ANATOMIE DES S
CENTRES
NERVEUX Bibliothèque des Internes en Médecine
des Internes en Médecine de la Salpêtrière ANATOMIE ? 231 DES
CENTRES
NERVEUX PAR R J. DEJERINE l'ROPE581 : 1'H A
ULI ? Vl1) 10(') z) 0 1 Tous droits réservé *. ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX DEUXIÈME PARTIE (suite) CHAPITRE VI
les vertébrés pourvus d'un manteau cérd- bral. 2 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les fibres do pro- jection du mantea
PROJECTION DANS LES CERVEAUX AN- TItIIEUR, INTERMÉDIAIRE ET MOYEN.
CENTRE
OVALE, CAPSULE INTERNE, PIED DU PÉDONCULE CÉRÉB
ciation et les fibres corticipètes ou terminales, à la formation du
centre
ovale de Vieussens. Dans la partie externe de c
ormation du centre ovale de Vieussens. Dans la partie externe de ce
centre
ovale, partie que nous désignerons sous le nom de
partie externe du centro ovale de Vieussens. 1 4 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Concentration des fibres do projecti
o projection en un faisceau com- pact dans la partie interne du
centre
ovale. Dans lo centre ovale les fibres de
eau com- pact dans la partie interne du centre ovale. Dans lo
centre
ovale les fibres de projection affectent un
ou- ronno rayonnante après dissociation. A la partie interne du
centre
ovale, les fibres de projection se coudent, éme
trajet distinct dans la partie externe et dans la partie interne du
centre
ovale. Cette disposi- tion est facile à constat
externe est recouverte par la substance blanche non différenciée du
centre
ovale, beaucoup plus épaisse chez l'adulte que ch
ale. - Son aspect sur les coupes horizontales. ' 6 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fig. 3. - Segment antérieur de la cour
latéral. Sa division en deux couches sagittales. 8 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son aspect sur les coupesvertico-tra
ui, traversant obliquement la substance blanche non différenciée du
centre
ovale, ne pénètrent dans la couronne rayon- nan
rennent la voie du faisceau occipito-frontal. 10 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fig. 7. - Les segments supérieur et in
nt donc particulièrement favorables à l'étude de ce segment dans le
centre
ovale. Le segment moyen de la couronne rayonnan
direction ver- tico-transversale. Son origine. 12 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa continuation avec le segment pos-
oraux. - Tap, tapetum. - V, ruban de Vicq d'Azyr. 14 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FIG. 9. - Le segment postérieur de la
segment postérieur. Son origine. Sa direction. 16 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fc. 10. - Le segment postérieur de la
que des Internes en Médecine de la Salpêtrière» 18 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ds, diverticule du subiculum. - Epa, e
ments sur les coupes vertico-trans- versales. 20 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. 45° au niveau du genou de la capsule i
réticulée du thalamus. izcl, pli cunéo-limbiqtic. 22 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fig. 1 ? - Coupe horizon- tale passa
- VG,, NL2, XL3, les trois segments du noyau lenticulaire. - NM,
centre
médian de Luys. - 0,, 0" première, deuxième c
ubstance innommée sous- lenticulaire de Reichert. 24 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Division do la cap - suie interne en
i])[th), région thalamique; Cip(slle), région sous- 2G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Dans la région sous-thalaml(jue, la
L,. - l, insula. - lme, lame médullaire externe du 28 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le segment anté- rieur est formé de
thalamique de la capsule interne. Cette coupe sec- 30 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Aspect du genou aux différentes hau-
re. - NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - Vm,
centre
médian de la couche optique. - PaTh, pédoncule
one de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 32 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Lo faisceau géni- culé n'apparaît qu
nt inférieur de la couronne rayonnante, ion Il. 3 34 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses origines. Le segment pas- (pri
es lenticulo-caudées. -- Fli, faisceau longitudinal 36 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Leurs rapports dans la région ttta-
Arrivée du contin- gent sous-lenticu- laire. 38 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son aspect sur les coupes horizontal
lenticulaire; Cisl, segment sous-lenticulaire de la 40 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les fibres de CI ! ' se rendent les
aire de la capsule interne. Ses deux couches. 42 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Faisceau de Turck. Faisceau temporo-
rficielle du subiculum, - ma, sillon marginal anté- il ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. rieur de l'insula, - mp, sillon margin
pects sur les coupes vertico-trans- versales. 46 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fic. 31 et 32. - Dégénérescence partie
Connexions ditfé- entes do ses deux ;ouches. 48 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa constitution. Son aspect sur les
lamus. - Plch, plexus choroïdes. - Qa, TOME II. 4 50 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. tubercule quadrijumeau antérieur. - 71
la voie pé- donculaire. Pos lemniscus pro- fond. ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Pes lemniscus su- perficiel. de la
entricule. Fibres aberrante postéro-esternes. 54 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Importance do ces faisceaux dans la
e postérieure. - 1 lp, faisceau longitudinal posté- 56 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le taenia pontis ne doit être confon
diations thalamiques. Le thalamus (couche optique) esl, de tous les
centres
ganglionnaires, celui qui reçoit les plus nombreu
tre faisceaux distincts; non seulement elles sont mélangées dans le
centre
ovale et la capsule interne aux autres fibres d
ond une région déterminée de la couche optique. 60 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres cortico-tha- lamiques antérie
hat. Srlq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. 62 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres cortico-tha- lamiques supérie
t proviennent de la partie antérieure du lobe pariétal, croisent le
centre
médian de Luys (Nm) et le noyau semi- lunaire d
par la partie inférieure de la région thalamique et intéressant le
centre
médian de Luys, les trois segments du noyau len
r seg- ments du noyau lenticulaire. - Nm, noyau médian du thalamus (
centre
médian de Luys). - pCR, pied de la couronne ray
- Pul, pulvinar. - 111'la, radiations optiques de 6t ' ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Gratiolet. - Sexv, surface extra-ventr
cortica-tlia- lamiqncs inférIPI : - rc&. 66 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les unes relient le lobe temporal au
psule interne (Cisl). Leur origine corticale et leur trajet dans le
centre
ovale sont encore mal connus. Il est probable qu'
enne, en particulier de l'insula. Quel que soit leur trajet dans le
centre
ovale, elles appa- raissent sous forme d'un fai
ement dans les lèvres de la scissure calcarine et affectent dans le
centre
ovale et dans la capsule interne le même trajet
drijumeau antérieur relient la splière visuelle cor- ticale aux
centres
optiques primaires. ltaSia2unscorUCO- ireno
res. ltaSia2unscorUCO- irenouilléos externes. 68 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Zone de Wernicke. gros fascicules on
s. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticu- 70 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Radiations cortico- quadrigéminales.
premier segments du noyau lenticulaire. - noyau médian du thalamus (
centre
médian de Luys). - PaTh, pédon- cule antérieur
nce grise doublant le chiasma des nerfs optiques. 72 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Bras du tubercule quadrijumeau posté
ne et traverse le champ de fibres situé au-dessous et en arrière du
centre
médian de Luys (Nm), champ que nous avons désig
u faisceau interne. Son trajet. Sa terminaison. 74 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses rapports. Ses diverse*, dingo-
tes du fais- ceau interne du pied du pédoncule. 76 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Origine cortical du faisceau moyen
(Cisl) de la capsule interne; le pulvinar (Pu/), le 78 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa constitution. Ses différentes ca-
e. ,%il trajet. bes diverses déno- minations. 80 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. fra constitution. Lésions qui en-
de l'hémisphère. Leur origine oper- culaire. 82 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Leur origine ro- landique. Morgagn
Vulpian, lorsque cet auteur montra que les lésions situées dans le
centre
ovale, en dehors des corps striés, déterminent
s trois systèmes de fibres de projection. 84 zur ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fig. i. - La constitution du tronc enc
é des libres du pied du pédon- cule cérébral. 86 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Conttngont corti- cal direct occipit
ceau interne du pied du pédoncule par Brissaud. 88 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les travaux de Flechsig basés sur
e du genou de la capsule sur les coupes supérieures, puis aborde le
centre
ovale et se rend dans le lobe pariétal, en part
s au point de vue anatomique et partant fonctionnel : les zones des
centres
de projection ou zones des sphères sensorielles
sensorielles (Sinnesspharen ou Projectionscentren) et les zones de
centres
d'association (Associationseentren). Les zones
nes de centres d'association (Associationseentren). Les zones des
centres
de projection seraient reliées par des fibres de
res de projection seraient reliées par des fibres de projection aux
centres
inférieurs du nevraxe; elles comprendraient : 1°
la substance perforée antérieure (sphère olfactive). Les zones des
centres
d'association seraient dépourvues de fibres de pr
Les nouvelles idées le Flechsig sur la texture du cerveau. Les
centres
do pro- jection. Les centres d'asso- ciatio
g sur la texture du cerveau. Les centres do pro- jection. Les
centres
d'asso- ciation. Ces derniers se- raient dé
s se- raient dépourvus do fibres de projection. 90 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Recherches de De- jerine, Sachs, v.
ap- portées par Flechsig à ses opinions. tactile. Les zones des
centres
de projection existeraient, ^d'après Flechsig, da
un développement plus considérable que chez l'homme. Les zones des
centres
d'association représenteraient les centres inte
hez l'homme. Les zones des centres d'association représenteraient les
centres
intellectuels (Geistige Centren), les véritable
on apparaît d'abord aux trois points qui corres- pondent aux« trois
centres
sensoriels ou de projection » de l'homme ; ces po
mois, - la chose est probable. Il n'y a rien d'étonnant à ce que les
centres
sensoriels et sensitivo-moteurs se développent
et de la moitié croisée de la moelle épinière. 92 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. intense que la lésion frappe un sujet
sans partici- pation des notant gris centraux. 94 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Hypertrophie com- pensatrice de la v
1 il, 147 à 1 ? p. 153 et suiv. se rapporlant à ce cas). Dans le
centre
ovale, la capsule interne elle pied du pédoncule
atrophié ont été dessinés à un même grossissement. 96 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. petit à petit, au sur et à mesure de l
en outre aux fibres corticipètes qui, prenant leur origine dans les
centres
ganglionnaires infracorticaux (fibres tha- lamo
ellulipètcs en aval et on amont do ces lésions. 98 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Importance de la méthode de Marchi
ré- brale. Connexions corti- cales directes. 100 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Connexions corti- cales indirectes.
scence totale du pied du pédoncule cérébral. 102 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Pradel. Vaste lésion corticale s
(coa). Atrophie indirecte de la partie ventrale du tha- lamus et du
centre
médian (Nm). Atrophie en masse du corps de Luys (
lidus (NL2, NI.)), la partie ventrale du thalamus (Fig. 67, 68), le
centre
médian de Luys (\m), le FiG. 69. - Cas Pradel.
scence totale du pied du pédoncule cérébral. loi ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Pradel. Vaste lésion corticale s
ence totale du du pied pédoncule cérébral. 1 106 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Pradel. \'aste lésion corticale
rescence totale du pied du pédoncule cérébral. 108 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. peu de connexions de la corticalité cé
tance blanche est très dégénérée (fibres longues 110 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. d'association) (Fig. 83), l'autre part
au de Turck et du pieddu pédoncule cérébral. 112 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Courrière. Cé- cité verbale pure
au de Tiirck et du pied du pédoncule cérébral. 114 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fie. 86. - Cas Courrière. Cécité verba
s, atteint depuis cinq ans de cécité corticale par double lésion du
centre
cortical de la vision, avec intégrité complète de
s Bras. Cécité corticale. Topogra- phie de la double lésion des
centres
corticaux de la vi- sion. 116 ANATOMIE DE
lésion des centres corticaux de la vi- sion. 116 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par doubl
NTRES NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion des
centres
corticaux do la vi- sion. Hémisphère droit
randeur nature. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du
centre
cor- tical do la vision. A droite, plaque jau
cule cérébral et do la bandelette optique. , 118 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par doubl
ENTRES NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du
centre
cor- tical de la vision. A droite, plaque jau
isceau de Tùrck et de la bandelette optique. 120 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par doubl
ENTRES NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du
centre
cor- tical de la vision. Hémisphère gauche :
ittales. Dessin fait d'après une photographie. 122 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli
e interne du pied du pédoncule cérébral. L 124 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli
es) suivi d'autopsie. C. R. Soc. Biol., 1891, p. 167 et Vialet. Les
centres
cérébraux de la vision. Th. Paris, 1893. Obs. IV,
le cérébral, intégrité du faisceau de Turck. 126 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Leudot. Apha- sie sensorielle. L
le cérébral. Intégrité du faisceau do 'l'urck. g2g ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. En résumé : le lobe pariétal contient
ues. (Voy. dégénéres- cences, Fig. 102 à 117.) 130 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Scheulc Hé- miplégie gauche. Ha-
intense de la pyramide anté- rieure du bulbe. 132 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Naudin Mo- noplégie brachiale
en de la couronne rayonnante (pCR), le segment lenticulo- 134 DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Schweigotfer. Monoplégie f acio-
iminution de volume de la pyra- mide bulbaire. 138 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. partie postérieure et inférieure de ce
s genouillé externe et du faisceau de Turck. 140 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Heudebert. Aphasie totale. Pa-
yen de la voie pédonculaire. Méthode de Weigert. z ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. interne (R Cgi) (Fig. 126). Sur les co
ect normal. La dégé- nérescence se cantonne entre le pulvinar et le
centre
médian de Luys (Nm), dans cette région ventrale
es radiées de la partie postérieure du noyau 144 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Le Seguillon. Plaque jaune du pl
elro-lenticulairc (Cirl) ; les unes TOME u. 10 146 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Neumann. Dé- générescencedufas-
us. Intégrité du pied du pédoncule cérébral. 148 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Moriceau. Ra- mollissement de l'
et 138.) Méthode de Weigert, 2/1 grandeu nature. 150 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La pointe frontale et les deux tiers a
ris centraux, en particulier le noyau caudé (Fig. 144) ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Hicaud. lIé- miplégie cérébrale
e gaucho, faisceau py- ra midal homolatéral. 154 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale
et 148; les Fig. 14G et 149, 3/2grandeurnature. 156 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Rivaud. Ilê- miplégie cérébrale
e gaucho ; faisceau py- ramidal homolatéral. 158 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale
ide gauche; faisceau p- ramidal homolatéral. 162 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale
15 et 46) et le développement presque normal de sa partie ventrale (
centre
médian de Luys ]Il), noyau semi-lunaire (nif) (
mide gauche, faisceau p3- ramidal homolatéral. 164 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. dans le cas Pradel (Fig. 78), les radi
rriguent le chiasma, le tuber cinereum, les tuher- 166 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. cules mamillaires, la bandelette optiq
le. Intégrité partielle du faisceau gé 1 calé. 168 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Racle. Ilénit- plégie droite ave
ule. Intégrité partielle du faisceau géniculé. 170 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Racle. Hémi- plégie droite avec
ule. Intégrité partielle du faisceau géniculé. 172 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ceau interne du pied du pédoncule avec
ment postérieur do la couronne rayon- nante. 174 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. de la capsule interne sectionnant le f
ment postériour de la cou- ronne rayonnante. 170 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Cogery. Hémi- plégio gauche, sur
r ( l'ul), le ruban de Reil (lim) immédiatement au-des- sous du
centre
médian de Luys (1\m), enfin le pilier postéri
uxième cinquième externe du pied du pédoncule. 180 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Carre. 1° Lé- sion de la partie
culo cérébral. Intégrité du faisceau do Turck. 182 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. gion du ruban de Reil médian et le bra
ionne les conduc- teurs centraux de la vision. 184 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX Cas Dautriche. Hémiplégie gaucho av
tératologiques (cas Longery et Richard) diffèrent 186 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. des cas Pradel et Rivaud en ce que l'a
e. Les circonvolutions développées sont limitées 188 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. par un bord toujours nettement accusé,
strio-thala- miques etstrio-sous- thalamiques. 190 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Longery. Mal- formation cérébral
la (Gh), le faisceau rétroflexe (F.1), le pied du pédoncule (P), le
centre
médian de Luys (i\m) et la partie postérieure du
strio-thalanu- ques et strio-sous- thalamiques. 19 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ventriculaire des circonvolutions sphé
strio- 1halamiques et strio- sous-thalamiques. 196 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. myélinisés, et grâce à l'absence du sy
o- thalamiqucs et strio- sous-ilialaniiiiiies. 198 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le ruban de Reil médian (Rm) est bien
) jusque dans la partie ventrale du thalamus autour et en dehors du
centre
médian de Luys. Le cervelet et ses pédoncules c
rio- thalamiques et strio- sous-thalamiquos. 200 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. développées de cet hydrocéphale corres
ance paraît si étendue, cela tient à ce que la substance blanche du
centre
ovale est excessi- cernent réduite et à ce que
rio-thala- nuques et strio-sous thalamiques. 202 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. par de nombreux plis de passage, mais
circonvolutions, forment la substance blanche non différen- ciée du
centre
ovale et se disposent en couches distinctes au vo
no-thala- Juqucs et strio-sous- thalamiques. f i ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Richard Por- encéphalie double
lles de la face interne. Méthode de Weigert-Pal. 206 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. logue des segments postérieur et infér
orencéphalie et de l'absence de soudure des ganglions de la base au
centre
ovale - elles changent de direction dans la régio
-tliala- ' mique et strio-sous- thalamiques. 208 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. bourrelet et le tronc du corps calleux
trio-thala- nuques et strio-sous- thalamiques. 210 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. logue du forceps postérieur normal, ma
trio-thala- miques et strio-sous- thalamiques. 212 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Richard. Po- rencéphalie double
le tubercule quadii- jumeau antérieur (Qa), le pulvinar (l'ul), le
centre
médian de Luys (1\'111), le corps de Luys (CL),
éthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. 214 lui ANATOMIE [DES
CENTRES
NERVEUX. ronne rayonnante ? Dans le premier cas
ment postérieur de la capsule interne, et ne pouvant atteindre le
centre
ovale par suite de la porencé- phalie, s'épanou
trio-thala- miques et strio-sous- thalamiques. 21G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. aux deuxième et troisième segments du
rébro-spinal. Paris, 18G5. - Du même. Iconographie photographique des
centres
ner- veux. Paris, 1872. - Du même. Le Cerveau,
me. Pathologie und Thérapie der Geistesknankheiten. 18 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Braunschwcig. Scuohowshc. Ueber anatom
s son trajet bulbaire et médullaire. La zone motrice comprend trois
centres
moteurs principaux, échelonnés de haut en bas,
res moteurs principaux, échelonnés de haut en bas, et qui sont : le
centre
moteur du membre inférieur, le centre moteur du
haut en bas, et qui sont : le centre moteur du membre inférieur, le
centre
moteur du membre supérieur, le centre moteur de
oteur du membre inférieur, le centre moteur du membre supérieur, le
centre
moteur de la face. De ces trois centres, celui du
teur du membre supérieur, le centre moteur de la face. De ces trois
centres
, celui du membre supérieur est le plus vaste :
'insertion des deuxième et première circonvo- lutions frontales. Le
centre
du membre inférieur correspond au quart supérieur
érieur des circonvolulions rolandiques et au lobule paracentral. Le
centre
moteur de la face occupe l'opercule rolandique,
différentes reprises chez l'homme (Fig. 236). Elle a montré que les
centres
du membre supé- rieur et de la face comprennent
u membre supé- rieur et de la face comprennent un certain nombre de
centres
secondaires dis- tincts, préposés aux mouvement
sants et des plus instructifs, car ils ont permis de localiser : le
centre
du pouce sur les cir- Zone motrice cor- tical
Ses trois enitros principaux. Excitation électri- que do ces
centres
chez l'homme. Zone du membre supérieur. C
. Zone du membre supérieur. Centro du pouco. 220 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. convolutions pariétale et frontale asc
e Rolando, à peu près à la hauteur du deuxième'sillon frontal et le
centre
de l'Ppnule sur la frontale ascendante au-dessous
n outre, qu'il est infiniment plus facile d'obtenir FiG. 234. - Les
centres
sensitivo-moteurs et sensoriels de la face extern
riels de la face externe de l'hémisphère cérébral de l'homme. Ac,
centre
cortical de l'audition. - F, centre de la face. -
hère cérébral de l'homme. Ac, centre cortical de l'audition. - F,
centre
de la face. - .1/S, centre du membre supérieur.
Ac, centre cortical de l'audition. - F, centre de la face. - .1/S,
centre
du membre supérieur. - MI, centre du membre inf
. - F, centre de la face. - .1/S, centre du membre supérieur. - MI,
centre
du membre inférieur. Fia. 233. - Les centres se
mbre supérieur. - MI, centre du membre inférieur. Fia. 233. - Les
centres
sensitivo-moteurs et sensoiiols de la face intern
ls de la face interne de l'hémi- sphère cérébral de l'homme. DIl,
centre
cortical du membre inférieur. - 0, centre cortica
cérébral de l'homme. DIl, centre cortical du membre inférieur. - 0,
centre
cortical de l'olfaction.- V, centre cortical vi
ortical du membre inférieur. - 0, centre cortical de l'olfaction.- V,
centre
cortical visuel. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉC
ntraction des muscles zygomatiques, s'obtient par l'excitation d'un
centre
(centre du facial inférieur ou centre ? gomatir
n des muscles zygomatiques, s'obtient par l'excitation d'un centre (
centre
du facial inférieur ou centre ? gomatir¡ue) sit
obtient par l'excitation d'un centre (centre du facial inférieur ou
centre
? gomatir¡ue) situé sur la circonvolution frontal
tal (Ilorsley, Mills, Lloyd et Deaver, lIearn, Sachs et Gerster). Le
centre
du facial supérieur occupe la partie supérieure
rtie supérieure de la zone de la face, immédiatement au- dessous du
centre
du pouce. L'excitation de la frontale ascendante
entre du pouce. L'excitation de la frontale ascendante au-dessus du
centre
zygomatique et au-dessous du centre du pouce déte
rontale ascendante au-dessus du centre zygomatique et au-dessous du
centre
du pouce détermine la fermeture des deux ! Jeux
'excitation de la pariétale ascen- dante au niveau et en arrière du
centre
zygomatique, Keen a obtenu l'élévation du front
cial ni- férieur. Centre facial su- périeur. 222 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Mouvements con- jugués do la tête et
alyti- ques consécutifs aux lésions destructives des différents
centres
de la zone motrice corticale. Monoplégies c
inférieures. rolandique, que Keen, Bechterew, Starr, localisent le
centre
des mouvements de rotation de la tête el de dév
és. Mills et Keen, en excitant la pariétale ascendante au-dessus du
centre
de l'épaule, c'est-à-dire immédiatement en arri
le ventricule latéral et siège à droite à l'union 224 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Représentation corticale bilatérale
ndant t longtemps, on s'est demandé si le facial supérieur avait un
centre
cortical. Or ce centre existe, mais comme il a
'est demandé si le facial supérieur avait un centre cortical. Or ce
centre
existe, mais comme il a une action bilatérale, sa
oute à cet égard. Chez le^ macaque et chez l'orang, l'excitation du
centre
cortical du facial supérieur détermine l'occlus
minance dans la paupière du côté opposé, tandis que l'excitation du
centre
du facial inférieur se traduit presque exclusiv
rieur d'un côté ayant la môme action bilatérale que l'excitation du
centre
lui-même. La paralysie isolée de la face, d'ori
. Quant à la paralysie corticale des nerfs mastica- teurs - dont le
centre
cortical siège chez le singe à la partie inférieu
tions synergiques. L'expérimen- tation montre, en effet, que chaque
centre
cortical masticateur a une action bilatérale.
Déviation cottju- guée dota tète et des yeux. 22C ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Centres laryngés bilatéraux distinct
guée dota tète et des yeux. 22C ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Centres
laryngés bilatéraux distincts pour la phonati
la phonation et pour la respiration. Paralysies laryn- gées.
Centres
pharyngés bilatéraux. particulier sur le sing
f cortical sous-jacent au pli courbe ou au gyrus supramarginalis.
Centres
corticaux laryngés. - Les deux fonctions que poss
n respiratoire - ont une représentation corticale. L'existence d'un
centre
cortical pour la phonation fut pressentie par Bou
démontrée par Krauss (1884 et 1890), qui chez le chien localisa ce
centre
dans la partie antéro- externe du gyrus précruc
1889 et 1890, Semon et Horsley mon- trèrent que, chez le singe, le
centre
cortical laryngé siège dans la partie infé- rie
des adducteurs de la glotte. Pour ces auteurs, il n'y aurait pas de
centre
cortical respiratoire, la respiration étant une
d'ordre organique. En 1895, Risien Russell a montré qu'il existe un
centre
cortical respiratoire, siégeant chez le chat et l
ratoire, siégeant chez le chat et le chien en avant et au-dessus du
centre
phonateur. L'excitation de cette région détermine
lotte. Ainsi donc, d'après les lecherches précédentes, il existe un
centre
cortical de la phonation et un centre cortical
rches précédentes, il existe un centre cortical de la phonation et un
centre
cortical de la respiration, ayant l'un et l'aut
ces faits ne pouvaient être invoqués en faveur de l'existence d'un
centre
cortical laryngé ayant une action croisée. Dans l
vocale sié- geait du cûlé opposé à la lésion cérébrale. Quant aux
centres
corticaux des mouvements du pharynx, les recherch
uvements du pharynx, les recherches expérimentales montrent que ces
centres
siégentau-dessous et un peu en arrière des cent
montrent que ces centres siégentau-dessous et un peu en arrière des
centres
laryngés. Comme les centres masticateurs et laryn
gentau-dessous et un peu en arrière des centres laryngés. Comme les
centres
masticateurs et laryngés, leur action est bilat
face interne de l'hémisphère. On y trouve macaque. FiG. 239. - Les
centres
moteurs des faces externe et interne du cerveau
'après Ilorsley et Schafer (Philos. Trans., 1887). 228 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Zone motrice de l'urang. i Zone
NERVEUX. Zone motrice de l'urang. i Zone des membres. Leurs
centres
secon- daires. Leurs dispositions chez l'or
tions chez l'orang et le macaque. échelonnés de haut en bas, le
centre
du membre inférieur, le centre du membre supérieu
caque. échelonnés de haut en bas, le centre du membre inférieur, le
centre
du membre supérieur et le centre de la face. En
le centre du membre inférieur, le centre du membre supérieur et le
centre
de la face. En avant de ces centres se trouvent,
centre du membre supérieur et le centre de la face. En avant de ces
centres
se trouvent, en haut le centre du tronc, en bas
le centre de la face. En avant de ces centres se trouvent, en haut le
centre
du tronc, en bas le centre des mouvements de la
t de ces centres se trouvent, en haut le centre du tronc, en bas le
centre
des mouvements de la tète et des yeux. Chez l'o
des mouvements de la tète et des yeux. Chez l'orang (Fig. 240), les
centres
du membre inférieur (MI) du membre supérieur (MS)
rieure et inférieure de la circonvolution pariétale ascendante. Le
centre
des mouvements de la tète et des yeux occupe la
occupe la circonvolution frontale ascendante et s'insinue enlre le
centre
du membre supérieur (MS) et celui de la face ; ma
a face ; mais il existe en outre, en avant du sillon précentral, un
centre
moteur spécial des yeux dont l'excitation ne déte
yeux du côté opposé, sans rotation concomittante de la tête. Ces
centres
empiètent les uns sur les autres chez le macaque;
inexcitable situé en avant du genou du sillon de Rolando, entre le
centre
de la face et celui du pouce. Zone des membres.
centre de la face et celui du pouce. Zone des membres. - Chacun des
centres
moteurs compiend un certain nombre de centres s
membres. - Chacun des centres moteurs compiend un certain nombre de
centres
secondaires dont l'étendue est d'autant plus gran
de centres secondaires dont l'étendue est d'autant plus grande que le
centre
est préposé à un mouvement plus hautement diffé
nt différencié. Chez le macaque, les limites entre ces diffé- rents
centres
ne sont nulle part nettement tranchées : les cent
s diffé- rents centres ne sont nulle part nettement tranchées : les
centres
secondaires empié- lant les uns sur les autres
gne, le mouvement diminue pro- gressivement, et aux limites de deux
centres
on observe une véritable confusion de deux mouv
bserve une véritable confusion de deux mouvements. Les différents
centres
secondaires du membre inférieur sont disposés che
t : hanche, (fenou, cou-de-pied, (f1'OS orteils, petits orteils; le
centre
du gros orteil correspondant àl'extrémité supérie
correspondant àl'extrémité supérieure du sillon de FiG. 240. - Les
centres
moteurs corticaux de l'orang (simia salyrus), d'a
salyrus), d'après Beevor et IIorsley (Philos. Trans., 1890). III,
centre
du membre inférieur. - MS, centre du membre supér
sley (Philos. Trans., 1890). III, centre du membre inférieur. - MS,
centre
du membre supérieur. FIBRES DE PROJECTION DE L'
ieur. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 2M Rolando. Les
centres
du membre supérieur sont, par contre, échelonnés
iculations occupant la partie supérieure de la zone, tandis que les
centres
des petites articulations et des mouve- ments h
autement différenciés siègent à la partie inférieure, au voisinage du
centre
moteur de la face. Chez l'orang (Fig. 242), l
isinage du centre moteur de la face. Chez l'orang (Fig. 242), les
centres
du membre inférieur n'occupent que la circonvolut
macaque, mais dans le sens vertical. De haut en bas, on trouve les
centres
: gros orteil, petits orteils. cou-de-pied, gen
os orteil, petits orteils. cou-de-pied, genou et hanche; ce dernier
centre
étant juxtaposé au centre de l'épaule. Par cont
cou-de-pied, genou et hanche; ce dernier centre étant juxtaposé au
centre
de l'épaule. Par contre, la disposition général
posé au centre de l'épaule. Par contre, la disposition générale des
centres
du membre supérieur se rapproche beaucoup de ce
des circonvolutions qui le bordent. Il s'ensuit que les différents
centres
, au lieu d'être échelonnés de haut en bas comme
ando, et l'analogie devient complète. L'excitation de chacun de ces
centres
détermine un mouv ement isolé, primaire initial
herches, Beevor et Horsley sont arrivés à localiser dans chacun des
centres
secondaires (en particulier dans ceux de la zone
ur) les mouvements propres à chaque articulation. Par l'excitation du
centre
de l'épaule pratiquée de haut en bas, on voit s
: projection en avant, abduction, rotation en dehors, adduction. Le
centre
du coude présente de haut en bas : extension, m
rmédiaire entre la pronation et la supination, supination. Dans les
centres
des doigts et du pouce, l'ordre s'effectue dans
érents mouvements d'uno IDPIne articulation. 230 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Zone de la face. Sa division chez le
es membres supérieur et inférieur, elle contient un certain nombre de
centres
secon- daires qui président à des mouvements bi
astication. Dans la région faciale supérieure, on trouve contigu au
centre
du pouce et de l'index un centre pour les mouve
e supérieure, on trouve contigu au centre du pouce et de l'index un
centre
pour les mouvements des paupières, - centre palpe
pouce et de l'index un centre pour les mouvements des paupières, -
centre
palpebral; - ce centre est bilatéral, mais acti
un centre pour les mouvements des paupières, - centre palpebral; - ce
centre
est bilatéral, mais actionne surtout les paupiè
aupières du côté opposé. L'excitation de la partie prérolandique du
centre
détermine l'ouverture, l'excitation de la partie
partie rétro- rolandique, la fermeture des paupières. Au-dessous du
centre
palpébral siège le centre unilatéral de l'éléva
, la fermeture des paupières. Au-dessous du centre palpébral siège le
centre
unilatéral de l'élévation de la commissure labi
égion faciale inférieure, on trouve échelonnés d'avant en arrière les
centres
pour les mouvements latéraux du larynx, du phar
mastication, et au voisinage immédiat de la scissure de Rolando, un
centre
unilatéral de rétraction (horizontale) de la co
e la commissure labiale, puis au niveau de l'opercule rolandique le
centre
bilatéral de l'ou- verture de la bouche. Le cen
le rolandique le centre bilatéral de l'ou- verture de la bouche. Le
centre
phonatoire du larynx, enfin, siège dans la partie
r ceux des lèvres et de la langue (Fig. 242). Ils ont montré que le
centre
des mouvements conjugués de la tête et des yeux e
entre des mouvements conjugués de la tête et des yeux est adjacent au
centre
du pouce, qu'il siège sur la circonvolution fro
horizontale et verticale du sillon prérolandique. L'excitation de ce
centre
détermine l'ouverture rapide des paupières et l
rizontal) des yeux et de la tête vers le côté opposé. Au-dessous du
centre
des yeux et de la tête se trouve le centre du f
té opposé. Au-dessous du centre des yeux et de la tête se trouve le
centre
du facial supérieur, centre palpébral, dont l'exc
tre des yeux et de la tête se trouve le centre du facial supérieur,
centre
palpébral, dont l'excitation détermine la fermetu
ès fine des mouvements des lèvres, de la bouche et de la langue. Le
centre
de la lèvre supérieure siège sur la circonvolutio
e) de la commissure labiale du côté opposé. A égale distance entre ce
centre
et le centre palpébral, il existe dans la circo
sure labiale du côté opposé. A égale distance entre ce centre et le
centre
palpébral, il existe dans la circonvolution front
le renversement de la lèvre infé- rieure du côté opposé. Ces quatre
centres
sont unilatéraux. Autour de l'extrémité infé- r
ité infé- rieure de la scissure de Rolando, on trouve quatre petits
centres
pour les mouvements bilatéraux de la bouche, do
ley (Philos. Trans., 1890). Sa différenciation chez l'orang. Lo
centre
palpe- bral occupe la cir- convolution fronta
eur Représentation corticale bilatérale et unilatérale do ses
centres
secondaires. 232 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ale et unilatérale do ses centres secondaires. 232 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Centro cortical hi- latéral pour la
ition de leur représentation corticale est telle, qu'en excitant le
centre
de la langue de haut en bas, on observe progres
ar Ilorsley et Schafer, par Beevor et Horsley, qui différencient le
centre
des mouvements de la tète de celui des yeux ; Sch
tète de celui des yeux ; Schafer et Mott enfin, dissocient dans le
centre
des mouvements des yeux un territoire moyen dont
, une élévation des globes oculaires. D'après Horsley et Beevor, le
centre
des mouvements conjugués de la tête et des yeux
s de la tête et des yeux est situé chez l'orang (Fig. 242) entre le
centre
du pouce et le centre du facial supé- rieur ; i
yeux est situé chez l'orang (Fig. 242) entre le centre du pouce et le
centre
du facial supé- rieur ; il siège sur la circonv
il s'agirait alors d'un mouvement indirect, dû à l'exci- tation des
centres
sensoriels de l'audition, de la vision, passant à
es mouvements des yeux est en partie au moins sous la dépendance du
centre
antérieur ou frontal. Schafer a montré que l'ex
u centre antérieur ou frontal. Schafer a montré que l'excitation du
centre
frontal a une action plus directe sur les muscles
e frontal a une action plus directe sur les muscles des yeux que le
centre
postérieur, car la période latente de ce dernier
on tire des lignes obliques qui, partant des foyers des différents
centres
secondaires, sectionnent à angle droit les deux
ve échelonnées dans l'ordre général suivant : -. 234 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 2ho Localisations motrices capsul
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 235 236 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les lésions do la zone rolandique s'
ait est aisée, si l'on réfléchit que du coté du membre paralysé, le
centre
cortical étant lésé, les impressions périphé- r
m- pressions périphériques du membre sain, réveillant les images du
centre
cortical correspon- dant, ces dernières, transm
ant, ces dernières, transmises par le corps calleux, viennent dans le
centre
cortical lésé y produire le mouvement correspon
a lésion de cette dernière. En outre, une lésion unilatérale de ces
centres
corticaux sensoriels ne détermine pas de troubl
pour la vision. - L'audition, le goût, l'odorat, en effet, ont des
centres
corticaux bilatéraux communiquant entre eux (Vo
cte les sens spéciaux vue, ouïe, goût, odorat. 238 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son interprétation. Localisation et
ue (Munk, Bastian). De ce fait, ils nient donc l'existence même des
centres
moteurs corticaux. Pour Munk, ces troubles sens
les auteurs. IIorsley et Schafer (1887) placent, chez le singe, les
centres
sensitifs corticaux pour le tact et la douleur
e des coupes microscopiques sériées. Localisations visuelles. -- Le
centre
visuel cortical siège dans le lobe occipital. H
chez le singe par Munk en 1877. Cet auteur a montré en effet que le
centre
visuel ou sphère visuelle, siège chez le chien da
s la partie posté- La sphère visuelle de Munk. 240 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Projection réti- nienne corticale.
ieure de l'hémisphère et qu'il se fusionne en avant et en bas avec le
centre
auditif; chez le singe, il est mieux délimité e
vi- nar et du tubercule quadrijumeau antérieur, c'est-à-dire de ces
centres
gan- glionnaires qui reçoivent les arborisation
ments cliniques et anatomo-pathologiques pour la détermination d'un
centre
visuel furent apporlés par Luciani et Tamburini
liè- rement le domaine de la scissure calcarine qui est le siège du
centre
visuel cortical. Mais, tandis que v. Monakow ét
ège du centre visuel cortical. Mais, tandis que v. Monakow étend le
centre
visuel cortical, non seulement à la face intern
particularités sur lesquelles l'un IIONir n. 16 Fin. 24 : j. Les
centres
sensitivo-moteurs de la face interne de l'hémisph
rticulier le domaine do la scissure calcarine. 242 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa destruction pro- duit l'hémianops
. Elles expliquent comment Ferrier, a pu être appelé à localiser le
centre
visuel, non dans le lobe occipital, mais dans le
oedème, etc., soit de la bandelette optique ou du chiasma, soit des
centres
ganglionnaires primaires de la vision (corps geno
réter les expériences de Goltz, lequel, niant l'existence même d'un
centre
visuel, sou- tient que l'extirpation des lobes
des lésions qui détruisent d'un seul côté la sphère visuelle ou les
centres
ganglionnaires pri- maires (Pul, Cge, Qa) ou qu
de fibres maculaires. Celles-ci occupent l'étendue tout entière du
centre
visuel, et la lésion d'une partie d'entre elles,
rne. Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - l'a,
centre
de Ilroca. - F'3, troisième circonvolution fronta
arine. -G première circonvolution limbique, - ni, 24'r ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Elle peut s'accom- pagner d'hémtachr
de Hell médian. - Spa, substance per- forée antérieure. - Ti, T'i,
centre
de Wernicke et première circonvolution temporale
éter ces faits, Wilbrand a émis l'hypothèse de l'existence de trois
centres
distincts pour l'espace, les couleurs et la lum
s la zone visuelle. L'hémiachromatopsie résulterait de la lésion du
centre
des couleurs, et la lésion simultanée des trois
la lésion du centre des couleurs, et la lésion simultanée des trois
centres
produirait l'hémianopsie complète. Les rares ca
ure à l'existence dans toute la face externe du lobe occipital d'un
centre
auquel il donne le nom de centre des souvenirs vi
ace externe du lobe occipital d'un centre auquel il donne le nom de
centre
des souvenirs visuels (Erinnerungs- feld), en o
centre des souvenirs visuels (Erinnerungs- feld), en opposition au
centre
visuel cortical ou centre de perception (ÎVahrne-
els (Erinnerungs- feld), en opposition au centre visuel cortical ou
centre
de perception (ÎVahrne- mungsfeld), qui siège à
sensoriels. Chez l'homme, les auteurs s'accordent pour localiser le
centre
auditif dans la partie moyenne de la première c
sphère auditive Sa localisation chez l'homme. 246 ANATOMIE DES
CENTRES
'NERVEUX. feurdité corticale. Edgren, Déjerin
lent prouver que chaque nerf auditif est en connexion avec les deux
centres
auditifs, partant avec les deux lobes temporaux
membres supérieurs. - F, région sensitivo-motrice de la face. - Jf
centre
cortical de l'audition . Bibliothèque des Inter
inique et l'anatomie patholo- gique démontrent l'existence de trois
centres
d'images nécessaires à la fonction du langage :
de trois centres d'images nécessaires à la fonction du langage : le
centre
des images motrices d'articulation, (B) le centre
n du langage : le centre des images motrices d'articulation, (B) le
centre
des images auditives des mots, (A) et le centre
rticulation, (B) le centre des images auditives des mots, (A) et le
centre
des images visuelles des mots (Pc) (Fig. 248).
ges visuelles des mots (Pc) (Fig. 248). Par leur réunion, ces trois
centres
forment la zone du langage (Fig. 248) zone haut
la partie postérieure de la première circonvolution temporale. Les
centres
secon- daires qui composent la zone du langage
langage sont irrigués par un même vaisseau, l'artère sylvienne. Le
centre
des images motrices d'articulation, ou centre de
l'artère sylvienne. Le centre des images motrices d'articulation, ou
centre
de Broca, Fic. 248. - La zone du langage et ses
on, ou centre de Broca, Fic. 248. - La zone du langage et ses trois
centres
d'images : A, centre de Wernicke ou centre des
, Fic. 248. - La zone du langage et ses trois centres d'images : A,
centre
de Wernicke ou centre des images auditifs des m
du langage et ses trois centres d'images : A, centre de Wernicke ou
centre
des images auditifs des mots; B, centre de Broca
: A, centre de Wernicke ou centre des images auditifs des mots; B,
centre
de Broca ou centre des images motrices d'articu
nicke ou centre des images auditifs des mots; B, centre de Broca ou
centre
des images motrices d'articulation; Pc, centre
, centre de Broca ou centre des images motrices d'articulation; Pc,
centre
des images visuelles des mots. Kilo relève do
du lan- gage. Ses trois contre^ secondaires. 248 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Toute altération do la zone du langa
sies. occupe le pied de la troisième circonvolution frontale, le
centre
des images audi- tives des mots, ou centre de W
convolution frontale, le centre des images audi- tives des mots, ou
centre
de Wernicke, siège dans la partie postérieure de
re- mière circonvolution temporale et le gyrus supramarginalis ; le
centre
des images visuelles des mots occupe, comme l'u
a contribué à le montrer, la région du pli courbe. Chacun de ces
centres
tire sa spécialisation de sa fonction dans la cor
sa spécialisation de sa fonction dans la corticalité générale : le
centre
des images motrices d'articulation est immédiatem
ation est immédiatement accolé à l'opercule rolandique, -région des
centres
moteurs de la face, du larynx, du pharynx et de
la face, du larynx, du pharynx et de la langue, - c'est-à-dire aux
centres
des muscles dont les mouvements assurent le méc
ssurent le mécanisme moteur matériel de l'articulation des sons. Le
centre
des images auditives des mots occupe la partie po
ccupe la partie postérieure de la sphère de l'audilion générale; le
centre
des images visuelles des lettres et des mots est
ce interne du lobe occipital, zone de la vision générale. Ces trois
centres
sont inti- mement unis entre eux par des fibres
avec prédominance de ces trouble ! , sur le mode corres- pondant au
centre
d'images directement atteint par la lésion. L'aph
teint par la lésion. L'aphasie motrice domine si la lésion siège au
centre
de Broca, la surdité verbale domine si la lésio
s modes du langage; il existe en effet une véritable hiérarchie des
centres
présidant aux diverses modalités du langage, hi
artie postérieure de la zone du langage, suivant qu'elle détruit le
centre
des images motrices d'ar- ticulation ou les cen
'elle détruit le centre des images motrices d'ar- ticulation ou les
centres
des images auditives et visuelles des mots. D'a
pourra se réaliser dans deux conditions : 1° Ou bien l'un des trois
centres
de représentation du langage-moteur d'ar- ticul
ale, soitàl'apha- sie sensorielle corticale; 2° Ou bien les trois
centres
du langage seront intacts et la lésion siégera en
rbale pure, la lésion peul être tantôt bilatérale et siéger dans le
centre
commun de l'audition (Dejerine et Sérieux, 1897
, car la lésion siégeant en dehors de la zone du langage, aucun des
centres
de représen- tation mentale du langage n'est to
non avec des images de mots '. Pour nous, il n'existe pas d'autres
centres
d'images du langage que les trois centres dont
il n'existe pas d'autres centres d'images du langage que les trois
centres
dont nous venons de parler, et il n'existe pas de
les trois centres dont nous venons de parler, et il n'existe pas de
centre
spécial pour les mouvements de l'écriture. L'ex
centre spécial pour les mouvements de l'écriture. L'existence d'un
centre
graphique, d'un centre spécialisé pour les mouv
s mouvements de l'écriture. L'existence d'un centre graphique, d'un
centre
spécialisé pour les mouvements de l'écriture pi
région correspond du reste, ainsi qu'on l'a vu plus haut (p. 220), au
centre
de rota- lion de la tète avec déviation conjugu
do la /.0110 du langage. ApJtasics pures. Il n'existe pas de
centre
spécialisé pour les mouvement') de l'écriture
spécialisé pour les mouvement') de l'écriture. 250 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 249. - Les connexions de la zone
ns de la zone du langage, en particulier du pli courbe, 1° avec les
centres
de Wernicke (TI) et de Broca (Fj) ; 2° avec la zo
réunissant le pli courbe et la première circonvolution temporale au
centre
de Broca et et la zone motrice corticale du membr
ous dans différentes publications, non seule- ment l'hypothèse d'un
centre
graphique n'a jamais été étayée sur des bases cli
ie quelconque de la corticalité motrice, et que, par conséquent, le
centre
de l'écriture n'est autre que le centre de la m
et que, par conséquent, le centre de l'écriture n'est autre que le
centre
de la motilité générale. , L'écriture comme la
la zone du langage. Comment pouvoir expliquer avec l'hypothèse d'un
centre
graphique le fait que l'aphasique moteur cortic
nt et très correctement et transcrit l'imprimé en manuscrit ? Si ce
centre
existait, si le malade était agraphique parce qu'
e des mouvements de la main et des doigts nécessaires pour écrire -
centre
chei1'o-kinest/u;sir¡ue de C. Bastian, non seulem
correspondante et par conséquent ne peuvent repro- 252 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Troubles moteurs. Leurs caractères.
psule interne, il est facile de comprendre qu'une lésion limitée du
centre
ovale ou du pied de la cou- ronne rayonnante, d
interne. En effet, si les monoplégies consécutives à des lésions du
centre
ovale ne sont pas très rares, il n'en est pas d
es, et lorsque la lésion est étendue en profondeur ou rapprochée du
centre
, elle sectionne les longs faisceaux d'associati
duo la lésion est bilatérale et symé- trique 2'i 1 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les monoplégies s'observent rarement
ème quart moyen de Cip correspond à la région rolandique moyenne, -
centre
du membre supérieur, - et que le troisième quart
oisième quart moyen correspond à la région rolandique supérieure, -
centre
du membre inférieur. Nous ne possédons jusqu'ic
sent en géné- ral par une henu- plégie banale. 256 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le carrefour sen- sitif do Charcot.
la sensibilité, contrairement à Luys qui faisait de ce ganglion le
centre
du sensorium commune, c'est-à-dire l'aboutissan
tes dans une lésion de ce segment sous-lenticulaire; mais, comme le
centre
auditif est bilatéral, cette lésion ne détermin
atérale, - anosmie du reste passagère par suite de la bilatéralité du
centre
olfactif il faut donc que le pilier postérieur
es fibres - d'après ce que nous savons de l'origine corticale de ce
centre
-passent probablement par la même voie. Si la
Localisation de l'hémianesthésie cap- sulaire. 258 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Kilo relève d'une lésion du thalamus
te dans le thalamus et s'arborise clans le noyau externe et dans le
centre
médian de Luys. De là partent de nouveaux neurone
nkrankheiten. Berlin, 1879. - Pitres. Recherches sur les lésions du
centre
ovale des hémisphères cérébraux étudiées au point
by stil1wlating in the iiioiiliey différent régions ofthe cortical
centre
for the zippe, limb as defined by Prof. Ferrier.
rimental Investigation into the Arrangement of the 260 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. excitable fibres ofthe internai capsul
rce des hémisphères cérébraux. Rev. de Méd., 1883. - Des mêmes. Les
centres
moteurs corticaux chez l'homme. Paris, Rueff, é
phasie motrice sous-corticale et de la localisation céré- brale des
centres
laryngés (Muscles phonateurs). C. R. Soc. de Biol
zu Dorpathggb. v. Prof. II. Unver- richL. Wiesbaden, 1893. - L. Les
centres
moteurs corticaux du cerveau humain déterminés
Des Variétés de l'Aphasie. Cécité verbale. Progrès 262 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. médical, 1883, p. 23, 27, 44<, 521,
from Brain Surgery to the Study of the localisation of the sensory
Centres
in the Cérébral Cortex, Boston, 1891. - MADDEX.
s Sciences, 189r, p. 274. - Du même. Les localisations cérébrales des
centres
corticaux de la sensibilité générale. Bev. gén.
et exp. sur l'hémianesthésie de cause cérébrale, J80L - -Vialet. Les
centres
cérébraux de la Vision et l'appareil visuel int
ntre elles que le son[, dans la masse blanche non différenciée du
centre
ovale, les libres de projection, d'association
ons olfac- tives superficielles. Leur origine. 264 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Leur trajet. Strie olfactive ex- t
optique. Leur trajet. Leurs terminai- sons. 266 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. olfactives profondes poursuit son traj
dre. Faisceau septo- thalamique. Son trajet. 268 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Scbeidewand) ; par Ad. Meyer, sous cel
a, noyau antérieur. - Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne. - Sm,
centre
médian du thalamus. - Nii, noyau rouge et sa ca
e. Tænaa scnllcircula- ris. Sa constitution. 270 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son trajet. t. Ses rapports. Ses c
c, substance grise centrale. - Zr, zone réticulée. 272 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses connexions tlialamiques. Systè
- III, nerf moteur oculaire commun. TOME Il. 1S 274 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fimbria ; i corps bor- dant ou bordé
Pilier postérieur du trigone. Son trajet. 376 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Los fibres trans- versales ou commis
Sa lame nôvrogli- que intertrigonale. i 2T8 S ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son contingent am- monique : Alveus
° par le tronc du corps calleux dans le plan du noyau rouge et du
centre
médian de Luys; 4° dans le plan du champ de For
Son contingent ex- til.1,1 lll ! llon iq tie. 280 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les libres perfo- rantes du corps ca
u caudé. - VI, ventricule latéral. Leur origine. 282 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. cules. En réalité, il s'agit ici soit
ne. Son origine. Son trajet. rihcrantéftour. 284 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son trajet. trigone diminue de volum
to-pédonculaire. Son aspoct sur les coupes. 286 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses fascicules aberrants. leur dir
antérieure et du faisceau occipito- frontal. 288 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La dégénérescence do l'alveus et de la
antérieure et du faisceau occipito- frontal. 290 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. thalami du même côté (Fig. 269), qui n
e antérieure et du faisceau occipito- frontal. 292 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Chab. Plaque jaune du pli retro-
du segment postérieur de la couronne rayonnante. 294 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les segmonts in- térieur et supérieu
ommun. Alveus ealraven- culaire. Psalterium. 296 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. l.o psalterium ven- tral de Ganser.
c-roise- sement sous-thala miquo postérieur. 298 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. . Le ganglion interno du tubercule
Faisceau mamil- ]aire principal. Son trajet. 300 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses deux brandies de bifurcation.
oculaire commun. Le faisceau de'%'icq d'Azyr. 302 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa terminaison dans le noyau anté-
Son trajet et ses terminaisons chez le lapin. 304 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. del corpo calloso e del psalterium. Ri
cylindre a\o court ot à den- trites velues. 306 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules à cylindre- axe long et a t
age Radiations striées .i trajet descendant. 308 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres terminales. Le noyau caudé et
- Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 310 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fig. 282. - Coupe sagittale passant pa
ou no déterminent qu'une atrophie en masse. 312 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le faisceau occi- pito-frontal n'est
ur du noyau externe, s'étend à la partie ventrale de ce noyau et au
centre
médian de Luys (Nm),et occupe en particulier cett
s et du corps do Luys; intégrité du putamen. 314 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. la partie du ruban de Reil situées au-
u externe du thalamus (Ne), de la lame médullaire externe (Lme), du
centre
médian de Luys (Nm) et de la région du ruban de
re du globus pal- lidus et du corps do Luys. 316 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Hilaire. Plaque jaune du pli cou
trale, au niveau de la région du 'uban de Reil médian et s'étend au
centre
médian de Luys (Nm); en bas, elle peut être sui
Cge), du bras du tubercule 41tiadi,i,ju- meau antérieur (BrQa), du
centre
médian de Luys (Nm).Dé2ëneresccnce du globus pa
cerveau antérieur des vertébrés infé- rieurs. 318 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Difficulté d'étude de ce système de
, sauf celle de l'insula. Le système de projection existait dans le
centre
ovale, mais n'arrivait pas à la capsule interne p
ibres se con- centrent entre les segments du globus pallidus, et au
centre
même de ces segments, pour former la lame médul
le segmont yov- térieur de la capsule interne. 324 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Radiations strio- thalamiques. éme
in.) Méthode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur nature. 326 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les radiations strio - sous -thalami
- XL" , XL2, VG3, les trois segments du noyau lentri culaire. - Nm,
centre
médian de Luys. - PiTh, pédoncule inféro-interne
dans le thalamus ot la capsule du noyau rouge. 330 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Dégénérescence des radiations striée
terra- diaire en amont des lésions primitives. 332 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Dégénérescence en aval. Trajet des
noyau rougo et de sa cap- sule de fibres. * 334 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Ronse. 1° Lé- sion sous-cortical
bres radiées du noyau externe (Ne) du thalamus. Dégéné- rescence du
centre
médian de Luys (Nm) et de la région dite du ruban
erne du thalamus (Fig. 29G), qui se continue autour et en dehors du
centre
médian de Luys (Nm, Fig. 297 et 298) e dont l'i
, du noyau rouge et de sa cap- sule de fibres. 33G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. remplis de corps granuleux (H, Fig. 29
it suite sur les coupes séri ées a la dégénérescence qui entoure le
centre
médian de Luys; 2° une dégénéres- cence de la c
n'envoie pas de fibres dans la voie TOME II. 22 338 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La dégénérescence des radiations str
eau interne du pied du pédon- cule cérébral. 31O ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Gardette. Dou- ])le lésion de l'
escence vitreuse des cellules du noyau interne du thalamus (Ni), du
centre
médian de Luys (Nm), du noyau semi-lunaire de Fle
sceau interne du pied du pédon- cule cérébral. 342 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cas Gardette. Dou- ble lésion de l'h
rescence vitreuse des cellules du noyau interne du thalamus (Ni) du
centre
médian de Luys (Nm), du noyau semi-lunaire (NF) e
ié avec le locus niger ne sont pas démontrées. 344 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les noyaux du thalamus. Les noyaux
é entre les noyaux externe et interne, et le désigna sous le nom de
centre
médian. Meynert (1870), frappé par la diffé- re
terne, interne et le pulvinar. Avec v. Monakow, nous considérons le
centre
médian de Luys comme une dépendance du noyau inte
Éléments cellu- laires des noyaux thalamiques. z46 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le feutrage inter- cellulairc. Noy
réseau est remarquable par sa pauvreté en fibres à myéline. Dans le
centre
médian de Luys et dans la couche ventrale du th
deux noyaux est constituée par le ganglion de l'habenula (Gh) et le
centre
médian de Luys (Nm). A l'état frais, le noyau i
illaire. \T03'au interne. soit Sa structure. 348 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 310.- Coupe sagittale-des ganglio
43, 47, 311). Au noyau interne de la couche optique se rattache le
centre
médian de Luys (Nm); c'est un noyau irrégulière
o médian do Luys, dépendance du noyau interne. 330 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa structure Ses connexions avec l
dullaire interne. Malgré la fusion si intime du noyau interne et du
centre
médian de Luys, ces deux noyaux se distinguent
lorées par le carmin ou traitées par la méthode de Weigert- Pal. Le
centre
médian de Luys est très riche en fibres à myéline
es coupes colorées suivant la méthode de Weigert. Les cellules du
centre
médian de Luys sont petites, triangulaires ou f
particulièrement abon- dant dans les parties postéro-inférieures du
centre
médian. Il se confond à ce niveau avec cette ép
sse couche de fibres situées à la partie postéro- inféro-externe du
centre
médian de Luys, que nous avons désignées sur no
ez le chat, le chien, le lapin, la taupe, etc., le noyau homologue au
centre
médian de Luys affecte une forme rubannée; il e
pas encore le trajet que suivent les cylindres-axes des cellules du
centre
médian de Luys, nous savons toute- fois que ce
s cellules du centre médian de Luys, nous savons toute- fois que ce
centre
affecte des connexions importantes avec la cortic
ires. Par la région de la calotte et par la région sous-optique, le
centre
médian de Luys reçoit un certain nombre de fibr
es longitudinales de la formation réticulée. Ces fibres abordent le
centre
médian de Luys par sa 1'ic. 311. Coupes sagitta
a 1'ic. 311. Coupes sagittales des corps opto-striés, passantpar le
centre
médian de Luys, le corps de Luys et le pédoncul
Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne de la couche optique. - Nm,
centre
médian de Luys, séparé de la lame médullaire in
belleux supérieur et la for- mation réticulée. 352 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Lame médullaire interno. Sa lamo s
par toute la hauteur de sa face externe, puis s'y ter- minent. Le
centre
médian de Luys représente donc une sorte de relai
en arrière du noyau antérieur, la courbe postérieure circonscritle
centre
médiandu Luys. Sur les coupes plus inférieures,
e postérieure de la lame médullaire interne s'accentue et sépare le
centre
médian de Luys (Nm) de la région du ruban de Re
ations de la calotte (RC), les postérieures situées au voisinage du
centre
médian de Luys se rendent dans la région du ruban
on. Noyau externe. Son aspect. Son étendue. 3Cî4 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses rapports. Fig. 304 et 305). Ce n
t en arrière, du noyau antérieur (Na), du noyau interne (Ni) et du
centre
médian de Luys (Nm) (Fig. 21). En dehors, il est
u externe : 11) avec la corticahté cérébrale ; 356 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. 2° a^ ce le corps strié ; : ! avec l
ule du noyau rouge. Les fibres postérieures sont comprises enlre le
centre
médian de Luys et le corps genouillé interne; e
de fibres qui entoure la partie postérieure, inférieure et externe du
centre
médian de Luys; les radiations de la calotte se
terne. Son aspect dans la région du pnh lI1ar. 358 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ts o va semi-lu- naire de Flechsig,
cupe la partie ventrale du noyau externe; il est situé en dehors du
centre
médian de Luys (Nm) qu'il entoure à la façon d'
oisinants. En dedans, la lame médullaire interne (Lmi) le sépare du
centre
médian de Luys; en dehors, une petite lamelle méd
e supplémentaire divisant en deux segments le seg- 360 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les cellules ner- veuses du noyau ex
gment postérieur du noyau externe, en par- ticulier au voisinage du
centre
médian de Luys, la disposition des cel- lules n
tué en avant du corps genouillé interne, en arrière et en dehors du
centre
médian de Luys et correspond à cette partie que
ta-niv Pulvinar. Sa situation. Ses rapports. 362 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le champ triangu- laire de Wernicke.
, la limite est constituée par le ganglion de l'habenula (Gh) et le
centre
médian de Luys (Nm). Plus bas encore (Fig. 47,
genouillé externe. - Ci, corps genouillé interne. 36'r ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules nerveuses du pulvinar. 16
orps genouillé externe et le tubercule quadrijumeau anté- rieur les
centres
visuels primaires sous-corticaux ou ganglionnaire
suelle. Corps genouillé externe. Son aspect. 366 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa structure la- 1H('I1.lII'C. Ses
ure cellu- laire du corps po- nouillé externe. 368 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses connexion avec la zone visliell
eil latéral (RI), faisceau auditif par excellence, qui le relie aux
centres
auditifs bulbo- pro lubérantiels. CONNEXIONS
Les connexions multiples do la couche optique. 370 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Connexions avec la corticalité céré-
eisitivo-seisoi-iels. Par la partie ventrale du noyau externe et le
centre
médian de Luys, elle reçoit le ruban de Reil médi
nne dans le pulvinar (Pul), la partie ventrale du noyau externe, le
centre
médian de Luys (Nm), et occupe plus particulière-
sent plus particulièrement la partie ventrale du noyau externe elle
centre
médian de Luys et détrui- sent par conséquent u
ans les cas Les fibres thala- mo-corticalcs. 372 2 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. » Counexionsavcclc corps strié.
l. (Voy. Cas Longery, p. 186, Fig. 197 a 212.) 374 ' ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Elles s'ellectuent t par le faisceau
térieure et ventrale du noyau externe du thalamus et qui entoure le
centre
médian de Luys en arrière, en bas et en dehors.
rieure et ventrale du noyau externe en avant du pulvinar et dans le
centre
médian de Luys, mais qu'il envoie en outre des fi
uelques fibres dans la partie postérieure du noyau interne et dans le
centre
médian de Luys et établit les connexions de ces
NS I\'IRACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. : 3ï : ; de Reil latéral et aux
centres
auditifs primaires. Le bras du tubercule qua- d
postérieure. Ses parties dorsale et ventrale. 37C ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La commissure postérieure no reçoit
p. 419). Le pulvinar et le corps genouillé externe représentent les
centres
ganglionnaires primaires ou inférieurs de l'appar
ale l;an,Lou dc 1·Ia- I)CI111l'i. Situation. 378 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa valeur phylogé- nétique. Ses co
faisceau rétroflexe de Meynert. \ oyau interne. 380 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Noyau externe. Tréma thalami. Son
renia thalami et en partie par les fibres radiées du pulvinar et du
centre
médian de Luys. Taenia thalami (llh). - Le taen
u txnia tlia- la1111 avec le trigone cérébral. 382 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Lotheisen, Kolliker., avait déjà été s
Commissure inter- habenulaire. Sa situation. 384 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Elle no doit pas être confondue, ave
en, en particulier dans le tubercule quadrijumeau antérieur (un des
centres
optiques primaires), les autres entrent peut-êt
e l'habenula, ce faisceau est situé (Fig. 47, p. 69) : en dedans du
centre
médian de Luys (Nm), en avant du tubercule quadri
troisième ventricule. - Ne, Ni, Nm. noyau externe, noyau interne et
centre
médian de la couche optique. - NR, noyau rouge,
oteur oculaire commun : Nm, son noyau d'origine. 386 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses deux espèces de libres. -- Leu
minai- sons des fibres du faisceau rétroflexe. 388 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules du gan- glion intcrpddoncu-
long et plus ou moins flexueux. Elles occupent la périphérie et le
centre
du ganglion interpédoncu- laire et sont pourvue
l. Structure lyni- phoidodolagtando pinéale. 390 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses libres ner- vcu,esappartiennent
hrbuch der Neurologie. Erlangen, 1881, p. 471-474. 392 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. III. - RÉGION SOUS-OPTIQUE La région
a région du ruban de Reil médian situé en arrière et au- dessous du
centre
médian de Luys. La face inférieure, de moitié m
inférieure. Sa face interne. Sa face externo. 394 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son sommet et sa base. La couche d
- Zr, zone réticulée. - Il, bandelette optique. 396 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La zona Il1certa, dépendance de la
ne et moyenne qui délimitent le noyau semilunaire de Flechsig et le
centre
médian de Luys (Fig. 312, 324, 22); il reçoit en
forme. Surlescoupesver- tico-transversales. 398 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. puis diminue graduellement et. dispara
orsale. De sa face ven- trale. De ses bords. 400 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. De ses extrémités, Connexions du c
l'intermédiaire do la commissuro de Mey- nert. 402 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Avec la bande- lette optique et le
riche et dense feutrago de fibres à myéline. ·'e04 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Scsccilulcsmuht- polaires et étoilée
es. Les cellules ppcn- dymaires. Les libres. 406 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Commissures du plancher du troi- s
de la couche optique. - II, bandelette optique. 408 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les fibres du fais- ceau longitudina
corps de Luys et le ruban de Reil mé- dian. 410 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Elle représente vraisemblabl e m e n
lais ganglionnaires de première importance : le bulbe oliactif, les
centres
olfactifs primaires (trigone olfactif, espace per
glomérule olfactif Voies olfactives centrales. 414 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Leurs relais gan- glionnaires. Le
iations olfac- tives superficielles (neurone de ? ° ordre). Les
centres
olfac- tifs primaires et les neurones olfacti
Radiations olfac- tives profondes. foré antérieur, etc.) et les
centres
olfactifs secondaires ou corticaux. Ces relais
s et profondes, le læina semicircularis et le trigone cérébral. Les
centres
olfactifs primaires, de même que les secondaires,
tifs primaires, de même que les secondaires, sont en outre unis aux
centres
homologues du côté opposé et à la calotte du ce
ncts de fibres commissurales et de fibres de projection. Les deux
centres
olfactifs primaires sont reliés entre eux par la
t la commissure psalterienne (Ftr) assurent les connexions des deux
centres
olfactifs cor- ticaux entre eux ; le système du
perficielles qui se terminent par des arborisations libres dans les
centres
olfactifs primaires. Les fibres les plus longue
par conséquent aux neurones olfactifs de troisième ordrc. 2° Les
centres
olfactifs primaires comprennent la substance gris
s (tsc) (Fig. 327). Les radiations olfactives profondes relient les
centres
olfactifs primaires : 1° Aux centres olfactif
ctives profondes relient les centres olfactifs primaires : 1° Aux
centres
olfactifs corticaux, par la voie courte de la str
ut en présentant un trajet dis- tinct. Il assure les connexions des
centres
olfaotifs corticaux ou secon- daires (en partic
u amygdalien (NA) et de l'écorce du crochet (U) adjacente) avec les
centres
olfactifs primaires et avec le thalamus (noyau
to-tha- lamique. Txnia semicurcu- laris. t 416 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. commissurales qui, passant par la comm
trière NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 417 -1 Les deux
centres
olfactifs primaires sont reliés entre eux par la
ient à la constitution du glomérule olfactif (Golgi, Monti). 3° Les
centres
olfactifs secondaires ou corticaux sont repré-
cingulum (Cing), neu- rones olfactifs de ive ordre qui relient les
centres
olfactifs corticaux, soit avec le cerveau inter
re a/<e ? '2eM ? ! e (Ftr)), le trigone relie entre eux les deux
centres
corticaux de l'olfaction; par ses fibres cortico-
ulum Cing) constitue un neurone olfactif de iv° ordre, qui relie le
centre
olfactif cortical à la première circonvolution li
Fol), entre en connexion avec le tuber- cule mamillaire et avec les
centres
olfactifs primaires. Le centre olfactif cortica
uber- cule mamillaire et avec les centres olfactifs primaires. Le
centre
olfactif cortical donne en outre naissance aux fi
e la partie adjacente de l'hippocampe, relient ces régions, soit au
centre
olfactif primaire du côté opposé, soit au centr
s régions, soit au centre olfactif primaire du côté opposé, soit au
centre
olfactif cortical du côté opposé, soit (connexi
noyau len- ticulaire du côté opposé. Les différentes régions des
centres
olfactifs corticaux sont encore TOME Il. 27 L
sont encore TOME Il. 27 Leur système do fibres commissurales.
Centres
olfactifs secondaires ou cor- ticaux et neuro
m lacunosum et à la région hippocampique de la corne d'Ammon. Les
centres
olfactifs corticaux sont enfin reliés aux différe
obe frontal. Malgré les connexions si nombreuses que présentent les
centres
olfactifs secondaires ou corticaux, nous savons
cérébral, représenté par les radiations optiques de Gratiolet et le
centre
visuel cortical. Segment antérieur ou extra-cér
deux branches de division de la bandelette. 420 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 328. - Les voies conductrices de
an de Reil médian. - Spa, substance perforée anté rieure. - T,, T,'
centre
de Wernicke et première circonvolution temporale.
er- cule quadrijumeau antérieur) qui portent de ce fait les noms de
centres
ganglionnaires de la vision, de centres optique
tent de ce fait les noms de centres ganglionnaires de la vision, de
centres
optiques inférieurs, sous-corticaux ou primaire
générescences secondaires montre que les lésions des- tructives des
centres
ganglionnaires de la vision retentissent à la foi
ques intracérébrales : ra- (liations ol)tique (1,- Gratiolet et
centre
N istiel cortical. i Los centres gan- gli
ns ol)tique (1,- Gratiolet et centre N istiel cortical. i Los
centres
gan- glionnaires de la vi- sion. Mode d'art
ode d'articula- tien des neurones visuels. Les lésions de ces
centres
retentissent sur les doux segments dos voies
sent sur les doux segments dos voies optiques. 422 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les connexions de la rétine avec l'e
ne rétinienne des fibres visuelles. les radiations optiques et le
centre
visuel cortical d'une part, sur la ban- delette
196). Les dégénérescences consécutives aux lésions destructives du
centre
visuel cortical ou des radiations optiques de G
cas Bras, p. 1-15, Fig. 87 à 95) ne dépassent pas, en général, les
centres
ganglionnaires de la vision et n'entraînent qu'
ns du segment antérieur de l'appareil visuel s'arrêtent de même aux
centres
ganglionnaires primaires et ne s'étendent qu'à la
lissant une connexion directe, ininterrompue, entre la rétine et le
centre
visuel cortical. L'énucléation d'un seul oeil o
en outre la dégénérescence des deux bandelettes optiques et des deux
centres
optiques primaires : ces faits démontrenf donc
ubercules quadrijumeaux antérieurs et, par l'intermé- diaire de ces
centres
ganglionnaires, avec les deux centres corticaux,
par l'intermé- diaire de ces centres ganglionnaires, avec les deux
centres
corticaux, et vice versa, chaque centre visuel
glionnaires, avec les deux centres corticaux, et vice versa, chaque
centre
visuel cortical est en relation avec les deux ner
l nerveux visuel située en arrière du chiasma, qu'elle siège sur le
centre
visuel cortical, les radiations optiques, les c
e siège sur le centre visuel cortical, les radiations optiques, les
centres
ganglionnaires ou la bandelette optique, se manif
a rétine. / La constitution du nerf optique. 424 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa trame névro- qliqnc. Trajet des
ulaire (mn, mt} change de forme : il émigre progressivement vers le
centre
du nerf optique, s'épaissit à ce niveau de tell
ique homolatérale, et une partie nasale ou croisée 426 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le faisceau nasal. Indépendance de
tion du faisceau na- sal. Les fibres en anse. 428 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Trajet du faisceau temporal ou direc
sie homonyme des secteurs supérieurs du champ visuel. i° Dans les
centres
ganglionnaires de la vision, la dissociation de
endue que du côté controlatéral. Comme d'autre part les lésions des
centres
gan- glionnaires de la vision se traduisent cli
schen il y aurait une projection corticale en îlot de la macula, un
centre
cortical de la vision distincte qui occuperait la
chevêtrement de ces faisceaux dans la bandelette. Et dans les
centres
ganglionnaires delà. vision. Il ne semble p
do projection corticale en ilni de la macula. 430 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les fibres pupil- laires du nerf opt
IIenschen, Laqueur et Schmidt), les localisations de ces soi-disant
centres
maculaires ne concordent pas : c'est tantôt l'ext
evrait pourtant se produire quelquefois s'il existait réellement un
centre
cor- tical maculaire. Toutefois, la question n'
que chez l'homme c'est le corps genouillé externe qui représente le
centre
ganglionnaire visuel proprement dit. Il reçoit à
s visuelles (v. Monakow) et entre en connexion très étroite avec le
centre
visuel cortical. Les autres fibres visuelles se
oteurs de l'oeil. Fibres optiques centrifugea. 432 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Connexions dou- teuses des voies o
-il d'autres connexions que celles que nous avons décrites avec les
centres
ganglion- naires de la vision ? Reçoit-il des f
. 28 Son xistelice (1011- teuse chez lïl0trmc. 434 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Gehirns. Upsala, 1890-1892. - v. KÔLLI
t Graefes Arch. f. Ophthalm.vol. XXXII, 3, p. 93. 1884. VIOLET. Les
centres
cérébraux de la vision et l'appareil nerveux visu
1 Face supérieure. ; échancrure mar- supialc. 438 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ]il ci semi-In- nau P. Vermis supé
belleux. w Face inférieure. Vallée de Reil. 440 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. \'rrmi infriear. ? Parties consti-
- tale. , Grande circonfé- rence. Bords. 442 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les [bords très épais, obliques en arr
rticule du 41- ventricule. Hile du cervelet. 444 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. giilièrenient arrondie du volumineux p
sur les hémisphères. Sillons supcrli- ciels. 446 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ils délimitent les lames et lamelles
1ri- mordiaux. Lf ? 10\'( ? ? ccon daires. 1118 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Homologie em- bryogénique. Mode d'
ur (LP), le développement du vermis (V) est rudi- 1050 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Mode propre au lobe postérieur. Mo
'es Leurs caractère communs. Sillons limitant 4M ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fig. 336. Les lobes primordiaux et les
se d'implanta- tion. Ses lames et la- mellco. 4o ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. lamelles sont nettement transversales,
vant les indi- valusetsurun même hémisphère 4 : ;8 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. supérieur gauche, puis s'élargit brusq
e Forme, dimension, aspect caractcrb- tique. 460 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les faces. Les lobules secon- dair
rieur. Lobe postérieur. Dimensions. Limites. 462 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ne, cloppement ru- dimentairc de la
"- conférentiel. Sa prolondeur, son étendue. 464 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses variétés mdi- viduelles. on co
geon terminal. : : Son aspect, ses dimensions. 466 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses faces. Lames et lobules second
ue. Lobe semi-lunaire inférieur. Son aspect. 468 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa subdivision par le sillon semi-lu
Lobe inférieur. Itomologf em- bryologiqno. i/70 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. sillon post-pyra- nudal. Sillon pr
Sillon digastrique. Lobe inréro -111- terne. 4ï2 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Luette. Aspect, dimen- sion. tiè
av l'amygdale. Nid d'hirondelle. Amygdalos. 474 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Base tl'lml'lulItu- Base d'implanta-
tico- transversales. Lobe inféro-anté- rieur 476 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Module. Situation profonde. Faces.
si- tion dcs valvules. Flocculus. Situation. 478 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Flocculus acces- soire. Il concour
du Lloe- culus. Forme. Limites. Direction. 480 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Configuration exté- rieure. Face a
onculo céré- ]¡f'UCUX mo,) ('Il. 1 1 l 1 482 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Aspect de la région pontine. StDaL
Région bulbaire. Sillon médian an- térieur. 484 .ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Pyramides anté- rieures. Leur déen
ersus. Oh\c bulbaire. Fossette sus-oh- vaire 486 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Vol uni o. Sillon olivaire in- trn
1 ) Constitution. Pcdoncnicscurc- elleux 488 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres arciformes me. Vah ule de V
. Configuration. Sillon médian pos- térieur. 490 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Pyianudes posté- rieures. Noyau du
obtura- tnc('\ln leycntricnh'. Forme. Etendue. 492 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Epaisseur variable suivant les régio
csctlan- guettes do la mem- brane obturatrice. 491 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Segment vertical ventriculaire. Se
tifice de prépara z tion. 'Trous le Lu...c'hka. 4M ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Plexus choroïdes du te ventricule.
. Ventricule d'Alau- tius. Funiculi teretes. 498 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fossettes su pé- ricm'cctinfcricnrc.
s dans l'as- pect du plancher du le ventricule 500 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les trois régions du jnlanchcr. Ré
férieur. Direction. Diverticule angu- lairo. 502 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Diverticules laté- raux. 1,0 planc
es et les axes des lobes dé- pourvus d'écorce. 500 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Substance blanche centrale. Ses pr
e la substance blanche cen- trale qui représente ainsi une sorte de
centre
ovale du cervelet, analogue au centre ovale de
représente ainsi une sorte de centre ovale du cervelet, analogue au
centre
ovale de Vieussens du cerveau. La préparation d
et du grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. A l'encontre du
centre
ovale de Vieussens, le centre ovale du cervelet n
ntiel de Vicq d'Azyr. A l'encontre du centre ovale de Vieussens, le
centre
ovale du cervelet n'est pas bordé de toutes par
supérieur de Vicq d'Azyr. La moitié droite représente une partie du
centre
ovale du cervelet après ablation des circonvolu
du vermis supérieur. Centre ovalo du cervelet. 508 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Aspect do la sub- stance blanche cen
e Vicq d'Azyr. - sla, sillon transverse antérieur. 510 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Arbre do vie du lobe médian. Modif
orizon- tales. Noyaux dentelés accessoires. .;i2 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Noyaudubouchon. Noyau du bouchon (Nem)
c l'olive cérébelleuse. Olivo cérébelleuse. 514 ik ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Situation. Forme. Direction. Vot
la protubérance un peu au-dessus du sillon bulbo- 516 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Hile de l'olive cé- roheticuso. Su
vec la voie pédonculaire et les pou- tiques. 518 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. voisinage du plan oblique passant par
'aux deux tiers iupéneurs de la pro- ubéranco. 520 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Mntrc-crooment des libres protubé-
segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, 522 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Disposition géné- rale. Ses trois
ne et interne du thalamus. .VF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Sm,
centre
médian de Luys. - NL,, segment interne du globu
u côti opposôctsacapsu)' de fibres. oyaurouo. °6 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Situation. Rapports. Aspect généra
u du facial. - 1-ll,, quatrième segment du facial. 528 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Trajet. Connexions. Aspect général
fad, fibres arciformes dorsales TOME II. 3k > 530 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres arciformes céréhello - olivai
me. Mile de 1 olive Feutrage intra olivaire. 532 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Capsulede l'olive. les dentelures de
011 étendue. Son c\tmmte lu- férieure coudee. 534 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les deux régions longitudinales du
partie antéro-m- terne do la 1'O'l1ho- raneo. a3fi ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Elle s'effectue de haut en bas, et cle
- cendant dans le bulbe : faisceau pyramidal. 38 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Happol't> du fais- ccau y3 ramida
a couche intcr-olivairc et l'o- livo bulbaire. 540 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX Avec le noyau juxta-olivaire in- te
perficiel. Fibres aberrantes postéro-externes 4 Il ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 374, 375, 37G, 377. -- Les fibres
gittales du raphé bulbaire. (Méthode de Marchi.) 546 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres aberrantes protubérantielles.
nsibilité générale. Thèse de Paris, 1899, p. 224). 548 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Inc. 385 à 391. - Mode de décussation
a moelle un petit Fibres aberrantes bulbaires. 550 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibies pyramida- Us loniolatérale%
Les fibres radiée 2° Voios cérdlhe (e1150s. 552 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. 3n Substance grise centrale et ses
formation rétl- culée du segment pédonculaire 554 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son étendue. Son aspect et ses rap
ine au-dessous de la partie ventrale et postérieure du thalamus, du
centre
médian de Luys et du corps genouillé interne, en
ement des pé- doncules cérébelleux supérieurs. 556 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le noyau central supérieur lièreme
, voie pédonculawe. - Il', nerf pathétique. M : j;j8 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. coupe Hl, Fig. 394); sur quelques coup
dans la région lorotubbran- tielle inférieure. 500 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. réticulée cesse d'occuper toute la lar
- Vlllv, branche vestibulaire du nerf acoustique. 562 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le noyau central inlérieur. La for
, le faisceau central de la calotte et.le faisceau 364 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. 1 ? rniation rétieu- 1('(' blanche.
pneumo-gastrique. XII, nerf grand hypoglosse. ! ;66 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son aspect dans la région bulhalro
spect au niveau do l'entre- croisement moteur. 568 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEU-X. La corne anté- rieure décapitée.
es du tri lemniscus. Synonymies du lacpieus. 5ï0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. S) nonynncs de la pni-tio supérieure
couche optique, dans celle région située au-dessous el en dehors du
centre
médian de Luys, et que nous avons désignée sous l
Les noyaux d'ori- giiio du ruban de Reil. S-72 -) ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. aux noyaux du corps restiforme (coupe
Son segment ov- terne ou noyau de Monakow. : ii4 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son segment m. terne ou masso I)rjn-
troisième segment ou segment horizontal du facial. 518 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ruban do Reil latéral. Les libres
du,, thalamus, dan; celte région située au-dessous et en dehors du
centre
médian de Luys c Lo ruban de Reil aux confins
Le ruban de Heil dans la région tous- optiquc 80 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres croisant le ruban de Reil dan
é- rieure et inférieure du noyau externe du thalamus (Ne) autour du
centre
médian de Luys (Nm). Aucune fibre ne se rend di
ect au ui- veau du 110) au du nerf pathétique. 582 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son aspect dans la région protubéran
du raphé se rendant dans les noyaux du trijumeau. z84 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son aspect dans la région bulbaire.
die Schleife. in Reil und Autenrieth, Arch. f. die 586 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Physiologie Halle, T. IX, 1809 p. 485
ur ne pas faire double emploi avec les coupes SI 588 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. et S2 (Fig. 408 et 410), le vermis, se
es axes grêles et courts des lames et lobules plus 590 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 408. - L'arbre de vie du vermis,
a coupe correspond en effet à la section du sillon 592 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. longitudinal médian et du raphé. En ba
collet du bulbe, et l'olive bulbaire tome Il. 38 594 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. (Oi), qui se présente sous l'aspect de
nte du glosso-pharyngien ou faisceau solitaire. 59fi ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. quelques fibres du pédoncule cérébelle
ire de l'acoustique le long du noyau de Deiters. 598 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. l'olive bulbaire, représente les noyau
'écorce cérébelleuse qui tapisse ce profond sillon 602 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. du globe grêle (slg, coupes S 5 et S 6
flocculus. Quant à la subslance blanche centrale, elle s'accroit du
centre
à la péri- phérie. Dans la région du vermis, l'
cule. - VII, fibres radiculaires du nerf facial. 604 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. centrale, des noyaux accessoires de l'
euse de Rolando (SgR). Les fibres longitudinales G06 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. qui la bordent en arrière et en bas ap
monticule, a disparu et la partie hémisphérique 608 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fic. 414. - L'arbre de vie de la régio
c, noyau de la branche cochléaire du nerf auditif. 610 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. lunaire inférieur s'étalent de même à
e sous l'aspect de trois, quatre ou cinq lobules 612 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. d'autant plus volumineux qu'ils sont p
ieur. - 1', nerf trijumeau. - 1-11, nerf facial. 614 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. tiennent à la couche des fibres semi-c
e (fsl). Il est l'homologue de la masse blanche non différenciée du
centre
ovale de l'hémisphère cérébral, et contient com
es par rapport à l'axe longitu- dinal du bulbe). 616 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. COUPES HORIZONTALES OBLIQUES INTÉRESSA
e-croisement en arrière de l'aqueduc de Sylvius. 618 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. parallèles sur toute l'étendue antéro-
s'entre-croisent sous des angles plus ou moins z620 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. obtus, sillonnent la substance grise d
valvule de Vieussens. \VK, quatrième ventricule. 622 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sur les coupes P3 (Fig.421)P4(Fig. 422
- T'P, voie pédonculaire. - IV, nerf pathétique. 624 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. transversales, les fascicules les plus
au central de la calotte (Fcc). TOM ! : Il..\0 626 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Un noyau angulaire, le noyau circonfle
ent au niveau du raphé. Les fibres sagittales du G28 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 423. - La calotte et l'étage anté
mme appartenant au ruban de Reil laléml j elle est 630 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fir. 426. - Coupe verticu-transversale
tite racine motrice descendante (Vd) du trijumeau fi32 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX qui apparaît encore avec sa surface de
voie pédon- culaire. - li, quatrième ventricule. 634 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. le noyau de Deiters situés au niveau d
g, genou du facial. - T's, quatrième ventricule. 636 6 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. (Oc), passe au-dessous des noyaux du t
A ce niveau, qui correspond au hile du cervelet, 638 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. les fibres du pédoncule cérébelleux in
acine sensitive descendante du trijumeau (Vsd), en 6t0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. arrière des fibres transversales profo
ors du noyau du facial (Nvn) et de la TOME II. 41 6H ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. grosse racine sensitive descendante du
horizontal du facial. - V,, quatrième ventricule. 646 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. filent en arrière au voisinage de la r
oyau du bouchon et l'olive cérébelleuse. - Coupe 648 - ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. horizontale C 3, du rhombencéphale, se
bérance et avec la calotte. Coupe horizontale C 4 'G50 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. du rhombencéphale sectionnant le tiers
eure. Coupe horizontale C 5 du rhombencéphale pas- 652 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. sant par l'extrémité antérieure du ver
oncules du ilocculus. Le quatrième \entricule, ses 654 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. diverticules angulaire et latéraux. Co
pédoncule du flocculus (PFloc), petit faisceau - 6'i(i ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. compact dont les fibres fortement colo
trième ventricule. Le corps resti- TOMEM. 11. 42 638 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. forme et les fibres arciformes cérébel
e de section rectangulaire et sont plus nombreuses 660 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. sur cette coupe que sur celles de la r
cher du quatrième ventricule a la face postérieure 062 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. de la pyramide, elle est essentielleme
live bulbaire et la pyramide antérieure du bulbe. 6fi4 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. - Coupe transversale H9 passant par la
tes (Nft) qui fait saillie sur le plancher du qua- 666 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. trième ventricule au-dessus du noyau d
rième ventricule. - IX, nerf glosso- pharyngien. 668 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. inter-olivaire de la formation réticul
nerf pneumogastrique. XII, nerf grand hypoglosse. 670 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. s'épuiser pour la plupart dans les tra
ssural et se termine dans le vermis supérieur. 672 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le corps juxta-resliforme (Cj) est à p
ach, bien qu'il n'existe encore il TOME II. 43 674 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. cette hauteur aucune indication permet
t.). - Cette coupe intéresse la partie inférieure, 616 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. fermée, du bulbe au niveau de l'obex e
du trijumeau. - xpin, cntre-croisemenl piniforme. 678 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. prend le faisceau de Gowers et le fais
umeau. .Y7. nerf spinal. - XII, nerf hypoglosse. 680 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le sillon longitudinal postérieur se r
du bulbe. On trouve néanmoins, toujours dans cette 082 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. région, des amas irréguliers de substa
lée grise, mais qui déjà appartiennent au cordon 681 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. antéro-latéral de la moelle (CI). La s
ve descendante du trijumeau. - 1'l, nerf spinal. 686 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le noyau de Goll (NG) affecte une form
nte du trijumeau. ? décussation des pyramides. G88 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. voit, à droite comme à gauche, des tra
de ltolando. ,1'1' ! J. décussation pyramidale. 690 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. les deux cornes postérieures diminuera
ol- leuse. Son épaisseur. Ses trois couches. 692 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. lulaires, soit] des ramifications dend
araignée ou astrocyte de la substance blanche. fi9r ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son noyau. Ses prolongements dendr
trictement perpendiculaire au etsont orientés dans 696 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses collatérales. Couche mtcmo Les
ules du type Il de Golgi de la coucho interne. 698 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La couche externe couche intermédiai
cylindre-axe de la cellule du type 11 de Golgi. 700 ' ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les grandes cellu- les etoilées etle
glique empanachée et les libres de Berg- mann. 02 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les cellules arai- gnées de la subst
belleuse sont toutes d'origine pur- kinjicnnc. 704 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les fibres termi nalesou centripètes
ntes de Cajal. III/" libres 11lUllllC de Cajal. '706 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ces deux variétés de libres représen
es cellules multipolai- res du noyau du toit. i 08 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres de la sub- stance blanche du
ble (Fig. 4G3), tout à fait analogue à cette couche périphérique du
centre
ovale du cerveau que nous avons désignée sous l
avons désignée sous le nom de substance blanche non différenciée du
centre
ovale de Vieussens (p. 3). STRUCTURE ET TEXTURE
épaisseur va- riable suivant les ré- gions. 710 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fig. 463. - L'écorce cérébelleuse du l
cune direction ne prédomine et on ne voit nulle part, comme dans le
centre
ovale de Vieussens, par exemple, des fibres d'u
o la substance blanche centrale du cervelet. 7m t) ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Système des feu- tl'ago5U1tl'a r.t c
IBRES DU LA SUBSTANCE BLANCHE DU CERVELET ", .¡. 71G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres semi-circu- laires externes.
fférencié analogue au faisceau compact de la couronne rayonnante du
centre
ovale de Vieussens. Elle» enveloppent la face e
noyau de la branche cochléaire du nerf auditif. 718 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Aspect des fibre semi-circulaires ex
ase des axes du lobe central et de la lingula. 720 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. (fsme) qui se présentent sur les coupe
n l'aurait représentée comme le prodrome d'un état pathologique des
centres
nerveux, devant se révéler plus tard. Enfin M.
. Si le malade convenait parfois que sa maladie résidait dans les
centres
nerveux, il n'en analysait qu'avec une anxiété pl
8°. 26 PHYSIOLOGIE. et de manifestation des idées. L'existence de
centres
sensoriels et sensitivo-moteurs distincts, en m
les était arrivé son maître sur les rap- ports de réchauffement des
centres
nerveux avec l'activité psychique, et qui peuve
ui la mettent en jeu, est liée à une production de chaleur dans les
centres
nerveux, chaleur quantitativement supérieure à
un complexus de conditions organi- ques favorables à l'activité des
centres
nerveux. Chez les êtres vivants, il n'y a pas p
nscience, - qui n'est rien de plus, natu- rellement, qu'un état des
centres
nerveux, un phéno- mène d'accompagnement de cer
liée exclusivement à la période de désintégration fonctionnelle des
centres
nerveux. 2° L'intensité de la conscience est en
ilité et de la rapidité de la transmission des impressions dans les
centres
nerveux. Le système ner- veux tout entier, et n
onnelle portée au maximum, réchauffe- ment le plus considérable des
centres
nerveux. Les fonctions psychiques accompagnées
e peut posséder ces représentations, puisque la destruction de tout
centre
sen- soriel entraîne l'abolition des représenta
, et que la décapitation est la destruction simultanée «le tous ces
centres
.» Les con- disions physiques de la conscience,
ef, « la somme de cons- cience manifestée en un moment donné par un
centre
nerveux, quel qu'il soit, ou par un groupe d'él
nce dans la syncope, etc. : elles dominent également l'activité des
centres
de la moelle épinière, du mésocéphale et du cer
e rayonnement toujours plus intense de la conscience cérébrale. Les
centres
spinaux, devenus inconscients, automatiques, ch
rait dans l'espèce de catalepsie où tomberaient les élé- ments des
centres
nerveux. Dans la démence et dans les formes d'a
nsfor- ment aussitôt en réactions motrices, la désintégration des
centres
nerveux a lieu, mais avec une durée et une inte
isent toujours les mêmes, consécutive- ment à l'excitation de leurs
centres
respectifs. On peut les répartir sous quatre ch
quatre chefs, selon qu'ils ont lieu : 1° par irritation locale des
centres
corticaux du mouvement, comme dans l'agitation
tentissant directement des ganglions de la base et du bulbe sur les
centres
moteurs pour y provoquer une réaction automatiq
ar exci- tations transmises des zones « sensitivo-idéatives » aux
centres
moteurs corticaux : les cas de tics convulsifs,
reste de la mémoire organique qui présidait à l'automa- tisme des
centres
nerveux cérébro-spinaux. Les élé- ments moteurs
encore ces malades est inconsciente; les décharges nerveuses de ces
centres
ont lieu avec une fatalité d'autant plus assuré
quelle part doivent prendre à la pathogénie de ce phé- nomène les
centres
nerveux de l'écorce cérébrale dont la désorgani
u qu'à rappeler les idées vraiment géné- rales de son hypothèse des
centres
mixtes de l'écorce cérébrale, hypothèse présent
mpagnent tou- jours les processus psychiques. La nature mixte des
centres
fonctionnels de l'écorce cérébrale étant ad- mi
ra. Set t. 1889. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 43 l'excitation d'un
centre
quelconque de l'écorce doit provoquer à la fois
de l'écorce doit provoquer à la fois, s'il s'agit par exemple d'un
centre
« moteur » : 1° le réveil des images de sensibi
qui a lieu en même temps que celle des éléments « moteurs » de ce
centre
. La représentation d'un mouvement, qu'elle soit
trices : 1° la phase centrale est constituée par le réveil, dans un
centre
cortical, des images sensitives du mouvement; i
hase centrifuge est constituée par l'impulsion motrice qui, du même
centre
, va vers les nerfs et les muscles destinés au m
vaut pour toutes les hallucinations en général, puisque tous les
centres
de l'écorce cérébrale, et non pas seulement les
tous les centres de l'écorce cérébrale, et non pas seulement les
centres
dits moteurs, sont mixtes. et sont par con- séq
dits moteurs, sont mixtes. et sont par con- séquent, à la fois, des
centres
de perception des im- pressions de la sensibili
u'il a déjà été expliqué. L'excitation, normale ou pathologique, du
centre
cortical de la vision déterminera, selon Tambur
nation motrice verbale pure est la production simul- tanée dans le
centre
cortical irrité : Il, d'images sen- sitives des
eux centrifuge qui, suivant le degré d'irrita- tion pathologique du
centre
considéré, déterminera dans les nerfs et dans l
urini une sorte d'épilepsie. Or si une irritation pathologique d'un
centre
fonc- tionnel du cerveau, tel que celui de l'ar
scipiize mecliclie.'l'ormo, 1886. - La doctrine de la fièvre et les
centres
thoraciques cérébraux. Etude sur l'action des a
témoin les expériences de Schiff sur réchauffement des nerfs et des
centres
nerveux à la suite des irritations sensitives,
ée jusqu'à la scissure longitudinale, se trouve une ré' : ion ou un
centre
Ci. 2. fig. 1 ; fig. % et 3, tête) dont l'excit
ille, et des mouvements de la tête et des yeux du côté opposé. Ce
centre
a été différencié plus complètement par Beevor et
erveau du chien se trouve au numéro 12 (fig. 5. On ne trouve pas un
centre
ainsi différencié chez le chat (fig. 6), ni che
. Les mouvements varient suivant la position des électrodes dans le
centre
. Derrière la scissure de Rolando, les mouvement
excitation de l'extrémité supérieure de la scissure de Rolando. Le
centre
cor- respondant chez le chien, le chat et le la
hat et le lapin est indiqué par I, figures 5, 6, 7. Au-dessous du
centre
de la jambe, et en partie au-devant de lui, occ
supérieur (3. 4, 5, 6, a, 6, c. d, fig. 1, et arm. fig. 2). Dans ce
centre
, il est possible de différencier plus ou moins
est indiquée par les mêmes nombres (4, 5, fig. 7). Au-dessous du
centre
du bras, et occupant le tiers inférieur des cir
Dans la partie supérieure de cette région, on peut différencier des
centres
pour les muscles faciaux supérieurs (fit. 1, 2, 3
nt retrouvé être vrai dans les mouvements des cordes vocales. Les
centres
pour la tête et les yeux, le bras et la jambe, s'
différenciation fonctionnelle, et il est évident, en comparant les
centres
correspondants sur le cerveau du singe, du chien,
n examen soigneux avec le courant faradique pour les recherches des
centres
à extirper. Après plusieurs essais, on obtint q
gauche de la face. » Ces résultats correspondent avec différents
centres
déjà définis. Dans un autre cas de Lloyd et Dea
sont localisés séparément ou sont représentés plus ou moins dans un
centre
commun, les cen- tres dans leur ensemble sont c
autres. Aucun mouvement de la jambe ne provient de l'excitation du
centre
de la face ni les mouvements de la face de l'exci
u centre de la face ni les mouvements de la face de l'excitation du
centre
de la jambe. Les centres de la jambe et de la fac
es mouvements de la face de l'excitation du centre de la jambe. Les
centres
de la jambe et de la face sont ainsi entièremen
e la face sont ainsi entièrement différenciés l'un de l'autre et du
centre
de l'oculo-moteur. Ce qui est vrai des centres
l'un de l'autre et du centre de l'oculo-moteur. Ce qui est vrai des
centres
éloignés, est sans doute vrai des centres près
teur. Ce qui est vrai des centres éloignés, est sans doute vrai des
centres
près l'un de l'autre. Le fait que l'excitation du
8, lied. Neu's" 24 nov. 1888. 76 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. d'un
centre
donné puisse produire des mouvements combinés de
. d'un centre donné puisse produire des mouvements combinés de ce
centre
et du centre voisin ne peut amener cette conclusi
re donné puisse produire des mouvements combinés de ce centre et du
centre
voisin ne peut amener cette conclusion que cett
citation est incapable de différencier complètement les limites des
centres
respectifs. Les régions qui sont le plus près les
fusion de l'excitant. Même si nous sommes capables de dissocier les
centres
les uns des autres par la méthode de destructio
s, car une lésion destructive, même petite, située sur le bord d'un
centre
donné, affectera les fonctions de plus d'un centr
sur le bord d'un centre donné, affectera les fonctions de plus d'un
centre
. Des faits seront relatés, qui, dans mon esprit
ont relatés, qui, dans mon esprit, justifient la conclusion que les
centres
comme un tout sont aussi complètement différen-
particulier, par une excitation minime d'un point défini dans le
centre
général, cependant, le même mouvement peut se pro
e même mouvement peut se produire avec d'autres quand une partie du
centre
est excitée. On peut in- terpréter ce fait soit
ment particulier, du pouce par exemple, est représenté dans tout le
centre
du bras, ou bien que c'est un cas de diffusion
araîtra qu'il y a une beaucoup plus grande différenciation dans les
centres
corticaux que dans les segments respectifs des
a moelle. Mais, à mon avis, toute autre représentation^en dehors du
centre
général d'un membre est contraire aux faits de
mande comme complément une destruction strictement localisée de ces
centres
dont l'excitation donne lieu à des réactions mo
de destruction loca-- lisée et j'ai ainsi déterminé l'existence de
centres
sensoriels ou de perception en rapport avec les
pport avec les différentes formes de sensibilité aussi bien que les
centres
moteurs, principalement sinon exclusi- vement.
ntres moteurs, principalement sinon exclusi- vement. L'existence de
centres
sensoriels distincts a été depuis confirmée par
e penser que les erreurs que j'ai commises dans la délimitation des
centres
sensitifs sont plutôt des erreurs d'omission qu
ue d'exagération, et que les régions où j'avais d'abord,, placé les
centres
sensitifs respectifs correspondent en partie à la
fs respectifs correspondent en partie à la situation assignée à ces
centres
par les méthodes cliniques et expérimentales le
éthodes cliniques et expérimentales les plus dignes de confiance.
Centres
visuels. - Je vais d'abord appeler votre attentio
'une sensation visuelle subjective et dus à une action associée des
centres
frontaux et oculo-moteur sous-cortical, a reçu
as d'excitation du lobe occipital que dans le cas d'excita- tion du
centre
frontal de l'oculo-moteur ; indiquantainsi que da
cas, l'impulsion nerveuse doit être transmise à travers au moins un
centre
nerveux de plus que dans le dernier cas. Ceci c
qu'ils n'indiquent pas nécessairement une action associée de ces
centres
corticaux, mais peuvent être dus, sinon toujours,
ticaux, mais peuvent être dus, sinon toujours, à l'exci- tation des
centres
oculo-moteurs des tubercules quadrijumeaux. Dan
des fibres radiales ou centrifuges entre l'écorce occipitale et les
centres
oculo-moteurs, et l'excitation de l'expansion c
es tractus produira pratiquement le même effet que l'excitation des
centres
avec lesquels ils sont en relation. La région
ères recherches, je pensai que les plis courbes formaient seuls des
centres
visuels, conclusion fondée sur les effets posit
es faits semblent justifier l'opinion que les plis courbes sont des
centres
visuels, chacun étant en relation avec tout l'oei
de Munck quand il s'agit de déterminer l'exacte délimita- tion d'un
centre
donné. Il est raisonnable de supposer que les o
ani et Tamburini et Luciani sont arrivés à cette conclusion que les
centres
visuels ne sont pas limités aux lobes occipitaux,
s sur la vue. (Archives de médecine expérimentale, 1889.) , ' The
centre
for vision, liesearclaes ol the Loomis laboralory
des deux lobes occipitaux (voir cas 25 et et 26) fait penser que le
centre
en rapport avec la conscience visuelle n'est pa
rtance relative de la portion antérieure, postérieure et médiane du
centre
visuel de l'écorce '. » > . Op. cit., p. 19
ion du lobe occipital tel quel. - Schoefer ' lui-même admet que' le
centre
visuel n'embrasse pas seulement le lobe occipit
la totalité du ph courbe. Les rapports des différentes portions des
centres
visuels avec la rétine d'après les phénomènes p
il faut supposer que par l'opération les connections médullaires du
centre
visuel entier sont impliquées. - Schrcfer lui-m
ès bien avec le schéma de Schilffer qui est le suivant : t° tout le
centre
visuel d'un hémisphère est en rap- port avec la
c la moitié latérale correspondante des deux rétines; 2° la zone du
centre
visuel d'un hémisphère est en rapport avec la moi
c la moitié supé- rieure des deux rétines; 3° la zone inférieure du
centre
usuel est en rap- port avec la partie inférieur
moitié correspondante des deux rétines; îo la zone intermédiaire du
centre
\isuel est en rapport avec la partie moyenne de
plobablernent dé pareils faits qui ont conduit Luciani à étendre le
centre
visuel jusqu'au lobe tem- ppral. Non seulement'
ale divisant les fibres médul- laires qui émergent de la région des
centres
optiques primaires. Brown elTbompson 2 pensent
Scba·fer, contredisent l'opinion de Munk que le pli courbe est le
centre
sensitif du globe oculaire, et on trouvera en exa
ts qu'il saisissait rarement avec précision, les saisis- Fig. 10. -
Centres
corticaux du chien d'après Munk. ,1, 7.ne w.uel
ut que la vision était meilleure sur toute la périphérie que sur le
centre
. Les objets tenus directement devant les yeux e
que les plis combes sont plus particulièrement en relations avec le
centre
de la vision distincte et par suite avec les macu
sphère opposé que dans l'hémisphère du même côté et probablement le
centre
de la vision claire est représenté principaleme
li courbe de l'hémis- phère opposé. Les relations rétiniennes des
centres
visuels ne peuventpas être ex- pliquées par une
la surface exté- rieure au-devant du lobe occipital, il y avait un
centre
visuel plus élevé 96 " PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
t applicables. Il est ceitain que, chez l'homme, les affections des
centres
visuels produisent parfois l'amblyopie croisée
age des fibres qui excitent la contraction pupillaire à travers les
centres
oculo-moteurs comme celles qui excitent les sensa
ion re- flexe de la pupille à la lumière ; tandis que la lésion des
centres
corticaux cause l'hémiopie mais laisse intacte
les faits est que les plis courbes sont plus particu- lièrement les
centres
de la vision claire, chacun surtout pour l'oeil
lutôt des lésions partielles des radiations optiques plutôt que des
centres
eux-mêmes. C'était sans aucun doute là la patholo
et d'aulres symptômes dus aux lésions des tractus cérébraux et des
centres
dépassent la région occipitale. Sous ma directi
le avec la perception visuelle ; tandis que Wil- brand pense que le
centre
visuel est plus spécialement dans la pointe occ
le être un exemple des lois de l'évolution et de la dissolution des
centres
nerveux qui ont été si habilement exposées par
manifestations fonctionnelles les moins élevées. Les fonctions des
centres
visuels, en rapport avec la simple sensation visu
qu'elle soit aussi abolie entièrement, il faut que toutes traces du
centre
donné soit enlevée. En d'autres termes, on renc
ent dans ces modes de ma- nifestation plus spécialisées. Pour les
centres
visuels des vertèbres inférieurs, je ne puis pas
is pas citer beaucoup de mes observations et de mes expériences. Le
centre
visuel des chiens a été l'objet principal des r
uces de Luciani, semblent démontrer que, quoique chez les chiens le
centre
visuel est principalement en relations avec l'oei
ec le quart externe de l'oeil du même côté. Donc, la destruction du
centre
visuel dans un hémis- phère paralyse les trois
et que, pour un 'Centralblatt f. med. Il'issenscha/'ten, 187î. '
Centres
0/ Vision in the cérébral hémisphères. (Med. Reco
lechterew 1, Il trouve que chez les chiens et les chats il y a deux
centres
dans l'écorce en rapport avec la vision : l'un
it avec l'hémiopie l'amblyopie de l'oeil opposé par la paralysie du
centre
de la vision claire. Cette affection com- binée
ues correspond chez le singe au pli courbe et au lobe occipital. Le
centre
visuel décrit par Munk est représenté dans la /
rieure de la deuxième circonvolution externe de l'oeil il place le
centre
de la vision claire (macula lutea) du côté opposé
é. La portion moyenne de la zone visuelle avoisinant la faux est le
centre
de la moitié interne, la portion antérieure le
a faux est le centre de la moitié interne, la portion antérieure le
centre
de la moitié supé- rieure et la portion postéri
re, de la rétine opposée. Il considère la portion latérale comme le
centre
pour le quart externe de l'oeml du même côté, i
réemmagasiner des figures visuelles, nouvelles dans la partie du
centre
non détruite. Quelques images cependant moins fra
rtion considérable de l'écorce du lobe occipital, est décrite comme
centre
visuel par Munk. Mais de beaucoup la plus grand
entre visuel par Munk. Mais de beaucoup la plus grande partie de ce
centre
est pour lui du luxe. Les « images de la mémoir
s de la rétine étaient représen- tées dans les régions indiquées du
centre
visuel, il est peu proba- ble qu'elles pourraie
g- ments de la rétine sont en rapport avec des points spéciaux du
centre
visuel. Quand un trouble de la vision se produit
la même hémiopie ou semiam- blyopie, quelle que soit la portion du
centre
atteint. La portion la- térale du lobe n'est pa
La portion la- térale du lobe n'est pas en relation spécialeavec le
centre
extrême de l'oeil du même côté, ni aucune parti
celle qui est la moins affectée dans tous les cas que la lésion du
centre
.visuel, soit uni ou bi-latérale. II n'y a jamai
aralysés et le retour de la vision, après des lésions partielles du
centre
visuel, n'est pas dû à la pratiqne, nia l'acqui-
impossibilité d'exercer ses facultés visuelles. Chez les lapins, le
centre
visuel, suivant l'homologie des réactions élect
lapin aussi les deux yeux sont plus on moins en rapport avec chaque
centre
visuel; certaines expériences de Munk viennent
Chez les pigeons et les oiseaux en général, la région homologue au
centre
\isuel des animaux supérieurs occupe la partie pa
us à une fermeture incomplète de l'oeil droit. Pour s'assurer si le
centre
visuel de l'hémisphère gauche était intact, l'o
t sous la dépendance de lésions primaires ou secondaires des autres
centres
ou tractus sensoriels ou moteurs. Dans les expé
les singes. Quoique le singe rendu aveugle par l'extirpation de ces
centres
visuels acquiert le pouvoir d'éviter les obstac
nnes sont coordonnées avec des actions adoptées à un but dans les
centres
subordonnés des vertèbres inférieurs, comme les p
même quoique à un moindre degré. 11 est certain cependant que le
centre
visuel de l'écorce n'est pas seulement une région
utant que la destruction des cenlres visuels amène une atiophio des
centres
optiques pri- maires, des tractus optiques et d
régions comprises dans la zone visuelle. La différen- ciation d'un
centre
exclusivement, autant qu'on en peut juger par l
auto- matiques. II. Ceux qui tiennent à l'agitation (excitation des
centres
sus-corticaux par irradiation corticale). Il[.
sur le foyer de l'idéation, tandis que l'autre va se graver sur le
centre
d'un des organes des sens quel- conque et revie
uées; c'est-à-dire dans le système nerveux périphérique et dans les
centres
cérébraux inférieurs. L'entière conservation de
vient aussi combattre l'idée que la maladie ait pu débuter par les
centres
supérieurs de la mentalité. Certains cas d'at
es et de ne pas dépasser 3 milligrammes. Ce médicament paralyse les
centres
moteurs et sécrétoires, ralentit le pouls et la
ousseaux contiennent très probablement des fibres qui descendent du
centre
de l'hypoglosse et du facial. 11 est extrêmemen
62 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'INFLUENCE DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE SUR LA DISTRIBUTION TOP
malade de coeur »; vous savez ce qu'il faut entendre par là. DES
CENTRES
TROPHIQUES DE la MOELLE 163 Cependant il a eu l
tions nerveuses, particulièrement des névrites péri- Fig. 12. DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE 165 riphériques (protop
. Vous l'avez vu déshabillé, et vous avez pu constater que la DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE 161 jambe gauche, dans
des formes extérieures du corps humain, p. 231. Fiy, 13, . DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE 169 existe à gauche, pa
e, sur laquelle elles empiètent légèrement; quelques Fig. 15, DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE 171 vésicules isolées o
. Cependant, il ne s'agit point ici de tabès, mais de pseudo- DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE 173 tabès ou, pour mieu
e, comme dans le tabès, c'est-à-dire, à une altération profonde des
centres
médullaires, mais à l'atrophie du muscle tricep
1 P. Strubing. Deutsches Arch. f. klin. Mes. XXXVII, S. 513. DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE 178 tômes fondamentaux
t-à-dire sans l'intervention ou la participation patholo- gique des
centres
trophiques de la moelle épinière. L'absence de
en- teuses ou toxiques, encore faut-il que ces parties soient des
centres
, au sens que l'on accorde habituellement à ce mot
riable selon les cas), pour expliquer une névrite secondaire, DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE. 177 circonscrite à un
ère-t-elle pas l'hypothèse - je ne dis pas davantage - que tous les
centres
spinaux, d'où émerge cette partie du plexus, on
t. XXXIX. Korsakoff. De la paralysie alcoolique, Moscou, 1887. DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE. li9 Tout cela est enco
orté à reconnaître l'influence des altérations dites dynamiques des
centres
nerveux sur l'ap- parition de troubles trophiqu
ie ainsi les modifications plus ou moins profondes de structure des
centres
trophiques, que la technique actuelle est encor
substance grise interposée entre le faisceau pyramidal et les DES
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE. 181 nerfs périphérique
ériques peuvent provenir d'un trouble exclusivement fonctionnel des
centres
trophiques. Strümpell soutient le contraire. En
Tu. Paris, 1870 (Des amyotrophies réflexes). 182 CLINIQUE NERVEUSE.
CENTRES
TROPHIQUES DE LA MOELLE. Quoi qu'il en soit, un
mité du trajet nerveux, c'est-à-dire à la partie laplus éloignée du
centre
spinal, comme il arrive le plus souvent, lorsqu
il arrive le plus souvent, lorsqu'un nerf, en connexion avec son
centre
trophique est irrité sur un point quelconque de s
observations nous font voir l'influence des troubles dynamiques des
centres
nerveux sur la nutrition des tissus, et particu
portion circonscrite du névraxe. De là à admettre l'influence des
centres
nerveux sur la production des lésions périphériqu
ROLARD, Professeur d'anatomie à l'Ecole de médecine d'Alger 3. iI
CENTRE
CORTICAL DE L'OLFACTION. C'est dans le corps go
godronné, ou plutôt dans la for- mation godronnée, que je place le
centre
de Polection. 1 Voir : Vulpian, loc. cit. p. 53
aintenant que la circonvolution godronnée constitue à elle seule le
centre
cortical de l'olfaction ? La corne d'Ammon et l
line àpenser, en s'appuyant sur les expé- riences de Fermer, que le
centre
de l'olfaction est dans la corne d'Ammon ou dan
ues coïncidant avec l'hémianesthésie générale plaident en faveur du
centre
cortical. > Malgré cette tendance qu'ont de
nt de nombreux auteurs à voir dans la région de la corne d'Ammon un
centre
olfactif, rien n'est encore précisé : cette ten
ont contribué à enrayer les recherches du côté de l'existence d'un
centre
nerveux cortical. Le bulbe olfactif ayant été c
e bulbe une véritable autonomie, lui permettant de jouer le rôle de
centre
nerveux. Tout en accordant au bulbe ce rôle pré
ccordant au bulbe ce rôle prédominant, Broca a néamoins admis trois
centres
nerveux secon- daires, un supérieur, un postéri
x secon- daires, un supérieur, un postérieur, et un antérieur. Le
centre
olfactif supérieur est situé sur la face in- DE
circonvolution du corps calleux)... - Plus loin, il dit : « Il (le
centre
) va se perdre dans la couche de la substance gr
ière la bandelette diagonale de l'espace quadrilatère. » ... « Le
centre
olfactif postérieur est le lobe de l'hippocampe
l'hippocampe croît et décroît en même temps que cette racine... Le
centre
antérieur com- prend la partie postérieure des
s. » C'est en s'appuyant sur des probabilités que Broca édifie ce
centre
qui a à recevoir les fibres blanches émanées de
ns insister sur ce qu'a d'anormal ou d'exception- nel le siège d'un
centre
sensitif dans le lobe frontal, je ferai remarqu
ie avec ce qui existe chez les animaux que Broca, a construit son
centre
antérieur. Il faut remarquer ensuite que Broca,
ge l'homme parmi les anosmatiques, lui accorde cepen- dant quatre
centres
nerveux olfactifs, un principal et trois second
e, peut- être retenu dans les idées de Broca, c'est qu'il fait un
centre
olfactif du lobe de l'hippocampe « qui croît et
e sa structure, et qui, par suite, est évidemment désignée comme un
centre
cortical d'une nature toute particulière ». P
s de l'organisation des mouvements acquis. Le plus grand nombre des
centres
fonctionnels (marche, station, course natation,
différents et qui sont enfermés dans la caisse de l'instrument3. Le
centre
spinal posséderait ainsi le matériel d'exécutio
posséderait ainsi le matériel d'exécution et serait dirigé, par le
centre
cortical, «par la mémoire psychologiques qui in-
nt en relation avec les groupes cellulaires correspondants dans les
centres
spinaux. Des groupes cellulaires corticaux part
upes cellulaires corticaux part le stimulus à l'occasion duquel ces
centres
spinaux en- trent automatiquement en action. Ce
e la station, de la marche, du saut, etc., comportent chacun deux
centres
ou groupes cellulaires différenciés, dont l'un si
ébrale, tandis que l'autre réside dans la moelle épinière; ces deux
centres
étant reliés l'un à l'autre, bien entendu, par
er le mécanisme par une influence d'arrêt portant son action sur le
centre
cortical de la station et de la marche ou sur l
tion sur le centre cortical de la station et de la marche ou sur le
centre
spinal. Blocq conclut (loc. cit.), que l'altéra
t, l'affection n'en occuperait pas moins certaines régions dans les
centres
nerveux, qui détermineraient clini- - quement l
d'avis qu'il n'est pas question ici d'une non activité (Ausfall) de
centres
fonctionnels bien ' déterminés, mais que cette
ode anormal (abasique) de progression, pendant quelque temps, ses
centres
inférieurs s'organisent en conséquence, de telle
-élec- triques des physiologistes italiens sur la température des
centres
nerveux durant le travail psychique. Dans sa ré
que, ne détermine pas seulement une élévation de la température des
centres
nerveux dans la phase sta- tique de leur activi
Les refroidissements sont dus à des processus de désintégration des
centres
nerveux, les échauffements à des processus d'in
dent aussi des territoires communs, des zones d'irradiation, où ces
centres
« s'engrènent », se confondent, se pénètrent en
en mieux étendus chez l'homme que chez les animaux inférieurs : les
centres
fonctionnels du cer- LES FONCTIONS DU CERVEAU.
commun, situé sur le lobe pariétal inférieur : les lésions de ce «
centre
des centres », entraînant à la fois des trouble
tué sur le lobe pariétal inférieur : les lésions de ce « centre des
centres
», entraînant à la fois des troubles de la visi
ppartenant au système cortical, peuvent suppléer en partie, comme
centres
de perception et d'idéation, les fonctions de l
suppléance est donc possible entre les diverses par- ties d'un même
centre
, ce qui serait impossible s'il existait des rap
eux périphériques d'un organe des sens et les éléments nerveux du
centre
cortical correspondant. V. Les rapports de chaq
nerveux du centre cortical correspondant. V. Les rapports de chaque
centre
fonctionnel de l'écorce cérébrale avec les orga
J38 PHYSIOLOGIE. Il faut toutefois tenir compte, pour ce dernier
centre
, des recherches anatomo-pathologiques sur les d
dépend, non d'une diversité spécifique des éléments nerveux de ces
centres
, mais de la nature des sensations de l'organe p
processus de désintégration et de réintégration fonc- tionnelle des
centres
nerveux. Le travail cérébral est une forme de l
are Traduites par ROBERT SOREL, interne des hôpitaux Leçon IV. LE
CENTRE
DE l'audition Monsieur le président, Messieur
ter la circonvolution ; même ces morceaux étaient séparés de leur
centre
médullaire. Mais pour avoir un résultat doublemen
e attribuée aux portions non détruites par les lésions décrites, du
centre
cortical auditif ou aux centres subcorticaux ou
truites par les lésions décrites, du centre cortical auditif ou aux
centres
subcorticaux ou mésencéphaliques. Je n'ai pas e
itive simple et grossière est toujours possible par l'entremise des
centres
inférieurs. Munk, d'après ses expériences sur l
ion de la durée de la surdité complète. Cependant il suppose que le
centre
auditif de l'écorce embrasse une plus gande éte
9), région que j'ai complètement extirpée sans causer le Fig. 19.
Centres
cervicaux du singe d'après blunk. - A. Centre vis
el. - C. à J. Centre de sensibilité tactile (Fiihlsphrcre) de Iunk.
centres
psychomoteurs des autres auteurs. - z D. Région
e d'une oreille; mais quoique plusieurs fois après l'extirpation du
centre
auditif d'un hémisphère j'ai observé la perte o
aussi d'autres fonctions. Cependant, quant à celui-ci et aux autres
centres
sentitifs, Luciani paraît combattre pour une form
e localisation qui n'est pas du tout de la localisation, car chaque
centre
parait remplir jusqu'à un certain point les fonct
eau (bain, 1885, p. 154). 252 ) PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. autre
centre
, résultats que je considère comme absolument oppo
lésions strictement localisées. On remarquera, pour la position du
centre
auditif chez le chien, qu'il n'a pas les mêmes
onc dire avec une entière certitude que es lobes temporaux sont les
centres
cérébraux de l'audition. » Quoique les lésions
ne suffit à elle seule à le démontrer, le siège que j'ai désigné au
centre
auditif dans ces lobes. Les affections de l'oui
ion tem- porale apportent encore une preuve pour la localisation du
centre
auditif dans cette circonvolution. Gowers a rap
et Leehterew2, montrent que le nerf auditif est en rapport avec le
centre
auditif de l'écorce par la bandelette infé- rie
culaire et non les fibres cochléeimes ou vrai nerf de l'audition.
CENTRES
DE LA SENSIBILITE TACTILE Je vais maintenant co
NSIBILITE TACTILE Je vais maintenant considérer la localisation des
centres
de la sensibilité ordinaire et tactile. Il y
tactile. Il y a encore beaucoup d'incertitudes sur le trajet et les
centres
des formes variées de sensibilité. On admet uni
er un trouble de la vision psychique. Il résulte ou de la lésion du
centre
des images commémératives des impressions optiq
d'une altération des fibres nerveuses d'association qui unissent le
centre
visuel au centre de la parole (aphasie optique)
des fibres nerveuses d'association qui unissent le centre visuel au
centre
de la parole (aphasie optique), ou enfin d'une
d'une destruction des fibres d'associa- tion qui joignent plusieurs
centres
sensoriels, dans la couche blanche sous-cortica
ures. P. Keraval. XVII. CONTRIBUTION A la méthode DE coloration DES
CENTRES
NER- veux de GoLCI ; par L. Greppin. (Arch. f.
hoïdal ; impuissance. Autopsie avec examen microscopique Lésion des
centres
spinaux et surtout des troisième et quatrième pai
iels. Il existe dans la moelle, suivant le segment con- sidéré, des
centres
vasculaires indépendants les uns des autres. Le
sidéré, des centres vasculaires indépendants les uns des autres. Le
centre
vasculaire du bulbe en est le régulateur physiolo
bulbe en est le régulateur physiologique. Il existe d'autre part un
centre
respiratoire thoracique et un centre respiratoi
que. Il existe d'autre part un centre respiratoire thoracique et un
centre
respiratoire abdominal indépendants l'un de l'a
des affectés du phénomène de Cheyne-Stokes. En ce qui con- cerne le
centre
abdominal, l'origine vasculaire de ses oscillatio
tération de l'ecorce cérébrale empêche l'action com- pensatrice des
centres
vasculaires sous-jacents à elle. C'est pour- qu
ence des nerfs périphériques qui marche ensuite de la périphérie au
centre
. On en a une preuve dans la réaction dégénérati
XXXI. Recherches expérimentales ET ANAT01f0-PATIfOLOGIQUES SUR LES
CENTRES
OPTIQUES ET LEUR TRAJET; par C. l'ON MONAKOW. (Ar
l vrai que la paire inférieure des tubercules quadrijumeaux soit le
centre
du nerf auditif et, en particulier, du nerf cochl
distinguent franchement les uns des autres. - On voit ainsi que les
centres
primaires du nerf cochléaire donnent naissance
erveau et réglé par le lobe cérébelleux moyen. Le lobe moyen est un
centre
régulateur des impulsions centripètes; elles sont
celles qui provoquent les sensa- tions. L'écorce motrice arrête le
centre
des réflexes musculaires dont dépend le phénomè
pédoncules cérébraux, les segments supérieurs des couches optiques (
centres
d'arrêt). L'excitation du gyrus sigmoide (princ
re lésion médullaire. Jusqu'à pré- sent, la localisation exacte des
centres
trophiques des muscles sur l'écorce cérébrale e
ctionnelle des cellules des cornes antérieures (Vulpian), celle des
centres
trophiques particuliers (Quincke Hirt), toutes
herches de Landois et Eulenburg, est identiquement la même pour les
centres
vaso-moteurs et les centres psycho-moteurs. D'a
urg, est identiquement la même pour les centres vaso-moteurs et les
centres
psycho-moteurs. D'accord avec ces recherches, i
antité de sang au muscle correspondant. La lésion anatomique de ces
centres
créerait donc simultanément et les conditions n
es études de ce dernier. Nous voulons parler, en parti- culier, des
centres
d'arrêt et de leur action psycho-pathogène. La
e, cette simulatrice tou- jours féconde des maladies organiques des
centres
nerveux, il faut s'attendre chaque jour aux sur
ins atteinte. Ces faits montrent la région de l'hippocampe comme le
centre
do la sensibilité commune et j'ai alurs cherché
emblables expériences sur le gyrus forni- catus pour vérifier si le
centre
tactil ne pourrait pas s'étendre dans le reste
bras, jambe et tronc. Donc on ne peut pas conclure à l'existence de
centre
spécialisé dans le centre général. Il est proba
on ne peut pas conclure à l'existence de centre spécialisé dans le
centre
général. Il est probable cependant qu'un certai
fornicatus a été détruit, la circonvolution marginale et les autres
centres
moteurs de voisinage et leurs fibres sont plus ou
tion de l'hippocampe du lobe falciforme, suffisamment éloignée des
centres
moteurs et de leurs fibres conductrices, pour ass
pyramidal. La question demande encore de nouvelles re- cherches.
CENTRE
DU GOUT ET DE L'OLFACTION La position du centre
s re- cherches. CENTRE DU GOUT ET DE L'OLFACTION La position du
centre
olfactif ou au moins sa principale situation pe
ippocampe en entier, qui, comme nous l'avons vu, est une portion du
centre
tactile. La largeur relativement grande de la r
oit possible d'expliquer ceci autrement que par l'hypothèse que les
centres
de la perception olfactive et du goût étaient,
a qu'un chien qui avait été rendu aveugle par la destruction de ses
centres
visuels semblait incapable de découvrir par l'o
ense que ce cas montre que la circonvolution de l'hippocampe est le
centre
de l'odorat, cependant, vu que les lobulesdel'h
la lésion, nous pouvons considérer ce fait comme une preuve que le
centre
de l'odorat est plus particulièrement localisé
t, fait qui semble nous montrer que cette portion du cerveau est le
centre
de la sphère olfactive. » Luciani pense égaleme
centre de la sphère olfactive. » Luciani pense également que chaque
centre
est en rapport avec les deux narines, mais plus
dorat. Nous avons vu que, à un point de vue anatomique au moins, le
centre
olfactif est en relation directe avec la narine
ésie hystérique paraissent montrer que l'olfaction comme les autres
centres
des sens spéciaux est en relation avec le côté
cliniques qui sont en faveur du rapport direct de la narine et des
centres
olfactifs. A ceux rapportés par Ogle, Fletcher
, ce dont on peut se rendre compte par la destruction incomplète du
centre
par la tumeur. Ce cas, comme les autres que nou
pas des indications assez précises sur la position et la limite du
centre
que les ablations produisent une perte ou un affa
rie » des attaques épileptiques sont probablement des décharges des
centres
de la gustation ; mais il nous manque sur ce po
ue sur ce point encore plus d'observations que sur la situation des
centres
olfactifs. Le docteur James Anderson 1 a cepen-
indéfinies pour permettre une conclusion précise sur la position du
centre
de la gustation. LECTURE VI. MOTOR CENTRES Mo
c cette hypothèse qu'ils indiquent une excitation fonctionnelle des
centres
directement intéressés dans les mouvements volont
l est inutile d'entrer dans de longs détails que la destruction des
centres
dont l'excitation produit des mouvements défini
é, en intensité et en durée avec l'étendue de la destruction de ces
centres
. Quand la destruction est complète la paralysie
presque toute la zone motrice de la convexité de l'hémisphère, les
centres
de la jambe, du pied et du tronc étant seulemen
t la paralysie des mouvements que laisse intacts la destruction des
centres
de la concavité de l'hémi- sphère : c'est-à-dir
20, op. cit. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 408 unilatérale de ces
centres
ne produit aucun trouble et il est nécessai- re
ces centres ne produit aucun trouble et il est nécessai- re que ces
centres
soient détruits des deux côtés, pour obtenir une
rsley chez les singes, ont montré que l'extirpation unilatérale des
centres
du larynx, ne trouble pas d'une façon perceptib
les, tandis que la phonation volontaire est impossible; lorsque les
centres
sont détruits dans les deux hémisphères. II par
les noyaux bulbaires et spinaux. Quoiqu'une excitation modérée des
centres
corticaux des membres ne donne lieu à des mouve
s de Sherrington, si les lésions corticales affectent seulement les
centres
des membres, la dégé- nérescence bilatérale ne
mais devient bilatérale dans la moelle. Cependant, dans le cas du
centre
laryngé qui est plus manifestement bilatéral, la
rtain degré d'amélioration, même quand on a détruit entièrement les
centres
moteurs d'un hémisphère, et cette amélioration
rtance pour l'hypo- thèse de la compensation fonctionnelle pour les
centres
détruits par les centres voisins ou par d'autre
de la compensation fonctionnelle pour les centres détruits par les
centres
voisins ou par d'autres portions du même hémis-
s détruisent et non pas compriment seulement la substance grise des
centres
respectifs, . produisent invariablement une par
uctives d'une maladie, mais aussi après l'excision chirurgicale des
centres
corticaux. Non seulement des lésions de toute l
s animaux inférieurs après une destruction unilatérale complète des
centres
corticaux. C'est la une hypothèse incompatible av
ui étaient manifestes après une extirpation unilaté- rable de leurs
centres
moteurs, cependant en réalité la guérison n'est
onger, était paralysé d'une façon permanente par la destruction des
centres
moteurs du côté opposé. Mais dans sa dernière i
émontrent claire- ment les expériences de Goltz, de l'intégrité des
centres
moteurs de l'hémisphère intact; car quand ces c
intégrité des centres moteurs de l'hémisphère intact; car quand ces
centres
sont détruits des deux côtés, tout mouvement vo
reste paralysé d'une façon permanente. Il dit : « Un chien dont les
centres
moteurs des deux hémisphères ont été détruits n
ibles* * ». L'impuissance dépend de la destruction sy- métrique des
centres
moteurs dans les deux hémisphères; car si les c
métrique des centres moteurs dans les deux hémisphères; car si les
centres
moteurs d'un côté et les régions occipitales de l
sensibilité tactile, spéciale ou genérale après la destruction des
centres
moteurs. On peut observer l'absence ou le défaut
nt on a enlevé le lobe falciforme et de celui dont on a extirpé les
centres
moteurs est si frappant qu'on ne peut douter qu
r aucune preuve de la sensibilité générale après la destruction des
centres
moteurs. « Nous avons vu, disent-ils, suffisamm
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. le trouble produit par la destructiou des
centres
soi-disant mo- teurs s'accompagne au dépend de
l'examen des observations cliniques de maladie céré- brale, que les
centres
moteurs et les centres de la sensibilité tactile
ns cliniques de maladie céré- brale, que les centres moteurs et les
centres
de la sensibilité tactile et génerale coïncidai
rticale était compliquée par la présence d'une large tumeur dans le
centre
ovale 4. Dans un, on dit que la sensibilité éta
déjà analysés et j'ai montré que les lésions comprenaient soit les
centres
sensitifs dans le gyrus fornicatus, soit les co
peuvent avoir existé que de dire que chez certains individus les
centres
moteurs et tactiles peuvent coïncider, tandis qu'
es localisés peut être prise comme une preuve de la coïncidence des
centres
moteurs et sensitifs. Elle peut prouver la cont
ar lésions du lobe falciforme nous avons une preuve de plus que les
centres
moteurs et sensitifs de l'écorce sont anatomiqu
tes d'une hémianesthésie générale plutôt que comme l'indication des
centres
spéciaux de la sensibilité tactile ou muscu- la
othèse émise par quelques auteurs, Nothnagel' entre autres, que les
centres
du sens musculaire sont sités dans le lobe pari
mouvement lui-même et non par un courant centri- fuge, naissant des
centres
moteurs. Nous n'avons. je crois, aucun sens de
pressions sensitives venant des parties en mouvement. L'énergie des
centres
et de l'appareil moteur n'est révélé à la consc
révélé à la conscience que par le fonctionnement des cordons et des
centres
sensitifs correspondants. L'idée ou la concepti
L'idée ou la conception d'un mouvement est donc un réveil dans les
centres
sensitifs correspondants d'im- pressions variée
opriée est l'acte volon- taire luit-même. - - Je prétends que les
centres
des sensations qui accompagnent l'ac- tion musc
ent en partie la base de nos idées de mouvement sont distinctes des
centres
corticaux par lesquels et grâce auxquels les mo
uels les mouvements particuliers sont effectués. La destruction des
centres
moteurs corticaux paralyse la puissance d'exécu
non la conception idéale du mouvement lui- même. Un chien qui a ses
centres
corticaux détruits a une notion distincte des m
ements volontaires effectués par un cerveau consistant seulement en
centres
visuels et moteurs. Dans ces cir- constances, l
ions non senties le nom de « Kinesthésies » et il considère que les
centres
moteurs sont le siège de ces kinesthésies ou se
moteurs sont le siège de ces kinesthésies ou sens du mouvement. Les
centres
moteurs sont donc, suivant lui, en réalité des
uvement. Les centres moteurs sont donc, suivant lui, en réalité des
centres
sensitifs qui excitent les vrais centres de la
uivant lui, en réalité des centres sensitifs qui excitent les vrais
centres
de la ^ moelle par l'intermédiaire des cordons
oordination harmonieuse des différents segments de la moelle et des
centres
inférieurs est assurée sans le concours des hém
des impressions kinesthésiques était l'excitant immédiat des vrais
centres
moteurs dans la moelle, il en résulterait que l
entres moteurs dans la moelle, il en résulterait que les soi-disant
centres
moteurs seraient des centres indépendants d'act
, il en résulterait que les soi-disant centres moteurs seraient des
centres
indépendants d'activité sans rapport avec les -
res indépendants d'activité sans rapport avec les - excitations des
centres
sensoriels de l'écorces. Des expériences montre
sensoriels de l'écorces. Des expériences montrent cependant que les
centres
moteurs ne sont pas des centres d'action indépe
iences montrent cependant que les centres moteurs ne sont pas des
centres
d'action indépendants, car Marique1, dont les exp
ont été confirmées par Exner et Paneth2, a trouvé que lorsque les
centres
ont été complètement isolés par la section des fi
omplètement isolés par la section des fibres qui les réunissent aux
centres
sensitifs de l'ecorce, la paralysie pré- sente
mêmes contractions sont obte- nues par l'excitation électrique des
centres
respectifs après comme avant la séparation, mon
avec les cordons pyramidaux. Ces expériences indiquent donc que les
centres
moteurs de l'écorce ne sont pas des centres d'a
indiquent donc que les centres moteurs de l'écorce ne sont pas des
centres
d'action indépendants, mais q'uils agissent seule
s agissent seulement en réponse aux excitants que leur envoient les
centres
sensilifs au moyen des fibres qui les unissent.
tres sensilifs au moyen des fibres qui les unissent. Si les vrais
centres
moteurs étaient seulement dans la moelle, on s'
oteurs étaient seulement dans la moelle, on s'attendrait à voir les
centres
de la moelle développés en cor- - respondance a
dance avec les capacités motrices de l'animal. Dans pareil cas, les
centres
moteurs de. la moelle de l'homme chez lequel les
cas, les centres moteurs de. la moelle de l'homme chez lequel les *
Centres
psycho-moteurs du cerveau, 1885. , ¡'e,'sllGhe
tivement au cerveau, et re- lativement à la taille de l'animal, les
centres
spinaux moteurs de l'homme sont moins développé
s capacités motrices sont d'ordre inférieur. Le dé- veloppement des
centres
moteurs de la moelle correspond à celui des com
des différents segments du corps, tandis que le développement des
centres
moteurs corticaux correspond à la multiplicité et
volontaires. De ces différentes considérations, je conclus que les
centres
mo- teurs de l'écorce ne sont pas les centres d
s, je conclus que les centres mo- teurs de l'écorce ne sont pas les
centres
de la sensibilité tactile ou générale ni du sen
is qu'ils sont moteurs dans le même sens précisément que les autres
centres
moteurs et que, quoique unis fonctionnellement
lement et organiquement, ils sont ana- tomiquement différenciés des
centres
de sensation générale et spéciale. CENTRES FR
ement différenciés des centres de sensation générale et spéciale.
CENTRES
FRONTAUX. La région ducerveau qui estsituéeen a
substance grise de la plolubérance. - Les lésions destructives des
centres
frontaux, des régions postfroutales et préfront
nsitoire des symptômes pourrait être expliquée par ce fait, que les
centres
postfrontaux, n'étaient pas entièrement détruit
Munk à ce point de vue : et Horsley et Scha;fer ont montré que les
centres
pour les muscles du tronc sont dans la circonvo
nk a pu observer, est due à une altération directe ou indirecte des
centres
. En plus de la paralysie deces mouve- ments de
beaucoup de points de vue, d'une façon incomplète des fonctions des
centres
corticaux pour le mouvement et la sensi- bilité
fonctions et des relations des hémisphères cérébraux et de leurs
centres
n'est pas seulement du plus haut intérêt philosop
ne que des mots ont été prononcés, et il se les représente dans son
centre
auditif. C'est là la véritable idée délirante,
du doute ; soit que l'ébranlement périodique que font subir à leurs
centres
nerveux les attaques convulsives contribue à pr
s de pro- voquer la parole : le champ de l'inhibition s'étendait au
centre
auditif verbal et aux voies de conduction qui l
centre auditif verbal et aux voies de conduction qui le relient au
centre
moteur d'articulation, respectant au contraire
articulation, respectant au contraire celles qui relient ce dernier
centre
au centre visuel des mots et le centre visuel lui
on, respectant au contraire celles qui relient ce dernier centre au
centre
visuel des mots et le centre visuel lui- même.
elles qui relient ce dernier centre au centre visuel des mots et le
centre
visuel lui- même. J. S. XLII. Les asymétries
és dans les extrémités inférieures ; les régions plus éloignées des
centres
sont lésées avant et plus fortement que les régio
nt et plus fortement que les régions situées plus près de ces mêmes
centres
; les extenseurs.sont plus touchés que les fléch
erling, 271. Cl7LLÜLES nerveuses, amibonles par Huckhardt, 290.
Centres
nerveux (méthode de colo- ration des), par Golg
ine (thérapeutique de la), par Neftel, 125. Moelle (influence des
centres
tto- phiques de la -) sur la distribu- tion t
ns de sudation, par Prey, 135. Ncvturta roxururs, influence des
centres
trophiques de la moelle sur la distribution top
ion (appareil nerveux central de l'), par Trolard, 183. Optiques (
centres
! , par Monakow, 283. Oreille de Morel, par B
ction inflammatoire excitée par les lésions produites au sein des
centres
nerveux par la violence extérieure; ils n'appar
épercute la violence subie en un point, dans toutes les régions des
centres
ner- veux... » (p. 153). C'est aussi l'opinio
OURY, Maître de conférences à l'Ecole pratique des Hautes-Etudes.
