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1 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
n premier lieu ce sujet : non-seulement la ressemblance singulière du cerveau des singes avec celui de l'homme donnait à cette
étude un attrait tout particulier, mais, en outre, la collection des cerveaux de singes que possède le muséum d'histoire nature
nt remarquer, en examinant dans notre pl. 12 la série comparative des cerveaux d'Homme et de Singes, l'analogie singulière que p
ulière que présentent, dans tous ces êtres, les formes cérébrales. Le cerveau plissé de l'Homme et le cerveau lisse du Ouistiti
ces êtres, les formes cérébrales. Le cerveau plissé de l'Homme et le cerveau lisse du Ouistiti se ressemblent par ce quadruple
re de Sylvius enfermant un lobe central. Ainsi, il y a une forme du cerveau propre aux Singes et à l'Homme, et il y a en mê
e aux Singes et à l'Homme, et il y a en même temps dans les plis du cerveau , quand ils apparaissent, un ordre général, une di
s Insectivores, aborderons-nous, dans un prochain travail, l'étude du cerveau des Carnassiers, nos séries étant, sur ce point,
ue ces recherches seront de quelque utilité aux hommes que l'étude du cerveau intéresse. Je serais heureux si, en appelant l'at
eu, et depuis, M. le professeur Duvernoy, ont confié à mon examen les cerveaux de la riche collection du muséum. Enfin un philos
. PREMIÈRE PARTIE. § Ier L'importance des couches corticales du cerveau et de leurs plis est depuis longtemps reconnue. D
x opinions de Galien, et attachent peu d'importance ê des plis que le cerveau des brutes présente aussi bien que celui de l'hom
ont une, c'est d'aider à la distribu- ííoo normale du saog dans le cerveau . Mais l'un des plus grands anatomistes des temps
ux sont dues a Vicq-d'Azyr. Il remarque qu'à la partie postérieure du cerveau la substance blanche est distribuée en stries fle
tribuée en stries flexueuses à la manière des rubans rayés. [Anat. du cerveau , pl. IV, fig. 1.) Meckel signale, dans la corne d
e les fibres rayonnantes qui pénètrent de toute part dans l'écorce du cerveau subissent toutes à la fois des renflements et des
olando, est fort convenable; mais il ne s'applique parfaitement qu'au cerveau de l'Homme parmi les Primates. A ces dénomination
e nom plus simple de plis cérébraux, qui convient à la description du cerveau de tous les Mammifères, et qui, d'ailleurs , prés
n; il est plusieurs fois employé par Willis dans sa belle anatomie du cerveau , et sur les pas d'un si grand maître je ne crain
où les fibres rayonnantes de l'axe sont en relation avec l'écorce du cerveau . Sous ce point de vue, l'étude des plis cérébra
e qui est changeant et accessoire. S "I- Il suffit de comparer un cerveau de Singe avec un cerveau de Carnassier ou Ruminan
cessoire. S "I- Il suffit de comparer un cerveau de Singe avec un cerveau de Carnassier ou Ruminant, pour voir que les plis
evoir l'aborder en ce moment. Mais, si nous comparons entre eux les cerveaux des différentes espèces de Singes, les plis se dé
s espèces de Singes, les plis se développent à nos yeux dans tous ces cerveaux avec des ressemblances si évidentes, qu'il est, a
e point frappé. Si maintenant nous essayons la comparaison entre le cerveau de l'Homme et celui des Singes, nous retrouvons l
lle simplicité, qu'ils rendront, j'ose du moins l'espérer, l'étude du cerveau humain plus facile. Mes vœux seraient comblés , s
lument neuve. En effet, le travail si renommé de M. Tiedemann, sur le cerveau du nègre, a peu ajouté à la partie positive de no
urelle, Ke pourrait-on pas suivre ce bel exemple ? Des collections de cerveaux bien conservées auraient certainement un grand in
soin d'y ajouter les moules intérieurs des crânes qui contenaient ces cerveaux : or ces moules peuvent être obtenus aujourd'hui
habile artiste, M. Stalh, a récemment découvert et mis en usage : un cerveau bien frais et encore entouré de ses membranes est
egrés à l'aréomètre de Gay-Lussac ; au bout de deux ou trois jours le cerveau est parfaitement durci. On le dépouille avec soin
pareils, quand on no veut étudier que la configuration extérieure du cerveau , sont quelquefois préférables, à cause de leur in
de la cavité digitale; l'une d'elles appartient à la face interne du cerveau , l'autre à sa face inférieure. b. Sur la face i
i importante et si juste, quon retrouve dans les circonvolutions du cerveau de tous les hommes un type commun, quand on ne s'
les divers individus, mais encore sur les deux hémisphères d'un même cerveau . Nous n'attacherons pas une égale importance à
irconvolutions cérébrales des Mammifères et de VUomme (Anat. ñîòð. du cerveau , 1839, t. I, p. 397). Son travail vise à une exac
tant de précautions préalables. Cet anatomiste donne, d'ailleurs, du cerveau de l'Homme et du Papión des figures fort remarqua
z en avant à celle du Renard. Elle se porte à la partie antérieure du cerveau , où elle s'unit à la troisième circonvolution ant
. +.), puis elle descend en avant du cervelet, contourne la cuisse du cerveau et va reparaître en bas, tout à côté du nerf opti
tres animaux dont le cervelet est, en grande partie, recouvert par le cerveau . Sur la face externe on remarque la scissure de
it trois circonvolutions qui se dirigent vers la partie antérieure du cerveau . (Ces circonvolutions répondent aux deux grands p
vanciers, a essayé une nouvelle classification des circonvolutions du cerveau humain (Encyd. anat., i. IV de la traduct. fr., p
, t. I, p. 191.) Suivant ce célèbre nevrotomiste, il existe dans le cerveau quatre ordres de circonvolutions. a. Circonvolu
e, au-dessous du groupe triangulaire, vers l'extrémité postérieure du cerveau ; 4** M. Foville signale, en outre, des lignes cir
r voir avec quelle sagacité cet habile anatomiste a distingué dans le cerveau les choses constantes, des choses variables, les
. Aussi, quand j'aurai, dans le cours de mes recherches, à décrire le cerveau humain, me bornerai-je à signaler plus particuliè
x circonvolutions des Primates. La première figure qu'on ait eue du cerveau du Troglodyte Chimpanzé est celle de Tyson (1). C
re sur le sujet qui nous occupe ici. Gall et Spurzheim ont donné du cerveau de l'Orang et du Patas des figures qu'on dirait i
. Elles méritent à peine d'être regardées. M. Tiedemann a figuré le cerveau de l'Orang-Outang par la face dorsale et par la b
d'aucun usage. M. Sandifort a dessiné à son tour la face dorsale du cerveau de l'Orang, et en outre il en a donné le profil e
iqués sur ses figures. M. Wrolick nous a donné le profil interne du cerveau d'un Orang-Outang; cette figure est une des meill
s cérébraux du Chimpanzé y sont fort bien étudiés, malheureusement le cerveau qui leur a servi de modèle était profondément aff
rvi de modèle était profondément affaissé; aussi la forme générale du cerveau est-elle rendue, dans leurs planches, d'une maniè
de commun avec une critique. M. Sandifort a publié deux figures du cerveau de VHylobâtes syndactylus ; ces ligures sont très
igures sont très-préférables à celles que le même auteur a données du cerveau de l'Orang-Outang. Toutefois il y a, dans le déta
a, dans le détail de ces figures, des choses très-obscures. Sur le cerveau des autres Primates, nous citerons Les figures
us; et le Rhœsus; Un dessin au trait de M. R. Wagner, représentant le cerveau du Patas; Les excellents dessins de M. Leuret sur
ntant le cerveau du Patas; Les excellents dessins de M. Leuret sur le cerveau du Papión ; Enfin une figure assez bonne de Tiede
cerveau du Papión ; Enfin une figure assez bonne de Tiedemann sur le cerveau du Saï Capucin et celle que M. Owen a donnée du c
demann sur le cerveau du Saï Capucin et celle que M. Owen a donnée du cerveau du Midas, DEUXIÈME PARTIE. DESCRIPTION DES PL
'est-à-dire le Callitriche, j'ai cru devoir suivre son exemple, et le cerveau du Callitriche me servira de point de départ. §
allitriche me servira de point de départ. § VII. LOBES ET plis DU CERVEAU DU callitriche. La forme du cerveau du Callitri
rt. § VII. LOBES ET plis DU CERVEAU DU callitriche. La forme du cerveau du Callitriche est trop irrégulière pour être com
égulière pour être comparée avec justesse à toute autre chose qu'à un cerveau de Singe. C'est un corps ovoïde et convexe à sa p
sse cérébrale en deux moitiés symétriques ; on donne a ces moitiés du cerveau le nom d'hémisphères (hemisphœria). Les deux hé
e moitié de la face supérieure et une moitié de la face inférieure du cerveau . f elte moitié de la face supérieure, réunie à
la face externe comprend, pour nous, tout ce que l'œil parcourant le cerveau de profil peut à la fois embrasser. La face int
régulière suivant laquelle ces deux faces se réunissent au-dessous du cerveau sera appelée, par une opposition naturelle, bord
e le bord supérieur de l'hémisphère et descend sur la face externe du cerveau , où elle se termine un peu au-dessus de son bord
le lobe central. M. Arnold a également distingué quatre lobes dans le cerveau de l'Homme, mais il n'en a point indiqué les limi
breuses, ils se ressemblent si peu sur les deux hémisphères d'un même cerveau , qu'à peine peut-on essayer de les décrire. Nous
très-obliques, comme on peut le voir dans les figures que je donne du cerveau des Cynocéphales. Un troisième pli appartient à
urnissent les caractéristiques les plus sûres à l'aide desquelles les cerveaux des différents Pithèques peuvent être distingués.
érieurs sont superficiels. Tels sont les plis de la face externe du cerveau dans le Callitriche. § X. REMARQUES SUR LA SC
eviendrons, plus tard, sur ce sujet, et nous verrons, en comparant le cerveau des Primates, à quelles conséquences conduisent l
rir. En dedans, c'est-à-dire du côté de la grande scissure médiane du cerveau , elle est limitée par ce large pli auquel Yicq-d'
'indiquer. J'invoque donc à chaque instant le secours des figures. Un cerveau naturel ou un moule bien fait seraient encore pré
e, qui sera, je le pense, goûtée par les anatomistes. Dans tous les cerveaux qui ont été représentés pl. XII, les teintes sont
ues et les Cynocéphales. § XIII. PLIS CÉRÉBRAUX DES GUENONS. Le cerveau des Guenons est, en général, semblable à celui du
néral, très-court, peu saillant, à peine reconnaissable dans quelques cerveaux . Je ne connais, jusqu'à présent, dans la série de
ux. Je ne connais, jusqu'à présent, dans la série des Guenons, que le cerveau du Patas où ce pli soit bien développé ; cette pa
t la longueur relative du lobe pariétal rapprochent singulièrement le cerveau du Patas de celui des Macaques; mais, en revanche
nté, en 1850, à l'Académie des sciences, je n'avais pu étudier que le cerveau de VEntelle. La collection du muséum ne possédait
r que le cerveau de VEntelle. La collection du muséum ne possédait le cerveau d'aucun autre Semnopithèque. Les Colobes d'Afriqu
onséquences d'une observation particulière, et, après avoir décrit le cerveau de VEntelle, de juger par analogie de tous les au
mal inspiré. J'ai eu, depuis cette époque, l'occasion d'examiner un cerveau de Semnopithèque maure (S. maurus, voy. pl. IV, f
nasi-que (Nasalis larvatus, voy. pl. V, fig. 1 et 2). L'étude de ces cerveaux a justifié ce que j'avais annoncé; ainsi, jusqu'à
que je reproduis ici ma première description. Dans son ensemble, le cerveau des Semnopithèques rappelle celui des Guenons ; t
lui des Guenons ; toutefois il est impossible de le confondre avec le cerveau des Cercopithèques : en effet, 1° Il est plus g
insi, le lobule frontal s'est avancé vers les parties postérieures du cerveau ; il a refoulé en arrière les plis ascendants du l
es, il est plus long que haut. Ces faits suffiraient pour donner au cerveau de VEntelle un caractère tranché, une physionomie
sont les particularités intéressantes que présente la face externe du cerveau de VEntelle. J'ai le regret de n'avoir pu décri
la collection du muséum ne m'ayant point encore permis de diviser un cerveau En-telle pour l'examiner en détail. Mais l'étud
tomistes. Maintenant, serai-je accusé de hardiesse si je conclus du cerveau de VEntelle, du Semnopithèque maure et du Nasique
nclus du cerveau de VEntelle, du Semnopithèque maure et du Nasique au cerveau des Semnopithèques supérieurs et du Soiilili? Je
X DES GIBBONS. La collection du muséum ne possédait, en 1850, aucun cerveau de Gibbon adulte ; cette lacune a été longtemps p
andifort a publié, il est vrai, il y a quelques années, une figure du cerveau d'un Gibbon syndactyle; mais j'avais de graves so
titude. La figure que M. Sandifort a donnée dans le même travail d'un cerveau A'Orang-Outang éveillait en moi le sentiment d'un
'ailleurs, malgré la supériorité évidente du dessin qui représente le cerveau du Gibbon, une sorte d'hésitation générale dans l
es membranes furent enlevées avec un soin scrupuleux. La substance du cerveau était profondément altérée: néanmoins je pus étud
ne figure incomplète pour deux motifs : V parce que l'état pulpeux du cerveau ne m'a point permis de l'extraire de la boîte cép
int permis de l'extraire de la boîte céphalique; 2° parce que dans ce cerveau incomplètement développé plusieurs plis n'ont poi
vec une évidence plus grande, et les différences que nous présente le cerveau d'un jeune fœtus font pressentir toutes celles qu
veau d'un jeune fœtus font pressentir toutes celles que l'examen d'un cerveau de Gibbon adulte eût fait découvrir. A ces rema
ndis que les plis du lobe frontal sont à peine indiqués. En outre, le cerveau , très-grand en arrière, est presque aussi atténué
ativement à la légitimité de ces conclusions tirées de l'analyse d'un cerveau incomplètement développé, sont complètement dissi
mplètement dissipés. En effet, j'ai été assez heureux pour étudier un cerveau de Gibbon cendré adulte dont la collection du mus
s avions formulées ont été justifiées. En comparant le profil de ce cerveau adulte au profil du cerveau du fœtus, on sera (
ustifiées. En comparant le profil de ce cerveau adulte au profil du cerveau du fœtus, on sera (1) Ces faits, entre mille, p
le lobe frontal est le plus petit relativement aux autres parties du cerveau . La faiblesse relative des os maxillaires expliqu
rtance extrême et montre que ce qui s'accroît le plus à mesure que le cerveau se développe, c'est le lobe frontal. On objecte
le cervelet est à découvert, et qu'il est peu à peu recouvert par le cerveau , qui s'accroît en arrière, en sorte que, selon ce
ins anatomistes, d'ailleurs fort habiles, les parties postérieures du cerveau apparaissent les dernières (1). Cette conclusion
s encore, prise dans un sens trop absolu, elle n'est pas vraie. Si le cerveau est peu saillant en arrière dans le fœtus, ce n'e
fœtus, ce n'est point seulement parce que les parties postérieures du cerveau ne se sont point développées, mais parce que ces
les lobes postérieurs sont relativement atrophiés, mais parce que le cerveau s'arrêtant dans son développement, le cervelet se
, si intéressants pour la physiologie. Comparons maintenant ce même cerveau de Gibbon adulte à celui de VEntelle; on y remarq
remontant les degrés de la série zoologique des Pithèques, étudié le cerveau des Guenons, des Semnopithèques et des Gibbons. D
§ XVI. PLIS CÉRÉBRAUX DES MACAQUES. Nous décrirons séparément le cerveau des Macaques à queue de Cochon et celui des vrais
ux des Macaques à queue courte (pi. YIII, fig. 7, 8, 9, 10, 11). Le cerveau du Rhésus et celui du Maïmon se ressemblent d'une
t également. Dans le Rhésus et dans le Maïmon, la forme générale du cerveau rappelle, à peu de chose près, le cerveau des Gue
aïmon, la forme générale du cerveau rappelle, à peu de chose près, le cerveau des Guenons. Le lobe frontal est plus large et mo
VRAIS MACAQUES. Dans tous les Macaques que nous considérons ici, le cerveau est déprimé et comme aplati; mais, en revanche, i
chet médiocre. Si j'ai réussi à dire clairement ces différences, le cerveau des Macaques, en général, pourra être facilement
cerveau des Macaques, en général, pourra être facilement distingué du cerveau des Guenons, et parmi les Macaques nous sépareron
s Macaques nous séparerons, par une ligne de démarcation tranchée, le cerveau du Rhésus et du Maïmon du cerveau des vrais Macaq
e ligne de démarcation tranchée, le cerveau du Rhésus et du Maïmon du cerveau des vrais Macaques, Parmi ces derniers, nous dist
érie. § XVÏIL PLIS CÉRÉBRAUX DES CH ROPITHÈQUES OU BABOUINS. Le cerveau des Babouins a, avec celui des Macaques, les plus
de me laisser ensuite inspirer par eux. J'étudierai donc à part le cerveau de l'Orang et le cerveau du Chimpanzé. Cette étud
spirer par eux. J'étudierai donc à part le cerveau de l'Orang et le cerveau du Chimpanzé. Cette étude, en nous faisant découv
ons sont exactes et mes inductions légitimes. Nous étudierons 1° le cerveau de l'Orang-Outang; le cerveau du Chimpanzé. §
ns légitimes. Nous étudierons 1° le cerveau de l'Orang-Outang; le cerveau du Chimpanzé. § xx. plis CÉRÉBRAUX DE l'ORANG
impanzé. § xx. plis CÉRÉBRAUX DE l'ORANG-OUTANG. J'ai étudié le cerveau de VOrang sur deux pièces de la collection du mus
les en plâtre fort beaux ; je dois avertir, toutefois, que le premier cerveau , cerveau modifié par l'action des liquides conser
âtre fort beaux ; je dois avertir, toutefois, que le premier cerveau, cerveau modifié par l'action des liquides conservateurs,
pourrait bien avoir perdu quelques incisures secondaires. Le second cerveau , réduit par l'action de l'alcool et des sels, a é
e type principal de ma description. {Yoy. pl. III, fig. 5 et 6.) Le cerveau de l'Orang est très-globuleux, surtout en avant;
s, mais peu distincts ; l'étage moyen surtout est L'examen des deux cerveaux que je figure montre à quel point ils varient dan
montre à quel point ils varient dans les divers individus. Dans le cerveau (fig. 6) qui me sert de type, le pli surcilier 1.
tracée, en deux plis secondaires 3 3 3 et 3' 3' 3'. Dans le second cerveau , fig. 2, le pli surcilier est peu étendu, peu dis
8) sont moins bien définis. Toutefois cette région présente, dans les cerveaux qui me servent de types, de nombreuses incisures.
i me servent de types, de nombreuses incisures. Mais ce qui rend le cerveau de l'Orang-Outang extrêmement remarquable, c'est
dans VOrang et, à coup sûr, équivalent à celui qu'on observe dans les cerveaux de l'espèce humaine (fig. lY 1.1.1.1'); mais l'ét
é dans l'Homme, est très-simple dans VOrang. Si nous rapprochons ce cerveau de ceux que nous avons étudiés jusqu'ici, la gran
on sera convaincu si l'on compare avec soin les différents profils de cerveaux , que j'ai dessinés avec la plus scrupuleuse exact
eurs. Ij Orang-Outang, considéré comme le premier des Gibbons, a un cerveau de Gibbon, mais plus riche, plus développé, en un
sin d'une perfection réelle. Tels sont les principaux caractères du cerveau de VOrang-Outang. Étudions maintenant le cerveau
cipaux caractères du cerveau de VOrang-Outang. Étudions maintenant le cerveau du Chimpanzé, qui en diffère non-seulement dans s
§ XXI. PLIS CÉRÉBRAUX DU TROGLODYTE CHIMPANZÉ. Je ne connais du cerveau du Chimpanzé aucune figure parfaite. Celle qu'en
es plis cérébraux y sont bien caractérisés; malheureusement l'état du cerveau qui leur a servi de modèle ne leur a pas permis d
souvent, et qui consiste à mettre, autant que possible, en regard du cerveau qu'on étudie, le moule intérieur du crâne qui le
veau qu'on étudie, le moule intérieur du crâne qui le contenait. Le cerveau du Troglodyte Chimpanzé diffère beaucoup, quant à
Troglodyte Chimpanzé diffère beaucoup, quant à sa forme générale, du cerveau de V Orang-Outang ; il est relativement un peu pl
rve dans les Orangs, rap pelle, au contraire, celle que présente le cerveau de la plupart des Macaques. (Voy. 6.) Les plis
Mais ce qu'il faut remarquer sur toutes choses quand on compare le cerveau du Chimpanzé à celui de l'Orang-Outang, c'est l'a
12 et 13.) En nous résumant, après avoir comparé scrupuleusement le cerveau du Chimpanzé à celui de l'Orang, nous signalerons
acaques. Par tous ces caractères il est impossible de rapprocher le cerveau du Chimpanzé de celui de VOrang-Outang, du Gibbon
erons irrésistiblement conduit à énoncer la proposition suivante : Le cerveau du Chimpanzé est un cerveau de Macaque perfection
it à énoncer la proposition suivante : Le cerveau du Chimpanzé est un cerveau de Macaque perfectionné. En d'autres termes, le
ales ce que VOrang est aux Gibbons et aux Semnopithèques. § XXII. CERVEAU DU PONGO d'ANGOLA (TROGLODYTES GORILLA). Les ré
en masse, et permettent d'apprécier avec précision la forme réelle du cerveau . Ils permettent de constater, en premier lieu,
lieu, ce fait important, que, dans le Gorille adulte, la grandeur du cerveau est moindre que celle d'un cerveau d'Orang égalem
le Gorille adulte, la grandeur du cerveau est moindre que celle d'un cerveau d'Orang également adulte, bien que VOrang soit tr
leur plus grand diamètre.......................... C. Hauteur du cerveau mesurée à partir de l'extrémité du lobe sphénoï
mesures ; celles-ci parlent assez : d'ailleurs, au premier aspect, le cerveau de VOrang est évidemment plus globuleux, plus mas
laisser sur la boîte crânienne aucune impression marquée. Ainsi le cerveau du Gorille est plus déprimé, plus plat; il est au
ion, il est moins atténué à son extrémité antérieure, en sorte que le cerveau , vu à sa face supérieure, n'est point om/e comme
celui de VOrang, mais presque elliptique, forme que rappelle celle du cerveau des Cynocéphales. Ajoutons que les plis cérébraux
'à partir de ce moment le développement de l'encéphale fût achevé, le cerveau du Chimpanzé adulte serait, relativement à la tai
arent du lobe frontal en un mot, et, malgré la dépression générale du cerveau , un aspect plus globuleux, plus arrondi dans tout
différence qui est tout entière à l'avantage des Orangs, puisque leur cerveau , aussi long absolument que celui des Gorilles et
e Chimpanzé paraît être, sous ce point de vue de la forme générale du cerveau , très-supérieur au Gorille, et il est impossible
le Chimpanzé une différence semblable à celle qu'on observe entre le cerveau des Cynocéphales et celui des Macaques; et ce fai
légitime, c'est de résoudre préalablement la question suivante : Du cerveau de VOrang et du cerveau du Chimpanzé, lequel est
dre préalablement la question suivante : Du cerveau de VOrang et du cerveau du Chimpanzé, lequel est le plus semblable à celu
. § XXIV. des plis cérébraux de l'homme. On connaît la forme du cerveau de l'Homme. La hauteur singulière, la largeur du
ation générale des plis secondaires distinguent, au premier abord, ce cerveau de celui de tous les Primates. Mais ces différe
es parties, laissent cependant subsister de telles analogies entre le cerveau de VHomme et celui de tous les Singes, que la mêm
lables, mais elles sont toutes homologues. Une figure coloriée d'un cerveau humain vu de profil fera toucher aux yeux ces res
voy. pl. XII, fig. 1. J'ai choisi, pour type de cette comparaison, un cerveau dans lequel les plis secondaires ont été dissimul
lés à dessein; on pourra, de la sorte, le comparer plus facilement au cerveau des Singes supérieurs. Un premier fait doit êtr
xtrêmement réduit ; cette réduction est plus apparente encore dans le cerveau de fœtus humain que nous avons figuré pl. XI, fig
ns son ensemble et dans ses détails, les dispositions que présente le cerveau des Singes, mais il est beaucoup moins excavé. da
tage frontal inférieur) est bien défini, comme on peut le voir sur le cerveau figuré pl. I, fig. 1. Quant à l'étage moyen 2. 2.
la considérer comme ayant la valeur d'un caractère absolu. Dans le cerveau de la Vénus hoUentote, en effet, la disposition i
ainsi dire, toute son indépendance. J'ai eu occasion d'observer un cerveau à'idiote dont je parlerai tout à l'heure, et qui
alogue dans le Chimpanzé. (Voy. pl. II, fig. 1 et %.) C'est dans le cerveau de la Vénus hottentote et dans celui des idiots q
implicité. Lés plis de droite comparés à ceux de gauche (1) Dans un cerveau curieux cjue je possède, ce pli fort simple se je
simplicité et symétrie sont ici choses corrélatives. Je possède un cerveau curieux d'Homme blanc, dans lequel l'insula du cô
açon la plus claire, la disposition que je viens d'indiquer; mais, le cerveau s'étant normalement développé à droite, les deux
aucune symétrie. D'ailleurs cette symétrie n'existe jamais dans les cerveaux normaux de la race blanche. Le pli supérieur, con
deux plis secondaires, n'est jamais semblable des deux côtés du même cerveau . Le deuxième pli présente des irrégularités plus
disparaît, et, pour retrouver ces formes simples que nous présente le cerveau de la femme bojesmane, il faut arriver au cerveau
ue nous présente le cerveau de la femme bojesmane, il faut arriver au cerveau des blancs idiots par arrêt de développement céré
s leur développement général est loin d'être en rapport avec celui du cerveau pris en totalité. On doit remarquer la longueur
le est l'une des particularités les plus remarquables que présente le cerveau de l'Homme. Il est comblé par quatre plis épais
t, considérant dans son ensemble la face externe d'un hémisphère d'un cerveau humain, nous prenons pour point de départ les deu
r le pli de passage supérieur, jusque vers l'extrémité postérieure du cerveau . Or, dans l'Homme et dans les Singes, ce prolon
es de plis que réside le caractère le plus frappant de supériorité du cerveau humain. (i) Les Cynocéphales fout exception à c
de Sylvius, son bord marginal supérieur. En nous résumant, dans le cerveau humain le lobe frontal est énorme, et développé s
impossible de le méconnaître après une étude aprofondie des faits. Le cerveau de VOrang est plus semblable à celui de VHomme qu
ingénieuses de Willis. Ainsi, dans un sens général et abstrait, le cerveau de l'Orang-Outang est supérieur au cerveau du Tro
ns général et abstrait, le cerveau de l'Orang-Outang est supérieur au cerveau du Troglodyte Chimpanzé. Mais cette supériorité
me. Afin de compléter ce qui doit être dit, en général, des plis du cerveau humain, disons un mot des plis de la face interne
illons peu profonds. On remarque que ce lobule est, relativement au cerveau des Singes, fort développé ; en sorte que le lobe
s faits font ressortir l'importance relative de la région frontale du cerveau dans l'Homme ; ils correspondent bien avec l'opin
noble des parures, et fait étinceler sur la plus importante région du cerveau humain le signe de la puissance souveraine. § X
s Singes. Disons maintenant quelques mots de ceux qui distinguent les cerveaux des différentes races ou espèces humaines. Je dis
igé la question qui nous occupe. J'ai figuré, dans mes planches, un cerveau d'Homme blanc d'une intelligence probablement for
intelligence probablement fort ordinaire, c'était un portefaix, et le cerveau d'une Femme bojesmane connue autrefois, à Paris,
jesmane connue autrefois, à Paris, sous le nom de Vénus hoUentote. Ce cerveau est une des pièces les plus précieuses de notre c
était point idiote. On peut remarquer, néanmoins, que les plis de son cerveau sont relativement très-peu compliqués. Mais, ce q
à indiqué, une symétrie presque parfaite, et que n'offrent jamais les cerveaux normaux de la race caucasique. Ils présentent, à
H, les fig. 1 et 2). On le dirait, en effet, découpé sur le reste du cerveau . Cette régularité, cette symétrie rappellent invo
braux dans les espèces inférieures. Il y a, sous ce rapport, entre un cerveau de blanc et ce cerveau de Femme bojesmane, une di
inférieures. Il y a, sous ce rapport, entre un cerveau de blanc et ce cerveau de Femme bojesmane, une différence telle, qu'il e
nt encore été signalés. En examinant avec une attention soutenue le cerveau de notre Bojesmane, je regrettais de ne pouvoir l
veau de notre Bojesmane, je regrettais de ne pouvoir lui comparer des cerveaux à'idiots appartenant à la race blanche. Je suppos
ités que je viens de signaler dépendaient d'un développement borné du cerveau ; elles devaient donc, à priori, se reproduire dan
e, auquel la science doit de belles découvertes, montra, en effet, un cerveau d'idiote morte dans le service de M. Lélut, et qu
et qui lui avait été communiqué par l'élève interne de ce service. Ce cerveau était, au premier abord, remarquable par l'atroph
nus hottentote. J'éprouve le regret de n'avoir pu dessiner ce curieux cerveau , afin d'en enrichir mon ouvrage; mais la science
que, M. le docteur Baillarger m'ayant permis d'examiner des moules de cerveaux d'idiots microcéphales de la collection de l'illu
men des circonvolutions, sont confirmées par une étude approfondie du cerveau considéré dans sa forme générale. Cette étude ne
s sa forme générale. Cette étude ne doit point être faite d'après des cerveaux extraits du crâne; la mollesse de ce viscère est
auf un peu d'exagération dans le volume, reproduit la forme réelle du cerveau et permet d'apprécier de curieuses différences. E
tes appartenant à la race blanche, on peut constater que le volume du cerveau de la Vémis hottentote n'atteint point à la grand
paraît résulter d'un moindre développement des étages supérieurs. Les cerveaux des fœtus appartenant à la race blanche la présen
développement, et vers l'âge adulte elle a complètement disparu. Le cerveau de la Vénus hottentote est donc, à tous égards, i
al de leur développement. Il ne peut être mis en parallèle qu'avec le cerveau des blancs idiots par arrêt de développement céré
loppement cérébral. Or la Vénus hottentote n'était point idiote. Ce cerveau peu développé était en harmonie avec son organisa
harmonie était une intelligence suffisante, bien qu'assez faible. Un cerveau pareil, dans un Homme blanc, ne pourrait se conci
au moins avec l'imbécillité ; c'est que, dans la Vénus hottentote, ce cerveau , quel qu'il fût, était le terme d'un développemen
terme d'un développement achevé. Dans l'Homme blanc, au contraire, un cerveau pareil est un avortement, c'est le terme forcé
un avortement, c'est le terme forcé d'un développement anormal. Ce cerveau , dans la Femme bojesmane, n'est qu'un signe d'inf
. On observe, dans la race blanche, qu'un arrêt de développement du cerveau avant la puberté produit nécessairement l'imbécil
s'élève normalement jusqu'à dix ou onze ans. Le développement de son cerveau s'arrête, non-seulement son intelligence ne croît
1). Cette remarque fait pressentir qu'un développement égal de deux cerveaux n'implique point une intelligence égale, si ces c
égal de deux cerveaux n'implique point une intelligence égale, si ces cerveaux appartiennent à des espèces, à des races différen
ent à des espèces, à des races différentes. Réduisons, en effet, un cerveau d'Homme au volume et au degré d'un cerveau de Chi
Réduisons, en effet, un cerveau d'Homme au volume et au degré d'un cerveau de Chimpanzé ou d'Orang. L'Orang et le Chimpanzé
ui les intéressent; en un mot, ils ne sont point idiots. Cependant un cerveau d'Homme, ramené à ce degré, serait celui de l'idi
dégradé jusqu'aux plus infimes degrés de l'automatisme. De même le cerveau de la Vénus hottentote lui suffisait; loin d'être
d'être idiote, elle n'était point imbécile. Un blanc, avec un pareil cerveau , serait nécessairement affecté d'idiotisme. On
idiotisme. On peut donc formuler la proposition suivante : « Deux cerveaux appartenant à deux hommes de races différentes so
ifférentes sont également développés. Le plus intelligent de ces deux cerveaux est celui qui appartient à la race inférieure. »
t est arrivé au terme de son développement normal. La suffisance d'un cerveau peu développé chez notre Bojesmane implique l'inf
verses. Vous tendez au matérialisme, dira-t-on ailleurs, comme si, le cerveau étant nécessaire à l'inteHigence comme l'œil à la
ité de l'âme, invoque, avec Tyson, une similitude imaginaire entre le cerveau de l'Homme et celui du Troglodyte Chimpanzé, ne s
vait, en effet, reconnu que dans son Pygmée les régions orbitaires du cerveau étaient beaucoup plus excavées que dans l'homme,
nt les mêmes que dans l'Homme, et cependant FOrang ne « parle pas. Le cerveau est absolument de la même forme et de la même pro
S CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU PREMIER GROUPE OU SAPAJOUS. Je décrirai le cerveau des Sapajous 1 d'après celui de VAtèle Belzébuth;
rveau des Sapajous 1 d'après celui de VAtèle Belzébuth; 2" d'après le cerveau du Lagotriche de Humboldt. J'ai le regret de n'av
u Lagotriche de Humboldt. J'ai le regret de n'avoir pu examiner ni le cerveau des Alouates ni celui des Ériodes; il n'a point é
e lacune (1 ). § XXVII. PLIS CÉRÉBRAUX DE l'aTÈLE BELZÉBUTH. Le cerveau des Áteles, du moins celui du Coaita, est, si on
erveau des Áteles, du moins celui du Coaita, est, si on le compare au cerveau des Singes de l'ancien continent, extrêmement ano
ent, extrêmement anormal. Il est, autant que j'en ai pu juger par des cerveaux conservés depuis longtemps dans l'esprit-de-vin,
aucoup plus considérable que celle du lobe occipital; ce qui donne au cerveau des Áteles une physio- (l)Je regrette d'autant
s une physio- (l)Je regrette d'autant plus de n'avoir pu étudier le cerveau des íouaíes ( Mycetcs, lUig. ), que ces animaux p
visageons maintenant la disposition générale des plis à la surface du cerveau , nous serons frappés, au premier abord, de la ric
remier abord, de la richesse de ces plis sur la moitié postérieure du cerveau , et de leur pauvreté, si l'on considère la moitié
peu près impossible d'y arriver avec certitude, si la comparaison du cerveau de l'Atèle avec celui du Lagotriche et des Sais n
antérieur? Pour résoudre cette difficulté, il faut comparer encore le cerveau de VAtèle à celui du Lagotriche et du Saï. On v
emier pli ascendant est située très-près de l'extrémité antérieure du cerveau , au devant du coude de la scissure de Sylvius. Le
és et réduits à des vestiges à peine reconnaissables. En résumé, le cerveau de l'Atèle diffère essentiellement du cerveau de
sables. En résumé, le cerveau de l'Atèle diffère essentiellement du cerveau de tous les Pithèques A" par la réduction du lobe
, qui, pareils à ceux de l'Homme, sont tous superficiels. § XXVHL CERVEAU DU LAGOTRICHE DE HUMBOLDT. Nous n'aurons qu'un
ERVEAU DU LAGOTRICHE DE HUMBOLDT. Nous n'aurons qu'un mot à dire du cerveau du Lagotriche, qui est un cerveau (VAtèle légèrem
Nous n'aurons qu'un mot à dire du cerveau du Lagotriche, qui est un cerveau (VAtèle légèrement modifié. 1 " Le premier pli
ge. C'est ce qui sera un jour confirmé, je l'espère, par l'étude du cerveau des Ériodes et des Mycètes. CEPE AU ET PLIS CÉR
sont pas toujours aussi aisées qu'on le pense. Quoi qu'il en soit, le cerveau du Sai diffère beaucoup de celui du Sajou. Plis
ère beaucoup de celui du Sajou. Plis cérébraux du Saï capucin. Le cerveau du Saï capucin rappelle à la fois le cerveau des
aux du Saï capucin. Le cerveau du Saï capucin rappelle à la fois le cerveau des Atèles et celui des Guenons ou des Macaques.
ésentent, comme on l'a vu, des caractères exceptionnels. La figure du cerveau ne l'est pas moins, comme on peut s'en (îonvaincr
n, dans la figure qu'il a donnée du S. capucina. La face externe du cerveau a également une physionomie propre due surtout à
ropre due surtout à la forme singulière du lobe occipital. Outre le cerveau du Saï capuciii, j'ai eu occasion d'étudier le ce
al. Outre le cerveau du Saï capuciii, j'ai eu occasion d'étudier le cerveau du Saï à qorge blanche (Cebus hypoleucus). La dis
te espèce, que dans celle dont nous venons de décrire sommairement le cerveau , § XXX. PLIS CÉRÉBRAUX DU SAJOU BRUN [Ccbus a
cerveau, § XXX. PLIS CÉRÉBRAUX DU SAJOU BRUN [Ccbus apella). Le cerveau des Sajous diffère à tel point de celui des Sais,
d, de les grouper dans la même catégorie. Par sa forme générale, ce cerveau rappelle assez bien celui des Guenons. Il est seu
, rien de particulier au premier abord. Yu par sa face supérieure, le cerveau est à peu près ovoïde, mais son extrémité antérie
égradation véritable. J'ai déjà dit que, par sa figure générale, le cerveau des Sajous ressemble singulièrement à celui des G
l'ensemble des caractères qui peuvent servir à le distinguer. r Le cerveau des Sajous est plus globuleux que celui des Gueno
tranchées. N'est-il pas surprenant, en effet, qu'au premier abord le cerveau du Sajou diffère moins du cerveau des Guenons que
t, en effet, qu'au premier abord le cerveau du Sajou diffère moins du cerveau des Guenons que du cerveau des Saïs ? C'est là
abord le cerveau du Sajou diffère moins du cerveau des Guenons que du cerveau des Saïs ? C'est là une anomalie, ou du moins u
BES DU TROISIÈME GROUPE. § XXXL PLIS CÉRÉBRAUX DES SAGOUINS. Le cerveau des Sagouins présente un exemple curieux de la dé
ale conserve le caractère qu'elle a dans tous les Singes. La masse du cerveau est assez globuleuse et le lobe temporal très-sai
ps tout entier et des relations de ses différents lobes entre eux, le cerveau des Sagouins ne paraît pas inférieur au cerveau d
s lobes entre eux, le cerveau des Sagouins ne paraît pas inférieur au cerveau des autres Singes. Toutefois, en examinant les
ablement la créer de nouveau. Il n'y a donc, à la face externe du cerveau , que trois plis bien distincts ; à savoir, le pli
e et le pli temporal moyen. Sur la face interne de l'hémisphère, le cerveau est absolument lisse au-dessus du corps calleux.
eau pas dans la simplification. Je n'ai eu occasion d'étudier aucun cerveau de Saki. Je suppose que chez eux la réduction des
xiste encore, il n'y a plus ni sillons ni incisures, et la surface du cerveau est tout à fait unie. D'ailleurs sa forme général
nie. D'ailleurs sa forme générale ne se distingue en rien de celle du cerveau des autres Singes, et, si une main habile traçait
e du cerveau des autres Singes, et, si une main habile traçait sur ce cerveau les plis du Sajou, chacun d'eux y trouverait sa p
ouvoir déterminer nettement, dans la série des phases que parcourt le cerveau humain dans son évolution, le moment où pour tout
humain dans son évolution, le moment où pour toute la vie s'arrête le cerveau des Ouistitis. De ces faits découle, au point d
vidents et profonds, les derniers Makis et les Insectivores auront un cerveau absolument lisse. Je pourrais pousser plus loin c
ébraux des premières, on retrouverait, au terme de ces réductions, le cerveau des dernières, et en dessinant sur le cerveau des
e de ces réductions, le cerveau des dernières, et en dessinant sur le cerveau des dernières les sillons et les plis que le type
ières les sillons et les plis que le type commande on reproduirait le cerveau des premières. Donc, de ce qu'un animal a des p
strait est cependant supérieur à celui que l'analyse découvre dans le cerveau des Phoques, si grandes (|ue soient, d'ailleurs,
intelligence et la richesse de leurs plis cérébraux. S XXXII. Ce cerveau des Ouistitis et des Pinches, parfaitement caract
abord, la pensée d'une correspondance possible avec un certain âge du cerveau des Singes supérieurs et de l'Homme, étudiés pend
étudiés pendant la période fœtale. Il y a, en effet, un moment où le cerveau du fœtus humain n'a point de plis; sa surface est
veau du fœtus humain n'a point de plis; sa surface est alors unie. Le cerveau de l'Homme serait-il, à cette époque, la représen
cerveau de l'Homme serait-il, à cette époque, la représentation d'un cerveau d'Hapale? aurait-il, plus tard, les caractères du
tation d'un cerveau d'Hapale? aurait-il, plus tard, les caractères du cerveau des Sagouins ? s'élèverait-il enfin successivemen
t déplacées ici. Je n'ai point eu l'heureuse occasion d'étudier des cerveaux de fœtus d'Orangs ou de ('himpanzés. Le fœtus de
s ou de ('himpanzés. Le fœtus de Gibbon dont j'ai parlé avait déjà un cerveau très-plissé. Je n'ai pas été plus heureux à l'éga
as été plus heureux à l'égard des autres Singes. Enfin les figures du cerveau du fœtus humain qui ont été publiées jusqu'ici ét
t parfaitement frais, et je pus, sans trop de difficulté, extraire un cerveau d'une admirable conservation. Ce cerveau, que je
p de difficulté, extraire un cerveau d'une admirable conservation. Ce cerveau , que je possède encore, est figuré pl. XI de l'at
encore, en sorte que l'insula est complètement à découvert. Un pareil cerveau est, sous le rapport du développement général de
au point de vue de sa constitution his-tologique, très-inférieur à un cerveau d'Ouistiti. Il n'est point arrivé à sa forme défi
de la surface cérébrale est encore absolument lisse. Ainsi, sur ce cerveau actuellement inférieur au cerveau d'un Ouistiti,
e absolument lisse. Ainsi, sur ce cerveau actuellement inférieur au cerveau d'un Ouistiti, la supériorité future est indiquée
est indiquée ; il n'y a pas là de phase concordante. Au moment où ce cerveau était encore absolument lisse, il ne représentait
au était encore absolument lisse, il ne représentait pas davantage un cerveau à'Ouistiti, puisque l'insula était plus à découve
uistiti, puisque l'insula était plus à découvert encore. Passons au cerveau des Sagouins, et examinons si un parallèle entre
assons au cerveau des Sagouins, et examinons si un parallèle entre ce cerveau et celui du fœtus humain est plus favorable à l'h
yons pas. Dans le Callithrix moloch, que nous prenons pour type, le cerveau est surtout large en avant. Le lobe occipital, au
ce fœtus de Gibbon que j'ai décrit plus haut. Il y a donc, entre ces cerveaux et celui du fœtus humain, une différence fondamen
e au développement des choses les plus importantes. Ainsi, entre le cerveau lisse d'un Ouistiti et le cerveau lisse du fœtus
plus importantes. Ainsi, entre le cerveau lisse d'un Ouistiti et le cerveau lisse du fœtus humain, il n'y a aucune correspond
t apparaître dans le sujet que l'on considère. Or, dans l'histoire du cerveau , il y a trois faits corrélatifs unis dans le même
rmes, nous avons à considérer à la fois les éléments anatomiques du cerveau , sa forme générale et ses plis. Pour que deux c
natomiques du cerveau, sa forme générale et ses plis. Pour que deux cerveaux soient égaux, semblables, comparables l'un à l'au
s, il faut qu'en eux tout soit semblable, tout soit de même degré. Le cerveau sans pli d'un foetus bumain peut, sans doute, êtr
ute, être comparé, sous ce rapport abstrait de l'absence des plis, au cerveau sans plis d'un Hapale ; mais de cette similitude
t résulter l'idée d'une ressemblance totale, car la forme générale du cerveau d'un foetus humain diffère alors de celle d'un ce
me générale du cerveau d'un foetus humain diffère alors de celle d'un cerveau d'Ouistiti. Les éléments anatomiques d'un cerveau
alors de celle d'un cerveau d'Ouistiti. Les éléments anatomiques d'un cerveau d'Ouistiti adulte sont adultes et complets ; ceux
s d'un cerveau d'Ouistiti adulte sont adultes et complets ; ceux d'un cerveau lisse d'embryon humain sont encore imparfaits et
on humain sont encore imparfaits et à peine ébauchés. Que dis-je ? le cerveau lisse d'un Ouistiti est complet et achevé dans sa
rfait dans sa constitution histologique et dans sa forme générale, le cerveau du foetus humain présente déjà les indices des ci
encore, le fœtus d'un mammifère n'a déjà plus ni un squelette, ni un cerveau , ni un poumon de Reptile ? qu'un Homme chez leque
ures irrégulières du lobule orbitaire, donne, pour la face externe du cerveau , douze plis principaux entourant la vallée de Syl
e des plus grandes difficultés que soulève la comparaison générale du cerveau de l'Homme et du cerveau des Primates. § XXXIV.
ultés que soulève la comparaison générale du cerveau de l'Homme et du cerveau des Primates. § XXXIV. Des divisions correspo
ne, à peu près horizontale, est étendue de l'extrémité postérieure du cerveau au sommet du lobe temporal et côtoie le bord infé
ort irréguliers. Ce lobule semble représenter, sur la face interne du cerveau , le lobe pariétal de la face externe. Les plis
e nom de circonvolution crochue, de circonvolution de romiet. Mais le cerveau de l'Homme fait à cet égard exception, et peut-êt
peut servir de base à une description générale. La face interne du cerveau présente chez les différents Primates beaucoup mo
Primates les plus élevés, elle s'éloigne de l'extrémité antérieure du cerveau et se rapproche de la postérieure ; dans les Sing
'éloigne, au contraire, de plus en plus de l'extrémité postérieure du cerveau pour se rapprocher davantage de l'extrémité front
déplace, et passe des parties antérieures aux parties postérieures du cerveau . Ainsi, dans des Singes très-différents, on pou
à quel point, dans ces derniers Primates, les parties postérieures du cerveau l'emportent sur les parties antérieures. Toutes
céphale une haute importance probable : ceux qui s'atrophient dans le cerveau humain paraîtront avoir une valeur moindre, au mo
se subdivise encore, mais l'étage moyen semble plus apparent dans le cerveau de la Vénus hottentote. C'est donc encore ici l'é
stitis. Cette différence sera surtout apparente, si nous comparons le cerveau du Douroucouli à celui de l'Ouistiti vulgaire, le
e Callithrix moloch; mais les figures de l'atlas, copiées d'après des cerveaux conservés depuis longtemps dans l'alcool, ne peuv
me remarquable. Nous ne pouvons évidemment rien dire, à cet égard, du cerveau presque lisse des Sagouins et des Ouistitis. Ma
des Sagouins et des Ouistitis. Mais, indépendamment de ces Singes à cerveau lisse, nous pouvons affirmer que le développement
des Guenons aux Orangs, et tout d'un coup on la voit diminuer dans le cerveau humain. A l'inverse des Singes du premier group
aussi court que possible ; toutefois, comme il est très-long dans le cerveau de VHomme, il est impossible de ne pas accorder à
épaisseur diminue. C'est ainsi qu'elle est plus considérable dans le cerveau de la Yénus hottentote que dans les cerveaux d'ho
plus considérable dans le cerveau de la Yénus hottentote que dans les cerveaux d'hommes caucasiques. Ce moindre développement da
est difficile d'en donner une idée précise. Toutefois nous voyons le cerveau fort atténué en arrière dans les Nycti-pithèques,
direction horizontale de la scissure des hippocampes caractérisent un cerveau supérieur. Ces faits confirment, en un certain de
dans les Cyïiocéphales, est fort étroit et complètement lisse dans le cerveau humain. Sous ce point de vue, son développement e
els que soient ces mouvements, ces oscillations, la forme générale du cerveau demeure souvent à peu près la même. Ces faits s
ontribueront également à l'agrandissement des parties postérieures du cerveau . Ainsi une grande saillie, une égale saillie po
Homme, où le lobe occipital est très-petit, la saillie postérieure du cerveau est néanmoins très-grande. Dans le Papión, au con
dira ces différences? Et, si de pareilles variations existent dans le cerveau des hommes, combien cette difficulté, que dis-je?
incisures secondaires? Quand bien même les divisions de Gall, dans le cerveau , seraient vraies et naturelles, la crânioscopie n
vité distincte, à chacune d'elles correspond une région déterminée du cerveau . Si donc nous supposons, avec les partisans de
phales; on a trouvé souvent, sous un crâne parfaitement développé, un cerveau monstrueux, rudimentaire ou nul. M. Foville a cit
s ne prouvent-ils pas d'une façon péremptoire que le développement du cerveau et celui de la boîte crânienne sont, jusqu'à un c
émontrent-elles pas que l'in-ielligence n'est point ici ou là dans le cerveau , et que toutes les lésions cérébrales l'affectent
rions que toutes les expériences qui ont été tentées après lui sur le cerveau ont confirmé les siennes. Mais cette force, rép
misphères. Or, ces plis étant constants et homologues dans tous les cerveaux de Primates, nous pouvons naturellement supposer
turellement supposer que les plis homologues reçoivent, dans tous ces cerveaux , des expansions fibreuses homologues. Ces expan
suppositions suivantes : Si les irradiations nerveuses qui lient au cerveau un appareil organique spécial occupent, sur la co
eau sera moins grand. Ne pourrait-on pas concevoir, à priori, dans le cerveau , quelque chose de semblable? Suivant que les rela
me respect qui s'attache à la mort ne permettent pas de recueillir le cerveau des hommes que des aptitudes spéciales ont distin
2 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
ire naturelle, auteur de Mémoires justement estimés sur l'anatomie du cerveau , ne calculant que l'intérêt de la science, M. P.
e, encore trop incomplètes pour le but que je voulais atteindre. Le cerveau , le cervelet, la moelle allongée, la moelle épini
ues au crayon et au burin d'artistes habiles, un très-grand nombre de cerveaux ; tous les objets y sont de grandeur naturelle, l
ns fût aussi complète que possible. Je n'ai emprunté aucune figure de cerveau de mammifères aux auteurs qui m'ont précédé, par
de science, m'a paru aussi nécessaire qu'en toute autre chose. Les cerveaux compris dans mon atlas ne viennent pas tous de ma
'abord semblé mettre une grande obligeance à me faciliter l'étude des cerveaux de cette collection ; mais, par une restriction i
ussi distingué, il m'a refusé l'autorisation de faire représenter les cerveaux qu'il me permettait d'étudier, alléguant que le p
s, principalement chez les aliénés, et sur la pesanteur spécifique du cerveau . Ce mémoire, dédié à M. Esquirol, est le produit
ta-« tion perpétuelle, et qu'ils refluent parfois si violemment au -« cerveau qu'ils y produisent des effets semblables à ceux
me. Il écrivait dans les lointains climats pour qu'on lui procurât un cerveau de baleine, et parlait chaque jour du bonheur qu'
d il verrait venir sa proie. Les collections du Muséum renferment des cerveaux d'éléphant. Il s'y présenta en toute assurance po
avoir passé des années entières à disséquer, à peser ou analyser des cerveaux , à considérer des globules au microscope, immobil
ris, 4 828, t. XVIII, p. 4 61). 3. Observation de ramollissement du cerveau et d'ossification dans le cœur [Même recueil, t
de 228 pages. 8. Paralysie existant du même côté que l'affection du cerveau (Jour- nal des progrès des sciences médicales.
les phases de la lune, fâge, etc. Note sur la pesanteur spécifique du cerveau des aliénés, par MM. Leuret et Mitivié. Paris, 4
e plus un ganglion labial. k° Plëropodes. « Dans le clio boréal, le cerveau est à deux lobes placés sur l'origine de l'œsopha
l'une antérieure et l'autre postérieure. Cuvier a appelé la première cerveau , la seconde cervelet : j'examinerai plus loin la
n'a, dans son organisation, rien qui ressemble, quant à la forme, au cerveau , au cervelet ou à la moelle rachidienne des verté
aux ganglions que de leur forme, n'ont pas hésité à donner le nom de cerveau , à celui des ganglions qui, placé au-dessus de l'
d'un mammifère est très dissemblable des branchies d'un poisson ; le cerveau lui-même, comme on le verra plus loin, privé de s
nglions nerveux du poulpe, indique, chez cet animal, non-seulement un cerveau , mais encore un cervelet. Une dépression placée t
ien, sépare ce ganglion en deux parties : dont l'antérieure serait le cerveau , et la postérieure le cervelet. M. Owen appelle c
ure le cervelet. M. Owen appelle ce même ganglion , chez le nautile , cerveau ou commissure centrale, et M. Garner, beaucoup pl
ystème nerveux des mollusques céphalopodes, et celui des poissons. Le cerveau des mollusques est divisé en plusieurs ganglions
anglion céphalique des mollusques, puisse être désigné sous le nom de cerveau . Le cerveau n'est qu'une partie de l'encéphale de
alique des mollusques, puisse être désigné sous le nom de cerveau. Le cerveau n'est qu'une partie de l'encéphale des vertébrés
la forme; cherchons donc un autre moyen de nous diriger. Le prétendu cerveau du nautile a pour caractère d'être une commissure
llaires : dans l'encéphale des mammifères, qui ressemble le plus à ce cerveau ? C'est la moelle allongée. En effet, la moelle al
m de moelle allongée, ce qui serait lui supposer des rapports avec un cerveau et un cervelet ; mais je lui laisserais le nom de
s animaux vertébrés , est au pôle terrestre, la moelle épinière et le cerveau , sont au.pôle lumineux ; l'un préside à la nutrit
, M. Serres ajoute : « le ganglion œsophagien n'est pas l'analogue du cerveau , car le cerveau de l'embryon est liquide, il a be
te : « le ganglion œsophagien n'est pas l'analogue du cerveau, car le cerveau de l'embryon est liquide, il a besoin d'être cont
un nerf, et les vertébrés en ont deux; or, chez les premiers , pas de cerveau , donc pas de nerf provenant du cerveau, mais seul
or, chez les premiers , pas de cerveau, donc pas de nerf provenant du cerveau , mais seulement un nerf de la cinquième paire; pr
râce à l'obligeance de M. Jean Muller, ayant pu étudier, à Berlin, le cerveau de la baleine franche, je n'y ai pas trouvé de ne
Le ganglion œsophagien, dit encore M. Serres, n'est pas l'analogue du cerveau , carie cerveau de l'embryon est liquide , il a be
phagien, dit encore M. Serres, n'est pas l'analogue du cerveau, carie cerveau de l'embryon est liquide , il a besoin d'être con
rtilage, contenant un peu de cervelle. • {2) Serres, Anat. comp. du cerveau , Paris. 1827, t. I, xxiv. (3) Id, p. xxxvih.
'analogue de l'encéphale ou de la moelle rachidienne. La substance du cerveau et celle de la moelle sont formées, dit-il, de tu
ts nerveux des invertébrés, conclut que ces animaux sont dépourvus de cerveau et de moelle épinière. Il ne sera pas difficile d
r combien cette conclusion est peu fondée. La moelle épinière et le cerveau ne sont pas les seules parties du système nerveux
elle allongée qu'avec le cervelet, les tubercules quadrijumeaux ou le cerveau . 6. Il existe, chez beaucoup de mollusques, des
des larves des insectes (1). L'avis de (x) Serres. An at, com p. du cerveau , t, 2, p, ij. M. Serres n'étant pas conforme à
s a reproduits avec une grande fidélité dans son Anatomie comparée du cerveau (2) ; mais, sans doute par inadvertance, M. Serre
sophagien , regardé par M. Strauss comme faisant réellement partie du cerveau , fournit des nerfs à la bouche et à plusieurs org
des hémiptères, du plan généralement adopté, car les insectes ont un cerveau , un prolongement rachidien, des ganglions et des
ufour, je ne le serai pas sur les noms qu'il emploie. Ce n'est pas le cerveau que représente le ganglion céphalique des inverté
et Spurzheim : Anat. et physiol. du système nerveux en général et du cerveau en particulier. Paris, 1810, 4, vol. in-4° tOm« *
es, après l'avoir niée dans maint endroit de son Anatomie comparée du cerveau , fournit lui-même des faits qui concourent à l'ét
, comme je le pense avec M. ïiedemann (1), (i) Tiedemann : Anat. du cerveau contenant l'histoire de son développement dans le
, car chez les vertébrés, la queue de cheval est (i) Ànat, comp, du cerveau , t. 2, p 120. entre la moelle et les ganglions,
optiques; Camper, hémisphères cérébraux; Scarpa, grands tubercules du cerveau ; Tréviranus, hémisphères postérieurs; Cuvier, lob
ion qui n'a en réalité aucun fondement. Les tubercules mamillaires du cerveau de l'homme sont la continuation directe des pilie
ns la substance grise située précisément à l'endroit correspondant du cerveau de l'homme, où à la vérité elle ne forme aucune s
é à une détermination rigoureuse. Nous savons que le poids comparé du cerveau et du corps des mammifères, varie suivant les âge
encéphaliques avant leur sorli-e du crâne : chez les mammifères où le cerveau et le cervelet sont considérables, tandis que les
la baudroie, pl. 11. La tête de l'animal, qui a fourni ce très petit cerveau , était largo de 3So mill.; l'intervalle entre 1er
s variables suivant les parties d'où ils proviennent : très grands au cerveau , ils vont en s'amoindrissant par degrés, du cerve
: très grands au cerveau, ils vont en s'amoindrissant par degrés, du cerveau il) De itructura cerebri, Epistola. 1684. — Tra
l'organe qui les a fournis, mais dans un même organe : ainsi, dans le cerveau comme dans le cervelet, comme dans les nerfs, on
issons : « Que la substance corticale et la substance médullaire du cerveau humain ; c Que la substance des ganglions qui s
c Que la substance des ganglions qui sont dans l'intérieur du même cerveau ; c Que la substance de la glande pinéale, de l
rme des cellules où ils sont logés : d'où il suit que la structure du cerveau ne diffère pas essentiellement, quant à sa forme,
ouillée, it qu'on laisse tomber une goutte d'eau sur celle tranche de cerveau , en tenant la lame de verre un peu obliquement et
erait. J'ai fait macérer dans l'eau, pendant quarante-huit heures, un cerveau de dindon et un cerveau de perdrix ; j'ai suivi à
dans l'eau, pendant quarante-huit heures, un cerveau de dindon et un cerveau de perdrix ; j'ai suivi à la lettre les recommand
fibres nerveuses de la substance blanche et de la substance grise du cerveau , et celles de la moelle épinière, chez les mammif
. Milne Edwards est vicieux. Cet auteur a eu raison de faire choix de cerveaux frais, mais une lame de substance cérébrale, quel
mes de verre, une portion de substance cérébrale prise aux cuisses du cerveau de la carpe commune, il s'est écoulé, des tubes a
culière. Voici le passage en question, ce Dans les tubes articulés du cerveau , de la moelle épinière et des nerfs de la sensibi
examinant au microscope une portion de substance prise aux masses du cerveau de la carpe et serrée fortement entre deux lames
uvrir sur une tête, telle saillie que je n'apercevais pas, et dans un cerveau , tel volume comparatif qui ne m'était pas démont
d'espèces de squales et de raies qui aient (i) Sur les fonctions du cerveau , etc., t. 3, p. 455. (a) Ibid. page 281. des la
ne dépression. Ainsi le volume le plus considérable appartiendrait au cerveau , ce qui se trouverait en harmonie parfaite avec l
, sous quelles apparences se représenteront-ils chez les reptiles? Le cerveau , cet organe dont en définitive la connaissance im
parties principales dont se compose l'encéphale des reptiles sont le cerveau , les lobes optiques, le cervelet ; les parties se
nerfs encéphaliques. Io Lobes cérébraux. Dans tous les reptiles, le cerveau l'emporte en volume sur les autres ganglions céph
analogue pour l'aspect, à la commissure molle des couches optiques du cerveau de l'homme. La surface en est lisse; cependant, a
u dans tous les poissons osseux, est constamment moindre que celui du cerveau , quelquefois de la moitié, quelquefois du quart.
tendent pas au-delà de ce lobule ; on ne peut pas les suivre jusqu'au cerveau . 2epaire. Nerfs optiques. L'existence des nerfs
s pro-longemens fulcraux de la moelle, entre les lobes optiques et le cerveau . Les auteurs n'admettent pas l'entrecroisement de
tiles, excepté peut-être chez le protée ; ils naissent des cuisses du cerveau ou prolongemens fulcraux de la moelle épinière, a
al de la moelle épinière. Chez la grenouille M. Carus,a trouvé que le cerveau (je pense qu'il a voulu dire l'encéphale) pesait
Le ganglion le plus considérable de l'encéphale des reptiles , est le cerveau . 3. Chez beaucoup de reptiles, le cervelet est
. Diamètre des fibres nerveuses des reptiles. Grenouille Fibre du cerveau ............. 0,00083 — Fibre de la moelle épini
elle. 7. Les faisceaux fulcraux de la moelle épinière se rendent au cerveau et à la lame optique, où elles vont former le ner
dans le cervelet, et quelque peu aussi dans la lame optique. 8. Le cerveau est composé de substance granulée, vascu-laire, e
versales de la moelle, les fibres du cervelet, de la lame optique, du cerveau et des commissures qui unissent entre elles les p
choix de leur habitation coïncide avec une forme particulière de leur cerveau . En attendant, disons que celles qui vivent dans
chez tous les reptiles, ils sont toujours d'un volume moindre que le cerveau en arrière duquel ils se trouvent placés. Le ce
moindre que le cerveau en arrière duquel ils se trouvent placés. Le cerveau est de beaucoup la partie la plus considérable de
rcules. Les reptiles les mieux partagés, sous le rapport du volume du cerveau , sont les serpens; les plus pauvres sont les gren
pauds. Tous les reptiles appartenant à une même famille, n'ont pas le cerveau conformé d'une manière semblable. Ainsi, dans l'o
pent boa. On peut ramènera trois types principaux la configuration du cerveau des reptiles : 1° celui des grenouilles, des crap
u'un animal puisse différer d'un autre animal. Si la comparaison du cerveau des reptiles, considéré dans son ensemble, nous d
pèce humaine, et il donnait pour siégé à cette faculté, une partie du cerveau placée au-dessus de ce qu'il appelait la philogén
'habitativité; moi, j'y crois. » (2) (1) Gall, sur les fonctions du cerveau , t. lv, p. 275. (2) Leçons de phrénologie, p. 2
n Gall et Spurzheim avaient négligé l'étude de l'anatomie comparée du cerveau pour adopter, sur parole , l'assertion qu'ils ont
us les pierres, la grenouille commune qui vit dans l'eau, auraient le cerveau différemment conformé, et cela n'est pas. La tort
r el%. tortue qui grimpe sur les montagnes n'auraient pas non plus un cerveau parfaitement semblable, et pourtant on n'y aperço
rtant on n'y aperçoit ni à l'un ni à l'autre, rien de particulier. Le cerveau , considéré dans chacune de ces espèces, ne diffèr
e et la cruauté ont été placées par Gall sur les parties latérales du cerveau : si nous comparons le cerveau dm crocodile à cel
par Gall sur les parties latérales du cerveau : si nous comparons le cerveau dm crocodile à celui de la grenouille, nous trouv
détermination ; mais si, pour élémens de comparaison, nous prenons le cerveau du serpent boa, qui est aussi féroce queHe crocod
féroce queHe crocodile, nous trouvons une preuve toute contraire. Le cerveau du crocodile est élargi latéralement , celui du b
: d'où il faut conclure que la ruse et la cruauté peuvent venir d'un cerveau large comme d'un cerveau étroit. Mais la différ
que la ruse et la cruauté peuvent venir d'un cerveau large comme d'un cerveau étroit. Mais la différence de forme de ces cerv
large comme d'un cerveau étroit. Mais la différence de forme de ces cerveaux , d'où provient-elle? Est-ce, comme le pensent les
e la lame cérébrale, on la trouve sensiblement aussi épaisse dans les cerveaux élargis que dans les cerveaux allongés ; ce qui d
uve sensiblement aussi épaisse dans les cerveaux élargis que dans les cerveaux allongés ; ce qui diffère, c'est un organe sous-j
. Ainsi, c'est au corps strié qu'il faut attribuer l'élargissement du cerveau chez le crocodile ; c'est cet organe, et non un a
igner pour siège à la ruse et à la cruauté, une portion déterminée du cerveau . RÉSUMÉ. 1. Dans les reptiles, un amour physi
se d'animaux que dans aucun autre vertébré. 2. La forme générale du cerveau est sensiblement la même chez des reptiles dont l
sont différens. S. L'habitativité n'a pas un siège distinct dans le cerveau des reptiles. h. La ruse et la cruauté ne sont
t la cruauté ne sont pas des facultés propres aux reptiles qui ont le cerveau développé sur les parties latérales. 5. Le déve
développé sur les parties latérales. 5. Le développement latéral du cerveau ne tient pas à une différence dans l'épaisseur de
on lui permet de le faire, et nous trouverons entre l'organisation du cerveau du perroquet et celle du singe, un point d'analog
aller (3) admet l'existence des corps striés ; il a découvert dans le cerveau des oiseaux une partie restée inconnue à ses préd
Le même auteur signale le volume considérable du cervelet comparé au cerveau , et il explique ce fait par la situation des couc
couches optiques, qui dans l'homme et les quadrupèdes font partie du cerveau , tandis qu'elles sont placées en arrière de cet o
ar-wood (6) et les frères Wenzel (7). Ebel (8) a comparé le volume du cerveau des oiseaux à celui des quadrupèdes. L'opi- (1)
i donnent naissance aux nerfs optiques. Fr. Franke décrit la forme du cerveau : ce Les oies, dit-il, ont le cerveau de forme pyr
s. Fr. Franke décrit la forme du cerveau: ce Les oies, dit-il, ont le cerveau de forme pyramidale, tandis que les gallinacés, l
aux où on le rencontre, est placé en avant de la couche optique. 1° Cerveau . Cet organe est formé de deux lobes pleins, ordin
ue la scissure de Sylvius, et à la partie supérieure et antérieure du cerveau , une dépression plus profonde que la première , m
aucun poisson ; leur face inférieure , qui forme en partie la base du cerveau , un peu concave et entièrement lisse , repose sur
e la moelle épinière, à laquelle ils sont attachés par les cuisses du cerveau , qui leur servent comme de pédicule. Considérée à
ennent pour la plupart de la moelle épinière. A la face inférieure du cerveau , on voit ces stries blanches ou fibres médullaire
un faisceau de fibres dont les premiers anatomisles qui ont décrit le cerveau des oiseaux ont déjà parlé, s'étale en manière de
uquel il se termine. Un autre faisceau blanc se remarque à la base du cerveau et sur les côtés de chaque lobe; il s'étend d'ava
la partie la plus saillante du lobe, jusque tout près de la pointe du cerveau . La substance cérébrale, vue à l'intérieur, ne
à-dire qu'ils résultent de l'application des lobes sur les cuisses du cerveau : aussi sont-ils plutôt des sinus que de véritabl
pair, comme implanté à la partie supérieure et interne des cuisses du cerveau , traversé par une petite bandelette de substance
el esl une petite portion de matière grise que l'on voit à la base du cerveau sous la forme d'un mamelon placé en arrière de la
a domesticité et de l'alimentation. Chez ceux-là, le poids relatif du cerveau doit être moindre qu'à l'état de nature. Parmi le
ds Poid» Rapport Rapport du du du cervelet. Moelle ! de la m. al. cerveau . cervelet. au cerveau. allongée. au cerveau. Ch
rt du du du cervelet. Moelle ! de la m. al. cerveau. cervelet. au cerveau . allongée. au cerveau. Choucas mâle..... 3,4 gr
. Moelle ! de la m. al. cerveau. cervelet. au cerveau. allongée. au cerveau . Choucas mâle..... 3,4 gr. o,3 gr. i â n,33 o,6
nt avoir une organisation semblable, ont, en effet, le cervelet et le cerveau daitis des proportions analogues. Le poids de l
n'est pas aussi rigoureusement déterminé que celui du cervelet et du cerveau , parce que, malgré la précaution que j'ai prise d
port entre le diamètre transverse et le diamètre antéro-postérieur du cerveau , nous retrouverons de nouveau l'oie placée entre
es et en frugivores ; puis il a déterminé la largeur relative de leur cerveau , afin de s'assurer si, comme les phrénologistes l
s Gall, il existe un organe de la destruction, situé sur les côtés du cerveau . Or, il résulte des mensurations faites par ces a
es mensurations faites par ces auteurs, que le diamètre transverse du cerveau est au diamètre longitudinal de cet organe, chez
0,80 D'où il faudrait conclure que, relativement à sa longueur, le cerveau est plus large chez les oiseaux rapaces que chez
s, plus que chez les carnassiers insectivores. J'ai aussi mesuré le cerveau d'un certain nombre d'oiseaux; chez tous ceux don
ne largeur dont la moyenne, comparée au diamètre antéro-postérieur du cerveau , est comme 1 à 6,6. U. Moelle épinière des oise
ne manière imparfaite, parce qu'il est difficile de donner à tous les cerveaux que l'on dessine, un© position qui soit absolumen
veaux que l'on dessine, un© position qui soit absolument la même. Tel cerveau est vu un peu plus en arrière , tel autre un peu
L'encéphale des oiseaux se compose de trois ganglions principaux, le cerveau , le cervelet, les lobes optiques et d'un ganglion
omie du système nerveux de Call et Spurzheim, 2. La face convexe du cerveau présente un léger sillon, mais chez quelques oise
ésente un léger sillon, mais chez quelques oiseaux seulement. 3. Le cerveau recouvre les lobes optiques en totalité ou en par
ent à l'état rudimentaire. 6. Les lobes optiques sont inférieurs au cerveau ; ils ont un volume très peu considérable, relativ
e 1 à 212. 10. Le rapport moyen du poids du cervelet est à celui du cerveau comme 1 à 6,18. Celui de la moelle allongée au
t à celui du cerveau comme 1 à 6,18. Celui de la moelle allongée au cerveau , comme 1 à U, 12. Celui de la moelle épinière à l
ue chez les reptiles et les poissons. 12. Le diamètre transverse du cerveau des oiseaux est presque constamment plus long que
dit, et qu'après lui un grand nombre d'anatomistes ont répété, que le cerveau des oiseaux est presque entièrement composé de su
urer des anses nerveuses qui se rendraient dans^la substance jaune du cerveau du]pigeon. à laquelle n'atteignent pas les lobe
la portion fulcrale de cet organe, se porte aux lobes optiques, et au cerveau . A l'endroit où le cervelet s'insère à la moell
lequel les fibres s'élargissent est à-peu-près le même chez tous. Le cerveau , le cervelet, les commissures ont les fibres les
ibres d'un grand et d'un petit diamètre. D'où vient qu'à la cuisse du cerveau il n'y aurait plus que de petites fibres , et qu'
aussi a-t-elle un très grand nombre de fibres transversales. 2. Le cerveau est composé de substance grisâtre, dans laquelle
plus lard, avec quelle différence dans le développement comparatif du cerveau et des nerfs, coïncide celte différence dans l'in
ent vraie pour les individus comme pour les classes , que le poids du cerveau fût en rapport direct du développement intellectu
les autres oiseaux. La comparaison du volume du cervelet à celui du cerveau donne un résultat différent (1) ; elle fournit un
met les vanneaux. Ce classement, qui exprime que les premiers ont un cerveau plus gros que les derniers, est presque celui que
eur intelligence. Le poids de la moelle allongée comparé à celui du cerveau , dérange un peu cet ordre (2), mais, sous plusieu
bleaux qui précèdent, on peut tirer celte conclusion, savoir : que le cerveau , comparativement au cervelet el à la moelle allon
abli pour les mammifères comparés à l'homme. J'ai mesuré le volume du cerveau et celui des nerfs optique , moteur commun des ye
plus volumineux; ainsi, le rapport du nerf optique du chardonneret au cerveau du même oiseau, est comme 1 est à 466, tandis que
pas sensiblement dans les diverses familles d'oiseaux : reste donc le cerveau considéré dans son ensemble et dans ses parties.
a) V. page 390. melre transverse et le diamètre antero-posteneur du cerveau , classe les oiseaux d'une manière assez remarquab
au, c'est que presque tous les oiseaux ont le diamètre transversal du cerveau plus long que le diamètre antéro-postérieur; nous
eur; nous tiendrons compte de ce fait quand nous aurons à comparer le cerveau des oiseaux avec celui des mammifères, et surtout
chouette, la buse, le coucou sont à la fin. Les premiers ont tous le cerveau plus long que large, et ils sont les plus intelli
et ils sont les plus intelligens des oiseaux; les autres ont tous le cerveau beaucoup plus développé latéralement que d'avant
le perroquet sont aux deux extrêmes pour le développement latéral du cerveau , ils sont également aux deux extrêmes pour l'état
uel. Ne faudrait-il pas conclure de là que l'élargissement latéral du cerveau est un signe de stupidité, tandis que son dévelop
ment naturel de ces oiseaux, groupement qui a pour base la largeur du cerveau comparée à sa longueur. Mais le rapport entre ces
rait trouvé, s'il faut l'en croire, une différence constante entre le cerveau des oiseaux mâles, et celui des oiseaux femelles;
port entre le diamètre transverse et le diamètre anléro-postérieur du cerveau . « J'ai examiné (ce sont les paroles de Gall) (1)
e la même variété, mais de sexe différent. » (i) Sur la fondions du cerveau , tome lit, [ . 454. Buffon (1) avait dit avant
ce qu'il a dit précédemment: ce Dans les femelles, les hémisphères du cerveau sont plus développés, plus larges, plus longs et
t indiqué par Gall, n'est pas d'ailleurs en rapport avec la partie du cerveau que Gall et ses partisans regardent comme étant p
vité crânienne et correspond par conséquent à la partie antérieure du cerveau , et non pas à sa partie postérieure, comme il fau
faire la remarque qu'ils ont bien plus souvent étudié le crâne que le cerveau , ce en quoi ils ne sauraient être excusés, car lo
ui n'est pas en rapport avec l'opinion qu'il a émise, sur la forme du cerveau des femelles d'oiseaux, comparée à celle du cerve
, sur la forme du cerveau des femelles d'oiseaux, comparée à celle du cerveau des mâles. Si les hémisphères du cerveau des feme
oiseaux, comparée à celle du cerveau des mâles. Si les hémisphères du cerveau des femelles sont plus développés, plus larges, p
r une différence de développement relatif de telle ou telle partie du cerveau , parce qu'en réalité, on ne constate pas autre ch
autre chose qu'une différence de développement de la masse totale du cerveau . Pour ce qui me concerne, je déclare n'avoir pa
différence entre le développement relatif de telle ou telle partie du cerveau chez les oiseaux, suivant qu'ils étaient mâles ou
qu'il existe une grande différence entre le développement latéral du cerveau chez les oiseaux timides et chez les oiseaux cour
ux courageux; il va même jusqu'à en trouver une très notable entre le cerveau du coq du combat et celui du coq ordinaire (1); m
l, ou à-peu-près égal chez les oiseaux dont le diamètre transverse du cerveau , comparé au diamètre antéro-postérieur, sera le m
ge.Ainsi, comme oiseaux courageux, il faudrait que l'élargissement du cerveau réunit dans un même groupe, la mésange à tête ble
ge, il est complètement faux de dire que les animaux courageux ont le cerveau plus large que les animaux timides; car chez les
es animaux timides; car chez les premiers, le diamètre transversal du cerveau , comparé au diamètre antéro-postérieur, est plus
urtant une grande importance, en ce qu'il différencie complètement le cerveau du perroquet de celui de tous les autres oiseaux
perroquet de celui de tous les autres oiseaux ; c'est l'épaisseur du cerveau et sa hauteur. Les oiseaux même les mieux pourvus
perroquet, comme la pie, le corbeau, ont, à la partie antérieure, le cerveau (i) V. page 489. prolongé en une pointe assez
menter le diamètre antéro-postérieur, sans cependant que le volume du cerveau soit dans un rapport direct avec cet allongement;
olume du cerveau soit dans un rapport direct avec cet allongement; le cerveau du perroquet, au contraire, se rétrécit moins en
ifférence analogue se rencontre également, l'extrémité postérieure du cerveau dépasse de beaucoup les tubercules quadrijumeaux
'ai étudiés (et j'en ai étudié un très grand nombre), l'inspection du cerveau de ces animaux suffit pour en donnerla preuve. Qu
de quelques oiseaux rangés d'après le degré du développement de leur cerveau en arrière: ceux doni le cerveau se prolonge dava
ès le degré du développement de leur cerveau en arrière: ceux doni le cerveau se prolonge davantage sur les lobes optiques et s
ltés des oiseaux. Il n'existe pas de circonvolution à la surface du cerveau des oiseaux; sur le plus grand nombre d'entre eux
ébrale des oi- (r) Si l'ôfgane de l'amour des petits prolongeait le cerveau en arrière, le coucou , qui n'élève pas lés siens
le dernier sur cette liste. Or, ses lobes optiques sont au niveau du cerveau , tandis que les oiseaux dont les noms suivent le
pas si petite place qui ne soit occupée, En avant, à l'endroit où le cerveau se termine en pointe, M. Vimont a placé dix facul
contre les autres, que ce serait merveille d'inscrire leur nom sur le cerveau , à l'endroit où M. Vimont prétend qu'elles siègen
gence, chez les oiseaux. 2. Le poids du cervelet comparé à celui du cerveau , s'en rapproche davantage. 3. Il en est de même
des nerfs, de la moelle allongée et de la moelle épinière, comparé au cerveau . 4. L'élargissement du cerveau des oiseaux est
et de la moelle épinière, comparé au cerveau. 4. L'élargissement du cerveau des oiseaux est plus considérable chez les oiseau
et nécessaire entre ces deux ordres de phénomènes. 5. La hauteur du cerveau et son développement en arrière, sont d'autant pl
n'est pas vrai non plus que les oiseaux courageux ou féroces aient le cerveau plus large que les oiseaux dont les habitudes son
lissement des fondions intellectuelles. On voit que je veux parler du cerveau . Certaines parties du cerveau ont élé bien décrit
ctuelles. On voit que je veux parler du cerveau. Certaines parties du cerveau ont élé bien décrites, ce sont celles qui se retr
ment à l'homme, c'est sans contredit, la différence que présente leur cerveau . § I. DESCRIPTION du SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-sp
e de sa commissure; un lobe nouveau se développe dans le cervelet; le cerveau acquiert une supériorité incontestable sur tout l
s classes de vertébrés. La moelle allongée, le cervelet et surtout le cerveau exigent au contraire une étude de plus en plus
leur volume, mais sur leur configuration et sur leur structure. 1. Cerveau . On a dit que le cerveau des animaux mammifères e
ur configuration et sur leur structure. 1. Cerveau. On a dit que le cerveau des animaux mammifères est pourvu de circonvoluti
es ânes étant des animaux abrutis et stupides, ils devraient avoir un cerveau tout-à-fait simple, sans aucun sillon ou sinuosit
forme particulière (2). Il ajoute ailleurs : « Les anfractuosités du cerveau ont plus d'étendue dans les singes que dans le re
s sujets. Tyson (2) cité par Vicq d'Azyr, avait cependant assimilé le cerveau de l'orang-outang à celui de l'homme, et Vicq d'A
rmé de la même manière. Or si, comme le prétend Vicq d'Azyr « dans le cerveau de l'homme, les circonvolutions ne sont ni symétr
nt qui sont nombreuses el profondes. » Quant aux circonvolutions du cerveau de l'homme, Cuvier se contente de dire qu'elles s
. (3) Leçons d'anat. comp., 1.11, p. 137. (4) Sur la structure du cerveau . Journal complément., t. iV. Paris, 1819, p. 117-
erver toute l'étendue. Le magnifique ouvrage de M. Tiedemann sur le cerveau des singes et de quelques mammifères rares dans n
nau; mais l'auteur ne les a pas décrites, et le choix qu'il a fait de cerveaux (1) De penltiori structura ccrebri hominis et b
disposition des circonvolutions cérébrales sont variés ; sur quelques cerveaux elles sont très (1) Op. cit., t. ii, p. 58g.
olutions m'a toujours paru en rapport direct avec le développement du cerveau considéré en masse. » C'est une erreur empruntée
nq mois, ne sont ni plus profondes, ni plus multipliées que celles du cerveau du lapin » : et plus loin « sous le rapport du vo
s du cerveau du lapin » : et plus loin « sous le rapport du volume du cerveau et du nombre des circonvolutions, aucun mammifère
ou telle partie du crâne, ont négligé l'étude des circonvolutions du cerveau . Ni Gall, ni Spurzheim n'ont abordé celte matière
, n'on pas su tirer parti de la découverte de Rolando. Les figures du cerveau de l'homme, publiées dans le grand ouvrage de Gal
i concerne les circonvolutions cérébrales; celles qui représentent le cerveau des animaux et qui sont d'ailleurs en très peti
res h et 5, planche xxxm, qui représentent dans la pensée de Gall, le cerveau du lion et du tigre, si on les compare au cerveau
pensée de Gall, le cerveau du lion et du tigre, si on les compare au cerveau de lion, pl. iv de l'ouvrage déjà mentionné de M.
er, pl. v de l'atlas, ou mieux encore, si on les met en présence d'un cerveau de lion ou de tigre, paraîtront avoir été imaginé
des deux côtés : pareille chose se rencontre dans tous les animaux à cerveau pourvu de circonvolutions». C'est là tout ce que
lutions des animaux, il ajoute : « Chez les quadrumanes , la forme du cerveau présente , en masse, assez de rapport avec celui
ur des observations de cette nature. Mais encore, dans les figures de cerveaux de mammifères que M. Vimont a fait représenter, i
it représenter, il y a quelque exactitude 5 il n'y en a plus dans les cerveaux d'homme et notamment dans celui qui fait le sujet
e lxxxiii de son atlas. Cette figure est entièrement dissemblable des cerveaux humains, ou, pour me servir d'une expression empl
expression employée par M. Vimont à l'égard des figures de têle et de cerveaux publiées par Spurzheim, elle est tout-à-fait imag
mis à même de découvrir un moyen propre à grouper les animaux dont le cerveau est pourvu de circonvolutions, d'après des caract
l'ai fait seulement dans le but de rapprocher les uns des autres les cerveaux les plus analogues, d'éloigner les plus dissembla
nt ceux que j'ai étudiés, car je ne voudrais pas toujours inférer des cerveaux que je connais à ceux que je ne connais pas. Je n
s à ceux que je ne connais pas. Je n'ai rien négligé pour examiner le cerveau d'un aussi grand nombre que possible d'animaux, j
ue j'ai entrepris, Le premier groupe se compose des animaux dont le cerveau est dépourvu de circonvolutions, et n'a que des d
s dépressions nulles ou presque nulles; le second des animaux dont le cerveau a des dépressions plus ou moins profondes, mais t
plusieurs d'entre eux, ils ont une très grande analogie, quant à leur cerveau qui est dépourvu de circonvolutions et même de dé
nt au pigeon, à l'amour, à la buse, à la chouette, vous verrez que le cerveau des uns et des autres est également (i) V. Orni
s d'une certaine régularité, ainsi qu'on peut le voir en examinant le cerveau du lapin et celui de l'agouti. De chaque côté du
e côté du sillon médian qui s'éten danl d'avant en arrière, sépare le cerveau en deux lobes, on voit une dépression parallèle à
très faibles; le porc-épic en a trois, l'une à la partie latérale du cerveau , c'est l'indice de la scissure de Sylvius; les de
x autres sont à la partie supérieure de chaque lobe cérébral : sur un cerveau depuis long-temps conservé dans l'alcool (celui q
ue j'ai fait dessiner), elles avaient peu de régularité; sur un autre cerveau que j'ai vu depuis, elles étaient moins dissembla
issemblables, et se rapprochaient assez de celles du paca. Tous les cerveaux de l'atlas étant représentés de grandeur nature
t le nombre des circonvolutions, étaient en rapport avec le volume du cerveau . Le furet qui a sur chaque lobe cérébral, cinq ci
ternes, une interne et une antérieure ou sus-orbilaire (pl. vi), a le cerveau d'un volume égal à celui de l'écureuil (pl. m), q
porc-épic, du paca, de l'agouti , du castor, etc. Ces derniers ont le cerveau plus volumineux que le chat (pl. v), la fouine (p
t vrai de dire que les espèces d'anin aux qui ont les plus volumineux cerveaux , ont aussi les circonvolutions et leurs ondulatio
us variées que les autres. Pour s'en convaincre, il suffît de voir le cerveau de l'éléphant (pl. xm et xiv), le plus gros de to
ir le cerveau de l'éléphant (pl. xm et xiv), le plus gros de tous les cerveaux connus, et l'on peut dire le plus gros de tous ce
s contours, toutes les sinuosités que l'on remarque à lu surface du cerveau de l'homme, par exemple, ont été appelés circonvo
rarement avec Une parfaite régularité d'un lobe à l'autre , et d'un' cerveau à un autre cerveau , ne sont pas susceptibles d'u
parfaite régularité d'un lobe à l'autre , et d'un' cerveau à un autre cerveau , ne sont pas susceptibles d'une description exac
rébraux, etc'est aussi celui que je lui donne pour ce qui concerne le cerveau des mammifères. J'explique ma pensée par des ex
re en dehors, une en avant et une en dedans. Comparez maintenant ce cerveau à celui de l'ours (pl. vi). Vous retrouvez sur ce
beaucoup plus longue , même proportion gardée avec la masse totale du cerveau , qu'elle ne l'est chez le renard. Pour circonscri
Cela entendu, voyons ce que présente de commun et de particulier le cerveau de la troisième famille des mammifères, celle des
érébrales. La figure 1 (pl. iv), représentant la face supérieure du cerveau du renard, montre le complément de la quatrième c
artie antérieure surtout, à seize millimètres environ de la pointe du cerveau , se trouve une sorte de pli qui croise le sillon
se trouve une sorte de pli qui croise le sillon antéro-poslérieur du cerveau . C'est en avant de ce pli auquel je donne le nom
e renard, il y a seulement un rudiment de dépression. J'ai examiné le cerveau de plusieurs loups et celui d'une louve, il s'y t
fondeur des dépressions. Au premier coup-d'œil, on reconnaît que le cerveau du chien de berger, représenté au-dessus de celui
ons plus nombreuses que les autres. On voit sur la face supérieure du cerveau du renard (fig. 1), immédiatement derrière la lig
trouvé de constant à cet égard. J'ai comparé entre eux beaucoup de cerveaux de chiens appartenant à des espèces différentes ;
l'étendue des ondulations ; cette différence correspond au volume du cerveau : les plus gros cerveaux l'emportent en cela sur
ns ; cette différence correspond au volume du cerveau : les plus gros cerveaux l'emportent en cela sur les plus petits. Je conse
gros cerveaux l'emportent en cela sur les plus petits. Je conserve le cerveau d'un gros chien dogue, excellent gardien, mais te
es ondulations, sont en nombre variable et en proportion du volume du cerveau . 4e groupe. Tous les animaux du genre chat et l
hyène sont compris dans ce groupe. Comme pour le groupe précédent, le cerveau le plus petit est en même temps celui qui a le mo
n même temps celui qui a le moins de dépressions et d'ondulations. Le cerveau de panthère, représenté planche v, semblerait fai
érieurement à l'époque où la gravure a été terminée, j'ai vu un autre cerveau de panthère dépouillé de ses membranes , et qui é
e panthère dépouillé de ses membranes , et qui était très analogue au cerveau de lion. Il y a plusieurs différences essentiel
iste des deux côtés, mais moins prononcé à droite qu'à gauche, sur le cerveau du chat. Il n'y a rien de constant sous ce rappor
sillon que j'ai déjà signalé à la partie antérieure et supérieure du cerveau de la famille des renards, et qui est très bien m
nn.) avait signalé la ressemblance des circonvolutions entre tous les cerveaux appartenant aux animaux du genre chat. (2) Les
e sillon qui se trouve en arrière de cette scissure, et vous aurez le cerveau du renard. Une autre différence, mais qui n'est
amais dans celle des ours. La genette forme une transition entre le cerveau de la civette, et celui de la fouine. Le sillon p
érable, et les dépressions très nombreuses. Voyez (pl. vi, fig. 3) le cerveau de la loutre. La ligne S indique la scissure de S
très marquées. Cette conformation influe beaucoup sur l'ensemble du cerveau . Comme elle grossit la partie antérieure du cerve
sur l'ensemble du cerveau. Comme elle grossit la partie antérieure du cerveau , elle donne de l'obliquité à la scissure de Sylvi
le loup; chez la loutre, au contraire, elle est très considérable. Le cerveau ainsi porté en arrière à cause du développement d
veloppement considérable des circonvolutions postérieures, l'étude du cerveau montre que c'est précisément le contraire qui a l
rer qu'elle existe des deux côtés, en examinant la face supérieure du cerveau du même animal (fig. lle). Il existe à peine d'an
la soudure de deux circonvolutions, surtout en arrière. Il y a sur le cerveau de l'ours, et surtout à sa partie antérieure, des
out à sa partie antérieure, des ondulations dont l'aspect rappelle le cerveau de l'homme, et dont nous n'avons pas vu l'analogu
as vu l'analogue dans les groupes précédemment étudiés. En avant du cerveau vu par sa face supérieure, on trouve chez le fure
ersal qui coupe crucialement le sillon médian ou antéro-postérieur du cerveau : ce sillon a une direction oblique d'arrière en
se trouve en avant de ce sillon, et qui forme la pointe antérieure du cerveau , n'est autre qu'une saillie de la circonvolution
circonvolution interne qui commence au lobe d'hippocampe (I, fig. 3, cerveau de la loutre), se porte en arrière, embrasse le c
ésente un sillon pour loger le nerf ou plutôt le lobe olfactif. Les cerveaux du cinquième groupe forment une sorte de transiti
. 6e groupe. Les mangoustes seules comprises dans ce groupe, ont un cerveau qui se rapproche de celui de la civette et de la
lier, si ce n'est que l'interne s'élève jusqu'à la face supérieure du cerveau dans la plus grande partie de son étendue, il y a
ons bien marquées, de la partie antérieure à la partie postérieure du cerveau . Elles ont, surtout chez l'unau et l'aï, quelque
le sillon crucial si constant à la partie antérieure et supérieure du cerveau , chez les renards, les chats, les ours et les mar
volutions dirigées d'avant en arrière existent à la partie interne du cerveau de ces animaux, la première, celle qui circonscri
plus régulières, elles rappellent la dépression que l'on voit sur le cerveau du lapin. 9e groupe. Le cerveau de la famille d
la dépression que l'on voit sur le cerveau du lapin. 9e groupe. Le cerveau de la famille des moutons qui forme le 9e groupe,
st très ondulée. C'est un grossissement, une sorte d'amplification du cerveau de l'oryctérope. La famille des moulons estime
ulons estime des plus nombreuses parmi les mammifères; j'ai étudié le cerveau de vingt espèces, et j'ai trouvé cet organe formé
c quelques modifications. La ligne S (pl. vu, fig. 3) tracée sur le cerveau du mouton et sur celui du cheval (pl. vin, fig. 2
La seconde circonvolution extérieure, placée à la face supérieure du cerveau , présente des dispositions analogues. La même lig
celle du côté gauche forment, parleur adossement, la ligne médiane du cerveau ; elles commencent l'une et l'autre par une extrém
l'autre est sillonnée en différens sens et presque sous-divisée. Le cerveau du mouton, du bœuf, du cheval, de l'âne, du daim
us-orbitaire est en rapport, quant à ses divisions, avec le volume du cerveau . Chez le mouton (pl. vu, fig. 3,0), elle est seul
rps calleux et s'avance jusqu'à la partie antérieure et inférieure du cerveau . Au-dessus et en avant du corps calleux, elle s'é
quels cette circonvolution ne s'élève jamais jusqu'à la périphérie du cerveau . Un sillon continu règne au-dessus d'elle, et s'é
olution interne et l'une des circonvolutions externes, différencie le cerveau du cheval, du bœuf, du chameau, etc., du cerveau
rnes, différencie le cerveau du cheval, du bœuf, du chameau, etc., du cerveau des animaux compris dans les groupes précédens, e
les circonvolutions placées sous l'os pariétal, différencie les mêmes cerveaux de celui de l'éléphant, du singe et de l'homme.
inet le tajassou, tandis que je ne l'ai jamais rencontré sur d'autres cerveaux . D'abord les circonvolutions des cochons sont o
im peut servir d'intermédiaire entre le chevreuil et le sanglier; son cerveau est sillonné complètement dans l'endroit où le ch
rieure de la circonvolution supérieure ne se fait pas à la surface du cerveau , mais seulement au fond du sillon : celte continu
: celte continuité a lieu à l'endroit indiqué par le signe î, sur le cerveau du daim. Un peu en avant se trouve la dépression
le daim (pl. x), par le double signe 1£ placé suivant la longueur du cerveau . J'ai déjà parlé de la circonvolution latérale
st propre aux cochons, se trouve à la partie externe et antérieure du cerveau : elle est au-dessus de la circonvolution i-n (co
pondais aux signes ^. Chez le sanglier, dont j'ai fait représenter le cerveau , elle n'existe toute formée que du côté droit, et
antérieure. C'est, en effet, ce qui est réalisé sur le lobe gauche du cerveau du sanglier. Le cerveau du cochon tient en même
t, ce qui est réalisé sur le lobe gauche du cerveau du sanglier. Le cerveau du cochon tient en même temps du cerveau du mouto
du cerveau du sanglier. Le cerveau du cochon tient en même temps du cerveau du mouton et de celui de la genette, et il a auss
spécifiques qui lui assignent une place distincte de celle des autres cerveaux . 11e groupe. Les circonvolutions cérébrales du
s ni aux autres. Celle qui se trouve placée à la partie supérieure du cerveau est triple en arrière (PPP, pl. xi, fig. 1), en a
circonvolution interne I, qui fait saillie à la partie antérieure du cerveau ; l'externe, qui semble coupée comme celle du san
S., fig. 1 et fig. 2, presque transversale à la partie inférieure du cerveau , est oblique à la partie latérale de cet organe,
enant du lobe d'hippocampe 1. h., se porte en arrière et en dehors du cerveau . Un sillon si., si., fig. 1, sépare l'une de l'au
, sépare l'une de l'autre les deux circonvolutions de la convexité du cerveau . Ce sillon est dirigé d'avant en arrière comme ce
e sillon est dirigé d'avant en arrière comme celui de tous les autres cerveaux appartenant aux groupes précédens, et comme ceux
be pour le traverser d'un bout à l'autre, faire saillie en avant du cerveau (fig. 1, I), et se terminer en bas, entre le sill
cerveau (fig. 1, I), et se terminer en bas, entre le sillon médian du cerveau et la racine du nerf olfactif (I, fig. 2).Dans ce
e d'hippocampe quand elle existe, se porte en dehors et en arrière du cerveau pour s'unir à la circonvolution P', fig. 2. Qua
, et fort irrégulière; la troisième, s'étendant d'avant en arrière du cerveau , formant les deux tiers de la face supérieure de
re. Le sillon crucial, chez le phoque, n'est pas placé au-dessus du cerveau , comme chez les autres animaux dont il a été que
e circonvolution de toutes les autres, depuis la partie antérieure du cerveau jusqu'au lobe d'hippocampe (l. h., môme figure).
s sillons (si., si., si., fig. lle) placés à la surface extérieure du cerveau , servent de limites à quatre circonvolutions, don
eures de la première circonvolution (1 A, fig. 3). J'ai étudié deux cerveaux frais de marsouin ; ils étaient semblables l'un à
n à l'autre à quelques très légères différences près. J'ai vu un seul cerveau de dauphin, celui que l'on conserve au Musée d'an
e surtout à la baleine, parce que le temps m'a manqué pour décrire le cerveau du narval. Les lobes cérébraux de la baleine so
pouvais pas faire et ce que je n'aurais pas même voulu demander. Le cerveau de la baleine n'est donc pas autre chose qu'un gr
er. Le cerveau de la baleine n'est donc pas autre chose qu'un grand cerveau de marsouin, comme le cerveau du bœuf est un gran
n'est donc pas autre chose qu'un grand cerveau de marsouin, comme le cerveau du bœuf est un grand cerveau de mouton, comme cel
u'un grand cerveau de marsouin, comme le cerveau du bœuf est un grand cerveau de mouton, comme celui du loup est un grand cerve
bœuf est un grand cerveau de mouton, comme celui du loup est un grand cerveau de renard. 13* groupe. A l'exception des circon
exception des circonvolutions sus-orbi-taires, les circonvolutions du cerveau des animaux dont il a été question jusqu'à présen
présent, se dirigent toutes d'avant en arrière ; elles traversent le cerveau dans le sens longitudinal. Entre ces circonvoluti
erveau dans le sens longitudinal. Entre ces circonvolutions plusieurs cerveaux ont des moyens d'union , des espèces de soudures
etc. , mais toutes sont partielles; aucune n'est placée en travers du cerveau , coupant les circonvolutions longitudinales en d
volutions supérieures S,S, est marqué par le signe -f-. Comparez à ce cerveau tous ceux qui ont été précédemment figurés ou déc
nues à elles-mêmes de la partie antérieure à la partie postérieure du cerveau , sont, comme je l'ai indiqué tout-à-l'heure, coup
res par les circonvolutions trans-verses ou supérieures, formerait un cerveau analogue à celui de la baleine, du cheval et de
te de bas en haut et d'avant en arrière (pl. xm, +), et vous aurez un cerveau analogue à celui des animaux que je viens de nomm
ue peu attentive dissipe bientôt cette illusion. La forme générale du cerveau du singe, son développement en arrière, l'étendue
endue et le degré d'inclinaison de la scissure de Sylvius, font de ce cerveau comme un embryon perfectionné du cerveau de l'hom
ssure de Sylvius, font de ce cerveau comme un embryon perfectionné du cerveau de l'homme, tandis que le cerveau de l'éléphant e
au comme un embryon perfectionné du cerveau de l'homme, tandis que le cerveau de l'éléphant et surtout celui de la baleine, con
considérées sous ces différens rapports, descendent vers la forme du cerveau des autres mammifères. Le singe alrois circonvo
nt, à celledu renard; elle se porte jusqu'à la partie antérieure du cerveau , où elle s'unit à la troisième circonvolution ant
fig. 2 S +) puis descend en avant du cervelet, «ontourne la cuisse du cerveau et va reparaître en bas, tout à côté du nerf opti
tres animaux, dont le cervelet est en -grande partie recouvert par le cerveau . La scissure de Sylvius (S. S., fig. 2, et fig.
it trois circonvolutions qui se dirigent vers la partie antérieure du cerveau ( I A, H A, III A, fig. 2 et fig. h). Entre ces d
eurs, mais elles n'ont pas la même régularité que les autres. Si le cerveau du singe peut, jusqu'à un certain point, être con
rtain point, être considéré comme une ébauche de celui de l'homme, le cerveau du maki est une ébauche de celui du singe. Cepend
rébrales ne sont pas livrées au hasard; chaque famille d'animaux a le cerveau conformé d'une manière déterminée, et la divergen
à ce sujet, lient à ce que l'on n'avait pas examiné attentivement le cerveau d'un assez grand nombre d'animaux. L'observation
et aussi invariable que celles des autres parties? Chaque groupe de cerveaux a un type qui lui est propre, et ce type est surt
chevé et rudimentaire. Dans une même famille, ordinairement plus le cerveau granditetplusilse divise, plus aussi il acquiert
lus haut et l'homme fort au-dessus du singe. Cependant il y a de gros cerveaux qui ne représentent pas un perfectionnement de pe
e gros cerveaux qui ne représentent pas un perfectionnement de petits cerveaux appartenant à la même classe. Ainsi le bœuf n'est
ssus du marsouin. Y a-t-il des degrés intermédiaires entre tous les cerveaux ? Y a-1 il des formes de cerveau différentes de ce
degrés intermédiaires entre tous les cerveaux? Y a-1 il des formes de cerveau différentes de celles que j'ai décrites? Une obse
vais passer à la description de la base et des parties intérieures du cerveau . Chez les poissons, le cerveau consiste en un p
a base et des parties intérieures du cerveau. Chez les poissons, le cerveau consiste en un petit ganglion placé toul-à-fait e
cavité que l'on a appelée le troisième ventricule; du reploiement du cerveau sur les prolongemens céphaliques de la moelle épi
olongement antérieur de la moelle épinière que l'on appelle cuisse du cerveau , pédoncule cérébral (p. c. pl. iv, renard, fig. 2
rconvolution dont le lobe d'hippocampe est une dépendance, termine le cerveau , et si on la soulève, on pénètre, par la grande f
sition différente suivant qu'on l'observe chez des mammifères dont le cerveau se prolonge plus ou moins pour recouvrir le cerve
tion de celte commissure de la couche optique c. o. pl. iv, fig. 3 du cerveau du renard; c. o. pl. v, fig. 3 du chat; pl. vu, f
n arrière, en une sorte de plan incliné qui correspond aux cuisses du cerveau ou pédoncules cérébraux (p. c. pl. vu, fig. 2 et)
. La couche optique est un gros tubercule, placé sur les cuisses du cerveau , avant leur entrée dans le corps strié ; c'est en
comme ne manquant jamais, (i) Glande pinéale. Elle n'appartient au cerveau que par ses pédoncules, car elle repose sur la pa
reculée de la paroi interne du ventricule moyen. Les commissures du cerveau sont le corps calleux, les commissures antérieure
is piliers et le corps calleux. Corps calleux, grande commissure de cerveau , mésolobe. (i) Op. cit., t. rv, p. 683. Celle
a candicans (c. m. pl. iv, chien, fig. 2), que l'on voit à la base du cerveau , au milieu de la matière grise (tuber cinereum) d
exactement appliqué sur (i) Mémoire, sur quelques particularités du cerveau . (? ) Arc'iit'. dup'ns., 1. n: , [ . iofi. Y. a
uent évidemment des parties d'un même tout. Fixées sur les cuisses du cerveau , en avant et au-dessus du pont de varole, elles s
les corps genouillés interne et externe, existent également entre le cerveau et le cervelet (pl. ix, cheval, fig. 2, c. g.). L
rt avec la racine du nerf optique. Entre ces parties intérieures du cerveau considérées chez tous les mammifères, il n'existe
es cornes d'Ammon doivent être plus que de simples circonvolutions du cerveau , car aucune circonvolution n'est en relation auss
rps calleux, très petit, et qui ne possèdent aucune circonvolution au cerveau » (1) Les observations de M. Owen tendent à con
e. D'après lui, les différences essentielles qui se trouvent entre le cerveau des vertébrés ovipares, existent surtout dans le
à oreilles tricolores. Je n'ai pas été assez heureux pour étudier le cerveau de chacun de ces animaux, mais j'ai étudié celui
alleux n'est pas seulement une commissure pour les (t) Structure du cerveau chez les marsupiaux : Transacl, philosoph. , anné
orps pituitaire qui diminuent à mesure que les parties supérieures du cerveau se développent, et la réunion des deux piliers an
là une assertion démentie par les faits. Le rapport du cervelet au cerveau , donne-t-il, en ce qui concerne les mammifères, d
en ce qui concerne les mammifères, des données plus satisfaisantes? Cerveau . Cervelet, ftapp.du cerveî. au cerveau, Saïmiri
données plus satisfaisantes? Cerveau. Cervelet, ftapp.du cerveî. au cerveau , Saïmiri............., ... » » 1 à 14 Hérisso
t donné par les oiseaux, savoir, que le volume relatif du cervelet au cerveau est d'autant moindre que les ani maux sont plus
considérer comme exacte, un cervelet plus petit, et par conséquent un cerveau plus volumineux aux oiseaux qu'aux mammifères.
bien voulu faire pour moi celte épreuve, en pesant comparativement le cerveau , le cervelet et la moelle allongée d'un certain n
Le tableau suivant contient îe poids absolu et le poids relatif du cerveau , du cervelet et de la moelle allongée de quarante
rt cervelet Nombre. Ages. dè du du au la moelle avec l'encéphale, cerveau . cervelet. cerveau, allongée, le cerveau. grain
e. Ages. dè du du au la moelle avec l'encéphale, cerveau. cervelet. cerveau , allongée, le cerveau. grain. ; grâm. grain. gr
a moelle avec l'encéphale, cerveau. cervelet. cerveau, allongée, le cerveau . grain. ; grâm. grain. gram. 1 9 aùs. 531 ' 4
end-elle de l'infériorité relative de quelqu'une de ses parties. Le cerveau des étalons.... pèse 433 gram. Celui des chevau
uns et les autres au même degré. La comparaison du poids relatif du cerveau et du cervelet donne ces rapports d'une manière p
rts sont les suivans : Chez les chevaux hongres, le cervelet est au cerveau , comme 1 est à 5,97 Chez les jumens............
les de l'encéphale s'est atrophiée chez les chevaux hongres, c'est le cerveau , car il est seulement de 419 grammes, tandis que
c'est le cerveau, car il est seulement de 419 grammes, tandis que le cerveau des étalons est de 433; et si l'une d'elles s'est
nes que le calcul m'a fourni à cet égard. La moelle allongée est au cerveau : ohez un Cheval, comme.....1 est à 11,30 Chi
es, entre le diamètre antéro-pos-térieur et le diamètre transverse du cerveau . M. Lélut s'est surtout appliqué à cettt détermin
e d'adresser à ceux qui n'adoptent pas leurs opinions, j'ai mesuré le cerveau d'un aussi grand nombre de mammifères que cela m'
tableau qui suit, l'éléphant est le seul dont je n'aie pu mesurer le cerveau (j'ai dit que le lobe cérébral de l'éléphant des
2 0,63 Marsouin femelle .... 178 130 0,6 Moyenne ..... 1,07 Les cerveaux les plus allongés sont en tête du tableau, et les
t dont j ai mesuré la cavité crânienne. Ici la longueur relative du cerveau n'indique pas, comme chez les oiseaux, que cet or
plus ou moins les tubercules quadrijumeaux et le cervelet; il y a des cerveaux très allongés qui recouvrent peu le cervelet, cel
les oiseaux, ce qui lient sans doute à la grande variété de forme du cerveau des mammifères, qui semblerait n'être pas constru
ique, comme celui des oiseaux. Le plus grand diamètre transverse du cerveau correspond toujours à la moitié postérieure de ce
éro-postérieur. Si je n'avais eu le soin de prendre les dimensions du cerveau de l'éléphant, du marsouin, de la baleine el du p
propres aux mammifères dépourvus de circonvolutions, c'est d'avoir le cerveau plus développé en largeur qu'en longueur, et en c
ions. Si je m'en étais rapporté aux mesures que Perrault a données du cerveau de l'éléphant, et qui ont été reproduites par M.
duites par M. Garus et par d'autres anato-mistes, j'aurais regardé ce cerveau comme le plus développé en longueur de tous ceux
oppé en longueur de tous ceux des mammifères, car Perrault dit que le cerveau de l'éléphant qu'il a disséqué avait huit pouces
lobe, et n'avait par conséquent donné que la moitié de la largeur du cerveau . La mensuration du crâne de l'éléphant d'Afrique
ger cette erreur. La largeur de la partie antérieure ou frontale du cerveau est sujette à de plus grandes variations que cell
Faute de s'entendre sur ce que l'on doit appeler partie antérieure du cerveau , les phrénologistes ont commis une singulière mép
conclu de cet abaissement à la disparition de la partie antérieure du cerveau , sans considérer que, chez les animaux, la cavité
'est pas au-dessus, mais bien en arrière des orbites, ce qui place le cerveau en arrière de la face et non au-dessus (1). Pour
sus (1). Pour déterminer le volume relatif de la partie antérieure du cerveau chez les animaux, il faut non pas considérer la s
du cerveau chez les animaux, il faut non pas considérer la saillie du cerveau au-dessus des os de la face, mais comparer les ce
la saillie du cerveau au-dessus des os de la face, mais comparer les cerveaux entre eux, les circonvolutions entre elles, et ch
rveaux entre eux, les circonvolutions entre elles, et choisir dans le cerveau lui-même, un point fixe qui serve de départ pour
e de médecine, pour l'année Si l'on compare la partie antérieure du cerveau du chien, du loup, du renard, avec la même partie
ieure du cerveau du chien, du loup, du renard, avec la même partie du cerveau du mouton, du daim, du bœuf, du cheval, on voit q
ur s'en assurer, un simple coup-d'œil suffît. La partie antérieure du cerveau , dans la famille des moutons, a beaucoup plus de
gueur avec exactitude, j'ai choisi pour point de départ une partie du cerveau qui est la même chez tous les mammifères et chez
comparée du corps calleux et des parties antérieure et postérieure du cerveau , le diamètre antéro-postérieur de cet organe étan
t sont rangés d'après la longueur relative de la partie antérieure du cerveau . J; APPOIsr Iji.ini. Corps Pallie Partie du c
ieure postérieure poster. ducerv. ducerv. au diamèt. anléropostér. du cerveau , mil!, mill. mill. mill. Lapin adulte ... 35
. Le marsouin. Le maki. Le développement de la partie antérieure du cerveau et le volume des circonvolutions qui s'y rencontr
le renard, l'éléphant, et surtout chez les singes. Voyez la coupe du cerveau des uns et des autres, et vous trouverez qu'au-de
si le mouton, la chèvre, le cavia-paca, l'âne, ont comparativement le cerveau moins développé en arrière que le chien el le ren
er des conclusions de celles que l'on a faites. Le développement du cerveau , en hauteur, modifie l'ordre que je viens d'établ
nt du cerveau, en hauteur, modifie l'ordre que je viens d'établir; le cerveau s'élève en avant chez les moutons, c'est le contr
idérable, le pariétal est petit, l'occipital ne s'avance pas jusqu'au cerveau (pl. vu, fig. 4); chez le singe, le frontal est c
rtu duquel l'intelligence aurait son siège à la partie postérieure du cerveau ; je signalerai plus loin les causes de l'erreur d
es parties secondaires de l'encéphale. M. Tiedemann a établi que le cerveau comparé à la moelle épinière, à la moelle allongé
optiques et aux corps striés, organes qui appartiennent en propre au cerveau . L'encéphale du singe est surtout remarquable p
le développement relativement très grand de la partie postérieure du cerveau , l'absence presque complète de dépressions sur le
nt à l'étendue très considérable des lobes latéraux du cervelet. Le cerveau des makis est formé d'après le même plan que celu
leur exactitude; mais ce que dit Perrault de la position relative du cerveau et du cervelet, n'est pas exact. « Le cerveau, d'
la position relative du cerveau et du cervelet, n'est pas exact. « Le cerveau , d'après Perrault, est couché sur le cervelet. »
après Perrault, est couché sur le cervelet. » S'il en était ainsi, le cerveau de l'éléphant serait supérieur à celui du singe,
rieur à celui du singe, et même à celui de l'homme, car ce qui met le cerveau de l'homme au-dessus de celui de l'éléphant, ce n
disant que « le cervelet de l'éléphant n'est pas couché au-dessous du cerveau , comme dans l'homme, ces deux organes étant sépar
es, l'une antérieure et l'autre postérieure, de sorte que le poids du cerveau ne peut comprimer le cervelet. » Le même auteur d
ême auteur dit qu'il y a une grande ressemblance entre les cavités du cerveau , du plexus choroïde, des piliers de la voûte, des
ules quadrijumeaux de l'éléphant, avec les parties correspondantes du cerveau de l'homme, et il signale l'ample cavité qui se t
ercules quadrijumeaux, il lui est égal, mais par la forme générale du cerveau , la longueur de son diamètre transverse, la prése
rvelet, est aussi complet que chez l'homme. La plus grande largeur du cerveau de la baleine que j'ai étudié est de 200 millimèt
marsouin, le dauphin et la baleine. Le développement en hauteur du cerveau du marsouin et du dauphin est extrêmement remarqu
arole est plus étroit que chez le phoque, le marsouin et le singe; le cerveau se prolonge d'autant moins sur les tubercules qua
aillie des tubercules quadrijumeaux au fond d'un sillon qui sépare le cerveau du cervelet. L'unau et l'ai ont le lobe moyen du
copique. RÉSUMÉ. 1. Dans l'encéphale des mammifères, le volume du cerveau l'emporte de beaucoup sur celui du cervelet, et l
eaux ne sont plus que des parties accessoires de l'encéphale. 2. Le cerveau de la plupart des mammifères est pourvu de circon
nvolutions cérébrales ne sont pas en rapport direct avec le volume du cerveau ; cependant il est généralement vrai de dire que l
cerveau; cependant il est généralement vrai de dire que les plus gros cerveaux ont les circonvolutions les plus nombreuses et su
14. Les cochons et les ours, chacun dans un mode différent, ont un cerveau qui caractérise un état transitoire entre les car
un état transitoire entre les carnivores et les herbivores. 15. Le cerveau du phoque se rapproche de celui des cochons. 16
avec le singe et même avec l'homme. 18. Les parties intérieures du cerveau et celles qui se trouvent à la base de cet organe
ables qui s'y trouvent portent principalement sur le volume. 19. Le cerveau recouvre les tubercules quadrijumeaux chez tous l
onsidérable, relativement au poids du corps. 24. Le cervelet est au cerveau dans le rapport moyen de 1 à 5,91. 25. Il n'est
ration diminue le volume du cervelet. 26. La moelle allongée esl au cerveau , comme 1 csl à 6,07. 27. La comparaison du volu
iminue à mesure que l'animal grandit. 30. Le diamètre transverse du cerveau est généralement moindre que le diamètre antéro-p
rand. 31. Les ruminans et les solipèdes ont la partie antérieure du cerveau plus large que les carnassiers. ;2. Le cerveau
partie antérieure du cerveau plus large que les carnassiers. ;2. Le cerveau est plus développé en arrière, chez les singes et
celui de l'homme, chez lous les mammifères dont les lobes latéraux du cerveau sont très développés ; chez les autres, il est mo
s dimensions très considérables, ce qui n'arrive jamais aux fibres du cerveau , du cervelet, et des parties secondaires de ces o
rps strié. 0,003 ld........ de la substance grise périphérique du cerveau .............. 0,003 ld......... de la substance
aux anté- rieurs............... 0,005 Id......... de la racine du cerveau ........ 0,005 Id......... du fond du quatrième
... du nerf farial............. 0,01030 Id......... de la cuisse du cerveau ........ 0,01166 ld........~, Renflement d'un fi
proché de celui de l'homme. Entre ces deux points, j'ai coordonné les cerveaux de la manière qui m'a paru la plus favorable à le
m'a obligé de placer ces animaux à la suite de ceux qui n'ont sur le cerveau que des dépressions plus ou moins profondes; aprè
es groupes; si la facilité de faire comprendre la description de leur cerveau ne m'avait été nécessaire pour éclairer la descri
eur cerveau ne m'avait été nécessaire pour éclairer la description du cerveau des herbivores, je les aurais placés à part et ap
uivant l'ordre que j'ai établi. II y a une filiation directe entre le cerveau des rongeurs et celui des herbivores, des piscivo
rongeurs et celui des herbivores, des piscivores et des omnivores. Le cerveau des carnivores a un type particulier qui le place
ores, il n'en faudra rien induire contre l'analogie d'organisation du cerveau et la nature des facultés intellectuelles. Cette
pparence de danger. Le lynx ou loup cervier est avide du sang et du cerveau des animaux dont il s'empare, il abandonne le res
rait également, d'après l'observation de Temming (1), quoique pour le cerveau , il soit tout-à-fait semblable aux chats comme on
es carnivores, mais cela tient à ce qu'ils sont friands du sang et du cerveau des animaux , et que, pour satisfaire cette frian
est rassasié; la fouine qui suce le sang des poules et leur mange le cerveau , ne se rassasie qu'après en avoir tué plusieurs,
xtérieure, entre les renards et les chats. J'ai dit en parlant de son cerveau qu'on y trouve des caractères du cerveau du renar
. J'ai dit en parlant de son cerveau qu'on y trouve des caractères du cerveau du renard et des caractères du cerveau de la foui
'on y trouve des caractères du cerveau du renard et des caractères du cerveau de la fouine : j'aurai à parler des rapports qui
du cerveau de la fouine : j'aurai à parler des rapports qui lient le cerveau de la fouine à celui du chat : c'est ce que je fe
plus que la conformation de ses organes extérieurs, pas plus que son cerveau . Ici se termine la série des animaux carnivores
les caractères ; or, pour arriver là, il faut, après avoir groupé les cerveaux , grouper les intelligences, afin de découvrir que
baies de guy et du suc des plantes ombellifères. Je n'ai pas vu le cerveau du vampire ; mais j'ai vu le moule de celui de la
, en raison de la nature de l'instinct de cet animal, de comparer son cerveau avec celui de la chauve-souris ordinaire. 5e gr
e des animaux qui ont de la chair et du sang. » Je dirai en quoi le cerveau de l'unau et de l'aï ressemble à celui du castor.
si, dans la tête du cabiai et dans celle du rat-d'eau, il y aurait un cerveau conformé de la même manière que celui de la loutr
quand je comparerai les facultés du chevreuil aux circonvolutions du cerveau de cet animal. « Le chevreuil a plus de vivacit
ns les parties inférieures-postérieures et inférieures-antérieures du cerveau , tandis que les facultés, dont l'homme jouit excl
t supérieures-antérieures du frontal (1) ». Il suit de là, que ce les cerveaux des animaux ne sont que des fragmens du cerveau h
it de là, que ce les cerveaux des animaux ne sont que des fragmens du cerveau humain. » (2) L'auteur de cette doctrine, Gall
ain. » (2) L'auteur de cette doctrine, Gall qui dit avoir étudié le cerveau des mammifères, depuis la musaraigne jusqu'à l'él
missions bien inexplicables; il a négligé, par exemple, de décrire le cerveau des animaux; il n'a pas déterminé la valeur, l'id
ons, chez les animaux qui en sont pourvus; il n'a pas désigné sur les cerveaux , mais seulement sur les crânes, la place de chaqu
Gall; mais comme Gall avait la prétention de faire une physiologie du cerveau et non pas une crânioscopie, il devait ne s'occup
âne que d'une manière accessoire, et fixer toute son attention sur le cerveau . Ce vice dans la méthode que Gall a adoptée, ou
la part d'un de ses sectateurs (3), (1) Gall, Sur les fonctions du cerveau et sur celles de chacune de ses parties, Paris, 1
t jamais chez ceux qui n'en ont pas, et déterminer le point précis du cerveau qui correspond à la saillie du crâne; mais il ne
ale externe du lobe cérébral; plus ils sont développés, plus aussi le cerveau est élargi latéralement. Le courage est au-dessus
li-que (3). Le développement de chacun de ces organes élargit donc le cerveau soit au-dessus, soit en avant, soit en arrière de
u soit au-dessus, soit en avant, soit en arrière de l'oreille, et les cerveaux les plus larges sont ceux qui possèdent la ruse,
en consulter le tableau que j'ai dressé de l'élargissement comparé du cerveau , chez les mammifères, on verra qu'en suivant les
s, on verra qu'en suivant les principes de Gall, le marsouin ayant le cerveau plus large que tous les animaux inscrits sur le t
nt et mordait les barreaux de sa cage. Ils sont morts; j'ai mesuré le cerveau de chacun d'eux, et par une singulière fatalité,
'eux, et par une singulière fatalité, le renard très méchant, avaitle cerveau un peu moins large que le renard timide! Comme
s phrénologistes sont d'ordinaire assez peu au courant de la forme du cerveau des animaux, il m'est arrivé d'en faire tomber pl
nité de leur doctrine. Je leur présentais, l'un à côté de l'autre, un cerveau de loup et un cerveau d'âne (le cerveau du loup e
Je leur présentais, l'un à côté de l'autre, un cerveau de loup et un cerveau d'âne (le cerveau du loup est élargi en arrière e
s, l'un à côté de l'autre, un cerveau de loup et un cerveau d'âne (le cerveau du loup est élargi en arrière et sur les côtés, p
à l'évidence du résultat qui en découle? Ensuite, je leur montrais un cerveau d'une forme analogue à celui du loup, mais encore
et je disais à mon tour : Que pensez-vous de l'animal porteur de ce cerveau ? Il était de toute évidence, phrénologiquement pa
était de toute évidence, phrénologiquement parlant, que le porteur du cerveau élargi était plus carnassier, ou plus rusé, ou pl
ment, ce dont il est permis de douter, je dirai que la comparaison du cerveau du chevreuil avec celui du chamois, celui du rat
e démontrer l'exactitude, et nulle part il n'indique quel est, sur le cerveau de l'orang-outang (3) et des guenons, l'organe de
3) V. l'atlas de l'ouvrage de Gall, pl. xxxiv, où sont représentés le cerveau de l'orang-outang et celui du papion ; mais sans
nre de distraction attribuer ce passage de Gall. Le serpent aurait le cerveau conformé, quant à l'organe de la circonspection,
rconspection, de la même manière que les grands généraux! La forme du cerveau du serpent boa, du python et de la plupart des au
, du python et de la plupart des autres serpens, ressemble à celle du cerveau des tortues; celle du cerveau des couleuvres et d
es autres serpens, ressemble à celle du cerveau des tortues; celle du cerveau des couleuvres et des vipères, ressemble à celle
celle du cerveau des couleuvres et des vipères, ressemble à celle du cerveau des lézards et des crocodiles, et n'a pas le moin
rds et des crocodiles, et n'a pas le moindre rapport avec la forme du cerveau des chefs d'armée. « La loutre et la fouine, co
utre, l'élargissement de la partie postérieure de la tête et celui du cerveau , dans la même région, sont en effet très considér
le preuve qu'il ne faut pas, à l'exemple des phrénologistes, juger du cerveau par le crâne, ni prétendre apprécier le volume de
ses, ason siège, suivantGail, dans la partie antérieure-inférieure du cerveau , immédiatement au-dessus des orbites (2). ce Les
nifeste avec les indications qui seraient tirées de la comparaison du cerveau du renard avec celui du cheval. Les ruminans el l
tendues, masquent plus ou moins complètement, la partie antérieure du cerveau . Gall cite les jeunes animaux comme étant plus
onvaincre à la simple inspection. La surface antérieure-inférieure du cerveau est plus large de la moitié ou même des deux tier
chien. Il m'est arrivé plusieurs fois, en montrant ma collection de cerveaux à des phrénologistes, de leur présenter en même t
de cerveaux à des phrénologistes, de leur présenter en même temps un cerveau de chien de berger et un cerveau de mou-ion, en l
, de leur présenter en même temps un cerveau de chien de berger et un cerveau de mou-ion, en leur disant : ce Des deux animaux
utre, montrez-moi le conducteur. » Tous, sans hésiter, ont désigné le cerveau du mouton. Et ils étaient conséquens en agissant
rveau du mouton. Et ils étaient conséquens en agissant ainsi; car, le cerveau du mouton est, à sa partie antérieure, bien plus
andeur du front n'indique le développement de la partie antérieure du cerveau que d'une manière très imparfaite; il y a des cer
e antérieure du cerveau que d'une manière très imparfaite; il y a des cerveaux à partie antérieure bien développée, qui sont cac
qui sont cachés derrière les fosses nasales; pour les distinguer des cerveaux étroits et comme effilés, il faut les extraire du
nt pas l'habitude d'étudier dans cette direction : ce ne sont pas des cerveaux qu'ils étudient, mais seulement des crânes, et qu
sse du crâne. Ceux d'entre eux qui ont pris, avec tant de candeur, le cerveau du mouton pour celui du chien, cultivaient la phr
ué que certains de la fidélité avec laquelle le crâne-se moule sur le cerveau , ils avaient négligé l'étude du cerveau, et s'é
le le crâne-se moule sur le cerveau, ils avaient négligé l'étude du cerveau , et s'étaient arrêtés à considérer les formes de
veur d'un mammifère, c'est en faveur du chien. Eh bien! le chien a le cerveau beaucoup moins large que le mouton, l'âne et le b
région où Gall a placé l'organe de la musique. Et si l'on compare le cerveau de ces herbivores à celui des oiseaux chanteurs q
d'épreuve, et j'ai parlé de deux renards dont je conserve encore les cerveaux ; l'un était (0 O/i, cil,, t. v, p, ïïs3, • i
a construction, parce que les rongeurs, ainsi que les oiseaux, ont le cerveau lisse ou à-peu-près; mais si, comme on peut le dé
la construction, cet organe existe à l'angle externe et antérieur du cerveau qui est en effet très marqué chez le castor (3),
n effet très marqué chez le castor (3), une forme analogue à celle du cerveau du castor devra se rencontrer chez tous les anima
ons ou au moins se creusent des terriers. Eh bien! au lieu d'avoir le cerveau élargi en avant, ils l'ont au contraire, fort rét
'aï, cet animal si bête qui vit accroché à des branches d'arbre, a le cerveau élargi en avant d'une manière qui ressemble assez
186. (2) ld.. id., p. 187. (3) Y. pl. 11 de l'atlas, la figure du cerveau du castor. (4) Ibid., pl. x. plus positives q
e Gall se compose presque exclusivement de crânes; on y voit quelques cerveaux moulés, mais seulement quelques-uns. Il s'y trouv
ux moulés, mais seulement quelques-uns. Il s'y trouve deux modèles de cerveaux de chien, et à la partie antérieure de la troisiè
venir à l'observation attentive des faits, à l'analyse anatomique des cerveaux , et en voyant que les phrénologistes paraissaient
nt jusqu'aux plus minutieux détails de la conformation du crâne et du cerveau chez les plus petits animaux vertébrés; et rien n
a été si infidèle, que sur la planche qui doit représenter la base du cerveau de l'homme (3), il a, servile imitateur du burin
able confusion dans l'exposition de la doctrine, en ce qui regarde le cerveau et les facultés de l'h#mme. Quant aux mammifère
l'h#mme. Quant aux mammifères dont M. Vimont a fait représenter le cerveau , le burin l'a moins mal servi, et plusieurs cerve
it représenter le cerveau, le burin l'a moins mal servi, et plusieurs cerveaux , notamment celui du chat, celui du chien et celui
ce n'est pour quelques-uns. J'ai démontré que les circonvolutions du cerveau des chats sont en même nombre que celles du cerve
irconvolutions du cerveau des chats sont en même nombre que celles du cerveau des chiens, et qu'il est très facile de retrouver
quatrième, se continue d'avant en arrière, dans toute la longueur du cerveau . M. Vimont a placé sur celle du chien les chiffre
hat, et un seul sillon* le sillon crucial, sépare le chiffre 1 sur le cerveau du chien, des trois autres chiffres 6, 7, 9. Si c
? pourquoi pas moins? et pourquoi des chiffres différens sur les deux cerveaux . La même circonvolution serait-elle formée par la
ligatoire. M. Vimont trouva que chez les animaux herbivores « dont le cerveau est allongé, l'organe n'est pas extrêmement saill
nçai à tirer parti de ma découverte sur la différente conformation du cerveau et du crâne , chez les frugivores, et chez les ca
té. La même faculté coïncide avec une con- (i) Sur les fonctions du cerveau . Paris, 182$ , t. iv? p. 64 et suiv. formation
e de la vénération ; M. Dumoutier en a indiqué le siège précis sur le cerveau de l'homme ; on le trouve sur une portion de circ
emblance parfaite avec l'organe de la vénération que l'on voit sur le cerveau d'homme, modelé par M. Dumoutier. J'ai opposé ce
e intelligente ou l'esprit, au frontal, ou plutôt dans les parties du cerveau correspondantes à ces os. Et localisant davantage
e l'occipital, la faculté de concevoir et déjuger, dans la portion du cerveau située sous la moitié inférieure des pariétaux et
manquent de front, on ne trouve en avant que la portion orbitaire du cerveau et la foi, la confiance dont elle est le siège, m
er, les colonnes antérieures de la moelle épinière se rendent vers le cerveau et forment les faisceaux inférieurs de la moelle
apport parfait avec la direction des fibres de la moelle et celles du cerveau . Par l'intermédiaire des cordons antérieurs, la
Par l'intermédiaire des cordons antérieurs, la sensation arrive au cerveau , et la perception s'y opère : la mémoire des sens
étrécit beaucoup, et l'occipital cesse de recouvrir aucune portion du cerveau . Du peu de développement de l'os frontal chez l
; puisqu'elle explique l'amour maternel des singes par la saillie du cerveau en arrière, il est clair que l'organe de la philo
, il est clair que l'organe de la philogéniture n'existe pas quand le cerveau ne se porte pas en arrière, quand il ne recouvre
ement le cervelet1, et que l'angle supérieur de l'occipital manque au cerveau ? L'organe manque, donc la faculté manque, donc le
éphant est au contraire celui qui a le plus d'intelligence : entre le cerveau de ces deux animaux, une différence énorme. Au pl
e le cerveau de ces deux animaux, une différence énorme. Au plus gros cerveau , la plus grande intelligence ; au plus petit, la
us pourrions trouver des animaux de transition tant pour le volume du cerveau , que pour le développement de l'intelligence. Mai
'exceptions n'aurions-nous pas à cette loi ? Le chien n'a pas plus de cerveau que le mouton, et il en a moins que le bœuf; tous
e lapin. Dans le poids de l'encéphale se trouve compris le poids du cerveau , celui du cervelet et celui de la moelle allongée
...........,......... 321 Le poids comparé de la moelle épinière au cerveau , et celui de la totalité de la masse encéphalique
sible, à moins d'une différence très notable dans le poids comparé du cerveau , de prononcer qu'un animal est plus intelligent q
mérite d'être prise en grande considération. La partie antérieure du cerveau des herbivores, solipèdes, ou ruminans, est plus
lupart des autres animaux. Tous ceux qui ont la partie postérieure du cerveau reposant sur le cervelet et recouvrant cet organe
t de la découvrir. La forme générale des circonvolutions divise les cerveaux des mammifères en trois groupes. Dans le premier
, celle des martes et celle des cochons, mammifères omnivores dont le cerveau a des circonvolutions sinueuses et des circonvolu
ncerne ces ondulations, il y a même des différences individuelles. Le cerveau du renard ressemble à celui du loup, celui du lou
à celui du loup, celui du loup à celui du chien de berger : ces trois cerveaux ont le même type fondamental. Le cerveau du barbe
chien de berger : ces trois cerveaux ont le même type fondamental. Le cerveau du barbet, du caniche et des autres chiens qui vi
les détails; les lignes ont perdu de leur régularité; ce n'est ni un cerveau d'herbivore, ni même un cerveau dont les ondula-l
du de leur régularité; ce n'est ni un cerveau d'herbivore, ni même un cerveau dont les ondula-lions approchent de celles de l'o
l'ours. Du reste, on n'y retrouve pas la même régularité que dans le cerveau du chien de berger. Chez les ruminans, un fait
à l'homme; elle vit dans la société des autres chèvres. Eh bien ! le cerveau du chevreuil est bien moins subdivisé et bien moi
bien moins subdivisé et bien moins ondulé que celui de la chèvre. Le cerveau du moufflon est aussi subdivisé, mais il m'a paru
ne ces subdivisions; j'ai vu de petits chiens caniches qui avaient le cerveau plus ondulé que ne l'est celui du chien de berger
nglier, a des lignes plus régulières que le sanglier, à la surface du cerveau . Au reste, la présence des ondulations cérébral
l'étendue de l'intelligence? En prenant pour type de la perfection du cerveau des mammifères, celui de l'éléphant, qui est de t
en apparence, une règle de quelque valeur pour mettre en harmonie les cerveaux et les intelligences; mais, en ne considérant mêm
s cerveaux et les intelligences; mais, en ne considérant même que les cerveaux des herbivores, cette règle serait soumise à plus
aussi bien sur la partie antérieure que sur la partie postérieure du cerveau . La multiplicité des ondulations augmente l'éte
La multiplicité des ondulations augmente l'étendue de la surface du cerveau ; or, ainsi que nous venons de le voir, cette surf
me plus que l'homme; mais, comme, relativement au volume du corps, le cerveau du dauphin est moindre que celui de l'homme de la
tres singes. fc 4° Les chiens, qui ont des sillons plus nombreux au cerveau que n'en ont les chats, remportent sur les chats
tés, les tatous, les paresseux, les rongeurs n'ont pas de plis à leur cerveau ; ils sonl moins intelligens que les chiens et le
llectuelles, dans des circonvolutions séparées, en considérant que le cerveau de l'ours qui vit de substances végétales et de s
s facultés intellectuelles étaient inhérens à une forme déterminée du cerveau , à une disposition particulière des circonvolutio
au, à une disposition particulière des circonvolutions cérébrales, le cerveau du rat d'eau et celui du cabiai devraient être se
s près que le chien. Long-temps on a comparé les circonvolutions du cerveau aux circonvolutions intestinales; cette comparais
très long, sont en même temps ceux qui ontle plus d'ondulations au cerveau ; tandis que les carnivores qui ont le tube digest
uvelles en est un plus grand, puisqu'il assimile en quelque sorte, le cerveau de trois espèces d'animaux, au cerveau de l'homme
assimile en quelque sorte, le cerveau de trois espèces d'animaux, au cerveau de l'homme; cette addition coïncidant avec un deg
i, car une espèce de singes incomplets, les makis, ont un rudiment du cerveau du singe, dans lequel on trouve les circonvolutio
nnent cette supériorité des circonvolutions supplémentaires dont leur cerveau s'est enrichi ; mais les chevaux et les chiens, p
at physique et l'état psychique de cet animal ; il imprime même à son cerveau quelques changemens organiques, mais il ne le tra
lques changemens organiques, mais il ne le transforme pas en un autre cerveau ; quoique faisant naître dans le chien des facult
cultés que la nature ne lui avait pas réservées, il n'a pas changé le cerveau de cet animal en un cerveau de singe ou d'éléphan
avait pas réservées, il n'a pas changé le cerveau de cet animal en un cerveau de singe ou d'éléphant. Plus on étend ses obser
ins intelligent que le papion, n'a, on peut le dire, qu'un embryon du cerveau du papion ; celui-ci n'a, à son tour, qu'un embry
yon du cerveau du papion ; celui-ci n'a, à son tour, qu'un embryon du cerveau de l'orang-outang. A tous trois les mêmes circonv
. Les ondulations sont donc un signe certain de perfection? A côté du cerveau de l'orang-outang mettez celui du chien et celui
uverons-nous dans les modifications de la forme et de la structure du cerveau , la cause qui fait varier à l'infini, dans la sér
facultés de l'intelligence. RÉSUMÉ. 1. Gall n'ayant pas décrit le cerveau des animaux n'a indiqué que sur les crânes la pla
s posés par Gall relativement aux rapports que les circonvolutions du cerveau ont avec les os du crâne, il faut admettre ou que
ue le loup. 6. Aucune disposition anatomique soit du crâne, soit du cerveau , ne justifie Gall d'avoir admis, chez les mammifè
l'aï. 11. Les organes cérébraux indiqués sur les crânes ou sur les cerveaux , par M.Vimont, n'ont aucune détermination précise
ne sont pas accessibles à la crâ-nioscopie. 18. Le volume absolu du cerveau n'est pas clans un rapport nécessaire avec le dév
cervelet, de la moelle allongée et de la moelle épinière, au poids du cerveau . 20. Le volume des nerfs encéphaliques chez les
sposition organique. 22. On peut en dire autant du développement du cerveau , dans le sens de sa hauteur. 23. C'est chez les
23. C'est chez les mammifères les plus intelligens que l'on trouve le cerveau le plus ondulé, mais tous les mammifères intellig
ores qui n'ont pas de circonvolutions cérébrales. 25. On trouve des cerveaux très différens pour la forme, chez des animaux se
3 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
x mollusques précé-dens. Cuvier divise même le ganglion céphalique en cerveau et en cervelet, mais cette distinction n'est pas
te distinction n'est pas suffisamment motivée ( V. t. 1, p. 35). i. Cerveau . 1. Cervelet. 3. Ganglion en patte d'oie. 4.
n petit ganglion situé près de la bouche. 8. Faisceau qui unit le cerveau au ganglion en patte 'd'oie. 9. Faisceau plus l
ÉBRO-SPINAL DES POISSONS, DES REPTILES ET DES OISEAUX. Castor. Le cerveau est lisse; au lieu de circonvolutions, il existe
e la scissure de Syl-vius: la première est parallèle à la longueur du cerveau , la seconde est perpendiculaire. Les parties laté
e ; quant au lobule n. 3, comme il n'en restait pas de trace sur deux cerveaux de castor, les seuls que j'aie pu examiner, ils m
e pu examiner, ils manquent dans les figures 1 et 2. Agouti. Sur le cerveau de cet animal on voit des dépressions plus marqué
, est un peu plus volumineux que les autres. Porc-epic. La forme du cerveau du porc-épic est très remarquable ; elle est pres
quadrilatère et représente, mais d'une manière exagérée, la forme du cerveau du castor. Les dépressions que l'on voit sur ses
bes (fig. ire)nesont pas symétriques. La fig. 2 représente la base du cerveau du même animal. e. INerf ethmoïdal. o. Nerf opt
pathétique. (Le nerf moteur commun des yeux avait été enlevé, sur le cerveau du porc-épic que j'ai fait dessiner, et, comme il
nt de Varole. pa. Pyramide antérieure. Paca. La forme générale du cerveau du paca diffère de celle des cerveaux précédens;
re. Paca. La forme générale du cerveau du paca diffère de celle des cerveaux précédens; elle présente un élargissement latéral
lus l'explication que j'en donne ici. Rat d'eau femelle. (Fig. i,e) Cerveau sans circonvolution , ayant, quant à la forme, de
sans circonvolution , ayant, quant à la forme, de l'analogie avec le cerveau du castor. Fig. 2. Base du cerveau, analogue à
la forme, de l'analogie avec le cerveau du castor. Fig. 2. Base du cerveau , analogue à celle du lapin. Ecureuil. Cerveau d
or. Fig. 2. Base du cerveau, analogue à celle du lapin. Ecureuil. Cerveau dépourvu de toute dépression, et quant à la forme
urvu de toute dépression, et quant à la forme, se rapprochant plus du cerveau de l'agouti que de tout autre. Hérisson. Légère
de l'agouti que de tout autre. Hérisson. Légères dépressions sur le cerveau qui est ici représenté, mais qui n'existent pas t
ules osseuses, et qu'ils en sortent difficilement quand on extrait le cerveau de la cavité crânienne. Fig. 2, Même encéphale
obules blanchâtres ; ce sont les lobul es olfactifs. Ensuite vient le cerveau , divisé en deux lobes symétriques, par un sillon
ituée trop latéralement pour être vue sur cette figure. En arrière du cerveau , le cervelet sur le côté droit duquel on voit une
es circonvolutions supplémentaires , que l'on trouve seulement sur le cerveau de l'homme, de l'éléphant et du singe. Fig. 2. Fa
utions s'étendent en décrivant une courbe, de la partie antérieure du cerveau à sa partie postérieure :1a ligne ponctuéeS qui l
rconscrivant la partie inférieure du quatrième ventricule. Loup. Ce cerveau est celui d'un gros loup mâle : tous les objets d
ution orbitaire est double. La ressemblance qui existe entre ces deux cerveaux , autorise à dire que celui du loup est un gros
re ces deux cerveaux, autorise à dire que celui du loup est un gros cerveau de renard. Chien de berger, mâle. Fig. re. J'ai c
ros cerveau de renard. Chien de berger, mâle. Fig. re. J'ai choisi le cerveau du chien de berger, parce qu'il est plus semblabl
oisi le cerveau du chien de berger, parce qu'il est plus semblable au cerveau du renard et du loup que celui des autres chiens.
eure. En avant, une saillie ponctuée, c'est le lobe olfactif; puis le cerveau divisé en deux parties symétriques par un sillon
r la même planche, chez le lion et la panthère. Un autre caractère du cerveau des chats, c'est l'angle que forme, en arrière et
ig. i , et moins à gauche; elle est indiquée chez la panthère: sur le cerveau du lion, elle n'existe pas du côté droit, tandis
ure de chaque lobe cérébral, et suivre l'analogie qui existe entre le cerveau du chat et celui du renard, il faut considérer at
de circonvolution, l'autre par la troisième et la quatrième. Ainsi le cerveau de la famille des chats constitue une transition
amille des renards et celui de la famille des moutons. Panthère. Le cerveau de cet animal est semblable à celui du chat : les
phoque, le marsouin; mais plus que chez les renards et les chats : le cerveau a des circonvolutions ondulées , et au nombre de
et de la quatrième circonvolution, et placé à la partie supérieure du cerveau , de nombreuses ondulations le différencient essen
s chats, et le rapprochent de celles du mouton : c'est donc encore un cerveau de transition ; il se place naturellement entre l
e présente seule de légères dépressions, vers la pointe antérieure du cerveau . Fouine. Trois circonvolutions. En avant, la ci
le coati, et l'on en trouve des traces chez tous les animaux dont le cerveau est pourvu de circonvolutions. Coati brun. La p
es sont beaucoup plus ondulées et plus divisées que toutes celles des cerveaux que nous avons vus jusqu'ici. Fig. ire face supér
utions 2 et 3 distinctes l'une de l'autre dans toute leur étendue. Le cerveau des renards, des chats, celui de l'ours, du coati
rrondies, ponctuées : ce sont les éminences olfactives. Puis vient le cerveau ayant des circonvolutions très ondulées, et qui s
générale, de la circonvolution que l'on voit à la face supérieure du cerveau de Fours brun. S. La ligne ponctuée qui coupe t
u de Fours brun. S. La ligne ponctuée qui coupe transversalement le cerveau en deux parties inégales, indique la hauteur à la
acée au point de jonction des unes et des autres. Les deux côtés du cerveau sont presque symétriques. De chaque côté de la li
t semblable à celle qui se trouvait dans l'endroit correspondant d'un cerveau humain que les phrénologistes ont modelé, et sur
ueuse que la première, se portant à l'angle externe et antérieur du cerveau où elle répète ce que, chez l'homme, les phrénolo
ssure de Sylvius ; il faut les étudier sur la figure 3. En arrière du cerveau , on voit le cervelet qui, comme chez presque tous
deux autres, nées dans le même point, à l'extrémité postérieure du cerveau , s'avancent, flexueuses jusqu'à la scissure de Sy
la scissure de Sylvius, oùellesse réunissent au point marqué + sur le cerveau du bœuf (Pl. VIII, fig. a). La réunion continue j
ion du bel esprit. fr. Os frontal, se prolongeant en arrière sur le cerveau , beaucoup plus que chez l'homme. pa. Os pariéta
occipital ne recouvrant que le cervelet et ne s'avançant pas jusqu'au cerveau . Les chiffres , . comme dans la figure précédente
utefois chez le singe et chez l'éléphant qui, sous ce rapport, ont le cerveau conformé de la même manière que l'homme. En voyan
ont le cerveau conformé de la même manière que l'homme. En voyant le cerveau du mouton, on est d'abord frappé de la flexuosité
irconvolutions continues d'avant en arrière dans toute la longueur du cerveau ; sur la fig. 3, il en sera de même, et sur la fig
qu'il y a quatre circonvolutions en arrière de la face extérieure du cerveau , c'est-à-dire autant que chez le renard, et les l
onvolutions se réunissent en deux groupes, le groupe externe, dont le cerveau du chat nous a déjà présenté un rudiment, le grou
ur, dont l'analogue existe chez l'ours. Les points marqués 4-sur le cerveau du bœuf (fig. i et 2 , pl. VIII), indiquent la jo
rapprocher, faites-leur décrire un demi-cercle, vous aurez presque un cerveau de renard (Pl. IV, fig. 2.). Oubliez toutes vos
z que ce qui existe réellement, il vous reste à la face extérieure du cerveau du mouton , deux groupes de circonvolutions allon
dont il s'est agi jusqu'à présent, groupe qui se place en travers du cerveau , coupant en deux moitiés les circonvolutions anté
déparier. Chez le mouton, le frontal s'étend sur une grande partie du cerveau , le pariétal recouvre une portion a#ssez restrein
'à lui; tandis que chez l'homme, par exemple, la partie supérieure du cerveau ayant acquis des circonvolutions nouvelles, et ce
bœuf, laisse à peine quelque trace de son existence. S. Division du cerveau en partie antérieure et en partie postérieure ; l
on des deux circonvolutions postérieures externes. La face externe du cerveau du bœuf présente donc une double circonvolution e
le du bœuf, vu par sa face interne. A. Circonvolution antérieure du cerveau . Les quatre divisions de la circonvolution A, sit
lettres indiquent les mêmes parties que dans la figure précédente. Le cerveau du cheval est plus arrondi et plus élevé, en haut
lleux, est plus considérable que celle qui est située en arrière ; le cerveau recou- SUITE DE LA FAMILLE OES MOUTONS. vre l
. c. Sillon crucial, dont on retrouve l'analogue sur presque tous les cerveaux des mammifères : ce sillon est très bien marqué d
nt donné pour siège la vénération et la théosophie. En comparant le cerveau du chevreuil, avec le cerveau du mouton et celui
ion et la théosophie. En comparant le cerveau du chevreuil, avec le cerveau du mouton et celui du daim, du cheval, du bœuf, e
volution , se faire à l'endroit marqué par une flèche oblique, sur le cerveau du daim. Sous le rapport des circonvolutions, l
ue, sur le cerveau du daim. Sous le rapport des circonvolutions, le cerveau du chevreuil est le plus simple de tous ceux des
e plus simple de tous ceux des ruminans et des solipèdes ; les autres cerveaux en sont comme des exemplaires perfectionnés. Fi
t les mêmes objets que dans les figures précédentes. La simplicité du cerveau de chevreuil comparée à celui du mouton (pl. VI
eux que chez le chevreuil, les quatre circonvolutions postérieures du cerveau , et l'on y remarque des sous-divisions et des ond
ions et des ondulations nom* breuses. Cochon tonquin. Lobe droit du cerveau . S. Scissure de Sylvius ayant une obliquité ana
volutions voisines que par sa partie antérieure. Sur le lobe droit du cerveau du sanglier, on voit la circonvolution correspond
que, le pécari présentent la même circonvolution. Le lobe gauche du cerveau du sanglier que j'ai fait représenter, présente,
seconde circonvolution, ce qui est un point de ressemblance entre ce cerveau et celui des moutons. Sanglier. Encéphale vu pa
quent, comme les précédentes, des incisions complètes à la surface du cerveau , mais des communications placées dans l'intérieur
rds du sillon 1, à la circonvolution voisine. Tout-à-fait en avant du cerveau est une saillie de la circonvolution interne I qu
les circonvolutions des autres mammifères, il faut étudier plusieurs cerveaux de phoque. Le cervelet des phoques est très vol
é au-dessous du lobe latéral. Fig. 2. Face interne du lobe droit du cerveau . si, si. Sillon qui sépare la circonvolution in
Circonvolution interne. 1. b. Lobe d'hippocampe. Ici on voit que le cerveau est plus développé en arrière qu'en avant du corp
en arrière qu'en avant du corps calleux , ou peut aussi juger que le cerveau du phoque est plus élevé que celui du cheval, du
à la troisième, et vous aurez l'un des groupes des circonvolutions du cerveau des ruminans et des so-lipèdes. PLANCHE QUATORZ
des so-lipèdes. PLANCHE QUATORZIÈME FACE EXTERNE DU LOBE DROIT DU CERVEAU DE L'ELEPHANT DES INDES. S. S. Scissure de Sylv
ons sus-orbitaire. Le soin que j'ai eu de faire reproduire tous les cerveaux qui composent cet atlas dans leurs véritables dim
las dans leurs véritables dimensions, permet de comparer le volume du cerveau de l'éléphant, à celui de l'homme et à celui des
mme et à celui des animaux. Aucun animal, pas même la baleine, n'a le cerveau aussi gros que l'éléphant ; l'homme lui-même est
même est inférieur à cet animal non-seulement pour le volume total du cerveau , mais pour le nombre , l'amplitude et les ondula
pariétal est des trois, celui qui recouvre la plus grande étendue du cerveau et c'est au-dessous de lui que se trouvent les ci
ndo, se subdivise et se prolonge jusque vers la partie postérieure du cerveau , où elle s'unit au prolongement de la circonvolu
sept mois, ot ayant vécu quelques jours. Fig. i. Face supérieure du cerveau . Lobe gauche. I. A., IL A., III. A. Première, s
exactement semblable à celle du côté opposé. Fi«. 2. Lobe droit du cerveau . S. S. Scissure de Sylvius , dont la direction
et celles de l'homme adulte ou du vieillard. Fig. 3. Lobe droit du cerveau vu par sa face interne. 1,1,1. Circonvolution i
ement que la circonvolution S'S' envoie vers la partie postérieure du cerveau . [Pli supérieur de passage.) PP. Circonvolution
c soin son intelligence; on peut remarquer, en effet, que les plis du cerveau , qui est représenté ici, sont d'une extrême simpl
i, sont d'une extrême simplicité, si on les compare à ceux des autres cerveaux adultes figurés par Leuret. Ce cerveau, d'ailleur
les compare à ceux des autres cerveaux adultes figurés par Leuret. Ce cerveau , d'ailleurs, est énormément affaissé sur sa base,
e qu'on ne peut tirer de sa forme aucune induction légitime. (2) Ce cerveau donne lieu à quelques remarques qu'on trouvera da
ancheXX. PLANCHE VINGTIÈME. CHARRUAS ADULTE. — FACE SUPÉRIEURE DU CERVEAU . — ENFANT BLANC. MÊME FACE Fig. \. Charruas adu
— ENFANT BLANC. MÊME FACE Fig. \. Charruas adulte. — La forme de ce cerveau se rapproche au premier abord des conditions les
ication de la figure \ convient à celle-ci. N.B. L'âge précis de ce cerveau n'a point été indiqué par Leuret. Son volume est
e), v. n. Quatrième ventricule. CHARRUAS ADULTE. FACE INFÉRIEURE DU CERVEAU . — ENFANT. FACE LATÉRALE INTERNE DE L'UNE DES M
ENCÉPHALE DE F1ESCHI. Fig. \. Face supérieure. ig. 2. Profil du cerveau N.B. Il est fort à regretter que Leuret n'ait p
es particulières, l'encéphale de ce criminel fameux. Si la forme du cerveau n'a point été altérée, il offre les conditions d'
PLANCHE VINGT-QUATRIÈME STRUCTURE DE LA MOELLE, DU CERVELET ET DU CERVEAU . CERVEAU D'UN MICROCÉPHALE HUMAIN, COMPARÉ A CELU
VINGT-QUATRIÈME STRUCTURE DE LA MOELLE, DU CERVELET ET DU CERVEAU. CERVEAU D'UN MICROCÉPHALE HUMAIN, COMPARÉ A CELUI D'UN OR
bâtonnets de la rétine. Fig. 5. Structure de la couche corticale du cerveau (d'après M. Baillarger). a. Premier système, fo
e. c. Troisième système pareillement constitué, Fig. 4. Profil du cerveau d'une fille microcéphale âgée de 4 ans (donné par
sage. Ces quatre plis sont superficiels, ce qui est le caractère du cerveau humain. m. Quatrième paire. n. Cinquième paire,
me pli de passage. /. Quatrième pli de passage. Fig. 6. Profil d'un cerveau d'un troglodyte Chimpanzé. (Extrait du même ouvra
noyau. La bandelette optique a été enlevée du coté droit. D'après le cerveau du Papion (Cynoceplialus spliynx), grossi. à. F
ui de cet éventail se porte dans le corps calleux au côté opposé du cerveau . g. Plan qui du côté opposé de l'axe se porte p
res directes. Fig. 5. Cette figure représente la face inférieure du cerveau d'un Papion. A droite l'étage du ventricule latér
roite l'étage du ventricule latéral a été ouvert, pour STRUCTURE DU CERVEAU DU PAPIÓN (SUITE). montrer les rapports du nerf
y. Genou postérieur du corps calleux. Fig. 5. Coupe verticale du cerveau du Papion, pratiquée en travers au-devant des lob
. c. Vermis latéral. Cette planche représente le développement du cerveau humain à partir du milieu du troisième mois. Elle
4. Fœtus d'environ deux mois et demi, donné par M. le I)1 J. Lemaire: cerveau vu en arrière. C. C. Lobes latéraux du cervelet
raux, semblables encore à deux vésicules creuses. Fig. 2. Profil du cerveau d'un fœtus de vache, représenté à une époque où l
s primitives de l'axe sont complètement effacées. Fig. 5. Profil du cerveau déjà représenté fig. \, les hémisphères ne recouv
cet âge les courbures primitives de Taxe subsistent encore. Fig. 4. Cerveau d'un fœtus âgé d'environ 4 4 semaines (face infér
au lobe frontal, l'autre au lobe sphé-noïdaL Fig. 5. Profil du même cerveau . B. Bulbe. C. Grand lobe latéral du cervelet.
ntes mais s'effacent manifestement. Fig. 6. Face supérieure du même cerveau . B. Bulbe. V. N. Ouverture du quatrième ventr
e vésiculeux mais ayant acquis une amplitude remarquable. Fig. 7. Cerveau d'un fœtus âgé d'environ quatre mois et demi (don
'être qu'un prolongement de l'hémisphère. E. F. Extrémité frontale du cerveau . E. 0. Son extrémité occipitale. Fig. 8. Profil
du cerveau. E. 0. Son extrémité occipitale. Fig. 8. Profil du même cerveau . B. Bulbe. C. Cervelet latéral, parfaitement
tard les plis inférieurs de passage. N.B. On peut remarquer que ce cerveau , bien qu'à peu près lisse, a déjà recouvert et dé
a forme définitive sont déjà acquis. Fig. 9 Face supérieure du même cerveau . E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0
e est encore sensible au moment de la naissance. Fig. 40. Profil du cerveau d'un fœtus âgé de cinq mois et demi environ (donn
actère de plis. Une autre remarque importante est que tandis que le cerveau l'emporte énormément sur le cervelet par sa grand
gré de dével ppement des détails de sa surface. Fig. 4 4. Profil du cerveau d'un Saïmiri adulte. E. F. Extrémité frontale d
A. Lobule auriculaire du cervelet. Fig. 42. Face supérieure du même cerveau . E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0
e indiqués par la présence d'un sillon. Fig. 45. Face inférieure du cerveau d'un fœtus âgé d'environ six mois (donné par M. R
obule orbi-taire d'avec le lobule frontal. Fig. 4 4. Profil du même cerveau . E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E.
me fosse de Sylvius encore béante. Fig. \5. Face supérieure du même cerveau . E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0
. C. Pli courbe. PLANCHE TRENTIEME. DÉVELOPPEMENT ET STRUCTURE DU CERVEAU DU FŒTUS. Fig. \. Face inférieure du cerveau d'
PEMENT ET STRUCTURE DU CERVEAU DU FŒTUS. Fig. \. Face inférieure du cerveau d'un fœtus âgé d'environ six mois et demi (donné
H. Lobe sphénoïdal. N. OP. Nerfs optiques. Fig. 2. Profil du même cerveau . E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E. 0
CL. Cervelet latéral. T. Touffe. Fig. 5. Face supérieure du même cerveau . E. F. Extrémité frontale. E. 0. Extrémité oc
t les deux moitiés n'étaient pas encore réunies sur le plan médian du cerveau . Cette figure fait bien apercevoir les courbure
is on n'aperçoit encore aucune trace du corps calleux. Fig. 5. Même cerveau dans lequel la cavité vési-culaire du ventricule
grise très-épaisse. Fig. 6. Face interne de l'un des hémisphères du cerveau représenté Pl. XXIX, fig. 5. C. Cervelet. L.
ore réunies. C. C. Rudiment originel du corps calleux. Fig. 7. Même cerveau dans lequel l'ensemble du ventricule latéral a ét
Les figures suivantes représentent quelques points de la structure du cerveau d'un fœtus humain âgé d'environ six mois. Fig.
ions du nerf optique dans Thé-mi sphère. Fig. \ 2. Coupe médiane du cerveau du Kanguroo de Bennett. C. G. et V. Corps calle
quadrijumeaux, en sorte qu'il n'a pas de racine cérébrale directe. CERVEAU DU FOETUS ET DE L'ENFANT NOUVEAU-NÉ. Fig. \. Ce
ale directe. CERVEAU DU FOETUS ET DE L'ENFANT NOUVEAU-NÉ. Fig. \. Cerveau d'un fœtus humain d'environ sept mois, vu de prof
ée sur le lobe occipito-sphénoïdal. Fig. 2. Face supérieure du même cerveau . E. F. Extrémité frontale. E. O. Extrémité oc
bule frontal. 3. Étage supérieur du même lobule. Fig. 5. Proûl du cerveau d'un enfant à terme. B. Bulbe. OL. Olive. C.
. Son étage supérieur. Fig. 4. Profil de l'hémisphère droit du même cerveau vu du côté de sa face interne. P. P. Pyramides
ième ventricule. F. P. Faisceau postérieur se prolongeant vers le cerveau . L. L. Masse du cervelet latéral. A. V. Arbre d
triangulaire. L. 0. Lobe olfactif. Fig. 5. Face inférieure du même cerveau . B. Bulbe. P. A. Pyramide antérieure. OL. Oli
P. L. 0. Pli du lobule orbi taire. Fig. 6. Face supérieure du même cerveau . E. F. Extrémité frontale. E. 0. Extrémité oc
F. F. Étage supérieur divisé en deux plis. Fig. 2. Profil du même cerveau . B. Bulbe. 0. Olive. P. V. Pont de Varole.
. C. G. Cervelet latéral gauche. SC C. Grande scissure médiane du cerveau . S. S. Scissure de Sylvius largement béante.
érieur. N. B. Parmi les faits les plus remarquables que présente ce cerveau , je signalerai surtout l'existence simultanée de
tous superficiels, en sorte qu'au milieu de l'atrophie générale de ce cerveau , il ne rappelle point le cerveau des singes, et c
milieu de l'atrophie générale de ce cerveau, il ne rappelle point le cerveau des singes, et conserve ses caractères humains.
et conserve ses caractères humains. Fig. 5. Face inférieure du même cerveau . P. A. Pyramides antérieures du bulbe. 0. 0.
e d'une fosse de Sylvius largement béante. L. S. Lobe sphénoïdal. CERVEAU D'UN MICROCÉPHALE HUMAIN ÂGÉ DE QUATRE ANS. Ce
l. CERVEAU D'UN MICROCÉPHALE HUMAIN ÂGÉ DE QUATRE ANS. Ce curieux cerveau , que je tiens de la généreuse amitié de M. Girald
orps bordant également à découvert. 1 Fig. 4. Coupe médiane du même cerveau , face interne de l'hémisphère gauche. C. Cervel
4 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
es d'après nature et gravées TOME SECOND Comprenant l'anatomie du cerveau de l'homme et des singes, des recherches nouvelle
singes, des recherches nouvelles sur le développement du crâne et du cerveau , et une analyse comparée des fonctions de l'intel
t destiné à compléter le travail de Leuret sur Y Anaiomie comparée du cerveau . Cet habile homme est mort sans achever son œuvre
ui a été jusqu'à présent préférée. Depuis quelque temps l'anatomie du cerveau humain, malgré la glorieuse impulsion qu'elle ava
la classification des plans fibreux qui composent le centre ovale du cerveau paraîtront aux philosophes, être un véritable ach
en voulu encourager mes efforts en me permettant d'examiner plusieurs cerveaux d'idiotes; sans lui cette occasion, si rare pour
autochtones, lisez : autochthones. 324 — 25, ne peut s'appliquer au cerveau , lisez : au cerveau des bêtes. 340 — 17, que su
autochthones. 324 — 25, ne peut s'appliquer au cerveau, lisez : au cerveau des bêtes. 340 — 17, que suit, lisez : qui suit
appartient à la moelle, la sensibilité dépend d'un autre appareil, du cerveau . Le Gallois a rendu, par une comparaison très-p
rieure au tube digestif; mais les organes des sens supérieurs et le cerveau suivraient ce mouvement, ce qui n'a lieu dans auc
oncilier, que le tube digestif, s'engageant entre les deux racines du cerveau , vient dans les invertébrés s'ouvrir au-dessous d
ainsi, pour les besoins de l'hypothèse, comment chez les insectes le cerveau se trouve au côté dorsal du corps. Dugès qui a
iculés et des mollusques traverse le collier « susdit, et pourquoi le cerveau ne se trouve pas à la même « face du corps que la
e segment de la moelle occupera sur le premier anneau la place que le cerveau occupe dans le second; et le ganglion du sympathi
ront une plus grande indépendance relative, et communiqueront avec le cerveau par un plus petit nombre de filets. On peut s'exp
tante de savoir si les gros globules de la substance « grise, dans le cerveau et dans les ganglions, sont ou non unis les uns «
s que les impressions sont transmises des membres postérieurs vers le cerveau , comme cela a lieu dans les expériences de Fodera
a moelle, dans les poissons, fournit quatre prolongements, un pour le cerveau , un second qui devient un nerf sensitif, un trois
stérieurs. Ces faits indiquent assez qu'à mesure que les fonctions du cerveau se développent, l'importance de la moelle en tant
grandit en tant que la moelle est un appareil conducteur, eu égard au cerveau . J'ai essayé de rendre palpable la vérité de ce
s le cas où toutes celles de la région lombaire remonteraient vers le cerveau . On remarquera aussi quelle importance acquièrent
nerveuses des régions postérieures du corps ne remontent pas jusqu'au cerveau , la plupart s'arrêtant dans la moelle épinière, c
donc probable, sinon démontré, que la moelle n'est en rapport avec le cerveau , surtout dans ses parties postérieures, que par l
aux très-épais, désignés par les auteurs sous le nom de pédoncules du cerveau . Chaque pédoncule traverse d'abord un premier n
X, fig. 7). Duncan modifia légèrement cette manière de démontrer le cerveau . « Pour en contempler le dedans, dit-il, pour par
r ce qu'elles contiennent, il faut renverser peu à peu le dessus du « cerveau ou la voûte en devant, après l'avoir bien séparé
de M. Gerdy, sur la disposition annulaire des principaux appareils du cerveau , ont fait faire un nouveau pas sur ce point, et j
rigé vers le bas, et répond à la moelle épinière ; sa base regarde le cerveau . Cette base est d'ailleurs purement idéale, le bu
faisceau postérieur. Tiedemann a indiqué cette disposition d'après le cerveau d'un fœtus âgé de vingt et une à vingt-deux semai
l'adulte il n'en reste que d'assez faibles traces. (t) Anatomie du cerveau , traduite par Jourdan, Paria, 1823, in-8. La pl
tomie pathologique avec planches, t. 1, xv° livre.pl. 5. (2) Sur un cerveau d'idiot microcéphale que je dois à la généreuse a
deux gros cordons divergents. Ces deux cordons sont les pédoncules du cerveau . Leur description, comme celle de tous les organe
ivent de nouvelles fibres, car plus elles s'avancent du bulbe vers le cerveau , et plus leur épaisseur augmente; mais en même te
uverte et comme enveloppée par les couches propres aux hémisphères du cerveau . Une seule partie demeure à découvert, celle qui
gtemps abandonnée. M. de Blainville le considérait comme une sorte de cerveau du système du grand sympathique, et il est certai
le nom de valvule antérieure. Elle est surtout bien apparente dans le cerveau de l'homme, lobe postérieur. Le premier est ren
ron, et une intérieure blanche semblable à la substance médullaire du cerveau . Chacune de ces moitiés contient une petite cavit
y eut des troubles nerveux dus à la compression qu'il exerçait sur le cerveau , mais ces troubles n'avaient rien de commun avec
er se coordonneront aisément dans l'esprit. § 4. Des ventricules du cerveau , de la voûte, de la commissure antérieure, et du
a commissure antérieure, et du corps calleux. I. Des ventricules du cerveau . C'est dans l'intervalle médian qui sépare les de
ésigne, en général, sous le nom de troisième ventricule, répondant au cerveau intermédiaire du fœtus, nous lui donnerons, pour
x expansions latérales répondent à ce que, dans le fœtus, on a appelé cerveau antérieur ; ce sont, à proprement parler, les ven
enclature des parties, dans l'adulte, en correspondance avec celle du cerveau du fœtus, devrait-on les appeler ventricules anté
ué que la forme des ventricules latéraux est le prototype de celle du cerveau tout entier, et par suite du crâne qui doit le co
contenir. Ajoutons que les ventricules cérébraux sont presque tout le cerveau du fœtus. Les parties de la paroi propre du ven
plement. Elle a pour origine deux cordons qui émanent de la base du cerveau , du centre des eminences mamillaires. Ces deux co
de ces noms de penis et de testes, font ressembler la description du cerveau , chez les anciens anatomistes, à celle de quelque
hèses. Les premières fibres du corps calleux se voient à la base du cerveau , au-devant de la valvule qui ferme, en avant du c
la voûte qu'ils constituent, d'abord visible à la face inférieure du cerveau , se recourbe autour des cornes antérieures des ve
élèbre coupe de Willis, la plus belle qui ait jamais été faite sur le cerveau . Le noyau de l'encéphale est au crâne ce que la
ns le crâne. Il est impossible de ne pas voir dans les ventricules du cerveau un épanouissement du tube ventriculaire de la moe
La malheureuse habitude, qui a jusqu'à présent régné, d'étudier le cerveau de la périphérie vers les centres, n'a pas peu
loppement, on a trop négligé d'appliquer à la méthode d'exposition du cerveau , les données fournies par l'observation embryolog
sitions typiques de cet appareil varient beaucoup moins que celles du cerveau proprement dit. Mais si les grandes divisions per
cervelet, dans l'homme adulte, est sept à huit fois plus petit que le cerveau , suivant Valentin. D'après le même auteur, il ser
ès sont d'ailleurs, jusqu'à un certain point, indépendants de ceux du cerveau . Dans une négresse microcéphale, son volume relat
au crâne une forme bizarre. Chez les petits enfants, au contraire, le cerveau dépasse de toutes parts le cervelet, et cet état
aute. Leur développement, en effet, est en raison inverse de celui du cerveau . Us sont fort petits dans Y Homme, dans YOrang, d
aute signification. § 3. Des hémisphères cérébraux en général. Le cerveau est divisé en deux moitiés latérales qu'on appell
de décrire la disposition de leurs plis. Ce n'est point d'après un cerveau adulte qu'on peut se faire l'idée la plus claire
en arrière ; l'inférieure se dirige en avant, et s'ouvre à la base du cerveau entre le lobe frontal et le lobe sphenoidal. Ains
obes s'accroissent beaucoup jusqu'à la naissance ; à cette époque, le cerveau a à peu près acquis sa forme définitive ; toutefo
us développé, à coup sûr, que celui d'un enfant naissant, bien que le cerveau eût à peine les dimensions de celui d'un Chimpanz
issance, le cervelet est relativement beaucoup moins développé que le cerveau , et n'acquiert ses derniers développements que da
r, il peut arriver qu'une cause quelconque arrête le développement du cerveau , sans porter sur le cervelet qui arrive alors à s
i caractérisent plus particulièrement l'âge adulte. Alors même que le cerveau est fort réduit, il s'en faut de beaucoup que le
ont si peu satisfait aux besoins de Y anthropologie. Quand on pèse un cerveau d'Américain, de Chinois, de, nègre, d'homme blanc
l'archée des matières vivantes, sera-t-elle la même, en chacun de ces cerveaux semblables par le poids? La balance, en un mot, n
où la pensée esclave, obscurcie, peut à peine déployer ses ailes, le cerveau pèsera-t-il plus ou moins? Les anatomistes qui co
osses têtes sans esprit qui abondent dans le monde (1). Des plis du cerveau . La surface du cerveau est lisse et polie dans
ui abondent dans le monde (1). Des plis du cerveau. La surface du cerveau est lisse et polie dans le principe, comme elle T
comprenons, sous ce nom face externe, tout ce que l'œil, regardant le cerveau de profil, peut à la fois embrasser. Ce que l'œil
la face interne de l'hémisphère. (1) Suivant Tiedemann, le poids du cerveau d'un Européen mâle adulte varie entre 3 livres 2
vres 2 onces (livre de douze onces) et 4 livres 6 onces. Toutefois le cerveau de Cuvier pesait 5 livres 3 onces 3 gros 29 grain
de 5 livres 4 onces 13 grains. Il n'est pas nécessaire de dire que le cerveau a été trouvé en général très-petit dans les cas d
té trouvé en général très-petit dans les cas d'idiotie congéniale. Le cerveau des femmes est, en général, plus petit que celui
2 livres 8 onces et 3 livres 11 onces. Tiedemann n'a jamais trouvé de cerveau de femme qui pesât 4 livres. Ces mesures pour êtr
une remarque nécessaire; ce n'est pas à proprement parler le poids du cerveau qu'a donné Tiedemann, mais celui de l'encéphale t
de l'hémisphère ; nous l'avons trouvé simple et peu flexueux dans le cerveau d'une femme de la race bojesmane, qui fut célèbre
triques; mais dans l'état normal, le développement excessif auquel le cerveau atteint, dans l'homme blanc, dissimule cette régu
Ce défaut de symétrie prouve qu'entre les deux hémisphères d'un même cerveau il y a moins un rapport de symétrie qu'un rapport
étrie marquée signifiera d'autant plus un défaut d'équivalence que le cerveau sera moins développé dans toutes ses parties. La
ans toutes ses parties. La Vénus hottentote n'était point idiote, son cerveau très-simple relativement, avait des circonvolutio
uable qu'il n'y a aucun rapport semblable entre les autres parties du cerveau et les parties postérieures du crâne. C. Du lob
uable sous plusieurs rapports, est la première qui apparaisse dans le cerveau des singes, et distingue déjà le pli marginal inf
déjà le pli marginal inférieur, dans certaines espèces où le reste du cerveau est absolument lisse. Nous lui donnons le nom de
sillon de Rolando, on peut constater entre les parties antérieures du cerveau une sorte de symétrie. En effet, de même que du p
stérieurs. Cette manière de voir pourrait être appuyée sur l'étude du cerveau du fœtus, dans lequel la scissure de Sylvius est
à aucun résultat bien utile. 11 est plus avantageux de comparer le cerveau de l'homme à celui des animaux qui lui ressemblen
valeur relative de ses différents lobes, en partant de ce fait que le cerveau en général étant l'organe de l'intelligence, on p
ant l'organe de l'intelligence, on peut expérimentalement proposer le cerveau humain comme le type de la perfection la plus éle
que leur développement excessif refoule à l'extrémité postérieure du cerveau . J'insiste ici sur ces faits dont l'importance se
tion matérielle, elle s'appellera intelligence. Dès lors, s'il y a un cerveau , organe de l'intelligence, quelle pétition de pri
fection la plus haute à laquelle un pareil organe puisse atteindre le cerveau du plus intelligent des ûlres? Et pour ne compare
ne comparer l'homme qu'aux animaux qui lui ressemblent le plus, quel cerveau , eu égard à l'intelligence, pourrait l'emporter s
ssez dit. Cf. Dareste. Troisième mémoire sur les circonvolu~ lions du cerveau , dans Ann. des Sciences wi, 4e série, lorn. Ill,
isphères. J'irai plus loin; sans doute le crâne, fait pour loger le cerveau , et préparé pour le recevoir, doit avoir avec lui
ce pas là une chose remarquable, et que ceux qui prétendent palper le cerveau au travers du crâne ne sauraient trop méditer ?
nne un nouvel élément à cette discussion. La commissure antérieure du cerveau , que nous verrons être une commissure des hémisph
x antagonisme que certaines dispositions intimes de l'organisation du cerveau rendent encore plus intéressant. En nous résuma
singes, les phoques, les cétacés. On peut remarquer que les singes à cerveau lisse, tels que les Sagouins et les Ouistitis, l'
ondi du canal qui donne passage au prolongement des pyramides vers le cerveau , leurs bords postérieurs se confondent et n'en fo
suivre avec certitude la continuation des cordons postérieurs vers le cerveau , au delà du calamus. On doit, pour procéder régul
rt, au centre des couches optiques, et de l'autre, jusqu'à la base du cerveau , vers le côté externe des champs olfactifs. Chemi
autre sens, et pour le même motif, et nous supposerons qu'il vient du cerveau vers le cervelet. Dans cette hypothèse, il pourra
ce volume de la protubérance, et le développement des hémisphères du cerveau , quel que soit d'ailleurs le type de son organisa
ncevoir comment, malgré la différence prodigieuse qui existe entre le cerveau de l'homme et celui de l'éléphant, un développeme
rties latérales du cervelet constituent en conséquence le cervelet du cerveau . 3° Il n'y a aucune relation directe ou inverse
ieurs sont le seul lien visible qui unisse directement le cervelet au cerveau . § «. Structure des tubercules quadrijumeaux.
eux supérieurs et aux prolongements des faisceaux postérieurs vers le cerveau ; par deux bandelettes superficielles que nous avo
le verrons plus loin, établissent leurs relations principales avec le cerveau . Enfin, aux tubercules quadriju-maux antérieurs s
Structure des hémisphères cérébraux. Nous avons vu plus haut que le cerveau , proprement dit, est divisé en deux masses latéra
r partie essentielle est ce que les anciens ont nommé écorce grise du cerveau . Cette écorce forme la paroi des deux bourses gri
1) La description de cette structure est tracée en général d'après le cerveau du Papion (Cynocéphalus sphynx). J'ai cru utile d
r l'étude de ce type à celle que Reil, Burdach et Arnold ont faite du cerveau de l'homme. II. 11 Malpighi donne ainsi la desc
nts et tous blancs, de manière que la substance médullaire blanche du cerveau est apparemment un tissu et un assemblage de plus
) signalait « certaines circonvolutions de l'extrémité postérieure du cerveau dans l'épaisseur desquelles la substance blanche
rtout à M. Baillarger que l'on doit de (1) Malpighi. Description du cerveau , Irad. par Sauvalle, p. 88. (2) Francesci Genna
se. Cet habile médecin distingue, dans toute l'étendue de l'écorce du cerveau , plusieurs couches distinctes, alternativement bl
he blanche, fort mince, dont les fibres sont étendues à la surface du cerveau . Cette couche est la plus distincte de toutes, et
couche est la plus distincte de toutes, et peut être aperçue dans le cerveau du fœtus dès le cinquième mois. Sa structure la f
ans la suivante, les fibres passent horizontalement sur la surface du cerveau , et ces fibres ne paraissent pas en connexion ave
nover assure qu'il a le plus distinctement vu ces six couches dans le cerveau et le cervelet, absolument frais (1) Cf. Lclut.
e la substance blanche à la surface du lobule de l'hippocampe dans le cerveau de l'homme et dans celui de quelques autres verté
erches sur la structure de la couche corticale des circonvolutions du cerveau {Mémoires de l'Académie de Médecine. Paris, 1840.
p. 148). et encore chauds, de l'homme et du cochon. C'est aussi le cerveau du cochon que M. Baillarger avait recommandé pour
les couches corticales du cervelet diffèrent absolument de celles du cerveau , et d'autre part, quelque attention qu'on y mette
anatomie élémentaire d'une tranche mince de la substance corticale du cerveau . Cet anatomiste n'a distingué dans le cerveau que
substance corticale du cerveau. Cet anatomiste n'a distingué dans le cerveau que quatre couches. La plus superficielle est f
s s'y croisent en divers sens ; disposition qui donne à la surface du cerveau , surtout au niveau du lobule des hippocampes, un
l'ouverture de l'hémisphère. J'ai figuré cette disposition d'après le cerveau du Papion. Je donne une idée de la première d'apr
ion d'Arnold et de Reil (1); M. Owen, dans son célèbre mémoire sur le cerveau des Marsupiaux, accepte la même manière de voir (
bservations d'un des plus grands hommes qui aient jamais écrit sur le cerveau , je veux parler de Willis, signale dans son disco
je veux parler de Willis, signale dans son discours sur l'anatomie du cerveau les connexions du corps calleux avec les pédoncul
mités de fibres des deux pédoncules cérébraux. Tiedemann, Anatamie du cerveau . Paris, 1823, page 262. (4) Foville, Pl. XV, I.
s résultats, et, s'il est possible, de les concilier. Je choisis un cerveau de Papion ou de grand Macaque. Après l'avoir plac
s les fibres rayonnantes de l'axe entrent en rapport avec l'écorce du cerveau . Or, la disposition de ces feuillets épanouis, lï
ouronne radiante, des faisceaux grêles qui se rendent au même Côté du cerveau . Ces faisceaux directs alternent avec ceux qu'env
suivrons de là, soit vers les tubercules quadrijumeaux, soit vers le cerveau . Nous verrons, en premier lieu, cette bandelett
r, plis dont le développement excessif caractérise essentiellement le cerveau humain. Il y a là matière aux réflexions des phil
animaux, sauf les Phoques et les Cétacés, l'extrémité postérieure du cerveau dépasse à peine le corps calleux, et par conséque
es; leur appréciation fournirait des bases utiles à la physiologie du cerveau . Or, disais-je, puisque le corps calleux est le
nts. Depuis cette époque, j'ai été plus heureux et j'ai pu étudier le cerveau de quelques-uns des animaux de ce groupe. J'ai
cerveau de quelques-uns des animaux de ce groupe. J'ai disséqué le cerveau de deux Halmaturus bennetii, d'un Hypsipnjmnus mu
t bien remarquable. Le nerf optique des Marsupiaux n'a point, avec le cerveau , de connexion directe. Ces animaux cependant on
s- (1) Arnold, Tab. anai.t fasc. 1, pl. X, ûg. 1, e. missibles au cerveau , mais par quelle voie? Cest là ce que nous allons
ations de l'éventail pédonculaire, du corps genouillé interne vers le cerveau ; sur la pièce que nous examinons plus particuliè
e, mais n'y va pas en droite ligne, et semble ne devoir agir sur le cerveau que par l'intermédiaire de deux masses ganglionna
s. Si, comme les expériences de M. Flourens semblent le démontrer, le cerveau seul est organe de sensation avec conscience, c'e
ce, si les lobes optiques sont au contraire organes d'automatisme, le cerveau est dans ce cas subordonné à l'automate; dans le
ions automatiques dont le corps est affecté; il suivrait de là que le cerveau de l'homme recevrait des stimulations immédiates,
ommunications rendant les organes du sens visuel plus indépendants du cerveau , sera pour nous un caractère d'infériorité fondam
ntes de leurs hémisphères, et s'il y a de telles différences dans les cerveaux , n'est-il pas infiniment probable qu'il y en a de
eut être aisément transformé en un résumé synthétique. Il y a dans le cerveau : 1° Des fibres propres servant de commissures
; quant à leur écorce elle est évidemment un prolongement de celle du cerveau . Ils se détachent de l'hémisphère immédiatement
ètrent dans leur intérieur. La partie grise des couches corticales du cerveau se prolonge assez loin sur leur face supérieure e
ette prétendue racine est une commissure entre le lobe olfactif et le cerveau . Elle appartient à cette catégorie de fibres prop
exion avec les prolongements des cordons postérieurs de l'axe dans le cerveau . Mieux préparé depuis cette époque, je puis affir
, en grande partie, au système des commissures propres. De même qu'au cerveau , elles doublent l'écorce grise presque partout tr
singes, elle ne l'est pas dans les animaux chez lesquels, à un petit cerveau laissant le cervelet à découvert, correspond un g
similitude. Il y a là un problème délicat que l'étude approfondie du cerveau des marsupiaux, où la commissure antérieure est é
i-même, malgré le grand développement de son cervelet, et même de son cerveau , n'est point, avec ses grands lobes olfactifs, la
ys. du système nerveux. Paris, 1S42, t. II, page 21. type élevé. Ce cerveau , si remarquable par sa grandeur et la richesse de
ostérieurs, et laisse le cervelet à découvert. C'est, à cet égard, un cerveau de brute ou de rongeur, qui n'a d'ailleurs aucune
e brute ou de rongeur, qui n'a d'ailleurs aucune ressemblance avec le cerveau du Rhinocéros, comme on l'a récemment écrit, mais
vait-on ajouter à ce que l'on savait de son temps sur la structure du cerveau , ce qui était à coup sûr très-basardé, mais il ex
s étaient rangés en trois classes. La première contenait les nerfs du cerveau ; la seconde, ceux de la protubérance; la troisièm
fibres de cette racine, d'après les mêmes auteurs se dirigent vers le cerveau . Il y a bien longtemps que nous avions vu ces fib
suivre ses fibres au delà, mais elles se portent probablement vers le cerveau . Dans ce cas, le nerf acoustique dépendrait égale
s le cerveau. Dans ce cas, le nerf acoustique dépendrait également du cerveau et du cervelet. b. Nerf gustatif. J'ai donné hy
stique est lié à la division de ce faisceau postérieur qui va vers le cerveau , de même celui-ci accompagne la division qui gagn
nt. La racine qui va aux lobes optiques, est en communication avec le cerveau par l'intermédiaire des corps genouillés internes
ions surajoutés. Ainsi le nerf acoustique a rapport au cervelet et au cerveau , l'optique aux tubercules quadrijumeaux et au cer
cervelet et au cerveau, l'optique aux tubercules quadrijumeaux et au cerveau , l'olfactif aux lobes de ce nom. A cet égard les
ant aux nerfs de la vision, dans une région déterminée de l'écorce du cerveau , et quelle qu'ait été ma persévérance, je n'ai pu
rappé Th. Bartholin lorsqu'il nia que la moelle fût une production du cerveau , obligent de conclure qu'il n'y a aucune correspo
voir, sont bien éloignés de confirmer cette idée de Buffon, « que le cerveau au lieu d'être le siège des sensations, le princi
, la multiplication une fois admise dans les animaux qui ont un grand cerveau , comment s'accom-plira-t-elle? La solution de cet
rtholin, et ce grand homme la fondait sur ce fait, que la grandeur du cerveau est en raison inverse de celle de la moelle, et i
t bien raisonner en disant qu'on ne pouvait supposer qu'un plus grand cerveau produisît une plus petite moelle, et un plus peti
s grande; mais il ne fallait pas en conclure que la moelle produit le cerveau , puisque dans ce cas une petite moelle produirait
rveau, puisque dans ce cas une petite moelle produirait un plus grand cerveau , et réciproquement. La conséquence de tout ceci c
veau, et réciproquement. La conséquence de tout ceci c'est que, si le cerveau ne pro- (1) Hial. nat., lom. VII, Discours sur
ge 17. duit point la moelle, la moelle ne produit point non plus le cerveau , qu'ils ont chacun leur raison d'être en eux-même
ès avoir dit ce qu'on peut savoir de plus clair sur l'organisation du cerveau , après avoir ajouté moi-même quelques pierres à l
e postérieure, est Y arrière-cerveau; l'autre vient ensuite, c'est le cerveau postérieur. La deuxième dilatation a reçu des e
térieur. La deuxième dilatation a reçu des embryotomistes le nom de cerveau moyen. La troisième est connue sous la dénomina
m de cerveau moyen. La troisième est connue sous la dénomination de cerveau intermédiaire ; cette dilatation porte à sa parti
us distincts, constituent une région spéciale désignée sous le nom de cerveau antérieur. Ainsi, d'arrière en avant la portion
n céphalique du tube primitif comprend : 1° l'arrière-cerveau ; 2° le cerveau postérieur; 3° le cerveau moyen; 4° le cerveau in
tif comprend : 1° l'arrière-cerveau ; 2° le cerveau postérieur; 3° le cerveau moyen; 4° le cerveau intermédiaire; 5° le cerveau
rrière-cerveau ; 2° le cerveau postérieur; 3° le cerveau moyen; 4° le cerveau intermédiaire; 5° le cerveau antérieur, c'est-à-d
u postérieur; 3° le cerveau moyen; 4° le cerveau intermédiaire; 5° le cerveau antérieur, c'est-à-dire cinq régions groupées en
ostérieur du quatrième ventricule, c'est-à-dire le bec du calamus. Le cerveau postérieur en sera l'angle II. 15 antérieur
mus. Le cerveau postérieur en sera l'angle II. 15 antérieur; lo cerveau moyen sera l'aqueduc de Sylvius, l'intermédiaire
de Sylvius, l'intermédiaire deviendra troisième ventricule; enfin le cerveau antérieur est le point de départ des ventricules
lte, est comprise entre les deux corps restiformes— de C en D, est le cerveau postérieur. Cette région correspond chez l'adulte
qui comprennent entre elles un angle presque droit — de D en E est le cerveau moyen, c'est-à-dire la région des lobes optiques
a région des lobes optiques ou tubercules quadrijumeaux. La cavité du cerveau moyen sera plus tard Y aqueduc de Sylvius — en F,
é du cerveau moyen sera plus tard Y aqueduc de Sylvius — en F, est le cerveau intermédiaire, c'est-à-dire le troisième ventricu
c'est-à-dire le troisième ventricule de l'adulte; enfin en G, est le cerveau antérieur où l'on voit poindre déjà les vestiges
; mais à mesure que l'embryon se développe, l'extrémité antérieure du cerveau intermédiaire pousse en entraînant avec elle les
du cerveau intermédiaire pousse en entraînant avec elle les lobes du cerveau antérieur et se recourbe en sens inverse de sa pr
'est d'abord qu'une lame transversale appliquée à la paroi dorsale du cerveau postérieur. Les tubercules quadrijumeaux ou lobes
r. Les tubercules quadrijumeaux ou lobes optiques se superposeront au cerveau moyen; les couches optiques au cerveau intermédia
s optiques se superposeront au cerveau moyen; les couches optiques au cerveau intermédiaire ; les hémisphères et les lobes olfa
les hémisphères et les lobes olfactifs aux renflements primordiaux du cerveau antérieur; enfin les faisceaux de la moelle, les
de Yencéphale, pendant les premières époques de la vie fœtale, est le cerveau moyen de Baër, c'est-à-dire la masse des tubercul
rvelet n'est encore qu'une lame mince, tendue derrière la vésicule du cerveau postérieur ; quant aux hémisphères du cerveau ant
derrière la vésicule du cerveau postérieur ; quant aux hémisphères du cerveau antérieur, semblables à deux petites ampoules obl
ls ne recouvrent encore, ni la région des lobes optiques, ni celle du cerveau intermédiaire. Le cerveau moyen, saillant et comp
i la région des lobes optiques, ni celle du cerveau intermédiaire. Le cerveau moyen, saillant et complé tement découvert, dom
iers de la voûte au fond des sillons semi-circulaires qui séparent du cerveau intermédiaire les vésicules du cerveau antérieur.
mi-circulaires qui séparent du cerveau intermédiaire les vésicules du cerveau antérieur. Ils ont, en conséquence, un rapport es
bonne heure comme une dilatation du côté inférieur de la vésicule du cerveau intermédiaire. Dès la fin du deuxième mois, cet
nière de voir (1). Il pense qu'à une certaine époque la couverture du cerveau intermédiaire se soulève, s'atrophie, et ses rési
cette opinion de Baër. Pendant fort longtemps, l'orifice supérieur du cerveau intermédiaire présente les traces d'une déchirure
IL Il est fort à remarquer que, du moment où la division médiane du cerveau intermédiaire s'est effectuée, on doit voir, dans
ectuée, on doit voir, dans le bord des cellules ouvertes en dedans du cerveau antérieur, les premiers rudiments des bandelettes
orrespondent précisément aux sillons de démarcation qui séparaient le cerveau intermédiaire d'avec les vésicules du cerveau ant
ation qui séparaient le cerveau intermédiaire d'avec les vésicules du cerveau antérieur. Dans l'adulte, ce rapport ne change po
e l'adulte et celles du fœtus, et si nous assimilons les vésicules du cerveau antérieur, c'est-à-dire les ventricules latéraux
ure ou le bord de la bourse qui s'avancera graduellement au-dessus du cerveau intermédiaire et des lobes optiques, mais bien le
nous parlons, c'est-à-dire vers la neuvième semaine, les vésicules du cerveau antérieur en sont encore à leurs relations primit
cerveau antérieur en sont encore à leurs relations primitives, et le cerveau intermédiaire, bien que déjà divisé par une ouver
es choses marchent vite, et dès la douzième semaine, les vésicules du cerveau antérieur ont déjà recouvert le cerveau intermédi
ème semaine, les vésicules du cerveau antérieur ont déjà recouvert le cerveau intermédiaire et touchent au cerveau moyen, c'est
antérieur ont déjà recouvert le cerveau intermédiaire et touchent au cerveau moyen, c'est-à-dire aux lobes optiques. A parti
accroissaient, mais les lobes optiques plus lentement, si bien que le cerveau moyen perdait par degrés beaucoup de sa grandeur
ampoule sous la masse des lobes optiques. Tiedemann a représenté un cerveau de cet âge. Malheureusement la figure qu'il donne
environ quatorze à quinze semaines. J'ai eu l'occasion d'étudier deux cerveaux qui présentaient un degré intermédiaire de dévelo
it seule l'exactitude parfaite de cette comparaison. Dans le second cerveau , les choses étaient à peu près semblables, quant
ieur communiquait avec le ventricule latéral. Une coupe médiane de ce cerveau présentait les particularités suivantes : La pa
t minces, mais le cervelet avait acquis une plus grande épaisseur. Le cerveau intermédiaire avait déjà la forme qu'il conserve
mais ces moitiés n'étaient point encore unies dans le plan médian du cerveau . Le bord de la grande ouverture de l'hémisphère
cérébraux étaient distincts mais extrêmement grêles. Dans les deux cerveaux que nous venons de décrire, les parois des hémisp
us âgé. Celui-ci avait environ quinze ou seize semaines. Les lobes du cerveau et ceux du cervelet avaient beaucoup grandi. Déjà
oque d'ailleurs, bien qu'absolument dépourvu de plis à sa surface, le cerveau avait acquis, sur toutes les autres parties de l'
séquence n'avaient rien de commun avec ces plis primilifs internes du cerveau du fœtus.—Cf. Beschrijving van gebrekkigen hersen
ien que le corps calleux n'ait point encore recouvert complètement le cerveau intermédiaire, sa courbure s'est développée; il s
tuée dans ces parties d'une manière fort inégale, maintenant c'est le cerveau qui l'emporte. Le cervelet occupe le second rang,
orité relative. Les choses marchant toujours dans le même sens., le cerveau proprement dit a bientôt acquis une grandeur déme
tubercules sans plis, où l'on reconnaît à grande peine les touffes du cerveau adulte, les remplacent et communiquent par une la
. Cependant, tout en demeurant, quant à sa masse, fort inférieur au cerveau , le cervelet acquiert, avant celui-ci, tous les c
active pendant la période moyenne, se ralentit et le cède à celui du cerveau qui s'accélère avec une rapidité toujours croissa
eloppement du centrum ovale. Le corps calleux s'avance au-dessus du cerveau intermédiaire, jusqu'aux lobes optiques divisés d
que toutes ces choses poussent à la fois. En même temps les parois du cerveau se plissent, et ces plis se développent chez Vhom
poque, une scissure transverse sépare, vers l'extrémité antérieure du cerveau , le lobule orbitaire d'avec le lobule frontal.
e des hippocampes ; le premier pli distinct est le pli unci-forme. Le cerveau est vers cette époque beaucoup plus long que larg
iste point encore. Ce fait est d'autant plus remarquable, que dans le cerveau des singes, sauf la scissure de Sylvius, la sciss
. Les choses vont d'ailleurs de telle sorte dans les hémisphères du cerveau , que ces organes s'approchent de leur perfection
singulier, en effet, que la petitesse du cervelet eu égard à celle du cerveau chez l'enfant nouveau-né. Ces faits semblent indi
cerveau chez l'enfant nouveau-né. Ces faits semblent indiquer que le cerveau est un organe de l'enfance, aussi bien que de l'â
logiste M. Flourens. D'ailleurs, bien qu'il y ait harmonie entre le cerveau et le cervelet, ces relations récriproques ne son
ernier degré, dont je figure dans mon atlas le moule encéphalique, le cerveau était réduit au volume d'un cerveau â'Orang ou pl
n atlas le moule encéphalique, le cerveau était réduit au volume d'un cerveau â'Orang ou plutôt de Gorille, c'est-à-dire que so
idiote) ; mais bien supérieure à celle qu'aurait pu faire supposer un cerveau aussi réduit. Réciproquement, chez une fille obse
MM. Combette et Cruveilher (1), le cervelet manquait, et cependant le cerveau avait acquis un développement voisin des conditio
bien constitués, chez lesquels, avec une absence presque complète du cerveau , coïncide une constitution normale du cervelet (2
e, xv livraison, Pl. IV. tient moins sans doute à l'imperfection du cerveau qu'à la faiblesse générale du mouvement vital, da
es. Aussi me bornerai-je à représenter fidèlement dans mon atlas, des cerveaux et des cervelets de différents âges. L'explicatio
le des vertébrés. « Il est évident, dit-il, que les hémi-« sphères du cerveau se forment par les côtés, et d'avant en « arrière
serve précisément le « même mode de formation dans les hémisphères du cerveau « des animaux; seulement ils s'arrêtent pendant
s différences de second ordre et en considérant exclu- (1) Anat. du cerveau . Paris, 1823, page 238. sivement les analogies
poules résultant de la dilatation d'un tube central. Admettons que le cerveau vésiculeux d'un certain poisson adulte rappelle,
rds, cet encéphale primitif, le redressement complet de l'axe dans ce cerveau de poisson empêchera toute assimilation réelle. C
es cérébraux. Il n'y a par exemple aucun parallèle à établir entre le cerveau du fœtus, alors qu'il ne recouvrait point encore
u du fœtus, alors qu'il ne recouvrait point encore le cervelet, et le cerveau d'un rongeur, d'un ruminant, d'un carnassier adul
lons, ils existent à peine à l'état de vestige. Les ventricules de ce cerveau sont immenses et dilatés en ampoules; ils ont, da
et épaisses dans les seconds. On retrouve, il est vrai, dans tous ces cerveaux les mêmes parties fondamentales ; mais autrement
cérébrale, ces deux groupes naturels. En effet, à certains égards, le cerveau de l'homme est semblable à celui des singes. C'es
rrait s'attendre, d'une part, à trouver parmi les états successifs du cerveau humain, certaines formes voisines de celles que
d'adopter cette manière de voir. Chez le Ouistiti, par exemple, le cerveau n'a ni plis ni anfractuosités; mais les lèvres de
ités, des Pinches, des Sagouins, des Saïmiris et de tous les singes à cerveau très-simple. Ces choses sont connues de tous les
sont connues de tous les anatomistes. 11 y a aussi un moment où le cerveau humain est à peu près lisse; mais les hémisphères
hriop, les Saïmiris, une profondeur singulière, alors que le reste du cerveau est presque absolument lisse. Ainsi, les premiers
ure de Sylvius soient déjà chargées de plis. Ainsi à aucune époque le cerveau du fœtus humain n'est absolument semblable à celu
pparaissent. Il résulte de ce fait une conséquence naturelle; si le cerveau humain s'arrête à quelque étage inférieur de son
chargés de plis dont la complication peut dépasser celle des plis du cerveau humain (1); chez tous le corps calleux est grand,
humain présente à cet égard les plus grandes différences. Les plis du cerveau n'apparaissent qu'au moment où ses lobes postérie
rt apparents (1). (1) A certains égards lamarchedu développement du cerveau diffère dans les animaux carnassiers (chiens, cha
urait un grand travail à faire sur la comparaison du développement du cerveau dans tons le- ordres de mammifères. Peut-être pou
roposition si positivement affirmée, que le développement des plis du cerveau suit uniquement le développement de la taille dan
ndée sur une observation exacte. En général, a dit Leuret, les grands cerveaux ont plus de circonvolutions que les petits. Comme
onvolutions que les petits. Comme la plupart du temps les plus grands cerveaux appartiennent aux plus (1) Cf. E. Chevreul. Let
on pourrait dire avec raison, qu'en général les grands animaux ont un cerveau plus plissé que les petits. Il est certain, par e
icales du Bœuf sont plus plissées que celles du Mouton; mais comme le cerveau du Bœuf est relativement beaucoup plus petit que
animal le plus grand il y ait plus de plis, eu égard au volume de son cerveau , il ne s'ensuit pas évidemment qu'il y en ait dav
mômes proportions relatives. Dans celte hypothèse, si la longueur du cerveau est égale à 1 dans le premier, elle sera égale à
est très-certainement établi que dans les grands animaux la masse du cerveau ne croît pas en raison de la taille. Ainsi, la lo
du cerveau ne croît pas en raison de la taille. Ainsi, la longueur du cerveau du plus petit animal étant 1, celle du cerveau du
Ainsi, la longueur du cerveau du plus petit animal étant 1, celle du cerveau du grand pourra être tout au plus 1 1/2. En consé
ce, les plis cérébraux étant supposés semblables dans l'un et l'autre cerveau , les couches corticales du petit seraient à celle
petit fût rigoureusement exacte, il fau rirait que les plis de son cerveau fussent au moins deux fois plus compliqués. Or, i
des conséquences plus significatives encore. Ainsi les plus grands cerveaux , dans un même genre, ont en général plus de circo
ts; mais il ne s'ensuit pas évidemment que ce que l'on dit des grands cerveaux puisse être dit des grands animaux, au point de p
s poreinus était à peine aussi grand qu'un Chevrotain, il avait à son cerveau plus de circonvolutions que celui-ci ; ainsi, la
rc-épic ou le Castor ; or les plus petits animaux de ce groupe ont le cerveau complètement lisse, mais les plus petits rongeurs
ons, ne grandissent pas. Ainsi les idiots, qui le plus souvent ont un cerveau très-pauvre en plis, demeurent-ils fort petits; c
les d'ailleurs, les mammifères aquatiques qui sont carnassiers ont un cerveau à plis plus (1) J'ai eu l'occasion d'observer,
D'ailleurs, la forme du corps était svelte et d'une rare élégance. Le cerveau était petit mais parfaitement symétrique. Le cerv
mpanzés, les Gorilles, ont des plis assez simples, et d'ailleurs leur cerveau est, eu égard à la masse du corps, extrêmement pe
u corps, extrêmement petit. Ainsi la quantité de plis que présente le cerveau de l'homme supposerait chez un primate une taille
éphant, d'autant plus que dans le groupe qui nous occupe, les plis du cerveau ont moins (1) Toutes les traditions relatives à
nt de la taille. Une quantité de plis double de celle que présente le cerveau d'un Gorille, supposerait, s'il s'agissait d'un s
gissait d'un singe, un animal de quinze pieds de haut. Or les plis du cerveau humain dépassent de beaucoup cette proportion ; e
sont souvent plus intelligents, malgré la petitesse relative de leur cerveau , et vivent plus longtemps que les animaux à cerve
relative de leur cerveau, et vivent plus longtemps que les animaux à cerveau lisse. Les Baleines, les Eléphants ont une vie si
ait-ce que la force de la moelle épinière, s'éleignant avant celle du cerveau , (1) Le savant voyageur, M. Aubry-le-Comte, m'a
s à celles de l'esprit, ceux en un mot qui agissent beaucoup par leur cerveau , vivent longtemps; et voilà comment, dans les plu
rais voulu pouvoir donner ici l'histoire comparée du développement du cerveau dans les différentes races humaines, mais les élé
OPPES DES CENTRES NERVEUX CÉPHALO-RACHIDIENS. Après avoir décrit le cerveau à ses différents âges, après avoir expliqué sa st
partie vasculare, revêt immédiatement l'extérieur de la moelle et du cerveau . Elle tapisse avec beaucoup d'exactitude la surfa
les fines artères qui pénètrent dans la substance de la moelle ou du cerveau . Sa structure a été fort bien décrite. Les vaisse
s gaines qui enveloppent les racines des nerfs rachidiens. Quant au cerveau , elle en tapisse la surface et descend au fond de
actuosités la condition d'une plus riche distribution du sang dans le cerveau (1). La pie-mère ne touche point au plancher du
che, un vaste repli de cette membrane pénètre dans les ventricules du cerveau par la fente en fer à cheval, sous la forme d'un
ituent au-dessus du cervelet une cloison horizontale qui le sépare du cerveau . Dans la base de ces replis existent des lacunes
té supérieure répond à la concavité légère des a lobes postérieurs du cerveau . » Ce repli est tendu entre les gouttières laté
e nom de tente du cervelet. Le repli médian falciforme est la faux du cerveau . Le petit repli médian qui sépare les fosses céré
troncs veineux extensibles auraient pu, en se dilatant, comprimer le cerveau ; mais ces canaux rigides, compris la plupart dan
uillet, feuillet viscéral, enveloppe, à la manière d'un grand sac, le cerveau et la moelle épinière, mais il recouvre ces parti
e-mère. Ne servant point comme elle à la nutrition de la moelle et du cerveau , elle ne pénètre point dans les anfractuosités de
aces, des lacunes sous-arachnoïdiennes, principalement à la base du cerveau . Ces lacunes contiennent un tissu cellulaire tres
. » Non-seulement le liquide céphalo-spinal forme à la moelle et au cerveau une enveloppe liquide, il baigne encore les cavit
e baigne donc à la fois l'intérieur des ventricules et l'extérieur du cerveau . M. Magendie, qui a vu ce liquide recevoir prompt
conjonctif, mêlé de quelques fibres élastiques. (b) . Enveloppes du cerveau . — La structure de la dure- (1) Lassaigne a don
dont les prolongements enveloppent les artères qui sont à la base du cerveau , et les accompagnent profondément dans l'épaisseu
s'engagent dans l'intervalle qui sépare les deux lobes antérieurs du cerveau , et se recourbent autour du corps calleux pour se
s, logées dans lo fond des circonvolutions de la face supérieure du cerveau , se portent vers la scissure médiane, se dirigent
les antérieures. Nées de la partie inférieure des lobes antérieurs du cerveau , elles se terminent dans la partie antérieure du
dans le sinus caverneux. Vaisseaux lymphatiques. — La substance du cerveau paraît en être dépourvue, mais ils sont, d'après
, qui naissent de ces réseaux, suivent dans leur trajet les veines du cerveau . Tous ces troncs artériels, veineux ou lympathi
neux ou lympathiques, appartiennent essentiellement aux enveloppes du cerveau . Les artères et les veines de la substance cérébr
SITION, DE SA FORME DANS L'ESPÈCE HUMAINE, ET DE SES RAPPORTS AVEC LE CERVEAU . § *. Importance de l'étude du crâne. Après a
âne. Après avoir décrit sommairement les enveloppes membraneuses du cerveau , je dois, peur compléter cette histoire, dire que
. Sujet difficile, et cependant inévitable, car le crâne enfermant le cerveau , sa cavité intérieure en exprime la forme comme u
juger de sa forme primitive? Heureusement cette forme, perdue dans le cerveau , subsiste dans le crâne, dont l'examen devient ai
ertèbre intermédiaire ou sphéno-pariétale contient essentiellement le cerveau et les tubercules quadrijumeaux. Tels sont, en
crâne avec les parties fondamentales de l'encéphale. Ainsi, quand le cerveau est petit et réduit à ses plus faibles dimensions
é du frontal que les premiers empiétements sont d'abord sensibles. Le cerveau s'avance de plus en plus, et l'occupe, d'abord en
eut au contraire acquérir une ampleur singulière. Or, à mesure que le cerveau s'avance de ce côté, on voit s'atrophier de plus
oge frontale, en sorte que la face inférieure des lobes antérieurs du cerveau est profondément excavéc; or, cela n'a jamais lie
voûtes orbitaires s'abaisse, et l'œil est complètement refoulé par le cerveau dans la région moyenne de la face (2). Ainsi la s
du frontal, la vertèbre pariétale loge toujours la majeure partie du cerveau , mais la prédominance typique de cette vertèbre e
minance typique de cette vertèbre est d'autant moins apparente que le cerveau s'est plus accru au dehors. Les animaux mammifè
monstration évidente. Chez les carnassiers didelphes, par exemple, le cerveau est confiné dans la région pariétale; mais chez l
oît en outre du côté de l'occipital (1). D'une manière générale, le cerveau est d'autant plus grand que la capacité du crâne
dans ceux qui composent le genre Felis. la vertèbre frontale par le cerveau sera plus apparente à la fois et plus complète.
nces corrélatives, dans le développement des régions fondamentales du cerveau . En général, la suture médio-fronlale se soude la
homme blanc, tient à cette tendance indéfinie au développement que le cerveau présente dans cette race privilégiée; en effet, q
opposition est remarquable, et il est fort à regretter que l'élude du cerveau des races sauvages ait été si fort négligée. Cett
son maximum, la forme la plus parfaite serait celle dans laquelle le cerveau se développerait davantage dans le sens de la ver
la vertèbre occipitale. En effet, dans toutes les races humaines, le cerveau s'étend à la fois dans le domaine de ces deux ver
rânienne, en tant qu'elle est le signe d'un médiocre développement du cerveau . Mais on peut hésiter entre les deux autres cas.
estons point ; mais il ne s'ensuit pas que les parties occipitales du cerveau puissent se substituer à ses parties frontales. O
ou de la frontale est la plus capable de contribuer à l'ampliation du cerveau . Évidemment la réponse est facile. La capacité
. Au contraire, l'ampliation du frontal est tout entière au profit du cerveau ; et l'ampleur de cette vertèbre est telle, que se
nt notablement à la capacité du crâne. Ainsi, et surtout à l'égard du cerveau , une grande saillie de l'occipital donne beaucoup
égard à l'adulte, d'où l'on peut conclure qu'en se perfectionnant, le cerveau s'accroît en largeur un peu plus qu'en longueur.
m'inspire quelques doutes sur cette proposition de Sœmmerring, que le cerveau ne croît plus après la troisième année, et même s
rs la septième année. Il est bien vrai qu'à partir de cette époque le cerveau s'accroît très-lentement et d'une quantité peu co
de ces plis de passage, dont l'apparition simultanée à la surface du cerveau est l'apanage exclusif de l'homme. J'ai donné une
s de la surface cérébrale, qui caractérisent plus particulièrement le cerveau humain, et la supériorité de la race blanche se p
érieurs de passage, comme constituant les régions caractéristiques du cerveau humain, leur longueur, leur largeur, leur convexi
ude de la forme du crâne peut donner une idée générale de la forme du cerveau , l'étude de sa table interne peut fournir en outr
ubtils des méthodes expérimentales! Imaginez-vous, par exemple, qu'un cerveau de nègre, fût-il d'égale grandeur et d'égale prop
, fût-il d'égale grandeur et d'égale proportion, pût être assimilé au cerveau d'un blanc? Quant à moi, je ne puis le croire. Le
es et l'accroissement de la substance cérébrale. En général, quand le cerveau est grand, le crâne est grand, il est vrai, mais
poser. En effet, si le crâne signifie quelque chose c'est eu égard au cerveau . Or, l'épaisseur des parois du crâne étant infini
des anciens. Suivant Avicenne, les lésions de la partie antérieure du cerveau altéraient le sens commun; celles de la partie mo
Sennert, pourquoi le sens commun a pour siège la partie antérieure du cerveau . Il est vrai que tous les organes des sens extern
celle-ci et de la raison, logeant la raison dans la partie moyenne du cerveau , l'imagination dans son extrémité antérieure et l
de celle 'des poissons? Ici le crâne accuse si peu la forme réelle du cerveau , que de pareilles prétentions sont écrasées par l
rus, dont les travaux sont les plus récents, le ganglion antérieur du cerveau , qui correspond aux hémisphères cérébraux et aux
ne de ces vertèbres avec une certaine partie primitive de la masse du cerveau , on observe que les penchants et la volonté se tr
chlkhen Gestalt, 1853. localisation? Le frontal ne loge pas tout le cerveau , loin de là, et dans l'homme certaines régions de
le s'accroissent au moins autant que la vertèbre frontale; or, ici le cerveau est tout, et non les tubercules quadrijumeaux qui
le dans l'homme n'a pas seulement rapport au cervelet, mais encore au cerveau . Et s'il faut admettre avec M. Carus que le cerve
, ce que M. Flourens a admirablement démontré, s'ensuivra-t-il que ce cerveau , qui occupe à la fois le domaine des trois vertèb
ntraire. A cet égard, ils dépassent l'homme de beaucoup. Eh bien ! le cerveau occupe chez eux, dans la vertèbre occipitale, un
tèbre occipitale, un espace relativement beaucoup moindre que dans le cerveau humain. Ce n'est pas tout, le cerveau est dans le
nt beaucoup moindre que dans le cerveau humain. Ce n'est pas tout, le cerveau est dans les chiens et les chats complètement hor
i volonté? Ainsi donc la théorie de M. Carus ne peut s'appliquer au cerveau , et le cerveau humain remplissant pour ainsi dire
nsi donc la théorie de M. Carus ne peut s'appliquer au cerveau, et le cerveau humain remplissant pour ainsi dire le crâne, elle
illeurs, la vertèbre frontale n'est pas le premier point de départ du cerveau . C'est la vertèbre pariétale. Eh quoi! voici le c
de départ du cerveau. C'est la vertèbre pariétale. Eh quoi! voici le cerveau , organe du jugement et de l'intelligence, enchaîn
la vertèbre qui peut donner le plus grand espace à l'accroissement du cerveau . A cet égard, le développement du frontal crée de
? A cela je répondrai que certaines parties de la région pariétale du cerveau caractérisent aussi bien l'encéphale humain que d
ologie considère. Maintenant le crâne peut-il tout dire eu égard au cerveau ? Oui, si la table externe est exactement moulée
les crânes est la même; enfin, si pour une forme semblable, tous les cerveaux offrent à leur surface une complication pareille.
