Des Leçons cliniques sur les mala-dies des vieillards et les maladies
chroniques
, faites en 1866, et recueillies par M. B. Bail; —
; — 4° de ses mémoires et observations sur la Goutte et le rhumatisme
chronique
; — 5° de Varia sur les maladies des vieillards.
TEUR1 Les « Leçons sur les Maladies des vieillards et les Ma-ladies
chroniques
, » commencées à une époque de la vie où l'horizon
nt la distinction établie entre les maladies aiguës et les affections
chroniques
, qui répond évidemment aux données de l'observati
une ligne de démarcation absolue, puisque la forme aiguë et la forme
chronique
d'un seul et même état pathologique se confondent
rtaines intoxications lentes, telles que le saturnisme, l'al-coolisme
chronique
, que l'on est parvenu à reproduire chez les anima
a plupart des maladies de la poitrine, celles du cœur, les affections
chroniques
de la peau étaient une terre à peu près inexploré
— Organisation de la Salpêtrière an point de vue médical. — Maladies
chroniques
; maladies des vieillards. — Historique de la pat
mprend des femmes de tout âge, frappées, pour la plupart, de maladies
chroniques
réputées incurables, et qui les ont réduites à un
lle mérite, à tous égards, d'être placée au premier rang des maladies
chroniques
rassemblées dans cet asile et qui devront fixer v
logie des vieillards, mais aussi sur l'histoire de plusieurs maladies
chroniques
, se trou-vent accumulées dans ce vaste recueil.
ogique de la goutte Sommaire. — Fréquence du rhumatisme articulaire
chronique
à la Salpè-trière. — Ses ressemblances avec la go
entreprendre l'étude préalable de la goutte avant celle du rhumatisme
chronique
. — Diathèse goutteuse : ses caractères généraux.
res généraux. — Goutte régulière, irrégu-lière : goutte aiguë, goutte
chronique
. — Hématologie pathologique de cette affection. —
hui, je me propose d'appeler votre attention sur l'une des affections
chroniques
qui se rencontrent le plus communément dans cet h
s communément dans cet hospice. Il s'agit du rhumatisme articulaire
chronique
, qui con-stitue, à coup sûr, l'une des infirmités
omparer entre eux les types si divers que peut affecter le rhumatisme
chronique
. Mais, au seuil même de la question une difficu
e profonde analogie, il faut convenir que c'est surtout dans la forme
chronique
de ces deux affections que la ressemblance devien
ticulaire aigu. Ce fut un peu plus tard que le rhumatisme articulaire
chronique
acquit, à son tour, une autonomie longtemps conte
cile de distinguer la goutte du rhumatisme, surtout dans leurs formes
chroniques
; et le nom de rhumatisme goutteux, qu'on applique
de la diathèse que nous allons étudier. La goutte est une affection
chronique
et constitutionnelle, le plus souvent héréditai
essieurs, que vous nous entendrez parler de goutte aiguë et de goutte
chronique
. Or, la goutte est une affection essentiellement
de goutte chronique. Or, la goutte est une affection essentiellement
chronique
, et qui ne peut jamais être aiguë : cependant ces
s matérielles appréciables sont au contraire assez rares. La goutte
chronique
, qui peut survenir d'emblée, ne vient en général
es jointures, puis dans les organes intérieurs ; c'est dans la goutte
chronique
qu'on trouve surtout ces affections viscérales, p
. Ce phénomène existe d'une manière permanente dans les cas de goutte
chronique
; mais il augmente d'intensité avant les accès, p
raste évident avec l'anémie rhuma-tismale ; tandis que dans la goutte
chronique
, il se produit, à 1. Journal de pharmacie. Octo
, soit dans le sang, soit dans l'excrétion urinaire. Dans la goutte
chronique
, la tendance à la diminution s'ac-cuse de plus en
constituent une partie importante de la Symptomato-logie de la goutte
chronique
, car leur présence se révèle sou-vent pendant la
employée pour désigner les tumeurs osseuses du rhumatisme articulaire
chronique
. Ces masses crayeuses, à la première période de
te une déviation angulaire des doigts, analogue à celle du rhumatisme
chronique
; la seule considération des défor-mations articu
'on a rencontrées chez des sujets atteints de goutte soit aiguë, soit
chronique
, lorsqu'une affection inter-mittente ou les progr
eler la gravelle du rein. Elle présente les caractères de la néphrite
chronique
interstitielle ; mais elle est surtout caracté-ri
i ont été désignées sous ce nom doivent être rapportées au rhumatisme
chronique
. Il est incontestable, en tous cas, que chez cert
Séméiologie de la Goutte. — Diathèse urique. -Goutte aiguë. — Goutte
chronique
. Sommaire. — Doux formes principales de la gout
mmaire. — Doux formes principales de la goutte : goutte aiguë, goutte
chronique
. — La goutte est toujours au fond une maladie chr
aiguë, goutte chronique. — La goutte est toujours au fond une maladie
chronique
: mais l'accès aigu a une physionomie bien différ
r des accès. — Transformation insensible de la goutte aiguë en goutte
chronique
. — Ca-chexie goutteuse. — Gravité des affections
rcurrentes. — Goutte chro-nique succédant à la goutte aiguë. — Goutte
chronique
d'emblée. — Evolution des tophiis. Messieurs,
tions. Dès le principe, nous avons établi que, tantôt aiguë, tantôt
chronique
, la goutte se présente sous deux formes principal
ier que la goutte est, dans tous les cas, une maladie essentiellement
chronique
. En effet,le premier accès est la manifestation p
Nous allons donc étudier successivement la goutte aiguë et la goutte
chronique
, nous conformant ainsi à la tradition uni-versell
nostic est en général peu favorable, et qui passe volontiers à l'état
chronique
. Mais la goutte, ainsi que nous l'avons déjà fa
ue nous l'avons déjà fait observer, est une affection essentiellement
chronique
, même dans sa forme aiguë. 11 est donc indispensa
ennent tous les trois ou quatre mois ; c'est déjà le passage à l'état
chronique
. Il faut se rappeler d'ailleurs que des conditi
, et présente une tendance de plus en plus marquée à revêtir la forme
chronique
. On voit alors les grandes jointures subir un env
e qu'elle perd en profondeur. Mais, à ce moment, c'est déjà la goutte
chronique
. Nous allons étudier maintenant les carac-tères d
dier maintenant les carac-tères de cette dernière affection. Goutte
chronique
. — Cette forme de la goutte a pour carac-tère ess
foie, du cœur, et du système vasculaire en général. Mais la goutte
chronique
, qui succède ordinairement à la goutte aiguë, p
peu différents. A. Quand elle succède à la goutte aiguë, la goutte
chronique
s'établit presque en permanence sur les articulat
dents viscéraux plus prononcés. B. Quand au contraire la goutte est
chronique
d'emblée, on voit souvent les tophus se former de
e l'estomac que Scudamore avait depuis longtemps signalé dans les cas
chroniques
de cette maladie. Il est d'ailleurs probable qu
es, au contraire, dans les diver-ses formes du rhumalisme articulaire
chronique
. C'est là un caractère distinetif qu'il n'est pas
tions permanentes du rein deviennent presque la règle, dans la goutte
chronique
; il s'agit d'une néphrite albumineuse, offrant de
'ouïe. Or, il nous pa-raît certain que les malades affectés de goutte
chronique
sont exposés à devenir sourds; il serait fort int
r de ces faits la suppuration du globe de l'œil dans un cas de goutte
chronique
(4), et le défaut de consolidation des fractures.
vi), survient surtout chez les sujets débi-lités atteints de la forme
chronique
de la goutte, et présentant des tophus (6). p.
i-nistré qu'avec la plus grande réserve aux sujets atteints de goutte
chronique
, s'il existe chez eux quelques indices d'une affe
(2), est fréquente chez les sujets atteints de rhumatisme articulaire
chronique
. Chez les goutteux, au contraire, elle se présent
qui ont autrefois exercé de grands ravages, et de certaines maladies
chroniques
qui ont attiré, de tout temps, les regards des ob
e souvent aux Indes, sous la forme aiguë aussi bien que sous la forme
chronique
: aussi, pour nous servir de l'expression de Muhr
ate. Sous ce rapport, comme nous le verrons bientôt, le rhuma-tisme
chronique
diffère essentiellement de la goutte. Il existe c
s le cours de nos leçons a démon-tré : 1° que dans la goutte aiguë ou
chronique
, l'acide urique 1. On Gout and rheumatism. Lond
ter ce sujet au moment où nous aborderons le traitement du rhumatisme
chronique
; nous trouverons dans ce rapproche-ment les éléme
s instructif que curieux. ONZIÈME LEÇON Du rhumatisme articulaire
chronique
et de ses lésions anatomiques. Sommaire. — Le r
t de ses lésions anatomiques. Sommaire. — Le rhumatisme articulaire
chronique
est une affection essen-tiellement nosocomialc. —
u. — Principales variétés de cette maladie. — Rhuma-tisme articulaire
chronique
progressif (rhumatisme goutteux). — Rhuma-tisme a
chronique progressif (rhumatisme goutteux). — Rhuma-tisme articulaire
chronique
partiel. — Nodosités d'Hcberden : elles ne doi-ve
es avec la goutte. Caractères anatomiques du rhumatisme articulaire
chronique
. — Né-cessité d'étudier avec soin les lésions loc
tent à ce sujet. Caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale
chronique
. — Alté-ration de la synoviale ; des cartilages d
t qu'il faut réserver une place à part pour le rhumatisme articulaire
chronique
, qui va maintenant devenir le sujet de nos leçons
s que la goutte est presque inconnnue à la Salpêtrière, le rhumatisme
chronique
est, au contraire, l'une des infirmités les plus
qu'on voit quel-quefois, au lit du malade, le rhumatisme articulaire
chronique
procéder directement du rhumatisme articulaire ai
u rhumatisme articulaire aigu, absolu-ment comme la pneumonie lobaire
chronique
peut succéder à la pneumonie aiguë. Il est vrai,
la pneumonie aiguë. Il est vrai, toutefois, que nous voyons la forme
chronique
du rhumatisme articulaire se développer presque t
n radicale entre ces deux maladies. II. Le rhumatisme articulaire
chronique
se présente sous des aspects variés et tellement
noueux n'est autre chose que le rhumatisme poly-arti-culaire à l'état
chronique
, mais qu'ils se refusent à reconnaître l'origine
clinique, d'étudier séparément les principales variétés du rhumatisme
chronique
, comme s'il s'agissait, en réalité, de plusieurs
le lien commun qui les réunit. Les types du rhumatisme articulaire
chronique
sont fort nombreux ; mais nous porterons principa
ement notre atten-tion sur les suivants : 1° Rhumatisme articulaire
chronique
progressif. C'est le rhumatisme goutteux, ou rh
u ( et qui en procèdent quelquefois), et tantôt propres au rhumatisme
chronique
; il faut ranger dans cette dernière catégorie Yo
de Varthrite sèche, qui sont d'ailleurs communes à toutes les formes
chroniques
, sauf quelques modifications secondaires. 2° Rh
sauf quelques modifications secondaires. 2° Rhumatisme articulaire
chronique
partiel. Dans ce type, les jointures affectées
ons maintenant nous occuper des caractères anato-miques du rhumatisme
chronique
. Lorsque nous avons essayé de tracer l'histoire
nrique. Nous ne trouvons, pour nous guider dans l'étude du rhumatisme
chronique
, aucun caractère d'une portée aussi générale ; et
se-condaire. Elle nous permet, en second lieu, de rattacher la forme
chronique
du rhumatisme articulaire à la forme aiguë ou sub
médecine, et les fouilles de Pompéi nous ont appris que le rhumatisme
chronique
existait déjà au Ier siècle de l'ère chrétienne.
urait donc exister aucun doute sur ce point; toutefois, le rhumatisme
chronique
n'a été reconnu comme une espèce morbide à part,
peu plus tard que les traits fondamentaux de l'arthrite rhumatismale
chronique
ont été mis en lumière ; en France, Lobstein (183
appris comment chaque tissu se modifie sous l'influence du rhumatisme
chronique
, et ont ainsi donné la raison de plusieurs phénom
ation sommaire des caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale
chronique
. L'affection que nous allons étudier porte sur
ription du travail morbide qui caracté-rise le rhumatisme articulaire
chronique
. forme de fibrilles, puis ces fibrilles elles-m
qui correspondent aux formes principales du rhumatisme articulaire
chronique
. La description que nous venons de donner s'app
l nous reste à comparer, sous le rapport de l'anatomie, le rhumatisme
chronique
aux autres arthropathies à lente évolution.Mais a
sujet, nous voulons vous signaler les analogies qui relient la forme
chronique
du rhumatisme articulaire à la forme aiguë. DOU
e aiguë. DOUZIÈME LEÇON Parallèle entre le rhumatisme articulaire
chronique
et les autres arthropathies constitutionnelles, a
e. Sommaire. — Analogie entre les lésions du rhumatisme articulaire
chronique
, et celles du rhumatisme articulaire aigu. — Alté
cavité synoviale. — Analogie de ces lésions avec celles du rhumatisme
chronique
. Caractères qui distinguent l'arthrite déforman
hilitiques. — Arthropathie goutteuse. Les altérations du rhumatisme
chronique
n'ont pas un caractère spéci-fique. — Elles peuve
lles sont alors, presque toujours, monoarticulaires. — Le rhu-matisme
chronique
est le plus souvent polyarticulaire. Messieurs,
u point de vue de l'anatomie pathologique, le rhumatisme ar-ticulaire
chronique
aux autres arthropathies à lente évo-lution. Ma
contact qui existent entre les alté-rations du rhumatisme articulaire
chronique
et celles du rhu- I. — Altérations des jointure
e rapproche déjà, par certains carac-tères, du rhumatisme articulaire
chronique
. Ainsi, dans cette forme de maladie, les affect
iculaire aigu. Nous reconnaîtrons bientôt que les lésions de la forme
chronique
ne sont, pour ainsi dire, que la plus haute expre
vue anatomique, une transition entre les formes aiguës et les formes
chroniques
du rhumatisme articulaire. vent affectées, et q
Ces altérations, qui présentent avec celles du rhumatisme articulaire
chronique
des analogies incontestables, s'en rap-prochent e
essant de l'affection rhumatismale, la maladie est devenue décidément
chronique
. Les altérations sont alors plus profondes ; les
tères qui distinguent l'ar-thrite déformante des autres arthropathies
chroniques
. 1° Arthrite par repos prolongé. — Au premier d
ection vénérienne. se rapprochent de certaines formes du rhumatisme
chronique
; ces dernières sont les seules qu'il ait été pos
: 1° l'unité des diverses formes cliniques du rhumatisme articulaire
chronique
au point de vue de l'anatomie morbide ; 2° l'exis
e l'arthro-rhumatisme aigu et celle de l'anthro-rhumatisme partiel ou
chronique
; 3° l'exis-tence d'une séparation tranchée, touj
? Pour ne parler que de ce qui concerne le rhumatisme arti-culaire
chronique
, nous avons été conduits à admettre, même au poin
idéré spéciale-ment dans ses rapports avec le rhumatisme arti-culaire
chronique
et de la goutte. Sommaire. - Description succin
atisme articulaire aigu et subaigu. — Son analogie avec le rhumatisme
chronique
; différences qui le séparent de la goutte. —Rhum
iculaire ; rien de plus fréquent chez eux, au contraire, que la forme
chronique
de cette maladie : nous vous l'avons déjà prouvé.
tiellement distincte de la goutte. Le rhumatisme aigu, le rhumatisme
chronique
et le rhumatisme subaigu qui sert de transition e
N Des affections viscérales dans le rhumatisme arti-culaire aigu et
chronique
Sommaire. — Parallèle entre les affections visc
es affections viscérales de la goutte et celles du rhumatisme aigu ou
chronique
. — Développement tardif des affections vis-cérale
igu. — Ces lésions ne se manifestent que plus tard dans le rhumatisme
chronique
. — Différence entre la nature des lésions viscéra
capillaires. — Lésions de canalisation. — Etat typhoïde. — Période
chronique
de la maladie. — Affections multiples qui sont la
ent exister aussi dans le rhuma-matisme subaigu et dans le rhumatisme
chronique
. — Lésions de l'appareil respiratoire. — Pleurési
atisme aigu se retrouvent, avec les mêmes caractères, dans les formes
chroniques
de la maladie. Pendant le cours des accès de la
errière elles des traces indélébiles de leur passage. Le rhumatisme
chronique
primitif diffère à cet égard de la forme aiguë. L
'on peut dire que plus la maladie a de la tendance à revêtir la forme
chronique
, plus il est rare de voir de pareilles lésions se
Thèse de concours pour l'agrégation, 1866, p. 28. trentà la période
chronique
de la maladie. Le travail phleg-masique se propag
les affections du cœur et le rhumatisme. C'est surtout dans la forme
chronique
que ce point est important à noter, comme nous le
ans, qui fut atteint d'un rhuma-tisme articulaire, d'abord aigu, puis
chronique
. Il présentait, pendant la vie, un bruit de souff
bdite et de la péricabdite dans le rhuma-tisme abticulaibe suraigu et
chronique
. Messieurs, après avoir ainsi tracé l'histoire
s'agit de prouver que ces lésions peuvent exister dans le rhumatisme
chronique
proprement dit, dans rhumatisme noueux. Io II f
des bruits de souffle évidents chez les sujets atteints de rhumatisme
chronique
; mais l'anatomie pa-thologique permet d'établir,
r, à cet égard, un rapport depárente entre la forme aiguë et la forme
chronique
du rhumatisme articulaire, qui prouve, une fois d
dans les-quelles l'endocardite s'est développée chez des rhumatisants
chroniques
, sans que la maladie ait jamais affecté la forme
tait à la main droite les déformations caractéristiques du rhumatisme
chronique
. Elle attribuait cette maladie à l'humidité de la
rencontrer des lésions organiques du cœur dans le cours du rhumatisme
chronique
primitif. 2° Lapéricardite est probablement fré
2° Lapéricardite est probablement fréquente chez les rhu-matisants
chroniques
, car sur neuf autopsies que j'ai prati-quées en 1
Mémoire sur les coïncidences pathologiques du rhumatisme articulaire
chronique
. {Mémoires de la Soc. de Biologie, t. IV, 4e séri
ante etonze ans, depuis long-temps atteinte de rhumatisme articulaire
chronique
et de catarrhe pulmonaire, il s'est manifesté tou
Barthez. Chez un enfant de dix ans, atteint de rhumatisme articulaire
chronique
, on vit se développer une péricardite caractérisé
xa-cerbationsdes arthropafhies chez dessujefs atteints de rhuma-tisme
chronique
. Les faits que je viens de rapporter se trou-vent
ractère moins sérieux lorsqu'elles se dévelop-pent dans le rhumatisme
chronique
. III. — Des autres affections abarticulaires da
e. III. — Des autres affections abarticulaires dans le rhumatisme
chronique
. Les affections cardiaques ne sont pas les seul
u se rencontrent plus rarement que les précédentes dans le rhumatisme
chronique
. Mais nous reconnaîtrons bientôt que, par contre,
— La pleurésie se retrouve dans le rhumatisme articulaire subaigu et
chronique
; mais elle est beaucoup plus rare que dans la for
l'arthro-rhumatisme aigu; je ne l'ai jamais rencontrée dans la forme
chronique
. J'ai observé, sans doute, quelques cas de pneumo
forme chronique. J'ai observé, sans doute, quelques cas de pneumonie
chronique
chez les rhumatisants, mais c'étaient des sujets
es à une mort presque subite, peut se rencontrer dans le rhumatisme
chronique
ou subaigu. M. le docteur Bail en a rapporté un c
ertaines affections thoraciques se présentent surtout dans les formes
chroniques
et mal définies du rhumatisme articu-laire. L'ast
rticulaire d'abord aigu, puis subaigu, qui a fini par passer à l'état
chronique
. La coïncidence de l'asthme chez cette malade ave
tisme aigu. Garrod a décrit aussi une forme particulière de laryngite
chronique
dans le rhumatisme noueux. La phtisie pulmonair
ux. La phtisie pulmonaire a-t-elle des rapports avec le rhuma-tisme
chronique
? Cette question est encore douteuse, et nous nou
te, les altérations du rein sont presque la règle. Dans le rhumatisme
chronique
, la néphrite albumineuse est assez fréquente dans
tiennent à la concentration extrême des urines. Dans le rhumatisme
chronique
, la cystite est au contraire L Cette observatio
. Des accidents de cette espèce on été signalés dans le rhu-matisme
chronique
par Fuller et M. Vidal. Mais ces faits sont peu c
'intervalle des accès de goutte, se retrouve aussi dans le rhumatisme
chronique
(1). B. Affections médullaires. —La chorée, don
aigu sont si bien démontrés, ne paraît pas exister dans le rhumatisme
chronique
; du moins, je ne l'ai jamais rencontrée dans cet
qui se rattachent à la moelle épi-nière se rencontrent dans la forme
chronique
du rhumatisme. La paralysie agitante, ou tout a
ou tout au moins le tremblement, peuvent coïncider avec le rhumatisme
chronique
partiel ou généralisé. J'ai vu plusieurs cas d'
ec-tions abarticulaires ; il en est de même dans les formes aiguës et
chroniques
du rhumatisme. Ainsi les douleurs musculaires d
aigu : mais on les trouve bien plus souvent encore dans le rhumatisme
chronique
. Les névralgies sciatiques et trifaciales, qui
ent dans le rhumatisme subaigu (Garrod, Fuller) et dans le rhumatisme
chronique
(Cornil). Il s'agit en général d'une iritis, mais
goutte et le rhumatisme aigu, se rencontrent aussi dans le rhumatisme
chronique
. Elles sont peu communes dans la forme intense
me intense de cette maladie; on les trouve surtout dans le rhumatisme
chronique
partiel, M. Bazin fait remarquer, du reste, que l
rononcées. Nous avons plusieurs fois retrouvé chez les rhumatisants
chroniques
les affections cutanées décrites par M. Bazin : Y
a prochaine séance, nous aborderons la Symptoma-tologie du rhumatisme
chronique
. QUINZIÈME LEÇON Symptomatologie du rhumatism
nique. QUINZIÈME LEÇON Symptomatologie du rhumatisme articulaire,
chronique
progressif. Sommaire. — Trois types fondamentau
sif. Sommaire. — Trois types fondamentaux du rhumatisme articulaire
chronique
. — Ils constituent, au fond, une seule et môme
ituent, au fond, une seule et môme maladie. — Rhumatisme ar-ticulaire
chronique
progressif ou rhumatisme noueux. — Souvent confon
s. Jusqu'ici nous n'avons guère envisagé le rhumatisme arti-culaire
chronique
que par un seul côté. L'anatomie patholo-gique de
, vous le savez déjà, du rhumatisme noueux, ou rhumatisme articulaire
chronique
progressif, du rhumatisme articulaire chronique p
humatisme articulaire chronique progressif, du rhumatisme articulaire
chronique
partiel et du rhumatisme d'Heberden. Ce ne sont
le traitement diffèrent dans chacun de ces trois types du rhu-matisme
chronique
. Nous consacrerons cette leçon à l'étude du rhu
. Nous consacrerons cette leçon à l'étude du rhumatisme articulaire
chronique
progressif. Le rhumatisme noueux constitue, au
e unique. Le rhumatisme noueux est aux autres formes de rhuma-tisme
chronique
ce que le rhumatisme aigu généralisé est au rhuma
rquons toutefois que, dans quelques cas exception-nels, le rhumatisme
chronique
est asymétrique : et la rareté du fait nous engag
oint semblables à celles qu'on observe dans le rhumatisme articulaire
chronique
. Il serait d'ailleurs impossible de nier l'exis
ntures, la symétrie des lésions, distinguent les effets du rhumatisme
chronique
de ceux que produisent la paralysie agitante et d
i-même examiné le sang dans trente-cinq cas de rhumatisme articulaire
chronique
, sans jamais y trouver la moindre trace de ce pri
formes essen-tiellement distinctes. Dans le rhumatisme articulaire
chronique
à évolution ra-pide, il s'agit habituellement de
re ici que le rhumatisme d'abord aigu, a pris ultérieurement la forme
chronique
: cette opinion sou-tenue par divers auteurs peut
croyons toutefois qu'il s'agit ici, le plus souvent, d'un rhumatisme
chronique
d'emblée, mais dont la marche présente quelques-u
ndant une an-née entière, puis le malade guérit. Dans le rhumatisme
chronique
à évolution lente, il s'agiten général de sujets
ten. Erlangen, 1860. SEIZIÈME LEÇON Symptomatologie du rhumatisme
chronique
partiel et des nodosités d'Heberden. Sommaire.
ronique partiel et des nodosités d'Heberden. Sommaire. — Rhumatisme
chronique
partiel. — Dénominations diverses qu'il a reçues.
rticulations sont le plus souvent frappées. — Début insidieux ; forme
chronique
d'emblée. — Déformations articulaires. — Manifest
s, Nous allons compléter la description des symptômes du rhumatisme
chronique
, par l'étude des deux formes principa-les de cett
ans la classification que nous avons adoptée. Il s'agit du rhumatisme
chronique
partiel, et des nodosités d'Heberden. Le rhumat
tisme chronique partiel, et des nodosités d'Heberden. Le rhumatisme
chronique
partiel dont nous allons nous occuper d'abord,
ellement at-teintes, sont ici frappées le plus souvent. 3° La forme
chronique
d'emblée est ici la règle. Le début est le plus s
se révèle par le fait même de leur coïncidence avec des arthropathies
chroniques
. Remarquons d'ailleurs que la localisation du m
appent sur-tout par leur singularité. Les arthropathies du rhumatisme
chronique
partiel se montrent très fréquemment avec tous ce
ommes pla-cés, nous intéressent plus spécialement. A. Le rhumatisme
chronique
partiel paraît succéder quel-quefois au rhumatism
s que le rhumatisme aigu pré-sente, en germe, les lésions de la forme
chronique
. B. Le début de l'arthrite déformante peut être
du rhumatisme partiel, lorsque l'affection s'est constituée à l'état
chronique
, c'est plutôt une infirmité qu'une maladie. — Je
peau rougit, et l'on constate une aggravation évidente des phénomènes
chroniques
. Les phénomènes purement articulaires, lorsque
nous occu-per des nodosités d'Heberden, forme spéciale du rhumatisme
chronique
, qui n'a pas encore été suffisamment décrite, et
uve ici, comme dans les deux autres formes de rhuma-tisme articulaire
chronique
, les altérations de l'arthrite sèche : c'est un f
famille, les uns ont le rhumatisme d'Heberden, d'autres le rhumatisme
chronique
généralisé, d'autres enfin le rhumatisme partiel
au voisinage des pôles et de l'équateur. — Le rhumatisme articulaire
chronique
abonde dans les pays tempérés, mais il existe aus
ue du rhumatisme aigu s'étend de quinze à trente ans. — Le rhumatisme
chronique
se rencontre surtout à deux périodes de la vie :
la littérature médicale, au moins pour ce qui concerne le rhumatisme
chronique
: dans plusieurs cas, on a constaté, sur ces débr
e trente rhumatisants. Pour ce qui touche au rhumatisme articulaire
chronique
, on ne possède aucun renseignement précis. Il est
e, la proportion est de 50 pour 100. Pour le rhumatisme articulaire
chronique
, de nouvelles recherches seraient indispensables.
e d'hérédité, soit du rhumatisme aigu, soit directement du rhumatisme
chronique
. Il faut cependant établir ici une distinction
Garrod avait déjà fait ressortir. En ce qui concerne le rhumatisme
chronique
partiel, la question est encore à l'étude, et je
c commis une erreur en rattachant presque exclusivement le rhumatisme
chronique
à la ménopause. Néanmoins cette maladie peut se
r développer, soit le rhumatisme articulaire aigu, soit le rhumatisme
chronique
, à évolution rapide. Mais nous sommes loin de c
s qui se retrouvent chez la plupart des sujets atteints de rhumatisme
chronique
. En outre, la plupart des malades ont séjourné lo
ossédons plusieurs observations dans lesquelles le rhumatisme aigu ou
chronique
s'est développé à la suite d'un coup, d'une chute
des, et M. Lorrain m'en a communiqué un second. Enfin le rhumatisme
chronique
, avec déformation des join-tures, peut aussi se d
est vrai, non seulement pour la formeaiguë, mais encore pour laforme
chronique
de la maladie. En effet, l'apparition des règle
orose des jeunes filles, et l'on sait aussi que souvent le rhumatisme
chronique
se développe à cette période de la vie. 1. Voye
les diverses formes du rhumatisme (surtout le rhumatisme sub-aigu ou
chronique
) peuvent souvent se présenter, c'est Y allaitemen
manière générale, les causes du rhumatisme, et sur-tout du rhumatisme
chronique
, sont plutôt la misère, le froid humide, l'insuff
e diabète ait jamais été observé comme une complication du rhumatisme
chronique
. 2. J'ai vu la gravelle urique coexister avec l
très souvent parmi les antécédents des sujets atteints de rhumatisme
chronique
progressif. Il est très fréquent de voir ces suje
dire à Juncker : Rheumatismus arthritidem ordine antecedit ? tisme
chronique
, peu communes, au contraire, chezles goutteux.
ITIÈME LEÇON Traitement de la goutte et du rhumatisme articulaire
chronique
Sommaire. — Considérations générales sur le tra
anormale. — Régime diététique. Traitement du rhumatisme articulaire
chronique
. — Etat peu satisfaisant de nos connaissances à c
e pouvoir le mettre en parallèle avec celui du rhumatisme articulaire
chronique
. C'est ce sujet qui va nous occuper aujourd'hui.
a goutte est une maladie héréditaire constitutionnelle, primitivement
chronique
, mal-gré ses manifestations aiguës. Mais la gou
stations périodicpies, les paroxys-mes de la goutte, soit aiguë, soit
chronique
, sont accompa-gnées de souffrances exquises et pr
d de ce dernier point. B. Traitement, des acres de goutte aiguë et,
chronique
. — Il s'agit ici d'un traitement en grande partie
is on peut l'utiliser cependant dans certains paroxysmes de la goutte
chronique
. On l'accuse quelquefois de prolonger les accès;
outte que dans le rhumatisme aigu. Dans les exacerbations de l'état
chronique
, le sulfate de quinine est encore utile. En dehor
ard. J'ai administré maintes fois à des sujets atteints de rhumatisme
chronique
le bicar-bonate de soude à la dose, en apparence,
oir de dissoudre les tophus, et elles sont peu utiles, dans la goutte
chronique
, à moins qu'il n'existe de la dyspepsie. Les ea
ton et Contrexeville. Elles sont souvent très utiles dans la goutte
chronique
. Nous avons vu plusieurs l'ois les eaux de Contre
; le changement de climat est Traitement du rhumatisme articulaire
chronique
. Les détails dans lesquels nous venons d'entrer
d'ailleurs, on peut dire que le traitement du rhumatisme articulaire
chronique
est encore moins efficace que celui de la goutte:
otassium a été quelquefois prescrit avec suc-cès contre le rhumatisme
chronique
. Chez les sujets chlorotiques ou débilités, le
dernier moyen est surtout utile dans la forme partielle du rhumatisme
chronique
. Quant aux eaux minérales, on a conseillé le Mo
longue liste des remè-des qui ont été préconisés contre le rhumatisme
chronique
par divers auteurs, ou que nous avons expérimenté
'efficacité la plus réelle : mais, il faut en convenir, le rhumatisme
chronique
est une affection que toutes lesressources de la
ttacherons à traiter avec détails l'histoire de plusieurs affec-tions
chroniques
du système nerveux central, qu'il nous est donné
xemples de ce genre qu'on pourrait citer sont relatifs à des maladies
chroniques
. Au premier rang, on doit placer les affections c
re a été ob-servé (Wolff) assez fréquemment dans la folie subaiguë ou
chronique
, avec symptômes de dépression, principalement dan
asthénique primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire
chronique
(forme primitive), etc. ÉTUDES POUR SERVIR A L'
THÉNIQUE PRIMITIVE nodosités des jointures rhumatisme articulaire
chronique
(forme primitive), etc. (Thèse de doctorat, 185
ombre de ces infirmités reconnais-sent pour cause diverses affections
chroniques
des jointures. Placé comme élève interne dans c
e appréciable, mais ils s'accompagnent quelquefois de vives douleurs.
Chronique
dès son origine, la maladie qui les a produits n'
ion succincte dans l'histoire du rhumatisme articulaire primilivement
chronique
(Chomel et Requin (1), Bouillaud). M. Piorry (2)
M. Piorry (2) les étudie dans le chapitre où il traite des arthrites
chroniques
, et des arthropathies indépendantes de Thémite. E
re s'observe assez rarement, dans le cours du rhumatisme arti-culaire
chronique
, et ne se manifeste généralement que si la maladi
n rhumatisme articulaire aigu; la grand'mère avait eu des rhumatismes
chroniques
, et les mains déformées, comme les a notre malade
Pas d'antécédents héréditaires (?). — Habi-tation humide. — Bronchite
chronique
à 47 ans. — Début des accidents rhumatismaux à 59
s, elle a éprouvé des étouffements, et a été atteinte d'une bronchite
chronique
qui l'incommode encore de temps à autre. Elle éta
e des phénomènes dyspepsiques dans le cours du rhumatisme articulaire
chronique
. Pour nous, nous n'avons guère noté, dans nos obs
n de sa thèse, aucun cas de mort par suite du rhumatisme articu-laire
chronique
. Etiologie. Presque tous les auteurs qui ont
. Cruveilhier comme une cause occasionnelle de rhumatisme articulaire
chronique
. MM. Chomel et Requin, M. Piorry, admettent, comm
des affections viscérales très diverses (pneumonie, phtisie, entérite
chronique
ulcéreuse, etc.). Ces femmes étaient âgées de cin
lupart des auteurs des altérations propres au rhuma-tisme articulaire
chronique
, par Lobstein de l'épiphlogose articulaire, et to
e la Salpêtrière reconnaissent pour cause une affection primitivement
chronique
, qui a pour siège de prédilection les petites joi
, par la plupart des auteurs, au rhumatisme articulaire primitivement
chronique
, à ces différences près, qu'elles siégeaient dans
a été donnée, par la plupart des auteurs, du rhu-matisme articulaire
chronique
, et par M. le professeur Piorry des arthrites chr
e articulaire chronique, et par M. le professeur Piorry des arthrites
chroniques
et des arthropathies, indépendantes de l'hémite.
, d'après ce que nous avons lu, que parmi les ob-servations de goutte
chronique
, froide, asthénique, qui existent dans la science
en est beaucoup qu'il faut considérer comme des exemples d'arthrites
chroniques
, rhumatismales, fixées sur les petites jointures.
un parallèle plus complet entre la goutte et l'arthrite rhumatismale
chronique
des petites jointures, si nous avions été assez h
rit et fait représenter les altérations que subisssent dans la goutte
chronique
les carti-lages articulaires. Cet auteur a vu la
ieures, ob-servés le plus fréquemment clans le rhumatisme articulaire
chronique
progressif. Nécroscopie. Examen des jointures.
vient de lire l'ob-servation, que nous avions affaire à un rhumatisme
chronique
, d'autant mieux qu'elle nous offrait un type parf
figuré par M. Charcot (PL II, fig. 2) dans sa thèse sur le rhumatisme
chronique
. (Voir plus haut, p. 303 à 351.) En outre, comme
servation démontre que le diagnostic entre la goutte et le rhumatisme
chronique
est par-fois impossible par la seule inspection d
e albumineuse avec la goutte. Il s'agissait, dans ces cas, des formes
chroniques
d'albuminurie, dont on a voulu faire, dans ces de
ce d'établir qu'il y a constamment une forme particulière de néphrite
chronique
qu'il appelle le rein goutteux, gouty kydney. L
sur les-quels s'appuie le docteur Todd pour différencier la néphrite
chronique
des goutteux de la maladie de Bright aiguë et chr
mique quelquefois très avancée des reins, qui consiste dans une forme
chronique
de la néphrite albumineuse (néphrite parenchymate
phrite albumineuse (néphrite parenchymateuse), ou dans une altération
chronique
, carac-térisée par l'atrophie du parenchyme, avec
ici d'abord l'histoire détaillée d'un cas assez remarquable de goutte
chronique
développée chez un peintre en bâtiments atteint p
t fait songer, tout d'abord, à l'existence du rhu-matisme articulaire
chronique
primitif ; mais un examen plus attentif fait reco
latérale qu'on observe si fréquemment dans le rhumatisme articulaire
chronique
progressif. Les pieds n'offrent d'ailleurs aucune
evenir continue et prend enfin décidément les allures d'une affection
chronique
. Par suite, la plupart des articulations des memb
andis que cet excès existe constamment dans le cas de goutte aiguë ou
chronique
. Nous pouvons ajouter que, clans les cas, — peu n
s ajouter que, clans les cas, — peu nombreux à la vérité, — de goutte
chronique
que nous avons observés, nous avons toujours cons
et 30 ans), avec un caractère de sévérité extrême ; elle est d'emblée
chronique
et se présente avec toutes les lésions de la gout
granuleuse. Le malade est depuis déjà longtemps atteint de bronchite
chronique
avec emphysème ; mais c'est depuis un an seulemen
VII. Altérations des articulations dans le rhumatisme articulaire
chronique
; fausse contracture rhuma-tismale ; ankyloses (1
e à éclairer plusieurs points de l'histoire du rhumatisme articulaire
chronique
. Les articulations présentent en effet à tous les
ntôt le rhumatisme articulaire aigu, tantôt le rhumatisme articulaire
chronique
généralisé, (rhumatisme noueux ou partiel, arthri
ce : 1° le rhumatisme articulaire aigu; 2° le rhumatisme articu-laire
chronique
primitif. — L'angine tonsillaire est souvent le p
gie peut également être le point de départ du rhumatisme arti-culaire
chronique
avec déformation (rhumatisme noueux). Vous en ave
iens ont vu fréquemment Y arthrite sèche (ce que j'appelle rhumatisme
chronique
primitif partiel) naître, à la suite d'un coup po
ad. des Vieillards. 32 En ce qui concerne le rhumatisme articulaire
chronique
, il serait difficile de signaler, chez les ancien
érations paraissent devoir être rapportées au rhuma-tisme articulaire
chronique
. On pourrait s'en convaincre en consultant les de
insi dire, des monuments qui témoignent de l'anti-quité du rhumatisme
chronique
, mieux encore que ne le pour-raient faire quelque
ici question était des plus prononcées (p. 21 de la trad.). Goutte
chronique
d'emblée. — La goutte peut, comme le rhu-matisme
ut, comme le rhu-matisme articulaire, revêtir dès l'origine, la forme
chronique
, pour spécitier les cas de ce genre, M. le profes
ce genre, M. le professeur Monneret propose la dénomination de goutte
chronique
d'emblée, qui mé-rite d'être acceptée (Programme
nt exact, au moins pour un certain nombre de cas (p. 30). La goutte
chronique
comparée au rhumatisme noueux. — A ne considére
parvenue à cette époque de son évolution et le rhumatisme articulaire
chronique
d'emblée, de forme pro-gressive — (rhumatisme gou
me genre, et parmi les cas très nombreux de cette forme de rhumatisme
chronique
que j'ai observés, dans l'espace de six années, à
leurs, le plus souvent dans la goutte. Dans le rhumatisme articulaire
chronique
partiel, au contraire, — et c'est un point sur le
là nous ne trouvons rien qui ne se rencontre également dans la goutte
chronique
généralisée. Aux membres supérieurs les doigts so
e qu'on rencontre généralement chez les indivi-dus atteints de goutte
chronique
. Sur un bon nombre de jointures, les surfaces a
là aucune des altérations qui caractérisent le rhumatisme articulaire
chronique
. Voici d'ailleurs, en peu de mots, quel était l
ne trouvait là aucune altération révélant un tra-vail d'inflammation
chronique
. Il n'en était pas tout à fait cle même, ainsi qu
Déformations permanentes des jointures dans certains cas de goutte
chronique
. — Les déformations permanentes des join-tures qu
permanentes des join-tures qu'on observe dans certains cas de goutte
chronique
se présentent sous des aspects en apparence très-
atisme noueux (E. Vidal, Considérations sur le rhumatisme articulaire
chronique
primitif. Thèse inaugurale. Paris, 1855, p. 25),
ment dans les mêmes lieux, sous l'influence du rhumatisme articulaire
chronique
progressif. Cela ne saurait surprendre lorsqu'on
érieures, observés le plus fréquemment dans le rhumatisme articulaire
chronique
progressif (premier type ou type de flexion. — Vo
serait facile de multiplier les exemples et de montrer que la goutte
chronique
peut reproduire fort exactement les autres types
e qu'ils sont habituels, au contraire, dans le rhumatisme articulaire
chronique
progressif. IL Quand aux déformations que produ
moins tuméfiées et déformées. Il en est tout autrement dans la goutte
chronique
, lorsque les déformations y sont produites par le
enre, a conseillé l'emploi des exu-toires dans certains cas de goutte
chronique
, et il rapporte l'his- toire d'un goutteux chez
5). Absence d'urate de soude dans le rhumatisme articulaire aigu et
chronique
. — A l'aide de son procédé du fil, M. Garrod a fa
ès existe, au con-traire, constamment dans les cas de goutte aiguë ou
chronique
. (Observai, on certain pathol. condit. of. the bl
contradictoires. Mes recherches relatives au rhumatisme articulaire
chronique
concernent toutes les formes et toutes les époque
rté peuvent être groupés ainsi qu'il suit : 1° rhumatisme articulaire
chronique
progressif (noueux, généralisé), 25 cas ; 2° rhum
es propres recher-ches, des diverses formes du rhumatisme articulaire
chronique
. Toutefois, il ne faudrait pas croire que l'exc
ltération du sang se rencontre d'une manière habituelle dans la forme
chronique
de la maladie de Bright, dans certaines intoxicat
dayis la sérosité sous-arachnoïdienne. — Une femme atteinte de goutte
chronique
ayant succombé dans mon service à l'hospice de la
s, et, en un mot, toutes les altérations de l'arthrite rhumatismale
chronique
, se rencontrent sur une môme jointure avec les lé
publié, in extenso, l'observation d'un individu atteint de la goutte
chronique
avec concrétions tophacées et chez qui le genre d
x, ont été attribuées à la goutte, appartiennent plutôt au rhumatisme
chronique
(arthrite sèche) ; mais il est incontestable, n
observés au sortir d'une attaque de goutte aiguë ; 3° dans la goutte
chronique
, le sang examiné dans l'intervalle des accès a to
s (p. 445). Différence entre lu gout le et le rhmaiisme articulaire
chronique
.— C'est ce qu'ont établi, entre autres, les rech
d'après mes propres observations, que dans le rhumatisme articulaire
chronique
, généralisé ou partiel, le colchique administré à
moyen des applications stimulantes (p. 590). Rhumatisme articulaire
chronique
primitif. — Cette synonymie n'est pas complète; i
très variées sous lesquelles se présentent le rhumatisme articulaire
chronique
: 1° Rhumatisme articu-laire chronique primitif g
tent le rhumatisme articulaire chronique : 1° Rhumatisme articu-laire
chronique
primitif généralisé ou progressif ; c'est le rhum
essivement et d'une manière presque fatale. 2° Rhumatisme articulaire
chronique
primitif fixe ou partiel. La maladie reste généra
lient aussi au rhumatisme articulaire aigu: c'est alors le rhumatisme
chronique
généralisé qui établit la transition. Il n'est pa
nh. opéra, sect. AI, cap, V.) (p. 603, 604). Rhumatisme articulaire
chronique
: bibliographie. — J. Hay-garth : A clinical histo
ns ce chapitre, consultez sur la pathologie du rhumatisme articulaire
chronique
: Landre Beauvais, Thèses de la faculté de médecin
novembre 1853, — Vidal, Considération sur le rhumatis-me articulaire
chronique
primitif. Paris, 1835, —? Gurlt, Beitrage zur V
— V. Cornil, Mémoires sur les coïncidences du Rhumatisme articulaire
chronique
. — Gazette médicale de Paris, 1864, n° 36, 38, 39
. Malherbe, Des affections viscérales dans la goutte et le rhumatisme
chronique
, Paris, 1866. — Bail, Du rhumatisme viscéral. Par
is. 1866. (p. 606). Maladies du cœur dans le rhumatisme articulaire
chronique
— Il n'est pas aussi rare qu'on le croit généralem
alement de rencon-trer l'endocardite et la péricardite, dans la forme
chronique
du rhumatisme articulaire. Cela, du moins, me par
'hospice de la Salpêtrière. C'est surtout au rhumatisme articulaire
chronique
généralisé que s'associent les affections dont il
tisme articulaire aigu qui ont précédé le développement du rhumatisme
chronique
; puis, celui-ci s'étant établi, elles ont persis
tantôt, au contraire, le rhumatisme a revêtu dès l'origine, la forme
chronique
, et l'on est conduit à reconnaître que les affect
laire aigu, il est à peu près impossible de décider si le rhuma-tisme
chronique
a eu une influence réelle sur le premier déve-lop
es d'endocardite chez des femmes atteintes de rhumatis-me articulaire
chronique
généralisé et qui jamais n'avaient éprouvé d'accè
(Voy. Cornil, Mémoire sur les coïncidences du rhumatisme articulaires
chronique
, in Gazette médicale, année 1804, nos 30, 98, 39.
rdite, appartiennent à la forme généralisée du rhumatisme articulaire
chronique
, tout aussi bien qu'au rhumatisme articulaire aig
envahissement successif des jointures dans le rhumatisme ar-ticulaire
chronique
progressif. Nous avons vu là que les articu-latio
quer déjà (page 80), — avec des caractères identiques, dans la goutte
chronique
. Mais les cas de ce genre sont tout à fait except
um nodosi, d'Heberden. deux autres formes du rhumatisme articulaire
chronique
, les altérations de l'arthrite sèche; c'est un fa
énéraux, sont communes aux diverses formes du rhu-matisme articulaire
chronique
. Seulement, souvent à peine accusées et comme à l
couchement (p. 626). Epoque d'apparition du rhumatisme art"u-uluire
chronique
chez la femme. — Il y a chez les femmes deux péri
chez les femmes deux périodes de la vie où le rhumatisme articulaire
chronique
généralisé éclate de préfé-rence : la première de
goutte (p. 627). Ressemblance des lésions dans les formes aiguës et
chroniques
du rhumatisme articulaire. — Suivant MM. Hasse (Z
é question à propos des altérations produites par l'arthro-rhumatisme
chronique
(p. 020). Il y a donc lieu, même au point de vue
des lésions anatomiques, d'établir un rappro-chement entre les formes
chroniques
et la forme aiguë du rhu-matisme articulaire (p.
éralisé; mais elle est là beaucoup moins fréquente que dans la goutte
chronique
(p. 030). Rhumatisme noueux et iritis. — J'ai v
ffets des alcalins à haute dose dans les formes aiguës, subai-guës et
chroniques
du rhumatisme. — Des observations cliniques assez
ns effets dans la forme subaiguë de la maladie et aussi dans sa forme
chronique
généralisée, au moment de ces exacerbations mar-q
— L'emploi de l'arsenic à l'intérieur dans le rhumatisme articulaire
chronique
, a été surtout préco- nisé, en Angleterre, par
es se développent souvent, dans cette forme du rhumatisme articulaire
chronique
, sans occasionner d'autre inconvénient qu'un iége
utteuse se manifestent quelquefois de très bonne heure dans la goutte
chronique
d'emblée. Chez un malade dont l'histoire a été ra
actère adynamique. Il s'agit ici surtout de sujets atteints de goutte
chronique
et cachectiques. Dans ces mêmes circonstan-ces, l
riété peut-être moins grande des grimaces, la marche essentielle-ment
chronique
. Alten... a 71 ans; la chorée a débuté il y a 12
z les vieilles choréiques aucune des formes du rhumatisme articulaire
chronique
, qui s'observent si fréquem-ment dans les hospice
érieures observées le plus fréquemment dans le rhumatisme articulaire
chronique
progressif. — Les cartilagesdiarthrodiaux des a
érations de la valvule mitrale dans un cas de rhumatisme arti-culaire
chronique
primitif généralisé. 2: P. Lackerbauer et Cha
— Organisation de la Salpctrière au point de vue médical. — Maladies
chroniques
; maladies des vieillards. — Histo-rique de la pa
ogie pathologique de la goutte. Fréquence du rhumatisme articulaire
chronique
à la Salpètrière. — Ses ressemblances avec la gou
entreprendre l'étude préalable de la goutte avant celle du rhumatisme
chronique
. — Dia-thèse goutteuse : ses caractères généraux.
res généraux. — Goutte régulière, irrégu-lière : goutte aiguë, goutte
chronique
. — Hématologie pathologique de cette affection. —
iguë, pendant l'accès et dans l'intervalle des accès : dans la goutte
chronique
...................... oi QUATRIÈME LEÇON axat
sémèiologie de la goutte. — diathèse urique. — goutte aiguë. goutte
chronique
. f Deux formes principales de la goutte ; goutt
ique. f Deux formes principales de la goutte ; goutte aiguë, goutte
chronique
. — La goutte est toujours au fond une maladie chr
aiguë, goutte chronique. — La goutte est toujours au fond une maladie
chronique
; mais l'accès aigu a une physionomie bien différ
Cachexie goutteuse. — Gravité des affections intercurrentes.— Goutte
chronique
succédant à la goutte aiguë. — Goutte chronique d
tercurrentes.— Goutte chronique succédant à la goutte aiguë. — Goutte
chronique
d'em-blée. — Evolution des tophus.........•......
..................... 152 ONZIÈME LEÇON du rhumatisme articulaire
chronique
et de ses lésions Le rhumatisme articulaire chr
e articulaire chronique et de ses lésions Le rhumatisme articulaire
chronique
est une affection essentiellement nosocomiale. —N
gu. — Principales variétés de cette maladie. — Rhumatisme articulaire
chronique
progressif (rhumatisme goutteux). — Rhumatisme ar
chronique progressif (rhumatisme goutteux). — Rhumatisme articulaire
chronique
partiel. —Nodosités d'Heberden : ne doivent point
es avec la goutte. Caractères anatomiques du rhumatisme articulaire
chronique
.— Né-cessité d'étudier avec soin les lésions loca
ortent à ce sujet. Caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale
chronique
. — Al-tération de la synoviale : des cartilages d
.....,............... 164 parallèle entre le rhumatisme articulaire
chronique
et les autres arthropathies constitutionnelles au
u point de vue anatomique. Analogie entre le rhumatisme articulaire
chronique
, et celles du rhuma-tisme articulaire aigu. Altér
cavité synoviale. — Analogie de ces lésions avec celles du rhumatisme
chronique
. Caractères qui distinguent l'arthrite déforman
philitiques.— Arthropathie goutteuse. Les altérations du rhumatisme
chronique
n'ont pas un caractère spé-cifique. — Elles peuve
— Elles sont alors presque toujours monoarticulaires. — Le rhumatisme
chronique
est le plus souvent polyarticulaire.......... 180
nsidéré spécialement dans ses rapports avec le rhumatisme articulaire
chronique
bé# " la goutte. Description succinte du rhumat
atisme articulaire aigu et subaigu. — Son analogie avec le rhumatisme
chronique
; différences qui le séparent de la goutte. — Rhu
ON des affections viscérales dans le rhumatisme articulaire aigu et
chronique
. Parallèle entre les affections viscérales de l
s affections viscérales de la goutte et celles du rhuma-tisme aigu ou
chronique
. Développement tardif des affections viscérales d
gu. — Ces lésions ne se manifestent que plus tard dans le rhu-matisme
chronique
. — Différence entre la nature des lésions viscéra
s capillaires. — Lé-sions de canalisation. — Etat typhoïde. — Période
chronique
de la ma-ladie. — Affections mutiples qui sont la
tiques. — Ramol- Trois types fondamentaux du rhumatisme articulaire
chronique
. — Ils constituent, au fond, une seule et même ma
tituent, au fond, une seule et même maladie. — Rhumatisme articulaire
chronique
progressif ou rhumatisme noueux. — Souvent confon
euvent exister aussi dans le rhumatisme subaigu et dans le rhumatisme
chronique
. — Lésions de l'appareil respiratoire.— Pleurésie
... 208 QUINZIÈME LEÇON symptomatologie du rhumatisme articulaire
chronique
progressif. SEIZIÈME LEÇON symptomatologie du
hronique progressif. SEIZIÈME LEÇON symptomatologie du rhumatisme
chronique
partiel et des nodosités d'heberden. Rhumatis
matisme chronique partiel et des nodosités d'heberden. Rhumatisme
chronique
partiel. — Dénominations diverses qu'il a re-çues
rticulations sont le plus souvent frappées. — Début insidieux ; forme
chronique
d'emblée. — Déformations articulaires. — Manifes-
au voisinage des pôles et de l'équateur. — Le rhumatisme articulaire
chronique
abonde dans les pays tempérés, mais il existe aus
e du rhumatisme aigu s'é-tend de quinze à trente ans. — Le rhumatisme
chronique
se rencontre surtout à deux périodes de la vie :
HUITIÈME LEÇON traitement de la goutte et du rhumatisme articulaire
chronique
. Considérations générales sur le traitement de
anormale. — Régime diététique. Traitement du rhumatisme articulaire
chronique
. — État peu satis-faisant de nos connaissances à
sthénique primitive, nodosités des jointures, rhuma-tisme articulaire
chronique
(forme primitive), etc. Historique ; synonymie.
centrale, 298, 331 ; — courte duréedel' —,333334; — dans lesma-ladies
chroniques
, 334; — conditions déterminantes, 334; — cause mé
tte, 59, 78; — dans le rhumatisme noueux, 247; — dans le rhumatisme
chronique
, 403, 481. Anoxémie, 308. Anthrax urique, 112.
polypeuse, 210. Cartilac.es (Altérations des —) dans le rhumatisme
chronique
, 174; — altérations dans le rhumatisme aigu, 183
onvulsions dans la goutte, 100. Corps étrangers, dans le rhumatisme
chronique
. 174, 178. Coup : — de fouet dans la goutte, 548;
absence fréquente de lésions de ca-nalisation, 214 ; — du rhumatisme
chronique
et subaigu : historique,219; — début, 220; — ob
; — irrégulière, 48; rétrocédée, remontée, mal placée, 48; — aiguë et
chronique
, 48; — chronique d'emblée, 499; — partielle et gé
48; rétrocédée, remontée, mal placée, 48; — aiguë et chronique, 48; —
chronique
d'emblée, 499; — partielle et généralisée, 48 ; —
ismale des petites join-tures, 394. Goutte cérébrale, 101. Goutte
chronique
, 82 ; — gravité des maladies intercurrentes, 83 ;
ns, 283. M Migraine : — dans le rhumatisme, 229 ; — et rhumatisme
chronique
. 194. Morbus coxae senilis,178, 249;—ana-tomie
tisme, 223. Péricardite du rhumatisme aigu, 229 ; — du rhumatisme
chronique
et su-baigu, 222; — algidité dans la—, 332. Pér
o-nique, 227. Pleurésie, dans la goutte, 103 ; — dans le rhumatisme
chronique
, 227. Pneumonie, dans la goutte, 103 ; — dans l
ronique, 227. Pneumonie, dans la goutte, 103 ; — dans le rhumatisme
chronique
227. Pneumonie lobaire, 19 ; — tempéra-ture dan
; — absence de suppuration, 192 ; — identité du — avec le rhu-matisme
chronique
, 193, 562; — arthropathies multiples, 196, 197;—
tte, 270; — parallèle avec la goutte, 271. — Rhumatisme articulaire
chronique
, 45; — rapports avec la goutte, 38, 127, 413; —
jointures im-mobiles, 178; — comparaison du —, avec les arthropathies
chroniques
, 178 ; — parallèle avec le rhumatisme articulaire
ral, 289; — eaux mi-nérales, 290 ; — bibliographie, 552. Rhumatisme
chronique
partiel, 165, 248; — mode d'envahissement des joi
umon. Sommaire. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et
chroniques
des voies bronchiques et du parenchyme pulmonaire
nt de la nature de celui-ci. Lésions inflammatoires tant aiguës que
chroniques
des voies bronchiques et du parenchtjme pulmonair
nnaire: c'est ce qu'on observe dans la broncho-pneu-monie subaiguë ou
chronique
simple — une des formes de la cirrhose du poumon
lles sont, par exemple, les broncho-pneu-monies aiguës, subaiguës, ou
chroniques
, tuberculeuses ou non tuberculeuses, ces affectio
ple pris dans le domaine de l'expérimentation, le cas de la pneumonie
chronique
primi-tive, provoquée chez les animaux par l'intr
tmos-phère, de particules mélalliques en particulier. Ces pneumo-nies
chroniques
expérimentales, en quelque sorte trauma-tiques, o
beaucoup plus vulgaire des diverses broncho-pneu-monies subaiguës et
chroniques
. C'est ainsi que M. Thaon, dans la 'pneumonie f
êtement1. Dans les petits noyaux de pneumonie lobulaire subaiguë ou
chronique
, qui se rencontrent fréquemment chez les nouveau-
aurai l'occasion de vous le démontrer, représente à l'état subaigu ou
chronique
la broncho-pneumonie aiguë simple. Cette altérati
leux. N'est-il pas intéressant de voir dans cette forme subaiguë ou
chronique
de la broncho-pneumonie les parois de l'alvéole p
te circonstance, remarquable dans l'histoire de la bron-cho-pneumonie
chronique
, vous paraîtra sans doute encore plus digne d'int
iques Communs à certaines for mes de la broncho-pneumonie subaîguë ou
chronique
. — Retour à l'état embryonnaire du revêtement épi
logique commun à certaines formes de la broncho-pneumonie subaiguë ou
chronique
. Yoici, vous ne l'avez pas oublié, en quoi ce car
rite par Legendre et Railly, et qui représente, suivant moi, à l'état
chronique
, la broncho-pneumonie vulgaire. J'aurais pu ajout
21). Pour en revenir aux lésions broncho-pneumoniques subai-guës et
chroniques
, dont je vous entretenais tout à l'heure, il est
ncident remar-quable dans l'histoire anatomique des boncho-pneumonies
chroniques
. Mais le fait vous paraîtra, sans doute, plus dig
ourront contribuer quel-que jour à dégager le chapitre des pneumonies
chroniques
de l'obscurité qui l'enveloppe encore, quant à pr
J'invoquerai d'abord l'exemple de la forme de néphrite interstitielle
chronique
qui, dans le langage de l'anatomie macroscopique,
'après le même auteur, et ceci nous ramène au chapitre des pneumonies
chroniques
, dans l'épaisseur des parois bron-chiques, chez l
e encore en-globées sous la dénomination commune de maladie de Bright
chronique
. Il est à espérer, Messieurs, que des études, c
écutive ci la pneumonie lobaire aiguë. Telle est aussi la pneumonie
chronique
inter-lobulaire qui me paraît devoir être rattach
te. Quant à présent, à la vérité, ces diverses formes de pneu-monie
chronique
, parfaitement séparées au point de vue ana-tomo-p
ronchiques. — Terminaisons : résolution ; passage à l'état subaigu et
chronique
. I. Messieurs, Pendant longtemps on n'a pas
use et sont résorbés ; — 2° La broncho-pneumonie peut passer à l'état
chronique
et aboutir à la cirrhose du poumon. DIXIÈME LEG
onstater facilement la tendance qu'elles présentent à passer à l'état
chronique
, en voyant se produire la périartérite et la péri
n peut arriver ainsi à reproduire les lésions de la broncho-pneumonie
chronique
aussi bien que celles de la broncho-pneumonie aig
olk-mann. Les pneumonokonioses appartiennent au groupe des pneumonies
chroniques
, mais la pneumonie des apoplectiques peut encore
deviendra plus évident encore par l'histoire de la broncho-pneumonie
chronique
. On peut re-marquer aussi que la prolongation du
les et mieux en rapport avec la réalité des choses. DE LA PNEUMONIE
CHRONIQUE
Le petit nombre cie travaux qui ont été écrits
UE Le petit nombre cie travaux qui ont été écrits sur la pneu-monie
chronique
semble témoigner déjà des difficultés du su-jet.
r diverses variétés d'induration pulmonaire, et représentant à l'état
chronique
la forme aiguë de la pneumonie lobaire dégagée de
nir et comparer que huit cas, lorsqu'il composa son article Pneumonie
chronique
pour la 2e édition du Dictionnaire de Médecine en
traités ex professa, plus de dix ou douze observa-tions de pneumonie
chronique
lobaire simple, douées de toutes les garanties qu
oit d'exiger. Le nombre des faits publiés comme exemples de pneumonie
chronique
est beau-coup plus considérable sans doute; mais
volution dont on a pu dire qu'elles sont aiguës par les symptômes, et
chroniques
par la durée. Or, ces faits doivent, ce nous semb
r, ces faits doivent, ce nous semble, être distraits de la pneu-monie
chronique
proprement dite, et étudiés à part, si l'on ne ve
on parenchymateuse aiguë du poumon qui se trouve représentée à l'état
chronique
. Des foyers tuberculeux, 1 Je prie mes collègue
dans certains cas être le point de départ d'un travail de phlegmasie
chronique
. Mais ici en-core les faits manquent, ou en tout
es vicissitudes qu'ont su-bies les questions relatives à la pneumonie
chronique
, offrirait peu d'intérêt, et nous n'aurions pu d'
euses. — Chomel, Diet., en 25 vol., 1842 (Nosographie de In pneumoni-
chronique
, fondée sur huit faits, 1845). Corbin (d'Orléans)
, Gaz. méd,., 1851 (1 obs. ? p. 675.) — Bricheteau, Traité des malad.
chronique
, 1851, etc.. p. :37. — Durand-Fardel, Mal. des vi
ngers ont été peu fruc-tueuses. CHAPITRE PREMIER. DE LA PNEUMONIE
CHRONIQUE
SIMPLE. I. Anatomie pathologique. — Les altér
es poumons, chez les individus qui succombent à la suite de pneumonie
chronique
, se présentent sous des aspects variés, mais qu'o
permettent ainsi de saisir la transition entre l'état aigu et l'état
chronique
proprement dit. A. Induration rouge : Andral Ho
de la pneumonie aiguë devront se retrouver dans les formes lentes et
chroniques
de la maladie; mais c'est Jà un point de vue que
on : auct. Germ. — bans les deux variétés anatomiques de la pneumonie
chronique
que nous venons de décrire et qui rap-pellent, à
nique médicale. Strasbourg, 1856. tomiquement les formes décidément
chroniques
de la pneu-monie, il n'en est plus de même; ici,
n différente de l'hcpatisation aiguë et des formes de l'hô-patisation
chronique
dont nous venons d'indiquer plus haut les caractè
épatisation rouge aiguë et les indu-rations diverses propres à l'état
chronique
. — L'induration grise est en général peu vasculai
ous avons recueilli l'histoire, et qui sont des exemples de pneumonie
chronique
simple de très longue durée. Etude histologique
enter, dans ses études sur les caractères anatomiques de la pneumonie
chronique
des nouveau-nés. Celte altération, d'ailleurs for
tres1. — Cette matière amorphe, finement granuleuse, de la pneu-monie
chronique
, n'est pas sans présenter quelques analogies avec
ferme, moins granuleuse, plus transparente que celle de la pneumonie
chronique
; elle renferme soit des cyloblastions, soit des n
était parfaitement saine. Dans l'excellent article sur la pneumonie
chronique
qui fait partie de leur Traité de pathologie inte
des bronches dans leurs descriptions des altérations de la pneumonie
chronique
; M. Chomel en parle comme d'un fait tout à fait
la dilatation bronchique et l'induration pulmonaire de la pneu-monie
chronique
; mais nous craignons que cet auteur n'ait pas to
siège le plus habituel des altérations pulmonaires dans la pneumo-nie
chronique
simple ne nous paraissent pas pouvoir être résolu
santes que l'on possède sur ce sujet. D. Foyers gangreneux. — Abcès
chronique
. — Vomique ichoreuse. Avenbrugger etCorvisart.
t auteur, il y en a neuf qui paraissent avoir succédé à une pneumonie
chronique
avec induration du parenchyme pulmonaire. Mais, d
auparavant des symp-tômes en rapport avec l'existence d'une pneumonie
chronique
ulcéreuse. Observation I. — Pneumonie chronique
nce d'une pneumonie chronique ulcéreuse. Observation I. — Pneumonie
chronique
ulcéreuse. — Induration ardoisée occupant toute l
nous conduit à parler des excavations ou abcès qui, dans la pneumonie
chronique
primitive, peuvent se former au sein même des par
Thomas Àddison 4 décrit avec soin l'indu-ration grise de la pneumonie
chronique
, et établit que les par-ties qui présentent ce mo
s abcès siégeant au milieu d'un lobe pulmonaire frappé d'hépatisation
chronique
: « Dans le premier cas, deux excavations séparée
1847 à l'hôpital Bon-Secours, et qui est un bel exemple de pneumonie
chronique
simple ulcéreuse, terminée par la formation d'exc
excavations multiples dans les parties indurées. Obs. II. Pneumonie
chronique
. — Induration grise des poumons. — Excavations mu
els on découvre de nombreuses taches de mélanose naturelle (pneumonie
chronique
grise). La disposition cloisonnée des lobules dan
ond1. On pourrait, ce nous semble, dési-gner sous le nom de pneumonie
chronique
ulcéreuse 2 cette forme de la maladie dans laquel
ue, etc. — A l'autopsie on trouva tous les caractères de la pneumonie
chronique
avec ulcérations. Une des cavernes contenait une
lution. — Formes de la maladie. — Symptômes géné-raux. — La pneumonie
chronique
peut .se développer de deux manières ; tantôt ell
ent d'une manière particu-lière la transition de l'état aigu à l'état
chronique
: « On voit d'abord, dit M. le professeur Grisoll
le pneumonie, plutôt que telle autre, menace de se constituer à Tétat
chronique
. On sait, en effet, par les observations de M. le
. Quoi qu'il en soit, lorsque la pneumonie doit se perpétuer à l'état
chronique
, les phénomènes généraux, s'ils se sont effacés d
dans la thèse de M. Raymond. Il les désigne sous le nom de pneumonie
chronique
; ce sont les deux seuls cas de guérison qu'il ra
le-même pourra être simulée jusqu'à un certain point par la pneumonie
chronique
, ainsi qu'on peut le voir d'après l'observation q
et demi, trois ou quatre mois suffisent souvent pour que la pneumonie
chronique
accomplisse toutes les phases de son évolution. M
es excavations dans les poumons (obs. III). — Cependant, la pneumonie
chronique
ulcéreuse paraît être plus rapidement fatale que
nous à l'hôpital de la Pitié en 1850, est un bel exemple de pneumonie
chronique
non ulcéreuse (induration grise avec métamorphose
g. u. Thérapie, 3 Bd., p. 3ô5. Obs. III. — Observation de pneumonie
chronique
succédant à une pneumonie aiguë. — Carie de plusi
t présenté aucune altération. Symptômes locaux. — A. Lorsque l'état
chronique
est con-stitué, la douleur de côté est souvent à
co-purulents, n'ont pas d'autres caractères que ceux de la bron-chite
chronique
; ils peuvent cependant prendre une couleur viola
ement thoracique comme pouvant se présenter à la suite des pneumonies
chroniques
. Celte opinion à été souvent reproduite, mais il
pour ne pas dire impossible, d'arriver au diagnostic de la pneumonie
chronique
. La tuberculisation pulmonaire, la dila tation de
ation des bronches étendue à tous les rameaux d'un lobe, la pleurésie
chronique
, telles sont les affections avec lesquelles on po
s étaient restés indemnes. ces en âge, cas dans lequel la pneumonie
chronique
est infi-niment rare. L'induration pneumonique oc
édilection plus marquée pour ceux-ci que pour ceux-là. — La pneumonie
chronique
n'envahit qu'un seul côté à la fois ; elle se man
ort avec les époques différentes de son développement. — La pneumonie
chronique
du sommet simulera surtout la phtisie avancée ; e
atité intense avec résistance au doigt, cela indiquerait la pneumonie
chronique
plutôt que la tuberculisation. — La considération
ente, comme la phtisie rapide, peuvent être simulées par la pneumonie
chronique
ulcéreuse. On a noté dans certains cas de la dern
nomènes qui rappellent jusqu'à, un certain point ceux de la pneumonie
chronique
. Il y a, en effet,, alors matité au niveau de la
ans les cas de dilata-tion des bronches, tout comme dans la pneumonie
chronique
, l'auscultation fasse constater, au niveau des pa
ouve considérablement induré, ainsi que cela a lieu dans la pneumonie
chronique
. C. Il serait sans doute fort difficile, dans c
fficile, dans certains cas donnés, de ne point confondre la pneumonie
chronique
avec la pleu-résie chronique partielle, en effet,
nnés, de ne point confondre la pneumonie chronique avec la pleu-résie
chronique
partielle, en effet, dans l'une et l'autre cir-co
exagérée que M. Monneret a constatée dans plu-sieurs cas de pneumonie
chronique
pourrait être ici d'un grand secours, puisqu'elle
es. Quoi qu'il en soit, les symptômes généraux ont, dans la pneumonie
chronique
, une importance et un caractère de gravité tout a
aractères à l'aide desquels on pourrait la distinguer de la pneumonie
chronique
proprement dite. Si cependant l'affection s'était
n devrait peut-être plutôt venir à l'esprit que celle d'une pneumonie
chronique
. E. Une affection d'ailleurs fort rare, Y infil
sité'. Étiologie. — En ce qui concerne l'étiologie de la pneumo-nie
chronique
, on en est à peu près réduit à des conjectures. O
ant on ne les a pas vues, pour cela, passerplus commu-nément à l'état
chronique
. Lorsque la pneumonie aiguë passe à l'état chroni
-nément à l'état chronique. Lorsque la pneumonie aiguë passe à l'état
chronique
, c'est surtout, sans doute, parce qu'elle rencont
si, suivant le professeur Heschl2, Vin-duration pulmonaire (pneumonie
chronique
), rare à Vienne, 1 J'emprunte cette symptomatol
n, des indu-rations pulmonaires qu'il faut rapporter à une phlegmasie
chronique
.— La syphilis doit-elle figurer parmi les conditi
gurer parmi les conditions possibles du développement de la pneumonie
chronique
? Cela n'est rien moins que démontré. Notons cepe
in-complètes, qui rappellent quelques-uns des traits de la pneu-monie
chronique
. Dans ces deux cas, les symptômes thoraci-ques on
. VII, p. 576, 1825, où elle a été insérée sous le titre de Pneumonie
chronique
réputée vénérienne ; l'autre est empruntée à un t
s'agissait-il d'une simple carnification, et non pas d'une pneumonie
chronique
vraie. Quant à présent, cette maladie a été obser
de tous les auteurs ; Re-quin mettait même en doute que la pneumonie
chronique
fût susceptible de se résoudre, pour peu qu'elle
te jusqu'à présent n'appartiennent point, pour la plupart, à la forme
chronique
proprement dite; ce sont des cas de pneumo-nie ai
é, par exemple, d'assister au passage de la pneu-monie aiguë à l'état
chronique
, on pourrait peut-être, les for-ces du sujet le p
lication de larges vésicatoires sur le côté affecté. — Lorsque l'état
chronique
est constitué, même indication de la médication r
ne influence réelle. — Nous avons parlé déjà de deux cas de pneumonie
chronique
observés par M. Bennet chez des enfants; la malad
s malades guérirent. Mais étaient-ce bien là des cas de péripneumonie
chronique
? N'étaient-ce pas plulôt des cas de carnificatio
catarrhale prolongée? Nosographie. — La description de la pneumonie
chronique
simple, que nous venons de présenter, est sans do
purement symptomatique comme l'était celle de Sauvages, la pneumonie
chronique
eût été rangée parmi les phtisies1. Une consompti
1° la pneumonie chroni-que à forme de phtisie lente; 2° la pneumonie
chronique
à forme de phtisie rapide. Dans une nosographie
rme de phtisie rapide. Dans une nosographie organique, la pneumonie
chronique
simple doit prendre rang parmi les inflammations
origine. Au point de vue de la nosographie organique, la pneumo-nie
chronique
est une inflammation parenchymateuse. On peut y d
peut y distinguer deux formes ou plutôt deux degrés: 1° la pneumonie
chronique
non ulcéreuse; 2° la pneumonie chro-nique ulcéreu
lésions du parenchyme du poumon dans leurs rapports avec la pneumonie
chronique
. A. Carnification. Etat fœtal simple, congestio
de pneumonies catarrhales. Bien distincte de l'hépatisa-tion aiguë ou
chronique
par ses caractères anatomiques, la carnificalion
s à évolution lente. C'est pour ainsi dire la carnifica-tion à l'état
chronique
. Voici avec quels caractères la camisa-tion se pr
éfinitive, provenir la dilatation bronchique d'une sorte de pneumonie
chronique
interlobulaire. Il est possible qu'elle soit appl
uoiqu'il en soit, et bien que l'existence de celte forme de pneumonie
chronique
décrite par Corrigan, sous le nom de cirrhose du
leur opposer ceux qui distinguent l'induration grise, de la pneumonie
chronique
proprement dite. En cas d'induration grise, le ti
ertaines circonstances, l'induration grise, ardoisée, de la pneumonie
chronique
simple, offre des marbrures d'une teinte noirâtre
lé l'induration mélanique; doit-on pour cela rattacher à la pneumonie
chronique
tous les modes d'altération si variés, dans lesqu
iffèrent en rien d'essentiel de celles qui caractérisent la pneumonie
chronique
. La coloration noire que présentent la plupart de
pendant l'aiguisage, peut déterminer une sorte de pneumonie lobulaire
chronique
avec induration mélanique des parties affectées.
ble être le même au fond et il est assez probable qu'une inflammation
chronique
se développe dans les parties irri-tées par la pr
charbonneux, les traces évidentes d'une inflammation parenchymateuse
chronique
3. Chez les houil-leurs, chez les aiguiseurs, les
i que nous avons vu que cela avait lieu dans le cas de péri pneumonie
chronique
ulcéreuse. Ce seraient donc là en définitive auta
ie chroni-que, comparables sans doute anatomiquement, à la pneumo-nie
chronique
simple. Mais, en raison des causes particulières
tération pulmonaire que nous avons décrites, à propos de la pneumonie
chronique
lobaire, peuvent se rencontrer chez les individus
n chiffre qui pourra donner une idée de la fréquence de la pneu-monie
chronique
consécutive ~hez les tuberculeux : sur 26 cas de
. Rillet et Barthez ont rencontré 19 fois les lésions de la pneumonie
chronique
(Maladies des enfants, t. III, p. 711). 5 Laënn
capital ; si, en d'autres ter-mes, elle avait succédé à la pneumonie
chronique
, l'induration, loin d'être circonscrite au pourto
se lier soit à une affection organique du cœur, soit à une affec-tion
chronique
des poumons, telle que catarrhe chronique an 1
cœur, soit à une affec-tion chronique des poumons, telle que catarrhe
chronique
an 1 Lebert. —Atlas d'anatomie pathologique, p.
s fibro-plastiques, la rapproche de Vinduration grise de la pneumonie
chronique
. Le travail d'inflammation chronique est peut-êtr
induration grise de la pneumonie chronique. Le travail d'inflammation
chronique
est peut-être, en pareil cas, déterminé par la pr
s. Virchovfs Archiv., I Bd., p. 462. APPENDICE cas de pneumonie
chronique
ulcéreuse J'ai recueilli le fait suivant à l'hô
e fait suivant à l'hôpital de la Charité, en 4854. Obs. — Pneumonie
chronique
ulcéreuse. — Excavation énorme non d'origine tube
12 LEÇONS in: COURS D'ÂNÀÏOMIE PATHOLOGIQUE Des pneumonies
chroniques
(Cirrhoses du poumon)1. Sommaire. — Caractères
oses du poumon)1. Sommaire. — Caractères distinctifs des pneumonies
chroniques
. I. Pneumonies lobaires chroniques. — Ses modes
tères distinctifs des pneumonies chroniques. I. Pneumonies lobaires
chroniques
. — Ses modes de terminaison ; résolution rapide e
t résolution lente. — Des pneumonies lobaires prolongées. — Pneumonie
chronique
succédant, à courte échéance, à la pneumonie loba
pneumonie lobaire. —Pneumonie lobaire prolongée. — Pneumonie lobaire
chronique
succédant à plusieurs pneumonies lobaires aiguës
duration rouge, induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie
chronique
. — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques.
e. — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies
chroniques
pleurogènes. — Rôle des lymphatiques dans leur pr
comprises el. confondues par les auteurs sous les noms de 'pneumonie
chronique
, pneumonie interstitielle, phtisie fibroïde, cirr
et pour lieu d'origine les alvéoles : ce sont les pneumonies lobaires
chroniques
; les autres succèdent à des inflammations des br
mations des bronches ou de la plèvre : ce sont les broncho-pneumonies
chroniques
et les pneumonies chroniques pleurogènes. Ces var
plèvre : ce sont les broncho-pneumonies chroniques et les pneumonies
chroniques
pleurogènes. Ces variétés seules seront passées e
ns les pneumonokonioses, qui sont également des pneumonies lobulaires
chroniques
déterminées par la présence dans les voies aérien
dont il sera bientôt question (p. 203) I. — Des pneumonies lobaires
chroniques
. 1° Des divers modes de terminaison de la pneum
se momen-tanément; mais les signes physiques persistent, et la lésion
chronique
s'établit. Celle-ci ne se développe qu'à la suite
on. Citons quelques exemples de ces deux ordres de faits. Pneumonie
chronique
succédant à courte échéance à la pneumonie lobair
es cas de ce genre établit l'existence de trois variétés de pneumonie
chronique
, correspondant à différents stades de l'altératio
tion. • D'après Buhl et Jurgensen, il n'existerait pas d'induration
chronique
d'origine croupale. * Grisolle. — Traité de la
ier. — Traité de pathologie interne, 1850, t. II. 4 De la Pneumonie
chronique
, th. d'agrég., 1860 (Voir p. 117 à 177.) a) Exe
eumonie lobaire peut être l'occasion du développement d'une pneumonie
chronique
qui lui succède sans qu'il y ait d'interruption b
oisée : c'est la pneumonie lobaire récurrente. 3° Pneumonie lobaire
chronique
succédant à plusieurs pneu-monies lobaires aiguës
67. Mars. — 8e attaque. — Mort. Autopsie. —Poumon gauche: pneumonie
chronique
, indu-ration rouge et ardoisée, avec adhérences p
Forster 3), Yhépa-tisation indurée (Lebert), est le pendant à l'état
chronique
de l'hépatisation rouge de l'état aigu. La lésion
miste doivent apprendre à con-naître. II. — De la broncho-pneumonie
chronique
'. Celte forme de pneumonie interstitielle est
orme de pneumonie interstitielle est anatomique- 1 Syn. : pneumonie
chronique
, pneumonie interstitielle, phtisie fibroïde, cirr
ue veut établir M. Charcot entre les deux grandes formes de pneumonie
chronique
se trouve à peine ébauchée dans les écrits de ces
guë précède l'induration rouge et grise, de même la broncho-pneumonie
chronique
se développe comme le type aigu correspondant à l
al and Surgical Transact., p. 287, 1865). 3 Wilson Fox. — Pneumonie
chronique
, et Ch. Bastian, Cirrhose du poumon, System of Me
uefois elle se résout, quelquefois elle se prolonge et passe à l'état
chronique
. Bartels cite un cas qui a duré sept mois. Elle p
es. Celte forme peut se présenter surtout après un catarrhe aigu ou
chronique
, après la coqueluche (Ziemssen), quelquefois aprè
ux ; de plus, contrairement à ce qui existe dans la pneumonie lobaire
chronique
, le tissu conjonctif péribronchique et périvascul
ie, l'intégrité des bronches, qui s'observe dans la pneumonie lobaire
chronique
, malgré la transforma-tion du parenchyme en tissu
actères des lésions lorsqu'il s'agit de broncho-pneumonies décidément
chroniques
. Il en donne la description d'après un cas observ
niques qui peuvent contribuer à caractériser cette forme de pneumonie
chronique
: Io C'est d'abord l'hypertrophie du ven-tricule d
Laënnec à propos de l'atrophie pulmonaire consécutive à la pleurésie
chronique
: aplatissement dans tous les sens, rétrécis-seme
aire, les autres à la dilatation bron-chique. III. — Des pneumonies
chroniques
pleurogènes. Les lymphatiques superficiels du p
ilkunde, 1870), qui a même vu, dans la pleurésie fibrineuse, aiguë ou
chronique
, les lymphatiques superficiels contenant de la fi
t désigner sous le nom de pleuro-gènes ces pneumonies interlobulaires
chroniques
, dévoloppées consécutivement à la pleurésie, par
é des hôpitaux (1872, p. 168). M. W. Fox (Reynoyld's System, art. Pn.
chronique
) parle aussi de ces cirrhoses du poumon consécuti
rne des hôpitaux, paraissent aussi appartenir à ce genre de pneumonie
chronique
; leur analyse montrera la série des lésions grav
me élément de la phthisie aiguë, dans l'évolution tuberculeuse aiguë,
chronique
dans l'évolution tuberculeuse lente. Dans les f
es altérations qui ont été étudiées, à propos de la broncho-pneumonie
chronique
, savoir : la sclérose du tissu conjonctif, la tra
est la plus vraisemblable, si l'on en juge par les faits de pneumonie
chronique
indépendante de la chalicose et dans lesquels on
tion ardoisée que présente le poumon dans la plupart des pneumonies
chroniques
? 3° Dans un certain nombre d'obser-vations, on tr
de lin 2. On trouve en effet, dans ces cas, des nodules de pneumonie
chronique
noirs et dans lesquels l'ana-lyse chimique révèle
M. Charcot expose les particularités anatomiques propres à la phtisie
chronique
ou phtisie vulgaire. La lésion fondamentale est
sur des bases plus solides. A. Le tubercule miliaire de la phtisie
chronique
est un no-dule péribronchique, et par là s'accuse
points les plus importants de l'anato-mie pathologique de la phtisie
chronique
, et M. Charcot l'a traitée dans tous ses détails.
i en quelques mots ce qu'il a observé à ce sujet. Lors-que la phtisie
chronique
commence à se développer, la lésion se présente,
ois par M. Grancher. Tel serait le point de départ de toute phtisie
chronique
. Peu à peu, le nodule primitif s'agrandit en s'ét
proprement dite, qui occupe le cen-tre des nodules. Avec la phtisie
chronique
, apparaît une nouvelle phase du processus. La lés
précède s'applique exactement aux masses tu-berculeuses de la phtisie
chronique
. Yoilà, dans une esquisse rapide, tout ce qu'on
t à petit, sur une épaisseur va-riable, et est en état d'inflammation
chronique
: c'est déjà une caverne de guérison, la quiescent
ent accolés, qu'ils aient subi ou non le processus de l'inflam-mation
chronique
, si la transformation fibreuse n'est pas para-che
. Enfin il peut se faire qu'un tu-bercule à évolution essentiellement
chronique
dès l'origine perde de bonne heure sa structure c
. On trouve aussi, a-t-il été dit, dans la phtisie essentielle-ment
chronique
, le tubercule fibreux sous la forme et avec les c
n la plus grave de la tuberculose : elle dé-termine la forme aiguë ou
chronique
. C'est elle qui règle l'état général, qui détermi
ent que si-gnalait déjà Cruveilhier: aiguë dans la tuberculose aiguë,
chronique
dans l'évolution tuberculeuse lente. Ces broncho-
caractéristiques, avec les lésions de la splénisation ; dans la forme
chronique
, la carnification et toutes les variétés de métam
encore plus aisément, s'il est possible, à l'évolution de la phtisie
chronique
, discrète ou diffuse, qui ne se différencie de la
. — Nature tuberculeuse de la phtisie pneumonique. — For-mes aiguë et
chronique
de la pneumonie caséeuse. — Résumé. Avant d'étu
bserve également dans les agglomérations tuberculeuses de la phti-sie
chronique
vulgaire : Le tubercule, comme on va le dire, se
circonstance bien plus fréquente dans » l'histoire de la tuberculose
chronique
avec excavations, qu'on » ne le croit généralemen
fication jaune du poumon, dans la phtisie » pulmonaire tant aiguë que
chronique
, n'est pas le résultat » de la métamorphose des p
le répéter, à peu près mot à mot, et à fortiori, à propos des formes
chroniques
. Le tuber-cule qu'on a voulu bannir, même de ces
forma-tions tuberculeuses péri-bronchiques, dans le mode sub-aigu ou
chronique
, peuvent d'ailleurs déterminer, dans les parties
a production de l'in- flammation vulgaire, celte fois sous la forme
chronique
; tandis que dans les cas de phtisie pneumonique
écrite par M. Thaon, est un des éléments très habituels de la phtisie
chronique
vulgaire. Il n'est pas sans intérêt de recherch
e longtemps après la cessation des accès et revêt décidément la forme
chronique
Alors, d'après les observations de Frerichs et de
les qui préalablement étaient déjà le siège d'affections subaiguës ou
chroniques
. Avec ces altérations cardiaques, ainsi que cel
a surtout lieu chez les individus cachectiques, atteints de ma-ladies
chroniques
, ou encore dans l'état puerpéral. Or, chez ces su
ent et succomba à l'âge de quinze mois des suites d'une hydrocéphalie
chronique
. Les suites de couches suivaient régulièrement
is envisagées comme des indices certains d'une inflamma-tion aiguë ou
chronique
de l'aorte, il en reste bien peu qui puissent êtr
de nature permanente à la suite des inflammations soit ai-guës, soit
chroniques
. Un degré plus avancé, mais à coup sûr plus rar
s, qui entretiennent presque toujours un certain degré d'inflammation
chronique
dans leur voisinage. Il ne faut point oublier q
er à la combattre d'une manière effi-cace. L'histoire de 1''aortite
chronique
se confond avec l'étude des altérations athéromat
ymptôme extérieur. La marche de celte affection est essentiellement
chronique
, et permet souvent aux malades d'atteindre un âge
dans la tunique moyenne, se terminant par ulcéra-tion ; inflammation
chronique
ou épaississement de la mem-brane celluleuse ; ad
b) Les abcès du médiastin se rattachent très souvent à des affections
chroniques
du système osseux : du sternum, des côtes ou de l
isme. f) 11 est souvent très difficile de distinguer les affections
chroniques
du larynx des lésions anévrismatiques de l'aorte
7° Stridor et maLité dans la partie supérieure du poumon. Maladies
chroniques
du larynx. 1° L'altération de la voix existe en
nte des ané-vrysmes de la crosse aortique ; des traces d'inflammation
chronique
, des ulcérations, des nécroses, seront, au contra
ement locale. 11 ne faut pas ou-blier, d'ailleurs, que les affeclions
chroniques
du larynx peu-vent coïncider avec les anévrismes
uleuse sont de plusieurs espèces; on peut y ranger: Io l'inflammation
chronique
de cette membrane qui, dans quelques cas a été tr
artérielles sont infiltrées, à la suite d'une inflammation aiguë ou
chronique
, donnent souvent naissance à un épaississement pe
nchyme pulmonaire atteint d'induration grise générale, dite pneumonie
chronique
. a, b, Matière amorphe remplissant les canalicule
umon. Sommaire. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et
chroniques
des voies bronchiques et du parenchyme pulmonaire
iques communs à certaines for-mes de la broncho-pneumonie subaiguë ou
chronique
. — Retour à l'état embryonnaire du revêtement épi
onchiques; — Terminaisons : résolution; passage à l'état subaigu et
chronique
... 98 DIXIÈME LEÇON broncho-pneumonies expéri
aux dans le lobule............................. 108 De la pneumonie
chronique
........................................ 111 Int
............................... 117 Chapitre Ier. — De la pneumonie
chronique
simple.................. 121 Chapitre II. — De
sions du parenchyme du poumon dans leurs rapports avec la pneumonie
chronique
...................... 166 Appendice : Cas de pn
ie chronique...................... 166 Appendice : Cas de pneumonie
chronique
ulcéreuse.................. 176 ONZIÈME LEÇON
ique ulcéreuse.................. 176 ONZIÈME LEÇON des pneumonies
chroniques
(cirrhoses du poumon). Sommaire. — Caractères d
hoses du poumon). Sommaire. — Caractères distinctifs des pneumonies
chroniques
. I. Pneumonies lobaires chroniques. — Ses modes
tères distinctifs des pneumonies chroniques. I. Pneumonies lobaires
chroniques
. — Ses modes de terminaison ; résolution rapide e
t résolution lente. — Des pneumonies lobaires prolongées. — Pneumonie
chronique
succédant, à courte échéance, à la pneumonie loba
pneumonie lobaire. — Pneumonie lobaire prolongée. — Pneumonie lobaire
chronique
succédant à plusieurs pneumonies lobaires aiguës
duration rouge, induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie
chronique
. — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques.
e. — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies
chroniques
pleurogènes. — Rôle des lymphatiques dans leur pr
. — Nature tuberculeuse de la phtisie pneumonique. — For-mes aiguë et
chronique
de la pneumonie caséeuse. — Résumé...... 266 St
n au — dans les anévrismes de l'aorte), 504. Larynx (Affections
chroniques
du—) 518. Leucocythémie (Observations de —) 317
dans le—), 515 ; — adhérences du —, 515. Péripneumonie, 167; —
chronique
ulcéreuse, 112; — fièvre, 632. Phénomènes ataxi
a - , 430 ; — origine de la —, 437. Phtisie galopante, 148, 278 ; —
chronique
, 173,201, 257, 264 ; — fibroïde, 179 ; — anthraco
— nombre des grains de —, 30 ; — répartitions du —, 33'. Pleurésie
chronique
partielle, 159. Plèvre, 235. Pneumogastriques (
onie catarrhale expérimentale, 95 ; — 101, 167, 264, 274. Pneumonie
chronique
, 96, '17, 121, 139, 2R6 ; — inter-lobulaire, 97 :
— traitement, 163 ; — nosogra-phie, 164;— formes, 165. Pneumonie
chronique
des nouveau-nés, 128. Pneumonie chronique ulcér
formes, 165. Pneumonie chronique des nouveau-nés, 128. Pneumonie
chronique
ulcéreuse, 145 ; — observations de —. 176 ; - déb
tômes, 146; — terminaisons, 148; — exa-men physique, 149. Pneumonie
chronique
non ulcéreuse, 149; — observations de—, 150; —
ssion, 15^; — signes négatifs, 156; — dia-gnostic, 157. Pneumonie
chronique
du sommet, 158. Pneumonie chronique interstitie
— dia-gnostic, 157. Pneumonie chronique du sommet, 158. Pneumonie
chronique
interstitielle, 179, 181 ; — lobaire, 179; — pleu
ère la résorption des cartilages? Toutes les fois qu'une inflammation
chronique
, toutes les fois qu'une simple fluxion sanguine d
rotide suppurée que dans les périodes avancées des maladies aiguës et
chroniques
, et j'ignore s'il existe un seul exemple de parot
e MM. Trousseau et H. Belloe sur la phthisie laryngée et ia laryngite
chronique
( Mémoires de l'Académie royale de médecine , Par
hie circonscrite ; 6° par végétations polypeuses; 70 par inflammation
chronique
et induration; 8° par escharification, suite de l
on, suite de l'ingestion d'un acide ou autre caustique; 90 par ulcère
chronique
simple; io° par dégénération cancéreuse; 11° par
rait toujours croissant. Fig. 2 et 2'. Maladies du duodénum. Ulcère
chronique
simple. Perforation spontanée. La figure 2 repr
'estomac offrait l'aspect granuleux, si fréquent dans les irritations
chroniques
de la muqueuse de cet organe. La première portion
dies del'estomac, que cet organe était fréquemment le siège d'ulcères
chroniques
simples qui se terminaient quelquefois par la per
dénum , dont la première portion m'a paru prédisposée aux ulcérations
chroniques
. Dans le cas représenté figure i et i\ l'ulcère
ation des brides péritonéales, que j'ai vu dans certaines phlegmasies
chroniques
du péritoine, cette membrane hérissée d'une multi
est assez fréquent de voir, dans les dernières périodes des maladies
chroniques
, des érosions hémorrhagiques de l'estomac, érosio
ar des érosions ou ulcérations folliculeuses que débutent les ulcères
chroniques
de l'estomac, qui ont fait l'objet de plusieurs f
hez une femme de 5o ans, morte de phthisie pulmonaire avec dévoiement
chronique
, j'ai observé : i° plusieurs ulcérations ardoisée
l'estomac d'une vieille femme de la Salpétrière, morte d'une maladie
chronique
dont je n'ai pas tenu note, mais qui était bien c
t le mot hématémèse à la marche aiguë, et celui de melœna à la marche
chronique
, et, d'une autre part, plus exacte que celle tiré
vide et avec effort. Nous avons vu que les ulcères simples aigus et
chroniques
de l'estomac étaient également accompagnés de vom
cal, n° du i5 juillet i83y : elle a pour titre: Observation d'adénite
chronique
avec altération spéciale des follicules muqueux d
s de fatigue et de faiblesse. « Diagnostic. — Stomatite et entérite
chronique
avec inflammation sympathique des ganglions lymph
landes, ainsi que cela arrive aux autres orifices dont l'inflammation
chronique
cause toujours le rétrécissement. «Des renseign
eviennent cartilagineux; mais il pourrait se faire que l'inflammation
chronique
s'emparât du follicule et le détruisît par voie d
ui-même, qui, après avoir donné à son observation le titre ai adénite
chronique
, décrit ainsi l'altération des ganglions : «¦ tis
ns. Contrairement à ce qu'on observe habituellement dans les maladies
chroniques
de l'estomac, la malade est gaie et même facétieu
ù la nécessité, l'indispensable nécessité du régime dans les maladies
chroniques
de l'estomac : or, le régime pour l'estomac, c'es
précède; on y verra les désordres que peut déterminer l'inflammation
chronique
de cet organe et la nécessité de l'analyse anatom
très saillant. Le pancréas n'est pas dégénéré. Il y a eu là un ulcère
chronique
de l'estomac qui s'est terminé par cicatrisation.
e. Je considère cette altération comme le résultat d'une inflammation
chronique
, de la combinaison du pus avec le tissu de la rat
tée fig. 2, pl. 1, xxvirlivr. comme une conséquence de l'inflammation
chronique
de l'estomac : et voici comment j'analyserais cet
ent j'analyserais cette observation. La malade a eu d'abord un ulcère
chronique
simple de la face postérieure de l'estomac, ulcèr
œtus très développé, libre dans la cavité péritonéale. — Inflammation
chronique
du péritoine. — Tumeur formée par les membranes
u reste, le péritoine présentait tous les caractères d'une phlegmasie
chronique
. Le péritoine pariétal était tapissé par une couc
t, et du cœcum et du colon ascendant dans le colon transverse. — Mode
chronique
des accidens. — Péritonite. — Gangrène de l'intes
eudo-membranes. Il résulte du fait précédent, i° que l'inflammation
chronique
du gros intestin peut devenir la cause de l'invag
e l'invagination; i° que l'invagination peut avoir lieu d'une manière
chronique
et déterminer des accidens chroniques et même int
on peut avoir lieu d'une manière chronique et déterminer des accidens
chroniques
et même intermittens ; 3° que la valvule iléo-cœc
ment par les symptômes les plus graves : sa marche peut être aiguë ou
chronique
. Les accidens peuvent être continus, rémittens ou
ladie aiguë (pneumonie, péritonite), soit dans le cours d'une maladie
chronique
(cancer de l'utérus, maladies du foie, péritonite
e maladie chronique (cancer de l'utérus, maladies du foie, péritonite
chronique
), sont prises d'une paralysie complète et général
rticulièrement d'ulcérations , suite d'entérite folliculeuse aiguë ou
chronique
. La fig. i présente le dernier pied de l'intest
elles nombreuses voies le désordre est réparé. Les ulcères aigus et
chroniques
simples de l'intestin grêle et du gros intestin d
lliculeuse aiguë. Elle peut être primitive ou consécutive. L'ulcère
chronique
s'observe presque constamment dans la dernière pé
ations dirigées sur le canal de l'intestin alimentaire. Les ulcères
chroniques
intestinaux présentent souvent des tubercules sou
d tuberculeux; mais ce serait une erreur de dire que tous les ulcères
chroniques
de l'intestin grêle appartiennent à la classe des
uberculeuses ; il ne serait pas plus exact d'affirmer que les ulcères
chroniques
de l'intestin grêle ne s'observent XXXe LIVRAIS
que la mort par hémorrhagie soit plus rare dans les ulcères aigus ou
chroniques
de l'intestin, que dans les ulcères aigus ou chro
ères aigus ou chroniques de l'intestin, que dans les ulcères aigus ou
chroniques
de l'estomac. L'ulcère chronique de l'intestiu
in, que dans les ulcères aigus ou chroniques de l'estomac. L'ulcère
chronique
de l'intestiu peut, comme l'ulcère aigu, détermin
sister indépendamment de la cause qui l'a produit. Tous les ulcères
chroniques
de l'estomac cicatrisés (voyez les livraisons qui
ngée, jaune., brune ou un mélange de ces couleurs : les inflammations
chroniques
, ou plutôt certains modes d'inflammation chroniqu
les inflammations chroniques, ou plutôt certains modes d'inflammation
chronique
, l'inflammation ulcéreuse, ont pour résultat la p
ciens. C'est ce qu'on voit souvent à la peau qui avoisine des ulcères
chroniques
des jambes. Cette couleur ardoisée est au contr
intestin (i); enfin on la rencontre très communément dans les ulcères
chroniques
, non cicatrisés de l'estomac et des intestins. J'
bien voir les follicules du vagin. XXXe LIVRAISON. 2 les ulcères
chroniques
soit du gros intestin, soit de l'intestin grêle,
is le tissu ellulaire sous-péritonéal.Dans quelques cas de péritonite
chronique
,1e périto ine tout entier présente cette colorat
rdoisée est commune dans les artères, lorsqu'il existe une irritation
chronique
sur quelques-uns des points de la surface interne
s de continuité qu'il a subies, et la conséquence de son inflammation
chronique
; ainsi, on trouve très communément, chez nos viei
valescence ne soit qu'apparente, et que la dysenterie passée à l'état
chronique
ne laisse des traces ineffaçables(i). Voici le ré
sive. 6. La dysenterie aiguë tend essentiellement à passer à l'état
chronique
, et je ne connais rien de grave, rien de rebelle
ien de grave, rien de rebelle à toute médication, comme la dysenterie
chronique
. Il est même des conditions hygiéniques dans lesq
a dysenterie a, dès son début, si je puis m'ex-primer ainsi, la forme
chronique
. Pendant que j'habitais Limoges, j'ai été plusieu
à la maison centrale de détention; cette cause, c'était la dysenterie
chronique
qui y régnait endémiquement. Il nous fut facile d
t expliquer la génération du plus grand nombre des maladies aiguës ou
chroniques
. 7. Dans l'état chronique, la dysenterie est es
plus grand nombre des maladies aiguës ou chroniques. 7. Dans l'état
chronique
, la dysenterie est essentiellement apyrétique, et
iâtre. Ces altérations sont toutes les conséquences de l'inflammation
chronique
qui s'est étendue de la muqueuse aux tuniques sub
els on a, pendant la vie et même à l'autopsie, pris des inflammations
chroniques
du rectum, suite de destruction de la membrane mu
purulentes , indépendamment des selles ordinaires. 9. La dysenterie
chronique
peut, dans certains cas, guérir incomplètement, e
ue et du colon desendant, prouvent bien évidemment que l'inflammation
chronique
n'est pas dissipée. 10. Je considère la dysente
e cas de cancer, il survient souvent des lésions viscérales aiguës ou
chroniques
qui emportent les malades avant le moment marqué
mmun de lésions essentiellement différentes. Or, de même que l'ulcère
chronique
de l'estomac est souvent cliniquement et anatomiq
atomiquement confondu avec le cancer de cet organe ; de même l'ulcère
chronique
du rectum donne lieu à des symptômes tellement an
liniques de la Salpêtrière, est remarquable sous ce rapport. Ulcère
chronique
du rectum avec rétrécissement de cet intestin, pr
cancéreuse du rectum, mais rétrécissement fibreux, suite d'un ulcère
chronique
de l'intestin, qui occupait la moitié inférieure
s symptômes de l'étranglement : il est probable que si l'inflammation
chronique
, source de l'ulcération de 1 intestin rectum avai
observation suivante , il était bien facile de prendre l'inflammation
chronique
du rectum pour un cancer de cet organe, vu le dés
e considérable qui existait tout autour de l'intestin. Inflammation
chronique
du rectum qui a été prise pour un cancer. — Commu
ncts. Réflexions. — Il est donc bien constant que les inflammations
chroniques
de l'intestin rectum ont été souvent prises pour
die du rectum, sera donc de déterminer s'il s'agit d'une inflammation
chronique
ou bien d'une dégénération cancéreuse. Quant au
phénomènes de l'étranglement. Nous avons vu, à l'occasion de l'ulcère
chronique
de l'estomac, que la mort pouvait être le résulta
efois même l'oblitération de l'intestin, en sorte que les ulcérations
chroniques
circulaires de l'intestin devraient en quelque so
endu du cheval. Les rétrécissemens du rectum par suite d'ulcération
chronique
sont susceptibles de guérison, lorsqu'ils sont ac
lh.di BtnarditFrty. (PLANCHK I , XXXIIIe LIVRAISON.) Inflammation
chronique
du rectum simulant le cancer de cet organe , fig.