CENTRES
CORTICAUX DES SENS SPÉCIFIQUES. Vision. Panizza
ongtemps oubliée, cette découverte n'est rien de moins que celle du
centre
cortical de la vision. Après Tamburini ' et Ver
gio, publièrent leurs premières recherches expéri- mentales sur les
centres
psycho-sensoriels de l'écorce cérébrale, en par
res psycho-sensoriels de l'écorce cérébrale, en particulier sur les
centres
de la vision et de l'audition. Les résultats de
ceux de Ferrier, mais ne s'accordaient point avec ceux de Munk. Le
centre
cor- tical de la vision, loin d'être circonscri
oute la partie an- térieure ou frontale de cette circonvolution. Le
centre
visuel du chien était ainsi représenté par une
la région occipitale, ces auteurs italiens inclinaient à y voir un
centre
de « fonctions psychiques » , où les perception
perceptions visuelles. « La cécité consécutive à l'extirpation des
centres
corticaux de la vision n'est pas seulement psyc
ire et du lobe occipi- tal des singes, qu'une lésion unilatérale du
centre
de la vision détermine, non une cécité complète
la destruction du gyrus angulaire, non du lobe occi- pital : « Le
centre
visuel du singe ne peut être confiné dans le lo
humeur éclectique, ils ne tiennent pas le gyrus angulaire pour le
centre
exclusif de la vision, et lui associent « une g
obe occipi- tal ». Mais ils croient encore à l'existence d'autres
centres
de la vision. Car, rappelant que- dans les cas
phère visuelle, la suppléance ou le retour de la fonction est dû au
centre
visuel du côté opposé, et, dans les cas de dest
ns les cas de destruction bilatérale incomplète, aux parties de ces
centres
de- meurées indemnes, ils se demandent comment
corce des deux plis courbes et celle du lobe occipital, bref, les
centres
de la vision selon Ferrier et selon Munk. La vi
ie ! Voilà donc qui démontrait, suivant ces auteurs, que, outre les
centres
corticaux, on devait admettre des centres basil
s auteurs, que, outre les centres corticaux, on devait admettre des
centres
basilaires de la vision, localisés sans doute d
s de suppléer, en vertu d'une sorte d'exaltation fonctionnelle, les
centres
corticaux détruits dans toute leur étendue. L
étudiées : Dans quelles régions du cerveau doit-on localiser les
centres
de la vision ? Quels rapports existent entre le
eil et les sphères visuelles de l'écorce ? Quelle est la nature des
centres
visuels de l'écorce ? 1. Au premier abord, et
s troubles évidents de cette fonction. Faut- il en conclure que les
centres
de la vision sont exclusivement localisés, chez
, mais aussi une partie de la première et de la troisième, comme le
centre
cortical de la vision. Dans la partie antérieur
rrête donc à l'hypo- thèse suivante : la sphère visuelle a bien son
centre
fonctionnel, sa localisation centrale, dans la
rconscrite : elle s'engrène avec d'au ? tres sphères, avec d'autres
centres
corticaux, et, en rayonnant vers les lobes fron
énoïdaux, elle se trouve être en rapport anatomique direct avec ces
centres
. Cette conception d'un « engrenage » du centre
e direct avec ces centres. Cette conception d'un « engrenage » du
centre
fonctionnel de la vision mentale, et de tout ce
engrenage » du centre fonctionnel de la vision mentale, et de tout
centre
sensoriel ou sensitivo-moteur, avec les autres
e, et de tout centre sensoriel ou sensitivo-moteur, avec les autres
centres
de l'écorce, supprime toute limite précise entr
de l'écorce, supprime toute limite précise entre ces régions. Ces
centres
se confondent aux vagues confins de leurs limit
ani, les lobes occipitaux et parié- taux représentent, en somme, le
centre
fonctionnel de la vision, et que ce centre n'es
présentent, en somme, le centre fonctionnel de la vision, et que ce
centre
n'est en rapport anatomique direct avec les aut
e E). « Il paraît donc juste d'en conclure que les irradiations des
centres
de la vision du singe dans l'écorce des lobes p
ces animaux, une plus grande im- portance que les irradiations des
centres
visuels du chien dans les lobes frontaux et tem
l localise toujours, d'une manière géné- rale, chez les animaux, le
centre
cortical de la vision dans la région pariéto-oc
i suivit deux communications de ce savant (27 sept. 1881) sur les
centres
visuels mésencéphaliques et corticaux. II. Quel
ée par la ligne qui traverse verticalement le point de fixation, le
centre
de la tache jaune, la partie externe ou latéral
t plus petite que la partie interne; on a pu en conclure que chaque
centre
visuel cortical soutient des rapports plus éten
RVEAU.. 43 des limites du lobe occipital, et que chaque partie du
centre
de la vision mentale y est en rapport avec les
s faisceaux optiques se confondraient dans leurs trajets vers les
centres
; ils y contracteraient sans distinction des rap
interne de la rétine de l'oeil opposé, soutiennent avec l'écorce du
centre
visuel; les points hachés, plus clair-semés, in
deux rétines. III. La troisième question, celle de la nature des
centres
corticaux de la vision, a plus.de portée qu'au-
comment chaque sens peut être isolément aboli par la destruction du
centre
cortical correspondant. Si les perceptions et l
mentales étaient seules loca- lisées dans l'écorce, l'ablation des
centres
de la vision ne déterminerait qu'une cécité psy
', c'est- à-dire absolue, permanente : il tient donc l'écorce des
centres
visuels pour le siège et des images et des sen-
able, permanente ; il admet donc l'opinion opposée et n'attribue au
centre
cortical de la vision que l'éla- boration psych
a vraie raison de cet insuccès serait que, chez le singe aussi, les
centres
corticaux de la vision ne sont que le siège des
élémentaires de la vue. Chez deux singes, dont l'extirpation des
centres
corticaux de la vision a d'ailleurs été incomplèt
objets. Quant auxétudescliniques et anatomo-pathologiques sur les
centres
fonctionnels de la vision, il est certain que,
1876) et après Munk (1877-1878), touchant le siège et la nature des
centres
sensoriels de l'écorce. Admirant « quelle splen
t « quelle splendide confirmation » avait apportée à la théorie des
centres
psychomoteurs de l'écorce, au point de vue clin
1, ils avaient voulu tenter une entreprise du même genre pour les
centres
sensoriels. De tout temps on a noté la rencontr
observation clinique et de l'examen anatomo-patho- logique, que les
centres
psycho-sensoriels de la vision ne sont ni dans
ues soit aux régions symétriques de l'hémisphère opposé, soit aux
centres
secondaires de la base (tubercules quadrijumeau
nnels de ces deux régions du cer- veau, en d'autres termes, que les
centres
moteurs des bulbes oculaires et des paupières d
culaires et des paupières doivent être aussi intimement associés au
centre
sensoriel de la vision, que l'est, par exemple,
sociés au centre sensoriel de la vision, que l'est, par exemple, le
centre
du langage articulé aux centres moteurs des lèv
vision, que l'est, par exemple, le centre du langage articulé aux
centres
moteurs des lèvres et de la langue. Les réactio
ion, qui représente comme un couple anatomique et physiologique les
centres
mo- teurs et les centres sensoriels de l'oeil e
n couple anatomique et physiologique les centres mo- teurs et les
centres
sensoriels de l'oeil et de la vision. Les fonct
scendante, étaient et sont encore bien peu connues, on le sait. Des
centres
sensoriels, sensitifs et moteurs de l'oeil et d
arisme si communes, en pareille ma- tière, aux savants italiens, le
centre
« oculo-visuel », comme il l'appelle, s'étendra
rieure du lobule pariétal inférieur lui paraissant être le siège du
centre
des mouvements oculo-palpébraux, la partie post
s oculo-palpébraux, la partie postérieure, ou pli courbe, serait le
centre
, ou du moins une partie intégrante du centre de
pli courbe, serait le centre, ou du moins une partie intégrante du
centre
de la vision, car. Angelucci admet que, chez l'
du centre de la vision, car. Angelucci admet que, chez l'homme, ce
centre
est surtout localisé dans les régions occipital
ant, cette bilatéralité fonctionnelle, pro- pre à chaque moitié des
centres
nerveux, pour être plus évidente dans les centr
chaque moitié des centres nerveux, pour être plus évidente dans les
centres
sensoriels, n'en existe pas moins à un certain
ntres sensoriels, n'en existe pas moins à un certain degré dans les
centres
sen- sitivo-moteurs, en dépit de l'importance i
né- gale, mais réels, déterminés par une lésion unila- térale des
centres
nerveux. L'esprit critique de Seppilli excelle
t retenir de ces faits que, chez l'homme comme chez les singes, les
centres
de la vision ne sont pas limités aux lobes occi
. Aucun doute sur ce point chez les auteurs italiens. L'étude des
centres
nerveux dans les cas d'ano- phthalmie congénita
itale serait aussi très utile pour l'anatomie et la physiologie des
centres
de la vue. Parmi les cas publiés jusqu'ici, on
ardi, qui rappelle avec une joie bien légitime que la découverte du
centre
cor- tical de la vision est due à Bartolomeo Pa
igne, dans cette observation, contre Meynert et Huguenin, que les
centres
optiques infracorticaux n'envoient de radiations
a été assez nettement tracé, de station en station, à travers les
centres
visuels infracorticaux ou basilaires, depuis la
illeurs, des appareils périphériques des sens, a été connue, où les
centres
psycho-sensoriels de l'écorce ont été découvert
tomo-clinique. Dès 1878, Luciani et Tamburini avaient considéré ces
centres
sensoriels de l'écorce comme étant à la fois de
ces centres sensoriels de l'écorce comme étant à la fois de vrais
centres
de perceptions élémentaires des sensations et d
cen- tres sensoriels de l'écorce, analogue à celle qui, pour les
centres
moteurs, produit l'épilepsie d'origine cor- tic
aractères de la réalité extérieure. « Les hallucinations sont aux
centres
sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsie
centres sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsie est aux
centres
moteurs » (p. 151). Elles constituent une sorte
moteurs » (p. 151). Elles constituent une sorte d' « épilepsie des
centres
sensoriels ». Les hallucinations sont d'ailleur
suivi d'hallucinations. Le même processus irritatif qui envahit les
centres
moteurs de l'écorce, atteint les centres sensor
rritatif qui envahit les centres moteurs de l'écorce, atteint les
centres
sensoriels et y suscite les sensations ou les i
taines conditions de durée et d'intensité, détermine, appliquée aux
centres
moteurs, des convulsions épileptiformes, appliq
'épilepsie, là l'hallucination expérimentale. Enfin, l'ablation des
centres
sensoriels abolit également ces deux formes de
RVEAU. 59 visuelle corticale droite. Quant à cette partie même du
centre
visuel, quelque délicate et subtile que puisse
haque segment de la rétine et chaque territoire cor- respondant des
centres
corticaux de la vision. Quoi qu'il en soit, la
rale des lésions, soit irritatives, soit destructives, des divers
centres
sensoriels, déterminant soit la produc- tion de
citation est limitée à un territoire cortical res- treint d'un seul
centre
sensoriel et d'uu seul hémi- sphère. Mais l'hal
on peut se représenter la pathogénie des hal- lucinations dans les
centres
sensoriels de l'écorce céré- brale. Mais Tambur
i a inutilement ici compliqué les choses en évoquant, au-dessus des
centres
sensoriels, on ne sait quels centres d'idéation
ses en évoquant, au-dessus des centres sensoriels, on ne sait quels
centres
d'idéation (centri della idea- zione), si bien
es appareils périphériques des sens, voies ner- veuses centripètes,
centres
sensoriels, centres d'idéa- tion.-Naturellement
riques des sens, voies ner- veuses centripètes, centres sensoriels,
centres
d'idéa- tion.-Naturellement, plus la lésion ini
l que soit le point de départ de l'hallucination, l'intervention du
centre
sensoriel cor- tical du sens considéré est indi
aractères de la réalité objective. L'hypothèse d'un ou de plusieurs
centres
d'idéation cérébraux est une simple vue de l'es
pour expliquer les faits de mentation normale ou anormale *. » Les
centres
moteurs, sensitifs et sensoriels constituant l'
ons. Qu'il y ait des degrés de complexité et d'évolution dans ces
centres
, cela est possible : mais ce n'est pas une rais
ible : mais ce n'est pas une raison pour créer de toutes pièces des
centres
su- périeurs d'idéation dont rien jusqu'ici n'a
i entre- prirent leurs premières recherches expérimentales sur le
centre
cortical de l'audition, c'est-à-dire, d'après e
ne l'avait fait David Ferrier, les effets de la destruction de ce
centre
sensoriel. Les résultats de leurs expériences à
ien plutôt à croire qu'elles dépendaient de l'excitation directe de
centres
moteurs siégeant dans la zone corticale du cent
ation directe de centres moteurs siégeant dans la zone corticale du
centre
de l'audition. Cette hypothèse appartient tout
t entière à Tamburini, qui l'avait proposée, dès 1876, à propos des
centres
psycho-moteurs de l'écorce, et de tous les cent
76, à propos des centres psycho-moteurs de l'écorce, et de tous les
centres
cor- ticaux en général, dans un beau mémoire su
comment Tamburini avait formulé cette hypothèse : « Chacun de ces
centres
est en même temps le foyer de réception * et de
tive centrifuge pour les muscles de cette partie. » Ainsi, dans les
centres
sensoriels cor- ticaux de l'audition, de la vis
sens correspondants, du pavillon de l'oreille, par exemple, pour le
centre
cortical de l'audition, des muscles oculo-palpé
centre cortical de l'audition, des muscles oculo-palpébraux pour le
centre
cortical de la vision, etc. Tous les centres de
culo-palpébraux pour le centre cortical de la vision, etc. Tous les
centres
de l'écorce seraient donc mixtes, à la fois sen
ensitifs) et mo- teurs. En quoi les effets de l'électrisation des
centres
sen- soriels diffèrent-ils de ceux qu'on observ
a, 1876, p. 33. 64 PHYSIOLOGIE. voyaient pas. En électrisant le
centre
de l'audition, ils déterminaient une attaque d'
udes de Golgi, le célèbre professeur de Pavie, sur l'histologie des
centres
nerveux. La thèse principale de ce savant anato
nvoque surtout les noms de Tamburini et de Luciani, c'est que les
centres
fonctionnels de la sensibilité- et de la motilité
ussi sentis attirés vers ces idées, bien avant que l'histologie des
centres
nerveux leur eût prêté quelque fondement. Le ch
ie, Il,. 236 suiv. LES FONCTIONS bU CERVEAU. 6u de Luciani sur le
centre
cortical de l'audition, dont les limites lui se
lui semblent bien dépasser aujourd'hui celles du lobe temporal : ce
centre
enverrait des irra- diations dans le lobe parié
mme, suivant Luciani, il est extrêmement probable a priori, que les
centres
corticaux des différents sens spécifiques sont
à suivre les faisceaux de l'acoustique dans leur trajet vers les
centres
corticaux de l'audition, et il découvrira sûrem
octrines localisatrices de l'École italienne. De même que pour le
centre
cortical de la vision, Luciani s'est demandé qu
on, Luciani s'est demandé quelle est la nature fonction- nelle du
centre
cortical de l'audition. Est-ce à la fois, comme
ortical de l'audition. Est-ce à la fois, comme le soutient Munk, un
centre
de perceptions auditives, d'images mentales de
nc de ces faits la même conclusion que pour la sphère visuelle : le
centre
cortical de l'audition est uniquement destiné a
l'ouïe par- viennent ailleurs, mais Luciani ne désigne point ces
centres
infracorticaux ou basilaires de l'audition, assez
ien connus aujourd'hui. L'étude clinique et anatomo-pathologique du
centre
cortical de l'ouïe, considérée comme fonction g
les'centres d'élaboration psychique de ces sensations, non sur les
centres
des perceptions ou des sensations brutes, si to
on inclinait encore à admettre, avec les auteurs italiens, que ces
centres
sont distincts et ont pour substratum anatomiqu
et, comme l'admet Wernicke, les circonvolutions temporales sont les
centres
des images acoustiques des mots, on conçoit que
de Luciani sur l'espèce de hiérarchie des éléments constitutifs des
centres
sensoriels. ° ° Chez le malade de Cattani, atte
linique et anatomo-pathologique du travail de Seppilli, consacré au
centre
cortical de l'au- dition a paru avec des additi
n. Aussi bien, la connaissance de la structure et des fonctions des
centres
corticaux et infracorticaux de l'audition, néce
eptiques femmes. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 73 ;i tomo-clinique du
centre
cortical de l'odorat ne laissent, pas d'offrir
ours de ses expé- riences (chiens et singes), Luciani a noté que ce
centre
s'irradie certainement dans le lobe pariétal, m
ses premières expériences, fut conduit à admettre que l'action des
centres
corticaux de l'ol- "6 PHYSIOLOGIE. faction ét
autres termes, que les nerfs olfactifs gagnaient directement leur
centre
respectif du côté correspondant, sans subir d'e
créé cette illusion. C'est ainsi que dans ses expériences sur les
centres
corticaux de la vision et de l'audition, trompé
s, il avait d'abord cru' à l'activité croisée et unilatérale de ces
centres
. Dans ce schéma de Luciani (fg. 12), qui ne rep
Les auteurs italiens, dont nous avons exposé les doctrines sur les
centres
sensoriels de l'écorce céré- ' Le localizzazion
partant des fonctions de la sensibilité et de la motilité, dans le
centre
cortical de l'olfaction, comme dans ceux des au
fascia dentata, à la sphère motrice ou pshyco-motrice 1. Quant au
centre
cortical du sens du goût, dont les affinités pr
à la physiologie expérimentale : la situation peu accessible de ce
centre
(sans doute à la base et à la face interne des
, p. 81-110. SI) PHYSIOLOGIE. Broca, Golgi, qui, pour l'étude des
centres
corticaux de l'olfaction et du goût, ont indiqu
epousse le sang des tissus périphériques comprimés, qui se porte au
centre
et s'accumule de cette fa- çon aux cavités prof
ssion il se demande pourquoi « elles se produisent plutôt dans le
centre
nerveux spécial que dans la masse céré- brale »
lmonaire, anémier et amener au ramollissement certaines régions des
centres
nerveux et particu- lièrement le renflement lom
rveau, je n'ai pas constaté le moindre foyer hémorrhagique dans son
centre
. Cervelet. - 11 n'y a aucune trace de foyer hém
les capillaires y ralentissent le sang plus directement, enfin, les
centres
myélencéphaliques étant anémiés par ces embolie
la méthode a souvent une grande influence sur le bulbe, stimule les
centres
vaso-moteurs, cardiaque et digestif. IV. - Da
onclusions suivantes : Les lobes occipitaux paraissent dépourvus de
centres
analogues à ceux de la région psychomotrice. L'op
qu'après l'enlèvement total de la substance grise montrent que les
centres
de la déviation conjuguée des yeux doivent se tro
branche qui monte sur la pariétale ascendante en se distribuant aux
centres
corticaux de la face et du bras. Alors ils compri
ats de trois à six mois. Conclusions : Les fibres motrices ont leur
centre
dans la moelle même. Quant à la raison de l'int
ophique- autonome qui lui permet, sans demeurer en relation avec le
centre
, de régulariser les échanges nutritifs des nerf
et de leur assurer la santé; B, mais est-il pour ces nerfs un vrai
centre
trophique ? Sectionnant un nerf entre le gangli
l, à moins qu'on n'admette que l'excitation choisit la portion du
centre
cortical du facial ou du système central des fibr
il pratique des coupes classiques à diverses hauteurs, du bulbe au
centre
ovale; ce temps d'arrêt constitue ce que nous a
l'étude du rapport qui existe entre le développement des différents
centres
nerveux et les phénomènes de la vie psychique.
bissant en même temps d'un commun accord l'influence directrice des
centres
intellectuels. Mais que l'influence de ces cent
directrice des centres intellectuels. Mais que l'influence de ces
centres
supérieurs faiblisse ou dispa- raisse complètem
t par l'affaiblissement de la faculté modératrice et directrice des
centres
supérieurs. Le problème de l'éducation des enfa
développer, et c'est parfaitement réalisable, tout ce qui reste des
centres
intellectuels, la force de la volonté, et affaibl
orce de la volonté, et affaiblir, au contraire, la prédominance des
centres
inférieurs. Dans le troisième chapitre, l'auteu
ance dans le domaine du grand sympathique; de là elle passe par les
centres
automa- tiques en se transformant en mouvement
ensemble de ces excitations venues du dehors qui impres- sionne nos
centres
nerveux et obligent ceux-ci à réagir d'une cert
dans certaines conditions, être soumise à l'action modératrice des
centres
supérieurs. Ces conditions sont : la nutrition
entres supérieurs. Ces conditions sont : la nutrition régulière des
centres
nerveux et le fonctionnement normal de tous les
ntait le caractère hémorrhagique, avec un petit foyer gangreneux au
centre
de chaque tache sanguine péribronchique, nous s
localisées aux vaisseaux qui se rendent aux cordons latéraux et au
centre
de la moelle, ont pu produire par embolies capi
ique de ces malades au manque d'intensité des impulsions passées au
centre
de la conscience par des or- ganes à demi anest
le système nerveux central subit de même des changements : ri., les
centres
mo- teurs inférieurs les expriment en trembleme
les expriment en tremblement, rigidité légère et paralysie; b, les
centres
psycho-corticaux supérieurs, en hébétude, état
éditaires pour le même motif. Il en résulte de la surexcitation des
centres
et des nerfs sensoriels, des accidents neurasth
le doit être considérée comme une lésion descendante émanant, des
centres
cérébraux avec lesquels le nerf optique est en re
psychique de Baillarger est avant tout un trouble fonc- tionnel des
centres
moteurs du langage articulé ; 2° elle tient à la
abitudes de sa race. AI. HEHZEN (de Lausanne), à propos du RÔLE DES
centres
moteurs, montre qu'en cas d'ablation d'un centr
ropos du RÔLE DES centres moteurs, montre qu'en cas d'ablation d'un
centre
moteur chez un animal nouveau-né, ce n'est pas
ation d'un centre moteur chez un animal nouveau-né, ce n'est pas le
centre
du côté opposé qui le supplée, mais bien un cen
ce n'est pas le centre du côté opposé qui le supplée, mais bien un
centre
secondaire du même côté. Ses expériences ont po
l'attention sur l'INFANTILISME ou féminisme DES enfants DES grands
CENTRES
(Paris, Lyon, etc.). A ce propos, M. BÉRILLON r
ses signes dépendraient de la lésion de cette région déterminée des
centres
nerveux quelle que soit du reste cette lésion :
ion, et qui par eux-mêmes ne nous renseignent que sur la région des
centres
nerveux qui est touchée, ' et nullement sur la
du même ordre, mais plus avancées, et paraissent avoir marché du
centre
à la périphérie. En effet, si nous reprenons l'ét
e réseau devient opaque, et, par places des foyers dans lesquels le
centre
se parsème de fines vacuoles. L'infiltration de
lution prise sur le lobe occipital, les foyers de désintégration, à
centre
vacuolaire sont assez étendus pour qu'on les di
u sur les coupes. Ils s'étendent jus- qu'à la substance blanche. Le
centre
est occupé par un réseau à mailles très lâches,
e couche. Sur quelques-uns on voit nettement un vaisseau occuper le
centre
de l'amas. Les dilatations vasculaires sont trè
issu sain. En beaucoup de points, ces amas foncés présentent à leur
centre
un écaitement des mailles du réseau névroglique
porte en son milieu un foyer plus récent; on voit nettement que le
centre
de la dépression est formé par un vaisseau rami
ogique, édition 2, t. I. p. 700, 1881. Renaut. Recherches sur les
centres
nerveux amyeiiniques. Archives physiologie, p.
tion 2, p. 831, 1888. Edinger (L.). Traduction Suraud; Anatomie des
centres
ner- veux, p. 54, 1889. W. Vignal. Développem
MENTS VOLONTAIRES. I. On convient généralement aujourd'hui queles
centres
moteurs ou psycho-moteurs de l'écorce cérébrale
squ'ici dans la théorie des localisa- tions cérébrales. L'étude des
centres
fonctionnels de la vision n'est guère moins ava
fonctionnels de la vision n'est guère moins avancée que celle des
centres
moteurs; elle est seulement moins connue, et, j
opographie des diverses régions, fonctionnellement différentes, des
centres
de la vision mentale, tandis que des cliniciens
a pathologie interne et externe. Mais quelle est la nature de ces
centres
corticaux, qu'on a appelés « moteurs » parce qu
intensité et la durée de l'excitation des cellules nerveuses de ces
centres
? Rien de plus net que les paralysies motrices
mouvements associés et profondément organisés, dont l'intégrité des
centres
bulbo-médullaires est la condition nécessaire e
sur les deux hémisphères; dans le cas contraire, une portion de ces
centres
avait sûrement été épargnée. Aussi tout le mond
éments constituants de la kinesthésie), théorie pour laquelle les
centres
dits moteurs de l'écorce cérébrale sont les ori
ice, de David Fer- LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 365 rier, dont les
centres
moteurs sont tout à fait dis- tincts anatomique
les centres moteurs sont tout à fait dis- tincts anatomiquement des
centres
de la sensibilité générale et du sens musculair
e et du sens musculaire. Il y a la théorie de Charcot, pour qui les
centres
moteurs corticaux sont le siège des représentat
la sensibilité kinesthésique de Bastian, serait localisé dans les
centres
corticaux de la sensibilité, où pour- rait avoi
y a la théorie de François Franck, qui, adversaire de la théorie de
centres
moteurs par eux-mêmes, autonomes, incline décid
, a écrit M. Gley, ces organes de l'écorce appa- raissent comme des
centres
de représentations des divers mouvements qui dé
t bien cela. Ces points de l'écorce sont, pour François Franck, des
centres
d'association volontaire, plutôt que des centre
ançois Franck, des centres d'association volontaire, plutôt que des
centres
moteurs proprements dits. Ces centres, il les a
on volontaire, plutôt que des centres moteurs proprements dits. Ces
centres
, il les appelle « psycho- moteurs », parce qu'i
i cérébral, là cutané, mais en tout cas périphérique par rapport au
centre
du mou- vement (centres médullaires) » (1). Aus
is en tout cas périphérique par rapport au centre du mou- vement (
centres
médullaires) » (1). Aussi le faisceau pyramidal
s médullaires) » (1). Aussi le faisceau pyramidal, qui transmet aux
centres
moteurs bulbo- médullaires les incitations motr
céder à l'ablation de la même région, si bien que « les points dits
centres
moteurs conservent tout au moins une influence
l'ablation dugyrus sigmoide lui-inètne. 31ariqtie en conclut queles
centres
moteurs n'ont point de fonctionnement spontané,
la région pariéto-occipitale, par un mécanisme analogue à celui des
centres
réflexes médullaires (Recherches expérimentales
s (Recherches expérimentales sur le mécanisme de fonctionnement des
centres
psycho- moteurs du cerveau. Bruxelles, 1885, p.
r Exner et Paneth, ne permettent guère encore de décider si les «
centres
moteurs » ont ou n'ont point par eux-mêmes d'in
ordonnée à celle des autres aires fonc- tionnelles de l'écorce, des
centres
de la sensibilité générale et spéciale, bref, s
Wien, 1882. A. § 1-6. 368 PHYSIOLOGIE. sana et Lemoigne, « les
centres
de l'innervation motrice ont leur siège en deho
s régions de l'écorce, déterminer l'activité volontaire des vrais
centres
de l'innervation motrice, mais ils ne le font q
elle considère la zone mo- trice comme constituée à la fois par des
centres
de sensibilité cutanée et musculaire, d'une par
bilité cutanée et musculaire, d'une part, et, d'autre part, par des
centres
d'idéations motrices. Avant d'indiquer l'évolut
de la zone motrice. C'est cette zone . 1 Lllssana et Lemoigne, Des
centres
moteurs encéphaliques (Arch. de physiol. norm.
motrice ». Exner, enfin, professe, on le sait, que « les différents
centres
ou territoires de la sensibilité tactile des di
e des diverses parties du corps se confondent en général avec les
centres
ou territoires moteurs de l'écorce cé- rébrale
sibilité générale et de la motilité volontaire dans les lésions des
centres
moteurs du cerveau '. Aujourd'hui Nothnagel n
jà, il a localisé le sens mus- culaire. Nothnagel dissocie donc les
centres
de la mo- t Déjérine. Etude sur l'aphasie. (Rev
- Cf. Dupuy, De la perte de la sensibilité après la destruction des
centres
moteurs. L'auteur rappelle que Horsley, au cong
s de Brighton (188G), a rapporté qu'après avoir fait l'ablation des
centres
moteurs corticaux chez trois malades qui présen
souvent des formes mixtes des altérations fonction- nelles de ces
centres
, ils sont aussi quelquefois lésés - isolément.
e paracentral, que la circonvolution de Broca, par exemple, avec le
centre
moteur cortical de l'hy- poglosse. Une lésion d
ulaire '. Pour localiser dans d'autres régions que D. Ferrier les
centres
du sens musculaire et de la sensibilité cu- tan
qui les fonctions de la zone motrice sont distinctes de celles des
centres
cor- ticaux de la sensibilité cutanée et muscul
destruction à des paralysies, doivent être regardés comme «de vrais
centres
moteurs volontaires, capables, sans l'intermédi
s moteurs volontaires, capables, sans l'intermédiaire d'aucun autre
centre
moteur, de tfaire fonctionner les divers appare
. Siii centri cerebrali di movimento (Sperintentale, 1876). ' Des
centres
moteurs encéphaliques. Recherches physio-patholog
. et patlIol., 1877, 2° sér., iv, 119 et suiv. « La destruction des
centres
corticaux entraîne une parésie des mouvements q
des mouvements qui en dépendent habituellement, » p. 135. Les viais
centres
d'innerva- rtion motrice ne sont pas d'ailleurs
.l'avons déjà rappelé, dans l'écorce cérébrale, mais dans « cet tains
centres
pédonclilaires encéphaliques. » 3 Sulsignific
rice corticale. - Archivio ilal, perle malalie nervosc, 1881. « Ces
centres
sont de - vrais centres moteurs psychiques... I
io ilal, perle malalie nervosc, 1881. « Ces centres sont de - vrais
centres
moteurs psychiques... Il n'est pas prouvé que la
teurs psychiques... Il n'est pas prouvé que la fonction dévolue aux
centres
moteurs volontaires puisse être accomplie par d
ni et Tamburini n'étaient pas moins nets : après la destruction des
centres
corticaux des membres,. ils n'avaient toujours
e la zone motrice. Ainsi, les aires excitables- du cerveau sont des
centres
moteurs, et ne sont pas- autre chose. Si, au li
traîne qu'une parésie des muscles- correspondants, la nature de ces
centres
n'en appa- raît pas moins comme motrice. Ce qui
res motrices de l'écorce cérébrale ne sont pas les seuls et uniques
centres
des muscles volon- taires, c'est que les gangli
de la base, les corps- striés en particulier, sont, eux aussi, des
centres
mo- teurs, et non pas seulement des centres de
r, sont, eux aussi, des centres mo- teurs, et non pas seulement des
centres
de mouve- ments automatiques (Ferrier), mais de
son de- vancier. Ferrier, on lésait, voit dans le corps strié un
centre
où les mouvements primitivement volontaires et
rganiser, à devenir automatiques, si bien que le chien privé de ses
centres
corticaux moteurs, de ses « centres de motilité
bien que le chien privé de ses centres corticaux moteurs, de ses «
centres
de motilité volontaire », comme il les nomme ap
nt. Luciani l'entend bien ainsi. Les mouvements exci- tés par les
centres
corticaux, dit-il, ont le caractère de mouvemen
la conscience qui, dans leur ensemble, constituent la volonté. Ces
centres
corticaux sont bien des centres de la motilité
semble, constituent la volonté. Ces centres corticaux sont bien des
centres
de la motilité volon- taire. « Aussi n'appelons
entres de la motilité volon- taire. « Aussi n'appelons-nous pas ces
centres
corti- caux simplement moteurs, mais hsJc7ao-nz
tentionnel et voulu aux mouvements des mammifères privés de leurs
centres
moteurs corticaux, Luciani et Tamburini ont adm
moteurs corticaux, Luciani et Tamburini ont admis non seulement des
centres
moteurs corti- caux et des centres moteurs basi
ni ont admis non seulement des centres moteurs corti- caux et des
centres
moteurs basilaires : ils ont doué ceux-ci des m
ps striés, peuvent avoir effecti- vement la valeur physiologique de
centres
de la motilité volontaire, ou de centres pouvan
la valeur physiologique de centres de la motilité volontaire, ou de
centres
pouvant être mis directement en action par des
bution de fonctions « psycho-motrices », partant vo- lontaires, aux
centres
basilaires, implique l'idée (concetlo) que « ce
aires, aux centres basilaires, implique l'idée (concetlo) que « ces
centres
sont en connexion anato- mique directe avec les
) que « ces centres sont en connexion anato- mique directe avec les
centres
psychiques et avec les centres de la sensibilit
xion anato- mique directe avec les centres psychiques et avec les
centres
de la sensibilité, et non pas seulement avec le
avec les centres de la sensibilité, et non pas seulement avec les
centres
psycho-moteurs de l'écorce, ainsi qu'on l'admet
es régions de l'activité cérébrale ». Une excitation partie des «
centres
psychiques », par exemple, et constituant une d
eux voies pour se transformer en impulsion motrice : 1° celle des
centres
psychomoteurs corticaux; 2° celle des faisceaux
ceaux blancs qui, sans aucun doute (indubitu- mente), relient les «
centres
de l'idéation », comme toutes les autres région
ment prouvés) qu'il existe, entre les ganglions de la base et les «
centres
psychiques », des rapports anatomiques de natur
té des fonctions volontaires des corps striés, et cela sans que les
centres
volontaires de l'écorce aient à in- tervenir.
striés : pendant plus d'un sièçle, on les a consi- dérés comme des
centres
moteurs, et l'on a attribué l'hémiplégie typiqu
de faisceaux de projection reliant directement les corps striés aux
centres
corticaux de la sensibilité et à de prétendus «
striés aux centres corticaux de la sensibilité et à de prétendus «
centres
psychiques » ? ? La masse grise des corps strié
ceaux de fibres isolées pénètrent bien de la subs- tance blanche du
centre
ovale dans le noyau leiitieu- 1 Pour Lussana et
tieu- 1 Pour Lussana et Lemoigne, les couches optiques seraient des
centres
d'innervation motrice du bras, de la main et de
oigts et ses mains. Les paralysies produites par les lésions de ces
centres
moteurs seraient proportionnelles iL l'étendue de
es moteurs seraient proportionnelles iL l'étendue des lésions.- Des
centres
moteurs encéphaliques, 1877, 1. 1. LES FONCTION
être pas de nature à bien établir la réalité d'une localisation de
centres
thermo-régulateurs dans le corps strié. Ils con
ait les corps striés aux aires corticales de la sensibilité et aux «
centres
psychiques » du cerveau, est au moins aussi ima
l'idée, dénuée de tout fondement expérimental ou clinique, de ces «
centres
psychiques », admis encore par tant de psycholo
lesrapports inverses existant entreledéveloppementdes fonctions des
centres
moteurs corticaux et celui des prétendus centre
tdes fonctions des centres moteurs corticaux et celui des prétendus
centres
moteurs basi- laires chez les mammifères. Chez
es chez les mammifères. Chez l'homme, avait écrit Maragliano, « les
centres
de la base sont tout à fait dépourvus de foncti
nction psycho-motrice; celle-ci se développe exclusivement dans les
centres
corticaux». Luciani et Tamburini étaient égalem
devient en effet capable de suppléer dans une certaine mesure les
centres
supérieurs, il n'y a là que « le perfectionne-
e, dont l'importance est en raison inverse du développe- ment des
centres
moteurs corticaux, et par conséquent du volume
on, que tous les effets immé- diats de la destruction des prétendus
centres
moteurs- (alors considérés comme tels par Hitzi
n de ces régions de l'écorce, ce qui permet de- les assimiler à des
centres
d'actions réflexes, non à des. centres moteurs,
et de- les assimiler à des centres d'actions réflexes, non à des.
centres
moteurs, etc., le professeur de Florence- témoi
peau et des mu- queuses, consécutive aux lésions destructives des
centres
dits moteurs, Schiff rapporte qu'il a trouvé un
oduire après l'ablation de l'écorce, puisque l'écorce représente le
centre
réflexe, ce qui n'est point-le- cas. C'est'évid
ection que, dans son hypothèse la plus récente, Schiff a situé ce
centre
réflexe ailleurs que dans l'écorce, mais sans 1
inconnu et absolument inex- ploré, Schiff imagine l'existence d'un
centre
réflexe sous-cortical de perceptions tactiles (
res ascendantes et descendantes se rencontrent et coïncident est le
centre
réflexe de la sensibilité tactile. Il ne faut p
siol., XXX, 253 sq. « Une seule chose est sûre : ce ne sont pas des
centres
corticaux. » V. les savants mémoires du profess
e objection topique : « Les symptômes de parésie par ablation des
centres
cortico-cérébraux sont tout à fait transitoires
tout à fait transitoires, tandis que l'ataxie par destruction des
centres
sensitifs est permanente » (1877). Luciani et T
e ces mouvements est, on le sait, purement motrice. Là sont « les
centres
véritables du mouvement », au sens de David Fer
one motrice. Il a donc localisé ailleurs, sur le lobe pariétal, les
centres
des sensa- tions tactiles, musculaires, doulour
ésolu. Bechterew, par exemple, lui demande : Si un chien, dont le
centre
moteur de la patte antérieure droite a été enle
aux des pyramides; d'après Schiff, .la zone motrice ne serait qu'un
centre
trophique pour les cordons latéraux : ils n'aur
même région du cerveau (gyrus sigmoïde chez le 'chien) contient le
centre
(ou les conducteurs nerveux conduisant au -cent
hien) contient le centre (ou les conducteurs nerveux conduisant au -
centre
) des sensations du tact et du froid ; ces deux se
gage, la conciliation de ces doctrines contraires sur la nature des
centres
moteurs corti- caux. La théorie éclectique qu'i
dans la matière ou à leur sortie de la matière, appartiennent à des
centres
circonscrits de l'écorce cérébrale'. » Il est é
ent fortement, aux yeux de Tamburini, pour la nature motrice de ces
centres
. D'autre part, les phénomènes d'ataxie et d'ane
transformation sezsilivo-motrice correspon- daient précisément aux
centres
corticaux étudiés » par les auteurs. Ainsi, « c
centres corticaux étudiés » par les auteurs. Ainsi, « chacun de ces
centres
serait, à la fois, un foyer de réception et de
t l'é- quivalent du courant nerveux; dans l'autre, l'ablation des
centres
abolirait la perception des impressions périphé
périphériques. Mais, dans le mémoire publié avec Luciani sur les
centres
corticaux psycho-sensoriels (1879), Tamburini a
centres corticaux psycho-sensoriels (1879), Tamburini a étendu aux
centres
de la vision et de l'audition l'hypothèse qu'il
la vue « ne diffèrent en rien de ceux qu'on observe en excitant les
centres
moteurs de la zone-de Hitzig». Les mouvements d
en nids. Les impressions périphéri- ques des sens, parvenues à ces
centres
, s'y transfor- ment en impulsions motrices volo
istinctes du mouvement et de la sensibilité. « Nous croyons que les
centres
moteurs et les centres sensoriels qui concouren
de la sensibilité. « Nous croyons que les centres moteurs et les
centres
sensoriels qui concourent à l'effectuation d'un
des paralysies psychiques. Luciani soutenait que, mêlés aux vrais
centres
moteurs des différents groupes mus- culaires, e
ulaires, et fonctionnant simultanément, il existe dans l'écorce des
centres
de sensibilité cutanée et muscu- laire, des cen
l'écorce des centres de sensibilité cutanée et muscu- laire, des
centres
sensitivo-moteurs. Et de même qu'il existerait
ire, des centres sensitivo-moteurs. Et de même qu'il existerait des
centres
moteurs confondus avec les cen- tres sensoriels
ensoriels de la vue et de l'ouïe, il existerait, confondus avec les
centres
moteurs de la zone exci- table, des centres de
t, confondus avec les centres moteurs de la zone exci- table, des
centres
de sensibilité générale. « Les centres moteurs,
de la zone exci- table, des centres de sensibilité générale. « Les
centres
moteurs, disait Luciani, ne se trouvent pas loc
férentes régions de l'écorce sont, à des degrés divers, semées de
centres
moteurs spéciaux. Pour être sûr d'avoir détruit
de centres moteurs spéciaux. Pour être sûr d'avoir détruit tous les
centres
moteurs, il faudrait donc enle- ver toute l'éco
ements, il les attribuait, on le sait, à des réactions réflexes des
centres
sensoriels de l'écorce, interprétation que Bech
uniquement les fibres du faisceau pyramidal. Les mouvements que ces
centres
déterminent ne sont point dus non plus à la pro
la propagation du courant aux régions motrices, car si on isole ces
centres
par la méthode des circonvallations, les mouvem
re corticale où s'irradient les fibres du faisceau pyra- midal, ces
centres
, pour être excités, exigent l'applica- tion d'u
ice proprement dite. Mais, en dépit de ces caractères négatifs, ces
centres
disséminés à la surface de l'écorce sont bien,
disséminés à la surface de l'écorce sont bien, pour Bechterew, des
centres
moteurs véritables, des points d'origine de fai
exciter, il faut employer des courants plus intenses que pour les
centres
de la région motrice, prouverait qu'ils ne sont
ogie, 111, 1887, 177 sq.) 400 PHYSIOLOGIE. Il existerait donc des
centres
corticaux moteurs de deux sortes : les uns faci
moïde provoque déjà des mouvements des membres, alors que celle des
centres
moteurs difficile- ment excitables demeure enco
e aujourd'hui l'hypothèse générale de Tamburini. Quel que soit le
centre
de la zone motrice extirpé, les altérations du
laborateurs, aux muscles et au territoire cutané correspondant à ce
centre
: elles s'étendent à d'autres régions du même c
tendent à d'autres régions du même côté. Ainsi, après l'ablation du
centre
cortical du membre postérieur gauche, la paraly
89, 15 sept.) LES FONCTIONS DU CERVEAU. lion entre les différents
centres
de l'écorce, que les aires sensitivo-motrices d
ace sont « en- grenées » entre elles, si bien que l'ablation d'un
centre
retentit plus ou moins sur les autres, et cela
es idées théoriques d'Albertoni sur la nature fonc- tionnelle des «
centres
moteurs » sont en accord avec celles de Tamburi
Tamburini, dont il adopte l'hypothèse de la constitution mixte des
centres
moteurs et sensoriels. Il en résulte que la dén
elles ne provoqueraient des mouvements que par l'intermédiaire des
centres
directement moteurs'. ' Albertoni.- Le <oc
eprésentent pour Luciani ce minimum de désordre fonctionnel que les
centres
sous- corticaux sont impuissants à suppléer. Qu
phénomènes soient plus nets et plus intenses dans la région dont le
centre
cortical a été détruit en tout ou en partie.
Il résulte de ces expériences que si, pour délimiter exactement un
centre
quelconque de la zone excitable, 'on se fonde,
corti- cale extirpée, ou à cette circonstance que les différents
centres
corticaux sont si étroitement « engrenés » - en
i rapides chez les mammifères inférieurs à l'homme et au singe. Les
centres
voisins du point extirpé doi- vent avoir subi d
ion des phénomènes de déficit au delà de la région du corps dont le
centre
cortical a été détruit pût être- permanente. Pu
amendement rapide des troubles fonctionnels, certaines parties du
centre
enlevé, qui empiétaient sur les centres voisins,
onnels, certaines parties du centre enlevé, qui empiétaient sur les
centres
voisins, - ont dû demeurer illésées. Luciani n'
nt dû demeurer illésées. Luciani n'a-t-il pas montré- aussi que les
centres
des extrémités ne siègent pas uniquement sur la
ucial ? Il est donc bien difficile d'extirper entièrement un seul
centre
sensitivo-moteur de l'écorce : voilà pourquoi les
- 406 PHYSIOLOGIE. .pations, de localiser nettement les différents
centres
sensitivo-moteurs de la zone excitable, attendu
s centres sensitivo-moteurs de la zone excitable, attendu que ces
centres
, comme ceux de la sensibilité spécifique, .sont
irradie aux régions postérieures, elle s'unit et s'engrène avec les
centres
de sensibilité spéciale, avec les sphères de la
s de la zone motrice sur l'excitabilité de la substance* blanche du
centre
ovale, rappellent les noms d'Albertoni et Michiel
Michieli (1876). La perte de l'excitabilité des faisceaux blancs du
centre
ovale a lieu au bout d'un certain temps (96", h
physiologistes italiens avaient montré que la substance blanche du
centre
ovale cesse d'être excitable dans la portion qui
ire, soit d'une affection rénale de même nature. 3° Albuminurie des
centres
ner- veux. Elle concorde avec l'incohérence et
ticu- laire demeure sans effet. Il n'existe pas dans ces organes de
centre
d'action. Si l'on transperce le ganglion de la
es optiques et des tubercules quadrijumeaux antérieurs contient des
centres
moteurs destinés à des mouvements coordonnés d'
19, 471. Cécité expérimentale chez un chien' par Richet, 283.
Centres
moteurs, par Herzen, 284. Cérébrale ,arrêt des
sions conscientes, par Camu- set, 274. Intantilismelnnsles grands
centres
, par Brouanlel, 292. Inveision sexuelle guéri
mplètement modifié l'état de nos connaissances sur la structure des
centres
nerveux et en parti- culier sur les connex ons
issances anatomiques les plus précises et les plus solides, sur les
centres
nerveux de l'homme. L'emploi des coupes microsc
, ligne 19, au lieu de : (L2 [w], lire : (L2 ; ANATOMIE 1) ES S
CENTRES
NERVEUX INTRODUCTION Le système nerveux, qui
t. Cellules sensoriel- les de l'c('Ío'](,I'J1H'. 2 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules mosculo et neuro-·pith6lial
rfs périphériques latéraux. (D'après G. Retzius.) 4 .k ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX....... 1 Substance ponc- tuée de Leyd
spinal ou le névraxe, connu encore sous le nom .01 de 'I t .oï1l'
CENTRE
NERVEUX ENCÉP11AL0-MÉDULLAIRE, OU de 1111GLE\CI :
ituent donc le chapitre le plus important de l'étude anatomique des
centres
ner- veux ; ce chapitre présente encore bien de
par l'Anatomie dite de texture. Dans un ouvrage sur l'Anatomie des
centres
nerveux, il est indispen- sable de décrire, ave
nd assure les connexions entre les ganglions infra-corticaux et les
centres
nerveux inférieurs (cervelet, isthme de l'encépha
e siècle par lzti)«S(11, Vicq- rl' : lzyr. Ieil. 8 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Gall, Spurxheim, F 0 v i Il e, BUl'd
ette époque les données sur la texture de la moelle épinière et des
centres
nerveux étaient encore très hypothé- tiques; c'
l'aide de ses expériences, à conclure que le ganglion spinal est le
centre
trop/tique du nerf sensitif et que la partie anté
athologique, que ce sont les cellules des cornes antérieures est le
centre
trophique du nerf moteur. Cet auteur formula ai
génération : « un tube nerveux dégénère lorsqu'il est séparé de son
centre
trophique » et, cette découverte des centres tr
qu'il est séparé de son centre trophique » et, cette découverte des
centres
trophiques, a été d'une importance capitale en
thodes. I I I Expériences de Waller. i Découverte des
centres
trophiques. 10 () ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ller. i Découverte des centres trophiques. 10 () ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Emploi de la mé- thode de \\'aller e
entre eux. La méthode de \\'aller, fut par la suite appliquée aux
centres
nerveux, dans le but d'y produire des dégénéres
son complet développement, le résultat de lé- sions portant sur les
centres
trophiques encéphalo-médullaires ou sur le traj
s et colorées en noir. Les nouvelles tech- niques de coloration des
centres
nerveux dues à Weigert et à Pal, ont rendu la m
es Ion gués. Travaux de Leur- : et Gratiolet. 12 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. DWém`rcsconces ecoftdaîrescxpcri-
icrotome, d'après les procédés ordinaires. Au lieu d'opérer sur les
centres
on peut aussi opérer sur les nerfs périphérique
e du crâne chez l'adulte à l'aide du marteau. 14 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Chez les enfants le crâne doit être
être rejeté. Extraction de la moelle épinière. 10 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Étiquetage des ra- cines.. ? .. Co
coupe, qui doit raser le corps calleux, constitue la coupe dite du
centre
ovale de. Vieus- Une fois cette coupe pratiquée
n veut faire durcir la pièce. Coupe de Meynert. 18 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Technique de la coupe de Meynert.
e rendre très difficile l'étude histologique des dégénérescences du
centre
ovale, à la suite de lésions de la corticalité.
sphé- noïdal. - xll, chiasma des nerfs optiques. 20 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le procédé de Pi- tres n'est pas app
e de Pitres, très bonne quand il s'agit de localiser des lésions du
centre
ovale, ne doit être employée que lorsqu'on n'a pa
saud. - CD, coupe que nous pratiquons it Bicétre. 22 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Technique du pro- cédé que nous em-
t une lésion corticale, avant de le faire durcir. 21 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Durcissement des centres nerveux dan
faire durcir. 21 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Durcissement des
centres
nerveux dans le liquide de Millier. Nécessité
aujourd'hui d'un usage, général pour obtenir le dur- cissement des
centres
nerveux, et nous donnons, pour notre part, la pré
rales, ou encore à avoir au bout de quelques mois une pièce dont le
centre
serait plus ou moins putréfié. Ces accidents, peu
Étude histologique des lésions à l'état frais. 2G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Durcissement des troncs nerveux. D
Inclusion de gros- ses pièces au collo- dion. 28 8 ANATOMIE DES
CENTRES
NEHVEUX. Inclusion au collo- dion de pièces d
es. Microtome de ' Gudden modifié par* Forel. 30 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Microtomes trahi- neau. le fond du
rents procédés ont été indiqués pour obtenir des coupes sériées des
centres
nerveux. Le plus simple, le plus pratique et le
quo ,1'on colorera et moulera dans une série. 32 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Méthodes de colo- ration. Colorati
ont ensuite plongées dans la solution suivante : 34. ANATOMIE DES
CENTRES
' NERVEUX. Déshydratation et éclaircissement
illée, puis placées dans la solution suivante : . 36 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Décoloration des coupes dans la mé-
té, aluné ou lithiné. Carmin-borax (Greenacher) : 38 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Carmin aluné de Croenacher. Carmin
de pouvoir différencier nettement, dans le tissu de soutènement des
centres
nerveux, le tissu con- jonctif proprement dit d
lu- Son omploi pour la coloration dos noyaux. 40 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX.. Double coloration pat'1'hmatoxytmcc
l fonéé ? Iërcie recommande la formule suivante : 12 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Méthode d'P;hrlich an bleu de méthyl
ation est la plus nette. cr. Méthodes d'imprégnations métalliques. (
Centres
nerveux et nerfs périphériques). Acide osmique,
la fois comme durcissant et comme colorant. 44 Il ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. , Inclusion à la pa- raftine des tro
s sont inclus dans le collodion par les mêmes procédés que pour les
centres
nerveux. Dans les deux cas, les coupes, avant d'ê
gés dans la solution suivante dite de Marchi : .' 40 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Méthode d'Upson. Elles y séjournent
une à une dans le liquide de réduction suivant : 48 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Procédé lent de Golgi. La méthode
e suivant, ou mélange osmio-bichromique de Golgi. 50 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. nouIlle et triple imprégnation de Ra
thodes de Golgi. Inconvénients de ces méthodes. 52 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Modification des méthodes de Golgi.
e de Greppin. Examen mic-0sco pique des coupes. 54 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. placée par une plaque d'ébonite, avec
etites cou- pes. Appareil employé par nous. 50 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. mèches et, comme cet éclairage nécessi
l'aire vasculairc. - a, b, c, lignes de coupes. 60 "- ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La lame cornée n'entré pas dans la
yon a six proto-vertèbres nette- ment délimitées. 62 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Vésicule anté- .rieure. Fermeture'
tées à l'Atlas d'embryologie de Mathias Duval.) 6 i. ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La cvelopie et ses différentes varié
asma (crête basilaire, faisceau optique croisé) et de la rétine aux
centres
optiques ganglionnaires primaires (crête latérale
hères. - V0, vésicule ^oculaire secondaire. - y 66 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. - Fente oculaire pri- mitive. Sa p
s. I Constitution du cer- veau intermédiaire. 70 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le vésicule des hé- misphères est d'
bercule mamillairc. - VB, vésicule des hémisphères. 72 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. t . Les indexions de l'encéphale e
econdaire. - VUJ1, vaisseaux omphalo-mésentériques. 74 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. cerveau moyen, puis empiète sur la par
le épinière. Lame fondamentale. Lame alaire. 76. ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Plancher du canal neural. Voûte du
lon cylindrique. sm, sillon marginal. V, voûte. so ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX Lame alaire. Pièce intermédiaire. D
mois de a vie embryonnaire, qu'un es- ¡ace relativement petit au
centre
le la moelle (fig. 29 et 30). Le canal centra
on cylindrique. - sm, sillon mar- ginal. voûte. ! 82 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Rapports de la moelle avec le canal
se, sillon cylindrique. - sm, sillon marginal. 84 Il ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Apparition tardive des artères des r
e, - X, pneumogastrique. - XII, grand hypoglosse. 86 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Couche grise de la . substance rétic
illon labial interne. - S/l, substance réticulée. 88 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Lèvre rhomboïdale. Soudure de la lèv
e ré- ticulée. - Vs, racine spinale du trijumeau. 90 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le développement du bulbe et de la p
é- bellc1lx. Pédoncules céré- belleux moyens. 92 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Recessus latéraux du quatrième ventr
enno subit peu de modifi- cations. Sa cavité. 01 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses sillons. Son plancher. l'\oyau
f optique. Tubercule quadri- jumeau postérieur. 96 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Face externe du cerveau intermé- d
a 1'ace ev- terne du cerveau in- tcrmédiairc. 98 8 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La face interne du cerveau intermé-
- Tlll, trou de Monro. - Tm, tubercule mamillaire. 100 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Limites définitives de la cU11chc op
tives de la cU11chc optique. / Recessus geniculi de His. Le
centre
médian 1 : I,uysest le dernier vestige du rec
nier ves- tige permanent du recessus geniculi est représenté par le
centre
médian de Lui/s, qui conserve d'après Flechsig,
le. - XII, grand hypoglosse. Fs, Corps pituitaire. 102 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Formations (lui dé- pendent du segme
le est un diverticule du troisième ventricule. 104 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. E11t' pst formée de cellules épithél
- sphériquc. Plis radiés transi- toircs. / 1os ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Paroi interne de la yésicule hémisph
la paroi externe de la vésicule des hémisphères. os ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les vésicules des hémisphères sont
trou de Monro. - VU, vésicule des hémi- sphères. ii0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. raratlelederap- pareil olfactif et d
que. - Th, thalamus. VU, vésicule des hémisphères. 112 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. L'union du cerveau antérieur avec le
('muté et nO'yal1'h'ntie111aÏl'1 \ov;m rwtdé. f.14 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 115
eum griseum, est colorée en rouge, sans hachures. un ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fic. 58, 59, 60, 61, 62, 63. - Coupes
du ventricule latéral. - 1 ? troisième ventricule. 118 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Noyau lenticulaire. Capsule externe.
u corp : calleux. z 4 ¡ i 12 l 1.. 122 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Rapports du trigone et du corps ca
s sillons, définitifs. Sillon ammonique. I \-2't ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le sillon ammoni- que produit la sai
e ventricule. TII, chiasma des nerfs-optiques. 126 . ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Région centrale de la face interne o
gi- nollc forme la bau- de lette de Giacomini. 128 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa partie sphé- noïdale devient le
, branche postérieure de la scissure de Sylvius. 130 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Scissure de Rolando. Scissure pariét
de Sylvius. - Sih, scissure inter-hémisphérique. 132 . ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Circonvolutions et sillons du lobo o
ce située en dehors du <7«'HeHc/M'/OM. BROCA. Recherches sur les
centres
olfactifs. Revue de l'Anthropologie 1879. C. DARE
tantc interne. Mp, IUCl1lIJrana prima de Ueuson. 136 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules germina- tives. Les cellu
corubo.- LN, lame neurale. - P V, protovcrtèbrcs. 138 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Stade embryon- maire. Stade foetal
rne. .Sp, spongioblastes. ZC, zone des colonnes. 140 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Bâtonnet interne des spongioblastes.
ments embryon- naires. Cellules de transition. 142 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Neuroblastes. Naissance ducy- 1Înl
-axe. - JllP, membrana prima. - V6, neuroblastes. la ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les neuroblastes de la corno posté-
cylindrique. - sm, sillon marginal. - V, voûte. 146 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le nerf spinal naît do la corne laté
quatre semaines et demie. (D'après \\'. His.) 148 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres centrales des ganglions cra-
ions spinaux des cinq premiers nerfs cervicaux. loto ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Trajet rectiligne ùes ncrfs périphed
lequel nous reviendrons lorsque nous étu- dierons la structure des
centres
nerveux. Le réseau fibrillaire de la névroglie
l, \". Lenhossek. Cellules opemiy- ' maires. 152 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Leur disposition ra- (liairc et lell
tillée indique les limites des cornes antérieures. loi ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cône épendymaire postérieur. 1 Fai
es névrogli- ques. Leurs transforma - tions. 15G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellule névrogliquo adulte. Les ce
voisinage do la commissure grise postérieure. 1;i8 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules araignées de la stil,tance
ogli- ques superficielles. l'a montré, le septum postérieur comme
centre
de rayonnement (fig. 90). Les prolongements pri
on de brebis long de 0m,10. (D'après W. Vignal.) 102 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. t V 91 . Cellule nerveuse péri p
nvertébrés et des Vertébrés. (D'après G. Retzius.) 104 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les dendrites et cnrscaractëres. m
la commissure. - cy, prolongement cylindre-axile. 1611 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Divisions du cy- ,lindre-axe. Coll
Méthode rapide de Golgi. (D'après v. Gehuchten.) 468 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. sa longueur varie. La cellule de Golgi
comme des cellules sensitives, elles répondent au 170 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellule de Golgi. Cellule de Deiters
se bifurquer, émet une branche collatérale. 172 "> ANATOMIE .L1S
CENTRES
NERVEUX. Cellules globu- leuses. Cellules m
ements cylindre- Spongiolilastes do la rétine. 174 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX.. Conception de Deiters. Conception
e conducteur des dendrites. Réseau de Gerlach. 176 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Travaux de Golgi. Réseau de Golgi.
e Gud- den, son application aux nerfs moteurs. 178 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Dans la méthode expérimentale de G
, et lorsqu'on opère sur un point de son trajet pas trop éloigné du
centre
(par exemple au niveau du trou stylo-mastoïdien
ous montrant qu'une . lésion nerveuse périphérique retentit sur les
centres
, ils nous donnent l'explication de certaines né
xcessive- ment lente Uc l'atro- phicindirectc. 180 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. avec la périphérie. Elles représentent
rone de Wal- curo(lcnùron de V. Kolliker. J, I 182 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La fonction des fi- lires nerveuses
les organes des sens et peut-être même qu'elles fassent partie des
centres
nerveux. On peut se la représenter comme une, a
e cellule des gan- glions cérébro-rachidiens. Ils se développent du
centre
à la périphérie, ainsi que Kolliker, Bidder et
es nerveux. Travaux de His. Travaux de Vignal. 184 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Formation de la gaine de Sehwann et
les points d'une même fibre nerveuse, elle apparaît au contraire du
centre
à la péri- phérie, ce qui a fait dire à Vigna
ancée com- parativement dans les par- ties des nerfs proches du
centre
que dans celles de la périphérie, et que le deg
la vie intra-uté- rinc. La myélino appa- raît dans le nerf du
centre
à la périphé- rie (Vignal). FIa. 116. - Coupe
es connectives complètement détachées du faisceau. 186 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. allongées et irrégulièrement distribué
es et des deux segments inter-annulaires voisins. 188 .ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. - - Signification des segments de Re
mam- mifères. La Cellule. Tome Vf, 1890. Du même. La Structure des
centres
nerveux. La moelle . épinière et le cervelet. L
ii. Reggio Emilia, 1875, - Du même. Recherches sur l'histologie des
Centres
nerveux. Archives italiennes de Biologie. Tome
nor111. et path., 1884. - Du même. Recherches histologiques sur les
centres
nerveux de quelques invertébrés. Archives de zo
lraux ou cncyhali- ques, ou noyaux cen- traux. 192 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La substance blan- che est formée do
'épi- thélium épendymaire à l'état adulte. 1 194 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ! i Structure des cel- lules névro
innombrables prolongements, le véritable tissu de soutène- ment des
centres
nerveux. Elles entourent d'un feutrage très dense
ce cérébrale d'un supplicié. (D'après Vignal.) 196 . ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Aspect nioniliformc des fibrilles.
yau des cel- lules. Nucléolules. Les cellules ner- veuses des
centres
p sont dépourvues do membranes d'enve- lopp
i- z gnées sous le nom de nucléolules. Les cellules nerveuses des
centres
encéphalo-médullaires sont dépour- vues d'envel
soit de la fibre nerveuse elle-même, qu'il s'agisse d'une fibre des
centres
ou d'un nerf périphérique. Le cylindre-axe des
du système nerveux central et des nerfs périphériques. Dans les
centres
les tubes nerveux n'ont pas de gaine de ? c
ubes nerveux n'ont pas de gaine de ? chWaJ1l1. 198 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Étranglements an- nulaires. 1 Inci
cool absolu et de l'éther, on obtient facilement, sur les tubes des
centres
nerveux, le réseau décrit par Ewald et Kuline sur
n nerveux, vaisseaux, tissu con jonc tir Les vaisseaux sanguins des
centres
encéphalo-médullaires émettent de nombreuses br
de la uéyl'o- glic et (lu tissu COtl- jonctif. 200 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le tissu conjonctif péri-vasculairc
il forme des travées péri-vasculaires rayonnant de la périphérie au
centre
sel)la dont il est du reste très facile de cons
u conjonclif, entre donc dans la con- stitution de la charpente des
centres
nerveux, mais les libres de ce tissu n'entrent
s multipolaires sym- pathiques, qui représentent de véritables .-
centres
physiologiques, ou des organes du conductibilit
i)an'c ? r,noyandc l'épithélium sous-capsulaire. 202 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. i 11 La Mire la plus prêle de la d
la cellule. - a, noyau de la gaine secondaire. ` ? Or ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres nerveuses partant de la corne
borisation. C, cylindre-axe des fibres de Rcmak. 206 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres venant des cellules de la moe
des tubes nerveux à myéline. Gaine de Schwann. 208 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Étranglements de Kauvier. Examen a
ies de Frommann et en r un renflement Liconiquc. 210 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Etranglements an- nulaires de Ranvie
es. Anneaux concen- triques de la myé- line. 212 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Filaments de Golgi et de Rczzonico.
kératine de Kiihne et d'Ewald. (D'après lülliker.) 214 ANATOMIE DES
CENTRES
.NERVEUX'. Constitution fllril- lairc du cyli
iii dol la Endothélium de la gaine de Henle. ' 218 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Tissu conjonctif péri et intra-fascÍ
isseaux san- guins et lymphati ques des nerfs. 220 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. *- Houton terminal et arborisations
(D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. 222 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres nerveuses terminales de la mu
ent par des arborisations ramifiées et libres. - 224 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. i 1 I i Roseau nerveux autour
es nerveuses cir- culaires et inter-cellulaires. 226 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Noyaux de l'émi- nence terminale.
n, fibre nerveuse pourvue d'une gaine de myéline. 228 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Travaux de Ret- zjns. organique. L
la fibre tendineuse surtafi)jrf;niuscn- laire. 230 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Corpuscules del'a- cini des tendons.
culaires. Corpuscule du tact du bec du canard. 232 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ménisques tactiles. constitué par de
res; Encephale. Cerveau. 1·'nrme lu ccrccau. 234 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cervelet. Isthme de l'cnd'- phale.
s suivant l'âge. Poids relatif de l'encéphale. 23G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Rapports du YO- Inmc de l'encéphale
rveau, Meynert donne les chiffres suivants : 1 238 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Densité de l'en- eéphale. Hémisphè
s- pariétale. - Vs, vermis superior du cervelet. 240 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Faces des hémi- sphères. cervelet
ubercule olfactif. - U, circonvolution du crochet. 242 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. frontal (LOr). La partie postérieure-
ion du crochet. - xll, chiasma des nerfs optiques. 244 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les scissures et les sillons ne prés
eure, au niveau de l'espace perforé antérieur. 240 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Scissures princi- pales ou lobaires
superficiel interrompant la scissure de Rolando. 248 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Plis de passage qui relient le lobe
- Il, sillon parallèle; t'i, sa branche verticale. 250 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. - Circonvolutionsro- landiques. Li
s. -t,, sillon parallèle; t, sa branche verticale. 2a2 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. LO ! J111c orbitaire de (Iratiolct.
les. 1,, sillon parallèle; G ? sa branche verticale. 2 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Deuxième sillon frontal. Incisures
onde. - tp, sillon temporal profond. 1 . 1 ... 258. ANATOMIE DES.
CENTRES
NERVEUX. Pôle frontal. Division en trois pa
tat rudi- mentaire chez les an- tltruyoïulec. 260 ANATQMIE..DES
CENTRES
NERVEUX. Fin. 160 et 161. Pli courbe et variété
orale profonde. - Ip, sil- lon temporal profond. 262 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Circonvolution frontale ascendante.
. - ti, le, premier et deuxième sillons temporaux. 264 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Circonvolution pa- riétale ascendant
nches verticales. ' tp, sillon temporal profond. 266 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. donne souvent naissance, avant de décr
sell. . (1-)'l'11S ? 111)1\\-111,11'" ginalis. 268 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ]li courbe. médiaire de Jensen, puis
iner la place du pli courbe. Lobe occipital. 2ïO 0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le lobe occipital a la t'ormo d'une-
1-1,1$, deuxième et troisième sillons temporaux. 212 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Circonvolutions occipitale.. Gyrll
lèle.- t' branche verticale du sillon parallèle. : 274 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Tt'oisicmccit'con- volntion occipita
ranche verticale. - l" deuxième sillon temporal. 276 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Deuxième sillon temporal. D'autres
emporal. Troisièmo circon- volution temporale. 278 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Deuxième circon- volution temporale.
de Foville. Sillons mar;;i- naux de l'insula. 280 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sillon marginal su- périeur. l'ins
a. Base de l'insula. - : Lolntlc vlc l'insula. 282 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ,. , Division de l'insti- la (l'aprè
Scissures de la .aec interno de l'ht nisphère. 284 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Scissure pariéto- occipitale. nale
tion temporale. - t3, troisième sillon temporal. 286 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La scissure calcarine représente une s
de Brol'a. lncisure lwdoca- laÎl'c ùe Broca. 288 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Scissure sous-pa- riétale. détache
aco interne do l'hémi- slnhèrc cu ciu loLes. ! 290 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. 1 Lobe frontal. Circonvolution f
onvolution du crochet. - V3, troisième ventricule. 292 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cunéus. Sillon tln cuneus. Plis de
cule olfactif. - U, cir- convolution du crochet. 204 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le sillon du lobule lingual (lg) divis
lo nom de circonvolution oc- cipito-tomporalc. 296 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Lobe limbique de Broca. Le lobe li
ique. 1* 't ,MI Isthmo du lobe limbique. 298 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Pli cuneo-limbi- quc. Plu Deuxiè
itués dans la profondeur de la scissure calcarine. 300 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Substance blanche réticulée d'Arnold
ini. Son trajet. 81llùIl Ilm¡'rio-o- drouné. 302 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La circonvolution godronnée (Cg) suit
a circonvolution go- dronnle. Lobule olfactif. 301 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le .sillon primaire - <lc Ilis sd
l." Bror'a. Lo ! >c olfactif l'°s- térieur. 306 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Espace perforé an- térieur. La ban
oisement du pédoncule cérébelleux supérieur. i - 308 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Mol ! Pédoncules du sep- tum lucid
a Bandelette diagonale de Broca......... b : l 312 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. . BARACHt. SullecÏ1'convoluzioni cereb
. Revue d'Anthropologie, 1878, p. ,38b. Du Même. Recherches sur les
centres
olfactifs. Revue d'Anthropologie, 1879, p. 385. B
tersuchungen tuber das Gehirn. Berlin, 1874. HUGUENIN. Anatomie des
centres
nerveux. Trad. de l'allemand par Keller et anno
e de la hase de Ileule. Eléments surajoutes. 1 314 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Chiasma des nerfs optiques. Livert
u nerf moteur oculaire comnun. - II, nerf optique. 318 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Losange opto-pé- donculaire ou cen-
blement de la dure-mère, le diaphragme de l'hypophyse, pourvu à son
centre
d'un orifice pour le passage de la tige pituita
ieussens. - lI(Ch), chiasma des nerfs optiques. 32.0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le lohe postérieur de la glando pitu
Pédoncule du tu- horculo mamillairo latéral. i 322 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ganglion iutcr- pédonculaire. Fasc
; i Direction des pé- dnn''u)('sc6r))rnux. 1 324 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. 1 . 1 : Disposition fasci- culée d
u nerf moteur oculaire commun. - II, nerf optique. 326 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Chez l'homme la commissure de Mey-
tubvrance dc Iicudc. Trajet du txuia pontis. 328 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Étage supérieur des pédoncules ou ré
de la troi- sième et de la qua- trième paires. 330 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. l'isthme de l'encéphale : elle est con
)"'3, troisième ventricule. - IV, nerf pathétique 332 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Tubercules quadri- jumeaux antérieur
rs, 10 puh"inar et le corps genouillé ex- terne constituent les
centres
optiques in- fra-corticaux. Tubercules quadri
rijumeau antérieur, une partie importante du système , visuel : les
centres
optiques infra-corticaux, ou ganglionnaires ou ce
visuel : les centres optiques infra-corticaux, ou ganglionnaires ou
centres
Çj optiques primaires de l'appareil visuel. L
rébro-spinal. Paris, 1865. Du même. Iconographie photographique des
centres
nerveux. Paris, in-4°, 2 vol. 1873. Meynert. Vont
toile choroïdienne. Seuil do l'hémi- sphère. 334 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Corps calleux. Trigone cérébral. T
declivùm). - Il (Ch), chiasma des nerfs optiques. 33fi ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ventricules laté- raux. Capsule in
egment postérieur de la capsule interne. - CL, corps de Luys. - CO,
centre
ovale. - coa, commissure antérieure. - ds, divert
lée, ou grillagée. II, bandelette optique. 22' 338 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. C Centre ovale de Vieussens. Cor
par une vaste étendue de substance blanche, désignée sous le nom de
centre
ovale de Vieussens (CO). Le centre ovale (CO) a
anche, désignée sous le nom de centre ovale de Vieussens (CO). Le
centre
ovale (CO) acquiert ses plus grandes dimensions,
acquiert ses plus grandes dimensions, au niveau de la coupe dite du
centre
ovale de Vieussens. Cette coupe, horizontale, pas
calleux, lequel apparaît comme une vaste commissure, jetée entre le
centre
ovale d'un hémisphère et le centre ovale de l'h
vaste commissure, jetée entre le centre ovale d'un hémisphère et le
centre
ovale de l'hémisphère du côté opposé (lig. 199).
ntraux soit - entre eux, soit avec la capsule interne, soit avec le
centre
ovale, ne peuvent être étudiés que sur des coup
ariétale. - I's, vcrmis superior du cervelet. t 3-in ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Bourrelet. Genou. Iicc ou rostrum.
vant en arrière. Ce faisceau, qui n'est visible que sur la coupe du
centre
ovale de Vieussens, c'est-à-dire après ablation
aenia tccta. Ses rapports. Sa face inférieure. 312 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. sont réunis l'un à l'autre par des fib
endiculairement au niveau de la première circonvolution limbique. CO,
centre
ovale. cm, sillon calloso-marginal. Fi, Fs, F3,
. i I i Ventricule de Ver-a. i j I ! 344 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Radiations du corps calleux. Force
cule latéral. - VSl, ventricule du septum lucidum. 346 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses bords. Trous de Monro. Piliers
Q, tubercules quadri- jumeaux. Il, nerf optique. 348 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Piliers postérieurs du trigone. Ly
Voc, corne occipitale. Vsph, corne sphénoïdale. 350 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. nales du trigone s'unissent aux fibres
ptique. - III, fihres radiculaires de la 3° paire. 352 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Septum lucidum. Pédoncules du sep-
t (fig. >08.), soit verticalement (fig. 212), on constate à. son
centre
l'existence d'une petite cavité en forme de fen
23 Ventricul' .1.. la ;Ioison Sa structure. 354 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ventricules laté- raux. dum est so
l. i Ses limites. Sa voûte. Son plancher. 3110 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. le sillon opto-strié et le sillon chor
du corps strié. Bandelette demi- circulaire. 35S ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Corno' sphénoïdale th. ventricule la
\11mu. Corne occipitale du ;entriculc lat6ral. 360 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses limites. Sa voûte. lobe occipi
ture des plexus | choroïdes. ' . ! 1 t i I 362 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. 1 Êpcndyme Ventri- claire. Son épa
nt postérieur de la capsula ' . z interne. CL, corps de Luys. - CO,
centre
ovale. - cou, commissure antérieure. - ds, divert
réticulée, ou grillagée. - II, bandelette optique. 366 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son sommet. Sa base. Ticnia thalam
me ventricule.- VSl, ventricule du septum lucidum. 368 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Lafcntccet'eht'ale 0C' Bichat n'exis
la capsule interne. Vieussens décrivit enfin, sous le nom de double
centre
demi-circulaire (yeminzem centi-itin semi-cincz
interne divise le corps strié en deux noyaux. 30 0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Forme du noyau caudé. unique situé
intra-ventriculaire. Sa face adhérente. 1 372 ' ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ses rapports avec . la substance gri
aire. Il répond l'in- sula. Sa face externe. 374 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa face supéro- interne. Sa face i
bus pallidus. Rapports et den- duc du putamen. 3ïû ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres du corps strié. Lames médul
a. 1 Sa face interne. , Sillon do Monro. r 378 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Commissure grise. Son extrémité pos-
Sa face inférieure s 1 ! i ' 1 i 'i 380 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Anse pédonculaire. Ses rapports avec
1 , Noyau antérieur ! ou supérieur. ! 1 382 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Noyau externe, lame médullaire ex-
uys a décrit en outre dans la couche optique un quatrième noyau, le
centre
médian de Luys (Nm), profondément enclavé dans la
u recessus geni- culi. Il existe enfin, en arrière et au-dessous du
centre
médian'de Luys et au-dessous du noyau externe,
arrière avec la substance blanche des hémisphères, en haut avec le
centre
ovale et les parties latérales du corps calleux
Segment posté- rieur ou lenticulo- optique. 384 ANATOMIE DES
CENTRES
.NERVEUX. Segment rétro- lenticulaire. Régi
il celle des dégénérescences secondaires. 2 : ; 38R ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Nous ne décrivons donc dans ces coupes
ig. 217 et 218). . Cette coupe située au-dessus de la coupe dite du
centre
ovale de Vieus- sens, qui rase la face supérieu
upe horizontale du bord supérieur de l'hémisphère. 388 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ment à la profondeur propre du sillon,
u bichro- mate ; c ? ° En dehors du cingulum, la coupe intéresse le
centre
ovale qui se présente sous l'aspect d'une masse
masse fusiforme foncée, striée de languettes claires; les libres du
centre
ovale sont en effet sectionnées les unes parallèl
s autres perpendiculairement il leur longueur. La partie interne du
centre
ovale nettement limitée en dedans par les fibre
ariétal. li, partie verticale du sillon parallèle. 390 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. qui de la couronne rayonnante et du co
externe. - Cing, cin- gulum. - en), sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - Cli, couronne rayonnante. - 1 . ...
le. -tec, tsenia tecta. - VI, ventricule latéral. 39 ? ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. mente considérablement, et forme une c
fibres s'entre-croisent avec celles du corps calleux pour former le
centre
ovale (CO) du lobe frontal. L'espace blanc, sit
érieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso- marginal. - CO,
centre
ovale. F,, F3, F3, première, deuxième et troisièm
icule latéral. - ZI', zone réticulée ou grillagée. 390 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La capsule interne (Cia et Cip) a cons
culaire de la capsule interne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - F,, I=, Fui, première, deuxième et tro
septum lucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 398 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. n'en est que le prolongement. La point
du corps strié. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 400 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. circzdaris ; elle est limitée en dehor
s'entre-croisent avec les fibres calleuses (Ce), et constituent- le
centre
ovale du lobe frontal. Coupe n° 55 (fig. 224),
u caudé (NC), et à la portion réfléchie de sa 26 402 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 224. - Coupe horizontale de l'hém
culaire de la capsule interne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - FI, F" F3, première, deuxième et troisiè
septum lucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 404 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fin. 32u. Coupe hofizonfate de l'hémis
ur. : nature lie.) AU, avant-mur. C, cunéus. Ce, corps calleux. CO,
centre
ovale. Ce, corps cal- COUPES MACROSCOPIQUES DU
culaire de la capsule interne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - Csc, circonvolutions sous-calleuses. -
le latéral. J'sl, ventricule du' septum lucidum. 406 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. du cunéus; une troisième fois enfin au
lèvres de la scissure calcarine (K) et sur le pli 408 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FJG. 226. - Coupe horizontale del'hémi
l délimitées entrcelles, mais qui circonscrivent assez nettement le
centre
ovale (CO). Le cingulum (Cing) forme un faiscea
iculaire de la capsule interne. - cm, sillon calloso- marginal. CO,
centre
ovale. - cop, commissure postérieure. - Csc,. cir
lit 1 -S.\ Zr, zone réticulée ou grillagée. 1 : 410 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. convolutions, la couche sagittale du l
ssures calcarine et pariéto-occipilale (K + po) ' , 4t ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. qui sépare le lobule lingual (Lg) du p
e. - cm, sillon calloso-marginal. - coa, commissure antérieure. - CO,
centre
ovale. - cop, commissure postérieure. - Csc, ci
le latéral. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 414 IL. ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fie. 228. - Coupe horizontale de l'hém
ticulaire de la cap- sule interne.cm, sillon calloso-marginal.- CO,
centre
ovale. - coa, commissure antérieure. - cop, com
- ce dernier étant dédouble. Nm, noyau médian de la couche optique (
centre
médian de Luys). - 0,, 0 ? première et deuxième c
deux nouveaux noyaux profondé- ment enclavés dans son épaisseur, le
centre
médian de Luys (Nm) et le corps genouillé inter
centre médian de Luys (Nm) et le corps genouillé interne (Cgi). Le
centre
médian de Luys (Nm), situé entre le noyau interne
tl'imdié ou troisième sillon frontal (f3); la 27 418 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 229. Coupe horizontale de l'hémis
représente le bord d'arrêt de l'écorce cérébrale. .É20 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Substance blanche. - La masse blanche
t en partie au système du faisceau lenticulaire de 422 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Forel (FI) (voy. Coupes microscopiques
. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zone de Wernicke. 424 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La région sous-optique contient déjà t
ion inférieure ou pied du pédoncule (P) séparée de 426 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. la région précédente par une bande de
aisceaux radiculaires de la troisième paire. ) - 430 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. et la circonvolution du crochet (U); e
. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 432 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cette coupe sectionne les parties infé
dale du ventricule latéral., 1 "ç'\\ v \ . '' ? $' 434 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. système du faisceau longitudinal infér
correspondent à ceux de la figure précédente. 436 ANATO ? l1lE DES
CENTRES
NERVEUX. Coupes nos 30, 33, 37, 40, 43, 46. C
n frontale. - pCH, pied do la couronne rayonnante. 438 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. divise la face interne du lobe frontal
rps calleux. - Cing, cingulum. - cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. -1"" r2, r.1, première, deuxième et troi
corps calleux. -Cing, cingulum. - cm, sillon calloso-marginal. CO,
centre
ovale. - Fi, ? z, fa, première, deuxième et tro
ule interne. - Cing, ciugulum. - cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - F" F" F" première, deuxième et troisième
ule interne. - Cing, cingulum.. en ? , sillon calloso-marginal. CO,
centre
ovale. F,, Fs, F3, première, deuxième et troisi
(F3), mais par contre très nettement délimité en dedans, du côté du
centre
ovale de Vieussens (CO). En haut, il se confond a
ème circonvolution frontale (oF3) avec l'extrémité 444 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. antérieure du lobe temporal, en passan
rtiennent à des régions de la substance blanche plus rapprochées du
centre
ovale (CO). Néanmoins, l'ensemble des fibres d'
erveaux durcis par les bichromates, une couche nettement distincte du
centre
ovale (CO). Ce dernier est formé par l'intricat
sule in- terne. Ciug, cingulum. -cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - F,, F2, Fa, pre- mière, deuxième et tr
capsule interne. - Cing, cingulum cm, sillon calloso-marginal. CO,
centre
ovale. coa, commissure antérieure. Fi, .j, premiè
olution du cro- clict. - VI, ventricule latéral. 448 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. la face interne de la première circonv
apsule interne. - Cing, cingulum. -cm, sillon calloso-marginal. CO,
centre
ovale. - coa, com- missure antérieure. - F,, r2
, ventricule latéral. - Il, bandelette optique. '450 . ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. apparaît (coupe n° 63, fig. 245) l'ext
capsule interne. - Cing, cingulum. cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. coa, commissure antérieure. F,, première
Vl, ventricule latéral. - II, bandelette optique. 452 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. insensiblement avec l'écorce de la cir
stance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau 454 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. occipito-frontal (OF), son bord intern
ostérieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - coa, commissure antérieure. ds, divert
ne réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique. 456 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. externe concourt à former avec le noya
cingulum. - CL, corps de Luys. - cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - coa, commissure antérieure. - ds, dive
e dans la masse blanche des hémisphères, et se confond au niveau du
centre
ovale (CO), avec le pied de la couronne rayonnant
orrespondant aux lignes 78 des figures 235 et 236. 458 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ces coupes passent toutes par le lobul
sule interne. - CL, corps de Luys. cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. ds, diverticule du subiculum. - Epp, esp
I, ventricule latéral. - II, bandelette optique. 460 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. par la lame cornée (le), la queue du n
térieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - Epp, espace perforé postérieur. - Fa, ci
éticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique. 462 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. sur la fig. 249 sous la forme d'une le
ostérieur de la capsule interne.-cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - des, diverticule du subicu- lum. Fa, c
sième segment du noyau lenticulaire. Nin, noyau médian du thalamus (
centre
médian de Luys). - A'R, noyau rouge. - Or, faisce
- Ill, fibres radiculaires de la troisième partie 464 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. (NL3), qui le sépare de la bandelette
ostérieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso-marginal. CO,
centre
ovale. de, diverticule du subiculum. - 1·'ct, c
stérieur de la capsule interne. cm, sillon calloso-mâr';inal. - CO,
centre
ovale. - cop, commissure postérieure. ds, diverti
culaire de la capsule interne. - cm, sil- lon calloso-marginal. CO,
centre
ovale. - cop, commissure postérieure. ds, diverti
\'crnicl : e. - 1.1', zone réticulée ou grillagée. 468 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. appartiennent pour la plupart au systè
culaire de la capsule interne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - cop, commissure postérieure. - Fa, cir
u grillagée. - Ill, noyau de la troisième paire. 470 ANATOMIE DES
CENTRES
NEIIVEUX. Comme sur les coupes précédentes, la
et 89 (fig. 2;;3,2;;4 et 255), ce faisceau se perd en haut dans le
centre
ovale (CO), en dedans du fais- ceau arqué (Arc)
cupe la même situation que sur les coupes précédentes, il limite le
centre
ovale (CO) en dedans, et se confond en dehors ave
enticulaire de la capsule interne. cm, sillon calloso-marginal. CO,
centre
ovalc.-cls, divcrticule du subiculum. Fa, circonv
ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale. 472 2 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. temporale (T3) forme le bord inféro-in
godron- née. - Cing, cingulum. - cm, sillon calloso-marginU. - CO,
centre
ovale. - ds, diverticule du subiculum. - Fa, ci
ion godronnée. Cing, cingulum.-cnz, sillon calloso- marginal. - CO,
centre
ovale. Csc, circonvolutions sous-callcuscs. -ds,
er postérieur du trigone. l'l, ventricule latéral. 474 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. : ' (fig. 258 et 259), cette circonvol
illon calloso- marginal. - Csc, circonvolutions sous-calleuses. CO,
centre
ovale. - ds, diverticule du subiculum. - Fa, ci
gone. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. 47G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. coupe n° 92 (fig. 256). La coupe n° 93
godronnée. - Cirzg, cingulum. - c71, sillon calloso-marginal. - CO,
centre
ovale. - Fc, fasciola cinerea. Fli, faisceau lo
elle embrasse en dehors les fibres calleuses, - et se perd dans le
centre
ovale (CO). En bas, elle se rétrécit, contourne l
spondant aux lignes 107 des figures 235 et 23tri. 4-78 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Coupe n° 116 (fig. 263), passant à 9 m
cingulum. - cm'. partie verticale du sillon calloso-margiual. - CO,
centre
ovale. ? Fli, faisceau longitudinal inférieur. -
.- l'oc, corne occipitale du ventricule latéral. 480 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Large sur les coupes nos 116 et 122 (f
frontal. Lignes 107 des fig. 235 et 23G. (Grandeur naturelle.) CO,
centre
ovale. Fm, forceps major. ri ? i', forceps minor.
yr. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. 482 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX.; qu'occupe le cunéus à la face interne
l'oc, corne occi- pitale du ventricule latéral. 484 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. nzajor(Cc, Fm). Leur section affecte l
ent du noyau lenticulaire. Ces deux noyaux ne for- 490 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. nient qu'une seule et même masse (NC ?
l -peu près le même aspect que sur la coupe pré- 492 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Inc. 21.HJ. - Coupe sagittale de l'hém
ine du corps strié. - v, veinule du corps strié. 494 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX., neuse, sectionnée transversalement, e
érébrale de l31claal. Au-dessous du noyau interne (Ni) se trouve le
centre
médian de Luys (Nm) ou noyau médian du thalamus.
uve, d'arrière en avant, quatre noyaux gris : le pulvinar (Pul), le
centre
médian de Luys (Nm), le noyau rouge (NR) et le co
(si). Au-dessous du noyau caudé (NC), apparait ,49G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fin;. 270. Coupe sagittale de l'hémisp
dé et relient le noyau caudé (NC) au globus pallidus (NL,, ) et aux
centres
infra-corticaux. Les autres (visibles surtout d
ette oplique. - V, origine apparente du trijumeau. 498 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. segment antérieur de la capsule intern
la couronne rayonnante (CR). Le reste de la masse 500 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fit.. 271. - Coupe sagittale de l'hémi
te rien de particulier il noter; nous entrons en effet ici en plein
centre
ovale. Au-dessous du ventricule occipital (Voc),
réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique. 502 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. (fig. 270). Les fibres de ses 2/3 post
fibres pédonculaires et représente la continuation 504 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Vu; 272. Coupe sagittale de l'hémisphè
nerf optique. j ! i ? ' 1 I \ k ! 1 I ? ... ? 506 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 273. Coupe sagittale de l'hémisph
ée en dehors par une seconde couche concentrique- qui appartient au
centre
ovale (CO). L'aspect des fibres blanches est di
éticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique. 508 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FG. 274. - Coupe sagittale de l'hémisp
e. - Cirl, seg- ment rétro-lenticulaire de la capsule interne.- CO,
centre
ovale. - coa, commissure -antérieure, Fi, deuxi
c, corne occipitale. - Vsph, corne sphénoïdale. ; ! )0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. mité antérieure recourbée de la queue
téro-supérieure est embrassée par les fibres légèrement teintées du
centre
ovale (CO), en dehors desquelles on trouve les fi
Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. at2 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fig. 276. Coupe sagittale de l'hémisph
est en rapport avec la région rétro-insulaire. 516 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fig. 277. -Coupe sagittale de l'hémisp
diculairement ou obliquement à leur longueur. 2° La constitution du
centre
ovale de Yieussezz.s. Les faisceaux courts et l
mporal, avec les capsules externe et interne. ! : 20 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les coupes C, D et E, comprennent les
supérieure du pédoncule cérébral. La coupe supérieure passe par le
centre
ovale de Vieussens, la coupe infé- rieure par l
es et l'on assiste, sans transition brusque, à la transformation du
centre
ovale en région thalamique de la capsule intern
e de la première circonvolution frontale (mF,). : : 24 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. En dedans des fibres calleuses (Cc), o
tecta.- Vf, corne frontale du ventricule latéral. 526 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. contourné l'extrémité antérieure de la
horizontal (voy. lig. 297, 314, 320) ou sagittal. 528 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les fibres du corps calleux (Ce) se po
elles le sont presque parallèlement, et où elles pénètrent dans le
centre
ovale en formant le pied de la couronne rayonnant
xième sillons temporaux. - Pl, ventricule latéral. 530 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. trouve l'avant-mur (AM), qui se présen
elles se portent en haut, longent la face externe 532 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fie. 282. Coupe vertico-lransversale,
, ventricule latéral. - Il, bandelette optique. : ! 34 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. suivent le trajet des fibres des pilie
portent en bas et en dedans. Au niveau du noyau 536 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ho. 283. - Coupe vei-Lico-1 i-illisvel
le du ventricule latéral. J/, bandelette opt ique. 538 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. et du faisceau uncinalus (Fu) par le p
ractéristique qu'il présente soit sur les coupes 540 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX Vu : . 284. Coupe vertico-transversale,
iculée ou grillagée. - II, bandelette optique. : ¡2 A\ : 1TOII1 DES
CENTRES
NERVEUX. zone irrégulière, riche en fibres, le
nt externe (NL,) et le segment moyen (GP) du noyau lenticulaire, le
centre
médian de Luys (Nm), le noyau rouge (NR) et les
tre les noyaux externe (Ne) et interne (Ni) du thalamus apparaît le
centre
médian de Luys (Nm) remarquable par sa grande r
ulaires de la troisième paire, i \ o i i i>i" 541 ! ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. dedans. Ce faisceau prend son origine
ite de la lésion Ou de la destruction du ganglion de l'habénula. Le
centre
médian de Luys est sillonné par un grand nombre
me médullaire interne, pénètrent clans la partie supéro- externe du
centre
médian de Luys. Du riche feutrage de fibres du ce
o- externe du centre médian de Luys. Du riche feutrage de fibres du
centre
médian (Nm) partent de nombreuses fibres qui se
sous forme de gros fasci- cules onduleux et pénètrent, soit dans le
centre
médian de Luys (Nm), soit dans les lames médull
En dehors, le noyau rouge est entouré par les fines fibres émanées du
centre
médian de Luys et qui entrent dans la constitut
interne (Cip); les inférieures abordent la capsule 548 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fiu. 286. -Coupe vertico-transversate,
. Il, bandelette optique. III, troisième paire. 50 0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. dier. Dans la région lhalamique il reç
re de la capsule interne (Cirl), passent au-des- Kb2 ' ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fie. 287. Coupe vei-lico-Li-aiisversal
lagée. -I/I, fibres radiculaires de la : 3` paire. 334 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. sectionnées en travers du pilier posté
réfléchissent comme les fibres du tapetum (Tap), 330 . ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ftc. 288. - Coupe vertico-transversale
tum. - tec, Uenia tecta. VI, ventricule latéral. 358 . ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. et du forceps major du corps calleux (
s très importantes : il relie en effet à gauche la zone visuelle au
centre
auditif des mots. En dehors de ces trois couche
292) passant par la ligne A de la fig. 291. 36 562 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cette coupe, parallèle à la deuxième c
comme les libres précédentes, elles se trouvent 564 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fic. 292. Coupe horizontale microscopi
e occipitale. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 566 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX, Fie. 293. - Coupe horizontale microsco
al, s'irradiant dans ltroi circonvolution frontale. z0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. nuer avec les fibres du tapetum (Tap).
re l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces fibres 572 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX Fin. 296. - Coupe horizontale microscop
emporales. - T{fa, pilier antérieur du trigone. 57 r ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. I c. 297. Coupe horizontale microscopi
crcule olfactif. - U, circonvolution du crochet. 576 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. gros fascicules qui morcellent sa part
oupes pratiquées de haut en bas sur un hémisphère gauche, depuis le
centre
ovale jusqu'au pédoncule cérébral et colorées p
00) passant par la ligne 1 de la fig. 299. Celte coupe intéresse le
centre
ovale (CO) et passe par la partie supé- rieure
de Rolando (R), la circonvolution frontale 37 578 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ascendante (Fa), le fond du sillon ]Jl
calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. 580 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. diffuses ; elles dissocient en effet d
ons donc en résumé sur cette coupe ne 1 (lig. 300) qui intéresse le
centre
ovale de Vieussel1s, trois faisceaux nettement dé
bstance grise sous-épendymaire. tec, taenia tecta. 582 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le tænia tecta (tec) est doublé par un
éral. - tec, toenia tecta. VI, ventricule latéral. 584 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. coupes précédentes, grâce à l'appariti
nia tecta (tec). La couche de fibres non différenciées qui forme le
centre
ovale (CO) et qui constitue tout le tiers exter
pour tapisser toute la face ventriculaire du corps 586 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. calleux. Dans la tête (NC) et dans la
psule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - CO,
centre
ovale. Fie, fibres lenticulo-caudecs. ft, libre
ricule latéral. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 588 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. interne (Cip) des fibres sectionnées p
septum lucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 590 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. du ventricule latéral (VI), on trouve
rieures (Ip) plus grandes. Le pli le plus saillant 592 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX.' correspond à l'insula antérieur; il e
du corps strié. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 591 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. noyau caudé (NC) ou au putamen (NL.,),
l la tête du noyau caudé (NC) par un large pont de 596 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. substance grise qui interrompt le segm
oyau lenticulaire (putamen). Nm, noyau médian de la couche optique (
centre
médian de Luys). PaTh, pédoncule antérieur de la
ne de Wernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 598 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. texture tout il fait particulière. On
ur (Na). De la partie posléro-externe de ce noyau. 600 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. part un faisceau conique et compacte,
(Ni), on voit le premier indice d'un cinquième noyau thalamique, le
centre
médian de,L ? Iys (Nm), encore mal délimité sur
8 de la figure 299. Cette coupe passe par le trou de Monro (Tl), le
centre
médian de Luys (Nm), le ganglion de l'habe'nzcl
mier segments du noyau, lenticulaire. Nm, noyau médian du thalamus (
centre
médian de Luys). pCR, pied de la couronne rayonna
ne de Wernicke. Zr, zone réticulée ou grillagée. 602 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. zonlales qui relient entre eux les deu
s parallèles qui embrassent le fond du sillon. ' 604 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Couche optique (Th). Le noyau antérieu
n arrière, du pulvinar (Pul), et au niveau de sa partie moyenne, du
centre
médian de Luys (Nm). Le noyau interne du thalam
ouche optique ou segment antérieur de la capsule, interne (Cia). Le
centre
médian de Luys (Nm) présente un aspect grenu pa
distingue cependant facile- ment, grâce à sa richesse en fibres. Le
centre
médian de Luys se présente donc sous la forme d
te coupe à peu près le tiers de la couche optique, il est séparé du
centre
médian de Luys (Nm) et du noyau externe (Ne), par
laire interne (Lmi). A l'union de ces trois noyaux, pulvinar (Pul),
centre
médian de Luys (Nm) et noyau externe, du thalamus
centrale (Sgc); elle fait partie du troisième vcn- 606 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. luc. 308. Coupe horizontale microscopi
mier segments du noyau lenticulaire.- Nm, noyau médian du thalamus (
centre
médian de Luy). - PaTh. pédoncule antérieur du
forme de coupe de Flechsig (Schalenfôrmiger Korper), situé entre le
centre
médian de Luys (Nm), et le noyau externe du tha
ieur de la couche optique (PaTh); en arrière, il se confond avec le
centre
médian de Luys (Nm), et il est séparé du ganglion
le quadrijumeau antérieur (Qa) n'est pas intéressé 608 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. dans sa plus grande largeur. Il est su
de la couche optique, entre le corps genouillé interne (Cgi) et le
centre
médian de Luys (Nm); 3° le faisceau lIlI/lamique
squ'il la protubérance à la suite de lésion i 39 610 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. portant sur la corlicalilé de la parti
au volumineux, le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa). Le
centre
médian de Luys a disparu, il est remplacé par u
de la capside (Cip) et du faisceau lenticulaire 612 1 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. loc. 309 ? Coupe horizontale microscop
ne de Wernicke. - Zi, zona incerta de Fore). 614 4 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FIG. 310. Coupe horizontale microscopi
Zi, zona incerta de Forel. Il, bandelette optique. 616 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. de la capsule; le cinquième postérieur
qui occupe le segment moyen du noyau lcnticu- 6d8 8 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 311. Coupe horizontale microscopi
1, ven- tricule latéral. 11, bandelette optique. 620 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. plus en arrière et en dehors que sur l
noyau caudé (NC) jusqu'à la partie antérieure du 622 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. faisceau longitudinal inférieur (Fli),
ïdale du ventricule latéral. ? bandelette optique. 624 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. quelques fibres peuvent être suivies i
ulaire, la partie interne du pied du pédon- 40 626 ANATOMIE,DES
CENTRES
NERVEUX. cule cérébral (P) est sillonnée par de
ph, corne sphé- noïdalc. Il, bandelette optique. 628 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sur les coupes précédentes nos 12 et 1
ale du ventricule latéral. Il, bandelette optique. 630 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. gentielles, très abondantes dans cette
ns sa région thalamique ou sous-thalamique . G32 . . ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Coupe n° 1 x (fig. 316), passant par l
l sa partie pos- térieure, qui correspond a sa partie supérieure du
centre
médian de, Ato/.s'nette- ment apparent sur la c
ricule latéral. z ? zone réticulée ou grillagée. 634 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. A l'extrémité antérieure de la couche
on COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 63o de l'habénula (Gh), le
centre
médian de Luys (Nm), la commissure molle (com)
emier segments du noyau lenticulaire. Nm. noyau médian du thalamus (
centre
médian de Luys). PaTh, pédoncule antérieur du tha
incerta de Forel. Zn, zone réticulée ou grillagée. 636 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le segment antérieur de la capsule int
du thalamus a beaucoup diminué d'épaisseur; il sa place apparaît le
centre
médian de Luys, ou noyau médian du thalamus (Nm
(Gh), la partie inférieure, de la commissure postérieure (cop), le
centre
médian de Luys (Nm), le noyau semi-lunaire de F
oyau semi-lunaire de Flechsig. Ni ? ? , noyau médian du thala- mus (
centre
médian de Luys). NL3, NL" NI ? NL ? troisième, de
certa de Forel. Zr, zone réticulée ou grillagée. 038 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le t,l'nia thalami a disparu dans le g
aine de fascicules, situés entre le ganglion de l'habénula (Gh) et le
centre
médian de Luys (Nm). La lame médullaire interne
en arrière, le noyau semi- lunaire de Flechsig (NF), situé entre le
centre
médian (Nm) et le faisceau tlcalre- miquc de Fo
laire interne supplé- mentaire lmi'. Nvz, noyau médian du thalamus (
centre
médian de Luys). oF,, partie or- bitaire de la
Forel. Zr, zone réticulée ou grillagée. , ... ' 640 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. substance grise, qui relient incomplèt
rel (F) on trouve encore le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF), le
centre
médian de Luys (Nm), le faisceau rétroflexe de Me
l'interne est divisé en deux i et ? A'm, noyau médian du thalamus (
centre
médian de Luys). SB, noyau rouge. PTml, pédoncu
lllcii)-e(Tm) et du noyau rouge (NR) et par la partie inférieure du
centre
médian de Luys (Nm). Au sur et à mesure que l'o
(W) augmente. On reconnaît encore très nettement sur cette coupe le
centre
médian de Luys (ThNm), dans lequel les fibres ont
ruban de Reil, qui se trouve constitué immédiatement au-dessous du
centre
médian de Luys (Voy. coupe suivante n° 7 x, fit
lvinar (Pul); les moyennes se portent en avant et en dehors vers le
centre
médian de Luys (ThNm) ; les profondes appartien
postérieur de la capsule interne (Cip) au niveau U44 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. de sa partie moyenne, et pénètrent dan
h\'e, noyau externe du thalamus. 7'AA'n : , noyau médian du thalamus (
centre
médian de Luys). Tm, tubercule mamillaire. Tml,
sur celte coupe la partie inférieure de la région sous- optique. Le
centre
médian de Luys a disparu, et à sa place on trouve
nhreuzunj Meynert's de Forel) (xM, fig. 3'23). Ces 646 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. libres sont limitées en dedans et en a
ndelette optique. xll, chiasma des nerfs optiques. 648 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. la capsule interne. Ces trois ordres d
e réticulée ou grillagée. ? bandelette optique. 6 : in ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. capsule externe (Ce) et V avant-mur (A
e. 111, fibres radiculaires de la troisième paire. 632 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. les corps genouillés interne et extern
uelques-uns de ces fascicules semblent provenir, 654 ' ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. non pas de la queue du noyau caudé (NC
rtie extra-vent riculaire de la couche optique. 6 : i0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Coupe n° 11 x (fig. 326), passant par
. III, filets radiculaires de la troisième paire. 6;i8 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. faisceau de fibres parallèles fortemen
. Ill, filet radiculaires de la troisième paire. 660 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. (Ln), tandis que la troisième paire (I
ilets radiculaires du nerf pathétique (iv* paire). 662 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. gros fascicules de fibres qui constitu
mée de deux substances, l'une blanche en continuité directe avec le
centre
ovale, c'est la substance blanche ou médullaire d
de Meynert ou . couche des cellules fusiformes. 6li6 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ric. 330. Schéma résumant la concordan
lexiier. Origine des fibres du réseau d.Exncr. 668 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules delà cou- che moléculaire.
ndie. - a cylindres-aaes. - b, leurs collatérales. 670 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le cylindre-axe des cellules fusifor
-axe. des caractères généraux communs à toutes. 672 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. . Dendrites de la ccllnlc pyramidale
s basilaires. p, panaches protoplasmiques. 43 11 674 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Collatérales du cy- lindre-axe de la
ège exclusif dans la corticalité du cerveau, constitue le véritable
centre
des actions nerveuses d'ordre supérieur, la cel
stance blanche cellule du type II de Golgi. ' 676 6 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les cylindres-axes des petites cellu
cations terminales ci variqueuses du cylindre-axe. 678 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules du type U de Golgi. Cellu
rième et cinquième couches. Sb, substance blanche. 682 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres tangentielles de l'écorce.
ent d'autres libres nerveuses, venant des ganglions centraux ou des
centres
infra-corticaux ; 6° Les collatérales et arbo
ibres d'association) ; p) Soit à des cel- lules du cervelet, de
centres
infra-corticaux, etc. (fibres terminales) ; y
t D, cellules polymorphes. - E, fibres termi- nales venues d'autres
centres
. F, collatérales de la sub- stance blanche. G,
c iutrant6- rine. Anse rolandique dc Parrot. 690 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La myélinisation des fibres tangen-
ou ruban de Vicq d'Azyr. (3" couche de Cajal.) 696 ANATOMIE DES
CENTRES
.NERVEUX. Cellules de cette couche. avec qu
libres tangentielles sont très nombreu- ses. 698 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Elles présentent leur maximum de de-
lIlI1 et nerfs de Lancisi. 1 i f i 1 : . 700 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Structure des nerfs dc l,ancisi. O
ture at voisinage de la scis sure collatérale. 702 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. les autres régions de l'écorce, les qu
s cellules yrami- dales et stratum ra- diatum. loi ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Coucho des cellules polymorphes. S
de la bourse et 1 que l'écorce de la corne d'Ammon en constitue le
centre
(fig. 351). La structure si complexe de cette r
Les 8 couches de la corne d'Ammon de Meynert. 708 .ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Parallèle entre les couches de la co
de la région godronnée de la corne . d'Ammon. , 0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. oriens ou couche des cellules polymorp
ites cellules de Golgi de la couche moléculaire. 712 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Couche des cellules pyramidales (2 c
globules pro- toplasmiques et de longues épines. 716 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le cylindre-axe des cellules pyrami-
zontal. Cellules a cylin- vlre-axe ascendant. lis ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules à cylindre- axe arqué de Ca
oïdale. i' j Fibres do la corne d'Ammon. 1 d2o ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. F 1 ilrcs nervcuscs de l'alvéus.
stratum medullare médium ou stratum lacunosum. 722 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres du stratum radiatum. Feutra
on go- dronnée de la corne d'Ammon. '1 1 i 724 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. i La circonvolution odronnéc est f
de la région godronnée de la corne d'Ammon. 1 726 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Stratum granulo- siim (2- couche).
mous- sue de Cajal). p, panache protoplasmiquc. 72R ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. , Collatérales mous- sucs des grains
lindre-axe pénètre dans la corne d'Ammon. ! ' - 730 .ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX.- - I Les fibres moussues mettont en
indres-axes ascendants dans la couche moléculaire. 732 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules du type II de Golgi. Cell
es de sotitèneiiieiit. - o, surface épithéliale. 731 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les filnrilles olfac- tives se termi
ol1ll'- rnic olfactif. - o, libres olfactives. ' ï36 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Cellules de Golgi. Origine et termi-
Couche des ccilu- les pyramidales (-" couche). 738 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Couche plexiforme mu des ccllules po
Du même, L'origine et l'aspect des cellules de la névroglie dans les
centres
nerveux de l'enfant. Soc. de Biologie, 1894. Ba
lorgane. Archiv. sur Psychiatrie, 1874. - BROCA. Recherches sur les
centres
olfactifs. Revue d'anthropologie, 1879. CAJAL (S.
corne d'Ammon. Septum lucidum des mammifères. 740 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. existencia di bifurcaciones y colatera
ndbuch der Nervenlehre des Menschen. 1879. - Huguenin. Anatomie des
centres
nerveux. Traduction française de Keller, annota
he des hémisphères, qui atteint sa plus grande étendue au niveau du
centre
ovale de Vieussens, est essentiellement formée
. Fibres courtes et longues d'associa- tion. 744 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Entre-croisements des fibres d'assoc
bres de projec- tion. .. i z Leur origine. * j 740 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Trajet des fibres de projection. F
es. - A, substance blanche. B, couche moléculaire. 748 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Fibres courtes d'association ou Il-
ng fais- ceau d'association du rhinencéphalon. 750 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Forme et trajet du cingulum. sous
e), au niveau du point où celui-ci pénètre dans la masse blanche du
centre
ovale (CO) ; son sommet correspond à la crête d
gion ; sa face externe ou convexe est en rapport avec les fibres du
centre
ovale (CO), et dissociée par les fibres calleuses
ale. ? 4 Origine et ter.ni- naison du cingulum. il ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les trois faisceaux du cingulum d'ap
Trajet de ses fibres dans le lobe trontal. i 754 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. les autres dans la partie orbitaire de
ième sillon temporal. - 1'S, vallée de Sylvius. il 75G ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. 1 Faisceau longitu- dinal supérieu
temporale profonde. - VS, vallée de Sylvius. 7 : i8 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Terminaison du faisceau arqué. Opi
- Tli, thalamus. - U, circonvolution du crochet. . 7G0 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Interprétation per- sonucllc. Le f
diations tha- lamiques. - Voc, corne occipitale. 762 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa iorme sur les coupes vertico-tran
des lésions de la convexité" de l'hémisphère. 761 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FiG. 382. - Coupe vertico-transversale
al inférieur. Sa forme dans le* lobe temporal. 166 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Sa for111e dans le lobe occipital.
um. - tec, ttenia tecta. VI, ventricule latéral. ; 768 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les crêtes de cette face. Faisceau
al in- périeur. * Origine de ses li- brcs. - 770 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. ]'H. 383. Coupe horizontale microscopi
l inte- rieur. Terminaisons an- térieures. " 772 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. De- faisceau lon- gitudinal inférieu
lle confient certainement des fibres de pro- jection, destinées aux
centres
infra-corticaux, (couche optique, corps genouil
eau d'associa- tion dans sa partie inférieure. 774 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. FIG. 387. - Coupe vertico-transversale
qui descendent dans le pied du pédoncule cérébral. 116 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le faisceau ex- terne du pied du pé-
de la capsule seul est altéré. Vialet, dans ses recherches sur les
Centres
cérébraux de la vision, est arrivé aux mêmes ré
t rétro-lenti- culaire de la capsule interne; elle retentit sur les
centres
optiques infra- corticaux, pulvinar, corps geno
lé interne et les fibres tomporo- thalamiques. 778 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. l<JG. doa. Coupe horizontale d'un c
zona incerta. Gn, zone réticulée ou grillagée. 1 780 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Los dégénères. cences secondaires
ipital- vertical. Son origine et son trajct. 782 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Faisceau occipital transvcrse du cu-
. - Fac, corne occipitale du ventricule latéral. 78t ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Couche des libres propres des circon
calleux. - Sage, substance grise sous-épendymaire. 786 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Les fibres d'asso- ciation propres a
corps cal- Icux. Leur origine. Leur trajet. 788 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Tronc du corps cal- cux. Sa textur
minor du corps calleux d'Arnold n'existe pas. 790 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Ins. 391. - Coupe horizontale comprena
de Vicq d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée. 792 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. forceps major et forceps miner. }1
p. 177 et Vialet, Thèse de Paris, 1893, Obs I.) - 796 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. calcarine (K), la dégénérescence intér
taire de Broca. Th, tha- lamus (couche optique). 798 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Le corps calleux dégénère à la suite
d'association intra et inter-hémisphérique. 800 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. La coupe passe par la partie postérieu
buller. Le foyer primitif est coloré en orange.). 802 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. lire. Pendant les deux premières année
ure. Ses rapports avec la handelcttc optiquc. 80 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. direction de cette dernière (voy. séri
nions des au- teurs sur son origine corticale. 806 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Son étude par la néthoc1c des dégéné
eure est encore indéterminée. Capsule externe. 808 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Origine et trajet 'es fihres de la c
gisch anatomische Untersuchungen Uber dieoptischen 810 ANATOMIE DES
CENTRES
NERVEUX. Centren und Balmen nebst lilinischen B
1890. SCHN : 1LBE. Lehrbuch der Neurologie. 1881. VIOLET (N.). Les
centres
cérébraux de la vision. Th. de Paris, 1893. Du
r une partie centrale, le système nerveux cérébro-spinal, nommé aussi
centre
nerveux, et par une partie périphé-rique ramifiée
centre nerveux, et par une partie périphé-rique ramifiée, rayonnée du
centre
vers les extrémités, le système nerveux péri-phér
es nerveuses. La cellule nerveuse est le foyer de l'innervation, le
centre
de l'activité psychique, intellectuelle, motrice
eaux de fibres blanches, à deux noyaux de substance grise, principaux
centres
de l'ac-tivité encéphalique (Pl. I, 12). articl
, 1840, t. VIII, p. 149). (2) G. Huguenin (de Zurich), Anatomie des
centres
nerveux, traduit par Keller, annoté par Math. Duv
squelles on les rencontre sont indiquées par la physiologie comme des
centres
moteurs. Dans le lobe occipital, les deux premi
isphère, deux gros noyaux juxtaposés, appelés les noyaux opto-striés,
centres
générateurs de l'innervation encéphalique, compre
$ de largeur, pourvues d'un noyau et de ramifications. Elle occupe le
centre
même de l'hémisphère cérébral et fait saillie au
oyaux, isolés dans la substance grise de la couche optique, comme des
centres
de réception, en rapport avec des ordres particu-
es particu-liers de fibres médullaires. Il les désigne sous le nom de
centre
antérieur ou olfactif., centre moyen ou optique,
llaires. Il les désigne sous le nom de centre antérieur ou olfactif.,
centre
moyen ou optique, centre postérieur ou auditif, c
ous le nom de centre antérieur ou olfactif., centre moyen ou optique,
centre
postérieur ou auditif, centre médian ou sensitif.
ou olfactif., centre moyen ou optique, centre postérieur ou auditif,
centre
médian ou sensitif. (Pl. IV, 9, 10, 11, 12). Le
ou auditif, centre médian ou sensitif. (Pl. IV, 9, 10, 11, 12). Le
centre
antérieur a le volume d'un gros pois ; il est ovo
tre, dirigé verticalement de haut en bas et de dehors en dedans. Le
centre
moyen est le plus volumineux, sa forme est arrond
la couche optique sur laquelle il produit une intumescence ovoïde. Le
centre
postérieur est moins volumineux que le précédent
et dans un plan plus élevé ; sa structure est aussi moins ferme. Le
centre
médian est situé entre le centre moyen et le cent
tructure est aussi moins ferme. Le centre médian est situé entre le
centre
moyen et le centre postérieur, en dehors et un pe
moins ferme. Le centre médian est situé entre le centre moyen et le
centre
postérieur, en dehors et un peu au-dessous d'eux,
yen et le centre postérieur, en dehors et un peu au-dessous d'eux, au
centre
même de la couche optique ; son dia-mètre est de
roïdale et l'aspect d'une petite masse de substance blanchâtre. Ces
centres
ou noyaux de la couche optique n'ont pas une stru
de fibres qui pénètrent dans la couche optique et vont aboutir à ces
centres
d'immersion. b. Corps strié. Le corps strié {
nce grise. Les fibres nerveuses se réunissent en un faisceau blanc au
centre
de la circonvolution, puis elles s'étalent en éve
Ce système de fibres dirigées de tous les points de l'écorce vers le
centre
de l'hémi-sphère a été décrit par groupes isolés,
'aspect de filaments très déliés et s'amortissent dans les différents
centres
qu'elle renferme ; quelques stries fines atteigne
, les autres se dirigent vers la paroi du ventricule moyen et vers le
centre
médian de la couche optique. Un troisième groupe
'effilant, de la base du tubercule antérieur de la couche optique, ou
centre
antérieur, jusqu'aux tubercules mamillaires. Ce
, fig. I à 111). Le faisceau de Vicq-d'Azyr relie par conséquent le
centre
antérieur de la couche optique à la substance gri
nt latéralement dans la substance grise de la couche optique, vers le
centre
médian. Les pédoncules postérieurs ou inférieur
me manière que les fibres médullaires des hémisphères cérébraux. Au
centre
de chaque circonvolution cérébelleuse apparaît un
rieures se portent en haut, celles des régions latérales vont vers le
centre
; toutes ces fibres s'inclinent dans leur marche
se des cornes antérieures et celle des cornes postérieures, occupe le
centre
et entoure le canal médullaire (Microphotographie
rveux cérébro-spinal. Paris, 1873, et Iconographie photographique des
centres
nerveux. Paris, 1865. dans la substance grise d
aux opto-striés, se dirige en avant, en haut et en dehors, atteint le
centre
médullaire et va aboutir aux régions latérales et
u névraxe une forme protubérancielle caractéristique; il constitue un
centre
d'un ordre spécial d'innervation, de diffusion ou
réflexe de l'influx nerveux, possédant une activité propre, comme les
centres
nerveux du cerveau. Les colonnes de substance gri
tance grise qui contiennent le lieu d'origine des nerfs crâniens, les
centres
réflexes du bulbe (1), ainsi que les formations c
recouverte de cheveux obliquement implantés sui-vant une direction du
centre
vers la périphérie. Sa face profonde adhère au mu
pect de deux noyaux de substance grise ; le premier prend le nom de
centre
antérieur et reçoit le faisceau de Vicq-d'Azyr, l
ntérieur et reçoit le faisceau de Vicq-d'Azyr, le deuxième est appelé
centre
postérieur. Au-dessous et en arrière du centre
deuxième est appelé centre postérieur. Au-dessous et en arrière du
centre
postérieur est la glande pinéale et la substance
a coupe longitudinale de la bandelette optique (8). 9. — Section du
centre
antérieur de la couche optique suivant son grand
t enlevée. En arrière apparaît un noyau à peu près arrondi, c'est le -
centre
moyen (10) en rapport avec le centre postérieur (
au à peu près arrondi, c'est le -centre moyen (10) en rapport avec le
centre
postérieur (11) et le centre médian (12). 14. —
le -centre moyen (10) en rapport avec le centre postérieur (11) et le
centre
médian (12). 14. — Noyau rouge de Stilling; il
mé-diaire, au-dessous du pilier postérieur du trigone. Il recouvre le
centre
moyen (8) de la couche optique, vers lequel s'eff
lent les fibres convergentes de la capsule interne; en arrière est le
centre
postérieur de la couche optique (9); le centre mé
rne; en arrière est le centre postérieur de la couche optique (9); le
centre
médian (10) est situé entre ces deux noyaux, dans
la substance grise de la couche optique; elles s'épanouissent dans le
centre
moyen, le centre médian, dont on n'aperçoit que l
e de la couche optique; elles s'épanouissent dans le centre moyen, le
centre
médian, dont on n'aperçoit que le segment externe
tance grise de la couche optique, atteignant les segments externes du
centre
médian (16) et du centre postérieur (17). Entre c
optique, atteignant les segments externes du centre médian (16) et du
centre
postérieur (17). Entre ces deux noyaux apparaît l
isseur de la face externe de la couche optique et se dirigent vers le
centre
postérieur. La substance grise du corps genouillé
au lenticulaire. I. — Substance grise corticale de l'hémisphère. Le
centre
médullaire est consti-tué par l'ensemble des fibr
n supérieure des hémisphères. Ces diverses sections portent le nom de
centres
ovales de Vicq-d'Azyr, et celui de centres ovales
sections portent le nom de centres ovales de Vicq-d'Azyr, et celui de
centres
ovales de Vieussens, lorsque la coupe passe au ni
aboutir à la partie antérieure et externe du tubercule anté-rieur ou
centre
antérieur de la couche optique. 8. — Bandelette
e blanche intermédiaire aux noyaux opto-striés porte le nom de double
centre
demi-circulaire (geminum centrum semi-circulare).
n des fibres convergentes dans l'intérieur de sa masse et la forme du
centre
anté-rieur (10, Pl. XVI11) qui a acquis la plus g
a forme de petits filaments dans la substance grise de ces noyaux; le
centre
antérieur présente des dimensions moins grandes q
extrémités de la couche optique, et vers le bord interne, apparaît le
centre
médian. La toile choroïdienne re-couvre la cavité
andes que sur la planche XIX. 15. — Région inférieure et interne du
centre
moyen de la couche optique. 16. — Centre médian
ans sa masse. Le fascicule antérieur de ce faisceau se dirige vers le
centre
médian et la paroi du ventricule moyen. 18. — P
ique; le fascicule antérieur (8, Pl. XXII) se porte en dedans vers le
centre
médian et la paroi du ventri-cule moyen. 11 sembl
anouissement des fibres convergentes antérieures et supérieures. Le
centre
antérieur de la couche optique (6, Pl. XX) est ré
he optique (6, Pl. XX) est réduit à son dernier segment inférieur; le
centre
médian (16, Pl. XXII) a acquis toutes ses dimensi
res convergentes des régions posté-rieures. 11 s'étend, en arrière du
centre
médian, vers la substance grise centrale de l'axe
es des régions antérieures et supérieures. 11. — Dernier vestige du
centre
antérieur ; quelques fibres transversales représe
ée du faisceau de Vicq-d'Azyr (Pl. III). 12. — Segment inférieur du
centre
médian. Les fibres convergentes pénètrent dans la
olutions des régions internes du lobe occipital. 14. — En dedans du
centre
médian apparaît le faisceau des fibres efférentes
15. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux postérieurs. Au
centre
est l'aqueduc de Sylvius (16), qui se continue en
obes sphénoïdaux. Les bandelettes optiques (7, Pl. XXX) occupent le
centre
; elles se réunissent Tune à l'autre sur la ligne
més par la sub-stance grise corticale cérébrale et cérébelleuse. Le
centre
médullaire des hémisphères comprend l'ensemble de
de substance grise entourant les fibres nerveuses qui constituent le
centre
médullaire des deux lobes. Chacun de ces centre
qui constituent le centre médullaire des deux lobes. Chacun de ces
centres
est formé de fibres convergentes qui partent de l
cale et vont aboutir à la face externe du corps rhomboïdal ; ces deux
centres
mé-dullaires sont réunis sur la ligne médiane par
le genou du corps calleux. La substance grise corticale entoure les
centres
médullaires, pénètre dans tous les sillons, les s
est enlevée; cette coupe a mis à découvert le tubercule postérieur ou
centre
postérieur de la couche optique, et montre le mod
tion verticale des lobes latéraux du cervelet a détaché la portion du
centre
médullaire qui contient les corps rhomboïdaux (vo
rveuses convergent de la base de la substance grise corticale vers le
centre
, puis se groupent pour constituer les pédoncules
postérieures. 2. — Ensemble des fibres convergentes constituant le
centre
médullaire. Les fibres des régions interne, supér
e longs filaments onduleux et très déliés, qui vont s'amortir dans le
centre
postérieur. 7. — Glande pinéale ou conarium, dé
se réunissent en un faisceau de fibres qui convergent toutes vers le
centre
médullaire qu'occupait le corps rhômboïdal, d'où
corps calleux. La substance grise corticale revêt de toute part le
centre
médullaire; elle se termine au-dessus de la circo
r la section des fibres du taenia semi-circularis (3, PL XXXVI). Le
centre
postérieur occupe la partie interne de cette régi
tes pénètrent en longs filaments, jusqu'à la substance nerveuse de ce
centre
, où elles s'épuisent. La commissure blanche posté
postérieures est le noyau gris des corps restiformes. La section du
centre
médullaire des lobes cérébelleux indique la forma
s hémisphères, pénètre, avec les circonvolutions de l'insula, dans le
centre
médullaire. Les fibres commissurantes des régio
me de petits filaments très fins, qui vont s'épanouir dans les divers
centres
de ce noyau ou sur la paroi du ventricule moyen.
divers centres de ce noyau ou sur la paroi du ventricule moyen. Le
centre
postérieur (12, Pl. XXXVIII) est enlevé; on aperç
. Le centre postérieur (12, Pl. XXXVIII) est enlevé; on aperçoit le
centre
médian en dessous et un peu en dehors du centre m
nlevé; on aperçoit le centre médian en dessous et un peu en dehors du
centre
moyen et, plus bas, les noyaux rouges de Stilling
occupent la protubérance, et celles qui concourent à la formation du
centre
médullaire de chacun des lobes céré-belleux, prov
uche optique. 24. — Section de la région antérieure du cervelet. Le
centre
médullaire est formé parles fibres des pédoncules
x-taposent dans la capsule interne, d'où elles s'irradient vers leurs
centres
d'im-mersion. Le noyau caudé (10; Pl. XL) occup
aversés par des fibres ramifiées, issues des faisceaux spi-naux. Le
centre
antérieur de la couche optique a augmenté de volu
Le centre antérieur de la couche optique a augmenté de volume ; le
centre
moyen a acquis ses plus grandes dimensions ; le c
de volume ; le centre moyen a acquis ses plus grandes dimensions ; le
centre
médian n'est représenté que par sa partie la plus
raux. 9. — Section du teenia semi-circularis sur le bord externe du
centre
antérieur. 10. — Mode de pénétration des fibres
2. — Centre moyen de la couche optique. 13. — Portion antérieure du
centre
médian. 14. — Portion antérieure ou segment ant
anche, et donne naissance par sa face interne aux fibres nerveuses du
centre
médullaire. Les fibres commissurantes des régio
se. En haut et en dedans est la coupe des bande-lettes optiques. Le
centre
antérieur de la couche optique présente son plus
l reçoit en dedans les pédoncules supérieurs de la glande pinéale. Le
centre
moyen tend à s'effacer; au-dessous est la section
12. — Section des fibres du taenia semi-circularis en rapport avec le
centre
antérieur de la couche optique. 13. — Section d
mettent en connexion les cellules nerveuses de la substance grise du
centre
antérieur avec les cellules nerveuses de la subst
enou du corps calleux. La substance grise corticale forme autour du
centre
médullaire une sorte d'écorce périphérique. Les
u caudé, du noyau lenticulaire et delà couche optique. En dehors du
centre
antérieur est la coupe de la veine du corps strié
cq-d'Azyr, dont la partie postérieure est détachée par la section. Le
centre
moyen montre son dernier segment. Les faisceaux s
le genou du corps calleux. La substance grise corticale entoure le
centre
médullaire, s'enfonce dans les sillons profonds d
périeures. La couche optique est réduite à la portion antérieure du
centre
antérieur ; elle est limitée en bas par la substa
e épaisseur sur quelques circonvolutions des lobules orbitaires. Le
centre
médullaire est formé par les fibres commissurante
est en outre recouverte par l'épendyme. Les fibres convergentes du
centre
médullaire se dirigent vers la substance grise du
l'esprit elle a le caractère de la fixité. Elle devient alors le
centre
d'irradiation des états de cons- cience, sans c
es, dépendent très pro- bablement de lois en rapport avec de petits
centres
chimiques qui sont préétablis, et produisent de
qu'une explication bien vague, tant qu'on n'aura pas distingué les
centres
et qu'on n'en aura point précisé le jeu. l41r-r
, transitoire, ordinairement facile à réprimer, n'entrave point les
centres
supérieurs qui ne per- dent ni leur contrôle, n
er- dent ni leur contrôle, ni leur influence modératrice, sur les
centres
psycho-moteurs; elle n'aboutit point à l'impulsio
, se trouve limité, contrarié, ou même annihilé par l'autonomie des
centres
moteurs. Cette autonomie mécon- nue par les sen
hériques, ou plutôt, en raison de sa bilatéralité, à une lésion des
centres
nerveux. G. DERNY. IL Un cas d'acromégalie en g
st acquis que la con- tracture est due à l'exagération du tonus. Le
centre
du réflexe tonus est dans les cellules des corn
ères par les fibres courtes et plus haut il y a « quelque part » un
centre
régulateur d'où part une action nerveuse double
parait acquis définitivement. Reste un point à établir : où est le
centre
régulateur d'où part cette double action inhibi-
midal ? Pour résoudre cette difficulté, il faut et il suffit que le
centre
d'où part cette double action modificatrice du
t sur le tonus; mais les réflexes complexes comme le tonus ont un
centre
régulateur automatique, et c'est de ce centre aut
comme le tonus ont un centre régulateur automatique, et c'est de ce
centre
automatique que partent les actions inhibitrice
partent les actions inhibitrices et excitatrices en question. Or ce
centre
automatique est tout à fait distinct du centre vo
s en question. Or ce centre automatique est tout à fait distinct du
centre
volontaire, . comme il est distinct du centre r
ut à fait distinct du centre volontaire, . comme il est distinct du
centre
réflexe simple inférieur (médul- laire), et c'e
inct du centre réflexe simple inférieur (médul- laire), et c'est ce
centre
automatique que le professeur Grasset place dan
mollissement occupant la presque totalité de la portion centrale du
centre
ovale, et une tumeur du volume d'une noisette sié
ur les formes de la folie. L'alcoolisme a fait des progrès dans les
centres
ruraux. La popu- lation de son asile, le 9 avri
'Ut/ac ? ie. ,1/lél'll- lion des méninges localisée à la région des
centres
moteurs (l'nogr. med., 1878, p. 483). L. Edinge
nnent ces fibres nerveuses ? Sont ce des fibres optiques venues des
centres
optiques primaires, des fibres de projection, o
ts. On peut supposer, dans le cerveau intelligent deux groupes de
centres
: a) des centres de la mémoire et du langage inté
poser, dans le cerveau intelligent deux groupes de centres : a) des
centres
de la mémoire et du langage intérieur, centres
e centres : a) des centres de la mémoire et du langage intérieur,
centres
subalternes, centres domestiques, normalement sou
centres de la mémoire et du langage intérieur, centres subalternes,
centres
domestiques, normalement soumis aux seconds et
ques, normalement soumis aux seconds et dirigeables par eux; b) des
centres
de coordination intellectuelle supérieure, acti
la pensée, dirigent et commandent les premiers : c'est, en bloc, le
centre
supérieur. L'inhibition exercée par le centre s
c'est, en bloc, le centre supérieur. L'inhibition exercée par le
centre
supérieur sur les centres subalternes, inhibiti
tre supérieur. L'inhibition exercée par le centre supérieur sur les
centres
subalternes, inhibition qui est maxima dans les
té, par conséquent, continue de s'affirmer intérieurement, certains
centres
accessoires sont distraits du méca- 140 REVUE D
intéressants, car plus le schéma de la personnalité simulée par les
centres
secondaires est complet ou varié, ou bien combiné
qui les présentent, des perturbations fonctionnelles profondes des
centres
cérébro-spinaux. Lors même que les sujets sont
ééducation de la volonté et de créer chez ces malades de véritables
centres
psychiques d'arrêt. On y arrive assez rapidemen
CE; Par le D' .lowv ROUX. Depuis quelques années, la question des
centres
corticaux a notablement changé de face. Il ne s
sions centripètes venues d'une région déterminée. La doctrine des
centres
autonomes et distincts, exclusivement moteurs ou
moteurs ou exclusivement sensitifs, a vécu. Il n'y a plus que des
centres
réflexes (Exner) ou si l'on préfère des centres
n'y a plus que des centres réflexes (Exner) ou si l'on préfère des
centres
sensillvo-moteurs. Celte doctrine depuis déjà l
insi s'est trouvé définiti- vement établie la doctrine qui fait des
centres
corticaux, des centres réflexes ou sensitivo-mo
i- vement établie la doctrine qui fait des centres corticaux, des
centres
réflexes ou sensitivo-moteurs. De même que les
icaux, des centres réflexes ou sensitivo-moteurs. De même que les
centres
moteurs des anciens auteurs sont en même temps se
rs des anciens auteurs sont en même temps sen-. sitifs, de même les
centres
sensoriels (vision, audition, etc.) sont en mêm
oriel (rétine) correspond à une zone du cortex bien déterminée : le
centre
visuel cortical situé à la DOUBLE CENTRE D'INNE
ortex bien déterminée : le centre visuel cortical situé à la DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 119 face interne
n centrifuge (motrice) superposées aux premières. A. Rôle moteur du
centre
visuel cortical. Centre oculo- moteur postérieu
ettes, les noyaux gris centraux, les radia- tions optiques jusqu'au
centre
visuel cortical. Là s'est pro- duite une sensat
ente : la vision d'une lumière à ma droite; et c'est en cela que ce
centre
est sensitif. Puis l'im- pression s'est réfléch
rétine '. Voilà autant de mouvements dont le point de départ est le
centre
visuel cortical. Il est bien certain que ces mou-
les noyaux de la base ; car ils ne se produisent plus lorsque le
centre
visuel cortical est lésé'1 (hémianopsie et cécité
le). D'autre part, c'est bien par les fibres centrifuges émanées du
centre
visuel cortical que celui-ci agit sur les noyau
le par elle-même. Mais nous savons que les fibres qui se rendent au
centre
visuel, ou en parlent, passent immédiatement au
tion a diffusé, est allé exciter les fibres sous-jacentes allant du
centre
visuel aux noyaux gris centraux. Luciani et T
t une expérience semblable. Ils furent les premiers à considérer le
centre
visuel cortical comme un centre sensitivo-moteu
furent les premiers à considérer le centre visuel cortical comme un
centre
sensitivo-moteur. Schaefier6 a précisé davantag
répondre aux auteurs qui placent dans les noyaux gris de la base le
centre
réflexe de ces mouvements. \ 3 Ceci pour répond
r répondre à ceux qui prétendraient que le circuit réflexe passe du
centre
visuel cortical aux circonvolutions centrales.
rea of the cérébral cortex in the monkey (Bmin, avril 1888). DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 181 l'excitation
onc à faire de la face interne et inférieure du lobe occipital un
centre
non seulement sensitif, mais aussi moteur. Nous
ns les mouvements des globes oculaires et des paupières' : c'est le
centre
oculo-moteur postérieur, ou si l'on préfère le
: c'est le centre oculo-moteur postérieur, ou si l'on préfère le
centre
sensol'io-1notew' de la vision. Ce n'est qu'un ce
on préfère le centre sensol'io-1notew' de la vision. Ce n'est qu'un
centre
'réflexe : par son intermédiaire, c'est la réti
g fermé des yeux ouverts d'un malade ; ils se ferment vivement : le
centre
réflexe a été le lobe occipital. En effet, ce r
nor- male nous permettent de supposer que ces mouvements ont pour
centre
la zone de projection sensitive, correspondant
serait moindre que dans les mouvements produits par l'excitation du
centre
pos- térieur. A la partie postérieure du lobe
rbite et à la mobilité du globe oculaire et des paupières. C'est le
centre
oculo-moteur antérieur ou sensiliuo-7tolear'. 1
tion consciente des mouvements à exécuter ; 1 II est possible qu'au
centre
oculo-moteur antérieur corresponde la migraine
rieur sensorio- moteur correspond la migraine ophtalmique. DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. lu 2° ils sont ac
el, conduction à la première circonvolution temporale, traversée du
centre
d'association, l'insula, du pied de la deuxième
otrices qui me font me lever et marcher. C'est dans la traversée du
centre
d'association que sont ap- parus ' les deux car
: ces mouvements dits volontaires, dont l'excitation provient d'un
centre
d'association, peuvent- ils passer indifféremme
'un centre d'association, peuvent- ils passer indifféremment par le
centre
antérieur ou par le centre postérieur ? Dans le
vent- ils passer indifféremment par le centre antérieur ou par le
centre
postérieur ? Dans le premier cas, ils sont précéd
. plus loin') 111. Action bilatérale et symétrique de chacun de ces
centres
. Les muscles dont l'action est habituellement s
facilement corrigée, le malade tourne sa tête et ses yeux du DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 185 côté opposé s
ation simplement de la statique, et non de la dynamique. Des quatre
centres
auxquels obéit chaque globe oculaire, un seul e
nous a en effet précédemment appris que les fibres centrifuges du
centre
visuel sont intimement mêlées aux fibres centripè
x associée à ,l'hémiano- psie est sous la dépendance des lésions du
centre
postérieur sensorio-moteu1', ou de ses fibres d
t et Landouzy, presque en même temps 2, établirent l'existence d'un
centre
cortical de la déviation conjuguée de la tête e
Peut-on admettre d'autre part que les fibres centrifuges parlies du
centre
visuel puissent êlre lésées isolément, indépend
éviation conjuguée, par action sur les fibres centrifuges issues du
centre
visuel curtical; une lésion profonde détermine
t qu'il n'y a rien d'irrationnel à prolonger jusqu'au pli courbe le
centre
postérieur des mouvements des yeux. 11 n'est pa
1). D'autre part, quoique 1 Déjerine. Soc. de Biol., 1897. DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 187 1 superposées
la suppres- sion fonctionnelle des fibres sous-jacentes, issues du
centre
postérieur sensol'io-moteur. c) Déviation con
teur. c) Déviation conjuguée de la tête et des yeux par lésion du
centre
oculo-moteur &tK<ë ? 'teM) ? II est un gra
e de faits où la lésion, tout en étant hémisphérique, respecte le
centre
postérieur sensorio-moteur ainsi que le pli courb
z précises, les lésions assez limitées pour localiser exactement le
centre
oculo-moteur antérieur, elles permettent d'affi
du pli courbe, ni du lobe occipital, est produite par une lésion du
centre
oculo-moteur antérieur. Théoriquement, on dev
its soit par une lésion du lobe occipital, soit par une lésion du
centre
oculo-moleur antérieur. a) Dans les lésions du,
aux ayant la rétine pour point de départ et le lobe occipital comme
centre
de réflexion. C'est d'abord le clignement réf
existence de celle-ci est trop discutable. b) Dans les lésions du
centre
oculo-moteur antérieur2. Lorsque celles-ci sont
les oculaires et palpébraux obéissent non pas à deux, mais à quatre
centres
, deux de chaque côté ; l'un d'eux peul être sup
soit abolie. Ce n'est pas à dire cependant que la suppression de ce
centre
' On sait que la dissociation de ces mouvements
n° 1). Ce travail très complet nous permettra d'être bref. DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 189 ne doive prov
se)'. En résumé, l'existence dans chaque hémisphère d'un dou- ble
centre
oculo-moteur nous explique très bien pourquoi d
stent aussi indemnes, c'est probablement qu'ils obéissent aux mêmes
centres
, et que chacun des centres oculo-moteurs comman
probablement qu'ils obéissent aux mêmes centres, et que chacun des
centres
oculo-moteurs commande à tous les muscles group
ue (signe de Joffroy). 190 PHYSIOLOGIE. base à la conception d'un
centre
particulier pour le facial supérieur et d'un au
our le facial supérieur et d'un autre-centre pour le releveur. Le
centre
du releveur a été localisé par Grasset' et Lan-
e frontale ou de la partie inférieure de la frontale ascendante. Le
centre
de l'orbiculaire (c'est-à-dire du facial supéri
ces auteurs d'accord en admettantqu'il existe non pas un, mais deux
centres
, et que chacun d'eux commande non pas tel ou te
l ou tel muscle, mais tout l'appareil meteur de la vision. Ces deux
centres
sont l'oculo-moteur antérieur et l'oculo-moteur
es lésions et des excitations de cette région. La lésion des deux
centres
(ou de leurs fibres de projec- tion) du même cô
onnelle moins complète, par conséquent, une action bilaté- rale des
centres
moins solidement établi ; une lésion unilaté- r
les bulbaires assez accentués. En résumé, la lésion isolée d'un des
centres
oculo-moteurs ne produit que des troubles très
s pau- pières ; chez la plupart des individus, la lésion des deux
centres
du même côté produit des troubles légers ; dans
t des troubles légers ; dans quelques cas rares, la lésion des deux
centres
du même côté peut produire la paralysie du rele
, l8îG, p. 106. s Landouzy. -1·cl. gén. de médecine, 18î7. DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 191 atteignant le
DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 191 atteignant les deux
centres
oculo-moteurs. Et en effet, le plus souvent, on
les faits qui ont été considérés comme les plus démonstratifs d'un
centre
unique. . Dans le cas de Lemoine, le malade eut
ossible d'af- firmer que cette région (correspondant précisément au
centre
oculo-moteur antérieur) fût saine. Dans le cas
ance. Même dans ces cas, il n'est donc pas illogique que les deux
centres
oculo-moteurs, ou leurs fibres de projection, aie
ysie des mus- cles palpébraux puisse être due à la lésion d'un seul
centre
, du centre oculo-moteur antérieur. Il s'agirait
cles palpébraux puisse être due à la lésion d'un seul centre, du
centre
oculo-moteur antérieur. Il s'agirait alors d'une
misphérique ? Faut-il voir là la conséquence d'une lésion des deux
centres
oculo-moteurs ? Nous serons beaucoup plus réser
ions hémisphériques bilatérales. Les lésions bilatérales des deux
centres
postérieurs sensorio-moteurs nous arrêteront pe
de la base, et des mouve- ments dits volontaires se passant dans le
centre
antérieur sensitivo-moteur. Les lésions bilat
le centre antérieur sensitivo-moteur. Les lésions bilatérales du
centre
oculo-moteur antérieur, ou de ses fibres de pro
n peu plus longuement. Etant donné les relations de voisinage de ce
centre
avec ceux de la langue, des lèvres, du pharynx
evions chercher l'existence des troubles djs à une double lésion du
centre
oculo-moteur antérieur. Ces troubles paraissent
la face répondent exactement à la coupe précédente, on \ . DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 19 ? ) voit que l
ent normalement. Nous savons maintenant que ces mouvements ont leur
centre
de réflexion«dans le lobe occipital. Si au cont
e. Les sensations venues d'ailleurs, l'excitation transmise par les
centres
d'as- sociations (V. plus haut : Mouvements vol
précédente. Dans ces deux cas, il y avait une suppression des deux
centres
oculo-moleurs antérieurs; les yeux n'obéissaien
tres oculo-moleurs antérieurs; les yeux n'obéissaient plus qu'aux
centres
oculo-moteurs postérieurs. Mais comme ceux-ci son
t ; les mouvements de l'iris sont intacts. La malade ne peut DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 19o 11; plisser l
ments réflexes. Là encore il faut admettre une suppression des deux
centres
oculo- -moteurs antérieurs avec conservation de
n des deux centres oculo- -moteurs antérieurs avec conservation des
centres
oculo-mo- tetirs postérieurs. Nous avons assez
: nous'avons vu que ce clignement réflexe était supprimé quand le
centre
postérieur était lésé : approchez le poing du vis
urale. Berlin, 1892.. (In Neur. Centr., 1892, p. 473.) . ' DOUBLE
CENTRE
D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 1K7 Nous nous bas
mouvement dit volontaire est celui qui dans son circuit comprend un
centre
d'associa- tion. Dans la traversée de celui-ci
n de la liberté. Nous savons qu'un tel mouvement peut passer par le
centre
oculo-moteur antérieur. Les quatre observations
nous avons citées nous répondent qu'il n'en est pas de même pour le
centre
oculo-moteur postérieur. L'incitation qui met e
centre oculo-moteur postérieur. L'incitation qui met en action le
centre
oculo-moteur antérieur peut venir non seulement d
moteur antérieur peut venir non seulement de la périphérie mais des
centres
voisins. L'excitation qui. met en jeu le centre
ériphérie mais des centres voisins. L'excitation qui. met en jeu le
centre
oculo-moteur postérieur vient directement de la
et propose le nom d'ophtalmoplégie pseudo-nudéaire 3 : plaçant le
centre
des mouvements des yeux dans le lobule pariétal
nous avons rapportés, il est possible que chez d'autres sujets, le
centre
uculo-motQUr postérieur puisse jouer un rôle da
plus petit respectait celui-ci. Des deux côtés le siège probable du
centre
oculo- moteur antérieur (pied de la deuxième fr
int de vue sensitif, deux zones de projection corticales. L'une, le
centre
oculo-moteur antérieur, corres- pondant à la zo
ège probable au niveau du pied de la deuxième frontale. L'autre, le
centre
oculo-moteur posté- rieur, correspond à la zone
la face interne et inférieure du lobe occipital. 2° Chacun de ces
centres
agit bilatéralement, et tient sous sa dépendanc
somme tout l'appareil moteur de la vision. 3° La lésion isolée du
centre
oculo-moteur antérieur peut produire : a) la dé
troubles légers des mouvements palpébraux. 4° La lésion isolée du
centre
oculo-moteur postérieur pro- duit la déviation
origine corticale est peut-être dû à une lésion simultanée des deux
centres
oculo-moteurs du même côté. 6° Une lésion bil
côté. 6° Une lésion bilatérale et symétrique atteignant les deux
centres
oculo-moteurs antérieurs ou leurs fibres de proje
, adaptés et conscients. Ces mouvements sont sous la dépendance des
centres
oculo-moteurs postérieurs restés intacts. PAT
cas de cyclopie.. Il. Ctunox. II. Recherches sur les lésions des
centres
nerveux consécutives à l'hyperthermie expérimen
fectieuse ou toxique et en cas de constatation des lésions dans les
centres
nerveux, il faut savoir distinguer ce qui revient
ues, avril 1899 '.) E. B. IV. Les phénomènes de réparation dans les
centres
nerveux après la section des nerfs périphérique
-musculaire sténique, tonique et statique » (Luciani), ou bien « un
centre
d'une réaction spéciale qui s'applique au maint
spéciale qui s'applique au maintien de l'équilibre c'est-à-dire un
centre
réflexe de l'équilibre » (Thomas). Pour contrib
s enfants. Ca dépend de la circulation ralenlie (Brissaud) dans les
centres
moteurs des extrémités inférieures. Le lobe par
sous- arachnoïdien à cause du chevauchement des os pariétaux. Les
centres
moteurs des membres inférieurs peuvent être contu
mancipée et soustraite à l'influence cérébrale psycho-motrice ; les
centres
inférieurs sont indépendants et fonc- tionnent
hibition génitale. Cette dernière est le phénomène qui agit sur les
centres
psychiques pour supprimer la fonction bien qu'i
nous avons suivi le foyer hémorragique qui s'en- fonçait dans le
centre
ovale, vers l'écorce céré- brale, au niveau d
l s'agit d'une hémorragie cérébrale ayant détruit : 1° Au niveau du
centre
ovale : le pied de la cou- ronne rayonnante de
e. Ainsi s'ex- pliqueraient par l'anémie ou va.so-constriction' des
centres
nerveux les états mélancoliques et par l'hyperh
due à la distension de ce dernier. Cette action réagi- rait sur les
centres
nerveux et amènerait par voie réflexe la conges
e produiraient pas dans certains états nerveux où les fonctions des
centres
sont troublées (anémie) ou déviées (psychoses).