à qu'une prétention. En ce qui concerne l'Homme, la grandeur de son cerveau et le développement des plis de sa surface en fon
t au moment de disparaître de la terre et malheureusement les plis du cerveau laissent trop peu d'empreintes sur les os du crân
les os du crâne pour qu'on puisse suppléer à l'étude directe de leur cerveau . Il ne suffit pas d'en mesurer la masse; rien ne
Je me suis étendu sur ce sujet dans un autre ouvrage en comparant au cerveau des blancs, celui de la Vénus hottentote (1). Com
. Combien souvent ai-je regretté de ne pouvoir lui comparer aussi des cerveaux d'Alfouroux ou de Tasmaniens! Ne voit-on pas que
ntegerrima superest (1). Mais le segment postérieur ainsi séparé du cerveau conserve la vie qui lui est propre. Chose remarqu
oelle, considérée comme centre, a un pouvoir propre et indépendant du cerveau . Elle est donc à certains égards semblable à la c
s (2). Dans l'état normal des animaux, la moelle est subordonnée au cerveau . Aussi les manifestations de son activité propre
erfs du corps en tant que ces nerfs se rattachent à l'encéphale et au cerveau . Pour les an- (1) Éphèmèrid. méd. de Montpellie
s sciences naturelles, t. V. n°39, et le travail récent de Faivre, du cerveau des Dytisques. Moniteur des hôpitaux, 12 mai 1857
rieurs, en conclut que la substance grise transmet les impressions au cerveau . Fodera publia la même année des expériences no
s cordons antérieurs, séparés à la fois des cordons postérieurs et du cerveau , sont le principe, pour peu qu'ils soient en rapp
nce les transmet aux cordons postérieurs, qui les conduisent jusqu'au cerveau , où elles déterminent le sentiment réel. Cette pa
n'ait aucun pouvoir conducteur. Toutes les expériences faites sur le cerveau infirment cette manière de raisonner, et chacun s
nt contre cette opinion de MM. Foville et Longet que, pour arriver au cerveau , les impressions passent par le cervelet. On po
probable qu'une grande partie de ces entrecroisements se font dans le cerveau . u. s:i transmet aux organes du corps les exc
ivement dans la moelle allongée. On peut soustraire dans un animal le cerveau , les corps striés, les couches optiques, le cerve
res antérieurs, et que leurs radiations dans les lobes postérieurs du cerveau partagent le même rôle. Nous reviendrons sur ce p
'excitateur de la vue dans l'homme et les mammifères. (Anat. comp. du cerveau . T. II, p. 718.) étaient-elles intéressées, que
ence était partagée par leurs radiations dans les lobes antérieurs du cerveau . Ainsi la couche optique et les lobes postérieurs
ieurs du cerveau. Ainsi la couche optique et les lobes postérieurs du cerveau présidaient au mouvement des bras, les corps stri
en a été de même, suivant lui, de leurs radiations dans les lobes du cerveau . Cela est possible, et cependant en voyant la par
s seuls ont un corps calleux et certains hommes ont pu vivre, dont le cerveau en était dépourvu. Ces hommes avaient une intelli
e que le cervelet coordonne les mouvements qui ont été voulus dans le cerveau et que détermine la moelle épinière parson action
nt, mais il en est le régulateur; des animaux auxquels on a enlevé le cerveau en ménageant le cervelet, se meuvent avec une ais
cule cérébelleux supérieur) va d'arrière en avant et se porte vers le cerveau . La troisième (pédoncules cérébelleux postérieurs
a moelle est le principe, et les lobes latéraux aux mouvements que le cerveau détermine; l'analomie comparée est très-favorable
ition de M. Andral, que dans le cas d'atrophie le cervelet s'isole du cerveau . Je dois dire ici que les cas de microcephalic
). Le cervelet est fort petit chez l'enfant nouveau-né, eu égard au cerveau , et l'enfant nouveau-né ne marche pas encore. 11
du cervelet est d'ailleurs indépendant, quant à la masse, de celui du cerveau . Le cervelet suit le développement du corps, et l
e celui du cerveau. Le cervelet suit le développement du corps, et le cerveau celui de l'intelligence. (1) Turner, De l'alrop
e, consécutive aux destructions avec atrophie d'un des hémisphères du cerveau . Thèses de Paris, 5 janvier 1856. Ces observati
n général que le cervelet et le corps ont acquis plus de force que le cerveau , organe de l'intelligence, la faiblesse de celle-
tincts. Je viens de dire que, selon M. Flourens, les hémisphères du cerveau sont l'organe immédiat de l'intelligence. Il n'y
tous les points de leur étendue. L'âme n'est point ici où là, dans le cerveau , et ses facultés n'y sont point éparpillées en ce
ême nous avons sujet de dire que l'âme est dans les corps cannelés du cerveau parce qu'elle y fait les fonctions du sentiment e
es et qu'elle en juge, et enfin qu'elle est dans la partie cendrée du cerveau parce qu'elle y exerce les actes de la mémoire (1
dont la démonstration serait d'un haut intérêt pour la physiologie du cerveau . Je ne sais si je me trompe, mais en tenant com
lanches, huitième livraison, Pl. V. (2 Serres. Analomie comparée du cerveau . T. II, p. 664. Les mêmes observations pourraie
les. Il n'est point prouvé que la destruction des lobes antérieurs du cerveau anéantisse la faculté du langage comme l'avait cr
s obtenus par M. Flourens, rien n'est certain dans la phyr3iologie du cerveau . Nous savons que les hémisphères sont les organes
s, en effet, dans l'éléphant, dans les singes et dans l'homme dont le cerveau a un développement énorme, tandis qu'ils acquière
nt, et l'on pourrait considérer les tubercules quadrijumeaux comme le cerveau de l'automate, tandis que les hémisphères sont le
ux comme le cerveau de l'automate, tandis que les hémisphères sont le cerveau de l'intelligence. Quoi qu'il en soit, ils ont su
uvements de l'iris; et tant qu'ils persistent, un animal privé de son cerveau demeure impressionnable par l'action de la lumièr
nsi, chez l'homme, les impressions lumineuses arrivent directement au cerveau ; mais la perception n'est parfaite qu'autant que
côté du tubercule enlevé. Ce fait, constaté par (1) Anat. comp. du cerveau . T. H, p. 643. (2) Études sur le syst. nerveux,
quoi le jeu de ses facultés peut être expliqué par l'organisation du cerveau . TROISIÈME PARTIE. DE L'INTELLIGENCE. CHAPI
lligence. Accumulés et mis en réserve dans les centres médullaires du cerveau , ils reçoivent les impressions des sens et les im
nsitive a pour forme celle de ce système. Son centre principal est le cerveau , sorte de sanctuaire armé d'appareils dioptriques
résentations des choses. De là, ces images rayonnent vers l'écorce du cerveau . Reçues dans les replis de cette écorce, elles y
peut se trouver dans la matière. Ainsi, les parties qui composent le cerveau humain peuvent avoir, par cet arrangement spécial
'il ne leur paraît pas contradictoire d'accorder que la matière ou le cerveau peut penser. Il est évident que par celte déclara
se d'une substance simple et indissoluble, ce qui n'est pas le cas du cerveau . » (Lelut. Rejet de l'organologie de Gall. Paris,
par la moelle seule chez un animal décapité, alors que l'ablation du cerveau a fait du corps une pure machine absolument incap
ce n'est pas immédiatement par la rétine que nous voyons, mais par le cerveau , il ne s'ensuit aucunement qu'ils soient perçus d
haque filet du nerf optique de l'un des yeux aboutit au même point du cerveau qu'un certain filet de l'autre œil. On peut ainsi
tines, les deux impressions semblables aboutissant à un même point du cerveau , on ne perçoit qu'une seule image, sinon il y en
urs mixtes par une combinaison de deux impressions distinctes dans le cerveau , mais que ce phénomène du mélange se passe exclus
partie, p. 254. chose d'analogue, peut à priori être conçu dans le cerveau . Évidemment, si l'on donne jamais une explication
cation de ce phénomène, l'hypothèse d'un certain mouvement imprimé au cerveau . Cette hypothèse mérite d'être prise en considéra
'au moment où l'on s'arrête après avoir ainsi tourné sur soi-même, le cerveau , qui participait au mouvement général du corps, e
me ana-tomique, qui attache toutes nos idées à quelque fibre de notre cerveau . On sait que Charles Bonnet aimait fort cette hyp
sent un certain état des organes; en un mot, l'âme se rappelle par le cerveau ; mais on peut encore admettre une mémoire du cor
nue tout à coup, ils eussent hésité. Il y a donc une mémoire par le cerveau et une mémoire par l'automate. Tous les organes o
êves, mais quant après la naissance, le contact du monde a éveillé le cerveau , les impressions extérieures y laissent des trace
21 et 22. — Bontekoë attribue les songes aux mouvements organiques du cerveau . « Atque hinc pendent insomnia, quibus nemo vel m
mon illustre maître, M. de Blainville, à l'étude de l'organisation du cerveau , j'en préparais un fort grand nombre, soit d'homm
'en retirai et le replaçai dans mon crâne. Alors il me sembla que mon cerveau , condensé par l'action du liquide, avait subi une
t alors. Il est probable qu'au moment où je m'imaginais dépouiller un cerveau étranger, quelque cause me rendit le sentiment de
timent de ma tête plus distinct. Songeant à la fois à ma tête et à ce cerveau , ces deux idées durent s'associer, d'où s'ensuivi
vertige, aux impressions confuses qui s'élèvent des viscères vers le cerveau . Je serais d'autant plus disposé à le penser, que
Il n'y a donc d'autres hallucinations de l'ouïe que celles qui ont le cerveau pour point de départ. Elles se partagent en trois
a seconde catégorie dépendent cle pensées qui dans un certain état du cerveau ont sympathiquement affecté la sphère des sens ex
ue l'esprit occupé à des recherches sublimes soit assailli de notre cerveau , ou immédiatement sur notre âme, se confond total
e avait les yeux bien ouverts. On regarda ceci comme une affection du cerveau et on la traita en conséquence, mais sans succès.
nombre de ceux qui pourront être expliqués plus tard. La duplicité du cerveau semble être, en effet, la raison organique de ces
Or, si le corps a cette influence, c'est en tant qu'il agit sur le cerveau , organe immédiat de l'intelligence. Il est donc p
i n'ait comme cause ou comme condition nécessaire, un certain état du cerveau . Mais quelle modification ce merveilleux appareil
ener un résultat complet. Mais que certains agents changent l'état du cerveau , que le sommeil dérange ou modifie certaines cond
quelque système de fibres intermédiaire à cet organe extérieur et au cerveau . Il est permis de supposer que ces fibres sont
tés du malade, éveilleront seules des sympathies sensorielles dans un cerveau prédisposé. M. Esquirol a publié une observation
hallucination est proche, mais elle n'est possible que par ce côté du cerveau qui est affecté d'une certaine manière. Si elle a
s deux hémisphères sont symétriquement affectés. Cette duplicité du cerveau a frappé d'excellents observateurs; Gall, qu'on a
e perce sonne, j'avais imaginé de les placer chacun dans un lobe « du cerveau . Ces deux lobes ont en effet même conformation, «
t interrompue, ils « agissent isolément l'un de l'autre et comme deux cerveaux « différents. Or, que ces lobes soient inégaux pa
utilité à considérer avec attention le système des fibres propres du cerveau . Ces commissures compliquées qui unissent en un m
t non d'une hallucination réelle. Ainsi l'erreur dans ce cas vient du cerveau , mais si la raison n'y met ordre, elle peut se ch
cinations. Mais ce résultat suppose nécessairement un certain état du cerveau . Quel est cet état particulier du cerveau? Suiv
rement un certain état du cerveau. Quel est cet état particulier du cerveau ? Suivant M. Moreau de Tours, qui a fait sur l'emp
La portion (1) Du Hachisch. Paris, 1845, p. 33. correspondante du cerveau se voyait à nu. Quand son sommeil n'avait pas de
u cerveau se voyait à nu. Quand son sommeil n'avait pas de songes, le cerveau était immobile et demeurait dans sa boîte osseuse
t dans sa boîte osseuse, mais lorsqu'il était agité par des rêves, le cerveau turgescent faisait saillie hors du crâne. Cette t
ton cœur. » N'était-ce pas dire clairement : congestionne, excite ton cerveau ? Des idées vives peuvent avoir dans ce cas des ef
effets analogues à ceux de la lumière sur un œil excité. L'état du cerveau étant donné, le corps tout entier peut à son tour
t ainsi, en faisant d'un côté la part du corps et de l'autre celle du cerveau , expliquer de la manière la plus facile certains
viens de parler dépendent d'une excitation idiopathique et directe du cerveau . Mais cette excitation peut se développer sympath
s les plus folles, les instincts les plus bizarres, et, si peu que le cerveau soit excité, pourra pousser aux actes les plus in
iques. Celles-ci impliquent un état morbide, une lésion matérielle du cerveau . Les premières ne peuvent être considérées que co
périphérique des nerfs et l'axe médullaire sont grands par rapport au cerveau , plus le côté instinctif de la vie prédomine. Che
rands que dans l'espèce humaine. Le nerf optique d'un papion, dont le cerveau pèse à peine 160 grammes, est beaucoup plus volum
ne 160 grammes, est beaucoup plus volumineux que le même nerf dans un cerveau humain de 2,000 grammes. Il est bien évident qu'i
CEVOIR ENTRE LES PHÉNOMÈNES INTELLECTUELS ET L'ORGANISATION INTIME DU CERVEAU UN RAPPORT NATUREL ET INTELLIGIBLE. § 1. Induct
nd la moelle, avec ce qui la représente dans le crâne, est grande, le cerveau est petit ; et réciproquement, quand le cerveau s
crâne, est grande, le cerveau est petit ; et réciproquement, quand le cerveau s'accroît, la moelle s'amoindrit. Ainsi cette g
e cerveau s'accroît, la moelle s'amoindrit. Ainsi cette grandeur du cerveau ne doit point être appréciée comme on le fait en
fet, et toutes les expériences le prouvent, c'est la moelle et non le cerveau qui anime le corps, mais le cerveau corn mande
ouvent, c'est la moelle et non le cerveau qui anime le corps, mais le cerveau corn mande à la moelle ; son rapport au corps é
s à cette moelle en particulier qu'il faut le comparer. La force du cerveau d'ailleurs, en tant qu'il est l'organe essentiel
as que le noyau encéphalique grandisse en proportion ; ainsi, de deux cerveaux également développés, l'un peut être grand par so
es corticales. Or, plus la moelle et le noyau sont grands eu égard au cerveau proprement dit, et plus, quelque soit d'ailleurs
u corps, l'automate gouverne l'intelligence. Réciproquement, un grand cerveau commande plus aisément aune plus petite moelle.
faut d'ailleurs remarquer que dans le même groupe zoologique, plus le cerveau grandit absolument, et plus la moelle est petite
un même type, les plus grands animaux ayant absolument un plus grand cerveau , sont en général les plus intelligents. C'est là
l n'existe pas un rapport intelligible entre l'organisation intime du cerveau et le jeu des facultés intellectuelles. 11 est
e jeu des facultés intellectuelles. 11 est certain que c'est par le cerveau que l'âme sent et veut. Le cerveau est donc à la
11 est certain que c'est par le cerveau que l'âme sent et veut. Le cerveau est donc à la fois un organe de sensation et un o
a conscience, et cependant il y a deux hémisphères, c'est-à-dire deux cerveaux ; comment donc n'y a-t-il qu'une pensée, qu'une v
sympathie, un équilibre naturels et nécessaires. 3. De même que le cerveau est divisé en deux moitiés parfaitement distincte
centres encéphaliques. C'est aussi dans un département distinct du cerveau que s'épanouissent les racines directes des nerfs
iaire duquel les tubercules quadrijumeaux sont mis en rapport avec le cerveau . Il y a d'ailleurs entre cette racine médiate et
ous la concevons ici, ne détruit en rien l'idée de l'unité absolue du cerveau , en tant qu'organe d'intelligence; son action mul
ux mécanisme de la mémoire intellectuelle. L'analomio pathologique du cerveau est encore si grossière et si peu avancée, que ce
point de vue de l'intelligence, le cervelet n'a pas l'intérêt que le cerveau présente; cela résulte assez évidemment des belle
d'un seul coup toutes les autres (l). Il est donc bien certain que le cerveau , multiple par rapport au corps, est un par rappor
Il est donc certain que le principe des instincts n'est point dans le cerveau , organe de l'intelligence, mais dans les organes
l'automate. Ils éclatent, il est vrai, dans l'intelligence et par le cerveau , mais leur cause est ailleurs. Ainsi, la tendance
I, édit. de Berlin, p. 450. (2) Cf. Lelut, Formule des rapports du cerveau à la pensée, dans Annales médico psychologiques,
, tout ce qu'un automate peut accomplir, peut se faire encore sans le cerveau . Je persiste donc à penser que pour expliquer les
6. Les modifications d'où la mémoire résulte ne sont pas propres au cerveau , et le système nerveux tout entier y joue son rôl
exister, en effet, un certain rapport entre l'organisation visible du cerveau et ses fonctions, en tant qu'on le considère comm
nt incomplète, parce qu'une multitude de phénomènes résultent dans le cerveau , non d'une organisation stable et définie, mais d
-seulement par leurs facultés, mais encore par l'organisation de leur cerveau . Cette vérité est soupçonnée dès l'origine de la
es singes ne différaient que relativement, la réduction congéniale du cerveau humain chez les nains microcéphales à des dimensi
rocéphales à des dimensions et à une complication analogue à celle du cerveau du chimpanzé ou de l'orang, devrait amener entre
aractère spécifique qui est la faculté du langage. Ces hommes à petit cerveau , dont les circonvolutions dépassent à peine en co
. Un saïmiri a, relativement au volume de son corps, beaucoup plus de cerveau que n'en avait la jeune négresse microcéphale que
ace supérieure du noyau................. 60 § 4. Des ventricules du cerveau , de la voûte, de la commissure antérieure et du c
sition, de sa forme dans l'espèce humaine, et de ses rapports avec le cerveau . 285 § 1. Importance de l'étude du crâne.......
cevoir entre les phénomènes intellectuels et l'organisation intime du cerveau un rapport naturel et intelligible.............
5 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
GÉNÉRALES D'ÉTUDE EMBRYOGÉNIE HISTOGENÈSE ET HISTOLOGIE ANATOMIE DU CERVEAU Avec 401 figures dans le texte dont 45 en coule
ndaires. Cette dernière méthode s'applique mieux que toute autre au cerveau de l'homme et son emploi systématique, dans un tr
première partie de l'ouvrage. La deuxième partie sera consacrée au cerveau dont nous étu- dierons la morphologie, la struc
scription, pour ainsi dire analytique, des diffé- rentes régions du cerveau , nous en exposerons la synthèse. Nous passerons
l'origine, le trajet et la terminaison des différents faisceaux du cerveau : faisceaux d'association qui relient deux régi
ulaire, avec les jambes et loute la substance médullaire moyenne du cerveau ». C'est avec des méthodes aussi imparfaites qu
i avancés par rapport à sa texture, surtout en ce qui con- cerne le cerveau . La méthode de Stilling, en effet, a été surtou
et y a donné de remarquables résultats. Par contre, dans l'étude du cerveau de l'homme, l'emploi de cette méthode se heurte
ne fourni les résultats qu'elle est capable de donner. Appliquée au cerveau humain, elle constitue, en effet, une méthode l
ue nous puissions employer pour étudier la texture si compliquée du cerveau . La méthode de Stilling, quelqu'excellente qu'e
a nais- sance ou dans les derniers mois de la vie intra-utérine, le cerveau pré- sente une coloration toute différente de c
isceau distinct contenant des fibres blanches. Parrot, examinant le cerveau d'enfants nouveau-nés, montra qu'à cette époque
s de coloration en étudiant, par la méthode des coupes en séries le cerveau , le bulbe et la moelle, dans les derniers mois de
nes. Pour déterminer les origines du nerf olfactif, on comparera le cerveau de divers mammifères. Chez les animaux à odorat t
ure du né- vraxe des vertèbres inférieurs, en particulier celle des cerveaux moyen et postérieur, est le plus souvent beauco
N DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL 1. Ouverture du crâne et extraction du cerveau . Le sujet reposant sur le dos, et la tète étant
xistent entre la dure-mère et le crâne, ainsi que de la mollesse du cerveau à cet âge. C'est dans ces cas, que l'on peut êt
e nouveau-né et à plus forte raison chez le foetus, l'extraction du cerveau est assez délicate, étant donnée la mollesse extr
par une incision perpendiculaire à la précédente. Pour extraire le cerveau , on introduit les doigts de la main gauche sous
main gauche sous les lobes frontaux et. en soulevant légèrement le cerveau , on sectionne successivement au scalpel et en e
xité. Dans les différentes maniruvres nécessi- tées pour enlever le cerveau , il faut avoir grand soin lorsque le cerveau es
- tées pour enlever le cerveau, il faut avoir grand soin lorsque le cerveau est soulevé en arrière afin de pratiquer la sec
les, accident qui n'est pas à négliger, surtout lorsqu'il s'agit de cerveaux porteurs de lésions. Le cerveau une fois extrai
ger, surtout lorsqu'il s'agit de cerveaux porteurs de lésions. Le cerveau une fois extrait de la cavité crânienne, sera tra
point de repère la 1"' dorsale ou la 1"' lombaire. ''). Examen du cerveau normal et pathologique A l'aide de COUPES macro-
echnique de ces coupes. - Lorsque l'on veut étudier l'ana- lomie du cerveau , il faut après avoir examiné sa conformation exté
etc.). en pratiquant une coupe horizontale des deux hémisphères, le cerveau reposant sur sa lace inférieure. Cette coupe, qui
orsque l'on veut étudier non plus la morphologie proprement dite du cerveau , mais les masses ganglionnaires, ainsi que les fa
on peut dire qu'on ne les interprète bien, qu'après avoir étudié le cerveau il l'aide d'autres procédés, c'est-à-dire sur des
des coupes macro et microscopiques, pratiquées au microtome sur des cerveaux durcis par les bichromates. Aussi, ne décrirons
ne décrirons-nous pas ici les apparences multiples que présente le cerveau il l'état frais, suivant qu'on y a pratiqué des c
térisée qu'il l'état frais. (Voy. Coupes macl'o.w;o'yJ'zquef. dit - cerveau . ) Lorsqu'il s'agit de cerveaux atteints de lés
Coupes macl'o.w;o'yJ'zquef. dit - cerveau. ) Lorsqu'il s'agit de cerveaux atteints de lésions, il peut être dans beaucoup
l doit être nécessaire (1"y pratiquer des coupes, car, en face d'un cerveau pathologique, plusieurs problèmes peuvent se po
microtome ? Il existe, en effet, plusieurs procédés pour couper un cerveau porteur de lésions; mais la plupart ont le grav
rents procédés ont été proposés, pour sectionner à l'état frais les cerveaux porteurs de lésions, un des plus anciens est celu
tre employée que lorsqu'on n'a pas l'in- tention de faire durcir le cerveau pour le soumettre à l'examen microsco- pique. E
. Coupes horizontales des hémisphères. Les coupes horizontales du cerveau , sont celles qui ont été le plus anciennement con
it en général, en sciant horizontalement la calotte crânienne et le cerveau tout à la fois. 'icd-d'Azyr en a reproduit un e
laisse cette dernière en place, et on sectionne horizontalement le cerveau , au moyen d'un couteau introduit entre les bord
introduit entre les bords de l'ouverture osseuse. Ou coupe ainsi le cerveau en bloc et de dehors en dedans. Il est préfér
ans toute leur épaisseur. Technique des coupes à pratiquer sur un cerveau pathologique à l'état frais. - Lorsque l'on a a
cerveau pathologique à l'état frais. - Lorsque l'on a affaire à un cerveau porteur de lésions, les pro- cédés employés pou
re, dans le service de l'un de nous, nous préparons dans ce but les cerveaux pathologiques. L'encéphale extrait de la cavité
secondaire. Ceci fait, on sépare l'isthme de l'encéphale d'avec le cerveau , en sectionnant la protubérance suivant un plan h
acine du trijumeau, et dirigé parallèlement a la face inférieure du cerveau . L'encéphale se trouve ainsi divisé en deux par
Meynert. Fin. G. - Coupes que nous pratiquons à Bicêtre sur un cerveau présentant une lésion corticale, avant de le fa
ble d'employer la méthode de durcissement lent. Lorsqu'il s'agit de cerveaux malades, on aura soin de ne pas enlever les mén
u moins putréfié. Ces accidents, peu importants lorsqu'il s'agit de cerveaux sains, faciles à remplacer, sont natu- rellemen
à remplacer, sont natu- rellement irréparables lorsqu'il s'agit de cerveaux pathologiques. Enfin, dans l'un comme dans l'au
r au fond du cristallisoir sur sa face interne, et s'il s'agit d'un cerveau entier, de le faire reposer sur sa convexité. D
e de la tem- pérature sur le dur- cissement. Durcissement des cerveaux pathologi- jjj- ques. ¡ ¡ s 1 Précautions
dit de Gudden, instrument qui permet de couper un hémisphère ou un cerveau entier dans n'importe quel sens. Le microtome q
e verre et la coupe reste adhérente au papier. Si on a affaire à un cerveau bien imprégné par le collodion et c'est ce qu'il
ROCÉDÉ DE CONSERVATION DES COUPES MACROSCOPIQUES PRATIQUÉES sur des cerveaux durcis dans les BICHROMATES. - Les coupes micros-
el ou tel système de fibres. C'est ainsi en particulier que dans le cerveau , -les radiations optiques de Gratiolet, prennen
hérique. Méthode d'Exner. - Les pièces provenant de la moelle ou du cerveau , doivent être prises immédiatement après la mor
on enlève avec soin le système nerveux central en entier, moelle et cerveau , la dure-mère comprise. On étend les pièces sur u
microscope. Comme on doit en général - surtout lorsqu'il s'agit du cerveau - étudier des coupes présentant une large surface
optique tournant, pour l'élude des grandes coupes microscopiques du cerveau . MÉTHODES USITEES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERV
ques. La vési- cule encéphalique antérieure, donnera naissance au cerveau proprement dit, c'est-à-dire aux hémisphères cé
d'environ In semaines, vu du vertes. (U'ahri·. \\'. fIis.) CA , cerveau antérieur. . CI, cerveau intermédiaire. z CM.
du vertes. (U'ahri·. \\'. fIis.) CA , cerveau antérieur. . CI, cerveau intermédiaire. z CM. cerveau moyen. PO. pé- o
is.) CA , cerveau antérieur. . CI, cerveau intermédiaire. z CM. cerveau moyen. PO. pé- oculaire primitive. DEVELOPPEM
,9 mm.), vu de profil. (D'après W. His.) AC, arrière-cerveau. - ÇA, cerveau antérieur. - CI, cerveau intermé- diaire. CM, c
'après W. His.) AC, arrière-cerveau. - ÇA, cerveau antérieur. - CI, cerveau intermé- diaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerve
erveau. - ÇA, cerveau antérieur. - CI, cerveau intermé- diaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur. - Ce, cervelet.
antérieur. - CI, cerveau intermé- diaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur. - Ce, cervelet. - fch) fente clioro
e selle. - Gp, glande pinéale. -If, in- fundubilum. - Is, isthme du cerveau . - LB, lame basilaire. - LL, lame latérale. Lol
encéphalique par une partie rétrécie, comme étranglée, l'isthme du cerveau postérieur (Is) de His. Elle se caractérise surto
ace. AC, arrière-cerveau. - AF, ganglion acous- tico-facial.- CA, cerveau antérieur. - CI, cer- veau intermédiaire. - CM,
acial.- CA, cerveau antérieur. - CI, cer- veau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur. Ci\ cristallin
érieur. - CI, cer- veau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur. Ci\ cristallin.' - Fol, fossette ol
- La ligne pointillée de la fig. 19. indique la limite antérieure du cerveau intermé- diaire et la profondeur du sillon semi
dont l'antérieure porte, dans la nomenclature de v. Baer, le nom de cerveau postérieur proprement dit, de quatrième vésicule
récit et forme l'aqueduc de Sylvius; elle porte désormais le nom de cerveau moyen (CM), vésicule des tubercules quadrijumea
nt délimitée de la troisième vésicule encéphalique, par l'isthme du cerveau postérieur de Bis i Is), elle est séparée de la
ieure primitive, par un sillon curviligne assez accentué, le col du cerveau intermédiaire de His (cCI.) (fig. 24). La vés
portera désormais, d'après la classification de von Baer, le nom de cerveau intermédiaire, (CI) vésicule des couches optiques
icule thala- mique ou thalamcncéphalon; la vésicule fille, celui de cerveau antérieur, (CA) vésicule cérébrale antérieure ,
res ou prosencé- phalon. L'extrémité antérieure un peu pointue du cerveau intermédiaire, pénètre à la façon d'un coin dan
ntue du cerveau intermédiaire, pénètre à la façon d'un coin dans le cerveau antérieur, de telle sorte que la paroi interne
de la vésicule des hémisphères, s'adosse à la surface extérieure du cerveau intermédiaire, dont elle est séparée par un sillo
térieure primitive, de telle sorte que la base ou portion axiale du cerveau antérieur, se continue insensiblement avec la bas
le du cerveau antérieur, se continue insensiblement avec la base du cerveau intermédiaire; ces deux cerveaux circonscrivent a
inue insensiblement avec la base du cerveau intermédiaire; ces deux cerveaux circonscrivent ainsi une seule et môme cavité,
é, le troisième ventricule . Cette pénétration en forme de coin, du cerveau intermédiaire dans le cerveau antérieur, et l'a
ette pénétration en forme de coin, du cerveau intermédiaire dans le cerveau antérieur, et l'adossement des parois qui en est
st la conséquence, est un fait important à retenir, car la paroi du cerveau intermédiaire donnera naissance à la couche opt
rveau intermédiaire donnera naissance à la couche optique, celle du cerveau antérieur à une partie du corps strié, et ainsi
n avant et en haut, où elle se continue avec la paroi supérieure du cerveau intermédiaire (fig. 17 et 18). Vers la fin de l
epli mésodermique médian et antéro-postérieur, la faux primitive du cerveau , déprime la paroi antérieure de la vésicule des
avec les deux sillons semi-lunaires, qui séparent de chaque côté le cerveau antérieur du cerveau intermédiaire. Le fond de
semi-lunaires, qui séparent de chaque côté le cerveau antérieur du cerveau intermédiaire. Le fond de la scissure interhémi
e de His (Sichelfalte), qui n'atteint pas l'extrémité antérieure du cerveau intermédiaire. La scissure interhémisphérique d'u
artie impaire et médiane, le tronc, la base ou la portion axiale du cerveau antérieur (\Ynrzelgebiet, His), en continuité d
eur (\Ynrzelgebiet, His), en continuité directe avec le plancher du cerveau intermédiaire, et qui donnera naissance aux cor
His, Pallium cerebri), qui donneront naissance à l'écorce grise du cerveau , à la masse blanche sous-jacente, au corps call
re, où elles sont séparées l'une de l'autre par toute la largeur du cerveau intermédiaire ; elles convergent en avant, et n
rées que par l'étroite fente interhémisphérique qui loge la faux du cerveau . Elles prendront par la suite un très grand dével
s grand développe- ment et recouvriront à la façon d'un capuchon le cerveau intermédiaire, le cerveau moyen et le cerveau p
recouvriront à la façon d'un capuchon le cerveau intermédiaire, le cerveau moyen et le cerveau postérieur (fig. 21, 40, 44,
açon d'un capuchon le cerveau intermédiaire, le cerveau moyen et le cerveau postérieur (fig. 21, 40, 44, 46, 66). Au niveau
ig. 21, 40, 44, 46, 66). Au niveau de leur insertion sur la base du cerveau antérieur, les vési- cules hémisphériques se ré
factif, du reste du manteau céré- bral. (fig. 18.) . La cavité du cerveau antérieur comprend de même trois parties, une p
aire, après ablation de sa partie supérieure, la Cavité commune aux cerveaux intermédiaire et antérieur, se présente sous l'
e des deux pédicules optiques, séparent la partie qui appartient au cerveau intermédiaire, de celle qui appartient au cerveau
qui appartient au cerveau intermédiaire, de celle qui appartient au cerveau antérieur. Mais cette séparation n'est pas comp
-. ÀC, arrière-cerveau. - CA,.cerveau antérieur. - Ca, calotte. CI, cerveau intermédiaire. - CM, cer- veau moyen. CP, cerve
Ca, calotte. CI, cerveau intermédiaire. - CM, cer- veau moyen. CP, cerveau postérieur. CPo, courbure de la protubérance. Cst
- fst, fente en forme de selle. - Gp, glande pinéale. la, isthme du cerveau postérieur. - LA, lame alaire. - LF, lame fondame
cncéphalo-mé- d)dtah-c. ' d du pédicule optique, le plancher du cerveau intermédiaire se continue directement et sans a
é, s'accroissent considérablement; la partie basale de la cavité du cerveau antérieur, se réduit alors aune mince fente, qu
uatrième et la cinquième semaine de la vie embryonnaire, la base du cerveau intermédiaire devient parallèle à celle du cerv
aire, la base du cerveau intermédiaire devient parallèle à celle du cerveau postérieur proprement dit, dont elle est séparée
23). L'angle posté- rieur, situé au voisinage du bord postérieur du cerveau moyen, correspond il la plus grande largeur de
irofle. (D'après '\\'. His.) AC, arrière-cerveau. - C, coeur. - CA, cerveau antérieur. - CI, cerveau intermédiaire. CM, cerve
s.) AC, arrière-cerveau. - C, coeur. - CA, cerveau antérieur. - CI, cerveau intermédiaire. CM, cerveau moyen.- CN, courbure
- C, coeur. - CA, cerveau antérieur. - CI, cerveau intermédiaire. CM, cerveau moyen.- CN, courbure de la nuque. - Co, cordon
eau moyen.- CN, courbure de la nuque. - Co, cordon ombilical. - CP, cerveau postérieur. - Cav, courbure antérieure du verte
-Fol, fossette olfactive. -Gs, ganglions spinaux. . - Is, isthme du cerveau postérieur. - 11',lèyre rhomboïdale. - M, moelle.
vaisseaux omphalo-mésentériques. 74 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. cerveau moyen, puis empiète sur la partie postérieure du
S NERVEUX. cerveau moyen, puis empiète sur la partie postérieure du cerveau inter- médiaire ; il s'ouvre au sur et à mesure
ndeur du sillon labial externe. AC, arrière-cerveau. - BCA, hase du cerveau antérieur. - CA, cerveau antérieur. - cCI, col du
terne. AC, arrière-cerveau. - BCA, hase du cerveau antérieur. - CA, cerveau antérieur. - cCI, col du cer- veau intermédiair
CA, cerveau antérieur. - cCI, col du cer- veau intermédiaire. - CI, cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. CA', courbure
col du cer- veau intermédiaire. - CI, cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. CA', courbure de la nuque. z CP, cerveau
ntermédiaire. - CM, cerveau moyen. CA', courbure de la nuque. z CP, cerveau postérieur. - CPo, courbure de la protubérance. -
fissura se- rotina. - fst, fente en forme de selle. - Is, isthme du cerveau postérieur. lr. lèvre rhomboïdale. Lola, lobe o
à cette courbure, le qua- trième ventricule s'élargit, la voûte du cerveau postérieur s'applique presque sur la voûte de l
a voûte de l'arrière-cerveau (fig. 24), et les parties latérales du cerveau postérieur s'étirent en forme d'auricules, pour f
canal neural. Voûte du canal neural. ^Cavité de l'arrière- cerveau et du cer- veau postérieur. . Les commissures
ofonde fente- longitudinale. Au niveau de Y arrière-cerveau et du cerveau postérieur (fig. 32), la cavité du canal encéph
sme à trois pans. Mais cet aspect se perd plus haut, et l'isthme du cerveau postérieur comme le cerveau moyen, ne sont plus
spect se perd plus haut, et l'isthme du cerveau postérieur comme le cerveau moyen, ne sont plus formés que par deux demi- c
ieur et un bord postérieur saillants. La cavité circonscrite par le cerveau intermédiaire, paraît large par rapport à ce qu
quatrième ventricule et l'aqueduc de Sylvius, forment au niveau du cerveau intermédiaire le sillon de Monro, et se ter- mi
nt donc, toutes les parties constituantes de l'axe encéphalique. Le cerveau antérieur donnera nais- sance aux hémisphères c
es cérébraux, aux corps. striés, au corps calleux et au trigone; le cerveau intermédiaire aux couches optiques, à la région s
ui constituent le plancher et la voûte du troisième ventricule ; le cerveau moyen, aux tubercules quadrijumeaux et à la cal
bercules quadrijumeaux et à la calotte des pédoncules cérébraux; le cerveau postérieur, au cervelet et à la protubérance ;
la protubérance ; l'ARRiÊRE-cERVEAij au bulbe rachidien. La cavité du cerveau antérieur formera les ventricules latéraux; cel
ité du cerveau antérieur formera les ventricules latéraux; celle du cerveau intermédiaire, le troisième ventricule; celle d
; celle du cerveau intermédiaire, le troisième ventricule; celle du cerveau moyen, l'aqueduc de Sylvius; celle des quatrièm
de sa voûte et de ses parois latérales. Cavité de l'isthme et du cerveau moyen. Cavité du cerveau intermédiaire et ses
is latérales. Cavité de l'isthme et du cerveau moyen. Cavité du cerveau intermédiaire et ses diverticules. Vue d'en
p. 138 et suiv.). 2. VÉSICULE ENCÉPHALIQUE POSTÉRIEURE PRIMITIVE Cerveau rhomboïdal (Hautcnhirn, His). Le cerveau postér
UE POSTÉRIEURE PRIMITIVE Cerveau rhomboïdal (Hautcnhirn, His). Le cerveau postérieur et Y arrière-cerveau, qui procèdent de
s (a), et se réunissent à angle très aigu, au niveau de l'isthme du cerveau postérieur ; ils donnent naissance aux hémisphère
que la courbure du pont apparaît (fig. 18, 22, 23, 34), la voûte du cerveau postérieur s'applique peu à peu sur la voûte de l
rrière-cer- ..., veau; la partie supérieure ou protubérantielle, au cerveau postérieur pro- .. prement dit. Un sillon profo
érantielle, et se termine enfin en pointe au-dessous de l'isthme du cerveau postérieur. Le sillon labial externe ne représe
postérieure. (Dessiné d'après nature.) AC, arrièrc-cerveau.- CA, cerveau antérieur. - CM, cerveau moyen. - CP, cerveau p
rès nature.) AC, arrièrc-cerveau.- CA, cerveau antérieur. - CM, cerveau moyen. - CP, cerveau posté- rieur. - Cp, circon
arrièrc-cerveau.- CA, cerveau antérieur. - CM, cerveau moyen. - CP, cerveau posté- rieur. - Cp, circonvolutions primitives.
édian postérieur. - sp, sillons primitifs. st, sillon transverse du cerveau moyen. sv, sillon vertical du cerveau moyeu.
ifs. st, sillon transverse du cerveau moyen. sv, sillon vertical du cerveau moyeu. - Vécu, vermis du cervelet.- 1Y4,4veutri
e la membrane obturatrice (fig. 20, ob). Au niveau de l'isthme du cerveau postérieur, la lame alaire donne nais- sance au
s poissons, des reptiles et des amphibies, est en connexion avec le cerveau moyen et le cerveau intermédiaire par le pédoncul
iles et des amphibies, est en connexion avec le cerveau moyen et le cerveau intermédiaire par le pédoncule cérébel- leux su
res). Les reptiles, les amphibies et les poissons, chez lesquels le cerveau anté- rieur, en particulier le manteau central,
urvus et ne possèdent que le système des fibres de la calotte. Le cerveau postérieur et l'arrière-cerveau donnent naissance
upérieure du cordon ganglion- naire, lequel donne de chaque côté du cerveau postérieur et de l'arrière- cerveau, trois gang
lequel donne de chaque côté du cerveau postérieur et de l'arrière- cerveau , trois ganglions dont deux sont situés en avant e
CÉPHALIQUE PRIMITIVE MOYENNE Vésicule des tubercules quadrijumeaux. Cerveau moyen. Mésencéphalon (Mittelhirn). De toutes
ylvius, et qui se distingue des cavités des Nerfs qui naissent du cerveau posté- rieur et de l'arrière- cerveau. L'or
s Nerfs qui naissent du cerveau posté- rieur et de l'arrière- cerveau . L'origine réelle des nerfs crauiens ne va-
entricule et d'autre part avec les sillons de Monro. Le plancher du cerveau moyen, comme celui du cerveau postérieur et de
les sillons de Monro. Le plancher du cerveau moyen, comme celui du cerveau postérieur et de l'arrière-cerveau, donne naiss
re.) AC, arrière-cerveau. - 4q.S, aqueduc de Sylvius. B. bulbe. CI, cerveau intermédiaire. cCI, col du cerveau intermédiair
queduc de Sylvius. B. bulbe. CI, cerveau intermédiaire. cCI, col du cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. CP, cerveau p
CI, cerveau intermédiaire. cCI, col du cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. CP, cerveau postél'icul ? cop, commissure
diaire. cCI, col du cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. CP, cerveau postél'icul ? cop, commissure postérieure. - Op
émisphères ce]-ebcHcux.7,innexiou de la protubérance. A-, isthme du cerveau postérieur. DI, moelle épinière. Th, thalamus. tU
s, appelés encore antérieurs et postérieurs. La partie adjacente au cerveau intermédiaire, s'élève un peu au-dessus du col
en diver- geant en avant, et se perdent sur les parois latérales du cerveau intermé- diaire (fig. 39, 40). La partie moyenn
au début, où il occupe le point le plus saillant de l'encéphale, le cerveau moyen se développe par la suite moins rapidement
n (le Reil et bras du tubercule quadrijumeau pos- térieur. Le cerveau moyeu est recouvert pro- g'1'Pssi \'Clllcnt p
au postérieur. 96 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Face externe du cerveau intermé- diaire. - VÉSICULE ENCÉPHALIQUE ANTÉ
face externe ou superficielle. La face externe ou superficielle du cerveau intermédiaire, est verticale ou légèrement conv
'avons vu plus haut (fig. 19, p. 67), il la façon d'un coin dans le cerveau antérieur, et se soude dans le sillon semi-lunair
s hémisphères. Après ablation de cette dernière, la face externe du cerveau intermédiaire présente immédiatement Fie. 39 et
g. 40 montre la surface extérieure de l'encéphale après ablation du cerveau antérieur du côté droit. Dans la lig. ,t0, la par
rieur du côté droit. Dans la lig. ,t0, la paroi latérale droite des cerveaux moyen et postérieur a été enlevée pour montrer l'
été enlevée pour montrer l'aqueduc de Sylvius, l'isthme du ? ." , " ! cerveau postérieur et le 4" ventricule. AC, arrière-cer
. .t7 ? zone trapézoïde. D, bulbe. lill, bande- " ...lette optique. cerveau antérieur. - CI, cerveau intermédiaire.CM, cervea
D, bulbe. lill, bande- " ...lette optique. cerveau antérieur. - CI, cerveau intermédiaire.CM, cerveau moyen. CP, cerveau ,
...lette optique. cerveau antérieur. - CI, cerveau intermédiaire.CM, cerveau moyen. CP, cerveau , postérieur. cop, commissur
cerveau antérieur. - CI, cerveau intermédiaire.CM, cerveau moyen. CP, cerveau , postérieur. cop, commissure postérieure. Cu,
urface arrondie, légèrement concave, qui correspond il la suture du cerveau intermédiaire et du cerveau antérieur, suture d
concave, qui correspond il la suture du cerveau intermédiaire et du cerveau antérieur, suture désignée par Mis sous le nom
par Mis sous le nom de pédoncule du corps strié. Comme la paroi du cerveau intermédiaire, donne naissance à la couche optiqu
veau intermédiaire, donne naissance à la couche optique et celle du cerveau antérieur au corps strié, nous désignerons cette
llé externe; l'extrémité inférieure enfin, empiète sur la partie du cerveau intermédiaire que nous apprendrons à connaître pl
La bandelette optique comme le chiasma, se développe aux dépens du cerveau intermédiaire, et établit la limite entre ce dern
cerveau intermédiaire, et établit la limite entre ce dernier et le cerveau an- térieur. La plupart de ses libres prennent
h\s6l>Ulf\trH la bandelette et le chiasma. La face externe du cerveau intermédiaire ne subit par la suile ? fCE de mo
ce supérieure de la couche optique s'élargit en arrière, déborde le cerveau moyen en formant le pulvinar, puis se recourbe en
a bandelette optique. Elle s'étend en lar- geur, depuis la voûte du cerveau intermédiaire, jusqu'au point d'insertion des p
tlc optitl\1c. rfassisscmcw m- térieur de la 1'ace ev- terne du cerveau in- tcrmédiairc. 98 8 ANATOMIE DES CENTRES NE
médiairc. 98 8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La face interne du cerveau intermé- diaire subit d'impor- tantos modific
er le plancher du ventricule latéral, et se développe aux dépens du cerveau antérieur (fig. 52-63). La face interne ou vent
rrespond à la AC, arrière-cerveau. - Bill bandelette optique. - CA, cerveau antérieur. - C'«, calotte. - CI, cerveau interm
ll bandelette optique. - CA, cerveau antérieur. - C'«, calotte. - CI, cerveau intermédiaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerveau
cerveau antérieur. - C'«, calotte. - CI, cerveau intermédiaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur. - Cst, corps str
C'«, calotte. - CI, cerveau intermédiaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur. - Cst, corps strié. - Fi, fossotte in
e. Gp, glande pinéale. - HC, hémisphères cérébraux. - LS, isthme du cerveau postérieur. - Lola, lobe olfactit antérieur. -
nt bientôt considérablement, de telle sorte que la paroi interne du cerveau intermédiaire, devient verticale vers la fin du
rtie postérieure de la lame alaire, ou partie rétro-lhala- mique du cerveau intermédiaire foetal, donne naissance au pulvinar
ntale; elle se continue en arrière, avec la région de la calotte du cerveau moyen. L'extrémité antérieure de cette dernière r
n do lacom- missure moyenne. Fie. 42. - Coupe vertico-médiane des cerveaux intermédiaire et moyen d'un embryon humain d'en
zone choroïdienne. AFr. zone trapézoïde. Aqs, aqueduc de Sylvius. CA, cerveau antérieur. Ca, calotte. - cCI, col du cerveau i
ueduc de Sylvius. CA, cerveau antérieur. Ca, calotte. - cCI, col du cerveau intermédiaire. - CI, cerveau intermédiaire. - CM,
antérieur. Ca, calotte. - cCI, col du cerveau intermédiaire. - CI, cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - com, comm
cCI, col du cerveau intermédiaire. - CI, cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - com, commissure molle. - 1,'ci, sillon
n étroit canal, le canal cervical (cCI), qui correspond au col du cerveau in- termédiaire de His (fig. 42). La couche o
entre la couche optique et l'extrémité antérieure de la calotte du cerveau moyen, et refoule en dehors la région rétrothala-
liquent les connexionsintimes que [présente plus tard la calotte du cerveau moyen avec la couche optique. Le dernier ves- t
culaire. Dans toute la série des vertébrés, les parois latérales du cerveau inter- médiaire sont épaissies et allongées dan
B, bulbe. bc, bourrelet de la) calotte. - Ce, canal central. - CI, cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - cop, comm
a) calotte. - Ce, canal central. - CI, cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - cop, commissure postérieure. - CP, cer
médiaire. - CM, cerveau moyen. - cop, commissure postérieure. - CP, cerveau postérieur. - Cv, lame du cervelet. - (si, fent
infundibu- ]um. IP, inflexion de la protubérance. - IS, isthme du cerveau postérieur. - l ! "lame terminale embryon- uair
la cavité du troisième ventricule. Paroi inférieure ou plancher du cerveau intermédiaire. - Le plancher du cerveau intermé
i inférieure ou plancher du cerveau intermédiaire. - Le plancher du cerveau intermédiaire se transforme en une mince mem- .
grise de la base de Henle. Grâce à la direction oblique de l'axe du cerveau antérieur, . le - . plancher du troisième ventr
ème ventricule en avant ; elle appartient en réalité au plancher du cerveau antérieur, de même que la plus grande partie de
tie de la substance perforée postérieure, appartient au plancher du cerveau moyen. Le plancher du cerveau inter- médiaire a
ostérieure, appartient au plancher du cerveau moyen. Le plancher du cerveau inter- médiaire affecte donc la forme d'un ento
o; en arrière il s'insère à l'extrémité antérieure de la calotte du cerveau moyen et au T01'llS iileiî2îedii(s de His. Le
e préchordiale de la base du crâne. Une fois arrivée à ' la base du cerveau intermédiaire, la poche hypophysaire donne naissa
vasculosus des poissons cartilagineux. Paroi supérieure ou voûte du cerveau intermédiaire. - La paroi supérieure ou voûte,
se continue avec la lame terminale embryon- naire qui appartient au cerveau antérieur, et dont elle n'est séparée que par u
- sure postérieure n'est pas l'équivalent des autres commissures du cerveau , telles que la commissure antérieure ou le corp
pinéale. B. CERVEAU ANTÉRIEUR - 1. - Prf : miCl' développement du cerveau antérieur. Hémisphères cérébraux et portion axi
olfactifs. Nous avons vu précédemment, que l'on doit considérer au cerveau anté- ' rieur trois parties : une petite partie
n DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 10a ti Il 1 B : ) axiale du cerveau antérieur, et deux parties latérales beaucoup plu
but des vésicules creuses; libres en arrière où elles recouvrent le cerveau intermédiaire à lafaçon d'un capuchon (fig. 18,24
hémi- sphères, et entoure d'un canal presque circulaire la base du cerveau ; il pré- sente une partie moyenne ou étage supé
erne. La. paroi externe est convexe, elle est séparée de la base du cerveau antérieur par un sillon presque circulaire, ouver
de l'hémisphère du côté opposé, et correspond à toute la partie du cerveau antérieur située enlavant du trou de Monro (fig.
ige Platée) ; elle est concave et recouvre toute la face externe du cerveau intermédiaire à laquelle elle est unie au niveau
aux lacis vasculaires ..... de la toile choroïdienne, la sépare du cerveau intermédiaire. Cette région thalamique de la pa
. 107 au, arrière-cerveau. - us buioe. - un, Danueleuc optique. ep, cerveau antérieur. - um, cerveau moyen. - CP, cerveau p
au. - us buioe. - un, Danueleuc optique. ep, cerveau antérieur. - um, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur. - CStr, corps
anueleuc optique. ep, cerveau antérieur. - um, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur. - CStr, corps strié. - FiCp, face int
ance. - Sik, scissure inter-hémisphérique. - st, sillon transverse du cerveau moyen, - tb, trou borgne. - 2'c, tuber cinoreum
s'étend du chiasma des nerfs optiques (fig. 41, 42), à la voûte du cerveau intermédiaire. Sa partie inférieure, impaire et
strié. Le lobe olfactif représente donc en résumé, un appendice du cerveau antérieur, au même titre que le nerf optique et
titre que le nerf optique et la rétine représentent un appendice du cerveau intermédiaire. Le pédoncule olfactif est en effet
ence ganglionnaire. - La face ventriculaire de la portion axiale du cerveau antérieur, s'épaissit de bonne heure en avant de
llie dans la cavité ventriculaire, commune encore à cette époque au cerveau anté- rieur et au cerveau intermédiaire. Cette
culaire, commune encore à cette époque au cerveau anté- rieur et au cerveau intermédiaire. Cette éminence ganglionnaire, qui
'est, par le fait, qu'une partie modifiée de l'écorce de la base du cerveau anté- rieur, représente le premier rudiment du
qui est propre pour ainsi dire aux organes développés au dépens du cerveau antérieur. Cet anneau du corps strié entoure en d
to-striée, et s'unit intimement par la suite, à la paroi interne du cerveau antérieur qui donne naissance au globus pallidu
, et ses extrémités antérieure et postérieure atteignent la base du cerveau antérieur (fig. 48 et 51). L'extrémité postér
ule des hémisphères. 112 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. L'union du cerveau antérieur avec le cer- ? veau intcrmédiairc ? d
recourbé en arrière que le segment externe, il atteint la base du cerveau et comble en partie soit le recessus op- tiqu
tie du segment interne appa- raît libre il la face inférieure du cerveau , en arrière de l'incisura prima; elle sépare
oi interne de la vésicule des hémisphères, n'est intimement unie au cerveau intermédiaire qu'au niveau de la surface sutura
ème mois, la paroi interne de la vésicule hémisphérique s'accole au cerveau intermédiaire dans l'es- pace compris entre le
aire (fig. 52 à 63, ssl), au niveau duquel la surface extérieure du cerveau intermédiaire est simplement accollée au cerveau
face extérieure du cerveau intermédiaire est simplement accollée au cerveau antérieur. C'est par cet espace que passeront l
ur ensemble, comme du reste toutes les parties qui appartiennent au cerveau antérieur, la forme générale d'un anneau ou- ve
SYSTÈME NERVEUX. 115 AM, avant-mur. - BU, bandelette optique. - CA, cerveau antérieur. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calle
CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Ce, capsule externe. - Ci, cerveau intermédiaire. - Cip, segment posté- rieur de l
A, plexus cho- roïdes des ventricules latéraux PE, paroi externe du cerveau antérieur. - 7 ? paroi interne du cerveau antér
raux PE, paroi externe du cerveau antérieur. - 7 ? paroi interne du cerveau antérieur. - Pm, pli marginal de Schmidt. - purs,
rigone. - Th, tha- lamus. - V3, troisième ventricule. vCI, voûte du cerveau intermédiaire. - VI, ventricule latéral. - Vsph
dum. Fig. 52, 53, 54, 55, 56, 57. - Coupes vertico-transversales du cerveau aux différentes périodes de son développement,
ette optique) est teinté en bleu ; la partie de la paroi externe du cerveau antérieur qui donne naissance au noyau caudé, a
ur est hachée et colorée en rouge; la partie de la paroi interne du cerveau antérieur, qui donne naissance au globus pallid
TRES NERVEUX. Fic. 58, 59, 60, 61, 62, 63. - Coupes horizontales du cerveau aux différentes périodes de son développement,
e, du corps calleux et du trigone cérébral (demi sché- matique). Le cerveau intermédiaire(couche optique) est coloré en bleu
couche optique) est coloré en bleu la partie de la paroi externe du cerveau antérieure qui donne naissance au noyau caudé, au
sillon semi-lunaire, par conséquent entre la surface extérieure du cerveau intermédiaire et la surface exté- rieure du cer
e extérieure du cerveau intermédiaire et la surface exté- rieure du cerveau antérieur ; - les fibres du segment antérieur pas
uturale secondaire. AM, avant-mur. - AqS, aqueduc de Sylvius. - CA, cerveau antérieur - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleu
alleux. - Ce, capsule externe. - C,g, circonvolution godronnée. CI, cerveau intermédiaire. Cia, segment antérieur de la capsu
). - Cirl, segment rétro- lenticulaire de la capsule interne. - CM, cerveau moyen. coa, commissure antérieure. - cop, commi
t plexus choroïdes des ventricules latéraux. - PE, paroi externe du cerveau antérieur. - PI, paroi in- terne du cerveau ant
- PE, paroi externe du cerveau antérieur. - PI, paroi in- terne du cerveau antérieur. P7(GP), paroi interne du cerveau antér
PI, paroi in- terne du cerveau antérieur. P7(GP), paroi interne du cerveau antérieur donnant naissance au globus pallidus.
s. TM, trou de Monro. - Va,);, ventricule de la por- tion axiale du cerveau . Vil, vésicule des hémisphères. - l'l, ventricule
e grise. L'union de ces parties est encore plus intime à la base du cerveau , où la tète et la queue du noyau caudé, se fusi
côtoient la surface suturale opto-striée, et atteignent la base du cerveau intermédiaire, . en dedans de la bandelette opt
porte en dedans et en bas, et se place en avant de la : calotte du cerveau moyen, dont il constitue Y étage inférieur ou le
ce au septum lucidum (fig. 6) : .. , Fiu. u-t. - r ace interne du cerveau u un loetus humain de la première moitié du cin
vert seulement en bas et en avant, au niveau de la partie basale du cerveau antérieur. Le lobe limbique est formé en avant
entre ces parties aucun pli de pas- 1<'10. 67. - Face interne du cerveau d'un foetus humain du commencement du huitième mo
dronnée conserve ces rapports avec le trigone cérébral, et, dans le cerveau adulte, on la trouve située dans le fond du sil
mitcs Ue l'iusula. Sillon Mc l'insula. Fie. GS. - Face externe du cerveau d'un foetus humain du com- mencement du cinquiè
incise son bord supérieur vers le 1 tc. b9. - l<'acc externe du cerveau d'un fectus humain du commencement du huitième
du lobe tem- \ pl;al.. i i 1 1 FIG. 70. - Face supérieure du cerveau crun loetus humain du commencement du huitième
lis de passage au non- vième mois. Modifications que subit le cerveau an- térieur dans la série des vertébrés. Ch
continue en avant avec la troisième circonvolution temporale. Le cerveau du foetus, au neuvième mois de la vie intra-utéri
u foetus, au neuvième mois de la vie intra-utérine, repré- sente un cerveau schématique pour ainsi dire, dont tous les sillon
émisphères. - De toutes les vésicules encéphaliques, la vésicule du cerveau antérieur est celle qui subit dans la série des
és les plus grandes variations. Chez les poissons cartilagineux, le cerveau antérieur se réduit à une masse; épaisse et vol
oissons cartilagineux, un ganglion volumineux qui occupe la base du cerveau , et envoie dans les régions encéphaliques inférie
es blanches, etc., etc. On trouvera donc chez les petits animaux un cerveau en général lisse, et cependant on peut observer
entent en général un hémisphère lisse, qui fait con- traste avec le cerveau si riche en circonvolutions des dauphins et de l'
des fibres s'éparpillent en effet bientôt après leur entrée dans le cerveau postérieur. Le nerf de Wrisberg par ;ontre, for
ules olfactives et certaines cellules de la couche superficielle du cerveau ; les unes sont pyramidales comme celles de l'écor
pourvu d'arborisations dendri- tiques. Dans la substance blanche du cerveau et de la moelle, on rencontre de nombreuses den
escence est dite ascendante ; si la cellule d'origine siège dans le cerveau et qu'elle envoie sa fibre dans des régions infér
e, il résulte donc que : 1° Les cellules nerveuses de la moelle, du cerveau , ou des ganglions, sont toutes isolées au début
la forme d'une couche irréguliè- rement onduleuse, qui recouvre le cerveau et le cervelet dont elle constitue l'écorce. El
tion qui sont les homologues de celles décrites par Meynert dans le cerveau . Mais les systèmes des fibres de projection ne
, celles du corps calleux et de la commissure blanche antérieure du cerveau , par exemple, relient entre elles l'écorce des
amètre. - Dans la substance blanche de la moelle, du cervelet ou du cerveau de l'homme, on trouve des cellules aplaties et al
incre en examinant une coupe de moelle, de bulbe, de cervelet ou de cerveau , traitée à l'aide des méthodes de Weigert ou de
r des vaisseaux, et il est plus abondant dans la moelle que dans le cerveau . Dans la moelle il forme des travées péri-vascula
t. et de la Physiol., 1893, p. 586. DEUXIÈME PARTIE ANATOMIE DU CERVEAU CHAPITRE I MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE 1. CONSIDÉ
omprend, au point de vue purement morphologique, trois parties : le cerveau , le cervelet et l'isthme de l'encéphale ; ce dern
rvelet et l'isthme de l'encéphale ; ce dernier relie le cervelet au cerveau et celui-ci à la moelle épinière. Le cerveau pr
relie le cervelet au cerveau et celui-ci à la moelle épinière. Le cerveau proprement dit constitue la partie antérieure et
gion des pédoncules cérébraux et des tubercules quadrijumeaux. Le cerveau occupe la presque totalité de la cavité crânienne
modifie sous l'influence des compressions extérieures; Encephale. Cerveau . 1·'nrme lu ccrccau. 234 ANATOMIE DES CENTRES
ces. Variations pondé- rales suivant la taille et le sexe. le cerveau subit des modifications parallèles. Il se moule t
pés aux dépens de la vési- cule encéphalique primitive postérieure ( Cerveau rhomboïdal), sont situés à la partie inférieure
ipitales inférieures; il est recouvert par la partie postérieure du cerveau , dont il est séparé par une fente profonde et t
chez elles que chez les espèces supérieures; parce que, en outre, le cerveau a plus d'intluence sur les mouvements dans les
valuer l'intel- libence en se basant exclusivement sur le volume du cerveau . Il faut prendre en considération l'étendue et
e du poids des différentes parties consti- tuantes de l'encéphale : cerveau , cervelet, bulbe et protubérance. Chez un certa
MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 237 Quant au poids des différents lobes du cerveau , Meynert donne les chiffres suivants : 1 23
l'homme que chez la femme; d'après Danilewski, la densité totale du cerveau est de 1041, celle de la substance blanche étant
ff, Dos Hil'11gewicht des Menschen. Bonn. 1880. CuARi/roN-BAs'nAN, Le cerveau , organe de la pensée chez l'homme et les animau
rop. de Paris, 1862). - Bn : nn (Alex.), Sur le rapport du poids du cerveau ci celui du corps chez différents animaux. Moscou
, Sur l'interprétation de la quan- tité dans l'encéphale et dans le cerveau en particulier (Mém. de la Soc. d'Anlhr. de Paris
é d'anatomie descriptive, t. III. II. CONFIGURATION EXTÉRIEURE DU CERVEAU Le cerveau se compose de deux moitiés à peu prè
descriptive, t. III. II. CONFIGURATION EXTÉRIEURE DU CERVEAU Le cerveau se compose de deux moitiés à peu près symétriques
lceini- y sphères cérébraux, désignés depuis Calien sous le nom de cerveau droit et de cerveau gauche (fig. 148). Une scis
érébraux, désignés depuis Calien sous le nom de cerveau droit et de cerveau gauche (fig. 148). Une scissure profonde vertical
lleux, la scis- sure inter-hémisphérique descend jusqu'à la base du cerveau (fig. 148, 4 ? 9). Son extrémité antérieure mes
ge un prolongement important de la dure-mère crânienne : la faux du cerveau . Celle-ci s'insinue en avant dans l'extrémité a
d'Héuolcile, s'insère sur la face supérieure de la tente du Faux du cerveau Fie. 148. - Face supérieure de l'encéphale ; la
du corps calleux et du cervelet. (D'après la photo- .- graphie d'un cerveau à l'état frais.) C, cuneus. - Ce, corps calleux
phères sont nettement marquées au niveau de l'extrémité frontale du cerveau (voy. coupes vertico-transversales macrosco- pi
lle répond, dans la plus grande partie de son étendue, à la faux du cerveau et au sinus longitudinal inférieur. Comme la fa
aux du cerveau et au sinus longitudinal inférieur. Comme la faux du cerveau ne descend pas jusqu'à la face supérieure du co
x. C'est dans cet espace ou à tra- vers une éraillure de la faux du cerveau que, dans certaines malforma- tions cérébrales,
grise. . La face inférieure des hémisphères appartient à la base du cerveau (fig. 149); elle se moule sur les étages antéri
mieux de face orbitaine du lobe 16 FiG. 149. - Face inférieure du cerveau . (D'après la photographie d'une pièce durcie au
ur montrer le lobule de l'insula. (D'après la photo- , graphie d'un cerveau durci dans l'alcool.) F, lobe frontal. - I, ins
de passage; ceux-ci sont superficiels et apparents à la surface du cerveau , ou profonds et situés au fond des scissures. L
n'est en effet nullement fondée sur la confor- mation intérieure du cerveau ; elle n'a de valeur que parce qu'elle permet un
l'homme ne réside toutefois pas entièrement dans la richesse de son cerveau en circonvolutions, car, par la richesse en cir-
u en circonvolutions, car, par la richesse en cir- convolutions, le cerveau de l'homme est plus éloigné des cerveaux des si
se en cir- convolutions, le cerveau de l'homme est plus éloigné des cerveaux des singes et des carnassiers, qu'il ne l'est d
tions, très sinueuse et très irré- gulière, correspond à la base du cerveau ; elle limite en particulier l'es- pace perforé
en de l'hémisphère appar- tiennent à la configuration intérieure du cerveau et seront étudiées avec cette dernière. Les cir
des sillons frontaux ont été écartés. (D'après la photographie d'un cerveau frais.) C, cap de la troisième circonvolution f
gauche. (Photographie d'une pièce durcie dans le bichromate; même cerveau que 11g.J 163.) D, gyrus descendens d'Ecker. -
ième nircon- volution occipitale. lnc. 169. - Face postérieure du cerveau . (D'après la photo- graphie d'une pièce durcie
ès la photo- graphie d'une pièce durcie dans le bichromate ; même cerveau que dans la fig. 159.) C, cuneus. - cm, sillon
iétal et temporal, aussi n'est-il pas apparent à la face externe du cerveau recouvert des méninges, et faut-il écarter les
ongé par la racine olfac- tive externe, qui le sépare de la base du cerveau , et en particulier de l'es- pace perforé antéri
ris (i) de Schnopfhagen. Ce sillon commence à la face inférieure du cerveau , au niveau de la vallée de Sylvius et du pli fa
u côté opposé par la grande fente inter-hémisphérique et la faux du cerveau . En arrière du bourrelet du corps calleux, elle
eux, elle se continue à angle très obtus avec la face inférieure du cerveau , aussi comprendrons-nous dans une môme descript
n dedans, s'étale, devient triangulaire et apparaît à la surface du cerveau au niveau du bord hémisphérique qu'il concourt
superficiels. (Ces deux pointes occipitales appartiennent à un même cerveau .) , C, cuneus. - c, sillon du' cunéus. - Cc(Spl
. 175, 176. Ces figures reproduisent les deux hémisphères d'un même cerveau et représentent des anomalies très rares de la
corps calleux, puis se porte en bas et en avant jusqu'à la base du cerveau , et embrasse le pédoncule cérébral (P). Arriv
veau, et embrasse le pédoncule cérébral (P). Arrivée à la base du cerveau , et en particulier au niveau de l'espace perfor
m de lit ou de subiculum de la corne cl'Azzzzzzozx. Lorsque, sur un cerveau frais, on écarte les lèvres du sillon de l'hippo-
de la face profonde de la deuxième circonvolution limbique. Sur des cerveaux riches en circonvolutions, cette face profonde
font souvent défaut chez l'homme, n'existent pas en général sur les cerveaux dont les circonvolu- tions sont peu incisées, e
tourne le genou et le bec, et se continue à la face infé- rieure du cerveau avec incisure prima (ip) de His. Il loge l'artère
ransition, entre celle de l'écorce cérébrale et celle de la base du cerveau . Lobe olfactif antérieur (Lola). Le lobe olfact
agit pas ici d'un nerf périphérique, mais d'une véritable partie du cerveau , développée aux dépens de la vésicule des hémisph
ré antérieur. La tête du noyau caudé fait saillie a la base du cerveau . Trajet des bande- lettes diagonales (le Br
is que la tète du noyau caudé fait directement saillie à la base du cerveau où il n'est recouvert par aucune lame de substa
3). Ces fibres appartiennent aux radiations olfactives destinées au cerveau intermédiaire, et au cerveau moyen; elles se diri
aux radiations olfactives destinées au cerveau intermédiaire, et au cerveau moyen; elles se dirigent t d'avant en arrière e
ales de Broca représentent une partie diffé- renciée de l'écorce du cerveau antérieur, analogue aux fibres langen- ticllc.s
cule des hémi- sphères ce que la vésicule oculaire primitive est au cerveau intermédiaire; il est volumineux chez le foetus
scules. Dans la notation que nous avons adoptée pour nos ligures de cerveaux ou pour nos séries de coupes soit microscopique
. Abh. d. K. bayer. Akad. d. Wissensch. 1868. Brissaud. Anatomie du cerveau de l'homme, avec atlas. Paris, 1893. - P. BROC.
veau de l'homme, avec atlas. Paris, 1893. - P. BROC.1. Étude sur le cerveau du gorille. Revue d'Anthropologie, 1878, p. 1. Du
Riechcentrum. Stuttgart, 1887. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 313 BASE DU CERVEAU . Pour étudier la base du cerveau, on pratique
PHOLOGIE CÉRÉBRALE. 313 BASE DU CERVEAU . Pour étudier la base du cerveau , on pratique en général une section transversal
eau, on pratique en général une section transversale, qui sépare le cerveau de l'isthme de l'encéphale, au niveau du bord s
les cérébraux, peut donc se faire à propos de l'étude de la base du cerveau . La base du cerveau s'étend d'avant en arrière,
nc se faire à propos de l'étude de la base du cerveau. La base du cerveau s'étend d'avant en arrière, du bec du corps calle
ieur que nous venons d'étu- dier appartient donc aussi à la base du cerveau , dont les bords corres- pondent assez exactemen
utions cérébrales de la face inférieure des hémisphères. La base du cerveau est formée : 1° Sur ses par le lobe olfactif po
re grise de la base de Ilenle, formée par une partie du plancher du cerveau antérieur, parle plancher du cerveau intermédia
par une partie du plancher du cerveau antérieur, parle plancher du cerveau intermédiaire (plancher du troisième ventricule
(plancher du troisième ventricule) et par une partie du plancher du cerveau moyen. La commissure grise de la base répond au
plus déclive et la plus concave de la base, lorsqu'on considère le cerveau entouré de ses membranes (arachnoïde et pie-mèr
veau antérieur, le tuber cinereum et les lubevcules mamillaires au cerveau intermédiaire, l'espace perforé postérieur au c
amillaires au cerveau intermédiaire, l'espace perforé postérieur au cerveau moyen. Nous étudierons successivement : Base
rieur au cerveau moyen. Nous étudierons successivement : Base 41n cerveau . Commissure prise de la hase de Ileule. Elé
érieur du chiasma et forme la commis- sure inférieure de la base du cerveau ou commissure de Gudden (fig. 184). Le faisceau
-t-elle facilement, lorsqu'on ren- verse en arrière le chiasma d'un cerveau reposant sur un plan horizontal. L'orifice ains
est facile à voir sur une coupe antéro-postérieure et médiane d'un cerveau durci dans le bichromate (fig. 188). Faisceau d
donculaire est formé, dans sa moitié antérieure, par le plancher du cerveau intermé- diaire et dans sa moitié postérieure,
u intermé- diaire et dans sa moitié postérieure, par le plancher du cerveau moyen. Sa moitié antérieure est occupée par le
seul en connexion avec l'infun- dibulum. Ce lobe dérive en effet du cerveau ; il est une dépendance du ven- tricule moyen et
qui ne fait qu exceptionnellement saillie chez l'homme à la base du cerveau , c'est le tubercule mamillaire latéral (Tml, fi
' rieure du losange opto-pédonculaire, se développent aux dépens du cerveau moyen, et leur configuration extérieure peut êt
r configuration extérieure peut être faite avec celle de la base du cerveau . La région des pédoncules cérébraux, connue encor
ire de l'aqueduc de Sylvius (Aq, fig. 189), vestige de la cavité du cerveau moyen; 2° de chaque côté, on trouve une traînée d
ral proprement dit), considéré tour à tour comme le prolongement du cerveau vers la moelle, ou de la moelle vers le cerveau,
le prolongement du cerveau vers la moelle, ou de la moelle vers le cerveau , ou comme les bras, les jambes ou les cuisses d
le vers le cerveau, ou comme les bras, les jambes ou les cuisses du cerveau , affecte, sur la coupe (fig. 189), la forme d'u
e fibres, étendues du bord supérieur de la protubérance àla base du cerveau dans laquelle ces fibres pénètrent, pour entrer d
ert (CM). Celte dernière apparaît librement à la face inférieure du cerveau , en arrière du chiasma et de la bandelette opti
s arciformes, qui apparaissent toutes dans la région postérieure du cerveau moyen, au voisinage des tubercules quadrijumeaux,
ère antéro-postérieure qui fait partie du 3e ventricule. Du côté du cerveau , la calotte du pédoncule se continue, sans ligne
jumeaux. Chez les oiseaux, ils occupent toute la partie latérale du cerveau moyen, atteignent la base du cerveau, et sont c
nt toute la partie latérale du cerveau moyen, atteignent la base du cerveau , et sont connus sous le nom de lobes optiques. Le
ifères. On rencontre constamment, à la partie postéro-inférieure du cerveau moyen des Vertébrés inférieurs, un petit gangli
hes coloriées, etc. Paris, 1786. III. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU CERVEAU Seuil de l'hémisphère. Les hémisphères cérébr
. Ces organes, étendus du sinus du corps calleux (sec) à la base du cerveau , ne peuvent être étudiés dans leur ensemble que s
) ou cloison transparente. Entre le trigone cérébral et la bascllti cerveau , on trouve le troisième ventricule ou ventricul
rganes du seuil de l'hémisphère et de la constitution intérieure du cerveau , en exa- minant une coupe verlico-transversale
rieure du cerveau, en exa- minant une coupe verlico-transversale du cerveau , passant par exemple au niveau des tubercules m
m de lobule du corps , strié. Les trois gros noyaux de la base du cerveau , sont encore décrits sous . le nom de corps opt
centraux. 7° Capsule interne. 1° Corps calleux. Lorsque sur un cerveau reposant sur sa base, on écarte les deux hémis-
sapartie postérieure, plus rapprochée de l'extrémité antérieure du cerveau dont il est séparé par une distance dé trois ce
du corps calleux et du cervelet. (D'après la photo- : graphie d'un cerveau à l'état frais.) ! i i C, cunéus. Ce, corps c
entimètres environ de la partie la plus élevée du bord supérieur du cerveau . Sa longueur mesure 7 à 8 centi- mètres (Sappey
l'intermédiaire de la pie-mère et de l'arachnoïde, avec la faux du cerveau , dont le bord n'atteint pas le corps calleux mê
luc. 199. Centre ovale de Vieussens. (D'après la photographie d'un cerveau durci dans l'alcool.) C, cunéus. Ce, corps ca
sous du bourrelet du corps calleux, que la pie-mère pénètre dans le cerveau pour former la toile c7aoïclicczcae (Tch) et les
terminent dans la crête des circonvolutions de toute la surface du cerveau , à l'exception du lobe olfactif et de l'extrémi
nt l'hémisphère cérébral et en particulier le 1' ! ânenciphalon, au cerveau intermédiaire (tuber- cules mamillaires, couche
yen (V.i) et des trous de Monro (TM). Plus rapprochés de la base du cerveau et de la ligne médiane en avant, ils divergent
ral change de direction, il envoie vers l'ex- trémité occipitale du cerveau un prolongement horizontal et curviligne, la co
et appartiennent par leur développement à la surface extérieure du cerveau intermédiaire (Yoy. p. 113 et fig. 52 il gui). La
supérieur du ventricule latéral, et avec la pie-mère de la base du cerveau , au niveau de l'étage inférieur. Ces plexus son
sma des nerfs optiques. FiG. 212. - Coupe verlico-transversale du cerveau passant par les tubercules mamillaires et la part
propos du développement du cer- ., veau, à la surface extérieure du cerveau intermédiaire embryonnaire. ' ., La toile choro
e la pic-mère extérieure, est une membrane vasculaire qui sépare le cerveau antérieur du cerveau intermédiaire. De forme tr
ure, est une membrane vasculaire qui sépare le cerveau antérieur du cerveau intermédiaire. De forme triangulaire, à sommet an
age la pénétration dans les ventricules ; elle sépare, en effet, le cerveau moyen du cerveau intermédiaire, et pour pénétrer,
n dans les ventricules ; elle sépare, en effet, le cerveau moyen du cerveau intermédiaire, et pour pénétrer, soit dans le t
étroite, dont la forme rappelle celle du trigone, et qui sépare le cerveau intermédiaire du cerveau moyen. tie Corps opto-
appelle celle du trigone, et qui sépare le cerveau intermédiaire du cerveau moyen. tie Corps opto-striés. Historique. - R
iés, les couches optiques et une partie des jambes ou pédoncules du cerveau étaient traversés par des stries de différentes
e blanche des lobes frontal ou temporal, et appa- raît à la base du cerveau au niveau de la partie antérieure de l'espace pen
que (fig. 215). Epais et arrondi au niveau de la partie frontale du cerveau , où il se renfle pour former la tête, il est minc
corps strié (fig. 240 et 241). Elle apparaît librement à la base du cerveau , ainsi qu'il est facile de s'en convaincre en e
soit vcrlico-transversales, soit horizon- tales, soit sagittales du cerveau . Considéré dans son ensemble, le noyau lenticul
elle ne donne La tête du noyau caudé fait saillie à la base du cerveau . La queue n'est visi- ble qu'en partie dans
optique de la capsule interne (Cip). Les coupes pratiquées sur des cerveaux frais ou durcis dans les bichro- mates, montren
ceau constant dans toute la série des Vertébrés, le faisceau basai du cerveau antérieur d'Edinger (basales VurderhirnbÜndel)
externe du trigone cérébral, sert de limite embryologique entre le cerveau antérieur et le cerveau intermédiaire. La parti
bral, sert de limite embryologique entre le cerveau antérieur et le cerveau intermédiaire. La partie de la face supérieure
ux parties voisines, ne peuvent être étudiées que sur des coupes du cerveau pratiquées en différents sens. Face inférieur
lle, les libres de l'étage inférieur du pédoncule pénètrent dans le cerveau pour former le segment postérieur de la capsule
out formé de fibres à direction horizontale qui présentent, sur des cerveaux durcis dans les bichromates alcalins, l'aspect
uronne rayon- nante. horizontales, où elles se présentent sur des cerveaux durcis sous un aspect , brun, foncé et mat. D
rection générale des fibres de la capsule interne, en disséquant un cerveau convenablement durci. Après ablation des circon
'hémisphère, entourée par les circonvolutions du tiers supérieur du cerveau . Écorce. - Sur cette coupe on constate nettemen
férence de profon- deur des sillons des faces externe et interne du cerveau . Peu profonds il la face interne, les sillons p
leur axe, et affectent par conséquent une coloration claire sur un cerveau durci au bichro- mate ; c ? ° En dehors du cing
le se trouve la couche sagittale du lobe occipital. Sur les coupes de cerveaux durcis par les bichromates, cette couche sagitt
r cette coupe les deux tiers antérieurs de la moitié postérieure du cerveau ; il est représenté par la circonvolution temporal
(K), et appartient aux circonvolutions de la face inféro-interne du cerveau . La scissure calcarine (K) est sectionnée en pl
z l'homme qu'on ne le croit généralement, et en particulier sur les cerveaux à circonvolutions nombreuses et sinueuses, on tro
quadrijumeau antérieur (Qa), fait légèrement saillie à l'extérieur du cerveau . Capsule interne. - Le segment antérieur de la
antérieure du sillon cal- loso-marginal. Elle intéresse la base du cerveau au niveau de la substance perforée antérieure (
ve un orifice irrégulier, qui appartient à la surface extérieure du cerveau , en parti- culier à la fossette interpédonculai
eau, en parti- culier à la fossette interpédonculaire (Voy. Base du cerveau , p. 3c ? 1). Le pied du pédoncule cérébral (P),
corps genouillé externe (Cge), commence à se détacher de la base du cerveau à laquelle il n'est relié que par sa partie ant
s que dans leurs rapports avec la région sous-optique et la base du cerveau anté- rieur. Nous renvoyons aux coupes microsco
a11tillail.e(Tm)etlepiliel.antél.ieu1.dut1.igone(Tga). A la base du cerveau antérieur, immédiatement en avant et en dehors de
rontale (F). Cette dernière forme en effet (voy. Face inférieure du cerveau , fig. 183) la limite antérieure de l'espace perfo
udé a dis- paru, on ne trouve, comme noyau appartenant à la base du cerveau antérieur, que le noyau muyydalien (NA), qui se
s 33- 46), par la grande scissure inter-hémisphérique et la faux du cerveau . Les coupes nos 40, 43 et 46 (fig. 240, 2-ici,
haut et en bas, et qui pré- sentent un aspect pa- naché sur les cerveaux durcis par les bichro- mates. Sur les coupes
- transversales, un épais faisceau, qui présente, sur les coupes de cerveaux dur- cis dans les bichromates, une coloration t
es fibres d'association moyennes et courtes forme sur les coupes de cerveaux durcis par les bichromates, une couche nettement
u niveau de la partie postérieure du bourrelet du corps calleux, le cerveau ne présentera plus trois faces^ comme au niveau d
clive du troisième ventricule (Va), ' v 1 . A la face inférieure du cerveau entre le tuber cinereum (Te) et la substance per-
delette optique (II) enclavée dans la substance grise de la base du cerveau . Le troisième ventricule (Va) se présente sous l'
sillons temporaux (tp t2, ot-t- 1.,). Puis à la face inférieure du cerveau , on trouve le lobule fusiforme (Fus), une incisur
ure que le pédoncule cérébral (P) se détache librement à la base du cerveau . La bandelette (II) n'est adhérente que par sa fa
bstance grise, situés sur le trajet d'une COUPES MACROSCOPIQUES. DU CERVEAU . 4<Ki ligne courbe, qui relie les (leux)cGti
convolution de l'hippocampe (H) et font généralement défaut sur les cerveaux peu riches en circonvolutions. La surface de se
ruban de Vicq d'Azyr ou de Gennari, visible à l'oeil nu, soit sur le cerveau frais, soit après durcissement dans les bichrom
dessous de la couche optique on trouve les parties constituantes du cerveau moyen, que le locus niger (Ln) divise en deux p
agittales montrent très nettement, l'angle droit que forme l'axe du cerveau intermédiaire avec celui du cerveau moyen et du
l'angle droit que forme l'axe du cerveau intermédiaire avec celui du cerveau moyen et du cerveau postérieur. Cet angle corre
me l'axe du cerveau intermédiaire avec celui du cerveau moyen et du cerveau postérieur. Cet angle correspond il peu près il l
bres blanches, qui apparaissent nacrées et resplendissantes sur les cerveaux durcis au bichromate, faisceau qui s'étend, du pr
(NL, 2' ,), la partie moyenne du corps de COUPES MACROSCOPIQUES DU, CERVEAU . 40o Luys (CL) et la couche optique (Th) au niv
rallèle. tp, sillon temporal profond. - CHAPITRE III TEXTURE DU CERVEAU ÉTUDIÉE A L'AIDE DE COUPES MICROSCOPIQUES SÉRIÉ
e l'hémisphère cérébral et comprend '12 coupes apparte- nant à deux cerveaux distincts (Voy. si ? de repérage 278). Les unes (
y. si ? de repérage 278). Les unes (lignes COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . : il9 pleines) sont parallèles au plan vertico
es de repère indiquées dans la fig. 278. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 321 Coupe n° I (fig. 279). Coupe passant par l
Sge, substance grise sous- ependymaire. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . z23 plan de section de la coupe actuelle intér
uement au niveau de la partie orbitaire de COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 52S la première circonvolution frontale (oF,).
'e- mière circonvolution frontale (mF,). COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 1;2-1 Coupe n° III (Fig. 281). Coupe passant p
lobe olfactif dont ils représentent les radia- lions se rendant au cerveau intermédiaire et au cerveau moyen. Ces fibres don
ésentent les radia- lions se rendant au cerveau intermédiaire et au cerveau moyen. Ces fibres donnent au colliculus du noya
nvolutions frontales. - fi, premier sillon COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . ;i29 en pointe en dehors de la substance grise
e libres : le noyau caudé donne naissance, COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . SU comme sur les coupes précédentes, il de gro
a série des Vertébrés, où elles portent le nom de faisceau basai du cerveau antérieur d'Edinger. Le corps calleux (Ce), le
l. Fa, circonvolution frontale ascendante. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . a3 : 3 du putamen (NL3), puis s'entre-croisent
et appartiennent aux radiations olfactives profondes, destinées aux cerveaux moyen et postérieur. Dans le luber cirtereunz (
renforcée par des fibres peu colorées par COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 535 l'hématoxyline et qui appartiennent aux la
ur. - 1VI', partie de l'avant-mur morcelée COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 53- -. caudé (NC) et du deuxième segment du no
i que du putamen par les lames médullaires COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 539 du noyau lenticulaire (Ime, lmi). Le segme
e interne. - CL, corps de Luys. cm, sillon COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 5 If 1 pratiquées il l'état frais, soit sur le
nombre se porte en dedans el forme, après COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 5t3 entre-croisement au niveau de la zone réti
ent les unes avec les autres et apparaissent librement à la base du cerveau , où elles constituent, ainsi que le démontre l'
corne d'Ammon. Ce, corps calleux. Ce, cap- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 545 tauce'r·isn ? nu-zpend/zrrairv> (Sâe),
(II) et aborder le pédoncule cérébral (P) COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 347 au niveau de sa partie externe, formant ai
ne d'Ammon. Ce, corps calleux. Ce, capsule COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 549 interne au niveau de la partie supérieure
inférieur (Fli), séparé de la cavité vers COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . ;¡,)l iriculaire par une mince couche de fibre
yonnante. ds, (livei-lictile du subiculum. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 353 sus des fibres du tænia scmi-circularis et
la fasciola cinez·ncc (Fc) et le carrefour COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 333 ventriculaire. Elle n'intéresse donc aucun
x. sp, sp', scissure sous-pariétale et son COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . a37 1 mais elles sont formées de fibres nettem
, corne occipitale- du ventricule latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 5; ! 9 Autour de la couche du tapetum se trouv
corne occipitale du ventricule latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 561 (fig. 289), les fibres qui longent la paro
upes horizontales microscopiques A et B. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 363 s'épaissit au niveau de la partie postérie
ligne A de la figure 291. Méthode de Wei- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 303 sectionnées parallèlement à leur longueur.
artie ventrale du corps genouillé externe. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . si6-, Au niveau de la paroi interne du carrefo
horizontales microscopiques C, D, E, F. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 569 FIG. 2 ! ) : i. Coupe horizontale micros
d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 51l Coupe D (fig. 296), passant par la ligne
la ligne D de la fig. 294. Cette coupe, très voisine de la base du cerveau , sectionne la face orbitaire des circonvolu- ti
, lame terminale embryonnaire. - mF,, face COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 573 appartiennent au système olfactif et repré
eprésentent les fibres de projection du bulbe olfactif destinées au cerveau intermédiaire et au cerveau moyen. Elles sont e
ojection du bulbe olfactif destinées au cerveau intermédiaire et au cerveau moyen. Elles sont entre-croisées en dedans par
ve externe. - Itolm, radiations olfactives COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 373 certain nombre de fascicules fortement col
Les unes se dirigent en arrière et en dehors pour se rendre dans le cerveau intermédiaire ; les autres, groupées en fascicule
, corne sphénoïdale du ventricule latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . j77 sagittales, la masse blanche du lobe tempo
capsule interne. (Gran- deur naturelle.) COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 379 est toujours séparé de l'écorce, par une
remière liîiiljl'(Iiip (1,,) présente au - COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 581 ' niveau de sa partie moyenne un aspect un
orps calleux, on trouve deux îlots de sub- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . a83 stanee grise à direction antéro-postérie
u riches en myéline, sous le nom de fibres COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . Ma lCi/liwlo-caudl ! cs (Fie). Elles paraissen
n dedans, pour s'entre-croiser en abordant COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 587 la zone réticulée (Zr), sous forme de gr
les fibres longitudinales qui constituent COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . ;i89 la cloison transparente (SI). En dehors d
la partie supérieure du troisième segment COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 591 du noyau lenticulaire ou putamen (NL.,). C
sillonnent tout le segment antérieur de la COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . .93 capsule interne (Cia). Dans le putamen (NL
'un lin pointillé, et non plus sectionnées COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 595 parallèlement -,Il leur axe, comme au nive
apside (Cirl) présente sur cette coupe une COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 591 FIG.-306. Coupe horizontale microscopique
la région thalamique aux radiations posté- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 5fl9 rieures de la couche optique (RTh) et dan
rtie inférieure de la région, thalaniique. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 6y3 L'anatomie pathologique nous a permis de m
u de la fimbria, est libre et appartient à la surface extérieure du cerveau . Son bord interne se prolonge sur la face profond
? Iîi( ! )-i (FM), formé de plusieurs gros COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . GO : i fascicules de libres, dont la section t
C, tète du noyau caudé. NC, queue du noyau COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . fi07 caudé. Ne, noyau externe du thalamus.- NF
e de trois segments ; le segment antérieur COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 609 (Cia), est toujours constitué par des fibr
itution des radiations de la calotte et de COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 611 la capsule du noyau rouge; sa terminaison
eur de l'insula. NC, tête du noyau caudé.. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 613 de Forel (FI), par une lame étroite de sub
gment interne du noyau lenticulaire (NL,). COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . Ces au niveau de sa partie externe et postérie
lus large que le bord ail tào-il/ tel'nc,. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 617 il est en rapport en arrière et en dedans
se sont encore accrues. Il devient libre à la surface extérieure du cerveau , et n'est plus recouvert que par une petite par
noyau lenticulaire. - pCR, pied de la cou- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 610 laire (NL,). Elle est limitée, en avant et
tique (II) deviendra libre et sé- parera le pédoncule de la base du cerveau . Le segment postérieur de la capsule interne (C
pzli.jzer(l'iThl, en dedans et successive- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 621 ment en allant d'avant en arrière, avec le
que la bandelette optique (II) sépare de plus en plus de la base du cerveau . Par sa moitié antérieure, le pédoncule est encor
us choroïdes. - Qa, tubercule quadrijumeau COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . cl commissure antérieure divise le troisième s
re de Meynert (CM). Le pédoncule céréG°al (P) ne tient à la base du cerveau , comme nous l'avons dit plus haut, que dans sa mo
nnes, obliques et curvilignes, se dirigent COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 62;i en avant et en dehors et se rendent dans
(Aq). Le pied du pédoncule cérébral (P) n'est adhérent à la base du cerveau qu'au niveau de son tiers interne. Sur cette
fibres fines, peu serrées, qui appartient il la surface extérieure du cerveau : c'est la bandelette diagonale de Broca (bd) o
en. NC, tête du noyau caudé. NC', queue du COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 627 cule mamillaire latéral (PTml), il contour
insulaire; au sur et il mesure que l'on se rapproche, de la base du cerveau , il s'élargit et s'étale. Sur les coupes précéden
gle postéro-intcrne apparaît librement Ü la surface exté- rieure du cerveau , entre la première circonvolution limbique et la
r (Epa). Le pied du pédoncule cérébral(P)ne lient plus Ü la base du cerveau que par le luter (Te) et la partie supérieure d
ou interne. Ce dernier n'est intéressé que COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 631 dans ses parties tout à fait supérieures,
région sous-optique (Grandeur naturelle). COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 633 parallèles en avant et en dedans vers la
on sous-thalamique supérieure, le ganglion COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 63o de l'habénula (Gh), le centre médian de
alamus (Lme) s'épaissit, surtout au niveau COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . G37 du pulvinar (Pul), et cet épaississenien
te du noyau caudé (NC) s'est rapprochée de la surface extérieure du cerveau ; sur la coupe suivante nous la verrons placée e
psule interne (Cirl) présente des ilôts de COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 639 FIG. 319. Coupe n° 4 x, passant par la l
e confond avec la tête du noyau caudé (NC), qui atteint la surface du cerveau , dans le sillon qui sépare la première circonvo
les fibres du faisceau unci- nalus (Fu). COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 043 Coupe n° 6 x (fig. 321) passant par la lig
segment postérieur de la capsule apparaît presque à l'extérieur du cerveau . Elle est recouverte par la commissure de (CM)
ulée ou grillagée. II, bandelette optique. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . Ma en effet formée de fibres réunies en fascic
lobe pariétal. Elles descendent de ce lobe COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 647 el passent par les régions antérieures d
accru, le corps genouillé interne (Cgi) s'est rapproché de la base du cerveau , dont il est séparé encore par le bras du tuber
a coupe suivante (n° 9 x, lige. 3 : ).1.), COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 649 Le troisième segment du noyau lenticulai
ve les tubercules mamillaires (Tm), qui ne sont reliés à la base du cerveau que par un mince pont de substance grise, au ni
s'est accrue. Dans sa partie antérieure et COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 651 volumineuse, apparaissent les lamelles s
n cinquième postérieur ou externe est encore adhérent il la base du cerveau , et reçoit au niveau du iroi- sième segment du
t l'élude des coupes vertico-transversales COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . G3 sériées et les dégénérescences secondaires
coupe passe par le pédoncule cérébral (P), et du côté de la base du cerveau , par la paroi supérieure du prolongement sphénoïd
Le pédoncule cérébral (P) n'est plus relié maintenant à la base du cerveau que par les corps genouillés interne et externe
e paire. -xll, chiasma des nerfs optiques. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . si : i3 5 les libres des radiations thalamique
u pied du pédoncule, peu de temps après leur émergence à la base du cerveau . Les fibres sectionnées obliquement sont surtou
ment sphénoïdal du ventricule latéral (Vsph). Du côté de la base du cerveau , le putamen (NL3), formé de petits îlots de sub-
aineartige Ilaubcnkreuzung) (xM), dont les COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . Gj7 -1 libres traversent la substance réticu
t délimité en arrière; il ne reçoit plus aucune fibre de la base du cerveau . Le pied du pédoncule cérébral, de même COUPES
au. Le pied du pédoncule cérébral, de même COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 6M 9 que la calotte, seront du reste étudiés
t complètement libre et n'adhère plus il aucun organe de la base du cerveau . Le noyau rouge (NR) a diminué de volume, et sa
le calibre de ses fibres d'autre part. Il COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU . 66t occupe toujours en effet les parties posté
t que chez le vieillard, où elle participe à l'atrophie générale du cerveau . Elle est plus épaisse sur la face externe que
r. Les cinq couches de Meynert.. miter et à suivre sur tous les cerveaux , donne un aspect tout spécial aux coupes pratiq
ngue avec . Schwalbe dans la région psycho-motrice de l'écorce du cerveau des mammifères, quatre couches, à savoir : 1° l
RÉBRALE. GG'7 transversale, apparence si facile à constater sur des cerveaux durcis dans les bichromates. La distribution
, le plus souvent rectilignes, qui se coudent vers la superficie du cerveau , après avoir émis dans leur long trajet horizon
ou d'une pyramide, dont le sommet est dirigé vers la superficie du cerveau et dont la base est inférieure, et donne naissa
l). Elle est large, lisse à son origine et monte vers la surface du cerveau , paral- lèlement à celle des autres cellules py
a morphologie spéciale et son siège exclusif dans la corticalité du cerveau , constitue le véritable centre des actions nerv
u- FiG. 343. Coupe transversale de la région supra-ventriculaire du cerveau de la souris âgée de 15 jours. On y a représent
gions mais encore selon l'âge. En règle générale, la convexité du cerveau est plus riche en fibres tan- gentielles que le
ubissent une sorte de rare- HÉ faction au niveau de la convexité du cerveau . Ce sont là tout autant de par- ^H ticularités
stence d'un talent de marque et même d'un véritable génie, avec des cerveaux de volume moyen ou inférieur à la dimension et
econd cas, il n'est rien qui nous empêche d'accepter que cer- tains cerveaux , soit par héritage d'adaptations 'antérieures, so
es foetus de 25 à 35 centimètres (du cinquième au sixième mois), le cerveau est mou, semi-transparent, friable, très aqueux
de cette manière de voir. La myélinisation commence dans le cerveau vers la nu lc la vic iutrant6- rine. Anse r
'elle se perfectionne pendant les longues années d'accroissement du cerveau et d'augmentation de son poids, au sur et à mes
qu'on les rencontre dans le lobe frontal ou à la face inférieure du cerveau ; les fines fibres font au contraire défaut. Les
que l'on peut étudier avec le plus de netteté en particulier sur des cerveaux d'adultes (fig. H 7) - outre le ruban de Vicq d
l;. 348. - Coupe transversale de la substance grise supra-calleuse du cerveau du lapin nouveau-né. Les stries longitudinales
tent en connexion la corne d'Ammon avec les tubercules mamillaires ( cerveau intermédiaire) et de là avec le cerveau moyen e
les tubercules mamillaires (cerveau intermédiaire) et de là avec le cerveau moyen et postérieur (Voy. fig. 359). Schàffer a
nt au niveau de son angle antéro-inférieur, et forment à la base du cerveau le pédoncule du septum lucidum. Elles traversent
ches sur la structure de la couche corticale des circonvolutions du cerveau . Paris, 1840. - Bewann-Lewis. Researches on the
tica. Berlin,' 1882. - VICQ D'AzYR. Recherches sur la structure- du cerveau , 1781-83. Du même. Traité d'Ana- tomie et de ph
Du même. Recherches sur le développement de la substance corticale du cerveau et du cervelet, même recueil, 1888. Du même. Dé
inces et par dissection une certaine étendue de l'écorce grise d'un cerveau convenablement durci, soit dans l'alcool, soit
acile, et se voit très manifestement sur la surface de brisure d'un cerveau convena- blement durci dans le bichromate ou da
'on suppose par la pensée la substance grise étalée à la surface du cerveau , le système d'association présentera des fibres p
1 m. 372. - Coupe transversale de la région supra-ventriculaire du cerveau de la souris âgée de 13 jours. On y a représent
corps calleux. Le cingulum est facile à mettre à nu lorsque, sur un cerveau durci dans l'alcool ou dans le bichromate, on e
nlevées pour mettre ces faisceaux à nu. [D'après la dissection d'un cerveau durci dans l'alcool. (Demi-schématique.) BG,
L'animal fut sacrifié deux mois après l'opération, et à l'examen du cerveau , Beevor constata une dégénérescence portant sur
du manteau céré- bral. Facile à mettre à nu par dissection, sur des cerveaux durcis dans l'alcool ou dans les bichromates, i
atus, une courbe ouverte en bas et en avant. Sur les dissections de cerveaux durcis dans le bichromate ou dans l'alcool, le
t les fibres de projection. Sur les coupes vertico-transversales de cerveaux durcis dans les bichro- mates alcalins (voy. fi
apports (le sa face convexe. moment facile il mettre à nu sur des cerveaux durcis dans l'alcool ou dans les bichromates al
transversales, soit que l'on considère des coupes macroscopiques de cerveaux durcis dans le bichro- mate, soit que l'on étud
39G à 398, p. 798). A l'examen de coupes microscopiques sériées de cerveaux de singe Les lésions du lobe occipital no pro
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. l<JG. doa. Coupe horizontale d'un cerveau de singe macaque, passant par la partie supérie
cunéus et soutient l'hypothèse étayée sur l'examen macroscopique de cerveaux normaux durcis dans le bichromate, que cette lame
toutefois faciles à séparer l'un de l'autre par dissection, sur des cerveaux convenablement durcis dans l'alcool, et on obti
teurs. Ces apparences, que l'on peut constater par la dissection de cerveaux durcis dans l'alcool, tiennent à ce qu'en dissé
missure antérieure peut donc être suivie, soit par la dissection de cerveaux durcis dans l'alcool, soit surtout à l'aide de co
sont le point de départ fréquent de l'hémorrhagic cérébrale. Sur un cerveau durci par l'alcool ou les bichromates, la capsule
nente des hémiplégiques- Th. de Paris, 1880. - Du même. Anatomie du cerveau de l'homme, avec atlas. Paris, 1893. Du même. La
1819-1826. CHARCOT. Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau . -Paris, 1876. DE3ERINE (J.). Sur l'origine cor
. - GAV0Y. L'encéphale, sa structure et description iconographique du cerveau , du cervelet et du bulbe. Atlas, Paris, 1886. -
er's Handbuch, 1870. - Du même. Psychiatrie. Clinique des maladies du cerveau antérieur, basée sur sa structure, ses fonction
6 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
ley Cooper sur les hernies (3i); celles de Hooper sur les maladies du cerveau (3a); celles de Richard Bright sur certaines mala
t composée d'une matière demi-transparente, analogue pour l'aspect au cerveau d'un jeune enfant, dense, parcourue par des vaiss
s contenus dans la cavité thoracique étaient parfaitement sains. — Le cerveau et le rachis ne purent pas être examinés. Réfle
se qu'une nuance de la mélanose. 2e Livraison. Pl. 6. MALADIES DE CERVEAU . MALADIES DU CERVEAU. Tumeurs d'apparence pe
élanose. 2e Livraison. Pl. 6. MALADIES DE CERVEAU . MALADIES DU CERVEAU . Tumeurs d'apparence perlée formées par de la m
ées par de la madère grasse et de la cholestérine, déposées dans le cerveau . Une jeune fille , âgée de dix-huit ans environ
es symptômes firent présumer que le siège de la maladie était dans le cerveau : l'embonpoint de la malade dénotait d'ailleurs u
l'ouverture, on trouva le thorax et l'abdomen parfaitement sains. Le cerveau fut divisé en place par tranches minces de la con
jusqu'à la base du crâne. J'enlevai avec précaution ce qui restait du cerveau , le cervelet et le bulbe rachidien. Voici les par
ièce pathologique m'a offertes : Fig. i. Elle représente la base du cerveau . La protubérance annulaire et les pédoncules anté
le remplissait entièrement la grande excavation médiane de la base du cerveau , et s'avançait jusqu'au-devant du corps pituitair
n si grande abondance dans la grande excavation médiane de la base du cerveau , et qui est essentiellement distinct de la pie-mè
il- tration pseudo- membraneuse ou couenneuse, si fréquente dans le cerveau , il xx'cot pac moins évident que cette tumeur a s
e une com-prcaolou algue et une compression chronique exercées sur le cerveau . Il n'est pas rare de trouver dans le cerveau des
ronique exercées sur le cerveau. Il n'est pas rare de trouver dans le cerveau des tumeurs volumineuses, carcinomateuses ou autr
n origine dans le tissu cellulaire de la grande excavation médiane du cerveau , pour pénétrer dans le troisième ventricule et ar
mme qui en est le sujet, et que rien n'avait porté à supposer dans le cerveau une cause de compression aussi considérable. tr
ment rachidien paraît peu volumineux, surtout à sa partie inférieure. Cerveau . Sérosité sous l'arachnoïde qui revêt la convexit
rieure. Cerveau. Sérosité sous l'arachnoïde qui revêt la convexité du cerveau ; grande quantité de sérosité transparente dans le
veau; grande quantité de sérosité transparente dans les ventricules ; cerveau sablé de points rouges, mais d'ailleurs sain. « E
ne matière adipocireuse.Sa densité est plus considérable que celle du cerveau . Située « à gauche du mésocéphale, elle en occupe
ésion notable. » (*) Observations sur des altérations organiques du cerveau , recueillies dans les salles de M. Dominel, chiru
ellulaire séreux sous-arachnoïdien de la grande excavation médiane du cerveau , que cette tumeur s'était développée; mais au lie
rs ainsi que se terminent les maladies organiques avec compression du cerveau . Il semble que le cerveau ne jouisse delà compres
les maladies organiques avec compression du cerveau. Il semble que le cerveau ne jouisse delà compressibilité que dans une cert
a trouvé la cholestérine, i° dans une concrétion formée au milieu du cerveau d'un cheval; i° dans une matière tuberculeuse dév
ière stéarique déposées dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien du cerveau , et certes il n'y a aucun tissu qui soit plus étr
sentiment de son état et de ses besoins. On dirait un animal dont le cerveau est fortement comprimé, ou mieux encore un indivi
plexie, originairement appliqué à l'hémorrhagie sanguine spontanée du cerveau , a été transporté aux foyers sanguins pulmonaires
g avec déchirure du poumon de l'épanchement de sang avec déchirure du cerveau (*). L'analogie est si évidente, qu'elle ne pouva
'une chose, le défaut d'observations particulières. Le poumon et le cerveau ne sont pas les seuls organes qui soient sujets à
bres. Tous les organes, la peau, le tissu cellulaire, les muscles, le cerveau , les poumons, la rate, le foie, le pancréas, l'ut
contenue dans L'épaisseur de la base du poumon lacéré à la manière du cerveau dans l'apoplexie. Dans un autre cas rapporté par
amifications soit artérielles , soit veineuses , étaient libres. Le cerveau , tous les viscères abdominaux étaient parfaitemen
horriblement fétide. Il succomba à une hydropisie des ventricules du cerveau : pour toute lésion dans le poumon, je trouvai, n
moitié des grains glanduleux qu'il présente dans l'état naturel. Le cerveau et ses enveloppes, les organes thoraciques et abd
té. Je suis convaincu, d'après l'analogie des foyers apoplectiques du cerveau placés immédiatement au-dessous de la membrane ve
e, et en cela l'apoplexie de la moelle se rapproche de l'apoplexie du cerveau ; d'une autre part, la mollesse presque pulpeuse d
t les symptômes de l'apoplexie de la moelle de ceux de l'apoplexie du cerveau ; nous verrons que l'apoplexie cérébrale est en gé
dans toute cette moitié : placé au faîte de l'axe cérébro-spinal, le cerveau le domine ; chaque hémisphère a sous sa dépendanc
continuité qui intercepte plus on moins complètement la continuité du cerveau avec les prolongemens céphaliques de la moelle a
de la moelle est donc une hémorrhagic spontanée comme l'apoplexie du cerveau : niais elle en diffère par son défaut d'instan
ite par IYTIVI. Lallemand et fiostan sous le nom de ramollissement du cerveau , et que j'ai cru devoir appeler apoplexie capilla
asmodiques; elle s'est laite graduellement. L'apoplexie capillaire du cerveau est souvent précédée et accompagnée de douleurs v
spondans; elle se fait aussi graduellement. L'apoplexie capillaire du cerveau est en un mot accompagnée d'un travail fluxionnai
ties de la moelle les unes des autres, l'indépendance de la moelle du cerveau , assez généralement admise dans ces derniers temp
eul à tous les nerfs de l'économie, pour transmettre en définitive au cerveau les impressions ou pour en recevoir les impulsion
é de l'arachnoïde; je pus alors enlever la voûte du crâne, enlever le cerveau et les lobes du cervelet sans faire mourir l'anim
ir d'encre. Tête. « Il y avait un peu d'eau dans les ventricules du cerveau . Il s'écoule du sang assez abondamment. Rachis.
race de congestion sanguine dans les divers points de sa longueur. Le cerveau et tous les viscères thoraciques et abdominaux ét
plexie cérébrale que l'on confond bien souvent avec la compression du cerveau par une tumeur encéphaloïde ou autre; car, si les
ent qu'elles produisent des phénomènes instantanés ; il semble que le cerveau et la moelle puissent supporter sans danger un ce
les synoviales, les membranes séreuses, le tissu cellulaire libre, le cerveau , jusque dans l'épaisseur des muscles; et la rapid
e, les séreuses, les synoviales, le tissu cellulaire, les muscles, le cerveau , etc., en un mot toutes les fractions du système
les étroites, remplies d'une matière pultacée, rougeâtre, analogue au cerveau d'un jeune enfant; matière qu'on exprimait comme
cette membrane; lorsque c'est la portion d'arachnoïde qui recouvre le cerveau ou la moelle épinière, c'est sous cette membrane
issu cellulaire des membres inférieurs était infiltré de sérosité. Le cerveau n'a point été examiné. Réflexions. — Sous le ra
par voie d'infection générale. 5e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU CERVEAU . (Idiotie) MALADIES DU CERVEAU (IDIOTIE). (pl
5e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU CERVEAU. (Idiotie) MALADIES DU CERVEAU (IDIOTIE). (planches iv et v, ve livraison.)
nécessaire de l'âme dans l'exercice des facultés intellectuelles, le cerveau , arrêté dans son développement ou altéré dans sa
adé lorsqu'il a perdu cette aptitude (IAI02, solitarias ). L'étude du cerveau dans l'idiotie se rattache aux plus graves questi
intellectuelles sont-elles liées à des différences d'organisation du cerveau ? L'observation me paraît répondre par l'affirmati
. Le règne animal tout entier, les lésions physiques et organiques du cerveau sont là pour déposer en faveur de l'influence de
vec des nerfs plus ou moins aptes à conduire ces impressions, avec un cerveau plus ou moins apte à les reproduire dans leur ord
s des divers individus sont liées à des différences d'organisation du cerveau , il est donc possible par l'observation d'appréci
dans leur placement arbitraire dans telle ou telle circonvolution du cerveau . Ainsi Gall a la gloire d'avoir ouvert une nouvel
je me propose de décrire et de figurer successivement les lésions du cerveau que l'on rencontre dans l'idiotie, lésions qui re
est incapable de maladies; mais l'instrument par lequel elle agit, le cerveau , qui lui transmet immédiatement les impressions q
les impressions qu'il a reçues du monde extérieur ou des organes, le cerveau , qui reçoit immédiatement les ordres de la volont
ent se rapporter, i° au défaut de développement partiel ou général du cerveau , lequel coïncide tantôt avec un défaut de dévelop
avec un développement normal des os du crâne ; i° à la compression du cerveau soit par lepaississement des os du crâne, soit pa
la présence d'un liquide ; 3° à l'induration partielle ou générale du cerveau , induration qui peut être portée à un degré voisi
Idiotie par atrophie de la presque totalité de l'hémisphère droit du cerveau ; transformation de cet hémisphère en cellulosité
à l'extérieur. La voûte crânienne enlevée, la dure-mère renversée, le cerveau apparaît avec son volume naturel ; mais les deux
bulbe raehidien étaient également très-sains. La moitié atrophiée du cerveau ne formait pas en poids et en volume la dixième p
es effets de l'atrophie partielle avec ceux de l'atrophie générale du cerveau . IIe Observation. — Idiotie par atrophie du cer
hie générale du cerveau. IIe Observation. — Idiotie par atrophie du cerveau qui remplissait a peine la moitié du crâne (*).
du Bocage, l'un de ses membres. 5e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DU CERVEAU . (Idiotie.) mulée clans les ventricules latérau
ntes ; les commissures antérieure et postérieure très-ténues. Tout le cerveau est remarquable par sa consistance, qui est beauc
tat normal. Protubérance annulaire en rapport avec le petit volume du cerveau . Tubercules quadrijumeaux sains. Au bulbe raehidi
dans l'état naturel, est loin de traduire à l'extérieur le volume du cerveau : d'où je conclus que ce n'est qu'à une certaine
oque de la vie fœtale, peut-être même de la vie extrà-utérine, que le cerveau s'était atrophié : je pourrais l'inférer encore d
mment dues à la présence des anfractuosités et des circonvolutions du cerveau . Au reste, il y a parfaite harmonie entre les s
effet constant et en quelque sorte pathognomonique de l'induration du cerveau . J'ai eu occasion de faire l'autopsie de plusieur
érébrale. Dans le cas actuel, c'est à l'atrophie et à l'induration du cerveau que nous devons rapporter tous les symptômes obse
abondante contenue dans le crâne, non comme la cause de l'atrophie du cerveau , mais comme un effet du retrait de cet organe. El
lir un vide, de la même manière que la graisse liquide qui entoure le cerveau des poissons : il est une loi anatomique et physi
gique qui vent que le crâne doit être toujours exactement rempli. Les cerveaux très-volumineux sont secs ; pas une goutte de sér
goutte de sérosité soit à la surface, soit dans les ventricules : les cerveaux petits sont toujours entourés par une couche épai
rapport de la corrélation qui existe entre les différentes parties du cerveau sous le rapport de l'atrophie. Les circonvolution
tôt la partie de cette protubérance saillante à la face inférieure du cerveau , les pyramides antérieures sont atrophiés en rais
abondante en arrière qu'en avant, et refoulant l'hémisphère gauche du cerveau contre la faux, en sorte qu'après l'évacuation du
ion du liquide il restait un grand vide, surtout en arrière, entre le cerveau et la dure-mère. Le cerveau n'offre rien de par
rand vide, surtout en arrière, entre le cerveau et la dure-mère. Le cerveau n'offre rien de particulier à sa surface convexe
hémisphère droit ; bien que chez les individus les mieux conformés le cerveau ne soit nullement symétrique sous ce rapport, cep
lles cérébelleuses diffère d'ailleurs beaucoup de l'état sain. 6°. Le cerveau ouvert, nous avons vu, dans l'intérieur du ventri
s effets d'un défaut complet de symétrie entre les circonvolutions du cerveau ? 4°. D'un défaut complet de symétrie entre les l
fait d'ailleurs prouve avec mille autres l'impossibilité de juger le cerveau par l'extérieur du crâne, qui était ici parfaitem
ici parfaitement bien conformé. 5e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DU CERVEAU .( Apoplexie ) MALADIES DU CERVEAU. HÉMORRHAGI
. Livraison. Pl. 6. MALADIES DU CERVEAU.( Apoplexie ) MALADIES DU CERVEAU . HÉMORRHAGIE SPONTANÉE DU CERVEAU (APOPLEXIE).
éolaire, et ses mailles étaient remplies de sérosité. La convexité du cerveau m'a présenté, au niveau de la fosse pariétale dro
upait toute l'épaisseur du centre médullaire de l'hémisphère droit du cerveau . D'une part, il atteignait les circonvolutions, d
ouppes vas-culaires, débris des vaisseaux qui animaient la portion du cerveau remplacée par le foyer de sang. La même figure i'
ence que lui supposent quelques auteurs, et que, d'une autre part, le cerveau supporte presque impunément une compression très
rme comme une bride qui maintient le caillot. Ayant ensuite divisé le cerveau de haut en bas, au niveau de la partie moyenne du
-B , tome ITT , art. Apoplexie. 6e. Livraison. Pl. 1. MALADIES DU CERVEAU . (Arachnitis Cerébrale.) MALADIES DU CERVEAU (M
. Pl. 1. MALADIES DU CERVEAU. (Arachnitis Cerébrale.) MALADIES DU CERVEAU (MÉNINGITES). --—------¦ n -|~ r- -.--, (plan
Observation Ire. —Méningite sous - arachnoïdienne de la convexité du cerveau [forme comateuse), fig. i. Leclair (*), palef
t le plus parfait d'intégrité. Le crâne ouvert, la surface convexe du cerveau présente ( Planche 1, fig. 1 ) une couche d'un bl
uble ou triple le long des gros vaisseaux qui rampent à la surface du cerveau , se divise et se subdivise comme ces vaisseaux; n
ubdivise comme ces vaisseaux; non-seulement elle occupe la surface du cerveau , mais encore elle s'enfonce dans les anfractuosit
rer de l'état des circonvolutions. La figure i représente l'aspect du cerveau dépouillé de ses membranes au niveau de l'inflamm
III. — Méningite sous-arachnoïdienne de la convexité et de la base du cerveau , du cervelet et de la protubérance annulaire {for
omateux et adynamique le plus prononcé. A l'ouverture, je trouve le cerveau , le cervelet et la protubérance annulaire environ
l'ouverture, pus consistant sous-arachnoïdien sur toute la surface du cerveau , à la base comme à la voûte. J'en trouvai jusque
r, je conclus que la méningite sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau a pour caractère pathogno-monique une stupeur gra
complètement étrangers. Méningite sous-arachnoïdienne de la base du cerveau . Planche 1, fig. 1. Il existe à la base du cerv
ne de la base du cerveau. Planche 1, fig. 1. Il existe à la base du cerveau une excavation pentagonale, circonscrite en arriè
ux : dans cette excavation, qui mérite le nom d'excavation médiane du cerveau , se voit une assez grande quantité de tissu cellu
des gros vaisseaux qui constituent le trapèze artériel de la base du cerveau et le long des divisions qui en partent ; ces pro
e gaine proportionnée à leur calibre, s'enfoncent dans l'épaisseur du cerveau avec les capillaires et constituent la charpente
it une sorte de filtration capillaire de l'intérieur à l'extérieur du cerveau , et réciproquement à travers la toile choroïdienn
coexiste presque toujours avec l'hydropisie aiguë des ventricules du cerveau ; mais cette coexistence n'est pas nécessaire. Je
rvations décrites sous le titre d'hydropisie aiguë des ventricules du cerveau devraient être rapportées à la méningite sous-ara
Observation Fe. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec accumulation légère de sérosité dans les v
e choroïdienne. Il y avait un peu de sérosité dans les ventricules du cerveau , mais sans altération aucune des parois. L'ovaire
ours; mais elle n'a dû se manifester par aucun symptôme, vu l'état du cerveau . Sans doute la sérosité aura été résorbée. Réfl
éningite sous-arachnoïdienne avec hydropisie aiguë des ventricules du cerveau : les vomissemens ont été tellement intenses que,
ne grande quantité de sérosité limpide, à peu près un petit verre. Le cerveau , examiné en place, a présenté une très-grande dil
inférieures du corps calleux sont séparées et comme disséquées. Le cerveau ayant été renversé, j'ai vu l'excavation médiane
ées. Le cerveau ayant été renversé, j'ai vu l'excavation médiane du cerveau remplie par une substance jaunâtre, dense, comme
e, quelque tubercule, ou inflammation chronique circonscrite, soit du cerveau , soit de ses membranes. — Du i5 février au i5 mar
llulaire sous-arachnoïdien de la voûte était infiltré de sérosité. Le cerveau renversé présentait à sa base, dans la grande exc
une inflammation du tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base du cerveau avec exsudation pseudo-membraneuse, d'où est résu
mmuns; je diagnostiquai aussi une hydropisie aiguë des ventricules du cerveau . La pie-mère est extraordinairement injectée. L
ricules du cerveau. La pie-mère est extraordinairement injectée. Le cerveau est environné d'un lacis vasculaire extrêmement s
y avait une très-petite quantité de sérosité dans les ventricules du cerveau ; la voûte à trois piliers était réduite en bouil
réduite en bouillie. La figure 3 représente la moitié seulement du cerveau ; l'autre moitié n'en aurait été que la répétitio
; l'autre moitié n'en aurait été que la répétition. Le lobe moyen du cerveau a été enlevé pour montrer la scissure de Sylvius
uses qui longent les vaisseaux. 6e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU CERVEAU . (Arachnitis.) Réflexions. — On ne saurait méco
, attendu que les tubercules se forment d'une manière latente dans le cerveau comme dans les autres organes, et ne manifestent
(iig. 1) un nombre assez considérable de tubercules T. Ayant coupé le cerveau par tranches, j'ai trouvé dans le fond de plusieu
sous-arachnoïdien, qu'ils avaient pris leur développement du côté du cerveau et s'étaient creusé autant de petites cavités dan
aiguës, manifestent-elles à peine leur présence? Le ramollissement du cerveau est bien évidemment consécutif aux tubercules ; e
; et cependant on voit tous les jours des tumeurs énormes déprimer le cerveau sans y déterminer la moindre altération. C'est qu
on du tissu cellulaire séreux sous-arachnoïdien s'est étendu jusqu'au cerveau . 6e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DE LA MOELLE
é de l'arachnoïde spinale. Le crâne ayant été ouvert, la convexité du cerveau nous a paru dans l'état le plus parfait d'intégri
sous-arachnoïdien de la moelle. Du reste le tissu de la moelle et du cerveau était parfaitement sain. (*) Observation et piè
elet dans la partie supérieure du canal raehidien. Les ventricules du cerveau , très-dilatés, étaient remplis par une sérosité t
de chaque fibrille. Quel que soit donc le tissu divisé, muscle, nerf, cerveau , poumon, foie, etc., la cicatrice est toujours fi
D'autres fois la cause miasmatique est dirigée sur les poumons ou le cerveau ; tantôt elle s'épuise sur un seul organe, tantôt
de l'intestin grêle, telle autre sur les poumons, telle autre sur le cerveau , etc., et les variétés individuelles, les variété
est là que j'ai coutume d'appliquer les vésicatoires à demeure. Si le cerveau se prend, j'ai recours à un vésicatoire à la nuqu
ères et les secondes voies, et consécutivement par son raptus vers le cerveau , les poumons et les autres organes, traitait tous
sourdement ou brusquement le foie, le poumon, le cœur, l'estomac, le cerveau ; mais jamais je n'ai perdu, sans déplorer mon imp
l'état suivant : légère divagation dans les idées ; réponses justes. Cerveau un peu douloureux, mais moins que les premiers jo
este du sujet, j'ai trouvé de la sérosité sous-arachnoïdienne dans le cerveau et le canal raehidien, les vaisseaux cérébraux in
emment dans les follicules F, F, F. Les autres organes, poumon, cœur, cerveau , sont parfaitement sains. La figure i' représen
ar lavemens dans tout le cours de sa maladie. Ouverture du cadavre. Cerveau et méninges dans l'état naturel; thorax sain; dan
ancéreuses internes, beaucoup plus fréquentes, se dirigent du coté du cerveau qu'elles compriment. Enfin il est des tumeurs can
ancéreuses qui, nées dans le tissu cellulaire sous - arachnoïdien du - cerveau , entraînent l'adhérence intime du feuillet arachn
ment. On les rencontre à la base aussi-bien qu'à la voûte. La faux du cerveau , la tente du cervelet n'en sont pas exemptes. A l
j'ai déjà eu occasion de dire au sujet de la compression chronique du cerveau . Lorsqu'une cause comprimante agit lentement sur
onique du cerveau. Lorsqu'une cause comprimante agit lentement sur le cerveau , cet organe s'accoutume à la compression, ou plut
'une lésion cérébrale. Mais tôt ou tard la compression exercée sur le cerveau devient une cause d'irritation soit pour le cerve
on exercée sur le cerveau devient une cause d'irritation soit pour le cerveau lui-même, soit pour ses membranes ; et alors surv
llectuelles. A l'ouverture, nous trouvons sur les côtés de la faux du cerveau , au niveau du lobe moyen gauche, des adhérences i
u^volume du poing, et qui était logée dans une excavation profonde du cerveau . Cette tumeur était molle, grenue, se déchirait a
de l'invasion par cette loi de pathologie cérébrale, savoir : que le cerveau , principalement par sa face convexe , peut suppor
orsque la tumeur cancéreuse occupe quelqu'un des points de la base du cerveau ; les phénomènes de compression ont lieu d'une ma
nuent, puis s'éteignent dans les membres correspondans à la partie du cerveau comprimée : les facultés intellectuelles s'engour
reuses de la dure-mère et des tumeurs cancéreuses développées dans le cerveau pourra jeter le jour le plus lumineux, sur les fo
occupent les circonvolutions moyennes et postérieures de la voûte du cerveau sont celles qui sont le plus impunément supportée
de ces tumeurs. Plus tôt ou plus tard, la compression exercée sur le cerveau devient une cause d'irritation soit pour le cerve
on exercée sur le cerveau devient une cause d'irritation soit pour le cerveau lui-même , soit pour ses membranes ; et alors sur
oint extrêmement important dans l'histoire des tumeurs cancéreuses du cerveau , c'est la différence des effets produits par des
^ blême dans la direction suivant laquelle s'exerce la compression du cerveau . Ainsi une tumeur qui agira sur les circonvolutio
'hémisphère opposé, d'où les phénomènes de la compression générale du cerveau . Un autre élément de la question est celui-ci. On
mère : et les phénomènes d'irritation passagère ou permanente soit du cerveau , soit de ses membranes, qui peuvent survenir à d
de faits m'autorisent à penser que le ramollissement gélatiniforme du cerveau peut exister d'une manière chronique. Or ce ramol
Deux tumeurs cancéreuses de la dure-mère au niveau de la convexité du cerveau . Ramollissement gélatiniforme du cerveau tout aut
au niveau de la convexité du cerveau. Ramollissement gélatiniforme du cerveau tout autour. (Planche i.) Lecouvreur, âgé de so
ttre sur la voie, les symptômes ne tardèrent pas à m'apprendre que le cerveau était sous l'influence d'une cause d'irritation p
a dure-mère dans l'angle rentrant que forme de chaque côté la faux du cerveau FC avec la dure-mère DM. Ces tumeurs n'étaient pa
avec la dure-mère DM. Ces tumeurs n'étaient pas formées aux dépens du cerveau s mais elles s'enfonçaient dans son épaisseur. La
ue dans une excavation profonde C creusée dans l'hémisphère gauche du cerveau HG, sur les côtés de la scissure médiane : la plu
llu diviser un grand nombre de vaisseaux veineux qui des membranes du cerveau venaient se jeter dans leur circonférence. On v
de divers calibres, flexueux et contournés. L'hémisphère gauche du cerveau a été soumis à une coupe verticale antéro-postéri
e cru devoir appeler cette altération ramollissement gélatiniforme du cerveau . Une teinte jaunâtre la distinguait d'ailleurs de
ès-volumineuses relativement à ce qu'elles ont coutume d'être dans le cerveau , serpentaient çà et là dans l'épaisseur de ce ra
res étaient le résultat de l'irritation produite par la tumeur sur le cerveau . Chose bien singulière! le malade n'accusait aucu
a tête; et la douleur, dont le siège était bien manifestement dans le cerveau , était rapportée à l'extrémité périphérique des n
s la douleur dans l'extrémité périphérique des nerfs est rapportée au cerveau (*), Du reste, on voit que les tumeurs ont pris
face interne de la dure-mère, qu'elles se sont développées du côté du cerveau , qui, lentement comprimé, s'est en partie atrophi
trophié. Je ne saurais trop appeler l'attention sur cette atrophie du cerveau qui, s unissant à la compressi-bilité de ce viscè
ntes : voilà bien des fois que je rencontre ce ramollissement dans le cerveau à la suite d'une cause d'irritation long-temps co
cause d'irritation long-temps continuée, autour des abcès enkystés du cerveau , autour des tumeurs careinomateuses de cet organe
manière indépendante, et je le classe parmi les fluxions séreuses du cerveau , à côté du ramollissement blanc, pultacé, si fréq
t se fait du dehors au dedans, et elles agissent exclusivement sur le cerveau . J'aurai occasion de revenir ailleurs sur la dé
ntroduit graduellement et dans la nutrition et dans la circulation du cerveau des modifications importantes, pourrait compromet
analogie, toutes les tumeurs de même nature qui se développent sur le cerveau étant formées aux dépens du tissu cellulaire sous
cette disposition. Tumeur carcinomateuse interne-née de la faux du cerveau chez Un calculeux récemment opéré'(*). (Planche
malgré un régime et un traitement appropriés, des accidens du côté du cerveau survinrent. Des sangsues furent appliquées, des v
» Marx, au nom de M. Dupuytren. 8e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU CERVEAU (Tumeurs Cancéreuses des Méninges) (les sinapis
ssez grande quantité de sérosité s'écoule à l'ouverture du crâne ; le cerveau est sain, d'une consistance naturelle. En faisant
une consistance naturelle. En faisant la section de la grande faux du cerveau à son extrémité antérieure, et la renversant en a
ibreuse, sphéroïde, TC , née de la face latérale droite de la faux du cerveau FC, près de son bord convexe. Cette tumeur était
e. Cette tumeur était logée dans l'épaisseur de l'hémisphère droit du cerveau , lequel était sain dans les points correspondans,
occupait le tissu cellulaire sous-arachnoïdien et les ventricules du cerveau , et il est probable que la malade aura succombé p
re comprimant les circonvolutions antérieures de Vhémisphère droit du cerveau . — Torpeur des facultés intellectuelles. — Affaib
te la main sur la région frontale. Je diagnostique une compression du cerveau par une tumeur probablement de nature carcinomate
er son siège précis. Occupait-elle la base, occupait-elle la voûte du cerveau ? Et quel point, soit de cette base, soit de cett
oïdien, tumeur qui occupait probablement le côté droit de la voûte du cerveau . La voûte du crâne enlevée, la dure-mère coupée c
aissant de la face interne de la dure-mère DM, à droite de la faux du cerveau . Cette tumeur était logée dans une excavation cre
isseaux d'apparence veineuse. Sa consistance est moindre que celle du cerveau ; aussi changeait-elle de forme sous le doigt qui
me suis souvent demandé pourquoi, parmi les causes de compression du cerveau , il en est qui bornent leurs effets à un hémisphè
tuel au contraire (planche 11), 8e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DU CERVEAU . ( Tumeurs cancéreuses des Meninges.) des sinap
ssez grande quantité de sérosité s'écoule à l'ouverture du crâne ; le cerveau est sain, d'une consistance naturelle. En faisant
une consistance naturelle. En faisant la section de la grande faux du cerveau à son extrémité antérieure, et la renversant en a
fibreuse, sphéroïde, TC, née de la face latérale droite de la faux du cerveau FC, près de son bord convexe. Cette tumeur était
e. Cette tumeur était logée dans l'épaisseur de l'hémisphère droit du cerveau , lequel était sain dans les points correspondans,
occupait le tissu cellulaire sous-arachnoïdien et les ventricules du cerveau , et il est probable que la malade aura succombé p
re comprimant les circonvolutions antérieures de Vhémisphère droit du cerveau . — Torpeur des facultés intellectuelles. — Affaib
ctifs. Tumeur carcinomateuse sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau . — Hémiplégie subite. — Une seule convulsion ép
substance ramollie des gouttelettes de liquide poisseux. Le reste du cerveau et tous les autres organes sont parfaitement sain
ntes ne sont pas exclusivement propres aux tumeurs careinomateuses du cerveau ; nous les rencontrerons dans la plupart des malad
la stupeur et la mort. Je regarde le ramollissement gélatiniforme du cerveau comme la cause la plus fréquente de la mort dans
e la plus fréquente de la mort dans les affections organiques soit du cerveau , soit de ses membranes. (*) Observation recueil
ne à la Maison royale de Santé. 8e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU CERVEAU . Sous-arachnitis aigue.- Inflammation des Sinus d
la rate, les synoviales, les séreuses, le tissu cellulaire libre, le cerveau et jusque dans l'épaisseur des muscles; et la rap
e, les séreuses, les synoviales, le tissu cellulaire, les muscles, le cerveau , etc., en un mot toutes les fractions du système
te du temporal (*). Les sinus en effet sont les veines principales du cerveau ; par eux doit nécessairement passer le sang qui
méable, et pour l'interception complète de la circulation veineuse du cerveau , il faudrait l'imperméabilité complète de tous le
circonvolutions ; rupture des vaisseaux contenus dans l'épaisseur du cerveau , et foyer apoplectique au centre d'un hémissphère
caisse du tympan produit si souvent l'inflammation des méninges et du cerveau lui-même. Il est à regretter que l'auteur se soit
céphalalgie dans quelques cas, décèlent sans doute une souffrance du cerveau . Mais est-elle idiopathique, est-elle sympathique
us étaient parfaitement sains. Je n'ai pas pu examiner l'intérieur du cerveau . Une sorte d'ecchymose se voit sur l'hémisphère g
lat, interne provisoire dans le service de M. Guersent. MALADIES DU CERVEAU (MÉNINGITE). ( planche iv, viiie livraison. )
iv, viiie livraison. ) Sous-arachnitis aiguë de toute la surface du cerveau et du cervelet. — Plexus choroïde infiltré de pus
ont présenté des exemples de sous-arachnitis aiguë de la convexité du cerveau sous forme comateuse ; nous avons vu que la cépha
illard avait bu un demi-litre d'alcohol. } Ouverture du cadavre. Le cerveau ( fig. i, planche iv) est enveloppé de tous côtés
ande de tissu cellulaire. Non-seulement elle recouvrait la surface du cerveau , mais elle s'enfonçait, avec le tissu cellulaire
, membre de cette Société. viiie livraison. i La face inférieure du cerveau 'présentait le même aspect que la convexité. La m
-membraneuse abondait surtout dans l'excavation médiane de la base du cerveau et le long des prolongemens celluleux qui semblen
ement saine. Sous-arachnitis aiguë de la convexité et de la base du cerveau .—Arachnitis ventriculaire.— Perte de mémoire. — A
onne le tartre stibié en lavage. Diagnostic. — Compression large du cerveau , probablement par un épanchement considérable de
blement par un épanchement considérable de sang, soit à la surface du cerveau , soit dans la cavité des ventricules. — Prognosti
née. Ouverture du cadavre. — Sous-arachnitis de toute la surface du cerveau et du cervelet comme dans le Cas précédent, avec
Réflexions. — Le diagnostic a donc été vrai quant à la compression du cerveau , erroné quant à la cause de cette compression. J'
outre la membrane ventriculaire? Il est certain que la compression du cerveau a dû être plus considérable dans ce dernier cas q
'apoplexie séreuse des auteurs. 8e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DU CERVEAU . (Atrophies.) MALADIES DU CERVEAU. Hémiplégie
. Livraison. Pl. 5. MALADIES DU CERVEAU. (Atrophies.) MALADIES DU CERVEAU . Hémiplégie droite incomplète. — Facultés intel
dinaires. — Atrophie sans lésion organique de Vhémisphère gauche du cerveau (*). (PLANCHE V, VIIIe LIVRAISON.) Auge (Alex
u côté gauche (fig. i) est au moins double de celle du côté droit. Le cerveau , encore enveloppé dans ses méninges, présente du
de quantité de liquide dans le ventricule correspondant. En effet, le cerveau ayant été retiré de sa boîte osseuse, il s'en est
résentent tous les détails de cette atrophie étudiée à l'extérieur du cerveau . La figure 1 montre le vide qui existait entre le
xtérieur du cerveau. La figure 1 montre le vide qui existait entre le cerveau et les parois osseuses du crâne après l'écoulemen
e la sérosité. La différence qui existe entre les deux hémisphères du cerveau d'une part, et les épaisseurs des parois du crâne
base de la masse encéphalique : l'atrophie de l'hémisphère gauche du cerveau , l'atrophie du pédoncule cérébral correspondant P
lobe droit LD du cervelet est moins volumineux que le lobe gauche du cerveau , ce qui semblerait indiquer un effet croisé entre
auche du cerveau, ce qui semblerait indiquer un effet croisé entre le cerveau et le cervelet ; mais la diminution du lobe droit
e saurait entrer en balance avec l'atrophie de l'hémisphère gauche du cerveau . La figure 3 représente le plancher des ventric
qui nous montrent de petits épan-chemens, de petites tumeurs dans le cerveau produisant une hémiplégie complète du sentiment e
la cause dans la différence qui existe d'une part entre l'atrophie du cerveau par compression et l'atrophie sans compression, e
ontinuité au contraire, un certain nombre de faisceaux médullaires du cerveau sont incapables de transmettre les ordres de la v
duite par l'atrophie des deux tiers environ de l'hémisphère gauche du cerveau . Comment expliquer cette différence? Etablissons
n par le défaut de nutrition des fibres elles-mêmes. Or l'atrophie du cerveau représenté planche iv, ve livraison, doit être ra
des atrophies avec destruction et transformation, tandis que celle du cerveau représenté ici est évidemment dans la classe des
'état des os du crâne. Il n'y a pas eu arrêt de développement, car le cerveau est aussi développé que possible. Il y a donc eu
éveloppé que possible. Il y a donc eu maladie, défaut de nutrition du cerveau ; et peu importe, quant au fond de la question, qu
u pendant la vie extrà-utérine. 8e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DU CERVEAU . (Idiotie) MALADIES DU CERVEAU. ( planche vi,
8e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DU CERVEAU. (Idiotie) MALADIES DU CERVEAU . ( planche vi, viiie livraison. ) Idiotie. —
onne conformation du crâne, avec absence des deux lobes antérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphère droit. Ventricules
conformé à l'extérieur, sa cavité n'est pas exactement remplie par le cerveau . Les lobes antérieurs (fig. i ) manquent complète
rachnoïde, occupait l'intervalle qui sépare l'extrémité antérieure du cerveau de la région frontale de la dure-mère. Chose bien
le! les surfaces orbitaires, qui pourtant ne répondaient nullement au cerveau , mais bien à de la sérosité, présentaient des émi
rieur LA de l'hémisphère gauche HG. La fig. 2 représente la base du cerveau . Le bulbe rachidien BR, la protubérance annulaire
service de M. lîreschet. viii0 livraison. La fig. 3 représente le cerveau vu de face, et permet d'apprécier les dimensions
ns antérieures -, elle est ici à découvert. La fig. 4 représente le cerveau vu de côté et à droite. L'ouverture postérieure o
, O'A', sont parfaitement indiqués sur cette figure. L'intérieur du cerveau n'offrait d'ailleurs rien de remarquable. Réfle
âne parfaitement conformé; d'où l'impossibilité de juger du volume du cerveau par l'extérieur du crâne. Je n'ai jamais pu compr
me de la crânologie. Sans doute le crâne se moule généralement sur le cerveau , dont il n'est qu'une enveloppe ossifiée; mais vo
est qu'une enveloppe ossifiée; mais vouloir que la lame extérieure du cerveau représente, par ses éminences et ses dépressions,
nces et ses dépressions, les anfractuosites et les circonvolutions du cerveau , c'est une opinion qui est en opposition avec l'a
à-fait indépendantes l'une de l'autre : l'une, interne, appartient au cerveau ; l'autre, « externe, appartient au système locomo
ière si variable les sinus frontaux (**). » Les lobes antérieurs du cerveau n'existaient pas ; et néanmoins les surfaces orbi
représentent fidèlement les anfractuosités et les circonvolutions du cerveau . Ce fait confirmerait, au contraire, l'opinion de
en plâtre l'image fidèle des circonvolutions et des anfractuosités du cerveau . Comment concilier ce résultat avec le fait repré
tte disposition, et représentera fidèlement le moule de la surface du cerveau . Ce que je dis pour les impressions digitales et
existence de cette région frontale prouve que les lobes antérieurs du cerveau ont existé? mais ce n'est là qu'une hypothèse; et
affaissé ? La sérosité qui occupait tout l'intervalle situé entre le cerveau et les parois du crâne est évidemment destinée à
plir les vides. Il y avait absence complète des lobes antérieurs du cerveau ; donc l'idiotie est le résultat de cette absence
ue, avec intégrité des lobes antérieurs. Tout vice de conformation du cerveau , quelle que soit la partie de cet organe sur laqu
rtie de l'axe cérébro-spinal, avec lequel il communique, intégrité du cerveau , et souvent même l'attention est nécessaire pour
t adopté l'opinion de Gall d'une manière exclusive. Voyez Maladies du Cerveau (5e livr. p. 5. ) Voyez Cours d'études anatomique
tient-il à un arrêt dans le développement? ou, en d'autres termes, le cerveau de cette jeune idiote représente-t-il d'une maniè
re permanente une des nombreuses phases à travers lesquelles passe le cerveau dans son évolution? Cela me paraît infiniment pro
e sont pas fermées en avant à une certaine époque du développement du cerveau . 9e. Livraison. Pl. I. MALADIES DES TESTICULE
omme eux, j'ai vu des foyers de pus dans les viscères, poumons, foie, cerveau , rate, muscles, synoviales, sans traces manifeste
les poumons , le « plus souvent dans le foie, et quelquefois dans le cerveau -, d'où il paraît que les abcès qui se forment à
, les organes gastriques, sont liés par une étroite sympathie avec le cerveau . On sait quelles explications bizarres et opposée
e tête, tenaient à la contusion ou commotion simultanée du foie et du cerveau , et cette manière de voir pouvait au moins rendre
utre. Les inflammations des plèvres, du péritoine, des synoviales, du cerveau , du tissu cellulaire, des muscles, de la muqueuse
es veines profondes, non-seulement de celles qui se répandent dans le cerveau et ses membranes, mais encore de celles qui pénèt
le d ans cette première période, parce que la circulation veineuse du cerveau est plus ou moins interceptée ; ainsi la phlébite
e une très-grande résistance lorsqu'on le déchire avec les doigts. Le cerveau , le cervelet et les tubercules quadrijumeaux sont
ar sa mollesse, sa couleur blanc-grisâtre, qui l'ont fait comparer au cerveau d'un jeune enfant. C'est le cancer encéphaloïde d
s ovaires, les trompes, tous les organes de l'abdomen du thorax et le cerveau , étaient dans l'état le plus parfait d'intégrité.
contracté sur lui-même n'en contenait qu'une très petite quantité. Cerveau sain. Plexus solaire sain. XVIII. Le dévoiement
ie urinaire contractée, ne contient que deux cuillerées de liquide.Le cerveau et les méninges ne présentent rien de particulier
agents antérieurement administrés. L'absence de toute lésion dans le cerveau , doit nous rendre circonspect sur la médication à
les individus morts dans la période d'asphyxie. Appareil nerveux. Cerveau et cervelet sains, mais injectés de sang, comme d
oisse et aux malléoles ou aux apophyses mastoïdes pour débarrasser le cerveau congestionné. Les bains que nous avons proscrit
'eau fraîche sur la tète diminuent le mouvement de congestion vers le cerveau . Le malheureux Dance, si déplorablement enlevé à
luence que celle du choléra. 15e. Livraison. Pl. 1ère MALADIES DU CERVEAU (Apoplexie des Enfants nouveaux nés) MALADIES
ADIES DU CERVEAU (Apoplexie des Enfants nouveaux nés) MALADIES DU CERVEAU Apoplexie des Enfants nouveautés (xve livraison
, 1. Caillots de sang autour du cervelet et des lobes poste'rieurs du cerveau . Caillots de sang adhé-* rents à la dure-mère qui
lle épinière. Fig. 2 et 3. Caillots de sang dans les ventricules du cerveau chez un fœtus de sept mois. La hg. 2 représente
u cervelet; souvent il entoure en même temps les lobes postérieurs du cerveau ; enfin, dans certains cas, le cerveau et le cerv
temps les lobes postérieurs du cerveau ; enfin, dans certains cas, le cerveau et le cervelet sont couverts d'une couche de sang
uins. Je n'ai jamais vu d'épanchement dans la substance même, soit du cerveau , soit du cervelet, bien que dans certaines circon
oplexie ; les vaisseaux de ces organes se déchireraient comme ceux du cerveau , si la résistance de leurs parois n'était pas plu
é seize heures. A l'ouverture, grande quantité de sang noir autour du cerveau et du cervelet. Sang plus liquide et d'une couleu
vient mort, Epanchement considérable de sang dans les ventricules du cerveau , dont les parois sont lacérées. Epanchement de sa
e nageant dans du sang liquide. Une couche mince de sang entourait le cerveau ; une couche plus épaisse entourait le cervelet. L
borieuse. La tête resta au passage. Ouverture. Sang liquide autour du cerveau , du cervelet et de la moelle. Grande quantité de
rande quantité de sérosité sous l'arachnoïde. Humidité très grande du cerveau , qu'on aurait dit pénétré de sérosité. Cinquièm
deux pariétaux. Une couche mince de sang était épanchée à la base du cerveau . Sixième fait. Enfant ci terme mort par suite d
le crâne et le périoste. Les os et les téguments sont très injectés. Cerveau très injecté. Couche mince de sang autour du cerv
t très injectés. Cerveau très injecté. Couche mince de sang autour du cerveau et du cervelet. Poumons noirs de sang et compacts
; des caillots très considérables étaient contenus dans sa cavité. Le cerveau était converti en une vaste poche très mince à pa
tré s'étendait autour de la protubérance, et le long des scissures du cerveau . L'arachnitis avait elle été postérieure ou ant
s multipliées : on en trouvait aussi à la muqueuse pharyngienne. Le cerveau était décoloré, demi-transparent, couleur de cire
su cellulaire subjacent au cuir chevelu; ecchymose sous le péricrâne. Cerveau très injecté. Grande quantité de sérosité dans
ves i° à la quantité de liquide et au volume du crâne, i° à l'état du cerveau . Sous le premier point de vue , le crâne peut p
u forceps, ne puisse amener la sortie de la tête intacte. L'état du cerveau dans l'hydrocéphalie n'est pas moins variable. Ai
variable. Ainsi, il est des hydrocéphalies avec intégrité parfaite du cerveau : il est même des circonstances dans lesquelles l
céphalies qui s'accompagnent de destruction plus ou moins complète du cerveau , ou d'anencéphalie. Or, l'anencéphalie hydrocèpha
elle porte à la fois sur la voûte et sur la base ; le plus souvent le cerveau reste intact; d'autres fois il est lui-même détru
ort-nés que j'ai eu occasion de voir à la Maternité, il n'existait ni cerveau , ni cervelet, ni protubérance proprement dite, ma
éformation des os de la voûte. Dans l'un et l'autre cas, l'absence du cerveau doit être produite parla même cause, par une aber
ée sur la substance cérébrale ; et si des circonstances étrangères au cerveau lui-même, telles que des compressions mécaniques,
èphalique. Du reste, l'existence d'une fluxion inflammatoire sur le cerveau , plus ou moins considérable et plus ou moins pers
ne orangé, qui atteste un travail morbide de réparation des débris du cerveau ; coloration qui atteste un travail de cicatrisati
sification par conséquent était très avancée, j'ai trouvé, au lieu du cerveau , une poche remplie de sérosité limpide. Dans la p
rane très dense et brunâtre recouvrait toute la portion de la base du cerveau qui restait encore ; cette base était réduite Io
ouches optiques atrophiées: 3° quelques circonvolutions de la base du cerveau étaient indurées, cartilagineuses, et comme dépos
lsifs : il succomba dans une convulsion. Le crâne était rempli par un cerveau qui ne différait d'un cerveau ordinaire que par s
onvulsion. Le crâne était rempli par un cerveau qui ne différait d'un cerveau ordinaire que par ses petites dimensions. Hydro
s. Hydrocéphalie ventriculaire très considérable, avec intégrité du cerveau Cet enfant pesait treize livres et demie. Son d
faite à la membrane, aussitôt un flot de liquide s'est échappé. Le cerveau et le cervelet étaient convertis en deux vastes p
u épaisses, qui contenaient au moins deux litres de sérosité. Dans le cerveau , les trois ventricules étaient réunis en une seul
ervation d'hydrocéphalie avec disparition de la plus grande partie du cerveau et intégrité du cervelet, de la protubérance et
s pie-mère et arachnoïde. Cette couche est probablement le vestige du cerveau . On voit les débris de l'hémisphère droit, DH,
, qui ont leur volume naturel. 15e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DU CERVEAU . (Absence du Cervelet.) MALADIES DU CERVEAU.
Pl. 5. MALADIES DU CERVEAU. (Absence du Cervelet.) MALADIES DU CERVEAU . {Absence complète du cervelet, chez une jeune
(Planche V, XVe livraison.) (i) EXPLICATION DES FIGURES. Fig. 1. Le cerveau vu par sa face inférieure est parfaitement sain.
nce. La saillie des corps olivaires est à peine marquée. Fig. 2. Le cerveau est également vu par sa base. Le bulbe raehidien
nettement les sons ; ce qui lui fit soupçonner quelque lésion vers le cerveau . Il fut appelé plusieurs fois à lui donner des so
origines des première, deuxième et troisième )) paires (l'ablation du cerveau n'ayant pas été faite avec précaution, et l'ayant
ervelet, et d'après les lois généralement adoptées sur l'évolution du cerveau , la formation des commissures est subordonnée à l
és inférieures. Et d'une autre part, les conditions d'organisation du cerveau proprement dit, paraissent avoir des rapports plu
pouvoir l'interpréter, soit par des rapports de circulation entre le cerveau et le foie (Pouteau, Bertrandi) , soit par des ra
sault et Bichat ) , soit par la simultanéité de lésions du foie et du cerveau (M. Richerand). L'antique théorie de la métastase
erfs correspondants. La fig. 4 représente la moelle et une coupe du cerveau chez le même sujet : la moelle est en-gain ée dan
otables soient le résultat de cette réduction ; la compressibilité du cerveau et de la moelle permet de se rendre compte de ce
ouve tous les jours une bien plus grande quantité de sérosité dans le cerveau d'enfans nés sans hy-drorachis, sans spina bifida
ida; et d'ailleurs j'ai vu deux cas de spina bifida, dans lesquels le cerveau présentait l'état le plus normal. Dans l'observ
lus ordinairement au tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base du cerveau et à la membrane qui revêt les ventricules. Un
gsues contournées sur elles-mêmes à la manière des circonvolutions du cerveau . Cette disposition s'étendait depuis le pubis e
infirmer cette explication. 17e. Livraison. Pl. Ire. MALADIES DU CERVEAU . Atrophie des Circonvolutions MALADIES DU CER
. MALADIES DU CERVEAU. Atrophie des Circonvolutions MALADIES DU CERVEAU CHEZ LE FOETUS (XVIIe livr., pl. I.) Atrophie
s constituent un point très intéressant de l'histoire pathologique du cerveau . Ces lésions beaucoup plus fréquentes qu'on ne le
nt, dans un grand nombre de cas, à celui qui se contente d'étudier le cerveau enveloppé de ses membranes, et de le soumettre à
in avec lequel je fais enlever les méninges, puis laver la surface du cerveau , m'a permis d'apprécier toutes les circonstances
r des circonvolutions, et de noter les différences que présentent les cerveaux sous ce rapport. Je n'anticiperai point ici sur c
ppement complet de l'ossification , et qu'en même temps le déficit du cerveau n'est pas remplacé par du liquide , les os éprouv
ification, n'étant point terminée, la sérosité remplace la portion de cerveau qui manque, alors le crâne peut présenter son vol
es hydrocéphalies congeniales, en l'absence de la presque totalité du cerveau . Dans un certain nombre de cas, le retrait des os
remplit les vides qui existent entre les os du crâne et la surface du cerveau . Cette sérosité occupe le tissu cellulaire sous-a
et que sans le lavage auquel j'ai coutume de soumettre la surface du cerveau , il m'aurait été impossible de les apercevoir.
hères en une membrane extrêmement ténue. Souvent alors il ne reste du cerveau qu'un noyau représenté par la couche optique et l
noïdien qui revêt la dure-mère, au feuillet arachnoïdien qui revêt le cerveau , sur-tout au niveau des fosses antérieures et moy
de l'évacuation de la totalité du liquide. La fig. 1 représente le cerveau vu du côté gauche. La fig. 2 représente la face
convolutions atrophiées, la couleur jaune-brun de quelques parties du cerveau , sembleraient dénoter un mouvement fluxionnaire
maladies du foetus, prouve, de la manière la plus péremptoire, que le cerveau , comme d'ailleurs tous les organes, peut éprouver
s évidente , depuis le noyau central médullaire jusqu'à la surface du cerveau . L'état d'idiotie complète auquel était réduit
es cicatrices tout-à-fait semblables à celles qu'on rencontre dans le cerveau : les muscles qui avaient été seulement infiltrés
ans agonie dans la nuit du 5 au 6 janvier. Ouverture du cadavre. Le cerveau et ses membranes sont dans l'état le plus parfait
urs dans tous les antres organes. Les tubercules peuvent occuper le cerveau , le cervelet, la protubérance annulaire et la moe
rver chez l'adulte. Je n'en ai jamais vu chez les vieillards, dont le cerveau est sujet à un si grand nombre d'autres lésions.
i eu occasion d'observer, que le cervelet est plus fréquemment que le cerveau , le siège de le maladie tuberculeuse. C'est dan
ement les tubercules, lesquels dépriment la surface correspondante du cerveau et s'y creusent en quelque sorte une cavité. Lors
tubercules sont peu considérables et logés dans les anfractuosités du cerveau , on dirait au premier abord qu'ils occupent l'ép
Ces tubercules peuvent être libres de toute adhérence et ne tenir au cerveau qu'à l'aide d'un tissu cellulaire séreux qui perm
de voir des tubercules occuper primitivement la substance blanche du cerveau . Les cas d'adhérence des tubercules à la substa
dont plusieurs sont demi-transparentes. La maladie tuberculeuse du cerveau et du cervelet se présente rarement, comme dans l
largeur et en longueur qu'en épaisseur, sans adhérence aucune avec le cerveau et s'enlever avec la pie-mère. Quelquefois on tro
es qui dépassaient deux cents: ces tubercules occupaient à la fois le cerveau et le cervelet, mais ils étaient beaucoup plus mu
mier de ces organes. Il y en avait au moins 5o chez un enfant dont le cerveau et le cervelet ont été présentés à la Société ana
tubercules, du volume d'une noix. La plupart occupaient la surface du cerveau et du cervelet; il y en avait un dans l'épaisseur
, tenait à la pie-mère, et ne s'était pas enfoncé dans l'épaisseur du cerveau . Les tubercules de l'encéphale coïncident le pl
destinés aux enfants malades, où la formation des tubercules dans le cerveau succède presque toujours aux tubercules des poumo
plus souvent à combattre les phénomènes fluxionnaires dirigés sur le cerveau . Les évacuations sanguines doivent être modérées,
émoratifs de Fétat actuel, je crus à Pexistence d'un abcès enkysté du cerveau , suite du coup reçu 10 mois auparavant. Les acci
bleau des commémoratifs, tout nous indiquait une lésion fort grave du cerveau (je penchais pour un abcès enkysté avec ramolliss
d, médecin ordinaire du malade, nous trouvâmes l'hémisphère gauche du cerveau (l'hémiplégie était à droite) déprimé, fluctuant,
onde de la pie-mère et ayant acquis tout son développement du coté du cerveau . Une masse tuberculeuse , plus petite, existait a
ci bien distincts de la dure-mère représentée parle n° 3 ; la faux du cerveau n° 2, la tente, la coupe du sinus (1) Dissertat
aucun vestige des yeux, des oreilles, du nez, de la bouche : point de cerveau , de cervelet, ni de moelle; la langue pouvait êtr
tié gauche de ce corps. Cavité crcinienne. Méninges saines. Dans le cerveau , deux petits épancliements sanguins : l'un à droi
umeur encéphaloïde ordinaire pénétrée de sang occupait la convexitéda cerveau , du côté opposé à la paralysie. Elle était logée
, du côté opposé à la paralysie. Elle était logée dans l'épaisseur du cerveau , mais ne paraissait pas formée aux dépens de sa s
de l'hydrocèle, dans la plèvre et même sous l'arachnoïde à la base du cerveau . Le pigmentum de la peau du Blanc devient noir,
antérieur. Par-tout où existe cette coloration , que ce soit dans le cerveau , dans le foie, dans les muscles, on peut affirmer
la dure-mère, le péricràne et les os du crâne. Dans le crâne était un cerveau et un cervelet qui ne remplissaient qu'une partie
e ces membranes? Cette région ayant été étudiée après l'extraction du cerveau , je ne saurais prononcer à cet égard ! Réflexi
ostérieure ou écaille use de l'occipital ne pourra se développer : le cerveau comprimé dans une cavité crânienne rétrécie, tend
dra à s'échapper en arrière : une encéphalocèle s'établira ; et si le cerveau ne prend pas son accroissement, s'il existe du li
existe du liquide dans la cavité crânienne, ce liquide remplacera le cerveau . Dans tous les cas , il y aura spina bifida occip
elque sorte partie intégrante de la base du crâne : on conçoit que le cerveau comprimé ne pouvant se développer dans la cavité
t sur le péritoine, et occupaient le tissu cellulaire sous-séreux. Le cerveau , les poumons, la rate, les reins, l'utérus, etc.,
son. Pl. 3. Apoplexie et Atrophie des Circonvolutions MALADIES DU CERVEAU . (Planche 3, xxe livraison.) Apoplexie des circ
anche 3, xxe livraison.) Apoplexie des circonvolutions. Cicatrices du cerveau . Atrophie avec ratatinement des circonvolutions.
(Fig. i et i'.) Les fig. i et i' représentent l'hémisphère droit du cerveau d'une femme âgée, hémiplégique du côté gauche, mo
uvement. La fig. i représente la convexité de l'hémisphère droit du cerveau . La surface du cerveau est notablement déprimée a
présente la convexité de l'hémisphère droit du cerveau. La surface du cerveau est notablement déprimée au niveau des circonvolu
usieurs faits m'autorisent à admettre que cette forme de cicatrice du cerveau est la suite du ramollissement de cet organe et n
i des grains de sable plus ou moins jaunes avaient été déposés sur le cerveau ou enfoncés dans son épaisseur. Ces points jaunes
tion peut s'étendre à la pie-mère. Dans d'autres cas, la surface du cerveau (circonvolutions et anfractuosités) est crevassée
ces altérations. Le cervelet est sujet aux mêmes altérations que le cerveau , et les réflexions qui précèdent lui sont égaleme
a lieu tantôt autour de la cicatrice, tantôt dans une autre partie du cerveau . Quelques observations viendront à l'appui des
i des considérations précédentes. Coloration jaune de la surface du cerveau et du cervelet ; cicatrices avec perte de substan
ervelet ; cicatrices avec perte de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles du cervelet. Chez une femme en
eau et des lamelles du cervelet. Chez une femme en démence, dont le cerveau et le cervelet avaient le volume ordinaire, nous
ordinaire, nous avons trouvé une coloration jaunâtre à la surface du cerveau et du cervelet, et cela dans une assez grande éte
ation jaune qui occupait sa circonférence et sa face inférieure. Le cerveau présentait, avec cette coloration jaune, des cica
olutions antérieures et les circonvolutions inférieures de la base du cerveau . Elles méritent une description particulière. C
Cicatrices colorées avec perte de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles du cervelet. — Conversion en boui
qu'elle était hémiplégique depuis six mois. Ouverture du cadavre. — Cerveau .—A la réunion des deux tiers antérieurs avec le t
nfractuosités. Sur le lobule de la scissure de Sylvius, la surface du cerveau présente une teinte jaunâtre ; cette coloration e
ANCHE IV, XXe LIVRAISON.) Apoplexie capillaire. Ramollis s emens du cerveau . Inflammation du sinus longitudinal supérieur e
groupées, tantôt irrégulièrement disséminées. Les autres parties du cerveau sont saines. La moelle n'a pas été examinée. Re
dantes, j'en avais conclu que la même chose devait avoir lieu pour le cerveau , et que s'il était possible de déterminer expérim
illaire : et comme, dans d'autres cas, on trouve un ramollissement du cerveau tout-à-fait semblable sans inflammation des veine
nçaient assez bien une apoplexie capillaire dans la moitié opposée du cerveau . Ramollissement lie-de-vin du cerveau. ( figure
ire dans la moitié opposée du cerveau. Ramollissement lie-de-vin du cerveau . ( figure 1. ) La figure 1 représente le plus h
1. ) La figure 1 représente le plus haut degré du ramollissement du cerveau , dont la substance est convertie en une bouillie
mollie s'enlève avec les membranes, et reste attachée à la surface du cerveau . La substance blanche subjacente a été respectée
lité de garder ses urines. Ramollissement amaranthe et hortensia du cerveau . ( Fig. 3. ) La fig. 3 représente la nuance rou
près la mort. — J'avais hésité entre un ramollissement très étendu du cerveau et un foyer apoplectique avec pénétration du sang
s à considérer dans la lésion connue sous le nom de ramollissement du cerveau : i° la coloration ; i° la consistance. i° On p
i° On peut réduire à cinq les nuances principales de coloration du cerveau : ce sont les couleurs lie-de-vin, amaranthe, hor
rvateur qui n'est point sur ses gardes. Il est nécessaire de laver le cerveau après l'ablation des membranes pour pouvoir appré
Salpètrière, je fus étrangement surpris de voir des ramollissemens du cerveau dans la plupart des cas où j'avais noté tous les
n troisième. Comme la possibilité de la guérisondes ramollissemens de cerveau a été contestée, je crois devoir citer un fait bi
fait bien positif à l'appui de cette proposition. Ramollissement du cerveau ou apoplexie capillaire. Guérison inespérée avec
'y attendait le moins. Ouverture du cadavre. — Hémisphère gauche du cerveau . A côté delà scissure médiane, les circonvolution
iane, les circonvolutions qui répondent à la partie la plus élevée du cerveau ont été en partie détruites. Couleur jaune-serin
plus fréquent que de voir les individus affectés de ramollissement du cerveau ou d'apoplexie mourir par les poumons. L'observ
au milieu delà substance blanche, sont la suite du ramollissement du cerveau . Nous voyons souvent, à la Salpêtrière, des femme
n voyage d'Italie, il éprouva un second étourdissement. L'autopsie du cerveau nous a présenté : i° une cicatrice jaune-serin à
s des membres supérieurs. J'avais diagnostiqué un ramollissement du cerveau et je m'étais fondé sur l'abolition presque compl
ois semaines. Ouverture du cadavre.— i° Dans Y hémisphère gauche du cerveau , ramollissement hortensia de toutes les circonvol
issure, on peut enlever les membranes sans intéresser la substance du cerveau . a° Les circonvolutions les plus postérieures son
nt en diminuant à mesure qu'ils s'éloignent du premier moment, car le cerveau s'habitue à la compression, le sang est résorbé,
r la lame celluleuse qui remplaçait les circonvolutions de la base du cerveau . La corne d'Ammon et la partie gauche de la voûte
it le point de départ des symptômes tout-à-fait étrangers à l'état du cerveau et je mis la malade au régime le plus sévère. Le
cale du poumon , hernie thoracique, du foie, etc. ..... Maladies dj cerveau . Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de toute la
es par de la matière grasse et de la cholestérine, déposéesd ans le cerveau .Observations et considérations générales sur cr
7 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
x questions. Mon attention se porte sur deux organes, le poumon et le cerveau ; sur deux maladies, la pneumonie et le ramollisse
Chez notre malade, je fus éloigné de l'idée d'un ramollissement du cerveau : l'état d'hébétude et de somnolence me parut pur
ne femme âgée de la Salpêtrière qui a succombé à un ramollissement du cerveau , que je n'ai vue qu'à l'occasion de ce ramollisse
r en conservant toute sa présence d'esprit. Ouverture du cadavre. — Cerveau proprement dit, rien. La surface du cervelet prés
dien. Je vis une hémiplégie, je la rattachai de suite à une lésion du cerveau : je ne pris pas garde que cette hémiplégie n'éta
s maladies de la moelle, autant elles sont rares dans les maladies du cerveau . La tête et le cou ne me présentèrent d'ailleurs
tion; il arriva jusqu'à la dure-mère, qu'il reconnut aux battemens du cerveau ; il ne crut pas devoir aller plus loin, parce que
n laissant sur le devant toutes les parties qui étaient malades. Le cerveau était à l'état normal, excepté les lobes antérieu
ace orbitaire et la fosse sphénoïdale de la base du crâne, la faux du cerveau sont à découvert : la dure-mère a été détachée au
dur et compacte, et ne participe en aucune manière à l'altération. Le cerveau a dû être comprimé par toute l'épaisseur de l'os
s de sa maladie, elle n'offrit aucun symptôme de lésion ni du côté du cerveau , ni du côté des organes de la respiration. Ouve
t la tête ne tenait plus au reste de l'os que par une languette. Le cerveau et tous les organes du thorax et de l'abdomen éta
cet angle répond à la quatrième ou cinquième vertèbre cervicale. Le cerveau était remplacé par une tumeur mollasse, rougeâtre
ause cette hémiplégie a-t-elle été produite? Est-ce par une lésion du cerveau , est-ce par une lésion du bulbe rachidien, ou enf
tat des nerfs laryngés, du pneumo-gastrique, du bulbe rachidien et du cerveau ; je dois même dire que je n'ai songé à étudier l'
). mettre une lésion du pneumo-gastrique, du bulbe rachidien ou du cerveau . D'un autre côté, si l'on considère la fréquence
tion et fatigué par le malaise,a fini par s'éteindre. « TSécropsie. Cerveau un peu mou, petite quantité de sérosité sous la p
gros replis sinueux qui donnent à l'estomac renversé l'apparence d'un cerveau d'adulte, dépourvu de ses membranes. Cette muqueu
ont le plus de consistance: ils ressemblent à la substance grise d'un cerveau un peu ferme. l,es autres , beaucoup plus mous, e
le plus de consistance : ils « ressemblent à la substance grise d'un cerveau un peu ferme. Les autres, beaucoup plus f mous, o
e matière grasse blanche que Vauque-lin a le premier signalée dans le cerveau , et pour laquelle M. Couerbe a proposé le nom de
n incomplète à la vapeur, qui a eu lieu dans la cavité abdominale. Le cerveau et la moelle épinière sont les seuls organes qui
tes du cordon spermatique. Poitrine. Poumons, cœur sains.— Tête. Le cerveau et ses membranes sont dans l'état d'intégrité.
ssi bien que les poumons et le cœur occupent la cavité thoracique, le cerveau , la cavité crânienne, etc. Les faits invoqués pou
u'on n'a jamais songé à considérer comme un arrêt de développement du cerveau . La hernie ombilicale de l'enfant nouveau-né s'
i bien que les poumons et « le cœur occupent la cavité thoracique; le cerveau , la cavité crânienne. Les faits invoqués « par la
on n'a jamais songé à considérer « comme un arrêt de développement du cerveau . J'ai examiné,il y a quelques jours,un embryon
eure des parois abdominales qui a été représentée sur la figure. Le cerveau était dans l'état le plus parfait d'intégrité.
ce annulaire, soit d'une lésion fonctionnelle purement sympathique du cerveau . Mais les apoplexies centrales et considérables d
rotubérance sont si rares, les lésions fonctionnelles sympathiques du cerveau si fréquentes, que je n'avais pas hésité, dans le
é, dans le cas actuel, à avancer que nous ne trouverions rien dans le cerveau : tous les jours nos malades de la Salpêtrière, s
de l'intelligence, sans que l'autopsie constate la moindre lésion du cerveau et de ses dépendances. Dans toute apoplexie, si l
tre le délire idiopathique de certaines arachnitis de la convexité du cerveau et le délire symptomatique de l'entérite follicul
considérable; de même que j'ai vu l'apoplexie ou le ramollissement du cerveau se manifester dans les mêmes circonstances, je ve
e-cinq jours après son entrée. D'ailleurs, aucun phénomène du côté du cerveau ; seulement, le 2, juillet, veille cle sa mort, l
rieur tous les caractères de la pneumonie œdémateuse, Rate saine. Cerveau . Ramollissement blanc occupant les circonvolution
ntimement à la dure-mère et plongeait entièrement dans l'épaisseur du cerveau qui était tout autour d'elle réduit à une pulpe j
cachexie cancéreuse se manifeste par des tumeurs développées dans le cerveau . Le foie a été respecté chez ce sujet, et le cerv
eloppées dans le cerveau. Le foie a été respecté chez ce sujet, et le cerveau a été envahi. On voit d'ailleurs assez fréquemmen
les détails, très intéressans d'ailleurs, relatifs aux cicatrices du cerveau et du cervelet que présentait cette malade, pour
s, ont-elles quelque rapport avec les apoplexies ou ramollissemens du cerveau , si fréquens à cet âge de la vie : c'est une ques
rus pendant vingt-quatre heures à une paralysie du bras par lésion du cerveau ou de la moelle, parce qu'il y avait paralysie du
de douleur? je pensai que cette paralysie avait son siège non dans le cerveau , mais dans les nerfs de la main; que la cause éta
u matin. Ouverture du cadavre.—Amaigrissement considérable; rien au cerveau . En pressant les deux parotides, on fait couler d
ement sur les lieux d'aisance. Ouverture du cadavre. — Rien dans le cerveau . Péricarde distendu et bleuâtre : des caillots de
à son centre des traces de suppuration. — Le pancréas est sain. Le cerveau est sain. Les poumons sont très sains, gorgés d
un état de torpeur, prélude d'une méningite granuleuse de la base du cerveau avec épanchement ventriculaire à laquelle il succ
oblige de sonder le malade. Cet incident dirige mon attention vers le cerveau . Cet homme est d'une intelligence très bornée. La
allait soulager. Mon diagnostic avait été celui-ci : compression du cerveau par une tumeur développée, soit aux dépens des mé
ur développée, soit aux dépens des méninges, soit dans l'épaisseur du cerveau lui-même; probabilité du siège de cette tumeur à
consistait dans une tumeur développée dans le crâne, exerçant sur le cerveau et probablement sur la base de cet organe une com
t de la sensibilité de la face. En effet, le crâne étant ouvert, le cerveau étant renversé de bas en haut et d'avant en arriè
la septième paire et ceux de la cinquième (5) sont comprimés entre le cerveau et la tumeur. Les filets de la cinquième paire (5
re 3 est la représentation fidèle. J'avais reconnu, en soulevant le cerveau cle bas en haut et d'avant en arrière, que la sub
alvéoles, que les efforts de traction nécessaires pour l'ablation du cerveau suffisaient pour déchirer la substance cérébrale
a base du crâne, étaient le résultat de la compression exercée par le cerveau sur les divers points de cette base, comme pour c
irect et nécessaire avec les anfractuosités et les circonvolutions du cerveau . La gouttière basilaire est déprimée : la lame
des tumeurs de la dure-mère, savoir : que les causes comprimantes du cerveau produisent deux ordres d'effets : i° Un effet d
cervelet soulevait cette tente et avec elle la partie postérieure du cerveau ; et Létat de tension de ce repli de la dure-mère
re-mère doit avoir pour conséquence la compression, non des points du cerveau correspondans à la tumeur, mais bien du cerveau e
on, non des points du cerveau correspondans à la tumeur, mais bien du cerveau en masse. Or, il est de fait que les effets de
de cette base qui est divisée en fosses dans lesquelles les lobes du cerveau , comme emprisonnés, n'ont pu échapper aux causes
me le résultat pur et simple delà compression indirecte de la base du cerveau . Les nerfs olfactifs et les nerfs optiques avant
directement sur les points comprimés qu'à la compression générale du cerveau . J'appellerai surtout l'attention sur l'usure d
sur l'usure de la base du crâne opérée par un corps aussi mou que le cerveau : ce fait est-il exceptionnel? Mais il n'y a rien
e est un phénomène commun à un grand nombre de maladies organiques du cerveau et le résultat soit d'une compression directe (ex
s externes, des couches optiques, ni de quelque partie que ce soit du cerveau . Jamais je n'ai vu les tubercules quadrijumeaux,
ermittente, c'est l'amaurose sympto-matique d'une lésion organique du cerveau . L'amaurose avec perte de l'odorat caractérise en
s premières produisent directement leurs effets de compression sur le cerveau ; les secondes les produisent directement sur le c
cervelet, la protubérance, le bulbe rachidien et indirectement sur le cerveau , (i) Voici quelques faits qui pourront servir à l
— Tumeur polypiforme de la narine droite formée par les membranes du cerveau et par le cerveau lui-même a travers la lame crib
rme de la narine droite formée par les membranes du cerveau et par le cerveau lui-même a travers la lame criblée de l'ethmoïde.
rganiques. Cette tumeur s'était creusé une cavité, i° aux dépens du cerveau , par la partie de cette tumeur qui naissait de la
tie de cette tumeur qui naissait de la face postérieure du rocher. Le cerveau , tout autour de la tumeur, avait subi un ramollis
c-manger s'étendait au loin dans l'épaisseur de l'hémisphère droit du cerveau jusqu'au voisinage du corps strié, qui était pres
usqu'au trou de la sclérotique, qui livre passage au nerf, du côté du cerveau , jusqu'à la partie rétrécie des corps genouillés
tout-à-fait insolite a fixé notre attention: en voulant renverser le cerveau de bas en haut et d'avant en arrière, pour le ret
ne pas les rompre et laisser les parties en place, on avait divisé le cerveau à une certaine distance. Alors je vis que non-seu
le cerveau à une certaine distance. Alors je vis que non-seulement le cerveau adhérait à la base du crâne, mais encore qu'il s'
s sur ce polype, nous vîmes qu'il se continuait avec les membranes du cerveau , lesquelles avaient fait hernie dans la narine dr
tée, le plus souvent elle résulte d'un ramollissement manger-blanc du cerveau avec coloration jaunâtre; lésion qui paraît dépen
Quant au polype nasal d'une nouvelle espèce formé parles membranes du cerveau , j'avais d'abord pensé que la dure-mère qui tapis
ant dans les fosses nasales, avaient entraîné les autres membranes du cerveau et le cerveau lui-même ; mais le fait représenté
osses nasales, avaient entraîné les autres membranes du cerveau et le cerveau lui-même ; mais le fait représenté pl. 2, xxvie l
e de la lame criblée fût le résultat de la compression exercée par le cerveau sur cette lame criblée, et que la dure-mère, refo
e lame criblée, et que la dure-mère, refoulée dans les narines par le cerveau , refoulé lui-même par la tumeur, eût présenté d'u
icle des polypes de fosses nasales, les hernies de la dure-mère et du cerveau à travers la lame criblée comme pouvant donner li
périeure du rocher et se creusant une cavité aux dépens de la base du cerveau qu'elle déprimait fortement et qui était converti
ouillie dans toute la partie qui entourait la tumeur. Cette partie du cerveau était la paroi inférieure de la portion réfléchie
upérieure du rocher produisent leurs effets de compression du côté du cerveau ; celles qui naissent de Sa face postérieure du mê
; celles qui naissent de Sa face postérieure du même os compriment le cerveau , la protubérance et le bulbe rachidien. La nature
encéphaloïde, mais qui pourrait bien n'être que la substance grise du cerveau , dont la pénétration dans des cellules de nouvell
rachidien, d'une autre part la tente du cervelet et par conséquent le cerveau . La moelle épinière était d'ailleurs très saine.
i soulevée, était réduite à une lame extrêmement ténue, comprimait le cerveau , qui à son niveau n'avait en hauteur que la moiti
es à la vie. Ici les effets de la compression ont été nuls du côté du cerveau , et se sont manifestés exclusivement sur les orga
N.) Etudes sur la paraplégie. Pendant que l'étude des maladies du cerveau semble préoccuper tous les esprits, celle des mal
t on étudie la moelle malade. De même que beaucoup d'altérations du cerveau ont long-temps échappé, parce qu'on examinait le
térations du cerveau ont long-temps échappé, parce qu'on examinait le cerveau entouré de ses membranes; de même, et à plus fort
semblables à celles que laisse quelquefois l'apoplexie capillaire du cerveau , d'où il résulte incontestablement que la moelle
se développent dans le tissu cellulaire cérébral sous-arachnoïdien. Cerveau , cervelet et partie supérieure de la moelle parfa
geâtre, granuleuses, d'une consistance qui ne dépasse pas celle de ce cerveau , dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la
d'une hémorrhagie cérébrale. Indépendamment du foyer apoplectique du cerveau , survenu le dernier jour de la vie, il existait a
avons observé dans un grand nombre de cas de ramollissement blanc du cerveau . Dans l'observation précédente, la paraplégie é
portion de moelle qui répond à la jambe droite. Il est évident que le cerveau est sain. Il y a un contraste bien singulier entr
de gomme gutte; une pilule de trois en trois heures. Evidemment le cerveau est parfaitement étranger à tous les accidens, to
t abdominaux étaient sains : ventricule gauche du cœur assez épais. Cerveau sain ; moelle épinière d'une densité telle que, a
rachidien inférieur est moins atrophié que le reste de la moelle. Le cerveau , le cervelet et l'isthme de l'encéphale sont parf
te,et comme fibreuse. Infiltration sous-arachnoïdienne ; rien dans le cerveau et le cervelet. La malade avait sa parfaite conna
t. Petite induration linéaire dans l'épaisseur du pédoncule gauche. Cerveau . Plusieurs petites cicatrices de foyers anciens d
du pédoncule gauche, les petits foyers de la substance médullaire du cerveau , ne peuvent pas rendre compte de la forme paraplé
r l'appréciation de l'influence de l'hémorrhagie et autres lésions du cerveau sur l'état de la moelle, et réciproquement de l'i
réciproquement de l'influence des lésions de la moelle sur l'état du cerveau . Je puis donner comme positif ce fait, que les lé
fait, que les lésions de la moelle n'exercent aucune influence sur le cerveau , mais que les lésions du cerveau ont une action e
e n'exercent aucune influence sur le cerveau, mais que les lésions du cerveau ont une action extrêmement puissante sur la moell
fait suivant vient à l'appui de ces idées, bien qu'il existât dans le cerveau des lésions capables jusqu'à un certain point de
m. Ouverture. Moelle parfaitement saine. Il n'en est pas de même du cerveau . Les membranes enlevées, je trouve à l'hémisphère
substance cérébrale sous-jacente. L'infiltration séreuse ou œdème du cerveau se voit là comme dans tous les lieux où il y a at
sain ; pneumonie lobulaire à gauche ; cœur sain ; organes digestifs, cerveau sains. Reste à examiner la moelle épinière. Vue
cette manière de voir; car les diverses espèces de ramollissement du cerveau peuvent avoir lieu instantanément avec la même so
des circonvolutions occipitales inférieures du côté gauche. Du reste, cerveau , cervelet, bulbe rachidien parfaitement sains. L'
al rachidien : tout le reste de la moelle était parfaitement sain. Le cerveau , le cervelet, le bulbe rachidien, étaient égaleme
t le reste de la moelle était parfaitement sain. Il en est de même du cerveau , du cervelet et de l'isthme de l'encéphale. Par
cérébelleux l'avaient également éprouvée dans toute leur épaisseur. Cerveau . Le pédoncule cérébral droita.VB.it éprouvé la tr
lable au mastic de vitrier. — On n'a pas examiné le canal intestinal. Cerveau parfaitement sain. Moelle épinière. L'altératio
i de ces apoplexies foudroyantes qui paralysent, en quelque sorte, le cerveau sous le rapport du sentiment, du mouvement et de
que l'hémiplégie emportait nécessairement l'existence d'une lésion du cerveau . Aujourd'hui, à défaut de tout autre symptôme, la
oduction desquels la distinction des faisceaux, fibres et lamelles du cerveau ne paraît être que d'une importance bien secondai
arfaitement démontré par M. Marshall-Hall(2), peut, indépendamment du cerveau , déterminer des mouvemens par suite de l'impressi
/¿fi. A. chazal del Imp. Ltmercù-r, £ e ricuci et Ñ MALADIES DU CERVEAU . Apoplexie de la protubérance et des pédoncules
ptique ; une très grande quantité de sang était épanchée à la base du cerveau , dans le tissu cellulaire sous-arachnoidien. La
heures (i). Foyer apoplectique ouvert à-la-fois et à la surface du cerveau et dans le quatrième ventricule. Marie-Anne Lav
du sang qui lui donne un aspect bleuâtre. Entre la dure-mère et le cerveau entouré de ses membranes, c'est-à-dire entre le f
r, moitié liquide, moitié coagulé. (2) Rien à la face supérieure du cerveau qui puisse motiver un épanchement sanguin à sa ba
se motiver un épanchement sanguin à sa base comme à sa convexité : le cerveau , le cervelet et la protubérance sont entourés d'u
st une petite déchirure qui fait communiquer le sang de la surface du cerveau avec le sang contenu dans l'épaisseur de la protu
yer de sang noir, coagulé, occupant l'épaisseur du pédoncule droit du cerveau et de la moitié correspondante de la protubérance
amollie dans l'épaisseur d'une ligne. Il y avait, en outre, dans le cerveau , deux petits foyers celluleux anciens : l'un occu
rande quantité de sérosité remplit l'excavation médiane de la base du cerveau et le canal vertébral. Le cerveau enlevé (et j'
'excavation médiane de la base du cerveau et le canal vertébral. Le cerveau enlevé (et j'ai coutume de l'enlever seul par la
rosité, remplissait l'une et l'autre perte de substance. La faux du cerveau présentait à droite une tumeur fibreuse de la gro
d'articuler les sons a-t-elle son siège dans les lobes antérieurs du cerveau , ainsi que Va avancé le docteur G ail? XXIe LIV
rouvé plusieurs circonvolutions postérieures de l'hémisphère droit du cerveau comme sillonnées par des cicatrices jaunâtres ; l
r de la protubérance, s'observent aussi dans les fortes apoplexies du cerveau et du cervelet; l'état apoplectiforme sympathique
uer une apoplexie de la protubérance; je pensai, au contraire, que le cerveau , le cervelet et la protubérance étaient parfaitem
er un certain nombre de faits, dont les uns semblaient établir que le cerveau avait supporté impunément, sans qu'il y eût paral
angé des tissus qui en ont été le siège, et que c'est surtout dans le cerveau que les moindres nuances de coloration sont appré
son Pl.3 a.aa.xalJcl. Tm.cte£emercier.£ enarc/cé C. MALADIES DU CERVEAU . (PLANCHE II, XXVe LIVRAISON.) Tumeurs cancér
euse développée aux dépens du lobe occipital de l'hémisphère droit du cerveau , et plus particulièrement aux dépens des circonvo
. Cette tumeur qui, par sa face inférieure, adhérait aux membranes du cerveau , avait-elle été formée dans l'épaisseur et aux dé
le tissu cellulaire de la pie-mère, avait-elle déprimé la surface du cerveau de manière à se creuser une cavité par le simple
ance grise, on aurait encore trouvé la pie-mère entre la tumeur et le cerveau , et ici la tumeur plongeait au sein de la substan
ouverture, on trouva (fîg. a), dans l'épaisseur du lobe postérieur du cerveau , du côté de la face convexe, une tumeur très volu
ès volumineuse qui atteignait, dans quelques points, les membranes du cerveau , et qui, dans le reste de son étendue, en était s
meur que j'ai retirée du milieu de la substance blanche ramollie d'un cerveau : la section de cette tumeur ne m'a pas éclairé s
aitement tranchés. Ainsi, rien de plus rare que de voir une tumeur du cerveau présenter tous les caractères des tumeurs dites e
la face interne de cette même membrane, et se dirigeaient du côté du cerveau , qu'ils déprimaient de manière à se creuser dans
s maladies cancéreuses. Les tumeurs cancéreuses et tuberculeuses du cerveau , comme d'ailleurs toutes les productions accident
ait du plexus choroïde. Les tumeurs cancéreuses ou tuberculeuses du cerveau ( et cela leur est commun avec toutes les causes
ulmonaire. Aucun symptôme n'avait révélé la moindre lésion du côté du cerveau . A l'ouverture, on trouva une dilatation considér
induration du tissu pulmonaire tout autour des dilatations. Dans le cerveau , on trouva, en outre, deux abcès enkystés, conten
e pulmonaire, sans avoir jamais offert le moindre symptôme du côté du cerveau . Son cerveau, qui fut présenté à la Société anato
sans avoir jamais offert le moindre symptôme du côté du cerveau. Son cerveau , qui fut présenté à la Société anatomique en déce
lle ou d'autres organes ne préservant nullement des lésions aiguës du cerveau , on conçoit qu'une femme cancéreuse puisse être p
de ramollissement, indépendamment de toute tumeur cancéreuse dans le cerveau . C'est ce que j'ai eu occasion d'observer tout ré
r le caractère bien positif de cette tumeur. Les tubercules dans le cerveau sont, en général, l'apanage de l'enfance, et s'ob
arement passé vingt-cinq ans ; de même que les tumeurs cancéreuses du cerveau sont (1) Communiquée par M. Combes, sous-aide m
le s'éteignit. A l'ouvertuire, je trouvai la dure-mère adhérente au cerveau sur la partie moyenne de l'hémisphère gauche, au
erculeuse circulaire un peu moins grande qu'une pièce de dix sous. Le cerveau divisé au niveau de cette adhérence m'a présenté
n guérir de tubercules développés à la surface ou dans l'épaisseur du cerveau ? Cette question a peu occupé les auteurs : l'an
qui est sans inconvénient dans le poumon n'en soit pas exempt dans le cerveau , où par sa seule présence un seul corps étranger,
d'une lésion des méninges ou de la substance cérébrale. MALADIES DU CERVEAU . ygf livraison Pl. 2. A. Chazal del. Lith.d
son Pl. 2. A. Chazal del. Lith.de Beitartt'.rlïr/v. MALADIES DU CERVEAU . (PLANCHE II, XXXIIIe LIVRAISON.) APOPLEXIE CAP
es. La fîg. ire représente la face externe de l'hémisphère droit du cerveau . L A, lobe antérieur; LB, lobe postérieur; SS, sc
s. La cicatrice qu'elle présente m'a paru le type des cicatrices du cerveau , suite d'apoplexie capillaire des circonvolutions
ux filamenteux de cette cellulosité. Sous la cicatrice, la surface du cerveau était dense et jaune , mais cette densité et cett
s épileptiformes auxquelles elle succomba. Ouverture du cadavre. —¦ Cerveau . — Hémisphère gauche {coté opposé à la paralysie)
branes. Réflexions. La faculté d'articuler les sons n'a pas dans le cerveau un siège spécial: elle cesse toutes les fois qu'i
erne en avant. L'immense majorité des apoplexies et ramollissemens du cerveau occupe ce lobule, qui est moulé sur le corps stri
a couche optique, lesquels peuvent être considérés comme la racine du cerveau .! (2) Nouvelle Bibliothèque médicale, troisième
s circonvolutions occipitales sont peut-être de toutes les parties du cerveau celles qui sont le plus sujettes au ramollissemen
en sont la conséquence. Voici une autre observation de cicatrice du cerveau , qui me paraît appartenir au ramollissement. Cett
écial de l'atrophie sénile. Plusieurs cicatrices peau de chamois du cerveau , suite probable de ramollissement. — Destruction
et des lèvres. La malade s'éteignit le 17 juin. Ouverture du corps.— Cerveau .—Hémisphère droit {coté opposé à la paralysie). G
S 1 ET 3. La figure 2 représente une coupe de l'hémisphère droit du cerveau , vu par sa face supérieure. LA est le lobe antéri
e l'apoplexie capillaire. On voit, en outre, que le ramollissement du cerveau n'est pas antérieur à l'apoplexie capillaire, qu'
une couche mince de substance grise, et à leur niveau, la surface du cerveau présente une couleur violacée. Les faits suivan
ation des sons n'est pas embarrassée. Diagnostic. Ramollissement du cerveau . Je me fonde sur la rigidité, et sur la lésion du
plusieurs dilatations bronchiques remplies de mucosités puriformes. Cerveau . Je croyais à un ramollissement et il y avait deu
einture par pénétration occupait une certaine épaisseur. En outre, le cerveau présentait une multitude prodigieuse de taches pé
e petits épanchemens miliaires, la plupart proéminens à la surface du cerveau , quelques-uns cachés dans l'épaisseur de la subst
dépendamment de ces taches d'un rouge noir, on voyait à la surface du cerveau et dans l'épaisseur de la substance grise une fou
t des grains de sable diversement colorés, disséminés à la surface du cerveau . La coïncidence de petits foyers sanguins miliair
utre chose que la cicatrice des petits foyers sanguins. La surface du cerveau présente en outre plusieurs de ces cicatrices pel
in. J'ai eu occasion de rencontrer souvent ces granulations dans le cerveau et plusieurs fois dans la moelle. On dirait que d
oelle. On dirait que du sable de couleur a été déposé à la surface du cerveau ou enfoncé dans son épaisseur. Chaque gouttelet
e l'observer. Je reproduis ici ma note textuellement. La surface du cerveau m'a frappé par une innombrable quantité de taches
la transparence de laquelle on pouvait les reconnaître. En coupant le cerveau par tranches, on pouvait établir les limites des
ère. Ce n'étaient pas des foyers de sang, mais bien des déchirures du cerveau sans foyer proprement dit; les deux moitiés des c
nâtre, les petits grains de sable de même couleur, dont la surface du cerveau est quelquefois parsemée, qui donnent à cette sur
à des altérations matérielles. Ces réflexions s'appliquent surtout au cerveau , à la moelle et aux nerfs. 2g " Jj iv rais on P
u, à la moelle et aux nerfs. 2g " Jj iv rais on PL 2. MALADIES DU CERVEAU Ë. Ch baL ¿eL. Irrap disXcmercui, Benard el
CERVEAU Ë. Ch baL ¿eL. Irrap disXcmercui, Benard el MALADIES DU CERVEAU . (planche i, xxxvie livraison.) apoplexie capil
e MM. Lallemand et Rostan, sous le nom générique de ramollissemens du cerveau . J'ai surtout cherché à démontrer l'affinité qui
s veines cérébrales adjacentes devait amener le même résultat pour le cerveau ; et, en effet, la plupart des observations qui ex
foyer. La figure ire, planche iv, xxe livraison, qui représente le cerveau d'une jeune fille de vingt ans, a fourni un bel e
nguins au milieu des parties ramollies par apoplexie capillaire. Le cerveau représenté fig. i, xxxvie livraison, appartient à
que complètement disparu dans les points correspondais. L'incision du cerveau au niveau de ces plaques montre : ici de petits f
suppuration ? Rien ne l'indique. Pendant que je faisais dessiner le cerveau représenté fig. i,une vieille femme de la Salpétr
d'apoplexie capillaire existaient çà et là dans la substance grise du cerveau . L'hémisphère droit présentait à sa convexité une
la veine. Celle-ci était parfaitement saine. Les veines de la base du cerveau , qui aboutissaient au sinus latéral droit étaient
crâne, étaient dans l'état le plus parfait d'intégrité. La surface du cerveau présentait des ecchymoses , qui n'occupaient que
veines cérébrales enflammées, à la convexité et surtout à la base du cerveau . Abdomen. Les intestins présentaient à leur sur
nt et du mouvement. — Ramollissemens multiples des circonvolutions du cerveau . — Phlébite du sinus longitudinal supérieur. — Le
inal supérieur. — Le ramollissement est borné a toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines cérébrales enflammées. —
e n'avait pas eu de céphalalgie. Je diagnostique un ramollissement du cerveau . Le 16 et les jours suivans, je constate, ainsi
première fois que j'ai occasion de noter, dans les ramollissemens du cerveau , de semblables alternatives, qui sont tout-à-fait
ouche de sérosité de deux lignes d'épaisseur. La sérosité écoulée, le cerveau ne remplit pas la cavité du crâne. Phlébite du
pas toute la longueur de ces veines. Dépouillé de ses membranes, le cerveau présente tous les degrés du ramollissement rouge
e. Les circonvolutions frontales et les circonvolutions de la base du cerveau ont été respectées. Ces foyers ou centres de ramo
ngienne et du ramollissement avec phlébite des sinus et des veines du cerveau ; cette circonstance, que le ramollissement étant
ette circonstance, que le ramollissement étant limité aux portions du cerveau , d'où émanent les veines enflammées ; la multitud
et la suppuration semblent s'exclure mutuellement, au moins quant au cerveau . J'ai souvent eu occasion de voir des apoplexie
ésultat d'une irritation sympathique exercée par les intestins sur le cerveau . D'un autre côté, il pouvait y avoir apoplexie de
les circonstances une irritation muqueuse ou cutanée dérive-t-elle le cerveau ; dans quel autre cas et dans quelles conditions u
rritation muqueuse ou cutanée conges-tionne-t-elle sympathiquement le cerveau ? Ce sont des questions qui se présentent à chaque
ON DE LA FIGURE 1 DE LA PLANCHE I. Les fig. 2 et 2' représentent un cerveau qui appartenait à un sujet sur lequel je n'ai auc
e portée à son summum d'intensité. La fig. 2 représente la surface du cerveau parsemé de plaques lie-de-vin, offrant diverses n
binaison du sang avec la substance cérébrale, on voit à la surface du cerveau des globules sanguins disposés suivant des lignes
ie capillaire est encore moins le premier degré d'une inflammation du cerveau et l'analogue de l'induration rouge dans la pneum
sans exemple que la suppuration se soit établie dans des portions du cerveau , frappées d'apoplexie capillaire, de même qu'auto
'a pas envahi une trop grande étendue de parties. (1) C'est ce même cerveau qui a été modelé en carton par M. le Dr Thiheft,
M. le Dr Thiheft, clans une pièce frappante de vérité. MA LADIES DU CERVEAU tflùraison PL i. .Ipople^xiù capillau^e--li-p
Joyer A. Chazal lith. Im. dcLemcmtr, S åì ard et Ñ MALADIES DU CERVEAU ET DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. (planche iv, xxxixe l
nution de 'volume du crâne et destruction plus ou moins complète du cerveau . Les figures i, 1' et 2, 2 fournissent deux exe
ais indurée, d'une couleur brun-marron clair, comme dans le cas où le cerveau a été le siège d'un foyer sanguin. Au-dessous de
optique et le corps strié. PC sont les plexus choroïdes; F la faux du cerveau , dont la partie antérieure est renversée et sur l
st aussi bien conformée que si elle avait été destinée à renfermer un cerveau sain. La tente du cervelet TC a été divisée: la f
er un cerveau sain. La tente du cervelet TC a été divisée: la faux du cerveau enlevée : M, M, M représentent une membrane très
e membrane très mince,que je considère comme constituant le débris du cerveau et du cervelet. La masse encéphalique tout enti
rtout dans l'hydrocéphale, avec diminution de volume du crâne, que le cerveau présente les défectuosités les plus considérables
sent en deux genres bien distincts: i° microcéphales avec atrophie du cerveau ; -2° microcéphales avec épanchement séreux dans
est des cas mixtes dans lesquels on rencontre à-la-fois l'atrophie du cerveau et l'hydrocéphalie. Je ne connais aucun signe dia
moment de la naissance, tandis que les microcéphales par atrophie du cerveau vivent plus ou moins long-temps. IV. J'ai eu oc
ec beaucoup de soin, plusieurs têtes de microcéphales par atrophie du cerveau : voici le résultat de mes dissections : Premie
llé occipitale brusquement et anguleusement repliée sur elle-même. Le cerveau était réduit aux dimensions que lui fournissait u
aux dimensions que lui fournissait un aussi petit crâne : c'était un cerveau en miniature; mais je n'y ai reconnu aucun vice d
e. Deuxième fait. Chez un autre enfant microcéphale par atrophie du cerveau , les os de la base avaient leur développement ord
aient rapetisses et étaient rentrés en dedans de la base du crâne. Le cerveau était très petit. L'atrophie avait principalement
e ans environ. Le coronal surtout présentait beaucoup d'épaisseur. Le cerveau était bien loin de remplir la capacité du crâne;
en outre une certaine quantité de sérosité dans les ventricules. Le cerveau , extrêmement petit, présentait des circonvolution
e essentiellement du précédent, en ce qu'il y a à-la-fois atrophie du cerveau et hydrocéphalie. Il en diffère encore, en ce que
u et hydrocéphalie. Il en diffère encore, en ce que cette atrophie du cerveau n'est pas un défaut de développement, mais bien u
on inaugurale (2), nous offre un cas de microcéphalie par atrophie du cerveau avec encéphalocèle. Voici le résumé de cette obse
; car elle est soulevée par des mouvemens isochrones aux mouvemens du cerveau , et le doigt promené tout autour reconnaît un déf
ge. Le cervelet est proportionnellement encore moins développé que le cerveau . A l'extérieur, il ne paraît exister dans le cerv
développé que le cerveau. A l'extérieur, il ne paraît exister dans le cerveau aucun vice de développement, et cependant M. Leur
le de déterminer a priori : i° microeéphalie par petitesse extrême du cerveau , d'ailleurs bieu conformé; i° microeéphalie avec
ailleurs bieu conformé; i° microeéphalie avec vice de conformation du cerveau , mais sans présence de liquide; 3° microeéphalie
avec présence de liquide et destruction plus ou moins considérable du cerveau ; 4° microeéphalie avec absence complète de l'encé
de remplir le vide laissé dans le crâne par la destruction morbide du cerveau . L'ossification précoce des os du crâne pourrait-
être considérée comme cause de la microeéphalie par rapetissement du cerveau ? Cette idée est en opposition avec toutes les no
pièces ne se rapprochent et ne se serrent qu'à la suite du retrait du cerveau . Une compression extérieure, exercée sur le crâne
hnoïdien de la moelle épinière. Fig. 3, 3', 3", 3"'. Cysticerque du cerveau . J'ai observé le fait représenté fig. 3, 3', 3"
trière, qui n'avait offert, pendant sa vie, aucun symptôme du côté du cerveau . La figure 3 représente la face interne de l'hé
Réflexions. Je n'ai rencontré que deux espèces d'hydatides dans le cerveau de l'homme, le cysticerque et l'acéphalocyste. Le
autres cas, enfin, ces en-tozoaires sont contenus dans l'épaisseur du cerveau , mais toujours superficiels, de telle façon qu'un
rtèbres voisines présentaient leur disposition normale. MALADIES DU CERVEAU ET DELAMOELLE ÉPINIERE Jg e Livraison ã14. 4c
¿¿¿a,. A. Chazal del. Im.£em¿rcúr,I!eraij-d. et. Ñ. MALADIES DU CERVEAU . (planche iii, xxxiiie livraison.) Suintement
ment purulent par l'oreille.—Céphalalgie excessive. —Abcès enkysté du cerveau .— Pus concret dans la cavité de Varachnoïde. — Pu
e suraiguë. Je tremble que l'inflammation ne se soit déjà propagée au cerveau et à ses membranes. Dans tous les cas, le traitem
vant l'ouverture, j'annonçai que nous trouverions une inflammation du cerveau et de ses membranes, suite de carie du temporal.
temporal. En effet, la voûte du crâne et la dure-mère enlevées, le cerveau étant en place, je vis , en écartant les hémisphè
nt tapissées en arrière par une couche purulente; renversant alors le cerveau d'avant en arrière pour le retirer du crâne, il s
ient quelques grumeaux : il me fut facile de voir qu'en renversant le cerveau , j'avais détruit les adhérences qui existaient en
érences qui existaient en arrière entre la dure-mère et la surface du cerveau , et que le pus fétide venait de l'intérieur des v
eau, et que le pus fétide venait de l'intérieur des ventricules. Le cerveau étudié par sa base m'a présenté (fîg. 1) une couc
tait également tapissée par une couche de pus concret. En outre, le cerveau , incisé d'avant en arrière et de bas en haut, a o
us choroïdes étaient enveloppés par une couche pseudo-membraneuse. Le cerveau était verdâtre au voisinage de la déchirure par l
n'occupait que l'épaisseur de la substance grise: toute la partie du cerveau qui était postérieure au kyste du cerveau, était
e grise: toute la partie du cerveau qui était postérieure au kyste du cerveau , était ramollie à la manière du blanc-manger. L
en doute ici, la préexistence delà maladie du rocher sur la lésion du cerveau : ce fait vient donc à l'appui des argumens, d'ai
tain nombre d'otorrhées reconnaîtraient pour cause une suppuration du cerveau et de ses membranes, suppuration dont le produit
s, la même supposition ne peut pas être faite pour l'abcès enkysté du cerveau , car ce dernier était formé par un pus épais, ver
sse du tympan : long-temps après, par suite de l'irritation causée au cerveau et à ses membranes, inflammation de la substance
s qui ont amené la mort, ramollissement blanc-manger de la portion du cerveau postérieure au kyste, et inflammation des ventric
ntricules. Je crois, en effet, qu'on doit regarder l'abcès enkysté du cerveau comme appartenant à une période de la maladie bie
s recueils d'observations plusieurs exemples de suppuration fétide du cerveau sans carie des os et sans gangrène : c'est un fai
ombre d'observations bien positives établit que les abcès enkystés du cerveau ne révèlent leur présence que lorsque la substanc
ces abcès comme des tumeurs développées aux dépens des méninges ou du cerveau . Il est rare d'avoir l'occasion de suivre la mala
d'articuler les sons a-t-elle son siège dans les lobes antérieurs du cerveau , ainsi que l'a avancé M. le docteur Gall. » (i)
deux jours. Deux abcès enkystés dans l'épaisseur du lobe antérieur du cerveau . N., séminariste, âgé de a4 ans, fortement cons
telligence est parfaite, mais la réflexion, l'attention, fatiguent le cerveau ; le malade repose, mais le sommeil est agité par
'accuse pas une douleur plus vive du côté gauche que du côté droit du cerveau . Il prend part à la conversation et sourit lorsqu
suppuration; cet axiome thérapeutique s'applique à l'inflammation du cerveau comme à la pneumonie, comme à la péritonite. Il
ue dans la première il y a eu inflammation subaiguë et suppuration du cerveau , que l'amélio-tion est survenue au moment où le p
conde période a été déterminée par le ramollissement de la portion du cerveau qui entourait le kyste ; et qu'enfin la troisième
ble ou située de manière à n'exercer qu'une faible compression sur le cerveau ; il y a symptômes de compression lorsque la tumeu
généraux et réciproquement : il y a irritation lorsque la portion du cerveau contre laquelle porte la tumeur devient le siège
ant de la région orbitaire gauche, et s'enfonçant dans l'épaisseur du cerveau , qui était comme creusé d'une cavité pour le rece
e cavité pour le recevoir. Il n'y avait pas solution de continuité du cerveau ; mais dépression profonde, et la surface des cir
noïde et la pie-mère séparaient d'ailleurs la tumeur de la surface du cerveau . Cette tumeur portait à-la-fois et sur le lobe an
ie aucun signe de sa présence. L'inflammation aiguë ou chronique du cerveau est l'effet le plus habituel de la présence des t
mplètement logée dans une excavation ou plutôt dans une dépression du cerveau : il me fut facile de voir dans des circonvolutio
grammes(cinq onces et demie environ), naissait adroite de la faux du cerveau , de la portion de dure-mère, qui recouvre la con
, étaient énormes. Ramollissement blanc-manger de toute la portion du cerveau correspondante à la tumeur, depuis la convexité j
nce grise des circonvolutions avait seule été respectée. Du reste, le cerveau n'offrait aucune solution de continuité au niveau
s anfractuosités. De très grosses veines serpentaient à la surface du cerveau et pénétraient dans son épaisseur. Une seconde
sie, mourut de je ne sais quelle maladie. « On me présenta la faux du cerveau qui était extrêmement épaisse et devait comprimer
Le voici: le kyste n'était pas formé dans l'épaisseur de la faux du cerveau , comme je l'avais cru, mais bien sur une de ses f
es du cervelet, moins fréquentes sans contredit que les apoplexies du cerveau , sont cependant moins rares qu'on ne le croit co
es membres; déglutition impossible. Mort le 3 janvier. Ouverture. — Cerveau . Il existait dans l'hémisphère gauche du cerveau,
vier. Ouverture. — Cerveau. Il existait dans l'hémisphère gauche du cerveau , un foyer sanguin, qui occupait le noyau cérébral
euse et purulente des poumons bien plus encore que par l'apoplexie du cerveau . C'est par les poumons que finissent presque touj
l'anatomie pathologique, entre les cicatrices des foyers sanguins du cerveau et les cicatrices des foyers sanguins du cervelet
sisté ailleurs sur la fréquence des apoplexies des circonvolutions du cerveau ; mais, si j'avais à établir d'une manière rigour
poplexies des circonvolutions et les apoplexies des autres parties du cerveau , je ne pourrais déterminer si les unes sont plus
rconstance commune à toutes les pertes de substance du cervelet et du cerveau , c'est la présence d'une grande quantité de séros
identité parfaite entre la pellicule qui constitue les cicatrices du cerveau et celle qui constitue les cicatrices du cervelet
rture, on trouva cinq à six onces de sérosité dans les ventricules du cerveau . Le lobe droit du cervelet était fluctuant. On tr
conscrits par un kyste. 11 n'existait aucune autre altération dans le cerveau . Une douleur à la région occipitale, coïncidant
la suite d'un pincement fort et prolongé. Mort le soir. Ouverture. Cerveau . Circonvolutions amoindries, anfractuosités à par
olutions présentent cet aspect ratatiné qui atteste l'atrophie, et le cerveau est d'ailleurs parfaitement sain. J'ai constaté d
comparables à celles de l'albumine fortement concrétée. Cet état du cerveau m'a paru appartenir, non à une dégénération, mais
n jour les symptômes qui dérivent du cervelet de ceux qui dérivent du cerveau , soit qu'elles établissent l'identité absolue des
t ramollissement occupant la portion inférieure du lobe postérieur du cerveau . Destruction â-peu-près complète de cette portion
s organes de l'abdomen-, ni dans les organes de la poitrine. Crâne. Cerveau atrophié. Le vide est rempli par une grande quant
e sous-arachnoïdien. La face inférieure du lobe postérieur droit du cerveau , présente cette couleur peau de daim qui annonce
rière entre ce ramollissement et la cavité ventriculaire. Le reste du cerveau est parfaitement sain. Cervelet. Dans son lobe
ie la plus complète est le dernier terme des lésions apoplectiques du cerveau et du cervelet(1), soit que l'altération occupe u
ble que, dans le cas actuel, la destruction de toute cette portion du cerveau , qui forme la paroi inférieure de la portion réfl
nt de l'intelligence, du sentiment et du mouvement. Ces femmes ont le cerveau labouré par des cicatrices, soit centrales, soit
rficielles et par conséquent faites aux dépens des circonvolutions du cerveau et des lamelles du cervelet. Les apoplexies super
ductions cartilagineuses de ces parties. N'est-ce pas à une hernie du cerveau enveloppé par la dure-mère qu'a trait l'observati
ution de continuité. M. Nelaton a présenté à la société anatomique le cerveau d'un enfant de dix à douze ans, chez lequel tou
bercules cancéreux , il est rare de rencontrer ces tubercules dans le cerveau , mais bien plus rare encore d'en trouver dans la
t un ventricule ayant beaucoup d'analogie avec le ventricule moyen du cerveau : la hauteur de ce ventricule était celle de la p
un kyste purulent multiloculaire. — Apoplexie des circonvolutions du cerveau . Laberthe (Anne-Joséphine), 67 ans, est entrée
front des compresses d'eau vinaigrée. 11 ne soupçonna rien du côté du cerveau , et la céphalalgie extrêmement intense lui parut
uyante. Mort à deux heures et demie du matin. Ouverture du cadavre— Cerveau . La dure-mère incisée, je trouve , à droite , une
nt sanguin; et cet épanchement, qui occupait toute la face convexe du cerveau , allait en augmentant d'épaisseur, à mesure qu'on
re opposé (hémisphère gauche). Du reste, toutes les autres parties du cerveau étaient saines, et, en particulier, les couches o
de tout sentiment et de tout mouvement: c'est un homme agonisant. Le cerveau est le siège de tout le désordre. H y a apoplexie
ang dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien , compression large du cerveau et non point compression circonscrite. L'observat
réaction, qui est accompagnée de symptômes de compression générale du cerveau , est bientôt suivie de la mort. i° Relativement
sont des organes incompatibles avec la graisse. Il en est de même du cerveau et de la moelle. La transformation et les product
foyers de sang, avait elle-même beaucoup d'analogie avec l'aspect du cerveau dans l'apoplexie capillaire. Dans l'épaisseur d
use. Cette boue rougeâtre offrait d'ailleurs exactement l'aspect du cerveau d'un fœtus : 011 voyait en outre, dans quelques p
nolente ; dans la plus grande partie de la tumeur, c'était l'image du cerveau parcouru par des vaisseaux veineux très développé
re un exemple de coïncidence fort remarquable de tumeur cancéreuse du cerveau et de cancer de l'utérus. Cancer utérin ayant e
neux utérins et vésicaux remplis de pus.— Tumeur encéphaloïde dans le cerveau expliquant les mouvemens convulsifs et l'hémiplég
; dépérissement rapide. Mort le 8 décembre. Ouverture du cadavre. — Cerveau . A la partie moyenne de la convexité de l'hémisph
ion de la surface d'une tumeur qui était enfoncée dans l'épaisseur du cerveau et adhérait à la pie-mère : la substance cérébral
dépens de cette membrane et qu'elle s'était logée dans l'épaisseur du cerveau . La tumeur était molle, mais d'une mollesse bien
tiennent, non pas à une attaque d'apoplexie, mais à une altération du cerveau consécutive à la présence d'une tumeur : je présu
ncer de l'utérus, une tumeur encé-phaloïde s'était développée dans le cerveau , que cette tumeur, qui ne s'était manifestée par
rbide de ramollissement ayant son siège dans la substance ambiante du cerveau . L'histoire de la maladie prouve en effet qu'ic
tenaient, non point à la présence de la petite tumeur encéphaloïde du cerveau , dont l'existence devait remonter à une époque bi
t par lui que se terminent le plus souvent les maladies organiques du cerveau , tumeurs, kystes, abcès enkystés du cerveau : il
es maladies organiques du cerveau, tumeurs, kystes, abcès enkystés du cerveau : il s'annonce presque toujours de la même manièr
simple de la présence de tumeurs dans le crâne sans ramollissement du cerveau : le ramollissement ne commence que lorsque se ma
a paralysie du sentiment et du mouvement. La tumeur encéphaloïde du cerveau est-elle liée au cancer de l'utérus? La funeste t
phiés, qu'est déposée la matière, tantôt presque liquide, analogue au cerveau d'un jeune enfant, tantôt plus ou moins concrète.
use utérine. L'apoplexie capillaire des circonvolutions pariétales du cerveau que j'ai constatée sur le cadavre, et que je n'av
e qui dénote une artérite circonscrite. Ayant par hasard examiné le cerveau , j'ai trouvé une apoplexie capillaire, caractéris
fractueuses à la manière des circonvolutions et des anfractuosités du cerveau , étaient à-peu-près contiguës et moulées l'une su
était blanc et mou à la manière dune crème, ou mieux à la manière du cerveau d'un jeune enfant; que ce tissu était pénétré de
multitude de foyers sanguins, qui donnaient à ce tissu l'aspect d'un cerveau frappé d'apoplexie. De ces foyers sanguins qui co
eté des abcès pulmonaires. 32e liv., pl. v, p. 3. — Abcès enkystés du cerveau . 33e liv., pl. ni, p. /. — Deux abcès enkystés da
ni, p. /. — Deux abcès enkystés dans l'épaisseur du lobe antérieur du cerveau . OEdème de la conjonctive et des régions palpébra
ent et du mouvement. Ramollissemens; multiples des circonvolutions du cerveau . Phlébite du sinus; longitudinal supérieur. Le ra
dinal supérieur. Le ramollissement est borné à toutes; les parties du cerveau qui répondent aux veines enflammées. 36e liv-, pl
apoplexie capillaire. 36e liv., pl. 1, p. 6.— Apoplexie capillaire du cerveau . 3e liv., pl. vi, p. 5. — Considérations générale
. vi, p. 5. — Considérations générales sur l'apoplexie capillaire: du cerveau . 33e liv., pl. n, p. 2; 36e liv., pl. 1, p. i, —
aire de la substance grise et d'une partie de la substance blanche du cerveau . 20e liv., pl. m,iv, p.4.— A quelle nuance de ram
n deux heures. Foyer apoplectique ouvert à-la-fois et à la surface du cerveau et dans lequatrièmeventricule. 21°liv., pl.v,p. 4
fibres cérébrales. 8e liv., pl. v, p. 2. — Divers modes d'atrophie du cerveau . Résultats différens de l'atrophie du cerveau par
ers modes d'atrophie du cerveau. Résultats différens de l'atrophie du cerveau par compression et de l'atrophie sans compression
liv., pl. i, p. 2.— Atrophie avec ralatinementdes circonvolutions du cerveau . 20e liv., pl. m, p. i. — Atrophie des os. 23e li
, p. /. — Coïncidence de cancer utérin et de tumeurs encéphaloïdes du cerveau . 23e liv., pl. vi, p. 3. — Le siège du cancer est
cachexie cancéreuse se manifeste par des tumeurs développées dans le cerveau . 32e liv., pl. v, p. 5. — Inflammation chronique
cervelet et dans la protubérance annulaire. 18e liv., pl. 11, p. 2. CERVEAU . Perfection des planches de Hooper sur les maladi
. 2. CERVEAU. Perfection des planches de Hooper sur les maladies du cerveau . lre liv., Avant - Propos, p. iv. — Maladies du c
s maladies du cerveau. lre liv., Avant - Propos, p. iv. — Maladies du cerveau : tumeurs d'apparence perlée formées par de la ma
mées par de la matière grasse et de la cholestérine, déposées dans le cerveau . 2e liv., pl. vi, p. 4. — Rapprochement des sympt
la moelle épinière. 3e liv., pl. vi, p. 4. — Apoplexie capillaire du cerveau . 3e liv., pl. vi, p. 5. — Les différences intelle
rences intellectuelles sont liées à des différences d'organisation du cerveau . 5e liv., pl. iv, v, p. /. — Idiotie par atrophie
Idiotie par atrophie de la presque totalité de l'hémisphère droit du cerveau , transformation de cet hémisphère en cellulosité
ibres cérébrales. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Idiotie par atrophie du cerveau qui remplissait à peine la moitié du crâne. 6e li
elet; atrophie de son hémisphère gauche. = Effets "de l'induration du cerveau . 5P liv., pl. iv, v, p. 5. — Impossibilité de j
au. 5P liv., pl. iv, v, p. 5. — Impossibilité de juger le volume du cerveau par l'extérieur du crâne. 5e liv., pl. iv, v, p.
pl. iv, v, p. 6-, 8° liv, pl. vi, p. 2. — Hémorrhagie spontanée du cerveau (apoplexie). Hémiplégie complète à droite avec pe
ire et mouvemens convulsifs du côté sain. Mort le cinquième jour.— Le cerveau supporte presque impunément une compression très
iv., pl. vi, p. S. — Méningite sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau (forme comateuse). 6e liv., pl. 1,11, p. 4. — Mén
liv., pl. 1, 11, p. 2. — Méningite sous-arachnoïdienne de la base du cerveau , m Méningite sous-arachnoïdienne de la base et de
se). = Méningite sous-arachnoïdienne de la convexité et de la base du cerveau , du cervelet et de la protubérance annulaire (for
, pl. 1, n, p. 3. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec accumulation légère de sérosité dans les ven
8, g.— Effets des différentes tumeurs cancéreuses développées dans le cerveau suivant la place qu'elles occupent. 8e liv., pl.
ent. 8e liv., pl. 1, n, ni, p. 4.— Le ramollissement gélaliniforme du cerveau speut exister d'une manière chronique. Différence
causes en apparence identiques dans les cas de tumeurs cancéreuses du cerveau . 8e liv., pl. 1, n, m, p. 5. — Tumeur carcinomale
au. 8e liv., pl. 1, n, m, p. 5. — Tumeur carcinomaleuse de la faux du cerveau chez un calculeux récemment opéré. 8e liv., pl. 1
p. 8. — Tumeur carcinomaleuse sous arachnoïdienne de la convexité du cerveau . Hémiplégie subite. Une seule convulsion épilepli
orme est la cause la plus fréquente de la mort dans les affections du cerveau et de ses membranes. 8e liv., pl. 1, n, m, p. /2.
