bl
contradictoires. Mes recherches relatives au rhumatisme articulaire chronique concernent toutes les formes et toutes les époque
rté peuvent être groupés ainsi qu'il suit : 1° rhumatisme articulaire chronique progressif (noueux, généralisé), 25 cas ; 2° rhum
es propres recher-ches, des diverses formes du rhumatisme articulaire chronique . Toutefois, il ne faudrait pas croire que l'exc
ltération du sang se rencontre d'une manière habituelle dans la forme chronique de la maladie de Bright, dans certaines intoxicat
dayis la sérosité sous-arachnoïdienne. — Une femme atteinte de goutte chronique ayant succombé dans mon service à l'hospice de la
s, et, en un mot, toutes les altérations de l'arthrite rhumatismale chronique , se rencontrent sur une môme jointure avec les lé
publié, in extenso, l'observation d'un individu atteint de la goutte chronique avec concrétions tophacées et chez qui le genre d
x, ont été attribuées à la goutte, appartiennent plutôt au rhumatisme chronique (arthrite sèche) ; mais il est incontestable, n
observés au sortir d'une attaque de goutte aiguë ; 3° dans la goutte chronique , le sang examiné dans l'intervalle des accès a to
s (p. 445). Différence entre lu gout le et le rhmaiisme articulaire chronique .— C'est ce qu'ont établi, entre autres, les rech
d'après mes propres observations, que dans le rhumatisme articulaire chronique , généralisé ou partiel, le colchique administré à
moyen des applications stimulantes (p. 590). Rhumatisme articulaire chronique primitif. — Cette synonymie n'est pas complète; i
très variées sous lesquelles se présentent le rhumatisme articulaire chronique : 1° Rhumatisme articu-laire chronique primitif g
tent le rhumatisme articulaire chronique : 1° Rhumatisme articu-laire chronique primitif généralisé ou progressif ; c'est le rhum
essivement et d'une manière presque fatale. 2° Rhumatisme articulaire chronique primitif fixe ou partiel. La maladie reste généra
lient aussi au rhumatisme articulaire aigu: c'est alors le rhumatisme chronique généralisé qui établit la transition. Il n'est pa
nh. opéra, sect. AI, cap, V.) (p. 603, 604). Rhumatisme articulaire chronique : bibliographie. — J. Hay-garth : A clinical histo
ns ce chapitre, consultez sur la pathologie du rhumatisme articulaire chronique : Landre Beauvais, Thèses de la faculté de médecin
novembre 1853, — Vidal, Considération sur le rhumatis-me articulaire chronique primitif. Paris, 1835, —? Gurlt, Beitrage zur V
— V. Cornil, Mémoires sur les coïncidences du Rhumatisme articulaire chronique . — Gazette médicale de Paris, 1864, n° 36, 38, 39
. Malherbe, Des affections viscérales dans la goutte et le rhumatisme chronique , Paris, 1866. — Bail, Du rhumatisme viscéral. Par
is. 1866. (p. 606). Maladies du cœur dans le rhumatisme articulaire chronique — Il n'est pas aussi rare qu'on le croit généralem
alement de rencon-trer l'endocardite et la péricardite, dans la forme chronique du rhumatisme articulaire. Cela, du moins, me par
'hospice de la Salpêtrière. C'est surtout au rhumatisme articulaire chronique généralisé que s'associent les affections dont il
tisme articulaire aigu qui ont précédé le développement du rhumatisme chronique ; puis, celui-ci s'étant établi, elles ont persis
tantôt, au contraire, le rhumatisme a revêtu dès l'origine, la forme chronique , et l'on est conduit à reconnaître que les affect
laire aigu, il est à peu près impossible de décider si le rhuma-tisme chronique a eu une influence réelle sur le premier déve-lop
es d'endocardite chez des femmes atteintes de rhumatis-me articulaire chronique généralisé et qui jamais n'avaient éprouvé d'accè
(Voy. Cornil, Mémoire sur les coïncidences du rhumatisme articulaires chronique , in Gazette médicale, année 1804, nos 30, 98, 39.
rdite, appartiennent à la forme généralisée du rhumatisme articulaire chronique , tout aussi bien qu'au rhumatisme articulaire aig
envahissement successif des jointures dans le rhumatisme ar-ticulaire chronique progressif. Nous avons vu là que les articu-latio
quer déjà (page 80), — avec des caractères identiques, dans la goutte chronique . Mais les cas de ce genre sont tout à fait except
um nodosi, d'Heberden. deux autres formes du rhumatisme articulaire chronique , les altérations de l'arthrite sèche; c'est un fa
énéraux, sont communes aux diverses formes du rhu-matisme articulaire chronique . Seulement, souvent à peine accusées et comme à l
couchement (p. 626). Epoque d'apparition du rhumatisme art"u-uluire chronique chez la femme. — Il y a chez les femmes deux péri
chez les femmes deux périodes de la vie où le rhumatisme articulaire chronique généralisé éclate de préfé-rence : la première de
goutte (p. 627). Ressemblance des lésions dans les formes aiguës et chroniques du rhumatisme articulaire. — Suivant MM. Hasse (Z
é question à propos des altérations produites par l'arthro-rhumatisme chronique (p. 020). Il y a donc lieu, même au point de vue
des lésions anatomiques, d'établir un rappro-chement entre les formes chroniques et la forme aiguë du rhu-matisme articulaire (p.
éralisé; mais elle est là beaucoup moins fréquente que dans la goutte chronique (p. 030). Rhumatisme noueux et iritis. — J'ai v
ffets des alcalins à haute dose dans les formes aiguës, subai-guës et chroniques du rhumatisme. — Des observations cliniques assez
ns effets dans la forme subaiguë de la maladie et aussi dans sa forme chronique généralisée, au moment de ces exacerbations mar-q
— L'emploi de l'arsenic à l'intérieur dans le rhumatisme articulaire chronique , a été surtout préco- nisé, en Angleterre, par
es se développent souvent, dans cette forme du rhumatisme articulaire chronique , sans occasionner d'autre inconvénient qu'un iége
utteuse se manifestent quelquefois de très bonne heure dans la goutte chronique d'emblée. Chez un malade dont l'histoire a été ra
actère adynamique. Il s'agit ici surtout de sujets atteints de goutte chronique et cachectiques. Dans ces mêmes circonstan-ces, l
riété peut-être moins grande des grimaces, la marche essentielle-ment chronique . Alten... a 71 ans; la chorée a débuté il y a 12
z les vieilles choréiques aucune des formes du rhumatisme articulaire chronique , qui s'observent si fréquem-ment dans les hospice
érieures observées le plus fréquemment dans le rhumatisme articulaire chronique progressif. — Les cartilagesdiarthrodiaux des a
érations de la valvule mitrale dans un cas de rhumatisme arti-culaire chronique primitif généralisé. 2: P. Lackerbauer et Cha
— Organisation de la Salpctrière au point de vue médical. — Maladies chroniques ; maladies des vieillards. — Histo-rique de la pa
ogie pathologique de la goutte. Fréquence du rhumatisme articulaire chronique à la Salpètrière. — Ses ressemblances avec la gou
entreprendre l'étude préalable de la goutte avant celle du rhumatisme chronique . — Dia-thèse goutteuse : ses caractères généraux.
res généraux. — Goutte régulière, irrégu-lière : goutte aiguë, goutte chronique . — Hématologie pathologique de cette affection. —
iguë, pendant l'accès et dans l'intervalle des accès : dans la goutte chronique ...................... oi QUATRIÈME LEÇON axat
sémèiologie de la goutte. — diathèse urique. — goutte aiguë. goutte chronique . f Deux formes principales de la goutte ; goutt
ique. f Deux formes principales de la goutte ; goutte aiguë, goutte chronique . — La goutte est toujours au fond une maladie chr
aiguë, goutte chronique. — La goutte est toujours au fond une maladie chronique ; mais l'accès aigu a une physionomie bien différ
Cachexie goutteuse. — Gravité des affections intercurrentes.— Goutte chronique succédant à la goutte aiguë. — Goutte chronique d
tercurrentes.— Goutte chronique succédant à la goutte aiguë. — Goutte chronique d'em-blée. — Evolution des tophus.........•......
..................... 152 ONZIÈME LEÇON du rhumatisme articulaire chronique et de ses lésions Le rhumatisme articulaire chr
e articulaire chronique et de ses lésions Le rhumatisme articulaire chronique est une affection essentiellement nosocomiale. —N
gu. — Principales variétés de cette maladie. — Rhumatisme articulaire chronique progressif (rhumatisme goutteux). — Rhumatisme ar
chronique progressif (rhumatisme goutteux). — Rhumatisme articulaire chronique partiel. —Nodosités d'Heberden : ne doivent point
es avec la goutte. Caractères anatomiques du rhumatisme articulaire chronique .— Né-cessité d'étudier avec soin les lésions loca
ortent à ce sujet. Caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale chronique . — Al-tération de la synoviale : des cartilages d
.....,............... 164 parallèle entre le rhumatisme articulaire chronique et les autres arthropathies constitutionnelles au
u point de vue anatomique. Analogie entre le rhumatisme articulaire chronique , et celles du rhuma-tisme articulaire aigu. Altér
cavité synoviale. — Analogie de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique . Caractères qui distinguent l'arthrite déforman
philitiques.— Arthropathie goutteuse. Les altérations du rhumatisme chronique n'ont pas un caractère spé-cifique. — Elles peuve
— Elles sont alors presque toujours monoarticulaires. — Le rhumatisme chronique est le plus souvent polyarticulaire.......... 180
nsidéré spécialement dans ses rapports avec le rhumatisme articulaire chronique bé# " la goutte. Description succinte du rhumat
atisme articulaire aigu et subaigu. — Son analogie avec le rhumatisme chronique ; différences qui le séparent de la goutte. — Rhu
ON des affections viscérales dans le rhumatisme articulaire aigu et chronique . Parallèle entre les affections viscérales de l
s affections viscérales de la goutte et celles du rhuma-tisme aigu ou chronique . Développement tardif des affections viscérales d
gu. — Ces lésions ne se manifestent que plus tard dans le rhu-matisme chronique . — Différence entre la nature des lésions viscéra
s capillaires. — Lé-sions de canalisation. — Etat typhoïde. — Période chronique de la ma-ladie. — Affections mutiples qui sont la
tiques. — Ramol- Trois types fondamentaux du rhumatisme articulaire chronique . — Ils constituent, au fond, une seule et même ma
tituent, au fond, une seule et même maladie. — Rhumatisme articulaire chronique progressif ou rhumatisme noueux. — Souvent confon
euvent exister aussi dans le rhumatisme subaigu et dans le rhumatisme chronique . — Lésions de l'appareil respiratoire.— Pleurésie
... 208 QUINZIÈME LEÇON symptomatologie du rhumatisme articulaire chronique progressif. SEIZIÈME LEÇON symptomatologie du
hronique progressif. SEIZIÈME LEÇON symptomatologie du rhumatisme chronique partiel et des nodosités d'heberden. Rhumatis
matisme chronique partiel et des nodosités d'heberden. Rhumatisme chronique partiel. — Dénominations diverses qu'il a re-çues
rticulations sont le plus souvent frappées. — Début insidieux ; forme chronique d'emblée. — Déformations articulaires. — Manifes-
au voisinage des pôles et de l'équateur. — Le rhumatisme articulaire chronique abonde dans les pays tempérés, mais il existe aus
e du rhumatisme aigu s'é-tend de quinze à trente ans. — Le rhumatisme chronique se rencontre surtout à deux périodes de la vie :
HUITIÈME LEÇON traitement de la goutte et du rhumatisme articulaire chronique . Considérations générales sur le traitement de
anormale. — Régime diététique. Traitement du rhumatisme articulaire chronique . — État peu satis-faisant de nos connaissances à
sthénique primitive, nodosités des jointures, rhuma-tisme articulaire chronique (forme primitive), etc. Historique ; synonymie.
centrale, 298, 331 ; — courte duréedel' —,333334; — dans lesma-ladies chroniques , 334; — conditions déterminantes, 334; — cause mé
tte, 59, 78; — dans le rhumatisme noueux, 247; — dans le rhumatisme chronique , 403, 481. Anoxémie, 308. Anthrax urique, 112.
polypeuse, 210. Cartilac.es (Altérations des —) dans le rhumatisme chronique , 174; — altérations dans le rhumatisme aigu, 183
onvulsions dans la goutte, 100. Corps étrangers, dans le rhumatisme chronique . 174, 178. Coup : — de fouet dans la goutte, 548;
absence fréquente de lésions de ca-nalisation, 214 ; — du rhumatisme chronique et subaigu : historique,219; — début, 220; — ob
; — irrégulière, 48; rétrocédée, remontée, mal placée, 48; — aiguë et chronique , 48; — chronique d'emblée, 499; — partielle et gé
48; rétrocédée, remontée, mal placée, 48; — aiguë et chronique, 48; — chronique d'emblée, 499; — partielle et généralisée, 48 ; —
ismale des petites join-tures, 394. Goutte cérébrale, 101. Goutte chronique , 82 ; — gravité des maladies intercurrentes, 83 ;
ns, 283. M Migraine : — dans le rhumatisme, 229 ; — et rhumatisme chronique . 194. Morbus coxae senilis,178, 249;—ana-tomie
tisme, 223. Péricardite du rhumatisme aigu, 229 ; — du rhumatisme chronique et su-baigu, 222; — algidité dans la—, 332. Pér
o-nique, 227. Pleurésie, dans la goutte, 103 ; — dans le rhumatisme chronique , 227. Pneumonie, dans la goutte, 103 ; — dans l
ronique, 227. Pneumonie, dans la goutte, 103 ; — dans le rhumatisme chronique 227. Pneumonie lobaire, 19 ; — tempéra-ture dan
; — absence de suppuration, 192 ; — identité du — avec le rhu-matisme chronique , 193, 562; — arthropathies multiples, 196, 197;—
tte, 270; — parallèle avec la goutte, 271. — Rhumatisme articulaire chronique , 45; — rapports avec la goutte, 38, 127, 413; —
jointures im-mobiles, 178; — comparaison du —, avec les arthropathies chroniques , 178 ; — parallèle avec le rhumatisme articulaire
ral, 289; — eaux mi-nérales, 290 ; — bibliographie, 552. Rhumatisme chronique partiel, 165, 248; — mode d'envahissement des joi
2 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
umon. Sommaire. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et chroniques des voies bronchiques et du parenchyme pulmonaire
nt de la nature de celui-ci. Lésions inflammatoires tant aiguës que chroniques des voies bronchiques et du parenchtjme pulmonair
nnaire: c'est ce qu'on observe dans la broncho-pneu-monie subaiguë ou chronique simple — une des formes de la cirrhose du poumon
lles sont, par exemple, les broncho-pneu-monies aiguës, subaiguës, ou chroniques , tuberculeuses ou non tuberculeuses, ces affectio
ple pris dans le domaine de l'expérimentation, le cas de la pneumonie chronique primi-tive, provoquée chez les animaux par l'intr
tmos-phère, de particules mélalliques en particulier. Ces pneumo-nies chroniques expérimentales, en quelque sorte trauma-tiques, o
beaucoup plus vulgaire des diverses broncho-pneu-monies subaiguës et chroniques . C'est ainsi que M. Thaon, dans la 'pneumonie f
êtement1. Dans les petits noyaux de pneumonie lobulaire subaiguë ou chronique , qui se rencontrent fréquemment chez les nouveau-
aurai l'occasion de vous le démontrer, représente à l'état subaigu ou chronique la broncho-pneumonie aiguë simple. Cette altérati
leux. N'est-il pas intéressant de voir dans cette forme subaiguë ou chronique de la broncho-pneumonie les parois de l'alvéole p
te circonstance, remarquable dans l'histoire de la bron-cho-pneumonie chronique , vous paraîtra sans doute encore plus digne d'int
iques Communs à certaines for mes de la broncho-pneumonie subaîguë ou chronique . — Retour à l'état embryonnaire du revêtement épi
logique commun à certaines formes de la broncho-pneumonie subaiguë ou chronique . Yoici, vous ne l'avez pas oublié, en quoi ce car
rite par Legendre et Railly, et qui représente, suivant moi, à l'état chronique , la broncho-pneumonie vulgaire. J'aurais pu ajout
21). Pour en revenir aux lésions broncho-pneumoniques subai-guës et chroniques , dont je vous entretenais tout à l'heure, il est
ncident remar-quable dans l'histoire anatomique des boncho-pneumonies chroniques . Mais le fait vous paraîtra, sans doute, plus dig
ourront contribuer quel-que jour à dégager le chapitre des pneumonies chroniques de l'obscurité qui l'enveloppe encore, quant à pr
J'invoquerai d'abord l'exemple de la forme de néphrite interstitielle chronique qui, dans le langage de l'anatomie macroscopique,
'après le même auteur, et ceci nous ramène au chapitre des pneumonies chroniques , dans l'épaisseur des parois bron-chiques, chez l
e encore en-globées sous la dénomination commune de maladie de Bright chronique . Il est à espérer, Messieurs, que des études, c
écutive ci la pneumonie lobaire aiguë. Telle est aussi la pneumonie chronique inter-lobulaire qui me paraît devoir être rattach
te. Quant à présent, à la vérité, ces diverses formes de pneu-monie chronique , parfaitement séparées au point de vue ana-tomo-p
ronchiques. — Terminaisons : résolution ; passage à l'état subaigu et chronique . I. Messieurs, Pendant longtemps on n'a pas
use et sont résorbés ; — 2° La broncho-pneumonie peut passer à l'état chronique et aboutir à la cirrhose du poumon. DIXIÈME LEG
onstater facilement la tendance qu'elles présentent à passer à l'état chronique , en voyant se produire la périartérite et la péri
n peut arriver ainsi à reproduire les lésions de la broncho-pneumonie chronique aussi bien que celles de la broncho-pneumonie aig
olk-mann. Les pneumonokonioses appartiennent au groupe des pneumonies chroniques , mais la pneumonie des apoplectiques peut encore
deviendra plus évident encore par l'histoire de la broncho-pneumonie chronique . On peut re-marquer aussi que la prolongation du
les et mieux en rapport avec la réalité des choses. DE LA PNEUMONIE CHRONIQUE Le petit nombre cie travaux qui ont été écrits
UE Le petit nombre cie travaux qui ont été écrits sur la pneu-monie chronique semble témoigner déjà des difficultés du su-jet.
r diverses variétés d'induration pulmonaire, et représentant à l'état chronique la forme aiguë de la pneumonie lobaire dégagée de
nir et comparer que huit cas, lorsqu'il composa son article Pneumonie chronique pour la 2e édition du Dictionnaire de Médecine en
traités ex professa, plus de dix ou douze observa-tions de pneumonie chronique lobaire simple, douées de toutes les garanties qu
oit d'exiger. Le nombre des faits publiés comme exemples de pneumonie chronique est beau-coup plus considérable sans doute; mais
volution dont on a pu dire qu'elles sont aiguës par les symptômes, et chroniques par la durée. Or, ces faits doivent, ce nous semb
r, ces faits doivent, ce nous semble, être distraits de la pneu-monie chronique proprement dite, et étudiés à part, si l'on ne ve
on parenchymateuse aiguë du poumon qui se trouve représentée à l'état chronique . Des foyers tuberculeux, 1 Je prie mes collègue
dans certains cas être le point de départ d'un travail de phlegmasie chronique . Mais ici en-core les faits manquent, ou en tout
es vicissitudes qu'ont su-bies les questions relatives à la pneumonie chronique , offrirait peu d'intérêt, et nous n'aurions pu d'
euses. — Chomel, Diet., en 25 vol., 1842 (Nosographie de In pneumoni- chronique , fondée sur huit faits, 1845). Corbin (d'Orléans)
, Gaz. méd,., 1851 (1 obs. ? p. 675.) — Bricheteau, Traité des malad. chronique , 1851, etc.. p. :37. — Durand-Fardel, Mal. des vi
ngers ont été peu fruc-tueuses. CHAPITRE PREMIER. DE LA PNEUMONIE CHRONIQUE SIMPLE. I. Anatomie pathologique. — Les altér
es poumons, chez les individus qui succombent à la suite de pneumonie chronique , se présentent sous des aspects variés, mais qu'o
permettent ainsi de saisir la transition entre l'état aigu et l'état chronique proprement dit. A. Induration rouge : Andral Ho
de la pneumonie aiguë devront se retrouver dans les formes lentes et chroniques de la maladie; mais c'est Jà un point de vue que
on : auct. Germ. — bans les deux variétés anatomiques de la pneumonie chronique que nous venons de décrire et qui rap-pellent, à
nique médicale. Strasbourg, 1856. tomiquement les formes décidément chroniques de la pneu-monie, il n'en est plus de même; ici,
n différente de l'hcpatisation aiguë et des formes de l'hô-patisation chronique dont nous venons d'indiquer plus haut les caractè
épatisation rouge aiguë et les indu-rations diverses propres à l'état chronique . — L'induration grise est en général peu vasculai
ous avons recueilli l'histoire, et qui sont des exemples de pneumonie chronique simple de très longue durée. Etude histologique
enter, dans ses études sur les caractères anatomiques de la pneumonie chronique des nouveau-nés. Celte altération, d'ailleurs for
tres1. — Cette matière amorphe, finement granuleuse, de la pneu-monie chronique , n'est pas sans présenter quelques analogies avec
ferme, moins granuleuse, plus transparente que celle de la pneumonie chronique ; elle renferme soit des cyloblastions, soit des n
était parfaitement saine. Dans l'excellent article sur la pneumonie chronique qui fait partie de leur Traité de pathologie inte
des bronches dans leurs descriptions des altérations de la pneumonie chronique ; M. Chomel en parle comme d'un fait tout à fait
la dilatation bronchique et l'induration pulmonaire de la pneu-monie chronique ; mais nous craignons que cet auteur n'ait pas to
siège le plus habituel des altérations pulmonaires dans la pneumo-nie chronique simple ne nous paraissent pas pouvoir être résolu
santes que l'on possède sur ce sujet. D. Foyers gangreneux. — Abcès chronique . — Vomique ichoreuse. Avenbrugger etCorvisart.
t auteur, il y en a neuf qui paraissent avoir succédé à une pneumonie chronique avec induration du parenchyme pulmonaire. Mais, d
auparavant des symp-tômes en rapport avec l'existence d'une pneumonie chronique ulcéreuse. Observation I. — Pneumonie chronique
nce d'une pneumonie chronique ulcéreuse. Observation I. — Pneumonie chronique ulcéreuse. — Induration ardoisée occupant toute l
nous conduit à parler des excavations ou abcès qui, dans la pneumonie chronique primitive, peuvent se former au sein même des par
Thomas Àddison 4 décrit avec soin l'indu-ration grise de la pneumonie chronique , et établit que les par-ties qui présentent ce mo
s abcès siégeant au milieu d'un lobe pulmonaire frappé d'hépatisation chronique : « Dans le premier cas, deux excavations séparée
1847 à l'hôpital Bon-Secours, et qui est un bel exemple de pneumonie chronique simple ulcéreuse, terminée par la formation d'exc
excavations multiples dans les parties indurées. Obs. II. Pneumonie chronique . — Induration grise des poumons. — Excavations mu
els on découvre de nombreuses taches de mélanose naturelle (pneumonie chronique grise). La disposition cloisonnée des lobules dan
ond1. On pourrait, ce nous semble, dési-gner sous le nom de pneumonie chronique ulcéreuse 2 cette forme de la maladie dans laquel
ue, etc. — A l'autopsie on trouva tous les caractères de la pneumonie chronique avec ulcérations. Une des cavernes contenait une
lution. — Formes de la maladie. — Symptômes géné-raux. — La pneumonie chronique peut .se développer de deux manières ; tantôt ell
ent d'une manière particu-lière la transition de l'état aigu à l'état chronique : « On voit d'abord, dit M. le professeur Grisoll
le pneumonie, plutôt que telle autre, menace de se constituer à Tétat chronique . On sait, en effet, par les observations de M. le
. Quoi qu'il en soit, lorsque la pneumonie doit se perpétuer à l'état chronique , les phénomènes généraux, s'ils se sont effacés d
dans la thèse de M. Raymond. Il les désigne sous le nom de pneumonie chronique ; ce sont les deux seuls cas de guérison qu'il ra
le-même pourra être simulée jusqu'à un certain point par la pneumonie chronique , ainsi qu'on peut le voir d'après l'observation q
et demi, trois ou quatre mois suffisent souvent pour que la pneumonie chronique accomplisse toutes les phases de son évolution. M
es excavations dans les poumons (obs. III). — Cependant, la pneumonie chronique ulcéreuse paraît être plus rapidement fatale que
nous à l'hôpital de la Pitié en 1850, est un bel exemple de pneumonie chronique non ulcéreuse (induration grise avec métamorphose
g. u. Thérapie, 3 Bd., p. 3ô5. Obs. III. — Observation de pneumonie chronique succédant à une pneumonie aiguë. — Carie de plusi
t présenté aucune altération. Symptômes locaux. — A. Lorsque l'état chronique est con-stitué, la douleur de côté est souvent à
co-purulents, n'ont pas d'autres caractères que ceux de la bron-chite chronique ; ils peuvent cependant prendre une couleur viola
ement thoracique comme pouvant se présenter à la suite des pneumonies chroniques . Celte opinion à été souvent reproduite, mais il
pour ne pas dire impossible, d'arriver au diagnostic de la pneumonie chronique . La tuberculisation pulmonaire, la dila tation de
ation des bronches étendue à tous les rameaux d'un lobe, la pleurésie chronique , telles sont les affections avec lesquelles on po
s étaient restés indemnes. ces en âge, cas dans lequel la pneumonie chronique est infi-niment rare. L'induration pneumonique oc
édilection plus marquée pour ceux-ci que pour ceux-là. — La pneumonie chronique n'envahit qu'un seul côté à la fois ; elle se man
ort avec les époques différentes de son développement. — La pneumonie chronique du sommet simulera surtout la phtisie avancée ; e
atité intense avec résistance au doigt, cela indiquerait la pneumonie chronique plutôt que la tuberculisation. — La considération
ente, comme la phtisie rapide, peuvent être simulées par la pneumonie chronique ulcéreuse. On a noté dans certains cas de la dern
nomènes qui rappellent jusqu'à, un certain point ceux de la pneumonie chronique . Il y a, en effet,, alors matité au niveau de la
ans les cas de dilata-tion des bronches, tout comme dans la pneumonie chronique , l'auscultation fasse constater, au niveau des pa
ouve considérablement induré, ainsi que cela a lieu dans la pneumonie chronique . C. Il serait sans doute fort difficile, dans c
fficile, dans certains cas donnés, de ne point confondre la pneumonie chronique avec la pleu-résie chronique partielle, en effet,
nnés, de ne point confondre la pneumonie chronique avec la pleu-résie chronique partielle, en effet, dans l'une et l'autre cir-co
exagérée que M. Monneret a constatée dans plu-sieurs cas de pneumonie chronique pourrait être ici d'un grand secours, puisqu'elle
es. Quoi qu'il en soit, les symptômes généraux ont, dans la pneumonie chronique , une importance et un caractère de gravité tout a
aractères à l'aide desquels on pourrait la distinguer de la pneumonie chronique proprement dite. Si cependant l'affection s'était
n devrait peut-être plutôt venir à l'esprit que celle d'une pneumonie chronique . E. Une affection d'ailleurs fort rare, Y infil
sité'. Étiologie. — En ce qui concerne l'étiologie de la pneumo-nie chronique , on en est à peu près réduit à des conjectures. O
ant on ne les a pas vues, pour cela, passerplus commu-nément à l'état chronique . Lorsque la pneumonie aiguë passe à l'état chroni
-nément à l'état chronique. Lorsque la pneumonie aiguë passe à l'état chronique , c'est surtout, sans doute, parce qu'elle rencont
si, suivant le professeur Heschl2, Vin-duration pulmonaire (pneumonie chronique ), rare à Vienne, 1 J'emprunte cette symptomatol
n, des indu-rations pulmonaires qu'il faut rapporter à une phlegmasie chronique .— La syphilis doit-elle figurer parmi les conditi
gurer parmi les conditions possibles du développement de la pneumonie chronique ? Cela n'est rien moins que démontré. Notons cepe
in-complètes, qui rappellent quelques-uns des traits de la pneu-monie chronique . Dans ces deux cas, les symptômes thoraci-ques on
. VII, p. 576, 1825, où elle a été insérée sous le titre de Pneumonie chronique réputée vénérienne ; l'autre est empruntée à un t
s'agissait-il d'une simple carnification, et non pas d'une pneumonie chronique vraie. Quant à présent, cette maladie a été obser
de tous les auteurs ; Re-quin mettait même en doute que la pneumonie chronique fût susceptible de se résoudre, pour peu qu'elle
te jusqu'à présent n'appartiennent point, pour la plupart, à la forme chronique proprement dite; ce sont des cas de pneumo-nie ai
é, par exemple, d'assister au passage de la pneu-monie aiguë à l'état chronique , on pourrait peut-être, les for-ces du sujet le p
lication de larges vésicatoires sur le côté affecté. — Lorsque l'état chronique est constitué, même indication de la médication r
ne influence réelle. — Nous avons parlé déjà de deux cas de pneumonie chronique observés par M. Bennet chez des enfants; la malad
s malades guérirent. Mais étaient-ce bien là des cas de péripneumonie chronique ? N'étaient-ce pas plulôt des cas de carnificatio
catarrhale prolongée? Nosographie. — La description de la pneumonie chronique simple, que nous venons de présenter, est sans do
purement symptomatique comme l'était celle de Sauvages, la pneumonie chronique eût été rangée parmi les phtisies1. Une consompti
1° la pneumonie chroni-que à forme de phtisie lente; 2° la pneumonie chronique à forme de phtisie rapide. Dans une nosographie
rme de phtisie rapide. Dans une nosographie organique, la pneumonie chronique simple doit prendre rang parmi les inflammations
origine. Au point de vue de la nosographie organique, la pneumo-nie chronique est une inflammation parenchymateuse. On peut y d
peut y distinguer deux formes ou plutôt deux degrés: 1° la pneumonie chronique non ulcéreuse; 2° la pneumonie chro-nique ulcéreu
lésions du parenchyme du poumon dans leurs rapports avec la pneumonie chronique . A. Carnification. Etat fœtal simple, congestio
de pneumonies catarrhales. Bien distincte de l'hépatisa-tion aiguë ou chronique par ses caractères anatomiques, la carnificalion
s à évolution lente. C'est pour ainsi dire la carnifica-tion à l'état chronique . Voici avec quels caractères la camisa-tion se pr
éfinitive, provenir la dilatation bronchique d'une sorte de pneumonie chronique interlobulaire. Il est possible qu'elle soit appl
uoiqu'il en soit, et bien que l'existence de celte forme de pneumonie chronique décrite par Corrigan, sous le nom de cirrhose du
leur opposer ceux qui distinguent l'induration grise, de la pneumonie chronique proprement dite. En cas d'induration grise, le ti
ertaines circonstances, l'induration grise, ardoisée, de la pneumonie chronique simple, offre des marbrures d'une teinte noirâtre
lé l'induration mélanique; doit-on pour cela rattacher à la pneumonie chronique tous les modes d'altération si variés, dans lesqu
iffèrent en rien d'essentiel de celles qui caractérisent la pneumonie chronique . La coloration noire que présentent la plupart de
pendant l'aiguisage, peut déterminer une sorte de pneumonie lobulaire chronique avec induration mélanique des parties affectées.
ble être le même au fond et il est assez probable qu'une inflammation chronique se développe dans les parties irri-tées par la pr
charbonneux, les traces évidentes d'une inflammation parenchymateuse chronique 3. Chez les houil-leurs, chez les aiguiseurs, les
i que nous avons vu que cela avait lieu dans le cas de péri pneumonie chronique ulcéreuse. Ce seraient donc là en définitive auta
ie chroni-que, comparables sans doute anatomiquement, à la pneumo-nie chronique simple. Mais, en raison des causes particulières
tération pulmonaire que nous avons décrites, à propos de la pneumonie chronique lobaire, peuvent se rencontrer chez les individus
n chiffre qui pourra donner une idée de la fréquence de la pneu-monie chronique consécutive ~hez les tuberculeux : sur 26 cas de
. Rillet et Barthez ont rencontré 19 fois les lésions de la pneumonie chronique (Maladies des enfants, t. III, p. 711). 5 Laënn
capital ; si, en d'autres ter-mes, elle avait succédé à la pneumonie chronique , l'induration, loin d'être circonscrite au pourto
se lier soit à une affection organique du cœur, soit à une affec-tion chronique des poumons, telle que catarrhe chronique an 1
cœur, soit à une affec-tion chronique des poumons, telle que catarrhe chronique an 1 Lebert. —Atlas d'anatomie pathologique, p.
s fibro-plastiques, la rapproche de Vinduration grise de la pneumonie chronique . Le travail d'inflammation chronique est peut-êtr
induration grise de la pneumonie chronique. Le travail d'inflammation chronique est peut-être, en pareil cas, déterminé par la pr
s. Virchovfs Archiv., I Bd., p. 462. APPENDICE cas de pneumonie chronique ulcéreuse J'ai recueilli le fait suivant à l'hô
e fait suivant à l'hôpital de la Charité, en 4854. Obs. — Pneumonie chronique ulcéreuse. — Excavation énorme non d'origine tube
12 LEÇONS in: COURS D'ÂNÀÏOMIE PATHOLOGIQUE Des pneumonies chroniques (Cirrhoses du poumon)1. Sommaire. — Caractères
oses du poumon)1. Sommaire. — Caractères distinctifs des pneumonies chroniques . I. Pneumonies lobaires chroniques. — Ses modes
tères distinctifs des pneumonies chroniques. I. Pneumonies lobaires chroniques . — Ses modes de terminaison ; résolution rapide e
t résolution lente. — Des pneumonies lobaires prolongées. — Pneumonie chronique succédant, à courte échéance, à la pneumonie loba
pneumonie lobaire. —Pneumonie lobaire prolongée. — Pneumonie lobaire chronique succédant à plusieurs pneumonies lobaires aiguës
duration rouge, induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique . — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques.
e. — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies chroniques pleurogènes. — Rôle des lymphatiques dans leur pr
comprises el. confondues par les auteurs sous les noms de 'pneumonie chronique , pneumonie interstitielle, phtisie fibroïde, cirr
et pour lieu d'origine les alvéoles : ce sont les pneumonies lobaires chroniques ; les autres succèdent à des inflammations des br
mations des bronches ou de la plèvre : ce sont les broncho-pneumonies chroniques et les pneumonies chroniques pleurogènes. Ces var
plèvre : ce sont les broncho-pneumonies chroniques et les pneumonies chroniques pleurogènes. Ces variétés seules seront passées e
ns les pneumonokonioses, qui sont également des pneumonies lobulaires chroniques déterminées par la présence dans les voies aérien
dont il sera bientôt question (p. 203) I. — Des pneumonies lobaires chroniques . 1° Des divers modes de terminaison de la pneum
se momen-tanément; mais les signes physiques persistent, et la lésion chronique s'établit. Celle-ci ne se développe qu'à la suite
on. Citons quelques exemples de ces deux ordres de faits. Pneumonie chronique succédant à courte échéance à la pneumonie lobair
es cas de ce genre établit l'existence de trois variétés de pneumonie chronique , correspondant à différents stades de l'altératio
tion. • D'après Buhl et Jurgensen, il n'existerait pas d'induration chronique d'origine croupale. * Grisolle. — Traité de la
ier. — Traité de pathologie interne, 1850, t. II. 4 De la Pneumonie chronique , th. d'agrég., 1860 (Voir p. 117 à 177.) a) Exe
eumonie lobaire peut être l'occasion du développement d'une pneumonie chronique qui lui succède sans qu'il y ait d'interruption b
oisée : c'est la pneumonie lobaire récurrente. 3° Pneumonie lobaire chronique succédant à plusieurs pneu-monies lobaires aiguës
67. Mars. — 8e attaque. — Mort. Autopsie. —Poumon gauche: pneumonie chronique , indu-ration rouge et ardoisée, avec adhérences p
Forster 3), Yhépa-tisation indurée (Lebert), est le pendant à l'état chronique de l'hépatisation rouge de l'état aigu. La lésion
miste doivent apprendre à con-naître. II. — De la broncho-pneumonie chronique '. Celte forme de pneumonie interstitielle est
orme de pneumonie interstitielle est anatomique- 1 Syn. : pneumonie chronique , pneumonie interstitielle, phtisie fibroïde, cirr
ue veut établir M. Charcot entre les deux grandes formes de pneumonie chronique se trouve à peine ébauchée dans les écrits de ces
guë précède l'induration rouge et grise, de même la broncho-pneumonie chronique se développe comme le type aigu correspondant à l
al and Surgical Transact., p. 287, 1865). 3 Wilson Fox. — Pneumonie chronique , et Ch. Bastian, Cirrhose du poumon, System of Me
uefois elle se résout, quelquefois elle se prolonge et passe à l'état chronique . Bartels cite un cas qui a duré sept mois. Elle p
es. Celte forme peut se présenter surtout après un catarrhe aigu ou chronique , après la coqueluche (Ziemssen), quelquefois aprè
ux ; de plus, contrairement à ce qui existe dans la pneumonie lobaire chronique , le tissu conjonctif péribronchique et périvascul
ie, l'intégrité des bronches, qui s'observe dans la pneumonie lobaire chronique , malgré la transforma-tion du parenchyme en tissu
actères des lésions lorsqu'il s'agit de broncho-pneumonies décidément chroniques . Il en donne la description d'après un cas observ
niques qui peuvent contribuer à caractériser cette forme de pneumonie chronique : Io C'est d'abord l'hypertrophie du ven-tricule d
Laënnec à propos de l'atrophie pulmonaire consécutive à la pleurésie chronique : aplatissement dans tous les sens, rétrécis-seme
aire, les autres à la dilatation bron-chique. III. — Des pneumonies chroniques pleurogènes. Les lymphatiques superficiels du p
ilkunde, 1870), qui a même vu, dans la pleurésie fibrineuse, aiguë ou chronique , les lymphatiques superficiels contenant de la fi
t désigner sous le nom de pleuro-gènes ces pneumonies interlobulaires chroniques , dévoloppées consécutivement à la pleurésie, par
é des hôpitaux (1872, p. 168). M. W. Fox (Reynoyld's System, art. Pn. chronique ) parle aussi de ces cirrhoses du poumon consécuti
rne des hôpitaux, paraissent aussi appartenir à ce genre de pneumonie chronique ; leur analyse montrera la série des lésions grav
me élément de la phthisie aiguë, dans l'évolution tuberculeuse aiguë, chronique dans l'évolution tuberculeuse lente. Dans les f
es altérations qui ont été étudiées, à propos de la broncho-pneumonie chronique , savoir : la sclérose du tissu conjonctif, la tra
est la plus vraisemblable, si l'on en juge par les faits de pneumonie chronique indépendante de la chalicose et dans lesquels on
tion ardoisée que présente le poumon dans la plupart des pneumonies chroniques ? 3° Dans un certain nombre d'obser-vations, on tr
de lin 2. On trouve en effet, dans ces cas, des nodules de pneumonie chronique noirs et dans lesquels l'ana-lyse chimique révèle
M. Charcot expose les particularités anatomiques propres à la phtisie chronique ou phtisie vulgaire. La lésion fondamentale est
sur des bases plus solides. A. Le tubercule miliaire de la phtisie chronique est un no-dule péribronchique, et par là s'accuse
points les plus importants de l'anato-mie pathologique de la phtisie chronique , et M. Charcot l'a traitée dans tous ses détails.
i en quelques mots ce qu'il a observé à ce sujet. Lors-que la phtisie chronique commence à se développer, la lésion se présente,
ois par M. Grancher. Tel serait le point de départ de toute phtisie chronique . Peu à peu, le nodule primitif s'agrandit en s'ét
proprement dite, qui occupe le cen-tre des nodules. Avec la phtisie chronique , apparaît une nouvelle phase du processus. La lés
précède s'applique exactement aux masses tu-berculeuses de la phtisie chronique . Yoilà, dans une esquisse rapide, tout ce qu'on
t à petit, sur une épaisseur va-riable, et est en état d'inflammation chronique : c'est déjà une caverne de guérison, la quiescent
ent accolés, qu'ils aient subi ou non le processus de l'inflam-mation chronique , si la transformation fibreuse n'est pas para-che
. Enfin il peut se faire qu'un tu-bercule à évolution essentiellement chronique dès l'origine perde de bonne heure sa structure c
. On trouve aussi, a-t-il été dit, dans la phtisie essentielle-ment chronique , le tubercule fibreux sous la forme et avec les c
n la plus grave de la tuberculose : elle dé-termine la forme aiguë ou chronique . C'est elle qui règle l'état général, qui détermi
ent que si-gnalait déjà Cruveilhier: aiguë dans la tuberculose aiguë, chronique dans l'évolution tuberculeuse lente. Ces broncho-
caractéristiques, avec les lésions de la splénisation ; dans la forme chronique , la carnification et toutes les variétés de métam
encore plus aisément, s'il est possible, à l'évolution de la phtisie chronique , discrète ou diffuse, qui ne se différencie de la
. — Nature tuberculeuse de la phtisie pneumonique. — For-mes aiguë et chronique de la pneumonie caséeuse. — Résumé. Avant d'étu
bserve également dans les agglomérations tuberculeuses de la phti-sie chronique vulgaire : Le tubercule, comme on va le dire, se
circonstance bien plus fréquente dans » l'histoire de la tuberculose chronique avec excavations, qu'on » ne le croit généralemen
fication jaune du poumon, dans la phtisie » pulmonaire tant aiguë que chronique , n'est pas le résultat » de la métamorphose des p
le répéter, à peu près mot à mot, et à fortiori, à propos des formes chroniques . Le tuber-cule qu'on a voulu bannir, même de ces
forma-tions tuberculeuses péri-bronchiques, dans le mode sub-aigu ou chronique , peuvent d'ailleurs déterminer, dans les parties
a production de l'in- flammation vulgaire, celte fois sous la forme chronique ; tandis que dans les cas de phtisie pneumonique
écrite par M. Thaon, est un des éléments très habituels de la phtisie chronique vulgaire. Il n'est pas sans intérêt de recherch
e longtemps après la cessation des accès et revêt décidément la forme chronique Alors, d'après les observations de Frerichs et de
les qui préalablement étaient déjà le siège d'affections subaiguës ou chroniques . Avec ces altérations cardiaques, ainsi que cel
a surtout lieu chez les individus cachectiques, atteints de ma-ladies chroniques , ou encore dans l'état puerpéral. Or, chez ces su
ent et succomba à l'âge de quinze mois des suites d'une hydrocéphalie chronique . Les suites de couches suivaient régulièrement
is envisagées comme des indices certains d'une inflamma-tion aiguë ou chronique de l'aorte, il en reste bien peu qui puissent êtr
de nature permanente à la suite des inflammations soit ai-guës, soit chroniques . Un degré plus avancé, mais à coup sûr plus rar
s, qui entretiennent presque toujours un certain degré d'inflammation chronique dans leur voisinage. Il ne faut point oublier q
er à la combattre d'une manière effi-cace. L'histoire de 1''aortite chronique se confond avec l'étude des altérations athéromat
ymptôme extérieur. La marche de celte affection est essentiellement chronique , et permet souvent aux malades d'atteindre un âge
dans la tunique moyenne, se terminant par ulcéra-tion ; inflammation chronique ou épaississement de la mem-brane celluleuse ; ad
b) Les abcès du médiastin se rattachent très souvent à des affections chroniques du système osseux : du sternum, des côtes ou de l
isme. f) 11 est souvent très difficile de distinguer les affections chroniques du larynx des lésions anévrismatiques de l'aorte
7° Stridor et maLité dans la partie supérieure du poumon. Maladies chroniques du larynx. 1° L'altération de la voix existe en
nte des ané-vrysmes de la crosse aortique ; des traces d'inflammation chronique , des ulcérations, des nécroses, seront, au contra
ement locale. 11 ne faut pas ou-blier, d'ailleurs, que les affeclions chroniques du larynx peu-vent coïncider avec les anévrismes
uleuse sont de plusieurs espèces; on peut y ranger: Io l'inflammation chronique de cette membrane qui, dans quelques cas a été tr
artérielles sont infiltrées, à la suite d'une inflammation aiguë ou chronique , donnent souvent naissance à un épaississement pe
nchyme pulmonaire atteint d'induration grise générale, dite pneumonie chronique . a, b, Matière amorphe remplissant les canalicule
umon. Sommaire. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et chroniques des voies bronchiques et du parenchyme pulmonaire
iques communs à certaines for-mes de la broncho-pneumonie subaiguë ou chronique . — Retour à l'état embryonnaire du revêtement épi
onchiques; — Terminaisons : résolution; passage à l'état subaigu et chronique ... 98 DIXIÈME LEÇON broncho-pneumonies expéri
aux dans le lobule............................. 108 De la pneumonie chronique ........................................ 111 Int
............................... 117 Chapitre Ier. — De la pneumonie chronique simple.................. 121 Chapitre II. — De
sions du parenchyme du poumon dans leurs rapports avec la pneumonie chronique ...................... 166 Appendice : Cas de pn
ie chronique...................... 166 Appendice : Cas de pneumonie chronique ulcéreuse.................. 176 ONZIÈME LEÇON
ique ulcéreuse.................. 176 ONZIÈME LEÇON des pneumonies chroniques (cirrhoses du poumon). Sommaire. — Caractères d
hoses du poumon). Sommaire. — Caractères distinctifs des pneumonies chroniques . I. Pneumonies lobaires chroniques. — Ses modes
tères distinctifs des pneumonies chroniques. I. Pneumonies lobaires chroniques . — Ses modes de terminaison ; résolution rapide e
t résolution lente. — Des pneumonies lobaires prolongées. — Pneumonie chronique succédant, à courte échéance, à la pneumonie loba
pneumonie lobaire. — Pneumonie lobaire prolongée. — Pneumonie lobaire chronique succédant à plusieurs pneumonies lobaires aiguës
duration rouge, induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique . — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques.
e. — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies chroniques pleurogènes. — Rôle des lymphatiques dans leur pr
. — Nature tuberculeuse de la phtisie pneumonique. — For-mes aiguë et chronique de la pneumonie caséeuse. — Résumé...... 266 St
n au — dans les anévrismes de l'aorte), 504. Larynx (Affections chroniques du—) 518. Leucocythémie (Observations de —) 317
dans le—), 515 ; — adhérences du —, 515. Péripneumonie, 167; — chronique ulcéreuse, 112; — fièvre, 632. Phénomènes ataxi
a - , 430 ; — origine de la —, 437. Phtisie galopante, 148, 278 ; — chronique , 173,201, 257, 264 ; — fibroïde, 179 ; — anthraco
— nombre des grains de —, 30 ; — répartitions du —, 33'. Pleurésie chronique partielle, 159. Plèvre, 235. Pneumogastriques (
onie catarrhale expérimentale, 95 ; — 101, 167, 264, 274. Pneumonie chronique , 96, '17, 121, 139, 2R6 ; — inter-lobulaire, 97 :
— traitement, 163 ; — nosogra-phie, 164;— formes, 165. Pneumonie chronique des nouveau-nés, 128. Pneumonie chronique ulcér
formes, 165. Pneumonie chronique des nouveau-nés, 128. Pneumonie chronique ulcéreuse, 145 ; — observations de —. 176 ; - déb
tômes, 146; — terminaisons, 148; — exa-men physique, 149. Pneumonie chronique non ulcéreuse, 149; — observations de—, 150; —
ssion, 15^; — signes négatifs, 156; — dia-gnostic, 157. Pneumonie chronique du sommet, 158. Pneumonie chronique interstitie
— dia-gnostic, 157. Pneumonie chronique du sommet, 158. Pneumonie chronique interstitielle, 179, 181 ; — lobaire, 179; — pleu
3 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
ère la résorption des cartilages? Toutes les fois qu'une inflammation chronique , toutes les fois qu'une simple fluxion sanguine d
rotide suppurée que dans les périodes avancées des maladies aiguës et chroniques , et j'ignore s'il existe un seul exemple de parot
e MM. Trousseau et H. Belloe sur la phthisie laryngée et ia laryngite chronique ( Mémoires de l'Académie royale de médecine , Par
hie circonscrite ; 6° par végétations polypeuses; 70 par inflammation chronique et induration; 8° par escharification, suite de l
on, suite de l'ingestion d'un acide ou autre caustique; 90 par ulcère chronique simple; io° par dégénération cancéreuse; 11° par
rait toujours croissant. Fig. 2 et 2'. Maladies du duodénum. Ulcère chronique simple. Perforation spontanée. La figure 2 repr
'estomac offrait l'aspect granuleux, si fréquent dans les irritations chroniques de la muqueuse de cet organe. La première portion
dies del'estomac, que cet organe était fréquemment le siège d'ulcères chroniques simples qui se terminaient quelquefois par la per
dénum , dont la première portion m'a paru prédisposée aux ulcérations chroniques . Dans le cas représenté figure i et i\ l'ulcère
ation des brides péritonéales, que j'ai vu dans certaines phlegmasies chroniques du péritoine, cette membrane hérissée d'une multi
est assez fréquent de voir, dans les dernières périodes des maladies chroniques , des érosions hémorrhagiques de l'estomac, érosio
ar des érosions ou ulcérations folliculeuses que débutent les ulcères chroniques de l'estomac, qui ont fait l'objet de plusieurs f
hez une femme de 5o ans, morte de phthisie pulmonaire avec dévoiement chronique , j'ai observé : i° plusieurs ulcérations ardoisée
l'estomac d'une vieille femme de la Salpétrière, morte d'une maladie chronique dont je n'ai pas tenu note, mais qui était bien c
t le mot hématémèse à la marche aiguë, et celui de melœna à la marche chronique , et, d'une autre part, plus exacte que celle tiré
vide et avec effort. Nous avons vu que les ulcères simples aigus et chroniques de l'estomac étaient également accompagnés de vom
cal, n° du i5 juillet i83y : elle a pour titre: Observation d'adénite chronique avec altération spéciale des follicules muqueux d
s de fatigue et de faiblesse. « Diagnostic. — Stomatite et entérite chronique avec inflammation sympathique des ganglions lymph
landes, ainsi que cela arrive aux autres orifices dont l'inflammation chronique cause toujours le rétrécissement. «Des renseign
eviennent cartilagineux; mais il pourrait se faire que l'inflammation chronique s'emparât du follicule et le détruisît par voie d
ui-même, qui, après avoir donné à son observation le titre ai adénite chronique , décrit ainsi l'altération des ganglions : «¦ tis
ns. Contrairement à ce qu'on observe habituellement dans les maladies chroniques de l'estomac, la malade est gaie et même facétieu
ù la nécessité, l'indispensable nécessité du régime dans les maladies chroniques de l'estomac : or, le régime pour l'estomac, c'es
précède; on y verra les désordres que peut déterminer l'inflammation chronique de cet organe et la nécessité de l'analyse anatom
très saillant. Le pancréas n'est pas dégénéré. Il y a eu là un ulcère chronique de l'estomac qui s'est terminé par cicatrisation.
e. Je considère cette altération comme le résultat d'une inflammation chronique , de la combinaison du pus avec le tissu de la rat
tée fig. 2, pl. 1, xxvirlivr. comme une conséquence de l'inflammation chronique de l'estomac : et voici comment j'analyserais cet
ent j'analyserais cette observation. La malade a eu d'abord un ulcère chronique simple de la face postérieure de l'estomac, ulcèr
œtus très développé, libre dans la cavité péritonéale. — Inflammation chronique du péritoine. — Tumeur formée par les membranes
u reste, le péritoine présentait tous les caractères d'une phlegmasie chronique . Le péritoine pariétal était tapissé par une couc
t, et du cœcum et du colon ascendant dans le colon transverse. — Mode chronique des accidens. — Péritonite. — Gangrène de l'intes
eudo-membranes. Il résulte du fait précédent, i° que l'inflammation chronique du gros intestin peut devenir la cause de l'invag
e l'invagination; i° que l'invagination peut avoir lieu d'une manière chronique et déterminer des accidens chroniques et même int
on peut avoir lieu d'une manière chronique et déterminer des accidens chroniques et même intermittens ; 3° que la valvule iléo-cœc
ment par les symptômes les plus graves : sa marche peut être aiguë ou chronique . Les accidens peuvent être continus, rémittens ou
ladie aiguë (pneumonie, péritonite), soit dans le cours d'une maladie chronique (cancer de l'utérus, maladies du foie, péritonite
e maladie chronique (cancer de l'utérus, maladies du foie, péritonite chronique ), sont prises d'une paralysie complète et général
rticulièrement d'ulcérations , suite d'entérite folliculeuse aiguë ou chronique . La fig. i présente le dernier pied de l'intest
elles nombreuses voies le désordre est réparé. Les ulcères aigus et chroniques simples de l'intestin grêle et du gros intestin d
lliculeuse aiguë. Elle peut être primitive ou consécutive. L'ulcère chronique s'observe presque constamment dans la dernière pé
ations dirigées sur le canal de l'intestin alimentaire. Les ulcères chroniques intestinaux présentent souvent des tubercules sou
d tuberculeux; mais ce serait une erreur de dire que tous les ulcères chroniques de l'intestin grêle appartiennent à la classe des
uberculeuses ; il ne serait pas plus exact d'affirmer que les ulcères chroniques de l'intestin grêle ne s'observent XXXe LIVRAIS
que la mort par hémorrhagie soit plus rare dans les ulcères aigus ou chroniques de l'intestin, que dans les ulcères aigus ou chro
ères aigus ou chroniques de l'intestin, que dans les ulcères aigus ou chroniques de l'estomac. L'ulcère chronique de l'intestiu
in, que dans les ulcères aigus ou chroniques de l'estomac. L'ulcère chronique de l'intestiu peut, comme l'ulcère aigu, détermin
sister indépendamment de la cause qui l'a produit. Tous les ulcères chroniques de l'estomac cicatrisés (voyez les livraisons qui
ngée, jaune., brune ou un mélange de ces couleurs : les inflammations chroniques , ou plutôt certains modes d'inflammation chroniqu
les inflammations chroniques, ou plutôt certains modes d'inflammation chronique , l'inflammation ulcéreuse, ont pour résultat la p
ciens. C'est ce qu'on voit souvent à la peau qui avoisine des ulcères chroniques des jambes. Cette couleur ardoisée est au contr
intestin (i); enfin on la rencontre très communément dans les ulcères chroniques , non cicatrisés de l'estomac et des intestins. J'
bien voir les follicules du vagin. XXXe LIVRAISON. 2 les ulcères chroniques soit du gros intestin, soit de l'intestin grêle,
is le tissu ellulaire sous-péritonéal.Dans quelques cas de péritonite chronique ,1e périto ine tout entier présente cette colorat
rdoisée est commune dans les artères, lorsqu'il existe une irritation chronique sur quelques-uns des points de la surface interne
s de continuité qu'il a subies, et la conséquence de son inflammation chronique ; ainsi, on trouve très communément, chez nos viei
valescence ne soit qu'apparente, et que la dysenterie passée à l'état chronique ne laisse des traces ineffaçables(i). Voici le ré
sive. 6. La dysenterie aiguë tend essentiellement à passer à l'état chronique , et je ne connais rien de grave, rien de rebelle
ien de grave, rien de rebelle à toute médication, comme la dysenterie chronique . Il est même des conditions hygiéniques dans lesq
a dysenterie a, dès son début, si je puis m'ex-primer ainsi, la forme chronique . Pendant que j'habitais Limoges, j'ai été plusieu
à la maison centrale de détention; cette cause, c'était la dysenterie chronique qui y régnait endémiquement. Il nous fut facile d
t expliquer la génération du plus grand nombre des maladies aiguës ou chroniques . 7. Dans l'état chronique, la dysenterie est es
plus grand nombre des maladies aiguës ou chroniques. 7. Dans l'état chronique , la dysenterie est essentiellement apyrétique, et
iâtre. Ces altérations sont toutes les conséquences de l'inflammation chronique qui s'est étendue de la muqueuse aux tuniques sub
els on a, pendant la vie et même à l'autopsie, pris des inflammations chroniques du rectum, suite de destruction de la membrane mu
purulentes , indépendamment des selles ordinaires. 9. La dysenterie chronique peut, dans certains cas, guérir incomplètement, e
ue et du colon desendant, prouvent bien évidemment que l'inflammation chronique n'est pas dissipée. 10. Je considère la dysente
e cas de cancer, il survient souvent des lésions viscérales aiguës ou chroniques qui emportent les malades avant le moment marqué
mmun de lésions essentiellement différentes. Or, de même que l'ulcère chronique de l'estomac est souvent cliniquement et anatomiq
atomiquement confondu avec le cancer de cet organe ; de même l'ulcère chronique du rectum donne lieu à des symptômes tellement an
liniques de la Salpêtrière, est remarquable sous ce rapport. Ulcère chronique du rectum avec rétrécissement de cet intestin, pr
cancéreuse du rectum, mais rétrécissement fibreux, suite d'un ulcère chronique de l'intestin, qui occupait la moitié inférieure
s symptômes de l'étranglement : il est probable que si l'inflammation chronique , source de l'ulcération de 1 intestin rectum avai
observation suivante , il était bien facile de prendre l'inflammation chronique du rectum pour un cancer de cet organe, vu le dés
e considérable qui existait tout autour de l'intestin. Inflammation chronique du rectum qui a été prise pour un cancer. — Commu
ncts. Réflexions. — Il est donc bien constant que les inflammations chroniques de l'intestin rectum ont été souvent prises pour
die du rectum, sera donc de déterminer s'il s'agit d'une inflammation chronique ou bien d'une dégénération cancéreuse. Quant au
phénomènes de l'étranglement. Nous avons vu, à l'occasion de l'ulcère chronique de l'estomac, que la mort pouvait être le résulta
efois même l'oblitération de l'intestin, en sorte que les ulcérations chroniques circulaires de l'intestin devraient en quelque so
endu du cheval. Les rétrécissemens du rectum par suite d'ulcération chronique sont susceptibles de guérison, lorsqu'ils sont ac
lh.di BtnarditFrty. (PLANCHK I , XXXIIIe LIVRAISON.) Inflammation chronique du rectum simulant le cancer de cet organe , fig.
éjà eu occasion (i) d'établir par des faits que, de même que l'ulcère chronique de l'estomac est souvent cliniquement et autopsiq
utopsiquement confondu avec le cancer de cet organe, de même l'ulcère chronique du rectum donne lieu à des symptômes et à des car
matières. Or, que ce rétrécissement soit produit par une inflammation chronique , par une cicatrice ou par un cancer, les effets s
des rétrécissemens du rectum par suite d'ulcères circulaires simples chroniques ; j'ai dit que, dans ce cas, la cicatrisation étai
équence du travail de cicatrisation. Mais, indépendamment des ulcères chroniques du rectum, il est des inflammations chroniques de
pendamment des ulcères chroniques du rectum, il est des inflammations chroniques de cet intestin, suite de dysenterie ou de toute
remarquable des désordres qui peuvent accompagner cette inflammation chronique . Femme Moronval, 4*2 ans, mère de deux enfans,
tion cancéreuse , je diagnostiquai un rétrécissement par inflammation chronique du rectum. Je dilate graduellement cet intestin,
sculeuse. Cet état hyper-trophique de l'intestin, suite de phlegmasie chronique ,a souvent été considéré par les observateurs comm
appui de celle qui précède, pour établir la gravité de l'inflammation chronique du rectum et la possibilité de confondre son infl
ndre son inflammation avec sa dégénération cancéreuse. Inflammation chronique du rectum, suite de dysenterie, simulant une affe
actuel rapproché des commémoratifs, je diagnostiquai une inflammation chronique du rectum: Cette enfant avait en effet éprouvé un
e consomption, dont le point de départétait évidemment l'inflammation chronique et la suppuration du rectum. Je soupçonnais, en o
on présentait une densité qui dénotait manifestement une inflammation chronique . J'enlevai ensuite, pour mieux l'étudier, toute l
Ainsi, inflammation de la membrane muqueuse du rectum passée à l'état chronique ; destruction par ulcération de cette membrane et
onique ; destruction par ulcération de cette membrane et inflammation chronique des tuniques fibreuse,musculeuse et péritonéale;
ronique des tuniques fibreuse,musculeuse et péritonéale; inflammation chronique du tissu cellulaire et du péritoine du bassin ; p
s organes génitaux, englobés, pour ainsi dire, da"bs une inflammation chronique ; épuisement par une suppuration excessivement abo
fant. L'examen cadavérique montre des traces profondes d'inflammation chronique , mais nulle part des traces de dégénération. Le
e fait suivant établit que la possibilité de confondre l'inflammation chronique du rectum avec sa dégénération cancéreuse n'est p
r a été commise et qu'une extirpation a été pratiquée. Inflammation chronique âu rectum. —Eaftirpation de la partie inférieure
ervation qu'on vient de lire présente un exemple d'une inflammation chronique du rectum; que la partie inférieure de cet intest
à cet égard. Ainsi, suivant toutes les prohabilités, une inflammation chronique du rectum a eu lieu, une ulcération circulaire s'
nisés; le passage continuel des matières a entretenu une inflammation chronique et des callosités qui se seraient probablement di
e tumeur. MALADIES DU RECTUM %,ltur^'ori Pl.. 1re ZiylamaJzôn chronique /.. ùmcer du- rectum A Chazal del. Imp- dcXc7n
aître que la grosse extrémité de l'estomac était le siège d'un ulcère chronique , en très grande partie cicatrisé et cerné par un
ion: la membrane acéphalocyste avait résisté au travail inflammatoire chronique qui s'était emparé de la poche et qui avait amené
omateuses du foie sont quelquefois la cause d'une péritonite aiguë ou chronique . La péritonite s'élèverait au degré d'intensité d
comme le résultat de la suppuration du foie et constituant des abcès chroniques , mais bien comme des kystes acéphalocystes, dont
isseur et de leur énucléation facile. Il est sans exemple qu'un abcès chronique ait présenté une semblable disposition: les paroi
ui ont comme moi constaté la présence non-seulement des inflammations chroniques , mais encore des tubercules, même du cancer chez
a couleur ardoisée des tissus qui ont été le siège d'une inflammation chronique ; sa cavité est traversée par des brides nombreuse
t par un mouvement ou par une plainte. Je diagnostiquai donc un abcès chronique du foie L'état de la malade restant stationnaire,
nne santé; la seule maladie qu'il eût éprouvée était une inflammation chronique de l'œil droit, laquelle s'était reproduite à tro
quelle époque remontent les cancers mélaniques de l'œil? L'ophthalmie chronique profonde de l'organe a-t-elle provoqué le dévelop
Voyez aussi Traité pratique de ta phthisie laryngée, de la laryngite chronique etdes maladies de la voix , par A. Trousseau et H
e du poumon, mais les commémoratifs (le malade avait eu une pneumonie chronique ), et une fluctuation non équivoque ne permirent p
reuses, qui sont depuis longues années sous l'influence d'un catarrhe chronique , éprouvent une recrudescence. Quand viennent le
de convertir la pneumonie aiguë en pneumonie subaiguë ou en pneumonie chronique , de réveiller, de soutenir la vie jusqu'à ce que
dus épuisés, cachexies, si je puis m'exprimer ainsi, par des maladies chroniques , succombent très souvent à des lésions autres que
niques, succombent très souvent à des lésions autres que ces maladies chroniques . Ainsi,tout récemment, une malade, affectée de pl
s chroniques. Ainsi,tout récemment, une malade, affectée de pleurésie chronique avec bruit de cuir neuf extrêmement prononcé,a su
ar ponction et qui jouissait de la meilleure santé avant la pleurésie chronique , qui la nécessita. Le poumon du côté de l'épanche
'occasion du cancer utérin, comme à l'occasion de toute autre maladie chronique , par suite de l'altération du sang. La phlébite
uit. A l'ouverture du cadavre, œdème du poumon. Catarrhe pulmonaire chronique . Point de phlébite pulmonaire. Les artères pulmon
euse. Bien que la malade fût affaiblie par l'âge et par un catarrhe chronique , l'intensité des douleurs me força à faire pratiq
s la journée. Ouverture du cadavre. — Double pneumonie. — Bronchite chronique . Emphysème du bord antérieur du poumon caractéris
duites par une inflammation de la membrane interne, ou une altération chronique des parois artérielles. (i) Voyez deuxième livr
dans les membres inférieurs. Il avait en outre un catarrhe pulmonaire chronique . Pouls petit, fréquent, avec quelques intermitten
ue représente une artère devient le siège d'une inflammation aiguë ou chronique ; (et cette inflammation me paraît, dans un grand
t qui asphyxie immédiatement; il est un œdème lobulaire plus ou moins chronique , qui enlève à la respiration un nombre plus ou mo
rigine des maladies du cœur chez les vieilles femmes: or, le catarrhe chronique , l'asthme catarrhal m'ont bien souvent paru la po
out de trois mois, six mois, un an au plus, des phlegmasies aiguës ou chroniques qui ont emporté les malades. M. Blaud, cet esti
era le dernier terme. On conçoit encore que l'inflammation aiguë ou chronique du tissu du cœur, en amenant la fragilité de ce t
en fait que les trois quarts des malades morts de maladies aiguës ou chroniques sans longue agonie, auraient une hypertrophie con
erculeuse se développer dans le péricarde par suite de l'inflammation chronique de son feuillet séreux ; j'ai déjà parlé des gran
lectuaire purgatif. Respectons le canal alimentaire dans les maladies chroniques ; car,dans les maladies chroniques, les organes di
canal alimentaire dans les maladies chroniques; car,dans les maladies chroniques , les organes digestifs sont d'une susceptibilité
euse sont un des accidens les plus redoutables des maladies aiguës et chroniques des organes de la respiration et de la circulatio
au avec coloration jaunâtre; lésion qui paraît dépendre d'une fluxion chronique ou subaiguë, ayant pour effet une sorte de combin
ers à mon objet. Je dirai seulement qu'il y avait néphrite calculeuse chronique , et cette remarque est d'autant plus importante,
aplégie incomplète du sentiment et du mouvement. — Danse de Saint-Guy chronique . — Dégénération grise des cordons postérieurs d
tout semblait l'indiquer. Une jeune femme, qui, par suite de gastrite chronique , et aussi par suite de manie , s'était condamnée
ballonnement de cette région, me portaient à admettre une péritonite chronique . Une saignée au bras , des ventouses scarifiées
pièce de dix sous. —Le gros intestin était le siège d'une phlegmasie chronique extrêmement intense, comme dans les dysenteries c
phlegmasie chronique extrêmement intense, comme dans les dysenteries chroniques . Réflexions.—Péritonite chronique tuberculeuse,
ense, comme dans les dysenteries chroniques. Réflexions.—Péritonite chronique tuberculeuse, carie des vertèbres, compression de
rculeuse, carie des vertèbres, compression de la moelle, inflammation chronique de la muqueuse du gros intestin, telles sont les
faitement avec les symptômes observés pendant la vie. La péritonite chronique a précédé ; car la malade accusait des douleurs a
t de la malade aurait été amenée par des eschares si une inflammation chronique du gros intestin, la dysenterie, cette terminaiso
intestin, la dysenterie, cette terminaison si fréquente des maladies chroniques , n'était venue précipiter le moment de sa mort.
tal, ce malade ne présenta d'autre symptôme qu'un catarrhe pulmonaire chronique , avec gargouillement, à petites bulles, et diminu
nduit auditif externe a cessé. Fièvre. Je pense à une otite interne chronique devenue suraiguë. Je tremble que l'inflammation n
mmense majorité des observations du même ordre, est donc ceci : otite chronique avec carie de la caisse du tympan : long-temps ap
pendant la vie aucun signe de sa présence. L'inflammation aiguë ou chronique du cerveau est l'effet le plus habituel de la pré
ne dégénération, mais à une induration, suite probable d'inflammation chronique . L'écueilde toutes les observations que je poss
qu'il n'en est aucun qui ne puisse devenir le siège d'une irritation chronique , laquelle a pour résultat la production de végéta
cancers de l'utérus sont assez souvent compliqués d'une inflammation chronique du gros intestin, d'une péritonite, qui précipite
cancer mammaire tuberculeux, qui a succombé à une pleurésie purulente chronique . Ce que je dis du cancer s'applique à la syphilis
a prostate, et cette atrophie est souvent la suite d'une inflammation chronique de cet organe. Les deux faits sui-vans viennent à
iquer ce rétrécissement que de deux manières: i° par une inflammation chronique de la membrane muqueuse; i° par une ulcération. N
avec la rétention, les calculs déterminent une inflammation aiguë ou chronique , soit de la membrane interne des calices et du ba
gné le cancer mammaire de la femme de 85 ans, sous le titre de Cancer chronique atrophique. D'après le rapport de cette femme, il
le développement d'un cancer interne, soit une phlegmasie latente et chronique ou les deux altérations réunies. Elle succomba sa
pour conséquence tantôt un hydrothorax, tantôt une pleurésie aiguë ou chronique . Cependant le cas représenté pl. 3, xxvne livr.,
ert ; dépérissement à la manière des individus affectés de phlegmasie chronique . Mort le 8 octobre, cinq mois environ après l'inv
de suffocation. Notre malade me paraît avoir succombé à la pleurésie chronique purulente, et non directement au cancer, dont la
gangrène des parois adossées du vagin et du rectum avec inflammation chronique de la muqueuse utérine. L'apoplexie capillaire de
'utérus est sain; sa membrane interne est le siège d'une inflammation chronique caractérisée par une rougeur légère, des fongosit
et du vagin. — Communication du vagin et de la vessie. — Inflammation chronique de l'uretère et du rein du coté droit. Une fe
eux, me fait pressentir que le rein a été le siège d'une inflammation chronique . En effet, la capsule fibreuse adhère si fortem
i° Le rein , l'uretère et la vessie ont été le siège d'une phlegmasie chronique . Cette phlegmasie pjironique s'exprime dans la ve
outer des séreuses, est le signe le plus infaillible d'une phlegmasie chronique , fixée sur ces membranes ou dans leur voisinage.
rnerai à faire remarquer que si, d'une part, les traces de phlegmasie chronique du rein gauche, de l'uretère et de la vessie, sem
ints de contact avec les indurations ordinaires, suite de phlegmasies chroniques . L'état des ganglions lymphatiques correspondan
caractère de la lésion, j'aurais été tenté de croire à l'inflammation chronique , bien plus qu'à la dégénération cancéreuse de l'u
ramollissement du tissu de l'utérus me parut l'effet d'une irritation chronique , d'une fluxion long-temps continuée sur ce tissu.
r le placenta. La péritonite provoquée par la présence du fœtus était chronique , ce qui prouve que le fœtus avait séjourné pendan
mptomatique d'une lésion organique du péritoine, telle que péritonite chronique tuberculeuse ou autre, cancer du péritoine? est-c
. Sa face jaune paille et sa maigreur extrême attestaient une maladie chronique arrivée à sa dernière période. Je la reçus immédi
ns : les urines sont peu abondantes. Je diagnostique une péritonite chronique latente, probablement une péritonite tuberculeuse
e m'arrêtai à l'idée qu'il pouvait y avoir ici une de ces phlegmasies chroniques et sans douleur du péritoine, qui sont si souvent
ALIMENS. Du choix des alimens dans le traitement de l'ulcère simple chronique de l'estomac. 10e liv., pl. v et vi,p. 3. ALTÉB
, vi,p. G. — Perforation de l'artère splénique, suite d'ulcère simple chronique de l'estomac. 10e Ii v., pl. v, vi, p. y.— Inflam
BAINS. De l'emploi des bains dans le traitement de l'ulcère simple chronique de l'estomac. 10e liv., pl. v, vi, p. 3. — Idem d
que et cholédoque. 12e liv., pl. iv, v, p. 4- — Inflammation aiguë et chronique des voies biliaires. 12e liv., pl. iv, v, p. 5.—
—Siège du cancer du rectum; ses effets. 25e liv., pl.m,p.3. — Ulcère chronique du rectum avec rétrécissement de cet intestin, pr
cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. — Inflammation chronique du rectum, qui a été prise pour un cancer. Commun
rs développées dans le cerveau. 32e liv., pl. v, p. 5. — Inflammation chronique du rectum simulant le cancer de cet organe. 33e l
dans la cavité orbilaire. 39e liv., pl. v, p. 4-— Cas d'inflammations chroniques du rectum, pris pour des cancers. 40e liv., pl. v
ricules. 6e liv., pl. 1, 11, p. 4, 5. — Méningite sous-arachnoïdienne chronique de la base. 6e liv., pl. 1, 11, p. 6. — Méningite
e ramollissement gélaliniforme du cerveau speut exister d'une manière chronique . Différence des effets produits par des causes en
Mort. ^Pleurésie; accouchement; dévoiement cholérique. Mort.^Entérite chronique ; accouchement; dévoiement cholérique. Mort. 14e l
dans la convalescence. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 52.— Gastrite chronique par suite d'un choléra léger; hémathémèses ; déje
é. 20e liv., pl. m, iv, p. //. — Caractère des cicatrices de l'ulcère chronique de l'estomac. 20e liv., pl. v, vi, p. /. — Caract
liv., pl. i iî, m, p. y, 10. DANSE DE SAINT-GUY. Danse de Saint-Guy chronique . 32e liv¿, pl. i, n, p. ig. DAUXAIS (M.). Ses t
rt. = Pleurésie; accouchement; dévoiement cholérique. Mort.= Entérite chronique ; accouchement; dévoiement cholérique. Mort. 14e l
ystées des follicules du duodénum. 34e liv., pl. n, m, p. 1. — Ulcère chronique simple et perforation spontanée du duodénum. 38e
e et le choléra. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v, p. 28. — Inflammation chronique du rectum, suite de dysenterie, simulant une affe
le des longues maladies ; elle tend essentiellement à passer à l'état chronique . 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pa- ihologïq
. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pa- ihologïque do la dysenterie chronique ; accidens qui suivent la destruction de la membr
liv., pl. v, p. 4. — Possibilité d'une demi-guérison de la dysenterie chronique ; la dysenterie incomplètement guérie est la sourc
lliculeuse ancienne. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 23. —Cas d'enlérile chronique . 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p. 10.—Entérite pa
membrane muqueuse de l'estomac. 10e liv., pl. m , iv, p. 6. — Ulcère chronique simple de l'estomac. 10e liv., pl. v, vi,j». — Ca
liv., pl. v, vi, p.*. —Dangers des hémorrhagies dans l'ulcère simple chronique de l'estomac ; traitement. 10e liv., pl. v,vi, p.
atrices des ulcères de l'estomac. 10e liv., pl. V, vi, p. 7. — Ulcère chronique simple de l'estomac,- il diffère de l'ulcère canc
le siègede la perforation, la cicatrice d'un ulcère ancien.= Gastrite chronique ulcéreuse par suite d'un choléra léger; hémalémès
rus et du vagin. Communication du vagin et de la vessie. Inflammation chronique de l'uretère et du rein du côté droit. 37e liv.,
itales de la main gauche. 27e liv., pl. v, p. 8. GASTRITE. Gastrite chronique ulcéreuse par suite d'un choléra léger; hématémès
ation. Foetus très développé dans la cavité péritonéale. Inflammation chronique du péritoine. Tumeur formée par les membranes de
, p. 4. Hématémèse et déjections sanglantes résultant d'ulcère simple chronique de l'estomac. 10e liv., pl. v, vi, p. y. HÉMIPL
pl. 1,11, m, iv, p. 5.— Dangers des hémorrhagies dans l'ulcère simple chronique de l'estomac. 10e liv., pl. v, vi, p. .2.— De l'h
= Pleurésie ; accouchement; dévoiement cholérique. Mort. == Entérite chronique ; accouchement; dévoiement cholérique. Mort. 14e l
nt, et du ccecum et du colon ascendant dans le colon transverse. Mode chronique des accidens Péritonite. Gangrène de l'intestin g
'intestin grêle parle choléra. 38e liv., pl. 11, m, iv,p. 4- — Ulcère chronique simple et perforation spontanée du duodénum. 38e
le des longues maladies : elle tend essentiellement à passer à l'état chronique . 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pathologique d
ique. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pathologique de la dysenterie chronique ; accidens qui suivent la destruction de la membra
., pl. v, p. 4-— Difficultés de la guérison complète de la dysenterie chronique . La dysenterie incomplètement guérie est la sourc
ant, et du cœcum et du colon ascendant dans le colon transverse. Mode chronique des accidens. Péritonite. Gangrène de l'intestin
ant, et du cœcum et du colon ascendant dans le colon transverse. Mode chronique des accidens. Péritonite. Gangrène de l'intestin
1e liv., pl. vi, p. 3. — L'invagination peut avoir lieu d'une manière chronique et déterminer des accidens chroniques et même int
on peut avoir lieu d'une manière chronique et déterminer des accidens chroniques et même intermittens. 21e liv., pl. vi, p. 4. — I
que du larynx. Mort par suffocation. 5e liv., pl. n, p. 3. —Laryngite chronique ulcéreuse occupant la surface extérieure et intér
siège d'une tuméfaction mortelle. 5e liv., pl. 11, p. 4. — Laryngite chronique ulcéreuse occupant la surface extérieure et intér
12. — Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée à l'état chronique . 17e liv., pl. m, p. 3. — Le pus peut exister imp
Maladie muqueuse. 7e liv., pl. i, n, ni, iv, p. /.—¦ Maladie muqueuse chronique . 7e liv., pl. i, n, m , iv, p. y. — Différence de
entricules. 6e liv., pl. 1,11, p. 4, 5.—Méningite sous-arachnoïdienne chronique de la base. 6e liv., pl. 1, 11, p. 6. — Méningite
araplégie incomplète*du sentiment et du mouvement. Danse de Saint-Guy chronique . Degeneration grise des cordons postérieurs de la
be. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins, passée à' l'étal chronique . Inflammation communicante des veines iliaques ex
museau de tanche. 39e liv., pl. m ,p. 3. NARINES. Guérison d'ulcère chronique aux narines. 12" liv., pl. vi, p. 3. NÉCROSE.
hez un enfant qui mourut une heure après la naissance. = Inflammation chronique du thymus et du pancréas; induration et imperméab
dies du pancréas chez le fœtus. 15e liv., pl. n, p. i. — Inflammation chronique du pancréas chez un enfant mort après quelques mi
araplégie incomplète du sentiment et du mouvement. Danse de Saint-Guy chronique . Dégénération grise des cordons postérieurs de la
liv., pl. v, vi,p. 4. —Des perforations de l'estomac, suite d'ulcère chronique . 20e liv., pl. v, vi, p. /. — Perforation spontan
Fœtus très développé , libre dans la cavité peritoneale. Inflammation chronique du péritoine. Tumeur formée par les membranes de
aire. 5e liv., pl. n, p. 6— Coïncidence presque constante de l'ulcère chronique des intestins dans la dernière période de laphthi
e ramollissement gélatini-forme du cerveau peut exister d'une manière chronique . = Cas de ramollissement gélaliniforme du cerveau
.—Causes probables et traitement de ce ramollissement.=Ramollissement chronique de la rate. 2« liv., pl. v, p. g .—Phlébite de la
ège du cancer du reclum; ses effets. 25e liv., pl. ni, p. 3. — Ulcère chronique du reclum avec rétrécissement de cet iniestin , p
cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. = Inflammation chronique du rectum, qui a été prise pour un cancer. Commun
6. — Curabilité des rétrécissemens du reclum par suite d'ulcération chronique . 25e liv., pl. m , p. 7.—Inflammation chronique d
ar suite d'ulcération chronique. 25e liv., pl. m , p. 7.—Inflammation chronique du rectum simulant le cancer de cet organe. 33° l
mulant le cancer de cet organe. 33° liv., pl. 1, p. t. — Inflammation chronique du reclum, suite de dysenterie, simulant une affe
z une jeune fille de vingt ans. 33e liv., pl. 1, p. 3. — Inflammation chronique du rectum. Extirpation de la partie inférieure de
la substance lubuleuse du rein. 36e liv., pl. v, p. 4. — Inflammation chronique de l'uretère et du rein du côté droit. 37e liv.,
6. — Curabilité des rélrécissemens du rectum , par suite d'ulcération chronique . 25e liv., pl. m,p. 7.—Rétrécissement fibreux du
ambe. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée à l'état chronique . Inflammation communicante des veines iliaques ex
dies du thymus chez le fœtus. 15e liv., pl. n, ». i. — Inflammation chronique du thymus et du pancréas chez un enfant mort aprè
s placentaires. lre liv., pl. 1, n, p.3. u. ULCERE. Ulcère simple chronique de l'estomac. Caractères anatomiques ; caractères
s ulcères de l'estomac. 10eliv., pl. v, vr, p. 7. — Guérison d'ulcère chronique aux narines suivie de cancer au pylore. 12e liv.,
concomitant d'un cancer du foie. 12e liv., pl. n, in, p. g — L'ulcère chronique de l'estomac peut être diagnostiqué; sa tendance
siège de la perforation, la cicatrice d'un ulcère ancien. = Gastrite chronique ulcéreuse par suite d'un choléra léger ; hématémè
on du pylore ; orifice pylorique. 20e liv., pl. v, vi, p. 4. — Ulcère chronique du rectum avec rétrécissement de cet intestin, pr
cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. = Inflammation chronique du rectum qui a été prise pour un cancer. 25e liv
on ardoisée des cicatrices muqueuses. 30e liv., pl. m, p. 4. — Ulcère chronique simple et perforation spontanée du duodénum. 38e
atrophie du rein correspondant. 27e liv., pl. u, p- 4. — Inflammation chronique de l'uretère cl du rein du côté droit. 37e liv.,
du vagin. Communication du vagin 11 et de la vessie. Inflammation chronique de l'uretère et du rein du côté droit. 37e liv.,
tum avec le vagin au-dessus de la fourchette résultant d'infiammation chronique du rectum. 25e liv., pl. m, p. 4. — Cancer du vag
rus et du vagin. Communication du vagin et de la vessie. Inflammation chronique de 1 uretère et du rein du côté droit. 37e liv.,
. Explication des vomissemens qui accompagnent quelques inflammations chroniques du rein. lre liv., pl. v, p. 4. — Vomissemens m
4 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
MATISÉS DANS LES DIVERSES PSYCHOSES'. DEUXIÈME LEÇON. LE DÉLIRE CHRONIQUE A ÉVOLUTION SYSTÉMATIQUES Messieurs, Deux mal
, de l'absence d'antécédents hérédi- taires, le diagnostic « délire chronique » put être porté. Aujourd'hui ce diagnostic est
degré d'affaiblissement. de la résistance cérébrale, les délirants chroniques marchent graduellement vers la démence. Leur ni
ls en voie de déclin. Cette évolution fatalement tracée du délire chronique , telle que nous venons de la suivre, impose ave
mettre vingt, trente ans à atteindre son terme. Tel est ce délire chronique et évolution systématique, apparu à l'âge mûr,
stplial, Schoefer), moins le passagepossible à la sys- tématisation chronique (syslematische Paranoïa), aussi l'auteur refuse
au contraire, toujours d'après deKrafft-Ebing, est une psychopathie chronique qui survient exclusivement chez les individus a
le hallucinatoire aiguë, tandis que la folie systématique, toujours chronique (il n'y a pas de para- noïa acuta) est dénommée
anoia sous lequel nous avons déjà vu désigner la'folie systématique chronique DE LA PARANOÏA. 29 (paranoïa chi-onica) plus
e de paranoïa, dont il admet trois formes une forme aiguë une forme chronique une forme stupide (identique à la catatonie de
e de la Folie héréditaire. D'après cet auteur, le Wahnsinn, aigu ou chronique , a pour caractère que l'état de l'humeur corres
et à l'ex- clusion de l'activité cérébrale. La folie systématique chronique type (typische chronische Wahnsinnsform) a, d'a
dées passagères comme eux : de même que dans le délire systématique chronique , il s'effec- 30 CLINIQUE MENTALE. tue souvent
ns et des exacerbations. Les exacerba- tions du délire systématique chronique sont tout simplement des formes du Wahnsinn hal
x7-e Verrüchtlaeit) y représente un groupe de la folie systématique chronique type (typischer Wahnsinn) qui n'est pas, comme
ia, et paranoïa veut dire folie systématique. Celle-ci est aiguë ou chronique , acquise ou d'origine dégénérative, ce qui veut
e qu'il est composé des mêmes éléments que le délire systématique chronique , qu'il peut en être le premier début, se montrer
ier, ou, ce qui est la même chose, parce que le délire systématique chronique peut s'exaspérer et prendre ainsi l'aspect aigu
u moins cohérentes suivant qu'il s'agit de l'état aigu ou de l'état chronique . M. Kroepelin, de son côté, n'emploie pas le mo
e comme entendues malgré lui et non direc- tement. Quant à la forme chronique , elle se distinguerait dé la folie systématique
es ont été créés, dont un pour les aliénés criminels et les malades chroniques , en même temps que, dans quelques villes, un qu
de marcher et de se tenir debout. Il en existe une variété lente et chronique assez fréquente. 11 convient aussi de séparer n
langage qui lui était propre, etc... » Or, un beau jour, ce délire chronique se transforma en paralysie générale des plus ne
tat simple ou com- pliqué, du ramollissement cérébral local aigu et chronique , de l'hémorrhagie eérébrale localisée récente o
hésitent à placer leurs malades dans ces hospices de déments et de chroniques dont il ne sort que peu d'aliénés guéris, dans
nt venus à l'établissement que parce que leur maladie était devenue chronique . Le transport des aliénés des campagnes l'asile
rhumatisme aux genoux. A trente ans, en 1881, j'ai eu une laryngite chronique pour laquelle j'ai été à Cauterets, Allevard et
AL, Médecin en chef des asiles de la Seine. La folio systématique chronique (chronische Verriicktheit) elle-même n'est pas-
et qui sont de l'amentia. Quant à la Paranoïa ou folie systématique chronique primi- tive (cfa·onisc'e p ? ,imoe7,e Verrücklh
ate les éléments dissociés mais surnageant de la folie systématique chronique . Ils montrent aussi l'association de la confusi
sur le tableau morbide. Ces deux formes sont tantôt aiguës, tantôt chroniques . La paranoïa simple chronique a pour variétés :
ux formes sont tantôt aiguës, tantôt chroniques. La paranoïa simple chronique a pour variétés : la folie systé- matique origi
anoïa hypochondriaque est une variété de la paranoïa hallucinatoire chronique . La paranoïa peut d'ailleurs être compliquée de
fois passagèrement troublée ; cela arrive rarement dans la paranoïa chronique . Quand il y a inconscience, le ma- lade ne cons
la folie systématique ( 6'errüclctheit) primitive, tant aiguë que chronique et, en particulier, dans le cours de la folie sys
systématisées, avec ou sans hallucinations), une folie systématique chronique simple, une folie systématique secondaire, une co
utres, apparaissant dans le cours de la folie systématique aiguë ou chronique , enfin peut-être aussi constituée par l'exagérati
ans les formes violentes de manie; quand celles-ci passent à l'état chronique , la confusion mentale, géné- ralement produite
les exacerbations aiguës de la folie systématique hallu- cinatoire chronique (chronische hallucinatorische paranoïa); en par
paranoïa, car on y note tout autant que dans la folie systématique chronique (chronische Paranoia), des con- ceptions délira
cinationssensorielles. Cen'estpas tout Dans le cours de la paranoïa chronique simple, même dans des stades les plus tardifs d
ne Verwirrtheit) se montrerait parfois dans la folie systé- matique chronique primitive (primoe2,e claronische 1'ez·rüclctheit)
une maladie, la montre existant dans l'im- paludisme, les néphrites chroniques , la glycosurie, l'état sclé- reux des artères,
onc avoir des rapports avec les infections aiguës et les infections chroniques et, parmi ces dernières, avec la tuberculose. Q
ont pas favorables. E. B. XXXVI. MAL DE POTT cervical. Leptomyélité chronique . Poussée DE MÉNING01fYÉLITE aiguë limitée A la
de la tuberculose en deux catégories dis- tinctes : 1° les myélites chroniques ; 2° les myélites aiguës dont on peut distinguer
s poumons, présentait un mal de Pott cervical accompagné de lésions chroniques des méninges et de la moelle indépendamment de
stologique a montré que la malade était atteinte d'une leptomyélite chronique diffuse légère, dont les lésions conco- mitante
. Si par exemple nous envisageons les formes aiguës et les formes chroniques du groupe paranoïa, il y a un certain nombre d'ob
e (amentia chronica ou dementia confusa) ou la folie systé- matique chronique (paranoïa chronica). Pour M. Mendel, elle sur-
érébrales. Réplétion forte des vaisseaux méningés, lepto- méningite chronique diffuse de la convexiié. Poids du cerveau = 1,0
e partie de son étude. L'auteur reconnaît que la folie systématique chronique ou paranoïa chronique est née en France avec La
L'auteur reconnaît que la folie systématique chronique ou paranoïa chronique est née en France avec Lasègue, qui en 1852 a d
e Jaquet (1876) et Falret. Mais ce domaine de la folie systématique chronique , qu'il semblerait si naturel de se contenter de
es : 1° celle des dégénérés hérédi- taires ; 2° celle des délirants chroniques . La classe des dégénérés héréditaires comprendr
qui en réalité sont bien difficiles à classer. Celle des délirants chroniques aurait pour représentant le délire des persécut
s (Paul Garnier, Briand, Lwoif) soutiennent l'exis- tence du délire chronique tel qu'il est formulé par Magnan. Pour distingu
an. Pour distinguer un délire systématisé dégénératif d'un délire chronique pur il faut envisager : < l'état mental du suj
conception, la vie foetale et la première jeunesse. Quant au délire chronique , il peut germer sur des héréditaires mais non s
C'est aussi l'avis de M. Bail qui critique l'expression de délire chronique et préfère le nom de maladie de Lasègue pour dé
nécessairement par la-démence. M. Camuset est d'avis que le délire chronique englobe un grand nombre de psychoses analogues,
es comprendraient alors deux grandes classes : il, celle des folies chroniques régulières ou délires chroniques; 2° les folies
des classes : il, celle des folies chroniques régulières ou délires chroniques ; 2° les folies irrégulières ou délires des dégé
re héréditaire, qui peut du reste être constatée chez les délirants chroniques , n'est point synonyme de dégénérescence, mais l
tion de la dégénérescence que pour formuler le diagnostic de délire chronique . Et encore n'est-on pas bien sûr de ne pas comm
nom de Lasègue à la seconde période (des persé- cutions) du délire chronique , et celui de Foville à sa troisième période (mé
e période (mégalomaniaque). Mais, en réalité, pour lui, le délire chronique englobe toutes les espèces de délires systématisé
st la synonymie française, reconnue par les Alle- mands, des formes chroniques du délire systématisé ou paranoïa chronique. Il
e- mands, des formes chroniques du délire systématisé ou paranoïa chronique . Ils considèrent, qu'en ce qui a trait aux formes
s. Elle a la plus grande analogie avec les délires par intoxication chronique . Elle me paraît mériter le nom de confusion men
systématique primitive (liercvitsclanoe soumasscheslvie) aiguë ou chronique , la démence (slaboomie) consécutive à la ma- ni
des cas, dit M. Korsakow, la para- noïa apparaît comme une maladie chronique , jusqu'ici tou- jours incurable. Mais les obser
a paranoïa aiguë est donc une forme de transition entre la paranoïa chronique et l'amentia. De même le délire asthénique est
McA<Ae ! < pervétsehnoe pomieschaleilstvo) aiguë, subaiguë ou chronique , n'est, d'après le savant russe, pas une affect
s'agit d'une malade atteinte de troubles attestant une intoxication chronique par l'alcool avec les symp- tômes cérébraux que
lles (otite moyenne ; perforation tympanique traumatique ; sclérose chronique du tympan). Ces pulsations scandées, dans un ry
boissons alcooliques. Or, extrême est la fréquence de l'alcoolisme chronique chez les médecins. Sur les 1,500 observations q
pas, après le décours [de chaque accès, un substratum pathologique chronique permanent (tel que la tare héréditaire), loin d
finitions. u ? ? ' t Sûr la modalité 'morbide de folie systématisée chronique , l'esprit' se montre universellement satisfait,
n' fausse du'sens critique.' En les fai- sant suivre' de l'épithète chronique on crée une. expression qui signifie bien ce qu
tenace, successivement appelée par lui délire chro- nique et délire chronique progressif a'évolution'systématique. Où commenc
persécution parvenant à l'état par- fait dans la folie systématique chronique , mais encore indé- cises dans la folie systémat
ptômes communs aux trois tableaux morbides de la folie systématique chronique (Verrûcktheit) ; de la folie systématique moins
noïa, de se préoccuper tout bonnement d'un état aigu et d'un état chronique , car vraiment la Verwirrtheit n'est qu'un degré
nw )b4 ,1-e, Parallèlement ? 111 : w12agnan nous dit' : La"paranoïa chronique ? (folie. systématique cbronique),, c'est,le déli
ranoïa chronique ? (folie. systématique cbronique),, c'est,le délire, chronique ? Les .gformesjsi changeantes, dans leur, allur
. au besoin, de confusion mentale aiguë hallucinatoire. Le délire chronique ,, au contraire, (eAroMC/M Vei,2,iielitheit, n,c
progressive,' et^vous' les' faites - 'suivre'des'variétés : délire chronique de' Magnan où paranoïa complète de ''Moebiùs ?
sorte d'entrelacement des 'termes et des modalités tant aiguës que chroniques et'à l'en- 'chevetremënt des symptômes qui 4es'
elques mois plus ' -tard1,'1 nous voyons se,- manifester 'un délire chronique 'bien '" systématisé qui aboutit à la cristalli
omment 's'exprime. M.' Cramer pour éli- '"miner'la notion du délire chronique de Magnan ? " " ' ' 280 CLINIQUE MENTALE. .L'
tude de la bibliographie démontre que les quatre périodes du délire chronique n'ont jamais été, observées en Allemagne, bien
qu'il place dans les dégénérescences mentales justement les formes chroniques , c'est-à- dire qu'il fait précisément l'inverse
e fait Magnan. Scliuele décrit, il est vrai, un délire systématique chronique (c/troHMe/tM' Wahnsinn) qui peut embrasser plus
Ce n'est donc pas là l'évolution invariable et méthodique du délire chronique de Magnan. C'est aussi ce que nous pourrons obs
urant les traités d'autres auteurs pour chercher un appui au délire chronique de' Magnan, et en étudiant les travaux italiens
dege7 ? ci,(ttiva), n'envisagent la plupart du temps que les formes chroniques . Or l'évolution chronique type est un des signe
agent la plupart du temps que les formes chroniques. Or l'évolution chronique type est un des signes caractéristiques du déli
olution chronique type est un des signes caractéristiques du délire chronique qui ne survient que chez les non dégénérés... C
lupart des Alle- mands et des Italiens. Il s'ensuit que le délire chronique de Magnan doit être extrême- ment rare et qu'on
ne- parle en réalité que de deux formes de paranoïa. 1° La forme chronique ou verrüclctheit de Krafft-Ebing, ou typischer
r Wahnsinn de Schuele, -c'est-à-dire la Verrûcktheit et le Wahnsinn chroniques , en français, folie systématique chronique prog
ktheit et le Wahnsinn chroniques, en français, folie systématique chronique progressive dont les caractères sont : l'idée dél
mentale) susceptible d'apparaître aussi dans la folie- systématique chronique (chronische u' ? 'Mce ! <) et dans le Wahnsi
st, ajoutent-ils, capable de se produire dans la folie systématique chronique primitive (chi-onische pîii ? 2oej»e Verrûckthe
onische pîii ? 2oej»e Verrûcktheit) (Serbsky) ou folie systématique chronique simple (einfaclae chronische Paranoïa), même à
de transformer le précédent schéma en paranoïa f aiguë ettparanoïà chronique , en introduisant, sous chacune de ,-ces deux ru
Cette part peut se faire assez vite quand il s'agit d'une. paranoïa chronique telle que le délire de jalousie ou le délire de
nt aux épisodes maniaques ou mélancoliques de la folie systématique chronique ..., ils rie prêtent pas longtemps à l'illusion
es vésanies que celles des héréditaires dégéné-" résetdes délirants chroniques . Dans les psychoses'organiques'* rentrent lest
ie de l'apophyse odontoïde qui comprime et provoque de la méningite chronique limitée. Le facial réagit dans l'espèce par des
P. K. XXVIII. Contribution A l'anatomie pathologique DE la chorée CHRONIQUE PROGRESSIVE HÉRÉDITAIRE; par II. OPPEXUEIM et t
rvations ayant ceci de particulier qu'il s'agissait d'une 1e chorée chronique héréditaire sans complication. Il y a eu com- p
ouble mental le plus commun est une forme tranquille, subaigûë ou chronique sans excitation motrice, et souvent est associée'
ques. z M. SCHULTZE communique une observation de dermato-myosite chronique chez un enfant (voir Zeitsch. f. lYerven)zeil>
d'autopsie et étude critique de l'obser- vation d'affection spinale chronique présentée au Congrès pat'BasMm/6)' le' 7 juin 1
D et Hallion. Certaines formes de l'athétose double et de la chorée chronique = présentent un grand nombre de traits communs.