? Il y aurait anémie partielle des organes géni- taux au profit des
centres
nerveux ; la congestion utéro- ovarienne n'aura
de ce follicule ; ceLtè irritation est transmise par la moelle aux
centres
encé- phaliques de perception, probablement par
tence reste à mettre en évidence, il viendrait impressionner les
centres
vaso-moteurs, que Schiff place dans la protubé-
t un état psychique anormal, entraî- nant une perturbation dans les
centres
encéphaliques. Que cet état soit accompagné de
entrale, nous devons admettre qu'il influe fortement sur certains
centres
, en particulier sur ceux des vaso-moteurs. En eff
es surprises au sujet des fibres incon- nues qui relient les divers
centres
nerveux entre eux et avec le système sympathiqu
hymateuses constatées dans la partie supérieure du nerf et dans son
centre
médullaire. Cette propaga- tion s'est faite dir
parenchymateuses du nerf ont elles-mêmes réagi à distance sur les
centres
nerveux, déterminant ainsi des lésions cellulaire
ses toxines, détermine, dans certains cas, une répercussion sur le
centre
, avant même que la substance toxique se soit prop
1886. De l'idiotie et en particulier des lésions anatomiques des
centres
nerveux dans l'idiotie : M. Hricon (1.200 francs)
le noyau est ainsi plus ou moins éloigné de la position voisine du
centre
qu'il occupe ordinairement dans les grandes mul
multipolaires. On conçoit, d'un autre côté, que par sa situation au
centre
de la cellule, son contenu plus homogène, sa fo
es grains formant en effet un ou plusieurs amas, plus denses à leur
centre
, plus clairsemés à la périphérie et siégeant so
des cultures pures de diplocoques analogues à ceux des cultures des
centres
nerveux. Étant donné les causes inévitables d
trouvait d'ailleurs, mais mélangé à d'autres, dans les cultures des
centres
nerveux. Les caractères de ce microbe furent le
il d'autres agents (probablement d'infection cadavérique) dans les
centres
médullo-bulbaires. Il ne nous a été possible de
été possible de déceler aucun agent microbien par colora- tion des
centres
nerveux médullaires après durcissement et inclu
explication de certain point que la notion générale d'infection des
centres
médullaires n'élucide qu'im- parfaitement. Ce p
bas en haut, atteignant successivement et infailliblement tous les
centres
moteurs échelonnés le long de la colonne médull
rieure motrice, la plus superficielle et la plus sensible parmi les
centres
médullaires ; et qu'enfin la com- 1 Chantemesse
y. Pour les uns elle ne serait jamais l'expression d'une lésion des
centres
, mais toujours d'une polynévrite périphérique.
1889 « on n'a pas fourni la preuve certaine qu'une affection des
centres
, de la moelle et du bulbe en particulier, peut do
analogues à ceux de Krewer sont possibles, il arrive aussi que les
centres
des neurones moteurs périphériques sont primiti
surtout des lésions aussi exactement systématisées aux cellules,
centres
des neurones moteurs périphériques, avec intégrit
nt pas aux oreilles. Ces faits s'ex- pliquent par la propagation au
centre
moteur du langage de l'excitation du centre aud
t par la propagation au centre moteur du langage de l'excitation du
centre
auditif cortical. » Signalons encore la thèse d
e. Un des points intéressants de ce cas, c'est que l'éréthisme du
centre
cortical moteur verbal produit chez la malade non
s, les coups de sifflet réels. Ainsi, non seulement l'excitation du
centre
auditif cortical se propage au centre moteur du
non seulement l'excitation du centre auditif cortical se propage au
centre
moteur du langage, mais même l'excitation périp
gage, mais même l'excitation périphérique provoque l'éréthisme du
centre
moteur du langage. Cette excitation vient souvent
es sensitives, motrices et verbales. C'est ainsi que l'éréthisme du
centre
cortical du langage articulé chez les halluciné
s, et chez les alcooliques que nous avons étudiés, retentit sur les
centres
voisins (sen- - silivo-moteUl ? respiratoires,
, certains malades croient parler automatique- ment. L'éréthisme du
centre
cortical moteur verbal produit aussi des mouvem
s semblent parler automatiquement. Cela s'explique. L'excitation du
centre
de Broca, ainsi que l'a démontré M. Jules Soury
vant l'intensité, des symptômes' variables. Ainsi l'éréthisme de ce
centre
détermine : 1° La représentation des mouvements
rveux centrifuge qui, suivant le degré d'irritation pathologique du
centre
considéré, déterminera dans les nerfs et dans l
et dans les muscles destinés à l'articulation, 1 P. nitigé. Sur les
centres
psycho-moteurs de la parole articulée. (Bulleti
prononcée en réalité. Toutefois, avec la durée et l'intensité du
centre
cortical, une émission des mots pourra se pro-
lles hallucinations. Donc rien de surprenant que l'exci- tation de»
centres
se propage, intéresse le centre moteur de la fo
surprenant que l'exci- tation de» centres se propage, intéresse le
centre
moteur de la fonction langage. Généralement,
proche en proche par des voies encore mal définies jusque dans les
centres
supé- rieurs ; 3° Au delà du système des neur
er que le ruban de Reil médian s'arrête dans le noyau externe et le
centre
médian de la couche optique ; -, 7° Les conne
sensibilité. A. FENAYROU. XV. Les phénomènes de réparation dans les
centres
nerveux après la section des nerfs périphérique
formé de fibres nerveuses mille fois anasto- mosées, tandis que le
centre
à bords dentelés ou projeté en rameaux touffus
naux sensitifs et moteurs. Le ganglion de l'isthme devient ainsi le
centre
d'un arc réflexe dont la branche afférente (tra
smet les im- pressions optiques, acoustiques et sensitives d'autres
centres
aux cellules de ce ganglion; celles-ci les renv
en règle générale, le maintien de la substance active au niveau des
centres
et des racines médullaires lombaires et son éch
ntres et des racines médullaires lombaires et son échappée vers les
centres
nerveux supérieurs, restent subordonné à sa nat
t locale plus ou moins persistante d'un agent médicamenteux sur les
centre
nerveux sous- 420 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. jac
lle croit sous nos yeux en intensité et en quantité dans nos grands
centres
urbains. Mais au point de vue de la qualité il
servations complètes de ramollissement cérébral étendu (écorce et
centre
ovale), avec troubles maniaques transitoires, cor
etits foyers circons- crits, localisés dans la substance blanche du
centre
ovale, lorsqu'ils se montrent isolés, ne produi
r- ticales paraissent normales. Les coupes verticales montrent le
centre
ovale normal dans sa partie antérieure et ramolli
le interne à droite dans toute son étendue et se propageant vers le
centre
ovale particulièrement dans sa partie antérieure.
un jours après l'admission. Autopsie. Ramollissement très étendu du
centre
ovale de l'hémi- sphère cérébral droit, formant
plectiforme. L'aulolJsie montre un vaste foyer de ramollissement du
centre
ovale intéressant tout le lobe frontal droit. L
t des surmenés. Le surmenage cérébral déterminé par l'éréthisme des
centres
sensitivo-moteurs et sensoriels de l'écorce, l'
tous les muscles de la vie de relation, et par suite le repos des
centres
moteurs ; il a aussi pour résultat de restreindre
ation, entendant par là la sen- sation de l'activité consciente des
centres
moteurs, il n'y a pas autre chose qu'une différ
1891. -470 0 RECUEIL DE FAITS. encéphaliteloealisées au niveau du
centre
moteur du langage et des centres masticateurs.
encéphaliteloealisées au niveau du centre moteur du langage et des
centres
masticateurs. Nous avons eu l'occasion de suivr
au niveau de la troisième circonvolution frontale gauche (siège du
centre
des images verbales). Observation. - PCtl'alysi
s voix lui commandent d'agrandir le soleil et d'y mettre un tube au
centre
. Dieu descend du soleil avec une immense bande
es, les unes arrondies, les autres déprimées et cupuliformes à leur
centre
. Ces marrons cancéreux sont isolés et de dimens
it due à un trouble de l'activité fonctionnelle du bulbe, siège des
centres
moteurs de la respiration, tend à se substituer a
e la respiration ne dépendent pas exclusive- ment de l'activité des
centres
bulbaires ; le cerveau exerce à l'état normal u
le cerveau exerce à l'état normal une influence régulatrice sur ces
centres
et la diminution ou la suppression de cette inf
tance, distingue le blanc des couleurs vives ; la tuméfaction du
centre
de la papille et de ses limites a complètement di
E. * 489 courant faradique; dépendent non de l'excitation locale du
centre
cortical de l'estomac, de l'intestin, de la ves
tation d'en- semble de la zone motrice de l'écorce cérébrale et des
centres
qui y sont placés ; 7° L'asphyxie, qui se montr
e la troisième frontale, le corps strié, les parties limitrophes du
centre
ovale. Elle n'a pas touché aux par- ties supéri
aussi irritées (d'où les épreintes urinaires). Il rap- pelle que le
centre
du detrusor est, chez le chien, le bord mé- dia
r est la partie postérieure de la même circonvolution, tout près du
centre
du mouvement de la queue. Le sphincter ne se dé
sion, mais peu les piqûres, peu le froid et le chaud, notamment au
centre
de la zone en question. Il éprouve des douleurs s
du sixième au huitième mois de la vie embryonnaire (Horsley) et les
centres
nerveux supérieurs étant, à cette époque, en vo
en voie de développe- ment, la toxine a, dans l'espèce, agi sur ces
centres
avant que le développement n'en fut terminé ; e
de l'organe bien que peu de foyers s'éten- dent de la périphérie au
centre
de la moelle ; généralement à la périphérie il
e lisière de substance nerveuse saine. Des foyers qui avoisinent le
centre
partent deux ou trois vaisseaux déjà altérés qu
ent eux-mêmes un ou plu- sieurs vaisseaux altérés qui en forment le
centre
. L'adventice en est épaissie et lâche, la gaine
tie supé- rieure du corps doit se porter en avant, pour déplacer le
centre
d'équilibre du corps. Le malade présente donc u
émontra qu'il s'agissait d'un abcès cérébral situé à gauche dans le
centre
ovale, sans la moindre lésion des méninges. Le
point d'avoir envahi presque complètement la circonvolution et son
centre
ovale. Leur SOCIÉTÉS SAVANTES. 51 0 topograph
ns les hôpitaux et ré- formes urgentes, par Bourneville, 522. -
Centres
nerveux. Les phénomènes de la léparatiun dans l
qué et Febvré, 00. Hyperthermie. Recherches sur les lésions des
centres
nerveux con- sécutives à l' - expérimentale et
s de l' -, par Weitheini- Salomonsou, 317. Ocm.o-nto'mcr.. Double
centre
d'Iuer- vation corticale, par Roux, 177. Onan
les maladies nerveuses, par Ilascovec, l 13. Visuel. Structure du
centre
cortical - du cerveau, par Hamon v Cajal 125.
liquéfaction de la myéline se montrant d' abord exclusivement au
centre
du tube nerveux, c'est-à-dire autour du cylindrax
de myéline et un cylindraxe. Invariablement la lésion débute par le
centre
du tube nerveux où la myéline perd ses cercles
erveux, cet organe apparaît comme un point occupant exactement le
centre
du manchon de myéline dont il est l'axe rectilign
endant il arrive assez souvent que la myéline, altérée au niveau du
centre
, prend une coloration plus foncée qu'à l'état n
entent des tubes nerveux coupés transversalement. On y voit : 1° au
centre
des cylmdraxes contournés en volutes, en S italiq
est le dernier terme de la lésion avant la résorption complète. Le
centre
du tube nerveux présente alors, au sein de la m
du cylindraxe apparaît, tandis que la myéline s'est liquéfiée du
centre
vers la périphérie. Enfin la résorption* complète
disséminés. Ce n'est pas tout dans des recherches sur l'oedème des
centres
nerveux Rumpf a observé une lésion analogue.
retrouve pas non plus signalée cette liquéfaction débu- tant par le
centre
de la myéline au voisinage du cylindraxe. Mais
pénétrante du crâne, opéré du trépan, il présentait au niveau du
centre
des mouvements de la face et du bras dans l'hémis
du parenchyme et prolifération de la névroglie) de la périphérie au
centre
, sans atteindre la substance grise. Dégénéres-
sceau longitudinal inférieur qui établit une communication entre le
centre
optique gauche et le lobe tem- poral gauche (ce
cation entre le centre optique gauche et le lobe tem- poral gauche (
centre
auditif du langage) étant lésé, le rapport entr
es excitations optiques qui arrivent dans l'hémisphère gauche et le
centre
des sons est détruit. Le ramollissement du bour
let du corps calleux et du tapetum interrompt la communi- cation du
centre
optique droit avec le lobe temporal gauche. Ces
r le terme de sous-corticale. Son malade ne peut lire parce que ses
centres
visuels droit et gauche ne peuvent conduire des
tres visuels droit et gauche ne peuvent conduire des excitations au
centre
auditif de la parole. La lésion du tapetum qui
a parole. La lésion du tapetum qui établit l'association entre le
centre
visuel droit et le centre auditif est de la plus
apetum qui établit l'association entre le centre visuel droit et le
centre
auditif est de la plus grande impor- tance. L'é
xpliquer de deux façons. On sait que Déje- rine admet, en dehors du
centre
optique du lobe occipital, un centre optique sp
Déje- rine admet, en dehors du centre optique du lobe occipital, un
centre
optique spécial, où seraient déposées les image
le place, dans le pli courbe, en le reliant d'un côté avec les deux
centres
optiques, et d'un autre côté avec les centres aud
un côté avec les deux centres optiques, et d'un autre côté avec les
centres
auditif et moteur du langage. Ce centre étant l
t d'un autre côté avec les centres auditif et moteur du langage. Ce
centre
étant lésé, il y a impossibilité de lire et d'é
ibilité de lire et d'écrire; si la lésion, au lieu de porter sur le
centre
, porle sur les voies de conduction aux deux cen
de porter sur le centre, porle sur les voies de conduction aux deux
centres
optiques, il n'y a pas d'agraphie. Redlich n'ad
compensait la perte de l'association entre le contre auditif et le
centre
visuel, grâce à l'association existant entre les
eu)'o. Cnlrul6l., XIV, 1895.) On fait une première fois agir sur le
centre
moteur d'un membre REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
epos. Il demeure incomplètement paralysé de l'extrémité opposée aux
centres
enlevés. Quelques jours plus tard, au moment où
e de la partie de l'écorce totalement enlevée, il s'est reformé un'
centre
cortical; par exemple, a-t-on enlevé le segment
enlevé le segment moyen de la frontale ascendante, c'est-à-dire le
centre
qui commande à l'extrémité antérieure, il suffit
es groupes musculaires du membre en question privé cependant de ses
centres
corticaux. M. Shukow a déterminé les lois suiva
ar l'inflammation traumatique, est amoindrie par la destruction des
centres
correspondants de l'hémisphère de l'autre côté;
des centres correspondants de l'hémisphère de l'autre côté; 3° les
centres
moteurs néoformés sous l'influence de l'inflamm
régions voisines de l'écorce, jusque dans le territoire d'un autre
centre
.. P. KERAVAL. XXX. Amyotrophie spinale PROGRESS
des muscles de la physionomie (mimique). Or, l'écorce contient des
centres
qui actionnent la respiration, des cenlres qui
la respiration, des cenlres qui actionnent les cordes vocales, des
centres
qui pré- sident à la sécrétion lacrymale, des c
vocales, des centres qui pré- sident à la sécrétion lacrymale, des
centres
vaso-moteurs, des centres moteurs commandant au
é- sident à la sécrétion lacrymale, des centres vaso-moteurs, des
centres
moteurs commandant aux mouvements volontaires de
autre part, les noyaux cérébraux sous-corti- .eaux sont le foyer de
centres
combinés pour l'expression des senti- ments ; l
par le stimulus psychique ont pour facteurs : l'action combinée du
centre
facial de la physio- nomie (mimique), des centr
action combinée du centre facial de la physio- nomie (mimique), des
centres
de la sécrétion lacrymale et des vaso-moteurs.
rrêt d'excitations modéra- trices, soit par action des faisceaux et
centres
excitateurs des pleurs. P. Keraval. XXXIII. T
gèrement t affectés, rendaient facile à diagnostiquer une lésion du
centre
brachial de l'hémisphère cérébral droit. La dou
vulsifs initiaux débutent par les doigts, il devenait clair que les
centres
de la main et des doigts étaient atteints; et l
; et l'on pouvait dès lors diagnostiquer une tumeur intéressant les
centres
du bras et de la main. Le malade ayant présenté
eur, il paraissait probable que la tumeur était située en avant des
centres
moteurs, qu'elle ne devait atteindre que second
ens (bases physiologiques de la vie psychique). Développement des
centres
nerveux. Localisations. Neurones. Voies de conduc
e de l'illusion et de la perception normale, pour que l'activité du
centre
contenant l'image hallucinatoire soit éveillée,
erveux. Je dis modification légère ou insaisissable, car pour qu'un
centre
puisse produire l'hallucination, il est nécessa
causes productrices des hallucinations les lésions destructives des
centres
psycho- sensitifs. Toutefois des lésions de ce
tifs. Toutefois des lésions de ce genre, siégeant au voisi- nage du
centre
sensoriel, pourraient l'irriter et agir sur lui
nt d'origine centrale. Mais il peut aussi arriver que l'activité du
centre
contenant l'image hallucinatoire soit mise en j
acquise ou originelle, c'est l'état d'infériorité fonctionnelle des
centres
cérébraux. Sans cela tous les malades qui ont d
ina- toires. Rappelons-nous qu'en fin de compte l'irritation d'un
centre
cortical ou d'un nerf périphérique ne peut donner
ion du nerf auditif, peut déterminer la mise en activité morbide du
centre
senso- riel correspondant, qui interprétera les
nde exception. L'affaiblissement du cerveau, la pré- disposition du
centre
auditif sont les véritables causes de la produc
ires, qui supposent, je le répète, une intégrité presque absolue du
centre
cortical. 1 Mabille. Cas de uérisozz d'hallucin
et paraissant prouver l'existence des hallucinations par lésion des
centres
cérébraux. Une malade, dont l'histoire très cur
si l'autopsie révéla des lésions de la première temporale, siège du
centre
auditif, on en constata aussi dans l'oreille mo
s épileptiformes, par la tumeur, c'est-à-dire par l'irri- tation du
centre
sensoriel cortical. Hughes Bennett a a rapporté
aralysie géné- rale sont liées d'une façon intime à des lésions des
centres
sensoriels corticaux du sens intéressé. M. Séri
que le quart inférieur des circonvolutions ascendantes (siège du
centre
masticateur). Cet auteur s'appliqua à rattacher
xpliquer nettement sur ce point. Si une lésion cérébrale détruit un
centre
, elle se traduit alors symptomatiquement par la
re, à des convulsions, à des mouvements choréiques s'il s'agit d'un
centre
moteur, à des sensations lumineuses, à de l'amb
ts, à des fourmillements, à des engour- dissements, s'il s'agit des
centres
dc la sensibilité visuelle, auditive ou tactile
8 et 449. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 109 tion, d'activer un
centre
sensoriel par une lésion irritative, quelque ch
on irritative, quelque chose de plus est nécessaire, il faut que ce
centre
soit modifié, il faut qu'il soit préparé d'une
par exemple, il n'est pas rare de trouver des lésions étendues des
centres
sensoriels chez des malades qui n'ont jamais pr
canisme, du moins dans la majorité des cas, que les altérations des
centres
sensoriels et celles des organes périphériques
dons médullaires qui n'ont pas de relations physiologiques avec les
centres
craniens ou les nerfs périphériques, de la répa
névrites, de leur situation même à la fois plus éloignées de leurs
centres
tro- ' phiques, et doués d'un degré plus élevé
la circonvolu- tion temporo-sphénoïdale supérieure où résident les
centres
de la vision et de l'audition. La longue dépres
ackson, un état de dissolution des couches les plus supérieures des
centres
les plus élevés, avec activité hyperphysiologiq
s des centres les plus élevés, avec activité hyperphysiologique des
centres
qui leur sont subordonnés. Ce qui semblerait co
ma donné par M. Beyer suppose, en outre des voies médullaires, un
centre
sous-cortical, siège des sensations et de leurs s
entre sous-cortical, siège des sensations et de leurs souvenirs; un
centre
cortical sensoriel, siège des images et de leurs
ensoriel, siège des images et de leurs résidus (per- ception) et un
centre
cortical supérieur (lobe frontal) siège de l'idéa
e l'idéa- tion (aperception), qui enverrait des ordres au quatrième
centre
à fonctions motrices (circonvolutions centales)
ntre ensuite, comment les troubles fonctionnels, soit de ces divers
centres
, soit de leurs voies d'association, donnent lie
n dehors de toute altération organique des muscles des nerfs ou des
centres
. Les intéressantes observations relatées par le
cas qui nous occupent. L'auteur a pu faire examiner par Nissl les
centres
nerveux d'un sujet atteint de délire au début de
premier cas, dans la région du bulbe et de la protubérance, « aucun
centre
ganglionnaire n'avait de changements patholo- g
t. Lorsque l'on veut colorer la fibre nerveuse, - ou le tissu des
centres
nerveux - par la méthode de Weigert après fixalio
la diminution consécutive de l'action cérébrale de contrôle sur les
centres
réflexes inférieurs. La dégénérescence primitiv
symp- tômes directs d'une hémorrhagie qui comprime ou irrite les
centres
qui président au contrôle musculaire : les contra
(Veurolog. Cent1'albl., XIII, 1894.) Expériences sur le chien. - Le
centre
de la déglutition occupe le segment antérieur d
de la deuxième circonvolution (Landois), immédiatement au-dessus du
centre
des mouvements de la déglutition, accélère la r
mouvement de déglutition, ce qui prouve l'extrême vicinité des deux
centres
. P. K. - XX. CONTRIBUTION A la question DE L'IN
urolg. Centralbl., XIII, in4.) Réthi a trouvé chez le lapin un seul
centre
cortical situé en avant et en dehors du centre
hez le lapin un seul centre cortical situé en avant et en dehors du
centre
cortical des extrémités, dont l'exci- tation pr
déglutition. Si voisin que soit, chez le .chien, dans l'écorce, le
centre
de la déglutition de celui des mouvements des max
en un seul REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 227
centre
. Le centre de coordination des mouvements nécessa
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 227 centre. Le
centre
de coordination des mouvements nécessaires à l'
ptique (Réthi). M. de Bechterew trouve dans les couches optiques un
centre
pour les mouvements de l'estomac et de l'intest
ow. P. K. XXVIII. SUR UNE NOUVELLE MÉTHODE DE recherches dans LES
CENTRES
nerveux, EN particulier pour localiser LES CELL
ésultera une altération régressive de ces éléments; 2° d'enlever un
centre
nerveux des organes centraux ou de couper les f
des organes centraux ou de couper les faisceaux qui sortent de ce
centre
; dans les cellules nerveuses du centre le plus vo
faisceaux qui sortent de ce centre; dans les cellules nerveuses du
centre
le plus voisin de celui qui dépend le plus dire
régressive qui, dans les premières semaines, ne dépas- sera pas le
centre
le plus voisin ; 3° la régression variera suivant
ratoire; 4° enfin la loi est que dès que les cellules nerveuses des
centres
sont directement atteintes par un agent nocif,
que l'agent nocif ait uniquement lésé les éléments spécifiques des
centres
nerveux, c'est-à-dire la cellule et les fibres
r, après la section du sciatique, on a beau agir violemment sur les
centres
sudoripares, même par la dyspnée, sur les nerfs
l est, en « effet, exposé à être expédié prématurément loin de tout
centre
« d'études, privé de toutmoyen de travail scien
es, réunir ensemble idiots et épilep- tiques ; mais dans les grands
centres
, il est préférable de séparer ces deux catégori
joute : « Le plus souvent le foyer de ramollissement occupe soit le
centre
, soit la couche cor- ticale d'un hémisphère ; r
égulières et des tremblements fibrillaires, provenant de ce que les
centres
spinaux sont alors libérés de tout contrôle : de
s sont la conséquence de modifications analogues survenues dans les
centres
de la volition, et dans le mécanisme qui les me
tion, et dans le mécanisme qui les met en rapport avec les autres
centres
. R. de Musgrave CLAY. XLIV. UN cas anormal DE S
de l'iris et de la cornée (leucome adhérent). Un peu au-dessous du
centre
existait une large tache de la cornée au bord c
suivant la majorité des observateurs, le cervelet, considéré comme
centre
nerveux, préside à la coordination des mouvemen
es passagers de la circulation au niveau du bras, de la face et de=
centres
du langage. Ce cas était intéressant, car on po
pareil moteur, depuis REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. : Q81> les
centres
corticaux et les noyaux de la substance grise, ju
des impulsions centripètes de la peau, du sens musculaire, et des
centres
psychiques sur l'appareil moteur. Tells--estJ'amt
1° un violent stimulus sensoriel ; 2° une extrême tension dans les
centres
réflexes ; 3° un débordement d'influx nerveux d
ns ceux des muscles volontaires. C'est cette haute tension dans les
centres
réflexes qui constitue l'essence physio- logiqu
inhibition : venue d'en haut elle exerce une action continue sur le
centre
réflexe médullaire avec la faculté de se relâch
es volon- taires représente donc une décharge de faible tension. Le
centre
viscéral au contraire subit infiniment moins l'
e dû seulement à une extrême accumulation de force ner- veuse en ce
centre
, représente une décharge haute tension. Or, c'e
e seront pas trop coûteux, et l'asile bénéficiera du voisinage d'un
centre
ur- bain au point de vue du service des eaux, d
x mois environ. J. Noir. VU. Du réveil des affections anciennes des
centres
nel veux (Para- lysie infantile et hémiplégie C
re, édit., 1895.) L'auteur démontre qu'il existe des affections des
centres
nerveux qui peuvent, à des années de distance,
sous une influence banale, ont un réveil de la première lésion des
centres
nerveux. La maladie affecte alors le plus souve
nc. - Au bureau du Progrès Médical. DEBIERRE et DOUMER, L'Album des
Centres
nerveux se compose de 48 figures schématiques,
cours d'anatomie et particulièrement de l'Album stéréoscopique des
Centres
nerveux des mêmes auteurs, chacune de ses figur
de l'onde moléculaire constituant la perception élémentaire, et des
centres
sous-corticaux chargés d'élaborer les excitatio
iences sur les chiens et les chats. Conclusions. - L'excitation des
centres
corticaux du cerveau jeu REVUE DE PATHOLOGIE ME
PATHOLOGIE NERVEUSE. d'une brusque détente des éléments nerveux du
centre
de la parole placé dans l'écorce du cerveau. Ta
si- vement puis tout disparaissait. En dehors des crises, dans le
centre
de la surface où se manifes- taient les trouble
u pouls, etc. P. Keraval. XXXIV. NOUVELLES communications SUR LES
centres
SENSORIELS ET LES centres d'association DE l'en
XXXIV. NOUVELLES communications SUR LES centres SENSORIELS ET LES
centres
d'association DE l'encéphale humain; par P. FLECH
1l1'olog. Cent1'albl" XtV, 1893.) , . - Sont, d'après l'auteur, des
centres
sensoriels, les parties du cer- veau qui sont p
lre l'écorce et les contres sous-corticaux. En réalité, ce sont des
centres
recevant et groupant les origines de toutes les
des expansions terminales à fonction centripète, (zone centrale du
centre
sensor iel) et. que les fibres collatérales qui p
stituent la zone terminale ou périphérique, cen- trifuge de ce même
centre
. Chaque centre sensoriel aurait donc deux terri
e terminale ou périphérique, cen- trifuge de ce même centre. Chaque
centre
sensoriel aurait donc deux territoires corticau
escences collatérales de chaque groupe de fibres fonda- mentales ou
centre
sensoriel semblent en effet pourvues de leur my
mé de quatre territoires absolument séparés l'un de l'autre par des
centres
d'association : 1° le plus grand, de beau- coup
assurément au tact. Cette sphère tactile est plutôt un congrégat de
centres
sensoriels à fonction étroitement liée, dont le
THOLOGIQUES. 377 collatérales. Le pli courbe lui-même appartient au
centre
d'as- sociation pariétal. 3° La sphère auditi
fondamentales ou tronculaires, avec toutes ces sphères ou tous ces
centres
sensoriels; le centre sensoriel avec lequel ell
ulaires, avec toutes ces sphères ou tous ces centres sensoriels; le
centre
sensoriel avec lequel elle a le moins de relati
moins qu'avec la sphère olfactive qui est bien plus petite. Trois
centres
d'association : 1° Pariétal : ce sont les deux
e lobule fusiforme, avec le pôle du lobe temporal. En réalité, le
centre
temporal et le centre pariétal passent l'un dans
avec le pôle du lobe temporal. En réalité, le centre temporal et le
centre
pariétal passent l'un dans l'autre par le pli c
et la partie postérieure du trigone. Il serait donc juste de dire :
centre
tempo ro-pariétal ; c'est un lobe du double plus
entre tempo ro-pariétal ; c'est un lobe du double plus grand que le
centre
d'association frontal ; 3° Le centre d'associat
du double plus grand que le centre d'association frontal ; 3° Le
centre
d'association frontal comprend tout le lobe front
P. KÉRAVAL. XL. LES tractus nerveux sensitifs ET sensoriels ET les
CENTRES
; par G. JELGERSMA. (Neurolog. Ce)zti-albl., XI
rment des fibres de deux espèces; les unes émanent des cellules des
centres
, les autres vont aux cellules des centres. Tant
émanent des cellules des centres, les autres vont aux cellules des
centres
. Tantôt ces fibres se mélangent confu- sément,
et Engelmaun); la fonction précise des fibres nerveuses et de leurs
centres
qui y présideraient se conçoit avant de s'expli-
pourrez produire des mouvements des globes ocu- laires ; excitez le
centre
cérébral de l'ouie, vous engendrerez des mouvem
ganglions spinaux; ces cellules envoient tous les cylin- draxes aux
centres
. Les fibres des nerfs optiques et acoustiques c
érieure, suivant toute la hauteur de la moelle, corres- pondent aux
centres
optiques et auditifs primaires. La cellule nerv
ur le nerf auditif. Ce qui n'est pas établi, c'est l'existence d'un
centre
du nerf optique qui (de même que les fibres ner
indraxes au cervelet. Cette connexion est cependant supposable. Les
centres
de l'acoustique ont des connexions cérébelleuse
e revient à mesure que disparaissent les sensations en question, du
centre
à la périphérie, comme si les nuages se frag- m
dans l'ordre. Le trouble fonctionnel trophique ou circulatoire des
centres
visuels cortico-occipitaux qui d'ordinaire, en
. S'il y a complète interruption au-dessus de cette région (écorce,
centre
ovale), il n'y aura qu'atro- phie simple de ce
LVIII. NOTE A PROPOS DES lésions vasculaires dans la syphilis DES
centres
NERVEUX ; par le D1' Lamy. (Revue neurologique, j
'infections secondaires, chez les syphilitiques touchés du côté des
centres
nerveux. Ces malades peuvent, en effet, présent
t de veille est l'état normal de fonctionnement psychogé- nique des
centres
cérébraux. L'auteur considère comme nécessaire
onsidère comme nécessaire à l'état de veille le fonctionnement d'un
centre
de coordination intellectuelle supérieure, de f
, de fixation et d'élaboration des matériaux fournis par les autres
centres
. L'état de cessation du fonction- nement psycho
centres. L'état de cessation du fonction- nement psychogénique d'un
centre
constitue le sommeil de ce centre. L'etat de
tion- nement psychogénique d'un centre constitue le sommeil de ce
centre
. L'etat de cessation du fonctionnement psychogé
partiels accompagnés de rêves et constitués par l'état de repos du
centre
supérieur en même temps que par le fonctionneme
r en même temps que par le fonctionnement partiel ou total d'autres
centres
(rêves partiels ou généralisés). Le sommeil hyp
e sommeil hypnotique est un état de sommeil pro- fond et durable du
centre
supérieur; l'état des autres ne différant de l'
l'état normal que par la cessation de leurs communications avec le
centre
supérieur, d'où une plus grande intensité dons le
lus grande intensité dons leur fonctionnement Comme tous les autres
centres
, le centre supérieur serait sujet à certaines m
ntensité dons leur fonctionnement Comme tous les autres centres, le
centre
supérieur serait sujet à certaines maladies (da
prédisposés ou sous l'influence du fonctionnement exagéré d'autres
centres
: ainsi le fonctionnement intensif d'une zone v
ire l'hallucination, au cours de laquelle il y aurait inhibition du
centre
supérieur. E. B. LX. Circonvolutions cérébrales
pports ENTRE l'appareil A ! Ii1'ULLAIRE DE l'oreille interne ET les
centres
OCULO-fOTEURS; par P. BONNIER. Elude documentée
ar les atomes morphiques dans la narcose) il faut supposer dans les
centres
nerveux l'existence d'une substance à haute ten
hangés matériels qui les accompagnent. i¡,}> ? Les relations des
centres
entre eux ou avec la périphérie ne sont 1 ' ^pa
l maintenue par les forces identiques nées et accumulées dans les
centres
ou terminaisons en connexion fonctionnelle avec c
L'hyperthermie peut résulter aussi bien d'une suroxydation dans les
centres
caléfacteurs que d'une baisse de résistance dan
hition est le résultat du contrôle de tension antagoniste entre les
centres
ou terminaisons associés. Quant à l'action trophi
ne part active au maintien de la ten- sion entre celles-ci et leurs
centres
d'attache ; ces centres en retour influent sur
en de la ten- sion entre celles-ci et leurs centres d'attache ; ces
centres
en retour influent sur le processus nutritif de
que l'in- flux nerveux de quelque nature qu'on le suppose, gagne le
centre
de la cellule il suit les prolongements dendrit
rendre à un muscle; le courant nerveux qui s'éloigne à ce moment du
centre
d'une cellule de l'écorce suit son prolongement
nt ,le courant est repris par un nouveau neurone dont il gagne le
centre
en suivant des prolongements dendritiques; puis i
s dendritiques; puis il 422 11) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ,quitte le
centre
de ce deuxième neurone, pour gagner la péri- ph
u pour arriver au ganglion intervertébral marche en effet vers le
centre
du neurone qui forme les cellules de ces ganglion
llulaire, cette im- pression va gagner la moelle, elle s'éloigne du
centre
du neu- rone et doit suivre par conséquent un p
nt sur l'ensemble à un certain degré. Supposons un neurone avec son
centre
cellulaire et ses prolongements des deux variét
ortions séparées vont présenter des lésions, celle qui constitue le
centre
cellulaire, son noyau et un tronçon du prolonge
ence wallérienne. L'autre portion du neurone, celle qui conserve le
centre
cellulaire offre des lésions moins aiguës et mo
895 et numéros suivants. Des dégénéres- cences rétrogrades dans les
centres
nerveux et les nerfs périphériques. Voir aussi
logie montre chaque jour que dans les lésions, même peu marquées du
centre
du neurone, on a déjà une destruction plus ou m
s colla- térales nombreuses reliant encore la portion détachée du
centre
du neurone à la fonction des neurones voisins, pe
s voisins, peut- être la fonction des neurones voisins suppléant au
centre
perdu pour le bout périphérique sectionné, etc.
ntre perdu pour le bout périphérique sectionné, etc. La distance du
centre
à laquelle la section est faite paraît en tout
e de la dégénérescence wallérienne se résume dans la suppression du
centre
trophique. Userait surperflu d'y insister davan
scur. Marinesco et Goldscheider admettent un repos fonctionnel du
centre
du neurone qui,-s'altérant sous cette influence,
t la dégénérescence des ramifications restées en connexions avec ce
centre
. Nous n'avons pas de critiques à faire à cette
as démontré que le cylindraxe moteur était apte à conduire vers les
centres
les impressions de la sensibilité, du moment où
au télé- neurone du système moteur. Comme eux il se compose d'un
centre
cellulaire siégeant dans les circonvolutions céré
ones, on nomme archiueurone le neurone qui est le plus rapproché du
centre
, et téléneurone, celui qui est le plus périphér
'écorce, l'impression nerveuse suit le cylindraxe en s'éloignant du
centre
de l'archineurone ; elle parvient à son extrémi
recueillie par les dendrites du téléneurone qui la conduisent au
centre
de ce neurone, centre qu'elle abandonne ensuite e
dendrites du téléneurone qui la conduisent au centre de ce neurone,
centre
qu'elle abandonne ensuite en suivant de nouveau
isait, dans ce cas, de l'extrémité muscu- laire du neurone vers son
centre
spinal. En d'autres termes, la lésion du neuron
s tout le trajet du cylindraxe. Dans cette der- nière condition, le
centre
du neurone reste, ou mieux paraît rester intact
érales plus nombreuses, des relations plus étendues avec les divers
centres
; mais, à part ces particularités, nous verrons
u sous forme de dendrites qui constituent les nerfs sensibles ; son
centre
est dans le ganglion intervertébral; son prolon
erminer directement ou par de nombreuses collatérales au niveau des
centres
gris de la moelle; quelquefois il remonte jusqu
ones des cordons postérieurs, au faisceau virgule de Schultze, au
centre
ovale de Flischig, dont la topographie vient d'êt
ordres se terminent dans cette corne même à peu de distance de leur
centre
cellulaire. La dégénérescence de tous ces neuro
e ni les racines postérieures, ni les zones des collatérales, ni le
centre
même du téléneurone n'offre d'altération destru
eurones. Une cellule calleuse, par exemple, est constituée par un
centre
cellulaire d'où émanent des dendrites d'une part
ux. D'après Onodi et Bechterew, il existe à. la base du cerveau, un
centre
de 8 millimètres sur une ligne séparant le tube
rijumeau antérieur du tubercule quadrijumeau postérieur, qui est le
centre
spécial de la voix. Enfin, le tubercule quadrij
, le tubercule quadrijumeau postérieur des mammifères contient un
centre
vocal dont le développement se rattache à celui d
ulané, radial. Le malade ne peut faire aucun mouvement qui ait pour
centre
l'articulation de l'épaule, si ce n'est l'adduc
issure de Meynert serait située en arrière et, en partie, un peu au
centre
de la commissure de de Gudden. La paroi postéri
conscience s'exerce chez le nouveau-né, pour cette raison, par les
centres
inférieurs, dont le développement est précoce, et
dont le développement est précoce, et monte graduellement dans les
centres
supérieurs avec le développement de ceux-ci.
E PATHOLOGIQUES. lequel l'acte conscient parait en rapport avec les
centres
cérébraux inférieurs, jusqu'au degré le plus él
combinée à l'expérimentation chez le nouveau-né à bien limiter les
centres
, et à étudier jusqu'à un cer- tain point, les p
odification DE la méthode au bichlorure DE mercure POUR L'ÉTUDE des
centres
nerveux; par le Dr G. MIRO. (Riv. di pat. nerf.
intra-utérin, les organes et appareils sexuels sont bisexués ; les
centres
cérébro-spinaux correspondants doivent donc êtr
ale l'évolution psychophysiologique soit entravée et que ce soit le
centre
psychique contraire, inverse, de la sexualité opp
r Nissl, 332. Détails de struc- ture dans les -, par lienda, 377.
Centres
. Réveil des affections des - liet-votin, par ll
ique. Du nerf - du pigeon, par Mayser, 474. Oreille. Rapports des
centres
am- pullaires de l' -interne avec les centres
eille. Rapports des centres am- pullaires de l' -interne avec les
centres
oculomoteurs, par Bon- nier, 395. PACmoéwGITE
er, par de Bechterew. Les tractus tlerveux - eL sensoriels et les
centres
-, par Jelgersma, 382. Sensoriels. Phénomènes
lis cérébrale, par Stiéglitz,274. Lésions vasculaires dans la des
centres
nerveux, par Lamy, 392. Tabès. Méthode de Froen
rogressivité de la lésion. L'épanchement sanglant détermine sur les
centres
sous-jacents des phénomènes d'ex- citation puis
ue le désir ne saurait se manifester sans partici- pation active du
centre
génital. Par contre l'éjaculation retardée avec
supérieure une tuméfaction de la dimension d'une noisette, dont le
centre
est occupé par un kyste à contenu citrin. La ve
ur il est resté une apathie un peu hébé- tée due à l'épuisement des
centres
nerveux ; G° La rapidité de la guérison est rem
, ce que vient corroborer la présence d'autres signes de lésion des
centres
nerveux tels que affaiblissement intellectuel e
el phéno- mène ne peut s'expliquer que par l'inhibition de certains
centres
supérieurs et cette inhibition constitue essent
accom- plissent dans des zones corticales spéciales, autres que les
centres
sensoriels. Les centres perceptifs ne sont en r
zones corticales spéciales, autres que les centres sensoriels. Les
centres
perceptifs ne sont en réalité que des centres d
ntres sensoriels. Les centres perceptifs ne sont en réalité que des
centres
de réception des excitations périphériques, néc
ions et le point de départ de leur reproduction est autre part. Les
centres
d'association de Flechsig ne président simpleme
aite le 24 mars en plein état de mal par MM. Pozzi et Picqué. Les
centres
corticaux correspondant aux mouvements convulsifs
ntillé noir. L'os s'est régénéré peu à peu de la périphérie vers le
centre
selon un processus' lent Fig. 4. Face convexe d
ATHOLOGIE NERVEUSE. mier lieu, connaître la physiologie exacte, les
centres
et les voies de conductibilité du reflexe pupil
gnificatif est le silence des physio- logistes. Existe-t-il un seul
centre
cervical dilatateur de la pupille, le centre de
s. Existe-t-il un seul centre cervical dilatateur de la pupille, le
centre
de Budge d'où partiraient les fibres ner- veuse
e la voie du sympathique cervical ? Existe-t-il, au contraire, deux
centres
isolés ou associés entre eux, l'un cervical réa
e, sensorielle ? Quelle est l'action exacte des fibres issues de ce
centre
dilatateur, action d'inhibition sur le centre b
s fibres issues de ce centre dilatateur, action d'inhibition sur le
centre
bulbaire constricteur ou action dilatatrice dir
à grosse gaine de myéline du nerf optique, ganglion de l'habenula,
centre
bulbaire dilata- teur, centre cervical, conduct
nerf optique, ganglion de l'habenula, centre bulbaire dilata- teur,
centre
cervical, conducteur réunissant ces deux centres
baire dilata- teur, centre cervical, conducteur réunissant ces deux
centres
? Voilà autant de questions posées et non résol
raux, quine reposent que sur la diffusion de l'influx nerveux à des
centres
plus ou moins éloignés de ceux appelés naturellem
ur l'anatomie topographique et la physio- logie de cette partie des
centres
nerveux. It. C. IX. Nouveau myographe; par le D
de Sylvius et de Rolando, non encapsulé, s'enfonçant jusque dans le
centre
ovale et remontant jusque sous la deuxième fron
intacte, état mental sain. Autopsie : l'examen microsco- pique des
centres
nerveux à l'état frais fait défaut, le cerveau et
sont abimés ; ce dernier pourtant parait légèrement ramolli en son
centre
, mais sans lésion circonscrite ni corticale et
de l'organe, et supprime, par une coupe transverse, l'influence des
centres
situés au-dessus du segment de moelle qui command
roma- tique et non chromatique étendues. Fr. Pick en excitant les
centres
corticaux d'un hémisphère vient de constater qu
i se manifeste par un ensemble de troubles fonctionnels de l'un des
centres
ou de tous les centres les plus élevés (intelli
nsemble de troubles fonctionnels de l'un des centres ou de tous les
centres
les plus élevés (intelligence, sensibilité et vol
ence, sensibilité et volonté) avec altérations secondaires dans les
centres
inférieurs, le tout ayant pour substratum un ét
re sain. Les territoires corti- caux visuels ne sont pas divisés en
centres
respectifs pour la couleur, pour la l'orme, pou
point quelconque des voies optiques, situé entre le chiasma et les
centres
corticaux. L'hémianopsie en quart de cercle peu
me distnbut on que celles des autres parties de la rétine ; mais le
centre
cortical de la macula est moins exposé à la des
a moitié aveugle sont dues à des irritations à distance réflexes de
centres
visuels plus élevés. L'hémianopsie de la migrai
e de la migraine est due à une décharge épileptique dans le demi-
centre
visuel d'un côté, et dans bien des cas une déchar
paralysie générale et se montre parfois au cours de l'uré- mie. Les
centres
auditifs peuvent présenter les mêmes accidents
tout 11 fait en avant, au-dessus des ganglions de la base, dans le
centre
ovale, une dégénérescence des manchons de myéli
e faite à Zurich. - Chez le lapin nous avons étudié spécialement le
centre
moteur oculaire situé dans le lobe pariétal. Da
pas plus longtemps pour le moment. Il existe chez le chien trois
centres
moteurs oculaires : 1° Le centre frontal, qui e
. Il existe chez le chien trois centres moteurs oculaires : 1° Le
centre
frontal, qui est situé dans la partie postérieure
avant du Sulcus cruciatus et en arrière du Sulcus poaecruciulus. Ce
centre
est limité en dedans par « la région de la nuqu
e visuelle). Mes expériences ne portent que sur les deux premiers
centres
. Leurs résultats peuvent être résumés en quelqu
quelques mots : Les dégénérescences secondaires à l'extirpation du
centre
frontal ont pu être suivies (sous forme de fibr
au du moteur oculaire commun du côté opposé. Après l'extirpation du
centre
pariétal des fibres dégénérées (qu'on peut pour
issues du pédoncule cérébral on voit encore, après l'extirpation du
centre
pariétal, un faisceau dégénéré, qui se rend dir
le quadrijumeau antérieur. Silex a observé après l'extirpation du
centre
de Hitaiy des dégé- 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. né
s tubercules quadrijumeaux. GUe1'Vel' a vu après l'extirpation du
centre
frontal une dégéné- rescence dans le corps call
ns morbides principales du tabes : paralysie générale, syphilis des
centres
nerveux, ophtalmie pro- gressive, hémiatrophie
même dans les fibres de projections et que chez l'homme aussi, les
centres
corticaux tard myélinisés, sont en relation ave
es de projection, une si grande étendue qu'on peut conclure que les
centres
corticaux auxquels elles appartiennent possèden
ntenant des fibres de projection, pas une ne peut constituer un pur
centre
d'association, même chez l'homme, malgré l'opin
Pitres (de Bordeaux) ; secrétaire, P.Marie. Rapports : 1° Sur les
centres
de projection et d'association dans le cerveau
nésies. Rapporteur : M. Tamburini (de Reggio). - De l'importance du
centre
auditif du langage comme organe d'ar- rêt du mé
écanisme du langage. Rapporteur : M. A. Pick (de Prague). - Sur les
centres
de projection et d'association du cer- varia. 1
que psychiatrique (l'schiutnische Klinik zze Giessen) est située au
centre
de la ville, à proximité des instituts de gynécol
de rattacher les modifications mentales à l'activité de certains
centres
déterminés. De plus, l'application de moyens pl
us à l'asile, il est préférable pour eux d'être réunis dans un même
centre
pour y recevoir les soins hygiéniques et le trait
e autrement à une époque où la structure et l'agencement intime des
centres
nerveux étaient à l'état de lettres mortes pour
la plupart des anatomistes niaient la pré- sence de fibres dans les
centres
nerveux, Gall et Spurzheim affir- maient catégo
com- parable à un gros nerf, mais quelque chose comme un amas de
centres
, équivalents ou complémentaires de la masse encép
. A l'époque dont je parle, on entrevoyait déjà, dans la moelle, un
centre
immédiat de mouve- ments, mais on s'occupait su
w nous avait révélé l'existence d'une trame interstitielle dans les
centres
nerveux, l'existence de la névroglie, déjà entr
trement, en apparence inextricable, des appareils qui composent les
centres
nerveux et qui président, pour ainsi dire, à tout
à ces derniers temps, notre conception de l'organisation intime des
centres
nerveux ; elle subsiste encore en grande partie.
cture des éléments cel- SECTION DE NEUROLOGIE. 257 Î lulaires des
centres
nerveux. Gerlach objectivisait'cettè couceptiou
u cours de cette même période, Waller nous révélait l'existence des
centres
trophiques, des centres qui tiennent sous leur
riode, Waller nous révélait l'existence des centres trophiques, des
centres
qui tiennent sous leur dépendauce la nutrition
rveuse. Une fois en possession de cette donnée fondamentale que les
centres
nerveux se composent d'éléments parenchymateux,
Zencker, nous révélaient l'existence d'une sclérose qui envahit les
centres
nerveux sous la forme d'îlots disséminés; les rec
phies spinales, des amyotrophies symptomatiques d'une lésion des
centres
trophiques du névraxe. ARCHIVES, 2. série, t. X
La moelle nous apparaissait définitivement comme un assem- blage de
centres
gris et de conducteurs blancs, juxtaposés ou im-
es de Bouillaud, de Dax, de Broca avaient abouti à la découverte du
centre
du langage articulé. Tûrck, tout en commettant
il avait conclu il la nécessité de localiser dans cette région les
centres
moteurs des différents groupes de muscles. Mais
subit un remaniment complet. Il se fit voir qu'il n'y avait pas un
centre
unique du langage, mais autant de centres d'exp
r qu'il n'y avait pas un centre unique du langage, mais autant de
centres
d'expression et de perception des idées qu'il y a
nts qui ont préludé à une connaissance exacte de la topographie des
centres
corticaux de la perception sensitive. A cet éga
guments ou dans la profondeur de nos organes. Il en découle que les
centres
corticaux de la perception sensitive se superpo
ux de la perception sensitive se superposent, en grande partie, aux
centres
moteurs ; autrement dit, les mêmes territoires
actuelle de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie des
centres
nerveux et des nerfs pérphiériques. Aussi me born
de départ de la voie motrice, autrement dit, sur la topographie des
centres
moteurs corticaux. Nous le sommes un peu moins
çon encore plus incomplète sur les com- munications qui relient les
centres
corticaux sensitifs et sensoriels aux centres c
tions qui relient les centres corticaux sensitifs et sensoriels aux
centres
corticaux moteurs et sur l'organisation des appar
tue leur synergie, leur associa- TION. Messieurs, la question des
centres
d'association figure au nombre de celles qui fe
viendront localisables au même titre que les fonctions dévolues aux
centres
de la perception consciente et aux centres de l
fonctions dévolues aux centres de la perception consciente et aux
centres
de la motilité volontaire. Dès maintenant, nous s
de bien-être, de déplaisir ou de souffrance. Nous localisons les
centres
d'où partent ces impulsions mo- trices. Les a
ritoires dans lesquels s'emmagasinent ces idées de souve- nirs, les
centres
des différentes variétés de mémoires. Au sur et
res de nos diverses aptitudes. Nous serions à même de localiser les
centres
par l'intermédiaire desquels nous apprécions pl
seules doivent être considérées comme un accumulateur. Ce sont les
centres
percepteurs, chargés de conserver les impressio
stème nerveux est dans la transformation de l'excitation reçue. Les
centres
récepteurs (sensitivo-sensoriels) du cerveau ag
De sorte qu'en fin de compte l'état moléculaire et dyna- mique des
centres
récepteurs de l'écorce est dans un rapport cons
eau des groupes de neurones éche- lonnés entre la périphérie et les
centres
et où il se décharge en partie sous forme de mo
uelles étaient petites, rabougries. Le noyau était ordinairement au
centre
de la cellule et présentait une lacune arrondie :
nous occupent se caractérisent par le développement très faible du
centre
semi-ovale, par la distension énorme des ventri
entre la quatrième couche de la subs- tance grise de l'écorce et le
centre
semi-ovale, d'une couche inter- médiaire large
en ce que, entre la substance grise des hémisphères cérébraux et le
centre
semi-ovale, le tissu nerveux parfois se trouve da
sidence du professeur Hitzig. Résumé du rapport sur l'Importance du
centre
auditif du langage comme organe d'arrêt du méca
Broadbent ont fourni la démonstration clinique que les fonctions du
centre
moteur du langage s'accompagnent sous la directio
s du centre moteur du langage s'accompagnent sous la direction du
centre
auditif. Cependant, l'observation de cas analogue
qu'il ne faut pas seulement considérer les fonctions auditives du
centre
auditif dans sa relation avec le centre moteur, l
les fonctions auditives du centre auditif dans sa relation avec le
centre
moteur, le trouble de cette relation expliquant
la paraphasie ; mais, bien plus, cette observation montre que le
centre
auditif de la parole est réellement un vrai centr
on montre que le centre auditif de la parole est réellement un vrai
centre
frénateur pour le moteur dont les fonctions, ap
ait de deux façons : tout d'abord, on admit un état d'excitation du
centre
moteur ; mais qu'on consi- dère que ce phénomèn
énomène ne se produisit chaque fois qu'avec une lésion exclusive du
centre
auditif ou avec sa participation, jamais avec u
auditif ou avec sa participation, jamais avec une lésion isolée du
centre
moteur lui-même : cela seul écarte la théorie d
séquence de la perte d'une fonc- tion d'arrêt directrice dévolue au
centre
auditif. Les rares auteurs qui se sont occupés
e nécessaire de maladies très déterminées et par leur action sur le
centre
auditif et ses environs; mieux encore, on peut
-corticaux, et trans-hémisphériques ou commissuraux. On sait que le
centre
de Broca, où se trouve le siège de l'aphasie mo
'association qui le mettent en communication avec les divers autres
centres
corticaux, et tout spécialement avec ceux du la
écialement avec ceux du langage articulé, sensoriels et moteurs, le
centre
auditif verbal, le centre visuel des mots, celu
ngage articulé, sensoriels et moteurs, le centre auditif verbal, le
centre
visuel des mots, celui des mouvements de la main
ts, celui des mouvements de la main éduquée pour l'écriture, et les
centres
moteurs phonétiques bilatéraux, ceux du larynx,
lésion est localisée dans les neurones d'association qui mettent le
centre
de Broca en connexion avec les centres phonétiq
d'association qui mettent le centre de Broca en connexion avec les
centres
phonétiques des circonvolutions rolan- diques d
aisceau d'association qui relie le pied de la'troisième frontale au
centre
moteur de l'écriture ' reste alors tout à fait
marche 1 Remarquons que tout le monde est d'accord pour admettre un
centre
cortical qui préside aux mouvements de l'écritu
porte seulement sur la question de savoir, si l'écriture possède un
centre
autonome dans le pied de F2, ou si son centre c
l'écriture possède un centre autonome dans le pied de F2, ou si son
centre
cortical se confond avec celui des mouvements d
asies motrices pures. Lésion isolée des neurones d'asso- ciation du
centre
de Broca avec les autres centres moteurs corti-
lée des neurones d'asso- ciation du centre de Broca avec les autres
centres
moteurs corti- caux en rapport avec la parole,
motrice corticale. Lésion des faisceaux de neurones qui mettent le
centre
de Broca en communication avec les centres phon
e neurones qui mettent le centre de Broca en communication avec les
centres
phonétiques des opercules frontaux et rolandiqu
le corticales ( ? ). Lésion du faisceau des neurones qui relient le
centre
de Broca au centre de la main éduquée pour l'éc
. Lésion du faisceau des neurones qui relient le centre de Broca au
centre
de la main éduquée pour l'écriture. (Les observ
es complexes. Lésions combinées des divers faisceaux qui partent du
centre
de Broca ou qui y aboutissent. Trois groupes pr
des neurones d'as- sociation reliant la circonvolution de Broca aux
centres
corticaux psycho-moteurs, qui sont eux-mêmes pl
phonétiques d'association de la circonvolution de Broca avec ces
centres
. Il résulte de cette complication une ccplzérnie-
iation qui mettent la circonvolution de Broca eu connexion avec les
centres
des aphasies sensorielles. (Combi- naisons dive
et la cécité verbales.) Quand toutes les voies de communication des
centres
corticaux du langage sont détruites, on dit qu'
uvé que : 1° La locali- sation de Munk ne peut pas être le siège du
centre
visuel cortical, et 2° que cette localisation a
te ou indirecte, par voie vraisemblablement sous- corticale avec le
centre
visuel cortical qui, d'après Henschen et d'autr
gue) . ET A. OBERSTEINER (de Vienne). z Résumé du rapport sur Les
centres
de projection et d'association du cerveau humai
aux, SECTION DE NEUROLOGIE. 33S division en sphères sensorielles (
centres
sensoriels) et en centres d'association (centre
IE. 33S division en sphères sensorielles (centres sensoriels) et en
centres
d'association (centres intellectuels ou organes
ères sensorielles (centres sensoriels) et en centres d'association (
centres
intellectuels ou organes de la pensée), ne se m
toire du développe- ment des fibres, dans leur trajet à travers les
centres
. Pour bien apprécier les motifs qui m'ont condu
ent destinée à rectifier ni à rem- placer ma précédente division en
centres
sensoriels et en centres d'association. Le prin
ni à rem- placer ma précédente division en centres sensoriels et en
centres
d'association. Le principe de classification es
u point de vue purement anatomique, diviser les champs corticaux en
centres
de projection et centres d'associa- tion. La pr
natomique, diviser les champs corticaux en centres de projection et
centres
d'associa- tion. La présence de fibres de proje
ssocia- tion. La présence de fibres de projection isolées, dans les
centres
d'association, ne rend pas caduque cette classi
fel.) Cenlues de projection. J'ai distingué naguère quatre de ces
centres
: la sphère de la SECTION DE NEUROLOGIE. ;-\ :
la structure de son écorce les particularités caractéristiques des
centres
sensoriels. Centres d'association. J'ai disti
écorce les particularités caractéristiques des centres sensoriels.
Centres
d'association. J'ai distingué tout d'abord quat
oriels. Centres d'association. J'ai distingué tout d'abord quatre
centres
d'association : le centre frontal; le centre pa
tion. J'ai distingué tout d'abord quatre centres d'association : le
centre
frontal; le centre pariétal; le centre temporal
é tout d'abord quatre centres d'association : le centre frontal; le
centre
pariétal; le centre temporal; le centre insulaire
e centres d'association : le centre frontal; le centre pariétal; le
centre
temporal; le centre insulaire. Plus tard, j'ai
ion : le centre frontal; le centre pariétal; le centre temporal; le
centre
insulaire. Plus tard, j'ai groupé le centre tem
le centre temporal; le centre insulaire. Plus tard, j'ai groupé le
centre
temporal et le centre pariétal en un seul centr
e centre insulaire. Plus tard, j'ai groupé le centre temporal et le
centre
pariétal en un seul centre : le grand centre po
rd, j'ai groupé le centre temporal et le centre pariétal en un seul
centre
: le grand centre postérieur d'association. L'exi
centre temporal et le centre pariétal en un seul centre : le grand
centre
postérieur d'association. L'exis- tence prouvée
'association. L'exis- tence prouvée dans le gyrus subangularis d'un
centre
de projec- tion réduit à la partie postérieure
e postérieure de la 2° circonvolution temporale l'union de ces deux
centres
. Ils ne se continuent l'un avec l'autre que sur
i me semble-t-il qu'il y a lieu de conserver l'ancienne division en
centre
temporal et en centre parié- tal. Sur les cen
y a lieu de conserver l'ancienne division en centre temporal et en
centre
parié- tal. Sur les centres pariétal et tempo
enne division en centre temporal et en centre parié- tal. Sur les
centres
pariétal et temporal il est particulièrement faci
oires centraux qui n'atteignent que plus tard l'état adulte. Sur le
centre
frontal d'as- sociation la même subdivision est
sposition est plus compliquée. Les zones périphériques touchent les
centres
sen- soriels et leur sont unies par de nombreus
yonnante, qui représentent des fibres de projection aberrantes, des
centres
sensoriels. De telles décou- vertes isolées ne
distance. Les territoires centraux des zones d'association sont des
centres
qui sont en relation plus ou moins directe, cha
roublées avec une régularité particu- lière dans les affections des
centres
postérieurs d'association ; l'observation clini
justifiant la légitimité de notre division de l'écorce cérébrale en
centres
sensoriels (centres de projection) et centres d
mité de notre division de l'écorce cérébrale en centres sensoriels (
centres
de projection) et centres d'association. Résu
l'écorce cérébrale en centres sensoriels (centres de projection) et
centres
d'association. Résumé du rapport sur Les centre
e projection) et centres d'association. Résumé du rapport sur Les
centres
de projection et d'association du cerveau humai
ofesseur 131TZIG (Halle). La doctrine de Flechsig de l'existence de
centres
de projection et d'association qui auraient une
t avoir observé aussi des fibres de projection partant du reste des
centres
d'asso- ciation. Mais il parait certain que cer
sitifs ou senso- riels. 2° Sur la myélinisation chronologique des
centres
de projection et d'association, ainsi que sur c
de projection et d'association, ainsi que sur celle des différents
centres
de pro- SECTION DE NEUROLOGIE. 33') jection e
trop absolue. 3° Sur la différence de la structure anatomique des
centres
de projection entre eux et vis-à-vis des centre
ure anatomique des centres de projection entre eux et vis-à-vis des
centres
d'association. Les avis des différents auteurs
sujet une opinion positive. M. Flechsig cherche la destination des
centres
sensitifs dans la perception des irritations pr
Ces vues sont en général conformes aux nôtres. La destination des
centres
d'association est trouvée par Flechsig dans la
res sensitives voisines, soit peut-être par l'excitation des autres
centres
d'association. 11 les considère donc comme les vr
la main fermée d'une façon rythmique, en allant de la périphérie au
centre
; -, puis il masse ce nerf à pleine main dans le
. Les services généraux (cuisine, buanderie, etc.) sont placés au
centre
de l'établissement, en arrière du bâtiment centra
iG-1881) ; sa méthode basée sur l'apparition de la myéline dans les
centres
nerveux ; ses travaux sur les lésions systémati
s le cerveau, (1881), sur le plan du cerveau humain (1883), sur les
centres
sensoriels et sensitifs, et enfin sur les centres
n (1883), sur les centres sensoriels et sensitifs, et enfin sur les
centres
d'asso- ciation et de projection. Ces derniers
petit, dans lequel sont placés un moteur et une machine dynamo. Au
centre
du sous-sol, les calo- rifères, des corridors e
es dans une zone déterminée, que l'écorce cérébrale se composait de
centres
circonscrits possédant des fonctions différente
effet, malgré la part prépondérante qui revient à l'intervention du
centre
moteur d'articulation, ces hallu- cinations ne
ion, ces hallu- cinations ne sont pas uniquement une « épilepsie du
centre
de Broca » pas plus que l'hallucination sensori
ue l'hallucination sensorielle n'est uniquement « une épilepsie des
centres
sensoriels ». Sans doute, ainsi que l'a fort bi
insi que l'a fort bien montré Tamburini, l'excitation de tel ou tel
centre
de l'écorce est une condition nécessaire de tou
tinction. Il est hors de doute qu'elles sont sous la dépendance des
centres
moteurs de l'écorce. Mais la seule exci- tation
urs de l'écorce. Mais la seule exci- tation, pure et simple, de ces
centres
ne pourrait expliquer la différence qui existe
nations. A part la note caractéristique due au rôle prépondérant du
centre
moteur, le mécanisme central est le même que da
euil de dépression varie suivant l'animal. Les nerfs sensitifs, les
centres
nerveux, le coeur possè- dent chacun leur seuil
es de la neurologie. Suivant lui, grâce à l'influence trophique des
centres
sur la fibre nerveuse, la désorganisation se fa
direction contraire dans le cas où l'électrode est appliquée sur le
centre
cortical présumé de l'organe excité. Dans le ca
loureuses sur le périnée peuvent agir par une sorte d'éducation des
centres
cérébro-spinaux. Quand l'inconli- REVUE D'ÉLECT
ick (de Prague) et A. Ot3EIrSfE1\Cü (de Vienne). Rapports sur les
Centres
de projection et d'association du cerveau hu- l
par M. le pro- fesseur von (de Zurich). Résumé du rapport sur les
centres
de projection et d'association; par le professe
on )lo1\.IKow. La doctrine que Flechsig soutenait, en 1S93, sur les
centres
d'as- sociation et de projection a été dès lors
signes anatomiques d,fférenliels fondamentaux qui distin- guent les
centres
de pro,ection des centres d'association apparais-
nliels fondamentaux qui distin- guent les centres de pro,ection des
centres
d'association apparais- sent ici un peu effacée
projection sont-elles réellement beaucoup moins nombreuses dans les
centres
d'asso- ciation que dans les centres sensoriels
coup moins nombreuses dans les centres d'asso- ciation que dans les
centres
sensoriels ? Les territoires primordiaux £ offr
parties corticales privées' du fibres de projection sous-le nom de
centres
d'associa- tion, en opposition aux foyers dispe
tion, et pour- les- quelles il n'est pas d'usage- de distinguer des
centres
de projection et d'association. Il est certai
Monakow), dont les fibres de projection pénètrent souvent dans les
centres
d'association de Flechsig, doit être mise en pa
nt de base au développement ultérieur des voies conductrices et des
centres
. Tout ce que l'on peut dire, d'une manière généra
c'est qu'il est vraisemblable et logique que le développement des
centres
sensoriels précède celui des parties corticales q
délimités et possédant une struc- ture anatomique particulière (les
centres
intellectuels) est insoute- nable. On doit plut
développement et de l'organi- sation des voies conductrices et des
centres
. Notre interprétation se base sur l'unité archi
; 4° il est vrai que chez l'homme la myélinisation commence par les
centres
primor- diaux de Flechsig ; mais contrairement
visible, la myélinisation s'étend peu à peu de la périphérie de ces
centres
jusqu'à ce que toute l'écorce soit myé- liuisée
e, qu'il existe des fibres d'association dans toutes les couches du
centre
ovale, entre l'écorce elle-même et l'épendyme v
e des régions le plus tard myélinisées, dont .\1. Flechsig fait des
centres
à structure uniforme. Voici pour l'anatomie; je
points de la calotte crânienne par rapport à un point fixe placé au
centre
de la ligne bi-auriculaire. Cet appareil permet
dans sa totalité. La persistance de l'association fonctionnelle du
centre
visuel cor- tical avec les autres régions sensi
e excitabilité accrue des éléments nerveux de la moelle séparée des
centres
supérieurs. 4° Le tonus musculaire a une large
pour exclure la possibilité d'une réaction par l'intermédiaire d'un
centre
nerveux. La « secousse » est une réponse direct
rches nouvelles qui le portent à considérer le noyau rouge comme un
centre
réflexe important. Il montre que les centres ne
le noyau rouge comme un centre réflexe important. Il montre que les
centres
nerveux supérieurs réagissent sur les cellules mo
pied de 1-"3. L'aphasie sans agraphie existe donc, ce qui montre le
centre
moteur graphique fonctionne indépendamment du c
qui montre le centre moteur graphique fonctionne indépendamment du
centre
moteur verbal. Discussion. A. Thomas (de Pari
aites avec prudence. Depuis, on a réduit à la 3e frontale gauche le
centre
de Broca, le centre de l'aphasie motrice. Mais
Depuis, on a réduit à la 3e frontale gauche le centre de Broca, le
centre
de l'aphasie motrice. Mais aussi longtemps qu'o
a être réservé sur la valeur absolue de la 3' frontale gauche comme
centre
de la parole articulée. Dix-neuf cas d'hémipléu
nférieure, lombaire et sacrée entourent le faisceau septo-marginal (
centre
ovale, triangle médian). Fauceaux endogènes. La
P. Marie, faisceau en virgule de Schullze, faisceau septo-marginal (
centre
ovale de Flechsig et triangle médian de Gombault
ien qu'il n'y eût point de symptômes qui indiquassent l'atteinte du
centre
ovale ou des ganglions de la base, pas de trouble
sion aux racines postérieures, aux cornes posté- rieures, de là aux
centres
des muscles contractiles (triceps crural) sis d
éloignée 518 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. du
centre
; l'autre donne la sensibilité à la peau du dos,
ne la sensibilité à la peau du dos, du nez elle est la plus près du
centre
. Une grande partie du rameau frontal du trijume
meau tirerait ses fibres des groupes de noyaux les plus éloignés du
centre
. Puis, viendraient les cellules destinées à la
a cavité buccale est innervée par les segments les plus éloignés du
centre
des racines spinales du trijumeau. Quant aux or
. Il en faudrait chercher la raison dans l'intimité trop grande des
centres
d'évacuation de l'urine et des mouvements de l'
ales. L'atrophie de la partie du noyau de l'oculomoteur éloignée du
centre
est surtout prononcée dans le plan antérieur et
u. Poids du -le plus lourd décrit jusqu'ici, par van Walseu, 136.
Centres
de projection et d'as- sociation du - par Flech
- , par Grasset, 418. Kleptomanie, 417. Langage. Importance du
centre
au- clilif du -, par Pick, 325. TABLE DES MAT
aisceaux endogènes des- cendants (triangle de Gombault et Philippe;
centre
ovale de FIechsig ; bandelette périphérique dor
ionnels et du trouble de l'admis réci- proque des uns et des autres
centres
. Sans limite, les phénomènes propres à une seul
Ér'UDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. 35 Encore Kahlbaum disait que les
centres
moteurs s'alté- raient en premier lieu dans la
, pour ainsi dire, à une trans- mission unilatérale : dans certains
centres
et par' certains conducteurs sa transmission es
es représentations, c'est-à-; ,' dire de l'excitation de différents
centres
corticaux. Dans les 1 mouvements catatoniques,
ques, nous voyons au contraire une, excitation uniforme de certains
centres
, tandis que d'autres, 1 se trouvent en état d'i
oniques. Il est indubitable qu'il existe ici une exCÍ'-¡ talion, du
centre
de phonation, comme nous avons pu. le ÉTUDE DE
conque. Mais ici on ne peut pas du tout parler de l'exci- tation du
centre
moteur du discours. Les images de dis- cours ne
peut-être, il existe ici un affaiblissement de la transmission des
centres
corticaux aux conducteurs moteurs. Quoiqu'on
brale avec ses conducteurs, c'est un symptôme de prédominence des
centres
sous-corticaux et spinaux sur la région corti-
ontrèrent que l'élément atonique de la concentration est propre aux
centres
sous-corticaux, tandis que l'écorce céré- brale
sont toujours motivés et variables en dépendance de l'un ou l'autre
centre
cortical. Du côté clinique on ne peut pas trace
II, p. 153- 154) comme un symptôme du trouble de la synergie des
centres
corticaux. Tout aussi bien que le symptôme stable
symptômes d'inhibition ou par l'in- suffisance de l'innervation des
centres
corticaux dans la région psychomotrice, et à pr
queux. 4. Ces modifications corticales marchent de la périphérie au
centre
; on les observe d'aboi d sur les rameaux proto
mettre les excitations des régions axiales aux régions éloignées du
centre
, dans le cas, par exemple, où les laisceaux pri
aux de l'ouïe. Le tubercule quadrijumeau antérieur sert en somme de
centre
réflexe à la transmission des excitations lumin
u'aux états pathologiques. P. KERAVAL. IX. De la localisation des
centres
olfactifs dans l'écorce cérébrale, par 1.-1'. G
suppléance des par- ties de la région olfactive non lésées. VI. Les
centres
propres de l'olfaction semblent être l'écorce d
entier participe àl'affection, ainsi que tous les départements des
centres
nerveux. 2. Les fibres des nerfs et des muscles
lconogr. de la Salpétrière, n° 6, 1902). Lésions syphilitiques des
centres
nerveux. Foyers de ramollisse- ment dans le bul
laire, tactile, visuelle, etc. Il résulte de ces recherches que les
centres
de la douleur ne sont pas les mêmes que les centr
herches que les centres de la douleur ne sont pas les mêmes que les
centres
c percepteurs des sensations tactiles, sans que
ans que cependant il soit encore permis d'affirmer l'existence d'un
centre
spécial pour la douleur. G. D. XXXI. Sur un a
ecture et de l'écriture. Lésions des conduc- teurs qui joignent le.
centre
intellectuel au centre moteur et le centre visu
. Lésions des conduc- teurs qui joignent le. centre intellectuel au
centre
moteur et le centre visuel des caractères au ce
teurs qui joignent le. centre intellectuel au centre moteur et le
centre
visuel des caractères au centre sensoriel. Elles
intellectuel au centre moteur et le centre visuel des caractères au
centre
sensoriel. Elles doivent siéger sous l'écorce d
it de désordres somatiques : il s'était fait une nouvelle lésion du
centre
sen- sorie) tui-méme, de la première temporale
. Le désordre observé d'abord peut ? expliquer par une lésion des
centres
moteur et sensoriel. Ce qu'il y a de particulier
il y a de particulier en l'espèce c'est l'amélioration préalable du
centre
moteur, avant celle du centre sensoriel. Bien q
e c'est l'amélioration préalable du centre moteur, avant celle du
centre
sensoriel. Bien qu'il eût graduellement recouvré
ots : cette . faculté ne revint qu'avec le retour de la fonction du
centre
senso- riel. C'est donc que, pour répéter les m
donc que, pour répéter les mots, l'on a besoin de l'inté- grité du
centre
sensoriel tout autant que de celle du centre mo-
in de l'inté- grité du centre sensoriel tout autant que de celle du
centre
mo- teur. L'aphasie motrice transcorticale ne p
phasie motrice transcorticale ne peut s'expliquer par une lésion du
centre
moteur. On peut sans difficulté s'expliquer, po
r. On peut sans difficulté s'expliquer, pour le rétablissement du
centre
moteur, l'amélioration graduelle de l'écriture sp
ce qu'il lit bien avant de comprendre ce qu'on lui dit, bien que le
centre
sensoriel inter- vienne dans les deux fonctions
enne dans les deux fonctions. Cela dépend du degré d'activité de ce
centre
. Sou inertie totale se traduit par l'anéantisseme
e graduellement à lire sans comprendre-le sens de ce qu'il lit : le
centre
en question est déjà plus actif, mais il ne l'e
s actif, mais il ne l'est pas encore assez pour communiquer avec le
centre
intellec- tuel. Lorsqu'il fait librement passer
qu'il n'y a pas, comme dans l'aphasie, perte de l'usage de l'un des
centres
de la mémoire verbale ou du langage intérieur,
s bien usage défectueux, viciation du fonctionnement de l'un de ces
centres
. Dans une savante et intéressante étude, l'aute
u'on doit successivement étu- dier non pas les quatre mais les cinq
centres
suivants : 1° trois centres de mémoire verbale,
dier non pas les quatre mais les cinq centres suivants : 1° trois
centres
de mémoire verbale, auditif, moteur, visuel; 2° u
1° trois centres de mémoire verbale, auditif, moteur, visuel; 2° un
centre
endophasique de même nom que l'un des précédent
même nom que l'un des précédents, mais non identique à lui ; 3° le
centre
de mémoire verbale graphique, avec lequel ne co
centre de mémoire verbale graphique, avec lequel ne coexiste pas le
centre
endophasique de même nom. F. Leitungsaphasie ou
s. G. Examen de la zone sensorielle ou motrice de même nom que le
centre
lésé et du fonctionnement des centres spéciaux, d
ou motrice de même nom que le centre lésé et du fonctionnement des
centres
spéciaux, du centre de mémoire musicale, par ex
que le centre lésé et du fonctionnement des centres spéciaux, du
centre
de mémoire musicale, par exemple, dans les cas de
des atteints de paraphasie, il est utile d'élucider : 1° l'état des
centres
intellectuels supérieurs ; 2° le fonctionnement
ellectuels supérieurs ; 2° le fonctionnement annihilé ou diminué du
centre
lésé (aphasie) ou fonctionnement inadéquat du c
ou diminué du centre lésé (aphasie) ou fonctionnement inadéquat du
centre
par rapport à l'expression (centres moteurs), o
ou fonctionnement inadéquat du centre par rapport à l'expression (
centres
moteurs), on a la sensation (centres sensitifs) ;
re par rapport à l'expression (centres moteurs), on a la sensation (
centres
sensitifs) ; 3° les alté- rations du langage in
s paraphasies endophasiques : viciation des communications entre le
centre
du langage intérieur et les centres intellectue
tion des communications entre le centre du langage intérieur et les
centres
intellectuels; usage ou reception inadéquats pa
ons de régions, constate que ce sont, en somme, les départements du
centre
de la France qui four- nissent le plus d'épilep
ncontre) sur les bords de la mer, le littoral mari- time et dans le
centre
; nous les rencontrons principalement dans les
x causes de ce singulier phénomène d'une même maladie organique des
centres
nerveux se développant tan- tôt simultanément ,
nés dans une certaine limite. C'est une fonction psychique dont les
centres
sont dans l'écorce grise cérébrale et qui doit
Grasset ajoute : « Les actes automatiques supérieurs ont donc des
centres
distincts, d'une part des centres psychiques supé
omatiques supérieurs ont donc des centres distincts, d'une part des
centres
psychiques supé- rieurs, de l'autre des centres
cts, d'une part des centres psychiques supé- rieurs, de l'autre des
centres
réflexes. Ces centres ne sont ni dans l'axe bul
ntres psychiques supé- rieurs, de l'autre des centres réflexes. Ces
centres
ne sont ni dans l'axe bulbo-médullaire (réflexe
ne sont ni dans l'axe bulbo-médullaire (réflexes) ni même dans les
centres
basi- laires et mésocéphaliques (réflexes supér
rieur). Ils sont dans l'écorce cérébrale mais se distinguent des
centres
du psychisme supérieur également situés dans celt
vers psychismes, l'auteur se sert du schéma (fig. 1). « En 0 est le
centre
psychique supérieur formé bien entendu, d'un gr
mé bien entendu, d'un grand nombre de neurones distincts : c'est le
centre
du moi personnel, conscient, libre et reponsabl
cient, libre et reponsable. Au-dessous est le polygone (AVTEMK) des
centres
automatiques supérieurs : d'un côté les centres
lygone (AVTEMK) des centres automatiques supérieurs : d'un côté les
centres
sensoriels de réception, comme A (centre auditi
upérieurs : d'un côté les centres sensoriels de réception, comme A (
centre
auditif), V (centre visuel), K (centre kinétique)
é les centres sensoriels de réception, comme A (centre auditif), V (
centre
visuel), K (centre kinétique), T (centre de sen
riels de réception, comme A (centre auditif), V (centre visuel), K (
centre
kinétique), T (centre de sensibilité générale),
mme A (centre auditif), V (centre visuel), K (centre kinétique), T (
centre
de sensibilité générale), comme M (centre de la
K (centre kinétique), T (centre de sensibilité générale), comme M (
centre
de la parole articulée), E (centre de l'écritur
sensibilité générale), comme M (centre de la parole articulée), E (
centre
de l'écriture). Ces centres, tous situés dans l
M (centre de la parole articulée), E (centre de l'écriture). Ces
centres
, tous situés dans la substance grise des circonvo
tes (tA, vV, tT) et des voies centrifuges (Ee, Mm, Tt) et reliés au
centre
supérieur 0 par des libres suspolygonales : les
tiques suivant que l'activité automatique est communiquée ou non au
centre
0, qui est le centre de la conscience personnel
activité automatique est communiquée ou non au centre 0, qui est le
centre
de la conscience personnelle. La conscience ou
ecture, l'interrompt par des réflexions personnelles, c'est que son
centre
0 est compris dans le cercle vVOMm. Si au contr
au contraire il dicte ce qu'il lit, ou s'il lit à une Fig. 1. 0,
centre
psychique supérieur de la personnalité consciente
: écorce cérébrale au lobe préfrontal ( ? ) ; AVTEMK, polygone des
centres
psychiques inférieurs ou de l'automatisme psychol
psychiques inférieurs ou de l'automatisme psycholo- gique ; ' A,
centre
auditif, écorce des circonvolutions temporales,
; ' A, centre auditif, écorce des circonvolutions temporales, V,
centre
visuel, écorce de la région calcannienne ; T, c
mporales, V, centre visuel, écorce de la région calcannienne ; T,
centre
tactile {sensibilité générale), écorce de la régi
ensibilité générale), écorce de la région périrolandique : : ^ . K.
centre
kinéique (mouvements généraux), écorce de la régi
ique (mouvements généraux), écorce de la région pértrolandultue; I,
centre
de la parole, écorce du pied de la 3c frontale ga
eutique. D'ailleurs, ces idées sur l'auto- matisme, le polygone, le
centre
0, développées brillamment par Grasset, ne vien
e pouvant fournir une preuve anatomique de l'exis- tence des divers
centres
qu'il situe dans l'écorce cérébrale (psy- chism
t par des faits de pathologie. Il pense que dans la distraction, le
centre
0 (psychisme supérieur) est fatigué, faible, mo
qu'il abdique la direc- tion qu'il doit exercer normalement sur les
centres
polygonaux. » Le centre 0 est dissocié du polyg
ion qu'il doit exercer normalement sur les centres polygonaux. » Le
centre
0 est dissocié du polygone. « Quand Archimède sor
et crie Eurêka avec son 0 1. » De même, dans le sommeil, c'est le
centre
? qui se repose : le psychisme polygonal persiste
réalisées, de dissociation verbale, que cette dissertation sur des
centres
hiérarchiquement différenciés bien que situés p
ontal. - Sur ce terrain des hypothèses nous préférons croire que le
centre
psychique est un, et que les divers aspects sou
matisme et de l'intelligence), peuvent, selon nous, ressortir à des
centres
bulbo-médullaires sur lesquels agi- rait un pou
ent au polygone hypothétique peuvent être mis sous la dépendance du
centre
psychique supérieur (le centre 0 de M. Grasset)
uvent être mis sous la dépendance du centre psychique supérieur (le
centre
0 de M. Grasset), en admettant que ce centre se
sychique supérieur (le centre 0 de M. Grasset), en admettant que ce
centre
se trouve alors dans un état de faible activité
correspondrait la conscience nette, et à une certaine torpeur du
centre
intellectuel, le sommeil de la conscience. Mais
ciation sus- polygonale. « Le polygone du sujet n'obéit plus iL son
centre
0, parce que les communications centrifuges son
fuges sont interrompues entre 0 et le polygone. Ce dernier obéit au
centre
0 de l'hypnoti- seur. »' D'où cette définition
e l'état de suggestibi- lité : « C'est un' polygone émancipé de son
centre
0 qui obéit au centre 0 de l'hypnotiseur \ »
lité : « C'est un' polygone émancipé de son centre 0 qui obéit au
centre
0 de l'hypnotiseur \ » Si la psychologie de l'h
e Grasset est contenue dans ces quelques lignes de dissociation des
centres
psychiques, nous nous permettrons d'étudier l'h
t nullement la participation du raisonnement, de l'intelligence, du
centre
0 de- Grasset. Et la preuve en est que l'on peu
atiquées avec des sujets hypnotisés prouvent que l'intelligence (le
centre
0) est aussi éveillée qu'à l'état normal. Ceux-
(polygonal) est, comme on voit, parfaitement conscient. C'est au
centre
0 de Grasset que vous vous adressez et c'est lui
comment se fait-il qu'un être intelligent accepte avec son moi (son
centre
0) une chose absurde comme l'état d'hypnose. No
remettez à moi, du soin de vous guérir ? ` ? (Réflexion du moi, du
centre
0 : Oui, puisque j'ai confiance en vous). " 2
débarrasser, je suis obligé de vous endormir. (Réflexion du'moi, du
centre
0 : Il a guéri d'autres personnes atteintes de
es yeux, ni vous lever, ni remuer les bras. (Réflexion du moi, du
centre
0 : Je suis paralysée complètement. Tout à l'he
votre jambe gauche... vous pouvez la remuer. (Réflexion du moi du
centre
0 : Ce médecin m'a paralysée entiè- rement, et
ent, et il m'enlève une partie de cette paralysie. (A ce moment, le
centre
0, le « mot commande aux mouvements de la jambe
remuer tous vos membres, vous serez guérie. (Réflexion du moi, du
centre
0 : Ce médecin m'a paralysé des organes qui ne
et remplacée chez eux par le moi de l'hypnotiseur s'adressant à des
centres
automatiques (au polygone), cette même étude no
ugement, d'une pénétration qui démontre la participation active des
centres
psy- chiques supérieurs. Mais nous prévoyons
tion de M. Grasset. Com- ment expliquer, si on admet l'activité des
centres
supérieurs intel- lectuels dans l'hypnose, l'ab
é, sur la volonté et l'ima- gination, sur ce que Grasset appelle le
centre
O.En fait, on n'observe jamais dans les paralys
éâtral, qu'elles proviennent d'un trouble de la volonté, trouble du
centre
0 de Grasset, et que nées tout entières de la s
le polygone utilise des impressions reçues, mais non perçues par le
centre
0. » A ce même ordre d'idées se rattache la thé
tions péri- phériques sont reçues par le polygone jouant le rôle de
centre
auto- matique conscient mais ne sont pas perçue
e de centre auto- matique conscient mais ne sont pas perçues par le
centre
0, véri- table centre de la personnalité entièr
que conscient mais ne sont pas perçues par le centre 0, véri- table
centre
de la personnalité entière, morale et libre. Lors
ur raviver sa mémoire. Il y a eu véritable paralysie momentanée des
centres
psychiques. Chez l'hypnotique, au contraire, l'
, suggérées par 1 hypnotiseur ou chez les médiums, l'association du
centre
0 et du polygone se rompt et les personnalités
ressortissent en réalité à la pathologie mentale (perturba- tion du
centre
0 dirait Grasset). C'est affaire de définition et
- prouveraient que l'écorce cérébrale contient un grand nombre de
centres
en rapport avec la volonté et cependant intermédi
es en rapport avec la volonté et cependant intermédiaires entre les
centres
réflexes et les centres moteurs volontaires déjà
lonté et cependant intermédiaires entre les centres réflexes et les
centres
moteurs volontaires déjà CONCEPTIONS DE L'HYPNO
es lisses. Jamais la suggestion, ni la volonté, n'ont pu inhiber le
centre
du mouvement réflexe lumineux. Nous avons tenté
émotifs. La suggestion provoque une émotion qui, elle, agit sur les
centres
vaso-moteurs. Le mécanisme est du 20 degré. C'e
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 135 M. Grasset, théorie et schéma du
centre
0 et du polygone, n'est pas confirmée par les f
vrant une étendue à peu près double de celle du disque optique : au
centre
, un point rouge brun, à peu près circulaire, tr
ux périphérique, ou les organes d'articulation suivant les cas, les
centres
du langage restant le plus souvent intacts. 0
fait inéducables. Cette lésion, serait un défaut d'association des
centres
graphique, moteur, auditif et du langage en un
nt théorique où les fibres d'asso- ciations, allant de deux- de ces
centres
aux deux autres, se rap- procheraient ou se cro
de quatre ans. B. Troubles de l'axe cérébro-spinal. a. Méninges et
centres
nerveux : Outre la méningite, si fréquente, on
lésions variables ont été signalées de l'écorce, des méninges, des
centres
ganglionnaires, du grand sympathique,, etc. En
une observation typique, très détaillée, avec examen anatomique des
centres
nerveux et sui- vie de la bibliographie la plus
exercent ou paraissent exercer une influence exci- tatrice sur les
centres
nerveux, que la suractivité fonction- nelle de
de' renforcement d'irrita- tion, de stimulation complémentaire des
centres
nerveux supérieurs, qu'est due cette concordanc
rte la constitution épileptogène, mais sans lésions anatomiques des
centres
nerveux, un état chimique encore inconnu de la
facilement que les, variations des exci- tences qu'elle envoie aux
centres
nerveux auront pour con- séquences des réaction
ulation peut être cause d'une augmentation de sti- mulation sur les
centres
nerveux épileptogènes, dérivation de sécrétions
nt son intensité et la rapidité avec laquelle il impres- sionne les
centres
nerveux par tels ou tels signes bruyants ou bie
t admettre l'origine congénitale, que l'on attribue l'excitence des
centres
nerveux aux toxiques eux-mêmes ou que l'on veui
; ils différent seulement par l'acuité de l'impressionnabifité des
centres
nerveux et par l'intensité ou l'irrégularité de
lle, au point de vue de la sensibilité, de l'impressionnabilité des
centres
nerveux encéphaliques et leurs stimulants habit
eurs sécrétions mais qui, par une certaine action excitante sur les
centres
ner- veux, en quelque sorte complémentaire de l
out, dont le rôle est évidemment d'entretenir cette stimulation des
centres
nerveux qui préside à notre développement régul
t-à-dire accumula- tion anormale, de leurs produits excitateurs des
centres
nerveux, le résultat sera une manifestation épi
s nerveux, le résultat sera une manifestation épileptique, si ces
centres
ont l'impressionnabilité spéciale dont nous avons
. Octobre 1902). 1 L'auteur n'entend pas s'occuper ici des grands
centres
, où le nombre des sujets congénitalement défect
les facultés inférieures; mais celles-ci ont besoin du contrôle des
centres
supérieurs, et si ce con- trôle vient à manquer
er plutôt la cause dans un développement - défectueux et inégal des
centres
psychiques. Des symptômes pareils ne sont pas t
com- plexus symptômatique que vous aviez sous les yeux ? Ici, les
centres
nerveux encéphaliques ou médullaires ne sont pas
et la région du hile sont envahis par un cancer massif, ramolli au
centre
, dur à la périphérie. A droite les lésions sont
s les cellules des ganglions rachidiens où elles naissent jusqu'aux
centres
gris de la moelle et du bulbe où elles se termi
iégeant dans d'autres parties qui, a l'instar du cervelet, sont des
centres
d'équilibration ou bien ont un rapport immédiat
un acte volontaire est dû, d'après P. Janet, à une modification des
centres
nerveux supérieurs qui consiste dans la diminut
iales mystiques ou spirites conduisant à l'hallucination voulue des
centres
moteurs ou sensitivo-sensoriels sont comparable
Cytologie ner- veuse d'un cas de tétanos.- A. Zinno. Les lésions de
centres
ner- veux produites par la toxine tétanique.
e. Il semble que l'image motrice sexuelle met en action de nombreux
centres
nerveux dont chacun apporterait ses éléments à
support mécanique, mais représentent le mécanisme vaso- moteur des
centres
cérébraux les plus élevés, servant à les proté-
rmes arythmiques et allorythmiques des mouvements respiratoires. Le
centre
respiratoire est beaucoup plus sensible que le
plit par les voies sensitives de l'articulation, ganglions spinaux,
centres
trophiques vaso-moteurs de la moelle, ganglions
alors sont peut-être l'expression de la. fatigue des muscles et des
centres
respiratoires inférieurs. - 18° Le rapport entr
epte entièrement les vues générales de Flechsig sur l'existence des
centres
d'association et croit que c'est en eux qu'il f
plus ou moins consciente, qui descend de la zone psychique dans les
centres
sensoriels, d'où elle était venue et qui prend
nexion centrifuge entre la zone psychique supra-sensorielle et les
centres
corticaux de pure sensation, alors même que ces t
trajets paraissent incontestablement exister puisqu'il y a dans les
centres
sensoriels des fibres qui descendent des centres
qu'il y a dans les centres sensoriels des fibres qui descendent des
centres
supé- rieurs et paraissent avoir une fonction c
s fibres centrifuges, il est possible, quoique peu probable que les
centres
supérieurs puissent agir sur les centres sensorie
oique peu probable que les centres supérieurs puissent agir sur les
centres
sensoriels par les voies qui sont ordinairement
lus loin que l'anzi et admettre qu'une irritation débutant dans les
centres
psychiques peut, par une action rétrogressive,
ut, par une action rétrogressive, descendre non seulement jusqu'aux
centres
de la sensation, mais bien plus bas encore, jus
ons-nous pas là l'indication d'une synthèse s'accomplissant dans un
centre
autre que celui par l'activité spéciale duquel
eprésentés. L'étnde des hallucinations semblerait démontrer que les
centres
sensoriels corticaux sont associés entre eux d'
nsation dont nous sommes conscients dénote une modification dans un
centre
sensoriel cortical, il n'en est pas moins vrai
u qu'un certain degré de synthèse des sensations se produit dans le
centre
spécial du centre qui prédomine, ou bien que ce
é de synthèse des sensations se produit dans le centre spécial du
centre
qui prédomine, ou bien que cette synthèse s'accom
entre qui prédomine, ou bien que cette synthèse s'accomplit dans un
centre
plus élevé auquel aboulissent les représentations
evé auquel aboulissent les représentations ou symboles de plusieurs
centres
. Ce centre est alors un centre d'association de
boulissent les représentations ou symboles de plusieurs centres. Ce
centre
est alors un centre d'association de Flechsig,
sentations ou symboles de plusieurs centres. Ce centre est alors un
centre
d'association de Flechsig, ou un centre psychiq
res. Ce centre est alors un centre d'association de Flechsig, ou un
centre
psychique, et l'auteur pense, avec Tanzi, que l
ure peuvent être produites par la stimulation et la suractivité des
centres
thermiques, en dehors de toute action toxique.
ne doit pas perdre de vue que l'écorce cérébrale est le véri- table
centre
régulateur de tout l'organisme, des sécrétions, d
et n'est obtenu que dans les asiles, généralement trop éloignés des
centres
d'instruc- tion hospitaliers pour que les étudi
mptômes de deux localisations distantes d'un même processus sur les
centres
nerveux; leur fré- quente coexistence empêche d
de l'opinion de Parhon et Goldstein, qui admet- tent l'existence de
centres
vaso-moteurs dans les noyaux gris cen- traux et
e composition du sang (action chimique) qui agit directement sur un
centre
cérébral pour déterminer l'apparition d'un souven
e nerveuse normale et pathologique. Altérations histo- logiques des
centres
nerveux dans les délires taxi-infectieux des al
de chromatolyse, la physionomie et le moment d'apparition dans les
centres
nerveux des véritables altérations cadavériques
partie du travail. C'est l'étude des altérations histologiques des
centres
nerveux corticaux dans l'intoxication alcooliqu
s des différentes espèces cellulaires. Elles prédominent souvent au
centre
de la cellule, sans indiquer pour cela une attein
lésion produite par la méningo- encéphalite localisée à tel ou tel
centre
sensoriel. Et à ce sujet on trouve dans les Ann
int de delirium tremens, tandis que l'excitabilité, par exemple des
centres
auditifs, facilite- rait l'éclosion de l'halluc
qu'une affection mentale com- portant déjà des troubles graves des
centres
auditifs du cortex laisserait encore plus ou mo
d'inhibition partent continuellement de l'écorce cérébrale vers les
centres
spinaux et exercent un antagonisme contre les d
rveux et l'écorce cérébrale. L'auteur recherche ensuite comment les
centres
supérieurs con- trôlent la conscience dans l'at
dans certaines intoxications, celle du haschisch par exemple, les
centres
supérieurs de contrôle étant fatigués ou paralysé
cessus négatif s'efface- et le processus positif prédomine dans les
centres
de la perception et de l'idéation. Souvent, ces c
ne dans les centres de la perception et de l'idéation. Souvent, ces
centres
infé- rieurs étant eux-mêmes partiellement atte
il est soutenu de telle manière que, à mesure qu'il se remplit, le
centre
de gravité se déplace, de façon que, à un certa
ace, de façon que, à un certain degré d'emplissage, la verticale du
centre
de gravité passe en dehors de la base du vase;
résentant le mécanisme Rolandique et son action de contrôle sur les
centres
sous-corticaux de l'état normal. Supposons main
arges qui causent les convulsions ont leur point de départ dans les
centres
corticaux et représentent en fait un débordement
champ de bataille de la neurologie. La question de l'existence des
centres
moteurs ou même des centres sensorio-moteurs re
rologie. La question de l'existence des centres moteurs ou même des
centres
sensorio-moteurs repose sur les preuves fournie
a stimula- tion expérimentale de ce que l'on désigne sous le nom de
centres
chez les animaux supérieurs et chez l'homme. M.
ontractures apparaissent par suite d'une exagération d'activité des
centres
inférieurs, exagéra- tion due à l'absence de co
et la perte du contrôle volitionnel qui en résulte laisseraient aux
centres
inférieurs une plus grande liberté d'action, ab
e, et dans un sens défavorable, les rapports qui existent entre les
centres
sous-corticaux et les centres spinaux. D'autre
, les rapports qui existent entre les centres sous-corticaux et les
centres
spinaux. D'autre part, la suppression d'une for
s notre hypothèse c'est surtout l'accumulation d'éner- gie dans les
centres
sous-corticaux qui serait entravée. Si l'on pou
tion de contrôle de l'écorce, avec un mini- mum de perturbation des
centres
sous-corticaux, c'est alors que l'on pourrait s
ants nerveux -provenant de plusieurs territoires associés - vers un
centre
, suivant des voies qui ne sont encore que peu pra
absolument l'aspect des foyers de paralysie infantile ancienne ; au
centre
de la plupart d'entre eux se trouvait encore un
a partie infé- rieure de la moelle épinière et le cerveau, mais les
centres
de la région sacrée ont été éloignés de la comm
détruite chez le malade, existe encore un territoire accessoire du
centre
moteur de la parole qui aide à celte articulati
duquel se servait le malade pour l'écriture.'A ce qu'il parait, ce
centre
accessoire peut fonctionner seulement à l'aide
ui du côté du cen- tre visuel et auditif; le rapporteur localise ce
centre
accessoire dans la base de la deuxième circonvo
olution frontale. gt2 BIBLIOGRAPHIE. V.-W. Vouobieff pense que le
centre
de BROCA apparaît comme un centre purement mote
E. V.-W. Vouobieff pense que le centre de BROCA apparaît comme un
centre
purement moteur; l'association des images idéativ
vec l'image motrice de la parole se fait, évidemment, dans un autre
centre
, qui est resté intacte chez le malade en questi
e molecules qu'elle contient, et qui président au développement des
centres
nerveux préposés aux fonctions de l'esprit, que
es des - spinales chez les vertébrés supérieurs, par Geir, 507.
Centres
olfactifs. De la localisation , des - dans l'éc
EnnxocnnuE du cerveau, par Fedo- row, 238. Econcn cérébrale. Voir
Centres
ol- faclifs. Des modifications subies pol' 1'
de poitrine pourrait être due à une perturbation des cel- lules du
centre
vaso-moteur de la moelle allongée, semblable à la
oisin que possible du sommeil naturel qui agissent le moins sur les
centres
supérieurs : ceux qui tout en donnant le sommeil
liaire important et nécessaire du traitement : il faut donner aux
centres
psychiques détraqués un temps de repos, seule cha
t qui s'y rattachent. Orla moelle nous appa- raît toujours comme un
centre
autonome pouvant fonctionner sans le contrôle d
s pathologiques. En- fin, nous lisons : « 11 ne peut pas exister de
centre
spécial pour l'écriture parce que chacun peut é
du corps, même avec les pieds. » Mais cela prouve simplement que le
centre
de l'écriture a, grâce au système d'as- sociati
ose.- 3° la neuronophagie, qui revêt un aspect dif- férent dans les
centres
nerveux et les ganglions, ne peut se produire d
e du muscle dégénéré. Link ayant en outre, émis l'hypothèse que des
centres
nerveux différents doivent présider à la contra
site pas à considérer la première comme obéissant à l'influence des
centres
moteurs corticaux et la seconde à l'action des
nfluence des centres moteurs corticaux et la seconde à l'action des
centres
moteurs inférieurs ou médullaires. (î. 1). XI
ie. La myotonie, par ses manifestations cliniquesrlui dépendent des
centres
nerveux, par les lésions des muscles, par son a
it les libres reliant l'écorce avoisinant le pli courbe où siège le
centre
visuel verbal, aux voies motrices et aux centre
courbe où siège le centre visuel verbal, aux voies motrices et aux
centres
moteurs du lan- gage. Comme la plupart des hé
'illusion et l'hallucination en tenant compte de la manière dont le
centre
cortical est stimulé dans chacun de ces process
ression de Tanzi) ni dissociation périphérique. Dans l'idéation, le
centre
est stimulé par la voie des fibres associées :
a solidarité d'action de l'ensemble du cerveau et de l'ensemble des
centres
nerveux de la moelle et des ganglions spéciaux
du corps. Ils semblentindiquor en outre que l'écorce mentale est le
centre
de l'organisme et que les centres supérieurs pré-
outre que l'écorce mentale est le centre de l'organisme et que les
centres
supérieurs pré- sentent à la maladie un maximum
, dans le délire de négation pure- ment intellectuel, la lésion des
centres
corticaux ne saurait être invoquée. La question
nry i\leige). Ce cas intéressant est attri- hué aune altération des
centres
psychiques du tissu conjonctif sous-cutané. 1
ié et les 190 PSYCHOLOGIE. régions voisines ; les lobes optiques,
centre
plus important, sont souvent à peine déprimés s
ouvent à peine déprimés sur la ligne médiane. Dans le cervelet, les
centres
corticaux préposés aux synergies bilatérales, e
omie, diminuent progressivement, chez les Mammifères, au profit des
centres
pairs (lobules ansiformes, etc.), à mesure que
tants les uns des autres (Wundt, 1902, 1. p. 228), organes dont les
centres
nerveux primitifs sont eux-mêmes très distants
eux-mêmes très distants : au sur et à mesure de l'évolution, ces
centres
d'abord autonomes se soumettent à des cen- tres
socéphaliques déjà plus rap- prochés les uns des autres, puis à des
centres
corticaux que l'on tend de plus en plus à consi
nsidérer comme les agents primordiaux de l'unité fonctionnelle; ces
centres
sont formés de deux moitiés séparées,mais ils n
élevés quant àlavie psy- chique, les Hyménoptères par exemple, les
centres
ner- veux de chaque côté, tout en échangeant de
âce auxquels, au fonctionnement successif des deux yeux, de leurs
centres
et de leurs muscles, des animaux à vision unioc
perception visuelle de la profondeur. , 192 PSYCHOLOGIE. Mais les
centres
optiques et ceux qui président à des fonctions
de ces dernières par un double et partiel entrecroisement. Tous les
centres
de projection sont en rapport avec les deux moi
es résultats des ex périences de l3rown Sequard sur « les prétendu»
centres
psycho- moteurs » t1 : 7, 182) sont encore inex
motrices à caractère symétrique bilatéral] qui y possèdent leurs
centres
(mouvements de la respiration, de la déglutition,
il est pourvu d'un appareil musculaire, au lieu de tourner sur un
centre
situé dans son intérieur, il se meut comme un org
organe tactile, grâce à la tige mobile qui le supporte, autour d'un
centre
situé derrière lui dans le corps de l'animal. »
nne est portée intégralement par les voies optiques de la rétine au
centre
visuel, sans être dissociée et sans même que so
odifiée ; il est facile de comprendre qu'elle reprend alors dans le
centre
visuel sa position naturelle par rapport à celle
oeil ; son extrémité externe sur la rétine redevient interne sur le
centre
visuel, et par conséquent, sinon contiguë à l'ext
e l'image donnée par l'autre oeil et également trans- portée sur le
centre
visuel, du moins tournée vers son extrémité. Vo
images rétiniennes des doux yeux, mais encore redressement, dans le
centre
nerveux, de chaque image rétinienne : ce qui, d
rvus d'un système dioptrique opérant le renversement des images, le
centre
de rotation est intérieur à l'oeil, au lieu de
les impressions sensorielles en in- flux moteurs possèdent dans les
centres
une certaine symétrie. » Or, s'd n'y avait pas
métrie. » Or, s'd n'y avait pas entrecroisement, l'innervation (des
centres
corticaux transmettant les impulsions aux centr
'innervation (des centres corticaux transmettant les impulsions aux
centres
musculaires) devrait suivre une marche interrom
en dehors, pour, quand l'oeil gauche se meut à son tour.sauter aux
centres
du côté opposé et s'y propager aussi de dedans
ent, par rap- port à chaque oeil. Les conditions présidant dans les
centres
à la genèse réflexe des mouvements par l'excita
xcitation est le point de départ (dans la portion interne de chaque
centre
visuel) du réflexe aboutissant à la contraction
nt le point de départ des influx moteurs destinés à chaque muscle :
centres
(corticaux) des droits internes situés en dedan
scle : centres (corticaux) des droits internes situés en dedans des
centres
des droits externes. L'hypothèse de Cajal est i
ns périphériques bilatérales, directes ou indirectes, de chacun des
centres
du cortex : on nous pardonne- ra de rappeler à
rde la portion de l'espace qu'il touche et explore par ses autres
centres
. » D'ailleurs, chaque paire d'organes sensoriels,
s sont organisés de telle sorte que les réflexes dont ils sont t le
centre
sont toujours diffus. 1 Asymétrie du névraxe.
droit du corps. (Van Biervliet, 1900-1901)ec £ la localisation des
centres
du langage dans l'hémisphère gauche. Y-a-t-il v
triqués (tête, yeux, mouvements de la marche. etc.), il existe des
centres
de coordination spécialement chargés d'assurer la
ons visuelles déjà trop longuement envisagées à propos des voies et
centres
optiques. Les sensations gustatives et olfactiv
ue est conduite par des fibres aban- donnant des collatérales à des
centres
gris qui en reçoivent aussi, directement ou ind
sur ce sujet. Mais nous croyons utile d'insister ici, à propos des
centres
à action unilatérale, sur ce fait que ces centr
ici, à propos des centres à action unilatérale, sur ce fait que ces
centres
, les seuls qui par eux-mêmes ne constituent pas u
ones de la marche avait une représenta- tion unique dans différents
centres
. Ces expériences démontrent par une autre voie
s hé- misections, soit certaines excitations centrales. Quant aux
centres
plus spécialement affectés à la sensibilité gén
ialement affectés à la sensibilité générale ou spéciale, outre les «
centres
de perception» qui sont ceux dont il a été déjà
t il a été déjà question (calcannes, TI et T2 etc.), il existe des «
centres
de souvenir (Wilbrand)(.l\Ierkcentra de Cajal,
es uns et les autres sont considérés comme unilatéraux : « Tous les
centres
de souvenir ou centres commémoratifs connus son
nt considérés comme unilatéraux : « Tous les centres de souvenir ou
centres
commémoratifs connus sont unilatéraux (aphasie,
ât dans des champs symétriques des deux hémisphères.... Donc, les
centres
commémoratifs d'un côté, bien qu'homologues de ce
nt ainsi des voies d'union courtes et nombreuses». ». Enfin, chaque
centre
de souvenir primaire et secondaire est uni aux
Enfin, chaque centre de souvenir primaire et secondaire est uni aux
centres
perceptifs et commémoratifs des deux côtés (p. 56
. D'après Tanzi (1901), les hallucinations ont leur origine dans un
centre
de souvenir duquel part l'excitation qui met SU
i met SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 217 en branle les deux
centres
de perception. Si, par exemple, une hallu- cina
es territoires calcariniens, elle serait hémiopique. t- Quant aux
centres
de perception,`le principe de 1' « unité d'im-
'création dé nouveaux résidus par lés ébranlements arri- vés 'au
centre
suppléant par des voies déterminées. Mais si le
s total, ne porte, par exemple, que sur les zones mo- trices et les
centres
du langage, la suppléance par l'au- tre hémisph
s groupements ne sont jamais guidés par la to- pographie des divers
centres
intéressés dans toute l'étendue du névrax et pr
oubles organiques à localisation hémiplégique et la topographie des
centres
nerveux des fonctions compromi- ses, la divisio
tiés symétri- ques. Le sujet ignore la localisation unilatérale des
centres
du lan- 298 PSYCHOLOGIE. 1 gage. Aussi les tr
n des hémisphères ; il s'agit bien, en effet, de la mise en jeu des
centres
des hé- misphères, d'après la seule « explicati
, profondément altéra par le fonctionnement faux ou insuffisant des
centres
de l'hémisphère gauche, tant que cet hémis. phè
nt que cet hémis. phère à la direction. Par contre, le trouble (des
centres
de l'Itémis- phère gauche) n'aurait (halle) auc
témoigne de l'union transmé- ,liane anatomique et fonctionnelle des
centres
des deux membres ; on voit sans peine son analo
re « l'indépendance re- lative des deux hémisphères » (p. 39) ? Les
centres
du langage ne siègent -ils pas tous dans le mêm
l de cet oeil, fonctionnement de ses muscles,etc.)et l'exercice des
centres
du langage. Mais, quels que soient cette cause
otale du champ visuel d'un oeil ne peut avoir avec l'inhibition des
centres
du langage que des connexions -contingentes cré
ts d'un côté, s'ex- plique de même,grâce à l'existence des nombreux
centres
hiérarchisés du diencéphale et du tronc cérébra
rigueur légi- time pour les Arthropodes où les relations entre les
centres
et la périphérie sont le plus souvent directes
ralisation n'est plus possible ; elle l'est d'autant moins que les
centres
sont d'autant plus sévèrement subordon- nés les
ue de l'alcool sur la formation delà chaleur, et ses effets sur les
centres
que l'on présume être préposés à la différencia
deux périodes, l'une primitive caractériséo par la stimulation des
centres
vaso-moteurs de la moelle, par la contraction d
ine, l'autre, secondaire, caractérisée par la paraly- sie des mêmes
centres
et l'inhibition par l'intermédiaire du pneu- mo
ffinée. Ce fait donne lieu naturellement à deux déductions : 1° les
centres
en- registreurs de la différenciation du sens m
eux qui enregistrent les sensations tactiles et thermiques ; 2° les
centres
qui reçoivent ces impressions muscu- laires son
Jackson sur l'évolution nerveuse, et avec son opinion au sujet des
centres
représentatifs et re-représentatifs. 1 La dimin
erfs sensoriels, sensitif et et moteurs de l'oeil. Bulbe rachidien.
Centres
moteurs corticaux. Epreuve orale '(dite « de ga
hologi- que est inhérent à chaque région du cerveau, à tel ou tel
centre
fonctionnel ; il est donc lui-même fonction de ce
l ou tel centre fonctionnel ; il est donc lui-même fonction de ce
centre
? Dans ce cas, c'Est l'état de ce centre qui impo
nc lui-même fonction de ce centre ? Dans ce cas, c'Est l'état de ce
centre
qui importe, et non pas le phénomène psychologi
représentation,où se font les représen- tations mentales : dans les
centres
de projection ou dans les centres supérieurs, p
en- tations mentales : dans les centres de projection ou dans les
centres
supérieurs, psychiques ? La question vaut la pe
ndaire dépendant,comme le trouble somatique lui-même, d'un état des
centres
fonctionnels, dont la na- ture est à déterminer
té amené à rechercher s'il n'y avait pas un trouble de'cerveau, des
centres
cérébraux - où tout le monde. est ,'d'accord,je
de deux parties : l'une postéro-latérale où sont répartis tous les
centres
sensitivo-moteurs et sensoriels, auxquels il co
sensitivo-moteurs et sensoriels, auxquels il convient d'ajouter des
centres
viscéraux, non admis encore chez l'homme ou du
corce cérébrale, l'organisme tout entier se trouve projeté dans des
centres
fonctionnels, moteurs, sensoriels, viscéraux et
impres- sions venues du dehors ou de l'organisme aboutissent aux
centres
du cerveau organique. Elles y déterminent un ét
dehors, et que s'en évoquera la représentation. Chaque fois que le
centre
psychique se trouvera dans le même état molécul
e se trouvera dans le même état moléculaire, il déterminera dans le
centre
organique un même état molé- culaire. Celui-ci
alors qu il y a représentation. ,,c,erveau organique sont donc les
centres
de la "perception et de la représentation des i
représentation des images, tandis que le cerveau psy- chique est le
centre
de la conscience, de la conservation et de l'év
pondent. Sous quelle forme se conservent ces images ; comment les
centres
organiques s'associent-ils et réagissent-ils ré
ition, d'engourdissement, -de sommeil, peu importe le mot,frappe un
centre
du cerveau organique, que va-t-il se produire ?
de tout à l'heure, de la pa- ralysie d'un bras. Nous savons que le
centre
moteur de ce bras est non seulement moteur, mai
ion mentale.L'évoca- tion des mouvements ne se transmettant plus au
centre
inhibé, le sujet a l'air d'être paralysé par am
bé, le sujet a l'air d'être paralysé par amnésie.Ad- mettons que le
centre
moteur ne soit pas complètement inhibé ; les ex
ns maintenant qu'au moment même où l'inhi- bition s'est produite le
centre
moteur était le siège d'une (1) ,"oir Le problè
e à l'état moléculaire du'centre inhibé. Mais,en même temps que le -
centre
moteur du bras est inhibé, et cesse ainsi de pe
e percevoir les impressions de la périphérie, de les transmettre au
centre
d'aperception, au centre psychique, et de recev
de la périphérie, de les transmettre au centre d'aperception, au
centre
psychique, et de recevoir de ce dernier les évo-
cations de représentations aboutissant à des mouvements, les autres
centres
continuent à fonctionner plus ou moins normalem
st constater simplement le même phénomène. Il est évident qu'un des
centres
de l'écorce étant soustrait au fonctionnement d
ant plus aux excitations du dehors, ne les transmet- ' tant plus au
centre
de conscience, de synthèse person- nelle, ne ré
f, fondamental, c'est l'état physiologique, disons même physique du
centre
moteur. Appliquons ce que nous venons -de dire
e moteur. Appliquons ce que nous venons -de dire à n'importe quel
centre
sensitivo-moteur, sensoriel ou viscéral, et nou
en- tal physiologique. Si, maintenant,au lieu d'envisager un seul
centre
atteint, nous en considérons plusieurs frappés
s dernières années, il a parlé comme moi de l'engourdissement des
centres
cérébraux comme fondement des troubles hysté- r
rouble sensitif quelcon- que, de savoir à quel degré est atteint le
centre
de l'or- gane intéressé, ou,étant donné un état
sement, de l'inhibition cérébrale, et 2° l'étendue,le nom- bre des
centres
atteints. On constate en outre que ces réaction
les attaques, et qu'ainsi les attaques ne sont que la tendance des
centres
céré- braux à reprendre leur activité. Quand el
stériques, ce sont les varia- tions de l'état d'engourdissement des
centres
cérébraux atteints. Ceux-ci peuvent bien dans c
ar l'in- termédiaire des organes des coêtres. Quand on parle d'un
centre
psychique, on envisage une accumulation, dans un
ent le souvenir : or SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 379 ces
centres
placés chez les coêtres sont à la disposition du
ogique quelconque : ce processus se passerait à l'occasion dans les
centres
de l'un ou de l'autre hémisphère, voire même ex
l'un ou de l'autre hémisphère, voire même exclusivement dans les
centres
du langage. Donc pas de substrat anatomique pro
pas par le défaut de synergie physiologique et psychologique des
centres
corticaux dont les fibres calleuses ont été at-
, assuraient seules pn- mitivement la synergie et l'association des
centres
des deux côtés : le corps calleux n'est donc qu
son fonctionnement d'élément par- ticulier. Loin de représenter un
centre
surajouté aux deux moitiés du cerveau, il souli
provenant des deux moitiés du corps » (p. XII) ? Pour constituer un
centre
, il faut qu'il y ait rapports directs d'élément
première vulgarisation des résultats de la méthode de Golgi, qu'un
centre
simple soit constitué par le contact d'une fibr
if en influx moteur se fasse à ce niveau. Considérons,en effet, les
centres
corticaux, le modèle de ceux qui devraient, d'a
e corps calleux : il y a « toujours convergence d'éléments venus de
centres
distincts et eux-. mêmes en rapport avec d'autr
venus de centres distincts et eux-. mêmes en rapport avec d'autres
centres
encore plus étrangers les uns aux autres : les
ceux du cortex lesquels, même,leur seraient su- bordonnés,mais dès
centres
rudimentaires ? Il est inutile de détailler aux
vidence qu'il n'y a pas dans le corps calleux, pas plus que dans le
centre
ovale ou dans toute autre masse blanche, de ter
ules modi- (icationscirculaLoiresliéesau dynamisme fonctionnel, des
centres
nerveux suffisent à provoquer des^ modification
comme accompagnant des états fonctionnels et dynamiques de tous les
centres
nerveux, ou tout au moins ces états de conscien
t impossible de rapporter le symptôme som- meil à l'altération d'un
centre
anatomique spécial ; de même que l'absence fréq
t ou un sommeil' localisé ou généralisé, passager ou permanent, des
centres
cérébraux, et se traduisant, par conséquent, su
e. Je devrais cependant y ajouter quelque chose, c'est que tous les
centres
cérébraux étant doués d'irrita- bilité, toute d
e et l'intensité de l'inhibition cérébrale. Prenons, en effet, un
centre
cérébral quelconque et supposons-le frappé d'un
cen- tre ? Tout d'abord la fonction organique en rapport avec ce
centre
va se trouver diminuée, et, suivant le rôle du
ort avec ce centre va se trouver diminuée, et, suivant le rôle du
centre
cérébral intéressé, nous observerons des troubles
cénesthésiques et vaso-moteurs.Par suite de la réparti- tion des
centres
intéressés, par suite de leur nombre plus ou mo
de compliquer les choses. A chaque degré d'engour- dissement d'un
centre
donné correspond.en effet, objec- tivement et s
D'où la nécessité de considérer encore,pour cette raison, chaque
centre
fonctionnel individuellement dans l'ap- préciat
ue sorte, ou la synthèse de tous ces troubles localisés. Enfin ce
centre
atteint l'est tantôt d'une façon per- manente,
ut distinguer d'ailleurs celles qui tiennent à l'envahis- sement du
centre
par l'engourdissement, l'inhibition, et celles
e. Au cours de l'hystérie on comprend que l'on peut voir certains
centres
présenter un état permanent et certains autres
frappant le cerveau dans son en- semble, alors qu'en réalité chaque
centre
fonctionnel^ agit jusqu'à un certain point indi
tenir compte évidemment, à un moment donné, des interactions des
centres
entre eux, mais si cela complique le problème,
s troubles (1). (1) On a trouvé que j'exagérais le déterminisme des
centres
céré- braux. Cependant de deux choses l'une : o
alisa- tions cérébrales, et alors il est naturel d'admettre que les
centres
corti- caux, qui constituent le point d'arrivée
atés à la périphérie doivent être rapportés à des modifications des
centres
fonctionnels ; ou on n'admet pas les localisation
ner une importance trop grande et une délimitation trop précise aux
centres
corticaux. Mais je me permettrai de faire remar
rticaux. Mais je me permettrai de faire remarquer que j'ai parlé de
centres
fonctionnels, et que depuis longtemps je soutiens
ngtemps je soutiens que les cen- tres cérébraux sont avant tout des
centres
dynamiques. Leur siège, 452 clinique NERVEUSE.
riables, et suivant la part que lapsychicité a dans la fonction du
centre
intéressé, et suivant le degré auquel ce centre
ns la fonction du centre intéressé, et suivant le degré auquel ce
centre
est atteint. Il y a lieu d'ailleurs de considérer
nent à la diminu- tion et à la perte de la fonction de tels ou tels
centres
psycho-moteurs ou psycho-sensoriels, ou cénesth
lité) ; et d'autre part ceux qui ré- sultent de l'envahissement des
centres
psychiques eux- mêmes par l'engourdissement hys
at hystérique consiste dans un trouble loca- lisé d'un ou plusieurs
centres
du cerveau, et que la plus grande hystérie ne s
els observés dans l'hys- térie sont-ils liés à une modification des
centres
corticaux tenant les différentes fonctions sous
la définition de l'hystérie. Nous savons un peu mieux ce qu'est un
centre
cortical, ce que sont les fibres nerveuses qui
lement. Je dis que l'état hystérique est une sorte de sommeil des
centres
fonctionnels du cerveau. Avant de voir en quoi
réédu- cation fonctionnelle, en rétablissant le fonctionnement du
centre
psycho-moteur, amènera en même temps la dispari
lution actuelle, soit de son étendue ou de sa profondeur. Tous les
centres
cérébraux ne participent pas au mê- me titre à
ns sen- sitives et sensorielles qui sont moins efficaces ; par le
centre
, c'est-à-dire par la psychothérapie sous toutes l
455 primitif de l'hystérie constitué par une sorte de sommeil des
centres
cérébraux, d'engourdissement cérébral. Pour le
me nature et consiste essentiellement dans une sorte de sommeil des
centres
cérébraux. Mais quel est ce sommeil ? J'ai fait
nti- nuant toujours à croire que j'assimile l'état de sommeil des
centres
neryeux dans l'hystérie au sommeil naturel. Il
manifestations de l'hystérie. A côté de l'arrêt par épuisement des
centres
corticaux, il y a l'arrêt par inertie. D'autr
inertie. D'autre part, chez des sujets prédisposés, le fait qu'un
centre
cesse d'être mis en activité entraîne aussi son
à dire que l'émotion provoque l'anesthésie, en engourdissant les
centres
nerveux, et qu'elle les engourdit en anesthésiant
ourdissement du cer- veau, soit dans son entier, soit dans certains
centres
, engourdissement qui peut disparaître à la long
caractérisait l'état hystérique c'était la tendance qu'avaient les
centres
céré- braux à rester dans l'état où ils étaient
cal du cer- veau plus ou moins généralisé); comme une infinité de
centres
peuvent être atteints et à des degrés différents,
tant toujours au-dessous de la normale de l'activité cérébrale, les
centres
engourdis et ils ne le sont pas tous au même de
es, que celles d'un cerveau ordi- naire. Je ne vois pas pourquoi un
centre
diminué dans son activité serait purement passi
n des fonctions subconscientes, laquelle dénote l'in- teraction des
centres
engourdis, mais d'une façoninsuf- fisante pour
e - depuis la légère diminution jus- qu'à l'inhibition complète des
centres
fonctionnels de l'écorce cérébrale. L'hystérie
la théorie physiologique. Quant à rapporter rigoureu- sement aux
centres
anatomiques du cerveau tels qu'on les délimite
ue de l'activité cérébrale, dans laquel- le l'autonomie étroite des
centres
corticaux telle qu'on la conçoit encore dispara
deux hémisphères, là où l'on voyait autrefois soit l'in- fluence de
centres
subordonnés, soit celle d'une seule moitié du c
es sens dits qualitatifs (voir Cajal 1906, ou p. 216 ) ; rature des
centres
de souvenir. L'hypothèse de Cajal à ce sujet (v
t (voir p. 217) est des plus plausible ; et, à s'en tenir aux seuls
centres
de souvenir connus, ceux des images verbales au
ceux des images verbales auditives et visuelles, le contenu de ces
centres
apparaît tel que leur interven- SUR LA SYMÉTRIE
éjà par elle-même infiniment in- vraisemblable ; on sait que chaque
centre
de souvenirs, primaire ou secondaire, est uni n
ntre de souvenirs, primaire ou secondaire, est uni non seulement au
centre
de perception du même côté, mais encore (Cajal,
Monakow, etc.), à celui du côté opposé, et, à cha- cun de ces deux
centres
, par des fibres dirigées dans les deux sens (Ca
l, Déjerine, etc.) ; il l'est, en outre, et d'une façon certaine au
centre
homologue (homoto- pique) du côté opposé. Par c
conséquent, en admettant même que l'entendement trouve dans un seul
centre
de souvenirs les éléments d'une opération ou d'
eurs équivalents organiques dans le même hémisphère on voit que les
centres
correspondants, de perception et de souvenir, d
manque, tous les résidus s'accumuleront for- ce'ment dans certains
centres
où leur réveil sera toujours possible : la lési
ence de ré- sidus dans l'un et l'autre côté amène la formation de
centres
sensori-moteurs homologues, mais non équiva- le
e telle sorte également que le réveil d'une image fournie par ces
centres
ou plutôt par les centres de souvenir cor- resp
que le réveil d'une image fournie par ces centres ou plutôt par les
centres
de souvenir cor- respondants, met automatiqueme
à écrire. · Grasset (J.).-Plan d'une physiopathologie clinique des
centres
nerveux, Montpellier médical, XIX, 1904. L'ac
sson, éditeur, 1907. M. le prof. Grasset, à qui la connaissance des
centres
nerveux doit tant de progrès, vient de publier
de les actes conscients automatiques. Or, la dualité analo- gue des
centres
psychiques doit exister. Tel est le principe qu
la période des inter- prétations morbides préparant l'éréthisme du
centre
cortical et par conséquent l'hallucination de l
lontaires, et d'autre part les troubles consécutifs aux lésions des
centres
, en prenant le mot centre non plus dans le sens
les troubles consécutifs aux lésions des centres, en prenant le mot
centre
non plus dans le sens étroit qu'on lui don- nai
ersent se terminent quelque part dans l'écorce. La conception des
centres
sensitifs accolés aux centres d'incita- tion mo
rt dans l'écorce. La conception des centres sensitifs accolés aux
centres
d'incita- tion motrice, encore qu'au premier ab
e détail quant à son interprétation psychologique. La théorie des
centres
kinesthésiques de Bastian dérivée pour une part
, la perception des sensations musculo-tactiles. La destruction des
centres
supérieurs corticaux n'abolirait avec les image
du tiers moyen et du tiers 1 Georges Gasne. Sens stéréognostique et
centres
d'association. (Nou- velle iconographie de la S
des doigts, il est peu probable qu'il faille chercher en dehors des
centres
kinesthésiques du membre supérieur la localisat
l elle porte (abstraction faite des interventions por- tant sur les
centres
nerveux et sur le corps thyroïde), elles n'ont
u) et rappel- lent les phénomènes d'excitation, puis de stupeur des
centres
mo- teurs, chez les animaux en expérience. L'in
tat d'exercice », et dépend tout entier d'un bon fonctionnement des
centres
psychiques supérieurs. L'auteur est d'avis qu'i
n de la propriété qui appartient à l'esprit de réagir, au moyen des
centres
et des nerfs soumis au cerveau sur les fonctions
s travaux de lI. le D1' Du- rand (de Gros), on sait que le cerveau,
centre
des centres, possède pour sa part, et comme en
e lI. le D1' Du- rand (de Gros), on sait que le cerveau, centre des
centres
, possède pour sa part, et comme en double, les
e pour sa part, et comme en double, les propriétés que les autres
centres
inférieurs possèdent chacun séparément. En conséq
termi- naisons sensibles et déjà préformées antérieurement dans les
centres
inférieurs du système nerveux. 11 en résulte qu
duire l'idée dans le cerveau pour reproduire dans le domaine des
centres
inférieurs, en lieu et place, et avec exactitude,
nutrition défectueuse dans les parties les plus éloignées de leurs
centres
nutritifs altérés dans les ganglions spinaux po
céphalalgie frontale plaidaient en faveur d'une lésion voisine des
centres
de la face et du bras, dans les circon- volutio
et montrer que la tumeur était corticale, et qu'elle intéressait le
centre
de la face et du bras en même temps que l'extré
émité postérieure de la troisième frontale gauche, c'est- à-dire le
centre
du langage. La question d'une intervention chirur
de l'hémisphère, le siège de la tumeur était absolument frontal. Le
centre
ovale, le corps strié et la capsule interne éta
-Séquard avait déjà montré l'influence du poison adissonien sur les
centres
nerveux et produit des crises convulsives avec
infirmités, causées par des affections organiques congénitales des
centres
nerveux, idiotie, paralysie, épilepsie, hémi- p
après la naissance, mais bien d'une dégénérescence congénitale des
centres
nerveux. Il ne convient donc pas de la mettre e
devra y reconnaître le stigmate anatomique de la dégénérescence des
centres
nerveux qui fournirait l'explica- tion du carac
s de cercles groupées, auprès des grands hôpitaux appartenant aux
centres
industriels, auprès des hôpitaux des voies ferrée
- dants (tableaux) rend obligatoire d'isoler l'établissement d'un
centre
. - Comme il est impossible d'enlever les établi
avoir déterminé chez les chiens, au moyen du courant faradique, le
centre
cortical de tel ou tel nerf, l'auteur détruit l
u facial et à l'hy- poglosse. Figures. L'ablation à la curette du
centre
cortical du trijumeau ou la destruction des cen
à la curette du centre cortical du trijumeau ou la destruction des
centres
du facial et 'de l'hypoglosse entraine tou- jou
énérescence descendante dans la pyramide du même côté. La lésion du
centre
du facial se traduit par une dégénéres- cence s
uve des fibres dégénérées par toute la pyramide dans les lésions du
centre
du trijumeau et de l'hypoglosse. Au niveau des
té opposé. Ces fibres peuvent être, en ce qui concerne la lésion du
centre
du facial, suivies tout près de son noyau ; il
out près de son noyau ; il n'en est pas de même pour la lésion du
centre
du trijumeau et de l'hypoglosse. La lésion du c
la lésion du centre du trijumeau et de l'hypoglosse. La lésion du
centre
cortical de l'hypoglosse révèle un entre- crois
t simplement des fibres dans le voisinage du noyau. La lésion des
centres
corticaux du trijumeau et du centre infé- rieur
sinage du noyau. La lésion des centres corticaux du trijumeau et du
centre
infé- rieur du facial révèle l'existence, en ou
moelle jusqu'au cordon latéral du côté opposé. La lésion isolée du
centre
cortical de n'importe quel nerf cranien, entraî
e de toutes les fibres des pyramides qui dégénèrent après lésion du
centre
cortical d'un nerf crânien quelconque. n'indiqu
avec altérations cellulaires des segments de lamoelle recélant les
centres
' trophiques des petits muscles des mains; cela
ns de la sensi bilité à la douleur entre 0,15 et 1,5 millimètre. Le
centre
de la sensibilité douloureuse la plus faible es
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ment du noyau qui quitte le
centre
de la cellule et se rapproche de la périphérie
élevé encore un agent paralysant périphérique et un stimulant des
centres
spinaux et médullaires, y compris les centres vas
e et un stimulant des centres spinaux et médullaires, y compris les
centres
vaso- moteurs. La pathogénie de l'épilepsie idi
ésiques aux variations de l'afflux sanguin ; l'atropine stimule les
centres
vaso-moteurs et. parla, régularise, l'afflux sa
streptococcique exerce une influence nette- ment stimulante sur les
centres
nerveux dans le coma méningi- tique, mais les m
brale et la psychologie comparée dans la série animale; puis les
centres
sensitivo et sensori-moteurs, la cénesthésie, les
e, les émotions, la vision, l'audition, l'olfaction, la théorie des
centres
de projection et d'association du télencéphale,
uns des points traités par M. Soury. La question de la nature des
centres
moteurs a longtemps divisé les physiologistes.