8e liv., pl. iv, p. /. — Sous-arachnitis aiguë de touie la surface du cerveau et du cervelet. Plexus choroïde infiltré de pus.
iv, p. / bis. Sous-arachnitis aiguë de la convexité et de la base du cerveau . Arachnitis ven-triculaire. Perte de mémoire. Ass
ordinaires. Atrophie sans lésion organique de l'hémisphère gauche du cerveau . 8e liv., pl. v, p. /. — Divers modes d'atrophie
gauche du cerveau. 8e liv., pl. v, p. /. — Divers modes d'atrophie du cerveau . Différence entre l'atrophie et la solution de co
ontinuité des fibres cérébrales. Résultats différens de l'atrophie du cerveau par compression et de l'atrophie sans compression
Bonne conformation du crâne avec absence des deux lobes antérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphère droit. Ventricules
é eten arrière. 8e liv., pl. vi, p. /. — Tout vice de conformation du cerveau , quelle que soit la partie de cet organe sur lequ
cialement a pour ré sultat l'idiotie. 8e liv., pl. vi,p. 3.— Elaldu cerveau chez les cholériques. 14e liv., pl. i, n, m, iv,
eune fille morte dans sa 1 Ie année. 15e liv.,pl.v,p. /.— Maladies du cerveau chez le fœtus. Atrophie des circonvolutions; elle
i,3. — Atrophie avec ratatinemenl des circonvolutions. Cicatrices du cerveau . 20e liv., pl. m, iv, p. 1.—Difficultés de la Sym
ifficultés de la Symptomatologie. = Coloration jaune de la surface du cerveau et du cervelet; cicatrices avec perte de substanc
u cervelet; cicatrices avec perte de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles du cervelet. 20e liv., pl. m, rv,
— Cicatrices colorées avec perle de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles du cervelet. Conversion en bouill
e blanche. 20e liv., pl. ni, iv, p. 4. — Ramollissement lie-de-vin du cerveau . 20e liv., pl. ni, iv, p. 5.— Observation. Invasi
e dans une circonvolution. = Ramollissement amaranihe et hortensia du cerveau . Observation. Affaiblissement ancien dans le côté
matologie. 20e liv., pl. m, iv,p. 8. — Observation. Ramollissement du cerveau ou apoplexie capillaire. Guérison inespérée avec
ouveau. 20e liv., pl. m, iv, p. g. — Curabilité des ramollissemens du cerveau . 20e liv., pl. ni, iv, p. g et /0; 36e liv., pl.
n deux heures. Foyer apoplectique ouvert à-la-fois et à la surface du cerveau et dans le quatrième ventricule. 21e liv., pl. v,
s de celte apoplexie. 21e liv., pl. v, p. 6. — Tumeur encéphaloïde du cerveau expliquant des mouvemens convulsifs et une hémipl
. 23e liv., pl. vi, p. 1. — Coïncidence des tumeurs encé-phaloïdes du cerveau et du cancer utérin. 23e liv., pl. vi, p. 3. — Ap
t du cancer utérin. 23e liv., pl. vi, p. 3. — Apoplexie capillaire du cerveau . 24e liv., pl. m, p. /0; 33e liv., pl. n; p. 1 ;
. 1 ; 36e liv., pl. i,p. /. — Tumeurs cancéreuses et tuberculeuses du cerveau . 25e liv., pl. n, p. 1. — Leur siège, leur dévelo
céreuses et aux tumeurs tuberculeuses.Peut-on guérir les tubeiculesdu cerveau ? 25e liv., pl. 11, p. 4- — Cas de ramollissement
de la substance grise des circonvolutions. = Influence des lésions du cerveau sur l'état de la moelle. 32e liv., pl. 1, n,p. /
cachexie cancéreuse se manifeste par des tumeurs développées dans le cerveau . 32e liv , pl. v, p. 5.— Considérations générales
pl. v, p. 5.— Considérations générales sur l'apoplexie capillaire du cerveau . 33e liv., pl. 11, p. 4 ; 36e liv., pl. 1, p. 1.
ement purulent par l'oreille. Céphalalgie excessive. Abcès enkysté du cerveau . Pus concret dans la cavité de l'arachnoïde. Pus
deux jours. Deux abcès enkystés dans l'épaisseur du lobe antérieur du cerveau . 33e liv., pl. m, p. 3. — Plusieurs cicatrices pe
eau. 33e liv., pl. m, p. 3. — Plusieurs cicatrices peau de chamois du cerveau , suite probable de ramollissement. Destruction pr
embraneuses. 33e liv., pl. m, p. 8.— Apoplexie des circonvolutions du cerveau . 36e liv., pl. m, iv, p. i, 3.— Observations. Acc
Inflammation des sinus de la dure-mère. Ecchymoses superficielles du cerveau . 36e liv., pl. i, p. s. — Paralysie graduelle du
ment et du mouvement. Ramollissemens multiples des circonvolutions du cerveau . Phlébite du sinus longitudinal supérieur. Le ram
udinal supérieur. Le ramollissement est borné à toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines cérébrales enflammées. P
ie la plus complète est le dernier terme des lésions apoplectiques du cerveau et du cervelet. 37e liv., pl. v, p. 5. — Hydrocép
iminution de volume du crâne et destruction plus ou moins complète du cerveau . 39° liv., pl. iv, p. /. — Division des microcéph
. — Division des microcéphales en : 1° Microcéphales avec atrophie du cerveau ; 2° microcéphales avec épanchement séreux dans l
ux dans la cavité du crâne; 3° microcéphales réunissant l'atrophie du cerveau et l'hydrocéphalie. 39e liv., pl. iv, p. 2, 4.— T
liv., pl. iv, p. 2, 4.— Trois faits de microcéphalie par atrophie du cerveau . 39e liv., pl. iv, p. 2.— Microcéphalie par atrop
ie du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2.— Microcéphalie par atrophie du cerveau avec encéphalocèle. 39e liv., pl. iv, p. 3. — T
e ce vice de conformation. 39e liv., pl. iv, p. 4. — Cysticerque du cerveau ; fréquence de celte altération chez les vieillar
amollissement, occupant la portion inférieure du lobe, postérieure du cerveau . Destruction â-peu-près complète de celle portion
perlée formées par de la matière grasse et de la cholestrine dans le cerveau . 2eTiv., pl. vi, p. /. — Sur la production de la
des ulcères de l'estomac. 10e liv., pl. v, vi, p. 7. — Cicatrices du cerveau . 20e liv., pl. m, p. *. — Cicatrices avec perte d
m, p. *. — Cicatrices avec perte de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles du cervelet. 20e liv., pl. ni, p.
— Cicatrices colorées avec perte de substance des circonvolutions du cerveau etdes lamelles du cervelet. 20e liv., pl. m,p. 3.
liv., pl. v, p. 6. — Cicatrices des ramol-lissemens rouge et blanc du cerveau . 33e liv., pl. 11, p. 2. — Plusieurs cicatrices p
au. 33e liv., pl. 11, p. 2. — Plusieurs cicatrices peau de chamois du cerveau , suite probable de ramollissement. Destruction pr
telles. 19e liv., pl. m, iv, p. 6. —Coloration jaune de la surface du cerveau et du cervelet. 20e liv., pl. m, p. 2. — Colorati
es effets sur les organes. 3e liv., pl. v, p. 3. COMPRESSIBILITÉ du cerveau et de la moelle. 5e liv., pl. vi, p. 4; 8e liv.,
2eliv., pl. iv, p. —Degré énorme de compression que peut supporter le cerveau . 5e liv., pl. vi, p. 4; 8e liv., pl. 1, n, m,/).
,/). 3,j; 16e liv., pl. iv,p. 3.—Résultats différens de l'atrophie du cerveau par compression et de l'atrophie du cerveau sans
ifférens de l'atrophie du cerveau par compression et de l'atrophie du cerveau sans compression. 8e liv., pl. v, p. 2. — La comp
tion de l'utérus. 4e liv., pl. y,p. i. — Tout vice de conformation du cerveau , quelle que soit la partie de cet organe sur laqu
sont communes dans les maladies de la moelle, et rares dans celles du cerveau . 25e liv., pl. ni, p.a. CRANE. Impossibilité de
du cerveau. 25e liv., pl. ni, p.a. CRANE. Impossibilité de juger le cerveau par l'extérieur du crâne. 5e liv. , pl. iv v, p.
minution du volume du crâne, et destruction plus ou moins complète du cerveau . 39e liv., pl. n, p. 1. CRANOLOGIE. Fausseté du
celle altération. 12e liv. pl. i,p. a. CYSTICERQUE. Cysticerque du cerveau . Fréquence de cette altération chez les vieillard
Deux tumeurs cancéreuses de la dure-mère au niveau de la connexité du cerveau . Ramollissement gélatiniforme du cerveau tout aut
au niveau de la connexité du cerveau. Ramollissement gélatiniforme du cerveau tout autour. = La thérapeutique des tumeurs cancé
e comprimant les circonvolutions antérieures de l'hémisphère droit du cerveau . Torpeur des facultés intellectuelles. Affaibliss
= Tumeur polypiforme de la narine droite formée par les membranes du cerveau et par le cerveau lui-même à travers la lame crib
rme de la narine droite formée par les membranes du cerveau et par le cerveau lui-même à travers la lame criblée de l'ethmoïde.
8e liv., pl. 11, p. 5. ENCÉPHALOCELE. Microcéphalie par atrophie du cerveau avec encéphalocèle. 39e liv., pl. iv,p. 3. ENCÉ
Accidens épilepliformes, résultant du ramollissement gélatiniforme du cerveau . 8e liv., pl. 1, n, m, p. 6", 7, / /. ÉPINE. Ca
n, p. à. — Hydrocéphalie du fœtus. 15e liv. pl. m, p. . — Maladies du cerveau chez le fœtus : atrophie des circonvolutions. 17e
Deux tumeurs cancéreuses de la dure-mère au niveau de la convexité du cerveau . Ramollissement gélatiniforme du cerveau tout aut
au niveau de la convexité du cerveau. Ramollissement gélatiniforme du cerveau tout autour. 8e liv., pl. 1,11, m, p. 5. — Hémipl
nt d'une tumeur carcinomateuse sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau . 8e liv., pl. 1 , 11, m , p. r2. — Hémiplégie dro
ordinaires. Atrophie sans lésion organique de l'hémisphère gauche du cerveau . 8e liv., pl. v, p../. — Importance des phénomène
e la cause des hémiplégies faciales. Celle cause peut exister dans le cerveau . 20e liv., pl. m, iv , p. //. — Hémiplégie par co
morrhagie spontanée. 3e liv., pl. 1, p. 2. — Hémorrhagie spontanée du cerveau . 5e liv., pl. vi, p. 4. — Dans le cas d'hé-morrha
Ouverture. 24* liv., pl. v. vi, p. 6. — Hernies de la dure-mère et du cerveau à travers la lame criblée de l'éthmoïde. 26e liv.
pl. i., p. t. HOOPER. Perfection de ses planches sur lesmaladics du cerveau . lreIiv., Avant-Propos, p. iv. HOSPICES. Terrib
ation de capacité du crâne ; hydrocéphalie avec intégrité parfaite du cerveau ; hydrocéphalie avec destruction plus ou moins co
du cerveau ; hydrocéphalie avec destruction plus ou moins complète du cerveau . 15e liv., pl. iv, p. 1. — Anencéphalie hydrocéph
tête. Hydrocéphalie ventriculaire très considérable avec intégrité du cerveau . 15e liv., pl. iv, p. 2. — Observation d'hydroc
ervation d'hydrocéphalie avec disparition de la plus grande partie du cerveau et intégrité du cervelet, de la protubérance et d
iminution de volume du crâne et destruction plus ou moins complète du cerveau . 39e liv., pl. iv, p. i. HYDROMETRA HYDATIDICA.
-dropisie du tissu cellulaire sous-arachnoïdien et des ventricules du cerveau . 8e liv., pl. 1, n, ni, p. g. — Hydropisie généra
Idiotie par atrophie de la presque totalité de l'hémisphère droit du cerveau ; transformation de cet hémisphère en cellulosité
'idiotie acquise. 6e liv., pl. iv, v, p. 3. — Idiotie par atrophie du cerveau , qui remplissait à peine la moitié du crâne. 5e l
Bonne conformation du crâne avec absence des deux lobes antérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphère droit. Ventricules
ère et de côté. 8e liv., pl. vi, p. 1. — Tout vice de conformation du cerveau , quelle que soit la partie de cet organe sur laqu
, p. 2. — L'idiotie est le dernier terme des lésions apoplectiques du cerveau et du cervelet. 37e liv., pl. v, p. 5. IDIOTISM
v, p. 1. — L'idiotisme peut être une conséquence du ramollissement du cerveau . 20e liv., pl. m, iv, p. 10. G ILÉO-DICLIDITE
, pl. i, n, m ; iv, v, p. 44. INDURATION. Effets de l'induration du cerveau . 5e liv., pl.iv, v, p. 5. — Induration de la moel
cachexie cancéreuse se manifeste par des tumeurs développées dans le cerveau . 32e liv., pl. iv, p. 5.—Sur l'infection du sang
rences intellectuelles sont liées à des différences d'organisation du cerveau 5e liv., pl. iv, y, p. 1. — Importance des circon
iv., pl. iv, y, p. 1. — Importance des circonvolutions antérieures du cerveau relativement à l'exercice des facultés intellectu
e de la protubérance. 21e liv., pl. v, p. 5.— Les lobes antérieurs du cerveau ne président ni â l'intelligence ni â l'articulat
, pl. m, p. '; — du canal de l'urètre. 39e liv., pl. i, n, p. /; — du cerveau . 2" liv., pl. vi, p. /; 5e liv., pl. iv, y,p. 4,
e el ventriculaire.=Mé-ningile sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau (forme comateuse) 6e liv., pl. 1, n, p. /. — Méni
6e liv., pl. 1, n , p. 2.—Méningite sous-arachnoïdienne de la base du cerveau . = Méningite sous-arachnoïdienne de la base el de
euse). Méningiie sous-arachnoïdienne de la convexité el de la base du cerveau , du cervelet et de la protubérance annulaire ( fo
pl. 1, n , p. 3. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec accumulation légère de sérosité dans les ven
. — Division des microcéphales en : 1" Microcéphales avec atrophie du cerveau ; 2° microcéphales avec épanchement séreux dans la
âne; 3° microcéphales réunissant le double caractère de l'atrophie du cerveau et de l'hydrocéphalie. = Trois faits de microcéph
et de l'hydrocéphalie. = Trois faits de microcéphalie par atrophie du cerveau . 39e liv., pl. iv, p. 2. — Microcéphalie par atro
e du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2. — Microcéphalie par atrophie du cerveau avec encéphalocèle. 39° liv. , pl. îv, p. 3. — Va
oelle. Mort par ramollissement rouge-amaranlhe des circonvolutions du cerveau . 32e liv., pl. 1, n, p. — Influence des lésions d
liv., pl. 1, n, p. — Influence des lésions de la moelle sur l'état du cerveau . 32e liv., pl. 1, 11, p. 6. —Paraplégie par lésio
moelle. Mort par ramollissement rouge amarante des circonvolutions du cerveau . 32e liv., pl. 1, n, p. i5. — Fausse paraplégie p
ent et du mouvement. Ramollis-semens multiples des circonvolutions du cerveau . Phlébite du sinus longitudinal supérieur. Le ram
udinal supérieur. Le ramollissement est borné à toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines cérébrales enflammées. P
24eliv., pl. 1, n, p. /, 2. — Polype nasal formé par les membranes du cerveau . 26e liv., pl. 11, p. 5, 6. IPOLYPHÉMIE. 33e li
issement. 2e liv., pl. y, p. g. — Le ramollissement gélatini-forme du cerveau peut exister d'une manière chronique. = Cas de ra
ter d'une manière chronique. = Cas de ramollissement gélaliniforme du cerveau . 8e liv., pl. 1, n, m, p. 5. — Accidens épileptif
Accidens épileptiformes résultant du ramollissement gélaliniforme du cerveau . 8e liv., pl. 1,11, ni, p. 6, y. — Ramollissement
au. 8e liv., pl. 1,11, ni, p. 6, y. — Ramollissement gélatiniforme du cerveau , cause la plus fréquente de mort dans les affecti
'estomac et du diaphragme. 17e liv., pl. m, p. 2. — Ramollissement du cerveau . 20e liv., pl. m, iv, p. 4. — Ramollissement lie
du cerveau. 20e liv., pl. m, iv, p. 4. — Ramollissement lie de vin du cerveau . 20e liv., pl. ni, iv, p. 5. — Ramollissement ama
20e liv., pl. ni, iv, p. 5. — Ramollissement amarante et hortensia du cerveau . 20e liv., pl. m, iv, p. 6".—Coloration, consista
6".—Coloration, consistance et étendue diverses des ramollissemens du cerveau ; sympiomaiologie. 20eliv., pl. ni, iv, p. 8,—Ram
rveau ; sympiomaiologie. 20eliv., pl. ni, iv, p. 8,—Ramollissement du cerveau ou apoplexie capillaire. Guérison inespérée avec
t nouveau. 20e liv., pl. m, ïv, p. g.—Curabilitédes ramollissemens du cerveau . 20eJiv.,pl.m, ïv, p. g, 40,- 33e liv., pl. 11, p
lissement gélaiiniforme est la terminaison des maladies organiques du cerveau . 23e liv., pl. vi, p. 3. — Cas de ramollissement
au. 23e liv., pl. vi, p. 3. — Cas de ramollissement rouge amarante du cerveau . 32e liv, pl. 1, 11, p. i5. — Ramollissement de l
s générales sur le ramollissement rouge et le ramollissement blanc du cerveau . 33e liv., pl. 11, p. i ; 36e liv., pl. 1, p. — S
anc. 33e liv., pl. 11, p. 2.— Plusieurs cicatrices peau de chamois du cerveau , suite probable de ramollissement ; destruction p
ment et du mouvement. Ramollissemens multiples des circonvolutions du cerveau . Phlébite du sinus longitudinal supérieur. Le ram
udinal supérieur. Le ramollissement est borné à toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines cérébrales enflammées. P
, ni, iv, v, p. 48. RATATINEMENT. Ratatinement des circonvolutions du cerveau . 20e liv., pl. 11, p. f. — Guérison par ratatinem
en un kyste purulent muliiloculaire. Apoplexie des circonvolutions du cerveau . 36e liv., pl. m, ïv, p. /. — Phlébite rénale, 36
e. Tumeur polypiforme de la narine droite formée par les membranes du cerveau et par le cerveau lui-même à travers la lame crib
rme de la narine droite formée par les membranes du cerveau et par le cerveau lui-même à travers la lame criblée de l'ethmoïde.
d'articuler des sons ne réside pas plus dans les lobes antérieurs du cerveau que dans les lobes moyens et postérieurs. 8e liv.
p. 6. SOUS-ARACHNITIS. Sous-arachnitis aiguë de toute la surface du cerveau et du cervelet. 8e liv., pl. iv, p. bis. — Sous-
, p. bis. — Sous- arachnitis aiguë de la convexité et de la base du cerveau . 8e liv., pl. iv, p. 2 bis. SPHINCTERïInfluence
athognomonique de la méningite sous-arachnoïdienne de la convexité du cerveau . 6e liv., pl. i, n, p. 3. SUETTE. Analogie de l
perlée, formées par de la matière grasse et de la choleslrine dans le cerveau . 2e liv., pl. vi, p. i. — Tumeurs encéphaloïdes d
différens des tumeurs cancéreuses développées dans la dure-mère et le cerveau suivant la place qu'elles occupent. 8° liv., pl.
causes en apparence identiques dans des cas de tumeurs cancéreuses du cerveau . =La thérapeutique des tumeurs cancéreuses intern
liv., pi. 1, 11,iitjp.S.—Tumeurcarcinomateuse interne, nécdela fauxdu cerveau , chez un calculeux opéré. 8e liv., pl. 1,11, ni,
e comprimant les circonvolutions inférieures de l'hémisphère droit du cerveau . Torpeur des facultés intellectuelles. Affaibliss
. //. — Tumeur carcinomateuse sous-arachnoï-dienne de la convexité du cerveau . Hémiplégie subite. Une seule convulsion épilepti
23e liv., pl. m, iv, p. /. — Tumeurs cancéreuses et tuberculeuses du cerveau . 25e liv., pl. 11, p. /. — Leur siège ; leur déve
culeuses et aux tumeurs cancéreuses. Peut-on guérir les tubercules du cerveau ? 25e liv., pl. it, p. 4. — Tumeurs sous-arachnoïd
ineux utérins et vésicaux remplis de pus. Tumeur encéphaloïde dans le cerveau expliquant les mouvemensconvulsifset l'hémiplégie
. /.— Coïncidence des cancers utérins et des tumeurs encéphaloïdes du cerveau . 23e liv., pl. vi, p. 3. — Tumeur fibreuse proémi
tion de l'utérus. 4e liv. pl. v, p. 4. — Tout vice de conformation du cerveau , quelle que soit laparlie de cet organe sur laqu
ôme dominant de la méningite_,sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec hydropisie des ventricules. 6e liv., pl. 1,1
8 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
J. M. CHARCOT LEÇONS sur les LOCALISATIONS DANS LES MALADIES DU CERVEAU et DE LA MOELLE ÉPINIÈRE RECUEILLIES ET PUBLI
nvolutions. Importance de l'anatomie comparée. — Circonvolutions du cerveau du singe, lobes frontal, pariétal et sphénoïdal.
t, afin de simplifier une situation fort complexe, je me limiterai au cerveau , c'est-à-dire à la masse de substance nerveuse, c
r ce qu'il y a de plus Fig. 1. — Coupe verticale et transversale du cerveau faite en arrière des tu-bercules mamillaires ou e
lude exacte et minutieuse de la configuration des circonscriptions du cerveau et, en même temps, d'une nomenclature appropriée,
sible à cette lacune des descriptions anatomiques de l'état normal du cerveau , ai-je pris depuis longtemps l'habi-tude de figur
le, la ressemblance est frappante (l ) en Fig. 2. — Face externe du cerveau du singe magot (Pithecus Innuus), (D'après Broca
taire. Situation des centres pour les mouvements volontaires sur le cerveau du singe, d'après Ls descriptions de Ferrier :A,
sans peine en raison de sa plus grande simplicité quand on examine le cerveau du singe. Aussi,, voudrais-je essayer de vous pré
sagées chez le singe, avant de vous entretenir des circonvolutions du cerveau humain. Cette étude vous offrira d'autant plus d'
JOxlajoi^ .du £,j*yii .de J'jDXUxuxtâ, Voici la représentation d'un cerveau de singe, vu latéra-lement (Fig. 2), d'après une
s frontales (F1, F2, F3), Fig. 3. — Face convexe d'un hémisphère du cerveau de l'homme. (Vue du lobe pariétal, dessin demi-sc
cale, faite comparativement dans les (1) Pour Tanatomie comparée du cerveau chez les mammifères et particuliè-rement chez les
spect à peu près uniforme qui lui est propre dans d'autres régions du cerveau , les lobes antérieurs, si vous voulez. Vicq d'Azy
Localisations. 2 DEUXIÈME LEÇON Structure de l'écorce grise du cerveau . Sommaire. — Caractères généraux de la structur
Sommaire. — Caractères généraux de la structure de l'écorce grise du cerveau . 1° Cellules ganglionnaires ou nerveuses ; — ce
ravaux de Betz. 1. Messieurs, La structure de l'écorce grise du cerveau , quelle que soit la région des hémisphères où on
publier une note détaillée sur les éléments de la subs-tance grise du cerveau (CenlralhlalJ, f, d. Med, Wiss. 1881). (Note de l
. In Edinb. med. .Journal, p. 39i mai 1874. des lobes antérieurs du cerveau d'un sujet qui avait suc-combé à une encéphalite
tomique sur lesquelles nous reviendrons, les par-ties postérieures du cerveau ont été désignées comme le siège du sensorium.
l sur la figure qui re-présente les cinq couches de l'écorce grise du cerveau propre-ment dit, vous voyez par là que la substan
exactitude. (1) Consultez, sur la topographie de la face médiane du cerveau , la planche vin de l'Atlas de Foville et la flg.
s lésions découvertes parles auteurs français. Un examen minutieux du cerveau fit voir que les deux circonvolutions ascendantes
oplasma sont eux-mêmes à peine déve-loppés. Les circonscriptions du cerveau où cette disposition s'ob-serve correspondent pou
des lésions.— Fréquence des lésions vasculaires dans les maladies du cerveau . — Nécessité de l'étude de la distribution des va
uelles sont les altérations susceptibles d'atteindre l'en-céphale (le cerveau en particulier) ? 11 ne s'agit pour le mo-ment, c
ry, — à savoir : 1° la moelle épinière ; 2° le bulbe rachidien; 3° le cerveau proprement dit. A. On peut dire qu'un grand fai
aît cesser d'exister, et l'on peut dire, quant à présent, que dans le cerveau les lésions systématiques font défaut. Ainsi, d
ns le cerveau les lésions systématiques font défaut. Ainsi, dans le cerveau , aujourd'hui, on ne connaît point, à proprement p
açon générale, que dans l'encé-phale et plus particulièrement dans le cerveau , c'est le système vasculaire (artères, veines, ca
effetest de déterminer l'isché mie, puis le ramollissement partiel du cerveau . Je viens d'énumérer, Messieurs, les causes ana
ortie des sinus caverneux, rencontrent perpendiculairement la base du cerveau , et, im-médiatement, se divisent en deux branches
érieure, '1) On sait que les ramollissements et les hémorrhagies du cerveau sont beaucoup plus fréquents à gauche qu'à droite
nt, et se divise en trois bran-ches, qui vont à la face inférieure du cerveau et au lobe occi-pital (gyrus uncinatus , circonvo
rtères qui se rendent sur les faces interne, externe et inférieure du cerveau . Pour savoir comment s'effectue la distribution i
aine leçon. CINQUIÈME ET SIXIÈME LEÇONS Circulation artérielle du cerveau . Sommaire. — Travaux de M. Duret et de M. Heubn
ire. — Travaux de M. Duret et de M. Heubner. — Artères principales du cerveau . — Système des artères corticales; — vaisseaux no
nales (Cohnheim). Autonomie relative des territoires vasculaires du cerveau . — Localisation des lésions de l'écorce. Branch
logique, entre ce système et les divers départements qui composent le cerveau proprement dit, Gomment comprendre, en effet, l
onsti-tuent un des principaux chapitres de l'anatomie pathologique du cerveau , si l'on n'est pas parfaitement éclairé sur le mo
cembre, le résumé des recherches de M. Heubner, sur la circulation du cerveau , était publié à Berlin dans le Centralblatt. Un m
a partie de ses recherches ayant trait également à la circula-tion du cerveau . Les investigations de M. Duret ne sont donc pas
. Notre attention doit se fixer, en premier lieu, sur la surlace du cerveau , comprenant les faces externe, supérieure, intern
ns centraux qui s'en-foncent dans la substance .blanche de la base du cerveau (espace perforé antérieur) alors qu'ils ont encor
les trois grands territoires vasculaires qui se partagent l'écorce du cerveau et les départements en lesquels ils se divisent,
t j'en reviens à l'autonomie relative des territoires vas-culaires du cerveau . Cette autonomie n'est pas l'apanage ex-clusif de
tend à Fig. 12. — Territoires vasculaires de la face supérieure du cerveau . — P, lobe frontal. — P, lobe pariétal. — 0, lobe
e jaune dé- Fiff. 16. — Territoire vasculaire de la face interne du cerveau . — CC, corps calleux coupé suivant le plan médian
t indem- Fig. 17. — Territoire vasculaire -de la face inférieure du cerveau . — F 1, gyrus reclus. — F 2, circonvolution front
à des lésions étendues occupant d'autres parties de l'écorce grise du cerveau . C'est ainsi que, dans un cas de des-truction lim
calisations en ce qui concerne du moins les parties superficielles du cerveau . Après les développements dans lesquels je suis
ologiques entre les parties périphériques et les parties centrales du cerveau . — Rareté relative de l'hé-morrhagie cérébrale da
à la description anatomo-médicale du système cortical des artères du cerveau . Aujourd'hui, je me propose d'appeler votre atten
me artériel cortical. Nous retrouverons dans les régions centrales du cerveau qui vont nous occuper, les altérations ischémique
e à relever entre lesparties périphériques etles parties centrales du cerveau . Dans celles-là, l'hémorrhagie intra-encéphalique
riphérie de l'encéphale. En revanche, le ramollissement ischémique du cerveau prédomine, suivant la remarque judicieuse de Dura
système central naissent de chacun des trois gros troncs artériels du cerveau , au voisinage immédiat de leur origine dans le ce
ies des ruptures artérielles. Rappelez-vous que, à la superficie du cerveau où, ainsi que je vous l'ai annoncé, les hémorrhag
e bien établie des collatérales. Les trois gros troncs artériels du cerveau , ainsi que je l'ai répété en commençant, prennent
la capsule interne, et la face inférieure est parallèle à la base du cerveau . La face externe est en rapport avec la capsule e
ce grise forment donc comme un système distinct des autres parties du cerveau , tant par leurs connexions que par leur mode de v
l'expérimentation. I. Messieurs, Les trois grandes, artères du cerveau prennent part, vous ne l'avez pas oublié, à la fo
ère dont la distribu- Fig. 21. — Coupe verticale et transversale du cerveau faite en arrière des tu-bercules mamillaires ou e
son étendue. Si la préparation a été faite avec quelque soin, sur un cerveau bien injecté, — et cette préparation est facile p
ui entrent dans la composition des masses ganglionnaires centrales du cerveau . 1° Pour ce qui regarde d'abord les lésions iso
gnostic régional relatif aux diverses parties des masses centrales du cerveau , c'est la participation ou la non-participation d
et, nous sommes obligés de revenir de nouveau à l'anafomie normale du cerveau afin de compléter à certains égards les notions d
pa-raison de coupes minces, durcies, examinées par transparence. Le cerveau étant placé sur sa base, on ouvre les ventricu-le
our fonction de trans-porter à la surface des régions postérieures du cerveau les impressions sensitives ? M. Meynert pense qu'
reconnaître que le centre des impressions sensitives n'est ni dans le cerveau proprement dit, ni dans les couches optiques, mai
e dans les pédoncules cérébraux. Fig. 27. — Coupe transversale d'un cerveau de chien, cinq millimètres en avant du chiasma de
u'une lésion située plus haut que ce point, dans certaines régions du cerveau lui-même, détermine constam-ment une hémianesthé-
fondamentaux de ces ex-périences. Fig. 28. — Coupe transversale du cerveau du chien au niveau des tubercules mamillaires. —
es représentées avant de diverger vers les parties superfi-cielles du cerveau . DIXIÈME LEÇON De l'hémianesthésie cérébrale
iée de la sensibilité ne reconnaissant pas pour origine une lésion du cerveau propre-ment dit. C'est seulement dans ces derni
sur les nerfs de l'odorat et de la vision, dont l'origine est dans le cerveau proprement dit. Tel est, Messieurs, le tableau
sée accompagnée d'hémianesthésie et relevant d'une lésion en foyer du cerveau que nous avons récemment étudiés à ce point de vu
, que l'amblyopie croisée est une conséquence des lésions en foyer du cerveau qui déterminent l'hémianesthésie, j'ai relevé un
lyopi* croisée que déterminent les lésions absolument unilatérale; du cerveau ; c'est un trouble visuel qui en diffère, à savoir
térale ne saurait être jamais la conséquence d'une lésion en foyer du cerveau ; mais je suis disposé à croire que dans les cas
ettre en communication l'appareil de la vision avec l'écorce grise du cerveau ? Pour aborder cette question, il nous faut, au p
les nerfs encéphaliques doivent rencontrer, avant de pénétrer dans le cerveau lui-même, un ou plusieurs amas de substance grise
er's Handbuch, t. il, p, 793. — Fig. 233) Coupe antéro-postërieure du cerveau du cercocebus cinomolgus. F, Extrémité frontale
Meynert (toc, cit., fig. 233) et représentant la coupe antérieure du cerveau d'un singe (cercocebus cino-molgus) montre bien l
mière origine à la base de l'encéphale, en quelque sorte en dehors du cerveau proprement dit. Quelques renseignements prélimi
stphall's Archiv. V. Bd., 1" heft., 2 heft. 1875. (3) Voir pour les cerveaux du lapin et du chien les planches du travail de M
anches du travail de M. Gudden {Arch. f. ophthal, XX. 1875) ; pour le cerveau du chat les plan-ches de Forel. (Beitrage zurKeun
résente une coupe longitudinale et horizontale de la moitié gauche du cerveau du Cercocebus cinomolgus. F, extrémité frontale
nnel de la vision qui se puisse pro-duire par le fait d'une lésion du cerveau proprement dit, ou si, au contraire, l'hémiopie n
a majorité des faits d'hémiopie qui ont été rapportés à une lésion du cerveau , celle-ci, ou n'oc-cupait pas les régions profond
delettes optiques. Pour montrer que les lésions de la profondeur du cerveau produisent l'hémiopie, c'est toujours de l'hémiop
périphérie l'influence motrice développée soit dans l'écorce grise du cerveau , soit dans les noyaux gris lenticulaire et caudé.
par la destruction méthodique des diverses parties de l'encéphale, du cerveau en particulier, s'éloignent, d'une façon générale
lle lésion; la station et le saut sont encore possibles, alors que le cerveau tout entier a été détruit, pourvu, toutefois, que
cet animal, succèdent à l'ablation méthodique des diverses parties du cerveau , se rapprocheraient beaucoup de ceux qu'on observ
ativement à l'influence des di-verses parties d'un hé- L mi sphère du cerveau sur le mouvement des membres du côté opposé du co
l'homme, l'bémianesthésie croisée. Fig. 36. — Coupe transversale du cerveau du chien au niveau des tubercules mamillaires. —
ères essentiels, dans les cas de sclérose consécutive à une lésion du cerveau , et constituent, en définitive le tableau cli-niq
e, produite dans le faisceau latéral, en con-séquence de la lésion du cerveau , qu'il convient de faire in-tervenir ici. Je m'ab
ats nouvellement introduits dans la pathologie des cen-tres nerveux : cerveau , bulbe rachidien, moelle épinière ; je commencera
seraient en relation directe avec les régions motrices de l'écorce du cerveau . Or, ces régions elles-mêmes, chez les animaux qu
consi-dérés comme une sorte de commissure, réunissant les parties du cerveau , présidant aux déterminations motrices volontaire
localisations bulbaires et les localisations clans les hémisphères du cerveau . Le temps presse, et je vais con-clure. Si j'av
rrot, de Schlossebcrger, de Weisbach. — Chez l'en-fant nouveau-né, le cerveau n'est pas complètement achevé. — Prédomi-nance de
e des actes réflexes. — Observations de Soltmann et Tarchanoff sur es cerveaux des animaux nouveau-nés doués de mouvements volon
és doués de mouvements volontaires. — Chez l'homme, à la naissance le cerveau est un organe à peu près indifférent. Faisceaux
développement, il est loin d'en être de même pour ce qui concerne le cerveau proprement dit. Le cerveau des nouveau-nés, dis
'en être de même pour ce qui concerne le cerveau proprement dit. Le cerveau des nouveau-nés, disait Bichat, ne ressemble guèr
en a faite M. le professeur Parrot, description devenue classique, le cerveau est un organe mou, d'une coloration grise, uni-fo
Ainsi, en résumé, chez l'enfant qui vient au monde, la structure du cerveau en est encore, en quelque sorte, à l'état rudimen
recherches de M. Solt-mann, que les parties excitables de l'écorce du cerveau n'existent pas encore chez les petits animaux qui
uvements volontaires. En même temps, d'après ces mêmes recherches, le cerveau de ces animaux présente un développement histolog
epsie, stéatose en foyer ou diffuse, ramollissement blanc ou rouge du cerveau , hémor-rhagie intra-encéphalique ou méningée, etc
éphalique ou méningée, etc. Vous le voyez, Messieurs, à cet âge, le cerveau n'existe pas encore ; au triple point de vue anat
naître, beaucoup plus avancée dans son développement que ne l'est le cerveau proprement dit; si bien qu'à certains égards, ell
re dans la protubérance et les pédoncules cérébraux, et enfin dans le cerveau proprement dit, où vous allez le voir, ils parais
ubérance aux hémisphères cérébraux et qu'on appelle les pédoncules du cerveau . Je suppose qu'une coupe ait été pratiquée perpen
ble indiquer que le développement des faisceaux pyramidaux procède du cerveau proprement dit. M. Flechsig' n'a pas manqué de le
autopsies d'enfants nouveau-nés n'ayant pas dépassé un an d'âge ; le cerveau a été examiné à l'aide de coupes méthodiques sur
ez, vers le dix-septième jour, lapartie médiane ou sous-rolandiqne du cerveau est marquée par la présence de fibres nerveuses r
e. L'un, le premier en date (ce dont on peut juger d'après l'étude du cerveau d'enfants moins âgés), repose sur les masses gang
uvent, développée primitivement dans dif-férentes parties du névraxe, cerveau proprement dit, bulbe, moelle épinière, ou même d
ons de ce groupe peuvent résulter : a) soit d'une lésion primitive du cerveau proprement dit, b) soit de lésions siégeant dans
ns fasciculées secon-daires, engendrées par un foyer siégeant dans le cerveau pro-prement dit. Avant d'entrer dans le détail,
les plus généraux du groupe. 1° La lésion originelle existe dans le cerveau proprement dit, cela est bien entendu. Mais elle
ral est le point capital. — Importance de la connaissance des plis du cerveau . -- Circonvolutions motrices. — Vicq d'Azyr (1785
ales. Messieurs, Il nous faut actuellement considérer l'écorce du cerveau ou autrement dit, le manteau de.l'hémisphère, car
s'orien-ter dans ce dédale qu'on appelle depuis longtemps les plis du cerveau , on est nécessairement frappé par la disposition
sont plus allongées, moins contournées que dans les autres régions du cerveau . » Ces deux circonvolutions ont été décrites avec
en 1829, dans l'ouvrage intitulé « De la structure des hémisphères du cerveau ». Il les désigne sous le nom de processus entéro
tuent un des caractères morpholo-giques fondamentaux de la surface du cerveau de l'homme, et on les retrouve chez la plupart de
cantonner dans une circonscription bien dé-terminée de la surface du cerveau , et cette circonscription est précisément celle d
on et les limites. C'est, en effet, dans l'épaisseur de la Fin.59.— Cerveau du chien (lac©supérieure).— S.Cr, sillon crucial.
ésigner, par opposition aux autres, celles des régions de l'écorce du cerveau dont la lésion occasionne des troubles moteurs da
s de détails les Leçons sur les localisations dans les malo,' dies du cerveau (3e leçon). de cause cérébrale. 11 n'en est rie
ait appeler rolancli-que, du manteau, et qui représente dans le grand cerveau , comme un petit cerveau à part, doué de propriété
, du manteau, et qui représente dans le grand cerveau, comme un petit cerveau à part, doué de propriétés physiolo-giques spécia
areil du faisceau pyrami-dal depuis les cellules de l'écorce grise du cerveau jusqu'aux plaques ter-minales dans les fibres mus
ée. Quoi qu'il en soit, l'expéri-mentation a reconnu, à la surface du cerveau du chien, des régions excitables et motrices qui,
ommissure établissant des rapports directs entre certaines régions du cerveau proprement dit et les cellules ki-nésodiques des
randes commissures, établissant des relations fonctionnelles entre le cerveau et la moelle épinière, Celle-ci vit en quelque so
mouvements volon-taires qui prédominent. L'influence modératrice du cerveau sur les actes réflexes est d'ailleurs mise dans t
ppé tout à coup d'hémiplégie, en conséquence de la formation, dans le cerveau proprement dit, d'un foyer d'hémor-rhagie ou de r
arent en quelque sorte l'hémorrhagie intra-encéphalique. Si, sur un cerveau préalablement injecté, vous étudiez, guidés par l
oppés et que, par consé-quent, l'influence modératrice qu'on prête au cerveau pro-prement dit sur les actes réflexes spinaux ne
lus ou moins prononcée, d'où la dé-nomination d'atrophie partielle du cerveau sous laquelle sont généralement connus les cas qu
eur connaît chez l'adulte, et c'est (1) Sur l'atrophie partielle du cerveau ^ 1868. en pareille circonstance qu'on observe l
nvolutions. Importance de l'anatomie comparée. — Circonvolutions du cerveau du singe, lobes frontal, pariétal et sphenoidal.
................ 1 DEUXIÈME LEÇON. Structure de l'écorce crise du cerveau . Sommaire. — Caractères généraux de la structur
Sommaire. — Caractères généraux de la structure de l'écorce grise du cerveau . 1° Cellules ganglionnaires ou nerveuses ; — ce
des lésions.— Fréquence des lésions vasculaires dans les maladies du cerveau . — Nécessité de l'étude de la distribution des va
ébrales. M CINQUIÈME ET SIXIÈME LEÇONS, Circulation artérielle du cerveau . Sommaire. — Travaux de M. Durel et de M. Heubn
ire. — Travaux de M. Durel et de M. Heubner. — Artères principales du cerveau . — Système des artères corticales; — vaisseaux no
nales (Gohnheim). Autonomie relative des territoires vasculaires du cerveau . — Localisation des lésions de l'écorce. Branch
ologiques entre les parties périphériques et les parties centrales du cerveau . — Rareté relative de l'hé-morrhagie cérébrale da
arrot, de Schlossberger, de Weisbach. — Chez l'en-fant nouveau-né, le cerveau n'est pas complètement achevé. — Prédomi-nance de
des actes réflexes. — Observations de Soltmann et Tarchanoff sur les cerveaux des animaux nouveau-nés doués de mouvements volon
és doués de mouvements volontaires. — Chez l'homme, à la naissance le cerveau est un organe à peu près indifférent. Faisceaux
ral est le point capital. — Importance de la connaissance des plis du cerveau . — Circonvolutions motrices. - Vicq d'Azyr (1785)
342. — Indé-pendance des —, musculaire et cu-tanée, 344. Artères du cerveau , 49 ; — de la base de l'encéphale, 50 ; — leur di
clérose en plaques.) Infarctus cérébral, 69. Influence modératrice du cerveau , 293. Insula de Reil, 8, 298. Irritation et l
, 387. Neuro-rétinite, 124. Noix vomique (V. Strychnine.) Nouveau-né ( Cerveau du), 192; — Absence de contracture chez le —,
(V. Trépidation spinale. ) Plaques jaunes, 74, 171, 335. Plis du cerveau , 10, 232. Pli courbe, 13. Poliomyélite antérieu
. rolandique. (v. zone.) Ruban de Vicq d'Azir, 17. S Scissures du cerveau , 14 et suiv. Sclérose descendante. (V. Dégé-nér
9 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tête par la chûte d'une forte pièce de bois. » (Gall, Fonctions du cerveau , Paris, 185, I, p. 411.) 4 PATHOLOGIE MENTALE
. Ailleurs (Anat. et Physiol. du syst. nerveux en gé- néral et du cerveau en particulier, Paris, 1810, II, p. 32), nous l
'en rend compte « par un heureux changement dû à une stimulation du cerveau produite par la commotion». Mathey (Noucellesl'
ypothèses à faire : 1° la folie est due aux lésions traumatiques du cerveau , qui ont également déterminé la surdité; 2° ell
'excellentes raisons. Pour moi, j'incrimine avant tout la lésion du cerveau . 8 PATHOLOGIE MENTALE. dès la première enfanc
s'étaient plus spécialement occupés des maladies inflammatoires du cerveau , et en parti- culier de la paralysie générale.
l'espèce d'aliénation mentale que nous décri- vons, en imprimant au cerveau des commotions plus ou moins fortes, qui peuven
ns sanguines dans les vaisseaux de la pie-mère, etc. » (Maladies du cerveau et de ses mem- branes, Paris, 1826, p. 409).
es rencontre dans les antécédents de ses malades (111al. inflam. du cerveau , 2 vol. Paris 1859, oBS. 82, 114, 118, 119, etc
elles en ont une autre, toute spéciale, qui tient au voisinage du cerveau . Le choc, venu du dehors, ne s'épuise pas à la
du dehors, ne s'épuise pas à la périphérie du crâne; il ébranle le cerveau dans sa masse, et cet ébranlement, cette commot
re du crâne, avec enfoncement des os, épanchement et compression du cerveau , l'hémi- plégie peut être complète et permanent
res, ou même plusieurs jours, et qui, à lui seul, prouve combien le cerveau a été profondé- ment ébranlé, c'est l'amnésie t
ême de la substance cérébrale. D'autres ont vécu, gardant dans leur cerveau un pro- jectile ou un corps étranger. Si de tel
son a-t-elle été complète et défini- tive ? Comment fonctionnait le cerveau après la guéri- son ? Qu'étaient devenus et l'i
n'est-il pas légitime de les rapporter cette épine restée dans le cerveau ? 2 Bouillaud ne s'y était pas trompé : « Les d
res suivants : Sur 316 cas de corps étrangers s'étant logés dans le cerveau , ICO furent suivis de guérison. Le corps vulnéran
e veine rompue en dedans, à la suite d'un coup, dans la membrane du cerveau , répand quelque peu de sang, et cette veine se
érébrale : « Une lésion de fonction qui résulte de l'ébranlement du cerveau , et dont un caractère e essentiel est l'absence
ue, dans les cas graves, il y a toujours contusion ou lacération du cerveau , avec hémorrhagie plus ou moins abondante. Brya
e fois qu'il y a eu traumatisme du crâne, que les enve- loppes du cerveau aient été lésées ou qu'elles soient restées int
dues de la dure-mère au crâne dans toute la longueur de la faux du cerveau . Observation III. M..., soixante-huit ans. Mani
inze millimètres, qui avait perforé la dure-mère et pénétré dans le cerveau . (Schutzenberger, in Gaz. ceci. de Strasbourg, 7
était visible à la face interne. Je ne découvris d'ailleurs dans le cerveau aucune lésion localisée qui pût être attribuée
sure à 'Voy. drch. de Neurologie, n° 51, p. 337. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 29 9 l'homme. Longtemps oubliée, cette découve
centrales du nerf optique et sur les rapports de ce nerf avec le cerveau , Panizza avait démontré, dès 1855, que, chez le
ait été énucléé dès la naissance, une hypertrophie compensatrice du cerveau et du crâne du côté de l'oeil détruit 3. C'est
les atrophies secondaires du nerf optique, des circonvolutions du « cerveau pariéto-occipital » etdu crâne, chez des sujets
r die Functionen der G,'osshiI'111'inde, 1881, 39. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 31 son d'un phénomène pathologique bien connu
alirnentazione, avec occlusion d'un des deux yeux. LES FONCTIONS DU CERVEAU .. 35 L'oeil gauche étant bandé, par exemple, on
estions ont été surtout ici bien étudiées : Dans quelles régions du cerveau doit-on localiser les centres de la vision ? Qu
pariétaux et occipitaux. Peut-être l'écorce de la LES FONCTIONS DU CERVEAU . j ? face inférieure et de la face interne du c
FONCTIONS DU CERVEAU. j ? face inférieure et de la face interne du cerveau reste- t-elle étrangère à cette fonction, se de
ai lue, et dont je reparlerai en traitant des fonctions motrices du cerveau , est devenue un mémoire publié à Naples, en 188
eurs limites. L'idée de 1' « engrenage » des cen- tres corticaux du cerveau fut exposée par Luciani dans le troisième congr
tie nervose 1881. A part, 1881, Mi- lano, in-8°. LES FONCTIONS DU CERVEAU .. 39 que d'autres aient exprimé la même idée au
ns céré- brales ne consiste pas dans la confection d'une carte du cerveau , sur laquelle cet organe serait divisé en un ce
établir quelles fonctions différentes ont les diverses parties du cerveau , et à indiquer l' « engrenage » réciproque des
centre n'est en rapport anatomique direct avec les autres lobes du cerveau que par les irradiations décroissantes qu'il le
ions pariéto-frontales et temporo- sphénoïdales. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 41 confirmation de sa doctrine à cet égard dan
ère visuelle du singe s'étend, elle aussi, au delà LES FONCTIONS DU CERVEAU .. 43 des limites du lobe occipital, et que chaq
st. di studt super... in Firenze, 188'r, p. 41 sq. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 45 chez ces vertébrés le même siège que les pe
rte originale, vol. 247, fasc. 742. Aprile 1879. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 47 rier (1876) et après Munk (1877-1878), touc
es Leçons de Charcot sur les localisations dans les maladies du " cerveau (1875), les articles de Charcot et de Pitres da
o italiano par le malatie nervose, 1880, 74 suiv.) LES FONCTIONS DU CERVEAU . 49 logiques et fonctionnels de ces deux région
mme, ce centre est surtout localisé dans les régions occipitales du cerveau . Archives, t. XVIII. 4 00 PHYSIOLOGIE. Dans
atérale homonyme, consécutive à la lésion d'u lobe LES FONCTIONS DU CERVEAU . SI occipital démontre que chacun de ces lobes
t de l'intelligence, surtout aux périodes avancées LES FONCTIONS DU CERVEAU . 53 de la maladie, ne permet guère de renseigne
té de 'Charcot. - Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau , p. 119. . Tous les faits connus et bien obse
l des deux côtés et une partie du lobe pariétal. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 3 atrophie descendantedégénérative bilatérale
sensation extérieure... L'image mentale est perçue LES FONCTIONS DU CERVEAU . 57 Munk n'avaient-ils pas montré que l'excitat
a, 10-22 septembre 1883. Milano, 1883, p. 8, 10. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 59 visuelle corticale droite. Quant à cette pa
édecins qui se sont occupés des diverses formes de LES FONCTIONS DU CERVEAU . 61 l'aphasie, voire à des physiologistes : ell
res réels, et non comme de simples résultantes des fonc- tions du cerveau . Il faut très résolument exorciser tous ces fan
. di /<'6 ! t : 'a't<f, 1879, V, 1 sq.). ' LES FONCTIONS DU CERVEAU . 63 mouvements observés. Sans nier absolument q
es Archives italiennes de biologie, Il,. 236 suiv. LES FONCTIONS bU CERVEAU . 6u de Luciani sur le centre cortical de l'audi
ore que des signes de surdité psychique. Fig. 2. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 67 Encore ceux-ci vont-ils s'atténuant si l'an
observations de surdité verbale qu'il rapporte : LES FONCTIONS DU CERVEAU . 69 70 PHYSIOLOGIE. pli courbe, mais aussi ce
temporal gauche par un processus morbide d'une région quelconque du cerveau : il peut exister alors une surdité verbale san
Enfin, on sait que l'amnésie vertébrale peut exis- LES FONCTIONS DU CERVEAU . -il 1 ter sans aucun symptôme de surdité verba
2 Le localizzazioni (alla, del cervello, p. 234. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 7H ai nerf véritable de l'audition, et Monakow
a physiologie et l'anatomie pathologique de l'audition, l'étude des cerveaux de sourds-muets '. Il n'existe pourtant pas de
tions de l'organe périphérique de l'audition, etc. Mais l'examen du cerveau n'a pas encore assez attiré leur attention. Aus
ps défaut. On doit précisé- ment à Seppilli une bonne étude de deux cerveaux de sourds-muets de naissance : l'un appartenait
ns cérébrales, en particulier une atrophie marquée, sur l'un de ces cerveaux , de la T i gauche. Goût et olfaction. Les résul
ues hommes, et 26 fois sur 35 épileptiques femmes. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 73 ;i tomo-clinique du centre cortical de l'od
ppocampe. En dehors de leur valeur in- 1';11. 3. LES FONCTIONS DU CERVEAU . -1 'l trinsèque, ces recherches présentent un
ruello, p. 237 de l'édition allemande seulement. LES FONCTIONS DU CERVEAU . Í9 brale, auraient pu trouver dans Golgi, pour
expliquer la prédilec- tion avec laquelle les accidents frappent le cerveau et la moelle, enfermés qu'ils sont dans leurs c
e, aussi facilement que les parties les plus élastiques. Ainsi le cerveau , quand l'ouvrier est sous une pression excessiv
rapi- dement que les autres organes ; l'excès de pression sur le cerveau et la moelle doit s'en aller par les passages é
interstices, se rassemblait, se raréfiait, et était poussé ainsi au cerveau , causant çà et là des obstructions. De là, sécr
uctions. De là, sécrétion mal ordonnée des esprits animaux, dans le cerveau , et de là leur inégale influence dans les muscl
-spinal. Le système cir- culatoire de la moelle, comparé à celui du cerveau , est infiniment plus riche, comme le démontrent
mais la quantité de bullettes est moindre que celle des artères. Cerveau . - L'enlèvement de la boite crânienne et la fente
eaux qui avoisinent les foyers. Ayant fait des coupes régulières du cerveau , je n'ai pas constaté le moindre foyer hémorrha
aux, sur plusieurs points, des bulles d'air en nombre moindre qu'au cerveau . Bulbe. - Il n'y a ça et là que quelques rares
lytique au MOYEN DE l'excitation ÉLECTRIQUE DES RÉGIONS MOTRICES DU CERVEAU DU SINGE (MACACUS SINICUS); par Ch. BEEVOR et V
es dont il vient d'être question, non plus à des troubles émanés du cerveau , mais à une bémorrhagie dans le canal sacré.
grâce à son obligeance, mettre à profit sa col- lection où tous les cerveaux sont gardés dans uu état suffisant de conservat
ules va- cuolisées seraient un peu plus abondantes. Mais tous les cerveaux que nous décrivons étant traités de même, sont
a été fait au laboratoire des travaux pra- tiques de la faculté. Le cerveau avait été durci par l'alcool, la moelle par le
e. On s'est trouvé bien de passer quelques fragments trop mous du cerveau dans de la gomme glycérinée et de les durcir ensu
en est manifeste. Cet homme a été de tout temps regardé comme un cerveau fêlé, et dans son village, il était l'objet des m
lement, ajoute l'auteur, en raison de la plus facile « expansion du cerveau ». (Franck (Pi ? txeos),, III, p. 359, [noté) t
dure-mère gangrenée auprès de la suture coronale. Sur le milieu du cerveau , près de la faux, existait uu . os très aigu qu
e plus tard. Calmeil enciteuuexempleremarquable(llTal. iujlam. du cerveau , II, p. 85, OBS. CXIX) : un charpentier, âgé de
riétal droit, produisit une fracture de l'os, à travers laquelle le cerveau , faisant hernie, se gangrena dans une étendue c
aurait eu la force de supporter son chagrin, si antérieurement son cerveau n'avait été ébranlé par le traumatisme ! Assu
- qu'il n'intervient qu'en lésant, plus ou moins grave- ment, le cerveau dont il fait l'organe nzinoris resis- tentiæ, q
employer l'expression de Lasègue, - il garde une tare indélébile du cerveau . Peut-on, chez un pareil individu, espérer d'em
mentale chez les adultes dépendait d'un procès pathologique dans le cerveau , égal à celui qui évoluait dans les téguments d
ème sympathique ayant pour résultat l'altération de la nutrition du cerveau , ainsi que celle de toutes les autres par-' tie
manière le sang changé ne donne plus la nutrition indispensable au cerveau et aux autres tissus de l'organisme ce qui prov
a nutrition du système nerveux central, donc après l'extirpation le cerveau est privé de cette substance, ou bien la glande
après l'extirpation de la glande thyroïde, empoisonne librement le cerveau . Dans tous les cas, cette question resta non dé
ormale, il faut bien rejeter l'hypothèse d'un état inflammatoire du cerveau , au moins sous la forme aiguë : l'auteur admett
erfs optiques peut ici être considéré comme révélation de l'état du cerveau et spécialement des circonvolutions. Les altéra-
parfum dont l'action, lui suggère-t-il, devra se manifester sur son cerveau , sa volonté, etc. L'interrup- tion de-- séances
de M. BouRNEVILLE et au sien, des moulages et des photographies de cerveaux de microcéphales. Les lésions qui produisent la
d état peut être compatihle avec le fonctionnement physiologique du cerveau et de l'activité men- tale quand, par exemple,
ine ophtalmique paraît lié à l'altération d'nne partie localisée du cerveau , et suivant cette hypothèse, des plus acceptabl
ir plus à y revenir, On sait que, beacoup moins fibrillaire dans le cerveau que dans la moelle, elle l'est surtout extrêmem
ère. Mort de diphthérie. A l'autopsie mé- ninges très adhérentes au cerveau . Examen histologique. a. Lobe frontal de l'hémi
cas, étaient bien celles de la méningo-encéphalite; presque tout le cerveau , après décortication, présentait un aspect tome
les vaisseaux paraissaient plus nom- breux à cause de l'atrophie du cerveau . C'est pour la paralysie générale que cette opi
ation III. - Voici maintenant un cas d'idiotie avec - induration du cerveau , dans -lequel la mort a été précoce; il n'y ava
utres; elles ne sont pas encore dessinées, et, à ce point de vue ce cerveau ressemble à celui d'un nouveau-né. Mais il en dif
é, comme dans nos autres cas. Seulement ici, l'examen comparatif de cerveaux de nouveau-nés nous a été utile pour préciser l
de cellules. Les parois vasculaires sont épaissies. On voit que les cerveaux d'idiots ^donnent un cer- tain nombre de résult
symptomatique d'une atrophie considérable de l'hémisphère droit du cerveau et de l'hémisphère cérébelleux gauche, atrophie
la substance blanche sont irréguliers. De ' là l'aspect chagriné du cerveau . Observation VIII. Schad..., 1864-1886, est un
du larynx par un morceau de viande. A l'autopsie, aspect foetal du cerveau ; arrêt de développe- raient, atrophie et état c
be durcis dans l'alcool. Moelle durcie dans le liquide de Muller. Cerveau droit. - Portions atrophiées. Stibstai2ce grise
graisseux qui paraissent dus à l'action de l'alcool sur la pièce. Cerveau . Hémisphère gauche. - Il existe dans le lobe fron
ches diffuses, semblables à celles qu'on trouve dans la plupart des cerveaux d'idiots 1. On voit que, dans ce cas, il existe
couleur ocreuse, recouverts par la couche la plus superficielle du cerveau , sous la forme d'une mem- brane mince et plissé
t entreprendre d'écrire l'his- toire de l'anatomie pathologique des cerveaux d'idiots Cruveilhier disait, il y a déjà bien d
re 20, pl. III, livraison ve. Isambert et Robin. Cas de sclérose du cerveau dans l'idiotie. Soc. biologie 1851. Griésinge
1865. Magnan. Thèse, p. 323, 1866. Cotard. Atrophie partielle du cerveau . Thèse, 1868. 17' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 'Hay
e, p. 25, 1877. 3 ! ierzejewski. Considérations anatomiques sur les cerveaux d'idiots. Congrès international des sciences mé
Proced. of royul Society, p. ? 3f, 98î9. o Charlon-Baslian. - Le cerveau et la pensée, 1. Il, p. 90, 1882. .Plaxton. Jou
ÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 389 Obersteiuer. - Voies sanguines du cerveau ci l'état normal et pathologique. Anal, in anna
. de Neurologie, n" .ïl, pag. 337 et n" 52, p. 28. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 361 motrice a été divisée « en petits carrés d
luttes sur la réalité d'une localisation des fonctions motrices du cerveau est fermée; le calme règne dans les esprits pac
lement se contenter de ces données empiriques. Certaines régions du cerveau sont en rapport avec les fonctions motrices ou
unk, n'a jamais soutenu rien de semblable (1). Si un lapin, dont le cerveau tout entier a été enlevé, peut encore courir, p
logisches Central- 6'art, VI, 188(;, 5(j ! J-70. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 363 représentations idéales ont été pour toujo
tré, lorsqu'il écrit qu'après une lésion pro- fonde, bilatérale, du cerveau antérieur, « les chiens ont perdu la faculté de
y a la théorie, absolument motrice, de David Fer- LES FONCTIONS DU CERVEAU . ' 365 rier, dont les centres moteurs sont tout
ambre, 2" série, XII, 577. Cf. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau , 299. 1 Après la section circulaire ou circonva
ration du reste de l'écorce ». (Leçons sur les fondions motrices du cerveau , p. 371.) Tout au contraire, Manque, après l'is
s sur le mécanisme de fonctionnement des centres psycho- moteurs du cerveau . Bruxelles, 1885, p. 104, 125). Cf. Vareth (sous
n (A2ch. f. d. gesamm. Physiologie, 1889, XLIV). LES FONCTIONS DU CERVEAU . 367 et Pitres, par Manque, par Vareth, par Exn
machine animale doivent, pour agir, être actionnés par le reste du cerveau . Que l'on songe aux cas bien constatés d'aphasi
en faveur de la nature mixte des fonctions de la zone excitable du cerveau . Outre Tripier, Petrina, Kahler et Pick, Wernic
ues (Arch. de physiol. norm. et p2tlaol., 1877). LES FONCTIONS DU CERVEAU . 369 que Tripier et Gilbert Ballet ont appelée
l en 1879, dans son livre sur le Diagnostic topique des maladies du cerveau , et, plus tard encore, Charcot, pouvaient passe
de la motilité volontaire dans les lésions des centres moteurs du cerveau '. Aujourd'hui Nothnagel ne croit pas encore, n
r Gehirnkrankheiten. Wies- baden, 1887, p. H-18. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 371 cérébrale, peut donner une idée de la comp
s les conceptions théoriques de la nature des fonctions motrices du cerveau , celle qui domine et l'emporte chez les physiol
speriment. di .fienial7la, (1878, p. 1 et 307). LES FONCTIONS DU CERVEAU . 37 Luciani et Tamburini n'étaient pas moins ne
imaux. opérés de la zone motrice. Ainsi, les aires excitables- du cerveau sont des centres moteurs, et ne sont pas- autre
Nous pourrions nous arrêter un moment dans cette i LES FONCTIONS DU CERVEAU . 37 S analyse et nous demander comment un physi
atomiques de nature à déterminer directement l'ac- LES FONCTIONS DU CERVEAU . 377 tivité des fonctions volontaires des corps
striés ne paraît avoir au- cune connexion directe avec l'écorce du cerveau . Des faisceaux de fibres isolées pénètrent bien
- Des centres moteurs encéphaliques, 1877, 1. 1. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 3ïH ) laire, mais on ignore si ces faisceaux s
si ces faisceaux sont en relation réelle avec la substance grise du cerveau (Flechsig, Wernicke, Gowers). Même incertitude
ces auteurs ont constatés à leur tour, peu conci- LES FONCTIONS DU CERVEAU . 381 liables avec cette interprétation de la na
u- vel argument de l'identité de fonctions des corps striés et du cerveau . En somme, les résultats de la physio- logie et
aires corticales de la sensibilité et aux «centres psychiques » du cerveau , est au moins aussi imaginaire que le château d
rébral lésions . -1'le Brit. med. Journ. 1889. - . LES FONCTIONS DU CERVEAU . 383 supportable, et ce qui s'y trouvait de pla
ontà ne sont pas limités, comme chez les verté- brés supérieurs, au cerveau et au bulbe, mais s'étendent aussi à la moelle
omènes consécutifs aux lésions destructives de la zone excitable du cerveau , à peine en citerait-on quelques-uns qui, comme
dicales de Dechambre, p. 592 ; Leçons sur les fonctions motrices du cerveau , p. 387. Hitzig aussi s'est rangé il cette doctri
- Archiv. ital. per le mal. nerv., 1878, t21 sq. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 38 ? des recueils savants rédigés en langue it
pour les reconnaître chér- les animaux dont les lobes antérieurs du cerveau ont été extirpés. Ce que le chien a perdu dans
e bien des deux côtés sa nourriture (avec une lésion unilatérale du cerveau ), et la force des muscles de la mastication est
r le côté anes- ihésié des chiens en expérience. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 387 Goltz avait noté le même fait après la mut
bservés, il l'étendue et surtout à la profondeur des mutilations du cerveau , PflÜger's Al'cltiv f. Phys., XXX, ? lS sq. 388
e ; il doit siéger quelque part, dans les parties plus profondes du cerveau . La lecture du Mémoire où Schiff a traité, sous
1883. Cf. Ueber Funhlionen des Grosslvirns (188G). LES FONCTIONS DU CERVEAU . 389 décidément emporter sans retour par la chi
quelles idées théoriques il se fait de la disposition des partiesdu cerveau dans la région de la zone excitable. Cf. encore
e di neuropatologia, de Naples, juillet, 1882. · LES FONCTIONS DU CERVEAU . 391 identité entre les mouvements dus à l'irri
et ceux qui résultent de l'excitation de la substance corticale du cerveau . Dans le premier cas, ce qui se produit, ce son
ew. - Physiologie de la région motrice de la substance corticale du cerveau . (Archives slaves de biologie, III, 1887, p. 189.
rdons postérieurs, c'est que la ' ' Selon Herzen, la même région du cerveau (gyrus sigmoïde chez le 'chien) contient le cen
¡'epl ! } to pi-ol. llorsley. (Brain, 188fui.) . LES FONCTIONS DU CERVEAU . 393 section était incomplète ou que la critiqu
t, comme le pensait Flourens, une manière de fonction d'ensemble du cerveau , disait Hitzig ; au contraire, certaines foncti
. * Le localizz. {1t1lzion. dei ceovello, 240-1. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 395 en faveur de la nature sensitive de ces te
moins exclusive, des localisations cérébrales. Ainsi, la surface du cerveau ne doit pas être divisée en zones distinctes du
unicazzione... Discussione... Milano, 1881, p. 17. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 397 talé que les effets qui suivent la destruc
dans les Archives de neuro- logie, 1889, 1 r i. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 399 n'ont rien qui ressemble à des mouvements
n par l'intermédiaire de masses grises situées profondément dans le cerveau , probablement les couches optiques'. » ' ' Be
ew. Physiologie de la région motrice de la substance .co1,ticale du cerveau . {Archives slaves de biologie, 111, 1887, 177 sq.
ieren. (Nell1'ologisches CM/t'aaM, 1889, 15 sept.) LES FONCTIONS DU CERVEAU . lion entre les différents centres de l'écorce,
que, ne lui paraît pas fondée au point de vue physiologique, car le cerveau tout entier, et non pas seulement une certaine
le et la motilité volontaire, c'est que les régions postérieures du cerveau , demeurées indemnes, suppléent les parties enle
mpuissants à suppléer. Quant à la ' Jules Soury. - Les fonctions du cerveau . - Doctrines de Fr. GOITI.. Paris, 1880, 30 sq.
. - Doctrines de Fr. GOITI.. Paris, 1880, 30 sq. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 405 coexistence d'une hypéresthésie de la sens
te question ne peut être douteuse chez les auteurs LES FONCTIONS DU CERVEAU . 40 italiens. Cependant, même dans la dernière
ographie de l'aire sensitivo-motrice. Toute la partie antérieure du cerveau fait certainement partie de cette aire : elle c
essions tactiles, n'est pas circonscrite aux régions antérieures du cerveau : elle rayonne et s'irradie aux régions postéri
ensitivo-motrice démontrent l'entrecroisement com- LES FONCTIONS DU CERVEAU . ils-, plet des fibres de la sensibilité généra
freniatria, 1886, XI, -992; 1887, XII, ? 08. ' ' LES FONCTIONS DU CERVEAU . 409 relevé la diminution de la force musculair
s de la moelle épinière, consécutives à des lésions uuilatérales du cerveau , qui servent de fondement aux célèbres Recherch
avait, du quatorzième au dix-huitième jour, détruit largement le cerveau antérieur. A sa grande surprise, ces chiens che
de l'écorce correspondante. » (Leçons sur les fonctions motrices du cerveau , XXVIII' leçon.) DE L'HYSTéRO-ÉPILEPSIE. 1'1
rences, occupaient la surface de la base et de la partie moyenne du cerveau : les signes de méningite trau- matique adhésiv
par aucun signe clinique, sans doute parce qu'elle n'intéressait le cerveau que dans la sphère latente et parce que très vr
a maladie de Parkinson. G. D. XII. Vaste ramollissement cortical DU cerveau ayant produit une rotation EN sens contraire DE
plus rare est la papillite dans l'abcès sociétés savantes. 445 du cerveau , dans l'encéphalite suppurée. Cela ne veut pas di
tères rétiniennes, sont l'image de ce qui se passe dans l'écorce du cerveau pendant l'accès d'épilepsie. M. Naunyn (de St
edersiieim (de Fribourg) présente une série de maquettes en cire de cerveaux de vertébrés, fabriquées par Ziegler, excellentes
, le propeptone est le premier signe d'une influence exercée par le cerveau sur les reins. Naturellement, on a su faire abs
liums. Ce qui prouve qu'il faut rattacher l'albuminurie à l'état du cerveau .. ` M. Edinger (de Francfort). Du développement
se chez les divers animaux ? Où commencent à apparaître l'écorce du cerveau et les- organes qui en accompagnent la formatio
rmation ? Peut-on constater un système de fibres qui soit commun au cerveau antérieur de tous les vertébrés ? Voici les rés
auxquels est arrivé l'observateur. La trame de ce que l'on appelle cerveau antérieur des Cyclostomeset des Téléootéens se
on de la base consiste en une mincelamelle.lmpossibledecomprendrele cerveau antérieur des Sélaciens sans en suivre le dével
suivre le développement; on voit par exemple que chez les raies, le cerveau antérieur primitif ne déplie pas devant lui un
eau antérieur primitif ne déplie pas devant lui un second bourgeon ( cerveau antérieur secondaire) ; sa paroi antéro-supérie
à peine pourvu d'un ventricule : cet organe n'est pas comparable au cerveau antérieur définitif des autres animaux. liais c
ais déroule deux petits hémis- phères qui représentent un véritable cerveau antérieur secondaire. Aucune des espèces animal
teau bien .organisé. tel que nous le trouvons chez les reptiles. Le cerveau an- térieur de ces derniers contient tous les é
ieur de ces derniers contient tous les éléments caractéristiques du cerveau des vertébrés élevés en organisation. Le ganglion
n- nante). Aussi le manteau forme-t-il la masse fondamentale du - cerveau antérieur, mais cette perfection ne se produit qu
t d'ailleurs pas graduelle. Entre le manteau purement épithélial du cerveau des poissons osseux, et celui des .amphibies, o
locomotion est des plus accusées. Ces sections passent à la base du cerveau devant la protubérance; peu importe du reste qu
. M. L. Bruns (de Hanovre). De quelques lésions rares du tronc du cerveau (avec présentation de malades et de pièces anatom
qu'il nous suffise de signaler sa thèse sur l'Atrophie partielle du cerveau (1866) et quelques communications importantes :
r la com- pression de la carotide primitive), par Horsley, 147. Cerveau (les fonctions du - d'après l'Ecole italienne),
cas de mort dans le-,), par Brie, 465. Ramollissement cortical du cerveau , par Leclerc, 438. Respiration (quelques form
10 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
C E RVE'AU DE L'HOMME MORPHOLOGIE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX, OU CERVEAU PROPREMENT DIT TEXTE ET FIGURES PAR E. BRIS
besoin de localiser avec toute la précision désirable les lésions du cerveau . Nous voudrions aussi qu'il pût être de quelque p
ce les avantages de la méthode des coupes successives pour l'étude du cerveau proprement dit, on s'est aperçu qu'il existait, d
recourir à ces réactifs pour fixer dans sa forme le brissaud. 2 cerveau proprement dit. Cependant la structure du cerveau
e brissaud. 2 cerveau proprement dit. Cependant la structure du cerveau est bien plus délicate; son tissu est bien plus f
ie, dans un cas de lésion cérébrale, il faut ne rien omettre, pour le cerveau lui-même, des procédés de durcissement et de cons
iants qui désirent acquérir des notions complètes sur la structure du cerveau normal. II La technique est devenue, de nos j
ébral se fend par le milieu. Ces accidents sont peu à redouter sur un cerveau sain. Mais, que le cerveau soit malade ou sain, l
. Ces accidents sont peu à redouter sur un cerveau sain. Mais, que le cerveau soit malade ou sain, lorsque sa convexité a repri
ieure, au milieu de la scissure inter-hémisphérique. Puis on place le cerveau sur une surface plane où il repose par sa convexi
vent et acquiert une dureté ligneuse. En deçà de ce laps de temps, le cerveau malade ou le cerveau sain ne perdent rien de leur
dureté ligneuse. En deçà de ce laps de temps, le cerveau malade ou le cerveau sain ne perdent rien de leur volume, et c'est là
un avantage qui n'est pas à mépriser, en particulier pour l'étude du cerveau normal. Si l'on veut examiner un cerveau sain, il
particulier pour l'étude du cerveau normal. Si l'on veut examiner un cerveau sain, il est même peut-être préférable de laisser
médiatement les coupes. Il y a en effet un procédé de conservation du cerveau , qui nous semble le plus simple de tous, et que n
nécessaires à leurs démonstrations. III Lorsqu'on a affaire à un cerveau malade, il est indispensable de respecter les mén
ninges, surtout si l'on veut faire plus tard des coupes en série. Les cerveaux , dans l'intérieur desquels se sont formés des foy
sement ou d'hémorrhagïe, sont en effet beaucoup plus friables que les cerveaux sains, et leur friabilité est d'au-tant plus pron
mois, on a moins à craindre l'infiltration permanente des parties du cerveau qui sont suffisamment éloignées du foyer primitif
hémorrhagies, la friabilité des parties saines. Le durcissement du cerveau et sa coloration uniforme en brun jaunâtre par le
ranuleux révélateurs d'un processus dégénératif. Le durcissement du cerveau par les solutions de chromâtes supprime toutes le
es lever. Il est bien plus facile de s'orienter sur les coupes d'un cerveau durci et qui se tient tout d'une pièce, que sur l
rveau durci et qui se tient tout d'une pièce, que sur les coupes d'un cerveau malléable, flasque, avachi. On y suit avec beauco
hes de stratification comme le corindon nacré., La matière blanche du cerveau , traitée par les chromâtes, subit une transformat
sagittales, en multipliant surtout ces coupes sur un grand nombre de cerveaux , on arrive à préciser l'incli-naison des faisceau
aux instruments plus ou moins ingénieux qui permettent de débiter le cerveau en tranches microscopiques, on pourra se contente
que tous empruntés à Meynert — ne nous apprennent presque rien sur le cerveau de l'homme; ils se rapportent au cerveau du chien
prennent presque rien sur le cerveau de l'homme; ils se rapportent au cerveau du chien, au cerveau du singe, au cerveau du fœtu
sur le cerveau de l'homme; ils se rapportent au cerveau du chien, au cerveau du singe, au cerveau du fœtus de ces animaux, et
homme; ils se rapportent au cerveau du chien, au cerveau du singe, au cerveau du fœtus de ces animaux, et par hasard au cerveau
erveau du singe, au cerveau du fœtus de ces animaux, et par hasard au cerveau du fœtus humain. De savantes publications, parues
l'étude et à la description de l'hémisphère cérébral, c'est-à-dire du cerveau proprement dit. VII Les neuf premières planch
mployer pour arriver à concevoir quelque chose dans la physiologie du cerveau , le principal, le plus important, celui sans lequ
ne certitude, est l'anatomie minutieuse, superficielle et profonde du cerveau de l'homme dans Vétat adulte ». On remarquera q
e reproduisent pas nécessairement des régions identiques sur tous les cerveaux , quelque soin qu'on prenne pour faire passer le c
n temporale, 15. t.. Troisième sillon temporal, 7. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.I Héliog. Lemercier G MASson Edit BQ. Bour
rois piliers fornix, 17. Une. Crochet, une us, 50. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.2 Héliog. Lemercier G. Masson Edit CAP. Ca
, pli de passage temporo-pariétal profond (Broca). E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 3 Héliog. Lemercier G. Masson Edit CA
volution temporale. /3. Troisième sillon temporal. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.4 Héliog. Lemercier G. Masson Edit BQ. B
ur la ligne médiane pour s'adjoindre au lemniscus. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL. 5 Héliog. Lemercier G. Masson Edit BO.
I. Trigone cérébral, voûte à trois piliers fornix. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 6 Héliog. Lemercier G. Masson Edit RI
rconvolution temporale. TJ. Tubercule de jonction. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.7 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ANL.
riangle sous-calleux, 59. Une. Crochet, uncus, 60. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 8 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PL
M. Tubercule mamillaire, 62. Une. Crochet, unew. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL. 9 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCH
couche optique, 76. Une. Crochet, uncus, 79, 80. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . IO Héliog. Lemercier G. Masson Edit EP.
8. T5. Troisième circonvolution temporale, 87, 88. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL..11 Héliog. Lemercier G. Masson Edit C
emporal. T4. Quatrième circonvolution temporale. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.12 Héliog. Lemercier G. Masson Edit BCP.
125. T;i. Cinquième circonvolution temporale, 110. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 13 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLA
T;. Cinquième circonvolution temporale, 155, 156. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 14 Héliog. Lemercier G. Masson Edit A
emporal. T4. Quatrième circonvolution temporale. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL. 15 Héliog. Lemercier G. Masson Edit C.
a dentata, 165. TH. Thalamus, couche optique, 165. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL. 17 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ALV.
e sous-calleux, 179. ZS. Stratum zonale, 180, 184. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL 18 Héliog. Lemercier G. Masson Edit Aq.
andelette optique, 195. ZS. Stratum zonale, 192. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.19 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ALV.
VS. Corne sphénoïdale du ventricule latéral, 195. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.20 Héliog. Lemercier G. Masson Edit Aq. Aq
ratum zonale du corps genouillé interne, 206, 216. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 21 Héliog. Lemercier G. Masson Edit A
icus zonalis, 252. ZS. Stratum zonale, 224, 256. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.22 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ALV. A
ZO. Stratum zonale de la bandelette optique, 254. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.23 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ABC.
ond. Une. Crochet, uncus, 257. ZS. Stratum zonale. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 2 4 Héliog. Lemercier G. Masson Edit
al profond (Hroca), 287. Une. Crochet, uncus, 272. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 2 5 Héliog. Lemercier G. Masson Edit AN
ca), 506. Une. Crochet, uncus. ZS. Stratum zonale. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 26 Héliog. Lemercier G. Masson Edit A
ro- pariétal profond (Broca). Une. Crochet, 507. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 27 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ALV
ansveise, pli de passage temporo-pariétal profond. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL. 28 Héliog. Lemercier G. Masson Edit AL
ventricule latéral. ZS. Stratum zonale, 557, 568. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 2 9 iHéliog. Lemercier G. Masson Edit
eure du thalamus, 582. TRI. Trigone cérébral, 586. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 3 0 Héliog. Lemercier G. Masson Edit AN
igone cérébral, 598. ZS. Stratum zonale, 598, 599. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 31 Héliog. Lemercier G. Masson Edit A
thalamus, 41 TJ. Tubercule de jonction, 408, 412. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 32 Héliog. Lemercier G. Masson Edit A
irconvolution temporale, 420. tec. Tsenia tecta. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.33 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCH
us, 459. VF. Corne frontale du ventricule latéral. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.35 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLAN
43. VF. Corne frontale du ventricule latéral, 441. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 36 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLA
entricule latéral, 446. ZS. Stratum zonale, 445. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 37 Héliog. Lemercier G. Masson Edit
le du ventricule latéral, 454. ZS. Stratum zonale. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 38 Héliog. Lemercier G. Masson Edit P
ereum, 459. tec. Tsenia tecta. TEG. Tegmentum. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 3.9 Héliog. Lemercier G. Masson Edit AN
rcule mamillaire, 459. Une. Crochet, uncus, 462. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 40 Héliog. Lemercier G. Masson Edit À
62. VS. Corne sphénoïdale du ventricule latéral. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.41 Héliog. Lemercier G. Masson Edit AL Y
TRI. Trigone cérébral, 464. Une. Crochet, uncus. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL. 42 Héliog. Lemercier G. Masson Edit A
ZGË. Stratum zonale du corps genouillé externe. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 4 3 Héliog. Lemercier G. Masson Edit
11 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
ANATOMIE DU CERVEAU DE L'HOMME MORPHOLOGIE DES HEMISPHERES CÉRÉ
CERVEAU DE L'HOMME MORPHOLOGIE DES HEMISPHERES CÉRÉBRAUX, OU CERVEAU PROPREMENT DIT E. BRISSAUD AGRÉGÉ . MÉDECIN D
ermain, 120 1893 Tous droits réservés. Conformation générale du cerveau . Face supérieure ou convexité. Lorsqu'on a, p
ure-mère à son pourtour et en arrachant d'avant en arrière la faux du cerveau . Les deux moitiés cérébrales, ou hémisphères, s
ux. Tous les anatomistes depuis Vésale ont représenté la convexité du cerveau dépouillé de ses membranes et encore contenu dans
sphère droit, s'étend depuis le cinquième antérieur de la longueur du cerveau , en avant, jusqu'au quart postérieur en arrière.
s de Lancisi (NL, Schéma 1). Les circonvolutions de la convexité du cerveau sont dirigées, dans leur ensemble, d'avant en arr
ement qu'elles ne sont pas symétriques, du moins Face inférieure du cerveau . Le cerveau reposant encore sur la base du crân
ne sont pas symétriques, du moins Face inférieure du cerveau. Le cerveau reposant encore sur la base du crâne, si l'on veu
nc dans la cavité crânienne et l'on n'extrait que les deux moitiés du cerveau proprement dit, en d'autres termes les deux hémis
cerveau proprement dit, en d'autres termes les deux hémisphères. Le cerveau est alors posé sur sa face supérieure ou convexe
e et l'on a sous les yeux sa face inférieure. La face inférieure du cerveau est, dans son ensemble, légèrement concave. Mais
ns laquelle s'enfonce la branche artérielle principale de l'écorce du cerveau ; cette anfractuosité est la vallée de Sylvius (S)
irconvolutions orbitaires (FO2) font suite, sur la face inférieure du cerveau , aux circonvolutions frontales antérieures de la
ne ligne courbe, concave en OLB^OI Schéma 2. — Face inférieure du cerveau . PV, pont de Varóle; ce, corps calleux; FO2, ci
re le chiasma (CH) et le pont de Varóle (PV), la face inférieure du cerveau est fixée à la base du crâne par un prolongement
ptique (Cil), en arrière du nerf olfactif (OL), la face inférieure du cerveau présente une dépression quadrangulaire profonde,
ance annulaire (PV), en arrière, est ce qu'on peut appeler la base du cerveau . Base du cerveau. La base du cerveau comprend
, en arrière, est ce qu'on peut appeler la base du cerveau. Base du cerveau . La base du cerveau comprend toutes les parties
u'on peut appeler la base du cerveau. Base du cerveau. La base du cerveau comprend toutes les parties de la face inférieure
surales qui constituent le raphé. Le schéma 5 représente la base du cerveau , limitée en avant par le bord antérieur du chiasm
nce grise (GS) désignée sous le nom de pyramide Schéma 5. — Base du cerveau . CO, chiasma optique; EPA, espace perforé antérie
corps pituitaire; elle se loge dans la selle turcique et elle fixe le cerveau à la base du crâne. A la partie postérieure du tu
e par une sorte de crochet difficile à voir sur la face inférieure du cerveau , recouvre en grande partie la bandelette optique
ions temporales; c'est elle qui forme la limite externe de la base du cerveau ; c'est elle dont le bord décrit la concavité dont
rcules quadrijumeaux antérieurs. Pour en avoir fini avec la base du cerveau , il ne nous reste plus qu'à signaler deux faits i
n revue les points essentiels relatifs à la configuration générale du cerveau proprement dit. Mais, dans la pratique, et surtou
jamais inconvénient, et il y a presque toujours avantage à diviser le cerveau sur la ligne médiane. D'autre part, il est préf
symétriquement, sur la ligne médiane. Mais d'abord il faut séparer le cerveau proprement dit de la protubérance, à laquelle il
hant on risque de détériorer l'espace interpédonculaire. Lorsque le cerveau est durci, cette ablation devient très facile; et
ner la protubérance au-dessus ou au-dessous de la ligne moyenne. Le cerveau proprement dit une fois séparé du cervelet et du
la section transversale du pont de Varole. Il est même préférable, le cerveau étant placé sur sa convexité, de relever le tronç
e appar-enant soit à la face supérieure, soit à la face inférieure du cerveau , sont visibles à la face externe ou à la face int
(S'). Sylvius (S), qui a déjà été signalée à la face inférieure du cerveau (schéma 2, jDage iv). On la voit aussi bien (sché
e, la plus constante, la plus précoce de toutes les anfractuosités du cerveau . C'est la hgne de repère par excellence dans l'ét
ue, puis à la masse pédon-culaire et aux divers organes de la base du cerveau que nous avons déjà énumérés. Entre le corps call
au que nous avons déjà énumérés. Entre le corps calleux et la base du cerveau se trouve toute une série d'appareils (centres et
ventricules, le ventricule moyen, situé juste au-dessus de la base du cerveau , et dont le cul-de-sac inférieur est représenté,
ans une loge impaire, médiane, immédiatement sus-jacente à la base du cerveau . Cette loge est le ventricule moyen (Fil/); allon
par la coupe interhémisphérique, sont réunis, chacun à chacun, sur le cerveau non divisé, par des fibres cornmissurales dont l'
la cloison, s'amincit progressive- Schéma 11. — Face inférieure du cerveau (d'après Broca). Le chiasma optique a été renve
mmédiatement derrière lui. Quand il est arrivé, de la face interne du cerveau , à l'angle interne de l'espace perforé, il prend
. xrx) est une lame transversale qu'on voit mal ici, sur le profil du cerveau , mais dont on conçoit facilement la forme et les
le pont de Varole et tous les organes qui appartiennent à la base du cerveau : on divise le pédoncule cérébral d'avant en arri
(psalterium). On ne peut bien voir ces fibres qu'en soulevant, sur un cerveau entier, le bord postérieur ou bourrelet du corps
en. § V Circonvolutions cérébrales. Les replis de la surface du cerveau , dont l'ensemble constitue le manteau des hémisph
scissures, les mêmes sillons. Il est bien certain que si l'écorce du cerveau est un sujet d'étude particulièrement difficile
lémentaires ou inconstants, qui n'entrent pas dans la constitution du cerveau schématique, nous avons adopté une notation que n
é la première mise en œuvre. On savait bien cependant que les plis du cerveau chez tous les animaux, y compris les mammifères,
e cérébral dans les différentes espèces de singes, et démontra que le cerveau humain n'est, au point de vue morphologique, qu'u
au point de vue morphologique, qu'un type plus ou moins compliqué du cerveau des anthropoïdes. Les degrés, variables à l'infin
anthropoïdes. Les degrés, variables à l'infini, de la complication du cerveau humain n'empêchent jamais de retrouver les caract
fondamental est, à très peu de chose près, le type simple et fixe des cerveaux d'anthropoïdes. Les différences, suivant les indi
i imprévues qu'il paraît impossible, au premier abord, de réduire tel cerveau d'homme à un cerveau d'orang ou de gibbon; mais s
aît impossible, au premier abord, de réduire tel cerveau d'homme à un cerveau d'orang ou de gibbon; mais si la superposition de
dulations d'une fugue le canevas du thème donné. La comparaison des cerveaux d'anthropoïdes avec le cerveau humain n'a été cep
du thème donné. La comparaison des cerveaux d'anthropoïdes avec le cerveau humain n'a été cependant qu'un moyen d'étude ; et
révélé que des analogies. Il restait à déterminer si, entre tous les cerveaux humains, désormais subdivisés en territoires conn
représentent les faces interne, externe, supérieure et inférieure du cerveau sont à peu près irréprochables. Mais la nomenclat
t à fait insuffisants. Ils représentent, en effet, non pas le type du cerveau humain moyen, mais le type d'un cerveau rudimen-t
en effet, non pas le type du cerveau humain moyen, mais le type d'un cerveau rudimen-taire, et qui n'a même pas son équivalent
d'un cerveau rudimen-taire, et qui n'a même pas son équivalent sur le cerveau du fœtus, attendu que, pour une répartition équiv
oduites dans les Bulletins de la Société d'antliropologic, d'après le cerveau schématique moulé en plâtre par Broca lui-même, s
par Broca lui-même, sont, détestables et indignes de ce recueil. 1 cerveau fœtal, les proportions de l'ensemble sont toutes
rice du membre supérieur, il suffisait de s'en rapporter au profil du cerveau schématique; et cette méthode a rendu des service
t soumise qu'à de très faibles variations. Il n'en est pas de même du cerveau humain; autant de sujets, autant de visages, dit-
sations réciproques dont l'économie sera facile à saisir. § VI Le cerveau schématique. Tous les organes en voie de dévelo
ion spontanée et natu relie de leur état adulte. Il en est ainsi du cerveau . Mais ce moment est difficile à saisir, attendu q
s identique. Cependant, si l'on considère les grandes différences des cerveaux adultes et la difficulté qu'on éprouve à les rame
rconvolutions apparaissent est elle-même variable. Chez tel sujet, le cerveau , à trois mois, ne présente pas trace de plissemen
s différentiels qui, dès le début, manifestent cette individualité du cerveau dans l'espèce humaine, il est préférable d'arrive
llon représentera, dans l'avenir, le sinus du corps calleux. Sur un cerveau de quatre mois et demi, la scissure calcarine (K)
réalité la partie essentielle du lobe occipital à la face interne du cerveau . La scissure occipitale interne, qui le limite en
alaire; Pa, lobule paracentral. lation avec ce qu'on observe sur le cerveau du singe, où le lobe occipital a une autonomie pa
la scissure inter-hémisphérique dans toute la convexité antérieure du cerveau , et qui va, elle aussi, en suivant la convexité,
A la fin du troisième mois et même dans le courant du quatrième, le cerveau est encore dépourvu de plis. Nous avons dit qu'à
T, région sphénoïdale ou temporale. Schéma 18. — Face externe d'un cerveau de fœtus de trois mois et demi (grandeur naturell
e natvu'e). S, vallée de Sylvius se continuant à la face externe du cerveau sous le nom de scissure de Sylvius ; R, scissure
nt à la moyenne, et peut être considéré comme un type approximatif de cerveau schématique. Mais nous ne saurions trop répéter q
e concevoir, même pendant la période embryonnaire, le type parfait du cerveau schématique humain. L'exemple même qu'on a ici so
e. HL, lobule de l'hippocampe. ! Schéma ±i. — F;ice inférieure du cerveau du cehus apella (d'après Broca). être étudiées
ampe à son extrémité antérieure, c'est-à-dire en dehors de la base du cerveau . Le cerveau de certains singes montre cette dis
rémité antérieure, c'est-à-dire en dehors de la base du cerveau. Le cerveau de certains singes montre cette disposition dans
e, autant d'individualités cérébrales que d'individus : il en est des cerveaux comme des visages. D'autre part, s'il est certain
s constituent des anomalies, il n'est pas moins certain qu'il y a des cerveaux anormaux, et même monstrueux. La plupart du tem
ces générales, on risque d'énoncer de graves erreurs. La théorie du cerveau génial et du cerveau criminel est une de ces erre
que d'énoncer de graves erreurs. La théorie du cerveau génial et du cerveau criminel est une de ces erreurs. Édifiée sur le s
es-ci ne peuvent être élucidées que par la méthode des coupes sur des cerveaux durcis. L'écartement des scissures ou des sillons
s cerveaux durcis. L'écartement des scissures ou des sillons, sur les cerveaux frais, ne fournira jamais que des données inexact
us les détails relatifs à la configuration assez exceptionnelle de ce cerveau . Ici encore la circonvolution limbique (C) est ré
2 (A), on remarquera certaines incisures qui ne figuraient pas sur le cerveau fœtal, mais qui, en raison de leur constance sur
as sur le cerveau fœtal, mais qui, en raison de leur constance sur le cerveau adulte, méritent d'être classées parmi les traits
Celle-ci se divise à son extrémité supérieure, de telle façon 1. Le cerveau représenté ci est décrit complètement dans le tex
leur sont sous-jacentes ne subissent, au cours de l'accroissement du cerveau , aucune modification appréciable, ni dans leur fo
qui les entourent peuvent varier à l'infini. Lorsqu'on étudiera le cerveau adulte, c'est donc toujours sur les anfractuosité
'écorce, c'est-à-dire suivant l'amplitude et la direction des plis du cerveau . Nous pouvons, par exemple, désigner par les sign
sent. C'est aussi de celte façon que se fusionnent les ondulations du cerveau , c'est ainsi que disparaissent les anfractuosités
s ; celles-ci interfèrent avec les premières, et ainsi, peu à peu, le cerveau acquiert la conformation accidentée dans laquelle
es coupes. Jusqu'à présent nous n'avons envisagé que les parties du cerveau qui sont visibles à l'extérieur, soit sur la conv
ent plus ingénieuses ont ajouté à nos connaissances sur l'anatomie du cerveau en général. Les méthodes physiologiques, par exem
convenir, est la seule à laquelle on puisse recourir pour l'étude du cerveau de l'homme adulte ; et c'est aussi la seule que p
ie pathologique. Lorsqu'on veut apprendre l'anatomie descriptive du cerveau , il est nécessaire de pratiquer successivement la
er une coupe verticale ou transver sale dans une région profonde du cerveau , déterminée d'avance grâce aux repères de la surf
naires faciliteront la lecture des explications qui vont suivre. LE CERVEAU EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I Les deux
arrière du pôle sphénoïdal (PS). Elle vient de la face inférieure du cerveau , où elle a pris naissance dans l'espace perforé a
vius, à l'endroit môme où la scissure apparaît sur la face externe du cerveau . Par conséquent, elle limite en arrière le désert
omme un U renversé. Elle forme avec la branche hori FACE EXTERNE DU CERVEAU . zontalc un V, ouvert en haut en avant et en de
r (prs) où il riait, jusqu'au voisinage de la convexité antérieure du cerveau ; là il est interrompu par le pli d'anastomose mo
n pariétal transverse représente la terminaison, à la face externe du cerveau , d'un sillon qui prend naissance à la face-intern
du lobule pariétal supérieur (P's). Elle est ici, comme sur tous les cerveaux , placée en arrière de l'extrémité supérieure de R
face interne de l'hémisphère qu'on peut étudier comme appartenant au cerveau schématique. Figure 1. L'hémisphère droit a é
sition un peu différente de celle qu'on décrit ordinairement dans, le cerveau schématique. Cette disposition cependant s'observ
rieure de la calcarine. On ne s'en rend exactement compte que sur les cerveaux frais et étalés (voy. pl. Vlll, TiO^). 0^ Le lo
jamais et elle figure à tort parmi les circonvolutions occipitales du cerveau humain. En avant elle se confond sans transition
vo- lutions occipitalfis {0\ 0^) dans l'étude do la face interne du cerveau schématique. Figure 2. Ici l'hémisphère céréb
par une petite rigole, toujours facile à reconnaître en examinant le cerveau par sa face inférieure. PLANCHE 111 FACE EXTE
E DE L'HÉMISPHÈRE Figure 1. face externe d'uN hémisphère droit ( Cerveau durci dans le bichromate d'ammoniaque et dépourvu
i l'on cherche à rapporter le type cérébral représenté ici au type du cerveau schématique. Comme toujours, les principales va
la constitution de cette écorce d'une façon plus conforme au type du cerveau schématique. On peut, par exemple, admettre que
hémisphère que nous étudions, rien qui ne soit absolument conforme au cerveau schématique. Mais on conviendra que cela est peu
deux figures de cette planche représentent les deux hémisphères d'un cerveau remarquable à beaucoup d'égards^ et qui permet en
er la constance des compensations que nous avons déjà signalées. 1. Cerveau d'ivau Tourgueneff. xLP. Le pli d'anastomose pa
Ce qui frappe d'abord, c'est la dolichocéphalic extraordinaire de ce cerveau : elle semble d'autant plus prononcée que le lobe
ur la figure 1 de cette planche. C'est pour la môme raison que sur le cerveau en question (fig. 1), les trois cii'convolutions
s un cas semblable, figurer la lésion sur la représentation exacte du cerveau lui-même. p. Le sillon pariétal est continu, de
trois figures de cette planclie représentent la face interne de trois cerveaux durcis dans le bichromate d'ammoniaque. Ces cer
terne de trois cerveaux durcis dans le bichromate d'ammoniaque. Ces cerveaux appartenaient à des sujets parfaitement sains d'e
grandes difficultés si l'on voulait les: rapporter au type convenu du cerveau schématique. Il suffit dej comparer l'écorce de c
igure 1. face interne d'uN hémisphère gauche ' La face interne du cerveau que cette figure représente est celle qui se rapp
u-dessus de l'extrémité antérieure du lobe frontal, alors que, sur le cerveau schématique, il occupe exactement cette extrémité
veau du bord supérieur de l'hémisphère, ainsi que cela se voit sur le cerveau schématique. Le sillon pariétal transverse (pt) n
le devrait en avoir une primordiale si elle était conforme au type du cerveau schématique. C'est à peine si elle sépare le gyru
înées et subordonnées les unes aux autres, que le type schématique du cerveau est rarement réalisé ; mais, d'autre part, qu'il
la difficulté qu'il y aurait à localiser des lésions en foyer sur des cerveaux si disparates serait insurmontable, si l'on se bo
rnait à indiquer leur siège sur un dessin schématique représentant le cerveau type. Pour localiser avec une certaine précision
face interne de l'hémisphère une surface d'autant plus limitée que le cerveau est plus volumineux. Chose curieuse, on peut fa
, plus est réduite la surface de section du chiasma (CE). Les trois cerveaux représentés sur cette planche appartenaient à des
R. La scissure de Rolande empiète fortement sur la face interne du cerveau ; en général, elle ne fait qu'entailler son bord s
t le bord supérieur de l'hémisphère et empiète sur la face externe du cerveau , pour compenser la faible étendue du sillon parié
e branche du premier sillon occipital (oj venue de la face externe du cerveau . Cette branche représente un tronçon du sillon du
INTERNE d'uN HÉMISPnÈRE GAUCUE Nous avons reproduit ici un type de cerveau très compliqué et cependant très conforme au type
de la face interne semble donc réduit à la disposition élémentaire du cerveau fœtal, qui consiste, pour toute la région fronto-
al, qui consiste, pour toute la région fronto-pariétale, en deux 1. Cerveau de TourRueuelF. On notera que la région frontal
orrespondent aux tronçons disséminés du petit sillon métopique sur le cerveau schématique. PEA. Le pentagone ou ourlet antéri
u mode de préparation de l'hémisphère reproduit sur la figure 2. Le cerveau étant appliqué sur sa face convexe, on relève la
connaît au-dessous et en avant du , splenium du corps calleux, sur un cerveau frais et préparé de la \ façon que nous avons ind
C). PLANCHE IX FACE INFERIEURE DU CERVEAU La face inférieure du cerveau est celle où il est souvent le plus difficile de
e rapports, qu'il est possible d'appliquer aux circonvolutions de ces cerveaux la nomenclature du type schématique. Mais nous ré
ntale (F*). Cette circonvolution (GR) va de l'extrémité antérieure du cerveau , où l'on distingue le sillon rostral {SB), jusqu'
ette vallée de Sylvius gagne le bord externe de la face inférieure du cerveau , où elle prend le nom de scissure de Sylvius {S')
té du deuxième sillon temporal {Q ou occipito-temporal [ot^). i. Le cerveau étant i)lacé ici sur sa face convexe, le lobe de
lon (oL). Mais la séparation n'est qu'apparente: à la face externe du cerveau , la troisième temporale (ï^) se continue avec la
ière circonvolution frontale (F'). Figure 2. face inférieure d'un cerveau * Ce qui précède nous dispensera d'insister sur
paux, r On remarquera d'abord la grande analogie des deux lobes 1 ¦ Cerveau de Gambetta. Une étude détaillée de ce cerveau a
e des deux lobes 1 ¦ Cerveau de Gambetta. Une étude détaillée de ce cerveau a été publiée par JIM. Mathias Duval et Ghudzinsk
notera d'ailleurs que son extrémité antérieure présente, comme sur le cerveau schématique, une bifurcation à branches transvers
avec 1(; gyrus rectus (GR), s'étend depuis l'extrénrité antérieure du cerveau jusqu'à l'encoche profonde qui correspond à la va
e plus aisément les détails des surfaces de section qui, sur d'autres cerveaux , sont infiniment plus compliqués. Cette dispositi
d en arrière jusqu'au voisinage de l'écorce. Sur un grand nombre de cerveaux dont on pratique les sections verticales en série
up préférable d'étudier les coupes verticales de cette région sur des cerveaux dont le ventricule occipital se prolonge très loi
cas où les méninges auraient été préalablement décortiquées. Sur les cerveaux pourvus de leurs membranes cette présomption elle
ivant des plans parallèles à la calcarine. Cela peut se faire sur des cerveaux frais. On arrivera toujours ainsi à tomber sur un
le qui représente la cavité virtuelle du ventricule ; et sur certains cerveaux , on verra cette fissure atteindre l'écorce ou ne
E OCCIPITAL Cette coupe présente des aspects variables, suivant les cerveaux , c'est-à-dire suivant que la cavité du ventricule
ise du pôle occi- ' pital. Des coupes faites sur un grand nombre de cerveaux au même niveau que celles-ci, démontrent que la r
i à ce qu'on observe le plus souvent sur les coupes de n'importe quel cerveau faites au môme niveau. Les sillons ont une grande
cissure perpendiculaire interne (voy. sCw, pl. II, fig. 1, où, sur un cerveau frais, on voit la pénétration de cette scissure d
ment, dans toute son étendue antéro-postérieure, le bord inférieur du cerveau , depuis le pôle occipital jusqu'au voisinage du p
ant le bord inférieur de l'hémisphère. A l'extrémité postérieure du cerveau , la substance blanche se compose surtout de fibre
ent représenté ici (FCF), qui vient de la région antéro-inférieure du cerveau : c'est le faisceau compact du fornix. Celui-ci s
rtuellement, jusqu'à la substance grise de l'extrémité postérieure du cerveau ; nous savons que, quand elle ne se présente plus
onvolutions adjacentes, mais aussi selon la dilatation progressive du cerveau , de la partie postérieure à la partie moyenne.
econnaît facilement cette convexité du plancher ventriculaire sur les cerveaux frais, en arrière et en dehors de l'ergot de Mora
ondre avec le faisceau compact du fornix. Mais sur presque tous les cerveaux , la disposition figurée ici se retrouve avec luie
nt des fibres qui s'incurvent seulement dans la région postérieure du cerveau . Si cette couche manque dans une région plus anhî
retrouverons plus eu avant dans une grande partie de la longueur du cerveau , jusqu'au genou du corps calleux. Elle forme la l
verticalement, au milieu du centre ovale vers la partie inférieure du cerveau . Là, juste au contact du faisceau sensitif, il ch
es; on s'en rend compte facilement, quand on casse des fragments de cerveau durci, au voisinage de la corne postérieure. Pres
ion connue depuis longtemps et qui saute aux yeux lorsqu'on casse des cerveaux durcis dans une solution trop concentrée d'acide
de l'hémisphère (fîg. 41, T3), un nouvel aspect de la face interne du cerveau nous est représenté par la section de la couche o
séparent les couches blanches et qui sont visibles seulement sur les cerveaux durcis, représentent les couches de fibres antéro
irmer, soit pour l'infirmer, car nous n'avons jamais étudié encore de cerveaux dépourvus de corps calleux. Il est certain, en to
e bord externe de ce faisceau se termine par une crête aiguë. Sur les cerveaux frais la crête représentée ici donne insertion à
elleux supérieur (Pcs), facilement reconnaissables sur les profils du cerveau de la planche 5, figures 2, 3 (Lm). Elles sont' t
t épaissie : c'est un fait qu'on peut constater souvent, môme sur les cerveaux frais. tec. La lamina tecta (fig. 71) s'étale à
bres qui ne réunissent pas des parties homologues des deux moitiés du cerveau . C'est un mélange de fibres venues d'un étage sup
la désignation de noyau rouge, généralement usitée en France. Sur les cerveaux durcis dans l'alcool ou dans les solutions de chr
s d'ailleurs s'attendre à rencontrer cette particularité sur tous les cerveaux dont on fait les coupes vertico-transversales en
aisceau le plus interne du pied du pédoncule, k la face inférieure du cerveau , c'est ce faisceau qui limite en dehors l'espace
s de la racine intérieure du thalamus (ThI). L'observateur regarde le cerveau par sa face supérieure; la projection de la figur
entre la couche optique et le noyau lenticulaire. Lorsqu'on étudie le cerveau sur les coupes vertico-transversaies, il est très
e inférieur (c'est-à-dire qu'elles passent au-dessus de cet étage, le cerveau étant replacé dans sa situation normale). Mais el
ar il ne peut être question ici que d'hypothèse en ce qui concerne le cerveau humain) est de beaucoup la plus vraisemblable.
anchent par leur couleur blanche sur la substance grise de la base du cerveau à la surface de laquelle elles proéminent. Elles
le tubercule mamillaire, adjacent à la substance grise de la base du cerveau (SG), recevrait le pilierdes-cendant de la voûte
cielle qu'on a appelée Yanse pédonculaire de Gratiolet. Lorsque, le cerveau étant placé sur sa convexité, on soulève la bande
de ce mot. Le noyau de l'anse, comme toutes les couches de la base du cerveau , décrit une courbe à convexité supérieure. Les co
d du pédoncule. Comme on peut le constater à l'extérieur sur tous les cerveaux dont on étudie la base, elle est presque tangente
ule externe (fig. 114). Mais cette Profil de l'hémisphère gauche du cerveau où l'on voit par transparence le trajet du fascic
sous de la commissure antérieure, lorsqu'on manie sans précautions un cerveau frais. C'est là que se perdent les fibres médiane
. Tel est le cas (très fréquent d'ailleurs) qui s'est présenté sur le cerveau que nous étudions actuellement. Mais la commiss
es anatomistes qui ont étudié de près la commissure antérieure sur le cerveau humain ont cherché à suivre le trajet de ses fibr
un canal lymphatique périvasculairc, dont l'origine théorique sur le cerveau adulte, et réelle sur le cerveau embryonnaire, es
irc, dont l'origine théorique sur le cerveau adulte, et réelle sur le cerveau embryonnaire, est une gaine de l'artère lenticulo
ed du septum lucidum dont nous avons étudié le trajet à la surface du cerveau (voy. Introd.) provient de la partie la plus infé
que la partie superficielle du bec, celle qu'on aperçoit, lorsque, le cerveau étant placé sur sa convexité, on écarte les deux
olonge à la surface de l'espace perforé, c'est-à-dire à la surface du cerveau , tandis que le bec du corps calleux s'insinue dan
anches suivantes) sont de plus en plus rapprochées de la convexité du cerveau . Les détails de l'écorce se lisent à première v
en avant en dehors et en haut, dans la substance grise de la base du cerveau . NC. Le noyau caudé, sur la figure 1, est presq
c presque impossible de le reconnaître sur les coupes horizontales du cerveau qui passent exactement par la face inférieure du
de tietteté sur toutes les coupes pratiquées dans la môme région. Tel cerveau présente des faisceaux remarquablement compacts e
s avec le noyau caudé (NC) et avec la substance grise de la base du cerveau , qui s'arrête au niveau du passage du faisceau d'
Elles sont destinées à faciliter l'orientation dans les autopsies du cerveau où il est, par exception, impossible de pratiquer
du ti-actus olfactif en avant. Cela s'observe également sur certains cerveaux d'homme ; nous l'avons même vue dépasser cette li
te limite. PLANCHE XL COUPES HORIZONTALES PAS.SANT PAR LA BASE DU CERVEAU Les cinq figures de cette planche sont destinée
7 et 8 de la planche XLI. PLANCHE XLII j SECTIONS CONVERGENTES DU CERVEAU DANS LE PLAN VERTICO-TRANSVERSAL Les quatre fig
sceau inférieur du forceps (FOi). La coupe de la figure 2 divise le cerveau en avant du lieu où se confondent et se continuen
, 301 Base de la corne d'Ammon (BAM).............. . 45(5 Base du cerveau ...................... v Bec du corps calleux (c
12 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
52, p. 28; n" G'r, p. 360, n" 5p, p. 78 et 167. LES FONCTIONS DU CERVEAU . ' 25 tout ce qui lui est nécessaire pour croît
rgique de toutes ou de presque toutes les activités élémentaires du cerveau , on n'est plus tenté de la localiser dans une r
linico. Archiv. Val, per le mal. nerv., 1886, 355. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 27 liéné, me paraît avoir été bien étudié par
ablit un rapport direct entre le développe- ment de chaleur dans le cerveau et l'activité intellec- tuelle '. » Herzen ap
suscitées par les im- pressions des sens dans la substance grise du cerveau , et qui constituent l'activité psychique, ne so
normale et pathol., 18(i9- 70 : - 1870, 451. 1. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 29 montra fort bien que les faits allégués par
con- disions physiques de la conscience, p. 19. LES FONCTIONS DU CERVEAU . ' 3t. nèse centrale réduite au minimum. La rép
l'activité des centres de la moelle épinière, du mésocéphale et du cerveau . Ajoutons que, depuis les récents travaux de St
e, l'histoire même des destinées des fonc- tions les plus hautes du cerveau lui-même. L'homme serait-il, sans la conscience
avoir la vive conscience de chaque caractère iso- LES FONCTIONS DU CERVEAU . - 33 lément; le mathématicien ne concevrait mê
2° une limite, également absolue, posée à la perfecti- bilité du cerveau humain. Dans les deux cas, la conscience finira
sus d'oxydation dans les éléments nerveux de l'écorce. « Dans les cerveaux atrophiés de ces malades, qui ne vivent plus qu
de a conscience des événements internes et ex- ternes, et, dans son cerveau , se fixent des représenta- tions mentales corre
Padoue (1888). - lteu. scieittif., 27 avril 1889. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 37 tence entre les représentations de l'intell
servent d'issue aux états d'excitation, aux décharges motrices du cerveau . » Ces mouvements peuvent être acquis ou congén
mouvement, comme dans l'agitation maniaque et les LES FONCTIONS DU CERVEAU . 39 affections convulsives de certaines phrénop
rée que toute fonction supérieure d'inhibition est éteinte dans ces cerveaux en ruines. Dans cet ordre de recherches encore,
sont sums (l'une prompte résolution musculaire. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 41 sommet des courbes de ses tracés, la mobili
I Coiii. frenlutr. itnl. In novara. Set t. 1889. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 43 l'excitation d'un centre quelconque de l'éc
eil, une représentation motrice, consciente ou in- LES FONCTIONS DU CERVEAU . 45 consciente, constituée par des images tacti
ents d'articulation perceptibles seulement pour le LES FONCTIONS DU CERVEAU . 4< malade, ou des mouvements réels, mais to
e. Or si une irritation pathologique d'un centre fonc- tionnel du cerveau , tel que celui de l'articulation, ou de l'hypog
ns sur les rapports de la circulation du sang avec les fonctions du cerveau comptent, on le sait, parmi les plus solides et
t et plus petit, diminue de volume, tandis qu'augmente le volume du cerveau , par suite d'un afflux de sang plus considérabl
g plus considérable, ont établi qu'il n'en va pas autrement pour le cerveau qui tra- vaille que pour le muscle qui se contr
y afflue en plus grande quantité'. Et l'aug- mentation de volume du cerveau dans ces circonstances ne dépend ni des modific
n sanguine plus active et plus abondante de la substance grise du cerveau . La circulation éveille et entretient l'activit
re générale. C. IL de la Soc. de biol., 1884, 265. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 49 les poussées et les émotions, modifiant à c
sseaux de l'avant-bras et une augmentation d'afflux du sang dans le cerveau de l'individu endormi ; au réveil, il n'a aucun
e sommeil normal, les stimuli externes, en réveillant l'activité du cerveau , provoquent un afflux plus considérable du sang
éral, toute perception est suivie d'une augmentation du volume du cerveau : celle-ci est en raison directe de l'inten- si
ezioni simplici. - Archiv. di psychiatria, 1884. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 51 des effets que comme des causes de l'activi
erches thermo-électriques de Tanzi sur les variations thermiques du cerveau pendant les états émotifs, ne continuent pas se
il, un produit de l'énergie mécanique ou chimique. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 53 Ils sont encore moins une force, car s'ils
avail musculaire; l'équation est la même pour le muscle que pour le cerveau . « On pourrait évaluer, avait écrit Lavoisier,
orces. Rev. scientif., 19 févr. 1887, XIII, 237. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 55 toute la portée des recherches thermo-élect
toute la portée des recherches thermo-électriques de Tanzi sur le cerveau , les physiologistes français ne se sont pas bor
tier, j'entends ce qui a trait aurefroidissement du mus- cle ou du cerveau actif, et ilsy ont répondu. Mais quel- ques mot
avoir été beaucoup plus émus qu'on ne l'a été, de LES FONCTIONS DU CERVEAU . 57 ce côté-ci des Alpes, par cette conception
ention sur les phé- nomènes produits par l'excitation électrique du cerveau des singes et plus spécialement observés dans m
iqués dans leur diagramme (fig. 4). La région correspondante sur le cerveau du chien se trouve au numéro 12 (fig. 5. On ne
llement en mouvement le pouce (fig. 4). La région correspondante du cerveau du chien est celle indiquée par les numéros 4 e
ère du sillon de Roiando (fig..7). La région correspondante dans le cerveau du chien, relativement plus LES LOCALISATIONS C
r- fois, elles sont contractées. La région correspondante dans le cerveau du chien est indi- quée par 13 (fig. 5) sur la
l'excitation postérieure de la troisième circonvolution externe du cerveau du chien (14 fig. 5) et aussi chez le chat (fig.
, et il est évident, en comparant les centres correspondants sur le cerveau du singe, du chien, du chat, du lapin, qu'il y
ils sont en relation. Existe-t-il un complet parallélisme entre le cerveau du singe et celui de l'homme ? c'est là une quest
vant l'excitation respectivement des Fig. 5. - Hémisphère gauche du cerveau d'un chien. 1, Le membre posé ou wuacé. -.t, 3.
plis courbes eux-mêmes. Je vous ai montré ici une photographie d'un cerveau de mes premieis animaux en expériences Les deux
menus sur le parquet ? Je vous montre ici aussi la photographie du cerveau d'un singe chez lequel le lobe occipital gauche
V, VI. l'lt. Trans., vol. Il, 1881. Fig. 6. - Hémisphère gauche du cerveau d'un chat. t. avancement du membre antérieur op
mais il est inutile pour moi ici de citer les résultats. L'état du cerveau est donné dans les figures 24 a et 24 b. une re
nférieure de l'hémisphère (p. 35). » Fig. 7. - Hémisphère gauche du cerveau d'un lapin. 1, avancement de la jambe antvicure
upposé que les fibres unies à l'écorce des parties environnantes du cerveau et spécialement du pli courbe peuvent être coup
ssi l'hémiopie peut être persistante. Voici une représentation d'un cerveau dans les expériences de Btown et Schfefer. L'op
recherches physiolo- points circonscrits de ramollissement dans le cerveau . En particulier, il y avait une petite zone qui
tous les trousseaux défibres qui partant des régions antérieures du cerveau traversent toute la capsule interne occupent le
sphère par le remplacement de l'autre, ce qui n'a pas lieu pour des cerveaux ordinaires. II invoque aussi une disposition pa
physique et d'un surmenage quelconque. 3° Un homme bien portant, à cerveau robuste, demeurera toujours indemne. La preuve
normal, les léflexions ou la lecture provoque dans les cellules du cerveau chargées des images verbales, la genèse des mots
esurait 75 centimètres. Il mourut d'accidents du décubitus. Type du cerveau hydrocéphale à l'excès. - 118 REVUE DE PATHOLOG
nctions organiques, celles-qui réagissent le plus facilement sur le cerveau sont les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 121 fon
e généralisée des méninges à la couche corticale et une atrophie du cerveau avec accompagnement des lésions que l'on rencon
intercurrente, on rechercha la quantité de ce sel contenue dans le cerveau et dans le foie. Dans le cerveau, on en trouva
uantité de ce sel contenue dans le cerveau et dans le foie. Dans le cerveau , on en trouva lsr, 934, et dans le foie 0 ,72.
de l'onde menstruelle sur l'évolution des affections psychiques du cerveau . L'orateur rapporte une série d'observations de
ose. M. Edinger (de Francfort). De quelques systèmes de fibres du cerveau moyen.-En cherchant, il y a deux ans, les système
eau moyen.-En cherchant, il y a deux ans, les systèmes de fibres du cerveau antérieur communs à tous les vertébrés, M. Edinge
êmes matériaux lui ont révélé des faits intéres- sants à l'égard du cerveau moyen. Ces faits, les voici : Le toit du cervea
sants à l'égard du cerveau moyen. Ces faits, les voici : Le toit du cerveau moyen est partout représenté par une lame épais
ons osseux et les oi- seaux, elle entoure des deux côtés la base du cerveau d'une sorte de coupe qui s'étend jusqu'à la bas
entre-croisées des territoires cérébraux immédiatement adjacents au cerveau moyen. Mais la plus grande partie de la commiss
colle une certaine épaisseur. Seule la commissure occupe le toit du cerveau moyen; ses SOCIÉTÉS SAVANTES. 137 " branches
nnent du toit. Pratiquons une coupe antéro-postérieure à travers le cerveau d'une larve d'amphibie, de celle de l'axolott,
cellules ner- veuses et de la névroglie qui sont contenues dans le cerveau moyen donnent surtout naissance à deux systèmes
tiques viennent d'arrière en avant gagner la région anté- rieure du cerveau moyen et descendent à la base dans le chiasma L
i. Tous les vertébrés possèdent une substance blanche profonde du cerveau moyen ; chez tous, c'est le premier système de fi
ne et descendent on ne sait où. 138 SOCIÉTÉS SAVANTES. Le toit du cerveau moyen contient aussi une commissure de fibres f
fibres entre- croisées de la substance blanche profonde du toit du cerveau moyen chez l'homme (entre-croisements de la cal
aire de pus envelop- pant des deux côtés la base et la convexité du cerveau et du cer- velet ; la suppuration provenait d'a
isposition d'une pile galvanique ; de l'étendue de la superficie du cerveau , qui serait plutôt en rapport inverse du dévelo
ait au délire ambitieux dans les affections orga- niques locales du cerveau et les maladies de la moelle, lequel est rattac
signaler la découverte des rapports entre la coloration ardoisée du cerveau dans la paralysie générale et les escharres du sa
des déments paralytiques; un troisième, relatif à une altération du cerveau , caractérisée par la séparation de la suhs- tan
la stéatosedu coeur, représentent les localisations sur le rein, le cerveau et le coeur. On lira avec intérêt, dans le même
e G. Gounouilhou. Charcot (J.-M-). Hémorrhagie et ramollissement du cerveau , métal- loscopie et veétallolhérapie, tome IX d
à des absences de nerfs olfactifs dans des cas de malformation du cerveau (cyclopes particulièrement). « L'absence des nerf
osition est très importante à connaître, parce qu'elle distingue le cerveau de l'homme d'avec celui des quadrupèdes en géné
découvert la face inférieure du splénium du corps calleux, dans le cerveau de diffé- rents animaux, comme : chien, chat, r
Mais, dans tous les examens de cette région, que j'ai faits sur des cerveaux frais, j'ai toujours vu la terminaison de la ba
autre passage où il invoque l'em- bryogénie, il dit, à propos d'un cerveau 'de foetus de 4 mois : « On voit la fascia dent
n genou, où elle ne se terminerait pas encore. Mais dans quelques cerveaux convenablement préparés, on pourrait la suivre
e natation, saut, jeu de divers instruments) s'organisent dans le cerveau et dans la moelle. M. Charcot compare volontiers
hale ou, au contraire, dans la moelle'. M. Charcot a observé que le cerveau n'a besoin que de peu de fibres pour mettre en
1, p. 360; n° 58, p. 78 et 167 : n° 61, p. 24. , LES FONCTIONS DU CERVEAU . 2Ë1 telle qu'elle existait avant les recherche
édit., Paris, 1880, I, p. 550-551. Cf. Il,69 sq. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 223 Dans leurs observations thermo-galvanométr
ation. C. Il. de la Soc. de biologie, 14 mai 1887. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 22S ment du corps de l'animal, par l'effet de
re la chaleur dans le muscle. Il restait à démontrer que, pour le cerveau qui tra-, vaille, il n'en va pas autrement que
de l'organe. Ainsi, en face des observations d'hyper- thermie du cerveau actif, si bien étudiées par Schiff, se dressaie
nne, en contact avec les méninges, par conséquent à la surface du cerveau , sans pénétrer dans la substance cérébrale elle
riences de Schiff et de Corso. Comme les variations thermiqnes du cerveau actif ne dépendaient, pas plus que dans les exp
es expériences de Schiff, de la circulation générale ou locale du cerveau , il ne restait qu'une hypothèse à ' Tanzi. - Ri
du professeur Luciani, avec l'aide de Dario Baldi. LES FONCTIONS DU CERVEAU . z21- faire : .ces oscillations alternatives de
e d'une suite d'explosions ner- veuses. Que le travail positif du cerveau repose, comme celui du muscle, sur des processu
sus d'intégration. L'hypo- thermie représente le travail positif du cerveau , la mise en liberté de l'énergie actuelle; l'hy
velle énergie potentielle. Ces expériences sur la tem- pérature du cerveau actif sont donc en parfait accord avec celles d
lations ther- miques du muscle en travail : le refroidissement du cerveau , pendant la phase de travail positif, corres- p
roduction du travail fonctionnel correspond un re- froidissement du cerveau , suivi d'une élévation de tem- pérature enrappo
ettriche sulla corteccia cérébrale, p. 32 et 38. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 229 9 phénomènes observés étaient de nature ém
s étaient de nature émotionnelle, et les oscillations thermiques du cerveau étaient « le substratum physique d'une émotion,
, et non d'une sen- sation. » Ajoutez que, quel que fût le point du cerveau directement exploré,- lobes frontaux, pariétaux
s expériences, cette température étant celle des méninges, celle du cerveau devrait être plus élevée encore, on ne peut s'e
un bouchon. Il est clair que s'il a réussi dans sa manipulation, le cerveau , en s'abaissant dans le crâne, doit s'éloigner
i ipnotizzati, - Riv. di filos. scienlif., 1888. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 231 ces nouvelles recherches thermo-électrique
pérature épicranienne correspondent-elles en réalité avec celles du cerveau , et dans quelle me- sure ? 7 Suivant Schiff,
us-cutané : il ne s'agirait pas d'une élé- vation de température du cerveau , mais d'un phéno- mène vaso-moteur dû à des inf
ano-Torino, 1886, p. 7. 232 PHYSIOLOGIE. , température interne du cerveau : ce phénomène est dû non seulement à- la condu
es variations de la circulation à la fois dans la tête et dans le cerveau . Quoi qu'il en soit, Tanzi et Musso ont institu
es frontaux, un travail plus intense que dans les autres parties du cerveau , et si les variations de la température y sont
iste à cet égard aucune différence entre les différentes régions du cerveau : c'est que des émo- tions provoquées par des m
es signes atténués des oscillations thermiques corres- pondantes du cerveau , démontrent que, dans l'activité cérébrale auss
tra sans doute que, après celle des localisations fonctionnelles du cerveau , dont l'importance théorique et pratique demeur
. CONCLUSION 1. La doctrine des localisations fonctionnelles dn cerveau , telle qu'elle résulte de l'ensemble des travaux
ment les uns dans les autres. Il suit que les diverses fonctions du cerveau sont si intimement reliées entre elles, qu'il e
maux inférieurs : les centres fonctionnels du cer- LES FONCTIONS DU CERVEAU . 237 veau humain ont des limites bien mieux déf
ieraient profondé- ment son caractère (Luciani). 111. L'écorce du cerveau est le siège des fonctions psychiques les plus
au diffus, constitué par les ramifications ultimes LES FONCTIONS DU CERVEAU . 239 9 des cylindres-axes des deux espèces de f
ravail positif, un refroidis- sement appréciable de la substance du cerveau comme de celle du muscle, suivi, dans la phase
température. XII. Ces variations successives de la température du cerveau en travail constituent de véritables oscilla- t
onde circonvolutions externes. Quant à la sphère audi- tive dans le cerveau du singe, il suppose - car il ne parait n'avoir
ticali, 1879. ' Sur les localisations sensorielles dans l'écorce du cerveau (bain, 1885, p. 154). 252 ) PATHOLOGIE PHYSIO
médecine, février 1882. Fig. 21. 254 PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. cerveau à l'autopsie, font penser que les destructions de
ux. Milles4 rapporte le cas d'un homme sourd depuis trente ans ; le cerveau , autrement normal, présentait une atrophie exte
eux circonvolutions temporales supérieures. Broad- bent 5 décrit le cerveau d'une femme sourde-muette chez laquelle, en plu
du côté opposé de la moelle, les tractus sensitifs montent vers le cerveau . Les expériences de Ludwig et Woroschilotf3 parai
éreuse gauche, del'endocardite et delà myocardite chro- nique. Le cerveau ne présente pas de lésions macroscopiques manifes
es que les glo- bules blancs, et ressemblant plutôt aux cellules du cerveau d'un embryon de cinq à six mois, siègent de pré
résumé : 1° Le plomb agit directement comme agent toxique sur le cerveau ; dans ce cas on observe : des symptômes générau
Contribution A l'anatomie pathologique DE la GLIOSE DE l'écorce du cerveau ; par M. BUCHHOLZ (Arch. f. Psych., XIX 3.) Des
, M. Scliroeter conclut que c'est la soudure anormale de la laux du cerveau de l'embryon avec les éléments conjonctifs de la
tique général, chaque année de maladie enlève 20 grammes environ au cerveau ; celte diminution de poids commence par le lob
et respecte le lobe frontal. Dans tous ces cas, la moitié droite du cerveau continue à peser davan- tage que la moitié gauc
n- tage que la moitié gauche. Tableaux nombreux. P. K. IX. Sur LE CERVEAU d'un aphasique : par H. Schlass. - (Jahrbùch. f
raccourcissement du diamètre occipito-frontal et la compression du cerveau dans le même sens. Il en est résulté une contusio
es qui sont incontestablement dépassées chez les criminels. Mais le cerveau ne suit aucunement la marche du développement d
fùi- Psychiatrie, intitulé : Recherches sur LES relations ENTRE LE CERVEAU ET L'ALIÉNATION MENTALE A LA LUMIÈRE DE SIX enc
ec le cervelet. Il est probable qu'il est aussi en relation avec le cerveau par le noyau interne de l'acoustique, à l'aide
bli une synthèse bibliographique, l'auteur signale qu'il a, dans le cerveau et la moelle des animaux précités, trouvé quant
e moins abondante est celle des cellules de la substance blanche du cerveau , qui sont évidem- ment de nature conjonctive. E
.1. (Neurol. Centralbl., 1890.) La substance grise, à la surface du cerveau , affecte une épaisseur constante suivant l'espè
olide envisagé. Or, quand un solide s'accroît, ce qui est le cas du cerveau , sa surface augmente comme le 'carré du rayon,
ales et cérébelleuses n'ont pas d'autre origine. Plus la surface du cerveau est grande et plus le volume est petit, plus nomb
mince, plus nombreuses sont les circonvolutions, c'est pourquoi le cerveau des cétacés est si riche en volutes; c'est auss
aussi pourquoi le cervelet est si plissé et plissé plus tôt que le cerveau . Les animaux à cerveau lisse présentent les mêm
elet est si plissé et plissé plus tôt que le cerveau. Les animaux à cerveau lisse présentent les mêmes considérations. La
lules cérébelleuses, et, de là, aux cellules de l'écorce motrice du cerveau , avec lesquelles elles sont en rela- tions. Les
t connus. De sorte que le concept de la situation est transmis au cerveau et réglé par le lobe cérébelleux moyen. Le lobe m
es pulsations et dé- termine la congestion du système nerveux et du cerveau . Elections pour 1891. Sont élus : Vice-Présiden
a moelle dorsale, toute la coupe transverse est prise. Le bulbe, le cerveau tout entier et les nerfs optiques sont aussi fo
atre ans; 2° d'une hydrocéphale de dix-sept ans dont le crâne et le cerveau sont soumis à l'examen de la Société. Ce dernier
'autres foyers pathologiques dans les régions telles que la base du cerveau , par exemple, où le diagnostic est incer- tain
toujours le sujet plus ou moins malade et parfois même attaquent le cerveau . Ceci, Lectrices, Lecteurs, pour votre gouverne
t successivement appliqué à l'ana- tomie normale et pathologique du cerveau , à la physiologie des syndromes de la folie, à
es sur la structure de la couche corticale des circonvo- lutions du cerveau (1840) sont classiques; c'est un travail auquel l
le développement de l'intelligence) et sur le mode de formation du cerveau (1848). Baillarger a traité avec succès de la C
lérose de la substance blanche superficielle des circonvolutions du cerveau dans la paralysie générale. Sur une altération du
utions du cerveau dans la paralysie générale. Sur une altération du cerveau caractérisée par la séparation de la substance
servées chez des déments paralytiques (1858). - Du poids comparé du cerveau et du cervelet dans les démences paralytiques (
les démences paralytiques (1886). - De la coloration ardoi- sée du cerveau dans la paralysie générale et de ses rapports ave
tiques. Du délire ambitieux de ces affections organiques locales du cerveau et des maladies de la moelle (1881). - De la fo
Camphre sous le ne ? Des habits... Monsieur Binet, j'ai un rhume de cerveau ... Non, écoutez, ça me porte à la tête... ça cons
ues et pathologiques semblent montrer que dans leur trajet jusqu'au cerveau à travers la moelle et la protubérance, les cor
d'hémorrhagie secondaire. Une série de sections microscriques du cerveau ont montré qu'à l'exception des blessures décrite
ne opération sur l'hémisphère gauche. - La figure 422 représente le cerveau d'un animal chez lequel les deux tiers antérieu
t quinze jours après l'ani- mal fut tué. La figure 43 représente le cerveau d'un singe chez lequel la partie postérieure de
à la circonvolution de l'hippocampe. Beauregard' le place dans le cerveau de la baleine à l'extré- mité du lobe temporal
ieur à Tuncus et Zuckerkand 2 lui assigne une même position dans le cerveau du dauphin. Je suis porté à croire, au point
ieure du lobe tempora-phénoidal (+ fig. 31). C'est très net dans le cerveau du chimpanzé que je vous montre ici. Ce qui fait,
tion du corps calleux, est particulièrement bien développée dans le cerveau des cétacés, chez lesquels le sens du goût est
que j'ai faite de la corne des- cendante du ventricule latéral d'un cerveau de marsouiu. Cette corne se continue avec l'ext
eines possèdent un hippocampe absolument aussi large que celui du cerveau humain, mais je suis porté à croire que l'hippoca
e marsupial and Monotremata. 1885. Fig. 32. Section frontale du cerveau du kangurou (macropus major), d'après Flower.
hiv. sur Psychiatrie, BanrlIIX. ! Fig. 33. Section horizontale du cerveau de la taupe au niveau de la commissure antérieu
réunissant les hippocampes. C'est ce qu'on voit claire- ment sur le cerveau du kangouroo, chez lequel les hippocampes, sont
omparative analomy of the vertebral. Fig. 3 , Section frontale du cerveau du singe il angle droit des pédoncules cérébrau
solument normaux ainsi que les autres nerfs crâniens et le reste du cerveau . On laissa vivre l'animal trois mois; alors on
A l'exception des cicatrices de l'ablation des lobes occipitaux, le cerveau , les cordons olfactifs et les bulles olfactives
tale de l'odorat, fait qui semble nous montrer que cette portion du cerveau est le centre de la sphère olfactive. » Luciani
e tracer le rapport anatomique entre la narine et le côté opposé du cerveau . Ce sujet demande donc de nouvelles recher- che
ie incurable cérébrale chez l'homme. Les recherches sur l'état du cerveau de cet animal furent entre- prises par un comit
des mouvements des membres ' * Leçons sur les fonctions motrices du cerveau . 1887. ' Sitzung s b - d IViener Akad. 3 abth.
uvent être for- mées et les mouvements volontaires effectués par un cerveau consistant seulement en centres visuels et mote
nsemble d'impressions non senties qui guident l'activité motrice du cerveau en le mettant en relation automatiquement avec
e. la moelle de l'homme chez lequel les * Centres psycho-moteurs du cerveau , 1885. , ¡'e,'sllGhe ü¿el' ,he Folgen cle ? -Du
x, c'est préci- sément le contraire qui a lieu. Car relativement au cerveau , et re- lativement à la taille de l'animal, les
le système cérébro-spinal. En tète de l'impression produite sur le cerveau , il faut signaler le vertige dont les nombreuse
production à l'excitation de certaines partie de l'écorce grise du cerveau . C'est, du reste, dans cette dernière partie du c
ce grise du cerveau. C'est, du reste, dans cette dernière partie du cerveau que les derniers travauxsur les localisations p
ces para- lysies, les modifications anatomiques s'observent dans le cerveau , la moelle épinière et les nerfs péliphéliques,
nt tantôt de nature parenchymateuse, tantôt interstitielle. Dans le cerveau , les modifications portent le plus souvent sur l'
la localisation et de la propa- gation du processus morbide dans le cerveau . La psychiatrie con- temporaine doit ramener to
rogrès de la neuropatlioloie, de l'anatomie et de la physiologie du cerveau . M. Greidenberg (Simpheropol) a lu un travail «
, 426. Aphasie optique et cécité psychi- ques par Freund, 268 ; - cerveau d'un cas d' , par Schloes, 276. ASILES D'ALIÉ
. Centres nerveux (méthode de colo- ration des), par Golgi,278. Cerveau (fonctions du) par Soury 24, 220; quelques syst
13 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
86 L'ENCÉPHALE siiiicniii: i.t [irsi:iii]'ra\ icokm.iwiiiiii DU CERVEAU , DU CERVELET ET DU BULDE DU MÊME AUTEUR Atlas
ELET ET DU BULDE DU MÊME AUTEUR Atlas d'Anatomie topographique du cerveau et des localisations cérébrales. 1882. 1 vol. in-
. Crété. L'ENCÉPHALE STRUCTURE ET DESCRIPTION ICONOGRAPHIQUE DU CERVEAU , DU CERVELET ET DU RULBE par E. GAVOY medec
de m'avoir laissé votre Atlas de planches relatives à l'ana-tomie du cerveau pendant un temps suffisant pour que j'aie pu l'ex
l'évidente sincérité avec laquelle vous avez reproduit la texture du cerveau . J'admire le talent et la somme prodigieuse de
vidimus testamur — Dans un précédent travail, j'ai fait l'étude du cerveau au point de vue des loca-lisations cérébrales; j'
te spéciale et du moment, ne traite que de Yanatomie topographique du cerveau pour l'étude des localisations cérébrales; j'ai d
iré le compléter par la description technique de la structure même du cerveau , du cervelet et de l'isthme de l'encéphale. La
e un tiers de millimètre d'épaisseur, comprenant dans leur surface le cerveau , le cervelet et le bulbe rachidien. Une seconde
st important de remarquer que chaque série provient d*un seul et même cerveau frais qui a été débité successivement en totalité
le monde extérieur. L'encéphale se compose de trois segments : Le cerveau , subdivisé par une scissure médiane en deux hémis
nne. Le cervelet, situé dans les fosses cérébelleuses au-dessous du cerveau , égale-ment partagé incomplètement en deux lobes
de l'encéphale. Le plus étendu de ces prolongements est la faux du cerveau (Pl. I, 2), situé verticalement entre les deux hé
érébraux; on trouve ensuite la tente du cervelet, interposée entre le cerveau et le cervelet; le repli pituitaire, qui forme un
fluence des mouvements respiratoires ou par F effet de l'expansion du cerveau pendant l'activité momentanée de la circulation c
uper les espaces laissés libres par la masse cérébrale, tandis que le cerveau se porte vers la partie la plus déclive (1). L'
te vers la partie la plus déclive (1). L'encéphale comprend donc le cerveau , le cervelet et le névraxe. Ces organes, dispos
blanche. (1) E. Gavoy, Recherches sur l'amplitude des mouvements du cerveau dans les différentes attitudes de la tête {Journa
ON DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE CHAPITRE I. — CERVEAU . Le cerveau est formé par deux hémisphères à pe
ANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE CHAPITRE I. — CERVEAU. Le cerveau est formé par deux hémisphères à peu près symétri
ac-tivité encéphalique (Pl. I, 12). article i. substance grise du cerveau . La substance grise du cerveau comprend par con
). article i. substance grise du cerveau. La substance grise du cerveau comprend par conséquent la substance grise pé-rip
rise des noyaux centraux. § 1. — La substance grise périphérique du cerveau forme une couche onduleuse de 2 à 4 millimètres d
geâtre bleuté. (1) Voir E. Gavoy, Atlas d'anatomie topographique du cerveau et des localisations cérébrales. Ces deux zones
erches sur la structure de la couche corticale des circonvolutions du cerveau (Mém. de VAcad. de méd., 1840, t. VIII, p. 149).
es éléments nerveux dans toutes les circonvolutions de la sur-face du cerveau . Certaines régions présentent des différences trè
proportion que dans la substance corticale des régions antérieures du cerveau , tandis qu'on voit prédominer l'élément granuleux
yaux centraux — La substance grise forme, dans la masse médullaire du cerveau vers la région médiane et centrale de la face int
de pertuis vasculaires en séries linéaires et constitue à la base du cerveau la substance perforée antérieure de Vicq-d'Azyr (
endance (Pl. XXII, 13 et XL, 6). ARTICLE II. — SUBSTANCE BLANCHE DU CERVEAU . La substance blanche du cerveau est formée par
ARTICLE II. — SUBSTANCE BLANCHE DU CERVEAU. La substance blanche du cerveau est formée par des fibres nerveuses ou tubes nerv
lement par quelques auteurs, n'a pas été décrit, tout au moins sur le cerveau de l'homme ; on ne connaît que le faisceau désign
antes est facile à constater par des coupes fines successives sur des cerveaux frais, ou sur des cerveaux durcis par une méthode
r par des coupes fines successives sur des cerveaux frais, ou sur des cerveaux durcis par une méthode particulière qui permet de
n est nettement apparent sur les coupes verticales ou horizontales du cerveau . En avant du bourrelet, sur la face inférieure
esthésie cérébrale, Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau . térieure des ventricules en un faisceau blanc
ion de l'encéphale qui occupe, au-dessous des régions postérieures du cerveau , la loge constituée par les parois osseuses de l'
à l'autre par un petit lobe médian et séparé des lobes occipitaux du cerveau par la tente du cervelet ; il est en contact médi
ment par sa disposition particulière le plan général de la texture du cerveau . Chaque lobe cérébelleux est constitué par une
du cervelet. La substance grise du cervelet comprend, comme dans le cerveau , la substance grise corticale ou périphérique et
s éléments cellulaires identiques à ceux de la substance corticale du cerveau , mais ils s'en distinguent par des caractères qui
e fibres nerveuses de même texture et de même dimension que celles du cerveau , qui se comportent, par rapport aux cellules nerv
let peuvent être classées, comme celles de la substance médullaire du cerveau , en trois systèmes de fibres unis-santes : Les
ieur du névraxe suivant l'axe commun, de-puis la région antérieure du cerveau jusqu'à la région terminale de la moelle épinière
entral de la moelle. Ce canal s'étend de la cavité ventriculaire du cerveau jusqu'à l'extrémité inférieure de la moelle, en s
à chacun de ses angles latéraux et pos-térieurs. Cette disposition du cerveau de la raie est fort utile à signaler, car elle of
us inférieures de la moelle jusqu'aux régions les plus antérieures du cerveau , une série en parfaite continuité d'éléments nerv
connexion intime entre les régions motrices des noyaux opto-striés du cerveau et le noyau central de la substance grise des lob
Le cervelet se trouve ainsi relié par ces trois pédoncules avec le cerveau , la moelle allongée et la moelle épinière. En t
nerveux, possédant une activité propre, comme les centres nerveux du cerveau . Les colonnes de substance grise qui contiennent
dans les fonc-tions de l'encéphale un rôle actif, connexe à celui du cerveau et du cervelet; mais ces fonctions sont solidaire
nde explicative Planche A. Fig. I. — Substance grise corticale du cerveau {circonvolution frontale ascendante). a. Zone s
capillaires et myélocytes. Fig. II. — Substance grise corticale du cerveau [circonvolution du lobule occipital interne). a
e sous le nom de cellules (cellules mastoïdiennes). 2. — La faux du cerveau est formée par une membrane fibreuse tendue verti
endue verti-calement d'avant en arrière entre les deux hémisphères du cerveau . Le bord supérieur convexe est en contact sur la
ent des sinus latéraux et du sinus longitudinal supérieur; la faux du cerveau contient par conséquent trois sinus. Ses deux fac
lée en partie de la face interne de l'hémisphère droit par la faux du cerveau . L'apophyse crista galli et l'éminence médiane de
ervelet qui les sépare de la face inférieure des lobes postérieurs du cerveau . Le cervelet com-prend tout l'espace qui s'étend
tubercule postérieur. (1) Voir E. Gavoy, Anatomie topographique du Cerveau et des Localisations cérébrales. Paris, 1882. L
dehors du plan médian. (Cette série de coupes est faite sur un même cerveau frais, du plan médian antéro-postérieur vers la
au (7) des fibres convergentes des régions inférieures et internes du cerveau . Au-dessous est la coupe longitudinale de la band
des circonvolutions de la face interne ; elle met à découvert dans le cerveau la disposition de la substance grise corticale, d
re du corps calleux. (Cette série de coupes est faite sur un même cerveau frais, de la face supérieure du corps calleux v
rveau frais, de la face supérieure du corps calleux vers la base du cerveau .) 1. — La couche de substance grise corticale d
deux hémisphères. 4. — Fibres convergentes des régions moyennes du cerveau pénétrant dans la substance grise du noyau intra-
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau . La substance grise corticale décrit de nombreu
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau . La multiplicité de replis que décrit la substa
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau . Substance grise corticale circonscrivant chacu
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau . La substance grise corticale des circonvolutio
millimètre d'épaisseur\ faite des régions supérieures vers la base du cerveau . Substance grise corticale circonscrivant les d
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau . Substance grise corticale circonscrivant la su
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau . Substance grise corticale circonscrivant la su
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau . La substance grise corticale circonscrit de to
on à celui qui est fourni par le tronc basilaire, forme, à la base du cerveau , un cercle artériel appelé hexagone artériel de W
rrelet du corps calleux. (Cette série de coupes est faite sur un même cerveau frais, du bourrelet vers le genou du corps calleu
DE LA SUBSTANCE BLANCHE..................... 7 CHAPITRE PREMIER. — Cerveau ..................... 7 Article premier. — Subst
erveau..................... 7 Article premier. — Substance grise du cerveau ................ 7 § 1. Substance grise du cerve
ubstance grise du cerveau................ 7 § 1. Substance grise du cerveau .................... 8 § 2. Substance grise des
trié.......................... 13 Article 2. — Substance blanche du cerveau ................. 14 § 1. Fibres arciformes.....
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau ....................................85 XVIII. Co
llimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau ................................... 89 XX. Coupe
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau . . . 93 XXII. Coupe horizontale antéro-postérie
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau ,..................................97 XXIV. Coup
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau ..................................101 XXVI. Coup
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau ......¦............................105 XXVIII. C
millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau ..................................109 XXX. Coupe
llimèlre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau ................................... 113 XXXII. L
14 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
qui sont reliées en volume chaque année, les photOf}l'llphies des cerveaux qui forment aujourd'hui sept volumineux albums
ctomie chez un enfant idiot dans le but de donner de l'expansion au cerveau (1). Douze années plus tard. dans une communica
vait poursuivi le Dr Fuller : il voulait faciliter l'expansion du cerveau et par suite le développement des facultés intel-
; 1 4° Idiotie symptomatique d'une malformation congé- nitale du cerveau (porencéphalie vraie, absence du corps calleux)
es deux hémisphères ou d'un hémisphère ; b) sclé- rose d'un lobe du cerveau ; c) sclérose de circonvolutions isolées; cL) sc
; c) sclérose de circonvolutions isolées; cL) sclérose chagrinée du cerveau ( ? ); '. 7° Idiotie symptomatique de méningite
les crânes de 21 enfants idiots' ainsi que les photographies des cerveaux correspondants. OBS. I. IDIOTIE hydrocéphalique
on de la calotte crânienne et de l'ezcé- phale ; état vésiculeux du cerveau . Congestion rénale. Petits calculs du rein gauc
ture et séparées par des espaces translucides. La photographie du cerveau montre qu'il était transformé en une double poc
éphalie. Arrêt de développement et malfor- mations considérables du cerveau . Encéphale : 490 gr. Cluto... (Léon Eugène) est
une dépression assez prononcée qu'explique très bien la lésion du cerveau , dont les lobes postérieurs faisaient défaut; cet
aissé libre par l'absence des 22 IDIOTIE. 'lobes postérieurs du cerveau . La suture coronale est très si- 'nueuse; il en
nnent une idée précise de la mal- formation des deux hémisphères du cerveau . j OBS. 1.- Idiotie symptomatique d'un* ancien
synostose. Diminution de calibre des artères de la moitié gauche du cerveau . Atrophie de la bandelette optique, du pédoncul
langue et dévelop- pement du ventre vers 5 c'tllS. - Battements du cerveau au niveau de lafontanelle antérieure. retard de
ont un grand intérêt au point de vue du mode d'action qu'exerce le cerveau sur le crâne et en particulier sur la distensio
e. -111éningo-encéphalite clissé- minée sur les deux hémisphères du cerveau . Tubercules du poumon gauche. Fig. Il. - ont,
la c1'âniecto- mie ; lésions de la dure-mère, de la pie-mère et du cerveau ; absence de synostose. - Aspect chagriné des c
t faite au hasard et sur des crânes qui sont en mesure de donner au cerveau toute l'extension désirable. L'examen de ces mê
nes fait voir que ces brèches osseuses ne peuvent pas procurer au cerveau une grande liberté d'expansion. Ces faits justi-
es faits justi- fient celte assertion des anthropologistes que « le cerveau fait le crâne, le moule sur sa propre forme (1)
ous ont fourni une idée des lésions profondes qui existaient sur le cerveau , dans les cas dont il vient d'être question, et
OPSIE. - Lésions pulmonaires de broncho-pneumonie surtout à gauche. Cerveau : Dure-mère quelques adhé- rences à la fosse te
rétréci. - Dure-mère couve l'te de sang, distendue fortement par le cerveau ; ses sinus sont gorgés (le sang rouge. - Pie-mè
i ventriculaire. Sur la cjupe faite pour séparer la protubérance du cerveau , on trouve une zone rouge de congestion très in
aire. 145 Dure-mère non sensiblement congestionnée. L'ablation du cerveau donne lieu à l'écoulement d'une grande quantité d
chez la grand'mère paternelle, hémorrhagie et ramollisse- ment du cerveau , convulsions du côté maternel. Ajou- tons que l
res) ; Par BOURNEVILLE et I». SOLLIER. Les maladies chroniques du cerveau qui aboutissent à produire les diverses formes
tte sur une grande partie de sa surface, et empêche l'enlèvement du cerveau par la méthode ordinaire. La base du crâne est
postérieur que le gauche. Rien à noter pour la glande pituitaire. Cerveau . - La décortication du cerveau et du cervelet se
à noter pour la glande pituitaire. Cerveau. - La décortication du cerveau et du cervelet se fait assez facilement. La pie
gris n'ont rien de particulier <t l'oeil nu. Quand on soulève le cerveau pour l'enlever, on aperçoit au- dessus de la se
me coloration que l'encéphale et non recouverte par la pie-mère. Le cerveau étant enlevé et se présentant par la base, on c
èrement constituée par de la substance nerveuse analogue à celle du cerveau . Colorée au picro-carmin, la coupe dans son ens
Elles sont peut-être plus distantes les unes des autres que dans le cerveau . Elles ont une forme quadrangulaire ou tri-. 17
es cellules plus petites, rondes, ainsi que cela s'ob- servedans le cerveau normal. Dans la seconde portion de la coupe, on
208). Il s'agit d'une idiote épileptique, âgée de 25 ans, dont le cerveau était petit mais sans lacunes, et dans lequel o
te crâ- nienne, et dans les quelques adhérences de la pie-mère au cerveau , principalement au niveau des circonvolu- tions
d'enfants hydrocéphales à des degrés divers, les photographies des cerveaux correspondants, ainsi que les photographies des
és suivant que l'hydrocéphalie est simple et sans malformation du cerveau ou compliquée de malformations ou de lésions, p
ulaire. Amincisse- ment des parois ventriculaires. - Description du cerveau . Lésions partielles de nzé2zi22o-encéphalite. -
pleins de sang, l'adhérence aux os est normale. Lorsqu'on enlève le cerveau , il s'écoule une assez grande quantité de liqui
laté- raux, les mêmes d'ailleurs des deux côtés : Hydrocéphalie : cerveau . 183 54 Hydrocéphalie ET épilepsie. tion orbi
-delà de ce pli de passage, elle continue sa marche Hydrocéphalie : cerveau . 4ô5' jusqu'au sillon occipital transverse. Le
iveau de la scissure fronto-pariétale, elle est f8G Hydrocéphalie : cerveau . interrompue par un pli de passage à niveau, ma
e à niveau très grêles. - La troisième frontale est Hydrocéphalie : cerveau . 187 bien développée surtout son cap. - Le cap
ment développée, un peu chagrinée, surtout dans 188 Hydrocéphalie : cerveau . sapartieantérieure.Le lobuleparacentral est ir
meurt à 8 heures /.1' Mensurations de la tête. Hydrocéphalie : cerveau . 197 Autopsie faite le 3 décembre 1889, 24 heur
. Tête. - A l'ouverture du crâne, une fois la calotte enlevée, le cerveau s'affaisse comme une poche. L'affaissement des
lutions sont fermes, tandis qu'elles sont ramollies sur le reste du cerveau et offrent des plaques laiteuses au niveau des
ué à droite. Vessie, normale. Hémisphère gauche. La face externe du cerveau est à gauche moins altérée qu'à droite. La scis
de Rolando est accusé et net. F A et PA, bien qu'un Hydrocéphalie : cerveau . 199 peu aplaties n'ont rien de particulier. Le
es fontanelles, synostose partielle des sutures. Etat vésiculeux du cerveau . Lésions de broncho-pneumonie. Congestion du fo
se maintient aux alentours de 37°. L'état gêné- 208 Hydrocéphalie : cerveau . rat néanmoins n'est pas satisfaisant, l'enfant
tal et à , BOURNEVILLE, Bicêtre, 1893. 14 2 ? 10' Hydrocéphalie : cerveau . droite. Des adhérences nombreuses et fines exi
s'est écoulé environ 960 grammes de liquide; céphalo-rachidien. Le cerveau échappe ainsi à toute descrip : -1 tion immédia
sés du lobe occipital forment' en arrière un petit îlot. La base du cerveau est assez dévelop- pée dans sa partie antérieur
alies, le côté droit est un peu plus saillant que . Hydrocéphalie : cerveau .... 211,. le gauche, La moelle épiniè ? e (il g
pas pour le moment sur les résul- tats de l'autopsie du crâne et du cerveau qui seront uti lises tout-à-l'heure dans la des
iens sur la suture lambdoïde. Liquide céphalo-rachidien abondant. - Cerveau très dilaté surtout à droite et absolument vési
empérature était brusquement remonté* à 38°, 6. . Hydrocéphalie : cerveau . 2.1.7 coronale est aussi très serrée et presqu
et plus nets à gauche qu'à droite. ' '> - 218 Hydrocéphalie : cerveau . région temporale et occipitale, formée d'une p
ontale et de la distension complète des deux tiers pos- térieurs du cerveau . La poche ventriculaire est absolument lisse et
ent jusqu'à la scissure inter-hémisphérique et en arrière d'elle le cerveau est très dilaté. Il n'offre de circonvolutions,
culaire surtout à gauche. - Petite tumeur à la base de la faux du cerveau . - Adhérences pie-mériermes à droite, au niveau
et lés nerfs de la base ont leur aspect normal. M4 Hydrocéphalie : cerveau . qu'à droite; elle repose sur la face postérieu
pas très considérable, et qu'il portait à l'extrémité de la faux du cerveau une petite tumeur fibreuse paraissant d'origine
es. Os wormiens. Analyse du liquide hydrocéphalique. Description du cerveau . - Conges-4 tion pulmonaire. - Adénopathie pèri
très légers sillons pour les vaisseaux méningés. ' Hydrocéphalie : cerveau . 231. face interne circonscrit une énorme poche
alique (1.000 gr.) dont nous avons donné une analyse de M. Yvon. Le cerveau était très altéré, surtout à gauche, par la com
est moins méchant, mais non plus docile. ? Hydrocéphalie : crâne ET cerveau 239 1890. Janvier. Revill... contracte une pneu
vo-sensoriel et si la motilité est imparfaite il faut en accuser le cerveau qui dirige mal les mouve- ments, car l'intégrit
ure rectale moyenne de l'enfant est de 3 ï,2. ( ? ) HYDROCÉPHALIE - CERVEAU . 247 248 Hydrocéphalie ; liquide CÉPHALO-RACH
ille cent quatre-vingts grammes (2180 gr.) de liquide ltidieii. (Le cerveau ayant été mal soigné, est tombé. en putréfactio
réduction est faite dans les mêmes proportions. 250 Hydrocéphalie; cerveau . tarde pas à se perdre, elle représente la sutu
e diamètre transversal est réduit de 180 mm. il 87. Hydrocéphalie ; cerveau , 251 1't'o1Ûo-p ! l1'ietale atteint la temporal
1/2, dont voici les principales dimen- sioiis : . Hydrocéphalie; cerveau . 253 père et mère de la mère de l'enfant, les c
ogrès qu'il fit du côté de la propreté nous portent à croire que le cerveau de l'enfant n'a été que petit à petit atrophié
e hydrocéphalique atteint l'énorme poids de 2.180 grammes, aussi le cerveau est- il réduit à une simple vésicule. On est te
l'hypothèse que nous venons d'émettre sur l'atrophie progressive du cerveau de Vign... L'intégrité du bulbe et de la moelle
précédente sont de demi-grandeur naturelle mais après macération du cerveau dans l'alcool. 260 Hydrocéphalie : crâne. don
nt apercevoir l'arbre artériel de la méningée moyenne. La faux du cerveau est très peu développée, surtout dans sa moi- t
e ainsi que ce sinus. (Fig. 54. v, v). De chaque côté de la faux du cerveau se trouve une mem- 16 Hydrocéphalie INTRA-ARACH
te du cervelet à 4 où 5 centimètres de la bifurcation de la faux du cerveau . La poche qu'elles cir- conscrivaient atteints
ant à la fois la calotte crânienne que nous venons de décrire et le cerveau , on trouve ce dernier nageant dans le liquide c
de la paroi crânienne. En introduisant la main entre le crâne et le cerveau on constate que celui-ci est comme refoulé en b
parois, qui s'implante dans la dure-mère. En palpant la surface du cerveau on la sent se déprimer comme une paroi kystique
e parle pas, il serait coléreux et gourmand. 268. Hydrocéphalie : cerveau . reste mauvais ; la diarrhée réapparaît abondan
s sont aplaties, étalées. La substance encéphalique est ramollie. Cerveau énorme, remplissant toute la cavité crânienne.
mains. Les lésions relevées à l'autopsie, en ce qui concerne le cerveau , n'ont rien d'extraordinaire : les circonvo- lu
ée, offrent, au point de vue de l'anatomie de leur crâne et de leur cerveau , des particularités intéressantes. Au premier a
ure lambdoïde. Les os sont très minces, poreux, d'aspect Crâne ET cerveau . 2.75 ... , ' J membraneux, transparents et r
drocéphales simples, la comparaison de l'état macroscopique de leur cerveau justifiera notre opinion. En effet, si le cerve
oscopique de leur cerveau justifiera notre opinion. En effet, si le cerveau d'Ess... est réduitàune vaste poche kystique, o
er des vestiges de circonvolutions, nous trouvons chez Gard... un cerveau distendu, à circonvolutions aplaties, à scissur
la configuration s'éloigne peu de t'6 Hydrocéphalie. celle des cerveaux de Chev..., de Gren..., de Revill..., et de Coe
e Chev..., de Gren..., de Revill..., et de Coeur... Certes tous ces cerveaux ont des carac- tères propres : L'un (Gren...) a
. Gren... offre une très petite tumeur de l'extrémité de la faux du cerveau ; tandis que Revil.. a de la dilatation du 4° v
ptionnel dans les cas que nous avons observés. Néanmoins tous ces cerveaux offrent des lésions analogues et ont un aspect
ableau comparatif suivant four- niera un argument plus éloquent : Cerveau . 211 La première partie de ce tableau comprend
bro-spinale. 31 juillet. Mort. Tableau des accès et des vertiges. Cerveau , .281 . AUTOPSIE. - A l'ouverture du crâne, il
00 grammes. La pie-mère est très fortement vascularisée sur tout le cerveau . La pie-mère de la base, sur- tout au niveau du
Fig. 5C. Elle représente le moulage de la tête de Chev... CRANE ET cerveau . 289 de vaisseaux méningiens. Entre ces deux ta
. Le lobe frontal droit est recouvert de taches ecchynmotiques. ' Cerveau . - Hémisphère gauche. - Les circonvolutions sont
se. AUTOPSIE. - Etat des poumons. Examen du crâne. Description du cerveau . No... (Adophe), né le 27 décembre 1879, est en
ent aplatie offre très nette- tement l'aspect scaphoïde. Crâne ET cerveau . 293 Crâne. Les os du crâne très minces à certa
un mot, les lésions de la ménin- gite tuberculeuse. En détachant le cerveau une assez grande quantité de liquide céphalo-ra
ies sur le bassin dans l'adduction, les genoux sont acco-. Crâne ET cerveau . 297 lés l'un contre l'autre. La pointe des pie
ymptôme : 1° dans la méningo-encéphalite ; 2° dans les tumeurs du cerveau et surtout du cervelet. L'observation sui- vant
trouye une dépression accentuée. Les vaisseaux méningés Crâne ET cerveau . 311 f ont laissé sur la table interne des empr
cilement la séparer de l'encéphale où elle n'adhère pas. La base du cerveau est baignée de liquide, dont il s'écoule enviro
nviron la quantité totale de sérosité hydrocéphalique recueillie. Cerveau . - Hémisphère cérébral gauche. La pie-mère adhè
ent le développement progressif du crâne de 1888 à 1890. Crâne ET cerveau . 313 La calotte crânienne présente une épaiss
Il Fondation Vallée (service de M. 130TJR- NEVILLE). . CRANE : ET cerveau . -* 319 de liquide céphalo-rachidien mêlé de sa
lé de sang. La dure-mère est mince et très pâle. La dure-mère et le cerveau se sont affaissés considérablement, et hors de
ymétriques. La protubérance est un peu aplatie. Lorsqu'on sépare le cerveau du cervelet, il s'écoule 70 grammes de liquide
arrondi et mamelonné, de volume à peu près égal à celui du kyste du cerveau . La décortication du cerveau se fait assez faci
à peu près égal à celui du kyste du cerveau. La décortication du cerveau se fait assez facilement. On constate alors que
l, l'hydrocéphale ne forme pas un type encore bien défini ; que son cerveau fonctionne psychologi- quement assez mal, mais
ur. Lorsque la première cause pathogène détermine l'épanchement, le cerveau est très lentement comprimé et petit à petit la
'amincissement com- plet du manteau cérébral. Ainsi Ess..., dont le cerveau était réduit à une véritable vésicule, tournait
son nom. Si l'épanchement n'en arrive pas au point de détruire le cerveau , si le malade se développe, il se produit vrai-
a confondre avec l'hyperostose des os du crâne ou l'hypertrophie du cerveau . Dans ces cas les petites poussées méningitique
et qu'un certain degré d'hydrocéphalie favorise le développement du cerveau en dilatant le crâne et peut* être cause d'une
cep- tion trop rare et nous restons convaincu que le crâne est au cerveau un vêtement élastique qui sait de lui- même s'é
es hydrocéphales qui, comme Ess.... Lob..., Vign..., Ail..., ont le cerveau réduit à un kyste à mince paroi, il est évident
ion de la crâniectomie, avec drainage consécutif, expose de plus le cerveau à une décompression brusque, qui, suivie d'une
15 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ervant à trans- mettre à la périphérie l'influence coordinatrice du cerveau . « Dans la moelle épinière, écrivait Erb, il do
Pnuger's Arch. Bd LXVII, 1897. 2 Cf. Jules Soury. Les fonctions du cerveau . Paris, bureaux du Progrès médical; Alcan. 2° é
es- sions centripètes conscientes continuant d'être transmises au cerveau ), une ataxie puisse se manifester, ataxie résult
e passant par le cordon postérieur n'arrive que jusqu'à l'écorce du cerveau , et que les fibres de cette voie s'arborisent en
ces lésions, un petit nombre seulement de fibres s'élevant vers le cerveau et servant aux sen- sations conscientes, se tro
ne pièce de 1 franc, le gros intestin n'a rien de particulier. Le cerveau se décortique facilement, mais les deux hémisphèr
de large. Aucune plaque dans le gros intestin. Macroscopiquement le cerveau n'a rien d'anormal. Chez nos deux malades le tr
inciaux : à devenir des hôpitaux pour le traitement des maladies du cerveau . Les préjugés du publie - et aussi ceux des médec
disait Griesinger, qu'un hôpital pour le traitement des maladies du cerveau , devait être organisée comme les autres cliniqu
t indiquée chaque fois qu'il est nécessaire de procurer du repos au cerveau et à l'organisme tout entier. Or, chez les mala
tention du clinicien et du thérapeute, c'est l'état d'épuisement du cerveau et de l'organisme. Ces mala- des sont des épuis
pérales, etc. Quant aux indications du repos psychique, du repos du cerveau , elles sont constantes dans les formes aiguës.
e. Or, seul le séjour au lit permet de réaliser le repos complet du cerveau . Outre que par suite de la situation horizontal
situation horizontale la circulation cérébrale est facilitée et le cerveau mieux irrigué, l'alitement rend encore possible
s psychoses aiguës, en raison de la nécessité pressante du repos du cerveau et de l'organisme tout entier, dans le traiteme
e pas définitivement. Il est évident qu'il y a une grosse lésion du cerveau , et par voie d'élimination, on peut conclure qu
.-C. 52 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VII. Un cas de concussion du cerveau simulant le delirium tre- mens ; par J.-R. Ambl
achnoïde et pie-mère normales. Epanchement cérébral à la surface du cerveau , dans la scissure de Sylvius et les sillons adj
e de chaîne ou de tube ganglion- naire (axe bulbo-spinal) ; 6° Le cerveau se développe à l'extrémité antérieure de cet axe,
après la naissance de l'animal (mammifères, enfant) ; 8° Dans le cerveau de l'enfant (comme dans celui du petit chat et
des sensations diverses, de nature forte et intense, parcourent son cerveau , sensations qui ne sont encore ni reconnues, ni
le développement progresse, l'enfant franchit cette période; et le cerveau antérieur, par l'accroissement de sa vie psychi
de pathogenèse » consiste en ce que plusieurs de ces évolutions du cerveau et de l'esprit, depuis la période foetale (somn
rsion) ou par défaut (absence) : ce sont ces états pathologiques du cerveau qui consti- tuent la base des différentes forme
y compris les gommes) ; 2° Traumatisme. c) atrophie idiopathique du cerveau . d) méningite progressive chronique. e) folie c
entée due à'd'autres causes, me basant sur 5 gliomes ou sarcomes du cerveau ou du cervelet (malades morts à 6-43. ans), 2 ave
assez souvent les lésions intéressent les fibres commissu- rales du cerveau , la zone rolandique, les fibres du faisceau pyra-
ématique limitée au protoneurone moteur, et qui ne touche jamais au cerveau proprement dit, contrairement à ce qui a lieu a
IÉTÉS SAVANTES. L'élat du Corps calleux dans les grosses Lésions du Cerveau ; par Kattwinkel (de Munich) (projections). Su
M. Lannelongue n'ont pas été heureux et cela se comprend puisque le cerveau de l'idiot est mal formé congénitalement. Au co
trice aMagny-ia-Campagne, canton de Bretleville-sur-Laize, avait le cerveau un peudétraqué. Son mari, en rentrant de son trav
TIN BIBLIOGRAPHIQUE. Becuterew (\V. v.). Les voies de conduction du cerveau et de la moelle. In-8° de x-856 pages, avec 400
rdre la vue. Elle avait conscience de cet état de souffrance de son cerveau , car elle disait qu'elle finirait par « fo- lei
auxquels étaient portés les deux frères, et con- tre lesquels leur cerveau débile n'offrait aucune résistance. C'est à cet
ptôme psychique n'aurait été noté pendant la vie, on trouve dans le cerveau des tabétiques les lésions de la paralysie géné
hes expérimentales que, « consécutivement à cer-' taines lésions du cerveau , la dégénération secondaire peut s'étendre aux^
e tabes dorsal n'est pas une maladie de la moelle épinière, mais du cerveau . Il est vraisem- blable que la sclérose des cor
PATHOLOGIQUES. I. Sur les formes atypiques et extraordinaires du cerveau , considé- rées principalement dans leurs rappor
sant des derniers travaux de Flechsig sur la - localisation daus le cerveau des processus mentaux ; mais pour être analysé,
augmentée par la quantité des sillons et plis de passage. Dans les cerveaux à évolution supérieure, les lobes occipitaux de
sent tous deux le vice de développement de la portion occipitale du cerveau chez les idiots. Preuves pathologiques. Les a
lobes occipitaux, ainsi que l'avait déjà montré Dax. Enfin, dans le cerveau des déments chroniques, il y a une atrophie consi
la fréquence avec laquelle la prépondérance de l'un ou l'autre des cerveaux , l'anlérieur ou le postérieur, est associée à un
I. Nouvelles recherches sur la formation des fibres axiales dans le cerveau , par leD'' PAUL Flechsig, le D'' DÙLLREN et le Dr
scendante à son extrémité supérieure, d'abord parce que, de tout le cerveau , c'est elle qui contient les plus grandes cellu
d'ailleurs aurait manqué à ses conclusions, la comparaison avec les cerveaux de sujets sains d'esprit Rien d'autre part dans
un certain nombre ne présentait à l'oeil nu aucune altération ni du cerveau ni de ses enveloppes. , L'auteur entre ensuite
tte anomalie de la pyramide bulbaire a été observée par Pick sur le cerveau d'un idiot et mérite d'être rapprochée de celle s
ogie, 1 DOO, n° 10.)- II résulte de cette note qu'en soumettant les cerveaux à la con- gélation avant de les traiter par la
s à l'action des vapeurs d'éther. Toutes les parties de l'écorce du cerveau de ces animaux, tous les noyaux sous-corticaux
ts de cet examen : L'éthérisation profonde produit dans l'écorce du cerveau de nombreux et vastes foyers remplis de fines g
ue soit la durée de l'action du poison ; dans toutes les régions du cerveau altérées par l'éther, les appendices pirifornie
g6 SOCIÉTÉS SAVANTES. Idiotie micl'océphalique. Agénésie cérébrale. Cerveau pse21do-kystiq2e; par Bourneville et Onsarnüa (
Bourneville et Onsarnüa (de Paris). (Présentation de pièces, crâne, cerveau , photographies.) , , Il s'agit d'un enfant de d
s les formes de l'idiotie, n'offre pas de synostose prématurée. Son cerveau montre que, ici, la microcéphalie est due à une
u niveau des lobes frontaux, des fosses temporales et de la face du cerveau . La pie- mère, louche et épaissie au moment de
ent de la décortication, a entraîné la couche de substance grise du cerveau et on trouve adhérents à la méninge les moules
Bourneville et CROUZON (de Paris). (Présentation de pièces, crâne, cerveau , photographies.) MM. Bourneville et Crouzon pré
riques sont tous diminués de volume dans des proportions égales. Le cerveau ne présente pas de lésions. L'étude histologiqu
sant avec une inten- sité moins prononcée, peuvent produire dans le cerveau une alté- ration en foyer, soi-disant fonctionn
iner le rôle appartenant à l'hys- térie, à une lésion anatomique du cerveau ou à une altération fonctionnelle en foyer. D
'une hémiplégie (par exemple par anémie passa- gère circonscrite du cerveau chez des athéromateux) peut agir comme choc mor
professeur llEIOEclm ? Sur lui moyen pour étudier les variations du cerveau ; par A. 131AilCllI (de Parme). - Revision ico
n lom- baire elles sont très apparentes dans la région cervicale. Cerveau de tabétique albuminurique devenu hémiplégique.
tabétique albuminurique devenu hémiplégique. M. Ferrand présente le cerveau de ce malade qui devint hémi- plégique sans ict
aralexie et hallucinations de l'ouïe due à des kystes hydaliques du cerveau . MM. P. Sérieux et Roger-Mignot. Les auteurs do
cause, mais l'effet du génie et survenir chez des individus dont le cerveau perpétuellement actif devient un locus minoris 1'
vacances a été de 81. parmi lesquels : un cours d'analomie fine du cerveau , par le privat-docent D1' Koeppen (deux fois pa
(deux fois par semestre), deux cours de psychiatrie et maladies du cerveau (honoraires : 30 marks) l'un donné par le Dr Le
res conditions l'hospitalisation des sujets atteints d'affection du cerveau , ces établissements ne sont pas moins utiles en
nes admis comme centres de la parole n'était atteint. L'anatomie du cerveau était si compliquée qu'on aurait pu invoquer un
se. On se trouve donc ici en présence d'une tumeur située hors du cerveau et présentant plusieurs des signes caractéristiqu
et présentant plusieurs des signes caractéristiques des tumeurs du cerveau , notamment l'atrophie musculaire, les spasmes,
de l'autopsie : la dure-mère n'est ni épaissie, ni adhérente : le cerveau est volumineux et symétrique ; le tissu cérébral
iome du lobe frontal droit. Mort. Autopsie ; 2° Sarcome multiple du cerveau . Opération. Mort. Autopsie ; 3" Dégénérescence
ires motrices gauches. Mort. Pas d'autopsie; 10° Gomme à la base du cerveau . Mort. Pas d'autopsie ; 110 Tumeur dans les air
érébrale a été fait dans douze sur treize des cas qui concernent le cerveau ; dans le treizième cas il a été con- sidéré co
muscles du dos présentent des cysticerques de ténia solium. Dans le cerveau un seul cysticerque et les mêmes lésions de mé-
abitation. La pauvre femme, qui avait cinquante- sept ans, avait le cerveau faible. (Bonhomme Normand, 31 janvier 1901.)