e des rapports étroits qui unissent Fathétose double et la chorée chronique . Il s'agit d'une malade qui présentait, depuis qu
e malade qui présentait, depuis quinze ans, les signes d'une chorée chronique des membres, et chez qui survinrent des mouveme
embres et à l'athétose par' sa face. L'athétose double et la chorée chronique apparaissent ainsi commo deux syndromes, issus
lques-unes allant se dénoncer. En revanche,,la folie systématique chronique et la mélancolie sont poursuivies par les tribu
aît quand la psychopathie s'améliore ou quand elle prend une marche chronique ou dans la démence secondaire; elle reste alors
aussi bien au début que dans le cours des psychoses intellectuelles chroniques . Cette allure presque sans exception est l'apan
, par cela même, se séparent en quelque sorte de la maladie mentale chronique , en dehors de l'épisode passionnel, sur laquell
eau ordinaire, la psychopathie reprenant son caractère uniformément chronique , l'anomalie menstruelle, passagère, se transfor
iculièrement fortes; 4° dans la folie systématique hal- lucinatoire chronique on constate de semblables irrégularités oscilla
s rares mais aussi moins accentuées ; 5° dans la folie systématique chronique simple, courbes thermiques abso- lument normale
'était donc qu'une rémission dans une per- turbation intellectuelle chronique .... Archives, t. XXIX. 26 402 SOCIÉTÉS SAVANT
aison par une sorte de réaction. Esquirol distinguait de la démence chronique une démence aiguë qui se développait dans la co
nt le délire de collapsus (collaps delirium de Kraepelin), la forme chronique désignée par Meynert sous le nom d'Amentia, etc
maisons de déten- tion où s'accumulent pêle-mêle curables aigus'et chroniques incu- curables auxquels un autre système d'assi
ègle de transformation est surtout très manifeste pour l'alcoolisme chronique . Dans ces cas, l'enfant est souvent idiot en mê
érées, répétées et parfois même con- tinuelles chez les alcooliques chroniques soient une cause de dégénérescence nerveuse, et
eptiques à ceux de l'alcoolisme. Comme nos malades, les alcooliques chroniques voient leur intelli- gence s'affaiblir et décho
ravaux gigantesques. Nous voyons la même chose chez les alcooliques chroniques sous l'influence de l'ivresse. Ces malades sont
paralysie périphérique du facial (a /' ? '0 ! 'e), 1 de polynévrite chronique , 3 de névrose traumatique, 12 d'hystérie ; 6 de
, des instillations d'atropine. J'ai vu beaucoup de cas d'épilepsie chronique dans lesquels les malades ont été débarrassés d
isfaisante de leurs anomalies visuelles, 90 p. 100 des épileptiques chroniques , ont été mieux, en dehors de tout traitement br
raphie. 481 intoxication des centres nerveux surajoutée aux lésions chroniques de la méningo-encéphalite ; 2° on peut presque
le doit être un hôpital pour les aigus et un lieu de repos pour les chroniques . Installez-le donc confortable, riant. Cette tr
5 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e marquée du cerveau, lésion évidente de la,pie-mère et endartérile chronique diffuse plus ou moins pro- noncée. Dans un'cas
de méningite hémorrhagique le nom,dé lepto- méningite-hémorrbagique chronique . (The Alienist cLndNetoolorit, XIV,93, n ? I.,)
dance de lésions médullaires,' on l'observe parfois dans la myélite chronique , lapâchÿméuingite; la paraplégie traumatique. O
. nique. C'est bien actuellement du délire de persécution (paranoïa chronique ) c'est-à-dire d'une des. formes de la folie systé
e les cas dans lesquels il y a forma- tion d'un délire systématique chronique , incurable, stable, implanté sur une assise con
deviennent chrôniques'et réssemblent'1exa"ctement àcéux qui "sont' chroniques d'embléë ? 1 ? KRPELIN. Généralement la paranoï
i-ù --àét-it 6ù' se1 termine'par la 'démence" niais 'ne devient pas chronique ? 1 ' ? ftj Il ? n=-a;bJ' f, " ` Tul"' M. ,VO
tématique hallucinatoire aigu se distingue du délire sys- lématique chronique (paranoïa) par la différence de la marche, de l
hapitres sont consacrés à la des- cription des délires systématisés chroniques , de la dégénérescence et de la folie des dégéné
ranquille, ambitieuse, sensorielle, transitoire; la manie subaiguë, chronique , le délire aigu, les états maniaques symptomati
idité sympto- matiques. Enfin sont étudiés les délires systématisés chroniques , tels que le délire des persécutions dans ses f
é. Mais au Caucase il n'y a rien de plus commun que les congestions chroniques du foie, qui habituellement sont dues à l'impal
niques ? Poncel, dans son ouvrage « De l'influence de la congestion chronique du foie sur la genèse des maladies », rattache
re part, ceux d'un diabétique atteint de polynévrite interstitielle chronique . Nos recherches confirment donc cette conclusio
ile de déterminer, chez les animaux par une intoxication arsenicale chronique , l'apparition d'une polynévrite ou d'une myélit
res et phoné- tiques. A. Marie.' III. Observation d'hydrocéphalie chronique traitée par le drainage; par les Drs BASKETT et
s laissé de trace, ou bien quand il est constitué par une contusion chronique , comme dans les cas d'atrophie avec parésie des
het, sa terminaison extraordinai- rement favorable. C'est un délire chronique systématique, progres- sif, incurable, qui, apr
. Falret qui, depuis neuf ans, était [chargé du servica des aliénés chroniques de la Salpêtrière, passa dans la section de Ram
e- nir les sensations qui les ont irritées ? Un état d'épuisement chronique comme le pense M. Féré ? Dans l'amnésie consécu-
lière des cellules qui doit être'une sorte d'épuisement, de fatigue chronique ; mais quelles modifi- cations anatomiques ou ph
urs attaques de manie aiguë rémittente, l'affection passer à l'état chronique . Dans la manie habituelle la guérison est moins
baiguë d'un accès d'alcoolisme. Il en est de même pour l'alcoolisme chronique , à l'heure où les lésions cérébrales définitive
aniaques et . mélancoliques, dans la folie intermittente, le délire chronique . et la dégénérescence mentale. Différences d
t en général ne reparaît pas. Dans un autre groupe, les délirants chroniques , à prédispo- sition plus accusée, mais dont l'é
la plénitude de leurs facultés. Manie et mélancolie simples, délire chronique , folie inter- mittente, dégénérescence mentale
te les mélancoliques et les maniaques simples). Restent le délire chronique et la dégénérescence mentale, c'est-à-dire la p
rres constructions de son subjectivisme morbide. Chez le délirant chronique , rien de pareil. C'est au sommet d'une vie de t
ssionné par une série de circonstances fâcheuses, le futur délirant chronique se replie sur lui-même : il se con- centre, il
e, s'il s'assujettit tout de suite au joug de la folie, le délirant chronique proteste et se défend. Il examine, il cherche,
able qu'au moment où le niveau intellectuel s'affaisse. Le délirant chronique , au contraire, ne guérit pas; dès qu'il a franc
re ambitieux; cette manifestion des cerveaux affaiblis. Le délirant chronique n'y vient qu'au moment où son intelligence fléc
ique, le délire ambitieux affleure à la surface. En somme, délire chronique et dégénérescence s'opposent l'un à l'autre en
égénérescence s'opposent l'un à l'autre en totalité. Qui dit délire chronique exclut par ce fait même la dégénérescence. L'
près chaque accès, plus vigou- reuses et plus tenaces. L'alcoolique chronique , dépourvu au 282 CLINIQUE MENTALE. début de p
ins de ces établissements, par inter- valle au moins. Ces diarrhées chroniques , qui aboutissent à la 288 . asiles d'aliénés.
fait que l'asile n'est pas très ancien, et que beaucoup de malades chroniques y séjournent depuis les premières années de son
alcoolisme, en somme, est très répandu dans la région, l'alcoolisme chronique surtout. Il est certain également, et tous les
, où la plupart des médecins connaissant peu les maladies nerveuses chroniques des enfants, ne croient pas encore qu'il est po
faute d'avoir pu recourir aux sources (les pièces des archives, les chroniques du temps, les relations des ambassadeurs). '
sie, l'aphasie, la sclérose cérébrale, l'athélose double, la chorée chronique , la porencé- phalie, l'hydrocéphalie, la syring
dorso-cervicales. Par suite, il est probable qu'il y a inflammation chronique diffuse du tissu conjonctif épidure- mérien ou
tsch. f. Psycitiat., L. 1 et 2.) Il y a des psychoses syphilitiques chroniques qui durent très long- temps et présentent une g
ue l'hystérie ne puisse être indépendante et que la périencéphalite chronique progressive ne se développe chez des hystériques.
ielles ou du moins ces hallucinations peuvent n'être qu'esquissées. Chronique s'il en fut, primitif et ori- ginel. Il ne est
en fut, primitif et ori- ginel. Il ne est une autre forme également chronique mais acquis, dans lequel les hallucinatiens nom
Le délire syslématique aigu a les caractères cliniques du délire chronique , mais c'est une paranoïa abrégée durant quelques
la produc- tion pileuse anormale coïncida avec le passage à l'état chronique de la psychose. (Bi-ilish JIccl. Joziriz., 2 ju
lein quand on a affaire aux épisodes aigus du délire systéma- tique chronique ; 4° la stupeur contre-indique les visites autant
lie systématique Archives, t. XXVIII. 27 418 SOCIÉTÉS SAVANTES. chronique . On se déterminera d'après l'humeur du malade, l'
es parlent en faveur d'un début d'amélioration ; 7° dans la démence chronique , on permettra plus fréquemment de visiter les m
es jours après un autre accès violent de passion l'étreint, devient chronique et revêt les caractères d'un sentiment obsédant
at d'accès fruste chez les neurasthéniques, ou à l'état de symptôme chronique , sans qu'il se produise aucune trace d'angoisse
ATISÉS DANS LES DIVERSES PSYCHOSES '. DEUXIÈME LEÇON. LE DÉLIRE CHRONIQUE A ÉVOLUTION SYSTÉMATIQUE*. Sommaire. Délire chr
. LE DÉLIRE CHRONIQUE A ÉVOLUTION SYSTÉMATIQUE*. Sommaire. Délire chronique , type achevé de systématisation délirante. Conc
que, type achevé de systématisation délirante. Conception du délire chronique basée : 1° sur l'état mental primordial ; 2° su
du délire plus étroite et modes de réaction. Observation I. Délire chronique à la deuxième période : Hallucinations de l'ouï
ts, tentative de suicide, menaces de mort. Observation IL -Délire chronique à la deuxième période : Développement croissant
ant peu à peu le délire des persécutions. Observation III. Délire chronique au début de la troi- sième période : Modificati
ans l'attitude, allusions à des richesses. Observation IV. Délire chronique à la troisième pé- riode : Hallucinations. Idée
à des espèces nosologiques différentes bien définies. Or, le délire chronique est formé d'une succession de délires parfaite-
lus profonde. Type achevé de systématisation vésa- nique, le délire chronique doit comme tel, occuper la première place dans
TISÉS DANS LES PSYCHOSES. 438 ont conduit à la conception du délire chronique à évolution systématique. Lorsque le délire c
n du délire chronique à évolution systématique. Lorsque le délire chronique apparaît, à l'âge mûr, de trente- cinq à quaran
dans la folie : une assez longue période les y prépare. Le délire chronique débute, en effet, d'une manière insi- dieuse. L
; et avec celle-ci, il est entré dans la deuxième période du délire chronique , celle des hallucinations multiples de nature p
i les hallucinations auditives ne font jamais défaut dans le délire chronique , si elles en sont un des éléments symptoma- tiq
, les frappe ou les tue... Telle est cette deuxième phase du délire chronique , pendant laquelle l'agitation intérieure, sourd
clinique absolu qu'à une certaine époque de sa maladie, le délirant chronique devient de persécuté, am- bitieux. Le paria, la
i ingérées, avait frappé son attention. Malgré cette intoxication chronique , traversée par de fréquents excès aigus, le malad
notre avis, dans les excès alcooliques aigus que dans l'alcoolisme chronique qu'il faut rechercher cette origine. Voici pour
au contraire, que le taux de l'urination baisse dans l'intoxication chronique . Pour appuyer notre manière de voir, nous feron
ont de grandes ressemblances avec d'autres myélopathies aiguës ou chroniques , et elles n'en ont pas toujours été distinguées.
ue la syphilis peut engendrer directement des myélites (aiguës ou chroniques ) non systématiques. La dégénération systématisée
Les formes cliniques les plus communes, de beaucoup ont une marche chronique . On est encore le plus souvent en pré- sence du
nues à la période des paralysies sont rares. Les myélites aiguës ou chroniques , une fois consti- tuées, parcourent leur évolut
e tous, Snell, en l8Gâ, sous le nom de mono- manie, décrit la forme chronique de la Paranoïa, dans la genèse de laquelle les
une forme hypocondriaque z qui peuventêtrel'uneet l'autre aiguës ou chroniques . Les types aigus auraient pour facteur principa
rme de Verrüclctheit adopté par Westphal, décrit la Ve2,2,iiektheit chronique simple avec son sous-groupe délire de chicane o
ceptions fausses, délirantes, et qui mérite le nom de Verrüchllaeit chronique vu la signification de ce terme, ou de Wahnsinn
üchllaeit chronique vu la signification de ce terme, ou de Wahnsinn chronique si l'on veut faire la part extrêmement importan
hn) et des hallucinations sensorielles (Sinn). Mais il faut ajouter chronique . Où l'embarras survient, c'est quand les auteur
t se traduire par l'expression correspondante de folie systématique chronique qu'elles signifient réellement dans le fonds et
s idées délirantes et des halluci- nations de la folie systématique chronique (paranoïa chronica.) 3° Le délire organisé prim
onne. 4° Avec Westphal, apparaît la netteté du délire systématisé chronique ; le rôle des hallucinations et des idées délirant
sécutions ressort des plus caractérisés dans le délire systématique chronique primitif et primitif originel (Sander) Qu'il pu
aurait les mêmes éléments morbides que dans la folie systématique chronique , mais non plus amalgamés et enchaînés comme dans
après avoir décrit le Wahnsinn type, dont l'essence est en réalité chronique , il en admet une forme simple, et une forme hyp
ne forme hypochondriaque, pouvant à leur tour être chacune aiguë ou chronique . Il croit cependant que les hallucina- tions en
u la Verrûcktheit acute. 5° En tout cas, dans la folie systématique chronique rentrent dès maintenant, d'après les auteurs, l
ar au fond ces trois mots sont l'équivalent du délire systématique, chronique , coordonné, cristallisé, d'après les observatio
Ils ne devraient jamais être employés qu'accompagnés de l'épithète chronique , plus ou moins complétée par une seconde telle qu
ns anatomiques encore absentes; ainsi, dans la folie systéma- tique chronique , qui se prolonge pendant toute la vie et se termi
l'exemple de Schuele, nous appuyer d'abord sur lafoiiesystématique chronique , qui est la forme iapiusgénéralement et la plus
ic était 'justifié, sinon la paranoïa [acuta devenaitde la paranoïa chronique ou de la démence. Lorsque Mey- nert sépara la c
terai donc en peu de mots successivement : de la folie systématique chronique simple (paranoïa chronica simplex) de la folie
ronique simple (paranoïa chronica simplex) de la folie systématique chronique hallucinatoire (paran. chron. hallit- ci7zaloî,
atoire (para ? ne : <<. hallucinat.). La folie systématique chronique (paranoïa chronica) a pour carac- tère : l'exis
rcement, l'exa- gération des tendances naturelles, mais la paranoïa chronique n'existe que lorsque apparaît le système de dél
ngement, à une déviation du raisonnement. Pour moi, à la paranoïa chronique préexiste une débilité men- tale, une imbécilli
raissent d'ailleurs dès les premiers stades delà folie systématique chronique . A ce propos la terminologie qui a cours dans l
or on sait qu'elles ne manquent jamais dans la folie s3·sté matique chronique : ils sont le jouet de troubles morbides, tels qu
Qui doute de la démence en tant que symptôme général de la paranoïa chronique , doit essayer de trouver sur un grand nombre de
de trouver sur un grand nombre de malades, des fous systématiques chroniques qui présentent une netteté intellectuelle complèt
avec une agitation, si nous avons affaire à une folie systématique chronique ou à une folie systématique aiguë curable. Un
ÉTÉS SAVANTES. 495 Nous arrivons maintenant à la folie systématique chronique hallucinatoire (paranoi(t.chro7zica hallucinalo
a). D'abord existe- t-elle ? Existe-t-il une V6n'Me/f</te ! < chronique , incurable, qui, sans agitation, se développe g
re et tombé dans l'oubli de Wahn- sinn doit représenter la paranoïa chronique abrégée et concise. Il s'agirait donc d'un syst
si qu'on l'admet aussi sans réserve, aboutir à la confusion mentale chronique ou désordre dans les idées chronique (chronica
aboutir à la confusion mentale chronique ou désordre dans les idées chronique (chronica Verwirrtheil) amentia chronica ou sec
fuse (dementia coifus(z ? Peut-elle aboutir à la folie systématique chronique ? Des auteurs recomman- dablesen doutent. Pour
nde s'il a bien devant lui un type de paranoïa aiguë ou de paranoïa chronique ; n'est-ce donc pas là un premier signe en faveu
aît, et, cette fois, loin de rétrocéder, elle aboutit à la paranoïa chronique et à la démence. C'est une évolution analogue q
sindiquée n'entre pas en scène etil tombe dans la confusion mentale chronique (chronische Vewirrlheit) sans passer par le sta
e rechute; agités et hallucinés, ils tombent alors dans le désordre chronique des idées, état de dissociation intellectuel (V
bsistent et se développent. Enfin ils peuvent aussi faire un délire chronique sys- tématique (paranoïa chronica). L'observati
démence (derneittia) appartient aux signes de la folie systématique chronique et non à ceux de la folie systématique aiguë; s
que la folie systématique aiguë se transforme en folie systématique chronique et devient incurable. S'il peut être difficile
maladie, nous en fixons les analogies avec la folie systéma- tique chronique . Ce faisant, nous verrons que la folie systématiq
de ces délires; quelle en est l'analogie avec la folie systématique chronique (paranoïa chro- nica) ? Ces délires, ou amentio
s intellectuelles. Toutes deux peuvent aboutir la confusion mentale chronique ou désordre chronique dans les idées, terminée
tes deux peuvent aboutir la confusion mentale chronique ou désordre chronique dans les idées, terminée elle-même par la démen
'est que la confusion mentale n'aboutit pas à la folie systématique chronique . Si la gué- rison incomplète de l'amenda laisse
ectuelle qui sert de terrain à l'évolution d'une folie systématique chronique (cela est hors de doute), il ne s'agit en tout
ndaire et non d'une transformation directe de l'amentia en paranoïa chronique , tandis que la folie systématique aiguë (para-
et Boedeker ont fait ressortir la parenté de la folie systématique chronique (paranoïa chronica ) , de la folie systématique
rtées supra de la confusion mentale, la folie systématique aiguë et chronique (paranoia acuta et chronica) enfin, la paralysi
- tômes essentiellement analogues à ceux de la folie systématique chronique ou des complexus symptomatiques se confondant dir
ir encore. Ou bien enfin elle se trans- forme en folie systématique chronique (paranoia chronica alcoolica). Entre ces deux g
ues, et alors on peut dire qu'il s'est agi d'une folie systématique chronique (poranoiu chronica) ayant été précédée d'un sta
st pas rare du tout de la voir se transformer en folie systématique chronique (paranoia chronica) ; il n'y a donc en principe
n'est pas tout à fait exact. Sans doute, dans la folie systématique chronique , ce qui est le plus remarquable, ce qui détermi
en jeu. Tout au moins est-ce à supposer dans la folie systématique chronique . Quant à la confusion mentale hallucinatoire ai
r un arsenal d'observations capable de permettre de tenir le délire chronique de Magnan pour artificiel. Comme l'a parfaite
et Sérieux. (Encyclo- pédie des aide-mémoire Léazité.) Au délire chronique déjà publié, par les mêmes auteurs dans l'encyc
rmal pour les choses de la vie de chaque jour. 2 folie systématique chronique simple*. ' 2 hallucinatoire 2. 1 démence cons
olie alcoolique (4° admission). 2 folie systématique hallucinatoire chronique . 6 4° Automates incapables de vivre sans une
'énergie, mais utilisables ici. 6 folie systématique hallucinatoire chronique . 1 folie circulaire (dont les stades durent des
quée, illettré. 8 5° Automates en démence. 5 folie systématique chronique hallucinatoire'. 3 confusion mentale secondaire
natoire'. 3 confusion mentale secondaire'. ' 2 folie systématique chronique simple (déchéance). 3 désordre dans les idées c
cliniques, 395. Arsenicisme, les manifestations ner- veuses de 1' chronique , par Beco, 108. Artiiropatiiies tabétiques de
6 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
istral se présente à nous sous l'aspect caractéristique de l'aliéné chronique prédisposé, avec malformations crâniennes' cong
hlbaum, d'abord parce qu'ils ne se produisent point dans les folies chroniques , en second lieu parce qu'ils représentent des p
e produire après que les malades en ont cessé l'usage. Dit délire chronique (suite de la discussion). M. Charpentier a renc
ersé- cutions aboutissant à la mégalomanie (persécutés par vanité chronique ). De l'action des médicaments à distance. Sugge
angements. Emphysèmeconsidérable et bronchite chro- nique. Catarrhe chronique de l'estomac ; tendance à la constipa- tion ; f
l'épanchement avait toujours lieu sous le périchondre. Du délire chronique (suite delà discussion). M. SAuRy expose que l'
elà discussion). M. SAuRy expose que l'évolution spéciale du délire chronique suffit à le distinguer des autres formes mental
évue. La plupart des arguments que l'on a invoqués contre le délire chronique reposent sur des observations analogues. Or, ces
aire res- sortir les différences radicales qui séparent le délirant chronique des dégénérés. Malgré certains signes communs,
re des persécu- tions, ce qui constitue des cas très nets de délire chronique . M. DOUTn6BENTE. - Dans l'observation qui vient
élèves, cet individu ne pouvait donc être considéré comme délirant chronique . bl. SAunv ne sait pas si son malade aurait pu
ne sait pas si son malade aurait pu être confondu avec un délirant chronique , mais ce qu'il sait, c'est que MM. Da- gonnet e
. Ai. Doutrebente ne fait pas d'objection à la doctrine du délire chronique qu'il accepte très volontiers. M. Falret demand
né d'assez longue durée pour constituer une double vie. Du délire chronique (suite de la discussion). M. J. Séglas, rappell
lle que dans les communications antérieures les partisans du délire chronique font de cette vésanie une espèce nosologique bi
olue et à ce propos, M. Séglas rapporte huit observations de délire chronique diagnostiqué par MAI. Magnan, Garnier, Briand.
semblables. C'est ainsi que M. Gérente, dans sa thèse sur le délire chronique (1883), reconnaît qu'au début de l'affection il y
e dégénéres- cence héréditaire. 11 ne sépare donc pas les délirants chroniques des dégénérés et réunit d'ailleurs sous le nom
chroniques des dégénérés et réunit d'ailleurs sous le nom de délire chronique les faits les plus dissemblables (persécutés or
te d'ailleurs (Arch. de Neurologie, 1884) une observation de délire chronique reconnue par AI. Magnan, chez un malade ayant e
e de Médecine et de Chirurgie 1883 où l'on voit aussi que le délire chronique peut s'accompagner ou non d'hallucinations. AI.
l n'est pas rare de rencontrer chez des débiles le véritable délire chronique et il en rapporte trois exemples. Cette coexist
il en rapporte trois exemples. Cette coexistence possible du délire chronique avec les états dégénéra- tifs est encore mise e
spaut(1883) qui rapporte deux observations de coexistence du délire chronique avec des manifestations épileptiques de caractè
d'une hérédité- complexe, était à la fois épileptique et délirant chronique . Cela ne laisse pas que d'étonner de rencontrer u
chez un même sujet ces formes morbides d'ordre si différent, délire chronique , débilité mentale, épilepsie ; surtout si l'on pe
est une maladie essentiellement héré- ditaire, tandis que le délire chronique serait distinct des états de dégénérescence, à
ion, ce qui, pour AI. Séglas, serait caractéristique dans le délire chronique ce ne serait pas tant la succession des période
s périodes qu'on peut aussi rencontrer chez les dégé- nérés (délire chronique galopant de M. Briand) que leur lon- gueur. M.
ur. M. Séglas rappelle que, dans une de ses observations, le délire chronique est arrivé en moins d'un an à la troisième pé-
lires chez des dégénérés qui évoluent aussi lentement que le délire chronique (délire à évolution chronique des dégénérés de
voluent aussi lentement que le délire chronique (délire à évolution chronique des dégénérés de AI. Legrain) et qui peuvent se
AI. Legrain) et qui peuvent se présenter sous l'aspect d'un délire chronique vrai. Si l'on admet avec M. Legrain que ce déli
délire chronique vrai. Si l'on admet avec M. Legrain que ce délire chronique vrai peut aussi se trouver chez les dégénérés,
rait le croire d'après les communica- tions des partisans du délire chronique qui ne l'opposent qu'aux - bouffées délirantes
autre côté, au point de vue du pronostic, les délires à évolution chronique des dégénérés peuvent aboutir à la démence, tout
énérés peuvent aboutir à la démence, tout comme le véritable délire chronique . En résumé, pour AI. Séglas, les observations q
opinions des auteurs qu'il cite, tous cependant partisans du délire chronique , sont en opposition formelle avec les théories
émises devant la Société, et, en tout cas, montrent dans le délire chronique la même confusion que ses partisans reprochent à
ore lorsque le crime a été commis par un homme atteint d'alcoolisme chronique , chez lequel des lésions cérébrales définitives
con- fondues avant lui, sous la dénomination commune de myélites chroniques , la plupart des affections de la moelle épinièr
migraineuse, une autre tante du côté de la mère atteinte d'eczéma chronique ; la malade a une sceur plus jeune qu'elle qui est
ions tabétiques; lésions de la folie systéma- tique (Ieptoméningite chronique , atrophie de l'écorce, hydrocé- 1 Charcot. - Le
ne), 1888, p. 10. 440 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. phalie; oedème chronique diffus); stade congestif de paralysie générale
l'anomalie de la personnalité : tantôt il s'agit d'une psychopathie chronique ayant transformé la personne (aberration des pr
r cette cause se divi- sant en huit déments, six fous systématiques chroniques , quatre états d'angoisse et de désordre dans le
rigine des idées délirantes dans la paralysie générale. Du délire chronique . (Suite de la discussion.) - l\I, 11f.\GN,\ : "I
veut pas aborder aujourd'hui la discussion générale sur le délire chronique ; il se réserve de le faire dans la prochaine séan
n l'absence de tout ren- seignement. Dans ces conditions, un délire chronique pouvait être facilement confondu avec un délire
s exemptes'. Consé- quemment, une hérédité chargée chez un délirant chronique ne saurait le faire entrer dans le groupe des h
églas, nous paraissent ressembler assez àce qui a été dit du délire chronique . Nous n'insisterons donc pas sur les symptômes
ec la famille, elle offre, en un mot, l'etat mental d'une délirante chronique . Dans la deuxième observation, il s'agit d'une
entrée à l'asile Sainte-Anne, était à la seconde période du délire chronique ; elle avait des halluci- nations et des idées
s le cas même où il vient à guérir. Mm° S... est donc une délirante chronique ordi- naire, intelligente, sans stigmate d'aucu
et de l'évolution de la maladie, le type le plus parfait du délire chronique tel qu'il nous a été décrit ici. » Les trois pé
édées de la façon la plus régulière. C'est un bel exemple de délire chronique , et si, dans son enfance, Mm0 B... a eu de la c
bre. La sixième malade présente les symptômes habituels du délire chronique , des hallucinations surtout auditives et des idée
et conséquemment l'observation VIII ainsi complétée reste un délire chronique à évolution systématique tel que nous le compre
Gérente. Je n'admets nulle- ment et je n'ai jamais admis un délire chronique à base hypo- chondriaque; l'hypochondrie n'est
ondriaque; l'hypochondrie n'est point la première période du délire chronique . J'ai déjà eu l'occasion, l'année dernière, de
l'hallucination auditive est un des élé- ments essentiels du délire chronique ; lors du passage de la pre- mière à la seconde
st là, sans doute, ce qui a fait supposer que j'admettais un délire chronique sans hal- lucinations. J'ajouterai qu'à la seco
ériode (période de persé- cution) je n'ai pas uu seul cas de délire chronique sans hallucina- tions. SOCIÉTÉS SAVANTES. ziz
M. Séglas rappelle, enfin, une observation que j'ai citée de délire chronique chez un épileptique'. Cette coexistence ne prouve
n épileptique'. Cette coexistence ne prouve nullement que le délire chronique soit l'oeuvre d'un débile. Il est des épileptiq
dans des conditions données, elle puisse coexister avec le dé- lire chronique dont le développemcntréclame toujours une certain
aits complexes et exceptionnels que nous désirons établir le délire chronique ; j'en parle ici simplement pour répon- dre à l'
rgumentation de l\I. Sérias porte ensuite sur l'évolution du délire chronique et il donne comme exemple contradictoire de sa
lève quelques points faibles et s'en fait une arme contre le délire chronique . Maisje dirai à M. Séglas que je n'ai pas atten
cette évoluliondes dégénérés est tout autre que celle des délirants chroniques . Puis encore M. Séglas s'empare avec empresseme
avec empressement de cette idée émise par M. Legrain que le délire chronique peut se mon- ' Magnan. Leçons cliniques sur l'é
ne peuvent en rien modifier les grandes lignes assignées au délire chronique . Cette espèce pathologique se développe seu- le
sont intelligents, pourraient sous ce rapport, prétendre au délire chronique , mais ils y sont rendus réfractaires par certai
ur intelli- gence. C'est ainsi que je m'explique pourquoi le délire chronique est une rare exception même chez le simple désé
discours M. Séglas nous dit qu'il ne com- prend plus rien au délire chronique . Ce n'est pas étonnant, car dans son argumentat
er cette espèce pa- thologique sous un nom particulier, « le délire chronique », auquel nous ajoutons, à évolution systématiq
. Magnan, que nous trouvons d'ailleurs chez deux de nos déli- rants chroniques . Je terminerai en disant qu'en ce qui concerne
ment, rapporté dans sa thèse trois cas dedébititémentateavoc délire chronique . M. Magnan critique aussi les délires à évoluti
délire chronique. M. Magnan critique aussi les délires à évolution chronique des dégénérés de M. Legrain sans dire cependant
leur existence. Enfin il déclare ne pas admettre du tout le délire chronique tel que l'a décrit 11. Ué- rente. Il y a donc p
l'a décrit 11. Ué- rente. Il y a donc plusieurs théories du délire chronique . C'est en somme ce que je tenais à faire consta
il y a bien de la confusion parmi les partisans eux-mêmes du délire chronique au sujet de cette forme psychopalhique prétendu
es improprement, suivant M. Séglas, dans la catégorie des délirants chroniques aient ou n'aient pas de tares héréditaires accu
ES. Séance du 26 mars 1888. - Présidence de 11. Falret. Du délire chronique (suite de la discussion). M. CoTAm croit à l'ex
l'apposition d'idées de grandeur à une période avancée d'un délire chronique n'est pas spéciale au délire des persécutions.
au délire des persécutions. M. Magnan. Les adversaires du délire chronique lui ont fait les honneurs d'une longue, minutie
qui parait si clair et presque indiscutable aux partisans du délire chronique est-il considéré, au contraire, comme très obscur
tents ou môme des hystériques. Ils ont les apparences d'un délirant chronique à la seconde période, mais ils en diffèrent tot
n'offrent jamais la marche systématique- ment méthodique du délire chronique . Une seconde assertion que nous devons relever
d'accord en cela avec M. Falret, nous repoussons du cadre du délire chronique . Lasègue ayant compris dans le délire des persé
ouverait certainement parmi eux beaucoup qui seraient des délirants chroniques ; mais pour Morel il faut qu'ils soient hypo- ch
ent une manifestation des héréditaires dégénérés et comme le délire chronique est très rare chez ces derniers, il ne paraissa
nter des caractères assez fixes pour entrer dans Je cadre du délire chronique . M. Magnan donne lecture de deux observations q
utions tel que le comprend M. Falret, ni dans celui de notre délire chronique et cependant la grande autorité de More], ajout
s la mégalomanie de Foville ne contient pas seulement les délirants chroniques (persécutés hallucinés àlongue éclosion, devenu
x, M. Falret ne partage nullement l'opinion des partisans du délire chronique . Ce délire ambitieux s'observe à peine, dit not
d'un adversaire qui n'est pas suspect de tendresse pour le dé- lire chronique , de notre collègue M. Séglas qui, du reste, a cho
ion et pour ces quatre, il faut bien le remarquer, en disant délire chronique , nous comprenions implicitement le développemen
'oreille ambitieuse 1. Cette période fait donc corps avec le délire chronique au même titre que la suppuration dans l'éruptio
riode de démence et cependant, s'il est vrai que certains délirants chroniques soient encore au bout de vingt ou trente ans ca
tellectuels en voie de déclin. M. Falret craint aussi que le délire chronique ne comprenne des faits plus nombreux et plus co
de persécution. Il peut se rassurer sous ce rapport, car le délire chronique tel que nous le compre- nons laisse en dehors d
oir désigner ce groupe bien limité de malades sous le nom de délire chronique à évolution systématique. Ce que j'ai dit des t
t aisément contrôler de nouveau les assertions émises sur le délire chronique . Un mot seulement sur la communication de M. Ba
ien il était néces- saire de tracer nettement les limites du délire chronique pour ne pas confondre avec lui des cas de ce ge
ier des Bourbons persécuté pourraitêtre tout aussi bien un délirant chronique qu'un mégalomane dégénéré, distinction fort imp
e la succes- sion des idées délirantes. Cet aliéné ne sera délirant chronique que tout autant qu'il ne sera devenu l'héritier
et c'est par là que je termine, qu'il y a bien réellement un délire chronique a évolution systématique. M. CHIiISTIAN. Lorsqu
pour le même motif que j'ai proposé de le désigner du nom de délire chronique . M. RITTI. Mais, en face d'un persécuté, à quoi
z-vous s'il est un simple dégénéré ou bien qu'il deviendra délirant chronique ? M. Magnan. D'abord, d'après les antécédents h
ne présentait aucun trouble intellectuel, j'écarte l'idée du délire chronique ; mais si, au contraire, on me raconte de plusi
t d'être tracassé par des ennemis ima- ginaires, je pense au délire chronique , lequel devient évident pour tous le jour où se
diagnostic de cette affection à telle ou telle période ? Le délire chronique est ou n'est pas. Si on peut le diagnostiquer,
lules granuleuses. M. OPPENHEIM. Sur un cas de paralysie bulbaire chronique pro- gressive sans lésion anatomique. - Jeune f
es cérébrales. Les causes de ces anomalies sont une lepto-méningile chronique (inflammation avec adhérences) allant, à la bas
ésidence DE M. WËSPHAL. M. Oppenheim. De la poliomyélite antérieure chronique . Obser- vation très longue avec autopsie et étu
7 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à l'asile depuis dix-huit mois. Démence par suite d'absin- thisme chronique . L'agitation actuelle s'est manifestée il y a q
à l'asile depuis deux mois. Démence avec agitation par alcoolisme chronique . Chaque nuit, depuis son entrée, ce malade se r
es ' : 1° La forme hypochondriaque déjà décrite par Morel, à marche chronique , avec des rémissions typiques. Les troubles de
tion s'accompagnant d'illu- sions et d'hallucinations.- 2° La forme chronique àdébutlent, à marche rémittente. Les hallucinat
883) décrit l'examen microscopique du cerveau d'un fou systématique chronique halluciné. Kroepehn* (1883) distingue : 1° la P
divise en simple et en hallucinatoire chacune pouvant être aiguë ou chronique , La forme aiguë de la Paranoia primitive simple
s n'ont pas d'hallucinations, ils peuvent guérir ou passer à l'état chronique . La forme chro- nique peut se diviser en trois
5 octobre 18886. Présidence de M. Semelaigne. La question du délire chronique mise à l'ordre du jour de la Société, sur la de
n doute, assigner une nou- velle place à certaines formes du délire chronique dans le cadre nosologique des maladies mentales
nication très étudiée que nous allons essayer de résumer. Du délire chronique .-111. P. Gan,cn. En clinique mentale, comme en
era-t-il selon un mode uniforme et continu dans la voie de la folie chronique , où les périodes s'éta- ient dans une coordinat
, mais j'avoue qu'elle est d'un emploi moins commode que « délire chronique », vocable usité par M. Magnan et ses élèves, et
xemple, s'est déve- loppé suivant l'ordre évolutif propre au délire chronique ou bien, au contraire, s'il est né, de toutes*p
x grandes classes : 1° Les dégénérés héréditaires; 2° les délirants chroniques est, à un point de vue généralisateur, une conc
(psychoses dégénératives ou constitutionnelles, folies épileptiques chroniques , hystéries enracinées incurables, alcoo- lisme
aires à la peptone de Kemme- rich, etc. Chez certains mélancoliques chroniques on obtient de très bons résultats du sel de cui
de diverses étendues, de même dans la plupart des maladies mentales chroniques s'ins- talle un affaiblissement psychique crois
me autant de phénomènes d'excitation. Dans la plupart des psychoses chroniques , l'affaiblis- sement psychique est un phénomène
0f/ ? '<tp/te en médecine »; « du Coma dans la maladie de Bright chronique » ; « du diagnostic précoce de la chronicité de
onnement, de persécution, etc. Cette forme guérit ou passe à l'état chronique . Elle peut succéder à des maladies aiguës, à l'
comme les psychoses postfébriles de Kroepelin, tantôt aigu, tantôt chronique , affectant la forme d'agitation mamaque avec dé
venant ensuite le renforcer et le soutenir comme dans les modalités chroniques de la folie systéma- tique primitive. ' Witko
a Wahnsinn proprement dite; cette Wahnsinn primare peut être : 1° chronique ; 2° aiguë; 3° stupide. L'auteur décrit la forme
être : 1° chronique; 2° aiguë; 3° stupide. L'auteur décrit la forme chronique type en disant que tous les cas chroniques tenden
L'auteur décrit la forme chronique type en disant que tous les cas chroniques tendent à la systématisation proprement dite :
nt dite : un chapitre spécial est consacré à la Wahnsinn dépressive chronique , comprenant deux sous-chapitres : (a, délire de
folie systématique ( Wahnsinn) catatonique ; - g, l'hys- téricisme chronique incurable avec symptômes de dégéné- rescence.
1883) montrent le développement spécial de ces délires, leur marche chronique sans démence proprement dite, leur curabilité l
ériode de maladie des formes aiguës et le début de celle des formes chroniques psychoneurotiques est en con- tradiction avec l
tibial postérieur, péronier), ainsi qu'une poliomyélite antérieure chronique particulièrement pro- noncée dans les renflemen
ection nouveau du système nerveux central et des nerfs (proces- sus chronique ) ; il est donc bon de mettre ce cas en parallèle
Séance du 29 novembre 1886. Présidence de M. Sémelaigne. Du délire chronique (suite de la discussion). M. FALRET con- firme
la discussion). M. FALRET con- firme les quatre périodes du délire chronique telles que les a exposées M. Garnier d'après la
t, en effet, dans le délire des persécu- tions. La qualification de chronique s'applique très heureusement à cette forme ment
ais il faudrait bien se garder de con- fondre sous ce nom de délire chronique la mélancolie anxieuse, comme tendrait à le fai
ncolie ne,présente pas les phases successives constituant un délire chronique . Comme l'a fait remarquer M. Cotard, c'est le d
en compris, M. Magnan et ses élèves dési- gnent du nom de délirants chroniques une catégorie d'aliénés dont la maladie suit to
oncerne le délire des persécutions, comme tout ce système du délire chronique est 2 4 ! e SOCIÉTÉS SAVANTES. peu fondé : Il
tre confondus avec les persécutés ordinaires qui sont des délirants chroniques . J'avoue ne pas comprendre ces subtilités; -, c
que nous devons rejeter cette innova- tion mal justifiée de délire chronique . Le délire des persécutions, restera un type no
e nosologique; on a tort de vouloir lui substituer le nom de délire chronique . Je n'ai jamais considéré la mégalomanie comme
ar leurs suffrages à diriger les travaux de la société. Du délire chronique (suite de la discussion). 111. Ganwn. Vous avez
comme légitime l'existence d'une vésanie spéciale dénommée : délire chronique . Mais il craint de voir englober dans le délire
: délire chronique. Mais il craint de voir englober dans le délire chronique une forme d'aliénation mentale à laquelle il ac
Je puis dire qu'il n'est nulle- ment question d'attribuer au délire chronique ce qui ne saurait lui appartenir. Que M. Falret
lieu de distinguer une vésanie ou psychose à marche progressive et chronique dont les périodes successives sont une phase d'in
là même de démontrer le peu de fondement de la doctrine du délire chronique . Où M. Dagonet voit-il une contradiction ? Il ne
unité clinique là où il n'y a qu'une phase déterminée d'une vésanie chronique impli- quant nécessairement comme période antéc
mes. M. Dagonet n'a pas manqué de critiquer l'expression « délire chronique » employée par M. Magnan et ses élèves pour désig
le-même, qui ne passe jamais par les phases décrites dans le délire chronique . Plusieurs persécutés guérissent, d'autresreste
ins un jour ou l'autre. 11. GARNIR. Assurément la démence ou délire chronique n'est pas ce qu'elle est dans certaines autres
ois ; cela est vrai, mais M. Magnan nous a aussi cité des délirants chroniques qui ont guéri à la période des persécutions.
yctiopalhique invétérée. A1'autopsle, on trouva une pachy méningite chronique in- terne,unefaiblecollectiouséreusedanslesveut
ue. IV. Atrophie mus- culaire consécutive au rhumatisme articulaire chronique . V. Amyotrophie et contracture réflexe d'origin
et les épileptiques. La troisème et la quatrième sont destinées aux chroniques . Il existe encore une baraque pour vingt-deux m
ences si fréquentes dans l'évolu- tion symptomatique des affections chroniques , et en particulier de l'épilepsie. Chez Hall.
une marche ni uniforme ni continue, mais cependant essentiellement chronique et qui en général ne tend pas par elle-même à l
r suite de la tare héréditaire ou constitutionnelle, de sa marche chronique et à début insidieux, de sa symptomatologie var
' Magnan. Leçons sur la folie héréditaire, 1882-1883; Les délirants chroniques et les dégénérés. Gaz. des hôpit., avril 1884. De
l, on peut rencontrer chez eux des délires systématisés à évolution chronique ; les uns sont primitifs, c'est-à-dire qu'ils s'
ne reconnaîtrait pas dans ce tableau rapide des délires à évolution chronique chez les dégénérés les formes de Paranoia délir
spondre aussi à certaines formes de Paranoia. Ce sont les délirants chroniques . Au point de vue symptomatologique, le délirant
élirants chroniques. Au point de vue symptomatologique, le délirant chronique n'est autre que le persécuté vulgaire pris dans
évolution analogue à celle des délires des dégénérés à évolution chronique (état mental particulier, début insidieux et prog
on des idées analogues à celles . que l'on rencontre dans le délire chronique , tandis que les autres variétés correspondraien
ormes de Paranoia délirante, les délires des dégénérés et le délire chronique . Leur marche, très longue, aboutit rarement à u
génératif commun, M. Magnan fait une classe à part de ses délirants chroniques , et tout en les admettant souvent comme hérédit
ble pas être celle de M. Gérente qui, dans sa monographie du délire chronique dit que cette vésanie ne se rencontre pas chez
ours de son existence ». Il nous parait encore réunir les délirants chroniques avec certains délires des dégénérés de M. Magna
énérés de M. Magnan, lorsqu'il dit quedecesvésaniques(les délirants chroniques ), ceux qui auront été le plus pénétrés de l'inf
- ment admettre que les,dégénérés peuvent être atteints de délire chronique . Cette opinion, que nous serions, pour notre part
e la distinction qu'il fait des délires des dégénérés avecle délire chronique qui n'en serait plus qu'une modalité, au moins
lque soit le fonds sur lequel on admette que se développe le délire chronique , son diagnostic avec certains délires des dégén
tal, les syndromes épisodiques, les délires d'emblée ou à évolution chronique . Nous lui adresserons cependant le reproche de
mais n'avait décrit que les délires d'emblée. - Gérente. Le délire chronique , son évolution (Thèse de Pans, 1 883) . Quelque
m de folie partielle il reproduit les idées de Magnan sur le délire chronique ; et une leçon de M. Bail 2 (1885) sur une forme
e Paranoia psychoneurotique que nous rencontrons à côté de la forme chronique , cette forme de Paranoia dite psychoneurotique
ettre au moins par un côté de rapprocher cette Paranoia aiguë de la chronique qu'elle soit dégénérative ou non. Au contraire,
nier, J. Falret, Dagonet Briand et Cotard. Discussion sur le délire chronique (Ann. ! i<'6<. psych. et Archives de Neur
aux malades qu'il a présentés dans la dernière séance. Du délire chronique (suite de la discussion.) M. M. Briand ne croit
été prise en vue de fournir des arguments aux adversaires du délire chronique ne peuvent que servir à démontrer son existence
concluante; il n'est pas possible, en effet, d'imaginer un délirant chronique plus complet; nous n'en demandons pas davantage
l ne faut pas cependant croire que les observations des déli- rants chroniques n'ayant jamais eu d'idées ambitieuses soient di
randeur ». Or, c'est là précisément ce que les défenseurs du délire chronique veulent démontrer. Notre phase de persécu- tion
cutés persécuteurs qu'il ne faut pas con- fondre avec les délirants chroniques car ils appartiennent au groupé des héréditaire
spondant à peu de chose près à celles que nous attribuons au délire chronique , mais, tout en recounaisant que dans un grand n
nous divise. Elle s'explique par cette circons- tance que le délire chronique peut, comme nous l'avons dit plus haut, s'arrêt
s'all'ai- blissait, toutefois la manifestation ultérieure du délire chronique ne devait pas être assimilée à une véritable dé
z, messieurs, malgré les critiques dont il a été l'objet, le délire chronique est encore debout. N'est-il pas d'ail- leurs la
este des frais : Je ne me sens pas à l'aise, dira le futur délirant chronique . C'est que sans doute, pensera-t-il plus tard,
ou moins accusé de démence. On peut encore ajouter que le délire chronique n'est pas la seule forme délirante à marche chr
que le délire chronique n'est pas la seule forme délirante à marche chronique dont l'exemple nous soit fourni par la médecine
sement sur le fond même de la discussion. L'expression de délire chronique n'est pas claire, dit-on. M. Garnier a déjà fait
se le terme de psychose systéma- tique progressive, celle de délire chronique ambitieux ou mieux expansif que je vous propose
différentes transformations par lesquelles passent les délirants chroniques (les fous hypochondriaques de Morel) ; il cite à
des coupes de moelle. A. RAOULT. XX. Traitement de l'hydrocéphalie chronique par les injections de liquide de Morton. Le D
électro- thérapeutique du), par Eu- gelskjaeu, 40. Chlocalisme chronique , par Rehiii, '241. Chorée spasmodique, par R
le pédoncule céré- belleux inférieur, par Edin- ger, 76. Délire chronique , par Garnier, 89-250; par Falret, 243;-par Br
8 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
on latente : ce sont les hémorrhagies 2, les maladies anémiantes et chroniques , les maladies infectieuses, la-fièvre typhoïde
utour des parois vasculaires dans les états inflammatoires aigus ou chroniques , on aura de meilleurs résultats avec d'autres c
- Considérations sur les tempéraments, sur les causes des maladies chroniques , à propos de travaux du D' Foucault sur le même
millier d'aliénés ainsi répartis, dont beaucoup d'ailleurs sont des chroniques et ne réclament pas de sa part une attention qu
e trois classes d'individus : 1° les épileptiques aliénés, aigus ou chroniques ; 2° les épileptiques non aliénés; 3° les enfant
randes sont les variations du tableau cli- nique, dans les maladies chroniques de la moelle. L'absence de tout trouble de la s
tumeur, soit d'un processus particulier relevant de l'inflammation chronique (myélite cavitaire de Joffroy et Achard), soit
latoires amenant la désagrégation médullaire par une sorte d'oedème chronique (cas de Langhans, de Kronthal, de Schültze, exp
c paraplégie* déter- minée par l'existence d'une myélite transverse chronique de la 5 portion dorsale inférieure plutôt que p
II 1- i .tl · f lit " j...Ioo'l '1 i .(Mît VII.'UN cas DE méningite chronique ; par J.-W. PARTON. \ ? t'> at ), (The Joumal
ba dans la deuxième année de son second internement à une méningite chronique ; les lésions avaient deux sièges différents' :
microscopiques ont démontré, qu'il) s'agissait d'une inflammation chronique , d'une méningite vraie, en ce qui touche la régio
struction localisée de substance nerveuse, suivie de> méningite" chronique : ' les' troubles psychiques 'ont'été consécuti
lésion essentielle consiste en un processus inflammatoire à marche chronique ;qui, suivant toute probabilité, débute en même t
l'idée ? 3" lési6n''c6n- sistant en une inflammation interstitielle chronique très avancée - mais 'peu étendue; ? 4° dégénére
.\'1"4\ < ...... ? , XXII. Remarques sur LES formes DE la chorée chronique ? OBSER- - jVAT101\S DE, DEUX FAMILLES DE LA'FO
, r : .¡ I Ii ? : 'I/-It -r J ').u J f. 1 . ,,¡'. ? r r .. . Po 1 ? chronique : L'auteur divise en quatre les 'form 's 'de" l
chronique : L'auteur divise en quatre les 'form 's 'de" la 'elloré6 chronique , : ' : 1° chorée chronique* des enfants'' appar
en quatre les 'form 's 'de" la 'elloré6 chronique, : ' : 1° chorée chronique * des enfants'' apparaissant' à la naissance' ou
ce' ou dans'1 les deux où' trois' 'premières^ années,1* °1 'chorée' chronique sans; hérédité manifeste* pouvant apparaître' d
marche progressive 'et fatale; 4° les cas' de chorée minora aspect chronique pouvant persister pendant t des" mois;1' voire'mê
ques considérations sur la différence.des. symptômes dans la chorée chronique , pro- ,gressive,et lés autres chorées, différen
ervation. Femme de quarante-huit ans atteinte de folie systématique chronique , pas d'hérédité; hypochondrie organisée en déli
ant avec les impulsions à parler, entée sur une confu- sion mentale chronique ... , t I .' 1" , I z . 'i· - ' ficulté à s'expr
mbinera des idées de persécution vagues ou coordonnées, à un délire chronique pur, à une folie systématique alcoolique', à,un
e pur, à une folie systématique alcoolique', à,un délire alcoolique chronique . 1 t" J " P,@li* , d ",...( 1Jk IJG lf ! l' J,J
manie, la, mélancolie de la folie circulaire, l'hystérie, le délire chronique systématique. L'at-, titude et le ton étaient(a
nsécutives au traumatisme et insiste sur les relations des vésanies chroniques avec les névroses traumatiques. M. ERLENMEYER
thénique primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire chronique (forme primitive). Avec planches. Plus tard il
e l'ex- pectation en médecine (1857) et le second : De la pneumonie chronique (1860). Dans celle-ci, souvent citée, M. Charco
de recueillir les observations de toutes les administrées (séniles, chroniques ) et de toutes les entrantes. La réunion de ces
là les sujets abordés, la pneumonie * des vieillards, le rhumatisme chronique et la goutte % traités avec une incontestable c
préparations opiacées dans les cas de néphrite albumi- nellse ou chronique , sur l'application des pointes de feu dans le T
us intéressants, car ils ont nettement différé selon l'état aigu ou chronique . Dans ce dernier, l'accoutumance a été pour ain
XII. - Edmond Beg..., trente-six ans, débilité men- tale avec manie chronique rémittente. Lors d'un paroxysme vio- lent avec
locaux. Observation XV. - Henri Sau..., cinquante-deux ans; manie chronique rémittente. Lors d'un paroxysme avec agitation co
on de faiblesse, nausées aux repas. Ainsi, tandis que dans la manie chronique , nous avons eu z100 p. 100 de résultats favorab
Observation XXII. Auguste Cab..., quarante-deux ans; lypé- manie chronique avec surexcitation à peu près continue. Avec 1 mi
l. Observation XXIV. Pierre Toun..., trente-deux ans; lypé- manie chronique avec vive surexcitation, à peine deux heures de
nce, et 26 p. 100 seulement d'action faible, tandis que dans l'état chronique cette dernière action défavorable s'est élevée à
Observation XXX. Henri Loug..., cinquante-quatre ans; lypé- manie chronique avec agitation vive et continue. Un milligramme
doses. Observation XXXI. Louis Mah..., trente-huit ans; lypémanie chronique avec hallucinations de tous les sens et crises d'
ès. Observation XXXIII. - Léon Guid..., vingt-sept ans; lypémanie chronique avec surexcitation continue. Un milligramme de du
s. Observation XXIV. Honoré Treg..., trente-cinq ans; lypéma- nie chronique avec soliloques toute la journée. Un milligramme
sine a eu une action complète beaucoup plus fréquente dans la manie chronique que dans la manie aiguë et au contraire dans la
aiguë et au contraire dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie chronique ; et, d'une manière générale, dans la manie que
uboisine a eu une action complète moins fréquente que dans la manie chronique et la lypémanie aiguë, mais plus fréquente que
aiguë, mais plus fréquente que dans la manie aiguë et la lypémanie chronique ; et ainsi que dans la manie et la lypémanie en
alysie générale que dans les vésanies en général, la manie aiguë et chronique et la lypémanie chro- nique ; elle a été sensib
e dans la manie ; enfin elle ne s'est pas montrée dans les vésanies chroniques . XI. L'action incomplète de la duboisine a été
dans les vésanies en général mais plus fréquentes que dans la manie chronique et la lypémanie aiguë; elle a été moins fréquen
moins fréquente dans la manie que dans la lypémanie, dans la manie chronique que dans la manie aiguë, dans la lypémanie aigu
ans la manie aiguë, dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie chronique . XII. D'une manière générale il est vrai de dir
manie que dans la lypémanie, dans la 232 RECUEIL DE FAITS. manie chronique que dans la manie aiguë, et au contraire dans l
iguë, et au contraire dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie chronique . XIII. - Vu l'influence' exercée par la duboisi
tteint d'épilepsie jacksonnienne, une fois dans un cas de méningite chronique avec contractures généralisées, enfin quatre fo
trop commune. R. M.-C. VII. Sulfate DE DUBOISINE CHEZ LES aliénées CHRONIQUES ; par P. NOECKE. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., X
le cas pour la folie urémique); lorsque l'intoxication est lente et chronique , c'est d'ordinaire d'un état mélancolique qu'il
d groupe. Car la division la plus habituelle en France en délirants chroniques et délirants dégénérés est vraiment bien sommai
eur et le moins coûteux d'assister les malades atteints de vésanies chroniques , plus ou moins inoffensifs, en y comprenant mêm
tiques, Fig. 32. asiles d'aliénés. 307 ni scorbut, ni entérites chroniques , ni pseudo-pellagre. Chez les paralytiques et l
S'on. En même temps que la dysenterie, on voyait sévir l'entérite chronique ; celte maladie de misère a également disparu; et
vrais, présentant les signes cliniques de l'in- toxication aiguë ou chronique (tremblements, délire spécifique, etc.); 1° les
e le délire, et ne faisant défaut dans aucune observation de délire chronique . Elle émane évidemment de foyers circonscrits d
Wernicke). Voici les deux types principaux de délire systématique chronique . A.-Cas qui comprennent aussi le délire chroniq
re systématique chronique. A.-Cas qui comprennent aussi le délire chronique de Magnan. D'abord le seul symptôme est celui d
nés à mesure que l'on passe des formes aiguës de lafolie aux formes chroniques et aux démences, pour atteindre son maximum dan
émentaires. Ces mêmes accidents, si graves de la folie systématique chronique non alcoolique, ont ici 32fi revue' de patholog
e des aliénés et par l'habitude d'installer autant que possible les chroniques à la campagne, chez les paysans. Ces asiles son
caractérise tous les quatre n'est ni celui de la paralysie bulbaire chronique , atrophique, progressive, ni celui de la paralysi
ralysie spinale spasmodique a pour substratum des foyers de myélite chronique à localisations variables. Voici par exemple le
sséminées. Ce qui prouve que des formes très différentes de myélite chronique peuvent se traduire par le complexus clinique d
n individualité jusque dans ses variétés les plus rares. La myélite chronique au contraire, comme l'entend M. Leyden, est trop
l'expérience et la recherche, mécontentes du diagnostic de myélite chronique , ont porté leurs investigations plus loin et ab
venue de plus en plus rare et qu'a disparu simultanément la myélite chronique . On a dû cantonner cette dénomination aux obser
tion aux observations rares aujourd'hui de myélite diffuse à marche chronique et l'on a été forcé de ne formuler ce diagnosti
que correspon- dant au tableau morbide des autres cas de la myélite chronique . Quant aux affections systématiques, il convien
es affections systématiques combinées sont des formes de la myélite chronique puisqu'on en constate toutes les modalités inte
ontribution ci la pathologie dans la paralysie spi- nale atrophique chronique .1 1 Mémoire publié in extenso dans les A1'chiv.
e maladie, il faut pla- cer les processus pulmonaires, purulents et chroniques ; on a éga- lement signalé l'influence des mala
g. Zeitsck. f. Psychiat., XLIX, 3.) Héréditaire dégénéré; vésanie chronique caractéristique. P. K. XLVI. CRIME ET FOLIE c
aralysie traumatique du péronier, névrite du nerf péronier, myélite chronique , syringomyélie). Dans la paralysie faciale rhum
a proportion est renversée pour les cas de manie. Dans les formes chroniques de la manie et de la mélancolie : on voit le pl
x est de même très également réparti entre ces deux formes de folie chronique . L'auteur remarque en terminant que l'on rencon
'auteur remarque en terminant que l'on rencontre dans la mélancolie chronique une plus forte proportion decerveaux à circonvo
un degré tout à fait inusités dans les autres formes, même les plus chroniques , d'alié- nation mentale. L'adhérence des membra
on du cavalier. Or le champ visuel oscillant peut affecter la forme chronique . Il en existe aussi une forme très rare, le sco
a de Meynert ou dysnoïa de Korsakov; d) paranoïa aiguë, subaiguë et chronique avec les subdivisions de cette dernière en déli
tionnelles consécutives aux intoxications chro- niques : alcoolisme chronique avec la dégénérescence psychique des ivrognes,
hinisme, cocaïnisme et autres intoxications ou auto-intoxi- cations chroniques . Le troisième, groupe contient : le délire aigu,
d groupe. Car la division la plus habituelle en France en délirants chroniques et en délirants dégénérés est vraiment bien som
damnée pour myélite, jugée sérieusement compromise pour une cystite chronique , vouée à une mort certaine pour une affec- tion
'lil rl° 1 ' si .IJI' i 'tltt. '.r ? ^ \''4h< i tritercatarrhale chronique . C est ce qui a conduit M. Hitzigà sup- poser q
vomissements.'1 Cette |dplithalmpp.légieJ1, externe, (bilatérale,, chronique , 5 progressive (nucléaire) /guérit çornplètetrc
n en a vu plusieurs douzaines de faits; les uns ayant une évolution chronique , les autres, en plus grand nombre, ne durant qu
sur le même sujet. J. Noir. XIV. L'hydrothérapie dans les maladies chroniques et les maladies nerveuses; parlesDSBENI-BARDE e
les auteurs entreprennent de passer en revue toutes les affections chroniques et du système nerveux. Ils ne se sont pas conte
emple que la paralysie infantile et la paralysie spinale antérieure chronique . Conseiller l'hydrothérapie comme le seul trait
ton, par Greppin, 138;'rye- '' marques 'sur les formes de la .. - chronique ,' par W. Osier, 142; - ar¡r ,. r"T 11' 'J ? ...
, par Marandon de Mon- ntyél, 211 ;"sulfate'de - chez les aliénés chroniques , par P. Noecke, , ;23 ; F dé,1 =,, par, Mendel
mes de l ? par Bourneville et Noir, 259. dans les maladies ' chroniques , par René Barde et Materne, 501. Ilr reuesrnt
e moyenne dans l'endocrâne, par G. Peli, M. v Méningite, cas de chronique , par J.-W. Plaxton, 133; contribution à l'étu
endue aire jdel'é-; , corce cérébrale, par, L'âne, 57. 1 MvËnTE ? chronique /, et, lésions systématiques de la -moelle, par
32; , contribûti61ï ! à la pathologie, dé' la ? spinale' atroplnque chronique , ,'par Oppenheim 3t0; des ischô- Imquey, par'
9 (1911) La pratique neurologique
yeux. L'allure de cette ophtalmoplégie peut être aiguë, subaiguë ou chronique . , Un type de forme aiguë est la poliencéphalit
alée, vomissements, vertiges, tendance au sommeil). ' Dans la forme chronique , plus fréquente, l'affection peut rester sta- t
s inflammations du labyrinthe sont simples ou purulentes, aiguës ou chroniques , et n'intéressent le neurologiste qu'en raison
ugeole, etc. La tuber- culose fournit surtout les formes purulentes chroniques . Chez les enfants, plus rarement chez les adult
s de l'oreille donnent plus facilement la méningite; les affections chroniques , l'abcès cérébral. Les abcès extra-duraux se re
ux se rencontrent à peu près avec la même fréquence dans les formes chroniques et dans les formes aiguës. Le siège de la lésio
onctionnel plus persistant : dans ce dernier cas, le vertige, dit « chronique », peut être constant, prolongé ou fréquent (Gr
s reconnaissent des variétés apopiecti- forme, aiguë, paroxystique, chronique avec paroxysmes, continue. Il faut réserver le
rome de Ménière, plus souvent on observe la variété paroxystique ou chronique . A la suite ou non d'un ictus apoplectiforme vi
es (variété chro- nique avec paroxysmes). . L'état du vertigineux chronique peut être extrêmement pénible; l'un- goisse con
esque totalité des tumeurs du cervelet s'accompagnent de ver- liges chroniques et de trouilles de l'équilibre qui se manifestent
e l'ouïe, feront rapporter à une hnncur cérébel- leuse les vertiges chroniques et les troubles de l'équilibre. Les tumeurs du
es arterio-sciercnx. Le vertige des arlério-seléreux est un vertige chronique dont les crises sont plus ou moins fréquentes (
gineux paroxystique ou intermittent de l'alcoolisme el du tabagisme chronique , quelquefois assez prononcé pour amener des chu
seu- lement dans l'hystérie, mais encore au cours des intoxications chroniques comme l'urémie, des infections profondes comme
iques enfin acquiert une véritable valeur pronostique. Les maladies chroniques la déterminent aussi. Les tuberculeux, les syphi-
ré en apparence normal. 11 ne faut pas confondre la démence vraie chronique et incurable avec certains états transitoires d
pable de fuir, de tuer ou de se suicider. Dans le délire alcoolique chronique les idées de persécution ont fréquemment l'aspe
es existent aussi, mais mal coor- données dans le délire alcoolique chronique , elles sont vagues et impré- cises dans la conf
elles évoluent sur un état mental démentiel. Chez les alcooliques chroniques les idées hypochondriaques sont en rapport avec
t dangereux, car souvent ils cherchent à s c venger. Dans le délire chronique à évolution progressive de Magna n, les idées h
nfusion mentale; il ne convient pas aux cas de délires systématisés chroniques . Les maniaques et les mélan- coliques acceptent
morale privée et sociale. Chez les malades atteints d intoxications chroniques par l'opium, la morphine, l'alcool et désirant
finit d'elle-même : c est une idiotie symptomatique d'une méningite chronique ; l'inflammation de 1. Marchand (de Llois), Reni
- 9° Idiotie hydrocéphalique. Elle est due à l'hydrocé- phalie chronique qui est carac- térisée par l'augmentation du
iques ou il celles des centres médullaires (polio- myélite aiguë ou chronique , syringomyélie, etc.). De même que les plaies d
une lésion dentaire non soupçonnée. Il en est de même des sinusites chroniques qui provoquent très souvent des maux de tête do
e trépied méninyitique, On l'observe également dans lesménin- yites chroniques , particulièrement dans les processus inflammatoir
ssus morbide, la rachialgie s'observe dans les affections aiguës et chroniques de la moelle et de ses enveloppes. Elle est presq
la méningite cérébro-spinale épidémique), dans les 'Hc/tf/(w/i7f.s' chroniques ; elle se rencontre souvent au cours de la syph
ections spinales par trouble circulatoire, par artérite subaiguë ou chronique (ordinairement syphili- tique) que les dysesthé
s sont fréquentes dans le paludisme, spécialement dans le paludisme chronique . Parfois elles peuvent être l'unique manifesta-
ont fréquentes chez les goutteux, les diabétiques, les rhumatisants chroniques . Dans certains cas, elles dépendent d'intoxica-
ques jours ou en quelques se- maines, tantôt elles passent à l'état chronique , durent des mois et des rnées. Les récidives so
me), tumeurs du maxillaire, tumeurs de la hase du crâne, méningites chroniques de la base, anévrismes, ostéites crâniennes, né
asale, epbidrose unilatérale. Parfois, dans les névralgies faciales chroniques , on observe de la surdité; pour certains auteurs
patiques avec vomissements bilieux, dans le cours des néphropathies chroniques et de l'insuffisance rénale. Il est facile de r
ites aiguës, des hémorragies méningées et de beaucoup de méningites chroniques (pachyméningites alcooliques, syphilitiques, et
aiguës, dans les inemngo-myentes syphilitiques aiguës, subaiguës et chroniques . La rachialgie semble Indiquer une altération m
ral- gies. L'hydrothérapie est utile spécialement dans les formes chroniques des névralgies. On conseillera, suivant les cas
L'abolition des réflexes s'observe dans la poliomyélite antérieure chronique de l'enfant, ("est-il-dire la paralysie infantile
e, en dehors de la convalescence de la manie aiguë, à part la manie chronique et une certaine forme aiguë de la -paranoïa, l'
rs HÉMIPLÉGIE. ! (i7 sont souvent en connexion avec de l'arthrite chronique des articulations des membres paralysés ; d'aut
rdre, et notamment chez les vieillards; l'artérite. la périartéritc chroniques , l'athérome des artères du cerveau déterminent
ës, dont 1 de méningite tubercu- leuse, et dans 6 cas de méningites chroniques . Netter l'observe sur le total de 46 cas, dont
es formes même atté- nuées. Tout à l'ait au début d'une évolution chronique et lente, s'observe un simple ralentissement de
lace a une dissociation syringomyélique. Formes évolutives, aiguës, chroniques . Certaines paraplégies frappent de façon massiv
terminent une para- plégie, flasque en général. ' Les .affections chroniques , la tuberculose, la syphilis, les maladies spéc
orrespondent à peu près aux paraplégies flasques et les paraplégies chroniques aux paraplégies spasmodiques. La division rigou
extra-rachidiennes, qui peuvent atteindre la moelle. Les méningites chroniques peuvent agir de même. Signalons ici la pachy- m
de Erb parmi les différents types de inéningo-myélile syphilitique chronique . Cette paraplégie survient de 4 à Ü ans après l
cette époque où la syphilis nerveuse fait des lésions beaucoup plus chroniques qu'au début, lésions d'emblée moins dangereuses
syphilitiques ou d'une façon plus générale des myélites transverses chroniques . Les types le plus souvent rencontrés en cliniq
ir égale- ment au cours de phénomènes bulbaires. , De cette forme chronique , il faut distinguer les formes subaiguës, qui,
faire cadrer avec la description générale des myélites transverses chroniques . Consé- cutives à des maladies chroniques comme
des myélites transverses chroniques. Consé- cutives à des maladies chroniques comme la tuberculose, ou bien à des maladies ai
lcoolique. Mais la poliomyélite peut revêtir une allure subaiguë ou chronique , la polynévrite offrir le tableau d'une paralys
erminer des méningo-myélites aiguës, des méningites et des myélites chroniques , des compressions par hyperosloses, par gommes.
es. La tuberculose à son tour peut provoquer des myélites aiguës ou chroniques , de la compression par abcès froid, luxa- tions
lie, dans.la poliomyélite aiguë de l'enfance, dans, la poliomyélite chronique , dans la sclérose latérale amyotrophique, l'exa
yperacousie dépendrait d'une otite interstitielle avec inflammation chronique de la membrane tympanique. D'après Friedrich, l
llaire (par des béquilles par exemple), les arthropathies aiguës ou chroniques de l'articulation scapulo-hnmerale. Cliniquemen
au niveau de la gaine des tendons extenseurs et due il une synovite chronique . Charcot. considérait celte tumeur dorsale du p
ans raison apparente chez des malades porteurs de lésion^ laryngées chroniques et les chirurgiens qui opèrent sur le larynx con-
s la paralysie tabio-tosso-Iaryngée, dans l'hémi-paralysie bulbaire chronique (Eisen- lohr, Schreiber, Krause), dans la paral
Je les ai également constatés à plusieurs reprises dans les chorées chroniques progressives. On les trouvera encore dans la ma
Schech). Nous en rapprocherons le bégaiement, la dysphonie nerveuse chronique et la voix eunuchoïde. ' Cette névrose se ren
t pas un des éléments les moins importants. B) Dysphonie nerveuse chronique . Étudiée par Brissaud elle correspond à une des
des cornes antérieures de la moelle, de la poliomyélite antérieure chronique . L'étude plus approfondie des symptômes qui rac
'atrophie musculaire progressive vraie, par poliomyélite antérieure chronique systématique. Bien plus fréquemment l'atrophie
bès, de sclérose en piques, de névrites ? ; poliomyélite antérieure chronique ? ' ? IL Atrophies musculaires secondaires :
oxiques endogènes (auto-intoxication) : diabète, goutte, rhumatisme chronique , cancer, cachexies; tabétiques (infectieuses ? ).
onnel ; on en a cependant signalé des exemples dans la poliomyélite chronique , la sclérose latérale amyotrophique, la syringo
es antérieures de la moelle sous l'influence d'un processus morbide chronique . L'amyotrophie Aran-Duchenne ne constitue pas u
ue des cornes antérieures de la moelle, une poliomyélite antérieure chronique , qui se traduise uniquement par l'atro- phie pr
un syndrome qui s'observe, en dehors de la poliomyélite antérieure chronique pure, rare et douteuse, dans la syringomyélie,
comme la manifestation svmptomatiquc d'une poliomyélite antérieure chronique frappant systématiquement et exclusivement les ce
philitique à type' Aran-Du- chenne et de la polyomyélite antérieure chronique vraie : parésie précé- dant l'atrophie, douleur
ont en tout cas pas constantes dans la méningo-myélite syphilitique chronique . Cependant l'existence de douleurs persistantes
ladie d'Aran-Duchenne, caractérisée par une poliomyélite antérieure chronique pure, par la dégénération progressive primitive
avaient été envoyées avec l'éti- quette de poliomyélite antérieure chronique et nous y avons trouvé une lymphocytose péri-va
ici un seul cas authen- tique et certain de poliomyélite antérieure chronique pure; sans affirmer que la maladie d'Aran-Duche
ions, traumatique, infectieuse ou dyscrasique : arthrites aiguës ou chroniques , rhumatismales, goutteuses, blennorrhagiques, l
amyotrophie est particulièrement fréquente à la suite des arthrites chroniques , tuberculeuses surtout, des arthropathies d'origi
anguin (liérnatomyélies). On pourrait y ajouter toutes les maladies chroniques de la moelle où ces cornes antérieures sont ou
ent aussi qu'un certain nombre de dyscrasies, de maladies générales chroniques (diabète, goutte, rhumatisme chronique, albumi-
sies, de maladies générales chroniques (diabète, goutte, rhumatisme chronique , albumi- nurie, cancer, etc.) s'accompagnent de
es sont généralement passagères. Dans la goutte, dans le rhumatisme chronique , les paralysies amyotro- phiques douloureuses n
? ) : saturnines, etc. ; signes propres. Poliomyélite antérieure chronique ? [A. LÉRI.] 734 ATROPHIES MUSCULAIRES. II.
ples ou généralisées (polynévrites); à évolution aiguë, subaiguë ou chronique . Infectieuses : lèpre, béribéri; toxi-infectieu
, plomb, arsenic ; Toxiques endogènes : diabète, goutte, rhumatisme chronique , cancer, ca- chexies ; Tabétiques : infectieu
ateux et chez tous les sujets atteints d'une affection dyspnéisante chronique . Les hypertrophies physiologiques d'origine con
des corps étrangers des voies aériennes, et que pour les bulbaires chroniques la pneumonie de déglutition est une terminaison d
alato-laryngée (Charcot) à marche lente. Poliencéphalite inférieure chronique («'ernicke). - Nous ne revien- drons pas sur le
trie s'observe au contraire dans les poliencéphalites infé- rieures chroniques . Mais le diagnostic le plus délicat intéresse la
éactions complexes, les syndromes observés pouvant être subaigus ou chroniques . Les accidents se limitent rarement au bulbe et i
ysie générale, les mala- dies mentales, etc. La plupart des étals chroniques , qu'ils dépendent d'altérations ner- veuses ou
t exister des myasthénies localisées, comme la dysphonie ner- veuse chronique et l'asthénopie accommodative. Cependant, il es
Nous avons vu que les convulsions peuvent guérir et passer à l'état chronique . Elles peuvent aussi amener la mort plus ou moins
n, etc. On pourra rencontrer quelquefois aussi des cas de méningite chronique , un hématome. Terminons ce diagnostic en rapp
e dans l'hystérie, comme dans les intoxications; il peut être enfin chronique comme dans la sclérose en plaques, dans la para
mblements permanents. Les tremblements perma- nents ou tremblements chroniques s'observent au cours d'un grand nombre d'affect
variétés que nous avons à étudier, nous voulons parler de la chorée chronique . A côté de ces troubles, Blocq et Grenet pensen
nuée il chaque récidive nouvelle. La maladie peut passer il Létal chronique dans des cas exceptionnels : un malade de, Pier
eux grossesses successives et quelquefois elle a pu passer à l'état chronique . Elle s'observe surtout chez les primipares et
manifestations de l'hystérie ou une maladie des tics' ou une chorée chronique ; cependant nombre d'auteurs contestent cette op
finir par guérir, le malade reste néanmoins un dégénéré. ' CHORÉE CHRONIQUE La chorée chronique, chorée majeure, chorée de
alade reste néanmoins un dégénéré. ' CHORÉE CHRONIQUE La chorée chronique , chorée majeure, chorée de Huntington, chorée d
chorée majeure, chorée de Huntington, chorée des vieillards, chorée chronique progressive ou chorée héréditaire de l'adulte e
mann, de Lannois et de Olgsky). Cependant l'hérédité dans la chorée chronique est régie par une loi qui a été formulée par Hu
s nerveuses sans que cependant ce soit une règle absolue. La chorée chronique apparaît en général entre 50 et 45 ans, elle est
core fréquente jusqu'à 55 ans et devient rare ensuite. -- La chorée chronique frappe également -les deux sexes alors que la c
rveux. Quelquefois l'apoplexie a été signalée au cours de la chorée chronique et même peut la précéder. Le tableau clinique
luence de la volonté et c'est là un signe important entre la chorée chronique et. la CHORÉE CHRONIQUE. 8G5 chorée vulgaire.
c'est là un signe important entre la chorée chronique et. la CHORÉE CHRONIQUE . 8G5 chorée vulgaire. Mais ce signe est constat
ui montre qu'il se rencontre dans toutes les observations de choréc chronique , qu'il s'a- gisse ou non de la chorée héréditai
t généralement forts, mais, ce qui caractérise avant tout la chorée chronique , ce sont les troubles mentaux; ils ont été étudié
ysie générale (Osier, Facklam). Évolution. La marche de la chorée chronique héréditaire est fatalement progressive, alors q
ronique héréditaire est fatalement progressive, alors que la chorée chronique non héréditaire peut durer un grand nombre d'an
t con statée chez un vieillard atteint de méningo-encéphalo-myélitc chronique . La myoclonie était un phénomène prémonitoire d
d nombre d'années dans les hospices d'incurables. Cette maladie est chronique et le séjour à l'hôpital peut amener ]'éclosion
que, rarement similaire; le sexe féminin est prédominant. La chorée chronique de Huntington présente aussi des mouvements inc
erveux, distinguer un groupe d'oedèmes aigus et un groupe d'oedèmcs chroniques , innom- brables étant les formes de transition
ion entre la trophonévrose oedéma- teuse fugace et la trophonévrose chronique , et cela non seulement d une maladie à l'autre,
ues ou les paraplégiques, que l'affection en cause soit une maladie chronique ou une affection aiguë du cerveau ou de la moel
variable au cours de diverses intoxications, aiguës elles-mêmes ou chroniques , notamment de l'intoxication oxy-carbonée, ainsi
de transitions entre les oedèmes aigus de Quincke et le trophoedème chronique de Meige. Cette dernière lésion peut persister
emnes. Ces caractères permettront de distin- guer les trophoedèincs chroniques , observés d'ailleurs comme les -TROUBLES TROPHI
mes de Quincke chez 'des névropathes ou des intoxiqués, des oedèmes chroniques de l'éléphantiasis ou du- rhumatisme chronique, d
xiqués, des oedèmes chroniques de l'éléphantiasis ou du- rhumatisme chronique , des oedèmes traumatiques, du myxoedème, ainsi
uée ou seulemént provoquée. Les [F. MOUTIER. Fig. 4. - Trophædème chronique héréditaire (Henry Jeigct. 922 I-) TROUBLES
é de la face atteint de prosopalgie, au niveau des plaques d'oedème chronique qu'il est parfois donné d'ob- [F. MOUTIER.] 9
talmique, sur le tégument des articulations atteintes de rhumatisme chronique . Les altérations dentaires sont peu connues. En
es moignons osseux. L'évolution de ces lésions est- essentiellement chronique ;. il se produit de temps à autre de nouvelles p
hermie, elle a été constatée dans certains cas : dans l'encéphalite chronique de l'enfance en particulier; dans deux observatio
peuvent retentir par voie réflexe sur la vessie, mais la prostatite chronique y prend la plus grande part. Nous avons indiqué
n varie avec la période de 1 affec- tion, qu'elles soient aiguës ou chroniques . Au début, presque toujours, il y a rétention c
es précautions indiquées plus loin.. Le diagnostic des rétentions chroniques , et de celles qui se sont éta- htics lentement,
vieux foyer cl'urétrite, une vaginite ou quelque autre inflammation chronique de voisinage. Ailleurs, lorsqu'il y a incontine
et grave d'emblée. La pyélo-néphrile affecte deux formes, aiguë et chronique , et est tou- jours ascendante. Dans la première
le cortège, en un lll01, de l'intoxication urinaire aiguë. La forme chronique peut être tout à l'ait latente, se traduire seule
me lacté avec continuation de l'alcool. Dans les urétéro-pyc- lites chroniques , on s'adressera aussi à l'état général : régime l
ur du sperme le produit purulent d'une urétrite ou d'une prostatite chronique . Quant au deuxième point du diagnostic, la sper
, la faiblesse médul- laire sénile détermine une atonie intestinale chronique avec constipation rebelle. Troubles de le déf
pas- SÉMÉIOLOGIE DE L'INTESTIN ET DU PÉRITOINE. 9 ! )9 sao'ers ou chroniques ; ils peuvent traduire enfin une déchéance défi-
ontrer de la diarrhée par cancer de l'intestin ou par entéro-colile chronique . Dans de tels cas, il arrive assez souvent que
tions irrégulières qui déforment la main ou les doigts : Rhumatisme chronique : déformant, goutteux, sénile. Nodosités d'IIcber
l'on retrouve le plus souvent dans l'étio- logie, les bronchites chroniques , la tuberculose pulmonaire, s'observent souvent
STGO- : 1RTICUL : 11RES irréguuères, déformantes Dans le rhumatisme chronique déformant les déformations des mains, qui sont
sécrétion sébacée, hypoesthé- [A. LÉRL] Fig. fi. /1hztllwlisllle chronique . Type de flexion : les pha- langes et les phala
he rapport du Pr Teissier sur « les formes cliniques du rhumatisme chronique u. Congrès de médecine. Liège, 1905. Fig. 7. Rh
e chronique u. Congrès de médecine. Liège, 1905. Fig. 7. Rhumatisme chronique sénile. -Saillie des articulations métacarpo-ph
goutteux (J. Teissier). Une variété spé- ciale du rhumatisme chronique dyscrasi- que, arthritique, est représentée p
par dilatation de l'estomac. Aux différentes variétés du rhumatisme chronique ostéo-articulairc se joint souvent une forme de
demeure libre, l'aponévrose palmaire reste saine. . Dans la goutte chronique , les mains sont généralement très déformées Fig
olées, parfois elles coexistent avec des déformations du rhumatisme chronique , notamment la déviation cubitale des doigts. Le
ns de la diaphyse des pha- langes, le diagnostic avec le rhumatisme chronique est aisé; quand les déformations sont limitées
rave ou « en radis ». Tardivement la dactylite peut passer à l'état chronique et déterminer toutes les déformations du rhumat
'état chronique et déterminer toutes les déformations du rhumatisme chronique progressif, ainsi que des troubles trophiques i
rd» (fig. 16). Certaines variétés de mains fléchies du rhumatisme chronique sont dues au contraire à l'atrophie des exten-
ante et presque toujours bilatérale dans la poliomyélite antérieure chronique (') et dans la sclérose latérale amyotrophique
à celui de Pierre Marie, l'existence d'une poliomyélite antérieure chronique , en tant qu'entité morbide cliniquement bien in
1t'l'ICUL : IIItI : S irrégulières, déformantes. Dans le rhumatisme chronique déformant, les pieds sont souvent portés dans l
us dans la première et la troisième. La peau du pied du rhumatisant chronique est sèche, rude, écailleuse, mate, parfois liss
rude, écailleuse, mate, parfois lisse et luisante. Le rhumatisme chronique blennorragique prend au pied une marche assez s
t et se dévient : l'aspect devient semblable il celui du rhumatisme chronique déformant, le pied reste très longtemps dou- lo
l'eeclènle persistent souvent beaucoup plus longtemps. La goutte chronique se révèle aux pieds comme aux mains par des DIF
phantiasis des pays chauds, comme le pseudo-éléphanliasis ou oedème chronique suite d'érysipèle, de' phlébite, etc., prennent s
e diagnostic de ces différents oedè- mes ; leurs caractères aigu ou chronique , congénital ou acquis, dur ou Fig. 4. Pied tabé
es du syndrome amyot1'ophie Amen- Duchenne (poliomyélite antérieure chronique , méningo-myélile syphili- tique amyotrophique,
ciation du signe de Robertson à l'inégalité pupillaire, à l'aortite chronique et à la lymphocytose du liquide céphalorachidien
tigmates articulaires. La syphilis peut produire des hy- darthroses chroniques et même des arthropathies déformantes ou même l
s lésions nasales dont les symptômes fonctionnels ont été le coryza chronique , jetage nasal, épistaxis, ozène et expulsion de
à l'égard du mercure a été constatée au cours de l'hy- drargyrisme chronique par Raymond et Sicard. L'imperméabilité a été c
trouveront dans la tuberculose et dans tous les processus méningés chroniques . On pourrait se demander quel est le mécanisme
ation myélinique rapide. Liquide céphalo-rachidien dans les ictères chroniques . Gilbert et Castaigne (Presse médicale, 5 novem
até un pigment dérivé dans le liquide céphalo-rachidien d'un ictère chronique . Ils pen- sent qu'il s'agit d'un pigment dérivé
NERVEUSES Le liquide céphalo-rachidien, dans les maladies nerveuses chroniques qui sont le principal objet de cet ouvrage, doi
du tabès et de la paralysie générale. Cytologie dans la méningite chronique alcoolique. On y constate la présence de très n
é la lymphocytose. Cytologie dans la paralysie agitante : la chorée chronique , le deli- rium tremens, la myopathie progressiv
aques de sclérose hériventriculaire il l'existence d'une épcndymitc chronique . Symptômes toxi-infectieux. Ils se réduisent à
et ne prend des proportions considérables que dans certaines formes chroniques , d'origine méningococciques (degré) ou tubercul
erot, où la tuberculose épendymaire se greffa sur une méningococcie chronique à symptômes intermittents, la fonte du pannicul
sont très rares dans les épendymites séreuses subaiguës et surtout chroniques alors qu'ils abondent dans les épendymites séro
toire est plus SYNDROMES VENTRICULAIRES. 1151 souvent subaiguë ou chronique que franchement aiguë; presque tou- jours elle
é, comme cela arrive fréquem- ment dans les cas subaigus et surtout chroniques , d'éléments figurés, l'origine infectieuse n'es
pendymite séreuse car ce sont les épendymites séreuses subaiguës ou chroniques , apyrétiques, généralisées ou partielles (oblit
a syphilis et surtout à celle des cysticerques et de la tuberculose chronique , typique qui, sans être les seules causes du sy
iges, une démarche hésitante. Les placards de tuberculose typique chronique peuvent donner lieu à un complexus symptomatiqu
re. Nous avons, pour notre compte, observé une tuberculose typique, chronique de l'épendyme qui se termina par la mort subite,
rie s'observent plutôt dans les épendymites uniquement bulbaires et chroniques . La difficulté du diagnostic ne tient, pas ici
signalée par Jou'roy et Achard, dans un cas d'épendymite médullaire chronique , de cause indéterminée, peut s'expliquer par les
s sont analogues, sinon identiques celles des épendymites séreuses, chroniques . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE Une expérience de V
sence d'une meningo-ependymitc tuberculeuse aiguë, d'une épendymite chronique associée à un processus teratotogiquc alors que
. Il a constaté les caractères suivants : . 1. Rhumatisme vertébral chronique . a) Colonne vertébrale. Déformation du corps
parfois aussi au début des poliomyé- lites antérieures subaiguës ou chroniques et dans la sclérose latérale amyotrophique, lor
de dégénérescence dans les processus aigus et dans les processus chroniques . ' . Pour abréger l'écriture et le langage, nou
gomyélie, etc. y Des syndromes de dégénérescence dans les processus chroniques Dans les maladies du système nerveux qui porten
s plus ou moins atrophiés par le fait de la poliomyélite antérieure chronique ou de la syringomyélie. ou de l'atrophie Charco
jours aussi appréciables qu'il vient d'être dit. dans les processus chroniques . Les muscles, en effet, ne sont souvent pas altér
examiner les réactions électriques dans les affections à processus chronique devant entraîner de la DR, on peut constater l'
issable quelques semaines ou quelques mois après. Dans le processus chronique de la maladie, l'évo- lution prend parfois à ce
es et les allures que nous lui avons vu affecter dans les processus chroniques . La. DR se rencontre dans les maladies de la mo
ure aiguë, sclérose latérale amyotrophique, poliomyélite antérieure chronique , soit par extension de voisinage, hématomyélie,
, tantôt avec des caractères plus effacés, comme dans les processus chroniques ; elle procède aussi par étapes successives, app
es régions et les muscles examinés. Dans la poliomyélite antérieure chronique , les manifestations de DR ne sont pas toujours
ns quelques autres, elle allecte les allures de la DR des processus chroniques ou des processus subaigus : alors elle peut êtr
tuellement un processus aigu, plus rarement un processus subaigu ou chronique . La DR prend dans ces cas la ferme partielle ou
? rale muyotropliiyne, la syringomyélie, la poliomyélite antérieure chronique , etc., la DR partielle indique seu- lement des
limitées à un ou plusieurs nerfs ; puis des affections à processus chronique (atrophies musculaires myélopathiques, etc) ; et
sur la langue sont égale- ment possibles. Affections à processus chronique portant sur les neurones moteurs périphériques.
ui se développent plus ou moins lentement, en suivant, un processus chronique , ont été soumises souvent à des traitements par
1581 Choline dans le liquide céphalorachidien, . Il ;'0, Chorée chronique , SG2. - Evolution, 865, de llzwlirp/lnn,diaânos
sme, 972. Traitement, 973. ' Dysphonie spaslique, 655. nerveuse chronique , 656. Dyspnée, 940. Dyspneumie, 198. ' Dyst
localisation de la crise douloureuse sur le gros orteil, 1054. - chronique . Déformation des mains, 10` ? ! E. - Déformatio
. aussi Amblyopies. 1 Ichtyose, trouble trophique, 915. Ictères chroniques . Liquide céphalora- chidien, -1 [ : il . Idée
o, logique, 88. Myélites, atrophie musculaire, 715. transverses chroniques , 501. Myélopathies rtlrophiques progressives
li : l1'yngée, 800. à inarche lente. Poliencéphalite infé- rieure chronique , 805. à marche rapide. Poliencéphaliteinférieti
opographique, 515. aiguë, 491, 502. ataxique, 762. subaiguë, 762. chronique , 491 ? croisée, 490. - de Erb, 499, 500. - fl
es, 940. Rétentions d'urine, étiologie, 950. - Rétention aiguë. - chronique . - com- plèle, z incomplète, 955. Rétine, exp
1025, 1024. Rhomboïde. Innervation, physiologie, 572. Rhumatisme chronique blennorragique, déformations des pieds, 1044. -
10 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
oduit et entretenu pendant la période de croissance par une maladie chronique congénitale ou accidentelle. L'évolution s'acco
CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE - VERTÉBRAL PAR M. F. RAYMOND, et M. L. BAB
termine ainsi une paraplégie douloureuse. Quant aux ostéo-arthrites chroniques simples de la colonne vertébrale, elles étaient
modifier l'opinion classique. Elles ont établi que les spondylites chroniques sont beaucoup plus fréquentes qu'on ne le croyait
lose rhizomélique de MM. Marie et Léri. L'étude des ostéo-arthrites chroniques simples de la colonne vertébrale est donc toute
ntité mor- bide spéciale, ou comme une simple variété de rhumatisme chronique ? - Les principales formes qu'elles affectent p
ent-ils aboutir à la RAYMOND ET BABONNEIX. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE 29 production d'une ankylose vertébrale ? Autan
onographie DE la SALPLTItII.RE. T. XX. Pl. 111 UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL (F. Raymond et Babonneix.) Masson e
sson et de. Editeurs Phototypie Derlhaud SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 31 rotation externe ; de la demi-flex
e membrane lamelleuse, également continue, SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 33 et qui, avec la précédente, consti
iques. (1) La malade n'avait que 35 ans. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 35 En somme, aplasie ovulaire des plu
Infioit). Radiographie du rachis. (Infroit). UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL (F. Raymond et Babonneix.) T... ? M
abonneix.) T... ? MaaSOrL.et('eP.direnr. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 37 qacé d'exostoses, et, surtout, il
Bull. Soc. Méd. des Hôp., 28 juillet 1904. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 39 ment vertébral commun antérieur, a
avril 1904. ' (2) VfipfI00aEN, Les formes cliniques du rhumatisme chronique , Congrès de Liège, 1905, p. 44. 40 RAYMOND ET
rhizoméliques. Rev. de Méd., 1898, p. 285. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 41 presque droite. Les vertèbres se r
. Pierre Marie et Léri. (1) MAYET et JOUVE, Le rhumatisme vertébral chronique et la spondylose rhizon2éli- que. Gaz. des Hôpi
degli Osped., 30 octobre 1904, p. 1381. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTEBRAL 43 Si l'on accepte ce diagnostic, une
art, sur les affinités qu'elle présente avec les autres spondylites chroniques , se refusent-ils à la considérer comme une enti
Montet (4), Pagliano (5), Rendu, Sachs, l'identifient au rhumatisme chronique ver- tébral (6). M. Labeyrie, auteur d'un excel
, le, avril 1906. (6) Pour M. P. Marie, au contraire, le rhumatisme chronique se distingue essentiel- lement de la spondylose
lose intense puissent être absolument séparées des autres arthrites chroniques relevant du syndrome rhumatis- mal. » Admetto
lose rhizomélique à type un peu anormal, ou de rhumatisme vertébral chronique . Reste encore à ex- pliquer la nature des accid
ora- ciques, n'ont pas été fréquemment signalées dans le rhumatisme chronique vertébral ; de même, on n'a pas souvent relevé,
n, jamais, à notre connaissance, on n'a publié de cas de spondylite chronique à l'examen (1) Il n'existe d'ailleurs du côté d
Hypothèse déjà émise par M. Pierre Marie. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 45 anatomique duquel on ait constaté
re les premiers à publier une obser- vation de rhumatisme vertébral chronique à l'autopsie duquel on ait relevé, en plus des
u dans la haie. Elle rentre à l'hôpital en 1894 dans le service des chroniques et y reste jusqu'en 1899. L'atrophie et l'impot
connues de l'axe gris de la moelle dans la poliomyélite antérieure chronique . Les cornes antérieures de la substance grise ont
ulaire progressive de nature myélopathique (poliomyélite antérieure chronique ). Le début pa les extrémités des membres supé-
xamen détaillé des mus- cles et conclut à l'existence d'une myosite chronique interstitielle et d'une névrite chronique inter
l'existence d'une myosite chronique interstitielle et d'une névrite chronique interstitielle. Dans l'observation II (atrophie m
Il admettait entre autres l'existence d'une névrite interstitielle chronique . On sait que ces observations anatomo-cliniques
it développé chez une malade qui souffrait depuis 6 mois d'entérite chronique (avec diar- rhée opiniâtre, indicanurie très in
rieur. Ce fait mérite déjà d'être noté, car dans la poliencéphalite chronique de l'adulte, il est rare que la colonne grise d
ne se pro- duire que très tardivement dans les paralysies bulbaires chroniques . Ici, l'atrophie et la paralysie des masséters
tel qu'il fut décrit par Henry Meige se caractérise par un « oedème chronique , blanc, dur, indolore», occupant un ou plusieurs
concernant une jeune femme non hystérique chez qui un trophoedème chronique , persistant, de la main droite succéda à des pous
cas, dans la 4° observation de Valobra, par exemple, le trophoedème chronique parait succéder à des poussées récidivantes d'oe-
mettre la compréhension du mécanisme éta- blissement du trophoedème chronique acquis d'origine traumatique. Mes deux malades,
1905, t. II, p. 487. (3) VALOBRA, Les oedèmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du sys- tème nerveux. Rôle d
ns l'oedème d'origine nerveuse ces données établies par les oedèmes chroniques de natures diverses, et nous aboutissons à l'oedè
rses, et nous aboutissons à l'oedème dur, résistant, du trophoedème chronique , en même temps que nous com- prenons ses ressem
renons ses ressemblances cliniques avec l'aspect des autres oedèmes chroniques , de l'éphantiasis par exemple, si voisins comme a
apportées ci-dessus se rapportent incontesta- blement aux « oedèmes chroniques , blancs, durs, indolores, occupant un ou plusie
ique du trophoedème. (1) SICARD et LAIG1OEL-LAVASTlNE, Trophteclème chronique , acquis el progressif. Nouvelle Iconographie de
hui avec les cas que Meige a rassemblés sous le nom de trophoedèmes chroniques . Sou- vent familiaux, tantôt constitués pendant
(1) et de Debove et auquel le premier a donné le nom de trophoedème chronique sous lequel on le dé- .signe couramment aujourd
diteurs Phot01YI11C Bcrlhauù. Paris SUR UN CAS DE 'Cli0PI10EDG11E CHRONIQUE 161 cuisse sont très développés. La limite supé
t négatif. Il ne reste plus debout que le diagnostic de trophoedème chronique ainsi que l'a si bien conçu Henry Meige. Dans c
ne nous fera nulle- ment hésiter dans le diagnostic de trophoedème chronique que nous avons établi dans ce cas. D'ailleurs,s
la seule possible. Ainsi Hertoghe a rapporté un cas de tl'ophoedème chronique de la face et Rapin un autre où l'oedème intéress
ément nécessaires avant de fixer dé- SUR UN CAS DE TROl'HOED ! \;ME CHRONIQUE 167 finitivement la place de ce syndrome, car i
ons qui précèdent. BIBLIOGRAPHIE 1. HENRY MEIGE, - Le trophoedème chronique héréditaire, Nouvelle Iconographie de la Salpêt
Berlin, 1891. 5. IISRTOGHH. - Contribution à l'étude du trophmdème chronique , Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtrière, ne
e de Ballet. r. 14. SICARD et Lwl(3N&L-LAVASTINE. - Trophoedème chronique , acquis et progressif, Nou- velle Iconographie
hie de la Salpêtrière, 1905. il. Voir aussi Feindel. Le trophoedème chronique d'après HENRY l\IEIGE, Gazette heb- domadaire.
liniques de la myé- lite aux symptômes de la paraplégie spasmodique chronique (exaltation énorme des réflexes, signe de Babin
Cette myélite se termine par la mort ou passe à l'état spasmodique chronique . Dans le premier cas on trouve des altérations
ses la cuisse gauche. C'est également un accès subaigu d'alcoolisme chronique qui l'a fait arrêter et interner. Dans les pr
server, mais aussi la confusion mentale onirique peut passer l'état chronique ; une systématisation secondaire peut s'établir
ichisme à rechute ne sont pas moins fréquents que dans l'alcoolisme chronique . Dans les intervalles des accès d'haschichisme, c
hologique à signaler du côté du goût; ni de l'ouïe, à part l'otite, chronique dont nous avons parlé. Nous avons déjà signalé
ral il existe des lésions pulmonaires d'emphysème et t de bronchite chronique qu'expliquent les déformations considérables du t
e contracture hystérique des muscles du dos. Certaines mé- ningites chroniques du mal de Pott s'accompagnent de paraplégie spasm
e présentés par le malade sont dus à des lésions d'otite catarrhale chronique et la huitième paire paraît bien indemne. Il ex
'autre difformité. Sa mère est atteinte d'un rhumatisme articulaire chronique du cou-de-pied et du poignet du côté gauche, qu
ébrale étaient les suivantes. Dans trois cas, l'alcoolisme cérébral chronique , dans un, dégé- nération psychique alcoolique.
e ultérieure, car la folie pellagreuse affecte fréquemment la forme chronique avec ou sans rémissions intercalaires. Cela se co
leurs mêmes effets. Les rechutes sont donc fréquentes, et les états chroniques aussi ; les 356 MARIE. - FOLIES PELLAGREUSES DE
existe sur la convexité des hémisphères une légère lepto-méningite chronique . Le cerveau, le cervelet, le bulbe ne présentent
les trophiques ou des oedèmes (1). (1) G. ETIENNE, Des trophoedèmes chroniques d'origine traumatique ; pathogéiie des oedèmes
endant la vie intra- utérine ou dans l'enfance (brûleurs, arthrites chroniques , tumeurs blan- ches, caries, traumatismes, etc.
ncernant les troubles trophiques. Parmi ces derniers le trophoedème chronique , syndrome bien connu surtout depuis les travaux
eurs il ne s'agit pas des formes spéciales de poliomyélite aiguë ou chronique , formes dont la symptomatologie si bizarre a so
irconscrit de l'urticaire, de la forme de Quinckh et du trophoedème chronique , comme la conséquence 452 PAHUON ET CAZACOU d
iguë s'accompagne de phénomènes vaso-moteurs; dans le tro- phoedème chronique il produit par sa présence prolongée l'hypertroph
lus ou moins semblable, voire même identique à celui du trophoedème chronique sans l'intervention du système nerveux. Hertogh
le confirmer, il semble bien qu'il faut admettre que le trophoedème chronique n'est que l'aboutissant d'un processus identiqu
n entre certains troubles du métabolisme calcique et le trophoedème chronique . L'influence du système nerveux pourrait n'être
de Hertoghe (1). bibliographie i. HENRY MEIGE. - Le f1'ophoedème chronique héréditaire. Nouvelle Iconographie de la Salpêt
rière, n° 6, 4901. 2. PARIION et Florian. Sur un cas de h'ophoedème chronique . Nouvelle Iconogra- phie de la Salpêtrière, n°
ere, n* 5, p. 473, 1901. 4. Sicard et LAtGXBLLAVASTfNE. Trophredème chronique acquis et progressi/. Nouvelle Iconographie de
phie de la Salpêtrière, p. 30. 1903. 5. Etienne. - Des trophoedèmes chroniques d'origine traumatique. Nouvelle Icono- graphie
lpêtrière, 1905. 7. HEnTouHK. Contribution à l'étude du trophoedème chronique . Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtrière, no
ie, 374. BADONNEIX et RAYMOND. Sur un cas de rhumatisme vertébral chronique , 28. Barbé et SÉGLAS. Un cas de porencéphalie
sénile, 357. CARAcou et Parhon. Sur un nouveau cas de trophoedème chronique . Considéra- tions sur l'euologie et la pathogén
que, type l'aget, chez une tabétique, 84. ETIENNE. Des trophoedèmes chroniques d'origine traumatique (1 pl.), 146. BT1EI1NE.