éjà eu occasion (i) d'établir par des faits que, de même que l'ulcère
chronique
de l'estomac est souvent cliniquement et autopsiq
utopsiquement confondu avec le cancer de cet organe, de même l'ulcère
chronique
du rectum donne lieu à des symptômes et à des car
matières. Or, que ce rétrécissement soit produit par une inflammation
chronique
, par une cicatrice ou par un cancer, les effets s
des rétrécissemens du rectum par suite d'ulcères circulaires simples
chroniques
; j'ai dit que, dans ce cas, la cicatrisation étai
équence du travail de cicatrisation. Mais, indépendamment des ulcères
chroniques
du rectum, il est des inflammations chroniques de
pendamment des ulcères chroniques du rectum, il est des inflammations
chroniques
de cet intestin, suite de dysenterie ou de toute
remarquable des désordres qui peuvent accompagner cette inflammation
chronique
. Femme Moronval, 4*2 ans, mère de deux enfans,
tion cancéreuse , je diagnostiquai un rétrécissement par inflammation
chronique
du rectum. Je dilate graduellement cet intestin,
sculeuse. Cet état hyper-trophique de l'intestin, suite de phlegmasie
chronique
,a souvent été considéré par les observateurs comm
appui de celle qui précède, pour établir la gravité de l'inflammation
chronique
du rectum et la possibilité de confondre son infl
ndre son inflammation avec sa dégénération cancéreuse. Inflammation
chronique
du rectum, suite de dysenterie, simulant une affe
actuel rapproché des commémoratifs, je diagnostiquai une inflammation
chronique
du rectum: Cette enfant avait en effet éprouvé un
e consomption, dont le point de départétait évidemment l'inflammation
chronique
et la suppuration du rectum. Je soupçonnais, en o
on présentait une densité qui dénotait manifestement une inflammation
chronique
. J'enlevai ensuite, pour mieux l'étudier, toute l
Ainsi, inflammation de la membrane muqueuse du rectum passée à l'état
chronique
; destruction par ulcération de cette membrane et
onique ; destruction par ulcération de cette membrane et inflammation
chronique
des tuniques fibreuse,musculeuse et péritonéale;
ronique des tuniques fibreuse,musculeuse et péritonéale; inflammation
chronique
du tissu cellulaire et du péritoine du bassin ; p
s organes génitaux, englobés, pour ainsi dire, da"bs une inflammation
chronique
; épuisement par une suppuration excessivement abo
fant. L'examen cadavérique montre des traces profondes d'inflammation
chronique
, mais nulle part des traces de dégénération. Le
e fait suivant établit que la possibilité de confondre l'inflammation
chronique
du rectum avec sa dégénération cancéreuse n'est p
r a été commise et qu'une extirpation a été pratiquée. Inflammation
chronique
âu rectum. —Eaftirpation de la partie inférieure
ervation qu'on vient de lire présente un exemple d'une inflammation
chronique
du rectum; que la partie inférieure de cet intest
à cet égard. Ainsi, suivant toutes les prohabilités, une inflammation
chronique
du rectum a eu lieu, une ulcération circulaire s'
nisés; le passage continuel des matières a entretenu une inflammation
chronique
et des callosités qui se seraient probablement di
e tumeur. MALADIES DU RECTUM %,ltur^'ori Pl.. 1re ZiylamaJzôn
chronique
/.. ùmcer du- rectum A Chazal del. Imp- dcXc7n
aître que la grosse extrémité de l'estomac était le siège d'un ulcère
chronique
, en très grande partie cicatrisé et cerné par un
ion: la membrane acéphalocyste avait résisté au travail inflammatoire
chronique
qui s'était emparé de la poche et qui avait amené
omateuses du foie sont quelquefois la cause d'une péritonite aiguë ou
chronique
. La péritonite s'élèverait au degré d'intensité d
comme le résultat de la suppuration du foie et constituant des abcès
chroniques
, mais bien comme des kystes acéphalocystes, dont
isseur et de leur énucléation facile. Il est sans exemple qu'un abcès
chronique
ait présenté une semblable disposition: les paroi
ui ont comme moi constaté la présence non-seulement des inflammations
chroniques
, mais encore des tubercules, même du cancer chez
a couleur ardoisée des tissus qui ont été le siège d'une inflammation
chronique
; sa cavité est traversée par des brides nombreuse
t par un mouvement ou par une plainte. Je diagnostiquai donc un abcès
chronique
du foie L'état de la malade restant stationnaire,
nne santé; la seule maladie qu'il eût éprouvée était une inflammation
chronique
de l'œil droit, laquelle s'était reproduite à tro
quelle époque remontent les cancers mélaniques de l'œil? L'ophthalmie
chronique
profonde de l'organe a-t-elle provoqué le dévelop
Voyez aussi Traité pratique de ta phthisie laryngée, de la laryngite
chronique
etdes maladies de la voix , par A. Trousseau et H
e du poumon, mais les commémoratifs (le malade avait eu une pneumonie
chronique
), et une fluctuation non équivoque ne permirent p
reuses, qui sont depuis longues années sous l'influence d'un catarrhe
chronique
, éprouvent une recrudescence. Quand viennent le
de convertir la pneumonie aiguë en pneumonie subaiguë ou en pneumonie
chronique
, de réveiller, de soutenir la vie jusqu'à ce que
dus épuisés, cachexies, si je puis m'exprimer ainsi, par des maladies
chroniques
, succombent très souvent à des lésions autres que
niques, succombent très souvent à des lésions autres que ces maladies
chroniques
. Ainsi,tout récemment, une malade, affectée de pl
s chroniques. Ainsi,tout récemment, une malade, affectée de pleurésie
chronique
avec bruit de cuir neuf extrêmement prononcé,a su
ar ponction et qui jouissait de la meilleure santé avant la pleurésie
chronique
, qui la nécessita. Le poumon du côté de l'épanche
'occasion du cancer utérin, comme à l'occasion de toute autre maladie
chronique
, par suite de l'altération du sang. La phlébite
uit. A l'ouverture du cadavre, œdème du poumon. Catarrhe pulmonaire
chronique
. Point de phlébite pulmonaire. Les artères pulmon
euse. Bien que la malade fût affaiblie par l'âge et par un catarrhe
chronique
, l'intensité des douleurs me força à faire pratiq
s la journée. Ouverture du cadavre. — Double pneumonie. — Bronchite
chronique
. Emphysème du bord antérieur du poumon caractéris
duites par une inflammation de la membrane interne, ou une altération
chronique
des parois artérielles. (i) Voyez deuxième livr
dans les membres inférieurs. Il avait en outre un catarrhe pulmonaire
chronique
. Pouls petit, fréquent, avec quelques intermitten
ue représente une artère devient le siège d'une inflammation aiguë ou
chronique
; (et cette inflammation me paraît, dans un grand
t qui asphyxie immédiatement; il est un œdème lobulaire plus ou moins
chronique
, qui enlève à la respiration un nombre plus ou mo
rigine des maladies du cœur chez les vieilles femmes: or, le catarrhe
chronique
, l'asthme catarrhal m'ont bien souvent paru la po
out de trois mois, six mois, un an au plus, des phlegmasies aiguës ou
chroniques
qui ont emporté les malades. M. Blaud, cet esti
era le dernier terme. On conçoit encore que l'inflammation aiguë ou
chronique
du tissu du cœur, en amenant la fragilité de ce t
en fait que les trois quarts des malades morts de maladies aiguës ou
chroniques
sans longue agonie, auraient une hypertrophie con
erculeuse se développer dans le péricarde par suite de l'inflammation
chronique
de son feuillet séreux ; j'ai déjà parlé des gran
lectuaire purgatif. Respectons le canal alimentaire dans les maladies
chroniques
; car,dans les maladies chroniques, les organes di
canal alimentaire dans les maladies chroniques; car,dans les maladies
chroniques
, les organes digestifs sont d'une susceptibilité
euse sont un des accidens les plus redoutables des maladies aiguës et
chroniques
des organes de la respiration et de la circulatio
au avec coloration jaunâtre; lésion qui paraît dépendre d'une fluxion
chronique
ou subaiguë, ayant pour effet une sorte de combin
ers à mon objet. Je dirai seulement qu'il y avait néphrite calculeuse
chronique
, et cette remarque est d'autant plus importante,
aplégie incomplète du sentiment et du mouvement. — Danse de Saint-Guy
chronique
. — Dégénération grise des cordons postérieurs d
tout semblait l'indiquer. Une jeune femme, qui, par suite de gastrite
chronique
, et aussi par suite de manie , s'était condamnée
ballonnement de cette région, me portaient à admettre une péritonite
chronique
. Une saignée au bras , des ventouses scarifiées
pièce de dix sous. —Le gros intestin était le siège d'une phlegmasie
chronique
extrêmement intense, comme dans les dysenteries c
phlegmasie chronique extrêmement intense, comme dans les dysenteries
chroniques
. Réflexions.—Péritonite chronique tuberculeuse,
ense, comme dans les dysenteries chroniques. Réflexions.—Péritonite
chronique
tuberculeuse, carie des vertèbres, compression de
rculeuse, carie des vertèbres, compression de la moelle, inflammation
chronique
de la muqueuse du gros intestin, telles sont les
faitement avec les symptômes observés pendant la vie. La péritonite
chronique
a précédé ; car la malade accusait des douleurs a
t de la malade aurait été amenée par des eschares si une inflammation
chronique
du gros intestin, la dysenterie, cette terminaiso
intestin, la dysenterie, cette terminaison si fréquente des maladies
chroniques
, n'était venue précipiter le moment de sa mort.
tal, ce malade ne présenta d'autre symptôme qu'un catarrhe pulmonaire
chronique
, avec gargouillement, à petites bulles, et diminu
nduit auditif externe a cessé. Fièvre. Je pense à une otite interne
chronique
devenue suraiguë. Je tremble que l'inflammation n
mmense majorité des observations du même ordre, est donc ceci : otite
chronique
avec carie de la caisse du tympan : long-temps ap
pendant la vie aucun signe de sa présence. L'inflammation aiguë ou
chronique
du cerveau est l'effet le plus habituel de la pré
ne dégénération, mais à une induration, suite probable d'inflammation
chronique
. L'écueilde toutes les observations que je poss
qu'il n'en est aucun qui ne puisse devenir le siège d'une irritation
chronique
, laquelle a pour résultat la production de végéta
cancers de l'utérus sont assez souvent compliqués d'une inflammation
chronique
du gros intestin, d'une péritonite, qui précipite
cancer mammaire tuberculeux, qui a succombé à une pleurésie purulente
chronique
. Ce que je dis du cancer s'applique à la syphilis
a prostate, et cette atrophie est souvent la suite d'une inflammation
chronique
de cet organe. Les deux faits sui-vans viennent à
iquer ce rétrécissement que de deux manières: i° par une inflammation
chronique
de la membrane muqueuse; i° par une ulcération. N
avec la rétention, les calculs déterminent une inflammation aiguë ou
chronique
, soit de la membrane interne des calices et du ba
gné le cancer mammaire de la femme de 85 ans, sous le titre de Cancer
chronique
atrophique. D'après le rapport de cette femme, il
le développement d'un cancer interne, soit une phlegmasie latente et
chronique
ou les deux altérations réunies. Elle succomba sa
pour conséquence tantôt un hydrothorax, tantôt une pleurésie aiguë ou
chronique
. Cependant le cas représenté pl. 3, xxvne livr.,
ert ; dépérissement à la manière des individus affectés de phlegmasie
chronique
. Mort le 8 octobre, cinq mois environ après l'inv
de suffocation. Notre malade me paraît avoir succombé à la pleurésie
chronique
purulente, et non directement au cancer, dont la
gangrène des parois adossées du vagin et du rectum avec inflammation
chronique
de la muqueuse utérine. L'apoplexie capillaire de
'utérus est sain; sa membrane interne est le siège d'une inflammation
chronique
caractérisée par une rougeur légère, des fongosit
et du vagin. — Communication du vagin et de la vessie. — Inflammation
chronique
de l'uretère et du rein du coté droit. Une fe
eux, me fait pressentir que le rein a été le siège d'une inflammation
chronique
. En effet, la capsule fibreuse adhère si fortem
i° Le rein , l'uretère et la vessie ont été le siège d'une phlegmasie
chronique
. Cette phlegmasie pjironique s'exprime dans la ve
outer des séreuses, est le signe le plus infaillible d'une phlegmasie
chronique
, fixée sur ces membranes ou dans leur voisinage.
rnerai à faire remarquer que si, d'une part, les traces de phlegmasie
chronique
du rein gauche, de l'uretère et de la vessie, sem
ints de contact avec les indurations ordinaires, suite de phlegmasies
chroniques
. L'état des ganglions lymphatiques correspondan
caractère de la lésion, j'aurais été tenté de croire à l'inflammation
chronique
, bien plus qu'à la dégénération cancéreuse de l'u
ramollissement du tissu de l'utérus me parut l'effet d'une irritation
chronique
, d'une fluxion long-temps continuée sur ce tissu.
r le placenta. La péritonite provoquée par la présence du fœtus était
chronique
, ce qui prouve que le fœtus avait séjourné pendan
mptomatique d'une lésion organique du péritoine, telle que péritonite
chronique
tuberculeuse ou autre, cancer du péritoine? est-c
. Sa face jaune paille et sa maigreur extrême attestaient une maladie
chronique
arrivée à sa dernière période. Je la reçus immédi
ns : les urines sont peu abondantes. Je diagnostique une péritonite
chronique
latente, probablement une péritonite tuberculeuse
e m'arrêtai à l'idée qu'il pouvait y avoir ici une de ces phlegmasies
chroniques
et sans douleur du péritoine, qui sont si souvent
ALIMENS. Du choix des alimens dans le traitement de l'ulcère simple
chronique
de l'estomac. 10e liv., pl. v et vi,p. 3. ALTÉB
, vi,p. G. — Perforation de l'artère splénique, suite d'ulcère simple
chronique
de l'estomac. 10e Ii v., pl. v, vi, p. y.— Inflam
BAINS. De l'emploi des bains dans le traitement de l'ulcère simple
chronique
de l'estomac. 10e liv., pl. v, vi, p. 3. — Idem d
que et cholédoque. 12e liv., pl. iv, v, p. 4- — Inflammation aiguë et
chronique
des voies biliaires. 12e liv., pl. iv, v, p. 5.—
—Siège du cancer du rectum; ses effets. 25e liv., pl.m,p.3. — Ulcère
chronique
du rectum avec rétrécissement de cet intestin, pr
cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. — Inflammation
chronique
du rectum, qui a été prise pour un cancer. Commun
rs développées dans le cerveau. 32e liv., pl. v, p. 5. — Inflammation
chronique
du rectum simulant le cancer de cet organe. 33e l
dans la cavité orbilaire. 39e liv., pl. v, p. 4-— Cas d'inflammations
chroniques
du rectum, pris pour des cancers. 40e liv., pl. v
ricules. 6e liv., pl. 1, 11, p. 4, 5. — Méningite sous-arachnoïdienne
chronique
de la base. 6e liv., pl. 1, 11, p. 6. — Méningite
e ramollissement gélaliniforme du cerveau speut exister d'une manière
chronique
. Différence des effets produits par des causes en
Mort. ^Pleurésie; accouchement; dévoiement cholérique. Mort.^Entérite
chronique
; accouchement; dévoiement cholérique. Mort. 14e l
dans la convalescence. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 52.— Gastrite
chronique
par suite d'un choléra léger; hémathémèses ; déje
é. 20e liv., pl. m, iv, p. //. — Caractère des cicatrices de l'ulcère
chronique
de l'estomac. 20e liv., pl. v, vi, p. /. — Caract
liv., pl. i iî, m, p. y, 10. DANSE DE SAINT-GUY. Danse de Saint-Guy
chronique
. 32e liv¿, pl. i, n, p. ig. DAUXAIS (M.). Ses t
rt. = Pleurésie; accouchement; dévoiement cholérique. Mort.= Entérite
chronique
; accouchement; dévoiement cholérique. Mort. 14e l
ystées des follicules du duodénum. 34e liv., pl. n, m, p. 1. — Ulcère
chronique
simple et perforation spontanée du duodénum. 38e
e et le choléra. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v, p. 28. — Inflammation
chronique
du rectum, suite de dysenterie, simulant une affe
le des longues maladies ; elle tend essentiellement à passer à l'état
chronique
. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pa- ihologïq
. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pa- ihologïque do la dysenterie
chronique
; accidens qui suivent la destruction de la membr
liv., pl. v, p. 4. — Possibilité d'une demi-guérison de la dysenterie
chronique
; la dysenterie incomplètement guérie est la sourc
lliculeuse ancienne. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 23. —Cas d'enlérile
chronique
. 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p. 10.—Entérite pa
membrane muqueuse de l'estomac. 10e liv., pl. m , iv, p. 6. — Ulcère
chronique
simple de l'estomac. 10e liv., pl. v, vi,j». — Ca
liv., pl. v, vi, p.*. —Dangers des hémorrhagies dans l'ulcère simple
chronique
de l'estomac ; traitement. 10e liv., pl. v,vi, p.
atrices des ulcères de l'estomac. 10e liv., pl. V, vi, p. 7. — Ulcère
chronique
simple de l'estomac,- il diffère de l'ulcère canc
le siègede la perforation, la cicatrice d'un ulcère ancien.= Gastrite
chronique
ulcéreuse par suite d'un choléra léger; hémalémès
rus et du vagin. Communication du vagin et de la vessie. Inflammation
chronique
de l'uretère et du rein du côté droit. 37e liv.,
itales de la main gauche. 27e liv., pl. v, p. 8. GASTRITE. Gastrite
chronique
ulcéreuse par suite d'un choléra léger; hématémès
ation. Foetus très développé dans la cavité péritonéale. Inflammation
chronique
du péritoine. Tumeur formée par les membranes de
, p. 4. Hématémèse et déjections sanglantes résultant d'ulcère simple
chronique
de l'estomac. 10e liv., pl. v, vi, p. y. HÉMIPL
pl. 1,11, m, iv, p. 5.— Dangers des hémorrhagies dans l'ulcère simple
chronique
de l'estomac. 10e liv., pl. v, vi, p. .2.— De l'h
= Pleurésie ; accouchement; dévoiement cholérique. Mort. == Entérite
chronique
; accouchement; dévoiement cholérique. Mort. 14e l
nt, et du ccecum et du colon ascendant dans le colon transverse. Mode
chronique
des accidens Péritonite. Gangrène de l'intestin g
'intestin grêle parle choléra. 38e liv., pl. 11, m, iv,p. 4- — Ulcère
chronique
simple et perforation spontanée du duodénum. 38e
le des longues maladies : elle tend essentiellement à passer à l'état
chronique
. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pathologique d
ique. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pathologique de la dysenterie
chronique
; accidens qui suivent la destruction de la membra
., pl. v, p. 4-— Difficultés de la guérison complète de la dysenterie
chronique
. La dysenterie incomplètement guérie est la sourc
ant, et du cœcum et du colon ascendant dans le colon transverse. Mode
chronique
des accidens. Péritonite. Gangrène de l'intestin
ant, et du cœcum et du colon ascendant dans le colon transverse. Mode
chronique
des accidens. Péritonite. Gangrène de l'intestin
1e liv., pl. vi, p. 3. — L'invagination peut avoir lieu d'une manière
chronique
et déterminer des accidens chroniques et même int
on peut avoir lieu d'une manière chronique et déterminer des accidens
chroniques
et même intermittens. 21e liv., pl. vi, p. 4. — I
que du larynx. Mort par suffocation. 5e liv., pl. n, p. 3. —Laryngite
chronique
ulcéreuse occupant la surface extérieure et intér
siège d'une tuméfaction mortelle. 5e liv., pl. 11, p. 4. — Laryngite
chronique
ulcéreuse occupant la surface extérieure et intér
12. — Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée à l'état
chronique
. 17e liv., pl. m, p. 3. — Le pus peut exister imp
Maladie muqueuse. 7e liv., pl. i, n, ni, iv, p. /.—¦ Maladie muqueuse
chronique
. 7e liv., pl. i, n, m , iv, p. y. — Différence de
entricules. 6e liv., pl. 1,11, p. 4, 5.—Méningite sous-arachnoïdienne
chronique
de la base. 6e liv., pl. 1, 11, p. 6. — Méningite
araplégie incomplète*du sentiment et du mouvement. Danse de Saint-Guy
chronique
. Degeneration grise des cordons postérieurs de la
be. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins, passée à' l'étal
chronique
. Inflammation communicante des veines iliaques ex
museau de tanche. 39e liv., pl. m ,p. 3. NARINES. Guérison d'ulcère
chronique
aux narines. 12" liv., pl. vi, p. 3. NÉCROSE.
hez un enfant qui mourut une heure après la naissance. = Inflammation
chronique
du thymus et du pancréas; induration et imperméab
dies du pancréas chez le fœtus. 15e liv., pl. n, p. i. — Inflammation
chronique
du pancréas chez un enfant mort après quelques mi
araplégie incomplète du sentiment et du mouvement. Danse de Saint-Guy
chronique
. Dégénération grise des cordons postérieurs de la
liv., pl. v, vi,p. 4. —Des perforations de l'estomac, suite d'ulcère
chronique
. 20e liv., pl. v, vi, p. /. — Perforation spontan
Fœtus très développé , libre dans la cavité peritoneale. Inflammation
chronique
du péritoine. Tumeur formée par les membranes de
aire. 5e liv., pl. n, p. 6— Coïncidence presque constante de l'ulcère
chronique
des intestins dans la dernière période de laphthi
e ramollissement gélatini-forme du cerveau peut exister d'une manière
chronique
. = Cas de ramollissement gélaliniforme du cerveau
.—Causes probables et traitement de ce ramollissement.=Ramollissement
chronique
de la rate. 2« liv., pl. v, p. g .—Phlébite de la
ège du cancer du reclum; ses effets. 25e liv., pl. ni, p. 3. — Ulcère
chronique
du reclum avec rétrécissement de cet iniestin , p
cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. = Inflammation
chronique
du rectum, qui a été prise pour un cancer. Commun
6. — Curabilité des rétrécissemens du reclum par suite d'ulcération
chronique
. 25e liv., pl. m , p. 7.—Inflammation chronique d
ar suite d'ulcération chronique. 25e liv., pl. m , p. 7.—Inflammation
chronique
du rectum simulant le cancer de cet organe. 33° l
mulant le cancer de cet organe. 33° liv., pl. 1, p. t. — Inflammation
chronique
du reclum, suite de dysenterie, simulant une affe
z une jeune fille de vingt ans. 33e liv., pl. 1, p. 3. — Inflammation
chronique
du rectum. Extirpation de la partie inférieure de
la substance lubuleuse du rein. 36e liv., pl. v, p. 4. — Inflammation
chronique
de l'uretère et du rein du côté droit. 37e liv.,
6. — Curabilité des rélrécissemens du rectum , par suite d'ulcération
chronique
. 25e liv., pl. m,p. 7.—Rétrécissement fibreux du
ambe. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée à l'état
chronique
. Inflammation communicante des veines iliaques ex
dies du thymus chez le fœtus. 15e liv., pl. n, ». i. — Inflammation
chronique
du thymus et du pancréas chez un enfant mort aprè
s placentaires. lre liv., pl. 1, n, p.3. u. ULCERE. Ulcère simple
chronique
de l'estomac. Caractères anatomiques ; caractères
s ulcères de l'estomac. 10eliv., pl. v, vr, p. 7. — Guérison d'ulcère
chronique
aux narines suivie de cancer au pylore. 12e liv.,
concomitant d'un cancer du foie. 12e liv., pl. n, in, p. g — L'ulcère
chronique
de l'estomac peut être diagnostiqué; sa tendance
siège de la perforation, la cicatrice d'un ulcère ancien. = Gastrite
chronique
ulcéreuse par suite d'un choléra léger ; hématémè
on du pylore ; orifice pylorique. 20e liv., pl. v, vi, p. 4. — Ulcère
chronique
du rectum avec rétrécissement de cet intestin, pr
cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. = Inflammation
chronique
du rectum qui a été prise pour un cancer. 25e liv
on ardoisée des cicatrices muqueuses. 30e liv., pl. m, p. 4. — Ulcère
chronique
simple et perforation spontanée du duodénum. 38e
atrophie du rein correspondant. 27e liv., pl. u, p- 4. — Inflammation
chronique
de l'uretère cl du rein du côté droit. 37e liv.,
du vagin. Communication du vagin 11 et de la vessie. Inflammation
chronique
de l'uretère et du rein du côté droit. 37e liv.,
tum avec le vagin au-dessus de la fourchette résultant d'infiammation
chronique
du rectum. 25e liv., pl. m, p. 4. — Cancer du vag
rus et du vagin. Communication du vagin et de la vessie. Inflammation
chronique
de 1 uretère et du rein du côté droit. 37e liv.,
. Explication des vomissemens qui accompagnent quelques inflammations
chroniques
du rein. lre liv., pl. v, p. 4. — Vomissemens m
MATISÉS DANS LES DIVERSES PSYCHOSES'. DEUXIÈME LEÇON. LE DÉLIRE
CHRONIQUE
A ÉVOLUTION SYSTÉMATIQUES Messieurs, Deux mal
, de l'absence d'antécédents hérédi- taires, le diagnostic « délire
chronique
» put être porté. Aujourd'hui ce diagnostic est
degré d'affaiblissement. de la résistance cérébrale, les délirants
chroniques
marchent graduellement vers la démence. Leur ni
ls en voie de déclin. Cette évolution fatalement tracée du délire
chronique
, telle que nous venons de la suivre, impose ave
mettre vingt, trente ans à atteindre son terme. Tel est ce délire
chronique
et évolution systématique, apparu à l'âge mûr,
stplial, Schoefer), moins le passagepossible à la sys- tématisation
chronique
(syslematische Paranoïa), aussi l'auteur refuse
au contraire, toujours d'après deKrafft-Ebing, est une psychopathie
chronique
qui survient exclusivement chez les individus a
le hallucinatoire aiguë, tandis que la folie systématique, toujours
chronique
(il n'y a pas de para- noïa acuta) est dénommée
anoia sous lequel nous avons déjà vu désigner la'folie systématique
chronique
DE LA PARANOÏA. 29 (paranoïa chi-onica) plus
e de paranoïa, dont il admet trois formes une forme aiguë une forme
chronique
une forme stupide (identique à la catatonie de
e de la Folie héréditaire. D'après cet auteur, le Wahnsinn, aigu ou
chronique
, a pour caractère que l'état de l'humeur corres
et à l'ex- clusion de l'activité cérébrale. La folie systématique
chronique
type (typische chronische Wahnsinnsform) a, d'a
dées passagères comme eux : de même que dans le délire systématique
chronique
, il s'effec- 30 CLINIQUE MENTALE. tue souvent
ns et des exacerbations. Les exacerba- tions du délire systématique
chronique
sont tout simplement des formes du Wahnsinn hal
x7-e Verrüchtlaeit) y représente un groupe de la folie systématique
chronique
type (typischer Wahnsinn) qui n'est pas, comme
ia, et paranoïa veut dire folie systématique. Celle-ci est aiguë ou
chronique
, acquise ou d'origine dégénérative, ce qui veut
e qu'il est composé des mêmes éléments que le délire systématique
chronique
, qu'il peut en être le premier début, se montrer
ier, ou, ce qui est la même chose, parce que le délire systématique
chronique
peut s'exaspérer et prendre ainsi l'aspect aigu
u moins cohérentes suivant qu'il s'agit de l'état aigu ou de l'état
chronique
. M. Kroepelin, de son côté, n'emploie pas le mo
e comme entendues malgré lui et non direc- tement. Quant à la forme
chronique
, elle se distinguerait dé la folie systématique
es ont été créés, dont un pour les aliénés criminels et les malades
chroniques
, en même temps que, dans quelques villes, un qu
de marcher et de se tenir debout. Il en existe une variété lente et
chronique
assez fréquente. 11 convient aussi de séparer n
langage qui lui était propre, etc... » Or, un beau jour, ce délire
chronique
se transforma en paralysie générale des plus ne
tat simple ou com- pliqué, du ramollissement cérébral local aigu et
chronique
, de l'hémorrhagie eérébrale localisée récente o
hésitent à placer leurs malades dans ces hospices de déments et de
chroniques
dont il ne sort que peu d'aliénés guéris, dans
nt venus à l'établissement que parce que leur maladie était devenue
chronique
. Le transport des aliénés des campagnes l'asile
rhumatisme aux genoux. A trente ans, en 1881, j'ai eu une laryngite
chronique
pour laquelle j'ai été à Cauterets, Allevard et
AL, Médecin en chef des asiles de la Seine. La folio systématique
chronique
(chronische Verriicktheit) elle-même n'est pas-
et qui sont de l'amentia. Quant à la Paranoïa ou folie systématique
chronique
primi- tive (cfa·onisc'e p ? ,imoe7,e Verrücklh
ate les éléments dissociés mais surnageant de la folie systématique
chronique
. Ils montrent aussi l'association de la confusi
sur le tableau morbide. Ces deux formes sont tantôt aiguës, tantôt
chroniques
. La paranoïa simple chronique a pour variétés :
ux formes sont tantôt aiguës, tantôt chroniques. La paranoïa simple
chronique
a pour variétés : la folie systé- matique origi
anoïa hypochondriaque est une variété de la paranoïa hallucinatoire
chronique
. La paranoïa peut d'ailleurs être compliquée de
fois passagèrement troublée ; cela arrive rarement dans la paranoïa
chronique
. Quand il y a inconscience, le ma- lade ne cons
la folie systématique ( 6'errüclctheit) primitive, tant aiguë que
chronique
et, en particulier, dans le cours de la folie sys
systématisées, avec ou sans hallucinations), une folie systématique
chronique
simple, une folie systématique secondaire, une co
utres, apparaissant dans le cours de la folie systématique aiguë ou
chronique
, enfin peut-être aussi constituée par l'exagérati
ans les formes violentes de manie; quand celles-ci passent à l'état
chronique
, la confusion mentale, géné- ralement produite
les exacerbations aiguës de la folie systématique hallu- cinatoire
chronique
(chronische hallucinatorische paranoïa); en par
paranoïa, car on y note tout autant que dans la folie systématique
chronique
(chronische Paranoia), des con- ceptions délira
cinationssensorielles. Cen'estpas tout Dans le cours de la paranoïa
chronique
simple, même dans des stades les plus tardifs d
ne Verwirrtheit) se montrerait parfois dans la folie systé- matique
chronique
primitive (primoe2,e claronische 1'ez·rüclctheit)
une maladie, la montre existant dans l'im- paludisme, les néphrites
chroniques
, la glycosurie, l'état sclé- reux des artères,
onc avoir des rapports avec les infections aiguës et les infections
chroniques
et, parmi ces dernières, avec la tuberculose. Q
ont pas favorables. E. B. XXXVI. MAL DE POTT cervical. Leptomyélité
chronique
. Poussée DE MÉNING01fYÉLITE aiguë limitée A la
de la tuberculose en deux catégories dis- tinctes : 1° les myélites
chroniques
; 2° les myélites aiguës dont on peut distinguer
s poumons, présentait un mal de Pott cervical accompagné de lésions
chroniques
des méninges et de la moelle indépendamment de
stologique a montré que la malade était atteinte d'une leptomyélite
chronique
diffuse légère, dont les lésions conco- mitante
. Si par exemple nous envisageons les formes aiguës et les formes
chroniques
du groupe paranoïa, il y a un certain nombre d'ob
e (amentia chronica ou dementia confusa) ou la folie systé- matique
chronique
(paranoïa chronica). Pour M. Mendel, elle sur-
érébrales. Réplétion forte des vaisseaux méningés, lepto- méningite
chronique
diffuse de la convexiié. Poids du cerveau = 1,0
e partie de son étude. L'auteur reconnaît que la folie systématique
chronique
ou paranoïa chronique est née en France avec La
L'auteur reconnaît que la folie systématique chronique ou paranoïa
chronique
est née en France avec Lasègue, qui en 1852 a d
e Jaquet (1876) et Falret. Mais ce domaine de la folie systématique
chronique
, qu'il semblerait si naturel de se contenter de
es : 1° celle des dégénérés hérédi- taires ; 2° celle des délirants
chroniques
. La classe des dégénérés héréditaires comprendr
qui en réalité sont bien difficiles à classer. Celle des délirants
chroniques
aurait pour représentant le délire des persécut
s (Paul Garnier, Briand, Lwoif) soutiennent l'exis- tence du délire
chronique
tel qu'il est formulé par Magnan. Pour distingu
an. Pour distinguer un délire systématisé dégénératif d'un délire
chronique
pur il faut envisager : < l'état mental du suj
conception, la vie foetale et la première jeunesse. Quant au délire
chronique
, il peut germer sur des héréditaires mais non s
C'est aussi l'avis de M. Bail qui critique l'expression de délire
chronique
et préfère le nom de maladie de Lasègue pour dé
nécessairement par la-démence. M. Camuset est d'avis que le délire
chronique
englobe un grand nombre de psychoses analogues,
es comprendraient alors deux grandes classes : il, celle des folies
chroniques
régulières ou délires chroniques; 2° les folies
des classes : il, celle des folies chroniques régulières ou délires
chroniques
; 2° les folies irrégulières ou délires des dégé
re héréditaire, qui peut du reste être constatée chez les délirants
chroniques
, n'est point synonyme de dégénérescence, mais l
tion de la dégénérescence que pour formuler le diagnostic de délire
chronique
. Et encore n'est-on pas bien sûr de ne pas comm
nom de Lasègue à la seconde période (des persé- cutions) du délire
chronique
, et celui de Foville à sa troisième période (mé
e période (mégalomaniaque). Mais, en réalité, pour lui, le délire
chronique
englobe toutes les espèces de délires systématisé
st la synonymie française, reconnue par les Alle- mands, des formes
chroniques
du délire systématisé ou paranoïa chronique. Il
e- mands, des formes chroniques du délire systématisé ou paranoïa
chronique
. Ils considèrent, qu'en ce qui a trait aux formes
s. Elle a la plus grande analogie avec les délires par intoxication
chronique
. Elle me paraît mériter le nom de confusion men
systématique primitive (liercvitsclanoe soumasscheslvie) aiguë ou
chronique
, la démence (slaboomie) consécutive à la ma- ni
des cas, dit M. Korsakow, la para- noïa apparaît comme une maladie
chronique
, jusqu'ici tou- jours incurable. Mais les obser
a paranoïa aiguë est donc une forme de transition entre la paranoïa
chronique
et l'amentia. De même le délire asthénique est
McA<Ae ! < pervétsehnoe pomieschaleilstvo) aiguë, subaiguë ou
chronique
, n'est, d'après le savant russe, pas une affect
s'agit d'une malade atteinte de troubles attestant une intoxication
chronique
par l'alcool avec les symp- tômes cérébraux que
lles (otite moyenne ; perforation tympanique traumatique ; sclérose
chronique
du tympan). Ces pulsations scandées, dans un ry
boissons alcooliques. Or, extrême est la fréquence de l'alcoolisme
chronique
chez les médecins. Sur les 1,500 observations q
pas, après le décours [de chaque accès, un substratum pathologique
chronique
permanent (tel que la tare héréditaire), loin d
finitions. u ? ? ' t Sûr la modalité 'morbide de folie systématisée
chronique
, l'esprit' se montre universellement satisfait,
n' fausse du'sens critique.' En les fai- sant suivre' de l'épithète
chronique
on crée une. expression qui signifie bien ce qu
tenace, successivement appelée par lui délire chro- nique et délire
chronique
progressif a'évolution'systématique. Où commenc
persécution parvenant à l'état par- fait dans la folie systématique
chronique
, mais encore indé- cises dans la folie systémat
ptômes communs aux trois tableaux morbides de la folie systématique
chronique
(Verrûcktheit) ; de la folie systématique moins
noïa, de se préoccuper tout bonnement d'un état aigu et d'un état
chronique
, car vraiment la Verwirrtheit n'est qu'un degré
nw )b4 ,1-e, Parallèlement ? 111 : w12agnan nous dit' : La"paranoïa
chronique
? (folie. systématique cbronique),, c'est,le déli
ranoïa chronique ? (folie. systématique cbronique),, c'est,le délire,
chronique
? Les .gformesjsi changeantes, dans leur, allur
. au besoin, de confusion mentale aiguë hallucinatoire. Le délire
chronique
,, au contraire, (eAroMC/M Vei,2,iielitheit, n,c
progressive,' et^vous' les' faites - 'suivre'des'variétés : délire
chronique
de' Magnan où paranoïa complète de ''Moebiùs ?
sorte d'entrelacement des 'termes et des modalités tant aiguës que
chroniques
et'à l'en- 'chevetremënt des symptômes qui 4es'
elques mois plus ' -tard1,'1 nous voyons se,- manifester 'un délire
chronique
'bien '" systématisé qui aboutit à la cristalli
omment 's'exprime. M.' Cramer pour éli- '"miner'la notion du délire
chronique
de Magnan ? " " ' ' 280 CLINIQUE MENTALE. .L'
tude de la bibliographie démontre que les quatre périodes du délire
chronique
n'ont jamais été, observées en Allemagne, bien
qu'il place dans les dégénérescences mentales justement les formes
chroniques
, c'est-à- dire qu'il fait précisément l'inverse
e fait Magnan. Scliuele décrit, il est vrai, un délire systématique
chronique
(c/troHMe/tM' Wahnsinn) qui peut embrasser plus
Ce n'est donc pas là l'évolution invariable et méthodique du délire
chronique
de Magnan. C'est aussi ce que nous pourrons obs
urant les traités d'autres auteurs pour chercher un appui au délire
chronique
de' Magnan, et en étudiant les travaux italiens
dege7 ? ci,(ttiva), n'envisagent la plupart du temps que les formes
chroniques
. Or l'évolution chronique type est un des signe
agent la plupart du temps que les formes chroniques. Or l'évolution
chronique
type est un des signes caractéristiques du déli
olution chronique type est un des signes caractéristiques du délire
chronique
qui ne survient que chez les non dégénérés... C
lupart des Alle- mands et des Italiens. Il s'ensuit que le délire
chronique
de Magnan doit être extrême- ment rare et qu'on
ne- parle en réalité que de deux formes de paranoïa. 1° La forme
chronique
ou verrüclctheit de Krafft-Ebing, ou typischer
r Wahnsinn de Schuele, -c'est-à-dire la Verrûcktheit et le Wahnsinn
chroniques
, en français, folie systématique chronique prog
ktheit et le Wahnsinn chroniques, en français, folie systématique
chronique
progressive dont les caractères sont : l'idée dél
mentale) susceptible d'apparaître aussi dans la folie- systématique
chronique
(chronische u' ? 'Mce ! <) et dans le Wahnsi
st, ajoutent-ils, capable de se produire dans la folie systématique
chronique
primitive (chi-onische pîii ? 2oej»e Verrûckthe
onische pîii ? 2oej»e Verrûcktheit) (Serbsky) ou folie systématique
chronique
simple (einfaclae chronische Paranoïa), même à
de transformer le précédent schéma en paranoïa f aiguë ettparanoïà
chronique
, en introduisant, sous chacune de ,-ces deux ru
Cette part peut se faire assez vite quand il s'agit d'une. paranoïa
chronique
telle que le délire de jalousie ou le délire de
nt aux épisodes maniaques ou mélancoliques de la folie systématique
chronique
..., ils rie prêtent pas longtemps à l'illusion
es vésanies que celles des héréditaires dégéné-" résetdes délirants
chroniques
. Dans les psychoses'organiques'* rentrent lest
ie de l'apophyse odontoïde qui comprime et provoque de la méningite
chronique
limitée. Le facial réagit dans l'espèce par des
P. K. XXVIII. Contribution A l'anatomie pathologique DE la chorée
CHRONIQUE
PROGRESSIVE HÉRÉDITAIRE; par II. OPPEXUEIM et t
rvations ayant ceci de particulier qu'il s'agissait d'une 1e chorée
chronique
héréditaire sans complication. Il y a eu com- p
ouble mental le plus commun est une forme tranquille, subaigûë ou
chronique
sans excitation motrice, et souvent est associée'
ques. z M. SCHULTZE communique une observation de dermato-myosite
chronique
chez un enfant (voir Zeitsch. f. lYerven)zeil>
d'autopsie et étude critique de l'obser- vation d'affection spinale
chronique
présentée au Congrès pat'BasMm/6)' le' 7 juin 1
D et Hallion. Certaines formes de l'athétose double et de la chorée
chronique
= présentent un grand nombre de traits communs.
e des rapports étroits qui unissent Fathétose double et la chorée
chronique
. Il s'agit d'une malade qui présentait, depuis qu
e malade qui présentait, depuis quinze ans, les signes d'une chorée
chronique
des membres, et chez qui survinrent des mouveme
embres et à l'athétose par' sa face. L'athétose double et la chorée
chronique
apparaissent ainsi commo deux syndromes, issus
lques-unes allant se dénoncer. En revanche,,la folie systématique
chronique
et la mélancolie sont poursuivies par les tribu
aît quand la psychopathie s'améliore ou quand elle prend une marche
chronique
ou dans la démence secondaire; elle reste alors
aussi bien au début que dans le cours des psychoses intellectuelles
chroniques
. Cette allure presque sans exception est l'apan
, par cela même, se séparent en quelque sorte de la maladie mentale
chronique
, en dehors de l'épisode passionnel, sur laquell
eau ordinaire, la psychopathie reprenant son caractère uniformément
chronique
, l'anomalie menstruelle, passagère, se transfor
iculièrement fortes; 4° dans la folie systématique hal- lucinatoire
chronique
on constate de semblables irrégularités oscilla
s rares mais aussi moins accentuées ; 5° dans la folie systématique
chronique
simple, courbes thermiques abso- lument normale
'était donc qu'une rémission dans une per- turbation intellectuelle
chronique
.... Archives, t. XXIX. 26 402 SOCIÉTÉS SAVANT
aison par une sorte de réaction. Esquirol distinguait de la démence
chronique
une démence aiguë qui se développait dans la co
nt le délire de collapsus (collaps delirium de Kraepelin), la forme
chronique
désignée par Meynert sous le nom d'Amentia, etc
maisons de déten- tion où s'accumulent pêle-mêle curables aigus'et
chroniques
incu- curables auxquels un autre système d'assi
ègle de transformation est surtout très manifeste pour l'alcoolisme
chronique
. Dans ces cas, l'enfant est souvent idiot en mê
érées, répétées et parfois même con- tinuelles chez les alcooliques
chroniques
soient une cause de dégénérescence nerveuse, et
eptiques à ceux de l'alcoolisme. Comme nos malades, les alcooliques
chroniques
voient leur intelli- gence s'affaiblir et décho
ravaux gigantesques. Nous voyons la même chose chez les alcooliques
chroniques
sous l'influence de l'ivresse. Ces malades sont
paralysie périphérique du facial (a /' ? '0 ! 'e), 1 de polynévrite
chronique
, 3 de névrose traumatique, 12 d'hystérie ; 6 de
, des instillations d'atropine. J'ai vu beaucoup de cas d'épilepsie
chronique
dans lesquels les malades ont été débarrassés d
isfaisante de leurs anomalies visuelles, 90 p. 100 des épileptiques
chroniques
, ont été mieux, en dehors de tout traitement br
raphie. 481 intoxication des centres nerveux surajoutée aux lésions
chroniques
de la méningo-encéphalite ; 2° on peut presque
le doit être un hôpital pour les aigus et un lieu de repos pour les
chroniques
. Installez-le donc confortable, riant. Cette tr
e marquée du cerveau, lésion évidente de la,pie-mère et endartérile
chronique
diffuse plus ou moins pro- noncée. Dans un'cas
de méningite hémorrhagique le nom,dé lepto- méningite-hémorrbagique
chronique
. (The Alienist cLndNetoolorit, XIV,93, n ? I.,)
dance de lésions médullaires,' on l'observe parfois dans la myélite
chronique
, lapâchÿméuingite; la paraplégie traumatique. O
. nique. C'est bien actuellement du délire de persécution (paranoïa
chronique
) c'est-à-dire d'une des. formes de la folie systé
e les cas dans lesquels il y a forma- tion d'un délire systématique
chronique
, incurable, stable, implanté sur une assise con
deviennent chrôniques'et réssemblent'1exa"ctement àcéux qui "sont'
chroniques
d'embléë ? 1 ? KRPELIN. Généralement la paranoï
i-ù --àét-it 6ù' se1 termine'par la 'démence" niais 'ne devient pas
chronique
? 1 ' ? ftj Il ? n=-a;bJ' f, " ` Tul"' M. ,VO
tématique hallucinatoire aigu se distingue du délire sys- lématique
chronique
(paranoïa) par la différence de la marche, de l
hapitres sont consacrés à la des- cription des délires systématisés
chroniques
, de la dégénérescence et de la folie des dégéné
ranquille, ambitieuse, sensorielle, transitoire; la manie subaiguë,
chronique
, le délire aigu, les états maniaques symptomati
idité sympto- matiques. Enfin sont étudiés les délires systématisés
chroniques
, tels que le délire des persécutions dans ses f
é. Mais au Caucase il n'y a rien de plus commun que les congestions
chroniques
du foie, qui habituellement sont dues à l'impal
niques ? Poncel, dans son ouvrage « De l'influence de la congestion
chronique
du foie sur la genèse des maladies », rattache
re part, ceux d'un diabétique atteint de polynévrite interstitielle
chronique
. Nos recherches confirment donc cette conclusio
ile de déterminer, chez les animaux par une intoxication arsenicale
chronique
, l'apparition d'une polynévrite ou d'une myélit
res et phoné- tiques. A. Marie.' III. Observation d'hydrocéphalie
chronique
traitée par le drainage; par les Drs BASKETT et
s laissé de trace, ou bien quand il est constitué par une contusion
chronique
, comme dans les cas d'atrophie avec parésie des
het, sa terminaison extraordinai- rement favorable. C'est un délire
chronique
systématique, progres- sif, incurable, qui, apr
. Falret qui, depuis neuf ans, était [chargé du servica des aliénés
chroniques
de la Salpêtrière, passa dans la section de Ram
e- nir les sensations qui les ont irritées ? Un état d'épuisement
chronique
comme le pense M. Féré ? Dans l'amnésie consécu-
lière des cellules qui doit être'une sorte d'épuisement, de fatigue
chronique
; mais quelles modifi- cations anatomiques ou ph
urs attaques de manie aiguë rémittente, l'affection passer à l'état
chronique
. Dans la manie habituelle la guérison est moins
baiguë d'un accès d'alcoolisme. Il en est de même pour l'alcoolisme
chronique
, à l'heure où les lésions cérébrales définitive
aniaques et . mélancoliques, dans la folie intermittente, le délire
chronique
. et la dégénérescence mentale. Différences d
t en général ne reparaît pas. Dans un autre groupe, les délirants
chroniques
, à prédispo- sition plus accusée, mais dont l'é
la plénitude de leurs facultés. Manie et mélancolie simples, délire
chronique
, folie inter- mittente, dégénérescence mentale
te les mélancoliques et les maniaques simples). Restent le délire
chronique
et la dégénérescence mentale, c'est-à-dire la p
rres constructions de son subjectivisme morbide. Chez le délirant
chronique
, rien de pareil. C'est au sommet d'une vie de t
ssionné par une série de circonstances fâcheuses, le futur délirant
chronique
se replie sur lui-même : il se con- centre, il
e, s'il s'assujettit tout de suite au joug de la folie, le délirant
chronique
proteste et se défend. Il examine, il cherche,
able qu'au moment où le niveau intellectuel s'affaisse. Le délirant
chronique
, au contraire, ne guérit pas; dès qu'il a franc
re ambitieux; cette manifestion des cerveaux affaiblis. Le délirant
chronique
n'y vient qu'au moment où son intelligence fléc
ique, le délire ambitieux affleure à la surface. En somme, délire
chronique
et dégénérescence s'opposent l'un à l'autre en
égénérescence s'opposent l'un à l'autre en totalité. Qui dit délire
chronique
exclut par ce fait même la dégénérescence. L'
près chaque accès, plus vigou- reuses et plus tenaces. L'alcoolique
chronique
, dépourvu au 282 CLINIQUE MENTALE. début de p
ins de ces établissements, par inter- valle au moins. Ces diarrhées
chroniques
, qui aboutissent à la 288 . asiles d'aliénés.
fait que l'asile n'est pas très ancien, et que beaucoup de malades
chroniques
y séjournent depuis les premières années de son
alcoolisme, en somme, est très répandu dans la région, l'alcoolisme
chronique
surtout. Il est certain également, et tous les
, où la plupart des médecins connaissant peu les maladies nerveuses
chroniques
des enfants, ne croient pas encore qu'il est po
faute d'avoir pu recourir aux sources (les pièces des archives, les
chroniques
du temps, les relations des ambassadeurs). '
sie, l'aphasie, la sclérose cérébrale, l'athélose double, la chorée
chronique
, la porencé- phalie, l'hydrocéphalie, la syring
dorso-cervicales. Par suite, il est probable qu'il y a inflammation
chronique
diffuse du tissu conjonctif épidure- mérien ou
tsch. f. Psycitiat., L. 1 et 2.) Il y a des psychoses syphilitiques
chroniques
qui durent très long- temps et présentent une g
ue l'hystérie ne puisse être indépendante et que la périencéphalite
chronique
progressive ne se développe chez des hystériques.
ielles ou du moins ces hallucinations peuvent n'être qu'esquissées.
Chronique
s'il en fut, primitif et ori- ginel. Il ne est
en fut, primitif et ori- ginel. Il ne est une autre forme également
chronique
mais acquis, dans lequel les hallucinatiens nom
Le délire syslématique aigu a les caractères cliniques du délire
chronique
, mais c'est une paranoïa abrégée durant quelques
la produc- tion pileuse anormale coïncida avec le passage à l'état
chronique
de la psychose. (Bi-ilish JIccl. Joziriz., 2 ju
lein quand on a affaire aux épisodes aigus du délire systéma- tique
chronique
; 4° la stupeur contre-indique les visites autant
lie systématique Archives, t. XXVIII. 27 418 SOCIÉTÉS SAVANTES.
chronique
. On se déterminera d'après l'humeur du malade, l'
es parlent en faveur d'un début d'amélioration ; 7° dans la démence
chronique
, on permettra plus fréquemment de visiter les m
es jours après un autre accès violent de passion l'étreint, devient
chronique
et revêt les caractères d'un sentiment obsédant
at d'accès fruste chez les neurasthéniques, ou à l'état de symptôme
chronique
, sans qu'il se produise aucune trace d'angoisse
ATISÉS DANS LES DIVERSES PSYCHOSES '. DEUXIÈME LEÇON. LE DÉLIRE
CHRONIQUE
A ÉVOLUTION SYSTÉMATIQUE*. Sommaire. Délire chr
. LE DÉLIRE CHRONIQUE A ÉVOLUTION SYSTÉMATIQUE*. Sommaire. Délire
chronique
, type achevé de systématisation délirante. Conc
que, type achevé de systématisation délirante. Conception du délire
chronique
basée : 1° sur l'état mental primordial ; 2° su
du délire plus étroite et modes de réaction. Observation I. Délire
chronique
à la deuxième période : Hallucinations de l'ouï
ts, tentative de suicide, menaces de mort. Observation IL -Délire
chronique
à la deuxième période : Développement croissant
ant peu à peu le délire des persécutions. Observation III. Délire
chronique
au début de la troi- sième période : Modificati
ans l'attitude, allusions à des richesses. Observation IV. Délire
chronique
à la troisième pé- riode : Hallucinations. Idée
à des espèces nosologiques différentes bien définies. Or, le délire
chronique
est formé d'une succession de délires parfaite-
lus profonde. Type achevé de systématisation vésa- nique, le délire
chronique
doit comme tel, occuper la première place dans
TISÉS DANS LES PSYCHOSES. 438 ont conduit à la conception du délire
chronique
à évolution systématique. Lorsque le délire c
n du délire chronique à évolution systématique. Lorsque le délire
chronique
apparaît, à l'âge mûr, de trente- cinq à quaran
dans la folie : une assez longue période les y prépare. Le délire
chronique
débute, en effet, d'une manière insi- dieuse. L
; et avec celle-ci, il est entré dans la deuxième période du délire
chronique
, celle des hallucinations multiples de nature p
i les hallucinations auditives ne font jamais défaut dans le délire
chronique
, si elles en sont un des éléments symptoma- tiq
, les frappe ou les tue... Telle est cette deuxième phase du délire
chronique
, pendant laquelle l'agitation intérieure, sourd
clinique absolu qu'à une certaine époque de sa maladie, le délirant
chronique
devient de persécuté, am- bitieux. Le paria, la
i ingérées, avait frappé son attention. Malgré cette intoxication
chronique
, traversée par de fréquents excès aigus, le malad
notre avis, dans les excès alcooliques aigus que dans l'alcoolisme
chronique
qu'il faut rechercher cette origine. Voici pour
au contraire, que le taux de l'urination baisse dans l'intoxication
chronique
. Pour appuyer notre manière de voir, nous feron
ont de grandes ressemblances avec d'autres myélopathies aiguës ou
chroniques
, et elles n'en ont pas toujours été distinguées.
ue la syphilis peut engendrer directement des myélites (aiguës ou
chroniques
) non systématiques. La dégénération systématisée
Les formes cliniques les plus communes, de beaucoup ont une marche
chronique
. On est encore le plus souvent en pré- sence du
nues à la période des paralysies sont rares. Les myélites aiguës ou
chroniques
, une fois consti- tuées, parcourent leur évolut
e tous, Snell, en l8Gâ, sous le nom de mono- manie, décrit la forme
chronique
de la Paranoïa, dans la genèse de laquelle les
une forme hypocondriaque z qui peuventêtrel'uneet l'autre aiguës ou
chroniques
. Les types aigus auraient pour facteur principa
rme de Verrüclctheit adopté par Westphal, décrit la Ve2,2,iiektheit
chronique
simple avec son sous-groupe délire de chicane o
ceptions fausses, délirantes, et qui mérite le nom de Verrüchllaeit
chronique
vu la signification de ce terme, ou de Wahnsinn
üchllaeit chronique vu la signification de ce terme, ou de Wahnsinn
chronique
si l'on veut faire la part extrêmement importan
hn) et des hallucinations sensorielles (Sinn). Mais il faut ajouter
chronique
. Où l'embarras survient, c'est quand les auteur
t se traduire par l'expression correspondante de folie systématique
chronique
qu'elles signifient réellement dans le fonds et
s idées délirantes et des halluci- nations de la folie systématique
chronique
(paranoïa chronica.) 3° Le délire organisé prim
onne. 4° Avec Westphal, apparaît la netteté du délire systématisé
chronique
; le rôle des hallucinations et des idées délirant
sécutions ressort des plus caractérisés dans le délire systématique
chronique
primitif et primitif originel (Sander) Qu'il pu
aurait les mêmes éléments morbides que dans la folie systématique
chronique
, mais non plus amalgamés et enchaînés comme dans
après avoir décrit le Wahnsinn type, dont l'essence est en réalité
chronique
, il en admet une forme simple, et une forme hyp
ne forme hypochondriaque, pouvant à leur tour être chacune aiguë ou
chronique
. Il croit cependant que les hallucina- tions en
u la Verrûcktheit acute. 5° En tout cas, dans la folie systématique
chronique
rentrent dès maintenant, d'après les auteurs, l
ar au fond ces trois mots sont l'équivalent du délire systématique,
chronique
, coordonné, cristallisé, d'après les observatio
Ils ne devraient jamais être employés qu'accompagnés de l'épithète
chronique
, plus ou moins complétée par une seconde telle qu
ns anatomiques encore absentes; ainsi, dans la folie systéma- tique
chronique
, qui se prolonge pendant toute la vie et se termi
l'exemple de Schuele, nous appuyer d'abord sur lafoiiesystématique
chronique
, qui est la forme iapiusgénéralement et la plus
ic était 'justifié, sinon la paranoïa [acuta devenaitde la paranoïa
chronique
ou de la démence. Lorsque Mey- nert sépara la c
terai donc en peu de mots successivement : de la folie systématique
chronique
simple (paranoïa chronica simplex) de la folie
ronique simple (paranoïa chronica simplex) de la folie systématique
chronique
hallucinatoire (paran. chron. hallit- ci7zaloî,
atoire (para ? ne : <<. hallucinat.). La folie systématique
chronique
(paranoïa chronica) a pour carac- tère : l'exis
rcement, l'exa- gération des tendances naturelles, mais la paranoïa
chronique
n'existe que lorsque apparaît le système de dél
ngement, à une déviation du raisonnement. Pour moi, à la paranoïa
chronique
préexiste une débilité men- tale, une imbécilli
raissent d'ailleurs dès les premiers stades delà folie systématique
chronique
. A ce propos la terminologie qui a cours dans l
or on sait qu'elles ne manquent jamais dans la folie s3·sté matique
chronique
: ils sont le jouet de troubles morbides, tels qu
Qui doute de la démence en tant que symptôme général de la paranoïa
chronique
, doit essayer de trouver sur un grand nombre de
de trouver sur un grand nombre de malades, des fous systématiques
chroniques
qui présentent une netteté intellectuelle complèt
avec une agitation, si nous avons affaire à une folie systématique
chronique
ou à une folie systématique aiguë curable. Un
ÉTÉS SAVANTES. 495 Nous arrivons maintenant à la folie systématique
chronique
hallucinatoire (paranoi(t.chro7zica hallucinalo
a). D'abord existe- t-elle ? Existe-t-il une V6n'Me/f</te ! <
chronique
, incurable, qui, sans agitation, se développe g
re et tombé dans l'oubli de Wahn- sinn doit représenter la paranoïa
chronique
abrégée et concise. Il s'agirait donc d'un syst
si qu'on l'admet aussi sans réserve, aboutir à la confusion mentale
chronique
ou désordre dans les idées chronique (chronica
aboutir à la confusion mentale chronique ou désordre dans les idées
chronique
(chronica Verwirrtheil) amentia chronica ou sec
fuse (dementia coifus(z ? Peut-elle aboutir à la folie systématique
chronique
? Des auteurs recomman- dablesen doutent. Pour
nde s'il a bien devant lui un type de paranoïa aiguë ou de paranoïa
chronique
; n'est-ce donc pas là un premier signe en faveu
aît, et, cette fois, loin de rétrocéder, elle aboutit à la paranoïa
chronique
et à la démence. C'est une évolution analogue q
sindiquée n'entre pas en scène etil tombe dans la confusion mentale
chronique
(chronische Vewirrlheit) sans passer par le sta
e rechute; agités et hallucinés, ils tombent alors dans le désordre
chronique
des idées, état de dissociation intellectuel (V
bsistent et se développent. Enfin ils peuvent aussi faire un délire
chronique
sys- tématique (paranoïa chronica). L'observati
démence (derneittia) appartient aux signes de la folie systématique
chronique
et non à ceux de la folie systématique aiguë; s
que la folie systématique aiguë se transforme en folie systématique
chronique
et devient incurable. S'il peut être difficile
maladie, nous en fixons les analogies avec la folie systéma- tique
chronique
. Ce faisant, nous verrons que la folie systématiq
de ces délires; quelle en est l'analogie avec la folie systématique
chronique
(paranoïa chro- nica) ? Ces délires, ou amentio
s intellectuelles. Toutes deux peuvent aboutir la confusion mentale
chronique
ou désordre chronique dans les idées, terminée
tes deux peuvent aboutir la confusion mentale chronique ou désordre
chronique
dans les idées, terminée elle-même par la démen
'est que la confusion mentale n'aboutit pas à la folie systématique
chronique
. Si la gué- rison incomplète de l'amenda laisse
ectuelle qui sert de terrain à l'évolution d'une folie systématique
chronique
(cela est hors de doute), il ne s'agit en tout
ndaire et non d'une transformation directe de l'amentia en paranoïa
chronique
, tandis que la folie systématique aiguë (para-
et Boedeker ont fait ressortir la parenté de la folie systématique
chronique
(paranoïa chronica ) , de la folie systématique
rtées supra de la confusion mentale, la folie systématique aiguë et
chronique
(paranoia acuta et chronica) enfin, la paralysi
- tômes essentiellement analogues à ceux de la folie systématique
chronique
ou des complexus symptomatiques se confondant dir
ir encore. Ou bien enfin elle se trans- forme en folie systématique
chronique
(paranoia chronica alcoolica). Entre ces deux g
ues, et alors on peut dire qu'il s'est agi d'une folie systématique
chronique
(poranoiu chronica) ayant été précédée d'un sta
st pas rare du tout de la voir se transformer en folie systématique
chronique
(paranoia chronica) ; il n'y a donc en principe
n'est pas tout à fait exact. Sans doute, dans la folie systématique
chronique
, ce qui est le plus remarquable, ce qui détermi
en jeu. Tout au moins est-ce à supposer dans la folie systématique
chronique
. Quant à la confusion mentale hallucinatoire ai
r un arsenal d'observations capable de permettre de tenir le délire
chronique
de Magnan pour artificiel. Comme l'a parfaite
et Sérieux. (Encyclo- pédie des aide-mémoire Léazité.) Au délire
chronique
déjà publié, par les mêmes auteurs dans l'encyc
rmal pour les choses de la vie de chaque jour. 2 folie systématique
chronique
simple*. ' 2 hallucinatoire 2. 1 démence cons
olie alcoolique (4° admission). 2 folie systématique hallucinatoire
chronique
. 6 4° Automates incapables de vivre sans une
'énergie, mais utilisables ici. 6 folie systématique hallucinatoire
chronique
. 1 folie circulaire (dont les stades durent des
quée, illettré. 8 5° Automates en démence. 5 folie systématique
chronique
hallucinatoire'. 3 confusion mentale secondaire
natoire'. 3 confusion mentale secondaire'. ' 2 folie systématique
chronique
simple (déchéance). 3 désordre dans les idées c
cliniques, 395. Arsenicisme, les manifestations ner- veuses de 1'
chronique
, par Beco, 108. Artiiropatiiies tabétiques de
istral se présente à nous sous l'aspect caractéristique de l'aliéné
chronique
prédisposé, avec malformations crâniennes' cong
hlbaum, d'abord parce qu'ils ne se produisent point dans les folies
chroniques
, en second lieu parce qu'ils représentent des p
e produire après que les malades en ont cessé l'usage. Dit délire
chronique
(suite de la discussion). M. Charpentier a renc
ersé- cutions aboutissant à la mégalomanie (persécutés par vanité
chronique
). De l'action des médicaments à distance. Sugge
angements. Emphysèmeconsidérable et bronchite chro- nique. Catarrhe
chronique
de l'estomac ; tendance à la constipa- tion ; f
l'épanchement avait toujours lieu sous le périchondre. Du délire
chronique
(suite delà discussion). M. SAuRy expose que l'
elà discussion). M. SAuRy expose que l'évolution spéciale du délire
chronique
suffit à le distinguer des autres formes mental
évue. La plupart des arguments que l'on a invoqués contre le délire
chronique
reposent sur des observations analogues. Or, ces
aire res- sortir les différences radicales qui séparent le délirant
chronique
des dégénérés. Malgré certains signes communs,
re des persécu- tions, ce qui constitue des cas très nets de délire
chronique
. M. DOUTn6BENTE. - Dans l'observation qui vient
élèves, cet individu ne pouvait donc être considéré comme délirant
chronique
. bl. SAunv ne sait pas si son malade aurait pu
ne sait pas si son malade aurait pu être confondu avec un délirant
chronique
, mais ce qu'il sait, c'est que MM. Da- gonnet e
. Ai. Doutrebente ne fait pas d'objection à la doctrine du délire
chronique
qu'il accepte très volontiers. M. Falret demand
né d'assez longue durée pour constituer une double vie. Du délire
chronique
(suite de la discussion). M. J. Séglas, rappell
lle que dans les communications antérieures les partisans du délire
chronique
font de cette vésanie une espèce nosologique bi
olue et à ce propos, M. Séglas rapporte huit observations de délire
chronique
diagnostiqué par MAI. Magnan, Garnier, Briand.
semblables. C'est ainsi que M. Gérente, dans sa thèse sur le délire
chronique
(1883), reconnaît qu'au début de l'affection il y
e dégénéres- cence héréditaire. 11 ne sépare donc pas les délirants
chroniques
des dégénérés et réunit d'ailleurs sous le nom
chroniques des dégénérés et réunit d'ailleurs sous le nom de délire
chronique
les faits les plus dissemblables (persécutés or
te d'ailleurs (Arch. de Neurologie, 1884) une observation de délire
chronique
reconnue par AI. Magnan, chez un malade ayant e
e de Médecine et de Chirurgie 1883 où l'on voit aussi que le délire
chronique
peut s'accompagner ou non d'hallucinations. AI.
l n'est pas rare de rencontrer chez des débiles le véritable délire
chronique
et il en rapporte trois exemples. Cette coexist
il en rapporte trois exemples. Cette coexistence possible du délire
chronique
avec les états dégénéra- tifs est encore mise e
spaut(1883) qui rapporte deux observations de coexistence du délire
chronique
avec des manifestations épileptiques de caractè
d'une hérédité- complexe, était à la fois épileptique et délirant
chronique
. Cela ne laisse pas que d'étonner de rencontrer u
chez un même sujet ces formes morbides d'ordre si différent, délire
chronique
, débilité mentale, épilepsie ; surtout si l'on pe
est une maladie essentiellement héré- ditaire, tandis que le délire
chronique
serait distinct des états de dégénérescence, à
ion, ce qui, pour AI. Séglas, serait caractéristique dans le délire
chronique
ce ne serait pas tant la succession des période
s périodes qu'on peut aussi rencontrer chez les dégé- nérés (délire
chronique
galopant de M. Briand) que leur lon- gueur. M.
ur. M. Séglas rappelle que, dans une de ses observations, le délire
chronique
est arrivé en moins d'un an à la troisième pé-
lires chez des dégénérés qui évoluent aussi lentement que le délire
chronique
(délire à évolution chronique des dégénérés de
voluent aussi lentement que le délire chronique (délire à évolution
chronique
des dégénérés de AI. Legrain) et qui peuvent se
AI. Legrain) et qui peuvent se présenter sous l'aspect d'un délire
chronique
vrai. Si l'on admet avec M. Legrain que ce déli
délire chronique vrai. Si l'on admet avec M. Legrain que ce délire
chronique
vrai peut aussi se trouver chez les dégénérés,
rait le croire d'après les communica- tions des partisans du délire
chronique
qui ne l'opposent qu'aux - bouffées délirantes
autre côté, au point de vue du pronostic, les délires à évolution
chronique
des dégénérés peuvent aboutir à la démence, tout
énérés peuvent aboutir à la démence, tout comme le véritable délire
chronique
. En résumé, pour AI. Séglas, les observations q
opinions des auteurs qu'il cite, tous cependant partisans du délire
chronique
, sont en opposition formelle avec les théories
émises devant la Société, et, en tout cas, montrent dans le délire
chronique
la même confusion que ses partisans reprochent à
ore lorsque le crime a été commis par un homme atteint d'alcoolisme
chronique
, chez lequel des lésions cérébrales définitives
con- fondues avant lui, sous la dénomination commune de myélites
chroniques
, la plupart des affections de la moelle épinièr
migraineuse, une autre tante du côté de la mère atteinte d'eczéma
chronique
; la malade a une sceur plus jeune qu'elle qui est
ions tabétiques; lésions de la folie systéma- tique (Ieptoméningite
chronique
, atrophie de l'écorce, hydrocé- 1 Charcot. - Le
ne), 1888, p. 10. 440 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. phalie; oedème
chronique
diffus); stade congestif de paralysie générale
l'anomalie de la personnalité : tantôt il s'agit d'une psychopathie
chronique
ayant transformé la personne (aberration des pr
r cette cause se divi- sant en huit déments, six fous systématiques
chroniques
, quatre états d'angoisse et de désordre dans le
rigine des idées délirantes dans la paralysie générale. Du délire
chronique
. (Suite de la discussion.) - l\I, 11f.\GN,\ : "I
veut pas aborder aujourd'hui la discussion générale sur le délire
chronique
; il se réserve de le faire dans la prochaine séan
n l'absence de tout ren- seignement. Dans ces conditions, un délire
chronique
pouvait être facilement confondu avec un délire
s exemptes'. Consé- quemment, une hérédité chargée chez un délirant
chronique
ne saurait le faire entrer dans le groupe des h
églas, nous paraissent ressembler assez àce qui a été dit du délire
chronique
. Nous n'insisterons donc pas sur les symptômes
ec la famille, elle offre, en un mot, l'etat mental d'une délirante
chronique
. Dans la deuxième observation, il s'agit d'une
entrée à l'asile Sainte-Anne, était à la seconde période du délire
chronique
; elle avait des halluci- nations et des idées
s le cas même où il vient à guérir. Mm° S... est donc une délirante
chronique
ordi- naire, intelligente, sans stigmate d'aucu
et de l'évolution de la maladie, le type le plus parfait du délire
chronique
tel qu'il nous a été décrit ici. » Les trois pé
édées de la façon la plus régulière. C'est un bel exemple de délire
chronique
, et si, dans son enfance, Mm0 B... a eu de la c
bre. La sixième malade présente les symptômes habituels du délire
chronique
, des hallucinations surtout auditives et des idée
et conséquemment l'observation VIII ainsi complétée reste un délire
chronique
à évolution systématique tel que nous le compre
Gérente. Je n'admets nulle- ment et je n'ai jamais admis un délire
chronique
à base hypo- chondriaque; l'hypochondrie n'est
ondriaque; l'hypochondrie n'est point la première période du délire
chronique
. J'ai déjà eu l'occasion, l'année dernière, de
l'hallucination auditive est un des élé- ments essentiels du délire
chronique
; lors du passage de la pre- mière à la seconde
st là, sans doute, ce qui a fait supposer que j'admettais un délire
chronique
sans hal- lucinations. J'ajouterai qu'à la seco
ériode (période de persé- cution) je n'ai pas uu seul cas de délire
chronique
sans hallucina- tions. SOCIÉTÉS SAVANTES. ziz
M. Séglas rappelle, enfin, une observation que j'ai citée de délire
chronique
chez un épileptique'. Cette coexistence ne prouve
n épileptique'. Cette coexistence ne prouve nullement que le délire
chronique
soit l'oeuvre d'un débile. Il est des épileptiq
dans des conditions données, elle puisse coexister avec le dé- lire
chronique
dont le développemcntréclame toujours une certain
aits complexes et exceptionnels que nous désirons établir le délire
chronique
; j'en parle ici simplement pour répon- dre à l'
rgumentation de l\I. Sérias porte ensuite sur l'évolution du délire
chronique
et il donne comme exemple contradictoire de sa
lève quelques points faibles et s'en fait une arme contre le délire
chronique
. Maisje dirai à M. Séglas que je n'ai pas atten
cette évoluliondes dégénérés est tout autre que celle des délirants
chroniques
. Puis encore M. Séglas s'empare avec empresseme
avec empressement de cette idée émise par M. Legrain que le délire
chronique
peut se mon- ' Magnan. Leçons cliniques sur l'é
ne peuvent en rien modifier les grandes lignes assignées au délire
chronique
. Cette espèce pathologique se développe seu- le
sont intelligents, pourraient sous ce rapport, prétendre au délire
chronique
, mais ils y sont rendus réfractaires par certai
ur intelli- gence. C'est ainsi que je m'explique pourquoi le délire
chronique
est une rare exception même chez le simple désé
discours M. Séglas nous dit qu'il ne com- prend plus rien au délire
chronique
. Ce n'est pas étonnant, car dans son argumentat
er cette espèce pa- thologique sous un nom particulier, « le délire
chronique
», auquel nous ajoutons, à évolution systématiq
. Magnan, que nous trouvons d'ailleurs chez deux de nos déli- rants
chroniques
. Je terminerai en disant qu'en ce qui concerne
ment, rapporté dans sa thèse trois cas dedébititémentateavoc délire
chronique
. M. Magnan critique aussi les délires à évoluti
délire chronique. M. Magnan critique aussi les délires à évolution
chronique
des dégénérés de M. Legrain sans dire cependant
leur existence. Enfin il déclare ne pas admettre du tout le délire
chronique
tel que l'a décrit 11. Ué- rente. Il y a donc p
l'a décrit 11. Ué- rente. Il y a donc plusieurs théories du délire
chronique
. C'est en somme ce que je tenais à faire consta
il y a bien de la confusion parmi les partisans eux-mêmes du délire
chronique
au sujet de cette forme psychopalhique prétendu
es improprement, suivant M. Séglas, dans la catégorie des délirants
chroniques
aient ou n'aient pas de tares héréditaires accu
ES. Séance du 26 mars 1888. - Présidence de 11. Falret. Du délire
chronique
(suite de la discussion). M. CoTAm croit à l'ex
l'apposition d'idées de grandeur à une période avancée d'un délire
chronique
n'est pas spéciale au délire des persécutions.
au délire des persécutions. M. Magnan. Les adversaires du délire
chronique
lui ont fait les honneurs d'une longue, minutie
qui parait si clair et presque indiscutable aux partisans du délire
chronique
est-il considéré, au contraire, comme très obscur
tents ou môme des hystériques. Ils ont les apparences d'un délirant
chronique
à la seconde période, mais ils en diffèrent tot
n'offrent jamais la marche systématique- ment méthodique du délire
chronique
. Une seconde assertion que nous devons relever
d'accord en cela avec M. Falret, nous repoussons du cadre du délire
chronique
. Lasègue ayant compris dans le délire des persé
ouverait certainement parmi eux beaucoup qui seraient des délirants
chroniques
; mais pour Morel il faut qu'ils soient hypo- ch
ent une manifestation des héréditaires dégénérés et comme le délire
chronique
est très rare chez ces derniers, il ne paraissa
nter des caractères assez fixes pour entrer dans Je cadre du délire
chronique
. M. Magnan donne lecture de deux observations q
utions tel que le comprend M. Falret, ni dans celui de notre délire
chronique
et cependant la grande autorité de More], ajout
s la mégalomanie de Foville ne contient pas seulement les délirants
chroniques
(persécutés hallucinés àlongue éclosion, devenu
x, M. Falret ne partage nullement l'opinion des partisans du délire
chronique
. Ce délire ambitieux s'observe à peine, dit not
d'un adversaire qui n'est pas suspect de tendresse pour le dé- lire
chronique
, de notre collègue M. Séglas qui, du reste, a cho
ion et pour ces quatre, il faut bien le remarquer, en disant délire
chronique
, nous comprenions implicitement le développemen
'oreille ambitieuse 1. Cette période fait donc corps avec le délire
chronique
au même titre que la suppuration dans l'éruptio
riode de démence et cependant, s'il est vrai que certains délirants
chroniques
soient encore au bout de vingt ou trente ans ca
tellectuels en voie de déclin. M. Falret craint aussi que le délire
chronique
ne comprenne des faits plus nombreux et plus co
de persécution. Il peut se rassurer sous ce rapport, car le délire
chronique
tel que nous le compre- nons laisse en dehors d
oir désigner ce groupe bien limité de malades sous le nom de délire
chronique
à évolution systématique. Ce que j'ai dit des t
t aisément contrôler de nouveau les assertions émises sur le délire
chronique
. Un mot seulement sur la communication de M. Ba
ien il était néces- saire de tracer nettement les limites du délire
chronique
pour ne pas confondre avec lui des cas de ce ge
ier des Bourbons persécuté pourraitêtre tout aussi bien un délirant
chronique
qu'un mégalomane dégénéré, distinction fort imp
e la succes- sion des idées délirantes. Cet aliéné ne sera délirant
chronique
que tout autant qu'il ne sera devenu l'héritier
et c'est par là que je termine, qu'il y a bien réellement un délire
chronique
a évolution systématique. M. CHIiISTIAN. Lorsqu
pour le même motif que j'ai proposé de le désigner du nom de délire
chronique
. M. RITTI. Mais, en face d'un persécuté, à quoi
z-vous s'il est un simple dégénéré ou bien qu'il deviendra délirant
chronique
? M. Magnan. D'abord, d'après les antécédents h
ne présentait aucun trouble intellectuel, j'écarte l'idée du délire
chronique
; mais si, au contraire, on me raconte de plusi
t d'être tracassé par des ennemis ima- ginaires, je pense au délire
chronique
, lequel devient évident pour tous le jour où se
diagnostic de cette affection à telle ou telle période ? Le délire
chronique
est ou n'est pas. Si on peut le diagnostiquer,
lules granuleuses. M. OPPENHEIM. Sur un cas de paralysie bulbaire
chronique
pro- gressive sans lésion anatomique. - Jeune f
es cérébrales. Les causes de ces anomalies sont une lepto-méningile
chronique
(inflammation avec adhérences) allant, à la bas
ésidence DE M. WËSPHAL. M. Oppenheim. De la poliomyélite antérieure
chronique
. Obser- vation très longue avec autopsie et étu
à l'asile depuis dix-huit mois. Démence par suite d'absin- thisme
chronique
. L'agitation actuelle s'est manifestée il y a q
à l'asile depuis deux mois. Démence avec agitation par alcoolisme
chronique
. Chaque nuit, depuis son entrée, ce malade se r
es ' : 1° La forme hypochondriaque déjà décrite par Morel, à marche
chronique
, avec des rémissions typiques. Les troubles de
tion s'accompagnant d'illu- sions et d'hallucinations.- 2° La forme
chronique
àdébutlent, à marche rémittente. Les hallucinat
883) décrit l'examen microscopique du cerveau d'un fou systématique
chronique
halluciné. Kroepehn* (1883) distingue : 1° la P
divise en simple et en hallucinatoire chacune pouvant être aiguë ou
chronique
, La forme aiguë de la Paranoia primitive simple
s n'ont pas d'hallucinations, ils peuvent guérir ou passer à l'état
chronique
. La forme chro- nique peut se diviser en trois
5 octobre 18886. Présidence de M. Semelaigne. La question du délire
chronique
mise à l'ordre du jour de la Société, sur la de
n doute, assigner une nou- velle place à certaines formes du délire
chronique
dans le cadre nosologique des maladies mentales
nication très étudiée que nous allons essayer de résumer. Du délire
chronique
.-111. P. Gan,cn. En clinique mentale, comme en
era-t-il selon un mode uniforme et continu dans la voie de la folie
chronique
, où les périodes s'éta- ient dans une coordinat
, mais j'avoue qu'elle est d'un emploi moins commode que « délire
chronique
», vocable usité par M. Magnan et ses élèves, et
xemple, s'est déve- loppé suivant l'ordre évolutif propre au délire
chronique
ou bien, au contraire, s'il est né, de toutes*p
x grandes classes : 1° Les dégénérés héréditaires; 2° les délirants
chroniques
est, à un point de vue généralisateur, une conc
(psychoses dégénératives ou constitutionnelles, folies épileptiques
chroniques
, hystéries enracinées incurables, alcoo- lisme
aires à la peptone de Kemme- rich, etc. Chez certains mélancoliques
chroniques
on obtient de très bons résultats du sel de cui
de diverses étendues, de même dans la plupart des maladies mentales
chroniques
s'ins- talle un affaiblissement psychique crois
me autant de phénomènes d'excitation. Dans la plupart des psychoses
chroniques
, l'affaiblis- sement psychique est un phénomène
0f/ ? '<tp/te en médecine »; « du Coma dans la maladie de Bright
chronique
» ; « du diagnostic précoce de la chronicité de
onnement, de persécution, etc. Cette forme guérit ou passe à l'état
chronique
. Elle peut succéder à des maladies aiguës, à l'
comme les psychoses postfébriles de Kroepelin, tantôt aigu, tantôt
chronique
, affectant la forme d'agitation mamaque avec dé
venant ensuite le renforcer et le soutenir comme dans les modalités
chroniques
de la folie systéma- tique primitive. ' Witko
a Wahnsinn proprement dite; cette Wahnsinn primare peut être : 1°
chronique
; 2° aiguë; 3° stupide. L'auteur décrit la forme
être : 1° chronique; 2° aiguë; 3° stupide. L'auteur décrit la forme
chronique
type en disant que tous les cas chroniques tenden
L'auteur décrit la forme chronique type en disant que tous les cas
chroniques
tendent à la systématisation proprement dite :
nt dite : un chapitre spécial est consacré à la Wahnsinn dépressive
chronique
, comprenant deux sous-chapitres : (a, délire de
folie systématique ( Wahnsinn) catatonique ; - g, l'hys- téricisme
chronique
incurable avec symptômes de dégéné- rescence.
1883) montrent le développement spécial de ces délires, leur marche
chronique
sans démence proprement dite, leur curabilité l
ériode de maladie des formes aiguës et le début de celle des formes
chroniques
psychoneurotiques est en con- tradiction avec l
tibial postérieur, péronier), ainsi qu'une poliomyélite antérieure
chronique
particulièrement pro- noncée dans les renflemen
ection nouveau du système nerveux central et des nerfs (proces- sus
chronique
) ; il est donc bon de mettre ce cas en parallèle
Séance du 29 novembre 1886. Présidence de M. Sémelaigne. Du délire
chronique
(suite de la discussion). M. FALRET con- firme
la discussion). M. FALRET con- firme les quatre périodes du délire
chronique
telles que les a exposées M. Garnier d'après la
t, en effet, dans le délire des persécu- tions. La qualification de
chronique
s'applique très heureusement à cette forme ment
ais il faudrait bien se garder de con- fondre sous ce nom de délire
chronique
la mélancolie anxieuse, comme tendrait à le fai
ncolie ne,présente pas les phases successives constituant un délire
chronique
. Comme l'a fait remarquer M. Cotard, c'est le d
en compris, M. Magnan et ses élèves dési- gnent du nom de délirants
chroniques
une catégorie d'aliénés dont la maladie suit to
oncerne le délire des persécutions, comme tout ce système du délire
chronique
est 2 4 ! e SOCIÉTÉS SAVANTES. peu fondé : Il
tre confondus avec les persécutés ordinaires qui sont des délirants
chroniques
. J'avoue ne pas comprendre ces subtilités; -, c
que nous devons rejeter cette innova- tion mal justifiée de délire
chronique
. Le délire des persécutions, restera un type no
e nosologique; on a tort de vouloir lui substituer le nom de délire
chronique
. Je n'ai jamais considéré la mégalomanie comme
ar leurs suffrages à diriger les travaux de la société. Du délire
chronique
(suite de la discussion). 111. Ganwn. Vous avez
comme légitime l'existence d'une vésanie spéciale dénommée : délire
chronique
. Mais il craint de voir englober dans le délire
: délire chronique. Mais il craint de voir englober dans le délire
chronique
une forme d'aliénation mentale à laquelle il ac
Je puis dire qu'il n'est nulle- ment question d'attribuer au délire
chronique
ce qui ne saurait lui appartenir. Que M. Falret
lieu de distinguer une vésanie ou psychose à marche progressive et
chronique
dont les périodes successives sont une phase d'in
là même de démontrer le peu de fondement de la doctrine du délire
chronique
. Où M. Dagonet voit-il une contradiction ? Il ne
unité clinique là où il n'y a qu'une phase déterminée d'une vésanie
chronique
impli- quant nécessairement comme période antéc
mes. M. Dagonet n'a pas manqué de critiquer l'expression « délire
chronique
» employée par M. Magnan et ses élèves pour désig
le-même, qui ne passe jamais par les phases décrites dans le délire
chronique
. Plusieurs persécutés guérissent, d'autresreste
ins un jour ou l'autre. 11. GARNIR. Assurément la démence ou délire
chronique
n'est pas ce qu'elle est dans certaines autres
ois ; cela est vrai, mais M. Magnan nous a aussi cité des délirants
chroniques
qui ont guéri à la période des persécutions.
yctiopalhique invétérée. A1'autopsle, on trouva une pachy méningite
chronique
in- terne,unefaiblecollectiouséreusedanslesveut
ue. IV. Atrophie mus- culaire consécutive au rhumatisme articulaire
chronique
. V. Amyotrophie et contracture réflexe d'origin
et les épileptiques. La troisème et la quatrième sont destinées aux
chroniques
. Il existe encore une baraque pour vingt-deux m
ences si fréquentes dans l'évolu- tion symptomatique des affections
chroniques
, et en particulier de l'épilepsie. Chez Hall.
une marche ni uniforme ni continue, mais cependant essentiellement
chronique
et qui en général ne tend pas par elle-même à l
r suite de la tare héréditaire ou constitutionnelle, de sa marche
chronique
et à début insidieux, de sa symptomatologie var
' Magnan. Leçons sur la folie héréditaire, 1882-1883; Les délirants
chroniques
et les dégénérés. Gaz. des hôpit., avril 1884. De
l, on peut rencontrer chez eux des délires systématisés à évolution
chronique
; les uns sont primitifs, c'est-à-dire qu'ils s'
ne reconnaîtrait pas dans ce tableau rapide des délires à évolution
chronique
chez les dégénérés les formes de Paranoia délir
spondre aussi à certaines formes de Paranoia. Ce sont les délirants
chroniques
. Au point de vue symptomatologique, le délirant
élirants chroniques. Au point de vue symptomatologique, le délirant
chronique
n'est autre que le persécuté vulgaire pris dans
évolution analogue à celle des délires des dégénérés à évolution
chronique
(état mental particulier, début insidieux et prog
on des idées analogues à celles . que l'on rencontre dans le délire
chronique
, tandis que les autres variétés correspondraien
ormes de Paranoia délirante, les délires des dégénérés et le délire
chronique
. Leur marche, très longue, aboutit rarement à u
génératif commun, M. Magnan fait une classe à part de ses délirants
chroniques
, et tout en les admettant souvent comme hérédit
ble pas être celle de M. Gérente qui, dans sa monographie du délire
chronique
dit que cette vésanie ne se rencontre pas chez
ours de son existence ». Il nous parait encore réunir les délirants
chroniques
avec certains délires des dégénérés de M. Magna
énérés de M. Magnan, lorsqu'il dit quedecesvésaniques(les délirants
chroniques
), ceux qui auront été le plus pénétrés de l'inf
- ment admettre que les,dégénérés peuvent être atteints de délire
chronique
. Cette opinion, que nous serions, pour notre part
e la distinction qu'il fait des délires des dégénérés avecle délire
chronique
qui n'en serait plus qu'une modalité, au moins
lque soit le fonds sur lequel on admette que se développe le délire
chronique
, son diagnostic avec certains délires des dégén
tal, les syndromes épisodiques, les délires d'emblée ou à évolution
chronique
. Nous lui adresserons cependant le reproche de
mais n'avait décrit que les délires d'emblée. - Gérente. Le délire
chronique
, son évolution (Thèse de Pans, 1 883) . Quelque
m de folie partielle il reproduit les idées de Magnan sur le délire
chronique
; et une leçon de M. Bail 2 (1885) sur une forme
e Paranoia psychoneurotique que nous rencontrons à côté de la forme
chronique
, cette forme de Paranoia dite psychoneurotique
ettre au moins par un côté de rapprocher cette Paranoia aiguë de la
chronique
qu'elle soit dégénérative ou non. Au contraire,
nier, J. Falret, Dagonet Briand et Cotard. Discussion sur le délire
chronique
(Ann. ! i<'6<. psych. et Archives de Neur
aux malades qu'il a présentés dans la dernière séance. Du délire
chronique
(suite de la discussion.) M. M. Briand ne croit
été prise en vue de fournir des arguments aux adversaires du délire
chronique
ne peuvent que servir à démontrer son existence
concluante; il n'est pas possible, en effet, d'imaginer un délirant
chronique
plus complet; nous n'en demandons pas davantage
l ne faut pas cependant croire que les observations des déli- rants
chroniques
n'ayant jamais eu d'idées ambitieuses soient di
randeur ». Or, c'est là précisément ce que les défenseurs du délire
chronique
veulent démontrer. Notre phase de persécu- tion
cutés persécuteurs qu'il ne faut pas con- fondre avec les délirants
chroniques
car ils appartiennent au groupé des héréditaire
spondant à peu de chose près à celles que nous attribuons au délire
chronique
, mais, tout en recounaisant que dans un grand n
nous divise. Elle s'explique par cette circons- tance que le délire
chronique
peut, comme nous l'avons dit plus haut, s'arrêt
s'all'ai- blissait, toutefois la manifestation ultérieure du délire
chronique
ne devait pas être assimilée à une véritable dé
z, messieurs, malgré les critiques dont il a été l'objet, le délire
chronique
est encore debout. N'est-il pas d'ail- leurs la
este des frais : Je ne me sens pas à l'aise, dira le futur délirant
chronique
. C'est que sans doute, pensera-t-il plus tard,
ou moins accusé de démence. On peut encore ajouter que le délire
chronique
n'est pas la seule forme délirante à marche chr
que le délire chronique n'est pas la seule forme délirante à marche
chronique
dont l'exemple nous soit fourni par la médecine
sement sur le fond même de la discussion. L'expression de délire
chronique
n'est pas claire, dit-on. M. Garnier a déjà fait
se le terme de psychose systéma- tique progressive, celle de délire
chronique
ambitieux ou mieux expansif que je vous propose
différentes transformations par lesquelles passent les délirants
chroniques
(les fous hypochondriaques de Morel) ; il cite à
des coupes de moelle. A. RAOULT. XX. Traitement de l'hydrocéphalie
chronique
par les injections de liquide de Morton. Le D
électro- thérapeutique du), par Eu- gelskjaeu, 40. Chlocalisme
chronique
, par Rehiii, '241. Chorée spasmodique, par R
le pédoncule céré- belleux inférieur, par Edin- ger, 76. Délire
chronique
, par Garnier, 89-250; par Falret, 243;-par Br
on latente : ce sont les hémorrhagies 2, les maladies anémiantes et
chroniques
, les maladies infectieuses, la-fièvre typhoïde
utour des parois vasculaires dans les états inflammatoires aigus ou
chroniques
, on aura de meilleurs résultats avec d'autres c
- Considérations sur les tempéraments, sur les causes des maladies
chroniques
, à propos de travaux du D' Foucault sur le même
millier d'aliénés ainsi répartis, dont beaucoup d'ailleurs sont des
chroniques
et ne réclament pas de sa part une attention qu
e trois classes d'individus : 1° les épileptiques aliénés, aigus ou
chroniques
; 2° les épileptiques non aliénés; 3° les enfant
randes sont les variations du tableau cli- nique, dans les maladies
chroniques
de la moelle. L'absence de tout trouble de la s
tumeur, soit d'un processus particulier relevant de l'inflammation
chronique
(myélite cavitaire de Joffroy et Achard), soit
latoires amenant la désagrégation médullaire par une sorte d'oedème
chronique
(cas de Langhans, de Kronthal, de Schültze, exp
c paraplégie* déter- minée par l'existence d'une myélite transverse
chronique
de la 5 portion dorsale inférieure plutôt que p
II 1- i .tl · f lit " j...Ioo'l '1 i .(Mît VII.'UN cas DE méningite
chronique
; par J.-W. PARTON. \ ? t'> at ), (The Joumal
ba dans la deuxième année de son second internement à une méningite
chronique
; les lésions avaient deux sièges différents' :
microscopiques ont démontré, qu'il) s'agissait d'une inflammation
chronique
, d'une méningite vraie, en ce qui touche la régio
struction localisée de substance nerveuse, suivie de> méningite"
chronique
: ' les' troubles psychiques 'ont'été consécuti
lésion essentielle consiste en un processus inflammatoire à marche
chronique
;qui, suivant toute probabilité, débute en même t
l'idée ? 3" lési6n''c6n- sistant en une inflammation interstitielle
chronique
très avancée - mais 'peu étendue; ? 4° dégénére
.\'1"4\ < ...... ? , XXII. Remarques sur LES formes DE la chorée
chronique
? OBSER- - jVAT101\S DE, DEUX FAMILLES DE LA'FO
, r : .¡ I Ii ? : 'I/-It -r J ').u J f. 1 . ,,¡'. ? r r .. . Po 1 ?
chronique
: L'auteur divise en quatre les 'form 's 'de" l
chronique : L'auteur divise en quatre les 'form 's 'de" la 'elloré6
chronique
, : ' : 1° chorée chronique* des enfants'' appar
en quatre les 'form 's 'de" la 'elloré6 chronique, : ' : 1° chorée
chronique
* des enfants'' apparaissant' à la naissance' ou
ce' ou dans'1 les deux où' trois' 'premières^ années,1* °1 'chorée'
chronique
sans; hérédité manifeste* pouvant apparaître' d
marche progressive 'et fatale; 4° les cas' de chorée minora aspect
chronique
pouvant persister pendant t des" mois;1' voire'mê
ques considérations sur la différence.des. symptômes dans la chorée
chronique
, pro- ,gressive,et lés autres chorées, différen
ervation. Femme de quarante-huit ans atteinte de folie systématique
chronique
, pas d'hérédité; hypochondrie organisée en déli
ant avec les impulsions à parler, entée sur une confu- sion mentale
chronique
... , t I .' 1" , I z . 'i· - ' ficulté à s'expr
mbinera des idées de persécution vagues ou coordonnées, à un délire
chronique
pur, à une folie systématique alcoolique', à,un
e pur, à une folie systématique alcoolique', à,un délire alcoolique
chronique
. 1 t" J " P,@li* , d ",...( 1Jk IJG lf ! l' J,J
manie, la, mélancolie de la folie circulaire, l'hystérie, le délire
chronique
systématique. L'at-, titude et le ton étaient(a
nsécutives au traumatisme et insiste sur les relations des vésanies
chroniques
avec les névroses traumatiques. M. ERLENMEYER
thénique primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire
chronique
(forme primitive). Avec planches. Plus tard il
e l'ex- pectation en médecine (1857) et le second : De la pneumonie
chronique
(1860). Dans celle-ci, souvent citée, M. Charco
de recueillir les observations de toutes les administrées (séniles,
chroniques
) et de toutes les entrantes. La réunion de ces
là les sujets abordés, la pneumonie * des vieillards, le rhumatisme
chronique
et la goutte % traités avec une incontestable c
préparations opiacées dans les cas de néphrite albumi- nellse ou
chronique
, sur l'application des pointes de feu dans le T
us intéressants, car ils ont nettement différé selon l'état aigu ou
chronique
. Dans ce dernier, l'accoutumance a été pour ain
XII. - Edmond Beg..., trente-six ans, débilité men- tale avec manie
chronique
rémittente. Lors d'un paroxysme vio- lent avec
locaux. Observation XV. - Henri Sau..., cinquante-deux ans; manie
chronique
rémittente. Lors d'un paroxysme avec agitation co
on de faiblesse, nausées aux repas. Ainsi, tandis que dans la manie
chronique
, nous avons eu z100 p. 100 de résultats favorab
Observation XXII. Auguste Cab..., quarante-deux ans; lypé- manie
chronique
avec surexcitation à peu près continue. Avec 1 mi
l. Observation XXIV. Pierre Toun..., trente-deux ans; lypé- manie
chronique
avec vive surexcitation, à peine deux heures de
nce, et 26 p. 100 seulement d'action faible, tandis que dans l'état
chronique
cette dernière action défavorable s'est élevée à
Observation XXX. Henri Loug..., cinquante-quatre ans; lypé- manie
chronique
avec agitation vive et continue. Un milligramme
doses. Observation XXXI. Louis Mah..., trente-huit ans; lypémanie
chronique
avec hallucinations de tous les sens et crises d'
ès. Observation XXXIII. - Léon Guid..., vingt-sept ans; lypémanie
chronique
avec surexcitation continue. Un milligramme de du
s. Observation XXIV. Honoré Treg..., trente-cinq ans; lypéma- nie
chronique
avec soliloques toute la journée. Un milligramme
sine a eu une action complète beaucoup plus fréquente dans la manie
chronique
que dans la manie aiguë et au contraire dans la
aiguë et au contraire dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie
chronique
; et, d'une manière générale, dans la manie que
uboisine a eu une action complète moins fréquente que dans la manie
chronique
et la lypémanie aiguë, mais plus fréquente que
aiguë, mais plus fréquente que dans la manie aiguë et la lypémanie
chronique
; et ainsi que dans la manie et la lypémanie en
alysie générale que dans les vésanies en général, la manie aiguë et
chronique
et la lypémanie chro- nique ; elle a été sensib
e dans la manie ; enfin elle ne s'est pas montrée dans les vésanies
chroniques
. XI. L'action incomplète de la duboisine a été
dans les vésanies en général mais plus fréquentes que dans la manie
chronique
et la lypémanie aiguë; elle a été moins fréquen
moins fréquente dans la manie que dans la lypémanie, dans la manie
chronique
que dans la manie aiguë, dans la lypémanie aigu
ans la manie aiguë, dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie
chronique
. XII. D'une manière générale il est vrai de dir
manie que dans la lypémanie, dans la 232 RECUEIL DE FAITS. manie
chronique
que dans la manie aiguë, et au contraire dans l
iguë, et au contraire dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie
chronique
. XIII. - Vu l'influence' exercée par la duboisi
tteint d'épilepsie jacksonnienne, une fois dans un cas de méningite
chronique
avec contractures généralisées, enfin quatre fo
trop commune. R. M.-C. VII. Sulfate DE DUBOISINE CHEZ LES aliénées
CHRONIQUES
; par P. NOECKE. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., X
le cas pour la folie urémique); lorsque l'intoxication est lente et
chronique
, c'est d'ordinaire d'un état mélancolique qu'il
d groupe. Car la division la plus habituelle en France en délirants
chroniques
et délirants dégénérés est vraiment bien sommai
eur et le moins coûteux d'assister les malades atteints de vésanies
chroniques
, plus ou moins inoffensifs, en y comprenant mêm
tiques, Fig. 32. asiles d'aliénés. 307 ni scorbut, ni entérites
chroniques
, ni pseudo-pellagre. Chez les paralytiques et l
S'on. En même temps que la dysenterie, on voyait sévir l'entérite
chronique
; celte maladie de misère a également disparu; et
vrais, présentant les signes cliniques de l'in- toxication aiguë ou
chronique
(tremblements, délire spécifique, etc.); 1° les
e le délire, et ne faisant défaut dans aucune observation de délire
chronique
. Elle émane évidemment de foyers circonscrits d
Wernicke). Voici les deux types principaux de délire systématique
chronique
. A.-Cas qui comprennent aussi le délire chroniq
re systématique chronique. A.-Cas qui comprennent aussi le délire
chronique
de Magnan. D'abord le seul symptôme est celui d
nés à mesure que l'on passe des formes aiguës de lafolie aux formes
chroniques
et aux démences, pour atteindre son maximum dan
émentaires. Ces mêmes accidents, si graves de la folie systématique
chronique
non alcoolique, ont ici 32fi revue' de patholog
e des aliénés et par l'habitude d'installer autant que possible les
chroniques
à la campagne, chez les paysans. Ces asiles son
caractérise tous les quatre n'est ni celui de la paralysie bulbaire
chronique
, atrophique, progressive, ni celui de la paralysi
ralysie spinale spasmodique a pour substratum des foyers de myélite
chronique
à localisations variables. Voici par exemple le
sséminées. Ce qui prouve que des formes très différentes de myélite
chronique
peuvent se traduire par le complexus clinique d
n individualité jusque dans ses variétés les plus rares. La myélite
chronique
au contraire, comme l'entend M. Leyden, est trop
l'expérience et la recherche, mécontentes du diagnostic de myélite
chronique
, ont porté leurs investigations plus loin et ab
venue de plus en plus rare et qu'a disparu simultanément la myélite
chronique
. On a dû cantonner cette dénomination aux obser
tion aux observations rares aujourd'hui de myélite diffuse à marche
chronique
et l'on a été forcé de ne formuler ce diagnosti
que correspon- dant au tableau morbide des autres cas de la myélite
chronique
. Quant aux affections systématiques, il convien
es affections systématiques combinées sont des formes de la myélite
chronique
puisqu'on en constate toutes les modalités inte
ontribution ci la pathologie dans la paralysie spi- nale atrophique
chronique
.1 1 Mémoire publié in extenso dans les A1'chiv.
e maladie, il faut pla- cer les processus pulmonaires, purulents et
chroniques
; on a éga- lement signalé l'influence des mala
g. Zeitsck. f. Psychiat., XLIX, 3.) Héréditaire dégénéré; vésanie
chronique
caractéristique. P. K. XLVI. CRIME ET FOLIE c
aralysie traumatique du péronier, névrite du nerf péronier, myélite
chronique
, syringomyélie). Dans la paralysie faciale rhum
a proportion est renversée pour les cas de manie. Dans les formes
chroniques
de la manie et de la mélancolie : on voit le pl
x est de même très également réparti entre ces deux formes de folie
chronique
. L'auteur remarque en terminant que l'on rencon
'auteur remarque en terminant que l'on rencontre dans la mélancolie
chronique
une plus forte proportion decerveaux à circonvo
un degré tout à fait inusités dans les autres formes, même les plus
chroniques
, d'alié- nation mentale. L'adhérence des membra
on du cavalier. Or le champ visuel oscillant peut affecter la forme
chronique
. Il en existe aussi une forme très rare, le sco
a de Meynert ou dysnoïa de Korsakov; d) paranoïa aiguë, subaiguë et
chronique
avec les subdivisions de cette dernière en déli
tionnelles consécutives aux intoxications chro- niques : alcoolisme
chronique
avec la dégénérescence psychique des ivrognes,
hinisme, cocaïnisme et autres intoxications ou auto-intoxi- cations
chroniques
. Le troisième, groupe contient : le délire aigu,
d groupe. Car la division la plus habituelle en France en délirants
chroniques
et en délirants dégénérés est vraiment bien som
damnée pour myélite, jugée sérieusement compromise pour une cystite
chronique
, vouée à une mort certaine pour une affec- tion
'lil rl° 1 ' si .IJI' i 'tltt. '.r ? ^ \''4h< i tritercatarrhale
chronique
. C est ce qui a conduit M. Hitzigà sup- poser q
vomissements.'1 Cette |dplithalmpp.légieJ1, externe, (bilatérale,,
chronique
, 5 progressive (nucléaire) /guérit çornplètetrc
n en a vu plusieurs douzaines de faits; les uns ayant une évolution
chronique
, les autres, en plus grand nombre, ne durant qu
sur le même sujet. J. Noir. XIV. L'hydrothérapie dans les maladies
chroniques
et les maladies nerveuses; parlesDSBENI-BARDE e
les auteurs entreprennent de passer en revue toutes les affections
chroniques
et du système nerveux. Ils ne se sont pas conte
emple que la paralysie infantile et la paralysie spinale antérieure
chronique
. Conseiller l'hydrothérapie comme le seul trait
ton, par Greppin, 138;'rye- '' marques 'sur les formes de la .. -
chronique
,' par W. Osier, 142; - ar¡r ,. r"T 11' 'J ? ...