ES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Idiotie microcéphalique : cerveau pseudo-kystique ; Par BOUI3NCVILLE et OBERTIIUR
che. Les nerfs optiques sont blancs et assez gros, par rapport au cerveau : leur coupe a environ un millimètre et demi de d
st plus prononcée à droite qu'à gauche. (La description se fait, le cerveau placé dans une solution de formol ; cette solut
et sont sillonnées çà et là par des vaisseaux. Lorsqu'on examine le cerveau en dehors de la solution, toutes les poches s'a
e. Examen histologique ; par le D'' 013rRTIIUR. Les lésions de ce cerveau qui présente, à première vue, l'aspect d'un ram
on de' la plupart des cir- convolutions, transformation kystique du cerveau , sclérose des fragments restant des circonvolut
rtout de même. CLINIQUE NERVEUSE. Abcès du lobe temporal droit du cerveau d'origine inconnue ; Par LUCIEN LAGHIFFE, -
ution apportée récemment par les otologisles à l'étude des abcès du cerveau , la symptoma- tologie de l'encéphalite circonsc
n fixe avec prédominance du côté de ABCÈS DU LOBE TEMPORAL DROIT DU CERVEAU . 291 la nuque. La percussion même forte de la c
ser que, sous cette méningite, il y avait une lésion destructive du cerveau , lésion siégeant à droite. Et dans l'examen o
nt la vie on avait noté Fig. 9. z ABCÈS DU LOBE TEMPORAL DROIT DU CERVEAU . 297 de l'empâtement rien d'anormal. Congestion
ontal gauche. En somme, à première vue et revêtu de ses méninges le cerveau parait n'être le siège d'aucune lésion. 1 Après
tres Fi. ll. - Coupe Lor,zoWale. ABCÈS DU LOBE TEMPORAL DROIT, DU CERVEAU . 299 9 d'un pus jaune et bien lié contenu dans
t appelé de nouveau l'attention sur l'origine otique de» abcès du cerveau et principalement des abcès du lobe temporal; d
bcès du bulbe consécutif à un panaris ; on a signalé des abcès du cerveau après la grippe et Boppe en a rapporté un cas trè
grippe, deux ans et demi avant les ABCÈS DU LOBE TEMPORAL DROIT DU CERVEAU . 301 L premiers signes de l'encéphalite et nous
ure et diffuse la symptomatologie des lésions de certaines zones du cerveau . z Dans les « centres moteurs corticaux », Char
on cérébrale, nous parlons de la congestion active, idiopathique du cerveau , divise plus que jamais les cliniciens. A l'eng
' Et, si Jules Simon tenta de réhabiliter la congestion active du cerveau au moins chez l'enfant, nous ne lisons pas moins
létion des sinus de la dure-mère. A l'incision de la dure- mère, le cerveau fait aussitôt hernie à travers la solution de con
es, tortueux, gonflés de sang. Lu pie-mère se détache facilement du cerveau , après enlèvement de cette mem- brane, le cerve
che facilement du cerveau, après enlèvement de cette mem- brane, le cerveau , de par la rupture des vaisseaux, se couvre d'une
t contribuer à former une nouvelle nappe. Quelque soit la partie du cerveau où l'on fait la coupe, on observe le même phéno
e l'enfant a été disposé de façon à éviter la congestion passive du cerveau après la mort. Deux billots ont soutenu le crâne
vec tout autre élément connu. Dans un cas de tumeur de la base du cerveau avec acromégalie il arencontré les corps hyaloï
e sont de très grandes cellules, qui sont très nom- breuses dans le cerveau du nouveau-né, ce qui a fait penser qu'elles se
gomyélie. R. de Musgrave Clay. \1 \VI. Relation d'un cas d'abcès du cerveau ayant une origine peu commune; par Charles 1311
contestable, et que c'est là une étiologie peu commune des abcès du cerveau . I. DE MUSGItdV); CL4T. Anatomie et psycholog
l'orh Médical Journal, 3 septembre 1898.) L'étude de l'anatomie du cerveau a été l'un des fadeurs les plus importants du d
mente, les connexions entre les centres supérieurs et inférieurs du cerveau s'accroissent avec une étonnante rapidité. Chez
ent des altérations corrélatives de structure. A la naissance, le cerveau du nouveau-né, au point de vue de l'activité fo
blissent entre le tractus olfactif et l'écorce; à cette période, le cerveau de l'enfant est fonclionnellement comparable à
me sens que plus haut, comparable à l'oiseau. Le dévelop- pement du cerveau de l'enfant montre bien des analogies de struct
its précieux nos connaissances sur la structure et les fonctions du cerveau de l'homme ; mais il est malheureux qu'un etrop
cré la meilleure parlie de son attention a étudier les fonctions du cerveau à un moment où les conditions déstructure de ce
t de vue de sa structure comme au point de vue de ses fonctions, le cerveau constitue une unité. Le but principal de ce t
de psy- chiatres. R. de MUSGRAYE CLaY. Sur le poids spécifique du cerveau chez les aliénés; par Francis 0. SmrsoN. (The J
ctobre 1898.) ' Les recherches de l'auteur ont porté sur quatorze cerveaux d'hommes et seize cerveaux de femmes. Les régio
rches de l'auteur ont porté sur quatorze cerveaux d'hommes et seize cerveaux de femmes. Les régions cérébrales choisies pour
le et pathologique des plexus choroïdes des ventricules latéraux du cerveau ; par John Waniman Fmcer. (The Journal of Menta
cins, et, comme il le dit en terminant, moins de briques et plus de cerveaux . Il. DE MUSGHAYË CLAY. X. Les bâtiments des a
mond. Glyomalose cérébrale. ' M. GILI3ERT-I3.1LLET présente trois cerveaux atteints de gliome. Dans le premier la lésion é
ce, sans doute, à l'évolution lente du gliome et de l'adaptation du cerveau aux conditions nouvelles déterminées par la tum
aux conditions nouvelles déterminées par la tumeur. Dans le second cerveau , une gliomatose diffuse serait vraisemblablemen
de vue pathogénique à un trau- matisme crânien. Enfin le troisième cerveau présente un énorme gliome occupant presque la t
oncule cérébelleux. Aphasie sensorielle. Mi Touciic présente deux cerveaux atteints, l'un d'une lésion du lobe temporal ay
c de Fallope. Syndrome de Wcber. MM. MARIE et Ferrand montrent le cerveau d'un malade ayant présenté une hémiplégie alter
rincipale et autonome ? ` ? F. BossiER. XIII. llniiiiii-opitie du cerveau et ses résultats sur le cervelet, le bulbe et l
ue et diagnostique. Après l'étude des maladies des centres nerveux, cerveau etmoelle étudiées en première ligue, l'auteur p
ts de rire des autres, les idées délirantes de toute espèce que des cerveaux tourmentés ne demandent souvent qu'à commu- niq
e se livrer à un travail régulier. Encore un stimulant soustrait au cerveau , encore une cause d'affaiblissement des faculté
ruger, et la manifestation dont elle a' été l'objet a surexcité les cerveaux et nous avons à signaler plusieurs cas de folie.
s de cette nature, en particulier celles faites par Horsiey. Sur le cerveau , mis à nu, du singe, on a réussi à délimiter, a
procédé à son extirpation. Cela fait, l'excitation électrique du cerveau n'a plus provoqué de manifestations convulsives.
l'auteur a attribuée à un arrachement des couches superficielles du cerveau , lors de la destruction des adhé- rences, et à
de l'avant-bras, du bras et de la figure, en excitant la portion de cerveau mise à nu. On procéda à l'excision de trois fra
xtirpation de la zone rolandique empêche l'excitation électrique du cerveau d'aboutir à une attaque convulsive. Sera-t-on
était imputable à la formation d'adhérences cicatricielles entre le cerveau ou les méninges et la paroi crânienne. D'autres
ératoires destinées à empê- cher la formation d'adhérences entre le cerveau et la paroi crânienne : introduction d'une plaq
ntroduction d'une plaque de celluloïde, d'une plaque d'or, entre le cerveau et le crâne ; mise en contact direct, avec le c
'or, entre le cerveau et le crâne ; mise en contact direct, avec le cerveau , du périoste de la paroi crânienne. . J'ignore
épilepsie par- tielle, il s'établit un état épileptogène de tout le cerveau , qui ne saurait plus être influencé par une int
Solution impossible. P. KERAVAL. LI. Altérations pathologiques du cerveau dans le délire aigu; par M. N. Joukowsky. (06oz
e des parois des vais- seaux. Masses'de leucocytes dans le tissu du cerveau . Dégénéres- cence des cellules corticales, depu
pression du tronc du facial, à l'endroit où il sort à la surface du cerveau . Influence de l'oblitération de l'artère basi-
t la constance de ces foyers. P. KEHAYAL. L1V. Des altérations du cerveau dans la sclérose atrophique; par M.-N. JoaxoNSr
ts, mais cet alcoolisme ne peut guère provoquer que l'invalidité du cerveau , l'affaiblissement de ses fonctions, non une lé
! , 111, 1898.) Diminution de poids et de toutes les dimensions du cerveau , avec excès de développement relatif du cervele
notamment en leurs portions externes, et dans la corne latérale. Le cerveau du nou- veau-né devant peser 300 gr. celui de c
en histologique n'a révélé aucune lésion des différentes parties du cerveau . L'auteur discute la question de savoir dans qu
ie familiale. M. H. LI. Sur le diagnostic général de la syphilis du cerveau et de la moelle; par B. Sachs. (Tlie New York M
e; par B. Sachs. (Tlie New York Médical Journal, 27 mai 1899.) Le cerveau et la moelle sont plus fréquemment atteints par l
ais ce rôle n'est pas exclusif, et les vaisseaux plus volumineux du cerveau et de la moelle sont le siège d'altérations imp
nnants n'ont pas été couservés : la tu- meur en outre siège dans le cerveau , c'est-à-dire dans un organe où l'épithélium, a
ler va peut-être aider au diagnostic. Le carcinome est rare dans le cerveau , et il est admis que dans cet organe comme dans
es éléments on le sait, dérivent de l'ectoderme. Les épithéliums du cerveau sont le revêtement épendymaire des ventricules
m qui re- couvre les plexus choroïdes. Le carcinome dit primitif du cerveau doit par conséquent se rencontrer à l'état de n
uchholz et Henneberg ont publié des faits de ce genre concernant le cerveau ; et les cas de déplacements épithéliaux du mêm
ou dans les plexus choroïdes. Et de là viendrait peut-être, pour le cerveau , la rareté du carcinome et la grande fréquence
épaissie, et quand elle fut enle- vée, on trouva du côté gauche du cerveau un kyste volumineux rempli de liquide parfaitem
ence des fibres croisées de com- municatioif qui vont de la base du cerveau au cervelet par les pédoncules supérieurs. L'ex
'occupe ici n'est pas celle qui se rattache à. une grosse lésion du cerveau . L'hémianesthésie relative est un état beaucoup
atteint d'aphasie. A priori, on incline à répondre qu'une lésion du cerveau , si petite qu'elle puisse être, ne saurait exis
it s'attendre à trouver d'au- tant plus accentuée que la portion du cerveau intéressée est pré- posée à une fonction dont l
uent une per- turbation générale des associations fonctionnelles du cerveau . En présence d'un cas d'aphasie ou d'un cas sim
mith : il signale ensuite les différences que l'on observe entre le cerveau de certains animaux puissamment doués au point
ains animaux puissamment doués au point de vue de l'olfaction et le cerveau de l'homme qui l'est très faiblement. L'homme ser
es névrosés,qui forme le lien entre la supériorité et lanévrose. Le cerveau , d'autre part, est composé de parties qui peuvent
ratiquer lacraniectomie à un idiot afin de donner de l'expansion au cerveau , réa- lisée dans l'année 1878, et émise onze an
dividus des êtres négatifs, dépourvus des qualités supé- rieures du cerveau humain. Beaucoup d'années n'étaient pas écoulée
onfirment une fois déplus l'axiome anthro- pologique qui dit : « Le cerveau forme le crâne » ; l'espé- rance est donc frust
ur obtenir non plus le développement du crâne, sinon l'expansion du cerveau , étaient chimériques, car la dure-mère empêche
que quelque lésion pathologique fréquente s'était produite dans le cerveau gau- che, et qu'elle avait envahi, non seulemen
vations qui ne permettent pas d'établir une règle à ce respect. Des cerveaux avec porencéphalie, qui est une lésion produite
amant la membrane durale, parce que non seulement elle maintient le cerveau emprisonné, en facilitant l'augmentation de ten
ui n'était plus de niveau avec la surface du crâne et comprimait le cerveau . Une seconde fois, on agrandit le trou de trépana
scles de la face et surtout des lèvres, tous signes d'une lésion du cerveau . Il est très-probable qu'il s'agit d'une paraly
ent guérie, ou sont, sous le coup d'une involution physiologique du cerveau séncscent. Il exisle une sénilité à progression
qu'un de ces jours l'étude d'une anatomie plus fine de l'écorce du cerveau nous permettra d'y localiser les différentes fonc
aptitudes intellectuelles et le développement inégal des centres du cerveau . Attendons. Au point de vue psychologique, la r
s muscles ciliaires. Ce n'est une affection organique classée ni du cerveau ni de la moelle. Le chloroforme montre qu'il s'
ue du champ visuel, une analgésie peu marquée, une vive réaction du cerveau sous le chloroforme. Les commémoratifs révèlent
ade qu'on avait tout lieu de croire paralytique générale et dont le cerveau était farci de kystes hydatiques donnant l'aspe
lé comme dans l'observation qu'il a publiée de kystes hydatiques du cerveau faisant croire à l'existence d'une para- lysie
tique sont perdus dans la masse. Aucun oedème sous-arachnoïdien. Le cerveau n'est pas comprimé. Naturellement, quand les pi
s ! lcitoses organiques : p. p. g., tumeurs céiébrales, atrophie du cerveau , et 6° psychoses par arrêt de développement. La
3ouwevu.La. TABLE DES -MATIÈRES Abcès du lobe temporal droit du cerveau , par Lagnfi'e, 289. - du cerveau, par l'iïell7s
Abcès du lobe temporal droit du cerveau, par Lagnfi'e, 289. - du cerveau , par l'iïell7s. 311. - du lobe frontal par Cône
tellectuelle comparée des lobes , par Cro- Gllley-Clalaam, 13G. Cerveau . Contusion du simulant le delirium tt,emetis, p
se, par Minor, 433. Corps CALLEUX dans les grosses lé- sions du cerveau , par Kattwinkel, 78. Coup de foudre, par Ferë
r, 179 - transitoires séniles. par Micita.ud, 267. Altérations du cerveau dans le - aigu, par Jou- kowski, 393. Etude sur
protubérantielle, par Balnualci, 31l, bO8. Hl ? IIATii0l'Ilir du cerveau et ses résultats sur le cervelet, la bulbe et
r Patrick et liult, 02. - microcé- phatmue, Agénésie cérébrale. Cerveau hsPUdo-I : y,till e, par et bertluir, 158, 273.
ralysie générale, p.u BI issaud et 10110(l. 316. Allé- rations du cerveau dans la atroplliql, par Joukowski, 391. Sclér
uard, par Jaiohs. ? 5G : par Brousse et rlrdtn-Deltetl, 101. - du cerveau et de la moelle, ftar Sachs, 405. Happ0 ! tsd
16 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
utre est persuadé « qu'il n'est pas comme tout le monde, qu'il a le cerveau faible, qu'il n'y a pas chez lui équi- libre en
a le cerveau faible, qu'il n'y a pas chez lui équi- libre entre le cerveau et le sang ». Il se croit « un malheureux marty
t-il, a réussi dans un genre parce que le sang monte moins, mais le cerveau est toujours très faible. C'est là qu'il faudra
l faudrait, ce serait un changement de cer- veau, une extraction du cerveau . Que voulez-vous ? Mourir pour mourir ! » 14 "
ée : « Je vais rougir. » Cette idée me suit partout, me tenaille le cerveau et suffit à elle seule à me faire rougir, sans qu
i par des diablo- tins et farfadets qui lui dérangeaient parfois le cerveau pour l'empêcher d'écrire ses souffrances (inhib
se manifeste dans les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 41 éléments du cerveau , et qui en vertu duquel l'acide phosphorique es
laquelle elle indique la température approximative de la portion de cerveau sous-jacente. Les indications données par la temp
tieuses en différentes classes, selon que : i° elles intéressent le cerveau et ses membranes; 2° la moelle ou ses enveloppes;
vement paralysées plus tard. Un exsudat plastique occupe la base du cerveau , notamment au niveau du chiasma, le long de l'a
pathologie D'AF- fections SYPHILITIQUES DES ARTÈRES ET DU TISSU DU CERVEAU , par Ablecoff. (iVell1'olu ! J. Cenlralbl., XV,
S NEURONES. par Jules SOURY I. GOLGI. L'étude des fonctions du- cerveau est si intimement liée à celle de l'histologie
ore la ser- vante de la physiologie. La physiologie démontre que le cerveau est un organe fonctionnellemeiu hétérogène, c'e
ane fonctionnellemeiu hétérogène, c'est-à-dire que les fonctions du cerveau varient avec les différentes régions de cet org
Golgi, si cette hétérogénéité fonctionnelle des diverses régions du cerveau correspond à des variétés de forme et de structur
fibres nerveuses à direction parallèle de la surface de l'écorce du cerveau , fibres taneentieiles, Exner en vit d'autres s'
e (1865, 18G8, f871), en étudiant les grosses cellules nerveuses du cerveau des torpilles, pût se con- vaincre de la struct
avait pu observer directement ce fait sur les cellules nerveuses de cerveaux congelés de grenouilles, au moment de la décong
xpliquait par ces anastosmoses fibrillaires les actions réflexes du cerveau et de la moelle, et les rapports fonctionnels d
ts anatomiques avec la doctrine des localisations fonctionnelles du cerveau , de voies de transmission nerveuse « électives »,
ées de l'écorce, soit dans celle de prétendues zones spé- ciales du cerveau , une indication physiologique quelconque. Dans
, des cel- lules incontestablement motrices Uans la zone motrice du cerveau ? Mais cette zone renferme en même temps, sans
e celle de Jean-ï Muller, qui attribuait aux différentes régions du cerveau des éner- gies fonctionnelles spécifiquement di
cifiques des cellules nerveuses des différentes aires corticales du cerveau , que Meynert. a rapporté les différents modes d
unes, les autres pour vieilles. Lorsque les cellules de l'écorce du cerveau antérieur perçoiventles excitations externes, c
prolongements nerveux moteurs : « La substance grise et blanche du cerveau ne peut être comparée qu'il un groupe social d'
mineuses, sonores, olfactives, sensitives. Dans ses hémisphères, le cerveau est comparable à une colonie d'êtres vivants et
les processus conscients d'autres colonies de l'Etat cellulaire du cerveau ... Cette différence d'intensité, d'où naît notr
oyen des fibres à myéline des systèmes d'association. » L'écorce du cerveau , que Meynert appelle la capitale de l'Etat céré
l'amphioxus, il ne peut exister de cons- cience corticale. Dans des cerveaux tels que ceux de la taupe et de la chauve-souri
brale n'est qu'une sorte de coiffe recouvrant les autres parties du cerveau , ici beaucoup plus considérables, la conscience
férentes. La possibilité de ces suppléances des diverses régions du cerveau rendrait en tout cas inutile l'hypothèse de tou
ical de sa vision est relativement vaste et s'étend en avant sur le cerveau . « Mais l'es- sentiel, c'est que les expérience
euses ». Ces régions étaient les couches supérieures de l'écorce du cerveau et surtout la fascia deiîtattt cornu Ammonis. O
nerveux, et partant la question des localisations fonctionnelles du cerveau . Aujourd'hui encore, Golgi ne trouve dans l'ana
La spécificité fonctionnelle des différentes zones corti- cales du cerveau résulte, non d'une composition anatomique spé-
Par là Golgi se défend d'insinuer que les différentes provinces du cerveau ne possè- dent point de fonctions prédominantes
lle épinière, moelle allongée, noyaux gris encéphaliques, écorce du cerveau et du cervelet, etc., et repré- sente un tissu
SOUS- OPTIQUE AVEC CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS ACQUISES DU CERVEAU ET DU CERVELET; par le P MoNAKOW. (A7-chiv. fitr
ui comporte deux divisions principales : 1° Etudes faites sur les cerveaux des différentes espèces animales; 2° faits anat
à leurs divers degrés. « Il désigne, sous le nom de dépendances du cerveau , les groupes de neurones qui, tout en étant sit
l'homme une dégénérescence secondaire des diverses c dépendances du cerveau ». Dans la couche optique, chaque noyau possède
longement cylindraxile ou nerveux. La couche externe de l'écorce du cerveau de ces animaux et de l'homme ne lui a pas prése
produit le courant ascendant qui va de la périphérie à l'écorce du cerveau , et inversement le courant descendant; il peut
n occipito-temporal, qui est le faisceau de la substance blanche du cerveau le plus tôt revêtu de myéline, est net et compl
couche des fibres arciformes. Il n'y a donc, d'après l'examen du cerveau de l'enfant, qu'un très petit nombre de fibres
entre les fibres sensitives des segments inférieurs du corps et le cerveau ; de même, les colonnes de Clarke sont le trait
rveuses qui, de plus en plus fournis à mesure qu'on se rapproche du cerveau , se rapprochent du ruban en question; au niveau
sitif du trijumeau et grossissent à mesure que l'on s'élève veis le cerveau . La clinique ayant paru indiquer que le ruban d
le lieu de réception des fibres de la 6e racine dorsale qui vont au cerveau . Au niveau de la 7e racine cervicale, la zone d
fasc. III, VI.) XIX. Recherches HISTOLOGIQUES SUR L'ÉCORCE GRISE DU cerveau CHEZ LES ENFANTS, DEPUIS LA NAISSANCE JUSQU'A L
28 août 1892, in Arch. de \eurol., n° 73.) Soury. Les fondions du cerveau , Paris 1892. 1 Tamburini. Huile alluciuaio71 mo
ces mouvements sont les seules qui aient pu s'éveiller dans leur cerveau en exprimant les idées. De plus, elles ont été no
bien conformées; et il y aura bien une raison pour que, lorsque le cerveau en conditions pathologiques fonctionne et repro
le mamillaire et de la bandelette optique gau- ches. Description du cerveau . Description du squelette : .' Aa·rél de dévelo
jusqu'à ce que l'épuisement ait diminué); enfin les aliénés dont le cerveau est devenu si exception- nellement sensible que
continuité de cette hypérémie ; tous les élé- ments constituants du cerveau sont petit à petit envahis par elle, et cet éta
n modifiant ces conditions favo- riserait l'accroissement normal du cerveau . Il résulte pourtant de recherches plus récente
recherches plus récentes, portant à la fois sur le crâne et sur le cerveau des microcéphales que l'idée étiologique de compr
t contre cette opération, n'est pas basé seulement sur l'examen des cerveaux microcéphales, des crànes de microcéphales, et
congénitale ordinaire, où la défectuosité primitive a pour siège le cerveau et non la boîte cra- nienne ; mais elle peut qu
iné une synostose précoce ; elle favorise alors le développement du cerveau . Mais le diagnostic des cas dans lesquels il co
ut être utilement pratiquée. Il en est de même de l'hypertrophie du cerveau , où la trépanation et l'incision de la dure-mèr
aire'. 1. R. DE l\IUSGRAVE CLAY. V. Plaie pénétrante DU crâne ET DU cerveau : trépanation ; EXTRACTION D'UN ÉCLAT DE BOIS E
ébrale un éclat de bois, qui avait pénétré transversalement dans le cerveau ; ce fragment de bois avait été suivi par un éc
de relever la table osseuse déprimée, a per- mis ici de libérer le cerveau de deux corps étrangers. Le malade a guéri. R.
r les deux données suivantes : 1° les espaces sous-arachnoïdiens du cerveau et de la moelle com- muniquent entre eux et ave
iagnostic diffé- rentiel entre les tumeurs cérébrales, les abcès du cerveau , la mé- ningite. A ce propos, M. Jacoby croit d
l de l'enveloppe sous-arachnoïdienne de la moelle et des cavités du cerveau ; au point de vue thérapeutique, cette opératio
équilibré est d'avis que l'altération de la circulation du sang du cerveau peut être la cause immédiate de l'affection men-
eloppement physique et mental dû à une hémorrhagie de la surface du cerveau : c'est un des cas assez rares où les symptômes
ue la manie a été directement provoquée par un traumatisme grave du cerveau et de la moelle. On pourrait, à non moins juste
tômes mentaux et nerveux déterminés par des lésions traumatiques du cerveau ayant probablement donné lieu à un épaissisemeu
s détermine des altérations du même ordre dans certains éléments du cerveau et trouble ainsi les diffé- REVUE DE PATHOLOGIE
prévoir, elles ontfourni les signes d'un arrêt de développement du cerveau et de ses éléments (macroscopiquement, les anom
macroscopiquement, les anomalies de scissures qui caractérisent les cerveaux mal développés; microscopique- ment, anomalies
é psychique saine est liée à l'inté- grité d'une certaine partie du cerveau et spécialement de l'écorce cérébrale. Celle-ci
un processus pathologique, sur- vient une maladie mentale. Mais le cerveau n'est pas le seul organe atteint chez les' alié
du caractère, est en faveur de l'hypothèse d'une dégé- nération du cerveau de nature syphilitique. Le traitement ioduré (1
antérieurement émise, sur l'analogie que présentent les gliomes du cerveau accompagnés de kystes, isolés ou non, avec les
côté gauche, fièvre, 40.5. Mort. Autopsie (12 heures post mortem). Cerveau ; hémisphère droit : la substance blanche prése
bunaux, par D. Clark; - Démonstrations d'ana- tomie pathologique du cerveau avec remarques (et planches), par Meyer; Exempl
es lésions se trouve dans les racines qui vont du bulbe olfactif au cerveau . Le ganglion de ce nerf est représenté, on le s
alisent ainsi entre ces cellules une unité physio- logique. Dans le cerveau , les fibres du corps calleux relient, au moyen
er qui s'éteint sur place. Avant d'aborder l'étude des fonctions du cerveau , telle qu'elle résulte des doctrines anatomique
l. L'existence d'une voie sensitive centrale, propageant jusqu'au cerveau les diverses sensations de la sensibilité général
à angle droit, quelques ramus- cules ascendants vers la surface du cerveau , se décomposant en deux ou plusieurs filaments
les hommes dont le talent, comme chez Gambetta, a coïncidé avec un cerveau de petites dimensions, les cellules nerveuses s
compliqué d'associations protoplasmico-nerveuses. Au contraire, les cerveaux excessivement volumineux, si souvent associés à
aient fort imparfaites. C'est peut-être ce qui a lieu pour les gros cerveaux de la baleine et de l'éléphant. » La morphologie
ation finale d'une très grande ampleur ». La substance blanche du cerveau antérieur est composée de quatre espèces de fib
saurait trop insister dans l'étude des fonctions intellectuelles du cerveau et pour lequel on peut invoquer la grande autor
t par leur abondance la masse principale de la substance blanche du cerveau . La quantité et la longueur extraordinaire des
ont les arborisations cylindraxiles se ter- minent dans l'écorce du cerveau , proviennent peut-être indirecte- ment de la mo
oujours, par de libres arborisations, dans la couche moléculaire du cerveau , en se mettant en rapport avecles dendrites des
brables neu- rones : 1° les collatérales de la substance blanche du cerveau ; 2° les collatérales des fibres du corps calleu
rbre des tro piques, » avec les éléments nerveux de la moelle ou du cerveau ; les vastes ramures aplaties, hérissées d'épin
de la moelle épinière. Grâce au plexus fibrillaire de l'écorce du cerveau , les cellules pyramidales peuvent donc subir l'
extrême de certaines tiges protoplasmiques (cellules pyramidales du cerveau , cellules de Purkinje du cervelet, etc.), ainsi
ses études anatomiques sur la nature des fonctions supérieures du cerveau , peuvent être résumées ainsi d'après la Neue Dars
es connexions et à la variété des types morphologiques, l'écorce du cerveau est même loin d'égaler la merveilleuse struc- t
THÉORIE DES NEURONES. 297 II. Il n'existe point de centre dans le cerveau où convergent toutes les fibres sensitives et s
e, que l'intelligence est en rapport avec le nombre des cellules du cerveau , et que ces cellules représentent soit un simpl
se livrent sans relâche aux travaux de l'esprit; 2° l'existence de cerveaux de volume moyen ou inférieur chez des hommes d'
e génie. Quant au premier point, il faut admettre que l'exercice du cerveau , quoique incapable de produire de nouvelles cel
nexions intracorticales nouvelles et plus étendues. Si le volume du cerveau demeure le même, c'est, pourrait-on dire, qu'il
Pour le second point, rien n'empêche de supposer que, dans certains cerveaux , par l'effet d'une adaptation hérédi- taire ou
nexions réalisées entre celles-ci par le substratum cellulaire du cerveau . Toutes ces considérations ont trait, non à la na
suivantes, d'une importance capitale pour l'étude des fonctions du cerveau : I. Une ou plusieurs cellules nerveuses serven
intermédiaire d'un nombre croissant de cellules nerveuses, jusqu'au cerveau . 11 existe donc des chaines de neurones visuels
impressionnés, l'excitation qui en part et qui se propage jusqu'au cerveau finit par déterminer des connexions ou associa-
s en vibration. 11 suit que les centres sensoriels de l'écorce du cerveau repré- sentent bien une véritable projection ét
t semble indiquer que 1' « architecture » des centres sensoriels du cerveau , de même que celle des voies d'association, n'e
e, les formes des cellules de la névroglie de la substance grise du cerveau se modifient : tantôt rétractées, pourvues de c
ici, dans leur rapport avec l'activité des fonctions supérieures du cerveau , les diverses classes de cellules de la névroglie
tions nerveuses aupara- vant séparées. En vertu de ce mécanisme, le cerveau passe de l'état de repos à l'état d'activité. C
vec le repos de l'intelligence, mais avec l'activité de l'écorce du cerveau , ce qui est le contraire de ce qui arriverait d
elet des oiseaux on trouve de vraies cellules en araignées; dans le cerveau , on ne ren- contre encore que des formes de tra
des cellules épithéliales (moelle épinière des poissons, écorce du cerveau des amphibiens et des reptiles, centres nerveux
dominent (moelle épinière des oiseaux et des mammifères, écorce du cerveau et du cervelet de ces derniers); à des degrés i
ulle part plus abondante que dans la glande pinéale, cette ruine du cerveau des vertébrés, dont les derniers ves- tiges son
avec la névroglie combien ils correspondent au type de l'écorce du cerveau ». THÉORIE DES NEURONES. 309 Quelles sont les
rface interne ; il doit être protégé comme les surfaces externes du cerveau et de la moelle. Il est remarquable que la couche
lle. Il est remarquable que la couche pie- mérienne de névroglie du cerveau manque au cervelet. L'épaisseur de cette couche
isseur de cette couche varie entre 0,003 et 0,03 selon la région du cerveau et l'âge de l'individu. Dans la vieillesse, la
eu des grandes pyramides. Dans les couches profondes de l'écorce du cerveau , même dans celle des fibres radiaires à myéline
et même aucune sur de vastes étendues. Dans la substance blanche du cerveau , au contraire, un abondant feutrage de névrogli
ssu sont seulement plus fines et leurs mailles plus serrées dans le cerveau . Dans tout le système nerveux central, c'est un
lles de névro- glie séparent des autres une fibre nerveuse (dans le cerveau , le cervelet, la partie interne de la moelle al
st également atteint d'imbécillité. B... insiste sur ce fait que le cerveau est intéressé dans ces cas de dystro- phie musc
ts comme caractérisant la myélite aiguë, être cousidé- rés, dans le cerveau , comme les périodes successives des foyers de r
une myélite disséminée intéressant toute la moelle et peut-être le cerveau , que pour que l'inflammation reste circonscrite a
tement limitée au territoire des artères centrales, et par- fois le cerveau est lui aussi atteint. La myélite centrale diffus
dans les névrites typiques, le poison touche aussi la moelle et le cerveau . La sclérose multiple parfois évolue rapidement
et dire GO va-t'en ». Mort le 2 janvier par pneumonie. Autopsie du cerveau faite trois heures après la mort; pas d'autres
ogues et les cliniciens. Elle est cependant aisément praticable. Le cerveau doit au préalable être plongé, durant quelques
rant quelques jours, dans une solution de formol à 10 p. 100. Si le cerveau est placé tout entier dans un bocal, on aura so
ectionner le corps calleux. Puis on place des petits frag- ments du cerveau ou de la moelle dans un mélange d'une solulion
t inexplicables. Sous ce point de vue, c'est la structure fine du cerveau , surtout de sa couche corticale, qui nous présent
trent en contact avec différentes régions de l'écorce cérébrale, du cerveau en géné- ral, de la moelle épinière et du cerve
t rapide de l'éther, qui atteint la rétine, ne parviennent pas au cerveau sans subir de grands changements. Il en résulte q
ce sur elles, en leur transmettant les impulsions qui viennent du cerveau . Nous avons le droit de rapporter à tout le sys
étine, pénètrent, à l'aide d'une chaîne de neurones aux cellules du cerveau , d'où partent à travers les fibres centrifuges
es de l'oeil, d'où partent des fibres centripètes qui reviennent au cerveau . Ces fibres peut- être servent à transmettre le
e nous avons des liaisons doubles entre les diffé- rents centres du cerveau . Il est très probable que les fibres commissura
TRES DE PROJECTION ET LES CENTRES d'association DE Flechsig dans LE cerveau terminal DE l'homme ; par A. VAN GEHUCHTEN. (Jo
et chez les différents mammifères varie-t-il encore beau- coup d'un cerveau humain à un autre cerveau humain. Les centres d
mifères varie-t-il encore beau- coup d'un cerveau humain à un autre cerveau humain. Les centres de projection se développen
les centres d'asso- ciation ; pendant le premier mois de la vie le cerveau terminal se trouve réduit dans son fonctionneme
l., XV, 1896.) Par ce procédé on peut durcir et colorer en bloc des cerveaux de petits animaux et des morceaux de cerveaux d
t colorer en bloc des cerveaux de petits animaux et des morceaux de cerveaux d'animaux de moyenne grosseur. Pour les gros an
HOLOGIQUES. 361 bulbe en tranches de 1 centimètre de long; quant au cerveau in- termédiaire, au cervelet, au manteau, on le
XXXVI. SUR la valeur fonctionnelle DES CENTRES MOTEURS corticaux DU CERVEAU CHEZ DIFFÉRENTS ANIMAUX; par WeSLEY-MILLS. (New-
corticale, probablement surtout dans les centres sous-corticaux du cerveau , mais en tout cas en un point quelconque de l'e
l guérit, et, au bout de trois ou quatre jours, marche comme si son cerveau était intact. Chez le chien, la guérison est plus
ment constant dans toutes les affections phy- siques ordinaires. Le cerveau préside, par certains de ses éléments, à l'abso
suite d'intervention chirurgicale sur des organes fort éloignés du cerveau ('exemple castration). La mort, consécutive à bea
bles circulatoires] : mais dans un cas comme dans l'autre, comme le cerveau ne peut recouvrer son état normal qu'avec le co
vaient-ils posé le diagnostic de syphilis céré- brale, de tumeur du cerveau , de sclérose multiple, sans penser à la paralys
97 des phénomènes convulsifs qui dénotent un état d'excitation du cerveau . L'auteur résume ainsi ses opinions sur la cata
até dans les observa- tions antérieures, il n'existait pas, dans le cerveau , d'autre foyer de dégénérescence hyaline. Aussi
aire, n'est pas fondée. Discussion. M. ALSHEIIER distingue, dans le cerveau , la dégé- nérescence hyaline et la dégénérescen
plus que les aliénistes, l'occasion de diagnostiquer des tumeurs du cerveau . Les troubles psychiques prodromiques d'une tum
xité; elle était le moins accentuée sur les vaisseaux de la base du cerveau . Des foyers hémorragiques récents ou anciens se
s ou anciens se montraient dans toutes les parties de l'écorce du cerveau et du cervelet et dans les ganglions centraux, ma
- gnée générale antérieure). Or précisément il faut songer que le cerveau des épileptiques se trouve dans conditions except
degré capable d'en- gendrer l'attaque ; 5° qu'une anémie subite du cerveau peut provo- quer une attaque épileptique. La
es vaisseaux, c'est-à-dire l'interruption subite de la nutrition du cerveau , provoque la perte de connaissance et les convu
nt l'expression symptomatique est d'autant plus pathologique que le cerveau de l'épileptique est affai- bli dans sa résista
as compliqués, explique tous les troubles d'origine épileptique. Le cerveau enfin ne subit pas impunément ces phénomènes do
étude de l'enfant; 6° la neurologie. Les relations intimes entre le cerveau et l'âme ont, de tous temps, appelé l'attention d
tissu nerveux, ont diminué la profondeur de l'abime qui sépare le cerveau de l'âme ; 9° psychiatrie. Enfin, si l'on ne peut
ent d'ailleurs encore des ' t1.-L.-J. Bayle. Traité des maladies du cerveau et de ses mem- brantes. Paris, Gabon et C", 182
survienne uniquement par suite des altérations qui existent dans le cerveau ; à peu près constamment les organes abdominaux
. Baillière, 1826. 2 Calmeil. Traité des maladies inflammatoires du cerveau , 2 volu- mes. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1
l'axe cérébro-spinal et portant surtout sur la subs- tance grise du cerveau et delamoelle, etsur les cornes antérieures. La
on chirurgicale dans deux cas de lésion de la moclle épinière et du cerveau chez des enfants. Con- tribution à l'étude de l
frait d'abcès multiples : dans un poumon, sous la peau et dans le cerveau (d'ici une hémiplégie gauche avec développement l
tion de Dpchsig, par van Gehu- chten, 355. Moteurs corticaux du cerveau chez différents ani- maux, par Wesley Alills, 3
359. Couronne rayonnante. Nouvelles communications sur la - du cerveau de l'homme, par Fluchsig. 131. Crâne. Plaie p
l'homme, par Fluchsig. 131. Crâne. Plaie pénétrante du - et du cerveau , par Fergusson, 211. - en forme de tour, par We
e, 41 î. SYPHILITIQUES. Affections - des ar- tères et du tissu du cerveau , par Ablecoff, 61. Syringomyélie consécutive
17 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
omique des autres organes n'avait montré rien d'extraordinaire ; le cerveau a paru intact. J'ai trouvé la moelle épinière u
les hémorrhagies sont beau- coup plus graves et plus fréquentes au cerveau qu'à la moelle, et plusieurs fois, elles se ren
quel on trouve six grands et quatre petits foyers hémorrhagiques au cerveau et rien à la moelle malgré la grande quantité d
ter clairement une coloration quelconque. Rien d'anormal du côté du cerveau , des poumons et du coeur. Les reins plus grands
iège à une région déterminée de 1-'écorce de l'hémisphère gauche du cerveau . L'anatomie nous enseigne que les régions auxqu
sme de 64 CLINIQUE NERVEUSE. ce phénomène vraiment curieux sur le cerveau de chiens à la surface duquel nous voyons à tra
régions et la suppression des incitations motrices vo- lontaires du cerveau droit, rendre compte de la para- lysie du facia
la localisation des gaz, aux différentes parties de l'organisme, au cerveau , aux poumons, au tube digestif, aux muscles, au
ogie, n" 51, p. 337; n° 52, p. 28; ne 5't, y. 360. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 79 que le faisceau direct, et, en outre, quelq
ge. Studi sperinaentali e clinici. Napoli, 1888. LES JONCTIONS DU CERVEAU . 81 même temps, la circonvolution postcrucialc,
qu'il a lui-même établi pour les autres aires fonction- nelles du cerveau , mais avec tous les faits connus, auxquels il c
rante ans, a considéré le cervelet comme le centre LES FONCTIONS DU CERVEAU . 83 nerveux du sens musculaire, centre coordina
i existent, au point de vue anatomique et physio- logique, entre le cerveau et le cervelet, tels que le développement insol
Istituto di studi superiori... in Firenze.) .. 1 LES FONCTIONS DU CERVEAU . z cher l'accomplissement des divers actes volo
rs la dure-mère, la vérité de la doctrine nouvelle des fonctions du cerveau . Chez le nommé Ferd. Rinalducci, dont le pariét
i n'ontplus depuis longtemps aucune raison d'être. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 87 de long sur 25 de diamètre. L'application d
8, insérée dans la Semaine médicale, 1886, p. 154. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 89 une hystéro-épileptique qui, durant la péri
e fois de plus, avec Charcot, l'état d'hyperexcitabilité spécial du cerveau pendant la pé- riode léthargique de l'hypnose.
iques de Seppilli sur la nature des fonctions de la zone motrice du cerveau humain, nous 1 Fenomeni di ipnolismo in 2sn'isl
né, excité, cautérisé la substance grise et la substance blanche du cerveau sans être jamais par- venu, jusqu'à 1870, sinon
r, si l'on avait expérimenté avec méthode sur la surface entière du cerveau , il y a longtemps que l'on aurait découvert ce
des localisations motrices, Paris (1883, p. 55. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 91 et musculaire, en regard des fonctions de l
pro- portions les lésions affectaient les différentes régions du cerveau dans les 47 cas cliniques recueillis par Sep- o
nterne delà F,, ainsi qu'on le voit aujourd'hui, dans le schémas du cerveau du singe de V. Horsley et de Schaefer. Chez un
ncienne lésion destructive, intéressant uni- - z LES FONCTIONS DU CERVEAU ? V /93 , , . , . v >' \ " quement l'écorc
ri of the monke ! J. - Brain, janvier 1888, 379. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 95 centres de la sensibilité musculaire ont un
io ital. per le mal, nerv., 1889, \1'f, p. 40. 1 LES FONCTIONS DU CERVEAU . 97 sensibilité des bras et de la face étaient
té (90 0/0) des apoplexies cérébrales et des affections en foyer du cerveau respectent l'orbiculaire des pau- pières. Les l
lules, vont se terminer en arborescences dans la sphère visuelle du cerveau (coin). Par conséquent, des sollici- tations du
mple contiguïté de fibres. Quand on a extirpé la sphère visuelle du cerveau on obtient l'atrophie non seulement du corps geno
l'accrois- sement des cheveux et peuvent être transitoires. XIII. Cerveau exceptionnellement LOURD chez un paralytique GÉ-
of Mental Science, janvier 188G.) Le malade auquel appartenait ce cerveau n'avait présenté d'au- tres symptômes que les s
erture du crâne, il s'écoula onze onces de liquide, et on trouva au cerveau un poids de 61 onces : privé du liquide sous- a
s 11 onces de liquide qui s'écoulèrent au moment de l'a- blation du cerveau , représentaient assurément plusieurs onces de t
nt plusieurs onces de tissu cérébral. Si donc on ajoute au poids du cerveau un poids de cinq onces et demie, considéré comm
u par suite de l'atrophie du tissu cérébral, on obtiendra pour ce cerveau un poids total de 66 onces et demie, c'est-à-dire
ans l'es- pèce, tenir compte des tabes et des lésions grossières du cerveau , de la syphilis, de l'alcoolisme, considérées c
ve. M. Zncaen (de Stéphansfeld). Lésions anatomiques rares sur un cerveau d'idiote. - Il s'agit d'une idiote de quarante-de
ve avec formation de cavtés que nous avons décrits dans l'écorce du cerveau . 11 y avait dans l'espèce prolifération de la c
aralysies géné- rales de causes diverses (maladies de la muëlle, du cerveau , atrophies musculaires, etc.). - C'est avec le
NERVEUX ANATOMIE NORMALE ET PATHOLOGIQUE L'étude des fonctions du cerveau est si intimement liée à celle de l'histologie
ncore la servante de la physiologie. La physiologie démontre que le cerveau est un organe fonctionnel tement hétérogène, c'
ne fonctionnel tement hétérogène, c'est-à-dire que les fonctions du cerveau varient avec les différentes régions de cet org
régions de cet organe. L'anatomie non seulement ne LES FONCTIONS DU CERVEAU . '169 peut rendre raison de ces différences de
dire si cette hétéro- généité fonctionnelle des diverses régions du cerveau correspond à des variétés de forme et de struct
expliquait par ces anastomoses fibrillaires les actions réflexes du cerveau et de la moelle, et les rapports fonctionnels d
astomoses. S'il est une méthode capable de révéler LES FONCTIONS DU CERVEAU . t71 ces anastomoses, si elles existaient, ce s
a fina anatomia cln.,7li organi ccnll'al ? [1. 'M. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 113 qu'on doit s'expliquer les rapports anatom
euse des centres nerveux peut être eu rapport avec LES FONCTIONS DU CERVEAU . '175 un certain nombre de fibres ayant probabl
ées de l'écorce, soit dans celle de pré- tendues zones spéciales du cerveau , une indication physiologique quelconque. Dans
s, si les cellules globuleuses se rencontrent dans LES FONCTIONS DU CERVEAU . 177 7 toute l'épaisseur de l'écorce, elles abo
is de la spécificité des organes périphériques, en LES FONCTIONS DU CERVEAU . Il-19 rapport avec les nerfs à direction centr
, des cellules incontestablement motrices ? Dans la zone motrice du cerveau ? ... Mais cette zone renferme en même temps, s
uer des troubles de la sensibilité. L'hypothèse de LES FONCTIONS DU CERVEAU . 181 t Tamburini (1876) sur la nature mixte de
t d'anti- physiologique à considérer la structure histologique du cerveau qui n'est, en dépit de sa complexité extra- ord
ales serait déterminée par la spécificité de l'or- LES FONCTIONS DU CERVEAU . 183 gane auquel, périphériquement, les fibres
e celle de Jean 3111ller, qui attribuait aux différentes régions du cerveau des énergies fonction- nelles spécifiquement di
fiques des cellules nerveuses des diffé- rentes aires corticales du cerveau , que Meynert rap- porte les différents modes de
e nos or- gaites. Uev. scientif ? 20 liée, 1879. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 18o davantage : ils se spécialisent par exagér
bien que la possiblité de ces suppléances des diverses régions du cerveau rendrait inutile l'hypothèse de toute fonction
fonctionnellement indifférents, s'ils peuvent tous LES FONCTIONS DU CERVEAU . 187 se suppléer, on devrait pouvoir détruire u
lules nerveuses centrales. Seul, le mode de termi- LES FONCTIONS DU CERVEAU . 189 naison périphérique des fibres nerveuses p
re de voir, dit Nansen, relativement à la composi- LES FONCTIONS DU CERVEAU . 191 lion des arcs réflexes et à l'importance p
sent une base anatomique à l'élude expérimentale des fonctions du cerveau . Il en est de même des cliniciens. C'est ainsi
1885. - Neurol. Centralbl.. 188 ? p. 1 ? 1-152.. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 193 remarquer que par toute l'écorce, on retro
e du même ouvrage, par E. Belmondo, ibid., 1888. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 195 mouvement seraient nécessairement confondu
muscolo-tendineo (Torino, 1880), p. 18; Cf. 23. LES FONCTIONS DU CERVEAU . z197 nerfs sensitifs (Sachs), et non par des n
ulaires et les tendons), probablement un tiraille- LES FONCTIONS DU CERVEAU . '199 ment plus ou moins considérable, en rappo
e dans les corps striés permet de supposer que les LES FONCTIONS DU CERVEAU . 201 1 noyaux caudés et lenticulaires appartien
olllia lieU' cucefido dei leleostei. Roma, 1887. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 203 bles travaux. Je citerai celui d'Alfredo C
on quantitative de la substance blanche et de la substance grise du cerveau humain. Conti a institué de nouvelles recherche
substance grise décroit d'une quantité absolument LES FONCTIONS DU CERVEAU . 205 inférieure à la substance blanche chez les
le et de ses parties, et de la moelle épinière : LES FONCTIONS DU CERVEAU , 207 i d'être épuisées, ces recherches d'anatom
ous points comparable à ceux qui existent déjà pour cette région du cerveau ? ' ! L'étude d'anatomie pathologique de Cionin
ceschi, Sulla varia grossezza della sostana grigia LES FONCTIONS DU CERVEAU . 209 9 traité que de la paralysie générale prog
x, plus forte sur l'hémisphère gauche que sur le droit, et que le cerveau gauche l'emportait en poids sur le cer- veau dr
moires célèbres d'anatomie pathologique de Morselli sur le poids du cerveau chez les aliénés 2 : chez les . ? degli entis
rit, morts de maladies diverses, C. Galio et . di Matte ont, sur 55 cerveaux , trouvé 39 fois l'hémisphère droit plus pesant
cette prépondérance, loin d'être l'indice d'un état pathologique du cerveau (Luys), serait chose normale. Il suit encore de
auche n'aurait point de base ana- tomique. Giacomini aussi, sur 300 cerveaux , a trouvé 154 fois l'hémisphère droit plus lour
i. -Archivio ital. per le mal. nerv., 1886, 413. LES FONCTIONS DU CERVEAU . - ),[Il veaux de l'asile d'Imola qui lui ont s
5G dont les hémisphères étaient d'égal poids (1 1.,3 °/0). Des 334 cerveaux dont les hémisphères étaient de poids inégal (8
cées au manicome de Macéra la, en 1880 : « Le poids spécifique du cerveau des aliénés est, en moyenne, supérieur à celui
ique de la substance cérébrale est généralement plus élevé pour les cerveaux et pour les cervelets de petit volume et d'un 1
a 13resciana. Ricerche di anato- mia normale (l'arma, 1881). Sur 61 cerveaux , Tenchini a trouvé que l'hémisphère droit l'emp
nt inférieur. Les femmes aliénées présentent un poids spécifique du cerveau et du subencéphale (c'est-à-dire du cervelet, d
elet, du pont de Varole et du bulbe rachidien) inférieur à celui du cerveau des hommes aliénés, comme c'est le cas chez les
st le cas chez les individus sains d'esprit. Le poids spécifique du cerveau atteint, chez l'homme, son maximum entre trente
llesse. La folie tend en général à augmenter le poids spécifique du cerveau , spécialement dans les périodes intermédiaires
s intermédiaires de la vie. Les plus hautes densités spécifiques du cerveau ont été trouvées dans les formes alcooliques et
t de délires systématisés offrent en général un poids spécifique du cerveau supérieur à celui des formes aiguës et typiques
aiguës et typiques de manie et de lypémanie. Le poids spécifique du cerveau est bas dans les aliéna- tions accompagnées de
les de l'alcoolisme et de l'épilepsie. Dans l'état d'hypérhémie, le cerveau possède un poids spécifique élevé, très bas au
uenti. Archiv. di psichiatria, 1886, .VII, 429. f. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 213 'à le sait, aux mêmes résultats. Le bas de
la plagiocéphalie intéresse directement l'étude des fonctions du cerveau . ' Peli. - Sul peso della calolla cnaniense ris
chez les enfants rachitiques ou pré- sentant cette hypertrophie du cerveau et du crâne qui caractérise en général les alié
les deux hémisphères cérébraux. Il y a longtemps que la symétrie du cerveau et du crâne ne passe plus pour la condition d'u
gico e clinico. - La Psichiatria, 1888, VI, 1-5'E. LES FONCTIONS DU CERVEAU . IJ S tionnement de l'intelligence. Tandis que,
z les Pithéciens, les hémisphères sont toujours semblables, « les cerveaux d'orang et de chimpanzé présentent « une asymét
chimpanzé présentent « une asymétrie qui le cède à peine à celle du cerveau « humain » (Broca). L'asymétrie des blancs est
ancs est plus accusée que celle des nègres; en se simplifiant, le cerveau des idiots microcéphales retourne à la symé- tr
le cerveau des idiots microcéphales retourne à la symé- trie. Le cerveau , et partant le crâne, des races humaines supéri
l'asymétrie des moitiés latérales des feuilles'. Si l'asymétrie du cerveau et des os du crâne est la " règle, la plagioc
alformation cérébrale héréditaire, d'un arrêt de développement du cerveau , bref, comme un signe de dégénérescence de cet
i psi- chiat/'w, 18XG, "*01.) 216 PHYSIOLOGIE. - LES FONCTIONS DU CERVEAU . alors que, sur 40 personnes normales, il n'a c
alforma- tion. Que la plagiocéphalie implique une malformation du cerveau , cela résulte, pour Venturi, de ce que, dans to
88). Le fait primitif est, en effet, un arrêt de déve- loppement du cerveau , sur lequel se modèle le crâne avant la consoli-
du crâne n'est donc pas la cause, mais l'effet des malformations du cerveau chez les épileptiques. En tout cas, elle évolue
tre cette expression. R. M. C. 111. Un cas DE sarcomes multiples DU CERVEAU ; par F. S. JUHN HULLEY. ('1'heJolll'/lal of Men
r trépanation et ablation du fragment osseux irritant la surface du cerveau , puis deux cas de tumeur cérébrale par Mi. Hols
par Mi. Holsti et Ruhnberg, ainsi qu'un cas d'atrophie partielle du cerveau chez une femme de 32 ans, morte de tuberculose
ne qui fatigue le plus. P. K. XI. UN cas DE carcinome secondaire DU cerveau simulant LA PARALYSIE GÉNÉRALE DES ALIÉNÉS ; pa
rconvolutions dans les cas où la folie est associée à une tumeur du cerveau . 3° L'absence de névrite optique pendant toute
ificielle, bien dosée, et scientifiquement localisée (la tête et le cerveau sont à l'abri et viennent par la respiration à
it, en deux séances réséqué à l'aide de ciseaux les deux moitiés du cerveau . L'animal survécut à la seconde opération pendant
e que le chien dont provient cette préparation ne possédait plus de cerveau pendant les cin- quante et un derniers jours de
mence paralytique, 3 cas de syphilis cérébrale, 2 cas de tumeuis du cerveau , 4 cas de psychoses séniles, 3 observations de
règne animal (lapins -chiens - hommes) entre certaines régions du cerveau et les segments correspondants du cerveau intermé
ntre certaines régions du cerveau et les segments correspondants du cerveau intermé- diaire ; elles sont démontrées par les
guë non suppurée, il fallait faire une place au ramollisse- ment du cerveau suppuré, aussi bien qu'au ramollissement céré-
er buvard. On pratiquera les coupos à l'alcool à l'aidede la lame à cerveau , on obtiendra ainsi des coupes épaisses de deux
des asiles d'aliénés. M. FnANK décrit un cas de tumeur perlée du cerveau avec pièces ci l'appui. - L'heure avancée ne perm
idérables, dues à des processus de dégénérescence, sur le crâne, le cerveau et les membranes : ces altérations avaient pour
e vingt sous, et avait laissé une trace sur la surface du crâne. Le cerveau pesait 1,349 grammes; il était gorgé de sang un
ées. , Système nerveux. - Les méninges cérébrales non plus que le cerveau et le cervelet n'offrent aucune lésion appréciabl
excessive. Examen histologique. On a prélevé pour cet examen : le cerveau ,' le cervelet, la protubérance, le bulbe, la moel
u même niveau avec la destruction de quelques fibres du raphé. Le cerveau (circonvolutions frontales et occipitales) ne pré
c de Sylvius, ces réductions de vo- lume sont moins évidentes. Le cerveau et le cervelet sont normaux. Autopsie Vil. (Smi
ude, ce qui pourrait expliquer la rapidité de sa dégénérescence. Le cerveau , le pont de Varole, le bulbe et les enveloppes de
enveloppes de la moelle sont intacts. Autopsie IX (Rütimeyer). Le cerveau n'offre rien de parlicu- DE LA MALADIE DE FRIED
érébration, à retrouver cette excitation perdue dans un coin de son cerveau . C'est là un caractère psychique de l'anesthési
régularité des heures et des occupations; 6° il avait intoxiqué son cerveau par un usage excessif de l'alcool, allant toujour
stimulation sans jamais aboutir à l'ivresse; 7° il avait épuisé son cerveau par l'excès des plaisirs vénériens; 8° il a pré-
trefois. Enfin, il existe une catégorie considérablede personnes, à cerveau instable, qui habitent les frontières de la fol
Rossbach présente des préparations empruntées à diverses parties du cerveau et du cervelet, colorées par la méthode de Golgi.
tion de cette démenée. 13. Nous n'avons aucun motif de penser qu'un cerveau , dont les antécédents héréditaires sont absolum
rgique, l'écorce peut y répondre dans une certaine mesure ; mais un cerveau de ce genre est incapable de trouver en lui-mêm
nitale représentent l'échec de la nature pendant l'accroissement du cerveau , tandis que la démence secondaire est le type d
Bouveret, 244. Centre cortical de la voix, parRoss- bach, 405. Cerveau (des fonctions du), par Soury, 78, 166 ; - sarc
lant la paralysie générale, par Percy-Smith, 248 ; résection du cerveau chez le chien, par Goltz, 256; par Monakow, 262
chez les jeunes garçons, parBourneville et Sollier, 98. Idiote ( cerveau d'), par Jacher, 131 ; assurance des idiots, 43
ergotinc dans la), par Christian, 127; (carci- nome secondaire du cerveau si- mulant la), par Percy Smith, 248 ; - et c
18 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et les ruptures artérielles siègent plus fré- quemment à la base du cerveau . Dans notre cas ce qui dominait la scène c'étai
lo, eczéma- teuse. Grand-oncle paternel mort d'un ramollissement du cerveau . Tante et cousin morts de tuberculose. Oncle ec
protubérance, le bulbe et le cervelet n'ont rien de particulier. Cerveau . Hémisphère droit. Face convexe (PL. 1). Les de
stème arté- riel (aorte, reins). Il faut même chercher en dehors du cerveau les éléments d'un diagnostic différentiel. Si p
ne la découverte et l'ablation d'un séquestre frontal comprimant le cerveau à travers les méninges restées saines ainsi que
rs mauvaises actions. Bien que ces individus, pervers de par leur cerveau anormal, soient réputés incurables, le Dr Forel
ude sur le signe des orteils de Ilalil1ski. M. Touche présente le cerveau d'une femme chez qui une tumeur frontale de l'h
opérations essentielles, la conservation de certains états dans le cerveau , leur reproduction et leur reconnaissance. Mais c
vec les phénomènes électriques. Il est évident que la conception du cerveau comme agrégat de neurones isolés, pouvant s'influ
n préalable de l'opium, Flechsig prétend diminuer l'excitabilité du cerveau en abaissant sa tempéra- ture, en ralentissant
ques-uns anciens pouvaient remonter aux états de mal antérieurs. Le cerveau était petit, je n'ai malheureusement pas pu obt
et s'adaptant librement aux dimensions naturellement réduites d'un cerveau originellement petit. Toutes les sutures sont p
arges... Il n'y a pas de chirurgie des épilepsies, il. y a celle du cerveau et du crâne. » (Winkler.) Je ne dis pas qu'il f
gyll. Très rarement la lésion du faisceau pyramidal siégera dans le cerveau , créant ainsi une hémiplégie ou une diplégie cé
psies d'épileptiques on s'en tienne presque toujours à l'examen' du cerveau ; en pratiquant des examens nécroscopiques plus c
sons pour admettre qu'une irritation de quelque importance passe du cerveau à la moelle, et il faut se rattacher à la théorie
microsco- pique des centres nerveux à l'état frais fait défaut, le cerveau et le cervelet sont abimés ; ce dernier pourtan
e fournie par la méthode de Golgi. P. Keraval. XXIII. Du poids du cerveau le plus lourd décrit jusqu'ici ; par G ? C. VAN
irent par le tuer. Taille'l m. 40. -- On constate à l'autopsie un cerveau géant, dépourvu d'altéra- tions macroscopiques,
tive et attribue ses effets à un « fluide radiant qui siège dans le cerveau de l'opérateur. MM. Morejon, Iglesias, San Mart
ites, rapportées dans ce travail, 12 concernaient des tubercules du cerveau et 4 des tuber- cules du cervelet. Sur les 4
ès, de récidive. Sur les 12 malades opérés pour des tubercules du cerveau , 1 est mort de shock, 1 six semaines après l'in
s deux couches optiques, vascularisation excessive de la surface du cerveau , du cervelet et de la moelle. F. B. XIII. Neu
que situé au-dessus ne décèle ni asymétrie ni anomalie. L'écorce du cerveau présente, surtout au niveau des lobes frontaux,
oit à la simultanéité des lésions pareilles mais indé- pendantes du cerveau et de l'oeil; elles se sont produites dans les
jours rapprochée de l'absence de phénomènes paralytiques indique le cerveau . L'atteinte de la parole et le genre de l'ataxi
s tabétiques mais sans les faire rétrograder. M. LÉvy présente un cerveau atteint de ladrerie. Contribution à l'étude des
classes de mammifères et homologues à ceux que l'on connaît pour le cerveau de l'enfant; et enfin que tant qu'il y a dans l
apports : 1° Sur les centres de projection et d'association dans le cerveau humain. Rapporteurs, Flechsig (de Leipzig), Hitzi
stration et la description clinique dans l'autopsie des'maladies du cerveau ), par le or Hughes de Saint-Louis (États- Unis)
de son habitation. Le malheureux qui avait depuis quelque temps le cerveau dérangé, avait, à plu- sieurs reprises, manifes
e, et de permettre d'ap- pliquer aux sujets atteints de maladies du cerveau le traitement individuel que celles-ci réclamen
ement congestionné. 216 RECUEIL DE faits. Les lobes occipitaux du cerveau présentent en arrière une anomalie très rare, p
s deux yeux ouverts, nous montre que, dans certaines conditions, le cerveau peut ne prendre aucune connais- sance de ce que
ca- tion de son observation '. G. 0, XXXIV. Étude histologique du cerveau dans le sommeil provoqué par la fatigue; par )1
Chez une souris endormie par suite d'une longue marche, l'écorce du cerveau ne présente pas, d'après : \[110 Stefanowska de
on cérébrale ? Non, certes. J'admets la congestion, l'hyperhémie du cerveau ; il faudrait être Archives, 2° séiie, t. X, 15
sieur Glace, soixante-dix-sept ans, à Villy, près Falaise, dont le cerveau était dérangé depuis quelques mois, s'est tiré
sition, et alors, seulement, la cause morbifique, agis- sant sur un cerveau en état de moindre résistance, peut faire éclore
nstate que la pie-mère est épaissie sur toute la surface externe du cerveau . La décortication des circonvolutions frontales
omie grossière. La moelle était considérée comme un prolongement du cerveau , quelque chose comme un gros nerf, plus volumin
. Ils soutenaient que la moelle n'est pas un simple prolongement du cerveau , com- parable à un gros nerf, mais quelque chos
mencement de la seconde moitié de ce siècle, la structure intime du cerveau et de la moelle nous était connue dans ses traits
core en grande partie. Wa- gner l'avait formulée en ces termes : le cerveau et la moelle se réduisent à des agglomérations
nt je vous parle, le dogme erroné de l'homogénéité fonctionnelle du cerveau ,' consacré par les recher- ches expérimentales
sychologistes, phy- siologistes ou cliniciens, qui soupçonnaient au cerveau une organi- sation analogue à celle que l'on co
ant une erreur de topographie, avait en- trevu l'existence, dans le cerveau , de deux territoires dont la lésion engendre, p
sur la chronologie de la myélinisation des fibres nerveuses dans le cerveau du foetus et du nouveau-né, pour nous faire ent
r et nos propres organes en communication avec les ter- ritoires du cerveau qui constituent en quelques sortes le substra-
'encéphale. Aux affections, en rapport avec des lésions diffuses du cerveau et de ses enveloppes, nous en viendrions à oppo
s efforcé à mettre en évidence cette analogie et à mon- trer que le cerveau se comportait comme un accumulateur électrique.
e dois ajouter que je suis arrivé à penser que certaines parties du cerveau seules doivent être considérées comme un accumu
'excitation reçue. Les centres récepteurs (sensitivo-sensoriels) du cerveau agissent en parti- culier comme de véritables t
e fait de l'âge, les résistances qui proviennent de la nutrition du cerveau , les fuites qui se produisent dans le trajet du
observe dans certaines affections mentales, que la résistance du cerveau aux impressions qui l'atteignent peut être mesu
on anglaise), nous trouvons à la partie qui traite de l'anatomie du cerveau , la description, avec des planches, du cerveau
ite de l'anatomie du cerveau, la description, avec des planches, du cerveau d'un jeune homme complètement imbécile, dont le
plètement imbécile, dont les dimensions atteignaient à peine 1/5 du cerveau normal; et cette observation est le premier tra
urzheim dans l'Atlas qui accompagne leur Anatomie et Physiologie du cerveau en général, et du caveau en pal'ticuliel', donn
s, non seule- ment à la conformation, mais encore à la structure du cerveau . Meckel, en 1760, notait qu'il avait remarqué c
s de l'encéphale furent décrites, tandis que la structure intime du cerveau a été l'objet d'investigations relati- vement r
sons de limite définie, ni à la dimension de la tête ni au poids du cerveau per se constituant la microcéphalie, quand les co
ans ces derniers, une fois formés. Tandis que toutes les parties du cerveau sont très réduites, il a été noté que le fronta
331), dans la microcéphalie « le caractère notoire et essentiel du cerveau réduit est l'état abortif du lobe occipital ». La
sujets, qui nous autorise à dire que le développement incomplet du cerveau était le caractère dominant de la difformité, »
ormité, » et, allant plus loin, il conclut que « la crois- sance du cerveau est le facteur déterminant de la forme du crâne».
, comme dans un cas rapporté par Bourneville, où les hémisphères du cerveau étaient absents, l'hydrocéphalie primaire est a
onaie et physiologie (p. 363-365), sous le titre de : Anatomie d'un cerveau le.lromierocéphude. Uans ce cas (jeune homme de
n ne trouva rien de suggestif dans celte configuration. Le poids du cerveau , après macération dans l'alcool pendant une sem
probable- ment à une endocardite intra-utérine. Pour ce qui est du cerveau , les circonvolutions sont, en thèse générale, g
peu de circonvolutions secondaires. Wilmarth observe que, sur cinq cerveaux mongoliques examinés par lui, ils étaient de bo
ngoliques examinés par lui, ils étaient de bonne dimension pour des cerveaux d'imbéciles, le pont de varole et la moelle seu
ois plus grand Les vaisseaux sont beaucoup plus minces que dans les cerveaux sains. La nutrition et la circulation, défectue
t toujours été observées dans tels cas, et la lésion essentielle du cerveau semble être la dégénérescence des cellules pyra
noïde, est très escarpé. Les fosses cérébelleuses sont aplanies. Le cerveau est 308 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. or
une atrophie progressive des cellules nerveuses. « Les cellules du cerveau des imbéciles épileptiques à l'âge adulte (20 a
l'idiotie, mais dans une autopsie faite par l'un de nous (Beach) le cerveau , très petit, pesait seulement 27 onces (3C5 gramm
atrophie spécialement des circonvolutions frontales et centrales du cerveau , l'épaississement de la pie-mère et l'arachnoïd
rnière catégorie. S'il n'y a pas de convulsions, et si la lésion du cerveau est peu étendue, un progrès mental appréciable pe
me acquise, il y a perte de substance nerveuse, par inflammation du cerveau ou de ses méninges, anté- rieure à la naissance
nombre des ganglions et des cellules pyramidales. L'hypertrophie du cerveau est une affection relativement rare, et est gén
tion semble être modifiée.' Généralement, sur une coupe, on voit le cerveau anémié, de sorte que sa couleur parait blanche.
couleur parait blanche. Quand la calotte crânienne est enlevée, le cerveau tout entier est soulevé comme s'il était délivré
t lésée est la substance blanche des deux hémisphères. I.e poids du cerveau est très augmenté, dans quelques cas, il dépass
passe de 15 onces le poids normal. D'après Besch, l'hypertrophie du cerveau se distingue de l'hydrocéphalie chronique par l
érose est généralement diffuse et s'étend sur une grande surface du cerveau . Elle n'est pas nettement circonscrite, et affe
pathologiques qui n'ont pas été mentionnés, c'est-à-dire tumeurs du cerveau , lésions chroniques des membranes, et altératio
été notés à l'autopsie de sujets atteints d'idiotie. Les tumeurs du cerveau sont de nature tuberculeuse ou glioma- teuse, m
s la région frontale droite. L'affection chronique des membranes du cerveau est beaucoup ' plus fréquemment observée que la
utre des membranes, de la dure-mère au crâne, et de la pie- mère au cerveau , l'augmentation du liquide sous-arachnoïdien et
de névroglie, et affectant de préférence l'une ou l'autre région du cerveau , fréquemment dans les territoires correspondant à
érie de dessins de préparations microscopiques faites dans 5 cas de cerveaux d'idiots qu'il a examinés personnellement. Ils
de nos connaissances. La base de toutes les lésions anatomiques des cerveaux d'idiots est la déviation du développement du t
ppement sous le rapport morphologique et histologique comprenant le cerveau en entier, mais il y a un véritable arrêt de dé
qui peut être constaté par la pré- sence desneuroblastes. Parmi les cerveaux d'idiotsquiappartiennent il cette catégorie, do
r caractère spécial peuvent former un groupe isolé, se trouvent les cerveaux dans lesquels la substance blanche des hémisphè
grise de l'écorce se distingue par son abon- dance prodigieuse. Ces cerveaux , qui appartiennent aux microcé- phales et demi-
atrie, XXXI Ih ? 3 IlefL. 1815. SECTION DE PSYCHIATRIE. 315 Les cerveaux d'idiots qui nous occupent se caractérisent par l
Ce qui caractérise la substance grise des hémisphères de pareils cerveaux , c'est l'existence entre la quatrième couche de l
lules polymorphes). Par conséquent il existe un type particulier du cerveau du micro- céphale qui se caractérise par la ric
compagne de microgyrie. Ce type se distingue du type ordinaire du cerveau microcéphalique, parce que dans ce dernier, avec
he sont conservées. - Après ce type particulier propre à certains cerveaux de microcéphales, type représentant l'arrêt de dé
che des hémisphères cérébraux au degré le plus avancé, viennent les cerveaux de certains demi-microcé- phales ; chez lesquel
fonde de l'écorce). Sur les préparations microscopiques faites du cerveau microcé- phale avec microgyrie, que j'ai présen
les de la troi- sième couche de l'écorce. Ainsi on constate dans ce cerveau la présence de l'liétérotopie de cellules gangl
grandes cellules pyramidales dans la couche zonale. L'examen des cerveaux d'idiots dont nous avons exposé les prin- cipau
es ramifications rend son développement insuffisant. Ainsi dans les cerveaux où la substance blanche est peu déve- loppée, l
choses. Pour chaque forme pathologique il a montré deux ou trois cerveaux ainsi que leurs photographies, avec les crânes
hotographies, avec les crânes correspondants, les photographies des cerveaux et celles des malades, prises tous les deux ans
ulrophique : a) sclérose d'un hémisphère ou des deux hémisphères du cerveau (sc. hémisphérique ou di-hémisphérique) ; b) sc
(sc. hémisphérique ou di-hémisphérique) ; b) sclérose d'un lobe du cerveau (se. lo- baire); c) sclérose des circonvolution
c) sclérose des circonvolutions isolées : d) sclérose chagrinée du cerveau ( ? ) ; 6° Idiotie hémiplégique ou diplégique s
- ville par un exposé des examens histologiques pratiqués sur les cerveaux des enfants décédés dans la section speciale de B
veau ont noté des troubles de la vue aussi bien dans les lésions du cerveau antérieur que dans celles de la sphère visuelle,
Résumé du rapport sur Les centres de projection et d'association du cerveau humain; par Paul LLECIIS1G (Leipzig). La divisi
e de succès qu'à l'aide de méthodes qui s'appliquent directement au cerveau humain. Les 336 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECI
les documents pathologiques recueillis chez l'homme. L'anatomie du cerveau normal adulte ne fournit que des rensei- gnemen
erritoires terminaux : ils sont essentiellement caractéristiques du cerveau humain. Leur destruction isolée n'est jamais ac
Résumé du rapport sur Les centres de projection et d'association du cerveau humain; par le professeur 131TZIG (Halle). La d
d'association qui auraient une fonction diflérente dans l'écorce du cerveau , se fondent : 1° Sur l'existence prétendue de f
Ça et là on observe des signes de modifications séniles du côté du cerveau : vertiges, réaction pupillaire paresseuse, parés
ers, s'est tué d'un coup de revolver dans la tête. Besnard avait le cerveau dérangé à la suite d'une maladie. (Bonhomme Nor
ico-légale avec présentation de malades; 4° cours de physiologie du cerveau . LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 375 Les cours
ivis et son laboratoire, d'où sont sortis des travaux d'anatomie du cerveau du plus haut intérêt, très fréquenté. Nous avon
ées par Charcot, sur les voies de conductibilité de la moelle et du cerveau , d'après l'histoire de leur développement (18 iG-
son développement, sur le faisceau pyramidal et son trajet dans le cerveau , (1881), sur le plan du cerveau humain (1883),
eau pyramidal et son trajet dans le cerveau, (1881), sur le plan du cerveau humain (1883), sur les centres sensoriels et se
Ces derniers travaux ont complètement renouvelé notre conception du cerveau . Le professeur Flechsig est un partisan du non-
vant, ont renouvelé, ou le sait, la physiologie et la pathologie du cerveau . Il suffit de rappeler les résultats retentis-
sants auxquels est arrivé Hitzig, avec Fristch, en électrisant le cerveau . Il a démontré, contrairement à l'opinion alors r
régnante, Archives, 2e série, t. X. 25 386 ENSEIGNEMENT. que le cerveau était excitable par les courants électriques dans
ertes de ce siècle 1. En 1874 et 1884, M. Hitzig a localisé dans le cerveau frontal les organes particuliers de la pensée a
raisemblablement être rattaché à des modifications histologiques du cerveau . ' Hitzig. UnlersuclmugetzüGe>WasGeleimz. Be
etzüGe>WasGeleimz. Berlin, 187. Cité par Soury, Les fonctions du cerveau , p. 10, 3G. 2 Hitzig. Peler den Qczcirvlanlezzw
repos prennent toujours une direc- tion descendante c'est-à-dire du cerveau vers le fascia où est la seconde électrode. Les
'électrothérapie et dont découlent des conclusions importantes ; le cerveau semble accessible au courant galvanique. Les ex
ragies- des méninges des sinus de la-- dure-mère de la sur- face du cerveau et de la moelle. On trouve, aussi sous les méni
Vienne). Rapports sur les Centres de projection et d'association du cerveau hu- lMI'1 : 1° par M. le professeur ILlicuac (v
certain que l'arrangement des libres dans la substance blanche- du. cerveau ne se fait pas d'une manière uniforme. La. divi
t compte- des multiples. postulats anatomiques de l'organisation du cerveau . Nous n'y trouvons' pas la représentation du ce
problème physiologiqne de la fine organisation des neurones dans le cerveau . En considérant la fréquence des variations ind
de l'étude de la myélinisation pour l'anatomie et la physiologie du cerveau . Journal de Physiologie, 1900. 0. Vogt. Sur les
tard ; cependant chez un enfant d'un mois, où une..grande partie du cerveau ne contient pas encore de fibres myélinisées ,
, dans .une minorité des fibres de projection, une,particularité du cerveau humain; 11° chez les carnivores, il y a un grand
ur la nécessité de fonder des Instituts centraux pour l'anatomie du cerveau ; par 0. N'OGT (de Berlin). En anatomie du cerve
r l'anatomie du cerveau; par 0. N'OGT (de Berlin). En anatomie du cerveau , trois grandes questions intéressent le neurolo
est si difficile de débrouiller le réseau enchevêtré des fibres du cerveau qu'il est absolument nécessaire qu'un observate
me question. Il y a tant de questions à éliminer dans l'anatomie du cerveau , que chacun peut trouver sa besogne. Mais pour
ands, représentant des coupes, dans les différentes directions, des cerveaux normaux de l'homme et des principaux animaux. C
r l'instruction des médecins qui veulent s'occuper de l'anatomie du cerveau par une série de démonstrations pra- tiques où
ettre à un examen sérieux. z Du matériel accessible : a) l'étude du cerveau humain adulte et l'étude de la myélinisatian ne
es dégénérescences secondaires expérimentales, a, pour l'étude du cerveau humain, une très grande valeur. Mais tous les rés
omme, mais être étudiée dans les particularités caractéristiques au cerveau humain. Pour toutes ces questions, les méthodes
e Bruns; quant aux cas où l'on a constaté des lésions grossières du cerveau , on ne peut pas éliminer avec sûreté la superpo
munications . (fuelques procédés pour colorer les grandes coupes de cerveau ; par Paul SCIIROEDER (de Breslau). Il s'agit
appliquée à des coupes à travers les hémisphères entiers. Dans le cerveau adulte, observation des rapports entre les tra-
it important à énoncer, c'est que, d'après mes expériences, dans le cerveau la réaction au liquide de différenciation d'un mê
résultats sur quelques planches tirées de l'atlas photographique du cerveau publié par Wernicke ou, déjà dans la première p
emporaux se décolorent. Enfin, voici comment dans tous les lobes du cerveau se compor- tent les faisceaux différents. Le lo
égal à celui de la jambe saine. Des différents états lacunaires du cerveau ; par Pierre Marie (de Paris). , On trouve dan
ires du cerveau; par Pierre Marie (de Paris). , On trouve dans le cerveau des lacunes de natures fort diverses qui peuven
aires de désintégration. C'est une lésion très fré- quente dans les cerveaux de vieillards et qui très souvent, mais non pas
res représentent des ramollissements miliaires; 2" Etat criblé du cerveau de Durand-Fardel, siégeant surtout dans la subs
- A propos des foyers lacunaires du SECTION DE NEUROLOGIE. 425 "O cerveau j'ai observé, depuis un certain temps, que ceux-c
serait plutôt la conséquence d'un prolapsus atrophique chronique du cerveau . M. le professeur RAYMOND (de Paris). Je voudra
qu'à leur mort, aucun accident para- lytique. Peut-être l'examen du cerveau , sur coupes microscopiques sériées, donnera-t-i
probablement en rapport avec le mode de préparation et de coupes du cerveau . M... a observé des formations lacunaires analo
aphe ; par M. DUPONT (de Paris). Présentation d'un microtome pour cerveau ; par J. NAGEOTTE . (de Paris). L'appareil qu
L'appareil que je présente permet de débiter en coupes sériées un cerveau tout entier inclus à la celluloïdine, dans le sen
de long, et qui pourtant coupe facilement les deux hémisphères d'un cerveau pris dans leur plus grande longueur, est fixé p
encore davantage, jusqu'à l'état normal moyen, les enfants dont le cerveau est dans de moins mauvaises conditions. Cette l
'ai eu récemment l'occasion de constater les mêmes lésions dans des cerveaux de malades ayant présenté des états maniaques e
valions très com- pletes, des photographies parfaitement faites des cerveaux per- mettent de se rendre compte de la clinique
Oppenheim, Leyden ; les conférences (gratuites) sur les maladies du cerveau , du D'' Moëli; -le cours public sur les rapport
érotomane amoureux d'une ombre, d'un symbole, d'une étoile ! ... Le cerveau postérieur n'a aucune part dans son activité; l
e ! ... Le cerveau postérieur n'a aucune part dans son activité; le cerveau antérieur y préside seul 484 CONGRÈS INTERNATIO
es cutanés ordinaires sont des réflexes dont l'arc remonte jusqu'au cerveau , probablement jusqu'à l'écorce, tandis que les
de débordement du courant nerveux empêché de trouver son chemin au cerveau , ou d'une excitabilité accrue des éléments nerv
tuelles, l'abolition des réflexes ten- dineux, en cas de maladie du cerveau , est exceptionnelle et peut être causée par sho
ombre de mots sont retrouvés. Mort par hémorragie cérébrale dans le cerveau droit (oct. 1896). Autopsie : dans l'hémisphè
VIII. De quelques altérations des cellules nerveuses de l'écorce du cerveau révélées par la méthode de Golgi dans la paralysi
c oedème et état trouble de la pie-mère adhérente à la substance du cerveau ; collection liquide dans les ventricules ; scl
nt pourvues de ces prolongements pyriformes. L'examen comparatif de cerveaux normaux au point de vue intellectuel révèle l'a
ivent à l'exactitude du travail joindre l'intensité de l'action, le cerveau et le faisceau pyramidal apportent l'excitation
ture de l'accord entre eux, c'est-à- dire d'une part l'affection du cerveau et des pyramides, d'autre part du cervelet ou d
du genou dues à l'alternative des forces opposées du cervelet et du cerveau (parésies temporaires) et surtout des cordons p
nement confirmé les diagnostics des médecins ; plusieurs lésions du cerveau ont motivé l'état léthargique dans lequel Diet-
Lésion - par contre- coup, par de Buck et van der Linden, 221. Cerveau . Poids du -le plus lourd décrit jusqu'ici, par
icuogyrie et Kicrophtaline, par IiliscUer, 156.. 311cRoro'IE pour cerveau , par Na- geotte, 426. - Moelle émnunE. Géogra
19 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primates
ES DANS LES PLANCHES DE CET ATLAS. ---mm--- PLANCHE L Fig. 1. Cerveau d'un Homme blanc français (profil). Forme restitu
erveau d'un Homme blanc français (profil). Forme restituée. Fig. 2. Cerveau d'une Femme bojesmane connue autrefois, à Paris,
aris, sous le nom de Vénus hottentote (profil). La face dorsale de ce cerveau a déjà été figurée par Tiedemann, Phil. trans. Fo
e par Tiedemann, Phil. trans. Forme restituée. PLANCHE IL Fig. 1. Cerveau du même Homme blanc (face dorsale). Forme restitu
erveau du même Homme blanc (face dorsale). Forme restituée. Fig. 2. Cerveau de la Vénus hottentote (face dorsale). De la coll
De la collection du muséum de Paris. Formes restituées. Fig. 5 et 6. Cerveau d'un autre Orang. PLANCHE IV. Fig. 1 et 2. Ce
. Fig. 5 et 6. Cerveau d'un autre Orang. PLANCHE IV. Fig. 1 et 2. Cerveau de YHylobates syndactylus, d'après Sandifort. F
eau de YHylobates syndactylus, d'après Sandifort. Fig. 3. Profil du cerveau d'un fœtus de Gibbon. De la collection du muséum
tus de Gibbon. De la collection du muséum de Paris. Fig. 4, 5 et 6. Cerveau du Gibbon cendré (Hylobates leuciscus). De la col
la collection du muséum de Paris. Forme res-tituée. Fig. 7, 8 et 9. Cerveau de l'Entelle (Semnopithecus Enlellus). De la coll
la collection du muséum de Paris. Forme restituée. Fig. 10, 11 et 12. Cerveau du Semnopithèque maure (Semnopithecus maurus). De
tion du muséum de Paris. Forme restituée. PLANCHE V. Fig. 1 et 2. Cerveau du Semnopithèque nasique (Nasalis) rapporté par H
hèque nasique (Nasalis) rapporté par Hombron et Jacquinot. D'après un cerveau déformé. De la collection du muséum de Paris. F
au déformé. De la collection du muséum de Paris. Fig. 3, 4, 5 et 6. Cerveau du Callitriche (Cercopithecus sabœus). Forme rest
(Cercopithecus sabœus). Forme restituée. Fig. 4 bis. Profil du même cerveau ; l'opercule du lobe postérieur a été enlevé pour
ur a été enlevé pour montrer les plis de passage. Fig. 7, 8, 9 et 10. Cerveau de la Mone (Cercopithecus mono). D'après un cerve
g. 7, 8, 9 et 10. Cerveau de la Mone (Cercopithecus mono). D'après un cerveau déformé. PLANCHE VI. Fig. 1, 2 et 3. Cerveau
us mono). D'après un cerveau déformé. PLANCHE VI. Fig. 1, 2 et 3. Cerveau du Chimpanzé [Troglodytes niger). De la collectio
. Fig. 4. Face inférieure de Chimpanzé, d'après Tyson. Fig. 5 et 6. Cerveau de Chimpanzé, d'après Vrolick et Schrœder Van-der
CHE VU. fin de l'explication particulière. Fig. 1, 2, 3, i et 5. ( Cerveau d'un Magot (Pilhecus inuus). Du côté droit, le lo
e temporal était atrophié. Forme res-lituée. Fig. 6, 7, 8, 9 et 10. Cerveau d'un Macaque toque (Macacus radiatus). Forme rest
Macacus radiatus). Forme restituée. PLANCHE VIII. Fig. 1, 2 et 3. Cerveau d'un Ouanderou (Macacus silenus). Forme restituée
au d'un Ouanderou (Macacus silenus). Forme restituée. Fig. 4, ô et 6. Cerveau d'un Mangabey (Cercopithecus JEthiops). Forme res
ey (Cercopithecus JEthiops). Forme restituée. Fig. 7, 8, 9, 10 et 11. Cerveau de Rhésus (Macacus Rhésus). Forme restituée. PL
cacus Rhésus). Forme restituée. PLANCHE IX. Fig. 1, 2, 3, 7 et 9. Cerveau d'un Papion (Cynocephalus sphinx). Formes restitu
on (Cynocephalus sphinx). Formes restituées. Fig. 4, o, G, 8 et 10. Cerveau d'un Mandrill (Cynocephalus mormon). Formes resti
cephalus mormon). Formes restituées. PLANCHE X. Fig. 1,2, 3 et 4. Cerveau du Belzébuth (Ateles Belzebuth). Fig. 5 et 6. Cer
g. 1,2, 3 et 4. Cerveau du Belzébuth (Ateles Belzebuth). Fig. 5 et 6. Cerveau d'un Lagotriche (Lagothrix Ilumboldtii). Forme re
otriche (Lagothrix Ilumboldtii). Forme restituée. Fig. 7, 8, 9 et 10. Cerveau d'un Saï capucin (Cebus capucinus). Forme restitu
aï capucin (Cebus capucinus). Forme restituée. Fig. 11, 12, 13 et 14. Cerveau d'un Sajou brun (Cebus apclla). Fig. 12 bis. Pr
Cerveau d'un Sajou brun (Cebus apclla). Fig. 12 bis. Profil du même cerveau ; le pli de passage a été mis à découvert par la r
tion de l'opercule. Formes restituées. PLANCHE XL Fig. 1, 2 et 3. Cerveau d'un foetus humain de dix-huit semaines environ.
veau d'un foetus humain de dix-huit semaines environ. Fig. 4, 5 et 6. Cerveau du Saïmiri (Pithesciureus Saimiri). Fig. 7, 8 et
, 5 et 6. Cerveau du Saïmiri (Pithesciureus Saimiri). Fig. 7, 8 et 9. Cerveau du Moloch (Callithrix Moloch). Fig. 10, 11 et 1
, 8 et 9. Cerveau du Moloch (Callithrix Moloch). Fig. 10, 11 et 12. Cerveau du Douroucouli (Nyctipithecus Duruculi). Forme re
oucouli (Nyctipithecus Duruculi). Forme restituée. Fig. 13, 14 et 15. Cerveau du Pinche (QEdipus). Fig. 16, 17 et 18. Cerveau
Fig. 13, 14 et 15. Cerveau du Pinche (QEdipus). Fig. 16, 17 et 18. Cerveau du Ouistiti vulgaire (Jacchus vulgaris). Forme re
20 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux avec son frère. Il a dans la tête une anguille enroulée entre le cerveau et le crâne. Cédant, il avale quelques cuilleré
- crasie de l'affection des chances relatives. Dans des cas où le cerveau semble entravé dans ses fonctions par' les élém
tilité volontaire. Toute lésion destructive des régions motrices du cerveau pro- duit un affaiblissement musculaire dans le
ussi observe-t-on quelquefois à la suite de lésions unilatérales du cerveau des troubles bilatéraux et permanents dans les
ouvent chez les insuffisants, les imbéciles, etc. IV. L'examen du cerveau est extrêmement curieux : il ne pe- sait que G'
iplégie avec paraplégie spasmodique; Par CH. Féré. Les lésions du cerveau qui atteignent directement ou indi- rectement l
4879. - Charcot, Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau , 4876. Luys, Recherches sur le système nerveux
ceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans les lésions du cerveau . Paris, 1881. II. DES troubles DE la sensibil
opriétés du système nerveux. Paris, 4862. Ferrier, Les fonctions du cerveau , Tr. Fr. Paris, 1878, et De localisation des ma
troubles de la sensibilité dans leurs rapports avec les lésions du cerveau est une des plus complexes qui se puissent prés
ent ce privilège. , Aussi bien, lorsqu'on se propose d'envisager le cerveau au point de vue de son rôle, en tant qu'organe
impressions sensitives sont per- çues par les couches corticales du cerveau . De la périphérie à l'écorce cérébrale ces impr
ourues par les impressions sensitives de la périphérie à la base du cerveau : nous avons maintenant à suivre dans l'intérie
ur de Vienne. Deux mots d'abord sur le procédé de préparation des cerveaux dont nous nous sommes servi pour cette étude. E
y a longtemps que ce liquide est utilisé pour le durcissement des cerveaux dont on se propose de pratiquer des coupes micros
otamment (Luys. Procédé pour la conservation et la momification des cerveaux à l'état sec. Journal l'Encéphale, n» 1) s'est
l'acide phénique. DU FAISCEAU SENSITIF. 73 pique des coupes du cerveau , et d'autre part, personne, que nous sachions,
suivant le sens dans lequel on les sectionne. Lorsqu'en effet un cerveau a macéré pendant quelques semaines. dans le bic
ce du centre ovale qui, à la coupe, est uniformément blanche sur un cerveau frais, présente des alternatives de coloration
lisation des symptômes ne dépendraient plus du siège des lésions du cerveau ; elles seraient commandées DU FAISCEAU SENSITI
mollissement;... pas d'observations d'agueusis dans les maladies du cerveau ... Les observations manquent encore, ajoute-t-i
nquent encore, ajoute-t-il, pour établir nettement quelle partie du cerveau doit être lésée pour produire l'anosnie. » Et p
ésulte donc pour nous de tout ce qui précède, qu'il n'existe pas au cerveau de territoires circonscrits et isolés affectés à
e dans le jeu de la moelle par le retentissement de l'altération du cerveau , joue-t-elle quelque rôle dans la genèse de ces
lant entre 30°, 1 et 26°, 5 chez un sujet atteint de commo- tion du cerveau et présentant des symptômes paralytiques dans l
côtés de l'organisme. M. M. VI. SUR LES altérations anatomiques DU cerveau dans LES maladies infectieuses; par A. Rosentha
. (Gazela lekarska, n° 19, 1881.) . L'auteur, examinant plusieurs cerveaux (surtout la circon- volution frontale ascendant
'épithélium. L'auteur regarde ces - altérations parenchymateuses du cerveau comme correspon- dant à des altérations analogu
tte théorie ; l'intelligence reste intacte parce que les parties du cerveau réservées aux fonctions intellectuelles ne sont
insi qu'en font foi deux autopsies : taches rosées dans l'écorce du cerveau et obstructions emboliques des sinus. Dans les ca
rveux, complica- tions agissant immédiatement ou médiatement sur le cerveau . A ces psychopathies doit être réservée, toutes
'est au moins une tête extrêmement légère; une idée lui traverse le cerveau , si étrange qu'elle soit, il l'accepte sans réf
sous les yeux de la Société une série de planches représentant des cerveaux d'idiots. M. Luys montre quelques cerveaux durc
nches représentant des cerveaux d'idiots. M. Luys montre quelques cerveaux durcis par le procédé ordi- naire : bichromate
itre de Contribution ci la casccisliyeeedes blessures de l'èwrce du cerveau , le D Richter communique l'histoire d'un malade e
contagium vivum d'origine extérieure. La sélection du foyer pour ce cerveau déjà enflammé est loin d'être la iènle, témoin
ins individus, M. Kirn se range à l'opinion de Westpbal pour qui le cerveau de tels sujets a subi l'imprégnation morbide de I
rvé provienne d'un simple trouble fonctionnel ou d'une affection du cerveau ? A inten- sité égale, l'aphasie par ammésie se
sauva probablement la vie, car autrement la balle aurait atteint le cerveau . L'assassin n'é- tait pas interné dans l'asile,
r chez les paralytiques : les malades n'ont plus d'estomac, plus de cerveau , plus de tête, ils ne mangent plus, ne digèrent
ntent considé- rablement l'excitabilité de la couche corticale du cerveau , on sera nécessairement conduit à admettre sur
eau, on sera nécessairement conduit à admettre sur les fonctions du cerveau une influence sérieuse de l'irri- tation périph
est la forme congestive d'emblée. Si la poussée sanguine du côté du cerveau est assez violente pour amener l'ictus apoplect
aussi bien que la première fois '. D. BERNARD. XI. Lésion grave du cerveau , GUÉRISON; par William Wood. (77te american Jou
ate de quinine. ' (Cu. I.) 222 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Le cerveau était mis à nu et l'on constatait sur sa portion
oix se fait par l'intermé- diaire des parois du crâne et non par le cerveau , qui, au con- traire, amortit plutôt les sons;
port avec le pharynx entre plus facilement eu vibration. Mais si le cerveau concourt peu à la transmission de la voix, il e
fluence sur elle ; c'est probablement aux différences de densité du cerveau que sont dues les modalités différentes de cell
erches de Cricbton Browne (B,aiie, 18/9), on sait que la densité du cerveau varie dans les différentes formes de maladies m
uer une irrita- tion ou une compression égale sur les deux côtés du cerveau . Le strabisme parait rare (premier cas) et pass
st probablement due à l'arrêt de l'hémorrhagie et à la tolérance du cerveau à l'égard de la compression qu'il subit, toléra
us conceptuel morbide arrête l'ébranlementidéogénique du reste du cerveau , et ferme la connaissance aux autres pensées : de
3 avril et enlève le malade dans le coma. On trouve à l'autopsie le cerveau entièrement enveloppé d'une pseudomembrane d'un
ticipation plus ou moins complète des mille foyers d'élaboration du cerveau àl'évolution du processus sensitivo-moteur; aus
ns qu'elles soient entrées enrapport avec l'ensemble fonctionnel du cerveau . Le type de l'affection à perte de connaissance
nt aussitôt la contractilité musculaire.- M. Binpwanger présente le cerveau d'un homme de vingt-cinq ans, dément et epilept
rs, Roustan, Durand- Fardel, ont décrit déjà des ramollissements du cerveau sans altéra- tions vasculaires. M. 131NSwnrrc
s, les Français l'ayant admis comme tel. M. BEI,,HARD présente un cerveau d'idiote. Une fillette de quatre ans, indemne d
nce blanche. 11 s'agit par conséquent d'une lésion ayant atteint un cerveau déjà parvenu à son type normal complet. L'asymé
Dalldorf) fournit la démonstration de sa.méthode de conservation du cerveau par dessiccation. Après avoir minutieuse- ment
e pour une même quantité fraîche au bout de vingt-quatre heures. Le cerveau est alors lavé à grande eau de façon à ce qu'il
nt dans l'intimité du parenchyme à l'alcool; dès le second jour, le cerveau commence à brunir et à se dessécher dans les zo
intensité de la coloration. Ce système est également applicable aux cerveaux qui ont séjourné dans le liquide de Millier, da
ravant à grande eau. A ce propos, M. MENDHL décrit son procédé. Les cerveaux qu'il enlève subissent un premier séjour de dou
a donnée de ces formes morbides et dans son Traité des maladies du cerveau et dans le fait présenté par lui à la Société m
ation annoncée : Des -caractères propres aux lésions de l'écorce du cerveau . Le malade, qu'il eut l'occasion de suivre à l'
ement des fibres nerveuses; malheureusement la substance blanche du cerveau ivait été trop maltraitée par le couteau pour q
d'une méningite, à raison de la non-adhérence de cette membrane au cerveau . Or, les manifestations relatées témoignent d'une
lésions pulmonaires, qu'une transsudation séreuse avec atrophie du cerveau . Les renseignements recueillis ultérieurement dém
rmettant de conclure à l'épilepsie. Qu'une hyperémie insolite du Li cerveau , telle qu'en peut produire l'ectasie vasoparalyti
entre la transsudation et l'inflammation. Quand, par exemple, le cerveau d'un paralytique général nous présente à côté de
pothèse d'une tumeur. M. lisraenx présente en outre à la Société le cerveau d'un typhique ayant été en proie, dans les dern
a pris connaissance : M. MEYNERT. Sur les fonctions de l'écorce du cerveau . M. Fritsch. De l'influence des maladies fébril
processus hallucinatoire. M. HoLLOEXDER. De fcedeme circonscrit du cerveau comme cause de symptômes des lésions en foyer.
orollaires anatomiques 260 BIBLIOGRAPHIE. et de la physiologie du cerveau antérieur; Les formes hallucina- toires aiguës
xaltée et leur évolution; Nouvelles recherches sur les ganglions du cerveau et la base de cet organe. .M. Krafft-Ebing. De
ude de l'aliénation pseudo- aphasique. · M. RÜDINGER. Le poids du cerveau humain. Membres reçus par la Société pendant l'
urants agissant sur la moelle (ascendants ou descendants) et sur le cerveau , font disparaître toutes les zones hystérogenes e
loquence, la logique, le jugement, n'est autre qu'un malade dont le cerveau est torturé par les idées les plus étranges; qu
e la paroi crânienne qui lui parait exercer une compression sur son cerveau , et il lui arrive sou- vent de saisir-ses cheve
orsque M. X... est en pré- sence des objets qui le produisent : son cerveau semble entrer en ébullition et vouloir soulever
et lui fait entendre, par des paroles qui lui retentissent dans le cerveau , que la résistance est inutile. Quand il a succ
énergique de ne plus céder, il croit entendre, toujours dans son cerveau , comme une voix qui lui fixe le jour où il cédera
ons en ajouter une autre, l'intel- ligence, qui est une fonction du cerveau , varie dans la race humaine dans des proportion
rapport histo- logique. D'après Klebs, la plupart des tumeurs du cerveau et de la moelle sont des neurogliomes, c'est-à
s neurogliomes, c'est-à dire des hyperplasies des tissus normaux du cerveau et de la moelle. Les tumeurs plus 334 'RECUEIL
s de sclérose miliaire qui peuvent se rencontrer aussi bien dans le cerveau que dans la moelle. Rappelons toutefois que Mùl
lles correspondent à la nomenclature que nous avons adoptée pour le cerveau et pour le bulbe où existent aussi des artères
appui à cette opinion. (A suivre.) II. Note sur LE développement du cerveau considéré dans ses rapports avec LE crâne; par
rapports exacts des diverses par- ties de la boite crânienne et du cerveau , des circonvolutions et des sillons non moins q
allélisme parfait entre le développement d'une région déterminée du cerveau et la région correspondante du crâne. Dans le
le but de s'édifier à cet égard, M. Féré a examiné les rapports du cerveau et du crâne de soixante enfants ou foetus, ayan
de cette question. 366 revue d'anatomie. Le peu de consistance du cerveau de l'enfant et surtout du foetus l'a obligé à c
lui et le nombre des sujets examinés à renoncer à la congélation du cerveau . Par les fontanelles de chaque côté de la ligne
diane, des chevilles sont enfoncées, destinées seulement à fixer le cerveau et sa faux. L'incision des mem- branes interpar
ent, en écartant les pariétaux de découvrir, la région pariétale du cerveau , de voir ses rapports avec les sutures du crâne
s. Une fois même, il n'y avait presque pas de différence entre le cerveau de l'enfant et celui de l'adulte. Un point donn
pour atteindre finalement le lambda. Les régions postérieures du cerveau , végétatives et sensi- tives, semblent donc pré
E la T. XXV. Des métastases des inflammations DE L'OREILLE sur LE cerveau ; par J.-A. ANDREws. (Neio-York médical Jour- n
étudiées toutes ces complica- tions : méningite purulente, abcès du cerveau , phlébite ou thrombose des sinus ou de la veine
au sinus latéral et au cervelet ; l'inflam- mation de la caisse, au cerveau ; celle du labyrinthe, à la moelle allongée. Gu
latéral souffrent des lésions de l'apophyse mastoïde, tandis que le cerveau est menacé par les caries de la voûte de la cai
ns, en dehors des traumatismes du crâne, des maladies organiques du cerveau , de la microcéphalie, les convulsions sont pres
a T. CONTRIBUTION A L1 localisation, des tumeurs DE L'É- CORCE du cerveau ; par C. VON Monakow. (Arch. ? Psych. u. Nérvenk
ème nerveux) et que Ferrier localise dans les lobes antérieurs du cerveau . » Il n'est donc pas étonnant, lorsqu'une lésion
faim. Pour- quoi donc n'agirait-on pas de même lorsqu'il s'agit du cerveau ? Si les personnes qui s'étonnent de voir créer
'une façon intime à des lésions des centres sensoriels corticaux du cerveau . Lorsqu'on étudie les hallucinations de la para
ative et d'anatomie philosophique sur les caractères du.cmine et du cerveau ; par L. Manouvrier. Thèse de Paris, 1882. Con
ce; par Queudot. Thèse de Paris, 1882. Essai sur abcès spontanés du cerveau ; par GUILLE'ic. Thèse de Paris, 1882. De la c
térale (la fonction), et la sina- piscopie, par Adamlciewicz, S9. Cerveau (Lésion grave du - rison), parNVootl, 221. Ce
ciewicz, S9. Cerveau (Lésion grave du - rison), parNVootl, 221. Cerveau d'un typhique, 257, Cerveau (caractères propres
grave du - rison), parNVootl, 221. Cerveau d'un typhique, 257, Cerveau (caractères propres aux lésions de l'écorce du)
, Cerveau (caractères propres aux lésions de l'écorce du), 254. Cerveau (des métastases des iutlam- mations de l'oreill
au (des métastases des iutlam- mations de l'oreille sur le), 375. Cerveau (localisation des tumeurs de l'écorce du), 351.
), 375. Cerveau (localisation des tumeurs de l'écorce du), 351. Cerveau (casuistique des blessures du), 123. Cerveau
l'écorce du), 351. Cerveau (casuistique des blessures du), 123. Cerveau (températures inférieures des malades atteints
ératures inférieures des malades atteints d'une lésion du), 88. Cerveau (altérations anatomiques du dans les maladies i
nfec- tieusesl, par Itosenthal, 89. '<06 TABLE DES MATIÈRES. Cerveau (note sur le développement du considéré dans se
47. Délire des négations, par Cotard, 152, 282. Dessiccation du cerveau , 249. Diabétiques (Des troubles nerveux obser
lle chez les en dehors des attaques), par Marie, 42. Epileptique ( cerveau d'). ). Epileptiques (accidents déterminés pa
ez un enfant), 380. Hystéro-épilepsie, par llills, 222. Idiote ( cerveau d'), par Beinhard, 248. Idiots (éducation des
o-légale des), 131. t. Infectieuses (altérations anato- miques du cerveau dans les ma- ladies ), 89. Insula (les lésion
er, 256. Oreille (des métastases des inflam- mations de l'-sur le cerveau ) , 375 . Pacchioni (granulations de), 368. Pa
, 246. Transfert (une application pratique du), 371. Tumeurs du cerveau (localisation des), 38). Ventricules cérébrau
21 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent les faits et qu'il ne peut s'agir ici d'une lésion organique du cerveau . Remarquons d'abord que le malade, avant l'atta
ystématisée en arrière. On a cité des cas de lésion diffuse dans le cerveau et de lésion systématisée dans la moelle (paral
fflons contre son visage. Par ce moyen, nous faisons entrer dans le cerveau une irritation, laquelle, - quand elle est asse
ont tort en soutenant que, pendant la veille, les irritations du cerveau sont.en équilibre. Beard' compare l'état de vei
ssances de cet état très précieux pour les études de la fonction du cerveau ; mais il est encore difficile à juger s'ils son
egrés différents de l'extension de l'irritation ex- térieure dansle cerveau , -et puis, ces « grands hypno- tiques » n'ont p
es - tous ces points peuvent s'attacher aussi à l'organisation du cerveau . C'est seulement une possibilité, que je veux p
de la moelle pendant vingt et trente ans sur l'état ana- tomique du cerveau et de tous les organes en général. G. D. VI. Co
(Gaz. méd. de Paris, z884.) La conclusion de ce travail est, que le cerveau et les méninges n'échappent pas, comme l'avait
uand l'épilepsie date de longtemps. Les traumatismes du crâne et du cerveau sont souvent suivis d'épilepsie, qui, au début,
fragment osseux d'un demi pouce de long avait été projeté contre le cerveau et adhérait par sa face externe à l'os nouveau,
cordons latéraux et postérieurs. Observations 111. Cysticerques du cerveau et de la moelle. - Femme de soixante-trois ans.
ux cysti- cerques sous la pie-mère encéphalique et dans l'écorce du cerveau ; un cysticerque libre dans le ventricule latér
le sixième mois. A l'autopsie, on constate sur le côté gauche du cerveau de la pachyméningite avec hémorrhagie : membrane
liser pour que la chorée apparaisse. Par une erreur regrettable, le cerveau et la moelle ne furent REVUE DE PATHOLOGIE MENT
faits comme révélateurs d'une obstruction veineuse générale dans le cerveau , obstruction que l'examen microscopique aurait
l'avertit qu'il avait commis une mauvaise action et il se sentit le cerveau en feu ». Il témoigna d'ailleurs une grande joi
droit de supposer que la syphilis diminue la force de résistance du cerveau et peut ouvrir la porte à la paralysie géné- ra
XLV. Contribution A la casuistique A,-îATOUO-11.ITHOLOGIQUP, DES cerveaux DE criminels ET DE SUICIDES; par M. FLESCH. (Arch
au faisaitdéfaut. Les deux hémisphères dans la moitié antérieure du cerveau n'étaient donc séparées que par la pie-mère; au-d
commence par étudier l'effet physiologique de l'amylnitrite sur le cerveau . Nous ignorons, dit-il, l'effet direct de cette
au. Nous ignorons, dit-il, l'effet direct de cette substance sur le cerveau , c'est-à-dire son action chimi- que sur la subs
claircir s'il y a des changements dans le vo- lume des vaisseaux du cerveau après inhatation de l'amylnitrite, et en quoi c
onsidérations sur les change- ments produits dans la circulation du cerveau à la suite de l'inhalation de l'amylnitrite, le
de l'amylnitrite, le Dr Tippel dit qu'une observation directe du cerveau était indispensable; l'examen du fond de l'oeil p
us, parce qu'il n'y a aucune raison qui prouve que les vaisseaux du cerveau soient toujours hyperémiés -en même temps que c
yperémiés -en même temps que ceux de l'oeil. Les expériences sur le cerveau ont été faites sur des animaux trépanés ; de pl
une dilatation des vaisseaux de la pie-mère, veines et artères ; le cerveau augmentait de volume au point de faire saillie
pulsations devinrent ensuite de plus en plus rapides, le volume du cerveau augmenta de trois centimètres. Les résultats so
ns la boite crâ- niene, produit une telle augmentation de volume du cerveau que si la boîte crânienne était extensible, on
formation réticulaire et les grosses olives et les masses grises du cerveau moyen et antérieur; on y rencontre aussi des fi
des fibres émanées des débris des cordons latéraux et se rendant au cerveau moyen et au cerveau antérieur (tractus sensitif
es débris des cordons latéraux et se rendant au cerveau moyen et au cerveau antérieur (tractus sensitif ? ). II. Fibres par
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 107 VIII. De LI commissure posiérieure du cerveau , par L. de D.\RSCII3NLTSCII. (11'ourol. I ? zto
ndants les ordres du cervelet. Le cerve- let communiquerait avec le cerveau par trois espèces de conduc- teurs : 1° par plu
i, traversant la protubérance dans toute sa longueur, se rendent au cerveau . Toutes les fibres qui unissent le cervelet au
e rendent au cerveau. Toutes les fibres qui unissent le cervelet au cerveau s'entrecroisent totalement; l'ensemble de ces e
n, centi iftige,'devra transmettre les commandements de l'écorce du cerveau aux hémisphères céré- belleux, afin qu'ils pour
e démontra plusieurs foyers disséminés dans la substance blanche du cerveau ; on avait pendant la vie constaté une parésie t
se servir de la main gauche, habitude qui en faisait un droitier du cerveau . C'est pourquoi la lésion siégeant à gauche ne
lé; 4° au point de vue de l'état de la circulation encéphalique, le cerveau étant moins congestionné qu'à l'état de veille,
le l'hérédité a également joué son rôle. Les lésions du crâne et du cerveau sont de beaucoup les plus intéres- santes. Le c
sinus de la base sont gorgés d'un sang noir et fluide. Le poids du cerveau est de 1,349 grammes. L'arach- noïde est épaiss
, et mourut dans les convulsions le 7 décembre 1849. Autopsie. Le cerveau ne présentait d'autres anomalies qu'un arrêt de
laire. La sulure sphéno-basilaire était encore cartila- gineuse. Le cerveau pesait 34 onces (434 gr. 06). Les circonvolu- t
onne atteinte d'hémiplégie en conséquence d'une lésion organique du cerveau ,'on voit que, pour porter le membre inférieur p
es cornes antérieures est consécutive à une altération organique du cerveau et du faisceau pyramidal, tandis que, dans le s
FAIT POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES LOCALISATIONS FONCTIONNELLES DU CERVEAU ; Par M.-E.-A. HO11ÈN, Professeur agrège d'a.^
eint, le cas suivant ayant pour DES LOCALISATIONS FONCTIONNELLES DU CERVEAU . 205 cause probable une altération de cette esp
A un examen soigneux de la main DES LOCALISATIONS FONCTIONNELLES DU CERVEAU . 207 et du bras, examen consistant en mouvement
GIE NERVEUSE. XVI. DE la pression cérébrale et DE la compression du cerveau . par A. AD.\MK[t : wtcx (\Vielle ! ' Klinik, ca
i la compression cesse; si au contraire, elle persiste, la masse du cerveau tout entier se détruit, mais à aucun degré on n
sang que dans les limites exactes de l'espace laissé libre entre le cerveau et le crâne; dès que la tension augmente dans l
ine çà et là de quelques millimè- tres dans la substance blanche du cerveau ; le bourrelet de l'or- gane est indemne, de mê
à un plan perpendiculaire passant par la commissure antérieure du cerveau . Le tissu malade est du gliosarcome (sarcome gran
est bon d'ajouter au point de vue de l'excitabilité élec- trique du cerveau , sous l'influence de l'oxyde de carbone que si
l, par Tu. RUMPF. (A9'CIE. f. Psyeh., XVI, 2.) I. De lu syphilis du cerveau et de la moelle. - Un homme de trente et un ans
ascendantes ci la suite de para- lysie infantile spinale. Examen du cerveau et de la moelle d'un individu de dix-huit ans,
escence des faisceaux pyramidaux dans tout le il ll ? I1'l el de du cerveau en iiti)l)oi-1 avec ce sysliiiie. REVUE DE PATH
ble DE la sensibilité DÉCOU- verte dans LES LÉSIONS unilatérales du cerveau A l'aide d'une méthode d'examen jusqu'ici non m
nts, paralysie à évolution lente se rapportant à la zone motrice du cerveau droit, hyperesthésie indiquant une irrita- tion
sych., XLII, 2). Il s'agit d'un cas de tumeur unique (solitaire) du cerveau : sarcome de la dure-mère au niveau du tiers mo
L'attaque épileptique, dans ces cas, affecte surtout les parties du cerveau , lobes frontaux, chargés du contrôle intellectu
certain temps paralysés; quand les ganglions centraux de la base du cerveau sont au contraire hyperexcités, d'où l'impulsio
peut simuler. N'avait-on pas affaire à un trouble orga- nique du cerveau ? Mais je suis obligé d'écarter cette suppositi
assez épais; paraît sensiblement hypertrophié. Lorsqu'on enlève le cerveau , il s'écoule une assez grande quantité de sang
as de différence entre les deux côtés. Lorsqu'on examine la base du cerveau , on constate une différence très sensible de lo
, principalement sur les lobes temporaux et occipitaux, l'aspect du cerveau des nouveau-nés, sorte d'aspect gélatiniforme.
rouvons la fontanelle antérieure persistante. En ce qui concerne le cerveau , la description minu- tieuse que nous avons don
dédoublement n'avait encore été signalé jusqu'ici que sur certains cerveaux d'hommes distingués, entre autres sur celui de
e, est cons- tituée par une membrane fibreuse, forte et étendue. Le cerveau parait régulièrement développé et semblable à c
nce capitale : « Le premier, disait-il, c'est qu'il s'agissait d'un cerveau de crétin et non pas du cerveau d'un idiot. En
ait-il, c'est qu'il s'agissait d'un cerveau de crétin et non pas du cerveau d'un idiot. En effet, nous ne trou- vons pas ic
inguinales. 350 CLINIQUE NERVEUSE. un développement défectueux du cerveau , mais sur- tout à un développement irrégulier e
base sans grands changements à gauche. La configuration interne du cerveau ne présente rien de spécial. Les circonvoluti
gmenlaires gnsesjaunîtres, souvent avec dépôt graisseux ; 7° Sur le cerveau soit frais, soit durci, on constate de la leplomé
de chocs violents. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LI. CHIRURGIE DU cerveau ; par Victor HORSLEY, Bs. FR. SI. A cause du peu
s dangers des opérations sur le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 383 cerveau . Puisqu'en plusieurs points essentiels ma méthode
et par suite si le malade est sous son action, une incision dans le cerveau , ne sera accompagnée que d'un très petit suinte
duellement une opposition contre l'intervention chirurgicale sur le cerveau . Sans les précautions antiseptiques, la prudenc
on à Cambridge, que les vues populaires sur les opérations sur le cerveau étaient fausses. L'expérience que j'ai acquise pe
l'incision et nouée avant la division du vaisseau. Traitement du cerveau . - Après la division de la dure-mère, le premie
n de la dure-mère, le premier point pratique est de remarquer si le cerveau fait saillie ou non par l'ouverture du trépan.
es hommes que sur cinq cas, dont trois étaient des cas de tumeur du cerveau , je suis porté à croire que le fait de la saill
les membraneslesecond point à voir, dans un examen systématique du cerveau , est sa couleur. L'expérience seule donnera une
'expérience seule donnera une familiarité suffisante de l'aspect du cerveau vivant et, par suite, permettra à tout le monde
ssaire d'avoir une exacte connaissance des artères et des veines du cerveau , parce qu'il est très utile de voir quelles son
eau, parce qu'il est très utile de voir quelles sont les parties du cerveau privés de leur sang. On doit ensuite observer l
sang. On doit ensuite observer les altérations dans l'épaisseur du cerveau , mais il faut se rappeler que les tumeurs céréb
e sont à peine visibles sans l'incision exploratrice. L'examen du cerveau exposé étant complet, on doit ensuite considére
et, on doit ensuite considérer le mode d'enlèvement d'une partie du cerveau et de la tumeur. Peut-être la peur d'opérer sur
artie du cerveau et de la tumeur. Peut-être la peur d'opérer sur le cerveau a été la crainte de l'hémorrhagie, ceci est aus
s expérimentales. Un moment de réflexion nous montrera que, dans le cerveau comme dans les reins, les vaisseaux (et ce sont
ge. Ayant ce fait en vue, il me semble que nous devons traiter le cerveau exactement de la même manière, et ainsi, en étant
Peut-être qu'en considérant le caractère ter- minal des artères du cerveau , il est à peine nécessaire de dire qu'on devra
leur trajet dans la pie-mère, on peut les soulever de la surface du cerveau et surtout de leur sillon, pour permettre d'enl
se secondaire sera d'une nature provisoire. De plus, en incisant le cerveau , les incisions dans l'écorce doivent avoir une
d'autres points en rapport avec la physiologie et la pathologie du cerveau qui régleront l'opération ; ainsi, par exemple,
ATHOLOGIE NERVEUSE. 389 Une portion normale ou anormale détachée du cerveau ne laisse pas, comme on pourrait le supposer, u
rds de l'incision sont légèrement élevés et si on enlève moins de cerveau que d'os, ils pénètrent dans l'ouverture du crâne
'ouverture du crâne; il y a normalement une tendance à la hernie du cerveau comme cela est bien montré sur les photographie
rnie du cerveau comme cela est bien montré sur les photographies du cerveau d'un singe opéré avec succès dans ces condition
e n'ai pas du tout l'intention de discuter la cause de la hernie du cerveau , comme on la comprend d'habitude, puisque cet é
d'un seul morceau, il offre une entière résistance à la pression du cerveau ; ce que ne peut faire la réunion des quatre lam
que, en général, les cavités formées par l'ablation de portion du cerveau ne doivent pas être drainées plus de z4 heures ;
de en 4 ou 5 jours. Nous désirons aussi établir une pression sur le cerveau qui tend, comme nous l'avons vu, à sortir : et
s la guérison de la plaie, le morceau de peau puisse être séparé du cerveau par un coussin de tissu connectif normal doux (
connectif qui formera une barrière élastique entre la peau et le cerveau . Règle générale, il n'est jamais nécessaire de
ormaux et que la dure-mère est légèrement adhérente à la surface du cerveau près des bords de l'incision. Enfin les vieille
incipaux que j'ai trouvé pratique d'obser- ver dans la chirurgie du cerveau , et je suis heureux d'avoir l'occasion d'exprim
suppuré et 392 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. malgré la hernie du cerveau . Le malade a été hémiplégique, mais petit à pet
fibreux; la dure-mère fut relevée avec le lambeau. La cicatrice du cerveau était très vasculaire, de couleur rouge, d'à pe
ong et 2 de large. La membrane qui ouvrait la partie avoisinante du cerveau , était très opaque, et le cerveau était d'une c
ouvrait la partie avoisinante du cerveau, était très opaque, et le cerveau était d'une couleur un peu plus jaunâtre que norm
la tumeur s'élevait d'à peu près trois millimètres de la surface du cerveau , et la tumeur était beaucoup plus dure que la sub
erveau, et la tumeur était beaucoup plus dure que la subs- tance du cerveau . Elle paraissait large seulement de douze milli-
ve, et un petit morceau d'os avait été pro- jeté dans une cavité du cerveau . Les fragments osseux furent enlevés, la dure-m
éléments sont exagéré- ment pigmentés, plus qu'à l'état normal. Le cerveau de'para- lytiques généraux consécutivement à la
tines comprend des points identiques communiquant entre eux dans le cerveau à l'aide de deux organes centraux juxtaposés. M
ns de l'alcool à 93°, tandis que, pour commencer le durcissement du cerveau entier, on se servira d'alcool faible. On prati
Archives, t. Xll. 27 410 0 SOCIÉTÉS SAVANTES. de la surface du cerveau qui commandent à la motilité et au sens muscula
imètre à la base correspondant à un enfoncement du lobe temporal du cerveau . La selle turcique est asymétrique, épaissie, p
inus de la base sont tous pleins d'un sang noir liquide. Poids du cerveau sans la dure-mère 4,349 grammes. Arachnoïde épa
cet endroit à l'épaisseur d'une feuille de papier. A la surface du cerveau , régu- lièrement distribuées de chaque côté, on
inage de la partie moyenne du sillon post central ( ? ) La masse du cerveau gorgée de sang et assez molle. Autres organes.
ourd'hui. Un sieur Jean Arlaud, qui depuis quelques années avait le cerveau dérangé et était atteint de la folie de la pers
érébrales (localisations dans l'herpétisme), par OEttinger, 60. Cerveaux de criminels et de suicidés, par Flescli, 89..
es centres respiratoires et circu- latoires), 104. Chirurgie du cerveau , 382. Chorée (nature et traitement de la), pa
veau, 107. Commotions cérébro-spinales, 237. - Compression du cerveau , 210. Congrès des naturalistes et mé- decins
rme nouvelle de troubles de la dans les lé- sions unilatérales du cerveau ), 230. Sitiophobes (échanges nutritif chez
5 - (surveillance relative aux tentatives de) , 78. j Suicidés ( cerveaux des), 89. Syphilis et paralysie générale, 80,
22 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oreille. On aurait pu s'étonner, dans de telles conditions, si le cerveau et ses enveloppes étaient restées indemnes; aus
n temps rela- tivement long et attestent une lésion plus grave du cerveau lui-même, nous voulons parler de l'aphasie et d
nfin dans le cas que nous avons nous-mêmes ob- servé, l'atteinte du cerveau est plus profonde et plus persistante ; notre m
e se réveille, elle ressent une sorte « d'engour- dissement dans le cerveau et dès qu'elle remue les yeux pour regarder dan
d'une exsudation NÉVRALGIE ET PARALYSIE OCULAIRE. 27 plastique du cerveau englobant complètement le nerf moteur oculaire
e, sur le reste de la substance cérébrale. Les diverses coupes du cerveau (centre ovale, coupe verticale et transversale)
ction de désordres corticaux, autrement dit des zones motrices du cerveau , désordres siégeant vraisemblablement sur l'hémi-
illots fibrineux, adhérents aux rugosités de la tunique interne. Le cerveau est volumineux, les circonvolutions sont belles ;
ine ou leur terminaison dans les noyaux ganglionnaires delà base du cerveau (couche optique, corps strié); ainsi en est-il
s la substance 1 E. Savoy. ? H '<HM<on ? e<opo)'a/t ! c du cerveau 0. Doin,1882 * Charcot. Leçons sur les localisa
générations secondaires qui sur- viennent à la suite des lésions du cerveau , si nettes lorsque l'accident originel remonte
ément une dégénérescence intellectuelle puisse se développer ? Le cerveau n'est-il pas soumis, à l'égal des autres organe
ler de lésions gros- sières, d'hémorragies ou de ramollissements du cerveau , c'est sortir de la question; le diabétique, en
a caractéristique propre ? L'anémie, la con- gestion ou l'oedème du cerveau se rencontrent dans le rhuma- tisme cérébral, d
rches de Seegen, de Kratschmer, de Paschutin, d'Abeles lui-même, le cerveau à l'état normal ne contient pas de glycogène. C
Abeles ne constata pas non plus la présence du glycogène dans le cerveau , ni du reste dans les autres organes. On pour-
'urine. Berti l'a extraite, par distillation, du coeur, du foie, du cerveau . Il est sans doute intéressant pour le chimiste
ment fonctionnel résultant de la cessation d'action de la moitié du cerveau . P. K. VIII. Observation de myxoedème ; par M.
outes probabilités, être rattachée aux altérations pathologiques du cerveau ou de l'écorce; 3° Quand il existe en même temp
1.) Etude purement spéculative de physiologie d'après laquelle le cerveau met l'homme en communication avec le monde extéri
stre- ments seusorlo-couceptuels. Du double courant vibratoire du cerveau , actionné par l'extérieur, vers le cervelet et du
, actionné par l'extérieur, vers le cervelet et du cervelet vers le cerveau résulte la connaissance qui se compose de la no
ou transpercer en passant par la paroi crânienne la cou- vexilé du cerveau , pour aller détruire le ganglion dorsal antérieur
à quatre heures du matin par oedème pulmonaire. Autopsie. Poids du cerveau = <,62C grammes. Epanchement de sang tout ré
e modification de cette pression exerce-t-elle sur les fonctions du cerveau ? Examinons le côté purement physique de ces qu
sion cérébrale déterminera une cont- pression des grosses veines du cerveau et non une compression de ses capillaires; il e
ons des espaces péri- vasculaires et péricellulaires de l'écorce du cerveau rencontrés dans le délire aigu. Conformément au
r, dans sa thèse. Des dessins et tableaux, il résulte que, quand le cerveau antérieur (hémisphère, corps strié, corps calle
substance grise antérieure de la moe'le, n'atteint que l'écorce du cerveau , ne se manifeste généralement que pendant la prem
ui s'arrêtent sous l'influence de la sollicitation fonctionnelle du cerveau antérieur (hémisphères, corps strié, corps call
rps strié. Dans la chorée vraie de cette sorte, toute excitation du cerveau antérieur excite en même temps le corps strié.
lative au chien qui, à la suite de la séparation de la moelle et du cerveau , aurait continué à présenter des convulsions so
e de coupes verticales antéro- postérieures pratiquées à travers le cerveau du chevreuil et de l'homme, le trajet des irrad
nert montre en outre, sur des coupes transverses et horizontales du cerveau , la variété des sources d'irradiation dans les
res questions restées dans l'urne étaient : nerf facial, artères du cerveau (ana- tomie et physiologie). Les questions or
plus particulièrement carac- térisée par des troubles organiques du cerveau limités, apparaît un accès d'aliénation mentale
vail inflammatoire a porté en même temps sur les méninges et sur le cerveau , réalisant ainsi une méningo-encéphatite. Mais
s grande. Je sais bien que la fièvre catarrhale peut atteindre le cerveau . Il y a longtemps que les méningites catar- rha
xistence. Mais ces localisations de la fièvre catarrhale du côté du cerveau ne se font que dans certaines conditions qui ti
r soit à l'anémie, soit à des congestions ou à des inflammations du cerveau , etc.' En d'autres termes, ce n'est pas seuleme
l'élé- ment congestion ou fluxion dont la localisation du côté du cerveau peut seule expliquer les phénomènes con- gestif
L HÉ.M1AN0PSIE CORTICALE. 177 7 d'une lésion dans quelque partie du cerveau , y compris les couches optiques. Depuis, l'impo
ns l'obs. 8. (Haab.). 200 PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion en foyer du cerveau et il persista. Mort en juin, par broncho- pneu
par broncho- pneumonie. Autopsie. On trouva deux tumeurs dans le cerveau , l'une au sommet du lobe frontal gauche, l'autr
occi- pital droit, dépassant de quelques millimètres le niveau du cerveau , fermement adhérente à la pie-mère et un peu seul
ctéries. Les valvules aortiques et l'aorte étaient nor- males. Le cerveau en général était anémié ; les vaisseaux delà base
l'extrémité supérieure de la scissure de Rolando. En regardant le cerveau d'en haut l'extrémité occipitale de l'hémisphèr
des deux hémisphères étaient normales. J'ajouterai que l'examen du cerveau a été fait et les lésions Sus- dites constatées
par votre président, le docteur Birdsall et moi. Malheureusement le cerveau n'a pas été coupé tout de suite. Placé dans le
ions ou du moins de lésions tangibles dans les parties centrales du cerveau . Il n'y a donc pas pour moi l'ombre d'un doute
art, une particularité dans l'anatomie de l'extrémité occipitale du cerveau vient expliquer les résultats de Ferrier sans -
unies forment dans la substance blanche de la portion occipitale du cerveau un faisceau homo- gène qui passe le long des fi
e ». (Leudet.) REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE LA nutrition du cerveau ; par Tu. MEYNERT. (Jnltrbùch. f. Psych., V, 3.)
En somme, il n'existe aucun rapport direct entre le cervelet et le cerveau . Ainsi l'expansion extracérébelleuse du corps res
hercher dans la moelle allongée, et il n'y a de connexions entre le cerveau et le cervelet, ni par l'intermédiaire du pé- d
es du noyau rouge, ont-elles d'autres connexions indirectes avec le cerveau ? Tout est hypo- thétique. En tout cas, étant d
étant donné l'importance de la connexion en- tre le cervelet et le cerveau , on ferait mieux de penser aux autres faisceaux
l « n'est conscient du développement embryonnaire de son propre « cerveau , non plus que de l'apparition et de l'évolution d
a fatigue céré- « brale produit le sommeil ; pendant le sommeil, le cerveau se re- . « pose, c'est-à-dire se réintègre; le
vant la limite non « moins absolue delà perfectibilité organique du cerveau humain. « Dans les deux cas, la conscience fini
que quelques-uns : les enfants et les individus ayant une lésion du cerveau (parmi ces derniers, les paralytiques généraux)
ve souvent cette position. Il y a des sujets qui ont des lésions du cerveau chez lesquels les tendances aux contractures s'ob
ve en l'honneur de sa mémoire. M. Koenig (de Dalldorff) présente un cerveau d'idiot. Il s'agit d'un enfant de onze ans, mor
nal supérieur, de largeur modérée, contient peu de sang coagulé. Le cerveau apparaît comme projeté en avant, en même SOCIÉT
ont dû gê- ner partiellement, dès cette époque, le développement du cerveau ; l'encéphalite a progressé après l'accouchemen
oncerne, il a plusieurs fois rencontré dans la substance blanche de cerveaux d'enfants, des foyers symétriques, mais beaucou
tumeur qui fut opérée à la pentecôte de 1884; on aurait extrait du cerveau un éclat osseux. Ou ne connaît aucune tare hérédi
foyer avec démence. Mais il est extrêmement probable que, dans le cerveau , de même que dans d'autres organes, il y a des lé
usquement fauchés par des accidents traumatiques. On trouva dans le cerveau des gommes, sans autre altération viscérale sy-
.) L. Adamkiewicz. Sur l'irritation, la lésion, la compression du cerveau . (En allemand.) - Toute intervention étrangère qu
ervention étrangère qui vient modifier la manière d'être normale du cerveau , soit en en alté- rant la circulation, soit en
pression de contusion cérébrale désigne une lésion trauma- tique du cerveau se traduisant par les phénomènes indiqués 311l)
énétique, d'étudier séparément : 1° l'excitation et la paralysie du cerveau ; 2° les lésions du cerveau ; 3° la compression du
ent : 1° l'excitation et la paralysie du cerveau; 2° les lésions du cerveau ; 3° la compression du cerveau. La compression
alysie du cerveau; 2° les lésions du cerveau ; 3° la compression du cerveau . La compression possède sa pathologie propre, c
'excitation des nerfs sensibles se propagent à certaines parties du cerveau , d'où la transformation. L'asthme nerveux n'est-i
x, si prononcée dans l'asthme nerveux, peut aussi se transmettre au cerveau et provoquer ainsi tout le complexus symptomati
IIeidelber;).,Nouvcllcs communications sur la gliose de l'écorce du cerveau . L'auteur a, il y a un an, pris ce même sujet'.
ti- quer les organes); atrophie considérable mais non uniforme du cerveau antérieur (hémisphères, corps strié, corps calleu
s d'état anatomo-pathotogique spécifique. En effet, l'atrophie du cerveau antérieur, les traces et résidus d'hyperémie avec
cette déchéance. Fuerstner a, dans ces derniers temps, examiné des cerveaux de paralysie générale : il n'y avait ni tubéros
parition par atrophie des fibres nerveuses à myéline de l'écorce du cerveau dans la para- lysie progressive et d'autres mal
dans la para- lysie progressive et d'autres maladies chroniques du cerveau . Sera publié in-extenso 3. La discussion, ren
couches de l'écorce indistinctement ; sur bien des préparations de cerveau normal, il a vu manquer presque abso- lument la
st d'ailleurs pas possible, en moins de deux ans, d'examiner trente cerveaux avec la méthode qu'exige cette question. Il con
la paralysie générale, la lésion, qui porte princi- palement sur le cerveau frontal, a pour facteurs toutes les causes d'us
en rapport avec le combat pour la vie ; dans l'involuliun sénile du cerveau , c'est encore le lobe frontal qui est le plus gén
éné- ralement atrophié. Nous savons que l'alcool est un poison du cerveau ; il y avait donc lieu de penser que, comme l'ergo
loppement. En tout cas, si l'atrophie des fibres intracorticales du cerveau du paralytique général est constante, elle n'es
sont en connexion avec le cervelet, et probablement ausssi avec le cerveau par l'intermédiaire de la substance réticulée q
- sieurs années. Le pathétique a donc trois origines : 1° dans le cerveau moyen; 2° dansle cervelet; 3° dans la moelle allo
s d'arrêt empêchant la propagation de l'excitation à l'intérieur du cerveau , comme en témoigne l'uniformité du,mouve- ment
e. Arythmie du coeur. Mort par hémorrhagie pulmonaire. Intégrité du cerveau et de la moelle. Névrites à forme segmentaire d
ésentent aucune modification. Crâne. Méninges absolument saines. Le cerveau n'offre rien de particulier à signaler, aussi b
xcitabilité faradique des muscles paralysés. Les centres nerveux, cerveau et moelle, sont dans un état de parfaite inté-
irncentrea. DE l'hypnotisme. 365 repos à la partie irritée de son cerveau en faisant s'en- fler l'inhibition. » Concern
quand ils affirment que comme il y a (selon leur hypothèse) dans le cerveau , pendant l'irritation centrale à côté des fonct
n haut degré de. morphinisme ne peut pas modifier l'action de son cerveau et, en conséquence, la partie irritée con- serv
r, si on applique alors une irritation faible à la même partie du cerveau , on produit la mémoire d'une action peu intense
intense; en conséquence, la contracture diminuera, c'est-à-dire le cerveau comprendra la transition de l'irritation du plu
que, pendant la léthargie, le travail de l'écorce est éteint : « le cerveau est endormi » ; pendant la catalepsie, les infl
, ou au moins pendant une de ses phases, la fonction de l'écorce du cerveau est complètement abolie, comme cela est l'opini
le. M. Chambard soutient, entre autres, que pendant la léthargie le cerveau est fonction- nellement absent et que l'action
toutes les actions de l'homme dépendent de l'écorce grise de son cerveau , et c'est tout à fait erroné si une grande partie
-elle encore après qu'on a éveillé l'hypnotisé, quand d'ailleurs le cerveau a repris son activité et son influence inhibiti
ce inhibitive ? De ce fait il est à conclure que certaines zones du cerveau ne retrouvent point leurs influences sur les pa
e qui nous mène aussi à la localisation de ces phénomènes dans le cerveau . Mais si l'hyperexcitabilité neuro-musculaire n
sant par la substance blanche, elle peut monter à l'écorce grise du cerveau , et, éveillant ici la DE l'hypnotisme. 377 fo
fort dans celui du premier ordre. Donc, plus la voie du réflexe du cerveau est interrompue, plus le réflexe spinal devient
n fait incontestable, sur lequel se fonde l'influence inhibitive du cerveau sur les réflexes spinaux. Voyons à présent le r
extension de l'irritation n'est pas égale dans la moelle et dans le cerveau . Dans la moelle, l'extension dépend seulement d
e influence sur cette propriété. Dans le 378 PATHOLOGIE NERVEUSE. cerveau , au contraire, c'est la volonté ordinairement q
oup dans l'extension de l'irritation c'est la fonction psychique du cerveau ; aussi les im- pressions extérieures ne provoqu
à elle seule, n'est pas suffi- sante. M. Pflùger a démontré que le cerveau , sans impressions du monde extérieur, ne peut p
ment les parties irritées (par l'influence de l'expérimentateur) du cerveau qui fonctionnent; en conséquence, à un degré tr
rences. La pie-mère paraît normale. Les sinus sont très engorgés. Cerveau : L'hémisphère droit pèse 600 gr. Plusieurs tac
ommet en esta Om4R5. A la coupe pédiculo-pariétale et occipitale du cerveau , on constate sur les deux hémisphères un ramoll
à gauche. Pas de fausses membranes ni d'infiltration oedémateuse. Cerveau : Hémisphère droit : poids 580 gr. Les circonvolu
nsia à leur surface. A la coupe pédiculo-pariétale et occipitale du cerveau , on trouve un ramollissement crémeux puriforme
res coronaires. Toutes les autres parties du coeur sont normales. Cerveau : hémisphère droit pesant 620 gr. Les circonvolut
facile. OEdème de la pie-mère. Athérome des artères de la base. - Cerveau : l'hémisphère gauche pèse 535 gr. ; il est sain.
son entrée : à l'autopsie on note les principaux faits suivants : cerveau difficile à enlever, à cause des adhérences qui e
re ni séparée ni distinguée delà tumeur. A la surface inférieure du cerveau , on voit une tumeur qui s'é- tend de la commiss
droit et son tractus sont très atro- phiés. A la face supérieure du cerveau , les circonvolutions sont aplaties, et les memb
ersonnellement à admettre l'hypothèse d'une hyperémie artérielle du cerveau , et à considérer comme purement consécutif l'ép
n plus lard. Suivant l'opinion (déduite des rapports anatomiques du cerveau avec le cervelet et de l'ohseï vation des faits
se servir de la main gauche, habitude qui en faisait un droitier du cerveau . C'est pourquoi la lésion siégeant à gauche ne
éné- rale, sont des épiphenomènes secondaires dus à l'atteinte du cerveau par la névrose; elles résistent à toute espèce de
plexe, et qui comprend une action sur les sens et une réaction du cerveau . C'est le processus par lequel l'esprit complète
bien en quoi consistent ces types sensoriels. Mais en quel point du cerveau localiser la production de l'image ? MM.Féré et
. Buveurs (myélite des) par Seelig- muller, 108. Cécité, 257. Cerveau (nutcitiou du), par llteynert, 233; - (irritati
rie et rhumatisme, 216. Hystéro-choreique (épidémie), 420. Idiot ( cerveau d'), par Koentg. 265. Itifl.immation iieuropara
23 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e. Voici les circons- tances qui ont provoqué l'apparition, dans ce cerveau évidemment t prédisposé, de l'hystérie et des t
orcée n'a-t-elle pu faire naître une idée de paralysie qui, dans un cerveau incapable de réac- tion, s'est transformée en p
s les téguments, les os du crâne et atteint la couche supérieure du cerveau . Aux bords de la plaie, de même dans le tissu c
riangulaire du cordon antérieur adhérent à la fissure antérieure du cerveau était restée intacte (fig. 2). Fig. 12. DE LA
rps cendré. Il m'a suffi de couper les ban- delettes optiques il ce cerveau pour constater l'implantation de ces tractus su
- D'après Pressât, BRESCHET, à propos d'un hydrocéphale manquant de cerveau , 74 ANAT03.IIE. dit : * Les nerfs mis à nu, j
lle allongée était divisée en avant et présentait les pédoncules du cerveau terminés par des éminences qui paraissaient êtr
désir de trouver un rattachement entre' le carrefour olfactif et le cerveau intermédiaire, ne me serais-je pas trompé ? Ces
'observation dans ce fait que je ne me suis servi à peu près que de cerveaux frais, c'est-à-dire non conservés dans un liqui
ns un liquide quelconque. J'ai remarqué, en effet, sur les quelques cerveaux conservés dans l'alcool que j'ai eus à ma dispo
être décrite ci-dessus avec les autres commissures transversales du cerveau . » D'autres auteurs admettent aussi une commiss
alysie d'origine corticale, au chapitre des fonctions motrices du cerveau . Les paralysies de la motilité et de la sensibili
u aux opérations pratiquées pour déterminer les points mo- teurs du cerveau , présentaient de véritables accès d'épilepsie.
it constituée par un grand nombre (molti) des centres excitables du cerveau découverts par Fritsch et Hitzig. Quels rapport
pilepsie en excitant les faisceaux pédonculaires. Aussi l'écorce du cerveau n'était pas, pour Albertoni, un centre autonome
tres termes, les épilepsies d'o- rigine corticale sont réflexes. Du cerveau part simplement l'excitation capable de mettre
de potassium, l'alcool, la réfrigé- ration locale de la surface du cerveau (pulvérisation d'éther, etc.), dimi- nuent l'ex
déterminée artificiellement chez les animaux par l'exci- tation du cerveau et établi que, loin d'être confinée à une zone
née par la disposition anatomique des différents centres moteurs du cerveau . Bref, l'écorce cérébrale, et en particulier la
e. « Ainsi, écrit-il, les chiens mutilés d'un segment quelconque du cerveau sont tôt ou tard sujets à des accès épileptiques
qui en fit l'autopsie, ne trouva ni lésion organique appréciable du cerveau , ni anomalie de déve- loppement, ni asymétrie.
quer des accès d'épilepsie en excitant les régions postérieures du cerveau en rapport avec le centre de la vision. Récemment
res affections locales (tumeurs, abcès) des régions postérieures du cerveau , peuvent naître, sans action à distance, des ac
ntres moteurs de l'écorce, l'excitation des régions postérieures du cerveau ne provoque pas de convulsions. Seule, la dévia
on des muscles du tronc, et que le développement de cette partie de cerveau chez les anthro- poïdes et l'homme soit sans do
deux affections sont les symptômes des mêmes états pathologiques du cerveau 3. Au nombre des caractères de régression que p
s être dans l'écorce cérébrale. Ce centre, ils le cherchent dans le cerveau moyen. L'excitabi- lité des centres réflexes de
ement d'un état de tension ou d'irritation de la substance grise du cerveau ; l'écorce cérébrale, et en particulier la zone
tats des études nouvelles sur les localisations fonc- tionnelles du cerveau . 118 REVUE CRITIQUE. qu'il existe aucune alté
ticale de l'épi- lepsie. DE l'épilepsie corticale. 121 table du cerveau apparaît comme l'organe central des con- vulsio
nes d'exagé- ration fonctionnelle des régions sensitivo-motrices du cerveau , comme dans ceux d'abolition ou de diminution d
étrique des noyanx des nerfs moteurs qui prennent naissance dans le cerveau et le bulbe, combinée à une lésion symétrique d
ch est surtout appliquée à la morpho- logie extérieure. On prend le cerveau frais recouvert de sa pie- mère, on le plonge d
es naturelles à l'aide de petits tampons. Un jour ou deux après, le cerveau est blanc, la pie-mère, ridée; on détache celle-c
parallèle à celui de l'encéphale, paral- lèle à celui du manteau du cerveau et des hémisphères cérébelleux. Inversement, ch
eux plan- ches. Les documents anatomiques sont les suivants : 1° un cerveau dont on ne connaît pas la provenance; - 20 un c
vants : 1° un cerveau dont on ne connaît pas la provenance; - 20 un cerveau d'une prostituée de dix-huit ans, morte d'affec
; 3° un cer- veau de paralytique général de vingt-cinq ans; - 40 un cerveau de paralysie générale tabétique chez une femme;
hez une femme; 5° un cer- veau de paralysie générale typique; 6° un cerveau de mélan- colique (femme morte phthisi'1ue); 7°
e; 6° un cerveau de mélan- colique (femme morte phthisi'1ue); 7° un cerveau de paralysie générale probable chez l'homme; 8°
); 7° un cerveau de paralysie générale probable chez l'homme; 8° un cerveau de paralysie générale tabétique (femme). La con
convulsions clonicotoniques que l'on obtient par fara- disation du cerveau du lapin sont, pour leurs composants toniques,
1'olog. Centralbl, 1890.) De l'étude analomique très détaillée du cerveau d'une bémiplé- gique depuis cinquante-deux ans
étale ascendante ainsi qu'au lobule paracentral. La zone motrice du cerveau est donc également un centre sensitif (centre d
DE PHYSIOLOGIE pathologiques. rieures; de ces olives part, vers le cerveau , le faisceau central de la cas lotte de Bechter
s fibres il la couche optique, au noyau lenticulaire, à l'écorce du cerveau . P. K. XXVI. Durcissement rapide DE La moelle a
s sur la névrite disséminée et sur les progrès de la chirurgie du cerveau . ' Cette séance a inauguré l'ère d'activité de
o. Contribution à l'étude de la symptomopa- thologie des tumeurs du cerveau . Chez une femme de soixante-dix ans, se sont dé
forme observée par le rapporteur aux lésions des lobes frontaux du cerveau . M. RoTU, rappelant que dans les tumeurs, il fa
omalies de certaines autres en ce qui concerne le fonctionnement du cerveau , cet organe s'accommodant assez fréquemment trè
qu'il existechez les mélancoliques une contracture des vaisseaux du cerveau , et que ceux-cisoient pa- SOCIÉTÉS SAVANTES. 14
nés, 8 fr. Bureaux du Progrès Médical. Souri (J.). Les fonctions du cerveau (Doctrines de l'Ecole de Stras- bourg. Doctrine
émaniaque, avec perforation du crâne, foyer purulent ver- mineux du cerveau , hémiplégie droite progressive, et consécu- tiv
i peut expliquer, jusqu'à un ceitain point, avec quelle facilité le cerveau a suivi la calotte crânienne. Les pédoncules cé
calotte crânienne, au niveau de la plaie osseuse correspondante, le cerveau a contracté avec la dure-mère des adhérences in
hères cérébraux pèsent chacun 570 gr. A la partie postérieure dit cerveau faisant suite à celle qui est restée à l'intéri
ls avec adhérences nombreuses Fig. 18. Schéma de la face interne du cerveau droit, avec coupe per- pendiculaire hémisphériq
calcanne. ' 184 CLINIQUE NERVEUSE. et très intimes à la faulx du cerveau , dans la scissure interhémis- phérique. Le pl
érieure, au niveau de leur courbure vers le pied d'Hippocampe. Le cerveau est normal et de bonne consistance. Le cinquième
ière la tête a d'abord terrassé le malade par suite de commotion du cerveau , comme le]coup de massue, en cette région, abat
sue, en cette région, abat un boeuf à l'abattoir. Aucune portion du cerveau n'étant sérieusement lacérée, le malade est ren
é célèbre, et que j'ai déjà cité autre part, de la gouge retirée du cerveau d'un ouvrier, par Miraud d'Angers ; mais ici l'
sions correspondent presque toujours à des lésions de la surface du cerveau ou des méninges, et les paralysies, à des lésio
caduc, toute autre émotion violente, morale ou physique, frappe le cerveau de commotion, y pro- duit des troubles circulat
r effet sédatif. En résumé, les lésions trouvées à l'autopsie de ce cerveau , les signes correspondants observés pendant la
-mêmes des adhérences si intimes contractées entre la dure-mère, le cerveau et la calotte osseuse au niveau de la plaie.
rogressive, d'atonie, de marasme, dans le calme le plus parfait. Le cerveau , les membranes et la calotte osseuse n'avaient
ieure les voies du rétablissement des mouvements devaient passer du cerveau dans la moitié non atteinte de la moelle épiniè
e endroit, et précisément, elles passent, de l'hémisphère gauche du cerveau à travers l'entre-croisement avec les voies ana
raux (dont nous admet- tons l'existence dans l'hémisphère droite du cerveau par ana- logie avec les autres animaux), mais s
s fibres nerveuses qui viennent de la moelle épinière se rendant au cerveau et celles qui ' Voyez le n° fi0, p. 335; n° 62,
p. 335; n° 62, p. 183; n° 61, p. 69. 204 ' ANATOMIE. viennent du cerveau pour aller à la moelle ne passent pas par la st
assister à la succession des actes nombreux qui se passent dans le cerveau d'un chien en chasse. ' L'homme que Broca cla
que si mes recher- ches sont confirmées, il n'y aurait plus dans le cerveau humain de points ou de régions dont les fonctio
éloigné où l'on ne pourra'plus dire avec Broca que « l'anatomie du cerveau est bien éloignée de la per- fection ». do ju
onformation du crâne ou du visage, dans la structure défectueuse du cerveau les éléments du diagnostic criminologique, et,
Le sulfonal calme la sphère psychomotrice et psychosensorielle des cerveaux épuisés et surexcités, à la dose de 2 grammes (mé
e-même sont envahis par la dégénérescence granulo-graisseuse, et le cerveau même dans les périodes avancées. C'est là le pr
e péricarde, le tissu cardiaque, les méninges, la moelle même et le cerveau . Et, sans doute si le choix de ou des organes est
ètre, il faut admettre des responsabilités variées ; il y a dans le cerveau des parties qui peuvent délirer, tandis que d'aut
t le cas possible d'attaques bulbo-spinales sans participa- tion du cerveau proprement dit ni perte de connaissance par suite
t un aspect gélatineux et des plaques laiteuses. On remarque que le cerveau fait un peu hernie et vient combler en partie l
n l'absence de tumeur exerçant une compression, une irrita- tion du cerveau , ne peut-on admettre que le seul débridement ne
; parmi les pièces présentées, nous signalerons une collection de cerveaux durcis à l'acide nitrique et des préparations de
us-dure -mérienne issue du déve- loppcment anormal d'un vaisseau du cerveau . Mémoire publié dans le Centrtrlb, f. Nervenhei
tération du nerf optique à la suite de lésions du lobe occipital du cerveau , présentation des pièces. Les deux premières ob
aisceaux séparés. M. BAGINSKY. Note sur la coloration des coupes du cerveau . Si, après durcissement dans la liqueur de Mull
13ERG. - Présentation de préparations microscopiques empruntées aux cerveaux de choréiques. En 1874, ni. Elisclier, et après
nts internes du noyau lenticulaire. M. Wollenberg a pu examiner les cerveaux de deux choréiques; un de ces cerveaux avait ét
Wollenberg a pu examiner les cerveaux de deux choréiques; un de ces cerveaux avait été durci dans le liquide de Muller, l'au
es radiées. Les mêmes corpuscules ont été rencontrés dans le second cerveau durci. Il s'agissait ici d'un garçon d'unan.Ce ce
ns le second cerveau durci. Il s'agissait ici d'un garçon d'unan.Ce cerveau avait été coloré au carmin, mais cet agent colo
chs (de Breslau). De la substance blanche du lobe occipital dans le cerveau humain. Mémoire publié. Démonstrations anatomiq
on eût à accuser une matière délétère pour les nerfs et non pour le cerveau . L'influenza n'a pas déterminé de psychoses spé
nnées et deviennent inca- pables de distinguer la fausse monnaie du cerveau mâle de ses judicieuses qualités. Séance du 9
Le mémoire sera publié en détail. M. Landerer. Présentation d'un cerveau atteint d'un kyste méningé congénital. Il s'agi
ych., XLVIII, 1-2.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE V. Les fonctions du cerveau (doctrines de l'école de Strasbourg; doctrines
rnier, l'auteur étudie les recherches récentes sur les fonctions du cerveau , en classant ses recherches par nationalité, à
ogénéité et de l'équivalence fonctionnelle de toutes les parties du cerveau ; les phénomènes d'arrêt,les phéno- mènes de déf
t de la motilité géné- rale se montrent surtout dans les lésions du cerveau antérieur, les altérations de la sensibilité sp
altérations de la sensibilité spéciale surtout dans les lésions du cerveau postérieur. Il y a aussi une bonne analyse des tr
ns antérieures, doux et tranquille dans les lésions postérieures du cerveau des animaux. Nous relevons une assez bonne défi
permettent d'apprécier les résultats des lésions destructives du cerveau et Sapilli (d'Imola), faisant l'application clini
est le tableau le mieux présenté de nos jours sur les fonctions du cerveau . L'auteur a certainement été guidé dans ses appré
tion des maladies des oreilles : professeur Zanfal : exploration du cerveau dans la pachyméningite externe purulente ; Dr Tru
la pachyméningite externe purulente ; Dr Truc- Icenbrod : abcès du cerveau consécutif à une otite moyenne et guéri par l'o
mplication accidentelle (hémorrhagie céré- brale, ramollissement du cerveau , etc.) : j'en ai rencontré des cas. ' (A suivre
uelques débris de l'écorce en avant, en arrière et sur les côtés du cerveau ; 2° que la substance encéphalique restante ne p
proposé de démontrer que la répartition du sang, circulant dans le cerveau , peut être différente dans les deux systèmes co
produisait une vaso-dila- tation générale de tous les vaisseaux du cerveau ; 2° que l'élher éle- vait la pression artériel
nfluence de la morphine, il se produisait une anémie de l'écorce du cerveau et une hypérémie de la base. Ces recherches per
te OPTIQUE ET DU serf OPTIQUE dans les lésions du lobe occipital du cerveau , par C. Moeli. (.-11'Ch. f.Psych.,XXU,l.) 1.) .
ne et passent ensuite dans le cordon latéral. , , P. K. XXXIX. UN cerveau lourd; par OBERSTELeR. (Ccalrulb. f. Nervenheil
cerveau lourd; par OBERSTELeR. (Ccalrulb. f. Nervenheilk, 1890.) Cerveau d'un déséquilibré de cinquante-huit ans, ayant di
28 grammes, c'est-à-dire à un chiffre un peu plus fort que celui du cerveau de Tourguéniew (2 kilog.). Etat microsco- pique
rrha-ique ancien à la partie inférieure du lobe antérieur gauche du cerveau , large de deux centimètres, profond de un centi
choses puerpérales essentielles. Sans doute l'influenza agit sur le cerveau comme la toxhémie typhi- que, mais chez des suj
ements. L'autopsie révèle : des adhé- rences de la pie-mère avec le cerveau antérieur, une atrophie indé- niable des circon
s de la moelle, comparées aux altéra- tions que l'on trouve dans le cerveau des chiens soumis à l'action de la force centri
nnaître la physiologie normale dans ses rapports avec l'anatomie du cerveau . P. K. XXII. De L'INFLUENCE DE l'onde DES courb
dence DE M. Pelman. M. STEINER. - Du développement des fonctions du cerveau . Nous nous bornerons à étudier le développement
cerveau. Nous nous bornerons à étudier le développement du tronc du cerveau (développement phylogénique), n'étant pas en ét
ez l'embryon, de faire de l'ontogénie. Chez les poissons osseux, le cerveau n'a pas de fonctions; c'est le centre visuel qu
plus primitifs, chez les pois- sons cartilagineux (lessquales), le cerveau tout entier est un centre olfactif. Les cerveau
ux (lessquales), le cerveau tout entier est un centre olfactif. Les cerveaux antérieurs ou cerveaux proprement dits des ver-
veau tout entier est un centre olfactif. Les cerveaux antérieurs ou cerveaux proprement dits des ver- tébrés quelconques éta
des ver- tébrés quelconques étant homologue, il est évident que le cerveau des vertébrés a pour origine le centre olfactif
en particulier les centres sensoriels élevés, sont identiques à ce cerveau primitif; en d'autres termes, chaque centre' se
rveau primitif; en d'autres termes, chaque centre' sensoriel est un cerveau primitif. Enfin, dans la série des vertébrés on
avant, par suite, les centres sensoriels des vertébrés inférieurs ( cerveaux primitifs), se transportent graduellement d'arr
se transportent graduellement d'arrière en avant sur l'écorce du cerveau émanée du centre olfactif, et tous les cerveaux p
vant sur l'écorce du cerveau émanée du centre olfactif, et tous les cerveaux primitifs, jusque là disséminés en diverses par
les cerveaux primitifs, jusque là disséminés en diverses parties du cerveau , finissent par se réunir en une surface commune
à cette idée. Et d'ailleurs, l'atrophie des fibres myéli- niques du cerveau n'a, jusqu'à ce jour, pas été rencontrée dans les
FR. SCIIULTZE. Ce que l'on sait de la formation de cavités dans le cerveau et la moelle. Voici un jeune homme de dix-huit an
de l'affaiblissement des mouve- ments. On constate à la surface du cerveau de fines tubérosités, surtout dans les régions
52; - Hérédité et alcoo- lisme, par Legrain, 152;- Fonc- tions du cerveau , par Soury, 285; - Mouvements de salut et se-
osseuses du -, par Kronthal, 269. Catalepsie, par Kroepelm, 277. CERVEAU , conservation du -, par Baginsky, Rosenbach, 12
éréditaire, par Ros- solimo, 137 ; - minor, par Ger- lach, 230; - cerveau dans la , par lVoIlenLern, 274. Circulation C
24 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ande thyroïde sur la nutri- tion de l'organisme', en particulier du cerveau (d'où l'idiotie), sur le système osseux (d'où l
n'a pas eu conscience et qui. par conséquent n'a pu se ûxer dans le cerveau ? C'est impossible. Delannoy ment donc quand il
sauraient être rapportés à aucune maladie de la moelle épinière, du cerveau ou- d'un organe quelconque. Ajoutons qu'à aucun
de nouvelles recherches. . P. K. XXII. Des sarcomes multiples du cerveau ET DES méminges spinales; par A. Westpual. (Arc
veau intellectuel. Pas de cécité psychique. Autopsie. Atrophie du cerveau généralisée. Petits foyers sans importance dans
tion réflexe. Le fou rire accompagnant les affections organiques du cerveau , affections de la région cortico-motrice, il ap
involontaires qui pro- voquent Je rire; ou bien la lésion locale du cerveau , en interrom- pant les voies de conjonction ent
épendante de l'état de tension vaso-molrice plus ou moins grande du cerveau , doit être modifiée en même temps que cette ten
atiquée de très bonne heure. - R. M. C. XVI. KYSTE traumatique DU cerveau consécutif A une lésion datant DE VINGT-CINQ AN
rès avoir introduit le doigt dans la plaie, pénétrant ainsi dans le cerveau , pratiqua la suture des parties molles : c'est al
structure qui altèrent le fonctionnement cellulaire normal dans le cerveau tout entier, et qu'il en résulte un affaiblisse
ntier, et qu'il en résulte un affaiblissement et une instabilité du cerveau capables de survivre à l'ablation de l'agent pe
ment pas avec lui. Enfin, ce cas nous montre encore qu'après que le cerveau a été libéré de la violence subie, il faut mett
t, une opération est pratiquée C[ à cause d'un os qui comprimait le cerveau », et le malade recouvre progressivement et à p
ectement à la production d'une affection men- tale, mais il fait du cerveau un locus minoris 1'esistentiæ. La folie, en ce
laignait d'une céphalalgie constante ayant son maximum à la base du cerveau , et quelques jours après l'accident sa vue s'af
seurs Rüdinger et Graetz, D1' Cremer. a) Anatomie et physiologie du cerveau et des organes des sens (bases physiologiques d
nerveux. Localisations. Neurones. Voies de conduction. Structure du cerveau . Fonctions psychologiques des parties cen- tral
-vie. Ce régime eut à la longue un fâcheux retentissement sur son cerveau prédisposé, et, en 1881, il eut un accès de délir
ns ne créent rien et ne font qu'évoquer des images existant dans le cerveau du malade. Par exemple les voix d'un' aliéné ne
ensorielle normale, et l'illusion comme une erreur de l'activité du cerveau régulièrement provoqué. Or, il en est de l'halluc
raux. Sans cela tous les malades qui ont des lésions irritatives du cerveau (tumeurs, foyers cicatriciels, lésions des vais
inations, alors que c'est la grande exception. L'affaiblissement du cerveau , la pré- disposition du centre auditif sont les
ation ; et parfois même il existe des altérations à la fois dans le cerveau et dans l'organe des sens, ce qui rend le probl
sur les troubles intellectuels liés aux lésions circons- crites du cerveau . Th. Paris, 1890, p. 10. 2 Ed. Toulouse. Halluc
ations unilatérales chez une femme ayant vue lésion circonscrite du cerveau . (Gazelle des hôpitaux, 1892, p. 591.) ' Tomasc
bjectifs de la sensibilité, c'est-à-dire la matière première que le cerveau prédisposé, taré, hallucinogène, transforme en
auras sensorielles unilatérales peuvent être transformées par un cerveau prédisposé en hallucinations unilatérales. On a
s. Enfin Hertz 3, qui s'est livré à des études semblables sur des cerveaux d'autres aliénés, a constaté des altérations du l
res dc la sensibilité visuelle, auditive ou tactile; mais jamais le cerveau étant normalement constitué, la lésion ne donne
directement l'hallucination, mais bien la modification préalable du cerveau , la prédisposition sans laquelle la lésion, que
étéré est évidemment le facteur morbide principal qui a fendu son cerveau hallucinogène. La première observation de M. Régi
ite pour loca- liser la faculté musicale en un point particulier du cerveau . Il faut remarquer que de tous les talents le t
n de savoir si son activité correspond à une région circonscrite du cerveau , demeure dou- teuse. Il serait désirable de pos
uit que par des lésions intéressant simultanément les deux côtés du cerveau . Il me paraît aussi que la faculté musicale peu
de nutrition déterminés eux-mêmes par des altérations primitives du cerveau . Il se peut toutefois que cette hypothèse soit
suite une action mentale défectueuse, et qu'en fait, pendant que le cerveau atteint le degré de développement normal suivan
le est basée : 1° diminution de calibre des vaisseaux de la base du cerveau , ou de l'aorte, ou des deux, associée fréquemment
s organes génitaux, alors que soixante en présentaient. Or, si le cerveau est toujours le siège de la folie, il n'est pas t
s méningitiques (Bouchut, Rostan, BarbeleL). Buhl, de l'examen du cerveau dans 31 cas, conclut qu'une dimi- nution du liq
té, un désir fou me possède, une idée fixe s'est implantée dans mon cerveau ... Il faut que je tue quelqu'un. Hier, j'ai ach
crazziezrze : Leptoméningite chronique très nette. La substance du cerveau est oedémateuse. Les ventricules du cer- veau s
cules du cer- veau sont dilatés. Sclérose des artères de la base du cerveau . - Cavité du thorax et celle de l'abdomen. Dans
i des parties situées plus haut, les symptômes cliniques du côté du cerveau (les vomissements et l'état men- tal très carac
moelle épinière. En ce qui regarde les recherches microscopiques du cerveau , il faut remarquer que jusqu'à présent on n'a p
ts caractéris- tiques même dans les cas où les symptômes du côté du cerveau en forme de la psychose particulière avec amnés
ompagnée des symptômes cliniques caractéristiques pour la lésion du cerveau . Pour l'explication des différents phénomènes o
LES lésions microscopiques caractéristiques QUI S'OBSERVENT DANS LE CERVEAU DES ALIÉNÉS; DÉMONSTRATION PRATIQUE; par T.-S.
- tion des importantes relations anatomiques qui existent dans le cerveau de cellule à cellule et de région à région. R. M.
uel-B. Lyon. (The Neiv-York Médical Journal, 27 juillet 1895.) Le cerveau est-il un organe physiologiquement dysymétrique,
u plus, au bénéfice du lobe gauche, est absolument inverse dans les cerveaux d'aliénés; ce simple fait révèle une rupture de
n difficiles à expli- quer. R. DE lUSGRAVE-CLAY. V. Deux ABCÈS DU cerveau , causés par UNE EMBOLIE septique CON- S1CU'fIVE
cérébrale moyenne droite, et qu'il y a lieu de craindre un abcès du cerveau . Le 27, la paralysie du côté gauche de la face
sumons ici le résultat de l'autopsie, seulement en ce qui touche le cerveau : dans le lobe frontal de l'hémisphère droit, o
érations sur l'origine, le diagnostic, la localisation des abcès du cerveau : il pense que dans quelques cas, il ne serait
ec du soin et de l'atten- tion, de diagnostiquer un double abcès du cerveau , tel que celui qui fait l'objet de cette observ
su cérébral, comme cela arrive dans la paralysie générale. Tous les cerveaux séniles d'aliénés que l'auteur a examinés pré-
ié surtout dans sa moitié supérieure. Enfin, l'état athéromateux du cerveau des vieillards détermine fréquemment des thromb
dégénérescence de la cellule nerveuse peuvent se rencontrer dansles cerveaux des vieux aliénés ; il est commun aussi de trou
; mais l'altération la plus frappante et la plus constante dans ces cerveaux séniles, celle qui atteint toutes les cellules,
or, ici le cervelet était presque anéanti fonctionnellement, et le cerveau en revanche ne présentait pas les caractères que
embrane mince, couleur de rouille, parsemée de points brunâtres. Le cerveau est beaucoup plus volumineux du côté droit que
nu. Une planche accompagne ce travail et montre troi. aspects de ce cerveau . H. M. C. X. Remarques SUR L'EMPLOI DE la forma
près isolée. Si l'épanchement sanguin siège à la surface convexe du cerveau , la respiration est ordinairement fréquente et so
s comme relativement rare. Les petites ramifications des artères du cerveau , examinées sur une coupe micrographique, ne son
ions brèves et peu concordantes. Ou ne les rencontre jamais dans le cerveau normal, mais ils accom- pagnent des lésions trè
s, des tumeurs cérébrales. P. K. XIX. DE l'influence DE l'écorce DU cerveau SUR l'acte DE la DÉGLUTITION ET LA RESPIRATION;
I, 1894.) Etudes analogues à celles de Duret et Ileubiier pour le cerveau . L'auteur étudie successivement les grosses art
cérébraux et les tubercules quadrijumeaux antérieurs. A la base du cerveau , du point où les artères céré- brales postérieu
direct ou indirect. Or, cette région occupe à peu près la place du cerveau où les ondes sanguines de la carotide et de la ve
cès d'épilepsie, le sang artériel afflue en quantité prodigieuse au cerveau . - P. K. XXXII. SUR LES oscillations périodiq
supérieur, la trépanation, avec ou sans incision des méninges ou du cerveau , etc. Ces modes de traitement, qui ne sont pas
équence de l'hémorrhagie cérébelleuse serait par rapport à celle du cerveau comme 1 est à 15 (Andral), 1 à 30 ou 35 (Hillai
), tantôt un organe modérateur pour la moelle et excitateur pour le cerveau (I.ussell) avec indépendance fonc- tionnelle de
cervelet est (dans la sphère physique) un organe de renforcement du cerveau , homo- gène, dont les actions sté1l1'que, toniq
tre que le siège de la lésion est dans la moelle plutôt que dans le cerveau . L'auteur termine son travail par quel- ques co
mnes de tout risque de mortalité. ' R. 11. C. 1 XXXIX. Abcès du cerveau ; parN.-B. CARSON. (The New-York Médical Journal
) Nous résumons les points principaux de ce travail. Les abcès du cerveau ne sont pas aussi rares qu'on le pense communémen
acture comminutive, avec pénétra- tion des fragments osseux dans le cerveau ; pendant l'exploration faite par l'auteur quelq
de la fourchette avaient donné lieu à la forma- tion d'un abcès du cerveau , ainsi qu'on put le constater à l'au- topsie.
lame criblée de l'ethmoïde, des éléments infectieux jusque dans le cerveau où un abcès se produisit et causa la mort. Un
dans la névrite : elle est parfois consécutive aussi aux lésions du cerveau et de la moelle. Elle compte parmi les symptôme
la moelle cer- vicale. La moelle tout entière, le bulbe et même le cerveau peuvent participer aux lésions comme le démontr
e ce procédé. Il suffit en effet que la circulation arté- rielle du cerveau soit troublée par une cause quelconque ou qu'il
OCIÉTÉ D'1\'l'li ? kÿ ? LOGIL;" «.* \<ï £ J «^S CM AtO^- '" LE CERVEAU DU MOUFLON; par le professeur Benedikt (de Vienne
ikt (de Vienne). B6\EDIhT (de Vienne) fait une communication sur le cerveau du mouflon (Ovies Musimon), qui réunit les qual
trouve plus rarement complète chez l'homme principalement sur des cerveaux de dégénérés. On voit alors que le style de la sc
z l'homme, M. Benedikt a retrouvé la partie pariétale dans certains cerveaux par exemple dans le cerveau de Francesconi. En
ouvé la partie pariétale dans certains cerveaux par exemple dans le cerveau de Francesconi. En arrière c'est l'étape supéri
as toujours représenlée en général très distinctement. Sur certains cerveaux comme chez un Américain décrit par Benedikt cet
où elle est représentée par exception dans un nombre restreint des cerveaux , comme par exemple chez un Feilah, décrit par B
ans les différentes classes des gyrencéphales. A la face interne du cerveau il y a différentes branches transversales de la
érieure de la scissure centrale et il dé- montre aujourd'hui sur le cerveau du moufllon, que sa présomp- tion est justifiée
irmerie du dépôt. (Le Petit Troyen, 13 déc.) l3ouaevn.ne. Crânes el cerveaux d'idiots : Craniolomie. Bro- chure in-8° de 47
idement les différentes vues d'ensemble et les coupes classiques du cerveau . Le prix très modique de cet album permettra de l
l dans les autres organes. Pour l'étude microscopique, on a pris le cerveau et la moelle, les ganglions intervertébraux, le
Les résultats de l'examen microscopique sont les suivants : Dans le cerveau , le cervelet, le pont de Varole et le bulbe on ne
smodique, et la mélancolie dans la forme tabé- tique. - Le poids du cerveau est notablement moindre dans les cas spasmodiqu
ins cas, cette maladie peut aussi donner naissance à une maladie du cerveau , et que cette maladie est la paralysie générale
es que présente l'élude de la folie chez les peuples primitifs ; le cerveau indigène est très analogue au cerveau d'un enfa
ez les peuples primitifs ; le cerveau indigène est très analogue au cerveau d'un enfant européen ; à bien des égards, les a
erturbations anatomiques localisées, puisque, par toute l'écorce du cerveau , il y a dissémination des unités corticales et
ires. L'organe de l'intelligence est en effet non point l'écorce du cerveau en général, mais le système des fibres d'associ
et les chats. Conclusions. - L'excitation des centres corticaux du cerveau jeu REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. peut, chez l
s. La glande thyroïde paraissait normale de poids et d'aspect. Le cerveau était pâle et, à cause de la tardiveté de l'autop
re, qui était grandement hypertrophié, fut arraché en l'enlevant du cerveau ; ses dimensions ont pu être déterminées par ce
tivement 1 pouce 1/4 (0m,031) et 1, pouce 1/2 (os,038), Le poids du cerveau , après durcissement dans l'alcool, était de 36
des éléments nerveux du centre de la parole placé dans l'écorce du cerveau . Tant que dure cet épuisement du cerveau, tant
ole placé dans l'écorce du cerveau. Tant que dure cet épuisement du cerveau , tant que les éléments nerveux, ou quelques-unsd'
es éléments nerveux, ou quelques-unsd'entre les éléments nerveux du cerveau sont privés de leur énergie spéci- fique et ne
ction n'en- trent guère en relation qu'avec un tiers de l'écorce du cerveau . Ce tiers est formé de quatre territoires absol
ales, c'est-à-dire de celles qui joignent deux points homologues du cerveau , l'auteur procède à des études d'anatomie compa
travail sur UN nouveau principe DE division 01<, la SUR- face du cerveau ; par ADAMKJEW)CZ. Réponse DU professeur F'LECII
sseur F'LECIISIG. (Nell1'olog, Ce)'c[/6 ? XIV, 1895.) L'écorce du cerveau contient des régions psychiques équivalentes en
tate à l'autopsie : de l'artério-sclérose; une atrophie générale du cerveau ; un foyer de ramollissement, du volume d'une p
cervelet et de là par les pédoncules cérébelleux supérieurs dans le cerveau ». On n'est .pas encore à même de savoir si ce
ce centre. L'etat de cessation du fonctionnement psychogénique du cerveau entier constitue le sommeil normal complet, à c
ou même oubliées; de plus les descriptions sont faites d'après des cerveaux pris au hasard dans les salles d'autopsie, sur
en que des dessins donnés comme typiques représentent cependant des cerveaux anormaux. Les anomalies les plus fréquentes se
tions locales (artérite chronique) ; 3° L'aedènle histologique du cerveau ; 4° La méningite chronique localisée au niveau
rcit fort bien; il conserve : au système nerveux son élasticité; le cerveau et la moelle ne sont ni friables ni recoquillés,
les régions de la moelle, du cervelet, de la substance corticale du cerveau , sont des faits trop connus pour y insister ici
ylindraxe. Supposons une impulsion motrice partant de l'écorce du cerveau pour se rendre à un muscle; le courant nerveux qu
s les lésions en foyer circonscrit siégeant dans les nerfs, dans le cerveau et la moelle. Il en résulte que cette double dé
nce de LES NEURONES. 431 propagation se fait de la moelle vers le cerveau et, de plus, qu'elle peut rester et qu'elle res
a voie qui transmet les impressions sensibles de la périphérie au cerveau forment une chaîne beaucoup plus compliquée, et
ne faut que deux neurones pour conduire une impression motrice du cerveau au muscle, il en faut pour le moins trois ou quat
couche optique, de la couche optique par un nouveau neurone dans le cerveau , etc. , La chaîne des neurones de la sensibilit
neurones sont ceux dont la cellule est dans la moelle, le bulbe, le cerveau , au lieu d'être dans le ganglion intervertébral
adie de Friedereich, etc., en s'appuyant 1 L'expérimentation sur le cerveau des animaux a démontré la possi- bilité de ces
t aussi sur ce que nous savons déjà de l'anatomie pathologique du cerveau . D'ailleurs, en nous proposant de revenir plus ta
r M ? Med., 1893. /4,40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ? telle'' portion du cerveau , par la démence de l'adulte consé- ^cultive ,à"
l'lhl'opalhies consécutives il quelques maladies de la moelle el du cerveau (Revue photogr. des hôpitaux, 1871, p. 9, 52, 6
oustique notamment avec la branche cochléaire de celui-ci ; sur des cerveaux d'embryons de 28 à 30 centi- mètres de long, le
de ces animaux. D'après Onodi et Bechterew, il existe à. la base du cerveau , un centre de 8 millimètres sur une ligne sépar
on antérieur des pyra- mides ne se mélangent point dans le tronc du cerveau , avec celles du cordon latéral. Si elles sont c
constaté dans les coupes antéro-poslérieures à travers le tronc du cerveau nor- mal. A ces fibres postérieures s'adjoignen
fibres pédonculaires ; la bandelette optique ne monte pas dans le cerveau antérieur. , REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
t prendre naissance dans la substance grise de la paroi latérale du cerveau intermédiaire (couches optiques) qui, en dedans
res qui, sans s'entre-croiser, sont centrifuges et viennent, non du cerveau , mais du cervelet. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
GIE MENTALE. ' LXXXIX. RECHERCHES expérimentales sur L'INFLUENCE DU cerveau sur l'échange azoté; par le Dr BELMONDO. (Riv.
cause organique de ces phénomènes réside dans la structure même du cerveau , le milieu intérieur étant constant et invariable
omènes réside dans la composition spéciale du milieu intérieur, les cerveaux étant supposés identiques; 3° la cause réside à
tiques; 3° la cause réside à la fois dans une structure spéciale du cerveau et dans une composition particulière du milieu
ld, 305. 1 Alcool. Lésions produites par l' - sur les cellules du cerveau , par Berckley, 39t. Alcooliques. Sur le délir
73. en liberté, 175. Lésions microscopiques caracté- ristiques du cerveau des -, par Clouston, Middlemass et Robert- so
tération du sys- tème chez les aliénés âgés, par Campbell, 210. Cerveau . Kyste traumatique du , par Eskndge et Mac Naug
les -, par Klip- pel, 33. Déglutition. Influence de l'écorce du cerveau sur la et la respi- ration, par de Bechterew et
e la folie et de l ? par Bullen, 224. Circulation du sang dans le cerveau pendant un accès d'- expéiimentale par de Bec
ves contre les -. par Gilbert Ballet, 292. KYSTE traumatique du cerveau , par Eskridge et Mac Naught, 69. Lactée. Sécr
11e,HI. Un cas de maladie de -, par Gras- set, 493. Mouflon. Le cerveau du-, par Bene- dild, 297. Musicale. Affection
la folie, par Bond, 352. Respiration. Influence de l'écorce du cerveau sur la déglutition et la - , -, par de Bechtere
Sang dans le délire aigu, par Cabitto, 479. Sarcomes multiples du cerveau et des méninges spinales, par West- phal, 50.
25 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qui est établi pour la moelle est loin de l'être aussi bien pour le cerveau ; nous connaissons parfaitement la méningo- enc
itielle chronique qui a son point de départ dans les capillaires du cerveau et plus particulièrement de l'écorce cérébrale.
iforme causée vraisemblable- ment par une hémorrhagie de la base du cerveau . Elle pré- sentait les signes manifestes d'une
a syphilis se trouvait dans certaines lésions des gros vaisseaux du cerveau et de la moelle. L'Observation II a déjà été pu
tout l'importance de cette observation, c'est la présence dans le cerveau d'une lésion vasculaire diffuse, peu avancée, ave
hasie transitoire ; ce n'était pas un paralytique général, mais son cerveau était atteint d'une inflammation vasculaire qui
es fibres de ce nerf. Lésions spécifiques des artères de la base du cerveau . Gommes microscopiques des veines ayant détermi
s des veines ayant déterminé une hémorrhagie méningée ci la base du cerveau . Foyers d'oedème localisé dans l'écorce cérébra
phalo-rachidien ayant disparu complètement ; cet état montre que le cerveau était comprimé. La dure-mère est saine ; la pie
la face convexe des hémisphères, en s'atténuant graduellement. Le cerveau étant enlevé avec le bulbe, on voit que toute la
acide osmique. Toute cette étude a permis de conclure que : 1° Le cerveau presque tout entier est le siège de cette méningo
naire de MM. Gilbert et Lion ; 3° Les gros vaisseaux de la base du cerveau et des méninges rachidiennes sont le siège, vei
a dégénérescence de toutes les fibres périphé- riques de ce nerf. Cerveau . - L'écorce cérébrale est le siège d'une lésion v
l'autopsie et, d'une façon générale, toutes les fibres à myéline du cerveau , colorées par la méthode de Pal, présentent des
les autre- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 13 parties du cerveau et, plus accusée encore, dans la protubérance,
joint une méningite, moins accusée dans les régions supérieures du cerveau et en particulier sur la partie con- vexe du lo
nt la méninge pour pénétrer dans l'écorce cérébrale. En résumé le cerveau est atteint de méningo-encéphalite vascu- laire
atoire. C'est la lésion que jusqu'ici j'ai rencontrée dans tous les cerveaux de paralytiques généraux, que j'ai eu l'occasion
régions où cette lésion n'existe pas ; ces taches, visibles sur le cerveau avant toute préparation, sont exac- Fig. 5. Un
aisseau. A un plus fort grossissement, la substance fondamentale du cerveau laisse voir en ces points le réticulum névrotiq
vaisseaux de tout calibre sont exactement semblables à celles du cerveau , mais beaucoup plus intenses. Pourtant il n'y a a
rtent sur les artères, et plus encore sur les veines, de la base du cerveau et de la pie-mère rachidienne. Toutes les artèr
eau et de la pie-mère rachidienne. Toutes les artères de la base du cerveau présentent des plaques d'endarlérite oblitérant
érick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 21 de la base du cerveau et de la région dorso-lombaire postérieure de l
rhagie méningée. Ce processus est bien visible surtout à la base du cerveau , où une veine volumi- neuse a ainsi donné naiss
mporte de beaucoup en intensité sur celle des artères, à la base du cerveau comme à la surface de la moelle. Chose remarqua
infiltrés dans le tissu cellulaire lâche de la région. A la base du cerveau l'hémorrhagie est en trèsgrandepartie récente e
e qu'il vient de se guérir, que sa maladie lui est remontée dans le cerveau , ' qu'elle lui a donné la faculté de tout dire
paraissent grêles, surtout dans la région antérieure; la surface du cerveau est cou- verte d'ulcérations caractéristiques p
on, les poisons orga- niques retenus ayant porté leur action sur le cerveau déjà malade et prêt à délirer ? Je pencherais p
; ces cordons contiennent aussi quelques corps amyloïdes. Dans le cerveau les cellules nerveuses sont toutes fortement pig-
elle ressemble au contraire absolument aux lésions vasculaires du cerveau dans la paralysie générale et de la moelle dans l
. Il n'y a pas de lésion appréciable des cellules ganglionnaires. Cerveau . On trouve les lésions vasculaires caractéristiqu
at lésion qui entraîne l'absence de parole chez un enfant. Si son cerveau a été frappé dans la zone de la mémoire auditive
Bicêtre où M. Bourneville a conserve près` de trois cent cinquante cerveaux d'idiots, d'imbéciles et d'épileptiques. ' . '
er, en effet,' rattache toutes ces formes à une lésion' spéciale du cerveau . Il ressort de l'examen de sa classification qu
émotions mentales favorisent l'action toxique de la sepsine sur le cerveau . (Anaales niéclico-psychol ? 1893.) E. B. XIX.
au'jury les deux questions : ' . . 1°L'accusé a-t-il la maladie'du cerveau qui est la.folie' ! S6 REVUE DE MÉDECINE LEGALE
ie'il'to'rga'nisées, évi- demment anciennes. Pas d*altération i du, cerveau , ni des méninges. En résumé,, la, lésion capita
ttréali- sables dans cette voie, et que sans aspirer à donner à des cerveaux imparfaits une intelligence complète et parfait
carmin. u. , , / ? | 1r ? . , t.{u , ? i, il ').t't((t. > 1 IIW. Cerveau ., .- Les grosses artères de la base sont- saines,
d autres gin se rapportent aux symptômes médullaires, enhn, dans le cerveau , une meningo-encephahte * 1 ? fj'ir ? 1 ? 1'' ;
bas'e"d ? et, de. la vaisseaux,, veines et, artères, de la base du, cerveau et, de, la pie-mère'rachidienne participent au.
lles prennent naissance =. (Vcurol. CeatralGl.,189°3.) . L'étude du cerveau de mon malade a été tout particulière- . ' D'ai
s sur des capillaires plus fins. .5 m · r r. , · ? J h >» , Ce cerveau est donc le siège de lésions vasculaires diffuses
uter à ce qu'en a dit, Fournier dans son livre sur la Syphilis du cerveau , livre empreint d'une si grandet science clinique
- miquement et mécaniquement par oxydation et hypercirculation du cerveau , empoisonnement direct' des cellules; 5° durée de
eut provoquer une thrombose secondaire. Naturellement le , tissu du cerveau est imbibé, dissocé; les cellules nerveuses et le
tun, il remarque la petite fille d'une voisine, qui produit sur son cerveau une grande impres- sion, plus profonde sans dou
camarades de collège : « Cela alla, dit-il, jusqu'à l'écoulement du cerveau », expression dont il se sert sou- vent, etpar
les parties sexuelles. Ces pensées obscènes se heurtaient dans son cerveau avec toutes sortes d'idées de grandeur dont nou
le malade faire choix, pour satis- faire l'appétit commandé par le cerveau postérieur, d'un enfant de deux ans, d'un indiv
n à l'acte. En d'autres termes, c'est tantôt la moelle, tantôt le cerveau antérieur, seul ou associé à la moelle, qui entre
rutalement, par un délire mani- feste, la tare fonctionnelle de son cerveau , dont les manifesta- Legrain. Du délire chez le
s, et le délire ne tarda pas à envahir peut-être pour toujours - ce cerveau prédes- tiné. ' ' - ' ' De l'examen soigneux
noyé dans ses rêves ambitieux, et sous cette bouffée congestive son cerveau laisse percer des menaces redoutables de démenc
s mentales, de tout ce déluge d'obsessions''qui surgissent dans son cerveau et qui le portent à se demander la raison du mo
là t à se'donner de l'énergie, à réagir, contre la ^échéance de son cerveau ^. ,. Il a une(absence presque complëte"des\ sen
pcnsées, ses affec- tions mêmes ne lui appartiennent pas ; c'est un cerveau dont chaque/ territoire, agit comme par décliar
les plus inférieurs, d'une'manière pure- ment réflexe, sans' que le cerveau intervienne '.aucunement. Quand celui-ci se' dé
abouti ; nous le'craignons/ a éteindre pour jamais la flamme de ce cerveau à son aurore. , r. z Ce cas intéressant n'est-i
it du moins., comprendre, nous semble-t-il, ce qu'est exactement le cerveau du dégénéré, déséquililibré par essence, être b
es acquisitions récentes de la physiologie et de la patho- logie du cerveau .. - , , . . Quant à l'observation, son intérêt
e du malade, dont le cer- veau devait appartenir à la catégorie des cerveaux invalides, faisait comprendre que la contradict
t dans la règle commune. Une seule objection pouvait subsister. Lei cerveau du ma- lade n'était pas un cerveau normal, disa
objection pouvait subsister. Lei cerveau du ma- lade n'était pas un cerveau normal, disais-je; il était un cer- veau invali
l était un cer- veau invalide, comme on s'exprime à1 l'étranger, un cerveau de dégénéré, comme on dit plus volontiers chez
side délire mélancolique simple, ne n peuvent qu'être le fait d'uni cerveau i en déDénérescence.·llorel,o le premier sans d
nce.lf ? na i 10J Les centres inhibiteursdesparties,antérieures,.du cerveau ? étaient, chez'A..., sans, action sur'les cent
gions anté- ·c ? ·a5 ,y ·yqhn nm qn n. 1 ,t .. ? - , C rieures du cerveau , seule capable d expliquer 'tous les autres y ·
e qui intéresse à la fois la dure-mère et la partie sous-jacente,du cerveau .$2q n,él qfrqa 9rJ·· w ,s ? a· -La dure-mère. q
. La, elles adhère fortement aux parties sous-jacentes, pie-mère et cerveau . Quant à la, partie corresponda : otedu·çràne,e
es autres.' Au-dessous de cette partie malade de''la' dure-mère, le cerveau est lésé, mais la lésion ducerveau est plus éte
sous-jacente. est plus vaslcularisée que dans les autres parties du cerveau , mais elle, sa fermeté normale; au centre, cepe
dues, des foyers de ramollisse- ment et des liémorrha-ies) dans le, cerveau . Au microscope, il existe une dégénérescence.po
uit, pour qu'il se produise, ' peu importe à cet égard la région du cerveau ; , 4. le mouvement de ma- nège,qtii*a, lieu du
en effet, excite surtout les sphères sensorielles et psychiques du cerveau , mais' diminue les mouvements irrésistibles et
rocéder; 11° lorsqu'on a sectionné ou extirpé 4Ùelqitesi parties du cerveau , l'in- troduction dans l'économie du poison cér
? ,9TYl,QVl2 2110tTfJ3·r' XII. DES RACINES r DU TRIJUMEAU DANS, LE, CERVEAU , DE L'HOMME AVEC QUELQUES REMARQUES D'ANATOMIE
XV, 1.) Chez une idiote épileptique de vingt-cinq ans, on trouve un cerveau petit,- rriais sanslacunes.Or,au beau milieu du
niefs jours Jqui0suive'nt< la naissance, de vastes portions du', cerveau . Ces dégénérescences ',atteignent toute la caps
puis,'qùe'flaIc6uche ' optique, après destruction d'une' moitié 'du cerveau , se' rétracte, le corps strié demeurant intact.
XXIX. De la manière d'être DES fibres tangentielles DE l'écorce DU cerveau chez les IDTOTS; par O. hLIN6l ? (Archiv f. Psyci
ombre des fibres, qui n'est pas égal pour cha- cune desprovinces du cerveau , révèle des chiffres des plus élevés pour <
s ; il en existe aussi de bien développées en, d'autres parties, du cerveau ; les plus fines se rencontrent dans les fronta
01 en»-' quelques cas,- il y a correspondance entre l'âge auquel le cerveau de l'idiot a été frappé, d'arrêt et. le faible
gard le lobe temporal ; 100 en prenant ses points de repère sur des cerveaux normaux; on > voit t qu'entre .les .. ' mO -
! il" t' ? 1 1) .,EnaA si XXXIX. DES racines DU trijumeau dans LE cerveau de l'homme avec ii. quelques ItE3lAIiQUESD'ANAT
ces dernières années,sur les dillérenciations fonc-, tionnelles du cerveau humain. Archives, t. XXVI. 16 ibâ pathologie
Mais elle a aussi des inconvénients. Les expériences faites sur le cerveau nécessitent des mutilations préliminaires ou conc
fonctions d'un organe aussi complexe et aussi différencié que le cerveau de l'homme, c'est sur l'homme qu'il faudrait expé
ns une autre voie les movens d'étudier sur l'homme les fonctions du cerveau humain. ÉTUDE DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 243
pour but la détermination des fonctions des différentes parties du cerveau et pour moyen la compa- raison des symptômes ob
e n'utilise pour l'étude des fonctions cérébrales de l'homme que le cerveau humain. Ensuite, elle élimine l'intervention de
me symptôme coïncide avec une lésion siégeant dans le même point du cerveau , si, par surcroît, les lésions occupant d'autre
symptôme spécia- lisé et de conclure que le point correspondant du cerveau est le siège d'une fonction différenciée ? A
ant sur les circonvolutions postérieures de l'hémisphère droit du cerveau . Or, nous verrons plus lard que les circonvolutio
t ce fait semblait devoir ruiner les opinions, fut invité à voir le cerveau . Il constata qu'il exis- tait, en effet, une gr
tout le monde. Voici comment nous les enga- geons à procéder : Le cerveau étant enlevé, et sa surface extérieure bien exa-
t. Enfin si la coloration ou la consistance de certaines parties du cerveau laissait le moindre doute sur leur intégrité, o
à établir, en se fondant sur elles, la topographie fonctionnelle du cerveau . L'étude de la géographie cérébrale doit être f
uivre i dans, l'utilisation de ces observa- tions. '... : . Si le cerveau est formé par la juxtaposition de plusieurs app
même symptôme avec les, lésions , de toutes, les autres parties du cerveau . "....u ? ..."f. *r>' >i - · . Il est de
on doit arriver à une détermination tdpographiqilé'dès fonctions du cerveau de l'homme plus précise et' plus 'certaine' que
nir des données précises pour la détermination de la topographie du cerveau de l'homme. » Le temps n'a pas modifié nos opin
a main ds* hysiologistes, l dogme de l'homogénéité fonctionnelle du cerveau et«pour . ne. pas se mettre en opposition avec
rieur, le nerf conducteur, (organe .dès-sens), le centre récepteur ( cerveau ). ,Dans, l'hallucination,, le premier.de ces él
as perçu normalement. La sensation qu'il donne est défigurée par le cerveau chargé de la percevoir; elle est trans- formée
». tir i - ? On -diir-r'ait'-e- neore"attribàe'r'à*-lal con -estin'du cerveau les hallucinations' p^stép^lep^iqûes^6 peut-êtr
th - lie il),61 .. ' '1SARCO11E=PRI111T1F DES : .VENTRICULES, DU CERVEAU ^., '"s, -"laiia ? .°i(l r+Un9l.l.u^ ? ftmifi61t
iiibldl empêche le'Îôrrilliéil. SARCOME PRIMITIF DES VENTRICULES DU CERVEAU . 271 Strabisme double interne ; les pupilles so
dé la* gelée (oedème). A la coupe, dans les' régions antérieures du cerveau , à gauche, piqueté accentué, allant en diminuan
J·1`,1 A ·') SKI ft'yiaH ~A-n SARCOME PRIMITIF DES VENTRICULES DU CERVEAU . 2/0 , t... . 4 Vfnai 1(1 "lndnf ; 2971(`blll9e
rfois celle des tirelires, ne pouvaient guère donner d'expansion au cerveau , que, d'ailleurs, elles se fermaient vite et qu
admettant même-que cette expansion ait- donné quel- que liberté au cerveau ," cette liberté'n'était'que très tempo- raire.
"ce'soir de là.4ûetion de la parenté du développement défectueux du cerveau avec l'obli- tération prématurée des fontanelle
. IY.\i t T .7 ' Y Y yC : 1 Yl 01.. w f ..v ..rt * n( croissance du cerveau . Si'le premier a raison J une opération, telle a'
être9pratiqiiée ? da.ns"- l'intention de diminuer ]arpression"rdiïT cerveau /"donnant a'u' ! cerveau* comme' i l'a ° été di
l'intention de diminuer ]arpression"rdiïT cerveau /"donnant a'u' ! cerveau * comme' i l'a ° été dit, « une chambre trouée o
l, ,-y,a» diminution dans l'obstacle.opposé,. au, développement du, cerveau , et l'éducation sy.S7 tématique et continuelle
;u ? e.t.t.Jt ? < ? ).] ? J' due liberté d expansion,. donne, au cerveau , est tout ;a.ta.it.tem-. i» " ... ,« l]j. vj.«i
trice. Le'>''somnal"serait,1 e'n'^effetj1 un' excitant bai2 du " cerveau ," il 284 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. suscite.ait
11°âtiêniarqûé'lafréquencé dês âltérâtïtins vâsculaires dans les cerveaux des 'déments ? chroniques la pachvméningite'intër
amment '- dans 'les états'de faiblesse- congénitale''ou~ acquise du cerveau ' (démence', idiotie, ! imbécillité, paralysie
alion;.ihfautyour,celâ qû;ilérenconlre des, processus anor- maux du cerveau ,en .vertu desquels. lejjierfiaçqustique est trop
, sujets à des accès congestifs et meurent, le plus souvent, par le cerveau . Ainsi que le disait , SOCIÉTÉS SÂVÂNTES. 305
lique. lliasson, 1890, p. 67.IV ? ,' llayle. Traité des maladies du cerveau et; doses membranes, ,1826, ? >'" J, j ·TRit/T
exfériorité' : il, l'cons'cièiièe' qu'elle 'se 'développe' dans son cerveau Idées de grandeur. t - rï ,t<s ? \TttCIC'c.
s. - ' j > ' - En présence d'un spasme1 vasculaire brusque,' le- cerveau anémié quitte par rétraction la paroi crânienne
lilE ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 371 vaisseaux superficiels du cerveau et de la dure-mère sont physique- ment soumis à
nution^ pouf être"soudaine (spasme vasculaire ou lente (atrophie du cerveau ) et que naturellement son maximum de puissance
sure par l'afilux* plus' considérable du liquide ? -te chidien ? Le cerveau est con tenu" dans une cavité inaccessible à l'ai
montrer les conditions-dans lesquelles se'produit/à'ta convexité du cerveau , le vide'qui provoque la diminution' de1 la press
le et le sommeil dépen- dent des,variations de la tension. Quand le cerveau , est à l'état de tension complète, mais non exc
oi7zo veritas, s'applique REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 383 ,aux : cerveaux invalides dont l'alcool peut en quelque sorte êtr
'14 -En voici les conclusions : 1. 777- La folie est une maladie.du cerveau y et du système. nerveux, l'aliéné est un malad
a donc -pgs 1 e-it,thèse générale, de meilleur moyen d'autopsier le cerveau . Si, par exemple, les coupes perpendiculaires et
de Meynert sont plus indiquées, notamment pour, l'élude du tronc du cerveau et pour les pesées des, diverses régions de l'e
hémisphère., 011 réservera à l'examen microsco- pique le tronc, du cerveau depuis les tubercules quadrijumeaux et te pulvi
c M. Siemerling, l'orateur a pensé. que l'autopsie macroscopique du cerveau ne suffit pas aux besoins de la science et que,
de fin de Teichmann ? le vernis de Stieda. ic Les3 fractions* du J cerveau qui-'doivènt être soumises à l'élude Finicéséôp
lles méthodes de durcissement. '- , 4 i - -ni,. ? a4 i » ? -Fi Un cerveau , étant arrivé, ce point de durcissement que l'on
les hallucinations 'vi's'ù elles,, ad'm"et un état de sécheresse,du, cerveau .,et un envahissement e l'econo- mie par la t,t.
parties .constituantes de la moelle, 'comme, entre la moelle et le cerveau . C'est ce dont témoignent les cas de scléroses
de sclérose, multilocu- laire portant à la fois sur la moelle et le cerveau , de tabes à l'autopsie( desquels on, à-trouvé d
aux, occipitaux, l'intelligence occupant les régions antérieures du cerveau ,'l'activité, les régions latérales, les instinc
r l'intelligence. - M. NOECKE. Munka fait ressortir l'importance du cerveau antérieur. Les conceptions motrices de la nuque
ervateurs. M., Cramer n'a pas rencontré les altérations du, troncdu cerveau , signalées par Lissauer, ni chez les malades qu
encéphale (commotion céré- BIBLIOGRAPHIE. 463 brale,congestiou du cerveau , hypérémie des méninges, épanche- mentsisaiigui
bouts de' papiers rëüèillis`au` hasard" les1 idées qu'élaborait son cerveau de papiers e d 1 àbe ? Il enfermait ensuite ces n
1873; Sur la localisation des fonctions dans certaines parties- du cerveau , 1874; Leçonstfaites au Collège Royaldes médeci
aldes médecins de Londres, sur la phy- - siolog te, pathologique du cerveau , 1878 ; - Leçozzs faites au Collège de Dublizz,
vait asymétrie''cranienne, asymétrie et arrêt de développement du cerveau . Si nous avions eu un microscope, l'étude complèt
s, de la manière0 d'être* des fibres tangentielles de'l'écorce du cerveau chez' les par Klinke, 213. " <"". ! Idioti
; : fmlunir ? v·f ,.<t , . Sarcome primitif des ventrieuips du cerveau , par Prantois et- Etienne, " 270 ? ' ( vmJQ3 la
.4' Vassale et Rossi, 147. Trijumeau, des racines du dans 9-le cerveau de l'homme, par Ponia- ttowhky, 202, z18; traje
26 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
examinant la série des coupes au-dessus du foyir principal, vers le cerveau , on constate que les lésions persistent, même jus
s doute des modifications matérielles produites à la longue dans le cerveau par la répétition des attaques, et'que son déli
e méfiance physiologique, pourrait-on dire, est transformée, par le cerveau en démence, en méfiance patho- logique, c'est-à
u bulbe, l'on s'accorde généralement maintenant à le placer dans le cerveau , depuis la découverte des centres corticaux psy
cellules de la moelle obéissent à ce qu'on peut appeler l'ordre du cerveau malgré qu'elles soient dans des conditions path
érébrales à cause de la subor- dination de la moelle par rapport au cerveau . Ce n'est pas là, je le sais, une explication b
dans le spasme hystérique, et dans un cas de lésion organique du cerveau probablement bulbo-protubérantielle (de Wattevill
celle que Russell Reynolds a ingénieusement résumée en comparant le cerveau sain à un morceau de fer aimanté, et le cerveau
e en comparant le cerveau sain à un morceau de fer aimanté, et le cerveau des hystériques à un morceau de fer désaimanté.
E naissance aux fibres DE la commissure antérieure dans l'écorce DU cerveau DE l'homme; par N. POPOFF. (Neurol. Centralbl.,
du 4 mai 1885 de la Société des sciences de Saxe : « L'examen de cerveaux de foetus de 28 à 30 centimètres de long, démontr
SÉCRÉTION SALIVAIRE SOUS L'INFLUENCE DE L'EXCITATION DE l'ÉCORCE du cerveau ; par C. Eckiiard. (Neurol. Centralbl., z CONTRI-
. IISSL.\\Va6Y. (/&itl.) - Excitabilité DE divers districts, du cerveau chez LES animaux NOUVEAU-NÉS ; par W. 13ECnTERE
salivation. Quant à l'excitabilité électrique des diverses zones du cerveau selon les espèces animales, M. Bechterew divise
le veau, le cheval, le cobaye 2. Chez les autres, telles parties du cerveau qui sont excitables chez les adultes sont à la
D'où la LOI : L 'excitabilité électrique de chacun des districts du cerveau ne se montre qu'après que les fibres nerveuses
K. X. De l'allure DES fibres NERVEUSES A myéline DE L'ÉCORjCE DU CERVEAU , DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'AUTRES MALADIES
es intracor- ticales. Ce sont, en effet, les régions antérieures du cerveau où l'on rencontre l'atrophie des fibres intraco
remarques SUR LE trajet DES fibres DE la commissure postérieure du cerveau ; par L. UAI\KSCIU;WITSCH. (Neural. Cent1'albl,
rt; 4° de la bandelette optique; 5° de la commissure postérieure du cerveau . P. K. 94 REVUE d'anatomie et DE physiologie
pathologique. de calotte crânienne (la pie-mère seule recouvrait le cerveau ) ne produisit aucun effet. Et pour exciter par
anes siégeant dans L'LSPACE situé au-dessous DE la DUIOE-MÈllI'; du cerveau (y compris LES LÉSIONS DÉCRITES SOUS LE NOM DE
développement dél'ecteux. Les circonvolutions de J'aire motrice du cerveau furent en con- séquence examinées avec le plus
ois quarts de pouce (en mesurant à partir de la scissure médiane du cerveau ) les deux circonvolutions avaient un volume à peu
ient pas très fréquentes, elle était parfaitement raisonnable. Le cerveau pris dans son ensemble pesait 1,240 grammes et le
syphilis est un facteur troublant dans l'étiologie des maladies du cerveau et de l'entendement; il faut toujours penser à
nomination d'un curateur spécial, etc., etc. P. K. XV. DU POIDS DU CERVEAU CHEZ LES ALIÉNÉS; par BARTELS. (Allu. Zeil.sch
ch f. Psychiat., XL1V, 2-3.) Pesées. Tableaux. Analyse. Le poids du cerveau diminue dans toutes les formes de 1'31léuation
italité. Toutes choses égales d'ailleurs, la diminution du poids du cerveau est de 1,0 plus forte chez la femme que chez l'
ntlasyphilis, est atteint d'abord d'une sorte de lésion en foyer du cerveau qui plus tard dégénère eu encéphalite et myélit
ment des fibres cérébelleuses. Parallèlement, la substance grise du cerveau antérieur a subi la même déchéance (Tùczek et Z
onc des colonies agricoles : M. WULFF (de Langenhagen). Du poids du cerveau chez les dé- ments. Ce travail, qui se résume e
ume en de nombreuses courbes et de nombreux tableaux, porte sur 205 cerveaux d'individus dont l'in- telligence a prématuréme
s précoces, le poids total reste au- dessous de la normale, mais le cerveau atteint son maximum de bonne heure; de bonne he
les aliénés. M. Cramer (d'Eberswalde). De l'atrophie des fibres du cerveau à la suite d'insolation. - Une journalière de c
nsolation. L'au- topsie révéla de l'hypérémie encéphalo-spinale (le cerveau ne pesait que 1,273 grammes), une pleurésie sèc
fibres cérébrales. Le cervelet est atteint de la même façon que le cerveau , c'est la couche granu- leuse de l'écorce qui e
nerveux et mentaux ; c'étaient des foyers de ramollissement dans le cerveau , les ganglions de la base, la pro- tubérance.
é- senter un rapport dans la prochaine séance. 11. Brie montre le cerveau d'une femme morte de paralysie géné- rale syphi
sphorique est intimement lié à la nutrition et au fonctionnement du cerveau . Le cerveau , en fonctionnant,absôrbe de l'acid
t intimement lié à la nutrition et au fonctionnement du cerveau. Le cerveau , en fonctionnant,absôrbe de l'acide phosphoriq
ée. (Virchow Archiv,. Bd. XXXII.) ' Poelchen. - Ramollissement du cerveau après l'intoxication par la vapeur de charbon.
ui avait présenté des symptômes de paralysie ascendante aiguë. Le cerveau et la moelle paraissaient intacts (l'examen his
cil apoplexiam. Portai , \ Bourdon , signalent le ramollissement du cerveau chez des indi- vidus devenus hémiplégiques à la
Pathologische Anatomie. Bd. eXIL' " 2 Simon. - Ramollissement du cerveau après l'empoisonnement par l'oxyde de carbone (
Archiv /ür Psychiatrie, Bd. I. S. 260). 224 CLINIQUE NERVEUSE. du cerveau est presque la règle dans les autopsies : les a
e dans l'intoxication phosphorée, distension des arté- rioles du - cerveau , stase sanguine déterminant une PARALYSIES CAUS
l'autopsie a fait recon- naître l'existence d'un ramollissement du cerveau . Il n'y a pas eu là une simple coïncidence car
dification psychique; qu'il nous suffise de savoir que c'est sur un cerveau 232 RECUEIL DE FAITS. dont la résistance a ét
ogique exploitée en quelque sorte, démesuré- ment amplifiée, par un cerveau prédisposé; « c'est le point de départ de la su
térie, une intoxi- cation ou une émotion morale vive ont préparé le cerveau à recevoir sans résistance toutes les suggestio
e une hystérie; l'autopsie révéla une encéphalite syphiliti- que du cerveau et du cervelet. P. K. XXXVIILCONTHIBUTION LA pa
velet. P. K. XXXVIILCONTHIBUTION LA pathologie ET A la chirurgie DU cerveau ; par L. GOLDSTEIN. (Centralbl. f. Neruenheilk 1
tisme; la trépanation et l'intervention opératoire dans la masse du cerveau déterminèrent la guérison. Une troisième obser-
on intervint de la même façon et l'on obtint une amélioration; le cerveau fit hernie à travers la plaie, il s'y produisit d
te ; le champ d'irritation correspond aux régions psychomotrices du cerveau et le développement des con- vulsions, leur ext
côté chez les paralytiques généraux, et, comparativement, sur des cerveaux normaux. Hyperplasie des cellules-araignées dans
eler à leur aide la mémoire des images jadis emmagasinées dans leur cerveau , les collecter dans leur ordre sériaire et rapi
blitérations vasculaires quelconques. P. K. XXXIV. LES CENTRES DU cerveau qui commandent au mouvement delà vessie ; par W
ion D'UNE cicatrice QUI s'était PRODUITE DANS L'HÉMISPHÈRE DROIT DU CERVEAU CHEZ UNE IDIOTE CHRONIQUE; par J. JENSEN. (Arch
nd est formé par le ventricule latéral et les corps opto-striés. Le cerveau pesait 675 grammes seulement et l'atrophie port
us sont atrophiées et ne correspondent plus aux circonvo lutions du cerveau normal. Quant à la pathogénie, la lésion parait
ités anatomiques et cliniques intéressantes. L'hémisphère gauche du cerveau de ce malade était notablement atrophié; il pes
rouble circulatoire qu'il faut rapporter le processus destructif du cerveau . Ce processus destructif était surveuu à l'âge
jet présente un état anémique du sang, un arrêt de développement du cerveau , des névroses convulsives ou des insomnies chro
t pathologique des fibres nerveuses à myéline intra-cor- ticales du cerveau . Il existe dans le cerveau de l'homme, sur tout
veuses à myéline intra-cor- ticales du cerveau. Il existe dans le cerveau de l'homme, sur toute la hauteur de l'écorce, d
'ici. Les huit cents coupes qu'ils ont exécutées au minimum sur les^ cerveaux dont ils ont pu disposer, leur ont permis d'asseo
'association mathématique des divers éléments graphiques de crânes, cerveaux et autres objets dont on veut prendre le tracé;
ode expérimentale et l'anatomie comparée dans les recherches sur le cerveau « dont l'anatomie est bien éloignée de la perfe
olfactifs, on en fasse une dépendance plus ou moins immédiate du cerveau , je n'y vois pas grand inconvénient; mais alors
ine optique, qui possède les mêmes raisons pour être rattachée au cerveau ; et qu'il soit bien entendu que ces deux élé- m
nfin la bandelette diagonale que j'avais vainement cherchée sur les cerveaux sains... » Comment expliquer cette erreur d'obs
simple, très facile à constater sans préparation. Sur plus de cent cerveaux qui me sont passés sous les yeux, je l'ai toujour
ire connaître en France les belles recherches sur la physiologie du cerveau , vient de publier une série de nou- velles leço
oulstonian Lecturer » sous un de ses aspects q les localisations du cerveau , » j'ai pensé en considérant les nombreux travaux
et de précision qu'avant. On dit généralement que les poissons sans cerveau ne possèdent aucune spontanéité mais semblent i
a seule différence observée par Steiner était que les poissons sans cerveau paraissaient plus impulsifs et moins prudents q
e libre de l'auge pneumatique. Comme le poisson, la grenouille sans cerveau possède une forme de vision; excitée, elle ne s
ro.sc7aes, 1869. s Physiologie des Proschlairn,s, 1885. Fig. 33.- Cerveau du tri chien de mer, d'a- près Steiner. A,
quelque façon. Dans toutes ces circonstances, la gre- nouille sans cerveau agit comme une grenouille intacte; mais beaucou
s ont signalé une différence digne de remarque : la grenouille sans cerveau , à moins d'excitation péri- phérique, reste tou
lté de se nourrir elle-même : car il a observé des grenouilles sans cerveau qu'il a gardées longtemps en vie, sautant spont
in- cipaux points de distinction entre la grenouille avec ou sans cerveau , c'est-à-dire l'absence de spontanéité et de la f
culté de se nourrir, n'ont plus de valeur et que la grenouille sans cerveau se comporte précisément comme le poisson sans c
enouille sans cerveau se comporte précisément comme le poisson sans cerveau . Oiseaux. - Voyons maintenant les effets de l'a
elatifs aux facultés sensorielles et motrices des mammi- fères sans cerveau , il est difficile d'arriver à une conclusion sati
lui comportent leur enseignement pour la physiologie com- parée du cerveau . Goltz lui-même a pris ces expériences pour base
rophie secondaire consécutive fut assez importante pour que tout le cerveau pesât 52 grammes au lieu de 360 grammes, poids
le cerveau pesât 52 grammes au lieu de 360 grammes, poids normal du cerveau chez un animal de même taille. Ce chien a une f
émisphères cérébraux, fasse défaut entièrementchez les animaux sans cerveau ; car nous les voyons, sans aucun changement app
eurs observations d'une valeur durable : cepen- dant sa synthèse du cerveau , considéré comme un amas d'organes séparés, cha
ng lésions, » de ces circonvo- Recle. expérim. sur les fonctions du cerveau et celles de sa portion antérieure en particuli
iossiere, mal définie, étendue, la détermina- tion des fonctions du cerveau par la méthode anatomo-cliuique a fait peu de p
trait dans Neurolog. Centralblatt, 1890, p. 145. Fig. 38. Centre du cerveau du chien, suivant Fritsch et Hitzig. LES LOCALI
la diffusion extrapolaire du courant, qu'on peut, démontrer dans le cerveau comme dans les autres tissus animaux, comme une
conductibilité du courant des centres par les tractus à la base du cerveau . Mais on n'a donné aucune explication satisfais
couronne rayonnante de Reil qui est située plus près de la base du cerveau que les centres qui réagissent uniformément et
te excitation ne produit aucune réaction. Ce fait détruit com- 1 Le cerveau moteur (Archives de physiologie, 1883.) ' Exame
hysiologie, 1883.) ' Examen de]quelques points de la physiologie du cerveau , 1873. . Proceding Royal Souetz, juin 1873. L
LES. 428 plètement l'hypothèse de la conductibilité vers la base du cerveau . On a établi que les cônes de fibres médullaire
, l'anode prédomine. Ces expériences indiqueraient donc que pour le cerveau en l'état normal les lois de l'excitabilité gal
relève de l'a- trophie commune des fibres nerveuses quelconques du cerveau y compris la base. Les altérations des fibres b
K. LIII. DE l'importance ET DE la signification DE la division DU cerveau EN sillons, par J. SEITZ. (Jahrb. f. Psych., VII,
ons, par J. SEITZ. (Jahrb. f. Psych., VII, 3.) Le fonctionnement du cerveau détermine la multiplication des fibres nerveuse
tiques. P. K XLV. DE la NON-TER311NALIT); DES artères corticales DU cerveau ; par M. Bissons. Il résulte de ce travail que
n mot, la pathogénie gé- nérale des ramollissements superficiels du cerveau ne différerait pas de celle des lésions analogu
valeur anthropologique DU développement DES RÉGIONS FRON- tales DU cerveau , avec recherches SUR LE TYPE DES CIRCONVOLU- TI
la branche de la scissure de Sylvius qui représentent le centre du cerveau humain, et la région sylvienne doit être regard
niques de la question. P. KERAVAL. LI. DE l'action DE L'ÉCORCE DU cerveau SUR la SÉCRÉTION DE la salive, par W. BECxTEftE
ant pour affirmer l'incapacité; 3° que les affections organiques du cerveau provoquent un affaiblissement intellectuel pouv
(Thrombose non continue des veines des extré- mités et des sinus du cerveau chez une adulte) par Albert l;ncE ! v- meyer. (
iographique. Charcot (J.-M.). -llérno1'1'hagie et ramollissement du cerveau , métal- loscopie et ncétnllothérapie, tome IX d
iénés, loi sur les -, en Au triche, par Gairtner, 110; - poids du cerveau chez les -, par Bartels, 110; - enlèvement d' -
ce des - dans le système nerveux de l'homme, par Rosenheim, 86. Cerveau , troubles d'équilibration dans deux cas de tum
senbach,250. Colonies agricoles, par Bartels, 112. COMMISSURE (du cerveau ), origine des fibres de la antérieures, par P
ration, troubles d' dans deux cas de tumeur du lobe parié- tal du cerveau , par Bernhein et Si- mon, 69. Ergotisme, cons
IS\ ! E et choc ner- veux, par Sérieux, 231. Idiote, cicatrice du cerveau chez une cLroniq ue,parJenen, 2Gî. Idiotie co
ves à l' -, par Munter, 284. Insolation, atrophie des fibres du cerveau à la suite d ? par Cra- mer, 115. Instinct, p
(Voir nerfs.) Paralysie loÉ11ÉILILE, état des fibres a myéline du cerveau dans la - par Zacher, 87 : syphilitique, par
certaines formes d'épilepsie, par Haig, 255. Vessie, centres du cerveau comman- dant aux mouvements de la -, par 1111
27 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nvoie, par des tubes à travers le mur, des odeurs qui stimulent son cerveau et provoquent de l'excitalion génitale. Autou
es, comme on disait autrefois, c'est-à-dire qu'ils laissent dans le cerveau une cer- taine modification fort inconnue qui l
s qui évidem- ment devaient comprimer les portions sous-jacentes du cerveau . Ainsi une rondelle enlevée avait, à un certain
ous admettrons que l'action chirurgicale portant directement sur le cerveau , pour être légitime, doit avoir au moins son si
tée. Il conclut à une prédisposi- tion par constitution anormale du cerveau des deux frères. Suivent deux observations ne p
les débats. M. MEYNERT. Des expériences faites par la nature sur le cerveau (publié in extenso t). M. WAGNER. Des élément
e pas dans la région protubérantielle, mais qu'il gagne l'écorce du cerveau et les gan- glions sous-corticaux. La preuve en
ent des facultés, et ayant eu dans sa jeunesse une maladie aiguë du cerveau , chez lequel on avait constaté des actes procéd
harme de conceptions associatives en creusant des tranchées dans le cerveau . Or, d'après M. Sommer, il est à peu près^impos
er les faits en question; - 10* Les opé- rations entreprises sur le cerveau des aliénés et en particulier chez des hallucin
icomoteurs, peut s'ajouter l'arrêt de l'idéa- tion du mouvement, le cerveau ne se représentant plus le quantum et le quomod
es affections psychiques tiennent à des alté- rations organiques du cerveau et que le traitement par la sugges- tion ne peu
ne dirons pas de tous les travaux qui ont paru sur la chirurgie du cerveau , mais de quelques-uns d'entre eux. § I. - DES
rs 1891, p. 699.) . Au sujet de la paracentèse des ventricules du cerveau , je me rappelle un cas qui s'est produit quelqu
endant l'écou- r lement du liquide cérébro-spinal les pulsations du cerveau devin- rent sensibles. ' L'opération fut suiv
mplètes de J.-M. CHARCOT. - T. IX. Hémorrhagie et ramollissement du cerveau . blétallotlaérapie et hypnotisme. Electro- thér
due l'hémorrhagie cérébrale. L'in- fluence trophique des lésions du cerveau est nettement prouvée : eschare formée surle cô
médecine mentale de Belgique, le fondateur de l'anatomie moderne du cerveau et la psychiatrie, un des plus grands génies qu'e
e l'écorce cérébrale; et justement les troubles vaso-moteurs du . cerveau et de la moëlle jouent, d'après quelques auteurs,
es circonvolutions sensitives siègent dans la partie postérieufe du cerveau , et puisque un précieux point de repère dans ce
meurt subitement la nuit en se plaçant sur le bassin. - Autopsie. Cerveau . Artère basilaire non athéromateuse, artère syl
e droit pèse 190 grammes, le gauche 220 grammes. En résumé voici un cerveau dont les deux hémisphères sont lésés, mais d'un
Ballet. Thèse d'agrégation, 1886. ' D. Ferrier. -'Les Fonctions du cerveau , p. 436. J 238 ' THÉRAPEUTIQUE. observer une
iques de Bain et Wundt, et vivement intéressé par la physiologie du cerveau et du système nerveux, je pus constater combien
e des localisations phrénologiques des théo- ries métaphysiques. Le cerveau était dans sa totalité et dans cha- cune de ses
is, d'une séance de la Société royale de médecine. On y présenta un cerveau qui excita beaucoup d'intérêt et fit naître une
rêt et fit naître une vive discussion. C'était un très beau type de cerveau aphasique et il confirmait de la façon la plus
cet ensemble que j'ai retiré les notions que nous possédons sur le cerveau , les relations de ses diverses parties, les une
mes maintenant en état de comprendre pourquoi dans certains cas, le cerveau peut être traversé et subir une vaste perte en
érébrales, ouvrent la porte à de très intéressants problèmes sur le cerveau et l'intelligence. Peut-être fournissent-ils, a
, ou dans un but spécial de recherches, l'exploration électrique du cerveau est encore venue apporter la lumière sur la pat
onsidérées comme le résultat indirect d'un spasme des artérioles du cerveau . Des recherches expérimentales ont non seulemen
causes résidant dans les nerfs, les viscères et les enve- loppes du cerveau . 1 Mais, c'est là un point d'une importance cap
avons appris aussi, au cours de nos recherches, que les lésions du cerveau peuvent à la longue devenir la cause de produc-
avers le rideau dure-mérien pour toucher ou exciser des portions du cerveau lui- même, avec peu ou point de risques pour la
vingt-six fois sans pou- voir arriver à découvrir un épanchement du cerveau . Il le trouva à la vingt-septième trépanation;
'épilepsie puisse être aussi causée, soit par une lésion directe du cerveau directe lui-même, ou indirec- tement par irrita
crâne et se sont refusé à inciser la dure-mère ou à s'attaquer au cerveau lui-même. Nos nouvelle ? connaissances en physi
hysiologie cérébrale ont ouvert une voie nouvelle à la chirurgie du cerveau . J'ai vigoureusement conseillé pour ma part une
détails de nombreux cas où il eut à pratiquer des opérations sur le cerveau , guidé qu'il était par les principes des locali
t, au milieu d'atroces souffrances. Parmi elles se range l'abcès du cerveau . Je ferai ici surtout allusion aux abcès du cer
ange l'abcès du cerveau. Je ferai ici surtout allusion aux abcès du cerveau d'origine non traumatique, c'est-à-dire aux abc
, c'est-à-dire aux abcès survenant indépendamment d'une blessure du cerveau ou de ses enveloppes. Les autres abcès ont touj
la folie, que nous arriverons à la connaissance des corrélations du cerveau et de l'esprit en général, et des facteurs indi
une relation entre les manchons myéli- niques des cylindres-axes du cerveau et la formation des circonvo- lutions. Cela est
me plus de circonvolutions à l'époque où commence, à l'intérieur du cerveau , la formation de toutes paris des gaines myélin
s alltéro- latéraux presque totale des racines antérieures. Dans le cerveau , atrophie des noyaux de l'hypoglosse, du pneumo
qui, se détachant de la bandelette optique, s'en va, à travers le cerveau moyen, jusqu'à l'arrière du cerveau où il gagne u
optique, s'en va, à travers le cerveau moyen, jusqu'à l'arrière du cerveau où il gagne un noyau relativement volumineux si
re de Meynert et du faisceau de Forel est démontrée par l'étude des cerveaux des nouveau-nés. Le faisceau de Forel se garnit
r le bulbe et unissent le centre de la déglutition bulbaire avec le cerveau . Nous expliquerons donc le trouble de la déglut
l, presque tou- jours, il y a anarthrie. P. IL XVIII. LE POIDS DU cerveau dépend DU poids DU CORPS ET DES aptitudes menta
1891-92). E. BL1N. XXIII. Combinaison DE l'image photographique DU cerveau ET DE CELLE du crâne; par R. Sommer. (Centmlbla
changer de position et on détache les membranes; on photographie le cerveau in sita avec le même appareil, dans les mêmes c
conditions topographiques. Vous avez donc deux images identiques du cerveau et du contenant. Super- posant ensuite vos posi
des organes sensoriels. En un mot, lésion de la substance grise du cerveau et de la moelle (cellules des cornes an- térieu
la moelle (cellules des cornes an- térieures, noyaux du bulbe et du cerveau moyen); combinaison, par conséquent, de : a, po
à intensité variable. P. K. XVI. Trépanation POUR LES TUMEURS DU cerveau ; par HAYES AGNEW. (University med. Magaz., oct.
qu'ils ont à s'infiltrer et à désorganiser le tissu .environnant le cerveau , rend tous les essais d'extirpation incer- tain
rs encore plus grands. Tableau n° 8. Opérations pour des tumeurs du cerveau . ' 274 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVII. DE
circonscrites, granulations épen- dymaires, hypérémie excessive du cerveau , surtout au niveau de l'écorce. Atrophie consid
on ne trouve pas de lésions circonscrites, pas de foyers limités du cerveau , quoique le malade ait eu deux apo- plexies ter
èdent semble indiquer que le délire des négations est l'apanage des cerveaux invalides; 9° on- observe les idées de négation d
té, de négation, d'énormilé, de grandeur. Cette forme, produit d'un cerveau peu valide, est distinguée par l'auteur de la m
marquer cependant que l'idée de négation semble être l'apa- nage de cerveaux invalides, soit congénitalement, soit à la suite
ale, on peut dire que l'idée de négation est toujours le fruit d'un cerveau invalide, soit congénitalement, soit par le fai
cornes postérieures. De sorte que dans la moelle ainsi que dans le cerveau toutes les cellules nerveuses, grandes et petit
nce d'une maladie cérébro-spinale, qui dans la moelle comme dans le cerveau , dans toute la longueur de l'axe cérébro- spina
alors subordonner les altérations de la moelle épinière à celles du cerveau . Cette façon de com- 314 SOCIÉTÉS SAVANTES. p
Je cherche, depuis de longues années, à établir que les maladies du cerveau et les maladies de la moelle sont toujours sépa
ologique et en faisant la synthèse si néces- saire des fonctions du cerveau , sans en excepter la pensée, on peut ne considé
e l'idiotie) : 1° ossification prématurée des sutures (Virchow); 2° cerveau normal mais réduit (Vogt); 3° altération foetal
poursuivi par M. Lannelongue, c'est de « donner un nouvel essor au cerveau en affaiblissant la résistance du crâne. » Tout
s dont il présente les crânes, aiiibi que les photographies de leur cerveau . Par opposition à cette première série de cas,
lement-presque fermée. La mère voulait spécialement apprendre si le cerveau de l'enfant était sain; et sur l'assurance qu'i
manda si une opération était possible, opération par laquelle le cerveau pourrait se développer; ou, suivant ces propres t
nt ces propres termes, elle disait : « Ne pouvez-vous pas ouvrir le cerveau de l'enfant pour le laisser s'accroître. » Je r
à l'essai et quoique l'instrument du chirurgien puisse découvrir le cerveau , il reste pour l'avenir à déterminer jusqu'où s
nous savons que le développement du crâne augmente avec celui du cerveau et si la force d'accroissement du cerveau est fai
ne augmente avec celui du cerveau et si la force d'accroissement du cerveau est faible, une légère résistance de la part de
ssayer d'enle- ver au moins une partie de la force qui empêchait ce cerveau affai- bli d'atteindre un développement plus gr
DE I : IDIOTIE, : i35- ~ Le but de l'opération est de permettre au cerveau d'avoir si l'on peut dire ses coudées franches
per de quel côté sera faite l'incision, puisque le développement du cerveau est symé- trique. La tête a été moulée et, à
présent ceci a été inutile. Dans les opérations que je fais sur le cerveau , j'emploie de la gaze au lieu d'éponges. Cette
ation et que ce dérange- ment physique était dû à la compression du cerveau . Au mois de juillet on lui administra de la mor
ur, et d'un côté dans une seule opération. Il me semblait que si le cerveau était enfermé par l'ossification préma- turée d
, se soulèveraient et permettraient ainsi l'entier développement du cerveau . Si l'opération offrait un avantage même moment
t être répétée. L'expérience seule peut démontrer si l'extension du cerveau permettra aux os du crâne de se développer d'une
on a ainsi produit une différence dans la pression du crâne sur le cerveau et simplement au point de trépa- nation ; on a
veau et simplement au point de trépa- nation ; on a ainsi permis au cerveau lui-même une plus grande extension. Quant aux r
rtout lorsqu'elle est adhérente comme chez les enfants. De plus, le cerveau ne peut suivre immédiatement l'écartement des o
r l'ablation de deux longs morceaux du crâne, il espérait donner au cerveau des enfants microcéphales plus de place pour se
âniennes ou le contraire, les données à considérer sont celles d'un cerveau petit avec capsule bien close résistant au peu
lose résistant au peu d'impulsion de déve- loppement que le premier cerveau pourrait posséder. Réduire cette résistance par
e la paupière droite était sans doute due à l'effort que faisait le cerveau pour s'échap- per de son enveloppe crânienne ét
it vrai que dans ces cas, il y avait un développement défectueux du cerveau et du crâne, et que, en conséquence, le dévelop
ire disparaître cette résistance afin de permettre la croissance du cerveau . Tel n.est cependant pas le cas. La réunion pré
t tout à fait visible, et dans un des cas notés dans le tableau, le cerveau ne remplissait pas complètement la cavité crânien
ou craniectomie, pra- tiquée sur le crâne, pour le développement du cerveau , doive deve- nir un procédé établi de chirurgie
Wieth) et que cette ouverture permettrait l'entier développement du cerveau . Or il ne se produit aucun écarte- ment ; dès l
nser, car le crâne reste fermé, n'est pas rendu plus extensible; le cerveau ne parait même pas avoir une tendance à faire h
ontanelle artificielle circulaire ne gêneraient plus l'expansion du cerveau . Il n'y aurait plus qu'à vaincre la résistance de
des sutures comme cause d'idiotie. L'auteur aurait pu y joindre les cerveaux contenus dans ces crânes pour nous faire consta
idiots que chez les sujets sains; que l'arrêt de déve- loppement du cerveau n'est, en aucun des cas observés, la consé- que
tes, l'auteur distingue celles qui sont consécutives aux lésions du cerveau et celles qui sont entraînées par des altérations
n, 1892. Simpkin, blarshall, Hamillon. SouRy (J.). Des fonctions du cerveau (doctrines de l'école italienne et de l'école d
gnostic différentiel entre l'hystérie et les maladies organiques du cerveau constitue un des problèmes les plus intéressant
rt des syndromes par lesquels s'accusent les maladies organiques du cerveau : l'hémiplégie, les convul- sions, les contract
ues à ceux de telle ~ ou telle maladie organique de la moelle ou du cerveau . Et cette ressemblance peut être telle que le d
ntre- prendre une tâche semblable pour les maladies organiques du cerveau . Elle serait trop au-dessus de nos forces. Nous a
s plusieurs circonstances. L'HYSTÉRIE ET LES maladies organiques DU cerveau . 389 vingt-sept ans à une phtisie galopante; sa
s disparurent, la santé de l'hystérie ET LES maladies organiques DU cerveau . 391 Mme Gi... s'améliora considérablement; ell
ne touchant pas à la face L'HYSTÉRIE ET LES maladies organiques DU cerveau . 393 et à la langue. Au commencement du mois de
evue de Médecine, p. 609.) l'hystérie ET LES maladies organiques DU cerveau . 395 ilyavaituneaffluenceénorme de consommateur
u'elle parlait sans diffi- l'hystérie ET LES maladies organiques DU cerveau . 397 Î année de maladie : « elle oubliait de te
à titre d'exception très rare. En supposant une lésion organique du cerveau , nous devrions admettre deux foyers, dont l'un
si le foyer cortical eût été unique l'on 1 Fournier. La syphilis du cerveau , Paris, 1889. L'HYSTÉRIE ET LES maladies organi
s du cerveau, Paris, 1889. L'HYSTÉRIE ET LES maladies organiques DU cerveau . 399 aurait pu supposer un tubercule solitaire,
le recoucher, il dort pen- L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 403 dant plus d'une heure et, puis après il re
t adressé à la Salpêtrière, comme suspect d'une lésion organique du cerveau . , Ce qui contribuait à rendre le diagnostic tr
ons par l'examen objectif, L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 407 c'est à l'hystérie qu'il faut attribuer to
digne d'être remarqué. Un L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 411 an après son premier accident sa maladie a
t 6. -Bar... 20 juin 1892. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 413 tions de toutes les couleurs, le violet co
sidérer l'absence de tous les phé- nomènes de lésions organiques du cerveau , et d'un autre côté la présence des stigmates h
ermique à gauche, la perte L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 413 du sens musculaire du même côté, l'anesthé
t étrangère, 19 mars 1891. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 417 Observation IV. Hystérie à forme d'épileps
netteté dési- rables. ' L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 419 Sensibilité spécifique. L'odorat est très
. Guinon. Paris, 1892. . - L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 421 nous paraît y avoir de la différence entre
le chiasma, les bandelettes ou les centres , visuels de la base du cerveau ; mais nous verrons tout à l'heure combien d'arg
'oeil des deux côtés. " . 426 . CLINIQUE NERVEUSE. moteur dans le cerveau , par excitation du sympatique (du Bois-Reymond)
evaient conduire bientôt à l'idée de troubles circulatoires dans le cerveau . Ce sont les troubles du langage et de l'intell
es centres visuels bruts, pla- cés dans les ganglions de la base du cerveau . Quant à la couche optique, quelques auteurs (N
er que l'affection intéresse tout de même un seul lobe occipital du cerveau , mais qu'il y a anomalie de distribution des fi
t se compose la bandelette, se séparent en un endroit quelconque du cerveau 1. Dans le cas de Charcot-Féré (hémiopie nasale
e nature hystérique ou intimement liée aux troubles superficiels du cerveau qui provoquent l'épilepsie et marquent le début
aralytique, ces accès sont dus à un trouble fonctionnel passager du cerveau . L'analogie entre la migraine et les accès d'am
qui diminuent d'une façon si ra- pide la circulation des parties du cerveau en rapport avec l'organe visuel (territoire de
. Angelucci. Recherches sur la fonction visuelle de la rétine et du cerveau . (Rec. d'opht., novembre 1889 et janvier 1890.)
emblée l'idée de ramol- lissement cérébral droit chez un gaucher du cerveau (hémi- plégie gauche et aphasie.) Il y avait, d
ont les suivantes : 1° L'histoire naturelle du crime montre que les cerveaux des criminels chroniques sont déviés du type no
des hémisphères des seg- ments de l'écorce des diverses régions du cerveau en rapport avec les localisations sensorielles,
sformer en démence simple tranquille, en soustrayant aux rouages du cerveau , l'élément provocateur (halluci- nations de la
e postérieure des première et deuxième temporales, soit 2 gr. 50 de cerveau . Troisième opération le 29 mai. On résèque une ba
arquer qu'il existe toute une variété de formes de cellules dans le cerveau et dans la moelle. Il en est une carac- térisée
11orrhagique, une leptoméningite chronique, une atrophie modérée du cerveau , une dilatation des ventricules latéraux, avec
sverse, tout en empiétant sur le segment interne; plus loin vers le cerveau le foyer dégénératif gagnait l'axe du nerf. Cet
fonctions des lobes préf ? ,o7îtaux. Si sans enlever les parties du cerveau , on se contente de sectionner complètement les co
titude de l'animal. Le D'' II. Doneldson présente la description du cerveau d'une personne célèbre dans l'histoire de la ps
par Séglas, 321. Bibliographie : Mémorrhagie, ramol- lissement du cerveau , hypno- tisme, par Charcot, 136; - Epi- tome
riences sur les - après ligature des uretères, par Spanbock, 259. Cerveau , rapport du poids du à celui du corps, par Snel
agnostic différentiel entre l'- et les affections orga- niques du cerveau , par Ghilar- ducci, 387. Hystérique, amnésie-
28 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alité objective du génie résulte précisé- ment du fonctionnement du cerveau à son plus haut degré de perfection, on ruine d
scence invoquée par les psychiatres contemporains, qui rendrait les cerveaux de la fin du xixe siècle, incapables de fournir
alors que la manie simple aiguë est consi- dérée comme attaquant le cerveau normal. Or, dans la récente classification de K
s'en tenir à l'ancienne idée que la manie simple est une maladie du cerveau normal accidentellement affaibli ou considérer av
tale. Les maladies mentales ne sont pas seulement des maladies du cerveau mais bien plutôt des maladies de l'individualité
ssaire, inévitable d'une conformation spéciale de l'organisme et du cerveau ; en effet, loin de les amender, la prison fait
11. Miguel Bombarda, « la constatation d'un trouble fonctionnel du cerveau , anesthésie, paralysie, convulsions, qui, de pa
t à l'esprit de réagir, au moyen des centres et des nerfs soumis au cerveau sur les fonctions et les tissus de l'organisme.