., 1 dessin), 385. FLORIAN et PARHON. Sur un cas de trophoe- dème chronique , 159. HAHN (LucIEN) et Wickersheimer. Un cas
. Teulières. La mydiiase hys- térique, 243 LAMY, Poli encéphalite chronique ; ophtal- moplégie et paralysie bilatérale de l
(4 pi.), 174. PAAHON et CAHdCOU Sur un nouveau cas de Irophoedème chronique . Considéra- tions sur l'etiologie et la palhoge
trnphoedème, 448. Parhon et Florian. Sur un cas de truphoe- dème chronique il pl ? 159. PARHON et ZALPL4CTA. Sur nn cas de
re (3 pl.). 3-il. Raymond t L. RAüOYNEIC. Sur un ra de rhumatisme chronique vertébral (2 pl.), 28 Raymond et Lejonne. Syr
ent chirurgical (t pl.), par SICARD et DESCOMPS, 459. Ttnp"oedeme chronique : un nouveau cas avec considérations sur l'elio
q""s d'oriaine 1 ? mulique (1 pl.), , [)..r Etienne, Trophoe,feme chronique (un cas par Parhon et Florian, 159. 522 TABLE
Phénomène de Charles Bell (Polimanti), LXXXIX. Poliencéphalite chronique . Ophtalmoplé- gie et paralysie des muscles mast
e (BERTOLOTTI et Boidi-Trotti), LVII, LVIII. Rhumatisme veriebral chronique (RAY- MOND et Beaon,talx), III, IV. Syndrome
me congénital (Examen histolo- gique) (E. Long), XXX. Trophaedéme chronique (PARHON et FLORIAN), XXXI. Trophoedème chroni
X. Trophaedéme chronique (PARHON et FLORIAN), XXXI. Trophoedème chronique d'origine trauma- tique (ETIENNE), XXIX. Tume
11 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
mais cette fois d'une façon lente, dans différents cas d'altérations chroniques du foie consécutives à l'oblitération permanente
la pneumonie et l'hépatite des pays chauds ({) ; 2° dans des maladies chroniques , comme la tuberculose, l'al-tération amyloïde, le
métaux et de métalloïdes, principalement dans les cas d'intoxication chronique , se retrouvent dans le foie et dans la bile. En t
istes savent, disent-ils, que l'urine des malades affligés d'hépatite chronique , contient peu ou point d'urée, ce qui semble prou
ères, que l'urée diminue dans l'urine des malades atteints d'hépatite chronique [Rose, Henri (de Manchester) Berzélius, Prévost e
des 24 heures. Il s'agissait de lé-sions à évolution essentiellement chronique (cancer, kystes hydatiques). Actuellement, je vai
ndice, London, 1853, p. 80), relatives à un cas de rétention biliaire chronique consécutive à un abcès de la tête du pancréas. Da
tration urique des cartilages ne se voit pas seulement dans la goutte chronique ; elle existe dans la goutte aiguë, dès le premie
'il n'est pas très rare d'observer chez des sujets atteints de goutte chronique , ainsi que l'ont fait remarquer Scudamore et M. G
à la cirrhose hypertro-phique; dans le second, il s'agit d'un ictère chronique dont la nature n'a pas été déterminée. Dans les d
emple, je vous citerai la rétention biliaire absolue, suivie d'ictère chronique , s'il s'agissait de l'enclave-ment dans le canal
altérations diverses que nous venons de jtasser en revue. L'ictère chronique par résorption est la conséquence à peu près inév
p. 527). Budd, Graves, Stokes, rapportent des exemples où l'ictère chronique , probablement d'origine calculeuse, s'est prolong
ques ; — diminution du taux de l'urée ; caractère vespéral ; — marche chronique ; — terminaison. Analogies entre les diverses f
que. S0 Le plus souvent, la fièvre hépatique est en quelque sorte chronique ; elle peut durer par exemple deux ou trois mois,
es. — Inflammation suraïguë (cholécystite suppurative). —Inflammation chronique (cholécystite scléreuse ; atrophie de la vésicule
'autres fois, au contraire, le processus inflammatoire est absolument chronique . Sous son influence, les parois de la vésicule se
j'envisagerai en premier lieu celles qui, se produisant selon le mode chronique , s'attachent originairement à la gangue conjoncti
vue. Cette altération du foie appartient à un groupe d'inflamma-tions chroniques dont l'homogénéité ne laisse pas grand'chose à dé
1° Tout d'abord, ce qui caractérise anatomiquement ces inflammations chroniques , c'est la production exagérée du tissu conjonctif
des dénominations appliquées à ce groupe par-ticulier d'inflammations chroniques . Cruveilhier les désigne sous le nom de métamorph
u'elles sont à peu près toujours chroni-ques primitives ou primitives chroniques : C'est ainsi que, dans la nomenclature employée
ne période aiguë, se constituent telles quel-les, à l'état subaigu ou chronique . Il ne faut pas oublier, toutefois, que dans ce
gine dans un accès de rhumatisme articulaire aigu ; — b) La pneumonie chronique ou interstitielle ou fibroïde peut se développer
certaines formes de cirrhose se constituent quelquefois comme maladie chronique à la suite d'un état aigu. Sans doute, ces cas so
, exceptionnels, mais ils suffisent pour établir le lien entre l'état chronique et l'état aigu. J'ajouterai que les processus i
he, que siège les lésions les plus importantes des diverses néphrites chroniques , interstitielles ou parenchy-mateuses, substratum
e montre isolée dans la scarlatine, se trouve, dans certaines lésions chroniques du rein, combinée à des altérations qui portent s
utteux, en même temps qu'une des formes de la néphrite interstitielle chronique . Ces dépôts, qui sont visibles à l'œil nu, se des
sé-journé longtemps dans le rein, par exemple dans les cas de lésions chroniques de cet orga-ne, ils présentent habituelle-ment un
n les trouve dans les affections rénales les plus diverses, aiguës ou chroniques ; on peut même les rencontrer à l'état normal, et
ne certaine importance ; elle indiquerait une lésion essentiel-lement chronique du rein, surtout la néphrite interstitielle — Il
de la maladie. Les cylindres cireux sont aussi l'indice d'une lésion chronique , mais il faut bien savoir que la teinte brune qu'
es cpie je vais envisager ont des processus subaigus ou primitivement chroniques ; car j'éloigne du cadre de la maladie de Bright l
pendant bien démontrée. Évolution très lente ; la maladie, toujours chronique d'em-blée, peut durer plusieurs années, quelquefo
ein con-tracté, ou si vous l'aimez mieux, à lanéphrite interstitielle chronique primitive. Je supposerai tout d'abord un cas dans
se comprend aisément; en effet, la né-phrite interstitielle, maladie chronique primitivement, ne détermine, en général, la mort
topographie des alté-rations rénales dans la néphrite interstitielle chronique pri-mitive. Actuellement, il faut compléter cette
s du poumon dans certaines formes de la broncho-pneumonie subaiguë ou chronique . Charcoï. Œuvres complètes, t. vi, Maladies des
ents urémiques observés dans la néphrite interstitielle. A. — Uré-mie chronique : dyspepsie: — ainauroses; — phénomènes nerveux. B
mporaire : c'est un fait que M. Johnson a bien observé dans la goutte chronique , où l'on voit l'albuminurie se montrer dans les a
variés, et généralement insidieux, qu'on désigne sous le nom fturémie chronique . Sans entrer dans le détail des formes qu'ils peu
ue est déjà profondément affectée. 1° Vous savez que dans la goutte chronique , suivant les observations de M. Garrod et les mie
la raison des dépôts tophacés qui, chez les sujets atteints de goutte chronique , se forment en abondance dans les jointures, au-t
par M. Sutton, je dois reconnaître que, dans 5 ou 6 cas de pneumonie chronique interstitielle (phthisie fîbroïde de Sut-ton), ob
topsie des sujets qui ont succombé à cette affection. V endartérite chronique ou athérome artériel est une des lésions que l'on
e parenchymateusë). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique . Forme chronique. — Examen macroscopique: — tum
Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme chronique . — Examen macroscopique: — tuméfaction, trouble d
stinctes au point de vue clinique : Io une forme aiguë ; 2° une forme chronique . Je n'envisage-rai ici que les formes subaiguë et
une forme chronique. Je n'envisage-rai ici que les formes subaiguë et chronique primitive. L'une des figures du R. Bright vous
on a si-gnalé aussi comme causes possibles le rhumatisme articu-laire chronique , diverses formes de cancer ; il ne faut pas oubli
arquer, en effet, que la néphrite in-terstitielle de ce genre, lésion chronique primitive, à évolu-tion lente et progressive par
circonstance qu'elle se montre, quelle que soit la ma-ladie aiguë ou chronique qu'elle vienne compliquer, est tou-jours due à l'
n suive. On peut citer encore l'exemple de la néphrite interstitielle chronique primitive, dans laquelle les urines contiennent f
des formes anatomo-pathologiques de la néphrite albumineuse aiguë ou chronique . La plupart des figures qui accompagnent ces le
iques ; — diminution du taux de l'urée; caractère vespéral ; — marche chronique ; — terminaison. Analogies entre les diverses f
s. — inflammation suraïguë (cholécystite suppurative). — Inflammation chronique (cholécystite scléreuse ; atrophie de la vésicule
nts urémiques observés dans la néphrite interstitielle. A. —? Uré-mie chronique : dyspepsie; — amauroses; — phénomènes nerveux. B.
e parenchymateuse). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique . Forme chronique. — Examen macroscopique : — tu
Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme chronique . — Examen macroscopique : — tuméfaction, trouble
e plomb Lésions du l'oie dans la , 88, 99, Coma dans l'oblitération chronique du canal cholédoque, 191. Congestion biliaire,
Hémorru oï d es , 363. 1 [épata lg ie, 126, 161. Hépatite, 99. — chronique , 220. —? interstitielle, 222. Hépatomégalie, 25
4: — pouls, tempé-rature, 80, 95 ; —? Taux de l'urée dans 1' —, 89. — Chronique , 117, 147, 188. — Dans la cirrhose hy-pertrophiqu
07, 394 : — par le rein con-tracté, 345, 347. Urémie aiguë, 317 ; — chronique , 345.—Dans la nephrite intersti-tielle, 345. —? D
12 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
». En outre, il a le soin de faire remarquer que l'af- fection est chronique par excellence, le plus souvent hérédi- 1 ' A
de deux à quatre mois chez l'enfant, exceptionnel- lement, elle est chronique et les cas où elle a duré un temps plus long se
dans l'écorce (Quincke Hirt Eisenlohr). Autopsie. Leptoméningite chronique , atrophie et hypérémie cérébrale. Pneumonie lob
n; par C. AIAYER. (YM/t ! '6Me/t. f. Psychiat., X, 1.) Saturnisme chronique professionnel (coliques de plomb, cépha- lalgie
ivent être rattachées à la maladie mentale. G. D. VIII. LE délire chronique ÉVOLUTION systématique et les PSYCHOSES DES DÉG
rentiels qui d'après l'enseignement de M. Magnan séparent le délire chronique des autres psychoses, notamment de celles des d
ychoses, notamment de celles des dégénérés. IX. Mélancolie anxieuse CHRONIQUE . PERTE DU SENTIMENT DE la personnalité; par le
-2 Folie systématique aiguë. Se distingue de la folie systématiqu e chronique par l'installa- tion aiguë ou subaignë des idée
- tallent lentement et progressivement dans la folie systématique chronique . Les idées délirantessont solides, mais dépourvue
e avec symptômes d'ar- rêt psychique, consécutive à une endométrite chronique (ulcéra- tions du col). On guérit l'affection d
on delà matrice; la psychose cède. Trois ans plus tard, endométrite chronique , métrite, catarrhe chro- nique du col et du vag
bres. Elles demeurent intactes dans la démence sénile, l'alcoolisme chronique , la folie systématique chronique. P. KERaVAL.
ns la démence sénile, l'alcoolisme chronique, la folie systématique chronique . P. KERaVAL. XII. UN CAS DE PORENCÉPUAHE ACQUIS
lire des persécu- tions, a engendré plusieurs travaux sur le délire chronique . Je crois assez volontiers que les persécutés,
cution. Ce point mériterait qu'on revint sur la question du délire chronique . D'autres aperçus n'ont pas été suffisamment étud
e. Quelques auteurs alle- mands vont même presque à faire du délire chronique une classe à part de la dégénérescence mentale.
la vue, on admet généra- lement qu'elle n'existe pas dans le délire chronique . On pense gé- néralement que les auteurs qui cr
la discussion pour délimiter le délire des persécutions, ou délire chronique proprement dit, le dé- lire des persécutions de
ccupaient une large place dans un délire de persécution à évolution chronique . Il rappelle ensuite le travail de MM. Séglas e
se trouve bien nulle part. De plus, il est admis que dans le délire chronique , les hallucinations de la vue n'existent pas. M
ute autre que celle de la psy- chose connue sous le nom de « délire chronique ». S'il fait de sa malade une « dégénérée », c'
rappelle la démence aiguë), par la mort ou par le passage à l'état chronique du reste lui-même curable. Il n'est pas rare de
gions craniennes. Chez les malades atteints d'affections cérébrales chroniques , la sensibilité des sutures est plus fréquemmen
ur aliénés incurables. ' Entre l'asile de traitement et l'asile des chroniques , s'étend un petit bois de sapins. L'asile de
pinale progressive type Duchenne- Ar&n (poliomyélite antérieure chronique , progressive). Aujourd'hui, je voudrais, avant
des cornes antérieures de substance grise, évoluant suivant le mode chronique . A cet égard, la seule différence qui existe en
je vous ai fait constater dans le cas de poliomyélite antérieure chronique . S'agit-il ici encore de cette affection ? Nul-
ax, on constate les lésions ordinaires de la tuberculose pulmonaire chronique . Les poumons sont farcis de tubercules à divers
Ménière, soit pour leurs bourdonnements, offrant ou non des lésions chroniques sclé- reuses des oreilles, peu faciles à modifi
ntelligence moyenne, elle a eu de légères atteintes de rhu- matisme chronique aux poignets et des migraines assez fréquentes
our nous faire songer à une lésion irritative du cerveau (méningite chronique ou sclérose des circonvolutions). D'autre part,
eur de l'internement. Une fois l'aliéné interné, qu'il soit aigu ou chronique , l'occupa- tion hygiénique, lorsqu'elle est pos
étant d'un pronostic défavo- rable. Il est vrai que les affections chroniques s'accompagnent aussi de cette constante, sinon
sinon la commotion mécanique elle-même. P. K. V. DE la paralysie chronique PROGRESSIVE DES MUSCLES DES YEUX, 1 travail pos
ignes spinaux et céré- braux. Il y a cependant des cas de paralysie chronique des muscles des yeux indemnes cliniquement de t
lonus peut s'associer, en ajoutant un syndrome de plus aux myélites chroniques graves, comme la myélite diffuse, l'atrophie mu
morrhagies primi- tives ; le premier phénomène est une inflammation chronique de la dure-mère, une pachyméningite, d'où forma
observations personnelles durant ces dix dernières années (myélite chronique ou dorsale) montrent que 35 à 40 p. 100 de ces
fois ils se prétendent ressuscités. Ils ressemblent à des délirants chroniques ; mais leur délire n'a suivi aucune évolution ré
attachent à des lésions occupant les centres nerveux. L'amblyopie chronique de l'hystérie ou anesthésie rétinienne tient pr
isons qui modifient le caractère lorsqu'on en fait abus d'une façon chronique . Alcool, éther, chloroforme, hydrate de chloral,
a première année de la vie, par une paralysie, à marche subaiguë ou chronique , des muscles 282 SOCIÉTÉS SAVANTES. du bassin
la sensibilité. Toujours chez tous les malades, marche symétrique, chronique , progressive. Sans exception, la mort avait lie
ujourd'hui, comme avant, continuer à être reçus dans une section de chroniques d'un asile d'aliénés, car ce sont des infirmes,
e de l'idiot, qui n'est autre qu'un malade .atteint d'une affection chronique du cerveau, fait partie de la pathologie cérébr
ux processus syphilitiques du sys- tème nerveux, gommes, méningites chroniques cérébrales locali- sées, artérites et leurs con
urir, présentant depuis quelques années des arthrites rhumatismales chroniques . Père. Caractère vif. Hère. Sa santé a été touj
embre inférieur. Prog. Méd., -1879, p. 518) concerne aussi un accès chronique où le tremblement s'augmentait par les émotions
die; 2° guérison avec léger airai- blissement des facultés; 3° état chronique de démence; 4° mort après marche aiguë ou chron
cultés; 3° état chronique de démence; 4° mort après marche aiguë ou chronique , le plus souvent par pneumonie, phtisie, marasm
es et peu profonds de cette forme vésanique. Quand il y avait manie chronique simple et non démence maniaque, le sujet se mon
i générale que sur les états maniaques. Dans un cas de mélancolie chronique , la maladie intercurrente a produit un effet semb
èrent non plus rien de notable. 11 faut noter en plus un alcoolique chronique qui cessa de délirer dès le début de l'at- taqu
tions arrondies. Tous les traitements ont échoué contre ces ulcères chroniques . (Annales médico-psycholo- giques, juin 1892).
Dunn est disposé à se ranger, renoncent à l'admettre. Sous la forme chronique , elle peut ou être' primitive, c'est-à- dire ap
est la para- noia persecuteria qui correspond assez bien au délire chronique de Magnan et des auteurs français. C'est celle
s intermédiaires entre le délire sensoriel typique et la para- noia chronique . Le délire sensoriel typique, bien que ressembl
ns le processus de dégénérescence mentale qui constitue la paranoia chronique , on distingue deux facteurs psychologiques, d'u
ou paranoia aiguë. Entre le délire sensoriel vrai et la paranoia chronique , il y a une multitude de formes dans lesquelles
ns les vagues appréhensions de la période prodomique de la paranoia chronique . C'est à ces formes que doit s'appliquer exacte
s cliniques intermédiaires entre le délire sensoriel et la paranoia chronique , elles ont des carac- tères communs dans quelqu
men nécroscopique. J. Séglas. LVI. Contribution A l'étude du délire chronique ; par R. Fronda. (Il manicomio, fasc. 2-3, 1892.
ns, l'auteur tire les conclusions suivantes : I. La forme du délire chronique décrit par M. Magnan existe bien cliniquement.
si d'ailleurs faire totalement défaut. - III. L'évolution du délire chronique n'est pas constamment identique ; mais, outre q
ouvent. V. Etant donné certains des caractères essentiels du délire chronique , il n'est pas difficile de le différencier du dél
es doctrines suc- cessives plus récentes de M. Magnan sur le délire chronique ; bien qu'il trouve que ce ne soit pas difficile
. Son délire est bien différent du délire de Lasègue ou du délire chronique de Magnan. Il diffère aussi du délire des dégénér
dipsomanie, sur la folie des héréditaires dégénérés, sur le délire chronique , sur la folie in- termiltente, contenues dans c
la guérison, qui est très fréquente, la manie peut passer à l'état chronique qui se termine par la démence. Rarement elle se
viande cuite, sans os, nécessaire pour maintenir en bonne santé les chroniques d'un asile ? 4° La soupe et le bouillon occupen
on ne l'a cru jusqu'à ce jour dans la pathogénie des tremblements chroniques qui succèdent aux grands ébranlements psychiques.
es et des actes comme dans.la manie aiguë. Dans les formes de manie chronique , dans les états d'agitation, aux arrêts de déve
i se corrigea après sa mise en cellule. Une femme atteinte de manie chronique changea ses habitudes de malpropreté après une
, dans le tremblement de la paralysie agitante et dans l'alcoolisme chronique . L'abus du médicament commencerait dansle cas o
tte rapporte les observations de trois ma- lades atteints de chorée chronique , chez lesquels l'affaiblissement des facultés i
l'on peut tirer de cette étude sont les suivantes : 10 La néphrite chronique est une cause fréquente de folie. 2° La mélanco
vec la cause. Si la cause persiste, l'affection rénale peut devenir chronique . 4° Contrairement à l'opinion de beaucoup d'obs
f, et intitulé : Dissimulation des idées de grandeur dans le délire chronique des persécutions. Une mention honorable est aussi
pports du moi. Il n'y a selon moi d'exemple de folie systématique chronique (chroniscke paranoïa) ou pour nous servir du te
e après l'ablation des zones motrices, par Jlouratof, 136. Délire chronique , par Sérieux, 92 : par l'rondor, 390; polymorph
nie, post éclamptique, par Alexan- der, 460. Mélancolie, anxieuse chronique , par Dagonet, 9 ? ;- au point de vue physiolo
il), réaction galva- nique de l ? par Hoche, 280. Yeux, paralysie chronique des muscles des -, par Siemerling, 262. TAB
13 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ccouchement et des suites de cou- ches sur la marche d'une psychose chronique antérieure. Cinq observations dont deux de foli
eur pas la moindre influence sur la marche ultérieure des psychoses chroniques . Il n'a vu d'ailleurs que très rarement surveni
e, des troubles vasomoteurs. 4. Deux cas de parole double. Délire chronique hallucinatoire. Les deux malades entendent deux
rs de l'écorce amènent parfois rapidement la mort (abcès). Un abcès chronique du cerveau, terminé par la mort, doit être cons
u'elles ne se terminent pas par la guérison, elles passent à l'état chronique et aboutissent même à de véritables psychoses (
arfois la démence paralytique (une obser- vation), ceux de paranoïa chronique . Au point de vue médico-légal, les psychoses tr
une expertise. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 57 Leur marche est-elle chronique ? le rapport de cause à effet entre le traumati
s maniaque que termine la dé- mence. La marche de ces psychoses est chronique . Au cours de la période latente il arrive que l
ède, les lésions ner- veuses, au lieu de disparaitre, sont devenues chroniques en restant très légères. D'où les signes de réa
ons chirurgicales. L'évolution de ces arthrites est essentiellement chronique mais coupée de poussées aiguës. Il arrive que,
angés dans cette catégorie étaient atteints de délires systématisés chroniques ou de confusion hallu- cinatoire ; les cas de f
is viennent la confusion hallucina- toire, les délires systématisés chroniques ; enfin les folies inter- mittentes. L'hérédit
diminution (même depuis 1870) du taux de la mortalité, le caractère chronique de la maladie, et la fâcheuse fréquence des rec
ce qui indique clairement qu'il s'agit d'une accumulation de cas chroniques . D'autre part, il y a eu pour la même période une
e. Nous avions une malade qui, sous l'influence de cette saturation chronique , présentait indé- pendamment de cet état gastri
à une apoplexie. Foyers multiples de ramollissement. Ramollissement chronique du cerveau par artério-sclérose ayant détruit l
est le moins affecté et le dernier dans la polyomyélite progressive chronique , et, comme l'a montré hünrazzini; est probablem
s pos- sibles sont la guérison, l'amélioration, le passage à l'état chronique et la mort; les chiffres recueillis à l'asile d
0 cas, on compte 49 guérisons (40,8 p. 100), 41 pas- sages à l'état chronique (34,1 p. 100), 14 améliorations (11,6 p. 100),
a tuberculose en deux catégories distinctes, savoir : 1° Myélites chroniques , caractérisées anatomiquement par l'existence d
le, présentant au point de vue clinique les symptômes d'une myélite chronique . Dans son index bibliographique, le même auteur
tuberkulose. Tùbingen, 1890. Mal de Pott cervical. Leploméningile chronique . Poussée de ménin- gomyélite aiguë limitée à la
t le tableau de la myélite aiguë ou subaiguë ou enfin de la myélite chronique . Cette forme de tuberculose de la moelle est tr
o- périvasculite et peuvent amener des oblitérations dans les cas chroniques (Gunsser). Partout l'on constate l'hypérémie, q
les cas aigus, sous les symptômes d'une myélite aiguë. Dans un cas chronique (cas de Gunsser), elle s'est présentée sous les
res de la tuberculose de la moelle doit être encore augmenté du cas chronique décrit par Gunsser. Ainsi, la tuberculose nodul
uberculose nodulaire de la moelle peut être aiguë, subaiguë et même chronique . Nous connaissons les cas de transition entre l
as de transition entre les cas aigus (Raymond, Liouville) et le cas chronique de Gunsser. Cette transition est formée par les
.problématique et l'affection chez l'un et l'autre a passé à l'état chronique . - SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES ALOENISTES
é apparente pro- noncée. Maladies antérieures : rhumatismes subaigu chronique articulaire et musculaire, dyspepsie, artères s
'annoncent chez toutes par une bronchite aiguë ou par une bronchite chronique repassant à l'état aigu. Cette bronchite des gr
ital et établit une distinction tranchée entre cet état et la folie chronique systématisée ambitieuse désignée autre- fois so
is une maladie de Basedow, une cirrhose hypertrophique thyroïdienne chronique , si l'on veut, et une cirrhose hypertrophique d
e plus, les signes de la cirrhose hypertrophique du foie : ictère chronique , troubles digestifs profonds, selles et urines bi
tologiques est' que, dans un certain : groupe de maladies nerveuses chroniques , dont la clinique. nous montre Travail du labor
ites plus haut. La moelle présente dans sa hauteur une inflammation chronique de la pie-mère, qui est très régulièrement répa
ond, les pièoes de trois cas de syphilis spinale dont l'un, myélite chronique diffuse évoluant sous les allures d'une atrophi
malades étaient atteints l'un d'une myélite syphilitique transverse chronique (F. Raymond, Contribution à l'étude de la syphi
d'un homme de vingt-cinq ans qui, dans le cours d'une blennorrhagie chronique , durant depuis trois ans, fut brusquement frapp
près chaque accès de névrite. Actuellement l'affection est à l'état chronique : les symptômes moteurs prédominent; plu- sieur
contraire nettement progressive et incu- rable, ce sont les chorées chroniques progressives : a, chorée héréditaire ou de Hunt
s progressives : a, chorée héréditaire ou de Huntington ; 6, chorée chronique progressive sans hérédité similaire; 3° chorées
és démence sénile : il étudie ainsi les pseudo-démences des délires chroniques systéma- tisés et termine en signalant le rappo
issimulateurs les plus dangereux sont lesaliénés atteints du délire chronique de persécution à forme systématique. En un mot
petit névrome sous-cutané. Il a opéré une aliénée atteinte de manie chronique et de fibrome du sein : elle a guéri de sa foli
vement chargés des alié- nés choisis parmi les convalescents et les chroniques . A midi, un déjeuner de cent vingt couverts réu
ées dans la substance blanche de nos cas de polyomyélite antérieure chronique et subaiguë ne leur retirent absolument rien de
rvant l'un d'hôpital pour les cas aigus, l'autre d'hospice pour les chroniques . Les asiles deMarsberg(1835), d'Illenau (1842),
7 asiles mixtes, 8 asiles de traite- ment, et 27 hospices d'aliénés chroniques . Les établissements de traitement contenaient d
maintenant, une forte proportion d'incurables 1. Les hospices de chroniques ne servaient qu'à débarrasser les asiles mixtes
nt possible les cas aigus; 2" une colonie agricole pour les aliénés chroniques capables de travailler et n'ayant pas besoin de
ment médical des psychoses aiguës et de la colonisation des formes chroniques , pour demander la création de deux sortes d'éta
veur du traitement en liberté des aliénés et de la colonisation des chroniques . « L'idée, dit-il, du traitement en masse, avec
l'assistance familiale des aliénés. On sait que certains malades chroniques , tranquilles, ne retirent aucun avantage d'un séj
le aussi, l'assis- tance familiale pour un certain nombre d'aliénés chroniques : en 1893, 209 de ces sujets étaient assistés d
; par le grand développement donné à la colonisation des aliénés chroniques : par le traitement individuel des psychoses cura
94.) E. B. IV. Remarques SUR LE traitement médical DE l'épilepsie chronique ; par le D' ROUDURANT. Les conclusions de l'aute
uf de rares exceptions, sans influence sur la marche de l'épilepsie chronique vers la folie; 2° Le naphtol peut rendre quelqu
de l'auteur il y en a deux formes : une forme subaiguu et une forme chronique . En tout cas il ne s'agit pas du tout de la pro
phérie. Cette progression graduelle est remarquable dans la forme chronique . Voici comment dans l'ordre suivant les tissus
ur métamorphose. . ! Ce qui distinguera forme subaiguë, de la forme chronique , c'est que dans la première l'infiltration des
emmes le présentaient plus fréquemment que les hommes. La méningite chronique simple existait dans 85,9 p. 100- des cas. La
. Zeitschr. f. Psychiul., LI, 3.) Au début de la folie systématique chronique , le malade peut regarder ses conceptions délira
a rencontrée chez des sujets atteints de confusion, de mélancolie chronique et de paranoïa hallucinatoire. Ses recherches ont
hie des fibres externes et moyennes se rencontre dans les psychoses chroniques avec terminaison par la démence (mélancolie, dé
Si le fait se confirme de l'atrophie des fibres dans les psychoses chroniques évoluant vers la démence, il reste, comme carac
e se rencontre chez des alcooliques sous le coup d'une intoxication chronique qui a déterminé des troubles graves de la nutri
tique paraît plus fréquente chez les' buveurs. Chez les alcooliques chroniques atteints d'hystérie traumatique une dose minime
nde si les malades observés par l'auteur, souffraient d'un catarrhe chronique de l'estomac. Dans ce cas il faudrait attribuer
miANN répond que nombre de ses malades étaient atteints de gastrite chronique . M. BuscHAu (de Stettin). De l'influence de la
e Hubertusburg). La menstruation et son influence sur les psychoses chroniques . - Les recherches de l'auteur ont porté sur 99
de l'auteur ont porté sur 99 femmes atteintes d'affections mentales chroniques , dont l'âge variait pour la plupart entre trent
nq ans. Les psychoses observées chez les femmes étaient la paranoïa chronique (17 cas), la même forme avec affaiblissement in
ssement intellectuel (40), la démence secondaire (10), la confusion chronique (23); il faut y ajouter quelques cas d'idiotie,
s-persécuteurs comme symptôme se mon- trant au cours d'une paranoïa chronique (la fille). Apparition d'idées de grandeur. Ter
Au cours de certaines intoxications, principalement l'alcoolisme chronique , comme aussi dans le cours ou la convalescence de
e du coeur. L'évolution de la paralysie est variable, tantôt lente, chronique ; tantôt généralisée très rapidement en revêtant
ilité. Il est, au contraire, généralement favorable dans les formes chroniques alors que l'état général du patient est relativ
artiennent, sans ou presque sans exception, aux formes subaiguës au chroniques des maladies infectieuses ou toxiques. Les lé
'écorce cérébrale décrites dans certains cas d'intoxi- cation grave chronique , il est probable que les différents degrés d'al
e d'aliénés de l'Alabama, l'auteur a trouvé des signes de lésions chroniques du rein chez 50 p. 100 des malades atteints de fo
s chroniques du rein chez 50 p. 100 des malades atteints de folie chronique . Les faits recueillis lui permettent de soutenir
e n'étant qu'un symptôme mental de l'intoxication ,rémique aiguë ou chronique . (American journal of insanily, uillet 4895.) E
ellement quelquefois, revêtir l'allure d'un processus inflammatoire chronique . Ils ont alors plutôt l'aspect de foyers multip
émie, des thromboses, etc. M. Boedeker. Sur un cas d ophtalmoplégie chronique (avec présen- tation de préparations). Un paral
57. 250 cas d ? par Macalester, 156. Traite- ment médical de l'- chronique , par Bondurant, 376. et son traitement par Cr
et Crain, 159. , Menstruation et son influence sur les phychoses chroniques , par Noecke, 416. Migraine ophtalmique et aph
Freud, 476. Obsessions et phobies, par Freud, 46. Opiitalmoplégie chronique , par Boe- deker, 491. Onc. Sur une sensation
14 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
olie, des guérisons tardives, tout comme dans les au- tres maladies chroniques . Y aurait-t-il une durée après laquelle la guér
mptiques, puis cette épilepsie aiguë passe pour ainsi dire à l'état chronique et ne se manifeste plus que par des attaques is
l'organisme en état d'opportunité convulsive, ou passer à l'état chronique , et se tranformer en épilepsie vulgaire. Quelle
semble qu'on ne peut guère hésiter qu'entre deux formes, le délire chronique et la mélancolie anxieuse, et encore l'hésitati
minent chez elle ne sont celles que l'on observe chez les délirants chroniques . La maladie débute ici par un accès de mélancol
alluci- nations de la vue très intenses, rares chez les délirants chroniques , et qu'elles sont primitives dans l'évolution du
ion, c'est-à-dire presque primitive; tandis que, chez un délirant chronique , elle marque une période très avancée du délire,
uent de celles que l'on observe chez les aliénés atteints de délire chronique . Comme le fait justement remarquer M. Cotard, c
e prédis- posée. Si notre malade s'éloigne beaucoup des délirants chroniques , elle se rapproche d'un autre côté d'une façon
raisons qui nous ont empêché de faire de notre malade une délirante chronique . Malgré ses idées de damnation, nous n'avons pa
ents ne relèvent ni d'une affec- tion cardiaque, ni de l'alcoolisme chronique , ni d'une sclérose ARCIIIVLS, t. VIII. 6 8 :
de quelques affections nerveuses : atrophies musculaires, myélites chroniques , ataxies locomotrices, ramol- lissements cérébr
xte, c'est-à-dire qu'il contient réunis des malades curables et des chroniques . Le chiffre de la population est de 300; égalit
ssements. Nous cite- rons plus particulièrement : l'organisation de chroniques (mani- côme de Gênes, de Saint-Lazare à Reggio)
rarement retardée jus- qu'au quinzième ou vingtième jours, le type chronique durant une ou plusieurs années; 3° la forme spi
e les troisièmes fron'ales président à la parole. Déjà, DU DÉLIRE CHRONIQUE . 173 depuis 1879, M. Magnan ' n'accordait plus
ligne médiane. RECUEIL DE FAITS CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU DÉLIRE CHRONIQUE ; Par le D''Louis BOUCHER. Si les nombreuses a
ique, nous avons cru devoir retracer les points saillants du délire chronique nettement caractérisé par quatre stades : inqui
tion. , - 't' " 1 ? ' , "" , -*«r ' t J -1 L étiologie du délire chronique . est^tout entière dans,l'1 ér- dité; et; pour,
Délüëhclironiqiié,stlès 1883, résumé p. 11. -agi j-idoJiu DU DÉLIRE CHRONIQUE . 175 Aussi, ne saurait-on trop soigneusement re
ces prédisposés mal équilibrés, et les premiers symptômes du délire chronique apparaîtront, le chue moral les impressionnera
persécution, d'ambition et de démence. hesccomplications du délire chronique sont constituées par différents états, tels que
ée à l'excellente thèse de M.' Respaut et dans laquelle le délire chronique se montre simultanément avec l'épilepsie. , Le
fonde prédomine dans l'ensemble de son état, tandis que le délirant chronique a tendance, dans son délire, à grouper les fait
février 1881, avec le coi tificat suivant, de M. llLcw;v : « Délire chronique (teec hallucina- tions, troubles de la sensibil
iL)depuis 1 8-j séjourné dans "différents asiles de province : elle chronique avec hallucinations, troubles dé 1 ti zs "il)ii
énérale Uli systcme ïlcrvëûx.5, t ,sc ? a ? s ? "i ? v ." DU DÉLIRE CHRONIQUE . 179 Il semble inutile de multiplier les observ
. 179 Il semble inutile de multiplier les observations de ^délire chronique à la période de persécution, elles sont plus' ou
toutes les mêmes, quand il ne vient pas se greffer sur le délire chronique un autre état morbide. Voici maintenant un casj s
la clinique; de l'admission, avec le certificat suivant : «-Délire chronique mystique, volubilité et excitation, hallucinati
l9 9119 Ujl 9 : 'UI(1115 ' 'Tels olitt-les 'cas simples due délirei chronique j'dls peuvent se compliquer d'autres ! états' e
quaient de lui, qui l'injuriaient. Plus tard, l'évolution du délire chronique continuant, V... se demandait si ce n'était pas
de vrais parents. » Les hallucinations qui se rattachent au délire chronique se montrent aussi plus ou moins vives et pressa
A trente ans,-V... est arrivé à la période expansive de son délire chronique . Il entend la voix de Dieu, il veut tra- vaille
nt;guère qu elle, car l'a2olisme'iupeliéôlémén compliquer le délire chronique n ? »qv|i b-1 innfn',1 i ? « 1 ? an-l ..S ? 11l
(|.ilt* Ivc,1\W fC4lV ? lv9y'NW , «i'<»i "» En résumé, le délire chronique , quel qu'il soit, ou que DES CIRCONVOLUTIONS CÉ
inflammation interstitielle vraie du cerveau, à marche subaiguë ou chronique ; qu'elle est en somme une véri- table cirrhose
bliographie. Il arrive. aux conclusions suivantes : 1° L'alcoolisme chronique n'est pas une forme morbide ; ce n'est pas non
és presque .absolument par de l'eau-de-vie; ' - = 4° L'alcoolisme chronique possède différents rapports de parenté Ancum Es
es, la, mqrt, y9 constituant la règle ; 7°La marche de l'alcoolisme chronique est, .comparativement, aiguë; elle comprend plu
rale; il' est vrai.qu'alôrs il s'agissaitfnoiï plus'd'unc évolution chronique ordinaire,' mais d'une marche aiguë et souvent'
ivement .peu de médicaments ^capables de7prëduire, pâr intoxication chronique , dos'psychoses parfaitement'développées. Citons
? la ? pâéal3siëtdu coeur. Parmi les résultats de l'empoisonnement chronique .' il-faut 'nommer'do graves'difficultés de la d
sion brusque, n'a dès lors Li tion immédiate .avec )echioraii<me, chronique z stade s'y rattache directe ment. Lé deuxième
iste d'état, clair. Quant H l'anatomie pathologique de,iencéphatito chronique ,' les f préparations,' discussions et analyses
auto-accusations lypénianiaqucs, et d'idées de persécution; les cas chroniques eux-mêmes démontrent la réalité de cette assert
quatre-vingt-un malades. CnARpENTtER. VI. Étude sur le morphinisme chronique (thèse, 1883); par M. Danie Jouet. Descriptio
: Aphasie et Arttonontnsie, paralysie par compres- siorz, urticaire chronique , sperrnatorrhée et irnpuisscznce par influence
ant. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXIII. Un cas d'affection chronique DE la moelle épinière,guérison; par Alessandro
Autopsie. Sclérose diffuse de l'encéphale; lepto- méningite spinale chronique ; sclérose diffuse de la moelle ; foyers de scl
SE. XXVI. Contribution A l'anatomie pathologique de l'encéphalite chronique MUL9'ILOCUL.1111E (connue sous le nom de sclérose
. Nervenk., XIII, 3.) Reçu à l'hôpital pour une phthisie pulmonaire chronique compli- quée d'ascite et d'anasarque, le malade
ar- TIELLLE ET sur L'OCCURRENCE DE H paralysie spinale atrophique CHRONIQUE CHEZ l'enfant; par ERB. (IYeUI-01. Ce7tlz'(Llbl.,
e détermination, la première concerne une poliomyélite antérieure CHRONIQUE CHEZ UNE FILLETTE DE six ANS (fait unique); la se
èce. Signalons le cas 111. Un syphili- tique atteint de dyssenterie chronique du Cap (vingt-quatre selles sanglantes par jour
qui revient à peu près au même, l'admission dans cet asile de cas chroniques , antérieurement traités soitauKWorkhouse », soit
t être la marche des faits : D'abord, à la suite d'une inflammation chronique des méninges ou de la région corticale, il se p
quel- 361. SOCIÉTÉS SAVANTES. conque ; paralysie générale, délire chronique , épilepsie, etc. Qui ne sait que, dans cette in
ôt que par groupes. L'autopsie révèle, en outre, une leptoméningite chronique avec oedème modéré du cer- veau ; les méninges
liquer les troubles passagers; dans un second cas, une inflammation chronique des méninges molles au niveau de la surface ent
aient un symptôme initial. Il a vu pareille chose dans l'alcoolisme chronique , dans le traitement salicylé (à hautes doses),
existe d'étiologie nette, il s'installe, sous la forme subaiguë ou chronique , un affaiblissement de la motilité des extrémit
ité de tout l'endocarde; emphysème pulmonaire. Bronchite catarrhale chronique . Stase hépatique et splénique. Les reins sont n
rmulé que' toute psychose présente, comme toute névrose, une marche chronique , que les formes transitoires ne sont que les pl
in-4° avec tableaux; De l'influence des trans- lations des aliénés chroniques de la Seine dans les divers climats de la Franc
lbuminurie transitoire dans les états convulsifs, 3S0. Alcoolisme chronique , 225. Aliénés (effets de la fièvre chez les),
Rennes, 127. Ataxie locomotrice et syphilis, 88. Atrophie spinale chronique chez l'enlant, 30. Bains prolongés dans le dé
s cordons latéraux, par Yierordt, 331. Délire aigu, 104. Délire chronique (contribution à l'étude du), par Boucher, 173.
le allongée (tumeur de la), 333. Morphiomanie, 128. Morphinisme chronique (du), par Jouet (An.Charpentier),266. Myosite
15 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
ndications : i° une affection organique du rein ; i° une inflammation chronique du gros intestin. La première affection, qui étai
organique des viscères thoraciques. Dans quelques cas d'inflammation chronique du rein, les vomissemens peuvent être le résultat
mènes sympathiques ne s'usent pas, pour ainsi dire, dans les maladies chroniques . Sous le rapport de l'anatomie pathologique, ce
d peu altéré. C'est ainsi que chez une malade affectée d'inflammation chronique du corps de l'utérus, examinant par hasard les re
le rein représenté fig. 3 et 4 avait été le siège d'une inflammation chronique snr laquelle s'était, pour ainsi dire, entée une
dans le tissu du rein enflammé. Chez un individu affecté de catarrhe chronique de la vessie, j'ai trouvé dans le rein un nombre
les de fièvres adyna-miques, d'entérites et autres maladies aiguës ou chroniques , dans lesquels il est fait mention de ramollissem
s plus énergiques, soit intérieurs, soit extérieurs. Ramollissement chronique de la rate. (PLANCHE Ire, FIGURE 4, Iï" LIVRAIS
nce énorme qui existe entre une com-prcaolou algue et une compression chronique exercées sur le cerveau. Il n'est pas rare de tro
re épaissi et induré, et qui attestaient l'existence d'une irritation chronique du poumon. La surface interne de tous les canaux
ment une prédisposition nécessaire. Dans le cas actuel, une bronchite chronique avait précédé; une attaque d'épilepsie sembla le
poumon, je trouve presque toujours soit des bronchites très-aiguës ou chroniques , soit des pneumonies ou pleurésies incomplètement
elles, que toutes les formes d'altération organique, soit aiguë, soit chronique , peuvent en être le résultat; d'où la nécessité d
une tumeur, aucune région sensible. Je pense qu'il existe une maladie chronique latente de quelqu'un des points du canal intestin
ltère profondément, les traits s'étirent comme à la fin d'une maladie chronique . Les parois abdominales et les extrémités supérie
de l'inflammation et en particulier la suppuration, les inflammations chroniques et dégénérations de tissu connues sous le nom de
s maladies, se présente tantôt sous le mode aigu, tantôt sous le mode chronique ; et dans l'un et l'autre cas, ou bien elle envah
donc que lorqu'ils ont acquis une certaine densité, dans les maladies chroniques du larynx par exemple, que le doigt peut-être de
ngite sous-muqueuse de la région sus-glottique du larynx. Laryngite chronique ulcéreuse occupant la surface extérieure et intér
ite sous-arachnoïdienne aiguë et une de méningite sous-arachnoïdienne chronique , ont présenté trait pour trait l'altération repré
s de compression. Obs ervation III. — Méningite sous-arachnoïdienne chronique de la hase. Est. B., huit ans; crâne volumineux
soupçonne une affection cérébrale, quelque tubercule, ou inflammation chronique circonscrite, soit du cerveau, soit de ses membra
lente nerveuse, qui lui a été imposé par Huxham; de maladie muqueuse chronique , par Rœderer et Wagler ; c'est Ventérite follicul
et il conclut que la dame Hullin avait succombé à une gastro-entérite chronique , tout en invitant l'autorité à faire procéder à l
de tous les tissus fibreux, que cette fluxion tend à passer à l'état chronique ; et de la fluxion chronique d'une membrane fibreu
que cette fluxion tend à passer à l'état chronique; et de la fluxion chronique d'une membrane fibreuse à sa dégénération cancére
porte ce que j'ai déjà eu occasion de dire au sujet de la compression chronique du cerveau. Lorsqu'une cause comprimante agit len
le ramollissement gélatiniforme du cerveau peut exister d'une manière chronique . Or ce ramollissement, qui échappe aisément à une
bles, où elle est morte âgée de quinze ans, par suite d'un dévoiement chronique . Voici les détails qui ont été recueillis sur son
*) Cours d'études anatomiques 5 anatomie descriptive, t. 1, p. 4^2. chronique , il me paraît démontré (*) que les deux opinions,
ivraison. 1 vénériennes incomplètement guéries et aux inflammations chroniques , suite de contusions; en un mot, c'est la forme l
aits à regarder cette altération comme le résultat d'une inflammation chronique de l'épididyme. C'est en effet l'épididyme qui es
ismale, scrophuleuse, et sous le point de vue du mode, en aiguë et en chronique . Les tumeurs blanches me paraissent consister ess
lanches me paraissent consister essentiellement dans une inflammation chronique de la synoviale. La goutte articulaire a pour car
oire inférieure, et j'ai eu occasion de voir des rhumatismes aigus ou chroniques qui n'avaient respecté que l'articulation de la m
plus graves et les plus constans de l'inflammation, soit aiguë, soit chronique , des membranes synoviales : cet effet persiste i
ur seront considérables. La cause de cette usure est l'inflammation chronique de la synoviale. Combien de douleurs articulaires
, parce que toutes sont susceptibles d'inflammation, soit aiguë, soit chronique , dans leurs synoviales ; en quelques jours l'infl
res; mais ce n'est qu'au bout d'un temps très-long que l'inflammation chronique des synoviales a pour résultat l'usure progressiv
s articulaires; or, la cause la plus habituelle de cette inflammation chronique , c'est une affection rhumatismale ou bien l'exerc
lages complètement détruits en huit ou dix jours. Dans l'inflammation chronique , la destruction est beaucoup plus lente, mais au
es fatigues sont elles-mêmes une cause d'inflammation ou d'irritation chronique . Des corps étrangers articulaires. La figure i
étrangers des articulations coïncident souvent avec une inflammation chronique des synoviales, circonstance trop négligée peut-ê
rsque le malade succombant à la suite d'une maladie, soit aiguë, soit chronique , 1 estomac ne contient que des liquides. Ce ramol
e l'ai rencontré à la suite des maladies les plus diverses, aiguës ou chroniques , avec ou sans symptômes du côté de l'estomac. Une
einte en rouge lie de vin. A la suite de certaines maladies aiguës ou chroniques , la coloration de la membrane ramollie est brunât
calcul des probabilités que je fis à cet égard, à accuser une maladie chronique du foie. Que faire ? le régime, la médecine du sy
E L'ESTOMAC. (planches v ET vi, Xe livraison.) De l'ulcère simple chronique de Vestomac. Confondu dans la pratique, tantôt
que de Vestomac. Confondu dans la pratique, tantôt avec la gastrite chronique , tantôt, et plus souvent encore, avec le cancer,
ique, tantôt, et plus souvent encore, avec le cancer, l'ulcère simple chronique de Vestomac ne me paraît pas avoir fixé l'attenti
ui existe à cet égard. I. Anatomiquement considéré, l'ulcère simple chronique de l'estomac consiste dans une perte de substance
nes morbides, les uns sont communs à l'ulcère simple et à la gastrite chronique , les autres à l'ulcère simple et au cancer. J'ai
peu de chose près, les mêmes que celles du traitement de la gastrite chronique et du cancer. Que ferions-nous si nous avions un
d'une heure. Une remarque très-importante dans toutes les affections chroniques , c'est de ne pas trop prolonger la diète adouciss
aigu doit entraîner bien plus souvent cette perforation que l'ulcère chronique , lequel est presque toujours suivi d'adhérences s
ni cette densité, ni cet épaississement qui accompagnent les ulcères chroniques ; i° par les commémoratifs , le malade n'accusant
n oblitération. Là planche 6 va nous fournir des exemples d'ulcères chroniques de l'estomac avec lésion tantôt de l'artère coron
qui avait présenté pendant plusieurs années des symptômes de gastrite chronique . La figure 4 (pl. 6) nous fournit un exemple de
ux civils qui pratiquent la plupart des amputations pour des maladies chroniques , pour des tumeurs blanches, par exemple, ont dû s
es collections de pus, par exemple dans la pleurésie et la péritonite chroniques avec collection de pus, dans les abcès par conges
ns les cavernes des phthisiques. Je l'ai vue dans un cas de bronchite chronique purulente. Enfin, tous les signes de la gangrène
donc consécutive : elle peut tenir, ib à l'extension de l'irritation chronique dont la portion du péritoine qui revêt le foie es
travail d'irritation puisse s'élever jusqu'à l'inflammation aiguë ou chronique du péritoine. Dans un grand nombre de cas, l'asci
s on conçoit que le malade puisse succomber à une pleurésie aigiïc ou chronique . J'ai observé un exemple fort remarquable de cett
génération cancéreuse des organes : toutes les fois qu'une irritation chronique a lieu dans un organe, les artères prennent un ar
0 avril, j'épuisai la série des moyens employés contre les affections chroniques et légères du foie ou de l'estomac : les eaux de
calculs biliaires et autres corps étrangers; l'inflammation aiguë ou chronique des conduits biliaires ; les diverses transformat
sus blancs étaient fortement teints en jaune. XVIII. L'inflammation chronique des voies biliaires est assez rare dans l'espèce
i présente avec elle de grands traits d'analogie. Guérison d'ulcère chronique aux narines. — Cancer au pylore et à la partie vo
loureux , l'érysypèle ambulant 5 une multitude d'affections aiguës et chroniques , à caractères spéciaux , viennent-ils compliquer
malade qui avait échappé à la péritonite, a succombé à une pleurésie chronique , au bout de 2, 3, 4 mois. Le pus contenu dans l
s nuances d'irritation, connues sous le nom de gastrites ou entérites chroniques , ont éprouvé dans les symptômes une recrudescenc
. X. Le dévoiement cholérique a été funeste, i° en passant à l'état chronique et en dégénérant en entérite, i° en se transforma
transformant en choléra. XL Le dévoiement cholérique passé à l'état chronique ou dégénéré en entérite , doit être combattu par
je rapporte en grande partie la guérison dans des cas de dévoiements chroniques très graves. Plusieurs praticiens se louent beauc
individus affaiblis par 1 age, par des maladies antérieures aiguës ou chroniques , par l'accouchement, a presque toujours été funes
rofonde altération et lui enlève ses moyens de résistance. Entérite chronique ; accouchement ; dévoiement cholérique. Mort. U
spect brunâtre insolite de la langue, me font craindre une ulcération chronique du gros intestin, et en effet, la malade s'éteign
qui étaient préalablement sous l'influence d'une gastrite et entérite chroniques . Il m'a paru également qu'une thérapeutique échau
be. Enfin à la suite de la réaction peut survenir une gastro-entérite chronique qui résiste à toute espèce de traitement. X. Je
raduellement et ne se transforme pas en phleg-masie, soit aiguë, soit chronique . L'observation qu'on vient de lire prouve que l'i
s qui peuvent amener la mort, soit dans l'état aigu, soit dans l'état chronique ; d'où la nécessité de n'user qu'avec une grande m
sa mère tous les vices de nutrition, toutes les phlegmasies aiguës ou chroniques auxquelles il sera exposé après la naissance; il
ésie, de pneu-xve livraison. 1 monie, de péritonite, d'inflammation chronique des intestins? d'ascite, d'hydrothorax, de taches
nent sans doute à une cause identique. 6e observation. Inflammation chronique du thymus et du pancréas; induration et imperméab
. C'est une affection tuberculeuse, ou si l'on veut, une inflammation chronique du thymus. Les poumons (fig. 2) très volumineux
divisions sont remplies de mucosités opaques, comme dans le catarrhe chronique . Le foie est extrêmement petit, son poids est de
ers, d'un quart, sans trouble funeste. Ce n'est que dans les maladies chroniques ou sub-aiguës des poumons, que l'économie peut s'
manifeste à une période plus ou moins avancée des maladies aiguës ou chroniques , quelquefois même pendant une fausse convalescenc
, état squirrheux, et qu'il regarde comme une suite de l'inflammation chronique ; 3° à la suppuration du placenta ; 4° à la dégén
nse qu'un cartilage: cette induration est la suite d'une inflammation chronique . 5° Une cinquième espèce d'atrophie est celle q
coloration qu'on observe assez généralement dans le cas d'irritation chronique de cette membrane ; 2° l'épaisseur des parois de
tre lésion, tantôt dans le cours d'une péritonite puerpérale aiguë ou chronique , plus souvent peut-être dans le cours d'une pleur
s souvent peut-être dans le cours d'une pleurésie puerpérale aiguë ou chronique ; ou pendant la convalescence de ces maladies. J'a
es vaisseaux lymphatiques utérins , ou avec des pleurésies aigries ou chroniques , et j'ai cru pouvoir établir dans quelques cas un
jambe. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée a ïétat chronique . Inflammation communicante des veines iliaques ex
s, les aliments de plusieurs jours. On diagnostiqua une encéphalite chronique . Peu de jours avant sa mort on s'aperçut d'une
ommet du poumon gauche. Glande bronchique tuberculeuse. Péricardite chronique , caractérisée par une couche épaisse de fausses m
ec MM. Paul Dubois et Moreau, la mort a été la suite d'une péritonite chronique : le fœtus à terme était contenu dans la cavité d
'intestin. M. Andral a trouvé, chez un individu affecté de diarrhée chronique , la surface interne du gros intestin aussi noire
autour d'un vésicatoire, d'un vieil ulcère , au niveau d'un érythème chronique . Les colorations mélaniques se rattachent à tou
l s'accompagne le plus souvent de tous les symptômes d'une irritation chronique . On ne saurait méconnaître cette irritation dansl
te qu'elle fut jugée de nature rhumatismale. Diagnostic. — Gastrite chronique ; bronchite légère ; douleur rhumatismale. -Pre
ment peut avoir lieu primitivement. MALADIES DE L ESTOMAC. Ulcère chronique de Vestomac. ( PLANCHE V et VI, XXe LIVRAISON.)
la xe livraison, Pl. v et vi, ont établi : i° l'existence de l'ulcère chronique de Vestomac comme maladie essentiellement différe
ne pathognomonique qui puisse différencier au lit du malade, l'ulcère chronique de l'estomac de certaines formes de gastrite et d
issante et destructive, nonobstant le régime le plus sévère, l'ulcère chronique tend à la cicatrisation qui s'effectue sous l'inf
omac détruite. Un point de vue fort important, sous lequel l'ulcère chronique de l'estomac doit être envisagé, c'est celui de s
est en quelque sorte digéré. Les malades qui ont guéri d'un ulcère chronique de l'estomac, sont sous l'imminence de la recrude
Une malade, Mme la comtesse de V... avait guéri en i83o, d'un ulcère chronique de l'estomac avec vomissement noir ( c'est la mal
ste pas le moindre doute dans mon esprit, sur l'existence d'un ulcère chronique de l'estomac cicatrisé, et sur la perforation de
cente à la cicatrice. La fig. 1, pl. v, nous montre un vaste ulcère chronique de l'estomac non cicatrisé* Cet ulcère avait enva
la digestion et de ses dépendances. LtSIONS D 1 l'esomac, ulcère chronique . Considérations et observations. Maladies de ,
ue. Considérations et observations. Maladies de , . ' * I- ? 1/ • chronique , perforation, gastrite chronique......... ——» —
s. Maladies de , . ' * I- ? 1/ • chronique, perforation, gastrite chronique ......... ——» — — ulcère ' * gélatiniforme de
es de la rate. Splénite, pus concret combiné. Ramollissement, aigu et chronique de la rate. Observations et considérations généra
ngites sous-muqueuses de la région sus et sous-glottique; laryngite chronique ulcéreuse. Considérations et observations......
16 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ne est aussi épaissie ; à ce moment nous avons affaire à l'artérite chronique . Il faut encore noter une augmentation de la quan
r vasculeuse. Ce changement des vaisseaux par le fait de l'artérite chronique existe plus ou moins chez toutes les monstruosi
métamérie spinale. Je vous en apporte la preuve. Voici un lichen chronique corné observé dans le service de Quinquaud; l'é
moins manifeste dans les différentes variétés d'urticaire aiguë et chronique . Il n'y a donc pas lieu de s'étonner si l'on vo
e parmi les trophonévroses. L'analogie que peuvent Fig. 6. - Lichen chronique présenter ses localisations avec celles du zona
u, du moins, le rôle primordial. Considérez par exemple les eczémas chroniques des ongles (Fig. 7). Leurs lésions consistent soi
nnes ou internes, et dans beaucoup d'affections générales aiguës ou chroniques chez des individus porteurs d'appareils ampullair
e-Marne;. 12' Année N°4. Juillet- Août DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE ou MYXOEDÈME FRUSTE (1) par le Dr E. HERT
sement thyroïdien bénin, ou, mieux encore, l'liypothyroïdze bénigne chronique . Cette dernière dénomination est préférable, pa
sse Médicale, 7 décembre 1898, p. 336. DE L'HYPOTHYROïDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 265 On verra plus loin, lorsque je traiterai pl
ême dans les incarnations individuelles, de t'hypothyroïdie bénigne chronique chez la femme adulte, de cette forme de myxoedè
ttack. 270 E. HERTOGHE se livrent, en présence de ces rhumatismes chroniques inguérissables, à une enquête minutieuse, et fa
le traitement. - 9. Après le traitement. DE l'hypothyroïdie BÉNIGNE CHRONIQUE 273 cause des désordres utérins, ni réciproquem
La même. Après six mois de traitement. DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 277 Le combat cesse faute de munitions : Alors
e de la nuque est un symptôme précieux dans l'hypothyroïdie bénigne chronique . Le cuir chevelu de Mme K... est très éprouvé e
récidivante, la dégénérescence fibromateuse de l'utérus, l'ovarite chronique , que parce 280 E. UERTOGHE que, dans beaucoup
plique par la nature de la dystrophie. DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 281 Le champ de la thyroïdothérapie ne s'étend
ces d'où nous viennent la connaissance de l'hy- pothyroïdie bénigne chronique et la certitude d'avoir réellement affaire à de
écoce dysthyroïdienne. Les femmes atteintes d'hypothyroïdie bénigne chronique ne se plaignent que peu ou pas. C'est presque f
se résigne à souffrir. Comme la maladie DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 283 est de race, il a vu beaucoup souffrir auto
s d'altérer la constitution, l'alcoolisme, la misère et l'inanition chroniques , la consanguinité des unions, le paludisme, les
s décrirons d'abord dans ses grandes lignés l'hypothyroïdie bénigne chronique chez la femme adulte, ainsi que les particularité
mémoire. A première vue, la femme atteinte d'hypothyroïdie bénigne chronique paraît phts âgée qu'elle n'est en réalité. Elle
rsque de bonne heure on y a recours, les DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 285 progrès du mal. Dans classe pauvre, où l'on
lalgie, symptôme à peu près constamment relevé dans l'hypothyroïdie chronique bénigne. L'appauvrissement thyroï- dien se mani
ical Journal, 10 octobre 1898, p. 944. ' DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 287 patientes à ces douleurs incessantes. Le mé
uables aux troubles utérins, il existe dans l'hypothyroïdie bénigne chronique une rachialgie spéciale, qu'il faut bien faire
NE CHRONIQUE 289 Les manifestations douloureuses de l'hypothyroïdie chronique ne se bornent pas à la céphalée et à la rachial
x mains (le dos de la main, chez de jeu- DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 291 nes sujets, couvert de veines tortueuses, é
qu'on retint, de tout ceci, une chose : c'est que les con- gestions chroniques du foie et l'existence de calculs biliaires doive
tirer l'attention du médecin sur la possibilité d'une hypothyroïdie chronique . Le symptôme qui domine en quelque sorte toute
partient en propre au grand myxoedème. Dans l'hypothyroïdie bénigne chronique , le froid n'est perçu que d'une manière intermi
me, le gonflement des mains et des pieds. L'hypothyroï- die bénigne chronique existe sans ces symptômes. MARCHE DE LA MALADIE
e thyroïdine est la pierre de touche de l'hypothyroïdie bé- o nigne chronique . Ses effets ne sont pas moins brillants que dans
nner que ce qu'elle a. Capable de rendre DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE . 297 aux muscles rhumatisés leur souplesse et
e vive sensibilité au niveau de la vési- DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 299 cule biliaire. L'utérus est gros, congestio
e se représentent plus aussi souvent. La DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 301 douleur du foie persiste encore. Les selles
dolore a repris sa position nor- male. DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 303 Or;s. VI. Malaria pendant la grossesse. Las
strique. Constipation opiniâtre. - Rétroflexion utérine. Congestion chronique des annexes. - Influence du traitement sur les
e à prendre son remède, OBs. VIII. Cas type d'hypothyroïdie bénigne chronique : migraine, constipa- pérale. - Teint et visage
eau suivant, qui est l'image à peu près complète de l'hypothyroïdie chronique bénigne. Elle se plaint de trois symptômes : la
ites intermédiaires qu'elle me fit et au DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 305 cours desquelles je constatai l'amélioratio
ivre se rapportent à des enfants at- teints d'hypothyroïdie bénigne chronique . Ce type d'infantilisme est connu dans la scien
Editeurs. Phnlop't le PW Ihaud. Paris DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE ~ 309 immédiatement : du 24 juin 1898 au 19 fév
'fT. rJ......,n ? °1 ? 11,.... T n, r, T DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 311 mement plats et fétides. Les mains sont fro
(2) se manifestant tantôt d'une manière aiguë, tantôt d'une manière chronique ; les formes les plus fréquentes sont les lésions
ophie musculaire progressive myélopathique, poliomyélite antérieure chronique , maladie- de Duchenne-Aran, est carac- térisée
édité ; -, 5) Le début au delà de l'adolescence; . 6) L'évolution chronique , en 4 ou 5 ans en moyenne. Les anomalies que no
volution, plus rapide qu'à l'ordinaire, resta cependant à type bien chronique , et une durée de 18 mois au lieu de 3 ans ne crée
int des plus intéressants : c'est l'intervention de la poliomyélite chronique chez un malade atteint dans l'enfance d'une pol
névrite fût primitive; Ce cas d'arthropathie dans la poliomyélite chronique paraît unique dans la littérature médicale. Cha
e voit la réaction de dégénérescence. Ce n'est pas une poliomyélite chronique , ce n'est pas une syringomyélie traumatique, ce
tout à fait insuffisants, M. De- bove (2) dans un cas de rhumatisme chronique s'est livré à un examen minutieux de la moelle
itement il 55 ans, sa mère est âgée de 76 ans, elle a une bronchite chronique . Ses deux frères et ses trois soeurs sont bien
ntes , sont at- teintes de la même affection singulière : un oedème chronique , blanc, dur et indolore (sauf le cas de Ar...)
mble bien super- flu de s'y arrêter. La phlegmatia alba iNDOLENS, chronique et familiale, ne figure pas dans les nosographi
pidement, affectant l'allure de ceux qu'on observe dans la néphrite chronique ou dans la néphrite aiguë. Dans ce dernier cas, o
io-neurolique. The Americ. Journ. of med. LE TIi01'1101 : UL : 1113 CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 465 Des oedèmes ont aussi été obser
variété d'oedème à laquelle il donnait le nom d' oedème rhumatismal chronique (1). OEdème dur des jambes et des pieds, plus m
ans un travail de Iligier (2) de Varsovie, sur les oedèmes aigus ou chroniques dans quel- ques névroses, en particulier dans l
est pas rare qu'il soit héréditaire. (1) Desnos, OEdème rhumatismal chronique , Soc. méd..des hôpitaux, 13 février 1891. (2) ¡
pitaux, 13 février 1891. (2) ¡¡IGIEII (de Varsovie), OEdème aigu et chronique dans quelques névroses et en par- ticulier dans
ne saurait être con- fondue avec la maladie oedémateuse apyrétique, chronique et progressive que nous avons observée. * .
ou, soit il la racine de la cuisse, affection indolore, apgrélique, chronique et permanente qui n'en Irai ne au- cun trouble
osographique. Les faits cliniques démontrent qu'il existe un oedème chronique , blanc, du}' et indolore, qui envahit un ou plu
l existe tous les intermédiaires entre les oedè- LE TROP110ED);111E CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 475 mes névropathiques aigus et les
0ED);111E CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 475 mes névropathiques aigus et les chroniques . Le cas de Follet semble démontrer que la forme
s et les chroniques. Le cas de Follet semble démontrer que la forme chronique peut apparaître à la suite de poussées aiguës ;
; c'est aussi le cas de notre malade, Fe... D'autre part, la forme chronique peut persister pendant de longues an- nées, ave
n, à réunir sous le même nom les exemples déjà connus de cet oedème chronique , blanc, dur, indolore, et répartition segmentaire
même catégorie morbide à laquelle la dénomina- tion de trophoedème chronique peut être appliquée. Suivant les cas, on pourra
jouent dans la genèse du trophaedème. Enfin, lorsque le trophoedème chronique se rencontrera dans plusieurs générations de la
our celle-là, théorie qui admet « à l'origine de toute sclérodermie chronique d'emblée une altération préalable du sys- tème
volution d'une seule et même tumeur. » Pseudo-lipome et trophoedeme chronique sont donc vraisemblablement des modes de réacti
l'hypertrophie lipomateuse peut être analogue celle du trophaedème chronique . Nous rappellerons à ce propos la lipomalose mo
autres maladies infectieuses. Dans les observations de tropllaedéme chronique , la fièvre typhoïde se rencontre même plus souven
e cervi- cale, qui la différencie suffisamment. LE 1'ROPHOEDCIVIE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 479 au moment de la puberté. Dans l
Un dernier mot au sujet des traitements appliqués au trophoedème chronique , mais malheureusement pour signaler leur insuffis
is ne nous a pas donné de résultats plus engageants. Le trophoedème chronique est donc un mal incurable. En prenant des .préc
nerveux central), par N. So- LOVTzorF, 37. Hypothyroïdie bénigne chronique ou myxoedème fruste, par IiEaTO6RE; 261. Inco
ticolis mental (un cas de), par NOGUÈS et Sirol, 4S3. Trophoedème chronique héréditaire , par Henry MEME (5 phot.), 453.
es enfants (6 phot.), 191. IIFnrocne . De l'hypothyroïdie bénigne chronique ou myxoedème fruste (36 phot.), 261. Janet P.
re supérieur (1 stéréo-phot.), 107. Meige (Henry). Ti-opliù3dèine chronique héréditaire (5 phot., Siscliemas), 453. MEME
tral (N. SOLOVTZORF), VI, VII, VIII. IX, X. Hypothyroïdie bénigne chronique ou myxoedème fruste (E. Hertoghe), XLIII, .XL
t P. Janet), LIX. Torticolis mental (Noguès), LXXXIV. Trophoedème chronique héréditaire (HENRY Meige), LXXX, LX<TYf, LXX
17 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
93, classe dans les maladies constitutionnel- les incurables marche chronique , à côté de la folie systématisée, les folies pé
inique, dont la place naturelle est à côté de la folie systématisée chronique , dans le broupedesp.sc7cosesconstitzctiozzelles
l'intoxication par la mor- phine ; (jo dans les auto-intoxications chroniques (hépatique, intestinale, rénale, elc.,) qui pro
mme qui présenta un délire systématique de persécution il évolution chronique , au cours duquel survint une hémiplégie gauche,
rappelé de tous points les accidents épisodiques de l'alcoolisme chronique : accès de délirium tremens (a potu 8l(81)('1180)
alcoolisme antérieur; l'autre s'est développée chez un alcooli- que chronique . Si, au point de vue pénal, les actes commis dans
a démence précoce est un syndrome mental toxi-infectieux subaigu ou chronique ; par Maurice DIDF. Les recherches anntomo-path
oit être considérée comme une psychose toxi-infectieaso subaiguë ou chronique , primitive pour la forme hébéphréno-catatonique
impaludisme n'occasionne des troubles délirants que dans ses formes chroniques et pour ainsi dire jamais dans ses formes aiguë
la lièvre « de pays » dans l'éclosion de la 13, (;, Le saturnisme chronique prédispose d'une façon spéciale aux troubles ps
as en faveur de l'origine infectieuse et névrilique du rhu- matisme chronique . Dystrophie d'origine pulmonaire. 31M. Lejonn
infantile mais dyslrophique (végétations adé- noïdes et, bronchite chronique avec asthme datant de l'enlance). Veux cas d'he
o- phie du tabéliqite et des troubles visuels dans l'alcoo- lisme chronique . En même temps que l'atrophie évolue, il y a c
s manifestations mé- tatoxi-in/'ectieuses. Dans les états mentaux chroniques de ce groupe, la même pathogénie intervient, ma
La démence précoce n'englobe pas tous les délires halluci- natoires chroniques , comme pour la paralysie générale, c'est beauco
ombre de sujets atteints d'affections du système nerveux (méningite chronique , con- fusion mentale, démence précoce, stupeur
suraiguës, méningites suppurées, abcès, etc. Dans les inflammations chroniques ce sont, soit les cellules dérivées des librobl
lier à la suite de certaines intoxications pro- longées (alcoolisme chronique , urémie, etc.). b) Les fibres nerveuses peuvent
ent, commme la sénilité cérébrale anato- mique, chez des intoxiqués chroniques , notamment des alcooliques. Les épisodes délira
l'alcool est le plus fréquent et aussi le plus nocif. L'alcoolisme chronique augmente le nombre des crimes qu'il aggrave. L'
t, Bourneville et Féré. Actuellement, on peut dire que l'alcoolisme chronique a une action directe sur le pouvoir de procréer
T de PHYSIOLOGIE pathologiques dite des ascendants ; cet alcoolisme chronique des parents a une influence désastreuse sur les
s fortement avarié présentent des phéno- mènes typiques de pellagre chronique ou aiguë. Ces phénomènes s'exacerbent d'une faç
s caractéristiques de la pellagre aiguë, soif axec des phé- nomènes chroniques de cachexie. Lespoules nées do procréateurs sou
, et qui pré- sentent les symptômes caractéristiques de la pellagre chronique , résistent également moins à l'action pathogeni
tentive a montré que dans l'un, lessymptômesdeméningo-encéphalite chronique étaient antérieurs au traumatisme, et que dans
oïde est présente, mais elle est atteinte de lésions inflammatoires chroniques et quelquefois présente des tu- meurs tubercule
itution générale affaiblie. Bien des cas de goutte ou de rhumatisme chronique asthé- nique ont été guéris par les ferrugineux
ne des complications les plus fréquentes des suppurations aiguës ou chroniques de l'o- reille. Leur étude date d'une époque ré
it récente et il est à peine besoin d'ajouter qu'aucun de nos vieux chroniques n'a retiré pa- reil bénéfice del'intection. «
, parmi lesquels 45 cas de phtisie pro- prement dite, 33 bronchites chroniques et 11 hémop- tysies. En 1903, pour 1325 décès,
pulmonaire, parmi lesquels 50 cas de tubercu- lose et 20 bronchites chroniques . Mais, avec le Dr Marie, nous tirons de cette s
nt des persécutés systématiques et des déments précoces. Quel- ques chroniques cependant sent justiciables de la méthode, au g
dents cérébraux. J'ai même vu, au cours de l'an- née, un alcoolique chronique ne présentant plus de délire, mani- fester brus
tions intéressantes sur la psychose maniaco-dépressive, le dé- lire chronique systématique, la folie périodique, la confusion
cure radicale d'une petite hernie paraomhilicalc chez un alcoolique chronique chez qui l'anesthésie chloroformique réveilla l
u début. Grancher la considère comme « la plus curable des maladies chroniques , car au lieu « d'être un néoplasme misérable et
familiale écartent systémati- « quement et avec raison les aliénés chroniques soup- « çonnés de tuberculose. » Quoi qu'il e
de de l'Apennin, qui habitait dans une famille atteinte de pellagre chronique .Cet agent patho- gène est capable d'élaborer de
dans la paranoïa un délire systématique à début lent, il évolution chronique et sans passage à la démence. 11 est préféra- b
nctions végétatives (difformités et anomalies physiques, affections chroniques des organes de la vie végétative,) et les irrég
idèle de la céphalée des rhino-pharyngites inflammatoires aigues ou chroniques . Les différentes sensations douloureuses, naclt
ait porté l'intervention. En second lieu, une labyrinthite suppurée chronique ; toutes les ca- vités de l'oreille interne éta
'1.- Méningite spinale et syndromes radiculaires dans le rhumatisme chronique ; par M, Jean Lépine. (Lyon i)7é(li- cal, 2G aoû
fes- ter déjà dans les formes relativement bénignes du rhumatisme chronique . De plus il montre que les rhumatismes chroniques
gnes du rhumatisme chronique. De plus il montre que les rhumatismes chroniques déformants, considérés par certains auteurs et
comme différents par leur évolution et leur nature des rhumatismes chroniques d'infection et des rhumatismes dys- cramiques o
vec syndromes raidiculaires chez dessujets atteints de rhumatis- me chronique dyscrasique. Dans la première le malade a été a
VEUSE. \lut. - Quelques manifestations cérébrales du rhuma- tisme chronique ; par M. LÉPIivE. (Lyon médical, 7 octobre 1906
ique, peut offrir des exemples manifestes de l'action du rhumatisme chronique . L'auteur laisse de côté les faits de paralysie
rmenages locaux. La véritable analogie clinique entre le rhumatisme chronique et la paralysie agitante est dans ce même état
sthénique fait partie de la symptoma- lologie normale du rhumatisme chronique . Il ajoute avec raison qu'il faut lo chercher ;
a forme sur laquelle se manifeste le plus l'influence du rhumatisme chronique . Rien ne ressemble à la sénilité comme le rhuma
isme chronique. Rien ne ressemble à la sénilité comme le rhumatisme chronique . M. lié- gis a insisté sur l'importance de l'ar
t peuvent figurer sur la liste des' accidents nerveux du rhumatisme chronique . G. C. L. Considérations pathogéniques sur les
onsidérations pathogéniques sur les accidents nerveux du rhumatisme chronique ; par \I..1. Lépine. (Lyon médical, 28 octobre 1
onde que dans toutes les variétés de rhumatismes aigus, subaigus ou chroniques , c'est l'état géné- ral de la nutrition qui est
é du système nerveux s'accroît. Le système nerveux des rhumatisants chroniques est donc le siège d'une irritation quasi-perman
lique que, suivant les prédispositions individuelles, le rhumatisme chronique loca- lise à telle ou telle partie du système n
o-membraneuse.EMc ex- plique la persistance indéfinie du rhumatisme chronique ,dès que les phénomènes nerveux durables sont ap
nerveuse centrale ou périphérique. G. C. LI. Rapports du rhumatisme chronique avec quel- ques maladies de la moelle; par M. J
de médecine de Lyon, M. Jean Lépine montre que les rhumati- sants chroniques peuvent réaliser de véritables maladies de la m
es sujets atteints d'accidenls médullaires au cours d'un rhumatisme chronique secondaire à un rhumatisme aigu. Dans trois a
lades présentant des accidents médullaires au cours d'un rhumatisme chronique en particulier du type dyscrasique ou goutteux.
res. Il ne s'agit pas, dans les observations,de grands rhumatisants chroniques à ankyloses mul- tiples et irréductibles, mais
ires ne sont donc pas liés aux formes les plus graves du rhumatisme chronique . Deux types anatomo-cliniques se dégagent : pac
compte du rôle de la méningite spi- SOCIÉTÉS SAVANTES. 473 nale chronique dans la production de ces myélites plus ou moins
yélites syphilitiques, de même les divers traitements du rhumatisme chronique per- mettront,pense l'auteur,de voir s'arrêter
te transformation que la pathologie (différentes périodes du délire chronique ). On doit considérer la personnalité comme une
émences maniaques, mélan- coliques, névrosiques et celles du délire chronique . Les démences paralytiques, les démences sénile
, p 39. La - est un syndrome men- tal toxi-mfectieux subaigu ou chronique , par Dide, p. 43. Sur la forme stationnaire de
Méningite. Spinale et syndrome articulaires dans le rhumatis- me chronique , par Lépine, p. 468. Méningite CÉRÉBRO-SPINAL
18 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
urvenue après, attribuant le phénomène il la rigidité permanente et chronique des muscles, et le plus ordinairement des muscles
lpèthùiië 1 GANGRÈNE SYMÉTRIQUE DES EXTREMITES . - - PAR ARTÉRITE CHRONIQUE OBLITÉRANTE, TRANSITOIRE OU PERMANENTE, d'ÉTIOL
d'asphyxie. La cause de cette gangrène est une artérite ohlité,"mte chronique , lésion d'étiologie inconnue. gangrène symétriq
eux vaut ne pas préciser l'origine et la cause de cette vascularite chronique que de le faire sans preuves, et d'ailleurs les
ue de le faire sans preuves, et d'ailleurs les causes des artérites chroniques , athé- rome et artériosclérose, ne nous échappe
lles pas le plus souvent ? ' ! Par sa lésion anatomique (l'artérite chronique cette gangrène symé- trique des extrémités il s
core si obscurs des troubles trophiques au cours des vascu- larites chroniques localisées. Elle est un cas d'artérite chroniqu
vascu- larites chroniques localisées. Elle est un cas d'artérite chronique localisée des petites artérioles des extrémités
d'entre eux. Celle gangrène symétrique des extrémités par artérite chronique mérite d'être individualisée. Son im- portancep
N ZONA. LÉSIONS TROPHIQUES DES OS DE LA MAIN A TYPE DE RHUMATISME CHRONIQUE . PAR FÉLIX ROSE Chef de clinique à la Facul
un âge très élevé et n'ont pas présenté d'altératious rhumatismales chroniques des os. Le début de la maladie actuelle remonte
e ce dernier. On peut, sans nuire à l'unité clinique du trophoedème chronique , le diviser au point de vue étiologique en quat
es entre lesquels se répartissent tous les faits : l°Un trophoedème chronique non congénital, mais héréditaire et fami- lial.
edème hé- réditaire à début juvénile (Meige). 2° LJrrtruplroedéme chronique non congénital, non héréditaire et non familial
, Valobra, Etienne, Parhon et Florian, Jousset. 3° Un trophoedème chronique à la fois congénital, héréditaire et fa- milial
Tobiesen, les cas de Nonne, Lortat-Jacob. 4° Enfin un trophoedème chronique congénital ni héréditaire ni fami- lial. C'est
E CHRONIQUE CONGÉNITAL UNIQUE (Courtelleinoiit) TIlOl'IIOEIJ ? \/ CHRONIQUE 71 Il existe, toutes les dix ou quinze pulsatio
donc s'agir d'hypertrophie partielle d'un membre ; cet' oedème est chronique au premier chef, puisqu'il dure. comme 72 COU
il est dur, limité, segmentaire. Il ne peut être qu'un trophoedème chronique . Il offre quelques caractères rarement constaté
il est plus accentué le soir que le matin. Le propre du trophoedème chronique est moins l'absence du godet il la pression que
ire susceptibles de favoriser un oedème mécanique. Le trophoedème chronique est indolore. Or, notre malade ressent le soir,
niveau de l'infirmité. La plupart des observations de trophoe- dème chronique ne font pas mention de la température locale, ce
ile à mettre hors de cause car non seule- ment elle a une évolution chronique , mais ordinairement elle débute par les quatre
tuberculose et celui qu'on doit mettre sur le compte de l'éthylisme chronique dans l'origine de la polinévrite. Classer ces c
aux caractères qui ont été décrits par Nissl sous le nom de maladie chronique des cellules (chronische Zeller- krankung). C
troubles nerveux périphériques survenant dans le cours des maladies chroniques . Archives gén. de médecine, p. 150. 1864. 5. PE
vent survenir du côté du système nerveux dans la phtisie pulmonaire chronique . Thèse de Paris, 1814. 9. AMEMAiRE. Contributio
hériques de sensibilité sur- venant dans le cours de la tuberculose chronique . Thèse de Paris, 1875. 10. Fraenkel (E.). - Ueb
klin. Medizin, XIV. 33. KLIPPEL. Des amyolrophies dans les maladies chroniques . Thèse de Paris, 1889. 150 G. CATOLA 31. Mu)E
ve de la part de M. X... cette autre explication : « En pensant aux chroniques de Guillaume de Puylamens et par suite à la guerr
rier) 1908, à propos de l'article de M. COURTELLEMONT : Trophoedème chronique , variété congénitale unique, page 68, lignes 2
La petite malade ne présentait d'autre trouble qu'une inflammation chronique des paupières, laquelle datait de l'enfance. La s
jonctivite aiguë qui s'était récemment développée sur la blépharite chronique . L'acuité visuelle était de 6/10 pour chaque oeil
obie. La conjonctivite aiguë fut bientôt guérie, mais la blépharite chronique resta ce qu'elle était auparavant. Cette conjon
et les années suivantes par Henry Meige sous celui de « trophoedème chronique héréditaire ». La seule mention que nous ayons
ale des hôpi- taux, 15 octobre 1897. DEsNos. - OEdëme rhumatismal chronique . Société méd. des hôpitaux, 13 février 1891. Fo
phoedème. Gazette hebdomadaire, no 15, 1902. Higier. OEdème aigu et chronique dans quelques névroses el en particulier dans l
euse héréditaire. Presse médicale, 1898, p. 3't1 . - Le trophcedéme chronique héréditaire. Nouvelle Iconographie de la Salpêtri
Salpêtrière, 1904. ' Sicard et LUGXEI..L I\'ASTIlOE. - Tl'ophoedéme chronique acquis et progressif. Nouvelle Iconographie de
on myxoedémateux, les infantiles, les arriérés, les hypothyroïdiens chroniques d'Hertoghe, etc. 1. L'état mental des myxoedéma
hysique et mentale ; 3. Syndrome d'Hertoghe d'hypothyroïdie bénigne chronique ; 4. Tempérament hypothyroïdien ; 5. Neurasthé
nne transforma complètement ces enfants. 3. L'hypothyroïdie bénigne chronique ou syndrome d' Hertoghe. Hertoghe décrit des ph
asthénie est souvent un épisode au cours de l'hypothyroïdie bénigne chronique , comme elle est parfois une manifestation du temp
s qu'ils se prolongent, susceptibles alors de verser dans un délire chronique , plus ou moins faus- sement systématisé.' - C
décrire le syndrome de Basedoiv fruste, l'hy- perthyroïdie bénigne chronique , l'hyperthyroïdie minima ou tempérament hyperlh
goitre exophtalmique chez les aliénés. . 2. Hyperthyroïdie bénigne chronique . Cette hyperthyroïdie peut être disséminée ou l
, 25 mars 1889. - lad., 1895, t. IX. - De l'hypothyroïdie bénigne chronique ou myxoedème fruste. Id., février 1899 et Nouv.
ne autre affec- tion : il s'agit sans aucun doute ici de rhumatisme chronique . La main n° 2 présente des tuméfactions au nive
présente elle aussi des déformations caractéristiques de rhumatisme chronique : c'est un exemple du second type classique de
ues, deux nous paraissent se rapporter à des variétés de rhumatisme chronique . Et celle étude de mains nous paraît autant rem
issier au Congrès de Liège sur les for- mes cliniques du rhumatisme chronique . LES DESSINS DE LA « COLLECTION DES CHIRURGIE
e, n 1, janvier-février 1906. (2) Raymond, Sur un cas de rhumatisme chronique vertébral. Nouv. Iconogr. Pho- tograph., janvie
héréditaires. Son père est mort à la suite d'une maladie cardiaque chronique ; il n'était pas alcoolique ni syphilitique ; il
tout l'appareil des glandes sanguines causée par une neutralisation chronique des toxines. Et selon que les modifications pat
la période de la maladie; b) selon qu'il s'agit de formes aiguës ou chroniques , de formes légères ou graves; c) dans les pério
décrites plus haut : ces dernières sont le résultat d'une pression chronique . Il est donc, pour le moment, impossible de faire
u,Fec°raccirci, etc., ont décrit des cas d'infantilisme par malaria chronique ; chez ces sujets aussi on est frappé par cette h
s que Ferranini croit que la seule action débilitante de la malaria chronique est suffisante à la déterminer. Les deux mêmes ex
re héréditaire; des cas d'infantilisme par intoxication pellagreuse chronique ont élé décrits par Lombroso,Ceni, Agostini ; c
hose biliaire (Fournier, Gilbert, Lereboullet), l'ictère infectieux chronique (Rayent), l'entérite du nourrisson (Hutinel), l
nische Rundschau, 1906) dans lequel on eut à la suite d'une maladie chronique un rapide et considérable allongement de la tai
iés et par la radiographie on put constater un processus d'atrophie chronique du squelette. Nous avons ainsi résumé par une s
oduit et entretenu pendant la période de croissance par une maladie chronique congénitale ou accidentelle. L'évolution s'acco
c anatomique post mortem fut le suivant : Infantilisme, tuberculose chronique et tuberculose miliaire du sommet gauche, ménin-
ès la marche de la maladie. Plus souvent la maladie passe à un état chronique et peut présenter alors, selon Oppenheim, les s
n ancien processus rachitique. Oppenheim en parlant de la méningite chronique simple, affirme que de sa symptomatologie il n'
e plus souvent une trouvaille anatomique accidentelle. La méningite chronique basilaire est mieux connue et, selon Oppenheim, e
laire,méningite basilaire avec hydrocéphalie externe, et épendymite chronique du IVe ventricule, n'existent pas de limites bi
ussi s'expliquer par la syphilis héréditaire, une méningite séreuse chronique probablement limitée aux ventricules mais qui p
e di Fren. e Med. légale, jan. III, 1905. DREYFOus. De la méningite chronique chez les enfants et de ses rapports avec la syp
Vol. 2, cap. III, Paris, 1903. Hertoghe. De l'hypothyroïdie bénigne chronique ou myxoedème fruste. Nouv. Icon. de la Salpêtr.