aintient encore que ces centrés sont anatomiquement dis- tincts des
centres
de la sensibilité tactile ou générale et du sen
, Flechsig, Wernicke, Tamburini, Luciani, etc., il soutient que les
centres
de la moti- lité et de la sensibilité tactile s
es de la moti- lité et de la sensibilité tactile se confondent. Les
centres
dits moteurs n'ont pas de fonctionnement sponta
us de sensations musculaires, ten- dineuses, articulaires, etc. Les
centres
de sensibilité kinesthési- que sont reliés avec
ment prouvé par leur .méthode de circonvallation ou d'isolement des
centres
moteurs. Par la section des fibres d'associatio
entres moteurs. Par la section des fibres d'association reliant ces
centres
aux diffé- rents territoires sensitifs ou senso
els, ils ont déterminé la même paralysie que par la destruction des
centres
kinesthésiques eux- mêmes. M. J. Soury inclin
phale exerce par les fibres cortico-spinales une inhibition sur les
centres
moteurs inférieurs, tandis que l'écorce du cervel
rie d'après laquelle il existerait des organes périphériques et des
centres
cérébraux de la douleur. La douleur n'est pas u
d'un ensemble de réactions parties de l'écorce. Outre d'ailleurs le
centre
vaso-moteur de la moelle allongée, il existe un
'ailleurs le centre vaso-moteur de la moelle allongée, il existe un
centre
vaso-moteur cortical, localisé BIBLIOGRAPHIE. 1
dée, c'est le retentissement de cet événement psychologique sur les
centres
moteurs et vaso-moteurs qui détermine secondair
leurer. Le pleurer physio- logique est dû à l'activité combinée des
centres
corticaux du facial, de la sécrétion lacrymale,
s lésions capsulaires, abolissant l'inhibition volon- taire sur les
centres
thalamiques qui président aux fonctions automat
chapitre de la vision renferme des discussions approfondies sur les
centres
et les faisceaux de projection de la vue, sur les
ondée l'hétérogénéité structurale et fonctionnelle des cellules des
centres
différents. Pour prendre parti dans cette questio
ue M. Jules Soury à écrite. « Cette étude des organes des sens, des
centres
de pro- jection et d'association de l'encéphale
'elles dépendent des faisceaux d'associa- tion, unissant les divers
centres
cérébraux. L'attitude de M. J. Soury en présenc
l est parti- san de la théorie de Flechsig qui divise le cerveau en
centres
de projection et en centres d'association. Les
ie de Flechsig qui divise le cerveau en centres de projection et en
centres
d'association. Les centres de projection ne son
e cerveau en centres de projection et en centres d'association. Les
centres
de projection ne sont autres que les organes se
cette myélinisation. C'est ainsi que l'on sait aujourd'hui que les
centres
de projection se développent avant les centres
aujourd'hui que les centres de projection se développent avant les
centres
d'association et que les centres de projection su
rojection se développent avant les centres d'association et que les
centres
de projection suivent toujours le même ordre d'
sur 186 BIBLIOGRAPHIE. la circonvolution de l'hippocampe, par le
centre
visuel placé à la face interne du lobe occipita
centre visuel placé à la face interne du lobe occipital, et par le
centre
auditif localisé sur la première temporale. On
if localisé sur la première temporale. On ignore encore où siège le
centre
de projection du goût. Le développement des cen
core où siège le centre de projection du goût. Le développement des
centres
de projection avant celui des centres d'associa
du goût. Le développement des centres de projection avant celui des
centres
d'association est une preuve certaine que nos c
ote : Nihil est in intellectu qllod non prius fuit 'il ! sensu. Les
centres
d'association sont destinés à relier entre eux le
nsu. Les centres d'association sont destinés à relier entre eux les
centres
de projection et à élaborer les perceptions senso
des facultés morales et de limiter presque entièrement le rôle des
centres
d'association à un rôle intellectuel. La volont
ssus qui ne diffère de l'acte réflexe qu'en ce que des neurones des
centres
d'association, plus ou moins nombreux suivant la
tard, aucune lésion suffisante des organes uro-génitaux qui soit un
centre
d'attraction de la névrose '. L'émotion morale
ivo-spinal, et produire la pollakiurie impé- rieuse. S'il existe un
centre
médullaire de la miction, déter- miné par Budge
médullaire de la miction, déter- miné par Budge, il existe aussi un
centre
cérébral analogue, résultat du fonctionnement p
uelles ou auditives en rapport avec l'acte. Les perturbations de ce
centre
déter- minent des modifications de la fonction
est une polla- kiurie impérieuse, mais commandée par l'activité du
centre
cérébral urinaire. Le cas de notre malade n'e
sation progressive. Preuve directe de la localisation corticale des
centres
viscéraux. Principe d'un traitement mécanique d
Pendant ces séances, le point de la che- ville reparaît, véritable
centre
douloureux d'où partent des lan- cées très vive
nt superposées à des surfaces de l'écorce qui sont et demeurent les
centres
soit des membres, soit des viscères ? La répons
tion des zones des membres est superposable à la localisa- tion des
centres
corticaux de ces membres. M. Sollier a con- clu
embres. M. Sollier a con- clu par analogie à l'existence réelle des
centres
viscéraux. Or, l'expérience de la percussion de
ve de plus et ne démontre-t-elle pas directe- ment qu'il existe des
centres
viscéraux ? ` ? Je percute la zone de l'estomac
donc, l'onde vibratoire a actionné l'écorce en un point qui est le
centre
cortical de l'organe, centre qui renferme les r
onné l'écorce en un point qui est le centre cortical de l'organe,
centre
qui renferme les résidus des sensations antérieur
s d'association relient le point de l'écorce touché par l'onde à un
centre
idéatif où le fait de la percussion réveille la
riorisations différentes; par consé- quent en admettant même qne le
centre
idéatif soit en cause, je ne puis expliquer la
r l'onde vibratoire : ce qui revient à dire que ces points sont les
centres
des organes dont on a percuté les zones d'hy- p
lure que des fibres de projection relient à l'organe en question un
centre
donné de l'écorce, auquel se superpose la zone
xpé- rience de la percussion démontre directement l'existence des
centres
viscéraux. Il est un autre point sur lequel je
le d'aspect. On pratique alors une seconde trépanation au niveau du
centre
moteur cortical du bras droit. Il n'existe à ce
olie est le symptôme de tout processus pathologique intéressant les
centres
psychiques du cerveau; par conséquent la ligne
e l'état sain du cerveau, le mot cerveau étant pris dans le sens de
centres
psy- chiques. » . « 2° Les dénominations de «
de sa résistance. De faibles excita- tions primitives partant d'un
centre
quelconque provoquent des excitations secondair
ia, a. XVI, fascicule 6, 1899, p. 401-42'7. DÉjERtNE.Anatomie des
centres
nerveux. Paris, f895, t. I, p. 163. DEMOOR (Jea
X, 1898, n° 11.) DUVAL (Mathias). Hypothèses sur la physiologie des
centres
nerveux ; théorie histologique du sommeil. Comp
PARASCONDOLO (Carlo). Recherches histo-pathologiques sur l'état des
centres
nerveux dans la commotion thoracique et abdo- m
trois fois, à la partie de l'encéphale de l'écrevisse qui forme le
centre
nerveux de la seconde antenne : il n'en est rie
au développement du ruban de Reil et de ses communications avec le
centre
; par A. DOELLKEN. (IVeU-010g. Cenlralbl., XVIII
décrivant un arc de cercle à conca- vité antérieure, passe dans le
centre
médian de la couche optique et dans les parties
n'étant pas très développé chez le chat, le chien, les rongeurs, le
centre
médian de la couche optique n'est pas tout à fa
ans la capsule interne, deviennent plus fines et plus délicates. Le
centre
ovale de la région motrice contient exclusiveme
Deux ou trois productions gommeuses, d'aspect un peu jaunâtre au
centre
, confirmaient l'hypothèse de l'affection syphilit
la plus élevée, la plus essentielle, celle qui se produit dans les
centres
d'association; c'est, dans ces centres, en effe
elle qui se produit dans les centres d'association; c'est, dans ces
centres
, en effet, que se réalise la combinaison dynami
mouvement. Ainsi, « en ce qui concerne le mot parlé, c'est dans le
centre
verbal d'association qu'il a véritablement son
et de reproduction. Alors que, dans l'émission verbale d'un mot, le
centre
cortical de projection et le centre bul- 334 RE
l'émission verbale d'un mot, le centre cortical de projection et le
centre
bul- 334 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. baire
on de tous les mots, ont une fonction commune, l'image motrice du
centre
d'association n'appartient qu'à ce mot seul. ne p
e, le siège des images motrices « se trouve sur le ter- ritoire des
centres
d'association de Flechsig, et plus spécialement
pécialement sur les confins de ce territoire, dans la proximité des
centres
de projection, sur ce qu'on a nommé les zones m
consistant essentiellement en une disso- ciation fonctionnelle des
centres
nerveux, provoquant une annihi- lation plus ou
es nerveux, provoquant une annihi- lation plus ou moins profonde du
centre
psychique supérieur et conscient, et, par suite
scient, et, par suite, une diminution de la résistance (fonction du
centre
supérieur) et une augmentation de l'impressionnab
upérieur) et une augmentation de l'impressionnabilité (fonction des
centres
inférieurs), on comprend pourquoi, en géné- ral
t de veille n'est pas normale (hyper-sugges- tibilité), ou bien les
centres
inférieurs présentent par eux-mêmes une résista
e et en le considérant comme dû à la dissociation fonctionnelle des
centres
nerveux aboutissant aune annihilation plus ou m
entres nerveux aboutissant aune annihilation plus ou moins forte du
centre
psychique supérieur et conscient, dissociation
pouvant résulter de toutes les impressions capables de distraire ce
centre
de son rôle de contrôle, de fixer l'attention,
égétatif, ne peuvent s'expliquer que si l'on admet avec lui que les
centres
nerveux de l'axe céphalo-rachi- dien et ceux du
ncte, possédant sensibilité, discernement et volonté, à l'instar du
centre
cérébral proprement dit, siège de ce que nous nom
que le récepteur et le transmetteur de la suggestion tandis que les
centres
inférieurs, les « sous-moi », seraient les agents
tiques généraux être utilisé au point de vue de la localisation du
centre
de l'audition verbale. Il démontre en outre que s
n nouvelle il y aurait lieu, pensait-il, d'avoir un office situé au
centre
de Paris dans un établissement quelconque appar
rvés, prouvant toujours l'excitation corticale, l'hyperesthésie des
centres
nerveux en .général, mais surtout des organes d
jours, en résumé, le même principe : exciter le nerf acoustique, le
centre
auditif, afin de provoquer l'hallucination. I
ons, dans ce travail, à localiser dans l'écorce cérébrale, dans les
centres
des sens, n'est cependant pas limitée au cervea
èles à la clinique. Toutefois, bien qu'il y ait hyperesthésie aux
centres
et à la périphérie, la nature de la lésion n'es
ns les deux cas est l'alcool, sans doute, mais tandis qu'il y a aux
centres
une surexcitation qui provoque des hallucinatio
organes sensoriels, à la périphérie il y a toute autre chose. Aux
centres
, les sensations sont subjectives, ce sont des per
oque des. règles. - Accès subuigu de l'alcoolisme. Hyperesthésie du
centre
auditif. C..., quarante-trois ans, teinturière,
, le cerveau est peu hyperesthésié dans sa totalité. Mais, si les
centres
de la vision, de l'olfaction, de la gustation res
n, de l'olfaction, de la gustation restent sourds aux excitants, le
centre
auditif retentit sous la très légère irritation
eresthésies qui nous intéressent. L... en a à la périphérie, et aux
centres
; mais l'hyperesthésie périphérique ne produit p
t sous l'excitation périphérique. Celle-ci provoque et réveille aux
centres
des troubles hallucinatoires qui durent, comme
e mystique, hallucinations multiples. 13peresllvésie de plusieurs
centres
corticaux. B... Pierre, soixante-cinq ans, prof
arteau, on va le crucifier, qu'on se dépêche, il est prêt, lui. Les
centres
hyperesthésiés réagissent de même aux exci- tat
rs. 4° Dans les cas de la déchéance particulière de l'activité du
centre
de la moelle épinière génito-vésical : de l'érect
s voies conductrices, nous sommes en présence de la destruction des
centres
de percep- tion qui coïncident avec la région m
ir la qualité et la quantité du mouvement effectué, il faut que les
centres
cérébraux fonction- nent ensemble, et que, par
rospinales. Ainsi est défendu ce ter- ritoire du plus important des
centres
nerveux contre les innom- brables ennemis dissé
e lobe pariétal du cerveau, et ensuite reprises et analysées par un
centre
ou des centres plus élevés. Il peut être perdu
l du cerveau, et ensuite reprises et analysées par un centre ou des
centres
plus élevés. Il peut être perdu si l'un de ces ce
entre ou des centres plus élevés. Il peut être perdu si l'un de ces
centres
est lésé. 2° Dans le cas de lésion périphérique
e lésion périphérique, c'est-à-dire quelque lésion dans ou entre le
centre
du lobe pariétal et les ter- minaisons des nerf
toute autre forme de sensation cutanée se perd ou se trouble. 3° Le
centre
de perception peut être atteint par suite d'une
charge » analogue à celle de l'épilepsie. L'état où sont placés les
centres
nerveux les plus élevés par l'ingestion d'une q
En ce qui touche les rapports de la conscience avec l'activité des
centres
nerveux les plus élevés, les cas rappor- tés et
les états de conscience diffèrent totalement des états nerveux des
centres
nerveux les plus élevés ; 2° les deux états son
que chez l'épileptique, les communications étant coupées entre les
centres
moyens et inférieurs, alors dans un état très a
inférieurs, alors dans un état très accentué d'instabilité, et les
centres
supérieurs qui exercent nor- malement sur eux u
par excès de travail et qui ne peut être due qu'à l'épuisement des
centres
nerveux impliqués dans l'excès d'activité menta
plus importantes et non moins marquées existent en effet dans les
centres
supérieurs. La nature et le degré du trouble ment
ur admet qu'un abaissement plus ou moins général de la tonicité des
centres
supérieurs aboutit à une exagération de l'état
peut-elle être trouvée dans le brusque arrêt d'activité de certains
centres
: on peut très bien concevoir qu'un phénomène d
(comme les bromures) et qui n'ont plus que de légères décharges des
centres
corticaux. Les états qui relèvent de la troisiè
ijon, 1899. Imprimerie Prodot-Carré. Grasset. Analomie clinique des
centres
nerveux. Volume in-16, cartonné, de 96 pages. P
n extrémité effilée. Quant au noyau, situé à peu près exactement au
centre
des cellules, sa coloration est d'un bleu pâle,
des cellules, sa coloration est d'un bleu pâle, on distingue en son
centre
un nucléole fortement teinté. Mais dans bon nom
ts de la vue et de l'ouïe; hyperesthésie cutanée ; hyperesthésie du
centre
auditif. F... Louis, vingt et un ans, garçon ja
ation; elles disparaissent avec elle. C'est bien l'hyperesthésie du
centre
auditif qui réagit sous l'action de l'alcool.
buer ce trouble hallucinatoire ? Au hasard ? Quel hasard ? C'est le
centre
de la gustation qui a produit cette sensation q
ation quand le papier a frôlé la langue. C'est l'hyperes- thésie du
centre
du goût qui a senti le goût fictif de la quinin
oolique avec hallucinations multiples. - Hyperesthésie de plusieurs
centres
sen- soriels. C... Georges, trente-cinq ans,
- Alcoolisme aigu avec hallucinations multiples.- Hyperesthésie des
centres
sensoriels . M... Alphonse, âgé de trente-sept
itant alcoolique, est arrivé à une telle hyperesthésie que tous les
centres
sensoriels, dès le début et plusieurs jours de
, il y a un ensemble, tout le cerveau ou, pour mieux dire, tous les
centres
sensoriels sont atteints. L'excitation de la vu
e, l'hallucination est le résultat de l'excitation pathologique des
centres
sensoriels de l'écorce. C'est logique, mais ne
ts plus ou moins convulsifs dans tel ou lel membre, en excitant les
centres
moteurs correspondants ? Cette même irritation
roduit ici l'épi- lepsie d'origine corticale, provoque là, dans les
centres
sen- soriels des perceptions, des images emmaga
posent au patient comme des réalités. « Les hallucinations sont aux
centres
sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsi
ux centres sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsie est aux
centres
moteurs. » C'est une sorle « d'épilepsie des ce
lepsie est aux centres moteurs. » C'est une sorle « d'épilepsie des
centres
sensoriels ». M. Séglas qui, au Congrès des ali
que. » (Ch. Vallon.) . M. Ballet conclut également que le rôle du
centre
auditif, bien que nécessaire, n'est pas suffisa
maîlres, comme MM. Ballet et Vallon, n'acceptent pas la théorie des
centres
sensoriels. Dans cette même discussion, M. Paul
lucination réelle. Ainsi, pas d'hallucination sans excitation des
centres
sen- soriels. Que cette excitation vienne de la
cette excitation vienne de la périphérie, qu'elle vienne des autres
centres
de l'écorce, il y a toujours excita- tion des c
ne des autres centres de l'écorce, il y a toujours excita- tion des
centres
sensoriels, et la théorie de Tamburini se justi
stifie quand même. L'hallucination est toujours le produit d'un des
centres
sensoriels irrité. Mais de là à dire que les ex
ne cherche pas si les bacilles ont pénétré par la périphérie ou les
centres
: il y a bacille, cela suffit. Que l'hallucinat
it. Que l'hallucination soit provoquée par l'excitation mentale des
centres
sensoriels, ou par l'excitation périphé- rique,
ons nerveuses des organes des sens ; l'excitation est répercutée au
centre
, grossie par les cellules hyperesthésiées, modi
? 2t ? '(Zlblatt., XVII, 1898.) En 1896, Soltmann montre que les
centres
moteurs des nouveau- nés sont d'abord tout à fa
mouvements se propagent aux membres éloignés; le seizième jour, les
centres
des muscles du visage et des extrémités sont en
des nouvelles études de Bary et Bechterew sur le développement des
centres
moteurs de l'écorce des animaux nouveau-nés. Ch
l'écorce de la couche optique et dans la couche grillée ainsi qu'au
centre
médian (Singer et Munzer, Ferrier et Tur- ner,
l'hémisphère du même côté, tient, non à un trouble fonctionnel des
centres
opti- ques ou à des troubles dans la conductibi
muscles de la jambe, du pied, de la main, etc., il doit exister des
centres
plus élevés, tenant sous leur dépendance les diff
rement péri- phérique ; sa cause intime est toujours une lésion des
centres
ner- veux, l'irritation des nerfs périphériques
la rupture d'une partie des voies commissurales qui réunissent les
centres
différenciés des images verbales aux parties de
Ruban du REIL. Développement du et ses communications avec les
centres
, par Doellken, 322. Sclérose. De l'atrophie mus
chez le fœtus, vers quarante à quarante-cinq jours, en formant trois
centres
principaux : i° l'écaillé proprement dite, qui ap
eur, et deux latéraux; leur union se fait à l'âge de deux mois. Les
centres
d'ossification du rocher apparaissent seulement a
izontale, ligne de Ihcring reliant le rebord inférieur de l'orbite au
centre
du méat auditif externe ; 4° une ligne oblique qu
inement spongieux remplit, pendant les premières années de la vie, le
centre
de la pyramide pétreuse. Très souvent, il devient
— Elle répond à l'oreille interne et montre, un peu au-dessous de son
centre
, le promontoire, saillie lisse et arrondie, parco
, la fenêtre ronde est située dans le quadrant postéro-inférieur; son
centre
correspond à peu près à notre troisième ligne hor
rf facial inlrapétreux sont ainsi constituées ». Nerf facial. — Les
centres
corticaux du facial siègent sur le quart inférieu
contraction des muscles zygomatiques, s'obtient par l'excitation d'un
centre
(centre du facial inférieur ou centre zygomatique
ion des muscles zygomatiques, s'obtient par l'excitation d'un centre (
centre
du facial inférieur ou centre zygomatique) situé
s'obtient par l'excitation d'un centre (centre du facial inférieur ou
centre
zygomatique) situé sur la circonvolution frontale
ontal. (Horsley, Mills, Lloyd et Deaver, Hearn, Sachs et Gerster.) Le
centre
du facial supérieur occupe la partie supérieure d
partie supérieure de la zone de la face, immédiatement au-dessous du
centre
du pouce » (i). Le centre du facial supérieur a u
one de la face, immédiatement au-dessous du centre du pouce » (i). Le
centre
du facial supérieur a une action bilatérale, cont
les muscles de la face du côté opposé. (i) Déjeiuine, Anatomie des
centres
nerveux. Paris, 1901. pérez. —- oreille et encé
Les prolongements cylindre-axiles des cellules motrices de ces deux
centres
passent, d'après La majorité des auteurs, parle g
des mouvements de la physionomie, par suite du voisinage immédiat des
centres
du facial et de l'hypoglosse. S'il s'agit de la s
— Sur l'écorce cérébrale, on a délimité différents territoires nommés
centres
corticaux, qui président à des fonctions détermin
ux, qui président à des fonctions déterminées, spéciaies. Ou bien ces
centres
occupent des points symétriques sur la corticalit
sphère seulement, presque toujours sur celui du côté gauche, pour les
centres
du langage. Centre de l'audition. — La voie cen
cette zone de l'écorce. De ces circonvolutions transverses, siège du
centre
de l'audition tonale, partent des fibres d'associ
la première circonvolution temporale où se trouve, du côté gauche, le
centre
de Wernicke ou centre de l'audition verbale. Les
tion temporale où se trouve, du côté gauche, le centre de Wernicke ou
centre
de l'audition verbale. Les centres de Flechsig, o
té gauche, le centre de Wernicke ou centre de l'audition verbale. Les
centres
de Flechsig, ou centres de l'audition tonale, occ
Wernicke ou centre de l'audition verbale. Les centres de Flechsig, ou
centres
de l'audition tonale, occupent des points symétri
sur les deux hémisphères. Centre de la vision. — Chez l'homme, les
centres
de la vision proprement dite occupent des points
'écorce du territoire de la scissure calcarine n'est pas seulement un
centre
sensoriel pour la vision pure ; elle possède auss
e des trois formes de la vision. Centre de l'audition verbale. — Le
centre
des images auditives des mots siège sur la zone p
gauche et sur la lèvre supérieure de la deuxième temporale. C'est le
centre
de Wernicke, dont la lésion produit la surdité ve
on produit la surdité verbale. Centre de l'audition psychique. — Le
centre
de l'audition psychique est représenté par l'ense
centre de l'audition psychique est représenté par l'ensemble des deux
centres
de l'audition tonale et verbale avec leurs voies
e avec leurs voies d'association. Centre de la vision verbale. — Le
centre
des images visuelles des mots est situé au niveau
ion produit la cécité verbale. Centre de la vision psychique. — Les
centres
des images visuelles commémoratives de la vision
) Centre des images motrices d'articulation de la parole. —C'est le
centre
de Broca qui occupe le pied de la troisième circo
térieurs de la circonvolution de l'hippocampe, qui appartiennent au
centre
d'association postérieur ou pariéto-temporal de F
ochet). Quelques physiologistes ont démontré expérimentalement que le
centre
gustatif siège au niveau du pôle temporal. Déje
ôle temporal. Déjerine et d'autres n'admettent pas l'existence d'un
centre
graphique localisé sur le pied de la deuxième cir
ture sont la conséquence d'une altération du langage intérieur. Les
centres
de Broca et de Wernicke, ainsi que celui des imag
rment dans leur ensemble la zone du langage de Freud. ((Chacun de ces
centres
, comme le disent Déjerine et Mirallié, tire sa sp
tire sa spécialisation de sa position dans la corticalité générale :
centre
de Broca, accolé à la zone motrice ; centre de We
la corticalité générale : centre de Broca, accolé à la zone motrice ;
centre
de Wernicke, en continuité avec la zone auditive
é avec la zone auditive ; pli courbe, contigu à la zone visuelle. Ces
centres
sont intimement unis entre eux par des fibres d'a
ant un tout complexe indissolublement uni, une zone unique avec trois
centres
secondaires ». L'aphémie, ou aphasie motrice vrai
ice vraie, la surdité verbale et la cécité verbale par lésions de ces
centres
forment le groupe des aphasies corticales qui s'a
ngage intérieur. C'est que, par suite de cette union intime des trois
centres
, toute lésion portant sur un point quelconque de
ent sur les autres. (( L'aphasie motrice domine si la lésion siège au
centre
de Broca; la surdité verbale domine si la lésion
du lobe occipito-temporal. Il établit des connexions intimes entre le
centre
de la vision et le centre des images tonales. (No
Il établit des connexions intimes entre le centre de la vision et le
centre
des images tonales. (Nous ferons remarquer que, d
er, Turner et Lorionoff, fe territoire calcarinien, d'un côté, et les
centres
auditifs du côté opposé sont commissures par la v
rceps postérieur — tapetum — corps calleux (portion postérieure). Les
centres
auditifs et les portions antérieures du lobe temp
la surdité verbale pure, les fibres détruites sont ceiles qui vont du
centre
de Wernicke au centre de l'audition tonale; dans
e, les fibres détruites sont ceiles qui vont du centre de Wernicke au
centre
de l'audition tonale; dans l'aphémie pure ou apha
phémie pure ou aphasie motrice sous-corticale, celles qui unissent le
centre
de Broca aux centres moteurs de la bouche, du pha
ie motrice sous-corticale, celles qui unissent le centre de Broca aux
centres
moteurs de la bouche, du pharynx et du larynx. L'
qui, de la face convexe du,lobe occipital, se rendent aux différenls
centres
du langage. Abcès cérébral otitique. — L'abcès
ut en avant de l'opercule central ou rolandique, qui est le siège des
centres
moteurs de la face. Le col du sablier est formé d
s auteurs, Mignon entre autres, ils seraient dus aune compression des
centres
moteurs de la zone rolandique. Pour d'autres, Ber
cipito-temporale. L'interruption des voies d'association, entre les
centres
de la vision et les centres du langage, ne produi
uption des voies d'association, entre les centres de la vision et les
centres
du langage, ne produit pas seulement l'aphasie op
e du malade, et dont la compréhension relève de l'action associée des
centres
de la vision et du langage, est perçue incomplète
grise macroscopiquement plus importante que celle du cerveau, et, au
centres
des hémisphères, une zone de substance blanche, d
longitudinal prédorsal ou faisceau tecto-bulbaire de Pavlow; avec les
centres
de l'olfaction par les fibres du faisceau rétro-r
réseau de neurones afférents, elférents et d'association, — avec des
centres
comme le cervelet, les olives bulbaires, les no
araît, donc, de par ces notions expérimentales et cliniques, comme un
centre
réflexe, qui reçoit par les voies afférentes les
trice et le maintien de l'équilibre. 11 n'est cependant pas le seul
centre
d'équilibration, attendu que son absence (agénési
ymptômes délocalisation dérivent directement du cervelet, en tant que
centre
réflexe de l'équilibration, ou indirectement, par
n frontal, passant par le milieu de l'apophyse mastoïde, intéresse le
centre
de Wernicke. Si, donc, le malade atteint d'un abc
des symptômes précis de localisation, il faudra trépaner au niveau du
centre
de Broca (cas clePicqué), du pli courbe ou du cen
ner au niveau du centre de Broca (cas clePicqué), du pli courbe ou du
centre
de Wernicke. Nous avons vu, en effet, que tous le
interrompt les différents faisceaux d'association, étendus entre les
centres
du langage et les centres sensoriels du lobe occi
faisceaux d'association, étendus entre les centres du langage et les
centres
sensoriels du lobe occipital. L'évidement pétre
es traumatismes du crâne. Thèse de Lyon, 1898. Déjerine, Anatomie des
centres
nerveux. Paris, 1895-1901. et Thomas, L'atrophi
a donc sous les yeux toute la zone du langage (Freud), avec ses trois
centres
: i" le centre des images auditives des mots, cen
yeux toute la zone du langage (Freud), avec ses trois centres : i" le
centre
des images auditives des mots, centre de Wernicke
avec ses trois centres : i" le centre des images auditives des mots,
centre
de Wernicke, qui siège sur la zone postérieure de
r la zone postérieure de la première circonvolution temporale ; 2" le
centre
des images visuelles des mots, qui se trouve au n
ges visuelles des mots, qui se trouve au niveau du pli courbe ; 3° le
centre
des images motrices d'articulation de la parole,
ourbe ; 3° le centre des images motrices d'articulation de la parole,
centre
tic Broca, localisé au pied de la troisième circo
, localisé au pied de la troisième circonvolution frontale. Ces trois
centres
du langage existent seulement sur la face externe
igne verticale, tracée sur le milieu de l'apophyse mastoïde, coupe le
centre
de Wernicke. Une ligne verticale, passant par l
lioses ou dans les déviations du mal de Pott, le rachis rétablit le
centre
de gravité sur la ligne verticale par une courb
également sur ses deux surfaces plantaires; et la verticale de son
centre
de gravité passe entre ses talons, à égale dist
moitié du poids de son corps par sa jambe droite. Il déplace son
centre
de gravité de telle façon, que la jambe gauche
ol, le malade n'a qu'un moyen de faire passer la verticale de son
centre
de gravité par la seule face plantaire gauche;
reste longtemps perpendiculaire à l'axe du bassin. La verticale du
centre
de gravité passerait, en effet, par la plante d
ronc; mais cette défor- mation tient, avant tout, au déplacement du
centre
de gravité vers le côté sain. Ce qui a fait sup
aison du tronc vers le côté sain est toujours le déplace- ment du
centre
de gravité vers la verticale passant par la jam
poids de son corps sur la jambe saine. Or, le dépla- cement de son
centre
de gravité vers le côté sain ne Archives t. XIX
s saillir la hanche du côté sain en dehors de la ligne verticale du
centre
de gravité, comme l'indique le croquis schémati
s en évitant de se mouiller (tif). 18). Le poids du seau déplace le
centre
de gravité. Si c'est, par exemple, le bras gauc
nostic. Il ne s'agit évidemment pas d'une affec- tion organique des
centres
nerveux, car nous n'avons pu déceler chez le ma
s. On conçoit sans peine " à quel point une maladie organique des
centres
ner- veux eût été aggravée dans de semblables c
isseuse des éléments histologiques de cette région de la moelle. Au
centre
de ces foyers, on trouve le maximum d'intensité
temporo-sphénoïdale dans la partie postérieure de laquelle siège le
centre
de l'au- dition mentale n'est pas capable par l
Broca et celle qui se distribue au lobule pariétal in- férieur, le
centre
de la vision et des perceptions visuelles des m
endante et qui se rend au pied de la deuxième frontale gauche, au
centre
d'Exner, a produit la perte de l'image mo- tric
moyen de la circonvolution frontale ascen- dante et qui fournit aux
centres
du facial inférieur et du membre supérieur peut
E. L'embolie et l'ischémie du rameau que cette branche fournit au
centre
du facial inférieur a dû déterminer la paralysi
ui se distribue à la pa- riétale ascendante comprend une partie des
centres
moteurs des membres. Le lobule paracentral, le
a partie supérieure de la pariétale ascendante, régions ou siège le
centre
psycho-moteur du membre inférieur sont irriguée
e antérieure. L'embolie donc et l'ischémie plus ou moins totale des
centres
psycho-moteurs de l'écorce détermine l'hémiplég
droite avec ou sans paralysie faciale, résultat de l'is- chémie des
centres
du facial inférieur et du membre supérieur, sui
d'une paralysie du membre inférieur par le fait de l'ischémie du
centre
psycho-moteur de ce membre. La même localisatio
légère in- flammation corticale, etc., etc.) qui a son siège aux
centres
psycho-moteurs et suivant la catégorie de l'épi-
irritation est une action soudaine et violente de ces cellules; les
centres
moteurs se déchargent et le résultat de cette d
ant, quand les lésions épinales siègent ou au moins domi- nent au
centre
et aux cordons latéraux de la moelle, nous avon
le, nous avons la forme centrale spinale latérale; quand c'est au
centre
, aux cordons latéraux et postérieurs que les lé
propres aux régions lésées de la moelle. Le siège des lésions au
centre
et aux cordons postérieurs, donne naissance à l
OURY, Maître de conférences à l'Ecole pratique des Hautes-Etudes.
CENTRES
CORTICAUX DE LA SENSIBILITÉ CUTANÉE ET MUSCULAIRE
ls et sensitivo- moteurs de l'écorce cérébrale ne forment pas des
centres
complètement distincts, des aires nettement iso
ntes études expérimen- tales et cliniques de Giulio Masini, Sur les
centres
moteurs corticaux du larynx 1. On sait que Herm
ches ont été instituées dans le laboratoire de Munk, a déterminé le
centre
moteur cortical des muscles du larynx (1884) :
limité de l'écorce, leur plus grande intensité, il a trouvé que ce
centre
s'étendait bien au delà, et qu'il rayonnait en
it Masini, que l'aire de Krause ne représente le foyer principal du
centre
du larynx. » Mais, en vertu de ses irradiations
cipal du centre du larynx. » Mais, en vertu de ses irradiations aux
centres
voi- sins, cette aire se confondrait en partie
x centres voi- sins, cette aire se confondrait en partie avec les
centres
de la langue, du voile du palais, des mâchoires,
ût faire exception à ce qui a déjà été reconnu pour tous les autres
centres
sensitivo-moteurs ? » De même, nous retrouvons
e des fonctions motrices du larynx, après l'ablation complète des
centres
corticaux, par des « centres pho- nateurs sous-
larynx, après l'ablation complète des centres corticaux, par des «
centres
pho- nateurs sous-corticaux » '. Ajoutons que,
tion des rapports croisés ou directs, unilatéraux ou bilatéraux, du
centre
laryngé de chaque hémis- phère avec l'organe pé
a réaction isolée comme la paré- sie de la corde du 'côté opposé au
centre
excité ou détruit témoigne sans doute que les r
)ar\nx et n'invoque plus, comme pour les animaux, de suppléance des
centres
corticaux par des centres sous-corticaux homolo
comme pour les animaux, de suppléance des centres corticaux par des
centres
sous-corticaux homologues. ARCHIVES, t. XIX.
XIX. 6 82 PHYSIOLOGIE. prévalent, mais les rapports directs de ce
centre
ner- veux avec les muscles laryngés du même côt
côté sont également évidents. Si, sur un hémisphère, on excite ce
centre
avec un courant plus intense, on détermine une
out cas, son schéma de l'aire sensitivo-motrice enseigne que chaque
centre
moteur cortical n'a que des rapports unilatérau
e haute précision. Pour acquérir une idée des fonctions de ce grand
centre
nerveux, il ne suffit pas de léser ou de désorg
rches qui ont duré qua- rante ans, a considéré le cervelet comme le
centre
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 83 nerveux du sens
e centre LES FONCTIONS DU CERVEAU. 83 nerveux du sens musculaire,
centre
coordinateur des mouvements volontaires de tran
ontaires de translation, ou, ainsi qu'il s'exprime encore, comme le
centre
de gravité du corps dans la station et la locom
la station et la locomotion '. Les organes de trans- mission de ce
centre
nerveux sont, suivant Lussana, les cordons post
de vérifier les résultats de la physiologie. 11 n'a pas excité les
centres
moteurs de l'écorce à tra- vers la voûte crânie
également modifiées dans le même sens par la percussion de leurs
centres
respectifs. Lombroso détermina à volonté, dit-i
igitales sur les points du crâne qui corres- pondent aux différents
centres
moteurs ou sensoriels de l'écorce, l'expériment
xcités par la percussion, et ces points ont paru coïncider avec les
centres
moteurs de ces membres. En dehors de ces zones,
'. » Quant à l'hypothèse de David Ferrier, d'après .la- quelle le
centre
de la sensibilité générale siégerait dans les r
e ! J. - Brain, janvier 1888, 379. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 95
centres
de la sensibilité musculaire ont un siège dis-
urs en concluent que si, comme l'admettent Luciani et Seppelli, les
centres
de la motilité et de la sensibilité cutanée et
aisceaux sensittfs. Mais le pro- cessus dégénératif atteindrait les
centres
supérieurs des appareils de la sensibilité cuta
eurs des appareils de la sensibilité cutanée et musculaire, non les
centres
moteurs. 1 ! icel'che sui centri nervosi di un
ement, sur l'écorce céré- brale, le siège anatomique des différents
centres
de sensibilité générale, et cela parce qu'à des
ins diffuses de la sen- sibilité. C'est ainsi que la destruction du
centre
d'un membre postérieur est suivie, nous l'avons
la face. Mêmes résultats si la lésion destructive intéressait le
centre
cortical du membre antérieur ou celui de la fac
du membre antérieur ou celui de la face. De même encore, l'aire du
centre
du larynx, lo- calisé chez l'homme, sur la F3,
re du centre du larynx, lo- calisé chez l'homme, sur la F3, près le
centre
de Broca et le pied de la FA, s'étendrait bien
ied de la FA, s'étendrait bien au delà, s' « en- grenant » avec les
centres
sensitivo-moteurs de la face, des lèvres et de
l'aphonie et de l'aphasie motrice plaiderait dans le même sens. Le
centre
du larynx, chez l'homme, chez le chien, est d'a
nt à l'hypothèse de Lu- ciani sur l'unilatéralité fonctionnelle des
centres
cor- ticaux sensitivo-moteurs. Ainsi, appliqu
vec ces matériaux, c'est que, conformément à la topogra- phie des
centres
moteurs de l'écorce, les altérations de la sens
f, la subs- tance nerveuse paraissant comprimée de la périphérie au
centre
. Dans les troncules nerveux, couches d'un tissu
dans une certaine mesure ou complètement l'appareil loco- moteur du
centre
, les convulsions musculaires et le clonisme poda-
u transformée en cellule nerveuse) ; si elle est motrice, placée au
centre
. - Quant à la doctrine des localisations cérébr
écité psychique peut émaner d'un trouble fonctionnel de l'écorce du
centre
visuel (symptôme indirect pos- sible d'une lési
t la multiplicité des conceptions tient évidemment à un trouble des
centres
de régula- tion psychique. Dans ces conditions,
hysiologie ne met pas en doute qu'entre les différentes parties des
centres
nerveux il n'existe une liaison intime, conditi
-elle, au point de vue objectif, des autres étémentsanatomiques des
centres
nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse une
s étendus de cellules. Inversement, chaque cellule ner- veuse des
centres
nerveux peut être eu rapport avec LES FONCTIONS
indication physiologique quelconque. Dans toutes les régions des
centres
nerveux, les deux types de cellules qu'il a dis
o). » Mais, de ces grandes études de Golgi sur l'histolo- gie des
centres
nerveux, se dégage une conception de la structu
n expérimentale, soit les lésions, irritatives ou destructives, des
centres
corticaux de la sensibilité générale ou spécial
U CERVEAU. 181 t Tamburini (1876) sur la nature mixte de tous les
centres
de l'écorce, trouvait ainsi, dans la thèse sui-
a complexité extra- ordinaire, que la continuité et l'expansion des
centres
' Golgi. Considérations anatomiques sur la doct
de nuances et de rela- tivité. En se différenciant, les différents
centres
du système nerveux central n'ont point conservé
t est même amené ainsi à soutenir, rappelons-le en passant, que les
centres
prétendus moteurs de l'écorce cérébrale ne sont
étendus moteurs de l'écorce cérébrale ne sont, en vérité, que des
centres
de sensibilité générale, au sens où l'en- tend
fondée la doctrine de la spécificité fonctionnelle des différents
centres
de la sensibilité générale et spéciale de l'éco
étérogénéité fonctionnelle des éléments nerveux qui constituent ces
centres
résulte déjà avec évidence de cette observation
acquise par l'adap- tation et fixée héréditairement, des différents
centres
sensitifs et sensoriels de l'écorce cérébrale,
sujet ne sont guère que celles de Meynert. Les éléments nerveux des
centres
de ' CI. Bernard. Leçons sur les phénomènes de
ments de psychologie hlaysiolo- gique, la fonction de chacun de ces
centres
résulterait simplement de ses connexions avec u
d'exatations. Mais, si la fonction des éléments nerveux d'un de ces
centres
vient à être inhibée ou abolie, d'autres élémen
rveau rendrait inutile l'hypothèse de toute fonction spécifique des
centres
nerveux corticaux. Cependant l'ablation des deu
stème de fibres (Sehslrahlungen ou fccsciculecs oplicus) issues des
centres
du nerf op- tique, et parce que toute destructi
x moteurs centrifuges. « Il suit que l'irritation est transmise aux
centres
supérieurs sans passer directement par les cell
mpulsions volontaires, provenant des tubes nerveux qui émergent des
centres
supérieurs, se rendent directement aux tubes ne
érieurs, se rendent directement aux tubes nerveux centrifuges des
centres
nerveux inférieurs sans passer par les cel- lul
nerveux inférieurs sans passer par les cel- lules nerveuses de ces
centres
. Il est par conséquent impossible d'admettre qu
r conséquent impossible d'admettre que les cellules nerveuses des
centres
nerveux inférieurs possèdent une importance dir
ue l'on semble pouvoir appliquer aussi aux cellules nerveuses des
centres
supérieurs 1. » Quel est donc le siège de l'act
la complexité de structure de ce réticulum. Quant aux cellules des
centres
nerveux, déchues de leurs fonctions psychiques,
rveux, déchues de leurs fonctions psychiques, devenues de simples
centres
trophiques, elles ne serviraient qu'à la nutrit
ineuses et de contractions des. muscles de l'oeil. De même pour les
centres
corticaux des sensations organiques et des mouv
des sensations organiques et des mouvements des viscères, pour les
centres
moteurs et pour les centres d'arrêt : partout l
t des mouvements des viscères, pour les centres moteurs et pour les
centres
d'arrêt : partout les éléments de la sensibilit
il a nié seulement, avec la plupart des Italiens, qu'il existât des
centres
isolés et circons- crits. Quant aux aires fonct
rt avec la nature des organes péri- phériques des sens reliés à ces
centres
corticaux, non pas sans doute au moyen de trans
tissu musculaire qui se contracte sont certainement transmises aux
centres
nerveux par des 1 Ranvier. Traité technique d'h
ou plutôt qui en sort, excitée par cette modification, transmet aux
centres
nerveux une impression qui, si elle a une inten
e la modification produite dans le muscle n'a pas été transmise aux
centres
nerveux (interruption du courant centripète), a
uité de l'ouïe était moindre du côté opposé à la plagiocéphalie. Le
centre
cortical de l'audition, situé du côté de cette
é d'autant plus fort que les organes se trou- vent plus éloignés du
centre
, à la périphérie par conséquent. La progression
ie par conséquent. La progression se fait ainsi de la périphérie au
centre
, de sorte que, si le malade survit, la cellule
ibrilles musculaires; en outre les noyaux multiplient à l'infini au
centre
et dans le péri- mvsium. M. Rumpr (de Marbour
t n'a cependant nulle part gagné les fibres atéro-postéi-ietires du
centre
ovale. Dilatation extrême de la corne postérieu
I, p. 403, t. IX, p. 256, t. XIX, 113 et 115), d'après laquelle les
centres
cptiques primaires s'atrophient forcément à la
moteurs périphériques. Ou bien il existait une lésion organique des
centres
, une tumeur par exemple des régions motrices. L
glycosurie, même dans la glycosurie diabétique, une affection des
centres
nerveux et de chercher à démon- trer dans ces c
rt du diabète. Remarquez qu'on ne prétend pas ici qu'une lésion des
centres
nerveux placée comme il faut, un foyer du planc
tonomie de ceux où la glycosurie est consécutive à une lésion des
centres
nerveux. Mais ceux-ci doivent former une classe
ù c'est le diabète vrai qui est le point de départ de la lésion des
centres
nerveux. Il ne s'agit plus ici de glycosurie, m
ie médiane, Flechsig a différencié un autre faisceau sous le nom de
centre
ovale (C 0, 12) en rai- son de l'apparence qu'i
ste une dégénérescence fibreuse des fibres cardiaques. Examen des
centres
nerveux pratiqué par Schüllze. Il donne les ré-
de Leipzig, sous la direc- tion du professeur Wundt, est devenu le
centre
de ce genre de recherches et l'ensemble des tra
qu'elles soient, se propagent par les nerfs périphériques vers les
centres
réflexes propre- ment dits; de là, transformées
s, coordonnées, les exci- tations sont envoyées dans les différents
centres
de perception, et, si-leur marche s'arrête dans
férents centres de perception, et, si-leur marche s'arrête dans ces
centres
, la perception est faite; mais les conditions n
s. Pour que les excitations puissent être perçues consciemment, les
centres
de perception doivent se réunir entre eux, et q
ent se réunir entre eux, et quand le travail d'association de ces
centres
arrive à rompre l'équilibre instable d'un des c
tion de ces centres arrive à rompre l'équilibre instable d'un des
centres
moteurs, l'état physiologique de la per- ceptio
s cas, de telles dissocia- tions des appareils réflexes ou de leurs
centres
de per- ception qu'il apparaît devant l'expérim
scients qui ont leur origine, selon toute probabilité, dans le même
centre
que celui d'où par- tent les mouvements conscie
me est que l'état physiologique des voies des associations ou des
centres
limités des perceptions, en dehors de tout acte
stéro-hypnotiques comme dépendant du défaut d'association entre les
centres
nerveux. Ainsi les conditions essentielles de l
de la région dorsale. ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 381 vers le
centre
est à peu près en face du point d'union de la c
e-ci est corticale et elle va en diminuant de la périphérie vers le
centre
. De plus, il fait remarquer que la sclérose ne
). Communications empruntées à la clinique médicale de léna. - 9 Du
centre
cortical qui préside ci la formation de la voix
tion de la corde vocale. D'ailleurs, ci priori, on conçoit que le
centre
de la parole soit immédiatement voisin du centr
on conçoit que le centre de la parole soit immédiatement voisin du
centre
de la voix. 2° De l'atrophie symétrique de la c
e de l'attaque d'épilepsie. Troisième communication. Excitation des
centres
sous-corticaux du chien ; contribution à la physi
exe, mais il n'en est pas moins établi que cet endroit constitue un
centre
physiologique du genre que nous venons d'indiqu
nous venons d'indiquer. Ces expériences apprennent en outre que les
centres
médullaires du lapin qui président aux mouvements
t du retentissement à distance de la dispa- rition d'un organe : le
centre
moteur qui n'est plus sollicité à agir subit l'
e l'on peut, de cette façon, localiser jusqu'à un certain point les
centres
corticaux des membres. Les régions atrophiées p
les modifications morbides qui s'effectuent dans la nutrition, des
centres
nerveux, et dont un résultat est la diminution
coté gauche, consécutive A un FOYER DE ramollissement occupant le
centre
ovale DROIT ; par A. Wallenberg. ('rell9'O10. iuB
cussion intéressante du diagnostic com- prenant aussi l'histoire du
centre
cortical du larynx. (Masini, Brissaud.) P. KERA
es indiquent REVUE pi PATHOLOGIE NERVEUSE. 51 une lésion aiguë du
centre
bulbaire de l'hypoglosse. On est donc obligé de
. Mais les antécédents connus, l'ab- sence de signes de lésions des
centres
nerveux l'ensemhle des symp- tômes entraine le
et succomba à une pneumonie. L'examen microscopique a porté sur les
centres
nerveux, le nerf crural et une portion du muscl
, le nerf crural et une portion du muscle quadriceps fémoral. Les
centres
nerveux n'ont présenté aucun signe d'altération.
a charge de ceux qui paient des impôts. A la colonie sera établi un
centre
de recherches cliniques et patholo- giques sur
hysiologie ne met pas en doute qu'entre les différentes parties des
centres
nerveux il n'existe une liaison intime, conditi
t-elle au point de vue objectif des autres éléments anatomiques des
centres
nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse, une
oupes étendus de cellules. Inversement, chaque cellule nerveuse des
centres
nerveux peut être en rapport avec un certain no
é (cellule di senso). De ces études de Golgi sur l'histologie des
centres
nerveux se dégageait une conception de la struc
n expérimentale, soit les lésions, irritatives ou destructives, des
centres
corticaux de la sensibilité 106 PATHOLOGIE NERV
té. L'hypothèse de Tamburini (1876) sur la nature mixte de tous les
centres
de l'écorce trouvait, dans la thèse suivante de
mune, les résultats de mes recherches histologiques, concernant les
centres
cérébraux relatifs, sont très probants. » (Ibid
oehigkeil) . » Meynert a même été amené-i ainsi il soutenir que les
centres
prétendus moteurs de l'écorce céré- f hrale ne
ndus moteurs de l'écorce céré- f hrale ne sont, en réalité, que des
centres
de sensibilité générale. / C'était, pour Meyner
fondée Ja doctrine de la spéci- ficité fonctionnelle des différents
centres
de la sensibilité générale et spéciale de l'éco
L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments nerveux constituant ces
centres
résulterait de cette obser- vation vulgaire que
is acquise par l'adaptation et fixée par l'hérédité, des différents
centres
sensilifs et sensoriels de l'écorce cérébrale, a
es Éléments de psychologie physiologique, la fonction de chacun des
centres
du manteau résulterait simple- ment de ses conn
forme d'excitation. Si la fonction des éléments nerveux d'un de ces
centres
vient à être inhibée ou abolie, d'autres élémen
it en tout cas inutile l'hypothèse de toute fonction spécifique des
centres
nerveux corticaux. Cependant l'ablation des deu
complète et durable. « La spécificité des éléments constituant les
centres
de sen- sibilité de l'écorce, qu'admet la doctr
rappeler que plus un mammifère est bas placé sur l'échelle, plus le
centre
cortical de sa vision est relativement vaste et
re ou spécifique, donné par la nature, des éléments ou cellules des
centres
corticaux de la sensibilité qui servent àcette
toutefois que le travail de Golgi, Recherches sur l'histologie des
centres
nerveux, publié dans les Archives italiennes de
s nerveux centrifuges. « Il suit que l'incitation est transmise aux
centres
supérieurs sans passer directement par les cell
ulsions volontaires, provenant des tubes ner- veux qui émergent des
centres
supérieurs, se rendent directement aux tubes ne
upérieurs, se rendent directement aux tubes nerveux centrifuges des
centres
nerveux inférieurs sans passer par les cellules
es nerveux inférieurs sans passer par les cellules nerveuses de ces
centres
. Il est par consé- quent impossible d'admettre
r consé- quent impossible d'admettre que les cellules nerveuses des
centres
Archives, 2° série, t. III. 8 114 PATHOLOGIE
ue l'on semble pouvoir appliquer aussi aux cellules ner- veuses des
centres
supérieurs 1. Quel est donc le siège de l'activit
cte de la complexité de structure du réseau. Quant aux cellules des
centres
nerveux, déchus de leurs fonctions psychiques,
erveux, déchus de leurs fonctions psychiques, devenues de sim- ples
centres
trophiques, elles ne serviraient qu'à la nutritio
mineuses et de contractions des muscles de l'oeil. De même pour les
centres
corticaux des sensations organi- ques et des mo
es sensations organi- ques et des mouvements des viscères, pour les
centres
moteurs et pour les centres d'arrêt : parlout l
t des mouvements des viscères, pour les centres moteurs et pour les
centres
d'arrêt : parlout les éléments nerveux de la sens
t avec la nature des or- ganes périphériques des sens, reliés à ces
centres
de l'écorce, non ' Fridtiof Nanôen. Nuve elemen
l' « existence du réseau nerveux diffus de la substance grise des
centres
*. Ce réseau, « continu dans toute l'étendue de l
nsi qu'avec les parties les plus diverses et les plus éloignées des
centres
ner- veux ». Or l'importance de ce « fait histo
rveau. Aujourd'hui encore, Golgi ne trouve dans l'anatomie fine des
centres
z C. Golgi. La rele nervosa diffusa degli oryan
isolée des fibres nerveuses des organes périphériques des sens aux
centres
nerveux, c'est un postulat encore incompalible
at encore incompalible avec le fait que, avant de pénétrer dans ces
centres
, la fibre nerveuse envoie, sur tout son parcour
ndus de cellules nerveuses; inversement, toute cellule nerveuse des
centres
peut être en rapport avec ces mêmes fibres nerv
uis la périphérie jusqu'à leur entrée dans la subs- tance grise des
centres
, à l'exception naturellement de leur origine et
s la couche optique, chaque noyau possède comme chez les animaux un
centre
trophique qui se trouve dans une région déter-
ires analogues, mais étéro- nymes. Ceci ferait supposer que le vrai
centre
graphique ne coïn- cide pas avec l'un ou l'autr
le vrai centre graphique ne coïn- cide pas avec l'un ou l'autre des
centres
moteurs, mais qu'il leur est supérieur à tous d
s réflexes simples, les trans- missions rudimentaires comme dans le
centre
olfactif et la rétine. Lorsque les ramuscules t
rticularités différentes de l'excitation ner- veuse qui se rend aux
centres
; c'est-à-dire que : les excitations nerveuses
t bien en arrière dans le lobe occipital et, en particulier dans le
centre
visuel; mais, en avant, elles aboutissent non à
ie postérieure des fibres arcifomes... 2° La couronne rayonnante du
centre
sensitif du corps, c'est-à- 132 REVUE D'ANATOMI
s deux côtés de la cloison postérieure, sur le milieu de la moelle (
centre
ovale, zone médiane, champ médian) à laquelle G
faisceaux pyramidaux A la SUITE ' de l'extirpation unilatérale DES
CENTRES
DES membres ; par M. Rothmann. (Neurolog. Centr
og. Centralbl" XV, 1896.) Tout le monde convient que l'ablation des
centres
moteurs des membres d'un côté détermine une dég
micros- copiques. Conclusions. - 1° L'extirpation unilatérale des
centres
des mem- bres entraîne une dégénérescence bilat
umon. Mais cette infection est encore favorisée par les lésions des
centres
nerveux, comme l'hémorragie cérébrale, le ramol
s les deux tumeurs examinées par l'auleur, le nerf se trouvait au
centre
du néoplasme. La production du tératome serait le
as la première matière, c'est-à-dire les images conservées dans les
centres
cérébraux correspondants. Il est clair que celu
par des individus qu'une lourde tare héréditaire a privés de ces
centres
auditifs et d'articulation, produisant de plus d'
- risations motrices mimiques. Les images collectionnées dans ses
centres
corticaux du langage ne peuvent correspondre qu
forme hallucinatoire en vertu de l'excitation que produit en ses
centres
cérébraux une maladie mentale, ne pourront être
claire. Los grimaces des premiers n'ont aucune valeur verbale; les
centres
corticaux du langage n'interviennent en rien da
ns leur for- mation. Chez mon malade c'est tout le contraire, son
centre
visuel du langage extériorisait l'unique classe
vent. Seulement, tandis que ceux-ci possèdent accumulées dans leurs
centres
cérébraux d'énormes quantités de représentation
voquées incessamment dans l'état normal, et qui remplissent tout le
centre
d'articulation verbale et la majeure partie du
maintenue pendant des années et des années, de toutes ces parties (
centres
cérébraux, voies conductrices, plaques impressi
- ditions pour laisser les empreintes les plus profondes dans les
centres
corticaux, pour s'organiser, comme le dit Mauds-
giques actuelles, chacune de ces trois classes d'images possède son
centre
cortical correspondant pour sa conservation et sa
s données en main, de préjuger la question de localisation de ces
centres
dans la cappe de l'écorce cérébrale. Mais ce n'es
e, par ces circonstances spéciales, l'excitation est portée auxdits
centres
et les images éveillées avec une vivacité suffi
tre les impulsions morbides nées de ses appétits génitaux et de son
centre
génito- spinal excité. DES PSYCHOSES RELIGIEU
en-être et de gaieté. La concentration de la force nerveuse sur les
centres
où ces sentiments sont localisés aurait enfin p
de mettre en jeu, au moyen des fibres d'association, l'activité des
centres
des idées auxquelles ces sentiments sont habitu
dérivent pas purement et sim- plement d'une excitation morbide des
centres
sensorio-moteurs; mais qu'elles sont un phénomè
er ces hallucinations comme le résultât d'une simple excitation des
centres
sensorio- moteurs. Nous avons essayé de montrer
spé- ciale était due à un facteur particulier, à l'intervention du
centre
moteur d'articulation : mais il n'en est pas mo
nous avons insisté autre part sur ce point que si l'excitation des
centres
corticaux était une condition nécessaire de l'h
'une lentille (gyrus angulaire, couche optique, noyau lenticulaire,
centre
ovale). Il s'agit, dans ce cas, d'une véri- tab
ions sont en rapport avec ce qu'on observe dans les autres nerfs et
centres
nerveux des tabétiques, en particulier dans les
des tabétiques, en particulier dans les ganglions correspondants au
centre
tro- phique des fibres nerveuses. Pour les nerf
e tro- phique des fibres nerveuses. Pour les nerfs rachidiens ces
centres
sont les ganglions intervertébraux; pour les nerf
inal, on voitles fibres qui entrent et les fibres qui sortent de ce
centre
ner- Fig. il, - Ganglions d'Andersch (glosso-ph
LES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 277 considèrent comme des
centres
olfactifs et gustatifs ? ), a mon- tré des lési
me dans la substance blanche, une grande partie des commissures des
centres
nerveux. En somme, il n'existe point d'anastomo
s, d'une manière générale, dans les organes des sens comme dans les
centres
nerveux, le corps cellulaire et ses prolongemen
es obscures se rencontrent chez tous les vertébrés et dans tous les
centres
nerveux ; elles se caractérisent constamment par
icrogr., I, 2. THÉORIE DES NEURONES. 297 II. Il n'existe point de
centre
dans le cerveau où convergent toutes les fibres
rtent toutes les fibres motrices : l'écorce représente une série de
centres
, dont chacun reçoit des fibres sensitives ou se
libres motrices affectées à un ordre déterminé de mouvements. Ces
centres
sont reliés entre eux par les systèmes des fibres
III. Théorie de l'attention. I. Entre les organes des sens et les
centres
nerveux, il existe une chaîne déterminée de con
- dant en quelque sorte des surfaces sensibles de l'organisme aux
centres
nerveux. Cette loi, entrevue par Golgi, dit Cajal
des centaines et peut-être des milliers de cellules nerveuses d'un
centre
de l'écorce cérébrale, et cela grâce à cette av
et les relais-de ces routes nerveuses qui vont de la périphérie aux
centres
, des centres à la périphérie. Il faut seulement
-de ces routes nerveuses qui vont de la périphérie aux centres, des
centres
à la périphérie. Il faut seulement ajouter ici
oupes de pyramides corticales mises en vibration. 11 suit que les
centres
sensoriels de l'écorce du cerveau repré- senten
t les expansions protoplasmiques des cellules résidant dans le même
centre
cérébral; peut-être les cellules à cylindraxe a
res cérébraux : grâce à ces cellules, les groupes des pyramides des
centres
visuels, par exemple, réagi- raient sur les cen
s pyramides des centres visuels, par exemple, réagi- raient sur les
centres
corticaux de l'audition, du goût, de l'olfaction,
par- couru. II. Tout semble indiquer que 1' « architecture » des
centres
sensoriels du cerveau, de même que celle des vo
ont accumulées en très grand nombre dans la substance blanche des
centres
nerveux, qui a moins besoin que la grise de soutè
n intense des cellules de la névroglie qui doit se produire dans le
centre
cortical correspondant, une congestion active d
al correspondant, une congestion active des capillaires' de ce même
centre
doit éga- lement favoriser l'énergie de l'onde
ents : ce sont des cellules émigrées des surfaces inté- rieures des
centres
nerveux; les cellules épithéliales du canal cen-
ments qui s'étendent jusque sous la pie-mère, traversant tout le
centre
nerveux. Dans la période embryonnaire des oiseaux
ère des poissons, écorce du cerveau des amphibiens et des reptiles,
centres
nerveux des mammifères aux premiers stades de l
'écorce cérébrale et le lobe optique des oiseaux. En outre, plus un
centre
nerveux augmente de volume, plus diminue le nom
ble être, ainsi qu'à Lloyd Andriezen, par rapport aux vaisseaux des
centres
nerveux, le même que celui qu'elle paraît rempl
de la névroglie, convient d'autant moins à la substance blanche des
centres
nerveux que les cylindraxes sont déjà entourés
ce cérébale ? Il doit exister, selon Weigert, dans la structure des
centres
nerveux, des conditions de transmission des coura
y rencontre plus même de fibrilles isolées de ce tissu; là, dans le
centre
d'innervation le plus élevé du névraxe, on ne r
s'il fallait en croire ces auteurs, des courants nerveux, dans des
centres
d'importance bien inférieure, tels que ceux des
re. La cellule nerveuse joue, à l'égard du cylindraxe, le rôle du
centre
trophique, car la destruction de la cellule provo
'ils reçoivent des appareils perceptifs périphériques à travers les
centres
inférieurs. L'activité indépendante des cellule
le nombre des neu- rones nécessaires à unir la périphérie avec les
centres
psychi- LA THÉORIE DES NEURONES. ' 34S ques d
ection centripète, c'est-à dire, elles montent de la périphérie aux
centres
psychiques supérieurs. Mais à côté des fibres c
es, qui nous sont encore inconnues, conduisent les impulsions des
centres
supérieurs à la périphérie. Les arborisations t
ntripètes, qui conduisent les courants nerveux de la périphérie aux
centres
, d'autres fibres qui servent à transmettre les
e surgit que nous avons des liaisons doubles entre les diffé- rents
centres
du cerveau. Il est très probable que les fibres
s facilement hypnoti- sable et extrêmement suggestible. XXVI. LES
CENTRES
DE PROJECTION ET LES CENTRES d'association DE F
et extrêmement suggestible. XXVI. LES CENTRES DE PROJECTION ET LES
CENTRES
d'association DE Flechsig dans LE cerveau termi
masses grises inférieures par des fibres de projec- tion (zone des
centres
de projection) et une zone uniquement cons- tit
uée par des fibres centripètes et centrifuges reliant entre eux les
centres
de projection (zone des centres d'association).
t centrifuges reliant entre eux les centres de projection (zone des
centres
d'association). La zone des centres de projecti
centres de projection (zone des centres d'association). La zone des
centres
de projection est constituée par quatre sphères
cérébrale en dehors des sphères sensorielles constitue la zone des
centres
d'association. Cette zone est formée de trois s
on. Cette zone est formée de trois sphères distinctes : 1° le grand
centre
d'associa- tion postérieur comprenant une grand
tie du lobe occipital, du lobe pariétal et du lobe temporal ; 2" le
centre
d'association moyen localisé dans l'insula de I
entre d'association moyen localisé dans l'insula de I ! eil ; 3° le
centre
d'association antérieur localisé dans la partie
localisé dans la partie antérieure du lobe frontal. C'est dans les
centres
d'association que se réunissent et se fusionnen
fusionnent toutes les sensations qui lenr sont transmises par les
centres
sensoriels. C'est là que ces sensations sont comp
tions sont comparées entre elles et aux sensations antérieures. Les
centres
d'association sont donc les véritables régions
ore beau- coup d'un cerveau humain à un autre cerveau humain. Les
centres
de projection se développent avant les centres d'
cerveau humain. Les centres de projection se développent avant les
centres
d'asso- ciation ; pendant le premier mois de la
t, il en résulte un arrêt correspondant dans le développement des
centres
d'association et par là même un arrêt dans le dév
rrêt dans le dévelop- pement de nos facultés. Mais une fois que les
centres
d'association sont développés, une modification
XXVII. Contribution A l'étude DES dégénérescences secondaires DES
CENTRES
ET VOIES OPTIQUES PRIMITIFS DANS LES CAS D'ANOPHT
III, liv. I, 1896.) L'auteur a soumis à un'examen microscopique les
centres
nerveux dans quatre cas d'anopllthalmie et troi
i complètement. P. KERA VAL- XXXVI. SUR la valeur fonctionnelle DES
CENTRES
MOTEURS corticaux DU CERVEAU CHEZ DIFFÉRENTS AN
re part que dans la couche corticale, probablement surtout dans les
centres
sous-corticaux du cerveau, mais en tout cas en
ez les chais, lors- que l'on enlève en une seule opération les deux
centres
situés au- tour du sillon crucial, qui, fonctio
z bien à la scissure de Rolando, et dans lesquels se trouvent les
centres
de la tête et des membres, l'animal marche à peu
nt, jusqu'à devenir presque normale. Mais, si l'on enlève ces mêmes
centres
en plusieurs opérations successives, l'ani- mal
rait montrer que chez le lapin, le chat et le chien, les différents
centres
de l'écorce ne sont pas au même niveau, et que
ntres de l'écorce ne sont pas au même niveau, et que l'expression «
centres
moteurs » prend une signification très différen
chez les différents animaux des degrés très varia- bles et que les
centres
corticaux sont chez les uns et les autres très
ées de la stimulation électrique les oiseaux seraient dépourvus des
centres
corticaux moteurs ordinaires. Chez tous les aut
cer- 364 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tains
centres
de l'écorce cérébrale répondentàl'excitation élec
e répondentàl'excitation électrique par des mouvements; 2° certains
centres
ont une distribution diffé- rente, bien qu'anal
rtains animaux que chez certains autres; 4° la'situation exacte des
centres
moteurs est d'au- tant mieux définie que l'anim
l : on peut démon- trer, en outre, que chez un même animal tous les
centres
ne sont pas également bien organisés, ou en d'a
même niveau physiologique. Celte conception du fonctionne- ment des
centres
moteurs s'accorde avec les faits cliniques. On
Ces faits nous font mieux comprendre le rôle relatif que jouent les
centres
supérieurs et les centres inférieurs chez l'homme
comprendre le rôle relatif que jouent les centres supérieurs et les
centres
inférieurs chez l'homme aussi bien que chez les
rieurs chez l'homme aussi bien que chez les animaux. Evidemment les
centres
corticaux sont relativement plus importants che
e peuvent pas être remplacés dans une certaine mesure, par d'autres
centres
, est une assertion que ne viennent soutenir ni
ge, n'était pas absolument inactif, ou bien qu'il y avait un double
centre
du langage. L'auteur admet en effet que les deu
pourvue de fonctions à l'état normal est susceptible de suppléer le
centre
du langage détruit par une lésion, à condition
3° L'épilepsie corticale ou jacksonienne, par lésion en foyer des
centres
moteurs ou des faisceaux qui en émanent. Cette fo
enues d'agitées, semant l'agitation sur leur passage, en plaçant au
centre
le service des bains et le réfectoire. L'allongem
le service des bains et le réfectoire. L'allongement en saillie du
centre
du pavillon rendrait facile cette modification.
; on l'a au contraire obtenue aisément en rendant préalablement les
centres
nerveux moins résistants (sai- gnée générale an
omme une surface de réception de l'irritation et la transmettant au
centre
réflexe. Il faut en somme une lésion irrita- ti
l'attaque doit avoir pour conséquence une mise hors de fonction des
centres
cérébraux. Ce trouble fonctionnel passager se m
ble fonctionnel passager se manifeste par l'au- tomatisme quand les
centres
supérieurs sont seuls affectés, et par le coma
rtex, jouant le même rôle que la périphérie (surface irritable), au
centre
vaso-mo- teur. L'anémie passagère simple dans l
e démontre une fois de plus que chez les sujetsjeunes, si aucun des
centres
les plus importants n'est intéressé et si l'ant
plutôt une altéra- tion, ou peut-être un arrêt de développement des
centres
mo- teurs corticaux. Ce qui paraîtrait confirme
, toute la partie marginale étant complètement dégénérée ; quant au
centre
.de la moelle, il était presque intact. Ce ca
des racines du côté droit du renflement lombaire qui est comprimé;
centre
au niveau de la cinquième paire lombaire et pre
isième paire. Diagnostic : tumeur métastatique des méninges dont le
centre
se trouverait entre la troisième et la quatrièm
Seliultze médian au niveau de la moelle lombo-sacrée, il devient le
centre
ovale de Flechsig et le faisceau triangulaire d
pos d'acti- vité, etc., des éléments nerveux, par Nissl, 406. -
Centres
de projection et d'associa- tion de Dpchsig, pa
don de Montyel, Í2L " Optiques. Dégénérescence secon - daire îles
centres
et voies - - primitifs dans l'anophtalinie co
l'arrangement et la classification des plans fibreux qui composent le
centre
ovale du cerveau paraîtront aux philosophes, être
ns, en deux catégories. Les unes conduisent de la périphérie vers les
centres
, les impressions automatiques et les sensations ;
mpressions automatiques et les sensations ; les autres conduisent des
centres
vers la périphérie, les impulsions automatiques o
anatomistes ont décrites avec un très-grand soin, sont de véritables
centres
vers lesquels convergent les fibres sensitives, e
plus de simples conducteurs de stimulations : chacune d'elles est un
centre
générateur d'impulsions. En effet, la fibre sensi
ellules multipolaires. Cette structure se retrouve surtout dans les
centres
nerveux proprement dits, et elle est évidemment t
ent très-propre au mécanisme des sympathies qui s'établissent par ces
centres
. En conséquence de ces anastomoses, il semble imp
ns sont les éléments de cet ensemble d'appareils connu sous le nom de
centre
ou d'axe nerveux, et des organes qui dans le crân
me tout sont inséparables et unies sur un plan médian. De même, les
centres
nerveux qui animent les deux moitiés du corps s'u
ïncide avec le plan médian du corps. Dans les animaux vertébrés les
centres
nerveux principaux sont logés au côté dorsal, dan
anneaux supérieurs des vertèbres. La relation qui existe entre ces
centres
nerveux et l'axe osseux vertébral est remarquable
ble donc que chaque segment de la moelle peut être considéré comme un
centre
particulier d'action, tout en admettant qu'à l'oc
homme, en effet, les filets de communication entre deux ganglions ou
centres
nerveux sont d'autant plus nombreux, d'autant plu
ance du sujet que nous traitons ici. PREMIÈRE PARTIE anatomie des
centres
nerveux cérébro-rachidiens de l'homme et des prim
mée de substance blanche à la périphérie, et de substance grise à son
centre
. Cette observation est immédiate, et de tout temp
axe gris est dans chaque moelle épais et arrondi; il est logé dans le
centre
du faisceau anterolateral. Quant au tranchant pos
cs qui l'enveloppent. Outre ces faisceaux enveloppants, on voit, au
centre
même de l'axe gris, en regard des faisceaux moyen
êtu de son enveloppe immédiate, se continue seul dans l'intérieur des
centres
. Un réseau celluleux très-délicat soutient immédi
rtaines fibres transversales cheminer des cordons postérieurs vers le
centre
des axes gris. Quelques-unes de ces fibres se rat
ions du cerveau se développent, l'importance de la moelle en tant que
centre
automatique décroît, tandis qu'au contraire cette
pre à la région des couches optiques. La commissure molle qui unit le
centre
de ces couches est le centre ou le noyau de cet e
ptiques. La commissure molle qui unit le centre de ces couches est le
centre
ou le noyau de cet enroulement. Nous donnons le
raux. Quant à la quatrième, elle consiste en deux masses grises, au
centre
desquelles est un prolongement de l'étage supérie
en quelque sorte, puis s'incline légèrement en arrière pour gagner le
centre
du cervelet. Le bord antérieur du trapèze est f
l'on démontre la structure du corps en allant de la circonférence au
centre
, on détruit, nécessairement, l'ordre naturel des
s d'enroulement, peut être comparé au pavillon d'un entonnoir; de son
centre
descend, en effet, une petite tige canaliculée qu
multitude de canalicules remplis de substance rouge qui rayonnent du
centre
à la circonférence dans toute l'épaisseur de la g
anches entremêlées de beaucoup de substance ganglionnaire, entoure le
centre
de la couche optique; d'abord très-adhérente au n
corps strié extra-ventricu-laire, je veux dire que celui-ci forme le
centre
, l'autre formant la ceinture. Ils ne sont séparés
ure des pédoncules, au-dessous de la commissure molle. Elle occupe le
centre
du tuber cinereum, s'étend avec lui au-dessus du
a valvule antérieure^ et se prolonge en un canal étroit qui occupe le
centre
de la tige pituitaire. Cette grande dilatation, d
Cette petite dilatation occupe, derrière la commissure des habenœ, le
centre
de la glande pinéale dont elle est, en quelque so
lle a pour origine deux cordons qui émanent de la base du cerveau, du
centre
des eminences mamillaires. Ces deux cordons s'élè
jusqu'à présent régné, d'étudier le cerveau de la périphérie vers les
centres
, n'a pas peu (1) Il est curieux de voir comment
pera nécessairement la commissure grise dont une portion s'isolera au
centre
du cercle. Les piliers longitudinaux suivront le
e blanche est le corps calleux. Enfin la commissure grise comprise au
centre
de l'enroulement représente la commissure molle.
t la moelle du crâne. C'est autour de cette moelle, comme autour d'un
centre
, que les courbes du crâne se développent. Aux sai
erveau de profil, peut à la fois embrasser. Ce que l'œil, fixé sur le
centre
de l'ouverture de l'hémisphère, peut voir d'un se
l n'y avait non plus qu'un seul nerf olfactif, qui semblait naître du
centre
de l'une des deux couches optiques. Les pédoncule
entrecroisement, sauf (1) Exposition anatomique de Vorganisation du
centre
nerveux. Paris, 1844. une grande exagération, r
a conduit M. Longet à considérer la protu« bérance comme un véritable
centre
. stance des pyramides est d'un blanc nacré et t
la moelle, en effet, les fibres des cordons postérieurs s'épuisent au
centre
de ses axes gris ; ici, au contraire, elles s'éca
ressions différentes de celles qui se propagent dans la moelle par le
centre
même de l'axe gris. Mais celte induction ne pouva
l n'y ait plus au delà que ces fibres profondes qui cheminent dans le
centre
même des axes gris. Rien n'est plus difficile,
nt ii. 10 à l'aqueduc de Sylvius et peut être suivi, d'une part, au
centre
des couches optiques, et de l'autre, jusqu'à la b
ois divisions, la première aux tubercules quadrijumaux, la seconde au
centre
des couches optiques, la troisième au champ olfac
es tubercules quadrijumeaux, un cylindre épais de substance grise, au
centre
duquel est percé l'aqueduc de Sylvius. Ce cylindr
u nerf acoustique et du pédoncule supérieur du cervelet, s'étalent au
centre
de chaque couche optique en une cupule dont la co
fibres de la cupule. Les noyaux gris peuvent être considérés comme le
centre
de l'enroulement des parties qui occupent la face
diane de chaque pédoncule, de même que le corps strié externe, est le
centre
d'enroulement de toutes les parties externes. 11
u noyau cérébral, le noyau gris de la couche optique étant pris comme
centre
, on peut aisément apercevoir la disposition circu
nguerons: l°un faisceau découvert, je crois, par Vicq-d'Azyr, qui, du
centre
de l'éminence mamillaire, dont les fibres se port
hérer, sont : 1° Les bandelettes de la voûte. Celles-ci naissent du
centre
des eminences mamillaires, et s'enroulent, ainsi
blique ou horizontal, on constate immédiatement qu'il est formé à son
centre
d'une masse blanche, d'où partent des lames, des
les fibres des noyaux blancs du cervelet se continuent-elles dans le
centre
de ces prismes juxtaposés. Mais c'est là une ques
est formé de deux parties, savoir : 1° l'olive du cervelet qui est au
centre
, et 2° les masses de fibres blanches qui l'envelo
ents d'histologie, p. 335. Cet amas de fibres blanches, occupant le
centre
de chaque hémisphère, a été nommé moelle ou subst
ffleurant la face supérieure du corps calleux, la section de ces deux
centres
blancs des hémisphères unis par les fibres interm
de chaque côté par un limbe gris. Cet espace est ce qu'on a appelé le
centre
ovale de Vieussens. Nous croyons que ce nom de ce
'on a appelé le centre ovale de Vieussens. Nous croyons que ce nom de
centre
ovale conviendrait mieux à la masse entière des n
t. Cette couche touche immédiatement à la masse blanche qui occupe le
centre
de l'hémisphère (1). Il n'y a donc pour M. Kôll
n peu plus loin. B. Structure du noyau blanc des hémisphères, ou du
centre
ovale de Vieussens. Nos bases ont été posées. L
aux couches corticales, qu'on peut comprendre sous le nom général de
centre
ovale de Vieussens (1). Ce centre ovale compren
comprendre sous le nom général de centre ovale de Vieussens (1). Ce
centre
ovale comprend plusieurs ordres de fibres, savoir
Tels sont en général les éléments qui entrent dans la composition du
centre
ovale; nous ne pouvons espérer de les décrire ave
tachons le cervelet et le bulbe à l'aide d'une section passant par le
centre
des tubercules quadrijumeaux. Par là l'hémisphère
ortion du noyau terminal qui tient encore à l'hémisphère en occupe le
centre
, et la face interne des couches optiques y est vi
termédiaire autour de la commissure dont la tranche médiane occupe le
centre
même de la couche optique. L'étage inférieur du
e importance; je veux parler du plan que forment, dans l'épaisseur du
centre
ovale de Vieussens, les expansions radiculaires d
es directes, conduisant des stimulations directes, éveillent dans les
centres
des impressions adéquates, tandis que dans ces co
dans un système de cloisons fibreuses qui divisent, de la surface au
centre
, toute l'épaisseur des cordons latéro-antérieurs.
e, avec la réactivité; voilà comment la moelle est, par elle-même, un
centre
d'action réflexe, en même temps que par ses fasci
il suit le prolongement du faisceau postérieur qui se dirige vers le
centre
des couches optiques et concourt avec lui à la fo
érébraux. En conséquence, leurs fibres entrent dans la composition du
centre
ovale comme l'avait annoncé Vieussens. J'ai fait
ux hémisphères, et réciproquement, sont-elles plus nombreuses dans le
centre
ovale de Vieussens que dans la moelle et dans les
affirmative. Dans l'homme, par exemple, la masse des fibres dans le
centre
ovale de Vieussens est telle, que le volume du bu
iaux dont les fibres ne sont point représentées dans le bulbe, que le
centre
ovale reçoit la quantité exceptionnelle de fibres
e qui lui fait suite ont un volume énorme, et je retrouve chez eux un
centre
ovale très-réduit, avec une expansion cérébrale p
ement assez grêle. Mais en revanche son expansion radiculaire dans le
centre
ovale a un développement prodigieux. Ces réflexio
nombre dans les prolongements qui leur correspondent dans la masse du
centre
ovale de Vieussens, et nous portent à admettre im
re implicitement la possibilité d'une représentation multiple dans ce
centre
de chacune des fibres périphériques qui s'y ratta
f optique. Or, la multiplication des libres une fois admise dans le
centre
ovale, quel ordre de fibres sera le plus nombreux
ons pas inutilement les hypothèses, qu'il nous suffise de dire que ce
centre
s'accroît d'autant plus, que les couches cortical
du développement de l'Encéphale. CHAPITRE VII. DÉVELOPPEMENT DES
CENTRES
NERVEUX. § *. Prolégomènes. La ligne que l'on o
ieur où l'on voit poindre déjà les vestiges des ventricules latéraux,
centres
des hémisphères futurs. A partir du point D, l'
centres des hémisphères futurs. A partir du point D, l'ensemble du
centre
nerveux encéphalique se recourbe assez régulièrem
Plus tard, leurs parois s'épaississant, la configuration générale des
centres
nerveux subira des modifications plus ou moins gr
t toute la vie. Les deux moitiés de la commissure molle formaient, au
centre
des couches optiques très-saillantes à cette époq
int encore acquis ses apparences définitives 5 la matière fibreuse du
centre
ovale n'a point cette couleur blanche qui la dist
cquis la teinte foncée qui doit les caractériser un jour. Cet état du
centre
ovale contraste avec la couleur nacrée des pyrami
ouchent et oblitèrent complètement la fosse de Sylvius. D'ailleurs le
centre
ovale de Vieussens est constitué. Les ventricules
uestions qui nous occupent ici. CHAPITRE VIII. DES ENVELOPPES DES
CENTRES
NERVEUX CÉPHALO-RACHIDIENS. Après avoir décrit
médiatement, et sur la forme du crâne. § fl. BJe la pie-mère. Les
centres
nerveux sont compris sous une enveloppe immédiate
lle plus délicate et plus mince. Sa disposition à la périphérie des
centres
céphalo-rachidiens est fort simple. Elle embrasse
nus circulaire, logé dans la selle turcique du sphénoïde, en forme le
centre
. Ce sinus est le sinus coronaire. Il entoure le c
La dure-mère rachidienne contient la moelle épinière qui en occupe le
centre
, et les racines des paires rachidiennes. Elle cir
mer et Y inter maxillaire grandissent, et la face dont ils forment le
centre
s'allonge proportionnellement; le crâne au contra
une dépression oblique, qui s'étend de la grande aile du sphénoïde au
centre
d'ossification du pariétal. Cette dépression répo
subit depuis la naissance jusqu'à l'âge adulte. Vers la naissance, le
centre
du pont d'ossification primitif du pariétal est b
pariétal pousse de telle sorte par son bord antérieur, qu'à la fin le
centre
primitif d'ossification se trouve à égale distanc
nière courbe, que mesure l'intervalle qui sépare l'un de l'autre les
centres
d'ossification des deux pariétaux, est surtout in
à la hauteur de l'espace compris au-dessus d'un plan qui passe par le
centre
des deux tubérosités pariétales, mais il en a tro
aussi loin que possible, eu égard à la masse du noyau cérébral et des
centres
blancs des hémisphères. Le fait est que daus l'ho
respondant aux tubercules quadrijumeaux et aux nerfs optiques, est le
centre
des impressions dont on n'a pas conscience, et l'
, organe du jugement et de l'intelligence, enchaîné à cette vertèbre,
centre
des impressions dont on n'a point conscience? Que
nditions meilleures. Peut-on, à cause de cela, le considérer comme le
centre
d'une activité supérieure? A cela je répondrai qu
l'observation et l'expérience ont appris de plus certain touchant les
centres
nerveux céphalo-rachidiens, sous le triple point
. 1839. CHAPITRE II. DE LA MOELLE. §1. De la moelle en tant que
centre
nerveux. Mais quelles sont les fonctions de la
Estelle un simple conducteur? est-elle à la fois un conducteur et un
centre
? Ces deux questions méritent d'êtres traitées suc
tent d'êtres traitées successivement. La moelle est certainement un
centre
d'actions nerveuses. Un jeu cruel a depuis longte
la moelle épinière en trois segments. — « J'eus alors, dit-il, trois
centre
d'irritation parfaitement distincts et indépendan
ritation parfaitement distincts et indépendants. Les irritations d'un
centre
restaient étrangères aux irritations de l'autre ;
t sur les plus inférieurs, démontrent que la moelle, considérée comme
centre
, a un pouvoir propre et indépendant du cerveau. E
ois maintient la vie dans une zoonite isolée. Ce ganglion est donc un
centre
de réactivité, un centre si parfait dans certains
une zoonite isolée. Ce ganglion est donc un centre de réactivité, un
centre
si parfait dans certains cas que d'une seule zoon
aire en plusieurs points, on pouvait créer dans ces animaux plusieurs
centres
d'activité nerveuse indépendants les uns des autr
euvent jusqu'à un certain point être expliqués par l'organisation des
centres
nerveux. Les cellules multipolaires dont nous avo
euse. La moelle n'était rien qu'un nerf. Nous avons vu qu'elle est un
centre
par ses parties grises. Mais évidemment aussi ell
fonctions des axes gris. Il leur accorda, il est vrai, le pouvoir des
centres
, mais il leur refusa absolument celui de conducte
es excitations dont l'encéphale est le principe. Il est, en outre, un
centre
d'actions réflexes, mais il a un pouvoir qui lui
les faisceaux intermédiaires et dans la substance grise qui occupe le
centre
du bulbe. M. Van Deen, qui a fait sur l'axe ner
nvulsions à droite; celles de la moitié gauche, « à gauche; celles du
centre
, à la queue (1). » M. Flourens (1) Flourens. Pr
d'arrière en avant dans la moelle, se fait de sa périphérie ver* son
centre
. explique l'effet croisé de paralysie qu'avait
elle. Ce physiologiste admet en outre que le noyau gris qui occupe le
centre
de cet organe est un centre spécial d'action (2).
en outre que le noyau gris qui occupe le centre de cet organe est un
centre
spécial d'action (2). Ses expériences l'ont condu
que relativement à la sensibilité générale, la « protubérance est un
centre
de perceptivitô, qui, suivant la « nature de la s
dont les corps genouillés externes sont une dépendance ; 3° enfin son
centre
, noyau de substance grise que traversent en sens
fibres s'enroule autour de la couche optique pour se répandre dans le
centre
ovale de Vieussens. Ainsi l'anatomie oblige d'adm
pas qu'en elle-même la destruction du noyau gris qui en constitue le
centre
, ait sur la vision une influence immédiate et rée
centre, ait sur la vision une influence immédiate et réelle (1). Ce
centre
a d'autres fonctions. Il est certain qu'il joue u
lleurs qu'il n'agit pas seulement comme conducteur, mais encore comme
centre
. Suivant M. Longet, après l'ablation des deux hém
s, et conclut de ses expériences que le nerf auditif est un véritable
centre
(1). Cette conclusion n'est peut-être pas à l'abr
libre de l'ensemble, sans que ce point puisse être considéré comme un
centre
véritable. Celte assertion de M. Brown-Séquard mé
u cerveau parce qu'elle y exerce les actes de la mémoire (1). » Ces
centres
nerveux ont un effet croisé sur les yeux. En effe
par l'action des couches encéphaliques; de là, elle rayonne dans les
centres
médullaires qui la versent, pour ainsi dire, dans
brutes, simulent l'intelligence. Accumulés et mis en réserve dans les
centres
médullaires du cerveau, ils reçoivent les impress
ystème nerveux, l'âme sensitive a pour forme celle de ce système. Son
centre
principal est le cerveau, sorte de sanctuaire arm
e l'autre dans une direction parallèle à la ligne idéale qui unit les
centres
optiques des deux yeux. Ainsi, en inclinant la tê
de carton blanc, de vingt-cinq centimètres de diamètre, on décrit du
centre
du disque trois circonférences concentriques dont
isque ainsi préparé, on construit une spirale d'Archimède, ayant pour
centre
celui du disque, et dont les spires soient distan
une plaque découpée en une ombrelle octogone, divisée à partir de son
centre
en huit triangles alternativement rouges et blanc
aisquel sera cet ordre? Par quelles séries d'états intermédiaires les
centres
nerveux élémentaires reviendront-ils à cet équili
e à part, car au point de vue de l'automatisme, chaque cellule est un
centre
nerveux complet. Cette manière de voir paraît t
nous avons anatomiquement démontré que ces cellules ne sont point des
centres
isolés, et qu'elles communiquent entre elles par
'âme perd toute sa puissance directe sur le corps autant qu'il est au
centre
des réalités extérieures, et n'a plus avec lui qu
(1) Cf. Beaumont's Treatise, p. 91. une figure hideuse occupait le
centre
de la roue(l). Cullen, dit Delaroche (2), a vu un
Il est permis de supposer que ces fibres sont celles qui composent le
centre
ovale. C'est en effet par elles que les couches c
Mémoires de l'Académie de médecine, Paru, 1846, t. XII. quement le
centre
ovale, celui-ci réagissant, les idées pourront ac
vivacité de sensations véritables. Toutes les fibres qui composent le
centre
ovale ne sont pas homogènes; les unes appartienne
t, ou sur les couches corticales, ou sur. les fibres qui composent le
centre
ovale, ou sur les unes et les autres à la fois. D
modifications spontanément éveillées dans les fibres qui composent le
centre
ovale et la couronne radiante; mais dans ce cas c
échappe aisément à l'œil ébloui. Quant à l'araignée, atten tive au
centre
de sa toile invisible, elle peut, dans son repos
e 2,000 grammes. Il est bien évident qu'ici la périphérie commande le
centre
, tandis que chez l'homme, le centre domine en sou
qu'ici la périphérie commande le centre, tandis que chez l'homme, le
centre
domine en souverain. Cet encéphale, si grand, eu
, ne dépend point de la masse totale de l'encéphale, mais de celle du
centre
ovale et des couches corticales plissées autour d
celle du centre ovale et des couches corticales plissées autour de ce
centre
; plus le centre ovale grandit, et plus les plis s
ovale et des couches corticales plissées autour de ce centre; plus le
centre
ovale grandit, et plus les plis se multiplient. M
porter des jugements sur elles est en raison directe de l'énergie des
centres
encéphaliques. C'est aussi dans un département
ique la plus subtile. La masse des fibres blanches qui composent le
centre
ovale de Vieussens, n'est point en rapport avec l
giques dans l'hallucination. On pourrait donc soupçonner que c'est du
centre
ovale que l'imagination tire sa puissance, et att
faits exposés............... 217 CHAPITRE VII. — Développement des
centres
nerveux . . . 224 § 1. Prolégomènes............
n rapport réel............... 258 CHAPITRE VIII.—Mes enveloppes des
centres
nerveux céphalo-rachidiens.......................
De la moelle.................... 332 § 1. De la moelle en tant que
centre
nerveux.......... ib. § 2. De la moelle comme c
particulier fort malade sur la coupe 6 et l'intégrité des fibres du
centre
ovale de Flechsig (quelle que soit la forme de
rd avec cette vue, car, si nous avons pu reconnaître comme sains le
centre
de Flechsig et une partie de la zone de Weslpha
'explique sans dif- ficulté par l'état des cellules des cornes : Le
centre
trophique se trouvant atteint, les prolongement
est-à-dire de régions pour lesquelles la bilaléralilé. d'action des
centres
est démontrée (Reymond, Artaud). C. On constata
volution tempolale, ce qui i justifie l'opinion de Luciani, que les
centres
de ces fonctions ont une action bilatérale et n
rbale, et la malade n'était pas gauchère, puisque la destruction du
centre
de Broca avait bien produit l'aphasie motrice.
uit l'aphasie motrice. Il faut donc admettre que la localisation du
centre
de l'audition verbale dans la première temporale
) supporte au moins des exceptions, ou croire, avec Blanchi, que ce
centre
siège dans la deuxième temporale gauche qui, da
une hémianesthésie droite totale infirme toules les hy- pothèses de
centres
sensitifs spéciaux. Elle permet d'admettre avec
met d'admettre avec Golgi, Tamburini, Luciani,que ce sont les mêmes
centres
qui prési- dent aux fonctions sensitives et mot
ntres qui prési- dent aux fonctions sensitives et motrices, que ces
centres
méritent le nom de sensilivo-moteurs, mais que
ions cérébrales, particulièremen. en ce qui concerne les différents
centres
(moteur verbal, moteur graphique, sensoriel-aco
lesquels il admet des combinaisons commissurales multiples avec un
centre
commun à localiser (peut-être dans les lohes fron
peut-être dans les lohes fron- taux ? ) ce que Brissaud a appelé le
centre
de gravité des images des choses. R. CHARON.
inflam- matoire ; aucune autre lésion. L'auteur en conclut : «1° Le
centre
de la sensibilité musculaire du membre inférieu
pport avec leur localisation. » R. C. XI. Sens STliI2GOGNOSTIQUE ET
centre
d'association : par G.1SNE. (Nouv. Iconogr. de
ment. Mais quels sont, dans le cerveau, les sièges res- pectifs des
centres
de projection servant à la sensation simple et
à la sensation simple et au mouvement réflexe, involontaire, et des
centres
d'association, ser- vant à la sensation complex
lésions centrales dans la maladie de Basedow doivent porter sur le
centre
bulbaire, centre de l'émotivité. Cependant le g
s dans la maladie de Basedow doivent porter sur le centre bulbaire,
centre
de l'émotivité. Cependant le goitre exophtalmiq
l'effet des diverses modalités et des divers degrés des lésions des
centres
Irophiques, que l'observation clinique permet d
u courant des réflexes intercorticaux par suite de l'inhibition des
centres
associatifs corticaux; mais \I11. Dupré et Rabé
rveuse est livide gris-ardoisé; de même, dans les autres parties du
centre
ovale des deux côtés. Le microscope montre que
on de réunir, de conduire et de relayer les impressions venues du
centre
ou de la périphérie, nous avons des chances de re
saines, se des- sine à la partie interne du faisceau de Burdach, au
centre
même du cordon postérieur. Cette bandelette ne
anté- rieure d'une deuxième bandelette de fibres saines située au
centre
même du cordon postérieur. Elle se réunit ainsi à
, celle qui longe le sillon médian postérieur. Quelques fibres du
centre
ovale de Fleschsig et du triangle de Gombault et
, mate, par suite de la modification chimique qu'elle a subie. Au
centre
du tube nerveux, le cylindre-axe est marqué par
le noyau, lui, ne disparaît pas toujours. Quelquefois, il reste au
centre
de la R8 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cellule; so
s semblent enserrer. Elles sont plus épaisses à la périphérie qu'au
centre
, au point où elles se mettent en contact avec l
ostérieur, les fibres cornu-commissurales, les fibres de cordon, le
centre
ovale de Flechsig et le triangle de Gombault et
importe surtout d'établir. De tous côtés, de la périphérie vers le
centre
et du centre vers la périphérie, la moelle des
out d'établir. De tous côtés, de la périphérie vers le centre et du
centre
vers la périphérie, la moelle des paralytiques
f, le premier, a signalé les lésions veineuses dans la syphilis des
centres
nerveux; elles ont été retrouvées, depuis, un g
es, les fibres de cordon, le triangle de Gombault et Phi- lippe, le
centre
ovale de Flechsig, la virgule de Schultze, sont
onclut que l'hypothèse de Krowecker et Scheney sur l'existence d'un
centre
coordinateur unique des mouvements du coeur n'e
au point exploré, soit en aval de celui-ci. Aucune alté- ration des
centres
nerveux ou du cordon nerveux en amont de ce poi
e Voisin, que les poisons de l'économie produisent l'excitation des
centres
convul- sifs chez les prédisposés, en contracta
sés, en contractant les vaisseaux cérébraux par l'intermédiaire des
centres
vaso-moteurs du bulbe. Il croit plutôt que les
ité visuelle était due, et à la névrite optique, et aux lésions des
centres
visuels sous-corticaux : petites hémorragies et
a- bolisme des tissus, trouble dû à un vice de fonctionnement des
centres
nerveux. L'hypertrophie du corps thyroïde n'est q
fre les conditions les plus favo- rables à sa production; 10° Les
centres
des muscles extensenrs du poignet ont leur siège
égion pariétale). Par suite, le stimulus psychique agissant sur ces
centres
peut, par l'un des mécanismes sus-indiqués, pro
l'hypoglosse sont indemnes, la lésion se borne à la zone motrice du
centre
du bras. P. Keraval. XLVIII. CONTRIBUTION A L
e, comme d'ailleurs la chorée essentielle est due à des troubles de
centres
encéphaliques spéciaux dont les lésions circons
ogiques reconnues, donneront lieu à la chorée dite essentielle. Ces
centres
, dont le siège reste indéterminé, qui se confon
nt le siège reste indéterminé, qui se confondent peut-être avec les
centres
régulateurs des mouvements, se transformeraient
rmeraient, sous l'influence de circonstances morbides variables, en
centres
choréigènes, de la même façon que les centres p
orbides variables, en centres choréigènes, de la même façon que les
centres
psycho-moteurs se transforment en centres épile
e la même façon que les centres psycho-moteurs se transforment en
centres
épileptogèncs. R. CHARON. REVUE DE THÉRAPEUTI
rfs intercalaires ; l'impression sensitive va de la périphérie 'aux
centres
supérieurs par l'intermédiaire des libres longu
ussion sur les psychoses post-opé1'atoi1'es; par le Dr Régis. - Les
centres
viscéraux de l'écorce cérébrale. Un cas de chorée
t le séjour à Angers, les moyens de transport les plus commodes, du
centre
de la ville à l'Ecole de médecine, sont les tra
ominent les vaisseaux dégénérés et des blocs 1 1 0 Ii Hyalins. Au
centre
on trouve un îlot de substance médullaire dont
llaire est presque de la même intensité qu'au segment précédent; au
centre
de la moelle on voit une tache foncée c'est un
Les coupes au Weigert montrent que le néoplasme, se développant au
centre
de la moelle, a plutôt disloqué que détruit les
e. Il est intéressant de suivre l'évolution de la cavité. Dans le
centre
de la gliose cervicale, nous voyons apparaître un
on trouve à l'autopsie un néoplasme occupant le corps calleux et le
centre
ovale des deux hémisphères, et qui tranche par
us les éléments qui servent à la conduction de l'influx nerveux des
centres
à la périphérie. M. PIERRET (de Lyon). - J'ai e
e les neurones qui commandent à leurs mouvements sont séparés des
centres
cérébraux, je rejetais l'explication de Claude Be
de Claude Bernard, qui admet une sorte d'inhibition exercée par les
centres
supérieurs sur la moelle épinière : soustrait à
ph- thalmique, etc.; 7° troubles mentaux liés à une affection des
centres
nerveux (traumatisme, lésion en foyer, etc., ou d
ature à faire penser à une intoxication alcoolique, une maladie des
centres
nerveux ou des nerfs, d'autres maladies, telles
prédominer les unes par rapport aux autres. Dans la tuberculose des
centres
nerveux, le tubercule, quel que soit le point o
re du vaisseau arrive jusqu'à l'oblitération, comme les artères des
centres
nerveux peuvent être considérées, pour la plu-
r que l'on observe. La plupart des hémorragies qui se font dans les
centres
nerveux relèvent de cette cause. Enfin une embo
n point éloigné du sys- tème artériel peut déterminer au niveau des
centres
nerveux des phénomènes de thrombose suivie d'ob
stratum de ce syndrome ne résiderait pas dans l'artério-sclérose de
centres
trophiques céré- braux correspondants. Epidém
t identique à celle déjà publiée par le professeur Grasset. . Des
centres
corticaux des viscères. M. Paul Sollier. Nouvea
ériques à manifestations symptomatiques la localisation de certains
centres
corticaux des viscères. Cette méthode, dite des
t démontré que, lorsque ce sont des régions périphériques, dont les
centres
sont aujourd'hui anatomiquement déterminés, qui
ureux crâniens correspondent à la région céré- brale contenant leur
centre
fonctionnel, il est logique d'admettre qu'il en
même lorsqu'il s'agit de troubles affectant des vis- cères dont les
centres
corticaux sont encore inconnus. L'auteur signal
s. L'auteur signale six nouveaux cas, dont trois se rapportent au
centre
de l'estomac, et trois à celui du coeur, et étudi
expérimentales et cliniques, pour la déter- mination définitive des
centres
. Cas de respiration de Cheyne-Stockes. M. TER
que le facial et le vago-spinal. A. FENAYfioU. LI. Parasitisme des
centres
nerveux par mycose; par MM. J. Roux et J. l'AVI
nât jours environ. A l'autopsie, on a observé un aspect spécial des
centres
nerveux qui semblaient durcis, congelés; la sur
s constituaient peut-être le début de la réaction inflammatoire des
centres
nerveux vis-à-vis du parasite. Le tableau clini
évrier-avril-mai 1897.) Les auteurs étudient à part les lésions des
centres
de la parole, droit et gauche, puis les trouble
pilepsie tardive que l'auteur rapporte à la sclérose artérielle des
centres
nerveux et à la dégénérescence du muscle cardia
int de vue pathogénique : toute lésion articulaire retentit sur son
centre
médullaire. Mais ce retentisse- ment est variab
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 305 nerveux, où se trouvent réunis des
centres
fonctionnels si nom- breux, d'où émanent les qu
gélatineux, de couleur gris foncé, plus dense à la périphérie qu'au
centre
, est nettement distincte du tissu nerveux qui l
n'a nui que légèrement à leur fonctionnement, jusqu'au jour où les
centres
cardiaque et res- piratoire ont été englobés et
s arborisations terminales amyéliniques de la substance grise des
centres
nerveux et nous montre l'épais feutrage, par plac
un léger sommeil n (Kreepeliu). LwoFF. XXI II. Relation DES divers
CENTRES
nerveux entre eux ET avec LE reste du corps; pa
e particulièrement à dégager les rapports fonc- tionnels des divers
centres
du langage, dont les localisations et les conne
èdes vertébrés et d'oiseaux, particulièrement en ce qui concerne le
centre
des mouvements des membres inférieurs. A. Marie.
solitaire (bronchite, fièvre légère, habitus anémique), occupant le
centre
de la jambe, le lobule paracentral gauche ; san
t à l'état de sommeil, il appert que ni l'activité, ni le repos des
centres
moteurs corticaux n'est l'agent générateur des
vités sont dues à la fonte préalable du tissu altéré et dégénéré au
centre
de la tumeur. Quant au tabes dorsalis, il n'est
L'examen microscopique a démontré que l'abcès est partout situé au
centre
de la moelle, derrière la commissure grise, dans
normale. Il la reprend tranquillement s'il n'y a pas irritation des
centres
oculo-moteurs, mais son mouvement peut être spa
tres oculo-moteurs, mais son mouvement peut être spasmodique si les
centres
de l'oculo-motricité sont en quelque sorte exal
t l'influence de l'usage de l'alcool est connue, sou action sur les
centres
nerveux produit l'anesthésie des sens, la paral
l'anesthésie des sens, la paralysie du système moteur ; par lui les
centres
supé- rieurs du cerveau, centres de coordinatio
ie du système moteur ; par lui les centres supé- rieurs du cerveau,
centres
de coordination du siège de la volonté, sont li
coupes sériées, n'a montré l'existence d'aucune lésion en foyer du
centre
oval, de la capsule interne, du pédoncule, de l
es que nous avons acquises sur l'anatomie et la systématisation des
centres
(méthode des dégénérescences, méthode embryolog
nerveux a franchi les noyaux gris centraux, est arrivé au niveau du
centre
cortical. Tant que l'attention n'entre pas en j
n irienne (IRIS). Contrairement aux auteurs classiques, je place le
centre
de réflexion au niveau de l'écorce en A. 46
ents nous permet de répondre par analogie. L'excitation apportée au
centre
visuel par les fibres visuelles centripètes est
stement des neurones corticaux. L'influx nerveux ne s'arrête pas au
centre
visuel, il est porté plus loin par les voies d'
he des fibres tangentielles du cerveau. L'influx nerveux parti du
centre
visuel arrive en un point quelconque de l'écorc
corce (lig. 30, B).. puis il revient sur ses pas jusqu'au niveau du
centre
visuel (A) où par l'intermédiaire des cellules
remier qu'un acte réflexe, mais plus compliqué, ayant passé par les
centres
d'associatiou. Au point de vue anatomique il y
t B puis au point A, d'une autre parité du cortex, par exemple du
centre
auditif, lorsque c'est un bruit venu de la rue qu
'aller voir ce qui s'y passe. L'influx arrivé au point A prépare ce
centre
à recevoir l'image visuelle de la rue, toujours
fère. Dans le réflexe conscient et involontaire le plus souvent les
centres
de projection sont seuls mis en jeu : l'influx
, 28 et 29). Dans le réflexe conscient et volontaire, l'influx, des
centres
de projection passe dans les centres d'associat
t et volontaire, l'influx, des centres de projection passe dans les
centres
d'association puis dans un autre centre de proj
projection passe dans les centres d'association puis dans un autre
centre
de projection souvent fort éloigné de celui où
(exemple : bruit de la rue attirant notre regard et préparant notre
centre
visuel = attention dite volontaire). Nous somme
connaissons la marche des excitations nerveuses de la périphérie au
centre
; nous savons qu'une série de fibres partant de
e du corps par l'intermédiaire du cylindraxe. Le neurone devient le
centre
vital; c'est le récepteur, le conservateur, le tr
ar ses prolongements pro- toplasmiques à d'autres cellules ou à des
centres
cellulaires. Mais chose importante, toute excit
es anatomo-patho- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 473 logiques des
centres
nerveux sont de plus en plus intéressantes et s
imputer a la tension de 1 at- tention, et a l'hyperirrilabllité des
centres
psychiques. Toutes spé- ciales qu'elles soient
c ici de rapporter les troubles sensibles à la lésion corticale des
centres
moteurs. Il est impossible de décider si la pro
roduit par une excitation centrale de voisinage due à une lésion du
centre
verbal, c'est donc un symptôme de lésion en foyer
on du centre verbal, c'est donc un symptôme de lésion en foyer du
centre
de la parole. Voici une femme de quarante-six a
seulement « un segment de conducteur », il est aussi le véritable
centre
génétique, trophique et fonctionnel du neurone.
rentes espèces de cellules nerveuses. L'excitation d'un neurone des
centres
corticaux est toujours suivie d'une 1 éaclion s
ements cylindraxiles et protoplasmiques, mais il pos- sède aussi un
centre
génétique, trophique et fonctionnel, et ce cent
- sède aussi un centre génétique, trophique et fonctionnel, et ce
centre
n'est autre que le corps cellulaire (Revue neurol
¡;NOMÈ : OES ANATOMIQU1ÏS CONSÉCUTIFS A L'EXTIRPATION ÉTENDUE c DES
centres
CORTICOMOTEURS DU CHAT ; par E. REDLICH. (lB2lTOL
e Nissl sont disposés sous forme de tourbillons ayant le noyau pour
centre
. Quelques cellules présentent une combinaison d
tre multipliées et continuées. P. KERAVAL. LXIX. DE la valeur des
centres
d'association DE FLECHSIG appliqués A l'étude D
'¡tlbl., XVII, 1898.) Flechsig distingue, comme chacun sait, quatre
centres
sensoriels : 1° la région tactile, aboutissant
ses deux racines dans la profondeur de la scissure de Sylvius. Ces
centres
sensoriels sont,en réalité, sensitivo-moteurs;
de sorte que le réflexe psychique s'y opère. Par contre, les trois
centres
d'association sont des champs corticaux, placés
fibres de projec- tions ou conducteurs sensitivo-moteurs. Tels : le
centre
d'associa- tion postérieur, sis entre la région
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 511 auditive et le gyrus hippocampe; le
centre
d'association antérieur ou frontal, à la pointe
ntal, à la pointe du lobe frontal, et, de préférence, à sa base; le
centre
insulaire, le plus petit, au milieu, 'occupant l'
e plus petit, au milieu, 'occupant l'insula de Reil. La lésion d'un
centre
d'association aura donc une grande importance,
centre d'association aura donc une grande importance, parce que le
centre
en question renferme l'assemblage des diverses
g de celle de Meynert ou de Wernicke, qui prétendent que les divers
centres
sensoriels sont unis directement entre eux par
s d'association. Il y a, en réalité, un mécanisme particu- lier aux
centres
sensoriels, et en particulier aux centres d'asso-
canisme particu- lier aux centres sensoriels, et en particulier aux
centres
d'asso- ciation. Développement de l'espril hu
émoire des sons s'amasse pro- bablement d'assez bonne heure dans le
centre
sensoriel de Ver-- " nicke, mais à huit mois se
it mois seulement, les mots s'unissent avec les conceptions dans le
centre
d'association postérieure ; cette union est ind
exprimer les sons; l'émission de ces sons laisse des traces dans le
centre
sensorio- moteur de l'écorce (région de Broca)
région frontale sensorielle et mo- trice, laisse des traces dans le
centre
d'association moyen, pré- parant ainsi la pério
lte faculté prend ensuite un caractère automatique subordonné aux
centres
des conceptions et des notions. Le même mécanisme
ainsi que la faculté de se rappeler les images, a lieu dans le même
centre
, au début consciemment, puis automatiquement. L
iation consciente des images phonétiques sensorio- motrices dans le
centre
d'association moyen. Les aphasies. Bien que la
'il y a aphasie montée totale avec agraplde et alexie par lésion du
centre
d'association moyen ou insula de Reil, par anéa
tient à l'écorce. Les mémoires sensorielles ne sont pas du tout des
centres
speciaux présidant à la parole; les centres qui
ne sont pas du tout des centres speciaux présidant à la parole; les
centres
qui les emmagasinent reçoivent en même temps d'
pération élémentaire de l'activité psychique met en jeu, en sus des
centres
sensoriels, des centres d'association éle- vés.
l'activité psychique met en jeu, en sus des centres sensoriels, des
centres
d'association éle- vés. Il en est de même pour
sensorielles des mots se mettent préalablement en relation avec le
centre
d'association moyen pour former la parole automat
que diverses régions sensorielles de l'écorce se réunissent dans le
centre
d'association postérieur. Aussi l'acte psychiqu
férieur jusqu'à un certain point automatique dans j'insula de Reil (
centre
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
sie sen- sible ; B, soit un trouble de la mémoire d'association des
centres
d'association moyen ou postérieur : aphasie d'a
re et peut écrire. h) Apha- sie sensorielle ou surdité verbale ; le
centre
d'association moyen agit sans contrôle sur la m
nstant, ne peut lire davantage. B. Aphasie d'association. x. Du
centre
moyen. 1° Organique. - Aphasie motrice avec ale
VI. 33 514 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES Du
centre
postérieur. - 1° Organique. - a) Aphasie d'asso-
); les mots bien que répétés et écrits automatiquement (au moyen du
centre
moyen d'association) ne sont plus compris ; le
rrespondantes; le malade lit cependant lettres et mots (an moyen du
centre
d'association moyen), - c) Aphasie optique, le
t intact, il doit y avoir trouble partiel des associations entre le
centre
des mots et le centre des conceptions d'une par
oir trouble partiel des associations entre le centre des mots et le
centre
des conceptions d'une part et ses composants visu
que dénote un trouble des associations qui vonl de tons les sens au
centre
conceptuel, où les composants visuels jouent le
Associations verbales, par Guiccardi et l'errari, 493. Valeur des
centres
d'- de Flechsig, par Otuze\vshl, 510. AT.1B
Altéra- tions des - pendant l'inanition, par Scha(ier, ,i01. 1.
Centres
ERVEL\, Les - corticaux des viscères, par Soli
es dans les cas denasque,parvan Gehuchten. 496. Parvsitisme des
centres
nerveux par mycose, par Roux et Paviot, 2UO
écutive il l'iutluenza, par Sogorni, 123. Sens stéiéognostique et
centre
d'association, par Gasne, 47. Sexuels. Pathol
res cérébraux isolément. Presque toutes les parties constituantes des
centres
encéphaliques étant paires et symétriques, il n'y
calleux et la base du cerveau se trouve toute une série d'appareils (
centres
et conducteurs), dont la répartition, la configur
ventricule latéral; VO, corne occipitale; VS, corne sphenoidale; CO,
centre
ovale de Vieussens; m, m', manteau de l'hémisphèr
hère. Cette substance blanche est désignée communément sous le nom de
centre
ovale de Vieussens. Elle s'étend depuis la paroi
y a donc lieu de distinguer, d'une façon très générale, Vécorce et le
centre
ovale. Mais, brissaud. b au niveau des circon
'est trouvé dans la nécessité d'imaginer, à côté ou au pourtour,, des
centres
absolus de l'écorce, d'autres centres 'dits centr
er, à côté ou au pourtour,, des centres absolus de l'écorce, d'autres
centres
'dits centres relatifs, dont la fonction et la si
au pourtour,, des centres absolus de l'écorce, d'autres centres 'dits
centres
relatifs, dont la fonction et la signification re
s pour qu'on distingue entre elles un mamelon (PI), qui représente le
centre
de convergence des circonvolutions de l'insula, e
de la fosse sylvienne. Ce lobule, formé de plis rayonnants dont le
centre
de convergence (PI) est à la partie inférieure de
ue l'anatomie pathologique permettra de déterminer avec précision les
centres
des mouvements volontaires de la langue, de la mâ
Pourra-t-on prétendre que c'est à ce niveau qu'il faut localiser le
centre
des mouvements du membre supérieur gauche, sous p
entre des mouvements du membre supérieur gauche, sous prétexte que le
centre
des mouvements du membre supérieur gauche siège e
remières sur l'écorce encore lisse de l'hémisphère; or les parties du
centre
ovale qui leur sont sous-jacentes ne subissent, a
Meynert. Ces premières connexions entre la surface et les noyaux du
centre
n'empêchent pas l'écorce de s'accroître; mais, au
fonctionnelles ne répondent pas nécessairement à des foyers ou à des
centres
invariables; il n'y a pas de centres absolus, ou,
ssairement à des foyers ou à des centres invariables; il n'y a pas de
centres
absolus, ou, s'il en existe, leurs limites sont t
u, s'il en existe, leurs limites sont très restreintes. Assurément le
centre
des mouvements du membre "inférieur siège à l'ext
olutions rolandiques; mais ce n'est là qu'une indication générale. Le
centre
du langage articulé siège dans le pied de la troi
ontale est conforme au type schématique (A), la lésion intéressera le
centre
indiqué par Broca comme étant celui du langage ar
carte de ce type (B), la même lésion (N), tout en intéressant le même
centre
, pourra siéger sur l'extrémité inférieure de la f
autre anomalie (C) entraînera encore une localisation différente ; le
centre
du langage articulé ne sera plus ni sur le pied d
morbides (N, N, N), représente le lieu géométrique des connexions du
centre
de l'aphasie avec les parties sous-jacentes. La s
entre de l'aphasie avec les parties sous-jacentes. La situation de ce
centre
cortical ne change pas relativement aux centres p
es. La situation de ce centre cortical ne change pas relativement aux
centres
profonds; il ne change que relativement aux parti
plus ou moins larges, plus ou moins longues, plus ou moin élevées. Un
centre
fonctionnel sur une Trois variétés (A, B, C) de
de la troisième frontale ; CAP, cap de la troisième frontale ; N,
centre
supposé de la faculté du langage articulé. Sché
pe toujours, à la surface de la mer, la même situation par rapport au
centre
de la Terre. Au sommet d'une vague (A, schéma 4
gauche, sans que son point astronomique varie. Il en est de même des
centres
, suivant le sens de l'ondulation de l'écorce, c'e
ations du manteau cortical (schéma 41, A). Il est bien certain que le
centre
, représenté par le navire, passera de la vague pF
leront de droite à gauche ou de gauche à droite. La situation de ce
centre
changera à la surface, mais elle ne changera pas
es dans les cas où l'on veut déterminer avec précision l'étendue d'un
centre
ou d'une localisation fonctionnelle clans le sens
ux (ce) coupé sur la ligne médiane envoie la plupart de ses fibres au
centre
ovale de l'hémisphère. Mais, de sa partie moyenne
que ; le postérieur ou pentagone du lobe carré (PEN) s'avance vers le
centre
étoile de la scissure sous-pariétale (sP). Use co
le nom de tapetum (TAP), la paroi externe de ce ventricule. GO. Le
centre
ovale, dans le lobe frontal, est la masse de fibr
faisceau sera étudié ultérieurement : nous l'appellerons faisceau du
centre
ovale (CO). FS. Le faisceau sensitif est cette
avant, et dont on ne voit ici que les fibres qui ont pénétré dans le
centre
ovale, de haut en bas et de dedans en dehors. E
relroflex. Substance blanche. Le corps calleux s'enfonce dans le
centre
ovale (CO) en dehors de l'écorce de la face inter
du putamen (PUT) pour se jeter dans la capsule externe (CE). CO. Le
centre
ovale. FSe, FSi. Le faisceau sensitif subdivisé
e pariéto-occipitaux (r.O etTrP); de là il s'enfonce en avant dans le
centre
ovale où nous le retrouverons ; 2" un petit faisc
'existe plus ici. Il en résulte, dans la disposition des faisceaux du
centre
ovale, une modification importante qui sera menti
érale est très précise. Ce faisceau dirigé d'arrière en avant dans le
centre
ovale, un peu au-dessous et en dehors de la sciss
r le faisceau sensitif (FS), il se dirige verticalement, au milieu du
centre
ovale vers la partie inférieure du cerveau. Là, j
n extrémité supérieure ne se confond pas avec la substance blanche du
centre
ovale. Il se replie en dedans et en bas lorsqu'il
(FSc) se confond insensiblement en dehors avec les autres parties du
centre
ovale, particulièrement avec le faisceau diffus d
rieures, la scissure limbique (L) s'enfonce plus profondément dans le
centre
ovale et se rapproche des fibres supérieures du c
ion dont la masse (Fci) est la base commune. Un peu plus en avant, au
centre
de la masse grise, apparaît une bande blanche (LM
a scissure limbique, celle-ci s'cnfonçant plus profondément dans le
centre
ovale (fig. 30). Sa direction générale reste d'ai
nt sous la paroi inférieure de la corne occipitale. CO. Faisceau du
centre
ovale. Sur les figures 29 et 30 apparaît un faisc
périeur du forceps (FOs). Ce faisceau, qui concourt à la formation du
centre
ovale, est formé de fibres transversales du corps
du fasciola cinérea se continue avec une portion grise (Fd) située au
centre
de la corne d'Ammon et qui est le fascia dentata.
bique, aplati entre la substance corticale et le faisceau sensitif du
centre
ovale (CO), il se confond insensiblement avec le
au-dessus du faisceau longitudinal inférieur (FLI). CO. Faisceau du
centre
ovale. Nous avons vu que le faisceau scnsitif ext
al déterminée sur les coupes verticales, s'effectue dans la région du
centre
ovale. Nous appellerons faisceau sensitif du cent
dans la région du centre ovale. Nous appellerons faisceau sensitif du
centre
ovale (CO) l'espace clair, triangulaire, à sommet
bres sont également horizontales. Mais celles du faisceau sensitif du
centre
ovale se dirigent en avant et en dedans, tandis q
a planche 6 permet de supposer que les fibres du faisceau sensitif du
centre
ovale (CO) se portent en dedans vers la circonvol
n ne change d'ailleurs rien d'essentiel aux rapports des faisceaux du
centre
ovale avec l'écorce. Sur les figures 57 et 42,
res prennent leur origine dans un noyau, d'où elles pénètrent dans le
centre
ovale horizontalement de dedans en dehors. — On p
stige du bulbe de la corne postérieure. CO. Le faisceau sensitif du
centre
ovale diminue d'épaisseur (fig. 58, 59, 40) entre
calleux ne suivront plus la paroi ventriculaire ; elles formeront le
centre
ovale. TAP. Le tapetum (fîg. 44, 46) est la con
qui reste du faisceau moyen du forceps. CO. Le faisceau sensitif du
centre
ovale (fig. 44, 46, 48) diminue d'épaisseur au vo
s calleux proprement dit, dont les fibres formeront plus en dehors le
centre
ovale ; un inférieur dont les fibres dirigées en
t, et l'inférieure au trigone cérébral. CO. Le faisceau sensitif du
centre
ovale manifeste de plus en plus nettement (fig. 5
st la direction que nous avons aussi assignée au faisceau sensitif du
centre
ovale. 11 n'est pas étonnant de voir la continuit
clair. De cette région les fibres se portent transversalement dans le
centre
ovale. Un peu plus loin, nous les verrons changer
es fibres antérieures du tapetuin (TAP, fig. 57); puis le faisceau du
centre
ovale (CO, fig. 57, 60) dont il a déjà été questi
es coupes de la planche XX l'aspect d'un demi-cercle plus clair à son
centre
qu'à sa périphérie. Ces coupes en effet passent a
rtuellement jusqu'à la substance grise. CO. Le faisceau sensitif du
centre
ovale, transversal au-dessus du tapetum (TAP, fig
t plus aussi bien que précédemment dans l'aire beaucoup plus large du
centre
ovale. Cependant (fig. 57) on voit encore ses d
forme à gauche de la ligne médiane un demi-cercle régulier, clair au
centre
, où ses fibres sont transversales, foncé à la pér
ent la substance grise (SG) de l'aqueduc de Sylvius. On reconnaît, au
centre
de celle-ci, la lumière de l'aqueduc. Au-dessous
du côté opposé et se perdent dans la couche optique, aux environs du
centre
médian (vo.y. plus loin). BP. Les fibres du fai
63) et de celles, plus superficielles, qui vont former le faisceau du
centre
ovale (CO, fig. 63). TAP. Le tapetum (fig. 62)
le transversalement entre le tapetum (TAP, fig. 62) et le faisceau du
centre
ovale (CO); mais ses fibres vont toujours d'arriè
ussi des fibres courtes qui relient, d'étape en étape, les différents
centres
de la lamina convoluta ou du fascia dentata. Si l
interne et avec le bras du pulvinar (BP, fig. 68) ; elle le sépare du
centre
médian. On voit sur les coupes suivantes (70, 71,
ien plus franchement en dehors, où elles forment la majeure partie du
centre
ovale (CO, fig. 69). Très peu d'entre elles se ré
la circonvolution du corps calleux (C, fig. 70). CO. Le faisceau du
centre
ovale (fig. 69) remonte dans le lobe frontal, ent
rcuatus (ARC, fig. 72). Il est facile de constater que ce faisceau du
centre
ovale, dans la partie supérieure de l'hémisphère,
la capsule interne (CID, 76), il est séparé, en bas et en dedans, du
centre
médian (NmC, 75, 74) par un faisceau blanc issu d
, 75, 74) par un faisceau blanc issu de ce dernier cenlre. NinC. Le
centre
médian ou centre de Luys (fig. 75, 74, 75, 76, 77
faisceau blanc issu de ce dernier cenlre. NinC. Le centre médian ou
centre
de Luys (fig. 75, 74, 75, 76, 77) est une masse g
s coupes successives, faites d'arrière en avant, n'intéressent pas le
centre
médian dans une grande étendue antéro-postérieure
es masses grises est celle que nous venons de signaler sous le nom de
centre
médian de Luys (NmC, fig. 75); la plus postérieur
fournit de nombreuses fibres; en haut et en dedans, il (ist séparé du
centre
médian (NmC, fig. 7(5) par le bras du pulvinar (R
du ganglion de l'habénule (GH, fig. 76) arrive presque au contact du
centre
médian (NmC). Mais elle en est séparée par des fi
région postérieure du thalamus (noyau externe XeC; noyau interne NiC;
centre
uiédian NmC); ils sont recouverts et séparés les
elleux moyen. Elles se dirigent donc de dehors en dedans. Arrivées au
centre
du pont, elles s'écartent pour laisser passer les
cer. Comme elle, il se termine entre le corps genouillé interne et le
centre
médian (NmC) ; mais il semble que ses fibres entr
ée à la substance grise du pulvinar, du corps genouillé interne ou du
centre
médian, tout comme la lamina lateralis. Pour préc
faisceau compact. Lorsque, à la suite d'une lésion hémisphérique des
centres
moteurs du côté gauche, absence de dégénération
un demi-cercle dont la circonférence régulière est plus foncée que le
centre
. Ce demi-cercle répond à l'entre-croisement des f
e et du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), au-dessous du
centre
médian (NmC) et de la lamina laterahs (Lmd). — Su
eau de TiJrck-Meynert (FM, fîg. 75, 78); puis, arrivées au-dessous du
centre
médian (NMC, fig. 75, 76, 77), elles s'y disperse
. Mais il n'est pas moins certain qu'il se mélange avec les fibres du
centre
ovale (CO, fig. 78) qui, elles aussi, se portent
pes 76 et 77, que la couronne rayonnante du thalamus semble sortir du
centre
médian (NmC), au-dessous du noyau externe du thal
amus (NeC, fig. 77). En réalité, elle sort de la partie antérieure du
centre
médian. Quant aux fibres du noyau externe (NeC),
t la base décrit une concavité qui regarde en dedans, à la hauteur du
centre
ovale. Sa teinte foncée indique suffisamrhent sa
upéro-interne du triangle s'étend, en haut et en dedans, à travers le
centre
ovale, jusqu'à la circonvolution frontale ascenda
inal inférieur (fig. 76), voy. pl. XVI, p. 154). CO. Le faisceau du
centre
ovale (fig. 78), voy. pl. XYI, p. 159. Quant au
cule cérébral, et permettant toujours de sectionner le noyau rouge.
centre
de la sphère. Le noyau rouge (NR), ainsi qu'on pe
ui est, ainsi que nous l'avons déjà constaté à plusieurs reprises, le
centre
de renforcement des fibres du lemniscus. Et en ei
se divise en dehors en trois faisceaux : un supérieur qui fournit au
centre
ovale (CO) ; un inférieur qui fournit au noyau ca
hénoïdal. Mais, comme nous l'avons déjà fait observer, le faisceau du
centre
ovale (CO) et ce faisceau du tapetum (TAP) tend
ors deux groupes de fibres : le groupe supérieur va se perdre dans le
centre
ovale; le groupe inférieur forme une notable part
de dedans en dehors et de haut en bas après leur passage à travers le
centre
ovale (CO, fig. 88). ARC. Le faisceau arqué (fi
terminent dans l'écorce de la première frontale. CO. Le faisceau du
centre
ovale (fig. 88), fondu à sa partie interne dans l
e claustrum (CL) et le putamen (PUT). Elle sert d'anastomose entre le
centre
ovale du lobe pariéto-frontal et la substance méd
la majeure partie de la capsule interne, lorsqu'elle pénètre dans le
centre
ovale, se continue insensiblement avec le faiscea
peu près absolue, que le discus lentiformis est un noyau qui sert de
centre
de réduction au faisceau capsulaire (MF). Ce dern
u amygdalien. La racine inférieure du thalamus, venue de la région du
centre
ovale qui est sous-jacente au ventricule sphénoïd
rd que ce faisceau appartient à trois régions bien distinctes : 1° le
centre
ovale du lobe sphénoïdal; 2" l'espace perforé ant
cavité supérieure ; cette première portion appartient tout entière au
centre
ovale du lobe sphénoïdal. La deuxième portion,
) est la portion de la capsule interne qui passe du pédoncule dans le
centre
ovale, entre la couche optique et le noyau lentic
on. ARC. Le faisceau arqué (fig. 98) est dédoublé dans la région du
centre
ovale. Nous savons que son faisceau accessoire (F
fornix (fig. 99). Cin. Le cingulum (fig. 101). CO. Le faisceau du
centre
ovale (fig. 102). FLI. Le faisceau longitudinal
e, dans toute son étendue, c'est-à-dire partout où les conducteurs du
centre
ovale atteignent sa profondeur. La véritable surf
ace libre de l'écorce n'cst-clle pas précisément la face adhérente au
centre
ovale, puisque la surface proprement dite de l'éc
en que faisant partie de la capsule interne, ne pénètrent pas dans le
centre
ovale et, par conséquent, n'appartiennent pas à l
n dehors, elles se croisent avec les fibres pédoneulaircs qui vont au
centre
ovale, et qui sont dirigées en dehors et en haut.
sceau sur des coupes toutes voisines (105, 108). CO. Le faisceau du
centre
ovale (fig. 105, voy. pl. XXV). FLI. Le faiscea
ulaire. Il va donc de dedans en dehors et d'arrière en avant jusqu'au
centre
ovale, et nous ne connaissons pas de fibres du ce
avant jusqu'au centre ovale, et nous ne connaissons pas de fibres du
centre
ovale qui ne soient en relation avec Pecoree. On
puis la substance grise de l'anse (GAP, fig. 112, 114) jusque dans le
centre
ovale du lobe sphénoïdal. Bien plus, elles s'incu
ral; l'augmentation d'épaisseur tient à l'accroissement des fibres du
centre
ovale (CO, fig. 114) dans la région frontale de l
O, fig. 114) dans la région frontale de l'hémisphère. C'est là que le
centre
ovale présente son maximum de développement. Comm
étages bien distincts : un étage supérieur qui fournit des fibres au
centre
ovale ; un étage inférieur qui contient une parti
amen (RIL, fig. 109, 113). On voit aussi qu'elle reçoit des fibres du
centre
ovale (CO, fig. 112), des fibres qui proviennent
eulement les fibres qui lui viennent de cette commissure à travers le
centre
ovale, mais celles qui lui viennent du rostrum au
limbique. ARC. Le faisceau arqué (fig. 112) devient diffus vers le
centre
ovale : il traverse évidemment tout le centre méd
devient diffus vers le centre ovale : il traverse évidemment tout le
centre
médullaire de l'hémisphère pour gagner le corps c
ulement en haut, au niveau de la couronne rayonnante, au voisinage du
centre
ovale, qu'on peut constater cet élargissement. La
l'occasion du mode de terminaison des fibres du corps calleux dans le
centre
ovale. On a prétendu, en effet, que le corps call
ance grise de la tête du noyau caudé, dans la région inférieure de ce
centre
, qui fait suite au putamen. Nous ajouterons ici
de l'isthme'gris fronto-sphénoïdal (schéma 124). CO. Le faisceau du
centre
ovale (fig. 124) présente ici son maximum d'épais
voit même se prolonger au delà de la capsule proprement dite, dans le
centre
ovale (ThA, fig. 130) où sa striation persiste. L
n trajet en avant et en dehors au milieu des fibres entre-croisées du
centre
ovale. PEL. Le septum lucidum ou pellucidum, ou
divise en dehors en deux lames : une supérieure se confondant avec le
centre
ovale, une inférieure aboutissant à la couronne r
ec celles de la capsule interne (Cl, fig. 152) qui s'épanouit dans le
centre
ovale du lobe frontal. LES. La capsula extrema
.résout en une teinte claire qui se confond avec celle du faisceau du
centre
ovale (CO). CO. La masse des fibres du centre o
celle du faisceau du centre ovale (CO). CO. La masse des fibres du
centre
ovale (iîg. 128, 13Ô) dont la presque totalité pr
se perdre dans la lame verticale de l'avant-mur (CL). Le faisceau du
centre
ovale se môle par conséquent à la capsule externe
es circonvolutions orbitaires. La portion supérieure du faisceau du
centre
ovale (CO, fig. 132), sortie du corps calleux, s'
égales pour se répandre au-dessus et au-dessous du ventricule dans le
centre
ovale du lobe frontal. Nous reviendrons encore su
8, on ne distingue plus sa véritable direction, la région frontale du
centre
Profil du corps calleux de l'hémisphère gauch
du noyau caudé nous a présentée jusqu'à présent. CO. Le faisceau du
centre
ovale (fig. 157), issu du corps calleux (ce) s'in
fibres du corps calleux qui se terminent, en s'épar-pillant, dans le
centre
ovale du lobe frontal. Mais c'est seulement par c
d'une grosse masse grise qui, à sa partie inférieure, est séparée du
centre
médian (NmC) par le bras du pulvinar (BP) et, à s
constituer le noyau postérieur de la couche optique (NpC). NmC. Le
centre
médian, situé juste au devant de la masse du pulv
les deux noyaux interne et externe de la couche optique, au-dessus du
centre
médian. Il en a été déjà question à propos des co
faisceau cérébello-thalamique (CEO, fig. 4), s'épanouit au-dessous du
centre
médian. LTE. La lamina tegmenti, située plus en
u rétrograde. NeC. Le noyau externe du thalamus (ûg. 8 et 9) est le
centre
de convergence des fibres venues de la lame médul
se reconnaît à l'extrémité antérieure du claustrum (CL), en dehors du
centre
ovale (CO). FOV. Le faisceau occipital vertical
se du septum lucidum (GSL, fig. 5), puis se confond avec la moelle du
centre
ovale (LMV, fig. 4) en dedans et en arrière du si
CMT. Commissure de Meynert. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale. COL Commissure inférieure (dans la subst
onnante supérieure du noyau lenticulaire. RNm. Couronne rayonnante du
centre
médian. RO. Recessus opticus. nos. Fiostrum, fi
fausses membranes épaisses et anciennes. Examen histologique. Les
centres
nerveux et les nerfs périphé- riques ont été ét
A un faible grossissement on voit qu'elles présentent toutes à leur
centre
un vaisseau assez volumineux et que leurs limit
volumineux que la veine elle-même, dont la lumière est aplatie ; au
centre
de ce nodule les éléments se colorent moins bien
rginale de Westphal qui est parfaite- ment intacte; en dedans parle
centre
ovale de Flechsi, qui est déjà un peu plus pâle
Westphal. Les colonnes de Clarke présentent une tache claire à leur
centre
. ri. 1 ? . Observation II. Moelle lombaire ;
nes de Lissauer; intégrité relative des champs postéro-externes, du
centre
ovale et surtout des zones marginales de Westphal
s mots, il y aura le même mutisme que s'il a été atteint, dans le
centre
de la mémoire motrice des mots. Il est évidemment
te naturelle de. ces faits dans l'exa- men anatomo-pathologique des
centres
nerveux de ces deux L'IDIOTIE ET l'imbécillité.
'idiotie est toujours symptomatique d'une affection 'organique des'
centres
nerveux. Quanta' l'imbécillité elle est complèt
lement à un trouble fonctionnel mais non à une lésion organique des
centres
nerveux. Elle constitue [le degré le plus infér
nant par- accès et'sous'l'influence ! ' d'un état hallucinatoire DU
CENTRE
verbal PSYCHO-üOTEUR par le' Z PIER9CCINL' (Riv
f à faisceaux grêles dont se compose la paroi des" alvéoles. A leur
centre
on'distingué une'grosse cellule "godronnée qui
s en une même.masse. Lës'séctions longitudinales montrent que, le.,
centre
? de i chaque, système alvéolaire primitif se t
denses se rencontrent parfois dans -l'épaisseur méme;'etnon plus au
centre
) de la coque, : dont la' masse* se .comporte alor
ontrer,1 sur les coupes transversales, des tubérosités fibreuses'au
centre
desquelles on ne distingue aucune formation par
e plus ici les corps sphéroïdaux que je viens de décrire, avec leur
centre
nettement particularisé et leurs stries minces
ntre elles réunies en groupe (PL/11, fig. 20), qui constituent le
centre
de la formation lamelleuse. Parfois encore, mais
de ces alvéôles, leurs dimen- sions régulièrement décroissantes' du
centre
à" la'périphérie, la présence assez fréquente d
fig..20) et souvent alors elles possèdent un groupe alvéolaire pour
centre
, (PL. Il, . --0). Parfois -aussi^certains s sys
ées, entou- rées d'une zone claire non protoplasmique et situées au
centre
des foyers élémentaires, que Blocq et Marinesco
erprétations il n'en est aucune qui me, paraisse satisfaisante. Les
centres
hyalins des foyers noduleux, sont bien plutôt d
tré mais une fois seulement une fibre nerveuse coupée en travers au
centre
même d'un de ses foyers. Le second mentionne ég
our d'un ou de plusieurs points que l'on pourrait assimiler à des
centres
de cristallisation. Etant donné qu'au voisinage d
nnes et superficielles, les couches profondes rangées autour d'un
centre
virtuel subiront une compression croissante ; ell
e les autres ou séparées par des espaces ^lymphatiques,, et dont le
centre
est occupé par des formations diverses. Tantôt
150. Un petit foyer mésoneuritique composite. a a, petits nodules à
centre
nucléaire; bb, formations périvacuolaires; c, for
péricellulaire. 1 , 111, 1 Fig. 6. 1/200. Foyers mésoneuritiques à
centre
nucléaire; a, foyer simple; b, foyer composé..
(a). " ' 1 , 1 Fig. 9. 1/250. Petit foyer mésoneuritique composé à
centre
cellu- laire (a) et hyalin (b). . , Fig. 10.
ux grands foyers. L'un (A) se subdivise lui-même en trois nodules à
centre
demi-vitreux, demi-cellulaire (a, a') et nucléair
u moins aplatis pour la plupart dans le sens des stries, et dont le
centre
est formé par une sphérule hyaline pure à conto
que. Pas de vacuoles, mais seulement des cellules et des noyaux. Le
centre
du nodule est occupé par un bloc hyalin (c); à
ion, il en résulte; par-hypérémie compensatrice, une irritation des
centres
sous-corticaux ? " ' P. K. XXXVI 1. DE L'ACTION
n de la réaction à la lumière (interruption des connexions entre de
centre
âccom- modateur et le centre sphinctérien). Plu
(interruption des connexions entre de centre âccom- modateur et le
centre
sphinctérien). Plusieurs observations témoi- gn
Angoisse et sensation anormale au sensorium, équilibre instable du
centre
, sous une influence phy- sique ou morale, hallu
du côté droit, avec suppression complète du sens des couleurs. Les
centres
corticaux optiques étant demeurés intacts, il f
erruption des coordinations optico-acoustiques, lésion probable des
centres
opti- ques. Chez le second il y a paraphasie, p
émoratives des impressions acoustiques des mots, lésion probable du
centre
auditif gauche. Pas d'autopsies. P. K. X. Deux
sthé- sique (1). , La maladie de Basedow tient à une paralysie du
centre
vascu- laire du bulbe; de là, hypérémie cortica
colie est due, d'après Meynert, à ce que l'écorce ne modère plus le
centre
vasculaire du bulbe; alors les vaisseaux cor- t
ires. " Pathogénie. l°Action délétère primitive de l'alcool sur les
centres
trophiques des cornes antérieures, puis, second
l y a simplement chez lui déviation de l'instinct, hypertrophie des
centres
génitaux, spinaux et cérébraux, sans que l'inte
e jeune sujet déséquilibration nerveuse, prédominance tantôt d'un
centre
tantôt d'un autre, et en clinique mentale, déséqu
par C..., que cette déséquilibration n'atteint pas seulement les
centres
sexuels, mais qu'elle a fini par envahir l'intell
espèce; let ènéôre"lâ moelle n'agit-elle que par' cer- tains de ses
centres
, les plus inférieurs, d'une'manière pure- ment
par cette apparence d'automatisme, par ces décharges brusques d'un
centre
qui se trouvait conges- tionné, c'est-à-dire pr
rdinairement qualifié de volontaire rié'1 est pâs cliéz euX; chaque
centre
agit dès que les conditions physiologiques de'
it en grande partie désorganisé. D'après les théories modernes, les
centres
inhibiteurs ne pouvaient donc plus manifester l
fou homicide A... n,est,anormal qu,eli` appârence.lf ? na i 10J Les
centres
inhibiteursdesparties,antérieures,.du cerveau ?