'après les travaux de lI. le D1' Du- rand (de Gros), on sait que le cerveau , centre des centres, possède pour sa part, et c
un séparément. En conséquence, les impressions enregistrées dans le cerveau représentent des sen- sations venues du monde e
e nerveux. 11 en résulte qu'il suffit d'intro- duire l'idée dans le cerveau pour reproduire dans le domaine des centres inf
té de la production de phénomènes d'excita- tion ou de sédation, le cerveau diminuant ou augmentant, suivant les cas, son i
voir de l'idée curative que notre suggestion a in- troduite dans le cerveau ; du moment qu'une idée est réalisée, elle s'aff
ues soit dues à la pachyménm- gite hémorragique ; 3° les tumeurs du cerveau lorsqu'elles siègent au voisinage de l'écorce o
lsions; 4° les crises d'épilepsie jacksonienne; 5° enfin l'abcès du cerveau principalement sous la forme la plus commune, c
s, et avait une consis- tance plus molle que l'hémisphère droit. Le cerveau ayant été durci, une coupe horizontale montra u
re occasion, lorsque j'aurai fait les recherches nécessaires sur le cerveau de mon malade, dont le durcissement n'est pas e
de Pacchioni. La dure-mère est adhérente tout le long de la faux du cerveau , sur les bords des deux hémisphères, depuis les
ilement sur les hémisphères cérébraux et sur le cervelet. OEdème du cerveau ; les circonvolutions sont baignées parle liqui
scissure de Holando ; une supérieure, apparaissant à la surface du cerveau comme une légère dépression vers le bord supérieu
si- dérons cette anomalie comme un stigmate de dégénérescence. Le cerveau de notre malade en présente du reste plusieurs au
lobe pariétal et du lobe occipital. On sait que ce qui distingue le cerveau de l'homme de celui des singes anthropomorphes
i une véritable fente simienne, comme on l'observe parfois dans les cerveaux d'idiots. Mais ici les deux sillons sont séparé
es quatre circonvolutions que Benedikt trouvait caractéristique des cerveaux de criminels, ce qui est une erreur. Quoi qu'il
erveaux de criminels, ce qui est une erreur. Quoi qu'il en soit, de cerveau de notre malade offre, en résumé, dans sa confi
faire plus tard, lorsque nous aurons examiné au micros- cope notre cerveau durci. Nous nous bornerons donc à rele- ver auj
fréquence de l'asymétrie et des anomalies de la région mo- trice du cerveau chez les personnes atteintes de chorée héré- di
ci toute la moelle, le bulbe, la protubérance, le cervelet. Mais le cerveau n'a été que faible- ment touché, probablement à
e lombaire est excellente pour la moelle épinière. Pour durcir le cerveau , il faut, modifiant le procédé de P. Marie» int
ne (décubitus abdominal), ne donne qu'un durcissement mé- diocre du cerveau et de la moelle, même si l'on a la précaution de
on constate toujours quelque dégénérescence des fibres du tronc du cerveau ; cette dégénérescence n'est jamais totalement
de délimiter exactement les zones corticales. La myélinisation du cerveau des animaux dépourvus de circon- volutions s'ef
roire qu'il représente une nouvelle voie, longue, chargée d'unir le cerveau à la moelle, quel- que chose comme le faisceau
simplement pallia- tif. H. de l\IUSGRA VE-CLA Y. XXVII. Abcès du cerveau chez un enfant de trois mois, compliqué d'érysi
rvation est suivie de remarques sur la symptomatologie des abcès du cerveau . R. DE Musgrave-Clay. XXVIII. L'influence du
Secrétaires annuels : MM. SEMELAIGNE et SOLFIER. De l'atrophie du cerveau dans la paralysie générale. M. Brunet donne lec
unet donne lecture d'un mémoire d'où il résulte que l'atro- phie du cerveau serait constatée dans la paralysie générale lorsq
trop intense. Elle lui est prouvée : 1° Par l'aspect extérieur du cerveau : amincissement des circon- volutions, dépressi
'ailleurs impossible que les statistiques, concernant l'atrophie du cerveau , puissent concorder complètement entre elles, à
G7 grammes dans 93 cas. , Elle permet de constater l'atrophie du cerveau là où l'on aurait pu ne pas en soupçonner l'exi
son poids physiologique que chez les autres.-Dans les 30 cas où le cerveau était plus volumineux qu'à l'état normal (l'aut
le Dictioczczar of psychological medicin la moyenne du poids de 209 cerveaux de déments séniles était supérieure à la moyenn
09 cerveaux de déments séniles était supérieure à la moyenne de 243 cerveaux de paralytiques généraux. On y trouve en effet
« La première localisation scientifique d'une fonction psychique du cerveau fut. celle du langage articulé dans le pied de la
s vaso-moteurs. Le spasme des vaisseaux de telle ou telle région du cerveau entraîne l'abolition partielle ou complète de l
ifférents territoires de projection et d'association de l'écorce du cerveau antérieur. M. J. Soury consacre un chapitre à l
nisation. Il est parti- san de la théorie de Flechsig qui divise le cerveau en centres de projection et en centres d'associ
té de la poitrine que lorsque je lui ai rendu la sensibilité de son cerveau . ' 2 mai. Resensibilisation de l'oreille droite
os rongé, boules qui éclatent, os qui craqnent. 6-9. Sentez votre cerveau : J'ai la tête lourde + J'ai un cercle autour d
sentir son bras droit. -)- J'ai la tête meurtrie + c'est lourd, mon cerveau est plein ? Je crois avoir vingt-un ans + Je resp
el âge ? Je ne sais pas z On me lance des coups de pincette dans le cerveau -f- J'ai un gros poids sur la tête + Ça fait ma
isse la malade endormie jusqu'à 11 heures 10 du matin. Sentez votre cerveau + Je ne sais si j'ai vingt ou vingt-un ans -I-
a ! poitrine. Je la réveille. 10, 6 heures 30 matin. Sentez votre cerveau : J'ai vingt à vingt-un ans, ma tête est lourde
e endormie jusqu'à il heures du matin. - A 11 heures : Sentez votre cerveau : Il me semble que c'est mercredi + Je cher- ch
e -f- Ma tête est plus légère + J'ai toujours comme un voile sur le cerveau + Le voile disparaît. Elle se réveille spontané
ver largement. Si, au contraire, les enveloppes sont saines,. si le cerveau parait sain, mieux vaut se replier en bon ordre.
e tout processus pathologique intéressant les centres psychiques du cerveau ; par conséquent la ligne de démarcation entre l
ain et la folie se trouve au point précis où l'état pathologique du cerveau diverge de l'état sain du cerveau, le mot cerve
précis où l'état pathologique du cerveau diverge de l'état sain du cerveau , le mot cerveau étant pris dans le sens de centre
t pathologique du cerveau diverge de l'état sain du cerveau, le mot cerveau étant pris dans le sens de centres psy- chiques
pour toutes que la folie est le symptôme d'une véritable lésion du cerveau , une maladie comme toutes les autres, accessibl
ne semaine avec les symptômes suivants, que nous résumons : pour le cerveau : cé- phalalgie occipitale sourde, insomnie, se
te, tintements d'oreille. Lorsqu'il quitte son lit on note, pour le cerveau les mêmes symptômes; pour l'intelligence, le ma
s d'un grand nombre de processus morbides différents affectant le cerveau , et aboutissant finalement à l'atrophie et à la d
te du corps dans l'accès épilep- tique. L'altération épileptique du cerveau équivaut au point de vue physiologique à la per
ement dans l'écorce cérébrale, mais encore dans diverses régions du cerveau . Quant à leur grandeur elle est très variée mêm
les expériences de Monti de provocation des foyers emboliques du cerveau . En pratiquant nos recherches sur diverses into
modification . rapide et aiguë de la circulation vasculaire dans le cerveau , provoquée par la ligature des carotides, mène
quant à l'h3'perbémie causée par l'influence des narcotiques sur le cerveau , elle donne un tout autre tableau, c'est-à-dire,
llEKllTEREFF (\V.).- Voies conductrices de la moelle épinière et du cerveau , 1898, Pétersbourg, 2° édition. BEKllTERErF (\V
ie, 1897, t. XXVII, p. 26.) PEETERS. Préparations microscopiques de cerveaux d'aliénés. (Bulletin de l'académie royale de mé
, son envergure de 3 centimètres et son poids est de 20 grammes. Le cerveau n'a pas été examiné. Nous relevons, parmi les
emblait avoir quelque chose de lourd sur l'estomac qui remontait au cerveau ; à partir de ce moment il avait la sensation d'
blanche et de la subs- tance grise dans les différentes régions du cerveau chez les alié- nés ; par le Dr AGOSTINI. (Riv.
ans le 310 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. même cerveau on peut trouver certaines zones corticales ayant
t la pression du sang : il en résulte un hypé- rémie généralisée du cerveau . Puis le coeur s'arrête, la pression du sang di
anémie artérielle s'associe d'ordinaire à une hypérémie veineuse du cerveau . - Troisième stade. Malgré l'abaissement de la
arait par suite de paralysie ou de parésie des vasoconstricteurs du cerveau . Quatrième stade. Le coeur reprend son activité
deux phénomènes. La mort s'accompagne d'une hypé- rémie marquée du cerveau . La respiration s'arrête avant l'arrêt du coeur
ale grise du cervelet, les prolongements cellulaires de l'écorce du cerveau de l'homme, les cornes antérieures et la substa
substance nerveuse, un ordonnancement particulier des molécules du cerveau , obtenu soit dans la cellule, soit dans la grille
l'encéphale mûr. Les territoires terminaux (de Flechsig) surtout le cerveau frontal, contiennent des cellules pressées les
upe nucléaire antérieur de la couche optique. Voici maintenant un cerveau de chat anormalement précoce qui montre à quatr
r le Dr WoRCESTER. - Kahlbaum définit la catatonie : une maladie du cerveau à évo- lution cyclique dans laquelle les symptô
pport avec des anomalies du développement du canal médullaire et du cerveau rhomboïdal dans une période qui corres- pond en
erminantes de natures diverses (trauma, infection) ayant agi sur le cerveau pen- dant le premier âge. La première partie re
. Bernheim, est « l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et réalisée par lui ». M. llartenberâ adopte ce
ement celle de toutes les autres. L'introduction d'une idée dans le cerveau , qui constitue l'un des éléments de la suggesti
ges exigent aussi, pour êtres actives, une suffi- sante aptitude du cerveau à la représentation mentale. M. Har- tenberg in
s énergiquement qu'elle est fortifiée davantage par une émotion; un cerveau n'est apte à réaliser des suggestions qu'autant
1° Il y a suggestion chaque fois qu'une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lui. 2° La suggestibilité est l
mation du lobe droit. Une hémorragie du ventricule latéral droit du cerveau a déterminé de ce côté une pression qui a enfon
services d'aliénés, il n'a rien vu de pareil, et se demande si des cerveaux de paralytiques généraux peuvent permettre de déc
sprit de généra- lisation. (Anévrismes miliaires de la rétine et du cerveau dans un cas d'alcoolisme chronique. Compte rend
l en puisse sortir des notions positives sur le fonctionne- ment du cerveau troublé. Aussi a-t-elle toujours tenu il compte
ou tel sens, phénomène dû à l'hyperesthésie des couches grises du cerveau . Ce sont ces phénomènes que nous avons recherch
érébrale, dans les centres des sens, n'est cependant pas limitée au cerveau . Les nerfs périphé- riques, les terminaisons ne
bien étudiée par Charcot et ses élèves. 390 CLINIQUE MENTALE. Le cerveau , qui réagit sous le moindre choc, est alcoolisé,
agissent très doulou- reusement, sont pathologiquement atteints. Au cerveau ce sont des hallucinations; à la périphérie, ce
d'animaux, « la reptation d'une couleuvre » (Magnan), c'est que le cerveau hyperesthésie intervient. Tous ces phénomènes n
eut se rendre compte de l'hyper- esthésie des couches corticales du cerveau . Dans deux ser- vices seulement nous pouvions r
la crise de dipsomanie à l'époque des règles nous prouve combien ce cerveau était peu résistant. La dipsomanie apparaît sur
Les hallucinations ne semblent pas très fréquentes chez elle, le cerveau est peu hyperesthésié dans sa totalité. Mais, si
s chargée, comme ceux dont nous rapportons plus loin l'histoire. Le cerveau a résisté long- temps à l'intoxication avant d'
délire. » Pour Calmeil il y a en somme réaction de l'estomac sur le cerveau . Pour Bail - ce sont les troubles de la circula
tout récemment (1891). La cellule de la zone motrice de l'écorce du cerveau est l'organe d'une conception isolée du mouveme
nérées. Voici maintenant une observation de lésion traumatique du cerveau comparable à une expérimentation. Il s'agit d'une
. IEaavaL. LX111. Une voie de communication de la partie caudale du cerveau du pigeon avec le corps strié (tractus isthmost
en cette région, lésé diverses hauteurs de la limite inférieure du cerveau moyen jusque dans le territoire de la cin- quiè
s de suivre un groupe de fibres constant qui va de l'isthme dans le cerveau antérieur. On le voit, au niveau du noyau du pa
OGIQUES. côté opposé. Ce trousseau, pendant son trajet à travers le cerveau moyen, se dirige sur la partie anléromédiane du
s le puta- men ; elles forment jusque dans les régions frontales du cerveau antérieur un faisceau longitudinal visible dans
ps strié, et s'entre- croise en partie dans la région inférieure du cerveau moyen. Mais il est impossible de décider si ces
dont les éléments sont probablement reçus dans le lobe pariétal du cerveau , et ensuite reprises et analysées par un centre
Le centre de perception peut être atteint par suite d'une lésion du cerveau , dans le cas d'apoplexie par exemple, et dans c
tique général. - 1\1. Ballet 442 ) SOCIÉTÉS SAVANTES. présente le cerveau d'un malade qui, au cours d'une paralysie génér
tait restée assez légère, eut de l'aphasie motrice pure durable. Le cerveau présente au niveau du pied de la troisième fron
chez les paralytiques généraux, ces dépressions en cupules dans le cerveau antérieur sont fréquentes sans qu'on puisse y r
cas de cécité corticale. M. Touche communique des des- sins de deux cerveaux portant des lésions du cunéus, des lobules fusi
ait-on pas que l'attaque d'épilepsie est due à une anémie subite du cerveau , suivie de congestion en retour et de coma ; ne
n qui comprime les deux carotides, qui produit une anémie subite du cerveau et qui amène des convulsions (face grimaçante,
ôme ganglio-cellulaire. Pareilles lésions étendues à la totalité du cerveau et même an cervelet, très variées dans leur mod
te tumeur. Elles ne res- semblent aucunement au gliome ordinaire du cerveau , néo- plasme le plus souvent unique. F. Boissie
ur des circon- volutions centrales, sur une étendue de 3 1/2 cm. Le cerveau lui- mëme ne présente rien d'anormal. A la suit
table, tout déchiquetés, tout ouverts, la boîte cranienne sciée, le cerveau absent, Si dans ses nombreuses fusillades Gelez
eux jours, mais le troisième, le quatrième et le cinquième jours le cerveau reste hyperesthésie, puisque, après la cessatio
nt les troubles hyperesthésiques qui attirent notre attention. Le cerveau , sous l'excitant alcoolique, est arrivé à une tel
, comme nous l'avons vu au cours des obser- vations précédentes, ce cerveau est hyperesthésié partielle- ment ; ici, c'est
sont les oreilles. Chez notre malade, il y a un ensemble, tout le cerveau ou, pour mieux dire, tous les centres sensoriels
nous tirer de cette observation ? Faut-il voir chez notre malade un cerveau plus dégénéré, donc plus apte à l'hyperesthésie
excitation peut, à elle seule, provoquer des hallucinations dans un cerveau vierge de toute hyperesthésie. n'ayant pas été
re, le legs des parents alcooliques, ou aliénés. Ce sont donc des cerveaux préparés, des milieux de culture pour la pullulat
onde, chez les autres elle est si intense que la tempête passée, le cerveau gronde encore, s'agite sourdement comme les vag
leptiques, non point par excès d'absinthe, mais par la cause d'un cerveau d'une hyperesthésie spéciale ? Nous aurions vou
Liquide céphalo-rachidien recueilli : quatre cuillerées à soupe. Cerveau . - L'inégalité de poids entre les deux hémisphère
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LXXI. De l'excitabilité de l'écorce du cerveau des animaux nou- veau-nés ; par W. de BECHTEREV
ncéphalocèles, d'hémorragies, de refroi- dissement de la surface du cerveau , excepté dans quatre cas où l'expérience fut co
ot, il existe un système de fibres croisées qui vont de l'écorce du cerveau au noyau du cordon postérieur, et passent par l
e Meynert, Ellenberger, Monakow, Flechsig et Hoesel, aux régions du cerveau du chat qui correspondent à la pariétale ascend
xe masculin ; par A. PAssow. (Neurolog. Centtualbl., XVII, 1898.) Cerveau d'un menuisier de trente-trois ans, sain d'esprit
tre dans l'alcoolisme et autres états toxiques analogues, appelée « cerveau humide », « wet brain », simulant de très près
ance avec quelques altérations minimes de la substance corticale du cerveau . Les auteurs estiment que ces der- nières altér
appréciables du fond de l'oeil et sans lésion du nerf optique ou du cerveau , avec retour progressif et finalement complet d
euvre une propriété normale, à savoir la suggestibilité, apprend au cerveau à faire de l'inhibition et de la dynamogénie.
he avec conser- vation de la vision centrale. M. FERRA ND montre le cerveau . Celui-ci présente un foyer de ramollissement d
uant la largeur des circonvolutions en centimètres, mesulées sur le cerveau durci. r 111., sillon fronto-marginal ; - fi.,
ication que celles de la Planche V. TABLE DES MATIÈRES Abcès du cerveau chez un enfant, avec érvsipèle, opération, etc.
les rapports de la - infantile avec l'idiotie, par Tanzi, 236. Cerveau . Voies de communication dans la partie caudale
u point de vue médico-légal, par Kovalewsky, 59. De l'atrophie du cerveau dans la -, par Bru- net, 167. Pupilles dans un
29 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
phie DU cervelet. grand axe fronto-occipital est de 121 mm. (Sur un cerveau d'enfant de 16 ans normal, cette longueur est d
ormale : elle est de 62 mm. sur notre encéphale et de 61 mm. sur le cerveau nor- mal que nous avons pris comme point de com
: il mesure dans le plus grand axe 59 millimètres, alors que sur le cerveau de com- paraison il mesure 62 millimètres. Hé
ergent puis dégradé. Oncle maternel mort à 68 ans, de congestion au cerveau , peintre en bâtiments, a eu des coliques de plo
large, beaucoup plus qu'aujourd'hui, on voyait les battements du cerveau . - La langue demeurait énorme et sortait sou- v
fosses de la base sont symétriques, le trou occipital est normal. Cerveau , - Hémisphère droit. Pie-mère assez adhérente d
e cette nouvelle statistique. VI. - . Idiotie microcéphalique : cerveau pseudo-kystique ; Par BOURNEVILLE et OBERTHUR.
peu d'hémoglobine. Il réduit légère- ment la liqueur de Fehling. Cerveau PSEUDO-KYSTIQUE. 91 let. Ces poches kystiques
e. 1 Les nerfs optiques sont blancs et assez gros, par rapport au cerveau : leur coupe a environ un millimètre et demi de d
st plus prononcée à droite qu'à gauche. (La description se fait, le cerveau placé dans une solution de formol ; cette solut
et sont sillonnées çà et là par des vaisseaux. Lorsqu'on examine le cerveau en dehors de la solution, toutes les poches s'a
tent sous l'aspect de circonvolutions réduites à de petites crêtes. Cerveau PSEUDO-IiISTIQUE. 93 Quand on écarte les deux h
. Examen histologique ; par le Dr Oüca1'aais. ' Les lésions de ce cerveau qui présente, à première vue, l'aspect d'un ram
ion de la plupart des cir- convolutions, transformation kystique du cerveau , sclérose des fragments restant des circonvolut
filamenteuses au niveau du lobe temporal. Entre la dure-mère et le cerveau , il y a comme un vide assez grand. Cet aspect e
paracentral et le pli pariétal supérieur. Au-dessous de la faux du cerveau , les faces internes des lobes frontaux sont en
disposition normale et apparaissent plus nettement que sur un autre cerveau . On retrouve normaux le sillon de Rolando, S R,
intense, mais elle atteint presque identiquement tous les points du cerveau . Examen histologique. Les fibres à myéline sont
A première vue, les circonvolutions ont une épaisseur nor- male, le cerveau n'est pas atrophié. La section montre que les v
es frontaux et pariétaux, n'épargnant complètement aucun point du cerveau . Les circonvolutions sont amincies, de consis-
lésions sunt de même nature IDIOTIES. 117 % en tous les points du cerveau : ce n'est qu'une question de degré. Le corps c
ons et s'étendant de la paroi ventriculaire à la sur- face libre du cerveau - (méthode de Weigert-Pal et carmin), on est d'
mateuse. 1"1 ? 11. - Moll, : 1 à ans et demi, Autopsie : crâne ET cerveau . 161 t899. /lonf-Septembre. Mol... a eu une fiè
in nombre de photographies représentant des crânes et surtout des cerveaux de microcéphales. Pour plus de com- modité j'ai
ombarda qui vient de pa- raître (4). Wogt ne donne pas le poids des cerveaux (11 Communication faite au Congres des aliénist
lie 170 Microcéphalie. phies de CHER... (N° xxiv) et celle de son cerveau (N° xxv) ainsi que celle du cerveau d'Edern. (N
ER... (N° xxiv) et celle de son cerveau (N° xxv) ainsi que celle du cerveau d'Edern. (N" XX-VI), - Fig. 15. Mari... Jan .
us avons montré les photogra- phies du malade Cluto ? celles de son cerveau et le squelette de sa tête. OBS. III. IDIOTIE
occipital. Arrêt de développement et malformations considérables du cerveau . Cluto.. (Léon), né le 17 mai 1876, est entré à
il suivant. Poids : 21 kil. ; Taille : lm 30. Encéphale : 490 gr. Cerveau : 360 gr. Pour permettre de se rendre compte du
1 ans. Poids : 21 k. 400. Taille 1 m. 18. 1 Encéphale : 805 gr.. Cerveau : 705 gr. t ? i7. 17. t Mario... Jan.... Arn...
1889. Poids : 10 k. 500. Taille : 0ln 765. - Encéphale : 550 gr, Cerveau : 440 yr. OI3S. VI. - Idiotie; microcéphalie.
mars 1883, est décédé le 16 février 1893. Poids : 10 k. 500 gr. - Cerveau : 1.365 gr. z Le cas de cet enfant est particul
42), avait un poids (1365 gr.) qui dépasse de beaucoup le poids du cerveau des Microcéphales ordinaires. Ce fait montre qu
de Cluto... offraient uno grande ressemblance. La comparaison des cerveaux montre d'une ma- nière évidente, que la microcé
au clinique et de procéder de même pour les microcéphales dont le cerveau a été arrêté dans son développement à la suite
t pour tous, la conviction que les autres enfants idiots, dont le cerveau est généralement moins atteint sont, eux aussi,
es les portraits de nos malades, les crânes, les photographies clos cerveaux et les cerveaux eux- mêmes. De plus, au Congrès
de nos malades, les crânes, les photographies clos cerveaux et les cerveaux eux- mêmes. De plus, au Congrès de 1889, nous a
r (généralement le type micro- céphale) : Rapports du crâne et du cerveau chez les individus normaux (1). Il ne peut en ê
peut en être autrement si on réfléchit aux rapports du crâne et du cerveau . Chez un individu normal, l'aspect du crâne et
(I) La plupart de ces considérations sur les rapports du crâne et du cerveau sont puisées dans les différents travaux de M.
es et 1,15 pour les garçons. Quand on a évalué ainsi le volume du cerveau , il faut mettre en regard la masse active du co
e titre que l'état intellectuel. Quant à faire la part de l'état du cerveau vis à vis de ses deux fonctions (motrices et in
Les états d'idiotie s'ac- compagnent d'altérations pathologiques du cerveau et de ses enveloppes qui augmentent naturelleme
turellement le nombre des variations individuelles. Par exemple, un cerveau peut être atrophié mais par suite de l'augmenta
e est LE CRANE DANS LES IDIOTIES. 1P5 en relation non pas avec le cerveau , mais avec la pression intr a- crânienne. On do
qui détruisent cette impression première, que ce front recouvre un cerveau volumineux ? 2 Des mesures rigoureuses et surto
'sen1.inimun, dia- mètre rmtél'0-posté1'iem' donnant la longueur du cerveau : diamètre antél'o-postél'ieu1' métopique qui d
aut chez les enfants, mais qui est placé très bas chez les idiots à cerveau peu volumineux, et l'est encore plus chez les m
à vu) donne des indications assez précises sur le volume relatif du cerveau . 196 LE CRANE DANS LES IDIOTIES. Interprétati
nes formes d'idiotie, on peut parfois atlirmcr sans peine l'état du cerveau (microcéphalie et hydrocéphalie : ; mais si l'i
s le volume cérébral, on ne peut porter un jugement sur l'état du cerveau (1). Ceci ne veut pas dire qu'il n'existe aucun
ntale antérieure à la naissance pour It trio,onocépliilici. Mais le cerveau ne pouvant se développer dans la direction de c
ânes caractéristiques, mais la fer- meture n'étant pas complète, le cerveau n'a pas rencontré de ce fait un obstacle insurm
de ce fait un obstacle insurmontable. D'ailleurs, fréquemment le cerveau des idiots sclérosé et atropliié n'a pas pris u
l est ce crâne absolument normal extérieurement et qui contenait un cerveau dont les lohes frontaux n'exis- taient pas. I
oment de l'autopsie, on constata : 1° que le vide existant entre le cerveau et la face interne de la calotte était rempli d
te particularité est en (1) Nous avons remarqué d'autre part que le cerveau agit par pression LE CRAN ? dans LES idioties.
: L'oblitération des salures semble plus lente chez les idiots : le cerveau n'est pas la cause de ce fait, cela est dû il l
premier cas on peut invoquer le volume relati- vement supérieur du cerveau . On a affirmé que cet état coïncidait avec une
te. On peut encore invoquer une pression supérieure indépendante du cerveau : l'hy- drocéphalie par exemple qu'elle soit gé
lésions de l'encéphale et de ses enveloppes. Les relations entre le cerveau , les méninges et les os sont étroites et no peu
du crâne quelle qu'elle soit ne peut-être la cause de la forme du cerveau et de son arrêt de développement. La démonstrat
alie. Les déformations crâniennes chez un nor- mal indiquent que le cerveau n'ayant pu se développer dans une direction don
n autre sens. Chez l'idiot les déformations sont incomplètes car le cerveau arrêté dans son dévelop- pement par une lésion
ontribution à l'étude de la sclérose tubéreuse ou hyperlrophique du cerveau . Thèse de Paris. PENASSE. Contribution à l'étud
30 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Hôpital SAINT-ÉLOI DE VIONTPELLIER. UN CAS DE SARCOME VOLUMINEUX DU CERVEAU AYANT DÉBUTÉ DANS LA SUBSTANCE BLANCHE DE LA
à l'au- topsie duquel nous avons trouvé un volumineux sarcome du cerveau développé primitivement dans la substance blanche
bral, a rapidement augmenté de volume, a occupé toute la portion du cerveau gauche, située au-devant du sillon de Rolando,
rendre, étant donné le siège de la lésion dans la zone psychique du cerveau . Mais ce n'est que tardive- ment que les troubl
'alcoolisme. 1 Gowers. - Drain, t. I, p. 48. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU . 3 L'affection qui amène ce malade dans nos sal
par M. le professeur Truc, qui diagnostiqua une tumeur probable du cerveau et ordonna un traitement approprié. Depuis lors
rapprochant assez du tremblement alcoolique. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU . 5 La sensibilité parait normale des deux côtés
ner en même. temps de petits fragments de substance cérébrale. Le cerveau enlevé et dépouillé de ses enveloppes autant que
erminent manquent de profondeur de telle façon que cette portion du cerveau se rap- proche jusqu'à un certain point d'un ce
tte portion du cerveau se rap- proche jusqu'à un certain point d'un cerveau d'animal. La parié- tale ascendante*participe u
élevure présentant les dimensions d'une pièce UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU . 7 de un franc environ, et offrant une colorati
âtre que nous avons signa- lée à l'inspection de la face convexe du cerveau gauche, elle refoule le noyau secondaire en hau
imètres environ de la corne frontale gauche. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU . V La septième coupe portant dans la région 'pé
e siégeait que dans la substance blanche de la partie antérieure du cerveau gauche; dans une grande par- tie de son étendue
es diverses coupes de Pitres, reconstitué ainsi en quelque sorte le cerveau , et nous avons fait alors une coupe de Flesclii
le a atteint son maximum de dévelop- pement. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU . 11 est celle d'un sarcome fasciculé dont les f
les modifications de voisinage qu'elle a déterminées soit dans le cerveau lui-même, soit dans la cavité cranienne. Quant à
pur, sans aucun mélange de tissu ner- veux. ' Or, les sarcomes du cerveau sont relativement rares, surtout 12 PATHOLOGIE
ongtemps, que des troubles symptoma- tiques relativement légers; le cerveau a donc fait preuve d'une tolérance relative, to
1 Allen Starr. Aled. News., 12 janvier 1889. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU . 13 volutions de ce même lobe frontal, de telle
e en certains cas d'un effort de la volonté impuissant à chasser du cerveau certaines idées qui semblent au malade condamna
ec la dignité de sa situation actuelle. Elle veut la rejeter de son cerveau . Elle n'y réussit que partiellement. Il y a con
dans le cas d'association, est la conséquence de la propagation au cerveau du processus patho- logique établi dans la moel
chr. f. Psychiatrie, LI, 4.) La commotion cérébrale (ébranlement du cerveau ) est une affec- tion diffuse de l'organe qui n'
peut être considéré comme secondaire à une lésion traumatique du cerveau , si l'on ne constate pas de lésion dégénérative d
des artères. On sera très réservé sur le pronostic des blessures du cerveau ; des plaies très étendues peuvent en effet guér
e amènent parfois rapidement la mort (abcès). Un abcès chronique du cerveau , terminé par la mort, doit être considéré comme
sécutifs aux traumatismes crâniens sont dus soit à l'ébranlement du cerveau , soit à des lésions cérébrales variées (cicatri
ctionnels nerveux s'ajoutent fréquemment à des affections graves du cerveau et de la moelle (paralysie générale, apoplexie,
a vie foetale »ou de l'enfance, ont été atteints d'une affection du cerveau ayant eu pour conséquence l'arrêt de développemen
temps orageux que nous subissons, en ce moment, influence certains cerveaux ! Témoin un nommé Ernest Clébaut, âgé de quaran
ie. Foyers multiples de ramollissement. Ramollissement chronique du cerveau par artério-sclérose ayant détruit la substance
ntérieurs dans les pyramides. P. K. III. ETUDES anatomiques sur DES cerveaux d'aliénés ; par ScHLOESS. (Jahrbüch. f. Psychia
aliénés héré- ditaires dont sept idiots (nombreuses planches). Ces cerveaux res- sembleraient aux cerveaux de criminels de
pt idiots (nombreuses planches). Ces cerveaux res- sembleraient aux cerveaux de criminels de Benedikt (anaslomose fréquente
s, présence de sillons accessoires). Il arrive assez souvent que le cerveau laisse plus ou moins à découvert le cervelet. L
mples : quatre circon- volutions frontales latérales comme dans les cerveaux de carnas- siers, anomalies du sillon calloso-m
e psychique réside dans les ano- malies cérébrales. Comparant les cerveaux d'individus dont le développement psy- chique e
qu'il n'y ait un accord remarquable entre les états anatomiques des cerveaux de personnes très intelligentes, et ceux des ce
atomiques des cerveaux de personnes très intelligentes, et ceux des cerveaux de criminels et d'aliénés héréditairement prédi
ite pomme originaire de l'extrémité antérieure de la grande faux du cerveau , ayant usé l'os frontal, comprimé et déplacé le
paralysé. P. K. XIII. DES FIBRES NERVEUSES A myéline DE L'ÉCORCE DU cerveau de l'homme; par Th. KAES. (Neurolog. Cent1'ltlb
log. Cent1'ltlbl" XIll, 1894.) Nouvelle numération des fibres sur 3 cerveaux d'hommes de quarante-deux, quarante-cinq, cinqu
alotte de l'auteur (1885), qui part des olives inférieures et va au cerveau , est bien le faisceau triangulaire REVUE D'ANAT
ale. Comme de l'autre côté de ces olives part, dans la direction du cerveau , le faisceau central de la calotte, il est éviden
rivent aux régions corticales, temporales et pariétales. L'étude du cerveau d'un sourd- muet permet même de localiser à la
hèbe. CAMUSET. XXII. L'anatomie FINE DE la région INFUNDIBULAIRE DU cerveau comprenant la glande pituitaire; par Henry BERK
ations corticales est dans les mêmes relations avec les maladies du cerveau que l'aus- cullalion et la percussion le sont a
topsie on trouve entre autres lésions de l'oedème avec hypérémie du cerveau et des méninges. C'est plutôt le troisième cas qu
Peut-être faut-il aussi faire intervenir la sclérose des artères du cerveau ? - De la valeur respective de la prédispositio
berculose de la moelle épinière a été connue plus tard que celle du cerveau . Les' anciens travaux ne citent que des tubercu
ts d'examens macroscopiques. Bayle' cite un cas de tuberculose du cerveau et du bulbe durant le cours d'une phtisie pulmona
pulmonaire et rappelle que l'on a diagnostiqué diverses maladies du cerveau : apoplexies, etc., là où il s'agissait de la t
', dans son atlas, remarque que les tubercules peuvent envahir le cerveau , le cervelet et la moelle, et il admet même que c
cules peuvent se ra- mollir. Il admet les tubercules primitifs du cerveau mais ne tranche pas l'origine des tubercules mé
nouveau son premier cas, montre que les affections de la base du cerveau se compliquent presque toujours de lésions spinal
s enveloppes rachidiennes sont plutôt attaquées que les méninges du cerveau . Charcot, dans ses Leçons sur les maladies du s
mé- ninges du cervelet; y). 2 cas de méningite de la convexité du cerveau . ' On a donc trouvé dans quelques cas la tuberc
éningite puru- lente ; - b). 3 cas de tubercules solitaires dans le cerveau et dans la moelle. Dans 9 cas, on a trouvé la
veau et dans la moelle. Dans 9 cas, on a trouvé la tuberculose du cerveau et de la moelle. C. Moelle 2. La moelle n'a é
loppes de la moelle, ces savants ren- voient le lecteur au chapitre Cerveau . LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 197 pr
ans tous les cas de tuberculose des méninges spinales et de ceux du cerveau , mais aussi dans toutes les myélites survenant
qui ont précédé l'entrée à l'asile, amoin- drir la résistance de ce cerveau de vieillard, et est-ce sous leur influence que
at dépressif a préparé le terrain pour l'éclosion du délire dans ce cerveau qui paraissait jusque-là solide. Jusqu'en 1891,
brale, et la psychologie n'est qu'une partie de la physiologie du cerveau , comme l'admettent aujourd'hui les maîtres les pl
'est ce que réclame le simple bon sens. Qu'est-ce, en effet, que le cerveau ? C'est le centre des mouvements, des sensation
intellectuelles. Comment se traduisent les maladies, les lésions du cerveau ? Elles se traduisent par des troubles du mouveme
ident que tout médecin doit connaître les symptômes des maladies du cerveau , y compris les modifications de l'intelligence,
accompagnant la vieillesse, dans la résistance moindre qu'oppose le cerveau sénile aux ictus' moraux et autres. - Le pronos
nt plus probable que chez les vieillards à lésions circonscrites du cerveau ou atteints de démence sénile on retrouvera les
icroscopiques, les plus importants sont : la diminution du poids du cerveau , les altérations des méninges, l'atrophie de l'éc
'écorce et les granulations épendymaires. La diminution de poids du cerveau peut manquer dans les cas récents ou être masqu
triculaire correspondante); 2° la dégénérescence athéroma- leuse du cerveau qui frappe en général des sujets d'un âge déjà
y a lieu de distinguer de la paralysie générale une dégénération du cerveau d'origine artério-scléreuse. M. TuczEK. - La di
arition des fibres à myéline prédomine dans la région antérieure du cerveau ; en outre, on observe des lésions de la moelle.
ralysie générale. ' M. Alzheimer. L'atrophie nrtério-scléreuse du cerveau . - Cette forme doit être séparée de la paralysi
A l'autopsie : arlério-sclérose généralisée : lésions rénales. Le cerveau est peu atrophié. Les gaines lymphatiques des vai
abonnés : 3 fr. 50. - Au Progrès Médical. FLATAIJ (Ed.). - Allas du cerveau humain et du trajet des fibres ner- l'p11SeS, a
her du quatrième ven- tricule est couvert de granulations fines. Le cerveau est peu atrophié. 276 CLINIQUE NERVEUSE. Les
ont de mieux en mieux colorées à mesure que l'on remonte du côté du cerveau . La pie-mère qui sépare le cervelet de la pro-
ent un réseau très visible sous les granulations de l'épen- dyme. Cerveau . - La pie-mwe cérébrale, dans toute son étendue,
rs la guérison d'un processus morbide, dont la protubé- rance et le cerveau nous représentent la phase active. Il est dès l
lles avaient dès le début. D'autre part l'extension de la lésion au cerveau , où elle forme cette mé- ningo-encéphalite vasc
a moelle que l'affection a débuté, pour envahir ultérieu- rement le cerveau et causer la paralysie générale. Cette lacune s
u moment de la mort, laissant seulement une hyperhémie diffuse du cerveau . Observation II. - Tabes ; traces de méningo-en
moteurs oculaires externes qui traverse la protubérance. Du côté du cerveau on observe une méningite de la même nature que
ntent des traces non douteuses d'irritation dans toute l'étendue du cerveau , mais surtout au ni- veau du gyrus rectus, des
cule est finement granuleut, Les artères cérébrales sont saines. Le cerveau ne présente' aucune lésion appréciable. Les autre
is il suffit d'étudier la lésion au niveau de la protubérance et du cerveau , où elle n'est pas encore défigurée, pour voir
insister sur la comparaison de ces lésions avec celles qui, dans le cerveau , sont le substratum anatomique de la paralysie
mbryonnaires, mais c'est un fait dont les lé-' sions vasculaires du cerveau dans la paralysie générale dé- montrent largeme
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. C0lfèfOTlON cérébrale, blessure DU cerveau ou névrose; parTHOMSEN. (Allg. Zeitsch f.psychi
hémorragique au niveau de la blessure, foyer qui aurait comprimé le cerveau et dont l'extension graduelle aurait provoqué l
lontiers que les troubles observés ont été le mode de réaction d'un cerveau déjà malade (accès mé- lancolique) à l'occasion
de la blennorrhagie : il n'y aurait rien de surprenant à ce que le cerveau n'échappât pas à son influence nocive. E. B. ,
. Mort au bout de six jours par pneu- monie droite. . L'examen du cerveau montre, une fois le corps calleux enlevé, une t
b. chorées généralisées, dans certains cas de lésions éten- dues du cerveau , par exemple dans la paralysie générale ; c. chor
s zones superficielles, tels sont le nez, l'oeil, etc., etc., et le cerveau lui-même; 2° les zones n'ont pas pour la plupart
lsions, chez les sujets âgés ou atteints d'une maladie organique du cerveau ; 2° Les malades s'accoutument au chloralose et
neuropathologie, voici ce que l'on remarque. Dans les affections du cerveau , quand les méninges sont prises, la transmis- s
XX. Contribution A l'étude DE la dégénérescence descendante dans LE CERVEAU ET LA MOELLE, AVEC REMARQUES SUR LA LOCALISATION
ce probable d'une sclérose méta ou para-syphilitique de l'écorce du cerveau (toxine syphilitique), des tractus présidant à
stait dans une pro- portion de 12,6. p. 100. L'atrophie générale du cerveau dans 65,9 p. 10.0. L'épendyme put fournir des d
istaient que chez 5 hommes, les cysticerques chez 14. Le poids du cerveau a été examiné comparativement dans les asiles d
s lourds. Par rapport à celui des aliénés épileptiques, le poids du cerveau des paralytiques généraux serait en moyenne inf
antes. Cette disposition anatomique est surtout manifeste dans le cerveau ; les artères cérébrales ne fournissent pas de bra
ce ancienne d'une des extrémités, il se produit du côté opposé du cerveau , au lieu qui correspond à la région corticale spé
i- veau du territoire rolandique, l'espace qui sépare le crâne du cerveau dépasse un pouce. Le liquide était contenu entre
anv. 1895.) E. B. XLUI. QUELQUES observations SUR la préparation DU cerveau ; par la MÉTHODE DE BÉVAN LEWIS; par le Dr P. Cl
par la MÉTHODE DE BÉVAN LEWIS; par le Dr P. Clark. Les coupes du cerveau faites sur des tissus congelés permettent t un
térieur. Ils n'ont sur les mouvements qu'une action indirecte. La cerveau . de l'homme l'emporte sur celui de l'animal par
quisition spéciale de l'homme et affluent de toutes les parties du- cerveau . Les centres de la parole occupent, dans leur e
le, vers les colonnes de Clarke. Tel ce cas de tumeur de la base du cerveau caractérisé en particulier par la disparition des
nombre d'entre eux, à figurer les lésions trouvées à l'autopsie du cerveau , sans préjuger d'aucune idée théorique sur les
n, un plus grand désir de jouissances, le travail supplémentaire du cerveau comme conséquence nécessaire de la satisfaction
cool, la nervosité héréditaire causée en partie par le surmenage du cerveau , tous ces facteurs doivent entrer en ligne de com
'élément nerveux. Pour ce qui est de l'influence de l'alcool sur le cerveau , Kraepelin a montré qu'à la dose de 30 à 40 gra
re les frais d'un délire aux idées larges et nombreuses, il faut un cerveau suffisamment organisé; - les faibles d'esprit a
nées à relier entre elles les cellules de la substance corticale du cerveau . Parallèlement aux troubles cérébraux se montre
vantes : les idées fixes ou paranoïa rudimentaire naissent dans des cerveaux faibles originairement ou d'une façon acquise,
ne 470 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. de la paranoïa; mais alors le cerveau des malades est encore plus atteint. Les chor
gestibles, qui selon les conditions originelles ou acquises de leur cerveau , à force de suggestions intenses étaient devenu
peutiques qui peu- vent raffermir l'organisme, en même temps que le cerveau ; et aussi dans le traitement moral, visant à m
rapports de développement qu'il y a entre les diverses portions du cerveau et les parois crâniennes adjacentes. (Aine- ric
on entend par là qu'elle est consécutive à une désor- ganisation du cerveau par des agents bien connus, et liée dans une ce
nt été mis sur le compte de la fiévreuse activité imposée à tant de cerveaux par la vie moderne. Ce qu'il y a de vrai, c'est
moderne. Ce qu'il y a de vrai, c'est que, travaillant davantage, le cerveau doit être ménagé et préservé encore plus soigne
périphériques des yeux et des extiémités, la moelle, le bulbe et le cerveau moyen. Hémor- ragies dans le voisinage du trois
avec 1 ? par Dagonct, 473. Aliénés. Etudes anatomiques sur les cerveaux d ? par Scliloess, 138. - criminels par Falret,
pe Aran- Duchenne, par ,T.-B. Clarcot, 313. - artérioscléreuse du cerveau par Alzheimer , 260. Dégénérescence des cellu
-, à hémiparésie spasmodique des ex- trémités par Hirsch, 312. Cerveau . Sarcome volumineux du , par Galavielle et Vill
nerveux par Nissl et Rosin, Hl. Commotion cérébrale, blessure du cerveau ou névrose, par Thomsen 306. Congrès annuel d
ale par Bruce, 319. Ecorce. Fibres nerveuses à myé- linedel'-du cerveau de l'homme, par Kaes, 144. Electrique. Excita
é, 323. Pituitaire. Anatomie fine de la ré- gion mfundibulaire du cerveau comprenant la glande ? par l3erl;ley, 154.
aliénés, par Vorster, 43 ; par Burton, 164. Sarcome volumineux du cerveau , ayant débuté dans la substance blanche de la
31 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
ou porte-t- il d'une manière généralesur les parties supérieures du cerveau ? Peut-on dire que l'anesthésie tactile, le rét
ui est propre à l'hystérique. Comme les fonctions es- sentielles du cerveau sont des fonctions psychologiques, il faut mont
ntale. a Nous disons hardiment, écrivait Brachet en 1847, non, le cerveau n'est pas essentiellement lésé dans l'hystérie 2.
hystériques, relève directement d'un trouble du fonc- tionnement du cerveau . Il faut donc admettre que l'hystérie est une n
cérébrale z. » * L'hystérie n'est qu'une manière de fonctionner du cerveau , écrit M. Sol- lier ; il n'y a pas une maladie
adies mentales. Ces maladies dépendent d'altérations inconnues du cerveau , et il n'est pas vraisemblable que ces altération
ur, la manifestation la plus fréquente d'une affection organique du cerveau et, si je me permets de passer dans les paralys
céré- brale et vice versa nous pouvons déduire la construction du cerveau des caractères cliniques des paralysies. Nous cro
erican journal ofinsanity, 1892.) E. B. VIII. MÉTHODE D'EXAMEN DU CERVEAU A L'ÉTAT FRAIS; par le Dr 111NDRED. L'auteur
et présente une supé- riorité évidente sur les méthodes d'examen du cerveau après durcis- sement, car dans ces derniers se
3 La coloration doit être faite avec attention, notamment sur les cerveaux malades où l'action de l'aniline est plus rapide,
ter que les fibres à myéline sont absentes souvent dans l'écorce du cerveau des para- lytiques généraux, surtout au niveau
nse que ces recherches ont été faites, comme bien d'autres, sur les cerveaux des paralytiques généraux arrivés au dernier te
our trancher la question, il faudrait examiner un certain nombre de cerveaux des paralytiques morts accidentelle- ment tout
partielle de l'orifice oesophagien. ' 2° Vaisseaux de la base du cerveau avec embolie de la cérébrale postérieure gauche
du trajet central du nerf acoustique. - Le rapporteur a étudié six cerveaux de cobayes chez lesquels (depuis quinze jours jus
géné- ralisée. Pour M. Mairet, toutes les lésions syphilitiques du cerveau pourraient donner naissance à l'aliénation ment
'opium, du haschich, et des alcooliques (29 juin 1862); Gangrène du cerveau (p. 104, t. I, 1850); Observation de calcul vol
ans l'observation étiologique de son pays. Le volume et la forme du cerveau ; - le poids du cerveau des mi- cracéphales (18
gique de son pays. Le volume et la forme du cerveau ; - le poids du cerveau des mi- cracéphales (1859-60 et 1875) ; - le po
serve rien de spécial dans les autres viscères, foie, rein, rate. Cerveau . Les méninges cérébrales sont injectées, leurs ve
avec celles que l'on trouve dans cerlains gliomes neuroformatifs du cerveau et la présence très nette de un ou deux prolong
rait avoir affaire à un gliome vrai, tel qu'on en rencontre dans le cerveau . Entre les cellules le tissu est formé de fibre
juste raison que les gliomes vrais, tels qu'on les observe dans le cerveau , sont des néoplasies presque exclusivement cel-
soigné l'enfant, attribuait cette défectuosité à la compression du cerveau par le forceps à la naissance. Les mensurations d
s améliorations qui pourront se produire à l'égard des fonctions du cerveau , mais, il est une chose certaine c'est que l'ou
ra- vers cette fissure il est facile de percevoir les pulsations du cerveau . .. . l `r > > ` s lxf 1 REVUE 'DE -PAT
; en revanche un foyer de ramol- lissement très étendu sur l'un des cerveaux , plus limité sur l'autre, avait tiré le lobule
os 'du 'cI'l/ne \ empêchant de la sorte le développement 'propre du cerveau ;- l'autre, qu'il y a déve- loppement' imparfait
les latérales qui pourraient "se développer par l'extension même du cerveau . ' ;' : l11w REVUE' DE PATHOLOGIE['MENTALE, -
ématurée, en disant que l'état est dû au développe- ment vicieux du cerveau , et que les changements survenus dans le crâne
ant à faire l'opération, espérant par là, stimuler la croissance du cerveau . * REVUE-DE, PATHOLOGIE, MENTALE ? 159. 1 La
ogique ayant comme cause un arrêt intra-utérin du ^développement du cerveau . - Nous ne, pouvons dire si - ;aladi"d' ' " "*
tat. II y a défaut de, structure, ""aussi bien que malformation* du cerveau , et la .synostose n'est, pas un facteur en produi
.synostose n'est, pas un facteur en produisant ce rétrécissement du cerveau dans tous > 'f,. ? ' Il rl' "I .9,1*1 - rétr
rveau dans tous > 'f,. ? ' Il rl' "I .9,1*1 - rétrécissement du, cerveau 1 dans, tous l'tU diamètres^ , 1" , 1" .) Conco
on- séquence, plutôt que la cause, du développement imparfait du* cerveau , et que l'arrêt de croissance se produit vers le
es, il n'a trouvé qu'un cas où il existait de la compression sur le cerveau , tandis que, dans la'plupart1 des cas, les circon
culière qu'il m'écrit, il me dit : « Il est très peu prouvé que les cerveaux micro- céphaliques résultent de la compression
a-crânienne. Comme si le crâne avait poussé légèrement au-dessus du cerveau . Si les conditions dépendaient de la compressio
ons dépendaient de la compression du crâne, toutes les par- ties du cerveau , soutfriraient également, puisque le cerveau peut
outes les par- ties du cerveau, soutfriraient également, puisque le cerveau peut être considéré, comme, liquide, autant que
e dit lleynert, de la struc- ture uniforme de toutes les parties du cerveau . Dans la microcé- phalie, nous trouvons l'absen
e et défectueux des fissures; l'absence des por- tions centrales du cerveau , et l'atrophie des lobes, spécialement le front
et le manque de fibres nerveuses. L'embryologie nous apprend que le cerveau se développe de bonne heure, mais que pas avant
ant ces faits établis, nous concluons, d'après les observations des cerveaux de microcéphales, qui dans tant de cas démontre
me osseux « existant sans corrélation aucune entre la croissance du cerveau et du crâne ». Wilmarth dit : a Je suis convain
a majorité des cas, le crâne ne pousse pas, simplement parce que le cerveau ne se développe REVUE'DE PATHOLOGIE MENTALE.' 1
ropre observation est que la croissance du crâne dépend de celle du cerveau jusqu'à concurrence seulement de l'interven- ti
nce seulement de l'interven- tion nutritive localisée de la part du cerveau , réfléchie sur le crâne comme dans l'aplatissem
nutritive générale, qui, tandis qu'elle'peut affecter à la fois le cerveau et le crâne ne le fait pas nécessairement, comm
s que la synostose est le résultat de l'arrêt de déve- loppement du cerveau sans l'intervention des progrès de l'ossifica-
ù il suit que le crâne était encore susceptible de se dilater si le cerveau l'y invitait; - 4° la mortalité opératoire, san
pratique : il le consacra à l'hémorrlzagie et au ramollissement du cerveau , après une première leçon de haute philosophie
1869, il traita de nouveau de l'hémorrhagie et du ramollissement du cerveau . Mal- heureusement, une partie seule de ses bel
es leçons sur les Troubles tro- phiques consécutifs aux maladies du cerveau et de la moelle épinière. La guerre criminelle
ôté de travaux sur l'hypnotisme, sur les maladies orga- niques du cerveau et de la moelle épinière, d'autres travaux sur
1880, pour l'ouvrage intitulé Les Localisations dans la maladie du cerveau et de la moelle épi- nière. M. Charcot a été
Le diagnostic était microcéphalie et arrêt dans le développement du cerveau , amenant des altérations rétrogrades dans la pa
238 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. sagère de dégénérer en manie dans un cerveau en état d'instabilité manifeste; 3° dans les ét
teurs distinguent l'hydrocéphalie sans malformations importantes du cerveau (cas de Cher..., Coeu..., Ess..., Gar..., Gre..
atrophie par com- pression des fibres tangentielles de l'écorce du cerveau ; dégéné- nescence des fibres de la substance bl
es ne font plus à la convexité la saillie habituelle. En un mot, le cerveau porte les traces d'une compression énergique.
auche; mais bientôt il devient impossible de la séparer du reste du cerveau sans faire violence aux tissus ; la faux du cer
rer du reste du cerveau sans faire violence aux tissus ; la faux du cerveau est érodée et détruite à ce niveau. On sectionn
volution frontale interne du même côté, et en détruisant la faux du cerveau à ce niveau. Les centres blancs des lobes front
à des cellules gan- glionnaires. .. , 2° Lésions secondaires du cerveau . J'ai déjà fait remarquer rig. 20.- Cellules py
ore par la méthode de Pal d'une façon aussi intense que le reste du cerveau ; il en est d'ailleurs de même pour l'hémisphèr
s résultats trouvés plus tard par la méthode de Pal. En dehors du cerveau il n'y a aucune dégénérescence du reste de l'ax
ement la face interne des deux lobes frontaux et indirec- tement le cerveau tout entier. De cet ensemble je retiendrai deux
si rapide et si profonde. Dans le cas de tumeur avec compression du cerveau que j'ai publié l'an dernier à la Société médic
nt ces vues; c'est un. second cas de dégénérescence, corticale du cerveau sous l'influence de la compression et ici l'inten
, des circon`y,olu- tions, c'est-à-dire au niveau des points, où le cerveau appuie directement contre la boite cranienne, m
ésions dans le deuxième cas (fig. 25 à 31). Je Fig. 25. - Tumeur du cerveau vue sur une coupe horizontale. (Soc. méd. des 1
ow a décrit, sous le nom de névromes centraux, de Fi. 26. Tumeur du cerveau vue sur une coupe pratiquée suivant 'la ligne B
nt 'la ligne B B' de la figure 25. (Loc. cil.) Fig. 27. Tumeur du cerveau vue sur une coupe pratiquée suivant la ligne C
res iL myéline tangentielles de l'écorce dans l'hémisphère droit du cerveau représenté fig. 2.ï, 26 et 27. Les parties no
t là l'ôrigine des deux tumeurs que Lance- reaux a décrites dans.le cerveau d'une femme « dont l'esprit passait,- pour êtré
de névrome médul- laire ou cérébrome développé dans l'épaisseur du cerveau , Soc. e-Biol ? 1864); la~tumeur avait toute l'a
yélies sont sous la dépendance de gliomes, qui diffèrent de ceux du cerveau par l'exubérance des fibres névrogliques (gliom
des accidents connus, qui tous sont loca- lisables en des zones du cerveau dont on commence à soupçonner selon toutes prob
l'action NEURIQUE dans SES rapports avec LES fonctions mentales du cerveau ; par Francis WARNER. (Tlce.Torl1·TZat of men- t
L'auteur rappelle d'abord qu'en traitant des fonctions mentales du cerveau , il faut écarter toute considération de l' esprit
eneur de ses halluci- natsons. Il s'agit d'une auto-intoxication du cerveau par des produits de dénutrition accumulés dans
n autopsie que ce qui a trait aux lésions des centres nerveux. Le cerveau paraît absolument indemne : on ne trouve rien à s
et cette double trophicité empruntée à la fois au cervelet et au cerveau , tendraient à faire admettre que leurs fonctions
pportent à peu près tous à des observations de sclérose multiple du cerveau et de la moelle, recueillies en Allemagne par d
ce plan appartiennent aussi le cervelet et la région postérieure du cerveau . Le plan moyen est constitué par 1 Un autre mal
de la moelle entrent en activité, et exécutent, sans le contrôle du cerveau , les mouvements plus ou moins compliqués qui le
ristian, on ne saurait trop répéter que, dans l'épilepsie, c'est le cerveau qui est primordialement et essen- tiellement af
cet excès est peu accusé. R. de Musgrave CLAY. LV. SUR LE POIDS DU CERVEAU ET DE SES DIFFERENTES PARTIES CHEZ LES aliénés;
ion des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 395 parties constituantes du cerveau , on s'est conformé à la méthode de Meynert), ma
aux, indépendamment de toute production cancéreuse siégeant dans le cerveau : le cancer devrait être rangé parmi les causes
ue dans les conditions ordinaires ne s'étend pas aux vais- seaux du cerveau , ou est très légère; tandis qu'elle est énergique
XXVI. UNE NOUVELLE méthode POUR exécuter DES préparations sèches du cerveau ; par L. STIED : 1. (Neurolog. Centralbl., 1892.)
cerveau; par L. STIED : 1. (Neurolog. Centralbl., 1892.) Placer le cerveau frais entier dans une solution aqueuse con- cen
y mettre autant de cristaux de chlo- rure qu'il en faut pour que le cerveau nage dans la solution. Le laisser ainsi vingt-q
thine pen- dant deux à quatre semaines. La térébenthine ramollit le cerveau , mais le rend clair et transparent, plus ou moi
ines dans le vernis gras des peintres à l'huile. On laisse alors le cerveau à l'air pendant une ou deux semaines jusqu'à ce
dégénérescences EXPÉRIMEN- tales du corps calleux ET DE L'ÉCORCE du cerveau ; par Wl. Mu- Raton. (Neu1'olog, Centralbl., 189
loppement ET DE l'expansion DES FIBRES tangentielles du l'écorce du cerveau humain aux divers âges DE la VIE; par 0. VULPIU
Numération des fibres à l'oculaire quadrillé. Etude de vingt-deux cerveaux . 1° Le nouveau-né n'a pas de fibres myéliniques
6° Le développement n'en est pas terminé dans tous les segments du cerveau à l'âge de dix-sept ans. 7° L'âge paraît amener
fibres tangentielles n'est pas le même dans les diverses régions du cerveau . Le plus grand nombre occupe la frontale ascendan
l. P. KERavAL. XXXII. LES expériences faites par la nature SUR LE cerveau ; par MEYNERT. (Jahrbuech. f. Psychiat., X, 2-3
e celles qui frappent les cellules nerveuses en d'autres parties du cerveau et que leur der- nier terme est la destruction
des descrip- tions données des centres « moteurs et sensitifs * du cerveau . Il reproche aux termes c moteurs et sensitifs
nt; par le Dr Edwin GOODÀLL. L'auteur a eu l'occasion d'examiner le cerveau d'un enfant viable, né à terme, mort d'accident
dent après dix-huit heures d'existence. Cet examen a eu lieu sur le cerveau à l'état frais par la méthode de la congélation
es que l'ont voit sur les préparations faites après durcissement du cerveau sont-ils une conséquence de la rétraction du ti
DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 407 XL. Résumé DE 1,565 autopsies DU cerveau faites A l'asile DE V.1AEFIELD pendant une péri
mune de pouvoir compulser la relation de 1,565 examens de crâne, du cerveau et de la moelle, pratiqués par des neuro-pathot
vent dans la mélancolie la diminution de consistance et l'oedème du cerveau : le ramollissement n'a été constaté qu'une seu
me des vaisseaux de la base est ici peu commun. La proportion des cerveaux à configuration simple est plus élevée dans la pa
x fois. Au point de vue de la complication des circonvolutious, les cerveaux d'épileptiques sont restés au-dessous de la nor
r volumineuse, occupant les deux fosses antérieures, et adhérant au cerveau . En soulevant la tumeur pour atteindre les nerf
ie du Dépôt, parce que l'amour de la Russie avait troublé son jeune cerveau . Il prétendait qu'il était messager de Dieu, ch
s les membres. Les fonc- tions digestives ne sont pas troublées, le cerveau reste intact. J'avoue sans fausse honte, que ce
hépatiques, rénales et cardiaques, encore sont-elles rares. Mais le cerveau reste intact. Cela tient sans doute à cette rai
ays neuf,-pri- mitif, où les idées superstitieuses dirigent tant de cerveaux , où règne le fanatisme religieux, où la croyanc
. Sa jeune imagination est frappée par ces récits gro- tesques. Son cerveau travaille sur ces idées bizarres que l'on y sèm
L'idiotie, la microcéphalie, dues à des troubles survenus dans le cerveau aux cinquième et sixième mois de la gestation, ne
abaissait visible- ment l'excitabilité de la substance corticale du cerveau et adou- cissait ou arrêtait les accès d'épilep
sition, et, par suite, en modifiant l'irrigation et la nutrition du cerveau . P. KERAVAL. Avis A Nos abonnés. L'échéance du
ation ., ? < , . ",.... ' ! (U...JP- ' UU 111' 0lh/>.U .of du cerveau antérieur, .primaire, elle suppose^donc.la fermet
e lobe olfactif et l'espace quadrilatère de Broca, se rattachent au cerveau antérieur au, cerveau intermédiaire et au cerve
space quadrilatère de Broca, se rattachent au cerveau antérieur au, cerveau intermédiaire et au cerveau, moyen.1 Le renflemen
se rattachent au cerveau antérieur au, cerveau intermédiaire et au cerveau , moyen.1 Le renflement olfactif est relié à l'é
elle notamment du champ latéral de,cette région, -est* rattachée au cerveau inter- médiaire par le pédoncule antérieur.de l
rte sur tout le traclus sensitif depuis les filets du nerf jusqu'au cerveau . C'est l'électricité qui réussit le mieux. M.
que ces accidents ont pour cause « différents processus morbides du cerveau qui ont pour con- séquence commune un affaiblis
ont pour con- séquence commune un affaiblissement de l'influence du cerveau sur la moelle ». Dans un travail intitulé : Etu
st une névrose cérébrale dépendant d'une altération de nutrition du cerveau amenant une surexcita- bilité excessive de cert
neurique daiis,ses " ' rapports avec les fonctioris mén- tales du cerveau , par F. Warner, - t`323; étude des lois qui n
he sur le sang et l'urine des =, par Smyth; 393; sur. le poids du cerveau .et de ses différentes parties chez les-, par
ription de la couche' motrice 4 de l'écorce ') par, Goodall,'40û. Cerveau , méthode d'examen dû - " à l'état frais; par IC
u1 ! ;ARATIO : 'iS; une nouvelleinéthode 01 de"'... ? sèches' du' T cerveau ,"par "stiéda; 397 : ' ' ? ? 1 ? 1" , PsEUDo-s
32 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
sont aplaties, étalées. La substance encéphalique est ramollie. ' Cerveau énorme, remplissant à lui seul toute la cavité cr
mains. Les lésions relevées à l'autopsie, en ce qui concerne le cerveau , n'ont rien d'extraordinaire : les circonvo- lu
rieure est vivement injectée. Sur le reste de la face inférieure du cerveau , l'injection est moins intense. Sur le cervelet
ulbe sont sains. L'encéphale pèse 860 gr. Les lobes antérieurs du cerveau sont un peu courts. NOTES SUR L IDIOTIE. 79 J
né secondairement un arrêt t9 développement des lobes antérieurs du cerveau . Cette lésion s'est traduite, cliniquement, par
thermique de la tête dans la recherche des lésions circonscrites du cerveau . Avant cette communication de M. Broca, la ther
té frappé de trouver, chez les animaux décapités, la température du cerveau inférieure à celle du rectum et des viscères; l
al; la température paraissait alors plus basse à la périphérie du cerveau qu'au centre, en avant qu'en arrière. Ces résulta
re au centre et en arrière à cause de la masse plus considérable du cerveau en ces points. Nous ne citions du reste ces rec
inance bien nette d'un côté sur l'autre, sans par conséquent que le cerveau gauche soit plus chaud que le cerveau droit : «
e, sans par conséquent que le cerveau gauche soit plus chaud que le cerveau droit : « toute cause attirant l'attention, un
tion était mauvais : l'apophyse mastoïde est épaisse, éloignée du cerveau , cette région est vasculaire ; du reste l'applica
« gyrus fornicatus » et respecté la troisième frontale. Le reste du cerveau était fortement congestionné. Mra0 Mary Putnam
erminations thermiques. En reportant sur des schémas du crâne et du cerveau les aires trouvées par la thermométrie, M. Amid
ement physique, mais cela veut-il dire qu'une température locale du cerveau correspondra à une température locale céphaliqu
e quelques expériences relatives à la conductibilité du crâne et du cerveau . REVUE D'ANATOMIE I. DE l'innervation DES mou
rieure est une addition secondaire, née de la partie postérieure du cerveau ; 3° Que la description courante de la segmentat
en un, deux puis trois et enfin quatre. L'examen microscopique de cerveaux de serpents a prouvé à l'auteur que les ganglio
leur existence que le pigeon, privé de revue d'anatomie. 129 son cerveau , suit une lumière des yeux et de la tête. Vient
vu son opinion confirmée par des recherches qu'il a pu faire sur le cerveau d'un iguane lacertien voisin des mammifères et
mme. - Il ne faut donc pas prendre comme différence type, entre les cerveaux des sauriens et ceux des mammifères, la présenc
omplète, on fait la trépanation. On fait ensuite une hémisection du cerveau derrière la couche optique, à l'aide d'une lame
suppurée de la base et de la plus grande partie de la convexité du cerveau . Le conduit auditif externe était normal ; pas
limitée en dehors par le péricrâne, en dedans par la dure-mère ; le cerveau se trouvait ainsi refoulé et comprimé. - Il exi
reste jusqu'ici indéterminée. H. D'O. III. Trois cas DE maladie DU cerveau ; par W. M. OSLER ? Mém. lu à la Société médic.
suivante ; on trouva, à l'autopsie, un foyer hémorra- gique dans le cerveau . H. D'O. IV. SUR UN cas DE syphilis INTRA-CRA1'
s symptômes nerveux syphili- tiques. ' C. TALAmoN.. V. Sarcome DU cerveau . (Dled. Times and Gaz., 3 janv. 1880.) Cette ob
udat de lymphe à la partie inférieure du cer- velet et à la base du cerveau , autour du chiasma et dans l'es- pace interpédo
ué à son malade qu'il pouvait refaire son éducation au moyen de son cerveau droit, et il attribue aux efforts de son malade
dantes, consécutives à des lésions syphilitiques de la moelle et du cerveau . En quoi ces dégénérations secondaires sont-elles
ation ; il eût été singulier de voir M. Chauvet faire l'anatomie du cerveau et de la moelle, M. Arnozan celle des articulatio
acités de la pie-mère sur la face convexe des deux hémisphères. - Cerveau , 1,115 grammes. 'Cei'velet et isthme, 155 gr. D
es assez nombreuses sur la moitié supérie'ure'de la face convexe du cerveau . Pas d'anomalies des artères, de la base. , C
ce convexe du cerveau. Pas d'anomalies des artères, de la base. , Cerveau : 1,220 gr. Cervelet et isthme : 165 gr., rien de
otal de l'encéphale est . de 1,480 gr. et se décompose ainsi : 10 Cerveau ? \\288 gr. (Hémisph. g., 560 gr. ; hémisph. droi
- L'hémisphère gauche 19 cent. 15, alors que, sur la plupart des n cerveaux , cette distance est en moyenne de 15 à 16 cent. D
, et dont les éléments s'altèrent avec une grande rapi- dité. Les cerveaux , immédiatement après l'ablation, ont été plongé
du tissu nerveux sous-jacent : on pourrait croire que la surface du cerveau est dépouillée de son enveloppe vasculaire, ou
m'J 11' -J ht Il' Il'1 i l, -i ' i' . \ ' ->> ? homologues de cerveaux sains. Ce qui frappe, a première G,W .I·ie.7, ?
ments pro- revue DE physiologie. 281 duits par la faradisation du cerveau semblent varier comme les contractions moins co
amenèrent la mort en peu de temps. Autopsie. Rien d'anormal dans le cerveau à l'examen macroscopique. Sur la moelle durcie,
et même à 7 0/o. L. LANDOUZY. V. Recherche DE la strychnine dans LE cerveau ; par A. GRANDVAL et H. LAJOUX, professeurs à l
auxquelles se sont livrés MM. Grandval et Lajoux sur 410 gramm. du cerveau d'un individu auquel on avait administré, tant
vomique, il résulte que la localisation de la strychnine dans le cerveau est un fait parfaitement acquis; c'est là un résu
que Dragendorff n'ayant jamais pu réussir à isoler la strychnine du cerveau ( en opérant même sur cet organe tout entier )
fl,J'1 t , i, , - JI H1 avec les membranes : la moyenne du poids du cerveau . à qua- ? II ! (hlt,'jll1 Is IU Il''1-; ¿ifu j It
lle" est, au contraire, inférieure. Mais la supériorité en poids du cerveau de' cetcrimineV n'est' glÍèrerprobànte,'t carli
ans ëstJl ? l0gi'ainrtiès ? il''doit y avoir environ la moitié.des cerveaux qui pèsent 'plus, et on revue d'anatomie' patho
, r7 ;'1 ? ? i',J" T M. Bériédickt·(deVienne)a a affirmé que sr es cerveaux d'as- sassins1 'n'offrent pasdé véritàbles'âlio
? anor'- m'aies' ou ? 'plutôt insolites 'dès circonvolutions ;s le cerveau de Prévost se'distirfguait'par plûsieûr`s`dê cê
'tW yr.yl\'v 1v v... r y Wn1 W l.t. W 1 1 existait notamment sur le cerveau de Louis Asselme. gauche -T<,1 rch Oll.lllll
rmatifs de la doctrine moderne des localisations corticales dans le cerveau . Plusieurs des observations de M. Amidon ont tr
ormations particulières, ' individuelles, des couches corticales du cerveau . Les anomalies des sillons cérébraux ne sont pas
e ascendante gauche et la première frontale droite;. à, la base, du cerveau , , un exsudat REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 307
lâ peau ? certainement aussi dans''la moelle et péut-ètre'dàris1 le cerveau ! ' 'Les malades ont les paupières plis- sées e
-on en droit de dire que le traumatisme s'est borné à' « fairf' dut cerveau un terrain sans parité avec le ter- l'am cérébr
nt. Pour être cé- rébral, il ne suffit pas d'avoir une. maladie de- cerveau ; il faut que dans les, antécédents se trouve u
der quelle est l'action du chloroforme administré à la mère, sur le cerveau du nouveau-né. M. FLETCHER BEACH. L'intempéranc
munication sur un certain nombre de cas d'ischémie fonctionnelle du cerveau et sur les symp- tômes qui permettent de la dia
nsuite données dans des cas de ra- mollissement et d'hémorrhagie du cerveau ; pour le ramollisse- ment, M. Blaise arrive à
ar le professeur MIERZEJEWSKY. Dans certaines régions distinctes du cerveau , on a observé des malformations congénitales, d
ment auxII6ca]isati6ns cérébrales. , - z De toutes ces régions du' cerveau , dont l'étude in- time' laisse encore beaucoup
s étroit en avant, l'autre plus large en arrière. Quant au reste du cerveau , il paraissait normal. Les trois autres observa
tansky\ concerne une idiote de 13 ans : chez elle, la surface du cerveau communiquait avec le ventricule latéral droit p
ette communication du ventricule latéral avec la sur- face libre du cerveau . Après avoir réuni tous les faits, qui se ratta
PATHOLOGIQUE. 1° La porencéphalie est une anomalie congénitale du cerveau : c'est chez les idiots qu'elle se rencontre, e
patho- logique spécial, qui survient au cours du développement du cerveau . 4° La porencéphalie coïncide quelquefois avec
l'expliquer non plus que bien d'autres ano- malies congénitales du cerveau . 5° Chez le foetus, en effet, l'hydrocéphalie p
ons constatées : car si on l'admettait, on eût dû trouver, sur ce cerveau , une perte de substance procédant de dedans en
utions cen- trales et de celles qui touchent, sur un seul côté du cerveau . Le sujet est une fille de 24 ans, X... : son p
cause unique de l'anomalie constatée dans le développement de ce cerveau . Enfin, Campbell Clark' a publié un cas analogu
us sous la pie-mère. Des autres anomalies qu'on remarquait sur ce cerveau , il faut citer encore : 1° le lobe occipital ga
omen. Mort. Autopsie. Anomalie du foie. Description du squelette. Cerveau . Description des circonvolutions des deux hémis-
phères. Corps calleux. Septum pellucidum. Coupes transversales du cerveau . Ventricules du cerveau. Examen histologique.
Septum pellucidum. Coupes transversales du cerveau. Ventricules du cerveau . Examen histologique. Makar Bogdanow, paysan
portrait, qui a été fait du ma- lade après sa mort (1%'g. 15), son cerveau , et quelques détails encore, fort intéressants.
isphère gauche paraît plus accen- tuée. Sur la surface convexe du cerveau , on est frappé, tout d'a- bord, d'une diminutio
une forme rectiligne, qu'on ne retrouve pas au même degré sur un cerveau normal. On remarque, sur le lobe temporal, la sci
er et deuxième sillons temporaux. PLANCHE XII. Face inférieure du cerveau . ST, sillon orbitaire transverse. S p, premie
ors une surface turgescente, surtout du côté gauche. En enlevant le cerveau , on voit qu'il y a une méningite de la base. Le
rents sont intriqués dans ces végétations. Le péricarde est sain. Cerveau . -Poids des deux hémisphères 1,200 gr., de l'encé
otubérance est symétrique, les pyramides sont égales. Les coupes du cerveau n'ont rien montré, ni foyer, ni tuber- cule.
L'encéphale une fois extrait, on reconnaît que, sur la convexité du cerveau , l'arachnoïde et la pie-mère, adhérentes l'une
nte opaline dans l'intervalle de ces lacs. Les faces laté- rales du cerveau sont indemnes, et en examinant avec soin les sc
urulents, analogues à ceux x qui ont été signalés à la convexité du cerveau . Ces lésions sont surtout accentuées sur le ren
ont la même longueur (13 centimètres). Lorsqu'on examine la base du cerveau (PL. IX), on remar- que à la face inférieure du
volutions qui bordent la région occipitale de la grande scissure du cerveau sont atro- phiées. De l'extrémité du lobe occip
maigre. Ventre en bateau, nulle trace de rigidité cadavé- rique. Cerveau . Poids, 1030 gr. L'artère communicante anté- ri
édicale de la Suisse romande, 1875, p. 375. 408 CLINIQUE MENTALE. cerveau , dontparle également Strümpell, est une forme d
es circonvolutions, modifient cepen- dant l'apparence extérieure du cerveau d'une façon tout à fait singulière. Assurément,
orie des hypertrophies cérébrales, ^attendu que l'hyper- trophie du cerveau est presque toujours générali- sée. Ce qui fr
ou des scissures. C'est donc plutôt une affection de la surface du cerveau qu'une affection de l'écorce propre- ment dite.
dont la localisation dans les parties les plus superficielles du cerveau tient à des causes qui nous échappent encore co
che. a, b, c, d, circonvolutions atrophiées. PLANCHE IX Base du cerveau , a, b, c, d, e, circonvolutions atrophiées. R
x qu'on tue à l'abattoir, comme pour l'homme décapité, la mort du cerveau est instantanée. Les mouvements qui persistent
vitales persistent un peu plus longtemps pour la moelle que pour le cerveau : chez un animal à sang chaud, immédiatement ap
es deviennent hyperexcitables. Dès lors, toute excitation partie du cerveau à destination des centres spinaux homologues du
ies, extravasats, tumeurs, ramol- lissement des diverses parties du cerveau et de la moelle cons- tatés alors. Mais en même
x observations de tumeurs cérébrales. Observation III. Sarcôme du cerveau . - David V... entre à. l'hôpital de Cincinati a
platies sur l'hémisphère droit qui parait plus large que le gauche. Cerveau très mou, diffluent. En le retirant du crâne, i
e foyer de ramollissement occupe tout le côté droit de l'isthme, du cerveau au bulbe et se prolonge dans l'hémisphère céréb
ble que les lésions existaient depuis un certain temps à la base du cerveau presque à l'état latent, puisqu'il n'y avait d'
ielles, etc., les manifestations, qu'elles se produisent du côté du cerveau ou du côté de la moelle paraissent être .sous l
lage. En outre, la corne postérieure du ventricule latéral droit du cerveau , au niveau de l'ergot de Morand, est adhérente.
re d. Funet. d. Nervencenlren des Fros- ches. Ferrier, Fonctions du cerveau ), expliquent parfaite- ment la genèse des sympt
dit l'auteur de ce travail, de transformations dans la nutrition du cerveau , soit que, durant la fièvre, le sang qui irrigu
tion du cerveau, soit que, durant la fièvre, le sang qui irrigue le cerveau préalable- ment anémié, afflue avec plus d'abon
ion. Pendant les congestions fébriles qui s'ef- fectuent du côté du cerveau , les voies de la circulation san- guine, tombée
les et des fibres suivie de néoplasie réparatrice (fièv. typh.), le cerveau subit pendant et après les maladies graves une
hypochondriaque présente la plus grande analogie; ils n'ont plus de cerveau , plus d'estomac, plus de coeur, plus de sang, p
s non plus de chercher à découvrir les lésions cor- respondantes du cerveau , siège de ces facultés. De là ce que M. Despine
parles passions qu'a fait surgir en lui l'affection pathologique du cerveau . Du coup, la folie morale, jadis contestée, envah
sule interne une coupe horizontale pratiquée sur la face interne du cerveau et passant à la fois par la partie moyenne de l
es soins plus atten- tifs. Faisant pénétrer quelques rayons dans ce cerveau obscur, elle était parvenue à obtenir de sa pup
s postérieurs de la moelle, anatomie et phy- MOte. A ! '<M'es du cerveau , anatomie et physiologie.-Ce concours s'est ter
insi conçues : Moelle épinière. Anatomie et physiologie. Artères du cerveau . Ci),- culation cérébrale. La question orale a
occipital, ou scissure perpendiculaire interne) se présente, sur ce cerveau , comme une longue et profonde crevasse (PL. XII
mornïal,iipour se i rendrefià , la capsule^inte^e^rnanquent^sur ece cerveau : srnvxlslo su9rlitaib a0 (< w\'.VTX ,Iq 91sJI
Aff') . 1^r,r..w ? ...,i j . . , , r o,rL'étude microscopique de ce cerveau a éténfaite sur quelques coupes séulement a car
x9'f : (.inaa 8=fr,nibritsprTnL ,91LQuant;au, système vasculaire du cerveau , il ne nous présente e 9 aucuné altération, p a
31szsq alla ajnahàosta aauoi cf -rrip ,cs;1 Erbmainte région deace, cerveau , 1,'écorce grise, des circonvo- blutions jious
i 2fI0ff'9f9tfB 8f on 's,ir9h . (9n Dé.j à, du , reste; ; suRi deux cerveaux ? d'idiots,' j'avais . observé ' ""i.... , ? JO
B SIIJ2MI1 eb t(UJbJJI2 h.l I ci "ri' , à a 1,1 ·,l ·r ? n. t Le cerveau de Bodanow, quiwient9'd'éire ? déërit;préseilte
9lejventricûle.lâtérâlcomn3uniqùe directement avçq dâc surf ace;dul cerveau ; ' tandis, qu§ , 1 dans m ojLre^cas , jcet, ori-
P^y,aikRrés§n.ter,,à chaque,[centimètre.la'portion mésolobairpl du3 cerveau ,diyisé.e9 tranversalementl : en 7f,trayches ou
nents, pour expliquer l'intrication des fibres dans l'épaisseur du cerveau , n'en restent pas moins debout, ou, dans tous l
rrr.xrrq 'ISnnr,rZCrr 8 ? l tufi'ùa'" b-ililjoi 1» : ai puisque, le cerveau représente une masse irrea-uhere- j)rt;rr'm ',
t scientifique. J'ai en vue la constitution des parties blanches du cerveau et surtout celle de la capsule interne et de la
. , 'r .» ? r : )liriQ H I "il * ? - ! ) .O01<V«rl ! la base du cerveau en trois noyaux : ]4e'nov.'al)u'cbjajuid'é'É,L'
assertions une observation de syphilis constitutionnelle (gommes du cerveau et dufoie) coïncidant avec des altérations de la
ction pathologique. P. K. XVIII. Cas d'induration multiloculaire DU cerveau ACCOMPA- Gobe DE TUMEURS DURES D'UNE NATURE HIS
soudaine et rapide de la substance grise d'une partie quelconque du cerveau ». Cette définition parait mauvaise à Hammond p
lucination. L'hallucination sera appréciée à sa juste valeur par un cerveau sain ; mais si la couche corti- cale est dans u
l'état pathologique de la moelle, toute l'excita- tion arrivera au cerveau : de là une sensation douloureuse extrême et l'
compagnée de prolifération épendy- maire, de la sclérose diffuse du cerveau , des foyers disséminés de sclérose médullaire.
dont la nécropsie démontra une hyperplasie conjonctive diffuse du cerveau et de la moelle (petits foyers dans cette dernièr
ervenk.) Les psychoses aiguës ou les processus pathologiques du z cerveau (tumeurs, encéphalites) peuvent imprimer une évol
d'un homme que l'on traita longtemps pour une affection obscure du cerveau , jusqu'à ce qu'un jour un examen ophthalmoscopi
est faite au moyen de cinq observations, celle de l'hémorrhagie du cerveau repose sur l'examen de six malades. Les chapitr
tion ; 3° Les structures microscopiques des parties spéciales du cerveau . - Physiologie : 1° Le rapport de la localisation
aladies rénales, le goitre exophthalmique et les autres maladies du cerveau . Clinique : 1° Folie à double forme ; 2° L'infl
sini, 621. Centres visuels (études des), par F. Tartuferi, 433. Cerveau d'un assassin, par Broca, 290. Cérébraux (les
es sur laphysiologiedel'), par Otto Bin- wanger, 136. Ecorce du cerveau (conditions de l'excitabilité de l'), parCouty,
veux consécutifs il la), par Olgil- vie Vill, 311. I. Chômes du cerveau , par Ilartdegeu, 583 ; -parKussmaul et)Ieyer ?
Mélanodermie des aliénés, par Blandford, 340. Mélano-sarcome du cerveau par Barette, 464. Méningite (un cas de) céréb
u médian, par Hulke, 333. Strychnine (recherche de la), dans le cerveau , par Grandval et La- jour, 289. Sympatique (a
eur cérébrale avec généralisa- tion, par Morris, 140 ; sarcome du cerveau , par Bristo\ve, 142, Tumeurs intracrâniennes du
ns atrophiées. 676 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE IX Base du cerveau . a, b, c, d, e, circonvolutions atrophiées. E
EXPLICATION DES PLANCHES. 679 9 PLANCHE XII Face inférieure du cerveau . ST, sillon orbitaire transverse. S p, premie
33 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sonnage. Absorbée dans ces lointaines rêveries elle préparait son cerveau graduellement au travail automatique et aux fanta
reux qu'elle craignit pendant plusieurs jours d'avoir une lésion au cerveau . Elle demeura quelque temps abattue, et n'eut j
d'essayer d'établir les rapports qui existent entre le crâne et le cerveau et de déterminer l'influence que le contenant p
a mis en évi- dence : la boîte cranienne à l'état normal permet au cerveau de prendre le développement dont il a besoin. O
i une suture prématurément synostosée s'oppose à la croissance d'un cerveau sain, ce dernier éprouvera quelque gêne, mais m
gré tout, à moins .que toutes les sutures ne soient synostosées, le cerveau pourra acquérir un développe- ment normal. Les
hologie crânienne dans ses rapports avec les états pathologiques du cerveau ». Nous avons présenté des pièces et démontré l
ématurée du crâne est de nature à s'oppo- ser au développement d'un cerveau sain. Le cas doit être rare, car ainsi que nous
pas une hypothèse, et le fait se présente constamment : un petit cerveau s'accompagne d"un petit crâne; tous les cas de
preuve éclatante de l'origine centrale de la microcé- phalie. Le cerveau atrophié ne se dilate pas et par suite ne dilate
on de la pression intracrânienne au niveau de la loge frontale.' Le cerveau de Vey... avait une atrophie double de la parti
pour les cas de microcéphalie l'est égale- ment pour les cas où le cerveau est atteint d'un retard peu prononcé de dévelop
s'explique aisément : plongé dans le liquide céphalo- rachidien le cerveau en raison' de son poids exerce une action direc
terne, d'autre part, sur la paroi dépressible formée par la faux du cerveau et la lame mince recouvrant le tissu spongieux
rtain nombre des phéno- mènes au moyen desquels la partie saine du - cerveau a agrandi sa loge et rendu apparent l'arrêt de
é repoussé vers la partie pos- térieure par suite de l'expansion du cerveau . Voici les angles obtenus : 38 ANATOMIE PATHO
t librement vient combler le vide qui en résulte. Du côté malade le cerveau appuie moins sur la voûte orbitaire, et de plus
s, comme certains cliniciens l'ont dit sans réflexion, parce que le cerveau exerce une action trophique directe sur l'os qu
essus inflam- matoire ayant été localisé à la partie postérieure du cerveau et la région frontale ayant néanmoins un épaiss
les fig, 8, 9 et 10, on voit l'atrophie de la partie antérieure du cerveau ; sur la fig. Il où est représentée la coupe du cr
spé- pérons que l'étude d'une série de crânes ayant recouvert des cerveaux atteints de porencéphalie, pourra apporter quelqu
ns les diamètres craniens et immédiatement il en déduisent que le cerveau est parallèlement modifié. C'est une faute qui de
prononcée chez deux aphasiques. MM. P. Marie et LÈR[ présentent les cerveaux de deux aphasi- ques, l'un moteur, l'autre sens
ogues peuvent s'observer aussi dans diverses lésions anatomiques du cerveau , preuve de quoi peut servir le casde S.-A. SOUK
processus a : .a- logue est observé dans les lésions organiques du cerveau et 3° lorsque la maladie de Korsakoff typique e
Quant à l'existence des vastes modifica- tions anatomiques dans le cerveau , cela ne contredit nullement au diagnostic de l
é des modifications ni du côté de la moelle épinière, ni du côté du cerveau . Et S.-S. Korsakoff cher- chait toujours, lui-m
nerveux périphérique, mais aussi dans le système central et dans le cerveau en particulier. -K. ROTII, A--A- KOR- Furent fa
ur. Il parle pour un autre, il est une pure machine à parler, son cerveau n'est qu'un réflecteur, il est un mannequin animé
iques. P. Ji : EHAVAL. XXX. De la quotité des fibres à myéline d'un cerveau normal et d'un cerveau paralytique; parK. SCII,
XXX. De la quotité des fibres à myéline d'un cerveau normal et d'un cerveau paralytique; parK. SCII,\FFEH. (Neurologisch. Cen
gée d'un petit chalumeau de 10 centi- mètres. On excite l'écorce du cerveau . Quatre zones produiraient un effort de l'accom
'examen et la comparaison fournissent la condition des vaisseaux du cerveau . : Conclusions. - 1° Pendant la copulation, on
a pression générale du sang. 2° On observe une hyperémie marquée du cerveau . 3° L'acte sexuel total est caractérisé par une
ide alternance de contractions et de dila- tations des vaisseaux du cerveau avec chute et élévation de la pression générale
du pénis que l'on observe le maximum de dilatation des vaisseaux du cerveau et le maximum d'hyperémie de cet organe. 5° Apr
a capsule interne et empiétant sur le noyau lenticulaire. Dans le cerveau droit un foyer de dégénérescence secondaire dans
164 sociétés savantes. la jargonaphasie des sourds verbaux. Or, le cerveau frontal est absolument sain. La première et la
amen microscopique des nerfs périphériques, et le ramollissement du cerveau s'est associé après. Cela donne à penser que da
ment sont très nettement perçues, surtout pour ce qui con- cerne le cerveau ; elles sont très utiles au diagnostic et donnent
résultats de l'examen fait au laboratoire du professeur Pierret du cerveau et du cervelet d'une jeune idiote de quatorze a
me avec disparition de la rétite et du cristallin à gauche. Dans le cerveau , les lésions cellu- laires (disparition d'un tr
rification des opinions de Herschen est donc possible même dans des cerveaux atteints d'une lésion généra- lisée. Le cerve
puissance ; 3° le feuillet externe constitue les centres nerveux : cerveau et moelle épinière ; les organes sensoriels et
il faut en rechercher la cause dans la même origine du poumon et du cerveau : le feuillet externe; 5° Chaque sujet nait ave
ait l'époque où les humeurs peccantes refluaient volontiers vers le cerveau et s'y conglutinaient, pour engendrer toutes les
e classiques. 'Foie et reins gras. Rate énorme. Coeur mou et petit. Cerveau 1.220 grammes. Aucune trace de tuberculose méni
d en être quitte. Pas du tout, l'obsession resta implantée dans son cerveau et à mesure que s'écoulaient les heu- res, et q
it à leur juste valeur, toutes les conjectures extravagantes de son cerveau malade. L'angoisse devint excessive. La miction
mettre que ces derniers sont la cause des perceptions enchaînées du cerveau qui évoluent parallèlement à eux, qu'en un mot
apoplexies cipal- laires de l'écorce et de la substance blanche du cerveau , de l'hy- drocéphalie interne, un coeur gras, u
er, aucun ramollisse- ment dans l'écorce ou la substance blanche du cerveau ; nul signe de processus infectieux; base du ce
nce blanche du cerveau ; nul signe de processus infectieux; base du cerveau normale... . P. KERAVAL.. XLIII.1es anomalies
le tableau détaillé. Conclusions. 1. Les vaisseaux de la base du cerveau for- ment deux systèmes, un système antérieur e
dont le développement se conforme au développement embryonnaire du cerveau . Les hémisphères cérébraux avec les ganglions s
braux avec les ganglions sous-corticaux et qui forment à la base du cerveau le cercle de Willis ou, plus exactement, l'hexa
favorables créées de ce fait an rétablissement de la circulation du cerveau .- 41. Les anomalies de vaisseaux du cerveau son
nt de la circulation du cerveau.- 41. Les anomalies de vaisseaux du cerveau sont si intimement liées à la question des REVU
Keraval. XL1V. De l'excitabilité de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'attaque d'épilepsie ; par \ ? P
ticale : à la suite de l'attaque, la pression du sang tombe dans le cerveau , celui-ci est en état d'anémie tandis que l'exc
a question des modifications du caractère à la suite des lésions du cerveau ; par M. Friedmann. {Neurolog. Centralblalt , XX
ineaux chez lesquels l'auteur avait pratiqué piqûres et exérèses du cerveau , il s'en est trouvé deux qui, à la suite d'une
geur diffuse de la pie-mère, mais sans exsudat, et, à la surface du cerveau , une petite cica- trice plate d'une plaie asept
rveau, une petite cica- trice plate d'une plaie aseptique. Mais le* cerveau entier était le siège d'une infiltration lympho
7° On les observe de loin en loin dans les affections organiques du cerveau . Quand il n'existe pas de signes de ces dernièr
nvexité externe autour du noyau de l'oculomoteur externe, quitte le cerveau en décrivant une courbe convexe en arrière et e
onnexions de l'auditif. 1. Immédiatement après être entrées dans le cerveau , les fibres du nerf cochléaire se rendent au no
vertical des deux apophyses mas- toïdes. La lame a pénétré dans le cerveau de 4 centimètres. lien résulte des accidents im
ulus se fassent convenablement, que se déposent dans les parties du cerveau appelées à remplacer la substance nerveuse détr
ues ou amyéliniques. Outre ces éléments fondamentaux de l'écorce du cerveau et du cervelet, il n'est pas rare de voir, surt
aison d'un accès de migraine avec un épuise- ment neurasthénique du cerveau émanait d'énormes soucis,- d'émo- tions, de sur
- d'émo- tions, de surmenage. Cette fois l'agent nocif, trouvant un cerveau remarquablement préparé, a déterminé sur l'écor
ue, comme signe d'af- fection organique des parties essentielles du cerveau et des mé- ninges ; par W.-M. llCHTElOEW. (06oj
ême les processus pathologiques anciens des parties essentielles du cerveau se trahissent par une sensibilité marquée de l'
iacal (solution de Bloch modifiée par Kadyj). Nulle altéra- tion du cerveau , du cervelet, de la moelle, sauf des foyers d'hé-
antérieures de la- moelle. Unverritch attribue l'hémimyoclonus au cerveau . Minkowski, Grawitz, Krewer font de la myoclonie
abilité de l'encéphale, notamment des régions méningo-corticales du cerveau , et, consécutivement, de l'irritabilité ou plut
s, sinon plus, que la répétition de chocs physiques, surtout sur un cerveau prédisposé et en voie de développe- ment et qui
tellectuel. Du reste les causes d'excitation méningo-cor- ticale du cerveau sont relativement faibles lorsque l'on impose l
rvée chez un enfant de cinq ans LXXI. De l'influence de l'écorce du cerveau et des ganglions sons corticaux sur la contract
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 395 dans le texte), l'auteur excite le cerveau . Il s'agit de lapines mul- tipares, à matrice d
ives aux formes convulsives en rapport avec les diverses parties du cerveau , permettent d'exprimer l'opinion que voici. O
oche, émané des centres olfactifs, optiques, auditifs, sensitifs du cerveau , est un faisceau primaire moteur rayonnant. P.
ccrois- sement total plus rapidement que l'encéphale et même que le cerveau . Il septuple pendant la vie extra-utérine son p
urs delà vie son chiffre pondéral relatif. III. Le poids moyen du cerveau des garçons l'emporte en tout temps sur celui d
ntation corres- pondante du poids total de l'encéphale. Le poids du cerveau est aussi très variable suivant les individus d
l'encéphale que de 1,6 p. 100 atteint 2 p. 100, le poids relatif du cerveau proprement dit diminue; il représentait au début
ue tubéreuse. 4° L'idiotie consécutive aux lésions circonscrites du cerveau (par encéphalite, hémorragies traumatiques, ble
du cerveau (par encéphalite, hémorragies traumatiques, blessures du cerveau , en- dartérites syphilitiques, embolies, tumeur
aspect embryonnaire des circonvolutions, microgyrie), dans certains cerveaux rappelant ceux des singes ou des carnivores. 1
xamen de l'état du réflexe du fascia lata dans 12 cas de lésions du cerveau ou des méninges, les auteurs déclarent n'avoir
réflexe du fascia lata était aboli dans deux cas de compression du cerveau sans altération de l'écorce, et, dans un autre,
pas impossible qu'à la paralysie générale frappant uniquement le cerveau , vienne s'associer le tabes proprement dit. Cette
l'axe cérébro-spinal; dans le second cas, la paralysie générale du cerveau est purement et simplement associée au tabes cl
encore pour distinguer la syphilis cérébrale des autres maladies du cerveau et de la moelle (à l'exception du tabes), pour
ins favorables dans l'hydrocéphalie, les méningites, les tumeurs du cerveau . Les dangers de la ponction lombaire ne sont pa
ction caractérisée par l'en- semble symptomatique dû aux tumeurs du cerveau , avec évolu- tion subaiguë ou chronique, stase
mort. Autopsie néga- tive au point de vue des organes autres que le cerveau , qui présen- tait des lésions des cellules gang
à l'abstinence. Le bétel n'a point d'action sur le corps ni sur le cerveau . ' Sur 370 indigènes aliénés, il n'a pas trouvé
uide céphalo-rachidien contenu dans lès ventricules latéraux de 125 cerveaux d'aliénés, l'auteur a constaté que la capacité
dans la démence paralytique. Associée à une diminution de poids du cerveau , cette ampliation des ventri- cules latéraux co
. Une grande quantité de liquide s'écoule lors de l'enlèvement du cerveau ; une certaine quantité s'écoule encore à l'incisi
açon générale. Glande pituitaire, un peu grosse et un peu dure. - Cerveau . - A l'examen du cerveau, ce qui frappe immédiate
uitaire, un peu grosse et un peu dure. - Cerveau. - A l'examen du cerveau , ce qui frappe immédiate- ment, c'est l'atrophi
lleux, sur laquelle nous reviendrons. sclérose atrophique CROISÉE : cerveau ET CERVELET. 475 a. L'affaiblissement de l'inte
gnalé par Roecke, mais la réaction paraît moins intense que dans le cerveau et se montre surtout au voisinage de la couche
tendue correspondant à l'emplacement des aires osseuses poreuses. Cerveau . Vu en place, l'asymétrie des hémisphères céré-
apparente. Une disproportion anormale était aussi évidente entre le cerveau et le cervelet, le dernier étant gros à l'excès
logique de tels cas est fascinant pour ceux qu'intéresse l'étude du cerveau comme organe de l'esprit. Il "est satisfaisant
permettant de différencier par les seules lésions histologiques du cerveau , certains types anato- miques différents rattac
n'est pas une explication. R. C. CIV. Une observation d'abcès du cerveau ; par IIermonC. Goiidinier (Amez·icun Journzal
ence et du caractère qui peuvent résulter des maladies du nez et du cerveau ; par M. Noyer (Société d'anthropologie de Lyon,
te (pneumonie où broncho-pneumonie). A l'autopsie, on constate au cerveau l'existence de lacunes de désintégration, siége
font jouer un rôle exclusif aux lésions lacunaires et centrales du cerveau . Ils pensent que le syndrome parésie spasmodique
et transverses profonds, donnant à l'aspect de l'organe celui d'un cerveau en réduction : pas de lésions muscu- laires. R.
me, d'une lésion thyroïdienne primitive retentissant ensuite sur le cerveau et la trophicité générale. 2° Pour le trophoedè
ntermédiaires entre celles du tabes vrai et du pseudo-tabes Dans le cerveau comme dans la moelle, abondance de prlasmazelle
ï- 439. 4 planches). Altérations cellulaires distribuer à tout le cerveau , mais surtout marquées au niveau de la première
part de nos névropathes, il y a désé- qnilibre fonctionnel entre le cerveau et la moelle épinière. Le sommeil normal rétabl
iculier d' guéii i par la suggestion, par Stembo,881. Abcès. Voir Cerveau . Accidents bllbaiues. D'origine au- l'lculalr
à la ques- tion des modifications du - à la suite des lésions du cerveau , par Fiiedmann, 325. Catalepsie symptomatique
zky. 156. Certificats d'aliénation. Secretpro- fessionnel, 442. Cerveau . Voir Caractère. Une ob- servation d'abcès du ,
ques. 1 Excitabilité. De l'- de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'attaque d'épilepsie. par Ossi
ngitudinal. Voir Reil. Fibres. De la quotité des à myé- line d'un cerveau normal et d'un cerveau paralytique, par Schaffe
Fibres. De la quotité des à myé- line d'un cerveau normal et d'un cerveau paralytique, par Schaffer, 155 Contribution à l
elligence et du caractère qui peuvent résulter des - du nez et du cerveau , par Royet, 491. Voir Recl,linghausen. - bleue
- , nouveau signe de dégénéres- cence, par Gudden, 334. - Voir Cerveau . u'ISSI. Que sont les corpuscules de - ? par
comme signe d'affection organi- que des parties essentielles du cerveau et des méninges, par Bechterew, 350. Sexe. In
34 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
on Carl Wernicke. Leipzig, 1895. xiv 1 2 JOUKOWSKY tologique du cerveau dans les cas d'hémianopsie, ne se rencontre pas
c'est sous sa direction, que je faisais l'examen histolo- gique des cerveaux . l°r Cas. - Un vieillard, qui pendant son séjou
e cas de Drexler, qui cons- tata un processus inflammatoire dans le cerveau d'un chien à côté d'une poliomyélite. Mais dans
LA TOURETTE) CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES KYSTES PARASITAIRES DU CERVEAU CAUSÉS PAR LE CYSTIQUE DU TENIA ECHINOCOCCUS
pas à son travail. A l'autopsie, la calotte crânienne enlevée, le cerveau ne présente pas de dé- formation apparente, mai
conographie DE la SALl'ÊTRILRE T. 11 . hI. 1 KYSTES PARASITAIRES DU CERVEAU causes par le cystique du Ténia cchinococcus.
11\\1'1111'- Ill' r ? )¡]Jdv¡1 pt '\> ? ) KYSTES parasitaires DU cerveau 2t 1 L'examen microscopique de la substance cér
ons rien trouvé d'anormal. Si les cas de kystes à échinocoques du cerveau rapportés dans la science ne sont pas rares, le
Panoroli décrit des vésicules remplies de liquide siégeant dans le cerveau et dont la nature parasitaire ne lui semble pas d
es artères temporales. Lancisi (1709) rapporte des cas de kystes du cerveau ; Bianchi (1749) signale dans l'encéphale des v
s se multiplient. Le degré de fréquence des tumeurs parasitaires du cerveau par rapport à celles de même nature des autres
tes hydatiques de différentes ré- gions, admet qu'on trouve dans le cerveau une proportion de 4 0/0. Da- vaine sur 376 cas
rtion de 4 0/0. Da- vaine sur 376 cas n'en rencontre que 22 dans le cerveau , Cobbold 16 fois sur 136 cas, Neisser 68 fois d
térations variées, notamment la pigmentation KYSTES PARASITAIRES DU CERVEAU 23 du rostre et Grasset insiste aussi sur la di
ysti- cerques, il faut savoir d'autre part que l'on trouve dans, le cerveau tant de l'hommequedes animaux, en dehors de cas
arité permet de distinguer l'échinocoque du coenure qui vit dans le cerveau du mouton (1) ; ici le bourgeonnement se produi
hinocoque semble différer tota- lement des autres cestodes, dans le cerveau , réduit à l'état de vésicule unique, il se rapp
cules multiples et pluriloculaires sont en effet plus rares dans le cerveau . Lan- douzy en a cependant rapporté un exemple
rs parasites qui se sont développés à côté l'un de l'autre. Dans un cerveau d'enfant Rabot a trouvé 4 kystes dont le plus vol
t niée par la plupart des helminthologistes. KYSTES PARASITAIRES DU CERVEAU 25 Nous pensons que le fait admis parles auteur
e il emprunte un ou plusieurs des modes de réaction par lesquels le cerveau peut manifester sa souffrance, céphalée, vertig
par Ililton Fagge (environ 40 ans) ; on a vu des cas d'hydatides du cerveau évoluant en 10 ans (Har- rington). On observe s
i que Szczy- piorski parle d'une éruption dans un cas d'hydatide du cerveau . Gries- nard signale une éruption qu'il rattach
l'évolution d'un kyste du crâne. Rabot relatant un cas de kyste du cerveau parle d'une éruption indéterminée, son malade a
er à une intoxication éventuelle plus grave. KYSTES PARASITAIRES DU CERVEAU 27 Clémenceau a cité un cas unique dans la scie
a vie sur la paroi-crânienne d'un enfant mort de kvste hydatique du cerveau percevait, lorsqu'on faisait parler le malade,
, d'en observer d'assez volumineux, logés dans la substance même du cerveau laissant celui-ci intact et ne donnant lieu à auc
morbide. Grasset, cite un cas analogue. Sur 56 cas d'hydati- des du cerveau signalés dans la thèse de Clémenceau, 20 fois les
ait en effet rare de trouver, con- jointement avec des hydatides de cerveau , des hydatides dans d'autres or- ganes et Kuche
dans d'autres or- ganes et Kuchenmeister sur 88 cas d'hydatides du cerveau n'en a trouvé que 11 fois dans d'autres régions
les individus qui -vivent le plus en contai KYSTES PARASITAIRES DU CERVEAU 29 avec cet animal. D'autre part la migration d
nlos et Livois rapportent un certain nombre de kystes hydatiques du cerveau dont l'évolution semble consé- cutive à un trau
thèse,rapporte 16 cas d'ouverture du crâne pour kyste hydatique du cerveau , il y eut 9 morts et 7 guérisons ou amende- men
méd., XI, p. 45, 1856. P. E. M. Clésiexceaux. - Des entozoaires du cerveau humain. Thèse de Paris, 1871. SEVESTHE. Société
Urticaire hydatique. Th. Paris, 1884. RABOT. - Kystes hydaliques du cerveau . Bulletin médical, IV, 1890. SZCZ1, PIOHS¡U Des
lozoaires de l'encéphale. Paris, 1890. DucAMp. - Kyste hydatique du cerveau , paralysie alterne. Progrès méd., 2, XIV, i 189
rne. Progrès méd., 2, XIV, i 1891. : L013ET. - Kyste hydatique du cerveau , résection temporaire et étendue de la voûte cr
de chirurgie, 1892. GUERINEAU. - Étude sur les kystes hydatiques du cerveau . Thèse de Paris, 1893. ROCHE. - Quelques locali
rares de l'échinocoque. Thèse de Lyon, 1897. KYSTES PARASITAIRES DU CERVEAU 31 J. E. Estevens. - Kyste hydatique du lobe fr
mars 1900. Riche et de Gothahd. - Deux cas de kyste parasitaire du cerveau dus au ténia echi- nococcus. Bull. de la Sociét
d'une vive congestion. Dans l'intestin on compte 46 ascarides. Le cerveau présente disséminées au niveau des deux hémisphèr
ules ca- séeux. La pie-mère n'est épaissie en aucun endroit. Le cerveau est mis à durcir dans une solution de formol à
formol à 10 pour 100. Au bout de quelques jours, nous étudions le cerveau de plus près et pratiquons quelques coupes. L
nche artérielle. Les vésicules sont transparentes à la 1 surface du cerveau et sur une coupe qui leur est tangentielle où ell
yste est fibreuse, plus jeune à la périphérie, dans le voisinage du cerveau où elle est très riche en cellules et renferme de
cerne une jeune fille de 17 ans chez qui a évo- lué une ladrerie du cerveau caractérisée par de la céphalée, de la somno- l
ngen et de Dresde, sur 34 cas, 21 fois ils se rencontraient dans le cerveau . Sur 72 ob- servations réunies par Dressel, 66
que les cysticerques sont géné- 1 ralement en petit nombre dans le cerveau : 15 dans l'observation de Troi- sier. Par cont
on des cysticerques est la partie périphérique des hémisphè- res du cerveau , nos kystes, à de très rares exceptions près, éta
es exceptions près, étaient i disséminés dans la substance grise du cerveau . C'est là un fai qu'on trouve ¡ absolument conc
ues. Ceux-ci se développent toujours, dans les parties centrales du cerveau . Quant aux rapports,avec les vaisseaux, de ces
oit par deux ou davantage aux parois vascit- laires. En dehors du cerveau , quelques parasites se sont trouvés chez notre
festation de l'organisme et de la pénétration des parasites dans le cerveau . Il est des notions établies. Il faut que les o
icercose ? Il nous semble que les cysticerques sont tous arrivés au cerveau par voie embolique. Un anneau venu de dehors a ét
etite circulation dans la grande, et enfin ont été projetés dans le cerveau parla carotide. Il y a donc eu pénétration par
nt par la même voie, ne se logent que dans les parties centrales du cerveau . Peut-être l'embryon hexacante du toenia, une foi
u. Peut-être l'embryon hexacante du toenia, une fois arrivé dans le cerveau se meut-il, grâce à ses crochets, et chemine-t-il
i dans le détail de l'évolution habituelle des cysticerques dans le cerveau . ' Constitué d'abord par une simple vésicule à
n'avait fait soupçonner pendant la vie l'existence de cysticerques du cerveau constatés à l'autopsie. Il n'y aurait pas de sy
ici comme prisonnier et puis on m'a placé comme aliéné; mon pauvre cerveau travaillait tant que j'ai été fou, maintenant je
ce des phénomènes d'excitation corticale dans le cas d'hydatides du cerveau a été signalée par Griesinger, Leubuscher, Frie
ellement, ainsi qu'on le constate habituellement dans les kystes du cerveau . Leur localisation dans chaque hémisphère, sans
traîner d'accident grave et la mort ne leur est pas im- putable. Le cerveau , ainsi que dans plusieurs cas de Kuchenmeister, é
bilan des superstitions et des rêves plus ou moins insensés que le cerveau de l'homme a produits dans le cours des siècles
même, c'est là une opération d'esprit dont seuls sont capables, des cerveaux spéciale- ment doués. Ce que la science moderne
ocalisée à la plèvre gauche et au péritoine pa- riétal gauche. Le cerveau ne montre pas d'autres lésions qu'un peu d'oedème
d'ouverture de la colonne vertébrale dans sa partie inférieure. Le cerveau est bien déve- loppé, mais le cervelet est chan
considé- rations sur l'histopathologie des tumeurs endothéliales du cerveau , et proposer, pour expliquer la physiologie pat
tement résignée. Le malade, en- tièrement perdu dans la nuit de son cerveau visuel et psychique, semble, lors- qu'on l'appe
eloppe méningée, ne présente rien de par- ticulier. A l'ablation du cerveau , se révèle, à la base de la partie antérieure de
criteà sa périphérie, qui déborde en bas et en dehors les limites du cerveau . La masse néoplasique est encastrée dans une pr
end depuis Une ligne correspondant au grand diamètre transversal du cerveau , jusqu'à un point si- tué en avant, à trois cen
s- sée en haut et en arrière, elle est remplacée, dans le profil du cerveau , par la saillie irrégulièrement sphéroldale de
coup les dimensions, le volume et le poids. Vu par sa convexité, le cerveau présente, en effet, une asymétrie manifeste au
cérébra- les, on l'énuclée de la loge qu'elle s'est creusée dans le cerveau , et on constate ainsi qu'elle est reliée à la c
es est le suivant : Poids de l'encéphale : 1440 grammes. Poids du cerveau (avec la tumeur) : 1380 grammes. Poids de l'hém
te, du même côté, est légèrement refoulée à droite. A l'incision du cerveau , sur des coupes sagittales, dilatation des cavité
s par cette origine. Etude de l'écorce. - Sur les grandes coupes du cerveau , à l'oeil nu, il est déjà très facile de consta
ne fente linéaire. Cet aspect se retrouve sur toute la surface du cerveau , tant du côté de la tumeur que du côté opposé.
s par- ticularités. Les lésions sont étendues à toute la surface du cerveau , et si quelques cellules ont gardé leur aspect
droit de conclure à la cause réelle des lésions. Dans notre cas,le cerveau était soumis à une forte com- pression, mais l'
1) NRncAVeR, Lésions histologiques de l'écorce dans la compression du cerveau , Deutsche Zeitsch. sur Nervenheilkunde, 1896.
xaminé à plusieurs étages était ab- solument normal. Les lésions du cerveau ressemblent d'une façon indénia- ble à celles q
ismes du crâne, avec enfoncement d'une por- tion de la voûte sur le cerveau , guérissant malgré une forte compression évi- d
de méd. et de chir. pratiques, t. 15, p. 19. (2) Cu. RICIIET, Art. Cerveau , chapitre Compression, p. 719. Dictionnaire de ph
es). A l'appui de cette thèse de l'influence toxique exercée sur le cerveau par les tumeurs cérébrales, on peut invoquer ce
ce d'organisme supplémentaire, une sorte de parasite, greffé sur le cerveau . Intimement reliés l'un à l'autre par la communau
itive, assujettis enfin aux mêmes conditions locales demi- lieu, le cerveau et la tumeur, l'organisme normal et l'organisme p
uits d'excrétion à tra- vers les réseaux lymphatiques et veineux du cerveau n'eût quelque reten- tissement sur la nutrition
tissement sur la nutrition de cet organe. On sait d'ailleurs que le cerveau , et la substance grise, en particulier, représe
, par son siège et ses rapports, le néoplasme remplit, vis-à-vis du cerveau , les conditions anatomiques les meilleures pour
meur, et on a vu que, tout au contraire, les régions antérieures du cerveau étaient peut-être plus profondément touchées qu
seulement à la localisation des lésions, mais aussi à l'action sur le cerveau des toxines sécrétées par les kystes hydatiques
tique, recourir à l'hypothèse d'une action toxique exer- cée sur le cerveau par les produits issus des kystes. La longue pé-
ante gravité des accidents engendrés par les kystes - hydatiques du cerveau ne peuvent guère s'accorder avec l'action pathogé
continue de la compression que ces tumeurs devaient exercer sur le cerveau : au contraire, l'histoire clinique de ces kystes
aralysie et hallucinations de Vouïe, due à des kysles hydatiques du cerveau . -Soc. de neurologie de Paris, 10 janvier 1901.
res, très analogues à celles qui caractérisent l'histopatholoaie du cerveau toxi- infectieux. Sans revenir sur la descripti
çait une compres- sion sur les parties voisines. Les ventricules du cerveau présentent une dilata- tion très marquée. ' L
Mort dans le coma avec forte élévation de température. Autopsie. Cerveau . - La dure-mère est adhérente au niveau du lobe p
es jambes. 2 mars. - Mort du malade à li. 1/2 du soir. Autopsie Cerveau : la dure-mère ne présente rien d'auormal. Le cer
r. Autopsie Cerveau : la dure-mère ne présente rien d'auormal. Le cerveau est d'une di- HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 377
ns -déjà dit, les seuls jusqu'à présent. Dans le cas de Nonne, le cerveau était diminué de volume et son poids était 1020
et du bulbe n'est pas mentionné. Miura dans son cas remarque que le cerveau était plus petit. Le cervelet petit et aplati,
'étude psycho-physiologique des actes vitaux en l'absence totale du cerveau chez un enfant. Comptes rendus des séances de l'A
constitution histologique de la rétine en l'absence congénitale du cerveau . Comptes rendus, 29 juillet 1901. (2) Jules SOU
semble prouver l'étroite relation de ces parties bulbaires avec le cerveau ou le cervelet. Car elles n'ont pas été détruites
que leur formation et leur développement sont sous la dépendance du cerveau ou du cervelet. Les rapprochements que l'on peu
la paroi ive prouve la corrélation intime de ces formations avec le cerveau et le cervelet. Nos connaissances analomo-physi
paru de prime abord et avant l'autopsie complètement dé- pourvu de cerveau , précisément à cause de l'existence de cette vie
ement accu- sée. Les ovaires ne pèsent que 2 grammes ensemble. Le cerveau , le cervelet, la protubérance et le bulbe ne prés
présente, non plus, rien à signaler. Elle est enlevée ainsi que le cerveau . Nous prélevons aussi le nerf tibial antérieur
ésions de la moelle (très marquées lorsqu'on la compare à l'état du cerveau ) sont purement d'ordre vas- culaire. C'est une
par ses artères, tandis 426 ' HUDELO ET HEITZ que, les artères du cerveau étant restées saines, celui-ci se trouve absolume
ères des membres. Les vaisseaux de l'encéphale, des os du crâne, du cerveau , du corps pituitaire étaient sains ; par contre
ut expliquer ainsi facilement l'intégrité du corps pituitaire et du cerveau . Avant d'aller plus loin, voyons si les observa
ns kystiques ; les artères encéphaliques épaissies, la pie- mère du cerveau et de la moelle épaissie et semée de plaques calc
us est personnel, l'intégrité des ar- tères du corps pituitaire, du cerveau et des os du crâne, si l'on se rappelle e que c
idérable de la circulation dans la carotide et d'une stimulation du cerveau . C'est un fait qui ne surprendra pas, car le tr
du genou, tranchent par leur intégrité avec les lésions des (1) Le cerveau et la moelle ont été recueillis et seront l'objet
ar E. Rapin (2 pl. eu photocollogr.), 413. Kystes parasitaires du cerveau causés par le cystique du tmnza echinococcus, p
xie et hallu- cinations de l'ouïe, due à des kysles hydatiques du cerveau , par PAUL SE- RIçUX et ROGER Mignot (4 fig.), 3
.), 49. GOTIIARD (de), MOUSSEAUX et Riche. Kystes parasitaires du cerveau (1 pl. en photo- collogr.), 19. Heitz (Jean).
alexie et hallucinations de l'ouïe due à des kystes hydatiques du cerveau (4 fig.), 39. MOUSSEAUX, DE GOTHARD et Riche. K
g.), 39. MOUSSEAUX, DE GOTHARD et Riche. Kys- tes parasitaires du cerveau (1 pl. en photocollogr.), 19. Rapin E. Sur un
ogr.), 473. Riche, mousseux et DE GOTHARD. Kystes parasitaires du cerveau (1 pl. en photo- collogr.), 19. Sabrazès J. e
ie et hallucina- tions de l'ouïe due à des kystes hydati- ques du cerveau (4 fig.), 39. SoLovTzoFF.Les difformités du sys
phie des membres (E.BApiri),XLII et XLIII. Kystes parasitaires du cerveau (vousseaux, de Gothard et Riche), I.. Macroda
35 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ations que subissent ces formes quand la lésion siège au-dessous du cerveau , dans les pédoncules cérébraux, la protubérance o
ous permettront de le com- prendre facilement. Si l'on examine un cerveau on voit émerger successivement d'avant en arriè
uelques notions d'anatomie relatives à la circulation de la base du cerveau . La partie postérieure de l'hexagone do Willis
re à la moelle allongée, aux centres inférieurs et aux ganglions du cerveau , et s'il est, peut-être, permis de se placer au
t la présence d'un corps dur, tout à fait caché dans l'épaisseur du cerveau , et qui, d'après la sensation du toucher, devait
es coupées autour de cette région furent conservées adhé- rentes au cerveau . Après avoir durci l'encéphale dans le liquide
s points les plus obscurs et les plus discutés de la physiologie du cerveau , la détermination des centres corticaux de la s
de ses belles expériences, soutient que la zone excitable de notre cerveau est constituée, à la fois, par des éléments ess
même pas, par celle des dernières. (1) Jules Soonr, Les fondions du cerveau , p. 211. 28 11AGALIIAS LEMOS Tous ces faits s
trice. Ils admettent cependant que « les localités de la surface du cerveau dont la lésion produit d'une part la paralysie mo
it absolument limitée à ce lobule et toutes les autres par- ties du cerveau étaient intactes. Excepté le cas de M. Landouzy
ou plusieurs foyers scléreux étaient dis- séminés dans l'écorce du cerveau . Ces cas sont de ceux qu'une critique rigoureus
chan- gement-dynamico-moléculaire paroxystique qui s'opère dans le cerveau , a pris une importance considérable sous le poi
e et les convul- sions ? 2 Nos connaissances sur les fonctions du cerveau rendent inadmissible l'hypothèse d'une coïncide
n qu'il s'agit d'une lésioii épi- (i) Jules SouRy, Les fonctions du cerveau , p. 294. DE L'ÉPILEPSIE SYMPTOMATIQUE DES NÉOPL
isphères. xi 4 50 G. GASNE * * * A l'ancienne conception du^ cerveau , centre confus de la pensée et de la motilité v
ence et pendant quelque temps on vécut sur le schéma très simple du cerveau intellectuel, moteur et sen- sitif. Mais de t
oriels étant les premiers à se couvrir de myéline for- ment dans le cerveau du foetus ou du nouveau-né des ilôts distincts. M
premier mois de l'existence les impressions diverses arri- vent au cerveau de l'enfant et sont réfléchies ne pouvant être co
du développement, l'apparition successive d'ilots myélines dans le cerveau du foetus et de l'enfant qui a permis de faire la
urulent. La muqueuse, très injectée, est épaissie également. - Le cerveau n'est le siège d'aucune lésion en foyer, ni au ni
fixée et durcie dans le formol à 10 0/0 ainsi que des fragments du cerveau , et des différents organes. Nous insisterons peu
inés dans le labyrinthe et dans les pyramides. Sur. les coupes du cerveau on note de l'épaississement de la pie-mère, de la
scoliose, une fois le canal rachidien ouvert, est très peu marquée. Cerveau . Configuration extérieure et aspect normaux. Pas
vista clinica de Bologne, 1884. SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU DANS LEURS RAPPORTS AVEC L'ÉTAT DES CELLULES
son des Enfants Trouvés à Moscou. Les difformités congénitales du cerveau sont très variées. Sous l'in- fluence des cause
conception, soit pendant sa vie embryonnaire, le déve- loppement du cerveau peut être vicié. Alors apparaissent des anomalies
ou moins vite après la naissance, il existe encore des anomalies de cerveau , qui ne sont pas accompagnées de difformités exté
vancé, vers 10 ou 12 ans ; dans ces cas l'arrêt du développement du cerveau , et par conséquent de l'activité psychique, pré
nfant ne peut presque pas vivre. Il s'agit ici des modifications du cerveau , si profondes qu'il est souvent impossible de r
u, si profondes qu'il est souvent impossible de reconnaître pour un cerveau la masse informe que renferme le crâne. Les d
ceptionnels, peuvent cependant vivre 2 ou 3 jours; ils n'ont pas de cerveau , c'est pourquoi on leur donne aussi le nom de a
ais la scission se propage aussi à la colonne vertébrale : alors le cerveau manque et la moelle épinière de même. Une cause
fait opposée peut encore provoquer des difformités très accusées du cerveau , c'est lorsque les os crâniens se sont soudés pen
ion d'un liquide dans un sac complètement fermé situé au-dessous du cerveau , dans la base du crâne, ce qui fit expliquer ce
hémisphères. (Ph. \Vlaciewsky ) SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 187 pariétal et l'os occipital, 4 centimètres,
disposée dans la fosse crânienne médiane. (PL XXIII, A.) Lorsque le cerveau fut enlevé on vit la moelle allongée, le cervelet
tte membrane recouvrait dans la fosse crânienne médiane un reste de cerveau et, dans la fosse postérieure, elle adhérait à la
velet, cachant sous elle le cervelet. À l'examen plus détaillé du cerveau on constata ce qui suit : la moelle allongée, l
he on observe aussi un reste de SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 1S9 substance cérébrale, mais il est plus petit
sque rien resté des hémisphères ; seule- ment, dans le le'' cas, le cerveau était un peu plus développé que dans les deux a
ait un peu plus développé que dans les deux autres. Au-dessus de ce cerveau peu développé s'accumula un liquide dans un sac
ânienne et une partie de la base, passaient immédiate- ment dans le cerveau : c'est dans ce sac que s'amassa le liquide. Une
amassa le liquide. Une telle accumulation du liquide au-dessus d'un cerveau peu développé fit con- sidérer ces cas comme un
é fit con- sidérer ces cas comme une hydropisie de la dure-mère, le cerveau n'eut pas de place pour son développement et ai
un d'eux irait recouvrir la voûte crânienne, et l'autre le reste du cerveau situé'sur la base du crâne; mais alors on n'aurai
ns nos cas et le liquide s'accumula sous la dure-mère au-dessous du cerveau , et non entre les deux feuillets de la dure-mèr
phalie interne. II y a longtemps que de semblables monstruosités du cerveau ont été publiées dans la littérature médicale.
et se propageaient aux autres membres. A l'examen microscopique du cerveau , on constata un manque pres- que complet de fai
pyramides, (Ph. Salachnikoff.) C. - Cnc 1 Coupe faite au niveau du cerveau rudimentaire. 3me ventricule. Couches optiques
le interne. (Ph. Salachnikoff.) SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 191 quelquefois on pouvait voir d'un côté une s
mais se trouve plus prés de la partie ventrale. En s'approchant du cerveau , le seul changement* qu'on obsene encore dans l
us remar- quables, car c'est dans ces cas qu'il y avait le moins de cerveau ; dans le 1er cas le fait est moins marqué, mai
absentes aussi les voies motrices de la moelle épinière qui vontdu cerveau vers les cellules motrices delà moelle épinière
privées du stimulus principal de développement que leur donnait le cerveau ,se sont FiG. 5. - Cellule de la corne antérieur
un côté du noyau (Fig. 7), puis SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 195 d'un autre, enfin toute la cellule apparaît
cuoles et grains de chromatine. SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 197 la vie intra-utérine toutes les cellules de
qu'elles ne recevaient pas l'impulsion indispensable de la part du cerveau (puisque ce dernier manquait presque totalement),
à la deuxième moitié de leur vi'e intra-utérine. À cette époque le cerveau est cependant déjà assez bien développé. Mais ici
veau est cependant déjà assez bien développé. Mais ici quoi- que le cerveau soit déjà assez bien développé, les cellules motr
s durant la première moitié de leur vie intra-utérine, l'absence du cerveau priva les cellules motrices de la moelle épinière
pour leur développement; de même chez l'embryon de7mois, quoique le cerveau soit déjà assez bien développé, il n'a pas encore
ant l'aspect d'un réseau (spongio- plasme). 2° Les difformités du cerveau sont accompagnées d'une absence des hémisphères
d'accroissement, telle qu'une tumeur, s'est formée à la surface du cerveau . Quel que soit le siège de cette tumeur, il en
ur effet de diminuer l'hydrocéphalie et, partant, de décomprimer le cerveau , puisse procurer une atténuation considérable d
procède ou non de synostoses prématurées du crâne, si l'atrophie du cerveau chez le microcéphale est primitive ou secon- da
n'existent pas ; quel- ques-unes seulement sont à l'état d'ébauche. Cerveau lisse. Seuls, les couches optiques et les corps
hale pèse 124 grammes (au lieu du poids nor- mal, 547 grammes) ; le cerveau proprement dit ne pèse que 47 grammes, au lieu
9 Observation (M. le Dr ANGEL l10';EY). - Le Dr A.Money présente le cerveau d'un enfant microcéphale, hérédo-syphilitique s
le ventricule droit et sous la pie-mère de l'hémisphère gauche. Le cerveau pesait quatre onces (= 113 grammes). La tête
transversal, contre 7 millimètres et 4 millimètres. Ce ? ,veau.- Le cerveau , durci dans le formol à 10 0/0, est étudié macros
iiistologique. Il a porté sur les nerfs, les muscles, la moelle, le cerveau . Des dissociations sont faites après séjour de
ous l'admettons avec réserve, car l'asymétrie est constante dans le cerveau humain. Cependant l'examen histologique des cir
s imaginaires, incluses, croyait-on, dans le crâne des individus au cerveau plus ou moins déséquilibré. L'interprétation ne d
ans le volume respectif des nerfs crâniens et des deux moi- tiés du cerveau et du cervelet. La peau du visage n'a pas été exa
e rapporter antérieurement trois cas de difformités congénitales du cerveau (2). Dans ces trois cas, le tableau ana- tomo-p
ique était analogue. Malgré une monstruosité très considé- rable du cerveau , ou plus exactement malgré l'absence totale des h
e seulement de la fosse crânienne médiane, existait une parcelle de cerveau , comparable par sa forme et sa grosseur à un oe
nier. Au sujet de la cause qui avait provoqué une telle anomalie de cerveau nous avons déjà dit qu'il s'agissait assuré- me
s ventricules- doit, sans doute, influer sur les parties avoisinant cerveau , et c'est l'écorce cérébrale qui s'atrophie d'abo
intéressantes dans les ganglions céré- braux centraux. La partie du cerveau attenante à ces derniers est déviée sur le côté
cule remplie de liquide, où il n'est resté qu'une faible portion de cerveau . En ce qui concerne le cervelet on- peut voir q
imensions, ni quant à son aspect exté- rieur. Lorsqu'on enleva le cerveau , on trouva deux couches, desquelles par- tait u
de la base. Alors la membrane se redresse, montrant les contours du cerveau ; on reconnaît (Pl. XL,C) la moelle allongée et
. Base du crâne recouverte d'une fine membrane transparente (reste du cerveau ). Dans la fosse médiane on voit les couches opt
e examinée dans l'eau. La membrane prend exactement les contours du cerveau . D. - Cas IL Encéphale : moelle allongée, cerve
ez les embryons ^humains, ne sont autre chose qu'un prolongement du cerveau : l'hydrocéphalie des ven- tricules a dû envahi
lfactives, qui partent des bul- bes en grande quantité. Bien que le cerveau manquait chez l'enfant en question, ce dernier
ée) on observe deux couches, derrière lesquelles on voit la face du cerveau coupée en deux, auprès d'elle est situé un peti
nne alors avec le reste des couches optiques. Et quand on enlève le cerveau on ne trouve plus que le tronc cérébral recouve
t que dans la fosse crânienne médiane que l'on découvre un reste de cerveau ayant l'as- pect de deux couches, recouverles d
râne. Elle est au contraire aplatie et fortement soudée au reste du cerveau ; on en voit la preuve dans ces faisceaux fibre
des causes les plus fréquentes des monstruosi tés congé- nitales du cerveau , c'est l'hydrocéphalie congénitale interne. Les m
uées par celte lésion sont caractérisées parce fait que, de tout le cerveau , il ne reste que le tronc cérébral, et le cervele
DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL 373 vrit un cerveau d'un aspect tout à fait anormal (PI.Xú,D). La moe
raux est tout à fait isolé, et n'est lié avec les autres parties du cerveau que par l'intermédiaire des vaisseaux seulement
que par l'intermédiaire des vaisseaux seulement. La difformité du cerveau la plus marquée comprend les cas où l'on cons-
comme coupée et derrière elle se trouvent les os. Il n'y a point de cerveau ; à sa place est une membrane, qui recouvre les
'a que la moitié de la tête (PI. XLI,I), la calotte crânienne et le cerveau manquent ; il ne reste plus que les os de la base
n canal vertébral incomplètement fendu, mais avec absence totale de cerveau , nous citerons le cas suivant : Cas VI. Ici, la
truosité est énorme, car outre l'absence de calotte crânienne et de cerveau , le monstre en question ne possède qu'un seul oei
s (Cas III- VI), accompagnées d'absence de la voûte crânienne et du cerveau avec fissure de la colonne vertébrale sur une l
viennent au monde les enfants privés de voûte crânienne et même de cerveau . Si ce processus morbide s'étend aussi au canal
us venons de 376 NICOLAS SOLOVTZOFF parler ; chez ces derniers le cerveau tout entier, et même chez l'un d'eux toute la m
ès fine, revêtant la surface interne du crâne (PI. XI, A, IL C). Le cerveau se réduit au tronc cérébral. 2° Enfant âgé de
deux enfants (PI. XLIII,P). Au-dessus, l'aspect reste le même : Le cerveau est développé régulièrement, mais les pyramides m
llodion apparaît très nettement. Passant de nouveau à l'examen du cerveau , nous noterons que, outre l'absence des pyramid
nce de fibres unissant la substance grise du pont de Varole avec le cerveau ; 4° l'absence de système frontal du pont de Va
corps genouillé, etc.), s'expliquent par l'hydrocéphalie interne du cerveau ; d'autres modifica- tions secondaires résultent
e Varole (c'est-à-dire des fibres qui unissent le pont de Varole au cerveau ) et l'absence des faisceaux disséminés de la co
à celui de la fillette chez qui la moelle épinière existait seule, le cerveau manquant totalement (Cas III). La voûte crânien
'as- pect d'un réseau très net. Si pendant cette période on fixe le cerveau dans le formol, on trouve déjà une masse de vac
u dans le formol, on trouve déjà une masse de vacuoles ; mais si le cerveau est fixé Py. 4. - Cellule de la corne antérieur
e dans la moelle épinière. La même cause, c'est-à-dire l'absence du cerveau et des voies pyramidales ont arrêté le développ
entait sous un tel aspect à la suite d'une hydrocéphalie interne du cerveau , propagée vers le canal central. Le processus a
s morbide n'était pas aussi accentué que dans le cer- veau. Dans le cerveau , sous l'influence de l'hydrocéphalie interne, il
ardée comme la cause de la monstruosité; elle a fait disparaître le cerveau presque complètement et, dans la moelle épinière
ocessus se propage vers le canal spinal, alors outre l'ah- sence du cerveau , on observe encore : ou hien une hydromyélie très
ple conducteur, comme un nerf, plus gros que les autres, reliant le cerveau aux différents or- ganes du corps de l'animal.
le cerveau aux différents or- ganes du corps de l'animal. Quant au cerveau , siège des facultés supérieures, on se le repré
qui ont été enseignées aux hommes de ma génération 1 Aujourd'hui le cerveau nous apparaît comme un assemblage d'organes don
un singe, nous 408 INAUGURATION DU MONUMENT eurent révélé que le cerveau est excitable par les courants électriques dans u
tion, ne correspond pas la des- truction d'un certain territoire du cerveau ou des autres portions des centres nerveux. Dan
nséquemment, lorsqu'il s'agit d'ouvrir le crâne et de mettre il nu le cerveau , pour supprimer une lésion superficielle, l'éte
LA MÉMOIRE DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT 409 ceux qui siègent dans le cerveau et les appareils chargés de recueillir les im-
euse, peuvent exister indépendamment de toute lésion appréciable du cerveau , de la moelle et des nerfs. Voilà une ré- vélat
ui reste encore de vo- lonté et de conscience propres au pouvoir du cerveau de l'hystérique. Il faut, en ce cas, supprimer
autres manifestations de l'hystérie : au cours de son activité, le cerveau em- magasine, à l'état de souvenirs, tout ce qu
lle avait été l'oeuvre considérable de Charcot dans les maladies du cerveau , de la moelle et des nerfs ; je voudrais vous e
position bizarrement contournée du cadavre donl Charcot montre le cerveau , l'exiguïté du socle, la disproportion entre le m
N.SOLOVTZOFF (28 phot., 5 fig.), 368. Difformités congénitales du cerveau dans leurs rapports avec l'état des cellules
aire, 461. SoLOVrroFe (1.). Sur les difformités congé- nitales du cerveau dans leurs rapports avec l'état des cellules ne
L, XLI, XLlI, XLIII, 1LIV, XLV, XLVI. Difformités congénitales du cerveau (N. SOLOVTZOFF), XXIII. XXIV. Hémihypertrophi
36 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
VRES COMPLÈTES DE J. M. CHARCOT HÉMORRAGIE ET RAMOLLISSEMENT DU CERVEAU MÉTALLOTHÉRAPIE ET HYPNOTISME ÉLECTROTHÉRAPIE T
. BoURNEVILLE. PREMIÈRE PARTIE Hémorrhagie et ramollissement du cerveau Charcot. CEuv compi. T. ix. Hémorragie cérébral
nce, assez rare d'ailleurs, de l'hémorrha-gie et du ramollissement du cerveau ; enfin, avec l'état sclé-reux et les anévrysmes
ite avec nos observations et nos notes, intitulée : Des anévrysmes du cerveau , considérés principalement dans leurs rapports av
quer la rupture vasculaire que produit l'épanchenient sanguin dans le cerveau . Ces causes supposées peuvent être ramenées à tro
rises de 1. Gougucnlicim. — Des Tumeurs anévrysmales des artères du cerveau . Paris, 1866. 2. Leberl. — Ueber die Aneurysmen
yeux. Cette lésion consiste en une altération du système artériel du cerveau , avec production d'ané-vrysmes sur les artérioles
. Ces anévfysmes qui existent le plus souvent en grand nombre dans le cerveau des individus qui succombent à l'apoplexie sangui
îtxîtttt, pl. II. ftf; 3. 2. Traité des maladies inflammatoires du cerveau , 1859, t. II, p. 522» monLrer que parmi ces pré
éphale. De nouveaux cas d'hémorrhngie cérébrale se présentèrent et le cerveau renfermait toujours des anévrysmes miliaires.Nous
façon qu'ils pourraient n'exister que comme pure coïncidence dans le cerveau des individus qui succombent à l'hémorrhagie céré
rébrale; tandis que dans la vieillesse, s'ils sont constants dans les cerveaux qui renferment des foyers sanguins récents ou anc
le plus prononcé se rencontre très souvent sans qu'on trouve dans le cerveau un seul anévrys-me. Mais ces deux altérations dif
rs récents ou anciens d'hémorrhagie ; elle existait toujours dans les cerveaux qui, sans présenter aucune trace d'hémorrhagie, r
ons nous avaient-elles échappé ; ou plutôt ne s'agissait-il pas là de cerveaux voués à l'hémorrhagie, mais ou cette hérnorrhagie
nsidérable; quelquefois même, on en compte des centaines dans un même cerveau . Nous avons déjà dit plus haut que c'est surtou
dividus âgés de 20 à 30 ans. Quand on dépouille de ses membranes un cerveau qui contient des anévrysmes, il arrive fréquemmen
rrhagie cérébrale. Nous exposerons d'abord les faits d'hémorrhagie du cerveau que nous avons rassemblés depuis que notre attent
que par M. Brémond, interne de l'hospice de Charenton, une portion du cerveau nous a été confiée, et nous y avons reconnu, indé
euse postérieure et supérieure. On ne trouve pas d'anévrysmes dans le cerveau . Les artères de la base et les sylviennes sont lé
lution pariétale ascendante, vers la scissure inter-hémisphérique. Le cerveau est criblé d'une multitude d'anévrysmes miliaires
s hémorrhagiques anciens sont disséminés dans les deux hémisphères du cerveau , surtout dans le droit; sclérose, suite de dégéné
et dilatation générale des capillaires cle cet organe. Etat criblé du cerveau et anévrysmes miliaires en nombre considérable di
nsidérable d'anévrysmes des petites artères dans tous les points du cerveau . De plus, nombreuses hémorrliagies de la gaine pé
e et du cordon latéral gauche de la moelle. Les artères de la base du cerveau ne sont pas athéromateuses. On ne trouve pas d'an
eux d'hémorrhagie cérébrale; on rencontre dans différentes parties du cerveau et du cervelet plusieurs anévrysmes miliaires. Le
petits épanchements miliaires, la plupart proéminents à la surface du cerveau , quelques-uns cachés dans l'épaisseur de la subst
ies dues à la rupture d'anévrysmes des troncs artériels de la base du cerveau , et il paraît l'avoir mis sur la voie d'une génér
. On ne doit donc pas s'étonner de rencontrer des anévrysmes dans des cerveaux qui ne présentent pas trace d'hémorrha gie et o
es artères cérébrales des sujets qui ont été frappés d'hémorrhagie du cerveau est à peu près la même que celle des cas où les a
lle des cas où les arLôres restent saines chez les vieillards dont le cerveau n'est pas malade. Chez les individus âgés de plus
a été invoquée à son tour comme l'une des causes de l'hémorrhagie du cerveau , que cette atrophie rénale s'accompagne ou non d'
té des cas d'hémiplégie à début brusque, déterminée par une lésion du cerveau , lorsque la mort doit rapidement s'en suivre. Seu
hémiplégiques se rencontre dans les cas les plus divers de lésion du cerveau : à la suite des hémorrhagies intra-encéphaliques
t-huit cas d'hémiplégie à début brusque, déterminée par une lésion du cerveau et suivie de mort dans un bref délai, seize fois
Il faut nécessairement admettre que, sous l'influence de la lésion du cerveau , les actes de la nutrition ont dû éprouver, au pr
de deux vastes foyers hémorrhagiques avec rupture des ventricules du cerveau , et mort rapide ; il n'y avait nulle part d'ecchy
ans l'apoplexie liée à l'hémorragie cérébrale et au ramollissement du cerveau (1). M. Charcot fait connaître les résultats de
poplexie consécutive à l'hémorragie cérébrale et au ramollissement du cerveau . Lorsque l'exploration du rectum a pu être prat
plectique grave lié à l'hémorragie cérébrale, et au ramollissement du cerveau , on peut observer, en l'absence de complication i
rs, il se prolonge en s'amincissant, jusqu'au voisinage de la base du cerveau , qu'il n'atteint pas cependant. Après avoir enlev
ranes de nouvelle formation. II. M. Bayle {Traité des maladies du cerveau et de ses membranes. Paris, 1826) et M. Calmeil {
re-mère. M. Calmeil, dans son Traité des maladies inflammatoires du cerveau , 1859, a consacré à l'étude des membranes intermé
en âge, des kystes séreux formés dans les néo-membranes comprimer le cerveau et lui faire subir un certain degré d'atrophie (3
r expliquer un certain nombre de cas d'atrophie, dite congénitale, du cerveau ? MM. Calmeil (1), Guide- Weber, ont rapporté de
ainsi que l'a noté M. Calmeil (Traité des maladies inflammatoires du cerveau , p. 573 et 621), et ainsi que cela existait, d'ai
'addomen, on a dû malheureusement se borner à l'examen du crâne et du cerveau . Les téguments du crâne et sa surface externe n
rande quantité de pus épais, filant, coulant très difficilement. Le cerveau est mis complètement à nu; le pus couvre tout l'h
'on enlève avec cette membrane, et à sa partie inférieure contiguë au cerveau . Il est situé dans la cavité arachnoï-dienne; car
née. Quand on a été tous le pus qui recouvre l'hémisphère gauche du cerveau , cet hémisphère, comparé à celui du côté opposé,
misphérique et aussi sur la partie qui est en contact avec la Faux du cerveau . Ça et là, au niveau des anfractuosités, on aperç
ques recherches à cet égard, et nous avons dû commencer On coupe le cerveau , le cervelet, la protubérance elle bulbe en tranc
orés dans d'autres... A la partie inférieure de l'hémisphère droit du cerveau , vers sa partie postérieure, il existe un abcès c
érente là qu'ailleurs ; il y avait, de la suppuration à la surface du cerveau . Zacchias, chez un jeune homme devenu épiieptiq
forme et son étendue, celle qu'on voit à la face interne de l'os. Le cerveau est sain, il en est de même du péricrâne et des t
ns les méninges et peut-être aussi dans l'hémisphère correspondant du cerveau . Ce qui prouve que ces accès étaient dus à de sim
des symptômes devait nous faire supposer l'existence d'une tumeur du cerveau . Les accès épileptiformes répétés, la céphalalgie
de coordination de la parole a son siège dans les lobes antérieurs du cerveau , si Ton peut nouvelle lettre a m. le docteur de
tait chez ma malade. On en rencontre très souvent d'analogues dans le cerveau , qui ne se sont traduites par aucun symptôme appr
t que l'aphémie peut exister sans altérations des lobes antérieurs du cerveau en général, et de la troisième circonvolution f
plutôt en rapport avec l'ischémie cérébrale qu'avec la congestion du cerveau , et que certains symptômes qu'on rapporte général
Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière (1). Parmi les affecti
sur une partie du système nerveux central, telle par exemple, que le cerveau ou la moelle épinière. La présente note aura su
appés d'hémiplégie à la suite d'une lésion de l'un des hémisphères du cerveau . 1. ÀRTHROPATHIES LIÉES A l'aTAXIE LOCOMOTRICE
les membres atteints d'hémiplégie, à la suite de certaines lésions du cerveau —du ramollissement par exemple ou de l'hémorrhagie
auteur dans une leçon remarquable sur la pathogénie des affections du cerveau publiée dans The Lancet, eu 1801 (2). Après avo
'un trouble de nutrition développé sous l'influence de l'affection du cerveau dans les parties même où elles se manifestent, c'
la première, mais déterminée comme celle-ci par la formation dans le cerveau , d'un foyer de ramollissement assez étendu, empor
à la Salpètrière, c'est surtout lorsqu'il s'agit du ramollissement du cerveau que l'arthrite des hémiplégiques se montre fréque
ion qu'exerce une tumeur intra-crânienne, sur l'un des hémisphères du cerveau . Ods. IL — La nommée S., âgée de quarante-cinq
inage de la tumeur, la substance grise, comme la substance blanche du cerveau , n'ont offert aucune altération appréciable. — To
et qui, comme la première, est relative à un cas de ramollissement du cerveau . Obs. III. —La nommée Véron,àgée de soixante-si
te descendante qui succède si fréquemment aux diverses altérations du cerveau ; que, de plus, elle ne saurait être ramenée au gr
autres sujels frappés d'hémiplégie à la suite d'un ramollissement du cerveau . Par tout ce qui précède, l'existence d'une aff
umatisme articulaire (Obs. I). Plus souvent liée au ramollissement du cerveau qu'à l'hémorrbagïe infra-encéphalique, cette arth
nfin, dans l'espèce, évidemment inadmissible. Reste donc la lésion du cerveau ; mais par quelle voie, suivant quel mécanisme ex
à début brusque, consécutive au ramollissement ou à l'hémorrhagïe du cerveau , les membres frappés d'inertie motrice présentent
ints d'hémiplégie à la suite du ramollissement ou de l'hémorrhagie du cerveau , toutes les difficultés ne sont pas, cependant, e
et (2). Au contraire, dans le cas d'hémiplégie, suite d'une lésion du cerveau , l'arthrite et 1. Polet. —Etude sur la températ
20.) B. Nouveau cas d'hémianesthésie liée à une lésion organique du cerveau (hémorrhagie cérébrale). Rétablissement immédiat
supérieurs, (V... etO...), en conséquence, d'une lésion organique du cerveau , laquelle avait produit du même coup l'hémichorée
me analogue que nous invoquons ici. L'excitation, au lieu de venir du cerveau , comme dans l'action volontaire dont parle M. Vul
ctionnement. Suivant Flourens, il porterait son action d'abord sur le cerveau , puis successivement sur le cervelet, sur la moel
, comme on a l'habitude de le faire pour la préparation de la faux du cerveau . L'hémisphère de ce côté est enlevé. Deux tiges m
, est recourbée de façon à contourner le bord inférieur de la faux du cerveau et à atteindre par son extrémité la surface cor
s de la face mette un certain temps pour marquer son empreinte sur le cerveau et réveiller l'activité des centres automatiques.
ire (2) que les sujets impressionnés soient tous des névropathes, des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes; la plupart
laire comme un phénomène réflexe dont le centre est dans la moelle ou cerveau et dont le point de départ est dans l'excitation
croire que les sujets impressionnés soient tous des névropathes, des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes ; la plupart
BLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Hémorrhagie et ramollissement du cerveau . Pages I. Note sur une altération des petites
l'apoplexie liée à l'hémorrhagie cérébrale et au ramollissement du cerveau ... 91 VIII. Nouvelle note sur le même sujet.... .
Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière.........................
37 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é- rale éclatent chez un malade atteint d'une affection locale du cerveau , ou d'une maladie de la moelle, qu'il faut être p
rate est petite. Examen HISTOLOGIQUE DE la MOELLE épinière Er du cerveau . Moelle lombaire (fig. 1). Les faisceaux blancs
liqué et intensif d'examens peuvent n'être pas sans danger pour des cerveaux peu résistants. Par une série d'efforts continu
lérose laté- rale amyotrophique. R.. VIII. UN cas DE contusion DU cerveau . CONTRIBUTION A l'étude DES localisations céréb
nt la zone motrice gauche, sans aucune lésion des autres parties du cerveau . B. Il y avait hémiplégie totale droite, mais s
oit aussi pouvoir s'isoler anatomiquement. Mais quels sont, dans le cerveau , les sièges res- pectifs des centres de project
une com- position très peu stable. Au contact avec une parcelle de cerveau , il se décompose rapidement, en déposant de l'o
Mairet et Vires compren- nent les différentes lésions organiques du cerveau rencontrées chez les ascendants, telles que la
e début, porte sur les éléments nobles et sur les autres parties du cerveau ». Malgré l'unité clinique, la paralysie généra
se passe là quelque chose d'analogue à ce que l'on observe dans le cerveau où la pie-mère adhère à l'écorce grise. Le revê
les, au contraire, qui ne font que passer dans la moelle, venant du cerveau ou des racines postérieures. Disons tout de sui
cranienne n'apparurent qu'à la suite de l'inlluenza; jusque-là le cerveau s'était adapté à l'accroissement de la tumeur et
cellules commissurales et des fibres commissurales dans l'écorce du cerveau , dans le faisceau longitudinal postérieur, et d
ans examen de ses caractères précis, où il y a d'énormes lésions du cerveau . Il ne reste que le cas de David (1889). En voi
l'autre trois mois. La tumeur dans les deux cas ne contenait pas de cerveau et consistait en un noevus de la pie-mère. A. M
normale. Hyperémie veineuse des méninges cérébrales. A la base du cerveau , dans le lobe temporal gauche, on voit une tache
nt dans leur évolution venaient à être rompus. Le fonctionnement du cerveau est loin d'être encore com- plètement connu, ma
traumatisme n'estque le coup final qui fait tomber dans la folie un cerveau déjà vacillant. Si cette action réflexe avait l
es maladies d'ordre toxique affectent le système nerveux, créent au cerveau des malades atteints une prédisposition à délir
t provoqué par un empoisonnement de l'orga- nisme et. par suite, du cerveau , soit par des microbes ou leurs produits de séc
tance. Il faut rechercher si l'inculpé n'a pas été atteint dans son cerveau par une de ces influences puissantes (poisons,
allemands, la folie transitoire est liée à des états congestifs du cerveau . Krafft-Ebing, nous l'avons vu, insiste beau- c
on observe le plus communément des états congestifs transitoires du cerveau ? C'est précisément les aliénés dits héréditair
ransitoire, qui reconnaît pour base anatomique un état congestif du cerveau , se développe précisément chez des individus in
syphilitiques circonscrites. Lorsque ces lésions affectent dans le cerveau ou dans la moelle la forme diffuse (méningo-enc
égion du crâne, correspondant elle-même à une anesthésie limitée du cerveau . L'expérience ayant démontré que, lorsque ce so
de chromatolyse peu accusé et encore moins caractéristique. Dans le cerveau , les lésions sont très importantes. Les cellule
Grenier (P. de). - Contribution (t l'étude du cancer secondaire du cerveau . Brochure in-8° de 77 pages. - Toulouse, 1898. -
teurs n'ont pas trouvé de parasites dans les parties de l'écorce du cerveau qu'ils ont examinées; ils y ont seulement const
en rapport avec l'étendue et le siège des lésions présentées par le cerveau , en rapport aussi avec l'époque d'apparition de
t permet de pénétrer la structure intime de la trame conjonctive du cerveau et y décèle chez la grenouille la z ^présence d
cellules en araignée de la névroglie. Les lésions pathologiques du cerveau confirment cette manière de voir; 2° Un plan
exagération des troubles cardio-respi- ratoires. A l'uutopsie le cerveau ne présente rien de particulier, mais le volume
onctions. Le corps qui diminue la capacité de l'es- pace réservé au cerveau n'a donc aucune tendance à déplacer le liquide
donc pas de pression cérébrale. Mais il peut y avoir compression du cerveau . Une tumeur, par exemple, de même qu'une tige d
ion plus tard. L'action exercée par l'expansion de la tumeur sur le cerveau , comparable mécaniquement à celle qu'exerce tout
corps, n'en diffère que par la différence des fonctions propres au cerveau et de celles relatives aux autres organes. P. K
e tous les jours. Généralement, après trois ou quatre jours pour le cerveau et la moelle de l'homme adulte, le durcissement
nterstitielle leuco- cytllaire. A. Marie. XXIX. Tumeur maligne du cerveau D'ORIGINE auriculaire ; par Th. BARR et J, NICO
gé de trente-sept ans, doué ' Calmeil. - Maladies inflammatoires du cerveau . , Parchappe. Traité de la folie. SOCIÉTÉS
roit. Il y a peu d'hypérémie généralisée de la substance blanche du cerveau . Il Post mortes. Outre nos observations III et
ie; adhérences des membranes viscé- rales ci la couche corticale du cerveau . P.... quarante-trois ans, célibataire, cultiva
ndue de trois centimètres à la partie moyenne de la face externe du cerveau , un peu plus près cependant du bord inler-hémis
icale ramollie dans les deux tiers antérieurs de la face externe du cerveau . Cervelet. Arachnoïde et pie-mère jaunes (la su
ois crâniennes ; sinus remplis de sang noir; les circonvolutions du cerveau sont aplaties et les anfractuo- sités peu profo
est ramollie. La consistance de la substance blanche est normale. Cerveau très volumineux pour 1 âge du sujet, qui n'avait
psie 30 heures après le décès. - Taille Les membranes viscérales du cerveau sont épaissies et opalescentes le long de la fe
upérieure. Elles s'enlèvent facilement de la substance corticale du cerveau . Pas d'autres lésions encéphaliques. Poids : hé
s sutures de la voûte sont ossifiées. Les mem- branes viscérales du cerveau sont injectées sur ses deux tiers anté- rieurs.
uosités qui les séparent sont moins profondes que normale- ment. Le cerveau est évidemment comprimé par la voûte du crâne,
. Elles ne sontpas opales- centes. Cependant, sur les deux tiers du cerveau , elles adhèrent un peu à la substance corticale
croscopiques de la paralysie générale : Les membranes viscérales du cerveau sont injectées 5 fois (obs. 3, 4, 5, 6 et 11) ;
et 11); il y a adhérence de la pie-mère à la couche corticale du cerveau dans trois cas (obs. 6, 8 et 12) ; ramollissement
J2); injection de la substance blanche et de la substance grise du cerveau (obs. 4, 5, 6 et 11); atrophie (obs. 9); hypert
eure s'amincit jusqu'aux proportions d'une pellicule ; à la base du cerveau il ne reste que la couche optique et le noyau len
solimo. Le faisceau de Gowers, son trajet et sa terminaison dans le cerveau . Dans un cas de sarcome de la moelle et de ses
ouve de petits amas de pus dans la pie-mère cérébrale, à la base du cerveau , dans la région du tuber cinereum et des corps
Imprimerie Hayez. nIA11A161. Les progrès réalisés en anatomie du cerveau par la mé- thode expérimentale. - Brochure in-8
influence pathogène des troubles et des lésions hépa- tiques sur le cerveau une fois admise, une nouvelle difficulté se pré
démêler pour cela. S'agit-il d'une action propre, et directe sur le cerveau de l'hépato- toxémie, ou d'une simple action à
i semble avoir été une première conséquence de ce trauma- tisme, le cerveau se refuse à faire du délire toxi-infectieux et
s paraissent normaux. Les méninges sont congestionnés, ainsi que le cerveau , mais on n'y constate aucune lésion macroscopiq
caires de l'aorte, au-dessus des valvules sigmoïdes. Membranes du cerveau saines, arachnoïde transparente; un peu de séro
? Mais dans cette hypothèse, que devient le rôle des toxines sur le cerveau ? Le délire des intoxications et des infections
naturelle ou acquise. Sous l'influence de cette prédisposition, le cerveau , tout en étant, à l'état normal, d'un fonctionn
our en grossir la puissance et en. augmenter l'action nocive sur le cerveau . Son action directe et exclusive nous paraît mo
valeur à la puissance pathogène de l'intoxication alcoolique sur le cerveau . Il est rationnel d'admettre que- dans certains
use une forte prédisposition à délirer, peuvent créer, du côté du cerveau , un état d'imminence morbide. Dans ces conditions
ons étiologiques nouvelles. Il semble que chez les vieux aliénés le cerveau soit réfractaire aux auto-intoxica- tions, ou t
écessité d'opérer de bonne heure et d'ouvrir largement les abcès du cerveau . (Revue neurologique, avril 1898.) E. B. XCVII.
fournit des résultats en tous points négatifs. L'examen attentif du cerveau n'y révèle rien de particulier. La, muqueuse de
allé imprégner et impressionner la substance corticale de ce jeune cerveau , donnant lieu à un état convulsif suivi de mort.
a paralysie du système moteur ; par lui les centres supé- rieurs du cerveau , centres de coordination du siège de la volonté,
able, mais/presque toujours ils naissent avec un organisme taré, un cerveau déséquili- bré. L'action de l'alcool dans ces c
s faibles adhérences, elle se détache facilement de la sur- face du cerveau . Hémisphère gauche. Atrophie légère des deux ti
on ne connaissait bien comme encéphalite spontanée que l'abcès du cerveau . lIayem' essaie d'établir par voie expérimental
'il provoque chez les animaux en introduisant des corrusifs dans le cerveau , il révéla l'existence de grosses cellules rond
r l'observation de ce qui se passe dans les plaies non suppurées du cerveau . Ziegler5 d'abord, et Coën6 plus tard, donnèren
ne bonne description de l'encéphalite expérimentale. En blessant le cerveau d'animaux avec des aiguilles épaisses et portée
s loin : il essaie d'établir une forme d'inflammation aiguë pour le cerveau , dans l'ancien sens de Virchow. Il s'agit d'une
s rondes, disséminées un peu partout dans la substance blanche du cerveau . Et cette lésion, qui d'après Friedmann serait
asculaire par embolie. On ne constate d'ailleurs nulle part dans le cerveau , ni dans les autres organes de l'économie, des
, c'est que l'agent inflammatoire inconnu a dû être apporté dans le cerveau par le courant sanguin. La preuve en est donnée
ts amiboïdes, il montre qu'on doit invequer une excitation venue du cerveau par les fibres visuelles centrifuges : a Une ex
ar les fibres visuelles centrifuges : a Une excitation née dans ,1e cerveau est transmise à l'articulation de deux neurones
cts plus ou moins intenses selon l'état d'attention commandé par le cerveau . » A notre tour, nous nous demanderons : quelle
acts qui se fait au niveau de Ld couche des fibres tangentielles du cerveau . L'influx nerveux parti du centre visuel arrive
rmale, ou comme la déterminant : aujourd'hui que nous savons que le cerveau exerce des fonctions trophiques sur tous les or
de tels affaiblisse- ments sont produits par l'action imparfaite du cerveau , qu'ils pro- viennent de la diminution de son p
rose, l'alcoolisme, la syphilis, des lésions organiques diffuses du cerveau et de ses enveloppes, des secousses morales, et
z eux aussi plus disséminés. Par conséquent, il est probable que le cerveau de la plupart des paralytiques est invalide, so
que est un être presque prédestiné à la paralysie générale, dont le cerveau , invalide dès la naissance ou plus tard, subit
le n'est qu'une cause préparatoire et d'ordinaire rien que là ou le cerveau a subi l'inva- lidité préalable : il est très r
juillet 1898.) E. 13LIN, XXXIV. SUR les difformités congénitales DU cerveau dans leurs RAPPORTS AVEC L'ÉTAT DES CELLULES NE
ayant l'aspect d'un réseau (spongioptasme). 2° Les diffor- mités du cerveau sont accompagnées d'une absence des hémis- phèr
LI. CONTRIBUTION CLINIQUE ET anatomique A L'ÉTUDE DU cysticerque du cerveau humain ; par GioNNi, (ruz di (l'en., fasc. III, 1
PATHOLOGIQUES. temps moindre que le réflexe vasculaire irradié. Le cerveau exerce une influence évidente sur l'activité ré
; pour la jambe d'environ cinq secondes. Le réflexe vascu- laire du cerveau par stimulus sensoriel demande un temps égal à
s de réflectivité vasculaire un grand retard qui va en diminuant du cerveau au bras et est inappréciable dans les vaisseaux
les vaisseaux du membre inférieur. Les mouvements du sang dans le cerveau pendant le sommeil, consécutifs aux excitations,
té spécifique des cellules cérébrales et celle de la circnlation du cerveau suivent chacune une marche propre. La fermeté d
par des inéga- lités moindres dans la courbe plethismographique du cerveau . J. Séglas. LUI. Recherches bactériologiques
e tranche sur la substance grise plus claire ; la couche blanche du cerveau devient noire, la couche grise, plus claire. Dé
ences des systèmes d'associations et des systèmes commis- suraux du cerveau . -- Elles forment un arc à convexité postérieure
ses et perpendlculailes pratiquées à partir du pôle posté- rieur du cerveau , d'arrière en avant, montrent que les premières
port avec la nutrition du protoplasma. P. KERAVAL. LXII. POIDS du cerveau ET cubage intérieur DU crâne; par ZANKE. (Neu1'
s et pavillons noirs et gris sur fond blanc, les divers volumes des cerveaux de paralyti- ques, d'épileptiques, et autres al
autres aliénés, parait légitime à l'auteur parce que la densité du cerveau oscille assez généralement autour - de 1 030 et
brale par l'eau et par sa faculté d'élimination de la même eau ? Le cerveau n'est-il qu'une éponge capable de rece- voir et
ns l'eau courante ou non'semblont montrer que la subs- tance de son cerveau s'emplit très notablement d'eau. Cette apti- tu
nge, on a beau, en effet, soumettre à la pression la plus foi te le cerveau frais ou imbibé, il ne rend pas son eau. La quo-
dhérente à la surface est insignifiante (elle est de 1 gr.) pour le cerveau humain. Comparativement, chez l'homme, on peut
erveau humain. Comparativement, chez l'homme, on peut trouver qu'un cerveau de 1.200 grammes après vingt-quatre heures d'im
arriverait pas à enre- gistrer les différences constatées entre les cerveaux des paraly- tiques et ceux des autres malades.
sont celles qui sont chargées de conduire l'excitation sensible au cerveau pour qu'une sensation ait lieu. C'est par là qu
Quand on enlève un hémisphère céré- bral, ou quand on sectionne le cerveau moyen chez le chat, au niveau de l'oculo-moteur
e haut en bas; 17° Dans les faisceaux anté- rieurs des pyramides du cerveau humain il y a des fibres qui dégé- nèrent en mo
ment), et sur les efl'ets de l'excitation électrique de l'écorce du cerveau sur les extrémités atteintes de paralysie centr
ution du corps calleux; 2° la région olfactive, située à la base du cerveau , et comprenant l'extrémité antérieure de la cir
Cotnrsavrs. Coloration des -, par Auebach, 311. C\STlCLHQUr. du cerveau humain, par Gionm, 493. Dnromwrcov congénital
le, par Patnzi, 495. Rn'LEXEvascutaire dans les mem- bres et le cerveau de l'homme. par l'atrizl, 493. Respiration de
ocalisation possible, par Brissaud et de Massary, 306. maligne du cerveau d'origine auriculaire, par Barr et Nicol ! . 31
38 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rès une période de faiblesse et d'agitation. Il y avait atrophie du cerveau dans les deux régions pariétales. Un anévrysme
ivalent en beaucoup d'autres cas). Ils ont isolé le bacille dans le cerveau , en 4 cas et en grand nombre dans les foyers de
et de l'amnésie des faits récents. A l'autopsie,il y avait dans le cerveau une légère chromatolyse diffuse de même 'dans l
primitive et que c'est plus tard seulement qu'elle s'est étendue au cerveau où elle a déterminé la dégénérescence des neuro
iale ; chacun devrait avoir des notions sur l'aime et l'activité du cerveau , qui sont une même chose. Le mysticisme dualist
gane, et toute notre psy- chologie est le reflet de la vie de notre cerveau . Il est donc ra- tionnel de faire précéder les
tude anatomo-physiologique, puis pathologique, de son organe, le cerveau . Le livre de M. Forel est divisé en trois parties
cerveau. Le livre de M. Forel est divisé en trois parties : 1° âme cerveau et nerfs à l'état normal ; 2° pathologie nerveuse
constituent guère, chez l'homme que des appendices subor- donnés au cerveau et qui s'y rattachent. Orla moelle nous appa- r
rs comme un centre autonome pouvant fonctionner sans le contrôle du cerveau , dans certains cas pathologiques. En- fin, nous
nt suivies de quelques réflexions snr les rapports de l'âme avec le cerveau ; l'auteur recherche quels sont les véritables
psychique. Spinoza, Fechner et A. Com- te, avant que l'on connût le cerveau ont été les précurseurs de l'hypothèse du monis
cts ou auto- matismes hérités, les effets de l'extirpation du grand cerveau , prouvant qu'ilne peut avoir d'organe de la con
peut avoir d'organe de la conscience, le travail plastique du grand cerveau , les automatismes secondaires (habi- tudes), le
és de quelques conseils destinés à mettre en har- monie la santé du cerveau avec les aspirations supérieures à un idéal qui
eux, sur la lutte contre l'alcool et l'enseignement de l'hygiène du cerveau , terminent l'ouvrage du professeur Fore ! , qui
videmment grâce à l'hygiène nerveuse que la culture obligatoire des cerveaux des générations lutures pourra éviter de deveni
anciens internes des hôpitaux d'étudier un peu plus les maladies du cerveau , de s'astreindre au besoin à un court internat
on d'un jugement peut donc avoir un retentissement imprévu sur un cerveau malade, et nous avons le devoir, nous médecins,
placée par conséquent sous la dépendance de l'hémisphère droit du cerveau . Elle n'est pas non plus celle du cerveau qui n'a
de l'hémisphère droit du cerveau. Elle n'est pas non plus celle du cerveau qui n'a pas (olé éd : 1qué pour l'écriture, pui
1906.) L'auteur laisse de côté l'encéphalite suppurée ou abcès du cerveau : l'affection dont traite Comby est celle queStru
tomique, on constate des modifications vasculaires diffuses dans le cerveau , de la congestion de la surface, on-voilrsurjes
trée d'une façon simple et nette par l'accroissement de poids du cerveau durant cette période de la vie. Toutes les foncti
s montrent une fois de plus la solidarité d'action de l'ensemble du cerveau et de l'ensemble des centres nerveux de la moel
que pas par quel mécanisme les perturba- tions de la sensibilité du cerveau peuvent conduire un aliéné à nier, non seulemen
ues et de troubles intellectuels qui paraissent liés aux lésions du cerveau . M. LAPOINTE pense que la malade est hystérique
1908 est le suivant : Des amne- sies dans les lésions organiques du cerveau . Eloges de Jules Falret. - Le Secrétaire généra
e de bicyclette sur le compte d'un ic- tus. Tous les traumatisés du cerveau , ni tous les syphilitiques ne deviennent pas pa
R et Anfimou ont constaté l'existence, sur dix BIBLIOGRAPHIE. 157 cerveaux d'épileptiques, de petites hémorragies superficie
compris com- ment, la personne humaine étant une et indivisible, le cerveau humain, qui est son substratum, son organe, ser
me, ou personnalité, quelque chose de diffé- rent de son organe, le cerveau . De plus, si l'on connaît un peu le siège des f
pourquoi donc ? puisque l'âme n'est que l'ensemble des fonctions du cerveau ? peut-on séparer un organe de ses fonctions ?
Le cer- veau droit se trouvait donc dans les conditions où était le cerveau gauche. L'action des plaques métalliques avait
'ordre dans lequel les images de chaque point sont projetés dans le cerveau , mais à ce que, dans l'ordre prési- dan taux mo
ay.) , 5) Unité organique et systématique du névraxe. « Double le cerveau , et très distinct en ses deux hémisphères, dou-
i for- ment l'homme ne sont égaux et semblables en rien. Les deux cerveaux ,par exemple,sont inégaux en poids, inéga- lemen
les deux co-êtres se différencient l'un de l'autre par le poids du cerveau et son relief topographique, par des différence
e baser sur cela pour avancer que « l'individu auquel appartient le cerveau gauche est pro- bablement plus intellectuel » (
l'absence de toute indication précise, quelle qualité attribuer au cerveau droit ? Dira-t-on que, « moins intellectuel' »,
sont précisément moins forts et sur- tout moins exercés que ceux du cerveau gauche. Plus étroitement soumis à ses « impulsi
mis à ses « impulsions » ? Non, répon- drait l'Auteur, car les deux cerveaux sont égaux devant leurs impulsions, auxquelles
'est pas à nous de proposer d'autres hypothèses,mais puisque chaque cerveau a sa vie psycho- logique propre, une vie à laqu
e bonne, l'autre étant mauvais (p. 45 et 46), il est évident que le cerveau droit a, tout comme l'autre, en supposant possi
ion rapide des images d'un grand nombre de mots. Puis, donc, que le cerveau droit a à sa disposition tous les matériaux du
les deux co-êtres ? Je ne demanderai pas comment il se fait que le cerveau droit soit moins intellectuel,car je laisse à l
pendent deviennent encore plus nombreuses et plus complexes dans le cerveau postérieur et le cerveau moyen, si bien que les
plus nombreuses et plus complexes dans le cerveau postérieur et le cerveau moyen, si bien que les ébranlements qui arrivent
, à propos 'des ten- dances, de, là nécessité 'de l'intervention du cerveau gauche pour les idées abstraites et générales,
ations complexes de l'entendement se passent nécessairement dans le cerveau gauche, le droit ii'iiiteivenànt'(Ii'indiie*ctere
les mêmes représentations... D'où augmentation de la « capacité» du cerveau et réunion dans des régions voisines d'un même
ensorielle conduisant un signe spatial se termine d'un seul côté du cerveau ? les fibres [continuant physiologique- ment le
fectées à la même qualité) sont répartis dans les deux moitiés du cerveau ; que chaque fibre sensorielle afférente se divis
il n'est pas sans intérêt de constater qu'il peut aussi vivre saris cerveau , sans même que s'es caractères psychologiques p
bres (la voie pyramidale notamment) provenant du côté ma- lade du cerveau et du côté correspondant (croisé) dû cerveau mo
du côté ma- lade du cerveau et du côté correspondant (croisé) dû cerveau moyen et du pont. Une observation d'Ugolitti (1
tion anatomique et physiologique du système ner- veux et surtout du cerveau dans la série des Vertébrés. Il est enfin incap
hydrocéphalie d'origine syphilitique par arrêt de développement du cerveau sous l'influence dystrophique de la syphilis de
accompli par un fou. Vacher le tueur de bergers avait à la base du cerveau une balle qu'on trouva à l'autopsie ; \lenesclo
1\ a une céphalée violente et dit avoir la téle en (eu et que son cerveau tourne de l'axe du crâne. 11 ne veut pas explique
'une « séparation fonctionnelle transitoire » des deux moi- tiés du cerveau et faisait remarquer que, pour un autre cas (Licp
re anormale et bien plus délicate que cette di- vision régulière du cerveau en deux liémisDlières.»(L',l il- tomatisme psyc
: TI211, BILATERALE DU CORPS. 305 ble causal avec « la division du cerveau en deux hémis- phères» ? Restons-en donc à l'op
e dira plus tard : « le bon,le réprobateur, est celui que dirige le cerveau gauche par exemple; le mauvais, le buveur, celu
veau gauche par exemple; le mauvais, le buveur, celui que dirige le cerveau droit ». Il y a bien deux groupes distincts de
car, de chaque oeil partent des nerfs qui vont de l'un à l'autre cerveau (sic). Or cela n'empêche pas que le cerveau gau-
vont de l'un à l'autre cerveau (sic). Or cela n'empêche pas que le cerveau gau- che à cessé de voir ? quand on a fermé l'o
upprime progressivement les sen- sations, puis le fonctionnement du cerveau sur les données four- nies par les sens, c'est-
n de l'état hystérique à un état d'engourdissement, d'inhibition du cerveau , à une sorte de sommeil spécial plus ou moins g
alors ce phénomène psychologi- que est inhérent à chaque région du cerveau , à tel ou tel centre fonctionnel ; il est donc
decins,avons-nous pu oublier cette physiologie et cette anatomie du cerveau en présence de paralysies, de contractures, d'a
C'est à cette région la plus considérable, que j'ai donné le nom de cerveau organique. C'est là que se font au point de vue
j'ai donné à cette région- antérieure des lobes frontaux le nom de cerveau psychique. Que se passe-t-il à l'état normal
sions venues du dehors ou de l'organisme aboutissent aux centres du cerveau organique. Elles y déterminent un état molécula
la perception brute. Cet état moléculaire réagit à son tour sur le cerveau psy- chique et y détermine également un état mo
de la "perception et de la représentation des images, tandis que le cerveau psy- chique est le centre de la conscience, de
ngourdissement, -de sommeil, peu importe le mot,frappe un centre du cerveau organique, que va-t-il se produire ? Reprenon
nstitué par une sorte de sommeil,d'engourdissement, d'inhibition du cerveau . Déjà l'aspect des malades, leur état de somnol
sie enfin qui n'est que le signe objec- tif de l'inactivité de leur cerveau , en pourraient être des témoignages. Mais ce s
raît, le sommeil normal reparaît, car c'est une fonction normale du cerveau en activité normale. Le réveil cérébral s'acc
nerf par exemple. Seulement HYSTÉRIE ET SOMMEIL 369 ici c'est le cerveau lui-même qui est frappé d'arrêt de fonctionneme
ssion, leurs degrés pour tous les organes,depuis le muscle jusqu'au cerveau , en passant par les organes des sens et les vis
ation qui crée la personne humaine... Cette coordi- nation des deux cerveaux , siège des deux personnalités... où s'effectue-
mitive : commissures du télencéphale, du diencéphale et surtout des cerveaux moyen et postérieur, quj, de concert avec le co
culier. Loin de représenter un centre surajouté aux deux moitiés du cerveau , il souligne par son évolution phylogénique la pr
es d'un bacille diphthéroide, que l'on peut quelquefois iso- ler du cerveau .- Les examens histologiques ont fourni un nouvel
par Gustave Fischer, léna. 190' ? : 442 bibliographie. pour des cerveaux d'âges différents : l'affinité de la myéline pour
e contestation que grâce à la comparaison d'un très grand nombre de cerveaux . Le Dr Kaes, dont les travaux, joints à ceux de
phère d'après l'ensemble des mensura- tions effectuées sur tous les cerveaux examinés (tabl. 1G). La partie proprement icono
les. Les Juifs semblent être peu sujets aux lé- sions organiques du cerveau et de la moelle. Par contre, les lé- sions fonc
erveau et de la moelle. Par contre, les lé- sions fonctionnelles du cerveau et de la moelle, notamment les névroses (surtou
simplement parce qu'on l'a considérée comme une maladie frappant le cerveau dans son en- semble, alors qu'en réalité chaque
ir sur la péri- phérie sans passer par les fibres qui la relient au cerveau , sans se sou- mettre en un mot aux voies physio
ue consiste dans un trouble loca- lisé d'un ou plusieurs centres du cerveau , et que la plus grande hystérie ne soit jamais
tat hystérique est une sorte de sommeil des centres fonctionnels du cerveau . Avant de voir en quoi peut consister ce sommei
braux ne participent pas au mê- me titre à la fonction psychique du cerveau . 11 est donc naturel que certains réagissent pl
- rieure de s'adresser à des méthodes générales d'exci- tation du cerveau . Cette excitation peut être produite de deux fa
fonction de défense qui nous empêche d'airi- ver à l'épuisement du cerveau . «Nous ne dormons pas parce que nous sommes int
sommeil na- turel. Je n'ai ni identifié ni comparé le sommeil du cerveau dans l'hystérie au sommeil naturel. M. Claparèd
aut de fonctionnement de la périphérie, le retard de l'évolution du cerveau , l'émotion surtout, étaient des causes aussi fr
e. Je pense que. le choc traumatique, surtout quand il porte sur le cerveau et détermine des pertes de connaissance, amène
détermine des pertes de connaissance, amène des états d'inertie du cerveau , une inhibition des fonctions céré- brales, qui
lus d'une fois la peine d'expliquer com- ment agit l'émotion sur le cerveau , comment elle l'en- gourdit, et comment l'anest
d'une émotion il se produit une dé- charge d'énergie qui laisse le cerveau épuisé. Le maxi- mum d'effet de cette émotion e
s pour un moment. Si, comme cela arrive dans la plupart des cas, le cerveau recouvre son fonctionnement normal, la sensibil
ite de la faible résistance, de la faiblesse constitu- tionnelle du cerveau , la réparation de l'épuisement ainsi produit ne
au, la réparation de l'épuisement ainsi produit ne se fasse pas, le cerveau reste dans un état d'activité diminuée et par c
rie n'est pas tant une maladie qu'une manière spéciale de réagir du cerveau , qu'il n'y a pas de maladie hystéri- que et que
hystéri- que et que l'hystérie est une manière de fonctionner du cerveau , que c'est le mécanisme cérébral qui est hys- t
membre dont le nerf est ainsi engourdi est endormi. Quand c'est le cerveau qui est frappé d'inhibition il se produit des p
es et motrices quand il reprend son activité normale. Je dis que le cerveau est endormi, comme l'était le nerf, et pour le
stériques sont dus à ce sommeil, à cet engourdisse- ment spécial de cerveau , et pour le prouver je les fais (1) « Les troub
turellement quand on regardait le fonctionnement physiologique du cerveau . Aussi le Professeur Lépine écrivait-il : « Je
pas tous au même degré - participent de l'activité géné- rale du cerveau et subissent les mêmes variations, tou- tes pro
les mêmes variations, tou- tes proportions gardées, que celles d'un cerveau ordi- naire. Je ne vois pas pourquoi un centre
hystériques sous l'influence d'excita- tions d'ordres divers sur le cerveau ; et 2° l'interpré- tation de ces phénomènes co
ique. Quant à rapporter rigoureu- sement aux centres anatomiques du cerveau tels qu'on les délimite actuellement les troubl
connaissance plus approfondie des conditions du fonc- tionnement du cerveau . Mais il paraît incontestable que la tendance a
fluence de centres subordonnés, soit celle d'une seule moitié du cerveau : action sur différents viscères fonctionnant s
e résultat naturel est d'accroître la « capacité » physiologique du cerveau . Pour les opérations de l'entendement où les im
actps de l'entendement,on voit que la synergie des deux moitiés du cerveau est indispensable pour la for- mation de ces él
s com- plexes qui portent sur les concepts. Qu'une des moitiés du cerveau manque, tous les résidus s'accumuleront for- ce
central ; quelques considérations sur les fibres d'association du cerveau ; par La Salle Arciiambault. (Nouv. Icon. de la
ou plus simplement de l'excitabi- lité, de l'instabilité morbide du cerveau , empêchant ou dimi- nuant leur adaptation aux m
nquagénaire, à la suite de dif- férents revers de fortune, avait le cerveau quelque peu détraqué. Mais jusqu'ici, sa famill
uses étudiées par la méthode de Donaggio. par Scarpini, p. 253. Cerveau . Voir Faisceau longi- tuclinal. Cervelet. Voi
central ; quelques considérations sur les fibres d'association du cerveau ; har I.a Salle .rchambault, p. 490. Familie
39 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ui s'effectuent dans l'organisme animal vivant privé de l'écorce du cerveau , naturellement les processus simples, chimiques e
ntre les processus physiologiques et psychiques sont ces régions du cerveau où la réception des excitations des organes des
ques de l'organisme ani- mal ont leur substratum anatomique dans le cerveau . Le présent travail a pour but d'essayer de dét
but d'essayer de déterminer par voie expérimentale les endroits du cerveau où se trouvent les tissus, dont l'état parfait de
ssés sem- blable aux obiets V, X, Y, en la superficie intérieure du cerveau , qui regarde ses concavités. Et de là ie pouroi
ans la première moitié du xvue siècle a supposé l'existence dans le cerveau d'un certain substratum anatomique de l'âme et
. Si cependant la fluctuatio spirituum a enfin atteint le cortex du cerveau , elle provoque dans l'écorce une empreinte d'un o
e par les colora striata, par le corpus callosum et par l'écorce du cerveau sous forme de différents modus locales et d'aut
de résultats d'autopsie de 16 cas récents et anciens de maladies de cerveau chez l'homme, aux conclusions suivantes : 9) «
) « Que l'âme ne réside pas dans toute l'étendue de la substance du cerveau , prise collectivement. » 2) « Elle (l'âme) ne r
(3) Observations par lesquelles on tâche de découvrir la partie du cerveau , où l'àme exerce ses fonctions. Mémoires de l'A
uches des nerfs optiques... ni enfin de la substance cor- ticale du cerveau .... il paraît qu'on peutconclure, que le corps ca
En outre il ajoute que toutes ces lésions plus ou moins étendues du cerveau prouvent « qu'une lésion déterminée, des lobes cé
cu que les fondions intellectuelles, comme les autres] fonctions du cerveau , n'ont aucun siège localisé dans le cerveau, ma
es autres] fonctions du cerveau, n'ont aucun siège localisé dans le cerveau , mais qu'elles sont répandues sur le cerveau en
siège localisé dans le cerveau, mais qu'elles sont répandues sur le cerveau entier. Ainsi la question de la localisation de
s par lui sur l'effet de la pression partielle sur les fonctions du cerveau : « Although the quantity of water may be so mu
undibulum, des ventricules latéraux et du troisième ventri- cule du cerveau , enfin des tumeurs et des hémorragies dans ces ca
S CHEZ LES ANIMAUX 9 plasmes se trouvent dans la partie frontale du cerveau . Auparavant le professeur P. Flechsig était par
ion que les maladies du corpus callosum et des parties frontales du cerveau (Flechsig, A. Gianelli) sont généra- lement acc
rons du corpus callosum et vers l'intérieur delà région frontale du cerveau , se trouvent ces tissus, dont la maladie provoq
s des fonctions psychiques supérieures. Le célèbre connaisseur du cerveau humain M. le Prof. P. Fleclisig de Leipzig (1)
ipzig (1) parvenait en 1894, à la suite de recherches faites sur le cerveau du foetus humain et de nouveau-nés et en employan
ordons de la moelle, à établir le plan général de cons- truction du cerveau suivant. D'après ce plan il divisait tous les cen
de projection avec les différents centres de la partie du milieu du cerveau , avec les moelles allongée et épinière, et cela a
ent par leur extension seulement un tiers de toute la superficie du cerveau . Les seconds sont des centres d'association, d'
l. Ces centres occupent en extension deux tiers de la superficie du cerveau . Ces centres cités en premier lieu sont surtout
eau. Ces centres cités en premier lieu sont surtout ces endroits du cerveau , où les actes psychiques les plus simples et pr
une autre hypothèse, concernant la construction et les fonctions du cerveau et émanant du célèbre histo- logiste M. le prof
Menschen, 5 Heft. Leipzig, 1906. (2) Propriétés éteclromolrices du cerveau et du coeur. Journal de physiologie et de patho
nées ne touchent pas du tout la ques- tion de l'endroit où, dans le cerveau , les forces spirituelles entrent en action. A
tenlion ou non. Mais ou réside cette conscience ? A quel endroit du cerveau son activité est-elle liée ? Ou peut-être est-e
entre tous les centres corticaux, entre toute la substance grise du cerveau , qui joue le rôle de centre psychique ? Il pa
- cience est localisée quelque part dans les parties antérieures du cerveau en dedans du lobus fronlalis. Finalement il e
et qu'elle doit être localisée dans un endroit impair quelconque du cerveau , endroit en rapport avec tous les centres d'éco
ntres d'écorce. Voyons [maintenant quels tissus se trouvent dans le cerveau , qui n'ap- partiennent pas déjà aux tissus ayan
rçons enfin de détruire, en laissant intacts de grands ganglions du cerveau , sa paroi inférieure de devant, l'animal perd t
ompliqués que l'animal auquel on aurait enlevé les hémi- sphères du cerveau . J'ai injecté par une ouverture de trépan, fait
our ne pas léser le sinus longitudinal par la surface supérieure du cerveau vers en bas et un peu vers le dedans. Quand l'e
naires. Les animaux furent tués trois mois après l'opération, leurs cerveaux durcis avec de la formaline et puis soumis à un
ès démontra (voir les reproductions photographiques des sections de cerveaux de lapins, PI. I, si ? 1-2) que l'aiguille pous
czes dex. était également complètement intact et les ventricules du cerveau absolument libres. Le second animal est un ch
utopsie il résulta, comme les clichés photographiques des coupes du cerveau le montrent (2) (PI. I et II, lig. 3, 4, 5, 6 et
in et du chien devant plusieurs collègues de noire Université : les cerveaux des animaux furent conservés dans le laboratoire
hysiologique. (2) Tous les clichés photographiques des sections des cerveaux du lapin et du chien furent pris par mon collèg
sa partie gau- che postérieure, restait intact ; les ventricules du cerveau étaient égale- ment libres. Nous avions réuss
n : les gauches, chez le lapin : les droits, -et de cette partie du cerveau a été interrompue, dont les fonctions se trouve
à l'opération seulement 5 jours. Les résultats de la section de son cerveau sont reproduits photographiquement (PI. III, fig,
onscience; il mourut dans la nuit du ae au 6° jour. La section du cerveau démontra que l'instrument avait déjà atteint la
de la comparaison des cas décrits de maladie des lobi frontales ou cerveau frontal, dans les environs duquel se trouve le fo
anelli, que le dérangement psychique ne dépend pas de la maladie du cerveau frontal lui-même, mais de la lésion des organes
que des changements stables des parois des cavités intérieu- res du cerveau , ainsi que des tumeurs et des hémorragies des dit
es. Les fonctions psychiques inconscientes siègent dans l'écorce du cerveau ; les conscientes, dans le fornix avec le 5e ve
fornix avec les centres d'écorce de l'hémisphère relative du grand cerveau (Fig. lr, x') comme je l'ai fait chez le lapin et
t 1907. 24 TCHTIiIEV LÉGENDES DES PLANCHES. Planche I. 1"16. I. Cerveau d'un lapin, divisé en sections horizontales sépar
u Ammonii. 11. Taeniae thal. opt. Fig. 2. Les mêmes,5 sections de cerveaux de lapins prises d'en bas. A. et les chif- fres
haut, inclinées un peu de droite à gauche de l'hémisphère gauche du cerveau du chien. X. Lieu de percement de l'aiguille de
rcement de l'aiguille de Bernhard ddns l'hémisphère gauche du grand cerveau , un peu vers l'arrière de l'extrémité de l'embran
même signification, que ohez les images précédentes des sections du cerveau du lapin. Fio. 4. Les 2 sections suivantes hori
o. 4. Les 2 sections suivantes horizontales de l'hémisphère gauche du cerveau du chien. , X. Les lésions provoquées par l'i
Planche II. FiG. 5. Les 2 sections horizontales suivantes de tout le cerveau du chien. Signification de X et des nombres c
. La même que fig. 5. Planche III. - Fin. 7. La section suivante du cerveau du chien et les nombres ont la même significati
signification que précédemment. Fia. 8. 2 sections horizontales du cerveau du chien, qui survécut à l'opération seu- lemen
haut. Ib La même section d'en bas. Fic. 9. La section suivante du cerveau du même chien, vue d'en haut. X et les nombres,
me avant. Fic.. 11. - Les 2 sections horizontales suivantes du même cerveau de chien. la d'en haut. Ib La même section vu
ne de Boulogne attribue la contracture à une excitation ve- nant du cerveau , l'excitation partant des parois du kyste hémorra
contractures sans épan- chement supposé sur les surfaces libres du cerveau . Todd (2) distingua le premier deux sortes de c
la pénétration du caillot dans les ventricules ou sur la surface du cerveau , soit de t'encé- phalite développée autour du f
e est la suite d'une excitation; les anciens disaient excitation du cerveau ; Bouchard dit excitation de la moelle. A celte
880 (2) CIIARCOT, Leçons sur les loculisaliims dans les maladies du cerveau el de la moelle épinière. OEuvres complètes, t.
es hémiplégiques hystériques, par la perte du pouvoir inhibiteur du cerveau sur les cellules motrices de la moelle. Ceci no
es sont en état d'excitation, la force inhibitrice ou frénatrice du cerveau sur ce centre est diminuée, enfin dans la très
de production ? ' Hitzig et Fritch ont montré par l'extirpalion du cerveau chez le chien, que la coordination des mouvemen
s mouvements volontaires sont perdus chez l'homme par une lésion du cerveau , nous voyons qu'il existe encore des mouvements a
tres de mouvements associés, qui doivent être situés au- dessous du cerveau . Hitzig, fort de ces connaissances d'analomie c
oncentre que sur une certaine somme de fibres primitives partant du cerveau ... - Le mouvement associé se remarque surtout c
paralysés ou non, aussi bien dans les cas de lésion de l'écorce du cerveau que dans ceux des lésions des ganglions de la bas
ogie. Bastian démontre que s'il n'y a pas de communication entre le cerveau et la moelle il n'y a pas de contracture, d'où
: «1° Nous pouvons admettre que dans les conditions ordinaires, le cerveau envoie à la moelle des impulsions vagues et dif
te action du cervelet sur la moelle, action antagoniste de celle du cerveau ? Il n'y a que deux routes possibles : (1) Usve
normal le cervelet excite les cellules des cornes antérieures et le cerveau inhibe ces excitations, et s'il survient une lé
excitations, et s'il survient une lésion qui empêche l'influence du cerveau , alors le cervelet reste seul et excite la moelle
, c'est-à-dire les deux voies qui conduisent les actions, celles du cerveau et celles du cervelet, nous avons alors la para
Gehuchten a apporté cette modi- fication que l'excitation vient du cerveau , par les voies cortico-ponto- cérébello-spinale
, pour Jackson, Bastian et les autres c'est le cervelet, ou même le cerveau d'après van Gehuch- ten. Il y a encore dans la
ans la théorie de Jackson-Bastian le principe d'inhi- bition que le cerveau a sur le tonus, et qui dans la contracture a dis-
tc. ont vu aussi, et ce qui pour Marie était tout, du moment que le cerveau ne pouvait plus inhiber, la machine sous pressi
et la- moelle existe, autrement pas d'excitation du cervelet, ou du cerveau (van Ge- huchten) ; tandis que d'après Charcot-
TIVE. (CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA ZONE MOTRICE DU CERVEAU ET DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES DE SES FIBRES
ent toutes deux à des destructions partielles de la zone motrice du cerveau . Dans l'une la lésion s'est produite à un âge a
sque aussi bien que de la droite. Autopsie. L'hémisphère droit du cerveau présente sur sa face externe une vaste lésion.
ement de l'hémi- sphère et un rapprochement, sur la face externe du cerveau , des lobes frontal et temporal. Vu par sa fac
eur forme normale, sur la face externe comme sur la face interne du cerveau . Mais, dès qu'on arrive à la région oc- cupée p
9 substance cérébrale composée : par l'écorce de la face interne du cerveau (c'est ici la grande circonvolution limbique G1
troit et effilé en avant. En comparant cette coupe avec celles d'un cerveau normal, dans la même région (v. Dejerine, Anato
ntre ovale; elle ne s'étend pas aux régions centrales et basales du cerveau : sauf le putamen, entamé dans sa partie supéro
n sous-optique. A la suite de ce tassement des parties centrales du cerveau , le noyau lenticulaire est déformé et la capsule
t de projection des circonvolutions des faces externe et interne du cerveau . Plus bas quand on s'approche de la région évid
gine congénitale de la déformation. Mais le résultat de l'examen du cerveau rend à cette anamnèse toute sa valeur; il s'agi
ants que le notre dans les cas de ramollissement ou d'hémorragie du cerveau , MONOPLEGIE CRURALE ET PORENCËPHAHE CONGENITALE
s. Dans le second cas une lésion très étendue de la zone motrice du cerveau n'a laissé qu'un déficit fonctionnel minime ; grâ
braux et qu'on pourrait même apercevoir les scissures et sillons du cerveau . Sans discuter davantage la ligure en question,
breuses d'athéromasie. Pas de dilatation notable des ventricules du cerveau . Sur une coupe horizontale (PI. XVIII), passant
ndant toute cette longue période, la tolérance et l'accoutumance du cerveau ont été extraordinaires, au triple point de vue m
connaissons, car alors l'homme finit par avoir trop d'idées dans le cerveau , d'où manque d'équilibre. » Et le malade, accep
es immenses conceptions, mais il en est plein, et elles enivrent un cerveau beaucoup plus modeste à l'état normal. Pensant
sprit. Il est de(épor¡ues ou rien ne vient, puis tout d'un coup mou cerveau devient comme un cristal où l'idée élastique se
incomplète, retentit sur le développe- ment et le fonctionnement du cerveau dans des proportions aujourd'hui bien connues c
mental, qui le puérilisme, est donc en rapport avec la structure du cerveau arrêté plus ou moins dans son évolution et non
iplégie ordinaire sous la dépendance de quelque lésion organique du cerveau , vous vous apercevez qu'en marchant, elle a une
sse la plante du pied du côté malade, l'ordre mo- teur redescend du cerveau par la voie du faisceau pyramidal dégénéré : l'
mmissure antérieure de la moelle, de l'ordre de flexion descendu du cerveau par le faisceau pyramidal soi- disant sain, s'e
s peuvent se ramener à des états inflam- matoires des enveloppes du cerveau ». Parmi ces causes la syphilis tient une place
la fontanelle bregmatique dont l'oblitération se fera plus tard. Le cerveau resté sain, cherche, pour acquérir son volume n
mée en un orifice losangique fermé par une membrane périostique. Le cerveau la repousse au dehors et à l'âge adulte on trou
oulages présentent des circonvolutions qui les font ressembler à un cerveau couvert de ses mé- 356 . PIERRE MERLE ninges,
les modifications qu'ont subies les plans osseux sous la poussée du cerveau qui tend à se développer (Hanotte). La déformat
observation à été mise à ma disposition par M. le professeur Bard, le cerveau par M. le professeur Askanazy ; je les en remer
nt céphalo-rachidien, par exemple celles des régions antérieures du cerveau , peuvent fort bien ne se manifester pendant longt
hauteur de l'angle externe du ventricule latéral ; base : celle du cerveau , depuis la ligne médiane jusque près de l'écorce
u fait remarquable que le ramol- lissement d'une certaine partie du cerveau peut masquer le développe- ment d'une tumeur da
itions, la pres- sion intra-crânienne reste dans des limites que le cerveau peut supporter. Ce fut le cas chez notre malade
flexe de l'audition. Il y a si longtemps déjà que j'ai écrit que le cerveau répète, imite ce qu'il voit, ce qu'il entend, ce
cune déformation. , A l'examen macroscopique nous trouvons : Au cerveau , les' méninges sont épaisses et lactescentes sur
urface. Les méninges s'y présentent avec les mêmes caractères qu'au cerveau . Il est sensiblement normal de volume, mais les
ns à l'argent par la méthode de Cajal ou celle de Bielchowski. Au cerveau nous constatons : Tout d'abord une méningite fi
40 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hasiques ou un léger trouble intellec- tuel. Ces phénomènes sont au cerveau ce que la claudication intermittente est aux me
omnie une méiopragie céré- brale, une claudication intermittente du cerveau . Une intoxication même légère, le plus souvent
igine., peut produire le même effet. Son action serait nulle sur un cerveau normal, elle peut suffire à éteindre l'activité
sur un cerveau normal, elle peut suffire à éteindre l'activité d'un cerveau ischémié, ou bien dans d'autres cas, beaucoup p
lle-ci est également abso- lument normale. La surface extérieure du cerveau ne présente au- cune lésion; la pie-mère est no
aucune thrombose veineuse. L'isthme de l'encéphale est détaché du cerveau et du cervelet. Le plancher du quatrième ventri
s chronique, etc. (Thèse de Paris, 1822), et Traité des maladies du cerveau et des membranes, 1825. 22 CLINIQUE MENTALE.
ammatoire de la paralysie générale ne se localise pas uniquement au cerveau , mais se propage à l'axe cérébro-spinal et même
ntion dans une maladie du système nerveux qui s'étend aux méninges, cerveau , cervelet, bulbe, moelle, nerfs périphériques.
premier, signala l'analogie des lésions de la moelle épinière et du cerveau , en 1865 3 d'abord, puis dans sa thèse inaugu-
1866) il insista sur la propagation du processus inflam- matoire du cerveau à la moelle. Il démontra sous le micros- cope q
prolifération nu- cléaire du tissu interstitiel dans la totalité du cerveau , qu'une * gangue de tissu-conjonctif épaisse, c
tion de Bayle, qui expliquait tout par les lésions de la surface du cerveau . Il était logique qu'on examinât et qu'on reche
examinât et qu'on recherchât les lésions des nerfs après celles du cerveau , des méninges, du bulbe, du cervelet (Luys), de
ico -psycho 1., 1S65). " Magnan. Des relations entre les lésions du cerveau el certaines lésions de la moelle el des nerfs
ENTRE DES MUSCLES, DU TRONC DANS LA RÉGION SENSITIVE DE l'écorce du cerveau ; par M. ROTHMMANN, (Neurolog. Cent1'albl., XV,
i semblaient indiquer la proba- bilité d'une union directe entre le cerveau frontal et les centres médullaires des muscles
i- maux, tué trois semaines après l'opération de la réparation du cerveau frontal, il n'existait, ni dans la moelle, ni dan
s la région des membres on trou- vait une dégénérescence partant du cerveau frontal et se dirigeant en arrière et en bas (m
uent une union avec les muscles du tronc, cette union subit dans le cerveau moyen une interruption par des cellules nerveuses
précises ; mais elles ne sont jamais créées de toutes pièces par le cerveau . L'amputé ne localise des perceptions sur un poin
ssite des efforts d'attention qui suppriment la fonction d'arrêt du cerveau sur les fibres motrices : la réflectivité médul
La question du trajet que suivent pour se rendre de la langue au cerveau les fibres nerveuses préposées à la gustation, es
1897), était amené à admettre que tous les nerfs du goût gagnent le cerveau par la voie du trijumeau. Les partisans de cett
les apporte au ganglion de Meckel, et elles gagneraient ensuite le cerveau par le nerf maxillaire supérieur, deuxième bran
le nerf, d'autre part, il des prolongements centraux qui gagnent le cerveau ou la moelle (racines postérieures). Le nerf tr
ions sensibles au ganglion dont il émane, et de là elles gagnent le cerveau ou la moelle par les racines sensitives. Telle
résultats expérimentaux, que les impressions gustatives gagnent le cerveau par la voie du facial et du glosso-pharyngien ?
la QUESTION relative A l'état DES PETITS CAPILLAIRES DE l'ÉCORCE DU CERVEAU DANS L ARTÉRIOSCLÉROSE DES GROS vaisseaux; par
laires, mais sans rétrécissement de leur lumière; restent donc huit cerveaux dans lesquels les plus fins capillaires étaient
KOFF. Contribution à l'étude des anévrismes artériels ci la base du cerveau . Les rapporteurs communiquèrent trois cas, dans
i de l'artère carotide interne et occupait une partie de la base du cerveau , toute la partie de la scissure syl- vienne du
suicide, à l'homicide, même. Elle est alors due a la compression du cerveau , à la méningite épendymaire, à la dilatation de
les énucléer. Ils apparaissent alors ratta- chés à la convexité du cerveau par un pédicule très fin, qui appa- raît nettem
syphilis artérielle : . 'H 2 - CLINIQUE NERVEUSE. Les gommes du cerveau , ainsi comprises, sont assez rares : elles se p
e des symptômes bruyants. Ne suffisent-elles pas à faire délirer un cerveau héréditairement prédisposé ? Dans le cas qui no
Bouveret 1), que nous avons retrouvé nous-même autour d'un abcès du cerveau 2@ et qui a été signalé aussi autour des gommes
e notre série, n'est pas exceptionnel dans les tumeurs gommeuses du cerveau . Gamcl 1 en a rap- porté plusieurs exemples.
s notions importantes pour le diagnostic des tumeurs gommeuses du cerveau . Nous avons vu que dans la syphilis artérielle, l
son peut être complète. En résumé, la symptomatologie des gommes du cerveau est entièrement celle des tumeurs cérébrales.
git alors direc- - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 139 temeut sur le cerveau en y déterminant des altérations spéciales : il
tions dont le schéma peut se résumer en quelques mots : syphilis du cerveau , ictus initial, lésions localisées (aphasie, hémi
e dégéné- rescence a évolué parallèlement dans la moelle et dans le cerveau , donnant naissance dans le premier de ces organ
fonctionnelles. Or, étant habitués et autorisés à chercher dans le cerveau humain le plus haut degré du développement orga
lois auxquelles obéissent ces phénomènes, l'activité associative du cerveau malade repose au fond sur l'inter- vention préc
ent très prononcé (jus- qu'à la liquéfaction) ; dans la pie-mère du cerveau et du cervelet de petites métastases de la tume
. A. Mercier, auteur d'une bro- chure Sur la diminution du poids du cerveau dans la paralysie géné- rale, et d'un autre tra
dation du tissu osseux. Cependant l'autopsie fut incomplète : ni le cerveau ni les méninges ne furent examinés. Un point d'
motrices et sensitives de la moelle », aussi bien que par celles du cerveau . ' Shaw. - Des arlhropallties dans la paralysie
mit néanmoins de faire les constatations principales qui suivent. Cerveau . Congestion intense avec épanchement de sérosité
QUELQUES phénomènes indicateurs DE la phagocytose observés dans LES cerveaux des aliénés ; par John TunNER. (The Journal of
vier 1897.) M. Bevau-Lewis attribue aux cellules de Deiters dans le cerveau un rôle phagocytique : il les considère comme d
e phagocytique : il les considère comme de véritables écu- meurs du cerveau qui absorbent et enlèvent les matériaux de déchet
e rencontrent dans plusieurs variétés de folie, et surtout dans les cerveaux séniles. Les cas où l'auteur les a rencontrés le
pour les rendre apparentes : Prendre des frag- ments très minces du cerveau d'un sujet dont la mort ne remonte pas à plus d
point de vue physiologique les fibres motrices qui descen- dent du cerveau , du cervelet, du mésencéphale et du rhombencé-
précipités formés de ces granulations. Les cellules de l'écorce du cerveau ne se colorent généralement pas dans leur total
. On trouve à 1'(ititopsie l'inflammation chro- nique atrophique du cerveau , avec dégénérescence des cordons postérieurs, u
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 219 LU. Anomalies histologiques DU cerveau DES épileptiqucs ET DES CRIMI'\'ELS-1 ? s , par
montra aucune lésion patholo- gique appréciable des méninges et du cerveau . Chez un autre malade mort de pneumonie sans av
détermine l'accumulation de ce sang veineux dans les capillaires du cerveau et de la moelle allongée. L'opinion de Meynert
ite en amaurose complète. Des épanchements sanguins, des abcès du cerveau , des tumeurs à localisation bien nette, peuvent e
Cela pourrait s'expliquer par ce fait que chez les alcooliques le cerveau , organe d'élection du poison, a été déjà touché,
to-intoxication, lorsqu'elle survient, intéresse plus facilement le cerveau que les nerfs périphériques ». M. HAMEL. XXVI
t-à-dire qu'il se produit de plus grands échanges nutritifs dans le cerveau , et par suite hyperactivité cérébrale.. Une hyp
uses : intoxication alcoolique, trau- matisme, cicatrice, lésion du cerveau , irritation des terminaisons nerveuses, influen
e. Ci âne : persistance de la fontanelle antérieure. Description du cerveau .- lésions des circorzuolutions; hydrocéphalie
éveloppées à droite qu'à gauche. La dure-mère est très adhérente. Cerveau . Hémisphère gauche. La partie antérieure de la co
l'activité des cellules nerveuses, comme une sorte de sécrétion du cerveau . L'action du cerveau dépend de sa struc- ture m
les nerveuses, comme une sorte de sécrétion du cerveau. L'action du cerveau dépend de sa struc- ture modifiée par l'hérédit
i bien les soins à donner au corps que ceux à donneraux maladies du cerveau . Le nombre des gardiens devrait être tel que l'
e, comme chez le chien, dans les lésions de la zone dite motrice du cerveau , la sensibilité tactile et la sensibi- lité kin
on Doumic, 1883. 356 pathologie mentale. action spécifique sur le cerveau , action dont le résultat cons- cient est une ce
oints vivants par le mouvement incessant des fonctions, apportée au cerveau par les nerfs cérébro-spinaux et du système gan
pent. La communication y semble interrom- pue ou pervertie entre le cerveau et le reste de l'organisme ; aussi ce dernier p
nt modiliées ou qui ont disparu. S'il se plaint de ne plus avoir de cerveau , de coeur, c'est que les sensations internes co
es (ils sont damnés, ils ne peuvent plus vivre, on leur a pris leur cerveau , ils n'ont plus de corps) ; il semblerait que,
s plusieurs années, il y a ajouté la croyance qu'il a la tête et le cerveau peuplés d'oiseaux qui s'envolent de temps en te
e sa vie. Il s'imaginait que ses idées prenaient naissance dans son cerveau sous forme d'oi- seaux ou d'abeilles qui s'envo
lules ganglionnaires des invertébrés avec les cellules nerveuses du cerveau et de la moelle épinièreldes vertébrés supérieu
ns les ganglions viscéraux du sympathique, la couche moléculaire du cerveau (cellules de Cajal). Mais le type propre de l'u
Sans doute ce liquide n'est point partout également réparti dans le cerveau et la moelle épinière, et sa circulation est à
pas par lui-même. . Dans les paralysies causées par des lésions du cerveau , on voit sou- vent les cellules des cornes anté
ux touchant le caractère et l'intensité des excitations arrivées au cerveau par le nerf optique. Ranioil y Cajal conjecture
THÉORIE DES NEURONES. 385 Les couches superficielles de l'écorce du cerveau et du cervelet, loin d'être, comme le pensait G
me je suis porté à le croire, sur leur prolongement à la surface du cerveau . » Quoi qu'il en soit de cette explication rend
séries de 20 à 100, sur les différentes parties du système nerveux ( cerveau , cervelet, bulbe, moelle épinière, nerfs périph
s conclusions sui- vantes : a)..4M)'ff(«MM artificielles. Dans le cerveau et le cervelet, il se produit des vacuoles dans
ses, d'abord dans la moelle épinière et le bulbe, plus tard dans le cerveau et le cervelet, augmentent de volume par gonfle
les neurones rend compte de cette situation non moins spéciale du cerveau qui constitue l'hypnose. Il est d'abord à remar
Yell-010g. Centralbl., XVI, 1897.) Prenez par exemple le tronc du cerveau et mettez-le dans un liquide composé de : REV
queur de Aluiler ou l'acide chromique. Par exemple, la moelle et le cerveau ont été SOCIÉTÉS SAVANTES. 4111 pendant trois
lésions d'encéphalite simple. Il n'y a pas de maladie chronique du cerveau qui n'ait pu, à un mo- ment, simuler cliniqueme
it pas fatalement à la paralysie générale. Une longue ascendance de cerveaux surmenés est probablement nécessaire pour que l
e 1'ttineiiiitt. Dr N. Solovtzow. Les difformités tératologiques du cerveau en rapport avec les altérations médullaires. -
plaignent souvent d'altérations viscérales : on leur a changé leur cerveau ; ils n'ont plus de coeur, de pou- mons, de foi
es exemples où le diable s'était introduit par les pieds jus- qu'au cerveau , « d'où il discourait de toutes sortes de choses,
l., 1897, p. 307.) Après avoir fait de nombreuses coupes sériées de cerveaux de foetus et de nouveau-nés, l'auteur admet que
auteurs rat- tachent au moteur commun ; mais on peut suivre sur le cerveau du foetus les racines du pathétique jusqu'à ce
ularités anatomiques, physiologiques et patholo- giques séparent le cerveau droit du cerveau gauche. Et d'abord, ils diffèr
ues, physiologiques et patholo- giques séparent le cerveau droit du cerveau gauche. Et d'abord, ils diffèrent par leur réac
l d'un côté à l'autre. D'après certains auteurs le développement du cerveau gauche serait plus rapide ; les actes les plus
it. Hémianesthésie dépendant plus souvent de troubles dynamiques du cerveau droit. Il semble que l'hémisphère droit soit pl
isphère droit soit plus sujet aux troubles dynamiques tandis que le cerveau gauche est plus prédisposé aux lésions organiqu
féminin rendraient assez bien les différences de na- ture des deux cerveaux , dont l'un, plus intellectuel, est plus stable,
rieur droit peuvent tenir à un foyer cortical, ou plus profond, du cerveau ; s'il est cortical, il y a coparticipation soit d
ectrisation de l'écorce), procèdent toujours d'un afflux sanguin au cerveau , constrastant avec une diminution de l'action d
duit pas le même résultat parce que chez les animaux supérieurs, le cerveau ayant un gros volume, la piqûre n'excite point
s les fibres des racines motrices avec lesquelles elles quittent le cerveau ; quelques-unes entrent dans le noyau moteur et
facial. < P. KERAVAL. XCVII. Tractus dégénérés dans LE TRONC DU cerveau par lésion DE la MOELLE cervicale inférieure ;
s cordons antéro-latéraux faiblement dégénéré. En montant vers le cerveau , on constate que les faisceaux de Goll s'irradi
endants;deux trousseaux, pauvres en fibres, passent par le tronc du cerveau entier, et peuvent être suivis jusqu'à la couche
rapport à l'olive supérieure, les fibres dégénérées montent vers le cerveau dans la même situa- tion vis-à-vis du noyau lat
ions par excitation du bulbe parce que les troubles de nutrition du cerveau produits par l'as- phyxie ne sont point compens
our que l'espoir d'une médication directe sur un organe, tel que le cerveau , dont le fonctionnement merveilleux a si viveme
ement la cause déterminante par laquelle une lésion préexistante du cerveau devient une lésion déchargeante. Ce qui peut ca
de la lésion déchargeante, du foyer épilep,o-ène. Toute lésion du cerveau , dans n'importe quelle partie, peut provoquer un
es ! Il n'y a pas de chirurgie des épilepsies. Mais il y a celle du cerveau et du crâne. La prétention de celte chirurgie c
qu'uneépifepsie peut être symptomatique d'une lésion quelconque du cerveau , tandis que, la prédisposition épileptogène faisa
mprise, la chirurgie cérébrale, liée intimement à la physiologie du cerveau , jouera un rôle très grand dans l'avenir, lorsq
. Ott (Charles). Etude sur les deux formes de hernie congénitale du cerveau . L'en- céphalocèle et l'eiicéphalome. Patry (
petit ne mourut pas, mais demeura à demi fou, car une dépression du cerveau s'était produite. Or, avant-hier, la folie douc
zone motrice corticale, par Verger, 348. Anévrysme de la base du cerveau , par Mamourowsky et Mololetkoff, 87. Anthro
o, 483. Affection - à rappro- cher de t'ataxie, par Spiller, 315. Cerveau . Centre des muscles du tronc dans la région sen
Persécutés mélancoliques , par Lalanne, 266. Phagocytose dans les cerveaux d'a- liénés, par '113. - PITUIT.11RE. Surfonc
41 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
erfs pathéti-ques. Y, régions postérieures du tronçon pédonculaire du cerveau . N, ré-gion antérieure ou fasciculée du même tron
, région postérieure; N, région antérieure du tronçon pédonculaire du cerveau . U, coupe du pédon-cule cérébelleux. C, coupe du
ture du tronçon nerveux qui unit la moelle épinière au cervelet et au cerveau . Trois de ces figures sont spécialement consacrée
r dans la région postérieure ou supérieure du tronçon pédonculaire du cerveau , la combinaison des tubercules quadrijumeaux , du
vec cette partie postérieure ou supérieure du tronçon pédonculaire du cerveau . Pour montrer .clairement la continuité de cett
les quadrijumeaux. Y', région postérieure du tronçon pédoncu-laire du cerveau . N , région antérieure ou fasciculée du même tron
r de la moelle dans la région postérieure du tronçon pédon-culaire du cerveau , et de plus le passage de quelques fascicules du
structure du tronçon nerveux intermédiaire à la moelle épinière et au cerveau . En général les figures de la planche 3 représent
vermiforme. B, tubercules quadrijumeaux. NN, tronçon pédonculaire du cerveau . FIGURE 3e. Cette figure représente une vue a
la partie la plus élevée de cette figure. N, tronçon pédonculaire du cerveau . V Y,, moelle épinière. H, nerf triju-meau. Q, ru
, région fasciculée. Y, région postérieure du tronçon pédonculaire du cerveau . H, trijumeau. H', prolongement de ce nerf dans l
o , cul-de-sac occipital du ventricule. Z, scissure inter-lobaire du cerveau . PL. 6 PL. 7 Cette planche contient deux fi
volutionnaires et celle de quelques parties fibreuses intrinsèques du cerveau . FIGURE l'e. Cette figure montre les deux lig
e et l'autre à faire comprendre la disposition des circonvolutions du cerveau . circonvolution de deuxième ordre dans le group
ple de développe-ment médiocre des circonvolutions de la convexité du cerveau . Cette figure représente la face interne et la
tte planche est destinée à montrer les cir-convolutions de la base du cerveau ; les pédoncules cérébraux ont été cou-pés à quel
es destinées à montrer surtout les circonvolutions de la convexité du cerveau . FIGURE ]'-. Celte (igure représente un hémis
-neurde la scissure à la partie interne de l'extrémité postérieure du cerveau . I 1, traverse médio-pariétale allant du second f
PL. 11 (Jette planche présente une figure de la face supérieure du cerveau . I) D I), fragment supérieur de fa grande circo
ième ordre. Cette circonvolution, très-épaisse en quelques régions du cerveau que nous avons pris pour modèle, tend à se dédoub
rincipal est de faire voir la disposition des ventricules latéraux du cerveau . FIGURE Ire Toute l'épaisseur de l'hémisphère
comprendre les rapports du noyau cérébral avec les hémisphères. Le cerveau , reposant sur sa convexité, a été divisé transver
rne de l'hémisphère , la seconde représente une coupe transversale de cerveau de nouveau-né. FIGURE \™. i, corps calleux co
rale. FIGURE 2e. Cette figure représente une coupe du crâne et du cerveau d'un nou-veau-né au niveau de la suture fronto-pa
eur et du faisceau antérieur de la moelle avec différentes régions du cerveau . Le corps calleux a été coupé sur la ligne médi
nts radiculai-res du nerf auditif qui se portent dans la direction du cerveau K. chiasma des optiques. K', luber cinereum. Entr
formant la doublure blanche des circonvolutions de la face interne du cerveau . N, face profonde de la région fasciculée du pé
E E F H P, diverses régions des circonvolutions de la face interne du cerveau . Le modèle de cette figure a été fait sur le cerv
face interne du cerveau. Le modèle de cette figure a été fait sur le cerveau d'un nouveau-né. PL. 18 PL. 19 Les deux fig
érieure de la scissure de Sylvius. On voit en I, sur le côté droit du cerveau , la partie adhérente de la circonvolution de l'ou
42 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
'.1CAD111E DE MËmXT\1' l' TOME DEUXIÈME FASCICULE 1 ANATOMIE DU CERVEAU (suite) ANATOMIE DU RHOMBENCÉPHALE Avec 465 f
u rhinencéphale unit l'écorce du rhinencéphale aux for- mations des cerveaux antérieur, intermédiaire et moyen. Peu développé
de la partie supé- rieure de ce trajet, de celle qui appartient aux cerveaux antérieur, inter- médiaire et moyen, et qui s'é
et la moelle épinière. 1. TRAJET DES FIBRES DE PROJECTION DANS LES CERVEAUX AN- TItIIEUR, INTERMÉDIAIRE ET MOYEN. CENTRE OV
amine des séries de coupes vertico- transversales macroscopiques de cerveaux durcis dans les bichromates alcalins, telles qu
3GcJ). Considéré dans son ensemble (Fig. 2), après dissociation de cerveaux durcis dans l'alcool, le formol ou les bichroma
Elle correspond, en effet, à la fusion .du putamen avec la base du cerveau antérieur, en particulier avec le noyau amygdal
ne qui constituent le faisceau de Turck. Les coupes horizontales du cerveau (T. ICI' p. 577), sectionnent le pied du pédonc
s unes courtes relient la corticalilé cérébrale aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire el moyen (fibres cortico-tlzalanziq
T CORTICO SOUS-THALAMIQUES Ces fibres destinées aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire et moyen comprennent : ·1° Les
ont en ell'et des plus rares dans la moelle, aussi bien que dans le cerveau . Fibres do projec- tions courtes. Frbros do
de cette question. Morgagni, le premier, entrevit les connexions du cerveau avec le reste du névraxe en constatant dans les
ions en montrant que les vastes et anciens foyers hémorrhagiques du cerveau entraînent du côté correspondant une atrophie d
laires. Il pratiqua des coupes vertico-trans- versales à travers le cerveau et montra : 1° Que la destruction de la partie
rticalité cérébrale. La doctrino de Meynert sur la tex- ture du cerveau . Les trois systèmes de fibres de projection.