méninges médullaires montrent aussi le même aspect d'inflamma- tion chronique . - 1 A la section on ne constate rien d'anormal
copique permet de faire aussitôt le double diagnostic d'encéphalite chronique et de tabes incipiens. Nous avons examiné les d
r l'intégrité des cellules de la corne antérieure. Il y a méningite chronique , avec les mêmes caractères que la méningite céréb
ie, pas môme d'une angio-sclérose généralisée. Pas d'empoisonnement chronique par l'ergot de seigle. Pas possible le doute d'
microgyrie hémisphérique (3 pl.), 263. Courtellemont. Tropheedeme chronique , variété congénitale unique (2 pl.), 61. Crou
EROT et ITAYNIO-ND. Gangrène symétrique des extrémités par artérite chronique oblitérante, transitoire ou permanente d'étio
n zona. Lésions trophiques des os de la main à type de rhumatisme chronique (2 pl.), 64. SAINTON. Statue d'eunuchoïde infib
a-s - terminaison par suicide (1 pi.), par Souques, 103. Artérite chronique oblitérante (Gangrène symétrique des extrémités
de Bahinski, 506. Gangrène symétrique des extrémités par artérite chronique oblitérante (2 pi.), par Raymond et GOUGEROT. 5
e à la suite d'un zona. Lésions trophiques à type de rhu- mutisme chronique (2 pl.), par Rose, 64. Névroses (Pathogénie de-
umatisme ankylosant vertébral et tabes, par ODDO, 278. Rhumatisme chronique (Lésions trophiques à type de - à la suite d'un
ans les syndromes-J, par Laignel- L vvastine, 204 . l'roplioeaème chronique , variété congéni- tale unique (2 pl.), par COUI
phique à la suite d'un-, Lésions ti ophiques à type de rhumatisme chronique ) (2 pl.), par Rose, 64. TABLE DES PLANCHES
19 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il existe des artérioles présen- tant les caractères de l'artérite chronique avec épaississement énorme de la tunique extern
occasionne aucune altération, ou fût-elle causée par l'intoxication chronique par un poison quelconque, nous devons toujours
ent est pareil à celui qu'on pratique dans toutes les inflammations chroniques du cerveau. Remarques de M. le professeur Kojew
Démence. SOCIÉTÉS SAVANTES. 81 Autopsie. Périencéphalite diffuse chronique , surtout dans l'hémis- phère gauche ; lésions t
0 leçon apporte une nouvelle observation de polyomyélite antérieure chronique . D'accord avec Strumpell, Oppenheim, Dejerine,
sonnements aigus par absorption d'une dose unique; 2° intoxications chroniques par doses répétées. 109 cobayes et 42 lapins on
de certain concernant l'étiologie de cette affection. »- Myélites chroniques , p. 0 : « Dans des observations relativement no
rdâtres; une dyspnée légère est habi- tuelle. C'est de la bronchite chronique avec emphysème. Enfin, notre malade présente en
x ; quatre ans après, deuxième atteinte qui dure six mois : forme chronique qui attaque les petites articulations, sans pro
fibrome utérin. Lui-même dès l'âge de six mois pré- sente un eczéma chronique de la face qui réapparaît depuis de loin en loi
estif nous trouvons une gastrite MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. toi chronique avec dilatation de l'estomac : digestions lentes,
t quelques râles bron- chiques secs. Donc il existe de la bronchite chronique et de l'emphysème pulmonaire ; 3° Pour l'appa
ations, nous trouvons des articulations déformées par le rhumatisme chronique , de l'hallux valgus, de nombreuses rétractions
mpagnée d'exagération des réflexes tendineux; c'est la poliomyélite chronique seule sans sclérose des faisceaux pyramidaux; c
pancréatique ; cirrhose du pancréas; dégénérescence atro- phique chronique des cellules et des fibres des cornes anté- rie
lissement dans le noyau caudé ; 8° unepachyméningite céré- brale chronique : « à la surface de la dure-mère, dans presque
ieurs; adhérences peu étendues du sommet gauche; foyer de pneumonie chronique des deux côtés ; 6° bronchite chronique ; 7° at
gauche; foyer de pneumonie chronique des deux côtés ; 6° bronchite chronique ; 7° athérome des valvules sigmoïdes et de l'ao
ons ailleurs, dans d'autres régions : ainsi, la ménin- gite spinale chronique , tellement fréquente et importante, que certain
J 880 la fréquence de la coexistence du tabes et des cardiopathies chroniques , surtout aortiques' ; le fait est aujourd'hui c
étiologie du tabes. Char- cot a montré la coincidence du rhumatisme chronique et du tabès. Belugou, bien placé à La Matou pou
relevé sur 32 tabétiques : rhumatisme, IS; herpé- tisme, 1 ; eczéma chronique , 1 ; syphilis, 1 J ; hérédité névro- pathique,
nous avons étudié déjà la caractéristique clinique l'al- coolisme chronique , le saturnisme, le tabagisme, le palu- disme, l
dant on trouve notamment dans le travail de Leudet sur la méningite chronique et son influence sur la produc- tion de la poly
stique, hypertrophie partielle de la muqueuse stomacale, néphrite chronique . Leudet étudie ce cas comme méningite chronique
stomacale, néphrite chronique. Leudet étudie ce cas comme méningite chronique et donne lalésion gastrique et la néphrite comm
re aurait pu, tout aussi justement, étiqueter le même fait néphrite chronique ou gastrite chronique avec complication méningé
si justement, étiqueter le même fait néphrite chronique ou gastrite chronique avec complication méningée. Au fond il s'agissa
nodulaires, puis entre les lésions des artères et les inflammations chroniques (sclérose). Et il conclut par la phrase suivant
se, et que, d'autre part, bien plus souvent encore, les indurations chroniques évoluent sans la partici- pation des vaisseaux
. Le délire processif se rencontre le plus souvent dans la paranoïa chronique , il serait plus rare dans la folie dégénérative
'à l'asile et qui était entré avec un certificat portant alcoolisme chronique . Le malade appartenait à une société mutuelle d
L'auteur termine par un aperçu sur la spméiologie de l'alcoo- lisme chronique et de la paralysie générale. A. Marie. XV. INVE
on- valescence. Examen de la pièce : foyer de méningo-encéphalite chronique probablement dû au traumatisme ancien. Epaississe
le aisément; en d'autres termes, on peut dire que, dans les lésions chroniques du système nerveux, il existe une certaine prop
plus haut. L'affection, pour être fonctionnelle, n'en est pas moins chronique et généralement incurable : un seul cas de guér
ques en rapport avec des lésions particulières (meningo-encéphalile chronique diffuse). Ceci élimine la préten- due paralysie
pris l'habitude de le désigner. , De même, à côté des alcooliques chroniques qui deviennent de vrais paralytiques généraux e
pendant un certain temps tous les signes de la méningo-encéphalite chronique diffuse, guérissent à la suite de-, l'éliminati
is ne fait, selon moi, que préparer le terrain à la périencéphalite chronique diffuse ; il en est de même de l'alcoolisme ; m
leur évolution, ils paraissent être à l'abri de la périencéphalite chronique diffuse. M. de PERRY (de Bordeaux) communique,
r- mine pas des symptômes identiques à ceux de la périencéphalite chronique diffuse, comme je l'ai indiqué dans mon rapport.
s d'incurables » ; que les médecins ne sont que des « fabricants de chroniques ». C'est là une assertion tellement extraordina
qui pèse d'un petit poids dans la balance. M. Christian dit que les chroniques seuls travaillent : à la Clinique, ce sont les
modernes ; du moins ont-ils élé con- sidérés comme des fabriques de chroniques . On sent immédiate- ment qu'un vent de réforme
milial dans les colonies agricoles ? Il n'est appli- cable qu'à des chroniques , et dans ce cas l'Open-door ne se dis- tingue g
cas l'Open-door ne se dis- tingue guère de nos asiles fabriques de chroniques , sinon que dans les établissements du nouveau s
lissements du nouveau système les malades sont tous et d'emblée des chroniques , tandis que dans nos asiles nous avons encore,
es asiles, que tant de malades parfaitement curables deviennent des chroniques ? Qui de nous, pour ne citer qu'un exemple, n'a
et n'ayant aucun rôle bien défini, le soin de s'occuper de tous les chroniques , de tous les incu- rables, et qu'ils s'attachen
es 1 Voir Archives de Neurologie, n° 21. SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 chroniques ainsi placés. M. Marie rappelle en outre à propos
pplication de l'open door de distinction préalable des aigus et des chroniques . M. AnGL : IDE lit un rapport sur l'examen hist
des paralytiques, 12 déments apoplectiques; les autres, des aliénes chroniques qui n'avaient jamais présenté de symptômes médu
GiRuD appelle l'attention sur les nombreux persécutés et hallucinés chroniques qui deviennent vagabonds sous l'influence de le
et en acquis. Les premiers sont constitués par diverses mala- dies chroniques des ascendants, arthritisme. alcoolisme, tubercu-
b) les infections : aiguës, fièvre typhoïde, influenza, paludisme; chroniques , tuberculose, syphilis; c, les excès divers : e
ntes. Cependant, chez quelques-uns, les trou- bles passent à l'état chronique , ce sont alors des prédisposés; le délire chang
oin de les mériter . Note sur la toxicité urinaire dans la chorée chronique héréditaire. MM. RISPIL et Baylac communique un
itaire. MM. RISPIL et Baylac communique une observation de chorée chronique héréditaire où les urines se sont montrées hypoto
ations diphtériques aiguës et subaiguës, et aussi les intoxications chroniques . Les ani- maux de la première catégorie vivaien
la vie et après la mort des animaux à la suite de l'intoxication chronique , sont tout à fait différents; dans quatre ou dix
ve la puissance toxique de ces mêmes substances dans l'intoxication chronique . Pour obtenir des résultats précis, il faut : 1
al réactif un chien, un lapin ou un cobaye ; 3° dans l'intoxication chronique on aura recours à l'ingestion stomacale et parf
s centres ner- veux. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE XIX. Empoisonnement chronique par LE SULFONAL (hémcctoporphyri- nurie) termin
ée et excrétée par l'urine. Il faut donc qu'il y ait intoxica- tion chronique et constipation. Aussi la rencontre-t-on surtout
e par jour. XXII. Contribution A la casuistique DE l'intoxication CHRONIQUE par LE trional ; par N. GIERLICIi. (Neurolog. C
e l'extrême difficulté du traitement oculaire chez les épileptiques chroniques , et de la nécessité où l'on est de surveiller l
ions SOCIÉTÉS SAVANTES. * 421 .ou de peurs anxieuses originelles, chroniques ,' portant spécia- lement sur un objet déterminé
ic. Terminaison. Forme aiguë. La marche des obsessions est aiguë ou chronique . Daus les cas aigus, l'accès survient brusqueme
es passées et avoue qu'elles étaient absolument injustifiées. Forme chronique . La forme chronique est intermittente, rémitten
qu'elles étaient absolument injustifiées. Forme chronique. La forme chronique est intermittente, rémittente ou continue. La v
ns ces cas, les paroxysmes ne font pas défaut. La durée de la forme chronique , toujours longue, est de plusieurs mois ou de p
NEs, de Bordeaux. La gangrène par artérite 442 SOCIÉTÉS SAVANTES. chronique n'exige pas fatalement, à rencontre de l'opinion
ans le tabes ; beaucoup moins utile dans les périodes franchement chroniques et plutôt nuisible dans les rémissions. Dans le
s. 1 En dehors de ces poussées nettement définies, le tabes, même chronique , tant qu'il est progressif, a des poussées latent
mmatoires du système nerveux péri- phérique ; 6) Une inflammation chronique et progressive des enveloppes molles de la moel
des qu'elles-enlrainenl). 3° Analyse d'un cas de folie systématisée chronique ., - Il s'agit d'une persécutée fort hallucinée.
une évolution en quelque sorte progressive, au délire mélancolique chronique systématisé. En le faisant ils ont cherché à isol
raie, essentielle, avec des caractères fondamentaux dont les formes chroniques systématisées ne sont que l'accentuation progre
ion si l'on peut dire ainsi, la forme stéréotypée en un mot (délire chronique des néga- tions de Cotard). Cette élude a pou
ttention des nouveaux législateurs. Un sieur X..., atteint de manie chronique , est placé par sa femme à l'établissement d'ali
l un hypnotique recommandable ? par von Mering. 100. Intoxication chronique par le , par Guerlich, 408. dans TABLE DES AU
20 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
7° Idiotie symptomatique de méningite ou de neérzingo- encéphalite chronique ou idiotie zzcérziazyiticicce; 8° Idiotie avec
-P01'LCSW'ai des deux hémisphères cérébraux. DIé12112o-elzcé2halite chronique . - Atrophie de la protu- bérance. - Lésions pul
de la marche. ^~ Débutde la pa1·ole à 5 alls.- Blépharite ciliaire chronique ($ ans). -Début des pseudo-lipomes vers 9 ans.Ec
.. l'écartement des sutu- res s'est effectué lentement, d'une façon chronique , par la poussée du liquide céphalo-rachidien, a
la mort : Broncho-pneumonie dans le cours d'une méningo-encéphalne chronique . Réflexions. I. Il s'agit ici d'un enfant dont
e, qui a per- mis de poser le diagnostic de né211go-e72cépltalite chronique , qu'est venue confirmer l'autopsie. Déjà nous a
portant jusqu'à il y a 3 ans, où débuta une bron- chite qui devînt chronique avec emphysème; pas de convul- sions de l'enfan
hatique, aurait eu une punaisie. [Père, mort à 55 ans, de bronchite chronique . - Mère, morte d'une pleurésie iL 42 ans. Elle
cules mamillaires) ; Par BOURNEVILLE et I». SOLLIER. Les maladies chroniques du cerveau qui aboutissent à produire les diver
2, à Bicêtre (Service de M. BOURNE"ILLE), atteint d'hy- drocéphalie chronique . antécédents (Renseignements fournis par la mèr
viation. Engorgement 216 .- ? : Hydrocéphalie : crâne.' - - -" l) chronique des ganglions carotidiens et axillaires. Vene v
itre passager. Deux grands oncles paternels, morts de bron- chite chronique ( ? ).- Grand'tante paternelle, morte de con- g
OBS. XVII. - Hydrocéphalie symptomatique DE méningo- encéphalite CHRONIQUE . Sommaire. Père, céphalalgies. - Cousin materne
III. Considérations CLINIQUES ET ANATOMIQUES sur l'hydrocéphalie chronique . Les travaux publiés jusqu'ici sur l'hydrocépha
alie chronique. Les travaux publiés jusqu'ici sur l'hydrocéphalie chronique sont les uns de simples observations iso- lées
atténués, de cette forme particulière du crâne. 324 Hydrocéphalie chronique . permettent pas de comparer diamètre par diamèt
ânienne des malades que nous avons obser- vas : 326 Hydrocéphalie chronique . Nos observations portent donc sur des cas d'yd
forma- tion rachitique notable des membres. - 1 328 Hydrocéphalie CHRONIQUE . 4° Motilité. Préhension. Marche. La molilité e
se fait normalement chez les enfants qui ne sont 330 Hydrocéphalie chronique . pas paralysés. Chez les paraplégiques, les mem
sentent des tics coordonnés, se bornant au balan- 332 Hydrocéphalie CHRONIQUE . cement. Chez une petite fille (Lucie), un de n
e, battait souvent sa femme. Mère, morte à 62 ans, de bron- chite chronique ( ? ) ; migraineuse, elle avait tous les mois des
oisson, est mort par accident à 57 ans. Une tante 334 Hydrocéphalie chronique . maternelle, 51 ans, est méchante, hargneuse, n
e'1711-C01t11·atCtLtl'(;eS, ne peuvent être coin- 336 Hydrocéphalie chronique . plètement étendues, la cuisse droite surtout e
el a Bourneville, Bicêtre, 1893. 22 ftg.61. 338 Hydrocéphalie chronique . duré un jour et une nuit. Elle est actuellemen
Étiologie ET I ? 1TIIOCiIWiI : -- Tous les llj'(11'OCl'océpha les chroniques ont des antécédents héréditaires ner- veux et p
t psychiques. Il est fréquent de constater chez 340 0 Hydrocéphalie chronique . les ascendants les névroses, les maladies ment
Peti... en est un remarquable exem- ple. OBS. XXI. Hydrocéphalie chronique . SOMMAIRE. - Père, absinthique, rhumatisant. -
Père, 53 ans, homme de peine, eczémateux, atteint de rhuma- tisme chronique , a toujours joui relativement d'une bonne santé
t jeune, avec une tête très grosse. Cet enfant 3 li ? Hydrocéphalie chronique . aurait néanmoins joui d'une certaine intellige
evient Fig. 03. Pe... vu de profil, à 10 ans. 34G Hydrocéphalie chronique . indocile et s'obstine quelquefois mais pendant
elier, Fig. 6 ? Pe... vu de face à l'âge de tu ans. Hydrocéphalie chronique . 347 où il raconte que, puisqu'il est nourri, i
tu. Fig. Gag. La soeur de Pua... à l'lige de 5 uns. Hydrocéphalie chronique . 349 Cou court, assez grêle, pas de goître. Tho
erté. (Novembre.) Quelques poils très disséminés à la Hydrocéphalie chronique . 351 lèvre supérieure, poitrine glabre, aissell
la cause pathogène de l'hydrocéphalie parait être une inflammation chronique , à poussées répétées, des méninges intra-ventri
l'encéphale par Bourneville, Bicêtre, 1893. ? 3 354 Hydrocéphalie CHRONIQUE . le développement d'une tumeur. Lorsque la prem
ôtés. Diagnostic ET pronostic. Le diagnostic de l'hy- drocéphalie chronique s'imposera le plus souvent. On pourrait la conf
me s'élargir quand le dernier augmente de volume. 356 Hydrocéphalie chronique . Traitement de l'hydrocéphalie. Le traitement
. Traitement de l'hydrocéphalie. Le traitement de l'hydrocéphalie chronique peut être chirurgical ou médical. Le traitement
que nous en faveur de son efficacité. Ons. XXII. - Hydrocéphalie chronique . Sommaire. Aucun L171CC('CLB171 héréditaire. So
ineuse. Autre soeur morte de méningite. Émotion 358 ' Hydrocéphalie chronique . au 2o mois de la grossesse. Accouchement préma
avec sa mère, vue de face, à l'tige de 7 mois. 360 Hydrocéphalie chronique . naire, Frictions sur la tête avec de l'onguent
.. (avec sa soeur, Henriette), à l'âge d'un an. 3G2 Hydrocéphalie chronique . longueur sur 9 cm., 5 de largeur. La fontanell
'il. Esco... vue de profil à l'âge de 14 mois. 3fiA Hydrocéphalie chronique . 24 juillet. La capeline de Vigo a été renouvel
c sa soeur, vue de profil, il l'âge de 2j mois. 366 Hydrocéphalie chronique . 57 millimètres. La mère a remarqué que la calo
sco... (avec son père), à de 3 ans 1 mois. .A 368 Hydrocéphalie chronique . coco, Henriette (nom de sa soeur), t'es lourde
f1 i> H tl ..., M oo o -ce' 370 Hydrocéphalie chronique . naturel. Elle tient la tête droite, semble êtr
tte observation ce tra- vail sur quelques formes de l'hydrocéphalie chronique . Si Valentine Esco..., malgré une hydrocéphalie
21 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
malade offre le tableau habituel de la démence paranoïde avec état chronique d'agilalion et d'insomnie. La moyenne des heure
Sclérose atrophique de l'hémisphère gauche, généralisée. Méningite chronique du même hémisphère. Épaississement de la pie-mè
lésion en foyer ou une sclérose al/'Ophique, s'ajoute une méningite chronique . Alors, comme chez Tard...., les accès s'accomp
r pendant la vie sous l'influence de processus deslruclifs aigus cl chroniques . 8. Mais leur importance, en tant, que signes d
y a pas de diagnostic possible. P. hrR.tv.tt.. XV. Un cas de chorée chronique progressive avec au- topsie ; par le Dr de 1,'u
ons dégagées par l'auteur-peuvent se résumer ainsi : Dans la chorée chronique le trouble hyperkinélique est fonction du faisc
ence y soit primaire. Les lésions hosto- pathologiques de la chorée chronique rencontrées jusqu'ici n'of- frent pas d'unité e
reconnaissent vraisemblable- ment une étiologie variable. La chorée chronique est une affec- lion héréditaire et familiale du
s différents complexus S) ntpLuma liclue alpartcnanL à,1'alcuolismc chronique , il la confusion mentale, à la démence sénile,
clinique que certains auteurs décrivent encore sous le nom de manie chronique , que tl'aulres,hlus nombreux, tendent il ralla-
lui que nous devons la presque totalité du stock consi- dérable de chroniques qui encombrent nos asiles ; il est la cause uni
us de guérisons ; d'où, beaucoup plus de sorties, beaucoup moins de chroniques anourrir jusqu'à leur belle mort, et une énorme
nombre des médecins, cela sérail moins cher que de transformer en chroniques tous les entrants. PERSONNEL MÉDICAL DES ASILES
la sclérose en plaques el la syphilis cérébrale ; 7° hydrocéphalie chronique , abondance du liquide et. de la pression, pauvr
ssion cL cLu yuautiLé tlu liquide céphalo- rachidien ; 11° l'ictère chronique est la seule forme de la maladie LlÙ le lir¡uid
malgré les 9 hospices cantonaux qui assistent plus de 600 alié- nés chroniques , la commission nommée pour étudier les mesu- re
sion propose la di\ ision des asiles en asiles d'aigus et asiles de chroniques . Pour les premiers ce seraient : Heidelberg rég
sslocli. Le bel asile moderne d'Emmendingen deviendrait un asile de chroniques et recevrait ses malades d'Illenau et de-Fribou
xte qui recevrait' les aigus de sa circonscription et garderait ses chroniques : région de Constance : 300 à 400 lits. Quatre
re à laquelle le malade a succombé, les attribuent à l'alcoolisme chronique el aune insuffisance hépatique manifeste. 11.1)
s familiales, l'lahlis- sements slociaw pour les cas aigus, les cas chroniques , IIIJ]'i- latix de convalescence, asiles coloni
a populaires pour les maladies nerveuses, les hospices pour aliénés chroniques , les asiles-colonies pour épilep- tiques, les é
st pas aussi franchement scindée ; elle parait prendre une allure chronique et relativement torpide d'emblée, et il semble
démences s vésani- ques secondaires, dans les délires systématisés chroniques et dans la paralysie générale ; mais elle prend
ctère n'apparaît que très tardivement dans les délires systématises chroniques et n'appartient guère aux délires polymorphes d
te toujours chez les hémiplégiques, par comparaison avec les autres chroniques ," une spontanéité, une initiative amoindries, u
l'ensemble, les sentiments égoïstes, communs à tous les in- firmes chroniques , se rencontrent chez l'hémiplégique exagérés au
3° le signe d'Argyii est un épiphénomène de la méningite spécifique chronique ; c'est par cet accident que débutent les proce
s uyLùnles de la maladie de Graves, de même celui de la myocardite chronique . 11 faut donc retenir que la maladie de Dasedow
re typhoïde. Fabre, de Marseille, distingue cinq formes : éphémère, chronique , inter- mittente, pseudo-typhique et fébricule
400 cent. cubes d'eau, dont les parois sont le siège d'un catarrhe chronique . Ce n'est pas un diverlicule, car, on réussit il
ns leur développement : soit par des des causes physiques, catarrhe chronique , troubles chroniques de la nutrition, de la vis
t : soit par des des causes physiques, catarrhe chronique, troubles chroniques de la nutrition, de la vision, etc..., soit par
uvellement reçus commençant par. être mis à la fête d'un service de chroniques . Pour trancher la question de la proportion des
ec les autres malades des services d'hos- pices formant le bloc des chroniques . Dans ces deux classes de services, la proporti
e l3ucK,(Jonrn. elel\'eawologie.19U4,n 7.) Obsenalion d'un délirant chronique de R5 ans et ayant subi l'amputation de la cuis
émontrée : il y aura lieu d'intervenir aussi dans les cas de chorée chronique progressive qui constituent une infir- mité inc
uccès s'obtien- nt'nl 'mrtout cht'7- l'enfant. Dans l'hydrocéphalie chronique con- génitale ou acquise ; l'insuccès esl la rè
effel thérapeutique sur les maladies du système nerveux à évolution chronique (tabès, paralysie générale), la ponction lom- b
ôpital (infection, intoxication, affections viscérales : c) délires chroniques , psychoses systématisées primitives ou secondaire
reçus, il titre définitif ou plus ou moins dé- finitif, les nerveux chroniques considérés comme incurables (épi- lepti<lues
cin chef avec les infirmeries de vieillards, les maladies nerveuses chroniques et les maladies mentales ; 1 médecin-adjoint av
oses puerpérales par infection. - Comme toute infp('- tion aiguë ou chronique (pneumonie, fièvre typhoïde, tubercu- lose, rhu
oire aiguë avec excitation (ancienne manie puerpérale) ; les formes chroniques prendront plutôt le type de la dépression mélan
s aiguës (excitation maniaque pure ou hallucinatoire) et des formes chroniques (dépression mé- lancolique, démence) ; 3" suiva
ngulière- ment de la réaction froide et préméditée des persécutés chroniques : elleestla conclusion harmonique et légitime d
ment mitral est exceptionnelle, quand il s'agit d'une endocardite chronique . Lorsqu'on a an'aire à une poussée endocardique a
contiennent ni albumine, ni sucre. P. KERAVAL. LXXlll. Nicotinisme chronique ; par N. Toporkovv. {Obo;;réniJ psic7eiatrii, Y
ez lesquels le traitement estinefticace : -2" les téta- nos à forme chronique , sans lièvre où avec peu de fièvre, sans accide
parence bénin dans ses débuts. G. CHARRIE. iF LXXV. Trophoedème chronique non congénital du mem- bre inférieur droit chez
med. des leôl~ ? 31 mai 1904, p. : 2'21.) Un cas de tl'ophoedèl11e chronique non congénital chez une en- fant de onze ans. C
décrits par Esquirol et cités par M.Ritti sont plutôt des délirants chroniques que de vé- ritables invertis. M. ITTt. La sec
vons encore citer le chiffre élevé des décès par suite d'en- térite chronique , affection souvent dueà une manifestation dans
ints de troubles de la parole ; 6- les enfants atteints de maladies chroniques non contagieuses, osseuses, articulaires, CORRE
rable, mais si l'on songe que sur ce nombre il y a bien près de 350 chroniques incurables, auxquelles nous n'avons guère que d
examiné les réflexes irions du début à la fin de la périencéphalite chronique , réalisant 750 constatations sur lesquelles nou
ré et, tend d'autant plus à l'inertie totale que la périencéphalite chronique progresse. -Nous savons que chez 21 de nos 14')
pas en est une nouvelle confirmation. Une malade atteinte de chorée chronique est- prise de grippe avec pleurésie séro-libri-
nce. Pour les auteurs, la chorée serait une affection inflammatoire chronique qui au premier degré détermine des mouvements d
orties d'essai, nous avons organisé, même pour les incurables elles chroniques agités, une série de promenades quotidiennes, i
nation mentale. Les admissions ne comprendraient plus autant de cas chroniques et incurables, au grand bénéfice des malades, d
ériodiques rappelons encore : Hypnotisme et folie (1886) ; - Délire chronique , psychose systématique progressive (1886) ; - L
jour passer devant soi des aliénés atteints des for- mes aiguës ou chroniques des maladies mentales sous leurs aspects les pl
ts d'une clarté parfaite, les remarquables débats sur le dé- lire chronique , sur la classification des maladies menta- les,
la IVe Section, ne donner aux médecins-adjoints que des services de chroniques dans lesquels ils ne seront même pas les maître
ints en voulant les utiliser ? ' ? Ce n'est pas que les services de chroniques manquent d'intérêt. Je m'y arrête pour ma part
a part très volontiers et longuement. Je m'instruis en examinant un chronique , je fais appela tout ce qui lui reste d'activit
e 80 % (1). - Mais je crains que l'observation et le traitement des chroniques n'exercent pas sur les médecins adjoints une sé
et je suis d'avis de, leur donnera la fois des cas aigus et des cas chroniques . Un service d'aliénés doit, à mon sens, se compos
en. Voir Cerveau. CnLOfluRATION. Voir Névroses. Chorée. Un cas de chronique progressive avec autopsie, par de Buck. De la
physiologie pathologique du , dispari- tion des dans la chorée chronique , par Vaschide et Vurpas, 446. Moyen LI11,EP'r
ruralion de l'organis- me et les -, par Claude, 321. NICOTL\IS)IE chronique , par To- porkow, 388.. , No-ItESTnr·.mr. De l
1 : UFm;, Conttibution à l'élude du , par Sainton et Voisin, 312. chronique non congénital du membre infé- rieur droit ch
22 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ques des infections aiguës, que ré- sultaient les syndromes nerveux chroniques de la maladie. Mais des consta- tations ultérie
système nerveux et qu'il y détermine des processus inflammatoi- res chroniques , non précédés d'incidents aigus. On ne pourrait,
Il est certain que l'anamnèse décèle, parfois, dans les cas nerveux chroniques , l'existence antérieure des phénomènes aigus, sur
avité des formes méningo-encépbafiques aiguës. Les formes nerveuses chroniques de la trypanosomiase présentent, ce n'est pas d
s primitives du parasite dans la masse encéphalique, avec évolution chronique des processus anatomiques. Comme conséquence
es troubles moteurs d'un seul côté du corps. Dans la forme nerveuse chronique de la maladie, le syndrome le plus fréquent est
DE LA MALADIE DE CHAGAS 1. Syndrome de Little ; méningo-encéphalite chronique ; parasites dans le cerveau. 2. Diplégie cérébr
Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie. 24 ans. Méningo-encéphalite chronique ; parasites dans le cerveau et les muscles. 8
nombre de malades que nous avons vus, présentant la l'orme nerveuse chronique , s'élève : ') plus de deux cents. Malgré cela,
est repré- sentée par presque totalité des malades; dans les formes chroniques , les malades supportent longuement la maladie,
arche pro- gressive, à évolution relativement lente, d'un processus chronique dont nous avions pu suivre les différents stade
nes médullaires signalées par Edoardo Poggio qui admet l'irritation chronique des cellules radiculaires antérieures dans le p
ne que nous avons cru intéressant d'en publier l'observation. MANIE CHRONIQUE PAR R. BENON et PrDENËS Hospice Général (Na
QUE PAR R. BENON et PrDENËS Hospice Général (Nantes) La manie chronique n'est pas l'agitation chronique. Les états d'agit
Hospice Général (Nantes) La manie chronique n'est pas l'agitation chronique . Les états d'agita- tion chronique comportent p
chronique n'est pas l'agitation chronique. Les états d'agita- tion chronique comportent plusieurs variétés. La manie chronique
ats d'agita- tion chronique comportent plusieurs variétés. La manie chronique ou hypersthénie chronique est l'agitation mania
e comportent plusieurs variétés. La manie chronique ou hypersthénie chronique est l'agitation maniaque pure chronique ; elle do
e chronique ou hypersthénie chronique est l'agitation maniaque pure chronique ; elle doit notamment être différenciée de l'ag
iée de l'agitation maniaque associée à d'autres syndromes. La manie chronique vraie s'oppose à l'asthénie chronique. Voici un
d'autres syndromes. La manie chronique vraie s'oppose à l'asthénie chronique . Voici un exemple de manie chronique vraie. .
ue vraie s'oppose à l'asthénie chronique. Voici un exemple de manie chronique vraie. . Observation (PI. XIX). Résumé. Entré
itation anxieuse. La mélancolie a été remplacée par la manie. Manie chronique certainement depuis 1884 jusqu'à 1912, soit dur
tionnisme. Tenue malpropre. Insomnie habituelle. Probablement manie chronique pas/-mélancolique (mélancolie vraie) : asthénom
pas/-mélancolique (mélancolie vraie) : asthénomanie suivie de manie chronique . Pierre, 40 ans, tisserand, entre à l'H. G. de
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. XIX MANIE CHRONIQUE VRAIE (Benon et P. Denès) Masson & Cie, E
) Masson & Cie, Editeurs. Photoljpie Bertliaud, Paris MANIE CHRONIQUE ' 12B entend. Sa mimique est riche et expressiv
au..., va donc trouver X..., il est aussi bête que toi... » MANIE CHRONIQUE 123 Dans la journée, une fois sorti, il a circu
' folailler ». Cette observation est un exemple typique d'hypomanie chronique , vraie, pure, non associée à d'autres symptômes
s d'ordre hypersthénique. Comment s'est constitué cet état maniaque chronique ? Voici ce que nous supposons en attendant de l
dernière progressivement a été remplacée par un état maniaque resté chronique (asthénomanie post-mélancolique compliquée de m
resté chronique (asthénomanie post-mélancolique compliquée de manie chronique ). Quant au diagnostic entre la manie chronique
compliquée de manie chronique). Quant au diagnostic entre la manie chronique vraie et la manie chroni- que associée, nous ne
types de bouffon du temps passé. Il est certain qu'à l'hospice, ce chronique joyeux contribue pour une large part à égayer l
, un peu plus long que le premier. , A Tordesillas, son étal devint chronique etnous ne notons guère qu'une rémission en 1520
tions funèbres forment le fond. Nous croyons de plus (1) A. PicnoT, Chronique de Chai les-Quint, p. 482. , (2) R. St-IIILAIIi
du crâne les notes cliniques, pas très marquées, de l'hydrocéphalie chronique congénitale. L'enfant ne parle pas, semble ambl
diagnostiqua qu'il s'agissait de réacutisation d'une hydrocéphalie chronique congénitale à localisa- tion dans le IVe ventri
ydrocéphalie acquise, ou d'exacerbation d'une hydrocéphalie latente chronique . Celle question pouvait et devait se poser même
vrai, au nombre des poisons électifs des nerfs; dans l'intoxication chronique profession- nelle on ne signale pas de névrites
i par les téguments externes. ' On sait en effet que l'intoxication chronique par l'alcool peut être réa- lisée par l'inhalat
aissait pas d'homme de l'équipage qui fût atteint d'uréthrite, même chronique . Il reconnaît d'ailleurs que, par suite de l'en
tiologique de la sclérodermie dans son cas le processus rhumatismal chronique . · Kornfeld (3) présente une femme chez laquell
dans le traitement des affections dites rhu- malismales (Rhumatisme chronique , artériosclérose, troubles vaso-moteurs et lrophi
ment vu un cas'avec évolution simultanée et parallèle du rhumatisme chronique , de la maladie de Ray- naud et de sclérodermie
E, Rose et Touchakd, Maladie de Raynaud, sclérodermie et rhumatisme chronique . Bull. et mém. de la Soc. méd. des hôp. de Paris,
E, Rose et Touchard, Maladie de Raynaud, sclérodermie et rhumatisme chronique , Bull. et mém. de la Soc. méd. des hôpitaux de Pa
s ankylosant qui rappelle absolument celui de l'arthrite déformante chronique . Au niveau de la pulpe des doigts, de même que
un aliéné et l'un de nous a vu la même association chez un délirant chronique de son service de l'Hospice Marcoutza. Dans d
chez notre malade, à un cas d'anomalie, dans lequel existe l'oedème chronique des jambes; et dans lequel l'oedème est congéni
trouve en premier lieu l'oedème. Chez le plus grand nombre l'oedème chronique se trouve aux deux jambes ; un petit nombre seu
noedème OEDÈME CONGÉNITAL FAMILIAL DES EXTRÉMITÉS INFÉRIEURES 323 chronique d'origine trophique (trophoedëmedeMeige (7, 10, 1
(9). Meige, et aussi Cassirer, distin- guent trois groupes d'oedème chronique , dystrophique : celui des cas isolés, celui des
american Physicians, XII, blz. 411. ' 7. MEiGE. - Le troyhcedènze chronique héréditaire. Nouvelle Iconographie de la Sal- p
al- pêtrière, 1899. , 8. LAXKOts. Une observation de tiophoedènbe chronique héréditaire. Nouvelle Ico- nographie de la Salp
cette époque, c'est-à-dire depuis 1881 environ, excitation maniaque chronique . Etat actuel, 1912, à 33 ans : agitation légère
it être confondue avec aucune autre maladie nerveuse ; ni la chorée chronique , ni la maladie des tics, ni les myoclonies ne p
a gau- che. Au niveau des paupières on remarque des traces d'eczéma chronique , les yeux ne sont pas anormalement saillants. L
et superposer leurs effets. Toutes les infections ou intoxications chroniques survenant dans la période de l'ossification activ
e, nous nous en occuperons au détail. Uu cas de méningo-encéphalite chronique avec attaques épileptiques nous a fourni le mal
et dans la cavité crânienne, une pachy- lepto- méningo-encéphalite chronique . Du côté des lobes frontaux et des parties vois
sta- tions rachitiques manquent chez notre malade. L' hydrocéphalie chronique , avec son front haut et large qui surmonte une
maladie de Paget est communément considérée comme une ostéopa- thie chronique et lentement progressive, plus ou moins localisée
édents personnels quelque intoxication ou infection anté- rieure ou chronique . Notre malade, de par sa profession et son mili
er la nature des lésions. En effet s'il s'agit de méningo- myélites chroniques ou de pachyméningites, ces lésions peuvent avoir
que infection aiguë ancienne, ou les suites de quelque intoxication chronique (alcool, plomb). Les cas de Froin, de Babinsk
ibués à la syphilis. De même dans plusieurs observations à marche e chronique , le traitement anti-syphilitique a pu seul indiqu
sante d'albumine jusqu'à 0. 50 à 1 gramme. Dans les inflammations chroniques , la quantité d'albumine est peu aug- 500 MARINE
(Processus de réparation dans le -. Un cas de menillgo-encéphallte chronique avec attaques épileptiques), par SNESSAIIBFF,
et NO\ ? IOSSEI;ANU, 234. Manie el idiotie, par RENON, 358. Manie chronique , par et Denès, 122. lYfé,gulo-doct,ylie unilaté
, par Babinski, JU11EVTIH;Pt Jarkowski, 10. Ménitigo-eiicéphalite chronique , par Smîssv- REFF, 433. Moelle (Modifications
e et idiotie, 358. Benon (R.) et Denès (11.) (de Nantes). Manie chronique , 122. Bertolotti (M.) (de Turin). Une vertèbre
u langage dans l'aphasie de Broca, 331. Denès 'P.) et Benon Manie chronique . 122. Dloc (Maurice) et LKVËQOE (Mlle) (de Tou-
us de répara- tion dans le cerveau Un cas de méningo- encéphulite chronique , 433. Souques (\.) et Chauvet tStephen). Infan-
Jeanne la folle \L.\IGIOEL-LAvA'oTII\E et lllen- scxl, X. Manie chronique (RENOM et Dcni.·), XIX. Méningite cervicale hyp
binski, ,1U ! IENTII et JaRowsso, VI il VIII. Ménll1go-enc)éphalile chronique , processus de réparation du cerveau (SnLSSalsEF
23 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
IE Leçons cliniques sur les maladies des vieillards et les maladies chroniques , par J.-M. Charcot, recueillies et publiées par
ré, à la Salpêtrière, sur les maladies des vieillards et les maladies chroniques , un cours qu'il a continué en 1867, 1868 et 1869.
venir en premier lieu? M. Charcot a choisi la goutte et le rhumatisme chronique , et cela, croyons^nous, 1 C'est-à-dire depuis 1
: Io parce que, d'une part, étudiant depuis long¬temps le rhumatisme chronique , et, d'autre part, s'occupant d'an¬noter le livre
)1. M. Charcot étudie d'abord la goutte, qu'il sépare du rhumatisme chronique . Il passe successivement en revue les altérations
se rencontre jamais dans le rhu¬matisme articulaire, soit aigu, soit chronique . Dans les conférences qui suivent, M. Charcot p
se urique, la goutte aiguë, c'est-à-dire l'accès de goutte, la goutte chronique ; 3° la symptomatologie de la goutte viscérale, do
r la goutte de côté eût été un tort puisque la goutte est une maladie chronique que l'on a souvent occasion de voir dans les clas
ir dans les classes aisées de la popu-lation. espèces de rhumatisme chronique . Là, plus encore peut-être que dans les conférenc
indiquer le plan adopté par M. Cliarcot. " Les types du rhumatisme chronique sont très-nombreux, dit-il, mais nous porterons p
alement notre attention sur les sui¬vants : 1° rhumatisme articulaire chronique (R.goutteux, R. noueux, etc.) ; 2° rhumatisme art
e chronique (R.goutteux, R. noueux, etc.) ; 2° rhumatisme articulaire chronique partiel; 5° rhumatisme d'Heberden. Ces aspects si
ie. Puis il décrit les lésions anatomiques de l'arthrite rhumatismale chronique , établit un parallèle entre le rhumatisme articul
me articulaire aigu dans ses rap¬ports avec le rhumatisme articulaire chronique et la goutte, les af~ fections viscérales dans le
eçon, le traite¬ment de la goutte, et celui du rhumatisme articulaire chronique . Cette rapide énumération suffira, nous l'espér
ur qu'il me soit inutile d'y insister. [Lyon médical.) ALCOOLISME CHRONIQUE AVEC ACCÈS SUBAIGU. — ATTAQUES ÉP1LEPTIFORMES U
n après son entrée dans un asile, on a vu survenir chez un alcoolique chronique , sans nouveaux excès, des attaques épileptiformes
z qui toutes ces lé¬sions se sont trouvées était atteint d'alcoolisme chronique . Il est nécessaire d'ajouter que M. Sons (de Bo
ide dans l'étude d'une endocardite sub¬aiguë passant souvent à l'état chronique et ne fournissant que très-peu de signes fonction
avons déjà vu de ces appareils. 2e année. 4 MÉDECINE RHUMATISME CHRONIQUE ; DIFFORMITÉS CONSIDÉRABLES OBSERVATION RECUEILL
III, occupe depuis cinq ans le môme lit. Il est atteint de rhumatisme chronique . Dans sa famille il ne pa¬raît pas y avoir de rhu
ence aux matelas d'eau et aux lits mécaniques. CHIRURGIE SYNOVITE CHRONIQUE OBSERVATION RECUEILLIE PAR M. BEAU, EXTERNE DU
nt parfaitement à ceux décrits par les auteurs dans les inflammations chroniques des gaines synoviales tendineu¬ses. Notre diagnos
es tendineu¬ses. Notre diagnostic sera donc le suivant : Inflammation chronique limitée à la gaîne synoviale interne de la main o
lle. Duis le cas clinique qui nous occupe, c'est à une inflammation chronique de la gaine interne que nous avions affaire8. Les
isseurs, il est très-rare au contraire de rencontrer une inflammation chronique d'emblée. Le traitement a dû consister, comme t
nde, à tempérament lympha¬tique, a eu dans son enfance une ophthalmie chronique (4 ans) qui, à un moment, aurait gravement compro
ile. La cirrhose de l'estomac diffère essentielle¬ment de la gastrite chronique en ce sens que la muqueuse est relativement respe
l'histoire abrégée de cette malade. Observation.—Ophthalmie double chronique . — Albugo.— Opacités. — Kératite ulcéreuse à ga
jouirait d'une bonne santé. Un frère, âgé de 9 ans, a une ophthalmie chronique et des glandes cervicales. Vers l'âge de trois
al, l'appétit était presque nul; enfin une diarrhée, en quelque sorte chronique , une suppuration très-abondante, augmentaient enc
'histoire clinique du catarrhe de l'oreille (catarrhe aigu, catar¬rhe chronique , catarrhe purulent) n'occupe pas moins de huit le
u service qu'ils leur auront rendu. » G. Peltier. Angines aiguës ou chroniques : origine, nature, traitement, par le docleur Mou
ain numéro. — BIBLIOGRAPHIE Leçons sur le traitement des maladies chroniques en général et des affections de la peau en partic
de cause externe ou interne. Si elle est interne, elle sera aiguë ou chronique . Enfin, dans le cas où l'affection est chronique,
, elle sera aiguë ou chronique. Enfin, dans le cas où l'affection est chronique , on aura à la placer dans l'une des quatre gran
t et montrer que l'auteur distingue dans le traitement des affections chroniques de la peau le spécifique et le traitement adjuvan
n¬nes, par Taulier, 34. Aii.ante contre le tœnia, 112. Alcoolisme chronique avec accès sub¬aigu, par Bouchereau et Magnan, 41
lle, par A. de Traeltsch (anal. G. Peltier), 164. — Angines aiguës ou chroniques , etc., par Moura (anal. G. Peltier), 1(37. — Leço
ra (anal. G. Peltier), 1(37. — Leçons sur le traitement des mala¬dies chroniques en général et des affections de la peau en partic
s sujets assassinés, par Vernois, 73 (voy. Hémorrhagie). Rhumatisme chronique ; difformité con¬sidérable, par Sueur, 98. Rich
(De la) lactée chez une femme tétramaze, 16. Sueur, 98. Synovite chronique , par Beau, 99. Syphilide (De la) croûteuse en coq
24 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la gliomatose s'était compliquée d'un certain degré de méningite chronique , dont dépendaient les troubles moteurs des memb
ie, nous trouvâmes les signes ordinaires de la méningo- encéphalite chronique , avec cela de particulier, toutefois, que les v
se, il y a des différences fondamentales telles entre l'alcoo- hsme chronique et la paralysie générale qu'il n'y a pas lieu de
paralysie générale qu'il n'y a pas lieu de penser que l'alcoolisme chronique aboutira à la démence paraly- tique. Il s'agit
. M. B. Séance du 28 mai 1888. Présidence DE M. CoTARD. Du délire chronique (suite). M. J. Séglas. Messieurs, ce n'est pas
e la science le nom de Lasègue. Aujourd'hui les partisans du délire chronique se défendent de vouloir englober dans leur des-
ès aucune de ces données qu'on s'appuie pour constituer le délire chronique . Ne trouvez-vous pas que c'est s'étayer sur une b
ue les divergences entre les partisans et les adversaires du délire chronique sont plus apparentes que réelles. Faisant appel
s nobiliaires que lui attribuent des voix. Observations de délire chronique . M. LvoLF communique une observation de délire
de délire chronique. M. LvoLF communique une observation de délire chronique chez une femme qu'il a observée à Villejuif. La
ous points au groupe morbide que M. Magnan désigne du nom de délire chronique à évolution progressive et en pré- sente un cas
M. Rumpf (de Bonn). Contribution à la question de l'intoxication chronique par la syphilis, avec pièces anatomiques de syphi
nt, deviennent de véritables causes occa- sionnelles : l'alcoolisme chronique , l'alcoolisme aigu. Ces causes se divisent en c
ons aiguës ont une proportion très faible, mais les empoisonnements chroniques et, en premier lieu, l'alcoolis- me fournit un
es autres affections générales de : 0,91 p. 100. Parmi les maladies chroniques constitutionnelles, la chlorose et l'anémie off
isme aigu déter- mine une amnésie complète temporaire, l'alcoolisme chronique amène un affaiblissement progressif. Il n'y a,
t peut-être dans ce der- nier cas une manifestation de la méningite chronique , compliquant la maladie, si l'hyperplasie gliom
r- ticulations interphalangiennes; des processus inflam- matoires chroniques dans l'une ou l'autre des grandes articulations
ymptômes qui l'accompa- gnaient et d'après sa marche à la méningite chronique , qui est venue compliquer la maladie fondamenta
différente par l'âge seul du sujet; si la marche de la maladie est chronique , le type atrophie musculaire progressive spinal
spinale protopathique' (type Duchenne-Aran, poliomyélite antérieure chronique ) avec ou sans 1)aî,alysie labio-glosso-lL, ? -y
e, à une sclérose des faisceaux postérieurs, à une myélite centrale chronique , à une hydromyélie ou syrin- gomyélie, à une tu
ch., lLlIl, 3.) Tare héréditaire, hypéresthésie psychique, hystérie chronique , (dysménorrhée, ovaie, céphalalgie, agrypnie, d
s d'alcoolisme, pas de syphilis. Le malade succombe à une pneumonie chronique . A l'autopsie, on constate une tumeur gliomateu
ge du calamus et les parties susjacentes. Processus inflam- matoire chronique au voisinage de la tumeur. N. SIiWORTZOFF. II
qu'elle conserve ou non le souvenir de ses impulsions. Du délire chronique (suile de la discussion). M. R ? D 0,'Z de 284'
vécu plus longtemps, il faut reconnaître avec lui que les délirants chroniques avouent à l'entourage bien moins facilement leu
obscurité de la genèse des conceptions ambi- lieuses. Les délirants chroniques ont dès leur enfance les germes de leur future
est que l'écho d'une méta- morphose profonde de son être. Le délire chronique étant ainsi un développement d'un caractère, il
voqué un cas de La- sègue, mais à cette époque, la synthèsedudélire chronique n'étant pas connue, il n'y a rien d'étonnant à
ses. Ke serait-ce pas une mégalomanie mystique ? Le terme de délire chronique mérite toutes les critiques qui lui ont été adr
- tion prolongée s'oppose à leur guérison. C. Folie systématique. Chronique ou aiguë, acquise ou congénitale, elle nous donne
e malade commence à être tourmenté de nostalgie normale. D. Etats chroniques secondaires On usera de la sortie dans une asse
général , au moins pour un grand nombre, et les fous systématiques chroniques . E. La folie morale, incurable comme on sait, m
ur les établissements d'hospitalisation pure (maisons de santé pour chroniques ); à quoi bon notamment exiger que le mé- decin
idées de persécution, et parmi eux, prin- cipalement par le délire chronique . Tout persécuté, tout mélancolique trouve en gé
a- gnostic que l'on avait seulement pressenti. Aussi, le délirant chronique fait-il beaucoup de complices avant d'être inte
ont saisies, à chaque instant, d'affaires relatives à des délirants chroniques , qui sont bien les malades les plus difficiles
LA FOLIE COMMUNIQUEE. 335 tion. Des deux malades, l'un est délirant chronique , l'autre est débile ; ou bien, tous deux sont d
observations. Observation II. Délire communiqué. - Mère délirante chronique . Fille débile. Les deux malades qui font le suj
mère, M-e L... âgée de cin- quante-deux ans est atteinte de délire chronique ; la fille Maria L... est une débile, qui a subi
des persécutions touche à sa fin, et la troisième période du délire chronique est probablement en voie d'évolution. Complètem
Dépôt. Observation III. Délire communiqué. Soeur aînée, délirante chronique . Soeur cadette, débile. T... (Anne), âgée de
adette, débile. T... (Anne), âgée de qnarante-quatre ans, délirante chronique simple, est entrée au bureau d'admission de Sai
des partager les mêmes hallucinations. Dans l'évolution du délire chronique , elles ont un cachet bien typique qu'il est à p
ènes mor- bides de la maladie. Chez le débile qui copie le délire chronique , l'hallucination peut parfois exister, encore f
nt d'après un mécanisme tout différent. De plus, chez le délirant chronique , l'hallucination revient sans cesse et persiste
beaucoup plus simple, beaucoup moins logique que celui du délirant chronique , et, en tout cas, beaucoup moins systématisé ;
et de mucus, laissant voir ainsi les signes d'un catarrhe vésical chronique qui a compliqué l'accident. e). Symptômes recta
es réflexes tendineux. P. K. XXIII. Un cas DE paralysie progressive chronique DES muscles DES veux (ophthalmoplégie externe);
irculatoire préexistant. P, I\. XXXI- DE la poliomyélite antérieure chronique ; par Il. Oppexueim, (lrclt. f. Psych., XIX, 2.)
z.) Dans le premier cas, c'est chez une malade atteinte de folie chronique avec accès récurrents que cet effet a été observé
donc utile d'établir dès le début si le cas sera aigu et rapide ou chronique . La manie transitoire est bien connue. Son prin
té qu'elle est survenue, mais non toujours, et peut passer à l'état chronique . Si la .cause est récente, bien définie, on peu
n rapport de Ai. Lagrange sur le Délire ambitieux dans l'alcoolisme chronique . * Classification des maladies mentales. - La S
rojet de classifi- cation. Mais la discussion ouverte sur le délire chronique rendait impossible avant sa clôture l'adoption
ns céphaliques et à d'autres dommages, par de la folie systématique chronique semblable au délire de persécution par hallucin
e faible mortalité, que pour les grands asiles où les psychopathies chroniques abondent ainsi que les cas de mort. 11 faut sur
stelberg. De l'emploi de l'hyoscyamine dans les états d'agio talion chroniques . Il a pu l'administrer jusqu'aux doses de un cen-
gauche), perpé- tuellement. Un sénateur à gauche. C'est à l'état chronique . M. de Gavardie. A l'état chronique ? ... J'all
nateur à gauche. C'est à l'état chronique. M. de Gavardie. A l'état chronique ? ... J'allais dire une méchan- ceté ; mais j'e
ttisie hystérique). Penasse : Contribution à l'élude des méningites chroniques et spécialement d'une terminaison fréquente che
(écoroe cérébrale d'nne malade morte de), par Snell, 450. Délire chronique , par Séglas, S1 ; - par inlitraiidon de imoiity
oolique des muscles des yeux, par Tlromsen, 252; - (pro- gressive chronique des muscles des yeux), par Weslphal, 538; laryn
maladie de Bascolow" par Jotidrassik, 66. Poliomyélite antérieure chronique , par Oppenheim, iî2, - par Bern- liardt, W 3.
méningite aiguë et), 1),Ir Selililtze, 86. Syphilis (intoxication chronique par la), par Rumpf, 88; (cérébrale), par Hert
25 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rfs, en créant autour de lui une véritable névrite interstitielle chronique . Telle est encore l'origine fort probable des p
nt, les quinze premières sont certainement des exemples de délire chronique systématique : à la rigueur, on pourrait encore y
à eux seuls » . Camus et pense que ce sont également des délirants chroniques ; Maran- don de Montyel aussi, en faisant remarq
la les différencierait en un point seulement, puisque les délirants chroniques sont des sujets normaux jusqu'au début de l'aff
able, et je ne pense pas qu'il doive être rangé parmi les délirants chroniques . Ce serait plutôt un dégénéré héréditaire. 'O
op absolu; admettons qu'il convienne de ranger parmi les délirants' chroniques les persécutés génitaux qui ont quelques idées
publiées en 1876, à une époque où il n'était pas question de délire chronique . DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 45
lassique, complète, du délire de per- sécution soit la forme délire chronique systématisé (Magnan) '. Et, d'après mon observa
urait pu les croire presque contemporaines. En dehors des délirants chroniques , d'autres persécutés présentent également des i
l'extrémité inférieure gauche. Tels sont les signes d'un processus chronique progressif qui dure depuis six ans chez un jeun
a folie primaire servit presque uni- quement pour indiquer la forme chronique et de la forme aiguë il ne fut plus question da
émontrèrent l'existence d'une forme d'aliénation mentale, le délire chronique , caractérisée justement par les mêmes symp- tôm
délire systématisé primitif ou paranoïa, la forme aiguë et la forme chronique , réunies dans le même chapitre, comme un groupe
s Schùle montre la nécessité de bien distinguer les formes aiguë et chronique , la paranoïa chronique rentrant plutôt dans le
ssité de bien distinguer les formes aiguë et chronique, la paranoïa chronique rentrant plutôt dans le cadre de la folie dégén
qui ne sont, pour ainsi dire, que la répétition abrégée de la forme chronique et dans lesquelles la maladie débute par le dél
de pour que le délire puisse se systématiser. En outre, la paranoïa chronique nous offre dans sa marche des exacerbations qui
se n'est pas tombée dans l'erreur de confondre les foi mes aiguë et chronique du délire primitif dans une seule forme moi bid
de tous, de même que sur le rapport des formes aiguës avec la forme chronique du délire chronique, du délire systématisé. - C
sur le rapport des formes aiguës avec la forme chronique du délire chronique , du délire systématisé. - C'est pour reprendre
ce entre les formes aiguës étudiées dans ce travail, avec le délire chronique , elle ressort du précédent exposé symptomatique
f des deux affections. 1 Rappelons que la caractéristique du délire chronique consiste dans la systématisation des idés délir
groupe à part, en dehors de la mélancolie, de la manie ou du délire chronique (paranoïa en Allemagne). On les désigne à prése
e « Wahnsinn » eu laissant le terme de « Ver- rucktheit * au délire chronique .- L'auteur préférerait l'appellation de « folie
d'appui à l'idée que le délire primitif aigu et le délire primitif chronique appartiennent au même groupe. Du reste, ces cas
nce aiguë (qua- torze observations) ; folie systématique (paranoïa) chronique (huit observations) ; imbécillité avec folie sy
s Guinon. BIBLIOGRAPHIE. 125 II. L'athétose double et les chorées chroniques de l'enfance; par AUDITS, médecin des hôpitaux
l existe aussi d'autres cas analogues, dans lesquels des vésaniques chroniques , et aux facultés affaiblies, agissent bien, en
bides diffé- rentes : le délire de persécution de Lasègue (délire chronique , psychose systématisée à évolution progres- siv
et qui peut ! servir, de type aux psychoses par empoi- sonnement chronique .. ,, : il ' 'J .1111 " ." \"1'\ , ,I(I..Ç'S dan
s des épileptiques meurtriers. Sous l'influence de l'empoisonnement chronique par l'alcool, les facultés mentales s'affaiblis
ont frappé, blessé, ou même tué, se rap- portent à des alcooliques chroniques qui ont agi sous l'influence d'une colère furie
primitivement, mais arrivés à une période avancée d'une- affection chronique du cerveau, procédaient parfois, quand ils deve
confondue à cette période avec celle du diabète et de l'alcoolisme chronique . On distingue néanmoins l'atrophie optique du t
complètement aveugle, tandis que dans le diabète et l'alcoolisme chronique l'atrophie optique est toujours bilatérale d'em
polyurie semble être l'apa- nage du diabète et cependant le diabète chronique des arthritiques ne s'accompagne très souvent q
intestinal méconnu pendant la \ie, chez une femme atteinte de manie chronique et de démence complète. Les seuls symptômes obs
aiguë qui 222 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ne tarda pas à devenir chronique : il succomba à une carie des vertèbres cervica
l'opération revêt la forme aiguë, que lors- qu'elle prend la forme chronique . L'auteur souhaite en terminant que de nouvelle
ut constater de ''l'anesthésie dans les différentes formes de folie chronique , ainsi que dans l'imbécillité et l'idiotisme :
e odeur désagréable. R. M. C. Il. Quatre cas DE guérison DE folie chronique , avec UN RELEVÉ DE QUATORZE AUTRES CAS DANS LES
générales ; mais ils montrent du moins que la guérison de la folie chronique n'est pas aussi rare qu'on le pense et qu'on l'
érale des aliénés, surtout à la première période ; C, dans la folie chronique . R. M. C. IV. Notes sur L'EMPLOI du SULFONAL; p
oque quand ils subsistent tels quels dans le sang, une perturbation chronique dans la composition de ce liquide et entraîne,
érations rencontrées par Licli ! heim dans les affections générales chroniques (anémie per- nicieuse, etc.). Ces altérations
éditeur. ' M. Sollier définit l'idiotie : « une affection cérébrale chronique 260 BIBLIOGRAPHIE. à lésions variées, caracté
Bicêtre, dans ce service qu'il dirige de main de maître, et dont la chronique est chaque année publiée par lui et- ses élèves
il visite l'asile de Weissenau en reconstruc- tion pour 500 aliénés chroniques , passe à Saint-Pirmnisberg où il étudie la colo
tôt admettre que l'accès vésanique se prolongera et qu'il deviendra chronique ; il subira sans doute alors des modifications,
st l'inflammation du début de la paralysie générale. La méningite chronique n'existe pas toujours nécessairement à cette pé
l est entré à l'asile de la Jamaïque en 1874 ; il avait de la manie chronique avec idées de grandeur. Douze ans plus tard, en
circonvolutions : en général, les signes de leptoméningite fibreuse chronique . -Par- fois, dans les petits vaisseaux de ces m
40 jusqu'à nos jours, ils 'ont été désignés comme atteints de manie chronique , folie inter- mittente, périodique, dipsomanie,
sme épileptique, la logorrhée irrésistible de la folie systématique chronique , les impulsions, la catatonie. Cramer prétend
des départements, une partie des malades affectés de psychopathies chroniques , quel qu'en soit le nombre, qui, dépourvus de m
istence libre, 536 aliénés, surtout des hommes atteints de vésanies chroniques . Nos malades comprennent aujourd'hui 326 hommes
sychiatriques étendues). C'est, en somme, la caricature d'un délire chronique systématique. M. FIIEUND. Présentation de quelq
mpleur au champ visuel. M. HAHN présente un malade atteint de folie chronique consécu- tive à des excès prolongés d'alcool. I
rs. Il n'en est pas de même en ce qui concerne la folie épileptique chronique . Par exemple, les épilepti- ques travailleurs.
de la Salpêtrière, où s'entassent en couches pressées les maladies chroniques incurables, les affections nerveuses et mentales,
223; - analgésie dans la -, par Keniston, 230; - guérison de la - chronique , par- Pope, 233; - alcoolique chro- nique, pa
26 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
la maladie de Raynaud, distinguer trois grandes classes d'asphyxie chronique : 1° Celle avec prédominance des troubles sensi
elle avec prédominance des troubles sensitifs. C'est l'acro-cyanose chronique ci forme sensitive ; 2° La modalité avec atroph
erscheimer et Hartmann (4) qui appellent la maladie : acrodermatite chronique atro- phiante. Quelques particularités ne sont
de toute évidence appartenir à cette dernière variété des asphyxies chroniques intéressant les extrémités. A cette occasion,
ermatologie und Syphilis, Band. LXI, L Ileft, 1902. l'acrocyanose chronique IIYPERTROPIIIANTE 3 Avec ces documents, j'ai en
celle affection à laquelle me semble convenir le nom d'acro-cyanose chronique hypertrophiante (1). Les observations antérieur
on me parait constituer un exemple caractéristique de l'acrocyanose chronique avec hypertrophie concomitante. Cas N° 5. HOFFM
roids, un peu cyanosés, mais non augmentés de volume. l'acrocyanose CHRONIQUE HYPERTROPHIANTE 7 Hémianesthésie droite. Rien a
Aussi ne peut-on pas les comprendre dans le cadre de l'acrocyanose chronique hypertrophiante et faut-il plutôt, suivant M. C
Genève depuis nombre d'années. Il a été ajourné deux l'acrocyanose chronique il YPERTROPHIANTE 9 fois au service militaire e
igts qui présentent bien l'aspect dit en coup de vent du rhumatisme chronique . Les articulations sont cependant d'épaisseur n
renversée en arrière. Cordes vocales présentent de la con- gestion chronique . Mouvements se font bien. 10. - Pression artéri
les causes en sont multiples et que différentes maladies aigués ou chroniques peuvent être incri- minées. Quoi qu'il en soi
hypothèse. La maladie de Raynaud est intermittente : l'acrocyanose chronique hypertrophiante est, au con- traire, durable et
ancereaux, Des Acrolrophonévroses (Sem. méd., 1894). .L'ACROCYANOSE CHRONIQUE IIYPERTROPIIIANTE 19 renseignements qui y sont
s utiles, et on peut, à l'heure pré- sente, tracer de l'acrocyanose chronique hypertrophiante le tableau symptomatique que vo
sensation désagréable. C'est maintenant une maladie : l'acrocyanose chronique hypertrophiante est constituée. Quand on exam
férente. A cette cyanose dont le développement est lent, progressif chronique , il faut ajouter l'augmentation du volume de la
la déformation dite « en coup de vent » symptomatique du rhumatisme chronique déformant. C'est un point sur lequel je m'étendra
s'était produite. L'acro- cyanose hypertrophiante est une affection chronique , qui s'installe lente- ment et ne disparaît que
leurs. C'est qu'en effet si les signes cliniques de l'aci-o-oyanose chronique hypertrophiante peuvent être bien tracés, avec
l'acnitis, etc. Mais quand il s'agit de faire entrer l'acro cyanose chronique hyperthro- phiante dans une de ces classes, la
it du malade. On doit donc décrire des oedèmes aigus et des oedèmes chroniques . I. Les oedèmes aigus (à part ceux à étiquette
relèvent du type décrit par Quincke. II. Le groupement des oedèmes chroniques est au contraire plus dé- licat. Si l'on distra
contraire plus dé- licat. Si l'on distrait de ce groupe les oedèmes chroniques classiques, ceux sanctionnés depuis longtemps p
tique, le myxoedème localisé, l'oedème segmentaire et même l'oedème chronique hystérique. A Henry Meige revient le mérite d'a
ttiré de nouveau l'attention sur ces faits. Le terme de trophoedeme chronique a su rallier tous les suffrages. Mais peut-être
Quincke (1). , II. OEdéme hystérique (type Charcot). III. OEdèmes chroniques . A. Au cours des maladies du coeur, des vaissea
ux, des reins,r : tll cours des cachexies, et de certaines maladies chroniques du système nerveux. B. OEdème chronique éléphan
, et de certaines maladies chroniques du système nerveux. B. OEdème chronique éléphantiasique (dû à la filariose). C. Trophoe
lial est le plus stable, le plus identique à lui-même, s'installant chronique d'emblée, et restant à peu près immuable une fo
, d'arrêt, de rétro- cession même, pouvant il est vrai, s'installer chronique d'emblée, mais succédant, dans quelques cas, à
meuse. Nous pensons pouvoir écarter de suite la méningo-encéphalite chronique infantile, à membranes épaisses, symphysées, à
ur l'état airophique de la moelle épinière dans la syphilis spinale chronique , Non ! . Icon. de la Salp., 1901. (2) Raymond,
établir. L'évolution morbide a été caractérisée ici par une marche chronique très lente, une limitation secondaire, il esl v
, ulcérations de la gorge et du larynx, taies de la cornée, rhinite chronique , engorgement ganglion- naire ; 8 fois la syphil
onde d'un enfant chétif, Vt 9 122 SABBAZÈS atteint de kératites chroniques , et frappé d'accidents paralytiques- sur la nat
s uni, puis bitaté- - raux est le plus souvent l'effet d'une lésion chronique des méninges, plus spécialement même d'une tume
ne le croit. M. Hertoghe, en publiant un curieux cas de trophoedème chronique localisé à la joue droite, a remarqué que la so
Genève, 1900. (2) Hertoghe. Contribution à l'étude du trophoedèine chronique (Nouvelle lcollogm- phie de la Salpêtrière, nov
des éléments que l'on rencontre très fréquemment dans les processus chroniques de syphilis et de vieille tu- berculose. Selon
bre, mort ou existant, de la famille de D... n'a présenté d' oedème chronique des membres : une de ses filles est atteinte de
rocessus de dégénérescence graisseuse avec tendance aux irritations chroniques diffuses portant à la fois sur les centres nerveu
st en effet le mode de terminaison le plus habituel de l'alcoolisme chronique (Magnan) et l'adipose sous-cutanée est égalemen
certain rôle aux intoxi- cations, et en particulier à l'alcoolisme chronique . 286 DENY ET LE FLLY Pour la maladie de Dercu
pas l'empreinte du doigt. L'évolution du trophoedème est nettement chronique et elle peut durer la vie entière sans rétroces
pertrophie des commissures la- biales (Tunel, Ciseau), inflammation chronique de la muqueuse de la lèvre supérieure (Symbole)
sable, pensons- nous, de le séparer aussi de la paranoia alcoolique chronique , où il existe une modification plus ou moins ma
- vorables l'état du malade s'améliore. Dans la paranoïa alcoolique chronique on observe un développement progressif de la ma
s dans le délire alcoolique continu que dans la paranoïa alcoolique chronique ; dans le premier cas, les idées délirantes, pou
olie alcoolique peut aussi être confondue avec le délire alcoolique chronique , car parfois au début elle se manifeste par des p
alcool, telles que la mélancolie alcoolique, la paranoïa alcoolique chronique , quelquefois la psychose de Korsakoff, débutent p
le rapport de la maladie en question avec la para- noïa alcoolique chronique ? Nous allons aussi nous abstenir de nous pro-
e délire alcoolique continu est une forme de la paranoïa alcoolique chronique , il serait indispensable de remarquer qu'il dif
es ou délirants s'étant développés sur le terrain de l'alcoo- lisme chronique , mais qui ne correspondent pas au délire alcooliq
la maladie somatique. Il nous semble que, ni le « délire alcoolique chronique » de. Wernicke, ni le « delirium tremens contin
rsé- cution se développant d'une manière aiguë chez des alcooliques chroniques avec hallucinations auditives très abondantes,
bibliques en images (3 grav.), par Henry Meige, 203. Acrocyanose chronique hypertrophiante (2 pl. photocollogr.), par M. P
m- me et chez le cheval, par Rudler et CHOMEL, 369. Trophoedème chronique acquis el progres- sif (1 photocoll.), par SICA
e (1 photo.), 238. LAIGl'OEL-LAVASTINE et SICARD. Trophoedè- me chronique , acquis et progressif. (1 pl. photocoll.), 30.
traitée par la résection (1 pl.), 251. PéHu (M.). L'acro-cyanose chronique hy- pertrophiante (2 pl. photocoll.), 1. POPO
togr.), 41R. SICARD (J. A.) et LAlG;O¡EI.-LAYASTlE, Tro- phoedème chronique , acquis et progres- sif (t pl. photocoll.), 30.
ques en images (Henry MEIGE), XLVIII. Acrocyanose hypertrophiante chronique tPÉnu), 1, II. Adipose sous-cutanée symétriqu
Tic tonique du membre supérieur droit (Rudler), XLIX. Trophoedème chronique , acquis et progres- sif (Sicard et LAIGnFL-LAVA
27 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t chez les individus qu'il a observés. C. V. DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU ; par le professeu
quoi l'on doit, dans certaines affections de la peau, dans l'eczéma chronique , par exemple, examiner avec soin la sensibilité
postérieurs tabétique type avec de l'endartérite ou de la méningite chronique , telle encore de la neu- rasthénie alcoolique a
é en effet qu'il obtenait de bons résultats dans certaines maladies chroniques , la pananoïa par exemple, en cessant brusquemen
alimentation thyroïdienne dans les cas d'aliénation mentale à forme chronique . Si le nombre des expériences est encore trop p
à la suite des améliorations survenues dans les affections mentales chroniques au cours d'une maladie aigueë, il se produit la
z, dans l'intoxication saturnine, et Saratschow dans le morphinisme chronique sont arrivés à des résultats positifs. Les trav
s intoxications aiguës : d'abord on sait que pour les intoxications chroniques leur marche pst fort différente au point de vue
heval, figuré également conserve par Eisenlohr 2,dans une méningite chronique de la queue de cheval, et décrit au contraire c
énérale ou un alcoolisme invétéré; qu'elle survienne chez un aliéné chronique , ou chez un vieil athéromateux ; qu'elle soit e
s'est produit chez un paralytique géné- ral, un chez un alcoolique chronique , trois chez des vieillards athéromateux, et tro
e présentant un caractère de chronicité, le terme de leploméningile chronique hémorragique est mieux approprié que la dénomin
eux où l'hématome complique une para- lysie générale, un alcoolisme chronique ou un athérome avancé. Elle se retrouve dans no
Ame- rican journvl of insaitity, octobre 1895.) . E. B. X. Délire CHRONIQUE ET alcoolisme aigu; par le Dr E.ST.\1AN. Cas in
es suivantes : 1° l'alcoo- lisme aigu peut se greffer sur le délire chronique et la totalité des symptômes peut être mise par
guérison de l'alcoolisme aigu peut dimi- nuer l'intensité du délire chronique , mais ce dernier ne guérit pas; 3° un tel malad
nt pour tirer parti du dia- gnostic du médecin et cacher son délire chronique . (American journal of insanily, octobre 1895.)
du signe du genou dans la convalescence de la manie, dans la manie chronique , dans le cours des formes aiguës de la paranoïa
t parlie du groupe des paranoïas aiguës; 8° Au cours de la paranoïa chronique , l'exagération du réflexe rotulien peut faire r
contracture musculaire. L'absence du réflexe du genou dans la manie chronique , la paranoïa, la mélancolie, n'est qu'un phéno-
peut admettre cinq variétés. Nous connais- sons déjà les délirants chroniques . Ils offrent des caractères assez différents de
très importante. Après avoir admis ces cinq variétés de délirants chroniques , de persécuteurs raisonnants, d'alcooliques, de
pparaissent- elles à la première ou à la deuxième période du délire chronique , l'absence d'hallucinations auditives est un ca
uer les variétés du délire de persécution. Le délire de persécution chronique a pour caractère l'incurabilité. Cependant cert
rticulier à relever chez nos autres malades. Ce sont des tabétiques chroniques avec ataxie moyenne. Chez tous l'incoordination
and la maladie sera arrivée à la période d'état ou de progrès lent, chronique . En effet nos exercices ont pour but de compens
s pou- voir arriver coordonner ses mouvements. Même dans le tabes chronique à évolution lente, l'aggravation se fait souvent
e la face dorsale forme une saillie arrondie d'oedème, d'empâtement chronique de la dimension d'une pièce de 5 francs, dont l
lade, reste nulle. On ne peut penser à une intoxication alimentaire chronique , chez un individu n'ayant jamais éprouvé de tro
interprétations délirantes, tandis que le malade atteint de délire chronique ou psychose systématique progressive a nécessai
allucinations . Les auteurs s'appuyant sur une autopsie de délirant chronique développent l'hypothèse d'une cor- rélation pos
r, Linon', Féré, etc.). MM. Vallon et Marie. - Sur un cas de délire chronique religieux à hallucinations auditives et visuell
e de laséméio- logie spéciale et du mécanisme psychique des délires chroniques mystiques. . M. Séglas termine en résumant le
urs à dix mois. C'est la forme aiguë de la maladie; dans la forme chronique , les accès sont intermittents, moins graves et
nte que réelle et semble due à l'encombrement de nos asiles par des chroniques dont l'in- curabilité est, le plus souvent, cau
ce aux aliénés en hôpitaux de maladies aiguës et asiles de maladies chroniques . Il ne se dissimule pas les difficultés pratiqu
ur cette ques- tion vitale de la distinction entre aliénés aigus et chroniques . Elle seule donnera la solution de la situation
l'impossibilité où est le médecin de les connaître. Noyés parmi ces chroniques , les aigus curables eux-mêmes en souffrent. Il
es aigus curables eux-mêmes en souffrent. Il faut donc éliminer les chroniques , je ne dis pas incu- rables ; pour ce faire, la
t éliminer par la colonisation agricole. Quant à l'exclusion de ces chroniques éliminés de la loi d'assistance et du budget de
A l'appui de la distinction nécessaire des maladies en aiguës et chroniques avec établissements d'assistance différents, on p
Denver, 1892), le pourcentage des guérisons d'un asile où aigus et chroniques sont mêlés, est moindre que la moyenne combinée
ndre que la moyenne combinée d'un asile d'aigus et d'une colonie de chroniques bien organisée. L'action déprimante de l'asile
niques bien organisée. L'action déprimante de l'asile pour certains chroniques qui n'ont plus à y recevoir de traitement série
des asiles ou des services spéciaux et distincts aux états aigus et chroniques et qu'on séparera ces services distincts de ceux
distincts de ceux des idiots-épileptiques dégénérés et de ceux des chroniques céré- braux simples. Il cite à l'appui l'exempl
disposé à penser qu'il y a utilité à faire la scission en maladies chroniques et aiguës. Mais la différence n'est que dans le
roniques et aiguës. Mais la différence n'est que dans les mots; les chroniques sont en réalité des incurables. M. Giraud a con
persécutés hallucinés, persécutés typLasègue, dont les délirantes chroniques de M. Magnan conslituent la variété la plus commu
roportion des guéri sons. - Jadis, on divisait les fous en aigus et chroniques et l'on reléguait ceux-ci dans les dépôts de mend
ation de 1 p. 100 des guérisons, ce qui prouve que les aliénés dits chroniques ne sont pas des incurables. Criminels fous.- On
1895, n° 2.) C. 310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLI. Saturnisme chronique avec paralysie des nerfs radiaux ; par ' le pro
rmer. On trouva, en effet, une pachyméningite et une leptoméningite chroniques , fibreuses, de la voûte et d'une partie de la b
ité des os ; par le 1)" Gvv vN. On a déjà signalé dans les maladies chroniques du système ner- veux central, et particulièreme
usement traités que des crimi- nels. On entendait, nuus rapporte la chronique naïve et apeurée, on entendait au dehors « le b
fausse couche. Il a deux enfants, dont l'ainé souffre de diarrhées chroniques . Il y a cinq ans, le malade souffrait d'insomni
sque, malgré tous les efforts du médecin, un cas devient décidément chronique , c'est souvent un devoir, si l'état du malade p
etour à la vie de famille. Il est certain qu'un grand nombre de ces chroniques et de ces incurables tranquilles qui encombrent
usion simple chez des séniles ; 3° psy- choses chez des alcooliques chroniques ; 4° confusion chez des individus cachectiques,
n et Sérieux 2, sous lequel se présente le malade atteint de délire chronique varie, non seulement, suivant la période de la
ours. Psychologie morbide, p. 221, 222. ' Magnan et Sérieux. Délire chronique , p. 98. v DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 4t9 ment
délirantes se rapprochent, on le voit, de celles des mélancoliques chroniques religieux ; elles en dif- fèrent cependant par
, p. 802, 803. 2 Cité par M. Doutrebante. Discussions sur le Délire chronique , S. M. P., octobre 1886. , 3 Séglas et Besanç
anie diffère également de la pseudo-mégalo- manie des mélancoliques chroniques parvenus à la phase que Cotard a désignée sous
de la chorée de Sydenham et à l'évolution progressive de la chorée chronique . Un autre caractère de la chorée variable, bien
laire qui est comme une spéci- ficité causale inhérente à la chorée chronique : on se trouve, dans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
vec lésions diffuses généralisées. Moelle : poliomyélite antérieure chronique dans la partie cervicale; plus bas, degénératlo
-, par A. vleyer, 130. Délire des persécutés, par Falret, 66, - chronique et alcoolisme aigu, par Eastman, 132 ; Neef, :
chronique et alcoolisme aigu, par Eastman, 132 ; Neef, : J8'1. - chronique religieux, par Vallon et A. Marie. 21G; Séglas.
corce. Anatomie pathologique de l' -, par Gohlmann, 491. I'C7L)IA chronique et anesthésie de la peau, par StoukovcnlolT, 'i
57à. - (les pervertis sexuels, par llatntlton, >7G. Saturnisme chronique avec para- lvsie des radiaux, par de Henni, 3
28 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ncurables, admises à vie, des sujets de tout âge affectés de maladies chroniques de tout genre, de celles en particulier qui ont p
icates qui seules marquent parfois les débuts de certaines affections chroniques . D'ailleurs, quel espoir peut-on conserver de gué
n pouvait espérer que là viendraient se présenter en grand nombre ces chroniques qui ne trouvent pas toujours un accès facile dans
ÇON Sur l'atrophie musculaire consécutive au rhumatisme articulaire chronique . Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthr
. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës, sub-aiguës, ou chroniques . — Relation entre la localisation de l'atrophie e
phie et le siège de l'arthropathie. — Types du rhumatisme articulaire chronique primitif : 1° rhumatisme articulaire chronique pr
rhumatisme articulaire chronique primitif : 1° rhumatisme articulaire chronique primitif généralisé ou progressif; 2° rhumatisme
hronique primitif généralisé ou progressif; 2° rhumatisme articulaire chronique , fixe ou partiel; 3° nodosités d'IIe-berden. — Le
hronique, fixe ou partiel; 3° nodosités d'IIe-berden. — Le rhumatisme chronique généralisé détermine des amyotrophies prédominant
ies aiguës ou subaiguës, on peut le répéter du rhumatisme articulaire chronique . — Dans toutes ces affections articulaires, aiguë
laire chronique. — Dans toutes ces affections articulaires, aiguës ou chroniques , l'amyotrophie se produit suivant les lois indiqu
ttention sur cet aplatissement de la fesse, dans certaines affections chroniques de la hanche. Le cas que je vais vous soumettre a
is vous soumettre appartient à la catégorie du rhumatisme articulaire chronique . 1. Adams. —A Treatise on rhumatic gout, etc.,
esquelles cette affection se présente 1 : 1° Rhumatisme articulaire chronique primitif généralisé ou progressif. — C'est le rhu
rhumatisme noueux des auteurs ; il affecte, dès le début, une marche chronique et présente une tendance presque invincible à se
uemment accompagnées de réaction fébrile. 2° Rhumatisme articulaire chronique primitif, fixe ou partiel. — La maladie, qui prés
ait que nous allons étudier tient à la fois du rhumatisme articulaire chronique partiel et, si vous voulez, du rhumatisme articul
laire chronique partiel et, si vous voulez, du rhumatisme articulaire chronique généralisé ; c'est un rhumatisme chronique partie
du rhumatisme articulaire chronique généralisé ; c'est un rhumatisme chronique partiel s'é-tendant à un grand nombre de jointure
lus souvent relevées, et ajuste litre, dans l'étiologie du rhumatisme chronique ; et il est très remarquable que les douleurs arti
uvons donc conclure que les arthropathies du rhumatisme articulaire chronique généralisé déterminent, au même litre que les art
a eu l'occasion d'étudier au microscope les muscles d'un rhumatisant chronique atteint d'atrophie musculaire, et il a noté des c
es qui se produisent si habituellement dans le rhumatisme articulaire chronique généralisé et progressif (rhumatisme noueux). C'e
ale de la paralysie générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire chronique . — Contracture réflexe d'origine articulaire. — D
d'origine articulaire. — Déformations dans le rhumatisme articulaire chronique : 1° type d'extension ; 2° type de flexion. — Mai
de la paralysie agitante. — Les déviations articulaires du rhumatisme chronique reconnaissent pour cause une affection spinale dé
e pouvons pas relever l'étiologie ordinaire du rhumatisme articulaire chronique ; elle n'a jamais habité un endroit humide, et d'a
que je vous l'ai annoncé, les déformations du rhumatisme articulaire chronique progressif, du rhumatisme noueux, reconnaissent p
n masse des doigts vers le bord cubital de la main dans le rhvmatisme chronique . — Dessin de M. P. Richer. que variées qu'elles
asthênique primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire chronique {forme primitive'), Thèse de Paris, 4 853. Voic
guments qui me paraissent établir que, dans le rhumatisme articulaire chronique , les déviations articulaires reconnaissent pour c
, déterminer à volonté une déformation analogue à celle du rhumatisme chronique (fig. 40). Un élève de la clinique de la II. C'
itude vicieuse volontaire rappelant le type d'extension du rhumatisme chronique . — Dessin de M. P. Richer. les amyotrophies de
itude vicieuse volontaire rappelant le type d'extension du rhumatisme chronique . — Dessin de M. P. Richer. montrer un malade do
moelle qu'il s'agit ; les lésions consistent : 1° en une inflammation chronique de la dure-mère, qui présente quelquefois un épai
elle elle-même peut être atteinte, à un certain degré, d'inflammation chronique ; mais ce qui domine habituellement, c'est la com
spinale protopa-thique, ou mieux peut-être de poliomyélite antérieure chronique . Eh bien ! la constitution de celte seconde class
e aujourd'hui, le siège de craquements ; à la suite de cette arthrite chronique d'origine rhumatismale, il s'est produit un certa
ON. sur l'atrophie musculaire consécutive au rhumatisme articulaire chronique . Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthr
re. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës, subaiguës ou chroniques . — Relation entre la localisation de l'atrophie e
ophie et le siège de l'arthropathie.— Types de rhumatisme articulaire chronique primitif : Io rhumatisme articulaire chronique pr
rhumatisme articulaire chronique primitif : Io rhumatisme articulaire chronique primitif généralisé ou progressif: 2J rhumatisme
hronique primitif généralisé ou progressif: 2J rhumatisme articulaire chronique fixe ou partiel ; 3° nodosités d'IIe-berden. — Le
hronique fixe ou partiel ; 3° nodosités d'IIe-berden. — Le rhumatisme chronique généralisé détermine des amyotro-phies prédominan
ale de la paralysie générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire chronique . — Contracture réflexe d'origine articulaire. — D
d'origine articulaire. — Déformations dans le rhumatisme articulaire chronique : l°type d'extension ; 2° type de flexion. — Main
de la paralysie agitante. — Les déviations articulaires du rhumatisme chronique reconnaissent pour cause une affection spinale dé
des lésions articulaires, 24; — consécutive au rhumatisme articulaire chronique , 51, 61; — à la suite d'une contusion sciatique,
aire), 33; — Réactions — dans les atrophies musculaires du rhumatisme chronique , 56; — Réactions — dans l'atrophie musculaire con
à une contusion du sciatique, 135; — dans la poliomyélite antérieure chronique , 195; — dans les paralysies hystéro-trauniatiques
u fessier dans la coxalgie hystérique, 377. Poliomyélite antérieure chronique ses caractères, 192. Polyopic monoculaire des h
à une contracture hystéro-trauma-tique, 4 0. Rhumatisme articulaire chronique (Atrophie musculaire consécutive au —), 51 ; — Di
29 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
répond, vous ne l'avez pas oublié, à l'un des modes de rinflammation chronique primitive. Un de ses traits les plus saillants, c
ses s'o-père non plus suivant le mode aigu, mais bien suivant le mode chronique progressif. Nous pourrions multiplier ces exemple
laques disséminées, la paralysie générale progressive et l'alcoolisme chronique . — Symptômes viscéraux : douleurs vesicales, urét
Tous, vous savez que l'ataxie locomotrice progressive est une maladie chronique primitive qui s'attaque simultané-ment à différen
Quelques symptômes signalés dans le tableau clinique de l'alcoolisme chronique rappellent la description des douleurs fulgurante
nce fré-quente de l'atrophie papillaire progressive dans la méningite chronique diffuse. Je me borne à signaler brièvement ces
teur des symptômes ? \J arthropathie des ataxiques serait, à l'état chronique , le représentant des affections articulaires à ty
itement de l'ataxie, mais encore dans celui de bien d'autres maladies chroniques de la moelle épinière. On raconte des merveilles
ontrent dans certains cas de myélite transverse primitive subaiguë ou chronique . Mais, les lésions spinales, dans la compressio
e, elle prend dans sa marche, les allures d'une maladie primitivement chronique . Il y a là matière à une division tranchée. Le
eux, t. I, p. 63, note 1. ONZIÈME LEÇON Des amyotrophies spinales chroniques . — Atrophie musculaire progressive spinale protop
du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Amyotrophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuse
rtrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose
crer quelques développements à l'histoire des amyotrophies spinales chroniques . Les affections que comprendra cette appellation
plus suivant le mode aigu, mais au contraire suivant le mode subaigu chronique et, à cette cir-constance, se rattachent, malgré
genre nous servira de guide dans l'histoire des amyotrophies spinales chroniques . En effet, une lésion exactement limitée aux régi
e spinale, qui reproduit en quelque sorte, je le repète, dans le mode chronique , la paralysie infantile, est relativement fort si
s sont plus compliquées dans un second groupe d'amyotrophies spinales chroniques que, par opposition, je désignerai sous le nom de
variable. Car, de fait, il n'est peut-être pas une lésion élémentaire chronique de la moelle épinière qui ne soit susceptible, à
de la moelle épinière qui peuvent donner lieu a l'amyotrophie spinale chronique deuléropathique : Io En premier lieu, je signal
rale, spontanée ou trauma- i Voir Leçon I, p. 13. tique, à marche chronique , doivent entrer dans cette énumé-ration ; une lés
des cas, il s'agit là de foyers canaliculés consécutifs à une myélite chronique cen-trale. Quoi qu'il en soit, la substance grise
que je veux relever particu-lièrement parmi ces amyotrophies spinales chroniques , deu-téropathiques, est celle qui est caractérisé
pression du froid, sont, si je ne me trompe, du ressort de la myélite chronique , de la pachyméningite ou de la sclérose latérale.
p. 203) qu'on y observe. En somme, nous retrouvons ici dans le mode chronique , les altérations que nous avons décrites à propos
ont il s'agit, pour-rait être désignée sous le nom de téphro-my élite chronique parenchy?nateuse. Les observations sur lesquell
développements, à propos des amyotro-phies spinales affectant le mode chronique , dans lesquelles la lésion centrale, ne reconnais
tre classés ailleurs. La plus grande partie des amyotrophies spinales chroniques deutéropathiques s'y trouvent rassemblées sous un
— C, Pie-mère confondue avec la dure-mère. — D, Lésions de la myélite chronique . E, Coupe des deux canaux de formation nouvelle c
spinales, place in-termédiaire entre les formes aiguës et les formes chroniques , mais l'anatomie pathologique n'a pas encore pron
clérose latérale amyotrophique, etc.), si elle évolue suivant le mode chronique . Les cornes grises antérieures (cellules nerveuse
bien pour désigner tout au moins une affection spinale primitivement chronique qui, comme celle qui nous occupe, progresse à peu
, se trouvent réunies en un groupe hétérogène, sous le nom de myélite chronique et que l'analyse clinique, éclairée par l'anatomi
pres-siO'i, de la sclérose des cordons antéro-latéraux, de la myélite chronique , etc. « Diverses manœuvres, dit l'auteur, contrib
nt, en réalité, c'est quand il s'agit des autres formes de la myélite chronique . Je voudrais essayer de vous mon-trer maintenant,
re malade est atteinte n'est autre que la myélite trans-verse dorsale chronique avec dégénération scléreuse descen-dante consécut
est-à-dire dans un établissement consacré pour une large part aux cas chroniques réputés incurables — deux exemples de gué- 1 Ce
cal difforme et oblique des deux os i Vavant-bras gauche. — Arthrite chronique de Varticulation scaf. lo-humérale droite. — Frac
it, avec quelques varian-tes, commune aux formes aiguës, subaiguës et chroniques pri-mitives de l'inflammation de la moelle épiniè
ire et qui est un exemple remarquable de cette forme de l'amyotrophie chronique . Ici, du reste, le diagnostic, confirmé plus tard
seaux. — D'une façon générale, il s'agit ici d'un processus irritatif chronique , déterminant la formation d'éléments nouveaux et
cer le cas qui nous occupe dans la catégorie des myélites antérieures chroniques primitives, et plus spécialement de la léphro-myé
rimitives, et plus spécialement de la léphro-myé-lite parenchymateuse chronique . Quanta la pigmentation exagérée des cellules n
aques disséminées, la paralysie gé-nérale progressive et l'alcoolisme chronique . — Symptômes viscéraux : douleurs vesicales, urét
des muscles.......... 188 ONZIÈME LEÇON des amyotrophies spinales chroniques . — atrophie musculaire progressive spinale protop
du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Amyotrophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuse
rtrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose
TIQUE A Achromatopsie, 50. Actions à distance, 23. Alcoolisme chronique (Douleurs ful-gurantes dans T), 33. Amaurose ta
ie dans l'ataxie, 43. Amyotrophies spinales, 163 ; variétés, 167. — Chroniques , 212 ; varié-tés, 214. — Protopathiques, 214. — D
-laryngée, 455, 465. Téphro-myélite aiguë parenchyma-teuse, 206 ; — Chronique , 227. Toux (De la) dans la compression de la mo
30 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, 47 asiles mixtes, 8 asiles de traitement et 27 hospices d'aliénés chroniques . Les établissements de traitement contenaient d
ent d'ailleurs une forte pro- portion d'incurables. Les hospices de chroniques ne servaient qu'à débarrasser les asiles mixtes
clinique psychia- trique ; 2° une colonie agricole pour les aliénés chroniques capables de travailler et n'ayant pas besoin de
la pratique) ; de faciliter l'admission de ces cas aigus. Les cas chroniques présentent moins d'intérêt, mais devront être néa
is soit parmi les cas aigus entrés à la clinique et passés à l'état chronique , soit dans un autre établissement d'où ils sera
ement médical des psychoses aiguës et de la colonisation des formes chroniques , pour demander également la création de deux so
professeur de psychiatrie dispose en outre d'un quartier d'aliénés chroniques de 88 lits, soit, en tout, de 148 ma- lades. La
lacées d), les phrénopathies (vésanies, folies alcooliques aiguë et chronique , paralysie générale, folie de la ménopause, etc
me. c) atrophie idiopathique du cerveau. d) méningite progressive chronique . e) folie consécutive aux maladies du système ner
arriver que le tableau morbide en impose pour un délire systématisé chronique qui cesse tout à fait pour ne plus reparaître.
ypocondriaques, en un mot toutes les idées de la folie systématisée chronique . Le terrain sur lequel se greffe le paranoïa ai
la paranoïa aiguë avec les poussées aiguës de la folie systématisée chronique ; à côté de cela il y a la paranoïa aiguë avec
es-ci peu- vent même faire défaut. Pour m'en tenir à l'alcoolisme chronique (4 cas, âge 30, 32, 36, 59), il y eut.dans deux
l colorées, et les cylindraxes tuméfiés. Un cas de t7ophoedè ? ne chronique héréditaire ; par Lannois - (de Paris). M. La
filles et une petite-fille qui étaient attein- tes d'un même oedème chronique blanc, dur, indolore, à distri- bution segmenta
e, mais de symptômes se rapprochant delà démence ou de la méningite chronique . (B.) BIBLIOGRAPHIE. 91 en outre un. champ tr
nte ans, atteinte depuis de nombreuses années de folie systématisée chronique à la période ambitieuse. Un frère jumeau jouit
erra que Constant T... a, au plus haut degré, le faciès du délirant chronique . Il n'y a pas, chez lui, de signe bien net de d
o- nique par le plomb peut déterminer une poliomyélite antérieure chronique . C'est donc un fait constant qu'une intoxication
hronique. C'est donc un fait constant qu'une intoxication saturnine chronique peut produire une lésion des racines postérieures
érale progressive, soutenir la même étiologie saturnine (saturnisme chronique ) et cette remarque ne manque point de portée lo
t là qu'il faut chercher la lésion initiale. Une méningite, surtout chronique , en exagérant la compression qu'exerce déjà à l
nsi que l'avait déjà montré Dax. Enfin, dans le cerveau des déments chroniques , il y a une atrophie considérable des lobes occ
ilité pilaire. Trois observations : neuro- tabes, méningite spinale chronique , spondilite. C II n'y a pas coïncidence du tout
tion du système pyramidal », ce qui est tout different. Méningite chronique progressive non adhésive avec symptômes psy- ch
c atrophie papillaire, survenue chez un malade atteint de méningite chronique non adhésive, et rappelant par ses caractères c
ons systématiques. M. Séglas rapporte l'observation d'un délirant chronique qui rectifie lui-même ses hallucinations. Il s'
de mains, de corps, etc. Le second cas est relatif à un délirant chronique , arrivé à la phase ambitieuse, qui tombe par in
ins auteurs, qu'un accident de la sénilité chez les mélan- coliques chroniques . Une deviendrait qu'une forme particulière de d
ce syndrome comme ils en présentent d'autres et non pas des anxieux chroniques . Troubles du langage dans la paralysie générale
server cette même trépidation épileptoïde dans un cas de rhumatisme chronique . Paralysies associées des muscles des yeux. b
e du collapsus. 1 1 ! . La confusion aiguë. C. L'épuisement nerveux chronique . i. 111. Lrs j ? ro-,icii ions : 1° Les intoxic
o-,icii ions : 1° Les intoxications aiguës ; 2° Les intoxi- cations chroniques . A. L'alcoolisme. B. Le morphinisme . C. Le coc
employée seulement dans les périodes d'excitation ; dans la manie chronique , résultats satisfaisants ; dans la paralysie géné
t employé utile- ment comme sédatif dans toutes les formes de folie chronique avec agitation, et dans quelques cas peu fréque
dans un grand nombre de cas divers, à savoir : 26 cas d'alcoolisme chronique , 10 de sciatique, lo de maladies mentales, 7 de
tinence nocturne d'urine, 1 de stupeur, 1 de douleur par maladie chronique avec grossissement de la cheville droite, 1 de ti
me, l'asthme, les palpitations, la dyspepsie nerveuse, l'alcoolisme chronique et diverses formes de maladies mentales, partic
de plus qu'un sujet peut être porteur d'une néphrite interstitielle chronique avec hypertrophie cardiaque très accusée et n'é
ivers auteurs. R. DE 11USGR : 1V);-CLAY. XXII. Sur la céphalalgie chronique paroxystique, vulgairement t appelée migraine,
a longue durée on pourrait la désigner sous le nom de céphalalgie chronique paroxystique. L'étiologie est obscure, peut-êtr
ique. 6° Trois cas d'imbécillité simple. -il Un cas de mélan- colie chronique (omis). L'auteur décrit ensuite le procédé empl
ns un cas où la mélan- colie était survenue au cours d'une néphrite chronique intersti- tielle, et par conséquent n'est pas i
globules rouges a été observé dans un cas de mélancolie derne, très chronique avec état stationnaire depuis deux ans et un ét
chronicité; 2° Dans la très grande majorité des cas l'alcoolique chronique commet sa tentative de suicide en pleine ivress
tentative; 3° Chez l'alcoolique à idées de suicide, l'intoxication chronique se manifeste d'une part par un degré variable d
éraux centraux. Pour le désencombrer on créa deux asiles annexes de chroniques et incurables ou dangereux à Augyafïl et Nagy K
s comme asiles d'aigus et des quartiers d'hospice aménagés pour les chroniques et incura- bles à Szegzard, Gyongyüs, Iiapsscar
: 1 83 898 couronnes. Les cinq quartiers d'hospice reçoivent les chroniques par traité à raison de 1 cour.- 50 par journée
rendus de Bicètre. asiles d'aliénés. 339 XVII. Ce que des aliénés chroniques peuvent accomplir sous une direction convenable
) L'auteur fait le récit du transfert d'un certain nombre de fous chroniques de\ew York à Central-Islip Long-Island, où un mil
. Le diagnostic est difficile à établir entre cet état et la chorée chronique de l'adulte. L'intégrité absolue de l'in- telli
ent, nécessaire, mais qui se rencontre aussi au cours de méningites chroniques toxiques, et autres. F. Boissier. SOCIÉTÉ D'H
es organiques - celles des paralytiques généraux ou des alcooliques chroniques rend cette opinion évidente. Et l'on peut trouv
nt pas des mesures de séquestration proprement dite. : Pour les cas chroniques , pour les malades inoffensifs et curables, les
V, 1900.) - L'ataxie aiguë des auteurs, observée chez l'alcoolique chronique a tout l'air d'une ataxie cérébelleuse. Elle su
, l'affaiblissement de ses fonctions, non une lésion interstitielle chronique des tissus. La présence de l'irritant alcooliqu
tation spinale et de la migraine, qui accompagnent l'in- flammation chronique des ovaires, méritent une attention spéciale :
tées de la façon suivante : le canal central subit une inflammation chronique de ses parois, en même temps qu'une dilatation
pourrait appeler les altérations ci-dessus décrites « hydromyélie chronique progressive » ou épendymite avec hydromyélie chro
ions soma- tiques. Quelques maladies mentales, telles que le délire chronique primitif et la paralysie générale, -débutent pa
.M. Magnan quand il montre la transition insensible de l'alcoolisme chronique vers la paralysie générale qu'à ceux signalés p
spirite avant son aliénation et qui finit par tomber dans un délite chronique de per- sécution. Sans dire que toutes les pers
t manifeste de démence. L'auteur considère son cas comme paranoïa chronique d'origine épileptique (paranoïa chronica epilep
a systématisation du délire distinguent cette forme de l'équivalent chronique d'épilepsie. Discussion. M. Postowskv, qui conn
ouratow rentre parfaitement dans le cadre de la folie épilep- tique chronique , bien connue. MM. Soukiianoit et Bernstein se p
res chez les déments organiques, les déments séniles, les délirants chroniques , les dégénérés, les intermittents et dans les p
ulbe : ' a) ankylose de la colonne vertébrale, b) méningite spinale chronique , c) myélite, d) tabes dorsalis, e) tabes dorsah
/) maladie de Meniere, r) inyosthénie, s) bégayement, t) alcoolisme chronique , a;) morphi- nisme chronique. Parmi les cause
osthénie, s) bégayement, t) alcoolisme chronique, a;) morphi- nisme chronique . Parmi les causes étiologiques, la syphilis occ
L1C. Observation de -, par 13loumenau, 399. Migraine. Céphalalgie chronique paroxystique vulgairement appe- lée-, par Eli
31 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ignent que la myélite syphilitique est ordinairement sub aiguë ou chronique . En admettant que notre malade fût syphi- litiq
usieurs sortes de délire en même temps. Exemple fréquent, le délire chronique (délire à évolution progressive régulière ; dél
TION A l'étude ET au mécanisme DES paralysies DES MUSCLES DE L'OEIL CHRONIQUES , PROGRESSIVES, ET A LA FINE ANATOMIE DE L'ENCÉP
e'l'alcoolisme. Sur quatre individus atteints de folie systématique chronique , deux présentaient l'atrophie en question, mais
la dure-mère sont de beaucoup plus fréquentes dans les cas de folie chronique , on peut néanmoins les rencontrer dans un nombr
et le tracé est celui du pouls dicrote. A mesure que le cas devient chronique , le pouls re- ptend plus ou moins ses caractère
face et est oubliée R. 11. C. VI. UN cas d'intoxication saturnine chronique avec épilepsie et aliénation mentale ; par Will
qué la production d'une épilepsie corticale, devenue actuelle- ment chronique . La folie chez ce malade a d'ailleurs invariable-
médication spécifique. lt. M. C. X. Deux cas du guérison de folie chronique : par Lloyd FRANCHIS. (The Journal of Mental Sc
s généraux et d'autres aliénés, tels que déments séniles, délirants chroniques systématiques, idiots; le caractère commun de c
'Hildesheim). Des idées présomptueuses de la folie sys- témtttiqlle chronique (Paranoïa) 2. M. Bartels (d'Hildesheim). La col
sonnel et l'on se borna à y envoyer résider les aliénés les plus chroniques . La culture se développa si bien qu'en 1879 la co
ltération des artères coronaires altérations valvulaires - néphrite chronique - emphysème). Nos sujets étaient des déments, e
commune. Qu'on ail affaire à l'épilepsie vulgaire, qui est la forme chronique , ou aux diverses éclampsies, qui constituent la
nt que le souhait de M. Féré est que le grand nombre d'épileptiques chroniques capables de travailler puissent trouverun milie
a pas d'autre moyen d'améliorer avec quelques succès l'alcoo- lisme chronique et l'ivrognerie que de sevrer de l'alcool par le
-Abasie. Brochure in-8° de 6 pages. RÉGNIER (L.-R ). L'intoxication chronique par la morphine. - Volume in-8" de 171 pages. P
oir été malade un seul jour. Il n'a jamais eu de rhumatisme aigu ni chronique , ni douleurs d'aucune sorte en dehors de celles
cinquante-huit ans, encore vivante, est soignée pour une hronchite chronique . Antécédents personnels. - Pas d'enfants, ménop
complets. Une soeur, la seule d'ailleurs, est morte d'une affection chronique ( ? ) qui a duré un an et s'est développée à la
constante de la tête, persistant depuis des an- nées, est la chorée chronique de l'adulte. Cette maladie, inté- ressante et c
à différencier des autres genres la chorée de l'adulte ou chorée chronique , ou chorée héréditaire. Vous trouverez une étude
Voici, d'après Huntington lui-même, la caractéristique de la chorée chronique : il. - Cette forme de chorée est héréditaire.