, par Marandon de Mon- ntyél, 211 ;"sulfate'de - chez les aliénés
chroniques
, par P. Noecke, , ;23 ; F dé,1 =,, par, Mendel
mes de l ? par Bourneville et Noir, 259. dans les maladies '
chroniques
, par René Barde et Materne, 501. Ilr reuesrnt
e moyenne dans l'endocrâne, par G. Peli, M. v Méningite, cas de
chronique
, par J.-W. Plaxton, 133; contribution à l'étu
endue aire jdel'é-; , corce cérébrale, par, L'âne, 57. 1 MvËnTE ?
chronique
/, et, lésions systématiques de la -moelle, par
32; , contribûti61ï ! à la pathologie, dé' la ? spinale' atroplnque
chronique
, ,'par Oppenheim 3t0; des ischô- Imquey, par'
yeux. L'allure de cette ophtalmoplégie peut être aiguë, subaiguë ou
chronique
. , Un type de forme aiguë est la poliencéphalit
alée, vomissements, vertiges, tendance au sommeil). ' Dans la forme
chronique
, plus fréquente, l'affection peut rester sta- t
s inflammations du labyrinthe sont simples ou purulentes, aiguës ou
chroniques
, et n'intéressent le neurologiste qu'en raison
ugeole, etc. La tuber- culose fournit surtout les formes purulentes
chroniques
. Chez les enfants, plus rarement chez les adult
s de l'oreille donnent plus facilement la méningite; les affections
chroniques
, l'abcès cérébral. Les abcès extra-duraux se re
ux se rencontrent à peu près avec la même fréquence dans les formes
chroniques
et dans les formes aiguës. Le siège de la lésio
onctionnel plus persistant : dans ce dernier cas, le vertige, dit «
chronique
», peut être constant, prolongé ou fréquent (Gr
s reconnaissent des variétés apopiecti- forme, aiguë, paroxystique,
chronique
avec paroxysmes, continue. Il faut réserver le
rome de Ménière, plus souvent on observe la variété paroxystique ou
chronique
. A la suite ou non d'un ictus apoplectiforme vi
es (variété chro- nique avec paroxysmes). . L'état du vertigineux
chronique
peut être extrêmement pénible; l'un- goisse con
esque totalité des tumeurs du cervelet s'accompagnent de ver- liges
chroniques
et de trouilles de l'équilibre qui se manifestent
e l'ouïe, feront rapporter à une hnncur cérébel- leuse les vertiges
chroniques
et les troubles de l'équilibre. Les tumeurs du
es arterio-sciercnx. Le vertige des arlério-seléreux est un vertige
chronique
dont les crises sont plus ou moins fréquentes (
gineux paroxystique ou intermittent de l'alcoolisme el du tabagisme
chronique
, quelquefois assez prononcé pour amener des chu
seu- lement dans l'hystérie, mais encore au cours des intoxications
chroniques
comme l'urémie, des infections profondes comme
iques enfin acquiert une véritable valeur pronostique. Les maladies
chroniques
la déterminent aussi. Les tuberculeux, les syphi-
ré en apparence normal. 11 ne faut pas confondre la démence vraie
chronique
et incurable avec certains états transitoires d
pable de fuir, de tuer ou de se suicider. Dans le délire alcoolique
chronique
les idées de persécution ont fréquemment l'aspe
es existent aussi, mais mal coor- données dans le délire alcoolique
chronique
, elles sont vagues et impré- cises dans la conf
elles évoluent sur un état mental démentiel. Chez les alcooliques
chroniques
les idées hypochondriaques sont en rapport avec
t dangereux, car souvent ils cherchent à s c venger. Dans le délire
chronique
à évolution progressive de Magna n, les idées h
nfusion mentale; il ne convient pas aux cas de délires systématisés
chroniques
. Les maniaques et les mélan- coliques acceptent
morale privée et sociale. Chez les malades atteints d intoxications
chroniques
par l'opium, la morphine, l'alcool et désirant
finit d'elle-même : c est une idiotie symptomatique d'une méningite
chronique
; l'inflammation de 1. Marchand (de Llois), Reni
- 9° Idiotie hydrocéphalique. Elle est due à l'hydrocé- phalie
chronique
qui est carac- térisée par l'augmentation du
iques ou il celles des centres médullaires (polio- myélite aiguë ou
chronique
, syringomyélie, etc.). De même que les plaies d
une lésion dentaire non soupçonnée. Il en est de même des sinusites
chroniques
qui provoquent très souvent des maux de tête do
e trépied méninyitique, On l'observe également dans lesménin- yites
chroniques
, particulièrement dans les processus inflammatoir
ssus morbide, la rachialgie s'observe dans les affections aiguës et
chroniques
de la moelle et de ses enveloppes. Elle est presq
la méningite cérébro-spinale épidémique), dans les 'Hc/tf/(w/i7f.s'
chroniques
; elle se rencontre souvent au cours de la syph
ections spinales par trouble circulatoire, par artérite subaiguë ou
chronique
(ordinairement syphili- tique) que les dysesthé
s sont fréquentes dans le paludisme, spécialement dans le paludisme
chronique
. Parfois elles peuvent être l'unique manifesta-
ont fréquentes chez les goutteux, les diabétiques, les rhumatisants
chroniques
. Dans certains cas, elles dépendent d'intoxica-
ques jours ou en quelques se- maines, tantôt elles passent à l'état
chronique
, durent des mois et des rnées. Les récidives so
me), tumeurs du maxillaire, tumeurs de la hase du crâne, méningites
chroniques
de la base, anévrismes, ostéites crâniennes, né
asale, epbidrose unilatérale. Parfois, dans les névralgies faciales
chroniques
, on observe de la surdité; pour certains auteurs
patiques avec vomissements bilieux, dans le cours des néphropathies
chroniques
et de l'insuffisance rénale. Il est facile de r
ites aiguës, des hémorragies méningées et de beaucoup de méningites
chroniques
(pachyméningites alcooliques, syphilitiques, et
aiguës, dans les inemngo-myentes syphilitiques aiguës, subaiguës et
chroniques
. La rachialgie semble Indiquer une altération m
ral- gies. L'hydrothérapie est utile spécialement dans les formes
chroniques
des névralgies. On conseillera, suivant les cas
L'abolition des réflexes s'observe dans la poliomyélite antérieure
chronique
de l'enfant, ("est-il-dire la paralysie infantile
e, en dehors de la convalescence de la manie aiguë, à part la manie
chronique
et une certaine forme aiguë de la -paranoïa, l'
rs HÉMIPLÉGIE. ! (i7 sont souvent en connexion avec de l'arthrite
chronique
des articulations des membres paralysés ; d'aut
rdre, et notamment chez les vieillards; l'artérite. la périartéritc
chroniques
, l'athérome des artères du cerveau déterminent
ës, dont 1 de méningite tubercu- leuse, et dans 6 cas de méningites
chroniques
. Netter l'observe sur le total de 46 cas, dont
es formes même atté- nuées. Tout à l'ait au début d'une évolution
chronique
et lente, s'observe un simple ralentissement de
lace a une dissociation syringomyélique. Formes évolutives, aiguës,
chroniques
. Certaines paraplégies frappent de façon massiv
terminent une para- plégie, flasque en général. ' Les .affections
chroniques
, la tuberculose, la syphilis, les maladies spéc
orrespondent à peu près aux paraplégies flasques et les paraplégies
chroniques
aux paraplégies spasmodiques. La division rigou
extra-rachidiennes, qui peuvent atteindre la moelle. Les méningites
chroniques
peuvent agir de même. Signalons ici la pachy- m
de Erb parmi les différents types de inéningo-myélile syphilitique
chronique
. Cette paraplégie survient de 4 à Ü ans après l
cette époque où la syphilis nerveuse fait des lésions beaucoup plus
chroniques
qu'au début, lésions d'emblée moins dangereuses
syphilitiques ou d'une façon plus générale des myélites transverses
chroniques
. Les types le plus souvent rencontrés en cliniq
ir égale- ment au cours de phénomènes bulbaires. , De cette forme
chronique
, il faut distinguer les formes subaiguës, qui,
faire cadrer avec la description générale des myélites transverses
chroniques
. Consé- cutives à des maladies chroniques comme
des myélites transverses chroniques. Consé- cutives à des maladies
chroniques
comme la tuberculose, ou bien à des maladies ai
lcoolique. Mais la poliomyélite peut revêtir une allure subaiguë ou
chronique
, la polynévrite offrir le tableau d'une paralys
erminer des méningo-myélites aiguës, des méningites et des myélites
chroniques
, des compressions par hyperosloses, par gommes.
es. La tuberculose à son tour peut provoquer des myélites aiguës ou
chroniques
, de la compression par abcès froid, luxa- tions
lie, dans.la poliomyélite aiguë de l'enfance, dans, la poliomyélite
chronique
, dans la sclérose latérale amyotrophique, l'exa
yperacousie dépendrait d'une otite interstitielle avec inflammation
chronique
de la membrane tympanique. D'après Friedrich, l
llaire (par des béquilles par exemple), les arthropathies aiguës ou
chroniques
de l'articulation scapulo-hnmerale. Cliniquemen
au niveau de la gaine des tendons extenseurs et due il une synovite
chronique
. Charcot. considérait celte tumeur dorsale du p
ans raison apparente chez des malades porteurs de lésion^ laryngées
chroniques
et les chirurgiens qui opèrent sur le larynx con-
s la paralysie tabio-tosso-Iaryngée, dans l'hémi-paralysie bulbaire
chronique
(Eisen- lohr, Schreiber, Krause), dans la paral
Je les ai également constatés à plusieurs reprises dans les chorées
chroniques
progressives. On les trouvera encore dans la ma
Schech). Nous en rapprocherons le bégaiement, la dysphonie nerveuse
chronique
et la voix eunuchoïde. ' Cette névrose se ren
t pas un des éléments les moins importants. B) Dysphonie nerveuse
chronique
. Étudiée par Brissaud elle correspond à une des
des cornes antérieures de la moelle, de la poliomyélite antérieure
chronique
. L'étude plus approfondie des symptômes qui rac
'atrophie musculaire progressive vraie, par poliomyélite antérieure
chronique
systématique. Bien plus fréquemment l'atrophie
bès, de sclérose en piques, de névrites ? ; poliomyélite antérieure
chronique
? ' ? IL Atrophies musculaires secondaires :
oxiques endogènes (auto-intoxication) : diabète, goutte, rhumatisme
chronique
, cancer, cachexies; tabétiques (infectieuses ? ).
onnel ; on en a cependant signalé des exemples dans la poliomyélite
chronique
, la sclérose latérale amyotrophique, la syringo
es antérieures de la moelle sous l'influence d'un processus morbide
chronique
. L'amyotrophie Aran-Duchenne ne constitue pas u
ue des cornes antérieures de la moelle, une poliomyélite antérieure
chronique
, qui se traduise uniquement par l'atro- phie pr
un syndrome qui s'observe, en dehors de la poliomyélite antérieure
chronique
pure, rare et douteuse, dans la syringomyélie,
comme la manifestation svmptomatiquc d'une poliomyélite antérieure
chronique
frappant systématiquement et exclusivement les ce
philitique à type' Aran-Du- chenne et de la polyomyélite antérieure
chronique
vraie : parésie précé- dant l'atrophie, douleur
ont en tout cas pas constantes dans la méningo-myélite syphilitique
chronique
. Cependant l'existence de douleurs persistantes
ladie d'Aran-Duchenne, caractérisée par une poliomyélite antérieure
chronique
pure, par la dégénération progressive primitive
avaient été envoyées avec l'éti- quette de poliomyélite antérieure
chronique
et nous y avons trouvé une lymphocytose péri-va
ici un seul cas authen- tique et certain de poliomyélite antérieure
chronique
pure; sans affirmer que la maladie d'Aran-Duche
ions, traumatique, infectieuse ou dyscrasique : arthrites aiguës ou
chroniques
, rhumatismales, goutteuses, blennorrhagiques, l
amyotrophie est particulièrement fréquente à la suite des arthrites
chroniques
, tuberculeuses surtout, des arthropathies d'origi
anguin (liérnatomyélies). On pourrait y ajouter toutes les maladies
chroniques
de la moelle où ces cornes antérieures sont ou
ent aussi qu'un certain nombre de dyscrasies, de maladies générales
chroniques
(diabète, goutte, rhumatisme chronique, albumi-
sies, de maladies générales chroniques (diabète, goutte, rhumatisme
chronique
, albumi- nurie, cancer, etc.) s'accompagnent de
es sont généralement passagères. Dans la goutte, dans le rhumatisme
chronique
, les paralysies amyotro- phiques douloureuses n
? ) : saturnines, etc. ; signes propres. Poliomyélite antérieure
chronique
? [A. LÉRI.] 734 ATROPHIES MUSCULAIRES. II.
ples ou généralisées (polynévrites); à évolution aiguë, subaiguë ou
chronique
. Infectieuses : lèpre, béribéri; toxi-infectieu
, plomb, arsenic ; Toxiques endogènes : diabète, goutte, rhumatisme
chronique
, cancer, ca- chexies ; Tabétiques : infectieu
ateux et chez tous les sujets atteints d'une affection dyspnéisante
chronique
. Les hypertrophies physiologiques d'origine con
des corps étrangers des voies aériennes, et que pour les bulbaires
chroniques
la pneumonie de déglutition est une terminaison d
alato-laryngée (Charcot) à marche lente. Poliencéphalite inférieure
chronique
(«'ernicke). - Nous ne revien- drons pas sur le
trie s'observe au contraire dans les poliencéphalites infé- rieures
chroniques
. Mais le diagnostic le plus délicat intéresse la
éactions complexes, les syndromes observés pouvant être subaigus ou
chroniques
. Les accidents se limitent rarement au bulbe et i
ysie générale, les mala- dies mentales, etc. La plupart des étals
chroniques
, qu'ils dépendent d'altérations ner- veuses ou
t exister des myasthénies localisées, comme la dysphonie ner- veuse
chronique
et l'asthénopie accommodative. Cependant, il es
Nous avons vu que les convulsions peuvent guérir et passer à l'état
chronique
. Elles peuvent aussi amener la mort plus ou moins
n, etc. On pourra rencontrer quelquefois aussi des cas de méningite
chronique
, un hématome. Terminons ce diagnostic en rapp
e dans l'hystérie, comme dans les intoxications; il peut être enfin
chronique
comme dans la sclérose en plaques, dans la para
mblements permanents. Les tremblements perma- nents ou tremblements
chroniques
s'observent au cours d'un grand nombre d'affect
variétés que nous avons à étudier, nous voulons parler de la chorée
chronique
. A côté de ces troubles, Blocq et Grenet pensen
nuée il chaque récidive nouvelle. La maladie peut passer il Létal
chronique
dans des cas exceptionnels : un malade de, Pier
eux grossesses successives et quelquefois elle a pu passer à l'état
chronique
. Elle s'observe surtout chez les primipares et
manifestations de l'hystérie ou une maladie des tics' ou une chorée
chronique
; cependant nombre d'auteurs contestent cette op
finir par guérir, le malade reste néanmoins un dégénéré. ' CHORÉE
CHRONIQUE
La chorée chronique, chorée majeure, chorée de
alade reste néanmoins un dégénéré. ' CHORÉE CHRONIQUE La chorée
chronique
, chorée majeure, chorée de Huntington, chorée d
chorée majeure, chorée de Huntington, chorée des vieillards, chorée
chronique
progressive ou chorée héréditaire de l'adulte e
mann, de Lannois et de Olgsky). Cependant l'hérédité dans la chorée
chronique
est régie par une loi qui a été formulée par Hu
s nerveuses sans que cependant ce soit une règle absolue. La chorée
chronique
apparaît en général entre 50 et 45 ans, elle est
core fréquente jusqu'à 55 ans et devient rare ensuite. -- La chorée
chronique
frappe également -les deux sexes alors que la c
rveux. Quelquefois l'apoplexie a été signalée au cours de la chorée
chronique
et même peut la précéder. Le tableau clinique
luence de la volonté et c'est là un signe important entre la chorée
chronique
et. la CHORÉE CHRONIQUE. 8G5 chorée vulgaire.
c'est là un signe important entre la chorée chronique et. la CHORÉE
CHRONIQUE
. 8G5 chorée vulgaire. Mais ce signe est constat
ui montre qu'il se rencontre dans toutes les observations de choréc
chronique
, qu'il s'a- gisse ou non de la chorée héréditai
t généralement forts, mais, ce qui caractérise avant tout la chorée
chronique
, ce sont les troubles mentaux; ils ont été étudié
ysie générale (Osier, Facklam). Évolution. La marche de la chorée
chronique
héréditaire est fatalement progressive, alors q
ronique héréditaire est fatalement progressive, alors que la chorée
chronique
non héréditaire peut durer un grand nombre d'an
t con statée chez un vieillard atteint de méningo-encéphalo-myélitc
chronique
. La myoclonie était un phénomène prémonitoire d
d nombre d'années dans les hospices d'incurables. Cette maladie est
chronique
et le séjour à l'hôpital peut amener ]'éclosion
que, rarement similaire; le sexe féminin est prédominant. La chorée
chronique
de Huntington présente aussi des mouvements inc
erveux, distinguer un groupe d'oedèmes aigus et un groupe d'oedèmcs
chroniques
, innom- brables étant les formes de transition
ion entre la trophonévrose oedéma- teuse fugace et la trophonévrose
chronique
, et cela non seulement d une maladie à l'autre,
ues ou les paraplégiques, que l'affection en cause soit une maladie
chronique
ou une affection aiguë du cerveau ou de la moel
variable au cours de diverses intoxications, aiguës elles-mêmes ou
chroniques
, notamment de l'intoxication oxy-carbonée, ainsi
de transitions entre les oedèmes aigus de Quincke et le trophoedème
chronique
de Meige. Cette dernière lésion peut persister
emnes. Ces caractères permettront de distin- guer les trophoedèincs
chroniques
, observés d'ailleurs comme les -TROUBLES TROPHI
mes de Quincke chez 'des névropathes ou des intoxiqués, des oedèmes
chroniques
de l'éléphantiasis ou du- rhumatisme chronique, d
xiqués, des oedèmes chroniques de l'éléphantiasis ou du- rhumatisme
chronique
, des oedèmes traumatiques, du myxoedème, ainsi
uée ou seulemént provoquée. Les [F. MOUTIER. Fig. 4. - Trophædème
chronique
héréditaire (Henry Jeigct. 922 I-) TROUBLES
é de la face atteint de prosopalgie, au niveau des plaques d'oedème
chronique
qu'il est parfois donné d'ob- [F. MOUTIER.] 9
talmique, sur le tégument des articulations atteintes de rhumatisme
chronique
. Les altérations dentaires sont peu connues. En
es moignons osseux. L'évolution de ces lésions est- essentiellement
chronique
;. il se produit de temps à autre de nouvelles p
hermie, elle a été constatée dans certains cas : dans l'encéphalite
chronique
de l'enfance en particulier; dans deux observatio
peuvent retentir par voie réflexe sur la vessie, mais la prostatite
chronique
y prend la plus grande part. Nous avons indiqué
n varie avec la période de 1 affec- tion, qu'elles soient aiguës ou
chroniques
. Au début, presque toujours, il y a rétention c
es précautions indiquées plus loin.. Le diagnostic des rétentions
chroniques
, et de celles qui se sont éta- htics lentement,
vieux foyer cl'urétrite, une vaginite ou quelque autre inflammation
chronique
de voisinage. Ailleurs, lorsqu'il y a incontine
et grave d'emblée. La pyélo-néphrile affecte deux formes, aiguë et
chronique
, et est tou- jours ascendante. Dans la première
le cortège, en un lll01, de l'intoxication urinaire aiguë. La forme
chronique
peut être tout à l'ait latente, se traduire seule
me lacté avec continuation de l'alcool. Dans les urétéro-pyc- lites
chroniques
, on s'adressera aussi à l'état général : régime l
ur du sperme le produit purulent d'une urétrite ou d'une prostatite
chronique
. Quant au deuxième point du diagnostic, la sper
, la faiblesse médul- laire sénile détermine une atonie intestinale
chronique
avec constipation rebelle. Troubles de le déf
pas- SÉMÉIOLOGIE DE L'INTESTIN ET DU PÉRITOINE. 9 ! )9 sao'ers ou
chroniques
; ils peuvent traduire enfin une déchéance défi-
ontrer de la diarrhée par cancer de l'intestin ou par entéro-colile
chronique
. Dans de tels cas, il arrive assez souvent que
tions irrégulières qui déforment la main ou les doigts : Rhumatisme
chronique
: déformant, goutteux, sénile. Nodosités d'IIcber
l'on retrouve le plus souvent dans l'étio- logie, les bronchites
chroniques
, la tuberculose pulmonaire, s'observent souvent
STGO- : 1RTICUL : 11RES irréguuères, déformantes Dans le rhumatisme
chronique
déformant les déformations des mains, qui sont
sécrétion sébacée, hypoesthé- [A. LÉRL] Fig. fi. /1hztllwlisllle
chronique
. Type de flexion : les pha- langes et les phala
he rapport du Pr Teissier sur « les formes cliniques du rhumatisme
chronique
u. Congrès de médecine. Liège, 1905. Fig. 7. Rh
e chronique u. Congrès de médecine. Liège, 1905. Fig. 7. Rhumatisme
chronique
sénile. -Saillie des articulations métacarpo-ph
goutteux (J. Teissier). Une variété spé- ciale du rhumatisme
chronique
dyscrasi- que, arthritique, est représentée p
par dilatation de l'estomac. Aux différentes variétés du rhumatisme
chronique
ostéo-articulairc se joint souvent une forme de
demeure libre, l'aponévrose palmaire reste saine. . Dans la goutte
chronique
, les mains sont généralement très déformées Fig
olées, parfois elles coexistent avec des déformations du rhumatisme
chronique
, notamment la déviation cubitale des doigts. Le
ns de la diaphyse des pha- langes, le diagnostic avec le rhumatisme
chronique
est aisé; quand les déformations sont limitées
rave ou « en radis ». Tardivement la dactylite peut passer à l'état
chronique
et déterminer toutes les déformations du rhumat
'état chronique et déterminer toutes les déformations du rhumatisme
chronique
progressif, ainsi que des troubles trophiques i
rd» (fig. 16). Certaines variétés de mains fléchies du rhumatisme
chronique
sont dues au contraire à l'atrophie des exten-
ante et presque toujours bilatérale dans la poliomyélite antérieure
chronique
(') et dans la sclérose latérale amyotrophique
à celui de Pierre Marie, l'existence d'une poliomyélite antérieure
chronique
, en tant qu'entité morbide cliniquement bien in
1t'l'ICUL : IIItI : S irrégulières, déformantes. Dans le rhumatisme
chronique
déformant, les pieds sont souvent portés dans l
us dans la première et la troisième. La peau du pied du rhumatisant
chronique
est sèche, rude, écailleuse, mate, parfois liss
rude, écailleuse, mate, parfois lisse et luisante. Le rhumatisme
chronique
blennorragique prend au pied une marche assez s
t et se dévient : l'aspect devient semblable il celui du rhumatisme
chronique
déformant, le pied reste très longtemps dou- lo
l'eeclènle persistent souvent beaucoup plus longtemps. La goutte
chronique
se révèle aux pieds comme aux mains par des DIF
phantiasis des pays chauds, comme le pseudo-éléphanliasis ou oedème
chronique
suite d'érysipèle, de' phlébite, etc., prennent s
e diagnostic de ces différents oedè- mes ; leurs caractères aigu ou
chronique
, congénital ou acquis, dur ou Fig. 4. Pied tabé
es du syndrome amyot1'ophie Amen- Duchenne (poliomyélite antérieure
chronique
, méningo-myélile syphili- tique amyotrophique,
ciation du signe de Robertson à l'inégalité pupillaire, à l'aortite
chronique
et à la lymphocytose du liquide céphalorachidien
tigmates articulaires. La syphilis peut produire des hy- darthroses
chroniques
et même des arthropathies déformantes ou même l
s lésions nasales dont les symptômes fonctionnels ont été le coryza
chronique
, jetage nasal, épistaxis, ozène et expulsion de
à l'égard du mercure a été constatée au cours de l'hy- drargyrisme
chronique
par Raymond et Sicard. L'imperméabilité a été c
trouveront dans la tuberculose et dans tous les processus méningés
chroniques
. On pourrait se demander quel est le mécanisme
ation myélinique rapide. Liquide céphalo-rachidien dans les ictères
chroniques
. Gilbert et Castaigne (Presse médicale, 5 novem
até un pigment dérivé dans le liquide céphalo-rachidien d'un ictère
chronique
. Ils pen- sent qu'il s'agit d'un pigment dérivé
NERVEUSES Le liquide céphalo-rachidien, dans les maladies nerveuses
chroniques
qui sont le principal objet de cet ouvrage, doi
du tabès et de la paralysie générale. Cytologie dans la méningite
chronique
alcoolique. On y constate la présence de très n
é la lymphocytose. Cytologie dans la paralysie agitante : la chorée
chronique
, le deli- rium tremens, la myopathie progressiv
aques de sclérose hériventriculaire il l'existence d'une épcndymitc
chronique
. Symptômes toxi-infectieux. Ils se réduisent à
et ne prend des proportions considérables que dans certaines formes
chroniques
, d'origine méningococciques (degré) ou tubercul
erot, où la tuberculose épendymaire se greffa sur une méningococcie
chronique
à symptômes intermittents, la fonte du pannicul
sont très rares dans les épendymites séreuses subaiguës et surtout
chroniques
alors qu'ils abondent dans les épendymites séro
toire est plus SYNDROMES VENTRICULAIRES. 1151 souvent subaiguë ou
chronique
que franchement aiguë; presque tou- jours elle
é, comme cela arrive fréquem- ment dans les cas subaigus et surtout
chroniques
, d'éléments figurés, l'origine infectieuse n'es
pendymite séreuse car ce sont les épendymites séreuses subaiguës ou
chroniques
, apyrétiques, généralisées ou partielles (oblit
a syphilis et surtout à celle des cysticerques et de la tuberculose
chronique
, typique qui, sans être les seules causes du sy
iges, une démarche hésitante. Les placards de tuberculose typique
chronique
peuvent donner lieu à un complexus symptomatiqu
re. Nous avons, pour notre compte, observé une tuberculose typique,
chronique
de l'épendyme qui se termina par la mort subite,
rie s'observent plutôt dans les épendymites uniquement bulbaires et
chroniques
. La difficulté du diagnostic ne tient, pas ici
signalée par Jou'roy et Achard, dans un cas d'épendymite médullaire
chronique
, de cause indéterminée, peut s'expliquer par les
s sont analogues, sinon identiques celles des épendymites séreuses,
chroniques
. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE Une expérience de V
sence d'une meningo-ependymitc tuberculeuse aiguë, d'une épendymite
chronique
associée à un processus teratotogiquc alors que
. Il a constaté les caractères suivants : . 1. Rhumatisme vertébral
chronique
. a) Colonne vertébrale. Déformation du corps
parfois aussi au début des poliomyé- lites antérieures subaiguës ou
chroniques
et dans la sclérose latérale amyotrophique, lor
de dégénérescence dans les processus aigus et dans les processus
chroniques
. ' . Pour abréger l'écriture et le langage, nou
gomyélie, etc. y Des syndromes de dégénérescence dans les processus
chroniques
Dans les maladies du système nerveux qui porten
s plus ou moins atrophiés par le fait de la poliomyélite antérieure
chronique
ou de la syringomyélie. ou de l'atrophie Charco
jours aussi appréciables qu'il vient d'être dit. dans les processus
chroniques
. Les muscles, en effet, ne sont souvent pas altér
examiner les réactions électriques dans les affections à processus
chronique
devant entraîner de la DR, on peut constater l'
issable quelques semaines ou quelques mois après. Dans le processus
chronique
de la maladie, l'évo- lution prend parfois à ce
es et les allures que nous lui avons vu affecter dans les processus
chroniques
. La. DR se rencontre dans les maladies de la mo
ure aiguë, sclérose latérale amyotrophique, poliomyélite antérieure
chronique
, soit par extension de voisinage, hématomyélie,
, tantôt avec des caractères plus effacés, comme dans les processus
chroniques
; elle procède aussi par étapes successives, app
es régions et les muscles examinés. Dans la poliomyélite antérieure
chronique
, les manifestations de DR ne sont pas toujours
ns quelques autres, elle allecte les allures de la DR des processus
chroniques
ou des processus subaigus : alors elle peut êtr
tuellement un processus aigu, plus rarement un processus subaigu ou
chronique
. La DR prend dans ces cas la ferme partielle ou
? rale muyotropliiyne, la syringomyélie, la poliomyélite antérieure
chronique
, etc., la DR partielle indique seu- lement des
limitées à un ou plusieurs nerfs ; puis des affections à processus
chronique
(atrophies musculaires myélopathiques, etc) ; et
sur la langue sont égale- ment possibles. Affections à processus
chronique
portant sur les neurones moteurs périphériques.
ui se développent plus ou moins lentement, en suivant, un processus
chronique
, ont été soumises souvent à des traitements par
1581 Choline dans le liquide céphalorachidien, . Il ;'0, Chorée
chronique
, SG2. - Evolution, 865, de llzwlirp/lnn,diaânos
sme, 972. Traitement, 973. ' Dysphonie spaslique, 655. nerveuse
chronique
, 656. Dyspnée, 940. Dyspneumie, 198. ' Dyst
localisation de la crise douloureuse sur le gros orteil, 1054. -
chronique
. Déformation des mains, 10` ? ! E. - Déformatio
. aussi Amblyopies. 1 Ichtyose, trouble trophique, 915. Ictères
chroniques
. Liquide céphalora- chidien, -1 [ : il . Idée
o, logique, 88. Myélites, atrophie musculaire, 715. transverses
chroniques
, 501. Myélopathies rtlrophiques progressives
li : l1'yngée, 800. à inarche lente. Poliencéphalite infé- rieure
chronique
, 805. à marche rapide. Poliencéphaliteinférieti
opographique, 515. aiguë, 491, 502. ataxique, 762. subaiguë, 762.
chronique
, 491 ? croisée, 490. - de Erb, 499, 500. - fl
es, 940. Rétentions d'urine, étiologie, 950. - Rétention aiguë. -
chronique
. - com- plèle, z incomplète, 955. Rétine, exp
1025, 1024. Rhomboïde. Innervation, physiologie, 572. Rhumatisme
chronique
blennorragique, déformations des pieds, 1044. -
oduit et entretenu pendant la période de croissance par une maladie
chronique
congénitale ou accidentelle. L'évolution s'acco
CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
- VERTÉBRAL PAR M. F. RAYMOND, et M. L. BAB
termine ainsi une paraplégie douloureuse. Quant aux ostéo-arthrites
chroniques
simples de la colonne vertébrale, elles étaient
modifier l'opinion classique. Elles ont établi que les spondylites
chroniques
sont beaucoup plus fréquentes qu'on ne le croyait
lose rhizomélique de MM. Marie et Léri. L'étude des ostéo-arthrites
chroniques
simples de la colonne vertébrale est donc toute
ntité mor- bide spéciale, ou comme une simple variété de rhumatisme
chronique
? - Les principales formes qu'elles affectent p
ent-ils aboutir à la RAYMOND ET BABONNEIX. SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
29 production d'une ankylose vertébrale ? Autan
onographie DE la SALPLTItII.RE. T. XX. Pl. 111 UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTÉBRAL (F. Raymond et Babonneix.) Masson e
sson et de. Editeurs Phototypie Derlhaud SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTÉBRAL 31 rotation externe ; de la demi-flex
e membrane lamelleuse, également continue, SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTÉBRAL 33 et qui, avec la précédente, consti
iques. (1) La malade n'avait que 35 ans. SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTÉBRAL 35 En somme, aplasie ovulaire des plu
Infioit). Radiographie du rachis. (Infroit). UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTÉBRAL (F. Raymond et Babonneix.) T... ? M
abonneix.) T... ? MaaSOrL.et('eP.direnr. SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTÉBRAL 37 qacé d'exostoses, et, surtout, il
Bull. Soc. Méd. des Hôp., 28 juillet 1904. SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTÉBRAL 39 ment vertébral commun antérieur, a
avril 1904. ' (2) VfipfI00aEN, Les formes cliniques du rhumatisme
chronique
, Congrès de Liège, 1905, p. 44. 40 RAYMOND ET
rhizoméliques. Rev. de Méd., 1898, p. 285. SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTÉBRAL 41 presque droite. Les vertèbres se r
. Pierre Marie et Léri. (1) MAYET et JOUVE, Le rhumatisme vertébral
chronique
et la spondylose rhizon2éli- que. Gaz. des Hôpi
degli Osped., 30 octobre 1904, p. 1381. SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTEBRAL 43 Si l'on accepte ce diagnostic, une
art, sur les affinités qu'elle présente avec les autres spondylites
chroniques
, se refusent-ils à la considérer comme une enti
Montet (4), Pagliano (5), Rendu, Sachs, l'identifient au rhumatisme
chronique
ver- tébral (6). M. Labeyrie, auteur d'un excel
, le, avril 1906. (6) Pour M. P. Marie, au contraire, le rhumatisme
chronique
se distingue essentiel- lement de la spondylose
lose intense puissent être absolument séparées des autres arthrites
chroniques
relevant du syndrome rhumatis- mal. » Admetto
lose rhizomélique à type un peu anormal, ou de rhumatisme vertébral
chronique
. Reste encore à ex- pliquer la nature des accid
ora- ciques, n'ont pas été fréquemment signalées dans le rhumatisme
chronique
vertébral ; de même, on n'a pas souvent relevé,
n, jamais, à notre connaissance, on n'a publié de cas de spondylite
chronique
à l'examen (1) Il n'existe d'ailleurs du côté d
Hypothèse déjà émise par M. Pierre Marie. SUR UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
VERTÉBRAL 45 anatomique duquel on ait constaté
re les premiers à publier une obser- vation de rhumatisme vertébral
chronique
à l'autopsie duquel on ait relevé, en plus des
u dans la haie. Elle rentre à l'hôpital en 1894 dans le service des
chroniques
et y reste jusqu'en 1899. L'atrophie et l'impot
connues de l'axe gris de la moelle dans la poliomyélite antérieure
chronique
. Les cornes antérieures de la substance grise ont
ulaire progressive de nature myélopathique (poliomyélite antérieure
chronique
). Le début pa les extrémités des membres supé-
xamen détaillé des mus- cles et conclut à l'existence d'une myosite
chronique
interstitielle et d'une névrite chronique inter
l'existence d'une myosite chronique interstitielle et d'une névrite
chronique
interstitielle. Dans l'observation II (atrophie m
Il admettait entre autres l'existence d'une névrite interstitielle
chronique
. On sait que ces observations anatomo-cliniques
it développé chez une malade qui souffrait depuis 6 mois d'entérite
chronique
(avec diar- rhée opiniâtre, indicanurie très in
rieur. Ce fait mérite déjà d'être noté, car dans la poliencéphalite
chronique
de l'adulte, il est rare que la colonne grise d
ne se pro- duire que très tardivement dans les paralysies bulbaires
chroniques
. Ici, l'atrophie et la paralysie des masséters
tel qu'il fut décrit par Henry Meige se caractérise par un « oedème
chronique
, blanc, dur, indolore», occupant un ou plusieurs
concernant une jeune femme non hystérique chez qui un trophoedème
chronique
, persistant, de la main droite succéda à des pous
cas, dans la 4° observation de Valobra, par exemple, le trophoedème
chronique
parait succéder à des poussées récidivantes d'oe-
mettre la compréhension du mécanisme éta- blissement du trophoedème
chronique
acquis d'origine traumatique. Mes deux malades,
1905, t. II, p. 487. (3) VALOBRA, Les oedèmes circonscrits aigus et
chroniques
sous la dépendance du sys- tème nerveux. Rôle d
ns l'oedème d'origine nerveuse ces données établies par les oedèmes
chroniques
de natures diverses, et nous aboutissons à l'oedè
rses, et nous aboutissons à l'oedème dur, résistant, du trophoedème
chronique
, en même temps que nous com- prenons ses ressem
renons ses ressemblances cliniques avec l'aspect des autres oedèmes
chroniques
, de l'éphantiasis par exemple, si voisins comme a
apportées ci-dessus se rapportent incontesta- blement aux « oedèmes
chroniques
, blancs, durs, indolores, occupant un ou plusie
ique du trophoedème. (1) SICARD et LAIG1OEL-LAVASTlNE, Trophteclème
chronique
, acquis el progressif. Nouvelle Iconographie de
hui avec les cas que Meige a rassemblés sous le nom de trophoedèmes
chroniques
. Sou- vent familiaux, tantôt constitués pendant
(1) et de Debove et auquel le premier a donné le nom de trophoedème
chronique
sous lequel on le dé- .signe couramment aujourd
diteurs Phot01YI11C Bcrlhauù. Paris SUR UN CAS DE 'Cli0PI10EDG11E
CHRONIQUE
161 cuisse sont très développés. La limite supé
t négatif. Il ne reste plus debout que le diagnostic de trophoedème
chronique
ainsi que l'a si bien conçu Henry Meige. Dans c
ne nous fera nulle- ment hésiter dans le diagnostic de trophoedème
chronique
que nous avons établi dans ce cas. D'ailleurs,s
la seule possible. Ainsi Hertoghe a rapporté un cas de tl'ophoedème
chronique
de la face et Rapin un autre où l'oedème intéress
ément nécessaires avant de fixer dé- SUR UN CAS DE TROl'HOED ! \;ME
CHRONIQUE
167 finitivement la place de ce syndrome, car i
ons qui précèdent. BIBLIOGRAPHIE 1. HENRY MEIGE, - Le trophoedème
chronique
héréditaire, Nouvelle Iconographie de la Salpêt
Berlin, 1891. 5. IISRTOGHH. - Contribution à l'étude du trophmdème
chronique
, Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtrière, ne
e de Ballet. r. 14. SICARD et Lwl(3N&L-LAVASTINE. - Trophoedème
chronique
, acquis et progressif, Nou- velle Iconographie
hie de la Salpêtrière, 1905. il. Voir aussi Feindel. Le trophoedème
chronique
d'après HENRY l\IEIGE, Gazette heb- domadaire.
liniques de la myé- lite aux symptômes de la paraplégie spasmodique
chronique
(exaltation énorme des réflexes, signe de Babin
Cette myélite se termine par la mort ou passe à l'état spasmodique
chronique
. Dans le premier cas on trouve des altérations
ses la cuisse gauche. C'est également un accès subaigu d'alcoolisme
chronique
qui l'a fait arrêter et interner. Dans les pr
server, mais aussi la confusion mentale onirique peut passer l'état
chronique
; une systématisation secondaire peut s'établir
ichisme à rechute ne sont pas moins fréquents que dans l'alcoolisme
chronique
. Dans les intervalles des accès d'haschichisme, c
hologique à signaler du côté du goût; ni de l'ouïe, à part l'otite,
chronique
dont nous avons parlé. Nous avons déjà signalé
ral il existe des lésions pulmonaires d'emphysème et t de bronchite
chronique
qu'expliquent les déformations considérables du t
e contracture hystérique des muscles du dos. Certaines mé- ningites
chroniques
du mal de Pott s'accompagnent de paraplégie spasm
e présentés par le malade sont dus à des lésions d'otite catarrhale
chronique
et la huitième paire paraît bien indemne. Il ex
'autre difformité. Sa mère est atteinte d'un rhumatisme articulaire
chronique
du cou-de-pied et du poignet du côté gauche, qu
ébrale étaient les suivantes. Dans trois cas, l'alcoolisme cérébral
chronique
, dans un, dégé- nération psychique alcoolique.
e ultérieure, car la folie pellagreuse affecte fréquemment la forme
chronique
avec ou sans rémissions intercalaires. Cela se co
leurs mêmes effets. Les rechutes sont donc fréquentes, et les états
chroniques
aussi ; les 356 MARIE. - FOLIES PELLAGREUSES DE
existe sur la convexité des hémisphères une légère lepto-méningite
chronique
. Le cerveau, le cervelet, le bulbe ne présentent
les trophiques ou des oedèmes (1). (1) G. ETIENNE, Des trophoedèmes
chroniques
d'origine traumatique ; pathogéiie des oedèmes
endant la vie intra- utérine ou dans l'enfance (brûleurs, arthrites
chroniques
, tumeurs blan- ches, caries, traumatismes, etc.
ncernant les troubles trophiques. Parmi ces derniers le trophoedème
chronique
, syndrome bien connu surtout depuis les travaux
eurs il ne s'agit pas des formes spéciales de poliomyélite aiguë ou
chronique
, formes dont la symptomatologie si bizarre a so
irconscrit de l'urticaire, de la forme de Quinckh et du trophoedème
chronique
, comme la conséquence 452 PAHUON ET CAZACOU d
iguë s'accompagne de phénomènes vaso-moteurs; dans le tro- phoedème
chronique
il produit par sa présence prolongée l'hypertroph
lus ou moins semblable, voire même identique à celui du trophoedème
chronique
sans l'intervention du système nerveux. Hertogh
le confirmer, il semble bien qu'il faut admettre que le trophoedème
chronique
n'est que l'aboutissant d'un processus identiqu
n entre certains troubles du métabolisme calcique et le trophoedème
chronique
. L'influence du système nerveux pourrait n'être
de Hertoghe (1). bibliographie i. HENRY MEIGE. - Le f1'ophoedème
chronique
héréditaire. Nouvelle Iconographie de la Salpêt
rière, n° 6, 4901. 2. PARIION et Florian. Sur un cas de h'ophoedème
chronique
. Nouvelle Iconogra- phie de la Salpêtrière, n°
ere, n* 5, p. 473, 1901. 4. Sicard et LAtGXBLLAVASTfNE. Trophredème
chronique
acquis et progressi/. Nouvelle Iconographie de
phie de la Salpêtrière, p. 30. 1903. 5. Etienne. - Des trophoedèmes
chroniques
d'origine traumatique. Nouvelle Icono- graphie
lpêtrière, 1905. 7. HEnTouHK. Contribution à l'étude du trophoedème
chronique
. Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtrière, no
ie, 374. BADONNEIX et RAYMOND. Sur un cas de rhumatisme vertébral
chronique
, 28. Barbé et SÉGLAS. Un cas de porencéphalie
sénile, 357. CARAcou et Parhon. Sur un nouveau cas de trophoedème
chronique
. Considéra- tions sur l'euologie et la pathogén
que, type l'aget, chez une tabétique, 84. ETIENNE. Des trophoedèmes
chroniques
d'origine traumatique (1 pl.), 146. BT1EI1NE.
., 1 dessin), 385. FLORIAN et PARHON. Sur un cas de trophoe- dème
chronique
, 159. HAHN (LucIEN) et Wickersheimer. Un cas
. Teulières. La mydiiase hys- térique, 243 LAMY, Poli encéphalite
chronique
; ophtal- moplégie et paralysie bilatérale de l
(4 pi.), 174. PAAHON et CAHdCOU Sur un nouveau cas de Irophoedème
chronique
. Considéra- tions sur l'etiologie et la palhoge
trnphoedème, 448. Parhon et Florian. Sur un cas de truphoe- dème
chronique
il pl ? 159. PARHON et ZALPL4CTA. Sur nn cas de
re (3 pl.). 3-il. Raymond t L. RAüOYNEIC. Sur un ra de rhumatisme
chronique
vertébral (2 pl.), 28 Raymond et Lejonne. Syr
ent chirurgical (t pl.), par SICARD et DESCOMPS, 459. Ttnp"oedeme
chronique
: un nouveau cas avec considérations sur l'elio
q""s d'oriaine 1 ? mulique (1 pl.), , [)..r Etienne, Trophoe,feme
chronique
(un cas par Parhon et Florian, 159. 522 TABLE
Phénomène de Charles Bell (Polimanti), LXXXIX. Poliencéphalite
chronique
. Ophtalmoplé- gie et paralysie des muscles mast
e (BERTOLOTTI et Boidi-Trotti), LVII, LVIII. Rhumatisme veriebral
chronique
(RAY- MOND et Beaon,talx), III, IV. Syndrome
me congénital (Examen histolo- gique) (E. Long), XXX. Trophaedéme
chronique
(PARHON et FLORIAN), XXXI. Trophoedème chroni
X. Trophaedéme chronique (PARHON et FLORIAN), XXXI. Trophoedème
chronique
d'origine trauma- tique (ETIENNE), XXIX. Tume
mais cette fois d'une façon lente, dans différents cas d'altérations
chroniques
du foie consécutives à l'oblitération permanente
la pneumonie et l'hépatite des pays chauds ({) ; 2° dans des maladies
chroniques
, comme la tuberculose, l'al-tération amyloïde, le
métaux et de métalloïdes, principalement dans les cas d'intoxication
chronique
, se retrouvent dans le foie et dans la bile. En t
istes savent, disent-ils, que l'urine des malades affligés d'hépatite
chronique
, contient peu ou point d'urée, ce qui semble prou
ères, que l'urée diminue dans l'urine des malades atteints d'hépatite
chronique
[Rose, Henri (de Manchester) Berzélius, Prévost e
des 24 heures. Il s'agissait de lé-sions à évolution essentiellement
chronique
(cancer, kystes hydatiques). Actuellement, je vai
ndice, London, 1853, p. 80), relatives à un cas de rétention biliaire
chronique
consécutive à un abcès de la tête du pancréas. Da
tration urique des cartilages ne se voit pas seulement dans la goutte
chronique
; elle existe dans la goutte aiguë, dès le premie
'il n'est pas très rare d'observer chez des sujets atteints de goutte
chronique
, ainsi que l'ont fait remarquer Scudamore et M. G
à la cirrhose hypertro-phique; dans le second, il s'agit d'un ictère
chronique
dont la nature n'a pas été déterminée. Dans les d
emple, je vous citerai la rétention biliaire absolue, suivie d'ictère
chronique
, s'il s'agissait de l'enclave-ment dans le canal
altérations diverses que nous venons de jtasser en revue. L'ictère
chronique
par résorption est la conséquence à peu près inév
p. 527). Budd, Graves, Stokes, rapportent des exemples où l'ictère
chronique
, probablement d'origine calculeuse, s'est prolong
ques ; — diminution du taux de l'urée ; caractère vespéral ; — marche
chronique
; — terminaison. Analogies entre les diverses f
que. S0 Le plus souvent, la fièvre hépatique est en quelque sorte
chronique
; elle peut durer par exemple deux ou trois mois,
es. — Inflammation suraïguë (cholécystite suppurative). —Inflammation
chronique
(cholécystite scléreuse ; atrophie de la vésicule
'autres fois, au contraire, le processus inflammatoire est absolument
chronique
. Sous son influence, les parois de la vésicule se
j'envisagerai en premier lieu celles qui, se produisant selon le mode
chronique
, s'attachent originairement à la gangue conjoncti
vue. Cette altération du foie appartient à un groupe d'inflamma-tions
chroniques
dont l'homogénéité ne laisse pas grand'chose à dé
1° Tout d'abord, ce qui caractérise anatomiquement ces inflammations
chroniques
, c'est la production exagérée du tissu conjonctif
des dénominations appliquées à ce groupe par-ticulier d'inflammations
chroniques
. Cruveilhier les désigne sous le nom de métamorph
u'elles sont à peu près toujours chroni-ques primitives ou primitives
chroniques
: C'est ainsi que, dans la nomenclature employée
ne période aiguë, se constituent telles quel-les, à l'état subaigu ou
chronique
. Il ne faut pas oublier, toutefois, que dans ce
gine dans un accès de rhumatisme articulaire aigu ; — b) La pneumonie
chronique
ou interstitielle ou fibroïde peut se développer
certaines formes de cirrhose se constituent quelquefois comme maladie
chronique
à la suite d'un état aigu. Sans doute, ces cas so
, exceptionnels, mais ils suffisent pour établir le lien entre l'état
chronique
et l'état aigu. J'ajouterai que les processus i
he, que siège les lésions les plus importantes des diverses néphrites
chroniques
, interstitielles ou parenchy-mateuses, substratum
e montre isolée dans la scarlatine, se trouve, dans certaines lésions
chroniques
du rein, combinée à des altérations qui portent s
utteux, en même temps qu'une des formes de la néphrite interstitielle
chronique
. Ces dépôts, qui sont visibles à l'œil nu, se des
sé-journé longtemps dans le rein, par exemple dans les cas de lésions
chroniques
de cet orga-ne, ils présentent habituelle-ment un
n les trouve dans les affections rénales les plus diverses, aiguës ou
chroniques
; on peut même les rencontrer à l'état normal, et
ne certaine importance ; elle indiquerait une lésion essentiel-lement
chronique
du rein, surtout la néphrite interstitielle — Il
de la maladie. Les cylindres cireux sont aussi l'indice d'une lésion
chronique
, mais il faut bien savoir que la teinte brune qu'
es cpie je vais envisager ont des processus subaigus ou primitivement
chroniques
; car j'éloigne du cadre de la maladie de Bright l
pendant bien démontrée. Évolution très lente ; la maladie, toujours
chronique
d'em-blée, peut durer plusieurs années, quelquefo
ein con-tracté, ou si vous l'aimez mieux, à lanéphrite interstitielle
chronique
primitive. Je supposerai tout d'abord un cas dans
se comprend aisément; en effet, la né-phrite interstitielle, maladie
chronique
primitivement, ne détermine, en général, la mort
topographie des alté-rations rénales dans la néphrite interstitielle
chronique
pri-mitive. Actuellement, il faut compléter cette
s du poumon dans certaines formes de la broncho-pneumonie subaiguë ou
chronique
. Charcoï. Œuvres complètes, t. vi, Maladies des
ents urémiques observés dans la néphrite interstitielle. A. — Uré-mie
chronique
: dyspepsie: — ainauroses; — phénomènes nerveux. B
mporaire : c'est un fait que M. Johnson a bien observé dans la goutte
chronique
, où l'on voit l'albuminurie se montrer dans les a
variés, et généralement insidieux, qu'on désigne sous le nom fturémie
chronique
. Sans entrer dans le détail des formes qu'ils peu
ue est déjà profondément affectée. 1° Vous savez que dans la goutte
chronique
, suivant les observations de M. Garrod et les mie
la raison des dépôts tophacés qui, chez les sujets atteints de goutte
chronique
, se forment en abondance dans les jointures, au-t
par M. Sutton, je dois reconnaître que, dans 5 ou 6 cas de pneumonie
chronique
interstitielle (phthisie fîbroïde de Sut-ton), ob
topsie des sujets qui ont succombé à cette affection. V endartérite
chronique
ou athérome artériel est une des lésions que l'on
e parenchymateusë). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et
chronique
. Forme chronique. — Examen macroscopique: — tum
Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme
chronique
. — Examen macroscopique: — tuméfaction, trouble d
stinctes au point de vue clinique : Io une forme aiguë ; 2° une forme
chronique
. Je n'envisage-rai ici que les formes subaiguë et
une forme chronique. Je n'envisage-rai ici que les formes subaiguë et
chronique
primitive. L'une des figures du R. Bright vous
on a si-gnalé aussi comme causes possibles le rhumatisme articu-laire
chronique
, diverses formes de cancer ; il ne faut pas oubli
arquer, en effet, que la néphrite in-terstitielle de ce genre, lésion
chronique
primitive, à évolu-tion lente et progressive par
circonstance qu'elle se montre, quelle que soit la ma-ladie aiguë ou
chronique
qu'elle vienne compliquer, est tou-jours due à l'
n suive. On peut citer encore l'exemple de la néphrite interstitielle
chronique
primitive, dans laquelle les urines contiennent f
des formes anatomo-pathologiques de la néphrite albumineuse aiguë ou
chronique
. La plupart des figures qui accompagnent ces le
iques ; — diminution du taux de l'urée; caractère vespéral ; — marche
chronique
; — terminaison. Analogies entre les diverses f
s. — inflammation suraïguë (cholécystite suppurative). — Inflammation
chronique
(cholécystite scléreuse ; atrophie de la vésicule
nts urémiques observés dans la néphrite interstitielle. A. —? Uré-mie
chronique
: dyspepsie; — amauroses; — phénomènes nerveux. B.
e parenchymateuse). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et
chronique
. Forme chronique. — Examen macroscopique : — tu
Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme
chronique
. — Examen macroscopique : — tuméfaction, trouble
e plomb Lésions du l'oie dans la , 88, 99, Coma dans l'oblitération
chronique
du canal cholédoque, 191. Congestion biliaire,
Hémorru oï d es , 363. 1 [épata lg ie, 126, 161. Hépatite, 99. —
chronique
, 220. —? interstitielle, 222. Hépatomégalie, 25
4: — pouls, tempé-rature, 80, 95 ; —? Taux de l'urée dans 1' —, 89. —
Chronique
, 117, 147, 188. — Dans la cirrhose hy-pertrophiqu
07, 394 : — par le rein con-tracté, 345, 347. Urémie aiguë, 317 ; —
chronique
, 345.—Dans la nephrite intersti-tielle, 345. —? D
». En outre, il a le soin de faire remarquer que l'af- fection est
chronique
par excellence, le plus souvent hérédi- 1 ' A
de deux à quatre mois chez l'enfant, exceptionnel- lement, elle est
chronique
et les cas où elle a duré un temps plus long se
dans l'écorce (Quincke Hirt Eisenlohr). Autopsie. Leptoméningite
chronique
, atrophie et hypérémie cérébrale. Pneumonie lob
n; par C. AIAYER. (YM/t ! '6Me/t. f. Psychiat., X, 1.) Saturnisme
chronique
professionnel (coliques de plomb, cépha- lalgie
ivent être rattachées à la maladie mentale. G. D. VIII. LE délire
chronique
ÉVOLUTION systématique et les PSYCHOSES DES DÉG
rentiels qui d'après l'enseignement de M. Magnan séparent le délire
chronique
des autres psychoses, notamment de celles des d
ychoses, notamment de celles des dégénérés. IX. Mélancolie anxieuse
CHRONIQUE
. PERTE DU SENTIMENT DE la personnalité; par le
-2 Folie systématique aiguë. Se distingue de la folie systématiqu e
chronique
par l'installa- tion aiguë ou subaignë des idée
- tallent lentement et progressivement dans la folie systématique
chronique
. Les idées délirantessont solides, mais dépourvue
e avec symptômes d'ar- rêt psychique, consécutive à une endométrite
chronique
(ulcéra- tions du col). On guérit l'affection d
on delà matrice; la psychose cède. Trois ans plus tard, endométrite
chronique
, métrite, catarrhe chro- nique du col et du vag
bres. Elles demeurent intactes dans la démence sénile, l'alcoolisme
chronique
, la folie systématique chronique. P. KERaVAL.
ns la démence sénile, l'alcoolisme chronique, la folie systématique
chronique
. P. KERaVAL. XII. UN CAS DE PORENCÉPUAHE ACQUIS
lire des persécu- tions, a engendré plusieurs travaux sur le délire
chronique
. Je crois assez volontiers que les persécutés,
cution. Ce point mériterait qu'on revint sur la question du délire
chronique
. D'autres aperçus n'ont pas été suffisamment étud
e. Quelques auteurs alle- mands vont même presque à faire du délire
chronique
une classe à part de la dégénérescence mentale.
la vue, on admet généra- lement qu'elle n'existe pas dans le délire
chronique
. On pense gé- néralement que les auteurs qui cr
la discussion pour délimiter le délire des persécutions, ou délire
chronique
proprement dit, le dé- lire des persécutions de
ccupaient une large place dans un délire de persécution à évolution
chronique
. Il rappelle ensuite le travail de MM. Séglas e
se trouve bien nulle part. De plus, il est admis que dans le délire
chronique
, les hallucinations de la vue n'existent pas. M
ute autre que celle de la psy- chose connue sous le nom de « délire
chronique
». S'il fait de sa malade une « dégénérée », c'
rappelle la démence aiguë), par la mort ou par le passage à l'état
chronique
du reste lui-même curable. Il n'est pas rare de
gions craniennes. Chez les malades atteints d'affections cérébrales
chroniques
, la sensibilité des sutures est plus fréquemmen
ur aliénés incurables. ' Entre l'asile de traitement et l'asile des
chroniques
, s'étend un petit bois de sapins. L'asile de
pinale progressive type Duchenne- Ar&n (poliomyélite antérieure
chronique
, progressive). Aujourd'hui, je voudrais, avant
des cornes antérieures de substance grise, évoluant suivant le mode
chronique
. A cet égard, la seule différence qui existe en
je vous ai fait constater dans le cas de poliomyélite antérieure
chronique
. S'agit-il ici encore de cette affection ? Nul-
ax, on constate les lésions ordinaires de la tuberculose pulmonaire
chronique
. Les poumons sont farcis de tubercules à divers
Ménière, soit pour leurs bourdonnements, offrant ou non des lésions
chroniques
sclé- reuses des oreilles, peu faciles à modifi
ntelligence moyenne, elle a eu de légères atteintes de rhu- matisme
chronique
aux poignets et des migraines assez fréquentes
our nous faire songer à une lésion irritative du cerveau (méningite
chronique
ou sclérose des circonvolutions). D'autre part,
eur de l'internement. Une fois l'aliéné interné, qu'il soit aigu ou
chronique
, l'occupa- tion hygiénique, lorsqu'elle est pos
étant d'un pronostic défavo- rable. Il est vrai que les affections
chroniques
s'accompagnent aussi de cette constante, sinon
sinon la commotion mécanique elle-même. P. K. V. DE la paralysie
chronique
PROGRESSIVE DES MUSCLES DES YEUX, 1 travail pos
ignes spinaux et céré- braux. Il y a cependant des cas de paralysie
chronique
des muscles des yeux indemnes cliniquement de t
lonus peut s'associer, en ajoutant un syndrome de plus aux myélites
chroniques
graves, comme la myélite diffuse, l'atrophie mu
morrhagies primi- tives ; le premier phénomène est une inflammation
chronique
de la dure-mère, une pachyméningite, d'où forma
observations personnelles durant ces dix dernières années (myélite
chronique
ou dorsale) montrent que 35 à 40 p. 100 de ces
fois ils se prétendent ressuscités. Ils ressemblent à des délirants
chroniques
; mais leur délire n'a suivi aucune évolution ré
attachent à des lésions occupant les centres nerveux. L'amblyopie
chronique
de l'hystérie ou anesthésie rétinienne tient pr
isons qui modifient le caractère lorsqu'on en fait abus d'une façon
chronique
. Alcool, éther, chloroforme, hydrate de chloral,
a première année de la vie, par une paralysie, à marche subaiguë ou
chronique
, des muscles 282 SOCIÉTÉS SAVANTES. du bassin
la sensibilité. Toujours chez tous les malades, marche symétrique,
chronique
, progressive. Sans exception, la mort avait lie
ujourd'hui, comme avant, continuer à être reçus dans une section de
chroniques
d'un asile d'aliénés, car ce sont des infirmes,
e de l'idiot, qui n'est autre qu'un malade .atteint d'une affection
chronique
du cerveau, fait partie de la pathologie cérébr
ux processus syphilitiques du sys- tème nerveux, gommes, méningites
chroniques
cérébrales locali- sées, artérites et leurs con
urir, présentant depuis quelques années des arthrites rhumatismales
chroniques
. Père. Caractère vif. Hère. Sa santé a été touj
embre inférieur. Prog. Méd., -1879, p. 518) concerne aussi un accès
chronique
où le tremblement s'augmentait par les émotions
die; 2° guérison avec léger airai- blissement des facultés; 3° état
chronique
de démence; 4° mort après marche aiguë ou chron
cultés; 3° état chronique de démence; 4° mort après marche aiguë ou
chronique
, le plus souvent par pneumonie, phtisie, marasm
es et peu profonds de cette forme vésanique. Quand il y avait manie
chronique
simple et non démence maniaque, le sujet se mon
i générale que sur les états maniaques. Dans un cas de mélancolie
chronique
, la maladie intercurrente a produit un effet semb
èrent non plus rien de notable. 11 faut noter en plus un alcoolique
chronique
qui cessa de délirer dès le début de l'at- taqu
tions arrondies. Tous les traitements ont échoué contre ces ulcères
chroniques
. (Annales médico-psycholo- giques, juin 1892).
Dunn est disposé à se ranger, renoncent à l'admettre. Sous la forme
chronique
, elle peut ou être' primitive, c'est-à- dire ap
est la para- noia persecuteria qui correspond assez bien au délire
chronique
de Magnan et des auteurs français. C'est celle
s intermédiaires entre le délire sensoriel typique et la para- noia
chronique
. Le délire sensoriel typique, bien que ressembl
ns le processus de dégénérescence mentale qui constitue la paranoia
chronique
, on distingue deux facteurs psychologiques, d'u
ou paranoia aiguë. Entre le délire sensoriel vrai et la paranoia
chronique
, il y a une multitude de formes dans lesquelles
ns les vagues appréhensions de la période prodomique de la paranoia
chronique
. C'est à ces formes que doit s'appliquer exacte
s cliniques intermédiaires entre le délire sensoriel et la paranoia
chronique
, elles ont des carac- tères communs dans quelqu
men nécroscopique. J. Séglas. LVI. Contribution A l'étude du délire
chronique
; par R. Fronda. (Il manicomio, fasc. 2-3, 1892.
ns, l'auteur tire les conclusions suivantes : I. La forme du délire
chronique
décrit par M. Magnan existe bien cliniquement.
si d'ailleurs faire totalement défaut. - III. L'évolution du délire
chronique
n'est pas constamment identique ; mais, outre q
ouvent. V. Etant donné certains des caractères essentiels du délire
chronique
, il n'est pas difficile de le différencier du dél
es doctrines suc- cessives plus récentes de M. Magnan sur le délire
chronique
; bien qu'il trouve que ce ne soit pas difficile
. Son délire est bien différent du délire de Lasègue ou du délire
chronique
de Magnan. Il diffère aussi du délire des dégénér
dipsomanie, sur la folie des héréditaires dégénérés, sur le délire
chronique
, sur la folie in- termiltente, contenues dans c
la guérison, qui est très fréquente, la manie peut passer à l'état
chronique
qui se termine par la démence. Rarement elle se
viande cuite, sans os, nécessaire pour maintenir en bonne santé les
chroniques
d'un asile ? 4° La soupe et le bouillon occupen
on ne l'a cru jusqu'à ce jour dans la pathogénie des tremblements
chroniques
qui succèdent aux grands ébranlements psychiques.
es et des actes comme dans.la manie aiguë. Dans les formes de manie
chronique
, dans les états d'agitation, aux arrêts de déve
i se corrigea après sa mise en cellule. Une femme atteinte de manie
chronique
changea ses habitudes de malpropreté après une
, dans le tremblement de la paralysie agitante et dans l'alcoolisme
chronique
. L'abus du médicament commencerait dansle cas o
tte rapporte les observations de trois ma- lades atteints de chorée
chronique
, chez lesquels l'affaiblissement des facultés i
l'on peut tirer de cette étude sont les suivantes : 10 La néphrite
chronique
est une cause fréquente de folie. 2° La mélanco
vec la cause. Si la cause persiste, l'affection rénale peut devenir
chronique
. 4° Contrairement à l'opinion de beaucoup d'obs
f, et intitulé : Dissimulation des idées de grandeur dans le délire
chronique
des persécutions. Une mention honorable est aussi
pports du moi. Il n'y a selon moi d'exemple de folie systématique
chronique
(chroniscke paranoïa) ou pour nous servir du te
e après l'ablation des zones motrices, par Jlouratof, 136. Délire
chronique
, par Sérieux, 92 : par l'rondor, 390; polymorph
nie, post éclamptique, par Alexan- der, 460. Mélancolie, anxieuse
chronique
, par Dagonet, 9 ? ;- au point de vue physiolo
il), réaction galva- nique de l ? par Hoche, 280. Yeux, paralysie
chronique
des muscles des -, par Siemerling, 262. TAB
ccouchement et des suites de cou- ches sur la marche d'une psychose
chronique
antérieure. Cinq observations dont deux de foli
eur pas la moindre influence sur la marche ultérieure des psychoses
chroniques
. Il n'a vu d'ailleurs que très rarement surveni
e, des troubles vasomoteurs. 4. Deux cas de parole double. Délire
chronique
hallucinatoire. Les deux malades entendent deux
rs de l'écorce amènent parfois rapidement la mort (abcès). Un abcès
chronique
du cerveau, terminé par la mort, doit être cons
u'elles ne se terminent pas par la guérison, elles passent à l'état
chronique
et aboutissent même à de véritables psychoses (
arfois la démence paralytique (une obser- vation), ceux de paranoïa
chronique
. Au point de vue médico-légal, les psychoses tr
une expertise. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 57 Leur marche est-elle
chronique
? le rapport de cause à effet entre le traumati
s maniaque que termine la dé- mence. La marche de ces psychoses est
chronique
. Au cours de la période latente il arrive que l
ède, les lésions ner- veuses, au lieu de disparaitre, sont devenues
chroniques
en restant très légères. D'où les signes de réa
ons chirurgicales. L'évolution de ces arthrites est essentiellement
chronique
mais coupée de poussées aiguës. Il arrive que,
angés dans cette catégorie étaient atteints de délires systématisés
chroniques
ou de confusion hallu- cinatoire ; les cas de f
is viennent la confusion hallucina- toire, les délires systématisés
chroniques
; enfin les folies inter- mittentes. L'hérédit
diminution (même depuis 1870) du taux de la mortalité, le caractère
chronique
de la maladie, et la fâcheuse fréquence des rec
ce qui indique clairement qu'il s'agit d'une accumulation de cas
chroniques
. D'autre part, il y a eu pour la même période une
e. Nous avions une malade qui, sous l'influence de cette saturation
chronique
, présentait indé- pendamment de cet état gastri
à une apoplexie. Foyers multiples de ramollissement. Ramollissement
chronique
du cerveau par artério-sclérose ayant détruit l
est le moins affecté et le dernier dans la polyomyélite progressive
chronique
, et, comme l'a montré hünrazzini; est probablem
s pos- sibles sont la guérison, l'amélioration, le passage à l'état
chronique
et la mort; les chiffres recueillis à l'asile d
0 cas, on compte 49 guérisons (40,8 p. 100), 41 pas- sages à l'état
chronique
(34,1 p. 100), 14 améliorations (11,6 p. 100),
a tuberculose en deux catégories distinctes, savoir : 1° Myélites
chroniques
, caractérisées anatomiquement par l'existence d
le, présentant au point de vue clinique les symptômes d'une myélite
chronique
. Dans son index bibliographique, le même auteur
tuberkulose. Tùbingen, 1890. Mal de Pott cervical. Leploméningile
chronique
. Poussée de ménin- gomyélite aiguë limitée à la
t le tableau de la myélite aiguë ou subaiguë ou enfin de la myélite
chronique
. Cette forme de tuberculose de la moelle est tr
o- périvasculite et peuvent amener des oblitérations dans les cas
chroniques
(Gunsser). Partout l'on constate l'hypérémie, q
les cas aigus, sous les symptômes d'une myélite aiguë. Dans un cas
chronique
(cas de Gunsser), elle s'est présentée sous les
res de la tuberculose de la moelle doit être encore augmenté du cas
chronique
décrit par Gunsser. Ainsi, la tuberculose nodul
uberculose nodulaire de la moelle peut être aiguë, subaiguë et même
chronique
. Nous connaissons les cas de transition entre l
as de transition entre les cas aigus (Raymond, Liouville) et le cas
chronique
de Gunsser. Cette transition est formée par les
.problématique et l'affection chez l'un et l'autre a passé à l'état
chronique
. - SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES ALOENISTES
é apparente pro- noncée. Maladies antérieures : rhumatismes subaigu
chronique
articulaire et musculaire, dyspepsie, artères s
'annoncent chez toutes par une bronchite aiguë ou par une bronchite
chronique
repassant à l'état aigu. Cette bronchite des gr
ital et établit une distinction tranchée entre cet état et la folie
chronique
systématisée ambitieuse désignée autre- fois so
is une maladie de Basedow, une cirrhose hypertrophique thyroïdienne
chronique
, si l'on veut, et une cirrhose hypertrophique d
e plus, les signes de la cirrhose hypertrophique du foie : ictère
chronique
, troubles digestifs profonds, selles et urines bi
tologiques est' que, dans un certain : groupe de maladies nerveuses
chroniques
, dont la clinique. nous montre Travail du labor
ites plus haut. La moelle présente dans sa hauteur une inflammation
chronique
de la pie-mère, qui est très régulièrement répa
ond, les pièoes de trois cas de syphilis spinale dont l'un, myélite
chronique
diffuse évoluant sous les allures d'une atrophi
malades étaient atteints l'un d'une myélite syphilitique transverse
chronique
(F. Raymond, Contribution à l'étude de la syphi
d'un homme de vingt-cinq ans qui, dans le cours d'une blennorrhagie
chronique
, durant depuis trois ans, fut brusquement frapp
près chaque accès de névrite. Actuellement l'affection est à l'état
chronique
: les symptômes moteurs prédominent; plu- sieur
contraire nettement progressive et incu- rable, ce sont les chorées
chroniques
progressives : a, chorée héréditaire ou de Hunt
s progressives : a, chorée héréditaire ou de Huntington ; 6, chorée
chronique
progressive sans hérédité similaire; 3° chorées
és démence sénile : il étudie ainsi les pseudo-démences des délires
chroniques
systéma- tisés et termine en signalant le rappo
issimulateurs les plus dangereux sont lesaliénés atteints du délire
chronique
de persécution à forme systématique. En un mot
petit névrome sous-cutané. Il a opéré une aliénée atteinte de manie
chronique
et de fibrome du sein : elle a guéri de sa foli
vement chargés des alié- nés choisis parmi les convalescents et les
chroniques
. A midi, un déjeuner de cent vingt couverts réu
ées dans la substance blanche de nos cas de polyomyélite antérieure
chronique
et subaiguë ne leur retirent absolument rien de
rvant l'un d'hôpital pour les cas aigus, l'autre d'hospice pour les
chroniques
. Les asiles deMarsberg(1835), d'Illenau (1842),
7 asiles mixtes, 8 asiles de traite- ment, et 27 hospices d'aliénés
chroniques
. Les établissements de traitement contenaient d
maintenant, une forte proportion d'incurables 1. Les hospices de
chroniques
ne servaient qu'à débarrasser les asiles mixtes
nt possible les cas aigus; 2" une colonie agricole pour les aliénés
chroniques
capables de travailler et n'ayant pas besoin de
ment médical des psychoses aiguës et de la colonisation des formes
chroniques
, pour demander la création de deux sortes d'éta
veur du traitement en liberté des aliénés et de la colonisation des
chroniques
. « L'idée, dit-il, du traitement en masse, avec
l'assistance familiale des aliénés. On sait que certains malades
chroniques
, tranquilles, ne retirent aucun avantage d'un séj
le aussi, l'assis- tance familiale pour un certain nombre d'aliénés
chroniques
: en 1893, 209 de ces sujets étaient assistés d
; par le grand développement donné à la colonisation des aliénés
chroniques
: par le traitement individuel des psychoses cura
94.) E. B. IV. Remarques SUR LE traitement médical DE l'épilepsie
chronique
; par le D' ROUDURANT. Les conclusions de l'aute
uf de rares exceptions, sans influence sur la marche de l'épilepsie
chronique
vers la folie; 2° Le naphtol peut rendre quelqu
de l'auteur il y en a deux formes : une forme subaiguu et une forme
chronique
. En tout cas il ne s'agit pas du tout de la pro
phérie. Cette progression graduelle est remarquable dans la forme
chronique
. Voici comment dans l'ordre suivant les tissus
ur métamorphose. . ! Ce qui distinguera forme subaiguë, de la forme
chronique
, c'est que dans la première l'infiltration des
emmes le présentaient plus fréquemment que les hommes. La méningite
chronique
simple existait dans 85,9 p. 100- des cas. La
. Zeitschr. f. Psychiul., LI, 3.) Au début de la folie systématique
chronique
, le malade peut regarder ses conceptions délira
a rencontrée chez des sujets atteints de confusion, de mélancolie
chronique
et de paranoïa hallucinatoire. Ses recherches ont
hie des fibres externes et moyennes se rencontre dans les psychoses
chroniques
avec terminaison par la démence (mélancolie, dé
Si le fait se confirme de l'atrophie des fibres dans les psychoses
chroniques
évoluant vers la démence, il reste, comme carac
e se rencontre chez des alcooliques sous le coup d'une intoxication
chronique
qui a déterminé des troubles graves de la nutri
tique paraît plus fréquente chez les' buveurs. Chez les alcooliques
chroniques
atteints d'hystérie traumatique une dose minime
nde si les malades observés par l'auteur, souffraient d'un catarrhe
chronique
de l'estomac. Dans ce cas il faudrait attribuer
miANN répond que nombre de ses malades étaient atteints de gastrite
chronique
. M. BuscHAu (de Stettin). De l'influence de la
e Hubertusburg). La menstruation et son influence sur les psychoses
chroniques
. - Les recherches de l'auteur ont porté sur 99
de l'auteur ont porté sur 99 femmes atteintes d'affections mentales
chroniques
, dont l'âge variait pour la plupart entre trent
nq ans. Les psychoses observées chez les femmes étaient la paranoïa
chronique
(17 cas), la même forme avec affaiblissement in
ssement intellectuel (40), la démence secondaire (10), la confusion
chronique
(23); il faut y ajouter quelques cas d'idiotie,
s-persécuteurs comme symptôme se mon- trant au cours d'une paranoïa
chronique
(la fille). Apparition d'idées de grandeur. Ter
Au cours de certaines intoxications, principalement l'alcoolisme
chronique
, comme aussi dans le cours ou la convalescence de
e du coeur. L'évolution de la paralysie est variable, tantôt lente,
chronique
; tantôt généralisée très rapidement en revêtant
ilité. Il est, au contraire, généralement favorable dans les formes
chroniques
alors que l'état général du patient est relativ
artiennent, sans ou presque sans exception, aux formes subaiguës au
chroniques
des maladies infectieuses ou toxiques. Les lé
'écorce cérébrale décrites dans certains cas d'intoxi- cation grave
chronique
, il est probable que les différents degrés d'al
e d'aliénés de l'Alabama, l'auteur a trouvé des signes de lésions
chroniques
du rein chez 50 p. 100 des malades atteints de fo
s chroniques du rein chez 50 p. 100 des malades atteints de folie
chronique
. Les faits recueillis lui permettent de soutenir
e n'étant qu'un symptôme mental de l'intoxication ,rémique aiguë ou
chronique
. (American journal of insanily, uillet 4895.) E
ellement quelquefois, revêtir l'allure d'un processus inflammatoire
chronique
. Ils ont alors plutôt l'aspect de foyers multip
émie, des thromboses, etc. M. Boedeker. Sur un cas d ophtalmoplégie
chronique
(avec présen- tation de préparations). Un paral
57. 250 cas d ? par Macalester, 156. Traite- ment médical de l'-
chronique
, par Bondurant, 376. et son traitement par Cr
et Crain, 159. , Menstruation et son influence sur les phychoses
chroniques
, par Noecke, 416. Migraine ophtalmique et aph
Freud, 476. Obsessions et phobies, par Freud, 46. Opiitalmoplégie
chronique
, par Boe- deker, 491. Onc. Sur une sensation
olie, des guérisons tardives, tout comme dans les au- tres maladies
chroniques
. Y aurait-t-il une durée après laquelle la guér
mptiques, puis cette épilepsie aiguë passe pour ainsi dire à l'état
chronique
et ne se manifeste plus que par des attaques is
l'organisme en état d'opportunité convulsive, ou passer à l'état
chronique
, et se tranformer en épilepsie vulgaire. Quelle
semble qu'on ne peut guère hésiter qu'entre deux formes, le délire
chronique
et la mélancolie anxieuse, et encore l'hésitati
minent chez elle ne sont celles que l'on observe chez les délirants
chroniques
. La maladie débute ici par un accès de mélancol
alluci- nations de la vue très intenses, rares chez les délirants
chroniques
, et qu'elles sont primitives dans l'évolution du
ion, c'est-à-dire presque primitive; tandis que, chez un délirant
chronique
, elle marque une période très avancée du délire,
uent de celles que l'on observe chez les aliénés atteints de délire
chronique
. Comme le fait justement remarquer M. Cotard, c
e prédis- posée. Si notre malade s'éloigne beaucoup des délirants
chroniques
, elle se rapproche d'un autre côté d'une façon
raisons qui nous ont empêché de faire de notre malade une délirante
chronique
. Malgré ses idées de damnation, nous n'avons pa
ents ne relèvent ni d'une affec- tion cardiaque, ni de l'alcoolisme
chronique
, ni d'une sclérose ARCIIIVLS, t. VIII. 6 8 :
de quelques affections nerveuses : atrophies musculaires, myélites
chroniques
, ataxies locomotrices, ramol- lissements cérébr
xte, c'est-à-dire qu'il contient réunis des malades curables et des
chroniques
. Le chiffre de la population est de 300; égalit
ssements. Nous cite- rons plus particulièrement : l'organisation de
chroniques
(mani- côme de Gênes, de Saint-Lazare à Reggio)
rarement retardée jus- qu'au quinzième ou vingtième jours, le type
chronique
durant une ou plusieurs années; 3° la forme spi
e les troisièmes fron'ales président à la parole. Déjà, DU DÉLIRE
CHRONIQUE
. 173 depuis 1879, M. Magnan ' n'accordait plus
ligne médiane. RECUEIL DE FAITS CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU DÉLIRE
CHRONIQUE
; Par le D''Louis BOUCHER. Si les nombreuses a
ique, nous avons cru devoir retracer les points saillants du délire
chronique
nettement caractérisé par quatre stades : inqui
tion. , - 't' " 1 ? ' , "" , -*«r ' t J -1 L étiologie du délire
chronique
. est^tout entière dans,l'1 ér- dité; et; pour,
Délüëhclironiqiié,stlès 1883, résumé p. 11. -agi j-idoJiu DU DÉLIRE
CHRONIQUE
. 175 Aussi, ne saurait-on trop soigneusement re
ces prédisposés mal équilibrés, et les premiers symptômes du délire
chronique
apparaîtront, le chue moral les impressionnera
persécution, d'ambition et de démence. hesccomplications du délire
chronique
sont constituées par différents états, tels que
ée à l'excellente thèse de M.' Respaut et dans laquelle le délire
chronique
se montre simultanément avec l'épilepsie. , Le
fonde prédomine dans l'ensemble de son état, tandis que le délirant
chronique
a tendance, dans son délire, à grouper les fait
février 1881, avec le coi tificat suivant, de M. llLcw;v : « Délire
chronique
(teec hallucina- tions, troubles de la sensibil
iL)depuis 1 8-j séjourné dans "différents asiles de province : elle
chronique
avec hallucinations, troubles dé 1 ti zs "il)ii
énérale Uli systcme ïlcrvëûx.5, t ,sc ? a ? s ? "i ? v ." DU DÉLIRE
CHRONIQUE
. 179 Il semble inutile de multiplier les observ
. 179 Il semble inutile de multiplier les observations de ^délire
chronique
à la période de persécution, elles sont plus' ou
toutes les mêmes, quand il ne vient pas se greffer sur le délire
chronique
un autre état morbide. Voici maintenant un casj s
la clinique; de l'admission, avec le certificat suivant : «-Délire
chronique
mystique, volubilité et excitation, hallucinati
l9 9119 Ujl 9 : 'UI(1115 ' 'Tels olitt-les 'cas simples due délirei
chronique
j'dls peuvent se compliquer d'autres ! états' e
quaient de lui, qui l'injuriaient. Plus tard, l'évolution du délire
chronique
continuant, V... se demandait si ce n'était pas
de vrais parents. » Les hallucinations qui se rattachent au délire
chronique
se montrent aussi plus ou moins vives et pressa
A trente ans,-V... est arrivé à la période expansive de son délire
chronique
. Il entend la voix de Dieu, il veut tra- vaille
nt;guère qu elle, car l'a2olisme'iupeliéôlémén compliquer le délire
chronique
n ? »qv|i b-1 innfn',1 i ? « 1 ? an-l ..S ? 11l
(|.ilt* Ivc,1\W fC4lV ? lv9y'NW , «i'<»i "» En résumé, le délire
chronique
, quel qu'il soit, ou que DES CIRCONVOLUTIONS CÉ
inflammation interstitielle vraie du cerveau, à marche subaiguë ou
chronique
; qu'elle est en somme une véri- table cirrhose
bliographie. Il arrive. aux conclusions suivantes : 1° L'alcoolisme
chronique
n'est pas une forme morbide ; ce n'est pas non
és presque .absolument par de l'eau-de-vie; ' - = 4° L'alcoolisme
chronique
possède différents rapports de parenté Ancum Es
es, la, mqrt, y9 constituant la règle ; 7°La marche de l'alcoolisme
chronique
est, .comparativement, aiguë; elle comprend plu
rale; il' est vrai.qu'alôrs il s'agissaitfnoiï plus'd'unc évolution
chronique
ordinaire,' mais d'une marche aiguë et souvent'
ivement .peu de médicaments ^capables de7prëduire, pâr intoxication
chronique
, dos'psychoses parfaitement'développées. Citons
? la ? pâéal3siëtdu coeur. Parmi les résultats de l'empoisonnement
chronique
.' il-faut 'nommer'do graves'difficultés de la d
sion brusque, n'a dès lors Li tion immédiate .avec )echioraii<me,
chronique
z stade s'y rattache directe ment. Lé deuxième
iste d'état, clair. Quant H l'anatomie pathologique de,iencéphatito
chronique
,' les f préparations,' discussions et analyses
auto-accusations lypénianiaqucs, et d'idées de persécution; les cas
chroniques
eux-mêmes démontrent la réalité de cette assert
quatre-vingt-un malades. CnARpENTtER. VI. Étude sur le morphinisme
chronique
(thèse, 1883); par M. Danie Jouet. Descriptio
: Aphasie et Arttonontnsie, paralysie par compres- siorz, urticaire
chronique
, sperrnatorrhée et irnpuisscznce par influence
ant. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXIII. Un cas d'affection
chronique
DE la moelle épinière,guérison; par Alessandro
Autopsie. Sclérose diffuse de l'encéphale; lepto- méningite spinale
chronique
; sclérose diffuse de la moelle ; foyers de scl
SE. XXVI. Contribution A l'anatomie pathologique de l'encéphalite
chronique
MUL9'ILOCUL.1111E (connue sous le nom de sclérose
. Nervenk., XIII, 3.) Reçu à l'hôpital pour une phthisie pulmonaire
chronique
compli- quée d'ascite et d'anasarque, le malade
ar- TIELLLE ET sur L'OCCURRENCE DE H paralysie spinale atrophique
CHRONIQUE
CHEZ l'enfant; par ERB. (IYeUI-01. Ce7tlz'(Llbl.,
e détermination, la première concerne une poliomyélite antérieure
CHRONIQUE
CHEZ UNE FILLETTE DE six ANS (fait unique); la se
èce. Signalons le cas 111. Un syphili- tique atteint de dyssenterie
chronique
du Cap (vingt-quatre selles sanglantes par jour
qui revient à peu près au même, l'admission dans cet asile de cas
chroniques
, antérieurement traités soitauKWorkhouse », soit
t être la marche des faits : D'abord, à la suite d'une inflammation
chronique
des méninges ou de la région corticale, il se p
quel- 361. SOCIÉTÉS SAVANTES. conque ; paralysie générale, délire
chronique
, épilepsie, etc. Qui ne sait que, dans cette in
ôt que par groupes. L'autopsie révèle, en outre, une leptoméningite
chronique
avec oedème modéré du cer- veau ; les méninges
liquer les troubles passagers; dans un second cas, une inflammation
chronique
des méninges molles au niveau de la surface ent
aient un symptôme initial. Il a vu pareille chose dans l'alcoolisme
chronique
, dans le traitement salicylé (à hautes doses),
existe d'étiologie nette, il s'installe, sous la forme subaiguë ou
chronique
, un affaiblissement de la motilité des extrémit
ité de tout l'endocarde; emphysème pulmonaire. Bronchite catarrhale
chronique
. Stase hépatique et splénique. Les reins sont n
rmulé que' toute psychose présente, comme toute névrose, une marche
chronique
, que les formes transitoires ne sont que les pl
in-4° avec tableaux; De l'influence des trans- lations des aliénés
chroniques
de la Seine dans les divers climats de la Franc
lbuminurie transitoire dans les états convulsifs, 3S0. Alcoolisme
chronique
, 225. Aliénés (effets de la fièvre chez les),
Rennes, 127. Ataxie locomotrice et syphilis, 88. Atrophie spinale
chronique
chez l'enlant, 30. Bains prolongés dans le dé
s cordons latéraux, par Yierordt, 331. Délire aigu, 104. Délire
chronique
(contribution à l'étude du), par Boucher, 173.
le allongée (tumeur de la), 333. Morphiomanie, 128. Morphinisme
chronique
(du), par Jouet (An.Charpentier),266. Myosite
ndications : i° une affection organique du rein ; i° une inflammation
chronique
du gros intestin. La première affection, qui étai
organique des viscères thoraciques. Dans quelques cas d'inflammation
chronique
du rein, les vomissemens peuvent être le résultat
mènes sympathiques ne s'usent pas, pour ainsi dire, dans les maladies
chroniques
. Sous le rapport de l'anatomie pathologique, ce
d peu altéré. C'est ainsi que chez une malade affectée d'inflammation
chronique
du corps de l'utérus, examinant par hasard les re
le rein représenté fig. 3 et 4 avait été le siège d'une inflammation
chronique
snr laquelle s'était, pour ainsi dire, entée une
dans le tissu du rein enflammé. Chez un individu affecté de catarrhe
chronique
de la vessie, j'ai trouvé dans le rein un nombre
les de fièvres adyna-miques, d'entérites et autres maladies aiguës ou
chroniques
, dans lesquels il est fait mention de ramollissem
s plus énergiques, soit intérieurs, soit extérieurs. Ramollissement
chronique
de la rate. (PLANCHE Ire, FIGURE 4, Iï" LIVRAIS
nce énorme qui existe entre une com-prcaolou algue et une compression
chronique
exercées sur le cerveau. Il n'est pas rare de tro
re épaissi et induré, et qui attestaient l'existence d'une irritation
chronique
du poumon. La surface interne de tous les canaux
ment une prédisposition nécessaire. Dans le cas actuel, une bronchite
chronique
avait précédé; une attaque d'épilepsie sembla le
poumon, je trouve presque toujours soit des bronchites très-aiguës ou
chroniques
, soit des pneumonies ou pleurésies incomplètement
elles, que toutes les formes d'altération organique, soit aiguë, soit
chronique
, peuvent en être le résultat; d'où la nécessité d
une tumeur, aucune région sensible. Je pense qu'il existe une maladie
chronique
latente de quelqu'un des points du canal intestin
ltère profondément, les traits s'étirent comme à la fin d'une maladie
chronique
. Les parois abdominales et les extrémités supérie
de l'inflammation et en particulier la suppuration, les inflammations
chroniques
et dégénérations de tissu connues sous le nom de
s maladies, se présente tantôt sous le mode aigu, tantôt sous le mode
chronique
; et dans l'un et l'autre cas, ou bien elle envah
donc que lorqu'ils ont acquis une certaine densité, dans les maladies
chroniques
du larynx par exemple, que le doigt peut-être de
ngite sous-muqueuse de la région sus-glottique du larynx. Laryngite
chronique
ulcéreuse occupant la surface extérieure et intér
ite sous-arachnoïdienne aiguë et une de méningite sous-arachnoïdienne
chronique
, ont présenté trait pour trait l'altération repré
s de compression. Obs ervation III. — Méningite sous-arachnoïdienne
chronique
de la hase. Est. B., huit ans; crâne volumineux
soupçonne une affection cérébrale, quelque tubercule, ou inflammation
chronique
circonscrite, soit du cerveau, soit de ses membra
lente nerveuse, qui lui a été imposé par Huxham; de maladie muqueuse
chronique
, par Rœderer et Wagler ; c'est Ventérite follicul
et il conclut que la dame Hullin avait succombé à une gastro-entérite
chronique
, tout en invitant l'autorité à faire procéder à l
de tous les tissus fibreux, que cette fluxion tend à passer à l'état
chronique
; et de la fluxion chronique d'une membrane fibreu
que cette fluxion tend à passer à l'état chronique; et de la fluxion
chronique
d'une membrane fibreuse à sa dégénération cancére
porte ce que j'ai déjà eu occasion de dire au sujet de la compression
chronique
du cerveau. Lorsqu'une cause comprimante agit len
le ramollissement gélatiniforme du cerveau peut exister d'une manière
chronique
. Or ce ramollissement, qui échappe aisément à une
bles, où elle est morte âgée de quinze ans, par suite d'un dévoiement
chronique
. Voici les détails qui ont été recueillis sur son
*) Cours d'études anatomiques 5 anatomie descriptive, t. 1, p. 4^2.
chronique
, il me paraît démontré (*) que les deux opinions,
ivraison. 1 vénériennes incomplètement guéries et aux inflammations
chroniques
, suite de contusions; en un mot, c'est la forme l
aits à regarder cette altération comme le résultat d'une inflammation
chronique
de l'épididyme. C'est en effet l'épididyme qui es
ismale, scrophuleuse, et sous le point de vue du mode, en aiguë et en
chronique
. Les tumeurs blanches me paraissent consister ess
lanches me paraissent consister essentiellement dans une inflammation
chronique
de la synoviale. La goutte articulaire a pour car
oire inférieure, et j'ai eu occasion de voir des rhumatismes aigus ou
chroniques
qui n'avaient respecté que l'articulation de la m
plus graves et les plus constans de l'inflammation, soit aiguë, soit
chronique
, des membranes synoviales : cet effet persiste i
ur seront considérables. La cause de cette usure est l'inflammation
chronique
de la synoviale. Combien de douleurs articulaires
, parce que toutes sont susceptibles d'inflammation, soit aiguë, soit
chronique
, dans leurs synoviales ; en quelques jours l'infl
res; mais ce n'est qu'au bout d'un temps très-long que l'inflammation
chronique
des synoviales a pour résultat l'usure progressiv
s articulaires; or, la cause la plus habituelle de cette inflammation
chronique
, c'est une affection rhumatismale ou bien l'exerc
lages complètement détruits en huit ou dix jours. Dans l'inflammation
chronique
, la destruction est beaucoup plus lente, mais au
es fatigues sont elles-mêmes une cause d'inflammation ou d'irritation
chronique
. Des corps étrangers articulaires. La figure i
étrangers des articulations coïncident souvent avec une inflammation
chronique
des synoviales, circonstance trop négligée peut-ê
rsque le malade succombant à la suite d'une maladie, soit aiguë, soit
chronique
, 1 estomac ne contient que des liquides. Ce ramol
e l'ai rencontré à la suite des maladies les plus diverses, aiguës ou
chroniques
, avec ou sans symptômes du côté de l'estomac. Une
einte en rouge lie de vin. A la suite de certaines maladies aiguës ou
chroniques
, la coloration de la membrane ramollie est brunât
calcul des probabilités que je fis à cet égard, à accuser une maladie
chronique
du foie. Que faire ? le régime, la médecine du sy
E L'ESTOMAC. (planches v ET vi, Xe livraison.) De l'ulcère simple
chronique
de Vestomac. Confondu dans la pratique, tantôt
que de Vestomac. Confondu dans la pratique, tantôt avec la gastrite
chronique
, tantôt, et plus souvent encore, avec le cancer,
ique, tantôt, et plus souvent encore, avec le cancer, l'ulcère simple
chronique
de Vestomac ne me paraît pas avoir fixé l'attenti
ui existe à cet égard. I. Anatomiquement considéré, l'ulcère simple
chronique
de l'estomac consiste dans une perte de substance
nes morbides, les uns sont communs à l'ulcère simple et à la gastrite
chronique
, les autres à l'ulcère simple et au cancer. J'ai
peu de chose près, les mêmes que celles du traitement de la gastrite
chronique
et du cancer. Que ferions-nous si nous avions un
d'une heure. Une remarque très-importante dans toutes les affections
chroniques
, c'est de ne pas trop prolonger la diète adouciss
aigu doit entraîner bien plus souvent cette perforation que l'ulcère
chronique
, lequel est presque toujours suivi d'adhérences s
ni cette densité, ni cet épaississement qui accompagnent les ulcères
chroniques
; i° par les commémoratifs , le malade n'accusant
n oblitération. Là planche 6 va nous fournir des exemples d'ulcères
chroniques
de l'estomac avec lésion tantôt de l'artère coron
qui avait présenté pendant plusieurs années des symptômes de gastrite
chronique
. La figure 4 (pl. 6) nous fournit un exemple de
ux civils qui pratiquent la plupart des amputations pour des maladies
chroniques
, pour des tumeurs blanches, par exemple, ont dû s
es collections de pus, par exemple dans la pleurésie et la péritonite
chroniques
avec collection de pus, dans les abcès par conges
ns les cavernes des phthisiques. Je l'ai vue dans un cas de bronchite
chronique
purulente. Enfin, tous les signes de la gangrène
donc consécutive : elle peut tenir, ib à l'extension de l'irritation
chronique
dont la portion du péritoine qui revêt le foie es
travail d'irritation puisse s'élever jusqu'à l'inflammation aiguë ou
chronique
du péritoine. Dans un grand nombre de cas, l'asci
s on conçoit que le malade puisse succomber à une pleurésie aigiïc ou
chronique
. J'ai observé un exemple fort remarquable de cett
génération cancéreuse des organes : toutes les fois qu'une irritation
chronique
a lieu dans un organe, les artères prennent un ar
0 avril, j'épuisai la série des moyens employés contre les affections
chroniques
et légères du foie ou de l'estomac : les eaux de
calculs biliaires et autres corps étrangers; l'inflammation aiguë ou
chronique
des conduits biliaires ; les diverses transformat
sus blancs étaient fortement teints en jaune. XVIII. L'inflammation
chronique
des voies biliaires est assez rare dans l'espèce
i présente avec elle de grands traits d'analogie. Guérison d'ulcère
chronique
aux narines. — Cancer au pylore et à la partie vo
loureux , l'érysypèle ambulant 5 une multitude d'affections aiguës et
chroniques
, à caractères spéciaux , viennent-ils compliquer
malade qui avait échappé à la péritonite, a succombé à une pleurésie
chronique
, au bout de 2, 3, 4 mois. Le pus contenu dans l
s nuances d'irritation, connues sous le nom de gastrites ou entérites
chroniques
, ont éprouvé dans les symptômes une recrudescenc
. X. Le dévoiement cholérique a été funeste, i° en passant à l'état
chronique
et en dégénérant en entérite, i° en se transforma
transformant en choléra. XL Le dévoiement cholérique passé à l'état
chronique
ou dégénéré en entérite , doit être combattu par
je rapporte en grande partie la guérison dans des cas de dévoiements
chroniques
très graves. Plusieurs praticiens se louent beauc
individus affaiblis par 1 age, par des maladies antérieures aiguës ou
chroniques
, par l'accouchement, a presque toujours été funes
rofonde altération et lui enlève ses moyens de résistance. Entérite
chronique
; accouchement ; dévoiement cholérique. Mort. U
spect brunâtre insolite de la langue, me font craindre une ulcération
chronique
du gros intestin, et en effet, la malade s'éteign
qui étaient préalablement sous l'influence d'une gastrite et entérite
chroniques
. Il m'a paru également qu'une thérapeutique échau
be. Enfin à la suite de la réaction peut survenir une gastro-entérite
chronique
qui résiste à toute espèce de traitement. X. Je
raduellement et ne se transforme pas en phleg-masie, soit aiguë, soit
chronique
. L'observation qu'on vient de lire prouve que l'i
s qui peuvent amener la mort, soit dans l'état aigu, soit dans l'état
chronique
; d'où la nécessité de n'user qu'avec une grande m
sa mère tous les vices de nutrition, toutes les phlegmasies aiguës ou
chroniques
auxquelles il sera exposé après la naissance; il
ésie, de pneu-xve livraison. 1 monie, de péritonite, d'inflammation
chronique
des intestins? d'ascite, d'hydrothorax, de taches
nent sans doute à une cause identique. 6e observation. Inflammation
chronique
du thymus et du pancréas; induration et imperméab
. C'est une affection tuberculeuse, ou si l'on veut, une inflammation
chronique
du thymus. Les poumons (fig. 2) très volumineux
divisions sont remplies de mucosités opaques, comme dans le catarrhe
chronique
. Le foie est extrêmement petit, son poids est de
ers, d'un quart, sans trouble funeste. Ce n'est que dans les maladies
chroniques
ou sub-aiguës des poumons, que l'économie peut s'
manifeste à une période plus ou moins avancée des maladies aiguës ou
chroniques
, quelquefois même pendant une fausse convalescenc
, état squirrheux, et qu'il regarde comme une suite de l'inflammation
chronique
; 3° à la suppuration du placenta ; 4° à la dégén
nse qu'un cartilage: cette induration est la suite d'une inflammation
chronique
. 5° Une cinquième espèce d'atrophie est celle q
coloration qu'on observe assez généralement dans le cas d'irritation
chronique
de cette membrane ; 2° l'épaisseur des parois de
tre lésion, tantôt dans le cours d'une péritonite puerpérale aiguë ou
chronique
, plus souvent peut-être dans le cours d'une pleur
s souvent peut-être dans le cours d'une pleurésie puerpérale aiguë ou
chronique
; ou pendant la convalescence de ces maladies. J'a
es vaisseaux lymphatiques utérins , ou avec des pleurésies aigries ou
chroniques
, et j'ai cru pouvoir établir dans quelques cas un
jambe. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée a ïétat
chronique
. Inflammation communicante des veines iliaques ex
s, les aliments de plusieurs jours. On diagnostiqua une encéphalite
chronique
. Peu de jours avant sa mort on s'aperçut d'une
ommet du poumon gauche. Glande bronchique tuberculeuse. Péricardite
chronique
, caractérisée par une couche épaisse de fausses m
ec MM. Paul Dubois et Moreau, la mort a été la suite d'une péritonite
chronique
: le fœtus à terme était contenu dans la cavité d
'intestin. M. Andral a trouvé, chez un individu affecté de diarrhée
chronique
, la surface interne du gros intestin aussi noire
autour d'un vésicatoire, d'un vieil ulcère , au niveau d'un érythème
chronique
. Les colorations mélaniques se rattachent à tou
l s'accompagne le plus souvent de tous les symptômes d'une irritation
chronique
. On ne saurait méconnaître cette irritation dansl
te qu'elle fut jugée de nature rhumatismale. Diagnostic. — Gastrite
chronique
; bronchite légère ; douleur rhumatismale. -Pre
ment peut avoir lieu primitivement. MALADIES DE L ESTOMAC. Ulcère
chronique
de Vestomac. ( PLANCHE V et VI, XXe LIVRAISON.)
la xe livraison, Pl. v et vi, ont établi : i° l'existence de l'ulcère
chronique
de Vestomac comme maladie essentiellement différe
ne pathognomonique qui puisse différencier au lit du malade, l'ulcère
chronique
de l'estomac de certaines formes de gastrite et d
issante et destructive, nonobstant le régime le plus sévère, l'ulcère
chronique
tend à la cicatrisation qui s'effectue sous l'inf
omac détruite. Un point de vue fort important, sous lequel l'ulcère
chronique
de l'estomac doit être envisagé, c'est celui de s
est en quelque sorte digéré. Les malades qui ont guéri d'un ulcère
chronique
de l'estomac, sont sous l'imminence de la recrude
Une malade, Mme la comtesse de V... avait guéri en i83o, d'un ulcère
chronique
de l'estomac avec vomissement noir ( c'est la mal
ste pas le moindre doute dans mon esprit, sur l'existence d'un ulcère
chronique
de l'estomac cicatrisé, et sur la perforation de
cente à la cicatrice. La fig. 1, pl. v, nous montre un vaste ulcère
chronique
de l'estomac non cicatrisé* Cet ulcère avait enva
la digestion et de ses dépendances. LtSIONS D 1 l'esomac, ulcère
chronique
. Considérations et observations. Maladies de ,
ue. Considérations et observations. Maladies de , . ' * I- ? 1/ •
chronique
, perforation, gastrite chronique......... ——» —
s. Maladies de , . ' * I- ? 1/ • chronique, perforation, gastrite
chronique
......... ——» — — ulcère ' * gélatiniforme de
es de la rate. Splénite, pus concret combiné. Ramollissement, aigu et
chronique
de la rate. Observations et considérations généra
ngites sous-muqueuses de la région sus et sous-glottique; laryngite
chronique
ulcéreuse. Considérations et observations......
ne est aussi épaissie ; à ce moment nous avons affaire à l'artérite
chronique
. Il faut encore noter une augmentation de la quan
r vasculeuse. Ce changement des vaisseaux par le fait de l'artérite
chronique
existe plus ou moins chez toutes les monstruosi
métamérie spinale. Je vous en apporte la preuve. Voici un lichen
chronique
corné observé dans le service de Quinquaud; l'é
moins manifeste dans les différentes variétés d'urticaire aiguë et
chronique
. Il n'y a donc pas lieu de s'étonner si l'on vo
e parmi les trophonévroses. L'analogie que peuvent Fig. 6. - Lichen
chronique
présenter ses localisations avec celles du zona
u, du moins, le rôle primordial. Considérez par exemple les eczémas
chroniques
des ongles (Fig. 7). Leurs lésions consistent soi
nnes ou internes, et dans beaucoup d'affections générales aiguës ou
chroniques
chez des individus porteurs d'appareils ampullair
e-Marne;. 12' Année N°4. Juillet- Août DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
ou MYXOEDÈME FRUSTE (1) par le Dr E. HERT
sement thyroïdien bénin, ou, mieux encore, l'liypothyroïdze bénigne
chronique
. Cette dernière dénomination est préférable, pa
sse Médicale, 7 décembre 1898, p. 336. DE L'HYPOTHYROïDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
265 On verra plus loin, lorsque je traiterai pl
ême dans les incarnations individuelles, de t'hypothyroïdie bénigne
chronique
chez la femme adulte, de cette forme de myxoedè
ttack. 270 E. HERTOGHE se livrent, en présence de ces rhumatismes
chroniques
inguérissables, à une enquête minutieuse, et fa
le traitement. - 9. Après le traitement. DE l'hypothyroïdie BÉNIGNE
CHRONIQUE
273 cause des désordres utérins, ni réciproquem
La même. Après six mois de traitement. DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
277 Le combat cesse faute de munitions : Alors
e de la nuque est un symptôme précieux dans l'hypothyroïdie bénigne
chronique
. Le cuir chevelu de Mme K... est très éprouvé e
récidivante, la dégénérescence fibromateuse de l'utérus, l'ovarite
chronique
, que parce 280 E. UERTOGHE que, dans beaucoup
plique par la nature de la dystrophie. DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
281 Le champ de la thyroïdothérapie ne s'étend
ces d'où nous viennent la connaissance de l'hy- pothyroïdie bénigne
chronique
et la certitude d'avoir réellement affaire à de
écoce dysthyroïdienne. Les femmes atteintes d'hypothyroïdie bénigne
chronique
ne se plaignent que peu ou pas. C'est presque f
se résigne à souffrir. Comme la maladie DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
283 est de race, il a vu beaucoup souffrir auto
s d'altérer la constitution, l'alcoolisme, la misère et l'inanition
chroniques
, la consanguinité des unions, le paludisme, les
s décrirons d'abord dans ses grandes lignés l'hypothyroïdie bénigne
chronique
chez la femme adulte, ainsi que les particularité
mémoire. A première vue, la femme atteinte d'hypothyroïdie bénigne
chronique
paraît phts âgée qu'elle n'est en réalité. Elle
rsque de bonne heure on y a recours, les DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
285 progrès du mal. Dans classe pauvre, où l'on
lalgie, symptôme à peu près constamment relevé dans l'hypothyroïdie
chronique
bénigne. L'appauvrissement thyroï- dien se mani
ical Journal, 10 octobre 1898, p. 944. ' DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
287 patientes à ces douleurs incessantes. Le mé
uables aux troubles utérins, il existe dans l'hypothyroïdie bénigne
chronique
une rachialgie spéciale, qu'il faut bien faire
NE CHRONIQUE 289 Les manifestations douloureuses de l'hypothyroïdie
chronique
ne se bornent pas à la céphalée et à la rachial
x mains (le dos de la main, chez de jeu- DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
291 nes sujets, couvert de veines tortueuses, é
qu'on retint, de tout ceci, une chose : c'est que les con- gestions
chroniques
du foie et l'existence de calculs biliaires doive
tirer l'attention du médecin sur la possibilité d'une hypothyroïdie
chronique
. Le symptôme qui domine en quelque sorte toute
partient en propre au grand myxoedème. Dans l'hypothyroïdie bénigne
chronique
, le froid n'est perçu que d'une manière intermi
me, le gonflement des mains et des pieds. L'hypothyroï- die bénigne
chronique
existe sans ces symptômes. MARCHE DE LA MALADIE
e thyroïdine est la pierre de touche de l'hypothyroïdie bé- o nigne
chronique
. Ses effets ne sont pas moins brillants que dans
nner que ce qu'elle a. Capable de rendre DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
. 297 aux muscles rhumatisés leur souplesse et
e vive sensibilité au niveau de la vési- DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
299 cule biliaire. L'utérus est gros, congestio
e se représentent plus aussi souvent. La DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
301 douleur du foie persiste encore. Les selles
dolore a repris sa position nor- male. DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
303 Or;s. VI. Malaria pendant la grossesse. Las
strique. Constipation opiniâtre. - Rétroflexion utérine. Congestion
chronique
des annexes. - Influence du traitement sur les
e à prendre son remède, OBs. VIII. Cas type d'hypothyroïdie bénigne
chronique
: migraine, constipa- pérale. - Teint et visage
eau suivant, qui est l'image à peu près complète de l'hypothyroïdie
chronique
bénigne. Elle se plaint de trois symptômes : la
ites intermédiaires qu'elle me fit et au DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
305 cours desquelles je constatai l'amélioratio
ivre se rapportent à des enfants at- teints d'hypothyroïdie bénigne
chronique
. Ce type d'infantilisme est connu dans la scien
Editeurs. Phnlop't le PW Ihaud. Paris DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
~ 309 immédiatement : du 24 juin 1898 au 19 fév
'fT. rJ......,n ? °1 ? 11,.... T n, r, T DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE
CHRONIQUE
311 mement plats et fétides. Les mains sont fro
(2) se manifestant tantôt d'une manière aiguë, tantôt d'une manière
chronique
; les formes les plus fréquentes sont les lésions
ophie musculaire progressive myélopathique, poliomyélite antérieure
chronique
, maladie- de Duchenne-Aran, est carac- térisée
édité ; -, 5) Le début au delà de l'adolescence; . 6) L'évolution
chronique
, en 4 ou 5 ans en moyenne. Les anomalies que no
volution, plus rapide qu'à l'ordinaire, resta cependant à type bien
chronique
, et une durée de 18 mois au lieu de 3 ans ne crée
int des plus intéressants : c'est l'intervention de la poliomyélite
chronique
chez un malade atteint dans l'enfance d'une pol
névrite fût primitive; Ce cas d'arthropathie dans la poliomyélite
chronique
paraît unique dans la littérature médicale. Cha
e voit la réaction de dégénérescence. Ce n'est pas une poliomyélite
chronique
, ce n'est pas une syringomyélie traumatique, ce
tout à fait insuffisants, M. De- bove (2) dans un cas de rhumatisme
chronique
s'est livré à un examen minutieux de la moelle
itement il 55 ans, sa mère est âgée de 76 ans, elle a une bronchite
chronique
. Ses deux frères et ses trois soeurs sont bien
ntes , sont at- teintes de la même affection singulière : un oedème
chronique
, blanc, dur et indolore (sauf le cas de Ar...)
mble bien super- flu de s'y arrêter. La phlegmatia alba iNDOLENS,
chronique
et familiale, ne figure pas dans les nosographi
pidement, affectant l'allure de ceux qu'on observe dans la néphrite
chronique
ou dans la néphrite aiguë. Dans ce dernier cas, o
io-neurolique. The Americ. Journ. of med. LE TIi01'1101 : UL : 1113
CHRONIQUE
HÉRÉDITAIRE 465 Des oedèmes ont aussi été obser
variété d'oedème à laquelle il donnait le nom d' oedème rhumatismal
chronique
(1). OEdème dur des jambes et des pieds, plus m
ans un travail de Iligier (2) de Varsovie, sur les oedèmes aigus ou
chroniques
dans quel- ques névroses, en particulier dans l
est pas rare qu'il soit héréditaire. (1) Desnos, OEdème rhumatismal
chronique
, Soc. méd..des hôpitaux, 13 février 1891. (2) ¡
pitaux, 13 février 1891. (2) ¡¡IGIEII (de Varsovie), OEdème aigu et
chronique
dans quelques névroses et en par- ticulier dans
ne saurait être con- fondue avec la maladie oedémateuse apyrétique,
chronique
et progressive que nous avons observée. * .