, s'entre-croisaient avec celles du côté opposé au niveau du raphé du cerveau moyen puis se rendaient dans les noyaux des ner
189G, Flechsig mo- difiant ses anciennes idées sur la texture du cerveau el abandon- nant son opinion sur l'origine des
les hémisphères céré- braux) une nouvelle opinion sur la texture du cerveau qui peut se résumer ainsi , qu'il suit : Il exi
e cérébral. Les nouvelles idées le Flechsig sur la texture du cerveau . Les centres do pro- jection. Les centres d
draient qu'aux primates, constitueraient la marque caractéristique du cerveau de l'homme et leur développement, variable d'un
ristique du cerveau de l'homme et leur développement, variable d'un cerveau humain à l'autre, serait en rapport étroit avec
Flechsig a émise dans plusieurs publications, repose sur l'étude de cerveaux de nouveau-nés ou d'enfants dont le plus âgé av
fibres de projection. L'anatomie comparée montre, du reste, que les cerveaux des mammifères, en par- ticulier du chat (0. Vo
dépourvue de fibres de projection chez l'enfant en bas âge, - et le cerveau de l'enfant le plus âgé étudié par Flechsig était
céphalique correspondant à la lésion corticale ; tels sont, dans le cerveau antérieur : le noyau caudé, le putamen, l'anse
: le noyau caudé, le putamen, l'anse du noyau lenticulaire; dans le cerveau intermédiaire : les faisceaux lenticulaire et t
) 3° Lésion du deuxième quart inférieur de la zone rolandique. - Le cerveau du cas Heudebert (Fig. 124 à 128) présente deux
apsule interne, sans participation du faisceau géniculé (Ci)g).- Le cerveau du cas Racle (Fig. 165 à 173) présente une lési
sur cet enfant dont l'encéphale nous fut remis parle D1' Long. Le cerveau de cet hydrocéphale n'est qu'une vaste vésicule r
liquide céphalo-rachidien mais ayant conservé la forme générale du cerveau normal. Il existe une faux du cerveau, une prof
conservé la forme générale du cerveau normal. Il existe une faux du cerveau , une profonde scissure interhémisphérique et à la
érentes bran- ches de l'artère sylvienne (Fig. 199). A la base du cerveau (Fig. 199) on distingue un losange opto-pcdonculc
ce finement réticulée et qui correspond aux ganglions de la base du cerveau (corps opto-striés). Plus en dehors et en arrière
nésiées de cet hydrocéphale, on obtient alors la figure 201. Le cerveau antérieur de cet hy- drocéphale ne dépasse pas
cet hy- drocéphale ne dépasse pas le stade de développement d'un cerveau de pois- son osseux ou de reptile : le manteau
t moins riche en fibres à myéline. 2° Les ganglions de la base du cerveau (Fig. 202 à 207) séparés l'un de l'autre par 'é
st intraventriculaire à l'en- contre de ce que l'on observe dans le cerveau normal et recouvert ainsi que le noyau caudé pa
corps de Luys, à la calotte pédonculaire L'espace occupé dans un cerveau norma par la région sous-thalamique de la capsu
r la région sous-thalamique de la capsul( interne est envahi sur ce cerveau mal forint par la zona incerta (Zi, Fig. 20 el
e, avant la soudure du manteau cérébral aux corps opto-striés. Le cerveau antérieur représente ici encore une vaste vésicul
alie) qui mesure à peu près les trois quarts de la longueur totale du cerveau el par lequel la cavité ventriculaire unique co
té débitées les coupes hori- zontales obliques (Fig. 226 à 231). Le cerveau s'est aplati pendant le durcissement de sorte q
térieure, étranglée (Etr) du manteau occupe la face infé- rieure du cerveau . - Flld, les circonvolutions de la partie inférie
une scissuie interhémisphérique profonde (Fig, 213) et une faux du cerveau bien développée. Le manteau s'étrangle à l'extrém
ig. 214 et 216); il correspond, en réalité, à l'extrémité frontale du cerveau . En arrière de lui, on trouve, en effet, de cha
Dans le lobe occipital on trouve les trois couches concentriques du cerveau normal (fiv. 219). Le tapetum en dedans (Tap),
sceau à direction sagittale, l'homologue du forceps postérieur d'un cerveau normal. - Fp, faisceau des fibres de projection r
rte en réalité très peu du trajet général des fibres calleuses d'un cerveau sain. A l'état normal, les fibres calleuses ent
et par Charcot in Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau , l8 îG, p. 155 etSoc. de Biologie, 1862. - Ciiarp
ie photographique des centres ner- veux. Paris, 1872. - Du même. Le Cerveau , 1877. LGUURET et Gn 1T10LET. Anatomie compa- r
Zustande. Leipzig und Wien, 1896. - Parrot. Sur le développement du cerveau chez les enfants. Arch. de Phys. norm. el path.
condaires dans la moelle provo- quées par des lésions corticales du cerveau . Mém. de la Soc. de Biologie, 1876, p. 186. - P
. 1033, 1898. - SOBOW1ZOl'l', Sur les difformités congé- nitales du cerveau dans leurs rapports avec l'état des cellules nene
consécutive li la destruction avec atrophie, d'un des hémisphères du cerveau . Th. de Paris, 1856. - Vulpian. Influence de l'
t, IIenschen, Déjerine, etc., etc., sur les fonctions sensitives du cerveau et les localisations des différentes variétés d
embre. Signalons enfin les résultais obtenus par la faradisation du cerveau de l'homme, appliquée au cours de diverses trép
cales. 1. Localisations motrices. - La zone excitable ou motrice du cerveau occupe la partie sus-sylvienne du secteur moyen
ue. FiG. 239. - Les centres moteurs des faces externe et interne du cerveau du macacus sinicus, d'après Ilorsley et Schafer
centre visuel, sou- tient que l'extirpation des lobes antérieurs du cerveau détermine, chez le chien, des troubles visuels
s faisceaux d'association de la région. C'est lorsque l'on étudie des cerveaux pathologiques par la méthode des coupes microsc
, 1876. - Bouillvud. Recherches expérimentales sur les fonctions du cerveau (lobes cérébraux) en général et sur celles de sa
., 1873. Charcot. Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau . Paris 1876. - CLOXEL de BROYER. Eludes cliniqu
bution à l'étude des localisations dans l'écorce des hémisphères du cerveau . Revue mensuelle de Médecine et de Chirurgie, 187
à l'élude des localisat. motrices dans l'écorce des hémisphères du cerveau . Rev. Mens. llléd. et Chir., 1878-1879. - Des mêm
caux chez l'homme. Paris, Rueff, éd. 1895. - Chipault. Chirurgie du cerveau . - DURET. Études expérimentales et cliniques su
1890. - Franck (FR \ : \ÇOIS). Leçons sur les fonctions motrices du cerveau . Paris, 1887, p. 3G. - FRANCS (François) et Pit
nver- richL. Wiesbaden, 1893. - L. Les centres moteurs corticaux du cerveau humain déterminés d'après les effets de l'excit
London, vol. 181, 1890, p. 187-211. - JULES Souso. Les fonctions du cerveau . Paris, 1892. - Du même. Le système nerveux cen
ceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans les lésions du cerveau . Thèse, Paris, 1881. - Du même. Le langage inté
arrière J'aire olfactive (Aol), c'est-à-dire les régions basales du cerveau antérieur (partie inférieure et basale de la tê
ion du corps calleux, soit entre elles, soit aux régions basales du cerveau anté- rieur : septum lucidum, substance innomin
, enfin, unissent ces mêmes circonvolutions aux régions basales des cerveaux intermédiaire et moyen (tubercule mamillaire, r
gone et du bourrelet du corps calleux (d'après la photographie d'un cerveau durci dans le formol). Les plexus choroïdes du
eux cas une profonde scissure interhémisphérique logeant la faux du cerveau et dont le fond est constitué par une mince lamel
nte qui se continue avec la lame terminale embryonnaire de la base du cerveau . Celte lamelle n'est nulle part adhérente au co
ome le" et qui est visible à l'oeil nu sur les coupes sagittales de cerveaux durcis dans les bichromates alcalins (Fig. 268,26
illaire et la bande- lette optique, et qui détermine à la base du cerveau un relief constant, mais plus ou moins saillant
superficiels dans le tuber cinereum et apparaissent il la surface du cerveau dans l'espace opto-pédonculaire, où ils ont été
s, est bien mise en évidence non seulement par l'étude de coupes de cerveaux d'enfants convenablement coloriés, mais encore pa
rayonnante. Ces deux couches sont particulièrement manifestes sur le cerveau de notre hydro- céphale avec porencéphalie et m
e feuillet antérieur ou ventral, insi- Fig. 27t. Coupe sagittale du cerveau du lapin adulte passant par la partie interne d
fornix longus et on obtiendra ainsi la disposition présentée par le cerveau humain. Pilier antérieur. - Le pilier antérieur
as rela- tivement rares, le noyau externe fait saillie à la base du cerveau dans le losange opto-pédonculaire, et un sillon
d.K. Akad.der Wissenschaft. Wien, 1877. - Serres. Anat. comparée du cerveau , 2 vol. avec atlas. Paris, 1824-1826. - Vicq na
rendre à la capsule interne et de là aux amas ganglionnaires des cerveaux inter- meaiaire, moyen, postérieur, etc., etc.
sceau lenticu- laire de Forel. Connexions du corps strié avec les cerveaux intermédiaire et moyen. Le corps strié est reli
c les cerveaux intermédiaire et moyen. Le corps strié est relié aux cerveaux intermédiaire et moyen par à un volumineux syst
. Pris dans son ensemble, ce système constitue le faisceau basai du cerveau antérieur des vertébrés (Edinger), le système d
mammifères, le corps strié, connu sous le nom de ganglion basai du cerveau antérieur, représente un amas ganglionnaire uniqu
ique et considérable qui Les connexions du corps strié avec les cerveaux intermé- diaire et moyen. Leur importance p
t moyen. Leur importance phylogénétique. Le faisceau basal du cerveau antérieur des vertébrés infé- rieurs. 318 A
o-sous-t h a I a m i- ques. chez les poissons forme à lui seul le cerveau antérieur. L'écorce cérébrale ne dépasse pas, e
eloppement suffisant pour envoyer des fibres de projection dans les cerveaux intermédiaire et moyen à travers le ganglion ba
riées. Celui-ci constitue un volumineux faisceau, faisceau basal du cerveau antérieur (basales VOI'derhirnbiindel) dont les f
ente le corps strié, et se terminent dans les amas ganglionnaires des cerveaux intermédiaire et moyen. Aucune fibre ne descend
ection de l'écorce cérébrale. Il ne peut donc être étudié à l'aide de cerveaux nor- maux débités en coupes microscopiques séri
ié (cas Ronse, Fig. 296 à 301); 4° dans deux cas de malformation du cerveau avec arrêt de développement plus ou moins complet
ande de substance grise et blanche que l'on voit à l'oeil nu sur un cerveau frais, après ablation de la bandelette optique, c
r le pied du pédoncule cérébral au niveau de sa pénétration dans le cerveau . Les deux faisceaux constitutifs de l'anse pédonc
du sillon elioroidien (sch), appartient à la surface extérieure du cerveau intermédiaire ; elle est recouverte par la toil
, ainsi que l'embryologie le démontre, à la surface exté- rieure du cerveau intermédiaire (Fig. 310). La face externe du pulv
nt multiples et complexes. Siluée entre le tronc encéphalique et le cerveau antérieur, la couche optique représente en effe
latérale, et croisée. Connexions de la couche optique avec le cerveau moyen, situé à la partie postérieure et ventral
le pulvinar, la couche optique entre en outre en connexion avec le cerveau moyen. Le bras du tubercule quadrijumeau postér
s'effectuent par la commissure postérieure. Située à la limite des cerveaux intermédiaire et moyen, dans la lame repliée qui
GLIONS INFHACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 311 -i rhombencéphale et le cerveau moyen, en particulier avec la formation réti- c
nula au ganglion homologue du côté opposé et à la moitié opposée du cerveau moyen. Con- sidérée par Kôlliker comme une comm
enia thalami du côté opposé et se rendent aux régions olfactives du cerveau . Mais le plus grand nombre se rend au cerveau m
régions olfactives du cerveau. Mais le plus grand nombre se rend au cerveau moyen, les unes s'arrêtant dans le toit du cervea
ombre se rend au cerveau moyen, les unes s'arrêtant dans le toit du cerveau moyen, en particulier dans le tubercule quadrij
, tantôt déprimée (fossette du conarium, Charpy), qui appartient au cerveau moyen et termine en haut le sillon sagittal média
on du trijumeau, ainsi que de jraaf le croyait, mais de la voûte du cerveau intermédiaire et présentant par conséquent me o
r K. Acad. d. Wissensch. Wien, 1877. - Serres. Anatomie comparée du cerveau . 2 vol. avec atlas. Paris, 1824-1826. - Stieda. S
, n° 47, 2j nov. 1889, p. 1029-1030. - Serres. Anatomie comparée du cerveau , 2 vol. avec atlas. Paris, 182'\'-182G. - Stieda.
un angle ouvert en bas et en avant et dont le sommet correspond au cerveau moyen, à la coudure du vertex du cerveau embryo
nt le sommet correspond au cerveau moyen, à la coudure du vertex du cerveau embryonnaire. Il résulte de cette disposition - p
résulte de cette disposition - parti- culièrement accentuée dans le cerveau humain et très nette sur les coupes sagittales
t la partie supérieure des commissures antérieure et postérieure du cerveau , sous l'aspect d'un corps ovalaire en contact imm
rsque le pied du pédoncule cérébral apparaît librement à la base du cerveau , au-dessous de la bandelette optique (Fig. 34,
dymaire des ventricules latéraux et la substance grise centrale du cerveau moyen. Elle fait défaut au niveau de la paroi a
rpédonculaire ou perforée postérieure qui appar- ient en réalité au cerveau moyen, puis tapisse la face profonde des tuber-
es éminences latérales du tuber cinereum, il détermine à la base du cerveau une saillie très marquée chez le foetus et le j
ue; le plancher du ventricule moyen n'est en effet que le raphé des cerveaux moyen et intermédiaire étiré en lame par la div
asma, mais de chaque côté elle apparaît à l'extérieur de la base du cerveau , en arrière de la bandelette optique, puis pénè
, 1896. CHAPITRE VIII, NERFS CRANIENS DÉVELOPPÉS AUX DÉPENS DES CERVEAUX . ANTÉRIEUR ET INTERMÉDIAIRE. NERFS OLFACTIF ET
s : le nerf olfactif étant un lobe cérébral développé aux dépens du cerveau antérieur; le nerf optique n'étant que le pédic
tiré de la vésicule oculaire pri- mitive, prolongement elle-même du cerveau intermédiaire. Leur trajet intracranien apparti
outre unis aux centres homologues du côté opposé et à la calotte du cerveau moyen par des systèmes distincts de fibres commis
e la commissure antérieure (Rolp, 1, Fig. 327) ; ils sont reliés au cerveau moyen par le système du ganglion de l'habenula (G
isceau olfaclif du Irigone (Fol), d'autre part (Fig. 327) ; 2° Au cerveau intermédiaire : a) Par quelques fibres, peu nombr
ive ordre qui relient les centres olfactifs corticaux, soit avec le cerveau intermédiaire du même côté et du côté croisé, soi
établit les connexions de la zone corticale de l'olfaction avec le cerveau intermédiaire. Dans le tubercule mamillaire, le
appareil visucl se réunissent donc dans les ganglions de la base du cerveau (corps genouillé externe, pulvinar, tuber- cule
delettes, c'est donc dans la substance grise centrale de la base du cerveau qu'il faut chercher chez l'homme l'homologue de l
hématoxylinique, plongés au sein de la substance grise de la base du cerveau et que Schlagenhaufer a pu suivre jusqu'au noya
Graefes Arch. Optbalmol. vol. XXVIII, ? p. 201. TROISIÈME PARTIE CERVEAU RHOMBOÏDAL RHOMBENCÉPHALE Le cerveau rhomboïdal
? p. 201. TROISIÈME PARTIE CERVEAU RHOMBOÏDAL RHOMBENCÉPHALE Le cerveau rhomboïdal, le rhombencéphale de la nomenclature
ian le cervelet se développe aux dépens d'une partie de la voûte du cerveau postérieur ou quatrième vésicule encépha- lique
'homme, le cervelet se trouve enfoncé a la façon d'un coin entre le cerveau et la moelle épinière. Il est situé au-dessous de
couvert, elle est située en arrière des hémisphères cérébraux et du cerveau moyen souvent très développé. Sur l'encéphale
RPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 437 dont la consistance égale celle du cerveau . Son aspect sillonné et la- melleux lui donne u
melleux lui donne un cachet particulier, bien différent de celui du cerveau . Le cervelet comprend chez l'homme deux parties
llons marginaux de l'insula, ou encore séparei le rhombencéphale du cerveau par une coupe horizontale qui passe pai les péd
- La lingula et les freins de la lingula; la face pos- térieure du cerveau moyen et l'islhme postérieur de Ilis.- D'après
BULBE RACHIDIEN ISTHME POSTÉRIEUR Après ablation du cervelet, le cerveau rhomboïdal se présente sous l'aspect d'une mass
e continue avec la moelle épinière et en haut où elle fait suite au cerveau moyen (Fig. 319). Sa limite supérieure est marq
e trou occipital. L'axe du rhombencéphale forme ainsi avec l'axe du cerveau intermédiaire un angle obtus ouvert en bas et e
rieur. Sillon médian. Conformation extérieure. On peut décrire au cerveau rhom- boïdal, après ablation du cervelet, quatr
r et inférieur; sur Sol TOME Il. 31 Fit;. 349. Face antérieure du cerveau thomboida après ablation du cervelet. La pie-mè
et inférieures est très manifeste sur la coupe sagillale médiane du cerveau rhomboïdal, elle a conduit quelques auteurs à d
une face que d'un rebord saillant, plus ou moins marqué suivant les cerveaux . Lorsqu'on sectionne la protubérance perpendicu
ne de la pyramide - et qu'un sillon longitudinal isole sur quelques cerveaux plus ou moins complètement des autres fascicule
ncules cérébelleux supérieurs (Pcs) ; elle est située en arrière du cerveau moyen, au-dessus de la pro- tubérance dont la s
de l'isthme ou ruban de Reil latéral (RI), situé à cheval sur le cerveau moyen et l'isthme postérieur. La limite inférie
e du pédoncule cérébelleux, Fig. 331. - L'islhme postérieur et le cerveau moyen (face postéro-laté- rale). L'émergence du
médian interquadrigéminal (Fig. 337 et 351). Bulbe. Lorsque, sur un cerveau durci dans le iormol, l'alcool, ou les bichroma
, parce qu'il se développe le premier) est la cavité épendymaire du cerveau rhomboïdal. C'est une cavité irrégulièrement lo
tinuent dans l'aqueduc de Sylvius avec les lames fondamentales du cerveau moyen. Deux sillons, les sillons latéraux (sulc
. Traite d'anatomie, Paris, 1786-90. - Du même. Sur la structure du cerveau , Paris, 1781-1783. CHAPITRE II CONFIGURATION
centre ovale du cervelet, analogue au centre ovale de Vieussens du cerveau . La préparation de Reil divise le cervelet en d
tle. La limile entre ces deux étages ou régions est établie dans le cerveau moyen par le locus niger, dans le rhombencéphal
a région de la calotte appartient à la fois au rhombencéphale et au cerveau moyen; considérée dans son ensemble, elle présent
homologue du côté opposé; en dehors, elle atteint la périphérie du cerveau moyen et du bulbe rachidien, tandis qu'elle est l
e noyaux sous lequel elles sont générale- ment désignées. Dans le cerveau moyen, les amas gris occupent la partie antéro-ex
édonculaire. -La formation réticulée commence en haut, à l'union du cerveau moyen et de la région sous-optique, par une extré
de démarcation nette. b) Segment protubérantiel. 1° Aux confins du cerveau moyen et du rhombencéphale (coupe Pus, Fig. 393
e-croiserait avec lui et constituerait la commissure postérieure du cerveau . Les auteurs qui ont suivi Reil (Burdach, Tiede
. 897. - Sappey et DUVAL. Trajet des cordons nerveux qui relient le cerveau à la moelle épinière. Acad. des Sciences, 17 ja
ensiblement pa- rallèle au plan des coupes horizontales obliques du cerveau , N° lx à N° 13x du T. I (Fig. 315 à 328). Nou
tout à fait analogue à cette couche périphérique du centre ovale du cerveau que nous avons désignée sous le nom de substanc
et en dedans, au niveau du sillon marginal antérieur et du bile du cerveau , les fibres des pédoncules céré- belleux moyen
ntricule (1'4), TABLE DES MATIÈRES DU TOME DEUXIÈME ANATOMIE DU CERVEAU (Suite) CHAPITRE VI FIBRES DE PROJECTION DE L
43 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
de médecine de Bordeaux. Dans la région antérieure ou frontale du cerveau , les irradiations capsulaires se comportent d'u
erminales sont perpen- diculaires à la courbe antéro-postérieure du cerveau . La partie active de ce centre ovale (faisceaux
Etudes topographiques sur les lésions corticales des hémisphères du cerveau . Thèse pour le doctorat en médecine, Paris, 187
. Mort seize mois vingt et un jours après le début de la maladie. Cerveau ferme. A la partie moyenne et postérieure du lobe
on Iron- 1 Gazette des Hôpitaux, 1871, p. 294, et 1872, p. 235. (Le cerveau est conservé au musée Dupuytren.) 16 ô ANATOM
ce là matière i controverse. Ces'considérations établissent qu'un cerveau qui délire n'est pas un cerveau accidentelle- m
es'considérations établissent qu'un cerveau qui délire n'est pas un cerveau accidentelle- ment malade, mais un cerveau prof
qui délire n'est pas un cerveau accidentelle- ment malade, mais un cerveau profondément mo- difié dans ses conditions de v
al irait en se propageant de proche en proche jusqu'à l'atrophie du cerveau , si caractéristique chez les vieux déments. Tou
une distinction s'im- pose. Certes, il n'est guère admissible qu'un cerveau , ravagé durant tant d'années par la folie, ait
C'est ainsi que Miquel2 admet l'existence d'une susceptibilité du cerveau . Nous trouvons dans Trousseau le passage suivan
n rien au chien comme intelligence, comme développement et poids du cerveau , se guide surtout par la vue et l'ouie, et poss
R. 3n°,o. Le coeur cesse de battre le lendemain soir. A la base du cerveau , entre les deux nerfs optiques, apparaît un néo-
é de Biologie, 4 nov. 1883.) L'auteur découvre à l'amphithéâtre, un cerveau sur lequel le nerf olfactif droit, est réduit à
. Lépine a pu depuis voir que Z dans son ouvrage sur les tumeurs du cerveau , avait rapporté certains troubles audi- tifs à
e des deux côtés, avec paralysie de la face et aphasie. 4" Abcès du cerveau d'origine traumatique dans la région parié- tal
s. Cette observation montre une fois de plus combien quelquefois le cerveau supporte facilement la présence des corps étran
ur conclut à l'existence d'une synostose prématurée, à un Age où le cerveau n'avait pas encore atteint son développement pa
e, M. Buzzard rappelle l'opinion de H. Jackson, d'après laquelle le cerveau serait le centre des mouvements spéciaux et dét
volutions cérébrales et sur la p< ! ) iode d'excitation latente du cerveau ; par H. Crosnier de Varigny. Thèse de Paris, 1
partielle de celle qu'on voit se produire au cours des lésions du cerveau , l'absence de toute élévation de la tempé- ratu
10 décembre 1875. La malade meurt le 9 jan- vier 1876. Autopsie. Cerveau : hémisphère gauche, foyer hémorrha- gique dans
it Trousseau, dans un or- gane aussi parfaitement symétrique que le cerveau , un côté servirait à une fonction, à l'exclusio
il « tiio.»--5 1 Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau (Paris, 1878). - n;c llinivindungen des Meniche
riode, pu, elle forme une véritable fosse. Et. .du reste, mêmesurun cerveau parfait, le début de cette scis- sure à la base
nsch), branche va- riable, dont on trouve les vestiges sur bien des cerveaux , mais à quelque distance du coude envisagé. La
lobule extrême, et le gyrus des- cendens. (Voy. la face interne du cerveau .) E. Lobe temporal ou <6m(M'o-s/)/<eHoMa
la paralysie générale est une inflammation interstitielle vraie du cerveau , à marche subaiguë ou chronique ; qu'elle est e
guë ou chronique ; qu'elle est en somme une véri- table cirrhose du cerveau , en tout comparable à la cirrhose des autres or
pace sous-arachnoïdien. Le tissu cérébral est ferme; à la base du cerveau , on voit une membrane résistante, étendue sur l
ite ascendante, du vertex gauche, et de diverses autres portions du cerveau et de la moelle qui étaient parsemées d'îlots p
et que tout autre altération est secondaire ? L'examen de nombreux) cerveaux de paralytiques généraux, fait par la méthode d
il n'existe pas, sous ce rapport, de différence entre .l'écorce des cerveaux normaux et celle des cerveaux pathologiques. (P
rt, de différence entre .l'écorce des cerveaux normaux et celle des cerveaux pathologiques. (Pièces à l'appui.) Pour lui, la
ussi, constater il intégrité 'desTibres^itcs.rtangentielles dans le cerveau de para- ilytique's .. ' '- Ji; .0 .1 - d 1 ati
erveau de para- ilytique's .. ' '- Ji; .0 .1 - d 1 atis 1, -1.1 1 e cerveau r Jt '.tf. r13·tiqués génér ? ux. 7Éq idue rm -
genre d'hérédité caractérisé par lui à l'aide de l'expression de « cerveaux de famille » ; il s'agit de l'exis- tence, chez
rement à l'admettre. M. KpiECHT confirme ces allégations. Dans les cerveaux de crimi- nels, il n'a presque trouvé que de l'
a procédé à l'investigation microsco- copique exacte de l'écorce du cerveau , et si, dans la moelle , les cordons postérieur
ilis, ni l'alcoolisme, ni le saturnisme, ni une lésion corticale du cerveau , et encore moins l'épilepsie. Le diagnostic d'h
s. L'examen des autres parties n'a eu lieu qu'après macération du cerveau dans l'alcool; la substance grise des parties lés
férieur, et le pli courbe sont très distincts; à cet égard c'est un cerveau type. Les circonvolutions du lobe occipital son
lui. Elle est séparée de sa congénère du côté opposé par la faux du cerveau . Chaque lobe y est représenté. A. Lobe fronta
selon les régions (moelle épinière, écorce du cervelet, écorce du cerveau et cavités du névraxe, glomérules du bulbe olfact
aux sanguins, les uns (substance blanche de la moelle, du bulbe, du cerveau ), possèdent une enveloppe de névroglie (cellule
K. XI. Recherches expérimentales SUR LES atrophies DE l'écorce du cerveau ; par 111ov.lEOw. (Neurol. Central6l. 1883)'. 1.
TRAL, ET SUR la dégénérescence vitreuse en macules DE l'écorce DU cerveau ; par F. Greiff. (Arch. Psych., XIV, 2.) Sous ce
icroscope montre qu'à côté des lésions de la démence paralytique le cerveau est le siège d'un processus scléreux nettement
ée avec oedème pulmonaire. Le diagnostic se base sur l'intégrité du cerveau et de la moelle. Bien des cas, tels que celui-c
Dans tous les cas d'extirpation des zones motrices de l'écorce du cerveau , la substance blanche fut trouvée lésée sur une é
NT DES FIBRES -,4ERVEUSLIS A MYILI.NE DANS LES CIRCON- VOLUTIONS DU cerveau DE l'homme; par TuZEIC (Neurol. CCItEi'((ZÛI.,
rouge, se voient déjà à la loupe. Or, ce traitement ap- pliqué aux cerveaux de paralytiques généraux ne traduit aucune diff
paralytiques généraux et celui des mêmes éléments tangentiels d'un cerveau nor- mal, mais il doit y avoir une cause d'eire
e même processus atteint les cellules ganglionnaires de l'écorce du cerveau , et les cellules cérébelleuses de Purkinje, mai
aisons : ln cette lésion n'a que très rarement fait défaut dans les cerveaux qu'il a examinés depuis qu'il dirige l'asile de
ci le résultat : ayant dans son laboratoire vingt-deux fragments de cerveaux conservés depuis un temps plus ou moins long, i
aire; ces fragments se décomposaient ainsi : vingt pro- venaient de cerveaux d'aliénés morts à l'asile, un provenait d'un ce
venaient de cerveaux d'aliénés morts à l'asile, un provenait d'un cerveau supposé normal, et un d'un cerveau de chauve-sour
rts à l'asile, un provenait d'un cerveau supposé normal, et un d'un cerveau de chauve-souris. Dans vingt-un fragments (y co
'un cerveau de chauve-souris. Dans vingt-un fragments (y compris le cerveau de chauve-souris), il trouva de la sclérose mil
e un flacon rempli d'alcool, pour y plonger de suite le fragment de cerveau qu'il désire conserver; ayant un jour dérogé à
eut soin de noter par écrit cette dérogation ; il se trouva que le cerveau où il n'avait pu trouver de sclérose mi- liaire
l'action de l'alcool, il s'efforça de vérifier ce point. Sur quatre cerveaux d'aliénés, il préleva huit fragments (deux sur
atre cerveaux d'aliénés, il préleva huit fragments (deux sur chaque cerveau ); des deux frag- ments de chaque cerveau, l'un
fragments (deux sur chaque cerveau); des deux frag- ments de chaque cerveau , l'un fut placé immédiatement dans une solution
teints soit de névrose, soit d'aliénation. R. M. C. XL. Atrophie DU cerveau ; imbécillité ; par Fletcuer 131 ? vcu. (Jour- 7
beaucoup plus épais que le côté droit; le lobe antérieur gauche du cerveau est déprimé par suite de la plus grande épaisse
u de la région corticale, il se produit une atrophie unilatérale du cerveau . Par compensation, le crâne s'épaissit, et Arch
sous l'arachnoïde et dans les ventricules. Dès lors les parties du cerveau qui sont préposées au mouvement étant atrophiée
te probabilité, cette lésion a été la cause immédiate de la mort. Cerveau petit; circonvolutions normales; couche corticale
paisseur ordinaire, ne paraissant pas altérée à l'oeil nu. Poids du cerveau entier : 1,120 grammes (cervelet, 115 grammes).
us ou moins prolongée d'un nerf sensoriel en étroit rapport avec le cerveau ; le résultat final de celle stimulation est J'é
t sexuel. P. M. XLV. SCLÉROSE DE la LISIÈRE DE substance blanche DU cerveau dans la démence paralytique; par 'UCZE6. (rG'2d
allemands '. L'auteur suit la ligne grise trou- vée par lui sur le cerveau d'un tabétique de cinquante ans, mort en état d
dérablement épaissie et légèrement rougeâtre. Le lobe postérieur du cerveau était très manifestement plus volu- mineux à dr
let n'avait pas entraîné de troubles de coordination; l'idée que le cerveau avait dans l'espèce, suppléé les fonctions céré
tzig (de Halle), sous le titre de Contribution ci la physiologie du cerveau , examine les fonctions de la pointe du lobe antér
des mutilations; la séparation du lobe antérieur d'avec le reste du cerveau aurait engendré la paralysie de l'appareil musc
il est bon de remarquer qu'en ce qui concerne d'autres ré- gions du cerveau , la plus minime intervention sur l'écorce déter-
s qu'on puisse saisir l'influence qu'un traumatisme de la pointe du cerveau an- térieur doit exercer sur les lobes occipita
les cordons postérieurs de la moelle, glisseraient sous l'écorce du cerveau , s'enfonceraient encore dans les profondeurs et
pporter, selon toutes probabilités, la cause anatomopathologique au cerveau ; c'est pour accentuer cette ma- nière de voir q
e l'acuité visuelle. C'est à un trouble circulatoire de l'écorce du cerveau qu'il convient d'attribuer la cause de toute at
bore à la production des fonctions psychiques en un foyer unique le cerveau et son écorce, de même que les divers organes du
locus dolens et que l'écorce, ainsi que les tractus de la masse du cerveau , sont particulièrement atteints. En second' lie
ur mouvement propre, et par suite deleurs fonc- tions,-la genèse du cerveau etl'individualisation psychogénétique- de l'éco
dégénéré (Benedikt, Brenner, Erb) à la physiologie pathologique du cerveau . Les tractus nerveux intracérébraux malades, mo
rime le mode de réac- tion d'un système nerveux, et spécialement du cerveau , gêné dans sa nutrition; le mode de réaction, c
entres nerveux (influence de la faim sur les), par Rosenbach, 78. Cerveau (asymétrie du), 87; - (plaie pénétrante du), pa
la dis- position des fibres nerveuses à myéline dans l'écorce du cerveau et leur manière d'être dans la), par Tuczek,
s médicaments), 379. Nerveuses (fibres à myéline dans l'écorce du cerveau , a l'état nor- mal et chez les paralytiques gé-
t de la par le massage), 379. Sclérose diffuse et disséminée du cerveau , 327, 3L)S, 347. Sensibles (ralentissement de l
44 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à quelque chose qui le serrerait vio- lemment dans la profondeur du cerveau . La douleur devient presque aiguë à certains mo
e resserrait d'une façon des plus douloureuse dans l'inté- rieur du cerveau . Cette année il ne put presque rien faire pour
gers'' de l'ceso-1 - pliage; asphyxie; mont : ? Autopsie ? poids du cerveau : 630 a". '2 8 Description du cerveau. »e>u9
mont : ? Autopsie ? poids du cerveau : 630 a". '2 8 Description du cerveau . »e>u9n . 1JC1 ,291911WU11Ji 2.Ilùj[l1 ,11 1
/'J;' i, ,¡ t ? I f) -'<1.T, T il I. La description , résumée du cerveau montre que, en maintes régions, on observe un é
able, puisque, d'après Broca, la microcéphalie commence lorsque rie cerveau pèse 1,01-9 gr.,chez l'homme' et 907 gr. chez l
u pèse 1,01-9 gr.,chez l'homme' et 907 gr. chez lafemmo;et que -le' cerveau d'Ed ? ne pesait que 650 gr. ->-»- , ') : !
) : ! lII;'La comparaison- entre les Planches l'et II, relatives au cerveau d'Ed...;· et les Planches l'et II du- tome IV, qu
d...;· et les Planches l'et II du- tome IV, qui. repré- sentent le- cerveau de -CIL ? permèttra de constater de-pro- fondes
t 1 il' et des connexions^ entre les nerfs cérébraux Gulbairés, lé cerveau et Ï'1'·y ) i : 1 ; ? Il mlt , il ? 1 . -i ?
ent les organes^centraux sur les .nerfs, crâniens précités. Pourrie cerveau ^il n'ÿ etil ne ISV5}IYt llyoj& e,\9¡.t ? \\
irradiant en sens inverse de l'influx du nerf qui tendra gagner le cerveau ? Opinions contradictoires' d Stilling, TurcI,
essant - travail, pour lequel l'auteur,a examiné plus de.deux cents cerveaux . , Nous nous contentons de le signaler, attendu
é'sic ''localement,'avec'un mélange réfrigérant : l'excitabilité du cerveau , '"mesurée "par1 l'écartement" des bobines de l
llEl celu} des ;animaux ayant la naissance, donne les réactions du cerveau ,dySjR;H9; q n[ q™ 3,0,,Les plén,o,mënesyqrilo
issant à l'atrophie ,d ? ,.1 ? mentsprincipalement dans le champ du cerveau antérieur ». J 2° Alors, que les procèdes de du
s; réduction des zones corticales atrophie de l'olive droite. P. du cerveau revêtu de ses membra- nes,13c)0., P. du cervele
égrité de la moelle, l'aspect classique des points scléreux dans le cerveau . Ces endroits dans le cervelet sont caractérisés
} ? Sa.. constitntton 'ressemblé à celleaela sul3stance planche du, cerveau ; J ! t ? ly ! çO'nl ,ost un peuJo,J;¡41e, stii,
omène, avant sa, disparition); Le, Jilanlanatomopa- lliülogi,qüe,du cerveau est, constitué, dans l'espèce pa1Jde, l; PP;ï .
s les,corps striés, mais) s'étendant dans les parties adjacentes du cerveau et du cervelet et aussi à la pointe inférieure
rveau et du cervelet et aussi à la pointe inférieure de' la faux du cerveau ».-iVoilàL,,tout.1 Il n'est pas question, bien
let'jusqu'à'l'angle inférieur' et' posléiieur della. grande faux du cerveau ; devait tout au moins comprimer les tuber- cule
hie cérébrale, hydrocéphalie interne, granulations épendymaires. Le cerveau contient, à l'analyse chimique, une assez notab
, dans, l'hystérie2, niais encore, dans les' lésions organiques du cerveau ,3. Jusqu'ici, nous n'avons parlé 'que des sugge
onction du langage articulé dans l'écorce de l'hémisphère gauche du cerveau . On pourra s'étonner que les sujets se réveille
ération de l'action des centres sous-corticaux, comparée à celle du cerveau ? Le diagnostic différentiel d'avec l'épilepsie r
e pathologique, permet de loca- liser cet endroit dans la région du cerveau moyen; il faut expli- quer ces paralysies par l
s sur 100 d'après Rüdinger); il reçoit le sang qui, de lasurface du cerveau , se jette dans le sinus 10ngit.ndinal',supérieu
e trou;de gauche reçoit.le,sang qui revient.de la profon- deur- du. cerveau et du cervelet et. se jette, dansée sinus droit p
se, avecl toutes ses conséquences, au point de vue des fonctions du cerveau . L'auteur a actuellement observé onze cas de dé
membrane entière, il pénètre plus'ou^moins^loin dans la masse du cerveau , atteignant jusqu'à l'éperÍdymë7;.voj¡è{iilême ju
tandis que l'arachnoïde forme couvercle au trou a la superficie du cerveau . Semblable disposition n'existe pas dans' 'la' po
ent acquisesoucongénitales,dans un processus'de ramol- lissement du cerveau . Il s'agit bien d'une encéphalite) mais d'une e
s. Les voici : 1° La porencéphalie est une formation défectueuse du cerveau produite par des processus destructifs qui, dans
r parti- cularité réside simplement dans leur siège à la surface du cerveau et dans leur forme ' qu'explique le haut degré
aumatique. Ils ne troublent pas la mor- phologie architectonique du cerveau , quant à l'ordonnancement des circonvolutions,
dominaux ne pré- sentent pas d'altérations dignes d'être notées. Le cerveau est rouge et, sur sa-surface; on aperçoit quelq
e parait saine. Rien d'anormal dans le bulbe, la protubérance et le cerveau . Granulations miliaires dansles deuxpoumons. Ép
siper. Nous avons en somme affaire à une névrose dou- loureuse du cerveau . Voyons si nous pouvons lui don- ner quelque ex
était bien démontré que les modifications de la circulation dans le cerveau suffisent à elles seules à provoquer des manife
eilles rouges ; ils ressentent par moments des battements dans le cerveau et ont les extrémités froides. Ils fuient les a
s leurs douleurs, comme on l'ob- serve dans les états congestifs du cerveau plus fran- chement caractérisés. La localisatio
? Rien ne défend donc d'admettre que, chez nos ado- lescents, le cerveau s'est trouvé modifié sous l'influence de la cro
nous ne prétendons pas qu'entre le mal de tète et l'application du cerveau il y ait une relation abso- lue.Commenous l'avo
tuelles, laquelle les reudrait plus accessibles aux affections du cerveau . Il n'en est rien. Enfants, ils ont tous mon- t
en elles revêtent un ca- ractère dissemblable. Il semblerait que le cerveau de l'enfant s'irrite douloureusement avec plus
proposons de décrire ici les résultats de l'examen histologique du cerveau d'une malade, morte dans le service de M. CHARC
de trois jours la mort qui survient le 8 novembre. A l'autopsie du cerveau , les principales données notées par M. Féré sur
nce sensible. La consistance au toucher, de même 1 Les pièces de ce cerveau ont été présentées à la Société anatomique par
gross HÙ'Il1'inde), les altérations microscopiques trouvées sur le cerveau d'une femme de vingt-deux ans, atteinte d'épileps
cale, avec localisation dans les parties les plus superficielles du cerveau . Mais quelle est la cause de cette localisation
, p. 155 à 177), décrit un cas de lésions de la région corticale du cerveau d'un aliéné. Ces lésions se présentent sous deu
'auteur, l'analogie qu'il croit pouvoir trouver entre le foie et le cerveau dans l'évolution de la cir- rhose. Si on veut s
e observé jusqu'ici chez les adultes, ni dans la moelle, ni dans le cerveau . On voit donc que sur ce point, il existe une d
n sysiem und z' ! I1'e beziehun- gen ziir gliome) qui ont étudié le cerveau d'un homme de soixante et un ans, présentant un
artielle, insiste sur ce point que c'est dans la substance grise du cerveau qu'il faut les chercher. Nos recherches, à ce q
ésions d'âge différent. Les divers organes de la face inférieure du cerveau sont symétriques; les faces internes des lobes
choses soit assez invariable et assez bien connue, que l'usage d'un cerveau humain soit d'une appréciation assez facile, po
fecLé. On sait, au reste, que la localisation de la syphilis sur le cerveau engendre souvent des phénomènes mor- bides très
pit, la nécropsie ne décelant alors aucune altération spécifique du cerveau . Peut-être certaines formes de syphilis sont-el
e y a-t-il, par exemple, dans ces cas, des lésions syphilitiques du cerveau ? La solution de l'ensemble de ces questions d'
ue. P. K. IV. DE la sclérose tubéreuse multiloculairede l'écorce du cerveau (Contribution à l'anatomie pathologique de l'id
é. Mort à vingt-deux ans de phlhisie. L'ensemble de la surface du cerveau est parsemée, rembourrée de nodosités scléreuses,
miques dans l'intimité des tissus; elle relève donc la nutrition du cerveau languissante dans la mélancolie et dans un cert
travail de la pensée et les phénomènes biologiques pour lesquels le cerveau est indispensable; il s'en suit des mouvemenls
ininterrompu de la pensée. En somme, d'après Meynert, l'écorce du cerveau préside à deux séries d'élaborations actives : à
' des' préparations microscopiques qui pro- viennent de l'écorce du cerveau et de la substance blanche contiguë du malade'
échéance de leurs prolongements. ' l ? ' M. Binswanger présente un' cerveau 'atteinE'dè ? 07'i;nc`ol7hetltC. L'individu 'au
tenso 2.) i ' ? 1 Disi;usion : MM. Sander et Reinhard pensent' que le cerveau joue 'un'rôle dans là production des phénomènes
côté a l'autre comme pathognomonique d'une, affection organique du cerveau . 11 ne tend pas à admettre que la paralysie gén
is Iteynzond's Arch., 1S73- 1874. " ' 3 rerrier. Des fonctions du cerveau , Paris, 1878; De la localisation des maladies c
régulière, ses os ne présentaient aucune anomalie; les membranes du cerveau étaient saines. Le cerveau, à l'examen extérieu
ient aucune anomalie; les membranes du cerveau étaient saines. Le cerveau , à l'examen extérieur, ne présentait aucune mo-
irconvolutions étaient normales et bien déve- loppées. A la base du cerveau , quelques artères étaient athéro- mateuses. Le
A la base du cerveau, quelques artères étaient athéro- mateuses. Le cerveau , ainsi que le bulbe, furent mis dans une soluti
ement dans toute la moelle épinière, mais aussi dans le bulbe et le cerveau proprement dit. Dans le bulbe, la dégénéresence
protubérance, on n'en trouvait pas du tout. Dans les pédoncules du cerveau (CI'U1'a cerebi), il y avait de même une grande
a moelle épmière, sans interruption aucune jusqu'aux hémisphères du cerveau . Main- tenant une question très intéressante et
andis que, dans tous 366 RECUEIL DE faits. les autres endroits du cerveau , on n'en trouvait pas un seul. Dans les deux hé
l'absence complète de toute autre modification pathologique dans le cerveau et sur- tout pur la disposition symétrique de l
e dégénérescence montait sans in- terruption aucune du pédoncule du cerveau à travers tout l'hémisphère jusqu'à son écorce,
a moelle épinière, le bulbe, la pro- tubérance et les pédoncules du cerveau et, d'autre part, sur l'existence d'une atrophi
centrales 3 ; mais au fond, ce n'était guère qu'une supposition, le cerveau n'ayant pas été exploré *; dans le cas de MM. K
te la moelle épiniere, le bulbe, la protubérance, les pédoncules du cerveau , la capsule interne et tout l'hémisphère jusqu'
indécision'. Jusqu'à maintenant la direction de ces fibres dans le cerveau d'un adulte est com- plètement inconnue. En é
avons trouvé les données suivantes : En entrant des pédoncules du cerveau dans les hémisphères, les faisceaux pyramidaux vo
tiquement la direction de ces fibres dans l'un des hémisphères du cerveau .) Comme il est plus que probable que ces fibres,
la règle générale des localisations des fonctions dans l'écorce du cerveau . En achevant cet article, je me fais un de- voi
a été trouvée dans le foie. Examen miscl'oscopique. -Les tumeurs du cerveau ont un aspect encéphalolde : elles renferment u
l'état morbide provient de sensations ayant pour point de départ le cerveau ; telles la céphalalgie prémonitoire, la sensation
itation des régions anesthésiques. Le fonctionnement de l'écorce du cerveau n'est donc pas nécessaire pour que la pupille s
à la suite des incitations. C'est probablement à une altération du cerveau moyen, de la moelle allongée, qu'il faut attrib
. C'est la moelle, la moelle allongée, et, même en certains cas, le cerveau qu'il faut dans l'espèce incriminer. Parmi les
é à K. J. Hydrothérapie. P. K. XXXIII. Altérations DE l'écorce DU cerveau pendant LE premier stade DE la paralysie PROGRE
f. XXXVII. DÉLIRE AIGU AVEC DÉGÉNÉRESCENCE DIFFUSE DES ARTÈRES DU CERVEAU ET PLUSIEURS FOYERS DE RAMOLLISSEMENT DE LA SUBST
s, l'auteur attire l'attention sur le fait que la syphilis grave du cerveau avec les manifestations spécifiques primaires et
[ne nous donne pas l'autopsie des autres organes.) A l'autopsie du cerveau , un trouve : Artères athéromateuses surtout la
moins ce résultat thérapeutique à savoir : une affec- tion grave du cerveau très favorablement modifiée par une médi- catio
Dalldorf). Contribution à la casuistique des lésions de l'écorce du cerveau . L'observation communiquée se rapporte à un hom
t être, dans le second, im- putée à des troubles de la nutrition du cerveau , à raison de son évolution bruyante en rapport
ic soit aussi favorable que le veut M. Kretz. L'élément affectif du cerveau est souvent très vivement touché; de plus il est
gane, parce qu'il est le « locus minoris re- sistenlioe » du sujet ( cerveau , testicule, poumon) et qui a des aspects variab
u forceps (avec M. Troi- sier) ; Recherches sur le développement du cerveau chez les enfants du premier âge; - Considératio
dans la paralysie gé- nérale ; 4 1. Des caractères anatomiques des cerveaux des idiots ; 12. Quelle méthode faut-il préfére
es organs ner- veux centraux ; 2. Dégénérations secondaires dans le cerveau et dans la moelle épinière ; - 3. Les troubles
erveuses), 94. Cérébrales (variétés des circonvolu- tions), 97. Cerveau (sur un faisceau de subs- tauce blanche jusqu'a
lle coudée, 275. Sclérose tubéreuse multiloculaire de l'écorce du cerveau , parBrûck- ner, 265. Sensations (des), tu69
DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE illici,océphalie : face convexe du cerveau . FI, première circonvolution frontale. Ft, se
4 EXPLICATION ])F. PLANCHER. PLANCHE II hficrocéphrtlie : base du cerveau . 0', première circonvolution orbitaire. 0 ? ,
45 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
crue de l'idée fixe ? L'idée fixe est une idée qui apparaît dans le cerveau et n'en sort plus. Les profanes ont consacré ce
avant tout l'objet, le rap- proche des connaissances intérieures du cerveau , et un juge- ment est rendu sur cette idée. Si
e, pas plus qu'une conception juste n'est toujours présente dans le cerveau d'un homme normal ; elle peut devenir latente,
ctification au moyen des connaissances qui forment le bagage de son cerveau , ou par l'intervention d'une instruction acquis
es cas mixtes ; par exemple, ceux des erreurs implantées dans des cerveaux momentanément désordonnés, comme il arrive chez
aucune autre cause de perturbation mentale, avec l'épuise- menl du cerveau qui en a permis le développement. Si c'est une
eine de s'assu- rer si le fait était exact ou non. (Incapacité d'un cerveau épuisé à rectifier des événements arrivés en so
opsie homo- nyme qui aurait son origine dans l'hémisphère gauche du cerveau . Cette hémiopie s'accompagne de scotome scintil
e se répercutant point sur le corps 32 CLINIQUE MENTALE.. / ou le cerveau , quelque soit le début de l'hémiopie, droit ou
es. La superstition existe à l'état d'élément inconscient dans le cerveau normal oit elle se trouve en quelque sorte noyée
termes ces tendances mysti- ques qui restent inconscientes dans le cerveau sain, prendront t par le seul fait de l'isoleme
du retentissement à distance d'organes éloignés et malades, sur le cerveau , et qui doit dispa- raître pour faire place à d
cé, d'Esquirol, qui ont toujours insisté sur le mode de réaction du cerveau en présence de la souffrance physique. Si, comm
ale de son délire : une idée fixe, installée dès l'enfance dans son cerveau et s'y étant ancrée avec la puissance des acqui
up. On peut encore invoquer en faveur d'une lésion superficielle du cerveau la céphalalgie presque constante dont le malade
dans les membres indemnes ? Il y a certainement une part à faire au cerveau dans les arrêts du développement de ce genre; e
es de hauteur. A ce niveau, on perçoit les battements artériels; le cerveau est en contact avec les téguments. Depuis quelq
tudes sur la structure comparée des diverses régions de l'écorce du cerveau humain. L'examen histologique de cerveaux d'enf
ses régions de l'écorce du cerveau humain. L'examen histologique de cerveaux d'enfants de quinze, vingt et trente jours, par
érentes découvertes par nous en d'autres territoires de l'écorce du cerveau (Ici fibres de Cipal, comme les appelle KÕLL1KF
, une représen- tation consciente, vive et interne, qui actionne le cerveau et produit d'une façon inconsciente, ou plus ex
t de la personnalité ; par le Dl' Lauits. On peut supposer, dans le cerveau intelligent deux groupes de centres : a) des ce
surtout chez les penseurs. On l'appelle diblraction : alors que le cerveau vit, pense, que la personnalité, par conséquent
ile avec les signes cliniques d'une paralysie générale associée, le cerveau proprement dit pesait '73' ! grammes et l'encép
l'inutilité des opérations tentées pour obtenir le développement du cerveau par la distension de la boite crânienne. Para
e gymnastique articulatoire destinés à rétablir l'harmonie entre le cerveau qui commande et l'appareil phonateur qui doit o
ais de perturbations nutritives qui atteignent alter- nativement le cerveau où elles favorisent la naissance du délire, 172
Les chaleurs ont causé, à Paris, de nombreux cas de trans- ports au cerveau . Une ancienne danseuse, Marguerite l'ouroy, a é
ence d'un syndrome anatomo-clinique distinct. L'aspect extérieur du cerveau peut ne présenter aucune particularité ; mais e
ll). Lorsqu'on fait sortir le sang des ventricules, la surface du cerveau s'affaisse dans les points qui faisaient saillie.
duite par l'irruption du sang. Rien de particulier dans le reste du cerveau . Le caractère progressif de l'apoplexie ne para
ntricules et de la scissure de Sylvius, empêchant la compression du cerveau . Mais étant donné le point de départ variable d
cervelet, qui s'y insère, avec le segment postérieur de la faux du cerveau , se porte en bas et en avant. Le corps calleux,
lacunes porencéphaliques tient : a) à l'accroissement ultérieur du cerveau alors que le tissu du corps calleux subit la dé
le sinus droit sous le corpscalleux qui la comprime ; car tous les cerveaux d'idiots à corps calleux mince ne deviennent pa
céphaliques ; 9° Si les lacunes porencéphaliques sont rares dans le cerveau fron- tal, cela tient à ce que le genou du corp
e que le genou du corps calleux n'est pas com- primé par la faux du cerveau . Les porencéphalies dont nous venons de parler
c'est-à-dire qu'elles sont produites par la pression de la faux du cerveau contre le corps calleux. C'est ce que prou- ven
prédominante de cette maladie. Chez les enfants nés avant terme, le cerveau n'est pas suffisam- ment développé, les parties
tral est affaiblie, il y a un désiquilibre entre l'inner- vation du cerveau et l'innervation médullaire des muscles. La thé-
I Considérations sur les progrès récents apportés à la chirurgie du cerveau ; par 0. i\HLL (de Belfast). (Lrilisla med. Journ
sur les localisations fonction- 234 SOCIÉTÉS SAVANTES. nelles du cerveau , les aires motrices, les rapports entre la super-
des troubles psychiques, bien qu'une lésion organique primitive du cerveau ne puisse guère être exclue. M. KOJEY- NIKOFF c
es ont été négatives dans les deux cas. A l'examen microscopique du cerveau et de la moelle, on trouve : hypérémie vasculai
nulle part le fait suivant si important lorsqu'on veut comparer les cerveaux de deux individus de même espèce ou d'espèces d
chet, Manouvrier, Dubois (de la Haye), etc.) que le poids absolu du cerveau n'est rien ; le poids relatif seul est tout; c'
squ'à dire, étant donné certaines considérations évolutives, que le cerveau de la femme est relativement supérieur à celui
la même notion de l'influence de la masse du corps sur le poids du cerveau que je ne vois signalée nulle part. Le poids du
poids du cerveau que je ne vois signalée nulle part. Le poids du cerveau est fonction de l'intelligence et de la masse du
es deux variables (intelligence et masse du corps) dont le poids du cerveau est fonction. Le problème complet avec les proc
éphale moins développé. » En premier lieu il n'est pas prouvé qu'un cerveau de brachycéphale soit moins développé qu'un cer-
ions reçues par ses organes des sens n'étaient pas per- çues par le cerveau , ou ne l'étaient que très vaguement, et, par su
Nous avons d'abord décalqué la lésion sur un papier transparent, le cerveau préalable- ment durci dans le formol et nous l'
III. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. d'imaginer qu'un état congestif du cerveau soit assez pro- noncé pour anémier à ce point l
les, l'athérome qui a été la cause prédisposante de l'hémorragie du cerveau . Le coeur est gros, ce qui peut s'expliquer par
ypospadias était des plus avancés. Dès lors on doit admettre que le cerveau a poursuivi son déve- loppement alors que depui
la vie intra-utérine que se produit l'hypos- padias vulviforme; le cerveau de M... s'est certainement déve- loppé bien au
une espèce de sympathie encore inconnue, au développement normal du cerveau , comme il a nui au dé- veloppement régulier de
tout cas la chorée essentielle serait une affection infectieuse du cerveau dont le siège exact est à trouver (7}et)M<«
dullaires des racines antérieures et postérieures, dans l'écorce du cerveau ; dans l'écorce elles occupaient même le voisi-
utopsie con- firme le diagnostic ainsi que l'examen histologique du cerveau . A. M. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 325 XV.
on ; pour lui dans tous les cas de folie menstruelle il s'agit d'un cerveau excitable dès l'origine d'une manière anor- mal
ppliquée à des symptômes qui ne'sont, en fait, que des réactions du cerveau à l'égard de lésions probablement syphi- litiqu
par deux des malades de M. J. Voisin. Sans parler de l'atrophie du cerveau , qui pour lui n'a aucun caractère pathognomonique
pour conclure d'une façon 332 SOCIÉTÉS SAVANTES. absolue que les cerveaux examinés n'appartenaient pas à des para- lytiqu
onne que 11. Nageotte n'attache aucune impor- tance à l'atrophie du cerveau comme signe de la paralysie générale. At. Chris
utenir une opinion contraire. Il n'a jamais rencontré d'atrophie du cerveau dans les nombreuses autopsies qu'il a pratiquée
Philippe, Habaud, Lambroso par lui-même et par son interne, sur le cerveau de' Vacher. Ces examens, un peu différents dans
rochent par une conclusion com- mune : On n'a pas découvert dans le cerveau de Vacher de lésions pathologiques. Observati
quo. Professeur HOTH et D1' IvANOrr. Trois cas de cysticerques du cerveau : Observation I. Chaudronnier, âgé de trente-si
phénomènes chez la plupart des malades atteints de cysticerques du cerveau complètement développé, sur la diversité du car
e à 40°,0 et le malade meurt dans la nuit. Autopsie, le 10 avril. Cerveau . - A l'ouverture de la boite crânienne on const
L'examen extérieur et les coupes ne révèlent rien d'anormal dans le cerveau , le cervelet, la protubérance ni le bulbe. Mo
aucune lésion macroscopique. Des fragments de moelle, de bulbe, de cerveau , de nerfs périphé- riques sont recueillis pour
pa en jet lorsqu'on incisa la dure-mère rachi- dienne, alors que le cerveau était déjà enlevé. Il semble d'après ces faits
bruit, un rien fait sursauter le malade; ' Soury. Les fonctions du cerveau , ? étiit., 1890, p. 370. ' Joffroy. Hallucinati
issement au 414 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. cerveau et à la moelle. Les cellules sont dégénérées. Les
érescence. Ces dégénérescences se voient dans toutes les parties du cerveau , mais surtout dans celles des couches corticale
élec- trique, la réaction de fatigue, les parésies. Aux cellules du cerveau , l'excitation, puis, la stupeur des animaux; on
médianes, que l'on peut suivre jusqu'à l'extrémité infé- rieure du cerveau moyen, où il disparaît dans un gros amas, bien
confirmer ce que l'on sait de sa si- tuation à diverses hauteurs du cerveau moyen et du cerveau inter- 'médiaire. Par le ga
n sait de sa si- tuation à diverses hauteurs du cerveau moyen et du cerveau inter- 'médiaire. Par le ganglion de l'isthme,
e meilleur témoignage de l'efficacité du traitement hydrique sur le cerveau que dans cette affection. Sur 21 cas traités pa
sa stabilité nerveuse surtout dans les couches psy- chomotrices du cerveau , et favoriseront son bien-être général. Si les
une neuropatho- logie secondaires qui englobent souvent plus que le cerveau dans la maladie. (Tlee alienist and neurologist
processus nécrobiotique. « Les lésions organiques circonscrites du cerveau , dit Cul- lerre, peuvent être suivies d'un affa
uestion des troubles psychiques liés aux lésions nécrobio tiques du cerveau , ne nous apprend qu'une chose, c'est que le rés
re ». La formation successive de petits foyers lacunaires dans le cerveau , conduit seulement chez les vieillards à la démen
Régis déclare nettement que, parmi les lésions circons- crites du cerveau , le ramollissement cérébral est celle qui produ
sme. Coma et mort, quatorze jours après l'admission. Autopsie. - Le cerveau présente des zones de coloration très différent
ui considèrent volontiers tous les aliénés comme « des am- putes du cerveau ». Ce préjugé de l'incurabilité de la plupart d
ait être avant tout un hôpital pour le traitement des maladies du cerveau . La conception de l'asile considéré comme un dé
repos au lit doit être la base du traitement des maladies aiguës du cerveau , comme il l'est pour les maladies de n'importe
avant tout l'attention du thérapeute, c'est l'état d'épuisement du cerveau et de l'organisme. Ces sujets sont des épuisés
NTALES. 449 Quant aux indications du repos psychique, du repos du cerveau , elles sont constantes dans les formes aiguës. Qu
du système nerveux en son en- tier (psychoses oL2éueülicesl. Que le cerveau soit sur- mené par le fonctionnement exagéré de
s du neurone. Or seul le séjour au lit permet le repos complet du cerveau ; outre que par suite de la situation horizontale
situation horizontale la circulation cérébrale est facilitée et le cerveau mieux irri- gué, l'alitement permet encore le r
de traiter par le repos complet de l'organe les maladies aiguës du cerveau . Deux mots encore avant d'aborder l'historique
il existe quelque symptôme d'une circulation trop abondante dans le cerveau , il ne faut permettre qu'un exercice modéré au pa
le séjour au lit comme ayant pour but principal de congestionner le cerveau , et par là de combattre l'insomnie due à l'aném
on spéciale accompa- gnant l'influx nerveux volontaire lancé par le cerveau . Cette théo- rie de l'origine centrale du sens
s. Il en est de même de l'encéphalite interstitielle : - à peine le cerveau est-il touché par la lésion que les aptitudes d
téral ren- ferme quelques granulations épendymaires. A la coupe, le cerveau est pâle et ne présente aucune lésion en foyer
endent pas exclusive- ment de l'activité des centres bulbaires ; le cerveau exerce à l'état normal une influence régulatric
lies, thromboses, hémorragies, à l'urémie, aux lésions centrales du cerveau (ou polioencéphalite) l'auteur conclut à l'exis
pendant l'attaque d'épilepsie; à la section transverse du tronc du cerveau à diverses hauteurs de cette souche, et des ner
les unes et les autres dépendent de la zone motrice de l'écorce du cerveau . - P. KERAvAL. L11. Hystérie chez un chat et ch
roduit de papille étranglée, qu'il ne s'est pas produit d'oedème du cerveau et qu'on constate des traces d'une néphrite anc
supérieur jusque dans le troisième ventricule, tout en épargnant le cerveau simplement ramolli au pourtour. Les masses, plu
ites, cohérentes avec la portion moyenne, repo- sent sur la base du cerveau , librement. Le corps pituitaire n'existe plus.
ue l'alitement est applicable à toutes les psychoses aiguës; que le cerveau , en effet, soit surmené par le fonctionnement e
de la morale, l'ouvrage débute simplement par l'étude anatomique du cerveau , cette base indiscutable de toute activité phys
a colère, cette explosion d'énergie accumulée sous pression dans le cerveau . Il en décrit plusieurs formes variant suivant
nt qu'il ne pouvait guère être atteint que d'une affection aiguë du cerveau , mais en supposant même que c'eût été un fou ch
sm la moelle et le des oiseaux, par Fnedlander, 101. CHHtLHGtE du cerveau . Considéra- tions sur les progrès récents ap-
par Ilascovec, l 13. Visuel. Structure du centre cortical - du cerveau , par Hamon v Cajal 125. Vomissements incoerci
46 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'étude macroscopique nous a permis de relever : La décortication du cerveau ayant été faite avec le plus grand 5G RECUEIL D
misphères, nous permet de constater, sur cette grande commissure du cerveau , l'existence de deux colonnes de substance gris
s parois des cornes occipitale et spliénoïdale, En résumé dans le cerveau , on ne trouve des plaques de sclérose que sur l
prédominants; mais l'engourdissement a aussi envahi le ANOMALIE DU CERVEAU . 59 membre inférieur gauche, et le trouble de l
é visuelle est normale. Note sur un cas d'anomalie asymétrique du cerveau ; par Cl. Féré. On s'est beaucoup occupé dans
tions. Nous avons entrepris en 1878 'une étude critique de quelques cerveaux d'amputés, et il en résul- tait qu'il est au mo
a dégénération des fibres nerveuses pouvait remonter jusque dans le cerveau ; les observations de M. Pitres ont été négativ
s que l'arrêt de développement correspon- 1 Cli. Féré. Note sur les cerveaux d'amputés. (Société de Biologie, 3 janvier 1878
lésion cérébrale appré- 1 P. Broca. Localisations cérébrales sur le cerveau d'un ec'0 ! ? : e7;e ? ). (l3ull. Soc. Azttliro
l3ull. Soc. Azttlirop., 1879, p. G(S9). Localisation cérébrale sur le cerveau d'un cul-de-jatte. (Ibid., 18SO, p. 410.) 2 C
z des malfaiteur.c. (l3ttll. Soc. Biol., 1879, p. 363.) ANOMALIE DU CERVEAU . 6t t ciable par nos moyens actuels d'investiga
restent ignorés. Ceci revient à dire que lorsque nous comparons un cerveau de criminel ou de filou à un cerveau quelconque
ue lorsque nous comparons un cerveau de criminel ou de filou à un cerveau quelconque, nous ne sommes jamais sûrs que ce c
filou à un cerveau quelconque, nous ne sommes jamais sûrs que ce cerveau quelconque n'appartenait pas à un criminel et à u
rmation anatomique, on semble partir de ce principe qu'il existe un cerveau type. Or rien n.est plus faux, tellement que Br
Broca, après avoir beaucoup cherché, en fut réduit à construire un cerveau schématique. Il n'y a pas deux cerveaux humains
n fut réduit à construire un cerveau schématique. Il n'y a pas deux cerveaux humains qui se ressemblent exactement, et il n'
cerveaux humains qui se ressemblent exactement, et il n'y a pas de cerveau hu- main qui soit exactement symétrique, quelle
la retrouve chez les singes'. Si d'ailleurs on examine de près les cerveaux de criminels ou de malfaiteurs qu'on a cru pouv
lie il y a; je ne suis pas bien sûr, par exemple, qu'en prenant des cerveaux quelconques en nombre égal de ceux qu'a figurés
nges. (Journ. de fanât, et de ta phys., 1882, p. 556.) Asymétrie du cerveau chez deux cynocéphales liamadrys. (Soc. Anat.,
h. Féré. l3tsll. Soc..11at., 1880, p. 328. Dure (lGid.) ANOMALIE DU CERVEAU . 63 - Il n'y avait aucune déformation du crâne.
aucune déformation du crâne. Passons maintenant à la description du cerveau : Vcnvéphale entier avec les méninges pèse 128j
e, et ne sont jamais symétriques sur les deux hémisphères du même cerveau . Li scissure de Sylvius et la scissure parallèle
tale infé- rieure qui offrent des anomalies notables. ANOMALIE DU CERVEAU . 65 Les pédoncules cérébraux, la protubérance,
or, comme j'ai examiné en connaissance de cause environ huit cents cerveaux de vieil- lards, d'adultes ou d'enfants, on peu
entre l'état moral et intellectuel et la morpholo- gie grossière du cerveau . Nous no voulons pas dire par là que nous repou
a Société anatomiquo le ter décembre 1882. 2 Ch. Féré. Anomalies du cerveau (Bull. Soc. dzzat., 1876, p. 172 et 436.) Parmi
blables en apparence, concourent à la détermination des rapports du cerveau et du crâne et à leur reconnaissance sur le viv
des fiches, M. Féré a montré que les rapports de la face convexe du cerveau varient un peu suivant les sexes et les âges, les
peu suivant les sexes et les âges, les malformations du crâne et du cerveau , etc. Dans les deux sexes la moitié antérieure
el et ultérieur du segment de la moelle allongée intermédiaire au cerveau et à la moelle. Il range enfin parmi les symptôme
NERVEUSE. 93 libres nerveuses irradiant jusqu'au centre olfactif du cerveau . Il y a d'ailleurs lieu de distinguer à l'exemp
e. P. K. 111. DE QUELQUES ARRÊTS DE DÉVELOPPEMENT PRODUITS SUR LE CERVEAU DU LAPIN PAR L'EXTIRPATION DE ZONES CORTICALES
ur conclure de là à la direction des tractus sensitivo-moteurs du cerveau . Seulement au lieu de déterminer par avance la zo
nes des deux' côtés (type Erb-Hitzig). Intégrité de la moelle et du cerveau . Exci- tabilité électrique d'abord normale aux
neuf, mais il existe toujours quand la néoplasie occupe la base du cerveau ou le cervelet ; du reste, l'absence de ce symp
s saines. Hémisphère droit. En essayant de séparer la pie-mère du cerveau , on voit qu'au niveau de la région fronto-pariéta
e particularité intéressante, à savoir qu'une lésion unilatérale du cerveau peut être la cause de la for- mation rapide d'e
ons tuberculeuses dans les méninges de la convexité et delà base du cerveau et de la portion cervicale antérieure de la moe
tale, on perçoit de la fluc- tuation. Les incisions pourdécouvrirle cerveau donnent issue à une quantité de sang qu'on peut
ue l'autre reçoit de la lumière blanche, il se produit à travers le cerveau un « courant de couleur » allant de l'oeil qui
en effet, un foetus anencéphale peut téter, un pigeon privé de son cerveau peut broyer des graines ; mais il faut que la n
les de la chercher eux-mêmes; il est indispensable pour cela que le cerveau intervienne. Tous les centres moteurs de Ferrie
ug- mentation dans l'énergie des contractions après l'ablation du cerveau . D'après lui, cette augmentation est due en parti
cette région que se fait aussi l'épanouissement phy- siologique du cerveau . D. B. XIX. Hydrocéphale chronique consécutive
Hanoi, d'autant que chez les paralytiques généraux, ce n'est pas le cerveau seul qui est atteint, mais souvent tout le syst
rvenant dans les périodes de l'affection, sont dus à des lésions du cerveau ; 5° Quoique le myxoedème soit une entité morbi
mur, les auteurs concluent que les lésions rares de cette partie du cerveau se traduisent par une hémiplégie flasque, plus
paralysés. Il ne parait pas en outre que des coupes méthodiques du cerveau aient été pratiquées. D. B. 250 SOCIÉTÉS SAVA
ransporté à l'II6te1-Dieu, on fit son aulopsie et on trouva dans le cerveau d'énormes lésions. Voilà ma réponse, à M. Fovil
xsudât assez volumineux, géla- tiniforme, étendu à toute la base du cerveau . Pie-mère de la surface cérébrale légèrement tr
, sans toutefois se montrer constants. D'autres éléments (noyaux du cerveau , cellules de la corne antérieure de la moelle)
CONTRIBUTION A' L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS MOTRICES DANS L'ÉCORCE DU CERVEAU . (Relation des monoplégies des membres inférieu
lier. Nous avons cru de ces deux prc- DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU . 275 S inières devoir en rapprocher deux autres
cise. Dyspnée intense. R. 59; P. 120. DES LOCALISATIONS MOTRICES PU CERVEAU . 277 La paralysie motrice est toujours absolue.
devons spécialement insister, sont celles qu'on observe du côté du cerveau .* ,. Elles sont limitées à la superficie de l'o
joueraient les circonvolutions trou- DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU . 279 '' ' i Il z·'1- Y 1 -14 - il >( 1, 1-,
ceau sensilif et les troubles de la sensibilité dans les lésions du cerveau . (Thèse'de Paris 1880), et Nouveau Dictionnaire
la sensi- t i / i >y i i il 1·N DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU . 281 ? , ? > « "' ."i 1 , fl , -,Il 11 , , , !
r les artères de la base de l'encéphale. ( , L'hémisphère gauche du cerveau est absolument sain dans toute son étendue, aus
étendue de deux centimètres environ a DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU , 283 partir de la scissure inlerhémisphérique.
, tt 1.1 a trois. : millimètres épaisseur, a J'ai face , externe du cerveau ; cette, ! plaque recouvre toute.ilâi largeur- d
de.substance céréb-rale.-)jfiiiii)p f-4 'li^ ? A la face interne du cerveau , la.plaque se continue jusqu'au niveau 'de la c
ement-une pstite'plaque 'do nîé=' ningite. Sur la face. externe du \ cerveau ? on voit ^quelques granulations disséminées, s
e,dubull)e-, les'' méninges sont légèrement épaissies. A la base du cerveau , il n'y a pas@de lésions'méningitiques. ' , ' .
cas n a malheureusement pas été re- DES LOCALISATIONS, MOTRICES DU, CERVEAU . 285 mise par l'auteur, et ma point été puHiée.
, tellëi clans les-Bulletins de la So-, cicte : « M. Jean montre le cerveau d'un'homme qui avait pré-' sente les'simiies.'&
ur 1 Thèse de Paris, -1870, p. 211. DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU . 287 droit ! ' a relaté, une i observation qui,
à ceux que nous venons de relater. DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU . 289 central et delà partie supérieure des fron
alogue, que nous invoquons, ici. L'excitation, au,lieu de venir du. cerveau , comme dans l'action,,volontaire i, idllil' I '
z Suivant,Flourens, il porterait. son action d'abord >'sur. le ! cerveau ,, puis )SuccesstyementQSur le cervelet, )(Surji
ps, y compris le trajet du trijumeau et la moitié correspondante du cerveau . Telle est la torpeur cérébrale qui explique l'
ation s'était traduite par les réactions électriques habituelles du cerveau , l'inexcitabilité du trijumeau revue DE patholo
,, en rétrécissant les vaisseaux artériels"1 der'la' pie-mère'et'du cerveau ; anémie l'ensemble 'des régions envisagées du c
sserles'perturliations")Ja sinipi'satiôn;'en hyperémiant un côté du cerveau ; anémie l'autre (expériences 'de1 Schûller] ? d
leur but (vaso-constricteur ou vaso- dilatateur), les vaisseaux du cerveau directement en traversant le canal carotidien o
lle allongée), gagnant ensuite le foyer qui préside à une moitié du cerveau : d'où le rétrécisse- ment vasculaire de tout u
ur le centre transformant l'anémie angiospastique de la moi- tié du cerveau anesthésiée (torpide) en une hyperémie angio- d
même médica- ment (compensation), l'action sur les vaso-moteurs du cerveau pouvant indifféremment émaner d'excitations pér
st l'hydrothé- rapie scientifique : elle désemplit les vaisseaux du cerveau (expériences de Schûller), relève le tonus vasc
ance dû fait, dé la stase, tandis qu'a lieu la déplétion directe du cerveau par la congestion cutanée : compensation entre
ébrale et méningée; - petitesse congénitale du coeur, des reins, du cerveau ), exigent la lecture des considérations cliniques
èle, dans la moelle, de la sclérose multiloculaire diffuse; dans le cerveau , de la congestion corticale et des lésions de l
DE PATHOLOGIE MENTALE. 373 iVII : ' IALFOR\fATION PARTICUI,1LRE du cerveau UT DE la ? 11f0ELLE ? L1.SI0\S '·SECO\DAIRES des
ontal interne. , i \léningo : érlericéphâlité dés lobes frontaux du cerveau . Myélite éhrônique"dû faisçëâu, pyra- midal dan
'manipule ses excréments est en proie a une excitabilité réflexe du cerveau qui réclame la fois un régime tonique, des'bain
i,ologiqng ^Li,W\ ? 8, sortel d'accidents dans lep ZODES MOIiCeS du cerveau .J sorte,, c.l. .....ufla. tl,L, WfI.aJL(W cJm
e de M. Behnuard, intitulée : Altéra- tion pathologique insolite du cerveau , mérite une description presque textuelle. Le c
e insolite du cerveau, mérite une description presque textuelle. Le cerveau , durci dans l'alcool absolu, présente à la con-
nterpariétale. On aperçoit au fond de ce cratère la surface même du cerveau , avec ses caractères ordinaires et son revêteme
e sur ce pourtour. Il s'agit incontestablement d'une compression du cerveau ayant porté sur la plus grande partie de la par
ou bien considéré comme un symptôme d'une maladie inflammatoire du cerveau ou de ses enveloppes, ou encore comme un phénom
n et de relation), par Brunton, 234. Cérébrales (tumeurs), 118. Cerveau du lapin (de quelques ar- rêts de développement
ation de zones corticales circonscrites), par Mo- ttalcotv, 91. Cerveau (altération insolite du), 40». Cerveau (des rap
), par Mo- ttalcotv, 91. Cerveau (altération insolite du), 40». Cerveau (des rapports des zones corticales motrices ave
cales motrices avec les voies pyramidales), par Binswanger, 96. Cerveau (note sur un cas d'ano- malie asymétrique du),
note sur un cas d'ano- malie asymétrique du), par Ch. Féré, 59, Cerveau (malformation du), par Kirchhoff, 368. Chorée
emagne, par Duret, 105. Localisations motrices dans l'écorce du cerveau (contribution il l'é- tude des) ; relation des
47 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
3 et 4 de la Planche riz. La figure 1, représentant une coupe du cerveau humain au niveau de l'extrémité toute postérieu
ptions dans lesquelles P. Berger résume les travaux allemands (art. Cerveau du Dictionnaire encyclopédique) . Dans les pass
mince se continue avec la convexité de la corne d'Ammon. » (Art. Cerveau , p. 169.) Quant à l'étude de la structure, c'es
e l'épen- dyme s'unissent aux capillaires venant de la surface du cerveau ; c'est le stratum lacunosum de Meynert (stratu
dans ce ventricule lui-même, c'est-à-dire que lorsqu'on dissèque le cerveau de haut enbas, on trouve, en arrivant au-dessou
B (1îq. G) le corps bor- dant, qui, si la coupe était faite sur un cerveau d'homme ou de singe, représenterait le trigone,
orps calleux, une circonvolution qui cor- respond à ce que, pour le cerveau humain, tous les auteurs désignent sous le nom
lier. La figure 7 (PL. III) représente une coupe horizon- tale du cerveau du rat; coupe passant par les tuber- cules quad
nneront presque la valeur d'une loi générale, à savoir que sur ce cerveau lisse, c'est-à-dire qui paraît sans circonvo- l
ippocampe (comparez avec la figure de la PL. Il). De sorte que ce cerveau du rat, parfaitement lisse à sa surface exté- r
et la circonvolution godronnée (a, b, c, fiq. 8). Cette étude du cerveau du rat va permettre de com- prendre dès la prem
volumineuse sur les encéphales de très petites dimen- sions. Le cerveau de la taupe est représenté dans la fig. 10 d'ap
juin 1S79 : Le développement de la région knliculo-opliquc dans le cerveau humain. 30 ANATOMIE. les vaisseaux, développé
e semblable , il admettrait cette influence chez un enfant, dont le cerveau est incom- plètement développé et qui présenter
ne sclé- rodermie congénitale. Mais, chez un adulte, alors que le cerveau est arrivé à son complet développement, ' Goodh
lque chose d'analogue à ce qui se passe dans certaines lésions du cerveau qui entraînent souvent, mais non nécessaire- me
u'on se base pour affirmer que « une lésion limitée à une moitié du cerveau peut produire des symptômes de l'un ou de l'aut
de la cachexie. Autopsie faite vingt-quatre heures après la mort. - Cerveau . Pas d'athérome des artères de la base. Hémis
ès peu étendue et située dans la profondeur, et non à la surface du cerveau ? Ne trouvant pas de lésion importante, et supe
aut bien savoir combien rare serait cette^anomalie fonctionnelle du cerveau : Séguin, sur 266 cas d'aphasie, en a trouvé 21
nsi on aurait pu regarder aussi notre malade comme étant gaucher du cerveau , qu'on nous passe cette expression, et droitier
hère cérébral droit. La pie-mère et l'arachnoïde, qui recouvrent le cerveau depuis la partie antérieure des circonvolutions
-à-dire tous les points que l'on donne comme les centres moteurs du cerveau , sont injectées et adhérentes l'une à l'autre.
ion détruit, defond en comble, le dogme de l'unité fonctionnelle du cerveau , devait, forcément, donner toujours lieu à des
e 1 à 2 millimètres de diamètre au début du renflement lombaire. Le cerveau est également volumineux par l'expan- sion maxi
s des orifices non compensées) se produit une sclérose diffuse du cerveau (symptômes psychiques); à raison des stases vascu
ion du ventricule lui-même, de l'atrophie et'du ramollissement du cerveau , (ainsi;que des .diverses..modifications subies p
(ainsi;que des .diverses..modifications subies par les vaisseaux du cerveau en général, ou par les vaisseaux directe- ment
onnelles de M.' 1 Séguin;irelatives aux localisations corticales du cerveau ;,il'en'tire les conclusions suivantes ? la parti
concours : Moelle épinière (anato- mie et physiologie); Artères du cerveau . Circulation cérébrale. Questions orales. 1er c
ante. Il faut que l'impression périphérique mauvaise aboutisse à un cerveau disposé à la recevoir et à la transformer d'une
moins que le gauche, et sa longueur est moindre d'un centimètre. Le cerveau pèse 970 grammes. Le cervelet est sain ; ses de
sphères cérébraux; Ferrier, De la localisation dans les maladies du cerveau , travaux où sont consignées la plupart des obs
' ' -' . pi H02 REVUE CRITIQUE, i Dans certains cas cependant, le cerveau des hystériques est hanté par des idées hypocon
rile des volitions. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. LE CRANE ET LE CERVEAU D'UNE MICROCÉPHALE; par J. JENSEN. (Archiv. f.
ant une atrésie prononcée des centres encéphaliques et notamment du cerveau , de grossiers arrêts de développement du systèm
Il semble, comme le fait ressortir l'auteur de ce mémoire, que les cerveaux des microcéphales aient eu à leur disposition t
p. 100, tandis que l'angle facial de Welker est encore de 78. Le cerveau , qui pèse 954 grammes avec les méninges molles,
confirme plus parfaite- ment la remarque que c'est là un volumineux cerveau d'idiot; il met en relief le caractère humain d
fondeur de 9 millimètres, ne mesurent que 7 millimètres : or, trois cerveaux d'idiots examinés comparati- vement présentaien
afie qui nous occupe; serait-il rationnel, alors que le crâne et le cerveau envisagés sont loin du retour à l'atavisme (thé
tre la inalfoî,2)za- tion vasculaire et l'hypotrophie cellulaire du cerveau ? Quant à l'origine de la malformation vasculai
isphères cérébraux, une réduction peu prononcée des pé- doncules du cerveau et du pont de Varole alors que les corps restif
ité s'est par suite opposée à la production de tous les, organes du cerveau et du crâne qui émanent des hémisphères (absenc
es par l'épuisement général du système nerveux et en particulier du cerveau par les mélan- colies, l'hystérie, les congesti
, l'autre ne l'était plus.. - Les deux autopsies ont montré dans le cerveau des points de sclérose miliairé, surtout dans l
il y avait de la pachyméningite, avec un hématome; d'autre part, le cerveau ne présentait pas les caractères de la paralysi
paralysie générale; dans le second cas, au contraire, on trouva un cerveau type de paralytique. A défaut de l'autopsie, les
cher (d'Heidelberg) : sur une anomalie de formation particulière du cerveau et de la moelle. Cette observation qui sera pub
trasbourg) recommande au Congrès un appareil à placer des coupes de cerveau et de moelle dans leur ordre sériaire respectif
olongement antérieur direct. B. Les variations dans la structure du cerveau chez une seule et même espèce animale. Chez la
double série d'expériences envisagées ici a trait a la moelle et au cerveau . Elles démontreraient qu'une double section de la
us lente que dans le premier mode d'expérimentation. Que devient le cerveau traité de la même façon ? En sectionnant chez l
ix : 3 fr.. Pour nos abonnés, prix : S fr. CIIAIILTON Bastias. Le cerveau , organe de la pensée chez l'homme et les animau
s que l'anémie -et l'anoxémie correspondante, déterminées dans le cerveau par l'inspiration profonde et la con- traction
es muscles de la jambe et du pied n'ont pas été disséqués. Seuls le cerveau et la moelle ont été l'objet d'un examen attent
prochainement une note sur ce sujet. 2 Note sur une altération du cerveau , caractérisée par la séparation de- la substanc
utions. Voir aussi : Cabuoit, Traité des maladies inflammatoires du cerveau , etc. 3 Dans plusieurs cas, chez des enfants id
ité de sa com- pression par des lésions très diversement situées du cerveau et de la base du crâne. Lorsqu'on étudie isol
coïncidant avec des troubles imputables à une lésion unilatérale du cerveau ; nous voyons que ces troubles visuels réponden
e des hystériques, qui semble bien due à un trouble unilatéral du cerveau . Ce trouble visuel est le seul que l'on puisse re
evue d'anatomie. Il faut convenir, toutefois, que les connexions du cerveau et de l'oeil ne peuvent pas être établies d'une
ATOMIE I. SUR QUELQUES POINTS DE l'anatomie ET la. physiologie DU cerveau ET LEURS applications pratiques; par Ambrose-L.
e faisceau en question représente un trajet direct entre la base du cerveau et les noyaux du plancher du ventricule cité ;
à peu près, aux fibres du pédoncule cérébral. Du lobe occipital du cerveau on voit partir quatre groupes de fibres : 1° le
'admet généralement. Nous avons recherché cette disposition sur des cerveaux frais, en prati- quant des coupes parallèles à
e actuellement les caractères ethniques que doivent présenter les cerveaux des différentes races. Un grand nombre des vari
es différentes races. Un grand nombre des variétés relevées sur les cerveaux humains peuvent se retrouver comme en germe dan
r les cerveaux humains peuvent se retrouver comme en germe dans les cerveaux des animaux. Dans l'état actuel de nos connaiss
circonvolutions anormales sur l'un et l'autre hémisphères. Sur 164 cerveaux examinés, il a trouvé 93t sillons surnuméraires
eur admet des noyaux celluloïdes, présidant au plaisir d'un côté du cerveau , àla peine, dans l'autre. En dé- finitive, il l
par un effort conscient, volontaire et répété, par suite duquel le cerveau supplée à l'activité coordinatrice du cer- vele
espèces, suivant qu'elles dépendent des muscles, de la moelle ou du cerveau . Il s'étend plus longuement sur les dernières e
ie 1100 grammes de liquide. La substance grise est amincie; tout le cerveau s'est étalé sous l'influence de la pres- sion d
GRAPHIE XII. liecllerches sur la localisation des fonctions dans le cerveau de l'Ivonxme; par Sigismond Exner. Vienne, 1881
t une très vaste région de la face externe et de la face interne du cerveau , dont l'altération peut produire des troubles d
d'admettre, d'une façon générale, la proéminence de cette moitié du cerveau sur celle du côté opposé, du moins chez l'homme
issi. De la révulsion iz la nuque dan* les affections chroniques du cerveau et de ses enveloppes ; 1r Emm. 13c thèse de Pai
ème nerveux central, 237. Anomalie de formation particulière du cerveau et de la moelle, 233 Anthrax rave (améboration
u Brésil , par Tarlssan, 245. Cachexie z par Biaise, 60, 15t. Cerveau (sur quelques points de l',watomie et de la phy
ques, par CliercLewshi, 319. Localisation dans les fonctions du cerveau , par Seguin, 105 par Exner, 368. Magnétisme a
48 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
l constituée par un acte inconscient, aulomatitpiement accompli. Leur cerveau , en s'adaptanl â l'exécution automatique de cet a
ET LES REVES. I Dans la vie de relation, par suite île l'appel au cerveau de l'at-tentioii, ou autrement dit. de la force n
. que j'emploie et que j'eni-ploirai notre à propos de» mouvement- du cerveau pendant, el ronoéculivemcnl dr la force nerveuse.
nde partie de l'attention accumulée al devenue immobilisée cl lixe au cerveau sur une idée, laquelle est d'habitude l'idée de r
force s'est, de tous les points du corps, portée en grande partie au cerveau , avec accumulation sur l'idée fixe de dormir et y
i aucun (1) 1re édition. Ch. IV § 2. 1866. trouble quelconque : cerveau , sens, muscles, etc.. demeurent plus ou moins eu
de ce qui reste île celle force demeurant active et flottante dans le cerveau et principalement la mémoire et les sens, par l'e
l le résultat d'une concentration de l'attention nu pôle d'inertie du cerveau pensant, c'est là son grand nn-rile. sou ru ut pa
et je continue mes suggestions verbales afin de faire entrer dans son cerveau I idée slu sommeil. Au bout d'environ quinze mi
pté de leur emlorincur. avec lequel ils continuent par les sens et le cerveau , â communiquer comme auparavant ; car, ils sont é
ion sur l'idée de dormir. Os faits sont connus. Ce qui prouve que. du cerveau , cela doit se passer sur un point de son corps, e
plus ou moins conscient, mais se faisant encore plus dans la nuit du cerveau pensant que ce qui a déjà été constaté jusqu'ici.
elle est. On sait, depuis longtemps, qu'une sensation n'est perçue au cerveau qu'autant qu'elle est discontinue et variable. Si
viens d'établir qu'une idée qui est permanente et invariable dans le cerveau pensant, devient par cela même inconsciente pour
nution de ratleulion ou de la force nerveuse qui s'était accumulée au cerveau : celle force reprenant dans tout le corps les po
eil, redevient relativement en moindre quantité qu'auparavant dans le cerveau et le champ de la mémoire, et par conséquent y ét
eux ; les premiers involontaires, sont mouvementés et différenciés au cerveau ; les seconds aussi réels et aussi involontaires
es, conscientes et volontaires par lesquelles à l'aide des sens et du cerveau , nous communiquons avec nous-mêmes et avec le ino
e psychologue anglais G. Lewes, le nerf grand sympathique, a, dans le cerveau , un foyer commun avec les nerfs de la vie de rela
le cerveau, un foyer commun avec les nerfs de la vie de relation. Le cerveau est le centre qui résume tous les autres, qu'ils
impressions venant du grand svmpathïque sont parfois perçues au su du cerveau , même à l'état de veille. C'est ensuite chez des
ui leur étaient restées inconnues jusqu'alors, et qu'ils reportent au cerveau , ce centre des centres. C'est parce que. ce que
ont autrefois donné le nom de tact général aux sensations perçues au cerveau , dont les unes correspondent, d'un côté, a la vie
vec une intelligence et une mémoire à elles, dans ce foyer commun, le cerveau , à côté de celles qui ont rapport à la vie de rel
r à la nutrition et au développement des organes. Nécessairement du cerveau , ce foyer commun aux deux vies, les idées, par le
lement dans le sommeil léger. Au lieu de se former automatiquement au cerveau , aux dépens de l'attention accumulée sur l'idée l
particularité qu'un meurtre faisant une impression très grande sur le cerveau du malade, a déterminé peu à peu l'idée homicide.
. dans ses affections, amena peu à peu une perte d'équilibre dans sou cerveau . Son beau-frère étuit un alcoolique ; dans un a
omme présente partout dans les fonctions de l'être humain et dans son cerveau ; est-ce à dire que l'inconscience vraie n'existe
cience, une conscience abolie ou devenue nulle, non seulement dans le cerveau pensant ; mais même il y a un courant continu d'i
foi qui représenterait le Jugement dernier. Cette infériorité du cerveau pensant duc quand on rêve, à l'impuissance où l'o
que le dormeur somnambule ordinaire est isolé de tout le monde par le cerveau et les sens. Grâre à cette similitude incontestab
qu'on leur tend ; bref, on peut chez eux fausser tous les ressorts du cerveau pensant, sans qu'ils puissent se défendre du cerc
, émotion, idée et qui a la propriété de rappeler vers les sens et le cerveau , la force nerveuse qui, depuis la formation du so
onnée. Ce cas nous démontre que la pudeur féminine lit naître dans ce cerveau une autosuggestion suffisante pour résister à mes
tive sur la conduction se fait valoir sur les voies nerveuses dans le cerveau et, par conséquent, sur les voies d'associations.
ces idées contradictoires puissent entrer avec assez de force dans le cerveau , il faut que la conduction soit complètement inta
t annihilée, les idées contradictoires ne peuvent plus entrer dans le cerveau et l'exécution des actes se caractérise par un au
duction se renouvelle ; cette loi se manisfeste naturellement dans le cerveau pour les voies d'association. Lorsqu'on suggère
honnête et morale, qui n'y a même jamais pensé, on provoque dans son cerveau une idée tout à fait nouvelle, les voies d'associ
pour cela que les idées contradictoires ne peuvent pas entrer dans le cerveau où n'y entrent que très dîfficilement et que le s
as : cela vient de ce que l'idée suggérée n'est pas nouvelle pour son cerveau et de co que les associations avec les idées cont
ontrant pas une résistance suffisante entrent plus facilement dans le cerveau . Si mes idées sont justes, on peut en conclure
mais bien de l'état de conductibilité des voies d'association de son cerveau , conductibilité très variable et différente selon
intelligence, se faisant autour d'une idée née spontanément dans son cerveau , vous verrez, le développement «le ses facult
endant ce ' état entre la veilleet le sommeil a sulli pour rendre son cerveau capable de recevoir l'idée de la guérison et la r
le matin, que le soir en me couchant. s Il en est d ailleurs de mon cerveau comme de mes jambes ; il ne vaut guère mieux. ï.c
eux qui pourraient indiquer l'existence d'une affection organique du cerveau ou de la moelle sont extrêmement rares. Leur mo
ples, ou une dissémination de la conscience A toute la phériphérie du cerveau '.' Tout cela est possible, quoiqu'on en ail dit.
rses hypothèses éniimé-rées ci-dessus il en est une que l'analomie du cerveau lend à rendre de plus en plus improblable, c'est
centre unique, s'il existe, soil siluc dans quelqu'une des parties du cerveau sous-jacentes au manteau cérébral. L'hypothèse
ues dans l'appareil optique et moteur de l'œil et dans les parties du cerveau mises enjeu quand nous regardons le bâtiment... L
rtaine intensité. La (1) Ribot. Op.. cit. p. S. (2) A. Hcrzrn. Le cerveau et l'activitê cêrebrale, p. 221. loi ci-dessu
istances psychiques et par la masse à mouvoir. Peu à peu cependant le cerveau s'éveille: des images motifs déjà excitées, l'exc
'est la neurasthénie par excès pathologique de dépense nerveuse. Le cerveau est comparable, en ce cas. à une arme à feu qui p
Pétai de faiblesse nerveuse en lui-même jet plus spécialement dans le cerveau "jsans avoir aucunement la prétention de discuter
n'entend plus que lui, ne voit que par ses yeux, ne pense que par son cerveau , n'agit qu'en vertu de son impulsion. Celui-ci. s
rconstances extérieures. Celles-ci introduisent sans cesse dans noire cerveau de nouvelles images, de nouveaux motifs dont la p
façon inconsciente et ;iulo-matique. La suggestion pour arriver à sou cerveau d'une façon indirecte, n'en avait pas moins un ca
r un pouvoir quelconque, la répétition de cet acte rappellera dans le cerveau du sujet l'idée qui s'v rattache et le sujet réal
'.' Ne peut-il à la longue rester quelque trouble persistant dans le cerveau N'est-il pas à craindre qu'un dérangement plus ou
és intellectuelles survive ? Je ne voudrais pas aflirmer que certains cerveaux fragiles, prédisposés à l'aliénation mentale ne p
il, deviennent suggestihles et hallucinables â l'état de veille. Leur cerveau réalise avec une extrême facilité toutes les conc
une nouvelle intervention suggestive. Aussi ne faut-il pas livrer le cerveau humain à des jeux de celle nature. Sans doute que
mir. S'il ne clot pas les yeux, je les tiens clos pour soustraire son cerveau aux impressions du monde extérieur el je m'appliq
pas nu n'a pas conscience de dormir, je me contente de lixer dans son cerveau l'idée que je veux suggérer, disparition d'une do
ntions que d'agir physiologiquement par l'esprit sur le corps, par le cerveau sur les autres organes et fonctions subordonnés a
ps, par le cerveau sur les autres organes et fonctions subordonnés au cerveau . La suggestion ne réu-sit pas toujours, mais so
dans un même moule ; il ne supprime pas l'individualité psychique. Un cerveau hvpnolisé n'est pas un cerveau inerte dans lequel
rime pas l'individualité psychique. Un cerveau hvpnolisé n'est pas un cerveau inerte dans lequel on peut mettre ce que l'on veu
er et à faire la suggestion en le faisant marcher: j'incite ainsi son cerveau a faire l'acte dynamogénique nécessaire, destiné
sse suggérer par un autre îles idees délirantes, qui ferment dans sou cerveau troublé); folie imposée (un sujet B ne se laisse
ra, mûrira et à un moment donné sécrétera des toxines qui feront d'un cerveau normal un cerveau criminel. D'ailleurs celte dé
moment donné sécrétera des toxines qui feront d'un cerveau normal un cerveau criminel. D'ailleurs celte démonstration n'est
lu» file, nous détenons eipert» dan» des choses pour lesquelles noire cerveau el notre eorp» ne sont pas encore prêts. I.a rech
hénomènes delà vie. Ses patientes recherches sur les fonctions du cerveau , de la moelle épinière et des nerfs vaso-moteurs
ées mais ne sont pas aptes à juger si ces œuvres sont le produit d'un cerveau malade et de quelle nature est le trouble d'espri
, dit-il encore à propos des couleurs, que les impressions amenées au cerveau par les nerfs sensitifs exercent une influence co
ouvement musculaire, une image de ce mouvement s'est dessinée dans le cerveau . Nous sentons donc clairement que la cause du mou
en conduire les impressions extérieures, les centres de perception du cerveau doivent être sensibles aux excitations des nerfs
cure. Le mécanisme n'est pas difllcilc à saisir, quand on songe qu'un cerveau sain aulo-suggéré peut éprouver des malaises et d
t de sommeil hypnotique subit une influence supérieure à celle de son cerveau , ces symptômes imaginaires disparaissent et le ma
es craignent soit une maladie de poitrine, de la mœllc épinière ou du cerveau . Ils craignent de devenir tuberculeux, paralysés
qui est encore â remarquer c'est que cette idée de l'ataxie occupe le cerveau du malade par périodes, dans les intervalles desq
Voici pourquoi, vous le devinez sans peine; dans cette attitudo le cerveau est mieux irrigué. Devinant sans doute les diff
49 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
ns, peu à peu la suggestion sans cesse renouvelée prend pied dans son cerveau et s'y installe Il finit par se dire que son taba
. Tout sentiment, toute sensation, toute pensée a sa création dans le cerveau et se transmet de proche en proche, quoique nous
écanique de l'écriture, par l'activité musculaire sous l'impulsion du cerveau ; le cerveau lui-même produit et son excitation ne
l'écriture, par l'activité musculaire sous l'impulsion du cerveau; le cerveau lui-même produit et son excitation nerveuse se tr
se sont occupés do cette question des rapports de l'écriture avec le cerveau au point de vue sémérotique; ce sont : Étude sur
nd-elle des nécessités psychologiques créées par la situation même du cerveau ? Tous les peuples écrivent de la main droite; don
suggestion hypnotique, sans qu'il y ait aucune lésion ou paralysie du cerveau . Sauf l'impression auditive, inconsciente, par
pressions des figures décrites dans l'espace et conservées dans notre cerveau proviennent de deux sources différentes : de l'im
ts de l'écriture, il admet que ces impulsions volontaires qui vont du cerveau à la périphérie, passent en certains endroits de
moins forte, elle produira une forme variable de lettres. Ainsi le cerveau n'est pas toujours dans un état normal et peut êt
ritation particulier, suivant les natures ; car il est certain que le cerveau de l'artiste n'est pas irrité comme celui du math
r lui donner la variété ; mais il est tout naturel qu'un môme état du cerveau , de l'activité musculaire, devra produire une môm
. Le haschisch est comme le café, très peu torréfié, un excitant du cerveau . el si le Sommeil se produit après ses effets, ou
érente pensée qui s'est, momentanément, localisée dans un lobe de son cerveau . Je m'explique : La pensée du haschischéen s'
re Pierre, Paul ou André, mais bien l'animal dont la pensée hante son cerveau . Il lutte d'abord avec l'énergie de l'homme qui s
ux centimètres et ressemblant à des Bourdons), emmagasinent dans leur cerveau des images visuelles, des souvenirs des lieux par
er, à l'aide de ses considérations théoriques sur la force motrice du cerveau , ce fait que le médium n'agit, pour la plupart de
ions des différents centres de la sensibilité générale et spéciale du cerveau (1). C'est une génétalisation du phénomène sola
percussion digitale à travers les enveloppes osseuses et fibreuses du cerveau , sont situés à quelques millimètres carrés les un
l'écorce cérébrale, à travers les enveloppes osseuses et fibreuses du cerveau . Or, de l'aveu de Silva lui-même, les vibrations
e la circulation extérieure du crâne et la circulation de l'écorce du cerveau , il existerait d'intimes rapports vaso-moteurs, d
« communication vasculaire » établie entre la substance corticale du cerveau et ses parois osseuses et fibreuses, on ne sait r
ait noté qu'elle a été quelquefois circonscrite à une seule région du cerveau . « 11 ne s'agit pas ici de localisation cérébrale
1871). animaux pour vérifier si, en dépit de l'opinion générale, le cerveau était excitable par l'électricité. Quelques jou
e fois de plus, après Charcot, l'état d'hyperexci-tabilité spécial du cerveau pendant la période léthargique de l'hypnose chez
nes derrière la vierge triomphale. On peut dire qu'en ce moment leur» cerveaux étaient eu parfaite communion. Tout à coup. Mar
leur ensemble, avec les maladies constitutionnelles et la débilité du cerveau dont elles ne sont le plus souvent que les symptô
produit, par la lecture d'une pathologie de la vie sexuelle, dan» des cerveaux non compétente, n'équivaut pas a l'utilité réelle
brale du perciptent, des suggestions qu'on lui fait. Du moment que le cerveau accepte sans critique les idées suggérées, soit q
ther, le chloroforme, la morphine, etc., affaiblissent le contrôle du cerveau , l'intelligence consciente, la volonté, et produi
avoir montré que la psychologie n'est pas seulement la physiologie du cerveau , mais qu'elle a un rôle plus étendu, qui est d'as
te. En effet, l'écriture ne peut évoquer directement une idée dans le cerveau ; elle évoque seulement l'image d'un mot, que lui-
Je restai ainsi quelques secondes, afin de laisser cheminer dans son cerveau une auto-suggestion encore vague, relative au sen
un phénomène matériel. On est sûr cependant que ce lien existe. Sans cerveau , ou plutôt sans cellule nerveuse, il n'y a pas d'
remier problème de la psychologie est la physiologie plus complète du cerveau : Rapports de l'idéation avec la circulation céré
telle partie de l'encéphale — autrement dit en résumé physiologie do cerveau . Il faut reconnaître que, malgré tous les efforts
méme méthode, laquelle consiste à substituer suggestivement, dans le cerveau , des idées saines à des idées fausse', pense que
s. Aucune idée, pas même l'idée de nombre, ne prend naissance dans le cerveau d'un enfant par pure hérédité sans impressions pe
st pas partisan, convaincu qu'il est du tait que chaque hémisphère du cerveau s'acquitte dot mêmes fonctions et commande aux de
les objets de la collection, on verra des crânes, des squelettes, des cerveaux de criminels, des spécimens pathologiques de corp
car la suggestion thérapeutique ne consiste qu'à faire entrer dans le cerveau du sujet, endormi ou non, l'idée de la guérison o
air et par l'impression sensible que par la force des raisons. Car le cerveau de ceux qui ont l'imagination forte recevant, com
on déjà malade; il s'est imprimé prvfon-ment. et malgré lui, dans son cerveau ; l'auto-suggestion se forme spontanément et chem
mme toutes les suggestions, elle peut rester un certain temps dans le cerveau a l'état latent, pour ne se développer que plus t
autre chose que la mise en activité d'une propriété physiologique du cerveau , la suggestibilité, que l'hypnotisme n'est danger
ales. Il exposera son nouveau Procédé de mensuration de la surface du cerveau . M. le Dr Saint-Hilaire. secrétaire général de
rier, le vendredi, à cinq heures. Programme : Physiologie générale du cerveau . La fonction psycho-motrice. Sociologie. — M. C
laborieux. M. Gibcrt s'était contenté d'imprimer fortement dans le cerveau de sa malade la certitude du pardon et mime lu; a
avec force de ne plus se souvenir; il fit des efforts pour chasser du cerveau de la malade toute apparence de la scène sauvage
inistre; celle qui fait que, sous l'impression d'une vive émotion, le cerveau se détraque et donne naissance à la folie. « C'
ce, ou plutôt cette puissance, après avoir violemment surexcité notre cerveau , se porte dans les plus petite» ramifications du
, créatrice et stimulante, issue d'un mouvement vital considérable du cerveau et do notre imagination, mis en activité extraord
ts de l'écriture que l'on fait exécuter a sa main réveillent dans son cerveau l'idée que représentent les mots écrits, et la vo
ient conservés : on eut l'idée de s'en servir pour réveiller dans son cerveau l'image des mouvements de l'écriture et les idées
ais sur l'esprit lui-même. C'est, pour ainsi dire, la partie saine du cerveau qui vient corriger la partie malade. J'extrais
siquement et psychiquement. est meilleure qu'elle n'a jamais été. Son cerveau , qui avait été ai ébranlé, est maintenant en parf
regagner d'un coup tout le chemin perdu. accident qui affaiblit le cerveau ; qu'on ne fait pas disparaître en huit jours des
ine qui déferle. En plus de cela, il y a celte griserie qui gagne les cerveaux les mieux équilibrés quand ils ont en mains la to
st purement psychique. Le sujet voit avec sa rétine, il voit avec son cerveau . La première reçoit l'impression ; le second par
ont il n'a pas l'idée. 11 y a, je pense, dans l'hémisphère droit du cerveau quelque chose qui crée cette hémianesthésie ; mai
adie des cellules conscientes aesthésodiques de l'hémisphère droit du cerveau . SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE Séance du 19 décembre 1
ellectuelles issues de son initiative. La pensée humaine qui émane du cerveau , souvent vague et confuse, les lettres la recueil
olestérine ou biliverdine dans le foie, cérèbrine ou prolagon dans le cerveau . Ces transformations, le chimiste peut ou pourra
e devient globule sanguin; elle devient muscle, os, foie, cœur, nerf, cerveau ; la matière vivante se l'incorpore et lui donne l
que : elle fabrique de la bile et du sucre. Telle autre finit dans le cerveau et devient cellule cérébrale : la substance inani
tre. Comme nous et les plantes, ils végètent ; comme nous, ils ont un cerveau et un système nerveux ; ils manifestent des phéno
et moral. Et quand un voit ce pauvre petit être, avec ce pauvre petit cerveau logé dans cette étroite boite crânienne, jeté sur
tion progressive, quand enfin on envisage tout ce qui est éclos de ce cerveau humain, on reste confondu par le contraste de cet
stence, parce que l'esprit agit en lui. parce que l'idée inhérente au cerveau commande ces actes, donne l'impulsion aux organes
ne automatiquement obéit et réalise la pensée. Qu'une idée possède le cerveau ! le corps vibre à son unisson et la matérialise
ef et peut les déterminer. Voyez chez l'homme sain l'idée suggérée au cerveau , son instrument, jouer sur lui comme sur un clavi
eutraliser les douleurs, ralentir ou accélérer le cœur, faire avec le cerveau lui-même des émotions, des illusions, des halluci
hique est liée à l'organe ; nous ne l'observons que comme fonction du cerveau , centre de la vie psychique, comme de la vie végé
l'esprit, grandit, évolue, décline, se modifie, se pervertit, avec le cerveau lui-même dont elle suit les vissicitudes orgaoiqu
es, enfin, se montrent réfractaire ? à la production du sommeil, leur cerveau neutralise avec la plus grande facilité les illus
, et même dans une certaine mesure, inconscients. Chez nos sujets, le cerveau semble avoir perdu le pouvoir modérateur qu'il ex
ue, c'est une distinction sans aucune importance : le même travail du cerveau produit dans les deux cas le même effet. Ce qu'on
en anatomie. Détermination de la surface des organes en général et du cerveau en particulier, par la méthode des pensées (mensu
ulier, par la méthode des pensées (mensurations faites sur vingt-deux cerveaux ). (Brochure in-8° de 24 pages, avec figures. — 1
e aussi, pardonne-le moi, une pensée sans cesse présente a mon pauvre cerveau que, pendant que je couchais dans mon pauvre pe
signe est imprimé sur notre chair, son symbole s'incarnera dans notre cerveau avec une telle puissance qu'il deviendra pouvoir
r lequel s'opère la circoncision, organe en sympathie directe avec le cerveau , celui-ci sera fortement imprégné des stigmates m
ar ce signe indélébile, et ces stigmates influenceront a tel point le cerveau humain qu'il ressemblera à un véritable microcosn
t purement psychique. Le sujet voit avec sa rétine : il voit avec son cerveau ; la rétine reçoit l'impression, le centre cortic
e, tous les autres ont dormi d un sommeil assez profond pour que leur cerveau pût recevoir la suggestion thérapeutique avec la
pu détacher son a lient ion des idées morbides qui tourmentaient son cerveau et lui imposer le sommeil comme provenant de lui-
on amour-propre en lui répétant qu'il est très intelligent et que son cerveau est assez développé pour recevoir l'idée du somme
50 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
frappé d'accidents cérébraux, dus probablement à une hémorrhagie du cerveau , suivie de ramollissement 1 )) ? . Trousseau. C
ngestionné et parsemé d'hémorrhagies. Réplétion des -vais- seaux du cerveau et épaississement des méninges; parois vasculaire
ne la moelle, se sont confondus avec ceux du second et que, dans le cerveau elle a atteint surtout la convexité (Oppenheim).
aines attaques DE paralysies prodromiques dans LE RAMOLLISSEMENT DU CERVEAU NON SYPHILITIQUE; par L. LOEWENFELD. (Centralbl
tion DES TROUBLES DE la SENSIBILITÉ dans les affections EN foyer du CERVEAU ; par L. D.1BESCHEIVITSCH. (Neurol. Centralbl.,
au microscope il n'y a aucune anomalie de la moelle ni du tronc du cerveau , pas plus qu'ailleurs dans l'hémisphère en ques-
es ramollissements et des hémorrhagies dans les diverses régions du cerveau et de la moelle (encéphalite interstitielle de Ju
quinine n'a rien produit de sem- blable sur les autres malades. Le cerveau a dû subir seul dans l'espèce l'action quinine;
ale se traduit par une exagération des réflexes. Mais pour- quoi le cerveau seul a-t-il été touché par le médicament, peut-êt
es anomalies mor- REVUE DE pathologie nerveuse. US phologiques du cerveau , du crâne, du squelette des vivants. C. Les fon
cette forme d'aliénation mentale comme un des modes de réaction du cerveau valide contre une série d'influences défavorabl
de l'inertie des mêmes tuniques, dans les régions antérieures du cerveau , on conçoit quelle modification subit de ce fait
pris part à la composition écrite : Lobes frontaux et pariétaux du cerveau (anatomie et physiologie). Les questions restées
dant onze mois. Un cousin germain est sujet à « des dérangements du cerveau » qui durent deux ou trois mois, pendant lesque
ison autre qu'un état pathologique : spécial' du' fonctionnement du cerveau . Il peut arriver que 'l'impulsion et l'acte soi
ue. Les allemands disent : aliénés à cer- veau valide, et aliénés à cerveau invalide. En France,' on dit des seconds qu'ils
t, mais arrivés à une période avancée d'une- affection chronique du cerveau , procédaient parfois, quand ils devenaient meur
es se passent chez les dégénérés délirants. Il semble donc que leur cerveau primitivement valide soit devenu déséquilibré,
our désigner l'état de son malade, se contenter du terme lorsque le cerveau présente des altérations organiques. Or, ici, la
nce de son alimentation. R. M. C. XXVI. Quelques cas DE maladies du cerveau CHEZ LES imbéciles; par Fletciier Geacu. (The J
le cérébral un phénomène de physiologie régressive des fonctions du cerveau . Dans le cas rapporté, la maladie avait pris na
est à noter que, dans certains cas, le passage du stimulus dans le cerveau est retardé et il est quelquefois néces- saire
ans le catarrhe vésical, l'hémiplégie, les affections organiques du cerveau , la sclérose médullaire, la méningite, les trou
(de Strasbourg). Des foyers d'inflammation expéri- mentale dans le cerveau des chiens et des pigeons. En inoculant à ces a
ces recherches. ' 1° Un foyer d'inflammation de la zone motrice du cerveau peut déterminer chez le chien une paralysie cro
ié du champ visuel opposé à la lésion. Si l'on extirpe la partie du cerveau atteinte avec le foyer inflammatoire qu'elle co
oire identique peut se développer dans la région inter- médiaire du cerveau et tuer l'animal sans qu'on observe ni para- ly
l'absence de tout accident moteur, malgré la destruction étendue du cerveau , tienne à l'absence de faisceau pyramidal. '
e que ces mutila- tions manquent chez l'homme, mais la chirurgie du cerveau pourra nous éclairer dans l'avenir sur cette qu
ne hypérémie prononcée ; il n'existe pas de 1 lésion du crâne et du cerveau . Le microscope décèle (dans la pre- mière obser
parois vasculaires se serait produite consécutivement. Quand le. cerveau a été suffisamment attété, l'hypérémie a provoqué
première année qui suivit l'attaque. Autopsie : Examen attentif du cerveau par des coupes en série. On trouve un ancien foye
BYTKOFF..Z)M systèmes des fibres au fond du troisième ventricule du cerveau . Ils distinguent trois ' systèmes de fibres : l
ff, Marie, Landouzy, etc., qui ont étudié l'état de la moelle et du cerveau à la suite de variole et de fièvre typhoïde ont
itérés, c'est que sur la région antérieure et pos- térieure de leur cerveau se trouvent des lésions diverses, des foyers hé
tre puissant orateur, quoique 316 ' CLINIQUE MENTALE. le poids du cerveau ne dépassât pas la moyenne, la troisième circon
mène à expliquer ce qui se passe chez les dégénérés supérieurs. Les cerveaux des débiles ne nous présentent déjà plus que de
que. Un physiologiste, Herzen 3, disait que l'on peut comparer le cerveau à une vaste salle remplie d'une quantité innombra
lter Automatisme psycholo- gique, p. 39 et p. 305. ' Herzen. - Le cerveau et l'activité cérébrale, 1887. Consulter tout le
ps : il se produit dans l'esprit, dans les cellules cor- ticales du cerveau , si vous voulez, un très grand nombre de petits
l'esprit représenté, si vous voulez, par les régions corticales du cerveau . Dans l'esprit lui- même, elle porte sur un phé
a vue et de l'ouïe, et une idée délirante nait tout à coup dans son cerveau . Des voix lui parlent, lui disent qu'il est per
ème nerveux qui intéresse spécialement les parties antérieures du cerveau , les symptômes l'indiquent. Mais c'est là tout
-t-il une lésion, tumeur ou autre, développée primitivement dans le cerveau , ou bien développée dans son voisinage et n'aya
son d'être dans une modification morbide des parties antérieures du cerveau , et cette donnée pathogénique est suffisante da
ou qu'elle soit acquise, les conséquences en sont les mêmes. - Le cerveau de notre malade est devenu un cerveau infirme,
ces en sont les mêmes. - Le cerveau de notre malade est devenu un cerveau infirme, par accident, et sous l'influence de la
ccident, et sous l'influence de la folie, il réagira à la façon des cerveaux infirmes par hérédité morbide. On a parfois car
ence intellectuelle, suite d'une maladie des parties antérieures du cerveau , a tout à coup, pendant la nuit du 9 au 10 sept
out entier. C'est là que se manifeste la réaction pathologique du cerveau infirme dont je viens de parler, du cerveau en
éaction pathologique du cerveau infirme dont je viens de parler, du cerveau en dégénérescence.' La clinique apprend, en eff
tuel. NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 381 Les parties antérieures du cerveau , momentanément . au moins, perdent leur puissan
consommé, un équilibre relatif s'établit dans le fonctionnement du cerveau , le délire peut persister, mais l'impulsion a d
aralysie PRO- GRESSI%R ' par A. PicK. (Neurol. Cenlralbl., 1890.) Cerveau d'un paralytique général durci dans l'alcool colo
cylindre axe sclérosé. P. K. . II. Des capillaires lymphatiques du cerveau ; par P. KpONTtIAL. (Neurol. Cenlralbl., 1890.)
90.) . Méthode d'étude des capillaires cérébraux en général. A un cerveau frais, on prend un morcelet de la grosseur d'un
laires sanguins par la méthode sus-indiquée et un morceau voisin du cerveau durci dans le bichromate de potasse, sectionné
oment où elles s'entourent de myéline. " P. KERAvAL. V. Examen du cerveau d'un FOU systématique (paranoïker) ; par B. FEI
igrosine. Cette parti- cularité est générale. Mais les ganglions du cerveau , le cervelet, les régions les puis diverses du
du cerveau, le cervelet, les régions les puis diverses du tronc du cerveau , qui du reste ne présentent aucune anomalie pat
ffrent rien de semblable. L'auteur ayant examiné comparativement le cerveau d'un vieil- lard de soixante-seize ans psychiqu
hognomoniques de cette affection. Si l'on examine de bonne heure le cerveau hypérémié, à écorce tuméfiée des paralytiques,
s époques du déve- loppement des manchons de myéline. Embryons de cerveaux humains. Au commencement du milieu du neuvième
ribution A la connaissance DES TROUBLES fonctionnels DE L'ÉCORCE du cerveau ; par K.-O. DEES. (Allg. ZeitSCh. f. PSyCh., XLV
hésies, d'anesthésies) qui, naturellement, ressortit aux centres du cerveau provoque des hal- lucinations ; les troubles de
les tubercules quadrijumeaux inférieurs avec l'écorce (temporale du cerveau ). Quant au corps genouillé externe, il semble (
f. Psych £ at., IX, 3.) Expliquer la forme de la surface externe du cerveau par la texture de la couche blanche immédiateme
ychose. - Nuus désignons sous ce nom les modifications physiques du cerveau qui correspondent à une « pensée » et que nous
es. (82). Intelligence. L'intelligence n'est pas une propriété du cerveau p6 ! ' se : elle est un fait physique, accessible
e voir qui vient d'être exposée, les con- ditions physiologiques du cerveau qui lui permettent de révéler les signes de l'i
déploiement de l'intelligence ne dépend pas de la somme d'usure du cerveau , mais de la susceptibilité de cet organe à l'ég
présentent le fait initial de la série des lésions histologiques du cerveau , dans la paralysie géné- rale, et que les altér
ébrales. J. SÉGLAS. XXV. Les substances albuminoïdes phosphorées du cerveau ; par MM. DANILEVSKi et Oumikoff. (Recueil de P
. MM. Danilevski et Oumikoff étudient surtout la substance grise du cerveau . Cette substance présente une composition plus
ment établis, on considérait toutes les subs- tances phosphorées du cerveau comme appartenant à des combi- naisons non albu
ine phosphorée est une propriété exclusive de la substance grise du cerveau des vertébrés à sang' froid ou à sang chaud et
sous-corticaux sont séparés de 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'écorce du cerveau , c'est en vain qu'on sollicite les sens, on n'ob-
uand l'homme a atteint son parfait développement, c'est l'écorce du cerveau qui doit être tenue pour le siège des innervation
nues par la méthode de Golgi et de Ramon y Cajal, sur l'écorce du cerveau et du cervelet, ainsi que la moelle d'embryons.
a paralysie générale. Comme il est rare que les lésions en foyer du cerveau revêtent une allure aiguë et soient en rapport
comme le coin, et voici venir les symptômes de lésions en foyer du cerveau dans le cours de la paralysie générale. Tantôt la
a craniectomie chez les microcéphales. Il ne faut pas croire que le cerveau cesse invariablement de se développer, parce que
gique, en prenant comme sujet le.; apoplexies et ramollissements du cerveau , l'ataxie locomotrice, les myélites, la paralys
6 fr.; pour nos abonnés, prix : 4 fr. Souny (J.). Des fonctions du cerveau (doctrines de l'école italienne et de l'école d
ÉHÉBBOPATHIE, due à -la syphilis congénitale, par Edenmever, 421. Cerveau , foyer d'inflammation expé- table DES matières.
Illusions subjectives, par Draper, 232. Imbéciles, maladies du cerveau chez les-; par Fletcher Beach, 225. Impulsion
Lissauer, 436. . Paraplégie SG\ILr, par Gowers, 101. Paranoïa, cerveau d'un fou atteint de , par Feist, 396; Kalhbaum,
51 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
s coupes horizontales; la bandelette optique, véritable partie du cerveau /lui en envoie également. Deuxième coupe. (PL. I
mme perdue dans la masse nucléaire, atteint la partie inférieure du cerveau . Troisième coupe. La plupart des faisceaux de l
grande que précédemment et la branche antérieure atteint la base du cerveau . Donc à 15 millimètres environ en dehors de la
ition à tous les autres faisceaux capsulaires qui n'arriveraient au cerveau qu'indirectement, c'est-à-dire après avoir subi
térieur DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 13 du cerveau au pédoncule cérébral : ils sont, comme on dit,
ortent ces expansions : 1° Dans la partie antérieure ou frontale du cerveau ; 2° Dans la partie moyenne ou pariéto-sphénoïda
LM'e6 ? co ? ? o la couronne rayonnante dans la portion moyenne du cerveau CM aTO ? e/ ! 0<- clale. Groupe des faisceau
fibres capsulaires, qui, ici, comme sur la partie anté- rieure du cerveau , perforent la masse ganglionnaire et la divisen
ansions pé- donculaires directes. Nos coupes le démontrent sur le cerveau humain. Nous avons déjà eu occasion de faire re
ssède à ce sujet sont fort restreintes. Elles concernent surtout le cerveau de l'animal. Meynert qui a étudié la structure
ficultés des centre nerveux, ne la démontre en réalité que sur le cerveau du singe. Pour ma part, je ne me suis occupé qu
rai plus tard, si la difficulté est. plus grande à résoudre pour le cerveau de l'animal. Il est bon de se rappeler : 1° q
faudrait pourtant pas croire que le fait est dé- montrable sur tout cerveau humain. Il en est qui sont pour cela plus favor
itudinal supérieur ou arqué. Ce faisceau a-t-il été constaté sur le cerveau humain, je l'ignore : voici le résultat que j'a
ius, à l'instar de l'auteur allemand, il conseille de sectionner le cerveau par sa face interne, afin d'obtenir une coupe p
elle doit traverser dans les deux exemples ci-dessus, tels que le cerveau dans l'un, le sympathique cervical, le pneumogast
es muscles. E. B. II. RECHERCHES graphiques SUR LES mouvements DU cerveau chez l'homme ; par L. RAGosiNet M. MENDELSSOHN.
ossible de recueillir des inscriptions graphiques des mouvements du cerveau chez l'homme vivant, il s'agissait dans les exp
NOUVELLE série d'expériences SUR la détermination DES fonctions du cerveau ; par le professeur GOLTZ. (Congrès de Bade, 188
9, p. 309.) M. Hammond, en examinant des coupes pratiquées sur le cerveau d'un chat, a trouvé que les cellules géantes ne s
de ne mettre ainsi en jeu qu'un seul organe, comme par exemple, le cerveau , ce qui occasionne toutes les phrénopathies, du
ique. Le De Fletcher BE.1CI lit un mémoire sur Y «Hypertrophie du cerveau chez les imbéciles ». A propos de cette lecture,
l'auteur établit entre la sclérose pure et l'hypertrophie pure du cerveau M. Major dit que l'étude comparée des différent
trophiée. Le DJuLIUS Mickle lit une «Note sur un cas de lésion du cerveau » . L'heure avancée ne permet pas au De SAVAGE
nfiltration séreuse ou sanguine des enve- loppes de la moelle et du cerveau , les soi-disant ramollissements de la moelle, n
s articles de vulgarisation où ces vues ont été résumées (voy. art. Cerveau , par Ber- ger, in Dict. encyclopéd. des Science
umer de la manière suivante, soit qu'on considère une dissection du cerveau , soit qu'on en examine une coupe transversale.
qu'on en examine une coupe transversale. 1° Dans une dissection du cerveau , c'est-à-dire en procédant par ouverture des ve
fente de Bichat) par laquelle la pie-mère de la face inférieure du cerveau pénètre , sous le nom de plexus choroïdes, dans
contribuent à former un orifice faisant communiquer la surface du cerveau avec la cavité du ventricule, elles n'ap- parti
Planche I du tome III) est en dehors (par rapport au plan médian du cerveau ) de ce bord du corps bor- dant, est situé dans
parence aux préparations, est surtout nécessaire pour les coupes de cerveau d'em- bryon, mais il demande a être pratiqué d'
à établir que « toutes les circonvolutions des lobes postérieurs du cerveau concourent à la fonction visuelle s. Il a, fait
dmettent tous que ce centre se trouve dans la partie postérieure du cerveau et'qu'il ne dépasse pas en avant le pli courbe
rfs, et aux manifesta- tions qui les traduisent. L'encéphale, et le cerveau en particu- lier, ont été en quelque sorte déla
e'des centres nerveux et l'hydro- cé' h'l "' ' " " "" ' limitée au' cerveau 'ont'' aussi ' fourni leur ,,p -. a,ii-e.eliron
égales d'ailleurs, 23,1. Les renseignements con- cernant l'état du cerveau , bien que laissant encore énormément à désirer
ti- - nueliement grandissante a violenté le centre vaso-moteur du cerveau . Considérant la corne d'Ammon comme le centre de
ipital, la substance blanche^ du lobe sphénoïdal; l'écorcé grise dû cerveau ,' 'là ligné médiane des hémisphères (rôle de la
ntenait'de l'albumine. L'au- topsie hefùt faite que dans un cas; le cerveau était sain; les reins étaient indurés et granul
' 'lesquels' oh"'ait Constaté un foyerhémorrhamque ? s61t dans'' le cerveau soit dans la' moelle.' ; ' ' "" -, ·, ,··· 11 v
Charcot et Duret de. la disposition de la circulationtartérielle du cerveau et applicables -1 à la fréquence des hémorrhagi
de Fallope. P. M. XIII. Note POUR SERVIR A L'ÉTIOLOGIE DES abcès DU cerveau ; par Rudolf GNAUCK. (Arch. f. PSYCII. 2c. llTe
dmet que les liquides injectés parviennent au con- tact immédiat du cerveau ; dans toutes les autopsiés, on trouve la membr
s observés à la suite de leur lésion à une blessure concomitante du cerveau dans le point que nous avons indiqué plus haut.
ignaler qu'à prévenir ? lorsqu'elle '91 aboutitq au), surmenage, dû cerveau ? lorsqu'elle,, ne rtientlpas ncpmpte'de l'harm
te activité contribue, dans une i-large mesure, au développement du cerveau et à ^'évolution de l'intelligence. ? t'.r.). .
température. A ce.moment, l'hypertrophie, l'anémie et l'oedème du. cerveau , l'hyperustion.du tissu ? neryeux, et-1'adynamie
ateuse et'à l'obstruction des artères/ Les' sinus- et les veines du cerveau /1 et principalement lé sinus longitudinal sont
la majorité des cas, une ! dégénérescence ou , un- trauma- tisme du cerveau ,, dans le sens le, plus large,de ces;mots, cons-
" qu'il explique' par l'induction psychique (transmission en' son cerveau des( manifestations-, intellectuelles et sensorie
re de l'épuisement de ce département, c'est-à-dire de f"ééo"rëe du' cerveau ? 3 La" période"61 de1 délire intellectuel" né"'c
gentipour ce genre,de,i littérature.) quilbrolülleLd ans· uni jeune cerveau le possible; et; conduit l'enfant plus tard; à'ac
sion s'étend plus loin et enveloppe t'insula ; de sorte 'q"àe"si ce cerveau localise le langage dans l'hémisphère gauche, il
m'associe à cette manière de voir, et je dois même ajouter que les cerveaux qui ont servi à Broca de base pour ses recherch
bes postérieurs et plus rigoureusement le lobule triangu- laire. Ce cerveau est celui d'une femme sourde pendant de ,très l
eur et probablement aussi à'de la dyscrasie hématique. Pour lui, le cerveau et la moelle sont affec- tés sympathiquement, p
xpériences les lésions ont été produites dans d'autres par- lies du cerveau . Dans aucune de ces dernières on n'a remarqué une
, 27, 65, 47 p. 400'd'élévatidn hérmiqûe : Si un'séul' des côtés du cerveau étaitatteint ou obtenait'une moyenne de 7 p. 10
chait avec précaution la pie-mère et plaçait un peu de sel sur le' cerveau .- Un bandage contentif maintenait l'excitant en
puis s'assurer de la part qui revenait à la moelle,, au bulbe,, au cerveau , dans, la production de chaleur animale et dans
-gérant,BouRnsvLi.s ? TABLE DES MATIÈRES Abcès (étiologie des) du cerveau , 254. Absurde (philosophie de l'), par Cost
ntel- lectuls), 261. Cérébrotomie méthodique, par Bi- tot, 1. Cerveau (mouvement du) par Ra- gosin et Mendeissohn, 19
t, 1. Cerveau (mouvement du) par Ra- gosin et Mendeissohn, 191. Cerveau (nouvelle série d'expérien- ces sur les fonctio
, 260. -11" 1 Mouvements,(reeherc])es.graplu- F ques sur les) du, cerveau , par Ragosinet 111endelssohn, 42t., i Muscula
52 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d antérieur gauche du cervelet com- primant les régions voisines du cerveau , du cervelet et de la p1'Ulzc- bérance, et inté
autres nerfs crâniens ne nous ont présenté aucune altéra- tion, - Cerveau et moelle. Au point de vue macroscopique, sauf un
t actuel de la science les faisceaux vaso-moteurs qui se rendent au cerveau sont préci- sément obligés de traverser la prot
te, mais de plus des ramollisse- ments multiples de la convexité du cerveau . Cette rareté des hallucinations au cours des a
ndrites et des collatérales. Ceci explique le fait, que le poids du cerveau des individus, riche- ment doués de talent et m
rveux central, que nous observons dans les affections organiques du cerveau , où nous pouvons à l'oeil nu ou à l'aide du mic
u à l'aide du microscope constater tels ou tels changements dans le cerveau . Outre les chan- gements grossiers propres aux
Outre les chan- gements grossiers propres aux lésions organiques du cerveau , la théorie des neurones nous fournit la possib
on prenons quelques exemples concer- nant des lésions organiques de cerveau qui sont accompagnées de démence. La présence
es. M. Raymond, tout récemment a constaté, dans un cas de tumeur du cerveau un anéantissement des fibres tangentielles dans
e générale et de démence sénile, d'artério-sclérose et de tumeur du cerveau , nous observons parfois, que les malades s'embr
te dans les nerfs sensi- tifs, qui vont des organes de sensation au cerveau , parmi des fibres centripètes des fibres centri
nations, nous force d'admettre que chacun des centres sensoriels du cerveau se décompose du moins en deux sections douées c
n de Meynert, en rapport avec le manque d'oxygène aux cellules du cerveau . Sans entrer dans d'autres détails sur l'explicat
e l'espèce de léthargie dans laquelle étaient plongés à la fois son cerveau et sa faculté audi- tive. Comme nous l'avons di
tant organiques que dynamiques. Dans aucune maladie organique du cerveau , l'application de UG 6 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
l'existence de lésions cérébrales aujourd'hui éteintes mais dont le cerveau porte les vestiges proha- hlement sous forme de
y a une lacune immense dans l'observation de Senator où l'examen du cerveau n'a pas pu être fait. Mais la séparation de la
ra même pas les interroger. La dégénérescence, en déséquilibrant le cerveau . exalte certaines facultés en même temps qu'ell
plus ou en moins de cette moyenne. En fait, il est certain que le cerveau de l'homme de génie ne peut pas être constitué co
alie de la structure anato- mique ; d'après son avis il y a dans le cerveau des voies qui unis- sent l'écorce cérébrale ave
à celui qu'on pratique dans toutes les inflammations chroniques du cerveau . Remarques de M. le professeur Kojewnikoff. I
énérescence des racines dépende de la présence d'une tumeur dans le cerveau , à quoi M. Mouravieff répond qu'il n'existe en
es nerveuses et de chirurgie. Traitement opératoire des maladies du cerveau . Nous indiquons ci-dessous les travaux qui sero
eur J. Crocq (de Bruxelles) : « Un nouveau symptôme des maladies du cerveau . » Priv.-Docent A. Korniloff (de Moskau) : a Th
livier d'Angers pour la moelle; notre Lalle- mand et Rostan pour le cerveau . Duchenne pousse l'analyse symptomatique au plu
s; 2° atrophie du nerf optique gauche; 3° vaisseaux de la base du cerveau atbéromateux ; 4° teinte rouille assez marquée
I 1 rieure et médiane des circonvolutions de la face orbitaire du cerveau ; 5° emphysème pulmonaire assez prononcé des deu
a ont été complètement détruites. Quand les membranes viscérales du cerveau ont été enlevées au niveau de ce foyer on voit
avant qu'en arrière où il a encore Om,04. La subs- tance blanche du cerveau qui limite ce foyer est légèrement indu- rée. L
s et mise en jeu par des causes occasionnelles variées (maladies du cerveau , traumatismes crâniens, intoxications). Quant à
chiques, il importerait tout d'abord de rectifier la description du cerveau dit normal et d'établir le type schématique des
hologique. L'auteur dé- nonce d'ailleurs la description actuelle du cerveau normal comme défectueuse à ce point de vue. A.
des lésions (tumeurs ET abcès) intéressant la RÉGION préfrontale du cerveau ; par WILLIASON. (111'ain, été et automne 1896.)
des tissus, odème très étendu autour du point déprimé. Le reste du cerveau sain. 4° Jeune homme. Quelques attaques convuls
frontal droit afleurant aux F' et F, facile a enucléer. Le reste du cerveau sain. L'analyse détaillée de 50 cas analogues,
uche. Détermination du centre de la jambe. excision d'un morceau de cerveau de 4 centimètres sur 2. Suites opératoires habi
Golgi l'a décrite. R. DE Musgrave CLAY. VIII. UN cas DE tumeur du cerveau ; par Ii'L8TCI ! 1\ B8.\CU. (The Jour- nal of Me
'une dureté presque cartilagineuse et communiquait en avant avec le cerveau parmi orifice de la table osseuse de la gran- d
e portait des dépressions correspondant à la forme de la tumeur. Le cerveau n'a malheureusement pas été examiné. R. DE MUsG
ncés. - La plupart des altérations observées dans le= enveloppes du cerveau chez les alié- nés paraissent devoir être attri
de MUSGRAVE CLAY. 1V.);SSAIS d'excitation électrique des régions du cerveau , président aux mouvements du tronc ET DE la nuq
itation électrique. Beevor et Horsley, dans leurs recherches sur le cerveau de singes, sont arrivés à des con- clusions ide
re, horticulture, menui- serie. Il dérive les activités morbides du cerveau . En revanche les études mathématiques et philos
euses qui, généralement, ne sont que des troubles fonc- tionnels du cerveau et qui ni'ntéressent que secondairement les cen
coup, bien qu'elle appartînt au culte catholique, produisit sur son cerveau une si forte influence que sa raison ne tarda p
signalé, en 1876, dans son tra- vaiisur les .voies conductrices du cerveau et de la moelle épinière, mais sans lui donner
raines relèvent de la même cause. L'action de l'acide urique sur le cerveau peut produire certaines formes de dépression me
ôté opposé. Il faut remonter au REVUE DE pathologie NERVEUSE. 227 cerveau pour voir une lésion de la partie postérieure de
ortent l'auteur à admettre que les sensations gustatives gagnent le cerveau par la cinquième 228 REVUE DE pathologie NERVEU
les tubercules quadrijumeaux supérieurs par l'artère profonde du cerveau , l'artère optique interne postérieure, l'artère p
maladie intermédiaire aux psychoses et aux affections organiques du cerveau , est caractérisée par une double série de symptôm
s affections de la moelle aujourd'hui mieux connues. Après tout, le cerveau n'est-il pas un simple renflement de la moelle, c
l'examen histologique démontrèrent qu'il n'y avait aucune lésion du cerveau ni de la moelle, en particulier des faisceaux p
il la suite d'une attaque apoplectiforme par syphilis artérielle du cerveau ; au début, il y a eu un gros foyer agissant su
le centre visuel occi- pilal au centre de la parole et au reste du cerveau frontal (il y a agraphie optique par alexie opt
une très grande cécité de la vue, ce qui prouve que la région du cerveau qui correspond à la macula (coin, l10 occipitale)
tique à deux consé- quences favorables : ' d'abord, elle stimule le cerveau et rétablit l'habitude du mouvement, ensuite el
pas la paralysie générale vraie ; elle donne naissance, du côté du cerveau , à des lésions spé- cifiques qui peuvent s'expr
cenlral, comme l'hérédité cérébrale. L'alcoolisme personnel mine le cerveau , atteignant la cellule sous forme de délire, de
t caractéristique pour la sclérose disséminée. Le foyer décrit du cerveau est considéré par l'auteur comme une forme interm
ventrale du bulbe. Séance du 25 avril 1897. M. Minor présente le cerveau , la base du crâne et la langue d'une malade ave
aire. attention à cela, que, malgré une destruction considérable du cerveau et la fai- blesse psychique, la sensibilité res
tion dynamogénique thérapeu- tique, telle que la suggestion ». Le cerveau est un lieu de passage où les sensations analysée
Figlio. Mau.u.m. Centres de projection et centres d'association du cerveau . Brochure in-8° de 8 pages. Liège, 1897. Imprim
NFANTILE EN YE ? \DÉE. 379 L'impressionnabilité plus grande dans un cerveau encore rudimentaire, que la raison ne dirige pa
s- 380 CLINIQUE NERVEUSE. sionnabilité, toute spéciale d'un jeune cerveau à peine formé le prédispose aux accidents hysté
ente étude; un pays où les idées superstitieuses dirigent tant de cerveaux , où règne le fanatisme religieux, où la croyance
jeune imagination est frappée par ces récits grotesques, son jeune cerveau travaille sur ces idées bizarres que l'on y sèm
rche ; mais si le corps est tranquille pendant ces narra- tions, le cerveau , lui, s'agite, il ne chôme pas, il travaille, et
2 CLINIQUE MENTALE. une lésion nerveuse (racines nerveuses, moelle, cerveau en avant des tubercules quadrijumeaux) (Brown-S
n prochain article. REVUE CRITIQUE. GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU ET DU CERVELET D'âpres E. Laawo. Par Jules
entes catégories d'éléments nerveux constituant les deux écorces du cerveau et du cervelet soutiennent entre eux des rappor
nts dont les directions opposées se croisent. Les écorces grises du cerveau antérieur ou pallium et du^cervelet ne sont, el
nt de différence relativement au mode GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU , ETC. 399 de terminaison ou d'origine de ces fa
distants appartenant à l'écorce. Ce qui vient d'être dit pour le cerveau convient aussi pour le cervelet. L'écorce céréb
es et les cellules de Purkinje. » 1 GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU , ETC. 401 excellence des excitations nerveuses.
e degré de puissance et de complexité GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU , ETC. 403 mentales. L'abondance et les dimensio
l en est encore ici pour l'écorce de cet organe comme pour celle du cerveau . Il reste à déterminer à quelle nécessité d'ada
n'a pu devenir un obstacle capable d'arrêter le développement du cerveau . Quand les sutures se soudent, c'est que « la pot
s adaptations fonctionnelles doivent encore influer sur la forme du cerveau . , Si, au cours de l'évolution phylogénique, la
lus d'évidence sur le cervelet, organe plus circonvolutionné que le cerveau . L'indigence relative de la substance blanche d
tion du fond des sillons corticaux, celles sur les commissures du cerveau et du cervelet, ont subi, du fait des nouvelles m
i établissent des connexions, mais de GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU , ETC. 405 nature à assurer l'unité fonctionnell
IONS DU CERVEAU, ETC. 405 nature à assurer l'unité fonctionnelle du cerveau , entré les parties les plus diverses du même or
âne suit celui 1 1 Cf. pour l'étude de l'épaisseur de l'écorce du cerveau humain/à l'état normal et pathologique, par Con
normal et pathologique, par Conti et par Cionini, les Fonctions du cerveau , par Jules Soury, 2° édit., 1892, p. 333-340. Chi
concourir à déterminer la direction des sillons. Outre l'action du cerveau , la forme du crâne subit en effet d'autres infl
u crâne. Cette action, il la voit toujours dans la morphologie du cerveau . C'est dans le nombre et la variété des connexion
ans le développement lent et continu de la phylogéniede la forme du cerveau , si l'on ne saurait exclure l'influence des var
nelle. Gowers admet, en effet, que l'excitation de certain point du cerveau peut entrainer une aphasie fonctionnelle. Sur
d'obsession. Kipper la considère comme paraissant née hors de notre cerveau . Séglas dit : « L'obsession n'est, en résumé, qu'
psychique, d'emblée en fonction par déséquilibre fonc- tionnel du cerveau . II. La forme psychique de l'idée fixe est l'
es obsessions soient des changements anatomiques patho- logiques du cerveau , mais il est plus probable qu'elles sont d'une
un récent et utile moyen : c'est la,rééducation de la moelle par le cerveau ou le développement, par faction céré- brale, d
urant l'année 1897 : La néoformation des cellules nerveuses dans le cerveau du singe, consécutive à 462 BIBLIOGRAPHIE. l'
, le trou porencéphalique, peut siéger en n'importe quel endroit du cerveau , ce qui détruit l'élément sur lequel Kahlden fo
imentale di freniatria, XXI); seule- ment il l'impute à l'écorce du cerveau . P. KERAVAL. XLII. OBSERVATION DE maladie DE hl
ur 13ERIIEIM., La suggestibilité est une propriété physiologique du cerveau humain : c'est la tendancedu cerveau à réaliser
une propriété physiologique du cerveau humain : c'est la tendancedu cerveau à réaliser toute idée acceptée par lui. Toute i
fonction d'où ils s'irradient à une grande partie de la surface du cerveau , et que c'est ainsi qu'il arrive que les centres
eigne que les muscles dépendant de la volonté sont subor- donnés au cerveau , tandis que ceux qui en sont indépendants cor-
émontrent que ce phénomène a été observé dans des cas de lésions du cerveau , comme suite de bles- sures par armes à feu; il
meur sanguine est toujours bonne, ce dit-on, dont la fumée monte au cerveau , qui les rend fantastiques, lunatiques, erradiq
toires cessent avant la circulation du sang, par Duckworth, 527. Cerveau . Symptomatologie des lé- sions intéressant la r
ons. Anomalies des - cérébrales, par Mickle, 146. Ge- nèse des du cerveau et du cervelet, d'après Lugaro, par Soury, 39
t, par Pa- trick, 45. ELECTRIQUE. Excitation - des ré- gions du cerveau chez le chien, par Werloer, 156. Emaciation.
53 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re' que les sujets impres- sionnés soient tous des névropathes, des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes ; la plupa
pu le suivre plus bas), en remontant à la commissure postérieure du cerveau . Soit par l'anatomie, soit par l'interprétation
rveuses pyramidales. Dans l'in- flammatiou de la substance grise du cerveau , ce sont les cellules fondes dont les noyaux se
des vertébrales (quotité vasculaire) par rapport à cent grammes de cerveau , de façon à obtenir une sorte de coefficient de
1L. VII. Contribution A l'étude DES lésions DE L\ zone motrice DU cerveau ; par 1V. Koe.nig. (Arc/i. f. Psych., VIII, 3.)
substance blanche. Observation Il. Epilep- sie corticale. Tumeur du cerveau . P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. La théo
er les enfants des écoles, au point de vue du développement de leur cerveau et de leur état intellectuel. Cet examen se déd
dans des écoles spéciales. Le D1' FLETCUER reacii reconnaît que le cerveau des imbéciles présente plus souvent des circonv
la névroglie dans l'écorce cérébrale. Préparations empruntées à un cerveau présentant les mêmes altérations par- tout. Atr
e des impulsions de l'appareil auriculaire à la couche corticale du cerveau . Dans le fait, la sensation auditive est quelqu
- duisant là un vide d'étendue considérable, dans la substance du cerveau . Cette opération fut suivie d'un trouble des pe
cité verbale et l'hémianopsie reconnais- sent le même siège dans le cerveau , les deux phéno- mènes cliniques devraient à pe
comme un phéno- mène réflexe dont le centre est dans la moelle ouïe cerveau et dont le point de départ est dans l'excitatio
roire que les sujets impressionnés soient tous des névropathes, des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes; la plupar
phie générale. ' I. ENCÉPHALE. Le développement morphologique du cerveau fournit une base solide aux études relatives au
ous re- levons les travaux suivants : Anomalies morphologiques du cerveau . Les anomalies des circonvolutions et des sciss
es linguaux. Il a été conduit à cette con- clusion par l'étude d'un cerveau présentant deux foyers de ramollissement, symét
s et l'intégrité du cer- veau. Corrélation entre les fonctions du cerveau antérieur et les excitations extérieures. -Le D
l'influence excitatrice, aussi bien que l'influence inhibitoire du cerveau antérieur, peut être remplacée par des excitati
ariable à la réceptivité des stations terminales de la moelle et du cerveau , l'excitabilité modifiable des expansions nerve
rimitifs.' *' Les hémisphères se formant bien après que le tronc du cerveau est terminé, c'est par degrés que le centre int
L'appareil intellectuel se relie donc à l'arc réflexe : ), dans le' cerveau : par le système des pyramides et le ruban dé Réi
baires. Le cervelet s'associe en somme aux opérations psychiques du cerveau . P. Kerwal. XIV. Contribution IL la pathologie
nde part dans la clas- ' sification proposée, n'est que le cri d'un cerveau en souffrance comme la dyspnée, est le symptôme
ez. M. Arndt. Rappelons les manifestations cérébrales du rhume de cerveau , surtout chez les personnes nerveuses. L'orateur
des images commémoratives lais- sées par ces mouvements au sein du cerveau . Le même excitant qui détermine une expression
88C. N, 51. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PHYSIOLOGIE LES FONCTIONS DU CERVEAU DO(;1'nINES de l'école italienne ; Par Jules
chapitre d'histoire des doctrines con- temporaines des fonctions du cerveau ', n'embrassera que l'étude des faits et des id
connaissance, il est certain qu'une bonne anatomie topographique du cerveau a été la première condition de la science nouve
e nouvelle. Sans cette anatomie, la cou- naissance des fonctions du cerveau , à l'état normal ou pathologique, serait encore
s précurseurs et de ses succes- seurs, on considérait la surface du cerveau comme ' Voy. Histoire des doctrines psychologiq
re des doctrines psychologiques contemporaines. Les Ibite- tions du cerveau . Doctrines de Fr. Goltz. Leçons professées à l'Ec
s propriétés, si bien qu'un éminent psychologue compare encore le cerveau à une sorte de polypier, dont les éléments ont
les ' Il. Taine. De l'Intelligence, I, 2îl (3e édit.) : « C'est (le cerveau ) un organe répétiteur et multiplicateur dans le
. C'est ainsi que dans les Leçons sur les fonctions mo- trices du cerveau , de François-Franck, revivent tant d'admirables
usgabe von D' \I.-0. Iruenl : el. - Leitzig, IJÜG. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 3 i 1 laboratoire etdes données de la clinique
orieusement édi- fiée, le livre des Localisations fonctionnelles du cerveau ne serait guère intelligible en toutes ses part
de Luciani et de Seppilli sur les localisations des fonctions du cerveau . Pour qu'un pareil travail soit utile, il doit
ici)i(t-io711. Rit,. di fi·r.u.. 1880, p. 126, sq. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 343 lier dans l'Ecole de Florence, comme nous
a méthode expérimentale et clinique des centres fonction- nels du cerveau , est une véritable logique inductive, contenant
est impossible de déterminer la fonction d'une partie quelconque du cerveau . Car si la méthode d'excitation expérimentale d
citation expérimentale de l'écorce, si les lésions irritatives du cerveau réalisées par les maladies peuvent fournir des
nature transitoire. Dans les cas de lésions étendues bilatérales du cerveau , il existe, il est vrai, des phénomènes de défi
mps et en quelque cas que ce soit, après une lésion déterminée du cerveau . » (Ve Mém., 1884.) Luciani n'est pas encore sa
udrait y voir le « minimum de troubles que les organes homonymes du cerveau demeurés intacts ont été hors d'état de supplée
ves désordres consécutifs à l'extirpation de régions déterminées du cerveau peuvent graduelle- ment s'atténuer jusqu'à la r
s a eu lieu, ou refu- ser toute fonction appréciable à la partie du cerveau qui a été extirpée ' ». ' Le localizzazioni f
somme, toutes les méthodes d'investigation directe des fonctions du cerveau , n'ont livré dans la plupart des cas, suivant L
dont nous avons parlé. Enumérons-les rapidement, LES FONCTIONS DU CERVEAU . 311-J presque dans les mêmes termes que les au
ère des effets négatifs des extirpations des différentes parties du cerveau . On a vu que les troubles consécutifs à la dest
vu que les troubles consécutifs à la destruction d'une région du cerveau ne doivent pas être tous attribués à la partie
tions restées intactes n'avaient rien à faire avec les par- ties du cerveau qui ont été détruites. Voilà le critérium des e
itère des effets positifs de destruction des par- ties homonymes du cerveau . Une théorie vraiment scientifique des localisa
implique né- cessairement cette loi : chaque région déterminée du cerveau d'un animal quelconque possède des fonctions id
rminant ces phénomènes divergents n'ont pas intéressé des points du cerveau absolument homonymes, ce qu'expliquent assez le
phénomènes de déficit consécutifs à l'ablation d'une même région du cerveau doivent être constants, tandis que les effets c
ère des effets positifs de destruction des par- lies hétéronomes du cerveau . Le principe des locali- sations cérébrales pos
entiques apparaissent après la destruction de parties identiques du cerveau . Le même principe exige donc que des phénomènes
nts se montrent après la destruction des parlies diffé- rentes du cerveau . IV. Critère des effets négatifs et positifs d'
ffet d'une suppléance fonctionnelle. Mais on pour- LES FONCTIONS DU CERVEAU . 39 rait aussi expliquer ce fait par la dispari
e la moindre destruction possible de l'écorce. Si cette partie du cerveau , extirpée sur les deux hémisphères, embrasse ré
ience, il est assez vraisemblable que le complexus des fonctions du cerveau chez les différentes espèces d'animaux n'est pa
btenu est vraisemblablement le maximum de ce qu'il LES FONCTIONS DU CERVEAU . 351 est possible de réaliser par la destructio
dans l'étude des lésions plus ou moins circonscrites ou diffuses du cerveau humain. Mais la théorie scientifique des locali
est la clarté qu'elles répandent sur la nature et les fonctions du cerveau humain en ouvrant les yeux du clinicien sur les
précises pour la détermination de la topo- graphie fonctionnelle du cerveau de l'homme'. » Il suffit de relire tout entière
la physiologie expérimentale et la physiologie patholo- gique du cerveau . Il est évident pour tout. le monde qu'entre le
des localisa- tions motrices Paris, 1883, p. 3. LES FONCTIONS DU CERVEAU . 353 « Tout le monde sait, disent ces auteurs,
ppilli juge applicables aux cas cliniques des lésions localisées du cerveau humain les règles posées par Luciani pour arriv
ce membre était demeurée intacte. Puis il reporte sur un schéma du cerveau toutes les lésions révélées dans ces cas par l'
r, grâce à l'intensité différente des teintes plus LES FONCTIONS DU CERVEAU . 355 ou moins foncées, les régions les plus fré
centres fonctionnels de la motilité volontaire occupent, dans le cerveau , des points différents, qu'ils se juxtaposent s
brusquement tranchées», et qu'il est possible que LES FONCTIONS DU CERVEAU . 357 «les centres voisins se confondent au nive
ralysie permanente des parties dont on veut déter- LES FONCTIONS DU CERVEAU . 359 miner les centres corticaux'. » Les condit
d'observa- tions de ce genre, on doit arriver à déterminer sur le cerveau de l'homme la topographie des centres mo- teurs
auraient moins de valeur que les expériences physiologiques sur le cerveau du singe. Les études cliniques ont toutefois un
s au physiologiste : il lui faut l'aide et l'appui LES FONCTIONS DU CERVEAU 361 1 du clinicien. Il est difficile de reconna
d'un côté et à l'absence complète d'autres symptômes (concernant le cerveau , par exemple) d'un autre côté, notre cas présen
sation de l'agent pathogène se fait à la moelle épinière ou bien au cerveau . En décrivant les différentes- formes spinales,
emière période de l'hyperémie, une grande quantité de cel- lules du cerveau et de la moelle se colorent mal par le carmin ;
membres inférieurs. Elles peuvent exister sans la moindre lésion du cerveau et de la moelle. On trouve plus souvent des alt
chez le professeur Mierjiewsky, à Saint-Pé- tersbourg, une série de cerveaux d'idiots. Dans un cas, parti- ticulièrement int
inique du professeur Mierjiewsky, nous a montré des préparations de cerveaux d'animaux morts d'inanition. Le premier, il a f
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Daniiewsky. Du rapport entre la fonction du cerveau antérieur et les excitations extérieures. -Le à
-Pétersbourg, 1883. Pauomareft'. Un cas de localisation anormale du cerveau (para- lysie siégeant du côté de la lésion, ave
la dégénérescence secondaire de la commissure blanche antérieure du cerveau . -Le Médecin, n° 38, 1886. De la constitution d
les divers éléments intéressant l'humanité. P. KERAVAL. XIII. Le cerveau et l'activité cérébrale au point de vue psycho-
s à un traumatisme (commotion spinale, t·o2ebles de la moelle et du cerveau après des accidents de chemin de fer), parle Dr
, par ltibot, 491; - der Verlaufdes psychosen, par Arndt, 496 ; - cerveau et activité céré- brale, par Herzen, 197 ; - tr
gressives des dans les inflam- mations ! , par Friedmann, 110. Cerveau (fonctions du), par Soury, 337. Chorée et ali
54 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
PREMIÈRE PARTIE Des troubles trophiques consécutifs aux maladies du cerveau et de la moelle épinière. PREMIÈRE LEÇON Trou
rs de l'apoplexie par hémorrbagie cérébrale ou par ramollis-sement du cerveau , permettait de porter un pronostic d'une certitud
érieures du corps ou dans les viscères n'est pas uniquement dévolu au cerveau et à la moelle épinière. Ces centres partagent ce
ement sur les troubles tro-phiques qui se rattachent à des lésions du cerveau et de la moelle épinière. 1. Steudener. — Beitr
ques variés, consécuti-vement aux lésions de la moelle épinière et du cerveau . Nous traiterons en premier lieu des affections
elle et du bulbe, car il est au moins fort douteux que les lésions du cerveau proprement dit aient jamais pour résultat, de pro
it protopathique ou au contraire consécutive à une lésion en foyer du cerveau ou de la moelle épinière : qu'elle occupe exclusi
re des commissures, des communications entre la moelle épinière et le cerveau , ou encore entre les divers points de l'axe gris
oubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite). Sommaire. — Affections cutanées dans l
chares à développement rapide (Decubitus acutus) dans les maladies du cerveau et de la moelle épinière. — Mode d'évolution de c
ral à la région sacrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière.— A. Formes aiguës ou su
constater, d'un autre côté, que le décubitus aigu lié aux maladies du cerveau ne diffère pas essentiellement de celui qui se dé
urer souvent dans la période ultime d'un grand nombre d'affections du cerveau , et surtout de la moelle épinière. Les eschares
e, bien à tort, comme constituant un des caractères de la gangrène du cerveau (2). M. Baillarger a le pre-mier, je crois, recon
l'ai constaté plusieurs fois, rester limitée aux lobes antérieurs du cerveau , dans les régions correspondant au fond de l'ulcè
t, nous passerons suc-cessivement en revue les diverses affections du cerveau et de la moelle qui peuvent donner lieu au décubi
e à l'hémorrhagie intra-encéphalique et au ramollisse-ment partiel du cerveau qu'on l'observe. Mais il peut se pro-duire encore
iés sont parfaitement indemnes. Au voisinage des parties ramollies du cerveau , la dure-mère est recouverte d'une néo-mem-brane
l'hémiplégie est consécutive à l'encéphalite ou au ramollissement du cerveau . — Deux observations, choi-sies parmi de nombreux
un peu rigides. A l'autopsie, on prouva un ramollissement partiel du cerveau . Les bassinets étaient remplis de petits calculs
et tuméfiés. Les membres paralysés étaient rigides. A l'autopsie, le cerveau parait ramolli et l'on trouve un caillot sanguin
t.—Sur quelques arthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière (Archiv. de jihysiologie
yélite, et celles qui se montrent en conséquence du ramollissement du cerveau , résultent, elles aussi, de l'envahissement de ce
oubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite et fin). — Affec-tions des viscères. — Par
z l'homme, dans les cas d'apoplexie symptomaùque du ramollissement du cerveau , mais surtout de l'hémorrhagie intra-encéphalique
areil cas, d'une influence exercée sur les poumons par les lésions du cerveau ou du bulbe. Mais il faut reconnaître que les fai
que, suivant Durand-Fardel, les sujets atteints de ramollissement du cerveau meu-rent presque toujours d'une affection pulmona
des apoplexies déterminées par le ramollissement ou l'hémorrhagie du cerveau . D'après les observations que j'ai recueillies à
ependant, avait remarqué que, dans deux cas d'indu-ration multiple du cerveau et de la moelle, le tremblement ne se manifestait
maladies autres que la paralysie agi-tante, dans certaines lésions du cerveau , par exemple. 11 est juste de reconnaître que, da
ue. - Aspect extérieur des plaques de sclérose. — Leur distribution : cerveau ; cervelet, protubérance, bulbe, moelle épinière.
ieurs, n'est-pas une affection exclusivement spinale. Elle envahit le cerveau , la protubérance, le cervelet, le bulbe.aussibien
ement. • Examinons en premier lieu Y encéphale. L'aspect général du cerveau proprement dit n'a subi aucune modification dans
ière, organe moins complexe et d'un abord plus facile que ne l'est le cerveau . Mais afin de li-miter le champ de nos études, no
agisse de la sclérose spinale descendante, consécutive aux lésions du cerveau , ou de celle qui, occupant primivement les cordon
étaillées de deux cas de sclérose en îlots multiples et disséminés du cerveau et de la moelle épinière. (Mémoires de la Société
cérébrales en foyer de date ancienne hémorrhagie et ramollissement du cerveau . — Pa-thogénie des attaques apoplectiformes : in
ermanente. Telles sonïYhémorrhagie cérébrale et le ramollissement dit cerveau , lorsqu'ils ont occupé les régions de l'encéphale
sclérose* fasciculées descendantes. Entre ces lésions partielles du cerveau et la paralysie géné-rale progressive, il semble
lées descendantes consécutives à l'hémorragie ou au ramollissement du cerveau . Nous savons, d'un autre côté, que, dans la sclér
es oc-cupent non seulementla moelle épinière (Voir Pl. V et VI) et le cerveau proprementdit(PI. 111, IVel VII), mais, en outre
dans l'apoplexie liée à Vhémorrh. cérébrale et au l'amollissement du cerveau . (Société de Biologie, t. IV, 1867, p. 92 et Œuvr
71. Autopsie. — Il existe de nombreuses plaques de sclérose dans le cerveau et la moelle. En raison des symptômes ataxiques o
et de ses annexes, presque générale à droite, disséminée à gauche. Le cerveau et le cervelet, dans leurs couches corticales, so
sion lente, de\améningite spinale chronique etde quelques maladies du cerveau et delà moelle épinière dont l'histoire a été jus
sions sensitives se transforment en sen-sations ne serait pas dans le cerveau proprement dit, puisqu'un animal auquel le cervea
serait pas dans le cerveau proprement dit, puisqu'un animal auquel le cerveau , y compris la couche optique et le corps strié, a
dans l'état où en est encore, à l'heure qu'il est, la physiologie du cerveau , si tel petit point, qui n'a pas de nom dans la n
de l'étage inférieur du pédoncule Fig. 18. — Coupe transversale du cerveau . — a, couche optique: — b, corps strié, noyau len
miplégie déterminée par la formation des foyers apoplectiques dans le cerveau (hémorragie et ramollissement), la sensibilité re
es circonvolutions inférieures de l'opercule et gagnait la surface du cerveau . Son extrémité postérieure correspondait à celle
tiques, s'étendaient d'avant en arrière suivant l'axe longitudinal du cerveau sans atteindre le plus souvent les extrémités del
contracture hysté-rique et celle qui dépend d'une lésion en foyer du cerveau . — Exemple de la forme pjn^ajD.hégicnie de la con
u encore dans Vàsclérose latérale con-sécutive à certaines lésions du cerveau , telles entre autres, que le ramollissement en fo
oujours à un certain degré dans l'hémi-plégie, par lésion en foyer du cerveau (1). 2° Notez ensuite l'existence d'une analgés
tardive dans l'hémiplégie due à l'hémorragie ou au ramollisse-ment du cerveau ; constamment, dans ce dernier cas, la con-tractu
hale, 1,360 gr. La pie-mère est très légèrement injectée à la base du cerveau ; cette injeetion est un peu plus accusée au nive
e sphénoïdal. Des deux côtés, la pie-mère se détache facilement et le cerveau est humide au môme degré. Hémisphère droit. Il
gauche. Elle se sont terminées, comme il le raconte, par un rhume de cerveau , occupant la narine gauche. Auparavant, ilya 12 o
ois,en pareille circonstance, qu'il s'agissait d'un ramollissement du cerveau , principalement lorsque la rigidité s'était montr
nombreuses coupes du cerve-let n'ont fait découvrir aucune lésion. Cerveau . — Les surfaces des ventricules latéraux sont par
anesthésie sensorielle et sensitive, relevant des lésions en foyer du cerveau qui siègent dans les parties postérieures de la c
le en général, 1. Leçons sur les Localisations dans les maladies du cerveau , p. 119. 2. Leçons sur les Localisations, etc.,
ent le carrefour sensitif, soit sur leur prolongement à la surface du cerveau , soit encore sur toutes les parties à la fois.
iteurs, PLANCHE III » SCLÉROSE EN PLAQUES (ENCÉPHALE) Fig. 1. — Cerveau tout entier vu par sa base. — a, Plaques de sclér
issée à l'air. Sorte de piqueté très accentué. Fig. 3. — Portion du cerveau vu par sa base. — a, Nerfs olfactifs paraissant s
is. P. Lackerbauer Chromo lith. PLANCHE IV sclérose en plaques ( cerveau ) . Fig. 1. — Coupe du cerveau faite horizontale
. PLANCHE IV sclérose en plaques (cerveau) . Fig. 1. — Coupe du cerveau faite horizontalement et laissant voir des îlots
sure que la coupe est laissée à Pair. Fig. 2. — Autre coupe du même cerveau , faite aussi horizontalement et. per-mettant devo
bles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite). Sommaire. — Affections cutanées dans l
ares à développement rapide (Décubitus acutus) dans les maladies du cerveau et de la moelle épinière. — Mode d'évolution de c
néral à la région sacrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière.— A. Formes aiguës ou su
bles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite et fin). —affections des viscères. parti
que. — Aspect extérieur des plaques de sclérose. — Leur distribution: cerveau , cervelet, protubérance, bulbe, moelle épinière.