ac- cusée, sous la forme similaire; développement tardif; marche chronique et progressive, aboutissant le plus souvent à l
« Il existe principalement chez l'adulte et le vieillard une forme chronique de la chorée. On la rencontre aussi, mais excepti
formation soit surtout l'hérédité similaire. Dans ce cas, la chorée chronique revêt à un haut degré l'aspect d'une maladie hé
est pas une maladie à part, autonome, mais une variété de la chorée chronique . « La chorée chronique présente des troubles mo
t, autonome, mais une variété de la chorée chronique. « La chorée chronique présente des troubles moteurs de même ordre que
nique héréditaire, elle se montre aussi prononcée dans la chorée chronique sans hérédité; elle se retrouve également, dans u
t pas jusqu'à présent d'exemples de guérison d'une chorée devenue chronique ) de l'incapacité du travail, qu'elle entraine tôt
ingt-cinq et cinquante ans. · « La nature anatomique de la chorée chronique , comme celle de la chorée de Sydenham aiguë, es
iques et l'on pourrait définir la maladie de Huntington : une forme chronique , développée chez l'adulte, de la chorée de Syde
ydenham. On peut, chez notre sujet, éliminer assez vite la chorée chronique . Certainement divers caractères l'en rapprochent
anormal de l'intelligence, pour- raient être rapportés à la chorée chronique . Mais à côté de ces points d'analogie, que de d
déjà signalé la possibilité du fait. « Certains cas de tremblement chronique qu'on aurait décrits jadis, sans hésitation, co
inution des résidus fixes, urée et phosphates. * . Dans la chorée chronique , au contraire, Huet fait remarquer que l'on n'o
ra- lysie n'est qu'un symptôme- peut présenter deux formes, l'une chronique , l'autre aiguë. Dans le pre- mier cas, les sign
égalité pupillaire.' On le rencontre quelquefois dans des psychoses chroniques avancées de nature simple. P. K. 4 XXXVII. DE
Autopsie. Fracture ancienne du pariétal gauche. Méningo-encéphalite chronique de l'hémisphère gauche atrophié. Petites nodosi
générale. Le premier cas seul est accompagné d'autopsie. Méningite chronique localisée ayant produit l'appareil symptoma- ti
(pachyméningite 260 REVUE D'ÉLECTROTHÉRAPIE ET DE THERAPEUTIQUE. chronique ; tabes dorsal, convalescence de scarlatine) les m
cunes mentales grossières, meurt d'urémie (néphrite parenchymateuse chronique bilatérale). Absence complète du corps calleux.
s'était PRODUITE DANS L'HÉMISPHÈRE DROIT DU CERVEAU CHEZ UNE IDIOTE CHRONIQUE ; par J. JENSEN. (Arch.f. Psychiat., XIX, 1.)
surtout des gens de la campagne. Nous recevons surtout des aliénés chroniques , mais il nous arrive aussi en nombre notable de
s idées avec hallucinations sen- sorielles ; une folie systématique chronique est imminente. M. Schuchardt a observé à peu pr
développement du cerveau, des névroses convulsives ou des insomnies chroniques ; - 5° l'absence de la paralysie géné- rale dan
il. Les lésions mi- croscopiques sont indépendantes de la méningite chronique et des adhérences; le lobule paracentral reste
es, M. Grasset en fait deux grandes classes : vertige aigu, vertige chronique , cette dernière subdivisée elle-même en vertige
1890. Au Secrétariat de l'associa- tion. HUET (E.). De la chorée chronique . Volume in-8° de 262 pages, avec 10 figures dan
Paris, 1890. Librairie F. Alcan. RÉGNIER (L.-R.). - L'intoxication chronique par la morphine. Vo- lume in-8° de 171 pages. P
Il avait le cancer des fumeurs et une autre maladie passée à l'état chronique . Il avait déjà fait anté- rieurement deux tenta
des de transmission pro- duisent des modalités aiguës, subaiguës ou chroniques . P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 443 LXV.
ntèrent des linges portés par des malades atteints, l'un d'entérite chronique , et l'autre de laryngite chro- nique ; les diag
92 pages. Prix : fr. Pour nos abonnés. 6 fr. HUET (E ? De la chorée chronique . Volume in-8° de 262 pages, avec 10 figures dan
1 fr. Pour nos abonnés... 0 fr. 70 RÉGNIEII (L.-R.). L'intoxication chronique par la morphine. -Va- ume in-8° de 171 pages. P
hard ; Bech =, teren, 85, 132, par Misslawski, 432. Saturnisme, chronique avec épilepsie en folie, par Ruxton, 101. SCI
32 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inale compressive et dans le mal de Pott. D'autre part la myélite chronique (par compression syphilitique ou tuberculeuse)
ravail de Bastian, on ignorait presque les- paraplégies flac- cides chroniques . On connaissait bien les paraplégies flac- ' Vo
quivalent (une compression totale) se ter- miner par une paraplégie chronique . Or M. Van Gehuchten pose d'abord les prémisses
s. ' En résumé cette observation nous offre un exemple de myélite chronique caractérisée anatomiquement par la sclé- rose d
es ne devait pas nous porter à oublier la fréquence des paraplégies chroniques spastiques par compression, avec troubles de la
eux professeurs cités plus haut, la suspension serait un traitement chronique , appliqué contre une affection chro- nique. Out
ment insuffisant pour pouvoir seprononcer sur l'action d'un moyen chronique destiné aux affections choniques. En ce qui con-
ion d'attente ». R. C. XVI. Un cas de paralysie bulbaire supérieure chronique ; par H UDO- VERNIG. (Nouv. Iconogr. de 1(t n°
nd de présenter un cas très rare : la polioencé- phalite supérieure chronique , lésion isolée des noyaux des troisième et sept
ssier. 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXV. Revue sur la chorée chronique progressive avec relation d'un cas; par Clarenc
ir des vaisseaux délicats : épistaxis pendant l'enfance, alcoolisme chronique . Des troubles de l'excitabilité électrique et des
hénie, le rhu- matisme, la chorée, la terreur nocturne, la gastrite chronique et la céphalalgie, enfin chez cinq individus bi
res de plus en plus nettes fait penser à la poliomyélite antérieure chronique trauma- tique de Erb, car s'il--doit y avoir pa
autre école admet l'irritation vasculaire, l'inflam- mation lente, chronique , des vasa nervorum, des vaisseaux des méninges,
gnages de satis- faction récents délivrés par les malades. Pour les chroniques inof- fensifs, il reste cependant à faire. 11 f
M. H. NEIGE. Sous ce nom, nous avens proposé de désigner l'oedème chronique , blanc, dur, indolore, à répartition segmentaire,
ause actuellement indéterminée. Dans cerfains cas, le tro- phoedème chronique est, en outre, héréditaire. Au sujet de la natu
, selon les cas, sera congénitale, héréditaire, familiale, aiguë ou chronique . Porose cérébrale. M. G. GUILLAIN présente de
veuse. A propos des tics et des troubles moteurs chez les délirants chroniques . . Du syndrome musculaire comme signe pronostic
ulcérations sur le domaine du cubital, une à de l'oedème trophique chronique . Dans tous ces cas, malgré la gravité et l'anci
la'suspension produirait une déchirure des adhérences méningitiques chroniques ; les filets nerveux deviennent plus libres, d'o
En ce qui concerne l'action de la suspension sur les affec- tions chroniques du nerf optique, le distingué savant russe l'ex
ur l'état atrophique de la moëlle épinière dans la syphilis spinale chronique ; par E. Long et B. WiKi. (Nouv. Iconogr. de la
eur qualifie les lésions du cerveau et du cervelet d'encé- plaalite chronique lvémornhagique diffuse. Contrairement à l'opini
. Je le comprends pour la folie systématique, forme essentiellement chronique dans laquelle d'ordinaire le malade délire à fr
e se trouvait liée soit zv l'impaludisme aigu, soit à l'impaludisme chronique . L'intoxication palustre semble avoir hâté, d'une
aitement type Giessen, avec organisation parallèle de colonies pour chronique , type Ghel et Altscherbitz fermes. ' A. Marie.
ntiels de la paralysie avec les affec- tions suivantes : alcoolisme chronique et syphilis cérébrale, assez en détail ; puis,
ies pour aliénés. Il ne suffit pas de soigner médicalement les fous chroniques , il faut les placer dans un milieu agréable, qui
qui souffrent (cela est fréquent) de chute rectale et de prostatite chronique . Ceci fait, ou bien ils abandonnent les ser- vi
analyse du monde extérieur). L'étude d'un cas de délire systématisé chronique chez une dégé- nérée, débutant dès la jeunesse
125 malades traités pour névralgies, névrites, rhumatisme aigu et chronique , articulaire et musculaire, migraines (voy. Vrats
lents, sauf dans un cas de chorée hystérique et un cas de chorée chronique progressive probablement héréditaire. Sans pose
observations rapprochée des expériences de II. Graun : intoxication chronique des animaux par l'alcool. Tubingue, 1899. Les
érie, il n'en saurait être ques- tion ici. C'est l'empoisonnement chronique par le plomb et l'alcool qui est coupable. Comm
t est-il possible de sup- poser un début aigu dans une intoxication chronique permanente ? Mieux vaut penser que d'ordinaire
surdité verbale presque pure sur- venue au cours d'une intoxication chronique par l'alcool et l'ab- sinthe, l'autre une aphas
Présidence de M. P. Moreau (de Tours). Les psychoses systématisées chroniques ti base d'interprétations - délirantes. - M.
une forme aiguë (en général sans systématisation) ou sous une forme chronique (avec systématisation). SOCIÉTÉS SAVANTES. 321
peuvent aussi jouer un rôle pré- dominant dans certaines psychoses chroniques : période d'incuba- tion des délires de persécu
ntes constituent le symptôme prépondérant d'un délire systématisé chronique présentant dans sa symptomatologie, et son évolut
ieux et Capgras proposent de donner le nom de psychose systématisée chronique à base d'inter- prétations délirantes ou plus b
qu'on puisse, distinguer une évolution comparable à celle du délire chronique de Magnan). L'examen de la genèse du délire mon
trouve pas trace de syphilis antérieure. Deux c is de trophoedème chronique héréditaire chez des enfants. M. LOItTAT-J.1COB
, l'autre de cinq ans, présentent, depuis leur naissance, un oedème chronique des pieds, et de la pachydermie des jambes jusq
se trouve une fois encore établie la prédominance du trophoeclème - chronique héréditaire et l'hérédité dans la ligne maternell
rvicale. Le malade ne guérit pas, et les lésions passèrent à l'état chronique . A l'heure actuelle, toutes les articulations s
ës, les lymphocytes un processus inflammatoire à marche subaiguë ou chronique . Dans les divers états vésaniques le cyto-diagn
générale progressive. - Les accès aigus ou subaigus de l'alcoolisme chronique simulent très souvent, du moins temporairement,
lysie générale, car on risquerait de la confondre avec la méningite chronique alcoolique dout le cyto- diagnostic est égaleme
soin de rendre justice à tous ceux qui se sont occupés des maladies chroniques du système nerveux des enfants, aboutissant aux
énuer quelques-uns des symptômes les plus pénibles. Dans la névrite chronique périphérique, un climat sec sans vent et de faibl
nt après leur cessation ont généralement les caractères de la folie chronique . R. DE IUSGRAVE-CL.1Y. XXI. Châtiment; par C.-A
'inflammation, des thromboses vas- culaires. Dans les cas de chorée chronique on rencontre les mêmes lésions inflammatoires à
celui dont est affecté le cerveau antérieur (périencéphaloméuinrite chronique diffuse). Le processus inflam- matoire frappe l
re du paraly- tique tient à une névrite rétro-oculaire périphérique chronique pro- 49G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. gressiv
songé. 1 Le liquide céphnlorachidien au cours de l'hydrargyrisme chronique . MM. Raymond et SICARD présentent un malade, ou
r en peaux de lapins, atteint de tous les signes de l'hydrargyrisme chronique avec le tremblement classique intentionnel, rém
tie symptoma- tique, de pochynzéaziazgite et de méningo-encéphalite chroniques (Fig. 30 et' 31). Deux travaux démontrent aux o
e néfaste des professions insalubres sur la production des maladies chroniques du système nerveux; et plus que tout autre M. B
nciers; la collection forme un véritable compendium des ma/¡¡- dies chroniques du système nerveux chez les enfants. Les médecins
névrose d'angoisse. L'élément principal de ce syndrôme est un état chronique d'an-, goisse, dit l'auteur, avec obsessions et
ocalisation de symptômes dans la - , par Oddo, 51. Revue sur la - chronique progressive, par C1.-A. Good, 56. Voir Ilunling
d'origine périphérique, par Decroly, 47, 53. bulbaire supérieure chronique , par Hudoveruig, 50. post-anes- théslque, par
d'Arbrissel, par iteury Lemesle, 92. Les psychoses systématisées chroniques , par Sérieux, 326. Psychiatrie. Progrès des étu
al' Berkley ? ? 1 7, Tics ET troubles .moteurs chez les délirants chroniques , par Dufour. 86. Torticolis mental surajouté
acquis, par Obers- teiller, 387. ' Trophadèmes, par lleige, 8u. chronique héréditaire chez les enfants, par Lortat-.lacob
33 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ndépendam- ment du délire des négations et passer à la mélancolie chronique ; ce n'est d'ailleurs là que l'évolution inévitab
gique : destruction de la glande pituitaire, lepto-meningo- myélite chronique , avec sclérose diffuse annulaire et dégénération
sur quelques autres données de la littérature, admet l'influence chronique sur les nerfs non seulement des bacilles eux-même
Mairet et Combemale avaient antérieurement établi que l'alcoolisme chronique peut produire la 76; bibliographie. paralys
nique a confirmé les résultats de l'expéri- mentation. L'alcoolisme chronique produit la paralysie générale vraie, mais il ne
guéiisons. Le lien qui unit.la paralysie générale à l'alcoolisme chronique se trouve dans un double processus de dégénératio
plus rarement, il a eu l'occasion d'observer de la lepto-méningite chronique . » La comparaison est frappante et les figures
un traitement efficace ? RECUEIL DE FAITS. GUÉRISON D'UN DÉLIRE CHRONIQUE SYSTÉMATISÉ, NON LIÉ A DE LA DÉGÉNÉRESCENCE;
de quarante-quatre ans, dont les antécédents GUÉRISON D'UN DÉLIRE CHRONIQUE SYSTÉMATISÉ. 10 1 héréditaires seraient bons, d
t ainsi son certificat : a.... est atteinte de délire systé- matisé chronique caractérisé par des idées de persécution et des
tuelle annonçant la démence. J'en conclus que le délire systématisé chronique , non associé à de la dégénérescence mentale, n'
as subi d'atteinte. On constate chez lui les signes de l'alcoolisme chronique (injection des petits vaisseaux sanguins de la
on n'est pas difficile à obtenir quand on a affaire à une sciatique chronique , et quand il existe des points douloureux trop
ion, car il existe des cas dans lesquels, quoique la sciatique soit chronique , on ne constate ni atrophie, ni REVUE DE THÉR
justement dans son obser- vation l'affection était essentiellement chronique (elle durait sept ans) et la malade était d'un
e confir- mer cette théorie. Kronthal déterminait une compression chronique de la moelle, en introduisant un bouchon dans le
stattug. 1'irchow's Archiv, Bd. LXXXV. 188 CLINIQUE NERVEUSE. chronique produit souvent une dilatation du canal central
te bonne, les fonctions organiques intactes. Tantôt l'évolution est chronique , le délire systématisé persisle sous une forme
es artères d'un certain volume dans les affections inflammatoires chroniques , la complexité des phénomènes devient plus grande
r l'autre, suivant la réceptivité individuelle. Dans les affections chroniques dites systématiques, on ne voit pas davantage q
des antérieures. Chez beaucoup de sujets atteints de ramollissement chronique et de débilité sénile on constate souvent, à un
e clinique sur l'obsession. MM. 1\1.-\.RIE et ViGouROUx. Les formes chroniques de ce syn- drome sont plus spécialement étndiée
bies permanentes, manies dégénératives tardives en quelques sorte chroniques dont la forme persistante et même progressive con
appuyer l'affirmation du De Terrien. ' Un cas de chorée saltatoire chronique datant de vingt-cinq ans, guéri en cinq mois.
ibles, les dégénérés à perversion instinctive, cer- tains maniaques chroniques qu'aucun traitement ne peut calmer 268 VARIA.
ien sont nombreux les avantages de ce mode d'assistance des aliénés chroniques . Le nombre des malades patronnés a été de 363 e
s névropathiques personnels et héréditaires compliqués d'alcoolisme chronique . Discussion du diagnostic. L'auteur insiste par
lles d'hôpital de Kings. Tous ces cas étaient de nature subaiguë ou chronique , et des proportions variables de la moelle étai
âne, n'ont pas donné des résultats encourageants. L'hydrocéphalie chronique s'accompagne souvent de déchéance REVUE D'ANA
A. Fenayrou. II. Abcès cérébraux EN rapport avec DES suppurations CHRONIQUES DE L'OREILLE moyenne; par Alnasa. (l3ristih med
nales périphériques. - - P. KERAVAL. XII. Poliomyélite antérieure CHRONIQUE avec LÉSION concomitante DES racines postérieur
une atrophie musculaire progressive, ni une poliomyélite antérieure chronique pure, ni une polynévrite accompagnée de lésion
postérieurs. Il se rapproche le plus de la poliomyélite antérieure chronique , mais il ne faudrait pas en induire que cette m
ans les racines, les cordons et les noyaux sensitifs à une atrophie chronique des cornes anté- 312 REVUE D'ANATOMIE ET DE P
tique intercurrente sur la marche et la symptomatologie de la folie chronique et, avant de passer à l'exposé des faits, nous
Un fait digne d'intérêt est que l'éclosion, au cours d'une folie chronique , d'une affection du foie n'en modifie ordinai-
vention d'une affection organique du foie dans le cours de la folie chronique n'en modifie pas nécessairement la marche et la
'obtenir des données appartenant exclusivement à la périencéphalite chronique et, pour que ces données fussent comparables en
cette période établir le diagnostic différentiel avec l'alcoolisme chronique mais les troubles de la sensibilité augmentent
yés par une maladie intercurrente ef craignant son passage à l'état chronique , ont renoncé définitivement à la boisson. Le
gnostic différentiel, avec la démence paralytique, avec la paranoïa chronique simple, avec la paranoïa hallucinatoire aiguë,
nxiété. Si, traitée de la sorte, la maladie parait tourner à l'état chronique , alors s'impose l'éloipnement dans une famille
t l'un (observ. XIV) publié déjà par Fried- mann comme encéplialite chronique multiple. Le troisième cas présentait à l'autop
issement siègent au sein même des foyers inflammatoires subaigus et chroniques . Nous savons d'autre part que, si cer- taines p
ommunément à l'état normal et surtout dans les foyers d'encéphalite chronique et qui est connu depuis longtemps (Gierke, Boll
Les foyers forme B représentent le tableau fidèle de l'encéphalite chronique , ou ce qu'on appelle plus communé- ment de la s
les épithélioïdes même dans le voi- sinage des foyers d'encéphalite chronique , là où le processus prolifératif est à son mini
ous trouvons en présence de foyers d'encéphalite aiguë, subaiguë et chronique . Mais au point de vue de l'évolution nous n'avo
ue nous nous expli- quons l'existence de larges zones d'encéphalite chronique autour des petits foyers d'encéphalite aiguë.
ellules nerveuses qui dégénèrent et disparaissent. L'inflammation chronique s'installe lentement, mais au sein même des foyer
euses dans. le domaine des foyers inflammatoires aigus, subaigus et chroniques . La faiblesse des quatre membres correspond aux
Ccnlral0l., XVI, 1897.) Deux observations d'accidents de ce genre chroniques pendant des semaines et des mOIs JUSqU'il la mo
u de mélanger les sujets atteints d'accidents récents au résidu des chroniques , on les place dans des installations sépa- rées
u début de la folie. Les statistiques démontrent la progression des chroniques dans la classe pauvre, progression qu'on ne con
un simple persécuté, entre dans la période mégatomaniaque du délire chronique en se baptisant Antonio Conselheiro, le Ministr
e période de trois années. Tous ces malades étaient des alcooliques chroniques consommant au moins un quart de litre de liqueu
LXX. Lésions fines des CELLULES NERVEUSES dans LES poliomyélites chroniques ; par G. Marinesco. (Ceîit7,ttlbl. f. Nervenheilk.
oit sous celle des troubles intellectuels et moraux de l'alcoolisme chronique ; tantôt ce sontles violences « habitudinaires »
longtemps préconisé le travail comme un moyen de rendre les aliénés chroniques des membres pacifiques et utiles de la société,
ids du - et cubage du ci âne, par 7.anl.e, 502. Chorée saltatolre chronique , par Sol- lier, 251. - électrique, par Bo- na
n foyer de l'encéphale, par Durante, 489. Délire. Guérison du - chronique systématisé non lié à la dégéné- rescence, pa
r Brie, 55. Poussées d' - aiguë dans le cours de l' stibaigiic et chronique , par PepirkoJf, 433. EPILEPSIE symptomatique
- périeure ayuc, par 1\luurawieff, 11 ? Poliomyélite antérieure chronique avec lésions des racines posté- rtenreset les
34 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ermédiaire très vague qui indique qu'il ne s'agit ni d'état aigu'ou chronique ? Le début a eu lieu ¡. . 1 J ? . J soudainem
st pas alcoolique. On ne trouve chez lui aucun signe d'intoxication chronique . La santé générale, ses divers viscères sont ab
nd, d'après l'auteur, que les vésanies à développement et évolution chroniques dont le symptôme essentiel est une conception d
matique dépressif) la mélancolie avec stupeur et dans les psychoses chroniques telles que la folie systématique (avec affaibli
elques paralysies générales, hystéropathies, folies systéma- tiques chroniques , attribuées à l'influenza, elles existaient déjà
(observations de Goldtlam et Eisenloh). 4° Les faits à évolution chronique ayant duré des années. A cette catégorie appart
cet encombrement ascendant ? Parce que l'on enferme des alcooliques chroniques et des malades affectés de perversité morale qu
stallés pour les infirmités physiques. On y internerait des aliénés chroniques . On confierait ces établissements à un médecin-
, les épileptiques dont les accès sont épouvantables, les délirants chroniques , qui par leurs idées fan- tastiques ou provocat
ramenés. Il importe avant tout d'éliminer des asiles l'alcoolisme chronique et la folie morale. La conduite et la perversit
onviennent pas aux aliénés atteints de folie morale et d'alcoolisme chronique . Mon expérience me per- met d'affirmer que nous
cooliques subsisteraient encore pendant longtemps, car l'alcoolisme chronique se développe lente- ment et son développement e
st, en revanche, exceptionnel qu'on arrive à guérir la dipsomanie chronique . Le grand nombre de guérisons relatées par les as
ns d'esprit-les troubles intellec- tuels aigus et les psychopathies chroniques des épileptiques aliénés. ` Voyez Archives de N
griculture ; 4° quar- tier d'épileptiques atteints de psychopathies chroniques ou en complète démence. On y ménagerait une sec
Mais il importe d'en exclure les épileptiques atteints de psychoses chroniques : ceux-là on les transférera dans les asiles d'
ports de la section dite de traitement et de celle dite de maladies chroniques , il sera toujours aisé de classer, comme il con
on incombe à un médecin; - 3° Les épileptiques affectés de vésanies chroniques seront mieux placés assurément dans les asiles
ps, recevra, autant que possible, les aliénés, atteints d'épilepsie chronique , des asiles provinciaux existants. La Société a
t des hystériques - les psychopathies hystériques les intoxications chroniques , surtout l'alcoolisme et le morphinisme. Les ré
Le rapporteur considère son observation comme une poliomyé- lite chronique et insiste sur la nécessité de différencier nette
it par succomber d'épuisement. § III. Traitement DE l'hydrocéphalie CHRONIQUE par la PONCTION; par UNVERRICHT. (The Lancet, 1
aculté médicale de Dorpat, l'histoire de quatre cas d'hydrocéphalie chronique qu'il avait traités par ponction, et dont il prés
I. La trépanation pratiquée dans LES cas D'HYDRO- CÉPHALIE aiguë ET CHRONIQUE ; par le D`' HAYES AGNEW. {University Medical Ma
it presque aveugle mais il pouvait marcher. § VIII. Hydrocéphalie CHRONIQUE apparue après la GUÉ- RISON spontanée d'un SPIN
cès cérébraux sont surtout en connexion avec les maladies aiguës ou chroniques de l'oreille interne. Ces abcès sont surtout
66 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. hallucinatoire chronique . Autopsie. Un kyste dans le putamen, n'ayant pr
ubles [de la nutrition. P. K. XV. UN cas DE POLIOMYI'sLENCFPH.1LITE CHRONIQUE ; par K. SCHAFFER (Centralbl. f. Nervenheilk, N
, polioencéphalite inférieure (paralysie bulbaire); c, poliomyélite chronique . Ce qui est très rare, c'est la symétrie et la
musculaire, ar- ticulations des labiales), indique une inflammation chronique à intensité variable. P. K. XVI. Trépanation
que excentrique, dégénérescence graisseuse du myocarde ; endaortite chronique déformante), oedème pulmonaire, cyanose rénale,
lmonaire, cyanose rénale, foie muscade; gastro-entérite catarrliale chronique , hypérémie cérébrale, syno- vite panneuse de l'
mpressions optiques. P. K. XXV. SUR UN cas DE paralysie PROGRESSIVE CHRONIQUE DES MUSCLES DES YEUX, associé A UNE amblyopie t
certains cas graves de mélancolie anxieuse, devant passer à l'état chronique ; dans son second mémoire plus complet, il croi
autres éléments du syndrome et compliquant la mélancolie anxieuse chronique , elle parait beaucoup plus rare. Rare ou non, e
l'est peut-être moins qu'il ne nous parait, la mélancolie anxieuse chronique avec délire des négations n'en existe pas moins
i, dans les asiles, l'encombrement résulte de la présence d'aliénés chroniques , déments, imbéciles, idiots, ce sont aussi eux
ndis qu'à Gheel on reçoit directement et indifféremment des aliénés chroniques ou aigus, en Ecosse le placement n'est, en prin
aigus, en Ecosse le placement n'est, en principe, appliqué qu'à des chroniques incurables soigneusement choisis parmi les aliéné
e la paralysie générale tend à en faire une variété des atro- phies chroniques des cellules nerveuses comme la sclérose latérale
s. Elle a la plus grande analogie avec les délires par intoxication chronique . Elle parait bien mériter le nom de confusion m
me sujet : « On demande un médecin adjoint pour 300 ou 350 maladies chroniques , mais pour des cas récents et chronique tout à
t pour 300 ou 350 maladies chroniques, mais pour des cas récents et chronique tout à la fois (comme dans la Nouvelle- Zélande
omme base d'un diagnostic. d. - Aurait-on à faire avec la méningite chronique de l'adulte à type hystéro-épileptique, décrite
pidement toute une moitié du corps, ensuite convulsions toniques et chroniques des deux membres, débutant par l'extrémité infé
et 1 femme) ; - manie récurrente : 4 (tous du sexe masculin); manie chronique : 7 (dont 6 hommes et 1 femme); mélancolie : 21
cuteurs, on voit que le persécuteur persécuté étant, avant tout, un chronique , son délire stéréotypé peut se prolonger pendan
oire de W. M... montre clairement qu'on avait affaire à un délirant chronique qui, sous l'influence de ses idées délirantes,
ers signes d'idées - ambitieuses. En somme, un cas type de délire chronique . E. B. , VII. Crime ET responsabilité; par le D
L'histoire naturelle du crime montre que les cerveaux des criminels chroniques sont déviés du type normal et se rappro- chent
'iIYOSCINE COMME SÉDATIF CHEZ LES FEMMES AFFECTÉES DE psychopathies chroniques , parNOECKE. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVII
eitsch¡'. f.Psychiat., t. XLVII, p. 5.) Six observations de manie chronique , démence, folie systéma- tique, montrant qu'en
la vue et de l'ouïe, ou les atténuer. Résumons-les. Obs. I. Manie chronique (ou dèmence avec agitation), durant depuis seiz
ué à écrire. Obs. IV (erreur de numérotation). Folie systématique chronique REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 489 datant de longues
re sensorielle des mots. Amélioration. Obs. V. - Folie systématique chronique . Hallucinations de l'ouïe, de la vue, du touche
lissements de décharge qui serviront à désencombrer les asiles pour chroniques et les sections d'infirmes des hôpitaux. M. ScH
autopsie : de la pachyméningite hél11orrhagique, une leptoméningite chronique , une atrophie modérée du cerveau, une dilatatio
ion directe de la chorée des parents aux enfants. Quant à la chorée chronique des adultes, l'orateur donné ses soins à une da
M. JOLLY. -Il Il suffit pour cela d'employer les termes : aigu ou chronique , en effet il y a des cas de chorée chronique qui
r les termes : aigu ou chronique, en effet il y a des cas de chorée chronique qui ont dé- buté à l'âge de six, sept, huit, di
ateurs à la fois des altérations nettes. M. LEYDEN. De la myélite chronique et des lésions systématiques de la moelle. Entr
de la moelle. Tout autre processus scléreux appartient à la myélite chronique . Ou constate d'ailleurs;que toute espèce d'alté
ats cadavériques et l'on a rejeté presque complètement la myélite chronique . L'étude des observations des malades montre qu
s combinées appartiennent soit au tabes dorsal, soit à la myé- lite chronique diffuse, qui correspondent au tableau morbide de
ie de Morvan (syringomyélie) est une cinquième forme des affections chroniques de la moelle. Séance du 8 février 1892. Consa
, par Anto- nelli, 201, 423; - toxique avec paralysie progressive chronique des muscles des yeux, par Boe- deker, 276..
35 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
tériques men- suelles, par M. le Professeur Raymond, p. 26. IV. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Banquet de la Société d'hy
livre singulier, écrit par Jean Schedel, qui est connu sous le nom de Chronique de Nuremberg {*). Cet ouvrage fut publié en 1493,
. Albert Durer, qui travaillait à cette époque (1) Jean Sciiedel. — Chronique de Nuremberg. Reglster des Huches der Eroniken un
e et qui sont les plus anciennes de l'Ecole allemande. L'auteur de la Chronique de Nuremberg semble avoir pris à tâche de frapper
ce des premiers artistes. Un second document nous est fourni par le chronique de Conrad Lycosthènes ('), édité en 1557; environ
rage, devenu aujourd'hui très rare, a été certainement inspiré par la Chronique de Nuremberg. Il est orné de plusieurs centaines
ion et la ciselure de la gravure sur bois. lit. II. Femme a barbe. { Chronique de Conrad Lycoaibcncs, liWj La représentation d
re, il n'y aucune raison pour qu'où ne recoure pas à la suggestion. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Banquet de la Société d'Hypno
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des chroniques , de* documents, des correspondances, de9 polémiqu
ique citez un dégénéré, par il. le Professeur Raymond, p. 61. IV. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Souscription pour le monum
le médecin qui est appelé à le remplir dans notre société moderne. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Souscription ouverte par la R
; 6* Des analyses dea ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des chroniques , des document*, de* correspondances, des polémiqu
gestion hypnotique, par M. IeD' Damoglou. du Caire, p. 93. III. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. - Distinctions hono- rifique
s, d'après les informations que je viens de prendre tout récemment. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Distinctions honorifiques L
ement des buveurs d'habitude, par M. le Dr Béiuixon, p. 127. III. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gle et
ancienne que nous présentons ici (flg. 22} et qui est empruntée à la Chronique de Nuretnberg, que nous avons déjà mentionnée, In
ive chez les jeunes filles et lus femmes après des maladies aiguCs et chroniques . Ma malade d'aujourd'hui habite Skouroiany, pet
er les forces physiques et d'amener à la rééducation de sa volonté. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
; 6* Des analyses des ouvrages pbilosopbiques et médicaux; 7* Des chroniques , des documents, des correspondances, des polémiqu
hystérique monosympto-matique, par M. le P' Raymond, p. 157. IV. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gie et
mber à terre aucune de ses paroles s (*), et l'on sait que la rêverie chronique est très fréquente dans la période d'incubation d
à l'hypnose qui, certainement, le débarrassera de son tremblement. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'bypnologle et de ps
6' Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux ; 7* Des chroniques , des documents, des correspondances, des polémiqu
, par M. le D'Emile Lit, raédecln-mafor de i" classe, p. 179. II. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gie et
ns. • • La neurasthénie exprime la faiblesse nerveuse, la fatigue chronique , le déficit d'énergie qui sévit chaque jour davan
et et presque sans remède : on arrive à l'épuisement prématuré et CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des chroniques , des documents, des correspondances, des polémiqu
, par M. le D'Emile Lui, médecin-major de 1" classe, p. ?08. III. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE.' — Société d'hypnolo gic et
n dehors duquel il ne peut exister d'armée véritablement nationale. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des chroniques , des documents, des correspondances, des polémiqu
ggestlbllltédes alcooliques, par M, le D' Bémixon, p. 255. III. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gle et
e excès alcoolique provoque une sorte d'irritabilité nerveuse qui CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologle et de ps
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7" Des chroniques , des documents, des correspondances, des polémiqu
mes rythmés du diaphragme, par M. le professeur Raymond, p. 283. V. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo-gie et de
ues et qui, comme ces derniers, guériront très bien par suggestion. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux ; 7* Do* chroniques , des documents, des correspondances, do» polémiqu
e des buveurs d'habitude, par M. le docteur A. Marnay, p. 316. V. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gle et
e fait a été observé chez des malades atteints d'affections aiguës ou chroniques qui les avaient condamnés à une immobilité prolon
complète. ptosis double, ophtalmoplégic interne, poliocncéphalitc chronique , asthénie bulbaire, tabès en voie d'évolution?
est là le complément important, sinon indispensable, du traitement. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'bypnologie et de ps
C* Dea analyses des ouvrages philosophiques ¦*. médicaux; 7' Dos chroniques , des documents, des correspondances, des polémiqu
uggestive. par M. le D' Eumin (de Constantinople), p. 348. III. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gle et
s (Gg. 50}, atteinte, à l'âge de 43 ans, de folie puerpérale, à forme chronique . Elle est très irritable et orgueilleuse, porte d
e rencontre sous trois formes : l'alcoolisme accidentel, l'alcoolisme chronique ou habituel et enfin l'alcoolisme périodique ou a
en prennent très rapidement l'habitude et deviennent des alcooliques chroniques . Chez les enfants, si la première expérience prov
tients, c'est-à-dire 62,4 0/0, avalent été déjà atteints d'alcoolisme chronique . Quelques-uns des alcooliques habituels passent
au de la crise alcoolique à laquelle aboutit quelquefois l'alcoolisme chronique . L'alcoolisme habituel de même que l'alcoolisme
semaines de traitement, ne boit plus depuis trois ans. Un alcoolique chronique , qui n'a eu que six jours de traitement, ne fait
ssent à l'acte de la même manière qu'un ordre formellement suggéré. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologle et de ps
; 6* Dos analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des chroniques , dos documents, dos correspondances, des polémiqu
ET CONFÉRENCES. — Sitlomanie. par M. le professeur Raymond, p. 374. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Séance annuelle de la Sociét
on système nerveux ; et on l'aidera à guérir par la psychothérapie. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Séance annuelle de la Société
par Wiazemsky, p. 305. TABLE DES FIGURES Fig, 1. Femme à barbe ( Chronique de Nuremberg, 1493), p. 6- Fig. 2. Femme à barh
barbe (Chronique de Nuremberg, 1493), p. 6- Fig. 2. Femme à barhe ( Chronique de Conrad Lycosthènes, 1557), p. 7. Fig. 3. Gra
rbue et velue, igée de 30 ans (1855), p. 105. Fig. 22. Femme velue ( Chronique de Nuremberg, 1493), p. 106. Fig. 23. Bella-Car
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 1' Des chroniques , des documents, des correspondance», des polémiqu
36 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alcoolique (vin blanc), mort d'un asthme symptomatique de bronchite chronique avec em- physème à l'âge de soixante-quinze ans
anesthésie de la sensibilité générale et des sens dans l'alcoolisme chronique , m Gaz. hebd., 1873. Veyssière, Th. de Paris, 1
du réflexe ten- dineux, les vertiges. Mais c'est avec l'alcoolisme chronique que le morphinisme a le plus de ressemblance et
établira facilement le diagnostic. La marche est essentiellement chronique et fatalement pro- 100 REVUE DE PATHOLOGIE MENT
ivorce parce que, parait-il, ils ont vu guérir cer- taines maladies chroniques sur la guérison desquelles on ne comp- tait guè
la demande de divorce introduite par l'autre conjoint. Le délire chronique a été également repoussé par la commission, à c
- gies qui rappellent les hématomes de la méningo-périencéphalite chronique diffuse avec complication de méningite. Cinq à si
orphine sont abandonnés; 2" quand domine l'élé- ment moteur (manies chroniques à rémission ou folies circulaires); 3° lorsque
des asiles pour les rendre aux familles un certain nombre d'aliénés chroniques , tranquilles, à la condition d'allouer aux fami
ne période plus avancée et surtout quand la' maladie passe à l'état chronique , à la fois moral et physique. Des malades qui c
e reconnaître au bout d'un instant de conver- sation les persécutés chroniques . J'ai indiqué, au commencement de ce travail, l
indiqueraient que diverses affections sexuelles, soit aiguës, soit chroniques , peuvent donner lieu à une maladie mentale, mêm
ec aliénation mentale, onze; paralysie gêné- rale, quatorze; délire chronique , trente-un; alcoolisme DES MALADIES SEXUELLES C
ente-un; alcoolisme DES MALADIES SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. ist chronique , deux; démence secondaire, dix; mélan- colie, v
utive, vingt-huit; paralysie générale, dix; mélancolie, dix; délire chronique , neuf; alcoo- lisme chronique, trois. Dans le
érale, dix; mélancolie, dix; délire chronique, neuf; alcoo- lisme chronique , trois. Dans le nombre des deux cents malades e
leur fréquence : les endométrites diffuses ou alliées aux métrites chroniques du corps de l'utérus ont été trouvées dans quar
et métrite cervicale. Dans seize cas, on a pu constater la métrite chronique diffuse du corps, associée dans huit cas à cell
du museau de tanche. Dans huit cas, on constata la métrite diffuse chronique du corps et du col de l'utérus et dans quatre c
as, et aggravées encore par une métrite dans vingt cas. La- métrite chronique diffuse à elle seule 'accompagnait les anomalie
l'utérus étaient accompagnes de paramétrite, métrite et endométrite chroniques ; les cinq autres étaient accompagnés d'une ooph
e l'atrophie de l'utérus sénile, ont été notés : six cas de métrite chronique diffuse; trois cas d'anciennes ruptures du péri
eux fois associée à diverses formes gynécologiques (comme métrite chronique et endométrite du corps et du col de l'utérus,
e l'utérus, avec ou sans anomalies de menstruation). Dans le délire chronique , sur quarante cas, trente- quatre sont aussi co
a pu observer diverses lésions graves (ruptures du périnée, métrite chronique avec endomé- trite, etc.), d'une provenance évi
ptions irrésistibles au rang de symptômes dans les folies aiguës et chroniques . A l'encontre de Westphal, il pense que la conc
on irrésistible peut dériver d'une émotion ou d'afflictions morales chroniques (misère, soucis, chagrins). Il adopte enrevanch
igramme par jour, en une ou deux injections, dans deux cas de manie chronique , ils sont allés jusqu'à 3 centigrammes par jour
ue les convulsions qui se montrent à la fin de la vie. La méningite chronique accom- pagne du reste, comme on sait, souvent l
au d'un paralytique général nous présente à côté de l'encé- phalite chronique (adhérence des méninges à l'écorce) des foyers
, des paralysies d'origine viscérale et périphérique, du nervosisme chronique ou neurasthénie, etc. Parmi les sujets qui ont
lus ou moins marquées. Cn. F. V. Etude clinique sur l'absinthisme chronique ; par L. Gautier. Thèse de Paris, 1882. Le tra
ymptôme de l'absinthisme aigu; on ne les~observe dans l'absinthisme chronique que sous l'influence d'un épisode aigu, ou en c
rahit sou- vent et'peut être suivie. Dans les otites subaiguës ou chroniques , d'origine pharyngée, l'envahissement de l'orga
, Mme IL.. quitte la maison de santé dans le mémo état d'aliénation chronique , pour être transférée dans un autre asile. J'
marche de l'encéphalite suppurée varie suivant qu'elle est aiguë ou chronique . Dans la forme chronique, l'abcès s'enkyste, ce
uppurée varie suivant qu'elle est aiguë ou chronique. Dans la forme chronique , l'abcès s'enkyste, ce qui n'a pas lieu dans la
t trois à six REVUE DE pathologie NERVEUSE. 377 semaines. L'abcès chronique est caractérisé par une période latente prolong
rédité psychopathique souffrant depuis 18 ans environ de mélancolie chronique et d'hystérie chez qui, consécutivement à un sa
n qui le fait émaner de la propagation d'une méningite pie-mérienne chronique à travers les tractus conjonctifs qu'elle envoi
année de la maladie) devrait dépendre de la nature sponta- nément chronique de l'inflammation méningée. Le mécanisme des do
latérale, mais d'une sclérose périphérique due à une ménin- gite chronique . Dans les cas d'abolition, il y avait soit une
sultats de l'hyoscyamine; il l'a employé dans deux cas de ma- nie chronique avec' idées de violence et de destruction, et dan
avec' idées de violence et de destruction, et dans un cas de folie chronique avec hallucinations terrifiantes de l'ouïe; il
ures, à la direction de l'asile. TABLE DES MATIERES Absinthisme chronique (études cli- niques sur 1'), par Gautier, 263.
Protubérance (affection de la), par Resali, 249. Psychopathies chroniques (procédé pour couper les accès d'agitation ch
37 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
n permanente et n'y sévit plus seulement par paroxysmes; forme lente, chronique par exemple, marquée souvent par l'accompagnement
nt et un épileptique dans la famille ; 4° Vertige de Ménière; forme chronique et vertiges par accès. lre Malade. M. Charcot
sque nécessairement. Je vous ferai remarquer seulement que le vertige chronique résiste en général beaucoup plus à l'action de la
des cas graves ; soit que la maladie en vienne à s'éterniser à l'état chronique (chorée chronique) soit qu'elle conduise, dans la
oit que la maladie en vienne à s'éterniser à l'état chronique (chorée chronique ) soit qu'elle conduise, dans la forme aiguë, plus
ablement d'une chorée à rechutes subintrantes et non pas d'une chorée chronique qu'il a dû s'agir à cet âge. Quoiqu'il en soit, l
huit mois dans l'armée, il a été réformée pour myopie avec choroïdite chronique ; après cela il a travaillé comme homme d'équipe
l'apanage, comme quelques-uns paraissent l'avoir supposé, des chorées chroniques . Rien au cœur. On assure que cette jeune fille
adies du cœur et des gros vaisseaux, ceux qui souffrent d'une maladie chronique des poumons : phtisie, emphysème ; ceux qui ont é
s trois cas de paraplégie spasmodique, dans un cas de myélite diffuse chronique , enfin dans un cas de sclérose en plaques. A pr
semaines après l'accès qui vient d'être décrit. « Otites périostiques chroniques rhumatismales ; —lisez goutteuses.—L'oreillegauch
; —lisez goutteuses.—L'oreillegaucheoffredeslésionstrèsnettes d'otite chronique sèche; déformation et enfonçure extrême du tympan
ernelle a les doigts des mains déformés par le rhumatisme articulaire chronique ; une cousine germaine, toujours du côté paternel,
emment peut-être,chez certains sujets goutteux, atteints de laryngite chronique et aussi chez quelques asthmatiques. L'arthritis
Hnd, où le diagnostic a été formulé ainsi qu'il suit : « Alcoolisme chronique avec affaiblissement des facultés intellectuelles
nales nouvelles évoluant soit dans le mode subaigu, soit dans le mode chronique et occupant principalement, du moins à l'origine,
évolution progressive. A. Le grand groupe des amyotrophies spinales chroniques progressives, comme je l'ai appelé, comprend des
nstitution qui, je le répète, reproduit en quelque sorte dans le mode chronique , la paralysie spinale infantile, est relativement
plus compliquées dans une seconde catégorie d'amyo-trophies spinales chroniques que, par opposition à la précédente, je désignera
variable, car, de fait, il n'est peut-être pas une lésion élémentaire chronique de la moelle épinière qui ne soit susceptible, à
lus désormais qu'une question à toucher. La tephro-myélite antérieure chronique développée chez notre malade à l'âge de trente-si
téressant, suivi d'autopsie ; tantôt, plus fréquemment, sous la forme chronique . Ainsi, vous le voyez, l'existence passée d'une t
t ultérieur de la forme subaiguë et plus particulièrement de la forme chronique de la lésion systématique des cornes antérieures
s du dernier genre, ceux où il s'agit de la tephro-myélite antérieure chronique , qui, en raison de l'étroite analogie qui les r
n aux cas qui y sont étudiés. — En général, le début de l'amyotrophie chronique s'est fait dix, quinze, vingt ans après l'époque
ion évolue constamment suivant le mode aigu, tandis que c'est le mode chronique qu'elle affectera au contraire, dans la maladie d
le système des cellules motrices est dans la tephromyélite antérieure chronique , comme il l'avait été autrefois dans la tephromyé
ë, puis dans un âge plus ou moins avancé, la tephromyélite antérieure chronique , il y aurait lieu, d'après ce qui précède, d'adme
t sous la forme d'un processus aigu, tantôt sous celle d'un processus chronique , suivant les circonstances. Si cela est, dans les
s, étudiées comparative-ment : 1° Tics généralisés simulant la chorée chronique ; 2° Chorée chronique dite d'Huntington ; — on in
e-ment : 1° Tics généralisés simulant la chorée chronique ; 2° Chorée chronique dite d'Huntington ; — on insiste sur les difficul
les deux cas. L'une de ces femmes, cependant, est atteinte de chorée chronique , tandis que l'autre est sous le coup des tics gén
a suite d'un examen un peu sommaire, désigné comme atteinte de chorée chronique , celle des deux malades qui au contraire, je vais
te chez une malade atteinte de tics convulsifs, et chez une choréique chronique , enregistrés d'après la méthode graphique de Mare
nne et fait un tour en dix secondes. — A, maladie des tics; B, chorée chronique . (Communiqués par M. Dutil, interne de la Cliniqu
énéralisent et tendent à la continuité, de façon à rappeler la chorée chronique , les tics, à ne considérer même que ce qui est re
ctères, être distingués, sans trop de difficultés, des gesticulations chroniques . Mais la différence fondamentale qui sépare les
nnue déjà. Je vous l'ai présentée l'an passé comme atteinte de chorée chronique ou chorée d'Huntington. Je vous rappellerai à ce
traire, elle se rattache à celle-ci, qu'elle représente sous la forme chronique (1). Mais ce n'est pas cela qui importe pour le m
nfance ; que notre malade compte dans sa famille quatre cas de chorée chronique , en outre d'un certain nombre d'exemples de névro
u'ils simulent jusqu'à un certain point ainsi qu'on l'a vu, la chorée chronique . L'écholalie est actuellement très accusée et, dé
leçons du mardi, 1887-1888 — 17 et 24 juillet; etJ.Huet; De la chorée chronique , thèse de Paris, 1889. névropathiques ne font p
de fortune; elle a un frère sujet à de grands emportements. La chorée chronique ne figure pas, comme vous voyez, dans les acciden
deux ordres de faits une séparation radicale. Messieurs, la chorée chronique passe, et c'est de toute justice je crois, pour u
inale préalablement modifié par le fait d'un processus d'inflammation chronique ; ce genre d'altération a été décrit en 1869, par
s caractères qui séparent la gliomatose d'un processus d'inflammation chronique . 3° Une troisième espèce appartient bien et dûm
rose latérale amyo trophique, etc.), si elle évolue suivant le mode chronique . Les cornes grises antérieures (cellules nerveuse
uvent servira la distinguer vis-à-vis de la téphro-myélite antérieure chronique (1). La présence de ces mêmes troubles si parti
Fig. 98. — — (Champ visuel) 455 Fig. 99. —Tic convulsif et chorée chronique (Tracé des mouvements) 466 Fig. 100. — Abasie t
ns la famille.................... 78 4°. Vertige de Ménière : forme chronique et vertige par accès..........................
ades étudiées comparativement: 1° Tics généralisés simulant la chorée chronique ; 2°Cho-rée chronique dite d'Huntington. On insis
ivement: 1° Tics généralisés simulant la chorée chronique ; 2°Cho-rée chronique dite d'Huntington. On insiste sur les difficult
Sfiock.) Chorée (Ch. vulgaire, Ch. de Sydenham) (Voy. aussi Chorée chronique , Tic), 7, 14, 37, 130. — (Délire dans la), 106. —
molle, 38, 171. — (Troubles de la parole dans la), 38, 104. Chorée chronique , 109. — et Chorée de Sydenham, 467. Chorée chro
104. Chorée chronique, 109. — et Chorée de Sydenham, 467. Chorée chronique et Tic convulsif. — Coordination des mouvements,
mouvements, 466.— Pronostic, 469. Chorée d'huntington. (Voy. Chorée chronique ). Chorée rhythmée. — Démarche, 357. — Rhythme e
ackson, 226, 321. Hughes, 109. Huntington (Chorée d'). (Voy. Chorée chronique ). Hutinel, 45. Hydromyélie, 490. Hyperexcit
, 320, 322,323. Mouvements. — Dans la chorée, 104. — Dans la chorée chronique , 465, 466. — Intentionnels dans la chorée, 130.
sme hystérique, 247, 248,249,250. Myélite cavitaire, 490. — Diffuse chronique et suspension, 204. — Transverse du MaldePott, 18
idents de la, 220. — Contre indications, 203, dans la myélite diffuse chronique , 204. — dans la paraplégie spasmodique, 204, 220.
e, 468. Tic convulsif et chorée, 14, 464. Tic convulsif et chorée chronique . — Coordination des mouvements, 467. — Début, 4
38 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t, ce délire offre beaucoup d'analogie avec celui des mélancoliques chroniques ; c'est ainsi qu'on lui a coupé la tête deux foi
al, hallucinations cénesthétiques simulant celles des mé- lancolies chroniques , possession par des esprits malveillants ou con
LE. Une autre malade de M. Magnan, rapportée sous le titre délire chronique à systématisation religieuse ambitieuse, est ci
ade de M. le D Briand 2 (cité par le même auteur au chapitre délire chronique à évolution systématique) offre avec la précéde
in. Débilité mentale, idées mystiques, délire religieux à évolution chronique , etc., obs. XXXIII, p. 190 et suiv. 5 Excitatio
brale, délire ambitieux et mystique à forme rémil- lente, évolution chronique citez un dégénéré, obs. XXXIV, p. 193. DES PSYC
e au début, avec des délires hypocondriaques vrais ou mélancoliques chroniques ; on observe assez fréquem- ment des tentatives
urnée dans les nuages. D. S., p. 62. C'est une mégalomane délirante chronique et non une hystérique. 36 REVUE DE PATHOLOGIE M
devient maniaque, le Kabyle devient mélan- colique ; la° le délire chronique s'observe aussi quelquefois; il atteint surtout
« paranoïa inventoria » ; par le Dr Serge SOU¡¡HANOFF, Le délire chronique présente une forme où les idées absurdes s'expr
re 1896.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. UN CAS DE CHORÉE CHRONIQUE CHEZ L'ADULTE AVEC ALTÉR \TIONS ANATOMIQUES SEM
qui semble établir l'existence de rapports intimes entre la chorée chronique progressive et certaines autres maladies neuro-
ématisés de la pathologie mentale française, entre autres le délire chronique à évolution systématique de Magnan. Pour la mél
Exemple : Une femme de quarante-huit ans, héréditaire, alcoo- lique chronique , ayant de rares accès d'épilepsie, séquestrée d
de l'aliénation; seulement en ceci il pourra ressembler au « délire chronique à évolution systématique » de Magnan par exempl
colonie de Villejuif. de Dun-sur-Auron. Comme les autres délires chroniques , le délire des persé- d Ferrand.-Le langage, la
ire de persécution moderne il y a des persécutés mystiques (délires chroniques du moyen âge (Ma- gnan) : Obsédés par le démon
voit, l'évolution progressive manque ici, il y a bien une psychose chronique mais sans systématisation suffisante ; au contr
assif dans cette folie commu- niquée ; notre malade représentait le chronique qui marque l'épidémie au coin de son délire. La
tes sont demeurées frustes malgré le passage à l'état périodique et chronique ; il n'en est pas toujours de même chez les débi
formes de délires pathognomoniques d'un état dégénératif (délire chronique de M. Magnan). C'est ainsi que Greidenberg adme
es persistent, constituant une psychose sinon progressive, du moins chronique et incurable. Tel est par exemple le cas suivan
INIQUE MENTALE. l'état permanent et incorporés à un délire mystique chronique . Lés autres congénitaux, qu'on pourrait opposer
s moins une utile action palliative. La diarrhée et la constipation chroniques sont très accessibles à la suggestion, ainsi qu
ment pas la proportion de un ou deux cas sur mille. 2o Dans les cas chroniques où l'épilepsie est réellement de cause réflexe,
mission 220 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIII. SUR UN cas d'alcoolisme chronique traité empiriquement avec guérison apparente ;
'obsession avec impulsions irrésistibles, de délire aigu, de délire chronique , de paralysie générale, etc. Bien que toutes ce
e a été constatée, étaient aigus ; dans les cinq autres ils étaient chroniques . Ces cinq derniers cas (dont quatre se rapportaie
compétent est seul capable de déterminer si ce degré d'intoxication chronique est atteint. 5° Le buveur qui, par suite de ses
ès. Elles sont nées en 1841 ; une antre soeur est atteinte de manie chronique . Quelques mois avant l'entrée à l'asile les deu
lutôt sèche ; la soif augmentée. Ces modalités sont le plus souvent chroniques . Est-ce là un état gastrique chronique dans leq
ités sont le plus souvent chroniques. Est-ce là un état gastrique chronique dans lequel persistent naturellement avec plus ou
fs et gustatifs présentent donc, soit le début aigu, soit la marche chronique d'emblée, soit des crises très variables d'inte
deux de paralysie unilatérale thyréo-aryténoïde - une de paralysie chronique bulbaire chez un aliéné, une de paralysie bilat
cas d'artério-sclérose peuvent aisément être pris pour des lésions chroniques progressives (tumeurs) ; les maux de tête ne so
ntales qui appuient sa manière de voir. Il a empoisonné d'une façon chronique un chien, à l'aide d'injections de morphine : l
des maladies : REVUE DE pathologie mentale. 371 XLV. DE l'aortite chronique chez les aliénés; par DEL GRECO (Il Olanicomio,
iverses catégories, l'auteur a trouvé trente-deux cas d'altérations chroniques de la crosse ou de la portion initiale de l'aor
) avant toute autre ma- nifestation convulsive. La dégénérescence chronique épileptique se rencontre dans 00 à 70 cas p. 10
ts à la pudeur, des suicides, des meurtres, etc. 4° Les psychoses chroniques épileptiques, états d'excitation ou de stupeur
ctique, qui doit être placée à côté de l'encéphalite sous-corticale chronique et de la dé- génération artérioscléreuse. M.
a sensibilité restait normale. Autopsie. - Néphrite parenchymateuse chronique , péricardite; rien d'anormal dans les nerfs pér
emment et a\ec les meilleurs intentions du monde, des fabricants de chroniques . 3° L'asile, pour répondre au voeu d'Esquirol e
nce dans la production des troubles trophiques. Comme toute maladie chronique grave, la para- lysie générale altère la nutrit
ype normal par la brusquerie du début, qui rappelle la poliomyélite chronique . Il est difficile de préciser la nature des alt
eurasthénie dans la classe ouvrière. - Parmi les affections locales chroniques , pouvant peut-être par- fois occasionner la neu
NERVEUSE. 471 l' des analogies avec les déformations du rhumatisme chronique . L'observation rapportée par M. Feindel en est
invoquées pour expliquer les déformations du rhumatisme articulaire chronique ; on ne peut songer davantage à l'action toniqu
cendantes. P. K. LXXIX. Considérations générales SUR LES affections CHRONIQUES DE la moelle épinière ; par JoNES. (NOl'thw. La
s directeurs de l'étude des psychoses », M. Magnan décrit le délire chronique à évolution systématique. Le diagnostic de ce d
de l'état m'entai antérieur de faire le diagnostic avec le délire chronique . La manie raisonnante et la folie morale ne sont
qui s'il se complique d'idées ambi- tieuses, peut simuler le délire chronique , mais son début rapide, son manque d'évolution,
de persécution en idées de grandeur qu'on observe chez le délirant chronique . Après avoir dans un rigoureux parallèle distin
ique. Après avoir dans un rigoureux parallèle distingué le délire chronique , psychose progressive et régulière, des délires d
. Intoxication chez un jeune enfant, par Ilerter, 320. Alcoolisme chronique traité empi- rlquement, par Munson, 220. Sur
logiques . Enregistrement des données -, par Steans, 360. Aortite chronique chez les aliénés, par del Greco, 371. .11,iii
s, 403. Cescnrso-c.sm vsuL. Névrose -, par Gombaud, 149. Chorée chronique avec alternances semblables il celles de la par
Jacobaus, 462. Menstruation et son influence sur les psychoses chroniques , par Najcke, 369. Mental. Élément nerveux et
tion secondaire de la - du chien, par Worotynski, 366. Affections chroniques de la-, par Jones, 475. Chirurgie des tumums
39 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es manifestant l'insuffisance rénale. Il s'agit bien entendu de cas chroniques et frustes, de petite urémie et non de grande i
pel a montré que les accès délirants survenant chez les alcooliques chroniques ne sont pas dus à l'alcool, mais à l'auto-intox
bles, il voit des malades pour ainsi dire «déflorés. » Dans les cas chroniques il peut constater un trouble mental persistant
ntiel pro- fond et d'une albuminurie symptomatique d'une néphrite chronique , sans oser établir une relation de cause à effet
de cette objection, il faut, dans les cas aigus comme dans les cas chroniques , rechercher chez les aliénés les causes d'auto-
commande le traitement. Dans les cas subaigus comme dans les cas chroniques , le régime lacté absolu est la base de la théra
ant ainsi : 22 2 enseignement. 2° qu'un certain nombre de malades chroniques peuvent être mis en liberté après l'amélioratio
t, présenter aux étudiants des sujets atteints de maladies mentales chroniques et non pas seulement des cas aigus; les élèves
l s'agit d'une femme de cinquante-huit ans, atteinte d'alcoo- lisme chronique avec démence et à l'autopsie de laquelle on trouv
nes, à se faire comprendre ; il succomba à une affection pulmonaire chronique . Le professeur Heid, d'Aberdeen, qui a examiné
crite corticale et sous-corticale ou une encéphalite interstitielle chronique diffuse. Pour les autres, c'est une lésion d'orig
s Régis, la folie systématisée qui est faits DIVERS. 9[ une folie chronique essentielle, caractérisée par des hallucinations
obre. En résumé : chez un vieillard de 74 ans atteint de néphrite chronique , apparaissent d'abord des troubles délirants (hal
lus déraisonnables. Les certificats antérieurs portent : Alcoolisme chronique excès d'absinthe, fureurs, actes inconscients,
ntraste de la conduite entre cette maladie d'une part et la démence chronique de l'alcoolisme et de la sénilité d'autre part.
te. 156 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Au contraire, dans l'alcoolisme chronique et la sénilité où cette note est communément pe
ette insuffisance soit assez forte pour produire de la constipation chronique , il suffit qu'elle prive l'appendice iléocoecal d
un nouveau tableau morbide analogue à la tétanie dans le saturnisme chronique , par H. Haenel. (neurolog. Ce ? zti-albl. lll,
e de vinLL-quatre ans, saturnin, atteint d'une affection musculaire chronique progressive caractérisée par des contractions t
alement pré- senter cette teinte jaunâtre ; 3° Au cours de l'ictère chronique , on peut également noter cette coloration. La
es, des émotions violentes, dans l'hystérie, dans les intoxications chroniques , en particulier l'alcoolisme. est un fait de sémé
ts auteurs ont observé la neuronophagie dans la méningo-encéphalite chronique , la dé- mence sénile. l'épilepsie et dans certa
la moelle cervicale par des lésions progressives de pacby-méningite chronique . Archives, 2° série, t. XVI. 12 17 SOCIÉTÉS S
en souvent on observe la jalousie chez les hommes dans l'alcoolisme chronique ; chez les femmes la jalousie pathologique n'est
hez les hommes comme symptômo-complexus de la paranoïa dégénérative chronique . Les idées obsédantes de jalousie sont assez ra
e gé- nérale des alcooliques. L'encéphale de tous les alcooliques chroniques , qu'ils soient ou non paralytiques, présente de
tre localisé et aigu, le processus infec- tieux peut être diffus et chronique . Les néoplasmes syphilitiques ou autres sont, e
s transi- tions entre certains délires aigus et les formes les plus chroniques de paralysies générales. J'ai déjà trop insisté
sont multiples. Beaucoup de méde- cins, peu au courant des maladies chroniques du système nerveut des enfants, dont ils n'ont
rolongé dans les cas aigus : mais il a éprouvé que, dans les manies chroniques , 1'liyoscine pro- duit une rémission tout à fai
sédatif ne dure que ce que dure l'action de la dose ; dans les cas chroniques , les doses fractionnées par injec- tions ou à l
et anormaux et de l'indican. Ce syndrome peut être aigu, subaigu ou chronique . Quand, aigu, il se termine par la mort, on tro
ne hyperhémie très intense des organes digestifs abdominaux. Quand, chronique , il aboutit à la guérison, l'animal parait joui
un syndrome de nature hystérique. Dans d'autres cas, lorsqu'il est chronique , le puérilisme représente une modalité clinique
us marqué, c'est ainsi que Iledlicli a observé un cas de mélancolie chronique et que plus récemment Pierre Marie et Guillain
l dépend du genre et de la phase de la maladie. Dans les affections chroniques , il n'obtient de bon résultat qu'au moyen de l'
ts de névrose traumatique. indemnes -d'artériosclérose, de néphrite chronique , de saturnisme chronique, âgés de trente-six an
. indemnes -d'artériosclérose, de néphrite chronique, de saturnisme chronique , âgés de trente-six ans, non suspects, par cons
tionnelle, indemnes d'artériosclérose, de néphrite, de satur- nisme chronique , on constate à plusieurs reprises des chiffres
ive, à nombre de cas de paralysie spinale spasmodiquc, à la myélite chronique de la femme. à quelques faits d'atrophie du ner
du reste dans la plupart des asiles néerlandais. Pour les aliénés chroniques , le travail reste toujours le principal sinon l
spensé dans un établissement consacre. pour la plus large part. aux chroniques , réputés incurables. Mais il se hâtait d'ajoute
e que nous avons noté le monologue plus fréquemment dans les formes chroniques que dans les formes aiguës de l'aliénation ment
urtout dans les états de démence et dans les délires systé- matisés chroniques , mais tout particulièrement dans les états dési
pour beaucoup d'auteurs ces états correspondent à une affec- tion chronique en marche vers la démence. Il frtut donc étudie
. Le logique est surtout le Git des délires systématisés, affection chronique . Pour le décousu, il faut bien s'assurer s'il s
dée prépondérante) sont surtout le fait des formes systématiques et chroniques . Ceux d'origine émo- tionnelle indiquent généra
d'un dialogue suivi ; ils indiquent alors une forme systéma- tique chronique ou un état démentiel. Ils se rapprochent alors
u des périodes d'agitation. Le se- cond se rencontre dans les états chroniques , qui, contrai- rement aux premiers, sont généra
urne. Le soli- loque diurne est surtout le fait des formes de folie chronique qui ne s'accompagnent pas d'insomnie. Le solilo
rons, par exemple le monologue de la manie aiguë et celui du délire chronique ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS.
tA d hallucinations de l'oiiie, consé- ciiiit,eg à une inflummalion chronique de l'oreille moyenne (Encéphale. 1882, ? 1).
oire du cas de M. Mabille. « Pick a rapporté « le cas d'une aliénée chronique sourde de l'oreille gauche « qui accusait des h
Mabille. Notons immédiatement que la malade de Pick est une aliénée chronique dont l'état hallucinatoire remonte probablement
e l'hallucination et de la lésion seront différents. Chez l'aliénée chronique de Pick la lésion n'a dû exercer son influence
elle exige, pour produire les lésions de la périméningo-encéphalite chronique diffuse, l'appoint de certains facteurs adjuvan
mme : obssessions, para- lysie générale, démence sénile, alcoolisme chronique . Cette section mixte munie d'ateliers, d'une pe
al ayant des hallucinations bilatérales, comme en ont les délirants chroniques , et dont M. Vallon donnera l'histoite clinique
e la théorie du neurone. SOCIÉTÉS SAVANTES. S3t I 7'A)'ot('<cs chroniques chez les aliénés. M. Dide rapporte terésumédeci
s peuvent se classer en trois groupes : chorée de Sydenham; chorées chroniques progressives de l'adulte et de l'àge mûr; choré
eptiques, hystériques, invétéiés, imbéciles ou idiots, alcooliques, chroniques graves, tuberculeux, dégénérés supérieurs propr
ZIE. D'un nouveau tableau morbide analogue la- dans le saturnisme chronique , par Ilae- nel, 161. Contrbutlun à l'dndto- m
40 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s n'avons pas ici l'air hautain, méfiant et soupçonneux du délirant chronique ; ni l'air bonasse, satisfait et content du para
de la mélancolie ; après cette durée, la mélancolie tend à devenir chronique et a finir par la démence si une affection inte
Grand'mère paternelle, morte à soixante-seize ans, d'une affection chronique de la poi- trine et de diabète. Oncle paternel,
'l'auteur cite deux cas d'une ophthalmoplégie externe progressive, chronique , d'une pureté rare et sans complications. Ces cas
rtige, montrant la diffé- rence entre le vertige aigu et le vertige chronique et abordant la question diagnostique, montre qu
ipé au processus. Puis viennent les myélites aiguës et les myélites chroniques d'emblée, parmi lesquelles la forme si fréquent
M. Bourneville. Les autres observations concernent : la diarrhée chronique séreuse traitée au salicylate de chaux ; l'épil
hatio et la porencéphalie vraie ; l'idiotie par méningo-encéphalite chronique ; l'alcoolisme ayant entraîné l'hé- miplégie gau
indre, souvent infime. Il est encore de 30/100 chez les délirants chroniques ; mais dans les états de manie, il tombe à 19/100
stence des lésions tertiaires avec celle de la méningo-encéphalique chronique est très rare et n'infirme nullement cette form
rôle se borne là.-On ne peut pas dire que la méningo-encé- phalite chronique soit une quatrième période de la diathèse spé-
neurasthénie, diagnostic parfois fort difficile ; avec l'alcoolisme chronique , les troubles cérébraux consécutifs aux traumat
. (Revue de médecine, 1898.) M. Marie appelle ainsi une affection chronique à évolution très lente et caractérisée par une
correspondent exactement avec la névrite ou la paralysie alcoolique chronique , généralement incurable. La névrite alcoolique,
ojets simultanés d'une clinique à Fribourg et d'un petit asile pour chroniques , près de Fribourg et près d'Ileidelberg, ne furen
correspondantes. Il faut construire un nouvel asile d'aliénés pour chroniques , un J ? eeu ? ! 4'<(.t/<, surtout destiné
d'aigus, le lit coûte près de 5.000 francs; dans le nouvel asile de chroniques il reviendrait à 2.500 francs. et même à moins;
, se révèle dans le système ner- veux central par des inflammations chroniques des vaisseaux, ce qui amène un trouble dans la
out d'abord sur ces psychoses religieuses systématisées à évolution chronique . Aux délires mystiques répondant à peu près au
répondant à peu près au type établi par M. Ma- gnan dans son délire chronique , on peut opposer des espèces morbides analogues
systématisés dits secondaires 1, en particulier des mélan- coliques chroniques à idées de damnation et de possession, dont on
stique comme entité distincte, mais l'admet comme variété du délire chronique , puisqu'il en trace l'évolution compara- tive p
uisqu'il en trace l'évolution compara- tive parallèlement au délire chronique type'. D'autre part si nous passons en revue le
est secondaire et consécutif à l'état affectif ; chez le délirant chronique , le délire est essentiel et primordial 4. La mé
pas un délire systé- matique. Lorsque cette vésanie passe à l'état chronique et qu'un délire systématisé vient se greffer su
rons-nous aux catégories ordinaires, c'est- à-dire, aux mélancolies chroniques (délires systématisés dits secondaires, Cotard)
ts secondaires, Cotard) et aux délires de persécution (délire dit chronique , Magnan) (à systématisation primitive, Séglas), d
délires de négation, le deuxième, les formes religieuses du délire chronique de M. Magan. Les hallucina- tions motrices para
ans les états aigus, maniaques ou mélancoliques. Quant à la manie chronique , si elle peut conserver quelque teinte mystique
on dans la théorie géné- rale de la régression^ Les mélancoliques chroniques possédés sont également susceptibles de subir l
voit, l'évolution progressive manque ici, il y a bien une psychose chronique mais sans systématisation suffisante ; au contr
passif, dans cette folie communiquée; notre malade représentait le chronique qui marque l'épidémie au coin de son délire.
et d'autres non dégénératives. M. Magnan. décrit de même le délire chronique comme pouvant se développer chez les dégénérés.
x formes dis- tinctes ; il est aigu avec léger mouvement fébrile ou chronique d'emblée; 8° la maladie débute en général par l
suggestion, est prémuni contre le retour offensif de l'alcoo- lisme chronique . Depuis plus de trois mois, cet homme n'a pas bu
irme l'efficacité delà suggestion dans les cas d'alcoolisme aigu ou chronique ; il met en outre en lumière l'utilité du sommeil
. L'autre est une femme de trente-huit ans, atteinte d'alcoolisme chronique , entrée le 4 juin 1898, sous le coup d'un accès s
i dénotent dans tous les cas toutes les lésions fines de l'artérite chronique . De cette artérite chronique, entraînant des né
utes les lésions fines de l'artérite chronique. De cette artérite chronique , entraînant des néo-formations vascu- laires, r
de. De reste Cotard n'admettait pas un seul mais plusieurs- délires chroniques . La. différence radicale quiisépare les délires
apport, M. Anglade avance que l'École française admet que le délire chronique évolue sur un terrain normal ; ceci est l'opini
la création de fermes suburbaines où l'on pourrait évacuer tous les chroniques valides; l'aliénation des terrains de l'Asile S
ur les besoins de l'enseignement, les malades aigus et, parmi les chroniques , ceux qui seraient justiciables d'une interventio
s lésions Itisiologiqiies du système nerveux central dans la chorée chronique héréditaire. M. Rtsi'AL (de Toulouse) a eu l'oc
tologique du système nerveux central d'un sujet atteint de cho- rée chronique héréditaire avec démence et ayant succombé à une
é. Observation 11.- lialade âgé de cinquante-deux ans. Alcoolisme chronique . Au mois de juin 1897, il devient très irritable,
ution et puis seulement des signes physiques d'alcoolisme. Chez les chroniques , c'est le con- traire qui se produit : au début
es, les héréditaires par leur penchant morbide et les alcoo- liques chroniques par l'affaissement de leur volonté sont facile-
ait l'opinion émise par l'auteur en ce qui concerne les alcooliques chroniques dont les idées de persécution réapparaîtraient
à juste titre parmi les délirants systématiques primitifs, aigus ou chroniques . Il est à remarquer que, dans les cas de ce gen
simples bouffées délirantes. 1. Voyons d'abord les cas à évolution chronique . Le début des accidents délirants est déjà par
ellement sur des interprétations délirantes : dans les cas de forme chronique que nous avons observés, nous n'avons pu releve
on. Quel est, en pareil cas, l'avenir des malades ? Dans la forme chronique que nous, avons en vue, le délire se systématis
sitoires dans le cours d'autres variétés de délires systé- matiques chroniques tels que ceux de persécution. Les bouffées déli
rs : les uns à forme aiguë, les autres plus ou moins graves à forme chronique : contracture de la tête en opistotonos, trembl
transitoire ; 2° Fondation d'une colonie agricole pour les aliénés chroniques , imbéciles et épileptiques. M. DOUTREBE1'E dema
a attribué un rôle dans quelques maladies, notamment dans la chorée chronique . Plus spéciale parait être la présence, dans le
7. Les lésions histologiques du système nerveux central dans la - chronique téré- ditaire, Ilispal, 401. Recller- ches cl
41 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
symptômes catatoniques dans le cours d'autres psycho- ses aiguës et chroniques . Il définit la catatonie pure par les mots suiv
p de fibres saines disséminées bien que, naturellement dans les cas chroniques de longue durée la sclérose puisse être complèt
: 3 paralysies générales, 2 polynévrites alcooliques, 1 suppuration chronique des reins avec cachexie amyloïde dans la folie
ue. 4. L'action thérapeutique du courant continu sur les affections chroniques locales d'origine in- flammatoire, arthriticorh
en que ce cas puisse être considéré comme un cas d'empoison- nement chronique par le sulfonal, des phénomènes graves peuvent
lle (alcoolisme, hystérie, neurasthénie, sénilité psychique, folies chroniques , etc.). La description du délire de grossesse n
de lits pour les cas aigus : or il est déjà encom- bré par les cas chroniques et n'a pas la place suffisante pour les cas aig
existe entre les signes qui relèvent seulement d'un état de fatigue chronique , et les signes au contraire d'affaiblissement et
se transformer sa psycho-névrose en une psychose vraie à évolution chronique . A propos de ce cas, l'auteur fait ressortir le
Les psychoses des tuberculeux. En dehors de « l'illusion délirante chronique », dont parle Letulle, et qui fait que certains
fluence des professions insalubres sur la produc- tion des maladies chroniques du système nerveux ? De la statisti- que, M. Bo
02. On note alors un affaiblissement intellectuel dû à l'alcoolisme chronique dont on relève les stigmates, et des signes phy
Se basant sur l'existence d'hallucinations et d'idées déliran- tes chroniques de grandeurs et de persécutions, dépourvues de
la première attaque ne gué- rit pas et le malade aboutit à la folie chronique . La folie émotion- nelle est loin d'être aussi
gation dans les asiles d'aliénés ; par le De Anglade. La diarrhée chronique des aliénés est presque toujours, sinon toujour
ccuper activement des malades ; c, un asile .ordinaire pour les cas chroniques ; - d, un système de pension au -dehors pour le
leur et de la forme des objets, une seconde période essentiellement chronique , durant au minimum, trois, quatre, cinq ans et
tère très varié. G. J. ROSSOLIUO. Combinaisons de la I)olioîiyélite chronique avec la syringomyélic gliomateuse (Avec présent
t d'une tempérance exemplaires. Ce ne sont donc pas des alcooliques chroniques que nos confrères russes ont il traiter et cela
s thérapeutiques. En France, au contraire, nos alcooliques sont des chroniques qui, en outre, boivent non pas simplement de l'
e aigu est bien obligé de demander aide et secours ; l'alcoo- lique chronique , au contraire, refuse d'ordinaire de se soigner.
ez, est atteint de tous les troubles qui caractérisent l'alcoolisme chronique chez un impulsif. Bédu sait que l'alcool lui fait
ulter qu'à l'insuffi- sance thyroïdienne appartiennent des troubles chroniques (trou- bles de nutrition, myxoedème), qu'à l'in
d'une occlusion intestinale. L'autopsie révèle une leptoméningite chronique de la convexité du cerveau, et de la sclérose d
tuber- culeuse, la syphilis, le tubercule cérébral, l'intoxication chronique par les liqueurs à essences, enfin l'hystérie,
aigu chez le premier malade, il a simulé l'urémie délirante ; plus chronique chez le deuxième dont l'état général était rest
tique. G. Carrier. XXXIV. Liquide céphalo-rachidien et méningite chronique dans un cas de maladie de Friedreich ; par MM.
fréquemment chez les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 337 alcooliques chroniques , et'il a donné à cet ensemble la valeur d'un ty
ntrent dans un nombre assez considérable de cas de folie alcoolique chronique . L'auteur, après un résumé de la littérature du
ée en certains cas). ' D'autres réalisent des délires mélancoliques chroniques , à teinte spirite, correspondant aux démonopalh
es diverses, et, en outre, des cas d'oedème hystérique, de diarrhée chronique , de mutisme, surdité ou cécité hystérique, de v
l'ischémie produite par un spasme vasculaire prolongé; dans les cas chroniques , de troubles trophiques com- plexes occasionnés
Intéressante observation d'une femme atteinte de maladie de Graves chronique , chez laquelle cette maladie prit brusquement u
aigu et accidentel, ne pou- vant survenir que chez des alcooliques chroniques ; l'auteur, allant du simple au composé, a reche
recherché d'abord l'état des cel- lules nerveuses dans l'alcoolisme chronique avant l'éclosion de la crise hypertoxique termi
giques des centres nerveux corticaux dans l'intoxication alcoolique chronique et dans les délires surve- nant chez les alcool
La raréfaction des corps de Nissl constitue une lésion cellulaire chronique ; leur fonte poussiéreuse ou leur dissolution indi
l'âge de l'individu, mais aux intoxications ou auto-intoxi- cations chroniques . Elle se caractérise par l'atrophie simple ou p
e globulaire (délires aigus), dégénérescence graisseuse (alcoolisme chronique ). V. Tout délire, survenant au cours des maladi
eau. VI. La fréquence des troubles cérébraux chez les alcooliques chroniques , résulte : d'une part, des altérations lentes des
uction de la cause toxique déterminante ; d'autre part, des lésions chroniques réalisées dans les cellules nerveuses. 424 il B
le cortex deux sortes de lésions : 1° Des altérations cellulaires chroniques , caractérisées par l'atro- phie, la raréfaction
les s'obser- vent dans diverses intoxications ou auto-intoxications chroniques (urémie). Elles correspondent cliniquement ci d
tion cérébrale héréditaire est secondaire, les lésions d'alcoolisme chronique étant le facteur essentiel. Il se caractérise c
tificat médical d'admission signale F... comme atteint d'alcoolisme chronique avec accès de délire et de furie. A son entrée
concerne leur pathogénie. La question, pourquoi chez tel alcoolique chronique apparaît le delirium tremens, tandis que chez t
ène par analogie à le comparer avec la paranoïa (délire systématisé chronique ), où par contre le délire se développe tout à f
développe tout à fait insidieusement. Aussi bien dans la paranoïa chronique que dans le délire alcoolique du type auditif, le
e lésion irritative ou une lésion de décharge, elle est en tout cas chronique ; et, que nous consi- dérions les décharges com
ertain que ces décharges sont périodiques. Comment donc des lésions chroniques causent-elles des décharges périodiques. La rép
n'aboutirait pas à une action spasmodique, mais à un déborde- ment chronique d'énergie ayant sou origine dans les mécanismes
asile, sans méconnaître la valeur de ce traitement dans les folies chroniques et dans les cas de manie ou de mélancolie à for
sur le crâne, dans les cas de ménin- gite ou de méningo-encéphalite chroniques . (B.) 490 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. pratiques e
ne concluent pas. ' Névrite radiculaire sensitivo-molrice à marche chronique . , MM. Déjeune et EGGER. Comme premier symptôme
e. Le contingent des pensionnaires du patronage consiste en malades chroniques , auxquels l'hôpital a déjà donné tout ce qu'il
ement liés avec la vie de travail. Dans beaucoup de cas de paranoïa chronique , les hallucinations pâlissaient, le délire s'af
ore le même micrococcus a été manifesté dans le sang d'un choréïque chronique et chez plusieurs malades présentant une excita
nt intellectuel et évoluant vers la démence, et comme tel le délire chronique de Magnan. La majorité des aliénistes contem- p
m et d'Altcherbitz prévalent avec la spécialisation des services de chroniques et de convalescents. Les rapports de la neurast
drames, qui ont produit à Uccle la plus douloureuse impression. (La Chronique de Bruxelles, 4 mai.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
, par TABLE DES MATIÈRES. 533 Ardin-Delteil, Si. - et méningite chronique dans un cas de mala- die de Friedriech. par Bar
42 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
habitué à observer dans les scléroses en général et les affections chroniques de la moelle en particulier. C'est donc là une
est présentée par une forme de ce que je suppose être une arthrite chronique généralisée, d'origine rhumatismale, englobant
es à un processus morbide actuelle- ment classé comme le rhumatisme chronique progressif, la spondylose rhizo- mélique, la cy
l'atrophie osseuse sénile est la seule vraie cause. Le rhumatisme chronique progressif provoque des déformations sans analo-
ns pouvoir les attribuer à la distorsion des parties. La marche est chronique , progressive et les malades succombent à des ac
de cas permettent de distinguer un puérilisme aigu et un puérilisme chronique . A cette dernière classe correspondent les nomb
cette dernière classe correspondent les nombreux cas de puérilisme chronique qu'offre à l'observation des aliénistes, dans les
s. Je rapporte ici un cas, aussi résumé que possible, de puérilisme chronique , lié à la démence sénile (2). Il s'agit d'une f
es des cornes antérieures de la moelle, au cours de la poliomyélite chronique . Mais ici, il n'y a pas de surcharge pigmentaire.