ou, soit il la racine de la cuisse, affection indolore, apgrélique,
chronique
et permanente qui n'en Irai ne au- cun trouble
osographique. Les faits cliniques démontrent qu'il existe un oedème
chronique
, blanc, du}' et indolore, qui envahit un ou plu
l existe tous les intermédiaires entre les oedè- LE TROP110ED);111E
CHRONIQUE
HÉRÉDITAIRE 475 mes névropathiques aigus et les
0ED);111E CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 475 mes névropathiques aigus et les
chroniques
. Le cas de Follet semble démontrer que la forme
s et les chroniques. Le cas de Follet semble démontrer que la forme
chronique
peut apparaître à la suite de poussées aiguës ;
; c'est aussi le cas de notre malade, Fe... D'autre part, la forme
chronique
peut persister pendant de longues an- nées, ave
n, à réunir sous le même nom les exemples déjà connus de cet oedème
chronique
, blanc, dur, indolore, et répartition segmentaire
même catégorie morbide à laquelle la dénomina- tion de trophoedème
chronique
peut être appliquée. Suivant les cas, on pourra
jouent dans la genèse du trophaedème. Enfin, lorsque le trophoedème
chronique
se rencontrera dans plusieurs générations de la
our celle-là, théorie qui admet « à l'origine de toute sclérodermie
chronique
d'emblée une altération préalable du sys- tème
volution d'une seule et même tumeur. » Pseudo-lipome et trophoedeme
chronique
sont donc vraisemblablement des modes de réacti
l'hypertrophie lipomateuse peut être analogue celle du trophaedème
chronique
. Nous rappellerons à ce propos la lipomalose mo
autres maladies infectieuses. Dans les observations de tropllaedéme
chronique
, la fièvre typhoïde se rencontre même plus souven
e cervi- cale, qui la différencie suffisamment. LE 1'ROPHOEDCIVIE
CHRONIQUE
HÉRÉDITAIRE 479 au moment de la puberté. Dans l
Un dernier mot au sujet des traitements appliqués au trophoedème
chronique
, mais malheureusement pour signaler leur insuffis
is ne nous a pas donné de résultats plus engageants. Le trophoedème
chronique
est donc un mal incurable. En prenant des .préc
nerveux central), par N. So- LOVTzorF, 37. Hypothyroïdie bénigne
chronique
ou myxoedème fruste, par IiEaTO6RE; 261. Inco
ticolis mental (un cas de), par NOGUÈS et Sirol, 4S3. Trophoedème
chronique
héréditaire , par Henry MEME (5 phot.), 453.
es enfants (6 phot.), 191. IIFnrocne . De l'hypothyroïdie bénigne
chronique
ou myxoedème fruste (36 phot.), 261. Janet P.
re supérieur (1 stéréo-phot.), 107. Meige (Henry). Ti-opliù3dèine
chronique
héréditaire (5 phot., Siscliemas), 453. MEME
tral (N. SOLOVTZORF), VI, VII, VIII. IX, X. Hypothyroïdie bénigne
chronique
ou myxoedème fruste (E. Hertoghe), XLIII, .XL
t P. Janet), LIX. Torticolis mental (Noguès), LXXXIV. Trophoedème
chronique
héréditaire (HENRY Meige), LXXX, LX<TYf, LXX
93, classe dans les maladies constitutionnel- les incurables marche
chronique
, à côté de la folie systématisée, les folies pé
inique, dont la place naturelle est à côté de la folie systématisée
chronique
, dans le broupedesp.sc7cosesconstitzctiozzelles
l'intoxication par la mor- phine ; (jo dans les auto-intoxications
chroniques
(hépatique, intestinale, rénale, elc.,) qui pro
mme qui présenta un délire systématique de persécution il évolution
chronique
, au cours duquel survint une hémiplégie gauche,
rappelé de tous points les accidents épisodiques de l'alcoolisme
chronique
: accès de délirium tremens (a potu 8l(81)('1180)
alcoolisme antérieur; l'autre s'est développée chez un alcooli- que
chronique
. Si, au point de vue pénal, les actes commis dans
a démence précoce est un syndrome mental toxi-infectieux subaigu ou
chronique
; par Maurice DIDF. Les recherches anntomo-path
oit être considérée comme une psychose toxi-infectieaso subaiguë ou
chronique
, primitive pour la forme hébéphréno-catatonique
impaludisme n'occasionne des troubles délirants que dans ses formes
chroniques
et pour ainsi dire jamais dans ses formes aiguë
la lièvre « de pays » dans l'éclosion de la 13, (;, Le saturnisme
chronique
prédispose d'une façon spéciale aux troubles ps
as en faveur de l'origine infectieuse et névrilique du rhu- matisme
chronique
. Dystrophie d'origine pulmonaire. 31M. Lejonn
infantile mais dyslrophique (végétations adé- noïdes et, bronchite
chronique
avec asthme datant de l'enlance). Veux cas d'he
o- phie du tabéliqite et des troubles visuels dans l'alcoo- lisme
chronique
. En même temps que l'atrophie évolue, il y a c
s manifestations mé- tatoxi-in/'ectieuses. Dans les états mentaux
chroniques
de ce groupe, la même pathogénie intervient, ma
La démence précoce n'englobe pas tous les délires halluci- natoires
chroniques
, comme pour la paralysie générale, c'est beauco
ombre de sujets atteints d'affections du système nerveux (méningite
chronique
, con- fusion mentale, démence précoce, stupeur
suraiguës, méningites suppurées, abcès, etc. Dans les inflammations
chroniques
ce sont, soit les cellules dérivées des librobl
lier à la suite de certaines intoxications pro- longées (alcoolisme
chronique
, urémie, etc.). b) Les fibres nerveuses peuvent
ent, commme la sénilité cérébrale anato- mique, chez des intoxiqués
chroniques
, notamment des alcooliques. Les épisodes délira
l'alcool est le plus fréquent et aussi le plus nocif. L'alcoolisme
chronique
augmente le nombre des crimes qu'il aggrave. L'
t, Bourneville et Féré. Actuellement, on peut dire que l'alcoolisme
chronique
a une action directe sur le pouvoir de procréer
T de PHYSIOLOGIE pathologiques dite des ascendants ; cet alcoolisme
chronique
des parents a une influence désastreuse sur les
s fortement avarié présentent des phéno- mènes typiques de pellagre
chronique
ou aiguë. Ces phénomènes s'exacerbent d'une faç
s caractéristiques de la pellagre aiguë, soif axec des phé- nomènes
chroniques
de cachexie. Lespoules nées do procréateurs sou
, et qui pré- sentent les symptômes caractéristiques de la pellagre
chronique
, résistent également moins à l'action pathogeni
tentive a montré que dans l'un, lessymptômesdeméningo-encéphalite
chronique
étaient antérieurs au traumatisme, et que dans
oïde est présente, mais elle est atteinte de lésions inflammatoires
chroniques
et quelquefois présente des tu- meurs tubercule
itution générale affaiblie. Bien des cas de goutte ou de rhumatisme
chronique
asthé- nique ont été guéris par les ferrugineux
ne des complications les plus fréquentes des suppurations aiguës ou
chroniques
de l'o- reille. Leur étude date d'une époque ré
it récente et il est à peine besoin d'ajouter qu'aucun de nos vieux
chroniques
n'a retiré pa- reil bénéfice del'intection. «
, parmi lesquels 45 cas de phtisie pro- prement dite, 33 bronchites
chroniques
et 11 hémop- tysies. En 1903, pour 1325 décès,
pulmonaire, parmi lesquels 50 cas de tubercu- lose et 20 bronchites
chroniques
. Mais, avec le Dr Marie, nous tirons de cette s
nt des persécutés systématiques et des déments précoces. Quel- ques
chroniques
cependant sent justiciables de la méthode, au g
dents cérébraux. J'ai même vu, au cours de l'an- née, un alcoolique
chronique
ne présentant plus de délire, mani- fester brus
tions intéressantes sur la psychose maniaco-dépressive, le dé- lire
chronique
systématique, la folie périodique, la confusion
cure radicale d'une petite hernie paraomhilicalc chez un alcoolique
chronique
chez qui l'anesthésie chloroformique réveilla l
u début. Grancher la considère comme « la plus curable des maladies
chroniques
, car au lieu « d'être un néoplasme misérable et
familiale écartent systémati- « quement et avec raison les aliénés
chroniques
soup- « çonnés de tuberculose. » Quoi qu'il e
de de l'Apennin, qui habitait dans une famille atteinte de pellagre
chronique
.Cet agent patho- gène est capable d'élaborer de
dans la paranoïa un délire systématique à début lent, il évolution
chronique
et sans passage à la démence. 11 est préféra- b
nctions végétatives (difformités et anomalies physiques, affections
chroniques
des organes de la vie végétative,) et les irrég
idèle de la céphalée des rhino-pharyngites inflammatoires aigues ou
chroniques
. Les différentes sensations douloureuses, naclt
ait porté l'intervention. En second lieu, une labyrinthite suppurée
chronique
; toutes les ca- vités de l'oreille interne éta
'1.- Méningite spinale et syndromes radiculaires dans le rhumatisme
chronique
; par M, Jean Lépine. (Lyon i)7é(li- cal, 2G aoû
fes- ter déjà dans les formes relativement bénignes du rhumatisme
chronique
. De plus il montre que les rhumatismes chroniques
gnes du rhumatisme chronique. De plus il montre que les rhumatismes
chroniques
déformants, considérés par certains auteurs et
comme différents par leur évolution et leur nature des rhumatismes
chroniques
d'infection et des rhumatismes dys- cramiques o
vec syndromes raidiculaires chez dessujets atteints de rhumatis- me
chronique
dyscrasique. Dans la première le malade a été a
VEUSE. \lut. - Quelques manifestations cérébrales du rhuma- tisme
chronique
; par M. LÉPIivE. (Lyon médical, 7 octobre 1906
ique, peut offrir des exemples manifestes de l'action du rhumatisme
chronique
. L'auteur laisse de côté les faits de paralysie
rmenages locaux. La véritable analogie clinique entre le rhumatisme
chronique
et la paralysie agitante est dans ce même état
sthénique fait partie de la symptoma- lologie normale du rhumatisme
chronique
. Il ajoute avec raison qu'il faut lo chercher ;
a forme sur laquelle se manifeste le plus l'influence du rhumatisme
chronique
. Rien ne ressemble à la sénilité comme le rhuma
isme chronique. Rien ne ressemble à la sénilité comme le rhumatisme
chronique
. M. lié- gis a insisté sur l'importance de l'ar
t peuvent figurer sur la liste des' accidents nerveux du rhumatisme
chronique
. G. C. L. Considérations pathogéniques sur les
onsidérations pathogéniques sur les accidents nerveux du rhumatisme
chronique
; par \I..1. Lépine. (Lyon médical, 28 octobre 1
onde que dans toutes les variétés de rhumatismes aigus, subaigus ou
chroniques
, c'est l'état géné- ral de la nutrition qui est
é du système nerveux s'accroît. Le système nerveux des rhumatisants
chroniques
est donc le siège d'une irritation quasi-perman
lique que, suivant les prédispositions individuelles, le rhumatisme
chronique
loca- lise à telle ou telle partie du système n
o-membraneuse.EMc ex- plique la persistance indéfinie du rhumatisme
chronique
,dès que les phénomènes nerveux durables sont ap
nerveuse centrale ou périphérique. G. C. LI. Rapports du rhumatisme
chronique
avec quel- ques maladies de la moelle; par M. J
de médecine de Lyon, M. Jean Lépine montre que les rhumati- sants
chroniques
peuvent réaliser de véritables maladies de la m
es sujets atteints d'accidenls médullaires au cours d'un rhumatisme
chronique
secondaire à un rhumatisme aigu. Dans trois a
lades présentant des accidents médullaires au cours d'un rhumatisme
chronique
en particulier du type dyscrasique ou goutteux.
res. Il ne s'agit pas, dans les observations,de grands rhumatisants
chroniques
à ankyloses mul- tiples et irréductibles, mais
ires ne sont donc pas liés aux formes les plus graves du rhumatisme
chronique
. Deux types anatomo-cliniques se dégagent : pac
compte du rôle de la méningite spi- SOCIÉTÉS SAVANTES. 473 nale
chronique
dans la production de ces myélites plus ou moins
yélites syphilitiques, de même les divers traitements du rhumatisme
chronique
per- mettront,pense l'auteur,de voir s'arrêter
te transformation que la pathologie (différentes périodes du délire
chronique
). On doit considérer la personnalité comme une
émences maniaques, mélan- coliques, névrosiques et celles du délire
chronique
. Les démences paralytiques, les démences sénile
, p 39. La - est un syndrome men- tal toxi-mfectieux subaigu ou
chronique
, par Dide, p. 43. Sur la forme stationnaire de
Méningite. Spinale et syndrome articulaires dans le rhumatis- me
chronique
, par Lépine, p. 468. Méningite CÉRÉBRO-SPINAL
urvenue après, attribuant le phénomène il la rigidité permanente et
chronique
des muscles, et le plus ordinairement des muscles
lpèthùiië 1 GANGRÈNE SYMÉTRIQUE DES EXTREMITES . - - PAR ARTÉRITE
CHRONIQUE
OBLITÉRANTE, TRANSITOIRE OU PERMANENTE, d'ÉTIOL
d'asphyxie. La cause de cette gangrène est une artérite ohlité,"mte
chronique
, lésion d'étiologie inconnue. gangrène symétriq
eux vaut ne pas préciser l'origine et la cause de cette vascularite
chronique
que de le faire sans preuves, et d'ailleurs les
ue de le faire sans preuves, et d'ailleurs les causes des artérites
chroniques
, athé- rome et artériosclérose, ne nous échappe
lles pas le plus souvent ? ' ! Par sa lésion anatomique (l'artérite
chronique
cette gangrène symé- trique des extrémités il s
core si obscurs des troubles trophiques au cours des vascu- larites
chroniques
localisées. Elle est un cas d'artérite chroniqu
vascu- larites chroniques localisées. Elle est un cas d'artérite
chronique
localisée des petites artérioles des extrémités
d'entre eux. Celle gangrène symétrique des extrémités par artérite
chronique
mérite d'être individualisée. Son im- portancep
N ZONA. LÉSIONS TROPHIQUES DES OS DE LA MAIN A TYPE DE RHUMATISME
CHRONIQUE
. PAR FÉLIX ROSE Chef de clinique à la Facul
un âge très élevé et n'ont pas présenté d'altératious rhumatismales
chroniques
des os. Le début de la maladie actuelle remonte
e ce dernier. On peut, sans nuire à l'unité clinique du trophoedème
chronique
, le diviser au point de vue étiologique en quat
es entre lesquels se répartissent tous les faits : l°Un trophoedème
chronique
non congénital, mais héréditaire et fami- lial.
edème hé- réditaire à début juvénile (Meige). 2° LJrrtruplroedéme
chronique
non congénital, non héréditaire et non familial
, Valobra, Etienne, Parhon et Florian, Jousset. 3° Un trophoedème
chronique
à la fois congénital, héréditaire et fa- milial
Tobiesen, les cas de Nonne, Lortat-Jacob. 4° Enfin un trophoedème
chronique
congénital ni héréditaire ni fami- lial. C'est
E CHRONIQUE CONGÉNITAL UNIQUE (Courtelleinoiit) TIlOl'IIOEIJ ? \/
CHRONIQUE
71 Il existe, toutes les dix ou quinze pulsatio
donc s'agir d'hypertrophie partielle d'un membre ; cet' oedème est
chronique
au premier chef, puisqu'il dure. comme 72 COU
il est dur, limité, segmentaire. Il ne peut être qu'un trophoedème
chronique
. Il offre quelques caractères rarement constaté
il est plus accentué le soir que le matin. Le propre du trophoedème
chronique
est moins l'absence du godet il la pression que
ire susceptibles de favoriser un oedème mécanique. Le trophoedème
chronique
est indolore. Or, notre malade ressent le soir,
niveau de l'infirmité. La plupart des observations de trophoe- dème
chronique
ne font pas mention de la température locale, ce
ile à mettre hors de cause car non seule- ment elle a une évolution
chronique
, mais ordinairement elle débute par les quatre
tuberculose et celui qu'on doit mettre sur le compte de l'éthylisme
chronique
dans l'origine de la polinévrite. Classer ces c
aux caractères qui ont été décrits par Nissl sous le nom de maladie
chronique
des cellules (chronische Zeller- krankung). C
troubles nerveux périphériques survenant dans le cours des maladies
chroniques
. Archives gén. de médecine, p. 150. 1864. 5. PE
vent survenir du côté du système nerveux dans la phtisie pulmonaire
chronique
. Thèse de Paris, 1814. 9. AMEMAiRE. Contributio
hériques de sensibilité sur- venant dans le cours de la tuberculose
chronique
. Thèse de Paris, 1875. 10. Fraenkel (E.). - Ueb
klin. Medizin, XIV. 33. KLIPPEL. Des amyolrophies dans les maladies
chroniques
. Thèse de Paris, 1889. 150 G. CATOLA 31. Mu)E
ve de la part de M. X... cette autre explication : « En pensant aux
chroniques
de Guillaume de Puylamens et par suite à la guerr
rier) 1908, à propos de l'article de M. COURTELLEMONT : Trophoedème
chronique
, variété congénitale unique, page 68, lignes 2
La petite malade ne présentait d'autre trouble qu'une inflammation
chronique
des paupières, laquelle datait de l'enfance. La s
jonctivite aiguë qui s'était récemment développée sur la blépharite
chronique
. L'acuité visuelle était de 6/10 pour chaque oeil
obie. La conjonctivite aiguë fut bientôt guérie, mais la blépharite
chronique
resta ce qu'elle était auparavant. Cette conjon
et les années suivantes par Henry Meige sous celui de « trophoedème
chronique
héréditaire ». La seule mention que nous ayons
ale des hôpi- taux, 15 octobre 1897. DEsNos. - OEdëme rhumatismal
chronique
. Société méd. des hôpitaux, 13 février 1891. Fo
phoedème. Gazette hebdomadaire, no 15, 1902. Higier. OEdème aigu et
chronique
dans quelques névroses el en particulier dans l
euse héréditaire. Presse médicale, 1898, p. 3't1 . - Le trophcedéme
chronique
héréditaire. Nouvelle Iconographie de la Salpêtri
Salpêtrière, 1904. ' Sicard et LUGXEI..L I\'ASTIlOE. - Tl'ophoedéme
chronique
acquis et progressif. Nouvelle Iconographie de
on myxoedémateux, les infantiles, les arriérés, les hypothyroïdiens
chroniques
d'Hertoghe, etc. 1. L'état mental des myxoedéma
hysique et mentale ; 3. Syndrome d'Hertoghe d'hypothyroïdie bénigne
chronique
; 4. Tempérament hypothyroïdien ; 5. Neurasthé
nne transforma complètement ces enfants. 3. L'hypothyroïdie bénigne
chronique
ou syndrome d' Hertoghe. Hertoghe décrit des ph
asthénie est souvent un épisode au cours de l'hypothyroïdie bénigne
chronique
, comme elle est parfois une manifestation du temp
s qu'ils se prolongent, susceptibles alors de verser dans un délire
chronique
, plus ou moins faus- sement systématisé.' - C
décrire le syndrome de Basedoiv fruste, l'hy- perthyroïdie bénigne
chronique
, l'hyperthyroïdie minima ou tempérament hyperlh
goitre exophtalmique chez les aliénés. . 2. Hyperthyroïdie bénigne
chronique
. Cette hyperthyroïdie peut être disséminée ou l
, 25 mars 1889. - lad., 1895, t. IX. - De l'hypothyroïdie bénigne
chronique
ou myxoedème fruste. Id., février 1899 et Nouv.
ne autre affec- tion : il s'agit sans aucun doute ici de rhumatisme
chronique
. La main n° 2 présente des tuméfactions au nive
présente elle aussi des déformations caractéristiques de rhumatisme
chronique
: c'est un exemple du second type classique de
ues, deux nous paraissent se rapporter à des variétés de rhumatisme
chronique
. Et celle étude de mains nous paraît autant rem
issier au Congrès de Liège sur les for- mes cliniques du rhumatisme
chronique
. LES DESSINS DE LA « COLLECTION DES CHIRURGIE
e, n 1, janvier-février 1906. (2) Raymond, Sur un cas de rhumatisme
chronique
vertébral. Nouv. Iconogr. Pho- tograph., janvie
héréditaires. Son père est mort à la suite d'une maladie cardiaque
chronique
; il n'était pas alcoolique ni syphilitique ; il
tout l'appareil des glandes sanguines causée par une neutralisation
chronique
des toxines. Et selon que les modifications pat
la période de la maladie; b) selon qu'il s'agit de formes aiguës ou
chroniques
, de formes légères ou graves; c) dans les pério
décrites plus haut : ces dernières sont le résultat d'une pression
chronique
. Il est donc, pour le moment, impossible de faire
u,Fec°raccirci, etc., ont décrit des cas d'infantilisme par malaria
chronique
; chez ces sujets aussi on est frappé par cette h
s que Ferranini croit que la seule action débilitante de la malaria
chronique
est suffisante à la déterminer. Les deux mêmes ex
re héréditaire; des cas d'infantilisme par intoxication pellagreuse
chronique
ont élé décrits par Lombroso,Ceni, Agostini ; c
hose biliaire (Fournier, Gilbert, Lereboullet), l'ictère infectieux
chronique
(Rayent), l'entérite du nourrisson (Hutinel), l
nische Rundschau, 1906) dans lequel on eut à la suite d'une maladie
chronique
un rapide et considérable allongement de la tai
iés et par la radiographie on put constater un processus d'atrophie
chronique
du squelette. Nous avons ainsi résumé par une s
oduit et entretenu pendant la période de croissance par une maladie
chronique
congénitale ou accidentelle. L'évolution s'acco
c anatomique post mortem fut le suivant : Infantilisme, tuberculose
chronique
et tuberculose miliaire du sommet gauche, ménin-
ès la marche de la maladie. Plus souvent la maladie passe à un état
chronique
et peut présenter alors, selon Oppenheim, les s
n ancien processus rachitique. Oppenheim en parlant de la méningite
chronique
simple, affirme que de sa symptomatologie il n'
e plus souvent une trouvaille anatomique accidentelle. La méningite
chronique
basilaire est mieux connue et, selon Oppenheim, e
laire,méningite basilaire avec hydrocéphalie externe, et épendymite
chronique
du IVe ventricule, n'existent pas de limites bi
ussi s'expliquer par la syphilis héréditaire, une méningite séreuse
chronique
probablement limitée aux ventricules mais qui p
e di Fren. e Med. légale, jan. III, 1905. DREYFOus. De la méningite
chronique
chez les enfants et de ses rapports avec la syp
Vol. 2, cap. III, Paris, 1903. Hertoghe. De l'hypothyroïdie bénigne
chronique
ou myxoedème fruste. Nouv. Icon. de la Salpêtr.
méninges médullaires montrent aussi le même aspect d'inflamma- tion
chronique
. - 1 A la section on ne constate rien d'anormal
copique permet de faire aussitôt le double diagnostic d'encéphalite
chronique
et de tabes incipiens. Nous avons examiné les d
r l'intégrité des cellules de la corne antérieure. Il y a méningite
chronique
, avec les mêmes caractères que la méningite céréb
ie, pas môme d'une angio-sclérose généralisée. Pas d'empoisonnement
chronique
par l'ergot de seigle. Pas possible le doute d'
microgyrie hémisphérique (3 pl.), 263. Courtellemont. Tropheedeme
chronique
, variété congénitale unique (2 pl.), 61. Crou
EROT et ITAYNIO-ND. Gangrène symétrique des extrémités par artérite
chronique
oblitérante, transitoire ou permanente d'étio
n zona. Lésions trophiques des os de la main à type de rhumatisme
chronique
(2 pl.), 64. SAINTON. Statue d'eunuchoïde infib
a-s - terminaison par suicide (1 pi.), par Souques, 103. Artérite
chronique
oblitérante (Gangrène symétrique des extrémités
de Bahinski, 506. Gangrène symétrique des extrémités par artérite
chronique
oblitérante (2 pi.), par Raymond et GOUGEROT. 5
e à la suite d'un zona. Lésions trophiques à type de rhu- mutisme
chronique
(2 pl.), par Rose, 64. Névroses (Pathogénie de-
umatisme ankylosant vertébral et tabes, par ODDO, 278. Rhumatisme
chronique
(Lésions trophiques à type de - à la suite d'un
ans les syndromes-J, par Laignel- L vvastine, 204 . l'roplioeaème
chronique
, variété congéni- tale unique (2 pl.), par COUI
phique à la suite d'un-, Lésions ti ophiques à type de rhumatisme
chronique
) (2 pl.), par Rose, 64. TABLE DES PLANCHES
il existe des artérioles présen- tant les caractères de l'artérite
chronique
avec épaississement énorme de la tunique extern
occasionne aucune altération, ou fût-elle causée par l'intoxication
chronique
par un poison quelconque, nous devons toujours
ent est pareil à celui qu'on pratique dans toutes les inflammations
chroniques
du cerveau. Remarques de M. le professeur Kojew
Démence. SOCIÉTÉS SAVANTES. 81 Autopsie. Périencéphalite diffuse
chronique
, surtout dans l'hémis- phère gauche ; lésions t
0 leçon apporte une nouvelle observation de polyomyélite antérieure
chronique
. D'accord avec Strumpell, Oppenheim, Dejerine,
sonnements aigus par absorption d'une dose unique; 2° intoxications
chroniques
par doses répétées. 109 cobayes et 42 lapins on
de certain concernant l'étiologie de cette affection. »- Myélites
chroniques
, p. 0 : « Dans des observations relativement no
rdâtres; une dyspnée légère est habi- tuelle. C'est de la bronchite
chronique
avec emphysème. Enfin, notre malade présente en
x ; quatre ans après, deuxième atteinte qui dure six mois : forme
chronique
qui attaque les petites articulations, sans pro
fibrome utérin. Lui-même dès l'âge de six mois pré- sente un eczéma
chronique
de la face qui réapparaît depuis de loin en loi
estif nous trouvons une gastrite MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. toi
chronique
avec dilatation de l'estomac : digestions lentes,
t quelques râles bron- chiques secs. Donc il existe de la bronchite
chronique
et de l'emphysème pulmonaire ; 3° Pour l'appa
ations, nous trouvons des articulations déformées par le rhumatisme
chronique
, de l'hallux valgus, de nombreuses rétractions
mpagnée d'exagération des réflexes tendineux; c'est la poliomyélite
chronique
seule sans sclérose des faisceaux pyramidaux; c
pancréatique ; cirrhose du pancréas; dégénérescence atro- phique
chronique
des cellules et des fibres des cornes anté- rie
lissement dans le noyau caudé ; 8° unepachyméningite céré- brale
chronique
: « à la surface de la dure-mère, dans presque
ieurs; adhérences peu étendues du sommet gauche; foyer de pneumonie
chronique
des deux côtés ; 6° bronchite chronique ; 7° at
gauche; foyer de pneumonie chronique des deux côtés ; 6° bronchite
chronique
; 7° athérome des valvules sigmoïdes et de l'ao
ons ailleurs, dans d'autres régions : ainsi, la ménin- gite spinale
chronique
, tellement fréquente et importante, que certain
J 880 la fréquence de la coexistence du tabes et des cardiopathies
chroniques
, surtout aortiques' ; le fait est aujourd'hui c
étiologie du tabes. Char- cot a montré la coincidence du rhumatisme
chronique
et du tabès. Belugou, bien placé à La Matou pou
relevé sur 32 tabétiques : rhumatisme, IS; herpé- tisme, 1 ; eczéma
chronique
, 1 ; syphilis, 1 J ; hérédité névro- pathique,
nous avons étudié déjà la caractéristique clinique l'al- coolisme
chronique
, le saturnisme, le tabagisme, le palu- disme, l
dant on trouve notamment dans le travail de Leudet sur la méningite
chronique
et son influence sur la produc- tion de la poly
stique, hypertrophie partielle de la muqueuse stomacale, néphrite
chronique
. Leudet étudie ce cas comme méningite chronique
stomacale, néphrite chronique. Leudet étudie ce cas comme méningite
chronique
et donne lalésion gastrique et la néphrite comm
re aurait pu, tout aussi justement, étiqueter le même fait néphrite
chronique
ou gastrite chronique avec complication méningé
si justement, étiqueter le même fait néphrite chronique ou gastrite
chronique
avec complication méningée. Au fond il s'agissa
nodulaires, puis entre les lésions des artères et les inflammations
chroniques
(sclérose). Et il conclut par la phrase suivant
se, et que, d'autre part, bien plus souvent encore, les indurations
chroniques
évoluent sans la partici- pation des vaisseaux
. Le délire processif se rencontre le plus souvent dans la paranoïa
chronique
, il serait plus rare dans la folie dégénérative
'à l'asile et qui était entré avec un certificat portant alcoolisme
chronique
. Le malade appartenait à une société mutuelle d
L'auteur termine par un aperçu sur la spméiologie de l'alcoo- lisme
chronique
et de la paralysie générale. A. Marie. XV. INVE
on- valescence. Examen de la pièce : foyer de méningo-encéphalite
chronique
probablement dû au traumatisme ancien. Epaississe
le aisément; en d'autres termes, on peut dire que, dans les lésions
chroniques
du système nerveux, il existe une certaine prop
plus haut. L'affection, pour être fonctionnelle, n'en est pas moins
chronique
et généralement incurable : un seul cas de guér
ques en rapport avec des lésions particulières (meningo-encéphalile
chronique
diffuse). Ceci élimine la préten- due paralysie
pris l'habitude de le désigner. , De même, à côté des alcooliques
chroniques
qui deviennent de vrais paralytiques généraux e
pendant un certain temps tous les signes de la méningo-encéphalite
chronique
diffuse, guérissent à la suite de-, l'éliminati
is ne fait, selon moi, que préparer le terrain à la périencéphalite
chronique
diffuse ; il en est de même de l'alcoolisme ; m
leur évolution, ils paraissent être à l'abri de la périencéphalite
chronique
diffuse. M. de PERRY (de Bordeaux) communique,
r- mine pas des symptômes identiques à ceux de la périencéphalite
chronique
diffuse, comme je l'ai indiqué dans mon rapport.
s d'incurables » ; que les médecins ne sont que des « fabricants de
chroniques
». C'est là une assertion tellement extraordina
qui pèse d'un petit poids dans la balance. M. Christian dit que les
chroniques
seuls travaillent : à la Clinique, ce sont les
modernes ; du moins ont-ils élé con- sidérés comme des fabriques de
chroniques
. On sent immédiate- ment qu'un vent de réforme
milial dans les colonies agricoles ? Il n'est appli- cable qu'à des
chroniques
, et dans ce cas l'Open-door ne se dis- tingue g
cas l'Open-door ne se dis- tingue guère de nos asiles fabriques de
chroniques
, sinon que dans les établissements du nouveau s
lissements du nouveau système les malades sont tous et d'emblée des
chroniques
, tandis que dans nos asiles nous avons encore,
es asiles, que tant de malades parfaitement curables deviennent des
chroniques
? Qui de nous, pour ne citer qu'un exemple, n'a
et n'ayant aucun rôle bien défini, le soin de s'occuper de tous les
chroniques
, de tous les incu- rables, et qu'ils s'attachen
es 1 Voir Archives de Neurologie, n° 21. SOCIÉTÉS SAVANTES. 331
chroniques
ainsi placés. M. Marie rappelle en outre à propos
pplication de l'open door de distinction préalable des aigus et des
chroniques
. M. AnGL : IDE lit un rapport sur l'examen hist
des paralytiques, 12 déments apoplectiques; les autres, des aliénes
chroniques
qui n'avaient jamais présenté de symptômes médu
GiRuD appelle l'attention sur les nombreux persécutés et hallucinés
chroniques
qui deviennent vagabonds sous l'influence de le
et en acquis. Les premiers sont constitués par diverses mala- dies
chroniques
des ascendants, arthritisme. alcoolisme, tubercu-
b) les infections : aiguës, fièvre typhoïde, influenza, paludisme;
chroniques
, tuberculose, syphilis; c, les excès divers : e
ntes. Cependant, chez quelques-uns, les trou- bles passent à l'état
chronique
, ce sont alors des prédisposés; le délire chang
oin de les mériter . Note sur la toxicité urinaire dans la chorée
chronique
héréditaire. MM. RISPIL et Baylac communique un
itaire. MM. RISPIL et Baylac communique une observation de chorée
chronique
héréditaire où les urines se sont montrées hypoto
ations diphtériques aiguës et subaiguës, et aussi les intoxications
chroniques
. Les ani- maux de la première catégorie vivaien
la vie et après la mort des animaux à la suite de l'intoxication
chronique
, sont tout à fait différents; dans quatre ou dix
ve la puissance toxique de ces mêmes substances dans l'intoxication
chronique
. Pour obtenir des résultats précis, il faut : 1
al réactif un chien, un lapin ou un cobaye ; 3° dans l'intoxication
chronique
on aura recours à l'ingestion stomacale et parf
s centres ner- veux. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE XIX. Empoisonnement
chronique
par LE SULFONAL (hémcctoporphyri- nurie) termin
ée et excrétée par l'urine. Il faut donc qu'il y ait intoxica- tion
chronique
et constipation. Aussi la rencontre-t-on surtout
e par jour. XXII. Contribution A la casuistique DE l'intoxication
CHRONIQUE
par LE trional ; par N. GIERLICIi. (Neurolog. C
e l'extrême difficulté du traitement oculaire chez les épileptiques
chroniques
, et de la nécessité où l'on est de surveiller l
ions SOCIÉTÉS SAVANTES. * 421 .ou de peurs anxieuses originelles,
chroniques
,' portant spécia- lement sur un objet déterminé
ic. Terminaison. Forme aiguë. La marche des obsessions est aiguë ou
chronique
. Daus les cas aigus, l'accès survient brusqueme
es passées et avoue qu'elles étaient absolument injustifiées. Forme
chronique
. La forme chronique est intermittente, rémitten
qu'elles étaient absolument injustifiées. Forme chronique. La forme
chronique
est intermittente, rémittente ou continue. La v
ns ces cas, les paroxysmes ne font pas défaut. La durée de la forme
chronique
, toujours longue, est de plusieurs mois ou de p
NEs, de Bordeaux. La gangrène par artérite 442 SOCIÉTÉS SAVANTES.
chronique
n'exige pas fatalement, à rencontre de l'opinion
ans le tabes ; beaucoup moins utile dans les périodes franchement
chroniques
et plutôt nuisible dans les rémissions. Dans le
s. 1 En dehors de ces poussées nettement définies, le tabes, même
chronique
, tant qu'il est progressif, a des poussées latent
mmatoires du système nerveux péri- phérique ; 6) Une inflammation
chronique
et progressive des enveloppes molles de la moel
des qu'elles-enlrainenl). 3° Analyse d'un cas de folie systématisée
chronique
., - Il s'agit d'une persécutée fort hallucinée.
une évolution en quelque sorte progressive, au délire mélancolique
chronique
systématisé. En le faisant ils ont cherché à isol
raie, essentielle, avec des caractères fondamentaux dont les formes
chroniques
systématisées ne sont que l'accentuation progre
ion si l'on peut dire ainsi, la forme stéréotypée en un mot (délire
chronique
des néga- tions de Cotard). Cette élude a pou
ttention des nouveaux législateurs. Un sieur X..., atteint de manie
chronique
, est placé par sa femme à l'établissement d'ali
l un hypnotique recommandable ? par von Mering. 100. Intoxication
chronique
par le , par Guerlich, 408. dans TABLE DES AU
7° Idiotie symptomatique de méningite ou de neérzingo- encéphalite
chronique
ou idiotie zzcérziazyiticicce; 8° Idiotie avec
-P01'LCSW'ai des deux hémisphères cérébraux. DIé12112o-elzcé2halite
chronique
. - Atrophie de la protu- bérance. - Lésions pul
de la marche. ^~ Débutde la pa1·ole à 5 alls.- Blépharite ciliaire
chronique
($ ans). -Début des pseudo-lipomes vers 9 ans.Ec
.. l'écartement des sutu- res s'est effectué lentement, d'une façon
chronique
, par la poussée du liquide céphalo-rachidien, a
la mort : Broncho-pneumonie dans le cours d'une méningo-encéphalne
chronique
. Réflexions. I. Il s'agit ici d'un enfant dont
e, qui a per- mis de poser le diagnostic de né211go-e72cépltalite
chronique
, qu'est venue confirmer l'autopsie. Déjà nous a
portant jusqu'à il y a 3 ans, où débuta une bron- chite qui devînt
chronique
avec emphysème; pas de convul- sions de l'enfan
hatique, aurait eu une punaisie. [Père, mort à 55 ans, de bronchite
chronique
. - Mère, morte d'une pleurésie iL 42 ans. Elle
cules mamillaires) ; Par BOURNEVILLE et I». SOLLIER. Les maladies
chroniques
du cerveau qui aboutissent à produire les diver
2, à Bicêtre (Service de M. BOURNE"ILLE), atteint d'hy- drocéphalie
chronique
. antécédents (Renseignements fournis par la mèr
viation. Engorgement 216 .- ? : Hydrocéphalie : crâne.' - - -" l)
chronique
des ganglions carotidiens et axillaires. Vene v
itre passager. Deux grands oncles paternels, morts de bron- chite
chronique
( ? ).- Grand'tante paternelle, morte de con- g
OBS. XVII. - Hydrocéphalie symptomatique DE méningo- encéphalite
CHRONIQUE
. Sommaire. Père, céphalalgies. - Cousin materne
III. Considérations CLINIQUES ET ANATOMIQUES sur l'hydrocéphalie
chronique
. Les travaux publiés jusqu'ici sur l'hydrocépha
alie chronique. Les travaux publiés jusqu'ici sur l'hydrocéphalie
chronique
sont les uns de simples observations iso- lées
atténués, de cette forme particulière du crâne. 324 Hydrocéphalie
chronique
. permettent pas de comparer diamètre par diamèt
ânienne des malades que nous avons obser- vas : 326 Hydrocéphalie
chronique
. Nos observations portent donc sur des cas d'yd
forma- tion rachitique notable des membres. - 1 328 Hydrocéphalie
CHRONIQUE
. 4° Motilité. Préhension. Marche. La molilité e
se fait normalement chez les enfants qui ne sont 330 Hydrocéphalie
chronique
. pas paralysés. Chez les paraplégiques, les mem
sentent des tics coordonnés, se bornant au balan- 332 Hydrocéphalie
CHRONIQUE
. cement. Chez une petite fille (Lucie), un de n
e, battait souvent sa femme. Mère, morte à 62 ans, de bron- chite
chronique
( ? ) ; migraineuse, elle avait tous les mois des
oisson, est mort par accident à 57 ans. Une tante 334 Hydrocéphalie
chronique
. maternelle, 51 ans, est méchante, hargneuse, n
e'1711-C01t11·atCtLtl'(;eS, ne peuvent être coin- 336 Hydrocéphalie
chronique
. plètement étendues, la cuisse droite surtout e
el a Bourneville, Bicêtre, 1893. 22 ftg.61. 338 Hydrocéphalie
chronique
. duré un jour et une nuit. Elle est actuellemen
Étiologie ET I ? 1TIIOCiIWiI : -- Tous les llj'(11'OCl'océpha les
chroniques
ont des antécédents héréditaires ner- veux et p
t psychiques. Il est fréquent de constater chez 340 0 Hydrocéphalie
chronique
. les ascendants les névroses, les maladies ment
Peti... en est un remarquable exem- ple. OBS. XXI. Hydrocéphalie
chronique
. SOMMAIRE. - Père, absinthique, rhumatisant. -
Père, 53 ans, homme de peine, eczémateux, atteint de rhuma- tisme
chronique
, a toujours joui relativement d'une bonne santé
t jeune, avec une tête très grosse. Cet enfant 3 li ? Hydrocéphalie
chronique
. aurait néanmoins joui d'une certaine intellige
evient Fig. 03. Pe... vu de profil, à 10 ans. 34G Hydrocéphalie
chronique
. indocile et s'obstine quelquefois mais pendant
elier, Fig. 6 ? Pe... vu de face à l'âge de tu ans. Hydrocéphalie
chronique
. 347 où il raconte que, puisqu'il est nourri, i
tu. Fig. Gag. La soeur de Pua... à l'lige de 5 uns. Hydrocéphalie
chronique
. 349 Cou court, assez grêle, pas de goître. Tho
erté. (Novembre.) Quelques poils très disséminés à la Hydrocéphalie
chronique
. 351 lèvre supérieure, poitrine glabre, aissell
la cause pathogène de l'hydrocéphalie parait être une inflammation
chronique
, à poussées répétées, des méninges intra-ventri
l'encéphale par Bourneville, Bicêtre, 1893. ? 3 354 Hydrocéphalie
CHRONIQUE
. le développement d'une tumeur. Lorsque la prem
ôtés. Diagnostic ET pronostic. Le diagnostic de l'hy- drocéphalie
chronique
s'imposera le plus souvent. On pourrait la conf
me s'élargir quand le dernier augmente de volume. 356 Hydrocéphalie
chronique
. Traitement de l'hydrocéphalie. Le traitement
. Traitement de l'hydrocéphalie. Le traitement de l'hydrocéphalie
chronique
peut être chirurgical ou médical. Le traitement
que nous en faveur de son efficacité. Ons. XXII. - Hydrocéphalie
chronique
. Sommaire. Aucun L171CC('CLB171 héréditaire. So
ineuse. Autre soeur morte de méningite. Émotion 358 ' Hydrocéphalie
chronique
. au 2o mois de la grossesse. Accouchement préma
avec sa mère, vue de face, à l'tige de 7 mois. 360 Hydrocéphalie
chronique
. naire, Frictions sur la tête avec de l'onguent
.. (avec sa soeur, Henriette), à l'âge d'un an. 3G2 Hydrocéphalie
chronique
. longueur sur 9 cm., 5 de largeur. La fontanell
'il. Esco... vue de profil à l'âge de 14 mois. 3fiA Hydrocéphalie
chronique
. 24 juillet. La capeline de Vigo a été renouvel
c sa soeur, vue de profil, il l'âge de 2j mois. 366 Hydrocéphalie
chronique
. 57 millimètres. La mère a remarqué que la calo
sco... (avec son père), à de 3 ans 1 mois. .A 368 Hydrocéphalie
chronique
. coco, Henriette (nom de sa soeur), t'es lourde
f1 i> H tl ..., M oo o -ce' 370 Hydrocéphalie
chronique
. naturel. Elle tient la tête droite, semble êtr
tte observation ce tra- vail sur quelques formes de l'hydrocéphalie
chronique
. Si Valentine Esco..., malgré une hydrocéphalie
malade offre le tableau habituel de la démence paranoïde avec état
chronique
d'agilalion et d'insomnie. La moyenne des heure
Sclérose atrophique de l'hémisphère gauche, généralisée. Méningite
chronique
du même hémisphère. Épaississement de la pie-mè
lésion en foyer ou une sclérose al/'Ophique, s'ajoute une méningite
chronique
. Alors, comme chez Tard...., les accès s'accomp
r pendant la vie sous l'influence de processus deslruclifs aigus cl
chroniques
. 8. Mais leur importance, en tant, que signes d
y a pas de diagnostic possible. P. hrR.tv.tt.. XV. Un cas de chorée
chronique
progressive avec au- topsie ; par le Dr de 1,'u
ons dégagées par l'auteur-peuvent se résumer ainsi : Dans la chorée
chronique
le trouble hyperkinélique est fonction du faisc
ence y soit primaire. Les lésions hosto- pathologiques de la chorée
chronique
rencontrées jusqu'ici n'of- frent pas d'unité e
reconnaissent vraisemblable- ment une étiologie variable. La chorée
chronique
est une affec- lion héréditaire et familiale du
s différents complexus S) ntpLuma liclue alpartcnanL à,1'alcuolismc
chronique
, il la confusion mentale, à la démence sénile,
clinique que certains auteurs décrivent encore sous le nom de manie
chronique
, que tl'aulres,hlus nombreux, tendent il ralla-
lui que nous devons la presque totalité du stock consi- dérable de
chroniques
qui encombrent nos asiles ; il est la cause uni
us de guérisons ; d'où, beaucoup plus de sorties, beaucoup moins de
chroniques
anourrir jusqu'à leur belle mort, et une énorme
nombre des médecins, cela sérail moins cher que de transformer en
chroniques
tous les entrants. PERSONNEL MÉDICAL DES ASILES
la sclérose en plaques el la syphilis cérébrale ; 7° hydrocéphalie
chronique
, abondance du liquide et. de la pression, pauvr
ssion cL cLu yuautiLé tlu liquide céphalo- rachidien ; 11° l'ictère
chronique
est la seule forme de la maladie LlÙ le lir¡uid
malgré les 9 hospices cantonaux qui assistent plus de 600 alié- nés
chroniques
, la commission nommée pour étudier les mesu- re
sion propose la di\ ision des asiles en asiles d'aigus et asiles de
chroniques
. Pour les premiers ce seraient : Heidelberg rég
sslocli. Le bel asile moderne d'Emmendingen deviendrait un asile de
chroniques
et recevrait ses malades d'Illenau et de-Fribou
xte qui recevrait' les aigus de sa circonscription et garderait ses
chroniques
: région de Constance : 300 à 400 lits. Quatre
re à laquelle le malade a succombé, les attribuent à l'alcoolisme
chronique
el aune insuffisance hépatique manifeste. 11.1)
s familiales, l'lahlis- sements slociaw pour les cas aigus, les cas
chroniques
, IIIJ]'i- latix de convalescence, asiles coloni
a populaires pour les maladies nerveuses, les hospices pour aliénés
chroniques
, les asiles-colonies pour épilep- tiques, les é
st pas aussi franchement scindée ; elle parait prendre une allure
chronique
et relativement torpide d'emblée, et il semble
démences s vésani- ques secondaires, dans les délires systématisés
chroniques
et dans la paralysie générale ; mais elle prend
ctère n'apparaît que très tardivement dans les délires systématises
chroniques
et n'appartient guère aux délires polymorphes d
te toujours chez les hémiplégiques, par comparaison avec les autres
chroniques
," une spontanéité, une initiative amoindries, u
l'ensemble, les sentiments égoïstes, communs à tous les in- firmes
chroniques
, se rencontrent chez l'hémiplégique exagérés au
3° le signe d'Argyii est un épiphénomène de la méningite spécifique
chronique
; c'est par cet accident que débutent les proce
s uyLùnles de la maladie de Graves, de même celui de la myocardite
chronique
. 11 faut donc retenir que la maladie de Dasedow
re typhoïde. Fabre, de Marseille, distingue cinq formes : éphémère,
chronique
, inter- mittente, pseudo-typhique et fébricule
400 cent. cubes d'eau, dont les parois sont le siège d'un catarrhe
chronique
. Ce n'est pas un diverlicule, car, on réussit il
ns leur développement : soit par des des causes physiques, catarrhe
chronique
, troubles chroniques de la nutrition, de la vis
t : soit par des des causes physiques, catarrhe chronique, troubles
chroniques
de la nutrition, de la vision, etc..., soit par
uvellement reçus commençant par. être mis à la fête d'un service de
chroniques
. Pour trancher la question de la proportion des
ec les autres malades des services d'hos- pices formant le bloc des
chroniques
. Dans ces deux classes de services, la proporti
e l3ucK,(Jonrn. elel\'eawologie.19U4,n 7.) Obsenalion d'un délirant
chronique
de R5 ans et ayant subi l'amputation de la cuis
émontrée : il y aura lieu d'intervenir aussi dans les cas de chorée
chronique
progressive qui constituent une infir- mité inc
uccès s'obtien- nt'nl 'mrtout cht'7- l'enfant. Dans l'hydrocéphalie
chronique
con- génitale ou acquise ; l'insuccès esl la rè
effel thérapeutique sur les maladies du système nerveux à évolution
chronique
(tabès, paralysie générale), la ponction lom- b
ôpital (infection, intoxication, affections viscérales : c) délires
chroniques
, psychoses systématisées primitives ou secondaire
reçus, il titre définitif ou plus ou moins dé- finitif, les nerveux
chroniques
considérés comme incurables (épi- lepti<lues
cin chef avec les infirmeries de vieillards, les maladies nerveuses
chroniques
et les maladies mentales ; 1 médecin-adjoint av
oses puerpérales par infection. - Comme toute infp('- tion aiguë ou
chronique
(pneumonie, fièvre typhoïde, tubercu- lose, rhu
oire aiguë avec excitation (ancienne manie puerpérale) ; les formes
chroniques
prendront plutôt le type de la dépression mélan
s aiguës (excitation maniaque pure ou hallucinatoire) et des formes
chroniques
(dépression mé- lancolique, démence) ; 3" suiva
ngulière- ment de la réaction froide et préméditée des persécutés
chroniques
: elleestla conclusion harmonique et légitime d
ment mitral est exceptionnelle, quand il s'agit d'une endocardite
chronique
. Lorsqu'on a an'aire à une poussée endocardique a
contiennent ni albumine, ni sucre. P. KERAVAL. LXXlll. Nicotinisme
chronique
; par N. Toporkovv. {Obo;;réniJ psic7eiatrii, Y
ez lesquels le traitement estinefticace : -2" les téta- nos à forme
chronique
, sans lièvre où avec peu de fièvre, sans accide
parence bénin dans ses débuts. G. CHARRIE. iF LXXV. Trophoedème
chronique
non congénital du mem- bre inférieur droit chez
med. des leôl~ ? 31 mai 1904, p. : 2'21.) Un cas de tl'ophoedèl11e
chronique
non congénital chez une en- fant de onze ans. C
décrits par Esquirol et cités par M.Ritti sont plutôt des délirants
chroniques
que de vé- ritables invertis. M. ITTt. La sec
vons encore citer le chiffre élevé des décès par suite d'en- térite
chronique
, affection souvent dueà une manifestation dans
ints de troubles de la parole ; 6- les enfants atteints de maladies
chroniques
non contagieuses, osseuses, articulaires, CORRE
rable, mais si l'on songe que sur ce nombre il y a bien près de 350
chroniques
incurables, auxquelles nous n'avons guère que d
examiné les réflexes irions du début à la fin de la périencéphalite
chronique
, réalisant 750 constatations sur lesquelles nou
ré et, tend d'autant plus à l'inertie totale que la périencéphalite
chronique
progresse. -Nous savons que chez 21 de nos 14')
pas en est une nouvelle confirmation. Une malade atteinte de chorée
chronique
est- prise de grippe avec pleurésie séro-libri-
nce. Pour les auteurs, la chorée serait une affection inflammatoire
chronique
qui au premier degré détermine des mouvements d
orties d'essai, nous avons organisé, même pour les incurables elles
chroniques
agités, une série de promenades quotidiennes, i
nation mentale. Les admissions ne comprendraient plus autant de cas
chroniques
et incurables, au grand bénéfice des malades, d
ériodiques rappelons encore : Hypnotisme et folie (1886) ; - Délire
chronique
, psychose systématique progressive (1886) ; - L
jour passer devant soi des aliénés atteints des for- mes aiguës ou
chroniques
des maladies mentales sous leurs aspects les pl
ts d'une clarté parfaite, les remarquables débats sur le dé- lire
chronique
, sur la classification des maladies menta- les,
la IVe Section, ne donner aux médecins-adjoints que des services de
chroniques
dans lesquels ils ne seront même pas les maître
ints en voulant les utiliser ? ' ? Ce n'est pas que les services de
chroniques
manquent d'intérêt. Je m'y arrête pour ma part
a part très volontiers et longuement. Je m'instruis en examinant un
chronique
, je fais appela tout ce qui lui reste d'activit
e 80 % (1). - Mais je crains que l'observation et le traitement des
chroniques
n'exercent pas sur les médecins adjoints une sé
et je suis d'avis de, leur donnera la fois des cas aigus et des cas
chroniques
. Un service d'aliénés doit, à mon sens, se compos
en. Voir Cerveau. CnLOfluRATION. Voir Névroses. Chorée. Un cas de
chronique
progressive avec autopsie, par de Buck. De la
physiologie pathologique du , dispari- tion des dans la chorée
chronique
, par Vaschide et Vurpas, 446. Moyen LI11,EP'r
ruralion de l'organis- me et les -, par Claude, 321. NICOTL\IS)IE
chronique
, par To- porkow, 388.. , No-ItESTnr·.mr. De l
1 : UFm;, Conttibution à l'élude du , par Sainton et Voisin, 312.
chronique
non congénital du membre infé- rieur droit ch
ques des infections aiguës, que ré- sultaient les syndromes nerveux
chroniques
de la maladie. Mais des consta- tations ultérie
système nerveux et qu'il y détermine des processus inflammatoi- res
chroniques
, non précédés d'incidents aigus. On ne pourrait,
Il est certain que l'anamnèse décèle, parfois, dans les cas nerveux
chroniques
, l'existence antérieure des phénomènes aigus, sur
avité des formes méningo-encépbafiques aiguës. Les formes nerveuses
chroniques
de la trypanosomiase présentent, ce n'est pas d
s primitives du parasite dans la masse encéphalique, avec évolution
chronique
des processus anatomiques. Comme conséquence
es troubles moteurs d'un seul côté du corps. Dans la forme nerveuse
chronique
de la maladie, le syndrome le plus fréquent est
DE LA MALADIE DE CHAGAS 1. Syndrome de Little ; méningo-encéphalite
chronique
; parasites dans le cerveau. 2. Diplégie cérébr
Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie. 24 ans. Méningo-encéphalite
chronique
; parasites dans le cerveau et les muscles. 8
nombre de malades que nous avons vus, présentant la l'orme nerveuse
chronique
, s'élève : ') plus de deux cents. Malgré cela,
est repré- sentée par presque totalité des malades; dans les formes
chroniques
, les malades supportent longuement la maladie,
arche pro- gressive, à évolution relativement lente, d'un processus
chronique
dont nous avions pu suivre les différents stade
nes médullaires signalées par Edoardo Poggio qui admet l'irritation
chronique
des cellules radiculaires antérieures dans le p
ne que nous avons cru intéressant d'en publier l'observation. MANIE
CHRONIQUE
PAR R. BENON et PrDENËS Hospice Général (Na
QUE PAR R. BENON et PrDENËS Hospice Général (Nantes) La manie
chronique
n'est pas l'agitation chronique. Les états d'agit
Hospice Général (Nantes) La manie chronique n'est pas l'agitation
chronique
. Les états d'agita- tion chronique comportent p
chronique n'est pas l'agitation chronique. Les états d'agita- tion
chronique
comportent plusieurs variétés. La manie chronique
ats d'agita- tion chronique comportent plusieurs variétés. La manie
chronique
ou hypersthénie chronique est l'agitation mania
e comportent plusieurs variétés. La manie chronique ou hypersthénie
chronique
est l'agitation maniaque pure chronique ; elle do
e chronique ou hypersthénie chronique est l'agitation maniaque pure
chronique
; elle doit notamment être différenciée de l'ag
iée de l'agitation maniaque associée à d'autres syndromes. La manie
chronique
vraie s'oppose à l'asthénie chronique. Voici un
d'autres syndromes. La manie chronique vraie s'oppose à l'asthénie
chronique
. Voici un exemple de manie chronique vraie. .
ue vraie s'oppose à l'asthénie chronique. Voici un exemple de manie
chronique
vraie. . Observation (PI. XIX). Résumé. Entré
itation anxieuse. La mélancolie a été remplacée par la manie. Manie
chronique
certainement depuis 1884 jusqu'à 1912, soit dur
tionnisme. Tenue malpropre. Insomnie habituelle. Probablement manie
chronique
pas/-mélancolique (mélancolie vraie) : asthénom
pas/-mélancolique (mélancolie vraie) : asthénomanie suivie de manie
chronique
. Pierre, 40 ans, tisserand, entre à l'H. G. de
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. XIX MANIE
CHRONIQUE
VRAIE (Benon et P. Denès) Masson & Cie, E
) Masson & Cie, Editeurs. Photoljpie Bertliaud, Paris MANIE
CHRONIQUE
' 12B entend. Sa mimique est riche et expressiv
au..., va donc trouver X..., il est aussi bête que toi... » MANIE
CHRONIQUE
123 Dans la journée, une fois sorti, il a circu
' folailler ». Cette observation est un exemple typique d'hypomanie
chronique
, vraie, pure, non associée à d'autres symptômes
s d'ordre hypersthénique. Comment s'est constitué cet état maniaque
chronique
? Voici ce que nous supposons en attendant de l
dernière progressivement a été remplacée par un état maniaque resté
chronique
(asthénomanie post-mélancolique compliquée de m
resté chronique (asthénomanie post-mélancolique compliquée de manie
chronique
). Quant au diagnostic entre la manie chronique
compliquée de manie chronique). Quant au diagnostic entre la manie
chronique
vraie et la manie chroni- que associée, nous ne
types de bouffon du temps passé. Il est certain qu'à l'hospice, ce
chronique
joyeux contribue pour une large part à égayer l
, un peu plus long que le premier. , A Tordesillas, son étal devint
chronique
etnous ne notons guère qu'une rémission en 1520
tions funèbres forment le fond. Nous croyons de plus (1) A. PicnoT,
Chronique
de Chai les-Quint, p. 482. , (2) R. St-IIILAIIi
du crâne les notes cliniques, pas très marquées, de l'hydrocéphalie
chronique
congénitale. L'enfant ne parle pas, semble ambl
diagnostiqua qu'il s'agissait de réacutisation d'une hydrocéphalie
chronique
congénitale à localisa- tion dans le IVe ventri
ydrocéphalie acquise, ou d'exacerbation d'une hydrocéphalie latente
chronique
. Celle question pouvait et devait se poser même
vrai, au nombre des poisons électifs des nerfs; dans l'intoxication
chronique
profession- nelle on ne signale pas de névrites
i par les téguments externes. ' On sait en effet que l'intoxication
chronique
par l'alcool peut être réa- lisée par l'inhalat
aissait pas d'homme de l'équipage qui fût atteint d'uréthrite, même
chronique
. Il reconnaît d'ailleurs que, par suite de l'en
tiologique de la sclérodermie dans son cas le processus rhumatismal
chronique
. · Kornfeld (3) présente une femme chez laquell
dans le traitement des affections dites rhu- malismales (Rhumatisme
chronique
, artériosclérose, troubles vaso-moteurs et lrophi
ment vu un cas'avec évolution simultanée et parallèle du rhumatisme
chronique
, de la maladie de Ray- naud et de sclérodermie
E, Rose et Touchakd, Maladie de Raynaud, sclérodermie et rhumatisme
chronique
. Bull. et mém. de la Soc. méd. des hôp. de Paris,
E, Rose et Touchard, Maladie de Raynaud, sclérodermie et rhumatisme
chronique
, Bull. et mém. de la Soc. méd. des hôpitaux de Pa
s ankylosant qui rappelle absolument celui de l'arthrite déformante
chronique
. Au niveau de la pulpe des doigts, de même que
un aliéné et l'un de nous a vu la même association chez un délirant
chronique
de son service de l'Hospice Marcoutza. Dans d
chez notre malade, à un cas d'anomalie, dans lequel existe l'oedème
chronique
des jambes; et dans lequel l'oedème est congéni
trouve en premier lieu l'oedème. Chez le plus grand nombre l'oedème
chronique
se trouve aux deux jambes ; un petit nombre seu
noedème OEDÈME CONGÉNITAL FAMILIAL DES EXTRÉMITÉS INFÉRIEURES 323
chronique
d'origine trophique (trophoedëmedeMeige (7, 10, 1
(9). Meige, et aussi Cassirer, distin- guent trois groupes d'oedème
chronique
, dystrophique : celui des cas isolés, celui des
american Physicians, XII, blz. 411. ' 7. MEiGE. - Le troyhcedènze
chronique
héréditaire. Nouvelle Iconographie de la Sal- p
al- pêtrière, 1899. , 8. LAXKOts. Une observation de tiophoedènbe
chronique
héréditaire. Nouvelle Ico- nographie de la Salp
cette époque, c'est-à-dire depuis 1881 environ, excitation maniaque
chronique
. Etat actuel, 1912, à 33 ans : agitation légère
it être confondue avec aucune autre maladie nerveuse ; ni la chorée
chronique
, ni la maladie des tics, ni les myoclonies ne p
a gau- che. Au niveau des paupières on remarque des traces d'eczéma
chronique
, les yeux ne sont pas anormalement saillants. L
et superposer leurs effets. Toutes les infections ou intoxications
chroniques
survenant dans la période de l'ossification activ
e, nous nous en occuperons au détail. Uu cas de méningo-encéphalite
chronique
avec attaques épileptiques nous a fourni le mal
et dans la cavité crânienne, une pachy- lepto- méningo-encéphalite
chronique
. Du côté des lobes frontaux et des parties vois
sta- tions rachitiques manquent chez notre malade. L' hydrocéphalie
chronique
, avec son front haut et large qui surmonte une
maladie de Paget est communément considérée comme une ostéopa- thie
chronique
et lentement progressive, plus ou moins localisée
édents personnels quelque intoxication ou infection anté- rieure ou
chronique
. Notre malade, de par sa profession et son mili
er la nature des lésions. En effet s'il s'agit de méningo- myélites
chroniques
ou de pachyméningites, ces lésions peuvent avoir
que infection aiguë ancienne, ou les suites de quelque intoxication
chronique
(alcool, plomb). Les cas de Froin, de Babinsk
ibués à la syphilis. De même dans plusieurs observations à marche e
chronique
, le traitement anti-syphilitique a pu seul indiqu
sante d'albumine jusqu'à 0. 50 à 1 gramme. Dans les inflammations
chroniques
, la quantité d'albumine est peu aug- 500 MARINE
(Processus de réparation dans le -. Un cas de menillgo-encéphallte
chronique
avec attaques épileptiques), par SNESSAIIBFF,
et NO\ ? IOSSEI;ANU, 234. Manie el idiotie, par RENON, 358. Manie
chronique
, par et Denès, 122. lYfé,gulo-doct,ylie unilaté
, par Babinski, JU11EVTIH;Pt Jarkowski, 10. Ménitigo-eiicéphalite
chronique
, par Smîssv- REFF, 433. Moelle (Modifications
e et idiotie, 358. Benon (R.) et Denès (11.) (de Nantes). Manie
chronique
, 122. Bertolotti (M.) (de Turin). Une vertèbre
u langage dans l'aphasie de Broca, 331. Denès 'P.) et Benon Manie
chronique
. 122. Dloc (Maurice) et LKVËQOE (Mlle) (de Tou-
us de répara- tion dans le cerveau Un cas de méningo- encéphulite
chronique
, 433. Souques (\.) et Chauvet tStephen). Infan-
Jeanne la folle \L.\IGIOEL-LAvA'oTII\E et lllen- scxl, X. Manie
chronique
(RENOM et Dcni.·), XIX. Méningite cervicale hyp
binski, ,1U ! IENTII et JaRowsso, VI il VIII. Ménll1go-enc)éphalile
chronique
, processus de réparation du cerveau (SnLSSalsEF
IE Leçons cliniques sur les maladies des vieillards et les maladies
chroniques
, par J.-M. Charcot, recueillies et publiées par
ré, à la Salpêtrière, sur les maladies des vieillards et les maladies
chroniques
, un cours qu'il a continué en 1867, 1868 et 1869.
venir en premier lieu? M. Charcot a choisi la goutte et le rhumatisme
chronique
, et cela, croyons^nous, 1 C'est-à-dire depuis 1
: Io parce que, d'une part, étudiant depuis long¬temps le rhumatisme
chronique
, et, d'autre part, s'occupant d'an¬noter le livre
)1. M. Charcot étudie d'abord la goutte, qu'il sépare du rhumatisme
chronique
. Il passe successivement en revue les altérations
se rencontre jamais dans le rhu¬matisme articulaire, soit aigu, soit
chronique
. Dans les conférences qui suivent, M. Charcot p
se urique, la goutte aiguë, c'est-à-dire l'accès de goutte, la goutte
chronique
; 3° la symptomatologie de la goutte viscérale, do
r la goutte de côté eût été un tort puisque la goutte est une maladie
chronique
que l'on a souvent occasion de voir dans les clas
ir dans les classes aisées de la popu-lation. espèces de rhumatisme
chronique
. Là, plus encore peut-être que dans les conférenc
indiquer le plan adopté par M. Cliarcot. " Les types du rhumatisme
chronique
sont très-nombreux, dit-il, mais nous porterons p
alement notre attention sur les sui¬vants : 1° rhumatisme articulaire
chronique
(R.goutteux, R. noueux, etc.) ; 2° rhumatisme art
e chronique (R.goutteux, R. noueux, etc.) ; 2° rhumatisme articulaire
chronique
partiel; 5° rhumatisme d'Heberden. Ces aspects si
ie. Puis il décrit les lésions anatomiques de l'arthrite rhumatismale
chronique
, établit un parallèle entre le rhumatisme articul
me articulaire aigu dans ses rap¬ports avec le rhumatisme articulaire
chronique
et la goutte, les af~ fections viscérales dans le
eçon, le traite¬ment de la goutte, et celui du rhumatisme articulaire
chronique
. Cette rapide énumération suffira, nous l'espér
ur qu'il me soit inutile d'y insister. [Lyon médical.) ALCOOLISME
CHRONIQUE
AVEC ACCÈS SUBAIGU. — ATTAQUES ÉP1LEPTIFORMES U
n après son entrée dans un asile, on a vu survenir chez un alcoolique
chronique
, sans nouveaux excès, des attaques épileptiformes
z qui toutes ces lé¬sions se sont trouvées était atteint d'alcoolisme
chronique
. Il est nécessaire d'ajouter que M. Sons (de Bo
ide dans l'étude d'une endocardite sub¬aiguë passant souvent à l'état
chronique
et ne fournissant que très-peu de signes fonction
avons déjà vu de ces appareils. 2e année. 4 MÉDECINE RHUMATISME
CHRONIQUE
; DIFFORMITÉS CONSIDÉRABLES OBSERVATION RECUEILL
III, occupe depuis cinq ans le môme lit. Il est atteint de rhumatisme
chronique
. Dans sa famille il ne pa¬raît pas y avoir de rhu
ence aux matelas d'eau et aux lits mécaniques. CHIRURGIE SYNOVITE
CHRONIQUE
OBSERVATION RECUEILLIE PAR M. BEAU, EXTERNE DU
nt parfaitement à ceux décrits par les auteurs dans les inflammations
chroniques
des gaines synoviales tendineu¬ses. Notre diagnos
es tendineu¬ses. Notre diagnostic sera donc le suivant : Inflammation
chronique
limitée à la gaîne synoviale interne de la main o
lle. Duis le cas clinique qui nous occupe, c'est à une inflammation
chronique
de la gaine interne que nous avions affaire8. Les
isseurs, il est très-rare au contraire de rencontrer une inflammation
chronique
d'emblée. Le traitement a dû consister, comme t
nde, à tempérament lympha¬tique, a eu dans son enfance une ophthalmie
chronique
(4 ans) qui, à un moment, aurait gravement compro
ile. La cirrhose de l'estomac diffère essentielle¬ment de la gastrite
chronique
en ce sens que la muqueuse est relativement respe
l'histoire abrégée de cette malade. Observation.—Ophthalmie double
chronique
. — Albugo.— Opacités. — Kératite ulcéreuse à ga
jouirait d'une bonne santé. Un frère, âgé de 9 ans, a une ophthalmie
chronique
et des glandes cervicales. Vers l'âge de trois
al, l'appétit était presque nul; enfin une diarrhée, en quelque sorte
chronique
, une suppuration très-abondante, augmentaient enc
'histoire clinique du catarrhe de l'oreille (catarrhe aigu, catar¬rhe
chronique
, catarrhe purulent) n'occupe pas moins de huit le
u service qu'ils leur auront rendu. » G. Peltier. Angines aiguës ou
chroniques
: origine, nature, traitement, par le docleur Mou
ain numéro. — BIBLIOGRAPHIE Leçons sur le traitement des maladies
chroniques
en général et des affections de la peau en partic
de cause externe ou interne. Si elle est interne, elle sera aiguë ou
chronique
. Enfin, dans le cas où l'affection est chronique,
, elle sera aiguë ou chronique. Enfin, dans le cas où l'affection est
chronique
, on aura à la placer dans l'une des quatre gran
t et montrer que l'auteur distingue dans le traitement des affections
chroniques
de la peau le spécifique et le traitement adjuvan
n¬nes, par Taulier, 34. Aii.ante contre le tœnia, 112. Alcoolisme
chronique
avec accès sub¬aigu, par Bouchereau et Magnan, 41
lle, par A. de Traeltsch (anal. G. Peltier), 164. — Angines aiguës ou
chroniques
, etc., par Moura (anal. G. Peltier), 1(37. — Leço
ra (anal. G. Peltier), 1(37. — Leçons sur le traitement des mala¬dies
chroniques
en général et des affections de la peau en partic
s sujets assassinés, par Vernois, 73 (voy. Hémorrhagie). Rhumatisme
chronique
; difformité con¬sidérable, par Sueur, 98. Rich
(De la) lactée chez une femme tétramaze, 16. Sueur, 98. Synovite
chronique
, par Beau, 99. Syphilide (De la) croûteuse en coq
la gliomatose s'était compliquée d'un certain degré de méningite
chronique
, dont dépendaient les troubles moteurs des memb
ie, nous trouvâmes les signes ordinaires de la méningo- encéphalite
chronique
, avec cela de particulier, toutefois, que les v
se, il y a des différences fondamentales telles entre l'alcoo- hsme
chronique
et la paralysie générale qu'il n'y a pas lieu de
paralysie générale qu'il n'y a pas lieu de penser que l'alcoolisme
chronique
aboutira à la démence paraly- tique. Il s'agit
. M. B. Séance du 28 mai 1888. Présidence DE M. CoTARD. Du délire
chronique
(suite). M. J. Séglas. Messieurs, ce n'est pas
e la science le nom de Lasègue. Aujourd'hui les partisans du délire
chronique
se défendent de vouloir englober dans leur des-
ès aucune de ces données qu'on s'appuie pour constituer le délire
chronique
. Ne trouvez-vous pas que c'est s'étayer sur une b
ue les divergences entre les partisans et les adversaires du délire
chronique
sont plus apparentes que réelles. Faisant appel
s nobiliaires que lui attribuent des voix. Observations de délire
chronique
. M. LvoLF communique une observation de délire
de délire chronique. M. LvoLF communique une observation de délire
chronique
chez une femme qu'il a observée à Villejuif. La
ous points au groupe morbide que M. Magnan désigne du nom de délire
chronique
à évolution progressive et en pré- sente un cas
M. Rumpf (de Bonn). Contribution à la question de l'intoxication
chronique
par la syphilis, avec pièces anatomiques de syphi
nt, deviennent de véritables causes occa- sionnelles : l'alcoolisme
chronique
, l'alcoolisme aigu. Ces causes se divisent en c
ons aiguës ont une proportion très faible, mais les empoisonnements
chroniques
et, en premier lieu, l'alcoolis- me fournit un
es autres affections générales de : 0,91 p. 100. Parmi les maladies
chroniques
constitutionnelles, la chlorose et l'anémie off
isme aigu déter- mine une amnésie complète temporaire, l'alcoolisme
chronique
amène un affaiblissement progressif. Il n'y a,
t peut-être dans ce der- nier cas une manifestation de la méningite
chronique
, compliquant la maladie, si l'hyperplasie gliom
r- ticulations interphalangiennes; des processus inflam- matoires
chroniques
dans l'une ou l'autre des grandes articulations
ymptômes qui l'accompa- gnaient et d'après sa marche à la méningite
chronique
, qui est venue compliquer la maladie fondamenta
différente par l'âge seul du sujet; si la marche de la maladie est
chronique
, le type atrophie musculaire progressive spinal
spinale protopathique' (type Duchenne-Aran, poliomyélite antérieure
chronique
) avec ou sans 1)aî,alysie labio-glosso-lL, ? -y
e, à une sclérose des faisceaux postérieurs, à une myélite centrale
chronique
, à une hydromyélie ou syrin- gomyélie, à une tu
ch., lLlIl, 3.) Tare héréditaire, hypéresthésie psychique, hystérie
chronique
, (dysménorrhée, ovaie, céphalalgie, agrypnie, d
s d'alcoolisme, pas de syphilis. Le malade succombe à une pneumonie
chronique
. A l'autopsie, on constate une tumeur gliomateu
ge du calamus et les parties susjacentes. Processus inflam- matoire
chronique
au voisinage de la tumeur. N. SIiWORTZOFF. II
qu'elle conserve ou non le souvenir de ses impulsions. Du délire
chronique
(suile de la discussion). M. R ? D 0,'Z de 284'
vécu plus longtemps, il faut reconnaître avec lui que les délirants
chroniques
avouent à l'entourage bien moins facilement leu
obscurité de la genèse des conceptions ambi- lieuses. Les délirants
chroniques
ont dès leur enfance les germes de leur future
est que l'écho d'une méta- morphose profonde de son être. Le délire
chronique
étant ainsi un développement d'un caractère, il
voqué un cas de La- sègue, mais à cette époque, la synthèsedudélire
chronique
n'étant pas connue, il n'y a rien d'étonnant à
ses. Ke serait-ce pas une mégalomanie mystique ? Le terme de délire
chronique
mérite toutes les critiques qui lui ont été adr
- tion prolongée s'oppose à leur guérison. C. Folie systématique.
Chronique
ou aiguë, acquise ou congénitale, elle nous donne
e malade commence à être tourmenté de nostalgie normale. D. Etats
chroniques
secondaires On usera de la sortie dans une asse
général , au moins pour un grand nombre, et les fous systématiques
chroniques
. E. La folie morale, incurable comme on sait, m
ur les établissements d'hospitalisation pure (maisons de santé pour
chroniques
); à quoi bon notamment exiger que le mé- decin
idées de persécution, et parmi eux, prin- cipalement par le délire
chronique
. Tout persécuté, tout mélancolique trouve en gé
a- gnostic que l'on avait seulement pressenti. Aussi, le délirant
chronique
fait-il beaucoup de complices avant d'être inte
ont saisies, à chaque instant, d'affaires relatives à des délirants
chroniques
, qui sont bien les malades les plus difficiles
LA FOLIE COMMUNIQUEE. 335 tion. Des deux malades, l'un est délirant
chronique
, l'autre est débile ; ou bien, tous deux sont d
observations. Observation II. Délire communiqué. - Mère délirante
chronique
. Fille débile. Les deux malades qui font le suj
mère, M-e L... âgée de cin- quante-deux ans est atteinte de délire
chronique
; la fille Maria L... est une débile, qui a subi
des persécutions touche à sa fin, et la troisième période du délire
chronique
est probablement en voie d'évolution. Complètem
Dépôt. Observation III. Délire communiqué. Soeur aînée, délirante
chronique
. Soeur cadette, débile. T... (Anne), âgée de
adette, débile. T... (Anne), âgée de qnarante-quatre ans, délirante
chronique
simple, est entrée au bureau d'admission de Sai
des partager les mêmes hallucinations. Dans l'évolution du délire
chronique
, elles ont un cachet bien typique qu'il est à p
ènes mor- bides de la maladie. Chez le débile qui copie le délire
chronique
, l'hallucination peut parfois exister, encore f
nt d'après un mécanisme tout différent. De plus, chez le délirant
chronique
, l'hallucination revient sans cesse et persiste
beaucoup plus simple, beaucoup moins logique que celui du délirant
chronique
, et, en tout cas, beaucoup moins systématisé ;
et de mucus, laissant voir ainsi les signes d'un catarrhe vésical
chronique
qui a compliqué l'accident. e). Symptômes recta
es réflexes tendineux. P. K. XXIII. Un cas DE paralysie progressive
chronique
DES muscles DES veux (ophthalmoplégie externe);
irculatoire préexistant. P, I\. XXXI- DE la poliomyélite antérieure
chronique
; par Il. Oppexueim, (lrclt. f. Psych., XIX, 2.)
z.) Dans le premier cas, c'est chez une malade atteinte de folie
chronique
avec accès récurrents que cet effet a été observé
donc utile d'établir dès le début si le cas sera aigu et rapide ou
chronique
. La manie transitoire est bien connue. Son prin
té qu'elle est survenue, mais non toujours, et peut passer à l'état
chronique
. Si la .cause est récente, bien définie, on peu
n rapport de Ai. Lagrange sur le Délire ambitieux dans l'alcoolisme
chronique
. * Classification des maladies mentales. - La S
rojet de classifi- cation. Mais la discussion ouverte sur le délire
chronique
rendait impossible avant sa clôture l'adoption
ns céphaliques et à d'autres dommages, par de la folie systématique
chronique
semblable au délire de persécution par hallucin
e faible mortalité, que pour les grands asiles où les psychopathies
chroniques
abondent ainsi que les cas de mort. 11 faut sur
stelberg. De l'emploi de l'hyoscyamine dans les états d'agio talion
chroniques
. Il a pu l'administrer jusqu'aux doses de un cen-
gauche), perpé- tuellement. Un sénateur à gauche. C'est à l'état
chronique
. M. de Gavardie. A l'état chronique ? ... J'all
nateur à gauche. C'est à l'état chronique. M. de Gavardie. A l'état
chronique
? ... J'allais dire une méchan- ceté ; mais j'e
ttisie hystérique). Penasse : Contribution à l'élude des méningites
chroniques
et spécialement d'une terminaison fréquente che
(écoroe cérébrale d'nne malade morte de), par Snell, 450. Délire
chronique
, par Séglas, S1 ; - par inlitraiidon de imoiity
oolique des muscles des yeux, par Tlromsen, 252; - (pro- gressive
chronique
des muscles des yeux), par Weslphal, 538; laryn
maladie de Bascolow" par Jotidrassik, 66. Poliomyélite antérieure
chronique
, par Oppenheim, iî2, - par Bern- liardt, W 3.
méningite aiguë et), 1),Ir Selililtze, 86. Syphilis (intoxication
chronique
par la), par Rumpf, 88; (cérébrale), par Hert
rfs, en créant autour de lui une véritable névrite interstitielle
chronique
. Telle est encore l'origine fort probable des p
nt, les quinze premières sont certainement des exemples de délire
chronique
systématique : à la rigueur, on pourrait encore y
à eux seuls » . Camus et pense que ce sont également des délirants
chroniques
; Maran- don de Montyel aussi, en faisant remarq
la les différencierait en un point seulement, puisque les délirants
chroniques
sont des sujets normaux jusqu'au début de l'aff
able, et je ne pense pas qu'il doive être rangé parmi les délirants
chroniques
. Ce serait plutôt un dégénéré héréditaire. 'O
op absolu; admettons qu'il convienne de ranger parmi les délirants'
chroniques
les persécutés génitaux qui ont quelques idées
publiées en 1876, à une époque où il n'était pas question de délire
chronique
. DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 45
lassique, complète, du délire de per- sécution soit la forme délire
chronique
systématisé (Magnan) '. Et, d'après mon observa
urait pu les croire presque contemporaines. En dehors des délirants
chroniques
, d'autres persécutés présentent également des i
l'extrémité inférieure gauche. Tels sont les signes d'un processus
chronique
progressif qui dure depuis six ans chez un jeun
a folie primaire servit presque uni- quement pour indiquer la forme
chronique
et de la forme aiguë il ne fut plus question da
émontrèrent l'existence d'une forme d'aliénation mentale, le délire
chronique
, caractérisée justement par les mêmes symp- tôm
délire systématisé primitif ou paranoïa, la forme aiguë et la forme
chronique
, réunies dans le même chapitre, comme un groupe
s Schùle montre la nécessité de bien distinguer les formes aiguë et
chronique
, la paranoïa chronique rentrant plutôt dans le
ssité de bien distinguer les formes aiguë et chronique, la paranoïa
chronique
rentrant plutôt dans le cadre de la folie dégén
qui ne sont, pour ainsi dire, que la répétition abrégée de la forme
chronique
et dans lesquelles la maladie débute par le dél
de pour que le délire puisse se systématiser. En outre, la paranoïa
chronique
nous offre dans sa marche des exacerbations qui
se n'est pas tombée dans l'erreur de confondre les foi mes aiguë et
chronique
du délire primitif dans une seule forme moi bid
de tous, de même que sur le rapport des formes aiguës avec la forme
chronique
du délire chronique, du délire systématisé. - C
sur le rapport des formes aiguës avec la forme chronique du délire
chronique
, du délire systématisé. - C'est pour reprendre
ce entre les formes aiguës étudiées dans ce travail, avec le délire
chronique
, elle ressort du précédent exposé symptomatique
f des deux affections. 1 Rappelons que la caractéristique du délire
chronique
consiste dans la systématisation des idés délir
groupe à part, en dehors de la mélancolie, de la manie ou du délire
chronique
(paranoïa en Allemagne). On les désigne à prése
e « Wahnsinn » eu laissant le terme de « Ver- rucktheit * au délire
chronique
.- L'auteur préférerait l'appellation de « folie
d'appui à l'idée que le délire primitif aigu et le délire primitif
chronique
appartiennent au même groupe. Du reste, ces cas
nce aiguë (qua- torze observations) ; folie systématique (paranoïa)
chronique
(huit observations) ; imbécillité avec folie sy
s Guinon. BIBLIOGRAPHIE. 125 II. L'athétose double et les chorées
chroniques
de l'enfance; par AUDITS, médecin des hôpitaux
l existe aussi d'autres cas analogues, dans lesquels des vésaniques
chroniques
, et aux facultés affaiblies, agissent bien, en
bides diffé- rentes : le délire de persécution de Lasègue (délire
chronique
, psychose systématisée à évolution progres- siv
et qui peut ! servir, de type aux psychoses par empoi- sonnement
chronique
.. ,, : il ' 'J .1111 " ." \"1'\ , ,I(I..Ç'S dan
s des épileptiques meurtriers. Sous l'influence de l'empoisonnement
chronique
par l'alcool, les facultés mentales s'affaiblis
ont frappé, blessé, ou même tué, se rap- portent à des alcooliques
chroniques
qui ont agi sous l'influence d'une colère furie
primitivement, mais arrivés à une période avancée d'une- affection
chronique
du cerveau, procédaient parfois, quand ils deve
confondue à cette période avec celle du diabète et de l'alcoolisme
chronique
. On distingue néanmoins l'atrophie optique du t
complètement aveugle, tandis que dans le diabète et l'alcoolisme
chronique
l'atrophie optique est toujours bilatérale d'em
polyurie semble être l'apa- nage du diabète et cependant le diabète
chronique
des arthritiques ne s'accompagne très souvent q
intestinal méconnu pendant la \ie, chez une femme atteinte de manie
chronique
et de démence complète. Les seuls symptômes obs
aiguë qui 222 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ne tarda pas à devenir
chronique
: il succomba à une carie des vertèbres cervica
l'opération revêt la forme aiguë, que lors- qu'elle prend la forme
chronique
. L'auteur souhaite en terminant que de nouvelle
ut constater de ''l'anesthésie dans les différentes formes de folie
chronique
, ainsi que dans l'imbécillité et l'idiotisme :
e odeur désagréable. R. M. C. Il. Quatre cas DE guérison DE folie
chronique
, avec UN RELEVÉ DE QUATORZE AUTRES CAS DANS LES
générales ; mais ils montrent du moins que la guérison de la folie
chronique
n'est pas aussi rare qu'on le pense et qu'on l'
érale des aliénés, surtout à la première période ; C, dans la folie
chronique
. R. M. C. IV. Notes sur L'EMPLOI du SULFONAL; p
oque quand ils subsistent tels quels dans le sang, une perturbation
chronique
dans la composition de ce liquide et entraîne,
érations rencontrées par Licli ! heim dans les affections générales
chroniques
(anémie per- nicieuse, etc.). Ces altérations
éditeur. ' M. Sollier définit l'idiotie : « une affection cérébrale
chronique
260 BIBLIOGRAPHIE. à lésions variées, caracté
Bicêtre, dans ce service qu'il dirige de main de maître, et dont la
chronique
est chaque année publiée par lui et- ses élèves
il visite l'asile de Weissenau en reconstruc- tion pour 500 aliénés
chroniques
, passe à Saint-Pirmnisberg où il étudie la colo
tôt admettre que l'accès vésanique se prolongera et qu'il deviendra
chronique
; il subira sans doute alors des modifications,
st l'inflammation du début de la paralysie générale. La méningite
chronique
n'existe pas toujours nécessairement à cette pé
l est entré à l'asile de la Jamaïque en 1874 ; il avait de la manie
chronique
avec idées de grandeur. Douze ans plus tard, en
circonvolutions : en général, les signes de leptoméningite fibreuse
chronique
. -Par- fois, dans les petits vaisseaux de ces m
40 jusqu'à nos jours, ils 'ont été désignés comme atteints de manie
chronique
, folie inter- mittente, périodique, dipsomanie,
sme épileptique, la logorrhée irrésistible de la folie systématique
chronique
, les impulsions, la catatonie. Cramer prétend
des départements, une partie des malades affectés de psychopathies
chroniques
, quel qu'en soit le nombre, qui, dépourvus de m
istence libre, 536 aliénés, surtout des hommes atteints de vésanies
chroniques
. Nos malades comprennent aujourd'hui 326 hommes
sychiatriques étendues). C'est, en somme, la caricature d'un délire
chronique
systématique. M. FIIEUND. Présentation de quelq
mpleur au champ visuel. M. HAHN présente un malade atteint de folie
chronique
consécu- tive à des excès prolongés d'alcool. I
rs. Il n'en est pas de même en ce qui concerne la folie épileptique
chronique
. Par exemple, les épilepti- ques travailleurs.
de la Salpêtrière, où s'entassent en couches pressées les maladies
chroniques
incurables, les affections nerveuses et mentales,
223; - analgésie dans la -, par Keniston, 230; - guérison de la -
chronique
, par- Pope, 233; - alcoolique chro- nique, pa
la maladie de Raynaud, distinguer trois grandes classes d'asphyxie
chronique
: 1° Celle avec prédominance des troubles sensi
elle avec prédominance des troubles sensitifs. C'est l'acro-cyanose
chronique
ci forme sensitive ; 2° La modalité avec atroph
erscheimer et Hartmann (4) qui appellent la maladie : acrodermatite
chronique
atro- phiante. Quelques particularités ne sont
de toute évidence appartenir à cette dernière variété des asphyxies
chroniques
intéressant les extrémités. A cette occasion,
ermatologie und Syphilis, Band. LXI, L Ileft, 1902. l'acrocyanose
chronique
IIYPERTROPIIIANTE 3 Avec ces documents, j'ai en
celle affection à laquelle me semble convenir le nom d'acro-cyanose
chronique
hypertrophiante (1). Les observations antérieur
on me parait constituer un exemple caractéristique de l'acrocyanose
chronique
avec hypertrophie concomitante. Cas N° 5. HOFFM
roids, un peu cyanosés, mais non augmentés de volume. l'acrocyanose
CHRONIQUE
HYPERTROPHIANTE 7 Hémianesthésie droite. Rien a
Aussi ne peut-on pas les comprendre dans le cadre de l'acrocyanose
chronique
hypertrophiante et faut-il plutôt, suivant M. C
Genève depuis nombre d'années. Il a été ajourné deux l'acrocyanose
chronique
il YPERTROPHIANTE 9 fois au service militaire e
igts qui présentent bien l'aspect dit en coup de vent du rhumatisme
chronique
. Les articulations sont cependant d'épaisseur n
renversée en arrière. Cordes vocales présentent de la con- gestion
chronique
. Mouvements se font bien. 10. - Pression artéri
les causes en sont multiples et que différentes maladies aigués ou
chroniques
peuvent être incri- minées. Quoi qu'il en soi
hypothèse. La maladie de Raynaud est intermittente : l'acrocyanose
chronique
hypertrophiante est, au con- traire, durable et
ancereaux, Des Acrolrophonévroses (Sem. méd., 1894). .L'ACROCYANOSE
CHRONIQUE
IIYPERTROPIIIANTE 19 renseignements qui y sont
s utiles, et on peut, à l'heure pré- sente, tracer de l'acrocyanose
chronique
hypertrophiante le tableau symptomatique que vo
sensation désagréable. C'est maintenant une maladie : l'acrocyanose
chronique
hypertrophiante est constituée. Quand on exam
férente. A cette cyanose dont le développement est lent, progressif
chronique
, il faut ajouter l'augmentation du volume de la
la déformation dite « en coup de vent » symptomatique du rhumatisme
chronique
déformant. C'est un point sur lequel je m'étendra
s'était produite. L'acro- cyanose hypertrophiante est une affection
chronique
, qui s'installe lente- ment et ne disparaît que
leurs. C'est qu'en effet si les signes cliniques de l'aci-o-oyanose
chronique
hypertrophiante peuvent être bien tracés, avec
l'acnitis, etc. Mais quand il s'agit de faire entrer l'acro cyanose
chronique
hyperthro- phiante dans une de ces classes, la
it du malade. On doit donc décrire des oedèmes aigus et des oedèmes
chroniques
. I. Les oedèmes aigus (à part ceux à étiquette
relèvent du type décrit par Quincke. II. Le groupement des oedèmes
chroniques
est au contraire plus dé- licat. Si l'on distra
contraire plus dé- licat. Si l'on distrait de ce groupe les oedèmes
chroniques
classiques, ceux sanctionnés depuis longtemps p
tique, le myxoedème localisé, l'oedème segmentaire et même l'oedème
chronique
hystérique. A Henry Meige revient le mérite d'a
ttiré de nouveau l'attention sur ces faits. Le terme de trophoedeme
chronique
a su rallier tous les suffrages. Mais peut-être
Quincke (1). , II. OEdéme hystérique (type Charcot). III. OEdèmes
chroniques
. A. Au cours des maladies du coeur, des vaissea
ux, des reins,r : tll cours des cachexies, et de certaines maladies
chroniques
du système nerveux. B. OEdème chronique éléphan
, et de certaines maladies chroniques du système nerveux. B. OEdème
chronique
éléphantiasique (dû à la filariose). C. Trophoe
lial est le plus stable, le plus identique à lui-même, s'installant
chronique
d'emblée, et restant à peu près immuable une fo
, d'arrêt, de rétro- cession même, pouvant il est vrai, s'installer
chronique
d'emblée, mais succédant, dans quelques cas, à
meuse. Nous pensons pouvoir écarter de suite la méningo-encéphalite
chronique
infantile, à membranes épaisses, symphysées, à
ur l'état airophique de la moelle épinière dans la syphilis spinale
chronique
, Non ! . Icon. de la Salp., 1901. (2) Raymond,
établir. L'évolution morbide a été caractérisée ici par une marche
chronique
très lente, une limitation secondaire, il esl v
, ulcérations de la gorge et du larynx, taies de la cornée, rhinite
chronique
, engorgement ganglion- naire ; 8 fois la syphil
onde d'un enfant chétif, Vt 9 122 SABBAZÈS atteint de kératites
chroniques
, et frappé d'accidents paralytiques- sur la nat
s uni, puis bitaté- - raux est le plus souvent l'effet d'une lésion
chronique
des méninges, plus spécialement même d'une tume
ne le croit. M. Hertoghe, en publiant un curieux cas de trophoedème
chronique
localisé à la joue droite, a remarqué que la so
Genève, 1900. (2) Hertoghe. Contribution à l'étude du trophoedèine
chronique
(Nouvelle lcollogm- phie de la Salpêtrière, nov
des éléments que l'on rencontre très fréquemment dans les processus
chroniques
de syphilis et de vieille tu- berculose. Selon
bre, mort ou existant, de la famille de D... n'a présenté d' oedème
chronique
des membres : une de ses filles est atteinte de
rocessus de dégénérescence graisseuse avec tendance aux irritations
chroniques
diffuses portant à la fois sur les centres nerveu
st en effet le mode de terminaison le plus habituel de l'alcoolisme
chronique
(Magnan) et l'adipose sous-cutanée est égalemen
certain rôle aux intoxi- cations, et en particulier à l'alcoolisme
chronique
. 286 DENY ET LE FLLY Pour la maladie de Dercu
pas l'empreinte du doigt. L'évolution du trophoedème est nettement
chronique
et elle peut durer la vie entière sans rétroces
pertrophie des commissures la- biales (Tunel, Ciseau), inflammation
chronique
de la muqueuse de la lèvre supérieure (Symbole)
sable, pensons- nous, de le séparer aussi de la paranoia alcoolique
chronique
, où il existe une modification plus ou moins ma
- vorables l'état du malade s'améliore. Dans la paranoïa alcoolique
chronique
on observe un développement progressif de la ma
s dans le délire alcoolique continu que dans la paranoïa alcoolique
chronique
; dans le premier cas, les idées délirantes, pou
olie alcoolique peut aussi être confondue avec le délire alcoolique
chronique
, car parfois au début elle se manifeste par des p
alcool, telles que la mélancolie alcoolique, la paranoïa alcoolique
chronique
, quelquefois la psychose de Korsakoff, débutent p
le rapport de la maladie en question avec la para- noïa alcoolique
chronique
? Nous allons aussi nous abstenir de nous pro-
e délire alcoolique continu est une forme de la paranoïa alcoolique
chronique
, il serait indispensable de remarquer qu'il dif
es ou délirants s'étant développés sur le terrain de l'alcoo- lisme
chronique
, mais qui ne correspondent pas au délire alcooliq
la maladie somatique. Il nous semble que, ni le « délire alcoolique
chronique
» de. Wernicke, ni le « delirium tremens contin
rsé- cution se développant d'une manière aiguë chez des alcooliques
chroniques
avec hallucinations auditives très abondantes,
bibliques en images (3 grav.), par Henry Meige, 203. Acrocyanose
chronique
hypertrophiante (2 pl. photocollogr.), par M. P
m- me et chez le cheval, par Rudler et CHOMEL, 369. Trophoedème
chronique
acquis el progres- sif (1 photocoll.), par SICA
e (1 photo.), 238. LAIGl'OEL-LAVASTINE et SICARD. Trophoedè- me
chronique
, acquis et progressif. (1 pl. photocoll.), 30.
traitée par la résection (1 pl.), 251. PéHu (M.). L'acro-cyanose
chronique
hy- pertrophiante (2 pl. photocoll.), 1. POPO
togr.), 41R. SICARD (J. A.) et LAlG;O¡EI.-LAYASTlE, Tro- phoedème
chronique
, acquis et progres- sif (t pl. photocoll.), 30.
ques en images (Henry MEIGE), XLVIII. Acrocyanose hypertrophiante
chronique
tPÉnu), 1, II. Adipose sous-cutanée symétriqu
Tic tonique du membre supérieur droit (Rudler), XLIX. Trophoedème
chronique
, acquis et progres- sif (Sicard et LAIGnFL-LAVA
t chez les individus qu'il a observés. C. V. DU RAPPORT DE L'ECZÉMA
CHRONIQUE
AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU ; par le professeu
quoi l'on doit, dans certaines affections de la peau, dans l'eczéma
chronique
, par exemple, examiner avec soin la sensibilité
postérieurs tabétique type avec de l'endartérite ou de la méningite
chronique
, telle encore de la neu- rasthénie alcoolique a
é en effet qu'il obtenait de bons résultats dans certaines maladies
chroniques
, la pananoïa par exemple, en cessant brusquemen
alimentation thyroïdienne dans les cas d'aliénation mentale à forme
chronique
. Si le nombre des expériences est encore trop p
à la suite des améliorations survenues dans les affections mentales
chroniques
au cours d'une maladie aigueë, il se produit la
z, dans l'intoxication saturnine, et Saratschow dans le morphinisme
chronique
sont arrivés à des résultats positifs. Les trav
s intoxications aiguës : d'abord on sait que pour les intoxications
chroniques
leur marche pst fort différente au point de vue
heval, figuré également conserve par Eisenlohr 2,dans une méningite
chronique
de la queue de cheval, et décrit au contraire c
énérale ou un alcoolisme invétéré; qu'elle survienne chez un aliéné
chronique
, ou chez un vieil athéromateux ; qu'elle soit e
s'est produit chez un paralytique géné- ral, un chez un alcoolique
chronique
, trois chez des vieillards athéromateux, et tro
e présentant un caractère de chronicité, le terme de leploméningile
chronique
hémorragique est mieux approprié que la dénomin
eux où l'hématome complique une para- lysie générale, un alcoolisme
chronique
ou un athérome avancé. Elle se retrouve dans no
Ame- rican journvl of insaitity, octobre 1895.) . E. B. X. Délire
CHRONIQUE
ET alcoolisme aigu; par le Dr E.ST.\1AN. Cas in
es suivantes : 1° l'alcoo- lisme aigu peut se greffer sur le délire
chronique
et la totalité des symptômes peut être mise par
guérison de l'alcoolisme aigu peut dimi- nuer l'intensité du délire
chronique
, mais ce dernier ne guérit pas; 3° un tel malad
nt pour tirer parti du dia- gnostic du médecin et cacher son délire
chronique
. (American journal of insanily, octobre 1895.)
du signe du genou dans la convalescence de la manie, dans la manie
chronique
, dans le cours des formes aiguës de la paranoïa
t parlie du groupe des paranoïas aiguës; 8° Au cours de la paranoïa
chronique
, l'exagération du réflexe rotulien peut faire r
contracture musculaire. L'absence du réflexe du genou dans la manie
chronique
, la paranoïa, la mélancolie, n'est qu'un phéno-
peut admettre cinq variétés. Nous connais- sons déjà les délirants
chroniques
. Ils offrent des caractères assez différents de
très importante. Après avoir admis ces cinq variétés de délirants
chroniques
, de persécuteurs raisonnants, d'alcooliques, de
pparaissent- elles à la première ou à la deuxième période du délire
chronique
, l'absence d'hallucinations auditives est un ca
uer les variétés du délire de persécution. Le délire de persécution
chronique
a pour caractère l'incurabilité. Cependant cert
rticulier à relever chez nos autres malades. Ce sont des tabétiques
chroniques
avec ataxie moyenne. Chez tous l'incoordination
and la maladie sera arrivée à la période d'état ou de progrès lent,
chronique
. En effet nos exercices ont pour but de compens
s pou- voir arriver coordonner ses mouvements. Même dans le tabes
chronique
à évolution lente, l'aggravation se fait souvent
e la face dorsale forme une saillie arrondie d'oedème, d'empâtement
chronique
de la dimension d'une pièce de 5 francs, dont l
lade, reste nulle. On ne peut penser à une intoxication alimentaire
chronique
, chez un individu n'ayant jamais éprouvé de tro
interprétations délirantes, tandis que le malade atteint de délire
chronique
ou psychose systématique progressive a nécessai
allucinations . Les auteurs s'appuyant sur une autopsie de délirant
chronique
développent l'hypothèse d'une cor- rélation pos
r, Linon', Féré, etc.). MM. Vallon et Marie. - Sur un cas de délire
chronique
religieux à hallucinations auditives et visuell
e de laséméio- logie spéciale et du mécanisme psychique des délires
chroniques
mystiques. . M. Séglas termine en résumant le
urs à dix mois. C'est la forme aiguë de la maladie; dans la forme
chronique
, les accès sont intermittents, moins graves et
nte que réelle et semble due à l'encombrement de nos asiles par des
chroniques
dont l'in- curabilité est, le plus souvent, cau
ce aux aliénés en hôpitaux de maladies aiguës et asiles de maladies
chroniques
. Il ne se dissimule pas les difficultés pratiqu
ur cette ques- tion vitale de la distinction entre aliénés aigus et
chroniques
. Elle seule donnera la solution de la situation
l'impossibilité où est le médecin de les connaître. Noyés parmi ces
chroniques
, les aigus curables eux-mêmes en souffrent. Il
es aigus curables eux-mêmes en souffrent. Il faut donc éliminer les
chroniques
, je ne dis pas incu- rables ; pour ce faire, la
t éliminer par la colonisation agricole. Quant à l'exclusion de ces
chroniques
éliminés de la loi d'assistance et du budget de
A l'appui de la distinction nécessaire des maladies en aiguës et
chroniques
avec établissements d'assistance différents, on p
Denver, 1892), le pourcentage des guérisons d'un asile où aigus et
chroniques
sont mêlés, est moindre que la moyenne combinée
ndre que la moyenne combinée d'un asile d'aigus et d'une colonie de
chroniques
bien organisée. L'action déprimante de l'asile
niques bien organisée. L'action déprimante de l'asile pour certains
chroniques
qui n'ont plus à y recevoir de traitement série
des asiles ou des services spéciaux et distincts aux états aigus et
chroniques
et qu'on séparera ces services distincts de ceux
distincts de ceux des idiots-épileptiques dégénérés et de ceux des
chroniques
céré- braux simples. Il cite à l'appui l'exempl
disposé à penser qu'il y a utilité à faire la scission en maladies
chroniques
et aiguës. Mais la différence n'est que dans le
roniques et aiguës. Mais la différence n'est que dans les mots; les
chroniques
sont en réalité des incurables. M. Giraud a con
persécutés hallucinés, persécutés typLasègue, dont les délirantes
chroniques
de M. Magnan conslituent la variété la plus commu
roportion des guéri sons. - Jadis, on divisait les fous en aigus et
chroniques
et l'on reléguait ceux-ci dans les dépôts de mend
ation de 1 p. 100 des guérisons, ce qui prouve que les aliénés dits
chroniques
ne sont pas des incurables. Criminels fous.- On
1895, n° 2.) C. 310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLI. Saturnisme
chronique
avec paralysie des nerfs radiaux ; par ' le pro
rmer. On trouva, en effet, une pachyméningite et une leptoméningite
chroniques
, fibreuses, de la voûte et d'une partie de la b
ité des os ; par le 1)" Gvv vN. On a déjà signalé dans les maladies
chroniques
du système ner- veux central, et particulièreme
usement traités que des crimi- nels. On entendait, nuus rapporte la
chronique
naïve et apeurée, on entendait au dehors « le b
fausse couche. Il a deux enfants, dont l'ainé souffre de diarrhées
chroniques
. Il y a cinq ans, le malade souffrait d'insomni
sque, malgré tous les efforts du médecin, un cas devient décidément
chronique
, c'est souvent un devoir, si l'état du malade p
etour à la vie de famille. Il est certain qu'un grand nombre de ces
chroniques
et de ces incurables tranquilles qui encombrent
usion simple chez des séniles ; 3° psy- choses chez des alcooliques
chroniques
; 4° confusion chez des individus cachectiques,
n et Sérieux 2, sous lequel se présente le malade atteint de délire
chronique
varie, non seulement, suivant la période de la
ours. Psychologie morbide, p. 221, 222. ' Magnan et Sérieux. Délire
chronique
, p. 98. v DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 4t9 ment
délirantes se rapprochent, on le voit, de celles des mélancoliques
chroniques
religieux ; elles en dif- fèrent cependant par
, p. 802, 803. 2 Cité par M. Doutrebante. Discussions sur le Délire
chronique
, S. M. P., octobre 1886. , 3 Séglas et Besanç
anie diffère également de la pseudo-mégalo- manie des mélancoliques
chroniques
parvenus à la phase que Cotard a désignée sous
de la chorée de Sydenham et à l'évolution progressive de la chorée
chronique
. Un autre caractère de la chorée variable, bien
laire qui est comme une spéci- ficité causale inhérente à la chorée
chronique
: on se trouve, dans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
vec lésions diffuses généralisées. Moelle : poliomyélite antérieure
chronique
dans la partie cervicale; plus bas, degénératlo
-, par A. vleyer, 130. Délire des persécutés, par Falret, 66, -
chronique
et alcoolisme aigu, par Eastman, 132 ; Neef, :
chronique et alcoolisme aigu, par Eastman, 132 ; Neef, : J8'1. -
chronique
religieux, par Vallon et A. Marie. 21G; Séglas.