érébrales en foyer de date ancienne (hémorrhagïe et ramollissement du cerveau ). — Pa-thogénie des attaques apoplectiformes : in
contracture hysté-rique et celle qui dépend d'une lésion en foyer du cerveau . — Exemple de la forme paraplégique de la contrac
-tique : dans la contracture hystéri-que, 365 ; d'un foyer sanguin du cerveau , note, 62; — d'une lésion hémilatérale de la moel
ose en plaques, 244, 245 ; — — dans la contracture hystérique, 365. Cerveau ^Notions anatomiques sur le), 312. Chloroforme,
. — Anato-mie macroscopique, 192. — Distri-bution des plaques dans le cerveau , 193 : — dans la moelle, 193 ; — sur les nerfs, 1
55 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
toxication d'origine grippale qui a porté d'abord son action sur le cerveau et ensuite sur les nerfs périphériques. G. D.
nent un tabes grave, avec affection syphilitique des vais- seaux du cerveau , parce qu'on n'avait pas effectué le traitement
ils'agit d'un état épileptique, enté sur une affection organique du cerveau antérieure. La prescription du mé- lange d'adon
aralexie et hallucinations de l'ouïe due à des kystes hydatiques du cerveau ;. par MM. Paul Sérieux et Roger MIGNOT. (Nouv.
ven- tousequientraîne une augmentation du volume des vaisseaux du cerveau , de ses méninges, et surtout de la substance gr
la substance grise du voisinage des ventricules et de la surface du cerveau . . ' A. Bogroff. Contributions au traitement de
s que l'exten- sion ou la suspension cesse d'agir; les vaisseaux du cerveau s'élargissent, la pression artérielle diminue e
obscure : il y a bien des .lésions rénales mais peu accentuées; au cerveau , les lésions sont' limitées aux cellules de l'é
, l'état ordinaire de l'immense majorité des filaments terminaux du cerveau . D'ici surgit une première difficulté à concevo
passé. Aucune autre anomalie. P. KERAVAL. XIV. De l'influence du cerveau sur la sécrétion du suc gastrique ; par A. W. G
est le nerf vague par lequel passe le réflexe qui va de l'écorce du cerveau aux glandes de l'estomac. Il suffit, pour s'en
été. Etant donné le niveau où l'on pratique la section, l'action du cerveau sur le coeur n'étant passupprimée, on ne peut p
eur. R. C. XVIII. Contribution à l'étude des kystes parasitaires du cerveau causés par le cystique du taenia échinococcus ;
agniostic positif et même différentiel des kystes parasi- taires du cerveau . IL C. ' XIX. Sur l'état atrophique de la moëll
s de cette description d'ensemble (voir les figures). L'écorce du cerveau présente un développement très analogue. Les no
Aperçu général sur les fonctions sensitivo-motrices de l'écorce du cerveau ; par A. W. GUEllWEll, (06oz·cnié psichiatrii,
on et de l'observation clinique mettent en évidence que l'écorce du cerveau est, de tous les départements de cet organe, ce
aphie; une immense quantité de chercheurs admettent que l'écorce du cerveau est le réceptacle de centres les plus divers. Si
aboratoire, les faits cli- niques nous ont persuadé que l'écorce du cerveau joue le rôle le plus important dans notre exist
r les questions demeurées obscures dans les fonctions corticales du cerveau . P. KERAVAL. XXVIII. De l'influence de l'aném
eure, se rendent aux cordons antérieurs et latéraux. pour monter au cerveau . Ces fibres ne sauraient encore être sûre- ment
roisées ascendantes qui unissent la substance grise de la moelle au cerveau moyen et au cerveau intermédiaire. Cela veut-il
qui unissent la substance grise de la moelle au cerveau moyen et au cerveau intermédiaire. Cela veut-il dire que les racine
s racines postérieures soient en connexion directe avec l'écorce du cerveau ? Les plus longs- prolongements des racines pos
s survivant aux vicissitudes du neurone, allant jusqu'à l'écorce du cerveau , et dirigeant les circuits sensitifs ? P. Kerav
umeaux. A l'autopsie (mort par pleurésie tuberculeuse) on trouva le cerveau parsemé de taches scléreuses de sclérose en pla
véritable hémisection de la moelle. Parmi les nombreuses plaques du cerveau l'une d'elles avait complètement sclérosé le ne
ous voyons des tabès plus bénins c'est qu'ils le sont. - Plaie du cerveau . M. DuvAL présente un homme qui subit une plaie
Plaie du cerveau. M. DuvAL présente un homme qui subit une plaie du cerveau par coup de feu dans la région temporale droite
ngue et de la luette, monoplégie et anesthésie du bras. La plaie du cerveau est très large, à l'opération on retire une abond
à la déglutition et à l'articulation dans la phonation laryngée. Cerveaux de lube ? ,cttle21x. ' M. AxoLADE constate sur
ngée. Cerveaux de lube ? ,cttle21x. ' M. AxoLADE constate sur les cerveaux de tuberculeux des granu- SOCIÉTÉS SAVANTES. 16
de l'autopsie d'un cas de chorée d'Huntigton : Macroscopiquement. - Cerveau , cervelet et moelle épinière sans asymétries, m
que dans les cordons postérieurs. L'auteur qualifie les lésions du cerveau et du cervelet d'encé- plaalite chronique lvémo
comme étant d'origine primitive, dues à la même cause que celles du cerveau . Il se range à l'avis de Golgi, Jolly, Wallenbe
au procédé consiste en ceci : On prend des morceaux de moelle où de cerveau (fixé dans n'im- porte quel liquide, les morcea
la moelle, 10 0 pour le bulbe et la Il. pour la protubérance et le cerveau . La façon de se comporter vis-à-vis des différent
ne fois de plus, .qu'au point de vue fonctionnel, il n'y a pas deux cerveaux semblables. La mémoire d'identification nous
à une fenêtre, dans sa cuisine. Depuis longtemps, Florent avait le cerveau très affaibli; parfois il partait de chez lui l
habiter quelque solitude absolue, de me perdre dans le néant. Mon cerveau suinte l'ennui. Il y a quelques années, ces éta
ivez avec la montre avec la main gauche. Sentez votre tête, votre cerveau : Ça me brûle sur la tète ? Crise de mouvements
uleur a disparu + Ma tête est plus libre ? Je sens de l'air dans le cerveau qui est dégagé + Mouvements de salutation de la
partagée en deux ; il y a un grand vide. Au sur et à mesure que le cerveau se débloque (terme employé par le malade), Loui
conscrit et tire au sortà Gardanne(févrierl896). 18. - Sentez votre cerveau : il y a toujours quelque chose de bloqué (pari
uelque chose de pro- fond qui est encore bloqué. 19. Sentez votre cerveau : crise de contracture ? Tiens, F... pousse ce
m'a frappé z J'ai un un effroi + Il y a des années de cela -f- Mon cerveau se réveille, puisque je me souviens de loin + C
me crie de loin -E- Il y a encore quelque chose de bloqué dans mon cerveau -j-- Grand soubresaut "+ Un ou deux petits soub
et me dit : Je n'ai plus rien et je suis bien. 23. -Sentez votre cerveau : Tout est libre, rien n'est bloqué + Mais si,
ordonne à Louis de sentir 212 1-) RECUEIL DE FAITS. davantage son cerveau : il fait jouer son frontal qu'il contracte pen
épond que non. Je lui ordonne alors de sentir de moins en moins son cerveau et je puis constater que l'anesthésie de la pea
e. Au bout de quelques minutes, je fais récupérer la sensibilité du cerveau : Louis me dit - qu'il sort d'un rêve pendant l
rande hyperesthésie du cuir chevelu Crise à la resensibilisation du cerveau . Réveil spontané. A partir de ce jour jusqu'au
eux ans. Lésions de la paralysie générale. Poids : 815 grammes. Les cerveaux des paralytiques généraux, pesés dans les mêmes
a fait moins de progrès que le reste parce qu'elle s'occupait du cerveau plus compliqué que tout. Hien de précis sur les r
ous de la chimie cellu- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 225 laire du cerveau ? Les conditions essentielles de la perfection st
soigner les agents psychiques. De même la nature fait progresser le cerveau de l'enfant au moyen des impressions périphériq
fférentes n'ayant rien decom- mun avec des affections organiques du cerveau , peuvent présenter à un plus ou moins grand deg
ou et du ligament occipital qu'avec celui des lobes occipi- taux du cerveau . L'auteur a soumis à cette mensuration 50 alién
nt à leur tour la vie organique et font naître des sentiments. Le cerveau peut donc être la cause des excitations émotionne
e sur les Relations de la syphilis sur les troubles orga- niques du cerveau et la folie. Cet article comprend deux chapitres.
graphie. 253 et dans 5 cas, il y avait des masses gommeuses dans le cerveau , la scissure de Sylvius était le siège le plus
suite progressivement. Recherches sur les lésions produites dans le cerveau , la moelle, les muscles et les autres organes,
se pour que la volonté parvienne à la chasser. L'obsession, dans un cerveau normal, résulte de la fatigue ou de la distract
cédents héréditaires. Père mort à quarante ans d'une « paralysie au cerveau », interné. Etait dans l'industrie, affaires diffi
tandis que l'exposé clinique indique une métastase circonscrite du cerveau au niveau des ascendantes gauches. Il s'agit
saillie du côté de la pie-mère sous forme de fins nodules rudes. Le cerveau ne présente rien de particulier sauf un aplatis
901. - Présidence de M. Jorruor. Kyste hydatique ostéo-fibl'CllX du cerveau . M. Vigoureux rapporte l'observation d'un indiv
déviation conjuguée de la tète et des yeux. M. Touc : 1E montre un cerveau atteint d'un genre de sclérose d'aspect rugueux
ANTES. - '. Atrophie cérébrale. M. Dorai : montre le moulage du cerveau d'une malade atteinte de diplégie cérébrale inf
énération pyramidale sans phénomène plantaire. M. Marie présente un cerveau dont la moitié a été détruite par une lésion sy
âce à la mélancolie. M. LOUN1Z Sur un caq de psammome volumineux du cerveau . Malade, âgée de cinquante-trois ans, sans anté
falciforme d'une part et l'enve- loppe qui recouvre la convexité du cerveau d'autre part. Elle pé- nètre dans le bord supér
rtie postérieure de la première frontale. Sur la face intérieure du cerveau la tumeur comprime la partie supérieure et antéri
f, Korniloff, Rossolimo et Roth. M. llocrcnanorr.. Cysticc1'qlle du cerveau . Il s'agit d'un malade, âgé de quarante-quatre
ras du côté gauche, chose assez rare dans les cas de cysticerque du cerveau . Discussion. M. Boiii attire l'attention sur la
tus paralytiques ne peuvent pas être mis sur le compte de gommes du cerveau , puisqu'on n'en trouve pas à l'au- topsie ; ils
nt le commencement d'une affec- tion parenchymateuse généralisée du cerveau ; 4° la combinaison des phénomènes de la syphili
sont contestables. L. I\I11\OR présente des préparations : 1° du cerveau avec hernie post-opératoi1'c; 23 de la moelle é
deaux 1901. Imprimerie Cadoret. Toulouse (Ed.) et Marchand (L.). Le Cerveau , in-18» de ici pages avec 51 figures. Prix : 2
s d'apo- plexie. On trouve, à l'autopsie, une atrophie typique du cerveau et principalement à gauche, et surtout des prem
ale, elle ne parait guère survenir que, lorsque d'autres parties du cerveau , du cerveau gauche surtout, sont alté- rées, en
parait guère survenir que, lorsque d'autres parties du cerveau, du cerveau gauche surtout, sont alté- rées, en outre du lo
s diminuent en raison directe de l'augmentation de l'influence du cerveau . P. KERAVAL.. LXXIV. Observation originale d'at
e pas exactement quelles sont celles des altérations de l'écorce du cerveau qui sont réparables, quelles sont celles qui ne
de cinquante-quatre ans. Elle a débuté par le segment inférieur du cerveau , mais a entraîné un ramollissement qui a étendu
re par une augmentation de l'activité circulatoire des membranes du cerveau (tonus vasomoteur). Les climats brumeux et à pr
, 2' séiie, t. XIII. 27 Ii 18 5 SOCIÉTÉS SAVANTES. Les lésions du cerveau et de ses enveloppes, qui peuvent man- quer dan
nées ont toujours eu lieu du côté paralysé. M. Toocus montre deux cerveaux tl'liéiî21al-opltie faciale. ' Double abcès con
ie, tumeurs du cervelet, abcès de la fosse cérébelleuse, tumeurs du cerveau ) M. Vieille s'efforce de rechercher l'influence
ent être dus à une véritable méningite. Celle-ci peut se limiter au cerveau , mais est susceptible aussi de s'étendre aux mé
ncé : méningite, encé- phalite et myélite ; souvent une atrophie du cerveau et des cellules des cornes antérieures. Il n'
nyme la- térale gauche, car elle interrompt les communications du cerveau , avec la portion temporale de la rétine droite et
latérale droite. En effet, elle interrompt les communications du cerveau avec le segment temporal de la rétine gauche et
ions occipitales et de la troisième temporale, à la face externe du cerveau . On peut donc la considérer comme l'artère de l
avec l'extension du processus morbide aux parties avoisinantes du cerveau , l'hémianopsie qui est sous la dépendance d'une
eint du même pro- cessus pathologique que celui dont est affecté le cerveau antérieur (périencéphaloméuinrite chronique dif
es des nerfs, qui constituent les prolonge- ments des enveloppes du cerveau . Il se développe d'abord à la surface et entrai
pour que la syphilis agisse, il faut une invalidité congénitale du cerveau : sur ce terrain seulement la syphilis agira s'
sieurs causes dites occasionnelles. Reste à définir l'invalidité du cerveau . Quand, ce qui est rare, la syphilis ou une aut
'est qu'elle détermine secon- dairement la constitution spéciale du cerveau qui fait mûrir la paralysie générale avec ou sa
que cause et indice de la prédisposition congé- nitale anormale du cerveau propre à la paralysie générale et à d'autres ma
moi inopi- . nément, je ressens réellement une espèce de douleur au cerveau . : Je suis incapable de résister au choc instanta
iculaires, par Man- nesco, 43. Centres NER eux. Voir Epilepsie. Cerveau . Influence du- sur la sé- crétion du suc gastri
Guttmann, 389. Kyste 11\ DAlIOl-E, Voir Surdité - parasitaires du cerveau causés par , le cysticerque du toenia echinocoe
fillette, 431. Surdité corticale due à des kystes hydatiques du cerveau , par Sé- rieux et Rogner Mignot, 73. ourlienn
56 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
haft, 1881. 3 Ch. Féré. - Note sur un cas d'anomalie asymétrique du cerveau . (Arch de 11'eur. 1883, p. 59.) Broc,,t. Le c
symétrique du cerveau. (Arch de 11'eur. 1883, p. 59.) Broc,,t. Le cerveau de l'assassin Prévost. (Bull. Soc. Q ? [</o-o
n Lemaire. (Bull. Soc. ant3zrop., 1867, p. 348.) Chudzinski. Sur le cerveau de Menescloll (Huit, Soc. anthrop., 1880, p. 57
déjà bien souvent insisté sur ce fait, qu'il n'existe point deux cerveaux humains qui se ressemblent, qu'il n'en existe p
7, p. 662. 22 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. qu'il n'y a point en un mot de cerveau qui corres- ponde à la norme. Il en est de même
torticolis pourrait donc être une cause de trouble fonctionnel du cerveau , et jouer un rôle dans la production de l'imbéc
la produc- tion du tétanos : il a trouvé chez neuf tétaniques le cerveau d'un poids plus élevé que la moyenne. C'est là
nom de- faisceau pyramidal; il met en relation la zone motrice du cerveau et les cellules des cornes anté- rieures de la
rmé. mort à treize jours, sans convulsions, d'un « épanchement au cerveau . » - Une fille de trois ans et demi, bien portant
s que le gauche, et est en arrière en retrait de 18 millimètres. Le cerveau est un peu mou, tremblotant, d'aspect gélatinif
840 gr. ; l'hémisphère droit pèse 10 gr. de moins que le gauche. Le cerveau est mou, luisant, gélatiniforme, d'une couleur
l résulte ce qui suit : Chez tous les animaux, dont il a examiné le cerveau , l'auteur a retrouvé les deux types à cinq et à
première de celles-ci, chez le porc, est plus épaisse que celle du cerveau des animaux placés plus haut dans l'échelle, et
tal, de la première et deuxième pariétales. La structure interne du cerveau est identique chez le porc et le mouton. Le sil
i et l'absence de prolongements, telles qu'on les rencontre dans le cerveau des idiots, se retrouvent dans l'écorce cérébra
jour, muette à l'égard des relations de la rétine avec l'écorce du cerveau . Quant à l'influence de la résection du bulbe,
lles communications sur les arrêts de développement produits sur LE CERVEAU du lapin par l'extirpation DE zones COR- TICALE
rches expérimentales sur les tremblements dépendants DE L'LCOUCE du cerveau ; par Pastehnatzky. (Jahi,b. f. Psych., 111, 3.)
ie jackso- nienne 2. M. B. BIBLIOGRAPHIE I. Sur la commotion du cerveau ; par C.-B. Tilanus. Thèse inaugurale d'Amsterda
is, 1883. Prix : 10 fr. Librairie Masson. Leven (11.). -Esloznac et cerveau . Etude physiologique, clinique et thérapeutique
e, elle occupe le pied de la circonvolution 1 Ferrier. Fonctions du cerveau , p. 230. De la localisation des maladies cérébr
l'étude des localisations motrices dans l'écorce des hémisphères du cerveau . Revue men- suelle de médecine et de chirurgie,
é- couvre dans la pyramide droite quelques rares corps granuleux. Cerveau . Hémisphère droit. Circonvolutions entière- men
ie glosso-labiée. Qu'on suppose une lésion de l'hémisphère droit du cerveau intéres- sant la capsule interne, qu'aura-t-on
ceux que nous avons décrits plus haut. Quelles sont les lésions du cerveau susceptibles de donner lieu au syndrome de la p
uables à des lésions vasculaires et non à des troubles spontanés du cerveau . Il en est cependant d'in- téressantes : Darnay
, tandis que deux autres cysticerques, logés en d'autres régions du cerveau , n'ont joué qu'un rôle très effacé, sinon tout
au-dessous des points occupés par les tumeurs. La décortication du cerveau sur la con- vexité des hémisphères a oflbrt que
, dont l'existence avait passé inaperçue pendant la vie, et dans le cerveau un semis de granulations tuberculeuses limitées
de 1826 à 1880; par J. SOCQUET. Thèse de Paris, 1883. Estomac et cerveau (étude physiologique clinique et thérapeutique),
fibres 1 Charcot. - Leçons sur la localisation dans les maladies du cerveau et delà moelle ép11 ! ière, p. 221. - 13rissa
à 40°,5 5 et la mort survient dans la nuit du 28 au 29. Autopsie. Cerveau gauche. Méninges un peu adhérentes. Rien d'appa
, albumine; pas de sucre. Mort le 29 janvier, au matin. Autopsie. Cerveau gauche. Sur la face externe du cerveau, au nive
janvier, au matin. Autopsie. Cerveau gauche. Sur la face externe du cerveau , au niveau des lobules pariétaux supérieur et i
environ. Rien à la circonvolution de Brocha, ni aux ganglions. Cerveau droit. Pas de lésions. Bulbe et protubérance. P
- ladie et l'absence totale d'un minutieux examen histologique du cerveau . 1 On peut se convaincre à quel point les paroi
une quan- tité notable de liquide séreux. Les artères de la base du cerveau sont scléreuses ; on sent un thrombus dans l'ar
on sent un thrombus dans l'artère sylvienne droite. La substance du cerveau est flasque et oedémateuse; les ventricules lat
exercer une influence marquée sur la circulation du sang dans le cerveau . Pour bien se rendre compte de cette influence il
observera dans les vaisseaux des enveloppes et dans la substance du cerveau , une stagnation du sang. Ce phénomène se tradui
es conditions se réalisent dans notre cas. Bien que l'autopsie du cerveau de M... nous ait prouvé qu'en outre de la tumeu
ndant des années, pûtrester sans aucune influence sur l'activité du cerveau . Me basant là- dessus, je crois que les maux de
é musculaire. P. K. XXI. Trois cas DE tumeurs tuberculeuses dans LE cerveau MOYEN ET postérieur ; par HEUBNER (de Leipzig).
ur intensité dépend du plus ou moins d'infiltration de la région du cerveau . P. K. XXV. Deux cas de la FORME DE paralysie c
XXXI. Contributions casuistiques A LA localisation DES fonctions du cerveau ; par INECHT. (Arch. f. Psych. u. Nervenk., XII, 2
ents du décubitus. Les lésions portent sur le lobe frontal droit du cerveau . L'aspect microscopique est celui d'une encé- p
doigts '). Nulle symptomatologie en ce qui concerne la moelle, le cerveau , la sensibilité spéciale ou générale (réactions é
re quelconque, para- lyse les départements moteurs ou sensoriels du cerveau , paralyse eu même temps les centres médullaires
es nuisibles à l'économie et portant leur action fréquemment sur le cerveau . Ce groupe comprend donc les folies toxiques pr
rapporte un fait analogue. Oppolzer a retrouvé le mercure dans les cerveaux . L'arsenic expose à des troubles intellectuels
nt si l'on songe que M. Armand Gautier a pu retirer de l'arsenic du cerveau , après des intoxications arsenicales prolongées
rofessions qui, ne portant pas d'emblée leurs coups funestes sur le cerveau , agissent en perturbant d'abord les autres appa
n ; ces appareils une fois troublés retentissent à leur tour sur le cerveau et les fonctions intellectuelles. Ici, l'action
capable à la condition d'un retentissement de cette maladie sur le cerveau de produire en définitive l'aliénation mentale.
s, il faut être bien pénétré de cette idée que la folie, maladie du cerveau , mal- gré ses allures différentes et caractéris
uralentie n'exercent que trop souvent une influence nuisible sur le cerveau , pour développer les différentes folies que nou
n. Ici se groupent les professions à retentissement indirect sur le cerveau par des maladies générales provenant de l'encom
professions inter- viennent pour agir de plus ou moins loin sur le cerveau ; ces con- sidérations viennent apporter leur co
erne la disparition des fibres nerveuses à myéline dans l'écorce du cerveau des déments paralytiques, traitée par la méthod
; la substance blanche présente les mêmes caractères ; en un mot le cerveau est atteint d'encéphalite interstitielle : cell
ent à M. Tuczek, les lésions indubitables des cellules nerveuses de cerveaux de paralytiques. Il l'engage, en attendant, à u
s, méthodiquement et abondam- ment dirigées sur toute la surface du cerveau , en des circonscrip- tions comparables, symétri
ité la même question. Depuis bien des années, il a examiné tous les cerveaux de paralysés généraux. Dans la paralysie généra
externe. On en voit au contraire très peu dans la même région du cerveau d'une manie puerpérale, douze heures après la mor
une nécropsie précoce (deux ueures après la mort) et l'immersion du cerveau pendant six à huit semaines dans la liqueur de
comparaison de régions identiques qu'il a eu recours, tant pour les cerveaux supposés malades, que pour les cerveaux supposé
a eu recours, tant pour les cerveaux supposés malades, que pour les cerveaux supposés normaux ou normaux réellement. Il est
37 1 générale, il faut dire paralysie progressive, et savoirque le cerveau du paralytique aura dans certains cas, son écor
e, est un complexus d'associations (rôle de la substance blanche du cerveau ); mais sa différenciation d'avec les autres imp
le caractère principal de l'affec- tion, en expliquant l'mertie du cerveau et en particulier des couches corlicales. L'obs
lique, puisque la dystrophie paraît localisée, mais, en réalité, le cerveau échappe à toute méthode de traitement direct im
t de suivre le trajet des vaisseaux sanguins. M. Sakaki (du Japon). Cerveau d'un aliéné atteint de folie systé- matique chr
omplet des maladies du système nerveux comprenant les affections du cerveau , de la moelle, des nerfs périphériques, les név
irconvolutions cérébrales et sur la période d'excitation Intente du cerveau . In-8° de 139 pages. Prix : 2 fr. - Paris, 188t.
ssion dans le développement de 1'), par Charpentier, 343. Aliéné ( cerveau d'un - attemt de folie systématique), 380. Al
lbe sur le développement des hémis- pbéres), par Furstner, 124. Cerveau (nouvelles communications sur les arrêts de dév
(recherches expéri- mentales sur les - dépendants de l'écorce du cerveau ), par Pas- ternatzky, Il-)6. Tumeurs tuberbul
du cerveau), par Pas- ternatzky, Il-)6. Tumeurs tuberbuleuses du cerveau , par Heubner, 329. Urinaires (des troubles da
57 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
, ou bien de tuer une personne aimée — s'introduit et se loge dans le cerveau , avec tant d'obstination, que. le malade se sent
du reste, une chose qui se produit souvent chez des per- sonnes au cerveau parfaitement sain et qu'on observe beaucoup dans
maitre de conférences à l'École des hautes éludes. — Les Fonctions du cerveau ; doctrines de l'École de Strasbourg; doctrines de
e des paralysies qui dépendaient de modifications matérielles dans le cerveau et qui existaient depuis très longtemps, puissent
ulaire, mais aussi des exercices de notre système nerveux central, du cerveau et de la moelle épinière. Les mouvements plus ou
les muscles qui le composent s'atrophient, mais aussi les parties du cerveau dans lesquelles se trouvent les cellules médullai
e manquait que le médius et l'index. En comparant les deux parties du cerveau , il trouva une différence frappante: dans la régi
dans la période dont l'oubli général est imposé par l'ébranlement du cerveau . Victora Egger. bulletin bibliographique Les
ce qu'il pense, ou qu'il existe une action particulière magnétique du cerveau d'un homme sur le cerveau d'un autre, ou enfin qu
xiste une action particulière magnétique du cerveau d'un homme sur le cerveau d'un autre, ou enfin que la pensée qui apparaît d
dénotent un état normal, pathologique, monstrueux, un détraquement du cerveau qui laisse des suites fâcheuses, une véritable al
traire aux illusions et hallucinations spontanément écloses dans leur cerveau . Ils ne savent pas que, dans leur sommeil, on peu
s et hallucinations passagères qui affectent physiolo-giquement notre cerveau pendant plus du quart de notre existence, altèren
ini la suggestion : l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée. Ce n'est, en vérité, que cela. On a
je dis à quelqu'un : • Donnez-moi la main » ; j'ai introduit dans son cerveau l'idée de me donner la main ; j'ai fait une sugge
fus se traduit par un mouvement de recul. Alors j'ai éveillé dans son cerveau une idée contraire à celle que je voulais y mettr
se traduit par un acte : mouvement de recul de la main. Car c'est le cerveau du sujet, c'est son terrain psychique fécondé par
mple, une sensation douloureuse à la région thoracique, perçue par le cerveau , fait naître l'idée d'une affection du cœur, crée
e idée consécutive à une impression perçue, idée qui, élaborée par un cerveau spécial, développe une association d'idées, lesqu
dont elle jouit à l'étranger. L'allusion à Carnot fait naître dans le cerveau du sujet l'idée que la correction, l'honnêteté, l
de M. Carnot et peut lui être utile. Hors cette idée élaborée par le cerveau l'incite à faire une démarche auprès de cet ami.
u'un mot quelconque, même prononcé sans motifs, ne crée pas dans le cerveau qui le recueille un acte quelconque, c'esl-à-dire
plus ou moins ébauchées. Ce sont des suggestions sensorielles que le cerveau réalise plus ou moins. Car autre chose est la sug
ar ce que je dis, il croira un moment (la suggestion a lieu}; mais le cerveau ne pourra pas réaliser l'image de la paralysie su
e même si je dis : « Voici un chien. » Le sujet croit un instant ; le cerveau cherche à ébaucher l'image suggérée, nrais n'y ar
tit. Que l'acte suggéré soit plus ou moins facile à réaliser par le cerveau , l'essence du phénomène est toujours la même. Cha
ile à réaliser. D'autres phénomènes, au contraire, accomplis par le cerveau , sont soustraits à notre volonté, à l'initiative
ont autant de phénomènes automatiques suggérés par une idée et que le cerveau réalise, sans que la volonté intervienne. Mais
e fais que chercher à évoquer une image, souvenir inscrite dans notre cerveau ; et nous savons que dans le sommeil, dans la pér
gique dont la réalisation est compatible avec les propriétés de notre cerveau . Seulement, comme je l'ai expliqué ailleurs, chez
nsformation idéo-dynautique, est limitée par la clarté raisonnante du cerveau . Pour que l'automatisme cérébral puisse pleinem
tomatique, il faut que la suggestibilité soit exallée, il faut que le cerveau soit mis dans un état particulier qu'on appelle é
l'idée ; celle-ci doit être imposée avec force; 28 la réalisation; le cerveau doit réaliser la transforma lion de l'idée en act
sations, des émotions, des rêves hallucinatoires. Dans le sommeil, le cerveau est donc dans un état de suggostibilité exaltée q
sujet sur l'autre, que ces influences se transmettent par l'air d'un cerveau à un autre, et plus facilement quand les sujets s
met la possibilité de l'induction des représentations à distance d'un cerveau  un autre, est obligé, par cela même, d'admettre
u système nerveux central. Des expériences analogues faites avec le cerveau ou la moelle épinière mis à nu prouvent que l'exc
rouvent que l'excitation de ces organes ne se transmet pas du tout au cerveau d'un autre animal, même dans le cas où les deux c
as du tout au cerveau d'un autre animal, même dans le cas où les deux cerveaux se touchent immédiatement. Ici régnent aussi les
es autres filets voisins, et d'un centre à tous les autres centres du cerveau , ou, en d'autres termes, s'induise dans tous les
née des centres d'autres sensations, ainsi que des centres moteurs du cerveau , et les sensations visuelles devraient s'accompag
tre question d'induction ou de rayonnement de la force psychique d'un cerveau à un autre cerveau, ou d'un nerf à un autre nerf;
ction ou de rayonnement de la force psychique d'un cerveau à un autre cerveau , ou d'un nerf à un autre nerf; et, par conséquent
résentations correspon- dantes, se reproduisant dans les centres du cerveau , s'accompagnent d'une transmission excentrique de
ements très conformes au but et effectués par les centres réflexes du cerveau et de la moelle épinière surtout. Ces centres réf
mpris mes idées. Je résume en disant : que toute idée acceptée par le cerveau constitue une suggestion; que ces idées se transf
est-à-dire l'aptitude à être influencé par une idée acceptée par le cerveau , et à la réaliser ». Je ne vois pas comment celle
ité serait « 1 aptitude à être influencé par une idée acceptée par le cerveau et à la réaliser. > Mais à ce compte, tout hom
s. Toute leur éducation antérieure, tonte leur vie ont créé dans leur cerveau une force de résistance qui rendra vaines les sug
urrait auioriser « des manatuvres dont le résultat est d'annihiler le cerveau , de creer des nevro- palhes, des fous et des cr
sais quels rayonnements psychiques, quelle induction des pensées d'un cerveau dans l'autre, et toutes sortes d'hypothèses sembl
on ; c'est la confiance donnée à l'enfant, c'est l'idée mise dans son cerveau qu'il ne succomberait plus à l'impulsion; ce n'es
e, comme portant atteinte aux facultés intellectuelles, enchaînant le cerveau , diminuant le libre arbitre, et la volonté affaib
itions psychiques qui neutralisaient cette volonté. J'ai affranchi le cerveau ; je l'ai rendu plus fort et plus libre. « La su
e trouvent encore dans d'autres endroits. Fait plus curieux : dans le cerveau , il existe également de ces taches noires. La mèr
tion, pages 1-12, et Ribot, L'hérédité, 1re éd., p.315 (2) Luys, le Cerveau et ses fonctions. (3) Luys, toc. cit. (4) Perez,
ccidentelle reçue pendant la vie fœtale influence le développement du cerveau et des organes individuels; c'est pourquoi une im
lle on peut, par simple affirmation à l'état de veille, créer dans le cerveau de certains sujets les images de scènes et d'évén
t s'interpréter ainsi : l'image d'une scène ayant été déposée dans le cerveau du sujet par suggestion, il ne peut lui-même se r
t-elle plus spécialement dévolue aux classes raffinées, qui vivent du cerveau , qui le surmènent, que l'ambition effrénée, la so
urcissent le diagnostic; et la plupart de ces malades ne sont pas des cerveaux raffinés, des surmenés; ce sont des ouvriers, des
s cerveaux raffinés, des surmenés; ce sont des ouvriers, des paysans, cerveaux simples; ce ne sont pas toujours des misérables q
avait disparu. Le malade, couché dans son lit et fermant les yeux, le cerveau étranger à toute impression sensorielle, ne subis
. Le malade, debout et marchant, recevant d'autre- impressions, son cerveau distrait par d'autres dynamismes, réagissait inco
ée de telle manière qu'elle conserve toujours sa vertu suggestive. Le cerveau n'est pas un organe passif dans lequel on imprime
j'avais laissé cette idée et cette sensation prendre racine dans son cerveau , si je l'avais laissé continuer à se suggérer que
ntes. Lorsque la conscience est absente et que le côté antimatique du cerveau est prépondérant, il n'y a pas de contrôle possib
état d'hystérisme, le centre cortical de la vision qui réside dans le cerveau , acquiert une telle énergie qu'il se substitue à
i elles étaient réelles; ainsi il faut admettre qu'elles procèdent du cerveau à la périphérie ot en sens contraire, de la même
sion soit substitué a l'organe de la vision même, c'est-à-dire que le cerveau puisse voir, au lieu de l'œil. Quand on a la tr
orce cérébrale. La grande difficulté est de pouvoir admettre que le cerveau soit l'organe de la pensée, et que la pensée soit
eare : Peux-tn, dans ton ministère, sur une amc malade. Arracher du cerveau le chagrin profondément enraciné? Je ne prétend
our exercer sa verve suggestive, enfin à rétablir l'équilibre dans ce cerveau en voie de perdition. D'abord, par d'adroites e
appel à ma pratique pour hypnotiser une hystérique el chasser de son cerveau l'idée de suicide qui l'obsédait. Comme antérie
e hypnotique, cette fascination irrésistible qu'exercent sur certains cerveaux faibles les somptueux étalages des grands magasin
qu'on a pu le démontrer, l'enregistrement des choses se fait dans son cerveau et U est possible de le raviver. On a remarqué, e
nce magistrale sur les phénomènes psychiques et sur la température du cerveau . Il a montré de nombreux tracés qui prouvent que
rature du cerveau. Il a montré de nombreux tracés qui prouvent que le cerveau est un des organes où l'on rencontre la productio
apidement les différentes vues d'ensemble et les coupes classiques du cerveau . Le prix très modique de cet Album permettra de l
droit. C'est loi qui a montré que le surcroît de fonction, dévolu aa cerveau gauche, n'allait pas sans un surcroît d'irrigatio
ant à l'hérédité, à l'atavisme, aux penchants irrésistibles que notre cerveau a hérités du protoplasme du germe résulté de la c
appelle l'acquis, c'est-à-dire avec les influences du milieu sur son cerveau . Le travail de la vie est l'adaptation des puissa
aux forces les plus importantes de ce milieu, c'est-à-dire aux autres cerveaux humains. Or, qu'est la suggestion, sinon l'effe
la suggestion, sinon l'effet réalisé d'une influence du milieu sur le cerveau , effet qui se distingue de celui des influences c
ggestion, de M. Bernheim, n'est que l'effet suggestif produit dans le cerveau môme par l'action d'un mécanisme cérébral sur l'a
que la prostitution est nécessaire à chacun, par faire naître dans le cerveau des tenancières de bordels l'idée qu'elles font u
dant l'étourdissement mental causé par l'accident, lorsqu'arrivenl au cerveau troublé les impressions périphériques, qui donnen
moins mystérieuse, du froid, la greffe suggestive s'organise dans le cerveau et la paralysie psychique s'établit. COMMENT OS
58 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atténuée ; il a des idées de négation : « il dit qu'il n'a plus de cerveau , on le lui a enlevé et on a omis de le lui rend
aient seuls méconnaître l'importance philosophique de l'anatomie du cerveau . Connaître le cerveau, le connaître toujours mi
e l'importance philosophique de l'anatomie du cerveau. Connaître le cerveau , le connaître toujours mieux, depuis ses origin
aussi bien d'ail- leurs que' la moelle épinière, le cervelet et le cerveau moyen, ne présentent, dans la série, que des di
rce cérébrale. « Je ne connais, dit Edinger, aucune autre partie du cerveau qui, si l'on remonte toute la série, présente d
ens, le manteau « frontal ». c'est-à-dire la partie antérieure du cerveau , est toutefois seule de nature nerveuse ; suivant
ld, 1900. 30 REVUE CRITIQUE. à est de nature nerveuse. Quant au cerveau des vertébrés supérieurs, il se distingue de ce
tance nerveuse cérébrale; seule, la région la plus posté- rieure du cerveau antérieur conserve, comme toile choroïde, son a
es sur l'anatomie com- parée des différentes régions du névraxe, du cerveau en par- ticulier, dans la série animale, formen
nique et l'anatomie normale et pathologique, ont bien établi que le cerveau antérieur est, du moins chez les mammifères, l'
ions de la moelle épinière : la partie de la moelle indépendante du cerveau détruit a pu persister, si bien que ces larves
icroscopiques, se rapportant à la pathologie et à la physiologie du cerveau . Chaque chercheur suivrait sa voie, mais s'atta
utre chose qu'un hôpital spécial pour le traitement des maladies du cerveau . H. de Musgrave-Clay. VII. L'évolution de l'arc
as l'origine spécifique de cette affection, puisque les gommes du cerveau elles-mêmes sont si rares chez eux. Une statistiq
t apparaissent les lésions cadavériques dans l'écorce cérébrale des cerveaux recueillis deux ou trois jours après la mort et
rature constante de 16 degrés sans aucune précaution d'assepsie, le cerveau étant seulement enveloppé d'une compresse humec
produites. Elles étaient, du reste, généra- lement légères, et des cerveaux de cinq jours ont pu être étudiés sans aucune d
s préparations de cellules pyramidales absolument normales dans des cerveaux de trois et quatre jours et à peu près normales
s cerveaux de trois et quatre jours et à peu près normales dans des cerveaux de cinq jours. Il faut attendre six, sept et hu
. Il est bien évident que ces résultats ne s'entendent que pour les cerveaux placés dans les conditions indiquées par les au
r un trouble de la fonction des appareils nerveux correspondants du cerveau . C'est un ensemble de phénomènes analogue au bé
M. Weidenhammer croit qu'il aurait fallu faire l'examen complet du cerveau et chercher d'autres foyers qui dans des cas pare
antérieures, héréditaires, congénitales ou acquises, faisant de son cerveau le point faible, il ne s'ensuit pas nécessairem
ieux fera d'abord son emprise cérébral. Rien ne peut établir que le cerveau doive toujours être touché en dernier lieu aprè
es. On sait très peu de chose encore des fonc- tions des parties du cerveau situées entre la moelle allongée et l'écorce cé
écorce du télencéphale, il suit que le mésen- céphale et les divers cerveaux postérieurs de l'encéphale suffisent à la réali
s le manteau des hémis- phères du télencéphale, dans les parties du cerveau anté- rieur qui ne sont pas encore développées
eptiles un fort déve- loppement, se superpose aux autres parties du cerveau , lors- qu'il s'augmente progressivement de part
d'association » que décèle déjà la plus ancienne écorce : celles du cerveau des mammifères eux-mêmes n'en diffèrent que par
énétrer dans la vie de l'âme humaine par l'étude de la structure du cerveau , avaient visé trop haut; ils devaient échouer.
travaux d'Edinger et de ses émules ont si fort avancé l'anatomie du cerveau des vertébrés inférieurs, qu'en beau- coup de p
rés inférieurs, qu'en beau- coup de points, atteste ce maître, « le cerveau d'un lézard, par exemple, lui est mieux connu q
elui de l'homme. » Et c'est de la connaissance de ces structures du cerveau des poissons, des amphibiens, des reptiles, des
nce des questions que la psychologie humaine pose à l'anatomiste du cerveau , la méthode la plus sûre est l'étude de la psyc
mptômes cérébraux graves. 11 y a donc quelque chose qui comprime le cerveau , et l'on a toutes les raisons possibles de supp
i se passe dans l'esprit d'un enfant, ce serait de pénétrer dans le cerveau de l'enfant, sans être l'enfant, ce qui est imp
ude de petits tubercules miliaires qui remontait jusqu'à la base du cerveau . L'examen histologique de la moelle à démontré
professeur rappelle que. dans la partie postérieure de l'écorce du cerveau des singes, il a trouvé : immédiatement en avant
ion de l'accommo- dation des globes occulaires. Si l'on faradise le cerveau , on cons- tate que les centres de l'accommodati
s psychoses dégénératives, ou des-lésions anatomiques grossières du cerveau susceptibles de s'y ajouter. Ce phénomène pat
marché de pair avec des altérations d'autres parties de l'écorce du cerveau . Toutes elles dépendent de causes générales parti
n surcroit d'intoxication qui a encore abaissé le fonctionnement du cerveau affaibli, en même temps qu'il exaltait dans une
as, et il se peut également que la migraine modifie la structure du cerveau et le prépare au mal épileptique. Dans beaucoup
Il est certain que l'asté- réognose peut être due à des lésions du cerveau , de la moelle ou des nerfs périphériques. L'ast
4 juillet 1901. -PRÉSIDENCE DE M. LE professeur RA YMOND. Abcès du cerveau . MM. HEITZ et BENDER présentent l'hémisphère dr
rt, elle offre un exemple instructif de l'associa- tion sur le même cerveau de lésions multiples de désintégration lacunair
et du pleurer spasmodique. Elle montre différents états existant du cerveau , et leurs conséquences cliniques en rapport ave
comprimé la F I, la F la F2, la partie moyenne de la 1 et la F , du cerveau gauche. Ils existent sur l'engagement du cervel
, c'est-à-dire à un empoisonnement de l'organisme et par suite du cerveau , et aussi chez les épileptiques en état de crises
ifier l' « influx égal des impulsions motrices » qui se transmet du cerveau à la meelle. Aux constatations et conclusions d
Dana : il y a obs- \ tacle au passage de l'influx nerveux allant du cerveau à la moelle, mais Sander ne place pas cet obsta
qu'avaient entrevue quelques précurseurs de génie, la pathologie du cerveau . Proclamons comme une des grandes conquêtes réa
ir pratiquer des coupes fines, il a fait plus pour la pathologie du cerveau et de la moelle que n'eussent pu faire le génie
attachés a mettre en relief les symptômes d'une lésion nouvelle du cerveau , sur laquelle pendant cinquante ans les histolo
diverses. Pour Calmeil, Foville, c'était une inflammation aiguë du cerveau : pour Thulié, de l'ané- mie cérébrale; pour Lu
a circulation cérébrale amenant l'oedème et la congestion active du cerveau . Se basant sur cette manière de voir, Schiile 2
du délire aigu suivant qu'il y a oedème, con- gestion ou anémie du cerveau . Tous les observateurs après Calmeil ont retrou
les autres, il n'est que le syndrome d'une maladie inflammatoire du cerveau , pour d'autres enfin, c'est un épiphénomène ou
s. Dans différentes infections, il a recherché les microbes dans le cerveau , et sur près de 200 observations, il n'a jamais
uesne, près Blangy-le-Chàteau. L'abus de l'alcool avait détraqué le cerveau du malheureux. (Le Bonhomme normand du 29 mars
a clef de voûte de ces tractus. P. IZEnAVAL. XXIX. Echinocoque du cerveau ; par 1\1.-1\1. Resnikow. (Obozrénié psichiatrii
ume d'un oeuf de poule ; dans la même cavité, creusée aux dépens du cerveau , un second kyste gros comme une noix. La cavité
XIII. Valeur des symptômes optiques et auditifs dans les tumeurs du cerveau ; par William H. WILDER. (Journal of nervous and
ivent être en réalité de l'aphonie hystérique. P. XXXV. Syphilis du cerveau ; par J.-T. Esmtdge. (The New York Médical Journ
izième année. Quant à la syphilis acquise, elle parait atteindre le cerveau dans environ 1 ou 1,5 p. 100 des cas (la démenc
s que toutes les causes qui modifient le fonc- tionnement normal du cerveau contribuent à faire éclater des lésions cérébra
brales jusque-là latentes. Les effets directs de la syphilis sur le cerveau , les lésions spéci- fiques, amendables par le t
nt les altérations de dégénérescence d'origine toxé- mique. Dans le cerveau le type de la lésion spécifique est la gomme :
la forme fibreuse. Ces tumeurs siègent de préférence à la base du cerveau et principalement dans l'espace inter-pédonculair
lésions. Il étudie ensuite l'état des vaisseaux dans la syphilis du cerveau : toute cette partie de son travail consiste su
calisation précise et exclusive, à savoir les couches corticales du cerveau : l'amblyopie ou amaurose hystérique contribue
Etat mental parfait. On porte le diagnostic de tumeur de la base du cerveau , siégeant à gauche dans la protubérance ou sou
r les voies courtes ; leurs centres médullaires sont inhibes par le cerveau et le cervelet ; les réflexes cutanés parco : : -
ÉTÉS SAVANTES. sont bacillaires et soumis à l'action inhibitrice du cerveau et du cervelet ; ceux des réflexes cutanés sont
xes tendi- neux sont basilaires et soumis à l'action inhibitrice du cerveau et du cervelet ; ceux des réflexes cutanés sont
ÉS SAVANTES. 327' > la localisation de tous les réflexes dans le cerveau . Rien ne prouve que la disparition des réflexes
là une affection primitive des cellules ner- veuses de l'écorce du cerveau , limitée presque entièrement aux aires motrices
17 ans) probablement atteint d'affec- tion organique congénitale du cerveau , avec symptômes cliniques consistant en un abai
ent pendant plusieurs années coexister avec une lésion organique du cerveau . Elle nous donne aussi quelques indications sur
ion pupillaire normale chez un sujet atteint de lésion organique du cerveau . Enfin il y a lieu de tenir compte d'un symptôm
s nous révèlent toujours la disposition congénitale- ment faible du cerveau de l'individu chez lequel elles se montrent. (Mon
vant lui la dégénérescence dans 70 p. 100 des cas. Mais dire que le cerveau est congénitalement faible n'explique pas la pr
CHOLY. (Polie/in., mai 1901). Court aperçu général. LUI. Abcès du cerveau à pneumocoques ; par BOJ,4FT. (Revue de Médecin
ues ; par BOJ,4FT. (Revue de Médecine, 1901.) Deux cas d'abcès du cerveau avec pneumocoques l'un consécutif à une broncho
nco- mitants de lésions d'hémorrhagie ou de ramollissement sur 50 cerveaux porteurs de lacunes, 23 présentaient soit un ramo
n'a trouvé une seule espèce de lésion uniformément répandue dans le cerveau entier. Alzheimer a été sous ce rapport plus he
e et dans la substance grise et paraissent aussi nombreuses dans le cerveau que celles de la névroglie. Nous ne connaissons p
ut autre rôle qu'un rôle de sou- tien dans la structure générale du cerveau . Dans certaines condi- tions pathologiques, ell
rencontrent dans quel- ques-unes des dégénérescences chroniques du cerveau . R. DE MUSGRAVE-GLAY. LXII. Angiome de la. ci
ne sont pas communs, et l'auteur n'en connaît que sept cas dans le cerveau .,Les remarques de l'auteur sur ce fait rare se
ressant de remarquer que dans plusieurs des cas connus d'angiome du cerveau , on note dans les antécédents une lésion de la
toute inflam- mation, bien que distendus, comme les ventricules du cerveau , par un liquide clair jaunâtre. L'exsudat conte
nt, états qui sont communément asso- ciés à l'atrophie chronique du cerveau et à l'excès de liquide dans l'espace sous-arac
) . De l'examen attentif d'un certain nombre de cas de lésions du cerveau et de la moelle, M. Van Gehuchten croit pouvoir c
a lécithine exerce-t-elle aussi une action pharmacodynamique sur le cerveau . Quant à ses produits de décomposition, choline e
suspension.il se produit, des modifications dans la' circulation du cerveau . L'auteur a constaté que la suspension produit
ar Cestan et Lejeune, 158. Chirurgie- moderne, par Brewer, 532. Cerveau . Abcès du -, par ll(,itz et Bender, 153. Echino
2. Syphilis du système nerveux en Algérie, par Scherh. 58. - Du cerveau , par Eslmdge, 303. In- fluence de la héréditair
59 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mpute un cours cyclique. « La catatonie, dit-il, est une maladie de cerveau à cours cyclique, où les symptômes psy- chiques
NTALE. l'affaiblissement très marqué de la capacité productive du cerveau . Ayant un grand trouble de conscience et d'atten-
esseur Fehige, à Jourieff (Derpt), démontra une atrophie de tout le cerveau . Il est à regretter que l'examen microsco- piqu
que ces phénomènes sont connus de nous dans les maladies locales du cerveau . La contracture, la dis-. cénésie, en général l
table, un certain degré d'inhibition de l'activité psychomotrice du cerveau est indispensable. L'affaiblissement du sens mu
as d'épilepsie avec gliôme consécutif à une lésion trauma- tique du cerveau ; par A.-R. URQUHAUT et W. Ford HOBIIT50N. (TM J
uteur tire les conclu- sions suivantes : ' 1. Les préparations de cerveau emprunté aux animaux à l'état de veille montren
r ces dernières der boursouf- Hures creuses. 3. Les préparations de cerveau emprunté aux ani- maux morts révèlent, même peu
inférieures du tubercule et s'épaissit à mesure que l'on va vers le cerveau . 3. La carra cinerea de Tartuferi. Correspond é
tubercule quadrijumeau antérieur. P. KERAVAL. VII. L'anatomie du cerveau , la psychologie et la théorie philoso- phique d
avec cachexie amyloïde dans la folie sénile, 1 ramollissement du cerveau disséminé par thrombose avec marasme, 2 démences
ou troisième jour. IV. La région olfactive de la face inférieure du cerveau (renflement REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
pe), subit un contre-coup des diverses opérations pratiquées sur le cerveau , no- tamment quand on agit sur les parties de l
goût. " P. KEIIA. VAL. X. Des modifications subies par l'écorce du cerveau pendant z le sommeil, par W.-\l. 1V.1RBOUTTE (O
t, par cette ouverture, au moyen d'un rasoir acéré, une parcelle du cerveau , que l'on fixe par la méthode rapide de Golgi.
iminués du côté hémiplégique. P. KERAVAL. XII. Des altérations du cerveau et de la moelle dans la psychose polynévrilique
, n° 3. 1902). Ces observations accompagnées de la présentation des cerveaux et de l'examen histologique des lésions présent
ne confor- mation générale normale, sauf pour la face, le crâne, le cerveau et les membres : hydrocéphalie hémilatérale ave
osaient, d'où des troubles nutritifs des parties correspondantes du cerveau . , P. KERAVAL. Il. Tentative de recherche de
ve de donner ultérieurement une description détaillée des coupes du cerveau , permettant de localiser exactement les dégénér
et les centres intellectuels; usage ou reception inadéquats par le cerveau des signes verbaux (Annales médical" psychologi
illet 1902). Après quelques considérations sur le fonctionnement du cerveau à l'état normal et dans les délusions, l'auteur
située au- dessous de la dure-mère, que ces lésions intéressent le cerveau ou la membrane pio-arachnoïdienne. Le recours à
que l'état général soit favorable, est essentiel dans les abcès du cerveau et dans les plaies pénétrantes par arme à feu s
s altérations si minutieusement relevées par M. Bourneville sur les cerveaux des enfants décédés dans son service de Bicêtre
isait-il, faut-il tenir compte de la susceptibilité particulière du cerveau à cette époque de la suppression menstruelle et
ore à la suite de lésions organi- ques circonscrises ou diffuses du cerveau . Deux observations servent à illustrer ces cons
ie cérébelleuse, tout cela fait penser à une affection corticale du cerveau , probablement associée à la dégéné- rescence de
notre connaissance), ad- mettant des maladies organiques du corps ( cerveau , etc.) par opposition aux maladies mentales ou
fection et le syn- drome de Weir-Mitchell. M. P. Marie montre des cerveaux présentant des lésions peu '1 Î4 SOCIÉTÉS SAVAN
ce qui concerne les altérations cellulaires, et si l'on compare les cerveaux de malades ayant succombé à des psychoses d'ori
bibliographie la plus récente ; puis l'étude histologique -de deux cerveaux d'idiots mongoliens, due à MM. Philippe et Ober-
ondriaques; « le sang, disait-elle, ne se renouvelait plus dans son cerveau ». Gâtisme passager. Aucun trouble de la parole
te, hébétée, ne parlant pas, est ~ atteinte de fièvre typhoïde, son cerveau retrouve une activité normale, tous les acciden
, normale, si l'épilepsie dépendait d'une 'altération anatomique du cerveau et surtout des couches corticales ? - Chaque sp
ique passagère du poison avec les cellules de la substance grise du cerveau » (Ch. Richet : Les poisons de l'intelligence).
la modification du sang qui amène les exci- tences épileptogènes du cerveau chez des individus qui ne sont pas alcooliques
ci a subi un retard plus prononcé dans son développement, ou que le cerveau est plus détérioré par des lésions organiques.
ne irritation très limitée d'une petite région méningo-corticale du cerveau , par exemple, et de l'observation facile de tro
dans le bulbe ou la protubérance. P. KEHAVAL. XLIIL Echinocoque du cerveau ; par M. Fedorow. (Obozrénié psichiulü, VI, 190
faite du diagnostic, il découle qu'il s'agit d'un ramollissement du cerveau en rapport avec des tuber- cules de la région m
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 239 A l'autopsie, le tissu du cerveau est très tendu et les circonvolu- tions sont li
tricule est com- plètement obturé. On ne trouve rien autre chose au cerveau ni ailleurs, sauf de la tuberculose pulmonaire
e le fonctionnement de ce système presque tout entier. En effet, le cerveau (coma), le bulbe (ralentissement des mouvemenls
n par l'étude de l'état mental, l'autre par l'examen nécrospique du cerveau est identique; tous deux esti- ment que le meur
porté surtout ou exclusivement sur les portions les plus élevés du cerveau , en respectant à peu près les facultés inférieure
es néoplasiques. Rien de visible à l'oeil nu, dans le squelette, le cerveau et la moelle. Tous les organes abdominaux sont
L'autopsie révèle une leptoméningite chronique de la convexité du cerveau , et de la sclérose de ses vaisseaux. 11 existe un
re ou acquise, et leur caractère dépend de la nature de cet état du cerveau : délire alcoolique chez les alcooliques ; déli
symp- tômes. Il. de Musgrave-Clay. Lïll. Un cas de cysticerque du cerveau ayant causé la folie; par Lui. Sm : LAIR-(3LACK
la pie-mère; il y en avait certainement plusieurs centaines dans le cerveau , et ils étaient tous à peu près de la même gros-
i pût faire soupçonner les grosses lésions qu'elle portait dans son cerveau ; elle eut seulement quelques acci- dents apopl
its principaux ont été les suivants : lésions prédominantes dans le cerveau et au niveau des couches de cellules du manteau
là par une infiltration de petites cellules inflammatoires. Dans le cerveau , amas de cellules rondes péricellulaires et travé
gan- glions. R. DE l\1uSGHAVE-CLAY. LXV. Un cas de cyticerque du cerveau ; par W.-C. SULLIVAN. (The Journal of Mental Sci
ois kystiques. Plusieurs kystes fai- saient saillie à la surface du cerveau , surtout au niveau ries gran- des scissures. A
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 385 munément dans le cerveau des aliénés ; leur fonction normale est encore
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. phie de ce prolongement dans un cerveau malade doit comporter une signification patholo
her ou à égarer les recherches. R. DE 1\IUSGR1VE-CLAY. LXVIII. Un cerveau anormal de poids anormal ; par John SUTc- , LIF
s'agit de la lésion que l'on désigne sous le nom d'hypertrophie du cerveau et qui est en réalité constituée par une augmen
du vertex avec dépression, la commotion cérébrale, la déchirure du cerveau et l'hémorrhagie. Il signale comme devant faire
ans améliorer les autres symptômes. G. C. XXXXIV. Corps étranger du cerveau ; par M. Vallas (Société nationale de médecine d
Cette observation est intéressante : 1° par la longue tolérance Ju cerveau à l'égard d'un corps étranger; 2° par le traumati
cas de folie ne sont pas du tout, primitivement, des affections du cerveau , mais dépen- dent de l'action de toxines venues
s psychologiques et physiologiques relatives au fonction- nement du cerveau , et dont les principales sont les suivantes : L
es plus variées peuvent en résulter. 5° La faculté de réaction d'un cerveau dépend de ses qualités ata- viques héréditaires
e l'évolution graduelle de la nature par- ticulière, originelle, du cerveau (extrême sensibilité aboutissant à la mélancoli
tra-utérine ; 3° enfin les caractères individuels de la réaction du cerveau à l'égard du milieu ambiant. Ces états ne sont pa
variation individuelle ; de plus ils ne sont nullement spéciaux au cerveau et peuvent s'observer dans les autres organes ou
ce très secondaire. Considérer la folie comme une simple maladie du cerveau , c'est considérer le mal de Briglit comme une m
ation. Il l'a observé éga- lement au début de lésions organiques du cerveau et en particulier du ramollissement cérébral. F
lules nerveuses. 424 il BIBLIOGRAPHIE. L'alcoolisme rend ainsi le cerveau plus sensible aux influences toxi-infel tieuses
se trouve un peu mieux, le 17 octobre par exemple, qu'il se sent le cerveau vide, qu'il n'est pas capable de suivre une con
depuis son dernier accès il se disait fréquemment qu'il avait le cerveau vide, qu'il n'avait plus d'idées. Pour penser à
lui faut faire pour penser, il se plaint d'avoir habituellement le cerveau vide. Ici nous l'avons forcé à remplir son espr
oi psychique, rien ne peut se fixer quelque peu profondément, et le cerveau revenu à son équi- libre reconnaît immédiatemen
ntrent des neurones d'association intercalaires. La grande masse du cerveau est composée de neurones d'association, dont le
erveux central sont myélines avant les tractus sortants. L'étude du cerveau du nouveau-né vient à l'appui de cette manière
corce cérébrale et qui n'avait jusqu'ici jamais été observé dans le cerveau de l'homme, mais seulement autour des cellules
issance de l'au- teur, n'a jamais été démontré jusqu'ici ni dans le cerveau de l'homme ni dans celui des animaux. L'auteur
, ce qui concorde avec les vues de Herbert Spencer qui considère le cerveau comme le grand or- gane de coordination des mou
être des guides utiles, on ne saurait en appliquer les résultats au cerveau de l'homme que lorsqu'elles auront été confirmé
au cerveau de l'homme que lorsqu'elles auront été confirmées sur le cerveau même. L'auteur répond à quelques objections du
ans ces divers états pathologiques ressembler à ceux des tumeurs du cerveau . En résumé, en ce qui touche les troubles intel
re le diagnostic différentiel des troubles purement fonctionnels du cerveau et des lésions anatomiques de cet organe; et il n
ours auparavant. M. Lannois fait remarquer en outre la tolérance du cerveau pour les tumeurs ou mieux la lenteur avec laque
certainement pas été enlevée. Pour M. Paviot, beaucoup de kystes du cerveau sont sans doute des gliomes kystiques à une seu
el tous les observateurs sont d'accord c'est l'anémie artérielle du cerveau dans l'état de sommeil ; elle est consécutive à
'action des narcotiques sur le corps humain, et spécialement sur le cerveau , est loin de favoriser l'assimilation, qu'elle
ive, et cela surtout dans les tissus nerveux les plus importants du cerveau . Si donc les narcotiques donnent des résultats
la liaison entre la partie infé- rieure de la moelle épinière et le cerveau , mais les centres de la région sacrée ont été é
de pair avec le processus anatomique diffus général, il y a dans le cerveau du malade une lésion spéciale des régions qui o
e l'essai de la loca- lisation des représentations du temps dans le cerveau , parce qu'il n'existe pas jusqu'à ce temps de t
elle n'est pas infectieuse, sa liaison avec la liaison organique du cerveau ; cette hypothèse fait considérer l'épilepsie com
ire. Mais si des millions d'années n'ont pas amélioré la qualité du cerveau humain, on réalisera peut- entre cette améliora
i lez, 316. éthy 1-met hylique, par Finez, 346. Anatojiie. L'- du cerveau , la psy- chologie ei la 1 héOl'iP pliilo-opln-
ocalisation , des - dans l'écorce cérébrale. par Gorschkow, 52. Cerveau . Voir Anatomie. Des alté- rations du et de la m
Conscience. Un cas de double par Wilson, -100. Corps étranger du cerveau , par Vallas, 391. Corps pituitaire. Voir Adén
veau ayant causé la folie, par Sinclatr-I3lack, 337. Un cas de du cerveau , par Sullivan, 383. Dégénéré. Le cas d'un non r
. Dysimiagië psychique. Voir Troubles psychiques. EnnxocnnuE du cerveau , par Fedo- row, 238. Econcn cérébrale. Voir C
consécutil à une lésion trauma- TABLE DES MATIÈRES. 53 1 tique du cerveau , par Urqnhart et Fr-rri Itoherisoti, 43. Qnplqn
ression. Kermg. Voir Syndrome Cél'éVl'O' spinal. Kohsakow. Voir Cerveau . Douze cas de maladie de - chez des rem, mes,
la théorie histologique du -, par NarbouttP, 17. - Voir Ecorce du cerveau . Un de dix-sept ans, par Farez, 421. Le - dan
60 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
rayons X est particulièrement intéressante en ce qu'elle crée dans le cerveau du chirurgien une certitude qui était loin d'être
nce assez exacte de Fanatomie. Les diverses pièces qui constituent le cerveau sont plus rud i inentai res. Elles indiquent que
s rud i inentai res. Elles indiquent que l'étude de l'ana- ; tomie du cerveau était beaucoup moins avancée que celle des autres
orie chimique. Plfüger a cru voir, dans une disette d'oxygène dans le cerveau la cause du besoin de sommeil mais Preyer la supp
erait d'empêcher un apport suffisant d'éléments reconstructifs au cerveau , et celui-ci serait entravé dans son activité nor
ntraction des vaisseaux, laquelle diminuerait le flux du sang vers le cerveau (1), et réciproquement, tout ce qui excite le flu
y aurait, dans le sommeil, une anémie relative des circonvolutions du cerveau et une pléthore de la moelle allongée. (2) On c
le personnalité. Fait improbable, si l'on songe qu'il existait deux cerveaux commandant chacun à son corps, car si leur respir
intime des systèmes circulatoires amenait un sang peu oxygéné dans le cerveau de celle qui était éveillée ; par suite, celle-ci
us, aujourd'hui, vous considérez les troubles de la moelle et ceux du cerveau , du même point de vue que ceux du cœur, du rein o
tous, car elle n'émane pas, — comme c'est le cas de certains, — d'un cerveau de parti-pris, indifférent aux nouveautés de la p
biconcave, rendant les objets plus petits ou plus grands; comme si le cerveau avait regardé tantôt par le gros bout tantôt par
ne comparaison pour être plus clair, je dirai que chez l'halluciné le cerveau est comme changé en une lanterne magique : le foy
lucinés de Loudun et de Louviers, au temps du règne du diable sur les cerveaux terrifiés, au temps des incubes et des succubes,
tre chose qu'une suggestion capable de mener à la folie les meilleurs cerveaux , ainsi que le prouvent de nombreux exemples. Le
al. La manie de la collection n'est pas le seul travers qui hante son cerveau et il appartient presque toujours à la grande fam
que la plupart des troubles psychiques de l'hystérie dépendent non du cerveau , mais des diverses régions de l'organisme. Je sou
cessus dissociation non pas seulement psychiques, sous l'influence du cerveau , mais aussi somatiques, mettant en jeu d'autres r
erveau, mais aussi somatiques, mettant en jeu d'autres régions que le cerveau . Ce qui confirme encore celle conception, c'est l
antôt pour son Dieu, tantôt pour son amant. Elle ne savait pas que le cerveau seul est le siège de nos sentiments, comme il est
suggestion par te rythme comme plus capable de faire pénétrer dans le cerveau l'idée essentielle de précision, de méthode, de m
er une expression aussi concrète en pareille matière, pour obliger ce cerveau boiteux à marcher au pas. Enfin, en ce qui conc
te. L'hémianopsie a longtemps, en neuropathologie, signifié lésion du cerveau ; or, il y a des cas indéniables d'hémianopsie hy
s lui, les symptômes dyspeptiques sont régis par le plexus solaire, « cerveau abdominal », comme l'appelait Bichat, carrefour a
sentiels : l'axe encéphalo-médullaire et l'appareil ganglionnaire. Le cerveau montre, par la succession des vésicules qui le co
, puisque l'on ne sait absolument pas ce qui fait que telle action du cerveau est consciente et telle autre pas. Les idées de W
ctionnelle de toutes les cellules sous-corticales des ganglions et du cerveau ) provoquée artificiellement, incapacité de foncti
al, c'est-à-dire à la suspension de l'activité de la matière grise du cerveau , et il en cherche l'explication dans une inhibiti
près l'ablation ou la destruction de certaines parties de l'écorce du cerveau . Ici aussi de nombreuses associations qui, avant
leur suggère ; les associations inhibitrices se trouvant absentes, le cerveau accueille sans aucune diffi-culté la représentati
ne s'en souvienne pas du tout à l'état de veille. C'est comme si son cerveau était organise-en vue d'une double mémoire, une p
La douleur est l'avertissement de la nature, le seul qui s'impose au cerveau . Le tuberculeux pulmonaire, sans être anesthési
nous disions au début, que Marie Alacoque n'a rien inventé et que son cerveau malade n'a fait que reproduire en hallucinations
ansformisme et la conception purement mécanique de la nature dans les cerveaux des futurs éducateurs de la jeunesse, qu'on prépa
théorie de la terre bien plus que les philosophes qui torturent leur cerveau à deviser sur de brillantes hypothèses, fantômes
e, sauf la différence et la complexité plus grande des phénomènes, le cerveau est l'organe de l'intelligence au même titre que
Ou que Ton s'en tienne à l'opinion d'Hippocrate : « C'est par le cerveau que nous pensons, comprenons, voyons, entendons,
t pour Gyel (2) (à qui nous empruntons cette citation), « le repos du cerveau (dans le « sommeil) est surtout caractérisé par l
n de deux neurones sensitifs selon l'état d'attention commandé par le cerveau . Pupin (6) a discuté et développé cette théorie
ndait mollement, j'imprimai à plusieurs reprises la question dans son cerveau , en la répétant avec une certaine violence, jusqu
la suggestion est « l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lui. » Alors, l'enseignement, la
nt. Bernheim (1) définit la suggestion : toute idée acceptée par le cerveau . « Que cette idée vienne par l'oreille, exprimée
st dans tout... la sugges-tibilité est une propriété physiologique du cerveau humain... Qu'est-ce que donc que l'hypnotisme? Il
n'est autre chose que la mise en activité d'une propriété normale du cerveau , la suggestibilité. Il n'y a pas d'hypnotisme ; i
sme, au sommeil suggéré n'est autre chose qu'une propriété normale du cerveau humain... la suggestibilité, c'est-à-dire l'aptit
le du cerveau humain... la suggestibilité, c'est-à-dire l'aptitude du cerveau à recevoir une idée et à la transformer en acte..
dée d'où qu'elle vienne, avec toutes ses conséquences qui s'impose au cerveau et devient acte; c'est le déterminisme qui nous f
ion; il y a suggestion chaque fois qu'une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lui, que cette idée soit émise pa
ersuasion, il comprendrait toutes les influences s'exerçant sur notre cerveau : autant vaut supprimer le mot. (1) crocQ. L'hy
essions, n'a que peu de valeur à l'état de veille, étant donné que le cerveau de ce dernier, non seulement ne se trouve pas en
usicale à l'état de veille et des rêves chez les sujets malades. Le cerveau sain peut seul, en effet, se rendre très nettemen
ysiologique du rêve, que cet afflux du sang dans certaines parties du cerveau et des bourdonnements d'oreilles qui sont causes
avec M. le Dr Rouby « que Marie Alacoque n'a rien inventé et que son cerveau malade n'a fait que reproduire en hallucination c
i est bien encore dans le même ordre d'idées : « l'étage supérieur du cerveau , dit-il (j'appelle ainsi schématiquement la parti
ieur du cerveau, dit-il (j'appelle ainsi schématiquement la partie du cerveau dévolue aux facultés de contrôle), a une action m
ction modératrice sur l'étage inférieur (j'appelle ainsi la partie du cerveau dévolue aux facultés d'imagination, à l'automatis
ansforme l'idée en acte, sont modérés par les facultés supérieures du cerveau , l'attention, le jugement qui constituent le cont
rôle intellectuel », tandis qu'à l'état normal « l'étage supérieur du cerveau » c'est-à-dire notre O, a « une action modératric
plus haut, de Bernheim : la suggestion est toute idée acceptée par le cerveau . Quand l'idée est acceptée par le cerveau avec pe
toute idée acceptée par le cerveau. Quand l'idée est acceptée par le cerveau avec persistance de l'activité « des centres modé
enseignement topographique des hernies. Des foies, des poumons, des cerveaux , des reins étalés sur des plateaux passent de mai
r idées générales, on procède par faits, ce qui convient très bien au cerveau américain spécialement doué d'une très grande fac
et le lendemain les jeunes gens répondront parfaitement. Ils ont un cerveau neuf, nullement embarrassé de choses inutiles, me
eurs études ; le reste disparaît. Mais cette fraîcheur, ce repos du cerveau , à quoi l'attribuer? A plusieurs causes. Beau
deux l'existence rude et laborieuse d'un travail acharné ; mais leur cerveau n'a pas l'occasion de se fatiguer. Peu de science
lômes à acquérir. En eux la race se repose, et les fils héritent d'un cerveau actif et vigoureux. * L'école publique où souve
gnement donné est pratique : des faits ; on ne cherche pas à faire du cerveau de l'enfant un instrument d'induction et de déduc
congelant et en enlevant la substance grise corticale des régions du cerveau dites centres moteurs, on parvient à provoquer de
'ils ont senti quelque chose d'irréel ; mais comme ils ont eu dans le cerveau une sensation, ils cherchent une expression pour
fait sur ma rétine. 2° Elle est transmise par le nerf optique à mon cerveau . 3° Mon cerveau la perçoit.- Conséquence : Je
. 2° Elle est transmise par le nerf optique à mon cerveau. 3° Mon cerveau la perçoit.- Conséquence : Je vois un arbre des
suis aliéné; sur le tableau noir, aucun dessin; tout à coup dans mon cerveau , par le fait de la maladie : 3° Se forme l'imag
maladie : 3° Se forme l'image d'un diable. 2° Cette image part du cerveau et suit le nerf optique. 1° Elle s'étale sur la
èse, voir avec les yeux de l'âme, disons que la vision formée dans le cerveau , l'image du diable, n'a pas continué sa marche à
jetant dans l'espace; non, cette image est restée dans les couches du cerveau où elle a pris naissance et le troi- sième te
elle aurait pu aussi se servir de l'expression voir avec les yeux du cerveau . De même qu'il y a des hallucinations de la vue
nt l'image, le nerf auditif le nerf optique, les couches auditives du cerveau les couches optiques. Ce sont ces hallucination
61 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
ité. Que de pareilles hallucinations puissent être déposées dans le cerveau pendant l'état hypnotique et persister à I état d
nation rétroactive créée à son insu par le juge d'instruction dans un cerveau suggestible et suggestionné par l'émotion et la p
e deux minutes environ. le souvenir hallucinatoire est éclos dans son cerveau ; il a vu: c'étaient les deux infirmiers du servic
dicte leur témoignage : l'image de la scène fictive existe dans leur cerveau ; ils ont vu, de leurs propres yeux vu, tout ce qu
ir la malade et, dans l'état hypnotique, d'agir par suggestion sur ce cerveau déséquilibré. Le médecin et les parents ayant a
s de son entourage. M. Pitres s'efforce de ramener le calme dans ce cerveau malade. Apres une on deux courtes séances d'élect
prouvant bien l'influence des émanations de certaines plantes sur le cerveau . Les derniers chapitres sont réservés à l'étude
aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet état, le sujet a le cerveau assez réveillé pour n'être pas sans idée, mais pa
ui touchent tant à l'activité normale qu'à l'activité pathologique du cerveau se trouvent, grâce à elle, éclairés d'un rayon de
e physionomie inconscient qui aurait pu impressionner la rétine et le cerveau de L..., celui-ci apercevait la tête de la tierce
E DE MÉDECINE Séance du 2 août 1887. — Présidence de M. Sappey Le Cerveau et le Surmenage scolaire Par M. le Docteur Luys
qui nous préoccupe, soit de dix à vingt ans, comment est constitué le cerveau . Vous savez tous, messieurs, avec quelle intens
disproportionné. Suivant Sœmmering, cité par Parchappe, le poids du cerveau d'un enfant de six ans est de 1.087 grammes, et l
eau d'un enfant de six ans est de 1.087 grammes, et le poids moyen du cerveau d'un adulte est de 1,323 grammes; — différence :
e 1,323 grammes; — différence : 236 grammes. Parchappe cite encore le cerveau d'un enfant de onze ans, qui pesait 1,191 grammes
une tille de dix-huit ans, saine d'esprit, morte dans mon service, le cerveau pesait 1,o3o grammes ; chez une autre du même âge
ai trouvé 1,304 grammes... et si vous remarquez que le poids moyen du cerveau de la femme adulte, suivant Boyd, oseille entre 1
t. messieurs. permettez-moi de faire passer encore sous vos yeux deux cerveaux de sujets masculins, d'âge différent, l'un de sei
lins, d'âge différent, l'un de seize ans, l'autre de trente-six : ces cerveaux ont été conservés par les mêmes procédés de dessi
i on ne savait pas par avance la différence d'âge qui sépare ces deux cerveaux , je doute fort qu'on puisse reconnaître, par l'ex
développer toutes les énergies latentes qu'il tient en réserve. Le cerveau de l'adolescent, sauf quelques grammes en poids,
scent, sauf quelques grammes en poids, est presque déjà équivalent au cerveau de l'adulte, et, en présence de ces données ana-t
de toutes les aptitudes qu'il renferme, et quand on songe combien le cerveau d'un enfant de seize à dix-huit ans touche de prè
d'un enfant de seize à dix-huit ans touche de près, en proportion, au cerveau d'un adulte, ce serait, à mon avis, manquer à tou
ses de notre re-gretté Broca, ne savons-nous pas que, suivant lui, le cerveau des Parisiens, en particulier, est en progression
le progressive, et des rapports intimes qui lient le développement du cerveau avec l'exercice régulier et avec les progrès de l
eux, et chez eux ce sont les régions purement intellectuelles de leur cerveau qui sont en activité, tandis que les régions émot
a suractivité émotive, et c'est ainsi que toutes les molécules de son cerveau sont universellement mises en vibration, et qu'il
érale. Combien est différente, au point de vue de la mise en jeu du cerveau , la participation que nous demandons a l'esprit d
scolaires, en effet, ne s'adressent qu'à des régions isolées de leur cerveau , et l'esprit du jeune homme, tout à fait indiffér
e, il nous parait indispensable, au nom de l'hygiène bien entendue du cerveau , de signaler aux hommes compétents ce que cette m
leurs études. Ce sont ceux-là qui sont véritablement les surmenés du cerveau de nos écoles, et, il faut bien le reconnaître, d
e la somme de travail demandée, car l'examen anatomique prouve que le cerveau d'un adolescent de dix-huit a vingt ans est déjà
-huit a vingt ans est déjà très développé, et équivalent presque à un cerveau d'adulte. On peut donc leur imposer ce que compor
des recherches de Broca, avoir toujours présent à l'esprit que si le cerveau humain est apte, de siècle en siècle, à se dévelo
re appropriée, les cléments de perfectionnement que porte en germe le cerveau de l'homme. (Très bien.!) Finalement, après une
qu'un millionième de grain ; les nerfs n'en transmettent pas moins au cerveau de l'animal une impression qui se traduit par des
actuelle, voilà les aberrations qui remplissent aujourd'hui quelques cerveaux malades. La maladie épidémique du vingtième siècl
personne dans le lointain. La douleur existe, j'en suis sûr, mais le cerveau ne la perçoit pas, sans doute parce qu'il a reçu
d'impulsion irrésistible et en rapport avec une idée qui traverse le cerveau . Ce n'est pas de l'incoordination, car les mouvem
ou entendu. Les impressions diverses se gravent profondément dans le cerveau , qui les rend telles quelles, en fidèle phonograp
xclusivement du traitement moral. 3° C'est un véritable dressage du cerveau à opérer par une éducation spéciale et un entraîn
oquant la contraction tétanique des artères de la couche corticale du cerveau , d'où résulte l'anémie qui est la condition néces
té. La plus grande difficulté est de décider si tout se passe dans le cerveau inconscient du sujet, comme par suggestion, ou s'
à la pédagogie, etc. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE La dualité du cerveau et de la moelle èpinière, M. le professeur (Bro
si nous avons un double appareil cérébro-médullaire, c'est-à-dire un cerveau double. De ses expériences, il a déjà déduit les
hénomènes peuvent se produire, dans un certain état, sous l'action du cerveau du sujet aussi bien que sous l'influence des agen
n souffle sur les yeux, une application polaire en hétéronomie sur le cerveau , le sujet reviendra à son état normal. Il résul
'influence de la valériane, pourront être annihilés en opérant sur le cerveau . Chargé en ce moment d'un service considérable
, il suffit d'une fissure bien étroite pour qu'elle s'insinue dans le cerveau . J'avoue n'avoir jamais réussi avec mes meilleu
e. Dans l'un comme dans l'autre, en effet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte, sensation, mouvement ou imag
ue tout ce qui se dit et se fait autour du sujet fait naître dans son cerveau des idées correspondants. L'expérimentateur doit
nne de rien au réveil. Choisir ce moment psychologique dans lequel le cerveau demeure plus suggestible, accepte et se laisse im
le, ou même pendant le sommeil hypnotique, ait cette puissance sur le cerveau et que ses effets puissent être durables. Pour ma
peut guérir cette maladie, en faisant contracter au fonctionnement du cerveau des habitudes nouvelles. Il faut ajouter cepend
divisé en cinq parties, traitant de la sensibilité, des fonctions du cerveau (pensée, raison, perception de l'espace et du tem
ateurs exercés et qu'elle puisse, dans la plupart des cas, enlever le cerveau et les pièces utiles à l'étude, sans laisser sur
vent au sensorium sont acceptées sans contrôle et transformées par le cerveau en actes, sensations, mouvements, images. La moda
ainsi modifiée, l'état de conscience nouveau qui se constitue rend le cerveau plus docile, plus malléable, plus suggestible, d'
nouvrier a fait une intéressante communication sur la comparaison des cerveaux de Gambetta et de Bertillon. L'hypnotisme en su
ues minutes, elle oublie tout, comme si elle avait de la paralysie du cerveau , dit-elle. Lorsqu'elle est seule, elle est touj
crit-il, il n'est, en effet, point rare de voir certaines personnes à cerveau faible soudain frappées d'aliénation mentale, de
des nécessités d'hygiène publique. » Un nouveau procédé d'étude du cerveau . M. le docteur Armand B. Paulier vient de prése
M. le docteur Armand B. Paulier vient de présenter à l'Académie des cerveaux humains préparés par un procédé qui permet de dur
nt de volume et en lui conservant presque sa coloration normale. Le cerveau ainsi préparé peut être à volonté ramolli dans to
désirerait M. Paulier, ce procédé peut servir à l'étude détaillée du cerveau . C'est ainsi qu'il a permis de disséquer et d'iso
pelé a rendre de grandi services au point de vue de l'étude intime du cerveau et surtout de l'enseignement de l'anatomie cérébr
l'anatomie cérébrale. On pourrait ainsi mouler toutes les régions du cerveau , disséquées couches par couches : ces reproductio
plication de sa méthode au point de vue de l'anatomie pathologique du cerveau ; elle permettrait en effet de durcir, de ramollir
ait en effet de durcir, de ramollir, de disséquer, puis de mouler des cerveaux altérés par de grandes lésions, telles que des hé
ation de la sensibilité neuro-musculaire, et l'autre centrale, sur le cerveau , qui consiste en ce que Brown-Séquard a appelé un
itation réflexe sur le système spinal, et un acte d'inhibition sur le cerveau , inhibition qui consiste en une inertie de la coo
Or il est évident que la cause qui amène cet état particulier du cerveau est complètement indifférente, que ce soit l'hypn
aire. 2. Quelle que soit la cause qui amène cet état particulier du cerveau , on peut voir se dérouler les mêmes phénomènes ex
disnie. Plus fatigués au lever qu'au coucher, il leur semble que leur cerveau est parfaitement creux, et ils sont incapables de
stion. L'instrument avec lequel on travaille dans l'hypnose, c'est le cerveau , et il travaille d'autant mieux, avec d'autant pl
de mots ou l'exécution d'actes de circonstance. A l'état normal le cerveau travaille tout entier : c'est une activité dissém
te, sans aucune sélection, il devient un sujet, d'hypnotisme; son cerveau , qui tient peut-être à peine en équilibre, est so
an. Croquemitaine... tout cela danse une sarabande échevelée dans les cerveaux enfantins. Tout cela y prend corps. Tout cela y g
Buveurs (traitement par l'hypnotisme des), par Ladame, 129. 165. Cerveau un nouveau procède d'étude du), 354. Cerveau et
ar Ladame, 129. 165. Cerveau un nouveau procède d'étude du), 354. Cerveau et le surmenage scolaire (le), par Luys, 88. Ch
ions de l'éducation ou de l'hérédité ?.par Galippe, 122. Dualité du cerveau et de la moelle épi-nière (la), par Brown-Séquard
62 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
ité. Que de pareilles hallucinations puissent être déposées dans le cerveau pendant l'état hypnotique et persister à I état d
nation rétroactive créée à son insu par le juge d'instruction dans un cerveau suggestible et suggestionné par l'émotion et la p
e deux minutes environ. le souvenir hallucinatoire est éclos dans son cerveau ; il a vu: c'étaient les deux infirmiers du servic
dicte leur témoignage : l'image de la scène fictive existe dans leur cerveau ; ils ont vu, de leurs propres yeux vu, tout ce qu
ir la malade et, dans l'état hypnotique, d'agir par suggestion sur ce cerveau déséquilibré. Le médecin et les parents ayant a
s de son entourage. M. Pitres s'efforce de ramener le calme dans ce cerveau malade. Apres une on deux courtes séances d'élect
prouvant bien l'influence des émanations de certaines plantes sur le cerveau . Les derniers chapitres sont réservés à l'étude
aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet état, le sujet a le cerveau assez réveillé pour n'être pas sans idée, mais pa
ui touchent tant à l'activité normale qu'à l'activité pathologique du cerveau se trouvent, grâce à elle, éclairés d'un rayon de
e physionomie inconscient qui aurait pu impressionner la rétine et le cerveau de L..., celui-ci apercevait la tête de la tierce
E DE MÉDECINE Séance du 2 août 1887. — Présidence de M. Sappey Le Cerveau et le Surmenage scolaire Par M. le Docteur Luys
qui nous préoccupe, soit de dix à vingt ans, comment est constitué le cerveau . Vous savez tous, messieurs, avec quelle intens
disproportionné. Suivant Sœmmering, cité par Parchappe, le poids du cerveau d'un enfant de six ans est de 1.087 grammes, et l
eau d'un enfant de six ans est de 1.087 grammes, et le poids moyen du cerveau d'un adulte est de 1,323 grammes; — différence :
e 1,323 grammes; — différence : 236 grammes. Parchappe cite encore le cerveau d'un enfant de onze ans, qui pesait 1,191 grammes
une tille de dix-huit ans, saine d'esprit, morte dans mon service, le cerveau pesait 1,o3o grammes ; chez une autre du même âge
ai trouvé 1,304 grammes... et si vous remarquez que le poids moyen du cerveau de la femme adulte, suivant Boyd, oseille entre 1
t. messieurs. permettez-moi de faire passer encore sous vos yeux deux cerveaux de sujets masculins, d'âge différent, l'un de sei
lins, d'âge différent, l'un de seize ans, l'autre de trente-six : ces cerveaux ont été conservés par les mêmes procédés de dessi
i on ne savait pas par avance la différence d'âge qui sépare ces deux cerveaux , je doute fort qu'on puisse reconnaître, par l'ex
développer toutes les énergies latentes qu'il tient en réserve. Le cerveau de l'adolescent, sauf quelques grammes en poids,
scent, sauf quelques grammes en poids, est presque déjà équivalent au cerveau de l'adulte, et, en présence de ces données ana-t
de toutes les aptitudes qu'il renferme, et quand on songe combien le cerveau d'un enfant de seize à dix-huit ans touche de prè
d'un enfant de seize à dix-huit ans touche de près, en proportion, au cerveau d'un adulte, ce serait, à mon avis, manquer à tou
ses de notre re-gretté Broca, ne savons-nous pas que, suivant lui, le cerveau des Parisiens, en particulier, est en progression
le progressive, et des rapports intimes qui lient le développement du cerveau avec l'exercice régulier et avec les progrès de l
eux, et chez eux ce sont les régions purement intellectuelles de leur cerveau qui sont en activité, tandis que les régions émot
a suractivité émotive, et c'est ainsi que toutes les molécules de son cerveau sont universellement mises en vibration, et qu'il
érale. Combien est différente, au point de vue de la mise en jeu du cerveau , la participation que nous demandons a l'esprit d
scolaires, en effet, ne s'adressent qu'à des régions isolées de leur cerveau , et l'esprit du jeune homme, tout à fait indiffér
e, il nous parait indispensable, au nom de l'hygiène bien entendue du cerveau , de signaler aux hommes compétents ce que cette m
leurs études. Ce sont ceux-là qui sont véritablement les surmenés du cerveau de nos écoles, et, il faut bien le reconnaître, d
e la somme de travail demandée, car l'examen anatomique prouve que le cerveau d'un adolescent de dix-huit a vingt ans est déjà
-huit a vingt ans est déjà très développé, et équivalent presque à un cerveau d'adulte. On peut donc leur imposer ce que compor
des recherches de Broca, avoir toujours présent à l'esprit que si le cerveau humain est apte, de siècle en siècle, à se dévelo
re appropriée, les cléments de perfectionnement que porte en germe le cerveau de l'homme. (Très bien.!) Finalement, après une
qu'un millionième de grain ; les nerfs n'en transmettent pas moins au cerveau de l'animal une impression qui se traduit par des
actuelle, voilà les aberrations qui remplissent aujourd'hui quelques cerveaux malades. La maladie épidémique du vingtième siècl
personne dans le lointain. La douleur existe, j'en suis sûr, mais le cerveau ne la perçoit pas, sans doute parce qu'il a reçu
d'impulsion irrésistible et en rapport avec une idée qui traverse le cerveau . Ce n'est pas de l'incoordination, car les mouvem
ou entendu. Les impressions diverses se gravent profondément dans le cerveau , qui les rend telles quelles, en fidèle phonograp
xclusivement du traitement moral. 3° C'est un véritable dressage du cerveau à opérer par une éducation spéciale et un entraîn
oquant la contraction tétanique des artères de la couche corticale du cerveau , d'où résulte l'anémie qui est la condition néces
té. La plus grande difficulté est de décider si tout se passe dans le cerveau inconscient du sujet, comme par suggestion, ou s'
à la pédagogie, etc. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE La dualité du cerveau et de la moelle èpinière, M. le professeur (Bro
si nous avons un double appareil cérébro-médullaire, c'est-à-dire un cerveau double. De ses expériences, il a déjà déduit les
hénomènes peuvent se produire, dans un certain état, sous l'action du cerveau du sujet aussi bien que sous l'influence des agen
n souffle sur les yeux, une application polaire en hétéronomie sur le cerveau , le sujet reviendra à son état normal. Il résul
'influence de la valériane, pourront être annihilés en opérant sur le cerveau . Chargé en ce moment d'un service considérable
, il suffit d'une fissure bien étroite pour qu'elle s'insinue dans le cerveau . J'avoue n'avoir jamais réussi avec mes meilleu
e. Dans l'un comme dans l'autre, en effet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte, sensation, mouvement ou imag
ue tout ce qui se dit et se fait autour du sujet fait naître dans son cerveau des idées correspondants. L'expérimentateur doit
nne de rien au réveil. Choisir ce moment psychologique dans lequel le cerveau demeure plus suggestible, accepte et se laisse im
le, ou même pendant le sommeil hypnotique, ait cette puissance sur le cerveau et que ses effets puissent être durables. Pour ma
peut guérir cette maladie, en faisant contracter au fonctionnement du cerveau des habitudes nouvelles. Il faut ajouter cepend
divisé en cinq parties, traitant de la sensibilité, des fonctions du cerveau (pensée, raison, perception de l'espace et du tem
ateurs exercés et qu'elle puisse, dans la plupart des cas, enlever le cerveau et les pièces utiles à l'étude, sans laisser sur
vent au sensorium sont acceptées sans contrôle et transformées par le cerveau en actes, sensations, mouvements, images. La moda
ainsi modifiée, l'état de conscience nouveau qui se constitue rend le cerveau plus docile, plus malléable, plus suggestible, d'
nouvrier a fait une intéressante communication sur la comparaison des cerveaux de Gambetta et de Bertillon. L'hypnotisme en su
ues minutes, elle oublie tout, comme si elle avait de la paralysie du cerveau , dit-elle. Lorsqu'elle est seule, elle est touj
crit-il, il n'est, en effet, point rare de voir certaines personnes à cerveau faible soudain frappées d'aliénation mentale, de
des nécessités d'hygiène publique. » Un nouveau procédé d'étude du cerveau . M. le docteur Armand B. Paulier vient de prése
M. le docteur Armand B. Paulier vient de présenter à l'Académie des cerveaux humains préparés par un procédé qui permet de dur
nt de volume et en lui conservant presque sa coloration normale. Le cerveau ainsi préparé peut être à volonté ramolli dans to
désirerait M. Paulier, ce procédé peut servir à l'étude détaillée du cerveau . C'est ainsi qu'il a permis de disséquer et d'iso
pelé a rendre de grandi services au point de vue de l'étude intime du cerveau et surtout de l'enseignement de l'anatomie cérébr
l'anatomie cérébrale. On pourrait ainsi mouler toutes les régions du cerveau , disséquées couches par couches : ces reproductio
plication de sa méthode au point de vue de l'anatomie pathologique du cerveau ; elle permettrait en effet de durcir, de ramollir
ait en effet de durcir, de ramollir, de disséquer, puis de mouler des cerveaux altérés par de grandes lésions, telles que des hé
ation de la sensibilité neuro-musculaire, et l'autre centrale, sur le cerveau , qui consiste en ce que Brown-Séquard a appelé un
itation réflexe sur le système spinal, et un acte d'inhibition sur le cerveau , inhibition qui consiste en une inertie de la coo
Or il est évident que la cause qui amène cet état particulier du cerveau est complètement indifférente, que ce soit l'hypn
aire. 2. Quelle que soit la cause qui amène cet état particulier du cerveau , on peut voir se dérouler les mêmes phénomènes ex
disnie. Plus fatigués au lever qu'au coucher, il leur semble que leur cerveau est parfaitement creux, et ils sont incapables de
stion. L'instrument avec lequel on travaille dans l'hypnose, c'est le cerveau , et il travaille d'autant mieux, avec d'autant pl
de mots ou l'exécution d'actes de circonstance. A l'état normal le cerveau travaille tout entier : c'est une activité dissém
te, sans aucune sélection, il devient un sujet, d'hypnotisme; son cerveau , qui tient peut-être à peine en équilibre, est so
an. Croquemitaine... tout cela danse une sarabande échevelée dans les cerveaux enfantins. Tout cela y prend corps. Tout cela y g
Buveurs (traitement par l'hypnotisme des), par Ladame, 129. 165. Cerveau un nouveau procède d'étude du), 354. Cerveau et
ar Ladame, 129. 165. Cerveau un nouveau procède d'étude du), 354. Cerveau et le surmenage scolaire (le), par Luys, 88. Ch
ions de l'éducation ou de l'hérédité ?.par Galippe, 122. Dualité du cerveau et de la moelle épi-nière (la), par Brown-Séquard
63 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
e d'objets curieux. Nous ajouterons aussi que les photographies des cerveaux forment au- jourd'hui 5 volumineux Albums (1).
ns ; - 4° Idiotie symptomatique d'une mal- formation congénitale du cerveau (J01'e72CZJ17,a12e, absence du corps calleux, e
d'un hémisphère ou des deux hémisphères ; b) Sclérose d'un lobe du cerveau ; c) Sclérose des cir- convolutions isolées ; d
d'oeuf. Depuis lors, elle se nourrit de lait de chèvre, d'oeufs, de cerveaux , de poulet et de viande triturée. Elle n'a jama
es, comme foc- tales. L'examen immédiat étant impossible, on met le cerveau dans l'alcool, afin de le faire durcir (I). C
lésion. Le grand sympathique parait normal des deux côtés. (1) Ce cerveau a été égaré ou jeté par l'ancien gardien du musée
t les différentes parties de la base de l'encéphale sont normaux. Cerveau .- Hémisphère droit.-a) Face externe. - La plus
constate chez les petites filles, de la naissance à deux ans. 2° Cerveau . - L'examen a porté sur un fragment du cerveau
nce à deux ans. 2° Cerveau. - L'examen a porté sur un fragment du cerveau pris au milieu de la frontale ascendante droite
ier des altérations quan- titatives des cellules pyramidales sur le cerveau d'un enfant IDIOTIE llLYb01·;Ui : IIAT1;USU. 99
ningite, de sclérose ou d'un arrêt de dé- veloppement congénital du cerveau . Ils n'ont pas de tics, ne grimacent pas, ne se
es circonvolutions ont un aspect gélatini- forme rappelant celui du cerveau des nouveau-nés (1). Le défaut d'action de la g
, nous n'avons pas trouvé d'autres lésions que cet aspect foetal du cerveau . IDIOTIE MYXOEDÉMATKUSE. ]07 la thyroïdectomi
rsqu'il dit que l'arrêt de développement porte simultanément sur le cerveau et sur l'ensemble de l'organisme. L'idiotie, au
contraire, est due à des lésions ou à un arrêt de développement du cerveau . A cet égard, les idiots myxccdémateux pourraie
épaisse, adhérente; - augmentation du li- quide céphalo-rachidion, cerveau asymétrique; - cer- velet très petit, irrégulie
. Par contre, le liquide céphalo-rachi- dien n'est pas augmenté; le cerveau est symétrique; le cervelet a un volume normal.
grâce à son obligeance, mettre à profit sa col- lection où tous les cerveaux sont gardés dans un état suffisant de conservat
ules va- cuolisées seraient un peu plus abondantes. Mais tous les cerveaux que nous décrivons, étant traités de même, sont
a été fait au laboratoire des travaux pra- tiques de la Faculté. Le cerveau avait été durci par l'alcool, la moelle par le
e. On s'est trouvé bien de passer quelques fragments trop mous du cerveau dans de la gomme glycérinée et de les durcir ensu
r plus à y revenir, On sait que, beaucoup moins fibrillaire dans le cerveau que dans la moelle, elle l'est surtout extrêmem
ère. Mort de diphthérie. A l'autopsie mé- ninges très adhérentes au cerveau . Examen histologique. a.). Lobe frontal de l'hé
cas, étaient bien celles de la méningo-encéphalite; presque tout le, cerveau , après décortication, présentait un aspect tome
les vaisseaux paraissaient plus nom- breux à cause de l'atrophie du cerveau . C'est pour la paralysie générale que cette opi
rvation III. - Voici maintenant un cas d'idiotie avec induration du cerveau , dans lequel la mort a été précoce; il n'y avai
utres; elles ne sont pas encore dessinées, et, à ce point de vue ce cerveau ressemble à celui d'un nouveau-né. Mais il en dif
é, comme dans nos autres cas. Seulement ici, l'examen comparatif de cerveaux de nouveau-nés nous a été utile pour préciser l
de cellules. Les parois vasculaires sont épaissies. On voit que les cerveaux d'idiots donnent un cer- tain nombre de résulta
symptomatique d'une atrophie considérable de l'hémisphère droit du cerveau et de l'hémisphère cérébelleux gauche, atrophie
s la substance blanche sont irréguliers. De là l'aspect chagriné du cerveau . Observation VIII. - Schad..., 4864-1886, est u
du larynx par un morceau de viande. A l'autopsie, aspect foetal du cerveau ; arrêt de développe- ment, atrophie et état cha
leur travail sur l'épilepsie procursive). Examen histologique. - Cerveau et bulbe durcis dans l'alcool. - Moelle durcie
durcis dans l'alcool. - Moelle durcie dans le liquide de Muller. Cerveau droit. - Portions atrophiées. Substance grise.
graisseux qui paraissent dus à l'action de l'alcool sur la pièce. Cerveau . Hémisphère gauche. - Il existe dans le lobe fron
hes diffuses, semblables il celles qu'on trouve dans la plupart des cerveaux d'idiots ' . On voit que, dans ce cas, il exist
couleur ocreuse, recouverts par la couche la plus superficielle du cerveau , sous la forme d'une mem- brane mince et plissé
t entreprendre d'écrire l'his- toire de l'anatomie pathologique des cerveaux d'idiots. Cruveilhier disait, il y a déjà bien
XX, pi. lIt, livraison v°. Isambert et Robin. - Cas de sclérose du cerveau dans l'idiotie. - Soc. biologie, 18os. Griési
RAPHIE 147 ï Thèse, p. 323, dBGG. Cotard. - Atrophie partielle du cerveau . Thèse, <86S. Ilayem. - Diverses formes d'en
hèse, p. 25, 1877. Mierzejewski. Considérations anatomiques sur les cerveaux d'idiots. - Congrès international des sciences
. - Proced. of royal Society, p. 23r, 1879. Charton-Bastian. - Le cerveau et la pensée, t. Il, p. 90, 1882. Plaxton. - Jo
infantile. Progrès médical, 1885. Obersteiner. - Voies sanguines du cerveau ci l'état normal et pathologique. Anal, in Anna
64 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e s'élève en moi, iIlliIldi\('mE'nL : eL U1JL' l'ois lixé. dans mon cerveau , il revient sans cesse chaque Ibis que je regar
est provoqué comme si instinctivement et une fois tracé dans mon cerveau , il réapparaît toujours pendant que je regarde
uyant, sur l'identité des lois qui président au fonctionne- ment du cerveau et à celui de la moelle, l'auteur distingue, dans
elui de la moelle, l'auteur distingue, dans la moelle comme dans le cerveau , deux appareils nettement sé- parés : un appare
ques, les poussières que l'on trouve dans la subs- tance blanche du cerveau , permettent de penser que le poison possède une
lles et les fibres de la couche supraradiaire sous-jacente. Pour le cerveau , il est préférable de fixer au mélange de Weige
s d'opérations sont chacun de 6 heures ; on double ce temps pour le cerveau . On voit en outre des fibres nerveuses à myélin
rite une notion spéciale : les oeufs donneront le phosphore dont le cerveau a besoin ; le régime végé- tarien diminuera l'i
nfant et ce que l'on sait sur la localisation des fonctions dans le cerveau . Le centre nerveux qui contrôle la parole est é
trôle les mouvements de la main droite, dans l'hémisphère gauche du cerveau . Mais chez un gaucher dénature,- l'hémisphère d
à cause de la position du coeur, et des artères qui nourrissent le cerveau , le sang arrive à l'hémisphère gauche par une r
rieur des racines de la queue de cheval et de la moelle est normal. Cerveau normal. Aucune atrophie apparente des muscles d
veux ; l'on ne tient pas compte des relations qui existent entre le cerveau et les autres organes. (1) Marcé. Traité prat
l'oeuvre de déchéance et de désorganisation se limite uniquement au cerveau . L'organisme entier est lésé par la dégénéresce
ids de l'a- nimal, la cérébrine produit une anémie insignifiante du cerveau . A hautes doses, elle détermine (le il une fa
on la chauffe jusqu'à ceque ceux-ci se redissolvenl. Les coupes du cerveau fixées dans la formaline à 10 %, durci dans l'a
chiat1'ii 111., ! 903.- Ne2rol. C<"nh'ft ! 6 ? XX111. 1904.) , Cerveaux durcis dans la liqueur de Muller le plus longtemp
parois faci- les à voir qui, sillonnant toute la substance grise du cerveau , s'en vont aux cellules; en se ramifiant dans l
déglutition indiquaient déjà la méningite gommeuse de la base du cerveau affectant en l'espèce les troncs nerveux en quest
réflexe typique, les centres d'arrêt du bulbe ou les voies qui; du cerveau ou de la moelle, agissent sur ces centres. Dans
llaires du noyau dentelé du cerve- let et des ganglions centraux du cerveau présentent la dégéné- rescence calcaire sous di
ires des amputés, qui ne sont jamais créées de toutes pièces par le cerveau , mais toujours d'origine périphérique (Pitres).
hypochondriaque soit dû exclusivement à un trouble fonc- tionnel du cerveau (hypochondrie essentielle, idéogène). Mais DE l
on plus d'hypochon- drie purement qui puisse se développer sur un cerveau absolument sain. Pour que naisse l'idée hypo- c
délire par introspection somatique ; c'est l'inlerprélalion, par un cerveau prédisposé à l'introspec- tion de troubles soni
de son esprit, dont parle M. Régis, est en réalité inquiet de son cerveau , et c'est bien là encore une préoccupation mor-
malade qui croyait avoir dans le crâne un cloporte lui rongeant le cerveau ) ; elle constitue souvent alors une simple « er
che et l'on peut admettre qu'il traduisait simplement une lésion du cerveau ou des ménin- ges cérébrales. Il résulte de c
ion progressive de la paralysie générale, sa mar- che ascendante du cerveau dans la moelle tout à la phase de début, alors
central droit; adhéren- ces de ces méninges au cortex ; atrophie du cerveau . A l'exa- men histologique : lésions classiques
mentaux le plus habituelle- ment observés au cours des maladies du cerveau et du nez : une grande difficulté à fixer l'att
e du sang chez les aliénés ; rapporteur : A9.DIDE ? yeiwofogie : Le cerveau sénile; rapporteur : M. 1ÍmI. - Médecine légale
a genèse des troubles de la sensibilité dans les lésions LÉSIONS DU CERVEAU ET DU CERVELET. 241 sous-corticales du cerveau
lésions LÉSIONS DU CERVEAU ET DU CERVELET. 241 sous-corticales du cerveau confirmant l'opinion de DJERINE et Long. Elles
res motrices au masséter et aux muscles ptérygoïdiens. Lésions du cerveau et du cervelet chez une idiote aveugle- née (2°
Taty et moi, au Congrès de Pau, une série de coupes portant sur le cerveau et le cerveletd'une idiotcaveu- gle-néeet avion
et le cerveletd'une idiotcaveu- gle-néeet avions constaté, pour le cerveau , les lésions maxi- mum dans les calcarines,comp
à l'étude des idéas régnantes, au XVI. siècle, sur les fonctions du cerveau . (Mme Dr M. Li- PINSKA.) Sur l'étiologie des
. Mme Sabuco passe en revue tout ce qui augmente la capa- cité du cerveau au travail, le sommeil réglé, le régime alimen-
méningo- encéphalite diffuse aiguë. Elles consistent en oedème du cerveau , vascularisation active, altération à divers de
d'abondance et de virulence et où, par contre, l'or- ganisme et le cerveau épuisés par l'infection sont à leur minimum de
IL Lorsqu'on enlève à un animal les parties supérieu- res de son cerveau (1), il est dans un état d'indifférence psychiq
rer ce dernier travail dont nous avons eu connaissance par l'art. Cerveau de M. J. Soury in Dictionnaire de Physiologie de
que, cette maladie est caractérisée par une atrophie généralisée du cerveau . L'écorce est amincie, les circonvolutions sont
icieux puisqu'il faut démon- trer que, chez l'enfant, lorsqu'il y a cerveau , il y a cons- cience. L'anatomie comparée vient
es supérieurs. Mais avant que ce dé- veloppement soit définitif, le cerveau se forme progres- sivement. Il y a toute une pé
donc la limite inférieure de l'activité consciente, le moment où le cerveau , muni de son écorce, en relation avec tout le n
angage articulé et l'é- criture (1). Un mois après la naissance, le cerveau est, toute proportion gardée, complètement déve
al de pensée des singes, aussi pauvre soit-il, est uti- lisable. Le cerveau de cet animal est, histologiquement, en état de
chsig ait pu supposer que les relations partielles établies dans le cerveau du foetus à terme puis- sent conférer une perce
s. Pour qu'il (1) YON DER Kolk et YROLIK, d'après Ch. Bastiax. - Le cerveau , organe de la pensée. Bihl. illtcrn. Paris, vol
l. illtcrn. Paris, vol. II, p. 12. (2) P. FLECHSIG. - Etudes sur le cerveau . 1'rad. Li·vi, Paris, 18P8, p. 79. (3) Ibid.,
corps (1), car les voies conductrices ne s'anastomosent pas avec le cerveau et les éléments his- tologiques du cortex n'ont
ent nouveau par exemple ne s'ac- (1) P. 1 LECIIS1G. - Etudes sur le cerveau . Trad. franc ? de L. Lévi, Paris 1898, p. 76-77
L. Lévi, Paris 1898, p. 76-77. ' (21 P. Flechsig. - Etudes sur le cerveau . Trad. franc ? de L. Lévi, Paris 1898, p. G2-G3
amènent des réactions ou fonctions qui mettent l'organe nouveau, le cerveau en état de fonctionner. Les an encéphales ont s
plutôt à un trouble fonctionnel, suite d'une lésion organique du cerveau , la lésion elle-même du faisceau pyramidal, qu'il
isons appel aux précédentes- observations sur la myé- linisation du cerveau et de la moelle.nous pouvons affir- mer que ces
de la naissance et celle du dévelop- pement anatomique suffisant du cerveau (cinquième mois environ), il se produit des réa
sont suf- fisants pour lui assurer la vie autonome. Il possède un cerveau dont les circonvolutions bien marquées ne feront
iences réalisées par la nature : l'observa- tion d'enfants nés sans cerveau et présentant les mêmes (1)Nous avons noté plus
éré comme une même source d'activité nerveuse toutes les régions du cerveau . Cet anencéphale estné après dix mois de gestat
ident qu'au premier abord, ces mouvements associés, en l'absence du cerveau , peuvent surprendre. La raison en est dans la t
rit. Nous sommes accoutumés à considérer l'individu comme un être à cerveau , et lorsque cet organe manque nous sommes porté
encéphale comme nous jugerions un être normal. L'anencéphale n'a ni cerveau , ni voies pyramidales, mais il possède des syst
ique, 139 ? p. 427,040. (4) 13E'I'CllrllE%%'. Voies conductrices du cerveau et de /aH ! 0 ? ? f. Lyon 1900,X-s4g p., fig.
humains, p. 1'10. - (3) Vox BETcIIr : nF.\\'. Xo'es condu trices du cerveau et de la moel- le. Paris, 1900, p. 178. 298 P
ions cérébraux. Ces gan- glions qui, avec le cortex, constituent le cerveau ont dans 1 évolution des fonctions de plus en p
out autre, ne (1) SoLOwrzorr. - Sur les difformités congénitales du cerveau dans leurs rapports avec les états des cellules
enfance. La conscience se présente comme un fait nouveau lorsque le cerveau et les voies motrices du nevraxe se constituent
un fait qui apparaît quelques jours après'la naissance, lorsque le cerveau peut réagir aux excitations externes ou interne
saines et étaient particulièrement infiltrés de tissu adipeux. Le cerveau (sauf l'encéphalite aiguë hémorrhagique dont le
ns l'esprit, se traduit par une série d'opérations à l'intérieur du cerveau qui lui corres- pondent ; ces opérations molécu
tribue à fixer dans l'esprit ce qui vient d'être appris. Mais si te cerveau se livre aussitôt après à un autre travail le jeu
que la persistance des groupes syllabiques qui ont impressionné le cerveau , la mise en train ou stimulus exercé par les tr
ion inopportunes des syllabes qui viennent d'être imprimées dans le cerveau , est attribuée par Muller à la persévérance des
paralysie générale est d'origine syphilitique : 1° par l'examen des cerveaux où les lésions de la paralysie géné- rale s'ass
de la dégénérescence. Ses misères, de ménage ont encore débilité ce cerveau surmené ; de sorte qu'on ne peut nier l'oeuvre
le a senli un empoisonnement dans le corps : « elle a senti que son cerveau coulait tout d'un coup dans sa gorge, et qu'ell
t une affection générale et simultanée des organes in- ternes et du cerveau , dans laquelle le foie est atteint avant toute
ite du réveil complet des centres corticaux. Test donc seulement le cerveau , à l'exclusion de tout autre nlémcnl. qui inlcr
es : des sensations brutes en rapport avec les étages inférieurs du cerveau et des sensations différenciées qui seu- les se
paralysie générale résulte de l'excessive tension, du surmenage du cerveau dans la lui le pour l'existence; syphilis, alcool
visible que les dégénérescences secondaires. - Rien d'anormal au cerveau . Tuberculose pulmonaire. Examen histologique. L
, au même âge. Bourneville. XV. Etude sur le cancer secondaire du cerveau , du cer- velet et de la moelle ; par les D'" U.
laire gauche mourut en asystolie avec des lé- ,ions du poumon et du cerveau . L. ? AHL. REVUE DE THERAPEUTIQUE "11. l. - T
130 gr., rein de 70 gr. et des lésions tuberculeuses du poumon. Le cerveau était de volume normal, l'encéphale pesait 1350 g
volume normal, l'encéphale pesait 1350 gr. L'examen histologique du cerveau fit constater des lésions des 'cellules nerveus
tre, le foie et les reins étaient de volume et de poids normaux, le cerveau également. , L'examen histologique du cerveau m
e poids normaux, le cerveau également. , L'examen histologique du cerveau montra des lésions du seul tissu neuro-épithéli
r le Dr Maere. Voir Hamon. Cancer. Etude sur le secon- daire du cerveau , du cervelet et de la moello, par Gallavar- d
es, par Sabrazès et Mura- tet, p. 244. Cérébhine. Voir l'oelvl. Cerveau . Voir Lésions. Con- tribution à l'étude des idé
, p. 409. 50G . TABLE DES MATIÈRES. Concrétions calcaires. Voir Cerveau . Confusion mentale. Voir Otite Sl £ PPU1'ée.
Weygiindt, p. 40. Lecture. Voir Troubles. Voir Tic. Lésions du cerveau et du cer- velet chez une idiote aveu- glp-né
65 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
originaux qui figurent au nombre des ' Pour les lésions en foyer du cerveau qui, selon toute vraisemblance. DE LA MALADIE D
année, n° G, p. ji8, dt9. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 41 Les qualités du mouvement sont : la rapidit
Neurologie, 1890, n° 60.) l'hystérie et les maladies organiques DU cerveau . 43 les observations suivantes : dans le premie
e nous savons qu'ont été observés des cas de maladies organiques du cerveau , lesquels, pendant longtemps, sont restés laten
i ont marqué le début déjà L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 45 névrose; dans le premier cas, ce sont les p
ervation dans son service. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 47 gagnant très bien sa vie et en n'ayant jama
droit. Pas d'altérations. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 49 Examen viscéral. Le coeur est légèrement hy
ues, thèse de Paris, 1888. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . SI inférieur, ne dépose non plus contre le dia
nt les signes d'une contu- L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 53 ' si.on très diffuse, on lui appliqua de la
ments à trouver les diffé- L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 55 rentes parties de ses membres gauches situé
complètes, t. IX, p. 134. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 59 3° L'absence de paralysie du facial ' ; 4
labié. (Sem. médic, 1887.) L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU . 61 phénomènes très nettement hystériques; de p
- Examen du 16 août 1892. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES. ORGANIQUES DU CERVEAU . 63 hystéro-traumatique. Il y a lieu ici de fai
ardi, 1887-1888, p. 111. 64 PATHOLOGIE NERVEUSE. - L'HYSTÉRIE ET LE CERVEAU . notre cas, cette doctrine nous explique encore
subjacente. Ces examens répétés- peuvent bien avoir cultivé dans le cerveau de B... l'idée d'une hémiplé- gie gauche. Cette
s puissions mou- voir nos membres. Lorsque l'influx moteur parti du cerveau s'est rétabli, nous sommes aptes à marcher de n
nt. de Belgique, 1891.) - Relation de l'autopsie d'un idiot dont le cerveau présentait : 1° une atrophie de la seconde circ
effets divers d'un même pro- cessus pathologique, évoluant dans le cerveau de l'enfant ou du foetus et donnant lieu à des
s et donnant lieu à des accidents différents suivant les régions du cerveau qu'il affecte. G. D. XI. Idiotie avec cachexie
que les lésions inflammatoires se localisent et que les parties du cerveau restées ou redevenues saines suppléent au fonct
ion A la QUESTION [des FIBRES externes d'association DE l'écorce du cerveau ; par W. DE 13ECHTEREW. (Neurolog. Cet- tralbl.
dans les extrémités centrales des carotides. Le sang afflue donc au cerveau et en dilate les capillaires. P. K. V. Du noy
mploi DE la méthode DE WOLTERS SUR LES fibres fines, DE l'écorce du cerveau ; par Tu. KArs. (JVeM ? 'OO.C<' ? ! <rtt/6&l
ples. Chez tous deux, de temps à autre, accès convulsifs. Poids des cerveaux : 120 et 780. Rachitisme du crâne, adhérence de
rticale au sein des gaines des vais- seaux et des cloisons, dans le cerveau au niveau du revêtement des ventricules, et mêm
ités et non des lésions récentes disséminées sur les méninges et le cerveau . Il n'est pas admissible de ratlacher ces altér
ctriques; ils suivent ces éléments jus- qu'à la cellule nerveuse du cerveau où, les mêmes conditions phy- sico-chimiques ex
leurs relations constatées entre les symp- tômes ou les maladies du cerveau . Ainsi, quand il existe des trou- bles de la ci
ussi de se rendre compte des variations de volume intermittentes du cerveau . Cet organe, par son expansion tirail- lant la
cobaye adulte est arraché; six semaines après, l'animal est tué, le cerveau est durci dans le liquide de Muller et traité p
1) le rapport des fibres des nerfs optiques aux diverses régions du cerveau , peuvent être envisagées comme centres primaire
e Dr G.-I. Rossolimo. Nouveau mode d'exploration des fonc- tions du cerveau . Ce mode est un mode combiné, il consiste pre-
consiste pre- mièrement dans l'ablation d'une partie quelconque du cerveau d'un animal, ce dernier survit jusqu'au dévelop
ne, que l'auteur emploie comme substances excitant les fonctions du cerveau . Voilà le résultat des observations : l'in- jec
ie sauve. Et aujourd'hui, elle est guérie de ses entailles, mais le cerveau étant toujours dé- rangé, on vient de l'interne
ui le caractérise surtout, c'est qu'il a besoin de marcher avec son cerveau , avec attention, par un effort cérébral, au lie
dème des paupières, bouffissure de la face, abaissement des forces, cerveau faible, faiblesses, vertiges à tomber, titubation
oint suffisants pour nous faire songer à une lésion irritative du cerveau (méningite chronique ou sclérose des circonvoluti
mal of insanity, 1891.) . B. XXI. Deux cas DE LÉSION traumatique du cerveau ; par le Dr DEWRY. Dans le premier cas, il s'a
u se rattachent à l'hyperexcita- bililé du système nerveux central ( cerveau -bulbe - moelle). Les troubles vaso-moteurs son
'auteur croit qu'il faut rattacher ces accidents à une affection du cerveau ; mais le cerveau ne présentait pas de lésions mac
il faut rattacher ces accidents à une affection du cerveau; mais le cerveau ne présentait pas de lésions macrosco- piques,
H, De la névroglie et de son inflammation dans le ramollissement du cerveau . Il s'agit d'un cas d'encéphalomalacie, dans le
qui n'est autre qu'un malade .atteint d'une affection chronique du cerveau , fait partie de la pathologie cérébrale. Elle e
idiotie est une introduction naturelle il celle de la pathologie du cerveau , puisque cette affection représente la vivisectio
ra dans le récent ouvrage de Saclls, sur la suús-- tance blanche du cerveau colorée par la méthode de Pal. M. Il. Sacs, en
ode de Pal. M. Il. Sacs, en présentant des préparations d'écorce du cerveau , signale la modification apportée à la colorati
questions n'ont rien à faire avec le fonctionnement organique du cerveau . La responsabilité ne regarde pas davantage le mé
ale (Nell1'olog. Centrnlbl.,1892) t. En soumettant des fragments de cerveaux , durcis préalablement dans l'alcool, à l'action
'en agissant sur de petites pièces : tubercules quadriju- meaux, ou cerveaux de petits animaux, antérieurement revêtus d'un
d'une courte note de M. Giacomo sur la microcéphalie. § VIII. LE cerveau dans la microcéphalie ; par le . Dr Giacomo. (T
au système nerveux. Cette condition n'est pas seulement limitée au cerveau . 11 y a aussi la micromyélie. Le système nerv
ique susceptible d'être produite par un arrêt de développement. Les cerveaux appartiennent tous au type humain, variant suiv
p. 131, 316 et 330. 1 DU TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'IDIOTIE. 297 cerveau qui est au-dessous de celui d'un adulte normal ju
énération des cellules nerveuses dans des portions particulières du cerveau , les suites d'une maladie étendue. Shrimple a d
re était complètement fermée, et de là, l'arrêt de développement du cerveau . M. le D'' Broome dit qu'il croyait que l'opéra
se fera plus rapidement, avec plus de sûreté et sans danger pour le cerveau du malade. M. le Dr BAUDUY dit que son ami, le
l'amélioration de l'intelligence de l'enfant. Après l'opération, le cerveau aura la facilité de se développer, et nous conn
ement établi que la dure-mère se fait elle-même au développement du cerveau ; et le crâne ne fait-il pas de même ? Est-ce qu
du système cérébral ? S'il nous était possible de connaître que le cerveau de l'enfant croissait d'une façon normale, et q
organes cérébraux, l'opération sera un insuccès. Si la nutrition du cerveau est normale, ainsi que son développement, comme
façon anormale et prématurée ? Et même fussent-elles fermées, le cerveau ne devrait-il pas trouver un moyen de se faire lu
ce défaut ? le crâne se familiarise généralement à la croissance du cerveau . C'est ainsi que le fait se produit pour les cara
arche titubante non spasmodique se rencontre dans les affections du cerveau et du cervelet, dans la maladie deMénière; spas
et leurs conséquences, thromboses et ramollissement - névrosique du cerveau . Il insiste en particulier sur les paralysies d
e monter l'escalier. Laissez, dit le cousin qui le suivait. Il a le cerveau faible mais je réponds de tout. M. Follet gra
son lit, dans la chambre voisine. Moreau, atteint d'une maladie de cerveau , a profité de l'absence de ses six enfants pour
ivé à son neveu a éveillé, consciemment ou inconsciemment, dans son cerveau , l'idée de paralysie bra- chiale. Cette idée a
ulaire est très peu prononcée. Une lésion organique de "l'écorce du cerveau (centre du bras) est encore plus improbable 'pa
su nerveux normal : il serait intéressant de rechercher si, dans le cerveau des aliénés, la propor- tion de cholestérine es
ppement un rapport de concomitance, à l'ar- rêt de développement du cerveau en totalité s'étant associé un ar- -rêtplus mar
ice (Congrès de Londres, 1881; en anglais); - Tu- meurs et abcès du cerveau , en collaboration avec le Dr KRISIIABE]T (llict
alité. Tous les phénomènes psychologiques qui se produisent dans le cerveau ne sont pas réunis dans une même perception per
IE MENTALE. 467 - Dans l'état de sommeil profond, les vibrations du cerveau qui n'est jamais inactif sont assez faibles pou
ints comparable à l'état de veille sauf que certaines vibrations du cerveau et les idées qui leur conespondent sont moins f
ont moins fortes, par suite d'une diminution de l'afflux du sang au cerveau . Il en résulte une rupture d'équilibre entre no
des idées chez le mélancolique ou l'halluciné vient d'une anémie du cerveau . Réta- blissez la santé physique du malade et l
théorie des rapporteurs, mais qui se produisent par l'entremise du cerveau et sont de nature hystérique. II. M. W. l\IOU
'. Présidence de M. GERSTENBERG. M. ROLLER. Lésions du crâne et du cerveau chez les aliénés. Il s'agit d'un certain nombre
iété des photogra- phies qui représentent des coupes transverses du cerveau grossies à la loupe. M. KAIIL]3.IUM. Un cas d
oit être considéré non comme une affection psychique acquise par un cerveau bien développé, mais comme une sorte de malform
; aphasie, et qui n'était autre chose qu'une affection organique du cerveau d'origine proba- blement syphilitique. (Allg. Z
e, par Hospital, 381. CÉPHALIQUE, traumatisme par Thomsen, 281. Cerveau , fibres d'association de l'écorce du -, par Bec
ystérie , diagnostic différentiel avec les maladies organiques du cerveau , par Ghilarducci, il ; - simulant la gliomatose
66 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue à la présence du microbe lui-même. C'est pourquoi, à l'examen du cerveau et du liquide céphalo-rachidien d'un grand nomb
ons les lésions spinales de la dé- mence précoce ; It comme dans le cerveau elles sont remarqua- REVUE D'ANATOMIE ET DE P
stes de profession. A l'autopsie on rencontrait, disséminés dans le cerveau , le cer- velet et le méscncéphale, de gros tube
on d'aucune de ces causes, mais hien le résultat de 2 facteurs : un cerveau prédisposé et un état organique réa- lisé à la
er un délire. La mélancolie apparaît comme le retentissement sur un cerveau prédisposé de certains (roubles organiques cara
6. Comparaison entre les différents ef- fets de la syphilis sur le cerveau , ayant trait à la capacité de tra- vail plus ou
e et mas- quant le plancher du quatrième ventricule. La cavité du cerveau postérieur est en outre beaucoup plus éten- due
cùté gauche ; le bord FiG. 8. Déformation de la face inférieure du cerveau due 1 l'asv- métrie du métencéphale, Le lobe te
AGENESIE CEREBELLEUSE. 75 LV), a représentée dans son Anatomie du cerveau de l'homme, où il donne aux plicatures de la pr
rement réduite dans ses dimen- , sions. « Le lobe postérieur du cerveau était très manifestement plus volumineux à droi
» L'examen microscopique, lon- guement rapporté par les auteurs, du cerveau postérieur et des pédoncules cérébraux, dénota
taient absolument normales iL l'oeil nu ; l'examen macroscopique du cerveau rhomboïdal, sur des coupes espacées de quelques
dans l'hémisphère unique. Pourtant, dans le cas d'rlndrltl, oit le cerveau et les méninges ne présentaient rien d'anormal,
ins en grande partie, car la forte dé- viation à gauche de l'axe du cerveau postérieur corri- geait en partie l'asymétrie d
les lésions du fond de l'oeil évoluent parallèlement aux lésions du cerveau .» ·> Les troubles pupillaires sont très nets
ce sont des états mentaux dépendant non seulement de la sénilité du cerveau mais encore d'altérations hépatiques et surtout
ltérations hépatiques et surtout thyroïdien- nes et agissant sur le cerveau par l'intermédiaire de la cir- culation. Le p
d'allonger à l'excès mon rapport, dont le cadre m'était fixé. Le cerveau sénile ; Rapport présenté par nI. le Dr Léri.
ans tous les cas, il n'existe pas d'organe sénile et no- tamment de cerveau sénile, sans lésions'. Les lésions de tout orga
nces organiques. II. Etude anatomique. Dans l'étude anatomique du cerveau sénile, nous avons étudié d'abord le cerveau en
l'étude anatomique du cerveau sénile, nous avons étudié d'abord le cerveau en lui-même, dans son aspect extérieur et intér
u artificiellement, pour les étudiera part, les lésions en foyer du cerveau sénile qui sont le résultat fréquent, mais non
des lésions diffuses, spécialement des lésions vasculaires. 1° Le cerveau sénile ATROPHIQUE.- A) Etude macrosco- pique. -
1° Le cerveau sénile ATROPHIQUE.- A) Etude macrosco- pique. - Le cerveau sénile est presque toujours un cer- veau petit
s diminués. L'atrophie ne porte pas de façon uniforme sur tout le cerveau , mais de façon très prédominante sur les partie
souvent épaissie, mais, d'autres fois, par- ticipe à l'atrophie du cerveau . Les cavités ventriculaires sont très dilatées
gaines vasculaires. Le cervelet prend parfois part à l'atrophie du cerveau , mais son atrophie n'atteint pas le même degré.
r les démences sénile et paralytique ; elle existe aussi dans les cerveaux de séniles non déments. La dégéné- rescence des
nt pas non plus analogues dans les dif- férentes parties d'un- même cerveau , ni même dans les vaisseaux les plus voisins. L
ent incomplet », tel que ceux de 1' « atrophie artério-scléreuse du cerveau »,de l' « encéphalite chro- nique sous-cortical
les et des fibres nerveuses. ' 2° Les petites lésions en FOYER DU cerveau sénile. Deux variétés de petites lésions en foy
nt ou paroxystique de véritables «clau- dications intermittentes du cerveau ». Ce sont surtout le vertige,des céphalalgies,
rtels. Les artério- scléreux lacunaires meurent plus souvent par le cerveau que par les reins ou par le coeur. Les parapl
nts paraissent résulter d'une intoxication ou toxi-infection sur un cerveau déjà CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEURO
, représentent une des formes de la « claudication intermittente du cerveau » et se font surtout remarquer par leur caractè
n séduisante d'envisager,dans son ensemble, la question complexe du cerveau sénile. C'était de considérer d'abord les troub
réflexes, etc., et, cela fait, d'envisager les lésions multiples du cerveau sénile,pour ten- ter enfin une superposition de
a également quelques lacunes dans l'exposé clinique de M. Léri. Le cerveau sénile traduit sa sénilité non seulement par de
e et simple résultant d'une obli- tération artérielle. Dans tout le cerveau d'un dément sénile, au niveau des foyers chez l
s deux aspects très dif- férents. Elle est diffuse, englobe tout le cerveau ; cette diffu- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTE
outir à la formation lacunaire. Au contraire, dans une catégorie de cerveaux séniles, celles qui a été plus spécialement vis
iomphe avec le secours de toutes les causes de la sénilité. Dans le cerveau qui suc- combe, un élément semble doué d'une pu
d'une façon systématique, chez plu- sieurs malades, la moelle et le cerveau sur de nombreuses coupes microscopiques, ont ét
r abord, ne lui a pas paru réalisable pour l'ensemble de l'étude du cerveau sénile; c'est encore un idéal vers lequel doit
mie à propos de l'étude clinique.S'il n'a pas com- mencé l'étude du cerveau sénile par la description de la déchéance menta
eau sénile par la description de la déchéance mentale, c'est que le cerveau est, non seulement l'organe de la pensée, mais
e l'ectoderme de gros cordons cellulaires réunis d'une part avec le cerveau postérieur, et d'autre part avec un prolon- R
normale dans les premiers temps de la vie ex- tra-utérine, quand le cerveau est en voie de rapide développe- ment, limite l
cérébral correspondant à la localisation morbide, mais en- core du cerveau tout entier..1. SKGLAS. XV111. La toxicité du s
ate avant de monter au Baume. 2" Méthode surtout utilisable pour le cerveau et le cervelet. Action de la piridinependant3o
traduisons notre façon d'envisager l'abâtardissement originaire du cerveau , ne doit pas faire préjuger d'une réaction uniq
l'aspect bien connu du rein infectieux. Organes encéphaliques. Le cerveau pèse un kilog. : l'hémis- phère droit pèse 503
ononcé (micro- céphalie familÍj1le), ainsi que les photographies du cerveau de l'un d'eux. Les observations, rédigées en co
aordinaire activité de la prolifération névroglique. Les lésions du cerveau et du bulbe frappentpar leur ressemblance avec
e foudroyante de la déchéance mentale due à la faible résistance du cerveau qui n'a en- LA FOLIE GÉMELLAIRE. 243 core a
identique.qui n'a pu s'ac- quérir qu'au moment du développement du cerveau dans le sein de la mère. Si les deux jumeaux ét
ein de la mère. Si les deux jumeaux étaient venus au monde avec des cerveaux normaux et n'avaient acquis leur prédisposition
l'un sur l'autre, grâce peut être à la dystrophie communiquée du cerveau paternel, leurs mêmes tendances à la vésanie vo
ent guéris. C'est qu'en effet la guérison n'est qu'apparente, et le cerveau de ces malades est encore imprégné d'alcool alo
mettre qu'il y ait réellement dé- mence, c'est-à-dire incapacité du cerveau à acquérir de nou- velles notions ou à récupére
Neurologie, 1906, n° 2.) Se basant sur l'examen histologique des cerveaux de huit ma- lades atteints de démence précoce,
logique des cerveaux de huit ma- lades atteints de démence précoce, cerveau où prédominaient des altérations des neurones e
vant à l'état latent. .1. SÉGLAS. XLVII. Quelques détails sur les cerveaux de Mommsen, Bunzen et Menze ; (,IIitteilu22gen
t Bacll, de la Soc. de nxéd, ment, de Belgique, 1906, n° 128). Le cerveau de Mommsen pesait 1.425 grammes, malgré l'atro-
sphères d'association, mais ici principalement des postérieures. Le cerveau de Menzel ne montre pas de trace d'atropliie et
plus aucune importance : c'est ce que dé- montre v. II. à l'aide du cerveau d'un homme qui n'était pas précisément intellig
autopsie, on ne constata macroscopiquement aucune lésion notable du cerveau , mais l'examen histologique décela une dégé- né
ul pour la taille. Les troubles qui retentissent sur le volume du cerveau et par suite sur la forme du crâne peuventne pa
ation blanchâtre et de consistance ferme. Sur la face inférieure du cerveau , on remarque une dé- pression cupuliforme, dans
phère gauche une tumeur symé- trique un peu plus petite. Hauteur du cerveau : 10 cm. 5 ; longueur 16 cm. 5. ~ Epaississem
e Neurologie, 1903, l, 2" série, l. xn, p. 2,i2.) ; C'est, avec les cerveaux et les glandes thyroïdes que nous leur avions d
rcu- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 463 lose viscérale et sur le cerveau un exsudât fibrineux à la surface des circonvol
res, la pie-mère est un peu plus vasculaire que de coutume. Rien au cerveau , pas d'hydrocéphalie \ entl'iculaire ni méningi
ils sont solitaires chez l'adulte. Souvent ils coexis- tent sur le cerveau et le cervelet. Dans le cas des auteurs le foyer
e. Les malades du deuxième groupe ont de la méningo-myélite, leur cerveau n'est pas toujours indemne. A côté des signes m
superstition existerait donc à l'état d'élément inconscient dans le cerveau normal et c'est le dévelop- pement complet des
ermes, ces tendances mystiques, qui restent inconscientes « dans le cerveau sain, prendront, par le seul fait de l'isolement,
délires, la réapparition d'une supers- tition subconsciente dans le cerveau développé (Meynert) ce qui revient à dire que «
iée par Forci par le rapport du lobe lrontal avec le reste du grand cerveau : 42/100 chez l'homme, et 41,3/100 chez BIBLI
e delà volonté. L'appétit sexuel ap- partient à l'activité du grand cerveau ; l'amour y est produit par l'irradiation de l'
n, avec celle de l'alcool, constitue un brigandage social : dans le cerveau de la femme la sexualité joue un rôle immense.
recherches sur le liquide - par de Buck et Deroubaix, P- 389- Cerveau . Le sénile, par Léri, p. ni. I. Cervelet. Fon
, p. 171 1 - . Voir Sclérose. Mommsen. Quelques détails sur les cerveaux de -, Bunzen et Menze, par von Hansemann, P,
67 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Influence des mouvements de notre appareil sur les mouvements du cerveau et du liquide céphalo-rachidien. - -Au mois de
Très prochainement, nous allons reprendre l'étude du déplacement du cerveau et du liquide cé- DU VERTIGE MARIN. 17 phalo-
s pas pu étudier l'influence du balance- ment sur les mouvements du cerveau et du liquide céphalo-rachidien, car les appare
ions du li- quide céphalo-rachidien et de l'anémie conséquente du cerveau . Nous en parlerons plus loin. Quant à la théorie
pathologique macros- copique et microscopique dans les maladies du cerveau , du bulbe et de la moelle. Pour bien concevoi
vision en systèmes des différentes ré- gions à fonctions connues du cerveau et de la moelle, on peut déterminer suivant l'e
ulpian, la systématisation anatomo-physiologique et pathologique du cerveau et de la moelle épinière. A cet effet, nous dev
étude anatomo- clinique 40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des maladies du cerveau et de la moelle ' ; 2° Y expérimenta- tion phys
thode anatomo-cli- nique dans la détermination de la topographie du cerveau et de la moelle. Tout en marchant de front par
'e. Tillaux. Traité d'anatomie chirurgicale.- Horsley. Chirurgie du cerveau . Bi,ilish médical Association, 54e réunion annu
physiologique, qui prime ici pour l'étude des fonctions motrices du cerveau la démons- tration anatomo-clinique. On doit di
st la date des premières recherches sur les fonctions motrices du cerveau . Le centre cortical des mouvements du membre supé
t. Deelt. 18. François Franck. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau (Réactions volontaires et organiques) et sur l'
1882. (Expérimentations pendant l'intervention chirurgicale sur le cerveau humain.) Voir le résumé des résultats obtenus p
trent qu'il y a similitude complète entre la topographie motrice du cerveau de l'homme et des singes supérieurs (Macacus sini
tion à l'élude des localisations dans l'é- corce des hémisphères du cerveau . (Rev. mens, de méd. et de c/t ! ) ? 1877.) Nou
s, 1881, 1 Exner. Recherches sur les localisations des fonctions du cerveau de l'homme (Vienne, 1881). In loc. cit., p. 43.
a calatonie en général parmi les psychoses se dévelop- pant dans un cerveau « invalide ». D'ailleurs, la recherche de l'hys
- cence miliaire excepté dans la protubérance et les vaisseaux du cerveau , avec des signes de dénutrition de la substance b
corps strié, de la capsule interne et de la substance médullaire du cerveau ; dé- générescence partielle du pédoncule corre
s avoir complètement séparé par la section un pédoncule cérébral du cerveau , conserver des chiens en vie pendant plusieurs
. Abandonné à lui-même, le chien dont on a par la section séparé du cerveau le pédoncule cérébral gauche, exécute de fréque
ées et instituées, en soumettant pendant un temps assez prolongé le cerveau des animaux à la force centrifuge par une rotat
rmettent de traiter de l'influence réciproque de l'accroissement du cerveau et des os du crâne. Voici, par exemple, chez un e
ongénitales ou datant de la première enfance, sur certains lobes du cerveau et du cervelet ont entraîné un arrêt de dévelop
es du même acabit prouvent que l'accroissement du crâne et celui du cerveau s'influencent réciproquement, et que la forme d
s osseuses, que d'anomalies pri- mordiales dans le développement du cerveau . M. STILLING présente les préparations anatomiq
à cet égard parce que, à l'époque embryolo- gique envisagée ici, le cerveau antérieur (sens embryologique) con- tient déjà
fibres à myéline. Chez ces divers animaux, la partie principale du cerveau antérieur se compose uniquement du corps strié
on trouve une commissure qui unit les deux faisceaux basilaires du cerveau antérieur : tel est le nom que M. Edinger donne
donne aux trousseaux issus du corps strié. Ce faisceau basilaire du cerveau antérieur a été jusqu'ici rencontré chez les re
ale où l'on constate une dégéné- rescence diffuse. Il s'agissait du cerveau occipital d'un paralytique général qui présenta
ital d'un paralytique général qui présentait en plusieurs places du cerveau de ces dégé- nérescences diffuses de fibres ner
énéraux ; 3° moments étiologiques individuels. 4 Prédisposition. Le cerveau plus développé des hommes civilisés est, par so
le mode hémiplégique, et peut simuler l'hémiplégie par lésion du cerveau ; les indications du diagnostic différentiel sont
que supposent les auteurs, consiste en conges- tions passagères du cerveau et de la moelle épinière, se présente cliniquem
degré « consiste en une hémor- rhagie. qui a lieu en même temps au cerveau et à la moelle épinière et amène la mort soit i
tout entière se concentra à cette idée du danger, ce qui empêcha le cerveau de réagir contre l'influence de tangage et de m
fini et enfin pénètrent à l'état capillaire dans la subs- tance du cerveau et de la moelle. Lorsqu'on a enlevé le liquide
37°, alors on voit survenir les résultats de la compres- sion du cerveau . Étudions maintenant l'influence de la circulat
les respirations forcées. Pendant la systole cardiaque, le sang du cerveau étant augmenté, le liquide céphalo-rachidien de
us intéressantes pour notre étude, nous voyons que les vaisseaux du cerveau se divisant en capillaires dans la pie-mère, où
traire, pendant les expirations, surtout les forcées, il remonte au cerveau . Considérons maintenant comment M. Autric a e
halo-rachidien animé d'une impul- sion, considérable reflue vers le cerveau ; de là un obstacle à l'accès du sang vers l'enc
hidien. Cette promenade du liquide amène le trouble circulatoire du cerveau , d'où les symptômes du vertige sur un terrain p
e avec une grande vitesse, il comprime les vaisseaux capillaires du cerveau et provoque ainsi l'anémie cérébrale. Cette chu
cervelet se comprime aussi et subit par les mouvements brusques du cerveau un ébranlement et un léger tiraillement, qui se
eur ; en même temps, nous avons l'ébranlement et le tiraillement du cerveau , et surtout du cervelet et de ses pédoncules cé
de cognac, qui agit en excitant la circulation et congestionnant le cerveau ; mais il ne faut pas en abuser, car l'alcool e
taire. Thymus persistant. z Adhérences de la dure-mère. Atropine du cerveau et surtout de 1 Voy. Archives de Neurologie, vo
be durcis dans l'alcool. Moelle durcie dans le liquide de Muiler. Cerveau droit. Portions atrophiées. Substance grise. Ces
graisseux qui paraissent dus à l'action de l'alcool sur la pièce. Cerveau . Hémisphère gauche. Il existe dans le lobe fronta
cérébral droit qui pèse 50 grammes de moins que le gauche; aussi le cerveau ne recouvrait-il le 248 CLINIQUE NERVEUSE. - DE
, nous commençons la lecture du trajet des faisceaux blancs dans le cerveau et dans les cordons de la moelle. 1° Faisceau
ne corticale motrice 2. ' F.-Franck, fe. sur les fonct. motrices du cerveau , Paris, 1887. Le- çons XXVII et XXVIII. 1 Le
culté d'un développement vraisemblablement proportionnel à celui du cerveau antérieur) volonté de répression des impulsions
tion l'é- cheveau de fibres blanches rayonnantes de cette région du cerveau et concevoir le trajet respectif des différents
ystème de conducteurs indépendants, reliant la surface excitable du cerveau aux organes cellu- laires moteurs du bulbe et d
e qu'un groupe musculaire2. » 1 Fr.rFranck. Fonctions motrices du cerveau . Leçons XXVII etXXVIII. In loc. cit. ' Fr.-Fr
., n° 14, 19, 20, 1879.) Brissaud. De la con- Fonctions motrices du cerveau , Paris, 1887. (Pour l'historique de la question
au-dessous du noyau rouge de Stilling. De telle sorte que, dans le cerveau , les fibres centripètes pa- raissent être de de
es cada- vériques. , Les os du crâne, ainsi que les enveloppes du cerveau ne semblent présenter aucune altération patholo
terstitielles; faible lésion du parenchyme. Intégrité des nerfs, du cerveau et de la moelle au-dessus des parties atteintes;
x des plus dégénérés. p. Ici. Vil. UN CAS DE GOMME DE L\ \. BASE DU CERVEAU AVEC LÉSION DU CHIASMA des nerfs optiques; par
vrée aux quatre vents de la publicité-, germe sûrement dans quelque cerveau mal équilibré. Est-il besoin de rappeler, par e
t d'une dureté cartilagineuse. Nous ne retiendrons de l'examen du cerveau que les faits sui- vants : la dure-mère au nive
ation de certains points de l'encéphale sont liées à des lésions du cerveau et l'on constate dans l'intervalle des accès de
psie procursive, on procède à un examen minutieux, non seulement du cerveau , mais encore et surtout du cervelet qui, très s
ses comme les points osseux qui servent d'insertion aux muscles. Le cerveau n'avait point d'autre lésion que l'atrophie des
s convulsions provoquées far l'excitation électrique DE l'écorce du cerveau ; par Th. Zieiien. (.17-eh. f. Psych., XVII, 1.)
al. Sans doute, en bien des cas, elle se loca- lise surtout dans le cerveau antérieur, c'est-à-dire dans les hémis- vos. Ar
é. Congestion des bases et des bronches. Pie-mère congestionnée. Le cerveau pèse 1,350. La' substance SOCIÉTÉS SAVANTES. 45
e blanche. L'auteur a pris des moyennes. Il a trouvé que : Sur un cerveau normal la couche des grandes pyramides présente d
temporale gauche 1,3 cellule ronde pour 1 cellule nerveuse. Sur le cerveau de cette malade, elle présente dans la même tempo
e malade, elle présente dans la même temporale 1,8 pour 1. Sur un cerveau normal la couche des grandes pyramides présente d
, frontale gauche 1,4 cellule ronde pour 1 cellule nerveuse. Sur le cerveau de celte malade, elle présente dans la même front
es, elles se colorent moins par les couleurs d'aniline que dans les cerveaux normaux; leur noyau est moins nettement limité, l
ent limité, le nucléole moins brillant. M. B.1RT1;LS.Du poicls du cerveau chez les aliénés1. Publié in extezzso. M. 0. Sn
hose d'analogue à ce qu'il y a chez l'homme ? Peut-on saisir sur le cerveau plus ou moins fruste des mammi- fères quelque i
de la fonction. Pour l'établir, il se base sur les descriptions des cerveaux de Cuvier, Asseline, Assézat, Condereau, Bertil
cal, 11- 30, p. 611, 1886, un irticle q(ie nous avons publié sur le Cerveau , de Gambelta, d'après la desciiptiou du nolro c
ATIERES. Convulsions par l'excitation élec- trique de l'écorce du cerveau , par Zirhen, f34. Cordo ! .spos)6tieurs (pers
n, 321. Gliomatose médullaire, par Roth, 23, 195, 395. Gomme du cerveau avec lésions du chiasma optique, par Siemerlin"
68 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
rendre manifeste celte indépendance fonctionnelle de chaque moitié du cerveau ; 2° En agissant simultanément sur les deux hém
ce qui est objectivement observable, et ayant notamment comme moi un cerveau , je suis, dis-je, invinciblement entraîné à croir
nciblement entraîné à croire, à conclure par voie d'induction, que ce cerveau des . autres est, de même qu'est le mien, le sièg
emblables, et notamment d'un organe nerveux qui est l'analogue de mon cerveau , mais auxquels, en même temps, mon moi reste étra
ral ou quasi-cérébral, et d'un centre psychique ou moi propre dans ce cerveau ou manière de cerveau. Cette affirmation de l
et d'un centre psychique ou moi propre dans ce cerveau ou manière de cerveau . Cette affirmation de la constitution pohyzoï
seignement, que les centres nerveux de l'axe rachidien sont autant de cerveaux secondaires ayant sensibilité, intelligence et vo
je la rapporte à l'un de ces centres psychiques secondaires dont les cerveaux respectifs sont échelonnés tout le long de l'axe
rique, ou, en d'autres termes, quand une idée est bien ancrée dans le cerveau , la suggestion reste impuissante. Il faut, ici,
suggestion ou reproduction d'actes dont l'idée a été éveillée dans le cerveau par la parole ou l'écriture, en d'autres termes p
t à leurs passions et sont moins raisonnables. Il y a, dans notre cerveau , certaines cellules déterminantes fortement empre
es médecins doivent être prudents pour ne pas s'exposer à troubler le cerveau de leurs malades, comme si fréquemment les hypnot
e s'est enrichi de dons importants qui lui ont été faits par M. Luys ( cerveaux , photographies du cerveau, miroirs, etc.... schém
ortants qui lui ont été faits par M. Luys (cerveaux, photographies du cerveau , miroirs, etc.... schémas); par M. Tramond (moula
es du cerveau, miroirs, etc.... schémas); par M. Tramond (moulages de cerveaux et de pièces anatomiques); par M. Talrich (modèle
ges de cerveaux et de pièces anatomiques); par M. Talrich (modèles de cerveaux et de pièces anatomiques) ; par M. Ch. Verdicr (I
, doucement et avec insistance, de façon à les faire pénétrer dans le cerveau , et cela en prolongeant le sommeil pendant plusie
es. La plupart étaient des émotifs, en effet, mais s'ensuit-il que le cerveau émotif soit un cerveau dégénéré et que les accide
des émotifs, en effet, mais s'ensuit-il que le cerveau émotif soit un cerveau dégénéré et que les accidents auxquels il est exp
xposé soient la conséquence de sa constitution plus fine que celle du cerveau ordinaire ? Un étalon est plus nerveux qu'un chev
ue injection. Il semble que l'activité cérébrale soit excitée et le cerveau travaille sans et même malgré la volonté. Les hal
mendax, est-il l'expression d'une impulsion existant dans beaucoup de cerveaux à l'état latent? 11 faut croire que le législateu
'idée obsédante qui semble n'avoir attendu pour se développer dans ce cerveau prédisposé, que l'occasion de troubles quelconque
le Dr Gaube (du Gers), fera une conférence sur : La minéralisation du cerveau . Jeudi 7 Janvier, à cinq heures, M. le Dr Béril
pitaux, fera une conférence sur : L'anatomie des régions centrales du cerveau . (Préparations et dissections. — Pièces de démons
oit de la périphérie : réflexe ascendant. Les excitations venues du cerveau antérieur sont les processus psychiques, idées, s
s ou sexuelles, souvenirs voluptueux, etc.. Les excitations venues du cerveau postérieur sont celles qui résultent des organes,
istraits, lui et moi, pour que la communication se fit entre nos deux cerveaux . On l'introduisit dans la salle de nos séances où
e Traube, du poids de 510 grammes, et des lésions inattendues dans le cerveau . En effet, dans l'un et l'autre hémisphère, sym
Jo Dp Gaube (du Gers), fera une conférence sur : La minéralisation du cerveau . Jeudi 7 Janvier, à cinq heures, M. le Dr Béril
pitaux, fera une conférence sur ; L'anatomie des régions centrales du cerveau . (Préparations et dissections. — Pièces de démons
ue bien le mouvement complexe consécutif à une sensation unique. Le cerveau peut exécuter des actes semblables aux actes réfl
habitude est venue, le courant centripète, qui a d'abord passé par le cerveau , s'arrête à la moelle pour déterminer les mouveme
pitaux, fera une conférence sur : L'anatomie des régions centrales du cerveau . (Préparations et dissections. — Pièces de démons
déshabillées, hommes audacieux, légendes plus audacieuses encore. Le cerveau encore jeune s'imprègne d'images graveleuses, che
r amener des mesures coercitives contre la presse. Or, depuis que les cerveaux suggestionnâmes ne peuvent plus lire de déclamati
nt de vue mental. La maladie débuta, il y a 15 ans, par un rhume de cerveau avec fièvre, sensation d'engourdissement de la tê
en calmant l'hyperactivité morbide des centres nerveux, en isolant le cerveau des causes d'excitation inutiles ou nuisibles, en
. Vous ne le pouvez pas. Eh bien ! je crée un cran d'arrêt dans votre cerveau . Chaque fois que vous voudrez vous ronger les ong
qui vaut mieux encore, les paroles que vous voulez graver dans votre cerveau . Vous parlez au présent, ne disant pas : « Je veu
aux mouvements de la main droite sont placés dans la moitié gauche du cerveau , et que les mouvements de la main gauche sont pro
qui existe chez tous à l'état latent ; il faut qu'ils habituent leur cerveau à rompre l'harmonie qui unit entre eux les centre
tat d'engourdissement, de somnolence. Nous subissons le charme. Notre cerveau , las d'être toujours sur la défensive, ouvre ses
e action inductive, analogue à l'induction électrique, il transmet au cerveau du suggestionné toutes les forces dont il est lui
st le même. II s'agit d'une idée qui, après avoir été acceptée par le cerveau , s'est transformée en acte. Quand cet acte tend à
372 p. Carré, 3, rue Racine. Paris, 1896. Df Luys. — Collection de cerveaux momifiés (Catalogue d'une). Broch. in-40, 52 p. C
e très curieuse qui figurait à l'Exposition de Genève, c'est le grand cerveau de Buchi (de Berne) dans lequel se trouvent figur
decin en chef des asiles publics d'aliénés de la Seine. L'action du cerveau , l'influence du moral, comme auraient dit nos pèr
ce très curieuse qui figuraità l'Exposition de Genève, c'est le grand cerveau de Buchi (de Berne) dans lequel se trouvent figur
3'/2 p. Carré, 3, rue Racine. Paris, 1896. Df Luys. — Collection de cerveaux momifiés [Catalogue d'une). Broch. in-4«, 52 p. C
attachant à des événements antérieurs bien faits pour laisser dans le cerveau du sujet une impression profonde et durable. Ai
mière. Quant à celle-ci, elle est le prolongement d'une sensation. Le cerveau est un lieu de passage. Toutes ces théories, co
de M. Bousquet. Académie de Médecine (Séance du 12 juin 1855.) Le cerveau est un lieu de passage où, sans préjuger du séjou
. le Professeur Bernheim établit une distinction schématique dans le- cerveau entre un étage supérieur dévolu aux facultés du c
al. Le premier a une action modératrice sur le second, de même que le cerveau modère l'automatisme spinal. Les excitations qui
es, l'émotion a, cette fois, un caractère morbide qu'elle emprunte au cerveau qui l'a enregistrée. Ce sentiment tardif patholog
e sensation visuelle, auditive ou autre, une idée est acceptée par le cerveau , si la crédivité, inhérente à l'esprit humain (Be
st pas contrebalancée par la raison. L'introduction de l'idée dans le cerveau et son acceptation par lui, telle est la suggesti
l'individualité. « L'idée ou la sensation première est mûrie par le cerveau et, celui-ci, par une élaboration inconsciente da
cularise l'impression élaborée, devenue idée, suggestion. « Autant de cerveaux , autant d'aptitudes, autant de suggestibilités di
alité diversifiera ces troubles. Ainsi toute impression arrivant au cerveau est suggestive ; la suggestibilité individuelle n
ggestibilité individuelle n'est autre chose que la réaction de chaque cerveau aux diverses impressions. Et ce mécanisme idéo-dy
s. Et ce mécanisme idéo-dynamique est subordonné à la conformation du cerveau ; il est variable avec l'individualité cérébrale.
x Nordau. Toute éducation, tout enseignement est une suggestion. Le cerveau non encore développé de l'enfant se forme d'après
étudier l'âme populaire doit le faire non dans la masse, mais dans le cerveau de ses chefs. Ce qui réellement est organique
une représentation qui, avant lui, n'a jamais été combinée dans aucun cerveau . Comment tentera-t-il d'exprimer cet état nouveau
e cet effort des hommes exceptionnels originaux, pour transmettre aux cerveaux de la foule des représentations nouvelles à l'aid
cience, est un puissant obstacle de la transmission de la pensée d'un cerveau génial aux cerveaux de la foule. Celle-ci incline
sant obstacle de la transmission de la pensée d'un cerveau génial aux cerveaux de la foule. Celle-ci incline nécessairement à co
ront plus par des symboles conventionnels, mais directement. Alors le cerveau original n'aura plus besoin du mot pour communiqu
erveau original n'aura plus besoin du mot pour communiquer à d'autres cerveaux ses mouvements moléculaires ; il suffira peut-êtr
e Otto Pœhler. Faut-il craindre pour lui ces fameux « transports au cerveau » dont les mères ne parlent qu'avec terreur ? Et
à l'ordre mental, soit qu'elle appartienne à l'ordre physique. Or, le cerveau reçoit beaucoup d'impressions, qui influencent co
69 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
s qui sont reliées en volume, chaque année, les photographies des cerveaux , qui formcnt aujourd'hui 7 Albums (1). II. En
ssette transparente de la longueur de la pulpe de l'in- SCRITION DU cerveau . 15 dex. Au niveau de la base du crâne, les fos
doublée sur pres- Bourneville, Bicêtre, 1890. 2 18 Description DU cerveau . que tout son parcours. La deuxième frontale, m
cérébrales n'ont pu être étudiées par suite de la con- servation du cerveau dans l'alcool. Les plexus choroï- diens des ven
rachéaux, de la pie-mère. ,- Tubercules assez nombreux z la base du cerveau . OEdème de la pie-mère, Liquide céphalo-rachidi
ale. La pie-mère est oedématiée. épaissie à la face infé- rieure du cerveau et couverte, surtout en cette région de granula
iquide céphalo-rachidien. Pas de lésions en foyer. Description DU cerveau . 77 interrompue par un pli de passage unissant
très bien développée. La 2mc scissure temporale, 78 Description du cerveau . sinueuse, irrégulière, est interrompue par deu
fonde, n'a qu'un contint, de longueur et est séparée Description DU cerveau . T9 de la scissure interpariétale par un pli de
. z gastre en produisant de l'oppression et une « tension dans le cerveau .» La sensation d'étounement au niveau des larynx
, où elle était entrée la même année pour « paralysie et maladie du cerveau . » Grands parents maternels inconnus. Un frère
ns ; 4° ldiotic symptomatique d'une malformation congé- nitale du cerveau (porencéphalie, absence du corps calleux, etc.)
d'un hémisphère ou des deux hémisphères ; b) sclérose d'un lobe du cerveau ; c) sclérose des cir- Introduction. 113 convo
tion atavique partielle, qui se produit dans les parties voûtées du cerveau et qui entraîne, comme (11 Ce mémoire et le sui
s'appuie : 10 sur des analogies constatées entre des crânes et des cerveaux cle singes; 2° sur l'absence de caractères morp
! te. - Arrêt de développement et malformations considérables du cerveau . - Encéphale; 490 ger. Cluto ? Léon-Eugène, né
a dure-mère ne présente rien de particulier. "' - z128 Autopsie : cerveau . L'encéphale dans sa totalité pèse h90 gr. seul
e des lobes frontaux et au niveau de la protubérance. La Autopsie : cerveau . 129 vascularisation est plus intense sur toute
est plus intense sur toute la face externe, et des deux côtés. Le cerveau semble, vu en avant, monter directement en haut;
parallèle (S P BOURSE VILLE, Bicêtre, 1891. 9 130 Microcéphale : cerveau . assez bien développée. Le lobule pariétal supé
va se confondre avec l'extrémité antérieure de Fiv Microcéphalie : cerveau . 131 l'autre inférieure plus grosse qui vient s
aussi un développement suffisant ; mais les lobes postérieurs du cerveau sont rudimentaires, et l'arrêt du développement
éveloppement, relativement plus considérable toutefois que celui du cerveau qui n'est guère que du double, ne présentent au
t sourdre des petites bronches une matière blanc-jaunâtre. (II Ce cerveau peut, être rapproché de celui d'une idiote microc
que la calotte crânienne a été enlevée et la pie-mère incisée, le cerveau ne paraissait en retrait, par rapport au cerve-
r- veau, il y avait un espace assez grand, pouvant per- mettre au cerveau de se développer, si ce développe- ment avait é
l'ossification prématurée du crâne, entravant le dé- veloppement du cerveau des microcéphales, serait donc ici en défaut. Q
Congrès le buste, les photographies, le squelette de la tête et le cerveau du malade de l'OBSER- VATION I. Si l'on veut
eau du malade de l'OBSER- VATION I. Si l'on veut bien comparer le cerveau et ses photogra- phies, aux planches qui représ
publié les observations en 1881, on verra combien est différent le cerveau de ces trois malades et que la microcéphalie es
urs pour cause le même arrêt de développe- ment dans l'évolution du cerveau . L'examen de lacalotte ducrâne de Cher, et de C
de lacalotte ducrâne de Cher, et de Clut. rapproché del'examendes cerveaux montre, croyons-nous, que l'opinion qui rat- ta
ronches, mais moins que dans les lobes inférieurs. z Description DU cerveau . 173 Le poumon gauche présente une énorme ecchy
régulière (4 cent. 1/2 à peine de hauteur) ; sa 17 i Description DU cerveau . direction est verticale. Surface un peu plissé
nvolution épaisse, chagrinée, qui se termine au-des- Description DU cerveau . 175 sous de la queue de la première circonvolu
use, lisse à son origine, plissée ensuite, vient 176 Description DU cerveau . se confondre complètement avec la masse de la
Nombreuses plaques translucides. Ecoulement peu 180 Description DU cerveau . abondant de liquide céphalo-rachidien. Caillot
nt de la partie postérieure du lobe frontal au lobe occipital. Le cerveau étant encore recouvert de la pie-mère, cette me
de l'entonnoir sont formées par ces circonvolutions. Description du cerveau . 181 Le fond de l'entonnoir est nettement limit
artie en mesure 5 1/2. Elle est séparée de la partie postérieure du cerveau par un sillon irrégulier, assez profond. Toute
onde. Le lobe occipital est relativement régulier. Description DU cerveau . 183 La circonvolution de l'hippocampe est asse
ouce toujours en pronation dans la paume de la main. Description DU cerveau . 187 Organes génitaux. OEdène et ulcération de
interne est lisse et correspond à un hyste existant à la surface du cerveau . La base du crâne est asymétrique. La fosse sph
e. La fosse sphénoïdale gauche est plus pro- fonne que la droite. Cerveau . Il présente un aspect lisse et luisant. Il est r
en le détruisant sur une grande profondeur. Ce kyste Description DU cerveau . 188 occupe tout le territoire de la sylvienne,
. En arrière de la 1 ? frontale, le bord de l'hémis- Description DU cerveau . 189- plier présente une masse irrégulière, ves
Insérée par un pli assez étroit sur la frontale 190 Description du cerveau . ascendante. Très sinueuse, réliée en avant par
ième repliée. En bas, cette masse est séparée par la DESCRIPTION DU cerveau . 191 scissure de Sylvius, prolongée par un minc
ssous de la première frontale, à demi détruit, et un Description du cerveau . 201 au-dessus où s'insère la 1re frontale. Sil
continuant en arrière avec une circonvolution ycrti- Description DU cerveau . 203 cale qui arrive jusqu'à la scissure parall
aux de Clut... (Cette planche a été faite tardivement, alors que le cerveau avait macéré depuis longtemps déjà dans l'alcoo
70 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: les idées délirantes, qui sont des créations de toutes pièces du cerveau malade; contrairement aux délires diiwahsinn de
titue sur le terrain d'une disposition congénitale et anormale du cerveau . C'est net, Wahnsinn égale paranoia, et paranoï
es divers délires, parce qu'elle se rattache à l'épuisement aigu du cerveau , qu'elle a une longue durée, un développement p
tion de la maladie. C'est en vain que le monde extérieur fournit au cerveau des éléments d'activité fructueux; ceux-ci sont
E dégénération descendante DU LEMNISCUS, CONSÉCUTIF A UNE lésion du cerveau ; par Alex. 13RUCE. (Brain, part. IV, 1893, p. 4
s cutanées. J.-C. CHARCOT. XVII. UN cas DE ramollissement aigu du cerveau ; par Ph. ZENNER. (Médical Record, New-York, jui
New-York, juillet 28, 1894.) Observation de ramollissement aigu du cerveau se terminant en un mois par la mort. L'intérêt
attaques d'épilepsie se trouvent des troubles vaso-moteurs dans le cerveau avec tendance à l'hypérémie, il a pensé qu'il est
aux ha-- bitudes antérieures. Ce sont : SCIILGESS. Présentation de cerveaux 1 L'esquisse suprà du compte rendu de cette Soc
ce du 1 mars 1 93. PRÉSIDENCE DE M. WERNICKE. M. SACIIS présente le cerveau du malade décrit par M. Foerster sous le nom de
sur une grande étendue jusqu'au plancher du ventricule latéral. Le cerveau sera examiné après durcisse- ment. On décrira l
en matière de localisations quand on veut apprécier les lésions du cerveau des paralytiques généraux. Mais il est évident
eptions correctrices d'égale valeur, ainsi que cela se voit dans un cerveau déjà affaibli, les idées présomptueuses ou exag
nombre d'obser- vations, notamment sur le ramollissement partiel du cerveau . Le maître se chargea de les faire publier. Nom
on de son remarquable ouvrage sur les Maladies ii2flam- matoires du cerveau . La Commission administrative demanda pour lui
u. Paris, 1845, 2 vol. iu-8 ? Traité des maladies inflammatoires du cerveau , ou histoire analomo-patho- ' Cet admirable ouv
on récente. Paris, 1859, 2 vol. in- 80 Du ramollissement partiel du cerveau , par Rostan. Obs. par Calmeil. En dehors de c
se dont les lésions portent sur les divers organes, les muscles, le cerveau , la moelle épinière et les nerfs et que par sui
les caractères suivants : Tous les malades qu'elle atteint ont des cerveaux faibles ou infirmes ; c'est pour cela que les b
ntale du malade ; aucune conception contradictoire ne naît dans son cerveau . Les quelques idées normales qui peuvent lui re
sse survenir des atténuations pendant lesquelles on constate que le cerveau tente encore d'assembler des conceptions délira
XIII.'POLYURIE (diabète INSIPIDE) dans LES affections DE la base DU cerveau ; par Henry HANDFORD. (Brain, part. III, 1893, p.
D. (Journ. ofnervous and mental disease, août 1894.) L'oedème du cerveau suit les lois de l'oedème en général avec ce fa
modifié parles dispositions anatomiques des espaces lymphatiques du cerveau et de ses enve- loppés. Le sérum transsudé peut
s. Le sérum transsudé peut occasionner une compression mécanique du cerveau et être également le point de départ d'acci- de
rement plus de trois semaines, qu'elle ne fleurit guère que sur des cerveaux fortement préparés par des tares héréditaires c
ents indiquent notamment une excitation continue de cette région du cerveau . M. Bruns présente des préparations et des plan
meur adhère à la dure-mère et celle-ci est soudée à la pie-mère, le cerveau est resté intact. Mais il y a com- ARCHIVES, t.
ingés, lepto- méningite chronique diffuse de la convexiié. Poids du cerveau = 1,080, du cervelet 160. Ainsi cette grosse tu
e portant à la fois sur les nerfs des vais- seaux des membres et du cerveau . La confirmation se trouve encore dans notre ca
ses tout à fait distinctes des deux premières, qui sévissent sur un cerveau ayant bénéficié de son entier dépeloppement.
ande partie de la zone motrice. Or, il n'est guère qu'une région du cerveau où se trouvent réunies ces deux conditions du ras
ation d'origine interne ou auto-intoxication toutes les fois que le cerveau fonctionne d'une façon exagérée. Les pro- duits
uits de désassimilation qui s'accumulent alors dans les cellules du cerveau les allèrent profondément et finissent par les dé
, que le traumatisme en déterminant un trouble de la circulation du cerveau , modifie la nutrition de ces cellules et donne
olique, etc. Dans ces cas le trauma en modi- fiant la résistance du cerveau favoriserait l'action nocive de l'alcool, delà
e l'imitation en vertu d'une impulsion égoïste ; 8° l'homme sain, à cerveau vigoureux, n'est en aucune façon menacé par le
ssé des amants de spiritueux. La réalité est que c'est un poison du cerveau et des nerfs, Quantité d'affections du système
été de dimi- nuer la chaleur physiologique et d'exciter l'écorce du cerveau comme un alcaloïde narcotique. Dans l'observati
après la mort. On peut se rendre compte de son efficacité sur le cerveau d'animaux qui ont subi la piqûre d'aiguilles roug
rocédé de Nissl. Depuis lors Nissl a trouvé la haryolcinèse dans le cerveau de l'ani- mal adulte comme dans l'écorce des pa
ryologie, l'histogenèse et l'histologie du névraxe, puis l'étude du cerveau pro- prement dite. Le second volume nous fourni
iginales, qui sont en réalité des reproductions de photographies de cerveaux . Hien n'est donc laissé à la fantaisie et ce n'
veaux. Hien n'est donc laissé à la fantaisie et ce n'est pas sur un cerveau schématique que la description est faite. M. Dé
ions de pièces fraîches ou durcies, on a sous les yeux un véritable cerveau , comme si on l'étudiaità l'amphithéâtre. C'est
le dans un traité d'anatomie, on cherchait à s'y reconnaître sur un cerveau frais. Certaines par- ties du cerveau sont décr
hait à s'y reconnaître sur un cerveau frais. Certaines par- ties du cerveau sont décrites avec plus amples détails, en raison
a corne d'Ammon, etc. Pour bien comprendre la disposition réelle du cerveau qui corres- pond à son aspect extérieur, il est
s ; les secondes, au contraire, nous fournissent la texture même du cerveau . L'auteur a mis à pro- fit ces deux méthodes.
même du cerveau. L'auteur a mis à pro- fit ces deux méthodes. Le cerveau est d'abord étudié topographiquement sur une séri
hiques. Et là encore, bien entendu, il ne s'agit pas de coupes d'un cerveau , idéal, schématique, mais bien de coupes, grand
de originalité du livre, c'est dans BIBLIOGRAPHIE. 239 l'étude du cerveau sur des coupes microscopiques sériées. Ces cou-
assent les différentes coupes indiqué sur une figure schématique du cerveau . Toutes les figures ont été dessinées à la cham
jerine a pu contrôler et rectifier bien des points de la texture du cerveau . Je signalerai en particulier sa division de la c
é, sans faire tort à l'exactitude, les coupes les plus complexes du cerveau . P. SOLDER. XIII. Le délire des négations; par
1894. Imprimerie Schiller. Mercier (A.). La diminution du poids du cerveau dans la paralysie générale. Graphiques destinés
rale. Graphiques destinés à faire ressortir cette diminution sur le cerveau et ses parties constitutives. Btochure in-8° de 4
rses causes agiraient sur la contractilité réflexe des vaisseaux du cerveau par l'intermédiaire des centres vaso-mo- teurs
Schuele), affection pouvant résulter d'une anormale construction du cerveau et procéder par l'organisation, parfois rapide,
ut accuser de ces derniers phénomènes les altérations organiques du cerveau consécutives à l'alcoolisme et les rapprocher d
n mentale ou paranoïa aiguë, est fonction d'une lésion organique du cerveau , quelle qu'en soit l'origine (Scholz, Jehn, Fue
atement an-dessous du pied du sillon de Schaffer. Mais ce sillon du cerveau du singe correspond, d'après MM. Beevor et Hors
s ou de quelques mois. Avant l'opération la malade avait dans son cerveau , au point de départ des convulsions, un kyste h
mple établissant qu'une influence débilitante, agissant sur tout le cerveau , peut avoir avoir pour résultat une mise hors d
de Bechterew qui part de l'olive inférieure et traverse le tronc du cerveau pour se diriger vers le cerveau (clie Leitungsb
inférieure et traverse le tronc du cerveau pour se diriger vers le cerveau (clie Leitungsbcchnn 11n Gehilnz zc. Ricckelzmark
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 303 entre l'olive inférieure et le cerveau . Mais de l'olive partent de nombreuses fibres q
par H. PrisTER. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., L, 5.) Autopsie du cerveau d'une malade ayant été atteinte de folie systé-
ernieke). Aussi n'est-ce pour l'auteur du mémoire qu'une variété de cerveau normal; ces variétés de formes n'impliquent poi
Lioliiienieiit ? 20 A côté de cela, il y a une anomalie de poids Le cerveau entier recouvert de ses membranes ne pèse que 9
ecouvert de ses membranes ne pèse que 900 grammes. ( ? est un petit cerveau ayant conservé ses propor- tions normales. Null
oits atrophiés. Et d'ailleurs la personne à laquelle appartenait ce cerveau a, pendant quarante-huit ans, joui de l'intégri
ses facultés. 3° Que dira maintenant la strtccture microscopique du cerveau en question ? Y a-t-il quelques particularités
nerf vague; stases par atteinte du bulbe et de certaines régions du cerveau . Influence de l'hypertrophie de l'apophyse odonto
nse qu'en faisant des recherches systéma- tiques et comparatives du cerveau , on trouvera plus d'anomalies de la surface che
de chacun touchant la nature de l'esprit et ses relations avec le' cerveau , on doit'*recon- naitre qu'à chaque phénomène p
car- la folie suppose une maladie corticale actuelle greffée sur un cerveau développé ou.non. .Qu'elle soit acquise ou héré
ose très marquée; la consistance 320- ' SOCIÉTÉS SAVANTES ? 0" du cerveau est très diminuée, les méninges molles présentent
e d'une otite moyenne, impose l'idée presque certaine d'un abcès du cerveau , occupant le lobe temporal gau- u che ou, plus
ctuel; sommeil agité. Aucun signe d'urémie, de lésion phy- sique du cerveau , de fièvre intermittente, de fièvre typhoïde. Tel
en effet, les hallucinations sensorielles se produisent* dans notre cerveau , par conséquent elles doivent être tenues pour
duit'.E=7rdiréciss'ement concentrique du champ-visuel, a dans son11 cerveau une lésion quelconque qui exerce une - double c
les centres hypérémiés sont en état de veille alors que le reste du cerveau est à l'état de sommeil. b - M. Chaslin résume
s l'animal à.l'action du poison étudié, on commence l'excitation du cerveau à l'aide de courants induits très faibles qu'on
anesthésie et trépanation a essayé d'exciter les zones motrices du cerveau du chien avec un seul pôle. Mais il faut pour q
'affection chro- nique du rein, de syphilis, de lésion organique du cerveau , de dépression du crâne; 8° Le traitement de
oque. On y voit que les esprits animaux partis du coeur arrivent au cerveau par les carotides, qu'ils se promènent dans les
tion et non à l'excès del'alcool ingéré. Pen- dant quelque temps le cerveau répond à l'ingestion des spiritueux par des sen
nutrition sous la dépendauce de lésions des viscères autres que le cerveau et la moelle. 2° Dans la paralysie générale et
olyurie dans les affections de la TABLE DES MATIÈRES. 505 base du cerveau , par Handford, 1` ? ï ; - hçstériyue, par Matin
de traumatisme -, par CliipaL[lt, 473. - Ramollissement aigu du cerveau . par Zenner, 10. Haynaud, maladie de - et l'é
71 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
-mère, très adhérente, surtout aux points d'insertion de la faux du cerveau , se déta- che très difficilement au niveau de l
sulté, prétendit : « qu'il y avait quelque chose de dérangé dans le cerveau ; que cela était du au temps trop long que l'en
tractures qui les maintiennent dans la demi- Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau . 29 flexion sur le bassin, il repose sur les is
tions de la tête et des membres : Tête. 30 Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau . SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau. 31 1 sage av
Tête. 30 Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau. SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau . 31 1 sage avec la troisième frontale et la par
e. n'est. BOURNEVILLE. Bicêtre., ion, 3 34 SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau . pas suffisamment affirmée parmi les ascendants
mensurations successives de la tête vient 36 SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau . - d'ailleurs à l'appui de cette opinion. Aussi
e la tête par des mensura- tions périodiques, etc. V. L'examen du cerveau nous a montré, suivant les prévisions, une sclé
termédiaires. 60 Description DE la malade. SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau . 61 déformés ; pas de cicatrices ; pas d'adénit
ale, mesurent un centimètre d'épaisseur. 62 Sclérose ATIiOPHIQUD DU cerveau . Les pariétaux dans la partie la plus mince de
les deux tiers antérieurs du cer- velet, qui déborde en arrière. Le cerveau est petit, le cerve- let volumineux. Sclérose
rveau est petit, le cerve- let volumineux. Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau . 63 sula, qui est volumineux. - Les sillons fro
ue d'un certain nombre de cir- convolutions des deux hémisphères du cerveau , prédomi- nant à gauche (Hémisphère plus petit)
té détruite par l'épanouissement du porus sur la face inférieure du cerveau . - Le lobule de l'hippocampe, la corne d'Ammon
voit une nouvelle communication s'établir entre la superficie du cerveau et l'intérieur de ce prolongement. Cette communic
I. Nous sommes très enclins à rattacher l'arrêt de développement du cerveau , la double porencéphalie vraie, qui a eu l'idio
synostose précoce qu'il faut incriminer dans notre observation. Le cerveau avait toute liberté pour se développer ; l'enve
eloppe osseuse ne s'est arrêtée dans sa croissance que parce que le cerveau s'était précé- demment arrêté lui-même dans la
aucune amélioration et qu'au point de vue cle l'état du crâne et du cerveau elle n'est nul- lement justifiée. En poursuiv
3 et de P2. Cette disposition met complètement à découvert sur ce cerveau le lobule de l'insula. Le cerveau cle St-Arn..
complètement à découvert sur ce cerveau le lobule de l'insula. Le cerveau cle St-Arn.. est, sous ce rapport, com- parable
e vue des circonvo- lutions qui lui appartiennent. Si on passe au cerveau de Pot ? on se trouve en pré- sence d'une poren
i encore une fois très nettement intéressé des deux côtés. Sur le cerveau de Viv.. et sur celui de Roch.. nous faisons la
lie vraie. Au point de vue de l'étendue cle la lésion, nos quatre cerveaux nous offrent en quelque sorte une gamme d'accro
ffrent en quelque sorte une gamme d'accroissement des porus. Sur le cerveau de St Arn ? le porus ne mesure que 30 millimètr
cessive des couches constituantes de l'hémis- phère. Sur nos quatre cerveaux les parois des porus sont tapissées par la réfl
iner aussi sur les calottes crâniennes qui ont recouvert ces divers cerveaux , si le développement incomplet de l'encéphale p
Inutile d'ajouter, après ce que nous venons de dire de l'état du cerveau et de l'état du crâne, que dans les cas d'idiot
oblique. Bourneville, Bicêtre, 4592. '8 8 il4 Autopsie : crâne ET cerveau . Pas de congestion de la pie-mère de la base. L
ayant succombé à une broncho-pneumonie, nous avons pu examiner son cerveau et son crâne, L'hémisphère cérébral gauche étai
xtensibles et n'opposaient pas de résistance à l'ac- croissement du cerveau . VI. Signalons, enfin, la réossification rapide
nostose. - Diminution de calibre des artères de la moitié gauche du cerveau . - Atrophie de la bandelette optique, du pédonc
stituent une véritable exception. Ajoutons que ces deux lésions clu cerveau , pas plus que l'état clu crâne, ne pouvaient êt
delà crâniecto- « mie;lésions de la dure-mère, de lapie-mère et du cerveau ;* - absence de synostose. - Aspect chagriné des
gnostic d'atrophie céré- brale ou mieux d'arrêt de développement du cerveau , posé du vivant de Ter... après connaissance de
le ait été réelle même un instant, la préten- due liberté donnée au cerveau pour s'épandre à son aise, n'a eu qu'une durée
ienne, comme l'ont démontré les adhérences de cette mem- brane au cerveau , était un locHs minol'is 1'esistantiæ prêt à su
extensibilité des os clu crâne sous l'influence du développement du cerveau . Nous reviendrons sur cetto intéressante lésion
174 Antécédents HÉRÉDITAIRES.. minée sur les deux hémisphères du cerveau . Tubercule du poumon gauche. - Gauch ? (Adrie
s arrière-grands pères maternels de est mort d'une « paralysie au cerveau » en trois jours et une arrière-grand'mère d'un
elquefois des gastralgies et a été traité à Lyon pour une anémie du cerveau . Il n'a pas de migraine et n'a jamais eu la syp
de. congestion dans la boite osseuse et clans les mem- branes clu cerveau . Quelques plaques ecchymotiques de. la pie-mère
ie-mère qui est congestionnée par places. Quant aux- territoires du cerveau plus ou moins sclé- rosés ou d'aspect chagriné
s-oncles, grandes-tarses : aucun d'eux n'a jamais eu de maladies du cerveau . - De son premier mariage, le père de notre mal
, permettait de rattacher l'état mental de Louv., à une sclérose du cerveau . IV. L'autopsie a démontré la réalité de cette
lé de sang. La dure-mère est mince et très pâle. La dure-mère et le cerveau se sont affaissés considérablement, et hors de
étriques. - La protubérance est un peu aplatie. Lorsqu'on sépare le cerveau du cervelet, il s'écoule 70 gr. de liquide céph
on di et mamelonné, de volume à peu près égal à celui du kyste du cerveau (Fig. 8). La décortication du cerveau se fait a
ès égal à celui du kyste du cerveau (Fig. 8). La décortication du cerveau se fait assez facilement. On constate alors que
ctuation, qui répond à ce que l'on voyait par la face supérieure. Cerveau ; hydrocéphalie. 247 Hémisphère cérébral droit.
la petite profondeur des sillon» que l'on note du reste sur tout le cerveau . La face interne de cet hémisphère présente une
ns d'insister, Enfin, une troisième dépression existe dans la 248 Cerveau ; hydrocéphalie. corne occipitale. La membrane v
d'ossification prématurée ; c'est que je pense surtout à l'état du cerveau recouvert par ces crânes, aux lésions si divers
es seraient ossifiées prématurément, venez voir les crânes et les cerveaux correspondants que j'ai conservés dans mon musé
ue possé- dait alors le musée ; sur les atlas photographiques des cerveaux et sur les cerveaux eux-mêmes. Cette visite lui
rs le musée ; sur les atlas photographiques des cerveaux et sur les cerveaux eux-mêmes. Cette visite lui démontra que si la
tachés à un traumatisme de la tête, à un abcès ou à une tumeur du cerveau , elle est contre-indiquée dans l'immense majori
ursuivi par M. Lannelong'ue : il voulait faci- liter l'expansion du cerveau et par suite le développe- ment des facultés in
'idiotie : 1° ossification prématurée des sutures (\irchow-; - 2° cerveau normal réduit (Vogt) ; - 3° altérations foe- ta
son opération, M. Lannelongue, «vou- lait donner un nouvel essor du cerveau en affaiblissant la résistance ilu crâne. » Tou
et, avec les crânes, nous vous ferons passer les photographies des cerveaux correspondants. OBS. I. - Idiotie SYMPTOMATIQ
ù les troubles intellectuels reconnaissent pour cause un abcès du cerveau , un traumatisme, ou encore une tumeur à siège b
72 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
supprimant des sensations provenant d'organes malades autres que le cerveau , sensations qui entraînent après elles l'insomn
a dangereuse propriété, à la première période de leur action sur le cerveau , d'exagérer les mauvais instincts en affaibliss
r à l'ivresse ce qui est dû à l'action spéciale de l'alcool sur les cerveaux des dégénérés. Une dose très insuffisante à eni
ement le travail morbide qui, à certains moments, s'opérait dans le cerveau de Vuil...; son empresse- ment à porter secours
n" 30, 1885. RECUEIL DE FAITS CAS D'IDIOTIE AVEC HYPERTROPHIE DU CERVEAU Par le D' CULLERRE Directeur-médecin de l'Asi
Hypertrophie cérébrale avec adhérences ménin- gées. Description du cerveau . Le nommé Bard... (Alcide), né le 13 août 4830,
quelques corvées. Il aidait le garçon IDIOTIE AVEC HYPERTROPHIE DU CERVEAU . 55 d'amphithéâtre, et après les autopsies, il
tendue, d'un blanc jaunâtre, d'aspect normal; quand on l'incise, le cerveau fait immédiatement hernie à travers l'incision.
esse du tissu, j'avais cru devoir plonger pendant quelques jours le cerveau dans un bain acidulé par l'a- cide nitrique, af
obtenir plus commodément des épreuves IDIOTIE AVEC HYPERTROPHIE DU CERVEAU . 57 photographiques, la substance est devenue e
prolongements jusqu'à la paroi des vaisseaux. '- ' Description du cerveau . Ce qui frappe dans l'aspect général de l'organ
- veuse, surtout dans les lobes frontaux et sphéno-temporalix; le cerveau est déplissé comme si on l'avait insufflé intérie
ument schématique; Fig. 1. -. race externe de l'hémisphère droit du cerveau . 58 RECUEIL DE FAITS. le droit est d'une conf
pli anastomotique; à Fig. 2. Face externe de l'hémisphère gauche du cerveau . 1 IDIOTIE AVEC HYPERTROPHIE DU CERVEAU. 59 g
e de l'hémisphère gauche du cerveau. 1 IDIOTIE AVEC HYPERTROPHIE DU CERVEAU . 59 gauche, il est d'un seul jet, et va se perd
à part, l'étude des circonvolutions nous montre qu'il s'agit d'un cerveau rudimentaire, et que, eu égard à sa conformation
autopsie, et dont le début était peut- IDIOTIE AVEC HYPERTROPHIE DU CERVEAU . 61 être récent. Elles n'auraient, dans tous le
e ma manière de voir. L'hypertrophie cérébrale constituait pour son cerveau un état acquis stationnaire, et compatible avec
874, et qui appartiennent à un mémoire intitulé : « Hypertrophie du cerveau ». Il s'agit des observations II et III de ce t
n dépouillés des mem- branes atteignent le poids de 1,450 gr. - «Le cerveau , dit M. Brunet, forme deux saillies prononcées
lite, avec adhérences corticales dans les régions antérieures du cerveau . REVUE CRITIQUE LA PARANOÏA DÉLIRES SYSTÉMA
naire, dans lequel il y avait une atrophie de l'hémisphère droit du cerveau . Leidesdorf 2 (1S78) revient sur la théorie des
s doivent être le résultat définitif des activités inconscientes du cerveau , avec cette diffé- rence cependant que ces acti
grandes lignes de cette classification. A. Maladies psychiques du cerveau bien développé. LA PARANOÏA 73 die est due au
périphériques ou les voies conductrices. Mais il faut tou- jours un cerveau disposé pathologiquement à transformer en fauss
pas à la démence. Sakaki 1 (1883) décrit l'examen microscopique du cerveau d'un fou systématique chronique halluciné. Kr
au ruban de Reil; un tractus de fibres assez fourni les rattache au cerveau , mais il ne se trouve pas, dans le bulbe, en de
MIE ET DE PHYSIOLOGIE. 79 J Mey-nert), mais entre le cervelet et le cerveau ; elles n'ont rien à voir avec la moelle épinièr
rois mois après, on le tue, et l'on se met en devoir d'examiner son cerveau et sa moelle. On voit à l'oeil nu : 1" une atro
. SUR UNE connexion jusqu'alors inconnue DES GROSSES olives avec LE cerveau ; par W. BECHTEREW. Addition A la COMMUNI- catio
e cordon central est encore amyélinique. Le cordon central gagne le cerveau en s'infléchis- sant en bas et en avant entre l
XII. Contribution A la QUESTION DES conducteurs optiques dans LE cerveau de l'homme ; par A. Richter (arcs. f. Psych., X
années de durée. Ces asser- tions sont complétées par l'étude d'un cerveau dans lequel le ' Voy. )'6/tt[ ? fM)'o<ot, t.
u morts, la réaction de l'écorce est alcaline à la condition que le cerveau , dépouillé de ses méninges, demeure en communic
peut-être aussi ne se forme-t-il pas alors d'acide dans l'écorce du cerveau du nouveau-né. Conclusion. L'asphyxie de l'écor
ité et ce ne peut-être que l'hé- rédité qui dépose dans ces jeunes. cerveaux , ces ferments d'idées fixes, impulsives, dont l
animaux ' n'autorisent pas à transporter ces faits chez l'homme. Le cerveau peutforlbien ne pas tant diminuer de volume que
N. De la question de la localisation des fonctions dans l'écorce du cerveau . Il existe actuellement deux groupes de physiol
ent ou- 106 SOCIÉTÉS SAVANTES. je me suis adressé à l'anatomie du cerveau en utilisant la mé- thode expérimentale, mais e
il parait plus impulsif. Il voit, bien qu'il n'existe plus dans son cerveau aucune espèce de trace de sphère visuelle; il c
s profondes et étendues de la zone motrice dans les deux moitiés du cerveau , ce chien n'était pas paralysé, n'était pas ave
cupent le lobe frontal chez le lapin normal. A côté de cela, sur un cerveau de chien, dont on avait réussi par lésion du lo
vent dans les recherches de cet ordre la versatilité des parties du cerveau . Les champs de l'é- corce ne peuvent être sépar
ce fait que l'individu était gaucher, et par conséquent droitier du cerveau , n'explique rien, car que devient l'unilatérali
telle main. Supposons que le centre de la parole se limite, sur un cerveau normal, exclusivement à un côté, à certaines cir-
xclusivement à un côté, à certaines cir- convolutions de ce côté du cerveau ; à quoi servent alors les cir- convolutions co
FÉng. VII. L'encéphale (structure et description iconographique du cerveau , du cervelet et du bulbe), avec un atlas de 59
toire des doctrines psychologiques contemporaines. Les fonctions du cerveau (Doctrines de F. GOLTZ. Leçons professées' à l'
n'est-elle pas une surdité cérébrale, c'est-à-dire par atteinte du cerveau , aussi bien que la surdité corticale de Munck ?
es plus importantes parmi ces surdités par- tielles par atteinte du cerveau , c'est la surdité verbale. 011 peut avecl. G. B
lement que les mots entendus sont projetés en quelque sorte dans le cerveau , où ils viennent former une sorte de magasin, d
e, ces images, en un mot, ont leur siège en un point particulier du cerveau (centre de la mémoire auditive des mots, centre
chives, t. III. 13 19 re PATHOLOGIE NERVEUSE. a son siège dans le cerveau , ou pour touteautre raison, mérite le nom de mé
oppé), mais dans le second groupe (cérébro-psychoses ou maladies du cerveau invalide) que se trouve la Wahnsinn. Ce mot n'e
e terminale est sous la dépendance d'un certain degré d'atrophie du cerveau . Comme le patient était tubercu- leux (constata
hrombose pulmonaire), z M. Hebold croit que les trois gros abcès du cerveau ont dû 1 Voy. Archives de Neurologie. Société p
Il conviendrait de grouper les symptômes de la façon suivante : au cerveau appartiendraient les perturbations psy- chiques
sion (trois observations), ou jouant le rôle d'un excitant dont le cerveau ne peut plus se déshabituer,tant8t;enfinil il emp
pés par le panto- graphe matérialisaient d'une façon surprenante le cerveau repro- duit. L'auteur fait passer un spécimen d
renante le cerveau repro- duit. L'auteur fait passer un spécimen de cerveau de microcé- phale. Eh bien ! ne serait-il pas p
llectiouséreusedanslesveutriculcslatéraux; rien autre chose dans le cerveau . La lace supérieure de l'hémisphère céré- belle
d'un terme beaucoup trop étendu. Il y a dans le monde beaucoup de cerveaux malades qui n'ont pas besoin d'être soumis à l'in
in l'état de la scorie sur les lésions des nerfs de la moelle et du cerveau , dans la lèpre. Les descriptions sont illus- tr
n an. (Médical Record, 26 février 1887, p. 246.) MÉGALOCÉPHALIE. Le cerveau de feu le professeur Edward d Olney, de l'unive
, et on n'en a guère enregistré plus de quatre ou cinq exemples. Le cerveau d'Abercrombie et celui de Schiller pesaient 1,8
tranquille, je souffre trop. Il meurt le 11 no- vembre. Autopsie. Cerveau . Les méninges sont injectées. Ar- borisations r
borisations rouges, très fines, étendues sur toute la convexité du cerveau . Décortication facile qui n'entraîne pas de sub-
ont plus minces qu'à la face convexe et moins vascularisées. - Le cerveau une fois décortiqué, il y a, à première vue, une
mme M. Etoc Demazy l'avait signalé dans sa thèse ' de l'aedème du cerveau et des méninges, nous trouvâmes une légère cong
. Quoiqu'il en soit, la disproportion entre la partie antérieure du cerveau et sa partie postérieure, en prenant les circon
s ayant été perdues, l'examen histologique ne put être fait pour le cerveau ni pour le bulbe, mais les coupes prati- quées
e la dégénération du faisceau pyramidal existait aussi bien dans le cerveau que dans la moelle et occu pait toute l'étendue
les Psychoneuroses, sous- groupe des Pkrénopatlzies (affections du cerveau complètement développé avec changement morbide
ASIE DE la NÉVROGLI6 ET DE la formation DE cavités dans l'écorce DU cerveau ; par Fuerstner et STUFIILINGFlt (Arch. f. Psyc
u crâne, synostoses, état trouble de la pie-mère avec adhérences au cerveau . Atrophie cé- rébrale, surtout du cerveau antér
e-mère avec adhérences au cerveau. Atrophie cé- rébrale, surtout du cerveau antérieur, des temporales (particuliè- rement'
ole franchement scandée ; intégrité des pé- doncules, de la base du cerveau , du centre ovale ; la lésion ne ressemblait pas
elle à son tour, nous fait pressentir des modifications notables du cerveau . Dans le faitsuivant c'est dans les organes gén
quatre-vingts ans, chez lequel, six heures après un traumatisme du cerveau , on vit apparaître sur le dos de la main droite d
vol inconscient, par Garnier, 427. Idiotie avec hypertrophie du cerveau , parCulerre, 53. Innervation collatérale de la
chez l'homme, par Bechtereif, 84. Optiques (conducteurs dans le cerveau de l'homme), par Richter, 86; Recherches expé
73 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s à quelques-uns susceptible de ressentir un ébranlement comme le cerveau . Page attache une grande importance à ces consi
lésion s'était effectuée après l'époque du développement parfait du cerveau , c'est-à-dire après la puberté. La dégénérescence
), de ramollissements cérébraux anciens, de lésions traumatiques du cerveau chez l'homme, ont été soumis à son exa- men. Nu
atten- tivement son développement. En appliquant cette méthode au cerveau , on arrive à cette conclusion importante que, dan
au cerveau, on arrive à cette conclusion importante que, dans le cerveau humain, les centres les plus élevés sont ceux don
ionnelle ou organique, des plexus coordonnateurs les plus élevés du cerveau . Cette théorie explique d'une façon satisfai- s
. Il est évident que, suivant cette manière de voir les portions du cerveau dont l'activité produit les manifestations que
maladie, il fait remarquer que puisque, selon toute probabilité, le cerveau tout entier est re- présenté dans les lobes fro
e alté- ration cérébrale, elle a son siège dans la moitié droite du cerveau ; quant à déterminer s'il s'agit d'une lésion c
ice, mais aussi quand on l'applique sur les parties postérieures du cerveau , qui, d'après d'autres recherches, seraient en re
es limites, indépendante de l'apport du sang artériel à l'écorce du cerveau , de l'excitabilité réflexe et de la chaleur du
la disposition topographique des centres moteurs dans l'é- corce du cerveau ; ainsi n'entrent en convulsions, les uns après le
lle peut réveiller une attaque réduite au silence ; 16° L'écorce du cerveau joue un rôle fondamental dans la production des
te; 21° L'accès convulsif, provoqué par l'excitation de l'écorce du cerveau , présente, entre toutes les modalités convulsives
nistration prolongée du bromure de zinc diminue l'exci- tabilité du cerveau .-lllême si on élève au moyen de la strychnine,
un épisode" aigu de systématisation hypochon- driaque : « elle a le cerveau desséché, les organes internes dépla- cés, le l
n peut classer en deux catégories : 1° Le cas à lésion étendue du cerveau , interrompant les tractus qui se rendent aux no
fort étendue siégeant de préférence dans la subs- tance blanche du cerveau , avec foyer de ramollissement rouge au milieu d
in ex- M. 1"UEI(ST.NEII (d'lleidPlberl. Sur la yliose de décorée du cerveau . Plusieurs observateurs ont, en ces dernières a
e sclérose tubéreuse ou granuleuse disséminée de l'écorce. Voici un cerveau dans lequel les altérations macroscopiques consis
fibroïde (au pourtour et à l'intérieur des cavités, à la surface du cerveau ); on a tout à fait sous les yeux l'image de la sy
encore été publiés. Ce sont : 1° des coupes à tra- vers l'écorce du cerveau normal qui décèlent d'une façon très complète l
toutes les couches corticales; 2° des coupes à travers l'écorce du cerveau d'un pa- ralytique général : a dans le lobe occ
anatomo-pbysiologiques et anatonto- palliolo;itlues de 1'ail et du cerveau . Ainsi c'est en vain qu'un aveugle-né essaiera
ter sur les parties constitutives, nerveuses ou non, de l'atl et du cerveau , d'où : tantôt un pur trouble fonctionnel, tant
ts des fibres cérébelleuses. Plans identiques en ce qui concerne le cerveau majeur. Les tuber- cules quadrijumeaux sont abo
érieur; comme ailleurs, on trouve un résumé du trajet des fibres du cerveau moyen ; comme ailleurs, également les origines
rigines des nerfs ressortent en italique. Le chapitre qui traite du cerveau se scinde en A, le tronc avec les ganglions de
la capsule interne, sur le lieu de transformation de la calotte du cerveau moyen en région substhalmique et la zone de tra
zone de transition de cette région en d'autres portions du tronc du cerveau . La région optcco-nucléo-lenticulaire et celle de
influence de l'état de l'intelligence (jeunes enfants, maladies du cerveau ). -D'après les résultats qu'il a ob- tenus, l'a
. VI. Contribution ophthalmologique au diagnostic des maladies du cerveau ; par Hermann Wilbrand (Wiesbaden, 1884). Ce tra
s pathologiques. M. Wilbrand admet dans les couches corticales du cerveau , trois centres distincts pour le sens de la lum
IVERS. 143 D. Névralgies. 4JC cas. E. Maladies des méninges cl du cerveau . 272 cas : 0 ? 6 li. 100 de l'effectif. On a tr
PHIQUE. en 1879 ; six expériences d'excitation de l'écorce grise du cerveau du singe. (Arclc. de phys., 2° série, t. VI.) 4
(Ai-cit. de phys., 2° série, t.VU ) Sur les lésions corticales du cerveau . (Arclv. de plzys., 2e série, t. VIII.) 1883-1884
es du cerveau. (Arclv. de plzys., 2e série, t. VIII.) 1883-1884. Le cerveau moteur. (Arch. de phys., 3e série, t. Il et III
ne vertébrale, pas d'hémorrhagie ni de congestion à la surface du cerveau et de la moelle épinière. L'examen minutieux du
surface du cerveau et de la moelle épinière. L'examen minutieux du cerveau n'y fit découvrir aucune lésion; mais'une secti
usion très superficiel à la face inférieure d'un des hémisphères du cerveau . Dans des cas de cette nature, les lésions visi
ie. 211 gt3 THÉRAPEUTIQUE. prédominent sur l'hémisphère gauche du cerveau , nous fon- dant suri' 'hémiplégie droite transi
L'expérimentation sur les animaux tend à établir que les lésions du cerveau ne peuvent déter- miner qu'un seul trouble fonc
nnaître la constitution chimique du système nerveux. « Quoique le cerveau , dit Gorup ]3esziiiez 1, dans son remar- quable
eux ; il entre dans la constitution de tous nos tissus, et comme le cerveau en fonctionnant peut retentir sur d'autres orga
tribuer ces modifications à des échanges qui se passeraient dans le cerveau . Les recherches relatives aux rapports qui peuv
es relatives aux rapports qui peuvent exister entre la nutrition du cerveau et l'acide plios- phorique devaient donc être r
phorique est celui de savoir si cet acide est lié à la nutrition du cerveau . Or, pour arriver à ce but, la seule étude de l
système nerveux, on ne peut les rattacher qu'au reten- tissement du cerveau sur la nutrition générale. Il s'agit donc de sa
. XXIV. Un cas d'arrêt de développement dans la SPHERE motrice du cerveau ; parJ. Gensen. (Arch. f. Psych., XIV, 3.) Il s'
est criminel ; la notion usuelle du blâmable aura pénétré dans son cerveau par l'éducation; la notion plus élevée et moins
La localisation anatomique de l'hémianopsie porte évidemment sur le cerveau postérieur; on ne peut préciser la nature du pr
e son degré, du genre de mort de ces idiots-là et du poids de leurs cerveaux , selon l'âge ou le sexe, etc., etc. M. Kind pro
rolongation affaiblie, le (lot mourant dos troubles fonctionnels du cerveau , surtout de la sphère intellectuelle (démence p
ens génital ; ct. Inversion se développant chez des sujets sains ci cerveau normal et bien conformé (chez les non dégénérés
de cas, des troubles cérébraux de début, tenant à la commotion du cerveau qui coexiste souvent, de sorte que le terme com
du reste, spécial à la moelle. On le retrouve dans la pathologie du cerveau , dans ces troubles que Lasègue l a décritscomme
'endroit où celui-ci paraissait occuper presque toute la hauteur du cerveau . Sur cette coupe on note que, sauf une petite p
Autopsie : tuberculose pulmonaire ; méningite purulente (moelle et cerveau ). Charm... (Emile), dix ans, entré à Bicêtre le
orps, dépendent de l'in- iluence exercée sur elle parles régions du cerveau correspondant aux circonvolutions centrales des
rs. Plus tard, Hitzig étudiant l'influence thermique de l'écorce du cerveau lui attribua la même localisation qu'aux foncti
s très minutieuses et trouva que la région thermique de l'écorce du cerveau chez les chiens offre les mêmes limites que les
publié plusieurs cas de lésion de la région motrice de l'écorce du cerveau , dans lesquels s'observaient des chan- gements
nterne du corps; il admet, par suite, que les centres thermiques du cerveau de l'homme se trouvent à proximité des centres
no peut donc supposer ici qu'un trouble des centres thermiques du cerveau promptement enrayé par le traitement actif qui a
ns variables. Les uns pensent que dans lesinflam- matious aiguës du cerveau les phosphates sont augmentés, parfois en quant
pour savoir si l'aliénation mentale modifie ou non la nutrition du cerveau sont en rapport avec les résultats qu'ils ont obt
qu'on constate sous son influence reconnaissent deux origines, le cerveau et la nutrition générale. N'est-il pas possible q
n infiniment faible de lésions syphilitiques du foie, des reins, du cerveau . Le traitement antisyphilitique réussit très pe
ence paralytique chez les chiens. On saitque, lorsqu'on examine les cerveaux de para- lytiques généraux morts aux divers sta
t au bout de 17 minutes; on constate sur le crâne, les méninges, le cerveau , les muscles de la tête et du cou, un état d'hy
ouslique par desaccordscontinus,d'oùimpression- nabilité extrême du cerveau . Ajoutez à cela des excitations laten- tes du s
modique, des enfants qui sont atteints d'une lésion pathologique du cerveau , ainsi que les expériences toutes récentes d'Ad
s lapins dont on excite momentanément par compression la surface du cerveau . (Arch. f. Psych. u. No,venk ? XV, 3.) P. KÉRAV
production d'une méningite ascendante remontant jusqu'à la base du cerveau , qui prend dans cette région une coloration ard
us 78. Galvanomètre vertical absolu, 425- Gliose de l'écorce du cerveau , 99- Génital (inversion du sens), par Tarnows
tte, 19. 158. Motrice (arrêt de développement dans la spUî·w - du cerveau ), par Gensen, 258. Muscles (pseudo-hypertroph
74 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
méthode gra- pltique aux manifestations du mouvement : influence du cerveau sur le phénomène du genou et les réflexes pupil
, pas d'accidents nerveux. Grand-père maternel mort de paralysie du cerveau . Grand'mère maternelle, alcoolique, morte d'une
Obozrénié psichiat7-ii. vil, 1902.) Appareil destiné à débiter le cerveau en coupes régulières plus ou moins épaisses. Il
du pont on fait glisser le couteau. · On installe sous le pont le cerveau garni de ouate humide en l'orientant comme on l
Tandis qu'on procède à la sec- tion il est indiqué de maintenir le cerveau dans sa situation avec la mam. On fera bien aus
s de Quinke; 2° à la symptomatologie de la pression exercée, sur le cerveau soit dans les limites de la théorie de Bergmann
systématisée chro- nique, anatomiquement, à l'atrophie générale du cerveau . Dans les observations 4 et 5 (sarcome de la ré
ne idiopathique. Moindre est-elle dans les exemples d'atrophie du cerveau . L'examen, dans tous ces types, du corps calleux,
vaisseaux : on se trouve en présence d'une lésion du tissu même du cerveau et, par-dessus tout, du corps calleux. La dég
istonie et Giese) : on a dû se contenter du diagnostic de tumeur du cerveau . Sur 20 cas de lésions du corps calleux (surtou
mental spécifique... et la résultante de la compression générale du cerveau et, en particulier, de l'hydrocéphalie interne.
monaire chronique. Le professeur Heid, d'Aberdeen, qui a examiné le cerveau le décrit ainsi : « On » remarque sur ce ce cer
ui a examiné le cerveau le décrit ainsi : « On » remarque sur ce ce cerveau l'absence de scissure longitudinale » supérieur
chiffras suivants : sur quarante autopsies, il a trouvé 25 fois un cerveau de dimensions moyennes, sans arrêt marqué de dé
de MUSGRAVE-CLAY. XIV. Localisation cérébrale et fonctionnement du cerveau ; par L. HARR150N-IETTLEit. (Tlie Neto-Yoi,li m
mportance relative si faible que l'on puisse considérer l'action du cerveau comme l'action d'un organe unique ainsi que l'o
- veux ; 9° L'inhibition est probablement la fonction spéciale du cerveau antérieur,, et, par là, elle confère à cette pa
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. veux. On a donc raison de dire du cerveau antérieur qu'il est sur- tout un centre psychiq
plus basses de l'axe cérébro- spinal ; 10° L'action inhibitive du cerveau antérieur apparaît dans la sphère de la conscie
même manière que le plus élevé de tous les cen- tres psychiques, le cerveau antérieur et d'autres territoires associés enco
ne volumineuse tumeur charnue très vascularisée, et indépendante du cerveau . L'examen histologique de cette tumeur n'a pas
, rien du côté des sphinc- ters, sensibilité normale. A l'autopsie, cerveau absolument intact; mais à la moelle double lési
fique et ses toxines; 3° A la localisation plus particulière sur le cerveau , de cette infection. V. Contribution à l'étude
ette, l'analyse chimique de sa peau et l'examen histologique de son cerveau . Sommaire. Père tuberculeux ( ? ). Oncle matern
n du squelette. Analyse chimique de la peau. Examen histologique du cerveau . Réflexio71s. Debarg ? (Jules), né dans le Pas-
t le ventricule latéral n'ont rien à noter (PI. II). En résumé le cerveau est assez volumineux et lourd. Les circonvoluti
fort tard. Mais lors- qu'elle a été envahie par l'ossification, le cerveau avait déprimé la base crânienne et n'exerçait a
anciens internes, M. l'ilhet, nous a donné un examen historique nu cerveau deCab ? (myxoedMmateu) et de sa peau (Compte ea
breux points un peu de substance grise. Tandis que l'on enlève le cerveau , il s'écoule une très grande quantité deiiquide
te l'atrophie de la substance corticale. L'examen histologi(lite du cerveau confirme le diagnostic de mé- ningo-encéphalite
- rement étendu nos connaissances sur l'anatomie microscopique du cerveau des paralytiques, des alcooliques et des vieillar
est un caractère de la démence, un résultat de la dissolution du cerveau , qui n'implique en aucune façon que la note génér
et), dans la démence due à d'autres formes de lésions organiques du cerveau (Jastrowitz, Burzio, Vaegelin) et enfin dans la
eci indique un processus aigu occupant les ganglions de la base, le cerveau et la moelle. Les mêmes symptômes, de concert a
3N. (Presse Médicale, 16 avril 1902). Sur les coupes de l'écorce du cerveau des sujets ayant succombé aux affections les pl
e. Le caractère de la crise indique assez exactement la partie du cerveau où débute l'attaque, et celle sur laquelle elle v
t la condition ou la lésion nécessaire siège primitivement dans .le cerveau et non pas des convulsions réflexes dont la cau
éger en un point presque quelconque du corps, et dans lesquelles le cerveau n'est intéressé que secondairement. Les forme
ilepsie ont leur point de départ dans une altération des parties du cerveau que l'on considère comme les organes de la ment
é rerbale. M. Gilbert Ballet décrit les lésions rencontrées dans le cerveau d'un malade affecté de surdité verbale avec par
ie notable des cellules de l'écorce. Cette atrophie des cellules du cerveau sous l'influence de la lésion des fibres qui en
tte définition que la suggestibilité est la faculté par laquelle le cerveau accepte et réalise l'idée. J'insiste sur le mot f
troppeunommeilyaanesthésjeethype- resthésie. Dans l'état normal, le cerveau accepte avec jugement. Dans l'état d'entêtement
mal, le cerveau accepte avec jugement. Dans l'état d'entêtement, le cerveau n'accepte pas, car il n'y a pas assez desucgest
ans l'état d'itypersuggestibilité, de nature hystérique ou autre le cerveau accepte trop vite et réalise donc trop rapidement
se. Lescrisde souffrance du pauvre petit ache- vèreut d'ébranler le cerveau de ce malheureux et bien qu'il ne l'eut jamais
tuberculose. De ! ? : t-soeM;' paternelle, morte d'une affection du cerveau . Pas de consanguinité. Inégalité d'age de onze an
erons à rappeler les nom- breux cas de congestion et d'apoplexie du cerveau , le caféisme, l'alcoolisme, la tuberculose, enf
es corticaux supé-' rieurs sur les centres des étages inférieurs du cerveau et de la moelle ; or il n'y a aucune raison de
e paralytique, il faudrait concevoir qu'une infection qui frappe le cerveau en toutes ses parties, qui atteint les méninges
i peuvent se produire entre les organes du nez et les enveloppes du cerveau par suite de leurs rapports de voisinage et de
es anencéphaliens et des pseudencéphaliens, qui n'ont ni moelle, ni cerveau , et de ceux qui n'ont qu'une moelle, aux sujets
« Pitié pour un malade, la paralysie me monte de jour en jour au cerveau et cette lettre sera peut-être la dernière que vo
tion cérébrale; au réveil une diminution progres- sive de volume du cerveau . Ce dernier phénomène a lieu dans le réveil nor
bien avec les médicaments qui ont la réputation de congestionner le cerveau qu'avec ceux qui le décongestionneraient. Les exp
dépense aussi peu que lui, souffrira plus de l'in- somnie, car son cerveau , beaucoup moins intact, a besoin d'une restaura
à bout épaissi existent également dans les noyaux gris à la base du cerveau , dans le cervelet et le bulbe. Enfin, dernièrem
t-être greffée sur une lésion consécutive à l'ap- pendicite, que le cerveau évoquait, en même temps que la crampe intestina
és par le psychisme; ils restent pour ainsi dire enregistrés par le cerveau et se perpétuent par une sorte d'au- tomatisme
ugges- tives des accès réels dont l'image psychique restait dans le cerveau . La suggestion en effet réduisit le nombre des
que le sommeil n'est pas l'inconscience, ni l'inertie cérébrale. Le cerveau pendant le som- meil peut penser et travailler
blème à résoudre; on se, réveille avec la solution trouvée dans son cerveau , la nuit porte conseil. On s'endort avec l'idée
des centres corticaux supérieurs sur ceux des étages inférieurs du cerveau et de la moelle. M. le Lf Henry Meige (Paris) c
rs qui ont déterminé la production de la syringomyélie ont placé le cerveau dans un état de moindre résistance favorable à
sa production serait favorisée par un état de moindre résistance du cerveau lésé par les facteurs étiologiques ordinaires d
par sa puissance mystérieuse, l'imagination et fait accepter parle cerveau ses effets curatifs. Une instrumentation im- pr
e la boisson, de la débauche et tous autres qui auraient altéré son cerveau et même abrégé la vie. Néanmoins, en Belgique c
placé dans le fond du ta- bleau, est en train d'enlever la faux du cerveau , après l'avoir dé- sinsérée àl'une de ses extré
megalie et comme dans cette forme du dérangement de la nutrition du cerveau l'hypophi- sis cerebri s'augmente, ils furent d
z le malade dans la partie occipitale de l'hémispère droit du grand cerveau une tumeur bénigne (ghoma ! ) qui en croissant en
dans exerçait une pression sur la partie occipitale gauche du grand cerveau . A la suite de cette pression se développa peu
n 27 396 THÉRAPEUTIQUE. occipitale de l'hémisphère droit du grand cerveau , l'endroit où se trouvait l'ancienne cicatrice
Thérapeutique. En me fondant sur mon diagnostic de Neo- plasma du cerveau , je conseillai à mon patient, comme je le fais
observées dans les premiers temps, de son séjour à Nl-iré%ille. Le cerveau de cette femme est devenu un loczis iniîioi,is
sions du fond de l'oeil avaient évolué parallèlement aux lésions du cerveau , s'aggravant lorsque celles-ci progressaient ne
es lésions dif- fuses analogues à celles que l'on rencontre dans le cerveau . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
ions inférieures du névraxe. Au niveau de l'extrémité antérieure du cerveau moyen, elles décrivent 424 REVUE d'aNATOMIE ET
ant du noyau rouge de Stilling : elles se collent, à l'intérieur du cerveau moyen, au faisceau de Monakowissu de l'entrecro
émisphères céré- braux, le ceiveau moyen et le segment antérieur du cerveau inter- médiaire sont remplacés par des hvsles e
ans de mauvaises conditions : il s'agissait en effet de morceaux de cerveau et de cervelet de para- lytiques généraux, dont
stitiel (hypertrophie de la prostate par ex.). L'atrophie rapide du cerveau sénile détermine la tlémei2ce sénile; il peut aus
, dans les cas de coma consécutif aux métastases carcinomateuses du cerveau , au ramollissement embo- lique du délire aigu,
adhère un peu à la paroi. Une coupe traverse et perpendiculaire du cerveau révèle une infinité de foyers de ramollissement
bstance blanche du nerveux central. Les cellules de la moelle et du cerveau sont le sièee d'altérations de beaucoup moins n
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXVI. De l'influence de l'écorce du cerveau et des ganglions sous- corticaux sur la contrac
yphilitique.. - R. de Mosghave-Clay. XXXVIII. Deux cas de lipome du cerveau ; par Adèle de Steicer (The Journal o/ Mental Sc
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XL. Un cas de tumeur des lobes frontaux du cerveau , dans lequel le sommeil a été un symptôme très
son. Suivant la doctrine admise en ce qui concerne les fonctions du cerveau , il est probable que la combinaison complexe de
e négation tiennent la première place : elle a la gorge bouchée, le cerveau vide ; on lui a enlevé le coeur et les intestin
plus qu'elle ne provoque l'hallucination. il est d'autres cas où le cerveau , encore qu'il soit en imminence hallucinatoire,
des cordons laté- raux, soit en supprimant l'action inlnbilriee du cerveau , soit en exallant le pouvoir excito-muteur de^
phalo rachidien Clwomodiagnos- tic du liquide -, par Sicard, 165. Cerveau . Voii Localisalion-, voir Haie. Deux cas de lip
370. Lettre d'Anveis, de Laignel-Lavas- une, 381. Lipome. Voir Cerveau . Little. Maladie de sans lésions' célébrales,
lvieiiiie, par Bikeles, 433 Rate. De l'influence de l'écorce du cerveau et ries ganglions sous- corticaux sur la contra
75 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
en comprendre sans craindre la vulgarité de l'expression : malheur au cerveau dans lequel le mysticisme tourne à l’aigre. ( N
it naître, ne m'ont point trompé, ils fournissent la preuve que notre cerveau peut, par l’intermédiaire des nerfs, disposer d’u
ent leur origine de la proturbé-rance annulaire, qui osl à la base du cerveau et qui relie le cerveau au cervelet. Ces muscles
roturbé-rance annulaire, qui osl à la base du cerveau et qui relie le cerveau au cervelet. Ces muscles embrassent te g obc ocul
ù ils s'épanouissent en rétine , sout très-courts, et ils naissent du cerveau directement. Ainsi, dans l’acte qui provoque l’
énergique d’un ensemble de nerfs dont les uns tirent leur origine du cerveau et les autres de la protubérance cé-i-ébrale, c’e
abord prise pour un rêve, mais ce rêve donne la fièvre, il ébranle le cerveau . L’iiorame qui le premier fit sortir du feu d’un
invisible? 9“ Comment se fait-il encore. quand il y a congestion au cerveau , que le somnambule ne peut plus rien distinguer?
n en laid, la vie aura pour vous des chanues.etsi la soupaj« de votre cerveau vent s’ouvrii',prlez le premier médecin venu devo
t se trouver souvent quelque importun, dont le fluide sourd écrase le cerveau de la voyante, comprime sa lucidité ; ou bien sou
é momentanément par une cause quelconque, ne peut plus transmettre au cerveau aucune sensation de la lumière externe. Celte p
tion de la lumière externe. Celte paralysie se communique à tout le cerveau , l’influx neiTeux cessant alors de circuler, l'or
rfs de la volonté, artificiellement endormis, ne transmettent plus au cerveau aucune impression du dehors ; mais la circulation
le tableau exact de la maladie, avec les indications sur le point du cerveau qui était aliéré, et dont le jeu dérangé et mal r
rétinienne, par l'intermédiaire des nerfs optiques, est transmise au cerveau où l’âme en prend connaissance par l’ébranlement
considère que, par suite de l’unité du système nerveux sensoriel, le cerveau ne peut êlre afTecté autrement par les nerfs acou
de l’éther. Or, coimiie il Rst évident que Jes sons font vibrer le cerveau , il l'aut bien admet ue qui3 ];i lumière opère de
elle sorte qu'on ne peut toucher aucune partie de colui-ci saosqtiele cerveau n’en ressente aussitôt un ébranlement. Le cerve
lui-ci saosqtiele cerveau n’en ressente aussitôt un ébranlement. Le cerveau , qui est le véritable organe des facultés intelle
and il expédie une dépêche, il agit sur l’appareil comme l'âme sur le cerveau , lorsqu’elle veut que celui-ci fasse mouvoir une
eçoit une, il l'apprécie comme l'âme apprécie le langage plastique du cerveau mu par les nerfs-réophores qa’un corps extérieur
es. Mais ces facultés, elle ne les acquiert que par son union avec le cerveau , et encore ne se manifestent-elles pas immédiatem
ii quod non priiis fiterit in sensù. (Aris- tote,) _ . Dès que le cerveau du fœtus est organisé (et il 1 est naturellement
t inhérent à la conformation primitive et aux mouvements spontanés du cerveau , mais rien qui ressemble à une idée, à un acte vo
traire aurait lieu si nos idées étaient innées. Connaître l'état du cerveau , c'est connaître l’état de l’âme, et l'on peut af
i parviennent à l'âme sont en raison composées de l’état organique du cerveau (pulpe normale, ou plus dure ou plus molle, etc.)
ractères qui donnent un corps aux idées f}ue mon âme façonne dans mon cerveau (1). Leur uiiion est même si intime, leurs opérat
témoignaient de leur dualité. L’âme ue reçoit des sensations que du cerveau , ne réagit (jue sur lui et ne conserve son intégr
ttre ou anéantir la vie, personne n’ignore qtie lea seules lésions du cerveau sont capabloí de troubler l’intelligence. Lu co
efome continue à penser au premier objet dc scs affections et que soq cerveau en a ccmscrvé les empreinte«. ment la parti« dn
facile à jouer, lorsqu’il a longtemps serVi à un artiste habile. Le cerveau se comporte de même et vibre comme un instrument
des vibrations lumineuses de l’éther, il n’est pas douteux que notre cerveau n’en soit ébranlé, et par analogie on est en droi
aucoup plus long que la durée de l’action du corps radiant. Mais le cerveau ne jouit pas seulement de la propriété de recevoi
erçue du monde extérieur sont l’aliment de l’imagination, et, dans un cerveau rationnellement façonné, elles font naître les éc
re la mémoire. Lorsque l’âme reste passive, la mémoire spontanée du cerveau occasionne des hallucinations, des rêves, le somn
e contention d’esprit, ou nous isole de tout ce qui nous entoure j le cerveau travaillant de motu jiroprio est de f^t soustrait
isit instantanément les moindres modifications de l’état vibraiile du cerveau , en dirige les mouvements et reveille ainsi de pr
s par elle-nième la mémoire, mais qu’elle en dirige le réveil dans le cerveau qui est son véritable siège. A ce propos remarq
mme écoute avec une grande attention, sa mâchoire tombe, parce que le cerveau ne la soutient plus. Un spectacle inattendu qui n
cette ré-flexioa?... L’explication de ce phénomène est simple ; le cerveau est comparable à une quantité donnée de cire moll
u’ils sont que leur l)rogéniture en sera plus parfalie. C’est donc le cerveau seul qui proiUe de l'éducalio», el, coninie tous
e. Les iiei'fSj oo ne saurait trop le répéter, ne peuvent porter au cerveau que des vibrations produites par les fluides, liq
tation objective^ toute idée subjective, toute action de l'àme sur le cerveau et réciproquement de celui-ci sur celle-là, se ma
îse sensibilité de la rétine que l’on s’émerveille de la subtilité du cerveau , car les nerfs optiques étant les plus courts de
’est la mobilité de cet organe qui doit le plus approcher de celle du cerveau . Aussi qui ne connaît la puissance fascinatrice d
ire, puisqu'ils montrent au dehors tous les sentiments qui remuent le cerveau . L’agitation moléculaire y est asseK énergique
vibratoire qui lui a été imprimé. Qu’on se représente maintenant le cerveau comme une collection d’instrumentsd'orchestre, ay
ut de lui-même. En effet, aussitdt qu'une corde idéelle vibre dans un cerveau , elle fait sonner sa congénère dans le cerveau vo
idéelle vibre dans un cerveau, elle fait sonner sa congénère dans le cerveau voisin s'il ett passif, et lorsqu’un magnétiseur,
pensée, celte phrase ou cette pensée s’imprime instantanément dans le cerveau du sujet. Celui-ci a souvent la conscience de son
nd de lui et s’y prêter, s’efforcer de ne penser à rien, pour que son cerveau passif soit accessible aux moindres impres sions.
me était il la merci et à la volonté d’autrni, qui fais^ mouvoir leur cerveau et lerar corps bon gré mai gré. Un fait très-'c
même diapason et qu’aussitôt, par un effet de mémoire spontanée, le cerveau reproduit les mouvements qui, antérieurement, ont
st à lui qu’il considère comme une trace lumineuse venant éclairer le cerveau , qn'il attribue les pressentiments. C'est voulo
le fluide éllier, a pu voir tomber son mari. Mais qui a pu avertir ce cerveau clairvoyant, qui ne songeait nullement à la guerr
nd il expédie une dépêclie, il agit sur l'appareil comme l'àme sur le cerveau lorsqu’elle veut qne celui-ci fasse mouvoir une e
dépêche, il l'apprécie comme l’âme ap])récie le langage plastique du cerveau par les nerfs réopho-res qu’un corps extérieur a
le? ü'ès-probableoient qu’elle ne peut rieu sans les organes, sans le cerveau surtout, où elle se trouve imm\iabUment attachée.
m — H L’âme, continue M. Warlomont, ne reçoit des sensations que du cerveau , ne réagit que sur lui, et ne conserve son intégr
s ue voyons-nous pas le moral dominer ie physique, l’âme maîtriser le cerveau et lui ealever ses priuci-paux attributs? L’attri
eau et lui ealever ses priuci-paux attributs? L’attribut principal du cerveau est, sans contredit, la sensibilité ; eh bien 1 d
veut, la sensibilité devient exquise. La mémoire a son siège dans le cerveau : or, comme dans la magnétisation il y a action an
dii« et faire : si le magnétiseur le veut, tout va se retmcer dans le cerveau du sujet et le souvenir réparait. Ainsi, dans le
u du sujet et le souvenir réparait. Ainsi, dans le som-nambulisme, le cerveau est annihilé, l’ânie agiteoflouveraiae: elle dépl
s sens. Comment dire aloi's que l’âme ne reçoit ses sensations que du cerveau et ne réagit passur lut? Mais la preuve de cette
eurs bourreaux, parce qu’ils ne sentent rien : L’àme qui sent, Ote au cerveau sa sensibilité parce que la Provklence a voulu qu
proportionnée à ses forces. Il est donc évident que l’àme dirige le cerveau et ne reçoit de lui que ce qu’elle veut bien rece
tra la justesse de notre observatiou. Enlin M. Warlomont dit : « Le cerveau seul profile de l’éducation, et comme tous les or
rsée, c’est admettre que dans tout travail d’esprit le sang afflue au cerveau , et cependant un ancien adage dit en parlant d’un
de con-sidéi-able. La païole emporte avec elle le feu contenu dans le cerveau , le geste le répand à (lots ; et c’est ainsi que
rd’hui, parmi tant de faits du domaine ÙQ rexlrnordiiiûire, plus d'un cerveau .... sans fêlure, désireux de s’assurer déterminém
ne suis pas le seul chercheur qui met en mouvement les fibres de son cerveau pour élucider cette science profonde. Une foule d
. le D' Ordinaire prétend « que l’âme u n’a pas besoin du concours du cerveau pour se manifester, « qu’elle peut se passer des
es par un certain nombre d'individus, ce qui montre clairement que le cerveau humain est sujet à des hallucinations. Alphonse
ère en ce qui concerne lo tminifestation de T âme sans le concours du cerveau ou des sens dans les phénomènes qui ont trait par
me instant d'une commotiou vaguement douloureuse, c est parce que son cerveau passif a reçu l'impression d une onde éthérée don
besoin du contrôle des phénomènes pour en retrouver les idées. Jamais cerveau , sorti des rangs du peuple, n’eût conçu une parei
iamèîe, les Ferguason et tvlli fjuunli : nne heureuse conslilulion du cerveau , dont la pâte docile a été prompte à recevoir les
lir, se trouvaient réunies dans le môme instrument. De même lorsqu’un cerveau réunit toutes les conditions de la perfection, il
r suffisamment démontrée dans mon Essai, en expliquant l’éducation du cerveau , p. ¿07, ¿09 et A13 ; en rappelant que la justice
désordre des faculté-s intellectuelles qui résulte des altérations du cerveau , p. 412. Lorsque l’on voit un savant devenir tout
là lecture des articles de cet auteur, que le désordre règno dans son cerveau . 11 proclame, comme moi, ce principe fondamenta
on, il tend nécessairement à établir l’équilibre aussi bien entre les cerveaux , o(i je crois que les idées se forment plastiquem
esseur t'odéré {“*). Pour rorg.inisnie des puissances de relations du cerveau , l'axe d'unitéisme est en quelque sorte le Ait« (
plus considérables, c’est l'organe de la pensée, en un mot, c'est le cerveau de l'iiomme (”). « Qui oserait entreprendre d'a
ontinua de vivre et de marcher pendant six mois. (Ridlky, Anatomie du cerveau , eie. 1750.) Perrault a vulgarisé l’histoire de
n physiriue, il i'aut qu’ils mettent en activité les éléments de leur cerveau , qu’ils réagissent au moyen des fibres cérébrales
r d’être sortis tout armés du ventre de leur mère, comme Wi-iierve du cerveau de Jupiter, — à moins pourtant que nous soyons re
76 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
jurer d'être absolument dans le vrai, comme une pléthore nerveuse du cerveau . Cet état d'impressionnabilité à la suggestion,
uement. Il suffit qu'une coïncidence fortuite ait fait naître dans le cerveau cette idée de périodicité pour que dorénavant ell
n'est pas la phrase textuelle, c'est l'idée qui était restée dans son cerveau et qu'une simple allusion a ramené à la conscienc
ée. Cet enfant est naturellement suggestible ; c'est-à-dire que son cerveau a une tendance naturelle à réaliser des idées qui
suggestion a fait son œuvre salutaire ! Parco qu'elle a mis dans son cerveau l'idée qu'il ne devait pas accepter la suggestion
ividualité psychique spéciale de chacun, propre à introduire dans les cerveaux fragiles des notions saines et honnêtes, à y inca
ur que la suggestion existe, il faut que l'idée qu'on veut imposer au cerveau soit par lui acceptée. Mais tous les cerveaux n'a
ée qu'on veut imposer au cerveau soit par lui acceptée. Mais tous les cerveaux n'acceptent pas toutes les idées. Autant de sujet
obtenir par l'hypnose. La sensation douloureuse est incarnée dans son cerveau . Consciemment ou inconsciemment, il ne se la lais
estion sans en avoir l'air, en faisant entrer l'idée curative dans le cerveau par voie détournée, sans paraitre faire de la sug
e réelle, peut-être organique ce n'est pas une maladie imaginaire. Le cerveau malade cré des désordres dont la cause n'est pas
désordres dont la cause n'est pas dans l'organe affecté mais dans le cerveau lui-même qui agit par voie centrifuge Les maladie
susceptible d'être influencée par la suggestion ; cai il y a dans le cerveau de ces malades une modalité pathologique, probabl
eil. La suggestion a réussi. J'espère par cette manœuvre donner à son cerveau l'initiative nécessaire pour réaliser l'acte somm
en jeu. Or la suggestion met en activité la propriété inhibitoire du cerveau et refrène l'excitabilité nerveuse exagérée qui c
lus ou moins grande des fonctions de la moelle épinière sur celles du cerveau , c'est-à-dire de la sphère des centres nerveux d'
ns nécessaires du début, comme pour les faire mieux pénétrer dans son cerveau , pour mieux substituer, à son automatisme impulsi
abitude, tout prouve l'acte inconscient, automatiquement accompli. Le cerveau des onychophages semble avoir perdu ce pouvoir d'
r. Ainsi, préparée de longue date par un asservissement séculaire des cerveaux à l'imitation ancestrale, condensée en formules r
nt par de la toux et des hemoptysies. L'extrême malléabilité de son cerveau n'a pas cependant un caractère d'universalité. El
rconvolutions cérébrales et sur un nouveau procédé de conservation du cerveau . M. le D' Collineau fera, le jeudi 30 janvier,
13 février, à cinq heures, une con férence sur La substance grise du cerveau . M. le Dr Mora fera, le jeudi 20 février, à cin
0 février, à cinq heures, une conférence sur L'éducation intégrale du cerveau . Faculté de Médecine : Clinique des maladies du
avec une extrême prudence de tous les exercices qui congestionnent le cerveau , tels que les renversements, les rétablissements,
sseurs Rudinger et Graetz, Dr Cremer. a) Anatomie et physiologie du cerveau et des organes des sens (bases physiologiques de
s nerveux. Localisations. Neurones. Voies de conduction. Structure du cerveau . Fonctions psychologiques des parties centrales;
rconvolutions cérébrales et sur un nouveau procédé de conservation du cerveau . M. le Dr Collineau fera, le jeudi 6 février, à
20 février, à cinq heures, une conférence sur : La substance grise du cerveau . M. le Dr Mora fera, le jendi 27 février, à cin
février, à cinq heures, une conférence sur : L'éducation intégrale du cerveau . M. le Dr Millée fera, le jeudi 5 mars, à cinq
i avait envahi les deux poumons. A l'autopsie, j'ai constaté que le cerveau était très ferme et les méninges légèrement injec
rconvolutions cérébrales et sur un nouveau procédé de conservation du cerveau . M. le Dr Collineau fera, le jeudi 6 février, à
20 février, à cinq heures, une conférence sur : La substance grise du cerveau . M. le Dr Mora fera, le jendi 27 février, à cin
février, à cinq heures, une conférence sur : L'éducation intégrale du cerveau . M. le Dr Millée fera, le jeudi 5 mars, à cinq
ements désordonnés. Pour que la catalepsie s'obtienne, il faut que le cerveau ne soit pas inerte, que l'hébétude ne soit pas tr
soit pas trop grande, qu'il n'y ait pas d'agitation : il faut que le cerveau soit assez sain pour percevoir, pour comprendre,
croit devoir la garder, par une sorte de tendance auto-suggestive du cerveau à garder l'impression reçue. Le cerveau maintie
tendance auto-suggestive du cerveau à garder l'impression reçue. Le cerveau maintient Vidée que le bras doit rester en l'air,
uflit que je m'éloigne pour que le sujet laisse retomber son bras, le cerveau n'étant plus entretenu par ma présence suggestive
tonus musculaire, on le sait, est un phénomène réflexe spinal. Or, le cerveau a une influence modératrice sur les réflexes spin
lexes spinaux; ceux-ci sont accrus quand la moelle est séparée du cerveau . Aussi, quand le sujet a perdu son initiative int
Aussi, quand le sujet a perdu son initiative intellectuelle, quand le cerveau psychique cesse d'agir ou agit moins activement,
e complète par l'apparence du sommeil? Le bras étant cata-leptisé, le cerveau reste figé pour ainsi dire sur l'idée de garder l
résultant de cette attitude, comme je l'ai dit. Il y a catalepsie du cerveau , comme il y a catalepsie des membres ; c'est-à-di
du cerveau, comme il y a catalepsie des membres ; c'est-à-dire que le cerveau tout entier reste en arrêt sur cette idée, sur ce
on réalisée parles expériences physiologiques : c'est l'enlèvement du cerveau en conservant le bulbe et les tubercules quadriju
quées avec soin les différentes coupes que l'on doit pratiquer sur un cerveau pathologique au moment de l'autopsie, avant de le
communes se trouve dans la moelle ou dans les ganglions de la base du cerveau . C'est donc à des modifications physiologiques se
iques : ces derniers provoquent le sommeil en agissant d'abord sur le cerveau , et secondairement sur le bulbe; au contraire les
agents narcotiques produisent un sommeil qui paraît aller du bulbe au cerveau , de la sensibilité au mouvement; le sommeil ainsi
e les médicaments que je viens d'étudier produisent le sommeil du cerveau , l'hypnose, qu'il faut éviter de les employer dan
ontinuité des fibres nerveuses avec les prolongements des cellules du cerveau et de la moelle ; on reconnaît actuellement que l
seraient plus développées et plus parfaites ; dans ces conditions, le cerveau ne vaudrait pas tant par son poids que par la per
s et la facilité de leurs déplacements ; un grand homme peut avoir un cerveau relativement petit, et un idiot un cerveau coloss
grand homme peut avoir un cerveau relativement petit, et un idiot un cerveau colossal. L'habitude et l'exercice persévéran
rie sont peut-être dus à la suppression de l'influence modératrice du cerveau antérieur par le même mécanisme, comme nous le co
phériques, ou d'une façon générale sur les centres de la moelle ou du cerveau , sur le centre de la douleur qui est en rapport a
aires de l'écorce du (1) Correspondant médical, septembre lS9i. cerveau , et, comme conséquence, la perte irrémédiable du
et l'influx nerveux pour traverser les centres nerveux, et surtout le cerveau , varie entre des limites très grandes selon l'end
uses n'est pas une simple hypothèse. En 1890, Wiedersheim étudiant le cerveau d'une petite diphnée, inco*ctét'd,eau douce appel
tre avait tout bonnement, semble-t-il, créé un centre d'arrêt dans le cerveau , par la concentration de la pensée sur le but à a
rait probablement guéri en continuant le traitement, et créé dans son cerveau un centre d'arrêt de plus en plus puissant et déf
s n'est pas absolue. Certaines excitations externes arrivent jusqu'au cerveau et y déterminent des rêves ; on fait passer à plu
, pensons à la chloroformisation : elle produit d'abord le sommeil du cerveau , elle abolit la sensibilité ; mais, quand le réfl
inaire chez l'animal normal . Le sommeil n'est donc pas fonction du cerveau ; tous ou presque tous les neurones dorment, c'es
s de veille et de sommeit. D'abord, il fallut nourrir ce ß chien sans cerveau en lui introduisant les alimente dans l'œsophage;
sation, idée de mouvement, idée d'émotion, — une fois acceptée par un cerveau propice à son développement, sera infailliblement
ortants qui lui ont été faits par M. Luys fcerveaux, photographies du cerveau , miroirs, etc.... schémas) ; par M. Tramond (moul
s du cerveau, miroirs, etc.... schémas) ; par M. Tramond (moulages de cerveaux et de pièces anatomiques); par M. Talrich (modèle
ges de cerveaux et de pièces anatomiques); par M. Talrich (modèles de cerveaux et de pièces anatomiques) ; par M. Ch. Verdier (I
77 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
psie minutieusement conduite, constata dans la substance blanche du cerveau l'existence de nombreux corps granuleux situés,
quantité, tout en n'étant cependant pas aussi nombreuses que sur un cerveau normal. Le reste de ces deux circonvolutions
osmique. Il est vraisemblable qu'elle réussirait aussi bien pour le cerveau . CAS DE SCLEROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 33 m
grandes cellules pyramidales qu'il est si facile de trouver sur un cerveau normal, toujours ces cellules se montraient abs
suite du travail intellectuel ne proviennent-ils pas de ce que le cerveau , en travaillant, absorbe moins de ces phosphates
une égale quantité d'acide phosphorique d'assimilation ; sinon le cerveau serait bientôt privé de phosphore et tout travail
ne se lie pas à la seule nutrition générale, mais à la nutrition du cerveau lui-même. Cette manière de voir s'affirme et s'
INTIMEMENT LIÉ A la NUTRI- TION ET AU FONCTIONNEMENT DU CERVEAU. LE CERVEAU , EN fonctionnant, absorbe DE l'acide phosphoriq
eilleurs résultats. Les préparations ont été faites surtout sur des cerveaux de chiens plongés dans les réactifs dur- cissan
bles expansions corticales, et dérivent de la vésicule moyenne du cerveau . Les ganglions postérieurs sont des agglomération
ostérieurs sont des agglomérations annexées postéro-latéralement au cerveau moyen. Les gan- glions antérieurs sont toujours
les reptiles qui représente le développement de l'organe central du cerveau moyen; chez l'iguane, elle fait saillie extérie
l'excitation à travers les voies de con- ductibilité centripète du cerveau . 18 ? 1o Il existe des faits qui, sans détruire
De même, une affection de la moelle peut, par action réflexe sur le cerveau , déter- miner des symptômes cérébraux. Le proce
ès lesquelles chez tout chien intoxiqué par le K.Br., l'écorce du cerveau a perdu partiellement ou totalement son excitabil
e; mort après un séjour de deux semaines à la Charité de Berlin. Le cerveau présente une sclérose modérée des artères. une
s, sur les attaques d'aphasie avec hémianopsie sans altéra- tion du cerveau sur l'absence de douleurs et d'ataxie, sur les
n lui fermait les yeux ni lorsqu'il fut devenu aveugle. L'écorce du cerveau n'a pas été examinée. Peut-être, comme le veut
altération de structure. Peu de chose dans la substance blanche du cerveau ou de la moelle; elle est raréfiée et ses noyaux
, M. Oppenheim fait observer que dans un cas de lésion organique du cerveau la vision excentrique percevait de gros objets
ur les centres nerveux, et enfin les blessures et les affections du cerveau y compris certaines névroses telles que l'épileps
lève aux tableaux morbides leur ingrate sécheresse. Les maladies du cerveau bénéficient, elles aussi, de cet avantage, grâc
i la parole s'arrête par l'ouverture de l'oe gauche qui stupéfie le cerveau droit; comme si le malade parlait avec cette hé
tisait le malade. Par l'ouverture de l'oeil droit, on stupéfiait le cerveau gauche, et l'on, déterminait la cessation du la
lepsie gauche. Ceci prouve que, le malade se mit à parler avec son cerveau droit dont il eut à faire l'éducation. C'est al
t que le malade parle de nouveau pendant cette contracture avec son cerveau gauche et. qu'il présente une polarisation psyc
le fait des productions tuberculeuses trouvées à l'autopsie dans le cerveau et le cervelet, productions probablement plus anc
lésions artérielles probablement prédominantes dans les artères du cerveau . La thrombose ainsi préparée depuis longtemps tro
. K. VI. SUR LES CELLULES NERVEUSES ganglionnaires DE l'écorce DU CERVEAU DANS LA PARALYSIE PROGRESSIVE DES ALIÉNÉS; par
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 233 péri-ccllulaire très peu large ( cerveau bien sain, enlevé très peu de temps après la mo
vite (lésions de ses voies d'écoulement) comprimera la surface du cerveau . Quant aux convulsions partielles, elles sont due
s là prédominance du lobé frontal gauche est moins marquée pour les cerveaux d'un poids inférieur. Dans les autres; régions
rence entre lés deux lobes est, au contraire, plus marquée pdur les cerveaux les moins lourds. Le rapport dès dif- férents l
moins lourds. Le rapport dès dif- férents lobés au poids de tout le cerveau indiquerait que les femmes ont proportionnellem
causn detern;l1n,nte"de srivdélie : l ? 11 ? R'iû'pïôritre aussi le cerveau d'une idiotf dont 'rhél'nispl1èi : è'droitt'esi'u
ir» >> causée par le déplacement de 1 os fracture. L abcès du cerveau dont les, signes, cliniques sont, encore .assez
ons par comprendre les graves problèmes relatifs aux fonctions du cerveau . 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion : ,,1 M ..
sultats négatifs, l'auteur. is'est' donné la peine de conserver des cerveaux d'adulles;°ressortisasnt à la question et de le
corticales des''lobes' occipitaux.' ' l" ' Quelle'' est ! dans'les cerveaux d'IiémialOpsiqïlës, J'à. "'oie 'qû'J-1 .' 1'" .