,antérieures,.du cerveau ? étaient, chez'A..., sans, action sur'les
centres
;situées plusienf arrière, et l'idée se transfo
lules inhibitrices, oit'pal, 1 atrophie des fibres qui, relient les
centres
d'inhibitiôn`ûi'àutrès pârtiés'dû''cerveau,Fplrti
, partie corresponda : otedu·çràne,elle est, absolument intacte. Au
centre
de-cet espace,Lil.existe dans 1,'épaisseur^de l
ns les autres parties du cerveau, mais elle, sa fermeté normale; au
centre
, cependant.' à, l'endroit le.plus atteint, elle "
le dans laquelle on s'accorde en général à admettre l'existence* de
centres
d'inhibition. b ? < ? ? 4 t, t ' i.j. sjtii.
ue le pro- cessus spinal a; par propagation,'excité directement les
centres
de ces. muscles et en a déterminé le trouble fo
la parole écrite dans le lobe "occipital, y : ait destruction`de ce
centre
,, soit que, ce qui est plus'croyable;4ll il v a
yable;4ll il v ait quelque part interruption des fibres unissant le
centre
de la^'ue et celui deJa.parole^La faculté d'écr
luspas exacte- ment les points atteints 'du'centre de la vue et 'du
centre
dé' la parole ou de leurs fibres d'association.
s apparaissent d'abord et pré- dominent dans le membre dépendant du
centre
cortical où siégeait 1a9 tumeur ; en s outre pa
onsidération car il apporte une preuve indéniable des relations des
centres
psycho-moteurs avec les éléments corticaux sensit
u'il dépendait d'une altération bulbaire, 'cette altération pour le
centre
cardiaque bulbaire devait être limitée à la porti
e et probablement de la; sensibilité cutanée; il suffit donc que le
centre
ou un point quelconque de cet appareil : soit d
ures ;'2° le noyau'antérieur et- le'tubercule acous- tique sont des
centres
primaires des racines postérieures de l'au- dit
de l'au- ditif ; 3° les olives supérieures constituent aussi un des
centres
primaires du nerf auditif;'4 les fibres de l'au
interruption des connexions entretlé"centi·é`a.ééàm- modateur et le
centre
sphinctérien). Existence de la réaction pupii-
culaires intracéré- brales. La' partie de la racine qui'avoisine le
centre
dégénère la pre- mière, du moins en' ce qui con
PHYSIOLOGIE'PATHOLOGIQUES. phérie du nerf, près de ses attaches au
centre
, ou au centre même, mais, dans, cei dernier cas
ATHOLOGIQUES. phérie du nerf, près de ses attaches au centre, ou au
centre
même, mais, dans, cei dernier cas'. la dégénére
: indique'dans le mé- moire, dans le ruban de Reil, ont aussi pour
centre
cortical les ascen- dantes : - 4° La plus grand
corps restiformej le cervelet (nouveau). 5° Les ascendantes sont le
centre
cortical non seulement des cordons, antérieurs et
e l'angoisse et le 'cerveau. 'perçoit dés sensations anormales, les
centres
sont dans un état d'équilibre instable si bien,
eauantéro-postérieur et un trousseau latéral qui convergent vers le
centre
du corps cupuli- forme de Flechsig d'où ils rep
n trouve un cerveau petit,- rriais sanslacunes.Or,au beau milieu du
centre
ovale deVieus- sens,' .existe une substance gri
.nrn ? yjflT F i..t'/uq ) 1 XXVII. Contribution LA localisation DU
centre
DE la, vessie, DU rectum, ET DE l'érection chez
e et aux études de plysiologie expérimentale, ce fait prouve que le
centre
de la vessie, dnr rectum;l'de91'érectiônnoccupe
expérimentales sur l'inoculation DE L : 1TUBER- GU ? E'I)AIN7S les
centres
nerveux ; par 'FEDESCHI (Riv. sep. di fren. ; f
es à, la tuberculose inoculés;, avec^ du virus tuberculeux dans les
centres
nerveux^meurent en moins de temps que lorsqu'il
ailleurs l'intervention d'autres infections. L'inoculation dans les
centres
nerveux détermine une augmentation de lence de
tants au virus tuberculeux i succombent à- l'inoculation j dans les
centres
, nerveux. Leur mort-l n'est.pas en rapport avec
à disparu. Chez* les. animaux résistants, le virus inoculé dans les
centres
nerveux subit un certain degré d'exaltation. Po
ur évaluer les effets de l'ino- culation de la tuberculose dans'les
centres
nerveux, on ne doit pas tenir compte seulement,
tra-cérébrales. La partie de-*la partie de la racine avoisinant, le
centre
dégénère le première, du moins, quant au facial
iqûé latséctiônsà' lë péripliériérdu'rierf,'près dé'son' attâché au
centre
, ou au centre m6me ? mais,'dans* ce der- nier c
nsà' lë péripliériérdu'rierf,'près dé'son' attâché au centre, ou au
centre
m6me ? mais,'dans* ce der- nier cas, la clegene
i passent, comme il est dit, dans le ruban de Reil, ont aussi, pour
centre
cortical, les ascendants.' ' La' pius grande part
endantes. ' Par conséquent, les circonvolutions ascendantes sont un
centre
cortical du trijumeau. Il existe, une voie de '
t.'r-t dans le tabes. Les lésions des fibres nerveuses croissent du
centre
à la périphérie, ce qui-' ' médullaire.'1'" uy.
omplications en question. G'est une atrophié musculaire marchant du
centre
à la périphérie, sans troubles de la sensibilit
es Localisations cérébrales. La partie de ce tra- vail relative aux
centres
moteurs corticaux était à peu près terminée. El
uction dont la'légitimité est presque toujours contestable, car les
centres
nerveux des vertébrés, même des vertébrés supér
on à distance, s'associant aux effets de la destruction limitée des
centres
nerveux, ont provoqué des réactions complexes-
s serons en droit de conclure que le lobule paracentral renferme un
centre
d'activité nécessaire à l'exécution des mou- ve
ienne à-isuccomber. Si son autopsie ne révèle aucune altération des
centres
nerveux l'absence» absolue de lésions sera; par
eurs; l'objet exté- rieur, - le nerf d ? t ? (organè ,desrsens), -·
centre
rieur, le nerf conducteur, (organe .dès-sens),
rsens), -· centre rieur, le nerf conducteur, (organe .dès-sens), le
centre
récepteur (cerveau). ,Dans, l'hallucination,, l
jectif, prove- nant en dernière analyse d'une excitation interne du
centre
cérébral..Cette excitation, suivant, les uns, n
auche, piqueté accentué, allant en diminuant dans la profondeur. Le
centre
de Vieussens est blanc,' décoloré] Les ventricu
bour- geons néoplasiques : le plus gros, antérieur, est sphérique,à
centre
déprimé, mesurant dans ses, plus grandes dimens
enfant suivant des modèles indi- qués par F. Voisin=etlE : : Seguin
centre
autres,gavant l'opéra- tion et quelque temps' a
i montra des lésions de méningo-encéphalite localisées au niveau du
centre
moteur du langage et des centres mastica- teurs
encéphalite localisées au niveau du centre moteur du langage et des
centres
mastica- teurs, les formes variées des divers a
us d'ziîz an. Leur association étroite avec un état d'éréthisme des
centres
masticateurs : l'halluci- nation motrice verbal
atoires, de leur association étroite avec un état d'excitation des,,
centres
"des muscles'masticateurs de .leur dépendance d'
rçoit ainsijdeSjparoles sans l'intervention d'images auditives.^Les
centres
dits moteurs^ sont, en réalité mixtes ou^ sehsi
nt, së'nsitifs·(Munk, J. Soury) : le pied delà troisième frontale, ^
centre
; des mouvements, d'articulation,; est donc le s
té..Toutefois,, avec la durée et l'intensité de . l'excitation du
centre
cortical, ,une émission de mots pourra se produ
ûmes qu'une seule fois mettre en évidence le retentissement sur 'le
centre
auditif verbal de l'éréthi'sme' dû' centre" mot
e retentissement sur 'le centre auditif verbal de l'éréthi'sme' dû'
centre
" moteur 'd'articulation' : la malade nous ayant
"tt, / , Ces points étant admis, oncomprnd, que -l'érétllisme,du
centre
cortical du, langage articulé, `reténtisse ? tche
ensitivo-môteurs corticaux respiratoire et laryngé avec lesquels le
centre
d'arti- culation verbale fonctionne synergiquem
,1 "*«.' 1 - Si 1 existence de spasmes produits par l'érétliisme du
centre
cortical'moteu'r du trijumeau (centre masticate
produits par l'érétliisme du centre cortical'moteu'r du trijumeau (
centre
masticateur) est un phé- 1 corticalmotéur du tr
eau (centre masticateur) est un phé- 1 corticalmotéur du trijumeau (
centre
masticateur) est un plié- y nomène banal'à la p
s au point de vue anatomique et, physiologique sur des rapports les
centres
corticaux inté- resses/c'est'd'une part, là'pré
constante de 1 état derethisme, dû,rcentre, moteur du,trijumeau au
centre
moteur verbal d'articulation et récipro- quemen
? l*i" " ? j-1,fi ? K ' 0 , ment des dentsctenait a une lésion 'des
centres
moteurs de ? tm.tt ? t""1t f't ? ? ? nt, ) <4t
ue mensuelle de médecine ? idées 1877);iu. Recherches ! ,surS%les-\\
centres
nerveux, · 2° série,'Masson, 1893. \ct'Is «o\)t
bserves pendant la vie avaient traduit 1 excitation,, a savoir : le
centre
sensitivo-moteur verbal (pied(ide,laf r), siège
esthétiques correspondant ^aux mouvements d'articulation ? et* le",
centre
masticateur du trijumeau (pied de la, frontale
- t : I., particulière- ment en raison de I.a'co'ntigu'ité "de l'ce
centre
avec- lè' centre d'articulation et des connexio
lière- ment en raison de I.a'co'ntigu'ité "de l'ce centre avec- lè'
centre
d'articulation et des connexions physiologiques
re de ',\la* frontale ascendante. « L est, dit Ferrier, de tous les
centres
èxeito ? m'oteurs ? ei*Ul qui,est le plus antér
, r ''' partie intérieure, de la frontale ascendante, en arrière du
centre
du pharynx, situé lui-'m'ê;n'e"'é'n4"'a'r"rlë'r
t quatre jours, , suivi, d'attaques tétanie ' Hirt. Localisation du
centre
cortical des muscles masticateurs chez l'homme.
ts cliniques et expérimentaux ^on, peut conclure a l'existence d'un
centre
cortical des mouvements de'mastication au iüveà
, ' r. , ff *- t * Ajoutons, puisque nous sommes amenés à parler du
centre
masticateur, qu'on a cru devoir admettre, sans
re, sans raison suffisam- ment^ demontrative'à à notré avis, què ce
centre
cortical 'était'' - ? P« ' - ; Mo ins excitab
'' - ? P« ' - ; Mo ins excitable q ue 1 e' u res.'En'ré'alité, le
centre
moteu> ? 'du' *' q, ? ? . , ,, ". ,, triju
de ' la" tuberculose) z cette prétendue 'excitabilité3 faible du
centre
masticateur';1 n'est pas confirmée, ainsrque le
périénes'de' " .Luciani et Tamburini'césjauteurs'ont observé que le
centre
' ` des mouvements' des lèvres et des mâchoires
ître' lé pre- mie liez' les'ranimaüx nouveau-nés. D'autre, part, le^
centre
masticateur, dont les fonctions' sont pour A2fI
des, troubles hallucinatoires, eux- mêmes tout a fait localises au ^
centre
d'articulation ;. la malade est'accusée d'actes
ec la localisation si longtemps . isolée de l'éréthisme cortical au
centre
moteur d'articulation. . Tous les territoires s
s la zone sensi- tivo-motrice que le pied de la troisième frontale (
centre
mo- teur verbal) et l'extrémité inférieure de l
nférieure de la frontale ascendante (qui renferme, entre autres, le
centre
masticateur). f) Existence dans la paralysie gé
'fq «bnoa9* : 1 «ni ) t LU. L'AgE,lCR);BRO-SPINAL (CONSIDERE. comme
CENTRE
TIIEIt3tIQUE , ET gÇOdI71E·MOTEURiBYDRAULIQUE;
.,m^ 1 , ' -,» ? ». «i ? «ris i^-tt 10,1axe, cérébro-spinai.est un.
centre
thermique statique et un ' " " * " "1" ' l' - "
ch*e'4cëiit'r'aie ? lls,'pydtiisé'nt',uti" liquide, répondant à ces
centres
, liquide qui,. pratiquement, est statique et fl
e se condenser rapidement. r5-F ? a ? z 2 2° ! Dans les parties des
centres
, nerveux ^désignées sous le nomade substance gr
, dedans cette substance, que les replis de la membrane divisent en
centres
dont, ch'acûn1 possède sa~surfa.ee propre.- d'o
organe indépendant^D'autre part la substance blanche est ]e, grand
centre
de réception, qui1 fournit ^ux, centres grisée
stance blanche est ]e, grand centre de réception, qui1 fournit ^ux,
centres
grisée combustion les matériaux nécessaires à c
e suffisamment de chaleur,, pour maintenir, le, volume total de ces
centres
au degré^convenable ide,J, tension. ^ Dans les
oi'té que sous l'influence ^de" la combustion qui se passe dans les
centres
, les cordons nerveux, cérébraux et spinaux sont
extrémité, périphérique, sous l'influence de, la pression venue des
centres
, le nerf abandonnetune partie de. son liquide,
it, et . où les fonctions organiques placées sous la dépendance(des
centres
.nerveux,, compris les fonctions musculaires, s
plus délicate. Une diminution modérée favorisera' l'expansion des
centres
. Une température élevée sans transpiration, rédui
ysttqtié s. i.- ^ n' 6° L'axe cérébro-spinal n'est pas seulement un
centre
d'absorp- REVUE, d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
· ? ? . "t) .. z ' f7ffDânsyéÿttë'tlTéôrie; les ganglions sont des
centres
supplémen- taires/atime'ntês'par les sources pr
pales ; ils sont placés, comme des intermédiaires, entre les grands
centres
et les muscles invo- 101]tàii.e's"f'i fournisse
ésion'directe.La décussation nerveuse est l'artifice par lequel les
centres
sont'mis dans l'impossibilité de devenir indé-
e naissance.au mouvement réflexe après j s'être propagée jusqu'au
centre
par vibrations le long d'une, ligne liquide, sépa
tre par vibrations le long d'une, ligne liquide, sépa'nouit dans ce
centre
, elle y,excite,ielle y hâte, l'oxydation, et. pro
st-sÙivie'd'uiie'gerl)edè3vi- brations`de9réatioü ? qui, partant du
centre
, aboutissent à de grands groupes musculaires et
iphérique ; elles sont déterminees-pai, taop mtense vers les grands
centres
, une augmentation passagère de la vibration dan
grands centres, une augmentation passagère de la vibration dans ces
centres
mêmes, et une'radiation en retour vers,les musc
àla façon d'une fièvre, elle yi voit un excès d'activité des grands
centres
nerveux ? ayant-) leur «originen dans .ces, cen
vité des grands centres nerveux ? ayant-) leur «originen dans .ces,
centres
1 mêmes, ou bien payant pour, cause unej activi
nael doivént,étre,préférées,quandjôn véut 1 i'* dier les lésions du
centre
; ovale ? il est des. cas dans lesquels les divi
t' par exemple' les -noyaux moteurs des'nerfs et 'quelques- uns des
centres
originaires des organes des sens ! ' Si nous'trou
moteurs' une forme' cellulaire' à structure'précisé, tandis"que;les
centres
, originaires, de l'olfactif, ou, d 115 nyau, sei
comprenons' pas que -Ton dénie"' la syphilis toute ' action sur les
centres
nerveux/ alors que l'on accorde 'ce pouvoir aux
s causede cetteimmunité. du, moins" dans, le'presentvis-à-vis des
centres
nervéûg, ontrouvelquë 1'hérédité,pour 1 es ascen
is parce qu'il agit trop sur le muscle. Monell attaque le mal à son
centre
à travers la constitution générale à l'aide de
itzig); elle s'étend à toute l'écorce, car l'élimination des divers
centres
ne 454 SOCIÉTÉS' SAVANTES. produit qu'un affa
ibuables à la commotion et enfin les troubles fonctionnels des <
centres
nerveux. Toutes les variétés de blessures peuve
ôrgcïziqûe ? 4852; Le- çons sur la physiologie et la pathologie des
centres
nerveux (encan- glais), 9860;-Leçons sur les pa
1a0. Un petit foyer mésoneuritique composite, a a, petits nodules à
centre
nucléaire; bb, formations périvacuolaires; c, for
rmation péricellulaire. Fig. 6 ? 1/200.' Foyers mésoneuritiques à
centre
nucléaire; a, foyer simple; b, foyer composé.
(a). ' '3 ,. Fig. 9. 1/250. petit foyer mésoneuritique composé, à
centre
cellu- laire (a) et hyalin (b). Fig. 10. - 1/
u moins aplatis pour la plupart dans le sens des stries, et dont le
centre
est formé par une sphérule hyaline pure à conto
. Pas de vacuoles, mais seulement des cellules et des1" noyaux." Le
centre
du nodule est occupé par un bloc hyalin (c) ; à
des en psychiatrie et en an- thropologie, par, Neecke ? 53; ? du
centre
de la.vessie, du rectum ^ 'et de, l'érection, p
étronal, par Mabon, 284. Tuberculose, inoculation de la .dans les
centres
nerveux, par Te- deschi, 217; dans les asiles
lutions du cerveau du singe, lobes frontal, pariétal et sphénoïdal. —
Centres
psycho-moteurs. — Diffé-rences dans la compositio
, M, avant-mur ; — R, troisième ventricule ; — A, corne d'Ammon; — B,
centre
ovale. saillant dans la disposition réciproque
ayonnant dans tous les sens: en avant, vers l'extrémité frontale ; au
centre
, vers les régions pa-riétales ; en arrière vers l
rbe ; — l o, lobe occipital ; — l q r, lobeorbitaire. Situation des
centres
pour les mouvements volontaires sur le cerveau du
aires sur le cerveau du singe, d'après Ls descriptions de Ferrier :A,
centres
pour les mouvements volontaires du membre antérie
:A, centres pour les mouvements volontaires du membre antérieur ; —B,
centres
pour le membre postérieur : — C, mouvements de
mâchoires, etc. ; — F, certains mouvements des yeux, vision ; — G,
centre
en rapport avec les mouvements des oreilles et l'
r, l'extrémité supérieure de cette circonvolution est occupée par les
centres
moteurs (A) du membre supérieur du côté opposé.
rémité postérieure du premier étage constitue, au dire de Ferrier, un
centre
G dont l'excitation fait mouvoir la tête. — 2° Se
lon le même auteur, la partie postérieure du deuxième étage serait le
centre
des mouvements de la face, D. — 3° Enfin, dans le
. — 3° Enfin, dans le troisième étage serait placé, chez le singe, un
centre
qui préside aux mouvements des lèvres et de la la
volution pariétale ascendante. Dans une partie de ce lobule réside le
centre
moteur du membre supérieur (À), qui s'étend jusqu
pondent aux circonvolutions fondamentales, représentent-ils autant de
centres
fonctionnels distincts? C'est là une question que
era aussi avec fruit la traduction du livre de Huguenin (Analomie des
centres
nerveux), par Keller et M. Duval. diverses régi
s mêmes cellules dans les points désignés par Fritsch et Uitzig comme
centres
moteurs, autrement dit dans les parties quiavoi
idales ou cellules gigantesques. — Relation entre ces cellules et les
centres
psycho-moteurs. Description de la face interne
le singe, d'après les expérien-ces de M. Ferrier (1), siégeraient les
centres
psychomoteurs pour les membres. N'est-ce pas là,
sé le corps calleux d'avant en arrière, vous reconnaissez, d'abord au
centre
, la surface de section de cette grande commissure
complètement paralysés, par suite d'une lésion spinale profonde, les
centres
psychomoteurs, frappés d'inertie à une époque où
regretter, toutefois, que l'on n'ait pas songé à rechercher dans les
centres
psycho-moteurs l'état des cellules nerveuses. •
mais dont il est juste de tenir compte, sembleraient indiquer que les
centres
psycho-moteurs ne sont pas préétablis, si l'on pe
d'acquérir du développement et de donner de la sorte naissance à des
centres
moteurs supplémentaires, destinés à remplacer les
sance à des centres moteurs supplémentaires, destinés à remplacer les
centres
primitifs qu'une lésion quelconque aurait détruit
irespeuvent se reproduire dans un mem-bre, malgré la destruction d'un
centre
moteur, phénomène dontla guérison plusieurs fois
lligence d'un bon nombre de lésions anatomiques dont cette partie des
centres
nerveux peut être le siège. . Vous-vous souvene
lons se montrent de nouveau verticales. Ces artères pénètrent dans le
centre
ovale jusqu'à une profondeur de trois à quatre ce
hemin. Les unes vont jusqu'à la limite de la couche grise, du côté du
centre
médullaire; les autres s'étendent moins loin et s
pénétrant peu à peu. Cette invasion se fait de la pé-riphérie vers le
centre
du territoire envahi. Eue s'opère par l'intermédi
inséré dans les Archives de physio-logie, 1874.) placer les fameux
centres
moteurs et c'est là aussi que la cli-nique, avec
ent indemnes. les expériences de Ferrier sur le singe, le siège des
centres
moteurs des membres. Vous voyez, d'après la distr
étale ascendante, qui, chez le singe, est le siège, selon Ferrier,-du
centre
des mouvements du membre supérieur et, pour une
hémorrhagie, 17 fois seulement le foyer a pris naissance soit dans le
centre
des lobes antérieurs ou pos-térieurs, soit à la p
résume, si l'on peut ainsi dire, cliniquement, toute lapatho-gie des
centres
ganglionnaires. Le syndrome qui se rattache à ce
gée elle-même. Elle avait cru en effet, autrefois, reconnaître que le
centre
des impressions sensitives n'est ni dans le cerve
de fibres nerveuses centripètes, ayant pour rôle de conduire vers le
centre
les impressions sensitives venues du côté opposé
nations de la vue, etc., que d'hémianesthésie ou d'amblyopie. me un
centre
des impressions sensitives et sensorielle?. Ces f
ert 1 composent pour une bonne part la masse centrale blanche appelée
centre
ovale, que l'écorce grise des hémisphères envelop
mentaires (Henle) et ne peut être, par conséquent, considéré comme un
centre
au même titre que le corps genouillé externe. Soi
voies sensitives et sensorielles. C'est un carrefour, ce n'est pas un
centre
. Le centre cérébral proprement dit doit être cher
tives et sensorielles. C'est un carrefour, ce n'est pas un centre. Le
centre
cérébral proprement dit doit être cherché sur le
les qui produisent des dégénérations secon-daires répond au siège des
centres
dits psycho-moteurs. Messieurs, Nous devons a
té et continueront à entretenir la relation entre l'un quelconque des
centres
gris en question, et les parties périphériques, t
oncé : 2° Les foyers situés en dehors des masses centrales, dans le
centre
ovale de Vieussens, pour peu qu'ils atteignent ce
z le singe, sont désignées par l'expérimentation comme renfermant les
centres
dits psycho-moteurs ; ce sont aussi ceux dans les
alors peu connu, que jouent les. altérations de certaines parties des
centres
nerveux sur le développement de divers troubles t
ment à la maladie connue sous le nom d!'induration multiloculaire des
centres
nerveux, àe sclérose en plaques, prêterait à des
ns leur véritable jour les tra-vaux relatifs à l'anatomie morbide des
centres
nerveux, vous n'auriez pas manqué de reconnaître
chlossberger, celles de Weisbach ont appris, par exemple, que dans le
centre
ovale la proportion d'eau est représentée par 92,
lapin, le chien; tandis que, par contraste, ces régions excitables ou
centres
moteurs existent déjà, d'après les observations d
au pyramidal dans les pédoncules céré-braux, la capsule interne et le
centre
ovale. Sommaire. — Trajet du faisceau pyramidal
ent postérieur de la capsule interne. Du faisceau pyramidal dans le
centre
ovale. — Observations chromologi-ques de Parrot.
le faisceau pyramidal peut être poursuivi jusque dans l'épaisseur du
centre
ovale, et même jusqu'à la couche grisé corticale.
passe, suivant M. Flechsig, le faisceau pyramidal. Parvenues dans le
centre
ovale, les fibres de ce faisceau com-mencent àse
e fibres nerveuses revêtues de myéline. En ce point, les faisceaux du
centre
ovale se présentent sous la forme de deux tractus
epose sur les masses ganglionnaires centrales, où il paraît avoir son
centre
de formation, et s'avance dans la direction du si
Parrot, il exis-terait pour cette partie du faisceau pyramidal, deux
centres
de formation : l'un siégerait dans un point quelc
faite d'après les documents fournis par l'examen du développement des
centres
nerveux. Cet exposé préliminaire, un peu long peu
tiennent à tous égards une place importante dans la pathologie des
centres
nerveux (1). II. Les dégénérations secondaire
e. - A, dé-génération du faisceau pyramidal dans un cas de lésion des
centres
moteurs hémisphériques. — B, dégénération du fais
énérations secondaires, tant à la suite de l'altération des fibres du
centre
ovale qu'à l'occasion des destructions corticales
ions désignées depuis les travaux de Hitzig et Férrier sous le nom de
centres
moteurs, c'est-à-dire dans la substance grise des
ccasion de vous faire remarquer en passant, que cette dénomination de
centres
moteurs n'implique dans mon esprit aucune idée ph
tuées des faisceaux pyramidaux. Les lésions en foyer intéressant le
centre
ovale dans la région rolandique, sans participati
général que lors-qu'on coupe un nerf, de manière à le séparer de son
centre
, ce nerf s'altère, chez les animaux supérieurs, s
n de la vitalité dans les fibres ner-veuses, ou, autrement dit, leurs
centres
tropbiques doivent donc être cherchés dans la dir
ation du bout périphérique, le bout central restant indemne : donc le
centre
trophique de ces racines et des tubes nerveux qui
eaux radi-culaires jusqu'à la substance grise ; de telle sorte que le
centre
trophique, pour les nerfs sensitifs, doit être ch
nombre sont : Io les faisceaux pyramidaux composés de fibres dont le
centre
trophique serait dans les cellules pyramidales de
les origines se superposent de haut en bas dans les divers points du
centre
gris spinal. Au contraire, les faisceaux qui dé
nèrent par en haut sont assimilables aux racines postérieures dont le
centre
trophique est périphérique. De ce nombre sont : I
ont le cenlre trophique est dans la moelle elle-même, tandis que leur
centre
de terminaison est dans le cervelet ; 2° les fais
e terminaison est dans le cervelet ; 2° les faisceaux de Goll dont le
centre
trophique occupe la substance grise des régions i
e la substance grise des régions inférieures de la moelle et dont les
centres
de terminaison répondent à la substance grise de
é quatre jours après l'ablation du gyrus sigmoïde. Ainsi sé-parées du
centre
trophique cortical, ses fibres perdent leurs prop
s dans toute la hauteur de la moelle. Chacune de leurs fibres a son
centre
tropliique en bas, et dégénère, vous le savez, da
ssurales longues, qui dégénèrent également de bas en haut, et dont le
centre
trophique est par conséquent situé plus bas que l
et dont le centre trophique est par conséquent situé plus bas que le
centre
de terminaison. Ces fibres intrinsèques du systèm
trémité inférieure, plongent dans la substance grise où ils ont leurs
centres
trophiques, et, par en haut, dans le cervelet, qu
ent, mettent en relation les cellules mo-trices des divers étages. Le
centre
trophique de ces fibres est au-dessus du centre d
des divers étages. Le centre trophique de ces fibres est au-dessus du
centre
de terminaison, puisqu'elles dégénèrent de haut e
les cellules pyramidales de la subs-tance grise. C'est là qu'est leur
centre
trophique. Ces fibres traversent l'encéphale, par
nt séparées par les cellules ganglionnaires qui sont leurs véritables
centres
trophiques. Il n'y a donc pas identité, et l'on n
ce phénomène dans ses relations avec les différentes affec-tions des
centres
nerveux et d'en chercher la signification. Ainsi,
ces tracés concourent à démontrer l'exagération du pouvoir réflexe du
centre
spinal dans la Fig. 83. — Réflexe rotulien. Côt
pathologique. Mais, aujourd'hui que l'action delà strychnine sur les
centres
nerveux a été étudiée (1) Ce deuxième travail e
ulaire, dépend-d'une stimu-lation également permanente exercée par le
centre
nerveux spinal. « La moelle épinière, dit M Vulpi
a) Dans la première phase, les tubes nerveux étant sépa-rés de leurs
centres
trophiques qui sont en même temps leurs centres d
ant sépa-rés de leurs centres trophiques qui sont en même temps leurs
centres
d'excitation fonctionnelle, la situation équivaut
e mêlant à ses fibres. Ces tubes nerveux n'étant pas séparés de leurs
centres
trophiques, ne dégénére-raient pas, mais resterai
dant, au point de vue physiologique , la partie la plus importante du
centre
spinal. Il suffira de rap-peler qu'elle est le li
ses et si variées des affections qu'on rencontre dans la clinique des
centres
nerveux. L'ar-rangement, l'enchaînement des sympt
lutions du cerveau du singe, lobes frontal, pariétal et sphenoidal. —
Centres
psycho-moteurs. — Diffé-rences dans la compositio
idales ou cellules gigantesques. — Relation entre ces cellules et les
centres
psycho-moteurs. Description de la l'ace interne
les qui produisent des dégénérations secon-daires répond au siège des
centres
dits psycho-moteurs.............. 150 DEUXIÈME
eau pyramidal dans les pédoncules cérébraux, la capsule interne et le
centre
ovale. Sommaire. — Trajet du faisceau pyramidal
ent postérieur de la capsule interne. Du faisceau pyramidal dans le
centre
ovale. — Observations chromologi-ques de Parrot.
énérations secondaires, tant à la suite de l'altération des fibres du
centre
ovale qu'à l'occasion des destructions corticales
anté-rieures, 19, 244 ; — kinésodiques, 284 ; — œsthésodiques, 284.
Centres
moteurs, 11, 42; — leur développement, 213. Cen
1, 42; — leur développement, 213. Centre ovale de Vieussens, 211.
Centres
trophiques, 273. Champ visuel, 122. (V. Amblyop
— Développement des —, 242 ; — leur terminaison, 233.258 ; — leurs
centres
trophiqnes, 273 ; — chez le chien, 275 ; — Rôle p
te substance a une action toute particulière et primordiale sur les
centres
nerveux. DE L'ACÉTOPHÉNONE EN ALIÉNATION MENTAL
. L'acétophénone anémie, en effet, nos autopsies le démontrent, les
centres
nerveux, et réalise ainsi un état de ces centre
le démontrent, les centres nerveux, et réalise ainsi un état de ces
centres
qu'on regarde assez voloutiers aujourd'hui comm
une large surface unie avec une simple petite fossette verticale au
centre
. Celui de droite est profondément divisé en deux
es susceptibles d'être rat- tachés à un travail morbide du côté des
centres
nerveux. Un doute est permis cependant, en ce q
le cortège habituel des signes d'une poussée intlammatoire vers les
centres
nerveux. L'exis- tence exceptionnellement longu
ceptions' morbides qui, pour Scholz, ne se développent pas dans les
centres
corticaux, mais dans les appa- reils périphériq
enin, noyau accessoire de l'acoustique de Schwalbe) constituent les
centres
du nerf auditif; le noyau antérieur en représen
SUR LES RAPPORTS QUI RATTACHENT LA SPHÈRE VISUELLE (de Munk) AUX
CENTRES
OPTIQUES INFRA-CORTICAUX ET AU NERF OPTIQUE; par
les peuvent entraîner chez l'homme un processus descendant vers les
centres
optiques primaires (identité d'allures avec les
système des fibres de projection de l'écorce du lobe occipital aux
centres
optiques infracorticaux a beaucoup de ressembla
oup de ressemblance avec celui du lapin et du chat ; les fibres des
centres
optiques primaires ne rayonnent que dans l'écor
usion générale. L'écorce du lobe occipital est étroitement unie aux
centres
optiques primaires, c'est-à-dire au pulvinar, au
les couches optiques ont une fonction motrice, qu'elles servent de
centre
moteur aux mouvements coordonnés, dits expressi
sseuses.En ce qui concerne les relations du lobe occipital avec les
centres
optiques infra- corticaux, au congrès de Leipzi
destruction d'un lobe occipital s'accompagne de dégénérescence des
centres
optiques infra-corticaux (macrosco pique et mic
ient la prépondérance. Quand on parle d'affec- tions infantiles des
centres
nerveux, il ne faut pas perdre de vue que souve
qu'en même temps son poids demeure constant, cela prouve que les
centres
des échanges moléculaires au sein des tissus et d
uis proposé de partir de la périphérie, des nerfs, et de gagner les
centres
, mais en ne procédant qu'avec la plus grande ci
lus supérieure du tubercule quadrijumeau antérieur, qui est le vrai
centre
visuel. Le faisceau pédonculaire transverse 1 s
ransverse 1 s'atrophie quand le nerf optique s'atro- phie, mais son
centre
, en rapport avec ce dernier, n'est pas cer- tai
son centre, en rapport avec ce dernier, n'est pas cer- tainement le
centre
visuel vrai du tubercule quadrijumeau anté- rie
que l'acoustique se compose au moins de deux systèmes de fibres; le
centre
auditif propre est le tubercule acoustique. Le
ice. Sa portion sensible ou racine descendante est-elle coupée, son
centre
correspondant s'atrophie. Je crois avoir trouvé u
correspondant s'atrophie. Je crois avoir trouvé une voie qui de ce
centre
va vers l'écorce, s'entre-croise avec celle du
atrophie ne se tra- duit par rien sur l'écorce. Nerf olfactif. Le
centre
en est la couche glomérulaire, tandis que toute
s. On voit clai- rement dans la bandelette olfactive l'union de son
centre
avec l'écorce cérébrale. Ainsi, excisez une nar
de ces faits, que se déduit ma théorie au sujet des localisations (
centres
tro- phiques). ' Voy. Arch. de Neurologie, t.
l adulte, que l'organe olfac- tif s'est hypertrophié et surtout son
centre
olfactif primaire qui réside dans son renflemen
le; en tout cas, l'écorce ne subit en pareil cas aucune atrophie.
Centres
des animaux nouveau-nés, et, avant tout, du lapin
- sible de déterminer l'existence de libres de connexion entre le
centre
optique du tubercule quadrijumeau antérieur et l'
question sont diminuées, mais ce déficit n'a pas de rapport avec le
centre
de la vue sus-énoncé, car en même temps dispa-
e de la vue sus-énoncé, car en même temps dispa- rait un tout autre
centre
du tubercule quadrijumeau antérieur, celui de l
antérieur, celui de la deuxième couche grise de sa coiffe grise. Le
centre
de la vue lui-même (couche grise la plus supéri
le traumatisme n'a pas déterminé d'exagéra- tion de pression sur le
centre
optique primaire, il faut donc se montrer très
rieur, après l'extirpation de tout un hémisphère, est vrai pour les
centres
de tous les nerfs sensitifs. A tous doivent man
oteurs, qu'il soit question du lapin, du chien, du chat. Quant au
centre
primaire du nerf olfactif, quant à la couche gl
pas ou en ne lésant que le moins possible l'écorce, d'agir sur les
centres
et faisceaux qui dépendent d'elle et, par consé
ompte, après cetteintervention, des effets de la destruction de ces
centres
et faisceaux sur l'écorce. C'était un pas de pl
présente des variétés, mais sans permettre de leur rattacher des
centres
bien limités. 1 Voy. Archives de Neurologie, t.
ion, le mode de développement a la plus grande importance. Quelques
centres
sont congéniaux : tels celui de la respiration,
il est diffi- cile de dire quelles sont les fonctions cérébrales à
centre
fixe qui sont transmises, congéniales, et quell
hes de de Gudden. M. de GUDDEN. Prenons l'aphasie. L'hypothèse d'un
centre
de la parole n'existant normalement que d'un cô
ette habitude de se servir de telle ou telle main. Supposons que le
centre
de la parole se limite, sur un cerveau normal,
dérable des attentats à la pudeur sur les enfants, surtout dans les
centres
populeux et industriels. Les inculpés de cette
et sa pratique éclairée, qui exerçait à Paterniacum, un des grands
centres
de notre République, et était depuis peu à Bern
es, en un mot, ont leur siège en un point particulier du cerveau (
centre
de la mémoire auditive des mots, centre des ima
int particulier du cerveau (centre de la mémoire auditive des mots,
centre
des images orales), qui paraît être normalement
emporo-sphénoïdale gauche (mp, Fig. 3, 4, etc.). , z La lésion du
centre
mp entraînant l'impossibilité de la formation d
orales, l'impossibilité de leur retour, consécutives à la lésion du
centre
mp de la mémoire auditive, aient pour effet le
re correcte ; il semble que la volonté, capable de mettre en jeu le
centre
des impulsions orales (centre deBroca; io, Fiq.
olonté, capable de mettre en jeu le centre des impulsions orales (
centre
deBroca; io, Fiq. 3), est incapable de le faire
n quelque sorte, en harmonie avec les besoins du langage, et que le
centre
mp (centre des images orales) exerce une sorte
orte, en harmonie avec les besoins du langage, et que le centre mp (
centre
des images orales) exerce une sorte d'influence
rte d'influence coordina- trice nécessaire sur le fonctionnement du
centre
io, de telle façon que à la lésion du centre n2
r le fonctionnement du centre io, de telle façon que à la lésion du
centre
n2p succède une paraphasie (c'est-à-dire une vé
a surdité verbale; ce serait comme un premier degré d'altération du
centre
des images orales. Qu'il en soit ainsi dans un
ar C. Ballet, loc. cit., p. 110. DE LA SURDITÉ VERBALE. 189 si le
centre
des images orales est légèrement atteint, il ne
mot : c'est là une simple question de degré dans l'excitabilité du
centre
de la mémoire auditive des mots. On me permet
amnésie orale pourra s'observer en l'absence de toute altération du
centre
de la mémoire auditive des mots. En effet, l'am
cette imagination orale soit possible, il faut non seulement que le
centre
des images orales soit intact, mais encore que
orales soit intact, mais encore que la voie qui fait communiquer ce
centre
avec la volonté ne soit pas interrompue. Cette
a donc à produire l'amnésie orale, même en l'absence de lésion du
centre
de la mémoire auditive des mots ; et, en pareil
striction faite, je reconnais que , dans le cas de lésion légère du
centre
des images orales, on pourra observer pour uniq
VERBALE. 191 celle-ci ne saurait être attribuée à une atteinte du
centre
des images orales, et, dans tous les cas, elle
on A du trajet mp, IV qui fait communiquer avec l'entendement IV le
centre
des images orales m p ; il est facile de voir q
moire des mouvements de la parole ? On donne généralement ce nom au
centre
io (centre de Broca), que l'on considère ainsi
vements de la parole ? On donne généralement ce nom au centre io (
centre
de Broca), que l'on considère ainsi comme ayant
ouvements de la parole. Je pense qu'on a tort, de désigner ainsi le
centre
de Broca. ' Un fait hors de contestation, c'est
si le centre de Broca. ' Un fait hors de contestation, c'est que le
centre
io préside aux mouvements de la parole : c'est
le centre io préside aux mouvements de la parole : c'est donc un
centre
d'impulsion motrice. Or, ces centres-là ne mé-
ts de la parole : c'est donc un centre d'impulsion motrice. Or, ces
centres
-là ne mé- ritent généralement pas le nom de mém
nt généralement pas le nom de mémoires ; qui dit mémoire dit plutôt
centre
d'acquisition périphérique, par voie centripète
ais je ne veux pas paraître chicaner sur les mots; admettons que le
centre
de Broca, parce qu'il Archives, t. III. 13 19
ou tout au moins cérébrale. Mais rien ne démontre à priori que le
centre
de Broca soit en même temps une mémoire centrip
s de la parole est également appli- cable à l'écriture; s'il y a un
centre
d'impulsion mo- trice de l'écriture, un centre
criture; s'il y a un centre d'impulsion mo- trice de l'écriture, un
centre
d'impulsion graphique DE LA SURDITÉ VERBALE. 19
considérer ces deux ordres de mémoire comme siégeant dans un même
centre
cérébral ? Je ne le pense pas. J'insiste sur ce
tes périphé- riques moteurs, transmis par la voie centripète à un
centre
cérébral d'emmagasiuement et de contrôle, qui c
e accomplis par un même organe, qu'ils puissent siéger en un même
centre
de l'écorce cérébrale; une telle superposition
pas une raison pour en nier l'existence. Et peut-on admettre que le
centre
céré- bral sensitif, quel qu'il soit, qui en es
nsitif, quel qu'il soit, qui en est le siège, soit en même temps un
centre
moteur ? Peul-on admettre DE LA SURDITÉ VERBALE
entre moteur ? Peul-on admettre DE LA SURDITÉ VERBALE. 197 que ce
centre
sensitif, où viennent aboutir sans doute des fi
aires appartenant au faisceau sen- sitif occupe le même point qu'un
centre
moteur, en rapport avec des fibres pédonculaire
d'une façon défectueuse. Il y a aussi des aphasiques par lésion du
centre
de Broca qui ont conscience de l'état défectueu
sans intelligence du sens de ces mots, il y a fonctionne- ment du
centre
de Broca, sans fonctionnement de la 'Voir G. Ba
t comme localisation de la mémoire des impulsions orales; 2° que le
centre
de Broca mérite le nom de mémoire des impulsion
ecté à cette dernière mémoire; 4°qu'il 1 y a donc, en résumé, trois
centres
cérébraux distincts, destinés à la fonction de
on n'est pas connue, est des- tiné à contrôler le fonctionnement du
centre
des im- pulsions orales : c'est le centre de la
ôler le fonctionnement du centre des im- pulsions orales : c'est le
centre
de la mémoire des mouvements de la parole. Gr
orales correspon- dantes; celles-ci, parla voiemp io actionnent le
centre
de Broca, io, et par la voie iod, ia parole est
olie, mais des conceptions délirantes par une lésion originelle des
centres
perceptifs. 3° Les prétendus cas de lypémanie a
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Biriz, ont démontré qu'il paralyse les
centres
vaso-mo- teurs à l'état de chloroforme ou de ch
orrhagies, qu'il affaiblitpeut-être aussi directe- ment l'action du
centre
thermique et celle des centres trophiques. Le d
-être aussi directe- ment l'action du centre thermique et celle des
centres
trophiques. Le défaut d'énergie morale et la ma
avec soin par M. Féré, le conduit à pen- ser qu'il existe dans les
centres
nerveux, pour les organes des sens, des élément
que les mouvements d'un membre, réveillant les images motrices des
centres
, produisent par suite une augmentation de la pu
à Bicêtre. 11 est rationnel d'admettre alors que l'excitation d'un
centre
se propage aux cen- tres voisins et l'on peut,
on de l'autorité publique qui étaient inconnus précé- demment. Au
centre
de la localité principale a été construit un véri
ons où un aliéné est soigné par ses parents directs. Un sénateur au
centre
. Mais il faut le dire. , - , M. ROGER-MARVAISE.
mots entendus, s'il arti- cule correctement les mots, c'est que le
centre
des images orales est intact chez lui et en rap
non) des voies cérébrales destinées à conduire la parole jusqu'au
centre
des images orales (fibres appartenant au faisce
; mais il est probable que, dans ce cas, étant donné la lésion du
centre
des images verbales auditives constatée à l'au-
rdité verbale brute. En effet, les fibres cérébrales aboutissant au
centre
auditif des mots doivent appartenir toutes au f
ne saurait prétendre dans les cas de X. F... et de B. L... que le
centre
des images orales était suppléé parle centre des
. et de B. L... que le centre des images orales était suppléé parle
centre
des images écrites, puisque la mémoire des imag
de nos trois faits la surdité verbale ne résulte d'une atteinte du
centre
de la mémoire des images orales (m p, fig. 4).
4). Elle ne résulte pas davantage de la lésion du trajet qui va du
centre
m p à l'entendement IV (m p; IV, fig. 4), puisq
sceau sensitif affectée à la conduction de la parole qui aboutit au
centre
des images orales (trajet b mp, fig. 4.) On c
ne puisse être réveillée, quand on s'ex- prime normalement, dans le
centre
auditif des mots, et, quand la surdité verbale
parvenir les mots, articulés avec une netteté suffisante, jusqu'au
centre
des ima- ges orales; dès ce moment les images v
ses et pouvaient pro- voquer non moins aisément, en agissant sur le
centre
de Broca, la répétition des mots. Je ne vois pa
bien déterminée ? En admettant une communica- tion directe entre le
centre
des images orales ( mp fig. 5) et le centre ou
tion directe entre le centre des images orales ( mp fig. 5) et le
centre
ou les centres des images repré- sentatives', f
entre le centre des images orales ( mp fig. 5) et le centre ou les
centres
des images repré- sentatives', figurés schémati
erçue (voie M IV) le mot sera aussi perçu par ' Je désigne ainsi le
centre
ou les centres des nuages correspondantes aux o
IV) le mot sera aussi perçu par ' Je désigne ainsi le centre ou les
centres
des nuages correspondantes aux objets, aux phén
te lésion du trajet b mp, il y a surdité verbale brute.) Arrivée au
centre
mp (I. C. T. G.) il y a JAMES JACKSON ET LES PA
; production ou réveil des images orales. (Dans le cas de lésion du
centre
mp il y a sur- dité verbale centrale. Par la ^o
entrale. Par la ^oie mp io, les images orales communiquent 'anec le
centre
de Broca io, et peuvent mettre en jeu ce centre,
mmuniquent 'anec le centre de Broca io, et peuvent mettre en jeu ce
centre
, d'ou répétition blute et incons- ciente des mo
, avec intelligence Ces mots consécutive à leur arttculation·1 - Le
centre
mé représente la mémoire des images écrites, co
rites, communiquant, avec l'entendement par la voie nid IV et avec le
centre
de Broca par la voie me io. Dans le cas de lési
avec le centre de Broca par la voie me io. Dans le cas de lésion du
centre
mp quand le centre me peut sup- pléer le centre
roca par la voie me io. Dans le cas de lésion du centre mp quand le
centre
me peut sup- pléer le centre mp, il y a surdité
le cas de lésion du centre mp quand le centre me peut sup- pléer le
centre
mp, il y a surdité verbale centrale (type Giraude
entre mp, il y a surdité verbale centrale (type Giraudeau) ; quand le
centre
mé ne peut suppléer le centre mp, il y a surdit
centrale (type Giraudeau) ; quand le centre mé ne peut suppléer le
centre
mp, il y a surdité verbale centrale (des illettré
ation des cor- dons pyramidaux consécutive aux altérations de leurs
centres
cellulaires se faisant d'abord à leur extrémité
ES rapports DE la sphère VISUELLE (expression consa- crée) AVEC LES
CENTRES
OPTIQUES INFRACORTICAUX ET AVEC LE NERF OPTIQUE
r, du corps genouillé externe, du tubercule quadrijumeau antérieur (
centres
opti- ques primaires), et consécutivement des d
complète des deux globes oculaires , des nerfs optiques et de leurs
centres
primaires. Comme les troubles de la vue se sont
'étant longtemps après atrophiée, conservation presque parfaite des
centres
optiques primaires; seules les irradiations opt
nérale. Cliniquementil il est incontestable que les altérations des
centres
optiques pri- maires sont postérieurs à l'atrop
aires déterminées et sur des éléments histolo- giques spéciaux des
centres
optiques primaires justifient encore cette mani
'observateur d'affirmer que les fibres qui des bandelettes vont aux
centres
optiques primaires et dont on constate l'altéra
sions sui- vantes : On ne saurait prétendre que chez l'homme, des
centres
optiques originels du nerf optique soient autre
ans exception directement des cellules nerveuses ganglionnaires des
centres
optiques primaires et n'ont pas une mince impor
bable. Dans le corps genouillé externe, il semble que ce soient les
centres
cellulaires latéraux et infé- rieurs (celle de
r décheoir en certains points. Ainsi se sont formées les cavités au
centre
des proliférations; secondairement se sont alté
ent scandée ; intégrité des pé- doncules, de la base du cerveau, du
centre
ovale ; la lésion ne ressemblait pas à celle de
un, s'exagérant sa valeur, rapporte tout à lui-même pour devenir un
centre
autour duquel le monde social tournera vous voy
ns de l'huile phéniquée. L'injection est pratiquée de préférence au
centre
de la tumeur, en évitant les vaisseaux ; on com
la commission se préoccupent très vivement d'ins- taller l'asile au
centre
des localités dont il doit recevoir les ma- lad
ologique sur les rapports qui rattachent la sphère vi- suelle aux
centres
infra- corticaux et au nerf, par Mo- nakow, 8
s, deviendrait quelque jour, pour les maladies du système nerveux, un
centre
régulièrement organisé d'enseignement et de reche
culaire a, par la voie des nerfs articulaires irrités, retenti sur le
centre
spinal, et là il modifie les centres dont émanent
iculaires irrités, retenti sur le centre spinal, et là il modifie les
centres
dont émanent les nerfs moteurs et les nerfs qui p
t. l'atrophie se produisent. Mais en quoi consiste la modification du
centre
médullaire? Ce n'est pas une modification profond
rminent les mêmes effets que dans les cas où il existe une lésion des
centres
nerveux ; la paralysie spasmo-dique des membres s
même litre que les arthrites trauma-tiques, ce retentissement sur le
centre
spinal, d'où dérive la paralysie amyotrophique pr
ion articulaire. L'excitation des nerfs articulaires retentit sur les
centres
spinaux, qui, à leur tour, réfléchissent cette ex
ois que les affections articulaires, lorsqu'elles retentissent sur le
centre
spinal déterminent tantôt une exaltation des prop
lésions des extrémités, ou des troncs nerveux peuvent retentir sur le
centre
spinal et y déterminer des altérations plus ou mo
centripètes affectés sont le siège, remonte en quelque sorte vers le
centre
spinal, par la voie des racines postérieures, et
e, et ce n'est pas la moins puissante, en faveur de l'intervention du
centre
spinal dans ce mécanisme, est que souvent l'atrop
ui mettent dans tout son jour, chez noire malade, la participation du
centre
spinal. Donc, vers le 15 mars, alors que les do
n^nence persis tante d'urine conduit nécessairement à incriminer le
centre
spinal. Là, il existe une lésion qu'on peut même
égion désignée est celle où l'expérimentation (Goltz, Badge) place le
centre
des réflexes vési-caux, et cette région occupe l'
ons, les expériences auxquelles je fais allusion placent également le
centre
des réflexes relatifs aux muscles du rectum, et d
ien, les faits cliniques établissent que, chez noire malade, ces deux
centres
ont été, eux aussi, affectés. En effet, le même j
uence de l'exercice des membres correspondant à la partie affectée du
centre
spinal ; ainsi, dans la paralysie infantile du me
essive plus ou moins généralisée est indépendante de toute lésion des
centres
nerveux ou des nerfs périphériques. 11 s'agit don
ante à rapporter toutes ces myopathies progressives à des lésions des
centres
nerveux. Il y a, disais-je alors, des myopathies
sée en secret. L'autopsie absolument négative, en ce qui concerne les
centres
nerveux, est venue confirmer pleinement le diagno
ale en foyer, corticale, étroitement limitée dans la zone motrice, au
centre
brachial et consécutive elle-même à l'affection v
ion de ce genre. Le siège du mal doit être cherché ailleurs, dans les
centres
nerveux par conséquent ; s'agit-il donc d'une lés
dire dans Fécorce grise ou les parties immédiatement sous-jacentes du
centre
ovale, qu'il conviendrait de chercher la localisa
Dans un bon nombre de cas de lésions corticales localisées à l'un des
centres
moteurs, la sensibilité cutanée et le sens muscul
tions que toujours, si l'altération est restée limitée exactement aux
centres
moteurs, sans empiéter sur les régions limitrophe
ques. De quoi s'agit-il donc alors? A n'en pas douter, une lésion des
centres
nerveux est présenle dans ce cas ; mais où siége-
exemple, systématiquement, la totalité de tel ou tel département des
centres
corticaux sensitifs. (J.-M.-C.) classique, en u
ée en secret), l'autopsie absolument négative, en ce qui concerne les
centres
nerveux, est venue confirmer pleinement le diagno
s difficile, en conséquence d'une action d'inhibition exercée sur les
centres
moteurs corticaux, par l'idée fixe d'impuissance
tion des exercices dynamométriques ait pour effet de raviver dans les
centres
, la représentation motrice, condition préalable d
cute. Aussi, dans le but de mettre à profit l'influence dynamogène du
centre
visuel sur le centre moteur, conseillons-nous à n
but de mettre à profit l'influence dynamogène du centre visuel sur le
centre
moteur, conseillons-nous à nos malades de regarde
blablement, sont le résultat d'une participation par voie réflexe des
centres
nerveux. On peut, croyons-nous, sans forcer les a
les qui se développent à la suite de certaines lésions organiques des
centres
nerveux : lésions, vous le savez, diverses quant
out symptôme pouvant se rapporter à une lésion organique en foyer des
centres
nerveux, par les résultats que nous donne la rech
ésultat d'une excitation périphérique entraînant la participation des
centres
nerveux, suivant le mécanisme des actes réflexes.
ne qui suit (fig. 85), l'insertion des muscles fessiers, réservant au
centre
une sorte de V qui correspond au sacrum. Cette di
ligne frontière suit l'insertion des muscles fessiers, réservant, au
centre
, une figure en V qui répond à la face postérieure
ocessus dont il s'agit à une sorte d'action réflexe, dans laquelle le
centre
de l'arc diastaltique est représenté par lies rég
tion facile de l'unité mentale, du moi, dans les cas de ce genre, ces
centres
peuvent être mis enjeu, sans que les autres régio
nt l'accomplissement d'un mouvement volontaire, s'effectuent dans les
centres
moteurs corticaux où elles trouvent leur sub-stra
que, et plus précisément, dans les cellules nerveuses motrices de ces
centres
. Elles seraient principalement constituées parle
ules articulaires enfin ; ces impressions s'emmagasineraient dans les
centres
sensitifs corticaux où pourrait avoir lieu leur r
, en conséquence d'une lésion survenue dans les cellules nerveuses du
centre
moteur cortical d'un membre, ou dans les prolonge
membre, ou dans les prolongements qui les mettent en rapport avec les
centres
d'idôation, il s'ensuivrait nécessairement une pa
i, dans l'état normal, sont en relation directe ou indirecte avec les
centres
corticaux moteurs, peuvent être affectés plus ou
oins profondément, en conséquence d'une diffusion de la lésion de ces
centres
. C'est ce dont paraissent témoigner et la perte d
gir. » « Les actions mentales s'accomplissent dans les mêmes cercles (
centres
?) que les actions physiques... Il suffit d'ordin
aire » est en grande partie initiale, centrale et réalisable dans les
centres
moteurs. — Suivant M. Maudsley (Physiolog. de l'E
), « il paraît que c'est dans la partie frontale des circonvolutions (
centres
moteurs corticaux) que sont emmagasinés les résid
rices... » « Les parties de la surface du cerveau, qui agissent comme
centres
moteurs, sont le siège... de la conception du deg
r (Func-tions of the Brain, cap. XI) » : « De la même manière que les
centres
sensitifs forment la base organique de la mémoire
ions sensitives, et le siège de leur résurrection idéale, de même les
centres
moteurs des hémisphères, outre qu'ils sont le siè
e, t. II, 1882, pages 209, 165 et appendice) émet l'opinion que « les
centres
moteurs, où qu'ils soient situés, sont des partie
ne semble pasque des reproductions idéales aient jamais lieu dans ces
centres
... » « C'est le changement de conditions du muscl
engendre un groupe d'impressions ceñir'pèles dont le terminus est le
centre
kinesthétique (centre du sens du mouvement)... Ce
impressions ceñir'pèles dont le terminus est le centre kinesthétique (
centre
du sens du mouvement)... Celui-ci est donc un vér
tique (centre du sens du mouvement)... Celui-ci est donc un véritable
centre
sen- sitif et des mouvements idéaux peuvent êtr
duire que la plus grande confusion, si l'on attribue l'activité de ce
centre
sensitif à celle des centres moteurs... Le substr
fusion, si l'on attribue l'activité de ce centre sensitif à celle des
centres
moteurs... Le substratum cérébral de l'esprit ne
comprend donc, en aucune manière, les processus qui ont lieu dans les
centres
moteurs du cerveau, où qu'ils puissent être situé
ns mentales comme étant en partie immédiatement dues à l'activité des
centres
moteurs. » À l'appui de la théorie proposée plu
s'agit là d'une altération purement dynamique du système nerveux; les
centres
gris de la moelle et les nerfs périphériques sont
tral ; or, puisque les cornes antérieures de la moelle constituent le
centre
trophique des muscles et qu'elles ne sont pas alt
partielle^, par cela même qu'elle a pour base l'indépendance de ces
centres
, vis-à-vis les uns des autres, est, comme on le c
tie directe de la théorie qui veut établir une suprématie absolue des
centres
sensoriels sur les centres moteurs, au point d'ad
ui veut établir une suprématie absolue des centres sensoriels sur les
centres
moteurs, au point d'admettre que ces derniers ne
beaucoup trop absolue. La notion de l'amnésie appliquée à chacun des
centres
en particulier est, en effet, la contre-partie de
artie de cette théorie, puisqu'elle a pour base l'indépendance de ces
centres
vis-à-vis les uns des autres. La clinique d'aille
Ililzig » en est un bel exemple. C'est là une preuve évidente que le
centre
moteur d'articulation a son existence propre et p
existence propre et peut fonctionner sans aucun acte réflexe parti du
centre
de l'audition verbale. On peut aisément sur le
schéma primitif de M. Charcot mis en place, se faire une idée de ces
centres
de mémoires partielles, des connexions qui les un
ations qu'ils ont avec le monde extérieur. Prenons, par exemple, le
centre
de la mémoire des signes du langage écrit, ou cen
par exemple, le centre de la mémoire des signes du langage écrit, ou
centre
visuel des mots, CVM, c'est par l'œil que les not
e, leur aspect extérieur, pour ainsi dire, vont s'emmagasiner dans le
centre
visuel commun, CVC. — Que le centre visuel des mo
dire, vont s'emmagasiner dans le centre visuel commun, CVC. — Que le
centre
visuel des mots soit le siège d'une lésion, le ma
indre, le malade ne percevra plus par celte région du cerveau, par le
centre
visuel commun les impressions visuelles générales
nière se traduisant cliniquement par Yhémianopsie. De même pour les
centres
auditifs CA.C, CA.M. Quant aux centres moteurs
ianopsie. De même pour les centres auditifs CA.C, CA.M. Quant aux
centres
moteurs soit de Xarticulation, soit de Y écriture
ulé. — CLE, Centre moteur du langage écrit '. \. La disposition des
centres
sur cette figure est purement schématique, et n'a
on à une exactitude anatomique rigoureuse. De même que l'on a vu le
centre
visuel des mots être en rapports intimes avec le
l'on a vu le centre visuel des mots être en rapports intimes avec le
centre
visuel commun, de même le centre moteur du langag
ots être en rapports intimes avec le centre visuel commun, de même le
centre
moteur du langage écrit, CLE, est en rapport avec
e même le centre moteur du langage écrit, CLE, est en rapport avec le
centre
moteur commun du membre supérieur, et le centre m
st en rapport avec le centre moteur commun du membre supérieur, et le
centre
moteur de [articulation verbale, CLA, est en conn
oteur de [articulation verbale, CLA, est en connexion étroite avec le
centre
commun de la langue et des /êtres; pour ne pas co
e la langue et des /êtres; pour ne pas compliquer le schéma, ces deux
centres
moleurs communs n'ont, d'ailleurs, pas été figuré
signaler ici cette analogie. On remarquera que, sur le schéma, les
centres
visuel et auditif ne sont rattachés au monde exté
une seule ligne à direction centripète. Ce ne sont, en effet, que des
centres
d'impression. Au contraire, les centres moteurs d
Ce ne sont, en effet, que des centres d'impression. Au contraire, les
centres
moteurs de l'articulation et de l'écriture sont r
centrifuge, l'autre centripète; c'est que, tout en étant surtout des
centres
d'expression, ils sont aussi, pour une certaine p
des centres d'expression, ils sont aussi, pour une certaine part, des
centres
d'impression. Quant aux traits qui réunissent e
t aux traits qui réunissent entre eux, dans les deux sens, les quatre
centres
de la mémoire des mots, ils expriment les connexi
et multiples, qui, d'après M. Charcot, existent entre ces différents
centres
et sur l'importance desquelles il y aura lieu d'i
grâce à ces mouvements, il finit par les comprendre; dans ce cas, le
centre
moteur qui préside à l'articulation des mots vien
ntre moteur qui préside à l'articulation des mots vient au secours du
centre
auditif; ou bien ce malade écrit le mot qu'il ent
e écrit le mot qu'il entend et en saisit alors le sens; ici, c'est le
centre
moteur graphique qui vient au secours du centre a
e sens; ici, c'est le centre moteur graphique qui vient au secours du
centre
auditif. Souvent aussi, comme M. Charcot en a mon
ec le doigt; c'estalors le centremoteurgraphiquequivientau secours du
centre
visuel. Les impressions plus fortes fourniespar l
secours du centre visuel. Les impressions plus fortes fourniespar le
centre
moteur graphique, viennent ici mettre en valeur l
outeux fournies par les impressions visuelles. Ainsi, on peut voir le
centre
visuel suppléé par le centre graphique, et le cen
ssions visuelles. Ainsi, on peut voir le centre visuel suppléé par le
centre
graphique, et le centre auditif par le centre mot
on peut voir le centre visuel suppléé par le centre graphique, et le
centre
auditif par le centre moteur d'articulation, et c
e visuel suppléé par le centre graphique, et le centre auditif par le
centre
moteur d'articulation, et cela, parce que la mémo
dernières, réveiller l'idée du mot. Mais la loi d'indépendance des
centres
n'est cependant pas une loi absolument générale,
absolument générale, il y a réellement des cas où la suppression des
centres
sensoriels visuel et auditif paralyse le centre d
ù la suppression des centres sensoriels visuel et auditif paralyse le
centre
d'articulation et produit l'aphasie motrice ou l'
types très divers. Suivant que, dans le langage intérieur, tel ou tel
centre
prédomine dans la représentation du mot, suivant
z les indifférents, comme il les appelle, chez les individus dont les
centres
jouissent de la plus grande autonomie que, dans l
re de distinguer cliniquement les aphasies corticales (par lésion des
centres
eux-mêmes) d'avec les aphasies sous-corticales ou
rticales ou de conduction (par lésion des seules libres issues de ces
centres
). 11 ne semble pas que ce desideratum ait été jus
nifestent le plus aisément les phénomènes de suppléancepar les autres
centres
. Tandis que les personnes qui n'ont cultivé qu'un
re de mémoire des images du mot se trouvent toutes désemparées, si le
centre
de cette mémoire vient à être altéré. Et, dans ce
ltéré. Et, dans ce cas, on peut voir, par exemple, la seule lésion du
centre
auditif amener, •outre la surdité verbale, une vé
ne soit le siège d'aucune altération ; •ou encore la seule lésion du
centre
visuel produire l'agraphie, sans qu'il y ait de l
centre visuel produire l'agraphie, sans qu'il y ait de lésion dans le
centre
de Exner (pied de la 2e frontale gauche). On peut
bissent de semblables altérations actives. P. K.. V. Altération DES
centres
nerveux dans un ,C1S DE paralysie infantile cér
quemment l'ataxie locomotrice lorsque se produisent les lésions des
centres
optiques. Le D'' Conolly Norman admet que la mo
érébrale; le point de départ peut être extérieur ; le voisinage des
centres
auditif et visuel explique la combinaison des h
t accru et que cet accroissement progressif surtout dans les grands
centres
de population, à Paris en particu- lier, a prod
ncours par région pou- vait résoudre le problème. On prendrait pour
centre
des villes possédant des facultés de médecine o
tc. Ce serait l'affaire d'une commission spéciale de déterminer ces
centres
, qui, d'ailleurs, ne devraient pas être trop mu
aux asiles de ce département, pour former la région dont il sera le
centre
que les deux établissements les plus rapprochés,
: « Le Concours devrait être établi par régions, en prenant pour
centre
de chacune d'elles soit une faculté, soit une Eco
vice. Ce sont les asiles de médiocre importance et loin des grands
centres
de population. Si l'on supprime le roulement des
'alié- nés de France devra être établi par régions, en prenant pour
centre
de chacune, d'eues les villes qui possèdent une
indre au département de la Seine, pour la région dont Paris sera le
centre
, que les deux établissements les plus rappro- c
aliénés de France, devra être établi par régions, en pre- nant pour
centre
de chacune d'elles, les villes qui possèdent une
les rôles importants joués par les fibres commissurales entre les
centres
visuels et auditifs 2. Ces formes particulières
vrir d'où vient le son qui lui est venu et qui a été transmis à son
centre
auditif.' La surdité verbale, pour cette raison
fait différent du malade affligé de surdité verbale; en vain son
centre
auditif peut être stimulé par la prononciation
sul- tat moins satisfaisant sous le rapport des localisations des
centres
sensoriels. Dans la surdité verbale, la lésion
ns la deuxième circonvolution temporo-sphénoïdale du côté gauche,
centre
supposé de la perception auditive des mots. La
ditives'. Le De Bastian qui, avec d'autres écrivains, reconnut un
centre
auditif général, de même qu'un centre auditif d
autres écrivains, reconnut un centre auditif général, de même qu'un
centre
auditif des mots, inclinait à localiser ce dern
es examens post-mortem. A une certaine époque, Ferrier localisa les
centres
visuels dans les plis courbes, à l'exclusion de
ui- vantes : quoique les lobes occipitaux soient compris dans les
centres
visuels, c'est néanmoins un fait re- marquable,
ur élucider la théorie de la cécité verbale; et même par rapport au
centre
visuel lui- même, les résultats obtenus par les
rexcitabilité neuro-musculaire comme un phéno- mène réflexe dont le
centre
est dans la moelle ouïe cerveau et dont le poin
re le moment de l'ouverture des paupières et le développement des
centres
psycho-moteurs, celui-ci n'étant pas, comme l'aff
ar les organes des sens. Mais, comme Soltmann, il reconnaît que les
centres
moteurs se développent suivant un certain ordre
e les centres moteurs se développent suivant un certain ordre : les
centres
des extrémités avant ceux de la face, et ceux-c
centres des extrémités avant ceux de la face, et ceux-ci avant les
centres
des muscles du dos. Chez le chien nouveau-né, l
avant les centres des muscles du dos. Chez le chien nouveau-né, les
centres
moteurs sont disposés autour du glyrus symoïdeu
omme chez l'adulte. Seulement, tandis que chez le chien adulte, les
centres
moteurs sont bien cir- concrits et régissent ch
ntraction en masse de tous les mus- cles d'un membre. Autour de ces
centres
primitifs se déve- loppent peu à peu des centre
bre. Autour de ces centres primitifs se déve- loppent peu à peu des
centres
destinés aux différents groupes musculaires du
destinés aux différents groupes musculaires du membre innervé parle
centre
primitif. Chez le chien nouveau-né, l'excitatio
mène pas de phénomènes d'épilepsie, ni avant le dévelop- pement des
centres
moteurs, ni à l'âge de un mois et plus, alors q
, comme le croyaient Adamkiewiz et Babès; il est disséminé dans les
centres
nerveux et n'a aucun rapport avec les fonctions
gicale mortelle. A l'autopsie, on ne trouva pas de malformation des
centres
nerveux; la tumeur communi- quait avec la cavit
de l'orifice osseux qui était ainsi obstrué. Différenciation des
centres
des mouvements volontaires et des mouvements ex
hterew avait déjà démontré expérimentalement sur le singe, que le
centre
expressif de la face siège dans les couches optiq
hes ont été répétées par M. Rosso- limo ; cet auteur affirme que le
centre
trophique des cordons postérieurs ne siège pas
er présentait une grande quantité de glo- bules sanguius formant au
centre
une masse compacte et devenant de plus en plus
section des sympathiques n'a- bolit pas la dilatation réflexe. Le
centre
dilatateur de la pupille est situé dans l'encépha
ilatateur de la pupille est situé dans l'encéphale ; l'existence du
centre
cilio-spinal de Budge est inadmissible car la s
s auditifs et op- tiques et les faisceaux de conjonction des divers
centres
primitifs.' *' Les hémisphères se formant bien
après que le tronc du cerveau est terminé, c'est par degrés que le
centre
intellectuel, poussant ses racines au travers d
qu'il s'agit -d'un trouble paralytique fonctionnel et périodique du
centre
chargé de transformer en sous articulés les rep
gé de transformer en sous articulés les représentations figurées du
centre
des mots par l'action combinée de divers nerfs
erfs (facial, glossopharyngien, pneumogastrique, hypo-, glosse). Ce
centre
pourrait bien être- le noyau lenticulaire. En m
n être- le noyau lenticulaire. En même temps, anesthésie d'un autre
centre
sous-cortical (tuber- cule quadrijumeau postéri
eur, d'une altération de cette portion de l'arc réflexe qui unit le
centre
optique au groupe des cellules de l'oculomoteur c
tissu spon- gieux constitué par des cellules-araignées occupant le
centre
des deux cornes antérieures de la moelle cervic
e qu'on n'y rencontre pas des micro- organismes, notamment dans les
centres
nerveux ? Est-ce que cette' maladie, qui vient
pant la continuité des fibres reliant les deux sphères visuelles au
centre
de la parole (du côté gauche). Le terme d'aphas
ésulter de la destruction des fibres d'association qui joignent les
centres
des images com- SOCIÉTÉS SAVANTES. 3111 mémor
était pas responsable à raison de son état mental. Un sénateur au
centre
. Habituel ! - )1. DELSOL. Dans ce cas-là, évide
me le veut Turick, ou de la suppression de l'action des cellules ou
centres
trophiques comme le pense le professeur bibliog
e préalable des Mémoires publiés par Luciani et Tamburini Sur les
centres
corticaux psycho-moteurs (1878-1879'), Sur les
ni Sur les centres corticaux psycho-moteurs (1878-1879'), Sur les
centres
corticaux psycho-sensoriels (1879) suivis de le
x psycho-sensoriels (1879) suivis de leurs-Etudes cliniques sur les
centres
corticaux senso- riels (1879)". Des 1878, Lucia
intitulée : Introduction à la méthode expérimentale et clinique des
centres
fonction- nels du cerveau, est une véritable lo
nsation ou suppléance, fait en vertu duquel la fonction abolie d'un
centre
serait suppléée, au moins en partie, par les pa
de suppléance n'est possible. Par exemple, lorsque l'ablation d'un
centre
cortical a été complète sur les deux hémisphère
ù les phénomènes de déficit sont réduits au minimum d'effet que les
centres
homo- nymes n'ont pas été capables de suppléer.
de déficit au 'maximum. Pour déterminer exactement les limites d'un
centre
fonctionnel quelconque, on doit s'efforcer de p
la méthode des cas négatifs d'Exner. Pour déterminer l'aire d'un
centre
cortical, la sphère d'une fonction donnée, par
e qui ressort d'un tel graphique, c'est qu'au milieu des différents
centres
corticaux plus ou moins chargés et remplis, le
s différents centres corticaux plus ou moins chargés et remplis, le
centre
du membre considéré reste en blanc. Ce centre c
rgés et remplis, le centre du membre considéré reste en blanc. Ce
centre
coïncide donc avec le centre cherché ; tous les
du membre considéré reste en blanc. Ce centre coïncide donc avec le
centre
cherché ; tous les autres demeurent en dehors.
pour la topographie fonc- tionnelle de l'écorce. Car, encore que le
centre
cher- ché occupe bien l'aire corticale laissée
thode des cas positifs, sur laquelle repose surtout la doctrine des
centres
absolus et des centres relatifs du professeur d
ur laquelle repose surtout la doctrine des centres absolus et des
centres
relatifs du professeur de Vienne, repro- duit e
et de Pitres. Procédant à l'inverse, pour arriver à déterminer un
centre
cortical, Exner réunit les observations clini-
réunit les observations clini- ques dans lesquelles la fonction du
centre
cherché estaltérée, puis il reporte et superpos
environnantes restées intactes : c'est dans cette zone qu'est le
centre
cherché, ou plus exactement dans l'aire central
é, ou plus exactement dans l'aire centrale de cette zone. Là est le
centre
absolu de la fonction corticale considérée ; so
. Là est le centre absolu de la fonction corticale considérée ; son
centre
relatif, beaucoup plus étendu, rayonne au loin,
en propor- tion progressivement décroissante. La destruction d'un
centre
relatif peut produire quelquefois, s'il s'agit
n d'un centre relatif peut produire quelquefois, s'il s'agit d'un
centre
moteur par exemple, la parésie ou la paralysie
paralysie du groupe musculaire correspondant : la destruction du
centre
absolu doit la produire presque sûrement. Cer
simple examen des planches de l'ouvrage de M. Exner montre que les
centres
déterminés par la méthode des faits positifs so
ont toujours bien plus étendus, beaucoup [plus diffus que les mêmes
centres
déterminés par la méthode des faits négatifs :
construire ses diagrammes ne sont pas comparables entre elles. Les
centres
absolus d'Exner répondent bien à l'idée de cent
entre elles. Les centres absolus d'Exner répondent bien à l'idée de
centres
fonctionnellement localisés, distincts, isolabl
distincts, isolables : malheureusement, entre les confins de ces
centres
et ceux des centres relatifs, il n'y a point de
les : malheureusement, entre les confins de ces centres et ceux des
centres
relatifs, il n'y a point de délimitation possib
antages des méthodes d'Exner pour là détermina- tion des différents
centres
fonctionnels de l'écorce cérébrale. Nous aurons
mme erronée, avec la méthode qui l'a produite, la topographie des
centres
moteurs corticaux d'Exner, sont au moins d'acco
e des monoplégies pures et des lésions qui les déterminent, que les
centres
fonctionnels de la motilité volontaire occupent
ls ajoutent, il est vrai, qu'en cherchant à circonscrire les divers
centres
mo-. teurs de l'écorce, « on ne saurait prétend
géométrique » (1878-79); qu'il est probable qu'entre ces différents
centres
, « il n'y a pas de limites brusquement tranchée
es», et qu'il est possible que LES FONCTIONS DU CERVEAU. 357 «les
centres
voisins se confondent au niveau de leurs bords,
s délimitation nette, rappelle tout à fait les vagues confins des
centres
relatifs d'Exner. Aussi, dans un récent travail
suis autrefois amusé bien que personne n'ait jamais prétendu que le
centre
moteur du bras fût dans le gyrus angulaire, à r
gent, rassembler une vingtaine de cas cliniques pour prouver que le
centre
moteur du bras siège dans le lobe frontal, etc.
e rap- pellent, que Charcot et Pitres ont fondé leur doctrine des
centres
moteurs de l'écorce. « Pour déterminer la topog
centres moteurs de l'écorce. « Pour déterminer la topographie d'un
centre
, moteur cortical,... il vaut mieux rechercher e
rties dont on veut déter- LES FONCTIONS DU CERVEAU. 359 miner les
centres
corticaux'. » Les conditions requises pour l'ap
ion minima, commun à tous les cas particuliers et représentant le
centre
de la fonction cherchée ; 3° enfin, il est néces-
certain que la paralysie ou la perte absolue de la fonc- tion du
centre
considéré était vraiment permanente, qu'elle ne
t arriver à déterminer sur le cerveau de l'homme la topographie des
centres
mo- teurs corticaux avec autant de précision qu
téraux. Bref, la tentative d'édifier une doctrine physiologique des
centres
moteurs de l'écorce sur le critère des lésions
ut cela, que, pour la détermination, au moins approximative, de ces
centres
, les observations cli- niques auraient moins de
dire que le malade ait indiqué le siège des sensations trop près du
centre
seulement, ou seulement trop loin du centre : i
sensations trop près du centre seulement, ou seulement trop loin du
centre
: il s'est trompé des deux manières. Les objets
dépend certainement de lésions de nutrition qui ont peu frappé les
centres
psychiques d'abord, comme on a vu le froid frap
ces de certaines régions dans un cas rapporté par M. Yulpian où les
centres
excito-moteurs et sensitifs ainsi que les éléme
. Ici, au contraire, le travail de dénutrition a commencé par les
centres
psychiques. Plus tard, il a envahi les centres mo
n a commencé par les centres psychiques. Plus tard, il a envahi les
centres
moteurs ' qui sont peu à peu, devenus incapable
à vaincre, un tremblement qui n'est que la réflexion avortée des
centres
moteurs malades. On ne saurait expliquer autrem
si que dans un ralentissement des sécrétions ; mais, c'est dans les
centres
principalement, que ce travail a commencé, et a
es. 436 REVUE STATISTIQUE. En résumé, c'est probable que : 10 les
centres
psycho- intellectuels ont, les premiers éprouvé
ci est démontré par le défaut absolu d'automatisme spontané; 20 les
centres
moteurs, privés de cet excitant avec lequel ils
plète et se résout en extériorisation avortée ; 3° la décadence des
centres
nerveux périphériques en rapports direct avec l
dence des centres nerveux périphériques en rapports direct avec les
centres
psycho-moteurs est moins avancée que celle des
ect avec les centres psycho-moteurs est moins avancée que celle des
centres
dont ils émanent ou auxquels ils aboutissent pu
tème s'explique, du reste, malgré les connexions intimes avec les
centres
, par son indépendance et son autonomie spéciale.
logie, 1885). Cette paralysie, qui parait relever de la lésion d'un
centre
spécial, se distingue entre autres caractères par
d'expériences. Dans une première série, la décharge portait sur les
centres
nerveux mis à nu; l'animal était tué par la déc
ans une seconde série d'expériences, la décharge agissait sur les
centres
à travers la boite crânienne intacte. Les animaux
le qui amène les lésions décrites. Influence de la nicotine sur les
centres
nerveux. M. Tchcr- bach a montré qu'une injecti
lure que leur diminution dépend exclusivement de l'inhi- bition des
centres
encéphaliques. L'excitabilité de l'écorce cé- r
ntes : la paralysie de la sensibilité et du mouvement augmentent du
centre
vers la phériphérie et la parésie accompagne pa
rnes antérieures de la moelle et des noyaux mo- teurs du bulbe, les
centres
moteurs des muscles seuls auraient été touchés
e, les centres moteurs des muscles seuls auraient été touchés et le
centre
trophique des muscles ne répondrait pas au cent
été touchés et le centre trophique des muscles ne répondrait pas au
centre
des mouvements. Il est plus probable qu'il s'ag
t encore il subit la dégénérescence granuleuse, qui se propage du
centre
à la périphérie. A cet état, la cellule se désagr
rnis est due à une action périphérique continue, agissant sur les
centres
nerveux . Les lésions observées sont strictement
s muscles. Le Médecin, nu 43, 1886. De l'influence du tabac sur les
centres
nerveux. Le Jléde- ctzz, nO5 5, G, 7, 8 et 9, 1
près trois séances d'hypnotisme. M. le Dr Isaac OTT (d'Easton), des
centres
caloriques chez l'homme. Ils résideraient dans
dit qu'il ne faut pas conclure d'après une lésion pathologique, ces
centres
pouvant n'être que des centres d'inhibi- tion c
d'après une lésion pathologique, ces centres pouvant n'être que des
centres
d'inhibi- tion calorique. M. le Dl Fisiifr (d
. le Dr C.-K. Mills pense qu'il y a un grand nombre des lésions des
centres
moteurs corticaux sans anesthésie, 490 SOCIÉTÉS
nage de l'hypocampe et des pédoncules cérébraux. Il pense que les
centres
tactiles sont bilatéraux. Dans certains cas d'hém
ie en foyer traitée avec succès par la trépanation et l'excision du
centre
moteur, sans réapparition des attaques au bout
sens musculaire sont normaux. La tumeur était située au niveau des
centres
de la face et du bras, et avait 18 à 20 millimè
d'équilibre et irritabilité du système nerveux, affaiblissement des
centres
supérieurs de l'encéphale devenant ainsi incapa
nt donné ; c, de l'état dans lequel se trouvent, à ce moment-là les
centres
nerveux de cet individu. Dans une dernière part
vec la compétence spécifique de diverses régions : moelle épinière,
centres
sensorio-moteurs, centres corticaux, et de faire
ue de diverses régions : moelle épinière, centres sensorio-moteurs,
centres
corticaux, et de faire de la conscience du moi
teils chez les), par Struempell, 287. Nicotine (influence sur les
centres
nerveux), 462. Ophthalmologique (compte rendu
dans la) par Rosenbach, 291. Paralysie infantile (altérations des
centres
nerveux dans un cas de), par Wallenberg, 110.
par le facial. Pas d'autre altération appréciable ù l'oeil nu, des
centres
ner- ^eux, sauf, à la partie postérieure de la
anl dt' plu t'nplu" réduites tl'ulutiscun u mcuru yu'm alltrunlm du
centre
de la tu- meur. Cependant, il ne semble pas que
ment, aussi loin qu'on peut suivre les libres nerveuses. En plein
centre
de la tumeur, un seul des faisceaux du nerf -fa
ro-sarcomatose, on trouve d'habitude des tumeurs multiples dans les
centres
nerveux, les racines ou les nerfs périphériques
celer au- cune autre localisation sarcomateuse en aucun point des
centres
nerveux, ni dans les racines, bien que la paraly-
nces indique le hajef des faisceaux qui mettent en communication le
centre
cor- tical extirpé avec les noyaux des nerfs mo
ale, occipitale. Il ne s'agit ici que des deux premières. 1. - Le
centre
oculo-musculaire frontal occupe la partie posté-
e pariétal contient un endroit, qui siégerait dans le territoire du
centre
du facial, dont l'excitation provoque des mouve
la périphérie ne réagisse pas, comme dans la narcose, et alors le
centre
mental ne manifeste rien. Mais il n'est pas en no
corce des lobes frontaux et pariétaux, du cervelet, de la partie du
centre
ovale contiguë au corps calleux. Moelle plus du
e hyperkinélique est fonction du faisceau extra-pyramidal et de ses
centres
: rien ne s'oppose à ce que la démence y soit p
familiale due vraisemblablement a une résis- tance insuffisante des
centres
psycho-moteurs. Cette pathogénie se rapproche d
sarcome du ganglion supérieur du sympathique cervical gauche. Les
centres
nerveux ne présentaient aucune lésion macroscopi-
e grande tache blanche assez limitée, plus ou moins ronde, ayant au
centre
un point assez rond, rouge-brun : ce point semb
pour les villégiatures el les séjours au bord de la ll1el',esl lin
centre
d'excursions fort pittoresques. Les organisateu
semble pas davantage se rattacher à un processus de congestion des
centres
ncr- veux d'origine vasculairc, comme dans les
érimentation a démontré qu'il existe, dans le manteau cérébral, des
centres
des besoins et des appétits et en particulier d
bral, des centres des besoins et des appétits et en particulier des
centres
dévolus à l'activité des or- ganes de la généra
'irritation corticale qui produit l'anxiété peut se propager il ces
centres
et les mettre en activité ? Mais l'anxiété est
Au dessous de l'écorce cérébrale existent une série d'or- (1) Des
centres
cérébraux dirigeant l'érection du pénis et l'ac
rposés, couches optiques, bulbe, moelle, dans lesquels existent des
centres
inférieurs dont l'activité peut être réveillée
automatisme ne peut exister que par le défaut ou l'insuffisance des
centres
modérateurs du manteau cortical. Or, nous savon
sque entièrement suspendues, l'action inhihitoirc ou frénatrice des
centres
corticaux, soit par épuisement, soit par inerti
nt, soit par inertie, ne se fait plus suf- fisamment sentir sur les
centres
inférieurs et laisse ainsi le champ libre à leu
aut intérêt de ces l'aits, et toute une leçon de sa 2'' série des «
Centres
nerveux » est consacrée aux multiples variétés
EVUE D'ANATOMIE Er DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 125 XIX. Les vrais
centres
du mouvement; parA. Adamkievvicz. (Xeurolog. Ce
perd l'initiative men- tale. L'écorce du cerveau n'est donc pas le
centre
de la motitite, elle est le centre de l'idée et
rce du cerveau n'est donc pas le centre de la motitite, elle est le
centre
de l'idée et de la volonté. D'expériences comme
e localisation des fonctions mo- tricea. Le cervelet contient les
centres
de l'ensemble des mouvements du corps soumis a
mouvements du corps soumis a la volonté : tète, tronc, membres. Ces
centres
ne sont pas seulement séparés localement ; ils
iment. Les muscles des membres ont dans le cervelet trois sortes de
centres
. Chaque membre anté- rieur et chaque membre pos
. Chaque membre anté- rieur et chaque membre postérieur possède son
centre
propre; les deux membres antérieurs et les deux
ent chacun le sien; les quatre extrémités ensemble ont, en outre un
centre
commun. Les quatre membres sont donc repré- sen
es quatre membres sont donc repré- sentes dans le cervelet par sept
centres
moteurs. Un mémoire détaillé est en préparation
Kunde, XX\'lI, N. F. XV, mai 1904.) 1" Il n'est pas vrai que les
centres
nerveux normaux de l'hom- me, du chien, du chat
e la portion moyenne du noyau ambigu (figure). P. KERAYAL. XXV. Des
centres
de divergence et de convergence du cerveau; par
1u;misphi'l'cs .lcu,} : /'('III,'('s de (li('I'- gence oculaire, un
centre
postérieur placé dans le ¡n l'US angu- laire (p
ntre postérieur placé dans le ¡n l'US angu- laire (pli courbe) ; un
centre
frontal immédiatement en avant de la partie moy
mite de la région motrice, participe aux mouvements volontaires. Le
centre
postérieur, à raison de sa to- pographie, se ra
Le centre postérieur, à raison de sa to- pographie, se rattache au
centre
de la vue et, comme tel, accessi- hIe il. (l'au
l'auLl'Cs associations des mouvements de l'oeil, il rentre dans les
centres
des mouvements involontaires ou réflexes ceci-
flexes ceci- tés par les représentations visuelles. Qu'on excite le
centre
pos- térieur ou le centre frontal, en même temp
eprésentations visuelles. Qu'on excite le centre pos- térieur ou le
centre
frontal, en même temps que les axes opti- ques
e active exigeai} ! la contraction des deux muscles abducteurs, les
centres
sous-cor- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
s les noyaux des nerfs corres- pondants constituent, par suite, des
centres
de divergence. On connaît les expériences qui p
connaît les expériences qui prouvent l'association bilatérale des
centres
frontaux des mouvements des yeux avec les noyaux
abducteurs. En outre de ce mécanisme de la divergence il existe un
centre
sous corticatproprededivergencedesyeuxjouant le
e un centre sous corticatproprededivergencedesyeuxjouant le rôle de
centre
réflexe, en relation avec les mêmes noyaux des
orsal, et, chez l'homme, du faisceau longitudinal pos- Lorieur ; ce
centre
occupe Le tubercule quadrijumeau antérieur. 11
uadrijumeau antérieur. 11 y a aussi des raisons de croire que noire
centre
de divergence cortical postérieur est en rappor
mouvements oculaires, par l'intermé- diaire de ce tubercule.. Les
centres
de convergence sont doubles. lien existe un dans
ion avec le cen- tre cortical de la vue. 11 y a lieu do supposer un
centre
de con- vergencevoluntaire, situé dans les part
usqu'à nouvel ordre, la convergence volontaire est liée au sort des
centres
des mouvements des veux des Ucusllémispltères.
ssible de douter qu'il n'y ait dans les régions sous-corticales des
centres
spéciaux de convergence. Les centres de converg
es régions sous-corticales des centres spéciaux de convergence. Les
centres
de convergence qui régissent les muscles intern
e des eux occupent les noyaux des oculo-mo leurs. S'il n'y a pas un
centre
spécial qui préside a la convergence as- sociat
la convergence as- sociative des deux yeux simultanément, il y a un
centre
pour chaque (ni ! séparément. En tout cas les c
ent, il y a un centre pour chaque (ni ! séparément. En tout cas les
centres
frontaux qui président la convergence des yeux
président la convergence des yeux agissent par l'intermédiaire des
centres
sous-corticaux qui portent les yeux en dedans ; l
ses rapports avec les muscles des yeux; par \Y. M. Bech- terevv. Du
centre
cortical de la vue ; par K. S. AGAD- .faNLaNT2.
hiatrii, IX, 1904.) - L'examen des travaux parus depuis 1890 sur le
centre
de la 132 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
les voies d'associa- tion sont intéressées des deux côtés depuis le
centre
visuel jus- qu'à l'écorce motrice. La lésion du
de la perception occupe les deux lèvres de la tissure calcarine, le
centre
de la vision distincte paraissant t être en ava
les voies d'association, gagnent la face externe du lobe occipital (
centre
d'élaboration mentale), les portions supérieure
ortent des cen- tres du langage. lis ont la propriété d'exciter les
centres
du lan- gage de la seconde personne et de provo
sur certaines ré- ¡ ? ions de la tète, déterminent l'excitation des
centres
correspon- pondants du cerveau, auditifs, visue
i comprennent toutes les zones asso- ciatives postérieures sont des
centres
de formation et de conser- vation des images. O
ion des images. On ne peut pas démontrer le passage des ima- ges du
centre
de perception au centre postérieur d'association,
ut pas démontrer le passage des ima- ges du centre de perception au
centre
postérieur d'association, qui serait, selon ! "
re postérieur d'association, qui serait, selon ! "Ie('hig, aussi le
centre
de conservation et d'as- sociation pour les il1
rvation et d'as- sociation pour les il1la¡ ? t'spl'o\euanLde autres
centres
percepifs. Les lésions de la zone du langage dé
et conservées, et aussi la perle du langage, selon l'importance du
centre
intéressé. Il est 1res dangereux d'utiliser pou
par Capriati. (li iiévi-oi. Ariiio XXI, fasc. \'-\'1.) \\\V.- Les
centres
optiques primaires après énucléation ou atrophi
va des 1-ela[ioll,,ti-is étroites entre la rétine d'une pari et les
centres
optiques primaires. Ces connexions sont moins i
leurtirelcsconclusions suivantes : La zone corticale motrice est le
centre
exclusif des convulsions cloniques chez le chie
ans toute sou étendue, chez tous les mammifères, est le siège, d'un
centre
exclusivement tonique ; elle ne provoque jamais
rovoque au contraire des convulsions cloniques. On voit donc que le
centre
convulsif clonique remonte pro- greSSi\ClIll'nl
aire par la conserva- tion des libres d'associalion qui unissent le
centre
acoustique de la parole au centre moteur. Mais
res d'associalion qui unissent le centre acoustique de la parole au
centre
moteur. Mais dans l'espèce, le malade était con
entreiutettectuel coopérait au mécanisme. 11 faut donecroire que le
centre
moteur de la parole comprend un territoire plus
roca. A côLé <le celte circonvolution, il doit v avoir un second
centre
moteur de la pa- role prl'l'orllll',Cl'nlrc aux
lll',Cl'nlrc auxiliaire qui, pour remplir sa fonction fait appel au
centre
acoustique et optique de la parole. Conclusions
el au centre acoustique et optique de la parole. Conclusions. 1. Le
centre
moteur de la parole comprend un territoire qui
n de ce cenlre auxiliaire s'effectue par l'inter- vention tantôt du
centre
de la parole acoustique, tantôt ducenfre de la
B. M. du schéma do LichLJ\t'il1l, qui va du centro intellectuel au
centre
moteur de la parole, mais par celle de la circO
u montrant l'origine centrale des accidents, l'abaisse la valeur du
centre
moteur dans la trouvaille du mot. S'agit-il d'a-
. L'interruption est d'autant plus complète qu'elle se rapproche du
centre
des images des sons, des mots, et, cependant, m
elle de h'ul's u]¡sLmlullls analol111qIH'S. En ce qui concerne le
centre
des représentations mentales des mouvements des
objets. Mais ce REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 145 n'est point un
centre
spécial, une fonction particulière ; ce serait
ntre spécial, une fonction particulière ; ce serait encore moins un
centre
spécial que dans l'alexie. Il s'agirait en gros
ostérieure des 2° el 3e tem- porales du côté gauche, tandis que les
centres
de la parole mo- teur et acoustique ne seraient
tuent que la branche supérieure du facial possède dans l'écorce des
centres
absolument individuels, disposés chez le singe
s de la deuxième frontale ; ils sont topographiquement distants des
centres
du facial inférieur, lien est de même chez le c
usion ou le clignotement palpébral. Voilà pourquoi l'abla- tion des
centres
corticaux du facial supérieur ne détermine pas
ulcorli- i- cales du facial supérieur qui tiennent à une lésion des
centres
du facial supérieur s'accompagnent de (roubles
yau du facial ; il témoigne de t'atteinte concomitante des voies ou
centres
du facial supérieur. L'auteur l'a observé dans
émiplégies capsulaires ou corticales, quand le foyer s'étendait aux
centres
ou voies de facial supérieur qui passent par la
emiers ce seraient : Heidelberg région du Nord ; Illenau, région du
centre
; Fribourg, ré- asiles d'aliénés. 1M > ¡ ?
être corrigée ; 3° le syndrome étant dans certains cas dissocié, le
centre
cortical, s'il existe, ne pourrait pas être uniqu
ld Lnvi. L'unité de la migraine c'est la localisation initiale : le
centre
de 1l1l"lIiÍ,'I'anie siège au niveau delà profu-
colc-tlc- : 'Iédl'l'inl'. 1'I'ix : 3 fi', 50, (;1\ ISSI.'l' ( ? Les
centres
nerveux. 1 vol. In-S* de 730 pages, I,ilo·airit
onakow aussi, le faisceau qui unit la sphère corticale visuelle aux
centres
optiques pri- maires se divise à la hauteur de
ns de Fli. 18S ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Pour Déjerine (Anatomic des
centres
nerveux I, page 780), « les dégénérescences sec
est donc associative. Sa partie su- périeure s'en va rejoindre les
centres
sous-corticaux du cerveau (Thaï. opt. pulvinar,
le résultat d'unc influence inhibitoire ou irritative subie par les
centres
psycho-moteurs, elle est le résidu miséra- ble
ostérieure ; et, conservant ainsi des rapports intimes à travers le
centre
ovale, iraient se terminer dans la zone pararol
Ionique sous .l'influence du cervelet « le cervelet, dit-il, est un
centre
d'activité avancée du labyrinthe, activité qui
toujours pas une seule et même chose : tantôt ils repré- sentent le
centre
d'innervation d'un muscle, d'un segment de memb
ion d'un muscle, d'un segment de membre; tantôt ils représentent le
centre
d'un nerf ou d'une de ses branches ; fort suu u
tent le centre d'un nerf ou d'une de ses branches ; fort suu uut,le
centre
d'un muscle isolé ou de plu- sieurs muscles à f
esseur. Cette excitation diminue, par action réflexe, l'activité du
centre
vaso-moteur. Les vaisseaux se dilatent, et, par
tut anatomo-pa- thologique du prof. Chiari. P. 11ERAVAL. LV ? Des
centres
corticaux de la sécrétion sudorale ; par A. S.
pathognomonique de l'infection ludique acquise ou héréditaire des
centres
nerveux ; 3° le signe d'Argyii est un épiphénomèn
'est par cet accident que débutent les processus sy philitiques des
centres
nerveux ; 4° lana- tureépiplastique de la membr
de nombreuses années de service à l'Asile. Leur logement occupe le
centre
du bâtiment. A côté se trouve une tisanerie et
La cour des récréations est divisée également en deux parties; au
centre
deux murs d'un mètre de hauteur, sur lesquels o
t av ec les excitants sensoriels. A toute énergie élémentaire de ce
centre
de direction sous-cortical corres- pond une éne
lJement dans la série des vertébrés des voies conductrices et îles
centres
de l'écorce cérébrale. Il montre comment celle-ci
tion crée un outillage spécial. Ainsi, avant le développement des
centres
corticaux de la sensibilité on ses modalités dive
ttachaient à telle ou telle de ces modalités s'exécutaient dans les
centres
sous-corticaux. Ces cen- tres primaires procéda
processus psychiques ayant pour base la perception consciente. Les
centres
corticaux se sont emparés des processus psychiq
psychiques liés à tel ou tel mode de la sensibilité, tandis que les
centres
sous-corticaux ont servi de préférence àl'ac- t
S,IO1, ainsi (tue les lIléllloiresanlél'ieul ? P. IveRwAL. LXXY. Du
centre
cortical de la vue ; par W. M. BECTE- REW. (06o
volus. Conclusions. Ilya des raisons de supposer que le véritable
centre
cortical delà v ision, chez le chien, occupe la p
u de Hoche. - Il ! . Le triangle médian est entièrement distinct du
centre
ovale de Fleschsig, qui est un faisceau radicul
ue dans le territoire même des vaso- moteurs dont elle a touché les
centres
. « L'autonomie des vaso- moteurs vis-à-vis des
a touché les centres. « L'autonomie des vaso- moteurs vis-à-vis des
centres
huitto-encephaliques est donc con- sidérablemen
er, par l'intermédiaire du pneumogastri- que ou du sympathique, les
centres
corticaux de perception de la sensibilité génér
e la sensibilité générale. On conçoit, que si la réceptivité de ces
centres
est héréditairement accrue, les dites sensation
urtout sur les extrémités inférieures, marchant de la périphérie au
centre
et s'all1éliol'3.nl du centre à la périphérie.
rieures, marchant de la périphérie au centre et s'all1éliol'3.nl du
centre
à la périphérie. Traitement : massage, exercice
lisée ; mais le choc agit à l'excès sur le bulbe moins résis- tant,
centre
des t uso-moleurs. Il en part une impulsion qui,
t du tiers inférieur de la frontale ascendante. L'excitation de ces
centres
moteurs détermine les mouvements variés qui d'o
sur la pariétale ascendante, trois petits morceaux prélevés sur le
centre
de la main, et à un centimètre au-dessus, a un
ain, et à un centimètre au-dessus, a un centimètre au-dessous de ce
centre
. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 323 L'alfection déso
gidité de ce mandrin peut être augmentée à. volonté en plaçant au
centre
des tours de spire une tige d'acier d'un millimèt
ck déclare se rallier. D'après cette théorie il existe un organe ou
centre
d'apperception corres- pondant au centre d'asso
rie il existe un organe ou centre d'apperception corres- pondant au
centre
d'association antérieure de Flechsig,qui serait t
cho-motilité est à la fois sensorielle et motrice, comme celle des
centres
du psychisme inférieur. Un comprend aisément que
il l'occasion de ce travail, le résume d'un mémoire intitulé : Des
centres
corticaux de la sécré- tion urinaire, publié pa
e de la troisième de l'automatisme post paroxys- tique. 6^ Tous les
centres
cérébraux ne souffrant pas à un égal degré pend
né, tandis que chez le se- cond il y a un arrêt au-dessus « dans le
centre
ou la sphère d'a- perception, organe de la pers
ens de deux semaines, les mouve- ments respiratoires; c'est donc un
centre
respiratoire qui se dé- veloppe dans l'écorce a
prouvé l'existence dans le tubercule quadri,jumeau postérieur d'un
centre
de la respiration et de la phonation, le rôle d
le courant diffuse dans le bulbe (.foukowski, Invanow),rt excite le
centre
vasomoteur et inhibitoire du coeur. Les prépara
au niveau de l'origine des nerfs des membres, par Hikeles. 381.
Centres
. Les vrais du mou- vement, par Adamkiewicz,123.
études sur le - par Sici- liane, 229. Voir Gliome, Cerveau. Voir
Centres
. Esquis- ses d'anatomie comparée du- - antéri
Cestan, 451. en plaques, par Claude, 451. Sécrétion sudorale.Voir
Centres
corticaux. SEr : '1'IOXS xr.nVEUSES-, par Mél
arrondi. Ce protoplasma est clair, non granuleux et présente à son
centre
un gros noyau fortement coloré par l'héma- toxy
. « Il ne suffit pas pour produire une hallucination d'activer un
centre
sensoriel par une lésion irritative, quelque chos
on irritative, quelque chose de plus est nécessaire; il faut que ce
centre
soit modifié, il faut qu'il soit préparé d'une
es ? Les impres- sions que reçoit le malade parviennent jusqu'à ses
centres
perceptifs conscients. La substance protoplasmi
ipètes des fibres centrifuges. Quand une irritation morbide, née au
centre
cérébral, parvient par ces dernières, la sensat
arition fait supposer, que l'accumulation morbide d'énergie dans un
centre
sensoriel, se décharge par la moitié motrice de
et les pseudo-hallucinations, nous force d'admettre que chacun des
centres
sensoriels du cerveau se décompose du moins en
épression de l'activité vitale, causée par un état d'épuisement des
centres
nerveux et surtout du grand sympathique qui gouve
nérescence des fibres nerveuses et des muscles, en détruisant leurs
centres
trophiques. C'est cette dégénérescence que perm
la rigidité spasmodique des muscles dans cer- taines affections des
centres
nerveux est un sujet sur lequel M. le professeu
que colonie devrait avoir à sa tête un médecin qui en habiterait le
centre
, elle ne comprendrait que 40 malades, serait si
ins cas de paralysie asthénique des degrés différents de lésion des
centres
nerveux sont possibles et que l'atrophie peut s
ateur » est assez fréquente. Quanta la localisation plus exacte des
centres
médullaires des muscles exten- seurs, ces centr
n plus exacte des centres médullaires des muscles exten- seurs, ces
centres
se trouveraient dans la région cervicale de la
in, 1897. - Archiv. sur Psychiatrie. GLnvrewv (L.). Chirurgie des
centres
nerveux. - 111-81 (le 300 pages, avec 2j, figur
tions modérées venant des cellules voisines. Si abondam- ment qu'un
centre
puisse être être baigné par un sang pur, la con-
olique, soit katabo- lique, réside dans ses relations avec d'autres
centres
. Et, suivant l'auteur, les connexions trophique
autres centres. Et, suivant l'auteur, les connexions trophiques des
centres
supérieurs ne suivent pas un plan aussi simple
ème nerveux : il est probable que, dans une certaine mesure, chaque
centre
cortical est trophique pour tous les autres centr
e mesure, chaque centre cortical est trophique pour tous les autres
centres
. La récupération de la fonction corticale consé
es altérations de la substance grise de l'encéphale par rapport aux
centres
différents décrits par Flechsig dans son ouvrage
ele, on trouve la localisation suivante du processus. Dans le grand
centre
d'association frontal la destruction est très m
sseaux. Les convolulions III ne sont que légèrement affectées. Le
centre
d'association insulaire est fortement détruit à u
que hémisphère. On y trouve de petites hémorragies. Dans le grand
centre
d'association pariéto-occipito-temporal, on con
lutions centrales. Altérations également peu considérables dans les
centres
sensoriaux » (Sinnen-centra.) Il est évident qu
isation des altérations graves dans la substance corticale du grand
centre
d'association frontal, etdes altérations minimale
re d'association frontal, etdes altérations minimales dans le grand
centre
paricto-occipito-temporal, est en correspondance,
région des sensations corporelles (Iürperfülilspliare), et que le
centre
insulaire serait d'une grande importance pour la
hi les conclu- sions suivantes : 1° Le lobe préfrontal contient les
centres
moteurs des yeux et de la tête du côté opposé e
et de la tête du côté opposé et celui de l'attention. 2° Il est le
centre
des fonctions psychiques supérieures, sa destruct
uction entraînant la perte de l'activité psychique. 3° Il serait le
centre
moteur des muscles du dos et son haut développe
cavités au REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149
centre
de chaque tumeur sans communication avec le canal
me paire cervicale à la première dorsale. For- mation de cavités au
centre
de la tumeur', sans épithélium et sans communic
éterminer pour chacune de ces formes des trajets médullaires et des
centres
corti- caux distincts. - F. Boissier. 150 REV
en deux temps : 1° section du lambeau osseux et détermination des
centres
du pouce et de l'index; 2° huit jours après excis
ssance, morsure de la langue et écume à la bouche. Détermination du
centre
de la jambe. excision d'un morceau de cerveau d
igures.) Depuis les travaux de Hitzig et de Fritsch, la plupart des
centres
moteurs ont été topographiquement délimités sur
s ont été topographiquement délimités sur l'écorce céré- brale. Les
centres
des muscles du tronc et de la nuque n'ont pas e
ntal toute excitabilité électrique. Ferrier cependant y a placé les
centres
en question ainsi que le centre des mouvements
Ferrier cependant y a placé les centres en question ainsi que le
centre
des mouvements des yeux, tous les autres centres
estion ainsi que le centre des mouvements des yeux, tous les autres
centres
restant bien en arrière dos précédents. Les exp
but d'élucider cette question ; il a cherché où étaient situés les
centres
des muscles du tronc et de la nuque chez le chien
de la nuque chez le chien, et s'il existait dans le lobe frontal un
centre
spécial pour les mouvements des yeux. REVUE D
traire, il n'est pas de point de l'écorce qui ne soit le siège d'un
centre
. Mais les recherches de Ferrier ne peuvent entr
e de l'excitabilité du lobe frontal et au point de vue du siège des
centres
du tronc et de la nuque. Il n'y a à retenir que
nuque. Il n'y a à retenir que son affirmation de l'existence d'un
centre
des muscles des yeux dans le lobe frontal. Contre
par Hitzig et Il. de Boyer, s'éleva Munk. Ce physiologiste place le
centre
du tronc chez le chien, dans le lobe frontal ; le
place le centre du tronc chez le chien, dans le lobe frontal ; le
centre
de la nuque en est voisin. Munk se base sur des e
d'Unverricht, de ICuicl : . Ce dernier place , comme Unverricht, le
centre
de la musculature du tronc sur le gyrus sigmoïd
la musculature du tronc sur le gyrus sigmoïde postérieur enlre les
centres
des extrémités; il confirme également le fait s
me également le fait signalé par Unverricht, de l'absence pour ce
centre
d'action croisée (action dérecte sur les muscles
erches il tire les conclusions suivantes : 1° le chien possède deux
centres
pour les muscles de la nuque : a) l'un dans le
ue : a) l'un dans le lobe frontal en avant de fissure présylvienne (
centre
frontal de la nuque). b) L'autre dans le lobe
étal, sur l'extrémité du gyrus syg- moïde postérieur, au-dessous du
centre
du membre antérieur (centre pariétal de la nuqu
syg- moïde postérieur, au-dessous du centre du membre antérieur (
centre
pariétal de la nuque). L'excitation de ces deux c
e antérieur (centre pariétal de la nuque). L'excitation de ces deux
centres
détermine un mouvement du museau qui est dirigé
entres détermine un mouvement du museau qui est dirigé du côté du
centre
excité ; 2° le centre de la musculature du tronc
mouvement du museau qui est dirigé du côté du centre excité ; 2° le
centre
de la musculature du tronc est situé sur le gir
ature du tronc est situé sur le girus sygmoïde postérieur entre les
centres
des extrémités, il préside aux mouvements des m
réside aux mouvements des muscles du même côté ; 3° il n'y a pas de
centre
moteur des yeux dans le lobe frontal du chien;
moteur des yeux dans le lobe frontal du chien; 4° la situation des
centres
en général varie suivant les individus dans des
le ; par le Dr HAVELOCK ELLIS. En Angleterre l'Ecole est un grand
centre
de développement de l'inversion sexuelle et tou
- tionnels du cerveau et qui ni'ntéressent que secondairement les
centres
réflexes subordonnés, les muscles, la peau, les o
près section d'un tube nerveux, le bout périphérique, séparé de son
centre
trophique, dégé- nère. » Supposons donc un fais
190 PATHOLOGIE NERVEUSE. extrémités en forme de fuseau : c'est le «
centre
ovale » de Flechsig. Cet auteur l'a bien signal
ze (portion cervico-dorsale du faisceau endogène descendant), et le
centre
ovale de Flechsig (por- tion lombaire). Les der
aît quand cesse la vir- gule de Schulze et avant que ne commence le
centre
ovale. Le faisceau endogène descendant du cordo
En b, zones endogènes descendantes (faisceau triangulaire mé- dian,
centre
ovale, bandelette périphérique, virgule de Sclmls
13 (cinquième racine lombaire). - Décoloration il peu près totale du
centre
ovale (6). Flg, 16 (douzième racine dorsale).
s dans toute la hauteur de la moelle (faisceau triangulaire médian,
centre
ovale, bandelette périphérique dorso-lombaire,
raitant soit assimilé absolument aux médecins des hôpitaux dans les
centres
d'enseignement et dans les établis- sements sit
de des maladies men- tales, à rester toute leur vie dans les petits
centres
afin d'avoir le loisir de travailler et de n'êt
ait que sur le logement et les avantages en nature. Dans les grands
centres
les alié- nistes seraient payés sur le même pie
mporal; il peut, par suite, encore écrire, même spontané- ment ; le
centre
moteur de l'écriture n'est pas lésé. Voici un n
près du point de la division de l'artère basilaire alimen- tent le
centre
optique du pulvinar et les noyaux, ainsi que les
éflexe provient d'excitations périphériques allant frapper certains
centres
réflexes bulbaires. Ces derniers peuvent être d
istes a voulu commencer son deuxième septenaire en venant siéger au
centre
de ce Languedoc, un des plus exquis joyaux de n
s'ensuit pas qu'elle ne puisse pas déterminer d'autres lésions des
centres
nerveux : ces lésions de syphilis cérébrale don-
tissements venus de la vessie et chez eux tout se passe comme si le
centre
cérébral de la miction n'existait pas, ou plutôt
nds rêveurs, la sensation de besoin ne stimule qu'insuffisamment ce
centre
, pas assez pour déterminer le SOCIÉTÉS SAVANTES
l'emploi que la suggestion hypnotique permettra seule de créer des
centres
d'arrêt psychiques destinés à fournir au malade
cientifiques et à l'étude de l'anatomie normale et pathologique des
centres
nerveux. Le ser- vice des retraites des directe
glutition se fait bien et pas de fièvre. A une lésion organique des
centres
cérébraux spinaux ? Le mode de début, l'intégri
lle du cerveau ; au début, il y a eu un gros foyer agissant sur les
centres
moteurs et sensoriels, ainsi que sur leurs voie
oriels, ainsi que sur leurs voies d'association dès la 3° frontale (
centre
moteur de la parole), la temporale supérieure (
3° frontale (centre moteur de la parole), la temporale supérieure (
centre
sensoriel de la parole), les deux ascendantes (
e supérieure (centre sensoriel de la parole), les deux ascendantes (
centre
du bras et de la jambe), le lobe occi- pital (c
x ascendantes (centre du bras et de la jambe), le lobe occi- pital (
centre
visuel), puis la localisation s'est limitée aux v
puis la localisation s'est limitée aux voies d'associalion entre le
centre
sensoriel des images graphiques pro- duites par
el des images graphiques pro- duites par les impressions visuelles (
centre
optique) et le centre >ensoriel et moteur de
es pro- duites par les impressions visuelles (centre optique) et le
centre
>ensoriel et moteur de la parole et le centr
tre optique) et le centre >ensoriel et moteur de la parole et le
centre
motear cyaphique. En un mot le pli courbe gauch
C'est l'endroit où passent les fibres d'association qui relient le
centre
visuel occi- pilal au centre de la parole et au
es fibres d'association qui relient le centre visuel occi- pilal au
centre
de la parole et au reste du cerveau frontal (il y
opier) la lésion doit s'étendre aux fibres d'asso- ciation entre le
centre
visuel et le centre auditif. Comme il écrit et
t s'étendre aux fibres d'asso- ciation entre le centre visuel et le
centre
auditif. Comme il écrit et dessine mécaniquemen
mécaniquement, il y a intégrité de voies d'unions directes entre le
centre
optique et le centre graphique. S'il y a eu hén
intégrité de voies d'unions directes entre le centre optique et le
centre
graphique. S'il y a eu héniieurie puis lacryma
resté impuis- sant ; il fait un rapprochement entre ces lésions des
centres
ner- veux et celles des paralytiques sur lesque
lus ou moins complets avec intervention plus ou moins effective des
centres
phrénateurs. Autre note de MM. Vallon et Marie
ent se manifester l'un sans l'autre; ils semblent démontrer que les
centres
cérébraux du moi splanchnique offrent une plus
us interne ; 3° la troi- sième partie des fibres, en passant par le
centre
médian, s'achève dans les cellules situées de s
jEWNiMFF et Rora. M. Oar.ovsxr. Syphilis et sclérose disséminée des
centres
nerveux. - La. combinaison d'une sclérose dissé
xcessive du bruit et de l'apparat qui l'a toujours tenu éloigné des
centres
intellectuels où s'agitent le monde et la scien
'interrompre la circulation dans les rues étroites des quartiers du
centre
. En raison des accidents qui auraient pu se pro
teggio-Emilia, 1897. Tipografia S. Cal- derini e Figlio. Mau.u.m.
Centres
de projection et centres d'association du cerveau
grafia S. Cal- derini e Figlio. Mau.u.m. Centres de projection et
centres
d'association du cerveau. Brochure in-8° de 8 p
ie. Bruxelles, 1897. Saxo (F.). De l'indépendance fonctionnelle des
centres
corticaux du langage. - Brochure in-8° de 23 pa
ique des éléments nerveux déterminée par les fonctions de l'écorce,
centre
le plus élevé de terminaison et d'origine des f
et efférents. Les gan- glions inférieurs sont, comme l'écorce, des
centres
de coor- dination sensitivo-motrice, dont les a
i- formité relative. L'écorce cérébrale est au contraire un grand
centre
de coordination sensitivo-motrice systématique de
les des actes et des actions volontaires. Il est vrai qu'à côté des
centres
de projection il existe, dans l'écorce, des cen
i qu'à côté des centres de projection il existe, dans l'écorce, des
centres
d'association sans couronne rayonnante (Flechsi
leur rôle physiologique divers dépend uniquemenl de la nature des
centres
nerveux corticaux d'où partent (sphères sensori
x corticaux d'où partent (sphères sensorielles) et où s'arborisent (
centres
d'association) les fibres de ces faisceaux. Pou
emarque Lugaro, que les fibres afférentes s'élèvent directement des
centres
sous- corticaux ou proviennent d'autres points
nts de l'écorce, ni que les fibres efférentes se terminent dans des
centres
inférieurs ou dans des centres plus ou moins di
res efférentes se terminent dans des centres inférieurs ou dans des
centres
plus ou moins distants appartenant à l'écorce.
ier fait bien établi "(1' line terminaison des cylindraxes dans les
centres
nerveux. Jusqu'alors on avait suivi les fibres ne
tout mouvement, volontaire ou non, tend à produire en déplaçant le
centre
de gravité du corps. L'écorce cérébrale de chaq
ion ; c'est encore et surtout, chez l'homme et les anthropoïdes, un
centre
d'association, le nombre et la richesse des voi
les parties les plus diverses du même organe, voire avec d'autres
centres
nerveux. La démonstration a été faite en particul
atives presque insensibles, mais progressives, d'un petit nombre de
centres
corticaux élémentaires et surtout des connexion
de centres corticaux élémentaires et surtout des connexions de ces
centres
ner- veux. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE XIX. Empo
ment, soutient aussi Dallemagne, sont à la base de l'idée comme les
centres
nerveux inférieurs constituent les agents secon
eux inférieurs constituent les agents secondaires de l'activité des
centres
supérieurs. L'appa- rent effacement des émotion
ine le plus souvent, mais précédée parfois d'une « aura, partant du
centre
épigastrique, de la profondeur des entrailles,
re considérées comme des excitations non diffusées à l'ensemble des
centres
ner- veux mais irradiées partiellement en un se
un grand nombre de cellules ainsi lésées par anémie transitoire du
centre
spinal, présentaient d'étroites analogies avec
noyau et affectent la forme polygonale. A mesure qu'on s'éloigne du
centre
, ils deviennent plus allongés, et dans les prol
admis depuis Waller que le bout central d'un nerf sectionné et son
centre
d'origine restent intacts. Or, la méthode de Ni
tielle à noter, c'est, que le noyau qui, à l'état normal, occupe le
centre
de la cellule, émigré à ce moment vers la péri-
ande partie de la substance chro- matique est ainsi désintégrée, le
centre
de la cellule présente un fond plus ou moins un
onnent. Les travées du réseau achromatique s'insèrent d'une part au
centre
sur la paroi du noyau. Aux points d'intersect
lte accélération ? Elle peut paraître ou bien après la paralysie du
centre
ou de l'appareil périphérique du nerf vague, ou b
érique du nerf vague, ou bien elle est l'effet d'une excitation des
centres
intra-cardiaques et du muscle du coeur même, et
qui cause son accélération, et on est conduit à croire que c'est le
centre
des nerfs accélérateurs dans le bulbe qui est i
erf vague, est ralenti. Dans le cas où l'on irrite, par exemple, le
centre
du nerf vague par l'absence de l'oxygène, par l
ère pour la première fois la possibilité de l'excitation toxique du
centre
des nerfs accélérateurs. En ce qui concerne la
sivement d'origine bulbaire et elle peut dépendre au=si ou bien des
centres
spinaux ou bien de la périphérie même. La réso-
retrouvaient à la suite de foyers de ramollissement intéressant le
centre
optique dans le premier cas et l'écorce céré- b
terruption d'un tronc nerveux, remonte dans le bout central vers le
centre
trophique, mise en lumière par V. Gudden, est t
st très connue aujour- d'hui et a été retrouvée aussi bien dans les
centres
(dégénérescences ascendantes du faisceau pyrami
le. Si on est autorisé à supposer qu'il n'y a aucune poussée, ni au
centre
ni à la périphé- rie, on s'abstiendra de toute
3 kilomètres qui séparent l'asile de la place Gambetta, prise comme
centre
de la ville, il n'existe aucun moyen de transpo
xication tétanique ; par M. H. Claude; Période réfractaire dans les
centres
nerveux; par MM. André Broca et Charles Richet;
uvements de ces muscles. L'expérience a montré qu'une excitation du
centre
laryngé produit des mouvements d'adduction dans
'autre part, l'ablation des deux lobes frontaux qui contiennent ces
centres
n'entraîne qu'une suppression passagère des mouve
e. Le sentiment en question a tellement exagéré l'innervation des
centres
moteurs que l'énergie nerveuse en excès a continu
es bien moindres, par suite de l'état de tension où se trouvent les
centres
. La volonté n'agit donc plus, n'est plus con- s
es et l'état électrique de ceux qui sont respectés indiquent que le
centre
du facial n'est pas atteint ; la conservation d
la lésion cérébrale était bien limitée à un peint de la région des
centres
moteurs dans l'écorce cérébrale. Ces cas simple
els l'épilepsie jacksonienne accompagnait des lésions éloignées des
centres
moteurs ou de grosses lésions ne touchant que for
centres moteurs ou de grosses lésions ne touchant que fort peu ces
centres
moteurs. Parmi les cas qui peuvent entraîner la c
par la réalisation de l'idée que nous poursuivons. Croire que les
centres
ou territoires de l'écorce cérébrale sont défin
e de la surface du cerveau, et que c'est ainsi qu'il arrive que les
centres
se réunis- sent plus ou moins complètement, con
e, à certains degrés, avec le même côté correspondant toutefois aux
centres
de la figure et des membres ; encore ne sommes-
ure et des membres ; encore ne sommes-nous pas tous d'accord sur le
centre
qui correspond aux muscles du tronc. La loi acc
a rétine du même côté et à la moitié nasale du côté opposé, mais le
centre
, qui est chargé des fonctions extrinsèques des
ion antérieure de la moyenne du lobule temporal qui est le siège du
centre
cor- respondant ; comme 'aussi on assure que, d
ure de ce même lobule, dans la région du crochet, on rencontre le
centre
de l'appareil olfactif : le reste de cet importan
cie, l'absence de cours d'eau navigable, l'éloigne- ment des grands
centres
établissent la possibilité de recevoir actuel-
yopathies dites primitives sont sous la dépendance d'une lésion des
centres
nerveux, et, ayant observé un certain nombre de
térie masculine déterminée par toute autre cause. Dans les petits
centres
de l'Allemagne, la question semble moins avancé
un grand rôle, sans compter l'héré- dité nerveuse. Dans les petits
centres
, sans aucun doute, cela ne se rencontre pas, ta
é- nomination n'ayant pour but que de rappeler l'intervention des
centres
moteurs du langage, provoquée par un trouble fonc
s moteurs du langage, provoquée par un trouble fonc- tionnel de ces
centres
, analogue à celui qui, dans les hallucina- tion
i qui, dans les hallucina- tions psycho-sensorielles, intéresse les
centres
sensoricls-corti- 30 CLINIQUE MENTALE. eaux.
de « voix labiales ». Chez la seconde malade, l'intervention des
centres
psycho-moteurs du langage est encore plus évident
ychique de il. Baillarger est avant tout un trouble fonctionnel des
centres
moteurs de la fonction du langage. , 2° Elle
importante qui revenait dans l'améliora- tion à cette éducation des
centres
psycho-moteurs est bien mise en évidence par la
blanche qui vient coiffer le tubercule antérieur du corps optique (
centre
olfactif de Luys). Comment expliquer que le r
s indiquent les rap- ports qui doivent exister entre le ruban et le
centre
cortical, dont le corps bordant et le pilier po
une partie de son système fibreux convergent. Luys la mène à son
centre
olfactif. SAPPEY la décrit ainsi : « Ses extrém
mmunication la station intermédiaire de la cou- che optique avec le
centre
nerveux. Quant aux bandelettes olfactives, bien
n'avait en avant qu'un seul nerf olfac- tif, qui semblait naître du
centre
de l'une des couches optiques. » Ce fait me par
: un seul nerf olfac- 1 Voir plus haut, dans les notes relatives au
centre
cortical, les opinions des auteurs qui admetten
togène. Cette zone était constituée par un grand nombre (molti) des
centres
excitables du cerveau découverts par Fritsch et
culaires. Aussi l'écorce du cerveau n'était pas, pour Albertoni, un
centre
autonome de l'épilepsie, mais un centre d' « in
t pas, pour Albertoni, un centre autonome de l'épilepsie, mais un
centre
d' « incidence D. En d'autres termes, les épileps
eau part simplement l'excitation capable de mettre en jeu les vrais
centres
mo- teurs, probablement situés à la base et dan
considérations pour affirmer, touchant la nature fonctionnelle des
centres
corticaux du mouvement, que ce ne sont pas de v
lle des centres corticaux du mouvement, que ce ne sont pas de vrais
centres
moteurs autonomes, qu'ils ne provoquent des mou
s que par action réflexe, et que cette action s'exerce sur d'autres
centres
nerveux véritablement moteurs '. Dario Maragl
. » Déjà dans s le Mémoire composé avec Tamburini, en 1878, sur les
Centres
psycho-moteurs corticaux, Luciani avait étudié
rale, capable de troubler, sous forme de paroxysme, la fonction des
centres
psycho-moteurs ; 2° cet état peut se produire s
à la fois dans les divers groupes musculaires représentés dans les
centres
corticaux ; la sensibilité et la conscience son
rairement suspendues ; 4° si l'excitation est circonscrite à un des
centres
psycho-moteurs, l'épilepsie peut consister en c
es, limitées au seul muscle ou groupe de muscles corres- pondant au
centre
cortical lésé ; 5° si l'excitation de l'écorce
ires dans l'ordre même où évolue le processus épileptogène dans les
centres
correspondants de l'écorce. La marche de l'accè
e voie prédéterminée par la disposition anatomique des différents
centres
moteurs du cerveau. Bref, l'écorce cérébrale, et
'ancienne doctrine, le bulbe n'y prend part que secondairement. Les
centres
corticaux vaso-moteurs, dont l'excitation déter
Landois). L'excitation céré- brale n'est donc pas circonscrite aux
centres
d'innervation motrice des muscles : elle attein
te aux centres d'innervation motrice des muscles : elle atteint les
centres
vaso-moteurs qui se trouvent localisés dans les
mêmes aires corticales. De là, l'excitation peut se transmettre aux
centres
vaso-moteurs du bulbe, mais toujours secondaire
ce d'une zone épileptogène, Albertoni conteste que l'écorce soit le
centre
exclusif des convulsions épileptiques, encore que
ner le signal de l'at- taque en provoquant la suractivité des vrais
centres
moteurs, des « véritables organes producteurs d
ires, et dont la destruc- tion entraîne la paralysie, sont de vrais
centres
moteurs, et non simplement des centres qui ne p
la paralysie, sont de vrais centres moteurs, et non simplement des
centres
qui ne provoqueraient des mou- vements qu'en ag
qui ne provoqueraient des mou- vements qu'en agissant sur d'autres
centres
véritablement mo- teurs, situés dans d'autres r
ies du corps qu'ils envahissent, les groupes mus- culaires dont les
centres
moteurs ont été détruits. Ce fait, qui est la p
de Florence); 2° A la phase initiale de l'accès, l'extirpation des
centres
moteurs préalablement excités peut arrêter les
e, tandis que l'écorce cérébrale est primitivement atteinte. Si les
centres
moteurs du bulbe subissaient les premiers l'act
ce, la substance grise de l'écorce cérébrale, et en particulier les
centres
moteurs, ce sont les trois argu- ments suivants
des chiens. DE l'épilepsie corticale. 105 gique, l'importance des
centres
moteurs corticaux va en dimi- nuant. Ces études
été, conformément à la théorie de Luciani, un état d'irritation des
centres
moteurs corticaux. Seulement ce n'était pas une
zone épileptogène s'étend à toute la zone motrice, c'est-à-dire aux
centres
des extrémités, de la face, de la nuque et du t
de déterminer une réaction du même genre dès qu'on l'applique aux
centres
de la nuque et de la tête. Les centres les plus
nre dès qu'on l'applique aux centres de la nuque et de la tête. Les
centres
les plus excitables sont ceux qui correspondent
muscles les plus habituellement mis en mouvement. Inversement, les
centres
qui perdent le plus rapidement leur excitabilit
n excitant les ré- gions de l'écGrce qui, pour Ferrier, étaient les
centres
de la vision et de l'audition mentales. Alberto
ens les ont considérées comme résultant de l'excitation directe des
centres
moteurs spéciaux, contenus dans le gyrus angula
en excitant les régions postérieures du cerveau en rapport avec le
centre
de la vision. Récemment, il a repris ce sujet e
cès d'épi- lepsie unilatérale lorsque, sur l'hémisphère excité, les
centres
moteurs ont été enlevés, Mais comme les convuls
LEPSIE corticale. 109 d'Unverricht, après l'ablation bilatérale des
centres
moteurs de l'écorce, l'excitation des régions p
ies, exposées en commun avec Tamburini, sur l'existence probable de
centres
moteurs con- fondus avec les centres sensoriels
i, sur l'existence probable de centres moteurs con- fondus avec les
centres
sensoriels de l'écorce, pourrait pousser bien p
e la fonction épileptogène de l'écorce appartient exclusivement aux
centres
moteurs. En d'autres termes, il adopte les résu
ingulum. Quoique les lobes frontaux et préfrontaux renfer- ment des
centres
d'innervation des muscles du tronc, et que le d
erticale (Munk, Meynert), il est possible qu'il s'y trouve d'autres
centres
, toujours de nature sensitive ou sensitivo- mot
ce, en rapport avec l'ensemble des procpssus de l'écorce cérébrale,
centres
d'arrêt, de tension cérébrale, d'innervation de
kungen des Vorderlzirzts I. H. 1884. 1. = Edinger. - Analomie des
centres
nerveux. Trad. par M. Siraud (Paris, 1889), 57-
les et des plus délicates coordinations psychiques, recevrait des
centres
de la sensibilité générale et spéciale les matéri
épinière à ceux des corps opto-striés et de ceux-ci aux différents
centres
du manteau. « Cet organe serait donc, écrit Bia
aires corticales de la sensibilité et du mouvement ce que sont ces
centres
aux thalamus opticus et aux noyaux du corps str
a moelle épinière. » Lussana avait situé dans les lobes frontaux le
centre
de la connaissance des personnes et des lieux.
sme des artères cérébrales peut résulter de l'excitation réflexe du
centre
vaso-moteur de la moelle allongée. D'après ce q
suppose Vetter, l'accès d'épilepsie idiopathique débuterait par les
centres
sous-corticaux, excités par un stimulus morbide
ocessus dans les deux formes de l'accès ; mais la participation des
centres
sous-corticaux serait primitive dans l'épilepsi
é dans le laboratoire de Goltz, à Strasbourg, en concluent que le
centre
de l'épilepsie ne peut pas être dans l'écorce cér
centre de l'épilepsie ne peut pas être dans l'écorce cérébrale. Ce
centre
, ils le cherchent dans le cerveau moyen. L'excita
entre, ils le cherchent dans le cerveau moyen. L'excitabi- lité des
centres
réflexes de cette région déterminerait, sous l'
ouvoir assigner une lo- calisation anatomique exacte aux différents
centres
de per- ception de la sensibilité générale, les
peut nier, dit-il, que tantôt l'épilepsie dépende de lésions des
centres
nerveux proprement dits, tantôt d'une irritation
ce cérébrale, et en particulier la zone motrice, n'est pas l'unique
centre
épileptogène; l'excitation qui détermine l'accès
e aucune altération (appréciable tout au moins, ajou- terai-je) des
centres
nerveux. Mais, si l'origine diffère, dans l'un
r Luciani, la suite d'un état de tension et d'hyperexcitabilité des
centres
cérébraux; la limitation ou la généralisation d
re» ou * médullaire» de l'épilepsie, celle qui cons- titue dans les
centres
de la moelle allongée et du pont de Varole le p
es mêmes : ils ne doivent donc pas être attribués à l'abolition des
centres
d'arrêt. Quant aux convul- sions cloniques, qui
de, du tiers inférieur de la FA gauche. Ainsi, les membres dont les
centres
d'innervation corticale avaient été détruits, n
d'Owsianikow ayant établi que la moelle allongée est le siège d'un
centre
de mouvements réflexes généraux ? La théorie bu
met de concevoir au contraire l'autonomie relative des différents
centres
moteurs et l'ordre dans lequel ils sont successiv
ssivement atteints, tandis que dans le bulbe, la proximité de ces
centres
rendrait impossible l'indépendance et la successi
constituant l'élément essentiel de sa pathogénèse, le complexus des
centres
moteurs de l'écorce cérébrale. » G. Seppilli, Tum
suivant : l'épilepsie partielle peut exister même en l'absence des
centres
moteurs corticaux du côté opposé. L'hémiépileps
comme dans ceux d'abolition ou de diminution de la motilité, les
centres
moteurs sous-corticaux (les corps striés) peuvent
condition nécessaire et suffisante de sa pathogénèse, ce sont les
centres
moteurs de l'écorce cérébrale ainsi que les gan-
mme, est un ganglion intercalé entre le système intellectuel et les
centres
du bulbe. Elle suit, dans la série animale, un
obule paracentral. La zone motrice du cerveau est donc également un
centre
sensitif (centre de réflexions des cordons post
La zone motrice du cerveau est donc également un centre sensitif (
centre
de réflexions des cordons postérieurs). L'alaxie
rnit au cerceau trois systèmes de fibres. 1° un trousseau qui va du
centre
des hémisphères cérébelleux aux olives infé- 13
irchow, que le choc ait favorisé le déve- loppement d'un gliôme des
centres
nerveux. Vaut-il mieux admettre que la maladie,
syringomyélie; ils doivent être sans doute attribués à la lésion du
centre
cilio-spinal. M. Bruhl les a ren- contrés dix f
e la seconde rolandique, vers le sommet de la pariétale ascendante,
centre
du mouvement des membres inférieurs en arrière,
lobule quadrilatère serait donc une circonvolution de pas- sage, un
centre
de coordination, un pont entre le lobe sensitif
a partie voisine de l'extrémité de la scissure parallèle temporale,
centre
du mouvement des yeux, était attaquée. Le pus f
ice, et correspond, d'arrière en 188 CLINIQUE NERVEUSE. avant, au
centre
des mouvements des membres inférieurs, vers cel
trémités du côté droit, ou bien elles des- cendent de leurs anciens
centres
cérébraux (dont nous admet- tons l'existence da
dre dans l'arc direct ces dernières connexions du carrefour avec le
centre
cortical par l'intermédiaire des piliers anté-
'hippocampe. - Pour Broca, nous avons déjàvu qu'il y loge un de ses
centres
olfactifs. Pour Giacojiini, « l'un- cus ne cons
ls aussi d'au-; Archives, t. XXII. 1 '¡. 210 . 1 anatomie. tres
centres
sensitifs en communication ? C'est peut- être c
formation godronnée constitue le noyau cortical de l'olfaction. Ce
centre
est mis en communication di- recte avec le carr
x de l'olfaction ? J'essaierai cependant de répondre. D'abord, le
centre
cortical de l'olfaction limité à la formation g
e des prolongements, des annexes et des voies de con- duction de ce
centre
. Ensuite, je dirai avec Broca « que tout appare
ettre que les injections de liquide testiculaire exer- cent sur les
centres
nerveux, surtout spinaux, une stimulation plutô
nfin voici le dessin d'une racine de l'oculomoteur commun séparé du
centre
par un processus dégénératif. 270 O ' SOCIÉTÉ
e les névroses les plus différentes ; elle peut aussi atteindre les
centres
psychiques et provoquer des troubles intellectu
orces grises, sur les suppléances d'un hémisphère par l'autre, d'un
centre
par un autre, ou d'une portion de centre par un
misphère par l'autre, d'un centre par un autre, ou d'une portion de
centre
par une portion restante ou régénérée, y sont t
udition, passe successivement en revue les travaux italiens sur les
centres
corticaux de chaque sens et sur les centres cor
ravaux italiens sur les centres corticaux de chaque sens et sur les
centres
corticaux de la sensibilité cutanée, muscu- lai
t des mouvements volontaires, les découvertes histologiques sur les
centres
nerveux, les résultats des expériences de thermog
on clinique de cette méthode. BIBLIOGRAPHIE. 287 7 A propos des
centres
corticaux de la vision, l'auteur rappelle que c
de la vision, l'auteur rappelle que c'est Ponizza qui découvrît le
centre
cortical de la vision en 1835, dans les circonv
homonyme par lésion du gyrus angulaire d'un côté et localisèrent le
centre
de la vision dans la région pariéto-occipitale;
d'après laquelle les médecins italiens admettent que les différents
centres
, outre leur territoire propre, ont entre eux de
erritoire neutre : le lobe pariélal inférieur. La destruction de ce
centre
des centres entrainerait des troubles de tous les
eutre : le lobe pariélal inférieur. La destruction de ce centre des
centres
entrainerait des troubles de tous les sens, de la
ucinations. Toute- fois, M. Soury n'admet pas, comme cet auteur, de
centres
supé- rieurs d'adduction. L'intelligence, la vo
avoir d'organes. Il faut lire page par page les recherches sur le
centre
de l'audi- tion, la surdité verbale, le sens mu
aire, la théorie de Luciani, faisant des corps striés de véritables
centres
de motilité volontaire et pouvant être mis dire
scussion sur le re- froidissement et réchauffement oscillatoire des
centres
nerveux pendant la période d'activité, d'où il
'après plusieurs anatomistes, les cellules mentionnées seraient des
centres
trophiques). Il y a quelques mois, Homen a pu
ncipales aux images corticales secondaires par la sollicitation des
centres
sous-corticaux, ces centres travaillant toujour
es secondaires par la sollicitation des centres sous-corticaux, ces
centres
travaillant toujours en raison inverse des cent
s-corticaux, ces centres travaillant toujours en raison inverse des
centres
corticaux. L'épuisement des fonctions cérébrales
Chez les poissons osseux, le cerveau n'a pas de fonctions; c'est le
centre
visuel qui leur donnela spontanéité nécessaire à
ois- sons cartilagineux (lessquales), le cerveau tout entier est un
centre
olfactif. Les cerveaux antérieurs ou cerveaux p
ogue, il est évident que le cerveau des vertébrés a pour origine le
centre
olfactif. D'autre part, tout centre sensoriel e
des vertébrés a pour origine le centre olfactif. D'autre part, tout
centre
sensoriel et en particulier les centres sensoriel
olfactif. D'autre part, tout centre sensoriel et en particulier les
centres
sensoriels élevés, sont identiques à ce cerveau
nce au déplacement des fonctions d'arrière en avant, par suite, les
centres
sensoriels des vertébrés inférieurs (cerveaux pri
graduellement d'arrière en avant sur l'écorce du cerveau émanée du
centre
olfactif, et tous les cerveaux primitifs, jusqu
is qu'en 424 4 , SOCIÉTÉS SAVANTES. d'autres, il existe, en plein
centre
ovale, des oasis de cellules ner- veuses. Les f
médiane. Ces faisceaux extrinsèques, qui passent par les couches du
centre
ovale les plus rapprochées du ventricule latéra
on donne lieu aux remarques sui- vantes : a) Ici le nom de double
centre
demi-circulaire est réellement applicable à la
culaire est réellement applicable à la capsule interne. b) Chaque
centre
demi-circulaire forme un angle de 110° environ.
igne médiane avec laquelle il forme un angle de 40°. Le sommet du
centre
demi-circulaire ou genou de la capsule interne
an courbe de la zone frontale (PL. XX, 1. 1), ruban qui traverse le
centre
ovale et se termine au lobule paracentral. b)
dedans embrasse la tête du noyau caudé et dont le fond répond au
centre
ovale. La postérieure, qui est la plus grande,
-même, la constitution du tronc de la capsule in- terne et celle du
centre
ovale de Vieussens ou masse médullaire des hémi
ire les expérimentateurs et les cliniciens trouveront de nouveaux
centres
psycho-moteurs. B ? LM'e6 ? co ? ? o la couronn
faisceaux transversaux du corps calleux, par consé- quent dans le
centre
ovale. Cela vient de ce qu'un grand nombre d'ir
dans les coupes frontales faites à ce niveau. En effet, l'aspect du
centre
ovale y est caractéristique. Il se compose de d
eurs du lobule paracentral. Incontestablement, dans cette région le
centre
ovale de Vieussens comprend des fibres ascendan
u manteau aux ganglions de la base et à la capsule. CONSTITUTION DU
CENTRE
OVALE. Je n'ai pas l'intention de traiter ce po
t fixer l'attention sur la part que pren- nent à la constitution du
centre
médullaire hémisphé- rique les fibres dites d'a
z l'homme. Us entrent pour une bonne part dans la constitution du
centre
ovale de Vieussens. Les données que la science
misphérique avec non moins de soin que les autres difficultés des
centre
nerveux, ne la démontre en réalité que sur le c
frontal et va se terminer dans le lobe occipital, en traversant le
centre
ovale. Il est constitué de la même façon que l'
'elles enjambent un, deux, ou un plus grand nombre de plis. Sur les
centres
lobulaires de la substance blanche il semble qu
En procédant ainsi, on obtient la capsule interne sous la forme de
centre
demi-circulaire. (Pl. VII.) Supérieur à celui
, formant un angle rentrant ' Pitres. Recherches sur les lésions du
centre
ovale. Paris, 1877. 2 Brissaud. Contracture per
zontale de l'infundibulum qu'elles forment, doit donner lieu à un
centre
demi-circulaire, ou plutôt à un angle saillant
ise en raison de l'excita- bilité variable des diverses parties des
centres
nerveux. Sous ce rapport, l'axe médullaire peut
i en est la conséquence tend à se propager dans toute l'étendue des
centres
et la contraction réflexe, de même que la contr
te d'élection, aux extrémités nerveuses, tandis que les troncs et
centres
nerveux lui sont indifférents. Outre cette acti
ction à distance, qui ne peut s'exercer que par l'intermédiaire des
centres
nerveux. Plusieurs circons- tances la démontren
s ou moins complète, suivant les sujets et aussi suivant l'état des
centres
nerveux. C'est « le phénomène du genou », dont
jets sains et chez les malades atteints d'affec- tions diverses des
centres
nerveux. Dans tous ces cas, le réflexe est d'au
une habitude prise de longue date. R. BL. et J. P. XI. Un nouveau
centre
cortical; par GRnME M. HAMMOND. (The médical Re
e la scissure de Sylvius et les fissures sylviennes antérieures. Le
centre
moteur le plus pro- che de ce groupe cellulaire
ntes ont été trouvées dans le cer- veau des carnivores, là où aucun
centre
moteur n'a été clairement démontré, et auprès d
er leur innervation corticale ; 2° qu'après tout, il s'agit là d'un
centre
moteur que l'électrisation localisée était inca
incapable de découvrir. CH. FÉRÉ. 128 REVUE DE PHYSIOLOGIE. XII.