é signalé quelquefois dans lapoliencéphalite supérieure subaiguë ou chronique ; alors tous les muscles des yeux étant paralysés
ds ; / te<Ms ? 7Mtjoa- résie droite, paraplégie flasque, aorlile chronique avec insuffisance des val- vules sigmoïdes. Con
un double souffle systolique et diastolique symptomatique d'aortite chronique avec insuffisance des sigmoïdes. On entend un b
) Les récentes expériences de Guerrini qui provoque, par intoxication chronique , l'hypertrophie pituitaire sont en faveur de ce
SERVICE DU PROFESSEUR GRAZIADEI. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME NERVEUX (RÔLE D
donner un caractère qui n'est pas constant. Le nom de « trophoedème chronique » proposé par Meige (3) est entré dans le lan-
ont elle n'est pas encore guérie. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 205 Maladie actuelle. J'ai vu la malade pour la
oedèmes de Quinke. La main droite présente une sorte de trophoedème chronique , persistant. OBs. V. C... Ernestina, 25 ans, co
n'avons pu porter la lumière. Ni LES 06DÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 207 froid, ni fatigue, ni paludisme, ni syphili
conscrits, oedème dur persistant avec les caractères du trophoedème chronique de Meige. Ceci persiste depuis dix mois. » Lo
e DE la SALP7 : 1'RI) : RE T. XVIII. PI. XXVIII TROPHOED : Ë : ME CHRONIQUE (Valobra) Observation VI Masson & Cie,
n VI Masson & Cie, Éditeurs LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 209 Et les mêmes demandes peuvent être posées à
tion de la colonne vertébrale,ont été signalées dans les pleurésies chroniques et un très beau spécimen en est reproduit dansl
plèvre sont les causes de la déviation vertébrale ? La pleurésie chronique se caractérise, quand elle provoque des défor-
ées de strychnine. Gotlieb, attribuant l'af- fection à la cellulite chronique , a guéri un cas de crampe professionnelle en 36
me névroglique avec tractus scléreux interfasciculaire et méningite chronique , il répond trait pour trait à la description de
auer, les colonnes deClarke. De plus elle s'accompagne de méningite chronique an- térieure et postérieure, de périvascularite
mes, il ne présente pas de lésions des orifices ; il y a de l'aortite chronique . (1) A. Vigouroux OtLAIGIVEL-LAV15TINB. Tabes à
e diffuse avec dégénérescence hyaline des artères et épaississement chronique des veines du sillon médian antérieur. Weiger
rmations de la main rappellent certaines attitudes de rhuma- tismes chroniques , d'ailleurs l'unilatéralité et les troubles parét
SERVICE DU PROFESSEUR GRAZIADEI. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME NERVEUX (ROLE D
sur la nature des phénomènes hystériques pour LES OEDÈMES AIGUS ET CHRONIQUES n7 Nous pouvons pourtant affirmer que ces oedèm
, l'oedème de Quinke (Cassirer), et particulièrement le trophoedème chronique (oedème blanc de Sydenham, oedème bleu de Charc
eu de Charcot). A ce propos, il faut se souvenir que le trophoedème chronique peut être simulé par des sujets hystériques par l
invoqué. Tandis que dans l'urti- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 259 caire on admet toujours une intoxication da
mes passagers [Cassirer (13), otA(48), Marinesco (49)J ou d'oedèmes chroniques [Cassirer 'Remak (50), Mari- nesco (49)- Pour
ns bientôt les rapports de l'oedème de Quinke avec le tro- phoedème chronique : je désire seulement faire ici la remarque que d
re ici la remarque que dans l'observation de Cassirer (13) l'oedème chronique a été précédé par des poussées d'oedèmes et aus
s, et quels liens on peut cliniquement trouver entre le trophoedème chronique et l'oedème de Quinke : Nous avons vu que la
vec des modalités différentes : LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 261 Chez certains sujets l'oedème de Quinke ave
oedème qui ne disparaît plus et qui a les caractères du trophoedème chronique . Ma quatrième observation fournit un exemple tr
iculations, la répétition des accès peut aussi déterminer un oedème chronique avec hypertrophie du tissu conjonctif. Si dan
affirmation n'est pas seulement démontrée par le fait que la forme chronique peut suivre l'oedème aigu sans intervalle de temp
intervalle de temps, mais encore LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 263 par l'observation que les deux formes peuve
ème de Quinke. Dans la syringomyélie on observe parfois des oedèmes chroniques de l'articulation de l'épaule (lésion de la moe
s lésion des os, bien circonscrits. Ces oedèmes seraient la variété chronique de cette hydropisie des articulations sans phén
cial du même côté » dans laquelle LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 267 l'auteur observa des poussées d'oedèmes par
ger entre la circulation du sang, LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 273 et la circulation lymphatique, me semble bi
nke, peuvent aussi être invoquées dans la pathogénie du trophoedème chronique , et en recevoir une nouvelle sanc- tion. Tous l
rés. Meige a bien compris que le trophoedème consti- tuait la forme chronique de l'oedème de Quinke; mais est-ce qu'il pouvait
er à une pathogénie différente pour la forme aiguë et pour la forme chronique de la même maladie. je crois plutôt que Meige mêm
et générales, tout en ayant tou- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 275 jours le même mécanisme anatomique qui est
s exactes recherches anatomiques que ces oedèmes veineux à démarche chronique s'accompa- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CH
x à démarche chronique s'accompa- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 277 i gnent toujours de lésions secondaires des
démontré que le troploedéme pouvait être considéré comme la variété chronique de l'oedème de Quinke qui le précède très souvent
parfaite que Meige (133) avant d'éta- (1) Les formes de trophoedème chronique qui aboutissent à la guérison après un 278 VALO
sistantes de l'éléphantiasis ». LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 279 permet à présent de reconnaître aussi une p
uvons observer le pied succu- lent (Crocq) et l'épanchement aigu ou chronique du genou que nous savons appartenir à cet ordre
intimes de voisinage ou de commu- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 281 nauté avec les tymphosécréteurs, quoique le
con. de la Salp., 1901, p. 473. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 283 63. IIEHTOGHE. Contr. à l'ét. du troph. cr.
ariqueux. Aux poumons nous trouvons de l'emphysème, de la bronchite chronique , des râles aux deux bases. Il est extrêmement
partie de sa vie, il nous a paru que l'hypothèse d'une intoxication chronique par les acides minéraux était assez vraisemblab
l, dont nous avons parlé plus haut, ren- contra une lepto-méningite chronique . Nous croyons pouvoir éliminer chez nos malades
se d'une même affection. D'après Edinger, la plupart des affections chroniques du système ner- veux seraient dues au non-rempl
e mises en cause et on assistera à la production d'une poliomyélite chronique héréditaire, sans parler de l'atrophie Charcot-
s après (obs. II), permettait d'emblée d'éliminer toute affec- tion chronique ou même toute affection à début lent. On éliminai
S VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 465 maladie chronique , une tuberculose osseuse ou articulaire, la grand
la mère une fois une syphilis récente, l'autre fois une tuberculose chronique avec lésions intenses du foie et des reins. M
es autres organes montre en outre ce qui suit : Méningo-encéphalite chronique diffuse, athérome des vaisseaux cérébraux ainsi q
ériens : il souffrait à l'époque de notre examen d'une blennorragie chronique . Mon observation dura seulement une journée. Il
processionnellement, s'y rendent à date fixe. Par des revues et des chroniques locales, j'avais appris les guérisons miraculeuse
e, une autre théorie, celle de l'influence des processus irritatifs chroniques des troubles fonctionnels, de la manière anorma
iples, peut-être pas spécifiques. » La théorie des états irritatifs chroniques m'a fait me demander un mo- ment si, dans le ca
dant, expliquer la raison pour laquelle dans les états d'irritation chronique , il se forme de la substance osseuse dans les tis
pécialement on donne grande importance aux processus inflammatoires chroniques , et aux trau- matismes. On peut donner quelque
importance à l'étiologie des exos- toses, aux processus irritatifs chroniques représentés par les maladies constitutionnelles
lle de l'affection semble devoir être considérée comme un processus chronique irritatif, apte à constituer un stimulus suffis
galement de l'épaississement des méninges et parlent d'inflammation chronique . Mais pour eux, le début des lésions se trouve da
-) (1 fig., 1 pl.), par Nolcn, 426. OEdèmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système nerveux (2 pl.)
ples (6 pl.), 621. Vallonna. Les oedèmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système nerveux (rôle de
43 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e donnée en une fois. 5° Le véronal est efficace aussi dans les cas chroniques lorsque l'exacerbation de l'agitation est'due à l
arrhée dysentériforme), peut amener la guérison d'une manie devenue chronique . L'auteur ajoute que probablement si l'on avait
oïa « est utile si on en restreint l'appli- cation aux cas de folie chronique avec délusions dans lesquels ces délusions sont
uire, beaucoup de ces cas ne sont que la phase initiale d'une folie chronique avec délusions, présen- tant une rémission des
au moins dans leur forme pure, ils ne tendent guère à l'alcoolisme chronique . Les excès ouvriers d'autre part, tout en condu
nt à l'ivresse, tendent rapidement et fatalement à l'intoxi- cation chronique . 3° Donc, au point de vue statistique, si l'alc
on chronique. 3° Donc, au point de vue statistique, si l'alcoolisme chronique implique toujours l'existence de l'ivresse, l'i
e, l'ivresse n'implique en aucune façon l'existence de l'alcoolisme chronique . En Angle- terre, cette divergence entre les de
aux les plus graves que cause l'alcool relè- vent de l'intoxication chronique et sont par conséquent dus aux excès ouvriers.
ement de la folie aigue sera nettement séparé du traitement des cas chroniques , et où les malades aigus seront traités dans le
expliquer les symptô- mes spinaux ? Voici un cas de méningo-myélite chronique avec no- dules isolés dans la moelle, donnant l
. Le liqueur est toujours un aboulique ; il présente une diminution chronique de la volonté. Le traitement du tic doit compor
elles que : atrophie musculaire progressive spi- nale, poliomyélite chronique progressive, amyotrophie de Charco- j)Iarie atr
nc, d'après les ter- mes de la loi, ne pouvoir s'appliquer qu'à des chroniques inoffensifs : encore serait-il désirable, à mon
e circulaire récente, qui enjoignait de leur confier le service des chroniques . La circulaire n'avait oublié qu'une chose, de
hose, de nous dire ce qu'il fallait entendre administrativement par chroniques . En réalité, cette circulaire devançait les tem
circulaire devançait les temps, car une séparation des aigus et des chroniques , dans l'état ac- tuel de nos asiles, est imposs
st de permettre au médecin d'observer à la fois les curables et les chroniques , de les comparer entre eux, et au risque de sem
paradoxale, je prétends qu'il y a plus à apprendre au contact des chroniques que des curables. Les aigus, en effet, sont sou
l présentera, si la guérison ne survient pas. Au contraire, chez le chronique , ces signes qui masquaient le délire ont dispar
nalogues qui ont été publiés : la forme du délire était la paranoïa chronique . 1.11LC. XXXI.-Les effets moraux et mentaux de
ne étape du délire systématisé, étape correspondant, dans le délire chronique de Magnan, à la période des idées de gran- deur
résument l'histoire d'un aliéné, présen- tant un délire systématisé chronique d'interprétation, compara- ble aux cas signalés
que) et les délires à base de troubles sensitivo-sensoriels (délire chronique .) En présence de ces différences constitutive e
état men- tal des dégénérés. M. ARNAUD ne croit pas que le délire chronique aboutisse à la démence ; les délirants chroniqu
pas que le délire chronique aboutisse à la démence ; les délirants chroniques d'un âge avancé lisent en- core lesjournaux. Il
hraséologie caractéristique de sa débilité mentale Un cas de délire chronique à forme nxégalomaniaque, avec autopsie. M. Marc
iques et anatomo-pa- thologiques présentées par un débile, délirant chronique , mort à la période des idées ambitieuses. A l'a
idées ambitieuses. A l'autopsie on trouvera une méningc-corticalite chronique que les auteurs considèrent com- comme étant en
ident invoqué, comme cause déterminante d'une méningo-encépha Ii Le chronique , lia pu toujours établir que c'é- tait au contr
le traumatisme ne suflit donc pas à produire la méningo encéphalite chronique ; il faut autre chose. 11 y a loul lieu de croir
présentent une jeune fille atteinte neurasthénie et d'hypothyroïdie chronique , guérie de tous ces phénomènes parla médication
t la conséquence et non la cause de l'épilepsie. Cas de trophoedème chronique par MM. Parhon et Florian (note communiquée par
l le lobe frontal ? Mais où est la lésion préfrontale des délirants chroniques , des fous moraux, etc..., de tous les demi-fous
i, le délire systématisé secondaire qui se mon- tre dans les manies chroniques , est de la demi-folie ! Certains confus mentaux
rasthénique, s'observant chez les femmes qui ontune lésion génitale chronique et que Bouilly appelait les endolories ; ce son
ïdie ressortissaient certaines variétés de migraines, de rhumatisme chronique , d'asthme, d'urticaire chronique, d'angines à r
étés de migraines, de rhumatisme chronique, d'asthme, d'urticaire chronique , d'angines à répétition, d'herpès récidivants, d'
s par le liquide de \luller; de même, on peut observer l'altération chronique de la pie-mêre et la dila- tation ventriculaire
ne malsaine, dans une famille atteinte depuis longtemps de pellagre chronique . Ce para- site ne se développe pas en hiver à l
- déré comme ayant un rapport de cause aussi hien avec la pellagre chronique qu'avec la pellagre aiguë..1. Si : ci.as. XVI.
qu'on trouva à l'autopsie ; \lenesclou était atteint de méningite chronique et pourtant, tous deux ont été guillotinés. Quelq
a démence paranoïde (52 % ), le début in- déterminé et généralement chronique s'observe plus que ladépression initiale dans l
ions anatomi- quesdu tube digestif. De nouvelles preuves de toxémie chronique ont été fournies par ie Dr Ainslie qui a consta
; h) chez les sujets jeunes la maladie suit une mar- che longue et chronique pour aboutir d'une façon régulièrement progress
r qu'à leur transformation ou à leur extension. F. T. XXVII. -Otite chronique purulente, abcès cérébelleux, épilepsie ; par l
t d'un malade atteint depuis son enfance d'épilepsie et d'une otite chronique purulente et qui a succombé à 32 ans à un abcès
s en quatre groupes : 1° les cas d'hôpital (infirmerie). 2° les cas chroniques dangereux ; 3° les cas chroniques inoffensifs e
'hôpital (infirmerie). 2° les cas chroniques dangereux ; 3° les cas chroniques inoffensifs et capables de travailler ; 4° les ca
ycéphahe, par une ten- dance des tissus aux inflammations atones et chroniques et par des particularités mentales caractéristi
Salp., 1906, no 3.) Etude d'une maladie du vieillard, la myosite chronique diffuse, peu connue parce que confondue avec de
ue parce que confondue avec des types cliniques voisins (rhumatisme chronique , sclérose médulaire polyfasciculaire), à étiolo
rocessus encé- phalique ou médullaire et d'autre part du rhumatisme chronique . F. TISSOT. XXXI\7. '- Encéphalite avec confu
d'origine superficielle ou profonde de la baresthésie. Rhumatisme chronique et insuffisance thyroïdienne M. Peppo-Acciiioli
r à Constantinople, lit une ob- servation de rhumatisme articulaire chronique consécutif à une insuffisance thyroïdienne due
s épileptiques, la 7e division ou quartier de délirants subaigus et chroniques , le quartier des agités, le quartier des tuberc
héories modernes sur la genèse de l'Hystérie. Psychoses alcooliques chroniques , les formes pures de Démence exceptées. Asymbol
rpré- tation et paranoïa ; par Deny et Camus, p. 152. Un cas de chronique à forme mégalo- maniaque, avec autopsie, par
goitre exoph- talmique ; par Tolot et Sar- vonat, p. 135. Otite chronique purulente, abcès cérébelleux, épilepsie ; par D
e par la méthode de Donag- gio ; par Scarpini, p. 252. Rhumatisme chronique et insuf- fisance thyroïdienne ; par Pep- po-
44 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
nasal ne préseute aucune déviation. Pharynx. - Rhinite postérieure chronique , hypertrophie de l'amygdale pharyngienne. Le
ays où il traîna une vie pénible toujours troublée par son entérite chronique . A l'âge de huit ans. étant complètement aveugl
'établir des rapports du profil basai du crâne dans l'hydrocéphalie chronique et dans le crâne rachitique. Or, j'ai pu consta
ique. Or, j'ai pu constater que, dans tous les états d'hypertension chronique endocranienne, la gouttière basilaire antérieur
me dans l'oxycéphalie ; c'est-à-dire que si, dans l'hy- drocéphalie chronique post-méningitique et dans l'hydrocéphalie rachiti
s choroïdes. Recklinghau- sen (1) dans l'un des cas d'hydrocéphalie chronique décrites par Rehn, considère comme cause princi
comme cause principale de l'affection, un processus inflamma- toire chronique de la toile et des plexus choroïdes : « une choro
re chronique de la toile et des plexus choroïdes : « une choroïdile chronique hyperplaslique ». Fr. Schultze dans son livre s
nt l'état des méninges et des plexus choroïdes dans l'hydrocéphalie chronique interne congénitale il ajoute : dans une série
1903. (4) SOlIGEN1E, Sur l'étiologie de trois cas d' hydrocéphalie chronique . La l'ediatriu, avril 1905, p. 267. (5) RIEDO
ues épileptoïdes. A l'autopsie, Bressler a trouvé une hydrocéphalie chronique , des gra- nulations sur l'épendyme et une légèr
es troubles psychiques dans'les méningites, surtout dans les formes chroniques tuberculeuses. Sterling (1) a observé récemment d
rien d'anormal. . Signalons l'existence d'une pharyngite granuleuse chronique et la fréquence de poussées d'urticaire et derm
ens, la permanence encore à l'heure ac-' ¡. tuelle d'une pharyngite chronique granuleuse nous portent volontiers à attribuer
e peul permettre de confirmer au début un diagnostic d'alcoolis- me chronique , et d'affirmer la nature éthylique de certains tr
mpliquées, syphilis 4, tubercu- lose plenro-pulmouaire 2, bronchite chronique suspecte 3, érysipèle 4, paludisme 2, fièvre ty
cial. Le malade tousse un peu, il se plaint d'une vieille bronchite chronique , mais ceci ne l'empêche pas de continuer son mé
ent moins dégénérées que les antérieures. Dans les muscles, myosite chronique interstitielle avec atrophie graisseuse des fibre
sté- rieures et des ganglions spinaux ; lepto-méningite postérieure chronique . Nerfs périphériques : pas de névrite interstit
comparable à celle que l'on observe dans la poliomyélite antérieure chronique , la sclérose latérale amyotrophique, où la dégé
on nucléaire ne laisse aucun doute à cet égard. La méuingo- myélite chronique de cette région est déjà rare ; associée à une li
le est due; or nous savons seulement qu'il s'agit d'une ostéopathie chronique , pouvant se généraliser à tout le squelette, d'
es les plus diverses et non pas de la seule poliomyélite antérieure chronique . C'est ainsi que successivement la syringomyéli
. MARIE ET FOIX> Il s'agissait dans ces deux cas de poliomyélite chronique diffuse d'ori- gine vraisemblablement artériell
ture myélopathique et leur origine syphilitique, cespoliomyé- lites chroniques par méningo-myélites se rapprochent des cas sur l
férence re- marquable entre ce processus et celui des poliomyélites chroniques où l'atteinte des cellules est remarquablement
Cette intégrité parfaite élimine absolument l'idée de poliomyélite chronique . Le 3e cas, moins bien étudié, montre également
ntimètres et commet des erreurs il 3-5 centimètres. OSTÉOARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS (Pastille) . I. - Région cervicale,
nous avons observé, nous ne répéterons pas l'histoire des maladies chroniques delà colonne vertébrale. Les travaux de Strümpe
beaucoup d'autres, après eux, qui ont séparé du cadre du rhumatisme chronique de la colonne ver- tébrale, des variétés cliniq
s nombreux, existent ceux qui réunissent encore toutes les maladies chroniques verté- brales sous les termes vagues de rhumati
adies chroniques verté- brales sous les termes vagues de rhumatisme chronique , goutte, arthrite déformante. C'est qu'ici, com
justifiés soient-ils. ' Notre cas n'appartient pas à l'inflammation chronique ankylosante du rachis et des articulations des
phie DE la SALPE'TRII : RE. T. XXV. Pl. LVI11 III OSTÉOARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS (Pastille). III. Région lombaire, p
TÉO-ARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS 411 Est-ce du rhumatisme vertébral chronique , une banale spondylose ? Par ses antécédents hé
la forme la plus commune, la forme la plus fréquente du rhumatisme chronique , qui commence toujours par les petites articu-
'appartient pas non plus à la maladie anl,ylo- sante progressive et chronique de Raymond et de Berger (1). Au point de vue an
t de vue anatomique, « ce qui domine dans le rhumatisme ver- lébral chronique , c'est la saillie et l'irrégularité des néoformat
nous semble-t-il, d'une forme particulière d'arthrite ver- tébrale' chronique , sans aucune participation des grandes ou des pet
encore extrêmement marquées, mais il n'existe que peu de méningite chronique et de périartérite, si bien qu'il est difficile
Elle présente à étudier, ou- tre son état général et des arthrites chroniques des hanches, de la colonne vertébrale et des ge
est voûté, un peu cyphotique, sans scoliose. En résumé, arthrite chronique des genoux et de la colonne cervicale. Ar- thri
tions électriques. En résumé, chez une malade atteinte d'arthrite chronique de la colonne et des genoux sans signe d'affect
cas de Raymond, de Launois et Porot, lésions d'endo-périvascularile chronique dans les cas de Leri, de P. Merle, lésions très
e la névrite radiculaire de Nageolle, el peut-être une poliomyélite chronique localisée peuvent également être son origine. a
ébu- tent et prédominent les lésions cellulaires de la poliomyélite chronique et de la sclérose latérale amyotrophique. Que
urologique. HOFFMANN. Poliomyélite antérieure syphilitique aiguë et chronique . Neurologisches Cen- tralblatt, octobre 1909, p
, p. 1196. Rose et RENDU. - Les atrophies musculaires syphilitiques chroniques et le tabes. Se- maine Médicale, 11 mai 1910, p
rite subaiguë, ou plutôt d'un accident aigu au cours d'une néphrite chronique ancienne (car il y avait des travées épaisses de
. et M. VIARD, Externe des hôpitaux. « La parenté de l'oedème chronique avec la lipomatose a depuis long- temps frappé
éraux^ pl.), par Obregia, Pariion et Urechia, 463. Osteo-arthrite chronique du rachis. Compres- sion radiculo-médullaire. I
,gibbosité),par ROTSTADT, 391. adiculo-ntédullaire(Osléo-arthrzle chronique du rachis. Compression-. Inversion bila- téra
ius) (2 pl.), par PASTINE, 405. Réflexe du radius (Ostéo-arthrite chronique du rachis. Compression radiculo-médul- laire.
paralytiques généraux (2 pl.), 463. PASTI,NC (C.). Ostéo-arthrite chronique du 498 TABLE DES AUTEURS rachis. Compression
, XII. Lèpre à type pie (A1\GLADA), XXIV et XXV. nléningo-myélite chronique de répicôni : avec lipomatose secondaire (André
aux (ODREGIA, Pariion et URECIIL\), LXIII et LXIV. Ostéo-arthrite chronique du rachis (Pas- TINE), LVII et LVIII. Oxycéph
ur cérébrale (Marinesco et GOLDSTEIN), XI. Rachis, ostéo-arthrite chronique (PASTINr), LVII et LVIII. Réflexes rotuliens
45 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ibilité. L'auteur pense qu'il s'agit dans ce cas d'une poliomyélite chronique et pour expliquer la localisation de l'amyotrop
e professeur Homen. Il s'agit de deux cas d'ophtalmoplégie externe, chronique et progressive, d'une pureté peu commune et pré
ligne précoce du système nerveux, les myélites aiguës, les myélites chroniques , les myélites à formes irrégulières. La seconde
es héréditaires et en 20,3 p. 100 des cas les maladies infectieuses chroniques et les intoxications (alcooliques) étaient les
uement, et présente une évolution courte, ou bien elle a une marche chronique ; ou enfin, elle se montre il l'origine du déli
n). Débile. Idée fixe à forme mystique. Délire religieux. Evolution chronique . S..., Elie, trente-quatre ans, entre à l'admis
rafft-Ei>11ng). Dégénérée. Idée fixe « forme érotiquc. Evolution chronique . L.... Rose, quarante-cinq ans, est née d'un pè
es médecins soient cachés sous le toit. 4" Idée fixe dans le délire chronique . Elle naît par voie conceptuelle. On enregistre
ul n'ignore qu'il existe toujours des hallucinations dans le délire chronique à une période avancée. Le plus habituellement l
ène pathologique initial. C'est surtout à l'idée fixe du délirant chronique que se rap- 96. CLINIQUE MENTALE. portent les
el (hallucinations apparues postérieurement) pour aboutir au délire chronique systématique. B... André, quarante ans, fumiste
l se trouve depuis trois ans. Son état actuel est celui du délire chronique à son complet déve- loppement ; il possède des
troubles hallucinatoires, servant de base à un délire systématisé chronique . D.... Pierre, quarante-six ans, chef d'atelier
r interprétations . délirantes. Hallucinations consécutives. Délire chronique . M.... Georges, quarante ans, comptable. A no
feste d'une façon particulière dans un seul groupe, chez les agités chroniques , chez les débiles et déments avec périodes d'ex
ypes morbides bien déterminés : l'intoxication alcoolique (aigué ou chronique ) et les formes déli- ¡'antes alcooliques. Dan
és doivent jouir d'une irresponsabilité complète. Dans l'alcoolisme chronique , c'est l'état de conservation ou de déchéance d
qu'après un temps assez long; 4° généralement les aliénés à formes chroniques ne rêvent pas de leurs idées morbides. (Annales
taleptoïdes quelquefois extatiques. Enfin dans le cours d'une folie chronique , l'urémie intercurrente se manifeste par des sy
alysie générale, les hyperostoses, le ramollisse- ment et les abcès chroniques des os, etc. Plusieurs illustrations sont joint
n soudaine, gastralgie, entéralgie. la suré- motivité, la tristesse chronique , les troubles de la sensibilité psy- chique, le
qu'à l'hémorragie cérébrale de l'hé- misphère gauche. La pneumonie chronique , qui n'a jamais donné lieu à des symptômes alar
iales récidivantes (10 p. 100 à peu près) dépendent d'inflammations chroniques ou de suppurations de l'oreille moyenne, ou enc
eich. En outre dans l'observation 1 il y a une lésion destruc- tive chronique des poumons, dans l'observation Il il y a atrophi
al dit le D1' Trénel, l'affection est aiguc, subaiguë, prolongée ou chronique . Elle débute à tous les âges (psychoses menstru
le dont sont frappés, avant l'apparition de la méningo-encépha- lie chronique , les malades qui en présentent. Ce cas offre un
servé plusieurs cas de lésions médullaires du même type à évolution chronique . M. LoUNTz relate deux observations personnelle
mme), chauffées à 70° C. pendant un quart d'heure. L'intoxication chronique se manifestait par les phénomènes SOCIÉTÉS SAVA
n'est autre chose que le deuxième et troisième stade d'une névrite chronique multiple passée par continuité à la moelle épin
ois des hallucinations motrices verbales surtout chez les délirants chroniques , écrit de nouveau dans son dernier traité : « A
psycho-motrices verbales existent et sont fréquentes dans le délire chronique (Magnan), dans les délires de persécution (Legr
ut des habitudes alcooliques à vingt-trois uns. Signes d'alcoolisme chronique à trente-cinq uns. - Hallucinations de l'ouïe,
. - Dégénérescence mentale et hérédité : frère aliéné. - Alcoolisme chronique . - Idées de jalousie et de persécution . - Défi
ins qui soulage cette douleur. B... devient désormais un alcoolique chronique . Il boit chaque jour un verre de rhum avant d'a
expérimentales et anatomopathologiques à l'étude de l'intoxication chronique par le sulfure de carbone ; par G. KOESTER. (Nc
sont le propre des vésanies, des processus inflammatoires aigus ou chroniques , d'évolution ou d'invo- lution. Existe-t-il u
morale le groupe de beaucoup le plus impor- tant par le nombre des chroniques , des incurables et des convalescents. Le travai
s. Mais, répétons-le, c'étaient surtout les aliénés incurables, les chroniques et quelques convalescents qui étaient appelés à
du cerveau. La conception de l'asile considéré comme un dépôt de chroniques , d'incurables et de sujets dangereux ou, dans l
tats du traitement des psychoses est justifié dans beaucoup d'états chroniques , il n'en est plus de même quand il s'agit de ps
hygiéniques comme le travail si précieux quand il s'agit d'aliénés chroniques , valides au point de vue physique, sont inappli
ajouter aussi les épisodes aigus qui surviennent au cours des états chroniques (paralysie géné- rale, démences, délires systém
n de ces psychoses par la mort, la démence ou le passage à l'état chronique . Il permet en outre de restreindre l'emploi des
lement chez tous les aliénés entrants, mais encore chez les malades chroniques présentant des manifestations aiguës. La même a
itement par le lit est indiqué chez les aliénes agités 1' (aigus et chroniques ), dans la démence aiguë, la stupeur.^a dépressi
assistance familiale pour les convalescents, les intermittents, les chroniques et les incurables. L'alitement consacrera ain
de l'estomac et cancer secondaire du foie. Autopsie : encéphalite chronique interstitielle avec adhérences mé- ningées loca
llucination motrice verbale aussi bien décrite que chez le délirant chronique qui a conservé toute sa lucidité d'esprit. Nous
issaud décrivait à côté de la chorée mineure et à côté de la chorée chronique progressive héréditaire un type nou- veau de ch
e de Sydenham, la seconde est une forme de transition, une chorée chronique non progressive de Ziehen. (Revue neurologique,
aine. Urines normales. Appétit et sommeil bons. Aucune intoxication chronique ; ni syphilis, ni tuberculose. Aucun traumatisme
ibre, la vessie s'évacue. P. KERAYAL. LXVI. Méningite ventriculaire chronique des adultes. Mort subite ; par Bresler. (Nczcaô
r trouble de la pie-mère à la base. L'auteur pense que l'alcoolisme chronique a provoqué les lésions REVUE DE ^PATHOLOGIE NER
égénérative complèle chez une personne saine sauf une otite moyenne chronique du côté gauche, la tuméfaction de ganglions du
tats maniaque et mélancolique) et les épisodes aigus des affections chroniques (paralysie générale, lésions cérébrales en foye
ysie générale, lésions cérébrales en foyers, délires systéma- tisés chroniques ). Comme résultat, s'il ne parait pas absolument
des physiques, l'assistance familiale et la coloni- sation pour les chroniques , les intermittents et les convalescents. M. Doo
ction aiguë du cerveau, mais en supposant même que c'eût été un fou chronique il n'était pas humain de le conduire dans un tel
on hypnotique et d'autres mé- dicaments dans le traitement de l'- chronique , par de 13echterew, 228. L' - avant l'alcool, p
46 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r acuité visuelle inférieure à un demi de l'oeil droit et bronchite chronique . Il s'embarque alors pour Al- ger, où il ne tro
voûte du palais en ogive. Bien qu'il eût été réformé pour bronchite chronique , Cing... fut trouvé d'une constitu- tion robust
e crime et surtout avec crimes de violence commis par les maniaques chroniques , les per- sécutés dangereux, les imbéciles irre
suivants : les trois réflexes sont, au cours de la périencéphalite chronique plus souvent -anormaux que normaux. Ils sont, à
ibliographie existante. I. Troubles somatiques généraux. - Catarrhe chronique des mu- queuses, bronchite opiniâtre, parfois a
atre seulement incu- rables ayant abouti à un délire hallucinatoire chronique , non sys- tématisé, à un délire systématisé chr
allucinatoire chronique, non sys- tématisé, à un délire systématisé chronique provoqué et entretenu par des hallucinations; à
ovoqué et entretenu par des hallucinations; à un délire systématisé chronique de persé- cution et de grandeur. Observations
u des adultes ; ils étaients atteints, pour la plupart, de maladies chroniques et avaient été soumis sans succès, antérieureme
système ner- veux, 10 ont été améliorés (3 hémiplégies, 3 myélites chroniques , une sclérose en plaques, 3 tabes). Le traiteme
12 traités); il signale aussi la guérison de deux cas d'alcoolisme chronique , d'un cas de morphinomanie et d'une psychose co
même, par cette méthode, la guérison d'un grand nombre d'affections chroniques contre lesquelles, les traite- ments ordinaires
rcot, Huet et Jolly font rentrer cette affection dans les « chorées chroniques » ; les antres avec Lannois, .\Ioebius et Wolle
que si l'on fait rentrer dans cette rubrique tous les cas de chorée chronique , le tableau symp- tomatologique sera singulière
nir au type primitif et ne pas se perdre dans le dédale des chorées chroniques . En déblayant ainsi le terrain de tout ce qui l
endance au suicide. Le travail fondamental de Iluet sur la Chorée chronique est de 1889. On y trouve 58 observations person
reves insisté spécialement sur la tendance au suicide dans la forme chronique de la chorée. Il n'en est pas moins vrai qu'il
s auteurs qui affirment la fréquence du suicide chez les choréiques chroniques en trouvent l'explica- tion dans l'accès de mél
maladies qui relèveraient toutes deux d'une méningo-encéphalique chronique , avec réduction des fibres tangentielles de l'éco
le supportait avec rési- gnation. Ce cas peut être dénommé « chorée chronique », mais on ne saurait le faire rentrer dans le
é que la paralysie générale peut être l'aboutissant de l'alcoolisme chronique . Nous n'avons pas voulu dans ce travail étudier
TIQUE. ICI L corticales, et que l'aboutissement de cette irritation chronique soit une explosion nerveuse analogue à la décha
ellule nerveuse exige en effet que, tout au moins dans un processus chronique , l'hypéresthésie précède l'irritation directe,
à la suite des fièvres infectieuses. Sa fréquence dans l'alcoolisme chronique , ses relations très nettes d'hérédité et de sympt
visée en une d'incidents psychopathiques, à la période aigué et une chronique suite desquels peut survenir de qui dure toute
le de se modeler sur Dun-sur-Auron et de n'y placer que des aliénés chroniques ou inoffensifs et aussi des déments séniles pou
ive et non qualificative : 1° on l'observe dans les intoxica- tions chroniques et subaiguës par l'arsenic, l'alcool, le sul- f
mploi préféré du couteau ou de la hache par les délirants religieux chroniques , l'arme blanche étant celle à laquelle les livr
fections mentales, accompagnées de désordres encéphaliques aigus ou chroniques , avec processus secondaires d'atrophie, de ramo
i- gine hystérique. G. D. XI. Diagnostic de la paralysie bulbaire chronique progressive ; par W. IoSEE. (Médical Record, 25
lyurie et de grand diabète dans la phtisie 346 SOCIÉTÉS SAVANTES. chronique tout à fait analogues à celui de M. Klippel. M. S
cas de folie aiguë et récente, plus graves que ceux de l'aliénation chronique , et ceux de paralysie générale presque toujours
ismes miliaires de la rétine et du cerveau dans un cas d'alcoolisme chronique . Compte rendu de la Société de Biologie, t. I,
- que chez les persécutés non alcooliques ou persécutés déli- rants chroniques , l'excitation ou l'hallucination d'un des sens
'abord de son délire mystique, rare en général chez les alcooliques chroniques , surtout quand ce délire prend, comme chez notr
présente sous deux formes : 1° une forme subaiguë passant à l'état chronique ordinaire ou tabes confirmé qui, à rai- son du
ence du délire et de la folie. Le délire de la jalousie est aigu ou chronique . S'il est aigu, il a pour cause l'ivresse ; il
ntes de délire aigu se répètent, elles peuvent pro- duire un délire chronique . Ce dernier évolue très lentement et per- siste
calisés, gommes syphilitiques, traumatismes, etc. ; 2° al- coolisme chronique , syphilis en tant que virus, saturnisme, etc.,
ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE. Observation de chorée chronique héréditaire d'Huntington, examen histologique ;
mouvement. La sensibilité est intacte dans tous ses modes. CHORÉE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE D'HUNTINGTON. 467 Î Ce malade a tou
a donner sans trop d'hésitations, probablement parce que cet CHORÉE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE D'HUNTINGTON. 469 acte est assez co
dante droite. Le nombre des cellules pyramidales parait sen- CHORÉE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE D'HUNTINGTON. 471 siblement réduit
Elle est la représentation exacte du champ microscopique. CHORÉE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE lHU ? TINGTO-.1. 473 na les cellule
par places, retenu l'acide osmique, mais en aucun point nous CHORÉE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE D'HUNTINGTON. 475 ne trouvons la fr
on observe ces phénomènes, sont en général des délirants persécutés chroniques , des dégénérés. Chez les uns comme chez les aut
connais- sance de l'anatomie pathologique des maladies nerveuses chroniques de l'enfance. Sommaire. Père rien d'anormal. -
ien d'anormal. - Grand-père paternel coléreux, atteint de bronchite chronique . - Grand'mère paternelle, migrai- netcse. - Cou
ans, ne fait pas d'excès de boisson ; il est atteint de bronchite chronique et sujet à de violentes colères. Sa mère, soixant
'elle, comme la parésie, le tabès, l'ataxie héréditaire, la myélile chronique ou la sclérose disséminée. Se basant sur l'anal
place pour cette affection dans quelque forme de tabès, de myélite chronique , ou de sclérose disséminée. L'existence d'une a
elquefois marche rapide et fatale (type malin) ; quelquefois marche chronique (hydrocéphalie chronique acquise) ; d'autres fo
t fatale (type malin) ; quelquefois marche chronique (hydrocéphalie chronique acquise) ; d'autres fois, guérison et rechute (
a marche ultérieure favorable et par la ponction lombaire. La forme chronique ; prend quelquefois les symptômes de tumeur cér
à l'appui de l'hypothèse du Dr Pitres. R. C. XLI. Le trophoedème chronique héréditaire ; par H. hIEIGE. (Nouv. Iconogr. de
t sur 4 générations d'une même famille et présentant 8 cas d'oedème chronique (ces cas n'étant imputables à aucune des affec-
'oedème) parais- sent démontrer l'existence d'un oedème héréditaire chronique , blanc, dur et indolore, qui doit être considér
Des troubles psychiques dans la- dégénéiative, par La- dame, 97. chronique hérédi- taire de Huntington, par Kéraval et R
sensibilité du système pileux, par de Bechterew, 159. Tnoettoenéw chronique héréditaire, par illelge, 512. Troubles nerve
47 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re et muscle ciliaire). R. C. VII. Une observation de trophoedème chronique héréditaire ; par LAN.-401S. (Nouv. Iconogr. de
e complète et rapport de M. Bechterew. C'est un délire systématique chronique originel. P : 11ERAV.aL. VII. Rôle de la sugg
ections, il est possible de faire le départ entre aigus curables et chroniques ; les premiers restent jusqu'à guérison à la sec
ingt-cinq malades aigus et affaiblis, et pour quarante et cinquante chroniques tranquilles. En résumé, l'auteur voudrait : 1 Q
presque égales, l'une pour les cas aigus, et l'autre pour les cas chroniques , est passible de diverses objections ; « 3° Le
lication nouvelle de la méthode de l'élongation trophique. L'ulcère chronique de jambe. M. CHIPAULT. Je vous ai exposé, il y
al perforant. Elle en donne de non moins intéressants dans l'ulcère chronique de jambe, variqueux ou non, dont trente cas ont
Verlag von .1.-F. Bergmann. , RAÏCHLINE (de Paris). Le priapisme chronique nocturne (Etude cli- nique). In-8° de 31 pages.
1895.) 1 Avramoff. Contribution ù l'élude des affections nerveuses chroniques consécutives aux inloxicalions aiguës. (Th. de
Ylswa'rscmvvhi. (06oréraié psichiatrii, III, 1898.) Si le délirant chronique est le jouet de l'hallucination psycho- motrice
oduits anormaux de la nutrition, troublée par l'infection paludique chronique . On sait du reste combien cette infection est a
't't, IV, 1899). Il's'agit d'un homme de vingt-huit ans, alcoolique chronique , qui, revenant de ses occupations, le 20 octobr
de le différencier des autres suicides. L'intoxication alcoolique^ chronique pro- voque des troubles généraux des fonctions
us, et la chorée- a été remarquable en ce qu'elle n'est pas devenue chronique . Il résulte de ceci qu'on n'est pas fondé à bas
énérale, la surdité aux mots et l'aphasie amnésique, dans la ,manie chronique , la démence, etc. Nerf ph7,éizo-glosso pharyngé :
ns les deux cas un guide de valeur. Il y a peu de maladies spinales chroniques qui suivent la marche lente de ces tumeurs spin
ux asiles dont un asile de traitement (358 malades), et un asile de chroniques (650 malades). Le nombre des admissions à l'asi
a vésanie alors même que celle-ci est ancienne et pour ainsi dire chronique . Il y a là un exemple de l'action dérivative exer
ament, tandis que de tous les aliénés soumis à son action (délirant chronique , hydochon- driaque, mélancolique, circulaire) u
considérer celles qui sont secondaires à des infections (aiguës ou chroniques ), et celles qui sont secon- daires à des poison
les névrites périphériques motrices, et les poliomyélites aiguës ou chroniques , les déformations soient dues à une hypertonici
de quelques professions insalubres sur la production des maladies chroniques du système nerveux chez les enfants (idioties, ép
grand soin de relever toutes les causes des maladies nerveuses et chroniques de l'enfance qui produisent les différentes forme
héréditaire. Sur 2.702 observations de garçons atteints de maladies chroniques du système nerveux, nous n'avons relevé la syph
équences de l'alcoolisme sous une série de formes : 1° l'alcoolisme chronique du père ou de la mère, ou des deux; - 2° l'alco
oup de médecins n'ont qu'une con- naissance imparfaite des maladies chroniques du système nerveux chez les enfants. D'où leur
our les enfants atteints de méningites ou de méningo-encé- phalites chroniques . Si cette communication peut apporter la convic
erver des attitudes cataleptiques dans l'urémie délirante, aiguë ou chronique . Il était donc naturel de penser que la Cataton
n abdominale aiguë est passée, les vomissements subsistent à l'état chronique ; ils se maintiennent en vertu d'une sorte d'ha
égard. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS. Méningo-encéphalite diffuse chronique du côté gau- che, avec oblitération de la cavit
ammes, rein gauche 160 grammes. . La rnéningo-encéphalite diffuse chronique prédomine souvent sur l'un des deux hémisphères
e mélancolie suive une marche définie avant de guérir ou de devenir chronique . Dans la période aiguë, on constate les symptôm
suite les caractères spéciaux des malades chez lesquels l'épilepsie chronique a finalement déterminé une folie qui aboutit à
ncial. Le transfèrement peut avoir lieu plus tôt s'il s'agit de cas chroniques . Pour des villes plus con- sidérables, M. Sioli
rs d'habitude ; dans 60 p. 100 des cas on a constaté l'alcoolisme chronique . Le plus souvent l'alcoolisme s'est développé sur
éréotypies du langage sont des réactions de défense. Une persécutée chronique et mégalo- mane= attache une certaine influence
' J. Séglas. Sociélé médico-psychologique (Discussion sur le délire chronique ). Séances des 30 janvier et 27 février 1888. co
de délires systématisés secondaires, indiquant le passage à l'état chronique e t l'acheminement à une démence plus complète.
orps de l'homme ; car s'il est sujet à des maladies nom- breuses et chroniques , Dieu sait les guérir subitement et à l'im- pro
utres langues qu'il a en partie oubliées. Ce fait, qui défraye la chronique des gazettes des deux mondes, n'est pas diffici
uës : jamais, jusqu'à présent, on ne les a trouvées dans les formes chroniques , ni dans les observa- tions où l'agonie est seu
ir à distinguer anatomiquement les psychoses aiguës des psychoses chroniques , peut-être aussi les psychoses curables des psych
yloïdes qui se rencontrent dans quel- ques-unes des dégénérescences chroniques du cerveau. R. DE MUSGRAVE-GLAY. LXII. Angiom
plasme abondant, états qui sont communément asso- ciés à l'atrophie chronique du cerveau et à l'excès de liquide dans l'espac
t des calculs. La tête du pancréas était le siège d'une pancréatite chronique . Les foyers de suppuration du foie contenaient
Le traitement que l'auteur préconise contre les états vertigineux chroniques dépendant de l'oreille consiste dans l'applicatio
s maladies est-il essayé ? 2° L'avez-vous employé dans les troubles chroniques avec de bons résultats ? 3° Quel est le nombre
gnan rappelle que, dans certains cas, le diagnostic d'al- cooliques chroniques avec lésions méningitiques et de paralysie . gé
résulte que les troubles de l'activité, dans l'encéphalite diffuse chronique , peuvent porter sur les trois catégories d'acte
bien si l'on doit rapporter le syndrome mélancolie à une évolution chronique de processus tuberculeux dans les méninges, le
itre de curiosité, je veux cependant citer le cas d'une déli- rante chronique chez laquelle les troubles de la sensibilité géné
uelques pro- fessions insalubres sur la produc- tion des maladies chroniques du système nerveux chez les enfants, 1 par Bo
par 9lauxion, 69. El.0 ? CATIO ? trophique appliquée à l'ulcère chronique de la jambe, par Chipault, 50. Ec(rnALllJ; ai
sme et de , quelques -insalubres sur la pro- dnction des maladies chroniques du système nerveux chez les en- fants, par Bo
ATIO'Ç de Sainte-Thé- rèse d'Avila, par Lemesle, 67. TROPHOEDlhlE chronique héréditaire, par Lannois, 40. Tuberculose. Ra
48 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
server dès leur début des lésions spinales qui évoluent sur le mode chronique . Et même lorsque les malades ont présenté depui
ères analogues sinon iden- tiques dans le premier stade des lésions chroniques et irrépa- rablement destructives. Les différ
arent ce mode de destruction aiguë de la première phase des lésions chroniques consistent surtout en ce que, dans les lésions
l est par un étroit cercle de myéline. Mais dans le début de l'état chronique on peut voir aussi cette tuméfaction bien qu'à
sion prise dans son début offre de frappantes analogies avec l'état chronique . C'est pourquoi on est en définitive autorisé à
cher les lésions que nous avons rencontrées au début des processus chroniques de celles qui ont été décrites par d'autres aut
IE NERVEUSE. XI. Paralysie laryngée dans LES affections NERVEUSES CHRONIQUES ; par W. PER11ENAN. L'auteur conclut à la fréque
manie aiguë, de manie récurrente ou épileptique et dans la manie chronique et la mélancolie agitée. A. AI. II. Tumeur sous
e les tentatives d'exploration chirurgicale proposées pour la folie chronique proprement dite sans lésions ni localisation ét
ne sont REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 73 pas très communs. La méningite chronique et l'encéphalite jouent d'ordinaire un rôle imp
plus prononcées à gauche, intéressant l'oreille moyenne (catarrhe chronique de la caisse du tympan, avec ramollissement de la
y pas intérêt à les séparer. Ainsi vous vous rappelez un alcoolique chronique atteint de névrite périphérique, que je vous pr
des altérations du lobe temporal coïncidant avec des hallucinations chroniques de l'ouïe, ce qui conduirait à penser que les l
des ramollissements corticaux ou sous-corticaux, des ménin- gites chroniques , des tumeurs cérébrales, et s'observerait commu
c'est surtout sous l'influence de certaines intoxications aiguës ou chroniques , et en particulier de l'alcoo- lisme prolongé q
un certain degré de prédis- position héréditaire, mais l'alcoolisme chronique et invétéré est évidemment le facteur morbide p
ondent exactement à ce qu'on observe en général dans l'al- coolisme chronique avec démence. Elles portent sur les cellules, l
Mais de plus on rencontre par place un processus de con- gestion chronique avec dilatation des vaisseaux, pigmentation ocr
bien réellement le résultat d'un état d'alié- nation mentale aigu, chronique ou périodique; 3° la combinaison de la dépravat
urs sans trop se préoccuper de la mesure ou de l'air. Dans la manie chronique , le, sens musical est mieux conservé, et c'est
entité morbide, une maladie type dont la marche est le plus souvent chronique . Tous les malades de M. Thomsen, sauf un, avaie
n ordinaire : cette affection se rencontre surtout chez les malades chroniques el doit par conséquent être regardée comme 148
ième assistant s'occupe des deux pavillons de pension- naires et de chroniques . Voici quel est l'emploi du temps : à 7 heures
onna les résultats sui- vants : Cavité crazziezrze : Leptoméningite chronique très nette. La substance du cerveau est oedémat
tique, à la folie sénile, à la manie aiguë (puerpérale), à la manie chronique , à la folie avec hallucination de fouie, à la d
iblissement mental qui peut se terminer par la guérison, la démence chronique ou la mort. Exceptionnellement, la conscience p
généralisée. L'étude des reins, presque toujours altérés (néphrite chronique interstitielle, avec rein plus ou moins contrac
ible de méconnaître que certaines aber- rations mentales, aiguës ou chroniques , peuvent être provoquées REVUE D'ANATOMIE ET DE
ur les cas diagnostiqués curables. Le reste de l'asile, sections de chroniques et de classement, asile-ferme, place- ments fam
isé; c'est le dédoublement dans le même asile des services aigus et chroniques , dédouble- ment réclamé par Esquirol en 1817 et
s autres variété ? de chorée par les caractères suivants : elle est chronique et progressive, sans tendance à la guérison, ma
remarquer qu'on désigne souvent sous les noms de paralysie bulbaire chronique ou aiguë et pseudoparalysie bulbaire, des étals
'il serait plus juste de les désigner sous le nom de méningomyélite chronique . Lrvor.r.. LV. UN CS DE paralysie isolée trauma
s d'agitation et démence. Elle est morte dans le marasme d'entérite chronique . - Autopsie avecétude microscopique. Conclusion
malades frappées deces affections, 98 étaient des maniaques aiguës, chroniques ou démentes, dont 61 ont été améliorées mentale
e maniaque, était en réalité, comme nous le verrons, une maniaque chronique ; l'autre était atteinte d'un accès de manie aig
u toutes les apparences de la démence maniaque. En résumé : manie chronique avec réactions très violentes (présentant l'app
la disparition complète de l'état maniaque, qu'il s'agisse de manie chronique ou de manie aiguë. Cette dispa- rition se produ
LES rapports DE la paralysie générale DES aliénés ET DES affections chroniques DES reins ; par Hubert C. BRISTOWE. (The Journa
is d'idées absurdes de grandeur. Ils n'aboutissent jamais au délire chronique . Suivant leurs tendances, on pourrait les divis
plus active et une marche notablement plus rapide. Les formes très chroniques sont rares chez le noir, et la forme miliaire e
ne maladie spécifique, mais bien une variété clinique d'encéphalite chronique diffuse intersti- tielle corticale. J'admets qu
epsie, 4 cas; démence organique, folie avec hallucinations et manie chronique , de chaque, 2 cas ; manie aigué, 1 cas. Il est
contribution A l'étude DES rapports qui existent ENTRE LES maladies chroniques DU rein ET la paralysie générale DES aliénés; p
V111. Ondulations musculaires dans UN cas DE sciatique DILATÉ- RALE chronique ; par J. HOFFMANN. (Neurolog. Centralbl., XIV, 1
e la circulation cérébrale liés à des altérations locales (artérite chronique ) ; 3° L'aedènle histologique du cerveau ; 4°
ronique) ; 3° L'aedènle histologique du cerveau ; 4° La méningite chronique localisée au niveau des zônes motrices cortical
Anglete7,i,e est ajournée; 2° M. limucc6ra. Sur un cas de paralysie chronique des muscles de l'oeil (avec présentation de pré
ble mais non démontrée. Autopsie : athérome de l'aorte, endocardite chronique , leptoméningite chronique, dila- tation des ven
topsie : athérome de l'aorte, endocardite chronique, leptoméningite chronique , dila- tation des ventricules cérébraux, dégéné
mais des accès de colère suivis de pleurs. [Père mort de bronchite chronique ; nombreux excès de boisson. Mère, soeur du gra
d'individus ordi- nairement d'esprit faible ou atteints de délires chroniques ; il y a au contraire des individus très valide
fférents types de myopathie essentielle; enfin un cas de méningisme chronique simulant la méningite tuberculeuse chez un adulte
ronda, 482. Laryngée. Paralysie - dans les aflec- tions nerveuses chroniques , par Permewan, 48. LATAII. Névrose observée d
49 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
titétanique; le Dr Blanc (d'Aix-les-Bains) (8) a vu un rhuma- tisme chronique très amélioré par une injection de sérum antidiph
127. (6) Vinrent, loc. cil. (7) J. TEissi«n et Roque, Rhumatisme chronique . In Traité de médecine et de théra- peutique de
tout la diaphyse de l'os : ne s'agirait-il pas plutôt de rhumatisme chronique que d'ostéite déformante à type pagétique, dans
agétique de 66 ans à l'autopsie de laquelle on a trouvé une myélite chronique ; Pic (7) relate, dans son cas,certaines manifes
cis, rappellent celles qui ont été observées au cours du rhumatisme chronique . On sait en effet qu'au cours de cette affection
ndaires aux troubles articulaires. « Il est certain qu'une arthrite chronique , quelle que soit son origine, rhu- matismale, t
ite relatées par Touche (6) ne sont donc pas la cause du rhumatisme chronique , pas plus que des altérations diffuses de légèr
son, à la cause (1) M. KLIPPEL, Des accidents nerveux du rhumatisme chronique et de la goutte. Ann. médico-chirurg., 1885, n°
1885, n° 6. (2) Cousin, De quelques symptômes communs au rhumatisme chronique el aux affections nerveuses. Thèse de Paris, 18
malades, ainsi que la sclérose cardiaque, l'emphysème, la bronchite chronique , des troubles de la vision, déroute, de la fonc
ério-sclérose que l'on a voulu autrefois l'identifier au rhumatisme chronique . La constatation fréquente, chez les pagétiques
onstatation fré- quente de ces mêmes troubles chez les rhumatisants chroniques , a pro- voquél'éclosioii de l'ancienne théorie
ordons postérieurs de la moelle. Lésions de méningite posté- rieure chronique . Gros cour, Insuffisance aortique. Aortite. E
n" 21, 1907, 25 mai. 6. IIERTOGIIE. - De l'hypolhijroidie bénigne, chronique . Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, ils9
raphie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XII POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE CERVICALE (Berlololfi) . POLIOMYÉLITE ANTÉRIE
RIEURE CHRONIQUE CERVICALE (Berlololfi) . POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE DE LA MOELLE CERVICALE - ATTEINTE BILATÉRALE
rythénoïdes et crico-arythénoïdes latéraux. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 45 gêné soit par le réflexe pharyngien très vif
a rigidité peut demeurer à moitié chemin. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 47 La colonne vertébrale présente une cyphose d
ie et de radiologie de Lille, 1908, ne 4. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 49 lever plus haut. De même le mouvement d'addu
t brachial a donné les résultats suivants : POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 51 Ce dernier muscle peu excitable avec le cour
lienne du Pro- fesseur A. d'Antona, p. I. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 53 cas a irait à un vieux- qui présentait la mê
l nous reste à choisir entre la polyomyélite antérieure subaiguë ou chronique et la sclérose latérale amyotrophiqae. Chez not
t bien loin de ressembler au type Aran-Duclienne de la polyomyélite chronique ou la topographie radiculaire de l'atrophie début
x muscles des épaules. Généralement dans la polyomyélite antérieure chronique , le chef claviculaire du trapèze persiste le de
de IJnouARDEL et GILnmn, t. IX, p. 726. i POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 55 Or cette colonne de substance grise qui s'ét
ont élé antérieurs. Parmi les causes écologiques de la polyomyélite chronique , déjà Aran Duchenne avait placé le surmenage :
e cas de Vulpian (1) qui en 1869 a décrit une forme de polyomyélite chronique à début scapulo-humél'al, G ans après Pierret et
9 (3), dans un travail d'ensemble, décrivit deux cas depolyomyélite chronique à début scapulo-homéral avec symptômes bulbaires,
el est l'étal actuel de cette question. * POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 59 Sur l'innervation du nerf spinal ont été émi
d., 61 Heft., 1894, p. 473. (3) Loe. cet. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 61 Il existait un souffle systolique sur la poi
l'histoire clinique d'un malade atteint de poliomyélite antérieure chronique , qui avait débuté par les petits muscles de la ma
dans le soutien de la colonne cervicale. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 63 Toutefois, comme il. a été bien démontré par
t la descente de la mâchoire 64 BERTOLOTTI. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE inférieure ne pouvait se faire qu'après la supp
ées. Nors- trôm,Hugon rencontrent à leur tour des foyers de myosite chronique dans les muscles atteints, A. Pick, dans plusie
s comment distinguer, le masque imprimé par la mélancolie, psychose chronique , de la mi- mique exprimant une tristesse immens
ants, qui ne sont pas des hystériques, délirants aigus ou délirants chroniques , grands intoxiqués ou grands maniaques, auraien
115 ses artères sont souples. Pas de tabagisme. Aucune intoxication chronique ; pas de signes ou de symptômes de pellagre. D
manifestations éloignerait la supposition d'une maladie infectieuse chronique , telle que la syphilis, la tuberculose, etc., e
nalé l'importance des intoxications, mal' de Bright, empoisonnement chronique par le plomb, la morphine, etc., à l'origine de
es se déclarè- rent alors, et il est mort de tuberculose pulmonaire chronique en 1905. Il n'y avait dans ses antécédents, ni
extensive et progressive qui caractérise le rhumatisme articulaire chronique . En général, dans la maladie de Paget il s'agitse
présentait aucune autre lésion pouvant être rapportée au rhumatisme chronique et arrivent à la conclusion que l'existence des n
ur la parenté qui existe entre la maladie de Paget et le rhumatisme chronique . Les rapports de l'ostéite déformante et du rhu
éréditaireou familiale (cas de Milroy, (1) H. Meige, Le trophoedème chronique héréditaire. Nouv. Iconographie de la Sal- pêtr
. Berlin, 1891. (5) Hertoghe, Contribution à l'étude du trophoedème chronique . Nouv. Iconographie de la Salpêtrière, ne 6, p.
. Soc. de neu- rol., 13 mars 1902. (8) Courtellemont, Trophoedème chronique , variété congénitale unique. Soc. de neu- rol.,
hmdème. Soc. de neurol., 5 nov.1908. (11) Vsu. et Pentu, Trophmdème chronique non congénital du membre inférieur droit chez u
1 déc. 1903. (5) C. Parhon et S. FLORIAN, Sur un cas de trophcedème chronique . Nouv. Iconogra- phie de la Salpêtrière, 1907,
des Hop.de Paris,29 juillet 1907. (11) G. Etienne, Des trophoedèmes chroniques d'origine traumatique, Nouv. Iconogr. de la Sal
uts du tuyau au moyen d'une pince de bois. » S'il s'agit de myosite chronique , de sclérose musculaire (Vigouroux), ou de syno
: elle se manifeste tout particulièrement au cours d'intoxications chroniques , telles que celle produite par le plomb par exemp
autre. Cette conception a pour base en premier lieu l'étude des cas chroniques de la maladie (ils mériteraient, d'ailleurs, d'
cider si ces douleurs sont dues à une ménin- gite tendant à devenir chronique ou à une névrite périphérique. En gé- néral, on
différentiel entre une méningite qui a quelque ten- dance à devenir chronique et une névrite périphérique. Chez ce malade les
nous permet de-conclure avec vraisemblance qu'une méningite un peu chronique en était la cause. De même, la diminution progres
douleurs persistantes, d'une méningite localisée qui tend à devenir chronique , ayant peut-être atteint également quelques racin
ités cutanées circonscrites » (Brocq). La plupart des altérations chroniques et localisées de la peau apparues au cours du d
us que la différence qui sépare une affection aiguë d'une affection chronique . A la lueur de cette notion infectieuse, on ess
le diagnostic suivant : mé71>7go-céplta- lile et méningo-myélite chronique diffuse interstitielle ; atrophie des racines d
ère, surtout des racines postérieures ; pachyméllingite cer- vicale chronique hypertrophique, Les lésions trouvées dans le ce
une dégénéres- cence atrophique. On peut admettre une inflammation chronique de la pie-mère au niveau de la région dorsale d
vertèbres ; les lésions articulaires, comme t'hydarthrose aiguë ou chronique ou l'arthrite gommeuse,manquent également. Etan
kylose coslo- vertébrale. Cela est prouvé par des cas de rhumatisme chronique verté- bral (Teissier, Raymond et Babonneix), a
late, etc. Les méthodes pour traiter les malades pendant les phases chroniques , traitements électriques, bain, massage, etc.,
brillaires. Dans notre cas il ne peut pas s'agir d'une poliomyélite chronique , soit en considérant la marche, soit parce que
ne sont pas atteints. La marche de la maladie dans notre cas a été chronique ,progressive,comme dans l'atrophie du type Aran
vaniques). On sait que quelques auteurs considèrent la poliomyélite chronique comme une entité morbide différente de l'atroph
nt par les excès d'alcool du père s'est uni un processus infectieux chronique tuberculeux, dont les substances toxiques doive
cy, 1891. DERNIIEIM. - Poliomyélites antérieures aiguë, subaiguë et chronique de l'aaultll greffée sur la paralysie infantile
de médecine de Charcot-Bris- saud, t. IX, p. 620. Rossi. Reprises chroniques de polyomyélite aiguë de l'enfance avec apparence
PEL et Pierre- Weil, 473. Nerfs crâniens (Poliomyélite antérieure chronique . Atteinte des noyaux bulbaires ci médullaires d
sur la - ), par Petren et EnnEXBERG, 372, 546, 661. antérieure chronique . Atteinte des noyaux bulbaires el médullaires d
élite aiguë (Petren et Ehrenberg), XLII1. Poliomyélite antérieure chronique cervi- cale (BERTOLOTTII, XII. Polynévrite gr
50 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
s. L'intelligence est intacte, la malade s'est accoutumée à son mal chronique . Les principaux troubles se trouvent sur la par
s d'accès d'épuisement variable, mais bien d'une paralysie à l'état chronique invariable, datant de douze ans. Les symptômes
que Nissl attribue aux cellules altérées par un processus prolongé chronique ; le corps cellulaire et les prolongements sont
évolution pathologique aiguë ou récente ou à un processus ancien ou chronique qui peut-être se succè- dent l'un il l'autre. I
R L'ÉTAT ATROPIIIQUE DE LA MOELLE ÉPIN1ÈRE DANS LA SYPHILIS SPINALE CHRONIQUE PAR E. LONG et B. WIKI (de Genève). (Dessin
lysie spinale syphilitique : une forme à début brusque et une forme chronique d'emblée et à marche généralement progressive. Ce
un abcès par con- ° gestion. A une période plus avancée de la forme chronique , si les locali- sations vasculaires de la syphi
n aperçoit pas. Le 15 novembre 1899, le malade passe à Laënnec, aux Chroniques , dans le service du Dr Rénon, qui, après examen
à faire. » En avril 1900, G... passe à Laënnec, dans le service de Chroniques de l'un de nous, qui l'ayant déjà observé à l'H
e lésions traumatiques, toxiques ou infectieuses des nerfs au stade chronique de la paralysie vaso-motrice, c'est-à-dire une hy
en- traînés à l'extension, et dès lors prédisposés à la rétraction chronique . GO Neurones de l'accommodation. Il parait ex
tion française, il fut donné en 1801 au musée de Nancy. Une vieille chronique , trouvée par M. Michel à la bibliothèque de Man
et qui venait d'être enterrée dans ladite église de la Trinité. La chronique ajoute que le tableau de la transfiguration fut t
ctionnement cérébral. Il est logique de supposer que l'hypertension chronique du liquide périencéphalo-médullaire aurait pour
reux, et souvent si caractéristiques, des encéphalopathies toxiques chroniques d'origine interne, dont la lente évolution, entre
effets présentent avec ceux de certaines intoxica- tions cérébrales chroniques des analogies indiscutables. . (1) JACCOUD, Art
imputables à la tumeur. Les auteurs se demandent si la mé- ningite chronique diffuse constatée dans leur cas s'est développée
ue toutes les autres. » En invoquant, pour expli- quer la méningite chronique diffuse, non plus un travail inflammatoire suba
cervelet depuis trente ans, on peut concevoir la méningite diffuse chronique comme une réaction naturelle à cette imprégnation
esque toujours, dans ces cas, on observe des lésions inflammatoires chroniques ou subaiguës, parakystiques, qui traduisent la
et fibrillaires, avec un maximum de lésions méningitiques diffuses, chroniques et subaiguës : les vaisseaux présentaient des alt
- Observation de M. Joffroy et Gombault, Congrès 1900. Méningite chronique progressive ou adhésive avec symptômes psychiques
t-on. - Mais ce qui l'autorise, c'est que nous trouvons des lésions chroniques de vaisseaux. Cette lésion seule ne pouvait pas
). C'est à ces cas qu'il convient de réserver le nom de trophoedème chronique . * · . .. x Le trophoedème chronique peut e
er le nom de trophoedème chronique. * · . .. x Le trophoedème chronique peut exister comme manifestation isolée, frap-
tions publiées anté- rieurement sous les noms d'cedèane rhumatismal chronique (Desnos), pseudo-éléphantiasis neuro-arthritiqu
), mY,1Joedème localisé, éléphantiasis nostras, etc. Le trophoedème chronique se présente aussi comme une dystrophie héré- di
oncevoir l'existence d'une dystrophie spéciale : le troltlacedèrrte chronique , caracté- risé par un oedème blanc, du ? indolo
tions, ce qui permet de croire que dans certains cas le trophoedème chronique peul être la résultante d'une série d'oedèmes a
rallèles à la dystrophie musculaire pro- gressive. Le trophoedème chronique , dystrophie oedémateuse, offre en effet, plus d
s centres trophiques des muscles, on doit considérer le trophoedème chronique comme la consé- quence d'une altération des cen
cas de Vidal (de Lyon), ou musculaires. D'ailleurs, le trophoedème chronique peut être rapproché, sans perdre pour cela ses
ement et à la nutrition du tissu cellulo-cutané. Le lropltoedt;me chronique frappe-t-il uniquement les membres infé- rieurs
res réalisée par tous ces processus destructifs, aigus, subaigus ou chroniques , qui donnent lieu à autant de variétés clini- q
nissant les faits qu'il a observés sous le nom de T/'ophoedèll ! /J chronique héréditaire, dénomination qui ne préjuge rien au
ageaient le même lit. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE . DU THOPHOEDÈl\1E CHRONIQUE , PAR R M. HERTOGHE (d'Anvers). Des travaux
éditaire du mal. Nous publions aujourd'hui trois cas de trophoedème chronique . Fidèle à la règle que nous nous sommes imposée
ncore. Il manque une canine. (1) Henuy MEME, Le t>·opletedènae chronique héréditaire (Congrès des méd. neurol. et alién.
counoux, Ibid., 1899, n° G. LANOts, Une observation de t¡'ophoedème chronique héJ'ditail'e. Ibid., 1900, n 6. NOUV. ICONOGRAP
1) L. V. (Novemble 1900). L. Y. (Novembre 1901). TROPtIOEDËMI-; CHRONIQUE Ilertoghe (Observation ! ). I). Massox ET Cie
(Ohs 11.) (A. Thomas ) Masson & Cie, Editeurs TROPIIOEDÈME chronique 497 Les testicules sont fortement rétractés.
toujours le cas chez les femmes atteintes d'hypothyroïdie bénigne v chronique . Actuellement les oreilles bourdonnent, des corps
nes excessives, la migraine cessant à la ménopause, la constipation chronique , la douleur hépatique, les dé- sordres urinaire
no- vembre 1883. A son arrivée, je notai l'existence d'une chorée chronique avec incapa- cité de se tenir debout, émotivité
qui étudie l'affection qui nous occupe sous le nom de « Trophoedème chronique héréditaire ». Cet auteur relate diver- ses obs
e, 1900). Dans notre observation, il s'agit bien d'un « Trophoedème chronique », avec cette différence toutefois qu'on ne le r
tériser la répartition de l'enflure. Il s'agit en somme d'un oedème chronique blanc, dur, indolore, à ré- partition segmentai
lon les cas, serait une affection héréditaire, familiale, aiguë ou chronique . DEUX CAS D'HÉMJl-JYPERTHOPHOE CONGÉNITALE DU
les viscères les lésions habituelles de la tuber- culose pulmonaire chronique , sans qu'il y ait de ce côté rien à noter de pa
r le), par Henry Meige (1 pl. en photocollogr.), 465. Trophoedème chronique (Contribution à l'é- tude du), par IlERTOGHn (3
l'état atiophique de la moelle épinière de la syphilis spi- nale chronique (21 fig.), 105. MAntLLE. Observation de trophoe
l'état atrophique de la moelle épinière dans la syphilis spinale chronique (21 fig.), 105. Zmamn.r A. Sur un cas de rachit
VIII à X. Trophoedème (Sur le) (Henry MEIGE), LXI. Trophoedème chronique (Contribution à l'étude du) lHRRTOGUE), LXIV à
51 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
amen histologique montrèrent qu'il s'agissait d'une méningo-myélite chronique non tuberculeuse. Ajoutons encore les compres
Teissier et Roque, dans leur bel article récent sur le « Rhumatisme chronique » (3), croient que dans certains cas le froid h
ingue la spondylose rhizomélique de toutes les formes du rhumatisme chronique . Comme le rhumatisme chronique vertébral ankylo
e de toutes les formes du rhumatisme chronique. Comme le rhumatisme chronique vertébral ankylosant a été récemment l'objet d'
899. (2) Léri, Revue de Médecine, 1899, p. 819. (3) Le rhumatisme chronique , par J. TEISSIER et Roque, in Traité de médecine
'identité des deux processus, spondylose rhizomélique et rhumatisme chronique : Sachs et Frankel, Schlesinger, Salrnoni, Ioll
ont voulu confondre dans une même description toutes les ankyloses chroniques du rachis, toutes les soi-disant a ostéo-arthrite
ntes ». La tendance à la confusion de tous les processus vertébraux chroniques se trouve nettement exprimée dans la toute récent
logique nous a démontré qu'il y a dans la pathologie des affections chroniques du rachis, comme de toutes les autres parties de
ge droite, linéaires, que l'on voit dans certains cas de rhumatisme chronique , ni les ankyloses à courbure angulaire ou brusque
ie, infectieuse, toxique ou diathésique, tels les rhumatismes, soit chronique , soit aiguë, ne frappe également toutes les art
colonne de cyphose hérédo-traumatique ou une colonne de rhumatisme chronique vertébral. Léri a étudié devant la Société médi
articulations des membres. Il y a donc dans le rhumatisme vertébral chronique un processus différent tant au point de vue ana
ait pas été opéré. Fig. a. Fig. b. Fig. a. Rhumatisme vertébral chronique avec ankylose complète (Collection du profes- s
ilis (Comparez avec la fig. 3, B de la planche). Fig. b. Rhumatisme chronique de la région cervicale (Pièce et cliché du proles
la sueur est quelquefois insupportable ; et il souffre d'un eczéma chronique . Voilà encore une autre association : - l'obési
ilis, de la tu- berculose et des autres infections à manifestations chroniques , ainsi que l'hérédité de l'alcoolisme et d'autr
vent pas toujours chez les malades atteints de maladies pulmonaires chroniques . Le très habile observateur Carl Gerhardt conna
és, symptômes très fréquents chez les malades atteints de pleurésie chronique , de tuberculose, de maladies de coeur, et de bron
taire dans la production de cette croissance anormale. 3° Cyanose chronique congénitale. L'augmentation de volume se limite e
1), d'un cas analogue, décrit par Péhu sous le titre d'acrocyanose chronique hypertrophiante. Vous pouvez facilement vous con-
ouvé de suffisantes que pour l'impor- (1) De l'hypothyroïdw bénigne chronique ou myxoedème fruste, Nouvelle Iconographie de l
e aussi dans les broncho- ectasies et d'autres maladies de poitrine chroniques ? Or est-ce que la prédis- (1) Acromégalie frus
AT, Interne de l'asile d'Evreux. La question des oedèmes aigus et chroniques qui ne dépendent pas de lésions cardiaques ou r
i semble indiquer qu'il a. existé autrefois à leur niveau un oedème chronique aujourd'hui disparu. ' Le repos au lit prolongé
des vaso-moteurs analo - gué à celle qui se produit dans la gelure chronique , mais d'après ce qui a' été dit ici, la cause p
le sujet. G. Muller signale deux cas de « névrite interstitielle chronique » relatés par Zietschmann, avec formation de fi
nt les abcès encéphaliques consécutifs aux infec- tions pulmonaires chroniques . Les autres, celles de l'écorce, diffuses, de n
arie, la sclérose médullaire polyfas- ciculaire ou enfin la myosite chronique diffuse dont nous voulons exposer aujourd'hui l
e peuvent ressembler à la paraplégie par rétraction : le rhumatisme chronique fibreux, la sclérose médullaire polyfasciculair
ien certain que ces malades se rapprochent de certains rhumatisants chroniques ou encore de paraplégiques immobilisés depuis l
iner les cas où la terminaison fatale fut provoquée par une maladie chronique et cachec- tisante ; les altérations musculaire
le morbus climatericus, l'autre à allure traînante, essentiellement chronique , l'affaiblissement musculaire pro- gressif d'Em
légie par rétraction du vieillard des diverses formes de rhumatisme chronique avec déformation des muscles et principalement de
uisse être con- fondue, à un examen superficiel, avec le rhumatisme chronique , la litté- rature médicale en fourn i plusieurs
fférent suivant qu'on a affaire à un rhumatisme ou à la polymyosite chronique . Dans le premier cas le siège de la douleur est
t les mains sont atteints, fait qui manque toujours dans la myosite chronique . Nous ne pouvons insister sur les affections mu
ion peuvent se voir consécutivement aux arthropathies du rhumatisme chronique . - Chez les S sujets dont nous avons pu faire l
istait aucune lésion qui put faire penser au rhumatisme articulaire chronique . Ces modifications' s'expliquent d'ailleurs fac
ée et ne peut en être différenciée. Ces altérations essentiellement chroniques , car jamais on ne trouve d'infiltration embryonna
rocessus encéphalique ou médullaire et, d'autre part, du rhumatisme chronique avec lequel certains auteurs ont confondu la pa
rolongé de l'atrophie. Enfin au lieu d'un processus essentiellement chronique , comme dans le tabes, nous avons ici un processus
toute on y retrouverait surtout les carac- tères d'une inflammation chronique d'origine vasculaire. Or tout cela n'appartiend
des lésions vasculaires, on a trouvé les mêmes lésions dans les cas chroniques rose en plaques. On y a décrit de l'épaississem
es conséquences thérapeutiques. Nous admettons bien que la syphilis chronique du sys- tème nerveux, disséminée ou non, puisse
es hôpitaux. des Enfants Malades. 1 La poliomyélite subaiguë ou chronique de l'enfance est une affecti fort rare, le nomb
une paralysie progressive évoluant d'une manière subaiguë ou plutôt chronique , sans fièvre ni convulsions ni vomis- sements.
observé, montre du moins que cette affection, l'atrophie musculaire chronique d'origine spinale de l'enfance, peut s'observer
rès analogue sinon semblable, à celle de la polyomyélite antérieure chronique ou subai- guë de l'adulte et dont la cause rest
n esta à rapprocher de ce qui s'observe dans le cerveau des aliénés chroniques , où on trouve souvent une disparition très acce
sa taille et atteinte depuis son enfance d'une affection pulmonaire chronique . Dans quelle classe de nains doit-on la ranger,
onaires ; elle a eu des bronchites successives ; puis une bronchite chronique avec asthme et em- physème. Les troubles intest
à plusieurs reprises, est resté négatif. Le diagnostic de bronchite chronique avec emphysème nous parait le plus vraisemblable.
lles cadrent mieux avec l'hypothèse d'une lésion pulmonaire simple, chronique , qu'avec celle d'une tuberculose. Il n'y a poin
ncters sont toujours intacts. L'état général est mauvais, bronchite chronique et emphysème. Sans être aussi altéré que chez son
e femme de 73 ans, atteinte de bronchite avec emphysème et néphrite chronique . Foyer épidural peu considérable. - Lésions lég
part. Une seule fois (obs. 111), dans un cas compliqué de néphrite chronique avec forte poussée aiguë, chez une artério- scl
malades, soit dans un tiers des cas. Il s'agit de néphrite aiguë ou chronique , ou de dégénérescence amyloïde. Onze de nos mal
tions des phalanges de l'index présentent des lésions de l'arthrite chronique ; sur le dos de la main et sur les deux côtés i
ie (faite 12 heures après la mort). Diagnostic anatomique : Aortite chronique avec sclérose myocardique et artérite des coron
es médecins de l'asile d'Abassieh ne considèrent pas l'intoxication chronique parle haschich comme entraînant des altérations o
52 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
S DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Deux cas de méningo-encéphalite chronique avec cécité ; Par ItOUIt\G\'ILI.1; et P71ltit
Autopsie : congestion pulmonaire, persistance du thymus. Méningite chronique surtout à la base et au niveau du chiasma optiq
eures après la mort 22. , , Température de la salle ? MÉNINGITE CHRONIQUE . 9 Autopsie faite le 22 août à 3 heures de l'ap
. Causes de la mort : Congestion pulmonaire, méninge. encéphalite chronique de la base. MÉNINGITE CHRONIQUE ; CRANIECTOMI
ulmonaire, méninge. encéphalite chronique de la base. MÉNINGITE CHRONIQUE ; CRANIECTOMIE. 13 la mère ; convulsions de l'e
géné- rale, la température ne serait pas élevée dans la méningite chronique . -Le poids l'entrée était de 3' hilor., à la mo
té.- Coecum distendu par les gaz. L'appendice a 5 cent. méningite CHRONIQUE . 23 de 101lgueUl ? Intestins. vessie normaux. Q
uelques ganglions sous le mésentère. Causes de la mort. Méningite chronique ; tuberculose pulmonaire; congestion pulmonaire
u niveau de la région protubérantielle, l'existence d'une méningite chronique et d'un processus 'ac- tuel en évolution : il e
orations simples a montré l'existence d'une infiltration cellulaire chronique dans l'é- paisseur de la pie-mère, une péri-art
llaires a été absolument négative. Il s'agit donc d'une mé- ningite chronique sans tuberculose. Les conclusions de M. Crouzon
melles. Nos deux malades étaient atteintes de méningo-encéphalite chronique simple, avec prédominance de la méningite, bien
st susceptible de modalités cliniques corres- pondant aux psychoses chroniques . Il est même probable qu'une certaine unité pat
- bleau anatomique de la psychose aiguë et celui de la psy- chose chronique . G. D. N'il. - Délire alcoolique continu ou hal
Délire alcoolique continu ou hallucinose continue dans l'alcoolisme chronique ; par le 1> Serge SOUKHANOFF. (Journ. de Neur
allucinose auditive alcoolique. il existe une hallucinose. auditive chronique qui s'observe à la suite de lésions soit de l'o
delirium tremens, mais son usage habi- tuel amène des modifications chroniques * de dégénérescence par conséquent, dans les mal
ons chroniques* de dégénérescence par conséquent, dans les maladies chroniques du système nerveux sera interdit. Exceptionnell
a démence précoce que M. Régis envisage comme une confusion mentale chronique . L'auteur ne se fait pas illu- sion sur la surp
uand la maladie a diminué d'intensité ; elles sont passées à l'état chronique quand elle a persisté. Ces hallucinations ont c
moelle, qui était peu comprimée. Moelle : Fover de méninge-myélite chronique caractérisée par des adhérences des méninges à
-arachnoïdien. En tout cas, il s'agissait de pachyméningite interne chronique simple, vu l'ab- sence de toute lésion tubercul
ugeole, pneumonie franche, certaines formes de tuberculose aiguë ou chronique ) ; b) d'autres fois des lésions spécifiques tub
ns ut leurs mauvais jours, ce qui distingue l'affection delà chorée chronique . 3 observations à l'ap- pui. P. Keraval i, X.
ommuniquent un cas de sulfo-car- 152 SOCIÉTÉS SAVANTES. bonisme chronique avec accès suh-aigu de délire. Il s'agit d'un h
des délires par intoxication ai- guë, des démences par intoxication chronique , y a, comme dans l'alcoolisme chronique, des dé
s démences par intoxication chronique, y a, comme dans l'alcoolisme chronique , des délires subaigus vraisemblablement en rapp
ystème nerveux central. F. T. XL. Les oedèmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système nerveux (rôle de
d'une forme l'autre, et le tropho : - dème n'est ainsi que la forme chronique de l'oedème de Quinke. (Meige). Les oedèmes cir
isée de la lymphe. Pour ce qui concerne en particulière trophoedème chronique , il nous montre, à la suite de Meige, les analo
évolution pour affirmer quoi que ce soit..1. S. \XIII. - La chorée chronique progressive ; par Daudi. (In Rivista di patholo
elie ; ilaborde ensuite la symp- lomatologie des myélites aiguës et chroniques , l'anatomiepatho- logique, puis la question dia
mprendre ce qui se dit autour de lui, mais encore par son affection chronique des yeux. Il 25G THÉRAPEUTIQUE PEDAGOGIQUE.
jusqu'à quel point tel cerveau eût pu succomber à l'en- céphalite chronique s'il n'eût pas préalablement subi telle intluen
a- tlièse syphilitique ou hérédo-syphilitique, une intoxica- tion chronique (alcool,plomb) restée latente jusqu'au trau- ma
nski, réflexes patellaires exa- gérés. La malade meurt de bronchite chronique en juillet 1903. A l'autopsie, rien de particul
il yen a 16 qui sont professionnellement intoxiqués, d'une façon chronique , par les acides, dont 7 blanchisseurs. Relevant,
u'on rencontre au cours de certaines maladies générales, rhumatisme chronique , diabète ou même des maladies du système nerveu
r dans un puits, etc. Ce délire est la complication d'une myélite chronique qui a déjà produit la paralysie incomplète des ii
- men nécropsique. Les lésions consistentsurtout en une méningite chronique , avec néoformation vasculaire et quelques amas de
ale amyotrophique et la durée relativement longue des polyomyélites chroniques chez l'adulte en rapport avec la durée plus cou
roscope : a) lésions cellulaires aiguës; b) lé- sions dégénératives chroniques avec toutes les transitions jus- qu'à l'étal di
nt hétéro ou au- totoaidue localisé ou généralisé, aigu, subaigu ou chronique . L. 1 ? x ? LXX1V. Recherches expérimentales
mononucléaires et des lymphocytes dans les affections subaiguës ou chroniques ; l'éosinophilie est particulière aux ma- ladie
re. Syndrome de Manière. MM. Raymond et BAUR. - Plaque de méningite chronique devant le bulbe et le pont englobant toutes les
tome du cerveau, par lionssy, 151. Chorée. Voir Grossesse. - La chronique progressive, par Daddi, 213. Circulaire du mi
alcoolique continu ou hal- lucinose continue dans l'alcoo- lisme chronique , par Soukha- noff, 53. Enfants martyrs d'une
e, par Ray- mond et Baur, 504. Méningo-encéphalite. Deux cas de chronique avec cécité, par Bourneville et Perrin, 1. - -
ésocé- phalique., &#x152;dèmes. Les circonscrits ai- gus et chroniques sous la dé- pendance du système nerveux (rôle
53 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
non plus le rachitisme. Les auteurs se demandent si la suppuration chronique de la plaie opératoire n'a pas donné l'impulsio
ïdienne non seulement depuis l'opération, mais aussi l'insuffisance chronique préexistante. Or les expériences de Vassale et
ces animaux. Nous devons ajouter encore que dans un cas de tétanie chronique du service de l'un de nous, l'administration du
l, on put reconnaître que les quatre symptômes cardi- naux du stade chronique existaient au complet. « Je traite, en ce momen
aiguë ou délirante a les mêmes symptômes fondamentaux que la forme chronique , excepté, peut-être, l'amnésie rétroactive ; en p
sénile simple qui représente toujours le stade terminal de la forme chronique . » Deuxième texte (1). - « L'influence exercée
a symptomatologie de certaines psychoses de Korsakoff, subaiguës ou chroniques . La Pres- byophrénie, pour ces auteurs,se prése
être considéré comme une psychopolynévrite, insidieuse et d'emblée chronique ou consécutive à une polynévrite aiguë, avec sy
icke et Kraepelin à (t) DUPRÉ et R. Charpentier, Psycho-polynvrites chroniques et démence. Encéphale, février 1909. (2) Dupn
chilléens, douleurs à la malaxation des mollets. Signes d'éthylisme chronique . Observation VI. Démence. - Elhylisme chroniq
ignes d'éthylisme chronique. Observation VI. Démence. - Elhylisme chronique sans polynévrite. Epilepsie, - Paraly- sie géné
ucinés, ni des confus, ni des interprétateurs, mais des fabulateurs chroniques (1). » Enfin la Presbyophrénie, par les illusio
: les arthrites rhumatismales aiguës et les arthrites rhumatismales chroniques . Le premier de ces groupes est constitué de for
logiques assez bien étudiées,tandis que la conception de l'arthrite chronique conserve de nos jours encore son caractère de c
utenu qui tend à dégager du vaste cadre des arthrites rhumatismales chroniques , une forme pathologique nouvelle, une nouvelle
98, une 'description cli- nique parfaite de deux cas d'arthropathie chronique sous le nom de Spon- dylose rhizomélique (0'1&l
une différence entre la spondylose rhizomé- lique et le rhumatisme chronique de la colonne vertébrale. L'article de f. P. Ma
E ! 25 Ekaterininsky, M. V. Kolly, porte : « Tuberculose pulmonaire chronique . De- generatio adiposa myocardii et hepatis. Of
. Dans le passé du patient, aucune maladie. La maladie actuelle fut chronique dès le début. Dès l'âge de 20 ans, sans aucune
ns des épaules. Il est malade depuis 5 ans. Diagnostic : Rhumatisme chronique ankylosant. Anamnèse. On ne trouve pas d'affect
et sur les articulations du cou de-pied. L'affection prit un cours chronique et il eut plusieurs paroxysmes avec les mêmes c
es muscles dorsaux. Il s'agit dans ce cas de rhumatisme articulaire chronique , ayant débuté par des phénomènes aigus, qui s'est
spondylose rhizomé- lique, et deux fois (obs. XV et XVI) d'ankylose chronique consécutive au rhumatisme articulaire, et qui r
fré- quemment il se fait lentement et insensiblement et a un cours chronique . Dans les formes aiguës (5 fois sur 14) la mala
erveaux ne présentent pas les lésions anatomiques de la compression chronique ; ces semis multiples et simultanés - à en juge
que les masses grises. 1110 WEBER 10° Enfin, dans des cas très chroniques , on peut observer, même chez l'adulte, des modi
On n'y retrouve pas les altérations hislologiqnes de la compression chronique . A la réunion de la Société neurologique suisse
éclare avoir été le premier à faire cette attribution. (2) Cabanes, Chronique médicale, 189G, p. 237 ; Rabelais praticien ; LE
flammens et piquars. Nous rapprocherons de ces vers la phrase de la chronique de 111élinet (6). « Lors commença il avoir son
ot pocques est encore usité couramment en Picardie. (0) IE1.IF.T, Chronique , CCL\\\'I, llichaud (dans Godefroy). 178 M. TRK
le (France, médicale, 1908, p. 306) n'en parle pas; non plus que la Chronique médicale {passim). -'188 M.TRÉEL de la maladi
uberculeuses, froides en effet, et les gouttes nouées au rhumatisme chronique . On a là un exemple de la confusion extrême qui
uïe, de la parole, de l'état mental. Jamais de paralysies. Néphrite chronique environ 6 ans avant la mort. A l'autopsie, exis
entricule, adhérences du vermis infé- rieur à la cicatrice. Névrite chronique interstitielle de la 8e paire gauche avec dégén
ielle de la 8e paire gauche avec dégénération des libres. Méningite chronique de la moelle, surtout il) tlorrc, Jour, of nerv
quefois externe. Il J'attribue à deux facteurs : a) à l'épelidymile chronique , que le cysticerque provoque dans son entourage ;
lles d'ordon- nance ; il écrit : « L'alcoolis est un empoisonnement chronique » Puis on veut lui faire copier une phrase dans
différentiel de la spondylose rhizomélique et des autres affections chroniques . ri0 La spondylite syphilitique est une affecti
d et Grenet). ' 5. Sporzdylosis rlaezzznaticachronica. Rhumatisme chronique de la colonne vertébrale. G. Spondylihs s. arth
lieu dans le cas de la spondylose rhizomélique. 2° L'inflammation chronique aralyloscaaale du rachis et des articulations d
les phénomènes clini- ques par le développement d'une inflammation chronique qu'il a consta- tée sur les deux méninges de la
ons donné plus haut la description des deux observations d'ankjlose chronique rhuma- tismale que nous avons recueillies. 6°
tissu osseux (mal sénile, morbus coxae senilis). III. L'arthrite chronique adhésive présente une transformation du cartila
des tissus périarticulaires secondaire à une inflammation aiguë ou chronique ou constituant par elle-même une affec- tion id
e ou constituant par elle-même une affec- tion idiopathique à début chronique , mais non inflammatoire : il s'agit de Polyarth
début chronique, mais non inflammatoire : il s'agit de Polyarthrite chronique rhumatismale. Cette dernière forme d'affection
1901, sous la dénomination de : Afaladieankylosante progressive et chronique , une forme d'ankylose des articulations. En 190
ce qui concerne la forme de Strumpell : « inflammation ankylosante chronique du rachis et des articulations des hanches » et
y- lose rhizomélique. ' LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 255 troubles chroniques de la nutrition générale qui ont pour base une af
ès de règle. En effet, dans les deux cas de poliomyélite antérieure chronique , j'ai pu constater que, dans les cel- lules gan
res dans les gan- glions rachidiens des chevaux atteints de dourine chronique . Enfin les cellules : '[ vacuoles ont été maintes
ssant une main déformée, absolu- ment comme une main de rhumatisant chronique , etqui fait un contraste avec la main gauche, q
: myxoedème par hypothyroïdie, maladie d'Addison par hypoépinéphrie chronique avec atteinte du plexus solaire, syndrome d'hyp
54 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fluence des professions insalubres sur la production des ma- ladies chroniques du système nerveux ; {'inégalité de poids des h
cardiaque. Deux frères morts à 3.1 et 38 ans de laryngite ulcéreuse chronique ; une soeur morte en couches. Antécédents per
une psychose pure, telle que le délire de persécution, le délire chronique . C'est une perturbation mentale, ayant des conn
e chez les mélancoliques, il fallait savoir si cette angiocholite chronique était suffisante pour produire la mélancolie et
s aux médecins de direction et aux médecins en chef ; - les malades chroniques donnés aux médecins adjoints, faisant t'onction
s aux médecins de direction et aux médecins en chef ; Les malades chroniques donnés aux médecins adjoints, sous le contrôle
lombaire permet-elle dedistinguer certaines formes de l'alcoolisme chronique de la paralysie générale ? L'auteur n'a pu déci
f dans manie, mélancolie, imbé- cillité, démence sénile, alcoolisme chronique , démence précoce (quelle qu'en fût la forme).
yphilis spinale, dans la myélite par compression et dans la myélite chronique . 3. La topographie ' de la thermo-analgésie spi
curables non aliénés du département. Dans un pavillon comprenant 30 chroniques , il n'y a qu'un in- firmier. 11 en est de même
Ihéniques et des épileptiques, des alcooliques, des pellagrcux,dcs chroniques , des fous criminels, (lesaiioi-iiiaux et des fous
. 3° Dans les toxi-infections, en particulier dans l'alcoolisme ' chronique , l'intensité des troubles de la sensibilité génér
ut constituer le fonds d'un délire systématise évoluant d'une façon chronique : Cas d'une malade qui croit loger ainsi un « v
ypocon- driaques véritables sont assez peu communes dans la folie chronique de la persécution (type LASkG(irt-FALRET) : le ma
vec destruction plus ou moins ac- cusée des tubes nerveux; la phase chronique s'accuse par la prolifération du tissu conjonct
du lobule paracentral droit méningite scléro-gommeuse. Méningite chronique chez un héréditaire dégénéré. à D,s G. DOUTRE
Le malade meurt à 19 ans. On constata à l'autopsie : une méningite chronique d'ori- gine infantile, localisée à la partie an
Dans les crises d'excitation survenant au cours des états maniaques chroniques , la symptomatologie seule ne devra pas guider d
' 5 La fréquence des syncopes observées par Wurth dans les folies chroniques en général (23 fois sur 102 malades), à l'oc- c
urée de douze heures, laisse entrevoir que, dans tout état maniaque chronique , il y a se méfier de l'action dépressive du bai
r minu- tieusement l'emploi. 1 < >1 A l'excitation maniaque chronique semble particulière- ment approprié le bain en
pas le retour parallèle de ses aptitudes mentales. 12° Les états chroniques seront généralement soumis à une hydrothérapie
us, mélancoliques ou maniaques, surve- nant au cours des affections chroniques , seront soumis aux ' BALNÉOTHÉRAPIE ET HYDROTHÉ
apuleuses ou pustuleuses), les lésions du décubilus, les bronchites chroniques , la tuberculose au début, les accidenls dus à l
ches locales et massage), chez les enfants atteints de méningites chroniques (douches en pluie sur la tôle pendant 15 tel 20 s
Une observation de troubles mentaux liés à l'existence de lésions chroniques du rhino-pharynx. D''5Royet et Roussit. - Le ma
de microbes dans le sang des psychoses hallucinatoires à évolution chronique . L'importance pathogc- nique de cette constatat
e de force et de vitalité qui en résulte ; -B) l'infection aiguë ou chronique des voies respiratoires avec les bronchites, le
taisre chez l'enfant. Hospice de BIC1 : TR. - Maladies nerveuses, chroniques des enfants : Dr Bourneville, le samedi, à 9 h.
tat des troubles fonctionnels. P. K. XIV. Poliomyélite antérieure chronique et syringo-- myélie ; par )1. G. ROSSO LI ? 1 0
diagnostiquer l'association de la syrin- gomyélie h la poliomyélite chronique . L'examen de la moelle rué, èle : 1° un process
qui tendent à ga- gner l'extrémité inférieure ; 2° des altérations chroniques occu- pant les cornes antérieures, sur toute la
umière le rapport possible entre lasyringomyélie et la poliomyélite chronique , nous n'arrivons pas aisément à sortir du domai
, y compris notre cas, 9 observations de poliomyélite an té- rieure chronique ; 6 simples, 3 compliquées de syringomyélie, ce
lonie qui occupera les bras de nos convalescents, de nos mala- dies chroniques , de nos débiles ou dégénérés. Il y a un très réel
s aux médecins de direction et aux médecins en chef ; les malades chroniques donnés aux médecins adjoints sous le contrôle éve
ès étaient tresnombreux, il y avait en quelque sorte une congestion chronique des os. , V. Nous avons vu que 13ar.. dormait p
prenons les alcooliques. Journellement, on observe des alcooliques chroniques , intoxiqués depuis des années par des doses éno
Gingivorragio à la moindre cause et souvent sanq cause. Rhumatisme chronique , déformant. Prurit au cuir che- velu, dix jours
ion entre le traitement des psychoses aiguës et celui des psychoses chroniques , et peut-on dire également propos des unes et d
e un adjuvant précieux du traitement de la plupart des pscho- ses chroniques . Cette séance s'est tenue au nouvel amphithéâtr
qlll's Jlal'aIlOllle, il Il') l'aut point comprendre le vrai délire chronique . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 387 Quanta voir
et A'iollet. Sur la démence organique secondaire a quelques délires chroniques hallucinatoires. In-8'' de S pages. (mp, Garcl,
phénomènes dégénératifs médullaires auxquels suivent, d'une façon chronique , une prolifération de la névroglie et la sclérose
mal où les périodes s'imbriquent, se confondent que de l'épilepsie chronique .La virulence des cultures est assez variable su
ualité, d'idée dirigeante, le désordre chaotique ; les paranoiaques chroniques , par leurs créations symboliques ceux-ci pouvan
roilliens Lrophoedémateux. 492 bibliographie. " < ' Rhumatisme chronique . '' t ,i : 1 M. GAucKLER.- Cas intermédiaire e
intermédiaire entre les arthropathies ner- veuses et le rhumatisme chronique : symétrie des atteintes arti- culaires, absenc
ilitique. Voir Tabès. scléro-gommeuse. Voir Paralysie générale. chronique chez un hérédi- taire dégénéré, par Doutre- b
e, par Lé- ri, p. 315. Rhino-pharynx. Voir Troubles. Rhumatisme chronique , par Gauckler, p. 492. Sang. Le dans l'acr01n
55 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
ïde est aux autres maladies aiguës ce qu'est la phthisie aux maladies chroniques . » Dans le domaine de sa propre pratique, M. Loui
de voir cette affeclion secon-daire revêtir les allures d'une maladie chronique et dégénérer en phthisie laryngée. 2° La laryng
second (1: 4 4) 4 mort sur 11 malades, toutes les mala-dies aiguës et chroniques y comprises. » Il reste évident que si l'on ne
he). — Les individus faibles et cachectiques, ou atteints de maladies chroniques , de phthisie, par exemple, ne sont pas plus que d
t. fil ans, Très affaiblie. Di'ata-tions bronchiques et pneumonie chronique . o3 ans. Amaurosc. Habituelle-ment bien portant
une période aiguë avec rou-geur, douleur, etc., suivie d'une période chronique , avec atrophie et défor-mations diverses. En un m
partition. — État lichénoide. — Amaigrissement progressif. — Diarrhée chronique . — Mort. Autopsie : Petit kyste du cerveau. — T
Une femme d'environ cinquante ans, dit M. Rostan 3, portait un ulcère chronique à la jambe droite; elle était d'ailleurs convales
uppression. « Chez les vieillards, dit M. Rayer *, les in-flammations chroniques de la peau, indépendantes des causes externes, do
e ces affections acquièrent une tendance prononcée à pas-ser à l'état chronique , lorsqu'on les abandonne à elles-mêmes, ou qu'on
ent quelque peu exagérée. Combien, par exemple, est rare la pneumonie chronique , et combien de fois n'arrive-t-il 1. II n'en se
s est en raison inverse de leur acuité primitive. Celles des maladies chroniques qui sont le plus remarquables par leur longue dur
nec, Landré-Beauvais, Poilroux), les désigner sous le nom de maladies chroniques primitives ou primitivement chroniques, pour les
signer sous le nom de maladies chroniques primitives ou primitivement chroniques , pour les distinguer de celles qui ne deviennent
itivement chroniques, pour les distinguer de celles qui ne deviennent chroniques qu'après avoir passé par un état aigu. Celles-ci,
as être dans la crainte presque chimérique de la voir passer à l'état chronique , mais pour d'autres motifs véritablement fondés s
articuliers, se rencontrer dans le cours d'une même maladie, aiguë ou chronique , alors même qu'elle se montre avec des symptômes
s préparations arsenicales dans le traitement de certaines affections chroniques , se sont au-jourd'hui en partie évanouies à la lu
'ai soigné, à l'hôpi-tal de la Charité, de la lèpre et d'une entérite chronique , un compositeur en imprimerie, âgé de vingt-trois
r. Quoi qu'il en soit, dans la série des symptômes de Yarseni-cisme chronique , l'anaphrodisie paraît devoir être comptée au nom
ical Effecls of Arsenic.(Edimb.medic. Journal, 1858, n 35, p. 362.) chronique , — en tout comparable, à ce point de vue, aux aut
s nos observations personnelles. Il en est de même lorsque la myélite chronique est compliquée de méningite spinale. 2° Les par
ues mots sur le mode d'action des sels d'argent dans les affections chroniques de la moelle épinière. — D'après les faits que no
r peut souvent améliorer, et quelquefois guérir, certaines affections chroniques de la moelle épinière, qui ont été rangées, jusqu
plus attentive de la question a démontré que, parmi ces dégénérations chroniques des cordons médullaires qui ont reçu le nom de sc
médicament. Mac Gregos (de Dublin) en fai-sait usage dans la diarrhée chronique ordinaire, en l'associant à l'opium. Hirsch en re
n médecin' américain, Publes, prétend avoir souvent guéri la jaunisse chronique et spontanée par l'azotate d'argent. Il est proba
s la cachexie et la débilité qui se ratta-chent à diverses affections chroniques . Neligan Moore en recommande l'emploi au début de
naire, ainsi que dans l'affaiblissement qui accompagne les affections chroniques de l'estomac, surtout lorsqu'il existe un état d'
ets dans la forme subaiguë de la maladie, et même aussi dans sa forme chronique primitive, au moment de ces exacerbations marquée
e, 427; — dans les hémiplégies anciennes, 429; — dans les affec-tions chroniques de la moelle, 430; — dans les affections du tube
ydropisies, 435; — biblio-graphie, 436. Argyrie, 415. Arsenicisme chronique , 354 ; — trem-blement et paralysie dans 1' —, 349
ysis, 332. M Maladies aiguës : tendance à la chronicité, 327. — chroniques primitives, 327. — intercurrentes : influence s
hydatides, 266, 277. Moelle : sels d'argent dans les af-fections chroniques de la —, 430, Métamorphose régressive des tissu
56 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rait pour cause une hérédité vésanique, elle affecterait une marche chronique et rémittente spéciale. Mais on reconnaît que l
e l'esprit, p. 2\6. 2 Bouvier. -- Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur, 1SS, p. 88. 3 A. De
érale. M. Grasset ' admet une parenté entre les myélites diffuses chroniques et l'épilepsie, l'idiotie, l'aliénation, et les
amille morbide. (A suivre.) z ' lîouclmt. Du rzercosisnze aigu et chronique et des maladies ner- veuses, 121> relit. 187
des cornes postérieures était comprise dans le foyer d'inflammation chronique et que, par suite, ses éléments constitutifs n'
myé- lite interstitielle diffuse. Qu'un foyer de myélite diffuse chronique envahisse une région de la moelle, la région do
e le premier, au moins en France, « aux formes aiguës, subaiguës et chroniques primitives de l'inflammation de. la moelle épin
le tronc du tl'iju- menu, Confirmation nécroscopique : inflammation chronique com- prenant le périoste, la dure-mère, la pie-
ie .Maison. GowEns. - De l'épilepsie et autres maladies convulsives chroniques . '1'1',1- duit de l'anglais par le D' CAxnOEn.