corce. Anatomie pathologique de l' -, par Gohlmann, 491. I'C7L)IA
chronique
et anesthésie de la peau, par StoukovcnlolT, 'i
57à. - (les pervertis sexuels, par llatntlton, >7G. Saturnisme
chronique
avec para- lvsie des radiaux, par de Henni, 3
ncurables, admises à vie, des sujets de tout âge affectés de maladies
chroniques
de tout genre, de celles en particulier qui ont p
icates qui seules marquent parfois les débuts de certaines affections
chroniques
. D'ailleurs, quel espoir peut-on conserver de gué
n pouvait espérer que là viendraient se présenter en grand nombre ces
chroniques
qui ne trouvent pas toujours un accès facile dans
ÇON Sur l'atrophie musculaire consécutive au rhumatisme articulaire
chronique
. Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthr
. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës, sub-aiguës, ou
chroniques
. — Relation entre la localisation de l'atrophie e
phie et le siège de l'arthropathie. — Types du rhumatisme articulaire
chronique
primitif : 1° rhumatisme articulaire chronique pr
rhumatisme articulaire chronique primitif : 1° rhumatisme articulaire
chronique
primitif généralisé ou progressif; 2° rhumatisme
hronique primitif généralisé ou progressif; 2° rhumatisme articulaire
chronique
, fixe ou partiel; 3° nodosités d'IIe-berden. — Le
hronique, fixe ou partiel; 3° nodosités d'IIe-berden. — Le rhumatisme
chronique
généralisé détermine des amyotrophies prédominant
ies aiguës ou subaiguës, on peut le répéter du rhumatisme articulaire
chronique
. — Dans toutes ces affections articulaires, aiguë
laire chronique. — Dans toutes ces affections articulaires, aiguës ou
chroniques
, l'amyotrophie se produit suivant les lois indiqu
ttention sur cet aplatissement de la fesse, dans certaines affections
chroniques
de la hanche. Le cas que je vais vous soumettre a
is vous soumettre appartient à la catégorie du rhumatisme articulaire
chronique
. 1. Adams. —A Treatise on rhumatic gout, etc.,
esquelles cette affection se présente 1 : 1° Rhumatisme articulaire
chronique
primitif généralisé ou progressif. — C'est le rhu
rhumatisme noueux des auteurs ; il affecte, dès le début, une marche
chronique
et présente une tendance presque invincible à se
uemment accompagnées de réaction fébrile. 2° Rhumatisme articulaire
chronique
primitif, fixe ou partiel. — La maladie, qui prés
ait que nous allons étudier tient à la fois du rhumatisme articulaire
chronique
partiel et, si vous voulez, du rhumatisme articul
laire chronique partiel et, si vous voulez, du rhumatisme articulaire
chronique
généralisé ; c'est un rhumatisme chronique partie
du rhumatisme articulaire chronique généralisé ; c'est un rhumatisme
chronique
partiel s'é-tendant à un grand nombre de jointure
lus souvent relevées, et ajuste litre, dans l'étiologie du rhumatisme
chronique
; et il est très remarquable que les douleurs arti
uvons donc conclure que les arthropathies du rhumatisme articulaire
chronique
généralisé déterminent, au même litre que les art
a eu l'occasion d'étudier au microscope les muscles d'un rhumatisant
chronique
atteint d'atrophie musculaire, et il a noté des c
es qui se produisent si habituellement dans le rhumatisme articulaire
chronique
généralisé et progressif (rhumatisme noueux). C'e
ale de la paralysie générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire
chronique
. — Contracture réflexe d'origine articulaire. — D
d'origine articulaire. — Déformations dans le rhumatisme articulaire
chronique
: 1° type d'extension ; 2° type de flexion. — Mai
de la paralysie agitante. — Les déviations articulaires du rhumatisme
chronique
reconnaissent pour cause une affection spinale dé
e pouvons pas relever l'étiologie ordinaire du rhumatisme articulaire
chronique
; elle n'a jamais habité un endroit humide, et d'a
que je vous l'ai annoncé, les déformations du rhumatisme articulaire
chronique
progressif, du rhumatisme noueux, reconnaissent p
n masse des doigts vers le bord cubital de la main dans le rhvmatisme
chronique
. — Dessin de M. P. Richer. que variées qu'elles
asthênique primitive, nodosités des jointures, rhumatisme articulaire
chronique
{forme primitive'), Thèse de Paris, 4 853. Voic
guments qui me paraissent établir que, dans le rhumatisme articulaire
chronique
, les déviations articulaires reconnaissent pour c
, déterminer à volonté une déformation analogue à celle du rhumatisme
chronique
(fig. 40). Un élève de la clinique de la II. C'
itude vicieuse volontaire rappelant le type d'extension du rhumatisme
chronique
. — Dessin de M. P. Richer. les amyotrophies de
itude vicieuse volontaire rappelant le type d'extension du rhumatisme
chronique
. — Dessin de M. P. Richer. montrer un malade do
moelle qu'il s'agit ; les lésions consistent : 1° en une inflammation
chronique
de la dure-mère, qui présente quelquefois un épai
elle elle-même peut être atteinte, à un certain degré, d'inflammation
chronique
; mais ce qui domine habituellement, c'est la com
spinale protopa-thique, ou mieux peut-être de poliomyélite antérieure
chronique
. Eh bien ! la constitution de celte seconde class
e aujourd'hui, le siège de craquements ; à la suite de cette arthrite
chronique
d'origine rhumatismale, il s'est produit un certa
ON. sur l'atrophie musculaire consécutive au rhumatisme articulaire
chronique
. Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthr
re. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës, subaiguës ou
chroniques
. — Relation entre la localisation de l'atrophie e
ophie et le siège de l'arthropathie.— Types de rhumatisme articulaire
chronique
primitif : Io rhumatisme articulaire chronique pr
rhumatisme articulaire chronique primitif : Io rhumatisme articulaire
chronique
primitif généralisé ou progressif: 2J rhumatisme
hronique primitif généralisé ou progressif: 2J rhumatisme articulaire
chronique
fixe ou partiel ; 3° nodosités d'IIe-berden. — Le
hronique fixe ou partiel ; 3° nodosités d'IIe-berden. — Le rhumatisme
chronique
généralisé détermine des amyotro-phies prédominan
ale de la paralysie générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire
chronique
. — Contracture réflexe d'origine articulaire. — D
d'origine articulaire. — Déformations dans le rhumatisme articulaire
chronique
: l°type d'extension ; 2° type de flexion. — Main
de la paralysie agitante. — Les déviations articulaires du rhumatisme
chronique
reconnaissent pour cause une affection spinale dé
des lésions articulaires, 24; — consécutive au rhumatisme articulaire
chronique
, 51, 61; — à la suite d'une contusion sciatique,
aire), 33; — Réactions — dans les atrophies musculaires du rhumatisme
chronique
, 56; — Réactions — dans l'atrophie musculaire con
à une contusion du sciatique, 135; — dans la poliomyélite antérieure
chronique
, 195; — dans les paralysies hystéro-trauniatiques
u fessier dans la coxalgie hystérique, 377. Poliomyélite antérieure
chronique
ses caractères, 192. Polyopic monoculaire des h
à une contracture hystéro-trauma-tique, 4 0. Rhumatisme articulaire
chronique
(Atrophie musculaire consécutive au —), 51 ; — Di
répond, vous ne l'avez pas oublié, à l'un des modes de rinflammation
chronique
primitive. Un de ses traits les plus saillants, c
ses s'o-père non plus suivant le mode aigu, mais bien suivant le mode
chronique
progressif. Nous pourrions multiplier ces exemple
laques disséminées, la paralysie générale progressive et l'alcoolisme
chronique
. — Symptômes viscéraux : douleurs vesicales, urét
Tous, vous savez que l'ataxie locomotrice progressive est une maladie
chronique
primitive qui s'attaque simultané-ment à différen
Quelques symptômes signalés dans le tableau clinique de l'alcoolisme
chronique
rappellent la description des douleurs fulgurante
nce fré-quente de l'atrophie papillaire progressive dans la méningite
chronique
diffuse. Je me borne à signaler brièvement ces
teur des symptômes ? \J arthropathie des ataxiques serait, à l'état
chronique
, le représentant des affections articulaires à ty
itement de l'ataxie, mais encore dans celui de bien d'autres maladies
chroniques
de la moelle épinière. On raconte des merveilles
ontrent dans certains cas de myélite transverse primitive subaiguë ou
chronique
. Mais, les lésions spinales, dans la compressio
e, elle prend dans sa marche, les allures d'une maladie primitivement
chronique
. Il y a là matière à une division tranchée. Le
eux, t. I, p. 63, note 1. ONZIÈME LEÇON Des amyotrophies spinales
chroniques
. — Atrophie musculaire progressive spinale protop
du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Amyotrophies spinales
chroniques
deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuse
rtrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale
chronique
; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose
crer quelques développements à l'histoire des amyotrophies spinales
chroniques
. Les affections que comprendra cette appellation
plus suivant le mode aigu, mais au contraire suivant le mode subaigu
chronique
et, à cette cir-constance, se rattachent, malgré
genre nous servira de guide dans l'histoire des amyotrophies spinales
chroniques
. En effet, une lésion exactement limitée aux régi
e spinale, qui reproduit en quelque sorte, je le repète, dans le mode
chronique
, la paralysie infantile, est relativement fort si
s sont plus compliquées dans un second groupe d'amyotrophies spinales
chroniques
que, par opposition, je désignerai sous le nom de
variable. Car, de fait, il n'est peut-être pas une lésion élémentaire
chronique
de la moelle épinière qui ne soit susceptible, à
de la moelle épinière qui peuvent donner lieu a l'amyotrophie spinale
chronique
deuléropathique : Io En premier lieu, je signal
rale, spontanée ou trauma- i Voir Leçon I, p. 13. tique, à marche
chronique
, doivent entrer dans cette énumé-ration ; une lés
des cas, il s'agit là de foyers canaliculés consécutifs à une myélite
chronique
cen-trale. Quoi qu'il en soit, la substance grise
que je veux relever particu-lièrement parmi ces amyotrophies spinales
chroniques
, deu-téropathiques, est celle qui est caractérisé
pression du froid, sont, si je ne me trompe, du ressort de la myélite
chronique
, de la pachyméningite ou de la sclérose latérale.
p. 203) qu'on y observe. En somme, nous retrouvons ici dans le mode
chronique
, les altérations que nous avons décrites à propos
ont il s'agit, pour-rait être désignée sous le nom de téphro-my élite
chronique
parenchy?nateuse. Les observations sur lesquell
développements, à propos des amyotro-phies spinales affectant le mode
chronique
, dans lesquelles la lésion centrale, ne reconnais
tre classés ailleurs. La plus grande partie des amyotrophies spinales
chroniques
deutéropathiques s'y trouvent rassemblées sous un
— C, Pie-mère confondue avec la dure-mère. — D, Lésions de la myélite
chronique
. E, Coupe des deux canaux de formation nouvelle c
spinales, place in-termédiaire entre les formes aiguës et les formes
chroniques
, mais l'anatomie pathologique n'a pas encore pron
clérose latérale amyotrophique, etc.), si elle évolue suivant le mode
chronique
. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuse
bien pour désigner tout au moins une affection spinale primitivement
chronique
qui, comme celle qui nous occupe, progresse à peu
, se trouvent réunies en un groupe hétérogène, sous le nom de myélite
chronique
et que l'analyse clinique, éclairée par l'anatomi
pres-siO'i, de la sclérose des cordons antéro-latéraux, de la myélite
chronique
, etc. « Diverses manœuvres, dit l'auteur, contrib
nt, en réalité, c'est quand il s'agit des autres formes de la myélite
chronique
. Je voudrais essayer de vous mon-trer maintenant,
re malade est atteinte n'est autre que la myélite trans-verse dorsale
chronique
avec dégénération scléreuse descen-dante consécut
est-à-dire dans un établissement consacré pour une large part aux cas
chroniques
réputés incurables — deux exemples de gué- 1 Ce
cal difforme et oblique des deux os i Vavant-bras gauche. — Arthrite
chronique
de Varticulation scaf. lo-humérale droite. — Frac
it, avec quelques varian-tes, commune aux formes aiguës, subaiguës et
chroniques
pri-mitives de l'inflammation de la moelle épiniè
ire et qui est un exemple remarquable de cette forme de l'amyotrophie
chronique
. Ici, du reste, le diagnostic, confirmé plus tard
seaux. — D'une façon générale, il s'agit ici d'un processus irritatif
chronique
, déterminant la formation d'éléments nouveaux et
cer le cas qui nous occupe dans la catégorie des myélites antérieures
chroniques
primitives, et plus spécialement de la léphro-myé
rimitives, et plus spécialement de la léphro-myé-lite parenchymateuse
chronique
. Quanta la pigmentation exagérée des cellules n
aques disséminées, la paralysie gé-nérale progressive et l'alcoolisme
chronique
. — Symptômes viscéraux : douleurs vesicales, urét
des muscles.......... 188 ONZIÈME LEÇON des amyotrophies spinales
chroniques
. — atrophie musculaire progressive spinale protop
du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Amyotrophies spinales
chroniques
deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuse
rtrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale
chronique
; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose
TIQUE A Achromatopsie, 50. Actions à distance, 23. Alcoolisme
chronique
(Douleurs ful-gurantes dans T), 33. Amaurose ta
ie dans l'ataxie, 43. Amyotrophies spinales, 163 ; variétés, 167. —
Chroniques
, 212 ; varié-tés, 214. — Protopathiques, 214. — D
-laryngée, 455, 465. Téphro-myélite aiguë parenchyma-teuse, 206 ; —
Chronique
, 227. Toux (De la) dans la compression de la mo
, 47 asiles mixtes, 8 asiles de traitement et 27 hospices d'aliénés
chroniques
. Les établissements de traitement contenaient d
ent d'ailleurs une forte pro- portion d'incurables. Les hospices de
chroniques
ne servaient qu'à débarrasser les asiles mixtes
clinique psychia- trique ; 2° une colonie agricole pour les aliénés
chroniques
capables de travailler et n'ayant pas besoin de
la pratique) ; de faciliter l'admission de ces cas aigus. Les cas
chroniques
présentent moins d'intérêt, mais devront être néa
is soit parmi les cas aigus entrés à la clinique et passés à l'état
chronique
, soit dans un autre établissement d'où ils sera
ement médical des psychoses aiguës et de la colonisation des formes
chroniques
, pour demander également la création de deux so
professeur de psychiatrie dispose en outre d'un quartier d'aliénés
chroniques
de 88 lits, soit, en tout, de 148 ma- lades. La
lacées d), les phrénopathies (vésanies, folies alcooliques aiguë et
chronique
, paralysie générale, folie de la ménopause, etc
me. c) atrophie idiopathique du cerveau. d) méningite progressive
chronique
. e) folie consécutive aux maladies du système ner
arriver que le tableau morbide en impose pour un délire systématisé
chronique
qui cesse tout à fait pour ne plus reparaître.
ypocondriaques, en un mot toutes les idées de la folie systématisée
chronique
. Le terrain sur lequel se greffe le paranoïa ai
la paranoïa aiguë avec les poussées aiguës de la folie systématisée
chronique
; à côté de cela il y a la paranoïa aiguë avec
es-ci peu- vent même faire défaut. Pour m'en tenir à l'alcoolisme
chronique
(4 cas, âge 30, 32, 36, 59), il y eut.dans deux
l colorées, et les cylindraxes tuméfiés. Un cas de t7ophoedè ? ne
chronique
héréditaire ; par Lannois - (de Paris). M. La
filles et une petite-fille qui étaient attein- tes d'un même oedème
chronique
blanc, dur, indolore, à distri- bution segmenta
e, mais de symptômes se rapprochant delà démence ou de la méningite
chronique
. (B.) BIBLIOGRAPHIE. 91 en outre un. champ tr
nte ans, atteinte depuis de nombreuses années de folie systématisée
chronique
à la période ambitieuse. Un frère jumeau jouit
erra que Constant T... a, au plus haut degré, le faciès du délirant
chronique
. Il n'y a pas, chez lui, de signe bien net de d
o- nique par le plomb peut déterminer une poliomyélite antérieure
chronique
. C'est donc un fait constant qu'une intoxication
hronique. C'est donc un fait constant qu'une intoxication saturnine
chronique
peut produire une lésion des racines postérieures
érale progressive, soutenir la même étiologie saturnine (saturnisme
chronique
) et cette remarque ne manque point de portée lo
t là qu'il faut chercher la lésion initiale. Une méningite, surtout
chronique
, en exagérant la compression qu'exerce déjà à l
nsi que l'avait déjà montré Dax. Enfin, dans le cerveau des déments
chroniques
, il y a une atrophie considérable des lobes occ
ilité pilaire. Trois observations : neuro- tabes, méningite spinale
chronique
, spondilite. C II n'y a pas coïncidence du tout
tion du système pyramidal », ce qui est tout different. Méningite
chronique
progressive non adhésive avec symptômes psy- ch
c atrophie papillaire, survenue chez un malade atteint de méningite
chronique
non adhésive, et rappelant par ses caractères c
ons systématiques. M. Séglas rapporte l'observation d'un délirant
chronique
qui rectifie lui-même ses hallucinations. Il s'
de mains, de corps, etc. Le second cas est relatif à un délirant
chronique
, arrivé à la phase ambitieuse, qui tombe par in
ins auteurs, qu'un accident de la sénilité chez les mélan- coliques
chroniques
. Une deviendrait qu'une forme particulière de d
ce syndrome comme ils en présentent d'autres et non pas des anxieux
chroniques
. Troubles du langage dans la paralysie générale
server cette même trépidation épileptoïde dans un cas de rhumatisme
chronique
. Paralysies associées des muscles des yeux. b
e du collapsus. 1 1 ! . La confusion aiguë. C. L'épuisement nerveux
chronique
. i. 111. Lrs j ? ro-,icii ions : 1° Les intoxic
o-,icii ions : 1° Les intoxications aiguës ; 2° Les intoxi- cations
chroniques
. A. L'alcoolisme. B. Le morphinisme . C. Le coc
employée seulement dans les périodes d'excitation ; dans la manie
chronique
, résultats satisfaisants ; dans la paralysie géné
t employé utile- ment comme sédatif dans toutes les formes de folie
chronique
avec agitation, et dans quelques cas peu fréque
dans un grand nombre de cas divers, à savoir : 26 cas d'alcoolisme
chronique
, 10 de sciatique, lo de maladies mentales, 7 de
tinence nocturne d'urine, 1 de stupeur, 1 de douleur par maladie
chronique
avec grossissement de la cheville droite, 1 de ti
me, l'asthme, les palpitations, la dyspepsie nerveuse, l'alcoolisme
chronique
et diverses formes de maladies mentales, partic
de plus qu'un sujet peut être porteur d'une néphrite interstitielle
chronique
avec hypertrophie cardiaque très accusée et n'é
ivers auteurs. R. DE 11USGR : 1V);-CLAY. XXII. Sur la céphalalgie
chronique
paroxystique, vulgairement t appelée migraine,
a longue durée on pourrait la désigner sous le nom de céphalalgie
chronique
paroxystique. L'étiologie est obscure, peut-êtr
ique. 6° Trois cas d'imbécillité simple. -il Un cas de mélan- colie
chronique
(omis). L'auteur décrit ensuite le procédé empl
ns un cas où la mélan- colie était survenue au cours d'une néphrite
chronique
intersti- tielle, et par conséquent n'est pas i
globules rouges a été observé dans un cas de mélancolie derne, très
chronique
avec état stationnaire depuis deux ans et un ét
chronicité; 2° Dans la très grande majorité des cas l'alcoolique
chronique
commet sa tentative de suicide en pleine ivress
tentative; 3° Chez l'alcoolique à idées de suicide, l'intoxication
chronique
se manifeste d'une part par un degré variable d
éraux centraux. Pour le désencombrer on créa deux asiles annexes de
chroniques
et incurables ou dangereux à Augyafïl et Nagy K
s comme asiles d'aigus et des quartiers d'hospice aménagés pour les
chroniques
et incura- bles à Szegzard, Gyongyüs, Iiapsscar
: 1 83 898 couronnes. Les cinq quartiers d'hospice reçoivent les
chroniques
par traité à raison de 1 cour.- 50 par journée
rendus de Bicètre. asiles d'aliénés. 339 XVII. Ce que des aliénés
chroniques
peuvent accomplir sous une direction convenable
) L'auteur fait le récit du transfert d'un certain nombre de fous
chroniques
de\ew York à Central-Islip Long-Island, où un mil
. Le diagnostic est difficile à établir entre cet état et la chorée
chronique
de l'adulte. L'intégrité absolue de l'in- telli
ent, nécessaire, mais qui se rencontre aussi au cours de méningites
chroniques
toxiques, et autres. F. Boissier. SOCIÉTÉ D'H
es organiques - celles des paralytiques généraux ou des alcooliques
chroniques
rend cette opinion évidente. Et l'on peut trouv
nt pas des mesures de séquestration proprement dite. : Pour les cas
chroniques
, pour les malades inoffensifs et curables, les
V, 1900.) - L'ataxie aiguë des auteurs, observée chez l'alcoolique
chronique
a tout l'air d'une ataxie cérébelleuse. Elle su
, l'affaiblissement de ses fonctions, non une lésion interstitielle
chronique
des tissus. La présence de l'irritant alcooliqu
tation spinale et de la migraine, qui accompagnent l'in- flammation
chronique
des ovaires, méritent une attention spéciale :
tées de la façon suivante : le canal central subit une inflammation
chronique
de ses parois, en même temps qu'une dilatation
pourrait appeler les altérations ci-dessus décrites « hydromyélie
chronique
progressive » ou épendymite avec hydromyélie chro
ions soma- tiques. Quelques maladies mentales, telles que le délire
chronique
primitif et la paralysie générale, -débutent pa
.M. Magnan quand il montre la transition insensible de l'alcoolisme
chronique
vers la paralysie générale qu'à ceux signalés p
spirite avant son aliénation et qui finit par tomber dans un délite
chronique
de per- sécution. Sans dire que toutes les pers
t manifeste de démence. L'auteur considère son cas comme paranoïa
chronique
d'origine épileptique (paranoïa chronica epilep
a systématisation du délire distinguent cette forme de l'équivalent
chronique
d'épilepsie. Discussion. M. Postowskv, qui conn
ouratow rentre parfaitement dans le cadre de la folie épilep- tique
chronique
, bien connue. MM. Soukiianoit et Bernstein se p
res chez les déments organiques, les déments séniles, les délirants
chroniques
, les dégénérés, les intermittents et dans les p
ulbe : ' a) ankylose de la colonne vertébrale, b) méningite spinale
chronique
, c) myélite, d) tabes dorsalis, e) tabes dorsah
/) maladie de Meniere, r) inyosthénie, s) bégayement, t) alcoolisme
chronique
, a;) morphi- nisme chronique. Parmi les cause
osthénie, s) bégayement, t) alcoolisme chronique, a;) morphi- nisme
chronique
. Parmi les causes étiologiques, la syphilis occ
L1C. Observation de -, par 13loumenau, 399. Migraine. Céphalalgie
chronique
paroxystique vulgairement appe- lée-, par Eli
ignent que la myélite syphilitique est ordinairement sub aiguë ou
chronique
. En admettant que notre malade fût syphi- litiq
usieurs sortes de délire en même temps. Exemple fréquent, le délire
chronique
(délire à évolution progressive régulière ; dél
TION A l'étude ET au mécanisme DES paralysies DES MUSCLES DE L'OEIL
CHRONIQUES
, PROGRESSIVES, ET A LA FINE ANATOMIE DE L'ENCÉP
e'l'alcoolisme. Sur quatre individus atteints de folie systématique
chronique
, deux présentaient l'atrophie en question, mais
la dure-mère sont de beaucoup plus fréquentes dans les cas de folie
chronique
, on peut néanmoins les rencontrer dans un nombr
et le tracé est celui du pouls dicrote. A mesure que le cas devient
chronique
, le pouls re- ptend plus ou moins ses caractère
face et est oubliée R. 11. C. VI. UN cas d'intoxication saturnine
chronique
avec épilepsie et aliénation mentale ; par Will
qué la production d'une épilepsie corticale, devenue actuelle- ment
chronique
. La folie chez ce malade a d'ailleurs invariable-
médication spécifique. lt. M. C. X. Deux cas du guérison de folie
chronique
: par Lloyd FRANCHIS. (The Journal of Mental Sc
s généraux et d'autres aliénés, tels que déments séniles, délirants
chroniques
systématiques, idiots; le caractère commun de c
'Hildesheim). Des idées présomptueuses de la folie sys- témtttiqlle
chronique
(Paranoïa) 2. M. Bartels (d'Hildesheim). La col
sonnel et l'on se borna à y envoyer résider les aliénés les plus
chroniques
. La culture se développa si bien qu'en 1879 la co
ltération des artères coronaires altérations valvulaires - néphrite
chronique
- emphysème). Nos sujets étaient des déments, e
commune. Qu'on ail affaire à l'épilepsie vulgaire, qui est la forme
chronique
, ou aux diverses éclampsies, qui constituent la
nt que le souhait de M. Féré est que le grand nombre d'épileptiques
chroniques
capables de travailler puissent trouverun milie
a pas d'autre moyen d'améliorer avec quelques succès l'alcoo- lisme
chronique
et l'ivrognerie que de sevrer de l'alcool par le
-Abasie. Brochure in-8° de 6 pages. RÉGNIER (L.-R ). L'intoxication
chronique
par la morphine. - Volume in-8" de 171 pages. P
oir été malade un seul jour. Il n'a jamais eu de rhumatisme aigu ni
chronique
, ni douleurs d'aucune sorte en dehors de celles
cinquante-huit ans, encore vivante, est soignée pour une hronchite
chronique
. Antécédents personnels. - Pas d'enfants, ménop
complets. Une soeur, la seule d'ailleurs, est morte d'une affection
chronique
( ? ) qui a duré un an et s'est développée à la
constante de la tête, persistant depuis des an- nées, est la chorée
chronique
de l'adulte. Cette maladie, inté- ressante et c
à différencier des autres genres la chorée de l'adulte ou chorée
chronique
, ou chorée héréditaire. Vous trouverez une étude
Voici, d'après Huntington lui-même, la caractéristique de la chorée
chronique
: il. - Cette forme de chorée est héréditaire.
ac- cusée, sous la forme similaire; développement tardif; marche
chronique
et progressive, aboutissant le plus souvent à l
« Il existe principalement chez l'adulte et le vieillard une forme
chronique
de la chorée. On la rencontre aussi, mais excepti
formation soit surtout l'hérédité similaire. Dans ce cas, la chorée
chronique
revêt à un haut degré l'aspect d'une maladie hé
est pas une maladie à part, autonome, mais une variété de la chorée
chronique
. « La chorée chronique présente des troubles mo
t, autonome, mais une variété de la chorée chronique. « La chorée
chronique
présente des troubles moteurs de même ordre que
nique héréditaire, elle se montre aussi prononcée dans la chorée
chronique
sans hérédité; elle se retrouve également, dans u
t pas jusqu'à présent d'exemples de guérison d'une chorée devenue
chronique
) de l'incapacité du travail, qu'elle entraine tôt
ingt-cinq et cinquante ans. · « La nature anatomique de la chorée
chronique
, comme celle de la chorée de Sydenham aiguë, es
iques et l'on pourrait définir la maladie de Huntington : une forme
chronique
, développée chez l'adulte, de la chorée de Syde
ydenham. On peut, chez notre sujet, éliminer assez vite la chorée
chronique
. Certainement divers caractères l'en rapprochent
anormal de l'intelligence, pour- raient être rapportés à la chorée
chronique
. Mais à côté de ces points d'analogie, que de d
déjà signalé la possibilité du fait. « Certains cas de tremblement
chronique
qu'on aurait décrits jadis, sans hésitation, co
inution des résidus fixes, urée et phosphates. * . Dans la chorée
chronique
, au contraire, Huet fait remarquer que l'on n'o
ra- lysie n'est qu'un symptôme- peut présenter deux formes, l'une
chronique
, l'autre aiguë. Dans le pre- mier cas, les sign
égalité pupillaire.' On le rencontre quelquefois dans des psychoses
chroniques
avancées de nature simple. P. K. 4 XXXVII. DE
Autopsie. Fracture ancienne du pariétal gauche. Méningo-encéphalite
chronique
de l'hémisphère gauche atrophié. Petites nodosi
générale. Le premier cas seul est accompagné d'autopsie. Méningite
chronique
localisée ayant produit l'appareil symptoma- ti
(pachyméningite 260 REVUE D'ÉLECTROTHÉRAPIE ET DE THERAPEUTIQUE.
chronique
; tabes dorsal, convalescence de scarlatine) les m
cunes mentales grossières, meurt d'urémie (néphrite parenchymateuse
chronique
bilatérale). Absence complète du corps calleux.
s'était PRODUITE DANS L'HÉMISPHÈRE DROIT DU CERVEAU CHEZ UNE IDIOTE
CHRONIQUE
; par J. JENSEN. (Arch.f. Psychiat., XIX, 1.)
surtout des gens de la campagne. Nous recevons surtout des aliénés
chroniques
, mais il nous arrive aussi en nombre notable de
s idées avec hallucinations sen- sorielles ; une folie systématique
chronique
est imminente. M. Schuchardt a observé à peu pr
développement du cerveau, des névroses convulsives ou des insomnies
chroniques
; - 5° l'absence de la paralysie géné- rale dan
il. Les lésions mi- croscopiques sont indépendantes de la méningite
chronique
et des adhérences; le lobule paracentral reste
es, M. Grasset en fait deux grandes classes : vertige aigu, vertige
chronique
, cette dernière subdivisée elle-même en vertige
1890. Au Secrétariat de l'associa- tion. HUET (E.). De la chorée
chronique
. Volume in-8° de 262 pages, avec 10 figures dan
Paris, 1890. Librairie F. Alcan. RÉGNIER (L.-R.). - L'intoxication
chronique
par la morphine. Vo- lume in-8° de 171 pages. P
Il avait le cancer des fumeurs et une autre maladie passée à l'état
chronique
. Il avait déjà fait anté- rieurement deux tenta
des de transmission pro- duisent des modalités aiguës, subaiguës ou
chroniques
. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 443 LXV.
ntèrent des linges portés par des malades atteints, l'un d'entérite
chronique
, et l'autre de laryngite chro- nique ; les diag
92 pages. Prix : fr. Pour nos abonnés. 6 fr. HUET (E ? De la chorée
chronique
. Volume in-8° de 262 pages, avec 10 figures dan
1 fr. Pour nos abonnés... 0 fr. 70 RÉGNIEII (L.-R.). L'intoxication
chronique
par la morphine. -Va- ume in-8° de 171 pages. P
hard ; Bech =, teren, 85, 132, par Misslawski, 432. Saturnisme,
chronique
avec épilepsie en folie, par Ruxton, 101. SCI
inale compressive et dans le mal de Pott. D'autre part la myélite
chronique
(par compression syphilitique ou tuberculeuse)
ravail de Bastian, on ignorait presque les- paraplégies flac- cides
chroniques
. On connaissait bien les paraplégies flac- ' Vo
quivalent (une compression totale) se ter- miner par une paraplégie
chronique
. Or M. Van Gehuchten pose d'abord les prémisses
s. ' En résumé cette observation nous offre un exemple de myélite
chronique
caractérisée anatomiquement par la sclé- rose d
es ne devait pas nous porter à oublier la fréquence des paraplégies
chroniques
spastiques par compression, avec troubles de la
eux professeurs cités plus haut, la suspension serait un traitement
chronique
, appliqué contre une affection chro- nique. Out
ment insuffisant pour pouvoir seprononcer sur l'action d'un moyen
chronique
destiné aux affections choniques. En ce qui con-
ion d'attente ». R. C. XVI. Un cas de paralysie bulbaire supérieure
chronique
; par H UDO- VERNIG. (Nouv. Iconogr. de 1(t n°
nd de présenter un cas très rare : la polioencé- phalite supérieure
chronique
, lésion isolée des noyaux des troisième et sept
ssier. 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXV. Revue sur la chorée
chronique
progressive avec relation d'un cas; par Clarenc
ir des vaisseaux délicats : épistaxis pendant l'enfance, alcoolisme
chronique
. Des troubles de l'excitabilité électrique et des
hénie, le rhu- matisme, la chorée, la terreur nocturne, la gastrite
chronique
et la céphalalgie, enfin chez cinq individus bi
res de plus en plus nettes fait penser à la poliomyélite antérieure
chronique
trauma- tique de Erb, car s'il--doit y avoir pa
autre école admet l'irritation vasculaire, l'inflam- mation lente,
chronique
, des vasa nervorum, des vaisseaux des méninges,
gnages de satis- faction récents délivrés par les malades. Pour les
chroniques
inof- fensifs, il reste cependant à faire. 11 f
M. H. NEIGE. Sous ce nom, nous avens proposé de désigner l'oedème
chronique
, blanc, dur, indolore, à répartition segmentaire,
ause actuellement indéterminée. Dans cerfains cas, le tro- phoedème
chronique
est, en outre, héréditaire. Au sujet de la natu
, selon les cas, sera congénitale, héréditaire, familiale, aiguë ou
chronique
. Porose cérébrale. M. G. GUILLAIN présente de
veuse. A propos des tics et des troubles moteurs chez les délirants
chroniques
. . Du syndrome musculaire comme signe pronostic
ulcérations sur le domaine du cubital, une à de l'oedème trophique
chronique
. Dans tous ces cas, malgré la gravité et l'anci
la'suspension produirait une déchirure des adhérences méningitiques
chroniques
; les filets nerveux deviennent plus libres, d'o
En ce qui concerne l'action de la suspension sur les affec- tions
chroniques
du nerf optique, le distingué savant russe l'ex
ur l'état atrophique de la moëlle épinière dans la syphilis spinale
chronique
; par E. Long et B. WiKi. (Nouv. Iconogr. de la
eur qualifie les lésions du cerveau et du cervelet d'encé- plaalite
chronique
lvémornhagique diffuse. Contrairement à l'opini
. Je le comprends pour la folie systématique, forme essentiellement
chronique
dans laquelle d'ordinaire le malade délire à fr
e se trouvait liée soit zv l'impaludisme aigu, soit à l'impaludisme
chronique
. L'intoxication palustre semble avoir hâté, d'une
aitement type Giessen, avec organisation parallèle de colonies pour
chronique
, type Ghel et Altscherbitz fermes. ' A. Marie.
ntiels de la paralysie avec les affec- tions suivantes : alcoolisme
chronique
et syphilis cérébrale, assez en détail ; puis,
ies pour aliénés. Il ne suffit pas de soigner médicalement les fous
chroniques
, il faut les placer dans un milieu agréable, qui
qui souffrent (cela est fréquent) de chute rectale et de prostatite
chronique
. Ceci fait, ou bien ils abandonnent les ser- vi
analyse du monde extérieur). L'étude d'un cas de délire systématisé
chronique
chez une dégé- nérée, débutant dès la jeunesse
125 malades traités pour névralgies, névrites, rhumatisme aigu et
chronique
, articulaire et musculaire, migraines (voy. Vrats
lents, sauf dans un cas de chorée hystérique et un cas de chorée
chronique
progressive probablement héréditaire. Sans pose
observations rapprochée des expériences de II. Graun : intoxication
chronique
des animaux par l'alcool. Tubingue, 1899. Les
érie, il n'en saurait être ques- tion ici. C'est l'empoisonnement
chronique
par le plomb et l'alcool qui est coupable. Comm
t est-il possible de sup- poser un début aigu dans une intoxication
chronique
permanente ? Mieux vaut penser que d'ordinaire
surdité verbale presque pure sur- venue au cours d'une intoxication
chronique
par l'alcool et l'ab- sinthe, l'autre une aphas
Présidence de M. P. Moreau (de Tours). Les psychoses systématisées
chroniques
ti base d'interprétations - délirantes. - M.
une forme aiguë (en général sans systématisation) ou sous une forme
chronique
(avec systématisation). SOCIÉTÉS SAVANTES. 321
peuvent aussi jouer un rôle pré- dominant dans certaines psychoses
chroniques
: période d'incuba- tion des délires de persécu
ntes constituent le symptôme prépondérant d'un délire systématisé
chronique
présentant dans sa symptomatologie, et son évolut
ieux et Capgras proposent de donner le nom de psychose systématisée
chronique
à base d'inter- prétations délirantes ou plus b
qu'on puisse, distinguer une évolution comparable à celle du délire
chronique
de Magnan). L'examen de la genèse du délire mon
trouve pas trace de syphilis antérieure. Deux c is de trophoedème
chronique
héréditaire chez des enfants. M. LOItTAT-J.1COB
, l'autre de cinq ans, présentent, depuis leur naissance, un oedème
chronique
des pieds, et de la pachydermie des jambes jusq
se trouve une fois encore établie la prédominance du trophoeclème -
chronique
héréditaire et l'hérédité dans la ligne maternell
rvicale. Le malade ne guérit pas, et les lésions passèrent à l'état
chronique
. A l'heure actuelle, toutes les articulations s
ës, les lymphocytes un processus inflammatoire à marche subaiguë ou
chronique
. Dans les divers états vésaniques le cyto-diagn
générale progressive. - Les accès aigus ou subaigus de l'alcoolisme
chronique
simulent très souvent, du moins temporairement,
lysie générale, car on risquerait de la confondre avec la méningite
chronique
alcoolique dout le cyto- diagnostic est égaleme
soin de rendre justice à tous ceux qui se sont occupés des maladies
chroniques
du système nerveux des enfants, aboutissant aux
énuer quelques-uns des symptômes les plus pénibles. Dans la névrite
chronique
périphérique, un climat sec sans vent et de faibl
nt après leur cessation ont généralement les caractères de la folie
chronique
. R. DE IUSGRAVE-CL.1Y. XXI. Châtiment; par C.-A
'inflammation, des thromboses vas- culaires. Dans les cas de chorée
chronique
on rencontre les mêmes lésions inflammatoires à
celui dont est affecté le cerveau antérieur (périencéphaloméuinrite
chronique
diffuse). Le processus inflam- matoire frappe l
re du paraly- tique tient à une névrite rétro-oculaire périphérique
chronique
pro- 49G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. gressiv
songé. 1 Le liquide céphnlorachidien au cours de l'hydrargyrisme
chronique
. MM. Raymond et SICARD présentent un malade, ou
r en peaux de lapins, atteint de tous les signes de l'hydrargyrisme
chronique
avec le tremblement classique intentionnel, rém
tie symptoma- tique, de pochynzéaziazgite et de méningo-encéphalite
chroniques
(Fig. 30 et' 31). Deux travaux démontrent aux o
e néfaste des professions insalubres sur la production des maladies
chroniques
du système nerveux; et plus que tout autre M. B
nciers; la collection forme un véritable compendium des ma/¡¡- dies
chroniques
du système nerveux chez les enfants. Les médecins
névrose d'angoisse. L'élément principal de ce syndrôme est un état
chronique
d'an-, goisse, dit l'auteur, avec obsessions et
ocalisation de symptômes dans la - , par Oddo, 51. Revue sur la -
chronique
progressive, par C1.-A. Good, 56. Voir Ilunling
d'origine périphérique, par Decroly, 47, 53. bulbaire supérieure
chronique
, par Hudoveruig, 50. post-anes- théslque, par
d'Arbrissel, par iteury Lemesle, 92. Les psychoses systématisées
chroniques
, par Sérieux, 326. Psychiatrie. Progrès des étu
al' Berkley ? ? 1 7, Tics ET troubles .moteurs chez les délirants
chroniques
, par Dufour. 86. Torticolis mental surajouté
acquis, par Obers- teiller, 387. ' Trophadèmes, par lleige, 8u.
chronique
héréditaire chez les enfants, par Lortat-.lacob
ndépendam- ment du délire des négations et passer à la mélancolie
chronique
; ce n'est d'ailleurs là que l'évolution inévitab
gique : destruction de la glande pituitaire, lepto-meningo- myélite
chronique
, avec sclérose diffuse annulaire et dégénération
sur quelques autres données de la littérature, admet l'influence
chronique
sur les nerfs non seulement des bacilles eux-même
Mairet et Combemale avaient antérieurement établi que l'alcoolisme
chronique
peut produire la 76; bibliographie. paralys
nique a confirmé les résultats de l'expéri- mentation. L'alcoolisme
chronique
produit la paralysie générale vraie, mais il ne
guéiisons. Le lien qui unit.la paralysie générale à l'alcoolisme
chronique
se trouve dans un double processus de dégénératio
plus rarement, il a eu l'occasion d'observer de la lepto-méningite
chronique
. » La comparaison est frappante et les figures
un traitement efficace ? RECUEIL DE FAITS. GUÉRISON D'UN DÉLIRE
CHRONIQUE
SYSTÉMATISÉ, NON LIÉ A DE LA DÉGÉNÉRESCENCE;
de quarante-quatre ans, dont les antécédents GUÉRISON D'UN DÉLIRE
CHRONIQUE
SYSTÉMATISÉ. 10 1 héréditaires seraient bons, d
t ainsi son certificat : a.... est atteinte de délire systé- matisé
chronique
caractérisé par des idées de persécution et des
tuelle annonçant la démence. J'en conclus que le délire systématisé
chronique
, non associé à de la dégénérescence mentale, n'
as subi d'atteinte. On constate chez lui les signes de l'alcoolisme
chronique
(injection des petits vaisseaux sanguins de la
on n'est pas difficile à obtenir quand on a affaire à une sciatique
chronique
, et quand il existe des points douloureux trop
ion, car il existe des cas dans lesquels, quoique la sciatique soit
chronique
, on ne constate ni atrophie, ni REVUE DE THÉR
justement dans son obser- vation l'affection était essentiellement
chronique
(elle durait sept ans) et la malade était d'un
e confir- mer cette théorie. Kronthal déterminait une compression
chronique
de la moelle, en introduisant un bouchon dans le
stattug. 1'irchow's Archiv, Bd. LXXXV. 188 CLINIQUE NERVEUSE.
chronique
produit souvent une dilatation du canal central
te bonne, les fonctions organiques intactes. Tantôt l'évolution est
chronique
, le délire systématisé persisle sous une forme
es artères d'un certain volume dans les affections inflammatoires
chroniques
, la complexité des phénomènes devient plus grande
r l'autre, suivant la réceptivité individuelle. Dans les affections
chroniques
dites systématiques, on ne voit pas davantage q
des antérieures. Chez beaucoup de sujets atteints de ramollissement
chronique
et de débilité sénile on constate souvent, à un
e clinique sur l'obsession. MM. 1\1.-\.RIE et ViGouROUx. Les formes
chroniques
de ce syn- drome sont plus spécialement étndiée
bies permanentes, manies dégénératives tardives en quelques sorte
chroniques
dont la forme persistante et même progressive con
appuyer l'affirmation du De Terrien. ' Un cas de chorée saltatoire
chronique
datant de vingt-cinq ans, guéri en cinq mois.
ibles, les dégénérés à perversion instinctive, cer- tains maniaques
chroniques
qu'aucun traitement ne peut calmer 268 VARIA.
ien sont nombreux les avantages de ce mode d'assistance des aliénés
chroniques
. Le nombre des malades patronnés a été de 363 e
s névropathiques personnels et héréditaires compliqués d'alcoolisme
chronique
. Discussion du diagnostic. L'auteur insiste par
lles d'hôpital de Kings. Tous ces cas étaient de nature subaiguë ou
chronique
, et des proportions variables de la moelle étai
âne, n'ont pas donné des résultats encourageants. L'hydrocéphalie
chronique
s'accompagne souvent de déchéance REVUE D'ANA
A. Fenayrou. II. Abcès cérébraux EN rapport avec DES suppurations
CHRONIQUES
DE L'OREILLE moyenne; par Alnasa. (l3ristih med
nales périphériques. - - P. KERAVAL. XII. Poliomyélite antérieure
CHRONIQUE
avec LÉSION concomitante DES racines postérieur
une atrophie musculaire progressive, ni une poliomyélite antérieure
chronique
pure, ni une polynévrite accompagnée de lésion
postérieurs. Il se rapproche le plus de la poliomyélite antérieure
chronique
, mais il ne faudrait pas en induire que cette m
ans les racines, les cordons et les noyaux sensitifs à une atrophie
chronique
des cornes anté- 312 REVUE D'ANATOMIE ET DE P
tique intercurrente sur la marche et la symptomatologie de la folie
chronique
et, avant de passer à l'exposé des faits, nous
Un fait digne d'intérêt est que l'éclosion, au cours d'une folie
chronique
, d'une affection du foie n'en modifie ordinai-
vention d'une affection organique du foie dans le cours de la folie
chronique
n'en modifie pas nécessairement la marche et la
'obtenir des données appartenant exclusivement à la périencéphalite
chronique
et, pour que ces données fussent comparables en
cette période établir le diagnostic différentiel avec l'alcoolisme
chronique
mais les troubles de la sensibilité augmentent
yés par une maladie intercurrente ef craignant son passage à l'état
chronique
, ont renoncé définitivement à la boisson. Le
gnostic différentiel, avec la démence paralytique, avec la paranoïa
chronique
simple, avec la paranoïa hallucinatoire aiguë,
nxiété. Si, traitée de la sorte, la maladie parait tourner à l'état
chronique
, alors s'impose l'éloipnement dans une famille
t l'un (observ. XIV) publié déjà par Fried- mann comme encéplialite
chronique
multiple. Le troisième cas présentait à l'autop
issement siègent au sein même des foyers inflammatoires subaigus et
chroniques
. Nous savons d'autre part que, si cer- taines p
ommunément à l'état normal et surtout dans les foyers d'encéphalite
chronique
et qui est connu depuis longtemps (Gierke, Boll
Les foyers forme B représentent le tableau fidèle de l'encéphalite
chronique
, ou ce qu'on appelle plus communé- ment de la s
les épithélioïdes même dans le voi- sinage des foyers d'encéphalite
chronique
, là où le processus prolifératif est à son mini
ous trouvons en présence de foyers d'encéphalite aiguë, subaiguë et
chronique
. Mais au point de vue de l'évolution nous n'avo
ue nous nous expli- quons l'existence de larges zones d'encéphalite
chronique
autour des petits foyers d'encéphalite aiguë.
ellules nerveuses qui dégénèrent et disparaissent. L'inflammation
chronique
s'installe lentement, mais au sein même des foyer
euses dans. le domaine des foyers inflammatoires aigus, subaigus et
chroniques
. La faiblesse des quatre membres correspond aux
Ccnlral0l., XVI, 1897.) Deux observations d'accidents de ce genre
chroniques
pendant des semaines et des mOIs JUSqU'il la mo
u de mélanger les sujets atteints d'accidents récents au résidu des
chroniques
, on les place dans des installations sépa- rées
u début de la folie. Les statistiques démontrent la progression des
chroniques
dans la classe pauvre, progression qu'on ne con
un simple persécuté, entre dans la période mégatomaniaque du délire
chronique
en se baptisant Antonio Conselheiro, le Ministr
e période de trois années. Tous ces malades étaient des alcooliques
chroniques
consommant au moins un quart de litre de liqueu
LXX. Lésions fines des CELLULES NERVEUSES dans LES poliomyélites
chroniques
; par G. Marinesco. (Ceîit7,ttlbl. f. Nervenheilk.
oit sous celle des troubles intellectuels et moraux de l'alcoolisme
chronique
; tantôt ce sontles violences « habitudinaires »
longtemps préconisé le travail comme un moyen de rendre les aliénés
chroniques
des membres pacifiques et utiles de la société,
ids du - et cubage du ci âne, par 7.anl.e, 502. Chorée saltatolre
chronique
, par Sol- lier, 251. - électrique, par Bo- na
n foyer de l'encéphale, par Durante, 489. Délire. Guérison du -
chronique
systématisé non lié à la dégéné- rescence, pa
r Brie, 55. Poussées d' - aiguë dans le cours de l' stibaigiic et
chronique
, par PepirkoJf, 433. EPILEPSIE symptomatique
- périeure ayuc, par 1\luurawieff, 11 ? Poliomyélite antérieure
chronique
avec lésions des racines posté- rtenreset les
ermédiaire très vague qui indique qu'il ne s'agit ni d'état aigu'ou
chronique
? Le début a eu lieu ¡. . 1 J ? . J soudainem
st pas alcoolique. On ne trouve chez lui aucun signe d'intoxication
chronique
. La santé générale, ses divers viscères sont ab
nd, d'après l'auteur, que les vésanies à développement et évolution
chroniques
dont le symptôme essentiel est une conception d
matique dépressif) la mélancolie avec stupeur et dans les psychoses
chroniques
telles que la folie systématique (avec affaibli
elques paralysies générales, hystéropathies, folies systéma- tiques
chroniques
, attribuées à l'influenza, elles existaient déjà
(observations de Goldtlam et Eisenloh). 4° Les faits à évolution
chronique
ayant duré des années. A cette catégorie appart
cet encombrement ascendant ? Parce que l'on enferme des alcooliques
chroniques
et des malades affectés de perversité morale qu
stallés pour les infirmités physiques. On y internerait des aliénés
chroniques
. On confierait ces établissements à un médecin-
, les épileptiques dont les accès sont épouvantables, les délirants
chroniques
, qui par leurs idées fan- tastiques ou provocat
ramenés. Il importe avant tout d'éliminer des asiles l'alcoolisme
chronique
et la folie morale. La conduite et la perversit
onviennent pas aux aliénés atteints de folie morale et d'alcoolisme
chronique
. Mon expérience me per- met d'affirmer que nous
cooliques subsisteraient encore pendant longtemps, car l'alcoolisme
chronique
se développe lente- ment et son développement e
st, en revanche, exceptionnel qu'on arrive à guérir la dipsomanie
chronique
. Le grand nombre de guérisons relatées par les as
ns d'esprit-les troubles intellec- tuels aigus et les psychopathies
chroniques
des épileptiques aliénés. ` Voyez Archives de N
griculture ; 4° quar- tier d'épileptiques atteints de psychopathies
chroniques
ou en complète démence. On y ménagerait une sec
Mais il importe d'en exclure les épileptiques atteints de psychoses
chroniques
: ceux-là on les transférera dans les asiles d'
ports de la section dite de traitement et de celle dite de maladies
chroniques
, il sera toujours aisé de classer, comme il con
on incombe à un médecin; - 3° Les épileptiques affectés de vésanies
chroniques
seront mieux placés assurément dans les asiles
ps, recevra, autant que possible, les aliénés, atteints d'épilepsie
chronique
, des asiles provinciaux existants. La Société a
t des hystériques - les psychopathies hystériques les intoxications
chroniques
, surtout l'alcoolisme et le morphinisme. Les ré
Le rapporteur considère son observation comme une poliomyé- lite
chronique
et insiste sur la nécessité de différencier nette
it par succomber d'épuisement. § III. Traitement DE l'hydrocéphalie
CHRONIQUE
par la PONCTION; par UNVERRICHT. (The Lancet, 1
aculté médicale de Dorpat, l'histoire de quatre cas d'hydrocéphalie
chronique
qu'il avait traités par ponction, et dont il prés
I. La trépanation pratiquée dans LES cas D'HYDRO- CÉPHALIE aiguë ET
CHRONIQUE
; par le D`' HAYES AGNEW. {University Medical Ma
it presque aveugle mais il pouvait marcher. § VIII. Hydrocéphalie
CHRONIQUE
apparue après la GUÉ- RISON spontanée d'un SPIN
cès cérébraux sont surtout en connexion avec les maladies aiguës ou
chroniques
de l'oreille interne. Ces abcès sont surtout
66 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. hallucinatoire
chronique
. Autopsie. Un kyste dans le putamen, n'ayant pr
ubles [de la nutrition. P. K. XV. UN cas DE POLIOMYI'sLENCFPH.1LITE
CHRONIQUE
; par K. SCHAFFER (Centralbl. f. Nervenheilk, N
, polioencéphalite inférieure (paralysie bulbaire); c, poliomyélite
chronique
. Ce qui est très rare, c'est la symétrie et la
musculaire, ar- ticulations des labiales), indique une inflammation
chronique
à intensité variable. P. K. XVI. Trépanation
que excentrique, dégénérescence graisseuse du myocarde ; endaortite
chronique
déformante), oedème pulmonaire, cyanose rénale,
lmonaire, cyanose rénale, foie muscade; gastro-entérite catarrliale
chronique
, hypérémie cérébrale, syno- vite panneuse de l'
mpressions optiques. P. K. XXV. SUR UN cas DE paralysie PROGRESSIVE
CHRONIQUE
DES MUSCLES DES YEUX, associé A UNE amblyopie t
certains cas graves de mélancolie anxieuse, devant passer à l'état
chronique
; dans son second mémoire plus complet, il croi
autres éléments du syndrome et compliquant la mélancolie anxieuse
chronique
, elle parait beaucoup plus rare. Rare ou non, e
l'est peut-être moins qu'il ne nous parait, la mélancolie anxieuse
chronique
avec délire des négations n'en existe pas moins
i, dans les asiles, l'encombrement résulte de la présence d'aliénés
chroniques
, déments, imbéciles, idiots, ce sont aussi eux
ndis qu'à Gheel on reçoit directement et indifféremment des aliénés
chroniques
ou aigus, en Ecosse le placement n'est, en prin
aigus, en Ecosse le placement n'est, en principe, appliqué qu'à des
chroniques
incurables soigneusement choisis parmi les aliéné
e la paralysie générale tend à en faire une variété des atro- phies
chroniques
des cellules nerveuses comme la sclérose latérale
s. Elle a la plus grande analogie avec les délires par intoxication
chronique
. Elle parait bien mériter le nom de confusion m
me sujet : « On demande un médecin adjoint pour 300 ou 350 maladies
chroniques
, mais pour des cas récents et chronique tout à
t pour 300 ou 350 maladies chroniques, mais pour des cas récents et
chronique
tout à la fois (comme dans la Nouvelle- Zélande
omme base d'un diagnostic. d. - Aurait-on à faire avec la méningite
chronique
de l'adulte à type hystéro-épileptique, décrite
pidement toute une moitié du corps, ensuite convulsions toniques et
chroniques
des deux membres, débutant par l'extrémité infé
et 1 femme) ; - manie récurrente : 4 (tous du sexe masculin); manie
chronique
: 7 (dont 6 hommes et 1 femme); mélancolie : 21
cuteurs, on voit que le persécuteur persécuté étant, avant tout, un
chronique
, son délire stéréotypé peut se prolonger pendan
oire de W. M... montre clairement qu'on avait affaire à un délirant
chronique
qui, sous l'influence de ses idées délirantes,
ers signes d'idées - ambitieuses. En somme, un cas type de délire
chronique
. E. B. , VII. Crime ET responsabilité; par le D
L'histoire naturelle du crime montre que les cerveaux des criminels
chroniques
sont déviés du type normal et se rappro- chent
'iIYOSCINE COMME SÉDATIF CHEZ LES FEMMES AFFECTÉES DE psychopathies
chroniques
, parNOECKE. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVII
eitsch¡'. f.Psychiat., t. XLVII, p. 5.) Six observations de manie
chronique
, démence, folie systéma- tique, montrant qu'en
la vue et de l'ouïe, ou les atténuer. Résumons-les. Obs. I. Manie
chronique
(ou dèmence avec agitation), durant depuis seiz
ué à écrire. Obs. IV (erreur de numérotation). Folie systématique
chronique
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 489 datant de longues
re sensorielle des mots. Amélioration. Obs. V. - Folie systématique
chronique
. Hallucinations de l'ouïe, de la vue, du touche
lissements de décharge qui serviront à désencombrer les asiles pour
chroniques
et les sections d'infirmes des hôpitaux. M. ScH
autopsie : de la pachyméningite hél11orrhagique, une leptoméningite
chronique
, une atrophie modérée du cerveau, une dilatatio
ion directe de la chorée des parents aux enfants. Quant à la chorée
chronique
des adultes, l'orateur donné ses soins à une da
M. JOLLY. -Il Il suffit pour cela d'employer les termes : aigu ou
chronique
, en effet il y a des cas de chorée chronique qui
r les termes : aigu ou chronique, en effet il y a des cas de chorée
chronique
qui ont dé- buté à l'âge de six, sept, huit, di
ateurs à la fois des altérations nettes. M. LEYDEN. De la myélite
chronique
et des lésions systématiques de la moelle. Entr
de la moelle. Tout autre processus scléreux appartient à la myélite
chronique
. Ou constate d'ailleurs;que toute espèce d'alté
ats cadavériques et l'on a rejeté presque complètement la myélite
chronique
. L'étude des observations des malades montre qu
s combinées appartiennent soit au tabes dorsal, soit à la myé- lite
chronique
diffuse, qui correspondent au tableau morbide de
ie de Morvan (syringomyélie) est une cinquième forme des affections
chroniques
de la moelle. Séance du 8 février 1892. Consa
, par Anto- nelli, 201, 423; - toxique avec paralysie progressive
chronique
des muscles des yeux, par Boe- deker, 276..
tériques men- suelles, par M. le Professeur Raymond, p. 26. IV. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Banquet de la Société d'hy
livre singulier, écrit par Jean Schedel, qui est connu sous le nom de
Chronique
de Nuremberg {*). Cet ouvrage fut publié en 1493,
. Albert Durer, qui travaillait à cette époque (1) Jean Sciiedel. —
Chronique
de Nuremberg. Reglster des Huches der Eroniken un
e et qui sont les plus anciennes de l'Ecole allemande. L'auteur de la
Chronique
de Nuremberg semble avoir pris à tâche de frapper
ce des premiers artistes. Un second document nous est fourni par le
chronique
de Conrad Lycosthènes ('), édité en 1557; environ
rage, devenu aujourd'hui très rare, a été certainement inspiré par la
Chronique
de Nuremberg. Il est orné de plusieurs centaines
ion et la ciselure de la gravure sur bois. lit. II. Femme a barbe. {
Chronique
de Conrad Lycoaibcncs, liWj La représentation d
re, il n'y aucune raison pour qu'où ne recoure pas à la suggestion.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Banquet de la Société d'Hypno
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des
chroniques
, de* documents, des correspondances, de9 polémiqu
ique citez un dégénéré, par il. le Professeur Raymond, p. 61. IV. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Souscription pour le monum
le médecin qui est appelé à le remplir dans notre société moderne.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Souscription ouverte par la R
; 6* Des analyses dea ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des
chroniques
, des document*, de* correspondances, des polémiqu
gestion hypnotique, par M. IeD' Damoglou. du Caire, p. 93. III. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. - Distinctions hono- rifique
s, d'après les informations que je viens de prendre tout récemment.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Distinctions honorifiques L
ement des buveurs d'habitude, par M. le Dr Béiuixon, p. 127. III. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gle et
ancienne que nous présentons ici (flg. 22} et qui est empruntée à la
Chronique
de Nuretnberg, que nous avons déjà mentionnée, In
ive chez les jeunes filles et lus femmes après des maladies aiguCs et
chroniques
. Ma malade d'aujourd'hui habite Skouroiany, pet
er les forces physiques et d'amener à la rééducation de sa volonté.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
; 6* Des analyses des ouvrages pbilosopbiques et médicaux; 7* Des
chroniques
, des documents, des correspondances, des polémiqu
hystérique monosympto-matique, par M. le P' Raymond, p. 157. IV. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gie et
mber à terre aucune de ses paroles s (*), et l'on sait que la rêverie
chronique
est très fréquente dans la période d'incubation d
à l'hypnose qui, certainement, le débarrassera de son tremblement.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'bypnologle et de ps
6' Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux ; 7* Des
chroniques
, des documents, des correspondances, des polémiqu
, par M. le D'Emile Lit, raédecln-mafor de i" classe, p. 179. II. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gie et
ns. • • La neurasthénie exprime la faiblesse nerveuse, la fatigue
chronique
, le déficit d'énergie qui sévit chaque jour davan
et et presque sans remède : on arrive à l'épuisement prématuré et
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des
chroniques
, des documents, des correspondances, des polémiqu
, par M. le D'Emile Lui, médecin-major de 1" classe, p. ?08. III. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE.' — Société d'hypnolo gic et
n dehors duquel il ne peut exister d'armée véritablement nationale.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des
chroniques
, des documents, des correspondances, des polémiqu
ggestlbllltédes alcooliques, par M, le D' Bémixon, p. 255. III. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gle et
e excès alcoolique provoque une sorte d'irritabilité nerveuse qui
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologle et de ps
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7" Des
chroniques
, des documents, des correspondances, des polémiqu
mes rythmés du diaphragme, par M. le professeur Raymond, p. 283. V. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo-gie et de
ues et qui, comme ces derniers, guériront très bien par suggestion.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux ; 7* Do*
chroniques
, des documents, des correspondances, do» polémiqu
e des buveurs d'habitude, par M. le docteur A. Marnay, p. 316. V. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gle et
e fait a été observé chez des malades atteints d'affections aiguës ou
chroniques
qui les avaient condamnés à une immobilité prolon
complète. ptosis double, ophtalmoplégic interne, poliocncéphalitc
chronique
, asthénie bulbaire, tabès en voie d'évolution?
est là le complément important, sinon indispensable, du traitement.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'bypnologie et de ps
C* Dea analyses des ouvrages philosophiques ¦*. médicaux; 7' Dos
chroniques
, des documents, des correspondances, des polémiqu
uggestive. par M. le D' Eumin (de Constantinople), p. 348. III. —
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypnolo- gle et
s (Gg. 50}, atteinte, à l'âge de 43 ans, de folie puerpérale, à forme
chronique
. Elle est très irritable et orgueilleuse, porte d
e rencontre sous trois formes : l'alcoolisme accidentel, l'alcoolisme
chronique
ou habituel et enfin l'alcoolisme périodique ou a
en prennent très rapidement l'habitude et deviennent des alcooliques
chroniques
. Chez les enfants, si la première expérience prov
tients, c'est-à-dire 62,4 0/0, avalent été déjà atteints d'alcoolisme
chronique
. Quelques-uns des alcooliques habituels passent
au de la crise alcoolique à laquelle aboutit quelquefois l'alcoolisme
chronique
. L'alcoolisme habituel de même que l'alcoolisme
semaines de traitement, ne boit plus depuis trois ans. Un alcoolique
chronique
, qui n'a eu que six jours de traitement, ne fait
ssent à l'acte de la même manière qu'un ordre formellement suggéré.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologle et de ps
; 6* Dos analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 7* Des
chroniques
, dos documents, dos correspondances, des polémiqu
ET CONFÉRENCES. — Sitlomanie. par M. le professeur Raymond, p. 374.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Séance annuelle de la Sociét
on système nerveux ; et on l'aidera à guérir par la psychothérapie.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Séance annuelle de la Société
par Wiazemsky, p. 305. TABLE DES FIGURES Fig, 1. Femme à barbe (
Chronique
de Nuremberg, 1493), p. 6- Fig. 2. Femme à barh
barbe (Chronique de Nuremberg, 1493), p. 6- Fig. 2. Femme à barhe (
Chronique
de Conrad Lycosthènes, 1557), p. 7. Fig. 3. Gra
rbue et velue, igée de 30 ans (1855), p. 105. Fig. 22. Femme velue (
Chronique
de Nuremberg, 1493), p. 106. Fig. 23. Bella-Car
; 6* Des analyses des ouvrages philosophiques et médicaux; 1' Des
chroniques
, des documents, des correspondance», des polémiqu
alcoolique (vin blanc), mort d'un asthme symptomatique de bronchite
chronique
avec em- physème à l'âge de soixante-quinze ans
anesthésie de la sensibilité générale et des sens dans l'alcoolisme
chronique
, m Gaz. hebd., 1873. Veyssière, Th. de Paris, 1
du réflexe ten- dineux, les vertiges. Mais c'est avec l'alcoolisme
chronique
que le morphinisme a le plus de ressemblance et
établira facilement le diagnostic. La marche est essentiellement
chronique
et fatalement pro- 100 REVUE DE PATHOLOGIE MENT
ivorce parce que, parait-il, ils ont vu guérir cer- taines maladies
chroniques
sur la guérison desquelles on ne comp- tait guè
la demande de divorce introduite par l'autre conjoint. Le délire
chronique
a été également repoussé par la commission, à c
- gies qui rappellent les hématomes de la méningo-périencéphalite
chronique
diffuse avec complication de méningite. Cinq à si
orphine sont abandonnés; 2" quand domine l'élé- ment moteur (manies
chroniques
à rémission ou folies circulaires); 3° lorsque
des asiles pour les rendre aux familles un certain nombre d'aliénés
chroniques
, tranquilles, à la condition d'allouer aux fami
ne période plus avancée et surtout quand la' maladie passe à l'état
chronique
, à la fois moral et physique. Des malades qui c
e reconnaître au bout d'un instant de conver- sation les persécutés
chroniques
. J'ai indiqué, au commencement de ce travail, l
indiqueraient que diverses affections sexuelles, soit aiguës, soit
chroniques
, peuvent donner lieu à une maladie mentale, mêm
ec aliénation mentale, onze; paralysie gêné- rale, quatorze; délire
chronique
, trente-un; alcoolisme DES MALADIES SEXUELLES C
ente-un; alcoolisme DES MALADIES SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. ist
chronique
, deux; démence secondaire, dix; mélan- colie, v
utive, vingt-huit; paralysie générale, dix; mélancolie, dix; délire
chronique
, neuf; alcoo- lisme chronique, trois. Dans le
érale, dix; mélancolie, dix; délire chronique, neuf; alcoo- lisme
chronique
, trois. Dans le nombre des deux cents malades e
leur fréquence : les endométrites diffuses ou alliées aux métrites
chroniques
du corps de l'utérus ont été trouvées dans quar
et métrite cervicale. Dans seize cas, on a pu constater la métrite
chronique
diffuse du corps, associée dans huit cas à cell
du museau de tanche. Dans huit cas, on constata la métrite diffuse
chronique
du corps et du col de l'utérus et dans quatre c
as, et aggravées encore par une métrite dans vingt cas. La- métrite
chronique
diffuse à elle seule 'accompagnait les anomalie
l'utérus étaient accompagnes de paramétrite, métrite et endométrite
chroniques
; les cinq autres étaient accompagnés d'une ooph
e l'atrophie de l'utérus sénile, ont été notés : six cas de métrite
chronique
diffuse; trois cas d'anciennes ruptures du péri
eux fois associée à diverses formes gynécologiques (comme métrite
chronique
et endométrite du corps et du col de l'utérus,
e l'utérus, avec ou sans anomalies de menstruation). Dans le délire
chronique
, sur quarante cas, trente- quatre sont aussi co
a pu observer diverses lésions graves (ruptures du périnée, métrite
chronique
avec endomé- trite, etc.), d'une provenance évi
ptions irrésistibles au rang de symptômes dans les folies aiguës et
chroniques
. A l'encontre de Westphal, il pense que la conc
on irrésistible peut dériver d'une émotion ou d'afflictions morales
chroniques
(misère, soucis, chagrins). Il adopte enrevanch
igramme par jour, en une ou deux injections, dans deux cas de manie
chronique
, ils sont allés jusqu'à 3 centigrammes par jour
ue les convulsions qui se montrent à la fin de la vie. La méningite
chronique
accom- pagne du reste, comme on sait, souvent l
au d'un paralytique général nous présente à côté de l'encé- phalite
chronique
(adhérence des méninges à l'écorce) des foyers
, des paralysies d'origine viscérale et périphérique, du nervosisme
chronique
ou neurasthénie, etc. Parmi les sujets qui ont
lus ou moins marquées. Cn. F. V. Etude clinique sur l'absinthisme
chronique
; par L. Gautier. Thèse de Paris, 1882. Le tra
ymptôme de l'absinthisme aigu; on ne les~observe dans l'absinthisme
chronique
que sous l'influence d'un épisode aigu, ou en c
rahit sou- vent et'peut être suivie. Dans les otites subaiguës ou
chroniques
, d'origine pharyngée, l'envahissement de l'orga
, Mme IL.. quitte la maison de santé dans le mémo état d'aliénation
chronique
, pour être transférée dans un autre asile. J'
marche de l'encéphalite suppurée varie suivant qu'elle est aiguë ou
chronique
. Dans la forme chronique, l'abcès s'enkyste, ce
uppurée varie suivant qu'elle est aiguë ou chronique. Dans la forme
chronique
, l'abcès s'enkyste, ce qui n'a pas lieu dans la
t trois à six REVUE DE pathologie NERVEUSE. 377 semaines. L'abcès
chronique
est caractérisé par une période latente prolong
rédité psychopathique souffrant depuis 18 ans environ de mélancolie
chronique
et d'hystérie chez qui, consécutivement à un sa
n qui le fait émaner de la propagation d'une méningite pie-mérienne
chronique
à travers les tractus conjonctifs qu'elle envoi
année de la maladie) devrait dépendre de la nature sponta- nément
chronique
de l'inflammation méningée. Le mécanisme des do
latérale, mais d'une sclérose périphérique due à une ménin- gite
chronique
. Dans les cas d'abolition, il y avait soit une
sultats de l'hyoscyamine; il l'a employé dans deux cas de ma- nie
chronique
avec' idées de violence et de destruction, et dan
avec' idées de violence et de destruction, et dans un cas de folie
chronique
avec hallucinations terrifiantes de l'ouïe; il
ures, à la direction de l'asile. TABLE DES MATIERES Absinthisme
chronique
(études cli- niques sur 1'), par Gautier, 263.
Protubérance (affection de la), par Resali, 249. Psychopathies
chroniques
(procédé pour couper les accès d'agitation ch
n permanente et n'y sévit plus seulement par paroxysmes; forme lente,
chronique
par exemple, marquée souvent par l'accompagnement
nt et un épileptique dans la famille ; 4° Vertige de Ménière; forme
chronique
et vertiges par accès. lre Malade. M. Charcot
sque nécessairement. Je vous ferai remarquer seulement que le vertige
chronique
résiste en général beaucoup plus à l'action de la
des cas graves ; soit que la maladie en vienne à s'éterniser à l'état
chronique
(chorée chronique) soit qu'elle conduise, dans la
oit que la maladie en vienne à s'éterniser à l'état chronique (chorée
chronique
) soit qu'elle conduise, dans la forme aiguë, plus
ablement d'une chorée à rechutes subintrantes et non pas d'une chorée
chronique
qu'il a dû s'agir à cet âge. Quoiqu'il en soit, l
huit mois dans l'armée, il a été réformée pour myopie avec choroïdite
chronique
; après cela il a travaillé comme homme d'équipe
l'apanage, comme quelques-uns paraissent l'avoir supposé, des chorées
chroniques
. Rien au cœur. On assure que cette jeune fille
adies du cœur et des gros vaisseaux, ceux qui souffrent d'une maladie
chronique
des poumons : phtisie, emphysème ; ceux qui ont é
s trois cas de paraplégie spasmodique, dans un cas de myélite diffuse
chronique
, enfin dans un cas de sclérose en plaques. A pr
semaines après l'accès qui vient d'être décrit. « Otites périostiques
chroniques
rhumatismales ; —lisez goutteuses.—L'oreillegauch
; —lisez goutteuses.—L'oreillegaucheoffredeslésionstrèsnettes d'otite
chronique
sèche; déformation et enfonçure extrême du tympan
ernelle a les doigts des mains déformés par le rhumatisme articulaire
chronique
; une cousine germaine, toujours du côté paternel,
emment peut-être,chez certains sujets goutteux, atteints de laryngite
chronique
et aussi chez quelques asthmatiques. L'arthritis
Hnd, où le diagnostic a été formulé ainsi qu'il suit : « Alcoolisme
chronique
avec affaiblissement des facultés intellectuelles
nales nouvelles évoluant soit dans le mode subaigu, soit dans le mode
chronique
et occupant principalement, du moins à l'origine,
évolution progressive. A. Le grand groupe des amyotrophies spinales
chroniques
progressives, comme je l'ai appelé, comprend des
nstitution qui, je le répète, reproduit en quelque sorte dans le mode
chronique
, la paralysie spinale infantile, est relativement
plus compliquées dans une seconde catégorie d'amyo-trophies spinales
chroniques
que, par opposition à la précédente, je désignera
variable, car, de fait, il n'est peut-être pas une lésion élémentaire
chronique
de la moelle épinière qui ne soit susceptible, à
lus désormais qu'une question à toucher. La tephro-myélite antérieure
chronique
développée chez notre malade à l'âge de trente-si
téressant, suivi d'autopsie ; tantôt, plus fréquemment, sous la forme
chronique
. Ainsi, vous le voyez, l'existence passée d'une t
t ultérieur de la forme subaiguë et plus particulièrement de la forme
chronique
de la lésion systématique des cornes antérieures
s du dernier genre, ceux où il s'agit de la tephro-myélite antérieure
chronique
, qui, en raison de l'étroite analogie qui les r
n aux cas qui y sont étudiés. — En général, le début de l'amyotrophie
chronique
s'est fait dix, quinze, vingt ans après l'époque
ion évolue constamment suivant le mode aigu, tandis que c'est le mode
chronique
qu'elle affectera au contraire, dans la maladie d
le système des cellules motrices est dans la tephromyélite antérieure
chronique
, comme il l'avait été autrefois dans la tephromyé
ë, puis dans un âge plus ou moins avancé, la tephromyélite antérieure
chronique
, il y aurait lieu, d'après ce qui précède, d'adme
t sous la forme d'un processus aigu, tantôt sous celle d'un processus
chronique
, suivant les circonstances. Si cela est, dans les
s, étudiées comparative-ment : 1° Tics généralisés simulant la chorée
chronique
; 2° Chorée chronique dite d'Huntington ; — on in
e-ment : 1° Tics généralisés simulant la chorée chronique ; 2° Chorée
chronique
dite d'Huntington ; — on insiste sur les difficul
les deux cas. L'une de ces femmes, cependant, est atteinte de chorée
chronique
, tandis que l'autre est sous le coup des tics gén
a suite d'un examen un peu sommaire, désigné comme atteinte de chorée
chronique
, celle des deux malades qui au contraire, je vais
te chez une malade atteinte de tics convulsifs, et chez une choréique
chronique
, enregistrés d'après la méthode graphique de Mare
nne et fait un tour en dix secondes. — A, maladie des tics; B, chorée
chronique
. (Communiqués par M. Dutil, interne de la Cliniqu
énéralisent et tendent à la continuité, de façon à rappeler la chorée
chronique
, les tics, à ne considérer même que ce qui est re
ctères, être distingués, sans trop de difficultés, des gesticulations
chroniques
. Mais la différence fondamentale qui sépare les
nnue déjà. Je vous l'ai présentée l'an passé comme atteinte de chorée
chronique
ou chorée d'Huntington. Je vous rappellerai à ce
traire, elle se rattache à celle-ci, qu'elle représente sous la forme
chronique
(1). Mais ce n'est pas cela qui importe pour le m
nfance ; que notre malade compte dans sa famille quatre cas de chorée
chronique
, en outre d'un certain nombre d'exemples de névro
u'ils simulent jusqu'à un certain point ainsi qu'on l'a vu, la chorée
chronique
. L'écholalie est actuellement très accusée et, dé
leçons du mardi, 1887-1888 — 17 et 24 juillet; etJ.Huet; De la chorée
chronique
, thèse de Paris, 1889. névropathiques ne font p
de fortune; elle a un frère sujet à de grands emportements. La chorée
chronique
ne figure pas, comme vous voyez, dans les acciden
deux ordres de faits une séparation radicale. Messieurs, la chorée
chronique
passe, et c'est de toute justice je crois, pour u
inale préalablement modifié par le fait d'un processus d'inflammation
chronique
; ce genre d'altération a été décrit en 1869, par
s caractères qui séparent la gliomatose d'un processus d'inflammation
chronique
. 3° Une troisième espèce appartient bien et dûm
rose latérale amyo trophique, etc.), si elle évolue suivant le mode
chronique
. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuse
uvent servira la distinguer vis-à-vis de la téphro-myélite antérieure
chronique
(1). La présence de ces mêmes troubles si parti
Fig. 98. — — (Champ visuel) 455 Fig. 99. —Tic convulsif et chorée
chronique
(Tracé des mouvements) 466 Fig. 100. — Abasie t
ns la famille.................... 78 4°. Vertige de Ménière : forme
chronique
et vertige par accès..........................
ades étudiées comparativement: 1° Tics généralisés simulant la chorée
chronique
; 2°Cho-rée chronique dite d'Huntington. On insis
ivement: 1° Tics généralisés simulant la chorée chronique ; 2°Cho-rée
chronique
dite d'Huntington. On insiste sur les difficult
Sfiock.) Chorée (Ch. vulgaire, Ch. de Sydenham) (Voy. aussi Chorée
chronique
, Tic), 7, 14, 37, 130. — (Délire dans la), 106. —
molle, 38, 171. — (Troubles de la parole dans la), 38, 104. Chorée
chronique
, 109. — et Chorée de Sydenham, 467. Chorée chro
104. Chorée chronique, 109. — et Chorée de Sydenham, 467. Chorée
chronique
et Tic convulsif. — Coordination des mouvements,
mouvements, 466.— Pronostic, 469. Chorée d'huntington. (Voy. Chorée
chronique
). Chorée rhythmée. — Démarche, 357. — Rhythme e
ackson, 226, 321. Hughes, 109. Huntington (Chorée d'). (Voy. Chorée
chronique
). Hutinel, 45. Hydromyélie, 490. Hyperexcit
, 320, 322,323. Mouvements. — Dans la chorée, 104. — Dans la chorée
chronique
, 465, 466. — Intentionnels dans la chorée, 130.
sme hystérique, 247, 248,249,250. Myélite cavitaire, 490. — Diffuse
chronique
et suspension, 204. — Transverse du MaldePott, 18
idents de la, 220. — Contre indications, 203, dans la myélite diffuse
chronique
, 204. — dans la paraplégie spasmodique, 204, 220.
e, 468. Tic convulsif et chorée, 14, 464. Tic convulsif et chorée
chronique
. — Coordination des mouvements, 467. — Début, 4
t, ce délire offre beaucoup d'analogie avec celui des mélancoliques
chroniques
; c'est ainsi qu'on lui a coupé la tête deux foi
al, hallucinations cénesthétiques simulant celles des mé- lancolies
chroniques
, possession par des esprits malveillants ou con
LE. Une autre malade de M. Magnan, rapportée sous le titre délire
chronique
à systématisation religieuse ambitieuse, est ci
ade de M. le D Briand 2 (cité par le même auteur au chapitre délire
chronique
à évolution systématique) offre avec la précéde
in. Débilité mentale, idées mystiques, délire religieux à évolution
chronique
, etc., obs. XXXIII, p. 190 et suiv. 5 Excitatio
brale, délire ambitieux et mystique à forme rémil- lente, évolution
chronique
citez un dégénéré, obs. XXXIV, p. 193. DES PSYC
e au début, avec des délires hypocondriaques vrais ou mélancoliques
chroniques
; on observe assez fréquem- ment des tentatives
urnée dans les nuages. D. S., p. 62. C'est une mégalomane délirante
chronique
et non une hystérique. 36 REVUE DE PATHOLOGIE M
devient maniaque, le Kabyle devient mélan- colique ; la° le délire
chronique
s'observe aussi quelquefois; il atteint surtout
« paranoïa inventoria » ; par le Dr Serge SOU¡¡HANOFF, Le délire
chronique
présente une forme où les idées absurdes s'expr
re 1896.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. UN CAS DE CHORÉE
CHRONIQUE
CHEZ L'ADULTE AVEC ALTÉR \TIONS ANATOMIQUES SEM
qui semble établir l'existence de rapports intimes entre la chorée
chronique
progressive et certaines autres maladies neuro-
ématisés de la pathologie mentale française, entre autres le délire
chronique
à évolution systématique de Magnan. Pour la mél
Exemple : Une femme de quarante-huit ans, héréditaire, alcoo- lique
chronique
, ayant de rares accès d'épilepsie, séquestrée d
de l'aliénation; seulement en ceci il pourra ressembler au « délire
chronique
à évolution systématique » de Magnan par exempl
colonie de Villejuif. de Dun-sur-Auron. Comme les autres délires
chroniques
, le délire des persé- d Ferrand.-Le langage, la
ire de persécution moderne il y a des persécutés mystiques (délires
chroniques
du moyen âge (Ma- gnan) : Obsédés par le démon
voit, l'évolution progressive manque ici, il y a bien une psychose
chronique
mais sans systématisation suffisante ; au contr
assif dans cette folie commu- niquée ; notre malade représentait le
chronique
qui marque l'épidémie au coin de son délire. La
tes sont demeurées frustes malgré le passage à l'état périodique et
chronique
; il n'en est pas toujours de même chez les débi
formes de délires pathognomoniques d'un état dégénératif (délire
chronique
de M. Magnan). C'est ainsi que Greidenberg adme
es persistent, constituant une psychose sinon progressive, du moins
chronique
et incurable. Tel est par exemple le cas suivan
INIQUE MENTALE. l'état permanent et incorporés à un délire mystique
chronique
. Lés autres congénitaux, qu'on pourrait opposer
s moins une utile action palliative. La diarrhée et la constipation
chroniques
sont très accessibles à la suggestion, ainsi qu
ment pas la proportion de un ou deux cas sur mille. 2o Dans les cas
chroniques
où l'épilepsie est réellement de cause réflexe,
mission 220 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIII. SUR UN cas d'alcoolisme
chronique
traité empiriquement avec guérison apparente ;
'obsession avec impulsions irrésistibles, de délire aigu, de délire
chronique
, de paralysie générale, etc. Bien que toutes ce
e a été constatée, étaient aigus ; dans les cinq autres ils étaient
chroniques
. Ces cinq derniers cas (dont quatre se rapportaie
compétent est seul capable de déterminer si ce degré d'intoxication
chronique
est atteint. 5° Le buveur qui, par suite de ses
ès. Elles sont nées en 1841 ; une antre soeur est atteinte de manie
chronique
. Quelques mois avant l'entrée à l'asile les deu
lutôt sèche ; la soif augmentée. Ces modalités sont le plus souvent
chroniques
. Est-ce là un état gastrique chronique dans leq
ités sont le plus souvent chroniques. Est-ce là un état gastrique
chronique
dans lequel persistent naturellement avec plus ou
fs et gustatifs présentent donc, soit le début aigu, soit la marche
chronique
d'emblée, soit des crises très variables d'inte
deux de paralysie unilatérale thyréo-aryténoïde - une de paralysie
chronique
bulbaire chez un aliéné, une de paralysie bilat
cas d'artério-sclérose peuvent aisément être pris pour des lésions
chroniques
progressives (tumeurs) ; les maux de tête ne so
ntales qui appuient sa manière de voir. Il a empoisonné d'une façon
chronique
un chien, à l'aide d'injections de morphine : l
des maladies : REVUE DE pathologie mentale. 371 XLV. DE l'aortite
chronique
chez les aliénés; par DEL GRECO (Il Olanicomio,
iverses catégories, l'auteur a trouvé trente-deux cas d'altérations
chroniques
de la crosse ou de la portion initiale de l'aor
) avant toute autre ma- nifestation convulsive. La dégénérescence
chronique
épileptique se rencontre dans 00 à 70 cas p. 10
ts à la pudeur, des suicides, des meurtres, etc. 4° Les psychoses
chroniques
épileptiques, états d'excitation ou de stupeur
ctique, qui doit être placée à côté de l'encéphalite sous-corticale
chronique
et de la dé- génération artérioscléreuse. M.
a sensibilité restait normale. Autopsie. - Néphrite parenchymateuse
chronique
, péricardite; rien d'anormal dans les nerfs pér
emment et a\ec les meilleurs intentions du monde, des fabricants de
chroniques
. 3° L'asile, pour répondre au voeu d'Esquirol e
nce dans la production des troubles trophiques. Comme toute maladie
chronique
grave, la para- lysie générale altère la nutrit
ype normal par la brusquerie du début, qui rappelle la poliomyélite
chronique
. Il est difficile de préciser la nature des alt
eurasthénie dans la classe ouvrière. - Parmi les affections locales
chroniques
, pouvant peut-être par- fois occasionner la neu
NERVEUSE. 471 l' des analogies avec les déformations du rhumatisme
chronique
. L'observation rapportée par M. Feindel en est
invoquées pour expliquer les déformations du rhumatisme articulaire
chronique
; on ne peut songer davantage à l'action toniqu
cendantes. P. K. LXXIX. Considérations générales SUR LES affections
CHRONIQUES
DE la moelle épinière ; par JoNES. (NOl'thw. La
s directeurs de l'étude des psychoses », M. Magnan décrit le délire
chronique
à évolution systématique. Le diagnostic de ce d
de l'état m'entai antérieur de faire le diagnostic avec le délire
chronique
. La manie raisonnante et la folie morale ne sont
qui s'il se complique d'idées ambi- tieuses, peut simuler le délire
chronique
, mais son début rapide, son manque d'évolution,
de persécution en idées de grandeur qu'on observe chez le délirant
chronique
. Après avoir dans un rigoureux parallèle distin
ique. Après avoir dans un rigoureux parallèle distingué le délire
chronique
, psychose progressive et régulière, des délires d
. Intoxication chez un jeune enfant, par Ilerter, 320. Alcoolisme
chronique
traité empi- rlquement, par Munson, 220. Sur
logiques . Enregistrement des données -, par Steans, 360. Aortite
chronique
chez les aliénés, par del Greco, 371. .11,iii
s, 403. Cescnrso-c.sm vsuL. Névrose -, par Gombaud, 149. Chorée
chronique
avec alternances semblables il celles de la par
Jacobaus, 462. Menstruation et son influence sur les psychoses
chroniques
, par Najcke, 369. Mental. Élément nerveux et
tion secondaire de la - du chien, par Worotynski, 366. Affections
chroniques
de la-, par Jones, 475. Chirurgie des tumums
es manifestant l'insuffisance rénale. Il s'agit bien entendu de cas
chroniques
et frustes, de petite urémie et non de grande i
pel a montré que les accès délirants survenant chez les alcooliques
chroniques
ne sont pas dus à l'alcool, mais à l'auto-intox
bles, il voit des malades pour ainsi dire «déflorés. » Dans les cas
chroniques
il peut constater un trouble mental persistant
ntiel pro- fond et d'une albuminurie symptomatique d'une néphrite
chronique
, sans oser établir une relation de cause à effet
de cette objection, il faut, dans les cas aigus comme dans les cas
chroniques
, rechercher chez les aliénés les causes d'auto-
commande le traitement. Dans les cas subaigus comme dans les cas
chroniques
, le régime lacté absolu est la base de la théra
ant ainsi : 22 2 enseignement. 2° qu'un certain nombre de malades
chroniques
peuvent être mis en liberté après l'amélioratio
t, présenter aux étudiants des sujets atteints de maladies mentales
chroniques
et non pas seulement des cas aigus; les élèves
l s'agit d'une femme de cinquante-huit ans, atteinte d'alcoo- lisme
chronique
avec démence et à l'autopsie de laquelle on trouv
nes, à se faire comprendre ; il succomba à une affection pulmonaire
chronique
. Le professeur Heid, d'Aberdeen, qui a examiné
crite corticale et sous-corticale ou une encéphalite interstitielle
chronique
diffuse. Pour les autres, c'est une lésion d'orig
s Régis, la folie systématisée qui est faits DIVERS. 9[ une folie
chronique
essentielle, caractérisée par des hallucinations
obre. En résumé : chez un vieillard de 74 ans atteint de néphrite
chronique
, apparaissent d'abord des troubles délirants (hal
lus déraisonnables. Les certificats antérieurs portent : Alcoolisme
chronique
excès d'absinthe, fureurs, actes inconscients,
ntraste de la conduite entre cette maladie d'une part et la démence
chronique
de l'alcoolisme et de la sénilité d'autre part.
te. 156 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Au contraire, dans l'alcoolisme
chronique
et la sénilité où cette note est communément pe
ette insuffisance soit assez forte pour produire de la constipation
chronique
, il suffit qu'elle prive l'appendice iléocoecal d
un nouveau tableau morbide analogue à la tétanie dans le saturnisme
chronique
, par H. Haenel. (neurolog. Ce ? zti-albl. lll,
e de vinLL-quatre ans, saturnin, atteint d'une affection musculaire
chronique
progressive caractérisée par des contractions t
alement pré- senter cette teinte jaunâtre ; 3° Au cours de l'ictère
chronique
, on peut également noter cette coloration. La
es, des émotions violentes, dans l'hystérie, dans les intoxications
chroniques
, en particulier l'alcoolisme. est un fait de sémé
ts auteurs ont observé la neuronophagie dans la méningo-encéphalite
chronique
, la dé- mence sénile. l'épilepsie et dans certa
la moelle cervicale par des lésions progressives de pacby-méningite
chronique
. Archives, 2° série, t. XVI. 12 17 SOCIÉTÉS S
en souvent on observe la jalousie chez les hommes dans l'alcoolisme
chronique
; chez les femmes la jalousie pathologique n'est
hez les hommes comme symptômo-complexus de la paranoïa dégénérative
chronique
. Les idées obsédantes de jalousie sont assez ra
e gé- nérale des alcooliques. L'encéphale de tous les alcooliques
chroniques
, qu'ils soient ou non paralytiques, présente de
tre localisé et aigu, le processus infec- tieux peut être diffus et
chronique
. Les néoplasmes syphilitiques ou autres sont, e
s transi- tions entre certains délires aigus et les formes les plus
chroniques
de paralysies générales. J'ai déjà trop insisté
sont multiples. Beaucoup de méde- cins, peu au courant des maladies
chroniques
du système nerveut des enfants, dont ils n'ont
rolongé dans les cas aigus : mais il a éprouvé que, dans les manies
chroniques
, 1'liyoscine pro- duit une rémission tout à fai
sédatif ne dure que ce que dure l'action de la dose ; dans les cas
chroniques
, les doses fractionnées par injec- tions ou à l
et anormaux et de l'indican. Ce syndrome peut être aigu, subaigu ou
chronique
. Quand, aigu, il se termine par la mort, on tro
ne hyperhémie très intense des organes digestifs abdominaux. Quand,
chronique
, il aboutit à la guérison, l'animal parait joui
un syndrome de nature hystérique. Dans d'autres cas, lorsqu'il est
chronique
, le puérilisme représente une modalité clinique
us marqué, c'est ainsi que Iledlicli a observé un cas de mélancolie
chronique
et que plus récemment Pierre Marie et Guillain
l dépend du genre et de la phase de la maladie. Dans les affections
chroniques
, il n'obtient de bon résultat qu'au moyen de l'
ts de névrose traumatique. indemnes -d'artériosclérose, de néphrite
chronique
, de saturnisme chronique, âgés de trente-six an
. indemnes -d'artériosclérose, de néphrite chronique, de saturnisme
chronique
, âgés de trente-six ans, non suspects, par cons
tionnelle, indemnes d'artériosclérose, de néphrite, de satur- nisme
chronique
, on constate à plusieurs reprises des chiffres
ive, à nombre de cas de paralysie spinale spasmodiquc, à la myélite
chronique
de la femme. à quelques faits d'atrophie du ner
du reste dans la plupart des asiles néerlandais. Pour les aliénés
chroniques
, le travail reste toujours le principal sinon l
spensé dans un établissement consacre. pour la plus large part. aux
chroniques
, réputés incurables. Mais il se hâtait d'ajoute
e que nous avons noté le monologue plus fréquemment dans les formes
chroniques
que dans les formes aiguës de l'aliénation ment
urtout dans les états de démence et dans les délires systé- matisés
chroniques
, mais tout particulièrement dans les états dési
pour beaucoup d'auteurs ces états correspondent à une affec- tion
chronique
en marche vers la démence. Il frtut donc étudie
. Le logique est surtout le Git des délires systématisés, affection
chronique
. Pour le décousu, il faut bien s'assurer s'il s
dée prépondérante) sont surtout le fait des formes systématiques et
chroniques
. Ceux d'origine émo- tionnelle indiquent généra
d'un dialogue suivi ; ils indiquent alors une forme systéma- tique
chronique
ou un état démentiel. Ils se rapprochent alors
u des périodes d'agitation. Le se- cond se rencontre dans les états
chroniques
, qui, contrai- rement aux premiers, sont généra
urne. Le soli- loque diurne est surtout le fait des formes de folie
chronique
qui ne s'accompagnent pas d'insomnie. Le solilo
rons, par exemple le monologue de la manie aiguë et celui du délire
chronique
ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS.
tA d hallucinations de l'oiiie, consé- ciiiit,eg à une inflummalion
chronique
de l'oreille moyenne (Encéphale. 1882, ? 1).
oire du cas de M. Mabille. « Pick a rapporté « le cas d'une aliénée
chronique
sourde de l'oreille gauche « qui accusait des h
Mabille. Notons immédiatement que la malade de Pick est une aliénée
chronique
dont l'état hallucinatoire remonte probablement
e l'hallucination et de la lésion seront différents. Chez l'aliénée
chronique
de Pick la lésion n'a dû exercer son influence
elle exige, pour produire les lésions de la périméningo-encéphalite
chronique
diffuse, l'appoint de certains facteurs adjuvan
mme : obssessions, para- lysie générale, démence sénile, alcoolisme
chronique
. Cette section mixte munie d'ateliers, d'une pe
al ayant des hallucinations bilatérales, comme en ont les délirants
chroniques
, et dont M. Vallon donnera l'histoite clinique
e la théorie du neurone. SOCIÉTÉS SAVANTES. S3t I 7'A)'ot('<cs
chroniques
chez les aliénés. M. Dide rapporte terésumédeci
s peuvent se classer en trois groupes : chorée de Sydenham; chorées
chroniques
progressives de l'adulte et de l'àge mûr; choré
eptiques, hystériques, invétéiés, imbéciles ou idiots, alcooliques,
chroniques
graves, tuberculeux, dégénérés supérieurs propr
ZIE. D'un nouveau tableau morbide analogue la- dans le saturnisme
chronique
, par Ilae- nel, 161. Contrbutlun à l'dndto- m
s n'avons pas ici l'air hautain, méfiant et soupçonneux du délirant
chronique
; ni l'air bonasse, satisfait et content du para
de la mélancolie ; après cette durée, la mélancolie tend à devenir
chronique
et a finir par la démence si une affection inte
Grand'mère paternelle, morte à soixante-seize ans, d'une affection
chronique
de la poi- trine et de diabète. Oncle paternel,
'l'auteur cite deux cas d'une ophthalmoplégie externe progressive,
chronique
, d'une pureté rare et sans complications. Ces cas
rtige, montrant la diffé- rence entre le vertige aigu et le vertige
chronique
et abordant la question diagnostique, montre qu
ipé au processus. Puis viennent les myélites aiguës et les myélites
chroniques
d'emblée, parmi lesquelles la forme si fréquent
M. Bourneville. Les autres observations concernent : la diarrhée
chronique
séreuse traitée au salicylate de chaux ; l'épil
hatio et la porencéphalie vraie ; l'idiotie par méningo-encéphalite
chronique
; l'alcoolisme ayant entraîné l'hé- miplégie gau
indre, souvent infime. Il est encore de 30/100 chez les délirants
chroniques
; mais dans les états de manie, il tombe à 19/100
stence des lésions tertiaires avec celle de la méningo-encéphalique
chronique
est très rare et n'infirme nullement cette form
rôle se borne là.-On ne peut pas dire que la méningo-encé- phalite
chronique
soit une quatrième période de la diathèse spé-
neurasthénie, diagnostic parfois fort difficile ; avec l'alcoolisme
chronique
, les troubles cérébraux consécutifs aux traumat
. (Revue de médecine, 1898.) M. Marie appelle ainsi une affection
chronique
à évolution très lente et caractérisée par une
correspondent exactement avec la névrite ou la paralysie alcoolique
chronique
, généralement incurable. La névrite alcoolique,
ojets simultanés d'une clinique à Fribourg et d'un petit asile pour
chroniques
, près de Fribourg et près d'Ileidelberg, ne furen
correspondantes. Il faut construire un nouvel asile d'aliénés pour
chroniques
, un J ? eeu ? ! 4'<(.t/<, surtout destiné
d'aigus, le lit coûte près de 5.000 francs; dans le nouvel asile de
chroniques
il reviendrait à 2.500 francs. et même à moins;
, se révèle dans le système ner- veux central par des inflammations
chroniques
des vaisseaux, ce qui amène un trouble dans la
out d'abord sur ces psychoses religieuses systématisées à évolution
chronique
. Aux délires mystiques répondant à peu près au
répondant à peu près au type établi par M. Ma- gnan dans son délire
chronique
, on peut opposer des espèces morbides analogues
systématisés dits secondaires 1, en particulier des mélan- coliques
chroniques
à idées de damnation et de possession, dont on
stique comme entité distincte, mais l'admet comme variété du délire
chronique
, puisqu'il en trace l'évolution compara- tive p
uisqu'il en trace l'évolution compara- tive parallèlement au délire
chronique
type'. D'autre part si nous passons en revue le
est secondaire et consécutif à l'état affectif ; chez le délirant
chronique
, le délire est essentiel et primordial 4. La mé
pas un délire systé- matique. Lorsque cette vésanie passe à l'état
chronique
et qu'un délire systématisé vient se greffer su
rons-nous aux catégories ordinaires, c'est- à-dire, aux mélancolies
chroniques
(délires systématisés dits secondaires, Cotard)
ts secondaires, Cotard) et aux délires de persécution (délire dit
chronique
, Magnan) (à systématisation primitive, Séglas), d
délires de négation, le deuxième, les formes religieuses du délire
chronique
de M. Magan. Les hallucina- tions motrices para
ans les états aigus, maniaques ou mélancoliques. Quant à la manie
chronique
, si elle peut conserver quelque teinte mystique
on dans la théorie géné- rale de la régression^ Les mélancoliques
chroniques
possédés sont également susceptibles de subir l
voit, l'évolution progressive manque ici, il y a bien une psychose
chronique
mais sans systématisation suffisante ; au contr
passif, dans cette folie communiquée; notre malade représentait le
chronique
qui marque l'épidémie au coin de son délire.
et d'autres non dégénératives. M. Magnan. décrit de même le délire
chronique
comme pouvant se développer chez les dégénérés.
x formes dis- tinctes ; il est aigu avec léger mouvement fébrile ou
chronique
d'emblée; 8° la maladie débute en général par l
suggestion, est prémuni contre le retour offensif de l'alcoo- lisme
chronique
. Depuis plus de trois mois, cet homme n'a pas bu
irme l'efficacité delà suggestion dans les cas d'alcoolisme aigu ou
chronique
; il met en outre en lumière l'utilité du sommeil
. L'autre est une femme de trente-huit ans, atteinte d'alcoolisme
chronique
, entrée le 4 juin 1898, sous le coup d'un accès s
i dénotent dans tous les cas toutes les lésions fines de l'artérite
chronique
. De cette artérite chronique, entraînant des né
utes les lésions fines de l'artérite chronique. De cette artérite
chronique
, entraînant des néo-formations vascu- laires, r
de. De reste Cotard n'admettait pas un seul mais plusieurs- délires
chroniques
. La. différence radicale quiisépare les délires
apport, M. Anglade avance que l'École française admet que le délire
chronique
évolue sur un terrain normal ; ceci est l'opini
la création de fermes suburbaines où l'on pourrait évacuer tous les
chroniques
valides; l'aliénation des terrains de l'Asile S
ur les besoins de l'enseignement, les malades aigus et, parmi les
chroniques
, ceux qui seraient justiciables d'une interventio
s lésions Itisiologiqiies du système nerveux central dans la chorée
chronique
héréditaire. M. Rtsi'AL (de Toulouse) a eu l'oc
tologique du système nerveux central d'un sujet atteint de cho- rée
chronique
héréditaire avec démence et ayant succombé à une
é. Observation 11.- lialade âgé de cinquante-deux ans. Alcoolisme
chronique
. Au mois de juin 1897, il devient très irritable,
ution et puis seulement des signes physiques d'alcoolisme. Chez les
chroniques
, c'est le con- traire qui se produit : au début
es, les héréditaires par leur penchant morbide et les alcoo- liques
chroniques
par l'affaissement de leur volonté sont facile-
ait l'opinion émise par l'auteur en ce qui concerne les alcooliques
chroniques
dont les idées de persécution réapparaîtraient
à juste titre parmi les délirants systématiques primitifs, aigus ou
chroniques
. Il est à remarquer que, dans les cas de ce gen
simples bouffées délirantes. 1. Voyons d'abord les cas à évolution
chronique
. Le début des accidents délirants est déjà par
ellement sur des interprétations délirantes : dans les cas de forme
chronique
que nous avons observés, nous n'avons pu releve
on. Quel est, en pareil cas, l'avenir des malades ? Dans la forme
chronique
que nous, avons en vue, le délire se systématis
sitoires dans le cours d'autres variétés de délires systé- matiques
chroniques
tels que ceux de persécution. Les bouffées déli
rs : les uns à forme aiguë, les autres plus ou moins graves à forme
chronique
: contracture de la tête en opistotonos, trembl
transitoire ; 2° Fondation d'une colonie agricole pour les aliénés
chroniques
, imbéciles et épileptiques. M. DOUTREBE1'E dema
a attribué un rôle dans quelques maladies, notamment dans la chorée
chronique
. Plus spéciale parait être la présence, dans le
7. Les lésions histologiques du système nerveux central dans la -
chronique
téré- ditaire, Ilispal, 401. Recller- ches cl
symptômes catatoniques dans le cours d'autres psycho- ses aiguës et
chroniques
. Il définit la catatonie pure par les mots suiv
p de fibres saines disséminées bien que, naturellement dans les cas
chroniques
de longue durée la sclérose puisse être complèt
: 3 paralysies générales, 2 polynévrites alcooliques, 1 suppuration
chronique
des reins avec cachexie amyloïde dans la folie
ue. 4. L'action thérapeutique du courant continu sur les affections
chroniques
locales d'origine in- flammatoire, arthriticorh
en que ce cas puisse être considéré comme un cas d'empoison- nement
chronique
par le sulfonal, des phénomènes graves peuvent
lle (alcoolisme, hystérie, neurasthénie, sénilité psychique, folies
chroniques
, etc.). La description du délire de grossesse n
de lits pour les cas aigus : or il est déjà encom- bré par les cas
chroniques
et n'a pas la place suffisante pour les cas aig
existe entre les signes qui relèvent seulement d'un état de fatigue
chronique
, et les signes au contraire d'affaiblissement et
se transformer sa psycho-névrose en une psychose vraie à évolution
chronique
. A propos de ce cas, l'auteur fait ressortir le
Les psychoses des tuberculeux. En dehors de « l'illusion délirante
chronique
», dont parle Letulle, et qui fait que certains
fluence des professions insalubres sur la produc- tion des maladies
chroniques
du système nerveux ? De la statisti- que, M. Bo
02. On note alors un affaiblissement intellectuel dû à l'alcoolisme
chronique
dont on relève les stigmates, et des signes phy
Se basant sur l'existence d'hallucinations et d'idées déliran- tes
chroniques
de grandeurs et de persécutions, dépourvues de
la première attaque ne gué- rit pas et le malade aboutit à la folie
chronique
. La folie émotion- nelle est loin d'être aussi
gation dans les asiles d'aliénés ; par le De Anglade. La diarrhée
chronique
des aliénés est presque toujours, sinon toujour
ccuper activement des malades ; c, un asile .ordinaire pour les cas
chroniques
; - d, un système de pension au -dehors pour le
leur et de la forme des objets, une seconde période essentiellement
chronique
, durant au minimum, trois, quatre, cinq ans et
tère très varié. G. J. ROSSOLIUO. Combinaisons de la I)olioîiyélite
chronique
avec la syringomyélic gliomateuse (Avec présent
t d'une tempérance exemplaires. Ce ne sont donc pas des alcooliques
chroniques
que nos confrères russes ont il traiter et cela
s thérapeutiques. En France, au contraire, nos alcooliques sont des
chroniques
qui, en outre, boivent non pas simplement de l'
e aigu est bien obligé de demander aide et secours ; l'alcoo- lique
chronique
, au contraire, refuse d'ordinaire de se soigner.
ez, est atteint de tous les troubles qui caractérisent l'alcoolisme
chronique
chez un impulsif. Bédu sait que l'alcool lui fait
ulter qu'à l'insuffi- sance thyroïdienne appartiennent des troubles
chroniques
(trou- bles de nutrition, myxoedème), qu'à l'in
d'une occlusion intestinale. L'autopsie révèle une leptoméningite
chronique
de la convexité du cerveau, et de la sclérose d
tuber- culeuse, la syphilis, le tubercule cérébral, l'intoxication
chronique
par les liqueurs à essences, enfin l'hystérie,
aigu chez le premier malade, il a simulé l'urémie délirante ; plus
chronique
chez le deuxième dont l'état général était rest
tique. G. Carrier. XXXIV. Liquide céphalo-rachidien et méningite
chronique
dans un cas de maladie de Friedreich ; par MM.
fréquemment chez les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 337 alcooliques
chroniques
, et'il a donné à cet ensemble la valeur d'un ty
ntrent dans un nombre assez considérable de cas de folie alcoolique
chronique
. L'auteur, après un résumé de la littérature du
ée en certains cas). ' D'autres réalisent des délires mélancoliques
chroniques
, à teinte spirite, correspondant aux démonopalh
es diverses, et, en outre, des cas d'oedème hystérique, de diarrhée
chronique
, de mutisme, surdité ou cécité hystérique, de v
l'ischémie produite par un spasme vasculaire prolongé; dans les cas
chroniques
, de troubles trophiques com- plexes occasionnés
Intéressante observation d'une femme atteinte de maladie de Graves
chronique
, chez laquelle cette maladie prit brusquement u
aigu et accidentel, ne pou- vant survenir que chez des alcooliques
chroniques
; l'auteur, allant du simple au composé, a reche
recherché d'abord l'état des cel- lules nerveuses dans l'alcoolisme
chronique
avant l'éclosion de la crise hypertoxique termi
giques des centres nerveux corticaux dans l'intoxication alcoolique
chronique
et dans les délires surve- nant chez les alcool
La raréfaction des corps de Nissl constitue une lésion cellulaire
chronique
; leur fonte poussiéreuse ou leur dissolution indi
l'âge de l'individu, mais aux intoxications ou auto-intoxi- cations
chroniques
. Elle se caractérise par l'atrophie simple ou p
e globulaire (délires aigus), dégénérescence graisseuse (alcoolisme
chronique
). V. Tout délire, survenant au cours des maladi
eau. VI. La fréquence des troubles cérébraux chez les alcooliques
chroniques
, résulte : d'une part, des altérations lentes des
uction de la cause toxique déterminante ; d'autre part, des lésions
chroniques
réalisées dans les cellules nerveuses. 424 il B
le cortex deux sortes de lésions : 1° Des altérations cellulaires
chroniques
, caractérisées par l'atro- phie, la raréfaction
les s'obser- vent dans diverses intoxications ou auto-intoxications
chroniques
(urémie). Elles correspondent cliniquement ci d
tion cérébrale héréditaire est secondaire, les lésions d'alcoolisme
chronique
étant le facteur essentiel. Il se caractérise c
tificat médical d'admission signale F... comme atteint d'alcoolisme
chronique
avec accès de délire et de furie. A son entrée
concerne leur pathogénie. La question, pourquoi chez tel alcoolique
chronique
apparaît le delirium tremens, tandis que chez t
ène par analogie à le comparer avec la paranoïa (délire systématisé
chronique
), où par contre le délire se développe tout à f
développe tout à fait insidieusement. Aussi bien dans la paranoïa
chronique
que dans le délire alcoolique du type auditif, le
e lésion irritative ou une lésion de décharge, elle est en tout cas
chronique
; et, que nous consi- dérions les décharges com
ertain que ces décharges sont périodiques. Comment donc des lésions
chroniques
causent-elles des décharges périodiques. La rép
n'aboutirait pas à une action spasmodique, mais à un déborde- ment
chronique
d'énergie ayant sou origine dans les mécanismes
asile, sans méconnaître la valeur de ce traitement dans les folies
chroniques
et dans les cas de manie ou de mélancolie à for
sur le crâne, dans les cas de ménin- gite ou de méningo-encéphalite
chroniques
. (B.) 490 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. pratiques e
ne concluent pas. ' Névrite radiculaire sensitivo-molrice à marche
chronique
. , MM. Déjeune et EGGER. Comme premier symptôme
e. Le contingent des pensionnaires du patronage consiste en malades
chroniques
, auxquels l'hôpital a déjà donné tout ce qu'il
ement liés avec la vie de travail. Dans beaucoup de cas de paranoïa
chronique
, les hallucinations pâlissaient, le délire s'af
ore le même micrococcus a été manifesté dans le sang d'un choréïque
chronique
et chez plusieurs malades présentant une excita
nt intellectuel et évoluant vers la démence, et comme tel le délire
chronique
de Magnan. La majorité des aliénistes contem- p
m et d'Altcherbitz prévalent avec la spécialisation des services de
chroniques
et de convalescents. Les rapports de la neurast
drames, qui ont produit à Uccle la plus douloureuse impression. (La
Chronique
de Bruxelles, 4 mai.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
, par TABLE DES MATIÈRES. 533 Ardin-Delteil, Si. - et méningite
chronique
dans un cas de mala- die de Friedriech. par Bar
habitué à observer dans les scléroses en général et les affections
chroniques
de la moelle en particulier. C'est donc là une
est présentée par une forme de ce que je suppose être une arthrite
chronique
généralisée, d'origine rhumatismale, englobant
es à un processus morbide actuelle- ment classé comme le rhumatisme
chronique
progressif, la spondylose rhizo- mélique, la cy
l'atrophie osseuse sénile est la seule vraie cause. Le rhumatisme
chronique
progressif provoque des déformations sans analo-
ns pouvoir les attribuer à la distorsion des parties. La marche est
chronique
, progressive et les malades succombent à des ac
de cas permettent de distinguer un puérilisme aigu et un puérilisme
chronique
. A cette dernière classe correspondent les nomb
cette dernière classe correspondent les nombreux cas de puérilisme
chronique
qu'offre à l'observation des aliénistes, dans les
s. Je rapporte ici un cas, aussi résumé que possible, de puérilisme
chronique
, lié à la démence sénile (2). Il s'agit d'une f
es des cornes antérieures de la moelle, au cours de la poliomyélite
chronique
. Mais ici, il n'y a pas de surcharge pigmentaire.