1 Une atrophie du nerf optique uni- ou'hi-latéralé qui porte sur le cerveau d'un, adulte ne se transmet pas forcément aux b
vation pour ses prolongements. - contrôle constant avec l'écorce de cerveaux d'individus sains. M. Mendel. Ceci est une conf
blables en apparence, concourent à la détermination des rapports du cerveau avec les différentes fonc- tions de l'organisme
ervation peu rigoureuse. Il croit que les lésions expérimentales du cerveau produisent le plus souvent des phénomènes trop
1877. 2 Charcot. Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau et de la moelle épinière, 2e fascicule, 1877, p
tère, ni ses relations avec les faisceaux sclérosés. De l'état du cerveau on ne dit mot. Considérant tout cela, la suppos
topsie, on trouve un ramollissement notable des lobes antérieurs du cerveau et des tubercules gris en voie de formation dan
is. Rougeole à deux ans et demi, variole à trois ans; congestion du cerveau ( ? ) : il a été pendant soixante-cinq jours très
ue ou galva- nique). P. K. XLII. Tumeurs symétriques A la base du cerveau ; parle Dr STRAHAN. (Journal of Mental Science,
n'a pas pu être faite, mais le Dr Strahan a réussi à se procurer le cerveau , qu'il a remis au Dr G. II. Savage. Voici ce qu
K. XXII. CONTRIBUTION A L'HISTOLOGIE pathologique DE L'ÉCORCE du cerveau CHEZ LES aliénés; par V. LlEBMANN. (Jahnbüch. /
J. FRITSCIi. (Jahrbùch. f. Psych., V, 3.) Anomalie de formation du cerveau et du crâne chez un jeune chevalier d'industrie
érieur du crâne, on ne trouva de tubercules que sur la convexité du cerveau ; mais les ventricules latéraux étaient remplis
'il y a action réflexe sur la moelle, d'où l'utilité d'appliquer au cerveau telle sorte de cou- 1 Voy. Archives de Neurolog
des hémisphères cérébraux. Ces recherches portent sur 235 pesées de cerveaux d'hommes et i-16 de femmes faites par Broca. El
n particulier les dé- ments. L'influence de l'âge sur le poids du cerveau ne s'exerce pas de la même façon dans les deux
s'exerce pas de la même façon dans les deux sexes : chez l'homme le cerveau acquiert son maximum entre vingt-cinq et trente
oce; c'est en effet entre vingt et trente ans que les femmes ont le cerveau le plus lourd. Le poids croit avec la taille. U
us lourd. Le poids croit avec la taille. Une étude particulière des cerveaux les plus lourds de 1,500 à 1.600 grammes et au-
e résultai intéressant que les individus sains d'esprit et doués de cerveaux exceptionnels succombent pour la plupart avant
ns les hôpitaux ordinaires, tandis que les aliénés doués de pareils cerveaux ont généralement dépassé cet âge. ? j'est-on pa
tirer cette conclusion : Beaucoup d'individus porteurs de très gros cerveaux ne sur- vivent que pour échouer dans les asiles
ticuliers delà communication de M. Hey. Chez les femmes, dit-il, le cerveau acquiert plus tard son maximum de développement
e manifeste tout d'abord. Quant à la remarque que les sujets à gros cerveau disparaissent après quarante ans dans les hôpit
pouvait en donner une explication satisfaisante. Les hommes à gros cerveau disparaissent-ils par le fait d'une mort prémat
démontrent déjà l'action puis- sante des affections fébriles sur le cerveau ; c'est plus particulière- ment les cas de paral
celles qui se développent pendant l'évolution foetale; et sur ces cerveaux de jeunes sujets en voie d'évolution, les résulta
s expériences ultérieures, à rendre à notre sujet l'activité de son cerveau tout entier. Après quelques tentatives infructu
isposition à la paralysie générale, ou à une affection organique du cerveau , la syphilis n'est peut-être que la cause occas
ultait un eiichâloiiiieineiit, plus prononcé de ces deux régions au cerveau ; de là, des excitations inégales de la substanc
e la para- lysie progressive, alors même que manquent l'atrophie du cerveau les adhérences et inflammations méningo-encépha
ociation sous-corticales de Meynet, dans les segments antérieurs du cerveau . - De ces éléments l'auteur déduit que la démen
lle la folie ne serait que le résultat de la déshar- monie entre le cerveau droit et le cerveau gauche, publiait, en 1844,
it que le résultat de la déshar- monie entre le cerveau droit et le cerveau gauche, publiait, en 1844, un livre portant ce
appelées et judicieusement appréciées dans le but de prouver que le cerveau , loin d'être une individualité physiolo- gique,
alité, un organe pair, chacun des hémisphères étant, à lui seul, un cerveau complet, autonome. Etabli déjà sur cette solide
t double, en un mot, qu'il possède deux organes de l'idéation, deux cerveaux . ' Telle est cette consciencieuse étude que l'a
cuoles dans les), 90. Cérébrale (Dualité), par Bérillon, 457. Cerveau (poids du), 212, t.2H; - (Physiologie du), par
re, par Scltultze, 93; - (dans la sclérose multilocnlaire), 93. Cerveau (sclérose granuleuse de l'écorce du), 92; -, (h
78 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
de Zurich. La plupart des cas d'anévrysme des artères de la base du cerveau n'ont point d'histoire clinique. Ils ne sont dé
ts dans le tronc cérébral, moins bons pour les couches optiques, le cerveau ayant été conservé pendant près de deux ans dan
de la compression. Au sur et à mesure que l'on s'avance du côté du cerveau le ruban de Reil devient plus mince ;i gauche p
e la circula- tion et les "effets de la pression sur les parties du cerveau postérieur op- posées à l'anévrysme). C'est s
st aplatie d'avant en arrière. Les méninges semblent normales. Le cerveau , les origines des nerfs crâniens, le cervelet ne
dévoilé, car je vous dirai que je ne sais si c'est la maladie ou le cerveau qui était malade, butté je ne sais quoi, eh bie
dérangée, il faudrait en- lever le taon malfaisant qui habite leur cerveau . Sublcatu causa, lollilacr effectits. 1% Avec
ve. La voici : Si, par un remède nouveau, J'extirpais les rats du cerveau . Combien de'gens auroient besoin du spécifique,
e les pernicieux effets d'humeurs conglutineuses accumulées dans le cerveau et qui ne lardent pas à s'y concréter sous la for
e vous turlupine, moi, Maître Jean Babillard, je vous tripoterai le cerveau . » Quels sont ces « gens de Malgum » auxquels i
ait-il son action curative ? -Rien déplus sim- ple : il chassait du cerveau les humeurs qui s'y trouvaient accumulées et l'
ar l'on croyait sincèrement que la fumée du tabac pénétrait dans le cerveau . Sganarelle nous l'apprend dans le Festin de Pi
t dans la médecine un remède nouveau Il purge, réjouit, conforte le cerveau ; De toute notre humeur promptement il délivre
itude, - Charmante pipe, ardent fourneau, Qui purges d'humeur mon cerveau , Et mon esprit d'inquiétude Le tabac jouissai
prit d'inquiétude Le tabac jouissait donc du privilège de purger le cerveau de ses humeurs peccantes. De là à le supposer c
méfaits cérébraux. Simon Pauli affirmait que les fumeurs avaient le cerveau et le crâne tout noirs. Dans une lettre à Barth
chins rapporte qu' « une personne qui s'était tellement desséché le cerveau à force de prendre du tabac qu'après la mort on
n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et pll1 ? le les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la
s traits singuliers peuvent servir à compléter la -- des tumeurs du cerveau et surtout celle moins connue des tumeurs de l'
eur,ouverture du crâne, rien à remarquer. Au moment d'extraire le cerveau on remarque que les pôles occipitaux et frontau
d'une masse néoplasique qui soude la partie centrale de la base du cerveau à la dure-mère. - Une dissection très délicate
ne sont pas même déviés de leur trajet par la tumeur. Une fois le cerveau extrait et placé sur la table par sa face convexe
laquelle parait emprisonnée dans un fin réticulum. De l'examen du cerveau fait par le professeur d'Anatomie pathologique Ca
par le professeur d'Anatomie pathologique Caf- fera, je relève : Cerveau sain partout ; on n'a trouvé aucun vestige de la
iplégie ordinaire sous la dépendance de quelque lésion organique du cerveau , vous vous apercevrez que, en marchant, elle a un
s » migraines, vertiges, causées par les « humeurs croupissantes du cerveau ». Paul d'Egine, A. Paré, Fabrice d'Aquapen- den
iques. Nous avons consigné ces expériences et dessiné nous-même des cerveaux et des coupes de cerveaux sur lesquels on voit
ces expériences et dessiné nous-même des cerveaux et des coupes de cerveaux sur lesquels on voit le trajet suivi par le corps
ude nous sommes parvenus à laisser le fil de fer bien en place. Les cerveaux ayant déjà été formulés sur le cadavre, contenaie
i malheureusement qu'elle perfora l'orbite droit et pénétra dans le cerveau sans blesser d'ailleurs le globe oculaire. No
pas d'importance, étant donné que les vaisseaux de la périphérie du cerveau sont lésés directement par le coup. Mais cette
rtie antérieure du pariétal qui était enfoncée et qui comprimait le cerveau , est enlevée. Les téguments sont réuuis ensuite
une dépression très nette correspondant à une perte de substance du cerveau . Au même mo- ment, il se fait une hémorrbagie a
se rapportant à des expériences pratiquées sur le lobe antérieur du cerveau se rapprochent beaucoup des nôtres. En voici un
ol. V, p. 337. (1) ;\I.111.\Dl, Les progrès réalisés en anatomie du cerveau par la méthode expérimen- tale. Journal de Neur
s petit chez le malade de Miura (96 grammes) tandis que ie poids du cerveau ('1.181 : i grammes) est compris dans les limites
le cervelet du malade de Nonne pesait 120 grammes, mais le poids du cerveau (1.020 grammes) était au-dessous du poids norma
s la plupart des cas et d'autre part à la suppléance exercée par le cerveau et le labyrin- the, ce qui a été démontré expér
a face ou par pénétration dans la face elle-même et ensuite dans le cerveau . Comment se produit l'hémiplégie dans le cas de
t même qu'il n'y ait pas du tout de fracture de la boîte osseuse du cerveau et qu'il y ait cependant une hémiplégie. Dans ce
. Il se fait alors une accumulation graduelle du sang à laquelle le cerveau est incapable de s'accommoder plus longtemps.
que le sens déjà propagation des vibrations traumatique . Fie. XIV. Cerveau gauche, face antérieure de la coupo, la substance
de l'oreille, Lrs trois dernières coupes ont été pratiquées sur un cerveau droit. Nous avons dessiné la face postéiteure d
chiens vivants les modifications et les troubles qui atteignent le cerveau blessé. Les expé- riences ont été faites avec u
de 9 m/m. Voici ses conclusions : Il faut diviser les lésions du cerveau , par armes à feu, en trois degrés : 1° La parti
ions du cerveau, par armes à feu, en trois degrés : 1° La partie du cerveau directement broyée par le coup ; DE l'hémiplégi
, l'autre une explosion de substance dans laquelle les parcelles du cerveau étaient propulsées vers les parties latérales, ta
tard. ' Le tableau clinique que peuvent présenter les blessures du cerveau par armes à feu, ne dépend que de l'étendue de
hie... « la balle pénétrant par la tempe droite avait transpercé le cerveau vers sa base et était parvenue dans l'étage moyen
hémisphère droite, région pariétale à peu de distance de la faux du cerveau et de la voûte du crâne ». Gralt' a présenté il
'hémianopsie. Les corps étrangers qui pénètrent par la face dans le cerveau et ont pour conséquence une hémiplégie peuvent
le squelette de la face : entrant par la joue et ressortant dans le cerveau et dans un cas, il s'agissait d'un projectile aya
ns l'orbite, en fracturer plus ou moins le fond et pénétrer dans le cerveau , mais il n'en est pas de même avec un instrumen
se fracture à ce moment ; la canule pénétrant plus avant atteint le cerveau . Nous verrons plus loin quelles lésions sont fa
t plus exposées au trauma- tisme. Fic. 1 et 2. Face inférieure du cerveau les tiges sont figurées par un trait noir la co
tige pénètre par la pointe du lobe temporal à la face inférieure du cerveau , tra- verse une partie du noyau cause, pénètre
SALPÊTRIERE. T. XIII, PL. LI. 10'10. III. Coupe horizontale d'un cerveau droit : BO, bandelette optique; P, pédoncule ; NC
ricule latéral; C, région calcarimene. 1o'1G. Y. - Face externe dun cerveau droit : FA, frontale ascendante; PA, pariétale as
ylvius; T" Inrenuùm e temporale. 1··tc. VIIL-Coupe horizontale du cerveau droit, face inférieure, un peu oblique d'avant eu
T. XIII. PL, LII. FIG. YI. - Faco iul'l'riem'e et lace interne d'un cerveau gaucho. La llg-o arrlye obliquement d'avant en
me côté. Notre huitième expérience (fig.V, Pl. LI) a porté sur un cerveau droit. La tige a été enfoncée d'une longueur de
bas en haut légèrement. La figure représente la face externe de ce cerveau , les circonvolutions étant écartées les unes des
ort par se face postéro-supérieure, au moment où il pénètre dams le cerveau . Nous pouvons donc déjà penser à une hémiplégie a
faits cliniques. La figure VII, PI. LUI, représente une coupe d'un cerveau droit. La tige ayant pénétré par l'orbite, le -
érience, ainsi que celles reproduites par les figures VIII, PI. LI ( cerveau droit) et IX, PI. LUI (cerveau gauche) assez se
duites par les figures VIII, PI. LI (cerveau droit) et IX, PI. LUI ( cerveau gauche) assez semblables à la précédente,sont l
chterew, etc. Et puisque nous parlons de coup ayant pénétré dans le cerveau par la voie orbitaire, rappelons ce que nous av
elons ce que nous avons dit relativement aux lésions faites sur les cerveaux pendant leur formolage, et ajoutons-y les figures
interne directement atteints par le corps pénétrant. Sur un au- tre cerveau , c'était le pédoncule droit du locus nigerqui éta
s optiques en arrière du chiasma, le pédoncule à son entrée dans le cerveau ou au-dessous, la corne sphé- noïdale, la capsu
chercher ce FtG. VIL- Coupe horizontale à la partie inférieure d'un cerveau droit oblique d'avant en arrière : BO, bandelet
eux; ventricule latéral. FiG. IX. Coupe (le la face inférieure d'un cerveau gauche, un peu oblique d'avant en arrière et do
? tr,cr1 ? ·r ? a ? ... ? .... Fig. XII. Coupo de Flcchsing sur un cerveau ayant suhi l'opération du formolage : En L se t
rne; VL, ventricule latéraL FIG. \III. - Coupe de Ficchsing- sur un cerveau également formolé : En L, grande lésion déchira
d'habitude, dans chaque hémisphère, nous avons cette fois enlevé le cerveau en laissant les broches en place et, disséquant
l'épanouissement pédonculaire. Le ventricule latéral est respecté ( cerveau droit). La coupe dessinée dans la figure 11 app
u droit). La coupe dessinée dans la figure 11 appartient aussi à un cerveau droit. Elle est pratiquée dans le sens antéro-p
qui l'intitule : une forme inusitée de blessure par coup de feu du cerveau . La survie n'ayant été que de vingt jours il en
e ramifie et un canal se dirige vers le bas et la partie interne du cerveau et se termine au devant du du corps strié. Le c
ns occipitales DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 391 jusqu'à la base du cerveau . Le dernier canal ainsi formé est long de 1 cent.
e traumatisme peut donc produire l'hémiplégie par lésion directe du cerveau ou pour action indirecte ; on provoquant une hémo
seur Gralf, surtout dans les cas où un projectile est entré dans le cerveau . Cependant les chirurgiens ont tenté d'interven
ver les fragments et de détruire la compression qui s'exerce sur le cerveau . C'est ce que Schloffer, Starr etlVlac Burney, Ar
le, ainsi que les rayons Roentgen le montrent, reste en un point du cerveau et le blessé reprend ses occupations et sa vie ha
t donc pas impunément que l'on garde une balle de revolver dans son cerveau et une fois la plaie et la paralysie guéries, tou
sortir la pituite » qui comme la bile est un excrément du sang. Le cerveau n'est que fort peu ou point évacué par l'éternu
chondriaque, prétend que le tabac dissipe les noires vapeurs de son cerveau . Rinarchus, le marchand cossu, guérit ainsi des
n cerveau. Rinarchus, le marchand cossu, guérit ainsi des rhumes de cerveau et se met en garde contre la phthisie. Petemius
l aurait eu effet pour eux les plus funestes effets, ruinerait leur cerveau et leurs poumons. Tout cela est évité par la pe
branlements trop fréquents de la tête. Les effets du tabac sur le cerveau ont été célébrés sur tous les tons, et cependan
, qui pour- rait toucher les tabacophiles, ils sont tous malades du cerveau . Inutile de chercher à les guérir. Tous les o
c, n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et. purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la
passer de tabac ? qui i n'essaiera pas d'éclaircir et de purger son cerveau ? A la veille de mourir, les malades en voudron
eillards sont les suivants : trou- bles de la mémoire,sécheresse du cerveau , aboli lion de la vue,de l'ouïe. etc. . LA CROI
est aussi une maladie d'après Celse; 4° Sécheresse continuelle du cerveau ; 5° Cette sécheresse, tout à fait pernicieuse,
solitude Charmante pipe, ardent fourneau, Qui purge d'humeurs mon cerveau , Et mon esprit d'inquiétude, Tabac, dont mon
t seulement soupçonner l'existence d'une phlegmasie circonscrite du cerveau ou des membranes qui l'entourent, les phénomènes
ulente si elle existait,ne résidait que dans la subs- tance même du cerveau qui ne porte pas aussi promptement à l'épanchemen
agitée, s'alcoolisant et faisant divers excès. C'était paraît-il un cerveau mal équilibré, les bizarreries de son caractère
orce du coup, de sorte que la face méningée regardait en dehors. Le cerveau , dans la région lésée, était réduit en bouillie
direction indiquée. La pie-mère était libre partout. La surface du cerveau grisâtre plutôt que rosée et battant un peu-
wEN. Brit. med. Journal, t. I, p. 899. 1889. P. BERGE11. - Plaie du cerveau par balle de revolver. Hémiplégie droite; issue
DE l'hémiplégie TliAUMATIQUE 557 1898. 0. TlI.MANN. Des lésions du cerveau par armes à feu. Centralblatt sur chirur- gie,
gie, n° 26. 1898. Bergmann. Radiographie des projectiles dans le cerveau . Deutsche med. Wochensch., n° 9. 1898. Grsarr
ture de la main gauche, dit très justement Martial Durand, moins le cerveau entrera en action, c'est-à-dire moins il agira
crânien jusqu'aux noyaux bulbaires, et rien n'est dit sur l'état du cerveau et des autres nerfs crâ- niens. Nous ne trouv
utopsies de Léonowa concernant des foetus privés congénitàlement de cerveau et de moelle et chez lesquels les muscles ocu-
79 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
plète, le membre atteint cesse bientôt d'entrer dans les calculs du cerveau . » Un autre argument est encore fourni par Poor
nis, auquel est incorporée la poudre radifère. 2 expériences sur le cerveau et 1 sur la moelle ont été faites avec des appare
odifications macroscopiquement appréciables, ni des méninges, ni du cerveau . Les seules lésions constatées dans ces deux ca
l'éosine. L'épithélium épendymaire est intact. Pas plus que dans le cerveau , la névroglie et le NOUVELLLE Iconographie DE l
de toluidine- éosine-orange). D - Exp. 2. Cellules pyramidales du cerveau , dans la région des hémorrhagies. Méthode de Ramo
n trouve quelques très rares corps granuleux. Aucune lésion dans le cerveau . Ainsi donc, le radium, appliqué sur le crâne o
n ait été mal faite, n'intéressant que la partie tout antérieure du cerveau , nous avons trouvé, dans ce cas, des hémorragie
bien plus considérables que dans les autres, non seulement dans le cerveau (PI.XV, B), mais encore dans toute la hauteur de
out autre ordre : l'un de nous (1) a observé, avec Anfimow, dans le cerveau ou sous la pie-mère cérébrale d'épileptiques mo
de l'inter- ruption organique produite entre les centres d'arrêt du cerveau et les noyaux des nerfs bulbaires ; or, on sait
u de place que tiennent dans leurs écrits les éléments matériels du cerveau , soit par l'indifférence avec laquelle ils les
elle a pour organe l'axe cérébro-spinal et plus particulièrement le cerveau , mais encore que les gradations subies par elle s
cti- tude. : Il existe une remarquable différence de poids entre le cerveau de l'homme normal et celui des idiots. . La f
usive d'un de ses organes. Ce n'est pas l'homme qui pense, c'est le cerveau , et le fait est si vrai qu'il ne pense bien que
, ce n'est donc pas l'homme qu'il faut avoir sous les yeux, mais le cerveau . Cette manière d'agir est infiniment plus exact
t choquant et deviennent inintelligibles, lorsqu'on les applique au cerveau et que l'on a la conviction profonde que l'on n
upérieurs, en même temps qu'une augmentation importante du poids du cerveau et qui atteint son maximum non pas chez l'homme
t rien pu ajouter dans les conditions données de développe- ment du cerveau . i Tous les rouages du corps humain fonctionnen
omnoforme ; elle disparaît dans les méningites. les traumatismes du cerveau , dans les simples compressions de cet organe, mêm
m organique, mais déjà nous savons que celui-ci a son siège dans le cerveau . En m'appuyant sur ce qui précède, je me crois
vons encore dans la moelle dont il est l'unique rouage. Or,comme le cerveau et la moelle ne forment qu'un seul organe, l'axe
érébrale,il il devient logique, même à priori,de suppo- ser dans le cerveau ,' pour l'exercice des facultés intellectuelles, u
odifications apportées par l'organisation des connaissances dans le cerveau . Dans le premier cas, ce sont principalement le
que toute idée, celle d'orange par exemple, est représentée dans le cerveau sous autant de formes physiologiques différentes
- ESSAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 179 ces organisées dans le cerveau . Les gens bien doués ne conservent pas indé- fi
tre chose que l'excitation externe correspondante organisée dans le cerveau et momentanément consciente. Si celle-ci avait
nsées, c'est-à-dire dans ces mêmes ex- citations organisées dans le cerveau . Une pensée, selon le degré de son inten- sité,
érieures ou les idées c'est-à-dire leur équivalent organisé dans le cerveau à leurs phénomènes d'expression et de réalisati
r aux sugges- tions de leur journal. Mais au sur et à mesure que le cerveau se meuble de connaissances, les sensations exci
ée à priori par le fait que ce n'est pas l'homme qui pense, mais le cerveau , et que n'ayant aucune action sur celui-ci, n'e
uvoir de déterminer ses pensées, il ne manquerait pas d'empêcher le cerveau de fonc- tionner follement et l'on ne connaîtra
s le milieu qui a conditionné son hérédité. Si, par hypothèse, le cerveau pouvait se développer dans l'isolement le plus
e la part qui re- vient à chacun des facteurs de la cérébration. Le cerveau se développe toujours dans un milieu quelconque
n équivalents physiologiques ou organiques. Elles vont meu- bler le cerveau de telle façon que celui-ci devient en quelque so
du monde extérieur. Ces idées qui existent à l'état latent dans le cerveau (mémoire) peuvent à certains moments devenir co
la conscience est strictement limité aux pensées contenues dans le cerveau . On ne peut penser qu'aux choses que l'on conna
ature, mais il semble déjà qu'il ne doit pas être plus difficile au cerveau d'élaborer des pensées qu'aux femmes de donner la
complit dans l'étage infé- rieur. J'ai laissé en présence dans le cerveau les forces de l'hérédité et celles du milieu, m
-à-dire lin mot, un écrit, un événement etc. arrive au contact d'un cerveau à un mo- ment quelconque de son développement,
s l'empire d'un concours de circons- tances heureuses auxquelles le cerveau a été soumis et qui se trouvent réalisées à l'i
de de pouvoir modifier des croyances qui se sont empreintes dans le cerveau , sous l'action du milieu, dès la plus tendre en
uve et sur- tout malgré les preuves, une situation spéciale pour le cerveau , parce qu'il est l'organe de la pensée. Avant d
que les mouvements associés n'ont pas lieu sans la participation du cerveau malade,et leur coexistence avec une crampe prof
s avoir acquis une prédisposition héréditaire, a pu graver dans son cerveau le fait du doigt fléchi qu'il voyait tous les j
centrale. Mais quels sont les centres pris ? Sont-ils logés dans le cerveau ou bien dans la moelle ? D'après les don- nées
symptômes particuliers des troubles trophiques dans les maladies du cerveau et de la moelle nous aidera à comprendre et à mar
igt fléchi chez son père,il a pu se graver involontairement dans le cerveau cette circonstance. En émettant la suppositio
on bilatérale de l'écorce a pu faire le même état du côté opposé du cerveau ou de la moelle, pareillement aux phénomènes ob
comme nuisible. Erb (52) conseille de pratiquer la galvanisation du cerveau , et en- suite celle du membre malade : le cerve
galvanisation du cerveau, et en- suite celle du membre malade : le cerveau est électrisé tantôt d'une tempe à l'autre,tant
. L'apparition de ces deux noyaux cancéreux métastatiques dans le cerveau a été tardive. Ce cancer secondaire siégeait, dan
nte (2). En résumé, cet épithélioma cylindrique lobulé et tubulé du cerveau , à cellules claires, appartient au type gastro-
to-striée, proéminant dans les ventricules latéraux et à la base du cerveau , surplombant le corps pituitaire resté indemne. S
'artère cérébrale pos- térieure. Cette tumeur située à la base du cerveau , envahissant les corps opto-striés, se prolonge
en hypophysectomisé (Livon). Si on examine la partie postérieure du cerveau séparé par une coupe verticale pariétale passan
ible de s'étendre quelquefois au bulbe et aux parties adjacentes du cerveau . Il y a déjà longtemps que Pierre Marie (61) et
rler, lors de l'entrée à la clinique, aussi hien pour une tumeur du cerveau ou du cervelet que pour une méningite séreuse, ma
ale et lombaire par les mêmes méthodes que celles employées pour le cerveau et la protubérance, et par la méthode de Weiger
e. On trouve beaucoup de liquide hémorragique sous la dure-mère. Le cerveau est dense ; il pèse 1.210 grammes. La pie-mère
ngite hémorragique interne. Atrophie et 498 ROUDNEW sclérose du cerveau . Pneumonie fibriizettse catarrhale. Sténose aorti
ogique. Voici les ré- sultats de ses recherches. - La pie-mère du cerveau est hypérémiée, trouble, un peu épaissie. Les vei
sous la dure-mère. La pie-mère est adhérente aux lobes frontaux du cerveau . Les circonvolutions sont atrophiées, les sillons
sont surtout marqués au niveau des lobes frontaux. Les vaisseaux du cerveau sont légèrement sclé- rosés. La dure-mère de la
i est épaissie, infiltrée par des cellules rondes. Les vaisseaux du cerveau sont aussi hyperémiés; leur paroi est aussi épa
asculaires sont un peu élargis. Les parois de quelques vaisseaux du cerveau et des méninges présentent dans leur épaisseur
er- vicale chronique hypertrophique, Les lésions trouvées dans le cerveau concordent tout à fait avec celles qu'on trouve
nfiltratiou cellulaire ; de plus, on 500 ROUDNEW constate dans le cerveau des cellules et des fibres nerveuses en voie de d
e de trouble respiratoire qu'on peut voir dans des cas de tumeur du cerveau (ou d'autres maladies ayant un effet correspondan
u cerveau (ou d'autres maladies ayant un effet correspondant sur le cerveau ) et qui est évidemment la conséquence d'un troubl
gnostic était encore indécis et les signes d'une maladie organique du cerveau non évidents, un arrêt de la respiration est su
la clinique, et pour laquelle j'ai fait le diagnostic de tumeur du cerveau , à gauche, probablement du lobe temporal, mais
é de tumeur, mais seulement une hypertrophie de la moitié gauche du cerveau qui semble être le plus déve- loppée pour le lo
plus .ou moins soudain de la respiration dans les cas de tumeur du cerveau et surtout du cervelet ou des autres maladies q
tres maladies qui peuvent amener une compression de la substance du cerveau . Selon moi, nous ne pouvons rapporter un tel ar
une tumeur du cervelet, dans un cas une hypertrophie unilatérale du cerveau qui avait entraîné un aplatissement de la moiti
emblable aplatissement du cervelet, mais la nature de la maladie du cerveau (hydrocéphalie) nous explique sans difficulté l
que sur les relations des différentes forma- tions grises du petit cerveau et de l'axe cérébro-spinal. Aussi l'étude des a
a méninge en parait plissée, ridée, sans épaississement notable. Le cerveau est petit, comme chez les vieillards, sans altéra
développement ; de plus les atrophies secondaires aux affections du cerveau ou de la moelle ne trouvent pas place dans cette
nous avons trouvé une hydrocéphalie considérable. La distension du cerveau est tellement grande que la substance cérébrale p
ande mesure 42 millimètres de diamètre. A l'examen microscopique du cerveau et de différents organes nous avons trouvé :
e du cerveau et de différents organes nous avons trouvé : Dans le cerveau , comme dans presque tous les cas d'hydrocéphalie,
e en comprimant par conséquent la glande. Des tumeurs de la base du cerveau et même celles du cervelet peuvent également infl
recherches les plus complètes et les plus nombreuses sur l'état du cerveau dans la poliomyélite aiguë ont été publiées par H
destruction nette (keine besondene Destruction) de la substance du cerveau . En outre, ils décrivent deux cas de poliencéph
s cérébrales, mais des altérations du bulbe, ce qui démontre que le cerveau a été atteint par le processus morbide. De ces
u sur et à mesure qu'on remonte, c'est-à-dire en allant du tronc du cerveau vers les circonvolutions, où l'on peut encore t
pourraient jamais logiquement coexister dans 694 LEFÈVRE un même cerveau . Malheureusement, on rencontre encore fréquemment
velles. Les connaissances anciennes et récentes voisinent dans leur cerveau sans se heurter et se faire tort. Aucun lien logi
t les réflexions nouvelles, même lorsqu'il en possède déjà dans son cerveau les éléments isolés. S'il en était autrement, les
réexistantes. Il est donc certain que l'on doit rencontrer dans les cerveaux des croyances qui se contredisent logiquement e
e, sans qu'il s'établisse entre eux des liaisons physiologiques. Le cerveau n'assimile qu'une sorte de décalque des phéno-
sque-là,les avaient ignorées. Leur association finale dans certains cerveaux et la découverte des consé- quences qui en déco
vibrations de l'éther et vi- brations nerveuses s'imprimer dans le cerveau qui les pense ensuite, conditionner la mentalit
t en équivalents organiques de l'objet dont elles émanent. Entre le cerveau percevant et pensant isolé dans la boîte crânie
élément « idée » dans l'accomplissement des actes instructifs. Le cerveau n'est, primitivement, chez l'homme, l'être le plu
lus en plus intelligents en accroissant lentement le volume de leur cerveau . Ainsi que le prouve l'existence de manifestati
ces monstres préhistoriques qui ne pos- sédaient qu'un rudiment de cerveau et ces animaux inférieurs qui n'en ont pas, l'i
ent à ses impulsions naturelles. Tel serait toujours l'homme, si le cerveau en se développant dans le cours des années, ne
aisonnement indique qu'on ne peut pas la placer dans la par- tie du cerveau qui en est le siège, car certains animaux sont po
ge, car certains animaux sont pourvus d'ins- tinct sans posséder de cerveau , il faut bien qu'elle se trouve dans l'orga- ni
. La différence entre les deux réside dans ce fait qu'une partie du cerveau de l'homme s'est développée sous l'action des for
, à la différence de la plante et seulement lorsque cette partie du cerveau est suffisamment organisée, l'homme sait qu'il a
les plantes croiraient de même à ce qu'on aurait dépo- sé dans leur cerveau , si elles en avaient un mais parce que nous les
nstitution léguée par ses ancêtres. Or, pour l'homme qui possède un cerveau musical, méchant ou artistique, il est tout aussi
ils continueraient à se produire de cette façon si, entre temps, le cerveau n'avait eu l'occasion de se meubler d'acquisiti
s- cience. La raison de cette différence réside dans ce fait que le cerveau , organe delà conscience, n'est pas entièrement
de s'appesantir sur ce point. Anatomiquement, physiologiquement, le cerveau du nouveau-né est embryonnaire. Ce n'est qu'au
nimaux consistant en un développement beaucoup plus considérable du cerveau , organe de la pen- sée, il résulte de ce qui pr
se développent conformément aux lois inéluctables de la nature ; le cerveau s'organise et le passage des matières fécales, de
lentement, progressivement, dans la mesure des acquisitions que le cerveau enregistre et perçoit, dans la me- sure des sen
courant nerveux éduqué qui prend naissance en passant à travers un cerveau riche d'expériences, de connaissances et de leç
s qui y entretiennent la vie. Pour fonctionner et se développer, le cerveau a besoin des excitations purement physiques du tr
us, par l'accumulation de connaissances positives dont elle orne le cerveau , elle augmente la portée du jugement, car il es
plus haut.Planant au-dessus de la masse des faits imprimés dans le cerveau , elle sait d'un rapide coup d'ceil en embrasser
80 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
l doit y exister en réalité une relation trophique entre la base du cerveau et le développement des extrémités des membres
pensent que l'orbiculaire est en connexion avec les deux moitiés du cerveau , A vrai dire, 1\1. Oppenheim soutient que ce ré
harcot. Archives de neurologie, 1891, Vol. XXI, n" 63. Débierre. Le cerveau el la moelle épinière avec applications physiolog
elatés. Post mortem : une cirrhose du foie, des altérations dans le cerveau , qui se limitent aux noyaux lenticulaires, l'écor
nts, leur surface ventriculaire est irrégulière, pliée. Le poids du cerveau est 4.30 grammes. Examen microscopique. Méninge
épaissis, en dégénération hyaline, comme dans les autres parties du cerveau , Le nombre des fibres à à myéline a diminué à c
un jaune. Le long du pancréas des ' ganglions lymphatiques bruns. Cerveau (1.210 gr.). - Dure-mèreictérique. Pas d'augmenta
6, dans un accident de.chemin.de fer, a reçu une commotion grave au cerveau avec perte de la connaissance, vomissements et am
eur Askanazy qui a eu l'obligeance de nous remettre la moelle et le cerveau . A l'ouverture de la cavité rachidienne, l'examen
« Le dernier souvenir qui me reste est le moment où j'examinais un cerveau en cherchant les corps de Negri. ' « Ma premi
e, parce que je traite des cas où il n'y a pas d'altération dans le cerveau et dans la moelle, tant au point de vue du cond
hysaire. Ils admettent dès lors que certaines régions de la base du cerveau avoisinant l'hypophyse pourraient, comme l'hypo-
it hypophysaire. De plus, sur ces 6 cas, 4 fois au moins la base du cerveau avait été lésée. C'est ce qui fait dire à ces a
les opérations sur ['hypophyse est due à des lésions de la base du cerveau ; mais serait-elle due à l'atteinte de l'hypophy
gération de l'imagination plastique (H,irlemberg), d'une torpeur du cerveau organique (Sollier), d'une tendance a la réversio
ges chez ces sujets. Quelle est la cause qui provoque la torpeur du cerveau organique dans la thèse de Sollier, le trouble de
ollier, est le résultat -vit d'une torpeur, d'un état de sommeil du cerveau organique, tandis que, suivant ma thèse, elle e
consisterait dans l'hyperactivité des centres cénesthésiques ou du cerveau organique. C'est par une hyperesthésie de la céne
nvoque pas une excitabilité spéciale des centres vaso-moteurs et du cerveau organique, ce qui s'accorde parfai- tement avec
ac- tivité particulière des centres vaso-moteurs, sécrétoires ou du cerveau organique, ce qui expliquerait parfaitement la
elle avait son origine dans un trouble vasculaire tran- sitoire du cerveau . Les rapports entre les troubles vaso-moteurs et
aspect normal ; il n'y a pas trace d'une aortite syphi- litique. Cerveau . Poids : lao grammes. Macroscopiquement il y a
aissis. Du reste on ne constate rien de particulier à la surface du cerveau . Le cervelet a un aspect absolument normal. E
dans l'alcool, d'autres parties dans la liqueur de Weigert. Après, le cerveau in toto est mis dans la liqueur de llldller. Le
ume des fibres de. passage se rendant à la capsule interne. Dans le cerveau de Kn. l'intégrité de celles-ci contraste avec l'
ont pas retrouvées. Les fascicules faiblement colorés, qui, dans le cerveau normal, abordent la lamina medullaris externa n
lules du ganglion ansae peduncularis ont l'aspect retrouvé dans les cerveaux normaux des gens âgés, elles contiennent un pigme
es, qui même sont plus serrés que dans la coupe correspon- dante du cerveau normal. Par la réduction des traînées de substanc
'une densité encore pjus grande que dans la coupe correspondante du cerveau normal. Dans la partie médiale du globus pallid
Vicq d'Azyr ont le même aspect que dans la coupe correspondante du cerveau normal. Coupe VI (intéressant la commissura sub
ut constater une légère différence en intensité. ' En étudiant le cerveau moyen et la protubérance, nous constatons l'absen
u subiculum sont bien marqués. - EN résumé, nous constatons dans ce cerveau les signes ordinaires de la vieillesse. L'écorc
avons décrit (la difficulté de mobi- liser la fonction dynamique du cerveau ) -est fort variable en intensité. Un même acte,
ng, liquide cérébro-spinal) est positive. Autopsie (1). Le poids du cerveau est de 1.300 grammes. Les circonvolutions, surt
, surtout des lobes frontaux, sont beaucoup plus minces que dans le cerveau normal. Les méninges molles sont épaissies. (
constatées en des sièges symétriques, mais nous avons affaire à un cerveau qui, déjà, étaitdans un état d'équilibre fonction
L'autopsie de la cavité crânienne ne révéla rien de particulier. Le cerveau et les méninges étaient assez anémiés, les artè
e Irophillue il la base du Jo "'JI 21 322 ECIA, URCCIIIA, POPEA cerveau ; il apporte parmi ses arguments le fait que chez
d'une manière incohérente (1). De môme, dansuncasd'exencéphalie, le cerveau retenu dans la boîte crânienne peu extensible a
ent, pourrait peut-être déterminer un spasme dans les artérioles du cerveau . Pourtant le suc n'eut aucune action sur les ph
parfois d'attaques épileptiformes (hydrocéphalie interne, tumeur du cerveau , paralysie cérébrale infantile; tumeur de l'hyp
ale infantile, le tubercule solitaire, les tumeurs des méninges, du cerveau et de l'hypophyse, la dystrophie adiposo-génilale
tions vasculaires), l'épilepsie affective deBratz et les tumeurs du cerveau qui, comme on le sait, peuvent présenter pendant
ymptomatique ou secondaire) consécutive une inflammation diffuse du cerveau (écorce) ou de la dure-mère (méningo-encéphalit
d'un foyer, loca- . lisé et nettement limité, quelque part dans le cerveau . P. Marie, de la Tourelle, Binswanger et Redlic
e dans les cas récents il n'existe aucune trace d'anomalies dans le cerveau (écorce) et dans les méninges, tandis que, dans
brale, c'est-à-dire dans les troubles provenant d'anomalies dans le cerveau et dans les méninges, on pourrait trouver quelq
alors très autorisé à croire à une épi- lepsie cérébrale (tumeur du cerveau ou des méninges, grand foyer d'encé- phalite, m
, ni une altération cérébrale quelconque (l'examen microscopique du cerveau est encore à faire). Dans ce cas il ne s'agissa
roxysmales, il doit exister, sans aucun doute, quelque part dans le cerveau un foyer plus ou moins localisé. Comme on le sa
ujours absents dans les périodes sans attaques, une inflammation du cerveau (écorce) qui a atteint d'une façon prépondérante
), on pouvait voir dans l'image radiographique de l'aulre moitié du cerveau des veines fortement dilatées (hyperémie veineu
contraire, se montrent d'im- portantes altérations diffuses dans le cerveau , fait que connaît Weber. On sait, et l'attentio
ophie adiposo-génitale, la brachycéphalie (oxycéphalie), l'abcès du cerveau , le tubercule solitaire et l'acromégalie (tumeur
sure qu'augmentent les recherches pathologi- ques et anatomiques du cerveau ; mais il ne s'ensuit pas encore que l'épilepsie
x (glande thyroïde et glandes parathyroïdes) et avec, toutefois, un cerveau primitivement intact, qui ne donne des signes d
ns ces cas, une décomposition anormale des élé- ments essentiels du cerveau par un processus cérébral quelconque. Quand un
t un ferment auxiliaire qui se pré- sente assez abondamment dans le cerveau , les muscles et le sérum sanguin, et qui peut s
se se trouve dans les reins, le foie, la rate, les testicules el le cerveau ; par contre, le coeur et le sang ne contiennent
ferment est très nette : dans le foie, les reins et surtout dans le cerveau d'ani- maux privés de la glande thyroïde, la te
ution n'est pas si grande que chez d'autres.'C'est toujours dans le cerveau que la diminu- tion est la plus forte ; dans un
is la possibilité que l'intoxication tétanique peut causer, dans le cerveau , des altérations anatomiques qui sont en relation
s s'attaquant aux diverses subslances dans des points différents du cerveau , la tuberculine et la toxine de la diphtérie sont
e, l'élher et d'autres se fixent de préférence dans les cellules du cerveau par suite de leur solubilité dans les lipoïdes
res. On peut donc très clairement admettre que certaines parties du cerveau (spécialement l'écorce cérébrale ? ) ont aussi
causent l'intoxication nommée épilepsie essenlielle. Ces parties du cerveau retirent continuellement des poisons de la circul
e cérébrale, les toxines proviennent exclusivement des par- ties du cerveau dans lesquelles la circulation est fortement trou
une preuve que cette forme ne dépend pas d'anomalies primitives du cerveau . Naturellement il faut admettre qu'il entre en
81 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
surais aussi que dans ce temps de repos, d'accalmie artificielle, son cerveau , recevant comme une force spéciale, reprendrait i
rgane faible ou malade dérange le ton psychique et se traduit dans le cerveau par une irritabilité excessive ou une disposition
et modifié, rapproché inconsciemment, par une élaboration maladive du cerveau , d’un trouble fonctionnel existant, il reparaissa
trouble mental, mais d'un souvenir qui, à son insu, a laissé dans son cerveau une marque profonde; je l’habitue à se défendre c
l’étais en cemomentde ses bras ou de ses jambes et que, réveillé, son cerveau devrait lui obéir comme il m’obéissait à présent.
ui l’idée et l’acte correspondants. La suggestion s’adresse donc à un cerveau évolué; elle met en jeu les sentiments et les idé
n, simplifie l'activité psychique et nous montre l’acte commis par le cerveau sous une forme rappelant l’acte réflexe : 1° Un
rant nerveux centripète se divise en nombreuses ramifications dans le cerveau avant qu’un courant centrifuge sc forme. L’acte s
evez le bras du sujet, la sensation ainsi provoquée est perçue par le cerveau , car elle amène les contractions musculaires qui
le bras du sujet, il conserve cette altitude. Dans la léthargie, le cerveau est isolé du monde extérieur, les sensations n'y
pèsent quatre cent livres. Un calcul difficile (1). Combien notre cerveau compte-t-il de cellules nerveuses? La réponse à c
f, des multiplications hérissées do chiffres nous affirment que notre cerveau dispose de neuf milliards cent millions de cellul
d’agir sur des organes ou des fonctions malades par l'entremise d’un cerveau sain, et que si Je cerveau est malade, la premièr
des fonctions malades par l'entremise d’un cerveau sain, et que si Je cerveau est malade, la première condition de succès, — le
e mal,... agissent latents, tour à tour, en notre organisme, en notre cerveau ,... à la puissante voix évocatrice dc faire surgi
e, la moelle allongée, la protubérance et les ganglions de la base du cerveau . Un animal, auquel on extirpe les hémisphères e
effet se produire sans exiger la formation préalable d’idées dans le cerveau . Les premiers actes cérébraux du bébé, sont des
sons dont la hauteur, l’intensitc, le timbre (musique) émotionnent le cerveau , et des paroles (langage) qui évoquent des idées.
te, ceux de la suggestion sont plus complexes car elle s’adresse à un cerveau évolué dont elle met en jeu les sentiments, et le
de puissance d’arrêt. Au début, la sensation influence de même les cerveaux les plus et les moins suggestionables. Toute imag
re fixant l'attention sur un objet. Ne recevant plus de sensation, le cerveau ne pense plus, il s'engourdit, il devient un inst
n légère jusqu’à la léthargie où aucune sensation ne parvient plus au cerveau . L’hypnose amène chez les bons sujets la perte de
actes, l’exagération les modifie et crée une participation active du cerveau (‘). Exagérer est une tendance naturelle à notr
des faits, les comparer, c'est déjà les comprendre pour notre faible cerveau humain (*). v 4 » Nous avons expliqué par l
ntué du sommeil hypnotique-Le sujet n’est plus suggestionablc, car le cerveau est isolé du monde extérieur, aucune sensation n’
cette attitude : la sensation ainsi provoquée est donc perçue par le cerveau , car elle amène des contractions musculaires qui
ontraire, de plus en plus à admettre, chez l’homme, l’intervention du cerveau dans l’accomplissement des actes réflexes et, si
seulement scs ordres mais encore ses pensées. Le somnambule scrute le cerveau de l'hypnotiseur et recueille les moindres indice
e, j'ai pu étudier ce sujet si grave du redressement moral des jeunes cerveaux par la suggestion hypnotique II y a là tout un av
les collections anatomiques du tabès, devant les documents sur le cerveau , etc., mais plus encore devant un portrait du maî
nt tout à fait remarquables. Puis des os de tabétiques, des coupcs de cerveaux , toute la llore des vitrines. Nous entrons dans u
atiente, qui les occupe tout le jour, glisse quelque lueur dans leurs cerveaux obscurs. Je ne veux citer qu'un trait de cette mé
ienne prison, on a mis des fleurs et de la verdure, pour que dans les cerveaux voilés et obscurcis puisse pénétrer encore une vi
ra poussé plus loin l’étude si compliquée et si hérissée d’écueils du cerveau humain. L'Académie des sciences, dans sa séance
ant dont la compétence soit plus grande en ce qui concerne l'étude du cerveau . C’est pourquoi nous avons tenu à reproduire in-e
» dit M. J. Soury, " 011 eut une notion assez claire des rapports du cerveau avec les nerfs et les organes des sens. La théori
on de l'organe, cherche à déterminer, dans les différentes régions du cerveau , le siège des principales fonctions du système ne
ans le domaine de Y anatomie, de l'histologie et de la physiologie du cerveau et de la moelle épinière. L’œuvre de M. J. Sour
sements multiples concourent ù un même résultat, à savoir : placer le cerveau dans un état de monoïdéisme qui ne peut que favor
erveux. En mourant il nous a légué les ingénieuses reproductions du cerveau qu’il avait réalisées par un procédé spécial. Ces
ué, avec les pièces et les planches originales relatives à l’étude du cerveau qui nous furent données par Luys avant sa mort, l
lactée d’une nourrice (2). Les nerfs vaso-moteurs actionnés par le cerveau augmentent la sécrétion ou la tarissent ; de même
ement ouaté disposé en turban et fixé par des bandes de tarlatane. Le cerveau et les méninges nous ont paru absolument sains, s
eau de la perte de substance osseuse et répercutent les battements du cerveau . Pansement très simple, le malade portera une coi
ltats ont été médiocres et peu durables ; cela se comprend puisque le cerveau de l'idiot est mal formé congénitalement. Dans l'
hystérie affectait non seulement cet organe, mais aussi et surtout le cerveau , « car l’affection passe au cerveau par les nerfs
organe, mais aussi et surtout le cerveau, « car l’affection passe au cerveau par les nerfs » (*). Cette idée du siège encéph
les accidents paroxystiques. L’hystérie n’est qu’un trouble local du cerveau plus ou moins généralisé. Les centres sont frappe
fité pour suggestionner son énergie, le contrôle des fonctions de son cerveau , le calme, la confiance dans les procédés suivis
illumine et purifie l’atmosphère, la voix du médecin se grave dans le cerveau en transformant ses fonctions, vu que la suggesti
ncore pratiqué suffisamment la grande force qu’il emmagasine dans son cerveau . De même que la physique démontre que quand on
aralytique général. On n'affirmera pas que Guy de Maupassant avait un cerveau mal équilibré, sous prétexte qu’il est mort de ce
uer de bien des façons. J'ai entendu parler d’une gomme possible du cerveau : je ne m’arrêterai d’ailleurs aucunement à cc di
degré d'infantilisme, et, mâles, un certain degré de féminisme. Le cerveau de l’hystérique n’est donc plus un tout polyplas-
dentique à celle que Contient le neurone »/¿vient à se former dans le cerveau , elle ne sera pas reconnue par le malade. Le ph
provenant de ce que les grands réflexes, ceux qui effectuent dans le cerveau une partie de leur trajet, ne sont pas perçus dan
parcourues par ces ondulations sont depuis longtemps tracées dans le cerveau , les phénomènes de conscience qui se produisent a
e la durée de notre vie. En effet, dans cet état socialiste qu’est le cerveau , tout ie monde travaille, mais aussi tout-le mond
Bernheim, les malades sont quelquefois difficiles à hypnotiser ; leur cerveau est obsédé par des impressions si nombreuses, si
e spinale dans le domaine de l'espril automatique ou involontaire. Le cerveau représente l’esprit volontaire. Si nous voulons
partant des yeux vont d’abord au ganglion basai et de là au centre du cerveau volontaire. Si nous désirons que le sommeil se pr
nouvelle conception de Flechsig qui avait voulu établir la texture du cerveau de l’adulte sur l’étude du cerveau en voie de dév
avait voulu établir la texture du cerveau de l’adulte sur l’étude du cerveau en voie de développement de l’enfantde cinq mois.
82 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
les recherches psychologiques et pour l'enseignement de l'anatomie du cerveau . L'organisation du musée de psychologie a été i
du musée. Parmi les récentes acquisitions, nous devons citer le grand cerveau construit par Buchi (de Berne), la collection des
e molle construites par le D' A. Paulier pour l'étude de Tanatomie du cerveau et une collection de 800 documents (dessins, esta
n faite pour servir de base à des obsessions hypochondriaques dans un cerveau d'ailleurs prédisposé. Emotive incroyable, phob
rculation, ni sur la sensitivilé ou motion des nerfs, ni enfin sur le cerveau . Les aimants ordinaires dont il est fait usage en
gistral : ¦ 1" La suggestibilité est une propriété physiologique du cerveau humain: c'est la tendance du cerveau à réaliser t
t une propriété physiologique du cerveau humain: c'est la tendance du cerveau à réaliser toute idée acceptée par lui. 2° Tout
La Suggestion, c'est-à-dire ridée, d'où qu'elle vienne, s'imposant au cerveau , joue un rôle dans presque tous les crimes. 7°
i se caractérisent par l'excitation générale du système nerveux et du cerveau en particulier, qui produit divers symptômes, com
ù les mêmes symptômes dépendent de l'affaiblissement de l'activité du cerveau de l'origine organique (dégénérescence mentale, d
'mère du côté maternel, très nerveuse, serait morte d'un transport au cerveau , avec grande agitation. S'agit-il d'une attaque d
tous combien les fonctions de l'utérus sont en rapport étroit avec le cerveau . Partant de la possibilité de provoquer les règle
ez les vertébrés; on lui doit la découverte de deux régions grises du cerveau non encore décrites et auxquelles on a donné le n
ons palhogémques du développement de la paralysie générale (£878); Le cerveau et ses fonctions ((878); Traitement de la folie (
correspondrait à la suspension de l'influence de certaines parties du cerveau dont les fibres associationnelles ne fonctionnera
dans un même moule ; il ne supprime pas l'individualité psychique. Un cerveau hypnotisé n'est pas un cerveau inerte dans lequel
rime pas l'individualité psychique. Un cerveau hypnotisé n'est pas un cerveau inerte dans lequel on peut mettre ce que l'on veu
vrer de leurs maux ; la suggestion thérapeutique se faisait dans leur cerveau . » N'avais-je pas raison d'ajouter ceci : « Il
seule il fait entrer l'idée du sommeil et l'idée de guérison dans le cerveau du sujet. Telle est la grande découverte de Liébe
autre chose que la mise en activité d'une propriété physiologique du cerveau , la sug-gestibilité- Il n'y a pas, je le répète,
de l'organisme artificiellement créé, mais d'une propriété normale du cerveau , plus ou moins développée suivant les sujets : la
le du sommeil, soit par la parole, soit par des manœuvres incitant le cerveau à faire acte de dynamogénie psychique dans un sen
lle, que les images mentales successivement produites par l'écorce du cerveau n'impressionnent en rien la conscience du sujet ;
nt les propos logorrhéiques qu'enfantent les images suractives de son cerveau démuni de son régulateur. Celles-ci n'ont, pour a
ymnastique a deux conséquences favorables : d'abord, ellle stimule le cerveau et rétablit l'habitude du mouvement, ensuite elle
ra ces manœuvres jusqu'à ce que l'image de l'arrêt soit fixée dans le cerveau du sujet. — Dans les cas où il s'agira de modifie
t que les images visuelles, auditives ou motrices, exposées devant le cerveau , soient nettement limitées. Le cinquième princi
i chez Thypochondriaque et l'halluciné, il transmet incorrectement au cerveau les sons et les voix réels ; de là à l'illusion a
bilité d'origine organique Tous les organes du corps sont reliés au cerveau par le grand sympathique. Le cerveau est donc con
organes du corps sont reliés au cerveau par le grand sympathique. Le cerveau est donc continuellement renseigné par des vibrat
it ou s'éteint dans les divers états pathologiques qui intéressent le cerveau . L'abolition de la volonté d'arrêt est extrêmemen
« La suggcstibilité, dit Bernhoim, est une propriété physiologique du cerveau humain : c'est la tendance du cerveau à réaliser
une propriété physiologique du cerveau humain : c'est la tendance du cerveau à réaliser toute idée acceptée par lui. L'hyp
ggestibilité, avec ou sans sommeil. « Toute idée introduite dans le cerveau et acceptée est une suggestion. » Or, la sugges
qué, ce n'est sans doute pas lui qui a fait la guérison, mais bien le cerveau de l'opérée, de même que ce n'est pas, comme on l
des idées fixes soient des altérations anatomiques, pathologiques du cerveau . Elles dépendent plus d'une influence psychique,
i se caractérisent par l'excitation générale du système nerveux et du cerveau en particulier, produisant des symptômes comme de
à consigner les altérations microscopiques du quatrième ventricule du cerveau dans le diabète sucré et le diabète insipide. E
biltté. La suggeslibilité, c'est-à-dire la propriété physiologique du cerveau humain, qui consiste à accepter l'Idée et a la ré
physiologiques, qui appartiennent à la vie psychologique normale, le cerveau se trouve en monoï-déisme. c'est-à-dire que toute
ssi suggestible qu'un individu endormi ; dans l'un et l'autre cas, le cerveau est monoîdéisé ; ici, l'esprit est en arrêt sur l
nds pour type le sommeil naturel profond, le ropos absolu et total du cerveau psychique, sans activité subconsciente et sana rú
s réveiller ». Quelque théorie que l'on veuille donner de l'état du cerveau dans l'hypnotisme, quelque doctrine que l'on veui
pitaux, Mesnet s'occupa avec une prédilection marquée des maladies du cerveau et du système nerveux. En 1856, il publia dans le
les phénomènes nerveux en trois phases : 1) La sensation arrive au cerveau ; 2) Elle met en branle le cerveau et y parcour
es : 1) La sensation arrive au cerveau ; 2) Elle met en branle le cerveau et y parcourt un circuit varié ; 3) Elle provoq
trois phases : Quelles sensations il perçoit, comment fonctionne son cerveau , quels actes il commet. C'est ce qui n'a pas ét
ar un sens peut être méconnue ; car ce sens peut être maîtrisé par le cerveau , qui l'empêche de s'exercer en proporlion de son
par raison ; un sexuel, chaste pour des motifs spéciaux, etc. ii. — Cerveau . Rappelons ce que nous avons dit à propos de la
dit à propos de la cause des actes : La sensation peut traverser le cerveau sans provoquer ni sentiments ni idées et amener u
sans provoquer ni sentiments ni idées et amener un acte suggéré. Le cerveau peut réagir et provoquer un acte d'opposition.
être remplacée par d'autres aussi rapides : c'est le caprice. b) Le cerveau non seulement accepte la suggestion, mais l'exagè
econnaître son caractère, pour le déterminer à un dernier effort. Son cerveau est alors comme une machine dont il suffît de pre
fications et on les supprime. On agit même en eux, par l'entremise du cerveau sur des systèmes soustraits à leur volonté, sur l
la suggestion étaient rythmées et chantées, afin de pénétrer mieux le cerveau ; les murs étaient recouverts de peintures symbol
t du physique ; qui montre l'idée conçue ou suggérée, agissant sur le cerveau , sur le système nerveux, sur les fondions de nutr
, omniprésente partout où il y a de la substance nerveuse, rayonne du cerveau , et, par un mouvement centrifuge, préside à la fo
renforcée, se reporte chez les sujets sur les idées déjà déposées au cerveau pendant la veille, et les y fait réapparaître par
s, travaux manuels) ; les photographies des malades ; des crânes, des cerveaux et autres préparations anatomiques. 3° Les appa
ntent un singulier état de fixité. On dirait qu'il n'y a plus dans le cerveau du sujet qu'une idée fixe, celle de ne pas perdre
ui constitue le sommeil. L'hypnose est donc un fait d'inhibition du cerveau , laquelle se traduit par de la tétanisation. Pend
ult qu'il prend pour ... ne : « Par la pensée nous portons dans notre cerveau la santé et la maladie, la faiblesse et la force,
83 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nstants : , ils impriment des secousses régulières au bulbe et au cerveau . Il s'y joint plus ou moins de mouvements du co
uelques exemples de cette variété d'épilepsie dans la Pathologie du cerveau de Willis, dans la Pratique de Rivière , dans l
lui avec une rapidité incroyable, ' Serres. - Anatomie comparée du cerveau , t. II, p. 634. Paris, 1828. - Toulinouclie. -
l'avoir saisi. Il mourut le 3t mars 1837. Autopsie. A l'examen du cerveau fait par M. Henle, on trouva la substance céréb
substance cérébrale un peu dure. Le réseau vasculaire à la base du cerveau était en grande par- tie incrusté. Ce cas, co
que qui reconnaît pour cause de gros- sières lésions anatomiques du cerveau . » Nous aurons lieu de citer plus loin, aux cha
e la force motrice » cau- sée par la lésion de certaines parties du cerveau . A la fin de ce même siècle, des physiologistes
en 1869 dans le British médical journal, puis dans son livre sur le Cerveau organe de la pensée et tout dernièrement enfin
tante d'impressions non senties qui guident l'acti- vité motrice du cerveau , en les mettant automatiquement en rapport avec
es. Nous y reviendrons à propos du siège du sens musculaire dans le cerveau . Peu après Weber, Millier, à propos de ses expé
une notion fort exacte de la quantité de force nerveuse partant du cerveau , qui est néces- saire pour produire un certain
le muscle, mais une notion de la quantité de force nerveuse que le cerveau est excité à mettre en jeu. » William Hamilton
dans les fibres nerveuses qui transmettent l'impulsion mo- trice du cerveau aux muscles, car si elles étaient ducs aux nerf
urs grâce auxquels les mouvements musculaires sont excités par le cerveau et les centres nerveux, ce que nous en pouvons
moelle épinière, de la même façon que les animaux, privés de leur cerveau , nous présentent des mouvements bilatéraux parf
nhardt penche à considérer le sens musculaire comme une fonction du cerveau , aidée seu- lement par des impressions centripè
ment d'un mouvement, certains nerfs périphé- riques transportent au cerveau des impressions qui viennent compléter les noti
de résistance, de poids, de position, etc., ne peuvent venir ni du cerveau ni de n'importe quelle autre source en dehors d
ion centrale, c'est-à-dire la contraction, soit produit pour que le cerveau puisse percevoir; et il perçoit, en même temps,
par des sensations réelles, se réalisant dans les mêmes parties du cerveau , et lui disant comment il agit et quelle force
lésion d'une région entièrement différente (des centres moteurs) du cerveau , savoir de la région de l'hippocampe, ou centre
une manière, les processus qui ont lieu dans les centres moteurs du cerveau , où qu'ils puissent être situés. En d'autres te
des mouvements qu'au point de vue plus général du fonctionnement du cerveau lui-même et des rapports qui existent entre la
e, le coeur ne pourrait-il pas, pendant ce sommeil, en humectant le cerveau , conserver aussi la chaleur vitale et animale,
r les viscosités, qu'elle vienne du coeur, d'une grande humidité du cerveau ou de toute autre cause, je n'ai.pas la prétent
dical à cet égard, tant qu'on ne regardera pas les fines lésions du cerveau , aussi bien que les lésions de l'écorce, comme
A plus forte raison, ne peut-on s'arrêter à l'idée d'une lésion du cerveau ou de la moelle. Par exclusion, il suppose une
nous ont laissés sur ce qu'ils appelaient phrénitis, trans- port au cerveau , méningite aiguë, etc., y trouverait-on, non pa
on d'un traumatisme, en troublant profondément le fonctionnement du cerveau ; mais la méningo-encéphalite de la paralysie gé
e n'est pas une altération de nature syphilitique. La syphilis du cerveau , se traduisant par la gomme, est toujours local
pinière et la paralysie générale s'accompagnant d'une sclérose du cerveau , on s'est dit que dans certains cas la lé- sion
hagrins, les difficultés de l'existence, se réunir pour agir sur le cerveau de V... : le dernier coup lui est porté par une
tion, une frayeur, une émotion violente, etc. Tous ces individus, à cerveau ainsi amoindri, sont exposés à tous les chagrin
position, suc- combent cependant, parce qu'ils ont demandé à leur cerveau plus qu'il ne pouvait donner. Ces exemples ne s
is que « la cause de la paralysie générale, c'est le surmenage du cerveau dans l'âge adulte ». Si ces vues sont exactes,
frontaux. Artères et organes de la base, rien de particulier. Le cerveau a une longueur de 20 centim. et une hauteur de
ncéphale volumineux (H50 gr.). Les différents organes de la base du cerveau sont- symétriques (artères, nerfs, etc.), pourt
sépare la pariétale 1 Comme on le voit, les parties postérieures du cerveau étaient relati- vement très développées. ' Au
parole anxieuse avec bégaiement. Diagnostic. Affection organique du cerveau , par inflammation de la table in- terne et des
, colorée de même manière et empruntée à des endroits identiques du cerveau . 296 SOCIÉTÉS SAVANTES. Dans ce but, l'auteur
eau. 296 SOCIÉTÉS SAVANTES. Dans ce but, l'auteur cherche dans le cerveau normal et dans le cerveau pathologique à étudie
. Dans ce but, l'auteur cherche dans le cerveau normal et dans le cerveau pathologique à étudier deux places se corresponda
bouchon du microtome et orientés comme ils étaient orientés dans le cerveau . Le tout est arrosé de celloïdine et porté dans
es disques de celloïdine qui chacun contiennent des coupes des deux cerveaux différents se correspondant exactement. On les
ec l'alcool absolu. Sans doute il n'est pas facile déposséder des cerveaux normaux, car ceux des gens qui viennent de se s
e tenus pour normaux. L'ora- teur présente, par comparaison avec un cerveau pathologique, un cerveau provenant d'un homme s
- teur présente, par comparaison avec un cerveau pathologique, un cerveau provenant d'un homme sain d'esprit et de corps, â
tre anomalie à l'autopsie faite vingt-sept heures après la mort. Le cerveau avait été recueilli dans de la ouate imbibée d'al
émence : a) à la suite de mélancolie, - b) à la suite de lésions du cerveau , c) sénile ; 5° paralysie générale progressive
7, 0. Doin. François FnANCK. - Leçons sur les fonctions motrices du cerveau (réac- tions volontaires et organiques) et sur
- clusivement, du moins surtout au début, certains territoires du cerveau (paralysie générale). P. K. REVUE D'ANATOMIE ET
ui contiennent des trousseaux de fibres en rapport immédiat avec le cerveau , mais une partie des fibres y a persisté ; ce s
ons latéraux est défectueuse dans les cas de destruction précoce du cerveau . La genèse de ces fibres est donc sous la dépen
fibres est donc sous la dépendance directe de certaines parties du cerveau ; 2° dans la région des pyramides, dans les cor
i- bres qui dépendent de portions centrales situées plus bas que le cerveau ; 3" les cordons de Goll sont aussi en relation
dons de Goll sont aussi en relation avec le développement normal du cerveau ; 40 les fibres radiculaircs des cordons anté-
end qu'indirec- REVUE d'anATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 413 tement du cerveau et que cette dépendance est moins absolue qu'en c
xpansion cérébrale. P. KÉRAV.1L. V. DE l'influence DE l'écorce DU cerveau SUR la PRES- SION sanguine ET l'activité DU COE
ns n'ont pas décelé d'influence à cet égard. Régions centrales du cerveau . Leur excitation détermine tou- jours une exagé
nous passons la partie technique) il a mesuré la compressibilité du cerveau à diverses distances de la mort; cette compressib
la mort; cette compressibilité augmente rapidement à mesure que le cerveau de moins en moins frais, tend vers la putréfact
onclure à l'in- terruption des impressions visuelles qui gagnent le cerveau parla bandelette optique droite. Celle interrup
ie pyramide prend son origine dans la zone motrice de la surface du cerveau , gagne la partie posté- rieure du genou de la.
es ganglionnaires (structure des), par Flesch et Ko- nell, 415. Cerveau (coloration des cellules de l'écorce du - par l
COLLABORATEURS. 459 Pression cérébrale et compressibi- lité du cerveau , par. Grashey, 415. Pression sanguine (de l'i
Grashey, 415. Pression sanguine (de l'influence de l'écorce du cerveau sur la - et l'activité du coeur), par Bechte-
84 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ons fermement, a-t-il dit, que dans tous les cas on rencontre dans le cerveau des aliénés ou dans ses membranes, des lésions ap
études sur la structure de la couche corticale des circonvulsions du cerveau ; il a démontré que celte couche est composée de
Baillarger a fait ici ces travaux sur les rapports de la surface du cerveau avec le développement de l'intelligence ; sur l'o
tes formes, psychiques et psycho-sensorielles et sur l'automatisme du cerveau . Baillarger a élucidé un point obscur jusque-là
tivité les voies de transmission centripètes qui relient le ventre au cerveau . Puis par voie de suggestion, on éveille dans l'e
scussion les propositions de Meynert sur le mode de fonctionnement du cerveau et étudie à ce point de vue : la catalepsie, le s
scientes (des noyaux gris sub-corticaux et des cellules corticales du cerveau ). Landmann réunit dans le schéma suivant les an
: 1o Incapacité passagère du fonctionnement de tous les organes du cerveau : léthargie, hypnose complète. 2° Activité isol
vité d'un groupe isolé plus ou moins étendu de cellules corticales du cerveau que l'on appelle conscience isolée d'une série pl
personnes conscientes. 12° Activité variable de diverses parties du cerveau plus ou moins étendues avec inactivité complète d
inement, comme le rapporte Ziemssen, il a provoqué un état anormal du cerveau , certainement on peut appeler « pathologique » le
les conseils pratiques qu'ils en déduisent, troublent et dominent les cerveaux faibles dépourvus de force d'initiative et d'éner
ibles dépourvus de force d'initiative et d'énergie de résistance. Ces cerveaux deviennent les dupes de toutes les illusions et l
r la suppression judiciaire des publications capables de troubler ces cerveaux malades, qu'on peut espérer faire disparaître les
criminelle de Bruxelles. Dans ses communications et ses leçons sur le cerveau , il s'était montré psychologue de grande valeur.
portée de leurs excitants directs et d'en recevoir les impressions au cerveau . Par la continuation du même effort, il perçoit d
et volontaires, on la dit : réfléchie. Ayant son point de départ au cerveau ; exerçant davantage et différemment de l'attenti
de conscience, son assistance active à la réception des sensations au cerveau , à la création des idées et à leur enmagasinement
ar la pensée, diriger à sa guise et dans toute leur plénitude, et son cerveau et ses organes de relation. Il ne faut pas croi
lle est la manifestation de la pensée consciente en mouvement dans le cerveau et tout l'organisme, ainsi qu'il résulte de ce qu
ude en est grande, il s'isole de ce qui peut exciter les sens et le cerveau , il évite le bruit, il se plonge dans les ténèbre
re à lui. Par suite, cette idée fixe devenant acte, toute activité du cerveau et des sens cesse ou diminue, l'organisme entre p
ormer s'est, de tous les points du corps, accumulée et immobilisée au cerveau sur l'idée fixe de dormir, idée qui devient acte
ause de la trop grande quantité d'attention qu'ils ont immobilisée au cerveau pensant devenu inerte par cela même ; il ne leur
côté avec la notion physiologique qui admet le pouvoir modérateur du cerveau sur l'action réflective des centres de la moelle
r se livrer au sommeil, leur attention afflue et se concentre dans le cerveau au siège de l'idée qui fixe cet état, et cela pou
ps, la même force, pour amener en eux le réveil, retourne du point du cerveau où elle s'était accumulée, elle retourne, grâce à
e qu'on appelle les activités mentales des cellules-ganglionnaires du cerveau ) se comportent dans l'hypnose de la même façon qu
les. 11 s'agit ici d'un effet d'arrêt provenant de l'innervation du cerveau . La défécation normale est sous l'influence d'aut
nche de la science, surtout de la psychologie et de la physiologie du cerveau , employée en médecine et en beaucoup d'autres cas
contrarie votre propre suggestion et l'empêche de s'implanter dans le cerveau . Je veux bien admettre avec Braid que la fatigue
main. Les altérations de la faculté musicale dans les maladies du cerveau . Un philosophe moderne a cherché à faire revivr
s boutiques et les noms des rues. Cela fait, il a emmagasiné dans son cerveau l'image représentative des mots à lui connus et p
ologie générale », M. Casimir de Krautz. « Anatomie et physiologie du cerveau », M. le Dr N... L'enseignement supérieur des f
ces croyances, ces idées finissent par entrer en maîtresse dans leur cerveau et y faire élection de domicile : une scission se
me elle le faisait auparavant ; si les idées qui s'élaborent alors au cerveau ne demeurent plus en harmonie, par leurs effets,
ements pensants de la veille. C'est que, pour cela, il s'est porté au cerveau une accumulation de forces nerveuses sur une ou p
: hypnotiser, faire l'affirmation, s'auto-suggestionner, actionner le cerveau pensant, etc., ne sont que des expressions ayant
ncurable. Les malades sont quelquefois difficiles à hypnotiser ; leur cerveau est obsédé par des impressions si nombreuses, si
d'avoir une maladie dangereuse ou incurable s'est installée dans leur cerveau , agissant comme auto-suggestion contraire et s'op
e la fonction de la moelle épinière (sphère d'automatisme) à celle du cerveau (sphère de conscience). Ajoutons un léger état pa
r l'analogie du courant électrique. Les changements physiques dans le cerveau , amenés par la pensée ou la sensation, produiraie
éther ambiant, et exciteraient des changements correspondants dans le cerveau d'une autre personne si toutefois les rapports en
cerveau d'une autre personne si toutefois les rapports entre les deux cerveaux sont suffisamment sympathiques. Cette hypothèse a
ments destinés à provoquer le sommeil (miroirs à alouettes, etc.), de cerveaux préparés, de dessins et de photographies de coupe
.), de cerveaux préparés, de dessins et de photographies de coupes de cerveaux . Université de Londres. (Bethlem Hospital). — M
à la Faculté de médecine, pour le musée Dupuytren, une collection de cerveaux momifiés qu'il a préparés lui-même. Cette collect
obes cérébraux et présente des échantillons multiples de lésions du cerveau humain depuis les plus communes jusqu'aux lésions
rent à des études qui n'ont pas d'autre effet que de transformer leur cerveau en dictionnaire ambulant ne se condamnent-ils pas
à un âge où la main est capable d'acquérir de la dextérité, et où le cerveau est largement ouvert à toutes les doctrines nouve
a licence en droit, ce qui valait encore mieux que de transformer son cerveau en dictionnaire. Des branches entières de la mé
edit, peut revendiquer cette gloire. A peine une idée jaillit-elle du cerveau d'un savant que des vulgarisateurs, surgissant de
otoplasma. Des observations de Wiedersheim (Anat. Au%g.t 1890) sur le cerveau de la Leptodera hyalina lui ont permis de constat
St-Germain. Paris, 1895. Dr A Mercier. — La diminution de poids du cerveau dans la paralysie générale. In 4°, 41 pages. —Mas
St-Germaîn. Paris, 1895. Dr A Mercier. — La diminution de poids du cerveau dans la para-lysie générale. In 4°, 41 pages. — M
alement lorsque les rêves hallucinatoires prennent leur germe dans un cerveau fanatisé, qu'ils aboutissent à des conceptions cr
fois, la résistance sera créée non par ma main, mais par votre propre cerveau dans lequel je crée un cran d'arrêt. La force à d
je constatai une hémiplégie gauche, due à des accidents tertiaires du cerveau ; un traitement, énergique (frictions et iodure de
conter de bien jolies choses, n'avait, au début de sa carrière, qu'un cerveau bourré de connaissances disparates. a Et.puis,
que (l'), par J. Boguel, 310. Faculté musicale dans les maladies du cerveau (les altérations de la), par Ireland, 124. Figu
85 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
ie des artères et des divers organes situés à la face inférieure du cerveau . Hémisphère cérébral gauche, pas d'anomalie des
e sans cause connue, si ce n'est, dit la mère, qu'il se « vidait le cerveau » par ses attouchements répétés. Au début, les
ns l'état actuel de l'enfant (p. 44). 48 -11ÉNINC.0-rNCÉPHALITr,. cerveau , il existe uu vide considérable. - Le liquide cé-
t réduite à une petite bandelette grise tout à fait en retrait. . Cerveau . Ce qui frappe tout d'abord c'est le volume beau-
par deux feuil- lets, l'un externe, visible sur la face externe du cerveau , la pic-mère externe, l'autre interne, visible
optique et du noyau caudê. A part cette lésion, la face externe du cerveau ne présente rien de particulier si ne n'est la
bérance et la pyramide bulbaire. Les olives paraissent égales. Cerveau . - En juxtaposant les deux hémisphères commet à
aurait été atteinte d'hystérie, sans grande crise et « aurait eu le cerveau un peu fêlé. » Dans son enfance, on note une se
e. - Le cervelet et la protubérance sont diminués de consistance. Cerveau , - Hémisphère droit. Cet hémisphère est beau- c
uteur, communication du ventricule latéral avec la surface libre du cerveau . Or, une question se pose : y a-t-il un process
pathologique spécial, qui survient au cours du déve- loppement du cerveau ». Comme on le voit, pour llesclil, comme pour
r, dans l'un ou l'autre cas; un cachet tout spécial. Supposons un cerveau qui aura atteint plus ou moins complètement son
ous-jacente. A un premier degré, nous aurons sur la face externe du cerveau une perte de substance plus ou moins profonde,
uliers; elle sera limitée par la pie- mère de la surface externe du cerveau et par l'épendyme : en pareil cas, il peut y av
on au niveau du faisceau pyramidal croisé, dans toute sa hauteur. Cerveau ET méninges crâniennes. Il nous a été diffi- ci
cile d'étudier aussi minutieusement que nous l'aurions désiré, le cerveau et les méninges. La masse encéphalique nous a é
du de 1896, p. 207). Examen histologique ; par le D' PHILIPPE. 1° Cerveau . - On a prélevé pour l'étude microscopique plus
trophie des os frontaux répond à l'atrophie des lobes frontaux du cerveau . Adhérences entre la dure-mère et la calotte. -
e, à vascularisation évidente. Après l'incision de la dure-mère, le cerveau apparait tout infiltré de sérosité ; il est lég
es, sont bien développées. - Le trou occipital n'est pas rétréci. Cerveau . - La décortication en est assez facile, excepté
es tranche fortement, par sa couleur jaunâtre, sur tout le reste du cerveau . SCLÉROSE ATROPHIQUE DES LOBES frontaux. 105
ions destructives des lobes frontaux et l'arrêt de développement du cerveau sur lesquels nous reviendrons tout à l'heure.
émisphères cérébraux montre avec netteté : 1° l'aspect globuleux du cerveau et la rareté des plis de passage ; - 2° la circ
- Crâne : persistance de la fontanelle antérieure. - Description du cerveau : lésions des circonvolutions ; - hydrocéphalie
s (95mm transversalement au lieu de 135 mm.). 120 Hydrocéphalie : cerveau . lement 5 cent. et demi et 15 millimètres d'ava
lop- pées à droite qu'à gauche. -La dure-mère est très adhérente. Cerveau . - Hémisphère gauche. - La partie antérieure de
au du poids et de la taille. - " - ' 134 Épilepsie : autopsie. du cerveau (n. optiques, n. olfactifs, chiasma, etc.) sont é
00. Tableau des accès durant l'état de- mal. Epilepsie : crâne et cerveau . 115 Autopsie faite 41 heures après le décès. -
nt symétriques. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1397. 10 1 Hi . ÉPILEPSIE : cerveau . Cerveau. Les circonvolutions paraissent assez
ues. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1397. 10 1 Hi . ÉPILEPSIE : cerveau. Cerveau . Les circonvolutions paraissent assez dévelop-
te des taches ayant une colo- ration chair de saumon. Epilepsie : cerveau . 147 Lobe pariétal. - Rien de particulier. La d
ratures des cinq premiers jours de l'entrée. Autopsie : méninges et cerveau . 157 L'enfant, sans avertissement, tombe, tantô
Explication DES planches. Planche XIV. Arrêt de développement du cerveau . " Face interne de V hémisphère cérébral droit
t Explication des planches. Planche XV. Arrêt de développement du cerveau . Face interne de l'hémisphère droit (p. ) ? 1).
Explication des planches. Planche XVI. Arrêt de développement du cerveau . Face coiivexe de l'hémisphère cérébral gauche
Explication des planches. Planche XVII. Arrêt de développement du cerveau . Face interne de l'hémisphère cérébral gauche (
86 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ter un aspect microgy- rique. Leur disposition paraît normale. Le cerveau dans son ensemble parait un peu diminué de volume
présente notre cas, lorsque seront terminées les coupes sériées du cerveau auxquelles nous nous appliquons maintenant. En ef
consiste probablement en ceci que tantôt c'est la moelle, tantôt le cerveau qui est le siège de la lésion. Mais il n'est pas
se localiser dans la substance blanche et dans d'autres régions du cerveau . Il maintient cependant l'en- céphalite comme l
phalite avec locali- sation prépondérante dans la région motrice du cerveau , qui ordinaire- ment ne menace pas la vie, mais
ns le bulbe. On a démontré aussi anatomiquement la participation du cerveau à ce processus. Ce cas très intéressant pour no
veau de la moelle dans la poliomyélite aiguë et déterminant dans le cerveau des foyers ischémiques ou hémorragiques, que po
achidiens et à tout le système sympathique, à l'exclusion totale du cerveau , de la moelle et des racines postérieures des n
ès le début de l'affection. AUTOPSIE. - A l'examen macroscopique du cerveau , on ne constate aucune lésion au niveau de la s
nt pas adhérentes à la substance cérébrale. Au niveau de la base du cerveau , on remarque que le nerf moteur oculaire commun g
s- seaux congestionnés ; bulles d'air surtout dans les veines. Le cerveau .- Les vaisseaux cérébraux étaient pleins de petit
laire. 3° La radiographie du crâne permet d'apercevoir nettement le cerveau ; ce fait n'a jamais été signalé. Sur l'épreuv
ies de crânes de très jeunes enfants, on ne peut obtenir l'image du cerveau . Ce cas serait donc unique jusqu'à ce jour. Not
u travers des pariétaux et de l'occipital l'image radiographique du cerveau . 3° L'aplasie des clavicules. Plus marqué à dro
e retrouve au niveau des os du crâne et permet la ra- diographie du cerveau . 4° Enfin notre enfant présente une luxation co
iqués, paraissent extérieurement normaux. Sur la face inférieure du cerveau la glande pituitaire apparaît enchâtonnée dans un
tel que dans le formol et pèse 1.210 grammes. Examen histologique : Cerveau . La pie-mère est légèrement épaissie, infiltrée
terne est par endroit adhérente au cortex. La couche moléculaire du cerveau est scléreuse : les cellules de névroglie y son
laties, sillons fermés. Pie-mère épaissie, stase veineuse. Poids du cerveau avec leptominiuge : 1.650 grammes. Ceci sont le
Dans la région de la F. S. à droite, la dure-mère est adhérente au cerveau sur une longueur de 3-6 centimètres et une haut
s. m. et T. 3 paraissent li- bres. Résultats macroscopiques. - Le cerveau fut durci en entier pour éviter toute altératio
transversales : le rap- port entre les moitiés gauche et droite du cerveau est 48 0/0 G., S2 0/0 D. ; les coupes étant équ
devint manifeste et cela de façon très violente. La nu- trition du cerveau , la possibilité d'évacuer les produits usagés se
sie, faite dans des conditions peu favorables, resta incomplète. Le cerveau , semblable à une balle à parois épaisses me fut e
9) que correspond natu- rellement la déformation la plus avancée. Cerveau . -- La dilatation générale des ventricules est fr
Fig. 10. 288 WEBER Il est regrettable que le durcissement de ce cerveau ait quelque peu laissé à désirer et que par con
tés crânienne et rachidienne. Il en résulta une poussée sanguine au cerveau , accompa- gnée de maux de tête des plus violent
thèse (1). L'examen macroscopique de l'encéphale a démontré que le cerveau , à l'oeil nu ne présentait pas de modification
endant la vie, les mouvements de supination étaient conservés. Le cerveau a été examiné avec soin ; on n'y a constaté aucun
correspondant au radius et au cubitus brusquement sectionnés. Au cerveau , rien de particulier ; les circonvolutions roland
nt en outre de si riches documents anatomo-cliniques sur le « grand cerveau » est à peu près muet sur'la sénilité dans le « p
grand cerveau » est à peu près muet sur'la sénilité dans le « petit cerveau ». Le rapporteur avait pour s'en excuser deux b
d, le cervelet n'est pas, incontestablement du moins, une partie du cerveau ; ensuite, nous ne savons pas grand'chose de pr
; ensuite, nous ne savons pas grand'chose de précis sur le « petit cerveau » sénile. Cette seconde raison est assurément l
la meilleure. Le cervelet s'est jusqu'à présent effacé derrière le cerveau et nos con- naissances sur ses lésions sont dem
thèse inaugurale sur le cervelet, Léri (3) dans son rapport sur le cerveau sénile ; mais, nous le verrons, l'atrophie du c
e nous (2) l'a d'ailleurs constaté au cours de la discussion sur le cerveau sénile; Il disait en effet : « Il n'a rien été
ine, n° 10, octobre 1904. (2) ANGLADE. Discussion du rapport sur le cerveau sénile. Congrès de Lille, 1906, Revue de neurol
aires pour avoir été méconnues n'en sont pas moins la règle dans le cerveau sénile. » Journal de médecine de Bordeaux, numé
ux et Colmeil (1), dans son Traité des maladies in- flammatoires du cerveau , en étudie de nombreux cas : l'un de nous dans
accord parfait, des diver- (1) COLMEIL, Maladies inflammatoires du cerveau , t. IL (2) Ducos, Société d'anatomie et de phys
s cet aspect, nous ne l'avons pas rencon- trée ailleurs que dans le cerveau sénile. Dans la couche des grains, on voit auss
s sur ce processus que l'un de nous (1) a décrit longuement dans le cerveau . Les choses ne se passent pas autrement dans le
ose de ces lésions. Ailleurs l'un de nous les comparera à celles du cerveau sénile. Et de cette comparaison résultera la co
ons très nettes facili- tent singulièrement la lecture de celles du cerveau sénile. Elles fournis- sent la preuve que la sé
et d'un foyer hépatisé de la base droite. L'examen du crâne et du cerveau montre des détails intéressants. Au niveau de l
au contraire, très épaissie, fongueuse, complètement envahie. Le cerveau proprement dit est déformé, aplati, augmenté de v
s lobules pariétaux supérieurs et la partie adjacente de la faux du cerveau . Cette tumeur a perforé la dure-mère sur un petit
. Elle s'étend en avant jusqu'aux zones rolaiidiqlies. La faux du cerveau très épaissie, détruite sur son trajet interparié
En résumé, il s'agit d'un sarcome très volumineux, né de la faux du cerveau dans son trajet interpariétal. La tumeur, d'abord
ce de troubles intellectuels, et montre bien l'extrême tolérance du cerveau . Quant au développement du sarcome, on peut se
topsie nous a révélé l'existence des lésions suivantes : 1° Dans le cerveau : Plusieurs lacunes de désintégration, grosses au
rement oc- cupée par quatre lacunes de volume supérieur à celles du cerveau . La plus grande, située à gauche, effleure les
rs. Ces lésions concordent bien avec les symptômes observés dans le cerveau ,dé- myélinisation diffuse et étendue des faisce
es lacunes de désintégration multiples, et peu volumineuses dans le cerveau , plus nombreuses et plus vo- lumineuses dans la
convexité des hémisphères une légère lepto-méningite chronique. Le cerveau , le cervelet, le bulbe ne présentent pas d'alté
té, la moelle a gardé son aspect normal. ETUDE histologique. Le cerveau , le bulbe, la protubérance, les pédoncules, le ce
est dans le vrai quand il dit : « Ces atrophies de la moelle et du cerveau sont la conséquence et non la cause de la monstru
à la simple vue. Il y aura lieu de faire un examen très détaillé du cerveau et du cervelet, en prenant les mesures aussi exac
e volume de la substance grise de la portion cervicale, que dans le cerveau . Ensuite, il est très possible qu'une petite po
oc méd. de Pau, 1902, n" 5, 90-93. ' SERRES. Anatomie comparée du cerveau dans les 4 classes des animaux vertébrés. Smrso
s). (4) Zingerlé. Un cas de lésion de développement circonscrite du cerveau . Contribu- tion à l'élude de la porencéphalie.
E CHEZ UN HYDROCÉPHALE ]';PIt.rPTIdUr (Séglas el Barbé) Aspect du cerveau vu par sa convexité. Masson & Cie, Éditeurs
otubérance annulaire, le bulbe et la moelle étaient normaux. Sur le cerveau , on préleva pour l'examen histologique, des fragm
on préleva pour l'examen histologique, des fragments différents du cerveau et c'est ainsi que nous avons étudié le point de
nre. LE TOPOGRAPHE CÉRÉBRAL APPAREIL DE PROJECTION DES PARTIES DU CERVEAU SUR LA SURFACE DU CRANE PAR . G. ROSSOLIMO
hnique chirurgicale, qui permet quelque- fois, en pénétrant dans le cerveau pour atteindre un foyer d'étendue peu considéra
t de pré- ciser la localisation du procès sur ou sous la surface du cerveau . Le pro- fesseur Ze l' 11 off (1) ,allant à la
riques, de noter sur la surface du crâne, la partie sous-jacente du cerveau . Le professeur Zernoff a pris pour hase de son in
se de son invention la forme plus ou moins sphérique du crâne et du cerveau et a trouvé possible de tracer le dessin de la
demi-mappemonde ; il obtint ainsi une vraie carte géogra- phique du cerveau d'hommes de tout âge, des deux sexes et de tout
de tout index crânien, avec la caractéristique de chaque partie du cerveau en degrés de longitude et de latitude. De cet
ports entre différents points donnés sur la surface du crâne et du cerveau ; cette méthode donne pourtant lieu à des erreu
encéphalométre,appareil pour déterminer la situation des parties du cerveau chez un homme vivant. Moscou. Séance de la Sociét
rminer à la surface du crâne l'en- droit correspondant au centre du cerveau intéressé, il faut préalablement rechercher ce
n ce que, pour la commodité du 'tracé sur le crâne des , parlies du cerveau données par les caries de Zernoff et Altoukhoff,
, la carte des sillons et circonvolutions des grands hémisphères du cerveau ainsi que la position des ganglions basais et des
e de ce genre représentera la projection des parties du crâne et du cerveau ci-dessus mentionnées sur la surface de la sphère
87 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, dirige le centre médul- laire de la miction fait défaut et que le cerveau ne régisse plus la moelle, c'est parce qu'il ex
nce qui débute dans l'en- fance est due à un trouble fonctionnel du cerveau avant quelque rapport avec ce qu'on observe dan
straction, de non-assimilation de la sensation de besoin envoyée au cerveau par la moelle, ou à des préoccupations urinaire
n peut provoquer par suggestion une insomnie destinée à habituer le cerveau à percevoir le besoin d'uriner. Bientôt l'insom
réquent ; il semble indiquer qu'il faut parfois un certain temps au cerveau pour s'assimiler l'idée suggérée. A remarquer a
ES points DE pathologie cérébrale; par le D'' A. MEYER. Sur vingt cerveaux d'épileptiques dont l'auteur a fait l'examen ma
pports entre le poids du coeur et celui du corps, entre le poids du cerveau et le poids du corps, et par suite sur ces deux
rapport. L'auteur conclut à une disproportion entre le coeur et le cerveau , qui entraîne une irrigation défectueuse de ce
cerveau, qui entraîne une irrigation défectueuse de ce dernier; le cerveau ne peut donc conserver son rang quand il y a hy
romures. On a eu a noter des manifestations toxiques intéressant le cerveau qui se sont développées avec rapidité, en deux
: 1° que l'opium agit favorablement en diminuant la température du cerveau et les mu- tations nutritives qui s'y produisen
mu- tations nutritives qui s'y produisent; 2° que l'excitabilité du cerveau est amoindrie; 4° que l'opium augmente la quant
rie; 4° que l'opium augmente la quantité de sang con- tenue dans le cerveau , ce qui a pour résultat, postérieurement, d'aug
M. STEINER. Traumatisme cranien et artériosclérose des vaisseaux du cerveau . Un homme de cinquante-six ans, un an après avoir
paque, ses vaisseaux sont rigides, pas d'adhérences. Les artères du cerveau sont le siège d'altérations profondes : épaissis-
mal. En résumé, sclérose généralisée et très intense des artères du cerveau . Cette artério-sclérose est-elle une conséquenc
ca- ' Rostan ? tec/t< : <'f;/te.< sur le ramollissement du cerveau . Paris, 1823. , Durant ! Fardet.Rec/tercAeM;' l
. Paris, 1823. , Durant ! Fardet.Rec/tercAeM;' le ramollissement du cerveau . Pari ? 1823. 1 Gendrin. - Traduction des mal
convulsifs insignifiants et sans aucune contracture S'agit-il d'un cerveau chroniquement malade, on est naturellement cond
ncé, ecchymotique en divers points, est libre de toute adhérence au cerveau , elle s'enlève sans happer à la substance grise
substance grise dont elle n'entraîne pas la moindre parcelle. Le cerveau , sous la double compression exercée des deux côté
Une série de sections méthodiques ne montrent aucune lésion dans le cerveau proprement dit; la subs- tance corticale est am
vaisseaux méninirés, privés de soutien par le fait de l'atrophie du cerveau , faiblissent et se laissent distendre; chez les s
rant. Pour conclure : dans une telle situation clinique, quand le cerveau est intéressé sur toute sa convexité par un hémat
n sait mainte- nant que le plus souvent le suicide est le fait d'un cerveau dérangé. Une autre preuve de la folie de Hohel'
ent agi sous l'influence d'une impulsion éclose subitement dans son cerveau déséquilibré. Il a agi en épileptique ou en hysté
rêve par une altération morbide légère survenue ou aggravée dans le cerveau pendant le sommeil. Elles sont compatibles avec
rtout sont importantes au point de vue opératoire : 1° celles où un cerveau frappé d'arrêt de développement est primi- tive
ù il s'est produit une ossifica- tion prématurée des sutures sur un cerveau capable d'un certain développement. Ici l'inter
re forme une transition toute natu- relle pour arriver à-l'étude du cerveau . Nous signalerons particu- lièrement l'étude si
nous le savons bien, si les conditions exté- - rieures changent, le cerveau en est immédiatement averti par les organes des
er à coordonner les mouvements avec une sensibilité affaiblie, le cerveau devra déployer une plus grande activité. Ainsi
nous l'avons exposé plus haut. Comme chez l'homme bien portant, le cerveau du tabétique arrive à force d'habitude, c'est-à
, dans beaucoup de cas, les inflammations aiguës de la moelle et du cerveau étaient manifestement provoquées par des microbes
éveloppent des idées de persécution, en un mot il devient malade du cerveau . Alors, mais alors seulement, il interprète d'u
produit, en somme, une impression subjective qui, est transmise au cerveau et appréciée par celui-ci correctement ou incor
la médisance est à la calomnie. M. PARISOT (de Nancy) présente le cerveau d'un malade qui était atteint pendant sa vie d'
méningée en nappe. Poids de l'encéphale, 1,305 grammes; poids du cerveau , 1,080 SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 grammes; poids
ar le retentisse- ment de toutes les impressions digestives dans le cerveau , que signalent eux-mêmes les malades. Cet état
ésanique proprement dit; 3° un certain degré d'involution sénile du cerveau peut réaliser les conditions d'auto-suggestibil
, ne se sentant pas amélioré, désire maintenante un change- ment de cerveau , une extraction de cerveau ». L'obsession de la
é, désire maintenante un change- ment de cerveau, une extraction de cerveau ». L'obsession de la rougeur est en général des
été donné, en état de sommeil hypnotique. Présentation de pièces. Cerveaux d'aphasiques; par M. Bernheim. Crânes et cervea
tation de pièces. Cerveaux d'aphasiques; par M. Bernheim. Crânes et cerveaux d'hydrocéphales ; par M. Il4USIIALTER. Ces pièc
des recherches anatomiques, physiologiques et pathologiques sur le cerveau et le système nerveux. Ce voeu a été approuvé p
e qui en est l'aboutissant. On la retrouve presque toujours dans le cerveau , mais elle peut se localiser exclusivement dans
s la première enfance, et pendant l'adolescence et l'âge adulte, le cerveau peut encore participer au processus, c'est ordi
nd de l'oeil n'indique pas la présence d'une lésion syphilitique du cerveau , parce qu'il n'y a pas eu de prodromes céphaliq
travers la peau, l'os cranien et les méninges sur l'écorce grise du cerveau ? Naturellement, l'auteur recherche d'abord dir
au moyen d'une première expérience, si l'excitabilité électrique du cerveau est réellement diminuée et même abolie, quand o
arrive que la cataphorèse électrique avec la cocaïne influe sur le cerveau , mais l'alcaloïde ne parvient pas directement à
. SUR UN C\S DE tumeur cérébrale ET SUR LES rapports DES TUMEURS du cerveau avec LES troubles psychiques; par le De Luhrmann.
(Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, t. LU, fasc. 4.) Les tumeurs du cerveau peuvent donner lieu à des troubles psy- chiques
llucina- tions. Quand les signes ordinaires des lésions en foyer du cerveau font défaut ou sont peu accentuées, une erreur
aitement antisyphilitique et à l'ob- tusion due à la compression du cerveau succède un accès naniaquc qui dure quelques moi
la guérison. De cette observation l'auteur conclut qu'une tumeur du cerveau peut rester longtemps sans provoquer des symptô
nclure aussi de cette observation que certaines lésions en foyer du cerveau sont capables de déterminer certains troubles p
n peut-on penser à une tumeur siégeant dans la région antérieure du cerveau ? Ce qui permet de l'admettre ce sont les viole
veau-nés ina- nitiés, tous les organes prennent plus ou moins part, cerveau com- pris, à la déchéance pondérale. Celle de l
REVUE d'anatomie ET DE physiologie PATHOLOGIQUES. produites dans le cerveau par l'asphyxie et par la compression des caroti
il les considère donc comme causées par une excitation physique du cerveau . Moebius pense que cette interprétation ne peut
es symptômes cardinaux d'un accès dû à une excitation physique du cerveau , d'une manifestation épileptique (perte du réflex
e des phénomènes relevant d'une altération mécanique subie par le cerveau . Pour le deuxième sujet, il n'en est pas de mêm
bservations s'accompagnent de dessins des 406 ' VARIA. lésions du cerveau , de reproductions de l'écriture altérée des ma-
e à désirer : a Il a, dit-on, un hanneton ou une amci- gnée dans le cerveau , » ou encore : «. Il a un grain dans la tête. »
son lobe frontal, et le mystérieux interlocuteur cantonné dans le cerveau moteur. Le premier pose des questions auxquelle
malade les êtres, les per- sonnalités ayant une vie propre dans son cerveau comme son 1 Carré de Montgeron, t. il. Calmeil,
avant, à noter qu'il n'existe aucun vestige de la faux du cervelet. Cerveau mal conformé. Sur l'hémisphère droit, au fond d
dre psychique, peuvent s'effectuer indépendamment de l'influence du cerveau . 8° La distribution fonctionnelle des ra- cines
motilité des yeux et des extrémités. Autopsie. Artério- sclérose du cerveau , ramollissement de la substance blanche du lobe
imité. Paul SÉRIEUX. BIBLIOGRAPHIE. VIII. Voies conductrices du cerveau et de la moelle épinière; par V. M. 131CII-IERE
employées en histologie cérébrale et les faisceaux qui composent le cerveau et la moelle épinière. L'ordre adopté par l'aut
ts de pa- thologie , par Meyer, 51. Tumeur - par Luhrmann. 314. Cerveau . Voies conductrices du TAULE DES MATIERES. 50
e la -, par Gilles de la 'l'ou- rette, 302. Voies conductrices du cerveau et de la -, par de Bech- terew, 192. llloaonm
88 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des signes de néphrite inters- titielle au début. Les membranes du cerveau , la substance grise et la substance blanche, le
e fracture du crâne par coup de feu, étant restée appuyée contre le cerveau pendant qua- - rante-quatre ans; par D. S. Limi
s en séries colorées au moyen des procédés de Weigert et Wolters le cerveau de déments paralytiques, c'est-à-dire de paraly
e la paralysie géné- rale est une affection élective de l'écorce du cerveau , qu'elle obéit à des lois, que ce n'est pas une
rce que la substance blanche de ce lobe des deux côtés. Le reste du cerveau , y compris la protubérance et'le bulbe, ne prés
dée du foyer de ramollissement siégeant très probablement dans le cerveau antérieur. L'état des yeux ne s'y rattachait plus
on en trouve dans la bibliographie. P. KERAVAL. Kyste dermoïde du cerveau ; par le professeur J. ÏÏALVA. L'auteur décrit u
ubstance déter- minant une cavité plus ou moins volumineuse dans le cerveau . Leur description anatomique et clinique, bien
ites déjà décrites. Elle doit être différenciée de l'état criblé du cerveau de Durand Fardel qui est un aspect normal dû au
tent rien d'anormal ; Il en est de même du bulbe, du cervelet et du cerveau qui ont été débitées en coupes successives aprè
venir se loger dans le pédoncule, alors que nous savons que dans le cerveau la sylvien'ne est l'artère de choix de l'emboli
cas est tout à fait différent des tumeurs primitives ordinaires du cerveau . Or les auteurs français sont très sobres de dé
les cas de d'Astros et de Souques, de petites lésions lacunaires du cerveau ou de la protubérance; on peut même observer un
dre la multiplicité et la dissémination des artérites chroniques du cerveau . Mais, dans des cas plus rares, la dysarthrie p
itoire spécial; .pourtant dans aucun cas les parties antérieures du cerveau n'ont été lésées, plusieurs fois la substance g
es. Quiconque veut aujourd'hui étudier l'anatomie pathologique du cerveau doit compter avec ces divers états, et le clinici
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 147 Un cas de gliome du cerveau ; par W.-J.-A. Erskïne. (The Journal of Mental S
ctibilité des os du crâne à l'égard des sons dans les affections du cerveau et de ses membranes ; par F. WANNER et Il. GuDM
sons et flûtes formant la gamme), à la. recherche des affections du cerveau et des méninges. On constate, par exemple, une
ont une vigueur mentale intacte. Dans certaines autres maladies du cerveau , s'accompagnant d'altérations incontesta- bles
rvies par des nerfs spéciaux, les- quels traversent probablement le cerveau en suivant des trajets indépendants. Cette de
érale. L'excitation du facial à la base du crâne après sa sortie du cerveau , ne produit qu'une salivation profuse. On a bea
, excitation, etc.) Si cette auto-intoxication hépatique frappe des cerveaux prédis- posés (dégénérescence, alcoolisme), il
r la plupait t d'entre elles à être irrémédiables; et. de fait, les cerveaux d'ani- maux ayant été sacrifiés plus ou moins l
nti quelque chose d'irréel ; mais comme pourtant ils ont eu dans le cerveau une sensation, ils cher- chent une expression p
it sur ma rétine ; 2° elle est transmise par le. nerf optique à mon cerveau ; 30 mon cerveau la perçoit. Conséquence : Je v
; 2° elle est transmise par le. nerf optique à mon cerveau ; 30 mon cerveau la perçoit. Conséquence : Je vois un arbre dess
is aliéné; sur le tableau noir, aucun dessin ; tout à coup dans mon cerveau , par le fait de la maladie, 3° se forme l'image
maladie, 3° se forme l'image d'un diable ; 20 cette image part du cerveau et suit le nerf optique ; 1° elle s'étale sur l
DE SAINTE THÉRÈSE 229 de l'âme, disons que la vision formée dans le cerveau , l'image du diable, n'a pas continué sa marche
tant dans l'espace; non, cette image est restée dans les couches du cerveau où elle a pris naissance et le troisième temps
lle aurait pu aussi se servir de l'expression voir avec les-yeux du cerveau . De même qu'il y a des hallucinations de la vue
aujourd'hui, vous considérez les troubles de la moelle et ceux du cerveau , du même point de vue que ceux du eoeM ? ', du re
eurs ont démontré que le tic persistait malgré l'ablation totale du cerveau . Bien qu'il n'y ait pas identité absolue entre
ours nécessairement d'une perturbation fonctionnelle de l'écorce du cerveau . M. Brissaud. Toute mauvaise habitude est, chez
ez le singe et surtout chez l'homme, dans les régions basilaires du cerveau . Le tic, d'origine pédonculaire chez le chien,
it leur spectacle qui l'avait suggestionné et qui avait ébranlé son cerveau imprégné d'alcool au point de le décider à se l
ltrée est semblable à celle qui entoure tous les corps étrangers du cerveau et nullement d'aspect néoplasique. D'ailleurs,
écrit de fort riches formations au pourtour d'un kyste hydatique du cerveau . Ces éléments sont loin d'être exceptionnels da
ules névrogliques enflammées, ont dénommé le sarcome solitaire du cerveau un glio-sarcome. Dans nos cas, nous n'avons pu dé
ébrale. 013REGL.%. Lorsqu'on détache la pie-mère de la surface du cerveau , on ne trouve ni cellules ni plexus nerveux dans
ux corticaux qui en émergent. Cette disposition se retrouve sur des cerveaux d'animaux de différents âges, et on ne peut s'as-
s formes de paramyo- clonus produites par des lésions organiques du cerveau . Les leucomdines de la substance nerveuse. M.
mie biologique vous présente, comme existant dans les lécithines du cerveau , deux bases en combinaison avec l'acide phospho
aire les bases choline et névrine, ils traitaient les lécithines du cerveau en présence de la baryte à 100° pendant dix heu
quelques connaissances à ce sujet ? Si nous isolons quelque base du cerveau , même par des méthodes chimiques correctes, nou
ucune façon; nous avons un renseignement comme point de départ : le cerveau est un organe où la glycérine abonde, le cer- v
tre de ces bases se sont rencontrées ayant leurs similaires dans le cerveau . 4° base synthétique. Elle présente toutes les
de la mère, inces- samment répété, s'est imprimé facilement dans ce cerveau sans défense qui ne lui opposait jamais l'effor
maternelle, ont été considérées par M ? J... comme le trouble d'nn cerveau malade, à tel point qu'elle a demandé des soins
la quantité d'excitants extérieurs, et par conséquent il procure au cerveau du repos. On peut admettre aussi que l'aliéné é
if, tellement émotif qu'il localise le point de départ, non dans le cerveau , mais dans le système nerveux ganglion- naire v
résistible. Kopper la considère comme paraissant née hors de' notre cerveau ; Séglas comme un état particulier de la désagré
ant de variétés d'obses- sions'qu'il peut naître de pensées dans le cerveau humain. De toutes les. variétés celles qui ont
un procédé nouveau pour interrompre complètement la transmission du cerveau à la moelle par le faisceau pyramidal. L'entrec
e des voies sensitives qui conduisent les excitations à l'écorce du cerveau et produisent les sensations; une certaine par-
téraux, ou encore une affection diffuse de la moelle et du tronc du cerveau . Ces compli- cations pathologiques expliquent l
s bifurcations - comprennent des portions plus ou moins étendues du cerveau , - entre 3 cm3 75 et 7 cm3 5; 3° le sillon de R
étale ou de son voisinage, ayant été assez graves pour atteindre le cerveau ou ses membranes, et par le fait que, dans la m
u malade ; 6° les maladies du crâne qui intéressent cette région du cerveau , les anomalies congénitales de développement de
écessairement avoir son point de départ dans une portion limitée du cerveau , laquelle, lorsque la peur se manifeste d'une f
le sens de lésion en foyer. En effet, dans une maladie mentale, le cerveau doit être considéré' comme malade dans sa total
chiques. Mais on est en droit de rechercher dans quelles parties du cerveau les plus importants symptômes d'un type morbide
aissance de la répartition des diverses fonctions sur la surface du cerveau , ces recherches n'ont guère abouti qu'à des rés
l'aeil, elle met en jeu une impul- sion nerveuse qui se transmet au cerveau : dans l'impulsion elle- même nous trouvons l'o
donner que les conclusions : , - Io Les dimensions de l'ensemble du cerveau ne constituent pas une mesure de la puissance i
a mémoire n'est pas une faculté unique ; il y a des centres dans le cerveau ponr les différentes mé- moires (nombres, temps
les penchants, et parla, les lobes aniétieurs sont pour le reste du cerveau des cen- tres d'inhibition. R. DEMUSCRAVE-CLAY.
ns l'histoire delà médecine que la syphilis du foie, la syphilis du cerveau , la syphilis de la peau, ont toutes traversé un
contestablement lésée : on ne peut dire s'il en est de même pour le cerveau . Il était, en tout cas, intéressant de constate
OberVlur, 361. Céphalo-rachidien. Le liquide , par Sicaid, 455. Cerveau . La conductibilité -des os du crâne à l'égard d
Gigantisme et infantilisme, par Launoy et Boy, .532. Gliome du cerveau , z m. GLOBES OCULAIR-ES. Voir Analgésie, Go
itique post-tvphoidique, par Soukhanoff, 150. Kyste dermoïde du cerveau , par J. Halva, 62. Larmes. Voir Mystiques.
s sur l'écorce cérébrale du'cobaye, par Dopter, 178. Sons. Voir Cerveau . SrERaLATOCEnÉSE Le début de la dans l'espèce
89 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
mouvements passifs, du moins quand le malade est couché et que son cerveau n'a plus besoin, par une attention constante, d
it à le faire tomber. Il ne sait pas corriger immédiatement par son cerveau , le trouble apporté ainsi à son équi- libre, et
épreuves, ces exercices, et je suis arrivé à cette opinion que son cerveau , sa représentation motrice et volitionnelle est
'aphasie amnésique n'atteignent pas invariablement un même point du cerveau . Elles siègent sur l'écorce de l'hémisphère gauch
us proposons d'y décrire ce que nous avons constaté à l'examen de 5 cerveaux sur lesquels des tumeurs de grandeurs et de loca-
ons qu'en tant qu'il présente un intérêt particu- lier. Deux de ces cerveaux ont été coupés dans un but tout autre que ce- l
n quelque sorte. 2° Le néoplasme a son point de départ en dehors du cerveau , qu'il re- pousse en se développant. Nous ne
On peut affirmer que la position relative de toutes les parties du cerveau a changé : il n'y a plus symétrie entre les 2 hé-
des fibres réunis- sant de grands domaines de l'écorce au reste du cerveau est bien faite pour produire des troubles intel
ux dépens des fais- ceaux d'association surtout. Appauvrissement du cerveau en faisceaux de cette nature. - Engorgement des
ntale. La pl. XXIV montre les rapports du néoplasme avec la base du cerveau ; une exostose en occupait l'enfoncement centra
mè- tres cubes, entouré de tissu conjonctif, le séparant partout du cerveau ; point de zone inflammatoire. Les nerfs des
lade tout moyen de les contrôler. Tenons compte du fait que tout le cerveau et par conséquent aussi les centres corticaux d
: c'était peut-être une suite de troubles dans les relations entre cerveau et cervelet. ' L'amaurose totale accompagnée d'
un peu plus dans la région frontale que dans les autres parties du cerveau . Il n'est pas rare de voir ces espaces entourés d
possible de reconnaître la structure corticale. Dans le reste du cerveau l'écorce ne nous a pas paru présenter d'anomalie.
es que nous reproduisons montre que la tumeur, partie de la base du cerveau , suivant sans doute le foramen coecum, finit par
nteau cérébral se trouvait dans le même étal et en concluons que le cerveau avait subi une perte notable en fibres nerveuse
t la mort, et cela malgré le petit volume du néoplasme. Examen du cerveau coupé en série (Dr. Papadaki). Les ventricules
onduit à la mort avant qu'il se fût produit une atrophie notable du cerveau (poids 1430 gr.). Nous n'avons pas la témérité
des ventri- cules que la pression exagérée se distribue sur tout le cerveau . A ce point de vue et pour des raisons purement
e ? Nous estimons qu'il y a là un mécanisme de nutrition spécial au cerveau , mais que nous ne connaissons pas exactement. 1
artère méningée moyenne et le cas de vascularisation remarquable du cerveau trouvée par ]eD'' Sébileau à l'autopsie d'un enfa
au patient de suivre l'exécution des signes conventionnels avec son cerveau , car souvent l'individu atteint de la crampe pr
e professionnelle a son esprit éloigné des lettres qu'il écrit, son cerveau est ailleurs. Enfin, il faut mettre le patient so
iquent bien. Le foie (1210 gr.) est gras. Examen IIISTOLOGIQUE. Cerveau . Les méninges sont épaissies, fibreuses, et néa
s confinant aux noyaux de Burdach et de Goll sont respectées. 5°' Cerveau . Les coupes de l'écorce montrent les altérations
ne peut l'arracher qu'en déterminant de nombreuses ulcérations. Le cerveau pèse 1180 grammes. - ' Le volume des circonvo
one d'entrée des racines postérieures est manifestement altérée. 4° Cerveau . Les coupes du cortex montrent des lésions caract
s, les poumons ne présentent rien d'anormal. Examen HISTOLOGIQUE. - Cerveau . Hématoxyline-éosine. Les méninges, très épaiss
s pèsent 340 grammes, très congestionnés. Examen histologique. Le cerveau montre une méningo-encéphalite très intense; in
ersisté jusqu'à la fin. 11 mourut le 13 mai 1904. A l'aulopsie du cerveau on trouve un épaississement marqué de la pie-mère
IIe paires sont normales. Pas de lésions appréciables au Weigert. Cerveau . Les méninges, épaissies, fibreuses, infiltrées à
achy-méningite épaisse recouvre la face interne de la dure-mère. Le cerveau est atrophié dans son ensemble et le liquide céph
s cornes antérieures qui ne contiennent presque plus de cellules. Cerveau . En plus d'une pachyméningite hémorrhagique, dont
ne pré- sentent aucune particularité. La dure-mère est normale, le cerveau congestion- né. La pie-mère possède par places
médian et le lobe droit paraissent normaux. Examen llISTOLOGIQUE. Cerveau . Nos recherches ont porté sur les lobes frontau
uve les mêmes lésions inflammatoires que dans les autres parties du cerveau . La recherche de microbes dans les coupes est r
t et pesait 8 grammes. L'examen macroscopique des centres nerveux : cerveau , bulbe, moelle, ne révéla aucune particularité
patho- gnomonique. Il est donc fort possible que les ventricules du cerveau , de même que le canal central de la moelle puis
issures et déplis- sent les circonvolutions, convertissent ainsi le cerveau en un véritable kyste. Dans d'autres circonstan
e : l'hydropisie déterminerait la rupture et la destruction tant du cerveau que des formations osseuses ; les membranes conjo
s de rechercher la destinée des cordons médullaires en l'absence du cerveau ou l'état des gan- glions rachidiens et des ner
ncépha- lie, en effet, ne consiste pas simplement dans l'absence du cerveau et dans son remplacement par un tissu vasculo-c
ant plus nombreux et d'autant plus étendus que l'on se rapproche du cerveau ; ils finissent par occuper la majeure partie d
ménagées ; même il est probable que, chez les sujets dont moelle et cerveau ont disparu, la propagation de la méningite s'est
t encore à peine atteinte, alors que, depuis quelque temps déjà, le cerveau a disparu presque complètement. La disparition
déjà, le cerveau a disparu presque complètement. La disparition du cerveau retentit nécessairement dans ce cas, comme dans
388 RABAUD ici beaucoup plus considérable, car la destruction du cerveau est très anté- rieure à la propagation de l'inf
érescence sous la dépendance étroite de la destruction préalable du cerveau par l'envahissement vasculo-conjonclif. Valeur
moelle. Suivant toute évidence, dès le moment où tout ou partie du cerveau cesse d'exister, les fibres médullaires corresp
d'affirmer que cette dégénérescence consécutive à la disparition du cerveau est un processus tout à fait accessoire. Il peu
a- rition s'effectuera sans lui, comme s'effectue la disparition du cerveau lui- même ; bien avant que la dégénérescence ai
c'est, pour déterminer la dégénérescence, une destruction précoce du cerveau , ainsi que nous le verrons. Le caractère qui
ouvons maintenant comprendre l'état dégénératif dans la moelle : le cerveau a été détruit tout au début de l'in- vasion mén
bulbe, la protubérance, la face inférieure du cervelet, la base du cerveau , les parois ventriculaires, les nerfs crâniens
plifiés. 1 Jamais nous n'avons pu obtenir de fixation complète du cerveau . Le liquide, même sous forte pression ne pénètr
l'in- clusion en 24 ou 48 heures, après lavage à l'eau courante. Cerveau . - Les hémisphères séparés sont baignés dans le f
une qu'elles avaient au sortir du fixa- teur. (2) Les tranches de cerveau ont alors une coloration gris de fer, la substanc
s plus ou moins ramifié ! MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX 403 Cerveau . Dans substance blanche on distingue, les noyaux
thol. Anat. der Ilaussâugeihiere. 4. SERRES. - Anatomie comparée du cerveau , 1824-26. 5. l'ROISIER. -Note sur l'état de la
(exagération ou abolition des réflexes, douleurs, etc.) ou celle du cerveau lui-même : nous avons dit au début que notre pre-
ne saurait être exactement établie chez un nou- veau-né dépourvu de cerveau et possédant une moelle en voie de destruction.
ne saurait surprendre : la méningite débute sur la face convexe du cerveau , elle s'y développe et negagne que tardivement
, toutefois,trouve un sérieux obstacle dans le contenu du crâne, le cerveau plus ou moins al- téré. Deux phénomènes peuvent
er-occipitale : en effet, d'une part, la compression exercée sur le cerveau tend à chasser celui-ci d'avant en arrière, car
ractions qui portent sur les pariétaux por- tent directement sur le cerveau , le refoulant vers l'occipital, -tandis que d'a
enter la capacité crânienne aux dépens de sa partie postérieure. Le cerveau ainsi refoulé, butte contre l'occipital, ajouta
que la compression continuant à s'exercer sur le sommet refoule le cerveau hors de la cavité crânienne d'une façon plus ou
'ANENCÉPHALIE 611 térée par l'inflammation, exclusion secondaire du cerveau . Il va de soi que l'exclusion est d'autant moin
as- ticité, la peau résiste à la rupture ; elle est refoulée par le cerveau , mais lui constitue une enveloppe. Une fois l
lée par le cerveau, mais lui constitue une enveloppe. Une fois le cerveau exclu, la voûte crânienne se trouve nécessairemen
normaux : Le droit pèse 142 grammes, le gauche, 150 grammes.. Le cerveau , dont le poids est de 1030 grammes, ne présente,
cette nature, développées dans la masse nerveuse même, au centre du cerveau ou du cervelet. Cornil et Ranvier ont observé un
nsité des altérations du tissu, nous croyons pouvoir affirmer qu'au cerveau la méningite débuta dans la ré- gion pontine. C
ces entrefaites, en raison de la pesanteur et du courant allant du cerveau au sac médullaire, l'aqueduc commença à s'obstrue
estes, apparaît une fois que, par la dilatation des ventricules, le cerveau et les méninges arrivés à un maximum de tasseme
per a pu voir la rétine continuer à se différencier en l'absence du cerveau . Surcette première période du développement,l'é
pre. Si,'en effet, une action trophique quelconque était dévolue au cerveau ou à la moelle du foetus, cette action tro- phi
dire. Dans quelle mesure ce processus est-il lié à la disparition du cerveau et de la moelle ? C'est ce que nous ne savons p
llaire, trouble portant obstacle à la constitution morphologique du cerveau et aux différenciations cellulaires. Il fonde son
à la nutrition du système nerveux et ne tardent pas à supprimer le cerveau , origine de toute une partie de la substance bl
hez tous les indi- vidus, sans exception, le processus a détruit le cerveau , chez quelques-uns la moelle reste dans un éta
remplacée par un tissu exactement semblable à celui qui remplace le cerveau . Chez d'autres, enfin, la moelle a subi une dégén
maladie : la néoformation vasculo- conjonctive se substitue soit au cerveau seulement, soit à la moelle et au cerveau. Si l
tive se substitue soit au cerveau seulement, soit à la moelle et au cerveau . Si la durée est suffisante, cette tumeur elle-mê
umeur conjonctivo-vasculaire faisant hernie au-dessus du crâne ; le cerveau , quoique mal développé, paraissait indemne à l'
et celle des Pseudencépha- liens. 1 Il est incontestable que tout cerveau exclu de la cavité crânienne pour une raison qu
veau exclu de la cavité crânienne pour une raison quelconque est un cerveau plus soumis que tout autre aux traumatis- mes d
uation anormale par rapport à la base du crâne, tout en laissant ce cerveau intact. Tout parallèle est absurde entre ces proc
eux. Sans doute, on trouve parfois, chez l'acéphale des vestiges du cerveau et, constamment, des vestiges de moelle en asse
font défaut pour des raisons qui restent à préciser, tandis que le cerveau est absolument intact. L'hémicé- phalie paraît
a pour conséquence une sorte d'exencé- phalie, sans déplacement du cerveau . \ Ces trois cas sont essentiellement différent
rait être surpris qu'il prouve à un foetus dépourvu de moelle et de cerveau une vie pré- caire sans doute - mais une vie de
dégénérescence des cordons blancs consé- cutive à la disparition du cerveau . VII. On observe diverses variantes dans ce pro
e résiste davantage et les actions musculaires tendent à exclure le cerveau de la boîte crânienne. La paroi de la boîte cède
boîte crânienne. La paroi de la boîte cède sur la ligne médiane, le cerveau passe entre les deux moitiés de l'occipital. La
t survécut privé des chefs-d'oeuvre mélodiques sortis de son propre cerveau , Goya, après tant d'années de productions artisti
la rapidité et la mobilité des impressions qui se succèdent dans le cerveau , l'étrangeté des conceptions de l'esprit n'ont
a folie, et le caractère commun à ces deux sortes de projections du cerveau est qu'elles sont soumises à des lois com- 706
90 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
lisations du protozoaire dans le cortex et dans d'autres régions du cerveau , répar- ties dans les deux hémisphères. La gran
yndrome de Little ; méningo-encéphalite chronique ; parasites dans le cerveau . 2. Diplégie cérébrale spasmodique (8 ans). 10.
Idiotie. 24 ans. Méningo-encéphalite chronique ; parasites dans le cerveau et les muscles. 8. Diplégie cérébrale spasmodiq
ser une extension du pro- cessus aux nerfs crâniens et à la base du cerveau (diplopie, diminution de l'ouïe et des troubles
York. Nous avons actuellement, parmi nos pièces de laboratoire, les cerveaux de deux malades dont l'état clinique a été très
ue a été très soigneusement observé. Les lésions que présentent ces cerveaux nous paraissent apporter à la question de l'aph
-sclérose. En plus de ces altérations diffuses qui caractérisent le cerveau sénile, il existe un foyer de ramol- lissement
cependant le privilège de pratiquer l'autopsie. L'aspect extérieur du cerveau ne présentait rien de particulièrement anormal,
e l'hippocampe et de la partie antérieure du lobule fusi- forme. Ce cerveau nous ayant été remis, nous l'avons étudié à l'aid
et l'humanité crouleraient, sans les idées qu'il m'a mises dans le cerveau . Elle est commencée avec l'hérésie, avec la civil
erv. and. ment, diseases, novembre 1906. PAULESco. - L'hypophyse du cerveau . Paris, 1908. ZULLNKII. - Ein Fait von Tumor de
un à dix-huit mois, le second Il ans : « rougeole avec transport au cerveau ». Un garçon est mort à 42 ans de la fièvre typ
lose pulmonaire sclérosée aux sommets, atrophie sénile. Le tissu du cerveau est dur, sec, blanc, sans aucun ilot hémorragique
es directions. Les coupes longitudinales de la substance blanche du cerveau et du cer- velet offrent un aspect semblable à
myéline sont en effet entourés par les réseaux névrogliquesdans le cerveau , dans le cervelet et dans la moelle, de même que
lus élective. Nous avons déjà dit que les préparations provenant du cerveau et du cervelet offrent, quant à la nature du ti
de 6 mois avec celles de personnes adultes. Le tissu névroglique du cerveau , par exemple dans le système nerveux des foetus
eau-né, que par son épaisseur. loo. 1S. Epilepsie. Homme de 35 ans. Cerveau . Eisath-Alzheimer. Cellules névrogliques de diver
e en fibres rigides du tissu névroblique. Ces libres « rigides » du cerveau que nous venons de décrire, nous les trouvons é
luence. Voici maintenant le résultat de l'examen nécropsique : Le cerveau 1450 grammes sans modifications notables. Pourtan
complexus symptomatolo51que résidait en une lésion d'une partie du cerveau et éventuellement qu'il s'agissait d'une forme
uteur en notant la fréquente coexis- tence, au cours des tumeurs du cerveau , de la stase du fond de l'oeil avec des modific
a mort. 1° Examen macroscopique (PI. LI). L'examen de la surface du cerveau à travers la pie-mère,ne laisse constater aucun
ar les foyers de ramollissement : elle est moins épaisse que sur un cerveau normal, mais cette réduction est secondaire et
ar la topographie crânio-cérébrale, il est facile de figurer sur un cerveau normal la topographie probable de la lésion. On
le sixième mois en 1879; dix à douze mois après, « congestion » au cerveau : cécité, surdité à peu près complètes, langage
intenses, puis vers l'âge de dix-huit il vingt mois « congestion au cerveau ». Les suites de cette affection ont été très gra
les. Il a constaté lui-même que ces excès de vin lui « portaient au cerveau » : il signale pour justifier son dire de la pert
jacentes sont intactes. A l'ouverture du crâne, rien d'anormal ; le cerveau est légèrement diffluent ; on ne trouve pas tra
t le corps strié sont normaux (Voir PI. LIV, coupe longitudinale du cerveau ). Toujours dans l'hémisphère droit, et aux endr
dans les lobes frontaux. Il n'y a rien dans le lobe temporal. Le cerveau gauche ne présente rien de semblable. Des coupe
la substance blanche. Dans le cervelet on sent une induration au cerveau du lobe droit. Le vermis et le lobe gauche sont
position couchée. » En somme, les tuberculomes des méninges et du cerveau étaient secon- daires à la lésion vertébrale. L
s publions aujourd'hui l'observation d'un enfant dont t l'examen du cerveau permet d'apporter une contribution à cette recher
ncho-pneumonie. Autopsie le lendemain. AUTOPSIE (PI. LV et LVI) Cerveau : il n'y a pas de différence sensible entre le vo
rte légèrement les deux hémisphères l'un de l'autre en regardant le cerveau par sa face convexe, on ne voit pas de traces d
il n'y a pas de commissure unissant les deux parties symétriques du cerveau , chacune d'elles a cependant un système d'assoc
ues peuvent se ramener à des états inflammatoires des enveloppes du cerveau ». Welcker (2) admet, après Virchow, que la sy-
u con- tenu, comme le prouve l'intégrité intellectuelle de certains cerveaux en- fermés parfois dans la plus difforme boite
résente doit être enregistrée. DU PROCESSUS DE RÉPARATION DANS LE CERVEAU . UN CAS DE M1 : IVINGO-rNClPIIALIT1 CHRONIQUE
quelques données pour l'analyse du processus de réparation dans le cerveau . L'attention des investigateurs a été jusqu'à c
s spéciales se trouvant à la surface péri- vasculaire et externe du cerveau (membrana g)im perivascularis et super- ficiali
cations. Dans notre examen du tissu névroglique des foyers lésés du cerveau nous irons petit à petit depuis le tissu normal
irons petit à petit depuis le tissu normal des couches profondes du cerveau jusqu'à sa périphérie. Nous remarquons que le gli
s sont adirées de la surface voisine (externe et périvasculaire) du cerveau . Le tissu névroglique devient impénétrable pour
) ' Masson & CI., Editeurs DU PROCESSUS DE RÉPARATION DANS LE CERVEAU 439 9 bien prononcée et présentent des contours
développement en dehors du type de structure de la région donnée du cerveau ; '1° le fait qu'il perd sa fonction de tissu ly
de substances collagène on non), forment un seul réseau continu. Le cerveau normal contient peu de fibres collagènes (elles
reich, Tischoutkine) se trouvant à la surface externe et interne du cerveau . Ainsi les membranse glix preriv«sculares et su
me avec les cellules ce qu'on peut nommer la membrana terminalis du cerveau ,rnembrana accessoria (pia inti- ma'et sa contin
conjonctives. Comment se fait leur prolifération à la périphérie du cerveau au ni- veau des ilots du tissu névroglique atyp
géné- tique avec les cellules dites adventicielles des vaisseaux du cerveau et avec les cellules épithélioïdes qui leur son
fication générale de la prolifération du lissu conjonc- tif dans le cerveau sous forme de réseaux fibrillaires, nous pouvons
sous forme pathologique ce qui est commun à la structure normale du cerveau . Par rapport aux systèmes vasculaire et lymphat
e du cerveau. Par rapport aux systèmes vasculaire et lymphatique du cerveau le tissu conjonctif continue sa l'onction qui l
que et atypique, nous pouvons dire que le réliculum pathologique du cerveau est un tissu typique. Mais dans notre cas déjà
leptiques proviennent de l'état anormal des voies lymphati- ques du cerveau el de l'activité lymphogène du gliaspongium. Nous
uniq1lemel/t, synchroniquement aux mouvements dits respiratoires du cerveau . Il est sur que l'appareil décrit doit être bie
e régionale du gliaspongium peut donner lieu a une pseudo-tumeur du cerveau et ainsi de suite. Les modifications orga- niqu
re qu'il y a abaissement total de la base du crâne sous le poids du cerveau , il l'exception du pourtour du trou occipital,
les parties de la tète tendent à converger vers ce centre, crine et cerveau en dehors, en haut et en avant, face en avant e
étique). par Marie et ItooTten,473. Processus de réparation dans le cerveau . Cas de mpninqo-eflcephabte ? ironique avec a
pal' Cwcns, 1 ! TABLE DES MATIÈRES 309 Tuberculomes multiples du cerveau et des méninges, par Rauzier et Baumel, 397.
tielle ? 202. Baumel (J.) et Rauzier. Tuberculomes mul- tiples du cerveau et des méninges, 397. Rwoa (R.) (de Nantes). Ma
IER (G ) et BAUMEL (J.) (de Montpellier). Tuberculomes multiples du cerveau et des méninges. 397. RAuziER (G. et Roger (H
tasie, 185. Snessmieff (P.). Du processus de répara- tion dans le cerveau Un cas de méningo- encéphulite chronique, 433.
Sie,locrUiations (LAS.1LLE-ARCILIAIBrIULT), IX. Aphasie de Broca, cerveau (Déjeiune et ANDR6; THOaIS), XLIX à LI. Atrop
dcw (Syndrome de) et sclérodermie (Marinesco et GOLDSTEIN), XLII. Cerveau , lésions dans un cas d'aphasie (UEjEBtKE et AN[
s dans un cas d'aphasie (UEjEBtKE et AN[)nÉ-THO : ns), XLIX à LI. Cerveau , localisations de l'aphasie (LASALLE- aRCHauD.u
Cerveau, localisations de l'aphasie (LASALLE- aRCHauD.uLTI. IX. Cerveau (Processus de réparation (Snessa- REes). LXII e
Cerveau (Processus de réparation (Snessa- REes). LXII et LXIII. Cerveau (tuberculomes multiples) (Rauzier et Baumel). L
VIII. Ménll1go-enc)éphalile chronique, processus de réparation du cerveau (SnLSSalsEFr), LXII et LXIII. Myoclonies esse
ase, formes nerveuses (Chagas), I il V. Tuberculomes multiples du cerveau (IIAU- ZIER et Baumel). LUI et LIV. Vertèbre
91 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
érapeutique. « Quelque théorie que l'on veuille donuer de l'état du cerveau dans l'hypnotisme, quelque doctrine qu'on veuille
raînement le plus propre, à mettre en action les fonctions d'arrêt du cerveau . A ce point de vue également toute expérience d'h
dans aucun appareil construit. Jlàis cette invention a existé dans le cerveau de M. F. U en a imaginé le mécanisme de toutes pi
emettre au jour de sa mémoire consciente ce qui avait existé dans son cerveau il y a un an, était de lui faire revivre, comme d
que puérile. Elle signifie simplement que le grand Empereur avait le cerveau merveilleusement construit, que les cases de sa m
es dans des régions différentes de l'un ou l'autre des hémisphères du cerveau nous a depuis longtemps amenés, mon ami Paul Magn
réoccupe de transformer certains préjugés fortement enracinés dans le cerveau de tout alcoolique. Dr Le Menant des Chesnais.—
paraît sérieuse. L'intelligence ne parait pas avoir été atteinte. Le cerveau a conservé •sa vitalité fonctionnelle et cette
démence manifeste : il fallut tenter d'éteindre l'incendie allumé aux cerveaux : Rome se vit contrainte de désapprouver, d'excom
lle est également l'ensemble des phénomènes qui s'effectuent dans son cerveau . En sociologie la suggestion a remplacé (1) Dur
quelle s'ouvrent non seulement toutes les portes, mais aussi tous les cerveaux . Comme me le disait récemment un homme d'esprit d
: La suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lui, a été accueillie avec une fa
elle laisse à entendre que le pouvoir d'introduire des idées dans un cerveau est un acte à la portée de toutes les intelligenc
sser de traces. L'instabilté est tellement la note dominante de ces cerveaux qu'elle arrive presque toujours à se manifester d
lisantes sous le poids desquelles peuvent succomber, à la longue, les cerveaux les mieux organisés. Séduits par les transforma
trouver groupés en fonle transforme en sujets hypnotisés, et dont le cerveau , alors dépourvu de contrôle, agit avec les appare
st un sophisme évident, en parlant de l'organe désigné sous le nom de cerveau , que de le considérer comme un réceptacle dans le
des termes vagues, indéterminés comme le sont ceux d'acte, d'idée, de cerveau , ne peut aboutir qu'à une proposition dépourvue d
y a que de l'obscurité. Si « l'acte » d'introduire une idée dans un cerveau a la moindre importance thérapeutique, il eut été
e la suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lui. Mais, tout d'abord, il convi
ais, en plus, la possibilité d'introduire des idées curatives dans le cerveau . Il est vrai que lorsque l'on se propose d'introd
l est vrai que lorsque l'on se propose d'introduire des idées dans le cerveau des autres, cela suppose, comme première conditio
loin les objets confusément. » Il est certain qu'un malade dans le cerveau duquel on n'introduirait que des demi-idées, al
s celle bien entendu de la possibilité d'introduire des idées dans le cerveau , c'est d'avoir vu, le premier, qu'il était nécess
'il était nécessaire cependant que cette idée fut acceptée par le dit cerveau . L'insistance .avec laquelle il reproduit celte f
le nous porte à croire qu'il attache à la notion d'acceptation par le cerveau de l'idée introduite, une importance considérable
ment est-il possible qu'une idée, quand elle a été introduite dans le cerveau puisse être refusée ensuite par lui "? Par quel
el mécanisme ce rejet va-t-il s'effectuer ? Peut-on se représenter le cerveau refusant une idée, à la façon dont un estomac réc
its : « Je défiais la suggestion, dit-il. toute idée éveillée dans te cerveau . Cette idée peut pénétrer dans le cerveau par n'i
toute idée éveillée dans te cerveau. Cette idée peut pénétrer dans le cerveau par n'importe quel sens : la parole, la lecture,
ns, mes sentiments, mes pensées et mes actes sont indépendants de mon cerveau , de ce cerveau qu'ont modelé mes pères et qui. pa
nts, mes pensées et mes actes sont indépendants de mon cerveau, de ce cerveau qu'ont modelé mes pères et qui. par toutes ses ex
sensations qui viennent des organes périphé- riques et qui ont le cerveau comme centre ; pour les autres les sensations ser
énéral que sont subordonnées toutes les opérations cérébrales... « le cerveau est dans ses actes les plus délicats, le serviteu
le système vasculaire influençant le sympathique et indirectement le cerveau {centre de différents troubles observés). Il ré
s. M. Grollet, médecin-vétérinaire, professeur. Objet dn cours : Le cerveau , orgine de la pensée chez les animaux supérieure.
même de les observer. D'autre part, on connaît l'énorme influence du cerveau sur tontes les fonctions vitales. Les faits clini
me simple n'avait, probablement, jamais connu le sinapisme et qne son cerveau , dépourvu d'images correspondantes, était inapte
normal des muscles de l'animal. Le cheval ne raisonne pas, mais son cerveau est un merveilleux enregistreur, sa mémoire des s
lui et met en œuvre toute une gamme de réflexes, il emmagasine en ce cerveau toute une variété de sensations ; mais des sensat
re. Dans toute l'acception du mot. il fut le vir probus. Son puissant cerveau , qui vibrait avec une intensité surprenante a tou
aris, et causait en dilettante des mets locaux de nos provinces), son cerveau vibrait surtout A l'idée d'une belle action. Avec
. Ce fait, banal en lui-même, est un exemple dé plus de l'action du cerveau sur l'estomac, le réveil général et l'activité ps
fondamentales du caractère. La stérile érudition dont on emplit les cerveaux de nos lycéens ne peut aboutir qu'à formerdesespr
s dont l'accord est nécessaire à la régularité de leurs fonctions. Le cerveau n'étant pas seul en cause, le philosophe doit con
êverie, écrit-il, on n'est point actif; les images se tracent dans le cerveau , s'y combinent comme dans le sommet/, sans le con
rveux, et il peut même finir par hébéter entièrement les fonctions du cerveau . On verra sans peine que cela doit être ainsi si
pouvoir réflexe, il suffit d'une cause souvent minime portant sur le cerveau , pour déterminer une sécrétion chlorhydrique anor
me gastrique du moment, toute modification gastrique est transmise au cerveau . Les deux centres étant ainsi calmés, il n'y a pl
u persuasion ; elle s'adresse directement aux facultés supérieures du cerveau , aux facultés de contrôle : l'attention, le jugem
charité, et pendant tonte sa carrière, il ne devra pas oublier que le cerveau doit toujours se laisser guider par le cœnr. »
ar des perturbations physiques et morales qui dérèglent l'activité du cerveau , amoindrissent ou exaltent le système sensitif. c
rédicateur ne parvenait à séduire son auditoire qu'en imprimant a son cerveau une excitation extraordinaire exactement analogue
ens qui s'émoussent momentanément, n'apportent plus les sensations au cerveau , et dès lors, ne fournissent plus à l'esprit d'él
e que joue la graphologie dans la révélation de certaines maladies du cerveau , de vous donner rapidement quelques notions sur l
er rapidement quelques notions sur la topographie de cet organe. Le cerveau est l'aboutissant des principales sensations qui
re compte de ce double fonctionnement il faut que vous sachiez que le cerveau possède des organes appelés centres nerveux, neur
ait sur lui-même la remarque. Quant à la sensation d' « allégement du cerveau ». dans les mêmes conditions, c'est & peine s
ganes des centres (d'après les travaux de Mosso) et spécia— lement le cerveau , dont le repos ne peut que favoriser le bon fonct
plus ou moins conformes aux rythmes normaux du progrès suivant que le cerveau qui les engendre est lui-même relativement sain o
monstruosité des pyramides Pharaoniennes, chacun dirait : « C'est un cerveau malade. • Car l'observation nous apprend que les
92 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
U3 qmrnoo 3bslctrr , ,1 flntomieét physiologie du sqsteme nerveux, ( cerveau ,, moelle 'etorpanes des sens). (Exercices de la
spinaux,' sur,'ranatbmie. : du .cerveau,-etc.; il a étudié aussi le cerveau de Laura Bridgman ? la lfameuse''soûrde=rriuett
cence ganglionnaire scléreuse; de Burg, où le chiasma et la base du cerveau étaient atteints de gliomatose, comme dans le c
l'espace subarachhoïdien. Dans tous il y avait atrophie marquée du cerveau , lésion évidente de la,pie-mère et endartérile
' '' ? ' ' ' ' 4 Quant aux désordres des centres nerveux, moelle ou cerveau , il admet qu'ils peuvent être fonctionnels, au
relativement à la physiologie pathologique des masses centrales du cerveau , le professeur consacre sa leçon à l'exposé ana
Y a souvent participation à l'affection des méninges de la base du cerveau ; ce que la clinique fait,, du reste, prévoir. (ex
nique fait,, du reste, prévoir. (exemple, la 2° observation). ? Au. cerveau , on décrit : une méningite et une artérite syph
omalies osseuses correspon- 'dantes, permettant de conclure que les cerveaux contenus dans les boites en question n'étaient
ury, les deux questions : z ", ? ? 1° L'accusé a-t-il la maladie du cerveau qui est la folie ? 4p ? 1 ", 20 Le.crime est-il
Fuerstner. r , , ? ê> , *& , M. SIOLI présente des coupes du cerveau dans un cas de lésion du lobe occipital. 11 y a
épreuve clinique : Localisations corticales des centres moteurs du. cerveau , 'anatomie et physiologie ; Cordons postérieurs
pas d'obtenir quelques résultats en traitant par cette méthode les cerveaux adultes et pathologiques, nous avons entrepris
Nous avons pu recueillir, dans des circonstances favorables, deux cerveaux de paralytiques généraux quelques heures après
écis et hésitants, parfois ils ont le sentiment d'un vide dans leur cerveau . NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 93 Dans quelques cas
sur lui-même, en se forçant de travailler, parvient à réveiller son cerveau , celui-ci reprend ses fonctions plus ou moins n
a laissé toute lecture, parce qu'elle ne peut rien comprendre, son cerveau , dit-elle, est engourdi. En n même temps, son c
ne anxiété de la mort la saisit avec la sensation d'un choc dans le cerveau , des battements artériels, des palpitations, et
du malade montre aussi que les grands traumatismes chirurgicaux du cerveau et du crâne ne sont pas sans danger en dehors d
fectent, dans cette affec- tion, la substance grise périphérique du cerveau . On peut donc admettre, en résumé, que la démen
e même ordre de recherches, son mémoire sur le mode de formation du cerveau et sa communica- tion à l'Académie, sur les rap
ion à l'Académie, sur les rapports entre l'étendue de la surface dn cerveau et le développement de l'intelligence avaient une
NERVEUSE. deux pointes de l'aesthésiométre, car la malade, dont le cerveau se fatigue vite, ce qui occasionne une douleur
la voir dans une émotion. Par quel méca- nisme a-t-elle agi sur-le cerveau en déterminant une amnésie ? On ne peut que. fa
e résume dans la présence simul- tanée d'une altération ancienne du cerveau , qui n'eût pas manqué de produire une hémiplégi
bles décoli- vertes qui ont élucidé la texture et défini le rôle du cerveau de' telle façon que Gall lui-même est dépassé.
s centres nerveux. En effet, nous savons que dans la polynévrite le cerveau est souvent atteint, ainsi qu'en témoigneut les
rveux siège au niveau de la moelle (polymyélite, tabes, etc.) ou du cerveau (hémiplégie, paralysie générale, etc.). En term
égularité de la vie. Les ivrognes sont traités comme des malades du cerveau auxquels on évite toutes les causes d'excitatio
'axe médullaire il existait dans cette affection des altérations du cerveau et des nerfs. Le premier, j'ai décrit l'existen
lésions de l'organisme sont capables de réagir sur les fonctions du cerveau et de les troubler ; mais il ne faudrait pas, a
e vaste complexus où viennent se ranger tous les déséqui- librés du cerveau . Le fond sur lequel va s'élever le délire diffè
ecs ruinent-ils insidieusement cette intelligence, ren- dent-ils ce cerveau jusque-là valide apte à l'éclosion'de la 280 ,
eut entrer d'emblée dans le délire ambitieux; cette manifestion des cerveaux affaiblis. Le délirant chronique n'y vient qu'a
isés peuvent aussi surgir à l'occasion des lésions circonscrites du cerveau . Je dis à l'occasion, car ce serait une erreur
stématisé chez les vieillards, c'est-à-dire chez des sujets dont le cerveau est en voie de régression athéromateuse. Or, da
du délire. L'activité des délires dans les lésions circonscrites du cerveau est en raison inverse de l'intensité de la lési
'ostéotome crânien est destiné à supprimer les chances de lésion du cerveau et à faciliter la section oblique au ciseau et
T. .L'auteur reprenant la méthode de Beevan-Lewis, par l'étude du cerveau des épileptiques a procédé à l'examen de 70 cerve
par l'étude du cerveau des épileptiques a procédé à l'examen de 70 cerveaux , sans distinction; sur 56 il a rencontré l'alté
physiques et des fonctions physiologiques du système nerveux et du cerveau en particulier, suffit à montrer les nombreuses
s encéphaliques néces- saires au mouvement régulier du sang dans le cerveau et au fonc- tionnement de cet organe (de même q
r sous vos yeux un certain nombre de photographies représentant des cerveaux de microcéphales. I. Les premières planches s
dont le poids variait de 316 à 828 grammes. Aux photographies des cerveaux , nous avons joint; chaque fois 1 que cela nous
ux autres individus du même âge pesait en moyenne 1,385 grammes. Le cerveau d'Eder... pesait 650 grammes. Nous faisons pa
s vos yeux les photographies de Cher... (pi. XXIV), et celle de son cerveau (pl. XXVI), ainsi que celle du cerveau d'Eder..
(pi. XXIV), et celle de son cerveau (pl. XXVI), ainsi que celle du cerveau d'Eder... (pl. XXVI). ' Dans notre second mémoi
s avons montré les photographies du malade Clut... et celles de son cerveau et de son crâne et présenté les malades Jan...,
s vos yeux la pho-i s tographie du malade Dubill... et celle de son cerveau . Celle de' l'enfant Labor... à l'âge de deux an
cerveau. Celle de' l'enfant Labor... à l'âge de deux ans et de son cerveau à cinq ans et trois mois. SOCIÉTÉS savantes.
a quelques jours, à l'âge de trois ans et les photographies de son cerveau (pl.XLV à XLVIII); son encéphale pesait 365 gramm
sauf chez Cher...,âgé deciiiquailte- neuf ans. La comparaison des cerveaux montre d'une manière évidente que la microcépha
, 0 fr. 90. IiA)'bIOND (F.). Contribution ri l'élude des tumeurs du cerveau : un cas de gliome neuro- formait) - Brochure i
s crâniens longitudinaux permettant la décompression persistante du cerveau sans qu'on ait à craindre les hernies ou les au
emment ils émanent d'un trouble de l'innervation des vais- seaux du cerveau . Tout indique d'ailleurs que l'hystérie est elle-
nées, à poussées souvent succes- sives, qui prend naissance dans un cerveau préalablement atteint, et finit par aboutir à u
tés du nerf auditif dans la membrane basilaire. Irradiation dans le cerveau qui se répercute sur la partie sensitive - du c
ation dans le cerveau qui se répercute sur la partie sensitive - du cerveau présidant au centre visuel.. , P. K. 1. XXXVII.
l'abattre on l'a fatigué et angoissé; l'angoisse a provoqué dans le cerveau la forma- tion de produits de décomposition tou
oit plutôt l'extériorisation, au moment le plus favorable, quand le cerveau commence à faiblir, d'une pensée latente (Camus
ment que ceux-ci. La moelle n'a pas mille façons de réagir comme le cerveau ; les myélites syphilitiques ont de grandes ress
évolution, cette marche descendante de la méningite syphilitique du cerveau vers la moelle est tout à fait typique. Il est
470 ANATOMIE PATHOLOGIQUE, lésions méningées du côté de la base du cerveau , des nerfs cérébraux, du chiasma en particulier
GIE PATHOLOGIQUES. XX. MÉTHODE DE GOLGI MODIFIÉE, POUR L'ÉTUDE DU CERVEAU HUMAIN ; par LEOYD Andriezem. (B ! '(<tsAJ7e
uble fonctionnel. Il y a donc intégrité ana- tomique des parties du cerveau qui sont la condition matérielle de la fonction
z l'homme, il est impossible de fixer ce centre dans les parties du cerveau trouvées lésées chez les dyslexiques; 6° la pér
a permis de démontrer que la pupille se dilate, sous l'influence du cerveau , à l'idée de distances plus ou moins grandes. C
tirées d'associations d'idées saugrenues absolument étrangères à un cerveau normal. Ces malades vous diront par exemple : « A
x éléments morbides que nous venons d'indiquer s'implantent dans le cerveau ; la folie systématique en est la conséquence ob
le est observée chez les vieillards, dans les lésions organiques du cerveau , chez les diabétiques, les cardiaques, les malh
me chose, à un trouble de la nutrition cérébrale, à l'épuisement du cerveau , n'a rien de frappant. Si l'organe de la vie ps
uvé dans les uns des lésions atteignant les nerfs périphériques, le cerveau et même la moelle. Pour quelques-unes on n'en a
la maladie n'est pas une psychose. Il s'agit là d'inflammations du cerveau , à rapprocher des paralysies générales et démence
rire et les pleurs irrésistibles dans les affeclions organiques du cerveau . M. Bechterëtf arrive à cette conclusion que le r
les d'étude; Embryo- génie ; Histogenèse et histologie; Anatomie du cerveau . Volume in-4° de 816 pages, avec 401 figures do
NUUIL.ITfoN llost-épilcptique, Iar Nagy,t02. Occipital, coupes du cerveau dans un cas de lésions du lobe , par Sioli, 6
93 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a. - Il présente des lésions de méningite chroni- que. A la base du cerveau , on observe une Í11 {ilt1'ation puru- lenle, bl
qui rayonne encore vers les vallées de Sylvius, etla convexité du cerveau . {Fig. 2.) Sur la face convexe des hémisphères,
ions de ménin gite et même sur sa face interne. Fig. 2. - Base du cerveau de Dan ? (Réduction en largeur de 17 cent. à 11
y ait eu hésitation sur le diagnostic et en vue de décomprimer le cerveau , M. Moxoo a pratiqué (20 mai 1898) la craniecto
ns la relation de l'autopsie, en particulier sur le crâne et sur le cerveau , nous dispensent d'insister de nouveau. La fig.
ernes,D2. le D Crouzon, a bien voulu faire l'examen histologique du cerveau de ces deux malades. Voici les résultats de ses
stologiques ; par le Dr Crouzon. 1 Dani.. - Il a été prélevé sur le cerveau , au niveau de la 3c circonvolution temporale de
de Cajal, dans les myélites, les méningites, les ramollissements du cerveau , ainsi que les lésions des cellules géantes ren
efois une résistance invincible au traitement. G. D. IX. Abcès du cerveau à, symptomatologie fruste; par le D .T. PALLARD
ront traités d'après la méthode adoptée dans les cas de blessure du cerveau , laquelle consiste dans le repos et la tranquil
veux. Il produit non seulement des effets toxiques aigus, dans le cerveau , la moelle épinière et les nerfs. Son emploi, t
on avec une insinuation mauvaise, avec toute l'idée acceptée par le cerveau , avec la seule influence hypnotique, avec la pe
ET ÉPILEPSIE CONSECUTIVES A UN KYSTE. 95 parallèlement à la faux du cerveau . La surface externe de la dure-mère est lisse,
te, à droite des fovers d'ossification situés le long de la faux du cerveau , et des- cendant sur la région rolandique. Ces
ieur après section longitudinale. 1). m.. Lltire-inére. F., Fond du cerveau . C, Coque osseuse. Celte coloration est beaucou
ssu durai et s'ètendant depuis l insertion ethmoïdale de la faux du cerveau jusqu'à son insertion postérieure. 96 CLINI
itée par deux bords : l'un est supérieur correspondant à la faux du cerveau , l'autre représente une ligne courbe, par- tant
en particulier a subi une régression très sensible. '1\ la base du cerveau l'espace intcl'pédollCulail'1' est profondé- me
part des ossifications de cette nature (ossifications de la faux du cerveau , de la tente du cervelet, etc.), si frequem- me
au moins dans certains pays, permet de croire que le parasitisme du cerveau , si fréquent chez l'animal, est souvent méconnu
de la septième année ; cependant étant donné la tolér : 'lilce du cerveau pour certains corps étrangers, il s e peut que ce
à la participation plus ou moins grande de la moelle aux lésions du cerveau . Tendance àla suppuration, tel est donc le cara
es anatomiques de paralysie infantile cérébrale. llémiatro- phie du cerveau . Asymétrie de la moelle ; substance blanche el
ie de presser sur ce réservoir, on obtient alors en agissant sur le cerveau , le., relâchement évident du sphincter vésical
psychiques ; b) par l'irritation de parties définies de l'écorce du cerveau ; c) par l'irritation de quel- ques ganglions c
ivre par la méthode de Marchi presque toute la moelle et la base du cerveau (ligures). A. Examen des dégénérescences ascend
t jamais réalisée à la périphérie, existe dans la zone corticale du cerveau et l'auteur dresse des tableaux que nous nu pou
fectionnement de la technique histologique sur le durcisse- ment du cerveau qu'on a dû de pouvoir la distinguer des étais v
'1) et Amiral; clic a été désignée tourà tour sousiesnomsd'oedémcdu cerveau , de conges- tion cérébrale ou d'hémiplégie due
crobienne, déterminant des cavités régulières parois lisses dans le cerveau ; b) de l'état criblé de DlIl'and-Ful'del qui p
L. ? AHL. XXVL- Pathogénie et ontogénie du système commissural du cerveau élémentaire, par E. M. KASTANAIANN, (0o : re'H !
iatrii, VIII), La corne, d'Ammon représente, bien comme le reste du cerveau une partie du pallium ; mais entant qu'hippocam
de la première mani- festation de la lésion conservée depuis par le cerveau et qui, réa- lisée objectivement par lui, sous
et des rapports (le cette affection avec les maladies organiques du cerveau et de la moelle. P. KERAVAL \\ ? D'une forme d'
trente ans chez un homme de quatre-vingt-dix ans. Cholestèatome du cerveau . M. Roussy montre la pièce, dont la structure l
us les signes, étaient instantanément per- çus, coordonnés dans son cerveau , examinés, critiqués, et le diagnostic le plus
a- medi où nous montrons un certain nombre de types cliniques, de cerveaux , etc ; quelques leçons du cours de notre ami, le
divers organes et change les conditions de leur fonctionnement; le cerveau , et le système nerveux tout entier, est atteint
use initiale soit ou non d'ordre toxi- infectieux, elle a touché un cerveau débile, prédisposé au déséquilibre : l'équilibr
ionnelles, des réactifs révélateurs. Si on a une bonne hérédité, un cerveau sain et exempt de toute tare, c'est impunément
lation lymphatique, laquelle semble orientée de la circonférence du cerveau vers les ventricules et de là vers les espaces
s, ils pensent qu'intervient un mécanisme de nutri- lion spécial au cerveau , encore inconnu. - Pour expliquer la pa- 193
nt qui existe entre la disposition macroscopique des hémisphères du cerveau de cet animal, la structure intime du l'écorce,
tine que dans le cervelet, le pont de Varole, le bulbe ulfactif, le cerveau , serait un neurone intercalé entre la voie affére
s études cliniques et expérimentales, l'auteur conclut que, dans le cerveau , la corne d'Ammon présente des lésions très net
e de tluntington. - A l'examen histologique, on trouve au niveau du cerveau une dif- férence marquée entre les cellules sup
l reprend celle position après qu'on a essayé du la re- lever. Le cerveau présentait plusieurs foyers de ramollissement exp
e du l'hypnotiseur, c'est aussi le phénomène qui se réalise dans lu cerveau de l'hypno- li·n. C'est absolument comme si on
mbryonnaires, qui cherchent à expliquer l'étiologie de la hernie du cerveau , l'anatomie pathologique de cette malformation, l
l. part. Les lu sions rencontrées sont très diverses, et siègent au cerveau d'une façon presque constante, et il la moelle.
e le lieu où elle avait été élevée, tout était donc confus dans son cerveau . Vu son âge avancé, on n'espérait aucun résulta
surviennent chez les sujets qui présentent une tare la- tente du cerveau et dont le traumatisme ne serait que le réactif
folie, il faudrait des statistiques de trauma- tisés du crâne et du cerveau récupérant l'intégrité com- plète de leurs facu
s surlaparalysie générale, qui pourrait dire jusqu'à quel point tel cerveau eût pu succomber à l'en- céphalite chronique s'
des nerfs, les myélites, les affections en foyer de la moelle et du cerveau . L'exagération de la sensibilité mus- culaire s
uggestives, sans lésion dues à la conservation d'impression dans le cerveau des sujets ; névroses ou psychonév roses à évolut
questions restées dans l'urne étaient : 1° Circulation sanguine du cerveau (anatomie et physiologie) ; ` ? Les espaces sou
ve à la suite de troubles épileptiques, de lésions circonscrites du cerveau , de la paralysie générale, pas plus quia celle
énés. Rapporteur : M. le Dr M. 1)IDE, de Rennes ; 2° Neurologie. Le cerveau sénile. Rapporteur : M. le 1)., A. Lt : ar, de
ivant paradoxe. G ? dégénéré de par sa moelle, l'est encore par son cerveau ; de là la complexité des lésions anatomiques p
ns dégénérés inférieurs. La lésion anatomique a envahi à la fois le cerveau et la moelle.mais il semble que l'encéphale ait
agel, IX Ils., I,Th., III Abtli. ; III Lief 1597. Article. Abcès du cerveau , ? . 126. (2) Klippel. - Traité de médecine,
s points examinés, suivant que l'abcès atteint la couche grise du cerveau ou qu'il ne dépasse pas la substance blan- che,
n évolution, s'il y a lieu, développer ce qui reste de sain dans le cerveau . L'application rigoureuse, persistante, prolong
mprimerie Daix frères et Thiron. TABLE DES MATIÈRES Abcès. Voir Cerveau . - Note sur l'histologie pathologique de la p
rhon et Goldstein, 498. Centres moteurs. Voir poliomyé- lite. Cerveau . Abcès du à sympto- matologie fruste, par Pallu
du temps de - , 30 t. Choc moral. Voir Folie. Cholestéatome du cerveau , par lionssy, 151. Chorée. Voir Grossesse. -
e depuis deux mois, par Pinatelle, 221. Epithélioma primitif du cerveau , par Cestan, rut. Euphorie délirante et oniri
94 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
inime qu'il soit, nous guide surtout quand il s'agit des tumeurs du cerveau et de la moelle épinière. C'est de ces dernières
pas d'enfants. Nie la syphilis. Son père est mort d'une maladie du cerveau , sa mère, dans la profonde vieillesse (artério-sc
'arachnoïde épaissie, rappelant par sa structure la toile choroide du cerveau . Sur les coupes on est frappé par le nombre con
nt avantque la tumeur primitive du sein donnât la métastase dans le cerveau . Quant aux tumeurs d'autre nature, nous dirons
umeurs malignes des or- ganes même très éloignés de la moelle et du cerveau peuvent s'accompagner de symptômes médullai l'e
le troisième cas (c) les lésions cancéreuses peuvent naître dans le cerveau et rarement dans la moelle et y former des foyers
chef de la Maison nationale de Charenton. L'influence trophique du cerveau se manifeste'surtout pendant lespre- mières ann
la dure-mère dans l'étendue des Il[, VIe racines dorsales. Dans le cerveau il n'y a pas de lésions. La tumeur médullaire (
rations multiples, mais mal coordonnées, que l'on signalait dans le cerveau des malades atteints de folie, de démence préco
rolongée, sur l'action de divers toxiques, etc. La physiologie du cerveau , elle aussi, ne restait pas en arrière, elle ap-
duire, d'un temps-mesurable ; - 2) ces actes déterminent dans le cerveau une élévation de tempéra- ture mesurable ; 3)
des produits de désassimilation dosables. L'examen microscopique du cerveau des sujets expérimentés a pu cor- roborer parfo
venu à étudier d'une façon précise les modifica- tions que subit le cerveau normal pendant son activité physiologique ; Si
n a réussi à connaître quelques particularités du fonctionnement du cerveau à l'état pathologique ; Si, enfin, on peut démo
es tissus nerveux, cellules et fibres, dans des coupes provenant de cerveaux d'ani- maux mis en expérience ; Forts de tout
altéra- lion. Que l'on se trouve en présence de coupes provenant de cerveaux d'individus atteints de troubles psychiques chr
nectivo-vasculaire qui entrent dans la constitution anato- mique du cerveau . Nous ne nous y arrêtons pas. On peut rencontrer
e nous l'affirmons sur la foi de nombreuses observations, aucun des cerveaux provenant d'aliénés n'a été trouvé sain ou norm
la lésion his- topathologique, nous estimons qu'il faut examiner le cerveau en entier par la méthode des coupes sériées. L'
r ce qu'en vain on a cherché jusqu'ici dans de -petits fragments du cerveau prélevés dans toutes les 'régions de l'écorce.
ut. C'est ainsi que Iülpin cite un cas de chorée dont il examina le cerveau au microscope, il trouva que la couchegranuleus
e organique profonde. Comme ces manifestations sont ancrées dans le cerveau de l'individu, comme ce sont en somme des caractè
doit-elle continuer à réapparaître dans l'organisation générale du cerveau . Ne savons-nous pas que les fonctions les plus
orains. Cependant la marche en avant ne pourra s'opérer tant que le cerveau normal nous sera mal connu, tant que la physiol
es nombreux champs dont on nous parle, tant enfin, que la chimie du cerveau en sera à ses premiers essais. Pouvons-nous seu
vidualités psychologiques ? Que savons-nous, en fin de compte, du cerveau normal, de sa physiolo- gie, de ses structures
façon quelque peu paradoxale, que nous ne connaissons de la vie du cerveau que l'image de sa mort. Ces constatations, pour
tion anatomique et histologique, la cyto-et myélo-archi- tecture du cerveau normal offre de grandes variations individuelles,
logiques des individus normaux. 3° Les altérations pathologiques du cerveau dans les maladies mentales frappent cet organe,
- montré l'influence des troubles de la circulation du sang dans le cerveau sur l'étiologie des maladies mentales. Il a émi
par l'anémie et la manie par l'hyperémie des couches corticales du cerveau . Ceci nous montre de quelle importance est l'étud
montra l'épaississement et l'oblitéra- tion des artères basales du cerveau , le ramollissement du lobe pariétal gauche, de
'hémiplégie. A l'autopsie on put relever un processus spécifique du cerveau auquel participaient également les vais- seaux.
. A l'autopsie, on trouva des altérations ' étendues des artères du cerveau et de la moelle épinière, sous forme de périart
rtérite et d'endoartérite ; un processus de méningite de la base du cerveau , dans la région des circonvolutions frontales de
donné le caractère de pré- cocité et de malignité si la syphilis du cerveau . Les moments étioiogiques, qui. dans celle form
ès réservé dans la prognose, puisque l'infection pourra attaquer le cerveau avec une grande facilité. Un autre moment étiol
la localisation du processus syphilitique dans la partie droite du cerveau , c'est-à-dire là même où il avait fait le mieux
hr. f. Nervenheilk., Bd. XIX, 1901. FOI-1t,NIER. - La syphilis du cerveau . Paris, 1819, et Ann. de Dermatol. et de Syphilig
ulement la gomme a pénétré dans la moelle ; voir plus bas). Dans le cerveau on constata les méninges troublées et une tumeur
e tissu cérébral ambiant est ramolli. Les vaisseaux sur la base 'du cerveau sont sclérosés. On ne trouve plus de tumeurs ni s
rouve plus de tumeurs ni sur les coupes frontales à travers tout le cerveau , ni sur celles passant par l'arbre de vie du ce
ydrargyre et 45 frictions à 3 0/0), les gommes persistèrent dans le cerveau et la moelle. Il va sans dire que dans le cas p
es de la moelle épinière chez des chiens, mais il n'a examiné leurs cerveaux qu'avec la méthode de Golgi, de sorte qu'il n'a
ntime des cellules cérébrales. Dotto et Pusateri (4) ont examiné le cerveau d'un homme de 40 ans, mort deux mois après une
terne de Berlin, von Leyden a présenté en mon nom (3) des coupes de cerveaux démontrant la réaction des cellules géantes à l
ommunication, Gutz- mann dit n'avoir pas trouvé des lésions dans un cerveau de chien exa- miné quatre semaines après la sec
té de médecine interne de Berlin (5), où j.'ai montré des coupes de cerveaux d'un cas de lésion du pédoncule cérébral, de si
émisection de la moelle cervicale et. en examinant des cou- pes des cerveaux , ils trouvent des lésions cellulaires près du gyr
La lésion est plus étendue à droite où elle occupe la convexité du cerveau jusqu'au voisinage du pli courbe. Un foyer plus
plus petits dans les différentes parties de la substance blanche du cerveau , dans les noyaux striés, dans le cervelet et da
es, car s'il n'a pas trouvé des cellules géantes dans la portion du cerveau excisée, cela ne prouve pas du tout qu'au voisina
inflexions des scissures. En effet j'ai eu l'occasion d'examiner le cerveau d'un épileptique auquel M. Thoma Jonnesco a pra-
ion totale des ra- cines poslérieures des nerfs, de la moelle et du cerveau . Et en clinique nous retrouvons constamment cet
out à fait infantile ; l'ovaire droit contient un petit kyste. Le cerveau est petit, mais ne présente aucune anormalie,; la
joué aussi par l'interruption des impulsions modératrices venant du cerveau il la 1110ellc épinièrc. Dans des cas exception
ur le long de la moelle vers la région supérieure ou inférieure (le cerveau ou la queue du cheval). Il semble que les phénomè
es arguments fournis par l'é- tude de la pathologie infantile et du cerveau des 'adultes aphasiques pour démontrer comment,
rès avoir procédé au durcissement, suivant la méthode de Müller, du cerveau entier,on a pratiqué des coupes horizontales en
n perceptive). L'un d'eux est le cas de Heubner (2) : à la coupe du cerveau , on trouva un foyer de la partie postérieure de T
de médecine d'Albany, New-York. A l'exemple des autres viscères, le cerveau présente parfois des vices de conformation, des
e loin d'être définitivement établies. De toutes les anomalies du cerveau , il n'en est peut-être aucune qui jouisse d'un
mmissure antérieure peut également manquer. La substance blanche du cerveau est réduite et la substance grise proportionnelle
soit de l'artère cérébrale antérieure (Sairder),soit de la faux du cerveau (Richter), a aussi été invoqué comme cause possib
de lluratoff, Dejerine (1) s'efforça, en 1895, d'éta- blir dans le cerveau normal de l'homme la topographie de ce nouveau
trouvait à comprimer fortement la région pariétale sous-jacente. Le cerveau paraissait quelque peu augmenté de volume, et l
fibres commissurales très mince, limitée à la partie antérieure du cerveau et qui ne dépasse pas en avant la base du lobe fr
er les régions intermédiaires. Pour lui, ce faisceau existe dans le cerveau normal,mais se trouve de beaucoup mieux différe
iquer le mécanisme de cette malfor- mation. Il n'existe pas dans le cerveau normal de faisceau analogue au faisceau sagitta
' Le fait que le faisceau calleux longitudinal n'existe pas dans le cerveau sain plaide fortement en faveur de l'hypothèse
ent à communi- quer l'un avec l'autre. Toutes les autres parties du cerveau existent, mais on note cependant un bon nombre
ns même les plus indiscutablement in- fectieuses, qu'il s'agisse du cerveau ou de l'appareil locomotenr, une (I) V. BABPS,
x pendant la période post-opératoire. Il est évident que le choc du cerveau est moin- dre, ce qui a une influence favorable
ort survient immédiatement après l'opération par suite d'un choc du cerveau (écoulement trop abondant du liquide céphalo-rach
t les autres pensées vaines et inutiles, qui peuvent troubler notre cerveau . Nous sommes des hommes, et ce qui est arrivé à
indûment les lois de la psycholo- gie normale au fonctionnement du cerveau malade, s'efforce d'expli- quer l'apparition et
NS I : PENDY11AIRLS ET SOUS-ÉPENDYMAIRES GLe7 Examen llISTOLOGIQUE. CERVEAU . - Plaques à distance du ventricule. Le plus so
ur a pas permis d'admettre que « l'agent irritant a pénétré dans le cerveau par la voie ventriculaire ». Les lésions vascul
e des tubercules quadrijumeaux. ' La description macroscopique du cerveau ayant été complétée, l'hémi- sphère droit fut c
s d'un an dans le liquide de Mül1eret inclus dans la celloïdine, le cerveau a été débité en coupes strictement sériées à l'
constitue la paroi interne du ventricule n'atteint plus la base du cerveau , mais se termine brusquement immédiatement au-d
rrespondant au segment supracalleux de cette circonvolution dans le cerveau normal) s'étend en arrière bien au delà de l'ex
ntales, ne diffèrent pas sensiblement des coupes correspondantes du cerveau normal ; exception faite, bien entendu, des anoma
les radia- tions calleuses d'un seul hémisphère, alors que dans le cerveau normal, les formations correspondantes sont con
icieux de l'artère cérébrale antérieure (San- der) ou de la faux du cerveau (Ricliter), l'exostose de la crête frontale, l'
ses. Le faisceau occipito-frontal d'Onufrowicz n'existe pas dans le cerveau normal ; ceci a déjà été dit par d'autres, nous
remarquer que les formations que l'on a voulu iden- tinter dans le cerveau normal avec le faisceau d'Onufrowicz. se retrouve
uer le tapétum de la paroi interne. Il n'en est pas de même dans le cerveau sain, le cingulum n'entre pas dans la cons- tit
as d'agénésie avec une netteté égale à son enchevêtre- ment dans le cerveau sain. Les coupes frontales sont de beaucoup plus
, qu'une hétérotopie du corps calleux et ne se retrouve pas dans le cerveau normal. 4° Le trigone cérébral est formé non
95 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
» à l'hôpital. » M. Pitres s'est efforcé de ramener le calme dans ce cerveau malade. Mais il n'y était pas encore parvenu, au
Dufailly sur le sommeil provoqué à distance, de M. Manouvrier sur le cerveau de Bertillon. de M. Ruaux sur les réflexes psychi
de celui » qui a été suggéré invisible pour lui: j'ai effacé dans son cerveau » une image sensorielle, j'ai neutralisé ou rendu
qui l'attache : voilà des per-» ceptions sensorielles créées dans son cerveau . D'autre part, il ne » voit pas les objets réel
ue le rôle de souffleur, maïs d'un souffleur qui serait logé dans son cerveau même. C'est mot qui lui suggère toutes les parole
isuelles ou auditives, en empêchant qu'elles ne fussent perçues parle cerveau . Eh bien ! nous croyons que c'est là une erreur :
a vie inconsciente occupent, dans les fonctions psychologiques du cerveau , un domaine bien plus étendu qu'on ne l'avait sup
r l' aliéné, jeté hors de la vie réelle par les fantômes que crée son cerveau halluciné: S'il y avait là des faits de vie incon
s se concentrent, se centralisent et ont leur point de départ dans le cerveau — centre commun de toutes les actions qui se rapp
nstinct, ainsi sollicité par les impressions extérieures, est pour le cerveau ce qu'est pour la moelle épinière l'acte réflexe
sollicitent a l'action. Pour résumer, nous distinguons donc dans le cerveau deux ordres, différents d'actions : d'une pan. le
me qui a été mis en jeu par la voie de l'acte réflexe agissant sur le cerveau , c'est-à-dire par la même voie que les instincts
u'un acte réflexe dons lequel très probablement l'état vaso-moteur du cerveau , c'est-à-dire son état vasculairc, est modifié de
mise en jeu isolément, sans participation des actions conscientes du cerveau , et vous aurez tout le tableau du somnambulisme a
ébrale qui différait de l'activité normale. L'activité instinctive du cerveau prédominait, étouffant en quelque sorte tout le r
dont nous avons été témoins, qui se sont fixés malgré tout dans notre cerveau . Ainsi, notre malade se rappelle un tas de fait
an. Croqucmitaine... tout cela danse une sarabande échevelée dans les cerveaux enfantins; tout cela y prend corps ; tout cela y
le> croyances qu'on a pour ainsi dire moulées et cimentées dans le cerveau de l'entant ne recevront plus tard aucune atteint
ves : toutes correspondent à des sensations réellement perçues par le cerveau , mais qui n émergent pas dans le domaine de la co
ge sensorielle par suggestion : cette image reste enregistrée dans le cerveau où elle a été perçue, et ce qu'une suggestion a e
gardé aucun souvenir de l'ordre suggéré. Mais cet ordre est dans son cerveau â l'état de souvenir latent, et, à l'heure dite,
s risques et pJi'iis leur esprit dévoyé. Qu'en résulte-t-il : que ces cerveaux troublés de h vtille ce\iennent les hystériques o
s de l'entendement, localisées peut-être dans les lobes antérieurs du cerveau qui paraissent plus spécialement dévolus à ces ph
arriver au noyau spinal du nerf optique, elle n'est pas perçue par le cerveau : le sujet ne voit pas ; la perception consciente
onsciente manque. C'est la cécité corticale (par lésion de Pecoree du cerveau ). Mais je crois avoir démontré qu'il peut exist
érale, bien que l'impression arrive jusqu'à la cellule sensorielle du cerveau . Le premier acte physiologique, la perception inc
as de cet œil ; et il ne simule pas. La rétine est impressionnée : ie cerveau perçoit et voit ; mais l'imagination du sujet, à
. Beaucoup de souvenirs inconscients peuvent ainsi s'inscrire dans le cerveau . Telle la mémoire des mouvements nécessaires à l'
ces mémoires ont. comme on sait, des localisations spéciales dans le cerveau : elles s'y inscrivent, par l'apprentissage, à no
nne. Botte crânienne. — Pas d'adhérences; mais, sur la convexité du cerveau , trainées lymphoïdes, le long des gaines des vais
rs points de l'axe nerveux. Examen microscopique. — La moelle et le cerveau ont été durcis par l'acide chromique. en solution
le sens démocratique, qu'il nous soit permis d'appuyer sur ceci : le cerveau de Penfjnt est beaucoup moins rebelle aux opérati
utre côté. Lorsqu'on a. par ces opérations, paralysé les vaisseaux du cerveau , il est évident que le sommeil, qui alors se prod
qu'il y ait peu ou qu'il y ait beaucoup de sang dans les vaisseaux du cerveau . La perte de connaissance dans le sommeil, comm
n dire de plus que ceci : i* 11 n'est pas probable qu'il soit dans le cerveau proprement dit, car, ainsi que nous le savons, le
eon dorment et se réveillent périodiquement, après l'ablation de leur cerveau comme avant : 2* les contractions réflexes et les
se ; elles peuvent nous être suggérées par d"autres personnes ; notre cerveau , parfois, les accepte sans contrôle. » Car, n'a
sujet, de 4*0 pages, édité en iSS;. Des lisions des méninges et du cerveau dans la fièvre typhoïde, par le professeur Popoff
s phénomènes psychiques et somatiques simultanément accomplis dans le cerveau d'un musicien exécutant, d'un pianiste par exempl
on cherche à se représenter par l'esprit tout ce qui se passe dans le cerveau de celui qui nous tient ainsi sous le charme de s
ceptibles, par la culture et l'entraînement, de se développer dans le cerveau dupianiste. se trouve encore ampliñédans certaine
urces infinies que présente cet admirable instrument qui constitue le cerveau de l'homme, des réserves qu'il offre à la culture
y distinguer deux notions: i° le fait psychique qui se passe dans le cerveau de l'hypnotisé, fait qui est physiologiquement et
site, et finit par y régner plus ou moins en maître, par se servir du cerveau de B comme d'un docile instrument. Voilà la sugge
, ou ne les vainc que pour un instant. "J Par contre, à l'aide d'un cerveau normal rendu plastique et docile par la suggestio
on avait en, ; jusqu'à ces dernières années, le tort de considérer le cerveau comme une espèce de terre inconnue, mystique et..
qu il s'agît là d'une action vaso-motrice produite ou inhibée par le cerveau . Une routeur circonscrite de la peau, une urticai
ite désagréable que je n'aie pu détruire en une ou deux séances. Un cerveau (une âme) peut être dessuggestionné comme ¡1 a ét
tière elle-même n'est qu'une manifestation de cette force. Donc notre cerveau n'est que la résultante matérielle, sa fonction ;
plus ou moins sommaire; les autres sont cependant gravées dans notre cerveau sous forme de dynamisme* inconscients. Mais bien
mes différents de vibrations suivant le point où on les touche, notre cerveau , sans que nous ayons besoin de nous inquiéter de
tent les systèmes de fibres pour chaque centre moteur spinal, — notre cerveau , dis-ie, peut vibrer de différentes façons plus o
sme cérébral que nous appelons l'âme. Ces effets peuvent se borner au cerveau , mais ils peuvent aussi s'irradier jusqu'aux nerf
et de la toux. En 1886. elle fut prise d'une attaque congestive au cerveau ; les yeux devinrent proéminents, et la physionomi
rtaine étendue pour permettre de surveiller le membre. DUALITÉ DU CERVEAU Par m. le docteur Eugène DUPUY Voici une obse
observation qui semble intéressante au point de vue de la dualité du cerveau . L'ne personne de vingt-sept ans. originaire du B
mme j'ai déjà cherché à le faire prévaloir ailleurs (1). DUALITÉ DU CERVEAU P a r M. le d o c t e u r EUGÈNE D U P U Y V
ce qu'elle est fondée sur le processus du métabolisme des éléments du cerveau . L'objection qui pourrait être tirée au premier
et des fonctions pareilles : en un mot. que chaque hémisphère est un cerveau complet et actif ; comme on doit l'admettre d'ail
Angleterre, 221, Discipline scolaire, par CoIlineau, 240. Dualité du cerveau , par Dupuy, 371. Ecoles (interdiction des repré
96 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
rde comme si j'avais eu un grand poids dessus; il me semblait que mon cerveau était entouré de coton ; j'étais incapable de fai
teurs, le « Sésame-ouvre-toi » qui vous permettra de pénétrer dans le cerveau de Bernadette et d'y découvrir le mécanisme de se
ne. L'image de cette petite vieille s'imprima trop fortement dans son cerveau déjà hystérique et devint le point de départ de l
e dame habillée de blanc s'est peinte sur une des couches optiques du cerveau de Bernadette, comme sur le verre d'une plaque de
ste du monde par l'interruption des sensations qui n'arrivent plus au cerveau ou bien n'y arrivent, comme dans le sommeil, qu'a
générale, la résultante de l'harmonie fonctionnelle organique. Que le cerveau tienne sous sa dépendance les fonctions organique
vaso-moteurs; on peut donc comprendre qu'une émotion survenant sur un cerveau présentant du déséquilibre nutritif, ce qu'on a a
es organes, presque inaperçues et sûrement trop négligées. » • Le cerveau est un des organes les plus impressionnés par ces
Cette partie antérieure et libre des lobes frontaux est la partie du cerveau la plus mobile et qui nous sert comme d'index pou
mobile et qui nous sert comme d'index pour les autres changements du cerveau entier. L'explication anatomo-physiologique de
anatomo-physiologique de ce fait est la suivante. Les deux moitiés du cerveau , et les deux lobes frontaux par conséquent, sont
ux lobes frontaux par conséquent, sont espacés par la grande faulx du cerveau , et sont séparés de la grande faulx et des méning
adhèrent aux os..du crâne par le liquide céphalo-rachidien. Quand le cerveau offre une sorte d eréthisme, de contraction, ses
s lobes frontaux tendent à s'éloigner et à s'écarter. Mais lorsque le cerveau est fatigué, il se congestionne, il se dilate, et
vail. Il y aura alors besoin de repos et le sommeil viendra donner au cerveau le calme nécessaire pour réparer les forces épuis
rès une période de calme, diminue graduellement jusqu'au moment où le cerveau ayant repris son état d'éréthisme nécessaire, a l
ntales se rapprocher jusqu'à toucher la ligne centrale de la faulx du cerveau . Au contraire, si on fait des applications froide
pliquer l'action presque instantanée de la chaleur et du froid sur le cerveau ainsi que les modifications continuelles de cet o
nant à cela puisque l'image existait, non dans la grotte, maisdans le cerveau de la visionnaire. Pour l'obnubilation du touch
existent en outre en différents endroits. Fait plus curieux : dans le cerveau , il existe également de ces taches noires. La mèr
ent déséquilibrés. On dirait que les secousses ont produit dans leurs cerveaux des désordres analogues à celui qu'elles ont prov
lices inénarrables. Ce rêve fit une impression extraordinaire sur son cerveau déjà touché par la maladie et fut, les jours suiv
ur elle de la suggestion. Ces leçons entrèrent profondément dans le cerveau de Bernadette, et dans les apparitions nous voyon
ue. Cette cécité se compliqua de troubles mentaux. « L'ébranlement du cerveau ayant été fort grand, il lui demeura un certain é
ui bat en place régulièrement, des poumons qui respirent la santé. Le cerveau est net, l'intelligence alerte. Ce dégénéré cause
lus, l'observation de Dominique Castagna témoigne de la résistance du cerveau envisagé comme organe de la pensée et de la volon
l n'est pas troublé dans son fonctionnement par des intoxications, le cerveau continue à vivre de son existence propre, témoin
qui n'existe pas dans le membre blessé, mais qui existe dans son cerveau — assez opiniâtre, assez absorbante pour caractér
faible, mais l'hypnotisme a-t-il besoin pour s'exercer de trouver des cerveaux supérieurs? — Non, assurément, et, dès lors pourq
présidence de M. le Dr Charrin, professeur au Collège de France. — Le cerveau organe de la pensée el de la volonté, par M. le D
, la suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lui. Dans son sens le plus rest
uggestion est l'acte par lequel on tend à introduire une idée dans le cerveau et a la lui faire accepter. Mais, et je suis ic
l'acte par lequel une idée, bonne ou mauvaise, est introduite dans le cerveau d'un individu sans son contrôle ». La persuasio
ble des opérations qui font accepter (après contrôle) une idée par le cerveau et provoquent vis-à-vis d'elle un sentiment naiss
oses. Le mouvement vibratoire rapide provoque un effet sédatif sur le cerveau et aussi une sorte de dissociation de l'idée fixe
retrait de cette force des organes sensibles pour s'accumuler dans le cerveau sur une idée mémorielle; puis enfin, subsidiairem
rches ont mis en lumière, d'une façon irréfutable, l'influence que le cerveau exerce, dans l'état d'hypnotisme, sur les fonctio
use. Cette cause n'est pas hors de l'homme, elle est en lui, dans son cerveau , elle prend ses racines vraies surtout dans les é
qu'on en trouvera le germe explicatif dans les propriétés actives du cerveau pensant et tel qu'il fonctionne normalement. Co
te communiqué passivement peut servir à faire naître une idée dans le cerveau , le même mouvement passif peut aussi, dans certai
uvres jusqu'à ce que le cran d'arrêt soit gravé mécaniquement dans le cerveau du sujet. On déterminera la limite où doit se con
p de feu, excitation identique à la première, avait déterminé dans le cerveau de la malade un ébranlement émotif lui aussi de m
e la suggestibilité et l'imitation soient des propriétés mauvaises du cerveau , alors que sans elles la vie sociale serait impos
e pour dissocier tous les troubles qui dépendent plus ou moins de son cerveau d'une façon directe ou indirecte. Quant à demande
mprise par les hypnotiseurs puisque deux d'entre eux ont écrit : « Le cerveau doit être pris par surprise » (Forel) et : « Je d
ui est mise en action par la suggestion est une mauvaise propriété du cerveau , donc l'hypnotisme est mauvais. Voilà son syllogi
moins que la suggestibilité ne soit plus cette propriété mauvaise du cerveau qui fait prendre des vessies pour des lanternes,
iatres ont regardé la suggestion : Comme toute idée acceptée par le cerveau (Bernheira). II faudrait alors admettre que tout
AL Dubois les fait entrer dans leur tète, les fait pénétrer dans leur cerveau sous le couvert lu raisonnement tandis qu'en réal
Richet, dans son essai de psychologie générale, entre la moelle et le cerveau . L'action de ce segment supérieur des centres ner
tous les cas analogues? Nous avons stimulé l'action modératrice du cerveau en plaçant la malade par le sommeil hypnotique da
il hypnotique dans les meilleures conditions aptes à produire sur son cerveau une excitation intense du sens de l'ouïe et dans
s avons ainsi exalté dans cette direction l'action modératrice de son cerveau sur sa moelle, et par suite nous avons calmé l'ex
calmé l'exagération de ses mouvements intestinaux. Cette action du cerveau sur la moelle a persisté. * Si j'avais eu l'o
ignalé, paralyse encore de temps en temps l'action modératrice de son cerveau sur sa moelle. Séance du Mardi 20 Mars 190a. —
une hystérique est un phénomène de dynamique cérébrale, la texture du cerveau n'est pas modifiée ; c'est un état particulier qu
97 (1888) Atlas schématique du système nerveux : origines, ramifications, anastomoses des nerfs : leur distribution dans les muscles et la peau
l'édition originale, a pour but de donner une idée d'ensemble sur le cerveau . La figure 4 est destinée à montrer les rapports
itre d'anomalie nous croyons devoir prévenir le lecteur que parmi les cerveaux que nous avons examinés nous avons, dans quelques
re de Rolando, quoique cependant nous ayons constaté que sur certains cerveaux cette scissure se terminait supérieurement en ang
nait supérieurement en angle, n'intéressant pas la surface interne du cerveau et venant se perdre, après un très court trajet,
dit plus haut, les rapports qu'affectent entre eux les ventricules du cerveau . Ces ventricules sont au nombre de cinq : deux
t de toute nécessité d'avoir recours au développement embryonnaire du cerveau . La masse encéphalo-médullairc procède de la gout
ient diviser la vésicule antérieure en deux parties : une antérieure [ cerveau antérieur) et une autre postérieure [cerveau inte
arties : une antérieure [cerveau antérieur) et une autre postérieure [ cerveau intermédiaire) plus petite que la précédente ; la
par un sillon également transversal en deux parties : une antérieure [ cerveau postérieur) et une autre postérieure [arrière-cer
ment antèro-postérieur [scissure interhémisphérique) vient diviser le cerveau antérieur en deux moitiés distinctes et latérales
e de cet organe prennent naissance des parties ci-dessus décrites : Cerveau antérieur (vésicule des hémisphères) : hémisphère
corps striés, noyau lenticulaire, corps calleux ; trigone cérébral. Cerveau intermédiaire (vésicule des couches optiques) : t
rcules mamillaires ; infundibulum ; substance perforée postérieure. Cerveau moyen (vésicule des tubercules quadrijumeaux) : t
ubérance, pédoncules cérébelleux supérieurs ; pédoncules cérébraux. Cerveau postérieur : cervelet. Arrière-cerveau : bulbe.
ux lobes olfactifs des animaux inférieurs. De la face inférieure du cerveau partent environ vingt petits nerfs qui traversent
ement de fibres destinées à transmettre les impressions sensitives au cerveau . La racine antérieure qui ne possède pas de gangl
98 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
mes internes, M. Wuillamié et moi, avons mon- tré non seulement le cerveau et la calotte crânienne, il s'agissait d'un cas
avec brûlure; « il y eut un trou, mais pres- SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU . 5 que pas d'écoulement de sang » ; immédiateme
v. T. R. 38°,4. Soir : T. R. 38°,6. Fip. 1. SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU . 7 22 Janv. T. R. 39°,4. Soir : T. R. 40°,4.
- estives de neurologie t. I, p. 81 et 397. SCLÉROSE TUBÉREUSE DU cerveau . 9 convulsions si légères d'abord que. au dire
cette particularité dans nos observations, SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU . 11 céda que grâce à la saignée du cordon et à
e gauche seul est descendu; on ne sent pas le SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU . 13 droit à la région inguinale. Par suite de l
à la surface interne de la première frontale. SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU . 15 Le ventricule latéral n'est pas dilaté. Il
vent chez les insuffisants, les imbéciles, etc. IV. L'examen de son cerveau est extrêmement curieux; ce dernier ne pesait q
ites aux circonvolutions élémentaires ; c'est, en quelque sorte, un cerveau d'étude. - Toutes les circonvolutions sont très
de pour mettre sous les yeux de la Société anatomique le moulage du cerveau d'un autre microcéphale, atteint d'idiotie et d
s étrangers de l'oesophage; asphyxie; zzzort. - Autopsie : poids du cerveau , 650 gr. - " Description du cerveau. Edern (A
zzzort. - Autopsie : poids du cerveau, 650 gr. - " Description du cerveau . Edern (Auguste), âgé de 16 ans, est entré v l'
e en Y s'observe aussi après la naissance, mais alors c'est sur les cerveaux peu riches en circonvolu- tions (Broca, loe. ci
serait rationnel qu'elles eussent la forme en Y, ordinaire dans les cerveaux peu riches en circonvolutions; mais il n'en est
ers inférieur, s'infléchit ensuite en arrière, (1) l3ruu.v,-W cr le cerveau du gorille; sur le ! 1l'and lobe limbique, dans
utieuse description, afin qu'on puisse avoir une idée très nette dû cerveau d'Edern et la comparer avec la description et l
ern et la comparer avec la description et les planches relatives au cerveau de Cher... On sait que Carl Vogt et Darwin on
la microcéphalie « serait un retour à l'état simien du crâne et du cerveau ». Nous n'entrerons pas aujour- d'hui dans la d
ble, puisque, d'après Broca, la microcéphalie commence lorsque le cerveau pèse 1049 gr. chez l'homme et 907 gr. chez la f
49 gr. chez l'homme et 907 gr. chez la femme. On se rappelle que le cerveau de nos malades ne pesait que 640 et 650 gr. ;
° M. Potain a écrit que « la microcéphalie qui con- sisterait en un cerveau trop petit, mais régulier et pro- portionné dan
t avec des observations bien prises, des descriptions précises du cerveau , accompagnées de planches dessinées avec soin q
ns la disposition des organes qui sont en connexion avec la base du cerveau ; les nerfs optiques, en particulier, ne sont pa
ins que le gauche, et sa longueur est moindre de 1 centimètre. Le cerveau pèse Dia grammes. Le cervelet est sain. Ses deu
phères cérébraux ; Ferrier, De la localisation dans les maladies du cerveau ; travaux où sont consignées la plupart des obs
Am- mon sont légèrement indurées, si on les compare à celles d'un cerveau sain. Abdomen. Il existe un tympanisme considér
e : 790 gré, Mésocéphale et cervelet, 160 gr. La face inférieure du cerveau ne présente rien d'anormal si ce n'est une atro
congestionnées, la première est très mince, et la décortication du cerveau impossible. Les orga- nes de la base do l'encép
En ce même point la consistance estplus ferme que sur le reste du cerveau . La mort est survenue, dans ce cas, le second j
e VI. Microcéphalie. Idiotie. Cette planche représente la base du cerveau du malade Edern (Obs. II, p. 36). BOUliN, 12
ème nerveux. Premier fascicule : Uémorrhagie et ramollis- sement du cerveau . Paris, 1872. ln-8 de 168 pages avec 22 fig - Pri
99 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
du crâne manifestement asymétrique, plagiocéphalie. Description DU cerveau . 53 Apophyse crisla-galli : 15 millimètres de l
veloppés aux dépens de la pariétale ascendante. 51 Description DU cerveau . l'M majuscule classique, elle se replie autour
nterne à sa partie postérieure. Les trois SCLÉROSE symptomatique DU cerveau . 55- petits kystes mentionnés plus haut le long
olutions motrices ascendantes des deux côtés. Les autres parties du cerveau paraissent au contraire indem- nes. Il y a en q
m- nes. Il y a en quelque sorte là une scléîose systémati- que du cerveau , analogue il celles de la moelle. A l'oeil nu l
tes (1) Compte-rendu de 18J0, p. 33. 56 Sclérose symptomatique DU cerveau . delà moelle à l'oeil nu, quoique les phénomène
mère, - Aspect chagriné de quelques circonvolutions. Description du cerveau . Exostose du fémur. Schad... Pliilippe, né le
Rien au cuir chevelu. Crâne très dur, notable- 'il ! Description du cerveau . ment épaissi partout.; calotte crânienne assez
-Les artères, les nerfs, ainsi que les autres parties de la base du cerveau sont symétriques. Les hémisphères cérébraux son
qne les deux insertions des 3 ? et 31110 frontales 1JRSCItIPTIOI DU CERVEAU . - ~" là présentent à leur surface et vers la p
andique, l'autre descendant pour couper le lobule 74 Description DU cerveau . pariétal inférieur; cette scissure est égaleme
.est dédoublée. La circonvolution orbilaire embrasse DESCRIPTION DU cerveau . in la branche externe du sillon ainsi formé ;
age allant de la pariétale ascendante à la parié- 76 Description DU cerveau , tale inférieure. La scissure pariétale moyenne
reuses petites circon- volutions grêles. , Examen IUSTOLOGIQUE du cerveau . 77 Î Le sillon calloso-marginal est profond et
rconvolutions sont profonds et sinueux. Examen Jcisluloyiclcce du cerveau et de la moelle. lia élé fait au Laboratoire de
Faculté par il. 1cD''Pilliet, préparateur. - La substancc grise du cerveau avait été durcie par l'alcool : les deux hémisphè
les cellules disposées régulièrement bout 78 Examen histologique DU cerveau . à bout, en séries, séparées par les faisceaux
rchives de neurologie, p.. 113 - go, 18J0.j Examen iiistologique DU cerveau . r9 couches profondes, reprise du processus irr
'état de la substance grise, paraît l'être secondairement. C'est un cerveau d'idiot ou de dément épileptique, plus que de d
cale, on trouve un diverticule de Mechel ayant environ - LÉSIONS du cerveau . 0 ; 4 c.m. de long sur un de large. Il y a de
faible quantité. La cl'LO'C-l11.è1'e est épaisse et plissée sur le cerveau , comme si la cavité avait été trop grande pour
t égaux; à leur surface la pie-mère s'enlève bien. ? 4 LÉSIONS DU CERVEAU . Hémisphère droit. Lobe frontal : Les circonvol
émisphères cérébraux à leur partie antérieure. L'absence de faux du cerveau ; la rétraction des hémisphères dans l'intérieu
et du foie. V. Nous devons rapprocher de l'absence de la faux du. cerveau , la persistance du trou de notal et peut- être
ait évidemment moitié plus petit que le gauche. Encéphale. 910 gr.- Cerveau : 73a gr. Hémisphère droit : 190 gr. Hémisphère
gr. Hémis- phère cérébelleux gauche : 80 gr. - Quand onexamine le cerveau par sa base on constate qu'il présente une asym
rité qu'on relève fréquemment dans les cas de lésion congénitale du cerveau , portant sur les centres moteurs, Remarques.
lepsie guérie. Tuberculose primitive du rein gauche ; Tubercules du cerveau ; Par BOURNEVILLE et FINET. SOMMAIRE. - Père
l'Ïr. signifie « fréquence delà miction. » 126 Petits tubercules DU cerveau . dation très prononcée. 11 se plaint de la tête
ui est assez rare. Tous les autres organes étaient indemnes sauf le cerveau . Ici la tuberculose rénale avait atteint en que
iquait que le crâne, offrant cette disposition, correspondait à des cerveaux inférieurs; nous devrions donc la rencontrer fr
on DES planches. Planche I. Face convexe de l'hémisphère droit du cerveau et face interne de l'hémisphère gauche. (Voir p
100 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
rès profondes, avec de fortes nervures correspondant aux sillons du cerveau . Sinus latéral et pétreux infé- rieur très prof
ntuée des deux côtés. Moulage de la cavité crânienne (PI. IX). - Le cerveau une fois sorti de la boîte crânienne ne conserv
se frontale et celle de > la protubérance. Le pôle postérieur du cerveau ne se trouve que très peu en arrière du trou oc
elle allongée, au lieu d'être très oblique par rapport à la base du cerveau , suit une direction à peu près horizontale, ano
outtière est beaucoup plus profonde dans l'os à droite qu'à gauche. Cerveau (Pl. IX). Poids : 1.200 grammes. Dure-mère très m
ns à travers les méninges. Adhérences entre les deux méninges et le cerveau au niveau des lobes temporaux et des gyri recti
oussure anormale des lobes temporaux qui « font hernie » la base du cerveau . En séparant les hémis- phères, on constate que
ventricule est nettement dilaté, eu égard aux petites dimensions du cerveau ; il en est de même des .ventricules latéraux,
che, 2 mm. 5). Coupes. - Après durcissement dans la formaline, le cerveau a été examiné sur des coupes colorées au carmin
oupes longi- tudinales. 1 Les adhérences entre les méninges et le cerveau et les épaississements de la pie-mère dépendent
Comme signes de l'oxycéphalie, remarquons la hauteur exagérée du cerveau par rapport il ses autres dimensions (fig. 1, 2,
ux replis accessoires, l'adap- tation maximale au contenant soit du cerveau au crâne- et surtout le bourrelet formé par le
base, la place obtenue dans la boîte osseuse est insuf- fisante. Le cerveau se trouve, comme dans les cas de tumeurs, dans un
uée des deux côtés du crâne (signe de pression), n'irriguent pas le cerveau . Les altérations constatées plus haut parlenl t
entanée. Quel peut être ce mécanisme ? Parmi tous les organes, le cerveau est le seul qui se trouve immobilisé dans une e
provoquées par chaque vague sanguine agissent nécessairement sur le cerveau plus que sur les autres organes, puisqu'il est
ulement du liquide du 3e ventricule devient alors impossible, et le cerveau est hermétiquement pris dans un espace clos, ce
conclure à une crois- sance irrégulière, procédant par saccades, du cerveau ? La portion fron- tale, peu irriguée, ne se dé
cle osseux. Ou enfin, le développement asymétrique et périodique du cerveau est-il précisément héréditaire, et les anomalies
ences de Karplus et de Kreidl (P/Lüger's Arch., Bd 129, Bd 143), le cerveau intermédiaire et surtout le corps de Luys serai
tantanée. Il n'est guère possible de provoquer une anémie totale du cerveau par une simple compression de ses vaisseaux, ca
par les carotides. Nous pouvons provoquer une hyperémie générale du cerveau en serrant le cou au moyen d'une bande élastiqu
l'altéra- tion épileptique ne soit pas encore généralisée 'dans le cerveau . Il n'est pas toujours possible de comprimer le
e corps assez gracile. La couleur de la peau est un peu brunâtre. Cerveau . La dure-mère est d'une épaisseur normale, le côt
oites avec quelques hémorragies petites. Les vaisseaux à la base du cerveau ont des parois minces. La substance du cerveau
isseaux à la base du cerveau ont des parois minces. La substance du cerveau est d'une consistance normale; à la coupe, le piq
olynévrite ; cependant Schultze a accepté l'idée d'une affection du cerveau ou de la moelle épinière. DÉJEUNE. Syphilis de
ières semaines de la vie) une paralysie des jambes. La moelle et le cerveau très mous (weich). Le diagnostic est évidem- DE
é dans la pratique (p. 339).. « Les forces ont leur origine dans le cerveau ; c'est lui qui distribue le fluide nerveux dan
organes du mouvement, [soit naturel ou volon- taire. C'est dans le cerveau que réside le moteur de ce fluide, et quoiqu'il
er. Elle était à la profondeur de 9 millimètres de la superficie du cerveau . Elle a été extirpée par traction. Son volume éta
ême caractère sombre .et humidement brillant. Quand on a extrait le cerveau , on a trouvé, correspondant à l'espace perforé
blanche et brillante de la grandeur d'un grain de chènevis. · Le cerveau est mis, sans être disséqué, dans le formol pour
UR LitS HÉMORRAGIES MÉNINGÉES 319 A la reprise de la préparation du cerveau , fixé dans le formol, on n'a pu découvrir aucun
le. Aux coupes transversales, pratiquées dans la région frontale du cerveau , on a découvert dans le sillon olfactif un foye
usé par l'irruption violente du sang. A l'examen microscopique du cerveau , on a observé dans la plupart des artères sur u
. Les ventricules sans aucune particularité, libres de sang. , Le cerveau prélevé, avec de grandes précautions, on a consta
cavité sous-durale, se continuait en bas sur la face inférieure du cerveau , en particulier de sa partie arrière.' La on a
ui-ci tourne à la base de la pyramide pétreuse. ' Au prélèvement du cerveau , on a clairement trouvé que veine ci-dessus men
e déchirée avec les bords déchiquetés. Et après le pré- lèvement du cerveau , on a trouvé, correspondant directement la place
e du lobe occipital droit (environ 3 centimètres du pôle arrière du cerveau et 2 centimètres de la partie arrière de la sciss
dé- chirure ou autre altération. Les artères de la base du crâne du cerveau sans sclérose. Les circonvolutions cérébrales s
de t'épendyme. Ici, il y u une grande cavité envahie de sang. Le cerveau ayant été conservé dans le formol, on l'a séparé
le ventricule latéral à travers l'épendyme déchirée. Du reste, le cerveau sans rien à signaler. Poumons sans particularit
oit après un processus destructif nécrobiotique, survenant dans des cerveaux encore incomplètement développés. Il est clair
généralement schématisées dans un nuage de vapeurs qui s'échappe du cerveau du patient. N Celui-ci est soumis'à un traiteme
té sur noire gravure, avait donc pour effet d'expulser les taons du cerveau , et par là de guérir des Phan- taisies ; mais i
e mea cerebrum nisi sit sapientia tolum. «Par mon art, je refais un cerveau tout entier, s'il y manque la sagesse. » Après
mbic transparent où se dis- tillent les vapeurs incongrues dont son cerveau est surchargé. On voit fuser le par l'orifice s
te en légende : Si, par un rémède nouveau J'extirpais les rats du cerveau , Combien de gens auraient besoin du spécifique
guérison des désordres mentaux par le procédé de la distillation du cerveau (P 1. LXX). Un empirique alchimiste, coiffé d'u
ntraire, car les phantaisies élisent aussi bien domi- cile dans les cerveaux féminins que dans ceux des hommes. L'officine e
aurai tôt fait de voir ce qui s'est passé dans votre corps et votre cerveau , ce qui vous donne des allures carnavalesques et
(exterminateur des vers). Je coupe le ver. Je guéris habilement le cerveau vermineux et tous les autres organes. « Quelqu'
a aiguë ou à double forme. Y a-t-il, au contraire, une fêlure à ton cerveau ? Pluie et vent y pénétre- ront, tous deux extr
s prédictions pour l'avenir. Sa spécialité, ce sont les maladies du cerveau d'origine parasitaire, et l'on sait que ces par
n de pathogénie et de clinique, nous apprenant que les blessures du cerveau peuvent engendrer des troubles graves. L'expres
es du cerveau peuvent engendrer des troubles graves. L'expression « cerveau fêlé » n'est-elle pas demeurée popu- faire ? -
de la déviation conjuguée des yeux et de la tête, par MoNis, 306. Cerveau (Sur la symptomatologie des tu. meurs et des ab
ouques, : I1ÉGEVAND, Illes 1 ,CIl'CIl et Rathaus), LXVI et LXVII. Cerveau (Symptomatologie des tumeurs et des abcès du -.
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