: eux ; tante maternelle folle, suicidée. Deux soeurs rhumatisantes chroniques . Un frère faible d'intelligence aurait eu une l
Malherbe. Des affections viscémles dans la goutte et le rhumatisme chroniques . Thèse de Paris, 1866, p. 45. 2 Garrod. - Trait
nie, quelquefois à la paralysie générale (Rayner). Dans la goutte chronique , on observerait des hallucinations sensorielles
ompagner de la déformation des mains, habituelle dans le rhumatisme chronique . Nous serions donc porté à nous demander si les
affaire aune pure coïncidence, chez le même sujet, d'un rhumatisme chronique et d'une DE 1,'H k,li ATROPHIE DE LA LANGUE. 19
ra que les lésions osseuses relevaient, en effet, du rhuma- tisme chronique et non pas du tabes. Il n'était pas inutile, ce
lupart des affections bulbaires (para- lysie glosso-Iabio-Iaryngée, chronique ou aiguë) re- tentissent d'habitude sur l'un et
ieures de la moelle, et d'autre part, que le processus d'irritation chronique paraît se propager du cordon de Burdach à ces c
ons du mésocéphale. M. Leudet l'a signalée dans un cas de méningite chronique de la base de l'encéphale. On l'observe quelque
e vessie irritable peuvent se rencontrer dans le nervosisme aigu ou chronique , dans la neurasthénie, l'irritation spinale, la
re dire quelques mots : A qui convient-il de décider si un délirant chronique est inof- fensif ou dangereux ? Au médecin trai
mique;' par OBIER. Thèse de Paris, 1883. Note sur un cas de myélite chronique ci diagnostic douteux (sclé- rose latérale amyo
ent actif, à la fois un asile de retraite pour les aliénés aigus et chroniques de la commune de Copenhague. ,. '11' Ii Les p
pour cent des ' ¡ aliénés travaillent. Comme il s'agit d'affection» chroniques , FAITS DIVERS. z87 le mouvement de la populat
ans un précédent travail,'sur un état psychique, propre aux anxieux chroniques , et caractérisé principalement'par la négation
n fait ordinaire chez PERTE DE LA VISION MENTALE. 293 les anxieux chroniques , on serait invinciblement en- traîné à considér
phénomènes dyspeptiques indi- quant sûrement un catarrhe gastrique chronique ; on donna du sel DUMERYCISME. 3)7 ï de Carlsb
. Koerner, il s'agit là d'un malade faible, souffrant d'un catarrhe chronique de l'estomac et d'une constipation opiniâtre, a
le sel de Carlsbad. Observation XXXVI. Catarrhe gastro-intestinal chronique dans l'enfance. Dysenterie. Constipation. - Déb
ctérisent les poliomyélites sont dues à leur mode de début, aigu ou chronique , à la répartition des lésions, ou bien résulten
son enfance et jusque dans la puberté par dès lésions suppuratives chroniques des pieds et des jambes, (renseignements incomp
x, que le caractère mélancolique des individus atteints de maladies chroniques des voies digestives que le délire famélique de
ie modérée du fond de l'oeil, ressortissait à la folie systématique chronique . Les psychoses simples n'avaient en- gendré auc
aki (du Japon). Cerveau d'un aliéné atteint de folie systé- matique chronique . A l'instigation de 11. Mendel, l'auteur a soumis
ies périphériques, névroses syphilitiques, de la chorée, alcoolisme chronique , alcoolisme aigu, de l'alcoolisme subaigu, le dél
hoses aiguës, notant à l'occasion les particularités marquantes des chroniques . La thérapeutique ne présente d'ailleurs rien de
des dans la proportion de 1 : 6 (quartier des aiguës) et de 1 : 12 ( chroniques ). Ils ont pour uniforme une redin- gote bleue à
e 100 pages. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 417 i Mabit. - De la manie chronique à forme rémittente. Brochure in-8" de 240 pages
émence mélancolique. (Contribution à l'étude de la peri encéphalite chronique localisée et à l'étude des localisations céré-
ewski et Erlitzky, 250. Sinus falciforme supérieur (engor- gement chronique du), par Po- pofi, 307. Si-Yucn-Lu (exposé de
57 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
r justifier le succès très mérité de ce livre. Ilcrminic Poitevin CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE L'îvresse au Congrès pénitent
ne tomberez jamais dans ce vice répugnant qu'on appelle l'alcoolisme chronique , mais je veux vous mettre en garde même contre l'
os cœurs, la note juste, celle qui touche, parce qu'elle est vraie. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société pour les recherches p
connu qu'un tiers d'entre eux étaient malade ou affligés d'affections chroniques . La myopie, si fréquente chez eux qu'elle mérite
1 0/0 étaient malades ou présentaient les premiers signes de maladies chroniques , 36 0/0 étaient chlorotiques ; la céphalagie
u dans lequel il se produit : il peut se manifester à l'état aigu, ou chronique , être partiel c'est à dire limité à un membre, à
ies infectieuses et de certaines intoxications. Puis les epilepsies chroniques avec leurs formes motrices, sensorielles, ou psyc
agées par la suggestion hypnotique, elle ne guérit pas les affections chroniques . Par l'anesthèsie hypnotique, on obtient assuréme
pathologique, l'espace intercalaire ou d'inter- mittence. Du délire chronique a évolution systématique. M. Sérieux (de Paris)
s systématisés des dégénérés : M. Magnan lui a donné le nom de délire chronique à évolution systématique. Cette psychose frappe à
es, ne sont que les étapes successives d'une même maladie : le délire chronique . Facile à distinguer du délire hypocondriaque, de
s états mélancoliques et ces délires hallucinatoires aigus, le délire chronique doit être nettement séparé des diverses psychoses
écoce ; 9° les démences précoces de certains maniaques, mélancoliques chroniques , de certains mystiques et de certains persécutés;
lant : Une femme de vingt-cinq ans était atteinte de pelvi-peritonite chronique et fort épuisée. On envoie le mari en pèlerinage
pa-rait-il, un des plus usuels dans le monde des tireurs de sort. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE La Société de psychologie exp
as : il s'agissait d'une jeune tille de 23 ans. atteinte d"une choréc chronique limitée au bras droit et dont le début remon-. ta
ffet d'abréger la durée de la maladie, d'empêcher le passage à l'état chronique , de diminuer les chances de récidive et de modifi
Comme on l'a dit fort justement, les malades atteints d'affections chroniques du système nerveux peuvent être déjà dans un état
pu noter des cas d'hémiplégies, de paraplégies anciennes, de myélites chroniques améliorées à la suite de quelques séances de sugg
ralgies dentaires, la névralgie sciatique, les douleurs du rhumatisme chronique et surtout la gastralgie. Dans tous les cas de
trouble de la sensibilité générale la troisième . d'une intoxication chronique par le chloroforme et l'éther avec affaiblissemen
prouve que leurs tentatives de suicide soient de simples comédies. CHRONIQUE BIBLIOGRAPHIQUE Quelques publications récentes
ph:nomanie étaient chez lui dissimulés et compliqués par l'alcoolisme chronique . Je cite le second cas comme exemple de la facili
, comme étant "seulement des états particuliers du système nerveux. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE inférieure du doigt d'un pied
es fous des modifications analogues de la personnalité. Les délirants chroniques qui s'imaginent être Jésus-Christ. Napoléon. Roth
aires, aux troubles intellectuels, à la perturbation du sens moral. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Hommage au docteur Liebeault
la peine de les étudier. Le bon médecin M. le DrK. Monin dans une chronique du Gil Blas, décrit ainsi le bon médecin : « Le
qui me consolent de bien des sourires dédaigneux. » J. Delbœuf. : CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE La Suggestibilité de Gabriell
APPLICATIONS DE LA SUGGESTION HYPNOTIQUE AU TRAITEMENT D'AFFECTIONS CHRONIQUES Par SI. le D' LLOYD-TL'CKEY (de Londres). Les
vations suivantes, relatives à quelques malades atteints d'affections chroniques , qui ont été soumis au traitement hypnotique pend
e l'hypnotisme est souvent applicable dans le traitement des maladies chroniques , qu'il n'offre aucun danger lorsqu'il est judicie
êmement hypnotisable et lui ai donné mes soins pour une toux laryngée chronique , un rhumatisme, une sciatique, pntritns vtdtœ, am
on arrivait à déterminer les causes qui produisent ces divergences. chronique et correspondance Un Précurseur lyonnais de l'H
, et elle nous isole d'auiant plus qu'elle est plus ûxéc, consolidée, chronique . L'épilepsie, l'ivresse, l'hypnose sont égaleme
et des plus belles de la Philosophie pétiole. Dr ÉiiiLE Laurent. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Lettre de M. Delbceuf au suje
eu de gravité, mais qu'il est aussi très efficace contre des troubles chroniques ayant résisté à toutes les autres médications. Ce
: 1- Hérédité; 2° Hallucinations télépalhiques; 3a Sens musculaire. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Lettre de M. le professeur Ma
nt faciles à étudier, mais il en existe de beaucoup plus complexes. chronique et correspondance Enseignement de l'Hypnotisme.
d'une lésion organique difficile à déraciner. La douleur peut devenir chronique et réagir sur les fonctions gastro-intestinales s
nsibilité génitale qui jouent un rôle si important chez les délirants chroniques et les dégénérés persécutés, surtout dans le sexe
éal, exagéré, où n'entre (1) Maosax. Leçon* clinique* sur le délire chronique à étolulion systématique, publiées par Journiac e
judiciaire, après avoir été indiquée au point de vue expérimental. chronique et correspondance Société d'Hypnologie. La So
ed'une erreur judiciaire), 8 Affaire Gonffé (l'), 224. Affections chroniques , traitées par l'hypnotisme, par Lloyd-Tuckey, 231
ée (la), par G. Tarde, 277. Crises d'hystérie (les), 26. Délire chronique à évolution systématique (du), 86. Délire du lo
58 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des causes les plus fréquentes de ce ramollissement est l'eczéma chronique , à. répétition, scrofuleux, ou arthritique. L'i
. Toutes les inflammations de l'oreille externe ou moyenne à marche chronique , finissent par produire ce relâchement et la vo
. Observation I. H..., trente-cinq ans; bonne santé, pha- ryngite chronique rhumatismale; surdité plus forte à gauche, obst
Observation III (résumée). - Dame, ménopause; bronchite arthritique chronique ; vieilles otites. Vertige subit en se mouchant
tiges très forts; avec chute, deux fois. - Surdité à gauche. Coryza chronique . Obstruction tubaire ; induration et enfonçure
ni par les os ni par l'air. Observation VI (résumée). Pharyngite chronique ; obs- truction des trompes ; scélérose auricul
nt disposé d'ailleurs pour que l'ébranlement soit possible (otite chronique , période de ramollissement, avec en- fonçure de
s, fourneaux, etc.). Exemple : Observation XI (résumée). Pharyngite chronique ; vieilles otites ; sclérose à droite ; vertige
ue nous observions ? S'agissait-il d'une myélite transverse dorsale chronique avec dé- génération scléreuse descendante consé
rvice de M. Millard où l'on a porté le diagnostic de pacbyméningito chronique . Le 23 juillet 1882, pendant son séjour à l'hôp
térieur du renflement lombaire, sur la non-existence de mé- ningite chronique postérieure, malgré la sclérose postérieure. Il
anesthésie. Admission à l'hôpital en novembre. Folie systé- matique chronique typique. Amaigrissement. Paralysie pres- que co
hyméuingitc pseudo-membraneuse partielle du cer- veau ; une cystite chronique ulcéreuse, de la pyélonéphritemé- tastatique do
tiques, toutes les myé- lytes systématisées, amyotrophies aiguës et chroniques , pri- mitives et secondaires, ataxie locomotric
nt encore à démontrer l'existence ; c'est tout simplement une phase chronique non encore décrite de la mélancolie anxieuse.
dc-t-on d'accorder l'exeat quand il s'agit des formes de dépression chronique , de folie systématique à tendances paisibles ou
10 de Sous.v Mugaliiaes e Lemos, Porto 1882. De la marche du Délire chronique ; par P. Castang. Thèse de Paris, 1882. De l'a
ertige de Ménière, bourdonnements agaçants, à paroxysme, pharyngite chronique congestive. Oblitération des trompes. Montre,
. Dame X..., vingt ans, scrofuleuse, taies sur les yeux, pharyngite chronique , otorrhées dans l'en- fance ; elle n'entend la
rencontrer la pachy-méningite dans la dernière période des maladies chroniques , telles que le mal deBright et la tuberez- lose
panouissement phy- siologique du cerveau. D. B. XIX. Hydrocéphale chronique consécutive A une attaque de ménin- GITE aiguë.
gerichtl. Jledic. XXXIX; 2 et 3). P. 1 BIBLIOGRAPHIE De la manie chronique à forme rémittente; par S. Marit. Thèse de Pari
chique anormal, mais sans manifestations délirantes; c'est la manie chronique à forme rémittente. Les accès reviennent à des
ladie se prolonge. La marche de cette affection est essentiellement chronique ; l'incurabililé est la règle; la démence n'arri
Cet homme ? dont 'le père et la mère sont atteints d'une bronchite chronique /est lui-même malade delà même affection depuis
? t- 't y ·..rn n·. Ym W ititm tH tttj' d'arthropathie et d'oedème chronique , permette sup- - poser, l'existence,. d'un,. ra
t la brusquerie des phé- nomènes, les hystéries aiguës ouïes formes chroniques . C'est pourquoi les climats, les peuples, les r
oedème cérébro-spinal de Bergmann). En une observation de méningite chronique consécutive à une double otite moyenne (phénomè
. SUK une forme particulière ET curable DE myélite centrale diffuse chronique (/MC/0;)a//«C ayant des symp- tôiiies analogues
t des symp- tôiiies analogues d ceux de la myélite centrale diffuse chronique 4 et se terminant par la guérison); par J. DÉJE
'agissait donc d'une forme nouvelle de myélopathie généra- lisée et chronique curable, sous la dépendance non d'une inflam- .
les tractus intraccrebraux. Lésions de iameningo-perien- cépllalite chronique diffuse. Sans vouloir tirer une conclusion prém
,es prédispoqaii 1 p 3 eds nées d'hypnotisme provoqué, l'excitation chronique prolo1,1 u Lèllle,;[ nerycux .(disspnsiois]test
iques réduits à l'impuissance du fait d'accès répétés, d'infirmités chroniques ou d'un certain degré d'affaiblissement psychiq
e un alcoolique aliéné chez qui des symptômes excessifs de catarrhe chronique de l'estomac nécessitèrent des lavages de l'or-
bien réplétion énorme et soudaine de l'estomac affecté de catarrhe chronique par l'ingestion de liquide, les accès ont en tous
'infirmerie, selon leurs infirmités ou le genre de leurs affections chroniques . Sur 711 prisonniers qu'il contenait au 31 mars
e succès contre les diverses manifestations de l'alcoolisme aigu et chronique , est le mieux assuré. Le mode d'emploi le plus
mence mélancolique (contribution à l'étude de la périeu- céplialite chronique localisée et à l'étude des localisations céré-
l'établisse- ment et la gestion des asiles, ce préjugé que la folie chronique est incurable et, par conséquent, doit être aba
aciale, les accidents cérébraux dans le mal de Bright, l'alcoolisme chronique , l'alcoolisme 6'M«t{/M, la toux hystérique, l'a
relative à la génération et l 1'), par Koch, 362. Hydrocéphale chronique consécu- tive à une attaque de méningite aigu
ondaires des deux organes, par Fiii-stitei- et Zacher, 373. Manie chronique a forme rémittente, par 268. ' Méningite tube
117. Myélite des cornes grises, 120. .Myélite centrale iiiiitise chronique (forme particulière et curable), par Déjelinc
59 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re térraimd'observatiomesl; exclusivement circons- crit aux délires chroniques chez les vésaniquesspurs, depuis les, premiers
e oblige : Tantôt ce sont des névroses," tantôt des empoisonnements chroniques DU DLIRE%,DAN4LA),VSANIE. 2t (alcoolisme, a ?
alors;. affaibli 1 int'ellectuellement11 il">finit,,(T délirant Chronique , par se stéréotyper ? se momifier dans ses préo
e. 'Le.délire,L hypochondriaque, systématisé et devenu absolument chronique , reste seul. Ou enfin, venant Vajouter à , ". ¡
es mentalement saines, mais habituées à souffrir de quelque maladie chronique ). une exagération de la persunnalité, qui devie
Ainsi se découvre j peu à peu, cette loi générale : ,Dans le délire chronique , la période expansive 1 ne. fait jamais que suc
);J,e¡, : fsçoQ1p,Ijmés, PJ1}' ItW e.tÆ\d.ts : 9{l,jlléli1;'\7 gite chronique d'emblée, si celles des muscles qui en relèvent s
,paralytique, il, existe de ? fvé,ltlipgqr,eÍ : tt->1 céplialite chronique de l'écorce, aboutissant à l'atrophie ,d ? ,.1 ?
scopique ('se' résumé' en'l'existence'd'altérations ménih'gitiqùës' chroniques ^ d'une sclérosé, très prononcée, au pourtour de
1'é; l'auteur appelle' i l'attention'' sur Un' fOYe1 ? dè t myélite chronique ovalé inesurant un centimètre' qu'il rencontra''
thermie; mort. L'autopsie décèle l'existence d'une ]epto-méningiteJ chronique avec atrophie cérébrale, hydrocéphalie interne,
s d'intermittence, de convutsibilité, de vertige. C'est une maladie chronique qui souvent dure toute la vie et dont la complè
énés, qu'ils soient atteints de perturbation mentale transitoire ou chronique . 2° Ceux qui, sans être aliénés, sont incapable
atre semaines. Cette prolongation est obliga- toire pour les formes chroniques , entrecoupées d'accès d'agitation. Les accident
1.1 jI'-j"1U'4 -UL ' J Il J 1" f" 1 ,1f,I'¡t, Il P Ii. Le délire chronique , son évolution (étude clinique) ; par, GÉRENTE.
. M. le Dr mordre a été d'avis que Nouaux pouvait être un alcoolisé chronique , un per- sécuté halluciné et impulsif, un fou d
avec abolition partielle du souvenir. Nouaux n'est ni un alcoolisé chronique , ni un aliéné permanent, ni un simulateur. Il e
tel ou tel malade. Par exemple, nous trouverons de vieux hallucinés chroniques en démence, et chez qui persisteront parfois de
que nous avons remarqué à maintes reprises chez d'anciens délirants chroniques , de vieux vésaniques devenus déments à la suite
ie, de théomanie, etc., il s'agira d'une phase ultérieure du délire chronique au cours de son évolution, à savoir la période
c, il n'y a point de monomanes; il n'y a que le vésanique, délirant chronique , aux di- verses périodes de son évolution. La l
ulu décrire; nous estimons que, chez les vésaniques purs, délirants chroniques , on pourra toujours reconnaître une progression
s (OBs. IX), des maux perforants plantaires (OBs. VII), des oedèmes chroniques et durs (OBS. VI), des arthropathies (Cas. VI,
ulnérabi- lité toute spéciale pour certaines affections aiguës et chroniques . C'est ainsi que l'on voit apparaître à cet âge
xemple de la forme d'idiotie, consécutive à une méningo-encéphalite chronique , sur laquelle l'un de nous a déjà appelé l'atte
à l'entrée, nous avons porté le diagnostic : méningo-encéphalite chronique , que l'autopsie est venue confirmer. IV. Les lé
considérée comme incurable et entraîner le divorce, car l'aliéné chronique est un être déchu, « étranger au milieu ambiant »
s dont M. Luys semble faire peu de cas. C'est pourtant à cet aliéné chronique , dont le sort est en- core si incertain, que l'
les autres sédatifs ; telles ces exaltations maniaques, ces manies chroniques , ces folies périodiques et circu- laires avec a
s()mbloJ là- plupart 'de1 ces malades jFosor-l¡" tissent à la folie chronique ou secondaire oLsont.'uanMpabdes ? hanucinatiou
aussi que l'hallucination, en tant que manifestation des délires chroniques , suit une marche parallèle aux conceptions déli
me à Bicêtre ; un cousin germain maternel est atteint de dé- lire chronique ; d'abord persécuté, il en est arrivé au- jourd'
nconscient, action favorable de la médication biomurée. Le délire chronique est tout aussi bien dessiné chez .ce malade, Dè
lus rares. De même que pour l'épilepsie, rien ne manque au délire chronique : influence héréditaire, périodes d'in- quiétud
épilepsie s'est améliorée sous l'influence du traitement, le délire chronique paraît devoir suivre sa marche progressive pour
uicide et tend à systématiser ses idées de persécution, le délirant chronique est plus vivement persécuté, et, 1 Magnan. De l
e caractère différent, qui sont relativement rares dans le délire chronique , se montrent plus fréquemment dans l'hystérie e
llucinatoire des hystériques, la mélancolie active, et l'alcoolisme chronique (raptus mélancolique et raptus 1 V. les Arch, d
s de ses effets thérapeutiques, et qu'en tous cas, chez les aliénés chroniques , lés avantages obtenus compensent largement la
rtout continu et logique dont la forme se rap- proche des modalités chroniques de la folie systématique pri- mitive. M. Krel
c en est favorable. Discussion. M. MOLLO a vu la folie systématique chronique se dé- velopper de la même façon en certains ca
ait dans ce groupe, outre les fous systéma- tiques et les maniaques chroniques , le nombre incalculable des pa- ralytiques géné
ré qu'un épileptique peut être en même temps alcoolique et délirant chronique et que, chez un tel sujet, l'épilepsie, l'alcoo-
s'il s'agit de sujets qui sont en même temps alcooliques, délirants chroniques , impulsifs, etc. ; b) mais même chez des sujets
et épilepsie partielle consé- cutive à une méningu-encépha- lite chronique , par Bournevillo et Lellnive, 236. Invalides
ouvriers en laiton, 409. Medico-iégai (rapport), 406. Méningite chronique (contribution à l'étude des lésions du bulbe
60 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ophage, urémie lente, hémorrhagie cérébrale au cours d'une néphrite chronique . Ces malades ont présenté des attitudes catalep
e véritable monographie de la question. J. S. XVII. L'acrocianose chronique hypertrophiante ; par M. PLao. (Nouv. Iconog. d
les : 1° Celle avec prédominance de troubles sensitifs (acrocyanose chronique à forme sensitive).- -20 La moda- lité avec atr
t encore possible de la localiser plus exactement. XIX. Trophoedème chronique acquis et progressif; par Smicard et LAIGNEL-L4
et Meige, deux variétés : congénitale, la plus stable s'installant chronique d'emblée, restant à peu près immo- 56 .REVUE DE
gmasique qui le différencie du liquide qui accompagne les processus chroniques .. , G. Carrier. XXVI. Spondylose rhyzomélique e
ablement fonction de l'évolution fibro- formative d'une tuberculose chronique , au même titre que les scléroses pulmonaires, l
itération des vaisseaux pré- existants et néoformés essentiellement chronique ; les fibres nerveuses disparaissent alors faut
lle le malade perd toute vision distincte, l'autre, essentiellement chronique , pendant laquelle les phénomènes aigus ayant di
sédés qui sont les uns des mélancoliques, les autres des persécutés chroniques ; il est aussi, parmi ces malades, des obsédés
le. Cette hypothèse s'appliquerait fort bien à d'autres psychoses chroniques ou transitoires, à l'hystérie notamment. Elle ouv
que lentement, on peut présupposer le commencement d'un processus chronique . La particularité du cas donné consiste dans cela
tous les délires systématisés hallucinatoires, y compris le délire chronique de Magnan, ces idées délirantes sont un peu moi
lire polymorphe, paranoïa aigus, etc.); 3° aux folies systématisées chroniques . Tous les auteurs sont aujourd'hui d'accord pou
ute sur son origine démentielle. - Réstent les délires systématisés chroniques . Beaucoup d'auteurs estimaient autrefois que ce
M. Magnan pour faire accepter la période démentielle de son délire chronique à évolution systématique. L'effacement du délire,
es les variétés hallucinatoires de la paranoïa, y compris le délire chronique de Magnan, doivent être considérés, au moins à
du niveau intellectuel des malades atteints de délires systématisés chroniques , il faut étudier le contenu de ces délires qui,
ence précoce de la plupait des délires systématisés hallucinatoires chroniques . Ajoutons, enfin, que la terminaison constante
clinique, en établissant l'existence, dans tous les cas de démence chronique , de lésions matérielles de la corticalité céréb
étendues psychoses dégénératives, aux délires systématisés aigus ou chroniques (variétés hallucinatoires), etc., elles ressort
ificiellement séparés, sui- vant qu'il s'agit des lésions aiguës ou chroniques , réparables ou destructives. Ce classement pe
lancolie, stupeur, confusion mentale, voire même délire systématisé chronique , etc., bien qu'elles puissent marquer le début
tissent souvent non à la démence, mais à des délires systéma- tisés chroniques , où l'affaiblissement des facultés n'apparaît que
ans le groupe des confu- sions mentales. Les délires systématisés chroniques hallucinatoires évoluant vers la démence bien q
nts de ceux des déments précoces : ces délires, y compris le délire chronique de Magnan, forment le groupe de la démence para
sexuelle. Sur la démence organique secondaire à quelques délires chroniques hallucinatoires. MM. le Dr Marie (de Ville,ju
iles de la Seine. Les hallucinations observées chez les déli- rants chroniques sont parfois unilatérales (perçues par une seule
e et des viscères d'une femme de vingt-trois ans morte tuberculeuse chronique à l'asile des aliénés d'Evreux en octobre 1903
nutrition, hypothyroïdi- sation, etc.) des phénomènes d'encéphalite chronique avec aug- mentation de la tension intracrânienn
ble à ce que l'on voit dans les cas de troubles ner- veux graves et chroniques consécutifs à la commotion cérébrale. . P. KERA
, 1900), avec cette différence qu'il y a dans ce cas non alcoolisme chronique , mais tare héréditaire et syphilis. La cause oc
faut accuser la faiblesse de leur volonté exagérée par l'alcoolisme chronique . La même pathogénie s'applique à certains hystéri
mptomatique dû aux tumeurs du cerveau, avec évolu- tion subaiguë ou chronique , stase papillaire, dont 8 guérirent (deux ans e
de faire le diagnostic à début osseux. G. C. LX.Deux cas de Chorée chronique : 1° Chorée congénitale molle.- 2° Chorée héréd
chorée congénitale, qu'elle soit spasmodique ou molle, le caractère chronique et congénital, la coexistence fré- quente des t
e observation il s'agit d'un malade âgé de 40 ans atteint de chorée chronique d'Huntington dont le caractère héré- ditaire et
et un ans qui a été de très longue durée. G. C. LXII. Trophoedème chronique chez une épileptique; par Lannois (Soc. méd. de
c. méd. des Hôpitaux de Lyon, 22 mars 1904). Le cas de troplroedéme chronique rapporté par M. Lannois est intéressant par la
un certain rôle aux intoxications et en particulier à l'alcoolisme chronique . XXXII. Délire alcoolique continu par SOU¡\11 \
qu'il n'y ait pas affaiblissement intellectuel chez les vésaniques chroniques , je ne suis pas de son avis. La confusion menta
ne aliénée. M. Leroy présente l'observation d'une vieille délirante chronique qui collectionnait les sujets les plus divers e
ait leur avoir remis. Les jour- naux avaient parlé de lui dans leur chronique locale et la police arrêta enfin E... alors qu'
ences, ne trouva d'autres lésions internes que celles d'une aortite chronique et après s'être enquis de tout ce qui s'était p
e CACODYLIQUE. Le traitement à t ? par Smult. 356. ACIIOCY.1-NOSE chronique hypeitro- phiante, par Péhu, 55. Acromégalie.
par Marie, 232. Sur la - organique secondaire à quelques délires chroniques hallucinatoi- res, par Marie, 232. Un cas de
r le -, et addition au même mémoire, par Wolff, 355 ÏROPHOEDKME chronique acquis et progressif, par Sicard et Laigncl-
stme, 55. TROPIlOEDÈ\1E hystérique, par Lan- nois et Lançon, 495, chronique chez une épileptique, par Lan- nois. 493. T
61 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ésion organique de l'écorce cérébrale, mais seulement une méningite chronique diffuse sans adhérences de l'écorce avec les mé
SMUELLER. (Neurol. Centralbl., 1889.) Type clinique de poliomyélite chronique avec polioencéphalite supérieure (ophthalmoplég
entralbl., 1889.) L'auteur en décrit quatre formes : 1° Une forme chronique (l'épithète se conçoit de soi) dans la pa- raly
ades en question, on trouve la proportion de 1 à 41 psycho- pathies chroniques , 2,45 aliénées ayant subi déjà une condam- nati
éclusion permanente. M. l'IOECKE, doute que, dans les psychopathies chroniques , le trai- tement au lit soit de notable utilité
agnan (V.). - Leçons cliniques sur les maladies mentales (Le délire chronique a évolution systématique). -Volume in-8° de 117 p
s mutiples (perte ou oblitération précoce du sens moral). 2° Délire chronique systématique. Histoire et rapport très complets
e reconnaissent pas de différence fondamen- tale entre l'alcoolisme chronique et la paralysie générale, et croient, comme aut
d'autres établissent une distinction très nette entre l'alcoolisme chronique et la paralysie générale; ils admettent une par
lcoolique, pouvant être quelquefois l'aboutissant de l'al- coolisme chronique ; 4° les derniers, faisant preuve de plus de ci ?
l'autre. En résumé, en dehors des cas peu nombreux où l'alcoolique chronique non prédisposé peut aboutir de chute en chute à
nérale et l'alcoolisme sont deux élats distincts, mais l'alcoolisme chronique peut parfois conduire à la paralysie générale ;
de l'opinion qui admet deux modes de terminai- son de l'alcoolisme chronique , l'un pour la démence, l'autre pour la paralysi
s, l'on a affaire, et c'est là le cas le plus commun, à l'alcoolisé chronique qui s'achemine de chute en chute, progressiveme
stic difficile. On se trouve, en effet, en présence d'un alcoolique chronique qui a revêtu le costume du paralytique général.
s à l'appoint alcoolique disparaissent et l'on retrouve l'alcoolisé chronique vulgaire. Un second groupe, mais moins nombreux
onique vulgaire. Un second groupe, mais moins nombreux d'alcoolisés chroniques , est celui qui s'achemine vers la paralysie gén
des cinq observa- tions suivantes, ne sont autre que des alcoolisés chroniques abou- tissant à la paralysie générale. Eu rés
s alcoo- liques sont repoussées par la clinique et que l'alcoolisme chronique conduit habituellement à la démence et parfois
s animaux alcoolisés : « Recherches expérimentales sur l'alcoolisme chronique ^comme cause de la paralysie. » Après une pério
CIÉTÉS SAVANTES. 239 clinique le passage insensible de l'alcoolisme chronique à la para- lysie générale. M. Charpentier étu
ueur d'arquebuse. Cet empoisonnement différerait de l'em- poisement chronique par l'alcool, aussi bien par les lésions ana- t
L'auteur en conclut au rapport étroit existant entre l'alcoolisme chronique d'une part et la paralysie générale de l'autre, m
e l'encombrement de plus eut plus marqué des asiles par des aliénés chroniques , des non-valeurs. de toutes sortes, des alcooli
sont envoyés à Charenton seulement lorsqu'ils sont passés à l'état chronique . Dans ces conditions, la statistique est diffic
Les fosses nasales sont presque constamment le siège d'un catarrhe chronique . L'hypertrophie de la muqueuse de la cloison et
e de cinquante et un ans présentant tous les signes de l'alcoolisme chronique , est depuis Noël 1887 paralysée des jambes, ell
Charcot avait vu plusieurs fois coexister le tabes et le rhumatisme chronique . Le tabes survienLsouvent chez les diathésiques
nde étape d'une maladie mentale à évolution continue appelée délire chronique ou psychose systé= matisée progressive (Paul Ga
eçons cliniques sur les maladies mentales, Paris, 1891. * Le Délire chronique , in BuGI. de la Soc. de méd. mentale de Delgiqtie
ire ambitieux arrive fatalement comme troisième période du délire chronique . Il me paraît important d'étudier avant tout ce
ennent prédominantes, constituant une véritable mégalomanie (délire chronique de Magnan); b). Tantôt elles n'apparaissent que
ssent pas susceptibles d'en avoir jamais. a). - MÉGALOMANIE (DÉLIRE CHRONIQUE ) Observation 1. - maris 0..., né en 1846, emplo
lui. Ce malade est, comme le précédent, un bel exemple de délire chronique ; les trois premières périodes ont été très net
sent cette con- clusion, que le délire de persécution (forme délire chronique systématisé) se termine habituellement, non par
telles que l'hérédité, l'imitation. S'il s'agit de la suicidomanie chronique , ce sont la sénilité, la folie (principalement
ne va pas jusqu'à la surface. Reste l'hypothèse d'un ramollissement chronique sans lésion vasculaire primigène. Seuls Wernick
l'hypnotisme. Discussion. M. ASCIIEn. J'ai, sur plusieurs délirants chroniques présentant des hallucinations sensorielles acti
énérale (11 observ.) de vésanies avec hallucinations (3), de délire chronique systéma- tique (1), de désordre avec incohérenc
re absent chez un paralytique général et un délirant systéma- tique chronique , cela sans résultat. Ce réflexe reparut en revanc
es impulsions insolites et les actes désordonnés. Son évolution est chronique et mène plus ou moins rapidement à la démence d
.). Elude de pathologie nerveuse : L'athétosc double et les chorées chroniques de l'enfance. Volume in-go de 41t pages, avec 2 p
62 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ha- liques). Anatomiquement, il est caractérisé par une myélite chronique à siège spécial et constant. Cette sclérose occ
ERYSIPÈLE PÉRIODIQUE DES MEMBRES INFÉRIEURS AU COURS D'UNE MYÉLIt'E chronique : par M. D. TEISSIER. (Lyon méd. 1885, t. XVIII
d'épilepsie. G. D. 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. V. Myélite chronique diffuse ; par le Dr Raymond, agrégé, médecin de
ces des membres, etc... G. D. XIV. Cas DE méningite cérébro-spinale chronique ; par ? H. HADDEN. (Trans. of the path. Soc. of
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 69 DE l'exaltation D\NS l'alcoolisme chronique ; par BONVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of Ment
ns de ce mémoire sont les suivantes : « fol,a folie de l'alcoolisme chronique est très souvent caractérisée « par de l'exalta
maladie peut seule tran- « cher la question. - 4° Dans l'alcoolisme chronique , les idées « d'exaltation sont habituellement f
clérose mul- tiple, une de syphilis, une de ramollissement cérébral chronique et une d'hémorrhagie cérébrale suivie d'hémiplé
ence de kystes dermoides dans les ovaires dégénérés, de l'uophorite chronique fibreuse.' ' P. K. XXXIX. Contribution CE QU'
occupe à un délire général d'ordre asthénique, tantôt aigu, tonlôt chronique , affectant la forme d'agitation ma- niaque, ave
peuvent s'améliorer par exemple, un ascendant atteint d'un psychose chronique a pu transmettre iL son ascendant une psychose
t complètement guéri de sa psy- chose ait transmis une psychopathie chronique . La section B envisage cinq familles dans lesqu
par 0. MUELLER. (Nc2G- 1'ol, Cent1'(llbl., z885.; Les dyscrasies chroniques qui sont capables d'engendrer des troubles psyc
g. 11 est rare que, dans la sclérose en plaques ou dans une myélite chronique , on observe une vraie névrite op- tique bien ca
viscères sont parsemées de lésions caractéristiques de l'alcoolisme chronique ; intégrité de la moelle, des racines antérieure
s sont insignifiantes; l'estomac présente les lésions du catarrhe chronique (Gaz. liebd.). F £ né(Cii.) Trailcèlcmentaired'
ant nous deux processus pathologo- anatomiques de cet organe : l'un chronique , ayant pour cause la syphilis et développé sur
est terminé en neuf jours avec une rapidité foudroyante. La maladie chronique de la moelle épinière consistait dans une hyper
ssances unies à l'arachnoïde et aux corps vertébraux. Cette maladie chronique se traduisait pen- dant la vie du malade par un
ractère classique de la paralysie Landry, puisque des modifications chroniques de la moelle épinière ont été constatées, il n'
e (malgré l'atrophie extrême) permet d'exclure l'idée d'une névrite chronique multi- loculaire et de songer à une myopathie ;
abes aurait pour substratum anatomique. un processus parenchymateux chronique (altération vasculaire secondaire ou, tout au m
t de fibres, mais il a engendré tout autour de lui une inflammation chronique qui, tant dans la moitié droite du IV ventricul
psie révéla deux foyers morbides : l'un constitué par une méningite chronique , à son maximum de développement autour du chias
52 femmes d'âges variés, atteintes de différents états d'agitation ( chronique ou maniaque aiguë) on employa la formule suivan
guës; 3° Le* hospices consacrés aux personnes atteintes de maladies chroniques et aux vieillards; 4° Le service des enfants as
t sur les jambes, où la circulation est si pauvre qu'il y a un état chronique d'engelures. La (peau est sèche etdure par plac
la gauche plutôt gris vio- lette paraissant atteinte d'hyperplasie chronique . - OEsophage, estomac, duodénum, pancréas, rien
cerveau soit frais, soit durci, on constate de la leplomé- ningile chronique ordinaire, avec faible participation de la subs-
pour- quoi, chez certains idiots crétinoïdes ou dans les cas très chroniques de myxoedème, la dégénérescence IDIOTIE AVEC CA
bide d'un simple symptôme épisodique. Lorsque la question du délire chronique reviendra en discussion, je me réserve de faire
erveux étaient amincis et infiltrés de graisse. Dans la paramétrite chronique , M. Freund a vu le ganglion qui nous occupe, co
la maladie de l'illustre aliéné a pris un caractère manifeste- ment chronique , surtout à cause du genre de vie du roi qui ne fu
rophié, mais bien musclé et peu de surcharge grais- seuse. Catarrhe chronique de l'estomac qui contient encore des aliments n
ippel, 92. Alcool comme boisson dans les asiles, 71. Alcoolisme chronique (exaltation dans 1'), par Fox, 69, il I. Alié
éningite suppurée, 57; - (tu- berculeuse), 59 ; (cérébro- spinale chronique ), 60. Mentaux (troubles dans les affections c
lite subaigue des cornes an- térieures, pur Dufourt, 57. Myélite ( chronique ), 57; (dif- fuse), par Raymond, 58. Nécrologi
63 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la paralysie générale vraie, est une inflammation interstitielle chronique qui a son point de départ dans les capillaires
s générales et une. typemanie anxieuse) de trois cas d'intoxication chronique par la morphine, chez des sujets non prédisposé
pporte, deux cas absolument anormaux dans l'histoire du morphinisme chronique . Le premier cas concerne un homme de trente-cin
alcoolique n'est donc qu'une phase de transition entre l'alcoolisme chronique et la paralysie générale; M. Vallon rappelle, à c
table per- sécuté persécuteur. De même P... n'est pas un délirant chronique mais un esprit faible, déséquilibré, entaché de
agit sans doute, dans cette dernière occurrence, d'une inflammation chronique systématisée atteignant spéciale- ment l'appare
toire; aucun symptôme mental depuis lors.- Tuber- culose pulmonaire chronique . Mort. Autopsie : foyer de myélite scléreuse ci
. Contribution A LA pathologie DE la paralysie spinale ATRO- PHIQUE chronique ; par H. OPPECIILIV. (Archiv f. Psychitit.,XXIV, 3
es sont épar- gnées. L'étude clinique de la poliomyélite antérieure chronique est excellente, mais son anatomie pathologique
antéro-latérale ayant revêtu l'aspect d'une poliomyélite antérieure chronique (paralysie Ilasque). Observation IV. Phénomènes
vec le 'temps dans le cer- veau. C'est " c4eq'ue'Billd - ! ' e fous chroniques sont parfois héréditaires d'eux-mêmes ? Mais .
ait à un foyer de rarrlollissement récent.·Névrite parenchymateuse. chronique du cubital droit. Leptoménirigite. cérébrale ch
nchymateuse. chronique du cubital droit. Leptoménirigite. cérébrale chronique . Endartérite et mésartérite syphilitique' de la
t17JfÎ' XXXIII. DES TBOUBLES'NEUI(OPSYC : HIQUESr'D1NS'L'CrtGOTISIE chronique ; - LparW.'DE BECUren>;w.N(Nercrolog. Cent2·c
lisse-* -ment consécutif'des facultés ? 1- Lalma ? -che est surtout chronique REVUET DE 1 PATHOLOGIE t NERVEUSE : · 189 mai
illeurs, c'est-à-dire1 qui n'ont pas été' signalées dans 'la chorée chronique .' " ' «" ! »' ' '19h1,·Yi i ? tt ry· " i z 198
ti'troisième'wéntricule. Sans vouloir expliquer'par elles la chorée chronique ) il convient cependant d'en faire une pierre d'
meurt d'un* carcinome pulmonaire. L'aictopsie révèle une myélite chronique traumatique occupant surtout la'région des troisi
employés spéciaux et une organisation spéciale. Les < malades chroniques et. ceux qui travaillent forment la deuxième clas
.. (sllij "b) v ' ' » Le troisième groupe est formé par des malades chroniques tran- quilles qui sont placés en petit nombre d
ue 'le délire religieux c,-tractérise 1'uiie,ties. phases du délire chronique de Magna'n'"au même'titrë'q'ue le délire ambitiew
organique, du .suiet,, ainsi ou il advient dans nombre d affections chroniques débilitantes, mais r-, .r. h )& t..)) ? t;
uencé dês âltérâtïtins vâsculaires dans les cerveaux des 'déments ? chroniques la pachvméningite'intërne,' la dilatation des v
rouver daôs'cêtté9mêniliéaié des traces" évidentes d'inflammation ? chronique il fut complètement déçu dans son attente. D'au
cas : 'Chez les paralytiques) générales, les-syphilitiques 'et-les - chroniques . avant Ja conception, le début a toujours été
ssesse, il 'éût ,i3 `îiérisôns, soit r3p 400rêt 1" assaâes à l'état chronique ,s ? tt 4p. 100 ? sur, 64, cas folie de I,àci6t,
duit aux conclusions suivantes : ' . Io Dans la mélancolie aiguë ou chronique ,' y a une diminution '' U ? , REVUE 1 DE 1 PA
persécution avait, été exprimé dans la grande discussion, du délire chronique . Le, sujet e.s,t cepen- - datlt 10111 1111'e ép
es : les uns, . qui, paraissaient .vouloir englober dans, le délire chronique tous les persécutés, ont limité leurs prétentio
imité leurs prétentions; les autres ont fini par admettre le délire chronique comme entité morbide à évolu- tion, systématiqu
on aussi radicale.1' ? ' · 9 ? " 6x s . Les adversaires du déliré chronique reconnaissent maintenant à leur tour quelles pr
ainsi que l'a dit M.' Briand, lors de la discus- sion'sur le délire chronique , à la tendance des persécutés à dissi- muler le
ne se ressemblent' pas cliniquement parlant. Sans parler du délire chronique , aujourd'hui accepté et caractérisé par une évo
emploi avec les'opinions émises'dans la- discussion sur le délire. chronique , an 7 .& -iuo f 9b =nmJjBii'3t M. Joffroy.
cas, auxquels 1.1-Falret'alfàit allusion,^' de véritables' délires' chroniques se développant chez'des dégénérés.'L'a dégénéresc
énérescence mentale constitue'-non'pas-un vaccin'4 pour le délire t chronique , mais un terrain spécial' sur leqnel le) malade
isé d'emblée ? ^, ? ( ^it"{l , M. Garnier. Les partisans du délire, chronique n'ont jamais limité^ rigoureusement la clironol
confusion hallucinatoire. Pneumonie. Mort. ' Autopsie. Encéphalite chronique insterstitielle avec adhérences méningées local
J ? " A . t..a... . J ? 't ? , L ? - cpmme saille; iaireun délirant chronique . ^Cependant, chez notre malade, l'existence de
congestions et hémorragie corticales) sura- joutées à l'encéphalite chronique interstitielle diffuse. (Revue mensuelle de méd
ues années, de, délire .(délire REVUE'DE PATHOLOGIE MENTALE T 381 chronique ) ? d'autres''foisiéllél'pà.raît être indéfiniment
el signale un cas de guérison par.ces deux' moyens chez un maniaque chronique ; il lui resta cependant de l'affaiblissement' i
et en,même temps du délire des grandeurs. Genèse habituelle. Forme chronique ; - 3° Observa- tion, de catatomie- alte2,ne ;-
mine, -160 Délire du toucher dans le cours d'une confusion ..mental chronique sans, obsession ? (Allg.,Zeitsch. ? Psychiat, L
normale au moment de-la guérison, ou, lorsque la mala- die devient chronique ou encore lorsque la malade tombe-, en dé- menc
locomotrice, paralysie infantile, hémorragie et commotion, myélite chronique , sclérose en plaques, . paraplégie spinale spas
paralysie générale); 4° névral- gies et névrites (migraine aiguë et chronique , névrites périphériques, sciatiques vraies); -
, résume en, quelque sorte la "plupart des maladies congénitales et chroniques du système nerveux chez les enfants. ' 1 1 Tr
Bucklers, 152. ? - EnGOTtroubles neuro-patho- logiques, par 1 ? ' chronique ,' par Bechterew,' 188 ; stigmates perma- nent
64 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent plusieurs calculs. La vessie présente les lésions de la cystite chronique , teinte brune de la muqueuse, colonnes charnues
rieures, résultent des symptômes qui affectent une marche des plus chroniques . Ce sont : l'affaiblissement et l'atrophie lente
a jambe et du cou-de-pied du côté lésé, dans un cas de rhuma- tisme chronique ; avec affaiblissement ou abolition des mêmes ré
meil de vingt-quatre heures, tantôt se transforment en une entité chronique semblable à la paralysie générale. Ces accidents
ie générale; quatre sorties dont une guérison (mélan- colie) ; deux chroniques (fo)ie systématique).Ce sont, tout compte fait,
té est en rapport avec la manie puer- pérale, l'épilepsie, la folie chronique . On ne constate guère de caractère pathologique
mme, qui a passé successivement par les phases classiques du délire chronique , a été interné de nouveau a Sainte-Anne, d'où i
de faits ressem- blant non plus à la paralysie bulbaire progressive chronique main à la paralysie bulbaire aiguë. 11 en commu
s les manies récentes et périodiques, dans les formes d'agi- tation chronique . (.lllg. Zeetsclar. f. Psyelt., IL[, 1.) P. Kérav
t à ces besoins-là. Chacun des trois établissements pour aigus et chroniques (Eberswalde, Sorau et le nouvel asile) desservira
1'SF : LFIn. De l'ozone et de son action sur les maladies nerveuses chroniques . Ce ne sont encore que des recherches préalables
SAVANTES.. , 17 pause, 1,Lftibl esse plivsi(Itte,l es dystroplii es chroniques , l'épuisement consécutif auv. maladies fébriles
tient le thériacisme. En des cas, tout à fait isolés, de mélancolie chronique entée sur une prédisposition héréditaire ou acq
é de la fièvre hystérique et lui recon- naît cinq formes, éphémère, chronique , intermittente, typhoïde. Celle-ci est la plus
e la folie des héréditaires, les folies intermittentes et le délire chronique . Société d'anthropologie. -Le bureau pour l'ann
commotion de la moelle amena des troubles attribuables à la myélite chronique , parmi lesquels on trouve des phénomènes ataxiq
confondre les deux affections que lorsque la chorée passe à l'état chronique , puisque celle que nous avons décrite est chron
passe à l'état chronique, puisque celle que nous avons décrite est chronique d'em- blée. Jamais, en outre, elle ne présente
e variété d'incoordination limitée aux muscles de la face, à marche chronique et qui, par opposition à la névralgie de la cin
trouve à l'autopsie une pachyméningite externe, une leptoméningite chronique , une poussée d'hyperémie méningée, une hydrocép
gite chronique, une poussée d'hyperémie méningée, une hydrocéphalie chronique externe et interne, de )'oedème cérébral, de la
n'émanerait pas, d'après lui, d'une exacerbation de l'inflammation chronique puisque, même quand l'étal est grave, la tempér
chez lesquels l'étioiogie est déterminée par des maladies aigués ou chroniques qui en ont été les causes occasionnelles. Nous
rches qu'il a faites : « En général, dans les affections cérébrales chroniques , la quantité d'acide phosphorique éliminé par v
ne l'est pas moins, l'aliéna- tion mentale, maladie essentiellement chronique , permet assez souvent une alimentation régulièr
ion que le délire systématisé de persécution et de grandeur (délire chronique de Magnan) peut se développer sans être précédé
.REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. , On admet généralement que le délire chronique 1, laisse intac l'appareil logique des malades.
enbach croit que c'est une erreur; il est même d'avis que le délire chronique ne peut évoluer que sur un fond de débilité men
ent des gens d'une instruction spéciale brillante devenir délirants chroniques ; cela ne prouve rien, à notre avis, puisque des
ntre l'opinion généralement répandue que, dans le cours d'un délire chronique , les idées ambitieuses surgissent comme une con
es délirantes, des illusions et des hallu- cinations dans le délire chronique prouvent le contraire, Qu'on peut encore, au dé
dressent au médecin en chef. Cette colonie n'est faite que pour des chroniques , à l'exception des maniaques et des aliénés aya
et des avan- tagescotisidérables pour les aliénés, du moins pourles chroniques . De conceit avec Gheel, cette station forme un
ntroduire dans les familles; en exclure systématiquement les manies chroniques , les sexuels, les aliéné ? dangereux pour la sé
s de l'adnziuistratiozz allemande (P. K.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 415 chronique (démence pure ou folie systématique). Les déments
on absolue de tous les troubles psychiques aigus, des psychopathies chroniques avec agitation ou tendance au suicide, des fous
, et de songer à l'existence, dans l'espèce, d'un état d'excitation chronique des noyaux moteurs des cornes antérieures grise
IÉTÉS SAVANTES. 429 Conclusion : Il s'agit d'une lésion à évolution chronique oc- cupant la moelle cervicale et la moelle dor
. Puis trois observations d'idiotie, l'une avec méningo-encéphalite chronique , l'autre avec hydrocé- phalie, la troisième ave
65 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LE FOND DE l'OEIL CHLZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 31 encéphalite chronique diffuse : infiltration des éléments nobles de l
, en effet, l'étude des troubles de la motilité dans les affections chroniques du système ner- veux a été poussée plus à fond,
il s'agit en cas de troubles moteurs d'affections essentiel- lement chroniques et elles-mêmes J'origine nerveuse, aussi ne sau
le traitement du tabès dorsal », l'autre Sur le priapisme nocturne chronique . Il a publié pendant plusieurs années, dans la Re
après plusieurs mois à sa mère qui est une prédis- posée alcoolique chronique avec commencement d'affaiblis- sement intellect
le D Ameliue. 148 CLINIQUE MENTALE. II. Agent passif. Alcoolisme chronique avec affaiblissement inlel- lccluel, hallucinat
0. ,Le certificat de la Préfecture de police porte : « Alcoolisme chronique , affaiblissement intellectuel, hallucinations, pe
ise du sujet passif, qui élabore, comme peut le faire un alcoolique chronique , un véritable délire qui évolue avec ses élémen
antérieurs, comme cela se passe chez le mélancolique et le délirant chronique , chez lesquels les actes délictueux sont adéqua
tomiques qui sont à faire. V. Contribution à l'étude du trophoedème chronique ; par IlER- togiie. Ico ? zog7,. de la Salpél ?
lTOItV. ICOI ? Ogl'. de Itl Sa<p<nc7'e, n° 6, 1901). OEdème chronique considérable des deux membres inférieurs tout e
lle permet de diagnostiquer la paralysie générale de l'al- coolisme chronique et constitue un symptôme pathogénomique des par
use demande si ces éléments ne se rencontrent pas dans l'alcoolisme chronique . M. Joffroy. On en trouve parfois, mais raremen
roubles psychiqnes ne sont pas sous la dépendance de l'al- coolisme chronique , de l'urémie, de la glycosurie. Ils ne sont pas
ralysie amyotrophique. C'est un peintre-verrier qui a du saturnisme chronique depuis l'âge de vingt-quatre ans (crises fréque
mylacés. Le parenchyme reste passif, sauf en certains cas légers et chroniques où l'irritation caresse les couches périphériqu
aiguë peut, de par la persistance de l'irritation atténuée, devenir chronique : sclérose en plaques consécutive à encéphalomy
i bien dans les maladies aiguës et curables que dans les maladies chroniques et incurables. Il est à noter que, sur 11 cas d
tz et se rallient à celle de Massalongo qui voit dans le rhumatisme chronique une affection plutôt une au point de vue cliniq
de Trunecek. Le sérum de Trunecek détermine souvent des indurations chroniques , son injection est douloureuse ; la poudre miné
s du délirium tremens, et qui était atteinte uniquement de néphrite chronique . M. Dupit rappelle que Maurice Faure a publié d
. Mais actuellement pas de stigmates. Pas de tabes, pas de coryza chronique antérieur, pas de rhinite spécifique. La syphilis
Niort, le 30 avril 1901, avec le certificat suivant : « alcoolisme chronique ; affaiblissement intellectuel; tentative de suici
en général disparaître en peu de temps. Dans les cas d'albuminurie chronique , de mal de Bright, les résultats que l'on peut
oncernant un malade de quarante ans entré à l'hôpital pour entérite chronique , permet cependant par suite de coexistence de f
elate au sujet du cas du rapporteur un cas de méningite infectieuse chronique , d'origine grippale à ce qu'il parait, accompag
la différencie des autres types névropathiques, c'est l'angoisse chronique avec paroxysmes aigus. Il s'agit par excellence
ntribution à la psycho-physiologie des mourants. Deux cas de chorée chronique ; par MM. Vaschide et VuRras. Dans deux cas de
rée chronique ; par MM. Vaschide et VuRras. Dans deux cas de chorée chronique , les auteurs ont recherché avec soin les modifi
urs des derniers jours qui précédèrent la mort. Alors que la chorée chronique est caractérisée par des mouvements sans but dé
connaissent pour origine des glioses disséminées, des inflammations chroniques , des foyers liémorrba- giques, des myélites par
ion et la sclérose des petits vaisseaux avoisinants, l'inflammation chronique des artères du système pos- térieur, notamment
x et chez ceux qui sont affectés d'épilepsie, de folie systématisée chronique de pa- ralysie générale progressive; par J. Hei
ide céphalo-rachdiien des paralytiques généraux et des méningites chroniques . MM. GUILL.\lu1' et V. Parant. Quand on chauffe
o-rachidien d'un malade atteint de paralysie générale, de méningite chronique , on observe un trouble extrêmement prononcé. Ap
ésente un homme de soixante ans atteint vraisemblablement de chorée chronique . L'affection a débuté chez ce malade à l'âge de
; depuis plus de six mois, la malade souffre d'un état pathologique chronique avec de courtes rémissions et des exacerbations
rme de répulsions angois- santes ou de peurs anxieuses originelles, chroniques , portant spécialement sur un objet déterminé (é
llerre signale, comme d'habitude, un assez grand nombre d.' aliénés chroniques parmi les entrants (26 cas de folie simple remo
du langage) ne s'accuseront que plus tard. G. D. XC. Poliomyélite chronique ; par le D DEBRAY. (7oM)'H. de neuro- logie, 19
e peuvent développer sur le terrain de multiples processus aigus et chroniques lésant le territoire nucléaire ou les fibres ne
tère et des goûts après l'é- masculation). Si l'affection somatique chronique passe à l'état aigu, il y a délire ou perte de
rive à cette conclusion : « à côté du type clinique de l'alcoolisme chronique (nettement pathologique), il existe un type par
t étiez ceux uni sont affectés d'épilepsie, de folie systématisée chronique , de paralysie générale progressive, par Ilerm
chaleur dans le des pa- i-alytiqttes généraux et des ménin- gites chroniques , par Guillain et Parant, 472. LITTLE. Syndrom
ontribu- tion à l'étude des , par Souk hanof. 307. Poliomyélite chronique , par Debrav, 538. Polynévrite. Sur une forme
hérédo-syphililique. L'héré, (10-syl)llills (,t les encéphalites chroniques de l'enfance. Un cas (le - en plaques à tremble
llol-DÈ31F. Sur le - par lleige, 178. Contribution à l'étude du - chronique , har Ilertoclle, 1 îts. Ob- servation du -, par
66 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
e de certains ramollissements blancs que l'on rapporte à la myélite chronique . Le profes- seur Hayem, dans son beau travail,
les immersions en cas d'affections pul- monaires soit aiguës, soit chroniques , qui agissent en mettant des entraves au foncti
tent sans lésions de l'hippocampe. Enfin, dans le cas d'épilepsie chronique , où la sclérose et l'atrophie de la corne d'Amm
bien que fréquente dans la paralysie générale et dans Ja démence chronique , la pachyméningite hémorrhagique est extrêmement
limentation peut augmenter la fréquence des attaques. Dans la manie chronique , l'appétit n'est réellement exagéré que dans un
ire supprimer), dans un cas d'astbme nerveux, dans un cas de chorée chronique . Discussion. -M. KiRN. - Le sulfonal est tout à
. - Paris, 1889. - Librairie (J, \lasson, HUET (E.). - De la chorée chronique . Volume in-8° de 262 pages avec 10 figures dans
s, dans les phrénasthésies et les démences paralytiques. Les formes chroniques de démence consécutive et de délires systématis
e dans les formes aiguës typiques de folie ; élevé, dans les formes chroniques , secondaires et dégénératives; très élevé, dans
érieur droit. La nécropsie révèle l'existence d'une leptoinénin21te chronique , cérébrale, basiléaire et spinale ; endartérite
névrite trophomotrice ou une myoné- vrite. Le poison agit à l'état chronique simultanément sur les cel- lules des cornes ant
. - On sait que dans les maladies infectieuses et dans les maladies chroniques on rencontre des altérations du muscle qui sont
seuse et hyaline (syphilis cérébrale), et vingt et une endartérites chroniques simples (altérations d'Heubner) : ces vingt et un
tation de vivo de leur existence dans la poliomyélite antérieure chronique (voy. le cas Ack. in Berl. hlizz. lYochenschrift,
par G. R\uztm. Paris, 1890. - G. Masson. HoET (E.). De la chorée chronique . Volume in-8° de 262 pages, avec 10 figures dan
- L'autopsie a été pratiquée par Schültze. Néphrite interstitielle chronique . Du côté de la moelle : dégénérescence grise de
trophie, car dans les cas où la moelle est atteinte d'inflammations chroniques analogues et aussi étendues, dans la sclérose c
Physiologie. 3" série, t. IV, 1881, p. 454.) = A/én ingo-myélite chronique pscudo-s1lstellzatigue combmée postdro- latéral
our à tour invoqué la folie, le somnambulisme, et l'alcoolisme soit chronique , soit aigu et accidentel. Le procès s'est termi
ÉS SAVANTES. rations viscérales suivantes : néphrite interstitielle chronique , in- suffisance mitrale, ulcère rond de l'estom
oins des nourriciers. On compte parmi eux huit Jolies systématiques chroniques avec idées de persécution ; ce sont des malades
presque immédiatement. Les deux autres faits concernent la démence chronique consécutive à des formes indéterminées de folie
ès prudent lorsqu'il s'agit d'appliquer ce traitement aux délirants chroniques systématiques, et aux déments dont les facultés
accès d'agitation violents. On remarquera également que le délire chronique hallucina- toire à hallucination très vive se p
t critique. On avait espéré décharger les asiles de leurs aliénés chroniques à l'aide de l'assistance familiale, c'est un rê
nvient qu'à l'idiotie légère et à quelque cas de folie systématique chronique , compatible avec l'existence sociale et à la dé
t une folie systématique (Wahnsinn) aiguë et une folie systématique chronique . Les formes qu'il leur reconnaît sont t les sui
qu'il leur reconnaît sont t les suivantes : 1° Folie systématique chronique , dépressive, qui comprend le délire des persécu
délire plus ou moins organisé des onanistes ; 2° Folie systématique chronique expansive; mémoires originaux cités dans la com
s hypochondriaque, hysté- rique-congénitale ; 2" Paranoïa primitive chronique ; 3" Paranoïa hallu- cinatoùe aiguë ; par exemp
hnsilt1 ! hallucinatoire de Kratft-Ehing; 4 Paranoïa hallucinatoire chronique ; 5" Paranoïa secondaire, celle qui succède à une
s extrinsèques à l'indi- vidu avec les psychoses constitutionnelles chroniques incurables auxquelles s'applique le terme de Ve
certains. La paranoia aiguë donne souvent naissance à une paranoïa chronique ; il n'y a pas plus lieu, par suite, de donner à
st légitime de débaptiser la néphrite aiguë lorsqu'elle est devenue chronique . M. Kirn propose de continuer la discussion sur
16. La démence vient se surajouter à la plupart des cas de ma- nie chronique et avec délusions. 17. Les phénomènes pathologi
889. Prix : 8 fr. Pour nos abonnés, 6 fr. HuET (E.). - De la chorée chronique . Volume in-8" de 262 pages avec 10 figures dans
67 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'expérience de ses confrères sera entendu. - R. M. C. XXIV. Folie chronique : quatre cas DE guérison; parS.-A.-K. STR\- han
(The Journal of Mental Science, juillet 1888.) Les cas où la folie chronique se termine par la guérison sont loin d'être com
THODE DE TRAITEMENT PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES névroses ET psychoses chroniques ; par W.-13. NEFTEL. (Arch. f. Psychiat., XXI,
NT PAR LA SUSPENSION DU TABES DORSAL ET D'AUTRES MALADIES NERVEUSES CHRONIQUES ; par EULEVDUISG et Mendel. (Neural. Centralbl.
ques (29 hommes, 5 femmes); 1 sclérose en plaque (femme); 1 myélite chronique (homme); 1 névrose traumatique (homme); 3 paral
se développe pas d'ordinaire chez les anémiques d311s les folies chroniques , dans l'hystérie, mais ces faits négatifs viennen
- ment congestif dans la paralysie générale des aliénés. Les fous chroniques sont tous plus ou moins débilités; l'hystérie n'e
133 M. BOEU\1LER (de Fribourg). Présentation d'un cas d'affection chronique de la moelle avec ataxie inhérente ci des trouble
ce jour, il y eut ainsi deux délires spéciaux de la périencéphahte chronique , le délire spécial ambitieux de la forme expans
une année et plus sans être liés aux lésions de la périencéphalite chronique et peuvent s'expliquer alors par de simples tro
re d'un certain nombre d'affections très im- portantes, de maladies chroniques en général jdont l'auteur a sur- tout cherché à
les chapitres consacrés aux cirrhoses, à l'urémie, au rhu- matisme chronique et surtout au diabète. L'auteur décrit trois ty
. Prix : 12 fr. - Paris, 1890, G. Masson. Huer (E.). De la chorée chronique . Volume in-8° de 262 pages, avec 10 ligures dan
1 fr. Pour nos abonnés... 0 fr. 70 Régnier (L.-R.). L'intoxication chronique par la morphine. -Vo- lume in-8° de 171 pages.
sont liées par- fois les paralysies amyotrophiques de l'alcoolisme chronique . Vous connaissez, pour l'avoir vu venir plusieu
confirme l'origine névritique du processus. La plupart des névrites chroniques ou subaiguës dont les symp- ' Consultera ce suj
avait pu produire expérimen- talementchez le chien une téphromyéhte chronique saturnine : « L'examen de la moelleavait montré
aucoup de uévrites parmi lesquelles figurent celles de l'alcoolisme chronique , peuvent et doivent être légitime- ment rapport
one) produisent des paralysies analogues. P. B. 11.UN cas DE chorée chronique héréditaire AVEC autopsie, par L. GREPPIN. (Com
ruempell, Krauss, Lissauer, et une dégénérescence paren- chymateuse chronique des fibres des nerfs périphériques avec dégé- n
lysie géné- rale, la mélancolie avec stupeur, la folie systématique chronique , la démence sénile, l'idiotie, c'est-à-dire dan
ch. De ces documents, l'auteur conclut : qu'il s'agit d'une névrite chronique ascendante (altération musculaire correspondant
ingt jours, il était mort; on trouva, à l'autopsie, une ménin- gite chronique avec granulations épeudymaires. Chez une mélan-
) raconte un cas de guérison par l'influenza. 11 s'agit d'un délire chronique datant d'une année. M, ENGELKEN, Sur 20 aliénés
les atrophies en question se rappiochent plutôt de l'amyotrophie chronique cachectique par afflux insuffisant du sang artéri
être très nettement t vérifiée. J. Rounlrovrrcu. VI. L'indication chronique par la morphine et ses diverses formes, par le
opium ou de ses dérivés à certaines doses entraine une intoxication chronique désignée sous le nom de mor- phinisme, intoxica
ument nouveaux. . VARIA. 303 A l'occasion d'un cas de tremblement chronique généralisé, intermittent et, surtout, exagéré p
traitées à l'asile pendant la période aiguë, sont passées à l'état chronique : ces dernières formes sont le plus souvent, ma
es. - Prix : 8 fr. Pour nos abonnés 6 fr. Huer (E.). - De la chorée chronique . Volume in-8° de 262 pages, avec 10 figures dan
4 ligures et 4 planches. Prix 6 fr. Régnier (L.-R.). L'intoxication chronique par la morphine. -Vo- lume in-8° de 171 pages.-
'exalgine a été beaucoup moins favorable dans les cas de sciatiques chroniques , de rhumatismes et surtout de troubles articula
catégorie de faits que certains auteurs ont donné le nom de délire chronique . Enfin, dans quelques cas rares, le délire exis
Doutrebente profite de l'occasion pour refaire le procès du délire chronique de M. Magnan et reprendre amsi la discussion d'
rganiques du coeur. 60 cas de ménopause dans le cours des psychoses chroniques . P. K. XXX. Les IDLES DE présomption DE la fo
and nombre de ces néologismes dont usent si fréquemment les aliénés chroniques . Il en étudie les diffé- rentes espèces, les ca
origine cérébrale peuvent être divisées en deux classes : aiguës et chroniques ; les pre- mières sont curables à condition que
la s'observe généralement dans l'alcoolisme SOCIÉTÉS SAVANTES. 63 chronique . Toutes ces modifications du système non eux cent
hémisphères cérébraux, par Roth et Mouratoff, 296, ; Intoxication chronique par la morphine, par Régmer, 300; - Etude de
vel, 291. Cuon> : c, chez les aliénés, par Koep- pen, 113; - chronique avec au- topsie, par Greppin, 264. COLOI30MA
68 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
disparu dans la suite, mais il subsiste un certain dcgré d'oedème chronique dans la partie moyenne du membre et particulière-
rmale de la rotule. L'A. l'a rencontré dans quelques cas de myélite chronique , as- socié à la paralysie et à l'atrophie muscu
onvolutions et dilatation des ventricules. Au microscope, lé- sions chroniques de l'écorce cérébrale « habituelles dans la dé-
,en effet,que le processus tabétique apparaît comme essentiellement chronique , le processus de section expérimentale est beau
groupées suivant leur affinités évolutives. Mais qu'appeler tétanie chronique ? Il est rare que les accès se produisent penda
quand il y a surexcitabilité galvanique, surtout dans la tétanie chronique . Le signe de Chvostek (percussion du facial en av
onstant dans la tétanie aiguë, peu accusé ou absent dans la tétanie chronique ; on peut le rencontrer chez des sujets sains, d
; 7 étaient atteints de 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tétanie chronique ; 19 présentaient des états tétanoïdes ; 6 étaien
I. Poliomyélite diffuse subaiguë de la première enfance (amytrophie chronique d'origine spinale d'Hoffmann) ; par Ar- mand DÉ
persécutés-persécuteurs ou comme atteints de psychose systématisée chronique à base d'interpréta- tion délirante. La discuss
e trois mois et peuvent se prolonger au point de prendre une allure chronique . C'est ainsi qu'on voit dans les asiles s'améli
r une commission spéciale et proposés au vote de la Société. Délire chronique par hallucinations psychiques. M. Marchand, en
à base d'in- terprétation des autres variétés de délire systématisé chronique , car elle est basée, comme l'a dit Baillarger,
entative de suicide et Schumann meurt d'une encéphalopathie diffuse chronique de nature mal déter- minée. Hugo Wolf, mort d
yroïdie minima continue, ou paroxys- tique, hyperthyroïdie bénigne, chronique , disséminée ou 10eilisée.r-i,isedow fruste. 2°
le ROUBINOWITCH : La genèse du génie. MM. RAYNEAU et Nouet : Délire chronique de grossesse chez une débile. M\1. ,INrHDaar,cE
Les lésions anatomiques sont : a) macroscopiques : Leptu- méningite chronique , atrophie cérébrale, parfois plus mar- quée au
sur la trophicité et sur le fonctionnement muscu- laires. OEdème chronique unilatéral. Ml4f.' KI.IrrEI, et Monier-Vinard p
ulletin de la Société anatomique (octobre 1905,page 7G0). Méningite chronique et aliénation mentale chronique (Observations 1
(octobre 1905,page 7G0). Méningite chronique et aliénation mentale chronique (Observations 11, 12 et 1-1). (16) William Ru
qui survient chez les jeunes gens est le résul- tat d'une méningite chronique ancienne ; c'est l'aboutis- sant, la période te
le diagnostic de démence précoce peut se poser par l'évo- lution chronique , les phénomènes inflammatoires sont réduits à l
tex a été altéré, on a les cas qui constituent les troubles mentaux chroniques de la démence précoce. Doutrebente et Marchand
s lors une démence précoce accidentelle, affection cortico-méningée chronique d'origine inflam- matoire ou toxique survenant
uveau-né au vieillard, et la nature 'de la misère (maladie aiguë ou chronique , infirmités physiques, intellectuelles et moral
atteints de maladies aiguës, et des blessés, on abandonne- rait les chroniques . D'ailleurs, ils n'ont pas visé seulement les en-
s cellules de Betz et les cellules polymorphes. Ce sont des lésions chroniques de Nissl avec atrophie et déformation des corps
e a\ec leur mentalité,qui paraît normale pour leur âge. Méningite chronique syphilitique tardive. L\l. G. 13ALLET et LÉvy V
ait, assez fréquent dans les névrites dues à l'alcoolisme éthylique chronique ,ne doit pas nous surpren- dre dans ce cas surai
'interprétation, forme diffé- rente des autres psychoses délirantes chroniques qui peu- vent s'accompagner aussi d'interprétat
rale, etc. Nous ne retien- drons ici que les premières, les délires chroniques halluci- natoires, parmi lesquels on pourrait ê
s. UN cas DE DÉLIRE d'interprétation 359 Les psychoses délirantes chroniques sensorielles étant éliminées, il importe de dir
,p. 215. EMPOISONNEMENT PAR LES HOMARDS CONSERVES EN BOITE. 417 ( chronique (Brouardel) (1). Et cependant, notre malade, le
e prédisposition spéciale pour la polynévrite, grâce à l'alcoolisme chronique . Les deux dernières an- nées, le malade a comme
description qui suit accentuent encore le contraste avec le délire chronique de Lasègue et de Magnan : trouble intellectuel
ombrement, furent ouverts trois pa- villons pour les vieux infirmes chroniques des deux sexes. En 1904, on a ouvert un service
tuel. les traumatismes, les maladies infec- tieuses, les affections chroniques , les troubles génitaux. Elle peut être acquise
lles qu'absorbe la peau. Variété congénitale unique dc trophmdème chronique . Observation rapportée par M. Couhtellemont. On
rapportée par M. Couhtellemont. On sait que les cas de trophoedéme chronique peuvent être classés en quatre groupes : famili
du service médical, sans distinction entre malades aigus et malades chroniques , a été l'amélioration la plus notable faite en
-Château, dans l'Aisne, vit sous le poids désagréable d'une terreut chronique . En février, un dangereux bandit, moi- tié désé
Délire des préjudices prcscniles par Pascal et Courbon, p. 77. chronique par hallucina- tions psychiques, par Mar- cha
née chez un paralytique général, par Dromarl el Dalnias, p. 48. chronique unilatérale, par IClihltcl et \Ionicr-\'inarcl,
ment du est-il pailles ou total, par Bach p. 298. Tno['t[OEDEME chronique . Va- rioté congénitale unique du -, par Court
69 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e de la troisième paire était due à une inflam- mation tuberculeuse chronique des racines de ce nerf, inflammation dont chaqu
e quelques déductions. Observation I (Personnelle). Pêriencéphalite chronique . Foyeas étendus de ramollissement cérébral occu
de nature nécrobiotique : c'est le type à début brusque et à marche chronique . Trois mois plus tard, survient une deuxième at
inue et prolongée dans le sang, amène à la longue un empoisonnement chronique qui, surtout chez les individus déjà débilités,
llure aiguë, 56 REVUE CRITIQUE. de la même façon que l'alcoolisme chronique aboutit peu à peu, chez les buveurs de professi
ntes fois la réaction de l'acétone dans les urines. 2° Acétonémie chronique . Les faits de ce genre servent en quelque sorte
rmes rapides de l'intoxication et ce que nous appelons l'acétonémie chronique . Les symptômes accusés par le malade sont les m
ides que se produit enfin le coma, prélude de la mort. Cette allure chronique de l'acétonémie ne peut s'expliquer que de deux
e tout, excepté d'avoir frappé sa compagne. Etat actuel. Alcoolisme chronique (inégalité pupillaire, parésie du facial gauche
122. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 93 ou point réglée. Ecoulement chronique par l'oreille depuis une chute dans l'escalier
osphériques et en particulier de l'ozone sur l'état des névropathes chroniques . Depuis décembre 1882, l'auteur a noté la press
, états d'excitation ou de faiblesse, maladies de coeur, affections chroniques des poumons) autorisent les conclusions sui- va
nous 8, 10, 22, 24), plus une fois n° 14), une affection pulmonaire chronique avec dia- bète sucré, la scrofule une fois (n°
érature ait été de 40° pendant deux jours. Les désordres lents et chroniques observés dès le mois d'avril résultent de ce qu
dès le mois d'avril résultent de ce que « à la suite d'une arthrite chronique d'ori- gine rhumatismale, il s'est produit un c
l'âge, cet homme, à première vue, aurait plutôt l'air d'un délirant chronique marchant vers la dé- mence ; mais l'observation
ononcé, dégénérescence grais- seuse modérée des deux reins, métrite chronique , dégénéres- cence kystique et fibreuse des deux
aplasies névro- tiques) ; 6) ceux qui reposent sur une exagération chronique de la fonction des nerf trophiques (hypertrophi
à la fois. - J. Ban.uuc. Traitement des congestions et exsudations chroniques de la moelle <'pu ! tere au moyen de vcnl nt
es. Ainsi s'explique que, si rare que soit la guérison de ce délire chronique , il est fréquent de le voir atteindre un stade
plusieurs années de dyspnée violente, à marche tantôt aiguë, tantôt chronique , atteignant parfois une intensité qui met sa vi
fois de la mélancolie aiguë, quatre fois une psychose dégénérative chronique en partie liée à des conceptions irrésistibles,
onie. Wille et Schuele ont vu se développer des psychoses aiguës et chroniques dans le cours ou à la suite de la pleurésie.
fait le sujet de cette communication, il est le type des processus chroniques , car, dès la période foetale, il a pu atteindre
rce du cerveau dans la para- lysie progressive et d'autres maladies chroniques du cerveau. Sera publié in-extenso 3. La disc
6, on prenait possession de la colonie; en 1880, on introduisit les chroniques dans leurs bâtiments. La construc- tion de la c
mplètement. Les deux corps de bâtiments construits pour les aliénés chroniques ont coûté 451,7o7 ' Vov. Archives du Neurologie
). Ville de Brème. En 1883, on a érigé un bâtiment pour 30 agités chroniques environ. Ville de Lübeck. - En 1881, on décidai
isse diminué, car, avant la fin de l'année, on a retiré des déments chroniques et 336 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. incurables,
Contribution n l'étude de la névrite paî,e71chynialeuse subaigué et chronique . Névrite segmentaire péri-axile. (Archives de N
névrite n'est nullement spéciale au cochon d'Inde ou au saturnisme chronique . Elle se montre aussi chez l'homme, et M. Gomba
ité en sens inverse. E. Névrite. Par exemple, névrite traumatique chronique , d'origine extérieure, portant sur le plexus brac
tion). F. Morphinomanie. La cause en est précisément aux névralgies chroniques .il importe de diminuer quotidiennement la dose
juillet 1884.) . Un homme de cinquante-trois ans, atteint de manie chronique , d'ailleurs en bonne santé physique, est pris d
Si la marche de la sclérose en plaques est d'ordinaire éminem- ment chronique , elle peut exceptionnellement présenter une 458
caractères cliniques assez variables ; tantôt, comme dans la forme chronique ou subaiguë, elles affectent tous les symptômes d
parMARacuEY. (Thèse de Paris, 188.) Élude sur les nzéningo-myélites chroniques ; par BÉHOER. (Thèse de Paris. 1885.) Contribu
70 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
ans. On ne relève chez les ascendants ou collatéraux ni rhumatisme chronique ni affection cardiaque ou cancéreuse. Antécéden
mort. Les poumons pèsent 1080 grammes. Il existe un épaississement chronique de la plèvre. On constate au niveau des parench
tes que je constatais et que j'attribuai sans hésiter au rhumatisme chronique . « Mais nullement ! me dit M. S..., j'ai cela d
même temps la rétraction de l'aponévrose palmaire et le rhumatisme chronique . Elle ne relève cependant, à n'en pas douter, n
(1) Ibid., p. 500. DÉVIATION DES DOIGTS EN COUP DE VENT 189 tisme chronique est trop frappante pour qu'elle ne m'invite pas à
-il, dans la phase foetale, possibilité d'une poussée de rhumatisme chronique ? Je n'en connais pas d'exemple, mais ce ne serai
sme arti- culaire généralisé coïncidant avec un écoulement uréthral chronique à exa- cerbatiou. Elle n'est pas si fausse la t
ition rhumatismale soit; les exemples sont nombreux de rhuma- tisme chronique héréditaire, plusieurs générations en subissant l
l'heure. La seconde raison, c'est que la description du rhumatisme chronique fibreux telle que l'a donnée M. Jaccoud (1), di
ble, à cette hypo- thèse d'une atteinte intra-utérine de rhumatisme chronique , quelque sé- duisante qu'elle paraisse à premiè
ILE BOIX On sait quel chaos a longtemps été le groupe du rhumatisme chronique et quels types disparates on réunit encore aujo
u paralysie ? Charcot invoquait pour les déformations du rhumatisme chronique des « contractions musculaires spasmodiques et
nue pas plus que la déviation absolument superposable du rhumatisme chronique déformant. Enfin, il supposer qu'il se soit agi d
Je n'ai pas la prétention d'aborder ici la pathogénie du rhumatisme chronique et de ses déviations. Je veux seule- ment const
et des poils. Le système pileux est sou- vent affecté dans les cas chroniques ; les cheveux noirs prennent un reflet rougeâtr
pparence rhumatoïde. - Une question connexe est celle du rhumatisme chronique . Couyba com- pare judicieusement à cette affect
mêmes facteurs étiologiques se retrouvent à l'origine du rhumatisme chronique , à l'origine des arthropathies spinales et névr
rthropathie une fois installée persiste irrémédiable, et la période chronique qui succède à cette phase aiguë n'est pas moins
ément oppo- sés à toutes les variétés connues d'arthrites aiguës ou chroniques . Or les arthropathies que nous allons maintenan
aires ; comme ces dernières elles ont l'al- lure aiguë, subaiguë et chronique suivant les cas, sans qu'on puisse dire qu'une
hropathies rhumatoides. - Mais nous ferons mention ici de la chorée chronique : M. Auscher a observé un cas inédit de grande ar
ormes c'est surtout leurs terminaisons par résolution, par arthrite chronique , par ankylose. Nous avons d'abord à démontrer que
tait anesthésique (2). 2° Forme subaiguë (se terminant par arthrite chronique sans ankylose). Dans ce groupe nous rangeons le
peut être question d'arthro- pathie nerveuse vraie (1). 3° Forme chronique (se terminant par ankylose). W.Mitchell, More-
nnaissons que les petites ar- thropathies comparables au rhumatisme chronique . (2) Un autre cas de JEANNEL intitulé myélite a
et inflammatoire qui les fait ressem- bler au rhumatisme subaigu ou chronique . B. Dans les névrites. Les troubles trophique
: les observa- tions 11, 39 et 51 de W. Mitchell ; 3° dans la forme chronique les obser- vations 31, 33, 35, 49 de W. Mitchel
ritiques aux extrémités les fait ressembler davantage au rhumatisme chronique . Ainsi nous pouvons conclure : 1° que jamais un
le plus aigu, tantôt le rhumatisme subaigu, tantôt le rhuma- tisme chronique . (1) Une observation de MM. BUCK et 111ooa de G
'indice utile d'un état géné- ral plus ou moins grave. La variété chronique a donné lieu à quelque controverse. Hilzig, que
omplète avec les différentes formes de rhumatismes. D. Rhumatisme chronique . ' Nous avons vu que J. K. Mitchell frappé de l
en juger par la coïncidence de l'endocardite. Quant au rhumatisme chronique sa pathogénie est plus complexe. Ce qui saute a
s uns et des autres, on arrive à cette conclusion que le rhumatisme chronique est une affection régionale dont les districts
, contracture, atro- (i) Dans un rapport récent sur les « arthrites chroniques (8° congrès de la Soc. Italienne de médecine in
médicale,t897;p.4t2.1LssnLOxco reconnaît au rhumatisme articulaire chronique les formes suivantes : 1° arthropathies infecti
xi-nerveuses). Ainsi tout en paraissant rejeter l'unité du rhumatisme chronique que nous avons soutenue (Manuel de médecine, Ds
névrite. L'existence de la névrite explique pourquoi le rhumatisme chronique ressemble'surtout à l'arthropathie névritique (1)
nerveuse. A nos yeux pourtant elles ne diffèrent pas du rhumatisme chronique ; mais, si on devait les en distinguer, elles n'en
hésita pas à se soumettre à cette opération radicale ; mais, dit la chronique , opprobriunx spadonis tulit episcopus, et nullum
71 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
yle' qui, le premier, constitua la para- ' Bayle. Sur l'arachzzilis chronique , etc. (Thèse de Paris, 1822), et Traité des mal
us, le zona, les bulles, les vésicules, etc., tantôt des affections chroniques : ichthyose, alopécie, etc. Troubles aigus. L'é
En 1895, elle avait été internée une première fois pour alcoolisme chronique . A cette époque, M. Magnan avait soupçonné la par
es ou les hallucinations sensorielles. Voici (obs. I) un délirant chronique halluciné qui de temps à autre, sans cause appa
ace, compliquée de folie circulaire entée sur un délire systématisé chronique . Il y a alternance continue de périodes .d'exal
ù le trijumeau était enserré dans une masse de tissu d'inflammation chronique (le malade avait présenté de l'abolition du goû
Séance du 25 octobre l 897. Présidence DE M. P. GARNIE) ! . Délire chronique des persécutions à évolution exceptionnellement
l éthylique. Symptômes de l'intoxication aiguë et de l'intoxication chronique par l'alcool étlcy- lique ; par Joffroy et Serv
démontrant l'absence d'infections associées manque. B. Méningite chronique . Cette forme est aussi 11'é-· quente que la pré
ogique qu'au point de vue symptomatologique. L'atrophie cérébrale chronique est le type le plus important à considérer : el
tats neurasthéniques résultant d'une infection ou auto-intoxication chronique , il faut surtout retenir ceux qui dépen- dent d
tre plus active bien que ses expériences aient été limitées à trois chroniques qui n'ont pas été améliorés. Archives, 20 série
icament actif. A son avis on ne doit pas ranger un malade parmi les chroniques avant d'avoir essayé sur lui l'action du suc th
nique (Sainte-Anne). · (Suite e11 fin.) ' II. Troubles TROPuiQUES chroniques . A côté des troubles trophiques aigus de la pea
troubles, à évolution lente, pro- gressive et stable, des troubles chroniques , des trophoné-, vroses (Lenoir) chroniques, tel
et stable, des troubles chroniques, des trophoné-, vroses (Lenoir) chroniques , tels que l'ichthyose, l'alopécie, les troubles
e 3juin 1896. Certificat de M. Magnan : c Est atteinte d'alcoolisme chronique avec hallucinations multiples; excitation ; ins
l'un offrant une lésion de la substance blanche avec dégénérescence chronique , l'autre une lésion de la substance grise. Dans
e la porcelaine. De la description qu'il fait de cette intoxication chronique par les sels de plomb contenus dans les poudres
hie saturnine, accident rare et générale- ment tardif du saturnisme chronique , est apparue fréquemment dans le milieu où il a
illeurs. 246 HYGIÈNE SOCIALE. modes de traitement de l'alcoolisme chronique et de la dipso- manie. Il n'y en a qu'un, c'e
ns. Une tante paternelle, vivante aussi, est atteinte de rhumatisme chronique depuis l'âge de quarante- huit ans; la mère est
moyens de la combattre. Tout d'abord ce n'est pas chez les malades chroniques qu'il faudra la rechercher surtout, mais bien p
sme entier, avec les autres maladies du système ner- veux aiguës et chroniques , et par-dessus tout l'influence des poisons var
rédisposante. L'auteur rapporte le cas d'un malade atteint de manie chronique et qui entra à l'asile avec un hématome double
, curables, qu'on pourrait appeler aiguës par opposition aux formes chroniques et plus ou moins systématisées, on peut disting
e série d'intermédiaires entre les formes aiguës simples et les cas chroniques complets dont le délire systé- matisé secondair
s religieux parvenus à une phase moins avancée d'une même évolution chronique . Avant de se croire possédés, ils passent par u
hémianesthésie. A l'autop- sie, en outre des lésions de la néphrite chronique pour laquelle la malade était entrée à l'hôpita
tomatisme, ont été notés surtout dans l'épi- lepsie et l'alcoolisme chronique . Cet automatisme observé dans l'alcoolisme chro
t l'alcoolisme chronique. Cet automatisme observé dans l'alcoolisme chronique est considéré par plusieurs auteurs comme une m
rrait dans certains cas se développer dans le cours de l'alcoolisme chronique , indépendamment et doute influence de la névros
e même caractère que celui observé dans l'épilepsie et l'alcoolisme chronique , peut se manifester à titre de phénomène parfai
sont que des lésions d'encéphalite simple. Il n'y a pas de maladie chronique du cerveau qui n'ait pu, à un mo- ment, simuler
- ment, simuler cliniquement la paralysie générale . La méningite chronique elle-même, qu'on ^invoque comme lésion caractéris
s auteurs admettent des cas de délire aigu à évolution plus longue, chronique , comme le prouve l'obser- vation I. L'autopsi
venue le 19 février dernier, à la suite d'une douloureuse affection chronique du foie, dont il sui- vait la marche, qu'il sav
période plus avancée, et sur- tout quand la maladie passe à l'état chronique , à la fois moral et physique. Des malades qui c
'idées de négation et de damnation caractéristique de la mélancolie chronique religieuse .1. Le première de ces démonomanes a
place accessoire. Quand le délire mélancolique vrai passe à l'état chronique il se systématise, se cristallise, si l'on peut
Lasègue, ainsi qu'avait commencé à le faire Cotard dans son délire chronique des négations. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
centrifuge dans les polyomyélites antérieures aiguës, subaiguës ou chroniques de l'enfant ou de l'adulte et dans les polynévr
). Leshomicides chez les absinthiques. Imbert (Henry). L'alcoolisme chronique dans ses rapports avec les professions.- Ingelr
influence qu'il exerce d'ordinaire sur l'état mental des aliénés chroniques , seule catégorie de malades qui, jusqu'ici, ait é
ans la pratique générale de la médecine, par Suévé, 308. D1.I.IRC chronique des persécutions, par Legrts, 81. - de revendic
72 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a jamais eu de visions d'animaux; il n'est pas atteint d'alcoolisme chronique . Il n'a pas commis l'acte qui lui est reproché
héré- ditaire avec troubles hystériques et vaginisme avec métrite chronique et hémorrhagies utérines. Pour ces raisons, nou
le testicule droit est augmenté de volume est très induré (orchite chronique ? ), l'épididyme n'est pas induré ; sa consista
e la folie s'établit, et reparait dès que le trouble mental devient chronique . Dans la seconde, l'asthme sup- prime et rempla
crises d'asthme se montrent de nouveau. Dans la quatrième, l'asthme chronique cesse chez un imbécile, lorsque éclate une atta
t des faits est analogue à la troisième. Dans la sixième, un asthme chronique s'atténue et finit par disparaitre au sur et à
les quatre autres cas, on avait affaire à des affections mon- tales chroniques de dégénérescence plutôt qu'à des étals aigus.
livides ou même enflées. Cet état est surtout fréquent dans les cas chroniques ou avancés. 10° Les artères sont fréquemment ma
typhoïde n'exerça aucune influence sur la majorité des psychoses chroniques . Sur les 38 observations dernières, deux cas dans
rechute de par la fièvre typhoïde, 6 cas de morts, 28 psychopathies chroniques duraient au moment où éclata la fièvre typhoïde
endant la convalescence de la fièvre typhoïde. 1 femme mélancolique chronique , j2 ans, malade depuis 2 mois, qui guérit penda
halite tubéreuse de Bourne- ville, due à un processus inflammatoire chronique , d'origine in- connue, probablement congénitale
ntoxication, auto- intoxication, affection fébrile, septique aiguë, chronique , etc.), ou bien, soit à une lésion cérébrale or
ombreuses. Il est difficile de savoir si ce processus inflammatoire chronique est idiopathique ou secon- daire. Par endroits,
educ de Sylvius et comparable à celle de la poliomyélite antérieure chronique où les muscles volontaires sont seuls touchés.
antile) ; dans les affec- tions spasmodiques de la moelle (myélites chroniques , scléroses multiloculaires, affections combinée
nt les nerfs (d'où les névralgies etc.), de rhumatismes musculaires chroniques , de distorsions articulaires ou d'hydropisies,
folie systématique typique avait pour caractère fondamental d'être chronique et pro- gressive, mériterait un remaniement ter
ma paranoia périodique se transforme, en certains cas, en paranoia chronique , mais au bout d'un long temps, et tout à fait d
: 1° l'hérédité, 20 les signes et lésions de l'alcoo- lisme aigu et chronique . Quelques pages eussent suffi pour les exposer,
, produisant si souvent des enfants idiots, et ceux de l'alcoolisme chronique , s'étendant à plusieurs générations. Afin d'avo
r s'il fallait admettre avec M. Magnan une forme spéciale de délire chronique pour les dégénérés. L'auteur, en effet, est d'ac-
romique, l'état délirant. Pour lui aussi, ce délire est brusque, ou chronique à marche irrégulière, polymorphe, intermittente
lag von A. Ilirs- chwald. Rouillaiid. La discussion sur le délire chronique à la Société ttzédico-psychologique. Brochure i
vons chez lui pendant nombre d'années le tableau d'une intoxication chronique par ce métal, grâce à laquelle le malade a dû,
me une maladie toxique. Sous ce rapport, l'intoxication saturnine chronique convient fort pour servir de point de comparais
e blanche sont les mêmes que dans les myélites aiguës, subaiguës ou chroniques . Quoique les capillaires soient dilatés, la cir
logues à celles de la myélite centrale aiguë. Dans l'intoxication chronique , la lésion empiète sur la substance blanche. Dans
lus ils sont nombreux, plus ils sont développés. Névrite multiple chronique d'origine syphilitique, - L'ob- servation suiva
téressé a été celle - d'un malade atteint ^d'intoxication saturnine chronique : les symptômes ressemblaient d'une manière fra
la suggestion. Le Médecin, n° 2, 1887. Gowseeff. Un cas de chorée chronique progressive de Charcot, (sans autopsie). Arch.
est pâle, mate, bouffie ; les paupières, atteintes de bléplia- rite chronique , sont dépourvues de cils; les paupières supérieur
re et délirante. Se basant sur trois cas intéressants de cocaïnisme chronique , dont il détaille les observations, il résume d
Systématique progressive comme le délire des persécutions ou délire chronique , on fait mention, parla même, de son symptôme l
88 SOCIÉTÉS SAVANTES. ultimes et décelée, ainsi, comme une psychose chronique à nom- breuses périodes systématiquement étagée
a peut donner naissance à de grosses lésions mécaniques, mais aussi chroniques et insidieuses, à des processus de dégénérescen
La deuxième période c'est l'ivrognerie proprement dite : alcoolisme chronique , si elle est continue; dypsomanie, si elle est
périodique. D'après l'auteur, les premières tares dans l'alcoolisme chronique , débutent par le sens moral, l'étique qui s'émo
73 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
LEÇONS CLINIQUES SUR LES MALADIES CHRONIQUES DE L'APPAREIL LOCOMOTEUR PROFESSÉES A L'HOP
, lisez : « comme on l'a cru ». LEÇONS CLINIQUES SUR LES MALADIES CHRONIQUES de L'APPAREIL LOCOMOTEUR. PREWIKBE ANNÉE, 1
rs , (1) L'objet de notre réunion est l'étude clinique des maladies chroniques de l'appareil locomoteur, c'est-à-dire du système
'enfance est l'âge de prédilection des maladies convulsives aiguës et chroniques ; pourquoi les affections cérébrales compliquent p
i en dépendent, impriment encore des caractères spéciaux aux maladies chroniques de ses organes locomoteurs : ainsi sa constitutio
dont nous devons nous occuper. On pourrait croire que les maladies chroniques épuisent plus promptement ces organismes débiles
ans l'enfance. Or, ce fait se reproduit souvent dans les affections chroniques de l'appareil locomoteur. Sans doute les sympathi
l'enfant que chez l'adulte. Mais très-fréquemment, dans les maladies chroniques , ces troubles ne sont que passagers, et des désor
nt enlevés par la moindre affection intercurrente. Quand nos maladies chroniques se rencontrent chez de pareils sujets, il n'y a g
l'adulte placé dans un milieu semblable. La cachexie, que la maladie chronique tend à produire, est ainsi favorisée, aggravée. P
rales que j'avais à vous présenter sur les faits communs aux maladies chroniques de l'appareil locomoteur, spécialement considérée
maladies du système osseux. Il est naturel de diviser les maladies chroniques du squelette en deux classes, suivant qu'elles on
anatomiques, fixera d'abord notre attention. La principale maladie chronique du rachis est celle qui a reçu le nom de mal vert
ration des ligaments intervertébraux qui se rapporterait à l'arthrite chronique , et qui entraînerait la destruction de ces ligame
les membranes ; ces organes peuvent être le siège d'une inflammation chronique qui les épaissit. Nichet a publié le résultat d'a
ause principale des arrêts de développement consécutifs aux arthrites chroniques . Sans doute, outre l'influence évidente des lésio
ralysie organique la plupart des phénomènes secondaires des arthrites chroniques , et notamment la contracture musculaire, que l'on
udes et notamment la rotation en dehors du tibia, dans les affections chroniques du genou : c'est la rétraction des ligaments ; il
rticolis produit par des lésions de l'appareil locomoteur est aigu ou chronique , osseux ou musculaire ; celui-ci, à son tour, est
ige; elles sont surtout utiles quand le torticolis est passé à l'état chronique , ou à son début. Mauchard avait déjà indiqué ce m
il soit applicable à toutes les articulations du corps. Dans l'état chronique , aux manipulations il faut ajouter des supports,
i des mêmes moyens. Je n'y reviens pas. La maladie est-elle devenue chronique , il s'agit surtout d'obtenir le redressement de l
tenir la réduction. Il faut d'ailleurs (1) Dans toutes les maladies chroniques des os ou des articulations, je distingue deux ph
par les moyens qu'on oppose généralement aux phlegmasies articulaires chroniques . Je clos ici, pour cette année, l'étude des aff
s chroniques. Je clos ici, pour cette année, l'étude des affections chroniques du système osseux. Mais je désire ne pas me sépar
arçon de onze ans, admis dans une des salles destinées aux affections chroniques , pour y être traité d'une tumeur blanche du genou
oursuivons l'étude clinique, commencée l'année dernière, des maladies chroniques de l'appareil locomoteur. Nous avons terminé la c
inverse. 2° Les ligaments peuvent se raccourcir dans des arthrites chroniques , dans le rhumatisme, la goutte, et dévier le sque
e celte attitude. Mais ces contractures peuvent se présenter à l'état chronique et amener de véritables pieds bots. Mais c'est
lle fut atteinte d'un rhumatisme articulaire aigu, qui passa à l'état chronique . 11 en est résulté une déformation des membres su
n ne verrait pas, dans cet hôpital, des enfants minés par une maladie chronique , (1) Recherches sur le rachitisme, p. 53 et 75.
lles qui sont produites par les tubercules, les scrofules, l'entérite chronique , le carreau. Il permet aussi de ne pas le confond
e d'une maladie aiguë, à fortiori la débilité qu'entraîne une maladie chronique , peuvent avoir le même résultat. La constitution
ourbure vertébrale avec déformation du thorax et affection pulmonaire chronique . Quinze mois de traitement rétablirent la rectitu
'un rôle très-secondaire. Cette contracture se montre-t-elle à l'état chronique sous la forme permanente? La chose est possible,
ement dans le bas du rachis. Telles sont celle qui succède au lombago chronique , celle que détermine la claudication. La convexit
titution scrofu-leuse. Elle a une dureté de l'ouïe due à une otorrhée chronique . Cette enfant, et une autre atteinte de courbure
74 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
fréquent des processus inflammatoires primitifs, aussi bien aigus que chroniques . (Billrolh.) » Mais dansées cas la pé-riostite es
rés dans la rapidité de production des nécroses : « Elle est aiguë ou chronique ; la pre-mière, produite le plus ordinairement par
l'ap-pelle ostéite épiphysaire aiguë suppurée et l'oppose à une forme chronique . La question se limitait beaucoup et ces deux a
er encore dans l'esprit du mé-decin. Nulle des formes du rhumatisme chronique , par son mode d'inva-sion, par sa promptitude à s
comme les meilleurs médica-ments de l'intoxication saturnine aiguë ou chronique , et particu-lièrement dans les accidents cérébrau
t des membres inférieurs, indique l'existence d'une ma-ladie aiguë ou chronique de la moelle. Nous devons aussi signaler une ob
vi-dents d'intoxication urémique____Dans un cas de maladie deBright chronique que j'ai vu récemment, ce point me parut même plu
du sang entravant l'oxydation chez les ivrognes, et surtout Y urémie chronique , dans laquelle il a une fois constaté une descent
ont une couleur jaune pâle, et offrent les altérations d'une néphrite chronique . — Rétrécissement de la por-tion membraneuse de l
Enghien, vante les bons effets de ces eaux dans les catarrhes utérins chroniques , tandis que « dans les engorgements chroniques du
les catarrhes utérins chroniques, tandis que « dans les engorgements chroniques du col ou du corps de l'utérus, il n'a obtenu des
les considère plus spécialement et avec juste raison comme des formes chroniques de la maladie, pouvant toutefois se présenter ave
mais celles au contraire qui se rapprochent le plus d'une irritation chronique et diffuse. — On doit donc considérer certains ca
diaire des nerfs. — Lorsque cette affection de la moelle est diffuse, chronique , lentement progressive, elle se traduit par les s
nés à la diathèse phosphatique. Ce catarrhe passe rapidement à l'état chronique . L'urèthre du malade, par suite de nombreuses ble
e, on trouve,comme coïncidence habituelle, les restes d'une affection chronique des os, d'une syphilis constitutionnelle, d'une t
amollie dans les cas aigus, endurcie quand la maladie suit une marche chronique . En même temps que ces lésions, on en trouve d'an
décrirons deux formes principales : la splenite aiguë et la splenite chronique . I SPLENITE AIGUË La splenite aiguë est cel
'opportunité. II SPLENITE CHRONIQUE On donne le nom de splenite chronique à l'inflammation chroni-que de la rate. — Il nous
rentes, et surtout l'hypertrophie, le ramollissement ou l'indura-tion chronique de la rate. — Nous essayerons toutefois d'en donn
ypertrophie avec induration, annoncent l'existence d'une inflammation chronique . II. Symptômes. — Les symptômes de la splenite
aiguë peuvent 11* exister un certain temps, lorsque laphlegmasie chronique n'est pas primitive; le diagnostic est alors un p
re presque illimitée. IV. Etiologie. — Les causes de l'inflammation chronique bien caractérisée ne peuvent guère être cherchées
es. , Les fièvres paludéennes peuvent-elles produire l'inflammation chronique ? Si nous nous en rapportions aux auteurs, nous ré
mais, comme nous l'avons dit, tout étant confusion entre la splénite chronique et l'hypertrophie, il est bien difficile de formu
rdons postérieurs {voy. Ataxie locomotrice). Splénite aiguë, 269. — Chronique , 273. Syphilide papuleuse plate, modifiée par l
75 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
m des lésions dans le cas de syndrome protubérantiel par artérite chronique ; mais elles peuvent relever aussi, comme le mon-
s bien comprendre la multiplicité et la dissémination des artérites chroniques du cerveau. Mais, dans des cas plus rares, la d
mois et demi de diarrhée infantile. Le père est mort de dysenterie chronique à l'âge de quarante- deux ans et demi. La mèr
de la maladie. DE la PÉRIODE aiguë. L'hystérie, avant de devenir chronique , est le plus souvent précédée d'une période dite
aralysie infantile cérébrale, la syphilis céré- brale, l'alcoolisme chronique avancé, l'épilepsie, ainsi que dans certains ca
ATHOLOGIE NERVEUSE. VIII. Paralysie labio-glosso-laryngée (Atrophie chronique des noyaux moteurs de la protubérance et du bul
l y a dix-huit mois de cela. Les autres phéneaïïènes du nicotinisme chronique , tels que vertiges, dyspnée, constipation, ont
trente ans avant. Mais c'est la discussion célèbre sur le délire chronique de Magnan qui porta le plus de lumière dans cette
es les psychoses aiguës et aux crises symptomatiques des vésanies chroniques . Il préconise l'abandon systématique des moyens
ng d'un supplicié », que cite àt. le D BnËMONT dans le numéro de la Chronique du 15 octobre, je trouve, dans le tome second d
u'il n'administrait probablement pas lui-même à l'épileptique ? (Lu Chronique médicale du 1 ? mai 1902.) " * Dr DAuviN (Saint
équence. Aussi a-t-on pu dis- tinguer une forme aiguë et 'une forme chronique , cette dernière à la suite des travaux remarqua
travaux remarquables de Cotard et de Seglas. La mélancolie anxieuse chronique présente une évolution systémati- que, qui rapp
et sa fille ». On rencontre enfin chez les idiots et les maniaques chroniques une foule de tics grimaciers ou autres, tel que
e. Le certificat établi à l'entrée par M. Magnan porte « alcoolisme chronique avec accès subaigu. Hallucinations mul- tiples
hypothèses : Influence de la lésion cérébrale due à l'al- coolisme chronique , troubles circulatoires de l'encéphalo- SUR UN
tique chirurgicale dans le traitement des psychoses tant aiguës que chroniques . Ce rapport des psychoses avec le traumatisme d
ons, et qui comprenaient 8 cas d'alcoolisme subaigu, d'al- coolisme chronique et 2 de psychose polynévritique de Korsakofr. L
s d'alcoolisme subaigu qui éclatent dans le cours de l'alcoolisme chronique . A diverses reprises, les auteurs se sont trouvés
ans dans ma thèse, quand j'ai dit, le premier en date, que la forme chronique et rémittente de la paralysie générale se rencont
fois Beaucoup de médecins, peu au courant des maladies nerveuses chroniques des enfants, sont fort embarrassés en face de tel
d'une intoxication, éléments épisodiques surajoutés à l'alcoolisme chronique . L'auto-accusation représente une des formes dé
qui présente les mêmes caractères que la méningo-périen- céphalite chronique diffuse, c'est-à-dire, en résumé, l'infiltration
avec ces auteurs nous considérons comme des lésions d'inflammations chroniques , ces productions cellulaires constituent des fo
res modifications névrogliques liées à des processus d'inflammation chronique banale. ' Il ne faudrait pas par un véritable a
ns -dans ma thèse, quand j'ai dit, le premier en date, que la forme chronique et rémittente de la paralysie générale se rencon-
gite n'avait été que l'épilogue rapide d'une tuberculose pulmonaire chronique à la 3° période. Au contraire, dans les 4 cas o
renseignement. Mère moite à l'âge de quarante-sept ans; rhumatisme chronique ; avait les doigts volumineux ; bossue, une épau
le monde, et est fort remarqué. Causes : hérédité nerveuse, coryza chronique . La seconde observation a trait à une jeune idi
d'hérédité; c. le début au delà de l'adoles- cence ; f. l'évolution chronique en quatre ou cinq ans. L'auteur rapporte une sé
repos au lit. E. BtJN. X. Quelques points du traitement des aliénés chroniques ; par Francis 0. Simpsons. (l'he American Jouio
age, dit l'auteur, pour les cas de folie aiguë que pour les malades chroniques . Il envisage alors successivement : REVUE DE TH
elle est en dispropor- tion (apparente) avec sa.cause , si elle est chronique , si ses concomitants physiques ont une intensit
ésentent sous la forme d'une répulsion ou peur anxieuse originelle, chronique , portant spécialement sur un objet déterminé (p
dans l'obsession : ce dédoublement s'accentue dans certaines formes chroniques et incurables de l'obsession où l'idée fixe s'a
tuel y prédomine, elles ont une allure rémittente ou continue, sont chroniques , l'idée obsédante est multiple et peut se modif
couleurs : on a voulu voir dans la cécité des couleurs une « myopie chronique » mais cela n'est vrai que si la perception lum
la Salpélrière, n° 4, 1899.) , Soit à l'état aigu, soit à l'état chronique , les troubles trophiques de la peau se manifest
nt être intéressées. M. Bienvenu rapporte une observation de chorée chronique . Méningite tuberculeuse du bulbe avec rémission
l'atrophie musculaire progres- sive spinale, due à une poliomyélite chronique strictement loca- lisée aux grandes cellules de
pos au lit, par Wizel, 415. Quelques points sur le traitement des chroniques , par Simpsons, 446. Asile d' de Navarre, 448.