é signalé quelquefois dans lapoliencéphalite supérieure subaiguë ou
chronique
; alors tous les muscles des yeux étant paralysés
ds ; / te<Ms ? 7Mtjoa- résie droite, paraplégie flasque, aorlile
chronique
avec insuffisance des val- vules sigmoïdes. Con
un double souffle systolique et diastolique symptomatique d'aortite
chronique
avec insuffisance des sigmoïdes. On entend un b
) Les récentes expériences de Guerrini qui provoque, par intoxication
chronique
, l'hypertrophie pituitaire sont en faveur de ce
SERVICE DU PROFESSEUR GRAZIADEI. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME NERVEUX (RÔLE D
donner un caractère qui n'est pas constant. Le nom de « trophoedème
chronique
» proposé par Meige (3) est entré dans le lan-
ont elle n'est pas encore guérie. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
205 Maladie actuelle. J'ai vu la malade pour la
oedèmes de Quinke. La main droite présente une sorte de trophoedème
chronique
, persistant. OBs. V. C... Ernestina, 25 ans, co
n'avons pu porter la lumière. Ni LES 06DÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
207 froid, ni fatigue, ni paludisme, ni syphili
conscrits, oedème dur persistant avec les caractères du trophoedème
chronique
de Meige. Ceci persiste depuis dix mois. » Lo
e DE la SALP7 : 1'RI) : RE T. XVIII. PI. XXVIII TROPHOED : Ë : ME
CHRONIQUE
(Valobra) Observation VI Masson & Cie,
n VI Masson & Cie, Éditeurs LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
209 Et les mêmes demandes peuvent être posées à
tion de la colonne vertébrale,ont été signalées dans les pleurésies
chroniques
et un très beau spécimen en est reproduit dansl
plèvre sont les causes de la déviation vertébrale ? La pleurésie
chronique
se caractérise, quand elle provoque des défor-
ées de strychnine. Gotlieb, attribuant l'af- fection à la cellulite
chronique
, a guéri un cas de crampe professionnelle en 36
me névroglique avec tractus scléreux interfasciculaire et méningite
chronique
, il répond trait pour trait à la description de
auer, les colonnes deClarke. De plus elle s'accompagne de méningite
chronique
an- térieure et postérieure, de périvascularite
mes, il ne présente pas de lésions des orifices ; il y a de l'aortite
chronique
. (1) A. Vigouroux OtLAIGIVEL-LAV15TINB. Tabes à
e diffuse avec dégénérescence hyaline des artères et épaississement
chronique
des veines du sillon médian antérieur. Weiger
rmations de la main rappellent certaines attitudes de rhuma- tismes
chroniques
, d'ailleurs l'unilatéralité et les troubles parét
SERVICE DU PROFESSEUR GRAZIADEI. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME NERVEUX (ROLE D
sur la nature des phénomènes hystériques pour LES OEDÈMES AIGUS ET
CHRONIQUES
n7 Nous pouvons pourtant affirmer que ces oedèm
, l'oedème de Quinke (Cassirer), et particulièrement le trophoedème
chronique
(oedème blanc de Sydenham, oedème bleu de Charc
eu de Charcot). A ce propos, il faut se souvenir que le trophoedème
chronique
peut être simulé par des sujets hystériques par l
invoqué. Tandis que dans l'urti- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
259 caire on admet toujours une intoxication da
mes passagers [Cassirer (13), otA(48), Marinesco (49)J ou d'oedèmes
chroniques
[Cassirer 'Remak (50), Mari- nesco (49)- Pour
ns bientôt les rapports de l'oedème de Quinke avec le tro- phoedème
chronique
: je désire seulement faire ici la remarque que d
re ici la remarque que dans l'observation de Cassirer (13) l'oedème
chronique
a été précédé par des poussées d'oedèmes et aus
s, et quels liens on peut cliniquement trouver entre le trophoedème
chronique
et l'oedème de Quinke : Nous avons vu que la
vec des modalités différentes : LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
261 Chez certains sujets l'oedème de Quinke ave
oedème qui ne disparaît plus et qui a les caractères du trophoedème
chronique
. Ma quatrième observation fournit un exemple tr
iculations, la répétition des accès peut aussi déterminer un oedème
chronique
avec hypertrophie du tissu conjonctif. Si dan
affirmation n'est pas seulement démontrée par le fait que la forme
chronique
peut suivre l'oedème aigu sans intervalle de temp
intervalle de temps, mais encore LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
263 par l'observation que les deux formes peuve
ème de Quinke. Dans la syringomyélie on observe parfois des oedèmes
chroniques
de l'articulation de l'épaule (lésion de la moe
s lésion des os, bien circonscrits. Ces oedèmes seraient la variété
chronique
de cette hydropisie des articulations sans phén
cial du même côté » dans laquelle LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
267 l'auteur observa des poussées d'oedèmes par
ger entre la circulation du sang, LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
273 et la circulation lymphatique, me semble bi
nke, peuvent aussi être invoquées dans la pathogénie du trophoedème
chronique
, et en recevoir une nouvelle sanc- tion. Tous l
rés. Meige a bien compris que le trophoedème consti- tuait la forme
chronique
de l'oedème de Quinke; mais est-ce qu'il pouvait
er à une pathogénie différente pour la forme aiguë et pour la forme
chronique
de la même maladie. je crois plutôt que Meige mêm
et générales, tout en ayant tou- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
275 jours le même mécanisme anatomique qui est
s exactes recherches anatomiques que ces oedèmes veineux à démarche
chronique
s'accompa- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CH
x à démarche chronique s'accompa- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
277 i gnent toujours de lésions secondaires des
démontré que le troploedéme pouvait être considéré comme la variété
chronique
de l'oedème de Quinke qui le précède très souvent
parfaite que Meige (133) avant d'éta- (1) Les formes de trophoedème
chronique
qui aboutissent à la guérison après un 278 VALO
sistantes de l'éléphantiasis ». LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
279 permet à présent de reconnaître aussi une p
uvons observer le pied succu- lent (Crocq) et l'épanchement aigu ou
chronique
du genou que nous savons appartenir à cet ordre
intimes de voisinage ou de commu- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
281 nauté avec les tymphosécréteurs, quoique le
con. de la Salp., 1901, p. 473. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET
CHRONIQUES
283 63. IIEHTOGHE. Contr. à l'ét. du troph. cr.
ariqueux. Aux poumons nous trouvons de l'emphysème, de la bronchite
chronique
, des râles aux deux bases. Il est extrêmement
partie de sa vie, il nous a paru que l'hypothèse d'une intoxication
chronique
par les acides minéraux était assez vraisemblab
l, dont nous avons parlé plus haut, ren- contra une lepto-méningite
chronique
. Nous croyons pouvoir éliminer chez nos malades
se d'une même affection. D'après Edinger, la plupart des affections
chroniques
du système ner- veux seraient dues au non-rempl
e mises en cause et on assistera à la production d'une poliomyélite
chronique
héréditaire, sans parler de l'atrophie Charcot-
s après (obs. II), permettait d'emblée d'éliminer toute affec- tion
chronique
ou même toute affection à début lent. On éliminai
S VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 465 maladie
chronique
, une tuberculose osseuse ou articulaire, la grand
la mère une fois une syphilis récente, l'autre fois une tuberculose
chronique
avec lésions intenses du foie et des reins. M
es autres organes montre en outre ce qui suit : Méningo-encéphalite
chronique
diffuse, athérome des vaisseaux cérébraux ainsi q
ériens : il souffrait à l'époque de notre examen d'une blennorragie
chronique
. Mon observation dura seulement une journée. Il
processionnellement, s'y rendent à date fixe. Par des revues et des
chroniques
locales, j'avais appris les guérisons miraculeuse
e, une autre théorie, celle de l'influence des processus irritatifs
chroniques
des troubles fonctionnels, de la manière anorma
iples, peut-être pas spécifiques. » La théorie des états irritatifs
chroniques
m'a fait me demander un mo- ment si, dans le ca
dant, expliquer la raison pour laquelle dans les états d'irritation
chronique
, il se forme de la substance osseuse dans les tis
pécialement on donne grande importance aux processus inflammatoires
chroniques
, et aux trau- matismes. On peut donner quelque
importance à l'étiologie des exos- toses, aux processus irritatifs
chroniques
représentés par les maladies constitutionnelles
lle de l'affection semble devoir être considérée comme un processus
chronique
irritatif, apte à constituer un stimulus suffis
galement de l'épaississement des méninges et parlent d'inflammation
chronique
. Mais pour eux, le début des lésions se trouve da
-) (1 fig., 1 pl.), par Nolcn, 426. OEdèmes circonscrits aigus et
chroniques
sous la dépendance du système nerveux (2 pl.)
ples (6 pl.), 621. Vallonna. Les oedèmes circonscrits aigus et
chroniques
sous la dépendance du système nerveux (rôle de
e donnée en une fois. 5° Le véronal est efficace aussi dans les cas
chroniques
lorsque l'exacerbation de l'agitation est'due à l
arrhée dysentériforme), peut amener la guérison d'une manie devenue
chronique
. L'auteur ajoute que probablement si l'on avait
oïa « est utile si on en restreint l'appli- cation aux cas de folie
chronique
avec délusions dans lesquels ces délusions sont
uire, beaucoup de ces cas ne sont que la phase initiale d'une folie
chronique
avec délusions, présen- tant une rémission des
au moins dans leur forme pure, ils ne tendent guère à l'alcoolisme
chronique
. Les excès ouvriers d'autre part, tout en condu
nt à l'ivresse, tendent rapidement et fatalement à l'intoxi- cation
chronique
. 3° Donc, au point de vue statistique, si l'alc
on chronique. 3° Donc, au point de vue statistique, si l'alcoolisme
chronique
implique toujours l'existence de l'ivresse, l'i
e, l'ivresse n'implique en aucune façon l'existence de l'alcoolisme
chronique
. En Angle- terre, cette divergence entre les de
aux les plus graves que cause l'alcool relè- vent de l'intoxication
chronique
et sont par conséquent dus aux excès ouvriers.
ement de la folie aigue sera nettement séparé du traitement des cas
chroniques
, et où les malades aigus seront traités dans le
expliquer les symptô- mes spinaux ? Voici un cas de méningo-myélite
chronique
avec no- dules isolés dans la moelle, donnant l
. Le liqueur est toujours un aboulique ; il présente une diminution
chronique
de la volonté. Le traitement du tic doit compor
elles que : atrophie musculaire progressive spi- nale, poliomyélite
chronique
progressive, amyotrophie de Charco- j)Iarie atr
nc, d'après les ter- mes de la loi, ne pouvoir s'appliquer qu'à des
chroniques
inoffensifs : encore serait-il désirable, à mon
e circulaire récente, qui enjoignait de leur confier le service des
chroniques
. La circulaire n'avait oublié qu'une chose, de
hose, de nous dire ce qu'il fallait entendre administrativement par
chroniques
. En réalité, cette circulaire devançait les tem
circulaire devançait les temps, car une séparation des aigus et des
chroniques
, dans l'état ac- tuel de nos asiles, est imposs
st de permettre au médecin d'observer à la fois les curables et les
chroniques
, de les comparer entre eux, et au risque de sem
paradoxale, je prétends qu'il y a plus à apprendre au contact des
chroniques
que des curables. Les aigus, en effet, sont sou
l présentera, si la guérison ne survient pas. Au contraire, chez le
chronique
, ces signes qui masquaient le délire ont dispar
nalogues qui ont été publiés : la forme du délire était la paranoïa
chronique
. 1.11LC. XXXI.-Les effets moraux et mentaux de
ne étape du délire systématisé, étape correspondant, dans le délire
chronique
de Magnan, à la période des idées de gran- deur
résument l'histoire d'un aliéné, présen- tant un délire systématisé
chronique
d'interprétation, compara- ble aux cas signalés
que) et les délires à base de troubles sensitivo-sensoriels (délire
chronique
.) En présence de ces différences constitutive e
état men- tal des dégénérés. M. ARNAUD ne croit pas que le délire
chronique
aboutisse à la démence ; les délirants chroniqu
pas que le délire chronique aboutisse à la démence ; les délirants
chroniques
d'un âge avancé lisent en- core lesjournaux. Il
hraséologie caractéristique de sa débilité mentale Un cas de délire
chronique
à forme nxégalomaniaque, avec autopsie. M. Marc
iques et anatomo-pa- thologiques présentées par un débile, délirant
chronique
, mort à la période des idées ambitieuses. A l'a
idées ambitieuses. A l'autopsie on trouvera une méningc-corticalite
chronique
que les auteurs considèrent com- comme étant en
ident invoqué, comme cause déterminante d'une méningo-encépha Ii Le
chronique
, lia pu toujours établir que c'é- tait au contr
le traumatisme ne suflit donc pas à produire la méningo encéphalite
chronique
; il faut autre chose. 11 y a loul lieu de croir
présentent une jeune fille atteinte neurasthénie et d'hypothyroïdie
chronique
, guérie de tous ces phénomènes parla médication
t la conséquence et non la cause de l'épilepsie. Cas de trophoedème
chronique
par MM. Parhon et Florian (note communiquée par
l le lobe frontal ? Mais où est la lésion préfrontale des délirants
chroniques
, des fous moraux, etc..., de tous les demi-fous
i, le délire systématisé secondaire qui se mon- tre dans les manies
chroniques
, est de la demi-folie ! Certains confus mentaux
rasthénique, s'observant chez les femmes qui ontune lésion génitale
chronique
et que Bouilly appelait les endolories ; ce son
ïdie ressortissaient certaines variétés de migraines, de rhumatisme
chronique
, d'asthme, d'urticaire chronique, d'angines à r
étés de migraines, de rhumatisme chronique, d'asthme, d'urticaire
chronique
, d'angines à répétition, d'herpès récidivants, d'
s par le liquide de \luller; de même, on peut observer l'altération
chronique
de la pie-mêre et la dila- tation ventriculaire
ne malsaine, dans une famille atteinte depuis longtemps de pellagre
chronique
. Ce para- site ne se développe pas en hiver à l
- déré comme ayant un rapport de cause aussi hien avec la pellagre
chronique
qu'avec la pellagre aiguë..1. Si : ci.as. XVI.
qu'on trouva à l'autopsie ; \lenesclou était atteint de méningite
chronique
et pourtant, tous deux ont été guillotinés. Quelq
a démence paranoïde (52 % ), le début in- déterminé et généralement
chronique
s'observe plus que ladépression initiale dans l
ions anatomi- quesdu tube digestif. De nouvelles preuves de toxémie
chronique
ont été fournies par ie Dr Ainslie qui a consta
; h) chez les sujets jeunes la maladie suit une mar- che longue et
chronique
pour aboutir d'une façon régulièrement progress
r qu'à leur transformation ou à leur extension. F. T. XXVII. -Otite
chronique
purulente, abcès cérébelleux, épilepsie ; par l
t d'un malade atteint depuis son enfance d'épilepsie et d'une otite
chronique
purulente et qui a succombé à 32 ans à un abcès
s en quatre groupes : 1° les cas d'hôpital (infirmerie). 2° les cas
chroniques
dangereux ; 3° les cas chroniques inoffensifs e
'hôpital (infirmerie). 2° les cas chroniques dangereux ; 3° les cas
chroniques
inoffensifs et capables de travailler ; 4° les ca
ycéphahe, par une ten- dance des tissus aux inflammations atones et
chroniques
et par des particularités mentales caractéristi
Salp., 1906, no 3.) Etude d'une maladie du vieillard, la myosite
chronique
diffuse, peu connue parce que confondue avec de
ue parce que confondue avec des types cliniques voisins (rhumatisme
chronique
, sclérose médulaire polyfasciculaire), à étiolo
rocessus encé- phalique ou médullaire et d'autre part du rhumatisme
chronique
. F. TISSOT. XXXI\7. '- Encéphalite avec confu
d'origine superficielle ou profonde de la baresthésie. Rhumatisme
chronique
et insuffisance thyroïdienne M. Peppo-Acciiioli
r à Constantinople, lit une ob- servation de rhumatisme articulaire
chronique
consécutif à une insuffisance thyroïdienne due
s épileptiques, la 7e division ou quartier de délirants subaigus et
chroniques
, le quartier des agités, le quartier des tuberc
héories modernes sur la genèse de l'Hystérie. Psychoses alcooliques
chroniques
, les formes pures de Démence exceptées. Asymbol
rpré- tation et paranoïa ; par Deny et Camus, p. 152. Un cas de
chronique
à forme mégalo- maniaque, avec autopsie, par
goitre exoph- talmique ; par Tolot et Sar- vonat, p. 135. Otite
chronique
purulente, abcès cérébelleux, épilepsie ; par D
e par la méthode de Donag- gio ; par Scarpini, p. 252. Rhumatisme
chronique
et insuf- fisance thyroïdienne ; par Pep- po-
nasal ne préseute aucune déviation. Pharynx. - Rhinite postérieure
chronique
, hypertrophie de l'amygdale pharyngienne. Le
ays où il traîna une vie pénible toujours troublée par son entérite
chronique
. A l'âge de huit ans. étant complètement aveugl
'établir des rapports du profil basai du crâne dans l'hydrocéphalie
chronique
et dans le crâne rachitique. Or, j'ai pu consta
ique. Or, j'ai pu constater que, dans tous les états d'hypertension
chronique
endocranienne, la gouttière basilaire antérieur
me dans l'oxycéphalie ; c'est-à-dire que si, dans l'hy- drocéphalie
chronique
post-méningitique et dans l'hydrocéphalie rachiti
s choroïdes. Recklinghau- sen (1) dans l'un des cas d'hydrocéphalie
chronique
décrites par Rehn, considère comme cause princi
comme cause principale de l'affection, un processus inflamma- toire
chronique
de la toile et des plexus choroïdes : « une choro
re chronique de la toile et des plexus choroïdes : « une choroïdile
chronique
hyperplaslique ». Fr. Schultze dans son livre s
nt l'état des méninges et des plexus choroïdes dans l'hydrocéphalie
chronique
interne congénitale il ajoute : dans une série
1903. (4) SOlIGEN1E, Sur l'étiologie de trois cas d' hydrocéphalie
chronique
. La l'ediatriu, avril 1905, p. 267. (5) RIEDO
ues épileptoïdes. A l'autopsie, Bressler a trouvé une hydrocéphalie
chronique
, des gra- nulations sur l'épendyme et une légèr
es troubles psychiques dans'les méningites, surtout dans les formes
chroniques
tuberculeuses. Sterling (1) a observé récemment d
rien d'anormal. . Signalons l'existence d'une pharyngite granuleuse
chronique
et la fréquence de poussées d'urticaire et derm
ens, la permanence encore à l'heure ac-' ¡. tuelle d'une pharyngite
chronique
granuleuse nous portent volontiers à attribuer
e peul permettre de confirmer au début un diagnostic d'alcoolis- me
chronique
, et d'affirmer la nature éthylique de certains tr
mpliquées, syphilis 4, tubercu- lose plenro-pulmouaire 2, bronchite
chronique
suspecte 3, érysipèle 4, paludisme 2, fièvre ty
cial. Le malade tousse un peu, il se plaint d'une vieille bronchite
chronique
, mais ceci ne l'empêche pas de continuer son mé
ent moins dégénérées que les antérieures. Dans les muscles, myosite
chronique
interstitielle avec atrophie graisseuse des fibre
sté- rieures et des ganglions spinaux ; lepto-méningite postérieure
chronique
. Nerfs périphériques : pas de névrite interstit
comparable à celle que l'on observe dans la poliomyélite antérieure
chronique
, la sclérose latérale amyotrophique, où la dégé
on nucléaire ne laisse aucun doute à cet égard. La méuingo- myélite
chronique
de cette région est déjà rare ; associée à une li
le est due; or nous savons seulement qu'il s'agit d'une ostéopathie
chronique
, pouvant se généraliser à tout le squelette, d'
es les plus diverses et non pas de la seule poliomyélite antérieure
chronique
. C'est ainsi que successivement la syringomyéli
. MARIE ET FOIX> Il s'agissait dans ces deux cas de poliomyélite
chronique
diffuse d'ori- gine vraisemblablement artériell
ture myélopathique et leur origine syphilitique, cespoliomyé- lites
chroniques
par méningo-myélites se rapprochent des cas sur l
férence re- marquable entre ce processus et celui des poliomyélites
chroniques
où l'atteinte des cellules est remarquablement
Cette intégrité parfaite élimine absolument l'idée de poliomyélite
chronique
. Le 3e cas, moins bien étudié, montre également
ntimètres et commet des erreurs il 3-5 centimètres. OSTÉOARTHRITE
CHRONIQUE
DU RACHIS (Pastille) . I. - Région cervicale,
nous avons observé, nous ne répéterons pas l'histoire des maladies
chroniques
delà colonne vertébrale. Les travaux de Strümpe
beaucoup d'autres, après eux, qui ont séparé du cadre du rhumatisme
chronique
de la colonne ver- tébrale, des variétés cliniq
s nombreux, existent ceux qui réunissent encore toutes les maladies
chroniques
verté- brales sous les termes vagues de rhumati
adies chroniques verté- brales sous les termes vagues de rhumatisme
chronique
, goutte, arthrite déformante. C'est qu'ici, com
justifiés soient-ils. ' Notre cas n'appartient pas à l'inflammation
chronique
ankylosante du rachis et des articulations des
phie DE la SALPE'TRII : RE. T. XXV. Pl. LVI11 III OSTÉOARTHRITE
CHRONIQUE
DU RACHIS (Pastille). III. Région lombaire, p
TÉO-ARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS 411 Est-ce du rhumatisme vertébral
chronique
, une banale spondylose ? Par ses antécédents hé
la forme la plus commune, la forme la plus fréquente du rhumatisme
chronique
, qui commence toujours par les petites articu-
'appartient pas non plus à la maladie anl,ylo- sante progressive et
chronique
de Raymond et de Berger (1). Au point de vue an
t de vue anatomique, « ce qui domine dans le rhumatisme ver- lébral
chronique
, c'est la saillie et l'irrégularité des néoformat
nous semble-t-il, d'une forme particulière d'arthrite ver- tébrale'
chronique
, sans aucune participation des grandes ou des pet
encore extrêmement marquées, mais il n'existe que peu de méningite
chronique
et de périartérite, si bien qu'il est difficile
Elle présente à étudier, ou- tre son état général et des arthrites
chroniques
des hanches, de la colonne vertébrale et des ge
est voûté, un peu cyphotique, sans scoliose. En résumé, arthrite
chronique
des genoux et de la colonne cervicale. Ar- thri
tions électriques. En résumé, chez une malade atteinte d'arthrite
chronique
de la colonne et des genoux sans signe d'affect
cas de Raymond, de Launois et Porot, lésions d'endo-périvascularile
chronique
dans les cas de Leri, de P. Merle, lésions très
e la névrite radiculaire de Nageolle, el peut-être une poliomyélite
chronique
localisée peuvent également être son origine. a
ébu- tent et prédominent les lésions cellulaires de la poliomyélite
chronique
et de la sclérose latérale amyotrophique. Que
urologique. HOFFMANN. Poliomyélite antérieure syphilitique aiguë et
chronique
. Neurologisches Cen- tralblatt, octobre 1909, p
, p. 1196. Rose et RENDU. - Les atrophies musculaires syphilitiques
chroniques
et le tabes. Se- maine Médicale, 11 mai 1910, p
rite subaiguë, ou plutôt d'un accident aigu au cours d'une néphrite
chronique
ancienne (car il y avait des travées épaisses de
. et M. VIARD, Externe des hôpitaux. « La parenté de l'oedème
chronique
avec la lipomatose a depuis long- temps frappé
éraux^ pl.), par Obregia, Pariion et Urechia, 463. Osteo-arthrite
chronique
du rachis. Compres- sion radiculo-médullaire. I
,gibbosité),par ROTSTADT, 391. adiculo-ntédullaire(Osléo-arthrzle
chronique
du rachis. Compression-. Inversion bila- téra
ius) (2 pl.), par PASTINE, 405. Réflexe du radius (Ostéo-arthrite
chronique
du rachis. Compression radiculo-médul- laire.
paralytiques généraux (2 pl.), 463. PASTI,NC (C.). Ostéo-arthrite
chronique
du 498 TABLE DES AUTEURS rachis. Compression
, XII. Lèpre à type pie (A1\GLADA), XXIV et XXV. nléningo-myélite
chronique
de répicôni : avec lipomatose secondaire (André
aux (ODREGIA, Pariion et URECIIL\), LXIII et LXIV. Ostéo-arthrite
chronique
du rachis (Pas- TINE), LVII et LVIII. Oxycéph
ur cérébrale (Marinesco et GOLDSTEIN), XI. Rachis, ostéo-arthrite
chronique
(PASTINr), LVII et LVIII. Réflexes rotuliens
ibilité. L'auteur pense qu'il s'agit dans ce cas d'une poliomyélite
chronique
et pour expliquer la localisation de l'amyotrop
e professeur Homen. Il s'agit de deux cas d'ophtalmoplégie externe,
chronique
et progressive, d'une pureté peu commune et pré
ligne précoce du système nerveux, les myélites aiguës, les myélites
chroniques
, les myélites à formes irrégulières. La seconde
es héréditaires et en 20,3 p. 100 des cas les maladies infectieuses
chroniques
et les intoxications (alcooliques) étaient les
uement, et présente une évolution courte, ou bien elle a une marche
chronique
; ou enfin, elle se montre il l'origine du déli
n). Débile. Idée fixe à forme mystique. Délire religieux. Evolution
chronique
. S..., Elie, trente-quatre ans, entre à l'admis
rafft-Ei>11ng). Dégénérée. Idée fixe « forme érotiquc. Evolution
chronique
. L.... Rose, quarante-cinq ans, est née d'un pè
es médecins soient cachés sous le toit. 4" Idée fixe dans le délire
chronique
. Elle naît par voie conceptuelle. On enregistre
ul n'ignore qu'il existe toujours des hallucinations dans le délire
chronique
à une période avancée. Le plus habituellement l
ène pathologique initial. C'est surtout à l'idée fixe du délirant
chronique
que se rap- 96. CLINIQUE MENTALE. portent les
el (hallucinations apparues postérieurement) pour aboutir au délire
chronique
systématique. B... André, quarante ans, fumiste
l se trouve depuis trois ans. Son état actuel est celui du délire
chronique
à son complet déve- loppement ; il possède des
troubles hallucinatoires, servant de base à un délire systématisé
chronique
. D.... Pierre, quarante-six ans, chef d'atelier
r interprétations . délirantes. Hallucinations consécutives. Délire
chronique
. M.... Georges, quarante ans, comptable. A no
feste d'une façon particulière dans un seul groupe, chez les agités
chroniques
, chez les débiles et déments avec périodes d'ex
ypes morbides bien déterminés : l'intoxication alcoolique (aigué ou
chronique
) et les formes déli- ¡'antes alcooliques. Dan
és doivent jouir d'une irresponsabilité complète. Dans l'alcoolisme
chronique
, c'est l'état de conservation ou de déchéance d
qu'après un temps assez long; 4° généralement les aliénés à formes
chroniques
ne rêvent pas de leurs idées morbides. (Annales
taleptoïdes quelquefois extatiques. Enfin dans le cours d'une folie
chronique
, l'urémie intercurrente se manifeste par des sy
alysie générale, les hyperostoses, le ramollisse- ment et les abcès
chroniques
des os, etc. Plusieurs illustrations sont joint
n soudaine, gastralgie, entéralgie. la suré- motivité, la tristesse
chronique
, les troubles de la sensibilité psy- chique, le
qu'à l'hémorragie cérébrale de l'hé- misphère gauche. La pneumonie
chronique
, qui n'a jamais donné lieu à des symptômes alar
iales récidivantes (10 p. 100 à peu près) dépendent d'inflammations
chroniques
ou de suppurations de l'oreille moyenne, ou enc
eich. En outre dans l'observation 1 il y a une lésion destruc- tive
chronique
des poumons, dans l'observation Il il y a atrophi
al dit le D1' Trénel, l'affection est aiguc, subaiguë, prolongée ou
chronique
. Elle débute à tous les âges (psychoses menstru
le dont sont frappés, avant l'apparition de la méningo-encépha- lie
chronique
, les malades qui en présentent. Ce cas offre un
servé plusieurs cas de lésions médullaires du même type à évolution
chronique
. M. LoUNTz relate deux observations personnelle
mme), chauffées à 70° C. pendant un quart d'heure. L'intoxication
chronique
se manifestait par les phénomènes SOCIÉTÉS SAVA
n'est autre chose que le deuxième et troisième stade d'une névrite
chronique
multiple passée par continuité à la moelle épin
ois des hallucinations motrices verbales surtout chez les délirants
chroniques
, écrit de nouveau dans son dernier traité : « A
psycho-motrices verbales existent et sont fréquentes dans le délire
chronique
(Magnan), dans les délires de persécution (Legr
ut des habitudes alcooliques à vingt-trois uns. Signes d'alcoolisme
chronique
à trente-cinq uns. - Hallucinations de l'ouïe,
. - Dégénérescence mentale et hérédité : frère aliéné. - Alcoolisme
chronique
. - Idées de jalousie et de persécution . - Défi
ins qui soulage cette douleur. B... devient désormais un alcoolique
chronique
. Il boit chaque jour un verre de rhum avant d'a
expérimentales et anatomopathologiques à l'étude de l'intoxication
chronique
par le sulfure de carbone ; par G. KOESTER. (Nc
sont le propre des vésanies, des processus inflammatoires aigus ou
chroniques
, d'évolution ou d'invo- lution. Existe-t-il u
morale le groupe de beaucoup le plus impor- tant par le nombre des
chroniques
, des incurables et des convalescents. Le travai
s. Mais, répétons-le, c'étaient surtout les aliénés incurables, les
chroniques
et quelques convalescents qui étaient appelés à
du cerveau. La conception de l'asile considéré comme un dépôt de
chroniques
, d'incurables et de sujets dangereux ou, dans l
tats du traitement des psychoses est justifié dans beaucoup d'états
chroniques
, il n'en est plus de même quand il s'agit de ps
hygiéniques comme le travail si précieux quand il s'agit d'aliénés
chroniques
, valides au point de vue physique, sont inappli
ajouter aussi les épisodes aigus qui surviennent au cours des états
chroniques
(paralysie géné- rale, démences, délires systém
n de ces psychoses par la mort, la démence ou le passage à l'état
chronique
. Il permet en outre de restreindre l'emploi des
lement chez tous les aliénés entrants, mais encore chez les malades
chroniques
présentant des manifestations aiguës. La même a
itement par le lit est indiqué chez les aliénes agités 1' (aigus et
chroniques
), dans la démence aiguë, la stupeur.^a dépressi
assistance familiale pour les convalescents, les intermittents, les
chroniques
et les incurables. L'alitement consacrera ain
de l'estomac et cancer secondaire du foie. Autopsie : encéphalite
chronique
interstitielle avec adhérences mé- ningées loca
llucination motrice verbale aussi bien décrite que chez le délirant
chronique
qui a conservé toute sa lucidité d'esprit. Nous
issaud décrivait à côté de la chorée mineure et à côté de la chorée
chronique
progressive héréditaire un type nou- veau de ch
e de Sydenham, la seconde est une forme de transition, une chorée
chronique
non progressive de Ziehen. (Revue neurologique,
aine. Urines normales. Appétit et sommeil bons. Aucune intoxication
chronique
; ni syphilis, ni tuberculose. Aucun traumatisme
ibre, la vessie s'évacue. P. KERAYAL. LXVI. Méningite ventriculaire
chronique
des adultes. Mort subite ; par Bresler. (Nczcaô
r trouble de la pie-mère à la base. L'auteur pense que l'alcoolisme
chronique
a provoqué les lésions REVUE DE ^PATHOLOGIE NER
égénérative complèle chez une personne saine sauf une otite moyenne
chronique
du côté gauche, la tuméfaction de ganglions du
tats maniaque et mélancolique) et les épisodes aigus des affections
chroniques
(paralysie générale, lésions cérébrales en foye
ysie générale, lésions cérébrales en foyers, délires systéma- tisés
chroniques
). Comme résultat, s'il ne parait pas absolument
des physiques, l'assistance familiale et la coloni- sation pour les
chroniques
, les intermittents et les convalescents. M. Doo
ction aiguë du cerveau, mais en supposant même que c'eût été un fou
chronique
il n'était pas humain de le conduire dans un tel
on hypnotique et d'autres mé- dicaments dans le traitement de l'-
chronique
, par de 13echterew, 228. L' - avant l'alcool, p
r acuité visuelle inférieure à un demi de l'oeil droit et bronchite
chronique
. Il s'embarque alors pour Al- ger, où il ne tro
voûte du palais en ogive. Bien qu'il eût été réformé pour bronchite
chronique
, Cing... fut trouvé d'une constitu- tion robust
e crime et surtout avec crimes de violence commis par les maniaques
chroniques
, les per- sécutés dangereux, les imbéciles irre
suivants : les trois réflexes sont, au cours de la périencéphalite
chronique
plus souvent -anormaux que normaux. Ils sont, à
ibliographie existante. I. Troubles somatiques généraux. - Catarrhe
chronique
des mu- queuses, bronchite opiniâtre, parfois a
atre seulement incu- rables ayant abouti à un délire hallucinatoire
chronique
, non sys- tématisé, à un délire systématisé chr
allucinatoire chronique, non sys- tématisé, à un délire systématisé
chronique
provoqué et entretenu par des hallucinations; à
ovoqué et entretenu par des hallucinations; à un délire systématisé
chronique
de persé- cution et de grandeur. Observations
u des adultes ; ils étaients atteints, pour la plupart, de maladies
chroniques
et avaient été soumis sans succès, antérieureme
système ner- veux, 10 ont été améliorés (3 hémiplégies, 3 myélites
chroniques
, une sclérose en plaques, 3 tabes). Le traiteme
12 traités); il signale aussi la guérison de deux cas d'alcoolisme
chronique
, d'un cas de morphinomanie et d'une psychose co
même, par cette méthode, la guérison d'un grand nombre d'affections
chroniques
contre lesquelles, les traite- ments ordinaires
rcot, Huet et Jolly font rentrer cette affection dans les « chorées
chroniques
» ; les antres avec Lannois, .\Ioebius et Wolle
que si l'on fait rentrer dans cette rubrique tous les cas de chorée
chronique
, le tableau symp- tomatologique sera singulière
nir au type primitif et ne pas se perdre dans le dédale des chorées
chroniques
. En déblayant ainsi le terrain de tout ce qui l
endance au suicide. Le travail fondamental de Iluet sur la Chorée
chronique
est de 1889. On y trouve 58 observations person
reves insisté spécialement sur la tendance au suicide dans la forme
chronique
de la chorée. Il n'en est pas moins vrai qu'il
s auteurs qui affirment la fréquence du suicide chez les choréiques
chroniques
en trouvent l'explica- tion dans l'accès de mél
maladies qui relèveraient toutes deux d'une méningo-encéphalique
chronique
, avec réduction des fibres tangentielles de l'éco
le supportait avec rési- gnation. Ce cas peut être dénommé « chorée
chronique
», mais on ne saurait le faire rentrer dans le
é que la paralysie générale peut être l'aboutissant de l'alcoolisme
chronique
. Nous n'avons pas voulu dans ce travail étudier
TIQUE. ICI L corticales, et que l'aboutissement de cette irritation
chronique
soit une explosion nerveuse analogue à la décha
ellule nerveuse exige en effet que, tout au moins dans un processus
chronique
, l'hypéresthésie précède l'irritation directe,
à la suite des fièvres infectieuses. Sa fréquence dans l'alcoolisme
chronique
, ses relations très nettes d'hérédité et de sympt
visée en une d'incidents psychopathiques, à la période aigué et une
chronique
suite desquels peut survenir de qui dure toute
le de se modeler sur Dun-sur-Auron et de n'y placer que des aliénés
chroniques
ou inoffensifs et aussi des déments séniles pou
ive et non qualificative : 1° on l'observe dans les intoxica- tions
chroniques
et subaiguës par l'arsenic, l'alcool, le sul- f
mploi préféré du couteau ou de la hache par les délirants religieux
chroniques
, l'arme blanche étant celle à laquelle les livr
fections mentales, accompagnées de désordres encéphaliques aigus ou
chroniques
, avec processus secondaires d'atrophie, de ramo
i- gine hystérique. G. D. XI. Diagnostic de la paralysie bulbaire
chronique
progressive ; par W. IoSEE. (Médical Record, 25
lyurie et de grand diabète dans la phtisie 346 SOCIÉTÉS SAVANTES.
chronique
tout à fait analogues à celui de M. Klippel. M. S
cas de folie aiguë et récente, plus graves que ceux de l'aliénation
chronique
, et ceux de paralysie générale presque toujours
ismes miliaires de la rétine et du cerveau dans un cas d'alcoolisme
chronique
. Compte rendu de la Société de Biologie, t. I,
- que chez les persécutés non alcooliques ou persécutés déli- rants
chroniques
, l'excitation ou l'hallucination d'un des sens
'abord de son délire mystique, rare en général chez les alcooliques
chroniques
, surtout quand ce délire prend, comme chez notr
présente sous deux formes : 1° une forme subaiguë passant à l'état
chronique
ordinaire ou tabes confirmé qui, à rai- son du
ence du délire et de la folie. Le délire de la jalousie est aigu ou
chronique
. S'il est aigu, il a pour cause l'ivresse ; il
ntes de délire aigu se répètent, elles peuvent pro- duire un délire
chronique
. Ce dernier évolue très lentement et per- siste
calisés, gommes syphilitiques, traumatismes, etc. ; 2° al- coolisme
chronique
, syphilis en tant que virus, saturnisme, etc.,
ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE. Observation de chorée
chronique
héréditaire d'Huntington, examen histologique ;
mouvement. La sensibilité est intacte dans tous ses modes. CHORÉE
CHRONIQUE
HÉRÉDITAIRE D'HUNTINGTON. 467 Î Ce malade a tou
a donner sans trop d'hésitations, probablement parce que cet CHORÉE
CHRONIQUE
HÉRÉDITAIRE D'HUNTINGTON. 469 acte est assez co
dante droite. Le nombre des cellules pyramidales parait sen- CHORÉE
CHRONIQUE
HÉRÉDITAIRE D'HUNTINGTON. 471 siblement réduit
Elle est la représentation exacte du champ microscopique. CHORÉE
CHRONIQUE
HÉRÉDITAIRE lHU ? TINGTO-.1. 473 na les cellule
par places, retenu l'acide osmique, mais en aucun point nous CHORÉE
CHRONIQUE
HÉRÉDITAIRE D'HUNTINGTON. 475 ne trouvons la fr
on observe ces phénomènes, sont en général des délirants persécutés
chroniques
, des dégénérés. Chez les uns comme chez les aut
connais- sance de l'anatomie pathologique des maladies nerveuses
chroniques
de l'enfance. Sommaire. Père rien d'anormal. -
ien d'anormal. - Grand-père paternel coléreux, atteint de bronchite
chronique
. - Grand'mère paternelle, migrai- netcse. - Cou
ans, ne fait pas d'excès de boisson ; il est atteint de bronchite
chronique
et sujet à de violentes colères. Sa mère, soixant
'elle, comme la parésie, le tabès, l'ataxie héréditaire, la myélile
chronique
ou la sclérose disséminée. Se basant sur l'anal
place pour cette affection dans quelque forme de tabès, de myélite
chronique
, ou de sclérose disséminée. L'existence d'une a
elquefois marche rapide et fatale (type malin) ; quelquefois marche
chronique
(hydrocéphalie chronique acquise) ; d'autres fo
t fatale (type malin) ; quelquefois marche chronique (hydrocéphalie
chronique
acquise) ; d'autres fois, guérison et rechute (
a marche ultérieure favorable et par la ponction lombaire. La forme
chronique
; prend quelquefois les symptômes de tumeur cér
à l'appui de l'hypothèse du Dr Pitres. R. C. XLI. Le trophoedème
chronique
héréditaire ; par H. hIEIGE. (Nouv. Iconogr. de
t sur 4 générations d'une même famille et présentant 8 cas d'oedème
chronique
(ces cas n'étant imputables à aucune des affec-
'oedème) parais- sent démontrer l'existence d'un oedème héréditaire
chronique
, blanc, dur et indolore, qui doit être considér
Des troubles psychiques dans la- dégénéiative, par La- dame, 97.
chronique
hérédi- taire de Huntington, par Kéraval et R
sensibilité du système pileux, par de Bechterew, 159. Tnoettoenéw
chronique
héréditaire, par illelge, 512. Troubles nerve
re et muscle ciliaire). R. C. VII. Une observation de trophoedème
chronique
héréditaire ; par LAN.-401S. (Nouv. Iconogr. de
e complète et rapport de M. Bechterew. C'est un délire systématique
chronique
originel. P : 11ERAV.aL. VII. Rôle de la sugg
ections, il est possible de faire le départ entre aigus curables et
chroniques
; les premiers restent jusqu'à guérison à la sec
ingt-cinq malades aigus et affaiblis, et pour quarante et cinquante
chroniques
tranquilles. En résumé, l'auteur voudrait : 1 Q
presque égales, l'une pour les cas aigus, et l'autre pour les cas
chroniques
, est passible de diverses objections ; « 3° Le
lication nouvelle de la méthode de l'élongation trophique. L'ulcère
chronique
de jambe. M. CHIPAULT. Je vous ai exposé, il y
al perforant. Elle en donne de non moins intéressants dans l'ulcère
chronique
de jambe, variqueux ou non, dont trente cas ont
Verlag von .1.-F. Bergmann. , RAÏCHLINE (de Paris). Le priapisme
chronique
nocturne (Etude cli- nique). In-8° de 31 pages.
1895.) 1 Avramoff. Contribution ù l'élude des affections nerveuses
chroniques
consécutives aux inloxicalions aiguës. (Th. de
Ylswa'rscmvvhi. (06oréraié psichiatrii, III, 1898.) Si le délirant
chronique
est le jouet de l'hallucination psycho- motrice
oduits anormaux de la nutrition, troublée par l'infection paludique
chronique
. On sait du reste combien cette infection est a
't't, IV, 1899). Il's'agit d'un homme de vingt-huit ans, alcoolique
chronique
, qui, revenant de ses occupations, le 20 octobr
de le différencier des autres suicides. L'intoxication alcoolique^
chronique
pro- voque des troubles généraux des fonctions
us, et la chorée- a été remarquable en ce qu'elle n'est pas devenue
chronique
. Il résulte de ceci qu'on n'est pas fondé à bas
énérale, la surdité aux mots et l'aphasie amnésique, dans la ,manie
chronique
, la démence, etc. Nerf ph7,éizo-glosso pharyngé :
ns les deux cas un guide de valeur. Il y a peu de maladies spinales
chroniques
qui suivent la marche lente de ces tumeurs spin
ux asiles dont un asile de traitement (358 malades), et un asile de
chroniques
(650 malades). Le nombre des admissions à l'asi
a vésanie alors même que celle-ci est ancienne et pour ainsi dire
chronique
. Il y a là un exemple de l'action dérivative exer
ament, tandis que de tous les aliénés soumis à son action (délirant
chronique
, hydochon- driaque, mélancolique, circulaire) u
considérer celles qui sont secondaires à des infections (aiguës ou
chroniques
), et celles qui sont secon- daires à des poison
les névrites périphériques motrices, et les poliomyélites aiguës ou
chroniques
, les déformations soient dues à une hypertonici
de quelques professions insalubres sur la production des maladies
chroniques
du système nerveux chez les enfants (idioties, ép
grand soin de relever toutes les causes des maladies nerveuses et
chroniques
de l'enfance qui produisent les différentes forme
héréditaire. Sur 2.702 observations de garçons atteints de maladies
chroniques
du système nerveux, nous n'avons relevé la syph
équences de l'alcoolisme sous une série de formes : 1° l'alcoolisme
chronique
du père ou de la mère, ou des deux; - 2° l'alco
oup de médecins n'ont qu'une con- naissance imparfaite des maladies
chroniques
du système nerveux chez les enfants. D'où leur
our les enfants atteints de méningites ou de méningo-encé- phalites
chroniques
. Si cette communication peut apporter la convic
erver des attitudes cataleptiques dans l'urémie délirante, aiguë ou
chronique
. Il était donc naturel de penser que la Cataton
n abdominale aiguë est passée, les vomissements subsistent à l'état
chronique
; ils se maintiennent en vertu d'une sorte d'ha
égard. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS. Méningo-encéphalite diffuse
chronique
du côté gau- che, avec oblitération de la cavit
ammes, rein gauche 160 grammes. . La rnéningo-encéphalite diffuse
chronique
prédomine souvent sur l'un des deux hémisphères
e mélancolie suive une marche définie avant de guérir ou de devenir
chronique
. Dans la période aiguë, on constate les symptôm
suite les caractères spéciaux des malades chez lesquels l'épilepsie
chronique
a finalement déterminé une folie qui aboutit à
ncial. Le transfèrement peut avoir lieu plus tôt s'il s'agit de cas
chroniques
. Pour des villes plus con- sidérables, M. Sioli
rs d'habitude ; dans 60 p. 100 des cas on a constaté l'alcoolisme
chronique
. Le plus souvent l'alcoolisme s'est développé sur
éréotypies du langage sont des réactions de défense. Une persécutée
chronique
et mégalo- mane= attache une certaine influence
' J. Séglas. Sociélé médico-psychologique (Discussion sur le délire
chronique
). Séances des 30 janvier et 27 février 1888. co
de délires systématisés secondaires, indiquant le passage à l'état
chronique
e t l'acheminement à une démence plus complète.
orps de l'homme ; car s'il est sujet à des maladies nom- breuses et
chroniques
, Dieu sait les guérir subitement et à l'im- pro
utres langues qu'il a en partie oubliées. Ce fait, qui défraye la
chronique
des gazettes des deux mondes, n'est pas diffici
uës : jamais, jusqu'à présent, on ne les a trouvées dans les formes
chroniques
, ni dans les observa- tions où l'agonie est seu
ir à distinguer anatomiquement les psychoses aiguës des psychoses
chroniques
, peut-être aussi les psychoses curables des psych
yloïdes qui se rencontrent dans quel- ques-unes des dégénérescences
chroniques
du cerveau. R. DE MUSGRAVE-GLAY. LXII. Angiom
plasme abondant, états qui sont communément asso- ciés à l'atrophie
chronique
du cerveau et à l'excès de liquide dans l'espac
t des calculs. La tête du pancréas était le siège d'une pancréatite
chronique
. Les foyers de suppuration du foie contenaient
Le traitement que l'auteur préconise contre les états vertigineux
chroniques
dépendant de l'oreille consiste dans l'applicatio
s maladies est-il essayé ? 2° L'avez-vous employé dans les troubles
chroniques
avec de bons résultats ? 3° Quel est le nombre
gnan rappelle que, dans certains cas, le diagnostic d'al- cooliques
chroniques
avec lésions méningitiques et de paralysie . gé
résulte que les troubles de l'activité, dans l'encéphalite diffuse
chronique
, peuvent porter sur les trois catégories d'acte
bien si l'on doit rapporter le syndrome mélancolie à une évolution
chronique
de processus tuberculeux dans les méninges, le
itre de curiosité, je veux cependant citer le cas d'une déli- rante
chronique
chez laquelle les troubles de la sensibilité géné
uelques pro- fessions insalubres sur la produc- tion des maladies
chroniques
du système nerveux chez les enfants, 1 par Bo
par 9lauxion, 69. El.0 ? CATIO ? trophique appliquée à l'ulcère
chronique
de la jambe, par Chipault, 50. Ec(rnALllJ; ai
sme et de , quelques -insalubres sur la pro- dnction des maladies
chroniques
du système nerveux chez les en- fants, par Bo
ATIO'Ç de Sainte-Thé- rèse d'Avila, par Lemesle, 67. TROPHOEDlhlE
chronique
héréditaire, par Lannois, 40. Tuberculose. Ra
server dès leur début des lésions spinales qui évoluent sur le mode
chronique
. Et même lorsque les malades ont présenté depui
ères analogues sinon iden- tiques dans le premier stade des lésions
chroniques
et irrépa- rablement destructives. Les différ
arent ce mode de destruction aiguë de la première phase des lésions
chroniques
consistent surtout en ce que, dans les lésions
l est par un étroit cercle de myéline. Mais dans le début de l'état
chronique
on peut voir aussi cette tuméfaction bien qu'à
sion prise dans son début offre de frappantes analogies avec l'état
chronique
. C'est pourquoi on est en définitive autorisé à
cher les lésions que nous avons rencontrées au début des processus
chroniques
de celles qui ont été décrites par d'autres aut
IE NERVEUSE. XI. Paralysie laryngée dans LES affections NERVEUSES
CHRONIQUES
; par W. PER11ENAN. L'auteur conclut à la fréque
manie aiguë, de manie récurrente ou épileptique et dans la manie
chronique
et la mélancolie agitée. A. AI. II. Tumeur sous
e les tentatives d'exploration chirurgicale proposées pour la folie
chronique
proprement dite sans lésions ni localisation ét
ne sont REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 73 pas très communs. La méningite
chronique
et l'encéphalite jouent d'ordinaire un rôle imp
plus prononcées à gauche, intéressant l'oreille moyenne (catarrhe
chronique
de la caisse du tympan, avec ramollissement de la
y pas intérêt à les séparer. Ainsi vous vous rappelez un alcoolique
chronique
atteint de névrite périphérique, que je vous pr
des altérations du lobe temporal coïncidant avec des hallucinations
chroniques
de l'ouïe, ce qui conduirait à penser que les l
des ramollissements corticaux ou sous-corticaux, des ménin- gites
chroniques
, des tumeurs cérébrales, et s'observerait commu
c'est surtout sous l'influence de certaines intoxications aiguës ou
chroniques
, et en particulier de l'alcoo- lisme prolongé q
un certain degré de prédis- position héréditaire, mais l'alcoolisme
chronique
et invétéré est évidemment le facteur morbide p
ondent exactement à ce qu'on observe en général dans l'al- coolisme
chronique
avec démence. Elles portent sur les cellules, l
Mais de plus on rencontre par place un processus de con- gestion
chronique
avec dilatation des vaisseaux, pigmentation ocr
bien réellement le résultat d'un état d'alié- nation mentale aigu,
chronique
ou périodique; 3° la combinaison de la dépravat
urs sans trop se préoccuper de la mesure ou de l'air. Dans la manie
chronique
, le, sens musical est mieux conservé, et c'est
entité morbide, une maladie type dont la marche est le plus souvent
chronique
. Tous les malades de M. Thomsen, sauf un, avaie
n ordinaire : cette affection se rencontre surtout chez les malades
chroniques
el doit par conséquent être regardée comme 148
ième assistant s'occupe des deux pavillons de pension- naires et de
chroniques
. Voici quel est l'emploi du temps : à 7 heures
onna les résultats sui- vants : Cavité crazziezrze : Leptoméningite
chronique
très nette. La substance du cerveau est oedémat
tique, à la folie sénile, à la manie aiguë (puerpérale), à la manie
chronique
, à la folie avec hallucination de fouie, à la d
iblissement mental qui peut se terminer par la guérison, la démence
chronique
ou la mort. Exceptionnellement, la conscience p
généralisée. L'étude des reins, presque toujours altérés (néphrite
chronique
interstitielle, avec rein plus ou moins contrac
ible de méconnaître que certaines aber- rations mentales, aiguës ou
chroniques
, peuvent être provoquées REVUE D'ANATOMIE ET DE
ur les cas diagnostiqués curables. Le reste de l'asile, sections de
chroniques
et de classement, asile-ferme, place- ments fam
isé; c'est le dédoublement dans le même asile des services aigus et
chroniques
, dédouble- ment réclamé par Esquirol en 1817 et
s autres variété ? de chorée par les caractères suivants : elle est
chronique
et progressive, sans tendance à la guérison, ma
remarquer qu'on désigne souvent sous les noms de paralysie bulbaire
chronique
ou aiguë et pseudoparalysie bulbaire, des étals
'il serait plus juste de les désigner sous le nom de méningomyélite
chronique
. Lrvor.r.. LV. UN CS DE paralysie isolée trauma
s d'agitation et démence. Elle est morte dans le marasme d'entérite
chronique
. - Autopsie avecétude microscopique. Conclusion
malades frappées deces affections, 98 étaient des maniaques aiguës,
chroniques
ou démentes, dont 61 ont été améliorées mentale
e maniaque, était en réalité, comme nous le verrons, une maniaque
chronique
; l'autre était atteinte d'un accès de manie aig
u toutes les apparences de la démence maniaque. En résumé : manie
chronique
avec réactions très violentes (présentant l'app
la disparition complète de l'état maniaque, qu'il s'agisse de manie
chronique
ou de manie aiguë. Cette dispa- rition se produ
LES rapports DE la paralysie générale DES aliénés ET DES affections
chroniques
DES reins ; par Hubert C. BRISTOWE. (The Journa
is d'idées absurdes de grandeur. Ils n'aboutissent jamais au délire
chronique
. Suivant leurs tendances, on pourrait les divis
plus active et une marche notablement plus rapide. Les formes très
chroniques
sont rares chez le noir, et la forme miliaire e
ne maladie spécifique, mais bien une variété clinique d'encéphalite
chronique
diffuse intersti- tielle corticale. J'admets qu
epsie, 4 cas; démence organique, folie avec hallucinations et manie
chronique
, de chaque, 2 cas ; manie aigué, 1 cas. Il est
contribution A l'étude DES rapports qui existent ENTRE LES maladies
chroniques
DU rein ET la paralysie générale DES aliénés; p
V111. Ondulations musculaires dans UN cas DE sciatique DILATÉ- RALE
chronique
; par J. HOFFMANN. (Neurolog. Centralbl., XIV, 1
e la circulation cérébrale liés à des altérations locales (artérite
chronique
) ; 3° L'aedènle histologique du cerveau ; 4°
ronique) ; 3° L'aedènle histologique du cerveau ; 4° La méningite
chronique
localisée au niveau des zônes motrices cortical
Anglete7,i,e est ajournée; 2° M. limucc6ra. Sur un cas de paralysie
chronique
des muscles de l'oeil (avec présentation de pré
ble mais non démontrée. Autopsie : athérome de l'aorte, endocardite
chronique
, leptoméningite chronique, dila- tation des ven
topsie : athérome de l'aorte, endocardite chronique, leptoméningite
chronique
, dila- tation des ventricules cérébraux, dégéné
mais des accès de colère suivis de pleurs. [Père mort de bronchite
chronique
; nombreux excès de boisson. Mère, soeur du gra
d'individus ordi- nairement d'esprit faible ou atteints de délires
chroniques
; il y a au contraire des individus très valide
fférents types de myopathie essentielle; enfin un cas de méningisme
chronique
simulant la méningite tuberculeuse chez un adulte
ronda, 482. Laryngée. Paralysie - dans les aflec- tions nerveuses
chroniques
, par Permewan, 48. LATAII. Névrose observée d
titétanique; le Dr Blanc (d'Aix-les-Bains) (8) a vu un rhuma- tisme
chronique
très amélioré par une injection de sérum antidiph
127. (6) Vinrent, loc. cil. (7) J. TEissi«n et Roque, Rhumatisme
chronique
. In Traité de médecine et de théra- peutique de
tout la diaphyse de l'os : ne s'agirait-il pas plutôt de rhumatisme
chronique
que d'ostéite déformante à type pagétique, dans
agétique de 66 ans à l'autopsie de laquelle on a trouvé une myélite
chronique
; Pic (7) relate, dans son cas,certaines manifes
cis, rappellent celles qui ont été observées au cours du rhumatisme
chronique
. On sait en effet qu'au cours de cette affection
ndaires aux troubles articulaires. « Il est certain qu'une arthrite
chronique
, quelle que soit son origine, rhu- matismale, t
ite relatées par Touche (6) ne sont donc pas la cause du rhumatisme
chronique
, pas plus que des altérations diffuses de légèr
son, à la cause (1) M. KLIPPEL, Des accidents nerveux du rhumatisme
chronique
et de la goutte. Ann. médico-chirurg., 1885, n°
1885, n° 6. (2) Cousin, De quelques symptômes communs au rhumatisme
chronique
el aux affections nerveuses. Thèse de Paris, 18
malades, ainsi que la sclérose cardiaque, l'emphysème, la bronchite
chronique
, des troubles de la vision, déroute, de la fonc
ério-sclérose que l'on a voulu autrefois l'identifier au rhumatisme
chronique
. La constatation fréquente, chez les pagétiques
onstatation fré- quente de ces mêmes troubles chez les rhumatisants
chroniques
, a pro- voquél'éclosioii de l'ancienne théorie
ordons postérieurs de la moelle. Lésions de méningite posté- rieure
chronique
. Gros cour, Insuffisance aortique. Aortite. E
n" 21, 1907, 25 mai. 6. IIERTOGIIE. - De l'hypolhijroidie bénigne,
chronique
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, ils9
raphie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XII POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
CERVICALE (Berlololfi) . POLIOMYÉLITE ANTÉRIE
RIEURE CHRONIQUE CERVICALE (Berlololfi) . POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
DE LA MOELLE CERVICALE - ATTEINTE BILATÉRALE
rythénoïdes et crico-arythénoïdes latéraux. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
45 gêné soit par le réflexe pharyngien très vif
a rigidité peut demeurer à moitié chemin. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
47 La colonne vertébrale présente une cyphose d
ie et de radiologie de Lille, 1908, ne 4. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
49 lever plus haut. De même le mouvement d'addu
t brachial a donné les résultats suivants : POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
51 Ce dernier muscle peu excitable avec le cour
lienne du Pro- fesseur A. d'Antona, p. I. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
53 cas a irait à un vieux- qui présentait la mê
l nous reste à choisir entre la polyomyélite antérieure subaiguë ou
chronique
et la sclérose latérale amyotrophiqae. Chez not
t bien loin de ressembler au type Aran-Duclienne de la polyomyélite
chronique
ou la topographie radiculaire de l'atrophie début
x muscles des épaules. Généralement dans la polyomyélite antérieure
chronique
, le chef claviculaire du trapèze persiste le de
de IJnouARDEL et GILnmn, t. IX, p. 726. i POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
55 Or cette colonne de substance grise qui s'ét
ont élé antérieurs. Parmi les causes écologiques de la polyomyélite
chronique
, déjà Aran Duchenne avait placé le surmenage :
e cas de Vulpian (1) qui en 1869 a décrit une forme de polyomyélite
chronique
à début scapulo-humél'al, G ans après Pierret et
9 (3), dans un travail d'ensemble, décrivit deux cas depolyomyélite
chronique
à début scapulo-homéral avec symptômes bulbaires,
el est l'étal actuel de cette question. * POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
59 Sur l'innervation du nerf spinal ont été émi
d., 61 Heft., 1894, p. 473. (3) Loe. cet. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
61 Il existait un souffle systolique sur la poi
l'histoire clinique d'un malade atteint de poliomyélite antérieure
chronique
, qui avait débuté par les petits muscles de la ma
dans le soutien de la colonne cervicale. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
63 Toutefois, comme il. a été bien démontré par
t la descente de la mâchoire 64 BERTOLOTTI. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE
CHRONIQUE
inférieure ne pouvait se faire qu'après la supp
ées. Nors- trôm,Hugon rencontrent à leur tour des foyers de myosite
chronique
dans les muscles atteints, A. Pick, dans plusie
s comment distinguer, le masque imprimé par la mélancolie, psychose
chronique
, de la mi- mique exprimant une tristesse immens
ants, qui ne sont pas des hystériques, délirants aigus ou délirants
chroniques
, grands intoxiqués ou grands maniaques, auraien
115 ses artères sont souples. Pas de tabagisme. Aucune intoxication
chronique
; pas de signes ou de symptômes de pellagre. D
manifestations éloignerait la supposition d'une maladie infectieuse
chronique
, telle que la syphilis, la tuberculose, etc., e
nalé l'importance des intoxications, mal' de Bright, empoisonnement
chronique
par le plomb, la morphine, etc., à l'origine de
es se déclarè- rent alors, et il est mort de tuberculose pulmonaire
chronique
en 1905. Il n'y avait dans ses antécédents, ni
extensive et progressive qui caractérise le rhumatisme articulaire
chronique
. En général, dans la maladie de Paget il s'agitse
présentait aucune autre lésion pouvant être rapportée au rhumatisme
chronique
et arrivent à la conclusion que l'existence des n
ur la parenté qui existe entre la maladie de Paget et le rhumatisme
chronique
. Les rapports de l'ostéite déformante et du rhu
éréditaireou familiale (cas de Milroy, (1) H. Meige, Le trophoedème
chronique
héréditaire. Nouv. Iconographie de la Sal- pêtr
. Berlin, 1891. (5) Hertoghe, Contribution à l'étude du trophoedème
chronique
. Nouv. Iconographie de la Salpêtrière, ne 6, p.
. Soc. de neu- rol., 13 mars 1902. (8) Courtellemont, Trophoedème
chronique
, variété congénitale unique. Soc. de neu- rol.,
hmdème. Soc. de neurol., 5 nov.1908. (11) Vsu. et Pentu, Trophmdème
chronique
non congénital du membre inférieur droit chez u
1 déc. 1903. (5) C. Parhon et S. FLORIAN, Sur un cas de trophcedème
chronique
. Nouv. Iconogra- phie de la Salpêtrière, 1907,
des Hop.de Paris,29 juillet 1907. (11) G. Etienne, Des trophoedèmes
chroniques
d'origine traumatique, Nouv. Iconogr. de la Sal
uts du tuyau au moyen d'une pince de bois. » S'il s'agit de myosite
chronique
, de sclérose musculaire (Vigouroux), ou de syno
: elle se manifeste tout particulièrement au cours d'intoxications
chroniques
, telles que celle produite par le plomb par exemp
autre. Cette conception a pour base en premier lieu l'étude des cas
chroniques
de la maladie (ils mériteraient, d'ailleurs, d'
cider si ces douleurs sont dues à une ménin- gite tendant à devenir
chronique
ou à une névrite périphérique. En gé- néral, on
différentiel entre une méningite qui a quelque ten- dance à devenir
chronique
et une névrite périphérique. Chez ce malade les
nous permet de-conclure avec vraisemblance qu'une méningite un peu
chronique
en était la cause. De même, la diminution progres
douleurs persistantes, d'une méningite localisée qui tend à devenir
chronique
, ayant peut-être atteint également quelques racin
ités cutanées circonscrites » (Brocq). La plupart des altérations
chroniques
et localisées de la peau apparues au cours du d
us que la différence qui sépare une affection aiguë d'une affection
chronique
. A la lueur de cette notion infectieuse, on ess
le diagnostic suivant : mé71>7go-céplta- lile et méningo-myélite
chronique
diffuse interstitielle ; atrophie des racines d
ère, surtout des racines postérieures ; pachyméllingite cer- vicale
chronique
hypertrophique, Les lésions trouvées dans le ce
une dégénéres- cence atrophique. On peut admettre une inflammation
chronique
de la pie-mère au niveau de la région dorsale d
vertèbres ; les lésions articulaires, comme t'hydarthrose aiguë ou
chronique
ou l'arthrite gommeuse,manquent également. Etan
kylose coslo- vertébrale. Cela est prouvé par des cas de rhumatisme
chronique
verté- bral (Teissier, Raymond et Babonneix), a
late, etc. Les méthodes pour traiter les malades pendant les phases
chroniques
, traitements électriques, bain, massage, etc.,
brillaires. Dans notre cas il ne peut pas s'agir d'une poliomyélite
chronique
, soit en considérant la marche, soit parce que
ne sont pas atteints. La marche de la maladie dans notre cas a été
chronique
,progressive,comme dans l'atrophie du type Aran
vaniques). On sait que quelques auteurs considèrent la poliomyélite
chronique
comme une entité morbide différente de l'atroph
nt par les excès d'alcool du père s'est uni un processus infectieux
chronique
tuberculeux, dont les substances toxiques doive
cy, 1891. DERNIIEIM. - Poliomyélites antérieures aiguë, subaiguë et
chronique
de l'aaultll greffée sur la paralysie infantile
de médecine de Charcot-Bris- saud, t. IX, p. 620. Rossi. Reprises
chroniques
de polyomyélite aiguë de l'enfance avec apparence
PEL et Pierre- Weil, 473. Nerfs crâniens (Poliomyélite antérieure
chronique
. Atteinte des noyaux bulbaires ci médullaires d
sur la - ), par Petren et EnnEXBERG, 372, 546, 661. antérieure
chronique
. Atteinte des noyaux bulbaires el médullaires d
élite aiguë (Petren et Ehrenberg), XLII1. Poliomyélite antérieure
chronique
cervi- cale (BERTOLOTTII, XII. Polynévrite gr
s. L'intelligence est intacte, la malade s'est accoutumée à son mal
chronique
. Les principaux troubles se trouvent sur la par
s d'accès d'épuisement variable, mais bien d'une paralysie à l'état
chronique
invariable, datant de douze ans. Les symptômes
que Nissl attribue aux cellules altérées par un processus prolongé
chronique
; le corps cellulaire et les prolongements sont
évolution pathologique aiguë ou récente ou à un processus ancien ou
chronique
qui peut-être se succè- dent l'un il l'autre. I
R L'ÉTAT ATROPIIIQUE DE LA MOELLE ÉPIN1ÈRE DANS LA SYPHILIS SPINALE
CHRONIQUE
PAR E. LONG et B. WIKI (de Genève). (Dessin
lysie spinale syphilitique : une forme à début brusque et une forme
chronique
d'emblée et à marche généralement progressive. Ce
un abcès par con- ° gestion. A une période plus avancée de la forme
chronique
, si les locali- sations vasculaires de la syphi
n aperçoit pas. Le 15 novembre 1899, le malade passe à Laënnec, aux
Chroniques
, dans le service du Dr Rénon, qui, après examen
à faire. » En avril 1900, G... passe à Laënnec, dans le service de
Chroniques
de l'un de nous, qui l'ayant déjà observé à l'H
e lésions traumatiques, toxiques ou infectieuses des nerfs au stade
chronique
de la paralysie vaso-motrice, c'est-à-dire une hy
en- traînés à l'extension, et dès lors prédisposés à la rétraction
chronique
. GO Neurones de l'accommodation. Il parait ex
tion française, il fut donné en 1801 au musée de Nancy. Une vieille
chronique
, trouvée par M. Michel à la bibliothèque de Man
et qui venait d'être enterrée dans ladite église de la Trinité. La
chronique
ajoute que le tableau de la transfiguration fut t
ctionnement cérébral. Il est logique de supposer que l'hypertension
chronique
du liquide périencéphalo-médullaire aurait pour
reux, et souvent si caractéristiques, des encéphalopathies toxiques
chroniques
d'origine interne, dont la lente évolution, entre
effets présentent avec ceux de certaines intoxica- tions cérébrales
chroniques
des analogies indiscutables. . (1) JACCOUD, Art
imputables à la tumeur. Les auteurs se demandent si la mé- ningite
chronique
diffuse constatée dans leur cas s'est développée
ue toutes les autres. » En invoquant, pour expli- quer la méningite
chronique
diffuse, non plus un travail inflammatoire suba
cervelet depuis trente ans, on peut concevoir la méningite diffuse
chronique
comme une réaction naturelle à cette imprégnation
esque toujours, dans ces cas, on observe des lésions inflammatoires
chroniques
ou subaiguës, parakystiques, qui traduisent la
et fibrillaires, avec un maximum de lésions méningitiques diffuses,
chroniques
et subaiguës : les vaisseaux présentaient des alt
- Observation de M. Joffroy et Gombault, Congrès 1900. Méningite
chronique
progressive ou adhésive avec symptômes psychiques
t-on. - Mais ce qui l'autorise, c'est que nous trouvons des lésions
chroniques
de vaisseaux. Cette lésion seule ne pouvait pas
). C'est à ces cas qu'il convient de réserver le nom de trophoedème
chronique
. * · . .. x Le trophoedème chronique peut e
er le nom de trophoedème chronique. * · . .. x Le trophoedème
chronique
peut exister comme manifestation isolée, frap-
tions publiées anté- rieurement sous les noms d'cedèane rhumatismal
chronique
(Desnos), pseudo-éléphantiasis neuro-arthritiqu
), mY,1Joedème localisé, éléphantiasis nostras, etc. Le trophoedème
chronique
se présente aussi comme une dystrophie héré- di
oncevoir l'existence d'une dystrophie spéciale : le troltlacedèrrte
chronique
, caracté- risé par un oedème blanc, du ? indolo
tions, ce qui permet de croire que dans certains cas le trophoedème
chronique
peul être la résultante d'une série d'oedèmes a
rallèles à la dystrophie musculaire pro- gressive. Le trophoedème
chronique
, dystrophie oedémateuse, offre en effet, plus d
s centres trophiques des muscles, on doit considérer le trophoedème
chronique
comme la consé- quence d'une altération des cen
cas de Vidal (de Lyon), ou musculaires. D'ailleurs, le trophoedème
chronique
peut être rapproché, sans perdre pour cela ses
ement et à la nutrition du tissu cellulo-cutané. Le lropltoedt;me
chronique
frappe-t-il uniquement les membres infé- rieurs
res réalisée par tous ces processus destructifs, aigus, subaigus ou
chroniques
, qui donnent lieu à autant de variétés clini- q
nissant les faits qu'il a observés sous le nom de T/'ophoedèll ! /J
chronique
héréditaire, dénomination qui ne préjuge rien au
ageaient le même lit. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE . DU THOPHOEDÈl\1E
CHRONIQUE
, PAR R M. HERTOGHE (d'Anvers). Des travaux
éditaire du mal. Nous publions aujourd'hui trois cas de trophoedème
chronique
. Fidèle à la règle que nous nous sommes imposée
ncore. Il manque une canine. (1) Henuy MEME, Le t>·opletedènae
chronique
héréditaire (Congrès des méd. neurol. et alién.
counoux, Ibid., 1899, n° G. LANOts, Une observation de t¡'ophoedème
chronique
héJ'ditail'e. Ibid., 1900, n 6. NOUV. ICONOGRAP
1) L. V. (Novemble 1900). L. Y. (Novembre 1901). TROPtIOEDËMI-;
CHRONIQUE
Ilertoghe (Observation ! ). I). Massox ET Cie
(Ohs 11.) (A. Thomas ) Masson & Cie, Editeurs TROPIIOEDÈME
chronique
497 Les testicules sont fortement rétractés.
toujours le cas chez les femmes atteintes d'hypothyroïdie bénigne v
chronique
. Actuellement les oreilles bourdonnent, des corps
nes excessives, la migraine cessant à la ménopause, la constipation
chronique
, la douleur hépatique, les dé- sordres urinaire
no- vembre 1883. A son arrivée, je notai l'existence d'une chorée
chronique
avec incapa- cité de se tenir debout, émotivité
qui étudie l'affection qui nous occupe sous le nom de « Trophoedème
chronique
héréditaire ». Cet auteur relate diver- ses obs
e, 1900). Dans notre observation, il s'agit bien d'un « Trophoedème
chronique
», avec cette différence toutefois qu'on ne le r
tériser la répartition de l'enflure. Il s'agit en somme d'un oedème
chronique
blanc, dur, indolore, à ré- partition segmentai
lon les cas, serait une affection héréditaire, familiale, aiguë ou
chronique
. DEUX CAS D'HÉMJl-JYPERTHOPHOE CONGÉNITALE DU
les viscères les lésions habituelles de la tuber- culose pulmonaire
chronique
, sans qu'il y ait de ce côté rien à noter de pa
r le), par Henry Meige (1 pl. en photocollogr.), 465. Trophoedème
chronique
(Contribution à l'é- tude du), par IlERTOGHn (3
l'état atiophique de la moelle épinière de la syphilis spi- nale
chronique
(21 fig.), 105. MAntLLE. Observation de trophoe
l'état atrophique de la moelle épinière dans la syphilis spinale
chronique
(21 fig.), 105. Zmamn.r A. Sur un cas de rachit
VIII à X. Trophoedème (Sur le) (Henry MEIGE), LXI. Trophoedème
chronique
(Contribution à l'étude du) lHRRTOGUE), LXIV à
amen histologique montrèrent qu'il s'agissait d'une méningo-myélite
chronique
non tuberculeuse. Ajoutons encore les compres
Teissier et Roque, dans leur bel article récent sur le « Rhumatisme
chronique
» (3), croient que dans certains cas le froid h
ingue la spondylose rhizomélique de toutes les formes du rhumatisme
chronique
. Comme le rhumatisme chronique vertébral ankylo
e de toutes les formes du rhumatisme chronique. Comme le rhumatisme
chronique
vertébral ankylosant a été récemment l'objet d'
899. (2) Léri, Revue de Médecine, 1899, p. 819. (3) Le rhumatisme
chronique
, par J. TEISSIER et Roque, in Traité de médecine
'identité des deux processus, spondylose rhizomélique et rhumatisme
chronique
: Sachs et Frankel, Schlesinger, Salrnoni, Ioll
ont voulu confondre dans une même description toutes les ankyloses
chroniques
du rachis, toutes les soi-disant a ostéo-arthrite
ntes ». La tendance à la confusion de tous les processus vertébraux
chroniques
se trouve nettement exprimée dans la toute récent
logique nous a démontré qu'il y a dans la pathologie des affections
chroniques
du rachis, comme de toutes les autres parties de
ge droite, linéaires, que l'on voit dans certains cas de rhumatisme
chronique
, ni les ankyloses à courbure angulaire ou brusque
ie, infectieuse, toxique ou diathésique, tels les rhumatismes, soit
chronique
, soit aiguë, ne frappe également toutes les art
colonne de cyphose hérédo-traumatique ou une colonne de rhumatisme
chronique
vertébral. Léri a étudié devant la Société médi
articulations des membres. Il y a donc dans le rhumatisme vertébral
chronique
un processus différent tant au point de vue ana
ait pas été opéré. Fig. a. Fig. b. Fig. a. Rhumatisme vertébral
chronique
avec ankylose complète (Collection du profes- s
ilis (Comparez avec la fig. 3, B de la planche). Fig. b. Rhumatisme
chronique
de la région cervicale (Pièce et cliché du proles
la sueur est quelquefois insupportable ; et il souffre d'un eczéma
chronique
. Voilà encore une autre association : - l'obési
ilis, de la tu- berculose et des autres infections à manifestations
chroniques
, ainsi que l'hérédité de l'alcoolisme et d'autr
vent pas toujours chez les malades atteints de maladies pulmonaires
chroniques
. Le très habile observateur Carl Gerhardt conna
és, symptômes très fréquents chez les malades atteints de pleurésie
chronique
, de tuberculose, de maladies de coeur, et de bron
taire dans la production de cette croissance anormale. 3° Cyanose
chronique
congénitale. L'augmentation de volume se limite e
1), d'un cas analogue, décrit par Péhu sous le titre d'acrocyanose
chronique
hypertrophiante. Vous pouvez facilement vous con-
ouvé de suffisantes que pour l'impor- (1) De l'hypothyroïdw bénigne
chronique
ou myxoedème fruste, Nouvelle Iconographie de l
e aussi dans les broncho- ectasies et d'autres maladies de poitrine
chroniques
? Or est-ce que la prédis- (1) Acromégalie frus
AT, Interne de l'asile d'Evreux. La question des oedèmes aigus et
chroniques
qui ne dépendent pas de lésions cardiaques ou r
i semble indiquer qu'il a. existé autrefois à leur niveau un oedème
chronique
aujourd'hui disparu. ' Le repos au lit prolongé
des vaso-moteurs analo - gué à celle qui se produit dans la gelure
chronique
, mais d'après ce qui a' été dit ici, la cause p
le sujet. G. Muller signale deux cas de « névrite interstitielle
chronique
» relatés par Zietschmann, avec formation de fi
nt les abcès encéphaliques consécutifs aux infec- tions pulmonaires
chroniques
. Les autres, celles de l'écorce, diffuses, de n
arie, la sclérose médullaire polyfas- ciculaire ou enfin la myosite
chronique
diffuse dont nous voulons exposer aujourd'hui l
e peuvent ressembler à la paraplégie par rétraction : le rhumatisme
chronique
fibreux, la sclérose médullaire polyfasciculair
ien certain que ces malades se rapprochent de certains rhumatisants
chroniques
ou encore de paraplégiques immobilisés depuis l
iner les cas où la terminaison fatale fut provoquée par une maladie
chronique
et cachec- tisante ; les altérations musculaire
le morbus climatericus, l'autre à allure traînante, essentiellement
chronique
, l'affaiblissement musculaire pro- gressif d'Em
légie par rétraction du vieillard des diverses formes de rhumatisme
chronique
avec déformation des muscles et principalement de
uisse être con- fondue, à un examen superficiel, avec le rhumatisme
chronique
, la litté- rature médicale en fourn i plusieurs
fférent suivant qu'on a affaire à un rhumatisme ou à la polymyosite
chronique
. Dans le premier cas le siège de la douleur est
t les mains sont atteints, fait qui manque toujours dans la myosite
chronique
. Nous ne pouvons insister sur les affections mu
ion peuvent se voir consécutivement aux arthropathies du rhumatisme
chronique
. - Chez les S sujets dont nous avons pu faire l
istait aucune lésion qui put faire penser au rhumatisme articulaire
chronique
. Ces modifications' s'expliquent d'ailleurs fac
ée et ne peut en être différenciée. Ces altérations essentiellement
chroniques
, car jamais on ne trouve d'infiltration embryonna
rocessus encéphalique ou médullaire et, d'autre part, du rhumatisme
chronique
avec lequel certains auteurs ont confondu la pa
rolongé de l'atrophie. Enfin au lieu d'un processus essentiellement
chronique
, comme dans le tabes, nous avons ici un processus
toute on y retrouverait surtout les carac- tères d'une inflammation
chronique
d'origine vasculaire. Or tout cela n'appartiend
des lésions vasculaires, on a trouvé les mêmes lésions dans les cas
chroniques
rose en plaques. On y a décrit de l'épaississem
es conséquences thérapeutiques. Nous admettons bien que la syphilis
chronique
du sys- tème nerveux, disséminée ou non, puisse
es hôpitaux. des Enfants Malades. 1 La poliomyélite subaiguë ou
chronique
de l'enfance est une affecti fort rare, le nomb
une paralysie progressive évoluant d'une manière subaiguë ou plutôt
chronique
, sans fièvre ni convulsions ni vomis- sements.
observé, montre du moins que cette affection, l'atrophie musculaire
chronique
d'origine spinale de l'enfance, peut s'observer
rès analogue sinon semblable, à celle de la polyomyélite antérieure
chronique
ou subai- guë de l'adulte et dont la cause rest
n esta à rapprocher de ce qui s'observe dans le cerveau des aliénés
chroniques
, où on trouve souvent une disparition très acce
sa taille et atteinte depuis son enfance d'une affection pulmonaire
chronique
. Dans quelle classe de nains doit-on la ranger,
onaires ; elle a eu des bronchites successives ; puis une bronchite
chronique
avec asthme et em- physème. Les troubles intest
à plusieurs reprises, est resté négatif. Le diagnostic de bronchite
chronique
avec emphysème nous parait le plus vraisemblable.
lles cadrent mieux avec l'hypothèse d'une lésion pulmonaire simple,
chronique
, qu'avec celle d'une tuberculose. Il n'y a poin
ncters sont toujours intacts. L'état général est mauvais, bronchite
chronique
et emphysème. Sans être aussi altéré que chez son
e femme de 73 ans, atteinte de bronchite avec emphysème et néphrite
chronique
. Foyer épidural peu considérable. - Lésions lég
part. Une seule fois (obs. 111), dans un cas compliqué de néphrite
chronique
avec forte poussée aiguë, chez une artério- scl
malades, soit dans un tiers des cas. Il s'agit de néphrite aiguë ou
chronique
, ou de dégénérescence amyloïde. Onze de nos mal
tions des phalanges de l'index présentent des lésions de l'arthrite
chronique
; sur le dos de la main et sur les deux côtés i
ie (faite 12 heures après la mort). Diagnostic anatomique : Aortite
chronique
avec sclérose myocardique et artérite des coron
es médecins de l'asile d'Abassieh ne considèrent pas l'intoxication
chronique
parle haschich comme entraînant des altérations o
S DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Deux cas de méningo-encéphalite
chronique
avec cécité ; Par ItOUIt\G\'ILI.1; et P71ltit
Autopsie : congestion pulmonaire, persistance du thymus. Méningite
chronique
surtout à la base et au niveau du chiasma optiq
eures après la mort 22. , , Température de la salle ? MÉNINGITE
CHRONIQUE
. 9 Autopsie faite le 22 août à 3 heures de l'ap
. Causes de la mort : Congestion pulmonaire, méninge. encéphalite
chronique
de la base. MÉNINGITE CHRONIQUE ; CRANIECTOMI
ulmonaire, méninge. encéphalite chronique de la base. MÉNINGITE
CHRONIQUE
; CRANIECTOMIE. 13 la mère ; convulsions de l'e
géné- rale, la température ne serait pas élevée dans la méningite
chronique
. -Le poids l'entrée était de 3' hilor., à la mo
té.- Coecum distendu par les gaz. L'appendice a 5 cent. méningite
CHRONIQUE
. 23 de 101lgueUl ? Intestins. vessie normaux. Q
uelques ganglions sous le mésentère. Causes de la mort. Méningite
chronique
; tuberculose pulmonaire; congestion pulmonaire
u niveau de la région protubérantielle, l'existence d'une méningite
chronique
et d'un processus 'ac- tuel en évolution : il e
orations simples a montré l'existence d'une infiltration cellulaire
chronique
dans l'é- paisseur de la pie-mère, une péri-art
llaires a été absolument négative. Il s'agit donc d'une mé- ningite
chronique
sans tuberculose. Les conclusions de M. Crouzon
melles. Nos deux malades étaient atteintes de méningo-encéphalite
chronique
simple, avec prédominance de la méningite, bien
st susceptible de modalités cliniques corres- pondant aux psychoses
chroniques
. Il est même probable qu'une certaine unité pat
- bleau anatomique de la psychose aiguë et celui de la psy- chose
chronique
. G. D. N'il. - Délire alcoolique continu ou hal
Délire alcoolique continu ou hallucinose continue dans l'alcoolisme
chronique
; par le 1> Serge SOUKHANOFF. (Journ. de Neur
allucinose auditive alcoolique. il existe une hallucinose. auditive
chronique
qui s'observe à la suite de lésions soit de l'o
delirium tremens, mais son usage habi- tuel amène des modifications
chroniques
* de dégénérescence par conséquent, dans les mal
ons chroniques* de dégénérescence par conséquent, dans les maladies
chroniques
du système nerveux sera interdit. Exceptionnell
a démence précoce que M. Régis envisage comme une confusion mentale
chronique
. L'auteur ne se fait pas illu- sion sur la surp
uand la maladie a diminué d'intensité ; elles sont passées à l'état
chronique
quand elle a persisté. Ces hallucinations ont c
moelle, qui était peu comprimée. Moelle : Fover de méninge-myélite
chronique
caractérisée par des adhérences des méninges à
-arachnoïdien. En tout cas, il s'agissait de pachyméningite interne
chronique
simple, vu l'ab- sence de toute lésion tubercul
ugeole, pneumonie franche, certaines formes de tuberculose aiguë ou
chronique
) ; b) d'autres fois des lésions spécifiques tub
ns ut leurs mauvais jours, ce qui distingue l'affection delà chorée
chronique
. 3 observations à l'ap- pui. P. Keraval i, X.
ommuniquent un cas de sulfo-car- 152 SOCIÉTÉS SAVANTES. bonisme
chronique
avec accès suh-aigu de délire. Il s'agit d'un h
des délires par intoxication ai- guë, des démences par intoxication
chronique
, y a, comme dans l'alcoolisme chronique, des dé
s démences par intoxication chronique, y a, comme dans l'alcoolisme
chronique
, des délires subaigus vraisemblablement en rapp
ystème nerveux central. F. T. XL. Les oedèmes circonscrits aigus et
chroniques
sous la dépendance du système nerveux (rôle de
d'une forme l'autre, et le tropho : - dème n'est ainsi que la forme
chronique
de l'oedème de Quinke. (Meige). Les oedèmes cir
isée de la lymphe. Pour ce qui concerne en particulière trophoedème
chronique
, il nous montre, à la suite de Meige, les analo
évolution pour affirmer quoi que ce soit..1. S. \XIII. - La chorée
chronique
progressive ; par Daudi. (In Rivista di patholo
elie ; ilaborde ensuite la symp- lomatologie des myélites aiguës et
chroniques
, l'anatomiepatho- logique, puis la question dia
mprendre ce qui se dit autour de lui, mais encore par son affection
chronique
des yeux. Il 25G THÉRAPEUTIQUE PEDAGOGIQUE.
jusqu'à quel point tel cerveau eût pu succomber à l'en- céphalite
chronique
s'il n'eût pas préalablement subi telle intluen
a- tlièse syphilitique ou hérédo-syphilitique, une intoxica- tion
chronique
(alcool,plomb) restée latente jusqu'au trau- ma
nski, réflexes patellaires exa- gérés. La malade meurt de bronchite
chronique
en juillet 1903. A l'autopsie, rien de particul
il yen a 16 qui sont professionnellement intoxiqués, d'une façon
chronique
, par les acides, dont 7 blanchisseurs. Relevant,
u'on rencontre au cours de certaines maladies générales, rhumatisme
chronique
, diabète ou même des maladies du système nerveu
r dans un puits, etc. Ce délire est la complication d'une myélite
chronique
qui a déjà produit la paralysie incomplète des ii
- men nécropsique. Les lésions consistentsurtout en une méningite
chronique
, avec néoformation vasculaire et quelques amas de
ale amyotrophique et la durée relativement longue des polyomyélites
chroniques
chez l'adulte en rapport avec la durée plus cou
roscope : a) lésions cellulaires aiguës; b) lé- sions dégénératives
chroniques
avec toutes les transitions jus- qu'à l'étal di
nt hétéro ou au- totoaidue localisé ou généralisé, aigu, subaigu ou
chronique
. L. 1 ? x ? LXX1V. Recherches expérimentales
mononucléaires et des lymphocytes dans les affections subaiguës ou
chroniques
; l'éosinophilie est particulière aux ma- ladie
re. Syndrome de Manière. MM. Raymond et BAUR. - Plaque de méningite
chronique
devant le bulbe et le pont englobant toutes les
tome du cerveau, par lionssy, 151. Chorée. Voir Grossesse. - La
chronique
progressive, par Daddi, 213. Circulaire du mi
alcoolique continu ou hal- lucinose continue dans l'alcoo- lisme
chronique
, par Soukha- noff, 53. Enfants martyrs d'une
e, par Ray- mond et Baur, 504. Méningo-encéphalite. Deux cas de
chronique
avec cécité, par Bourneville et Perrin, 1. - -
ésocé- phalique., Œdèmes. Les circonscrits ai- gus et
chroniques
sous la dé- pendance du système nerveux (rôle
non plus le rachitisme. Les auteurs se demandent si la suppuration
chronique
de la plaie opératoire n'a pas donné l'impulsio
ïdienne non seulement depuis l'opération, mais aussi l'insuffisance
chronique
préexistante. Or les expériences de Vassale et
ces animaux. Nous devons ajouter encore que dans un cas de tétanie
chronique
du service de l'un de nous, l'administration du
l, on put reconnaître que les quatre symptômes cardi- naux du stade
chronique
existaient au complet. « Je traite, en ce momen
aiguë ou délirante a les mêmes symptômes fondamentaux que la forme
chronique
, excepté, peut-être, l'amnésie rétroactive ; en p
sénile simple qui représente toujours le stade terminal de la forme
chronique
. » Deuxième texte (1). - « L'influence exercée
a symptomatologie de certaines psychoses de Korsakoff, subaiguës ou
chroniques
. La Pres- byophrénie, pour ces auteurs,se prése
être considéré comme une psychopolynévrite, insidieuse et d'emblée
chronique
ou consécutive à une polynévrite aiguë, avec sy
icke et Kraepelin à (t) DUPRÉ et R. Charpentier, Psycho-polynvrites
chroniques
et démence. Encéphale, février 1909. (2) Dupn
chilléens, douleurs à la malaxation des mollets. Signes d'éthylisme
chronique
. Observation VI. Démence. - Elhylisme chroniq
ignes d'éthylisme chronique. Observation VI. Démence. - Elhylisme
chronique
sans polynévrite. Epilepsie, - Paraly- sie géné
ucinés, ni des confus, ni des interprétateurs, mais des fabulateurs
chroniques
(1). » Enfin la Presbyophrénie, par les illusio
: les arthrites rhumatismales aiguës et les arthrites rhumatismales
chroniques
. Le premier de ces groupes est constitué de for
logiques assez bien étudiées,tandis que la conception de l'arthrite
chronique
conserve de nos jours encore son caractère de c
utenu qui tend à dégager du vaste cadre des arthrites rhumatismales
chroniques
, une forme pathologique nouvelle, une nouvelle
98, une 'description cli- nique parfaite de deux cas d'arthropathie
chronique
sous le nom de Spon- dylose rhizomélique (0'1&l
une différence entre la spondylose rhizomé- lique et le rhumatisme
chronique
de la colonne vertébrale. L'article de f. P. Ma
E ! 25 Ekaterininsky, M. V. Kolly, porte : « Tuberculose pulmonaire
chronique
. De- generatio adiposa myocardii et hepatis. Of
. Dans le passé du patient, aucune maladie. La maladie actuelle fut
chronique
dès le début. Dès l'âge de 20 ans, sans aucune
ns des épaules. Il est malade depuis 5 ans. Diagnostic : Rhumatisme
chronique
ankylosant. Anamnèse. On ne trouve pas d'affect
et sur les articulations du cou de-pied. L'affection prit un cours
chronique
et il eut plusieurs paroxysmes avec les mêmes c
es muscles dorsaux. Il s'agit dans ce cas de rhumatisme articulaire
chronique
, ayant débuté par des phénomènes aigus, qui s'est
spondylose rhizomé- lique, et deux fois (obs. XV et XVI) d'ankylose
chronique
consécutive au rhumatisme articulaire, et qui r
fré- quemment il se fait lentement et insensiblement et a un cours
chronique
. Dans les formes aiguës (5 fois sur 14) la mala
erveaux ne présentent pas les lésions anatomiques de la compression
chronique
; ces semis multiples et simultanés - à en juge
que les masses grises. 1110 WEBER 10° Enfin, dans des cas très
chroniques
, on peut observer, même chez l'adulte, des modi
On n'y retrouve pas les altérations hislologiqnes de la compression
chronique
. A la réunion de la Société neurologique suisse
éclare avoir été le premier à faire cette attribution. (2) Cabanes,
Chronique
médicale, 189G, p. 237 ; Rabelais praticien ; LE
flammens et piquars. Nous rapprocherons de ces vers la phrase de la
chronique
de 111élinet (6). « Lors commença il avoir son
ot pocques est encore usité couramment en Picardie. (0) IE1.IF.T,
Chronique
, CCL\\\'I, llichaud (dans Godefroy). 178 M. TRK
le (France, médicale, 1908, p. 306) n'en parle pas; non plus que la
Chronique
médicale {passim). -'188 M.TRÉEL de la maladi
uberculeuses, froides en effet, et les gouttes nouées au rhumatisme
chronique
. On a là un exemple de la confusion extrême qui
uïe, de la parole, de l'état mental. Jamais de paralysies. Néphrite
chronique
environ 6 ans avant la mort. A l'autopsie, exis
entricule, adhérences du vermis infé- rieur à la cicatrice. Névrite
chronique
interstitielle de la 8e paire gauche avec dégén
ielle de la 8e paire gauche avec dégénération des libres. Méningite
chronique
de la moelle, surtout il) tlorrc, Jour, of nerv
quefois externe. Il J'attribue à deux facteurs : a) à l'épelidymile
chronique
, que le cysticerque provoque dans son entourage ;
lles d'ordon- nance ; il écrit : « L'alcoolis est un empoisonnement
chronique
» Puis on veut lui faire copier une phrase dans
différentiel de la spondylose rhizomélique et des autres affections
chroniques
. ri0 La spondylite syphilitique est une affecti
d et Grenet). ' 5. Sporzdylosis rlaezzznaticachronica. Rhumatisme
chronique
de la colonne vertébrale. G. Spondylihs s. arth
lieu dans le cas de la spondylose rhizomélique. 2° L'inflammation
chronique
aralyloscaaale du rachis et des articulations d
les phénomènes clini- ques par le développement d'une inflammation
chronique
qu'il a consta- tée sur les deux méninges de la
ons donné plus haut la description des deux observations d'ankjlose
chronique
rhuma- tismale que nous avons recueillies. 6°
tissu osseux (mal sénile, morbus coxae senilis). III. L'arthrite
chronique
adhésive présente une transformation du cartila
des tissus périarticulaires secondaire à une inflammation aiguë ou
chronique
ou constituant par elle-même une affec- tion id
e ou constituant par elle-même une affec- tion idiopathique à début
chronique
, mais non inflammatoire : il s'agit de Polyarth
début chronique, mais non inflammatoire : il s'agit de Polyarthrite
chronique
rhumatismale. Cette dernière forme d'affection
1901, sous la dénomination de : Afaladieankylosante progressive et
chronique
, une forme d'ankylose des articulations. En 190
ce qui concerne la forme de Strumpell : « inflammation ankylosante
chronique
du rachis et des articulations des hanches » et
y- lose rhizomélique. ' LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 255 troubles
chroniques
de la nutrition générale qui ont pour base une af
ès de règle. En effet, dans les deux cas de poliomyélite antérieure
chronique
, j'ai pu constater que, dans les cel- lules gan
res dans les gan- glions rachidiens des chevaux atteints de dourine
chronique
. Enfin les cellules : '[ vacuoles ont été maintes
ssant une main déformée, absolu- ment comme une main de rhumatisant
chronique
, etqui fait un contraste avec la main gauche, q
: myxoedème par hypothyroïdie, maladie d'Addison par hypoépinéphrie
chronique
avec atteinte du plexus solaire, syndrome d'hyp
fluence des professions insalubres sur la production des ma- ladies
chroniques
du système nerveux ; {'inégalité de poids des h
cardiaque. Deux frères morts à 3.1 et 38 ans de laryngite ulcéreuse
chronique
; une soeur morte en couches. Antécédents per
une psychose pure, telle que le délire de persécution, le délire
chronique
. C'est une perturbation mentale, ayant des conn
e chez les mélancoliques, il fallait savoir si cette angiocholite
chronique
était suffisante pour produire la mélancolie et
s aux médecins de direction et aux médecins en chef ; - les malades
chroniques
donnés aux médecins adjoints, faisant t'onction
s aux médecins de direction et aux médecins en chef ; Les malades
chroniques
donnés aux médecins adjoints, sous le contrôle
lombaire permet-elle dedistinguer certaines formes de l'alcoolisme
chronique
de la paralysie générale ? L'auteur n'a pu déci
f dans manie, mélancolie, imbé- cillité, démence sénile, alcoolisme
chronique
, démence précoce (quelle qu'en fût la forme).
yphilis spinale, dans la myélite par compression et dans la myélite
chronique
. 3. La topographie ' de la thermo-analgésie spi
curables non aliénés du département. Dans un pavillon comprenant 30
chroniques
, il n'y a qu'un in- firmier. 11 en est de même
Ihéniques et des épileptiques, des alcooliques, des pellagrcux,dcs
chroniques
, des fous criminels, (lesaiioi-iiiaux et des fous
. 3° Dans les toxi-infections, en particulier dans l'alcoolisme '
chronique
, l'intensité des troubles de la sensibilité génér
ut constituer le fonds d'un délire systématise évoluant d'une façon
chronique
: Cas d'une malade qui croit loger ainsi un « v
ypocon- driaques véritables sont assez peu communes dans la folie
chronique
de la persécution (type LASkG(irt-FALRET) : le ma
vec destruction plus ou moins ac- cusée des tubes nerveux; la phase
chronique
s'accuse par la prolifération du tissu conjonct
du lobule paracentral droit méningite scléro-gommeuse. Méningite
chronique
chez un héréditaire dégénéré. à D,s G. DOUTRE
Le malade meurt à 19 ans. On constata à l'autopsie : une méningite
chronique
d'ori- gine infantile, localisée à la partie an
Dans les crises d'excitation survenant au cours des états maniaques
chroniques
, la symptomatologie seule ne devra pas guider d
' 5 La fréquence des syncopes observées par Wurth dans les folies
chroniques
en général (23 fois sur 102 malades), à l'oc- c
urée de douze heures, laisse entrevoir que, dans tout état maniaque
chronique
, il y a se méfier de l'action dépressive du bai
r minu- tieusement l'emploi. 1 < >1 A l'excitation maniaque
chronique
semble particulière- ment approprié le bain en
pas le retour parallèle de ses aptitudes mentales. 12° Les états
chroniques
seront généralement soumis à une hydrothérapie
us, mélancoliques ou maniaques, surve- nant au cours des affections
chroniques
, seront soumis aux ' BALNÉOTHÉRAPIE ET HYDROTHÉ
apuleuses ou pustuleuses), les lésions du décubilus, les bronchites
chroniques
, la tuberculose au début, les accidenls dus à l
ches locales et massage), chez les enfants atteints de méningites
chroniques
(douches en pluie sur la tôle pendant 15 tel 20 s
Une observation de troubles mentaux liés à l'existence de lésions
chroniques
du rhino-pharynx. D''5Royet et Roussit. - Le ma
de microbes dans le sang des psychoses hallucinatoires à évolution
chronique
. L'importance pathogc- nique de cette constatat
e de force et de vitalité qui en résulte ; -B) l'infection aiguë ou
chronique
des voies respiratoires avec les bronchites, le
taisre chez l'enfant. Hospice de BIC1 : TR. - Maladies nerveuses,
chroniques
des enfants : Dr Bourneville, le samedi, à 9 h.
tat des troubles fonctionnels. P. K. XIV. Poliomyélite antérieure
chronique
et syringo-- myélie ; par )1. G. ROSSO LI ? 1 0
diagnostiquer l'association de la syrin- gomyélie h la poliomyélite
chronique
. L'examen de la moelle rué, èle : 1° un process
qui tendent à ga- gner l'extrémité inférieure ; 2° des altérations
chroniques
occu- pant les cornes antérieures, sur toute la
umière le rapport possible entre lasyringomyélie et la poliomyélite
chronique
, nous n'arrivons pas aisément à sortir du domai
, y compris notre cas, 9 observations de poliomyélite an té- rieure
chronique
; 6 simples, 3 compliquées de syringomyélie, ce
lonie qui occupera les bras de nos convalescents, de nos mala- dies
chroniques
, de nos débiles ou dégénérés. Il y a un très réel
s aux médecins de direction et aux médecins en chef ; les malades
chroniques
donnés aux médecins adjoints sous le contrôle éve
ès étaient tresnombreux, il y avait en quelque sorte une congestion
chronique
des os. , V. Nous avons vu que 13ar.. dormait p
prenons les alcooliques. Journellement, on observe des alcooliques
chroniques
, intoxiqués depuis des années par des doses éno
Gingivorragio à la moindre cause et souvent sanq cause. Rhumatisme
chronique
, déformant. Prurit au cuir che- velu, dix jours
ion entre le traitement des psychoses aiguës et celui des psychoses
chroniques
, et peut-on dire également propos des unes et d
e un adjuvant précieux du traitement de la plupart des pscho- ses
chroniques
. Cette séance s'est tenue au nouvel amphithéâtr
qlll's Jlal'aIlOllle, il Il') l'aut point comprendre le vrai délire
chronique
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 387 Quanta voir
et A'iollet. Sur la démence organique secondaire a quelques délires
chroniques
hallucinatoires. In-8'' de S pages. (mp, Garcl,
phénomènes dégénératifs médullaires auxquels suivent, d'une façon
chronique
, une prolifération de la névroglie et la sclérose
mal où les périodes s'imbriquent, se confondent que de l'épilepsie
chronique
.La virulence des cultures est assez variable su
ualité, d'idée dirigeante, le désordre chaotique ; les paranoiaques
chroniques
, par leurs créations symboliques ceux-ci pouvan
roilliens Lrophoedémateux. 492 bibliographie. " < ' Rhumatisme
chronique
. '' t ,i : 1 M. GAucKLER.- Cas intermédiaire e
intermédiaire entre les arthropathies ner- veuses et le rhumatisme
chronique
: symétrie des atteintes arti- culaires, absenc
ilitique. Voir Tabès. scléro-gommeuse. Voir Paralysie générale.
chronique
chez un hérédi- taire dégénéré, par Doutre- b
e, par Lé- ri, p. 315. Rhino-pharynx. Voir Troubles. Rhumatisme
chronique
, par Gauckler, p. 492. Sang. Le dans l'acr01n
ïde est aux autres maladies aiguës ce qu'est la phthisie aux maladies
chroniques
. » Dans le domaine de sa propre pratique, M. Loui
de voir cette affeclion secon-daire revêtir les allures d'une maladie
chronique
et dégénérer en phthisie laryngée. 2° La laryng
second (1: 4 4) 4 mort sur 11 malades, toutes les mala-dies aiguës et
chroniques
y comprises. » Il reste évident que si l'on ne
he). — Les individus faibles et cachectiques, ou atteints de maladies
chroniques
, de phthisie, par exemple, ne sont pas plus que d
t. fil ans, Très affaiblie. Di'ata-tions bronchiques et pneumonie
chronique
. o3 ans. Amaurosc. Habituelle-ment bien portant
une période aiguë avec rou-geur, douleur, etc., suivie d'une période
chronique
, avec atrophie et défor-mations diverses. En un m
partition. — État lichénoide. — Amaigrissement progressif. — Diarrhée
chronique
. — Mort. Autopsie : Petit kyste du cerveau. — T
Une femme d'environ cinquante ans, dit M. Rostan 3, portait un ulcère
chronique
à la jambe droite; elle était d'ailleurs convales
uppression. « Chez les vieillards, dit M. Rayer *, les in-flammations
chroniques
de la peau, indépendantes des causes externes, do
e ces affections acquièrent une tendance prononcée à pas-ser à l'état
chronique
, lorsqu'on les abandonne à elles-mêmes, ou qu'on
ent quelque peu exagérée. Combien, par exemple, est rare la pneumonie
chronique
, et combien de fois n'arrive-t-il 1. II n'en se
s est en raison inverse de leur acuité primitive. Celles des maladies
chroniques
qui sont le plus remarquables par leur longue dur
nec, Landré-Beauvais, Poilroux), les désigner sous le nom de maladies
chroniques
primitives ou primitivement chroniques, pour les
signer sous le nom de maladies chroniques primitives ou primitivement
chroniques
, pour les distinguer de celles qui ne deviennent
itivement chroniques, pour les distinguer de celles qui ne deviennent
chroniques
qu'après avoir passé par un état aigu. Celles-ci,
as être dans la crainte presque chimérique de la voir passer à l'état
chronique
, mais pour d'autres motifs véritablement fondés s
articuliers, se rencontrer dans le cours d'une même maladie, aiguë ou
chronique
, alors même qu'elle se montre avec des symptômes
s préparations arsenicales dans le traitement de certaines affections
chroniques
, se sont au-jourd'hui en partie évanouies à la lu
'ai soigné, à l'hôpi-tal de la Charité, de la lèpre et d'une entérite
chronique
, un compositeur en imprimerie, âgé de vingt-trois
r. Quoi qu'il en soit, dans la série des symptômes de Yarseni-cisme
chronique
, l'anaphrodisie paraît devoir être comptée au nom
ical Effecls of Arsenic.(Edimb.medic. Journal, 1858, n 35, p. 362.)
chronique
, — en tout comparable, à ce point de vue, aux aut
s nos observations personnelles. Il en est de même lorsque la myélite
chronique
est compliquée de méningite spinale. 2° Les par
ues mots sur le mode d'action des sels d'argent dans les affections
chroniques
de la moelle épinière. — D'après les faits que no
r peut souvent améliorer, et quelquefois guérir, certaines affections
chroniques
de la moelle épinière, qui ont été rangées, jusqu
plus attentive de la question a démontré que, parmi ces dégénérations
chroniques
des cordons médullaires qui ont reçu le nom de sc
médicament. Mac Gregos (de Dublin) en fai-sait usage dans la diarrhée
chronique
ordinaire, en l'associant à l'opium. Hirsch en re
n médecin' américain, Publes, prétend avoir souvent guéri la jaunisse
chronique
et spontanée par l'azotate d'argent. Il est proba
s la cachexie et la débilité qui se ratta-chent à diverses affections
chroniques
. Neligan Moore en recommande l'emploi au début de
naire, ainsi que dans l'affaiblissement qui accompagne les affections
chroniques
de l'estomac, surtout lorsqu'il existe un état d'
ets dans la forme subaiguë de la maladie, et même aussi dans sa forme
chronique
primitive, au moment de ces exacerbations marquée
e, 427; — dans les hémiplégies anciennes, 429; — dans les affec-tions
chroniques
de la moelle, 430; — dans les affections du tube
ydropisies, 435; — biblio-graphie, 436. Argyrie, 415. Arsenicisme
chronique
, 354 ; — trem-blement et paralysie dans 1' —, 349
ysis, 332. M Maladies aiguës : tendance à la chronicité, 327. —
chroniques
primitives, 327. — intercurrentes : influence s
hydatides, 266, 277. Moelle : sels d'argent dans les af-fections
chroniques
de la —, 430, Métamorphose régressive des tissu
rait pour cause une hérédité vésanique, elle affecterait une marche
chronique
et rémittente spéciale. Mais on reconnaît que l
e l'esprit, p. 2\6. 2 Bouvier. -- Leçons cliniques sur les maladies
chroniques
de l'appareil locomoteur, 1SS, p. 88. 3 A. De
érale. M. Grasset ' admet une parenté entre les myélites diffuses
chroniques
et l'épilepsie, l'idiotie, l'aliénation, et les
amille morbide. (A suivre.) z ' lîouclmt. Du rzercosisnze aigu et
chronique
et des maladies ner- veuses, 121> relit. 187
des cornes postérieures était comprise dans le foyer d'inflammation
chronique
et que, par suite, ses éléments constitutifs n'
myé- lite interstitielle diffuse. Qu'un foyer de myélite diffuse
chronique
envahisse une région de la moelle, la région do
e le premier, au moins en France, « aux formes aiguës, subaiguës et
chroniques
primitives de l'inflammation de. la moelle épin
le tronc du tl'iju- menu, Confirmation nécroscopique : inflammation
chronique
com- prenant le périoste, la dure-mère, la pie-
ie .Maison. GowEns. - De l'épilepsie et autres maladies convulsives
chroniques
. '1'1',1- duit de l'anglais par le D' CAxnOEn.