CENTRES
DE la vision dans LES HÉMISPHÈRES cérébraux ; par
besoin par des expériences, la pathogénie et la thé- rapeutique des
centres
nerveux et principalement de l'épilepsie. Prix
t réalisé un progrès capital dans la thérapeutique des maladies des
centres
nerveux, telle que serait, par exemple, la découv
antéro-postérieure, dite corne d'Ammon 1 G. Huguenin. Anatomie des
centres
nerveux. Traduc. franc. Paris, 1879. LA CORNE
e schéma s'appuie, d'une part, sur la localisation des diffé- rents
centres
sensitifs dans l'écorce cérébrale, et, d'autre' p
s les notions' que nous avons sur le monde extérieur. ' " ` I Les
centres
sensitifs sont indiqués sur ce schéma d'après,les
ique. Ces observations, tout en différant quant au' siège précis du
centre
visuel, admettent tous que ce centre se trouve
rant quant au' siège précis du centre visuel, admettent tous que ce
centre
se trouve dans la partie postérieure du cerveau
eure du cerveau et'qu'il ne dépasse pas en avant le pli courbe ; le
centre
auditif serait placé dans les circonvolutions s
e de nos sens. Ajoutons que l'impres- sion se forme dans un premier
centre
en sensation et celle-ci dans un second centre
orme dans un premier centre en sensation et celle-ci dans un second
centre
(ce serait le centre cortical) en image, « sens
centre en sensation et celle-ci dans un second centre (ce serait le
centre
cortical) en image, « sensation qui garde son a
(Taine)., Ces différentes images sensitives sont transmises vers le
centre
de la formation des mots (pied de la troisième
parcourt les- trois étapes suivantes : 1° de la périphérie vers le
centre
de la formation des mots ; 2° de ce centre au b
de la périphérie vers le centre de la formation des mots ; 2° de ce
centre
au bulbe ; et, 3° du bulbe au dehors. Les tro
uisent suivant la partie de ce trajet qui est atteinte. Si c'est le
centre
de la formation des mots qui est lésé, on aura
u'il sert à désigner.-Si c'est la voie de trans- . mission entre le
centre
visuel et le centre de la formation des mots qu
.-Si c'est la voie de trans- . mission entre le centre visuel et le
centre
de la formation des mots qui est atteinte, nous
ttre qu'il voit.- Si c'est dans les fibres conductrices qui vont du
centre
auditif au centre de la formation des mots, que
Si c'est dans les fibres conductrices qui vont du centre auditif au
centre
de la formation des mots, que siège la lésion : n
pelons que l'exercice, l'éducation font naître entre les différents
centres
où se forment les images sensitives d'un objet
' ' '" Si nous laissons de côté la question de la localisation des
centres
sensitifs et si nous ne nous occupons que de la
l'aspect d'un parchemin appliqué sur l'os. De là résulte, vers le
centre
de la joue, une dépression marquée qui correspond
ans l'espèce, on fera porter le modificateur thérapeutique sur le
centre
lombaire génilo-spinal qui préside aux fonctions
stème ner- veux central, les courants continus, la galvanisation du
centre
géîii*to-spi2zal et du nerf splanclmique. Penda
parmi les' tumeurs de cet or- gane ; la sclérose multiloculaire'des
centres
nerveux et l'hydro- cé' h'l "' ' " " "" ' limit
ès qu'une excitation conti- - nueliement grandissante a violenté le
centre
vaso-moteur du cerveau. Considérant la corne d'
entre vaso-moteur du cerveau. Considérant la corne d'Ammon comme le
centre
de la sensibilité pour la moitié opposée du cor
,actmté"defôiiction et '"activité1 de1 nutritiont» Le (fait que ces
centres
, Idi4u'bri6 n6l les, e xecepas lû oveàa*blement,
tjnous pénétrer, de la' néces- sité, de faire l'éducation de chaque
centre
à la période naissante de ce centre,, et le dan
de faire l'éducation de chaque centre à la période naissante de ce
centre
,, et le danger d'attendre que cette période soit
ionnbientôtrsüivié, : de - dépression, qu'elle détermine-) dans les^
centres
, l'accélération «(cardiaque (pouls fébrile) par
s, se rattachent en* fait-, de lésions, jl'hyperémieetl'oedëme,,des
centres
(typerez, mie,,rétin'ejie ? raremet ? n'év'ror6
n 1 wlm ... h ill·. W i. 1 1 (voisinage des noyaux de l'auditif, du
centre
respiratoire, du centre' 'd'arrêt cardiaque dan
quelconque et n'admet point son autonomie. L'intégrité absolue des
centres
, nerveux danssebservations/rapprochée de l'inco
s simples que les hallucinations centrale dues à l'irri- tation.des
centres
de perception ('hallucinations propres); Les pr
antlles'conceptions,nd'arréteroles- exci- "tâtidns^sans' objet1 des
centres
sensoriels'infracorticaux ()tuber- hles'q'uadri
olooique,lèles 0 - perceptions issues de l'excitation spontanée des
centres
parvien- ' nent à la'connaissance; commences se
centrel infracortical et' cette : dncitàtion' remonte, dans 1 ! k^'
centre
"- cortical dont'l'activité m'est plus r-régulari
c'est-à-dire un courant centrifuge par excitation spontanée 'des
centres
supérieurs^descendant aux foyers inférieurs. 1P K
della;rlioelleftou ? du;,hulbe,ldans lequel se trouvent compris les
centres
de calorification. Ces expériences sont données
! paraît dû à une paralysie vaso-motrice». Cette action dépend d'un
centre
; que AL1\'ood place ;« dans la partie inférieur
43.), 1 , j ? c j - , il- il () . ! ° . lit m( t" ' - " in' 1 Ce
centre
est donc placé là où l'avaient déjà décrit Dittma
ion intra-crânienne du bulbe, aussi haut que possible au- dessus du
centre
vaso-moteur thermique. Ces expériences sont 'di
lessures.de la 'moelle 'allongée placées de'façon'à para- lyser les
centres
: bulbairés vaso-moteurs,l,sont )accompagnées'd'u
55) montrent' quel les' blessures' du -bulbe1 qui intéressent ^ces
centres
vaso-moteurs causent une diminution de la chaleur
idenhain.) frl, tcruc .·nnl ·r ? l M Il semblait donc établi que ce
centre
thermique inhibitoire était situé'dans la protu
les et confuses. E ! l,r r' · ? fr,r ? -> ? (' z 1 i-F . , - Ces
centres
thermiques peuvent' du reste dépendre du' cer-
te. Par contre, les lésions produites à une certaine distance de ce
centre
abaissent la ( chaleur animale; on-peut donc s'
la ( chaleur animale; on-peut donc s'imposer qu'elles excitent le '
centre
modérateur contenu dans la région de Hitzig. »
' t 1 . ' . ' ' ' 1 ''Il fallait'donc irriter, sans le détruire, ce
centre
modérateur, c'est-à-dire modérer directement la
d'environ 22 p. 100 : on peut donc dire que l'exci- tation d'un des
centres
modérateurs de calorification est accompa- gnée
t devoir supposer qu'il s'agit là d'un effet temporaire et que; ces
centres
corticaux ne sont pas, eux-mêmes, les vrais cen
ire et que; ces centres corticaux ne sont pas, eux-mêmes, les vrais
centres
thermo-modérateurs ; ceux-ci devant probablemen
périences 98 à 109.) ' h > ? "'< ` ' 'h z, 'J L'existence des
centres
thermiques chez l'homme est loin d'être démontr
du sang n'élèveraient la température qu'en irritant localement les
centres
nerveux. , « La fièvre, dit-il (p. 3t8), même q
tral, c'est donc/de par cela même, une névrose. Dans la fièvre le
centre
thermo-modérateur n'est pas paralysé, mais il est
omme dans l'état de santé. ' Cet état s'accompagne d'un trouble des
centres
vaso-moteurs qui ne' réagissent plus assez pour
rhumatisme cérébral, peuvent 'être dus à une paralysie complète des
centres
nerveux qui président tant à la production de l
rigine nerveuse. Ces re- cherches ont conduit M. Wood à opposer aux
centres
médul- laires de calorification et d'actions. v
laires de calorification et d'actions. vaso-motrices, un véritable
centre
d'arrêt régulateur, qu'il croit devoir placer dan
rale à,foyer uni- -* latéral), par Kerchoff, 256. Localisation du
centre
visuel d'a- ,9 près, de toutes" récentes' expé-
du repos qu'au moment où le mot retrouvé donne satis- faction au
centre
cortical qui le réclame. Il s'agit aujourd'hui
r, le mot, au contraire, s'impose, se place au premier plan dans le
centre
per- ceptif dépositaire des images tonales et p
ages tonales et provoque par- fois, sans nul retard, la décharge du
centre
moteur d'articulation. L'éréthisme de ce centre
ard, la décharge du centre moteur d'articulation. L'éréthisme de ce
centre
est tel qu'il échappe sinon au contrôle, du moi
57.) Archives, t. XXIV. 1 2 PATHOLOGIE MENTALE. modératrice des
centres
supérieurs. Si bien que le mot obsédant s'impos
'image tonale est apparue d'emblée, sans autre préparation, dans le
centre
psycho-moteur qui l'expulse incontinent. M. G
n émane, comme dans ce dernier cas, de la région antérieure ou du
centre
cortical postérieur, elle amène l'impul- sion.
s un lieu écarté, les prononce à haute voix et se sent soulagée. Le
centre
auditif de l'écorce (lro temporale) est dans un
e) est dans un tel état d'éréthisme que l'image vient solliciter le
centre
moteur d'articulation qui l'expulse au dehors.
liciter le centre moteur d'articulation qui l'expulse au dehors. Le
centre
auditif, le centre moteur d'articulation agisse
oteur d'articulation qui l'expulse au dehors. Le centre auditif, le
centre
moteur d'articulation agissent encore ici indépen
centre moteur d'articulation agissent encore ici indépendamment des
centres
supérieurs. - Parfois, enfin, ce n'est plus un
u'elle devait répéter témoignant ainsi de la désé- quilibration des
centres
corticaux antérieurs. Ce n'est pas tout ; elle
eut s'empêcher de relever les visions et les voix nasales. Tous les
centres
perceptifs encéphaliques, on le sait, quoique i
portant tantôt sur le système nerveux périphérique, tantôt sur le
centre
médullaire. Bien que Leyden, l'ait niée et ait
u'on lui présente on s'aper- çoit que le globe oculaire droit à son
centre
pupillaire dévié en dehors. En outre, il y a de
venirs un rôle trop important : elles ser- vent en quelque sorte de
centre
de ralliement autour duquel tous les autres sou
retrouve en général chez tous les sujets atteints d'affections des
centres
nerveux, même quand ces affections sont détermi-
qu'elles reposent essentiellement sur une irritabilité spéciale des
centres
sensoriels, et qu'elles appartiennent ou tout a
termine l'anxiété; de même une excitation minime qui se propage aux
centres
senso- riels, visuel ou auditif, réveille les i
Il faut le rattacher à des troubles fonctionnels de l'écorce et des
centres
optiques. KERAVAL. V, DES relations DES obses
moins à l'ensemble de notre appareil nerveux, peut, atteignant les
centres
psychiques, devenir la cause de troubles mentau
ture et les explique par un schéma se composant : A. D'un premier
centre
de perception optique en rapport avec le nerf o
ption optique en rapport avec le nerf optique, qui comprend : a, un
centre
de perception des lettres ; b, un centre de per
ique, qui comprend : a, un centre de perception des lettres ; b, un
centre
de perception des images des mots écrits. B. D'
un centre de perception des images des mots écrits. B. D'un second
centre
d'association des lettres en rapport avec Aa, A
centre d'association des lettres en rapport avec Aa, Ab. C. D'un
centre
total de perception de cet ensemble qui monte à
. D'un centre total de perception de cet ensemble qui monte à lui ;
centre
de perception intellectuelle des notions. D. D'
à lui ; centre de perception intellectuelle des notions. D. D'un
centre
acoustique en rapport avec Au, A6 et B, qui, lui
re acoustique en rapport avec Au, A6 et B, qui, lui aussi, monte au
centre
des notions C et est en rapport avec le nerf au
tre des notions C et est en rapport avec le nerf auditif. E. D'un
centre
moteur centrifuge qui coordonne pour exécution
fuge qui coordonne pour exécution toutes les impressions des autres
centres
. Il fait remarquer, au point de vue physiologiq
fait remarquer, au point de vue physiologique, que l'intégrité des
centres
acoustiques et moteurs n'est pas nécessaire pour
ilité de recon- naître les lettres implique l'existence d'un second
centre
Aa dans le grand centre optique; c'est là que l
es lettres implique l'existence d'un second centre Aa dans le grand
centre
optique; c'est là que les images écrites des mots
les images écrites des mots sont emmagasinées. L'activité des deux
centres
Aa, A6, est auto- nome, indépendante. De même,
es et les associer en un mot, sont deux fonctions qui impliquent un
centre
collec- teur spécial; c'est B. Par suite, pour
totale (lecture impossible). Il y a alexie complète quand les deux
centres
Aa, Ab, ou les voies d'association AC ne foncti
ATHOLOGIE NERVEUSE. très ou voies d'association correspondant à ces
centres
) ne fonction- nent plus. C'est le cas de notre
e syllabage est possible, mais les mots émis ne parviennent plus au
centre
de la notion complète C. On lit comme si on lis
t DC. En effet la voie BC prend nais- sance par le développement du
centre
B, c'est-à-dire par le long exercice des gens é
fectez à la fois BC et DC qui transmettent les impressions au grand
centre
intellectuel C. L'autopsie nous montre qu'il y
ula et de la première temporale. Par suite il y a lieu de placer le
centre
A des images écrites des mots et des lettres da
s images écrites des mots et des lettres dans le lobe occipital, le
centre
B d'association des lettres quelque part dans l
cipital, le centre B d'association des lettres quelque part dans le
centre
de la parole ; la tumeur interrompait donc la v
Lichtheim ' : interrup- tion des faisceaux nerveux qui unissent le
centre
des images pho- nétiques au centre des notions
aisceaux nerveux qui unissent le centre des images pho- nétiques au
centre
des notions représentatives. P. K. IV. Du tremb
on- vulsif, et dépendant probablement d'une hyperexcitabilité des
centres
réflexes spinaux, englobant aussi ceux du bulbe.
hémianopsie homonyme bilaté- rale; destruction de l'un ou des deux
centres
optiques dans un lobe occipital, ou de l'irradi
malade de M. Christian était frappé, indiquait une modification des
centres
nerveux qui permet cette interprétation. M. Voi
ses légères. Chaque sec- tion psychiatrique du comté deviendrait un
centre
de surveillance pour des aliénés laissés chez e
; cette théorie est insuffisante, au même titre que la doctrine des
centres
de la parole, pour expliquer ce fait. On a rech
ions, et ces nouvelles recherches contre- disent à l'existence d'un
centre
des idées. C'est un postulatum à rayer, de même
Conclusion : .' . 1° Les schémas qui ont actuellement cours sur les
centres
de la parole ne suffisent plus à expliquer tous
° A mesure que s'enrichit le matériel d'observations, le nombre des
centres
et des fibres conductrices que l'on forge augment
thèses à priori s'embrouillent principalement quand on considère un
centre
d'idées, et les contradic- tions sont telles qu
schéma psychologique beaucoup plus compréhensif que les schémas des
centres
de la parole comme con- ducteur dans l'examen d
qu'il est nécessaire d'admettre de nouveaux tractus et de nouveaux
centres
pour expliquer de nouveaux cas d'aphasie. Evide
e fixe qu'il allait être paralysé, l'idée a arrêté les fonctions du
centre
cortical du bras; la sensibilité cutanée, les mus
ticulations ont cessé de fonctionner. A cette torpeur eflective des
centres
corticomoteurs, peut s'ajouter l'arrêt de l'idéa-
science de l'observation soit méthodique- ment développée, et qu'au
centre
de l'observation (empirisme ra- tionnel) le cli
e glisser dans la conversation. Dès que le mot apparaît, dès que le
centre
cortical l'a recueilli, que le mot vienne du de
âgé de trente-cinq ans, dont le frère est mort d'une affection des
centres
nerveux et la soeur a été prise d'éclampsie pen
es formes cliniques aux connaissances de la- physiopathologie des
centres
nerveux devait s'imposer..Voilà, justement, le pl
'après nos connaissances 204 CLINIQUE NERVEUSE. actuelles sur les
centres
de la vision et les données de la neuro- pathol
ous démontre que la cause de l'amblyopie transitoire siège dans les
centres
visuels du cortex cérébral, non pas le long des
du cortex cérébral, non pas le long des. voies qui rattachent ces
centres
aux organes périphériques de la vision, et encore
point de repère dans cette région de l'écorce est constitué par les
centres
visuels, peut-être l'étude approfondie de la co
re, nous aiderait-elle à déterminer la topo- graphie des différents
centres
cortico-sensitifs. (A suivre ) RECUEIL DE FAITS
rouver le nom d'un encrier. Les images auditives n'actionnentpas le
centre
moteur; exemple, 234 RECUEIL DE FAITS. le mal
il ne répéte guère plus aisément le mot lorsqu'on le lui dit.. Le
centre
visuel actionne au contraire nettement le centre
on le lui dit.. Le centre visuel actionne au contraire nettement le
centre
mo- teur ; quand on lui fait lire le mot encrie
ue. A gauche, une lésion d'étendue minime, strictement localisée au
centre
de l'aphasie motrice de Broca et produisant une
SIE MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 237. l'étendue réelle du
centre
de l'aphasie motrice ; il serait d'ailleurs tém
motrice ; il serait d'ailleurs téméraire de prétendre assigner à un
centre
cor- tical des limites précises. Bien des neuro
ites précises. Bien des neurologistes, sont portés à considérer ces
centres
corticaux comme empiétant un peu l'un sur l'aut
empiétant un peu l'un sur l'autre, et comme représentant plutôt des
centres
de plus grande intensité fonctionnelle. De sort
momentanée d'une ou plusieurs des fonctions céré- brales, dont les
centres
sont voisins du principal centre inté- ressé. P
fonctions céré- brales, dont les centres sont voisins du principal
centre
inté- ressé. Peut-être aussi l'embolus, un inst
elles des mots, soit sur l'écorce, soit sur le trajet des fibres du
centre
ovale qui en émanent. Planche I. Fig. 1. Foye
zone auditive, une zone olfac- tive, et probablement aussi, divers
centres
gustatifs. Il y a, de même, un centre affecté à
t probablement aussi, divers centres gustatifs. Il y a, de même, un
centre
affecté à la sensibilité générale. , Il a été p
fecté à la sensibilité générale. , Il a été permis de localiser des
centres
spéciaux pour les mouve- ments du tronc, de la
ouche, de la langue, et aussi de l'organe de la voix possèdent leur
centre
. Nous n'avons pu encore réussir à localiser les
e sur la stimulation saine et coor- 244 THÉRAPEUTIQUE. donnée des
centres
moteurs et sensoriels. Ils ont leurs équivalents
désordres plus ou moins marqués à la suite de lésions affectant les
centres
corticaux qui commandent et enregistrent leurs
phasie et la lésion de la région que nous savons maintenant être le
centre
de l'articula- tion et de la phonation. Nous
qués par l'hypothèse d'un processus irritatif au sein d'un prétendu
centre
convulsif, tandis que la perte du sen- timent,
t diffuse et prolongée, et si on la fait primitive- ment partir des
centres
sensoriels, les phénomènes qui apparais- sent s
nent au type appelé épilepsie idiopathique,'et dans lequel tous les
centres
moteurs de l'écorce sont excités plus ou moins
la succession des événements. Si l'excitation est circonscrite à un
centre
moteur particulier, 246 THÉRAPEUTIQUE. l'épil
u groupe musculaire correspondant, ou elle peut diffuser dans les
centres
voisins. Dans ce cas, elle suit l'ordre dans lequ
ette marche succes- sive. Si la première irritation porte sur les
centres
de la face, elle gagne les centres de la jambe
remière irritation porte sur les centres de la face, elle gagne les
centres
de la jambe à travers ceux des bras. Si le point
i commande la jambe, l'exci- tation s'étend à la face à travers les
centres
du bras. Lorsque, ce qui arrive assez fréquemme
ions s'étendent à l'autre côté, l'ordre suivi va invariablement des
centres
de la jambe à ceux de la face, chose qui se tra
convulsions ascendantes de la jambe à la face. En même temps, les
centres
moteurs de la moelle allongée et rachidienne, s
s de la moelle allongée et rachidienne, sur lesquelles agissent les
centres
corticaux moteurs, jouent indubitablement un rô
peuvent seulement être produites par des excitations provenant des
centres
moteurs de l'écorce d'un côté ou de l'autre.
facteurs n'agissent qu'en tant qu'ils amènent une excita- tion des
centres
moteurs. Tous nos efforts doivent donc tendre à
les qui se proposent d'enregistrer et de mesurer l'excitabilité des
centres
corticaux, nous avons aussi des moyens certains
ement de l'épilepsie. Il a été déjà montré que l'excitabilité des
centres
corticaux est dimi- nuée, de même que la prédis
avec raison, que cessymptômosindiquaient L une lésion irritative du
centre
brachio-facial à la partie la plus infé- rieure
r d'excitation peut amener m,e disparition de l'excitation dans les
centres
corticaux, et consécutivement la dis- parition
où le spasme se montra dans le pouce gauche, la mise à découvert du
centre
, dans l'hémisphère droit, révéla la présence d'
des de l'esprit et les altérations nutritives et structu- rales des
centres
corticaux qui ont à souffiir. Ils recherchent, de
t une sorte de collapsus. P. K. IV. QUELQUES expériences sur, LES
CENTRES
cortico-moteuus ARRÈS ligature DES URETÈRES; pa
rce, avant et après la ligature des urelères, à des altérations des
centres
corticaux mêmes que ces phénomènes sont imputab
; il est à croire que les convulsions ont pour point de départ les
centres
sous-corticaux pri- vés de l'influence régulatr
aux noyaux lenticulaires. P. KERAVAL. XIV. DE l'innervation ET DES
centres
cérébraux DE la sécrétion lacrymale; par W. 13E
périences méthodiques de vivisection des auteurs, il résulte que le
centre
réflexe principal de la sécrétion lacrymale occ
endance de tractus spéciaux qui passent par le bulbe et unissent le
centre
de la déglutition bulbaire avec le cerveau. Nou
ption du système d'asiles médico-agricoles com- posés d'un asile au
centre
et de fermes agricoles à la périphérie, partout
chosis parmi les aliénés trailés dans les asiles; l'existence d'un
centre
médical devient alors superflue, les malades pe
onctionnels qui, chez les dégénérés, frappent tel ou tel groupe des
centres
corticaux (psychiques, psycho-moteurs, sensorie
aux. Il s'agit, dans l'espèce, d'une véritable déséquilibration des
centres
vaso- moteurs qui coexiste souvent avec des tro
qui coexiste souvent avec des troubles analogues du côté des autres
centres
de l'axe cérébro-spinal. Discussion : M. Joffro
l'angoisse ne cesse qu'après cette superposition d'images dans le
centre
cortical correspondant, la seconde efface l'inf
ement d'articulation s'ajoutait le mouvement d'une autre région des
centres
psycho-moteurs. Dans le cas dont nous nous oc
elle est dans un -, état d'émotivité perpétuelle, la plupart de ses
centres
perceptifs sont dans un tel éréthisme qu'elle n
deux foyers, dont l'un dans l'hémisphère droit en correspondance du
centre
moteur du bras, l'autre dans l'hémis- phère gau
se de l'écorce cérébrale, c'est le lobule paracentral, à savoir les
centres
excito-moteurs de la jambe, tandis que dans not
s inconscientes, que par des altérations localisées dans tel ou tel
centre
nerveux. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE. L'AMB
ême (rétine, nerf optique, tractus), les autres, l'attribuaient aux
centres
cérébraux de la vision. C'est ainsi, que Parry
du pneurno-gast1'ique et du grand sympathique se transmettrait aux
centres
médullaires, pour être ' goy. Arch. de Nei41,ol
'irritation partirait du cordon cervical du grand sympathique ou du
centre
cilio- spinal, pour déterminer, en même temps q
- dire, nait-elle dans le cordon sympathique lui-même, ou dans le
centre
cilio-spinal ? Ou bien est-elle produite secondai
le vaso-moteur puisse porter sur le chiasma, les bandelettes ou les
centres
, visuels de la base du cerveau; mais nous verr
ons est placé par nombre d'auteurs (Tamburrini le premier) dans les
centres
sensoriels corticaux, s'expliquant par un état
ces céré- brales, de la même manière que l'irritation morbide des
centres
psycho-moteurs provoque les convulsions jackso-
er, de Pick et autres, en nous prouvant la lésion uni- latérale des
centres
visuelles de l'écorce occipitale. c). Considéro
l'amblyopie transitoire. 429 à une lésion des bandelettes ou des
centres
visuels bruts, pla- cés dans les ganglions de l
c s'agir, dans l'amblyopie transitoire, de simples lésions dans les
centres
visuels de l'écorce, d'accord en cela avec les
e. Or, tous ces troubles sont encore un signe du siège superficiel (
centres
et fibres corticaux) de la lésion. La cécité ve
émiopie peuvent aussi sur- venir par retentissement à distance, des
centres
visuels corticaux. Seule- ment lorsque la lésio
de Broca), mais bien aux trou- bles de la mémoire optique, dont les
centres
occupent le lobe occipital. ' En effet, il se
olution de Broca, ou des voies qui unissent cette circonvolution au
centre
de la mémoire optique. La plupart des cas d'h
e lobe occipital, pariétal et temporal - où se trouvent surtout les
centres
optiques et les diverses localisations du langa
blyopie transitoire, il est clair que les troubles gagnent d'autres
centres
psycho-sensitifs et psycho- moteurs, comme dans
dans la même hémisphère (plus souvent la gauche) peut s'étendre des
centres
visuels périphériques (moitiés homolatérales de
s visuels périphériques (moitiés homolatérales des deux rétines) au
centre
de la vision maculaire. 1 Ophtalmie hospital
n- tillement périphérique monoculaire) démontre la complexité des
centres
binoculaires et monoculaires dans la même hémis-
ctères de l'am- blyopie transitoire ; puisque, s'il est vrai que le
centre
cortical de la vision maculaire est mieux vascu
iphénomène dans l'ordre des hallucinations, dû à l'irrita- tion des
centres
corticaux visuels où le trouble circulatoire a
l'écorce visuelle où le trouble circulatoire provoque le sco- tôme (
centre
des fibres destinées aux deux moitiés rétiniennes
e faim, ou même sans cause appréciable, le trouble circulatoire des
centres
cor- ticaux est idiopathique, pour ainsi dire,
oute dans l'écorce cérébrale. L'anesthésie ou l'irri- tation de ces
centres
visuels corticaux (surtout le cuneus et la circ
ans la substance grise de l'écorce cérébrale. Le plus souvent, le
centre
cortical de la vision périphérique de l'hémisph
rce étaient nota- blement frappés d'atrophie, ils correspondent aux
centres
admis pour les sens qui manquaient à la malade.
als, a étudié les voies suivies par les impressions visuelles et le
centre
visuel, il localise ce centre avec une grande p
s par les impressions visuelles et le centre visuel, il localise ce
centre
avec une grande précision dans l'écorce de la s
seg- ment le plus inférieur du canal vertébral, par Hoche, 262.
CENTRES
COIITICO-h[01'EURS, expé- riences sur les - apr
par Kéru, 73. KATATOMIE, par Serbsky, 73. Lacrymale (sécrétion),
centres
cé- rébraux de la -, par Bechterew et Mislans
tions ro- landiques, soit sur le faisceau moteur qui partant de ces
centres
se dirige vers le pédoncule cérébral. Le point
érance et dans le bulbe, et ces noyaux qui sont en rapport avec des
centres
supérieurs cérébraux, en-' voient des nerfs aux
a des nerfs optiques, soit sur la bandelette optique, soit dans les
centres
mêmes de la vision, c'est-à-dire dans le lobe o
on des fibres d'association qui réunissent le lobe occipital et les
centres
sensoriels du langage) et qu'il en résulte un c
ilepsies aiguës. En ce qui concerne la pathogénie des attaques le «
centre
convulsif » a perdu beaucoup de son importance.
as refuser entièrement un rôle secondaire à la moelle allongée, aux
centres
inférieurs et aux ganglions du cerveau, et s'il
tement ou indirectement, sous forme de paroxysmes, les fonctions de
centres
psycho-moteurs. L'observation que nous allons p
tteint t chez notre malade soit considéré comme moteur. Est-ce un
centre
sensitif ? . Nous touchons ici à l'un des point
es plus discutés de la physiologie du cerveau, la détermination des
centres
corticaux de la sensibilité cutanée et musculai
ciens, est tel qu'il devient impossible de fixer la topographie des
centres
corticaux de la sensibilité générale et musculair
hy- siologistes, comme IIitzig, Schiffet Munk, nient l'existence de
centres
moteurs corticaux ; ils pensent que la zone rol
ent que la zone rolandique est tout simple- ment constituée par des
centres
sensitifs, qui gardent et associent les ima- ge
es sensations cutanées et musculaires, et qui mettent en action les
centres
moteurs placés dans la protubérance, le bulbe et
ndus entre eux. Il admet que ces deux ordres d'éléments forment des
centres
sensitivo-moteurs, si intimement liés et « engr
si souvent, prouve, contrairement au physiologiste italien, que les
centres
moteurs corticaux sont anatomiquement et physiolo
eurs corticaux sont anatomiquement et physiologiquement séparés des
centres
sensitifs. La clinique nous apprend encoreque les
tifs, non confondus avec les éléments moteurs, et ' constituant des
centres
distincts et séparés ? Je ne connais pas un faisc
les anesthésiés sont rares - admettent avec M. Bris- saud que « les
centres
de la sensibilité corticale ont les mêmes localis
ibilité corticale ont les mêmes localisa- tions anatomiques que les
centres
de la motiiité, topographiquement parlant, c'es
s quels territoires proches de la région psycho-motrice siègent ces
centres
sensitifs ? Le grand clinicien d'Iéna indiquait
tage, que le lieu où était implanté le tubercule, quoique voisin du
centre
moteur cortical du membre inférieur, est plutôt l
voisin du centre moteur cortical du membre inférieur, est plutôt le
centre
du sens musculaire de ce membre. (1) Brain, v
à un travail prolongé, et dont la cause doit être cherchée dans le
centre
perceptif de la sensibilité muscu- laire. C'éta
orsque la perte de force, « l'épuisement nerveux », se fait dans un
centre
moteur nous avons les paralysies, comme dans le
e, il faut admettre, ce me semble, que l'explosion se fasse dans le
centre
cortical du sens musculaire du membre inférieur
t-épileptiques observés chez notre malade semblent démontrer que le
centre
de la sensibilité muscu- laire du membre inféri
voir : que la partie antérieure du lobule pariétal supérieur est le
centre
du sens musculaire de la jambe, conclusion à laqu
ritative de la partie supérieure des circon- volutions ascendantes,
centre
moteur du membre inférieur - peut donner lieu,
décharge, à des irradiations telles que l'onde nerveuse s'étend aux
centres
moteurs de la face, placés dans la partie infér
stinction n'existe pas davantage dans le do- (1) Charcot et Pitres,
Centres
moteurs corticaux chez l'homme, p. 166 ; Pitres,
sychique et le pro- cessus local ? La décharge épileptique dansle
centre
de transformation des sensations musculaires du
aux attributions physiologiques du cortex lésé. EN résumé : I. Le
centre
de la sensibilité musculaire du membre inférieur
- taté que chez des hystériques, autrement que par l'existence d'un
centre
, d'un territoire limité tenant sous sa dépendan
s. Ce sens stéréognostique suppose donc la mise en jeu non pas d'un
centre
de sensibilité mais d'un centre de mémoire et d'a
se donc la mise en jeu non pas d'un centre de sensibilité mais d'un
centre
de mémoire et d'associa- '. tion. Or la réalité
d'un centre de mémoire et d'associa- '. tion. Or la réalité de ces
centres
en tant que territoires anatomiques dis- , tinc
vaux sur ce sujet. Tout concourt cepen- dant à nous faire placer ce
centre
nouveau dans le manteau cortical des hémisphère
xi 4 50 G. GASNE * * * A l'ancienne conception du^cerveau,
centre
confus de la pensée et de la motilité volontair
de la surface corticale. En arrière d'elle, Meynert localisa les
centres
de sensibilité, l'on fil de la zone frontale le
dant que Ferrier, Betcherew, Horsley maintenaient la séparation des
centres
sensitifs et des centres moteurs, Schiff et Mun
ew, Horsley maintenaient la séparation des centres sensitifs et des
centres
moteurs, Schiff et Munk nièrent l'existence de
ace la conception de Tripier généralement acceptée aujourd'hui, les
centres
moteurs et les centres sensitifs sont superposés,
ipier généralement acceptée aujourd'hui, les centres moteurs et les
centres
sensitifs sont superposés, un même élément nerv
les circonvolutions cérébrales. C'est qu'en 52 G. GASNE effet les
centres
rolandiques ne sont pas des centres de perception
t qu'en 52 G. GASNE effet les centres rolandiques ne sont pas des
centres
de perception des sen- sations brûles cutanéo-m
tion des sen- sations brûles cutanéo-musculaires, ce sont déjà (tes
centres
( association ;1 .-......... . ? et de mémoir
ation ;1 .-......... . ? et de mémoire musculo-tactile, comme les
centres
rolandiques moteurs" sont des psycho-moteurs. I
des psycho-moteurs. Il faut concevoir une série d'étapes entre les
centres
de perception de chaque sensation élémentaire et
re les centres de perception de chaque sensation élémentaire et les
centres
mo- teurs volontaires rolandiques. Il y a donc,
en elle-même ou d'une répercussion lointaine du traumatisme sur les
centres
si tués autre part, par voie inhibi- trice ou p
eption des variations qualitatives de cette sensation; que c'est un
centre
de sensibilité perfectionnée, ce qui ne veut pas
de sensibilité perfectionnée, ce qui ne veut pas dire pour cela un
centre
d'association. M. Bourdicault-Dumay sépare nett
cale spéciale pour le sens stéréognostique ? Ce cen- - tre nouveau,
centre
de représentations acquises, fonction d'éducation
re de filets nerveux dits d'association qui mettront en rapport les
centres
sensitifs divers entre eux et avec les centres
tront en rapport les centres sensitifs divers entre eux et avec les
centres
des souvenirs anciens. Les fibres d'association s
qui mettent en rapport les organes récepteurs périphériques et les
centres
corticaux. Histologiquement rien ne distingue l
, avecMme Déjerine, il constate que les fais- ceaux différenciés du
centre
ovale des hémisphères ne sont pas exclusive- me
rches sur lesquelles il s'appuie. Cet auteur montre que ce sont les
centres
de perception qui se développent les premiers bie
ar. des fibres à direction centrifuge, fibres de projection. Mais ces
centres
n'occupent qu'un tiers de l'écorce, un tiers de
avec les mécanismes moteurs, les deux autres tiers reçoivent de ces
centres
sensi- tifs des fibres myélinées, ils sont dest
e leur b4 G. GASNE rôle coordinateur et élaborateur. Du reste ces
centres
d'association n'ac- quièrent leur développement
sion chez les individus dont l'in- telligence est supérieure. Les
centres
sensoriels étant les premiers à se couvrir de myé
le cerveau du foetus ou du nouveau-né des ilôts distincts. Mais ces
centres
sont subordonnés les uns aux autres et « non d'ég
énérale pendant toute la vie, elle est la plus étendue, elle est au
centre
, les sphères visuelle et auditive sont excentri
tle zone n'amène pas de paralysie des muscles oculo-moLeurs dont le
centre
serait plus loin bien que l'excitation de cetle
et de la partie voisine de la circonvolution de l'hippocampe. Ces
centres
sont- la fois sensitifs et moteurs, les impressio
ON 55 fuges successifs jusqu'aux muscles périphériques. Ce sont les
centres
ner- veux pour les réflexes d'origine corticale
iers chez l'homme de la surface hé- misphérique, est occupé par les
centres
d'association ou centres psychi- ques qui ne se
urface hé- misphérique, est occupé par les centres d'association ou
centres
psychi- ques qui ne se recouvrent que très tard
que très tard de myéline. Il y en a trois : C'est d'abord le grand
centre
d'association postérieur, comprenant une grande
oire et de l'association des idées, l'incohérence, la démence. Le
centre
d'association moyen est localisé dans l'insula de
Reil, il est surtout en rapport avec les fonctions du langage. Le
centre
d'association antérieur comprenant la partie anté
supprimant l'attention active et modifiant le caractère. Ces trois
centres
sont absolument indépendants des masses grises in
rnent, les maintenant ainsi en dépendance immédiate. C'est dans les
centres
d'association que les sensations tactiles, visuel
s fibres d'association vont unir ces sphères sensitivo-motrices aux
centres
psychi- ques permettant d'abord le souvenir pui
comparaison des diverses ima- ges ; de nouvelles fibres partant des
centres
psychiques vont aux sphères sensitivo-motrices
foetus et de l'enfant qui a permis de faire la localisation de ces
centres
. Histologiquemenl on trouve quelque différence
es centres. Histologiquemenl on trouve quelque différence entre les
centres
d'asso- ciation et les centres de projection :
trouve quelque différence entre les centres d'asso- ciation et les
centres
de projection : cellules fusiformes géantes, sura
ères de sensibilité seraient seules détruites avec conservation des
centres
d'asso- ciation ou vice versa, il faut avouer q
ons rapportés sont des exemples frappants de la dissociation de ces
centres
cérébraux, les uns centres de projection servan
ples frappants de la dissociation de ces centres cérébraux, les uns
centres
de projection servant à la sensation simple et au
plus ou moins compliqué et coordonné mais involontaire, les autres
centres
d'association servant à la sensation complexe for
ne corticale ce qui ap- partient à l'impression proprement dite des
centres
sensitifs et ce qui ap- partient à l'élaboratio
à profit autant que possible sa propre masse en en dépla- çant le
centre
de gravité de manière à aider au déplacement du
a- çant le centre de gravité de manière à aider au déplacement du
centre
de gravité de la masse à entraîner. Ces nouvell
es nerfs ; il faut donc également que le système nerveux, depuis le
centre
le plus élevé jusqu'à la dernière ramification ne
fibres du faisceau réfléxo-moteur, ainsi que les collaté- rales du
centre
de la corne sont à peu près intactes. (Pl. XI, C.
organe. Lorsque survient un processus cérébral qui, annihilant les
centres
d'arrêt, exalte la réflec- tivité médullaire, l
ratini- sation est provoqué par tel ou tel. autre désordre dans les
centres
de la moelle épinière, ou dans les ganglions qu
; elles sont plus nombreuses et plus épaisses à la périphérie qu'au
centre
. Une coupe dans la zone de transition, entre la
roscope ; mais, nous éloignons-nous d'elles pour nous rapprocher du
centre
de la tumeur, nous constatons dans la zone tran
s une masse granuleuse; ces brèches et ces fentes donnent, çà et au
centre
de la tumeur, un aspect spongieux avec des pore
ais par toutes les parties du muscle il la fois, il commence par le
centre
de la partie atteinte et y reste confiné le plu
e telle sorte que si l'on y fait alors une coupe, on trouve : 1° Au
centre
un noyau osseux ; 2° Plus en dehors se voit une c
musculaire, conjonctif, cartila- gineux,étagés de la périphérie au
centre
de la tumeur osseuse » (liuemmel). La myosite o
l'omoplate gauche et les apophyses épineuses des vertèbres avec, au
centre
, une petite masse osseuse, dans le rhomboïde et u
du territoire musculaire envahi,est atteint par l'ossification, le
centre
de la tumeur, le reste s'arrête au deuxième sta
re de la tumeur, le reste s'arrête au deuxième stade ; ailleurs, le
centre
de la tumeur est osseux, sa péri- phérie donne
rant sans transition la par- tie malade des parties saines. 3° Le
centre
est occupé par la plaque proprement dite; d'un ja
par la plaque proprement dite; d'un jaune pâle un peu rougeâtre au
centre
, lardacée, résistant à la pression, elle mesure
à la région lom- haire et à celle de la tète en avant, fait que le
centre
de gravité se déplace donnant au malade quelque
s qu'elle respecte constamment certains autres, animés par d'autres
centres
trophiques; la multiplicité des systèmes attein
la myosite, nous savons que l'ossification progresse en général du
centre
à la périphérie, que la zone fibreuse qui entoure
'une façon à peu près symétrique ; la zone cornu-commissurale et le
centre
ovale de Flechsig ont conservé leur coloration no
t la zone cornu-commissu- rale. La zone de Lissauer est altérée. Le
centre
ovale de Flechsig paraît con- servé. Même dans
lbaires des cordons. On peut dire que, d'une manière gé- nérale, le
centre
ovale de Flechsig et la zone cornu-commissurale s
rtantes se font dans les limites de 0,15 à 1,5 miel- limètres. Le
centre
de la moindre sensibilité douloureuse de la peau
thoracique : « thorax en entonnoir, dont la dépression mesure à son
centre
3 centimètres ». Malformation du crâne qui prés
Une autre lésion semblable, mais plus petite, existe à peu près au
centre
du pariétal gauche. Celle-ci fait une saillie n
I, etc. (2) Leçon clinique de l'Hôpital Saint-Louis. ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX, DANS UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE ET O
s. - Le malade raconte qu'à la suite d'une chute qu'il ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX 263 fit en sautant, l'âge de 7 ans, il
T. XI. 1'1. XXXIV A B rhototyple rtbl.ud Paris. ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX (ACHARD et LËOPOLD-LÉVi) Hémisphères
ng que du côté opposé. MASSON & Cu : . Editeur : ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX 265 Extrémité supérieure, 22 centimètre
graphie de la Salpêtrière. T. XI. PI. XXXV 1 2 3 ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX (ACHARD Ct LÉOPOLD-LÉVI) Photographie
et d-uu la corne droite. MASSON & C'e, Editeurs. ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX 267 La méthode de Ma rchi n'a point mon
Elles ont été coupées isolément, après repérage, colo- ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX 269 rées par la méthode de Pal. Leur di
oc. auat., janv. 1888, p. 37; Revue de médecine, 1893. ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX 271 Cette observation est précieuse. El
rfs articulaires, avec re- tentissement par voie centripète sur les
centres
spinaux au niveau du foyer d'origine des nerfs
commune, la moelle répondra par un mode d'activité plus faible des
centres
organiques. Les mutations chimiques s'arrêteron
mutations chimiques s'arrêteront. Le plus souvent cette action des
centres
nerveux est dite dynamique, elle ne se manifeste
Waller, la lésion d'un nerf détermine des lésions à distance dans le
centre
d'origine de ce nerf. Pour donner un exemple, D
à moins qu'elle ne soit bilatérale, ne laisse pas de trace dans les
centres
nerveux. Les deux conditions invo- quées par Va
avec l'aplasie osseuse. Klippel (2) a insisté sur ce fait que les
centres
spinaux, qui exercent une action sur la nutriti
du côté sain. L'hypertrophie serait due à une irritation réflexe du
centre
trophique, l'atrophie à une diminution d'acti-
lle date. Soc. de biol., et Gaz. rnéd. de Paris, 1871. ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX 273 Dans la paralysie infantile, la lés
midales. L'atrophie de l'écorce cérébrale, répondant comme siège au
centre
mo- teur du membre atteint, a été signalée à la
- tionnelle d'une partie des éléments anatomiques contenus dans les
centres
moteurs corticaux et rendus inutiles par le fai
ooir, Bull. de la Soc. anat., 1877, p. 331. (11) Charcot et Pitres,
Centres
moteurs corticaux de l'homme, 1893. ATROPHIE DE
et Pitres, Centres moteurs corticaux de l'homme, 1893. ATROPHIE DES
CENTRES
NERVEUX 275 de la chaîne neurale. L'absence d'u
eur signale' une atrophie de la corne antérieure de la moelle et du
centre
cérébral correspondant au membre paralysé. A
superficielles et profondes du cou. Caillots sanguins, ramollis au
centre
, adhérant aux parois des veines ju- gulaires in
envoie encore une apophyse poin- tue qui repose sur le biceps ; du
centre
décrit part encore une bandelette qui suit le b
on trouve une tumeur diffuse, résistante à la périphérie, molle au
centre
, nue- tuante ; elle n'offre nulle part d'ossifi
la cavité crânienne était remplie d'un liquide transparent et qu'au
centre
seulement de la fosse crânienne médiane, exista
lle transparaissent les os sous-jacents, et c'est seulement dans le
centre
de la fosse crânienne médiane qu'on aperçoit un
voir les sons, et ainsi du reste. Ces différentes zones, véritables
centres
, sont reliées et associées entre elles ; leur f
nouvelle, en démon- trant qu'il existe dans l'hémisphère gauche, un
centre
spécial du langage arti- culé. Lorsque plus tar
ruction d'un certain territoire du cerveau ou des autres portions des
centres
nerveux. Dans la lutte qu'il eut à soutenir, à
autres, la moelle s'est révélée il nous, comme un enchevêtrement de
centres
et de conducteurs, ayant, eux aussi, des attrib
cteurs, ayant, eux aussi, des attributions distinctes et définies :
centres
de relai, placés entre ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU PR
e mouvement ; conducteurs chargés de relier ces mêmes appareils aux
centres
situés, les uns dans la moelle, les autres dans
existent entre certains troubles nerveux et les lésions dés divers
centres
ou faisceaux dont se compose la moelle. Jusque-
us étions habitués a mettre sur le compte de lésions incurables des
centres
ner- veux. Voilà qui est intéressant pour les m
ntracter d'une certaine façon. Ce second mode de fonctionnement des
centres
nerveux est le propre de l'automatisme cérébral
turelle de la physiologie et de la pathologie de cette portion des
centres
ner- veux. Je vous l'ai montré ensuite, super
tout genre, des influences physiques et morales qui détournent les
centres
nerveux de leur activité régulière ; on peut dire
La myosite ossifiante progressive semble provenir d'une lésion des
centres
nerveux; le processus ossifiant constitue un trou
ILL- I.\ : 'i : ; (1 fib., 1 phot.), 142. Sens stéréognostique et
centres
d'associa- tion, par G. GASNE, 46. Sensibilit
ie de la moelle épinière, 18. GASxE (G.). Sens stéréognostique et
centre
d'association, 46. GILLES DE la TOURETTE et G
avec autopsie (9 phot.), 83. LÉoroLD Lévi et Achard. Atrophie des
centres
nerveux dans un cas d'atrophie musculaire et os
e consécutive il la va- riole (.L-B. Charcot), VIII. Atrophie des
centres
nerveux (Achard et Lsoron Lévi), XXXIV, XXXV.
nne : calmer l'éréthisme nerveux du sujet et faire l'éducation de ses
centres
d'arrêt psychiques. revue de l'hypnotisme S
erveux. Que les périphéries du nerf vague agissent par réflexe sur le
centre
respiratoire du bulbe et déterminent une respirat
moelle épinière sur celles du cerveau, c'est-à-dire de la sphère des
centres
nerveux d'automatisme sur la sphère des centres n
dire de la sphère des centres nerveux d'automatisme sur la sphère des
centres
nerveux de volonté et de conscience. D'autres f
enlevées me démontra qu'il s'agissait effectivement d'un sarcome. Le
centre
de la tumeur était ramolli et avait l'aspect de l
s tôt par la création en nombre suffisant et au moins dans les grands
centres
, d'établissements spéciaux, analogues aux institu
es de Bordeaux. peu, devient énorme et fixe, envahissant tous les
centres
psychiques et déplaçant toutes les autres idées ;
n choc quelconque qui empêche le développement et l'envahissement des
centres
psychiques. Le jeune malade compare cet état à
malade a le temps de prendre ses précautions. Quand la résistance des
centres
volitifs est plus élevée que la force nerveuse qu
nctionnelle des cellules nerveuses volitives, celle-ci actionnent les
centres
représentatifs, c'est-à-dire des mémoires diverse
apeutique ; cette idée interrompt le courant pathogène formé dans des
centres
psychiques voisins. Il serait intéressant de sa
e avec amnésie au réveil. D'autre part, dans l'état hypnagogique, les
centres
psychiques étant découronnés, il arrive souvent q
sion; X... est un masturbateur. L'onaniste provoque la fatigue de ses
centres
nerveux non seulement par l'ébranlement dû à l'ex
sont épileptiques. 11 est permis de se demander si l'irritation des
centres
nerveux qui provoque ces crises n'est pas due à l
e traitement polybromuré à haute dose, qui a agi chimiquement sur les
centres
nerveux, et la gymnastique médicale, qui a diffus
on vertige l'obsédra et pourra provoquer peu à peu l'irritabilité des
centres
corticaux où il a son image consciente. De même q
aires de même ordre que le vertige, la nausée, l'oppression, dont les
centres
sont distincts et connus, et dont elle s'accompag
r et l'appareil ampullaire. De même si l'imagination se porte sur les
centres
inférieurs correspondant aux centres bulbaires de
i l'imagination se porte sur les centres inférieurs correspondant aux
centres
bulbaires de l'orientation subjective. Tel malade
e, de la peur. Cette peur est donc vraisemblablement du domaine des
centres
sensi-tifs du pneumogastrique et doit se localise
eutralise en moi le trouble vertigineux et agoraphobique; livré à mes
centres
labyrinthiques et à mes représentations imaginati
s la même maladie. On la dit paralysée ; elle inhibe sommairement son
centre
locomoteur des jambes et ne peut plus marcher, ni
les phobies entrent pour une large part. Tout agent qui actionne les
centres
nerveux, soit par une excitation violente mais su
charge nerveuse, selon toute apparence. Cette décharge découronne les
centres
psychiques, en leur enlevant la somme d'influx ne
diverses et [d'autant plus délicates que tout mouvement agit sur les
centres
psycho-moteurs et que toute idée se transforme en
sens (bases physiologiques de la vie psychique). Développement des
centres
nerveux. Localisations. Neurones. Voies de conduc
que que dans le second cas. Enfin, à quelques moments du sommeil, les
centres
des sensations doivent être plus fatigués que ceu
des mots confirme ainsi l'expérience pathologique d'après laquelle le
centre
de la mémoire visuelle des mots se trouverait dan
es combinaisons possibles. Le schéma de Charcot marque, de plus, un
centre
intellectuel spécial où s'associent les divers im
, un centre intellectuel spécial où s'associent les divers images. Ce
centre
est inutile pour la compréhension des faits ; cha
es nerveuses. [Voir la figure ci-dessous). Schéma des aphasies 1.
centres
de* Renouions ; 2, centre psychiques : 3, centre
re ci-dessous). Schéma des aphasies 1. centres de* Renouions ; 2,
centre
psychiques : 3, centre des mots conventionnel*. A
a des aphasies 1. centres de* Renouions ; 2, centre psychiques : 3,
centre
des mots conventionnel*. A centre moteur d'articu
nouions ; 2, centre psychiques : 3, centre des mots conventionnel*. A
centre
moteur d'articulation; G centre moteur graphique;
3, centre des mots conventionnel*. A centre moteur d'articulation; G
centre
moteur graphique; Vofil; 0 oreille: I, langue. M
hique; Vofil; 0 oreille: I, langue. M main. J'étudierai d'abord les
centres
de réception, puis les centres d'émission. Les
gue. M main. J'étudierai d'abord les centres de réception, puis les
centres
d'émission. Les centres récepteurs sont aussi n
d'abord les centres de réception, puis les centres d'émission. Les
centres
récepteurs sont aussi nombreux que nos sens. Deux
gures conventionnelles (lettres, motsj que bien plus tard. D'où trois
centres
: a) Le premier (1) permet de voir. Lésé, il pr
sait, par exemple, ce qu'est un chien, une fourchette. La perte de ce
centre
entraine la cécité psychique: le malade ne compre
re les lettres. » Si 3 était intact et que le conducteur de 3 vers le
centre
moteur articulaire fût détruit, il dirait: « Je c
rononce, ils se réduisent à un son. Si le conducteur de 3 vers le
centre
moteur était lésé, on comprendrait les mots prono
voir entre eux. Des filets émissifs peuvent aller de chacun des trois
centres
auditifs ? vers les trois centres visuels V. De
s peuvent aller de chacun des trois centres auditifs ? vers les trois
centres
visuels V. De 1 ? à 1 V, nous aurons l'audition
ar l'orateur. Les filets émissifs peuvent aller de chacun des trois
centres
visuels vers les centres auditifs. Voici leurs ra
s émissifs peuvent aller de chacun des trois centres visuels vers les
centres
auditifs. Voici leurs rapports les plus connus. D
tif et des odeurs, voire même tactile spécial ou génésique ; mais ces
centres
ont été moins étudiés et sont moins complexes. No
. etc., etc. Les appareils émissifs sont très simples. Il existe un
centre
moteur d'articulation A relié au 3 auditif et au
ation A relié au 3 auditif et au 3 visuel. Il existe également un
centre
moteur graphique G relié de la même façon. Je pas
un centre moteur graphique G relié de la même façon. Je passe le
centre
de la mimique. G peut envoyer un filet émissif
le monde sait que l'onanisme est une cause fréquente d'épilepsie. Les
centres
nerveux ressentent vivement, en effet, le contre-
et, dans l'immense majorité des cas, une frayeur immense envahit les
centres
nerveux et les sidère aussi rapidement que la fou
piratoires, ont pour fonction des mouvements involontaires. Leur seul
centre
d'innervation se trouve dans le bulbe; du moins n
s le bulbe; du moins n'est-on pas arrivé à démontrer l'existence d'un
centre
respiratoire dans les hémisphères cérébraux. Tout
phères cérébraux. Tout le monde, au contraire, admet l'existence d'un
centre
cortieal phonatoire, dont l'irritation produit l'
e convenablement une plaque sensible et dirige son regard vers le
centre
de cette plaque... en concentrant son esprit sur
é dans cet état est incapable de mouvements même automatiques. Or, le
centre
de toutes les actions réflexes communes se trouve
C'est donc à des modifications physiologiques se produisant dans ces
centres
que sera due la narcose. Dans le troisième degr
. Le coma résulte des troubles apportés dans le fonctionnement de ces
centres
. On peut trouver toutes les transitions entre l
rcotiques et les hypnotiques : les premiers agissant d'emblée sur les
centres
médullaires, les seconds sur les centres corticau
rs agissant d'emblée sur les centres médullaires, les seconds sur les
centres
corticaux. Maison ne saurait faire une distinctio
ystème nerveux, mais l'extension de celle-ci aux diverses parties des
centres
, rapproche les uns des autres les agents producte
t leur action d'abord sur le bulbe, et agissant primitivement sur les
centres
de la vie animale, sur les réflexes communs, par
oubles circulatoires. Lorsque l'insomnie est due à l'excitation des
centres
médullaires, il faut encore recourir à la médicat
borée par les études nouvelles sur l'histologie et la physiologie des
centres
nerveux, faites par MM. Golgi et Ramon y Cajal; c
pent dans un sens utile ou fâcheux, suivant aussi que le contrôle des
centres
supérieurs de la conscience et du raisonnement si
t la règle ; c'est que la sensation ne passe que par la moelle et les
centres
subconscients ; mais la volonté peut établir ses
e les prolongements des cellules intelligentes vont chercher ceux des
centres
subconscients, de l'instinct entre autres, et, pa
s se troublent et se ratatinent, et que leur influence sur les autres
centres
soit entravée. L'usure de la vieillesse n'est p
ue de l'Hypnotisme, juin 1895). Si alors le contrôle cérébral sur les
centres
subconscients est entravé ou supprimé par le retr
ans des régions variables : la cessation de la communication avec les
centres
conscients ; de là l'absence de souvenir au révei
nsi dus à une seule et même cause, l'engourdissement des facultés des
centres
supérieurs, le retrait des pseudopodes de la cons
ieurs, le retrait des pseudopodes de la conscience; et alors ceux des
centres
subconscients n'étant plus contrebalancés, auraie
ations protoplasmiques des cellules nerveuses ? La connexion entre le
centre
d'arrêt et le centre d'où part l'idée ou l'acte d
s des cellules nerveuses ? La connexion entre le centre d'arrêt et le
centre
d'où part l'idée ou l'acte de la manie, serait al
les cellules nerveuses périphériques, ou d'une façon générale sur les
centres
de la moelle ou du cerveau, sur le centre de la d
une façon générale sur les centres de la moelle ou du cerveau, sur le
centre
de la douleur qui est en rapport avec le centre c
ou du cerveau, sur le centre de la douleur qui est en rapport avec le
centre
correspondant à l'endroit souffrant. Or la piqûre
de supposer que la morphine produit une adventicité moindre entre ces
centres
, et que, dans certains cas, elle guérit la douleu
ections, les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale, qui sont les
centres
de l'intelligence, ont leurs arborisations partie
tome II, à propos de ce qui se passe dans les nerfs séparés de leurs
centres
, sectionnés mais restant dans le corps : « Après
s restant dans le corps : « Après plusieurs jours, le nerf séparé des
centres
nerveux dégénère dans toute l'étendue du bout pér
omblées de cette manière... La conductibilité d'impulsions venant des
centres
semble reparaître plus tôt que l'excitabilité loc
iquement à une contraction musculaire, et non pas à un effet dans les
centres
nerveux, à une sensation par exemple, puisque le
comme nous le verrons, affecte un rapport de continuité avec tous les
centres
nerveux. Il faut donc qu'à l'origine centrale des
sition inconnue encore qui empêche l'excitation de se communiquer aux
centres
, une espèce de soupape permettant à l'excitation
hysiologique : « Le temps que met l'influx nerveux pour traverser les
centres
nerveux, et surtout le cerveau, varie entre des l
olongements cellulaires, tout s'explique, lout devient clair. Si le
centre
d'élaboration de la volonté est intact, ainsi que
. Si le centre d'élaboration de la volonté est intact, ainsi que le
centre
psycho-moteur d'une jambe par exemple, et si la c
ur d'une jambe par exemple, et si la continuité existe entre ces deux
centres
et le centre psychomoteur et les muscles de la ja
par exemple, et si la continuité existe entre ces deux centres et le
centre
psychomoteur et les muscles de la jambe, par l'in
la paralysie de cette jambe peut durer des années et des années. Ces
centres
sont bien intacts, semble-t-il, puisque, brusquem
894, une orientation nouvelle se produit, la communication entre deux
centres
se reforme, et la faculté se retrouve. Voici un c
. La promesse de la montre avait tout bonnement, semble-t-il, créé un
centre
d'arrêt dans le cerveau, par la concentration de
la pensée sur le but à atteintre, une relation d'anastomose avec les
centres
qui président à la rétention de l'urine, et qui n
lement guéri en continuant le traitement, et créé dans son cerveau un
centre
d'arrêt de plus en plus puissant et définitif.
onvchophagie, le nicotinisme, l'onanisme, il s'agit probablement d'un
centre
d'arrêt ou d'inhibition créé de la même façon ; d
hypnotisme, Juillet 1803. longement des prolongements, créer des
centres
d'arrêt, supprimer les connexions maladives, réta
aucoup de circonstances: le trouble fonctionnel dans les maladies des
centres
nerveux dépasse souvent le^champ de la lésion ana
nditions précieuses à déterminer ; mais comme en dernière analyse les
centres
nerveux se composent de cellules, ici encore la r
ysiologiques bien établies. l°Le sommeil consiste en un repos des
centres
nerveux supérieurs par le fait de la non réceptio
tout au moins nous sommes aujourd'hui très autorisés à croire que les
centres
nerveux fonctionnels sont représentés, non par le
els sont ces neurones? Les notions bien établies sur l'histologie des
centres
, et si admirablement schématisées par Van Gehucht
e toute activité, mais dans le monde des neurones cérébraux, dans les
centres
cérébraux proprement dits, dans leurs neurones d'
pendus, entre autres celui de la respiration, par le sommeil de leurs
centres
. Pour conjurer la mort imminente dont ce somm
e le début, il faudra trouver une excitation capable de réveiller ces
centres
inférieurs ; ce ne sera pas l'intensité même de c
sera sa nature, ce sera surtout la nature du nerf et, par suite, des
centres
sur lesquels elle portera ; et c'est ainsi que le
es, entre les mains de Laborde, un si précieux moyen de réveiller les
centres
de la respiration. Ce sommeil de la moelle est
nous avons vu que les tractions rhythmées de la langue sont, pour les
centres
respiratoires asphyxiés, c'est-à-dire endormis, u
rolongements, des autres neurones, est partiel et contingent dans les
centres
cérébraux, témoin les rêves. ¦ — Le sommeil des
n ne pourrait arriver à augmenter le pouvoir d'inhibition, à créer le
centre
d'arrêt et à fixer la suggestion. · Ses cours à
heures de départ de Bâle, Zurich et Neufchàtel. les trois principaux
centres
de groupement des pèlerins. Ces caravanes par
on très puissante exercée par la suggestion sur le fonctionnement des
centres
nerveux. Enfin le conférencier, par de nombreus
Il démontre comment on arrive, par d'ingénieux artifices, à créer le
centre
d'arrêt, le pouvoir d'inhibition grâce auquel les
e, et que l'on n'a pas hésité à décrire pour le facial supérieur un
centre
cortical et un trajet intra- cérébral complètem
d'anatomie, et que cette lésion respecte toujours chez l'adulte un
centre
qu'elle frappe toujours chez l'enfant ? D'autre
point de vue anatomique « les filets de l'orbiculaire traversent le
centre
ovale, et pro- bablement aussi la capsule inter
iner, Hitzig, Féré, Mar- fan, etc.) permettaient de supposer que ce
centre
était à la zone psychomotrice, tout près du cen
supposer que ce centre était à la zone psychomotrice, tout près du
centre
du facial inférieur. Plusieurs autopsies le dém
localisation, servir de document unique pour la détermi- nation du
centre
des mouvements de la face chez l'homme, il faud
des mouvements de la face chez l'homme, il faudrait conclure que ce
centre
occupe exactement, sur l'opercule, la portion d
u facial supérieur. Les deux branches de la septième paire ont un
centre
com- mun à l'opercule rolandique. Si l'hémiplég
xterne sont absolument normaux. De même qu'il n'existe qu'un seul
centre
cortical du facial, de même toutes les fibres q
. Dans l'autre, il s'agit d'une lésion centrale, ayant frappé les
centres
d'origine de tous les nerfs d'une moitié du corps
lontaire ; par suite il a une représentation corticale. Pourquoi ce
centre
cortical ne serait-il pas atteint par la lésion
n paradoxale, si on n'admet pas que la lésion cérébrale a frappé le
centre
originel du moteur oculaire. En résumé la lésio
des observa- tions concluent que toute tentative de localisation du
centre
du moteur oculaire commun est encore prématurée
rieure des circonvolutions ascendantes. Bosco le place au-devant du
centre
du bras, au-dessus de celui de la face. Nos rec
sujet conclut que le releveur de la paupière supérieure possède un
centre
situé dans l'extrémité posté- rieure de la deux
le place Bosco, un peu plus bas que celui où Terrier l'indique. Ce
centre
en résumé serait très voisin de celui de la fac
'action synergique de ces nerfs. 6° Le facial supérieur a le même
centre
cortical ou un centre très voisin du facial inf
ces nerfs. 6° Le facial supérieur a le même centre cortical ou un
centre
très voisin du facial inférieur. Les centres cort
e centre cortical ou un centre très voisin du facial inférieur. Les
centres
corticaux du facial supérieur et du releveur de
es psychoses, sa lésion anatomique n'étant pas encore connue. Les
centres
nerveux paraissent absolument indemnes. On note
il y a une irrita- bilité très grande de la couche corticale et des
centres
ner- veux ; les malades sont très mobiles, expa
orte d'assoupisse- ment de l'activité de la couche corticale et des
centres
ner- veux. Cet état peut être aussi symptomatiq
ientôt l'irritation et l'allé- LES MÉLANCOLIQUES. 31 ration des
centres
sensoriels, de l'idéation, du psychique. lui fo
le grand sympathique prend part aux irritations et altérations des
centres
nerveux, les malades sont pris d'anxiété, angoi
ont des névralgies diverses : intercostales, viscérales, etc. ; les
centres
thermiques et vaso- moteurs étant intéressés, n
nsation d'angoisse pré- cordiale, laquelle se propage plus haut aux
centres
moteurs céphaliques ; c'est alors que les malad
tionnelle. Deux faits cliniques renversent la théorie centrale d'un
centre
coordinateur du système nerveux. L'ataxie s'exa
es circonstances extérieures. La théorie de l'activité anormale des
centres
psychiques élevés (perversion delà conscience e
igine médicale, dépendant d'une affection antérieure du malade (les
centres
nerveux exceptés) : 2° le délire toxique, dont
elet avec perte totale de la vue et de l'ouïe ; un cas de tumeur du
centre
ovale avec des périodes d'évolution, l'un à for
ôme constant. Nosographiquement « elle se place eu quelque sorte au
centre
d'un trépied dont les trois angles seraient occ
ectiques en : 1° état apo- plectique lié à une lésion organique des
centres
nerveux; 2° état apoplectique sous la dépendanc
ituation normale plutôt grâce à leur propre poids que par ordre des
centres
moteurs. La perception est très réduite. Le mal
lancolique trouve, comme altération patho- logique : une anémie des
centres
nerveux encéphaliques et peut-être médullaire,
ès nettement et disparait. Tantôt, au contraire, le noyau quitte le
centre
de la cellule, vient s'adosser contre la paroi
urnal of iiisaiity, octobre 1897.) E. B. VIII. Le développement des
centres
supérieurs du cerveau; par le Dr STEWART PATON.
xiste des relations intimes entre le développement ana- tomique des
centres
cérébraux supérieurs et leur expression fonc- t
lle physiologique. En étudiant comparativement le développement des
centres
cérébraux dans la série des vertébrés, on voit
des centres cérébraux dans la série des vertébrés, on voit que les
centres
céré- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATH
cessus de rétrogression, et il est probable que l'importance de ces
centres
a diminué tant au point de vue fonctionnel qu'a
sibilités psy- chologiques uniquement du fait de la disposition des
centres
corti- caux. Les centres cérébraux supérieurs
uniquement du fait de la disposition des centres corti- caux. Les
centres
cérébraux supérieurs peuvent être considérés comm
celui-ci reçoit des ramifications. Ou bien la somme d'énergie d'un
centre
moteur, distribuée avant la section radiculaire
ore, la par- tie du muscle qui seule reste excitable aux influx des
centres
après la section incite elle-même mécaniquement
a ainsi quarante zones corticales et peut-être plus. Deux nouveaux
centres
sensoriels en porte le nombre à sept. Les quatre
nouveaux centres sensoriels en porte le nombre à sept. Les quatre
centres
d'association sont décomposés en trente-trois. M.
t, invariablement. avant la maturité de l'embryon. Ce sont tous les
centres
sensoriels déjà décrits, pourvus de myéline bie
utions transverses du lobe temporal; toutes zones cons- tituant des
centres
sensoriels primaires. b). Les territoires inter
s après l'accouchement parfaitement à terme, et sont, en partie des
centres
sensoriels, en partie des centres d'association.
t à terme, et sont, en partie des centres sensoriels, en partie des
centres
d'association. Exemples : le pied de la premièr
laire (zone 13, entre la deuxième temporale et les occipi- tales) ;
centres
sensoriels secondaires qui se développent avant
première temporale etc., qui ne sont que les zones mar- ginales de
centres
sensoriels, mais sont aussi des territoires inter
d'un mois après l'accouchement normal, et sont, exclusivement, des
centres
d'as- sociations déjà décrits. La myélinisation
de maturité tardive, tandis que sa partie orbitaire relèverait des
centres
sensoriels primordiaux. La deuxième pariétale c
une, petite, tout à fait antérieure, serait placée dans l'opercule (
centre
sensoriel secon- daire) ; une zone postérieure
ibres d'association ; ce qui permet déjà de distinguer les zones en
centres
de projections et en centres d'asso- ciation. L
permet déjà de distinguer les zones en centres de projections et en
centres
d'asso- ciation. Les fibres les premières mûres
composantes. Le reste du mémoire est consacré à la légitimation des
centres
d'association mais sous réserve d'autres examen
ent entre elles diverses parties d'un territoire primordial, ou des
centres
sensoriels à leurs zones marginales. Mais, à cô
rginales. Mais, à côté de cela, il n'est pas rare de voir plusieurs
centres
sensoriels, celui, par exemple, de la sphère ta
ieure de la première temporale), sans qu'il y ait union directe des
centres
sensoriels. Quant au cingulum, dans lequel, à l
Quant au cingulum, dans lequel, à l'origine, M. Flechsig plaçait un
centre
d'association direct de diverses sphères sensorie
naux commandent à des fondions d'association. S'il est vrai que les
centres
d'association en question soient aussi innervés
e on peut se demander si l'aphasie a été produite par une lésion du
centre
ou par la section des fibres unissant le centre
e par une lésion du centre ou par la section des fibres unissant le
centre
cortical au centre bulbaire d'articulation. A.
centre ou par la section des fibres unissant le centre cortical au
centre
bulbaire d'articulation. A. VIGOUROUX. SOCI
Librairie H. Lamertin. DiiÉnÉ (c.) Recherches sur la variation des
centres
nerveux en fonction de la taille. Volume iu-8°
's. d'absinthe (C. R. A. des Se., 1864). Magnan. Recherches sur les
centres
nerveux, 1876, p. 73. Guillemin. Elude sur l'ép
ces questions. Il pousse l'analyse des lésions histologiques des
centres
nerveux et des viscères jusqu'à y distinguer de
se produire en conséquence d'un trouble psychologique profond des
centres
supérieurs .d'un cerveau instable ? et les poison
du fait de quelqu'une de ces causes 1 intégrité fonction- nelle des
centres
supérieurs est lésée, ne peut-on assister à la
: puis lorsque les effets toxiques de l'alcool eurent désagrégé les
centres
supérieurs, la première idée impulsive qui vint
ateuse. Ce gliome a pu au début, étant sous- cortical, comprimer le
centre
des mouvements du bras ou une des artères qui l
augmentant de volume, il aurait amené une altération profonde du
centre
moteur et par suite une paralysie permamente. Enf
mme symptôme isolé, permet de croire qu'il existe dans la moelle un
centre
trophique ou vasomoteur, nettement différencié
prennent leur origne ou qui s'y terminent; de même que la perte des
centres
, d'où partent ces systèmes de fibres. Ainsi l'a
« Il semble que ce délire soit développé sur un état mala- dif des
centres
moteurs ou volitionnels. Le malade est d'une ac
t pathologique à un affaiblissement de l'écorce avec excitation des
centres
sous-corticaux, d'où résulte le sommeil du, moi
s histo-psychotogiqucs actuelles sur l'existence dans le cerveau de
centres
sensitivo-moteurs de projection et de centres psy
ce dans le cerveau de centres sensitivo-moteurs de projection et de
centres
psychiques d'association (Flechsig) susceptible
s substances nuisibles fabriquées qui produisent une irritation des
centres
nerveux, d'où, comme conséquence, le délire'.
GIE PATHOLOGIQUES. XVI. Sur les phénomènes de réparation dans les
centres
nerveux, après la section des nerfs périphériqu
est normale, exagérée ou absente ou résultante d'un état morbide du
centre
génito-spinal ou de l'âge. , Ce réflexe deman
xpliquer ce fait, l'auteur admet que la névrome en- voyait vers les
centres
des sensations perturbatrices continuelles qui
ombo-sacrée n'était le siège d'aucune altération. G. Devr. XXI. Les
centres
et voies de communication de la parole et de l'
endroits du cerveau des diverses espèces d'images (déjà connu). Ces
centres
sont reliés entre eux par des voies de communic
8 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. motrices et les
centres
destinés à Vexéculion mécanique de la parole et
. Ici la voie de la parole r-f- qui va de l'image phonétique l au
centre
d'articulation A passe, dans l'intervalle, parle
étique l au centre d'articulation A passe, dans l'intervalle, parle
centre
des mouvements B. La voie u-r-y qui va de l'ima
es mouvements B. La voie u-r-y qui va de l'image graphique Sch au
centre
d'exécution mécanique de l'écriture A' passe par
e Sch au centre d'exécution mécanique de l'écriture A' passe par le
centre
intermédiaire des mouvements de l'écriture B'.
organes de la parole pendant l'acte de la parole, elle passe par le
centre
111 des conceptions des mouvements de l'instrum
de l'enfance, les affinités électives de certaines toxines pour les
centres
nerveux (diphtérie par exemple). 11 passe ensuite
sous forme de poussière à la périphérie delà cellule, alors que le
centre
de la cellule est très faiblement coloré en bleu,
ectant les nerfs et leurs dépendances ont porté leur action sur les
centres
, ce qui est du reste presque la règle dans le t
la myosite ossifiante progressive semble provenir d'une lésion des
centres
nerveux ; le processus ossifiant constitue un t
), de Paris. Prix Portai : 600 francs. Question : Des lésions des
centres
nerveux et des reins, causées par la toxine du
omme les arrêts de développement, commandées par une altération des
centres
trophiques remontant à la période foetale. (Rev
urent atteints à leur tour. 11 ? ... avait, bien entendu, perdu son
centre
de gravité et pré- sentait une incurvation de l
qui a atteint non seulement les nerfs, mais encore et surtout les
centres
. Nous ne nous dissimulons pas que l'absence d'exa
rès intime entre le cervelet et le cerveau, et notam- ment avec les
centres
corticaux ; 12° 11 s'agit d'un rapport croisé,
de l'hémisphère cérébel- leux du côté opposé) ; 130 L'ablation des
centres
corticaux ou d'un hémisphère du cervelet n'altè
de priorité à celle qui s'occupe des rapports de subordination des
centres
psychiques les uns aux autres et à un centre un
e subordination des centres psychiques les uns aux autres et à un
centre
unique, rapports qui constituent l'unité de l'ind
sagrégation mentale et entraîne comme conséquence l'automatisme des
centres
inférieurs et la désagréga- tion physiologique.
arcot et ses disciples n'admettaient point d'associations entre les
centres
particuliers du langage et donnaient par contre
ar des raisons anatomiques, une différence fondamentale entre les
centres
sensoriels et ceux de l'association, par conséque
Nos recherches personnelles, faites à' ce sujet, démontrent que le
centre
d'association moyen est une région où, non seul
gion où, non seulement s'accomplissent les associations entre les
centres
auditifs, les moteurs et les tactiles, tous actif
matiquement les souvenirs emmagasinés des mots, sans le concours du
centre
postérieur. Par conséquent, nous attribuons au
e concours du centre postérieur. Par conséquent, nous attribuons au
centre
moyen un rôle fort important dans la parole int
A la période initiale du développement du langage chez l'enfant, le
centre
moyen joue le même rôle psychogénique qui appar
yen joue le même rôle psychogénique qui appartient dans la suite au
centre
postérieur. Avant que l'acte de la parole ne de
ent. La même chose se passe quand on apprend à lire ou à écrire; le
centre
moyen doit alors associer les images opti- ques
e la parole. Les mé- moires sensorielles verbales, inhérentes à des
centres
de la sensibilité rendent les services suivants
ans laquelle nous rangerons également la mémoire d'associa- tion du
centre
moyen. Pour comprendre la parole etl'écriture,
ainsi que pour parler et écrire spontanément, il faut se servir du
centre
psychique postérieur. La parole, dans le vrai sen
car les mémoires sensorielles doi- vent d'abord s'associer dans le
centre
moyen pour produire 4o4 THÉRAPEUTIQUE. la p
it de mettre en rapport les différentes régions de l'écorce dans le
centre
postérieur. Deux mécanismes peuvent donc être a
le et subcor- ticale en rapport avec le siège de la lésion dans les
centres
ou dans les faisceaux de communication. Kussmau
l'aphasie amnestique. Charcot négligeait les associations entre les
centres
, et, pour lui, le mutisme devait être classifié s
tre classifié sui- vant le siège de la lésion dans tel ou tel autre
centre
de mé- moire verbale. L'école psychologique act
(auditive, optique ou motrice) ou bien de la mémoire d'association (
centre
moyen ou postérieur). C'est ce qui empêche ou s
t les mouvements des organes articulateurs, tantôt l'excitation des
centres
senso- riels, tantôt les vestiges des souvenirs
iels, tantôt les vestiges des souvenirs verbaux emmagasinés dans le
centre
moyen ou enfin les processus d'association du c
inés dans le centre moyen ou enfin les processus d'association du
centre
postérieur. Outre la distinction du mutisme en
rconvolution temporale. Par défaut du contrôle normal de la part du
centre
auditif le sujet ne comprend pas la parole qu'o
plus important de la parole intérieure. Le mutisme orga- nique du
centre
postérieur comprend : 1° l'aphasie auditive d'
dus, de lire et d'écrire aussi machinalement (action automatique du
centre
moyen) la parole reste incomprise, le sujet par
ttacher la signification qu'ils comportent (action automatique du
centre
moyen) ; 3° Yaphasie optique ; 4° la cécité menta
e lui devenant impossible. Le mutisme fonctionnel A' association du
centre
moyen comprend l'aphasie motrice sans alexie et
ntre moyen comprend l'aphasie motrice sans alexie et agraphie. Le
centre
n'agit pas spontanément; il faut qu'il soit provo
ement ; il tient par consé- quent à la dépression fonctionnelle des
centres
moteurs de l'écorce ou à l'abréviation de la vo
lombaire dont la lésion doit être située au niveau ou au-dessous du
centre
des réflexes et qui, très probablement, a pour
s illusoires de l'alcoolique s'amendent par l'ap- parition dans les
centres
sensoriels d'images extérieures nettement dessi
scendante aiguë. Autopsie. - Congestion des poumons, des reins, des
centres
nerveux. L'examen histologique de la moelle mon
mètres sur 11. Le caillot a une épaisseur d'un centimètre vers son
centre
, il s'amincit sur les bords ; il est formé d'une
altéra- tions des causées par l'arsenic, pir Souklranoff, 474.
Centres
nerveux. Sur les p Il 61101llè- nes de réparati
ogie et thérapeutique des \ices de la , par Oltus'ewski, 450. Les
centres
et voies de communication de la et de l'é- cr
ar hypothèse, avec Duchenne (de Boulogne), soit dans le cervelet,
centre
de la coordination des mouvements, soit, selon Br
e de la voie motrice des cordons latéraux des pyramides, allant des
centres
de coordination cérébrale aux appareils périphé
s spinaux. Déjà Waller avait trouvé que le ganglion spinal était le
centre
trophique des racines postérieures qui pénètren
au, et que les fibres de cette voie s'arborisent en partie dans des
centres
sous-corticaux, en d'autres termes, que tous le
es excitations que ces faisceaux transmettent est élaborée dans des
centres
sous-cor- ticaux, sans doute aussi dans le cerv
, elles s'atténuent toujours en remontant dans le reste de ce grand
centre
neveux. Il en résulte que si une partie consi-
olonnes de Clarke s'accorde avec le mode de connexion qu'affecte ce
centre
nerveux dans la moelle épinière, en particulier
établissements, une vigoureuse impulsion est impri- mée, dans vingt
centres
différents, à l'étude des maladies men- tales.
des maladies mentales, chaque province bénéficie de l'activité d'un
centre
universitaire dont le matériel clinique, les labo
t des surmenés. Le surmenage cérébral déterminé par l'éréthisme des
centres
sensitivo-moteurs et sen- soriels de l'écorce,
t de tous les muscles de la vie de relation et partant le repos des
centres
moteurs ; il a aussi pour résultat de restreind
de cette manière qu'ont pris naissance les actions automatiques des
centres
nerveux sympathiques et cérébro-spinaux. A un m
antérieure de cet axe, et n'est, au début, qu'un simple agrégat de
centres
sensoriels a) des sens spéciaux, 6) du sens mus
ue. A mesure qu'on s'élève dans l'échelle des ver- tébrés, d'autres
centres
(faisceaux ou centres annexes ou associés) se d
lève dans l'échelle des ver- tébrés, d'autres centres (faisceaux ou
centres
annexes ou associés) se développent par dessus
annexes ou associés) se développent par dessus et au-dessus de ces
centres
primitifs. 7° Les centres secondaires sont prép
éveloppent par dessus et au-dessus de ces centres primitifs. 7° Les
centres
secondaires sont préposés à des foutions d'origin
nèse » veut que ce développement se produise non seulement dans les
centres
sensoriels et kinesthétiques, mais encore dans
entale ; 12° La reconnaissance progressive du moi empirique comme
centre
et comme source des activités spontanées, et sa s
de coloration analogue à celle du tissu hépatique. Ce disque est le
centre
d'une zone blanc grisâtre, qui présente en tous
e d'une zone blanc grisâtre, qui présente en tous sens, à partir du
centre
, la largeur de deux papilles. Cette zone s'atté
aleur existe dans le caractère de la zone blanchâtre qui entoure le
centre
. Celle-ci est nébuleuse plutôt que nuageuse. El
c réflexe et pou- vant siéger tout aussi bien à la périphérie qu'au
centre
; mais, étant donnée la perturbation du système
réflexe tendineux dépend aussi d'une lésion centrale ou voisine du
centre
, d'une altération des racines postérieures. En l'
njonctif et vasculaire en rap- port avec une lésion congénitale des
centres
trophiques médul- laires. La Cryoscopie des U
postérieurs dans le tabes, dépendent d'une affection primitive du
centre
trophique des fibres radiculaires. Dans le couran
s à la réaction que détermine la section d'un cylin- draxe dans son
centre
d'origine, car les expériences de Lugaro, les m
antéro-latéral et par le faisceau deGawert. D'après M. Richet le
centre
de la perception de la douleur est l'eneephal à
l à la partie postérieure de la capsule intense. Lergi croit que le
centre
se trouve dans le bulbe. L'auteur conclut que l
r ces crises psychopathiques aiguës dans le fonctionnement de leurs
centres
nerveux. Nous voyons en effet Constant faire du
ion d'un prolongement nerveux doit résulter d'une altération de son
centre
d'origine 2. On recher- cha donc quel était, da
Anat. Comment se comportent les cel- lules des ganglions spinaux ?
centre
trophique des racines postérieures- dans le tab
rales des prolongements remontent à la cellule, c'est-à-dire à leur
centre
trophique. Le ralentissement lent et progressif d
: leur changement est plus accentué que le degré de l'altération du
centre
trophique, ici tropllo-moleur, puisqu'il s'agit
tion de l'état des cellules des ganglions spinaux, c'est-à- dire du
centre
trophique et fonctionnel du prôtoneurone sensitif
orat ne sauraient différer de celles des autres nerfs et des autres
centres
nerveux, de celles en particulier des cel- .Iul
s, sur les temporales (que quel- ques auteurs considèrent comme des
centres
olfactifs et gustatifs), a montré des lésions b
vant la doctrine actuelle, les lobes pariétaux sont occupés par les
centres
moteurs de Ferrier et d'autres auteurs, et les lo
rrier et d'autres auteurs, et les lobes temporo-sphénoïdaux par les
centres
de sensibilité spéciale. La plus grande partie
47 serait précipité en avant dès qu'il aurait dépassé la ligne du
centre
de gravité, et toute flexion graduelle serait imp
la méningite tuberculeuse généralisée, les lésions cellulaires des
centres
nerveux sous-jacents peuvent servir à expliquer
ralentissement du pouls est ici causé surtout par l'excitation des
centres
des .nerfs vagues et de leurs appareils périphé
une lésion siégeant sur le parcours compris entre la rétine et les
centres
occipitaux : 2) ceux dans les- quels la percept
morbide. La tonicité de tout le système musculaire et de différents
centres
nerveux est sans doute tribu- taire de cette fi
ation clinique. 3- L'intégrité de la parole spontanée prouve que le
centre
de l'au- dition des mots n'était pas détruit ma
de l'in- terruption des voies d'association qui relient les divers
centres
cor- ticaux (Aphasies internucléaires de Pitres
hyperhidrose ? Ce trouble est en rapport soit avec l'excitation du
centre
vaso-dilatateur, soit avec laparésie du centre
avec l'excitation du centre vaso-dilatateur, soit avec laparésie du
centre
vaso-constricteur; il s'agit, ou bien, d'une di
e d'une variété toute particulière, remarquable par ce fait que les
centres
nerveux auraient été lésés au mini- mum,,que ce
sitifs resteraient-ils intacts ? -Cousot en fait une inhibition des
centres
spinaux..Donath la considère. comme. une. affecti
que nous l'avons montré ce programme a été réalisé dans tous les
centres
universitaires allemands ou de langue allemande.
manifestations d'une inflamma- tion et d'une infection suraiguë des
centres
nerveux; la seconde semble résulter des conditi
ser la cause de cette aphasie, puisqu'aucun des organes admis comme
centres
de la parole n'était atteint. L'anatomie du cer
pas d'alcoolisme : en nettoyant un revolver il reçut à peu près au
centre
de la voûte palatine, une balle qui, d'après so
; 4° Tuberculose de la protubérance. Mort. Autopsie; 5° Gliome du
centre
ovale, des aires motrices droites. Mort. Autops
au moyen desquels l'action d'inhibition supérieure s'exerce sur les
centres
réflexes inférieurs, c'est-à-duele tractus latéra
aux, à calibre rétréci, ont-ils provoqué des modifications dans les
centres
d'inhibition et de régulation, et ont-ils par l
ore quelques fibres nerveuses grêles contournées en divers sens. Le
centre
ovale de ces circonvolutions est occupé à Qa pa
Toutes les maladies infectieuses peuvent se compliquer d'abcès des
centres
ner- veux. Dogliotti a publié tout récemment un
matologie des lésions de certaines zones du cerveau. z Dans les «
centres
moteurs corticaux », Charcot et Pitres citent e
a- gnostic clinique M. Sano déclare que l'examen histologique des
centres
nerveux et des ganglions cérébro-spimaux (ganglio
nstate parallèlement une complexité plus grande de la structure des
centres
supérieurs. Depuis la naissance jusqu'à l'Age a
à mesure que l'activité mentale augmente, les connexions entre les
centres
supérieurs et inférieurs du cerveau s'accroisse
z l'adulte jeune, l'écorce a atteint son maximum de complexité. Les
centres
supérieurs ont entre eux des rapports plus étroit
aux éléments démontés d'une machine electriqne. Chez la truite, les
centres
les plus élevés sont incapables d'activité fonc
s éléments nerveux. Mais la truite a un avantage marqué : comme ses
centres
céré- brauxinterniédiaires sont capables d'acti
sse en revue les divers départements de recherches institué dans le
centre
scientifique des recherches neurologiques de l'
s suivants : Etats de la Nouvelle Angleterre, 11,9 p. 100; Etats du
centre
, 13, : i p. 100; Etats de l'ouest, 15,2 p. 100;
ilaire dans le tissu périaortique, pas de lésion macroscospique des
centres
nerveux sauf l'hyperhémie et l'épaississement d
contenant des lilaires à l'état larvaire vivantes. A la coupe des
centres
nerveux, dans les deux cas, hémorra- gies punct
i les ensemencements ne révèlent de microorganismes. A la coupe des
centres
nerveux, la lésion caractéristique est l'énorme
asitaire affectant le système gan- glionnaire et lymphatique et les
centres
nerveux. Ce qui frappe quand on regarde les nom
3 354 BIBLIOGRAPHIE., voir dans cette affection inflammatoire des
centres
nerveux un ac- cident tardif de nature syphilit
vue symptomatique et diagnostique. Après l'étude des maladies des
centres
nerveux, cerveau etmoelle étudiées en première
es aux différents groupes de muscles d'un côté du corps, partent de
centres
moteurs situés dans l'hémi- sphère cérébral du
sieurs, on ne s'est pas contenté de déterminer la topo- graphie des
centres
moteurs corticaux, chez les animaux supérieurs
s à un procédé complémentaire. On a procédé à des extirpations de
centres
corticaux, pour s'assurer que leur suppression
es deux notions suivantes : , a. Premièrement, l'extirpation d'un
centre
moteur cortical entraîne toute autre chose qu'u
ne paralysie complète et irré- médiable des muscles innervés par ce
centre
, contrairement à ce qu'on eût pu prévoir a prio
ans un défaut de spontanéité. Ainsi, à la suite de l'extirpation du
centre
moteur des doigts et de la main, ces parties ne
tique de cette particularité. b. En second lieu, l'extirpation d'un
centre
moteur cortical entraîne l'impossibilité de pro
ou les groupes de muscles qui tirent leur innervation volontaire du
centre
extirpé. Il y a plus ; prenons un animal, chez
extirpé. Il y a plus ; prenons un animal, chez lequel on a créé un
centre
épileptogène, en développant un foyer d'irritat
é de la zone motrice corticale. A la suite de l'extirpation de ce
centre
épileptogène, les excitations de l'écorce ne prov
t là le point capital où je voulais en venir : l'extirpa- tion d'un
centre
moteur de l'écorce supprime la possibilité de d
ntale, des con- vulsions dans le groupe des muscles innervés par le
centre
extirpé. D'où ce corollaire : dans un cas d'épi
ce corollaire : dans un cas d'épilepsie corticale, l'extirpation du
centre
convulsivogène devra, a priori, entraîner la su
fasc. 2 et 3, p. 223. 372 CLINIQUE NERVEUSE. - L'extirpation DES
centres
corticaux ÉPILEPTOGÈNES. SES résultats. A. Voic
re catégorie de faits ; elle comprend les cas où le siège précis du
centre
moteur a été déterminé avant l'extirpation, à l
que, ils se répartissent ainsi : a) Bans cinq cas, l'extirpation du
centre
épileptogène a été suivie d'un insuccès thérape
gné, à l'aide de l'ex- citateur électrique, sur le siège précis du,
centre
cortical des mus- cles de l'épaule. On a extirp
mai 1892. Elle a consisté dans une trépanation, faite au niveau du
centre
cortical du bras (hémisphère gauche), et dans l
la connaissance. Le 16 juin 1892, on a procédé à l'extirpation des
centres
corticaux épilepto- gènes ; leur position exact
nt en état d'infantilisme. Le il février 1896, on extirpa tout le
centre
moteur du membre supérieur de l'hémisphère gauc
idents convulsifs. - Le 13 mars 1896, on procéda à l'extirpation du
centre
moteur du membre supérieur de l'hémisphère droi
e dans deux précédentes leçons). b) Dans cinq cas l'extirpation dit
centre
épileptogène a été suivie d'une amélioration pl
ncrède (Two successful cases of brain surgery. Excision of the tumb
centre
for Jacksonian epilepsy : recoverywith non récur-
rs delà zone rolandique. Puis on a déterminé les limites exactes du
centre
du pouce, en se servant de l'excitateur électri
pouce, en se servant de l'excitateur électrique. L'excitation de ce
centre
a provoqué une attaque semblable à celles qui s
estruction des adhé- rences, et à une insuffisance circulatoire des
centres
susdits, con- sécutive à des ligatures de vaiss
déterminé, à l'aide de l'excitateur électrique, le siège précis des
centres
épileptogènes, on procéda à leur extirpation. Il
it pas d'altérations appréciables. On procéda à la détermination du
centre
moteur de la jambe, à l'aide de l'excita- teur
d'épilepsie se sont reproduites. c) Dans cinq cas, l'extirpation du
centre
épileptique a été suivie d'une guérison durable
ilepsy suc- cessfully treaded by trephining ; excision of the motor
centres
. American Journal of médical sciences, 1888, vo
n peu adhérente et l'écorce cérébrale avait une teinte jaunâtre. Le
centre
cortical dont l'excitation électrique détermi-
subi une première opération, le 14 mai 1895 ; on lui a mis à nu le
centre
cortical du bras droit, dont le siège précis fut
ision de la dure-mère et dans l'excision de la moitié inférieure du
centre
cortical du bras. L'examen histologique du frag
on, pratiquée le 15 novembre 1890, con- sista dans l'extirpation du
centre
cortical des mouvements de la 382 ) CLINIQUE NE
ieu à une intervention opératoire qui a consisté dans l'excision du
centre
convulsivogène préalablement repéré à l'aide de
dé sur les données de l'ana- tomie topographique, pour délimiter le
centre
qu'on se pro- posait d'extirper. Il est certain
nt par des spasmes du pouce, on procède à ce que l'on croit être le
centre
cortical de ce doigt, dans l'hémisphère du côté
echnique opératoire de façon à garantir une extirpation complète du
centre
qu'on se propose de supprimer ? A ce propos, qu
ications opé- ratoires, on a dénié toute utilité à l'extirpation de
centres
moteurs corticaux, pratiquée chez un malade don
e bien nette sur les résultats thé- rapeutiques de l'extirpation du
centre
moteur qu'on suppose être le point de départ de
rétendu que le retour des attaques, à la suite d'une extirpation du
centre
cortical épileptogène, était imputable à la for
nant, je tiens à vous pénétrer de cette notion : L'extirpation d'un
centre
moteur n'entraîne pas de paralysie durable de l
urable de la partie qui est censée tirer son innervation motrice du
centre
extirpé; elle entraine des désordres moteurs qu
ut de quelque temps. Qu'est-ce à dire ? C'est qu'à la longue, les
centres
extirpés sont suppléés dans leurs fonctions par d
lorsque l'épilepsie partielle persiste depuis un certain temps, des
centres
épilep- togènes secondaires ont pris naissance,
res épilep- togènes secondaires ont pris naissance, au voisinage du
centre
primitif. Plus récemment, un auteur américain,
ts de notre espèce, nos connaissances touchant la topo- graphie des
centres
moteurs de la zone rolandique, que nous tenions
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LUI. De la question des
centres
corticaux du gros intestin ; par . V.-P. Ossteo
Les troubles trophiques doivent-ils faire supposer l'existence de
centres
trophiques ? Depuis les plus récents travaux on
upposer la présence dans un point encore inconnu de la moelle, d'un
centre
trophique dont l'excitation a pour conséquence
'atrophie ostéo-articulaire. « On peut d'ores et déjà penser que ce
centre
, étant données les associations fréquentes de t
isseau et ramollissement de la zone qu'il alimente. La syphilis dès
centres
nerveux est caractérisée surtout par la multipl
fs. La mort soudaine parait due à une paralysie par compression des
centres
cardiaques et respiratoire. R. de Musgrave-Clay
s groupes musculaires, et dans la polioencéphalite, l'écorce et les
centres
crâniens sont intéressés, tandis que, en règle gé
mesure dans laquelle l'amnésie verbale est associée à la lésion du
centre
de Broca exclu- sivement : mais cette associati
continuité devait se produire, était indiquée par l'excita- tion du
centre
cortical correspondant aux circonvolutions cen-
vait eu une sclérose descendante, les tissus sclérosés excitant les
centres
sous-corticaux, la face des choses ne changeait
entre les aptitudes intellectuelles et le développement inégal des
centres
du cerveau. Attendons. Au point de vue psycholo
de la folie dépendent d'un déve- loppement inégal, défectueux, des
centres
psychiques, le génie tient à un développement d
un développement démesuré, hypertrophique, pour ainsi dire, de ces
centres
. Ces deux particularités opposées se peuvent co
hémiplégique du côté gauche ; la lésion siégeait exclu- sivement au
centre
de la région fessière droite. M. Doutrebenle fa
es spirites qui, peut-être, ont produit unéréthisme particulier des
centres
psychomoteurs. - M. f3sr»o. La sialoribée n'est
t la lésion supposée corticale de ce malade à la zone inférieure du
centre
oculomoteur en avant de la frontale ascendante,
nt acquises, et les points encore en litige, sur la situa- tion des
centres
et le trajet des fibres pupillaires. Dans le chap
int, qu'à côté des troubles, résultant d'altérations manifestes des
centres
et fibres pupillaires, il existe des troubles,
3. Histologie des - corticales, par Robertson et Davidsoti, 318
Centres
corticaux du gros intestin, par Ossipow, 394.
logies deviendront très étroites avec la circulation artérielle des
centres
nerveux. On sait que les artères cérébrales se
ans l'épaisseur du nerf : par le plus court chemin, elle gagne le
centre
, l'axe celluleux du nerf, et c'est là seulement
ande, ce qui constitue une analogie de plus avec la circulation des
centres
nerveux. Voici, en somme, résumés en quelques f
ltiplicité des suppléances; 4° Toutes les conditions, qui, dans les
centres
ner- veux, empêchent l'afflux direct et brusque
r qu'elle ne fait, en réalité, que traverser l'organe jusqu'à son
centre
, par le plus court chemin, et qu'une fois arriv
tissent au réseau des vasa vasorum, dont le canal collatéral est le
centre
et le confluent. L'in- fluence musculaire inter
alogies entre la circulation des nerfs péri- phériques et celle des
centres
nerveux : en réalité, si l'on tient compte des
LES CHORÉIQUES, LES TIQUEUX ET DANS QUELQUES AUTRES MALADIES DES
CENTRES
NERVEUX ' ; MESSIEURS, . Les hasards de la cl
donc véritablement d'astasie qu'il s'agit dans notre cas, c'est le
centre
automatique spinal de la marche qui est seul en
e spinal de la marche qui est seul en jeu. Certaines cellules de ce
centre
présentent une activité exagérée par rapport au
cès d'activité. , Y aurait-il des relations physiologiques entre le
centre
auto- matique de la marche et les régions cutan
ec autopsie constituant le tabes de Friedreich; en sus, lésions des
centres
de coordination (cervelet, tubercules qua- drij
les, à produire des convulsions parce qu'elle n'irradie pas sur les
centres
sous-jacents, est cependant suffisante pour sus
dant suffisante pour suspendre momentanément les fonctions de ces
centres
. Puis, les troubles de nutrition progressent et f
l'autopsie, nous trouvons une.bouillie tuber- culeuse qui occupe le
centre
ovale de l'hémisphère gauche, et sur- tout le t
rouva ' trois petits foyers de ramollissement siégeant l'un dans le
centre
ovale de Vienssens (aphasie motrice), l'autre,
es obsessions; 3° l'hallu- cination peut alors n'intéresser que les
centres
perceptifs communs; 4° elle peut intéresser aus
e les centres perceptifs communs; 4° elle peut intéresser aussi les
centres
de la fonction du langage et être verbale, audi
ent par suite d'une impulsion, d'unesorte de réflexe; chez eux, les
centres
instinctifs ne sont pas suffisamment inhibés pa
les centres instinctifs ne sont pas suffisamment inhibés par les
centres
antérieurs. C'est précisément ainsi que les cho
e qui fait de l'hallucination en général un trouble fonctionnel des
centres
corticaux 2 », il est aisé de se rendre compte
ntres corticaux 2 », il est aisé de se rendre compte que chacun des
centres
de la fonction du langage pouvait être le siège
de cet état d'éréthisme qui provoque l'hallucination. Suivant le
centre
excité il y a hallucination verbale visuelle, ver
tive, verbale motrice et même verbale graphique. L'excita- tion des
centres
moteurs du langage produira, suivant le degré d
ience qui pouvait être articulée, ce qui prouve que c'est bien le
centre
moteur d'articulation qui était excité. La façon
ailleurs, elle dit bien qu'elles sont surtout dans son coeur. Si le
centre
auditif est excité chez elle ce n'est que secon
ité chez elle ce n'est que secondairement et par l'intermédiaire du
centre
moteur d'ar- ticulation où se produit primitive
la paralysie générale, reconnaissent pour cause la dissolution des
centres
nerveux supé- rieurs, dissolution qui atteint u
ntre nature, si bien que peu à peu des chocs multiples frappant des
centres
plus élevés, le malade en arrive à croire réell
stent directement dans des désordres organiques ou fonctionnels des
centres
nerveux moteurs. L'épilepsie provoquée par lacu
ppe- ment direct d'un accès épileptique sous l'action exclusive des
centres
de mouvement, et sans aucune intervention, sino
ouvement, et sans aucune intervention, sinon secondaire, des autres
centres
. L'accès épileptique, considéré sous son aspect l
male, et proportionnée pour l'in- tensité au degré actuel des mêmes
centres
. C'est, en un mot, pour les centres nerveux psy
nsité au degré actuel des mêmes centres. C'est, en un mot, pour les
centres
nerveux psychiques et moteurs l'analogue de l'acc
sychiques et moteurs l'analogue de l'accès de délire aigre pour les
centres
psychiques et sensoriels. J. SÉ6LAS. VIII. Cont
aline. M. Friedmann croit que la commotion cérébrale a affaibli les
centres
vaso-moteurs ; de là les poussées hypérémiques
tence d'une hypertonie des vaso- moteurs, liée à une excitation des
centres
de la cinquième paire de nerfs. La cause excita
e nerfs. La cause excitante pourrait agir soit directement sur le
centre
, soit par l'intermédiaire des nerfs centripètes.
serait plus exact de localiser la lésion à la périphérie et non au
centre
, à en juger d'après les données anatomiques et
KORNILOFF. Il est impossible d'attribuer il une certaine partie du
centre
nerveux une influence trophique simultanée sur
iples, est prouvée. Elle s'explique facilement par l'irritation des
centres
réfléchissants. M. le Dr DARKSCHÉVITSCH l'attri
mplètent à mesure que le territoire devient libre sur la zone des
centres
sensoriels et des instincts. 3t2 CLINIQUE MENTA
siologistes ne sont pas d'accord sur le siège précis des différents
centres
perceptifs; mais la clinique et l'anatomie path
même. A la partie moyenne de la première temporale réside donc le
centre
sur lequel viennent se déposer toutes les perce
déposer toutes les perceptions tonales. Il en est de même pour le
centre
dépositaire des images visuelles que la cliniqu
les que la clinique permet de localiser sur le pli courbe. Quand ce
centre
est lésé, le signe représentatif de l'écriture
il vient d'écrire. On est donc tenu d'ad- mettre l'existence de ces
centres
perceptifs au même titre que celle des centres
e l'existence de ces centres perceptifs au même titre que celle des
centres
psychomoteurs. Tous les centres, qu'ils apparti
ptifs au même titre que celle des centres psychomoteurs. Tous les
centres
, qu'ils appartiennent à larégion'aiité- rieure
e détermination part de la région postérieure, sans*le contrôle des
centres
supérieurs, on a une détermination sensori-motr
on postérieure devient libre, l'intégrité successive des différents
centres
perceptifs permet aux idiots d'entrer en relati
u contrôle et de l'action modé- 314 CLINIQUE MENTALE. ratrice des
centres
-supérieurs, ils se montrent gour- mands, voleu
flamme d'une bougie, déposée par l'appareil de la vision dans le
centre
cortical postérieur, transmet sa représentation
. C'est par des expériences successives que se fait l'éducation des
centres
modéra- teurs, que dans la conscience se dévelo
ages, une lésion des agents de commu- nication entre ces différents
centres
donne parfois naissance chez nos héréditaires d
bles fonctionnels les plus étranges. L'idiot chez lequel certains
centres
delà région anté- rieure deviennent libres cess
cent à devenir idéo- motrices. L'intégrité de quelques-uns de ces
centres
chez différents sujets explique comment certain
iels certains idiots. En effet, ceux chez lesquels, par exemple, le
centre
de la vision est intact ou même très développé,
nt la notion du coloris, deviennent peintres; avec l'intégrité du
centre
auditif, nous avons les musiciens; avec l'inté-
s un lieu écarté, les prononce à haute voix et se sent soulagée. Le
centre
auditif de l'écorce (première temporale) est da
est dans un tel état d'éréthisme, que l'image vient solliciter le
centre
moteur d'articulation qui l'expulse au dehors.
citer le centre moteur d'articulation qui l'expulse au dehors. Le
centre
auditif, le centre moteur d'articulation agisse
oteur d'articulation qui l'expulse au dehors. Le centre auditif, le
centre
moteur d'articulation agissent encore ici indép
centre moteur d'articulation agissent encore ici indépendamment des
centres
supé- rieurs. Parfois, enfin, ce n'est plus u
qu'elle devait répéter, témoignant ainsi de la déséquilibration des
centres
corticaux antérieurs. Ce n'est pas tout; parfoi
le calcul, tantôt pour la musique, tantôt pour les arts, etc. Leurs
centres
perceptifs sont inégalement aptes à recueillir
rose de la rétine, progressive et marchant de la périphérie vers le
centre
. Naturellement, une lésion pareille produit un
ce de contrôle et d'ar- rêt sur les parties postérieures, siège'des
centres
ins- tinctifs. L'actuation devient alors, pour
ce qu'ils avaient dans le monde extérieur. Ils s'isolent et leurs
centres
psycho-moteurs, lorsqu'ils ne cessent pas de fonc
s, d'hypesthésies, d'anesthésies) qui, naturellement, ressortit aux
centres
du cerveau provoque des hal- lucinations ; les
es se produisent toutesjleux en même temps. Genèse : excitation des
centres
vasomoteurs. 2° Exanthème ortié; rougeur avec e
il s'ensuit qu'il y avait dans le premier cas interruption entre le
centre
de la vue et celui de la parole, entre le lobe
ligne- médiane antéro-postérieure, qui, par conséquent, brident au
centre
les lignes projetées laté- ralement et se dével
, ont seulement pour effet d'aug- menter l'excitabilité de certains
centres
nerveux qui sont comme un locus minoris résiste
s de la circulation encéphalique, les lésions et les commotions des
centres
nerveux que par cette inhibition. Des troubles
ON ÉVOLUTION, AVEC QUELQUES INDUCTIONS RELATIVES AUX PROPRIÉTÉS DES
CENTRES
NER- VEUX ET A LEURS MODES D'ACTION DANS L'EXPR
viter l'emploi du terme de métaphysique. (68). Des propriétés des
centres
nerveux et de leurs modes d'action. Des caractè
lques inductions relatives aux propriétés et aux modes d'action des
centres
nerveux. (69). Impressionnabilité. Elle est un
. Impressionnabilité. Elle est un des caractères fondamen- taux des
centres
nerveux; elle est en opposition avec la .-ponta-
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. néité, état dans lequel ces
centres
ne subissent que très faiblement l'influence de
e paraît être suivie chez le sujet qui observe d'une action sur les
centres
nerveux qui correspondent à ceux dont l'action
it les mouvements visibles qui sont imités. - - (71). Liberté des
centres
nerveux. Les centres nerveux, lors- qu'ils ne s
ibles qui sont imités. - - (71). Liberté des centres nerveux. Les
centres
nerveux, lors- qu'ils ne sont que légèrement st
t énergiquement. (72). Conservât mité. C'est la tendance qu'ont les
centres
ner- veux à la répétition d'actes semblables so
existe, dans l'ordre du temps, entre l'impression produite sur les
centres
et l'expression visible que provoque cette impr
e traduise par un mouvement visible. (74). Double action dans les
centres
nerveux. Il semble que les centres nerveux affe
. (74). Double action dans les centres nerveux. Il semble que les
centres
nerveux affectés par une impression puissent à la
ce qui a déterminé l'excitation primitive. (76). Renforcement. - Un
centre
nerveux, stimulé par une impul- sion afférente
sion afférente peut transmettre son impulsion efférente à plus d'un
centre
, de telle manière que les courants nerveux soient
ries de mouvements sont dues à des cou- rants efférents émanant des
centres
. L'hypothèse, c'est que « durant « la période d
sous l'influence d'un stimulus, des courants efférents à certains
centres
ou à certains muscles. 412 REVUE D'ANATOMIE ET
t les mouvements du corps sont des signes produits par l'action des
centres
nerveux et l'auteur a tenté depuis plusieurs an
on de l'action mentale. La sensibilité graduellement croissante des
centres
nerveux à l'égard de l'action immédiate ou reta
active. Enfin certaines propriétés et certains modes d'action des
centres
nerveux paraissent être démontrés par l'observati
penser qu'il s'est produit de la méningo- encéphalite au niveau des
centres
corticaux, que ceux-ci ont subi un arrêt de dév
e. Discussion : M. THOMSEN appelle l'attention sur les lésions du
centre
ovale (porencéphalie) dans la paralysie infantile
ens. Ce qui domine, dans leur genèse, c'est l'hypérexcitabilité des
centres
sensoriels. llfeynert localise ces hallucinatio
centres sensoriels. llfeynert localise ces hallucinations dans les
centres
sous-corticaux. Mais Munk, par la physiologie,
iologie, et les médecins, par la clinique montrent que, lorsque les
centres
sous-corticaux sont séparés de 424 SOCIÉTÉS SAV
de la conscience. D'un côté, nous voyons une excitation locale d'un
centre
sensoriel, suivant les dispositions du sujet, pro
ne revêtent de couleur sensorielle que par l'hyperexci- tabilité du
centre
sensoriel et, par suite, forment un tableau. En
et, par suite, autonome. Non seulement, dans l'hallucination, le
centre
sensoriel est excité, mais les tractus sensorie
cord avec elle, organisent un système de sensibilité motrice. Qu'un
centre
moteur soit, de par son hyperexcitabilité, soll
ent sa couleur ou la complètent. Telles sont les hallucinations des
centres
psycho-moteurs, dont le méca- nisme est adoequa
peut plus ou moins probablement accuser l'excitation anor- male des
centres
moteurs, dans la manie, la folie systématique a
ystème; la preuve en est aux voix intérieures et aux obsessions. Le
centre
verbal sensoriel a autant d'importance que le c
obsessions. Le centre verbal sensoriel a autant d'importance que le
centre
verbal moteur, et chez les petits en- fants, et
nation du mot doit être'considérée comme une fonction auto- nome du
centre
acoustique du langage. Quand l'homme a atteint
toires agricoles à une ville ou à une petite ville. Il faudra qu'au
centre
du district, et pas trop loin de cha- cune des
n'en est pas ainsi, on installera dans l'endroit qui constituera le
centre
cherché une sorte de wurkhouse ; 1 C'est le pla
ulière, quelque réduit que soit le champ visuel de la périphérie au
centre
, jamais les malades ne perdent la vision péri-
1891. Imprimeme Pitrat. DEBIERRE (CI).) et Doumer (E.). Album des
centres
nerveux. Brochure in-12 oblong de 21 pages, ave
métacarpiens. Terminons en disant que si l'examen macroscopique des
centres
ner- veux n'a pas révélé de lésions évidentes,
e suggérée à l'oeil droit produit une excitation quelconque dans le
centre
optique (cortical) gauche ; cette ex- citation
ritation sur un endroit quelconque de la rétine, et de ce fait sur le
centre
optique cortical arbitraire; aussi je peux déte
elle ; chaque hallucination positive produit une excitation dans le
centre
opti- que du côté correspondant de l'oeil, et,
s ex- citations des parties mentionnées antérieurement, trouvent un
centre
cor- tical « aveugle aux réflexes», tandisque l
n ; c'est pour- quoi l'hémicontracture droite qui s'effectue par ce
centre
, survient promp- temen t. 2. L'explication re
re auprès de l'oreille, la totalité de l'excitation se transmet des
centres
sensoriels aux centres moteurs. Cette transmiss
la totalité de l'excitation se transmet des centres sensoriels aux
centres
moteurs. Cette transmission « en masse » déterm
tes les directions : ainsi la quantité d'excitation qui parvient au
centre
moteur est moindre, et aussi s'explique qu'un bru
état hypnotique. En dénudant l'écorce cérébrale, ils excitaient le-
centre
moteur des membres antérieurs, et déterminaient p
; il n'est donc pas douteux, que dans ce .cas-là, l'excitabilité du
centre
psychosensoriel acoustique gau- che est notaien
uspension de la fonction d'un sens quelconque) l'excita- bilité des
centres
correspondants de l'écorce est notablement diminu
, alors l'excitation peut être transmise aux voies motrices par les
centres
acoustiques subcorticaux (noyau bulbaire du ner
ue) ; mais on peut aussi se figurer, que l'excitation dé- passe ces
centres
subcorticaux et atteint par la voie acoustique se
ique sensorielle centrale (laquelle est, comme on sait, croisée) le
centre
cortical acoustique / y MORPHOLOGIE DES CONTR
' gauche, delà par des fibres d'association, elle se dirige vers le
centre
leur gauche de l'écorce, où les faisceaux pyram
ourrait dire, que par une suggestion de surdité, la modification du
centre
cortical acoustique a retenti sur le centre acous
ité, la modification du centre cortical acoustique a retenti sur le
centre
acoustique subcortical de telle sorte qu'elle a
il est bien évident, que par cette suggestion j'ai éveillé dans le
centre
cortical acoustique la même altération que par
s'effectuer au- trement que par la transmission de l'excitation du
centre
acouslique au centre cortical moteur, et par là
ent que par la transmission de l'excitation du centre acouslique au
centre
cortical moteur, et par là aux faisceaux pyramida
fet de l'élimination du cenlre olfactif gauche s'étend seulement au
centre
acoustique cortical gauche. L'écorce droite est
e que produit une hallucination négative, ne reste pas localisée au
centre
correspondant, mais se transmet aussi aux centres
e pas localisée au centre correspondant, mais se transmet aussi aux
centres
sensoriels du même hémisphère. Ces transmission
racture droite, il est évident que l'excitation s'est faite dans le
centre
acoustique gauche; de là, se transmettant aux c
ne reste pas limitée ci un lieu circonscrit,, niais se transmet aux
centres
sensoriels d'un même hémisphère avec une in- te
'aux affections cutanées. Il n'y a guère de maladies organiques des
centres
nerveux dont elle ne puisse revêtir les caractè
plis la partie inférieure de son corps. Le bras droit, le torse, le
centre
et le haut des cuisses sont nus. A ses pieds, un
maintenus dans un état d'extension réciproque. Il faut enfin que le
centre
de gravité du tout passe par la base de sustenta-
ce plan mobile est parfaitement en équilibre il est certain que le
centre
de gravité de l'homme couché dessus se trouve d
sversale servant de pivot. D'autre part, il est bien évident que le
centre
de gravité est contenu dans le plan sagittal mé
oitié antérieure et moitié postérieure et qui contient également le
centre
de gravité. Ici le procédé de Borelli ne peut p
reposant sur un large plan résistant. 11 est bien évident que le
centre
de gravité est contenu dans le plan vertical la
e on atlas dont les sur- faces articulaires supérieures forment son
centre
d'appui. Lorsque le visage est vertical, la lig
. Lorsque le visage est vertical, la ligne de gravité qui part du
centre
de gravité de toute la tète passe un peu en ava
représente ici un levier du 1er genre dont le point d'appui est au
centre
, la résistance en avant et la puissance en arri
re énergique, caria t ligne de gravité passant très peu en avant du
centre
d'appui, le bras de la résistance est fort cour
suivant la théorie du levier du 1er genre. Le point d'appui est au
centre
des corps vertébraux, la'résistance est au cent
nt d'appui est au centre des corps vertébraux, la'résistance est au
centre
de gravité du corps placé en avant d'eux et la
rsal qui 71 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. joindrait le
centre
des deux articulations coxo-fémorales, que passe
mécanisme d'un levier du premier genre dont le point d'appui est au
centre
articulaire, la puissance en arrière au point d'a
re articulaire, la puissance en arrière au point d'appli- cation du
centre
de gravité du- tronc et la résistance en avant re
. L'axe des han- ches est une ligne de même direction traversant le
centre
des deux articu- lations coxo-fémorales. (PI. X
bien connaître (fig. 22). / . ? La ligne transversale qui joint les
centres
ar- liculaires des deux épaules perce le profil
lus encore si les mains sont chargées de poids. Une ligne tracée du
centre
des hanches au centre des épaules peut être con
s sont chargées de poids. Une ligne tracée du centre des hanches au
centre
des épaules peut être considérée comme l'axe du
ntre des épaules peut être considérée comme l'axe du tronc (EU). Du
centre
des hanches au centre de l'articulation tibio-t
être considérée comme l'axe du tronc (EU). Du centre des hanches au
centre
de l'articulation tibio-tarsienne une autre lig
ra bien qu'im- parfaitement l'axe des membres inférieurs (Il T). Du
centre
des épaules au centre d'articulation de la tête
ement l'axe des membres inférieurs (Il T). Du centre des épaules au
centre
d'articulation de la tête et du cou une 3e ligne
aractères morphologiques de la station droite sont les suivants. Le
centre
est légèrement tendu et les reliefs des muscles
sitées par le maintien de l'équilibre qui ne peut exister que si le
centre
de gravité du corps calculé avec le poids additio
end souvent le bras du côté où il penche pour déplacer davantage le
centre
de gravité de ce côté. En résumé, le déplacemen
orps tout entier incline légèrement en avant de manière à amener le
centre
de gravité au niveau des orteils où se trouvera l
cette si- tuation vous place dans l'impossibilité de déplacer voire
centre
de gravité en portant le haut du corps en avant
l'élévation etiastation sur la pointe se produisent, il faul que le
centre
de gravité ait été préalablement porté en avant
urne légèrement auteur d'un axe vertical qui semble passer vers son
centre
, d'où il suit que la hanche portante se porte un
axes déterminés par des lignes joignant entre eux les diffé- rents
centres
d'articulation. Mais ici le profil n'offre qu'un
offre le plus grand intérêt. Une ligne transversale passant par les
centres
d'articulations des deux articulations scapulo-
trouve la hauteur de la deuxième pièce sternale (fig. 26 et 27). Le
centre
articulaire de la hanche correspond sur le nu au
e, la ligne de gravité ramenée plus en arrière passe plus près du
centre
de la base cle sustentation et l'équilibre es
entation dans les divers sens que de la facilité avec la- quelle le
centre
de gravité de tout le corps se déplace. Celte att
amygdalien. La racine inférieure du thalamus, venue de la région du
centre
ovale qui est sous-jacente au ventricule sphéno
LES MYOPATHIQUES 139 la jambe portante dans le but de rapprocher le
centre
de gravité de la base desustentation. C'est au
là un véritable mouvement de rotation autour d'un axe vertical. Le
centre
de ce mouvement parait être à l'articulation co
y et infantile paralysis) illus- trating the localisation of xnotor
centres
in the brachial enlargement ofthe spinal cord.,
uropalliologie. Chaque jour, nous voyons rattacher à une lésion des
centres
nerveux des troubles multiples qui semblent n'a
onstatons l'hyperplasie. Les extrê- mes se touchent. S'il existe un
centre
trophique dont l'altération matérielle ou fonct
la nutrition osseuse, il faut soupçonner que le molle d'activité du
centre
en question éprouve des modi- fications irritat
qu'à leurs angles, sans toucher aux ligaments, sciait chaque arc an
centre
de l'apophyse épineuse et tout près de l'apo- p
les actes musculaires que cette progression automatique exige. Les
centres
de coordination sont des groupements de cellules
elle répondra par un mode d'activité plus grande ou plus faible des
centres
organiques ou viscéraux. Les échanges nutritifs s
lJuilihre trophique, lorsque leurs nerfs centripètes conduisent au
centre
spi- nal les stimulations nécessaires et suffis
imulations nécessaires et suffisantes pour provoquer, de la part du
centre
spinal, la réaction nutritive normale. L'équilibr
s troubles trophiques articulaires et surtout osseux, parce que les
centres
spinaux de réaction nutri- tive qui régissent l
d'attribuer aux papilles labyrinthiques et au nerf qui les unit aux
centres
une signification morphologique assez correctemen
es travaux scientifiques, Paris, 1894. (1) EDir;c.Eii, Anatomie des
centres
nerveux, 18S9. Trad. Siraud. (2) Iv`n.r.n;ea, /
vu 24 358 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Cherchons les
centres
et conducteurs utilisés par chaque fonction. 1°
mages d'attitude céphalique que nous devons localiser au niveau des
centres
moteurs de la tête. b) L'attitude de la tête jo
petits mouvements tendant il placer la base de sustentation sous le
centre
de gravité qui varie ou semble varier de position
ions d'attitudes, et tout à fait comparable au réflexe issu non des
centres
, mais de la périphérie sensorielle. Le nerf v
tres, mais de la périphérie sensorielle. Le nerf vestibulaire des
centres
corticaux dans la pariétale ascendante, dite zo
ne motrice, et que le cerveau de Bertillon nous fait regarder comme
centre
des images d'attitude céphalique. Bechterewy fait
ions. Cette régulation est avant tout affaire de vaso-motricité. Le
centre
vaso-moteur général, et probablement les centre
vaso-motricité. Le centre vaso-moteur général, et probablement les
centres
vaso-moteurs de l'oreille trouvés par M. Duval et
t en rapports avec le noyau vasomoteur et que ce noyau contient les
centres
manoes- ihésiques de la régulation vasomotrice
les rapports possibles entre les noyaux du nerf vestibulaire et les
centres
de pneumogastrique. Nous ne connaissons pas le
g) Les perceptions sismesthésiques, purement tactiles, auront leur
centre
dans la zone pariétale avec les autres percep-
perceptions d'orientation objective. 4° Papille cochléaire. h) Les
centres
auditifs ont été localisés dans les deux premiè
ages de mémoire auditive, qu'elle emmagasine. Les rapports avec les
centres
pariétaux de l'orientation et les centres front
ne. Les rapports avec les centres pariétaux de l'orientation et les
centres
frontaux du langage sont assez mal connus. i) N
r d'autres éléments normaux dans les amas gris ganglion- naires des
centres
, tandis que dans la papille épithéliale, elles fo
iles qui d'un ébranlement oscillatoire finiront par former dans les
centres
une image sensorielle toute différente dans sa sp
aines épithéliales des prolongements du nerf et de la névroglie des
centres
. Elles sont baignées par le liquide endolymphatiq
nsen sur la partie striée de la membrane basilaire. La pie-mère des
centres
accompagne le nerf et se retrouve dans la paroi
dans le labyrinthe. Ce n'est d'ailleurs qu'une adventice propre aux
centres
, mobiles dans la loge crânio-racllidienne. Le p
-ci entrent à leur tour en rapport par voie efférente avec d'autres
centres
secondaires. Le nerf labyrinthique est donc com
pports de contiguïté avec d'autres éléments de la périphérie ou des
centres
qu'à de grandes distances, réunissent tous leur
u au milieu d'elle, en plexus délicats ; et d'au- tre part vers les
centres
leur entrée dans les cordons postérieurs, d'abord
e dans une même gaine avant de s'éparpiller. On a donné le nom de
centres
trophiques aux cellules de ces ganglions neurau
trophiques aux cellules de ces ganglions neuraux. Toute cellule est
centre
trophique pour ses propres prolonge- ments affé
ngements des cellules du cordon neural segmenté, celles-ci sont des
centres
trophiques pour leurs deux faisceaux de prolon-
ements périphériques et centraux, comme chaque cellule centrale est
centre
trophique pour ses ramifications et son prolongem
s considérons comme un for- mation intermédiaire à la névroglie des
centres
et à l'épithélium de son- tènement et d'isoleme
é droit. Nous avons donc considéré la pariétale ascendante comme le
centre
cortical de l'appareil 1 des fibres du nerf ves
e microscopique : méthodes et formules usuelles de durcissement des
centres
'lie ? veux, méthodes et formules usuelles de c
rton ou d'une plaque métallique de cou- leur noire présentant à son
centre
un petit orifice circulaire ou carré. , Derrièr
on met au sommet de l'arc un curseur mobile dont le malade fixe le
centre
. En ce point, on fait d'ahord apparaître un pet
léter l'examen par l'épreuve suivante. Tandis que le malade fixe le
centre
de l'arc périmétrique, le curseur est placé 15°
arc périmétrique, le curseur est placé 15°, 20° ou 50" en dehors du
centre
. Puis, on fait appa- a [POCLJ ! D,] . il TROU
CLJ ! D,] . il TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. raître au
centre
du curseur le même index coloré qui n'était pas v
tre au centre du curseur le même index coloré qui n'était pas vu au
centre
[de l'arc périmétrique, quand l'oeil le fixait. I
xplore chacun des schémas du carton en ; allant de la périphérie au
centre
comme pour la délimitation du champ visuel. On
st disposé de telle façon que l'oeil du malade se trouve occuper le
centre
de lare périmétrique. On peut douleurs, en fais
de est placé comme je l'ai déjà indiqué, l'oeil en examen fixant le
centre
de l'arc, l'autre oblitéré (fib. 9). L'arc périmé
). L'arc périmétrique est d'abord horizontal..Le curseur muni à son
centre
d'un petit index blanc Fig. 8. Le périmètre.
en. On le met peu à peu en mouvement de la péri- phérie vers le
centre
. Invisible au départ, le point blanc du curse
le. même procédé on promène le curseur de la périphérie vers le
centre
de l'arc. Au mo- ment où il pénètre dans le c
la limite du champ visuel; laissez-le continuer son chemin vers le
centre
de l'arc, pénétrez dans le champ visuel, et, marc
'arc, pénétrez dans le champ visuel, et, marchant lentement vers le
centre
de l'arc, demandez an malade si cet index est per
ntrale, des index parcourant l'arc périmétrique de la périphérie au
centre
et sur lesquels seraient des lettres de différent
on du strabisme à l'aide du périmètre. -- L'oeil dévié est placé au
centre
de l'arc périmétrique. Le malade (fig. 1G) fixe a
était normal, l'observateur, dans cette position, verrait juste au
centre
de la cornée l'image brillante de la bougie. Mais
se rapproche peu il peu de la pupille et finit par se placer à son
centre
. On note alors le point de l'arc périmé trique
ce au sommet de l'arc maintenu horizontal. L'oeil observé, placé au
centre
de l'arc, fixe la bougie. A ce moment, l'observ
A ce moment, l'observateur voit. l'image brillante de la bougie au
centre
de la pupille. Le malade est alors invité il
r- vation. L'oeil suit la bougie, l'image lumineuse est toujours au
centre
de ia pupille. A un moment donné, l'oeil ayant
à examiner. . La tête de celui-ci, bien fixée, est à la hauteur du
centre
de la sphère; un verre rouge couvre un oeil. L'
uille pouvant s'appliquer sur le pourtour de l'orbite, porte il son
centre
une petite lampe électrique ali- mentée par une
p -visuel, l'arc périmétrique est dans le plan vertical. Partant du
centre
de l'arc on promène de bas en haut un index sur
occuper une place intei'I1Ír ! - dia ire entre la périphérie et le
centre
; ce sont des lacunes intermé- diaires (fig : 57
ière dont on fait l'examen : il est plus étendu quand l'index va du
centre
à la périphérie, moins [POULARD.] AI TROUBLES
? 1t'l'11t11L OCULAIRE. étendu quand l'index va de la périphérie au
centre
. La fixation prolongée, la fatigue, les attaque
ement dans le tubercule quadrijumeau antérieur, que se trouvent les
centres
ré- tlexcs visuels et spécialement le centre ré
, que se trouvent les centres ré- tlexcs visuels et spécialement le
centre
réflexe pupillaire. La sensation lumineuse tran
arc réflexe complet avec une voie centripète (le nerf optique), un
centre
(noyaux du mésocéphale), une voie centrifuge (l
t amener des symptômes variés suivant son siège. Les tractus ou les
centres
nerveux qui avoisinent les voies optiques, peuv
- 11 est un symptôme sur lequel Wel'l11cke a attiré l'attention. Le
centre
réllexe lumineux de la pupille dont la voie cen
oint où la ligne visuelle partant de l'objet fixé et passant par le
centre
optique de l'oeil atteint la rétine. Cette règl
mal, la ligne visuelle, allant de l'objet à la macula passe près du
centre
de la pupille, un peu en dedans et en bas du cent
a passe près du centre de la pupille, un peu en dedans et en bas du
centre
pupillaire. Dans certaines conformations de l'o
étiologique). Suivons les voies optiques de la périphérie vers les
centres
. 1° Paralysie d'un muscle. Voici, pour chacun d
SIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 77 6° Paralysie par lésion des
centres
et voies supranu- cléaires (mésocéphale, capsul
s centres et voies supranu- cléaires (mésocéphale, capsule interne,
centre
ovale, écorce céré- brale). Les mouvements ocul
d'origine du nerf pathétique; 1\", noyau d'origine du nerf MOE; A,
centre
mesencephalique d'association réflexe; CA, cent
e du nerf MOE; A, centre mesencephalique d'association réflexe; CA,
centre
cérébral d'association antérieur, sensitivo-moteu
CA, centre cérébral d'association antérieur, sensitivo-moteur; CP,
centre
cérébral d'associa- tion postérieur, sensorio-m
socia- tion postérieur, sensorio-moteur. Les fibres qui partent des
centres
CA et CP constituent les oculogyres. L 78 TRO
nce. Ces mouvements combinés sont inexplicables sans l'existence de
centres
encéphaliques combinant les actions musculaires,
tions musculaires, réglant les mouvements associés (fig. 81). Des
centres
nerveux d'association existent certainement au de
dont l'ensemble forme la voie des mouvements associés. Le siège des
centres
d'associa- tion, le trajet des fibres nerveuses
nerfs oculogyres. L'origine corticale des oculogyres est double, un
centre
antérieur ou frontal sensitivo-moteur siégeant
ensitivo-moteur siégeant surtout dans le pied de la 2" frontale, un
centre
postérieur ou occipital sensorio-moteur occupant
tives générales du globe peuvent avoir une action incitative sur le
centre
sensitivo-moteur, les impressions sensorielles^
ressions sensorielles^ (lumineuses) ont également une action sur le
centre
sensorio-moteur. ' Sous l'inlluence de ces inci
nlluence de ces incitations, et si la volonté n'intervient pas, les
centres
peuvent produire des mouvements oculaires par le
le méca- nisme du réflexe automatique. Mais, ce sont avant tout des
centres
volozc- taires, sur lesquels la volonté peut ex
lésions du pli courbe, cette région ne con- stitue pas un troisième
centre
des mouvements associés de latéralité. La dévia
dire sans participation des fibres centripètes (J. Roux). Dans le
centre
ovale, le faisceau antérieur chemine au voisinage
oville) . ' Il existe certainement dans le mésocéphale un noyau, un
centre
d'asso- ciation réflexe des mouvements de latér
mouvements de latéralité. Mais le trajet des libres ou le siège des
centres
sont inconnus au delà du mésoecphile. Par contr
soecphile. Par contre, on sait qu'il existe dans le mésocéphale des
centres
chargés de diriger les mouvements associés d'él
d'élévation, d'abaissement, de con- vergence et de divergence. Ces
centres
paraissent occuper le voisinage des tubercules
l'écorcc cérébrale frontale ou occipitalo- pariétale ; b) lésion du
centre
ovale; c) lésions de la capsule interne, [POULA
lotte), au voisinage de la couche optique (fibres oculo-motrices du
centre
postérieur auxquelles semblent t s'être réunies
entre postérieur auxquelles semblent t s'être réunies les fibres du
centre
antérieur) ; e) lésions protubérantiellcs supér
variétés écologiques. Maladies du système nerveux. Hémorragies des
centres
ou des l'nAru,us veotcuL. 0 [PODLARD-] 82 T
régions diffe- rentes : ' a) Des origines bulbaires du trijumeau (
centre
bulbaire'); b) De la moelle cervicale (centre s
lbaires du trijumeau (centre bulbaire'); b) De la moelle cervicale (
centre
spinal). Les premiers (d'origine bulbaire), sui
e l'iris ont pour voie centripète, la rétine, le nerf optique, pour
centre
réflexe les noyaux dumésocéphale, pourvoie cent
dissocient, c'est-à-dire, à la péri- )J1)('l'ie et au voisinage des
centres
Il)(''Sl'IH'(;phaliqlles (lîg. 3 ! 1, J, 2, ,4.
excitation recueillie par l'un des deux yeux est transmise aux deux
centres
excito-réffexes du mésen- cépbale, et la réacti
e centripète est double, la voie centrifuge l'est également, chaque
centre
réflexe envoyant des filets centrifuges aux deu
ives que : nous avons décrites ailleurs (p. 75). ? L'existence de
centres
d'association des mouvements combinés d'élé- va
ptosis bilatéral simultané. Les lésions de la capsule interne ou du
centre
ovale ne donnent pas de ptosis. L'étude anatomo
(syn- drome de Mac' rlen). On n'est guère mieux renseigné sur le
centre
cortical de l'élévation palpébrale. Dans plusie
n mouvement et se relève pendant la mastication. Cette influence du
centre
masticateur sur les mouvements palpébraux, peut s
tion du nerf vestibulaire qui transmet niai ou ne transmet plus aux
centres
mo- teurs bulbo-protubérantiels, au cervelet et
ue le nys- tagmus est plus fréquent quand la sclérose intéresse les
centres
encé- plialiques, quand il existe des lésions d
uble légèrement, répithélium est exfolié. Ces lésions commencent au
centre
de la cornée et s'étendent ensuite vers la péri
s s'accentuent peu il peu, lentement; l'opacité augmente surtout au
centre
qui prend une teinte uniformément grise. L'examen
e tout autre façon. On explore le champ visuel il la périphérie, au
centre
et dans les régions intermédiaires il l'aide d'
lai dans le noyau rouge de Stilling, arrivent à l'écorce pariétale,
centre
de l'équilibration volontaire. Ce sont les lésion
onc donner qu'une hémi-surdité analogue a l'hémiopic des lésions du
centre
visuel. Lorsqu'il existe de la surdité croisée,
e sur le nerf, de l'origine périphé- rique de ses neurones jusqu'au
centre
cortical. Mais ce mécanisme n'est pas le seul e
UI' la 1l1O¡;f1(" SUI' Il' ganglion cl'I'YÍcal infl'rieur, SIII' l"
centre
de l'audition. Pour les uns il s'agit d'une anémi
f auditif peut être atteint dans son trajet inlra-crùnien. dans ses
centres
bulbaires, dans ses centres cérébraux. 1° Dans
dans son trajet inlra-crùnien. dans ses centres bulbaires, dans ses
centres
cérébraux. 1° Dans son trajet iul2'cr-c2'iuicn.
t encore intéresser- le nerf auditif dans son trajet. 2° Dans ses
centres
bulbaires. Différents syndromes bulbaires liés
; elle a servi de point de départ la thèse de Chèze. 5". Dans ses
centres
cérébraux. Nous avons vu que le noyau vesti- lm
vu que le noyau vesti- lmlaire entrait en relation avec le vermis,
centre
d'équilibration réflexe, et avec la corticalité
la corticalité du côté opposé au niveau de la pariétale ascendante,
centre
d'équilibration volontaire : toutes les lésions p
le, probablement dans la temporale profonde. Mais les lésions de ce
centre
et de ce trajet bulbo-cortical ne donnent pas l
t le conduit opposé; la voie du rél1exe passe par la moelle, par un
centre
réflexe otu-sltinal. En clinique, il n'est pas
tation de l'existence de fibres commissurales reliant entre eux les
centres
visuel et auditif; pour quelques-uns cependant, e
s points différents de l'écorce céré- brale : il y a donc plusieurs
centres
corticaux pour l'olfactif. Le premier est un ce
donc plusieurs centres corticaux pour l'olfactif. Le premier est un
centre
temporal, celui auquel aboutit la racine fondam
NNOIS ] 148 MALADIES DU NEZ. l'anatomie pathologique. Un deuxième
centre
, frontal ou orbitaire, anté- rieur de Broca, se
surtout la partie orbitaire de la 5° frontale.' Enfin un troisième
centre
, centre supérieur de Broca, se trouverait à la pa
la partie orbitaire de la 5° frontale.' Enfin un troisième centre,
centre
supérieur de Broca, se trouverait à la partie ant
namiques, du nerf olfactif, depuis ses filets terminaux jusqu'à ses
centres
. Les altérations organiques peuvent d'abord êtr
riés. Les uns s'accompagnent de lésions organiques des nerfs ou des
centres
, les autres sont d'ordre réflexe; enfin on peut o
. 2. Pour Bonnier, au contraire, le vertige, qui est un trouble des
centres
bulbo-pro- tubérantiets du nerf vestibulaire, «
r le nerf qui transmet ses sensations, le nerf vestibulaire, sur le
centre
qui surtout les reçoit, le cervelet : .. .. .
es, moelle et cerveau. Dans ces derniers cas, cas d'altérations des
centres
nerveux autres que le cervelet, il est pos- sib
e. Pour Bonnier, le vertige est toujours « un trouble nucléaire des
centres
bulbo-protubérantiefs, particulière- ment des v
l'altération porte primitivement sur l'appareil d'orientation et ses
centres
; il est indirect quand l'altération porte sur t
ation porte sur tout autre domaine ci rctcnlit, « irradie » sur les
centres
de l'espace. SÉMÉIOLOGIE En présence d'un ver
bles de la circulation encéphalique et à une irritation directe des
centres
nerveux; pour d'autres, il dépendait de l'excitat
soit aux irritations anormales de l'appareil labyrin- unquc on des
centres
de l'espace par les toxines microbiennes. Dans to
he, soit sur le nerf transmetteur, le nerf acoustique, soit sur les
centres
percepteurs ou coordinateurs, centres bulbaires
nerf acoustique, soit sur les centres percepteurs ou coordinateurs,
centres
bulbaires, cervelet, et peut-être certaines porti
ou- vent aune plaque cérébelleuse ou bulbaire, atteignant ou non le
centre
un les racines de l'auditif. Il peut être dû au
u tableau morbide dans une maladie générale ou dans une maladie des
centres
nerveux, il est toute une caté- gorie de vertig
un estomac dilaté (Houchard) et particulièrement l'intoxication des
centres
de l'espace, soit les troubles circulatoires agis
mogastrique et du sympathique transmettant une excitation jusqu'aux
centres
(llilzi). Pourtant ce vertige, avec ses nausées
s après l'ictus, mais ordinairement de deux à trois jours après, au
centre
de la fesse, du côté de l'hémiplégie, s'aperçoi
lombaire. On peut trouver du sang (hémorragies des méninges ou des
centres
nerveux), de la lymphocytose (méningite tubercu
ur et du collapsus avec hypothermie que du coma proprement dit, les
centres
circulatoires et le coeur lui-même étant partic
et que l'hallucination verbale motrice implique la participation du
centre
moteur d'articulation, on comprendra aisément q
églas). Ces malades n'entendent pas parler. ils sentent, parler. Le
centre
moteur d'articulation est en jeu dans ces hallu
par des excita- lions intérieures venant spontanément actionner les
centres
ou les termi- naisons nerveuses; les douleurs n
conducteurs nerveux, transmettent les excitations périphériques aux
centres
de réception, médullaires ou corticaux. Nous- a
de cond 111'- tion sensitive périphériques et centrales; 7>° les
centres
de réception corticaux. ,10 Organes de récept
ériphérique des nerfs sensitifs. les impressions sont conduites aux
centres
par un nombre infini de fibres nerveuses, qui t
voie prin- cilalu, pour atteindre la zone sensitive corticale. je
Centres
de réception corticaux. La topographie de la zone
circonvolutions rolandiques (Fa et Pa) représentaient à la fois des
centres
moteurs et sensitifs. Cette doctrine, qui réc
s de conducteurs spéciaux pour les impressions douloureuses; pas de
centre
, siège du sens de la douleur. Pour d'autres, la d
nces, de porter un diagnostic de localisation, dans les lésions des
centres
nerveux, con- stitue néanmoins un symptôme impo
syndrome peut se rencontrer soit dans les lésions destructives des
centres
nerveux (hémisphères, pédoncule, protubérance,
ala- mus dans son tiers postérieur, une partie du noyau interne, du
centre
l'ig. 16. - Ilémianestlisie superficielle et
de ces dernières et peut se rencontrer dans les lésions étendues du
centre
ovale ou du cortex. Les caractères seuls des trou
ettre hypothétiquement la persistance de la métamérie primitive des
centres
nerveux. Le métamère ou ne1t1'OmèTe sert à désign
ement brachial de la moelle; A, B, C, métamères du tronc; il, 2, 5,
centres
métamériques du membre supérieur; z, ? s", zones
nes de sensibilité circulaire du membre supérieur correspondant aux
centres
métamériques 1, 2, 5 ; i, i', i", nerfs interco
iée intimement aux lésions des nerfs périphériques ou il celles des
centres
médullaires (polio- myélite aiguë ou chronique,
acines, soit peut-être aussi sur les noyaux d'origine au niveau des
centres
. Les plaies des nerfs sensitifs ou des nerfs mi
ent dues il des mouve- ments instinctifs du malade pour déplacer le
centre
de gravité du corps et atténuer ainsi la douleu
excitation périphérique transmise par les voies cen- tripètes à un
centre
nerveux qui la renvoie par les voies centrifuges
it persistance de ces connexions, de ces cellules motrices avec les
centres
nerveux supérieurs. Comment les cellules motric
Comment les cellules motrices reçoivent-elles l'influx nerveux des
centres
supérieurs ? ' ? Suivant Van Gehuchten, il y au
complètes et les grosses hémiplégies. I. Hémiplégies par lésion des
centres
nerveux chez l'adulte ou le vieillard. C'est de
les sont la conséquence. Les hémiplégiques par lésion organique des
centres
nerveux peuvent [CROUZON.] 468 HÉMIPLÉGIE.
ues ou débilites en dehors même de toute affection systématisée des
centres
nerveux : cela tient à ce que le' faisceau pyra
période terminale et atteint le tronc, les membres supérieurs, les
centres
bulbaires. On se rapproche alors sensiblement de
raiguë, mixte, des nerfs périphériques et de la substance grise des
centres
. De fait, il est fréquemment difficile de porte
omc de l'iliaque ou des fémorales, ou d'insuffisance vasculaire des
centres
médullaires du membre par sclérose des artériol
cte réflexe qui exige l'intégrité des rapports de l'utérus avec les
centres
lombaires. Si la lésion médullaire remonte à ce
de la paralysie radiculaire supérieure ou inférieure. L'atteinte du
centre
cilio-spinal (l r" dorsale) se traduira en cas
e. -Insertions. Les faisceaux charnus du diaphragme se détachent du
centre
phrénique qui a la forme d'un trèfle-. Les faisce
issement du diamètre vertical se produit aussi par l'abaissement du
centre
phrénique. Le diaphragme élève, les six dernièr
MUSCULAIRE élever les côtes leur était fourni par les connexions du
centre
phrénique avec le péricarde. Pour Duchenne ce s
mpensatrice; les cuisses se placent en extension forcée pour que le
centre
de gravité ne reste pas en arrière de la base d
eure de la face réveille, l'énergie dans l'ex- pression et dans les
centres
nerveux. » Foitx a indiqué le rôle du peaucier
ale motrice, les auteurs (Keen; Mills, Horsiey, etc.) ont isolé des
centres
distincts pour les mouvements de la hanche, du
ou-de-pied, de l'épaule, du coude, du poignet; on a même décrit des
centres
spéciaux pour la flexion de l'index, pour la fl
ils ont localisé, ainsi que le montrent leurs schémas, de multiples
centres
.. L'ablation de ces centres a pour consé- quenc
le montrent leurs schémas, de multiples centres.. L'ablation de ces
centres
a pour consé- quence de véritables paralysies q
nt parfois des mo- P,flATIQUE NEUROL. - 58 [G. GUILLAIN. Mg. 1.