76 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avoir des résultats appartenant exclusivement à la périencéphatique chronique interstitielle. De ces '108 paralytiques, il n'
., étaient sans doute dus à l'existence des lésions méningiliques chroniques qui étaient du reste bien moins prononcées chez
durée de l'élimination du bleu de méthylène chez les para- noiaques chroniques comme chez les individus normaux est plus 46 RE
anes sont les dipsomanes et ces malades ne sont pas des alcooliques chroniques . Au reste, le rapprochement que les inven- teur
résultats qu'il y a constatés. Cette méthode d'assistance pour les chroniques ne fait pas double emploi avec la colonisation
ts et suicideurs, tranquilles et pensionnaires.; les autres aliénés chroniques sont transférés dans un asile provincial. Ces p
is n appartiennent pas, il s'en faut de beaucoup à la catégorie des chroniques ou des incurables. Beaucoup au contraire sont g
nt les tics convulsifs, l'idiotie légère symptomatique de méningite chronique , l'inégalité de poids des hémisphères céré- bra
re d'écorce grise qui s'est trouvée atteinte de méningo-encéphalile chronique en foyer. Une jeune femme dans des circonstance
hilis a créé une lésion médullaire combinée, d'une part une myélite chronique pro- gressive du type Erb, d'autre part des lés
ns longues et, maintenant, c'est un type de délirant et d'halluciné chronique . » Le troisième frère aurait été longtemns affa
oreilles n'ont rien de particulier dans leur forme : otite moyenne chronique double, forme fongueuse; il n'y a plus de tympa
emarques sur les lésions observées dans un cas de paralysie spinale chronique d'origine syphilitique ; par R. F. William- son
rse ; 3° L'alitement semble ne pas devoir s'appliquer aux délirants chroniques qui paraissent, par ce régime, tendre à l'aggra
us aisée. Puis vint le tour du quartier des faibles et de celui des chroniques irritables non travailleurs. L'alitement diminu
ticulations coxofémorales. L'auteur propose le terme d'inflammation chronique ankylosante des grandes articulations et de la
orée semblable mais de maladies nerveuses éaractérisées. L'hérédité chronique remonte à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 159 s
au professeur d'établir les diverses modalités de l'ophtalmoplégie chronique . L'ophtalmoplégie peut se montrer dans le tabes
sition pour tout ce qui a trait à l'assistance des aliénés aigus et chroniques , à la constitution des asiles et des colonies,
continue; Grand développement donné ri la colonisation des aliénés chroniques et convalescents ; Extension de jour en jour
district de Verneck. On transfère dans ce dernier établissement les chroniques et les cas sans intérêt pour l'enseignement.
é considéré par tel spécialiste comme atteint de folie systématisée chronique et déclaré irresponsable, et, ultérieu- rement,
al n'est pas tout à fait le même que celui du délirant systématique chronique progressif. Les idées délirantes actuelles n'on
et de reprendre leur place dans la société ; et s'il s'agit de cas chroniques et incu- rables, c'est un moyen de maintenir l'
groupe de malades, les déments séniles, les déments organiques, les chroniques inoffen- sifs, principale cause de l'encombreme
ité de l'asile de Beauregard, reçoit en dehors des déments quelques chroniques hallucinés et quelques délirants systématisés q
crises aiguës paroxystiques. Au troisième degré la peur est devenue chronique . Le malade pense sans cesse à sa rougeur : elle
syndrome caractérisé par : a, l'irritabilité générale ; b, un étal chronique d'attente anxieuse; SECTION DE PSYCHIATRIE. 251
vropathie, où la dépression est absente, mais où l'angoisse domine, chronique et paroxystique, et qui constitue le terrain d'
er avant sa visite. Ce sont quelques convalescents et des malades chroniques tout à fait calmes qui s'occupent de travaux. Ces
t serait propre aux maladies aiguës, le régime ouvrier aux maladies chroniques . C'est tout à fait inexact. Presque tous les ma
Besch, l'hypertrophie du cerveau se distingue de l'hydrocéphalie chronique par les caractères suivants : dans l'hypertrophie
n'ont pas été mentionnés, c'est-à-dire tumeurs du cerveau, lésions chroniques des membranes, et altérations du crâne, lesquels
et elle était située dans la région frontale droite. L'affection chronique des membranes du cerveau est beaucoup ' plus fr
gique, les formes suivantes : 1° Idiotie symptomatique de méningite chronique (idiotie ménin- & : '< ? f6) ; 2° Idio
mp; : '< ? f6) ; 2° Idiotie symptomatique de méningo-encéphatite chronique (I. méninyo-encéphalitiqué) ; 3° Idiotie symp
1° tous les malades atteints de psy- choses aiguës ou de psychoses chroniques présentant des états intercurrents d'excitation
sser avec précaution les régions infiltrées. Les éruptions cutanées chroniques ne doi- vent pas arrêter le massage. Dans un ca
idère la folie des quérulants comme une forme du délire systématisé chronique , caractérisée par une altération générale de la
égative a une action résolutive marquée qui s'exerce sur la névrite chronique cause de la paralysie. Elle produit l'état cath
ivasculaires serait plutôt la conséquence d'un prolapsus atrophique chronique du cerveau. M. le professeur RAYMOND (de Paris)
'asiles urbains pour les cas aigus et de colonies ouvertes pour les chroniques , etc. A Grie- singer succéda Westphal (1868). T
nt associé de l'abaissement des yeux, par Babinski, 66 -. spinale chronique d'oirgine syphilitique, parvis- liamson, 126.
77 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
passant que cette hypertrophie ne s'observe jamais dans la cho- rée chronique . On peut retrouver l'influence des émotions sur
du corps (élévation des bras par exemple). (1) Iluet, De la chorée chronique (thèse de Paris, 1888-89). (2) Audry, Athélose
l1ne. Absolument comme dans la chorée de Sydenham ou dans la chorée chronique . C'est un ca- ractère commun avec ces deux mala
arquer si bien Iluet, l'athétose double se différencie de la chorée chronique surtout par le défaut de souplesse dans les mouve
dreich. Huet, quand il fait le diagnostic différentiel de la chorée chronique avec l'athétose double, nous la peint ainsi :
s la peint ainsi : La parole ne ressemble pas il celle de la chorée chronique ; elle se rap- proche plutôt de celle de la sclé
ladie de Freidreich, sclérose en plaque, paralysie générale, chorée chronique , elc... (1) 1V. Ilale White, Two cases of pecul
t. De plus les let- tres étaient plus régulières que dans la chorée chronique . Nous savons parfaitement bien qu'en pareilles
us, n° 11. ' A. H. Mère asthmatique. Père mort en 1881 de bronchite chronique . Un ; frère et une soeur plus âgés que le malad
à augmenter progressivement comme c'est l'ha- bitude dans la chorée chronique (démence). La démarche particulière est un autr
articulaires et les déviations vertébrales manquent dans la chorée chronique . Mais revenons à la marche de notre maladie. Le
t rarement jusqu'à la démence comme c'est l'habitude dans la chorée chronique . La durée de l'athétose double est assez longue
t au côté gau- che, elle se généralise ensuite rapidement. Chorée chronique . La chorée chronique est à peu près la seule af
elle se généralise ensuite rapidement. Chorée chronique. La chorée chronique est à peu près la seule affection avec laquelle
ic différentiel de ces deux maladies. A vrai dire lorsque la chorée chronique est bien caractérisée, lorsqne ses mouvements s
ours ainsi et quelquefois les mouvements involontaires de la chorée chronique de moyenne intensité ressemblent un peu à ceux de
'acte. Mais ce qui distingue surtout l'athétose double de la chorée chronique , c'est que dans la première les mouvements invo
est le caractère distinctif essentiel lorsque l'on parle de chorée chronique et d'athétose. Il y a une contracture plus ou m
ueux ; ces déformations et ces subluxations manquent dans la chorée chronique . La démarche est très particulière dans l'athét
dans l'athétose double et ne ressemble en rien à celle de la chorée chronique ; elle est en effet spasmodique, les ma- lades
s genoux rapprochés l'un contre l'autre ; tandis que dans la chorée chronique on constate que les malades marchent par une es
parole est défectueuse dans l'athétose double comme dans la chorée chronique , mais lorsqu'on observe bien attentivement les ch
plus lente, plus allongée chez les athétosiques. « Dans la chorée chronique , dit Clay-Schaw, les paroles sont vivement proj
tions, l'hypertro- phie musculaire manquent toujours dans la chorée chronique . La marche de la maladie est plus régulièrement
l'intelligence on peut les caractériser en deux mots : le choréique chronique devient à la fin un dément, l'athétosi- que dou
une observation « d'ostéo- malacie survenue dans un cas de démence chronique », observation appar- tenant à Alpins (9), il e
is encore inconnue ou à peine entrevue. A placer à côté des chorées chroniques qui paraissent être dans le même cas, sans voul
initive. Pour cette raison on pourrait la ranger à côté des chorées chroniques . 2° Les caractères des mouvements involontaires
simuler (tabes dorsal spasmodique, maladie de Frie- dreich, chorée chronique , etc.), il sera fait facilement en général d'aprè
with remarks (Practilioner. London, 1883, XXX). Huet. De la chorée chronique (Thèse de Paris, 1888-1889). -Jougla. Contri- b
te. Je n'ai pas eu l'occasion de traiter un cas aigu ; dans les cas chroniques , la faradisation du cou n'est pas du tout indiqué
inents que je viens de nommer. Le tabès étant donc une inflammation chronique on ne peut nier qu'une médication qui tend à re
78 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
s ; qu'il présentait enfin des signes caractéristiques d'alcoolisme chronique (1). Bien que la plupart des faits se soient pr
béreuse. Dautres idioties enfin sont dues à une méningo-encéphalite chronique gé- néralisée, rappelant tout à fait par ses ca
tives : 1 ° à la sclérose tubéreuse ; 2° à la méningo-encé- phalite chronique ; 3° à la microcéphalie. Nous allons les reprodu
-ENCÉPHALITE. 17 Il. Idiotie symptomatique de méningo-encéphalite chronique ; par MM. Bourneville et Wuillamié. Les faits d
amié. Les faits d'idiotie consécutive à une méningo-encépha- lite chronique plus ou moins généralisée sont assez com- muns.
2). (1) Nous avons observé plusieurs cas de diarrhée idiopathique chronique chez des enfants idiots des deux sexes, se termin
alcoolique (vin blanc), mort d'un asthme symptomatique de bronchite chronique avec emphysème à l'âge de 75 ans ; il avait des
ici autre chose que les manifestations du rhumatisme arti- culaire chronique partiel. Elles présentent, en effet, tous les c
ce sont aussi celles que M. Charcot assigne en propre au rhumatisme chronique . D'autre part, l'altération prédominante dans l
vation répétée et minutieusement suivie, à l'occasion du rhumatisme chronique d'une part, et de l'ataxie d'autre part, d'un g
e faisait pressentir l'existencedes lésions pulmo- naires, à marche chronique , que nous avons rencontrées à l'autopsie. Le dé
décou- vre des lésions très accentuées de znéozizyo-etcé2lzalite chronique plus ou moins généralisée. IV. Relation d'une
t font défaut aux membres. Les yeux, déjà atteints de conjonctivite chronique , sont larmoyants. A l'auscultation, on entend q
Les pieds sont cyanosés et les orteils sont le siège d'engelures chroniques . Bouche assez large; lèvres normales; arcades d
ues sur le tronc, très peu sur les membres. La diarrhée, à l'état chronique chez notre malade, n'a pas augmenté. A l'auscul
lvines, par suite de l'état de gâtisme, avait déterminé un érythème chronique . L'irritation cutanée a donc agi, ici, comme da
re supérieure est le siège d'un érythème occa- sionné par un coryza chronique . Le cuir chevelu est recou- vert de quelques cr
172 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche I. JI éningo-encéphalite chronique généralisée. Séparation de la substance grise d
79 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
i l’honneur de vous présenter la relation d’une guérison d’ophthalmie chronique opérée par une mère sur son enfant, à l’aide du m
monte jusqu’à Dieu, ce que ne peut faire lu reste de l’animalité. Chronique . — Le magnétisme est en vogue au théâtre : après
par des procédés inconnus des savants, à venir à nos enseignements. Chronique . — La Société du Mesmérisme vient de manifester s
donné, ces dégoûts, cette maigreur, décelaient un désordre profond et chronique des organes thorachiques et intestinaux, désordre
us demanderons, car nos vœux sont humains autant que légitimes. • Chronique . — Un manuscrit de Mesmer sur le magnétisme, parf
us ; et à bien dire, c'est une folie passagère, aiguë, au lieu d’être chronique . Un savant médecin d’aliénés, M. Moreau, de Tours
volonté de l’homme contre la volonté de Dieu? L. Alp. Caiiagnet. Chronique . — M. le docteur Gorgeret, auteur d’un petit écri
est passé là «ans entendre gronder le tonnerre. (Franco-Américain.) Chronique . — La conférence «lu 19 mars, à Notre-Dame, a été
s points conforme à la vérité. Jobard. Bruxelles, 7 avril 1818. Chronique . — Parmi les nombreuses caricatures faites sur l’
se sont, l’un tué, l’autre fracturé la cuisse en tombant de cheval! Chronique . — Nous avons des nouvelles directes de Calcutta
semblable que doive paraître mon récit, j’atteste qu’il est vrai. » Chronique . — Les somnambulistes ont l’esprit inventif; la f
dacteurs en chef chacun un magnélophile, MM. Gally et de Lavalette. Chronique .— Les séances expérimentales des sociétés magnéto
tion et utilité comparées à celles de l'éther et du magnétisme, 26. Chronique . — Nouvelles et faits divers d’actualité, 59, 127
Je compte aujourd’hui voir aussi M. Koreff. Nous parlerons de vous. Chronique . — L’ancien procureur du roi, d’Auxerre, qui pour
vous si mal conduit cette maladie, que vous avez fait passer à l’état chronique , soit par votre hésitation, soit par voire persis
Ce point de doctrine consiste à prétendre que la cause des maladies chroniques est la gale, la syphilis et la sy-cose, virus qui
sic, catarrhes bronchique ou vésical, hépatites, gastrites, entérites chroniques , rhumatismes, scrofules, asthmes, et toutes les a
dmettront jamais que ces virus soient la cause de toutes les maladies chroniques , delà plupart, si vous voulez même, pour être moi
roubler les fonctions d’un organe et causer sa souffrance, sous forme chronique ! IJue affection aigué, mai traitée, ne se résout
mai traitée, ne se résout qu’imparfaitement et détermine une maladie chronique ! Un rhume tout simple, négligé, peut se changer e
chronique! Un rhume tout simple, négligé, peut se changer en catarrhe chronique , il peut même donner naissance à la phthisie ! Un
s qui sont longs à se manifester et qui laissent souvent des maladies chroniques ! Des maladiesdu cœur, du foie, des hydropisies,
on on n'a rien vu qui ressemblât à une répercussion. Leurs maladies chroniques viennent de là , selon vous ; mais beaucoup viven
par Hahnemann, savoir : les infinitésimaux et la théorie des maladies chroniques . Quoi qu’il en soit de mon opinion à l’égard de
vérité persiste, et le siècle est dompté. Pierre Laciiambeaudib. Chronique . — Les événements politiques, qui ont entravé la
hydrothérapiques s’appliquent aux maladies aiguës comme aux maladies chroniques , et le nombre des guérisons, d'après des rapports
des virus de l’homoeopathie qui sont la cause de toutes les maladies chroniques . Malgré le peu de fondement de sa doctrine, M.
s découvertes ont exercé une si grande influence sur le magnétisme. Chronique . — 11 y a maintenant dans les hôpi- taux de Par
ilemnt à bout de la faire cesser, parce qu’elle était passée à l’état chronique . Pourtant elle indiqua la magnétisation comme le
mbre de la Société Magnétolo-gique de Paris, vient aussi de mourir. Chronique . — L’état du magnétisme, à Paris, s améliore sens
exaltation du système nerveux. Bordeu ( Recherches sur les Maladies chroniques ) cite plusieurs faits de lucidité médicale dont i
pendant a fait exception : c’était une femme atteinte d’une affection chronique fort an- cienne et réputée incurable par tous l
llir, et qui pourrait intéresser la publication de votre Journal. » Chronique . — Un de nos amis, M. Chipron, qui vient d'aller
de Paris, MM. Quélin-Bichotte et Chappuis, sont également décédés. Chronique . — Le nouveau doyen de la Faculté de Médecine de
par le magnétisme simple. Le quatrième cas est une gastro-entérite chronique . line jeune fdle magnétisée indique les remèdes
ent est impuissant contre les maladies ayant pour cause des miasmes chroniques tels que la gale ou psore, la syphilis, ies dartr
de comme préférable, pour obtenir la guérison de beaucoup de maladies chroniques , d’employi'r les remèdes reconnus capables de dét
ls historiques, 253. C. Cuivre. — Son action sur Prudence, 177. Chronique . — Nouvelles et faits divers d’actualité, 41, 123
80 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
rose multiloculaire est restée confondue dans le chaos des myélites chroniques . Il y a trente ans à peine que Vu[- pian et Cha
inaperçue : la neuras- thénie, les intoxications et les infections chroniques méconnues. Et, comme enseignement, savoir qu'il
de la paroi postérieure du pharynx et du larynx normale. Pharyngite chronique . Epiglotte rabattue sur le larynx, revenue sur
talons. Après des traitements variés, l'écoulement uréthral devint chronique . Et il persistait encore, uous dit le malade, i
oit externe et le grand oblique. Ocs. XXXII. Poliencéphalomyélite chronique progressive (Scelig- midler1). Anna Schmidt,
nsemble symptomatique de ce cas appartient donc à la polio- myélite chronique et à la poliencéphalite supérieure et inférieure.
S. 181 des convulsions. 4 sont vivants; une soeur atteinte d'eczéma chronique a eu des attaques hystériques qui ont disparu a
longue la formation d'un CIItt·Ol)1011 bilatéral; puis une kératite chronique , laquelle a eu pour résultat la production d'opac
es abdominaux.. Nous avons donc affaire à une polioencéphalomyélite chronique pro- gressive. Ce qui rend notre cas, autant
ts qui précèdent appartiennent les uns à la polioencéphalo- myélite chronique , les autres à la polioencéphalomyélite subaiguë.
halomyélite subaiguë que nous connaissions. ( Polioencéphalomyélite chronique z Les différents faits qui ressortissent à ce g
bord l'attention du malade. Dès le début, la marche essentiellement chronique de l'affec- tion s'affirme par la lenteur, l'hé
on sait que c'est ainsi que procède l'atrophie dans la poliomyélite chronique . C'est l'atrophie qui domine la scène et règle
rescence. Dans une affection connexe de la poliomyélite antérieure chronique , dans la syringomyélie avec atrophie musculaire,
t pas modifié. . La marche ultérieure de la polioencéphalomyélite chronique est des plus variables. Chez deux malades, en e
a mort' (cas de Seeli(ymüller). Enfin, Brau... appartient à un type chronique et progressif; il n'est malade que depuis deux an
comme la cause probable de la poliomyélite antérieure su- baiguë et chronique . Parmi les sept malades atteints d'atrophie mus-
e, de Rosenthal, il semble que le début de la polioencéphalomyélite chronique par le bulbe supérieur entraîne un pronostic mo
ale aucune autopsie de polioencéphalomyélite ou de polioencéphalite chronique simple, isolée, suivie d'examen microscopique;
'une paralysie multiple périphérique. Le développement éminemment , chronique des symptômes oculaires, lcur variabilité, les ré
L'UI'll'l'ILAL)lUl'L1;G11 : l ? l'1 : 1311;, ? 3.i Polioencéphalite chronique , La première autopsie de ce genre appartient à
minerons la série d'examens microscopiques concernantles paralysies chroniques et progressives des muscles oculaires par la re
bservation que nous citons presque in extenso. OBs. XL. Paralysie chronique et progressive des muscles de l'oeil. (Doellige
ingée moyenne. Pachyméningite interne hémorrha- gique. A l'achnitis chronique avec oedème. Atrophie sénile du cerveau, parti-
x lésions plus atrophiques qu'inflammatoires de la polioencéphalite chronique on peut opposer les altérations inflammatoires et
eins sans altération appréciable. Foie un peu grais- seux. Catarrhe chronique de l'estomac. Intestins normaux. Calotte crânienn
épaissie etrecouverle d'une multitude de granulations (épendymatite chronique granuleuse). Rien d'anormal ne se fait remarquer
e externe, du pneumogastrique. En résumé, dans la poliencéphalite chronique , les capillaires sont dilatés, gorgés de sang,
est susceptible de lésion systématique non seulement dans la forme chronique , mais aussi dans la forme aiguë. » CONCLUSIONS
trophie musculaire du type , Duchenne-Aran (poliomyélite antérieure chronique ), de même l'oph- thalmoplégie externe (poliencé
vec les caractères du type Du- chenne-Aran (poliomyélite antérieure chronique ), tantôt avec ceux du type clinique de la paral
IDIOTIE. Lecrosnier & BABÉ éditeurs UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE INFANTILE rhumatisme d'heberden, rhumatisme N
e (Manche), nous avons rencontré un cas remarquable de rhumatisme chronique déformant chez un jeune mendiant, appelé par les
Progrès médical, 1890, u" 2G, 27, 30, 33, 38). UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE INFANTILE. 273 Main gauche. - Epiphyses supérie
me dans les cas publiés par Toldï et Ebstein. Ce malade, alcoolique chronique (hyperesthésie plantaire), d'une intelli- gence
à la suite d'un accès de colère violente. Père mort de bronchite chronique à quarante-six ans, un peu nerveux. Le père et
pt enfants : 1° fils, verrier, trente-six ans, atteint de bronchite chronique ; 2° fille, née avant terme, morte à un mois; 3°
i que Benzi (28), par exemple, a rapporté un cas de méningo-myélite chronique dans lequel, sous l'influence de plu- sieurs sé
nt chirurgical des musculaires), par 'l'errillon, 249. Rhumatisme chronique (Un cas de avec idiotie), par Diamantberger, 27
81 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
et la radiographie ne décèle pas d'ostéophy- tes. Ni le rhumatisme chronique , ni les onychoses dystrophiques ou para- sitair
isme subaigu, blennorrhagique, tuberculeux, ou bien aux rhumatismes chroniques déformants. La persistance du gonflement t et l
cas, où la maladie nerveuse évolue, le plus souvent sous une forme chronique , chez de jeunes gens; dans la plupart des cas l
atrophie des testicu- les el de la glande thyroïde, leptoméningite chronique , prolifération de la névroglie, se manifestant
maladie ner- veuse s'est développée dans nos deux cas d'une manière chronique . MALADIE DE RAYNAUD TRANSITOIRE, A LOCALISATION
une augmentation des lymphocytes dans la chlorose, dans les anémies chroniques et pernicieuses. Schilling- Forgues énumère cel
e simule véritablement aucune dermatose classée. C'est, de l'eczéma chronique qu'elle se rapprocherait le plus, tenant à la foi
adoptée parles malades chez qui l'insuffisance est considérable et chronique . La forme spéciale de la démarche a pour objet
e dans les articulations les plus distales. Elles sont éminem- ment chroniques et lorsqu'elles apparaissent dans les premières p
mputer le doigt. J'ai pu observer, dans quelques cas de trophcedème chronique , la décal- cification osseuse à un degré plus o
i en laisse voir claire- ment à droite la boursoufflure. Cet oedème chronique qui est dur et non douloureux, qui n'est pas ac
tables d'amyotrophie progressive, dus à une poliomyélite antérieure chronique primitive. Quoi qu'il en soit, j'ai l'intenti
Lhermilte(1)ontlmblié des observations très intéressâmes de chorée chronique progressive clans lesquelles ils ont trouvé des
rticales Il. PIER"E Marie el J. LUEIIITTR, Les lésions de la chorée chronique progressive Annales de Médecine, 1914, n" 1, p.
sujet observé par Leclerc et Magdinier (4), il y avait une cyanose chronique avec hyperglobulie (7 à 8 millions d'hé- maties
hérit les sujets de faible constitu- tion, atteints d'intoxications chroniques intestinales (Saint-Philippe) ou d'infections a
et plusieurs absinthes. Sa femme est morte 11. 56 ans de bronchite chronique , elle u'eut pas de fausse couche et lui a laiss
ion de sécrétion glaireuse(enléro-colitemuco-memhraneuse), diarrhée chronique ou intermittente, parasites intestinaux, etc.,
mportants qu'il s'agissait d'observations ayant trait à des malades chroniques , qui, depuis longtemps déjà, la plu- part depui
iffuse du cerveau (écorce) ou de la dure-mère (méningo-encéphalites chroniques infantiles). Ce fait, auquel on n'a jamais prêt
erveau (écorce) et dans les méninges, tandis que, dans des cas très chroniques avec démence secondaire, on peut trouver des an
t, d'autre part, une maladie du métabolisme, une auto- intoxication chronique ayant pour cause primitive une hypofonction de
nt plus manifestes, pourraient être les signes d'une in- toxication chronique , et que ces phénomènes seraient caractéristiques
ie. après encéphalite, respectivement mèningo-encéphalite infantile chronique (bien déterminée seulement par anamnèse), certain
e décomposition albumi- noïdes, qui peuvent causer une intoxication chronique et qui, chez l'individu normal, sont transformé
e, à savoir que l'épilepsie essentielle est causée par des troubles chroniques du métabolisme à la suite d'hypo- thyroïdisme (
ne manière très remarquable. De ces bons résultais chez des malades chroniques , traités auparavant pour la plupart longtemps d
pileptique avec exitus lmlalis, ou un développement de phéno- mènes chroniques avec, de temps à autre, une attaque et ensuite to
ortex même et des par- ties environnantes. Celte intoxication, très chronique , détermine aussi bien les changements de caract
r ces deux dernières intoxications, il ne se produit, dans la forme chronique , qu'une très faible démence, mais des dégénéresce
mie veineuse). 3° L'épilepsie essentielle est une auto-intoxication chronique , causée par des produits toxiques de décomposit
iennent constitutionnels. Les infections de toute nature, aiguës ou chroniques , ou les intoxica- tions peuvent, d'une façon te
82 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
comme assuré de l'impunité dans l'état actuel de la jurisprudence. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Séance annuelle de la Société
il s'agit d'une poussée tuberculeuse limitée aux sommets, à tendance chronique , à évolution lente, susceptible d'être enrayée pa
ébeault, Le sommeil et les états analogues, 1866, p. 352. aigu ou chronique , localisé dans un membre, il sera bon, après avoi
que hystérique par l'imposition des mains, comme en sont peuplées les chroniques de l'époque. Ces exemples suffisent à montrer q
s Clair : La vie de saint Ignace de Loyola. — Pion-Nourrit, 1891. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE La suggestion du suicide. L
aines. J'ai vu, depuis deux ans, beaucoup de ces névropathies devenir chroniques et se généraliser, en dépit de tous les traitemen
3° La dissimulation se voit surtout chez les persécutés systématisés chroniques ; c'est chez eux que se trouve le plus grand nomb
e illégal de la médecine. Veuillez, Monsieur le Ministre, etc.... CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Banquet de la Société d'hypno
mmence par éloigner d'elle toute émotion; je ne cherche ni à fas- chronique et correspondance 93 ciner, ni à en imposer a
ais cette tuberculose, datant de quatre ans, a une évolution lente et chronique . Quelle est la nature des douleurs des membres
ence de toute lésion, alors que certainement dans une affection aussi chronique , à évolution aussi lente depuis quatre ans, la to
ence, le monopole de l'alcool, les asiles de buveurs. Paul Sérieux. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
la tour de Magdalen, « Mai qui rit aux cieux si beaux. » Y. B. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
e, mais ne sont pas dupes de ce qu'ils racontent. Henri Le Mesle. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ces notions superficielles qui donnent à qui les (1) Extrait de la Chronique médicale, que dirige avec tant de succès notre sa
r Dumontpallier, nous dit un des fidèles collaborateurs et amis de la Chronique , il a beaucoup connu Dumas, il l'a longtemps prat
dualité, cette personnalité, qu'on aura bien du mal a remplacer... ( Chronique médicale) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société
alité, qu'on aura bien du mal a remplacer... (Chronique médicale) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
des résumés. — III. Des comptes rendus et des correspondances. — IV. Chroniques , nouvelles, faits divers. — V. Critique, bibliogr
e lui délivrai un certificat attestant qu'il était atteint de myèlite chronique (ramollissement de la moelle èpinière). « D'apr
s qu'il s'agit bien de cette affection, et non d'un simple rhumatisme chronique , parce que la malade ne signale pas d'accès de rh
otamment. Si même je me trompais dans mon appréciation, le rhumatisme chronique n'est guère plus favorable que l'arthrite noueuse
técédents héréditaires neu-ropathiques. Le père est mort d'alcoolisme chronique ; la mère, après des accidents de manie hystérique
re attouchement agissant par suggestion, arrive à rétablir la voix. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Les images rétiniennes. Le
ne l'instruis pas. Tu mériteras un coup de faucille. A. Robert. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
hez 27 malades, qu'il divise en quatre catégories: 7 cas d'alcoolisme chronique , 5 de troubles sexuels, 6 de neurasthénie et de l
procédés de traitement échouent, comme par exemple dans l'alcoolisme chronique et les troubles sexuels. Mais, pour que la sugges
tique, on peut arriver à la guérison complète de certaines affections chroniques , dc celles bien entendu où la suggestion exerce u
influenza. 0) Bulletin de la Soc. mèd. d'Anvers, janvier 1896.) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
a langue de tous. Francisque Sarcey. ILe Correspondant médical) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
83 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
s de vue, on rencontre un grand-père paternel atteint de rhumatisme chronique et un frère scrofuleux. Pas le moindre amyotrop
r où des vomissements sont venus l'incliner du côté de la méningite chronique ( ? ). Nous avons dans la mémoire un cas analog
est souvent une névrite. Dans le cas de con- Itisioii, violente ou chronique , on conçoit encore qu'un nerf puisse être lésé.
voir reconnaître pour cause de ces lésions ulcératives la contusion chronique par compression prolongée des nerfs dans l'aiss
mier lieu pour la méningite aiguë, en second lieu pour la méningite chronique . CHAPITRE PREMIER. SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMU
ru. CHAPITRE Il SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA MÉNINGITE CHRONIQUE . Tous les ouvrages de pathologie médicale ont e
e pathologie médicale ont en général un chapitre réservé aux formes chroniques de la méningite; mais la plus grande confu- sio
ménillgo-encéphrtlite chro- nique, un type particulier d'affection chronique de l'encéphale bien distinct des autres types p
c absolument vraie (1). Nous n'entreprendrons pas pour la méningite chronique le même système d'argumentation qui nous a serv
ation XXVI. Accidents hystériques simulant une méningo-ezcéplcalite chronique ; cépha- lée persistante, contracture des deux
s d'un an faisait redouter il bon droit une l1u ! lIigo-encéphalite chronique . Cependant, M. Pitres penchait t du côté de l'h
deuxième catégorie qui simulent la méningite aiguë et la méningite chronique . IV. L'hystérie existe seule dans la plupart de
uelquefois en conséquence de lésions de la moelle épinière, myélite chronique (Scllieferdecl : er) , paraplégie traumatique (
é dans les antécédents dès ataxiques. Nous avons vu le rhu- matisme chronique signalé dans l'observation de M. Babinski (2) et
, et qui se retrouvent dans un grand nombre de pro- cessus aigus et chroniques n'ayant rien à voir avec la syphilis. D'ailleurs
off, âgé de 36 ans, lieutenant retraité. Démence secondaire. Délire chronique avec idées de persécution. Mimique : Affaibliss
ée comme un indice incontestable prouvant qu'une psychose, aiguë ou chronique à son origine, commence à prendre une forme inc
i est propre pour devenir replète, rude tout comme chez les aliénés chroniques ; (figure 4). D'autres causes, d'ailleurs, contri
our del jugement. ajoute Ph. Mouskes (2), évêque de Tournay dans sa Chronique rimée. Ce Cartophilus avait été longtemps mêlé
islonia Major, in fol. édit. Will Wats., p. 352, Londini, 1640. (2) Chronique rimée de Ph. Mouskes, ed. Reiffemberg, p. 491.
pour s'accompagner plus tard des symptômes d'une méningite spinale chronique , contribue à donner à l'affection un ca- ractèr
es auteurs classiques dans la description des méningites spi- nales chroniques . Il est démontré aujourd'hui qu'il y a lieu, au m
te, il établit les lignes de démarcation qui séparent le rhumatisme chronique de l'affection goutteuse. Son livre sur les mal
syphilitique, dans sa forme la plus com- mune, est essentiellement chronique . A aucun moment de la maladie on n'observe d'él
eux enfants, n'a jamais souf- fert de maladies somatiques aiguës ou chroniques . Ses règles étaient nor- males, quoique toujour
utres, à la folie catatonique délirante, d'autres enfin à l'amentia chronique . Remettant à l'époque où la maladie aura entièr
ques et anatomo-pathologiques telles que l'otématome, les décubitus chroniques et aiguës et le mal perforant. La littérature
ns le cas qui nous occupe, nous n'avons eu affaire ni à une maladie chronique , affection tuberculeuse, syphilitique ou rhumat
que l'autre lui avait raconté en un mois, suyvant les histoires et chroniques angloises : voire les mesmes mots, il les profé
aris (Mathieu). - Historia Major. London, 1571. Philippe Mouskès. - Chronique , publiée par le baron de Reiffenborg. Bruxelles
84 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
). Sous des influences indéterminées, ou à la suite d'inflammations chroniques , ce même tissu spongieux péri-antral subit une év
opératoire restreint et toujours modifié par les lésions de l'ostéite chronique . Voilà certes, de quoi rendre prudent et réservé
zold, cette hyperhémie serait d'un mauvais pronostic clans la surdité chronique progressive, car elle traduirait l'inflammation p
t et s'infiltre de dépôts calcaires dans les processus inflammatoires chroniques ; elle olïre toute la gamme du rouge clans les in
ouve un cas seulement de paralysie faciale sur 100 cas de suppuration chronique , eto,34 pour cent si l'on considère le chiffre to
canisme dans les otites aiguës ; le second, dans les otites suppurées chroniques . Dans les affections aiguës, la lésion du nerf ré
nerf réside au niveau de la portion tympanique. Dans les suppurations chroniques , le foyer d'ostéite peut occuper différents point
se fait suivant deux mécanismes : par contact avec un foyer d'ostéite chronique , ou par propagation veineuse à travers les sinus
par Hessler, la thrombose compliquait l'otite aiguë 18 fois, l'otite chronique 5i fois. La thrombose peut siéger sur différent
otitique. La première, qui est la plus fréquente, succède à une otite chronique et s'accompagne de signes de mastoïdite et de mét
stiques de Braunstein sont très démonstratives. Dans les infections chroniques de l'oreille, cet auteur recontre l'abcès extra-d
une statistique de Grûnert, 91 fois sur 100 il succède à une ostéite chronique du temporal. Il est rare qu'il coexiste avec un a
Andèrodias (N.), Contribution au traitement chirurgical des otites chroniques suppurées rebelles par l'ouverture large des cavi
ie. Paris, 1888. Barbarin (P.), Les complications graves des otites chroniques . La région mastoïdienne. Thèse de Paris, 1902. Be
aire sans thrombo-sinusite. Thèse de Paris, 1900 Rozier (J.), Otite chronique . Evidement. Paralysie faciale consécutive au cure
t l'attico-antrotomie, applicable à la cure radicale des suppurations chroniques de l'oreille moyenne. Les parois externes de l'at
85 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
es services à créer pour l'isolement des maladies contagieuses, les chroniques et les infirmes, ne seront ni plus ni moins vit
ment, l'opposition des Maires des communes suburbaines, et pour les chroniques et les in- firmes, ce n'est point le manque de
symptomatique de méningite ou 52 CLINIQUE. de méningo-encéphalite chronique (idiotie méninge- tique) ; - 8° Idiotie avec ca
upières inférieures; elles [sont le siège d'une blépharite ciliaire chronique . Les conjonctives palpébrales sont un peu pâles
enu à l'âge de deux ans. Depuis cette époque, il existe une rhinite chronique purulente (ozène) des deux côtés ; l'écoulement
es paupières, boursouflées, sont le siège d'une blépharite ciliaire chronique . - Les globes oculaires sont normaux. Le ne-, e
uis quatre ans. - Grand-père paternel mort à 66 ans, de bronchite chronique , laboureur, sobre. - Grand'mère paternelle, mi-
bouffies, ont une pâleur bleuâtre et sont le siège d'une blépharite chronique . Les cils sont très longs et assez fournis aux
sions histolo- giques de la substance grise dans les encéphalites chroniques de l'enfance ; Par A. P1LCJBT, Interne des Hô
ateur d'histologie à la Faculté de médecine. L'histoire des lésions chroniques de l'encéphale a été très longue à établir au p
t donc bien entendu que nous parlerons seule- ment des encéphalites chroniques à petits signes ma- croscopiques, et que dans c
Nous voyons donc que dans l'encéphale, il existe une inflamma- tion chronique (encéphalite) à différents degrés; dansla moelle.
rolifération scléreuse. Ce processus paraît s'être fait d'une façon chronique pour l'ensemble et subaiguë sur certains points d
développement des deux lobes frontaux, et de la méningo-cncéphalite chronique disséminée assez marquée pour que la substance
a, en outre, un grand nombre de faits se rapportant à l'encéphalite chronique dans l'Index des chirurgiens américains, dans l
sions histologiques - de la substance grise dans les encéphalites chroniques de l'enfance, par PiLDET ......... 113 m. Une f
86 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
p. 25.. IV. — REVUE CRITIQUE, par m. le Dr Paul Farez, p. 26. V.— CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypno-logie et de
tômes stomacaux et hépatiques doivent être rapportés à son alcoolisme chronique . Mais en même temps dans son cerveau s'opéraient
nation et n'agissent que par suggestion?/page> page n="32"> CHRONIQUE Eï CORRESPONDANCE Société d'hypnologte et de ps
comme le désignait Homère, mais, au contraire, un frère de la vie. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Le premier Gongrès interr ati
érêt public à réprimer leurs actes, etc./page> page n="95"> CHRONIQUE ET CORRÉSPûHDAiiCE Un cas de suggestion visuell
et qui doit travailler à un éclairage artificiel dans celte pièce. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
re !a phttoic. (1) Correspondent médical, 15 février 1897, p. 4, et Chronique médicale. ?? sept. 1898, p. 569. (2) Revue des
suggestion est un moyen très efficace contre la chorée hystérique. CHRONIQUE DES SCIENCES PSYCHIQUES Par M. Jules Bois. I
rtance de la suggestion hypnotique dans le traitement de l'alcoolisme chronique , par M. Bbchterbw, Centr&amp;lbl. (. Neroenhe
ggestion dans le traitement de la prophylaxie de l'alcoolisme aigu ou chronique , — mais encore sur la grande utilité du sommeil p
s déshonorante que Îouto autre maladie./page> page n="159"> CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ier, Angélique Arnauld d'An-dilly et Catherine Goulas; La tristesse chronique chez Biaise Pascal, Jacqueline Pascal, Biaise Pér
gni de Chaze, Marie de Rubantel Le Camus; La timidité et la crainte chronique , crainte de Dieu ou crainte de la mort, chez Biai
efficace que si elle met à son service une persévérance inlassable. CHRONIQUE DES SCIENCES PSYCHIQUES Par M. Jules Bois. La
tât au contrôle des savants français. ./page> page n="192"> CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
pour guérir un de ses lézards malade d'une ophtalmie passée à l'élat chronique ? L'animal placé au contact de l'homme, dans sa
spèces de l'électricité, !a suggestion apporte la guérison.désirée. CHRONIQUE ET C03RESP0KDAHCE Société d'hypnologie et de ps
ces symptômes ont disparu sous l'influence de lo chloroformisation. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
nications. T'ai relevé chez 8 de mes dévots la timidité ou la crainte chronique . 5 et 6. La faiblesse d'esprit, l'ignorance et
ès et nous ne pouvons que nous en réjouir, en tant que thérapeutes. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
lement le premier. C'est ainsi du moins que je considère la tristesse chronique , relevée chez six de mes dévots. 4. L'humilité.
ctieuses et que nous savons être justiciables de la psychothérapie. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ratifs. (Léon PrîbOB, avocat à la Cour d'appel in France médicale.) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
s sens, est arrivé à son apogée en quelques mois ; puis il est devenu chronique . N'était la rapidité de son évolution, on se croi
des offres superbes pour qu'elle reprenne son ancienne profession. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
la suggestion hypnotique par Bourdon (de Méru), p. 145. Alcoolisme chronique (L'importance de la suggestion hypnotique dans le
blnski, p. 149. Chloroforme et suggestion par Paul Farez, p. 202. Chronique des Sciences psychiques, par Jules Bois, p-151, 1
. 364. Pseudo-rabies (Un cas de), par Lebell, p. 311. Psychiques ( Chronique des Sciences), par Jules Bois, p. 151, 185. Psy
87 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
est pas seulement d'hospitaliser les enfants atteints de maladies chroniques , longtemps réputées incurables, il est des plus
yant des infirmités graves, telle qu'une hémiplégie, ou une maladie chronique , passent dans la division des incurables de l'h
ès. Autopsie : état des sutures; lésions de méningo-encé- phalite chronique ; - persistance du thymus. Touch... Jean-Etienne
x lésions méningitiques. Nous rattacherons aussi à la ménin- gite chronique les coups que l'enfant se donnait sur la tête,
ans, bien portante, n'a jamais présenté les symptômes d'une maladie chronique ou nerveuse quelconque. - Grand-père paternel m
de rhumatismes, de dartres, ou de syphilis. Tuberculose pulmonaire chronique ; dyspepsie. (Père, mort à 73 ans, d'accident; p
pneumonie et albumine dans les urines : Mort. AUTOPSIE. - Méningite chronique ; - atélectasie pulmo- naire. Thom... Georges,
ste énergiquement et ne pré- sente aucun des signes de l'alcoolisme chronique . Marié une première fois assez jeune, il eut un
et à droite, croûtes impétigineuses du cuir chevelu. Pas d'adénites chroniques . Tête allongée, sensiblement asymétrique, ne pr
og. 800. Il avait donc maigri d'environ 300 gr. Méningo-encéphalite chronique . 73 3 durant sa maladie. - T. R. 38°, 2 : -Soir
face et adhérente à la vome crânienne. 74 11É\I\GO-I;NCÉPH : 1LIT1; chronique . Tout le lobe pariétal présente des adhérences
mais vu se livrer à aucun excès). Il n'aurait jamais eu de maladies chroniques telles que : affections nerveuses, dartres, rhu
été malade. Mère, 60 ans, bien portante, n'a jamais eu d'affection chronique ner- veuse ou autre. - Grand-père paternel, mor
ie : Porus vrais des deux hémisphères cérébraux Méningo-encéphalite chronique ; atrophie de la protu- bérance. Lestons pulmona
de, par la macrocéphalie. Des personnes peu au courant des maladies chroniques de l'encéphale pourraient supposer que cet état
mal épileptique : mort. Autopsie : sclérose atrophique et méningite chronique . March... (Valentin), né le 17 novembre 1879, à
ues très abondantes et étendues de méningite purulente. - Méningite chronique de la con- vexité et de la base. - Circonvoluti
ons; fièvre mu- queuse à l'âge de 5 ans. Pas de chorée ; rhumatisme chronique depuis peu de temps. Pas de dartres, ni de migr
Le diagnostic probable que l'on peut formuler est : Tuber- culose chronique avec évolution gliomateuse et kystique des tiss
ntelligence moyenne, elle a eu de légères attein- tes de rhumatisme chronique aux poignets et des migraines BOUR1EVILLE, Bicê
pour nous faire songer à une lésion irritative du corvcauméningite chronique ou sclérose des circonvolutions). D'autre part,
. - Porus vrai des deux hémisphères cérébraux. Iléningo-encéphalite chronique . - Atrophie de la protu- bérance. -Lésions pulm
s. AUTOPSIE. - Etal des sutures; lésions de méningo-encépha- lite chronique ; persistance clu thymus. Touch ? (Jean-Etienne)
ccombé aune poussée méningitique, entée sur une méningo-encéphalite chronique . Les os étaient con- gestionnés à un degré cons
88 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
du système nerveux. interne do la Clinique. RHUMATISME ARTICULAIRE. CHRONIQUE DÉFORMANT T AVEC ATHOPUIE MUSCULAIRE CONSIDÉR
e par M. Diamantbcrger, interne du service.; RHUMATISME ARTICULAIRE CHRONIQUE .» 17 Après avoir subi des traitements nombreux
Pas NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. 111. PL. YI RHUMATISME ARTICULAIRE CHRONIQUE GENERALISE CHEZ UNE PETITE FILLE AVEC ATROPHI
ILLE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE CONSIDERABLE RHUMATISME ARTICULAIRE CHRONIQUE . 10 de troubles visuels, aucun autre symptôme q
ie mentale depuis le délire aigu le plus franc jusqu'à la monomanie chronique la mieux caracté- risée. Eh bien, nous croyon
le second, les paralytiques agitants, le troisième les sciati- ques chroniques . Nous ne faisons que signaler ce dernier dans leq
guë de l'adulte, paralysie spinale de l'adulte à marche subaiguë ou chronique , et paralysie générale spinale antérieure subai
antérieure aiguë de l'adulte, si l'histoire des formes subaiguës et chroniques de cette dernière ne devaient fournir des preuves
en juin 1889.. 148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. chite chronique professionnelle (tailleur de pierres et peigneur
plus généralement par une phlegmasie catarrhale du pharynx d'emblée chronique ,qui cède la place à une angine granuleuse. Au s
e en proche la trachée, les bronches, en y pro\oquant une bronchite chronique . Or, comme la cause génératrice n'a nullement d
uatrième ventricule. Il en décrit trois formes : aiguë, subaiguë et chronique , et deux variétés, l'une supérieure, l'autre infé
origine alcoolique ou infectieuse, on considère les cas subaigus et chroniques ; elle s'impose en face des cas complexes intére
atrophie musculaire du type Duchenne-Aran (poliomyélite antérieure chronique ) ou avec une para- lysie spinale antérieure sub
sent péremptoirement l'existence de paralysies aiguës, subaiguës et chroniques de l'adulte liées à des altérations de la sub-
lement que le premier signe, la malade est atteinte d'une bronchite chronique , et présente actuellement les signes classiques
mblablement de névrite qu'il s'agit dans nos deux cas : scia- tique chronique , amyotrophie, etc. Pourquoi n'est-ce que dans que
enza ; elle souffrait depuis une quinzaine d'années d'une bronchite chronique . Son père était obèse; il est mort à quarante-n
tiologiques y sont assez obscures : absence d'inflammation aiguë ou chronique des téguments, d'ulcération, d'eczéma, de phléb
us guider les lésions trouvées dans la paralysie spinale antérieure chronique ou subaiguë et dans la poliencéphalite supérieure
t la queue des Fau- nes, par Ch. Féré, 45. Rhumatisme articulaire chronique défor- mant avec atrophie musculaire considérab
-), 26. Poliomyélites et polynévrites, 32. Rhumatisme articulaire chronique généra- lisé chez une petite fille, avec atroph
89 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i se manifestent principalement sous la forme de troubles cérébraux chroniques , appartien- nent-ils à la même série pathologiq
faux du cerveau. Observation III. M..., soixante-huit ans. Manie chronique . A passé huit ans à Charenton. Mort en 1885 de
délire alcoolique guérit rapidement, mais il lui succéda un délire chronique avec tendance à la démence, et V... peut être c
n prête aux équivoques : les deux expressions délire aigu et délire chronique lui semblent faciliter une confusion regrettabl
curables de l'hôpital Wenzel-Hanke; 3° 30 épileptiques ou délirants chroniques ; 4° 60 aliénés curables, capables d'amélioratio
\"011 A. Ilirs- chwald. fiOUILLARD. - La discussion sur le délire chronique ri la Société mcdico-jisychologique. Brochure i
ateur d'histologie à la Faculté de médecine. L'histoire des lésions chroniques de l'encéphale a été très longue à établir au p
t donc bien entendu que nous parlerons seule- ment des encéphalites chroniques à petits signes ma· croscopiques, et que dans c
c plus précis, je crois que je m'arrête- rais à celui d'encéphalite chronique de cause trauma- tique. S'il n'existe pas un
circonstances suivantes : on lui demande si une affection cérébrale chronique (folie, démence, para- lysie générale, etc.), q
proprié et par suite d'intempérances du malade avait passé à l'état chronique . C'est dans cet état que ce plongeur s'est déci
t cas de myxoedème entre lesquels quinze présentaient une affection chronique des reins; il admet en général une relation ent
. Cet auteur n'admet pas la dépendance du myxoedème d'une affection chronique des reins et s'il trouve un point commun à ces
ade qui mourut à la suite de vomissements rebelles et d'indigestion chronique reconnaissant pour cause une accumulation de ch
étrangères dans l'estomac aboutit à la formation d'un petit ulcère chronique qui finit par causer la mort en déterminant une
thologique, c'est-à-dire d'une part les troubles mentaux aigus ou chroniques dus à l'intoxication, d'autre part les actes impu
s d'alcoolisme ne peut être puni, pas plus que lorsque l'alcoolisme chronique a produit des lésions cérébrales définitives. D
ion d'être traités au début même de leur affection avant qu'un état chronique incurable se soit établi. . Ce n'est pas la.une
pour ce fait l'inter- diction des séances publiques. Intoxication chronique par la P.1RALDÉfIYDE. M. Hughes rap- porte dans
rvice de M. Millard où l'on a porté le diagnostic de pachyméningite chronique . Le 23 juillet 1882, pendant son séjour à l'hôp
rolifération scléreuse. Ce processus paraît s'être fait d'une façon chronique pour l'ensemble et subaiguë sur certains points d
développement des deux lobes frontaux, et de la méningo-encéphalite chronique disséminée assez marquée pour que la substance
a, en outre, un grand nombre de faits se rapportant à l'encéphalite chronique dans l'index des chirurgiens américains, dans l
téristiques de la paralysie générale d'une part, et de la méningite chronique localisée d'autre part, en se rapprochant toutefo
é constaté, Tizzoni a trouvé des lésions ascendantes d'inflammation chronique le long des nerfs vagues, avec extravasion sang
de Paris, 1887.) . Outre les signes vulgaires de l'hydlargyrisme chronique , le ma- lade de M. Guinon présentait de l'hémia
et ramollissement consécutifs. - Observation II. Paralysie bulbaire chronique compliquée de para- lysie bulbaire supérieure e
de ces dégénérescen- ces graisseuses insidieuses qui dans la folie chronique tuent le ma- lade avant de s'être manifestée pa
fer, 148. Ecriture automatique, par Richet. 284. ' Encéphalites chroniques de l'enfance (lésions histologiques des), par
90 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
ne sorte (['infiltra- tion dure, élastique rappelant le trophoedème chronique . - Les muscles subissent une dégénérescence fib
vec une déformation des dernières phalanges rappelant le rhumatisme chronique (pl. XX, fig. F et pl. XXI, fig. D). VI. Paraly
onévrose palmaire semble être aussi une manifestation du rhumatisme chronique et notamment du rhumatisme dit goutteux. Elle s
PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 141 Ces deux modalités du rhumatisme chronique partiel, modalité ostéo- articulaire ou nodosit
uatre membres, qui avaient commencé aux membres supérieurs, maladie chronique , toujours progressive, mutilation des doigts).
lons aux travaux classiques sur l'intoxication mercurielle (surtout chronique ) (Kussmaul, Hallopeau et Letulle), nous trouvons
ez Kussmaul (p. 250) l'histoire d'un cas d'intoxication mercurielle chronique profession- nelle avec de la stomatite et du tr
e. Kussmaul cite encore un cas de Plesch d'intoxication mercurielle chronique professionnelle où il y avait stomatite, de tre
Depuis, guérison constatée. Dans ces cas d'intoxication mercurielle chronique (de nature profes- sionnelle), ceux de Kussmaul
re la cause d'une po- lynévrite ; Que l'intoxication mercuriel le chronique professionnelle peut selon toute probabilité qu
is. La lésion essentielle est non pas une « poliomyélite antérieure chronique », mais une méningo-myélite vascu- laire diffus
et en grande partie fibrosées. Pourquoi les lésions syphilitiques chroniques ont-elles une action d'ordinaire si atténuée su
pas eu de fausse couche. Son père est mort à 70 ans de « bronchite chronique », sa mère est encore bien portante. Il est le
verte. Elle est par suite irritée par un processus de conjonctivite chronique entretenu par les cils et de nombreux corps étr
perturbations de la thyroïde nous donnent des syndromes aigus ou u chroniques ; la surrénale donne les syndromes surrénaux de S
ritables hémorragies, parce qu'elles sont dues à une in- flammation chronique . A cause de cela, elles ont été écartées de ce ra
ener : trauntatismes et maladies infectieuses aiguës aussi bien que chroniques . Cependant, le clinicien se trouve quelquefois
1'0 Observation I. Diagnostic clinique : Néphrite interstitielle chronique avec urémie. Hémor- ragie sous-arachnoïdienne (
x un peu tuméfiées, mais aucun signe d'inflammation ou d'altération chronique . Les symptômes d'hypertrophie du coeur, la pres
éléments suffisants pour diagnostiqueur une néphrite interstitielle chronique . L'état psychi- que de la patiente et la céphal
on III. E. W..., mariée, 53 ans. - Diagnostic clinique : Néphrite chronique interstitielle. Hémorragie cérébrale. Diagnosti
ué à une artériosclérose presénile. Parmi les maladies infectieuses chroniques la syphilis a déjà été dis- i cutée. Quant à la
nent une augmentation de la pression du sang, surtout les néphrites chroniques . A l'éclampsie puerpérale entre autres, Wegelin
edéfonment, s'élargissent, prennent l'aspect clinique du rhumatisme chronique . La radiographie montre en pareil cas que l'ank
n. Troubles trophiques de la main sous forme d'un pseudo-rhumatisme chronique . Réactions électriques normales. Participation
e main, et enfin sur le genou gauche ; polyarthropathie à évolution chronique ayant débuté sur chacune de ces articulations p
yarthropathie diffère du rhumatisme tuberculeux, qui, dans sa forme chronique , évolue comme le rhumatisme déformant classique
s d'une époque antérieure est infantile; l'infantile est un hétéro- chronique . Il ne nous semble, pas que l'on doive tenir l'in
A CAMPTOCORMIE PAR l'ÉLECTROTHÉRAPIE 421 pure et simple, à la phase chronique . Ce traitement relève de la psycho= thérapie. e
tes au service militaire. Or il s'agissait chez tous d'une attitude chronique qui aurait pu persé- vérer jusqu'à la fin de la
91 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
e fit appeler, en août 1896. A l'examen, je trouvai de la bronchite chronique avec sommets suspects, une dyspepsie atonique ave
gées, nous avons obtenu chez plusieurs malades atteints de rhumatisme chronique déformant une modification frappante des lésions
élastique et le professeur Bénédikt avec ses aimants. (à suivre) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ion que « l'obsession n'est, en quelque sorte, que la phobie à l'état chronique » ; et il affirme à nouveau que, « suivant leur d
e pouvoir que possède l'opérateur d'influencer le sujet. (à suivre) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
sa mémoire le tribut d'admiration et de regrets auquel il a droit. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
érillon intitulé l'Ony-chophagie, sa fréquence chez les dégénérés, la Chronique Médicale, rédigée avec tant d'érudition par notre
('}. — 1. Il n'y a qu'un moyen efficace de traitement de l'alcoolisme chronique et de la dipsouianic"; ce moyen, c'est l'abstinen
etteté suivant le degré de suggestibilité ou de démence des sujets. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Sooiété d'hypnologie et de ps
sménorrhée, ménor-rhagie, surdité, mal do mer, rhumatisme articulaire chronique , constipation, hyperhydrose, prurit, eczéma. Je
a à s'affaiblir. Je le vis en juin 1890, après huit ans d'invalidisme chronique . Anémie, mélancolie avec impulsion au suicide (un
nsomnie est l'un des premiers symptômes de la folie; chez les aliénés chroniques , elle peut persister ou se transformer en un somm
jour. Cette perpétuelle idéation, continue, irrefrenable, de la manie chronique en particulier, vient démontrer l'existence d'un
é qui, restant aliéné, recouvre le sommeil, est d'ordinaire devenu un chronique . SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séa
ation dangereuse au point de vue de leur évolution dans la société. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
nts, les stupides, les hallucinés, sont perverties chez les délirants chroniques systématiques-Les questions de dates, d'époques,
aleur de ses travaux scientifiques et l'aménité de son caractère. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ir du ventre deN..., {désigner la personne par ses nom et prénoms). CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
s ce certificat à Un de sortie : « Admis comme atteint d'alcoolisme chronique ou de délire de persé-« cution, II... n'a présent
il y a là toute une étude médico-psychologique qui débute à peine. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
l'idée en pathogénie et de la puissance de l'idée en thérapeutique. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
t aujourd'hui. Louis XIII, maladif, asiliéniquc, atteint de tristesse chronique , élevé par des prêtres, était très dévot. On le v
ontaire et cette prédisposition particulière à la peur, celte crainte chronique des neurasthéniques qui les pousse si aisément da
l système est vrai par ce qu il affirme et faux par ce qu'il nie ». CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
psychoses, — hystérie, — amblyopieet sunrdité nerveuses, — alcoolisme chronique , — morphinisme, chlora-lisme et nicotinisme, — an
'écriture chez les jeunes enfants et chez les déments paralytiques. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Séance annuelle de la Société
92 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
génie. Io Mégalosplénie. Au point de vue anatomique, la tuméfaction chronique de la rate, portée à un pareil degré, ne peut êtr
trophie du foie peut dépendre, comme pour la rate, d'une inflammation chronique interstitielle, ou d'une atrophie pure et simple
e guèrison. On pourrait par le même raisonnement écarter l'hypéré-mie chronique du foie, l'infiltration graisseuse, l'atrophie ja
ut commencer par essayer ce traitement médical. Dans les pleurésies chroniques , on peut opérer, quelle que soit rancienneté' de
serons notre description en : 1° intoxication aiguë ; 2° intoxication chronique . I. Intoxication aiguë. — Les premiers phénomèn
travail de l'accouchement (Christison, M. Grégor). II. Intoxication chronique . — Elle est caractérisée par un abatte-ment génér
ersistance de la flexion, il s'était formé une espèce, d'inflammation chronique qui avait produit un tissu rétractile, et ankylos
rsévé-rer. On a confondu jusqu'ici, sous le nom d'alcoolisme, aigu ou chronique , diverses espèces ayant toutes un fonds commun, d
modifier la surface muqueuse, d'en faire cesser l'état inflammatoire chronique . Ainsi elle agit sur la cause ordinaire, de la va
au clinique, englober avec d'autres tumeurs, et sous le nom d'orchite chronique , par exemple, des testicules durs, volumineux, sa
ros œuf de poule. » Sur le vivant, M. Ricord diagnostiqua une orchite chronique . Cette erreur a dû être commise bien souvent, et
peut-être possible de s'entendre; et si à la déno-mination d'orchite chronique on ajoutait tuberculeuse, peut-être serait-on dan
nâtre des tissus envahis; le processus serait bien celui de l'orchite chronique , mais avec des tubercules comme point de départ.!
aplégies produites par une compression lente, de la méningite spinale chronique et de quelques maladies du cerveau et de la moell
t de côté les cas d'anurie dépendant d'une maladie de Bright aiguë ou chronique , qui sont trop complexes pour prendre place ici,
démesuré du col de l'utérus. Janvier 1^'SO. — Scanzoni, de la Métrde chronique . Trad. Sif'ferman, 1806. rieure, qui fait le su
eur on aperçoit les bourses teintées en rouge sombre, par un érythème chronique , résultat du contact irritant et de l'urine et de
tractures, sur des anesthésies, et même dans quelques cas d'affection chronique de la moelle, en un mot, dans tous les cas où il
aucun des cas, ni dans des cas d'atrophie, de rhumatisme articulaire chronique ou de contracture hystérique, nous n'avons eu de
tteinte de contracture hystérique, et une autre atteinte de myélite chronique , ont toutes deux, d'elles-mêmes, fait observer qu
es de chorée des vieillards. Dans des cas de rhumatisme articulaire chronique et d'arthrite goutteuse, nous sommes parvenus à d
mplement sur deux complications impor-tantes à savoir : la péritonite chronique localisée et le phlegmon ou abcès pelviens. — Les
se en résulter, si l'acte sexuel est répété souvent, une inflammation chronique aboutissant à la suppuration du tissu cellulaire
à Plombières ; ce sont : la dyspepsie, la gastralgie, les diar-rhées chroniques , les inflammations chroniques de l'utérus et de s
yspepsie, la gastralgie, les diar-rhées chroniques, les inflammations chroniques de l'utérus et de ses annexes, les névralgies de
e, en effet, qu'à partir du dixième siècle que nous trouvons dans les chroniques du temps quelques indications qui, sous le nom de
93 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ortir cette particularité que parfois les symp- tômes de la myélite chronique précèdent l'apparition du tableau clinique de l
ainement, dit-il, des cas où l'in-' flammalion débute, dans le mode chronique , par la moelle épinière, où les mouvements et l
ts fonctionnels sont la conséquence évidente d'une péri-encéphalite chronique diffuse ». En 1833, IIorn avait publié des fait
s épaissies et adhérentes; pas d'autres lésions. Lésions d'arthrite chronique au genou droit. ÉTUDE IIISTOLOGIQUE (1). De
et non pas dans toute l'é- paisseur comme on le voit dans l'eczéma chronique . Dans 1' « epidemic skin disease », les cellule
n l'espèce ; il se rapporte simplement, selon moi, à l'intoxication chronique par la morphine dont cette femme est la victime
risent sans grande difficulté. Or, dans les cas de myélite aiguë ou chronique avec impuissance motrice complète des mem- bres
ssivement. A l'autopsie du sujet, on a trouvé une méningite spinale chronique de la queue de cheval, avec dégénérescence seco
lée, du moins à notre connais- sance. l '. DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU PAR le Profess
aison existant entre les altérations du système nerveux et 1 eczéma chronique . Afin d'élucider plus exactement les données ét
ment les données étiologiques qui président à la genèse de l'eczéma chronique , j'ai chargé le Dr Nikolski, assistant de ma cl
ité de la peau en particulier chez les malades affectés d'un eczéma chronique . Je considère les résultats obtenus sous ma dir
1 Fig. 2 . Fig. 43 - Fin. 44 Fie. 45 DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU 169 Je commencerai
4) , XI. Un soldat de 25 ans est affecte depuis 5 ans d'un eczéma chronique des mains, des bras et des pieds. Anesthésie il
. 47) En comparant ensemble les 12 cas ci-dessus décrits d'eczéma chronique , on'voit que la durée de, l'état morbide de la
des variations semblables de l'hystérie. Le cours même de l'eczéma chronique , toujours lent, avec des intervalles de mieux e
par place une coloration blanchâtre duc à des 'oyers d'endarlérile chronique déformante. Le cordon latéral droit semble par
- tées il l'examen microscopique et un peu d'endartérite déformante chronique . Le poumon gauche est petit, flasque. La plèvre
gauche et à la pyramide gauche, ramollissement dû à une endarlérite chronique oblitérante, ayant détruit la majeure partie des
que ces nerfs siègent au milieu de tis- sus oedématiés d'une façon chronique , ce qui pourrait peut-être, au pre- mier abord,
d'une 'façon frappante, à l'état aigu, la dispo- sition des lésions chroniques de la sclérose en plaques. Cette analogie évide
éléments nerveux s'atro- phient et il se développe une amyotrophie chronique , à évolution pro- gressive. Dans l'autre cas
x mains, les nodosités articulaires, caractéristiques de rhumatisme chronique et quelques craquements clans l'articulation radi
dépendantes de l'affection et peuvent être rapportées au rhumatisme chronique , qui a laissé sa marque sur les arti- culations
onne vertébrale chez les sujets sains, par P. Richer, 158. Eczéma chronique . Rapports avec l'anes- thésie de la peau, par S
iation de la colonne vertébrale chez les sujets sains, 33. Eczéma chronique (rapport avec les trou- bles de la sensibilité)
94 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
e d'iiiutomie pathologique de la Faculté.) 1 Certaines affections chroniques des nerfs, primitives ou consécutives à une mal
e et comparable dans une certaine mesure à l'intoxication saturnine chronique chez l'homme. En fait, à l'autopsie des animaux
'elles ne sont pas spéciales au cochon d'Inde ni même au saturnisme chronique , et qu'elles se retrouvent chez l'homme avec de
tères analogues ou identiques, dans un certain nombre d'affections chroniques du système nerveux. Pour ce qui est des amyotro
ons chroniques du système nerveux. Pour ce qui est des amyotrophies chroniques de cause spinale, nous pouvons renvoyer tout d'
ésente de nombreux exemples; la manie, la mélan- colie ou le délire chronique du père, l'épilepsie de la mère et vice versa p
isme, intervenant dans le cours des déli- res partiels, des délires chroniques , agit tantôt comme simple excitant et aggrave p
toujours les mêmes, sans variantes et marchant comme tout délire chronique vers la systématisation. Observation V. Un autr
e, dont les caractères sont si tranchés avec un délire partiel ou chronique , se prête toutefois assez bien à cette démonstr
l'épi- lepsie s'amende sous l'influence du traitement , le délire chronique n'est nullement modifié et poursuit sa marche d
-t-elle, et c'est par eux qu'elle se transforme. En 1877, le délire chronique continuant, elle est frappée de plusieurs attaq
leptique. Coexistence chez un épileptique d'un double délire : l'un chronique , avec idées de persécution, l'autre de nature m
r le traitement, à séparer dans les asiles, les malades aigus des chroniques . Sans vouloir faire de distinction absolue entre
ision où seraient envoyés avec les malades aigus et curables, les chroniques présentant des phénomènes aigus. Un autre point
dessous du point examiné. ` A propos du cas de myélite antérieure chronique , observé chez l'homme, un point nous paraît int
znère (1878). - Père, mort à 52 ans, en mars 1875, d'une bronchite chronique , probable- ment tuberculeuse. Pas d'excès de bo
'1' 'Lh ? ? IT hl d'If ""11'1"" ? 111ql . ",qp"r¡""(T d encéphalite chronique , des cellules nerveuses munies , '0*UjJjJR')' ,
s aujourd'hui qu'ils ne l'étaient il y a 30 ou 40 ans. « Les formes chroniques de la folie, dit M. Earle, sont de plus en plus
intempérance , ce qui n'a pas lieu s'il n'est que symptôme. Les cas chroniques ne guérissent pas, mais dans ceux où l'alcoolis
ÉS SAVANTES. 337 de plus en plus et finit par arriver à une démence chronique , dans ceux au contraire où l'alcoolisme est sym
51 tations anciennes exhibées par M. de L... Nous détachons de la chronique judiciaire du Temps, ce qui est relatif à ce fâch
profit pour le classement des nombreuses variétés de l'encéphalite chronique . Deux ans plus tard,Hoffmann` t constatait à l'
fortiori aucun essai de classification des différents pro- cessus chroniques auxquels sont imputables les symp- tômes de l'i
lle la contraction émotive (emotional contraction). 'Dans l'ostéite chronique des extré- mités articulaires, il existe une at
rmanente, qui se dissipe complètement, comme le spasme de l'ostéite chronique par l'action de l'éther, mais il n'existe qu'un
racture hystérique et de la contracture des affections articulaires chroniques , n'a pas de valeur par elle-même, quoi qu'en ai
n, augmentation de la tension intrà-labyrinthique, catarrhe aigu ou chronique de la trompe d'Eustache et du tympan et perfora
A l'autopsie (faite par Rindfleisch), hypérémie et inflamma- tion' chronique de la dure-mère au niveau du ganglion- de Gasse
cz, le tabes dorsalis n'est-il autre chose que « une dégénéra- tion chronique du tissu conjonctif qui s'avance dans les ziaters
au niveau desquels ont évolué;des, inflammations interstitielles chroniques ,, de -.vrais gliomes ou gliosarcomes : il cite le
ons pendant la vie).Réciproquement, et en rapport avec les maladies chroniques du système ner- veux,- on connaît des anomalies
e. La marche de l'ataxie locomo- trice héréditaire, essentiellement chronique , pourrait dépasser 32 années, tandis que le tab
velet et des faisceaux pyramidaux (moelle dorsolombaire). Méningite chronique , atrophie des nerfs optique et acoustique. P- K
stade de stupidité intermédiaire. On a dù noter le passage à l'état chronique . La mélancolie, précédée de céphalalgie, pousse
etits foyers dans cette dernière) coïn- cidant avec de la méningite chronique cérébro-spinale. P. K. 608 REVUE DE pathologi
E THÉRAPEUTIQUE. pathique se présente le plus souvent sous la forme chronique . Il fait observer aussi que ses deux malades ét
ment parus sur le système nerveux, une revue bibliographi- que, une chronique , etc. Dans une revue spéciale, la Gazette ren-
. Névrite (étude anatomique de la), parenchymateuse subaiguë et chronique ; segmentaire péri- axile, par Gombault, 11, 17
95 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
a preuve expérimentale de ce que l'auteur avance. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Tentative de meurtre par un aliéné sur M. Deny,
, à moins qu'il ne soit enlevé par des accidents d'alcoolisme aigu ou chronique . Les moyens thérapeutiques de guérison de la di
t de résoudre un pareil problème. Albert Colas. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre rectificative de M. le Dr Pozzi. C
comme étant la première étape qui conduit aux hyperhémies cérébrales chroniques et, dans le lointain, à la paralysie générale.
procher de l'instrument et d'y appuyer les mains. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Association française pour l'avancement des sci
es dipsomanes qui offraient bien peu d'espoir(t). CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE La droiterie et la gaucherie sont-elles fonctio
tisa entre autres quatre hommes de 30 à 40 ans, atteints d'alcoolisme chronique après des accès de delirium tremens. Trois d'entr
lications de la suggestion à la pédagogie, etc. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE La dualité du cerveau et de la moelle èpinière,
médico-légal. Vienne, broch. in-8. 1887. Marestano : Cas de tétanos chronique ou i forme lente. Bons effets de l'hypnotisme. Gu
e des cas traités Amélioré Guéri Rien obtenu Rhumatisme articulaire chronique 3 3 3 Douleurs rhumatismales a i3 Sciatique I
3 Symptômes hectiques.....» .". ... 3 Dyspepsie 10 » Affections chroniques de l'estomac 1 » Maladie de Bright » Colique
énale 1 Périmétrite » Catarrhe intestinal........... 4 » Ulcére chronique de la jambe » I » Abcès de la gencive » » Con
atique de l'hypnotisme comme agent thérapeutique. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE L'hypnotisme officiel à Berlin. Un médecin di
lques individus, c'est la commisération générale. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre de M. le professeur Bourru au présid
é de laisser jusqu'à nouvel ordre en discussion la question du Délire chronique . Société de psychologie physiologique. — Cette
ons évidentes des oreilles moyennes, surtout accusées à gauche (otite chronique à la période d'hyperplasie et de ramollissement).
ondent d'ordinaire les atteintes. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Homœopathie et suggestion. Le Prager med. Wos
l'hypnotisme. Notre distingué confrère, le docteur Monin, dont les chroniques scientifiques sont si justement appréciées, vient
loureuse, l'impression prolongée du froid humide fait passer à l'état chronique la phlogose des extrémités et avec l'épaississeme
défectueuse et du froid, outre les blépharites et les ophtalmies chroniques ou aiguës suscitées par la réverbération des neig
ésistent à tous les moyens mis en usage. — Obs. XXXVII : Pelvimétrite chronique avec douleurs intolérables. Depuis trois mois. Mm
ammation suppurative (p. 1 io). » Paul Bioco. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Fascinateurs et jettatores. Nous trouvons dan
vons été appelé à donner nos soins. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Procès de la dernière sorcière brûlée à Genève
le surnom qui (i) Les considérations si élevées qui terminent cette chronique mentent toute l'attention de nos lecteurs. Elles
ances d'hypnotisme ; 3* Une hypochondriaque, atteinte de nervosisme chronique datant de huit ans et de paraplégie commençante,
généralement adoptée aujourd'hui. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Effets de l'imagination. Noire confrère le Pr
tions amères et à leurs navrantes conséquences. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Condamnation de l'hypnotisme par un evêque. L
96 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
a preuve expérimentale de ce que l'auteur avance. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Tentative de meurtre par un aliéné sur M. Deny,
, à moins qu'il ne soit enlevé par des accidents d'alcoolisme aigu ou chronique . Les moyens thérapeutiques de guérison de la di
t de résoudre un pareil problème. Albert Colas. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre rectificative de M. le Dr Pozzi. C
comme étant la première étape qui conduit aux hyperhémies cérébrales chroniques et, dans le lointain, à la paralysie générale.
procher de l'instrument et d'y appuyer les mains. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Association française pour l'avancement des sci
es dipsomanes qui offraient bien peu d'espoir(t). CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE La droiterie et la gaucherie sont-elles fonctio
tisa entre autres quatre hommes de 30 à 40 ans, atteints d'alcoolisme chronique après des accès de delirium tremens. Trois d'entr
lications de la suggestion à la pédagogie, etc. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE La dualité du cerveau et de la moelle èpinière,
médico-légal. Vienne, broch. in-8. 1887. Marestano : Cas de tétanos chronique ou i forme lente. Bons effets de l'hypnotisme. Gu
e des cas traités Amélioré Guéri Rien obtenu Rhumatisme articulaire chronique 3 3 3 Douleurs rhumatismales a i3 Sciatique I
3 Symptômes hectiques.....» .". ... 3 Dyspepsie 10 » Affections chroniques de l'estomac 1 » Maladie de Bright » Colique
énale 1 Périmétrite » Catarrhe intestinal........... 4 » Ulcére chronique de la jambe » I » Abcès de la gencive » » Con
atique de l'hypnotisme comme agent thérapeutique. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE L'hypnotisme officiel à Berlin. Un médecin di
lques individus, c'est la commisération générale. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre de M. le professeur Bourru au présid
é de laisser jusqu'à nouvel ordre en discussion la question du Délire chronique . Société de psychologie physiologique. — Cette
ons évidentes des oreilles moyennes, surtout accusées à gauche (otite chronique à la période d'hyperplasie et de ramollissement).
ondent d'ordinaire les atteintes. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Homœopathie et suggestion. Le Prager med. Wos
l'hypnotisme. Notre distingué confrère, le docteur Monin, dont les chroniques scientifiques sont si justement appréciées, vient
loureuse, l'impression prolongée du froid humide fait passer à l'état chronique la phlogose des extrémités et avec l'épaississeme
défectueuse et du froid, outre les blépharites et les ophtalmies chroniques ou aiguës suscitées par la réverbération des neig
ésistent à tous les moyens mis en usage. — Obs. XXXVII : Pelvimétrite chronique avec douleurs intolérables. Depuis trois mois. Mm
ammation suppurative (p. 1 io). » Paul Bioco. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Fascinateurs et jettatores. Nous trouvons dan
vons été appelé à donner nos soins. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Procès de la dernière sorcière brûlée à Genève
le surnom qui (i) Les considérations si élevées qui terminent cette chronique mentent toute l'attention de nos lecteurs. Elles
ances d'hypnotisme ; 3* Une hypochondriaque, atteinte de nervosisme chronique datant de huit ans et de paraplégie commençante,
généralement adoptée aujourd'hui. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Effets de l'imagination. Noire confrère le Pr
tions amères et à leurs navrantes conséquences. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Condamnation de l'hypnotisme par un evêque. L
97 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ile, et surtout son extemporanéité. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Le magnétisme devant les tribunaux. Dans le c
n au col de la vessie en touchant un monsieur souffrant d'une cystite chronique . J'ai essayé plusieurs fois de lui faire ressen
es enfants. — Traduction d'A;¦ iiumbaolt Paris. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Les dangers de l'hypnotisme extra-scientifique.
GINE DES EFFETS CURATIFS INSTANTANÉS DE L'HYPNOTISME SUR LES MALADIES CHRONIQUES Par M. J. DELBŒIF paoï-Bssr.i'ft i l'université
oit des autres systèmes organiques. [A suivre.) CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Le miracle au point de vue médical. 11 etisie
publié le cas d'une jeune fille de vingt ans. atteinte de rhumatisme chronique déformant, chez laquelle une dose de 4 grammes de
l'aide des suggestions salutaires de l'éducation? CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Les femmes et l'étude de la médecine. A l'ass
r exemple, dans les hémorragies des phtisiques, et dans les diarrhées chroniques des mêmes malades. Dans les arfcctions cardiaques
s de matière médicale pure, et de 182S à l83o ion iraitJ des maladies chroniques . Après avoir vécu pendant la plus grande p.irtic
uvés par cette seule lecture : D' Tiiouvssix. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Singulier procédé d'instruction judiciaire. L
uent. M n'est pas plus légitime d'invoquer la guérison des maladies chroniques . Celles-là guérissent, non à cause des médicament
t s'imposer après cette étude faite de bonne foi. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Cours de M. le professeur Giard sur l'évolution
ns qui ont déterminé l'unanimité de son adoption. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Récompenses de l'Académie des sciences. Dans
trouve dans le livre cité, à la page 133. OBSERVATION V. Myélite chronique diffuse (sclérose en plaques fruste). — Paralysie
, Jean-Auguste, âgé de 3o ans, gardien de bureau, a fait pour myélite chronique de nombreuses entrées dans nos hôpitaux. Pendan
lure, en raison de l'ensemble des phénomènes constatés, à une myélite chronique à forrae. (1) Nous reproduisons les termes de l
des couleurs, pas d'incoordination proprement dite); celui de myélite chronique diffuse généralisée ou envahissante. Le 8 décem
connaissance, est l'effet d'un acte inhibàoire. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Clinique de» maladies nerveuses. M. le docteu
les artistes musiciens du dix-neuvième siècle. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Enseignement clinique de 1 hypnotisme. Le jeu
ur la table d'amphithéâtre qu'au lit du malade. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE - Cours de M. le docteur Auguste Voisin. M.
ie. (i) Cullerre, Les Frontières de la folie. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Un Congrès d hypnologie. il y a quelques mots
ns, manie subaigué.— Guérie depuis 1S8S. Hau..., 36 ans. nervosisme chronique datant de S ans. — Guérie depuis 1887. C..., 48
ntéressant est celui d'un malade atteint de polyarthrite rhumatismale chronique avec déformations des articulations. Le malade ga
tion hypnotique. Ils jugeront la méthode ensuite. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Comment le goût se forme ou ae corrompt. Ce n
fique, 63. Hypnotisme (effets curatifs instantanés sur les maladies chroniques ), par Del- bœuf. 66. Hypnotisme (discussion sur
3. Morphinomanie (la), 156. Mourants (état mental des, 317. Myélite chronique diffuse, traitée par la suggestion, 23o. Nécess
gine des effets curatifs instantanés de l'hypnotisme sur les maladies chroniques , par Delbceuf, 66. Ouvrages de Reichenbach, par
98 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
e ans, domestique de ferme, d’une intelligence bornée, serait (dit la chronique ), douée d’une force d’attraction très-extraordina
aussi. Les règles sont plus abondantes. 20 Rhumatisme articulaire chronique . Wulleemahmood, batelier, âgé de trente ans, na
andé sa sortie, et je la lui ai accordée. 3° Rhumatisme articulaire chronique . Du i5 janvier 1847- M* des Brûlais, négociant
r l’inflammation est totalement éteinte. /)” Rhumatisme articulaire chronique . Du i/| février. M. Johnson, âgé de trente-quat
ation. Votre très-obéissant serviteur, Le comte Gérard FRESCHI. Chronique . — Le portrait de M. duPotet, gravé par un artist
te cure, mon temps pour les expériences élaut limité. 8° Rhumatisme chronique et tumeur blanche. Du 21 janvier. Erances Ann E
à chaque membre les jour, lieu et heure de la réunion. •VARIÉTÉS. Chronique . — La pretnière partie de l’ouvrage annoncé, de M
s aiguës, avoue l’insuffisance de son moyen curatif dans les maladies chroniques . Cependant il faut croire qu’Hippocrate avait que
d’une personne morte de maladie lente, pour la cure des engorgements chroniques ; il convient cependant que ce traitement lui a ra
, suivant l’idiosyncrasie du sujet, soit enfin le germe d’une maladie chronique qui se développera tôt ou lard. Parmi les malad
e résultat de cette tentative nous sera connu , nous le publierons. Chronique . — On nous écrit de Moscou que le magnétisme y es
e ignorât tout-à-fait, quelle espèce d’arbre c’était. » VARIÉTÉS. Chronique . — La belle bibliothèque du baron de Guillemin ,
maintenant qu’il m’eût été difficile d’aller àParis. » VARIÉTÉS. Chronique . — Le zèle prosélytique enflamme beaucoup d’intel
. MESMER. M, J. DE ItOVËRE. M. THUILLIER (Amiilée.) VARIÉTÉS. Chronique . — C’est à n’y rien comprendre. Le docteur Teste,
e reconnue de tous comme tout-à-fait indispensable. Gilbert GOVI. Chronique . — L’Assemblée Législative qui vient d’être élue
ne tumeur commune depuis huit ans. 11 souffre aussi d’une bronchite chronique , qui pourrait être un obstacle à l'entrancement,
lecteurs à n’en accepter le contenu que sous bénéfice d’inventaire. Chronique . — Une réunion des magnétiseurs de Lyon va avoir
ifférentes. Nous allons seulement les énumérer : i» Une hydarthrose chronique du coude, produite par une cause externe, cède à
isante dans ce cas. i5o Suivent neuf cas de rhumatismes musculaires chroniques compliqués. Ils ont tous cédé à l'action magnétiq
ne femme, d’une constitution très-nerveuse, atteinte d'une gastralgie chronique , avec constipation opiniâtre, était obligée depui
pêché de la commettre, par la certitude d’être reconnu tôt ou tard. Chronique . —Un homme instruit, intelligent et d’un bon cœur
ibéralités, et une héritière de ses qualités et de sa clairvoyance. Chronique . —M. le D' Ducros, dont il est parlé dans nos der
de fatigue. Veuillez vous rappeler que ma maladie, passée à l’état chronique depuis plus de trois ans, avait son siège dans l’
s peu un procédé pour empêcher les somnambules de mentir. JODARÜ. Chronique . — A l’une de nos dernières conférences dominical
s, 36, 291. — typhoïdes, 650. Fluxion de poitrine, 70. Gastrite chronique , 291. Goître, 616. Goutte, 246. — sciatique
e, 136, 456. Hernie étranglée, 433. — inguinale, 40. Hydartrose chronique , 456. Hydropisie, 595, 603. Hystérie,. 291. I
es cancéreuses, 617. Rhumatisme articulaire aigu, 40. — articulaire chronique , 113 à 118, 130, 133, 209, 458. — nerveux, 35
99 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
ive d'incendie. - Granulie. - Mort. AUTOPSIE. - Méningo-encéphalite chronique . - Lésions tuberculeuses des poumons. Lapous.
firmé le diagnostic en faisant constater des lésions inflammatoires chroniques très étendues de la pic-mère et de la substance
ulose pulmonaire; mort. AUTOPSIE. - Cavernes pulmonaires. - Lésions chroniques des méninges et de la substance grise des circo
t être invoquée pour expliquer la genèse des maladies ner- veuses chroniques des enfants de notre service, est très peu cons
e;pilehsie compliqués de méningite Méningite DES épileptiques. 51 chronique sont assez communs. Nous avons publié un mémoir
moire de 1880 nous avons fait un rapprochement des cas de méningite chronique de l'enfance avec la paralysie générale de l'ad
ome page 213.) ( ? ) Dourneville et Wuittiame. Ménin[/o-encéphalite chronique générali- sée che : .1ln enfant de 12 ans. (Arc
xistait à la naissance, quoique légère, a pu, jointe à l'alcoolisme chronique de la mère, contribuer à préparer les lésions q
leau du poids et de la taille. '68 Assistance DES enfants IDIOTS. chroniques de Bicêtre n'avaient pas songé qu'elle dé- senc
'ivresse, et ne semble pas avoir présenté de symptômes d'alcoolisme chronique . - Après dix ans de vie commune, à l'âge de 35
mort. AUTOPSIE. - Sclérose hypertrophique ou tubéreuse méningite chronique ; - granulations tuberculeuses du poumon droit.
père, cultivateur, est mort à GO ans, des suites d'une suppuration chronique de la jambe. Rhumatisant, alcoolique renforcé;
la famille du père.] Mère, morte ia 29 ans en 1871 d'une affection chronique de 128 Antécédents PERSONNELS. la poitrine ap
, elle est moins étendue en appparence par le fait d'une blépharite chronique qui détermine aussi de ce côté un léger ptosis.
. Mort par congestion pulmonaire. AUTOPSIE. - Méningo-encéphalite chronique très étendue rappelant les lésions de la paraly
oreilles. A notre avis, c'est là le début de la méninyo-encéphalite chronique , diagnostiquée pendant la vie et vérifiée à l'a
100 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
— De la suggestion hypnotique chez les criminels. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Le Congrès de psychologie physiologique. Le C
ique, d'une part, tous les états de trouble mental subaigus, aigus ou chroniques dus à l'intoxication alcoolique. Dans cette class
baiguë d'un accès d'alcoolisme. — Il en est de même pour l'alcoolisme chronique , à l'heure où des lésions cérébrales définitives
interné, traité, et renvoyé des qu'il est guéri. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE L'éducation par un sens unique. Un de nos lec
de couleurs faire des opérations d'arithmétique. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Un vomitif révélateur Nous trouvons dans la P
randeur de leur nez; l'exemple, il est vrai, date de haut, puisque la chronique de l'Olympe voulait que Vénus eût épousé Vulcain
microbe ! (G?z. hebd. des sc. méd. de Bordeaux). CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Un cas d'hallucination collective de la vue L
se procurer une nouvelle solution. Les conséquences du morphinisme chronique sont parfois favorables, quelquefois indifférente
le plus souvent nuisibles. « Elles sont favorables dans les maladies chroniques et incurables. L'un de nous a récemment publié un
nd nombre d'observations tendant à démontrer l'utilité du morphinisme chronique chez les femmes atteintes de cancer utérin. La mo
mie. Le médicament agit à la manière d'un stimulant et le morphinisme chronique est alors comparable a l'alcoolisme chronique.
ulant et le morphinisme chronique est alors comparable a l'alcoolisme chronique . » Mais ces cas sont exceptionnels. Le plus sou
r une invasion aiguë et qui persiste aujourd'hui sous forme d'un état chronique . Quand je la vis pour la première fois en septe
1888, ne s'est pas démentie. Celle malade, qui était une alcoolique chronique , avait en outre des hallucinations de l'ouïe asse
nger le cours des maladies mentales par la suggestion, n cas de manie chronique , avec hallucinations (passage à une démence systé
ce nocturne et diurne d'urine, auto-somnambulisme, rhumatisme aigu et chronique , ambryopie nerveuse, habitudes vicieuses, dipsoma
ants de la question qui intéressent pratiquement tous les médecins. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Les fous et l'hypnotisme To
péculations financières et ont l'esprit rempli de projets nouveaux. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Statistique du Congrès de l'H
ours un peu attristée aux actes qui avaient motivé son internement. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Statistique internationale su
ues, de M.Krafft Ebing ne font que confirmer des faits déjà connus. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Leçon clinique de M. Dumontpa
ade endormi dans mon service. C'est un Suggestible atteint de myélite chronique , hypnotisable avec hallucinabilité et amnésie au
e question ne pouvait manquer de relever sans faillir a son mandat. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Cours à l'Ecole pratique de l
très prononcé. Son père est mort à cinquante et un an d'une affection chronique de la poitrine : sa mère est morte à cinquante de
t il présente au plus haut degré les maniféstations de l'état nerveux chronique que presque tous les neuropathologistes sont d'ac
ent les questions de responsabilité judiciaire. Dr Emile Laurent. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Relèvement des études médico-
blic une guérison de véritable dipsomanie et de deux cas d'alcoolisme chronique . Nottons en passant que depuis Esquirol, la dipso
sentèrent des linges portés par les malades atteints l'un, d'entérite chronique , et l'autre, de laryngite chronique; les diagnost
malades atteints l'un, d'entérite chronique, et l'autre, de laryngite chronique ; les diagnostics posés par Vandevoir furent emphy
ard le jugement que rendra le tribunal dans cette nouvelle aflaire. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Délire Electrique On signal
Toghlak (la folie de), 205. Morphine (de l'abus de la,, 126. Myélite chronique traitée pat suggestion, 136. Mutisme mélancoliq
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