: eux ; tante maternelle folle, suicidée. Deux soeurs rhumatisantes
chroniques
. Un frère faible d'intelligence aurait eu une l
Malherbe. Des affections viscémles dans la goutte et le rhumatisme
chroniques
. Thèse de Paris, 1866, p. 45. 2 Garrod. - Trait
nie, quelquefois à la paralysie générale (Rayner). Dans la goutte
chronique
, on observerait des hallucinations sensorielles
ompagner de la déformation des mains, habituelle dans le rhumatisme
chronique
. Nous serions donc porté à nous demander si les
affaire aune pure coïncidence, chez le même sujet, d'un rhumatisme
chronique
et d'une DE 1,'H k,li ATROPHIE DE LA LANGUE. 19
ra que les lésions osseuses relevaient, en effet, du rhuma- tisme
chronique
et non pas du tabes. Il n'était pas inutile, ce
lupart des affections bulbaires (para- lysie glosso-Iabio-Iaryngée,
chronique
ou aiguë) re- tentissent d'habitude sur l'un et
ieures de la moelle, et d'autre part, que le processus d'irritation
chronique
paraît se propager du cordon de Burdach à ces c
ons du mésocéphale. M. Leudet l'a signalée dans un cas de méningite
chronique
de la base de l'encéphale. On l'observe quelque
e vessie irritable peuvent se rencontrer dans le nervosisme aigu ou
chronique
, dans la neurasthénie, l'irritation spinale, la
re dire quelques mots : A qui convient-il de décider si un délirant
chronique
est inof- fensif ou dangereux ? Au médecin trai
mique;' par OBIER. Thèse de Paris, 1883. Note sur un cas de myélite
chronique
ci diagnostic douteux (sclé- rose latérale amyo
ent actif, à la fois un asile de retraite pour les aliénés aigus et
chroniques
de la commune de Copenhague. ,. '11' Ii Les p
pour cent des ' ¡ aliénés travaillent. Comme il s'agit d'affection»
chroniques
, FAITS DIVERS. z87 le mouvement de la populat
ans un précédent travail,'sur un état psychique, propre aux anxieux
chroniques
, et caractérisé principalement'par la négation
n fait ordinaire chez PERTE DE LA VISION MENTALE. 293 les anxieux
chroniques
, on serait invinciblement en- traîné à considér
phénomènes dyspeptiques indi- quant sûrement un catarrhe gastrique
chronique
; on donna du sel DUMERYCISME. 3)7 ï de Carlsb
. Koerner, il s'agit là d'un malade faible, souffrant d'un catarrhe
chronique
de l'estomac et d'une constipation opiniâtre, a
le sel de Carlsbad. Observation XXXVI. Catarrhe gastro-intestinal
chronique
dans l'enfance. Dysenterie. Constipation. - Déb
ctérisent les poliomyélites sont dues à leur mode de début, aigu ou
chronique
, à la répartition des lésions, ou bien résulten
son enfance et jusque dans la puberté par dès lésions suppuratives
chroniques
des pieds et des jambes, (renseignements incomp
x, que le caractère mélancolique des individus atteints de maladies
chroniques
des voies digestives que le délire famélique de
ie modérée du fond de l'oeil, ressortissait à la folie systématique
chronique
. Les psychoses simples n'avaient en- gendré auc
aki (du Japon). Cerveau d'un aliéné atteint de folie systé- matique
chronique
. A l'instigation de 11. Mendel, l'auteur a soumis
ies périphériques, névroses syphilitiques, de la chorée, alcoolisme
chronique
, alcoolisme aigu, de l'alcoolisme subaigu, le dél
hoses aiguës, notant à l'occasion les particularités marquantes des
chroniques
. La thérapeutique ne présente d'ailleurs rien de
des dans la proportion de 1 : 6 (quartier des aiguës) et de 1 : 12 (
chroniques
). Ils ont pour uniforme une redin- gote bleue à
e 100 pages. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 417 i Mabit. - De la manie
chronique
à forme rémittente. Brochure in-8" de 240 pages
émence mélancolique. (Contribution à l'étude de la peri encéphalite
chronique
localisée et à l'étude des localisations céré-
ewski et Erlitzky, 250. Sinus falciforme supérieur (engor- gement
chronique
du), par Po- pofi, 307. Si-Yucn-Lu (exposé de
r justifier le succès très mérité de ce livre. Ilcrminic Poitevin
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE L'îvresse au Congrès pénitent
ne tomberez jamais dans ce vice répugnant qu'on appelle l'alcoolisme
chronique
, mais je veux vous mettre en garde même contre l'
os cœurs, la note juste, celle qui touche, parce qu'elle est vraie.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société pour les recherches p
connu qu'un tiers d'entre eux étaient malade ou affligés d'affections
chroniques
. La myopie, si fréquente chez eux qu'elle mérite
1 0/0 étaient malades ou présentaient les premiers signes de maladies
chroniques
, 36 0/0 étaient chlorotiques ; la céphalagie
u dans lequel il se produit : il peut se manifester à l'état aigu, ou
chronique
, être partiel c'est à dire limité à un membre, à
ies infectieuses et de certaines intoxications. Puis les epilepsies
chroniques
avec leurs formes motrices, sensorielles, ou psyc
agées par la suggestion hypnotique, elle ne guérit pas les affections
chroniques
. Par l'anesthèsie hypnotique, on obtient assuréme
pathologique, l'espace intercalaire ou d'inter- mittence. Du délire
chronique
a évolution systématique. M. Sérieux (de Paris)
s systématisés des dégénérés : M. Magnan lui a donné le nom de délire
chronique
à évolution systématique. Cette psychose frappe à
es, ne sont que les étapes successives d'une même maladie : le délire
chronique
. Facile à distinguer du délire hypocondriaque, de
s états mélancoliques et ces délires hallucinatoires aigus, le délire
chronique
doit être nettement séparé des diverses psychoses
écoce ; 9° les démences précoces de certains maniaques, mélancoliques
chroniques
, de certains mystiques et de certains persécutés;
lant : Une femme de vingt-cinq ans était atteinte de pelvi-peritonite
chronique
et fort épuisée. On envoie le mari en pèlerinage
pa-rait-il, un des plus usuels dans le monde des tireurs de sort.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE La Société de psychologie exp
as : il s'agissait d'une jeune tille de 23 ans. atteinte d"une choréc
chronique
limitée au bras droit et dont le début remon-. ta
ffet d'abréger la durée de la maladie, d'empêcher le passage à l'état
chronique
, de diminuer les chances de récidive et de modifi
Comme on l'a dit fort justement, les malades atteints d'affections
chroniques
du système nerveux peuvent être déjà dans un état
pu noter des cas d'hémiplégies, de paraplégies anciennes, de myélites
chroniques
améliorées à la suite de quelques séances de sugg
ralgies dentaires, la névralgie sciatique, les douleurs du rhumatisme
chronique
et surtout la gastralgie. Dans tous les cas de
trouble de la sensibilité générale la troisième . d'une intoxication
chronique
par le chloroforme et l'éther avec affaiblissemen
prouve que leurs tentatives de suicide soient de simples comédies.
CHRONIQUE
BIBLIOGRAPHIQUE Quelques publications récentes
ph:nomanie étaient chez lui dissimulés et compliqués par l'alcoolisme
chronique
. Je cite le second cas comme exemple de la facili
, comme étant "seulement des états particuliers du système nerveux.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE inférieure du doigt d'un pied
es fous des modifications analogues de la personnalité. Les délirants
chroniques
qui s'imaginent être Jésus-Christ. Napoléon. Roth
aires, aux troubles intellectuels, à la perturbation du sens moral.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Hommage au docteur Liebeault
la peine de les étudier. Le bon médecin M. le DrK. Monin dans une
chronique
du Gil Blas, décrit ainsi le bon médecin : « Le
qui me consolent de bien des sourires dédaigneux. » J. Delbœuf. :
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE La Suggestibilité de Gabriell
APPLICATIONS DE LA SUGGESTION HYPNOTIQUE AU TRAITEMENT D'AFFECTIONS
CHRONIQUES
Par SI. le D' LLOYD-TL'CKEY (de Londres). Les
vations suivantes, relatives à quelques malades atteints d'affections
chroniques
, qui ont été soumis au traitement hypnotique pend
e l'hypnotisme est souvent applicable dans le traitement des maladies
chroniques
, qu'il n'offre aucun danger lorsqu'il est judicie
êmement hypnotisable et lui ai donné mes soins pour une toux laryngée
chronique
, un rhumatisme, une sciatique, pntritns vtdtœ, am
on arrivait à déterminer les causes qui produisent ces divergences.
chronique
et correspondance Un Précurseur lyonnais de l'H
, et elle nous isole d'auiant plus qu'elle est plus ûxéc, consolidée,
chronique
. L'épilepsie, l'ivresse, l'hypnose sont égaleme
et des plus belles de la Philosophie pétiole. Dr ÉiiiLE Laurent.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Lettre de M. Delbceuf au suje
eu de gravité, mais qu'il est aussi très efficace contre des troubles
chroniques
ayant résisté à toutes les autres médications. Ce
: 1- Hérédité; 2° Hallucinations télépalhiques; 3a Sens musculaire.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Lettre de M. le professeur Ma
nt faciles à étudier, mais il en existe de beaucoup plus complexes.
chronique
et correspondance Enseignement de l'Hypnotisme.
d'une lésion organique difficile à déraciner. La douleur peut devenir
chronique
et réagir sur les fonctions gastro-intestinales s
nsibilité génitale qui jouent un rôle si important chez les délirants
chroniques
et les dégénérés persécutés, surtout dans le sexe
éal, exagéré, où n'entre (1) Maosax. Leçon* clinique* sur le délire
chronique
à étolulion systématique, publiées par Journiac e
judiciaire, après avoir été indiquée au point de vue expérimental.
chronique
et correspondance Société d'Hypnologie. La So
ed'une erreur judiciaire), 8 Affaire Gonffé (l'), 224. Affections
chroniques
, traitées par l'hypnotisme, par Lloyd-Tuckey, 231
ée (la), par G. Tarde, 277. Crises d'hystérie (les), 26. Délire
chronique
à évolution systématique (du), 86. Délire du lo
des causes les plus fréquentes de ce ramollissement est l'eczéma
chronique
, à. répétition, scrofuleux, ou arthritique. L'i
. Toutes les inflammations de l'oreille externe ou moyenne à marche
chronique
, finissent par produire ce relâchement et la vo
. Observation I. H..., trente-cinq ans; bonne santé, pha- ryngite
chronique
rhumatismale; surdité plus forte à gauche, obst
Observation III (résumée). - Dame, ménopause; bronchite arthritique
chronique
; vieilles otites. Vertige subit en se mouchant
tiges très forts; avec chute, deux fois. - Surdité à gauche. Coryza
chronique
. Obstruction tubaire ; induration et enfonçure
ni par les os ni par l'air. Observation VI (résumée). Pharyngite
chronique
; obs- truction des trompes ; scélérose auricul
nt disposé d'ailleurs pour que l'ébranlement soit possible (otite
chronique
, période de ramollissement, avec en- fonçure de
s, fourneaux, etc.). Exemple : Observation XI (résumée). Pharyngite
chronique
; vieilles otites ; sclérose à droite ; vertige
ue nous observions ? S'agissait-il d'une myélite transverse dorsale
chronique
avec dé- génération scléreuse descendante consé
rvice de M. Millard où l'on a porté le diagnostic de pacbyméningito
chronique
. Le 23 juillet 1882, pendant son séjour à l'hôp
térieur du renflement lombaire, sur la non-existence de mé- ningite
chronique
postérieure, malgré la sclérose postérieure. Il
anesthésie. Admission à l'hôpital en novembre. Folie systé- matique
chronique
typique. Amaigrissement. Paralysie pres- que co
hyméuingitc pseudo-membraneuse partielle du cer- veau ; une cystite
chronique
ulcéreuse, de la pyélonéphritemé- tastatique do
tiques, toutes les myé- lytes systématisées, amyotrophies aiguës et
chroniques
, pri- mitives et secondaires, ataxie locomotric
nt encore à démontrer l'existence ; c'est tout simplement une phase
chronique
non encore décrite de la mélancolie anxieuse.
dc-t-on d'accorder l'exeat quand il s'agit des formes de dépression
chronique
, de folie systématique à tendances paisibles ou
10 de Sous.v Mugaliiaes e Lemos, Porto 1882. De la marche du Délire
chronique
; par P. Castang. Thèse de Paris, 1882. De l'a
ertige de Ménière, bourdonnements agaçants, à paroxysme, pharyngite
chronique
congestive. Oblitération des trompes. Montre,
. Dame X..., vingt ans, scrofuleuse, taies sur les yeux, pharyngite
chronique
, otorrhées dans l'en- fance ; elle n'entend la
rencontrer la pachy-méningite dans la dernière période des maladies
chroniques
, telles que le mal deBright et la tuberez- lose
panouissement phy- siologique du cerveau. D. B. XIX. Hydrocéphale
chronique
consécutive A une attaque de ménin- GITE aiguë.
gerichtl. Jledic. XXXIX; 2 et 3). P. 1 BIBLIOGRAPHIE De la manie
chronique
à forme rémittente; par S. Marit. Thèse de Pari
chique anormal, mais sans manifestations délirantes; c'est la manie
chronique
à forme rémittente. Les accès reviennent à des
ladie se prolonge. La marche de cette affection est essentiellement
chronique
; l'incurabililé est la règle; la démence n'arri
Cet homme ? dont 'le père et la mère sont atteints d'une bronchite
chronique
/est lui-même malade delà même affection depuis
? t- 't y ·..rn n·. Ym W ititm tH tttj' d'arthropathie et d'oedème
chronique
, permette sup- - poser, l'existence,. d'un,. ra
t la brusquerie des phé- nomènes, les hystéries aiguës ouïes formes
chroniques
. C'est pourquoi les climats, les peuples, les r
oedème cérébro-spinal de Bergmann). En une observation de méningite
chronique
consécutive à une double otite moyenne (phénomè
. SUK une forme particulière ET curable DE myélite centrale diffuse
chronique
(/MC/0;)a//«C ayant des symp- tôiiies analogues
t des symp- tôiiies analogues d ceux de la myélite centrale diffuse
chronique
4 et se terminant par la guérison); par J. DÉJE
'agissait donc d'une forme nouvelle de myélopathie généra- lisée et
chronique
curable, sous la dépendance non d'une inflam- .
les tractus intraccrebraux. Lésions de iameningo-perien- cépllalite
chronique
diffuse. Sans vouloir tirer une conclusion prém
,es prédispoqaii 1 p 3 eds nées d'hypnotisme provoqué, l'excitation
chronique
prolo1,1 u Lèllle,;[ nerycux .(disspnsiois]test
iques réduits à l'impuissance du fait d'accès répétés, d'infirmités
chroniques
ou d'un certain degré d'affaiblissement psychiq
e un alcoolique aliéné chez qui des symptômes excessifs de catarrhe
chronique
de l'estomac nécessitèrent des lavages de l'or-
bien réplétion énorme et soudaine de l'estomac affecté de catarrhe
chronique
par l'ingestion de liquide, les accès ont en tous
'infirmerie, selon leurs infirmités ou le genre de leurs affections
chroniques
. Sur 711 prisonniers qu'il contenait au 31 mars
e succès contre les diverses manifestations de l'alcoolisme aigu et
chronique
, est le mieux assuré. Le mode d'emploi le plus
mence mélancolique (contribution à l'étude de la périeu- céplialite
chronique
localisée et à l'étude des localisations céré-
l'établisse- ment et la gestion des asiles, ce préjugé que la folie
chronique
est incurable et, par conséquent, doit être aba
aciale, les accidents cérébraux dans le mal de Bright, l'alcoolisme
chronique
, l'alcoolisme 6'M«t{/M, la toux hystérique, l'a
relative à la génération et l 1'), par Koch, 362. Hydrocéphale
chronique
consécu- tive à une attaque de méningite aigu
ondaires des deux organes, par Fiii-stitei- et Zacher, 373. Manie
chronique
a forme rémittente, par 268. ' Méningite tube
117. Myélite des cornes grises, 120. .Myélite centrale iiiiitise
chronique
(forme particulière et curable), par Déjelinc
re térraimd'observatiomesl; exclusivement circons- crit aux délires
chroniques
chez les vésaniquesspurs, depuis les, premiers
e oblige : Tantôt ce sont des névroses," tantôt des empoisonnements
chroniques
DU DLIRE%,DAN4LA),VSANIE. 2t (alcoolisme, a ?
alors;. affaibli 1 int'ellectuellement11 il">finit,,(T délirant
Chronique
, par se stéréotyper ? se momifier dans ses préo
e. 'Le.délire,L hypochondriaque, systématisé et devenu absolument
chronique
, reste seul. Ou enfin, venant Vajouter à , ". ¡
es mentalement saines, mais habituées à souffrir de quelque maladie
chronique
). une exagération de la persunnalité, qui devie
Ainsi se découvre j peu à peu, cette loi générale : ,Dans le délire
chronique
, la période expansive 1 ne. fait jamais que suc
);J,e¡, : fsçoQ1p,Ijmés, PJ1}' ItW e.tÆ\d.ts : 9{l,jlléli1;'\7 gite
chronique
d'emblée, si celles des muscles qui en relèvent s
,paralytique, il, existe de ? fvé,ltlipgqr,eÍ : tt->1 céplialite
chronique
de l'écorce, aboutissant à l'atrophie ,d ? ,.1 ?
scopique ('se' résumé' en'l'existence'd'altérations ménih'gitiqùës'
chroniques
^ d'une sclérosé, très prononcée, au pourtour de
1'é; l'auteur appelle' i l'attention'' sur Un' fOYe1 ? dè t myélite
chronique
ovalé inesurant un centimètre' qu'il rencontra''
thermie; mort. L'autopsie décèle l'existence d'une ]epto-méningiteJ
chronique
avec atrophie cérébrale, hydrocéphalie interne,
s d'intermittence, de convutsibilité, de vertige. C'est une maladie
chronique
qui souvent dure toute la vie et dont la complè
énés, qu'ils soient atteints de perturbation mentale transitoire ou
chronique
. 2° Ceux qui, sans être aliénés, sont incapable
atre semaines. Cette prolongation est obliga- toire pour les formes
chroniques
, entrecoupées d'accès d'agitation. Les accident
1.1 jI'-j"1U'4 -UL ' J Il J 1" f" 1 ,1f,I'¡t, Il P Ii. Le délire
chronique
, son évolution (étude clinique) ; par, GÉRENTE.
. M. le Dr mordre a été d'avis que Nouaux pouvait être un alcoolisé
chronique
, un per- sécuté halluciné et impulsif, un fou d
avec abolition partielle du souvenir. Nouaux n'est ni un alcoolisé
chronique
, ni un aliéné permanent, ni un simulateur. Il e
tel ou tel malade. Par exemple, nous trouverons de vieux hallucinés
chroniques
en démence, et chez qui persisteront parfois de
que nous avons remarqué à maintes reprises chez d'anciens délirants
chroniques
, de vieux vésaniques devenus déments à la suite
ie, de théomanie, etc., il s'agira d'une phase ultérieure du délire
chronique
au cours de son évolution, à savoir la période
c, il n'y a point de monomanes; il n'y a que le vésanique, délirant
chronique
, aux di- verses périodes de son évolution. La l
ulu décrire; nous estimons que, chez les vésaniques purs, délirants
chroniques
, on pourra toujours reconnaître une progression
s (OBs. IX), des maux perforants plantaires (OBs. VII), des oedèmes
chroniques
et durs (OBS. VI), des arthropathies (Cas. VI,
ulnérabi- lité toute spéciale pour certaines affections aiguës et
chroniques
. C'est ainsi que l'on voit apparaître à cet âge
xemple de la forme d'idiotie, consécutive à une méningo-encéphalite
chronique
, sur laquelle l'un de nous a déjà appelé l'atte
à l'entrée, nous avons porté le diagnostic : méningo-encéphalite
chronique
, que l'autopsie est venue confirmer. IV. Les lé
considérée comme incurable et entraîner le divorce, car l'aliéné
chronique
est un être déchu, « étranger au milieu ambiant »
s dont M. Luys semble faire peu de cas. C'est pourtant à cet aliéné
chronique
, dont le sort est en- core si incertain, que l'
les autres sédatifs ; telles ces exaltations maniaques, ces manies
chroniques
, ces folies périodiques et circu- laires avec a
s()mbloJ là- plupart 'de1 ces malades jFosor-l¡" tissent à la folie
chronique
ou secondaire oLsont.'uanMpabdes ? hanucinatiou
aussi que l'hallucination, en tant que manifestation des délires
chroniques
, suit une marche parallèle aux conceptions déli
me à Bicêtre ; un cousin germain maternel est atteint de dé- lire
chronique
; d'abord persécuté, il en est arrivé au- jourd'
nconscient, action favorable de la médication biomurée. Le délire
chronique
est tout aussi bien dessiné chez .ce malade, Dè
lus rares. De même que pour l'épilepsie, rien ne manque au délire
chronique
: influence héréditaire, périodes d'in- quiétud
épilepsie s'est améliorée sous l'influence du traitement, le délire
chronique
paraît devoir suivre sa marche progressive pour
uicide et tend à systématiser ses idées de persécution, le délirant
chronique
est plus vivement persécuté, et, 1 Magnan. De l
e caractère différent, qui sont relativement rares dans le délire
chronique
, se montrent plus fréquemment dans l'hystérie e
llucinatoire des hystériques, la mélancolie active, et l'alcoolisme
chronique
(raptus mélancolique et raptus 1 V. les Arch, d
s de ses effets thérapeutiques, et qu'en tous cas, chez les aliénés
chroniques
, lés avantages obtenus compensent largement la
rtout continu et logique dont la forme se rap- proche des modalités
chroniques
de la folie systématique pri- mitive. M. Krel
c en est favorable. Discussion. M. MOLLO a vu la folie systématique
chronique
se dé- velopper de la même façon en certains ca
ait dans ce groupe, outre les fous systéma- tiques et les maniaques
chroniques
, le nombre incalculable des pa- ralytiques géné
ré qu'un épileptique peut être en même temps alcoolique et délirant
chronique
et que, chez un tel sujet, l'épilepsie, l'alcoo-
s'il s'agit de sujets qui sont en même temps alcooliques, délirants
chroniques
, impulsifs, etc. ; b) mais même chez des sujets
et épilepsie partielle consé- cutive à une méningu-encépha- lite
chronique
, par Bournevillo et Lellnive, 236. Invalides
ouvriers en laiton, 409. Medico-iégai (rapport), 406. Méningite
chronique
(contribution à l'étude des lésions du bulbe
ophage, urémie lente, hémorrhagie cérébrale au cours d'une néphrite
chronique
. Ces malades ont présenté des attitudes catalep
e véritable monographie de la question. J. S. XVII. L'acrocianose
chronique
hypertrophiante ; par M. PLao. (Nouv. Iconog. d
les : 1° Celle avec prédominance de troubles sensitifs (acrocyanose
chronique
à forme sensitive).- -20 La moda- lité avec atr
t encore possible de la localiser plus exactement. XIX. Trophoedème
chronique
acquis et progressif; par Smicard et LAIGNEL-L4
et Meige, deux variétés : congénitale, la plus stable s'installant
chronique
d'emblée, restant à peu près immo- 56 .REVUE DE
gmasique qui le différencie du liquide qui accompagne les processus
chroniques
.. , G. Carrier. XXVI. Spondylose rhyzomélique e
ablement fonction de l'évolution fibro- formative d'une tuberculose
chronique
, au même titre que les scléroses pulmonaires, l
itération des vaisseaux pré- existants et néoformés essentiellement
chronique
; les fibres nerveuses disparaissent alors faut
lle le malade perd toute vision distincte, l'autre, essentiellement
chronique
, pendant laquelle les phénomènes aigus ayant di
sédés qui sont les uns des mélancoliques, les autres des persécutés
chroniques
; il est aussi, parmi ces malades, des obsédés
le. Cette hypothèse s'appliquerait fort bien à d'autres psychoses
chroniques
ou transitoires, à l'hystérie notamment. Elle ouv
que lentement, on peut présupposer le commencement d'un processus
chronique
. La particularité du cas donné consiste dans cela
tous les délires systématisés hallucinatoires, y compris le délire
chronique
de Magnan, ces idées délirantes sont un peu moi
lire polymorphe, paranoïa aigus, etc.); 3° aux folies systématisées
chroniques
. Tous les auteurs sont aujourd'hui d'accord pou
ute sur son origine démentielle. - Réstent les délires systématisés
chroniques
. Beaucoup d'auteurs estimaient autrefois que ce
M. Magnan pour faire accepter la période démentielle de son délire
chronique
à évolution systématique. L'effacement du délire,
es les variétés hallucinatoires de la paranoïa, y compris le délire
chronique
de Magnan, doivent être considérés, au moins à
du niveau intellectuel des malades atteints de délires systématisés
chroniques
, il faut étudier le contenu de ces délires qui,
ence précoce de la plupait des délires systématisés hallucinatoires
chroniques
. Ajoutons, enfin, que la terminaison constante
clinique, en établissant l'existence, dans tous les cas de démence
chronique
, de lésions matérielles de la corticalité céréb
étendues psychoses dégénératives, aux délires systématisés aigus ou
chroniques
(variétés hallucinatoires), etc., elles ressort
ificiellement séparés, sui- vant qu'il s'agit des lésions aiguës ou
chroniques
, réparables ou destructives. Ce classement pe
lancolie, stupeur, confusion mentale, voire même délire systématisé
chronique
, etc., bien qu'elles puissent marquer le début
tissent souvent non à la démence, mais à des délires systéma- tisés
chroniques
, où l'affaiblissement des facultés n'apparaît que
ans le groupe des confu- sions mentales. Les délires systématisés
chroniques
hallucinatoires évoluant vers la démence bien q
nts de ceux des déments précoces : ces délires, y compris le délire
chronique
de Magnan, forment le groupe de la démence para
sexuelle. Sur la démence organique secondaire à quelques délires
chroniques
hallucinatoires. MM. le Dr Marie (de Ville,ju
iles de la Seine. Les hallucinations observées chez les déli- rants
chroniques
sont parfois unilatérales (perçues par une seule
e et des viscères d'une femme de vingt-trois ans morte tuberculeuse
chronique
à l'asile des aliénés d'Evreux en octobre 1903
nutrition, hypothyroïdi- sation, etc.) des phénomènes d'encéphalite
chronique
avec aug- mentation de la tension intracrânienn
ble à ce que l'on voit dans les cas de troubles ner- veux graves et
chroniques
consécutifs à la commotion cérébrale. . P. KERA
, 1900), avec cette différence qu'il y a dans ce cas non alcoolisme
chronique
, mais tare héréditaire et syphilis. La cause oc
faut accuser la faiblesse de leur volonté exagérée par l'alcoolisme
chronique
. La même pathogénie s'applique à certains hystéri
mptomatique dû aux tumeurs du cerveau, avec évolu- tion subaiguë ou
chronique
, stase papillaire, dont 8 guérirent (deux ans e
de faire le diagnostic à début osseux. G. C. LX.Deux cas de Chorée
chronique
: 1° Chorée congénitale molle.- 2° Chorée héréd
chorée congénitale, qu'elle soit spasmodique ou molle, le caractère
chronique
et congénital, la coexistence fré- quente des t
e observation il s'agit d'un malade âgé de 40 ans atteint de chorée
chronique
d'Huntington dont le caractère héré- ditaire et
et un ans qui a été de très longue durée. G. C. LXII. Trophoedème
chronique
chez une épileptique; par Lannois (Soc. méd. de
c. méd. des Hôpitaux de Lyon, 22 mars 1904). Le cas de troplroedéme
chronique
rapporté par M. Lannois est intéressant par la
un certain rôle aux intoxications et en particulier à l'alcoolisme
chronique
. XXXII. Délire alcoolique continu par SOU¡\11 \
qu'il n'y ait pas affaiblissement intellectuel chez les vésaniques
chroniques
, je ne suis pas de son avis. La confusion menta
ne aliénée. M. Leroy présente l'observation d'une vieille délirante
chronique
qui collectionnait les sujets les plus divers e
ait leur avoir remis. Les jour- naux avaient parlé de lui dans leur
chronique
locale et la police arrêta enfin E... alors qu'
ences, ne trouva d'autres lésions internes que celles d'une aortite
chronique
et après s'être enquis de tout ce qui s'était p
e CACODYLIQUE. Le traitement à t ? par Smult. 356. ACIIOCY.1-NOSE
chronique
hypeitro- phiante, par Péhu, 55. Acromégalie.
par Marie, 232. Sur la - organique secondaire à quelques délires
chroniques
hallucinatoi- res, par Marie, 232. Un cas de
r le -, et addition au même mémoire, par Wolff, 355 ÏROPHOEDKME
chronique
acquis et progressif, par Sicard et Laigncl-
stme, 55. TROPIlOEDÈ\1E hystérique, par Lan- nois et Lançon, 495,
chronique
chez une épileptique, par Lan- nois. 493. T
ésion organique de l'écorce cérébrale, mais seulement une méningite
chronique
diffuse sans adhérences de l'écorce avec les mé
SMUELLER. (Neurol. Centralbl., 1889.) Type clinique de poliomyélite
chronique
avec polioencéphalite supérieure (ophthalmoplég
entralbl., 1889.) L'auteur en décrit quatre formes : 1° Une forme
chronique
(l'épithète se conçoit de soi) dans la pa- raly
ades en question, on trouve la proportion de 1 à 41 psycho- pathies
chroniques
, 2,45 aliénées ayant subi déjà une condam- nati
éclusion permanente. M. l'IOECKE, doute que, dans les psychopathies
chroniques
, le trai- tement au lit soit de notable utilité
agnan (V.). - Leçons cliniques sur les maladies mentales (Le délire
chronique
a évolution systématique). -Volume in-8° de 117 p
s mutiples (perte ou oblitération précoce du sens moral). 2° Délire
chronique
systématique. Histoire et rapport très complets
e reconnaissent pas de différence fondamen- tale entre l'alcoolisme
chronique
et la paralysie générale, et croient, comme aut
d'autres établissent une distinction très nette entre l'alcoolisme
chronique
et la paralysie générale; ils admettent une par
lcoolique, pouvant être quelquefois l'aboutissant de l'al- coolisme
chronique
; 4° les derniers, faisant preuve de plus de ci ?
l'autre. En résumé, en dehors des cas peu nombreux où l'alcoolique
chronique
non prédisposé peut aboutir de chute en chute à
nérale et l'alcoolisme sont deux élats distincts, mais l'alcoolisme
chronique
peut parfois conduire à la paralysie générale ;
de l'opinion qui admet deux modes de terminai- son de l'alcoolisme
chronique
, l'un pour la démence, l'autre pour la paralysi
s, l'on a affaire, et c'est là le cas le plus commun, à l'alcoolisé
chronique
qui s'achemine de chute en chute, progressiveme
stic difficile. On se trouve, en effet, en présence d'un alcoolique
chronique
qui a revêtu le costume du paralytique général.
s à l'appoint alcoolique disparaissent et l'on retrouve l'alcoolisé
chronique
vulgaire. Un second groupe, mais moins nombreux
onique vulgaire. Un second groupe, mais moins nombreux d'alcoolisés
chroniques
, est celui qui s'achemine vers la paralysie gén
des cinq observa- tions suivantes, ne sont autre que des alcoolisés
chroniques
abou- tissant à la paralysie générale. Eu rés
s alcoo- liques sont repoussées par la clinique et que l'alcoolisme
chronique
conduit habituellement à la démence et parfois
s animaux alcoolisés : « Recherches expérimentales sur l'alcoolisme
chronique
^comme cause de la paralysie. » Après une pério
CIÉTÉS SAVANTES. 239 clinique le passage insensible de l'alcoolisme
chronique
à la para- lysie générale. M. Charpentier étu
ueur d'arquebuse. Cet empoisonnement différerait de l'em- poisement
chronique
par l'alcool, aussi bien par les lésions ana- t
L'auteur en conclut au rapport étroit existant entre l'alcoolisme
chronique
d'une part et la paralysie générale de l'autre, m
e l'encombrement de plus eut plus marqué des asiles par des aliénés
chroniques
, des non-valeurs. de toutes sortes, des alcooli
sont envoyés à Charenton seulement lorsqu'ils sont passés à l'état
chronique
. Dans ces conditions, la statistique est diffic
Les fosses nasales sont presque constamment le siège d'un catarrhe
chronique
. L'hypertrophie de la muqueuse de la cloison et
e de cinquante et un ans présentant tous les signes de l'alcoolisme
chronique
, est depuis Noël 1887 paralysée des jambes, ell
Charcot avait vu plusieurs fois coexister le tabes et le rhumatisme
chronique
. Le tabes survienLsouvent chez les diathésiques
nde étape d'une maladie mentale à évolution continue appelée délire
chronique
ou psychose systé= matisée progressive (Paul Ga
eçons cliniques sur les maladies mentales, Paris, 1891. * Le Délire
chronique
, in BuGI. de la Soc. de méd. mentale de Delgiqtie
ire ambitieux arrive fatalement comme troisième période du délire
chronique
. Il me paraît important d'étudier avant tout ce
ennent prédominantes, constituant une véritable mégalomanie (délire
chronique
de Magnan); b). Tantôt elles n'apparaissent que
ssent pas susceptibles d'en avoir jamais. a). - MÉGALOMANIE (DÉLIRE
CHRONIQUE
) Observation 1. - maris 0..., né en 1846, emplo
lui. Ce malade est, comme le précédent, un bel exemple de délire
chronique
; les trois premières périodes ont été très net
sent cette con- clusion, que le délire de persécution (forme délire
chronique
systématisé) se termine habituellement, non par
telles que l'hérédité, l'imitation. S'il s'agit de la suicidomanie
chronique
, ce sont la sénilité, la folie (principalement
ne va pas jusqu'à la surface. Reste l'hypothèse d'un ramollissement
chronique
sans lésion vasculaire primigène. Seuls Wernick
l'hypnotisme. Discussion. M. ASCIIEn. J'ai, sur plusieurs délirants
chroniques
présentant des hallucinations sensorielles acti
énérale (11 observ.) de vésanies avec hallucinations (3), de délire
chronique
systéma- tique (1), de désordre avec incohérenc
re absent chez un paralytique général et un délirant systéma- tique
chronique
, cela sans résultat. Ce réflexe reparut en revanc
es impulsions insolites et les actes désordonnés. Son évolution est
chronique
et mène plus ou moins rapidement à la démence d
.). Elude de pathologie nerveuse : L'athétosc double et les chorées
chroniques
de l'enfance. Volume in-go de 41t pages, avec 2 p
ha- liques). Anatomiquement, il est caractérisé par une myélite
chronique
à siège spécial et constant. Cette sclérose occ
ERYSIPÈLE PÉRIODIQUE DES MEMBRES INFÉRIEURS AU COURS D'UNE MYÉLIt'E
chronique
: par M. D. TEISSIER. (Lyon méd. 1885, t. XVIII
d'épilepsie. G. D. 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. V. Myélite
chronique
diffuse ; par le Dr Raymond, agrégé, médecin de
ces des membres, etc... G. D. XIV. Cas DE méningite cérébro-spinale
chronique
; par ? H. HADDEN. (Trans. of the path. Soc. of
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 69 DE l'exaltation D\NS l'alcoolisme
chronique
; par BONVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of Ment
ns de ce mémoire sont les suivantes : « fol,a folie de l'alcoolisme
chronique
est très souvent caractérisée « par de l'exalta
maladie peut seule tran- « cher la question. - 4° Dans l'alcoolisme
chronique
, les idées « d'exaltation sont habituellement f
clérose mul- tiple, une de syphilis, une de ramollissement cérébral
chronique
et une d'hémorrhagie cérébrale suivie d'hémiplé
ence de kystes dermoides dans les ovaires dégénérés, de l'uophorite
chronique
fibreuse.' ' P. K. XXXIX. Contribution CE QU'
occupe à un délire général d'ordre asthénique, tantôt aigu, tonlôt
chronique
, affectant la forme d'agitation ma- niaque, ave
peuvent s'améliorer par exemple, un ascendant atteint d'un psychose
chronique
a pu transmettre iL son ascendant une psychose
t complètement guéri de sa psy- chose ait transmis une psychopathie
chronique
. La section B envisage cinq familles dans lesqu
par 0. MUELLER. (Nc2G- 1'ol, Cent1'(llbl., z885.; Les dyscrasies
chroniques
qui sont capables d'engendrer des troubles psyc
g. 11 est rare que, dans la sclérose en plaques ou dans une myélite
chronique
, on observe une vraie névrite op- tique bien ca
viscères sont parsemées de lésions caractéristiques de l'alcoolisme
chronique
; intégrité de la moelle, des racines antérieure
s sont insignifiantes; l'estomac présente les lésions du catarrhe
chronique
(Gaz. liebd.). F £ né(Cii.) Trailcèlcmentaired'
ant nous deux processus pathologo- anatomiques de cet organe : l'un
chronique
, ayant pour cause la syphilis et développé sur
est terminé en neuf jours avec une rapidité foudroyante. La maladie
chronique
de la moelle épinière consistait dans une hyper
ssances unies à l'arachnoïde et aux corps vertébraux. Cette maladie
chronique
se traduisait pen- dant la vie du malade par un
ractère classique de la paralysie Landry, puisque des modifications
chroniques
de la moelle épinière ont été constatées, il n'
e (malgré l'atrophie extrême) permet d'exclure l'idée d'une névrite
chronique
multi- loculaire et de songer à une myopathie ;
abes aurait pour substratum anatomique. un processus parenchymateux
chronique
(altération vasculaire secondaire ou, tout au m
t de fibres, mais il a engendré tout autour de lui une inflammation
chronique
qui, tant dans la moitié droite du IV ventricul
psie révéla deux foyers morbides : l'un constitué par une méningite
chronique
, à son maximum de développement autour du chias
52 femmes d'âges variés, atteintes de différents états d'agitation (
chronique
ou maniaque aiguë) on employa la formule suivan
guës; 3° Le* hospices consacrés aux personnes atteintes de maladies
chroniques
et aux vieillards; 4° Le service des enfants as
t sur les jambes, où la circulation est si pauvre qu'il y a un état
chronique
d'engelures. La (peau est sèche etdure par plac
la gauche plutôt gris vio- lette paraissant atteinte d'hyperplasie
chronique
. - OEsophage, estomac, duodénum, pancréas, rien
cerveau soit frais, soit durci, on constate de la leplomé- ningile
chronique
ordinaire, avec faible participation de la subs-
pour- quoi, chez certains idiots crétinoïdes ou dans les cas très
chroniques
de myxoedème, la dégénérescence IDIOTIE AVEC CA
bide d'un simple symptôme épisodique. Lorsque la question du délire
chronique
reviendra en discussion, je me réserve de faire
erveux étaient amincis et infiltrés de graisse. Dans la paramétrite
chronique
, M. Freund a vu le ganglion qui nous occupe, co
la maladie de l'illustre aliéné a pris un caractère manifeste- ment
chronique
, surtout à cause du genre de vie du roi qui ne fu
rophié, mais bien musclé et peu de surcharge grais- seuse. Catarrhe
chronique
de l'estomac qui contient encore des aliments n
ippel, 92. Alcool comme boisson dans les asiles, 71. Alcoolisme
chronique
(exaltation dans 1'), par Fox, 69, il I. Alié
éningite suppurée, 57; - (tu- berculeuse), 59 ; (cérébro- spinale
chronique
), 60. Mentaux (troubles dans les affections c
lite subaigue des cornes an- térieures, pur Dufourt, 57. Myélite (
chronique
), 57; (dif- fuse), par Raymond, 58. Nécrologi
de la paralysie générale vraie, est une inflammation interstitielle
chronique
qui a son point de départ dans les capillaires
s générales et une. typemanie anxieuse) de trois cas d'intoxication
chronique
par la morphine, chez des sujets non prédisposé
pporte, deux cas absolument anormaux dans l'histoire du morphinisme
chronique
. Le premier cas concerne un homme de trente-cin
alcoolique n'est donc qu'une phase de transition entre l'alcoolisme
chronique
et la paralysie générale; M. Vallon rappelle, à c
table per- sécuté persécuteur. De même P... n'est pas un délirant
chronique
mais un esprit faible, déséquilibré, entaché de
agit sans doute, dans cette dernière occurrence, d'une inflammation
chronique
systématisée atteignant spéciale- ment l'appare
toire; aucun symptôme mental depuis lors.- Tuber- culose pulmonaire
chronique
. Mort. Autopsie : foyer de myélite scléreuse ci
. Contribution A LA pathologie DE la paralysie spinale ATRO- PHIQUE
chronique
; par H. OPPECIILIV. (Archiv f. Psychitit.,XXIV, 3
es sont épar- gnées. L'étude clinique de la poliomyélite antérieure
chronique
est excellente, mais son anatomie pathologique
antéro-latérale ayant revêtu l'aspect d'une poliomyélite antérieure
chronique
(paralysie Ilasque). Observation IV. Phénomènes
vec le 'temps dans le cer- veau. C'est " c4eq'ue'Billd - ! ' e fous
chroniques
sont parfois héréditaires d'eux-mêmes ? Mais .
ait à un foyer de rarrlollissement récent.·Névrite parenchymateuse.
chronique
du cubital droit. Leptoménirigite. cérébrale ch
nchymateuse. chronique du cubital droit. Leptoménirigite. cérébrale
chronique
. Endartérite et mésartérite syphilitique' de la
t17JfÎ' XXXIII. DES TBOUBLES'NEUI(OPSYC : HIQUESr'D1NS'L'CrtGOTISIE
chronique
; - LparW.'DE BECUren>;w.N(Nercrolog. Cent2·c
lisse-* -ment consécutif'des facultés ? 1- Lalma ? -che est surtout
chronique
REVUET DE 1 PATHOLOGIE t NERVEUSE : · 189 mai
illeurs, c'est-à-dire1 qui n'ont pas été' signalées dans 'la chorée
chronique
.' " ' «" ! »' ' '19h1,·Yi i ? tt ry· " i z 198
ti'troisième'wéntricule. Sans vouloir expliquer'par elles la chorée
chronique
) il convient cependant d'en faire une pierre d'
meurt d'un* carcinome pulmonaire. L'aictopsie révèle une myélite
chronique
traumatique occupant surtout la'région des troisi
employés spéciaux et une organisation spéciale. Les < malades
chroniques
et. ceux qui travaillent forment la deuxième clas
.. (sllij "b) v ' ' » Le troisième groupe est formé par des malades
chroniques
tran- quilles qui sont placés en petit nombre d
ue 'le délire religieux c,-tractérise 1'uiie,ties. phases du délire
chronique
de Magna'n'"au même'titrë'q'ue le délire ambitiew
organique, du .suiet,, ainsi ou il advient dans nombre d affections
chroniques
débilitantes, mais r-, .r. h )& t..)) ? t;
uencé dês âltérâtïtins vâsculaires dans les cerveaux des 'déments ?
chroniques
la pachvméningite'intërne,' la dilatation des v
rouver daôs'cêtté9mêniliéaié des traces" évidentes d'inflammation ?
chronique
il fut complètement déçu dans son attente. D'au
cas : 'Chez les paralytiques) générales, les-syphilitiques 'et-les -
chroniques
. avant Ja conception, le début a toujours été
ssesse, il 'éût ,i3 `îiérisôns, soit r3p 400rêt 1" assaâes à l'état
chronique
,s ? tt 4p. 100 ? sur, 64, cas folie de I,àci6t,
duit aux conclusions suivantes : ' . Io Dans la mélancolie aiguë ou
chronique
,' y a une diminution '' U ? , REVUE 1 DE 1 PA
persécution avait, été exprimé dans la grande discussion, du délire
chronique
. Le, sujet e.s,t cepen- - datlt 10111 1111'e ép
es : les uns, . qui, paraissaient .vouloir englober dans, le délire
chronique
tous les persécutés, ont limité leurs prétentio
imité leurs prétentions; les autres ont fini par admettre le délire
chronique
comme entité morbide à évolu- tion, systématiqu
on aussi radicale.1' ? ' · 9 ? " 6x s . Les adversaires du déliré
chronique
reconnaissent maintenant à leur tour quelles pr
ainsi que l'a dit M.' Briand, lors de la discus- sion'sur le délire
chronique
, à la tendance des persécutés à dissi- muler le
ne se ressemblent' pas cliniquement parlant. Sans parler du délire
chronique
, aujourd'hui accepté et caractérisé par une évo
emploi avec les'opinions émises'dans la- discussion sur le délire.
chronique
, an 7 .& -iuo f 9b =nmJjBii'3t M. Joffroy.
cas, auxquels 1.1-Falret'alfàit allusion,^' de véritables' délires'
chroniques
se développant chez'des dégénérés.'L'a dégénéresc
énérescence mentale constitue'-non'pas-un vaccin'4 pour le délire t
chronique
, mais un terrain spécial' sur leqnel le) malade
isé d'emblée ? ^, ? ( ^it"{l , M. Garnier. Les partisans du délire,
chronique
n'ont jamais limité^ rigoureusement la clironol
confusion hallucinatoire. Pneumonie. Mort. ' Autopsie. Encéphalite
chronique
insterstitielle avec adhérences méningées local
J ? " A . t..a... . J ? 't ? , L ? - cpmme saille; iaireun délirant
chronique
. ^Cependant, chez notre malade, l'existence de
congestions et hémorragie corticales) sura- joutées à l'encéphalite
chronique
interstitielle diffuse. (Revue mensuelle de méd
ues années, de, délire .(délire REVUE'DE PATHOLOGIE MENTALE T 381
chronique
) ? d'autres''foisiéllél'pà.raît être indéfiniment
el signale un cas de guérison par.ces deux' moyens chez un maniaque
chronique
; il lui resta cependant de l'affaiblissement' i
et en,même temps du délire des grandeurs. Genèse habituelle. Forme
chronique
; - 3° Observa- tion, de catatomie- alte2,ne ;-
mine, -160 Délire du toucher dans le cours d'une confusion ..mental
chronique
sans, obsession ? (Allg.,Zeitsch. ? Psychiat, L
normale au moment de-la guérison, ou, lorsque la mala- die devient
chronique
ou encore lorsque la malade tombe-, en dé- menc
locomotrice, paralysie infantile, hémorragie et commotion, myélite
chronique
, sclérose en plaques, . paraplégie spinale spas
paralysie générale); 4° névral- gies et névrites (migraine aiguë et
chronique
, névrites périphériques, sciatiques vraies); -
, résume en, quelque sorte la "plupart des maladies congénitales et
chroniques
du système nerveux chez les enfants. ' 1 1 Tr
Bucklers, 152. ? - EnGOTtroubles neuro-patho- logiques, par 1 ? '
chronique
,' par Bechterew,' 188 ; stigmates perma- nent
ent plusieurs calculs. La vessie présente les lésions de la cystite
chronique
, teinte brune de la muqueuse, colonnes charnues
rieures, résultent des symptômes qui affectent une marche des plus
chroniques
. Ce sont : l'affaiblissement et l'atrophie lente
a jambe et du cou-de-pied du côté lésé, dans un cas de rhuma- tisme
chronique
; avec affaiblissement ou abolition des mêmes ré
meil de vingt-quatre heures, tantôt se transforment en une entité
chronique
semblable à la paralysie générale. Ces accidents
ie générale; quatre sorties dont une guérison (mélan- colie) ; deux
chroniques
(fo)ie systématique).Ce sont, tout compte fait,
té est en rapport avec la manie puer- pérale, l'épilepsie, la folie
chronique
. On ne constate guère de caractère pathologique
mme, qui a passé successivement par les phases classiques du délire
chronique
, a été interné de nouveau a Sainte-Anne, d'où i
de faits ressem- blant non plus à la paralysie bulbaire progressive
chronique
main à la paralysie bulbaire aiguë. 11 en commu
s les manies récentes et périodiques, dans les formes d'agi- tation
chronique
. (.lllg. Zeetsclar. f. Psyelt., IL[, 1.) P. Kérav
t à ces besoins-là. Chacun des trois établissements pour aigus et
chroniques
(Eberswalde, Sorau et le nouvel asile) desservira
1'SF : LFIn. De l'ozone et de son action sur les maladies nerveuses
chroniques
. Ce ne sont encore que des recherches préalables
SAVANTES.. , 17 pause, 1,Lftibl esse plivsi(Itte,l es dystroplii es
chroniques
, l'épuisement consécutif auv. maladies fébriles
tient le thériacisme. En des cas, tout à fait isolés, de mélancolie
chronique
entée sur une prédisposition héréditaire ou acq
é de la fièvre hystérique et lui recon- naît cinq formes, éphémère,
chronique
, intermittente, typhoïde. Celle-ci est la plus
e la folie des héréditaires, les folies intermittentes et le délire
chronique
. Société d'anthropologie. -Le bureau pour l'ann
commotion de la moelle amena des troubles attribuables à la myélite
chronique
, parmi lesquels on trouve des phénomènes ataxiq
confondre les deux affections que lorsque la chorée passe à l'état
chronique
, puisque celle que nous avons décrite est chron
passe à l'état chronique, puisque celle que nous avons décrite est
chronique
d'em- blée. Jamais, en outre, elle ne présente
e variété d'incoordination limitée aux muscles de la face, à marche
chronique
et qui, par opposition à la névralgie de la cin
trouve à l'autopsie une pachyméningite externe, une leptoméningite
chronique
, une poussée d'hyperémie méningée, une hydrocép
gite chronique, une poussée d'hyperémie méningée, une hydrocéphalie
chronique
externe et interne, de )'oedème cérébral, de la
n'émanerait pas, d'après lui, d'une exacerbation de l'inflammation
chronique
puisque, même quand l'étal est grave, la tempér
chez lesquels l'étioiogie est déterminée par des maladies aigués ou
chroniques
qui en ont été les causes occasionnelles. Nous
rches qu'il a faites : « En général, dans les affections cérébrales
chroniques
, la quantité d'acide phosphorique éliminé par v
ne l'est pas moins, l'aliéna- tion mentale, maladie essentiellement
chronique
, permet assez souvent une alimentation régulièr
ion que le délire systématisé de persécution et de grandeur (délire
chronique
de Magnan) peut se développer sans être précédé
.REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. , On admet généralement que le délire
chronique
1, laisse intac l'appareil logique des malades.
enbach croit que c'est une erreur; il est même d'avis que le délire
chronique
ne peut évoluer que sur un fond de débilité men
ent des gens d'une instruction spéciale brillante devenir délirants
chroniques
; cela ne prouve rien, à notre avis, puisque des
ntre l'opinion généralement répandue que, dans le cours d'un délire
chronique
, les idées ambitieuses surgissent comme une con
es délirantes, des illusions et des hallu- cinations dans le délire
chronique
prouvent le contraire, Qu'on peut encore, au dé
dressent au médecin en chef. Cette colonie n'est faite que pour des
chroniques
, à l'exception des maniaques et des aliénés aya
et des avan- tagescotisidérables pour les aliénés, du moins pourles
chroniques
. De conceit avec Gheel, cette station forme un
ntroduire dans les familles; en exclure systématiquement les manies
chroniques
, les sexuels, les aliéné ? dangereux pour la sé
s de l'adnziuistratiozz allemande (P. K.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 415
chronique
(démence pure ou folie systématique). Les déments
on absolue de tous les troubles psychiques aigus, des psychopathies
chroniques
avec agitation ou tendance au suicide, des fous
, et de songer à l'existence, dans l'espèce, d'un état d'excitation
chronique
des noyaux moteurs des cornes antérieures grise
IÉTÉS SAVANTES. 429 Conclusion : Il s'agit d'une lésion à évolution
chronique
oc- cupant la moelle cervicale et la moelle dor
. Puis trois observations d'idiotie, l'une avec méningo-encéphalite
chronique
, l'autre avec hydrocé- phalie, la troisième ave
LE FOND DE l'OEIL CHLZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 31 encéphalite
chronique
diffuse : infiltration des éléments nobles de l
, en effet, l'étude des troubles de la motilité dans les affections
chroniques
du système ner- veux a été poussée plus à fond,
il s'agit en cas de troubles moteurs d'affections essentiel- lement
chroniques
et elles-mêmes J'origine nerveuse, aussi ne sau
le traitement du tabès dorsal », l'autre Sur le priapisme nocturne
chronique
. Il a publié pendant plusieurs années, dans la Re
après plusieurs mois à sa mère qui est une prédis- posée alcoolique
chronique
avec commencement d'affaiblis- sement intellect
le D Ameliue. 148 CLINIQUE MENTALE. II. Agent passif. Alcoolisme
chronique
avec affaiblissement inlel- lccluel, hallucinat
0. ,Le certificat de la Préfecture de police porte : « Alcoolisme
chronique
, affaiblissement intellectuel, hallucinations, pe
ise du sujet passif, qui élabore, comme peut le faire un alcoolique
chronique
, un véritable délire qui évolue avec ses élémen
antérieurs, comme cela se passe chez le mélancolique et le délirant
chronique
, chez lesquels les actes délictueux sont adéqua
tomiques qui sont à faire. V. Contribution à l'étude du trophoedème
chronique
; par IlER- togiie. Ico ? zog7,. de la Salpél ?
lTOItV. ICOI ? Ogl'. de Itl Sa<p<nc7'e, n° 6, 1901). OEdème
chronique
considérable des deux membres inférieurs tout e
lle permet de diagnostiquer la paralysie générale de l'al- coolisme
chronique
et constitue un symptôme pathogénomique des par
use demande si ces éléments ne se rencontrent pas dans l'alcoolisme
chronique
. M. Joffroy. On en trouve parfois, mais raremen
roubles psychiqnes ne sont pas sous la dépendance de l'al- coolisme
chronique
, de l'urémie, de la glycosurie. Ils ne sont pas
ralysie amyotrophique. C'est un peintre-verrier qui a du saturnisme
chronique
depuis l'âge de vingt-quatre ans (crises fréque
mylacés. Le parenchyme reste passif, sauf en certains cas légers et
chroniques
où l'irritation caresse les couches périphériqu
aiguë peut, de par la persistance de l'irritation atténuée, devenir
chronique
: sclérose en plaques consécutive à encéphalomy
i bien dans les maladies aiguës et curables que dans les maladies
chroniques
et incurables. Il est à noter que, sur 11 cas d
tz et se rallient à celle de Massalongo qui voit dans le rhumatisme
chronique
une affection plutôt une au point de vue cliniq
de Trunecek. Le sérum de Trunecek détermine souvent des indurations
chroniques
, son injection est douloureuse ; la poudre miné
s du délirium tremens, et qui était atteinte uniquement de néphrite
chronique
. M. Dupit rappelle que Maurice Faure a publié d
. Mais actuellement pas de stigmates. Pas de tabes, pas de coryza
chronique
antérieur, pas de rhinite spécifique. La syphilis
Niort, le 30 avril 1901, avec le certificat suivant : « alcoolisme
chronique
; affaiblissement intellectuel; tentative de suici
en général disparaître en peu de temps. Dans les cas d'albuminurie
chronique
, de mal de Bright, les résultats que l'on peut
oncernant un malade de quarante ans entré à l'hôpital pour entérite
chronique
, permet cependant par suite de coexistence de f
elate au sujet du cas du rapporteur un cas de méningite infectieuse
chronique
, d'origine grippale à ce qu'il parait, accompag
la différencie des autres types névropathiques, c'est l'angoisse
chronique
avec paroxysmes aigus. Il s'agit par excellence
ntribution à la psycho-physiologie des mourants. Deux cas de chorée
chronique
; par MM. Vaschide et VuRras. Dans deux cas de
rée chronique ; par MM. Vaschide et VuRras. Dans deux cas de chorée
chronique
, les auteurs ont recherché avec soin les modifi
urs des derniers jours qui précédèrent la mort. Alors que la chorée
chronique
est caractérisée par des mouvements sans but dé
connaissent pour origine des glioses disséminées, des inflammations
chroniques
, des foyers liémorrba- giques, des myélites par
ion et la sclérose des petits vaisseaux avoisinants, l'inflammation
chronique
des artères du système pos- térieur, notamment
x et chez ceux qui sont affectés d'épilepsie, de folie systématisée
chronique
de pa- ralysie générale progressive; par J. Hei
ide céphalo-rachdiien des paralytiques généraux et des méningites
chroniques
. MM. GUILL.\lu1' et V. Parant. Quand on chauffe
o-rachidien d'un malade atteint de paralysie générale, de méningite
chronique
, on observe un trouble extrêmement prononcé. Ap
ésente un homme de soixante ans atteint vraisemblablement de chorée
chronique
. L'affection a débuté chez ce malade à l'âge de
; depuis plus de six mois, la malade souffre d'un état pathologique
chronique
avec de courtes rémissions et des exacerbations
rme de répulsions angois- santes ou de peurs anxieuses originelles,
chroniques
, portant spécialement sur un objet déterminé (é
llerre signale, comme d'habitude, un assez grand nombre d.' aliénés
chroniques
parmi les entrants (26 cas de folie simple remo
du langage) ne s'accuseront que plus tard. G. D. XC. Poliomyélite
chronique
; par le D DEBRAY. (7oM)'H. de neuro- logie, 19
e peuvent développer sur le terrain de multiples processus aigus et
chroniques
lésant le territoire nucléaire ou les fibres ne
tère et des goûts après l'é- masculation). Si l'affection somatique
chronique
passe à l'état aigu, il y a délire ou perte de
rive à cette conclusion : « à côté du type clinique de l'alcoolisme
chronique
(nettement pathologique), il existe un type par
t étiez ceux uni sont affectés d'épilepsie, de folie systématisée
chronique
, de paralysie générale progressive, par Ilerm
chaleur dans le des pa- i-alytiqttes généraux et des ménin- gites
chroniques
, par Guillain et Parant, 472. LITTLE. Syndrom
ontribu- tion à l'étude des , par Souk hanof. 307. Poliomyélite
chronique
, par Debrav, 538. Polynévrite. Sur une forme
hérédo-syphililique. L'héré, (10-syl)llills (,t les encéphalites
chroniques
de l'enfance. Un cas (le - en plaques à tremble
llol-DÈ31F. Sur le - par lleige, 178. Contribution à l'étude du -
chronique
, har Ilertoclle, 1 îts. Ob- servation du -, par
e de certains ramollissements blancs que l'on rapporte à la myélite
chronique
. Le profes- seur Hayem, dans son beau travail,
les immersions en cas d'affections pul- monaires soit aiguës, soit
chroniques
, qui agissent en mettant des entraves au foncti
tent sans lésions de l'hippocampe. Enfin, dans le cas d'épilepsie
chronique
, où la sclérose et l'atrophie de la corne d'Amm
bien que fréquente dans la paralysie générale et dans Ja démence
chronique
, la pachyméningite hémorrhagique est extrêmement
limentation peut augmenter la fréquence des attaques. Dans la manie
chronique
, l'appétit n'est réellement exagéré que dans un
ire supprimer), dans un cas d'astbme nerveux, dans un cas de chorée
chronique
. Discussion. -M. KiRN. - Le sulfonal est tout à
. - Paris, 1889. - Librairie (J, \lasson, HUET (E.). - De la chorée
chronique
. Volume in-8° de 262 pages avec 10 figures dans
s, dans les phrénasthésies et les démences paralytiques. Les formes
chroniques
de démence consécutive et de délires systématis
e dans les formes aiguës typiques de folie ; élevé, dans les formes
chroniques
, secondaires et dégénératives; très élevé, dans
érieur droit. La nécropsie révèle l'existence d'une leptoinénin21te
chronique
, cérébrale, basiléaire et spinale ; endartérite
névrite trophomotrice ou une myoné- vrite. Le poison agit à l'état
chronique
simultanément sur les cel- lules des cornes ant
. - On sait que dans les maladies infectieuses et dans les maladies
chroniques
on rencontre des altérations du muscle qui sont
seuse et hyaline (syphilis cérébrale), et vingt et une endartérites
chroniques
simples (altérations d'Heubner) : ces vingt et un
tation de vivo de leur existence dans la poliomyélite antérieure
chronique
(voy. le cas Ack. in Berl. hlizz. lYochenschrift,
par G. R\uztm. Paris, 1890. - G. Masson. HoET (E.). De la chorée
chronique
. Volume in-8° de 262 pages, avec 10 figures dan
- L'autopsie a été pratiquée par Schültze. Néphrite interstitielle
chronique
. Du côté de la moelle : dégénérescence grise de
trophie, car dans les cas où la moelle est atteinte d'inflammations
chroniques
analogues et aussi étendues, dans la sclérose c
Physiologie. 3" série, t. IV, 1881, p. 454.) = A/én ingo-myélite
chronique
pscudo-s1lstellzatigue combmée postdro- latéral
our à tour invoqué la folie, le somnambulisme, et l'alcoolisme soit
chronique
, soit aigu et accidentel. Le procès s'est termi
ÉS SAVANTES. rations viscérales suivantes : néphrite interstitielle
chronique
, in- suffisance mitrale, ulcère rond de l'estom
oins des nourriciers. On compte parmi eux huit Jolies systématiques
chroniques
avec idées de persécution ; ce sont des malades
presque immédiatement. Les deux autres faits concernent la démence
chronique
consécutive à des formes indéterminées de folie
ès prudent lorsqu'il s'agit d'appliquer ce traitement aux délirants
chroniques
systématiques, et aux déments dont les facultés
accès d'agitation violents. On remarquera également que le délire
chronique
hallucina- toire à hallucination très vive se p
t critique. On avait espéré décharger les asiles de leurs aliénés
chroniques
à l'aide de l'assistance familiale, c'est un rê
nvient qu'à l'idiotie légère et à quelque cas de folie systématique
chronique
, compatible avec l'existence sociale et à la dé
t une folie systématique (Wahnsinn) aiguë et une folie systématique
chronique
. Les formes qu'il leur reconnaît sont t les sui
qu'il leur reconnaît sont t les suivantes : 1° Folie systématique
chronique
, dépressive, qui comprend le délire des persécu
délire plus ou moins organisé des onanistes ; 2° Folie systématique
chronique
expansive; mémoires originaux cités dans la com
s hypochondriaque, hysté- rique-congénitale ; 2" Paranoïa primitive
chronique
; 3" Paranoïa hallu- cinatoùe aiguë ; par exemp
hnsilt1 ! hallucinatoire de Kratft-Ehing; 4 Paranoïa hallucinatoire
chronique
; 5" Paranoïa secondaire, celle qui succède à une
s extrinsèques à l'indi- vidu avec les psychoses constitutionnelles
chroniques
incurables auxquelles s'applique le terme de Ve
certains. La paranoia aiguë donne souvent naissance à une paranoïa
chronique
; il n'y a pas plus lieu, par suite, de donner à
st légitime de débaptiser la néphrite aiguë lorsqu'elle est devenue
chronique
. M. Kirn propose de continuer la discussion sur
16. La démence vient se surajouter à la plupart des cas de ma- nie
chronique
et avec délusions. 17. Les phénomènes pathologi
889. Prix : 8 fr. Pour nos abonnés, 6 fr. HuET (E.). - De la chorée
chronique
. Volume in-8" de 262 pages avec 10 figures dans
'expérience de ses confrères sera entendu. - R. M. C. XXIV. Folie
chronique
: quatre cas DE guérison; parS.-A.-K. STR\- han
(The Journal of Mental Science, juillet 1888.) Les cas où la folie
chronique
se termine par la guérison sont loin d'être com
THODE DE TRAITEMENT PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES névroses ET psychoses
chroniques
; par W.-13. NEFTEL. (Arch. f. Psychiat., XXI,
NT PAR LA SUSPENSION DU TABES DORSAL ET D'AUTRES MALADIES NERVEUSES
CHRONIQUES
; par EULEVDUISG et Mendel. (Neural. Centralbl.
ques (29 hommes, 5 femmes); 1 sclérose en plaque (femme); 1 myélite
chronique
(homme); 1 névrose traumatique (homme); 3 paral
se développe pas d'ordinaire chez les anémiques d311s les folies
chroniques
, dans l'hystérie, mais ces faits négatifs viennen
- ment congestif dans la paralysie générale des aliénés. Les fous
chroniques
sont tous plus ou moins débilités; l'hystérie n'e
133 M. BOEU\1LER (de Fribourg). Présentation d'un cas d'affection
chronique
de la moelle avec ataxie inhérente ci des trouble
ce jour, il y eut ainsi deux délires spéciaux de la périencéphahte
chronique
, le délire spécial ambitieux de la forme expans
une année et plus sans être liés aux lésions de la périencéphalite
chronique
et peuvent s'expliquer alors par de simples tro
re d'un certain nombre d'affections très im- portantes, de maladies
chroniques
en général jdont l'auteur a sur- tout cherché à
les chapitres consacrés aux cirrhoses, à l'urémie, au rhu- matisme
chronique
et surtout au diabète. L'auteur décrit trois ty
. Prix : 12 fr. - Paris, 1890, G. Masson. Huer (E.). De la chorée
chronique
. Volume in-8° de 262 pages, avec 10 ligures dan
1 fr. Pour nos abonnés... 0 fr. 70 Régnier (L.-R.). L'intoxication
chronique
par la morphine. -Vo- lume in-8° de 171 pages.
sont liées par- fois les paralysies amyotrophiques de l'alcoolisme
chronique
. Vous connaissez, pour l'avoir vu venir plusieu
confirme l'origine névritique du processus. La plupart des névrites
chroniques
ou subaiguës dont les symp- ' Consultera ce suj
avait pu produire expérimen- talementchez le chien une téphromyéhte
chronique
saturnine : « L'examen de la moelleavait montré
aucoup de uévrites parmi lesquelles figurent celles de l'alcoolisme
chronique
, peuvent et doivent être légitime- ment rapport
one) produisent des paralysies analogues. P. B. 11.UN cas DE chorée
chronique
héréditaire AVEC autopsie, par L. GREPPIN. (Com
ruempell, Krauss, Lissauer, et une dégénérescence paren- chymateuse
chronique
des fibres des nerfs périphériques avec dégé- n
lysie géné- rale, la mélancolie avec stupeur, la folie systématique
chronique
, la démence sénile, l'idiotie, c'est-à-dire dan
ch. De ces documents, l'auteur conclut : qu'il s'agit d'une névrite
chronique
ascendante (altération musculaire correspondant
ingt jours, il était mort; on trouva, à l'autopsie, une ménin- gite
chronique
avec granulations épeudymaires. Chez une mélan-
) raconte un cas de guérison par l'influenza. 11 s'agit d'un délire
chronique
datant d'une année. M, ENGELKEN, Sur 20 aliénés
les atrophies en question se rappiochent plutôt de l'amyotrophie
chronique
cachectique par afflux insuffisant du sang artéri
être très nettement t vérifiée. J. Rounlrovrrcu. VI. L'indication
chronique
par la morphine et ses diverses formes, par le
opium ou de ses dérivés à certaines doses entraine une intoxication
chronique
désignée sous le nom de mor- phinisme, intoxica
ument nouveaux. . VARIA. 303 A l'occasion d'un cas de tremblement
chronique
généralisé, intermittent et, surtout, exagéré p
traitées à l'asile pendant la période aiguë, sont passées à l'état
chronique
: ces dernières formes sont le plus souvent, ma
es. - Prix : 8 fr. Pour nos abonnés 6 fr. Huer (E.). - De la chorée
chronique
. Volume in-8° de 262 pages, avec 10 figures dan
4 ligures et 4 planches. Prix 6 fr. Régnier (L.-R.). L'intoxication
chronique
par la morphine. -Vo- lume in-8° de 171 pages.-
'exalgine a été beaucoup moins favorable dans les cas de sciatiques
chroniques
, de rhumatismes et surtout de troubles articula
catégorie de faits que certains auteurs ont donné le nom de délire
chronique
. Enfin, dans quelques cas rares, le délire exis
Doutrebente profite de l'occasion pour refaire le procès du délire
chronique
de M. Magnan et reprendre amsi la discussion d'
rganiques du coeur. 60 cas de ménopause dans le cours des psychoses
chroniques
. P. K. XXX. Les IDLES DE présomption DE la fo
and nombre de ces néologismes dont usent si fréquemment les aliénés
chroniques
. Il en étudie les diffé- rentes espèces, les ca
origine cérébrale peuvent être divisées en deux classes : aiguës et
chroniques
; les pre- mières sont curables à condition que
la s'observe généralement dans l'alcoolisme SOCIÉTÉS SAVANTES. 63
chronique
. Toutes ces modifications du système non eux cent
hémisphères cérébraux, par Roth et Mouratoff, 296, ; Intoxication
chronique
par la morphine, par Régmer, 300; - Etude de
vel, 291. Cuon> : c, chez les aliénés, par Koep- pen, 113; -
chronique
avec au- topsie, par Greppin, 264. COLOI30MA
disparu dans la suite, mais il subsiste un certain dcgré d'oedème
chronique
dans la partie moyenne du membre et particulière-
rmale de la rotule. L'A. l'a rencontré dans quelques cas de myélite
chronique
, as- socié à la paralysie et à l'atrophie muscu
onvolutions et dilatation des ventricules. Au microscope, lé- sions
chroniques
de l'écorce cérébrale « habituelles dans la dé-
,en effet,que le processus tabétique apparaît comme essentiellement
chronique
, le processus de section expérimentale est beau
groupées suivant leur affinités évolutives. Mais qu'appeler tétanie
chronique
? Il est rare que les accès se produisent penda
quand il y a surexcitabilité galvanique, surtout dans la tétanie
chronique
. Le signe de Chvostek (percussion du facial en av
onstant dans la tétanie aiguë, peu accusé ou absent dans la tétanie
chronique
; on peut le rencontrer chez des sujets sains, d
; 7 étaient atteints de 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tétanie
chronique
; 19 présentaient des états tétanoïdes ; 6 étaien
I. Poliomyélite diffuse subaiguë de la première enfance (amytrophie
chronique
d'origine spinale d'Hoffmann) ; par Ar- mand DÉ
persécutés-persécuteurs ou comme atteints de psychose systématisée
chronique
à base d'interpréta- tion délirante. La discuss
e trois mois et peuvent se prolonger au point de prendre une allure
chronique
. C'est ainsi qu'on voit dans les asiles s'améli
r une commission spéciale et proposés au vote de la Société. Délire
chronique
par hallucinations psychiques. M. Marchand, en
à base d'in- terprétation des autres variétés de délire systématisé
chronique
, car elle est basée, comme l'a dit Baillarger,
entative de suicide et Schumann meurt d'une encéphalopathie diffuse
chronique
de nature mal déter- minée. Hugo Wolf, mort d
yroïdie minima continue, ou paroxys- tique, hyperthyroïdie bénigne,
chronique
, disséminée ou 10eilisée.r-i,isedow fruste. 2°
le ROUBINOWITCH : La genèse du génie. MM. RAYNEAU et Nouet : Délire
chronique
de grossesse chez une débile. M\1. ,INrHDaar,cE
Les lésions anatomiques sont : a) macroscopiques : Leptu- méningite
chronique
, atrophie cérébrale, parfois plus mar- quée au
sur la trophicité et sur le fonctionnement muscu- laires. OEdème
chronique
unilatéral. Ml4f.' KI.IrrEI, et Monier-Vinard p
ulletin de la Société anatomique (octobre 1905,page 7G0). Méningite
chronique
et aliénation mentale chronique (Observations 1
(octobre 1905,page 7G0). Méningite chronique et aliénation mentale
chronique
(Observations 11, 12 et 1-1). (16) William Ru
qui survient chez les jeunes gens est le résul- tat d'une méningite
chronique
ancienne ; c'est l'aboutis- sant, la période te
le diagnostic de démence précoce peut se poser par l'évo- lution
chronique
, les phénomènes inflammatoires sont réduits à l
tex a été altéré, on a les cas qui constituent les troubles mentaux
chroniques
de la démence précoce. Doutrebente et Marchand
s lors une démence précoce accidentelle, affection cortico-méningée
chronique
d'origine inflam- matoire ou toxique survenant
uveau-né au vieillard, et la nature 'de la misère (maladie aiguë ou
chronique
, infirmités physiques, intellectuelles et moral
atteints de maladies aiguës, et des blessés, on abandonne- rait les
chroniques
. D'ailleurs, ils n'ont pas visé seulement les en-
s cellules de Betz et les cellules polymorphes. Ce sont des lésions
chroniques
de Nissl avec atrophie et déformation des corps
e a\ec leur mentalité,qui paraît normale pour leur âge. Méningite
chronique
syphilitique tardive. L\l. G. 13ALLET et LÉvy V
ait, assez fréquent dans les névrites dues à l'alcoolisme éthylique
chronique
,ne doit pas nous surpren- dre dans ce cas surai
'interprétation, forme diffé- rente des autres psychoses délirantes
chroniques
qui peu- vent s'accompagner aussi d'interprétat
rale, etc. Nous ne retien- drons ici que les premières, les délires
chroniques
halluci- natoires, parmi lesquels on pourrait ê
s. UN cas DE DÉLIRE d'interprétation 359 Les psychoses délirantes
chroniques
sensorielles étant éliminées, il importe de dir
,p. 215. EMPOISONNEMENT PAR LES HOMARDS CONSERVES EN BOITE. 417 (
chronique
(Brouardel) (1). Et cependant, notre malade, le
e prédisposition spéciale pour la polynévrite, grâce à l'alcoolisme
chronique
. Les deux dernières an- nées, le malade a comme
description qui suit accentuent encore le contraste avec le délire
chronique
de Lasègue et de Magnan : trouble intellectuel
ombrement, furent ouverts trois pa- villons pour les vieux infirmes
chroniques
des deux sexes. En 1904, on a ouvert un service
tuel. les traumatismes, les maladies infec- tieuses, les affections
chroniques
, les troubles génitaux. Elle peut être acquise
lles qu'absorbe la peau. Variété congénitale unique dc trophmdème
chronique
. Observation rapportée par M. Couhtellemont. On
rapportée par M. Couhtellemont. On sait que les cas de trophoedéme
chronique
peuvent être classés en quatre groupes : famili
du service médical, sans distinction entre malades aigus et malades
chroniques
, a été l'amélioration la plus notable faite en
-Château, dans l'Aisne, vit sous le poids désagréable d'une terreut
chronique
. En février, un dangereux bandit, moi- tié désé
Délire des préjudices prcscniles par Pascal et Courbon, p. 77.
chronique
par hallucina- tions psychiques, par Mar- cha
née chez un paralytique général, par Dromarl el Dalnias, p. 48.
chronique
unilatérale, par IClihltcl et \Ionicr-\'inarcl,
ment du est-il pailles ou total, par Bach p. 298. Tno['t[OEDEME
chronique
. Va- rioté congénitale unique du -, par Court
e de la troisième paire était due à une inflam- mation tuberculeuse
chronique
des racines de ce nerf, inflammation dont chaqu
e quelques déductions. Observation I (Personnelle). Pêriencéphalite
chronique
. Foyeas étendus de ramollissement cérébral occu
de nature nécrobiotique : c'est le type à début brusque et à marche
chronique
. Trois mois plus tard, survient une deuxième at
inue et prolongée dans le sang, amène à la longue un empoisonnement
chronique
qui, surtout chez les individus déjà débilités,
llure aiguë, 56 REVUE CRITIQUE. de la même façon que l'alcoolisme
chronique
aboutit peu à peu, chez les buveurs de professi
ntes fois la réaction de l'acétone dans les urines. 2° Acétonémie
chronique
. Les faits de ce genre servent en quelque sorte
rmes rapides de l'intoxication et ce que nous appelons l'acétonémie
chronique
. Les symptômes accusés par le malade sont les m
ides que se produit enfin le coma, prélude de la mort. Cette allure
chronique
de l'acétonémie ne peut s'expliquer que de deux
e tout, excepté d'avoir frappé sa compagne. Etat actuel. Alcoolisme
chronique
(inégalité pupillaire, parésie du facial gauche
122. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 93 ou point réglée. Ecoulement
chronique
par l'oreille depuis une chute dans l'escalier
osphériques et en particulier de l'ozone sur l'état des névropathes
chroniques
. Depuis décembre 1882, l'auteur a noté la press
, états d'excitation ou de faiblesse, maladies de coeur, affections
chroniques
des poumons) autorisent les conclusions sui- va
nous 8, 10, 22, 24), plus une fois n° 14), une affection pulmonaire
chronique
avec dia- bète sucré, la scrofule une fois (n°
érature ait été de 40° pendant deux jours. Les désordres lents et
chroniques
observés dès le mois d'avril résultent de ce qu
dès le mois d'avril résultent de ce que « à la suite d'une arthrite
chronique
d'ori- gine rhumatismale, il s'est produit un c
l'âge, cet homme, à première vue, aurait plutôt l'air d'un délirant
chronique
marchant vers la dé- mence ; mais l'observation
ononcé, dégénérescence grais- seuse modérée des deux reins, métrite
chronique
, dégénéres- cence kystique et fibreuse des deux
aplasies névro- tiques) ; 6) ceux qui reposent sur une exagération
chronique
de la fonction des nerf trophiques (hypertrophi
à la fois. - J. Ban.uuc. Traitement des congestions et exsudations
chroniques
de la moelle <'pu ! tere au moyen de vcnl nt
es. Ainsi s'explique que, si rare que soit la guérison de ce délire
chronique
, il est fréquent de le voir atteindre un stade
plusieurs années de dyspnée violente, à marche tantôt aiguë, tantôt
chronique
, atteignant parfois une intensité qui met sa vi
fois de la mélancolie aiguë, quatre fois une psychose dégénérative
chronique
en partie liée à des conceptions irrésistibles,
onie. Wille et Schuele ont vu se développer des psychoses aiguës et
chroniques
dans le cours ou à la suite de la pleurésie.
fait le sujet de cette communication, il est le type des processus
chroniques
, car, dès la période foetale, il a pu atteindre
rce du cerveau dans la para- lysie progressive et d'autres maladies
chroniques
du cerveau. Sera publié in-extenso 3. La disc
6, on prenait possession de la colonie; en 1880, on introduisit les
chroniques
dans leurs bâtiments. La construc- tion de la c
mplètement. Les deux corps de bâtiments construits pour les aliénés
chroniques
ont coûté 451,7o7 ' Vov. Archives du Neurologie
). Ville de Brème. En 1883, on a érigé un bâtiment pour 30 agités
chroniques
environ. Ville de Lübeck. - En 1881, on décidai
isse diminué, car, avant la fin de l'année, on a retiré des déments
chroniques
et 336 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. incurables,
Contribution n l'étude de la névrite paî,e71chynialeuse subaigué et
chronique
. Névrite segmentaire péri-axile. (Archives de N
névrite n'est nullement spéciale au cochon d'Inde ou au saturnisme
chronique
. Elle se montre aussi chez l'homme, et M. Gomba
ité en sens inverse. E. Névrite. Par exemple, névrite traumatique
chronique
, d'origine extérieure, portant sur le plexus brac
tion). F. Morphinomanie. La cause en est précisément aux névralgies
chroniques
.il importe de diminuer quotidiennement la dose
juillet 1884.) . Un homme de cinquante-trois ans, atteint de manie
chronique
, d'ailleurs en bonne santé physique, est pris d
Si la marche de la sclérose en plaques est d'ordinaire éminem- ment
chronique
, elle peut exceptionnellement présenter une 458
caractères cliniques assez variables ; tantôt, comme dans la forme
chronique
ou subaiguë, elles affectent tous les symptômes d
parMARacuEY. (Thèse de Paris, 188.) Élude sur les nzéningo-myélites
chroniques
; par BÉHOER. (Thèse de Paris. 1885.) Contribu
ans. On ne relève chez les ascendants ou collatéraux ni rhumatisme
chronique
ni affection cardiaque ou cancéreuse. Antécéden
mort. Les poumons pèsent 1080 grammes. Il existe un épaississement
chronique
de la plèvre. On constate au niveau des parench
tes que je constatais et que j'attribuai sans hésiter au rhumatisme
chronique
. « Mais nullement ! me dit M. S..., j'ai cela d
même temps la rétraction de l'aponévrose palmaire et le rhumatisme
chronique
. Elle ne relève cependant, à n'en pas douter, n
(1) Ibid., p. 500. DÉVIATION DES DOIGTS EN COUP DE VENT 189 tisme
chronique
est trop frappante pour qu'elle ne m'invite pas à
-il, dans la phase foetale, possibilité d'une poussée de rhumatisme
chronique
? Je n'en connais pas d'exemple, mais ce ne serai
sme arti- culaire généralisé coïncidant avec un écoulement uréthral
chronique
à exa- cerbatiou. Elle n'est pas si fausse la t
ition rhumatismale soit; les exemples sont nombreux de rhuma- tisme
chronique
héréditaire, plusieurs générations en subissant l
l'heure. La seconde raison, c'est que la description du rhumatisme
chronique
fibreux telle que l'a donnée M. Jaccoud (1), di
ble, à cette hypo- thèse d'une atteinte intra-utérine de rhumatisme
chronique
, quelque sé- duisante qu'elle paraisse à premiè
ILE BOIX On sait quel chaos a longtemps été le groupe du rhumatisme
chronique
et quels types disparates on réunit encore aujo
u paralysie ? Charcot invoquait pour les déformations du rhumatisme
chronique
des « contractions musculaires spasmodiques et
nue pas plus que la déviation absolument superposable du rhumatisme
chronique
déformant. Enfin, il supposer qu'il se soit agi d
Je n'ai pas la prétention d'aborder ici la pathogénie du rhumatisme
chronique
et de ses déviations. Je veux seule- ment const
et des poils. Le système pileux est sou- vent affecté dans les cas
chroniques
; les cheveux noirs prennent un reflet rougeâtr
pparence rhumatoïde. - Une question connexe est celle du rhumatisme
chronique
. Couyba com- pare judicieusement à cette affect
mêmes facteurs étiologiques se retrouvent à l'origine du rhumatisme
chronique
, à l'origine des arthropathies spinales et névr
rthropathie une fois installée persiste irrémédiable, et la période
chronique
qui succède à cette phase aiguë n'est pas moins
ément oppo- sés à toutes les variétés connues d'arthrites aiguës ou
chroniques
. Or les arthropathies que nous allons maintenan
aires ; comme ces dernières elles ont l'al- lure aiguë, subaiguë et
chronique
suivant les cas, sans qu'on puisse dire qu'une
hropathies rhumatoides. - Mais nous ferons mention ici de la chorée
chronique
: M. Auscher a observé un cas inédit de grande ar
ormes c'est surtout leurs terminaisons par résolution, par arthrite
chronique
, par ankylose. Nous avons d'abord à démontrer que
tait anesthésique (2). 2° Forme subaiguë (se terminant par arthrite
chronique
sans ankylose). Dans ce groupe nous rangeons le
peut être question d'arthro- pathie nerveuse vraie (1). 3° Forme
chronique
(se terminant par ankylose). W.Mitchell, More-
nnaissons que les petites ar- thropathies comparables au rhumatisme
chronique
. (2) Un autre cas de JEANNEL intitulé myélite a
et inflammatoire qui les fait ressem- bler au rhumatisme subaigu ou
chronique
. B. Dans les névrites. Les troubles trophique
: les observa- tions 11, 39 et 51 de W. Mitchell ; 3° dans la forme
chronique
les obser- vations 31, 33, 35, 49 de W. Mitchel
ritiques aux extrémités les fait ressembler davantage au rhumatisme
chronique
. Ainsi nous pouvons conclure : 1° que jamais un
le plus aigu, tantôt le rhumatisme subaigu, tantôt le rhuma- tisme
chronique
. (1) Une observation de MM. BUCK et 111ooa de G
'indice utile d'un état géné- ral plus ou moins grave. La variété
chronique
a donné lieu à quelque controverse. Hilzig, que
omplète avec les différentes formes de rhumatismes. D. Rhumatisme
chronique
. ' Nous avons vu que J. K. Mitchell frappé de l
en juger par la coïncidence de l'endocardite. Quant au rhumatisme
chronique
sa pathogénie est plus complexe. Ce qui saute a
s uns et des autres, on arrive à cette conclusion que le rhumatisme
chronique
est une affection régionale dont les districts
, contracture, atro- (i) Dans un rapport récent sur les « arthrites
chroniques
(8° congrès de la Soc. Italienne de médecine in
médicale,t897;p.4t2.1LssnLOxco reconnaît au rhumatisme articulaire
chronique
les formes suivantes : 1° arthropathies infecti
xi-nerveuses). Ainsi tout en paraissant rejeter l'unité du rhumatisme
chronique
que nous avons soutenue (Manuel de médecine, Ds
névrite. L'existence de la névrite explique pourquoi le rhumatisme
chronique
ressemble'surtout à l'arthropathie névritique (1)
nerveuse. A nos yeux pourtant elles ne diffèrent pas du rhumatisme
chronique
; mais, si on devait les en distinguer, elles n'en
hésita pas à se soumettre à cette opération radicale ; mais, dit la
chronique
, opprobriunx spadonis tulit episcopus, et nullum
yle' qui, le premier, constitua la para- ' Bayle. Sur l'arachzzilis
chronique
, etc. (Thèse de Paris, 1822), et Traité des mal
us, le zona, les bulles, les vésicules, etc., tantôt des affections
chroniques
: ichthyose, alopécie, etc. Troubles aigus. L'é
En 1895, elle avait été internée une première fois pour alcoolisme
chronique
. A cette époque, M. Magnan avait soupçonné la par
es ou les hallucinations sensorielles. Voici (obs. I) un délirant
chronique
halluciné qui de temps à autre, sans cause appa
ace, compliquée de folie circulaire entée sur un délire systématisé
chronique
. Il y a alternance continue de périodes .d'exal
ù le trijumeau était enserré dans une masse de tissu d'inflammation
chronique
(le malade avait présenté de l'abolition du goû
Séance du 25 octobre l 897. Présidence DE M. P. GARNIE) ! . Délire
chronique
des persécutions à évolution exceptionnellement
l éthylique. Symptômes de l'intoxication aiguë et de l'intoxication
chronique
par l'alcool étlcy- lique ; par Joffroy et Serv
démontrant l'absence d'infections associées manque. B. Méningite
chronique
. Cette forme est aussi 11'é-· quente que la pré
ogique qu'au point de vue symptomatologique. L'atrophie cérébrale
chronique
est le type le plus important à considérer : el
tats neurasthéniques résultant d'une infection ou auto-intoxication
chronique
, il faut surtout retenir ceux qui dépen- dent d
tre plus active bien que ses expériences aient été limitées à trois
chroniques
qui n'ont pas été améliorés. Archives, 20 série
icament actif. A son avis on ne doit pas ranger un malade parmi les
chroniques
avant d'avoir essayé sur lui l'action du suc th
nique (Sainte-Anne). · (Suite e11 fin.) ' II. Troubles TROPuiQUES
chroniques
. A côté des troubles trophiques aigus de la pea
troubles, à évolution lente, pro- gressive et stable, des troubles
chroniques
, des trophoné-, vroses (Lenoir) chroniques, tel
et stable, des troubles chroniques, des trophoné-, vroses (Lenoir)
chroniques
, tels que l'ichthyose, l'alopécie, les troubles
e 3juin 1896. Certificat de M. Magnan : c Est atteinte d'alcoolisme
chronique
avec hallucinations multiples; excitation ; ins
l'un offrant une lésion de la substance blanche avec dégénérescence
chronique
, l'autre une lésion de la substance grise. Dans
e la porcelaine. De la description qu'il fait de cette intoxication
chronique
par les sels de plomb contenus dans les poudres
hie saturnine, accident rare et générale- ment tardif du saturnisme
chronique
, est apparue fréquemment dans le milieu où il a
illeurs. 246 HYGIÈNE SOCIALE. modes de traitement de l'alcoolisme
chronique
et de la dipso- manie. Il n'y en a qu'un, c'e
ns. Une tante paternelle, vivante aussi, est atteinte de rhumatisme
chronique
depuis l'âge de quarante- huit ans; la mère est
moyens de la combattre. Tout d'abord ce n'est pas chez les malades
chroniques
qu'il faudra la rechercher surtout, mais bien p
sme entier, avec les autres maladies du système ner- veux aiguës et
chroniques
, et par-dessus tout l'influence des poisons var
rédisposante. L'auteur rapporte le cas d'un malade atteint de manie
chronique
et qui entra à l'asile avec un hématome double
, curables, qu'on pourrait appeler aiguës par opposition aux formes
chroniques
et plus ou moins systématisées, on peut disting
e série d'intermédiaires entre les formes aiguës simples et les cas
chroniques
complets dont le délire systé- matisé secondair
s religieux parvenus à une phase moins avancée d'une même évolution
chronique
. Avant de se croire possédés, ils passent par u
hémianesthésie. A l'autop- sie, en outre des lésions de la néphrite
chronique
pour laquelle la malade était entrée à l'hôpita
tomatisme, ont été notés surtout dans l'épi- lepsie et l'alcoolisme
chronique
. Cet automatisme observé dans l'alcoolisme chro
t l'alcoolisme chronique. Cet automatisme observé dans l'alcoolisme
chronique
est considéré par plusieurs auteurs comme une m
rrait dans certains cas se développer dans le cours de l'alcoolisme
chronique
, indépendamment et doute influence de la névros
e même caractère que celui observé dans l'épilepsie et l'alcoolisme
chronique
, peut se manifester à titre de phénomène parfai
sont que des lésions d'encéphalite simple. Il n'y a pas de maladie
chronique
du cerveau qui n'ait pu, à un mo- ment, simuler
- ment, simuler cliniquement la paralysie générale . La méningite
chronique
elle-même, qu'on ^invoque comme lésion caractéris
s auteurs admettent des cas de délire aigu à évolution plus longue,
chronique
, comme le prouve l'obser- vation I. L'autopsi
venue le 19 février dernier, à la suite d'une douloureuse affection
chronique
du foie, dont il sui- vait la marche, qu'il sav
période plus avancée, et sur- tout quand la maladie passe à l'état
chronique
, à la fois moral et physique. Des malades qui c
'idées de négation et de damnation caractéristique de la mélancolie
chronique
religieuse .1. Le première de ces démonomanes a
place accessoire. Quand le délire mélancolique vrai passe à l'état
chronique
il se systématise, se cristallise, si l'on peut
Lasègue, ainsi qu'avait commencé à le faire Cotard dans son délire
chronique
des négations. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
centrifuge dans les polyomyélites antérieures aiguës, subaiguës ou
chroniques
de l'enfant ou de l'adulte et dans les polynévr
). Leshomicides chez les absinthiques. Imbert (Henry). L'alcoolisme
chronique
dans ses rapports avec les professions.- Ingelr
influence qu'il exerce d'ordinaire sur l'état mental des aliénés
chroniques
, seule catégorie de malades qui, jusqu'ici, ait é
ans la pratique générale de la médecine, par Suévé, 308. D1.I.IRC
chronique
des persécutions, par Legrts, 81. - de revendic
a jamais eu de visions d'animaux; il n'est pas atteint d'alcoolisme
chronique
. Il n'a pas commis l'acte qui lui est reproché
héré- ditaire avec troubles hystériques et vaginisme avec métrite
chronique
et hémorrhagies utérines. Pour ces raisons, nou
le testicule droit est augmenté de volume est très induré (orchite
chronique
? ), l'épididyme n'est pas induré ; sa consista
e la folie s'établit, et reparait dès que le trouble mental devient
chronique
. Dans la seconde, l'asthme sup- prime et rempla
crises d'asthme se montrent de nouveau. Dans la quatrième, l'asthme
chronique
cesse chez un imbécile, lorsque éclate une atta
t des faits est analogue à la troisième. Dans la sixième, un asthme
chronique
s'atténue et finit par disparaitre au sur et à
les quatre autres cas, on avait affaire à des affections mon- tales
chroniques
de dégénérescence plutôt qu'à des étals aigus.
livides ou même enflées. Cet état est surtout fréquent dans les cas
chroniques
ou avancés. 10° Les artères sont fréquemment ma
typhoïde n'exerça aucune influence sur la majorité des psychoses
chroniques
. Sur les 38 observations dernières, deux cas dans
rechute de par la fièvre typhoïde, 6 cas de morts, 28 psychopathies
chroniques
duraient au moment où éclata la fièvre typhoïde
endant la convalescence de la fièvre typhoïde. 1 femme mélancolique
chronique
, j2 ans, malade depuis 2 mois, qui guérit penda
halite tubéreuse de Bourne- ville, due à un processus inflammatoire
chronique
, d'origine in- connue, probablement congénitale
ntoxication, auto- intoxication, affection fébrile, septique aiguë,
chronique
, etc.), ou bien, soit à une lésion cérébrale or
ombreuses. Il est difficile de savoir si ce processus inflammatoire
chronique
est idiopathique ou secon- daire. Par endroits,
educ de Sylvius et comparable à celle de la poliomyélite antérieure
chronique
où les muscles volontaires sont seuls touchés.
antile) ; dans les affec- tions spasmodiques de la moelle (myélites
chroniques
, scléroses multiloculaires, affections combinée
nt les nerfs (d'où les névralgies etc.), de rhumatismes musculaires
chroniques
, de distorsions articulaires ou d'hydropisies,
folie systématique typique avait pour caractère fondamental d'être
chronique
et pro- gressive, mériterait un remaniement ter
ma paranoia périodique se transforme, en certains cas, en paranoia
chronique
, mais au bout d'un long temps, et tout à fait d
: 1° l'hérédité, 20 les signes et lésions de l'alcoo- lisme aigu et
chronique
. Quelques pages eussent suffi pour les exposer,
, produisant si souvent des enfants idiots, et ceux de l'alcoolisme
chronique
, s'étendant à plusieurs générations. Afin d'avo
r s'il fallait admettre avec M. Magnan une forme spéciale de délire
chronique
pour les dégénérés. L'auteur, en effet, est d'ac-
romique, l'état délirant. Pour lui aussi, ce délire est brusque, ou
chronique
à marche irrégulière, polymorphe, intermittente
lag von A. Ilirs- chwald. Rouillaiid. La discussion sur le délire
chronique
à la Société ttzédico-psychologique. Brochure i
vons chez lui pendant nombre d'années le tableau d'une intoxication
chronique
par ce métal, grâce à laquelle le malade a dû,
me une maladie toxique. Sous ce rapport, l'intoxication saturnine
chronique
convient fort pour servir de point de comparais
e blanche sont les mêmes que dans les myélites aiguës, subaiguës ou
chroniques
. Quoique les capillaires soient dilatés, la cir
logues à celles de la myélite centrale aiguë. Dans l'intoxication
chronique
, la lésion empiète sur la substance blanche. Dans
lus ils sont nombreux, plus ils sont développés. Névrite multiple
chronique
d'origine syphilitique, - L'ob- servation suiva
téressé a été celle - d'un malade atteint ^d'intoxication saturnine
chronique
: les symptômes ressemblaient d'une manière fra
la suggestion. Le Médecin, n° 2, 1887. Gowseeff. Un cas de chorée
chronique
progressive de Charcot, (sans autopsie). Arch.
est pâle, mate, bouffie ; les paupières, atteintes de bléplia- rite
chronique
, sont dépourvues de cils; les paupières supérieur
re et délirante. Se basant sur trois cas intéressants de cocaïnisme
chronique
, dont il détaille les observations, il résume d
Systématique progressive comme le délire des persécutions ou délire
chronique
, on fait mention, parla même, de son symptôme l
88 SOCIÉTÉS SAVANTES. ultimes et décelée, ainsi, comme une psychose
chronique
à nom- breuses périodes systématiquement étagée
a peut donner naissance à de grosses lésions mécaniques, mais aussi
chroniques
et insidieuses, à des processus de dégénérescen
La deuxième période c'est l'ivrognerie proprement dite : alcoolisme
chronique
, si elle est continue; dypsomanie, si elle est
périodique. D'après l'auteur, les premières tares dans l'alcoolisme
chronique
, débutent par le sens moral, l'étique qui s'émo
LEÇONS CLINIQUES SUR LES MALADIES
CHRONIQUES
DE L'APPAREIL LOCOMOTEUR PROFESSÉES A L'HOP
, lisez : « comme on l'a cru ». LEÇONS CLINIQUES SUR LES MALADIES
CHRONIQUES
de L'APPAREIL LOCOMOTEUR. PREWIKBE ANNÉE, 1
rs , (1) L'objet de notre réunion est l'étude clinique des maladies
chroniques
de l'appareil locomoteur, c'est-à-dire du système
'enfance est l'âge de prédilection des maladies convulsives aiguës et
chroniques
; pourquoi les affections cérébrales compliquent p
i en dépendent, impriment encore des caractères spéciaux aux maladies
chroniques
de ses organes locomoteurs : ainsi sa constitutio
dont nous devons nous occuper. On pourrait croire que les maladies
chroniques
épuisent plus promptement ces organismes débiles
ans l'enfance. Or, ce fait se reproduit souvent dans les affections
chroniques
de l'appareil locomoteur. Sans doute les sympathi
l'enfant que chez l'adulte. Mais très-fréquemment, dans les maladies
chroniques
, ces troubles ne sont que passagers, et des désor
nt enlevés par la moindre affection intercurrente. Quand nos maladies
chroniques
se rencontrent chez de pareils sujets, il n'y a g
l'adulte placé dans un milieu semblable. La cachexie, que la maladie
chronique
tend à produire, est ainsi favorisée, aggravée. P
rales que j'avais à vous présenter sur les faits communs aux maladies
chroniques
de l'appareil locomoteur, spécialement considérée
maladies du système osseux. Il est naturel de diviser les maladies
chroniques
du squelette en deux classes, suivant qu'elles on
anatomiques, fixera d'abord notre attention. La principale maladie
chronique
du rachis est celle qui a reçu le nom de mal vert
ration des ligaments intervertébraux qui se rapporterait à l'arthrite
chronique
, et qui entraînerait la destruction de ces ligame
les membranes ; ces organes peuvent être le siège d'une inflammation
chronique
qui les épaissit. Nichet a publié le résultat d'a
ause principale des arrêts de développement consécutifs aux arthrites
chroniques
. Sans doute, outre l'influence évidente des lésio
ralysie organique la plupart des phénomènes secondaires des arthrites
chroniques
, et notamment la contracture musculaire, que l'on
udes et notamment la rotation en dehors du tibia, dans les affections
chroniques
du genou : c'est la rétraction des ligaments ; il
rticolis produit par des lésions de l'appareil locomoteur est aigu ou
chronique
, osseux ou musculaire ; celui-ci, à son tour, est
ige; elles sont surtout utiles quand le torticolis est passé à l'état
chronique
, ou à son début. Mauchard avait déjà indiqué ce m
il soit applicable à toutes les articulations du corps. Dans l'état
chronique
, aux manipulations il faut ajouter des supports,
i des mêmes moyens. Je n'y reviens pas. La maladie est-elle devenue
chronique
, il s'agit surtout d'obtenir le redressement de l
tenir la réduction. Il faut d'ailleurs (1) Dans toutes les maladies
chroniques
des os ou des articulations, je distingue deux ph
par les moyens qu'on oppose généralement aux phlegmasies articulaires
chroniques
. Je clos ici, pour cette année, l'étude des aff
s chroniques. Je clos ici, pour cette année, l'étude des affections
chroniques
du système osseux. Mais je désire ne pas me sépar
arçon de onze ans, admis dans une des salles destinées aux affections
chroniques
, pour y être traité d'une tumeur blanche du genou
oursuivons l'étude clinique, commencée l'année dernière, des maladies
chroniques
de l'appareil locomoteur. Nous avons terminé la c
inverse. 2° Les ligaments peuvent se raccourcir dans des arthrites
chroniques
, dans le rhumatisme, la goutte, et dévier le sque
e celte attitude. Mais ces contractures peuvent se présenter à l'état
chronique
et amener de véritables pieds bots. Mais c'est
lle fut atteinte d'un rhumatisme articulaire aigu, qui passa à l'état
chronique
. 11 en est résulté une déformation des membres su
n ne verrait pas, dans cet hôpital, des enfants minés par une maladie
chronique
, (1) Recherches sur le rachitisme, p. 53 et 75.
lles qui sont produites par les tubercules, les scrofules, l'entérite
chronique
, le carreau. Il permet aussi de ne pas le confond
e d'une maladie aiguë, à fortiori la débilité qu'entraîne une maladie
chronique
, peuvent avoir le même résultat. La constitution
ourbure vertébrale avec déformation du thorax et affection pulmonaire
chronique
. Quinze mois de traitement rétablirent la rectitu
'un rôle très-secondaire. Cette contracture se montre-t-elle à l'état
chronique
sous la forme permanente? La chose est possible,
ement dans le bas du rachis. Telles sont celle qui succède au lombago
chronique
, celle que détermine la claudication. La convexit
titution scrofu-leuse. Elle a une dureté de l'ouïe due à une otorrhée
chronique
. Cette enfant, et une autre atteinte de courbure
fréquent des processus inflammatoires primitifs, aussi bien aigus que
chroniques
. (Billrolh.) » Mais dansées cas la pé-riostite es
rés dans la rapidité de production des nécroses : « Elle est aiguë ou
chronique
; la pre-mière, produite le plus ordinairement par
l'ap-pelle ostéite épiphysaire aiguë suppurée et l'oppose à une forme
chronique
. La question se limitait beaucoup et ces deux a
er encore dans l'esprit du mé-decin. Nulle des formes du rhumatisme
chronique
, par son mode d'inva-sion, par sa promptitude à s
comme les meilleurs médica-ments de l'intoxication saturnine aiguë ou
chronique
, et particu-lièrement dans les accidents cérébrau
t des membres inférieurs, indique l'existence d'une ma-ladie aiguë ou
chronique
de la moelle. Nous devons aussi signaler une ob
vi-dents d'intoxication urémique____Dans un cas de maladie deBright
chronique
que j'ai vu récemment, ce point me parut même plu
du sang entravant l'oxydation chez les ivrognes, et surtout Y urémie
chronique
, dans laquelle il a une fois constaté une descent
ont une couleur jaune pâle, et offrent les altérations d'une néphrite
chronique
. — Rétrécissement de la por-tion membraneuse de l
Enghien, vante les bons effets de ces eaux dans les catarrhes utérins
chroniques
, tandis que « dans les engorgements chroniques du
les catarrhes utérins chroniques, tandis que « dans les engorgements
chroniques
du col ou du corps de l'utérus, il n'a obtenu des
les considère plus spécialement et avec juste raison comme des formes
chroniques
de la maladie, pouvant toutefois se présenter ave
mais celles au contraire qui se rapprochent le plus d'une irritation
chronique
et diffuse. — On doit donc considérer certains ca
diaire des nerfs. — Lorsque cette affection de la moelle est diffuse,
chronique
, lentement progressive, elle se traduit par les s
nés à la diathèse phosphatique. Ce catarrhe passe rapidement à l'état
chronique
. L'urèthre du malade, par suite de nombreuses ble
e, on trouve,comme coïncidence habituelle, les restes d'une affection
chronique
des os, d'une syphilis constitutionnelle, d'une t
amollie dans les cas aigus, endurcie quand la maladie suit une marche
chronique
. En même temps que ces lésions, on en trouve d'an
décrirons deux formes principales : la splenite aiguë et la splenite
chronique
. I SPLENITE AIGUË La splenite aiguë est cel
'opportunité. II SPLENITE CHRONIQUE On donne le nom de splenite
chronique
à l'inflammation chroni-que de la rate. — Il nous
rentes, et surtout l'hypertrophie, le ramollissement ou l'indura-tion
chronique
de la rate. — Nous essayerons toutefois d'en donn
ypertrophie avec induration, annoncent l'existence d'une inflammation
chronique
. II. Symptômes. — Les symptômes de la splenite
aiguë peuvent 11* exister un certain temps, lorsque laphlegmasie
chronique
n'est pas primitive; le diagnostic est alors un p
re presque illimitée. IV. Etiologie. — Les causes de l'inflammation
chronique
bien caractérisée ne peuvent guère être cherchées
es. , Les fièvres paludéennes peuvent-elles produire l'inflammation
chronique
? Si nous nous en rapportions aux auteurs, nous ré
mais, comme nous l'avons dit, tout étant confusion entre la splénite
chronique
et l'hypertrophie, il est bien difficile de formu
rdons postérieurs {voy. Ataxie locomotrice). Splénite aiguë, 269. —
Chronique
, 273. Syphilide papuleuse plate, modifiée par l
m des lésions dans le cas de syndrome protubérantiel par artérite
chronique
; mais elles peuvent relever aussi, comme le mon-
s bien comprendre la multiplicité et la dissémination des artérites
chroniques
du cerveau. Mais, dans des cas plus rares, la d
mois et demi de diarrhée infantile. Le père est mort de dysenterie
chronique
à l'âge de quarante- deux ans et demi. La mèr
de la maladie. DE la PÉRIODE aiguë. L'hystérie, avant de devenir
chronique
, est le plus souvent précédée d'une période dite
aralysie infantile cérébrale, la syphilis céré- brale, l'alcoolisme
chronique
avancé, l'épilepsie, ainsi que dans certains ca
ATHOLOGIE NERVEUSE. VIII. Paralysie labio-glosso-laryngée (Atrophie
chronique
des noyaux moteurs de la protubérance et du bul
l y a dix-huit mois de cela. Les autres phéneaïïènes du nicotinisme
chronique
, tels que vertiges, dyspnée, constipation, ont
trente ans avant. Mais c'est la discussion célèbre sur le délire
chronique
de Magnan qui porta le plus de lumière dans cette
es les psychoses aiguës et aux crises symptomatiques des vésanies
chroniques
. Il préconise l'abandon systématique des moyens
ng d'un supplicié », que cite àt. le D BnËMONT dans le numéro de la
Chronique
du 15 octobre, je trouve, dans le tome second d
u'il n'administrait probablement pas lui-même à l'épileptique ? (Lu
Chronique
médicale du 1 ? mai 1902.) " * Dr DAuviN (Saint
équence. Aussi a-t-on pu dis- tinguer une forme aiguë et 'une forme
chronique
, cette dernière à la suite des travaux remarqua
travaux remarquables de Cotard et de Seglas. La mélancolie anxieuse
chronique
présente une évolution systémati- que, qui rapp
et sa fille ». On rencontre enfin chez les idiots et les maniaques
chroniques
une foule de tics grimaciers ou autres, tel que
e. Le certificat établi à l'entrée par M. Magnan porte « alcoolisme
chronique
avec accès subaigu. Hallucinations mul- tiples
hypothèses : Influence de la lésion cérébrale due à l'al- coolisme
chronique
, troubles circulatoires de l'encéphalo- SUR UN
tique chirurgicale dans le traitement des psychoses tant aiguës que
chroniques
. Ce rapport des psychoses avec le traumatisme d
ons, et qui comprenaient 8 cas d'alcoolisme subaigu, d'al- coolisme
chronique
et 2 de psychose polynévritique de Korsakofr. L
s d'alcoolisme subaigu qui éclatent dans le cours de l'alcoolisme
chronique
. A diverses reprises, les auteurs se sont trouvés
ans dans ma thèse, quand j'ai dit, le premier en date, que la forme
chronique
et rémittente de la paralysie générale se rencont
fois Beaucoup de médecins, peu au courant des maladies nerveuses
chroniques
des enfants, sont fort embarrassés en face de tel
d'une intoxication, éléments épisodiques surajoutés à l'alcoolisme
chronique
. L'auto-accusation représente une des formes dé
qui présente les mêmes caractères que la méningo-périen- céphalite
chronique
diffuse, c'est-à-dire, en résumé, l'infiltration
avec ces auteurs nous considérons comme des lésions d'inflammations
chroniques
, ces productions cellulaires constituent des fo
res modifications névrogliques liées à des processus d'inflammation
chronique
banale. ' Il ne faudrait pas par un véritable a
ns -dans ma thèse, quand j'ai dit, le premier en date, que la forme
chronique
et rémittente de la paralysie générale se rencon-
gite n'avait été que l'épilogue rapide d'une tuberculose pulmonaire
chronique
à la 3° période. Au contraire, dans les 4 cas o
renseignement. Mère moite à l'âge de quarante-sept ans; rhumatisme
chronique
; avait les doigts volumineux ; bossue, une épau
le monde, et est fort remarqué. Causes : hérédité nerveuse, coryza
chronique
. La seconde observation a trait à une jeune idi
d'hérédité; c. le début au delà de l'adoles- cence ; f. l'évolution
chronique
en quatre ou cinq ans. L'auteur rapporte une sé
repos au lit. E. BtJN. X. Quelques points du traitement des aliénés
chroniques
; par Francis 0. Simpsons. (l'he American Jouio
age, dit l'auteur, pour les cas de folie aiguë que pour les malades
chroniques
. Il envisage alors successivement : REVUE DE TH
elle est en dispropor- tion (apparente) avec sa.cause , si elle est
chronique
, si ses concomitants physiques ont une intensit
ésentent sous la forme d'une répulsion ou peur anxieuse originelle,
chronique
, portant spécialement sur un objet déterminé (p
dans l'obsession : ce dédoublement s'accentue dans certaines formes
chroniques
et incurables de l'obsession où l'idée fixe s'a
tuel y prédomine, elles ont une allure rémittente ou continue, sont
chroniques
, l'idée obsédante est multiple et peut se modif
couleurs : on a voulu voir dans la cécité des couleurs une « myopie
chronique
» mais cela n'est vrai que si la perception lum
la Salpélrière, n° 4, 1899.) , Soit à l'état aigu, soit à l'état
chronique
, les troubles trophiques de la peau se manifest
nt être intéressées. M. Bienvenu rapporte une observation de chorée
chronique
. Méningite tuberculeuse du bulbe avec rémission
l'atrophie musculaire progres- sive spinale, due à une poliomyélite
chronique
strictement loca- lisée aux grandes cellules de
pos au lit, par Wizel, 415. Quelques points sur le traitement des
chroniques
, par Simpsons, 446. Asile d' de Navarre, 448.
avoir des résultats appartenant exclusivement à la périencéphatique
chronique
interstitielle. De ces '108 paralytiques, il n'
., étaient sans doute dus à l'existence des lésions méningiliques
chroniques
qui étaient du reste bien moins prononcées chez
durée de l'élimination du bleu de méthylène chez les para- noiaques
chroniques
comme chez les individus normaux est plus 46 RE
anes sont les dipsomanes et ces malades ne sont pas des alcooliques
chroniques
. Au reste, le rapprochement que les inven- teur
résultats qu'il y a constatés. Cette méthode d'assistance pour les
chroniques
ne fait pas double emploi avec la colonisation
ts et suicideurs, tranquilles et pensionnaires.; les autres aliénés
chroniques
sont transférés dans un asile provincial. Ces p
is n appartiennent pas, il s'en faut de beaucoup à la catégorie des
chroniques
ou des incurables. Beaucoup au contraire sont g
nt les tics convulsifs, l'idiotie légère symptomatique de méningite
chronique
, l'inégalité de poids des hémisphères céré- bra
re d'écorce grise qui s'est trouvée atteinte de méningo-encéphalile
chronique
en foyer. Une jeune femme dans des circonstance
hilis a créé une lésion médullaire combinée, d'une part une myélite
chronique
pro- gressive du type Erb, d'autre part des lés
ns longues et, maintenant, c'est un type de délirant et d'halluciné
chronique
. » Le troisième frère aurait été longtemns affa
oreilles n'ont rien de particulier dans leur forme : otite moyenne
chronique
double, forme fongueuse; il n'y a plus de tympa
emarques sur les lésions observées dans un cas de paralysie spinale
chronique
d'origine syphilitique ; par R. F. William- son
rse ; 3° L'alitement semble ne pas devoir s'appliquer aux délirants
chroniques
qui paraissent, par ce régime, tendre à l'aggra
us aisée. Puis vint le tour du quartier des faibles et de celui des
chroniques
irritables non travailleurs. L'alitement diminu
ticulations coxofémorales. L'auteur propose le terme d'inflammation
chronique
ankylosante des grandes articulations et de la
orée semblable mais de maladies nerveuses éaractérisées. L'hérédité
chronique
remonte à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 159 s
au professeur d'établir les diverses modalités de l'ophtalmoplégie
chronique
. L'ophtalmoplégie peut se montrer dans le tabes
sition pour tout ce qui a trait à l'assistance des aliénés aigus et
chroniques
, à la constitution des asiles et des colonies,
continue; Grand développement donné ri la colonisation des aliénés
chroniques
et convalescents ; Extension de jour en jour
district de Verneck. On transfère dans ce dernier établissement les
chroniques
et les cas sans intérêt pour l'enseignement.