Centres
moteurs corticaux de l'orang (Simia salyrus) (l'a
par lésion corticale sont exception- nelles chez l'homme. Fig. 2.
Centres
moteurs corticaux du 11lacaclIs sinicus, d'après
et Horsley ( IS90j. . - -... (Figure empruntée il Moral.) Fig. 3.
Centres
moteurs d'après l'observation des sujets trépanés
iculo-moteurs. Grasset résume dans cette phrase sa concep- tion des
centres
corticaux du cerveau : « De par la clinique et de
icaux du cerveau : « De par la clinique et de parla physiologie les
centres
corticaux sensitivo-moteurs ont'une distribution
urs figures m'ont paru mériter d'être adjointes à ce texte : 1° Les
centres
moteurs corticaux de l'orang (Simia satyrus) d'ap
e, d'après Ch. K. Mills (1904). TOPOGRAPHIE CÉRÉBRALE. 597 2° Les
centres
moteurs corticaux du llacacus sinicus d'après Ree
caux du llacacus sinicus d'après Reeyor et Horsley (1890); 5° Les
centres
moteurs de l'homme d'après l'observation des suje
à connaître, car les chirurgiens interviennent fréquemment sur les
centres
moteurs corticaux. La figure 8 montre la topogr
rve un groupe de muscles synergiques et répond dans la moelle à des
centres
de flexion, d'extension, d'adduction, d'abducti
pas la racine d'une fonction. Le plexus, dit encore Forgue, est un
centre
de répartition qui concentre en un même tronc d
e, radiculaire on troncutaire. Los lésions corticales localisées an
centre
du membre supérieur, au niveau de. la région ro
CRANIENS la moelle cervicale (compressions, poliomyélites), ou des
centres
respira- toires du bulbe amènent la paralysie d
e est une l'onction acquise et constitue un acte volontaire dont le
centre
doit être dans l'écorce cérébrale. La seconde,
de la volonté, s'ac- complir automatiquement : aussi a-t-l'lle son
centre
dans le bulbe. Parmi ordre inversé, chacun de c
-l'lle son centre dans le bulbe. Parmi ordre inversé, chacun de ces
centres
principaux a un centre secondaire d'importance
e bulbe. Parmi ordre inversé, chacun de ces centres principaux a un
centre
secondaire d'importance moindre qui siège dans
élérer ou suspendre l'introduc- tion de l'air dans les poumons. Ces
centres
sont reliés par des connexions nerveuses allant
eux voisins, de leur origine bulbaire, de leurs connexions avec les
centres
corticaux de la respiration et de la phonation,
res corticaux de la respiration et de la phonation, du siège de ces
centres
eux-mêmes, adonné lieu à des controverses sans
cussion. lous ne pouvons que les indiquer très brièvement ici. Le
centre
phonatoire du larynx a été découvert par ifermann
erches de Ferrier, de Dure ! , de Soumaun, indiquent comme siège du
centre
phonatoire la partie inférieure et latérale de la
lution précruciale. Semonet Horsley précisèrent encore davantage le
centre
de Krause et confirmèrent sa localisation, chez l
zone qui commandait les. mouvements d'adduction, ils trouvèrent un
centre
pour l'abduction et même un centre qui accélérait
s d'adduction, ils trouvèrent un centre pour l'abduction et même un
centre
qui accélérait les mouve- ments respiratoires.
ments respiratoires. De même, R. Russel a démontré l'existence d'un
centre
respiratoire au-dessous du centre phonatoire. Add
ussel a démontré l'existence d'un centre respiratoire au-dessous du
centre
phonatoire. Adduction des cordes n'est pas en e
et d'un courant respiratoire. Katzenstein a bien mis en évidence un
centre
de la phona- tion voisin du centre cortical de
nstein a bien mis en évidence un centre de la phona- tion voisin du
centre
cortical de la respiration et du centre volontair
de la phona- tion voisin du centre cortical de la respiration et du
centre
volontaire des mouvements des- cordes vocales :
mouvements des- cordes vocales : Au point de vue physiologique ces
centres
du larynx présentent une particularité remarqua
x présentent une particularité remarquable : l'excitation d'un seul
centre
est toujours accompagné de mouvements bilatérau
ion cadavérique des cordes. Ceci correspond ELANNOIS.] Fiir. 1. -
Centres
moteurs corticaux (lu larynx (d'après Semon et Ho
érieur : il nous suffira de rappeler que celui-ci se divise Fig. 2.
Centres
moteurs bulbaires du larynx (d'après Semon et H
vées. Les nerfs mo- teurs du larynx peuvent être touchés depuis les
centres
que nous leur avons indiques dans l'écorce jusq
ap- porte il ce que nous avons dit de l'excitation expérimentale du
centre
z cortical de la phonation, si nous ajoutons qu
er la paralysie des adducteurs par des lésions destruc- tives de ce
centre
, il semble bien qu'une lésion corticale ne doive
decin chez lequel on enleva une tumeur de la région où est situé le
centre
cortical du larynx, mais l'examen radiographique
x invoqués plus haut, mais aussi parce qu'il l'aut tenir compte des
centres
accessoires bulbaires : cet argument est aussi
maux et de ne pas tcnir assez compte de la haute différenciation du
centre
phonateur chez l'homme. Le cas d'I : iseululrr
ières ou de fumée de tabac, fait plutôt songer à une inhibition des
centres
nerveux à point de départ laryngé. C'est l'opin
périphérique, neurone qui va de la cellule radiculaire antérieure,
centre
trophique, jusqu'au muscle. Il semble pouvoir ê
taine, il se peut que, dans certains cas, une altération réelle des
centres
ou des voies nerveuses échappe à nos moyens act
ionnel du système nerveux (Erb), voir à une affection organique des
centres
nerveux encore inaccessibles à nos procédés de re
sant sur les grandes cellules de la corne an- térieure et sur les
centres
vaso- moteurs. L'amyotrophie des hémiplégique
es conducteurs centripètes qui trans- mettent ces sensations et des
centres
qui les perçoivent; 3° l'intégrité des centres
es sensations et des centres qui les perçoivent; 3° l'intégrité des
centres
qui, d'après l'ensemble de ces sensations perçues
sa lésion causale siège, soit dans le cervelet, qui paraît être le
centre
coordinateur essentiel des mouve- ments composé
re le centre coordinateur essentiel des mouve- ments composés et le
centre
de l'équilibre, soit dans les voies centripètes
ébrales à la création, pen- dant l'apprentissage des mouvements, de
centres
coordinateurs dans les parties inférieures du n
centres coordinateurs dans les parties inférieures du névraxe ; ces
centres
entreraient en jeu par un mécanisme réflexe, au
s; il tomberait presque immédiatement s'il n'était soutenu, car son
centre
de gravité est aussitôt en arrière de sa base de
és semblent résulter de l'altération du pou- voir frénateur dont le
centre
est dans le cervelet. Ils consistent en ceci qu
qu'ici de résultat. Nous ne savons encore si une lésion limitée des
centres
ou des conducteurs cérébelleux altère défi- nit
e trouvent dessinées des lignes numérotées indiquant, en partant du
centre
, la place de la pointe du pied dans une série d
lanchette porte des godets numérotés sur tout son pourtour et à son
centre
. L'exercice consiste à introduire le doigt succes
séméiologie fort corn- plexe. Resserrés dans une aire étroite, les
centres
et les faisceaux de cette région sont fréquemme
il électrique. Mais qu'est-ce qui sollicite le système nerveux, les
centres
moteurs Lulbo-spinaux à trop d'activité ? On ad
tantôt des pro- duits toxiques qui agissent sur les cellules de ces
centres
: ainsi sont causées les convulsions des intoxi
des infec- tions. Tantôl des impressions périphériques irritent les
centres
et amènent les convulsions réflexes. Tantôt enf
in l'excitation bulbo-spinale ne fait que refléter l'excitation des
centres
nerveux de l'écorce cérébrale. Ce dernier mécan
out un côté ou aux deux, comme si l'excitation corticale, partie du
centre
correspondant à la première convulsion limitée, g
t à la première convulsion limitée, gagnait par contiguïté tous les
centres
moteurs voisins. D'autres fois, elles sont géné
des phénomènes réflexes, due au développement encore incomplet des
centres
modérateurs situés plus haut que la moelle. Cet
exes, et ceci peut s'expliquer suivant lui par la participation des
centres
modérateurs ou des centres excitateurs du systè
uer suivant lui par la participation des centres modérateurs ou des
centres
excitateurs du système nerveux central. Les tro
ues inutiles et à développer le pouvoir frénateur et correcteur des
centres
supérieurs ». La disciplime psycho-motrice est
ICS. : . 8Hi recours aussi souvent qu'il sera utile ce contrôle des
centres
supérieurs pour réprimer les actes automatiques
, puisque ce qui est altéré ce n'est ni le muscle, ni le nerf ou le
centre
moteur, mais bien le contrôle corti- cal volont
ment « en miroir », de droite à gauche; « dans le moment même où un
centre
préside ,'1 l'exécution d'un mouve- ment, le ce
ment même où un centre préside ,'1 l'exécution d'un mouve- ment, le
centre
symétrique est prêt à commander ce mouvement, mai
es étroitement liées à l'infection syphilitique ? Dans la lèpre, le
centre
des macules blanches est anesthésique. Des érup
admis l'hypo- thèse que cette lésion provoquait la destruction d'un
centre
modérateur de la lièvre : la destruction de ce
truction d'un centre modérateur de la lièvre : la destruction de ce
centre
modérateur est cependant une hypothèse qui n'es
et Haie, White, Ch. Richet). il est possible qu'il existe plusieurs
centres
dont la résultante produit la régulation thermiqu
la régulation thermique et que le défaut de parallélisme entre les
centres
thermogéniques et les centres ther- nlolpticlne
e le défaut de parallélisme entre les centres thermogéniques et les
centres
ther- nlolpticlnes ait pour résultat la product
la- dies : la paralysie bulbaire progressive, quand elle atteint le
centre
thermique, peut provoquer l'hyperthermie, de mê
cée par les maladies ner- veuses. On ne connaît pas l'existence des
centres
sudoraux, il n'en est pas moins vrai que le cer
autre part, le nerf sympathique et le nerf pneumogastrique ont leur
centre
au niveau [0. CROUZON.] 943 ) BRADYCARDIE.
e lui succède et résulte, tantôt de mictions involontaires quand le
centre
sphinctérien a été touché, tantôt de mictions inc
s quadri- jumeaux, ainsi que de celles de la moelle cervicale et du
centre
génito- spinal ; l'érection se produit au momen
jaculation (colique spermatique. Reliquet). Enfin la destruction du
centre
génito-spinal produit le même effet (frac- ture
use. L'influence de lésions du cervelet, considéré autrefois connue
centre
g"t"l11lal, n'est plus acceptée aujourd'hui : p
ée aujourd'hui : par contre, des lésions de la moelle cervicale, du
centre
génito-spinal ont pu déterminer le dévelop- pem
- tant est évidemment alors t'tiyperesthésie de l'estomac et de ses
centres
associée il la viciation de la motricité. Il es
ure des parois de l'abdomen. Il y a également incontinence quand le
centre
sphinctérien de la moelle dorso-lombaire est dé
erticale auriculaire. Cette hauteur du. crâne se prend du vertex au
centre
du trou auditif. Elle s'obtient par différence en
ports avec le tuber cinereum, regardé par quelques auteurs comme un
centre
glyco- surique, seront, recherchés. 11 peut exi
atrophie cicatricielle, l'aspect déprimé et gaufré qui se trouve au
centre
de la zone pigmentée. 4° Dans certains cas, c'e
cette méthode. [G. GUILLAIN.] 1 PERCUSSION ET AUSCULTATION DES
CENTRES
NERVEUX par le Dr F. MOUTIER Ces différentes
tique dans les tumeurs de la base. PERCUSSION ET AUSCULTATION DES
CENTRES
NKRYEUX. 1119 En d'autres cas, on constate soit
mbo-iliaque une large compresse stérilisée, un champ opératoire, au
centre
duquel on aura fait une fenêtre; ce champ opéra
. Dans certains cas, cet état du liquide était dû à la syphilis des
centres
nerveux. La valeur de cette coloration est telle,
rthus et. Schmid, peut être augmentée dans certaines affections des
centres
nerveux suivant Sicard, Quincke, etc. A l'éta
u liquide céphalo-ra- chidien puriforme au cours de la syphilis des
centres
nerveux. Cyto-diagnostic dans les affections oc
, emprunter leurs expressions sympto- matiques il la souffrance des
centres
nerveux voisins et, par conséquent, présenter u
branles, bulbo-prolubéranlielles ou médullaires. Les fonctions des
centres
sous-corticaux étant très obscures, celles des
onctions des centres sous-corticaux étant très obscures, celles des
centres
.bulbaires étant relativement bien connues, il
laires qui traversent t'épithéhum épendymaire et vont adultérer les
centres
nerveux contigus; mécanique, elle résulte de la
us; mécanique, elle résulte de la compression exercée sur les mêmes
centres
par 1'('I)aiielieiiieiii liquide. L'existence de.
and Delille). Mais quelles conclusions en tirer si ce n'est que les
centres
nerveux périépendymaircs s'accommodent mieux d'
tièrement " ouateux n, la couche compacte est mal délimitée vers le
centre
, vers la moelle osseuse, elle est mal délimitée
uée de la couche compacte avec un rebord tout il l'ait imprécis, au
centre
un fouillis de fibrilles enchevêtrées en amas d
e disparaisse brusquement à leur niveau et on ne trouve plus à leur
centre
que des traces de la struc- ture normale et il
! I ! lsaires précis et des contours ë¡II'¡Jltysai1'es vagues. Au
centre
de la diaphyse l'aspect est des plus caractéristi
ntrée cutanées variables de façon que les rayons convergent vers un
centre
commun, la lésion à irradier : par exemple, on
e ; celle-ci, représentant à peu près un quart de sphère ayant pour
centre
l'hy- pophyse, pouvait être divisée en cinq .zo
oteur; il est réalisé lorsque le pôle positif est placé du côté des
centres
nerveux et le pôle négatif du côté de la périphér
es nerfs et sur les muscles retentissent par action réflexe sur les
centres
nerveux ; elles augmentent la contracture qui est
le, niais elles s'expliquent par une action réflexe portant sur les
centres
médul- laires et entraînant des troubles dans l
s les crises gastriques, cl sur la colonne vertébrale au niveau des
centres
d'innervation correspon- dants. On pourrait agi
ns sur la colonne vertébrale au niveau des racines nerveuses et des
centres
d'innervation correspondant aux régions périphé
n créée soit par une lésion cérébrale soit par une intoxication des
centres
nerveux, ne me paraît justiciable de l'hydrothéra
dus, enfants ou adultes, nerveux ou non. METHODES 1 D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX TECHNIQUE DES EXAMENS ANATOMO-PATHOLO
EXAMENS ANATOMO-PATHOLOGIQUES par Georges GUILLAIN Formolage des
centres
nerveux avant l'autopsie. Les lésions cadavériq
avant l'autopsie. Les lésions cadavériques se développent dans les
centres
nerveux avec une grande rapidité, surtout penda
très grande pour l'étude microsco- pique et même macroscopique des
centres
nerveux. C'est pour obvier à ces inconvénients
atoire de l31cètre une technique spéciale consistant à formuler les
centres
nerveux le plus longtemps possible avant l'autops
le par parcelle, et lorsque les deux os pariétaux, les AUTOPSIE DES
CENTRES
NERVEUX. 1517 7 « deux frontaux et l'écaillé de
cine sera entourée d'un [G GUILLAIN.] 1548 8 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. fil et l'on aura ainsi une indication
olando, sont excellentes pour les localisations des lésions dans le
centre
ovale, niais, par contre. rendent très difficil
oupe de Brissaud se pratique de dedans en dehors, elle AUTOPSIE DES
CENTRES
NERVEUX. 15113 passe par le milieu de la tète d
n fait, dans le but de . [G. GUILLAIN 1 1550 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. faciliter le durcissement et la pénétr
FIXATION C'est immédiatement après l'autopsie qu'il faut mettre les
centres
nerveux dans les liquides fixateurs et durcissa
la fixation du cerveau et de la moelle. 1552 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. ou de bulbe, davantage pour les fragme
'alcool sur des feuilles , [G GUILLAIN] 1554 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. de papier closet très mince : ces feui
xiste quelquefois dans [G. GUILLAIN.] ] 1556 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. « le corps de la cellule des boules de
es secondes dans la solution suivante : ¡;jars MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. différencialeur de substance colorante
ol aniline ; ° 1.c liquide de Gothanl : 15GO MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. heure dans l'alcool absolu). Eclaircir
transporte dans cette solu- tien : - '131\2 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. Méthode de Marchi. Les pièces sont fix
ion et il préconise le fixateur suivant : 1504 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. conseille de colorer sur lame. A cet e
uve à 37" dans la solution suivante : 1566 MÉTHODES' D'ÉTUDE DES.
CENTRES
NERVEUX. 90 centimètres cubes de la solution I,
LORATION.. 1567 Liquide d'Angladc : ` , 1568 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. A) Solution saturée il froid de sublim
aine quantité de la solution suivante : 1570 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. chlorure d'or il 1 pour 100 dans 10 ce
pes à l'aide de la solution suivante : ici72 2 MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX. 3° On peut, après avoir employé la mét
lames pendant quelques secondes avec : 1574 ' MÉTHODES D'ÉTUDE DES
CENTRES
NERVEUX B) Méthode lente la safranine (Durante)
cription, 219. Anatomie pathologique. Technique des examens des
centres
nerveux, 1545. Anconé. Innervation, physiologie
ques, lu)77. Voy. Nerf. Audition colorée, z, ' Auscultation des
centres
nerveux, 1118. Auto-accusation (Idées d' -), 24
ion (Idées d' -), 241. Automatisme ambulatoire, 192. Autopsie des
centres
nerveux, 1545. Avellis (Syndrome d' -), 472, 64
coloration élective, méthode de Nissl, 1557. Cénesthésie, 378.
Centres
de réception corticaux de la sen- sibilité géné
té générale, 277. moteurs cor- licaux, 595, 594. du larynx, 1157.
Centres
moteurs bulbaires du larynx, 658. nerveux. Perc
nexistence, 958. typhoïde, atrophie musculaire, 725. Fixation des
centres
nerveux. Liquide de Millier, liquide de Fol, 13
Forel. Voy. Carmin. Formol comme fixateur, 1351. Formolage des
centres
nerveux avant l'autopsie, 1545. Foville (Synd
ôté du corps, 445. - phénomène des orteils, 45). par lésion des
centres
nerveux chez l'adulte ou le vieillard, 462. Dia
tilité, 979. Traitement électrique des paralysies, 1509. Larynx.
Centres
moteurs corticaux, 657. centres moteurs hulhair
e des paralysies, 1509. Larynx. Centres moteurs corticaux, 657.
centres
moteurs hulhaires, G58 ? Maladies, 036. TIIOVBL
s lésions situées dans son trajet intracra- nien, 156. - dans ses
centres
bul- baires, 157. - dans ses centres céré- br
racra- nien, 156. - dans ses centres bul- baires, 157. - dans ses
centres
céré- braux, 159. - circonflexe, paralysie, 6
oyaux pédonculo-protuhéran- tiels, 75. - Paralysie par lésion des
centres
et voies supra-nucléaires, 77. - Troubles moteu
ielle. (Paralysies oculaires d'origine -), 70, 75. Percussion des
centres
nerveux, 1118. Péritoine. Séméiologie, 997. P
hysiologie. - Organes de réception. - Voies de con- duction, 275.
Centres
de. réception corticaux, 277. Nature des excita
dont un ou plu- sieurs, de dimension plus considérable, occupent le
centre
du foyer scléreux, on trouve un tissu vivement
t également observé une modifi- cation semblable des vaisseaux : le
centre
des foyers de sclérose était occupé par un vais
dont le résultat est l'exagération du pouvoir excito-moteur de ce
centre
nerveux. - Là, s'arrête tout ce qu'on sait de p
voir reste normal et qu'il y a au contraire diminution d'action des
centres
modérateurs des mouvements réflexes, centres ad
inution d'action des centres modérateurs des mouvements réflexes,
centres
admis par Ferrier et aussi par d'autres. Et, du r
nt maintenant à le placer dans le cerveau, depuis la découverte des
centres
corticaux psycho-moteurs. L'existence des attaq
brusque, elle n'est plus réglée selon le mode physiologique par les
centres
à fonctions inhibi- trices. L'excitation, le co
'il y avait eu syphilis. L'auteur diagnostiqua : lésion centrale du
centre
commun des oculomoteurs communs, dans la région
igine la surac- tivité de l'idéation qui sollicite anormalement les
centres
sous- corticaux qui commandent au système muscu
se principale une modification de l'afflux sanguin qui alimente les
centres
ganglionnaires de l'écorce cérébrale. Les cas,
de la lésion centrale, il existe une bande dégénérative parlant du
centre
de cette lésion, traversant la zone corresponda
ant du centre de cette lésion, traversant la zone correspondante du
centre
ovale, irradiant dans le corps calleux des deux
onnante intimement uni à la même région par un système spécial ; le
centre
cortical et sou faisceau pyramidal ont bien rée
ôté ou du côté opposé. - 3° Les fibres des cordons de Goll ont leur
centre
tro- phique non dans le ganglion spinal mais qu
rcl); clu'il s'agisse d'ani- maux curarrsés ou non, l'excitation du
centre
d'Hitzig ne les fait pas sa- liver (L3ecbterew.
ntractions musculaires, le mouvement du pouls, l'entrée en jeu- des
centres
sous-corticaux - des impressions de conceptions
ait défaut chez cette femme, et il était logique de supposer que le
centre
cérébral qui correspond à cette région présente
autres formes de folie qui s'accompagnent d'excilation mentale, les
centres
nerveux sont con- gestionnés, mais comme les pa
indiquaient une affection généralisée ou au moins très étendue des
centres
nerveux ; mais en ce qui touche l'atfection méd
st plus que la lésion de la irophicité médullaire. En s'étendant du
centre
de la moelle aux cordons antérieurs, elle déter
ous allons expliquer pourquoi. La Sûreté a une forme circulaire. Au
centre
s'élève une sorte de tour ayant autant d'ouvert
e en avant, le corps plié en deux, à la poursuite constante de leur
centre
de gravité, et dont cette vieille femme de mon
vrose pure, isolée, que l'on a devant les yeux, si l'altération des
centres
nerveux est simplement fonctionnelle, et s'il n
trent d'une façon certaine l'ac- tion de l'oxyde de carbone sur les
centres
nerveux; plus récemment enfin, de Becker a fait
es actions thermiques diverses, excitation gagnant la moelle et ses
centres
vasomoteurs, et, parsuite, troublant la fonctio
graphes concernant l'anatomie, la physiologie, la pathologie des
centres
nerveux. P. K. XXXV. DES rapports QUI EXISTENT
Il est en revanche à remarquer que, dans les lésions organiques des
centres
nerveux, la convergence demeure in- tacte, tand
à peu près en rapport avec l'entrée en scène progressive des divers
centres
moteurs de l'écorce- La galva- nisation diminua
, dit-il, son bras se raidir : sorte d'arrêt se produisant dans les
centres
graphomoteurs, comme dans les centres lexomoteu
'arrêt se produisant dans les centres graphomoteurs, comme dans les
centres
lexomoteurs. Ce fait prouve que l'écriture spon
aire, diapédèse des hématies, hémorrhagies petites et grosses), aux
centres
de l'oculo- moteur commun, de l'oculo-moteur ex
olies, ni oblitérations vasculaires quelconques. P. K. XXXIV. LES
CENTRES
DU cerveau qui commandent au mouvement delà ves
lbl., 1888.) De leurs expériences de vivisection, il résulte que le
centre
effectif en question occupe la profondeur de la
optique, son étendue ne dépasserait pas quelques milli- mètres. Ce
centre
projette un trousseau spécial de fibres qui le
Ce centre projette un trousseau spécial de fibres qui le rejoint au
centre
cortical (portion interne du segment antérieur
ers la capsule interne et la calotte un autre faisceau de fibres au
centre
de la moelle. Ce centre vésical de la couche op
t la calotte un autre faisceau de fibres au centre de la moelle. Ce
centre
vésical de la couche optique a en même temps un
constituée par une ligne en zigzags d'un jaune lumineux et dont le
centre
serait représenté par un espace obscur parsemé
êtent pas à la station de la couche optique et vont directement aux
centres
corticaux; et des fais- ceaux partis de ces cen
directement aux centres corticaux; et des fais- ceaux partis de ces
centres
ne s'arrêtent pas non plus à la station des cor
u des vertèbres crâniennes (cornes cérébrales) ' 1 représentent des
centres
d'ordre de plus en plus élevé et sont mis en co
c les autres ' La couche grise de l'intellect serait surajoutée aux
centres
corti- eaux ? ? ? DE L'APPAREIL NERYEUX CENTR
ue l'on m'a dit être une étude très complète d'anatomie comparée du
centre
olfactif. 340 ANATOMIE. blie, peut apporter l
tent les origines apparentes des nerfs olfac- tifs ; 2° de celle du
centre
cortical présumé de l'olfac- tion. Voici en c
de aux anatomistes s'il n'est pas plus rationnel de cher- cher le
centre
de l'olfaction cérébrale, dans la région où se
e trouvent certainement, quoique non précisés pour tous, encore les
centres
des autres sens. C'est ce que je vais tenter. S
té véritable, à la fois anatomique et fonctionnelle, entre les deux
centres
olfactifs où aboutissent les deux racines blan-
du corps calleux. Mais n'existe-t-il pas en outre, entre ces deux
centres
(olfac- tifs) une communication directe par des
ons olfactives. -Pour BROCA, ces circonvolutions constitueraient un
centre
olfactif, et les tractus blancs qui partent de
ques et les symptômes cliniques dans les différentes maladies des
centres
nerveux, nous reprendrons l'histoire détaillée
une lésion siégeant sur le parcours compris entre la rétine et les
centres
occipitaux, comme dans les cas d'intoxication a
et le blanc. Aubert paraît être arrivé au même résul- tat pour le
centre
de la rétine avec l'obscurcissement. 11 existe
es plus récentes recherches, le pour et le contre de l'existence de
centres
spéciaux et leur situation exacte sur l'écorce
es reaclions aues a ce sens; tandis que chez les poissons osseux le
centre
visuel principal (lobes optiques) étant intact,
ve seulement la perception propre, les sensations brutes ayant leur
centre
dans les ganglions mésencéphaliques. On a beauc
urs, quelles fonctions, après une assez longue durée, possèdent les
centres
inférieurs séparés des centres supérieurs. Les ma
ne assez longue durée, possèdent les centres inférieurs séparés des
centres
supérieurs. Les mam- mifères chez lesquels l'op
inférieurs ils meurent rapidement après l'opération. Cependant les
centres
des animaux inférieurs n'ont pas le temps de se
tre du choc qui doit suivre nécessairement une rupture violente des
centres
inférieurs et supérieurs préalablement ou direc
chiens opérés par Goltz, chez lesquels il est certain qu'aucun des
centres
spéciaux n'était entièrement détruit,- aurait été
s par leurs organes des sens. Ces facultés sont organisées dans les
centres
mésencéphaliques et spinaux au plus haut degré
s pour le moment l'intention de considérer les rôles respectifs des
centres
spinaux cérébelleux et mésencéphaliques dans la
uement toujours, séparer la moelle et le mésencéphale en un amas de
centres
individuels, chacun avec ses nerfs afférents et
us en- semble avec harmonie au moyen de fibres commissurales. Les
centres
individuels s'unissent en un tout complexe, actio
omplexe, actionné par les nerfs des sens spéciaux et subordonné aux
centres
nerveux supérieurs par lesquels l'organisme s'a
pas non plus la question controversée de savoir si les actions des
centres
inférieurs sont sous la dépendance de l'in- tel
um de l'intelligence, nous ne pourrons pas nier que les actions des
centres
inférieurs ne soient un indice d'intelli- gence
urs à l'homme. Mais nous sommes autorisés à dire que l'activité des
centres
inférieurs n'inté- resse pasla conscience de l'
ces de Goltz ne militent en quoi que ce soit contre l'existence des
centres
spéciaux; car si, après une extirpation bilatér
spéciaux; car si, après une extirpation bilatérale complète de ces
centres
, les fonctions qui subsistent ne dépassent pas
s, les autres plus petils Les cercles les plus larges indiquent les
centres
absolus, les plus petits les centres relatifs.
les plus larges indiquent les centres absolus, les plus petits les
centres
relatifs. L'intensité des derniers est indiquée p
ces données et d'autres semblables qu'Exner a fondé sa théorie des
centres
absolus et relatifs ; les centres absolus sont ce
s qu'Exner a fondé sa théorie des centres absolus et relatifs ; les
centres
absolus sont ceux dont la lésion produit, invar
ntres absolus sont ceux dont la lésion produit, invariablement, les
centres
relatifs; ceux dont la lésion produit seulement
suffisante pour établir une relation causale. Car si les soi-disant
centres
relatifs peuvent avoir et ont été souvent détru
supposés en relation, et si cette fonction peut être éteinte, leurs
centres
relatifs restant intacts, il est évident que c'es
s pour mots, des faits qui, à cette époque, ont été établis. « Le
centre
des muscles du cou (fig. 35, a) est situé sur la
e de la terminaison latérale de la scissure frontale (fig. 38 +) le
centre
pour les exten- seurs et les abducteurs du memb
eu derrière et plus près de la scissure coronale (fig. 37 +) est le
centre
pour la flexion et la rotation du membre. Le ce
g. 37 +) est le centre pour la flexion et la rotation du membre. Le
centre
pour le membre pos- térieure. 37$$)se trouve au
comme le plus capable de produire les réactions caraclériques des
centres
corticaux. Quand un animal est suffisamment endor
qui produit un mélange des effets par la diffusion du courant d'un
centre
dans ceux rendus hyperexcitables par des excita
us ou moins est le principal obstacle à la délimitation précise des
centres
de l'écorce par la méthode de l'excitation. Par
yé d'ex- pliquer les résultats par la conductibilité du courant des
centres
par les tractus à la base du cerveau. Mais on n
ante de Reil qui est située plus près de la base du cerveau que les
centres
qui réagissent uniformément et immanquablement.
ue les cônes de fibres médullaires correspondant respectivement aux
centres
corticaux sontfonctiouuellenrent diffé- renciés
x centres corticaux sontfonctiouuellenrent diffé- renciés comme les
centres
eux mêmes et, comme l'ont démontré Franck et Pi
ences qui ne peuvent être expliquées que par la supposition que les
centres
corticaux sont eux-mêmes excitables. D'abor'd e
courant électrique aux fibres médullaires, mais, comme les autres
centres
nerveux, qui emmagasine et transforme les excitat
l'écorce d'un côté ou de l'autre, et on ne peut les obtenir si les
centres
cor- ticaux sont entièrement détruits des deux
réflexe l'aptitude d'un oeil à conduire l'excitation lumineuse aux
centres
du réflexe pupillaire, il la devrait à des fibr
eur latéral du côté opposé. Obs. de Jelgersma. Gros abcès ancien du
centre
ovale, des deux côtés, sous-jacent aux circonvo
nvirons de la branche de la scissure de Sylvius qui représentent le
centre
du cerveau humain, et la région sylvienne doit
mais uniformément réunies et façonnées, après qu'on en a comblé le
centre
par la quantité de plomb nécessaire à l'appoint
us externe de l'écorce du lobe occipital ; au-dessous d'elle est le
centre
de l'acuité visuelle (sens de l'espace) ; tout
space) ; tout près des irradiations optiques de Gratiolet réside le
centre
du sens de la lumière (expansion du champ visuel)
e du sens de la lumière (expansion du champ visuel). En tout, trois
centres
séparés. Il est évident, vu la disposition de ces
ut, trois centres séparés. Il est évident, vu la disposition de ces
centres
sui- vant des lames, que, si le sens lumineux e
Un champ visuel elliptique comprimé de haut en bas, qui occupe le
centre
de faire, ou dont le foyer passe par le point de
une lésion, une perte de substance; se rappeler à cet égard que le
centre
de perception optique est l'écorce du coin et d
u'il convient d'imputer aux racines ascendantes du trijumeau. Leurs
centres
occupent surtout la moitié dorsale (voisine de la
sectionne la protubérance; a mesure que le couteau pénètre dans les
centres
épilep- toâènes. - L'excitation électrique de l
lisées au moment où les lames de la calotte sont sol- licitées. Les
centres
réflexes de la protubérance possèdent la valeur
de la protubérance possèdent la valeur d'une station collective de
centres
médullaires, à des niveaux différents. Ils sont
, à des niveaux différents. Ils sont plutôt des collecteurs que des
centres
convulsifs. - Aussi la convulsion est-elle téta
uelques heures, tient probablement il des troubles fonctionnels des
centres
vasomoteurs et régulateurs de la chaleur somati
é- 446 BIBLIOGRAPHIE tendre par contiguïté des extrémités vers le
centre
. C'est ainsi que débutant, par exemple, par une
stein, 540; - anatomie du - de la grenouille, par Koepen, 265;-
centres
du commandant aux mouvements de la vessie, par
acide dans certaines formes d'épilepsie, par Haig, 255. Vessie,
centres
du cerveau comman- dant aux mouvements de la -,
lui est actuellement interdit et comme l'activité momentanée de ses
centres
automatiques en mettent d'autres à sa dispositi
rôle protecteur sans apporter aucune entrave à la crois- sance des
centres
nerveux. Que devient cette loi dans les cas pat
Quelle que soit la causé première de l'arrêt de développe- ment des
centres
nerveux, le forme cranienne n'est-elle même que
le plan horizontal de la têle établi par Broca, plan passant par le
centre
des orbites et le trou optique. 2° Mesuré l'a
t d'ad- mettre que la lésion est nerveuse et qu'elle siège dans les
centres
sans qu'il soit encore possible de la localiser
ère dorsale.) Le sympathique a une action trophique sur la face; le
centre
médullaire etle trajet des filets qui ont cette
le mot inhibition la résistance engen- drée par l'habitude dans les
centres
nerveux, à l'égard de toute réponse efférente Ï
brusque de l'inhibition régulatrice normale qui s'exerce entre les
centres
nerveux corticaux, trouble qui est originaireme
athie spécifique aux os de la main. Un cas de kyste derrnoïde dus
centres
nerveux. MM. RAYMOND et COURTELLEtONT. Un peint
eur de cette théorie. La terminaison libre des fibrilles dans les
centres
, constatée par R. Y Cajal avec l'aspect ne saur
l est probable que cet enfant présentait un trouble fonctionnel des
centres
associés et que la suggestion hyp- notique a ra
s des phénomènes névritiques. W.-A, ! \1ouRATOFI' voit le principal
centre
dans la résolution de z cette question, dans l'
ervées dans l'organisme. Il n'y a pas de lésions spécifiques ni des
centres
ner- veux, ni des viscères; on y rencontre de l
erveux : peut-elle dépasser les nerfs périphériques et gagner les
centres
médullaires ? A cette question plusieurs auteurs
ue, dans le tétanos, la toxine remonte de la plaie cutanée vers les
centres
nerveux en suivant le nerf et très vaisembla- b
UMNITÉ DÉLIRANTE. 137 spéciales étant l'expression de l'état de ses
centres
automatiques au moment où renaît dans son systè
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 185 en ce qui concerne les
centres
nerveux, aucune raison de conserver l'étiquette
a fait faire de prodigieux progrès à l'histologie pathologique des
centres
nerveux. Mais, le problème le plus important, c
s. Le processus dégénératif épargne tout à fait ou relativement les
centres
sensoriels; les territoires le. plus fré- quemm
plus fortement altérés sont ceux que Flechsig désine sous le nom de
centres
d'association. L'observation pré- sente est un
out à fait récents ou relativement récents. P. KEHAVAL. XXXI. Des
centres
corticaux de l'accommodation ; pari. I. 131ELr1z6
zones occipito-pariétates joueraient très probablement le rôle de
centres
réflexes contrairement à la zone de la région mot
relever d'altérations locales du squelette (gommes), de lésions des
centres
trophiques ou bien de dystrophies générales dia
roisement des pyramides, il devient presque imperceptible : dans le
centre
de la moelle épinière il avait l'aspect d'une p
mation diminue de nouveau et n'occupe qu'une petite portion dans le
centre
de la substance grise et la corne postérieure d
J. PRIBYTKOFF compte très grave la disposition de la tumeur dans le
centre
de la moelle épinière, presque partoutsonlong;cel
ait s'est produit chez 3 sur 4 des malades dont ils ont examiné les
centres
nerveux. Après les réserves cliniques que nou
individuelle musculaire (Sano). Il n'en résulte pas l'existence des
centres
contradictoires, mais bien superposés. C'est l'
à la moelle d'une loi générale dont on trouve des exemples dans les
centres
bulbaires et méson céphaliques : le nerf moteur
d'une racine motrice antérieure de la moelle, et a trois groupes de
centres
dont la lésion produit trois types de troubles
périphériques. Le noyau, ou origine réelle du nerf, représente le
centre
radiculaire. Les noyaux qui fragmentent la colo
mentent la colonne principale du IIIe ventri- cule représentent les
centres
/ individuels musculaires, et enfin, les centre
e représentent les centres / individuels musculaires, et enfin, les
centres
supérieurs, supra-nucléaires (Parinaud) dont la l
droit interne du côté gauche et le droit externe du côté droit. Ces
centres
sont ana- logues aux centres segmenlaires de la
et le droit externe du côté droit. Ces centres sont ana- logues aux
centres
segmenlaires de la moelle. Ainsi le nerf de la
ribution des troubles périphériques des lé- sions médullaires à ses
centres
supra-nucléaires. M. Parhon (Bucarest) se décla
M. Grasset ingé- nieux et clair, pense que dans la comparaison des
centres
médul- laires avec les différents centres du ne
e dans la comparaison des centres médul- laires avec les différents
centres
du nerf moteur oculaire com- mun, on pourrait,
calisation mé- dullaire du grand sympathique. - Note sur quelques
centres
sympathiques de la moelle épinière. M. LAIGNEL-
négatives, pour lesquelles seules existe une terminologie. , Ces
centres
fonctionnels sont : les centres scopostheniques c
es existe une terminologie. , Ces centres fonctionnels sont : les
centres
scopostheniques chargés de la régie du regard,
statisllcéniques, qui régissent les attitudes de sustentation ; les
centres
hypniques et tonostatiques régulateurs de l'état
e l'état du som- meil, de la tonicité générale et des réflexes; les
centres
myosthé- niques, angiosthéniques, cardiosthérzi
ues, pneumosthéniques, gas- Iroslhéniques, entérosthéniques . Les
centres
manostatiques, hygrostatiques, thermostatiques ma
e la pression, de l'hydratation, de la température intérieures. Les
centres
encratiques commandent les sécrétions internes
es affres viscérales, celles de la fatigue, l'anxiété générale. Les
centres
diacritiques internes commandent les sécrétions
internes commandent les sécrétions muqueuses, lymphatiques ; et les
centres
diacriti- ques externes, le drainage sudoral, u
: Hystérie (troubles trophiques) ou tuberculose (intoxication des
centres
trophiques par les produits microbiens). Potien
es, habitués ou exploiteurs des asiles, si nombreux dans les grands
centres
urbains. Pour ces différentes catégories de mal
st du mouvement en puissance ; 3° le feuillet externe constitue les
centres
nerveux : cerveau et moelle épinière ; les orga
ations psycho-motrices dont' ce mouvement fixe l'empreinte dans les
centres
psychiques, d'où la nécessité de bien connaître
re part, la succulence faciale est l'indice d'une participation des
centres
vaso-moteurs. Il s'agit d'un ft'op/ioedèmesymptom
un ft'op/ioedèmesymptomatique qu'on peut rattacher à une action des
centres
sympathiques. On peut songer aussi à un angiosp
ics du jeune âge, ce qui s'explique par l'infériorité organique des
centres
et des conducteurs nerveux chez les vieillards.
is vers le côté portant et de maintenir la verticale passant par le
centre
de gravité du corps en dedans du pied de ce côt
ntré expérimentalement pour la jambe, chez le chien, des véritables
centres
musculaires. Pour la cuisse, les lésions sont m
. Si l'on tient compte de ces recherches on doit admettre que : les
centres
des muscles de la face postérieure de la jambe
jambe sont placés en dedans de ceux de la région antéro-externe. Le
centre
du jambier antérieur est le plus haut situé de
. Le centre du jambier antérieur est le plus haut situé de tous les
centres
des muscles de la jambe. Celui des deux jumeaux
du plantaire grêle, du jambier postérieur et des fléchisseurs. Les
centres
des premiers sont placés plus bas que ceux du j
jambier antérieur et des extenseurs des orteils. Pour la cuisse, le
centre
du quadriceps occupe le grou- pement externe du
turier, le groupement antéro-externe du premier de ces segments. Le
centre
du grand adducteur occupe le groupement central
ème segment. Dans la partie centrale du troi- sième se trouvent les
centres
des deux premiers adducteurs et du SOCIÉTÉS SAV
ours d'un diagnostic facile d'avec ceux dont l'origine est dans les
centres
nerveux; d'autant moins qu'ils peuvent exister
en 1904. L'histologie a été confiée à F. Henneguy, l'ana- tomie des
centres
nerveux à Van Gehuchten, la physiologie du syst
proprement parler, veille ou sommeil, il y a un engourdissement des
centres
corticaux et c'est à cet état que il. Sollier a
nambulisme sont des manifestations identiques d'un même trouble des
centres
nerveux : tous les somnambules ne sont pas des
la direction de la macula de l'oeil sain. Il a pour ainsi dire deux
centres
de perception de l'espace : .le sien, celui des
bilité. Ainsi, pour provo- quer le mouvement d'une extrémité par le
centre
psychomoteur, après l'attaque d'épilepsie, on a
ifications terminales des fibres inhibitrices du coeur, et celui du
centre
inhibiteur du bulbe chez les chiens nouveau-nés.
dès le quatrième jour le développement des fibres s'effectue. Le
centre
inhibiteur bulbaire existe déjà chez le chien nou
illeurs 336 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. des
centres
inhibiteurs sont en général faiblement développés
t développés chez les chiens nouveau-nés ; ils n'ont presque pas de
centres
inhibi- teurs corticaux. Ainsi s'expliquent l
biceps para, celle du triceps par b ; le processus psychomoteur du
centre
du biceps par a', celui du centre du triceps pa
b ; le processus psychomoteur du centre du biceps par a', celui du
centre
du triceps par b'. Quand je dis au catatonique
le du triceps di- minue (b - y) ; il doit alors se produire dans le
centre
cortical du biceps et' + x, et dans le centre c
s se produire dans le centre cortical du biceps et' + x, et dans le
centre
cortical du triceps bi - y. Or l'écorce étant d
s, il arrive aux conclusions suivantes. Les lésions corticales du
centre
de la jambe et les lésions sous- corticales du
corticales du centre de la jambe et les lésions sous- corticales du
centre
du bras se traduisent par des troubles de la mo
be lorsqu'il se produit une des- truction modérément étendue de son
centre
cortical ; c, des acci- dents irritatifs et des
rapide. 11 y a lieu de penser à une altération ancienne de certains
centres
dont dépen- dent les phénomènes de contracture
é exclusivement, leur extension en rapport avec la localisation des
centres
des membres dans l'écorce, l'absence de convuls
un moindre degré : cette marche cor- respond à la localisation des
centres
moteurs de l'écorce. Or, on a trouvé des kystes
interdira tous les exercices qui conges- tionnent spécialement les
centres
nerveux ou qui exposent à des chutes sur la têt
rines, augmenter la tonicité générale de l'organe, etc. L'action du
centre
d'un hémisphère est indépendante de celle de l'
sont plus énergiques, il s'ensuit que la couche optique renferme un
centre
plus puissant que l'écorce. Quelques expériences
rer dans la partie antérieure de la couche optique l'existence d'un
centre
d'arrêt des contractions utérines. III. L'excit
du bout périphérique. Le plexus hypogastrique agit également. Les
centres
automatiques de l'utérus sont donc subordonnés au
t. Les centres automatiques de l'utérus sont donc subordonnés aux
centres
supérieurs cérébrospinaux qui peuvent en renforce
orcer ou en entraver les contractions, mais par l'intermédiaire des
centres
pro- pres de cet organe. P. KERAVAL. LXXII. C
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 397 bout périphérique même isolé du
centre
que je trouve des fibres régénérées composées d
nstaté le rétablissemeni par la cicatrice de la continuité avec les
centres
nerveux expliquant les fibres néofor- mées, et
permettrait d'attribuer aux foyers sous-corticaux, c'est-à-dire aux
centres
sous-corticaux, la faculté de provoquer des con
rcules quadrijumeaux, non seulement des faisceaux moteurs, mais des
centres
moteurs qui commandent aux muscles des membres,
. Il est pour le moment impossible de dire si l'excitation de ces
centres
donne directement naissance aux convulsions de gr
musculaires isolés, ou si elle actionne, par mécanisme réflexe, les
centres
corticaux. Mais nos connaissances physiologiques
ettent d'exprimer l'opinion que voici. On sait que l'excitation des
centres
de l'écorce engendre des convulsions qui survie
de la région des tubercules quadrijumeaux, l'excitation directe des
centres
moteurs qui occupent celle région est susceptib
ces convulsions se peuvent généraliser sous l'action directe de ces
centres
sous-corticaux ou par excitation réflexe des ce
directe de ces centres sous-corticaux ou par excitation réflexe des
centres
corticaux.. Il y a lieu de croire à l'intervent
esinger, ou au faisceau moteur du Ruban de Reil de Hoche, émané des
centres
olfactifs, optiques, auditifs, sensitifs du cer
. LXXVII. De l'action des rayons du radium sur l'excitabilité des
centres
psychomoteurs; par M. N. JUUKOIVSKY. (Oboz ? ,éni
que les rayons du radium augmentent l'excita- bilité électrique des
centres
psychomoteurs. Il faut, après l'action du radiu
es conducteurs ner- veux détruits, de l'intégrité mieux assurée des
centres
, de la régénération plus complète des nerfs sec
adictoires, que les filaments terminaux d'un nerf moteur séparé des
centres
dégé- nèrent jusqu'à leur dernière terminaison.
it pas encore en droit d'affirmer qu'à chaque muscle corresponde un
centre
spécial dans la moelle, les recher- ches exposé
le résultat d'un phénomène d'arrêt, d'inhibition ou de sommeil des
centres
cérébraux. L'anesthésie est la marque, le sigil
cérébraux. L'anesthésie est la marque, le sigillum de cet arrêt des
centres
corticaux; elle disparaît lorsque ces centres r
llum de cet arrêt des centres corticaux; elle disparaît lorsque ces
centres
reprennent leur activité pour réapparaître dès qu
ionner. Pour réveiller un hystérique c'est- à-dire pour ramener ses
centres
cérébraux à l'activité, il faut agir directemen
n évidence (existence d'une cénesthésie cérébrale, détermination de
centres
viscéraux, etc.) G. DENY. revue DE pathologie m
ssortir que l'angoisse peut apparaître dans deux cas : 1° Quand les
centres
nerveux qui com- mandent ce syndrome sont direc
and une affection quelconque retentit par influence sur ces mêmes
centres
. Au point de vue du diagnostic, il est intéress
icale, point de départ de l'état comi- tial, prédomine au niveau du
centre
du langage. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 419
ralysies sont le résultat de l'action du poi- son tétanique sur les
centres
de la moelle allongée et de la protu- bérance.
es fibres sensitives des deux nerfs de la cinquième paire jusqu'aux
centres
mésocéphaliques et qu'elle ait ainsi pro- voqué
arées à des fonctions plus déli- cates. Il en serait ainsi pour les
centres
moteurs du membre supé- rieur. ' G. C. XCVIII
pathogénique, les auteurs tendent à admettre la théorie reflexe, le
centre
de réflexion est au niveau REVUE DE PATHOLOGIE
ste ramollissement de l'hémisphère gauche intéressant à la fois les
centres
moteurs et les centres du langage, particulièreme
'hémisphère gauche intéressant à la fois les centres moteurs et les
centres
du langage, particulièrement le lobe temporal.
le plus grand rôle aux compressions exercées par la tumeur sur les
centres
nerveux, en particulier sur le tuber cinereum q
nerveux, en particulier sur le tuber cinereum qui contiendrait des
centres
dont la lésion donne lieu à la glycosurie. G. C
it la fragilité anor- male, fragilité congénitale probablement, des
centres
trophiques- 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
hypothétiques de la trophicité conjonctive doivent siéger près des
centres
trophiques des muscles et des centres vaso- mot
ctive doivent siéger près des centres trophiques des muscles et des
centres
vaso- moteurs, vraisemblablement à la base et à
. D'origine au- l'lculalre, par Bonmer, 71. ACC011110DArI0\. Voir
Centres
cor- ticaux. AcnlloMATOPsIE. Voir Jlonochroln
avec agraphie : par Thomas, 74. Voir' Surdité. Voir Paralysie.
Centres
nerveux. Voir Kyste. Des corticaux de l'accommo
e de -, par Guil- liarovsky, 172. Kyste. Un cas de dermoide des
centres
nerveux, par Raymond et Courtellemont, 76, La
nctions motrices de la épinière, par Sano, 235. Kote sur quelques
centres
sympa- thiques de la - épinière, par Laignel-
reste de la substance cérébrale. Les diverses coupes du cerveau (
centre
ovale, coupe verticale et transversale) montren
entent une coloration grise manifestement plus foncée que les mêmes
centres
du lobe op- posé et que le reste de la substanc
ne paralysie motrice, parce que ces circonvolutions constituent les
centres
moteurs ; mais elle n'engendre que des troubles
hémianesthésie chez notre malade ; effectivement, s'il n'y a pas de
centres
sensitifs à proprement parler, il existe une zo
e. Dirigé en dehors, il intéresse la substance blanche au niveau du
centre
ovale de Vieussens, sur une étendue transversal
re avec tous leurs détails anatomiques, les cas de lésions de ces
centres
et d'en déterminer exactement les limites. Dans n
e exclusi- vement motrice : ces régions de l'encéphale sont doncies
centres
uniquement moteurs et nullement sensitifs. Bi
e faisceau pyramidal peut être poursuivi jusque dans l'épaisseur du
centre
ovale, et même jusqu'à la couche corticale »(Ch
ons sur les localisations. ;1 Pitres. Recherches sur les lésions du
centre
ovale des hémisphères cérébraux étudiées au poi
ales. Paris, 1878. M PATHOLOGIE NERVEUSE. blanche sub-jacente aux
centres
corticaux, donnent lieu aux mêmes symptômes loc
, donnent lieu aux mêmes symptômes localisés que les lésions de ces
centres
eux- mêmes. Or le ramollissement a détruit, dan
es centres eux- mêmes. Or le ramollissement a détruit, dans ce même
centre
ovale, justement la portion de l'espace sous-ro
téraux ou des faisceaux de Tiirck) ; 5° Qu'une lésion en foyer du
centre
ovale, lésion étendue et peu éloignée du pied d
ronostic. Si l'on admet comme possible cette dégénéres- cence des
centres
nerveux, on admet du même coup son hérédité. Le
eur des diverses modifications signalées pour certains cas dans les
centres
nerveux. Si l'on veut parler de lésions gros- s
glion dorsal antérieur, qui en est indépendant, persiste; il est le
centre
du faisceau de la calotte qui demeure conservé
existence d'un foyer excitant la région protubérantielle voisine du
centre
respi- ratoire. Car il est évident que cette su
ces sur le mécanisme du fonctionnement 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. des
centres
nerveux. (Cette communication n'a été que le résu
groupe, on trouve l'hérédité névropathique, le surmè- nement des
centres
nerveux, etc. Si on analyse soigneusement un ne
ntrale de l'appareil optique, pouvant s'étendre en arrière jusqu'au
centre
cortical de la vision dans un hémisphère. L'o
ties les plus reculées de l'appareil optique, depuis les premiers
centres
optiques (tubercules quadrijumeaux antérieurs, co
s (tubercules quadrijumeaux antérieurs, corps genouillés) jusqu'aux
centres
visuels de l'écorce des circonvo- lutions. A
a même, pour fournir une solution au problème de la localisation du
centre
visuel cortical chez l'homme. Pour abréger, j
ent produire l'hémiauopsie indirectement en comprimant les premiers
centres
optiques ou les bandelettes optiques et le chia
e, surdité verbale). 5. Qu'une lésion plus étendue, comprenant le
centre
de la parole, les circonvolutions motrices et l
hes physiologiques les plus récentes au sujet de la localisation du
centre
visuel cortical et des faisceaux blancs en conn
utorité. Le premier a toujours enseigné que les aires visuelles, ou
centres
de la vision psychique, sont dans les lobes occ
re les mains du professeur John C. Dalton '. Ferrier croyait que le
centre
visuel se trouvait dans le gyrus angularis. Voi
eux yeux, s'il reste seulement des deux côtés quelques portions des
centres
visuels intactes. On voit que les résultats de
expliquer les résultats de Ferrier sans -admettre l'existence d'un
centre
visuel cortical dans le gyrus angularis. C'est
ent le faisceau optique et coupe ainsi toute communication entre le
centre
visuel et les yeux. Je fais passer sous vos yeu
schéma bien connu des trajets des fibres optiques de la rétine aux
centres
visuels représente une seconde décussation des
u faisceau latéral croisent encore la ligne médiane de façon que le
centre
visuel reçoit des fibres des deux rétines. Cet
s bien, en concordance avec les idées de Munk sur la physiologie du
centre
visuel, avec ce que nous connais- sons de l'ana
L, 0., lobes optiques (tubercules qundriumenuxJ. - P. 0. C., premiers
centres
optiques, comprenant le lobe optique, le coi l)
it. - C, u.. coin et circonvolutions sous-jacentes cons- tiluant le
centre
v isuel cortical chez l'homme. - Les lignes grass
se, est due à l'altération d'une bandelette optique ou des premiers
centres
visuels d'un côté. Ce diagnostic peut être en
ou comprimer le faisceau optique dans son trajet en arrière vers le
centre
visuel. 7. L'hémianopsie latérale seule, sans t
IQUES sur les RAPPORTS QUI RELIENT LA SPHERE VISUELLE (de Munk) AUX
CENTRES
OPTIQUES INFRACORTICAUX ET AU NERF OPTIQUE ; pa
du premier mémoire sur des chats et lapins nouveau-nés (ablation du
centre
visuel chez des chats expériences IV et V) en m
elle s'unit presque exclusivement avec les portions la- térales des
centres
optiques infracorticaux ; sa partie latérale s'un
x ; sa partie latérale s'unit plutôt avec des portions médianes des
centres
optiques infracorticaux. En ce qui concerne les
édianes des centres optiques infracorticaux. En ce qui concerne les
centres
optiques primaires, la zone As plus de rapports
n avec les deux faisceaux d'une manière assez égale. L'atrophie des
centres
optiques primaires présente à peu près les même
premier, le tubercule biju- meau antérieur joue certainement, comme
centre
optique, un rôle bien plus saillant que chez le
canisme nerveux central, leurs attitudes doivent refléter l'état du
centre
nerveux. Dans le court travail qui nous occupe,
s l'association des deux théories rivales, et que, quel que soit le
centre
actif, le conscient et l'inconscient co-existen
s ne pouvons nous tromper : l'intégration et la réintégra- tion des
centres
nerveux sont absolument inconscientes. Nul « n'
cette loi, qui s'applique parfaitement à l'activiié psychique des
centres
corticaux n'est pas moins vraie pour les centres
viié psychique des centres corticaux n'est pas moins vraie pour les
centres
subor- donnés, tels que le centre sensori-moteu
x n'est pas moins vraie pour les centres subor- donnés, tels que le
centre
sensori-moteur et le centre spinal : nous ne po
les centres subor- donnés, tels que le centre sensori-moteur et le
centre
spinal : nous ne pouvons le suivre dans cette a
K canisme propre à la décharge, sont directement transmises aux «
centres
céphaliques : ce n'est que par suite de complicat
uveaux mécanismes « s'organisent et se fortifient. e II. Dans les
centres
sensori-moteur (qui fonctionnellement « agissen
ions exté- « rieures et intérieures qui éveillent l'activité de ces
centres
, cette « activité n'est pas réduite, comme pour
ons qui sont les mêmes « que celles qui régissent la conscience des
centres
sensori-moteur « et spinal. « IV. Finalement,
la dissolution plus rapide. XIV. CONTRIBUTION A la localisation DU
CENTRE
ANO-VSICAL DE LA MOELLE ÉP1N1$DE DE L'HOnIME; p
s du cône que M. Kir- chhoff rattache les accidents anovésicaux; le
centre
de ce nom siégerait, pour lui, à la région dont
commence à les rencontrer dans la partie inférieure de celle- ci au
centre
même de la substance grise, tandis que, lorsqu'on
autale entreie sopor et le sommeil. Ces phénomènes d'excitation des
centres
inférieurs ne sont pas tout à fait constants, m
tation. Ces deux pro- priétés témoignent de l'hyperexeitabilité des
centres
moteurs; leur puissance de travail est plus gra
ment monotone prouve le cantonnement de l'ex- citation dans un même
centre
et le défaut de transmission au centre voisin.
'ex- citation dans un même centre et le défaut de transmission au
centre
voisin. (Voy. le mémoire d'Unverricht) i. Le sopo
. X, p. 259 et 231. ' Id., t. IX, p. 79. SOCIÉTÉS SAVANTES. 317
centres
; ces arrêts expliquent une grande partie du défic
contraire, résulte d'une interruption de la conductibilité entre le
centre
et la péri- phérie : déficit de la motilité par
facultés psychiques ne participent guère à leur genèse, et que les
centres
nerveux moteurs entrent seuls en jeu pour les pro
ion profuse de l'idéogénèse, despares- thesies ; en un mot tous les
centres
psychiques et nerveux peuvent donner naissance
noyaux du bulbe. Au microscope, comme à l'oeil nu, intégrité des
centres
nerveux : les nerfs périphériques, et en particul
pavillons de chacun 10 lits (cubage, 1,000 mètres cubes d'air); au
centre
, des chambres d'isolement; des cellules, des li
cylindre-axe n'est jamais interrompu et reste en relation avec les
centres
. Les modifications subies par la myéline débute
s intermédiaires. En outre elles procèdent de la périphérie vers le
centre
de la gaîne de myéline, alté- rant d'abord les
rée. La partie ainsi désorganisée constitue une sorte de manchon au
centre
duquel persiste un cordon de myéline encore int
a diminution de l'excitabilité faradique des muscles paralysés. Les
centres
nerveux, cerveau et moelle, sont dans un état d
, cl le. tube nerveux, dit-il, n'étant plus sous l'influence de ses
centres
trophiques qui seuls peuvent maintenir son inté
s points du système nerveux, tout aussi bien sur les nerfs que le
centre
spinal ». Dans le fait que nous avons rapporté
amas arrondis, assez bien délimités, qui contiennent souvent à leur
centre
un gros noyau et ne sont pas sans offrir quelqu
se entraîne à sa suite la dégénération desfibres sé- parées de leur
centre
trophique. Or, l'interruption du cy- lindre-axe
dant il n'en est rien, les portions du tube nerveux isolées de leur
centre
conservent leur inté- grité apparente. L'interr
a fibre ner- veuse souffrent en apparence de cette séparation des
centres
réputés trophiques. Ainsi qu'il ressort encore
tives, c'est-à-dire sans rela- tion avec une lésion primordiale des
centres
nerveux, 1 Gombault. Sur les lésions de la névr
s, a, et transformée en une matière granuleuse d'un gris cendré. Au
centre
, persiste un cordon, 4, de myéline homogène, en
en collaboration avec Berger, il ajoutait aussi une irritation des
centres
réflexes subcorticaux. Bubnoff et Heidenhain'
a question est celle que voici : on peut se demander s'il y a des
centres
spéciaux d'inhibition, dont l'unique fonction s
ue fonction serait d'empêcher ou d'arrêter les fonctions d'autres
centres
ou des organes de la terminaison, etc.; ou bien
ou des organes de la terminaison, etc.; ou bien il n'y a pas de ces
centres
et l'action d'apparence inhibitive n'est que l'
inhibitive n'est que l'effet des actions opposées, et en casque ce
centre
agiterait à lui seul, il aurait une fonction d'
rts; dans ce cas, je crois qu'il est bien sûr que ce n'est pas le «
centre
d'inhibition » qui est en action. Dans ce cas,
ent, pour moi, ce n'est pas une raison suffisante pour supposer des
centres
inhibitifs. Bubnoff et Heiden- hain supposent q
laire d'une direction contraire à celle du mouvement. S'il y a des
centres
d'inhibition, leur action exige un double trava
ion, prouve que, dans l'état produit par le poison, l'irritation du
centre
continue aussi après l'en- lèvement des rhéopho
ps relativement très long; en con- séquence, on peut dire que leurs
centres
' restent pour quelque temps au degré de l'irri
il se contracta un peu. Ce cas, je crois, a eu lieu alors quand le
centre
, dans sa conscience troublée par le morphium, p
tance corticale des zones motrices, même en laissant intacts les
centres
subcorticaux : l'extrémité correspon- dante ne
ire) traitée par Ricord; plus tard, traitement de la syphilis des
centres
nerveux appliqué par Charcot, Fournier, Doyon (
ance, avec quelques rares corps amyloïdes. Rien à noter du côté des
centres
gris et des 410 RECUEIL DE FAITS. ventricules
épendymaire du prolongement postérieur du ventri- cule latéral. Les
centres
gris paraissent normaux. Pas d'épanchement dans
opsie, on trouva un vaste foyer de ramollissement dans la région de
centre
ovale sous-jacente à la région corticale motric
amp visuel en question aune action que le courant exercerait sur le
centre
du bulbe et d'attribuer à l'un des genres de co
n anormale, petites hé- morrhagies, zones transparentes grises : le
centre
de l'organe est occupé par un néoplasme caverne
hénomènes de contiôle et d'inhibition qui s'exercent de la part des
centres
les plus élevés sur les confies intérieurs plus
(de là, compression et écrasement.local), sans pouvoir agir sur les
centres
. L'action thérapeutique ne saurait donc survivr
erruption périphérique; il faudrait pouvoir modifierla nutrition du
centre
dont provientlaconvulsion. P. K. III. Injecti
on cérébrale en agissant « directement sur la nutrition de ceux des
centres
qui, soit phy- « siologiquement, soit organique
hardie ! L'image est un phénomène qui résulte d'une excitation des
centres
sensoriels corticaux.[Bain avait déjà émis cett
arois vasculaires, la disparition souvent complète de la myéline au
centre
des îlots de sclérose, constituent, au point de
(traitement), par Storch, 293. Moelle épinière (localisation du
centre
ano-vésical dans la), par Kirchholf, Hï3; - (an
du champ), 424, 42ï. Visuelle (sphère), ses relations avec les
centres
optiques infra-corti- caux et le nerf optique,
s, a, et transformée en une matière granuleuse d'un gris cendré. Au
centre
, persiste un cordon, b, de myéline homogène, en
e de tel ou tel toxique. Y aurait-il spécificité élective pour des.
centres
déterminés ? On ne sait. Les délirants mystiq
relatives à l'aphasie corticale, en fit un trouble fonctionnel des
centres
corticaux. « L'hallucination serait aux altérat
des centres corticaux. « L'hallucination serait aux altérations des
centres
sensoriaux ce que les mouvements épileptoïdes s
res sensoriaux ce que les mouvements épileptoïdes sont à celles des
centres
moteurs. » Cette opi- nion est acceptée par Ség
elles touchent à des fonctions pour lesquelles concourent plusieurs
centres
corticaux. Il en est ainsi, pour le langage, pr
langage, produit d'une longue éducation et synthèse de fonctions de
centres
superposés ; le trouble hallucina- toire peut p
tions psycho-motrices. Si « l'hallucination est aux altérations des
centres
sensoriaux ce que les mouve-- ments épileptoïde
sensoriaux ce que les mouve-- ments épileptoïdes sont à celles des
centres
moteurs », l'étude de la paralysie générale, do
plus d'un an. Leur association étroite avec un état d'éréthisme des
centres
mas- ticateurs : l'hallucination motrice verbal
méningo-encé- phalite intéressant le pied de la troisième frontale (
centre
moteur verbal) et l'extrémité inférieure de la
moteur verbal) et l'extrémité inférieure de la frontale ascendante (
centre
masticateur). Dans une thèse récente sur les
par une prédominance des altérations patholo- giques au niveau des
centres
psycho-moteurs, et notamment des centres sensor
lo- giques au niveau des centres psycho-moteurs, et notamment des
centres
sensorio-moteurs verbal et masticateur (interpré-
contradiction avec le défaut des lésions anatomo- pathologiques des
centres
corticaux et notamment des centres incriminés p
sions anatomo- pathologiques des centres corticaux et notamment des
centres
incriminés plus haut chez les hallucinés psycho
inations psycho-motrices dans les cas de lésions microscopiques des
centres
psycho- moteurs verbaux chez la plupart des par
« Il ne suffit pas, pour produire une hallucination, d'activer un
centre
sensoriel par une lésion irritative, quelque chos
on irritative, quelque chose de plus est nécessaire, il faut'que ce
centre
soit modifié, il faut qu'il' soit préparé d'une
d'énergie propre, auto- nome, ou si ces corpuscules ne sont que des
centres
de force et des stations d'embranchement pour l
roit qu'elle est sous la dépendance d'un arrêt de développement des
centres
nerveux qui aurait été lui-même la cause des ré
s muscles périarticu- laires, notamment du deltoïde. Syphilis des
centres
nerveux chez les indigènes de l'Algérie. , M. S
digènes de l'Algérie. Par contre, les accidents syphi- litiques des
centres
nerveux y sont très rares. La paralysie général
olue dans ce sens. Qnant aux lésions gommeuses et aux artérites des
centres
nerveux, les quatre cas observés se divisent ai
nt SOCIÉTÉS SAVANTES. 59 des accidents nerveux. Si les gommes des
centres
sont rares, par contre, le tertiarisme est comm
nsiste essentiellement, enseigne Edinger, dans la superposition aux
centres
inférieurs de nouveaux appa- reils qui en parti
partie relient entre eux les anciens, en partie créent de nouveaux
centres
et de nouvelles voies d'associa- tion. ' Tout
tions des vingt dernières années ont démontré que ce la plupart des
centres
et des appareils d'as- sociation s'étendant de
t étu- dier les réactions d'un animal décortiqué : l'activité des
centres
inférieurs de l'encéphale, masquée naturellement
lisation de synergies et de coordinations psychiques dont l'écorce,
centre
nouveau superposé aux anciens, a hérité simplem
ués du système nerveux cen- tral. » Quels sont ceux de ces derniers
centres
qui se sont reliés aux plus anciens territoires
lités d'association des ébranlements nerveux pro- pagés jusqu'à ces
centres
par un nombre relativement petit de fibres affé
s supérieurs, tels que les mammifères. Sans doute, les différents
centres
d'association constituant cet appareil suivront
'association constituant cet appareil suivront le développement des
centres
de pro- jection, développement en rapport avec
a corticalilé devront être modifiées en ce sens pour l'histoire des
centres
d'association, ainsi que l'avait déjà pressenti
e, notre connaissance des connexions de l'écorce cérébrale avec les
centres
inférieurs et de celles des différents territoi
re comparée, dans la série des vertèbrés, des organes des sens, des
centres
de projection et des appareils d'association de
e d'organes tributaires, quant à leurs fonctions, de l'exislence de
centres
de projection. Que l'élaboration des sensations
de la région lombaire et allant en décroissant de la périphérie au
centre
. Les méninges contenaient également un nombre c
x et diversement éloignés les uns des autres. P. KERAYAL. XI. Des
centres
myosiques et accommodateurs de l'écorce céré- b
a scissure perpendiculaire externe (pariéto-occipitale externe), un
centre
, dont l'excitation détermine le rétrécissement
emporal supérieur, c'est-à-dire sur le pli courbe, existe un second
centre
de rétrécissement des pupilles, avec déviation
déviation des yeux en haut et un peu du côté opposé. Ce sont deux
centres
myosiques, à innervation bilatérale, l'exci- ta
s, quoique à un moin- dre degré. Chacun d'eux a, il côté de lui, un
centre
dilatateur des pupilles : l'un d'eux occupe le
diverger les axes oculaires, comme pour la vision de loin. Tous ces
centres
possèdent manifestement des relations directes
idération pour juger des réflexes psychiques de ilaab et Pilz. Le
centre
dilatateur des pupilles qui occupe le bord antéri
yeux ; du moins dans son voisinage immédiat doit-il se trouver un
centre
destiné à l'accommodation. l31clitzl;i vient de l
obes occulaires. Si l'on faradise le cerveau, on cons- tate que les
centres
de l'accommodation du chien sont situés dans le
s. Toutefois, il faut admettre, en outre, une hyperexcitabilité des
centres
algiques et vaso-moteurs dont l'origine, selon
culaires, les auteurs ne pensent pouvoir invoquer une paralysie des
centres
ou des nerfs vaso-constricteurs qui réagissent
hypotonicité du système vaso- constricteur et hyperexcitabilité des
centres
vaso-dilatateurs. L'érythromélalgie serait donc
avec des doses plus élevées et s'accompagnent alors de lésions des
centres
nerveux. Contrairement à l'opinion de Cybulsk
iratoires, circulatoires, thermiques et nerveux, et aux lésions des
centres
nerveux, l'auteur reconnaît qu'il est difficile
que probablement une instabilité - chimique très accentuée dans les
centres
nerveux. 3° Chez une - telle malade l'apparitio
ctionnelles, dépendant d'une activité moléculaire pathologique. des
centres
nerveux, et nullement de grandes modifications de
trois névroses doit être cherchée dans une instabilité chimique des
centres
nerveux et une tendance consécutive de la part
e des centres nerveux et une tendance consécutive de la part de ces
centres
à une activité et à-un fonc- tionnement chimiqu
bras et origo dans l'écorce céré- - braie, C'est le métabolisme des
centres
nerveux, et non pas le 'métabolisme du sang, qu
diquant un trouble de fonction ou.un défaut d'association dans les.
centres
les plus élevés, probablement dans le gyrus forni
de l'ouïe : le plus souvent défectuosité d'association ou autre des
centres
les plus élevés; lobes temporo-sphénoïdaux. Mêm
olie, difficulté d'imiter des mou- vements nouveaux (altération des
centres
supérieurs); dans la manie aiguë avancée, impos
: 1° Aphémie ou impossi lité de parler par suite d'une affection du
centre
de coordinati des muscles producteurs du son ar
ction qui agit sur la faculté du langage en abaissant l'énergie des
centres
du mouvement et dela mémoire. Ordinairement,
rition régulière des divers organes, arrivent par là à surmener les
centres
nerveux régulateurs de l'activité organique, et
aire, il existe des symptômes qui indiquent une atteinte portée aux
centres
ner- veux, ou tout au moins la prise en commun
rtée aux centres ner- veux, ou tout au moins la prise en commun des
centres
et des troncs nerveux. La névralgie sus-orbitai
tégration lacunaire dans le putamen. Etat criblé, disséminé dans le
centre
ovale, Dégénération pyramidal gauche. Intégrité
re la prolifération névroglique se faisant de la périphérie vers le
centre
et rompant les neurondes. Hémispasme et tortico
- l'appareil cortical de la vision binoculaire. Pour nous, avec le
centre
monoculaire gauche pour la vision droite, et le
ous, avec le centre monoculaire gauche pour la vision droite, et le
centre
monoculaire droit pour la vision gauche, on peu
e premier stade, il y a amaurose monoculaire complète, c'est que le
centre
monoculaire correspondant est perdu (peu import
tade, le sujet peut récupérer tempo- rairement la conscience de son
centre
monoculaire amblyope, et cela ne se traduit pas
simultanée et la vision dissociée. Si la récupération consciente du
centre
monoculaire am- blyope est vraiment complète, e
re vraie intermittente. 3° Enfin, si cette récupération complète du
centre
mono- culaire amblyope, au lieu d'être intermit
qu'ils doivent rentrer dans la loi commune. S'il y a vraiment un
centre
pour la vision binoculaire, ce ne sont pas les
a limite supérieure du cône médullaire immédiatement au-de-sus du
centre
ano-vésical, lequel est au niveau de la sortie de
s ainsi conges- tionnés, ne partait une impulsion afférente vers le
centre
d'inhibi- tion du coeur, et si ce centre, réflé
mpulsion afférente vers le centre d'inhibi- tion du coeur, et si ce
centre
, réfléchissant l'onde nerveuse dans le sens opp
ue aux altérations plus ou moin profondes du pneumogastrique et des
centres
bulbaires. Comme dans lés maladies infectieuses,
o acuto bacillare), dans laquelle on retrouve dans le sari,, et les
centres
nerveux le bacille particulier qu'ils ont décri
aire qui permettrait de provoquer une décompression favo- rable des
centres
nerveux, en même temps qu'elle rendrait pas-' s
n s'exerçant , un peu on arrive à écrire couramment. L'éducation du
centre
pour .SOCIÉTÉS SAVANTES. 267 Î l'écriture dro
ré. 8. Contribution à l'étude de l'amusie et de la localisation des
centres
musicaux (9 février 1900) ; par le Dr Bronislaw
iveaux et à des profondeurs variables d'un cas à l'autre, tantôt au
centre
, tantôt à la périphérie du faisceau des radicel
nt répéter les mots, l'arc réflexe infé- rieur du langage, avec les
centres
de Wernicke et de Broca et avec leurs conducteu
rnicke et de Broca et avec leurs conducteurs, n'est pas altéré. Ces
centres
sont séparés du centre de la compréhension obje
leurs conducteurs, n'est pas altéré. Ces centres sont séparés du
centre
de la compréhension objective (centre d'associati
. Ces centres sont séparés du centre de la compréhension objective (
centre
d'association posté- rieur de Flechsig), car le
'observation I. Les deux observations prouvent que les faisceaux du
centre
de Wernicke, qui vont au centre d'association p
tions prouvent que les faisceaux du centre de Wernicke, qui vont au
centre
d'association postérieur, et, de ce dernier au
, qui vont au centre d'association postérieur, et, de ce dernier au
centre
de Broca, que ceux du centre des images visuell
ion postérieur, et, de ce dernier au centre de Broca, que ceux du
centre
des images visuelles des lettres et des mots (pli
images visuelles des lettres et des mots (pli courbe), qui vont au
centre
moteur de l'écriture (2e circonvolution frontale)
t au centre moteur de l'écriture (2e circonvolution frontale) et au
centre
de Broca, et servent à l'écriture et à la lecture
de symptômes qui ne se rencontrent dans aucune lésion localisée des
centres
nerveux, et c'est cette dis- cordance symptomat
La pathogénie doit en être recherchée dans une dérivation sur les
centres
nerveux de l'excitation sexuelle non satisfaite.
. D'où il suit que l'hérédité consanguine, ainsi favorisée dans ces
centres
de population stagnante, a dû progresser dans u
lontaires se fait presque exclusive- ment par les voies longues; le
centre
de ce tonus peut être loca- lisé dans le mésocé
e singe, l'importance des voies longues est plus grande encore ; le
centre
du tonus volontaire peut être placé à la fois d
s de transmettre les courants toniques des muscles volontaires ; le
centre
de ce tonus est exclusivement cortical (fig. 4)
le, des réflexes se réduisent à l'axè réflexe élé- mentaire ; leurs
centres
médullaires sont inhibés par les centres supéri
lexe élé- mentaire ; leurs centres médullaires sont inhibés par les
centres
supérieurs ; 2° chez le lapin et chez le chien,
320 SOCIÉTÉS SAVANTES. se font encore par les voies courtes ; leurs
centres
médullaires sont inhibes par le cerveau et le c
SOCIÉTÉS SAVANTES. 321 1 rent normalement les voies longues, leur
centre
principal est mésocéphalique ; certains réflexe
nsifs rapides se font par les voies courtes ; 3° chez le singe, les
centres
des réflexes tendineux Archives, 2° série, t. X
' SOCIÉTÉS SAVANTES. 323 les voies courtes; 4° chez l'homme, les
centres
des réflexes tendi- neux sont basilaires et sou
ar suite de la contracture. On ne saurait dire, par exemple, que le
centre
du tonus est purement cortical. En réalité, le
et c'est ainsi que le nerf labyrinthique et autres agissent sur les
centres
mésocépha- liques dans le maintien normal du to
édul- laire de l'axe cérébro-spinal. Il n'existe pas à mon avis des
centres
réflexes, cenx-ci pouvant se produire à un nive
our déterminer les réflexes sont très défectueux. M. BRI551UD. - Le
centre
des tonus est exclusivement vertical d'après \I
;/> , j g Le réflexe cutané plantaire qui passe sûrement par les
centres
» - nerveux (25 centièmes de seconde) a donc un
troubles vaso-moteurs et de 1,'expression émotive, au détriment des
centres
cérébraux supé- rieurs. Il n'est pas du tout pr
et liabitudes automatiques; il insiste sur la nécessité de créer un
centre
d'arrêt psychique. Il présente deux malades qu'il
ntion et de l'impossibilité d'exercer une action inhibitoire sur un
centre
nerveux. Au chapitre des suggestions hypnotique
de la Société. Des correspondants sont chargés, dans les différents
centres
, de la propagande et de tout ce qui concerne le
la façade, symétriquement. Les trois salles de jour sont placées au
centre
du pavillon ; elles ont vue sur la façade posté
iques qui résultent d'excitations d'origine interne portant sur les
centres
nerveux. Se basant sur la nature de · l'excitat
nt sur la nature de · l'excitation qui met en jeu l'automatisme des
centres
ner- veux, les auteurs ont édifié la classifica
ns, mais l'idée princi- pale à laquelle il s'est arrêté -devient le
centre
commun autour duquel convergent la plupart de s
u pharynx; 6° il semble que le corps pituitaire soit une sorte de «
centre
de l'accroissement » ou de régulateur des pro-
lus; 3° les nerfs qui transmettent les effets'du sti- mulus ; 4° le
centre
de mémoire qui reçoit la totalité de l'impres-
centre de mémoire qui reçoit la totalité de l'impres- sion ; 5° les
centres
de perception qui transmettent à l'intelligence
a place nécessaire pour donner les raisons de cette opinion, que le
centre
de la mémoire qui reçoit l'impression totale es
les couches optiques ; 5° enfin l'impression totale étant amenée au
centre
de mémoire, les différentes parties de cette im
rière, n° 5, 1900.) Examen histologique des différentes régions des
centres
cérébro- spinaux de deux paralytiques généraux
ne tige en bois terminé par un bout en ébonite et renfermant en son
centre
un fil en graphite. En rapport avec le pôle posit
de la sialorrhée peut s'expliquer par l'excitation simul- tanée de
centres
certicaux très voisins. Les lésionszzéuropatlci
lésions cadavériques de l'- par Faure et Laignel-Lavastiiie. 59.
Centres
myosiques et accomo- clateurs de 1 ? par de Bec
semblables à celles que l'on observe dans les régions soumises aux
centres
nerveux organiques. S'il y a un petit ulcère so
ce corticale des paraly- tiques généraux, et ses relations avec les
centres
d'association de Flechsig; par K. Schaffer. (Ne
rritoires des hémisphères que Flechsig a '' désignés sous le nom de
centres
d'association. Siemerling n'a-t-il ' '' pas dit
, , >' Ramon y Cajal vient, d'autre part, de découvrir dans les
centres
sensoriels de l'écorce un plexus spécifique qui
e d. Afenschelz. Bewengugsrinde, ' 1900.) Ce plexus manque dans les
centres
d'association de I'lechsig. ' ; ' L'écorce de l
toires*. de ..l'hémisphère cérébral désignés par Flechsig comme des
centres
d'association. Storch, de. son côté, dans la pa
n léger affaiblissement des fonctions d'association : intégrité des
centres
d'association de Fleclisig; les centres sensori
association : intégrité des centres d'association de Fleclisig; les
centres
sensoriels sont lésés, ce qui entraine des trou
il y a dégénérescence du territoire d'association de Flechsig; les
centres
sensoriels sont relativement épargnés. ' · Ce
e des premières semaines disparut égale- ment, ce qui prouve que le
centre
des muscles du tronc est plus près du foyer que
l'état normal, est souvent devenu ainsi parce que une lésion de ses
centres
nerveux a existé un moment donné. Il a eu la chan
ns ou des rétropulsions comme si le malade ne pouvait assurer son
centre
de gravité que l'on craint, à chaque instant, une
cette tumeur est arrondie, polycyclique, molle, d'aspect caséeux au
centre
, avec quelques dilatations vasculaires à la pér
encéptialo-médullaire, elle a la forme d'une grosse olive placée au
centre
de la calotte des deux pédoncules cérébraux, en
r espace sépare de la couche des cellules néoplasiques, présente au
centre
un vaisseau rempli de sang avec des parois plus o
ect, il en résulte une apparence d'une glande tubulaire, lorsque le
centre
du tube n'est pas occupé par la papille vascula
ait analogue à la structure des papilles que nous avons décrites au
centre
des tubes ; cette pie- mère est recouverte sur
néoplasiques montre que le noyau très allongé est toujours placé au
centre
de la cellule, qu'il est entouré d'un protoplas
action destructive pour les parties du système nerveux envahi. Son
centre
94 CLINIQUE NERVEUSE. · est en effet occupé p
e noyau rouge gauche a été détruit, car sa place est occupée par le
centre
du néoplasme. 1 La fonction de ce noyau rouge e
au rouge est encore inconnue. Nous discuterons plus loin le rôle de
centre
tonique des réflexes qu'on lui a attribué. L'an
ses, l'une excitatrice, l'autre modératrice. La première aurait son
centre
d'origine dans 100 CLINIQUE NERVEUSE. le méso
descendante et par un faisceau rubro-spinal. La deuxième aurait son
centre
d'origine dans l'écorce motrice et parviendrait
us con- trebalancée par l'action modératrice et que la lésion des
centres
d'excitation du tonus musculaire, en parti- cul
peut dire par suite que, chez notre malade, le noyau rouge était le
centre
producteur du tonus. Au surplus, comme l'a indi
des descendant. Chez l'un d'eux le développement irrégu- lier des
centres
nerveux se traduit d'autre part par l'exagé- ra
grandes infections et en particulier de la fièvre typhoïde pour les
centres
nerveux, et l'on peut se demander si l'infectio
e présente pas de troubles nerveux ni de signes d'une affection des
centres
ner- veux. Il offre une asymétrie faciale int
essés. Dans le nystagmus d'origine cérébrale, c'est probablement le
centre
excito-moteur de l'écorce d'où part la volition
our expli- quer le tremblement, dont on a placé la cause dans les
centres
nerveux, les conducteurs, les muscles. a. « Les
dans les centres nerveux, les conducteurs, les muscles. a. « Les
centres
nerveux pourraient provoquer le tremble- ment s
118 PATHOLOGIE NERVEUSE...* ' . tantôt à un état d'excitation des
centres
nerveux. La pre- mière interprétation conviendr
pagne la fatigue, l'anémie, la cachexie. L'excitation exagérée des
centres
ferait que les cellules se déchargeraient en pl
- taines lésions de l'encéphale tend aussi à démontrerle rôle des
centres
nerveux. » En possession de ces connaissances,
talisés que l'on pourra quelque jour se rendre compte de l'état des
centres
nerveux au cours d'une affection somme toute au
s organiques survenues soit dans le trajet sensoriel, soit dans les
centres
nerveux peuvent être à leur tour la cause proch
: il fait partie du groupe des réflexes défensifs rapides dont les
centres
sont intra-médullaires, et par conséquent il do
la suppression de la douleur à une action des anesthésiques sur les
centres
supérieurs et non à une paralysie des centres m
anesthésiques sur les centres supérieurs et non à une paralysie des
centres
médullaires. G. D. XIX. Réflexe plantaire corti
e en revue les divers modes d'intoxication qui peuvent agir sur les
centres
nerveux (toxines des maladies infec- tieuses, d
ient sains, mais congestionnés. Une coupe de la tumeur, près de son
centre
, montre qu'elle est formée d'une masse serrée d
e les excitations émanées des objets, ou à un état pathologique des
centres
de ces nerfs. Les seconds, indé- pendants des o
s par l'état maladif du sujet; ils naissent dans les affections des
centres
nerveux, surtout des cornes postérieures de la
qui se présen- tent chez un seul et même individu : automatisme des
centres
mo- teurs qui produit des actes plus ou moins c
n du chloro- forme et c'est à l'action toxique de cet agent sur les
centres
ner- veux, qu'il faudrait, d'après M. de Buck.
térie ; mais on l'a observée dans certaines maladies organiques des
centres
nerveux. et Déjérine et Thuitant notamment ont
de la première temporale et de la circonvolution supra-marginale (
centre
de l'audition), la décortication détermine la sép
c de paralysie générale. L'existence d'une lésion bien localisée au
centre
de l'audition chez un malade ayant présenté de
précis. L'alter- nance des phénomènes de déficit et d'excitation du
centre
auditif, n'a pas lieu d'étonner davantage que l
s corticaux et plus particu- SOCIÉTÉS SAVANTES. 169 lièrement des
centres
de la région postérieure. Les lésions, elles- m
st rarement excentrique. Le nucléole peut se déplacer et quitter le
centre
du noyau, dans les cas les plus graves, il se r
et la composition du personnel. A. Marie. VI. Analomie clinique des
centres
nerveux ; par le professeur Gras- SET. (Vol. in
le résumé de nos connaissances anatomo-cliniques actuelles sur les
centres
nerveux, pour déterminer ce prélude et cette ba
. Après avoir fait le tableau de l'anatomie clinique générale des
centres
nerveux telle qu'elle se présente à l'heure actue
ystèmes, etc., l'auteur arrive à l'anatomie cli- nique spéciale des
centres
nerveux et décrit successivement l'ap- pareil n
itives indirectes ; c) Les voies et neurones d'association ; d) Les
centres
spéciaux qui se trouvent successivement dans le
3° Du langage. Après un préambule physiologique, sont indiqués les
centres
supé- rieurs (mental et automatiques spéciaux).
rbite, et, quelques jours avant la mort, on voit apparaître ci Leur
centre
une petite tache, un petit nuage, qui répond so
t donc être la genèse de la pression kératique ? ` ? Evidemment les
centres
nerveux encéphaliques sont seuls en cause : la
erturbations fonctionnelles émanant d'une sollicitation morbide des
centres
d'origine des nerfs trijumeaux, centres dont la
e sollicitation morbide des centres d'origine des nerfs trijumeaux,
centres
dont la contiguïté et les connexions réci- proq
ératomalaxie, xérosis), paraît plus directement en rapport avec les
centres
trophiques que constituerait le ganglion de Gas
quels qu'en soient le mode et l'intensité, cer- taines lésions des
centres
nerveux encéphaliques exercent sur la cornée un
omme une atmosphère indispen- sable, qui se déplace avec vous et au
centre
de laquelle vous vivez, circulez et vous vous s
n qu'ils dépendent d'arrêts ou de retards dans le développement des
centres
ou des voies d'association corticale. M. Grasse
s ; je crois seulemement qu'il faut faire une distinction, dans les
centres
corticaux psychiques, entre les centres psychiq
une distinction, dans les centres corticaux psychiques, entre les
centres
psychiques supérieurs et les centres psychiques i
orticaux psychiques, entre les centres psychiques supérieurs et les
centres
psychiques infé- rieurs; à ceux-ci, que j'appel
le mental le phénomène et par suite le trouble qui a pour siège les
centres
psychiques supérieurs 0. De là. ces proposition
iqueur a été volon- taire avant d'être automatique ; c'est avec son
centre
0 que, pen- dant qu'il était colporteur, mon ma
ites qui unissent, au point de vue du développement des tics, les
centres
moteurs aux centres sensitifs et sensoriels. il
au point de vue du développement des tics, les centres moteurs aux
centres
sensitifs et sensoriels. il n'est cependant per
otale du cerveau. Bien qu'il n'y ait pas identité absolue entre les
centres
nerveux du chien et ceux de l'homme, ces résul-
une hémiplégie soit due à une lésion organique ou fonctionnelle des
centres
moteurs, elle n'en reste pas moins une hémiplég
ont liés à une névrose ou, au contraire, à un désordre matériel des
centres
ner- veux. Il ne me semble donc pas justifié d'
le chien, M. Pitres a pu déterminer la localisation du tic dans les
centres
inférieurs ne prouve nullement que cette locali
Pitres sait même mieux que personne que les fonctions dévolues aux
centres
inférieurs, chez le chien, remontent vers la co
er que des réflexes tendineux, mes expé- riences prouvent que leurs
centres
, localisés chez le chien dans la moelle, sont s
d'origine pédonculaire chez le chien, peut donc très bien avoir son
centre
. chez l'homme, dans la région cérébrale. ' M.
foi, la crainte, les rêves, provoquent des dissociations : certains
centres
sont frappés d'inhibition, d'autres de dynamogé
es. Prix : 1 francs. Doin, édit. - Dé.ierine (J.). dzzcclomie des
centres
nerveux, t. II. Grand in-S de 730 pages. Prix :
nces profondes qui arrachent la substance grise sous-jacente. De ce
centre
la lésion va en rayon- nant pour ainsi dire dan
de son fait : dans ce beau pays qui avait été, sous les Arabes, le
centre
de la civilisation, cette hys- térique fut rega
s; celle de gauche au service des hommes ; les services généraux au
centre
. Les pavillons séparés les uns des autres, form
t l'un des mieux organisés que nous ayons vus dans nos visites : au
centre
est l'installation hydrothérapique, d'un côté b
à l'appui des idées émises par M. Paillas sur la corrélation des
centres
de l'écriture et de la parole. M. DOUTI11.BIdN1
neux que les grains, forment une couche continue, assez dense à son
centre
, qui contourne les dentelures cérébelleuses comme
s sont encore peu connues. " Contribution à l'étude du gliome des
centres
nerveux. M. J. Obertiiur. Nous avons pu examine
aminer au laboratoire de la Clinique Charcot sept cas de gliome des
centres
nerveux. Trois d'entre eux avaient envahi la su
e forme peu connue de sarcome, le sarcome solitaire envahissant des
centres
nerveux qui semble réunir la plus grande partie
aires (sarcomes solitaires des mé- ninges ; sarcomes solitaires des
centres
nerveux);. 2° les sarcomes multiples, pour lesq
la tumeur, principalement dans le voisinage des vais- seaux et aux
centres
des tourbillons fibro-plastiques : dégénéres- c
r une guérison complète et définitive. B. Sarcomes solitaires des
centres
nerveux. Cette forme est rare. Nous avons pu en
e blanche des hémisphères cérébraux ; le quatrième avait détruit le
centre
ovale du cervelet. Macroscopiquement, tumeurs s
li- niquement, dans nos observations, ces sarcomes solitaires des
centres
nerveux avaient débuté, au moins apparemment, d'u
t et cliniquement, des sarcomes envahissants, sar- comes malins des
centres
nerveux. - Certains auteurs, s'appuyant sur les
sarcome solitaire des méninges à celles du sarcome soli- taire des
centres
nerveux. Pour le premier : structure essentielle-
maladie de Reclclingliausen, elle aussi, est capable d'envahir les
centres
nerveux. Histologiquement, la structure et l'hist
st de toute nécessité que les neurones de représentation motrice du
centre
cortical du membre donnent une incitation qui s
ute physiologique et explicable par la rela- tive prépondérance des
centres
spino-basilaires, à cet âge; 4° dans cette cons
nctionnels ne peut qu'être rapportée à une connexité de lésions des
centres
qui président aux langages articulé et graphiqu
à l'appui des idées émises par M. Pailhas sur la cor- rélation des
centres
de l'écriture et de la parole. Cure de désintox
ie simple telle qu'elle s'observedans les affections des nerfs, des
centres
et dans la myo- pathie progressive. , - Dans
neurasthénie. Ces désordres nerveux ont leur origine, soit dans les
centres
supé- rieurs, soit dans ceux de la vie végétati
rieurs, soit dans ceux de la vie végétative. Ceux qui relèvent des
centres
de la vie végétative constituent, dans certains c
il, ou- encore il se combine à des troubles nerveux prove- nant des
centres
supérieurs (douleurs névralgiformes diverses, i
à la région de l'oeil, a son origine en ce point où est le siège du
centre
cilio-spinal. L'exagé- ration des réflexes tend
arrondie ; disparition des grains chromophiles; éclaircissement du
centre
de la cellule; migration périphérique du noyau.
une maladie qui n'arrivait pas jusqu'à l'angoisse. Le jour où les
centres
cérébraux supérieurs ont perdu leur contrôle et
ieurs ont perdu leur contrôle et leur influence modératrice sur les
centres
psycho- moteurs, le jour où l'état morbide s'es
ue anxieuse, cette dernière précédée parfois d'une aura, partant du
centre
épigastrique, de la profondeur des entrailles e
t dans la lutte contre leurs idées ; alors leur attention se con-
centre
davantage sur l'idée à chasser qui pénètre plus p
llie sont représentés par une moitié de mandarine, est percé en son
centre
d'une petite ouverture par où s'écoule un pus h
gnes stéthoscopiques peu nets, à cause de la localisation du mal au
centre
du poumon. Quant à la température, nous venons
pressions cutanées périphériques sont transmises au cervelet et aux
centres
cérébraux coordinateurs par la voie céré- 'bell
érébelleuse dans laquelle nous trouvons une lésion systématique des
centres
coordinateurs du cervelet, sans altérations de vo
es couleurs est le reliquat d'un état antérieur de développement du
centre
de perception des couleurs. - H. de Musgravk-Cl
rien à voir avec les processus intellectuels supé- rieurs ; 3° les
centres
moteurs et sensoriels seuls ne suffiraient pas
e, ni la variété de ses troubles mentaux; ils sont le substratumdes
centres
mentaux, et par suite, ils sont des centres psy
s sont le substratumdes centres mentaux, et par suite, ils sont des
centres
psycho-moteurs et psycho senso- riels ; 4° les
saillants ; 5" la mémoire n'est pas une faculté unique ; il y a des
centres
dans le cerveau ponr les différentes mé- moires
ocalisation est déjà précisée.; 6° il doit exister dansl'écorce des
centres
spéciauxpourles émotions et les penchantsfondam
ntres spéciauxpourles émotions et les penchantsfondamentaux, et ces
centres
doivent êtredistincts descentresdeprocessuspure
orticale localisée symétriquement et bilaté- ralement au niveau des
centres
moteurs ; la pathogénie du syn- drome de Duchem
l'évo- lution et l'involution de la-, par Il 119arlnesco, 500.
Centres
nerveux. Anatomie clinique des -, par Grasset,
raphie de la- des paralytiques généraux et ses relations avec les
centres
d'association de Fleehsig, par K. Scllaffer, 51
chés sont entièrement obtenus par la rotule qui est encastrée à son
centre
dans une calotte de même dia- mètre. La rotule
s commencé les expériences. a). Lapins. D'abord nous avons fixé, au
centre
de la table une grande cage dans laquelle nous
nes en neuropathologie une notion constante de la topographie des
centres
nerveux. Une carte schématique fournissant un e
nt cette systémisation répondant à la notion anatomique moderne des
centres
nerveux, savoir : 1° L'étude parallèle des lési
logistes sur les différents points de l'anatomie topographique des
centres
nerveux. Nous indiquerons en détail l'opinion des
ied de la troisième circonvolution fron- tale. On remarquera que le
centre
cortical de l'aphémie, au pied de la troisième
, au pied de la troisième frontale, est en rapport intime avec le
centre
cortical des mouvements de l'organe de la parole
ue (facial inférieur) au pied de la frontale ascendante; le premier
centre
situé au-devant du second. quatre centres fonct
ale ascendante; le premier centre situé au-devant du second. quatre
centres
fonctionnels corticaux de la mémoire du mot ou de
s fonctionnels corticaux de la mémoire du mot ou des im- pressions (
centres
d'impressions, impressions sur l'oreille, sur l'o
'impressions, impressions sur l'oreille, sur l'oeil), et des actes (
centres
d'expressions actes de l'organe de la parole, de
ou moins absolue du mode spécial de la mémoire du mot rattaché à ce
centre
, il en ré- suite une amnésie verbale auditive,
n ré- suite une amnésie verbale auditive, si, par exemple, c'est le
centre
audi- tif des mots qui est frappé, une amnésie
suelle, motrice d'ar- ticulation, motrice graphique, si ce sont les
centres
visuel, moteur du langage articulé, moteur du l
ième variété d'aphasie, amnésie verbale mo- trice graphique', a son
centre
cortical au pied de la deuxième circonvolution
tre cortical au pied de la deuxième circonvolution frontale gauche (
centre
de Exner) 2. Il y est déter- miné d'après les r
autres faits ? '. Comme pour l'aphémie au sujet des rapports de ce
centre
avec le centre cortical de l'hypoglosse, nous a
. Comme pour l'aphémie au sujet des rapports de ce centre avec le
centre
cortical de l'hypoglosse, nous attirerons l'atten
al de l'hypoglosse, nous attirerons l'attention sur la connexion du
centre
cortical de l'agraphie au pied de la deu- xième
re cortical de l'agraphie au pied de la deu- xième frontale avec le
centre
cortical des mouvements'du mem- bre supérieur a
bre supérieur au tiers moyen delà frontale ascendante; le pre- mier
centre
siégeant en avant et un peu au-dessous du second.
moyenne de la première circonvolution temporale 10. Sauf pour le
centre
de l'aphémie, nous avons pu voir que 1 Mathieu,
ard ) DE l'axe cérébro-spinal. 45 la détermination des différents
centres
d'impression et d'expres- sion du langage n'est
s- sion du langage n'est pas encore absolue. La détermination des
centres
corticaux des mouvements des membres, dont nous
ieux connue à l'heure actuelle de toutes les zones corticales. Le
centre
cortical des mouvements du membre supérieur est
répond en avant au pied de la deuxième circonvolution frontale'. Le
centre
cortical des mouvements du membre supérieur fut
emarquer plus haut à propos de la localisation de l'agraphie que le
centre
cortical des mouvements du membre supérieur au
ieu de la frontale ascendante se trouve en rapport immédiat avec le
centre
d'expression verbale motrice graphique des mouvem
nnés communiqués a la main pour exprimer la pensée par l'écriture»,
centre
siégeant exactement en avant du premier, au tiers
des premières recherches sur les fonctions motrices du cerveau. Le
centre
cortical des mouvements du membre supé- rieur e
la partie supérieure, pour ceux du pouce, à la partie inférieure du
centre
cortical du membre supérieur à l'endroit où ce
inférieure du centre cortical du membre supérieur à l'endroit où ce
centre
se confond avec le centre moteur de la face ; pou
cal du membre supérieur à l'endroit où ce centre se confond avec le
centre
moteur de la face ; pour ceux du gros orteil, i
t en face de l'extrémité supérieure de la scissure rofandiquedansie
centre
cortical du membre inférieur), et analysent cha
us du tiers moyen de la circonvolution frontale ascendante' ». Le
centre
cortical des mouvements du membre inférieur occ
deail que d'après Charcot et Pitres 3. Les premiers donnent pour
centre
à cette région de l'écorce, le tiers supérieur de
n arrière sur le lobule pariétal supé- rieur Les seconds placent le
centre
cortical du membre inférieur dans le lobule par
inférieur dans le lobule paracentral. Disons en terminant avec les
centres
moteurs des membres chez l'homme, que sans être
me le veut E ? ner5, contredit par Charcot et Pitres. On place le
centre
cortical du grand hypoglosse au pied de la circ
Derignac. Gaz. nzéd. 1882, 52. - Prévost. Contribution à l'étude du
centre
moteur cortical du membre inférieur. Th. Paris, 1
and nombre déjà, pour servir de base à la détermination du siège du
centre
cortical du grand hypoglosse sont réunis dans u
et intral-cérébral de l'hypoglosse par MM. Raymond et Artaud2. Le
centre
cortical de l'Hypojlosse 5, est en même temps c
t ou huit observations'. Il occupe à peu près la même région que le
centre
cortical de la cécité verbale, le lobule pariét
ons souligné à propos de l'aphémie les connexions remar- quables du
centre
cortical commun au grand hypoglosse, au facial in
au facial infé- rieur et à la branche motrice du trijumeau avec le
centre
d'expression verbale motrice d'articulation des
er.-Localisations. Trad. de Vai,igny, Paris, 1880, p. 132 et suiv. (
centres
oro-linuaux.) In loc. cit., p. 45. 5 Charcot et
s occipitales sont en ce moment à l'étude *. On tend à localiser le
centre
cortical du Ptosis c au pli courbe 1 suivant qu
rbe ou du voisinage, rien n'est encore arrêté sur le siège exact du
centre
cortical du Ptoni. Nous n'avons pas figuré ce c
siège exact du centre cortical du Ptoni. Nous n'avons pas figuré ce
centre
cortical sur notre dessin. Nous signalons sans
ylvienne » d'après Landouzy ? Prévost et Vulpian 5, et Ferrier6; le
centre
cor- tical apparaît jusqu'à l'heure actuelle, d
o Ferrier. Localisations. Trad de Varigny, 1880. 7 Non plus que le
centre
cortical de la déviation conjuguée de la tète e
conjuguée de la tète et des yeux, nous ne représentons le siège du
centre
cortical du facial supérieur sur notre schéma.
yers sont des foyers d'inflam- mation aiguë, liée aux vaisseaux (le
centre
de l'axe de chaque foyer est constitué par un a
laire centrale de l'hémisphère droit, à peu près au niveau du grand
centre
ovale ; destruction partielle du corps strié et
fléchissant. Légère décoloration de la papille, de la périphérie au
centre
. Du reste, jamais d'hémorrha- gies, pas de trou
dilatation des éléments conjonctifs qui, généralement, occupent le
centre
des segments du nerf optique, ainsi que des cor
cendante très marquée allant de la substance blanche de l'écorce au
centre
ovale ; pour des motifs accessoires, on n'a pu
er le trajet de la dégénérescence plus loin dans la pro- fondeur du
centre
ovale. Deuxième cas : foyer ancien gros comme u
complètement détruite à un endroit isolé par un 1 Voy. Anatomie des
centres
nerveux, de Huguenin. Archives, t. XVI. 98 SO
sion : Névrite alcoolique accentuée sans aucune participation des
centres
et en particulier de la sphère mentale. La névrit
l'épilepsie partielle ne siègent pas nécessaire- ment au niveau des
centres
moteurs correspondant aux muscles exclusivement
es dites spontanées ne sont point indépendantes de toute lésion des
centres
, mais peuvent être rattachées dans la plupart d
que le premier flot du liquide sort en jet. Dans l'état normal, les
centres
nerveux subissent une certaine pression de la p
halo-rachidien à l'état normal exerce une certaine pression sur les
centres
nerveux, A la suite de la suppression de ce liq
tude de la mer, peuvent rester sur le pont, mais en approchant du
centre
du navire et en aspirant le grand air. Il faut
noncées sur l'hémisphère cérébral droit et atteignaient surtout les
centres
moteurs des membres. C'est aussi à la suite de
é de la méninyo-encéy7aalite, plus prononcée à droite au niveau des
centres
moteurs. Le cervelet est moins atteint que les
nert complètement exposés en fran- çais dans Huguenin. Anatomie des
centres
nerveux, trad. Keller; Paris, 1879. * Nothnag
a zone latente de l'écorce, se trouvent encore disséminés plusieurs
centres
fonctionnels : la cécité ver- bale, l'hémianops
ueront toutes les tentatives faites dans le but de leur assigner un
centre
fonc- tionnel. » (Legroux et de Brun. Encéph.,
881, 263 et 403.) 252 REVUE CRITIQUE.' ou l'origine des fibres du
centre
ovale, selon la fonction res- pective attachée
e pour les suivre successivement dans leur trajet intra-cérébral au
centre
ovale, dans la capsule interne, le pédoncule et
égion corticale, quelques-unes des coupes de Pitres pour l'étude du
centre
ovale, la coupe de Flechsig pour celle de la ca
édiculo- frontale, par le ' Pitres. - Recherches sur les lésions du
centre
ovale des hémisphères au point de vue des local
bres blanches, qui, sur chacune de ces quatre coupes constituent le
centre
ovale, sont groupées par Pitres en trois ordres
peu près connu que dans une très courte étendue de son trajet. Au
centre
ovale, les fibres intellectuelles forment les fai
res. Chaque fois que la lésion première à l'écorce cérébrale, ou au
centre
ovale ou àla capsule interne porte dans ces tro
prend le nom de faisceau de l'aphasie (PL. I, fig. 1, jaune). Au
centre
ovale, le faisceau de l'aphasie constitue le fa
carrefours moteur et sensitif de la capsule interne. Une lésion du
centre
ovale au niveau du carrefour du langage de Bito
se, au facial inférieur et à la branche motrice du trijumeau). Du
centre
cortical d'origine de ce faisceau, au pied de la
entielle- ment motrices formant ce faisceau et qui vont : Dans le
centre
ovale, constituer le faisceau frontal inférieur
s l'axe cérébro- spinal, le grand système cortico-moteur. Dans le
centre
ovale, les fibres du faisceau pyramidal vien- n
Pitres (Thèse citée) que l'on doit la fasciculation métho- dique du
centre
ovale, si commode pour démêler par imagination l'
oteur médullaire spécial. Méthode expérimentale. Sur l'écorce et au
centre
ovale, dans la région dite excitable (région ro
expéri- mentales établies par l'exploration des régions corticale,
centre
ovalaire et capsulaire, les observations expéri
83. Ci. de Boyer. Th, citée. . DE L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 265 Au
centre
ovale, les lésions de la région intermédiaire aux
ement aux lésions de l'écorce motrice, des fasci- cules moteurs, du
centre
ovale, du segment moteur de la capsule interne,
ogiquement parla perte de l'exci- tabilité directe, surtout dans le
centre
ovale et la capsule interne, anatomo-pathologiq
ns leur continuité sont plus ou moins complètement séparées de leur
centre
trophique à l'écorce cérébrale. ' Fr.-Franck. e
aux lésions destructives localisées à la zone motrice corticale, au
centre
ovale ou à la capsule interne. A. Pitres. Mémoire
sule, analogue encore au carrefour de l'aphasie de Bitot. Dans le
centre
ovale, le faisceau sensitif doit nécessairement
re, de la face interne du lobe frontal. 6; faisceaux préfrontaux du
centre
ovale. rlc. 3. Coupe pédiculo frontale. 1, 2,
l'orbite, « elles se dirigent plus en bas, et plus elles gagnent le
centre
, plus elles « prennent le plan externe. Dans le
ble fonctionnel des nerfs ré- gulateurs des vaisseaux, soit dans le
centre
vaso-moteur lui-même, soit comme manifestation
ouge, plus grosse que normalement, et présente un enduitsaburral au
centre
. Pas d'appétit et cependant peu d'amaigrissement.
sion extérieure du fonctionnement isolé et irrésistible de tous ses
centres
cérébro-spinaux. Constamment, ses membres sont ag
et elle dit immédiatement : « Voyez-vous, c'est l'es- prit ! » Les
centres
cérébraux interviennent aussi ; elle accompa- g
avez beau faire, vous ne m'empêcherez pas de la pos- séder. » Les
centres
corticaux postérieurs sont encore intervenus, qua
seur, les éléments se disso-J cient par la ueurogtie proliférant au
centre
, des fais- ceaux entiers peuvent se déplacer, s
ômes semblables ; dans le cas de Reisinger8, une énorme tumeur au
centre
de la moelle épinière, ayant dilaté les parties
de rotation sur l'axe. Magendie admettait dans les corps striés un
centre
dont l'excitation déterminait chez les animaux
clonique de la convulsion épileptique artificielle. C'est dans les
centres
moteurs non corticaux, inférieurs, qu'il faut e
rt courant provoque, en sollicitant non seulement l'écorce mais les
centres
moteurs inférieurs, clonisme et tonisme. Un cou
une solli- citation corticale (clonisme) puis une sollicitation des
centres
inférieurs (tonisme), finalement une exagératio
ment une exagération de l'état tonique, de par la surexcitation des
centres
inférieurs, qui masque le clo- nisme, l'emporte
nouveau malade, nommé Bourg... REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 435
centres
inférieurs, car les convulsions cloniques d'un gr
sous-jacente, des contractions toniques dues à la sollicitation des
centres
mo- teurs inférieurs correspondant à la même ré
consomplive des paralysies posltypliiques (anémie et épuisement des
centres
nerveux) dont une relative à une aphasie sans p
lein développement du processus était au niveau de la protubérance (
centre
convulsif de Kotli- rna-el). Peut-être cette mé
quez-le bien. De ce côté (L'orateur désigne la droite), jamais ; au
centre
... presque jamais (Hilarité); mais là... (L'ora
cette tlivse),11. Hervé a montré que la complexité morphologique du
centre
de Broca est d'une façon générale corrélative à
re. de la face interne du lobe frontal. 6; faisceaux préfrontaux du
centre
ovale. Fis. 3. Coupe pédiculo frontale. 1, 2,
t situées en dehors et un peu en avant de celles qui constituent le
centre
du musculo-cutané. Plus bas, au niveau du tiers
t à l'égard l'un de l'au- tre une certaine indépendance; de même le
centre
de l'avant-bras comprend les noyaux du médian e
on absence ne prouverait rien et ne permettrait pas d'exclure comme
centre
présumé d'un muscle un groupement cellulaire d'
pathique ; il marche en steppant, en se dandinant pour déplacer son
centre
de gravité et faciliter les mouvements de la ja
musculaires ont eu pour lui l'avantage d'une part de rapprocher son
centre
de gravité de la base de sustentation, de diminue
xistence de lésions irritatives (méningo-myélite) des racines ou du
centre
qui interviennent dans sa production. Fig. 4.
lésion d'un certain nombre de racines spinales ou de la lésion des
centres
spinaux qui sont les origi- nes de ces mêmes ra
des cas. Cependant nous avons constaté 14 fois des lacunes dans le
centre
ovale au-dessous des circonvolutions et plutôt
seulement dans la substance blanche cérébrale. Il existe encore un
centre
nerveux que paraissent affectionner les lacunes e
is du cerveau, dans la protubérance et dans la substance blanche du
centre
ovale. Jamais,dans aucun cas,nous n'en avons re
ux, éléments de désintégration, envahissent la substance cérébrale Au
centre
, un vaisseau altéré, mais perméable. (Préparati
le dans les gaines périvasculaires entourant tous les vaisseaux des
centres
nerveux. Mais les liquides fixateurs le chassen
rocessus lacunaire. Enfin au milieu de tous ces éléments formant le
centre
et l'axe de la cavité se trouve un vaisseau.
produit de la désintégration cérébrale et un vaisseau qui occupe le
centre
de la cavité et se dirige suivant son axe. Mais
issu semble raréfié, moins coloré et les noyaux moins abondants. Au
centre
de cette zone se trouve un vaisseau de volume v
ent cha- cune une description particulière. La première partie ou
centre
estoccupée par l'artère, la deuxième ou périphé-
rieurs ou inférieurs, toujours le vaisseau nous est apparu en plein
centre
de la coupe rempli par des hématies normalement
raphies en particulier on voit très bien l'artère située presque an
centre
de la lacune. Ses parois sont considérablement
avons observé des vaisseaux aux parois minces se rétractant dans le
centre
de leur cavité naturelle sous l'influence sans do
nt ; on voit bien à cette répartition que les vais- . seaux sont le
centre
d'action néfaste qui répand ses effets au loin da
troisième. Si nous regardons en effet une préparation lacunaire du
centre
à la péri- phérie nous voyons que les altératio
de la cavité, disparaissent peu à peu ; à mesure qu'on s'éloigne du
centre
le tissu reprend son caractère normal. Les ma
voir ce qu'il y a dans la lacune entre le vaisseau qui en forme le
centre
et le tissu cérébral qui en constitue les paroi
es de désinté- gration nous avons décrit une cavité contenant à son
centre
un vaisseau altéré dans ses parois mais toujour
bral en voie de désintégration dont nous avons suivi les lésions du
centre
à la périphérie. Elle contient enfin un grand n
celle de la capsule interne. Il en est de même pour les lacunes du
centre
ovale : peu de vaisseaux, peu de globules rouge
nt de leurs fibres ou bien de lésions traumatiques agissant sur les
centres
cérébraux spinaux, ou mieux encore, résulter de
dre le plus élevé comme de la nature la plus simple, met en jeu des
centres
non seulement différents par leur appropriation
ar conséquent, qui est celle de la distribution topogra- phique des
centres
unis dans la même contribution psychologique. Tou
s offices nerveux qui constituent la psychologie mettant en jeu des
centres
dis- tribués dans l'espace et topographiquement
re avec l'es- pace et que, en parlant de « points d'images dans les
centres
», d'images « topo- graphiquement localisées »,
oints de contacts périphériques, autant de points d'images dans les
centres
...; l'image se localise dans le centre percepteur
de points d'images dans les centres...; l'image se localise dans le
centre
percepteur en même temps que le contact se fait
localisées, et elles ne peuvent pas ne pas l'être. Il y a dans nos
centres
un substratum topographique, un réel espace où le
cientia, Carré et Naud, 1900. LE SENS DES ATTITUDES 153- dans nos
centres
, et non ailleurs. » M. Claparède réagit de la faç
mmédiatement de la distribution topographique des ima- ges dans nos
centres
. » . Mon naïf matérialisme a un petit avantage
immédiatement de la distribution topographique des images dans nos
centres
», ajoute : « Peut-être s'agit-il là d'une méta
ns penser qu'il n'y a absolument aucune raison pour que l'ordre des
centres
percepteurs entraîne la perception de cet ordre d
.. » Je n'ai jamais un instant supposé que les points conjugués des
centres
fai- saient, avec un ordre analogue, l'image de
nt en évidence le jeu du sens des attitudes. Il ne s'agit pas là de
centres
, d'images localisées ; mais tout ce qui manifeste
t Il[, coll. Léauté, Masson. 158 BONNIER s'il y a organisation de
centres
pour la production d'images, la coordination an
ue les images sont également distribuées. Où se produisent dans nos
centres
les images des phénomènes de la vie vé- gétativ
ppareil sensoriel ait choisi, pour y porter ses images, la partie des
centres
nerveux la plus opposée à leur point de départ,
Claparède, il n'y a « absolument aucune raison pour que l'ordre des
centres
percepteurs entraîne la perception de cet ordre d
reconnaît qu'il n'y a aucune raison d'imaginer que de la rétine aux
centres
où se font les images conscientes, le transport
le même office par l'exercice de certains mouvements, ont créé des
centres
dits moteurs pour lesquels d'emblée le détail s
segmentaires que correspondent les groupements musculaires et leurs
centres
de coordination. Nous concevons dès lors que
cas inverse. » Il s'agit ici de lésions cérébrales, portant sur les
centres
les plus élevés de l'écorce le plus souvent. No
ccession figure le mouvement ont cessé de faire image au niveau des
centres
. La patho- logie observée montre chez les hémip
lusques, dont les otocystes sont parfaitement sphériques, et par le
centre
desquels des infinités de plans ont toute latitud
e trouvons plus le mot, parce que nous ne savons oÙ il est dans nos
centres
de verbalisation, où nous l'avons laissé la derni
action, l'automa- tisme de la recherche a rétabli l'association des
centres
d'images, diversement situés dans notre masse c
ant directement conditionnée par les représentations d'attitudes, les
centres
corticaux sus-jacents au., centres de cette mot
représentations d'attitudes, les centres corticaux sus-jacents au.,
centres
de cette motricité sont des centres de repré- s
tres corticaux sus-jacents au., centres de cette motricité sont des
centres
de repré- sentation d'attitudes. Munck attribue
s représentations tactiles constituent un cas particulier. C'est le
centre
des images motrices et tactiles » (et p. 704)...
l'oreille droite, m'a fait localiser dans cette circonvolution « le
centre
des perceptions vestibulaires, fournissant les im
ages d'attitudes indis- pensables à t'idéation motrice, et comme un
centre
exclusivement sensoriel tenant sous sa dépendan
entre exclusivement sensoriel tenant sous sa dépendance directe les
centres
de motricité automatique et coor- donnée situés
n terrain, elle associe en une même figuration topographique divers
centres
psychiques, comme une figure géométrique relie
'a à aucun moment provoqué d'aphasie ; à peine si la compression du
centre
du langage articulé s'est traduite par un léger
ires et qu'il n'y a aucune manifestation tuberculeuse au niveau des
centres
nerveux. Dans les jours qui suivent se montrent
e et contre la paroi. c Ce noyau est d'aspect très granuleux. A son
centre
, on voit un nucléole ar- rondi, très distinct,
ormant une masse compacte dans laquelle on ne peut distinguer aucun
centre
ni aucune orientation des éléments (fin. 5). Ce
n somme à ce niveau comme une large croix membraneuse, avec, en son
centre
, une lame osseuse ovalaire, à grand axe antéro-po
crâne n'est pas rectiligne. Si l'on prend comme points de repère le
centre
du trou occipital, le milieu de la selle turci-
De même qu'il peut y avoir amnésie ou paralysie fonctionnelle d'un
centre
correspondant à la mar- che, de même il peut y
levant tantôt de l'excitation et tantôt de la paralysie de certains
centres
sensoriels ont dominé tout le tableau clinique.
us n'insisterons pas sur les symptômes relevant de l'excitation des
centres
sensoriels ; qu'il nous suffise de dire que les
exceptionnelle, véritable lésion en foyer intéressant la région du
centre
de l'audition : tiers postérieur de la première
hie de la lésion est d'accord avec ce que l'on sait sur le siège du
centre
de l'audition. Les variations du processus de la
us tangibles, à savoir la localisation des lésions au niveau de tel
centre
sensoriel et la nature de ces lésions. Si on es
n'est-elle pas unanimement acceptée quand il s'agit de troubles des
centres
sensi- tivo-moteurs ; chez notre malade, nous a
tantôt inhibitrice (troubles vaso-moteurs ? ) d'une lésion du même
centre
. Les faits de ce genre, considérés actuellement
au de cer- tains territoires corticaux et plus particulièrement des
centres
de la ré- gion postérieure. La lésion elle-même
nerveuse, ou d'une altération secondaire due soit à une affection du
centre
LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES
sparu, les fibres nerveuses sont réduites à une gaine de Schwann au
centre
de laquelle, du moins sur quelques-unes, il exi
place. Ce qui paraît justifier cette déduction c'est que parfois au
centre
d'un de ces amas on peut distinguer un LÉSIONS
ées de noyaux, les uns ronds, les autres allongés, disposés soit au
centre
, soit à la périphérie du faisceau radiculaire. Le
scicule. Sur certaines coupes un petit faisceau nerveux subsiste au
centre
de cette masse (PI. XLI, B) mais la plupart son
dont l'aspect est le même que celui que nous venons de décrire. Au
centre
une masse de tissu conjonctif en voie d'inflamm
e sont des gaines rétractées et tassées, intensivement colorées, au
centre
desquelles, du moins sur quelques-unes, il est en
entation est-elle plus accentuée à la périphérie du fascicule qu'au
centre
(fig. 9). Le périnèvre n'est formé que par du t
ides : il en est plusieurs qui sont extrêmement réduites et dont le
centre
est néanmoins en- core occupé par un cylindraxe
ontre la nutrition du système osseux et certaines alté- rations des
centres
nerveux... Il est donc permis de croire à l'influ
res de la moelle. C'est là, en effet, d'après Erle que se trouve le
centre
qui préside aux troubles trophiques du système
instinctifs, et qu'il les rattache à un état morbide quelconque des
centres
nerveux. Nous constations encore qu'un certain
, comme ces dernières, à une altération native de quelque point des
centres
ner- veux. Duchenne de Boulogne avait déjà ad
dmis, pour les spasmes fonctionnels, un état morbide quelconque des
centres
nerveux. , M. Babinski est venu confirmer cette
la répétition des mouvements ait pu en- traîner quelque lésion des
centres
. Nous pensons que la modification anatomique es
vaux de Luciani, de Thomas, de ltunel, etc., que le cervelet est un
centre
de renfort et d'énergie du tonus muscu- laire,
es est soumis à une double influence excitatrice et inhibitrice des
centres
supérieurs (cerveau, cerve- let, protubérance).
vons modifier volontairement l'attitude de notre corps. « A côté du
centre
cortical et du centre médullaire, M. Grasset adme
rement l'attitude de notre corps. « A côté du centre cortical et du
centre
médullaire, M. Grasset admet un centre régulate
ôté du centre cortical et du centre médullaire, M. Grasset admet un
centre
régulateur automatique du tonus qu'il place dans
n,qui préside à l'attitude normale des animaux. Luciani place les
centres
toniques dans le cervelet, Brissaud dans le loc
ons chez nos malades ; le placerons-nous dans la moelle ou dans les
centres
supérieurs ? Ces deux hypothèses pourraient êtr
parfois presque entièrement détruite. Il ne subsiste plus alors au
centre
de la capsule proliférée qu'un débris protoplas
la gaine. Gombault, distingue à ce propos la destruction brusque du
centre
trophique et la destruction graduelle : la premiè
l'alrophie de la racine postérieure remonte plus rapidement vers le
centre
que celle du nerf périphérique; c'est la princi
entre eux. Recherchons par conséquent s'il n'existe pas du côté du
centre
trophique commun, c'est-à-dire dans le ganglion
égénération doit porter- sur ses deux prolongements car elle est le
centre
trophique de chacun d'eux. Or dans le tabes la
alisée par la section d'une fibre nerveuse ou la destruction de son
centre
a pour résultat la dégénéres- cence du segment
re a pour résultat la dégénéres- cence du segment qui est séparé du
centre
trophique : cette dégéné- rescence, si.spéciale
ibre nerveuse peut dégénérer de deux façons différentes, lorsque le
centre
trophique est atteint. Est-il détruit brusque-
son extrémité périphé- rique, mais repoussant constamment aussi du
centre
vers la périphérie. . Le fait parait démontré p
ntissent d'abord sur les portions de la fibre les plus éloignées du
centre
du neurone (cordons, postérieurs d'une part, ne
tant donné que dans un cas la lésion intéresse un certain groupe de
centres
spinaux (affection nucléaire), et dans l'autre, l
racines de la queue du cheval qui tirent leur origine de ces mêmes
centres
(affection radiculaire). J'ai insisté sur l'imp
, parce qu'elles sont sym- plomatiques d'une lésion destructive des
centres
spinaux des nerfs' péri- phériques : Le sympt
tres qui président à l'innervation motrice de la vessie. De plus,.ces
centres
étant situés dans le voisinage immédiat de ceux
ssière, des le et 5e segments sacraux. Ce dernier loge également le
centre
de l'innervation sensitive de l'anus. Entre ces
c'est-à-dire dans le second segment sacral, se trouvent situés les
centres
de l'innervation sensitive de la vessie, de l'u
nées de l'observation clinique, relativement à la superposition des
centres
moteurs et sensitifs, dans la portion la plus i
estin est inconciliable avec l'hypothèse d'une lésion grossière des
centres
spinaux qui président à l'innervation sensitive
fonctionnelles dont sont susceptibles aussi bien les amas gris des
centres
nerveux que les muscles plus ou moins synergiques
on propice se présentera de le faire. ' LÉSIONS SYPHILITIQUES DES
CENTRES
NERVEUX FOYERS DE RAMOLLISSEMENT DANS LE BULBE
nt été montées en série, et si quelques défauts d'im- prégnation au
centre
de certains morceaux sont venus, par places et su
ement la lumière du vaisseau. L. s. - Lacunes sanguines creusées au
centre
de ce caillot. An. Anévrisme disséquant par leq
aillots pariétaux anciens; dans cette dernière partie on observe au
centre
des lacunes sanguines néoformées (fig. ). La tuni
moment si ces faits ne permettaient pas de supposer l'absence d'un
centre
ciliaire dans la moelle ; mais comme il n'exist
directement au sympathique et que, par conséquent il existe bien un
centre
médullaire interposé. On doit donc admettre ave
ois Franck que le cen- tre cilio-spinal existe, mais ce n'est qu'un
centre
secondaire subordonné à un centre irido-dilatat
pinal existe, mais ce n'est qu'un centre secondaire subordonné à un
centre
irido-dilatateur situé dans le bulbe. Laborde (ci
t les fibres descendantes qui.établissent la communication entre le
centre
irido-dilatateur supérieur et le centre cilio-spi
t la communication entre le centre irido-dilatateur supérieur et le
centre
cilio-spinal ? On peut supposer avec quelque vr
fois ce volume. Ils forment une couche continue, assez dense à son
centre
, qui contourne les dentelures cérébelleuses com
es rendent spécifiques; ainsi ces cellules servent non seulement de
centres
réflexes et de stations de trans- mission, mais
émianesthésie cl hémi- plégie croisées. Lésions syphilitiques des
centres
nerveux (8 fig. dans le texte, 5 pl. en pliotoc
ollogr.), 286. NAGEOTTE et BAi31NsKi. Lésions syphiliti- ques des
centres
nerveux. Ilermiasy- nergie latéropulsion et myo
rgie, latéropulsion, myosis bul- baires ; lésions syphilitiques des
centres
nerveux (13AmXSI([ et NAGEOTTE), LV à LIX.
est pas rare de la voir succéder à un certain degré de surmenage du
centre
atteint : on voit par exemple la cécité verbale
. Magnan. - Gazette des Hôpitaux, mars 1871, et Recherches sur les
centres
nerveux. Paris, 1876, p. 70. 3 A. Voisin. Trait
6 CLINIQUE MENTALE. raie et attira l'attention sur les rapports des
centres
nerveux et des nerfs. Ayant étudié les névrites
ints viola- cés putréfiés. Les dents sont usées à moitié, jaunes au
centre
. Abrasion dentaire au troisième degré. (A suivr
t dans la couche optique ; après avoir traversé transversalement le
centre
médian, elle ne gagne que la partie postérieure
courent au mouvement simple d'élévation du globe de l'oeil ont leur
centre
dans le segment reculé du noyau des deux côtés.
noyau; on pourrait, à juste titre, désigner ce point sous le nom de
centre
de convergence. P. KERAVAL. V. Du PHÉNOMÈNE ROT
aval. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 55 XI. Du
CENTRE
DES MUSCLES, DU TRONC DANS LA RÉGION SENSITIVE DE
expériences chez le chat et le chien permettent de formuler : 1° Le
centre
cortical des membres, localisé dans les ascendant
e de la moelle dorsale et unissant les centles des membres avec les
centres
médullaires des muscles du tronc. Quatre nouv
a proba- bilité d'une union directe entre le cerveau frontal et les
centres
médullaires des muscles du tronc du côté opposé
s le cylindre-axe, semblant former un réseau intra-eellu- laire. Au
centre
de la cellule est le noyau avec son nucléole ;
éléments. Lorsqu'on sectionne un nerf moteur, on observe dans le
centre
d'origine de ce nerf des lésions secondaires, c
ves. Ces névrites s'accompagnent d'une réaction à distance dans les
centres
des nerfs lésés, on doit obser- ver dans la moe
l existe aussi, dans la plupart des cas d'affections primitives des
centres
nerveux, des lésions vascu- laires qui font pre
ème nerveux central, dérivent-elles d'ab- sences ou d'atrophies des
centres
spinaux trophiques (lésions des cornes antérieu
dans le faisceau de Gel] jusqu'au bulbe, pour se terminer dans les
centres
du faisceau grêle et du faisceau cunéiforme. La
d'une ligne partant du bord inférieur de l'orbite et passant par le
centre
du méat auditif (ligne basale de Reid), à évacu
niveau du renflement cervical. L'hémisphère gauche, au niveau du
centre
moteur du membre supérieur, ne présentait pas d'a
u premier segment dorsal et du 8° cervical de la substance grise,
centre
de l'innervation vaso-motrice des doigts. Là, on
ombreuses que du côté sain. Réduction de nombre des collatérales du
centre
de la corne posté- rieure. Atrophie de la subst
ondaires, résul- tant de la .réaction à distance provoquée dans les
centres
corres- pondants par la section des nerfs du me
vaisseaux. Il faut y ajouter l'anémie des régions considérées comme
centres
due aux mêmes modifications de leurs petits tuy
et, soit exclusivement, soit plus spécialement sur tels ou tels des
centres
qui président aux phénomènes d'où dérivent les
us profondes, peut-être, même des phé- nomènes destructifs dans les
centres
nerveux. En faveur de cette supposition plaide
es, qui dépend des modifications dans les cellules nerveuses, comme
centres
tro- phiques, peut diminuer et même disparaître
s après la section de la moelle épinière ou après l'extirpation des
centres
moteurs corticaux (chez des chiens et des lapin
es sous la dépendance d'un état d'engourdissement ou de sommeil des
centres
cérébraux. Suivant que ces centres sont frappés
ngourdissement ou de sommeil des centres cérébraux. Suivant que ces
centres
sont frappés isolément ou en masse, progressive
ariéee de la névrose. Quant à la nature de ce sommeil spécial des
centres
cérébraux, elle reste entière à déterminer. T
lux nerveux apporté par les cylindraxes centripètes, venus soit des
centres
inférieurs, soit d'une autre portion de la cort
les vais- seaux sont filiformes et se perdent à quelque distance du
centre
. L'hémiplégie persiste au même degré, avec exag
affaiblissement mental mais à une lésion plus ou moins diffuse des
centres
nerveux. A côté des autres psychoses de la viei
riées. tû Le maximum d'accroissement se rencontre dans les grands
centres
urbains, surtout dans les ports de mer, et partic
est incertaine. A l'autopsie, on ne trouve, en pareil cas, dans les
centres
nerveux que de la congestion passive, de la sta
echsig). Peut-être, en suivant Flechsig, arrivera-t-on à trouver le
centre
des impulsions passionnelles, le centre des appé-
arrivera-t-on à trouver le centre des impulsions passionnelles, le
centre
des appé- tits, représentés par les nerfs seusi
chez l'homme, par Binet et Vaschide; -Période réfractaire dans les
centres
nerveux, par A. Broca et Ch. Richet (trois commu-
intéressants met en relief la collaboration à une même fonction des
centres
des deux hémis- phères et la prédominence relat
n des centres des deux hémis- phères et la prédominence relative du
centre
gauche sur le droit pour l'écriture, même chez
composent. A. FENAYROU. LIV. DE l'interdépendance FONCTIONNELLE DES
CENTRES
nerveux DU LAN- gage ; par le D1' Fritz Sans. (
c une nouvelle preuve de la dépendance fonctionnelle des différents
centres
du langage. G. DERNY. LV. DES CELLULES nerveu
pileptique se manifeste dans une direction spéciale. Un important
centre
vaso-moteur des vaisseaux cérébraux existe sous
en haut, et la décussation des pyramides en bas. L'irritation de ce
centre
a comme résultat le spasme soudain des branches
ù production de l'inconscience, et perte du contrôle exercé par les
centres
supérieurs sur les réflexes à la-façon d'un sho
s supérieurs sur les réflexes à la-façon d'un shock » affectant les
centres
nerveux. La contrac- tion des muscles de la nuq
ante, ont procédé après sa mort a l'examen analomo-palholcgique des
centres
nerveux et des nerfs, en utilisant les méthodes
s les nerfs qui émanent de ces noyaux. Les lésions des cellules des
centres
nerveux consistent essentiellement 234 REVUE DE
tubérantiels, il s'agit sans doute d'une altération primi- tive des
centres
nerveux ; il n'a pas été possible de savoir si le
l'accumulation exerce une action couvulsivante. Elles irritent les
centres
vaso-moteurs soit en paralysant les vaso-dilata
ie intra-utérine. Cet auteur pense qu'au début de l'évolution les
centres
cérébro-spinaux' doivent aussi être bisexués. Q
surtout à leur pied, et avec -la partie voisine de FA forment un
centre
de ramollissement. FI est presque indemne, surtou
excès ou une diminution de la quantité de sang qui circule dans les
centres
nerveux. Delà l'importance que pourra présenter
chaud ou du froid sur la colonne vertébrale, autrement dit sur les
centres
nerveux spinaux. C'est ainsi que le froid sur
d'autres appareils nerveux, les impressions passent directement aux
centres
moteurs sans aller aux centres supérieurs; « il
impressions passent directement aux centres moteurs sans aller aux
centres
supérieurs; « il y a production d'un court circ
imulation consciente et voulue de la mort, et celui de l'anémie des
centres
infirmé par l'expérience, tombant ainsi dans l'er
phériques ne pénètrent pas à travers les voies ordinaires jusqu'aux
centres
accoutumés, les voies de transmission de la sen-
euvent être abolis, les autres restant intacts; qu'il y a plusieurs
centres
de perception des sensations et qu'on ne peut p
tions et qu'on ne peut placer dans la zone rolandique que les seuls
centres
d'association et peut-être de mémoire musculo-t
elle-même ou d'une répercussion lointaine du trauma- tisme sur des
centres
situés autre part, par voie inhibitrice ou par
universel qui, arrivant de tous les points du réseau nerveux à leur
centre
anatomique et, par celui-ci, au seul centre vér
u réseau nerveux à leur centre anatomique et, par celui-ci, au seul
centre
véritable, le centre psychique, le moi, apparaî
ur centre anatomique et, par celui-ci, au seul centre véritable, le
centre
psychique, le moi, apparaît à ce moi comme mode
y Cajal, contre la théorie erronée d'un réseau nerveux diffus des
centres
nerveux : ce réseau n'est en réalité qu'un simple
s nerveuses, mises en rapport avec ces éléments, qui conduisent aux
centres
l'excita- tion accumulée dans la cellule neuroé
ne, non seulement cause de l'énorme distance qui les sépare de leur
centre
histogénique, mais parce que le cou- rant de la
face THÉORIE DES NEURONES 377 périphérique du corps cellulaire au
centre
, dans une direction cellulipète. Les vaisseaux
on prolongement axile. Le bout périphérique d'un nerf séparé de son
centre
dégénère depuis l'extrémité sec- tionnée jusqu'
sporter aux cellules ganglionnaires quelque excita- tion émanée des
centres
, impulsion qui serait peut-être nécessaire pour
x organes de réception des excitations nerveuses apportées dans les
centres
sont les surfaces des corps cellulaires et de l
iques, comme par exemple une action d'inhibition s'exerçant sur les
centres
de la perception. ' R. CaARON. LXI. DES rappo
s lésions de la paralysie générale resteraient cantonnées dans le
centre
nerveux, alors qu'elles gagnent les méninges chez
oxication thyroïdienne primitive, modifiant fonction- nellement les
centres
sympathiques. Forme toxique. Cette excitation p
aduit par des phénomènes d'excitation pouvant porter sur les divers
centres
sympathiques. On explique ainsi facilement tous
, au niveau des sixième, septième et huitième cervicales, étendu au
centre
de la moelle de la sixième cervicale ci la premiè
s la deuxième dorsale, elle n'est plus visible macroscopiquement au
centre
de- la moelle; et au niveau de la quatrième, el
septième racine cervicale; de là, elle a filé en haut et en bas au
centre
de la moelle; en haut, elle ne dépasse pas sensib
de la sixième cervicale; en bas, sa limite à l'mil nu, toujours au
centre
de la moelle, ne dépasse pas la deuxième dor- s
s où elle apparaît comme un champignon dont le pied plonge jusqu'au
centre
de la moelle et Firj. 7. Moelle (le la quatri
elle qui ont porté dans des points où la néoplasie n'existe plus au
centre
(cin- quième cervicale et au-dessus et douzième
lules épend\- maires en surproduction, les cellules néoplasiques du
centre
de la moelle, au niveau de la tumeur, et celles
TUMEUR DE LA MOELLE. 44S surtout sont encore visibles, mais vers le
centre
il semble qu'il n'y a plus que ces fibrilles gr
s décrivent un tourbillon ou affectent une disposi- tion radiée, le
centre
du lobule est toujours marqué par une tache ros
gine intra-médulaire. Budge et Watlerles premiers localisè- rent le
centre
dilatateur des pupilles au niveau delà partie U
. En résumé, d'après ces différents auteurs, il n'y aurait pas de
centre
médullaire de la pupille ; les fibres dilatatrice
d de ces opinions il faut mettre celle des auteurs qui admettent le
centre
médullaire : a). Chez le chat et la chèvre, apr
première dorsale, c'est-à-dire exactement dans larégion assignée au
centre
dilatateur de la pupille parles partisans de l'
nomène pathologique de ce côté. Il est donc difficile d'admettre un
centre
pupillaire à ce niveau ; il est plus facile de
il était illogique d'admettre pour chaque modalité du langage des
centres
spéciaux. Il croit qu'il faut réagir contre la dé
ngage parlé, tout en étant un acte conventionnel acquis, procède de
centres
préformés ; ce fait s'expliquerait en ad. metta
e fait s'expliquerait en ad. mettant la formation progressive de ce
centre
dans la longue suc- cession d'ancêtres qui, dep
s isolé- ment est tout à fait récent, il ne saurait y avoir que des
centres
adaptés ; certains centres communs présidant dé
it récent, il ne saurait y avoir que des centres adaptés ; certains
centres
communs présidant déjà à d'autres actes du fonc
phiques. Le premier de ces actes est sous la dépendance évidente du
centre
du langage parlé; quant au second, il s'opère par
angage parlé; quant au second, il s'opère par l'inter- médiaire des
centres
psycho-moteurs. Dans notre écriture actuelle, l
des faits d'agraphie n'oblige nullement à ad- mettre l'existence de
centres
spéciaux pour le langage écrit. Eu effet, l'agr
d'agraphie lorsque ces images auront disparu. A. Fenayrou. V. Le
centre
de l'agraphie ET L% SURDI-11UT1T; paL' L 11R13SdU
du langage, il se refuse à admettre que le langage parlé procède de
centres
préformés, tan- dis que le langage écrit relève
ocède de centres préformés, tan- dis que le langage écrit relève de
centres
adaptés. Selon lui, la fa- culté d'apprendre à
ale n'est pas la même que celle du langage phonétique articulé ; le
centre
de la fonction, qui doit le plus directement co
'est, selon moi, écrit M. Brissaud, jusqu'à preuve du contraire, le
centre
du langage écrit, celui de la deuxième frontale.