é considéré par tel spécialiste comme atteint de folie systématisée
chronique
et déclaré irresponsable, et, ultérieu- rement,
al n'est pas tout à fait le même que celui du délirant systématique
chronique
progressif. Les idées délirantes actuelles n'on
et de reprendre leur place dans la société ; et s'il s'agit de cas
chroniques
et incu- rables, c'est un moyen de maintenir l'
groupe de malades, les déments séniles, les déments organiques, les
chroniques
inoffen- sifs, principale cause de l'encombreme
ité de l'asile de Beauregard, reçoit en dehors des déments quelques
chroniques
hallucinés et quelques délirants systématisés q
crises aiguës paroxystiques. Au troisième degré la peur est devenue
chronique
. Le malade pense sans cesse à sa rougeur : elle
syndrome caractérisé par : a, l'irritabilité générale ; b, un étal
chronique
d'attente anxieuse; SECTION DE PSYCHIATRIE. 251
vropathie, où la dépression est absente, mais où l'angoisse domine,
chronique
et paroxystique, et qui constitue le terrain d'
er avant sa visite. Ce sont quelques convalescents et des malades
chroniques
tout à fait calmes qui s'occupent de travaux. Ces
t serait propre aux maladies aiguës, le régime ouvrier aux maladies
chroniques
. C'est tout à fait inexact. Presque tous les ma
Besch, l'hypertrophie du cerveau se distingue de l'hydrocéphalie
chronique
par les caractères suivants : dans l'hypertrophie
n'ont pas été mentionnés, c'est-à-dire tumeurs du cerveau, lésions
chroniques
des membranes, et altérations du crâne, lesquels
et elle était située dans la région frontale droite. L'affection
chronique
des membranes du cerveau est beaucoup ' plus fr
gique, les formes suivantes : 1° Idiotie symptomatique de méningite
chronique
(idiotie ménin- & : '< ? f6) ; 2° Idio
mp; : '< ? f6) ; 2° Idiotie symptomatique de méningo-encéphatite
chronique
(I. méninyo-encéphalitiqué) ; 3° Idiotie symp
1° tous les malades atteints de psy- choses aiguës ou de psychoses
chroniques
présentant des états intercurrents d'excitation
sser avec précaution les régions infiltrées. Les éruptions cutanées
chroniques
ne doi- vent pas arrêter le massage. Dans un ca
idère la folie des quérulants comme une forme du délire systématisé
chronique
, caractérisée par une altération générale de la
égative a une action résolutive marquée qui s'exerce sur la névrite
chronique
cause de la paralysie. Elle produit l'état cath
ivasculaires serait plutôt la conséquence d'un prolapsus atrophique
chronique
du cerveau. M. le professeur RAYMOND (de Paris)
'asiles urbains pour les cas aigus et de colonies ouvertes pour les
chroniques
, etc. A Grie- singer succéda Westphal (1868). T
nt associé de l'abaissement des yeux, par Babinski, 66 -. spinale
chronique
d'oirgine syphilitique, parvis- liamson, 126.
passant que cette hypertrophie ne s'observe jamais dans la cho- rée
chronique
. On peut retrouver l'influence des émotions sur
du corps (élévation des bras par exemple). (1) Iluet, De la chorée
chronique
(thèse de Paris, 1888-89). (2) Audry, Athélose
l1ne. Absolument comme dans la chorée de Sydenham ou dans la chorée
chronique
. C'est un ca- ractère commun avec ces deux mala
arquer si bien Iluet, l'athétose double se différencie de la chorée
chronique
surtout par le défaut de souplesse dans les mouve
dreich. Huet, quand il fait le diagnostic différentiel de la chorée
chronique
avec l'athétose double, nous la peint ainsi :
s la peint ainsi : La parole ne ressemble pas il celle de la chorée
chronique
; elle se rap- proche plutôt de celle de la sclé
ladie de Freidreich, sclérose en plaque, paralysie générale, chorée
chronique
, elc... (1) 1V. Ilale White, Two cases of pecul
t. De plus les let- tres étaient plus régulières que dans la chorée
chronique
. Nous savons parfaitement bien qu'en pareilles
us, n° 11. ' A. H. Mère asthmatique. Père mort en 1881 de bronchite
chronique
. Un ; frère et une soeur plus âgés que le malad
à augmenter progressivement comme c'est l'ha- bitude dans la chorée
chronique
(démence). La démarche particulière est un autr
articulaires et les déviations vertébrales manquent dans la chorée
chronique
. Mais revenons à la marche de notre maladie. Le
t rarement jusqu'à la démence comme c'est l'habitude dans la chorée
chronique
. La durée de l'athétose double est assez longue
t au côté gau- che, elle se généralise ensuite rapidement. Chorée
chronique
. La chorée chronique est à peu près la seule af
elle se généralise ensuite rapidement. Chorée chronique. La chorée
chronique
est à peu près la seule affection avec laquelle
ic différentiel de ces deux maladies. A vrai dire lorsque la chorée
chronique
est bien caractérisée, lorsqne ses mouvements s
ours ainsi et quelquefois les mouvements involontaires de la chorée
chronique
de moyenne intensité ressemblent un peu à ceux de
'acte. Mais ce qui distingue surtout l'athétose double de la chorée
chronique
, c'est que dans la première les mouvements invo
est le caractère distinctif essentiel lorsque l'on parle de chorée
chronique
et d'athétose. Il y a une contracture plus ou m
ueux ; ces déformations et ces subluxations manquent dans la chorée
chronique
. La démarche est très particulière dans l'athét
dans l'athétose double et ne ressemble en rien à celle de la chorée
chronique
; elle est en effet spasmodique, les ma- lades
s genoux rapprochés l'un contre l'autre ; tandis que dans la chorée
chronique
on constate que les malades marchent par une es
parole est défectueuse dans l'athétose double comme dans la chorée
chronique
, mais lorsqu'on observe bien attentivement les ch
plus lente, plus allongée chez les athétosiques. « Dans la chorée
chronique
, dit Clay-Schaw, les paroles sont vivement proj
tions, l'hypertro- phie musculaire manquent toujours dans la chorée
chronique
. La marche de la maladie est plus régulièrement
l'intelligence on peut les caractériser en deux mots : le choréique
chronique
devient à la fin un dément, l'athétosi- que dou
une observation « d'ostéo- malacie survenue dans un cas de démence
chronique
», observation appar- tenant à Alpins (9), il e
is encore inconnue ou à peine entrevue. A placer à côté des chorées
chroniques
qui paraissent être dans le même cas, sans voul
initive. Pour cette raison on pourrait la ranger à côté des chorées
chroniques
. 2° Les caractères des mouvements involontaires
simuler (tabes dorsal spasmodique, maladie de Frie- dreich, chorée
chronique
, etc.), il sera fait facilement en général d'aprè
with remarks (Practilioner. London, 1883, XXX). Huet. De la chorée
chronique
(Thèse de Paris, 1888-1889). -Jougla. Contri- b
te. Je n'ai pas eu l'occasion de traiter un cas aigu ; dans les cas
chroniques
, la faradisation du cou n'est pas du tout indiqué
inents que je viens de nommer. Le tabès étant donc une inflammation
chronique
on ne peut nier qu'une médication qui tend à re
s ; qu'il présentait enfin des signes caractéristiques d'alcoolisme
chronique
(1). Bien que la plupart des faits se soient pr
béreuse. Dautres idioties enfin sont dues à une méningo-encéphalite
chronique
gé- néralisée, rappelant tout à fait par ses ca
tives : 1 ° à la sclérose tubéreuse ; 2° à la méningo-encé- phalite
chronique
; 3° à la microcéphalie. Nous allons les reprodu
-ENCÉPHALITE. 17 Il. Idiotie symptomatique de méningo-encéphalite
chronique
; par MM. Bourneville et Wuillamié. Les faits d
amié. Les faits d'idiotie consécutive à une méningo-encépha- lite
chronique
plus ou moins généralisée sont assez com- muns.
2). (1) Nous avons observé plusieurs cas de diarrhée idiopathique
chronique
chez des enfants idiots des deux sexes, se termin
alcoolique (vin blanc), mort d'un asthme symptomatique de bronchite
chronique
avec emphysème à l'âge de 75 ans ; il avait des
ici autre chose que les manifestations du rhumatisme arti- culaire
chronique
partiel. Elles présentent, en effet, tous les c
ce sont aussi celles que M. Charcot assigne en propre au rhumatisme
chronique
. D'autre part, l'altération prédominante dans l
vation répétée et minutieusement suivie, à l'occasion du rhumatisme
chronique
d'une part, et de l'ataxie d'autre part, d'un g
e faisait pressentir l'existencedes lésions pulmo- naires, à marche
chronique
, que nous avons rencontrées à l'autopsie. Le dé
décou- vre des lésions très accentuées de znéozizyo-etcé2lzalite
chronique
plus ou moins généralisée. IV. Relation d'une
t font défaut aux membres. Les yeux, déjà atteints de conjonctivite
chronique
, sont larmoyants. A l'auscultation, on entend q
Les pieds sont cyanosés et les orteils sont le siège d'engelures
chroniques
. Bouche assez large; lèvres normales; arcades d
ues sur le tronc, très peu sur les membres. La diarrhée, à l'état
chronique
chez notre malade, n'a pas augmenté. A l'auscul
lvines, par suite de l'état de gâtisme, avait déterminé un érythème
chronique
. L'irritation cutanée a donc agi, ici, comme da
re supérieure est le siège d'un érythème occa- sionné par un coryza
chronique
. Le cuir chevelu est recou- vert de quelques cr
172 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche I. JI éningo-encéphalite
chronique
généralisée. Séparation de la substance grise d
i l’honneur de vous présenter la relation d’une guérison d’ophthalmie
chronique
opérée par une mère sur son enfant, à l’aide du m
monte jusqu’à Dieu, ce que ne peut faire lu reste de l’animalité.
Chronique
. — Le magnétisme est en vogue au théâtre : après
par des procédés inconnus des savants, à venir à nos enseignements.
Chronique
. — La Société du Mesmérisme vient de manifester s
donné, ces dégoûts, cette maigreur, décelaient un désordre profond et
chronique
des organes thorachiques et intestinaux, désordre
us demanderons, car nos vœux sont humains autant que légitimes. •
Chronique
. — Un manuscrit de Mesmer sur le magnétisme, parf
us ; et à bien dire, c'est une folie passagère, aiguë, au lieu d’être
chronique
. Un savant médecin d’aliénés, M. Moreau, de Tours
volonté de l’homme contre la volonté de Dieu? L. Alp. Caiiagnet.
Chronique
. — M. le docteur Gorgeret, auteur d’un petit écri
est passé là «ans entendre gronder le tonnerre. (Franco-Américain.)
Chronique
. — La conférence «lu 19 mars, à Notre-Dame, a été
s points conforme à la vérité. Jobard. Bruxelles, 7 avril 1818.
Chronique
. — Parmi les nombreuses caricatures faites sur l’
se sont, l’un tué, l’autre fracturé la cuisse en tombant de cheval!
Chronique
. — Nous avons des nouvelles directes de Calcutta
semblable que doive paraître mon récit, j’atteste qu’il est vrai. »
Chronique
. — Les somnambulistes ont l’esprit inventif; la f
dacteurs en chef chacun un magnélophile, MM. Gally et de Lavalette.
Chronique
.— Les séances expérimentales des sociétés magnéto
tion et utilité comparées à celles de l'éther et du magnétisme, 26.
Chronique
. — Nouvelles et faits divers d’actualité, 59, 127
Je compte aujourd’hui voir aussi M. Koreff. Nous parlerons de vous.
Chronique
. — L’ancien procureur du roi, d’Auxerre, qui pour
vous si mal conduit cette maladie, que vous avez fait passer à l’état
chronique
, soit par votre hésitation, soit par voire persis
Ce point de doctrine consiste à prétendre que la cause des maladies
chroniques
est la gale, la syphilis et la sy-cose, virus qui
sic, catarrhes bronchique ou vésical, hépatites, gastrites, entérites
chroniques
, rhumatismes, scrofules, asthmes, et toutes les a
dmettront jamais que ces virus soient la cause de toutes les maladies
chroniques
, delà plupart, si vous voulez même, pour être moi
roubler les fonctions d’un organe et causer sa souffrance, sous forme
chronique
! IJue affection aigué, mai traitée, ne se résout
mai traitée, ne se résout qu’imparfaitement et détermine une maladie
chronique
! Un rhume tout simple, négligé, peut se changer e
chronique! Un rhume tout simple, négligé, peut se changer en catarrhe
chronique
, il peut même donner naissance à la phthisie ! Un
s qui sont longs à se manifester et qui laissent souvent des maladies
chroniques
! Des maladiesdu cœur, du foie, des hydropisies,
on on n'a rien vu qui ressemblât à une répercussion. Leurs maladies
chroniques
viennent de là , selon vous ; mais beaucoup viven
par Hahnemann, savoir : les infinitésimaux et la théorie des maladies
chroniques
. Quoi qu’il en soit de mon opinion à l’égard de
vérité persiste, et le siècle est dompté. Pierre Laciiambeaudib.
Chronique
. — Les événements politiques, qui ont entravé la
hydrothérapiques s’appliquent aux maladies aiguës comme aux maladies
chroniques
, et le nombre des guérisons, d'après des rapports
des virus de l’homoeopathie qui sont la cause de toutes les maladies
chroniques
. Malgré le peu de fondement de sa doctrine, M.
s découvertes ont exercé une si grande influence sur le magnétisme.
Chronique
. — 11 y a maintenant dans les hôpi- taux de Par
ilemnt à bout de la faire cesser, parce qu’elle était passée à l’état
chronique
. Pourtant elle indiqua la magnétisation comme le
mbre de la Société Magnétolo-gique de Paris, vient aussi de mourir.
Chronique
. — L’état du magnétisme, à Paris, s améliore sens
exaltation du système nerveux. Bordeu ( Recherches sur les Maladies
chroniques
) cite plusieurs faits de lucidité médicale dont i
pendant a fait exception : c’était une femme atteinte d’une affection
chronique
fort an- cienne et réputée incurable par tous l
llir, et qui pourrait intéresser la publication de votre Journal. »
Chronique
. — Un de nos amis, M. Chipron, qui vient d'aller
de Paris, MM. Quélin-Bichotte et Chappuis, sont également décédés.
Chronique
. — Le nouveau doyen de la Faculté de Médecine de
par le magnétisme simple. Le quatrième cas est une gastro-entérite
chronique
. line jeune fdle magnétisée indique les remèdes
ent est impuissant contre les maladies ayant pour cause des miasmes
chroniques
tels que la gale ou psore, la syphilis, ies dartr
de comme préférable, pour obtenir la guérison de beaucoup de maladies
chroniques
, d’employi'r les remèdes reconnus capables de dét
ls historiques, 253. C. Cuivre. — Son action sur Prudence, 177.
Chronique
. — Nouvelles et faits divers d’actualité, 41, 123
rose multiloculaire est restée confondue dans le chaos des myélites
chroniques
. Il y a trente ans à peine que Vu[- pian et Cha
inaperçue : la neuras- thénie, les intoxications et les infections
chroniques
méconnues. Et, comme enseignement, savoir qu'il
de la paroi postérieure du pharynx et du larynx normale. Pharyngite
chronique
. Epiglotte rabattue sur le larynx, revenue sur
talons. Après des traitements variés, l'écoulement uréthral devint
chronique
. Et il persistait encore, uous dit le malade, i
oit externe et le grand oblique. Ocs. XXXII. Poliencéphalomyélite
chronique
progressive (Scelig- midler1). Anna Schmidt,
nsemble symptomatique de ce cas appartient donc à la polio- myélite
chronique
et à la poliencéphalite supérieure et inférieure.
S. 181 des convulsions. 4 sont vivants; une soeur atteinte d'eczéma
chronique
a eu des attaques hystériques qui ont disparu a
longue la formation d'un CIItt·Ol)1011 bilatéral; puis une kératite
chronique
, laquelle a eu pour résultat la production d'opac
es abdominaux.. Nous avons donc affaire à une polioencéphalomyélite
chronique
pro- gressive. Ce qui rend notre cas, autant
ts qui précèdent appartiennent les uns à la polioencéphalo- myélite
chronique
, les autres à la polioencéphalomyélite subaiguë.
halomyélite subaiguë que nous connaissions. ( Polioencéphalomyélite
chronique
z Les différents faits qui ressortissent à ce g
bord l'attention du malade. Dès le début, la marche essentiellement
chronique
de l'affec- tion s'affirme par la lenteur, l'hé
on sait que c'est ainsi que procède l'atrophie dans la poliomyélite
chronique
. C'est l'atrophie qui domine la scène et règle
rescence. Dans une affection connexe de la poliomyélite antérieure
chronique
, dans la syringomyélie avec atrophie musculaire,
t pas modifié. . La marche ultérieure de la polioencéphalomyélite
chronique
est des plus variables. Chez deux malades, en e
a mort' (cas de Seeli(ymüller). Enfin, Brau... appartient à un type
chronique
et progressif; il n'est malade que depuis deux an
comme la cause probable de la poliomyélite antérieure su- baiguë et
chronique
. Parmi les sept malades atteints d'atrophie mus-
e, de Rosenthal, il semble que le début de la polioencéphalomyélite
chronique
par le bulbe supérieur entraîne un pronostic mo
ale aucune autopsie de polioencéphalomyélite ou de polioencéphalite
chronique
simple, isolée, suivie d'examen microscopique;
'une paralysie multiple périphérique. Le développement éminemment ,
chronique
des symptômes oculaires, lcur variabilité, les ré
L'UI'll'l'ILAL)lUl'L1;G11 : l ? l'1 : 1311;, ? 3.i Polioencéphalite
chronique
, La première autopsie de ce genre appartient à
minerons la série d'examens microscopiques concernantles paralysies
chroniques
et progressives des muscles oculaires par la re
bservation que nous citons presque in extenso. OBs. XL. Paralysie
chronique
et progressive des muscles de l'oeil. (Doellige
ingée moyenne. Pachyméningite interne hémorrha- gique. A l'achnitis
chronique
avec oedème. Atrophie sénile du cerveau, parti-
x lésions plus atrophiques qu'inflammatoires de la polioencéphalite
chronique
on peut opposer les altérations inflammatoires et
eins sans altération appréciable. Foie un peu grais- seux. Catarrhe
chronique
de l'estomac. Intestins normaux. Calotte crânienn
épaissie etrecouverle d'une multitude de granulations (épendymatite
chronique
granuleuse). Rien d'anormal ne se fait remarquer
e externe, du pneumogastrique. En résumé, dans la poliencéphalite
chronique
, les capillaires sont dilatés, gorgés de sang,
est susceptible de lésion systématique non seulement dans la forme
chronique
, mais aussi dans la forme aiguë. » CONCLUSIONS
trophie musculaire du type , Duchenne-Aran (poliomyélite antérieure
chronique
), de même l'oph- thalmoplégie externe (poliencé
vec les caractères du type Du- chenne-Aran (poliomyélite antérieure
chronique
), tantôt avec ceux du type clinique de la paral
IDIOTIE. Lecrosnier & BABÉ éditeurs UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
INFANTILE rhumatisme d'heberden, rhumatisme N
e (Manche), nous avons rencontré un cas remarquable de rhumatisme
chronique
déformant chez un jeune mendiant, appelé par les
Progrès médical, 1890, u" 2G, 27, 30, 33, 38). UN CAS DE RHUMATISME
CHRONIQUE
INFANTILE. 273 Main gauche. - Epiphyses supérie
me dans les cas publiés par Toldï et Ebstein. Ce malade, alcoolique
chronique
(hyperesthésie plantaire), d'une intelli- gence
à la suite d'un accès de colère violente. Père mort de bronchite
chronique
à quarante-six ans, un peu nerveux. Le père et
pt enfants : 1° fils, verrier, trente-six ans, atteint de bronchite
chronique
; 2° fille, née avant terme, morte à un mois; 3°
i que Benzi (28), par exemple, a rapporté un cas de méningo-myélite
chronique
dans lequel, sous l'influence de plu- sieurs sé
nt chirurgical des musculaires), par 'l'errillon, 249. Rhumatisme
chronique
(Un cas de avec idiotie), par Diamantberger, 27
et la radiographie ne décèle pas d'ostéophy- tes. Ni le rhumatisme
chronique
, ni les onychoses dystrophiques ou para- sitair
isme subaigu, blennorrhagique, tuberculeux, ou bien aux rhumatismes
chroniques
déformants. La persistance du gonflement t et l
cas, où la maladie nerveuse évolue, le plus souvent sous une forme
chronique
, chez de jeunes gens; dans la plupart des cas l
atrophie des testicu- les el de la glande thyroïde, leptoméningite
chronique
, prolifération de la névroglie, se manifestant
maladie ner- veuse s'est développée dans nos deux cas d'une manière
chronique
. MALADIE DE RAYNAUD TRANSITOIRE, A LOCALISATION
une augmentation des lymphocytes dans la chlorose, dans les anémies
chroniques
et pernicieuses. Schilling- Forgues énumère cel
e simule véritablement aucune dermatose classée. C'est, de l'eczéma
chronique
qu'elle se rapprocherait le plus, tenant à la foi
adoptée parles malades chez qui l'insuffisance est considérable et
chronique
. La forme spéciale de la démarche a pour objet
e dans les articulations les plus distales. Elles sont éminem- ment
chroniques
et lorsqu'elles apparaissent dans les premières p
mputer le doigt. J'ai pu observer, dans quelques cas de trophcedème
chronique
, la décal- cification osseuse à un degré plus o
i en laisse voir claire- ment à droite la boursoufflure. Cet oedème
chronique
qui est dur et non douloureux, qui n'est pas ac
tables d'amyotrophie progressive, dus à une poliomyélite antérieure
chronique
primitive. Quoi qu'il en soit, j'ai l'intenti
Lhermilte(1)ontlmblié des observations très intéressâmes de chorée
chronique
progressive clans lesquelles ils ont trouvé des
rticales Il. PIER"E Marie el J. LUEIIITTR, Les lésions de la chorée
chronique
progressive Annales de Médecine, 1914, n" 1, p.
sujet observé par Leclerc et Magdinier (4), il y avait une cyanose
chronique
avec hyperglobulie (7 à 8 millions d'hé- maties
hérit les sujets de faible constitu- tion, atteints d'intoxications
chroniques
intestinales (Saint-Philippe) ou d'infections a
et plusieurs absinthes. Sa femme est morte 11. 56 ans de bronchite
chronique
, elle u'eut pas de fausse couche et lui a laiss
ion de sécrétion glaireuse(enléro-colitemuco-memhraneuse), diarrhée
chronique
ou intermittente, parasites intestinaux, etc.,
mportants qu'il s'agissait d'observations ayant trait à des malades
chroniques
, qui, depuis longtemps déjà, la plu- part depui
iffuse du cerveau (écorce) ou de la dure-mère (méningo-encéphalites
chroniques
infantiles). Ce fait, auquel on n'a jamais prêt
erveau (écorce) et dans les méninges, tandis que, dans des cas très
chroniques
avec démence secondaire, on peut trouver des an
t, d'autre part, une maladie du métabolisme, une auto- intoxication
chronique
ayant pour cause primitive une hypofonction de
nt plus manifestes, pourraient être les signes d'une in- toxication
chronique
, et que ces phénomènes seraient caractéristiques
ie. après encéphalite, respectivement mèningo-encéphalite infantile
chronique
(bien déterminée seulement par anamnèse), certain
e décomposition albumi- noïdes, qui peuvent causer une intoxication
chronique
et qui, chez l'individu normal, sont transformé
e, à savoir que l'épilepsie essentielle est causée par des troubles
chroniques
du métabolisme à la suite d'hypo- thyroïdisme (
ne manière très remarquable. De ces bons résultais chez des malades
chroniques
, traités auparavant pour la plupart longtemps d
pileptique avec exitus lmlalis, ou un développement de phéno- mènes
chroniques
avec, de temps à autre, une attaque et ensuite to
ortex même et des par- ties environnantes. Celte intoxication, très
chronique
, détermine aussi bien les changements de caract
r ces deux dernières intoxications, il ne se produit, dans la forme
chronique
, qu'une très faible démence, mais des dégénéresce
mie veineuse). 3° L'épilepsie essentielle est une auto-intoxication
chronique
, causée par des produits toxiques de décomposit
iennent constitutionnels. Les infections de toute nature, aiguës ou
chroniques
, ou les intoxica- tions peuvent, d'une façon te
comme assuré de l'impunité dans l'état actuel de la jurisprudence.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Séance annuelle de la Société
il s'agit d'une poussée tuberculeuse limitée aux sommets, à tendance
chronique
, à évolution lente, susceptible d'être enrayée pa
ébeault, Le sommeil et les états analogues, 1866, p. 352. aigu ou
chronique
, localisé dans un membre, il sera bon, après avoi
que hystérique par l'imposition des mains, comme en sont peuplées les
chroniques
de l'époque. Ces exemples suffisent à montrer q
s Clair : La vie de saint Ignace de Loyola. — Pion-Nourrit, 1891.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE La suggestion du suicide. L
aines. J'ai vu, depuis deux ans, beaucoup de ces névropathies devenir
chroniques
et se généraliser, en dépit de tous les traitemen
3° La dissimulation se voit surtout chez les persécutés systématisés
chroniques
; c'est chez eux que se trouve le plus grand nomb
e illégal de la médecine. Veuillez, Monsieur le Ministre, etc....
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Banquet de la Société d'hypno
mmence par éloigner d'elle toute émotion; je ne cherche ni à fas-
chronique
et correspondance 93 ciner, ni à en imposer a
ais cette tuberculose, datant de quatre ans, a une évolution lente et
chronique
. Quelle est la nature des douleurs des membres
ence de toute lésion, alors que certainement dans une affection aussi
chronique
, à évolution aussi lente depuis quatre ans, la to
ence, le monopole de l'alcool, les asiles de buveurs. Paul Sérieux.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
la tour de Magdalen, « Mai qui rit aux cieux si beaux. » Y. B.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
e, mais ne sont pas dupes de ce qu'ils racontent. Henri Le Mesle.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ces notions superficielles qui donnent à qui les (1) Extrait de la
Chronique
médicale, que dirige avec tant de succès notre sa
r Dumontpallier, nous dit un des fidèles collaborateurs et amis de la
Chronique
, il a beaucoup connu Dumas, il l'a longtemps prat
dualité, cette personnalité, qu'on aura bien du mal a remplacer... (
Chronique
médicale) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société
alité, qu'on aura bien du mal a remplacer... (Chronique médicale)
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
des résumés. — III. Des comptes rendus et des correspondances. — IV.
Chroniques
, nouvelles, faits divers. — V. Critique, bibliogr
e lui délivrai un certificat attestant qu'il était atteint de myèlite
chronique
(ramollissement de la moelle èpinière). « D'apr
s qu'il s'agit bien de cette affection, et non d'un simple rhumatisme
chronique
, parce que la malade ne signale pas d'accès de rh
otamment. Si même je me trompais dans mon appréciation, le rhumatisme
chronique
n'est guère plus favorable que l'arthrite noueuse
técédents héréditaires neu-ropathiques. Le père est mort d'alcoolisme
chronique
; la mère, après des accidents de manie hystérique
re attouchement agissant par suggestion, arrive à rétablir la voix.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Les images rétiniennes. Le
ne l'instruis pas. Tu mériteras un coup de faucille. A. Robert.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
hez 27 malades, qu'il divise en quatre catégories: 7 cas d'alcoolisme
chronique
, 5 de troubles sexuels, 6 de neurasthénie et de l
procédés de traitement échouent, comme par exemple dans l'alcoolisme
chronique
et les troubles sexuels. Mais, pour que la sugges
tique, on peut arriver à la guérison complète de certaines affections
chroniques
, dc celles bien entendu où la suggestion exerce u
influenza. 0) Bulletin de la Soc. mèd. d'Anvers, janvier 1896.)
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
a langue de tous. Francisque Sarcey. ILe Correspondant médical)
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
s de vue, on rencontre un grand-père paternel atteint de rhumatisme
chronique
et un frère scrofuleux. Pas le moindre amyotrop
r où des vomissements sont venus l'incliner du côté de la méningite
chronique
( ? ). Nous avons dans la mémoire un cas analog
est souvent une névrite. Dans le cas de con- Itisioii, violente ou
chronique
, on conçoit encore qu'un nerf puisse être lésé.
voir reconnaître pour cause de ces lésions ulcératives la contusion
chronique
par compression prolongée des nerfs dans l'aiss
mier lieu pour la méningite aiguë, en second lieu pour la méningite
chronique
. CHAPITRE PREMIER. SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMU
ru. CHAPITRE Il SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA MÉNINGITE
CHRONIQUE
. Tous les ouvrages de pathologie médicale ont e
e pathologie médicale ont en général un chapitre réservé aux formes
chroniques
de la méningite; mais la plus grande confu- sio
ménillgo-encéphrtlite chro- nique, un type particulier d'affection
chronique
de l'encéphale bien distinct des autres types p
c absolument vraie (1). Nous n'entreprendrons pas pour la méningite
chronique
le même système d'argumentation qui nous a serv
ation XXVI. Accidents hystériques simulant une méningo-ezcéplcalite
chronique
; cépha- lée persistante, contracture des deux
s d'un an faisait redouter il bon droit une l1u ! lIigo-encéphalite
chronique
. Cependant, M. Pitres penchait t du côté de l'h
deuxième catégorie qui simulent la méningite aiguë et la méningite
chronique
. IV. L'hystérie existe seule dans la plupart de
uelquefois en conséquence de lésions de la moelle épinière, myélite
chronique
(Scllieferdecl : er) , paraplégie traumatique (
é dans les antécédents dès ataxiques. Nous avons vu le rhu- matisme
chronique
signalé dans l'observation de M. Babinski (2) et
, et qui se retrouvent dans un grand nombre de pro- cessus aigus et
chroniques
n'ayant rien à voir avec la syphilis. D'ailleurs
off, âgé de 36 ans, lieutenant retraité. Démence secondaire. Délire
chronique
avec idées de persécution. Mimique : Affaibliss
ée comme un indice incontestable prouvant qu'une psychose, aiguë ou
chronique
à son origine, commence à prendre une forme inc
i est propre pour devenir replète, rude tout comme chez les aliénés
chroniques
; (figure 4). D'autres causes, d'ailleurs, contri
our del jugement. ajoute Ph. Mouskes (2), évêque de Tournay dans sa
Chronique
rimée. Ce Cartophilus avait été longtemps mêlé
islonia Major, in fol. édit. Will Wats., p. 352, Londini, 1640. (2)
Chronique
rimée de Ph. Mouskes, ed. Reiffemberg, p. 491.
pour s'accompagner plus tard des symptômes d'une méningite spinale
chronique
, contribue à donner à l'affection un ca- ractèr
es auteurs classiques dans la description des méningites spi- nales
chroniques
. Il est démontré aujourd'hui qu'il y a lieu, au m
te, il établit les lignes de démarcation qui séparent le rhumatisme
chronique
de l'affection goutteuse. Son livre sur les mal
syphilitique, dans sa forme la plus com- mune, est essentiellement
chronique
. A aucun moment de la maladie on n'observe d'él
eux enfants, n'a jamais souf- fert de maladies somatiques aiguës ou
chroniques
. Ses règles étaient nor- males, quoique toujour
utres, à la folie catatonique délirante, d'autres enfin à l'amentia
chronique
. Remettant à l'époque où la maladie aura entièr
ques et anatomo-pathologiques telles que l'otématome, les décubitus
chroniques
et aiguës et le mal perforant. La littérature
ns le cas qui nous occupe, nous n'avons eu affaire ni à une maladie
chronique
, affection tuberculeuse, syphilitique ou rhumat
que l'autre lui avait raconté en un mois, suyvant les histoires et
chroniques
angloises : voire les mesmes mots, il les profé
aris (Mathieu). - Historia Major. London, 1571. Philippe Mouskès. -
Chronique
, publiée par le baron de Reiffenborg. Bruxelles
). Sous des influences indéterminées, ou à la suite d'inflammations
chroniques
, ce même tissu spongieux péri-antral subit une év
opératoire restreint et toujours modifié par les lésions de l'ostéite
chronique
. Voilà certes, de quoi rendre prudent et réservé
zold, cette hyperhémie serait d'un mauvais pronostic clans la surdité
chronique
progressive, car elle traduirait l'inflammation p
t et s'infiltre de dépôts calcaires dans les processus inflammatoires
chroniques
; elle olïre toute la gamme du rouge clans les in
ouve un cas seulement de paralysie faciale sur 100 cas de suppuration
chronique
, eto,34 pour cent si l'on considère le chiffre to
canisme dans les otites aiguës ; le second, dans les otites suppurées
chroniques
. Dans les affections aiguës, la lésion du nerf ré
nerf réside au niveau de la portion tympanique. Dans les suppurations
chroniques
, le foyer d'ostéite peut occuper différents point
se fait suivant deux mécanismes : par contact avec un foyer d'ostéite
chronique
, ou par propagation veineuse à travers les sinus
par Hessler, la thrombose compliquait l'otite aiguë 18 fois, l'otite
chronique
5i fois. La thrombose peut siéger sur différent
otitique. La première, qui est la plus fréquente, succède à une otite
chronique
et s'accompagne de signes de mastoïdite et de mét
stiques de Braunstein sont très démonstratives. Dans les infections
chroniques
de l'oreille, cet auteur recontre l'abcès extra-d
une statistique de Grûnert, 91 fois sur 100 il succède à une ostéite
chronique
du temporal. Il est rare qu'il coexiste avec un a
Andèrodias (N.), Contribution au traitement chirurgical des otites
chroniques
suppurées rebelles par l'ouverture large des cavi
ie. Paris, 1888. Barbarin (P.), Les complications graves des otites
chroniques
. La région mastoïdienne. Thèse de Paris, 1902. Be
aire sans thrombo-sinusite. Thèse de Paris, 1900 Rozier (J.), Otite
chronique
. Evidement. Paralysie faciale consécutive au cure
t l'attico-antrotomie, applicable à la cure radicale des suppurations
chroniques
de l'oreille moyenne. Les parois externes de l'at
es services à créer pour l'isolement des maladies contagieuses, les
chroniques
et les infirmes, ne seront ni plus ni moins vit
ment, l'opposition des Maires des communes suburbaines, et pour les
chroniques
et les in- firmes, ce n'est point le manque de
symptomatique de méningite ou 52 CLINIQUE. de méningo-encéphalite
chronique
(idiotie méninge- tique) ; - 8° Idiotie avec ca
upières inférieures; elles [sont le siège d'une blépharite ciliaire
chronique
. Les conjonctives palpébrales sont un peu pâles
enu à l'âge de deux ans. Depuis cette époque, il existe une rhinite
chronique
purulente (ozène) des deux côtés ; l'écoulement
es paupières, boursouflées, sont le siège d'une blépharite ciliaire
chronique
. - Les globes oculaires sont normaux. Le ne-, e
uis quatre ans. - Grand-père paternel mort à 66 ans, de bronchite
chronique
, laboureur, sobre. - Grand'mère paternelle, mi-
bouffies, ont une pâleur bleuâtre et sont le siège d'une blépharite
chronique
. Les cils sont très longs et assez fournis aux
sions histolo- giques de la substance grise dans les encéphalites
chroniques
de l'enfance ; Par A. P1LCJBT, Interne des Hô
ateur d'histologie à la Faculté de médecine. L'histoire des lésions
chroniques
de l'encéphale a été très longue à établir au p
t donc bien entendu que nous parlerons seule- ment des encéphalites
chroniques
à petits signes ma- croscopiques, et que dans c
Nous voyons donc que dans l'encéphale, il existe une inflamma- tion
chronique
(encéphalite) à différents degrés; dansla moelle.
rolifération scléreuse. Ce processus paraît s'être fait d'une façon
chronique
pour l'ensemble et subaiguë sur certains points d
développement des deux lobes frontaux, et de la méningo-cncéphalite
chronique
disséminée assez marquée pour que la substance
a, en outre, un grand nombre de faits se rapportant à l'encéphalite
chronique
dans l'Index des chirurgiens américains, dans l
sions histologiques - de la substance grise dans les encéphalites
chroniques
de l'enfance, par PiLDET ......... 113 m. Une f
p. 25.. IV. — REVUE CRITIQUE, par m. le Dr Paul Farez, p. 26. V.—
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE. — Société d'hypno-logie et de
tômes stomacaux et hépatiques doivent être rapportés à son alcoolisme
chronique
. Mais en même temps dans son cerveau s'opéraient
nation et n'agissent que par suggestion?/page> page n="32">
CHRONIQUE
Eï CORRESPONDANCE Société d'hypnologte et de ps
comme le désignait Homère, mais, au contraire, un frère de la vie.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Le premier Gongrès interr ati
érêt public à réprimer leurs actes, etc./page> page n="95">
CHRONIQUE
ET CORRÉSPûHDAiiCE Un cas de suggestion visuell
et qui doit travailler à un éclairage artificiel dans celte pièce.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
re !a phttoic. (1) Correspondent médical, 15 février 1897, p. 4, et
Chronique
médicale. ?? sept. 1898, p. 569. (2) Revue des
suggestion est un moyen très efficace contre la chorée hystérique.
CHRONIQUE
DES SCIENCES PSYCHIQUES Par M. Jules Bois. I
rtance de la suggestion hypnotique dans le traitement de l'alcoolisme
chronique
, par M. Bbchterbw, Centr&lbl. (. Neroenhe
ggestion dans le traitement de la prophylaxie de l'alcoolisme aigu ou
chronique
, — mais encore sur la grande utilité du sommeil p
s déshonorante que Îouto autre maladie./page> page n="159">
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ier, Angélique Arnauld d'An-dilly et Catherine Goulas; La tristesse
chronique
chez Biaise Pascal, Jacqueline Pascal, Biaise Pér
gni de Chaze, Marie de Rubantel Le Camus; La timidité et la crainte
chronique
, crainte de Dieu ou crainte de la mort, chez Biai
efficace que si elle met à son service une persévérance inlassable.
CHRONIQUE
DES SCIENCES PSYCHIQUES Par M. Jules Bois. La
tât au contrôle des savants français. ./page> page n="192">
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
pour guérir un de ses lézards malade d'une ophtalmie passée à l'élat
chronique
? L'animal placé au contact de l'homme, dans sa
spèces de l'électricité, !a suggestion apporte la guérison.désirée.
CHRONIQUE
ET C03RESP0KDAHCE Société d'hypnologie et de ps
ces symptômes ont disparu sous l'influence de lo chloroformisation.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
nications. T'ai relevé chez 8 de mes dévots la timidité ou la crainte
chronique
. 5 et 6. La faiblesse d'esprit, l'ignorance et
ès et nous ne pouvons que nous en réjouir, en tant que thérapeutes.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
lement le premier. C'est ainsi du moins que je considère la tristesse
chronique
, relevée chez six de mes dévots. 4. L'humilité.
ctieuses et que nous savons être justiciables de la psychothérapie.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ratifs. (Léon PrîbOB, avocat à la Cour d'appel in France médicale.)
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
s sens, est arrivé à son apogée en quelques mois ; puis il est devenu
chronique
. N'était la rapidité de son évolution, on se croi
des offres superbes pour qu'elle reprenne son ancienne profession.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
la suggestion hypnotique par Bourdon (de Méru), p. 145. Alcoolisme
chronique
(L'importance de la suggestion hypnotique dans le
blnski, p. 149. Chloroforme et suggestion par Paul Farez, p. 202.
Chronique
des Sciences psychiques, par Jules Bois, p-151, 1
. 364. Pseudo-rabies (Un cas de), par Lebell, p. 311. Psychiques (
Chronique
des Sciences), par Jules Bois, p. 151, 185. Psy
est pas seulement d'hospitaliser les enfants atteints de maladies
chroniques
, longtemps réputées incurables, il est des plus
yant des infirmités graves, telle qu'une hémiplégie, ou une maladie
chronique
, passent dans la division des incurables de l'h
ès. Autopsie : état des sutures; lésions de méningo-encé- phalite
chronique
; - persistance du thymus. Touch... Jean-Etienne
x lésions méningitiques. Nous rattacherons aussi à la ménin- gite
chronique
les coups que l'enfant se donnait sur la tête,
ans, bien portante, n'a jamais présenté les symptômes d'une maladie
chronique
ou nerveuse quelconque. - Grand-père paternel m
de rhumatismes, de dartres, ou de syphilis. Tuberculose pulmonaire
chronique
; dyspepsie. (Père, mort à 73 ans, d'accident; p
pneumonie et albumine dans les urines : Mort. AUTOPSIE. - Méningite
chronique
; - atélectasie pulmo- naire. Thom... Georges,
ste énergiquement et ne pré- sente aucun des signes de l'alcoolisme
chronique
. Marié une première fois assez jeune, il eut un
et à droite, croûtes impétigineuses du cuir chevelu. Pas d'adénites
chroniques
. Tête allongée, sensiblement asymétrique, ne pr
og. 800. Il avait donc maigri d'environ 300 gr. Méningo-encéphalite
chronique
. 73 3 durant sa maladie. - T. R. 38°, 2 : -Soir
face et adhérente à la vome crânienne. 74 11É\I\GO-I;NCÉPH : 1LIT1;
chronique
. Tout le lobe pariétal présente des adhérences
mais vu se livrer à aucun excès). Il n'aurait jamais eu de maladies
chroniques
telles que : affections nerveuses, dartres, rhu
été malade. Mère, 60 ans, bien portante, n'a jamais eu d'affection
chronique
ner- veuse ou autre. - Grand-père paternel, mor
ie : Porus vrais des deux hémisphères cérébraux Méningo-encéphalite
chronique
; atrophie de la protu- bérance. Lestons pulmona
de, par la macrocéphalie. Des personnes peu au courant des maladies
chroniques
de l'encéphale pourraient supposer que cet état
mal épileptique : mort. Autopsie : sclérose atrophique et méningite
chronique
. March... (Valentin), né le 17 novembre 1879, à
ues très abondantes et étendues de méningite purulente. - Méningite
chronique
de la con- vexité et de la base. - Circonvoluti
ons; fièvre mu- queuse à l'âge de 5 ans. Pas de chorée ; rhumatisme
chronique
depuis peu de temps. Pas de dartres, ni de migr
Le diagnostic probable que l'on peut formuler est : Tuber- culose
chronique
avec évolution gliomateuse et kystique des tiss
ntelligence moyenne, elle a eu de légères attein- tes de rhumatisme
chronique
aux poignets et des migraines BOUR1EVILLE, Bicê
pour nous faire songer à une lésion irritative du corvcauméningite
chronique
ou sclérose des circonvolutions). D'autre part,
. - Porus vrai des deux hémisphères cérébraux. Iléningo-encéphalite
chronique
. - Atrophie de la protu- bérance. -Lésions pulm
s. AUTOPSIE. - Etal des sutures; lésions de méningo-encépha- lite
chronique
; persistance clu thymus. Touch ? (Jean-Etienne)
ccombé aune poussée méningitique, entée sur une méningo-encéphalite
chronique
. Les os étaient con- gestionnés à un degré cons
du système nerveux. interne do la Clinique. RHUMATISME ARTICULAIRE.
CHRONIQUE
DÉFORMANT T AVEC ATHOPUIE MUSCULAIRE CONSIDÉR
e par M. Diamantbcrger, interne du service.; RHUMATISME ARTICULAIRE
CHRONIQUE
.» 17 Après avoir subi des traitements nombreux
Pas NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. 111. PL. YI RHUMATISME ARTICULAIRE
CHRONIQUE
GENERALISE CHEZ UNE PETITE FILLE AVEC ATROPHI
ILLE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE CONSIDERABLE RHUMATISME ARTICULAIRE
CHRONIQUE
. 10 de troubles visuels, aucun autre symptôme q
ie mentale depuis le délire aigu le plus franc jusqu'à la monomanie
chronique
la mieux caracté- risée. Eh bien, nous croyon
le second, les paralytiques agitants, le troisième les sciati- ques
chroniques
. Nous ne faisons que signaler ce dernier dans leq
guë de l'adulte, paralysie spinale de l'adulte à marche subaiguë ou
chronique
, et paralysie générale spinale antérieure subai
antérieure aiguë de l'adulte, si l'histoire des formes subaiguës et
chroniques
de cette dernière ne devaient fournir des preuves
en juin 1889.. 148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. chite
chronique
professionnelle (tailleur de pierres et peigneur
plus généralement par une phlegmasie catarrhale du pharynx d'emblée
chronique
,qui cède la place à une angine granuleuse. Au s
e en proche la trachée, les bronches, en y pro\oquant une bronchite
chronique
. Or, comme la cause génératrice n'a nullement d
uatrième ventricule. Il en décrit trois formes : aiguë, subaiguë et
chronique
, et deux variétés, l'une supérieure, l'autre infé
origine alcoolique ou infectieuse, on considère les cas subaigus et
chroniques
; elle s'impose en face des cas complexes intére
atrophie musculaire du type Duchenne-Aran (poliomyélite antérieure
chronique
) ou avec une para- lysie spinale antérieure sub
sent péremptoirement l'existence de paralysies aiguës, subaiguës et
chroniques
de l'adulte liées à des altérations de la sub-
lement que le premier signe, la malade est atteinte d'une bronchite
chronique
, et présente actuellement les signes classiques
mblablement de névrite qu'il s'agit dans nos deux cas : scia- tique
chronique
, amyotrophie, etc. Pourquoi n'est-ce que dans que
enza ; elle souffrait depuis une quinzaine d'années d'une bronchite
chronique
. Son père était obèse; il est mort à quarante-n
tiologiques y sont assez obscures : absence d'inflammation aiguë ou
chronique
des téguments, d'ulcération, d'eczéma, de phléb
us guider les lésions trouvées dans la paralysie spinale antérieure
chronique
ou subaiguë et dans la poliencéphalite supérieure
t la queue des Fau- nes, par Ch. Féré, 45. Rhumatisme articulaire
chronique
défor- mant avec atrophie musculaire considérab
-), 26. Poliomyélites et polynévrites, 32. Rhumatisme articulaire
chronique
généra- lisé chez une petite fille, avec atroph
i se manifestent principalement sous la forme de troubles cérébraux
chroniques
, appartien- nent-ils à la même série pathologiq
faux du cerveau. Observation III. M..., soixante-huit ans. Manie
chronique
. A passé huit ans à Charenton. Mort en 1885 de
délire alcoolique guérit rapidement, mais il lui succéda un délire
chronique
avec tendance à la démence, et V... peut être c
n prête aux équivoques : les deux expressions délire aigu et délire
chronique
lui semblent faciliter une confusion regrettabl
curables de l'hôpital Wenzel-Hanke; 3° 30 épileptiques ou délirants
chroniques
; 4° 60 aliénés curables, capables d'amélioratio
\"011 A. Ilirs- chwald. fiOUILLARD. - La discussion sur le délire
chronique
ri la Société mcdico-jisychologique. Brochure i
ateur d'histologie à la Faculté de médecine. L'histoire des lésions
chroniques
de l'encéphale a été très longue à établir au p
t donc bien entendu que nous parlerons seule- ment des encéphalites
chroniques
à petits signes ma· croscopiques, et que dans c
c plus précis, je crois que je m'arrête- rais à celui d'encéphalite
chronique
de cause trauma- tique. S'il n'existe pas un
circonstances suivantes : on lui demande si une affection cérébrale
chronique
(folie, démence, para- lysie générale, etc.), q
proprié et par suite d'intempérances du malade avait passé à l'état
chronique
. C'est dans cet état que ce plongeur s'est déci
t cas de myxoedème entre lesquels quinze présentaient une affection
chronique
des reins; il admet en général une relation ent
. Cet auteur n'admet pas la dépendance du myxoedème d'une affection
chronique
des reins et s'il trouve un point commun à ces
ade qui mourut à la suite de vomissements rebelles et d'indigestion
chronique
reconnaissant pour cause une accumulation de ch
étrangères dans l'estomac aboutit à la formation d'un petit ulcère
chronique
qui finit par causer la mort en déterminant une
thologique, c'est-à-dire d'une part les troubles mentaux aigus ou
chroniques
dus à l'intoxication, d'autre part les actes impu
s d'alcoolisme ne peut être puni, pas plus que lorsque l'alcoolisme
chronique
a produit des lésions cérébrales définitives. D
ion d'être traités au début même de leur affection avant qu'un état
chronique
incurable se soit établi. . Ce n'est pas la.une
pour ce fait l'inter- diction des séances publiques. Intoxication
chronique
par la P.1RALDÉfIYDE. M. Hughes rap- porte dans
rvice de M. Millard où l'on a porté le diagnostic de pachyméningite
chronique
. Le 23 juillet 1882, pendant son séjour à l'hôp
rolifération scléreuse. Ce processus paraît s'être fait d'une façon
chronique
pour l'ensemble et subaiguë sur certains points d
développement des deux lobes frontaux, et de la méningo-encéphalite
chronique
disséminée assez marquée pour que la substance
a, en outre, un grand nombre de faits se rapportant à l'encéphalite
chronique
dans l'index des chirurgiens américains, dans l
téristiques de la paralysie générale d'une part, et de la méningite
chronique
localisée d'autre part, en se rapprochant toutefo
é constaté, Tizzoni a trouvé des lésions ascendantes d'inflammation
chronique
le long des nerfs vagues, avec extravasion sang
de Paris, 1887.) . Outre les signes vulgaires de l'hydlargyrisme
chronique
, le ma- lade de M. Guinon présentait de l'hémia
et ramollissement consécutifs. - Observation II. Paralysie bulbaire
chronique
compliquée de para- lysie bulbaire supérieure e
de ces dégénérescen- ces graisseuses insidieuses qui dans la folie
chronique
tuent le ma- lade avant de s'être manifestée pa
fer, 148. Ecriture automatique, par Richet. 284. ' Encéphalites
chroniques
de l'enfance (lésions histologiques des), par
ne sorte (['infiltra- tion dure, élastique rappelant le trophoedème
chronique
. - Les muscles subissent une dégénérescence fib
vec une déformation des dernières phalanges rappelant le rhumatisme
chronique
(pl. XX, fig. F et pl. XXI, fig. D). VI. Paraly
onévrose palmaire semble être aussi une manifestation du rhumatisme
chronique
et notamment du rhumatisme dit goutteux. Elle s
PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 141 Ces deux modalités du rhumatisme
chronique
partiel, modalité ostéo- articulaire ou nodosit
uatre membres, qui avaient commencé aux membres supérieurs, maladie
chronique
, toujours progressive, mutilation des doigts).
lons aux travaux classiques sur l'intoxication mercurielle (surtout
chronique
) (Kussmaul, Hallopeau et Letulle), nous trouvons
ez Kussmaul (p. 250) l'histoire d'un cas d'intoxication mercurielle
chronique
profession- nelle avec de la stomatite et du tr
e. Kussmaul cite encore un cas de Plesch d'intoxication mercurielle
chronique
professionnelle où il y avait stomatite, de tre
Depuis, guérison constatée. Dans ces cas d'intoxication mercurielle
chronique
(de nature profes- sionnelle), ceux de Kussmaul
re la cause d'une po- lynévrite ; Que l'intoxication mercuriel le
chronique
professionnelle peut selon toute probabilité qu
is. La lésion essentielle est non pas une « poliomyélite antérieure
chronique
», mais une méningo-myélite vascu- laire diffus
et en grande partie fibrosées. Pourquoi les lésions syphilitiques
chroniques
ont-elles une action d'ordinaire si atténuée su
pas eu de fausse couche. Son père est mort à 70 ans de « bronchite
chronique
», sa mère est encore bien portante. Il est le
verte. Elle est par suite irritée par un processus de conjonctivite
chronique
entretenu par les cils et de nombreux corps étr
perturbations de la thyroïde nous donnent des syndromes aigus ou u
chroniques
; la surrénale donne les syndromes surrénaux de S
ritables hémorragies, parce qu'elles sont dues à une in- flammation
chronique
. A cause de cela, elles ont été écartées de ce ra
ener : trauntatismes et maladies infectieuses aiguës aussi bien que
chroniques
. Cependant, le clinicien se trouve quelquefois
1'0 Observation I. Diagnostic clinique : Néphrite interstitielle
chronique
avec urémie. Hémor- ragie sous-arachnoïdienne (
x un peu tuméfiées, mais aucun signe d'inflammation ou d'altération
chronique
. Les symptômes d'hypertrophie du coeur, la pres
éléments suffisants pour diagnostiqueur une néphrite interstitielle
chronique
. L'état psychi- que de la patiente et la céphal
on III. E. W..., mariée, 53 ans. - Diagnostic clinique : Néphrite
chronique
interstitielle. Hémorragie cérébrale. Diagnosti
ué à une artériosclérose presénile. Parmi les maladies infectieuses
chroniques
la syphilis a déjà été dis- i cutée. Quant à la
nent une augmentation de la pression du sang, surtout les néphrites
chroniques
. A l'éclampsie puerpérale entre autres, Wegelin
edéfonment, s'élargissent, prennent l'aspect clinique du rhumatisme
chronique
. La radiographie montre en pareil cas que l'ank
n. Troubles trophiques de la main sous forme d'un pseudo-rhumatisme
chronique
. Réactions électriques normales. Participation
e main, et enfin sur le genou gauche ; polyarthropathie à évolution
chronique
ayant débuté sur chacune de ces articulations p
yarthropathie diffère du rhumatisme tuberculeux, qui, dans sa forme
chronique
, évolue comme le rhumatisme déformant classique
s d'une époque antérieure est infantile; l'infantile est un hétéro-
chronique
. Il ne nous semble, pas que l'on doive tenir l'in
A CAMPTOCORMIE PAR l'ÉLECTROTHÉRAPIE 421 pure et simple, à la phase
chronique
. Ce traitement relève de la psycho= thérapie. e
tes au service militaire. Or il s'agissait chez tous d'une attitude
chronique
qui aurait pu persé- vérer jusqu'à la fin de la
e fit appeler, en août 1896. A l'examen, je trouvai de la bronchite
chronique
avec sommets suspects, une dyspepsie atonique ave
gées, nous avons obtenu chez plusieurs malades atteints de rhumatisme
chronique
déformant une modification frappante des lésions
élastique et le professeur Bénédikt avec ses aimants. (à suivre)
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ion que « l'obsession n'est, en quelque sorte, que la phobie à l'état
chronique
» ; et il affirme à nouveau que, « suivant leur d
e pouvoir que possède l'opérateur d'influencer le sujet. (à suivre)
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
sa mémoire le tribut d'admiration et de regrets auquel il a droit.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
érillon intitulé l'Ony-chophagie, sa fréquence chez les dégénérés, la
Chronique
Médicale, rédigée avec tant d'érudition par notre
('}. — 1. Il n'y a qu'un moyen efficace de traitement de l'alcoolisme
chronique
et de la dipsouianic"; ce moyen, c'est l'abstinen
etteté suivant le degré de suggestibilité ou de démence des sujets.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Sooiété d'hypnologie et de ps
sménorrhée, ménor-rhagie, surdité, mal do mer, rhumatisme articulaire
chronique
, constipation, hyperhydrose, prurit, eczéma. Je
a à s'affaiblir. Je le vis en juin 1890, après huit ans d'invalidisme
chronique
. Anémie, mélancolie avec impulsion au suicide (un
nsomnie est l'un des premiers symptômes de la folie; chez les aliénés
chroniques
, elle peut persister ou se transformer en un somm
jour. Cette perpétuelle idéation, continue, irrefrenable, de la manie
chronique
en particulier, vient démontrer l'existence d'un
é qui, restant aliéné, recouvre le sommeil, est d'ordinaire devenu un
chronique
. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séa
ation dangereuse au point de vue de leur évolution dans la société.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
nts, les stupides, les hallucinés, sont perverties chez les délirants
chroniques
systématiques-Les questions de dates, d'époques,
aleur de ses travaux scientifiques et l'aménité de son caractère.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
ir du ventre deN..., {désigner la personne par ses nom et prénoms).
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
s ce certificat à Un de sortie : « Admis comme atteint d'alcoolisme
chronique
ou de délire de persé-« cution, II... n'a présent
il y a là toute une étude médico-psychologique qui débute à peine.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
l'idée en pathogénie et de la puissance de l'idée en thérapeutique.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
t aujourd'hui. Louis XIII, maladif, asiliéniquc, atteint de tristesse
chronique
, élevé par des prêtres, était très dévot. On le v
ontaire et cette prédisposition particulière à la peur, celte crainte
chronique
des neurasthéniques qui les pousse si aisément da
l système est vrai par ce qu il affirme et faux par ce qu'il nie ».
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Société d'hypnologie et de ps
psychoses, — hystérie, — amblyopieet sunrdité nerveuses, — alcoolisme
chronique
, — morphinisme, chlora-lisme et nicotinisme, — an
'écriture chez les jeunes enfants et chez les déments paralytiques.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Séance annuelle de la Société
génie. Io Mégalosplénie. Au point de vue anatomique, la tuméfaction
chronique
de la rate, portée à un pareil degré, ne peut êtr
trophie du foie peut dépendre, comme pour la rate, d'une inflammation
chronique
interstitielle, ou d'une atrophie pure et simple
e guèrison. On pourrait par le même raisonnement écarter l'hypéré-mie
chronique
du foie, l'infiltration graisseuse, l'atrophie ja
ut commencer par essayer ce traitement médical. Dans les pleurésies
chroniques
, on peut opérer, quelle que soit rancienneté' de
serons notre description en : 1° intoxication aiguë ; 2° intoxication
chronique
. I. Intoxication aiguë. — Les premiers phénomèn
travail de l'accouchement (Christison, M. Grégor). II. Intoxication
chronique
. — Elle est caractérisée par un abatte-ment génér
ersistance de la flexion, il s'était formé une espèce, d'inflammation
chronique
qui avait produit un tissu rétractile, et ankylos
rsévé-rer. On a confondu jusqu'ici, sous le nom d'alcoolisme, aigu ou
chronique
, diverses espèces ayant toutes un fonds commun, d
modifier la surface muqueuse, d'en faire cesser l'état inflammatoire
chronique
. Ainsi elle agit sur la cause ordinaire, de la va
au clinique, englober avec d'autres tumeurs, et sous le nom d'orchite
chronique
, par exemple, des testicules durs, volumineux, sa
ros œuf de poule. » Sur le vivant, M. Ricord diagnostiqua une orchite
chronique
. Cette erreur a dû être commise bien souvent, et
peut-être possible de s'entendre; et si à la déno-mination d'orchite
chronique
on ajoutait tuberculeuse, peut-être serait-on dan
nâtre des tissus envahis; le processus serait bien celui de l'orchite
chronique
, mais avec des tubercules comme point de départ.!
aplégies produites par une compression lente, de la méningite spinale
chronique
et de quelques maladies du cerveau et de la moell
t de côté les cas d'anurie dépendant d'une maladie de Bright aiguë ou
chronique
, qui sont trop complexes pour prendre place ici,
démesuré du col de l'utérus. Janvier 1^'SO. — Scanzoni, de la Métrde
chronique
. Trad. Sif'ferman, 1806. rieure, qui fait le su
eur on aperçoit les bourses teintées en rouge sombre, par un érythème
chronique
, résultat du contact irritant et de l'urine et de
tractures, sur des anesthésies, et même dans quelques cas d'affection
chronique
de la moelle, en un mot, dans tous les cas où il
aucun des cas, ni dans des cas d'atrophie, de rhumatisme articulaire
chronique
ou de contracture hystérique, nous n'avons eu de
tteinte de contracture hystérique, et une autre atteinte de myélite
chronique
, ont toutes deux, d'elles-mêmes, fait observer qu
es de chorée des vieillards. Dans des cas de rhumatisme articulaire
chronique
et d'arthrite goutteuse, nous sommes parvenus à d
mplement sur deux complications impor-tantes à savoir : la péritonite
chronique
localisée et le phlegmon ou abcès pelviens. — Les
se en résulter, si l'acte sexuel est répété souvent, une inflammation
chronique
aboutissant à la suppuration du tissu cellulaire
à Plombières ; ce sont : la dyspepsie, la gastralgie, les diar-rhées
chroniques
, les inflammations chroniques de l'utérus et de s
yspepsie, la gastralgie, les diar-rhées chroniques, les inflammations
chroniques
de l'utérus et de ses annexes, les névralgies de
e, en effet, qu'à partir du dixième siècle que nous trouvons dans les
chroniques
du temps quelques indications qui, sous le nom de
ortir cette particularité que parfois les symp- tômes de la myélite
chronique
précèdent l'apparition du tableau clinique de l
ainement, dit-il, des cas où l'in-' flammalion débute, dans le mode
chronique
, par la moelle épinière, où les mouvements et l
ts fonctionnels sont la conséquence évidente d'une péri-encéphalite
chronique
diffuse ». En 1833, IIorn avait publié des fait
s épaissies et adhérentes; pas d'autres lésions. Lésions d'arthrite
chronique
au genou droit. ÉTUDE IIISTOLOGIQUE (1). De
et non pas dans toute l'é- paisseur comme on le voit dans l'eczéma
chronique
. Dans 1' « epidemic skin disease », les cellule
n l'espèce ; il se rapporte simplement, selon moi, à l'intoxication
chronique
par la morphine dont cette femme est la victime
risent sans grande difficulté. Or, dans les cas de myélite aiguë ou
chronique
avec impuissance motrice complète des mem- bres
ssivement. A l'autopsie du sujet, on a trouvé une méningite spinale
chronique
de la queue de cheval, avec dégénérescence seco
lée, du moins à notre connais- sance. l '. DU RAPPORT DE L'ECZÉMA
CHRONIQUE
AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU PAR le Profess
aison existant entre les altérations du système nerveux et 1 eczéma
chronique
. Afin d'élucider plus exactement les données ét
ment les données étiologiques qui président à la genèse de l'eczéma
chronique
, j'ai chargé le Dr Nikolski, assistant de ma cl
ité de la peau en particulier chez les malades affectés d'un eczéma
chronique
. Je considère les résultats obtenus sous ma dir
1 Fig. 2 . Fig. 43 - Fin. 44 Fie. 45 DU RAPPORT DE L'ECZÉMA
CHRONIQUE
AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU 169 Je commencerai
4) , XI. Un soldat de 25 ans est affecte depuis 5 ans d'un eczéma
chronique
des mains, des bras et des pieds. Anesthésie il
. 47) En comparant ensemble les 12 cas ci-dessus décrits d'eczéma
chronique
, on'voit que la durée de, l'état morbide de la
des variations semblables de l'hystérie. Le cours même de l'eczéma
chronique
, toujours lent, avec des intervalles de mieux e
par place une coloration blanchâtre duc à des 'oyers d'endarlérile
chronique
déformante. Le cordon latéral droit semble par
- tées il l'examen microscopique et un peu d'endartérite déformante
chronique
. Le poumon gauche est petit, flasque. La plèvre
gauche et à la pyramide gauche, ramollissement dû à une endarlérite
chronique
oblitérante, ayant détruit la majeure partie des
que ces nerfs siègent au milieu de tis- sus oedématiés d'une façon
chronique
, ce qui pourrait peut-être, au pre- mier abord,
d'une 'façon frappante, à l'état aigu, la dispo- sition des lésions
chroniques
de la sclérose en plaques. Cette analogie évide
éléments nerveux s'atro- phient et il se développe une amyotrophie
chronique
, à évolution pro- gressive. Dans l'autre cas
x mains, les nodosités articulaires, caractéristiques de rhumatisme
chronique
et quelques craquements clans l'articulation radi
dépendantes de l'affection et peuvent être rapportées au rhumatisme
chronique
, qui a laissé sa marque sur les arti- culations
onne vertébrale chez les sujets sains, par P. Richer, 158. Eczéma
chronique
. Rapports avec l'anes- thésie de la peau, par S
iation de la colonne vertébrale chez les sujets sains, 33. Eczéma
chronique
(rapport avec les trou- bles de la sensibilité)
e d'iiiutomie pathologique de la Faculté.) 1 Certaines affections
chroniques
des nerfs, primitives ou consécutives à une mal
e et comparable dans une certaine mesure à l'intoxication saturnine
chronique
chez l'homme. En fait, à l'autopsie des animaux
'elles ne sont pas spéciales au cochon d'Inde ni même au saturnisme
chronique
, et qu'elles se retrouvent chez l'homme avec de
tères analogues ou identiques, dans un certain nombre d'affections
chroniques
du système nerveux. Pour ce qui est des amyotro
ons chroniques du système nerveux. Pour ce qui est des amyotrophies
chroniques
de cause spinale, nous pouvons renvoyer tout d'
ésente de nombreux exemples; la manie, la mélan- colie ou le délire
chronique
du père, l'épilepsie de la mère et vice versa p
isme, intervenant dans le cours des déli- res partiels, des délires
chroniques
, agit tantôt comme simple excitant et aggrave p
toujours les mêmes, sans variantes et marchant comme tout délire
chronique
vers la systématisation. Observation V. Un autr
e, dont les caractères sont si tranchés avec un délire partiel ou
chronique
, se prête toutefois assez bien à cette démonstr
l'épi- lepsie s'amende sous l'influence du traitement , le délire
chronique
n'est nullement modifié et poursuit sa marche d
-t-elle, et c'est par eux qu'elle se transforme. En 1877, le délire
chronique
continuant, elle est frappée de plusieurs attaq
leptique. Coexistence chez un épileptique d'un double délire : l'un
chronique
, avec idées de persécution, l'autre de nature m
r le traitement, à séparer dans les asiles, les malades aigus des
chroniques
. Sans vouloir faire de distinction absolue entre
ision où seraient envoyés avec les malades aigus et curables, les
chroniques
présentant des phénomènes aigus. Un autre point
dessous du point examiné. ` A propos du cas de myélite antérieure
chronique
, observé chez l'homme, un point nous paraît int
znère (1878). - Père, mort à 52 ans, en mars 1875, d'une bronchite
chronique
, probable- ment tuberculeuse. Pas d'excès de bo
'1' 'Lh ? ? IT hl d'If ""11'1"" ? 111ql . ",qp"r¡""(T d encéphalite
chronique
, des cellules nerveuses munies , '0*UjJjJR')' ,
s aujourd'hui qu'ils ne l'étaient il y a 30 ou 40 ans. « Les formes
chroniques
de la folie, dit M. Earle, sont de plus en plus
intempérance , ce qui n'a pas lieu s'il n'est que symptôme. Les cas
chroniques
ne guérissent pas, mais dans ceux où l'alcoolis
ÉS SAVANTES. 337 de plus en plus et finit par arriver à une démence
chronique
, dans ceux au contraire où l'alcoolisme est sym
51 tations anciennes exhibées par M. de L... Nous détachons de la
chronique
judiciaire du Temps, ce qui est relatif à ce fâch
profit pour le classement des nombreuses variétés de l'encéphalite
chronique
. Deux ans plus tard,Hoffmann` t constatait à l'
fortiori aucun essai de classification des différents pro- cessus
chroniques
auxquels sont imputables les symp- tômes de l'i
lle la contraction émotive (emotional contraction). 'Dans l'ostéite
chronique
des extré- mités articulaires, il existe une at
rmanente, qui se dissipe complètement, comme le spasme de l'ostéite
chronique
par l'action de l'éther, mais il n'existe qu'un
racture hystérique et de la contracture des affections articulaires
chroniques
, n'a pas de valeur par elle-même, quoi qu'en ai
n, augmentation de la tension intrà-labyrinthique, catarrhe aigu ou
chronique
de la trompe d'Eustache et du tympan et perfora
A l'autopsie (faite par Rindfleisch), hypérémie et inflamma- tion'
chronique
de la dure-mère au niveau du ganglion- de Gasse
cz, le tabes dorsalis n'est-il autre chose que « une dégénéra- tion
chronique
du tissu conjonctif qui s'avance dans les ziaters
au niveau desquels ont évolué;des, inflammations interstitielles
chroniques
,, de -.vrais gliomes ou gliosarcomes : il cite le
ons pendant la vie).Réciproquement, et en rapport avec les maladies
chroniques
du système ner- veux,- on connaît des anomalies
e. La marche de l'ataxie locomo- trice héréditaire, essentiellement
chronique
, pourrait dépasser 32 années, tandis que le tab
velet et des faisceaux pyramidaux (moelle dorsolombaire). Méningite
chronique
, atrophie des nerfs optique et acoustique. P- K
stade de stupidité intermédiaire. On a dù noter le passage à l'état
chronique
. La mélancolie, précédée de céphalalgie, pousse
etits foyers dans cette dernière) coïn- cidant avec de la méningite
chronique
cérébro-spinale. P. K. 608 REVUE DE pathologi
E THÉRAPEUTIQUE. pathique se présente le plus souvent sous la forme
chronique
. Il fait observer aussi que ses deux malades ét
ment parus sur le système nerveux, une revue bibliographi- que, une
chronique
, etc. Dans une revue spéciale, la Gazette ren-
. Névrite (étude anatomique de la), parenchymateuse subaiguë et
chronique
; segmentaire péri- axile, par Gombault, 11, 17
a preuve expérimentale de ce que l'auteur avance. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Tentative de meurtre par un aliéné sur M. Deny,
, à moins qu'il ne soit enlevé par des accidents d'alcoolisme aigu ou
chronique
. Les moyens thérapeutiques de guérison de la di
t de résoudre un pareil problème. Albert Colas. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Une lettre rectificative de M. le Dr Pozzi. C
comme étant la première étape qui conduit aux hyperhémies cérébrales
chroniques
et, dans le lointain, à la paralysie générale.
procher de l'instrument et d'y appuyer les mains. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Association française pour l'avancement des sci
es dipsomanes qui offraient bien peu d'espoir(t). CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
La droiterie et la gaucherie sont-elles fonctio
tisa entre autres quatre hommes de 30 à 40 ans, atteints d'alcoolisme
chronique
après des accès de delirium tremens. Trois d'entr
lications de la suggestion à la pédagogie, etc. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
La dualité du cerveau et de la moelle èpinière,
médico-légal. Vienne, broch. in-8. 1887. Marestano : Cas de tétanos
chronique
ou i forme lente. Bons effets de l'hypnotisme. Gu
e des cas traités Amélioré Guéri Rien obtenu Rhumatisme articulaire
chronique
3 3 3 Douleurs rhumatismales a i3 Sciatique I
3 Symptômes hectiques.....» .". ... 3 Dyspepsie 10 » Affections
chroniques
de l'estomac 1 » Maladie de Bright » Colique
énale 1 Périmétrite » Catarrhe intestinal........... 4 » Ulcére
chronique
de la jambe » I » Abcès de la gencive » » Con
atique de l'hypnotisme comme agent thérapeutique. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
L'hypnotisme officiel à Berlin. Un médecin di
lques individus, c'est la commisération générale. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Une lettre de M. le professeur Bourru au présid
é de laisser jusqu'à nouvel ordre en discussion la question du Délire
chronique
. Société de psychologie physiologique. — Cette
ons évidentes des oreilles moyennes, surtout accusées à gauche (otite
chronique
à la période d'hyperplasie et de ramollissement).
ondent d'ordinaire les atteintes. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Homœopathie et suggestion. Le Prager med. Wos
l'hypnotisme. Notre distingué confrère, le docteur Monin, dont les
chroniques
scientifiques sont si justement appréciées, vient
loureuse, l'impression prolongée du froid humide fait passer à l'état
chronique
la phlogose des extrémités et avec l'épaississeme
défectueuse et du froid, outre les blépharites et les ophtalmies
chroniques
ou aiguës suscitées par la réverbération des neig
ésistent à tous les moyens mis en usage. — Obs. XXXVII : Pelvimétrite
chronique
avec douleurs intolérables. Depuis trois mois. Mm
ammation suppurative (p. 1 io). » Paul Bioco. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Fascinateurs et jettatores. Nous trouvons dan
vons été appelé à donner nos soins. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Procès de la dernière sorcière brûlée à Genève
le surnom qui (i) Les considérations si élevées qui terminent cette
chronique
mentent toute l'attention de nos lecteurs. Elles
ances d'hypnotisme ; 3* Une hypochondriaque, atteinte de nervosisme
chronique
datant de huit ans et de paraplégie commençante,
généralement adoptée aujourd'hui. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Effets de l'imagination. Noire confrère le Pr
tions amères et à leurs navrantes conséquences. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Condamnation de l'hypnotisme par un evêque. L
a preuve expérimentale de ce que l'auteur avance. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Tentative de meurtre par un aliéné sur M. Deny,
, à moins qu'il ne soit enlevé par des accidents d'alcoolisme aigu ou
chronique
. Les moyens thérapeutiques de guérison de la di
t de résoudre un pareil problème. Albert Colas. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Une lettre rectificative de M. le Dr Pozzi. C
comme étant la première étape qui conduit aux hyperhémies cérébrales
chroniques
et, dans le lointain, à la paralysie générale.
procher de l'instrument et d'y appuyer les mains. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Association française pour l'avancement des sci
es dipsomanes qui offraient bien peu d'espoir(t). CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
La droiterie et la gaucherie sont-elles fonctio
tisa entre autres quatre hommes de 30 à 40 ans, atteints d'alcoolisme
chronique
après des accès de delirium tremens. Trois d'entr
lications de la suggestion à la pédagogie, etc. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
La dualité du cerveau et de la moelle èpinière,
médico-légal. Vienne, broch. in-8. 1887. Marestano : Cas de tétanos
chronique
ou i forme lente. Bons effets de l'hypnotisme. Gu
e des cas traités Amélioré Guéri Rien obtenu Rhumatisme articulaire
chronique
3 3 3 Douleurs rhumatismales a i3 Sciatique I
3 Symptômes hectiques.....» .". ... 3 Dyspepsie 10 » Affections
chroniques
de l'estomac 1 » Maladie de Bright » Colique
énale 1 Périmétrite » Catarrhe intestinal........... 4 » Ulcére
chronique
de la jambe » I » Abcès de la gencive » » Con
atique de l'hypnotisme comme agent thérapeutique. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
L'hypnotisme officiel à Berlin. Un médecin di
lques individus, c'est la commisération générale. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Une lettre de M. le professeur Bourru au présid
é de laisser jusqu'à nouvel ordre en discussion la question du Délire
chronique
. Société de psychologie physiologique. — Cette
ons évidentes des oreilles moyennes, surtout accusées à gauche (otite
chronique
à la période d'hyperplasie et de ramollissement).
ondent d'ordinaire les atteintes. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Homœopathie et suggestion. Le Prager med. Wos
l'hypnotisme. Notre distingué confrère, le docteur Monin, dont les
chroniques
scientifiques sont si justement appréciées, vient
loureuse, l'impression prolongée du froid humide fait passer à l'état
chronique
la phlogose des extrémités et avec l'épaississeme
défectueuse et du froid, outre les blépharites et les ophtalmies
chroniques
ou aiguës suscitées par la réverbération des neig
ésistent à tous les moyens mis en usage. — Obs. XXXVII : Pelvimétrite
chronique
avec douleurs intolérables. Depuis trois mois. Mm
ammation suppurative (p. 1 io). » Paul Bioco. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Fascinateurs et jettatores. Nous trouvons dan
vons été appelé à donner nos soins. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Procès de la dernière sorcière brûlée à Genève
le surnom qui (i) Les considérations si élevées qui terminent cette
chronique
mentent toute l'attention de nos lecteurs. Elles
ances d'hypnotisme ; 3* Une hypochondriaque, atteinte de nervosisme
chronique
datant de huit ans et de paraplégie commençante,
généralement adoptée aujourd'hui. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Effets de l'imagination. Noire confrère le Pr
tions amères et à leurs navrantes conséquences. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Condamnation de l'hypnotisme par un evêque. L
ile, et surtout son extemporanéité. (A suivre.) CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Le magnétisme devant les tribunaux. Dans le c
n au col de la vessie en touchant un monsieur souffrant d'une cystite
chronique
. J'ai essayé plusieurs fois de lui faire ressen
es enfants. — Traduction d'A;¦ iiumbaolt Paris. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Les dangers de l'hypnotisme extra-scientifique.
GINE DES EFFETS CURATIFS INSTANTANÉS DE L'HYPNOTISME SUR LES MALADIES
CHRONIQUES
Par M. J. DELBŒIF paoï-Bssr.i'ft i l'université
oit des autres systèmes organiques. [A suivre.) CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Le miracle au point de vue médical. 11 etisie
publié le cas d'une jeune fille de vingt ans. atteinte de rhumatisme
chronique
déformant, chez laquelle une dose de 4 grammes de
l'aide des suggestions salutaires de l'éducation? CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Les femmes et l'étude de la médecine. A l'ass
r exemple, dans les hémorragies des phtisiques, et dans les diarrhées
chroniques
des mêmes malades. Dans les arfcctions cardiaques
s de matière médicale pure, et de 182S à l83o ion iraitJ des maladies
chroniques
. Après avoir vécu pendant la plus grande p.irtic
uvés par cette seule lecture : D' Tiiouvssix. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Singulier procédé d'instruction judiciaire. L
uent. M n'est pas plus légitime d'invoquer la guérison des maladies
chroniques
. Celles-là guérissent, non à cause des médicament
t s'imposer après cette étude faite de bonne foi. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Cours de M. le professeur Giard sur l'évolution
ns qui ont déterminé l'unanimité de son adoption. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Récompenses de l'Académie des sciences. Dans
trouve dans le livre cité, à la page 133. OBSERVATION V. Myélite
chronique
diffuse (sclérose en plaques fruste). — Paralysie
, Jean-Auguste, âgé de 3o ans, gardien de bureau, a fait pour myélite
chronique
de nombreuses entrées dans nos hôpitaux. Pendan
lure, en raison de l'ensemble des phénomènes constatés, à une myélite
chronique
à forrae. (1) Nous reproduisons les termes de l
des couleurs, pas d'incoordination proprement dite); celui de myélite
chronique
diffuse généralisée ou envahissante. Le 8 décem
connaissance, est l'effet d'un acte inhibàoire. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Clinique de» maladies nerveuses. M. le docteu
les artistes musiciens du dix-neuvième siècle. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Enseignement clinique de 1 hypnotisme. Le jeu
ur la table d'amphithéâtre qu'au lit du malade. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
- Cours de M. le docteur Auguste Voisin. M.
ie. (i) Cullerre, Les Frontières de la folie. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Un Congrès d hypnologie. il y a quelques mots
ns, manie subaigué.— Guérie depuis 1S8S. Hau..., 36 ans. nervosisme
chronique
datant de S ans. — Guérie depuis 1887. C..., 48
ntéressant est celui d'un malade atteint de polyarthrite rhumatismale
chronique
avec déformations des articulations. Le malade ga
tion hypnotique. Ils jugeront la méthode ensuite. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Comment le goût se forme ou ae corrompt. Ce n
fique, 63. Hypnotisme (effets curatifs instantanés sur les maladies
chroniques
), par Del- bœuf. 66. Hypnotisme (discussion sur
3. Morphinomanie (la), 156. Mourants (état mental des, 317. Myélite
chronique
diffuse, traitée par la suggestion, 23o. Nécess
gine des effets curatifs instantanés de l'hypnotisme sur les maladies
chroniques
, par Delbceuf, 66. Ouvrages de Reichenbach, par
e ans, domestique de ferme, d’une intelligence bornée, serait (dit la
chronique
), douée d’une force d’attraction très-extraordina
aussi. Les règles sont plus abondantes. 20 Rhumatisme articulaire
chronique
. Wulleemahmood, batelier, âgé de trente ans, na
andé sa sortie, et je la lui ai accordée. 3° Rhumatisme articulaire
chronique
. Du i5 janvier 1847- M* des Brûlais, négociant
r l’inflammation est totalement éteinte. /)” Rhumatisme articulaire
chronique
. Du i/| février. M. Johnson, âgé de trente-quat
ation. Votre très-obéissant serviteur, Le comte Gérard FRESCHI.
Chronique
. — Le portrait de M. duPotet, gravé par un artist
te cure, mon temps pour les expériences élaut limité. 8° Rhumatisme
chronique
et tumeur blanche. Du 21 janvier. Erances Ann E
à chaque membre les jour, lieu et heure de la réunion. •VARIÉTÉS.
Chronique
. — La pretnière partie de l’ouvrage annoncé, de M
s aiguës, avoue l’insuffisance de son moyen curatif dans les maladies
chroniques
. Cependant il faut croire qu’Hippocrate avait que
d’une personne morte de maladie lente, pour la cure des engorgements
chroniques
; il convient cependant que ce traitement lui a ra
, suivant l’idiosyncrasie du sujet, soit enfin le germe d’une maladie
chronique
qui se développera tôt ou lard. Parmi les malad
e résultat de cette tentative nous sera connu , nous le publierons.
Chronique
. — On nous écrit de Moscou que le magnétisme y es
e ignorât tout-à-fait, quelle espèce d’arbre c’était. » VARIÉTÉS.
Chronique
. — La belle bibliothèque du baron de Guillemin ,
maintenant qu’il m’eût été difficile d’aller àParis. » VARIÉTÉS.
Chronique
. — Le zèle prosélytique enflamme beaucoup d’intel
. MESMER. M, J. DE ItOVËRE. M. THUILLIER (Amiilée.) VARIÉTÉS.
Chronique
. — C’est à n’y rien comprendre. Le docteur Teste,
e reconnue de tous comme tout-à-fait indispensable. Gilbert GOVI.
Chronique
. — L’Assemblée Législative qui vient d’être élue
ne tumeur commune depuis huit ans. 11 souffre aussi d’une bronchite
chronique
, qui pourrait être un obstacle à l'entrancement,
lecteurs à n’en accepter le contenu que sous bénéfice d’inventaire.
Chronique
. — Une réunion des magnétiseurs de Lyon va avoir
ifférentes. Nous allons seulement les énumérer : i» Une hydarthrose
chronique
du coude, produite par une cause externe, cède à
isante dans ce cas. i5o Suivent neuf cas de rhumatismes musculaires
chroniques
compliqués. Ils ont tous cédé à l'action magnétiq
ne femme, d’une constitution très-nerveuse, atteinte d'une gastralgie
chronique
, avec constipation opiniâtre, était obligée depui
pêché de la commettre, par la certitude d’être reconnu tôt ou tard.
Chronique
. —Un homme instruit, intelligent et d’un bon cœur
ibéralités, et une héritière de ses qualités et de sa clairvoyance.
Chronique
. —M. le D' Ducros, dont il est parlé dans nos der
de fatigue. Veuillez vous rappeler que ma maladie, passée à l’état
chronique
depuis plus de trois ans, avait son siège dans l’
s peu un procédé pour empêcher les somnambules de mentir. JODARÜ.
Chronique
. — A l’une de nos dernières conférences dominical
s, 36, 291. — typhoïdes, 650. Fluxion de poitrine, 70. Gastrite
chronique
, 291. Goître, 616. Goutte, 246. — sciatique
e, 136, 456. Hernie étranglée, 433. — inguinale, 40. Hydartrose
chronique
, 456. Hydropisie, 595, 603. Hystérie,. 291. I
es cancéreuses, 617. Rhumatisme articulaire aigu, 40. — articulaire
chronique
, 113 à 118, 130, 133, 209, 458. — nerveux, 35
ive d'incendie. - Granulie. - Mort. AUTOPSIE. - Méningo-encéphalite
chronique
. - Lésions tuberculeuses des poumons. Lapous.
firmé le diagnostic en faisant constater des lésions inflammatoires
chroniques
très étendues de la pic-mère et de la substance
ulose pulmonaire; mort. AUTOPSIE. - Cavernes pulmonaires. - Lésions
chroniques
des méninges et de la substance grise des circo
t être invoquée pour expliquer la genèse des maladies ner- veuses
chroniques
des enfants de notre service, est très peu cons
e;pilehsie compliqués de méningite Méningite DES épileptiques. 51
chronique
sont assez communs. Nous avons publié un mémoir
moire de 1880 nous avons fait un rapprochement des cas de méningite
chronique
de l'enfance avec la paralysie générale de l'ad
ome page 213.) ( ? ) Dourneville et Wuittiame. Ménin[/o-encéphalite
chronique
générali- sée che : .1ln enfant de 12 ans. (Arc
xistait à la naissance, quoique légère, a pu, jointe à l'alcoolisme
chronique
de la mère, contribuer à préparer les lésions q
leau du poids et de la taille. '68 Assistance DES enfants IDIOTS.
chroniques
de Bicêtre n'avaient pas songé qu'elle dé- senc
'ivresse, et ne semble pas avoir présenté de symptômes d'alcoolisme
chronique
. - Après dix ans de vie commune, à l'âge de 35
mort. AUTOPSIE. - Sclérose hypertrophique ou tubéreuse méningite
chronique
; - granulations tuberculeuses du poumon droit.
père, cultivateur, est mort à GO ans, des suites d'une suppuration
chronique
de la jambe. Rhumatisant, alcoolique renforcé;
la famille du père.] Mère, morte ia 29 ans en 1871 d'une affection
chronique
de 128 Antécédents PERSONNELS. la poitrine ap
, elle est moins étendue en appparence par le fait d'une blépharite
chronique
qui détermine aussi de ce côté un léger ptosis.
. Mort par congestion pulmonaire. AUTOPSIE. - Méningo-encéphalite
chronique
très étendue rappelant les lésions de la paraly
oreilles. A notre avis, c'est là le début de la méninyo-encéphalite
chronique
, diagnostiquée pendant la vie et vérifiée à l'a
— De la suggestion hypnotique chez les criminels. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Le Congrès de psychologie physiologique. Le C
ique, d'une part, tous les états de trouble mental subaigus, aigus ou
chroniques
dus à l'intoxication alcoolique. Dans cette class
baiguë d'un accès d'alcoolisme. — Il en est de même pour l'alcoolisme
chronique
, à l'heure où des lésions cérébrales définitives
interné, traité, et renvoyé des qu'il est guéri. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
L'éducation par un sens unique. Un de nos lec
de couleurs faire des opérations d'arithmétique. CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Un vomitif révélateur Nous trouvons dans la P
randeur de leur nez; l'exemple, il est vrai, date de haut, puisque la
chronique
de l'Olympe voulait que Vénus eût épousé Vulcain
microbe ! (G?z. hebd. des sc. méd. de Bordeaux). CORRESPONDANCE ET
CHRONIQUE
Un cas d'hallucination collective de la vue L
se procurer une nouvelle solution. Les conséquences du morphinisme
chronique
sont parfois favorables, quelquefois indifférente
le plus souvent nuisibles. « Elles sont favorables dans les maladies
chroniques
et incurables. L'un de nous a récemment publié un
nd nombre d'observations tendant à démontrer l'utilité du morphinisme
chronique
chez les femmes atteintes de cancer utérin. La mo
mie. Le médicament agit à la manière d'un stimulant et le morphinisme
chronique
est alors comparable a l'alcoolisme chronique.
ulant et le morphinisme chronique est alors comparable a l'alcoolisme
chronique
. » Mais ces cas sont exceptionnels. Le plus sou
r une invasion aiguë et qui persiste aujourd'hui sous forme d'un état
chronique
. Quand je la vis pour la première fois en septe
1888, ne s'est pas démentie. Celle malade, qui était une alcoolique
chronique
, avait en outre des hallucinations de l'ouïe asse
nger le cours des maladies mentales par la suggestion, n cas de manie
chronique
, avec hallucinations (passage à une démence systé
ce nocturne et diurne d'urine, auto-somnambulisme, rhumatisme aigu et
chronique
, ambryopie nerveuse, habitudes vicieuses, dipsoma
ants de la question qui intéressent pratiquement tous les médecins.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Les fous et l'hypnotisme To
péculations financières et ont l'esprit rempli de projets nouveaux.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Statistique du Congrès de l'H
ours un peu attristée aux actes qui avaient motivé son internement.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Statistique internationale su
ues, de M.Krafft Ebing ne font que confirmer des faits déjà connus.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Leçon clinique de M. Dumontpa
ade endormi dans mon service. C'est un Suggestible atteint de myélite
chronique
, hypnotisable avec hallucinabilité et amnésie au
e question ne pouvait manquer de relever sans faillir a son mandat.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Cours à l'Ecole pratique de l
très prononcé. Son père est mort à cinquante et un an d'une affection
chronique
de la poitrine : sa mère est morte à cinquante de
t il présente au plus haut degré les maniféstations de l'état nerveux
chronique
que presque tous les neuropathologistes sont d'ac
ent les questions de responsabilité judiciaire. Dr Emile Laurent.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Relèvement des études médico-
blic une guérison de véritable dipsomanie et de deux cas d'alcoolisme
chronique
. Nottons en passant que depuis Esquirol, la dipso
sentèrent des linges portés par les malades atteints l'un, d'entérite
chronique
, et l'autre, de laryngite chronique; les diagnost
malades atteints l'un, d'entérite chronique, et l'autre, de laryngite
chronique
; les diagnostics posés par Vandevoir furent emphy
ard le jugement que rendra le tribunal dans cette nouvelle aflaire.
CHRONIQUE
ET CORRESPONDANCE Délire Electrique On signal
Toghlak (la folie de), 205. Morphine (de l'abus de la,, 126. Myélite
chronique
traitée pat suggestion, 136. Mutisme mélancoliq
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