ire. Il existe donc un trouble de conductibilité dans le domaine du
centre
moteur de la parole. Pas d'hémianopsie; pas de pe
la paralysie purement tactile a persisté. - %. P. Kebaval. XC. LE
centre
COMPULSIF ET LE centre DE la locomotion au niveau
actile a persisté. - %. P. Kebaval. XC. LE centre COMPULSIF ET LE
centre
DE la locomotion au niveau DE la protubérance;
eurs, le cerveau ayant un gros volume, la piqûre n'excite point les
centres
vaso-moteurs, il faut qu'une lésion plus étendu
us étendue agisse sur les conducteurs-moteurs. Il n'y a donc pas de
centre
convulsif dans la protubérance, il y a des élémen
e convulsif dans la protubérance, il y a des éléments mo- teurs. Le
centre
moteur qui existe au niveau de la partie supé-
eau de la partie supé- rieure du bulbe et de la protubérance est un
centre
locomoteur, un centre spécial, apparié, destiné
rieure du bulbe et de la protubérance est un centre locomoteur, un
centre
spécial, apparié, destiné à la locomotion, qui co
nouille ou d'un animal supérieur. L'excitation indépen- dante de ce
centre
engendrera des mouvements convulsifs comme ceux
éphale situées en avant de la protubérance. Mais l'excitation de ce
centre
provoquera des con- vulsions toniques, et non p
de fibres du système de projection. 11 en est de même pour tous les
centres
d'association. Mais il y a une remarquable différ
association. Mais il y a une remarquable différence entreles divers
centres
sensoriels. Sans douteil est loisible d'admettre
rs centres sensoriels. Sans douteil est loisible d'admettre que les
centres
d'association dans toute leur étendue s'unissent
es fonctions délicates, à dissocier et à localiser l'assemblage des
centres
multiples qui le composent, n'ait tenté les chiru
rait une faute grave en effet que d'identifier dans tous les cas le
centre
qui se décharge avec le foyer épileptog8ue (lésio
ux convulsions partielles, qui indiqueraient, outre la décharge des
centres
irrités, la maladie de ces centres. C'est ainsi
queraient, outre la décharge des centres irrités, la maladie de ces
centres
. C'est ainsi qu'il existe des épilepsies partie
e groupe d'épilepsies partielles prouve encore que la décharge d'un
centre
ne comporte pas nécessairement la lésion de cel
érance des spasmes toniques s'expliquerait par la participation des
centres
sous-corticaux, qui se déchargeraient à côté des
pation des centres sous-corticaux, qui se déchargeraient à côté des
centres
corticaux. Les centres sous-corticaux peuvent
orticaux, qui se déchargeraient à côté des centres corticaux. Les
centres
sous-corticaux peuvent également déterminer des
rée, s'étendant aux autres groupes dans l'ordre que la position des
centres
moteurs de l'écorce leur. indique, sans une fau
itation faradique ait démontré qu'onse trouvait bien en présence du
centre
cherché. Mais le centre excisé était-il vraimen
montré qu'onse trouvait bien en présence du centre cherché. Mais le
centre
excisé était-il vraiment le foyer épileptogène
gauche. On pra- tiqua à deux reprises différentes l'extirpation dn
centre
des mouve- mentsdelamain gauche, après vérifica
on dn centre des mouve- mentsdelamain gauche, après vérification du
centre
par l'excitation faradique. Le résultat était p
ltendre, cela tient probablement à ce que, bien qu'on ait enlevé le
centre
des mouvements initiaux de l'accès, le centre e
n qu'on ait enlevé le centre des mouvements initiaux de l'accès, le
centre
excisé n'était pas le véritable point de départ d
ée, par Binet et Courtier, 40 ? Protubérance. Centre convulsif et
centre
de locomotion au niveau de la -, par de Sechter
symptomatique ni de l'épi- lepsie, ni d'une affection organique des
centres
nerveux, est la manifestation d'un état névropa
t M. L. Guinon, le réflexe cérébral qui, en temps normal, dirige le
centre
médul- laire de la miction fait défaut et que l
la moelle, c'est parce qu'il existe une sorte d'inhibition de ce
centre
et que les impressions qui lui arrivent de la ves
, dont l'incontinence est due vraisem- blablement à l'inhibition du
centre
cérébral de la miction occasionnée par des préo
es cuisses), a été le point de départ d'une sorte d'inhibition du
centre
cérébral correspondant à la fonction urinaire. A
raît consister au début en une sorte de distraction cérébrale. Le
centre
mictionnel oublie sa fonction ou ne ressent pas l
ou bien la lésion est intra-médullaire, et alors elle intéresse les
centres
médullaires de ces nerfs, ou bien elle est intr
r est localisé dans le cône terminal, qui renferme, on le sait, les
centres
ano-vésical et génito-spinal. M. Raymond rappel
ne intimement lié avec le système nerveux, l'auteur suppose que les
centres
tro- phiques de la peau, organe de la sensibili
phiques de la peau, organe de la sensibilité, sont situés, avec les
centres
trophiques des nerfs de la sensibilité, dans les
parois du troisième ventricule. Cette colonne n'est qu'une série de
centres
successifs, desti- nés aux divers muscles de l'
e l'oeil. En avant, sous la paroi du troisième ventricule, sont les
centres
des muscles accomoda- teurs et des muscles de l
l'iris. Sous l'acqueduc de Sylvius et d'ar- rière en avant sont les
centres
des muscles droit externe, rele- veur de la pau
paupière, droit supérieur, droit inférieur, petit oblique, enfin le
centre
du pathétique. Tous ces centres occupent la par
t inférieur, petit oblique, enfin le centre du pathétique. Tous ces
centres
occupent la partie supérieure de la protubéranc
oyaux gris et les fibres pyramidales du côté gauche, respectera les
centres
accommodateurs et photo-moteurs, alors qu'il prod
s qu'il produira une ophtalmoplégie externe bilatérale, puisque les
centres
des muscles moteurs de l'oeil sont contigus, ce
d'autres constatations. La diversité de l'action qu'exerce sur les
centres
nerveux les différents poisons doit, au cas où
rses infirmités portant soit sur les organes des sens, soit sur les
centres
nerveux et produisant des modifications va- ria
ns même qu'il soit fait mention d'une zone intacte correspondant au
centre
ovale de Flechsig. Mais à côté de ces exception
rs, l'une antérieure, l'autre postérieure. La postérieure répond au
centre
ovale de Flechsig, mais se continue vers la pér
lle atteint, ce qui n'est pas encore la disposition classique de ce
centre
, ainsi qu'il est repré- senté àégtsi à un nivea
ème lombaire et au niveau de la troisième lom- ])aire (fig. 10), le
centre
ovale de Flechsig apparait occupant son siège h
ces coupes les fibres de notre groupe postérieur qui for- maient le
centre
ovale de Flechsig, se sont de nouveau rapprochées
ées par une surface dégénérée. Quant aux deux bandelettes médianes (
centre
ovale) on voit ici qu'elles ont reculé vers la pé
s et qu'on peut voir dans la figure 11. « Nos bandelettes médianes (
centre
ovale) touchent la périphé- rie de la moelle to
baire la branche transversale disparaît et l'interne cons- titue le
centre
ovale de Flechsig. A la région sacrée le centre
erne cons- titue le centre ovale de Flechsig. A la région sacrée le
centre
se déplace de nouveau en arrière, redevient ang
mbault et Philippe. Donc faisceau postérieur, faisceau angulaire,
centre
ovale de Flechsig, triangle médian de Gombault
rale dont nous avons parlé plus haut, on trouve intact également le
centre
ovale de Flechsig et, à la région cervicale seu
aux chroniquement atteints de la pie- mère. Les artères malades des
centres
nerveux étaient en effet ' Wiglesworth en des t
e celle affection, son acle est donc dû à l'hystérie. Chez lui, les
centres
supérieurs, inhibiteurs, n'ont pu ni juger, ni ar
e physiologique de l'obsession basée sur les rap- ports mutuels des
centres
supérieurs et moyens. M. rllcti\-l3aown.r. fait
du genou. Ce procédé n'agit pas en augmentant l'excitabilité des
centres
nerveux; il agit, au contraire, directement sur l
équence de l'in- coordination avec sa cause. Quant à la théorie des
centres
et des conducteurs d'une coordination motrice d
mond que la logique physiologique s'oppose à l'existence de pareils
centres
, distinctement des centres et des conducteurs d
ogique s'oppose à l'existence de pareils centres, distinctement des
centres
et des conducteurs de la motilité et de la sens
s d'une finesse extraordinaire de la sensibilité ce sont plutôt les
centres
psycho-moteurs de l'é- corce cérébrale qui, à f
n gris lilas, surtout prononcé à la base des doigts et, de plus, le
centre
de la face dorsale forme une saillie arrondie d
n millimètre environ, examinées à la loupe, montrent toutes en leur
centre
un poil, petit Ou gros, long ou court. En certain
l'économie, portait d'une façon élective sur certains éléments des
centres
nerveux. Un peu plus tard, des expé- riences ri
montrèrent que le tétanos était le résultat de l'empoisonnement des
centres
bulbo-protubérantiels par des toxines sécrétées
toxines microbiennes, et que même certaines lésions organiques des
centres
nerveux, telles que celles de la paralysie infa
i, une des formes par lesquelles peut se manifester l'infection des
centres
nerveux. · En même temps ils étudièrent de près
s occasionnellement provoquées par des infections accidentelles des
centres
nerveux. Ainsi, dans cette question limitée, ma
orie psycho-sensorielle et théorie physiologique de l'éréthisme des
centres
corticaux. Quel que soit le point de départ adm
orticaux. Quel que soit le point de départ admis, l'intervention du
centre
sensoriel cortical du sens considéré est indisp
llucination regardant comme nécessaire l'intervention constante des
centres
corticaux est donc, en réalité, celle qui rend
eule notion définitivement acquise de l'intervention nécessaire des
centres
corticaux dans la production de l'hallucina- ti
es. SOCIÉTÉS SAVANTES. 213 214 SOCIÉTÉS SAVANTES. réaction d'un
centre
moteur qui donne, sous l'influence de l'exci- t
électriques). L'hallucination auditive, à la sup- poser fonction du
centre
auditif, supposerait une sélection parti- culiè
l'intervention nécessaire dans les phénomènes halluci- natoires de
centres
multiples, de tous ceux qui sont nécessaires à
ne et les explique. En résumé, messieurs, je pense que le rôle du
centre
auditif, bien que nécessaire, n'est pas suffisa
Karvinski. Les alié- nistes oublient toujours dans l'encéphale les
centres
sous-corticaux. Or, Meynert pense que la percep
e la perception réelle est toujours fondée sur la perception de ces
centres
. Leur défaut de participation abou- tirait non
inations, non seulement l'écorce, mais 216 SOCIÉTÉS SAVANTES. les
centres
sous-corticaux sont troublés. M. Karvinski a déve
eulement dans sa tête comme un langage intérieur. Dans ces cas, les
centres
sous-corticaux ne prennent aucune part dans la
les perceptions vraies exigent l'intervention de l'écorce et des
centres
sous-corticaux, les hallucinations psychiques, ce
et cer- taines lésions corticales tardives. La lésion terminale des
centres
sensoriels serait l'aboutissant d'un processus
yanose, reconnaissent toutes trois pour cause des perturbations des
centres
nerveux, mais cette dernière affection nous sem
, rend compte des résultats de ses recherches histologiques sur les
centres
médul- laires dans les cas de section de nerfs
nnes. A l'état de maladie, s'il n'est pas ancien, incrusté dans les
centres
nerveux, il guérit par suggestion. Dans la sclé
es buveurs d'habitude par la sug- gestion hypnotique. Création d'un
centre
d'arrêt.- Chez les buveurs qui se déclarent imp
recourir à l'intervention de la suggestion hypnotique. En créant un
centre
d'arrêt, on arrive assez facilement à réagir co
sonienne est expliqué par la disposition topogra- phique des divers
centres
moteurs à la surface de la zone rolandique; dan
dique; dans le type facial, par exemple, la superposition des trois
centres
moteurs de la face, du membre supérieur, du TRO
achial, le rayonne- ment de l'onde envahit d'abord la face, dont le
centre
est situé au-dessous du centre brachial ; puis
nde envahit d'abord la face, dont le centre est situé au-dessous du
centre
brachial ; puis le membre inférieur, dont le ce
au-dessous du centre brachial ; puis le membre inférieur, dont le
centre
est situé au-dessus. Mais comme le centre du memb
membre inférieur, dont le centre est situé au-dessus. Mais comme le
centre
du membre inférieur est plus éloigné du centre
essus. Mais comme le centre du membre inférieur est plus éloigné du
centre
brachial que ne l'est le centre facial, c'est l
bre inférieur est plus éloigné du centre brachial que ne l'est le
centre
facial, c'est le centre facial que la progression
éloigné du centre brachial que ne l'est le centre facial, c'est le
centre
facial que la progression de l'onde intéresse d
admettre un trouble provoqué par l'élaboration de la phrase dans le
centre
de l'articulation des mots, il sera logique de
ation des mots, il sera logique de supposer qu'après avoir gagné le
centre
des mouvements de la face qui lui est contigu,
a pariétale ascendantes faisant entrer successivement en action les
centres
moteurs du tronc, du membre supérieur et du mem
aires et rectaux sus-énoncés. Ce qui s'explique par la situation du
centre
médullaire génital et urinaire, à la partie sup
rveuses sont saines. Cette lésion est de nature syphili- tique. Les
centres
nerveux, sauf la moelle et les méninges, sont i
de l'oeil innervés par le moteur commun et qui respectent certains
centres
innervés cependant par le même nerf, etc. Je no
. L'accé- lération du pouls paraît être un effet de l'excitation du
centre
des nerfs accélérateurs dans le bulbe. Quant
xclusivement d'origine bulbaire et peut dépendre aussi, ou bien des
centres
spinaux, ou bien de la périphérie même. (Revue
quant à la nutrition. Quant à l'innervation, l'affec- tion lente du
centre
trophique ne produit pas l'altération des fibres
ments histologiques de la corne antérieure : c'est une affection du
centre
trophique, qui produit l'altération de la voie
ec- tue moins vite, plus tard aussi se manifeste l'excitabilité des
centres
corticaux moteurs ; 10° D'après l'observation c
action, transformations ou traces d'un changement fonc- tionnel des
centres
psychiques. Quant aux éléments qui consti- tuen
polyné- vrite, ils avaient attribué leur origine à l'altération des
centres
nerveux. Ensuite Korsakoff avait décrit trois
propres, on est conduit à lui donner une origine certaine dans les
centres
nerveux. j) En effet, le trouble de la mémoire
é dans ces cas par une excitation peu intense et peu diffusible des
centres
psychiques avec retentis sement sur lcsglandes
rde pas à diviser en cécité et en surdité verbales. En 1881, quatre
centres
sont anatomique- ment déterminés correspondant
langage : le . Archives, 2° série, t. IL. 26 401 BIBLIOGRAPHIE.
centre
de Broca ou de l'aphasie motrice au pied de la tr
l parfois l'hémorragie et les tumeurs. La lésion peut porter sur le
centre
cortical (aphasies corticales) ou sur les fibre
re cortical (aphasies corticales) ou sur les fibres qui relient les
centres
d'images motrices, visuelle ou auditive aux cen
qui relient les centres d'images motrices, visuelle ou auditive aux
centres
généraux correspondants (aphasies sous- cortica
atique d'aphasies transcorticales où les relations entre les divers
centres
du langage et le centre de l'idéation seraient
rticales où les relations entre les divers centres du langage et le
centre
de l'idéation seraient interceptées. Les formes
es aphasies vraies, si une lésion de la maladie existe au niveau du
centre
du langage. L'hystérie, dans certains cas très ra
at l'opinion de Charcot et d'lxner qui affirmaient l'existence d'un
centre
moteur autonome graphique. M. Mirallié adopte l
e, Freud, Oppenheim, etc., qui prétendent que toute altération d'un
centre
d'images du lan- gage entraîne l'agraphie. L'
r passe en revue les arguments émis en faveur de l'hypo- thèse d'un
centre
de l'agraphie et établit que les arguments psycho
thèse, M. Mirallié, après avoir critiqué les arguments en faveur du
centre
de l'agraphie, expose ceux contraires à l'exisl
du centre de l'agraphie, expose ceux contraires à l'exislence de ce
centre
. Se basant sur la clinique, il affirme que l'ag
cubes sur lesquels des lettres étaient dessinées. S'il existait un
centre
d'agraphie permettant de coordonner les mouveme
rte de la notion du mot. Rien n'autorise actuellement à admettre un
centre
de l'agraphie. L'anatomie de la zone du langage
enceinte de la scissure de Sylvius : pied de la troisième frontale,
centre
des images motrices d'articulation; partie post
rticulation; partie postérieure des première et deuxième temporales
centre
des images auditives; pli courbe, cen- tre des
angage muet. » C'est qu'en effet chez nos mystiques l'éréthisme des
centres
cortico-optiques, semble l'emporter sur celui d
thisme des centres cortico-optiques, semble l'emporter sur celui du
centre
audi- tif. Or, chez les persécutés types, l'hal
ées parce que la compression de la moelle siège bien au-dessus du
centre
urinaire. En somme, le diagnostic de la compres
que, sinon le col se contracte seul et il y a spasme. Or. quand les
centres
réflexes urinaires ont été hyperexc;tés, ils pr
sont les mouvements du bateau qui troublent le fonc- tionnement des
centres
réflexes et qui, par suite, provoquent le spasm
ouve, incidemment, que le ganglion coeliaque inferieur n'est pas un
centre
d'innervation important pour ce viscère. Les lo
c'est-à-dire chez les lapins opérés mais non inoculés. La lésion du
centre
d'innervation du rein constitue donc une prédis
cellule nerveuse, montre que les polynévrites déterminent dans les
centres
.nerveux des lésions constantes mais d'origine se
e- condaire : ces lésions constituent la réaction nécessaire d'un
centre
en souffrance et ce n'est ni le hasard ni l'infec
re est, par suite, produite à distance. Les lésions secondaires des
centres
médullaires dans les polyné- vrites, bien que c
que comparables à celles que provoque la section d'un nerf dans son
centre
d'origine, sont cependant moins aiguës, moins i
inaperçues. Enfin, dans les polynévrites comme dans les lésions des
centres
nerveux consécutives à la section nerveuse, il
, l'intégrité du langage intérieur permet d'admettre l'intégrité du
centre
cortical de la surdité verbale, par conséquent
ue, la localisation de la lésion serait sur le faisceau unissant le
centre
de réception commun des sensations auditives au c
unissant le centre de réception commun des sensations auditives au
centre
spécialisé pour la réception du langage articul
nctionnelles telles, qu'elles rendent plus efficace l'influence des
centres
supérieurs. On comprend ainsi comment certains
es motrices fait comprendre l'action rapide et si bien ordonnée des
centres
, elle fait également comprendre ce phénomène d'
cultés du début; elle vit de sa vie personnelle ; elle est devenue un
centre
d'études justement appréciées. Elle est quelque c
iminuant, par vos méthodes d'enseignement pédagogique, l'aptitude des
centres
aux troubles de leur fonctionnement, vous faites
s, comme une atmosphère indispensable, qui se déplace avec vous et au
centre
de laquelle vous vivez, circulez et vous sentez v
lait de kataplexie ou paralysie de terreur, état dans lequel certains
centres
d'enraiement seraient excités au point d'empêcher
l'expérience sur elle. (Année psychologique, il, 1896, page 71.)
centres
soit enrayée, comme on le voit chez ceux qui ont
qu'un certain nombre sont rattachés par les auteurs à une lésion des
centres
et des filets nerveux trophiques distincts des ne
nt les dites épreuves me paraissent suffisamment démonstratives. Au
centre
, on voit une profonde excavation, sorte de cratèr
s de foi; Paray-le-Monial, en attendant Montmartre, est devenu un des
centres
religieux de notre siècle. Pour beaucoup de fidèl
et montra l'erreur. Lorsqu'il fut bien prouvé que le soleil était le
centre
de notre monde, les pasteurs des peuples s'arrang
gestion hypnotique. Ce traitement agit par la création d'un véritable
centre
d'arrêt psychique. Mis en présence de ses sollici
Le traitement des buveurs par la suggestion hypnotique. Création d'un
centre
d'arrêt psvchique. — Congrès des aliénistes et ne
tention. Ces artifices consistent essentiellement dans la création de
centres
d'arrêt par diverses actions psycho-mécaniques. P
iquide alcoolique. Les artifices par lesquels on arrive à créer des
centres
d'arrêt psychique sont très nombreux. Ils augment
, une paralysie ordinaire se montre sous l'influence d'une lésion des
centres
nerveux, tandis qu'une paralysie de nature hystér
ntrale bilatérale des annelés et des arthropodes. Chacun d'eux est un
centre
complet, se suffisant à lui-même.-. » Les lecte
nfluences dynamiques inhibitrices, influençant la moëlle allongée des
centres
divers. Landmann s'exprime dans le même sens, att
Paul Magnin avaient démontré l'influence considérable exercée sur les
centres
nerveux par les excitations périphériques faibles
cultés du début ; elle vit de sa vie personnelle: elle est devenue un
centre
d'études justement appréciées. Elle est quelque c
qui la provoquent, déterminent aussi l'inflexion du tentacule vers le
centre
de la feuille. Cette inflexion, qui persiste plus
ale à l'Université de Montpellier 1. Automatisme et psychisme ; les
centres
du psychisme inférieur (polygone cortical); les
és dans une certaine limite. C'est une fonction psychique, dont les
centres
sont dans l'écorce grise cérébrale, et qui doit ê
la question en 1896 (2). e m k a v t Fig. i. — Schéma général du
centre
psychique supérieur 0 et des centres psychiques i
v t Fig. i. — Schéma général du centre psychique supérieur 0 et des
centres
psychiques inférieurs (automatiques supérieurs).
et des centres psychiques inférieurs (automatiques supérieurs). 0 :
centre
psychique supérieur de la personnalité consciente
ble : écorce cérébrale du lobe préfrontal (?) AVTEMK : polygone des
centres
psychiques inférieurs ou de l'automatisme psychol
psychique supérieur. Les actes automatiques supérieurs ont donc des
centres
distincts, d'une part des centres psychiques supé
utomatiques supérieurs ont donc des centres distincts, d'une part des
centres
psychiques supérieurs, de l'autre des centres réf
stincts, d'une part des centres psychiques supérieurs, de l'autre des
centres
réflexes. Ces centres ne sont ni dans l'axe bul
centres psychiques supérieurs, de l'autre des centres réflexes. Ces
centres
ne sont ni dans l'axe bulbo-médullaire (réflexes)
es ne sont ni dans l'axe bulbo-médullaire (réflexes) ni même dans les
centres
basilaires et mésocéphaliques (réflexes supérieur
inférieur). Ils sont dans l'écorce cérébrale, mais se distinguent des
centres
du psychisme supérieur, également situés dans cet
ituellement, dans mon enseignement, du schéma ci-joint. En 0 est le
centre
psychique supérieur formé, bien entendu, d'un gra
rmé, bien entendu, d'un grand nombre de neurones distincts : c'est le
centre
du moi personnel, conscient, libre et responsable
ient, libre et responsable. Au-dessous est le polygone (AVTEMK) des
centres
automatiques supérieurs : d'un côté, les centres
olygone (AVTEMK) des centres automatiques supérieurs : d'un côté, les
centres
sensoriels, de réception, comme A (centre auditif
upérieurs : d'un côté, les centres sensoriels, de réception, comme A (
centre
auditif), V (centre visuel), T (centre de sensibi
é, les centres sensoriels, de réception, comme A (centre auditif), V (
centre
visuel), T (centre de sensibilité générale); de l
oriels, de réception, comme A (centre auditif), V (centre visuel), T (
centre
de sensibilité générale); de l'autre, les centres
(centre visuel), T (centre de sensibilité générale); de l'autre, les
centres
moteurs, de transmission, comme K (centre kinétiq
générale); de l'autre, les centres moteurs, de transmission, comme K (
centre
kinétique), M (centre de la parole articulée), E
les centres moteurs, de transmission, comme K (centre kinétique), M (
centre
de la parole articulée), E (centre de l'écriture)
on, comme K (centre kinétique), M (centre de la parole articulée), E (
centre
de l'écriture). Ces centres, tous situés dans l
), M (centre de la parole articulée), E (centre de l'écriture). Ces
centres
, tous situés dans la substance grise des circonvo
ipètes, (aA, vV, tT et des voies centrifuges Ee, Mm, Tt) et reliés au
centre
(1) Richet. article Automatisme in Dictionnaire
atiques, suivant que l'activité automatique est communiquée ou non au
centre
0, qui est le centre de la conscience personnelle
l'activité automatique est communiquée ou non au centre 0, qui est le
centre
de la conscience personnelle. La conscience ou
lecture, l'interrompt par des réflexions personnelles, c'est que son
centre
0 est compris dans le cercle vVOMm. Si au contrai
ns intervention de 0. 2. A l'état normal et physiologique, tous ces
centres
interviennent en général tous ensemble, leurs act
mobile, abdiquera la direction qu'il doit exercer normalement sur les
centres
polygonaux, soit au contraire quand 0 sera fortem
ation habituelle est rompue; il y a désagrégation psychique entre les
centres
psychiques supérieurs et les centres psychiques i
ésagrégation psychique entre les centres psychiques supérieurs et les
centres
psychiques inférieurs. Quand Archimède sort dan
ude de faire; ils sont bien spontanés, mais ne sont pas nouveaux, les
centres
polygonaux ne se formant ou plutôt ne se meublant
ple de désagrégation mentale, de dissociation fonctionnelle entre les
centres
psychiques supérieurs et les centres psychiques i
ociation fonctionnelle entre les centres psychiques supérieurs et les
centres
psychiques inférieurs, chez un sujet absolument n
r ou même « de s'accroitre, malgré le sommeil ». En somme, c'est le
centre
O qui se repose; mais le psychisme polygonal pers
montre l'indépendance des neurones. - (Vialleton, in Anat. clin, des
centres
nerv. Actuat. médic, 2e édit, p. 5). (2) LEPINE
et bien plus intense chez des sujets qui, sans être malades, ont leur
centre
0 plus faible, plus facile à désagréger qu'à l'ét
y a une différence complète entre le rêve et le délire en ce que les
centres
nerveux enjeu dans les deux cas sont différents.
on ne cesse pas le traitement trop tôt, si l'on a soin de créer des «
centres
d'arrêt psychiques, » si l'on crée et développe s
t s'expliquer que par l'inhibition soudainement provoquée de certains
centres
supérieurs et cette inhibition constitue essentie
mentale ou la dissociation suspolygonale, prouvée par ce fait que le
centre
0 du sujet n'a plus d'action sur son polygone, le
alléabilité du polygone ; c'est l'obéissance immédiate du polygone au
centre
0 du magnétiseur. « Chez certains sujets, disai
que et indépendant, sont de véritables parasites de la pensée. » Le
centre
0 du magnétiseur donne des ordres moteurs et le p
tranger (suggestion) ; tantôt a son compagnon, le mol supraliminal » (
centre
0) (Marcel Mangin. Le mécanisme de la suggestion
t seules nécessairement supprimées dans l'état de suggestibilité : le
centre
0 n'a plus aucune influence active, directe, sur
simple de l'état de suggestibilité C'est un polygone émancipé de son
centre
0 qui obéit au centre 0 de l'hypnotiseur. On vo
uggestibilité C'est un polygone émancipé de son centre 0 qui obéit au
centre
0 de l'hypnotiseur. On voit immédiatement la di
lation au crédule que je n'admets pas. Le crédule est un normal ; son
centre
0 est faible, mais fonctionne. On est crédule dan
eur de Montpellier, on s'étonne de voir M. Binet écrire en parlant du
centre
O et du polygone... » qu'on n'a jamais noté l
ntre elles et de reporter cette force psycho-motrice en entier sur le
centre
moteur de l'imagination. Autrement dit, en appliq
e l'idée en mouvement, sensation ou image, par suite de l'inertie des
centres
modérateurs et du contrôle intellectuel. » On r
st plus tout à fait de l'état normal, puisqu'il y a ici « inertie des
centres
modérateurs et du contrôle intellectuel », tandis
idée est acceptée par le cerveau avec persistance de l'activité « des
centres
modérateurs et du contrôle intellectuel », il n'y
uggestion, puisque, dans la suggestion, ilya« inertie» de ces mêmes «
centres
modérateurs et du contrôle intellectuel ». Donc
re considérée comme due à une annihilation plus ou moins accentuée du
centre
psychique supérieur volontaire et conscient... No
us croyons que le pouvoir de résistance aux suggestions appartient au
centre
psychique supérieur (2) et que, plus ce centre es
gestions appartient au centre psychique supérieur (2) et que, plus ce
centre
est paralysé, plus cette résistance est affaiblie
l'impressionnabilité aux suggestions est avant tout une fonction des
centres
inférieurs, dont le centre psychique supérieur es
ggestions est avant tout une fonction des centres inférieurs, dont le
centre
psychique supérieur est chargé de modérer l'actio
d à prouver que l'hypnose dépend d'une dissociation fonctionnelle des
centres
nerveux. » Les objections les plus graves contr
uveaux... » Le reproche est injuste. La théorie des deux étages des
centres
psychiques n'a pas la prétention d'expliquer le f
s donner l'explication définitive et complète, la théorie des doubles
centres
psychiques est utile, ce n'est pas une simple exp
ue que je ne comprends pas comment il y a du mysticisme à séparer les
centres
psychiques supérieurs et les centres psychiques i
y a du mysticisme à séparer les centres psychiques supérieurs et les
centres
psychiques inférieurs, comment la conception du p
r comme le substratum des processus de l'aperception, c'est-à-dire du
centre
aperception-nel (Apperceptionscentrums)... De cet
ul mot : dans l'état de suggestibilité, le polygone est séparé de son
centre
0, il garde son activité propre, mais il est très
vité propre, mais il est très malléable et complètement à ta merci du
centre
0 de l'hypnotiseur. Appliquant cette notion, qu
en enlevant la substance grise corticale des régions du cerveau dites
centres
moteurs, on parvient à provoquer des attaques épi
Nous pouvons maintenant nous expliquer la raison de cet état : Ses
centres
moteurs sont Atteints. Avec ses caractères viol
eault (Portrait), p. 97. Clinique du Dr Liébeault, p. 99. Schéma du
centre
psychique supérieur et des centres psychiques inf
du Dr Liébeault, p. 99. Schéma du centre psychique supérieur et des
centres
psychiques inférieurs, p. 258. TABLE DES AUTE
e der Sauyetliiere. St¡'ickel"s Ilandbuch. 3 Huguenin. Anatomie des
centres
nerveux. Traduction Th. Kellel et .\1. Duval. P
és, déplacés par le rasoir et n'occuperaient plus exac- tement le
centre
de leur enveloppe de myéline. La moelle ainsi t
eur doit son intégrité à ce qu'il est encore en rela- tion avec les
centres
; et que, par conséquent, le cylin- dre d'axe, r
de la deuxième frontale ; l'origine de la frontale ascendante ; au
centre
de la pariétale ascendante. A l'angle postérieur
head. Londres, 1879. Recherches sur l'échauffement des nerfs et des
centres
nerveux à la suite des irri- tations sensoriell
rature paraissait alors plus basse à la périphérie du cerveau qu'au
centre
, en avant qu'en arrière. Ces résultats étaient
soumise au refroidissement. La perte de calorique était moindre au
centre
et en arrière à cause de la masse plus considér
sionnelles. M. Schiff s'est, du'reste, occupé de l'échauffement des
centres
nerveux eux-mêmes dans l'important travail des
Amidon a recherché sur toute l'étendue de la convexité du crâne des
centres
de température variable. III. Nous ne reviendro
ouvement volontaire doit entraîner la congestion physiolo- gique du
centre
cortical excito-moteur qui lui correspond, M. A
perthermie, qu'il s'est ensuite appliqué à faire coïncider avec les
centres
cérébraux sous-jacents : cette com- paraison se
et dans lesquelles, de par la température , il suppose exister des
centres
excito-moteurs. Pour expérimenter, on a soin de
uteur ont été assez répétées pour lui per- mettre de subdiviser des
centres
, déjà difficiles à limiter, en centres secondai
- mettre de subdiviser des centres, déjà difficiles à limiter, en
centres
secondaires d'une précision apparente incontestab
par la thermométrie, M. Amidon a établi une série très complète de
centres
corticaux. Nous renverrons le lecteur au mémoir
d'accord avec les données acquises de topographie pathologique des
centres
corticaux et avec les recherches de Ferrier, ta
pour quelques autres groupes musculaires, il y a une extension des
centres
corticaux sur des régions admises comme latente
le scalène est près de la troisième frontale, la jambe répond à un
centre
étendu vers la région postérieure, le triceps c
ure. M. Amidon fait remarquer à ce propos, non sans raison, que ces
centres
, tout singuliers qu'ils nous paraissent, pourra
les mouvements associés des globes oculaires paraissent avoir leur
centre
fonctionnel ; II. Que. c'est dans le cervelet q
siology., vol. II, n° 1) avait trouvé dans les couches optiques des
centres
d'arrêt des con- tractions spasmodiques des sph
faisait du reste la section assez haut pour ne pas intéresser le
centre
ano-spinal. Lorsqu'après quelque temps les effets
sant dans le cordon latéral du côté opposé d'où elles descendent au
centre
ano- spinal. » MM. Ott et Smith ont aussi rem
I. EXPÉRIENCES montrant QUE l'anesthésie DUE A certaines LÉSIONS DU
CENTRE
CÉRÉBRO-RACHIDIEN PEUT être remplacée par DE l'
par DE l'hyperesthésie , SOUS l'influence D'UNE autre LÉSION DE CE
CENTRE
; parM. BROwN-SÉQUARD. (Compte rendu Ac. se, 29
e ou l'hyperesthésie ne dépen- dent évidemment pas d'une lésion des
centres
percepteurs encéphaliques, non plus que des con
encéphaliques, non plus que des conducteurs qui transmettent à ces
centres
les impressions sensitives, et, pour expliquer ce
iquer ces divers faits, admet dans l'appareil cérébro-rachidien des
centres
spéciaux capables tantôt de « faire disparaître
lésion de l'encéphale, pour en conclure que la partie lésée est un
centre
percepteur ou un lieu de passage de conducteurs
e série d'expériences d'extirpation REVUE DE PHYSIOLOGIE. 137 des
centres
moteurs de l'écorce cérébrale chez le chien, dans
s qui pourraient se produire, la signification fonctionnelle de ces
centres
. Les recherches ont porté exclusivement sur de
toute une moitié du corps. 3° Après des destructions étendues des
centres
moteurs, produites soit en une, soit en plusieu
ues, de l'écorce, ou dans des portions plus profondément situées du
centre
nerveux, et aussi que dans un certain sens, une
sque pour les pro- ductions de tout acte moteur, une excitation des
centres
de l'écorce est nécessaire. Comme les lésions é
ui se distribuent aux muscles paralysés, soit de quelque partie des
centres
nerveux. En quoi il ne parait pas avoir tort; l
régulière ou désordon- née, quelles parts respectives assigner aux
centres
nerveux, 1 Voir Progrès médical, t. III, p. 462
ter en tous cas pour la plupart des grands.' processus morbides des
centres
nerveux. Nous reprocherons^ M. Chauvet de n'avo
à l'origine réelle des nerfs de l'oeil et à la détermi- nation des
centre
/visuels, devaient être faits avec le soin qu'y
développent les conséquences de la sépa- ration du nerf d'avec ses
centres
nourriciers. Nous croyons, pour notre part, que
matoire frappant les nerfs qui ont conservé leurs relations avec le
centre
spinal, se place un autre processus,' différant
par le fait de la névrite, le tube nerveux se trouve séparé de ses
centres
trophiques. NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE. 181
ns intéressent des fibres qui ont conservé leurs relations avec les
centres
, l'existence d'une né- vrite parenchymateuse sp
hymateuse spontanée , indépendante de la suspension de l'action des
centres
trophiques, nous paraît devoir être admise et o
on dégénérative paraissait donc ici remonter des extrémités vers le
centre
, marche ascendante constatée dans certains fait
'a pas son origine dansune modification de l'action trophique des
centres
spinaux. La névrite segmentaire péri-axile se p
J 1, 0 i, e7 p . j' ;J p., J'" 0' " mine des points plus voisins du
centre
ovale; mais on 1 ; '. 1 J' t j 1 Il 1 1 t ;l, j
use de la force ou de la dépense nerveuse; dans certains points des
centres
nerveux cette dé- pense est exagérée; de làrésu
concluantes, l'action du chloroforme et des anes- thésiques sur les
centres
nerveux. Si on empêcbe le sang chlo- roformé de
savant physiologiste a indiqué que l'ânes- thésie produit dans les
centres
nerveux un état analogue à celui qui naît par l
naît par le sommeil naturel, et qu'il y a une légère anémie de ces
centres
: mais cette diminution circulatoire ne dépasse
nétré jusqu'au bulbe ; soit, à la lin, lorsqu'il y a saturation des
centres
nerveux par les mêmes vapeurs. Nous avons été a
uire à un minimum presque nul, les différents chocs exercés sur les
centres
nerveux. On ne peut citer comme demandant préfé
le élimination, ait le minimum pos- sible d'action chimique sur les
centres
nerveux. II. DUIOET. REVUE DE PHYSIOLOGIE i'
tinuité, du point d'application de l'excitant dans le direction des
centres
nerveux, d'une façon centripète. Dans ce cas, i
de la petite diago- nale du plancher du quatrième ventricule, deux
centres
symé- triques vaso-dilatateurs du foie et des o
aso-dilatateurs du foie et des organes intra-abdomi- naux. Ces deux
centres
sont séparément excitables. B. L'action de la p
a piqûre du plancher du quatrième ventri- cule, c'est-à-dire de ces
centres
, est double : 1° Irritation locale, produisant
ux; 2° Altération due à l'hémorrhagie consécutive et paralysie du
centre
altéré qui n'est plus excitable, indirectement (n
é). C. Après excitation et paralysie consécutive de l'un des deux
centres
vaso-dilatateurs intrabulbaires, la suractivité c
bdominaux peut encore être obtenue, soit directement (par piqûre du
centre
intact), soit par action réflexe (excitation du
le résultat d'une impression apportée par ces différents nerfs aux
centres
vaso-dilatateurs cheminant dans la moelle jus-
'minutieuser De pareils fmk')ourront donc permettre de préciser les
centres
d'innervation ? s différents filets de la trois
oyau d'origine très étèna, d la troisième paire. En recherchant les
centres
cérébraux' des nerfs. aecommodateurs,1'Hensen e
llons cérébraux ne sont pas très rares,- et il est possible que les
centres
n'aient pas, chez tous les individus, la même s
thèsé nerveuse, tous les parents du malade ayant des affections des
centres
nerveux. Des dix observations qu'il donne, M. H
ntinence urinaires), qu'il rapporte à l'insuffisance' d'aèti6l d'un
centre
lombaire de la miction; au début, le malade n'ur,
elui-ci produirait d'abord une excita- tion, puis une paralysie des
centres
nerveux en commençant par les plus élevés pour
entres nerveux en commençant par les plus élevés pour finir par les
centres
inférieurs ; le fait seul d'affaiblir à des rep
s le marasme. A l'au- topsie, on découvrit que la partie médiane du
centre
semi-ovalaire droit, toute la région limitrophe
té assez considérable de sang et la subs- tance cérébrale, jusqu'au
centre
dulobe frontal, est ramollie et plus ou moins m
ns considérables, disséminés sur les circonvolutions, respectant le
centre
ovale (subs- tance blanche), le cervelet, la pr
délicats. Mais celles de ces cellules qui sont les plus voisines du
centre
de sclérose sont atrophiées, jaunes, granuleuse
dant qu'il n'y a pas sur la poitrine, le bassin ou la face d'autres
centres
d'ori- gine de l'anesthésie provoquée. Mais les
ces nerfs en font foi. CH. FÉRÉ. VIII. NOTE SUR la morphologie DES
CENTRES
nerveux CHEZ LES CAL- MARIENS ; par Joannes CHA
. R. B. XXV. ÉTUDE expérimentale SUR la bandelette optique ET LES
CENTRES
VISUELS MÉSENCÉPHALIQUES ET CORTICAUX; par FERR
3° On ne peut considérer le corps genouillé externe comme un des
centres
mésoncéphaliques de la vision ou du moins lui a
jacent (Gudden); 9° La pointe du lobe occipital est,chez lelapin,le
centre
cortical de l'appareil de la vision ; cette loc
des méninges ou de la moelle, chemine dans la moelle jus- qu'aux
centres
vaso-dilatateurs ou excito-fonctionnels de la g
ilatateurs ou excito-fonctionnels de la glycogénie hépatique. Ces
centres
, placés dans le bulbe au-dessous de la petite dia
le résultat d'une impression apportée par ces différents nerfs, au
centre
vaso-dilatateur intra-bul- baire, d'où partent
s notions pour l'étude des actes intimes de la nutri- tion. Sur les
centres
nerveux, la perte des fonctions est instan- tan
ant qu'il est possible, l'hypothèse pathogé- nique de M. Lion : Les
centres
spinaux auxquels aboutissent les fibres du fais
les. Dès lors, toute excitation partie du cerveau à destination des
centres
spinaux homologues du côté sain se transmet au
est inexact de prétendre que l'excitation circonscrite de certains
centres
médullaires du côté sain suffit à mettre en jeu
ns centres médullaires du côté sain suffit à mettre en jeu tous les
centres
du côté opposé, devenus hyperexcitables. M. Cha
ait est d'ordre purement anatomique. Elle consiste en ceci, que les
centres
spinaux des membres inférieurs reçoivent beauco
bstance du pont de Varole : la com- pression de la protubérance, ce
centre
convulsif des auteurs, explique en effet les mo
ur les animaux, la circonvolution pariétale inférieure se trouve le
centre
de tout l'organe visuel aussi bien pour la part
rielles ; il semble en être de même chez l'homme; chez celui-ci, le
centre
oculo-visuel s'étend sur toute la circonvolutio
ute la circonvolution pariétale inférieure se reliant en avant au
centre
des mouvements faciaux, labiaux et oraux, et en a
re des mouvements faciaux, labiaux et oraux, et en arrière avec les
centres
psycho-sensoriels des régions occipitales. La p
a partie antérieure de cette circonvolution semble être le siège du
centre
des mouvements oculo-palpébraux et la partie po
t la partie postérieure ou pli courbe proprement dit est ou bien le
centre
de la vision ou une partie intégrante de celui-
sions épilepti- formes chez les animaux, en produisant l'anémie des
centres
nerveux, et particulièrement du bulbe, par l'él
xe produits par des lésions irritatives plus ou moins éloignées des
centres
, explique la pathogénie des convulsions puerpér
uminurie. En résumé, appauvrissement du sang, anémie relative des
centres
nerveux, telle serait, d'après l'auteur anglais,
ns ma tête. » Ses attitudes étaient d'ailleurs en rapport avec le
centre
de ses idées fixes qu'il possédait le monde en to
quand les incita- tions et les mouvements prennent leur origine au
centre
, quand les impulsions motrices, d'ordre patholo
de succès. Au début, il n'existe qu'une altération dynamique des
centres
; il ne faut pas attendre que l'irritabilité ait a
les lésions soit au niveau des circonvolutions, soit au niveau du
centre
ovale (Pitres), soit au niveau de la capsule inte
rait son compartiment ; où le secours serait dé- volu sur place, au
centre
de la famille et des amis ; où enfin, les commu
nG 19vmr,.noy0Oq eu 9]a9j.< ? interne sans empiéter sur celle du
centre
ovale lui- a41 no ? s; 4`r a^ trrsrrl91osYs rrl
rf8 ''fl 2hr1 p'-9 il 't olr.onff.O'iBi à remplace celle de double
centre
, demi-circulaire r,4' i". ? " ! lir- 3J '·at '
? x f ? ttË ? m',f)nhJtH1f'f ! 8.911 au contraire, celui de double
centre
demi-circulaire Iy)r\(ye`1 ni e^^olrvl^'d .)I(
;P.f-o7l6,f) lffgl ilr,l b-irjoniB taes'ïpy tatsant communiquer les
centres
médullaires : frontal '.h .,Y'7rff)ji ? Ën==rr[
- , le ',Illlt,tlél Q<')f'f ? no3 ? ) si P-1-iw fondue avec le
centre
ovale, ne représente que la cen- ... j ? n.Tr ?
u'siii ! Vi ^wJ'u' -> L r cedente, forment la bande, blanche ou.
centre
ovale 8V'911<b 'h; . ! ;.')'< "i\r; rj ;
*'1 *.r ? frrisii r.I -thinr» .<c o ° ment est confondu .avec le
centre
ovale, on ne peut \\-,< -8 ? nm.Ki v 'j't ?
? > q.[j'.)t0' r;rlOjrr%rn^flK VT-"Ar. album subrotundum) et du
centre
moyen de Luys. UR dla;- vl.t;J9 a 81 00rroiro-r
nterné,5 é pïôlôtigèmerit9'dë`cei"dernier;`Ifaitl`partiê < du ai
centre
1 an lio'-in'sul'aiîê'.IJIC : i,9om'm'e.sù les
aques sont sur la peau, de leur position relative par un rapport au
centre
nerveux. Ainsi, lorsque la plaque neutre se tro
si, lorsque la plaque neutre se trouve entre la plaque active et le
centre
, l'arrêt est général et complet; lorsqu'elle es
D. Pathogénie. L'auteur se rallie à la théorie de Waller sur les
centres
trophiques en ce qui concerne le bout périphé-
'EMPLOI DE l'appareil POLARISATEUR DANS L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DES
CENTRES
NERVEUX ET DE L'ATÉLECTASIE médullaire spinale;
en haut.' Les altérations procèdent très nettement de diffé- rents
centres
autour desquels elles s'irradient, et ces centres
t de diffé- rents centres autour desquels elles s'irradient, et ces
centres
sont : 1 A. Le bord postérieur libre du cordo
r lui, la couche optique est 588 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. un
centre
de perception, sensorielle. Si la couche optique
ogique de l'illusion formée. Il pense qu'il n'y a pas de lésion des
centres
sensoriels intellectuels situés dans la substan
par faiblesse générale. La nécropsie démontra la présence dans le
centre
ovale gauche d'une tumeur occupant la partie médi
bles sensoriels et trophiques sont en rapport avec l'altération des
centres
sensoriels de la moitié opposée du corps dans l
cérébrale, vertige circulatoire; l'autre dépendant d'une lésion du
centre
qui préside à la posi- tion de la tète. Ce cent
t d'une lésion du centre qui préside à la posi- tion de la tète. Ce
centre
serait situé dans le cervelet. Dans un travail
eur M'Bride pense, avecBurdonSanderson et' d'autres auteurs, que le
centre
d'où procèdent les fibres des. canaux demi-circ
expériences bien connues de Ferrier, de Munck, qui localisent le
centre
auditif dans les lobes temporaux. En supposant
ation,elle proviendrait, pour l'auteur, de l'interruption entre les
centres
coordinateurs (cervelet, tubercules quadrijumea
gmentation de volume; une autre hypothèse concerne l'excitation des
centres
; vaso-dilatateurs correspondant à cette partie
Cassette. DuneT (H.). Et7tde,yé7zérale de la localisation dans les
centres
nerveux, suivie d'une Étude critique sur les re
, etc., par Read, 616; (thérapeutique do la), par Massini, 621.
Centres
visuels (études des), par F. Tartuferi, 433.
itres, 278. ' Morphinisme (le), par Richlin, 326. Morphologie des
centres
neneux, chez les Calmariens, par C. Ch,l- tin
(thalamus opticus). EXPLICATION DES PLANCHES. 683 PLANCHE XV B,
centre
médullo-frontal. C, claustrum ou avant-mur. F
rontal. C, claustrum ou avant-mur. FV, fasciculus uncinatus. D,
centre
111édullo-orhitaire. C i, capsule interne. G
S l, septum lucidum. cca, commissure cérébrale antérieure. c m L,
centre
moyen de Luys. si faisceau longitudinal inférie
es curieuses au point de vue de l'anatomie et de la physiologie des
centres
nerveux apparaîtront un jour quel- ques indicat
utiques obligatoires dans le traitement de toutes les affections du
centre
nerveux. Introduite dans la thérapeutique par M
ifférents angles d'inclinaison, nous déplaçons pro- gressivement le
centre
de traction sous différentes hauteurs, ce qui n
cette cécité verbale à une lésion située entre le pli courbe et les
centres
corticaux de la mémoire visuelle commune (Dejer
es respiratoires graves ont amené une issue fatale. Les lésions des
centres
nerveux trouvés à l'autopsie portaient surtout su
orte la signature de l'action nocive exercée secondairement sur les
centres
nerveux par l'infection loca- lisée primitiveme
ophies musculaires, relevant vraisemblablemank d'une altération des
centres
nerveux qui président au développe- ment et à l
edème s'accorde avec l'hypothèse d'une altération méta- mérique des
centres
médullaires. Au point de vue nosographique, il
tat de fromage de gruyère » qui caractérise les coupes au niveau du
centre
ovale, des ganglions centraux, des pédoncules c
ignel-Lavastine communiquent des coupes de lésions cadavériques des
centres
nerveux. ' Séance du 5 décembre 1901. PRÉSIDENC
evrault ait créé en lui, par autosuggestion, des crans d'arrêt, des
centres
d'inhibition ; ainsi les psychologues ne doiven
Par le D' Il. KOUINUJY. Quelle est l'action de la suspension sur le
centre
nerveux en général, et sur la moelle épinière e
XIII, p. 18, 1902. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 11 L mie du
centre
cérébro-spinal. Leur Slunine, élève du profes-
, au point de vue de la suspension ; il conclut que l'hyperhémie du
centre
cérébro-spinal produite par la suspension doit
ur le professeur Bechtereff, les modifications de la circulation du
centre
médullo-céphalique occasionnées par la suspensi
favorablement sur les mala- dies nerveuses, grâce à l'hyperhémiedu
centre
nerveux occa- sionnée par elle. Les autopsies d
nerveux péri- phérique et par son intermédiaire sur la nutrition du
centre
nervéux. Pour Hirt, la suspension ne produit au
nte. Notre confrère explique ces modi- fications'parl'hyperhémie du
centre
nerveux, provoquée par l'extension ; cette hype
et de la moelle épinière. » Cette extension agit par réflexe sur le
centre
vaso-moteur qui est excité d'autre part directe
spension et par l'action de celle-ci sur la moelle. L'excitation du
centre
vaso-moteur provoque un rétrécissement des artè
consécutive. Outre l'hyperhémie et les modifications artérielles du
centre
nerveux, le rachis subit également des modifica
t un ensemble physiologique qui se trouve sous l'influence d'autres
centres
, ou qui est associé par des voies directes et i
et les tubercules quadri junteatcx antérieurs contiennent aussi des
centres
indépendants qui com- mandent à l'activité des
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Ll1 lE. Il e*t probable que les
centres
sécoéloi·cs sous corticaux ne prennent pas part
part ci la sécrétion psychique du suc gastrique, seule réservée aux
centres
sécrétoires corticaux. P. Klraval. XV. De l'épr
ie totale causée par, dans l'hémisphère droit, un ramollissement du
centre
visuel cortical et dans l'hémisphère gauche, un
de décider quelles sont les régions du cervean qui contiennent les
centres
de la vie psychique, mais, en tout cas, les produ
premières voix en faveur de l'existence dans l'écorce cérébrale de
centres
indépendants : centres présidant à tous les mou
ur de l'existence dans l'écorce cérébrale de centres indépendants :
centres
présidant à tous les mouvements possibles du co
dants : centres présidant à tous les mouvements possibles du corps,
centres
sensitifs régis- sant l'activité des organes de
e chercheurs admettent que l'écorce du cerveau est le réceptacle de
centres
les plus divers. Si obstinés que soient contre
localisations cérébrales a remarquablement progressé : en outre des
centres
moteurs, on a présentement par- faitement défri
n a présentement par- faitement défriché la topographie de quelques
centres
sensitifs de l'écorce, et, tout dernièrement, o
s des régions inférieures de l'écorce, - la topographie de quelques
centres
sensitifs n'a pas été rigoureuse- ment détermin
r presque toute la péri- phérie de la cellule et gagne davantage le
centre
: les prolonge- ments cellulaires sont moins ma
les neu- rones originaires des régions de l'autre côté éloignées du
centre
, tandis que les couches médianes du même faisce
faisceau sont en grande partie constituées des neurones voisins du
centre
. Quant aux fibres botnolatérales qui se rendent
ent à ce que ses couches mé- dianes émanent des neurones voisins du
centre
et ses couches externes, des neurones éloignés.
. (Centralblatl f. Nervenheilk, XXIII, N. F. XI, 1900.) Les trois
centres
d'association de Flechsig, suivis de ses 40 zones
on il existe des zones de perfectionnement évolutif. L'existence de
centres
commémoratifs de l'écorce distincts de ce que n
res commémoratifs de l'écorce distincts de ce que nous appelons des
centres
de per- ception n'est ni prouvée ni probable. L
d'évolution dela zone motrice : sa partie moyenne, prolongement du
centre
moteur du bras, est le territoire des mou- veme
vements perfectionnés de la parole, est immédiate- ment en avant du
centre
des mouvements communs des lèvres, de la face,
ements communs des lèvres, de la face, de la langue, du larynx. Les
centres
moteurs de l'écriture et de la parole sont donc
rontal, territoire d'association antérieur de Flechsig, n'est ni un
centre
moteur, ni un centre sensoriel.' Il est purement
association antérieur de Flechsig, n'est ni un centre moteur, ni un
centre
sensoriel.' Il est purement psychique. Il est l
uches des cellules cartilagineuses du cartilage d'encroûtement. Les
centres
nerveux sont intacts. . M. Marie. - Il ne s'a
le est quelquefois consécutive à l'atrophie ou à la destruction des
centres
dans lesquels devraient se fixer les souvenirs,
lle provient quelquefois de l'impossibilité de faire parvenir à ces
centres
, d'ailleurs intacts, des impres- sions. Pour
voir de Bechterew, qui voit dans l'éreuthophobie une excitation des
centres
corticaux vaso-dilatateurs qu'il a décrits avec
re de vaisseaux des méninges et de l'écorce de petits thrombus : au
centre
un amas de globules rouges et blancs, enfermant
es praticiens... · Hôpitaux psychopathiques. Ne pas les écarter des
centres
de travail, et surtout des laboratoires de psyc
« chez soi ». Donc, les placer à la campagne, mais près d'un grand
centre
, pour faciliter les visites. La plupart des mal
que, douleur ; puis, indirectement, par. un trouble fonctionnel des
centres
et des vaso-moteurs, d'où des changements circu
délire correspondant, il y avait une sorte d'éréthisme spécial des
centres
psycho-sensoriels, préparant l'idée délirante,
chè formait un mélange saturé, le ma- lade s'endort, l'activité des
centres
sous-corticaux, quelque peu excités, atteint al
ique, rendues conscientes par les voies cérébrales, dominées par un
centre
encéphalique, centre des centres d'origine des
ntes par les voies cérébrales, dominées par un centre encéphalique,
centre
des centres d'origine des nerfs qui règlent les
s voies cérébrales, dominées par un centre encéphalique, centre des
centres
d'origine des nerfs qui règlent les fonctions v
fonctions vitales : la moelle allongée ; cette dernière est donc le
centre
des émotions réagissant après toute excitation
nc être la cause des excitations émotionnelles mais il est aussi le
centre
de la perception consciente des senti- ments su
nés de Dijon, m-8° de 88 pages. Dijon 1901. JA13OULY. Chirurgie des
centres
nerveux, des viscères et des membres, t. I, in-
modifications profondes de l'organisme produites par l'action d'un
centre
situé dans la moelle allongée et qui serait l'a
s émotions. Sergi admet, comme l'admettait Lange, l'existence de ce
centre
vaso-moteur, 1 L'année psychologique, 1896, 189
i. Neural. cenlralbl., 188G. SUR LA THÉORIE DE L'OBSESSION. 265 «
centre
émotif principal et primaire». L'activité de ce c
SSION. 265 « centre émotif principal et primaire». L'activité de ce
centre
pourrait être provoquée par des stimulations ce
ns- cient constituerait proprement l'émotion. Que l'on admette un
centre
extra-cérébral unique ou que l'on en admette pl
rement la même. Mais c'est précisément la nécessité de ce ou de ces
centres
émotionnels spéciaux qui n'est pas démontrée. L
tion du neurone progressant à partir de son extrémité éloi- gnée du
centre
. Quand en effet les fibres sont séparées de leurs
La théorie de la dégénérescence de la partie du neurone éloignée du
centre
aurait ici beau jeu si l'altération en question
ésente des variétés dont la plus accentuée consiste en la cécité du
centre
du champ visuel, la périphérie de la rétine res
tractions vasculaires de l'artère centrale de la rétine anémiant le
centre
de la rétine et agissant ainsi comme excitant.
'enfants qui néanmoins entendent bien ; il y a ici fai- blesse, des
centres
optiques, tactiles et moteurs, ou acoustiques,
à un mouvement associé de l'iris dû à l'excita- tion simultanée du
centre
de l'oculomoteur commun qui com- mande au sphin
exclusivement frapper les tissus et les traverser, s'il le peut, au
centre
de l'objet révélateur de la lumière. Le détail et
paraplégies fut autopsié sans qu'on put observer aucune lésion des
centres
nerveux. Corps granuleux dans le Tubes. MM. M
une anesthésie thermique et une analgésie qui va en diminuant du
centre
de la tache vers la périphérie et dépasse de 3 à
lectuelle, un repos psychique et moteur paraissant lié au repos des
centres
respiratoires, à l'apnée. La phase d'hyperpnée
oduire de l'hyperthermie par suite d'une excitabilité morbide des
centres
thermogènes, que des convulsions, des paralysies
ies et des contractures par suite d'un fonctionnement anormal des
centres
moteurs. Puis les résultats de différentes expéri
qui normalement arrêtent l'écho de ceux-ci. Quand les vibrations du
centre
sensoriel de la parole ne gagnent plus les autr
E NEUROLOGIE. Séance du n" avril 1902. Présidence DE M. Gomiuult.
Centres
nerveux d' épileptiques. , M. Angude a observé
Angude a observé avec les plus récents procédés de colora- tion les
centres
nerveux de nombreux épileptiques dans des cas de
tensité exception- nelle, véritable lésion en foyer, intéressant le
centre
de l'audition (tiers postérieur de la première
aphie de la lésion confirme ce que l'on sait sur la localisation du
centre
de l'auditiou. Les variations du processus de l
ence tantôt irritative, tantôt inhibitrice de la lésion en foyer du
centre
de l'audition. S'appuyant sur ce cas et sur des f
OGRAPHIE. XIV. De la mort subite dans les affections organiques des
centres
nerveux. Le traumatisme léger cause déterminant
près avoir passé en revue les différentes affections organiques des
centres
nerveux où la mort subite se rencontre (paralysie
interventions chirurgicales sur les malades porteurs de lésions des
centres
ner- veux. Ces deux éléments seraient une cause
ncéphalique et bulbaire, déterminée par les diverses affections des
centres
, laquelle provo- querait la mort subite. Au p
nces graves qu'il peut avoir dans les cas de lésions organiques des
centres
. Cette indication peut faire accorder des circons
e peut rattacher la paralysie des nerfs moteurs ni à une lésion des
centres
cérébraux, ni à une lésion d'origine nucléaire.
u cerveau et des cellules des cornes antérieures. Il n'y a pas de
centre
choréigène ; les lésions sont disséminées sur t
de 32 pages. Paris 1901, C. Naud, éditeur. JABOUL IY. Chirurgie des
centres
nerveux des viscères et des membres, t. 11., ni
souvent on observe, en tant que manifestations de la syphilis des
centres
nerveux, des attaques de grand mal, caractérisées
e aphasie motrice implique une lésion ou un trouble circulatoire du
centre
de Broca, du pied de la troisième circonvolutio
l'amnésie verbale implique une lésion ou un trouble circulatoire du
centre
chargé d'emmagasiner les idées de souvenirs qui
souvenirs qui se rapportent aux images auditives ver- bales, et ce
centre
, nous le localisons dans le lobe tem- poral gau
crânio-bulbaires que les spinaux, prennent naissance en dehors des
centres
nerveux. Ainsi, le nerf optique prend naissance
squelles par- tent d'autres prolongements longs, allant aboutir aux
centres
corticaux de la vision. La voie optique se réso
r du bras postérieur de la capsule interne, pour gagner ensuite les
centres
visuels corticaux. Les fibres de cette seconde
ôté, dans la portion de son trajet comprise entre le chiasma et les
centres
corticaux de la vision, interrompt les fibres d
e la voie optique dans sa portion la plus centrale et notamment les
centres
corticaux de la vision. Au préalable, il import
n. Au préalable, il importe de nous entendre sur la topographie des
centres
en question. Ici encore, nous allons nous heurt
cen- lrale de chaque oeil serait donc sous la dépendance des deux
centres
corticaux, localisés dans la partie postérieure d
ion de la zone rolandique gauche ou de la portion sous-jacente du
centre
ovale. L'aphasie motrice totale, l'aphémie, si
e. On n'est pas encore fixé sur le point de savoir s'il existe un
centre
spécial dont la destruction entraîne l'agraphie,
faveur d'un foyer hémorrhagique situé dans la substance blanche du
centre
uvale, qu'en faveur de lésions corticales diffu
cipital, un foyer circons- crit, situé dans la substance blanche du
centre
ovale, pro- duira une hémianopsie homonyme, pou
ur cela, que la pupille sensible puisse transmettre l'excitation au
centre
sphinctérien pri- maire de la pupille insensibl
'excitation puisse, de la pupille immobile à la lumière, arriver au
centre
sphinctérien primaire de l'autre (Schéma); 5° i
très probable qu'il existe une union ana- tomique directe entre le
centre
primaire des fibres pupillaires réflexes d'un c
le centre primaire des fibres pupillaires réflexes d'un côté et le
centre
sphinctérien de l'autre côté (obs. III et IV).-
la connexion difficile : Les asiles sont généralement éloignés des
centres
, tandis que les écoles de médecine ou les labor
lir, chez les déments, que la diminution porte surtout sur le grand
centre
d'association postérieur. De l'équilibre voliti
c'est soit un défaut de développement ou une inertie congénitale du
centre
de Broca, soit une absence d'associa- tion fonc
e de Broca, soit une absence d'associa- tion fonctionnelle entre ce
centre
et celui des images verbales audi- tives, soit
rticulière de reac- tion des- radiculaires, par Man- nesco, 43.
Centres
NER eux. Voir Epilepsie. Cerveau. Influence du-
l'écorce de la troisième frontale, cette écorce ne constitue pas le
centre
du lan- gage articulé. Pour apprécier comme i
laquelle ce tractus appartient. I. Topographie de la portion du
centre
ovale comprise entre le bord externe du ventric
dans chacun de ses districts, je tiendrai compte de l'épaisseur du
centre
ovale par la mesure de trois dis- tances, ayant
xterne du ventricule latéral. Notons que, de toutes les fibres du
centre
ovale, les irradiations capsulaires seules sont
vant-mur et de la lentille dis- socient franchement les éléments du
centre
médullaire. Une partie de la capsule externe se
ous avons rencontrés jusqu'ici, et matériel- lement, les lésions du
centre
médullaire adjacentes au bord externe du ventri
e partie delà quatrième et à la partie antérieure de l'insula, le
centre
ovale est constitué par deux parties, l'une activ
a scissure de Sylvius dans la première zone. La partie latente du
centre
ovale dans ces trois dis- tricts que je viens d
s à la courbe antéro-postérieure du cerveau. La partie active de ce
centre
ovale (faisceaux capsu- laires frontaux extra-n
ie médicale de Gintrac'. 1 D Pitres.-Recleerches sur les lésions du
centre
ovale des hémisphères cérébraux étudiés au poin
(résumé). Hémiplégie incomplète. Aphasie persistante. - Lésions du
centre
ovale '. Négociant, soixante-dix-neuf ans : ver
tandis que celles du second occupaient la portion sous-corticale du
centre
ovale; ou bien, pour parler le langage de M. Pi
Pour les localisateurs, ces deux faits avaient une valeur égale. Le
centre
ovale de ce district, étant considéré par eux c
étaient in- terrompus, cela suffisait pour réduire au silence le
centre
psycho-moteur de l'écorce de la troisième fron-
troisième fron- tale. Tout le monde admet, dans cette portion du
centre
ovale, à la fois des éléments actifs et passifs
LAIRES. 17 plus précis que ses prédécesseurs dans la recherche du
centre
du langage articulé, Broca le plaça, par droit
de la partie postérieure de la troisième fron- tale gauche était le
centre
du langage articulé. Ce n'est que plus tard que
ayé d'en déterminer la topographie [Recherches sur les lésions du
centre
ovale, Pitres, 1877); mais je l'ai déjà dit, on a
: que cet ancien foyer hémorrhagiquedemêmeque le ramollissement du
centre
ovale dans lefait de M. Pitres, n'avait fait qu
ent, ce qui n'a pas lieu quand on fait subir le même traitement aux
centres
nerveux parfaitement développés. Quand donc la
spendu. Frédéricq attribue cette action du chloral à la parahsie du
centre
inspiratoire. hi. Franck, au contraire, prétend
xcitation du bout central du pneumogastrique après avoir enlevé les
centres
nerveux sensibles, c'est-à-dire les hémisphères
n'agit pas simplement comme anesthésique, mais qu'il pa- ralyse le
centre
d'inspiration auquel aboutissent les fibres corre
e MM. Charcot et Pitres (Revue de Médecine, 1883)..1. Il existe des
centres
moteurs corticaux, situés sur les 88 REVUE DE P
et les parties voisines de la face interne de l'hémisphère. B. Les
centres
du bras, de la jambe et de la face sont plus ou
et de la face sont plus ou moins distincts anatomiquement. - C. Ces
centres
, pour la partie inférieure de la face et la langu
, sont spécialement en rapport avec la fonction du langage. D. Le
centre
du bras est situé sur la partie moyenne des deux
r la partie moyenne des deux cir- convolutions ascendantes. - E. Le
centre
de la jambe occupe l'extrémité supérieure des m
s d'association que s'explique la notion psychique de la vue - : le
centre
visuel ne donne en soi naissance qu'a des conce
eit et celles qui sont fournies par le tact avec les conceptions du
centre
visuel.- Les deux observations anatomopathotogi
nsula entraîne l'aphasie, l'agraphie, l'ané- mie, l'amnésie; chaque
centre
de conceptions élémentaires étant, alors isolé,
eiller la cause qui leur a donné naissance. Uans les affections des
centres
nerveux les effets ont été trop variables et le
s première et deuxième vertèbres cervicales, la septième cervicale (
centre
cilio-spinal), ainsi que les points douloureux
elle l'opinion de H. Jackson, d'après laquelle le cerveau serait le
centre
des mouvements spéciaux et déterminés, tandis q
uvements spéciaux et déterminés, tandis que le cervelet se- rait le
centre
des mouvements continus, lorsque l'action du cer-
certaines excitations périphériques déterminent un état spécial des
centres
corticaux correspondants, et a cherché à utilis
: M ! </6-s)tc- 1 halite corticale et non point à des lésions du
centre
ovale, et des corps opto-strie·. comme on l'ava
par J. Dagonet. Thèse de Paris, 1884. Contribution ci l'étude du
centre
moteur cortical du membre infé- rieur; par C. l
utopsie. Cerveau : hémisphère gauche, foyer hémorrha- gique dans le
centre
ovale limité en dedans par la substance grise d
ue les agents intermédiaires entre cette écorce, considérée comme
centre
, et la périphérie, étant sectionnés en totalité,
xistence des fibres radiées dans la troisième, frontale, et",de,son,
centre
"psycho-moteur. 156 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Au
dè' la»troisiènienffontaleJi DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 159 Ce
centre
subissait, pour ainsi dire, une espèce de décen
eptant les moyens de communication entre l'écorce cérébrale et le
centre
, l'aphasie aurait dd se produire, si la troi- s
de la troisième frontale, quelle qu'elle ' soit, ne renferme pas le
centre
de la parole, ce qui revient à dire que ce revê
depuis 1879, M. Magnan ' n'accordait plus l'élément psychique au
centre
de Broca et M. Charcot' se range à cet avis. L'
rébrale. De notre côté, nous nous croyons en droit de contester au
centre
de Broca son élément moteur, et en admettant qu
a son élément moteur, et en admettant que ce dernier élément ait un
centre
cortical, ce qui est très probable, nous faison
cortical, ce qui est très probable, nous faisons remarquer que ce
centre
doit se trouver dans l'endroit vers lequel se d
nde sait que les auteurs allemands le considèrent comme marquant le
centre
de la convexité, projetée sur une surface, mais
Medio-fronlal gyrus (IIuxley) ; Gyrus frontales me- 1 Anatomie des
centres
nerveux. Eilit. française de Relier et- Jlatliias
oric;ls, secrétoires, vaso-moteurs et trophiques, ainsi que sur les
centres
; b), un mode combiné caractérisé par des tablea
. 111 inclinerait à en, rapporter, la à à «des troubles du côté des
centres
trophiques., Ce 'sont, (du reste, omoins des co
le etprobalrleque des troubles purement fonctionnels 'affectant les
centres
trophiques, de la moelle, vers, la périphérie 9
à, côté de.la destrucliq complète,,dé,lla 9 séparation radicale des
centres
trophiques d'avec ; les tractus et a postes-, c
s d'avec ; les tractus et a postes-, cellulaires ,environnant ? ces
centres
; deviennent lei siège *). d'autres processus) p
rophie dégénératie,tomate 8'de la zone d'action périphérique de ces
centres
. ? 311, oh Par conséquent, la nature périphériq
à côté des fibres motrices dans les circonvolutions appartenant aux
centres
moteurs. M. Kroepelin rappelle que dans les d
derrière laquelle est la buanderie. Au nord-ouest des bâtiments du
centre
, sur un terrain un peu plus haut, s'élèvent tro
icalion de l'hémisphère droit s'opère facilement, sauf au niveau du
centre
d'un foyer ancien où la pie-mère se présente sous
scllt*il iLiLéi-es,,e [Cb eii-- convolutions ainsi qu'une partie du
centre
ovale. La couche optique et le corps strié sont
des accidents convulsifs, dans le membre supérieur gauche, dont le
centre
mo- teur, qui occupela moitié inférieure des ci
ions tactiles, du sens musculaire, des sensations douloureuses, des
centres
spéciaux, situés au voisi- 1 Voy. Avelines de .
.W.1'l'f)\11E E'l' DE PHYSIOLOGIE. 323 nage de la zone motrice. Les
centres
destinés aux sensations tac- tiles gisent imméd
qui surmonte le début de la scissure de Sylvius. Ces deux derniers
centres
sont contigus, mais ils ne se confondent pas, c
le; elle préside aux mouvements et aux sons expressifs; elle est le
centre
des mouve- ments qui servent aux animaux normau
ubstance même de ce réseau appartiennent à des cellules formant des
centres
qui rassemblent autour d'eux une certaine parti
e la moelle allon- gée a engendré le diabète non en agissant sur le
centre
physiolo- gique habituel, mais en détruisant ou
ique habituel, mais en détruisant ou irritant les tractus qui de ce
centre
gagnent le bulbe pour se rendre à la périphérie.
ent dans l'écorce. Leur développe- ment marche, sans désemparer, du
centre
de la périphérie ; 2° La lisière de substance b
ie indique dans l'espèce une lésion centrale portant sur certains
centres
trophiques. Jusqu'ici l'autopsie manque. P. K.
s réflexes tendineux. P. K. l11. Sur les altérations DE texture DES
centres
nerveux produites par l'inanition; par Rosenbvc
èdent ordinairement à la couche granuleuse sous la forme d'un petit
centre
blanc distinct à l'inté- rieur de chaque feuill
jihales. Les unes ont trait à la poursuite des libres au coeur des
centres
nerveux; les autres ont été obtenues par la métho
che pas les convulsions de se produire. Schiff alors a soustrait le
centre
1 Voy. Archives de Neurologie, t. VI, p. 403 (n
nfonceraient encore dans les profondeurs et aborderaient le nouveau
centre
réflexe de Schiff ; de ce centre partiraient le
ondeurs et aborderaient le nouveau centre réflexe de Schiff ; de ce
centre
partiraient les fibres centrifuges qui, remonta
ficielle de l'écorce. IIitzig persiste donc à dire qu'il existe des
centres
corticaux moteurs, sensitifs et sensoriels desq
oteurs est nette, comme la définition dont elle relève.Munk fait du
centre
moteur une sphère de sensibilité. Or, c'est à H
mage in- tégrale. En résumé, l'orateur revendique la découverte des
centres
corticaux dont il établit l'existence sur une b
l'existence sur une base encore plus so- lide qu'en 1870. Tous les
centres
signalés alors sont, de même que ceux qui ont é
et de dire qu'il faut chercher entre la circonvolution de Broca, le
centre
du facial, le centre mo- teur des deux extrémit
chercher entre la circonvolution de Broca, le centre du facial, le
centre
mo- teur des deux extrémités, et le centre de l
le centre du facial, le centre mo- teur des deux extrémités, et le
centre
de la vue. La lésion dé- riverait de l'appareil
qui traduit l'épuisement paralyti- que plus ou moins grand du même
centre
, et se rapproche de la stupeur; celle-ci est to
apoplexie résultant de coups dans la région de la nu- que, 339.
Centres
nerveux (influence de la faim sur les), par Ros
lsions des muscles delà), 346. Faim (influence de la -. sur les
centres
nerveux), 78. Faradisation générale, par Fische
le chez un), par Shaw, 901. Inanition (altérations de texture des
centres
nerveux produits par], 346. Index bibliograph
on se propage le long des nerfs centripètes de la lan- gue jusqu'au
centre
de la sécrétion de la salive; il faut un .temps p
a sécrétion de la salive; il faut un .temps pour l'excitation de ce
centre
; il faudra aussi un temps pour la' propagation
il faudra aussi un temps pour la' propagation de l'excitation de ce
centre
jusqu'aux glandes de la salive ; finalement un
ique,etc. En même temps la sensation de l'image du morceau dans les
centres
de la vue est l'origine de toute une série de pro
sens et par le moyen de la propagation de celte excitation dans les
centres
de LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS
roduise la perception consciente des objets de l'extérieur dans ces
centres
, ce sont justement les actes psychiques primair
- truction du cerveau suivant. D'après ce plan il divisait tous les
centres
de l'écorce en « centres du sens » et en « cent
vant. D'après ce plan il divisait tous les centres de l'écorce en «
centres
du sens » et en « centres d'association » ou, (
ivisait tous les centres de l'écorce en « centres du sens » et en «
centres
d'association » ou, (1) Ueber ein neues Einteil
31 octobre 1894 dans la grande salle universitaire de Leipzig, en «
centres
de per- ception » et « centres de coagitation »
salle universitaire de Leipzig, en « centres de per- ception » et «
centres
de coagitation ». Les premiers sont en rapport pa
sont en rapport par les filaments de projection avec les différents
centres
de la partie du milieu du cerveau, avec les moe
es filaments centrifuges. A cette catégorie appartiennent : - Les
centres
des extrémités, du tronc, de la parole, les centr
iennent : - Les centres des extrémités, du tronc, de la parole, les
centres
de l'ouïe, de la vue et de l'odorat. Ils occupe
un tiers de toute la superficie du cerveau. Les seconds sont des
centres
d'association, d'une construction particu- lièr
u ou l'insulaire et le postérieur ou pariéto-occipito-temporal. Ces
centres
occupent en extension deux tiers de la superfic
occupent en extension deux tiers de la superficie du cerveau. Ces
centres
cités en premier lieu sont surtout ces endroits d
s psychiques les plus simples et primaires prennent naissance ; les
centres
nommés en deuxième lieu forment les endroits des
des sens et les ap- paritions du monde extérieur ont lieu dans les
centres
du sens ou dans les centres de perception; mais
ns du monde extérieur ont lieu dans les centres du sens ou dans les
centres
de perception; mais l'évolution psychique plus él
perception; mais l'évolution psychique plus élevée a lieu dans les
centres
d'association ou les centres de coagitation. Le
psychique plus élevée a lieu dans les centres d'association ou les
centres
de coagitation. Le rôle le plus important dans
Le rôle le plus important dans l'activité psychique est joué par le
centre
postérieur, mais le centre dont l'activité est
ans l'activité psychique est joué par le centre postérieur, mais le
centre
dont l'activité est associée mit der Vorstellung
ndelnden Weseils » est situé dans les circonvolutions frontales, le
centre
antérieur; un' fort dévelop- pement de ce centr
ions frontales, le centre antérieur; un' fort dévelop- pement de ce
centre
est en corrélation chez l'homme avec la supériori
verloren, geh t. » Ainsi d'après M. leprofesseur Flechsig tous les
centres
de coagitation ou organes de la pensée sont phy
tion ou organes de la pensée sont physiologiquement synonymes et le
centre
en relation la plus étroite avec la conscience
us étroite avec la conscience et la conscience de soi- même, est le
centre
frontal. Je ne veux pas beaucoup parler ici d'u
la perception des excitations des organes du sens ont lieu dans les
centres
du sens ou les centres de perception de Flechsi
ations des organes du sens ont lieu dans les centres du sens ou les
centres
de perception de Flechsig, et simultanément avec
- culté du jugement etc., ont évidemment leur siège dans les autres
centres
de l'écorce, dans les centres d'association ou
évidemment leur siège dans les autres centres de l'écorce, dans les
centres
d'association ou les centres de coagitation, da
s autres centres de l'écorce, dans les centres d'association ou les
centres
de coagitation, dans l'organe de la pensée. C
-être est-elle, comme Flourens le supposait, divisée entre tous les
centres
corticaux, entre toute la substance grise du cerv
aux, entre toute la substance grise du cerveau, qui joue le rôle de
centre
psychique ? Il parait résulter au contraire des
roit impair quelconque du cerveau, endroit en rapport avec tous les
centres
d'écorce. Voyons [maintenant quels tissus se tr
narium. La connexion de tous ces crura et taeniae fornicis avec les
centres
d'écorce ces dernières étapes des processus phy
use- ment. Fig. b. - Crus anl. fornicis. - Dessin schématique des
centres
de l'écorce, du fornix et des voies de communic
pro- duisant l'impression d'animaux, auxquels on aurait enlevé les
centres
d'é- corce suivants : le centre de la vue, de l
aux, auxquels on aurait enlevé les centres d'é- corce suivants : le
centre
de la vue, de l'ouïe, en partie de l'odorat et le
ants : le centre de la vue, de l'ouïe, en partie de l'odorat et les
centres
dans lesquels l'animal reçoit le sentiment de son
n du côté gauche, chez le lapin du côté droit. Mais, comme tous les
centres
cités étaient complètement t intacts et que par
tirer la conclusion, que par ces lésions, la con- nexion entre les
centres
d'écorce, chez le chien : les gauches, chez le
nt en communication l'or- gane de la conscience (fig.b, 1) avec les
centres
corticaux (fig.b, 4 s. 4 d.), lieux où se dérou
ement peu développées chez les animaux inférieurs, qui n'ont pas de
centres
d'association (d'après Flechsig) ou du moins ch
état soporifique et au coma. Il nous reste encore l'aire mention du
centre
des sentiments de douleur. Des observations c
tricule. Les crura et taeniae fornicis unissent le dernier avec les
centres
de LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS
b, 4 d et 4. s). Si la conscience ou l'attention se dirige vers un
centre
cortical quelconque, les processus s'y déroulan
rviennent à notre conscience ; si l'atten- tion est dirigée vers un
centre
quelconque des centres de l'organe de la pensée
cience ; si l'atten- tion est dirigée vers un centre quelconque des
centres
de l'organe de la pensée d'après Flechsig (Denc
nt exécuter une action quelconque, je dirige mon attention vers les
centres
corticaux relatifs des impulsions de la volonté.
ience. De la même façon, si à la suite de conditions quelconques le
centre
de douleur, situé quelque part dans le voisinag
ieures, latérales et infé- rieures, qui unissent le fornix avec les
centres
d'écorce de l'hémisphère relative du grand cerv
les processus psychiques in- conscients, qui sont excités dans ces
centres
corticaux de la part des orga- nes du sens du c
on inhibitrice dans les fibres de ce faisceau qui correspondent aux
centres
de la substance grise, préposés à la contraction
e delà contracture ; mais M. Marie, quoi- qu'il reconnaisse que les
centres
moteurs médullaires se trouvent en état d'excit
tissu conjonctif du faisceau pyramidal dégénéré ; pour M. Marie le
centre
médullaire est excité exagérément, parce que les
ue nous avons exposés en deux mots : au cours de la contracture les
centres
moteurs médullaires sont en état d'excitation,
d'excitation, la force inhibitrice ou frénatrice du cerveau sur ce
centre
est diminuée, enfin dans la très grande majorit
me chez les animaux ; d'où il suit que l'homme doit aussi avoir des
centres
de mouvements associés, qui doivent être situés a
cture est un mouvement spasmodique associé, à se dire qu'il est des
centres
dans le système nerveux qui sont excités pendan
sur- tout des lésions des ganglions centraux, qui sont pour lui les
centres
des mouvements associés. Par contre Westphal
vements il l'état normal un des premiers fut Millier (1 ). Quant au
centre
qui produitces mouvements, cet auteur parait le
ue l'excitation volontaire fût elle même très énergique, ou que les
centres
nerveux, sous l'influence d'un processus patholog
es et diffuses, nécessaires à l'acti- vité fonctionnelle propre des
centres
renfermés dans la moelle. Cette explication suf
culaire est surtout dû à l'influence que le cervelet exerce sur les
centres
médullaires. Il est très possible que l'abolition
dimensions plus considérables sans compro- mettre les connexions du
centre
cortical du membre inférieur avec la cap- sule
de l'irrigation vasculaire de cette région (DEJEttINE, Anatomie des
centres
nerveux, t. II, fig. 79), on voit que la nécrose
ra encore de grands services dans les recherches sur l'anatomie des
centres
nerveux ; mais il faut se garder d'en tirer des
sent, en même temps qu'une grande partie de la substance blanche du
centre
ovale. Sur les coupes passant par le pied de la
d'un cerveau normal, dans la même région (v. Dejerine, Anatomie des
centres
nerveux, t. I, fig. 219 et suiv. et fig. 301 et
erne, il y a un déficit de plusieurs centimètres de largeur dans le
centre
ovale. Quant à la présence à ce 'niveau des circo
La lésion destructive a limité ses dégâts à l'écorce cérébrale et au
centre
ovale; elle ne s'étend pas aux régions centrale
nvolutions de la face externe s'amincissent, puis disparaissent, le
centre
ovale reçoit en- core des circonvolutions de la
en tirer des conclusions erronées. ' Dans la seconde observation le
centre
cortical du membre supérieur est détruit pendan
du crâne dysostosique,c'est la richesse sou- vent extraordinaire en
centres
d'ossification surnuméraires. Un seul de mes cr
a région péri-anale un peu moins anesthésiée à sa périphérie qu'à son
centre
. Il n'y a pas d'amyotrophie appréciable ni d'au
mations endogènes, zone cornu-commissurale, extrémité inférieure du
centre
oval de Fleschsig, faisceau de Hoche, triangle
urale et un demi-ovale médian le long du sillon médian postérieur ,
centre
du centre ovale de Fleschsig (fais- ceau de Hoc
n demi-ovale médian le long du sillon médian postérieur , centre du
centre
ovale de Fleschsig (fais- ceau de Hoche). Les z
stérieur (faisceau de Hoche), la continuité du fais- ceau médian du
centre
ovale de Fleschsig et du triangle de Gombault et
de plus l'unité systématique de ces formations : faisceau médian du
centre
ovale de Flechsig,faisceau de Hoche et triangle d
ne marginale de Westphal, cornu-commissurale, du faisceau médian du
centre
ovale de Fleschsig (3) (faisceau de Ho- che) (4
lésions des 3e et 4.0 racines lombaires. On voit, en effet, que le
centre
de Westphal est situé dans ces segments lombair
ires. Les troubles des sphincters, sans lésions médullaires de leur
centre
, tiennent certainement à la névrite des racines
tières et des urines une manifestation de l'automatisme exagéré des
centres
sympathiques pé- riphériques séparés de leurs c
e exagéré des centres sympathiques pé- riphériques séparés de leurs
centres
supérieurs, qui normalement les in- hibent. .
onnée exactement au territoire du nerf radial par lésion isolée des
centres
médullaires correspondants ; mais, il faut le not
ents où le contraste de coloration entre la partie périphérique et le
centre
s'est complètement effacé en transformant la se
oute lésion du A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 147
centre
médullaire. En effet, les altérations que nous av
la fonctionnalité cellulaire, c'est-à-dire une lésion profonde des
centres
trophiques médullaires, une interruption des ne
laires, une interruption des neurones moteurs au sein même de leurs
centres
. Les altérations des cellules, on peut le répéter
excitation produite par la percussion d'un point osseux ; 2° par un
centre
réflexe qui représente l'origine nucléaire intram
si aujourd'hui on tient compte de nos connaissances anatomiques des
centres
médullaires, on peut ajouter : d'un segment médul
ns pas le point osseux qu'il faut per- cuter, mais du moment que le
centre
médullaire du grand fessier se trouve dans le d
la contraction du grand fessier (exten- sion de la cuisse),car ces
centres
réflexes ne se succèdent pas, il va d'autres ce
uisse),car ces centres réflexes ne se succèdent pas, il va d'autres
centres
entre eux qui resteront non excités, ce qui sera
r ou du membre inférieur en contraction, ne peut prove- nir que des
centres
supérieurs à ceux de la moelle. Notre convictio
de montrer que si, chez l'animal, ou chez l'enfant nouveau-né, les
centres
réflexes sont médullaires, chez l'homme adulte
n envisage des êtres haut placés dans l'échelle animale, plus leurs
centres
réflexes semblent haut situés : le singe, après l
que les réflexes chez l'homme ont des voies longues, où placer les
centres
réflexes. Faut-il les localiser dans les masses
akow), ou dans la corti- calité même (Pandi) ? Faut-il admettre des
centres
différents pour les ré- flexes cutanés et les r
trice ((i.9). Il n'est pas question d'une destruction di- recte des
centres
corticaux : de là peut-être le type variable des
Déjà a la hauteur de la commissure antérieure était apparu dans le
centre
ovale de l'hémisphère droit un second noyau de
ondrait assez bien avec la zone lenticulaire de M. Pierre Marie. Le
centre
sensoriel du langage est intact et cependant il
ces distinctions en rapportant tout à lui, en se regardant comme le
centre
de l'univers. S'il était au pouvoir de l'anor-
outes circonstances, comme terme, principal de comparaison ou comme
centre
de l'univers, en appréciant toutes choses à son
que celui-ci est déjà pro- longé, en quelque sorte, jusque dans les
centres
nerveux. Le mouvement de propagation ne s'arrêt
e de Bordeaux 1898) et par Dubreuil-Chambardel [Gazette médicale du
centre
, 1908). Soulignons enfin cette particularité in
ré- cent travail, Français et Egger admettent qu'il existe dans les
centres
ner- veux de chez l'embryon un noyau spécial pr
para thyroïdien de Brissaud) ; et une remarquable influence sur les
centres
nerveux devrait être aussi reconnue aux capsule
héorie de Erdheim pour qui l'adiposité dépendrait de la lésion d'un
centre
cérébral de la base. Schuller pense que dans de t
tisme. Le cierge qui occupe le milieu de la cour forme une sorte de
centre
pour tous leurs mou- vements rythmiques. Sa pré
a dénutrition de l'organisme dérivant des lésions irrémédiables des
centres
vaso-moteurs. Avantque le marasme ultime se pro
de la sensation dépend seulement de l'influence motrice, partant du
centre
, qui excite l'innervation des nerfs mo- teurs.
quels les mouvements musculaires sont excités par le cerveau et les
centres
nerveux, ce que nous en pouvons déduire avec le
n, ce qui est sans doute trop absolu. Dans l'hypothèse de Bain, les
centres
et les nerfs moteurs seraient donc à la fois le
s centripètes ou impressions émanées des muscles, et rapportées aux
centres
volitionnels par les nerfs moteurs eux-mêmes. L
rtées aux centres volitionnels par les nerfs moteurs eux-mêmes. Les
centres
et les nerfs moteurs dans cette hypo- thèse éta
is sur cette opinion dans laquelle tout se passait aux dépens des
centres
et nerfs moteurs, et admet aujourd'hui les sensi-
aire est en grande partie centrale, initiale et réalisable dans les
centres
moteurs. Ferrier rapporte aussi aux centres mot
t réalisable dans les centres moteurs. Ferrier rapporte aussi aux
centres
moteurs les impressions du sens musculaire. A c
ement d'une appréciation du degré d'énergie centrifuge partant du
centre
volitionnel, bien qu'en partie aussi d'impression
ent des faits contemporains, s'accomplissant simultanément dans les
centres
nerveux. On pourrait alors invoquer la puissance
que les nerfs moteurs puissenttransmettre des impressions vers les
centres
. Dès lors, il faut admettre que les excitations
que nous voulons un mouvement, il naît en même temps dans les mêmes
centres
spinaux des im- pressions qui vont renseigner l
au des impressions qui viennent compléter les notions nées dans les
centres
en même temps que la volonté ; de là des rensei
inconcientes celles-là, venant par des nerfs afférents spéciaux des
centres
moteurs spinaux. 11 accorde même à ces dernière
professe les mêmes idées que Bastian et fait partir, comme lui, des
centres
sensoriels, seuls capables de recevoir les impr
« que les actes volontaires ne sont en fait que des actes dont les
centres
moteurs sont constitués de telle sorte qu'ils p
sont constitués de telle sorte qu'ils peuvent être excités par les
centres
sensoriels dont l'excita- tion était primitivem
ons du sens 96 REVUE CRITIQUE. musculaire, sont ravivées dans les
centres
sensoriels, et les idées motrices n'existent pa
t l'accomplissement d'un mouvement volontaire s'effectuent dans les
centres
moteurs corticaux où elles trou- vent leur subs
ue, et plus précisément dans les cellules nerveuses motrices de ces
centres
. Elles seraient principalement constituées par
s articulaires enfin; ces impressions s'emmaga- sineraient dans les
centres
sensitifs corticaux où pourrait avoir lieu leur
turellement amené à rechercher s'il n'existait pas dans l'écorce un
centre
spé- cial pour le sens musculaire. Nothnagel
nse que l'affection de la motilité consécutive à la destruction des
centres
moteurs est due à la paralysie du sens musculai
d'un certain temps, chez le chien, prouverait, d'après lui, que le
centre
du sens musculaire n'est pas lui-même dé- truit
usculaire n'est pas lui-même dé- truit, mais que la destruction des
centres
corticaux n'a fait qu'interrompre le trajet des
ètes. Hitzig estime, d'après ses expériences avec Fritsch, que le
centre
lui-même du sens musculaire est détruit dans ces
s venues des muscles. « Cette inter- ruption siège, dit-il, dans le
centre
détruit. » (Reiclcert 's u. Dubois Reymond's Ar
musculaire, et dit dans ses derniers travaux que la destruction des
centres
corticaux a pour effet la perte de la conscienc
qaé, 1874), regarde les mouvements résultants de l'ex- citation des
centres
moteurs comme de nature réflexe, tandis que l'a
ataxique, et produite par la perte de la sen- sibilité tactile. Les
centres
moteurs de Ferrier devraient donc être regardés
es moteurs de Ferrier devraient donc être regardés plutôt comme des
centres
du toucher. Ferrier répond à cela : c Savoir si
u- cher, etc., est absolument intacte après la destruction de ces
centres
. » De plus, il montre que « l'état qui peut, avec
ulaire dépend de la lésion d'une région entièrement différente (des
centres
moteurs) du cerveau, savoir de la région de l'h
entres moteurs) du cerveau, savoir de la région de l'hippocampe, ou
centre
de la sensibilité tactile ». Ferrier se montre
rder les notions de résistance et de poids comme appréciées par les
centres
moteurs. Les expé- riences qu'il a faites avec
n les excitant par l'élec- tricité. En somme, Ferrier admet, pour
centre
du sens musculaire, les circonvolutions de l'hi
, les circonvolutions de l'hippocampe, siège du sens tactile. Les
centres
d'impulsions centrifuges ou motrices, dit-il, son
ves. Les uns peuvent être détruits, les autres restant intacts. Les
centres
corticaux pour les mouvements des membres sont
sions centrifuges et se différencient clairement des voies et des
centres
terminaux des impressions centripètes sur lesquel
esquelles s'appuie le discernement musculaire. La destrnction des
centres
centripètes abolit le sens musculaire, ou conscie
aire, bien que la faculté du mouvement subsiste. La destruction des
centres
centrifuges abolit la faculté de mou- vements v
us tirons nos intuitions motrices... Les parties qui agissent comme
centres
moteurs sont le siège de la conception du degré
pas que des reproductions « idéales » aient jamais lieu dans ces
centres
; ils sont mis en activité par des courants centri
endre un groupe d'impressions centripètes dont le ter- minus est le
centre
kinesthétique. Celui-ci est donc un véri- table
minus est le centre kinesthétique. Celui-ci est donc un véri- table
centre
sensitif, et des mouvements idéaux peuvent être
ire que la plus grande confusion, si l'on attribue l'activité de ce
centre
sensitif à celle' des centres moteurs. Le subst
ion, si l'on attribue l'activité de ce centre sensitif à celle' des
centres
moteurs. Le substratum céré- bral de l'esprit n
mprend donc, en aucune manière, les processus qui ont lieu dans les
centres
moteurs du cerveau, où qu'ils puissent être sit
mentales comme étant en partie immédiatement dues à l'activité des
centres
mo- teurs. » Dans son dernier mémoire, cet au
s lesquels il y avait disparition du sens musculaire, alors que les
centres
volitionnels, moteurs spinaux, les nerfs moteur
oute-t-il, et je maintiens que les processus prenant place dans les
centres
moteurs et dans les nerfs moteurs sont des proc
est-à-dire que, depuis le moment où l'excitation motrice quitte les
centres
kinesthé- tiques jusqu'à celui où les contracti
ITIQUE. LE SENS MUSCULAIRE. logiques se passant dans les différents
centres
des nerfs mo- teurs. » Pour lui, les idées mo
existent pas ; toutes nos idées de mouvement sont ravivées dans les
centres
sensoriels. Dès lors, il en arrive à nier les c
vées dans les centres sensoriels. Dès lors, il en arrive à nier les
centres
moteurs. « Si, dit-il, nos sensations de mouvem
des idées des mouve- ments il y a des motifs sérieux d'admettre des
centres
moteurs dans l'écorce. Mais si c'est erroné et
rroné et si toutes nos connaissances de mouvements viennent par les
centres
sensoriels il n'y a plus de raison d'admettre d
t par les centres sensoriels il n'y a plus de raison d'admettre des
centres
moteurs, et ce dont on a seule- ment besoin, c'
des impres- sions produites par mouvement. En d'autres termes, les
centres
Inesthétiques doivent exister dans l'écorce au
hétiques doivent exister dans l'écorce au même titre que les autres
centres
d'impressions sensorielles avec lesquelles ils so
onnelle intime, tandis que la nécessité actuelle de l'existence des
centres
moteurs n'a pas encore été démontrée. a Il s'ap
communication à la Bristish medical Association ', pour placer ses
centres
kinesthétiques au niveau des circonvolutions li
s- sure de Rolando. c'est-à-dire au point même où se trouvent les
centres
moteurs de Ferrier, nouvel argument pour qu'il
centres moteurs de Ferrier, nouvel argument pour qu'il admettre les
centres
kinesthétiques exister seuls, à l'ex- clusion d
ettre les centres kinesthétiques exister seuls, à l'ex- clusion des
centres
moteurs. Comme nous l'avons dit plus haut, M. B
ment une nouvelle note tendant à prouver au contraire le rôle des
centres
moteurs. Nous avons vu quelle était à cet égard
tions motrices, précédant le mouvement, qui s'effectuent dans les
centres
moteurs, comme les seules indispensables à l'exéc
epteurs (organes terminaux sensitifs de la peau), ou per- cepteurs (
centres
sensoriels de l'écorce); - ` ? ° ou bien il y a
circulation). On pourrait croire plus volontiers à une parésie des
centres
sensoriels de l'écorce, et à une anesthésie hys
était complète dans ce cas ainsi que les parties sous-jacentes du
centre
ovale. Jusqu'à présent toutefois, les troubles du
le; quant à l'hémianesthésie, l'intégrité de la capsule interne, du
centre
ovale et des ganglions centraux démontre qu'il
la dégéné- rescence des nerfs périphériques seulement, sans que les
centres
nerveux soient touchés. Les formes de paralysie
sont moins à craindre que chez un particulier. (Vive approbation au
centre
et à gauche.) La surveillance de l'Etat sur les
e il base son diagnostic. « Quelle peut être, dit-il, la lésion des
centres
nerveux capable de donner lieu à une analgésie
tal. La scissure calloso-ina2ginale semble pren- dre son origine au
centre
même du lobule paracentral par deux branches, u
èse, par suite de la déchéance des éléments anatomiques. Les divers
centres
associatifs les plus complexes subissant la déc
lutions frontale et pariétale ascendantes, et de là, à tra- vers le
centre
ovale, la capsule interne, le bulbe, jusque dans
vant laquelle on parle... (Très bien ! très bien ! à à gauche et au
centre
), et vous avez déclaré que vous en faisiez. M.
à la moelle. 408 . REVUE DE pathologie NERVEUSE. Il n'y a pas de
centre
distinct pour chaque variété d'incoordi- nation
) Tandis que les individus atteints d'une affection organique des
centres
nerveux ferment au commandement sur-le-champ, com
la sclérose en plaques, et, en général de toutes les affections des
centres
nerveux, carac- térisées par des lésions sclére
tion du membre avec rotation du pied en dehors. G. D. III. Sur LE
centre
cortical DE la déviation conjuguée; par M. Ed.
ait donc à l'appui de la théorie de Ferrier qui tend à localiser le
centre
rotateur dans le pied do la deuxième frontale. On
teurs (Grasset, Landouzy, Charcot, etc.) ont pl acé au contraire ce
centre
dans la région du lobule pariétal inférieur. G.
qu'il existe concurremment une aplasie des lobes occipitaux, ou des
centres
visuels de Munit. Il est évident que cet état n
ablissements spéciaux d'aliénés et l'ensemble du service. Enfin, au
centre
du Gouvernement doit être établi un comité supé
Délire chronique, par Christian, 117, 277. Déviation conjugée (
centre
cortical de la), par Blanc, 411. Doigts (Fami
foyer principal était sous le grand fessier ; de ce foyer comme d'un
centre
, le sang s'était infiltré, d'une part, entre le g
érieur. Je ne l'ai vu qu'une fois. Dans un cas, il s'était détaché au
centre
du grand trochanter une masse de tissu spongieux
'autres, les mamelons sont cartilagineux dans toute leur épaisseur;le
centre
du lobule est seul osseux. Enfin il est des lobul
ostéo-cartilagineux. Dans ces derniers la portion pierreuse occupe le
centre
, et la portion cartilagineuse occupe la circonfér
la circonférence du pubis, dont le tissu spongieux s'épanouissait au
centre
de cette tumeur. Cette même coupe, qui a été figu
limitée à la circonférence de la tumeur, qu'elle occupe en outre son
centre
où elle forme de grosses masses. On voit quelques
s géodes, des masses cartilagineuses à la circonférence, calcaires au
centre
C, C, C. A l'exception de la partie osseuse centr
ainsi converti cette substance en un tissu aréolaire, surtout vers le
centre
de la « dilatation. De toute la circonférence de
dans les sillons, lobules cartilagineux à leur surface, et osseux au
centre
, creusés de foyers, d'excavations contenant une m
ion osseuse qui l'entoure, production qui est extrêmement compacte au
centre
, dans l'épaisseur de quatre à cinq lignes, et qui
à sa circonférence, dans un espace oblong, du volume d'une olive. Au
centre
de cette partie infiltrée de pus, se voyait une e
luctuation, ou plutôt une mollesse un peu fluctuante, se manifeste au
centre
de la région parotidienne. Une incision est prati
eloppés. Vus à la loupe, ces cryptes muqueux paraissent troués à leur
centre
. Quelques-uns sont entourés d'un cercle noirâtre
part on ne découvre de": pertuis propre à évacuer le mucus contenu au
centre
des granulations ; la pression exercée sur ces gr
pression : on y sent profondément des masses dures qui en occupent le
centre
. L'appétit est nul; cependant le malade continue
, constituée par un énorme placenta, disposé en globe ellipsoïde , au
centre
duquel on pouvait aisément reconnaître une cavité
que qui ressemblait à une anse intestinale. Un stylet introduit à son
centre
pénétrait sans difficulté dans toute sa hauteur;
par un tissu brun-ardoisé; quelques-uns plus avancés offraient à leur
centre
un petit foyer purulent, autour duquel était une
a portion d'intestin invaginée, on voit qu'elle est constituée, i° au
centre
, par l'intestin grêle et par l'appendice vermifor
in grêle qui constitue le cylindre central est extrêmement rétréci au
centre
de la tumeur; au-dessus de l'invagination, il est
résente qu'une seule; 6° que la présence de l'appendice vermiforme au
centre
de l'invagination établit une différence notable
omen. Dans tous les cas, il fallait ouvrir. Je fais une ponction au
centre
de la tumeur, et, à la faveur de l'ouverture , je
mois, il ne restait plus à l'aine qu'un petit noyau d'induration, au
centre
duquel était un pertuis capillaire. La malade ,
dehors. J'ai dit qu'un pertuis, à peine visible, existait à l'aine au
centre
d'un petit noyau d'induration. Un stylet," introd
as représenté fig. 1, l'insertion du cordon ombilical n'a pas lieu au
centre
de la tumeur, mais à la partie inférieure et gauc
te comme avec un emporte-pièce. i° Le cordon ombilical ne naît pas du
centre
de la tumeur, mais de la partie inférieure et lat
ait plus de la moitié delà longueur du cordon et qui présentait à son
centre
les vaisseaux ombilicaux, ne contenait aucune ans
ices déprimés de ces follicules; on la rencontre non moins souvent au
centre
ombiliqué des follicules du gros intestin (i); en
agminés. Le gros intestin pré-« sentait de petites plaques noires au
centre
desquels étaient de petits points plus noirs qui
les follicules du gros intestin; ils sont ombiliqués et noirs à leur
centre
. Ce n'est que dans des cas de cette espèce que j'
c'est un point de pratique bien arrêté pour moi. Les vésicatoires au
centre
de l'érysipèle, suivant la méthode de Dupuytren,
inés, mais multitude de petites granulations piquetées de noir à leur
centre
. Cet état ne peut pas être normal, il est probabl
icules du gros intestin, qui sont perforés et comme ombiliqués à leur
centre
. Planche III. — Entérites pseudo-membraneuses.
rêle et le gros intestin. Elle semblait partir de ce point comme d'un
centre
et allait en s'affaiblissant. Les follicules agmi
nifestaient souvent par une douleur épigastrique : l'épigastre est le
centre
commun de toutes les impressions et douleurs abdo
ale : il était d'un rouge violet et couvert de fausses membranes : au
centre
est l'orifice anal O. La fig. i ' représente un
ésentent un tissu vasculaire érectile rempli de caillots sanguins, au
centre
desquels on rencontre quelques phlébolithes. La m
aque du colon; c'était en effet la région iliaque gauche qui était le
centre
des douleurs. C'était là que s'accumulaient les g
te matière crétacée contenait des concrétions ou grains calcaires. Au
centre
delà matière gélatiniforme se voyaient deux ou tr
ie cicatrisé et cerné par un rebord circulaire, coupé à pic ; que, au
centre
de cet ulcère, il s'était établi un travail d'éro
et faisait saillie du côté de la face convexe. Très superficiel à son
centre
, où il touchait le diaphragme, il était recouvert
vaisseaux veineux du foie de divers ordres, ceux même qui passent au
centre
des masses encéphaloïdes, sont parfaitement sains
re de voir du pus liquide ou concret et de la matière tuberculeuse au
centre
de ces masses dégénérées; 3° mais c'est surtout d
'épaisseur du grand épiploon, était un foyer sanguin considérable, au
centre
duquel était de la matière encéphaloïde. On aurai
'abord purement locale; que, du lieu primitivement affecté comme d'un
centre
, le suc cancéreux s'est répandu dans l'économie,
masses cancéreuses de la surface étaient proéminentes et déprimées au
centre
comme par des espèces de godets. La membrane péri
dans la moitié de son épaisseur. La mamelle gauche contenait à son
centre
de gros tubercules très durs, desquels il m'a été
deux ou trois fois le volume ordinaire. Ils sont bosselés, durs ; au
centre
est un tissu spongieux et vasculaire ; à la circo
x. Le ramollissement, comme mucilagineux, en occupait généralement le
centre
. Il a été évident que ces masses étaient formée
on brillant micacé, ses aiguilles partant comme autant de rayons d'un
centre
occupé par une matière jaune, qui paraît avoir se
omposé de cholestérine. La coupe du petit calcul (fig. 6) montre au
centre
une concrétion biliaire plus considérable que dan
. Deux jours après, le 9 décembre, deuxième application d'un grain au
centre
de l'eschare incisée; le 11, troisième applicatio
me cornée, que la suppuration avait en partie détachée du kyste. Au
centre
de la tumeur, j'ai pu suivre un gros vaisseau de
sont blanches dans, les troncs principaux et présentent du pus à leur
centre
;elles sont d'un rouge foncé dans les divisions se
gile, se morcelant avec la plus grande facilité delà circonférence au
centre
, pénétré de sérosité et nullement de suc cancéreu
és; ici pierreux; là d'une dureté cartilagineuse, noirs et marbrés au
centre
, blancs à la circonférence. Ces ganglions devaien
oude permet de reconnaître la structure caverneuse de cette tumeur au
centre
de laquelle se trouvent disséminées plusieurs phl
icales et ovariques. Les phlébolithes miliaires étaient contenus au
centre
de caillots sanguins. Les phlébolithes volumineux
pas rencontré dans le tissu érectile naturel : ils se développent au
centre
des caillots sanguins qui remplissent les petites
adhèrent pas aux parois veineuses par un pédicule, mais se forment au
centre
des caillots sanguins par un mécanisme bien diffi
ême ? Je rappellerai que, pour rendre compte de la présence du pus au
centre
des caillots sanguins dans la phlébite, j'ai été
raison de la capillarité du caillot sanguin, ce pus était transmis au
centre
de ce caillot au fur et à mesure qu'il était sécr
es caillots adhérens. Je trouve, en outre, à sa partie supérieure, au
centre
du caillot, une matière blanche, semblable à du p
chez le sujet de la planche 4, la question de la production du pus au
centre
des caillots sanguins; et je suis resté convaincu
é. Il m'a paru dans quelque cas que la circulation se rétablissait au
centre
du caillot sanguin, ce qui ne surprendra pas si o
llot sanguin, ce qui ne surprendra pas si on se rappelle que c'est ce
centre
qu'occupent les couches les moins cohérentes, et
mande l'explication du fait de la présence du sang le plus liquide au
centre
du caillot, je répondrai que de même que les couc
crété par les parois veineuses, si bien que ce pus occupe toujours le
centre
du caillot, de même j'ai cru pouvoir expliquer la
ution graduelle de consistance du caillot sanguin de la périphérie au
centre
par la capillarité de ces caillots sanguins qui s
, les unes dans l'épaisseur des couches superficielles, les autres au
centre
des muscles, un certain nombre dans l'épaisseur d
ux dans l'épaisseur de la cuisse, dans l'épaisseur des muscles; et au
centre
des abcès gangreneux on trouvait du mercure. En o
taient autre chose que de petits kystes remplis de pus concret, et au
centre
desquels se voyait une gouttelette de mercure; ch
artère dilatées et pétrifiées. Une matière puriforme occupait soit le
centre
ele ces caillots, soit le côté qui regardait les
ffère essentiellement d'un membre paralysé par lésion des nerfs ou du
centre
céphalo-rachidien, en ce que, dans le premier cas
ibrineux du volume d'une petite noix, contenant du pus sanieux, à son
centre
. De la surface du kyste, partaient des prolongeme
on de caillot qui répondait à l'artère sous-clavière, contenait à son
centre
un pus analogue au pus trouvé dans le caillot du
petite poche anévrysmale que tapissent des caillots stratifiés, et au
centre
des caillots mamelonnés. On reconnaît que ces cai
sés par le sang en circulation , qui auront fini par se faire jour au
centre
de la tumeur. La fig. 4 représente la face anté
ysmes ovoïdes, la poche allant progressivement en se rétrécissant, du
centre
vers les extrémités, il n'y a pas de collet; dans
possible de diagnostiquer une lésion de cette partie si importante du
centre
céphalo-rachidien, il est à-peu-près impossible d
en masses mamelonnées, dont les renflemetis arrondis proéminaient au
centre
de la poche. Réflexions. i° Je ne saurais trop
du cœur. La présence d'un caillot de sang adhérent et contenant à son
centre
une matière sanieuse pourrait être considérée com
La présence dans les cavités du cœur de concrétions fibrineuses, au
centre
desquelles existe une matière ayant tous les cara
'où il a été charrié en nature avec le sang et transporté avec lui au
centre
circulatoire dans lequel il s'est opéré une espèc
é par la membrane interne du cœur enflammée, le pus est transporté au
centre
du caillot sanguin par la capillarité du caillot
t sur cette circonstance que le pus, dont le siège est constamment le
centre
de ces concrétions, présente une série de changem
ens qui attestent une élaboration successive. Ainsi le pus contenu au
centre
des caillots sanguins est d'abord sanieux, puis j
et des artères. Dans celles-ci comme dans le cœur, c'est toujours au
centre
du caillot sanguin que se trouve le pus : or, per
illot sanguin, comme on l'aurait cru a priori,occupait constamment le
centre
de ce dernier; que, si cette circonstance du sièg
e centre de ce dernier; que, si cette circonstance du siège du pus au
centre
du caillot était proposée comme une difficulté à
arois veineuses, ne traverse le caillot sanguin, et ne soit déposé au
centre
du caillot, (i) Les concrétions sanguines purul
mbrane interne ni dans le tissu du cœur, et que la présence du pus au
centre
du caillot sanguin a été pour moi l'unique preuve
ais-je, que, dans la phlébite, la matière puriforme qui est placée au
centre
des caillots sanguins., et qui remplit plus tard
es enchevêtrées dans le tissu aréolaire du cœur, et se prolongeait au
centre
de cette cavité, sans contracter aucune adhérence
La petite racine était pleine, mais la grosse racine contenait à son
centre
une matière blanche semblable à du pus concret. S
olongement dans son épaisseur : divisée, la concrétion présente à son
centre
une cavité remplie de pus. Au voisinage de l'adhé
est singulièrement rétréci par une espèce de diaphragme, percé à son
centre
d'un trou très régulièrement circulaire,ayant la
du côté des « poumons, concave du côté des ventricules, percée à son
centre
d'une ouverture de deux « lignes et demie de diam
par un cercle ligamenteux jaunâtre. Cette « membrane est percée à son
centre
par une ouverture ovalaire et permanente d'une a
ement osseux qui, s'avançait au-dessous de l'orifice jusqu'au-delà du
centre
de l'ouverture, et contribuait encore au rétrécis
e caractère probable d'une endocardite partielle, la présencedupus au
centre
des caillots sanguins adhérens qu'on rencontre qu
les deux plèvres, dans l'abdomen. Diagnostic. — Tout est limité au
centre
de la circulation. Rétrécissement probable de l'o
domen ; foie volumineux et granuleux. Les granulations sont ronges au
centre
et grises à la circonférence. L'apoplexie pulmo
e ces tumeurs ont donné une surface homogène de tissu lardacé dont le
centre
présentait à gauche une petite cavité remplie de
s mésentériques sont volumineuses et un certain nombre présente à son
centre
des traces de suppuration. — Le pancréas est sain
econdaires, subdivisés eux-mêmes en mamelons et aboutissant tous à un
centre
commun qui formait le pédicule de la tumeur. Le p
se et présentait ce caractère remarquable que chaque lobule avait son
centre
d'ossification particulier. D'un point central qu
lable, développée autour de l'extrémité inférieure de la moelle et au
centre
de la queue de cheval, dans les figures i , i' et
pé à la destruction. Il n'y a destruction complète de la moelle qu'au
centre
de l'altération; à mesure qu'on s'éloignait de ce
n'est point du tout superficielle, mais pénètre jusqu'au voisinage du
centre
de la moelle. Je ferai remarquer que, relativemen
des circonvolutions et plusieurs pertes de substance très petites au
centre
de l'hémisphère. Dans un troisième cas d'hémipl
et de la partie correspondante du corps strié, et un kyste ancien au
centre
de la protubérance. Le petit kyste de la protubér
ltéré dans sa structure. On pourrait admettre, dans les lésions des
centres
nerveux par compression, deux périodes bien disti
t d'hémiplégie : elle mourut au bout de quelques jours. Je trouvai au
centre
d'un ramollissement blanc pultacé un gros tubercu
c foyer, lorsqu'elles occupent les circonvolutions, ont leur siège au
centre
des circonvolutions, tandis que les apoplexies ca
nt le siège, la couche optique, les corps striés, la protubérance, le
centre
nerveux médullaire de chaque hémisphère, etc. L
placée par une pellicule jaunâtre. La substance blanche, qui forme le
centre
ou noyau du lobe occipital, présente, i° une cica
plexus choroïde PC. On voit un petit foyer apoplectique occupant le
centre
d'une grande circonvolution, et étendu à la subst
a date récente de la phlébite était démontrée par l'absence du pus au
centre
des caillots et par la coloration noire du sang c
rconvolutions de la base du cerveau ont été respectées. Ces foyers ou
centres
de ramollissement, qui sont très multipliés occup
ssies ; l'épaississement était surtout remarquable à la dure-mère; au
centre
de la tumeur est la substance cérébrale. Il y ava
'extrémité libre, légèrement renflée, présente plusieurs crochets, au
centre
desquels est une petite trompe qui m'a paru perfo
colée à la face interne de la dure-mère qui était intacte, excepté au
centre
de la tumeur, où cette membrane éraillée correspo
petites tumeurs secondaires ou lobules pédicules, partant toutes d'un
centre
commun. Ces bosselures étaient elles-mêmes subdiv
n. Ces bosselures étaient elles-mêmes subdivisées en granulations. Le
centre
commun était constitué par une masse compacte, bl
disposition de la tumeur en lobules pédicules , aboutissant tous à un
centre
commun. On voit que cette tumeur diffère essent
des tumeurs fibreuses et par l'absence complète de suc cancéreux. Au
centre
des lobules se voyaient des points blancs phospha
e qui ne tardait pas à s'organiser et à former une espèce de kyste au
centre
duquel était déposée une matière variable par l'a
es se trouvent attachés à la peau. Un commencement de canal existe au
centre
de cette « partie, mais peu profond et comme engo
isaient une poussière douce au toucher. A la dureté e moins grande du
centre
de cette excroissance, on pourrait présumer que l
ensité de cette production allait en diminuant de la circonférence au
centre
, et en augmentant de la base ou extrémité adhéren
Les fibres de la surface sont généralement plus solides que celles du
centre
. La théorie que je viens de présenter sur les p
x dépens des flocons adipeux sous-cutanés ; il en est qui occupent le
centre
de ces flocons ; mais la plupart occupent quelque
tumeurs sont molles, quelques-unes fluctuantes, et contiennent à leur
centre
du sang lie devin. Dans plusieurs le sang est enk
re subordonnées. Si l'infection cancéreuse semble souvent partir d'un
centre
ou foyer, pour se répandre ensuite dans toute l'é
par l'acide nitrique ; car il est probable que j'aurais rencontré au
centre
de chaque petit renflement le tissu propre du ner
e rétrécissement était fibreux et avait de 8 à 9 lignes d'étendue. Au
centre
du rétrécissement, la transformation fibreuse ava
le canal était converti en tissu fibreux dans toute son épaisseur au
centre
du rétrécissement: aux limites, la transformation
très développé, surtout à son extrémité postérieure, qui répondait au
centre
de la portion prostatique, se voyaient des ouvert
able d'épiploon. Le doigt, introduit derrière l'ombilic, pénétrait au
centre
de cette masse épiploïque, qui était disposée en
le tronc de la veine rénale et sans adhérence dans les divisions. Au
centre
de ce caillot était du pus cohérent. Le tissu du
veines capillaires étant parfaitement intactes ? Le pus contenu au
centre
du caillot était parfaitement enkysté, comme cela
elle était d'abord, devient suppurative, le pus occupe constamment le
centre
du caillot sanguin, jamais le pus n'est intermédi
ne de l'inflammation et de la suppuration. Or, si le pus contenu au
centre
du caillot ne vient pas du caillot lui-même, il v
ont en même temps les plus cohérentes du caillot, pour être déposé au
centre
moins cohérent de ce caillot. Je sais bien que,
mens dans l'épaisseur de l'os ; tantôt par les couches moyennes ou le
centre
du tissu compacte, où quelques fibres osseuses so
s et qui est accumulé dans de petites cellules ou aréoles creusées au
centre
de quelques-uns de ces lobules. Au reste, la co
minés, à peine visibles à l'œil nu, mais très visibles à la loupe. Au
centre
de quelques lobules, on trouvait de gros vaisseau
airement uniques sont quelquefois multiples, elles occupent tantôt le
centre
et tantôt la circonférence de la glande mammaire;
tumeur m'a presenté une disposition lobuleuse non moins prononcée au
centre
qu'à la circonférence. Au centre d'un assez grand
ion lobuleuse non moins prononcée au centre qu'à la circonférence. Au
centre
d'un assez grand nombre de lobules, j'ai trouvé d
les, j'ai trouvé dans chaque lobule une cavité ou géode; en outre, au
centre
de la tumeur, j'ai trouvé une cavité libre et lis
ont la surface extérieure, hérissée de granulations, correspondait au
centre
du lobule; tandis que la surface interne de cette
le; la troisième avait celui d'une noix. A leur surface, comme à leur
centre
, elles étaient d'une couleur très blanche : leur
le droite déformée, bosselée, d'une dureté comme pierreuse, érodée au
centre
où elle présente des espèces de crevasses. Mame
er dur, atrophique qu'elle rapportait à un coup de pied de cheval. Au
centre
était une dépression ou creux triangulaire, avec
ongosité proéminente dans la cavité de cet intestin et perforée à son
centre
pour communiquer avec l'intestin grêle. Un foyer
adipeux , et celui-ci de la glande mammaire. La peau très épaisse au
centre
de la tumeur et formant à elle seule la moitié de
ères , à bords très durs et coupés à pic ; il y avait évidemment deux
centres
d'ulcération. Le 1" décembre 1836, la malade fu
e l'aisselle oblitérées par inflammation adhésive ; assez souvent, au
centre
des caillots, on trouve du pus concret qui établi
Toute la mamelle avait été envahie. Une grande eschare en occupait le
centre
. Cette eschare s'agrandit et s'étendit à toute la
ce du blanc-manger. Ce ramollissement occupait la presque totalité du
centre
médullaire de cet hémisphère. Tout le reste de l'
upe présentait de nombreux vaisseaux et des prolongemens fibreux : au
centre
était un petit foyer de sang. Organes génito-ur
s. La plus grosse tumeur hémorrhoïdale H présentait un phlébolithe au
centre
d'un caillot sanguin. Réflexions.— Dans ces réf
toute l'économie en partant du point primitivement affecté comme d'un
centre
, ne permet guère d'en douter; et cependant le pro
e de péritonite. Une femme de 5o ans est transférée d'un hôpital du
centre
à la Salpêtrière comme cancéreuse incurable. Doul
tissu spongieux dont les cellules sont remplies de suc cancéreux. Au
centre
est une eschare E S C. L'altération est exactem
uns aux autres, de manière à former un gros cordon non interrompu, au
centre
duquel se voyait l'aorte et la veine-cave inférie
et la veine crurale étaient le siège exclusif de la phlébite, dont le
centre
était à l'aine. Dans ce point et dans l'étendue d
e et les enveloppes de l'œuf confondus constituent un kyste inerte au
centre
duquel se trouve un fœtus momifié, (i) 5° Le fœ
s, est traversé par les deux veines - caves inférieures ; il y a deux
centres
aponévrotiques séparés l'un de l'autre par des fi
la-fois aortique et pulmonaire comme le ventricule du fœtus droit. Au
centre
de cette cavité ventriculaire est un orifice garn
duplicité commande une harmonie nouvelle, dont il est toujours et le
centre
, et le mobile et le régulateur. » Cette vue d'e
ière fois que j'ai eu l'occasion de faire cette remarque. Souvent, au
centre
des mamelles ou de ganglions axillaires cancéreux
e abdominale intercostale. 21e liv., pl. m, p. 3.— L'épigastre est le
centre
commun de toutes les douleurs de l'estomac et des
avec communication du foyerdans le ventricule moyen; Foyer ancien au
centre
de l'hémisphère du même côté. 5e liv., pl. vi, p.
n phlegmon diffus sous-cutané de la jambe. Foyer apoplectique dans le
centre
médullaire de l'hémisphère droit. Trace d'un peti
iv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 35. CAILLOTS. Sur la présence du pus au
centre
des caillots sanguins. 27e liv., pl. iv, p. 5- 36
vec communication du foyer dans le ventricule moyen ; foyer ancien au
centre
de l'hémisphère du même côté. 5e liv., pl. vi, p.
dité du côté gauche, léger délire; fièvre. Foyer apoplectique dans le
centre
médullaire de l'hémisphère droit. Trace d'un peti
choléra. 14e liv., pl. 1, 11, m, iv, v,p. /2. — L'épigaslre est le
centre
commun de toutes les impressions et douleurs abdo
incomplète avec rigidité du côté gauche, résultant d'une apoplexie du
centre
médullaire. 5e liv. , pl. vi, p. 2.— Hémiplégie g
e inférieur droit. 27e liv., pl. iv,p. 4. — Sur la présence du pus au
centre
des caillots sanguins ; sur le rétablissement de
iv., pl. iv, p. 1 ; 11e liv. pl. 1, n, ni, p. g. — Sur sa présence au
centre
des caillots sanguins. 8° liv., pl. vi ,p. 1 ; 27
ues. 14e liv-, pl. 1, n, m, iv, v, p. 38. — Sur la présence du pus au
centre
des caillots sanguins. 27e liv., pl. iv, p. 5. —
mbre inférieur droit. 27e liv., pl iv,p.4-— Sur la présence du pus au
centre
des caillots sanguins ; sur le rétablissement de
visuel se rattachent précisément à un arrêt du fonctionnement des
centres
nerveux qui servent à cette sensation tactile ou
sions locales des appareils sensoriels, des muscles, des nerfs, des
centres
: 1° Les stigmates sont trop mobiles, ils dispa-
toutes les opinions de cet auteur sur les épuisements localisés des
centres
nerveux qui nous semblent encore bien hypothéti
3. 12 REVUE GÉNÉRALE. désordre ou un développement défectueux des
centres
fonc- tionnels les plus élevés del'écprce céréb
ériphériques souffrent toujours plus que les segments rapprochés du
centre
; la main, par exemple, est plus paralysée que l
ttend. Si une lésion inflammatoire attaque les nerfs spinaux ou les
centres
de la moelle, on trouvera toujours que la motil
t pas à produire des monoplégies pures, nous en con- cluons que les
centres
moteurs surl'écorce ne sont pas nette- ment sép
rnwirkungen) qui annu- leraient l'effet d'une séparation exacte des
centres
. De même s'il y a dans l'aphasie organique, tou
arle fait que des branches de la même artère nourrissent tous les
centres
du langage, ou si l'on accepte l'opinion énoncée
sur l'aphasie, parce qu'il ne s'agit pas de 38 CLINIQUE NERVEUSE.
centres
séparés, mais d'un territoire continu d'associati
, alexie et hémianopsie droite, s'expli- quent par le voisinage des
centres
lésés. L'hémianopsiememe, symptôme bien curieux
on lit a qu'il doit y avoir une lésion hystérique » dans tel ou tel
centre
, le même dont la lésion organique pro- duirait
des corps vertébraux est creusé de canaux qui viennent converger au
centre
de la face postérieure de ces corps dans une ca
térieures. Pathogénie. Le plomb trouble d'abord les fonctions des
centres
spinaux, puis les nerfs périphériques sont attein
Mais les nerfs périphériques et les muscles sont altérés avant les
centres
. C'est la seule théorie qui puisse correspondre
ue le sens musculaire, correspond à peu près, sinon tout à fait aux
centres
moteurs correspondants ; l'observation suivante
as et d'autres analogues, l'auteur conclut que chez les gauchers le
centre
auditif du langage n'a pas son siège dans l'hém
e; les tuber- cules quadrijumeaux seraient donc en rapport avec les
centres
ther- miques. J.-B. C. XVIII. Atrophie muscul
qu'elles. Ainsi donc, toutes les masses grises mentionnées sont des
centres
primitifs de la ra- cine postérieure du nerf ac
trales du nerf acoustique, voies qui ont un rapport intime avec les
centres
primitifs de la racine postérieure; 5° le ruban d
rande ville afin que le marché de vente soit suffisamment voisin du
centre
de production ; 2°commehabitations il faudrait
presque entière- ment la place réservée aux cordons postérieurs; au
centre
de ce tissu néoplasique, se trouve une perte de
lieu du renflement lombaire, il n'existe plus de tubes à myéline au
centre
de la tumeur, qui s'étend du col de la corne po
niveau de la huitième racine cervicale. La tumeur est creusée à son
centre
d'une excavation de forme irrégulièrement étoiléc
sformation hyaline et l'espace, très dilaté, ne contient plus à son
centre
qu'un vaisseau en voie de dégénères- 118 PATHOL
rain de se constituer aux dépens d'un tractus vasculo-conjonctif Au
centre
de cette ca\ité le tissu conjonctif est en voie
homogène, faiblement colorée, qui est un coaguleux albumineux ; au
centre
nage un gro, amas de détritus cellulaires, d'as
proportions est le résultat de la fonte du tissu néoplasique à son
centre
, par suite d'une irrigation sanguine insuffisan
en voie d'accroissement et est richement pourvue de cellules, à son
centre
au contraire ses éléments actifs se raré- fient
re spéciale, le fait qu'ils ne se rencontrent jamais ailleurs qu'au
centre
des espaces conjonctifs et que, par conséquent, i
s temps. des .verbes qui ¡]ui manquel1t. : ¡ Vouloil'oimaginer, un,
centre
de coordination, syntaxale, ce serait multiplier
a fièvre,'y est-il, dit,* le"système,nerveux4éentral, joue un rôle (
centres
, vaso-moteurs -, cerJtres,' th,er,m.iq,es)"lL,a '
. système nerveuxiseul, est due à des troubles dans la fonction des
centres
thermiques (fièvre nerveuse fonctionnelle). C'e
mus7 culaire presque totalement aboli. ` ' Diagnostic : tumeur du
centre
ovale, basé sur l'absence des troubles mentaux
la partie postérieure, de la circonvolution du corps calleux est le
centre
sensitif du bras. , . . , ;; i, 'i rj.'i *' le
pourrait aussi penser à [une lésion des faisceaux qui joignent les
centres
des images d'articula- tion verbale avec le cen
ui joignent les centres des images d'articula- tion verbale avec le
centre
de la notion, de l'idée ? 3" lési6n''c6n- sista
avait tiré le lobule pariétal inférieur, de l'hémisphère gauche (
centre
visuel cortical). ,f I . ., , , , , Ces deux ob
, , Ces deux observations paraissent démontrer la localisation du
centre
de la mémoire visuelle des mots au niveau du lobu
nce) de (lésion intéressant les, çirconvo-- lutions'' motrices, le,
centre
visuel verbale étant seul ,détruit. La possibil
d'un trouble dans le'déve- loppement d'un noyau isolé de ce nerf le
centre
en étant demeuré intact. ' l,r 1 . ! - - - p. K
at' mental lui-même. Il y a évidemment trouble fonctionnel dans les
centres
qui enre- gistrent les phonèmes »des mots; pauv
certaines catégories de malades, l'usage des pavillons distincts du
centre
de l'asile. Il a montré quels avantages on pouv
réalisé un pro grès capital dans la thérapeutique des maladies des
centres
ner- veux, telle que serait, par exemple, la dé
, les choréiques, les tiqzecux et dans quelques autres maladies des
centres
nerveux, 1802 ; - Sur un cas de paralysie génér
ance familiale par la mise en pratique autour d'un asile servant de
centre
des systèmes permettant de libérer au sur et a
u même côté, et en détruisant la faux du cerveau à ce niveau. Les
centres
blancs des lobes frontaux sont très fortement apl
s, plus dure et plus opaque en d'autres points. Elle contient à son
centre
, une cavité irrégulière grosse comme une noisette
rons successivement ces deux ordres de tissus, qui sont disposés au
centre
de la tumeur sous forme d'îlots sans forme et s
"' ". '/> s prolifépation; puisse, mesure qu'on se rapproche du
centre
, on voit les éléments évoluer vers lés types ad
i donne à la circonvolution de l'ourlet son aspect rugueux. Vers le
centre
de la tumeur il existe, outre la cavité principal
rick, oc. 3.) '288 CLINIQUE NERVEUSE. l'aplatissement subi par le
centre
blanc des deux lobes frontaux, la destruction p
, soit par des coupes portant sur des circonvolutions isolées. Le
centre
blanc du lobe frontal droit, quoique comprimé, ne
petites tumeurs renferment quelquefois une traînée blanche , à leur
centre
,- présentant ainsi. une grande analogie, avec les
ome ; elle était formée de cellules à la périphérie, de fibres au .
centre
,' présentait à sa surface des rudiments de circon
s parcelles aberrantes de tissu nerveux, qu'elles 'restent dans les
centres
ou qu'elles s'en séparent, ont une certaine ten
seule ligne s'étendant duN.-O. au S.-E. et séparés par une cour au
centre
de laquelle, perpendiculairement aux précédents,
ques que la classe des artisans. Ceux-ci, en effet, qui habitent au
centre
de la commune, et par conséquent dans le voisin
ils paraissent se rattacher à l'action lente et spontanée de divers
centres
nerveux séparés. A l'àge de trois mois, ces mou
sation ? Si la microkinèse révèle une action spontanée de plusieurs
centres
nerveux disticnts, sa sus- pension révèle un ar
de la fonction efférente de ces 324 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
centres
,* et le mouvement est le résultat actif d'une iim
st en conformité de cette loi que s'accom- plit la coordination des
centres
nerveux. Chez l'adulte, les groupe- ments nerve
fluence du milieu soit réelle, car si les lésions organiques des
centres
nerveux étaient la cause unique et primordiale de
lons rapporter de son autopsie que ce qui a trait aux lésions des
centres
nerveux. Le cerveau paraît absolument indemne :
s. Les expériences de Flourens2 et de Lussana qui en faisaient le
centre
coordinateur des mouvements ou le régulateur de
teur, celles plus récentes de Luciani3, qui le considèrent comme le
centre
du tonus musculaire, ne nous apprennent rien de
t. Striclcer's 7/aMHtMMcA. Bd XII, p. 768. 2 Huguenin. Anatomie des
centres
nerveux. Trad. Keller. 1879. 3 Bechterew. Rappo
statique du corps, nous expliquent mieux le rôle que joue ce petit
centre
dans le maintien de l'é- quilibre. De. nombre
iblement symétriques pendant toute l'évolu- 1 Edinger. Anatomie des
centres
nerveux. Traduction Siraud, 1889, r p. 207. S
a cavité cranienne, et peuvent exercer une action à distance sur le
centre
bulbaire du vomissement, le nerf optique ou le
ués sont précisément ceux où on a noté une altération de ces petits
centres
(Pierret, Schulze, Menzel, nous-mêmes); dans le
hommes. C'est M. Magnan qui en a donné ' Magnan. Recherches sur les
centres
nerveux. Paris, 1893. 376 RECUEIL DE FAITS. l
e et pressante, qu'elle s'émancipe de l'influence modé- ratrice des
centres
supérieurs pour arriver à l'acte irrésis- ci ti
manie (Archives de Neurologie, 1892), et Magnan, Recherches sur les
centres
nerveux, 2e série. Paris, 1893. PERVERSIONS S
a brièvement cité le cas de cet homme dans ses Recherches sur les
centres
nerveux (p. 31). Nous avons relevé et reproduison
plan supérieur est formé par les lobes préfrontaux; il renfermeles
centres
moteurs les plus élevés, et c'est lui qui préside
ue s'étend aux organes oui président au mouvement, à la moelle, aux
centres
psycho-moteurs, et l'étendue des phénomènes con
a variété des formes et des symptômes dépendent de la diversité des
centres
envahis et du degré de l'envahissement. Dans le
t après l'ablation des hémisphères cérébraux chez un ani- mal : les
centres
locomoteurs de la moelle entrent en activité, et
des modifications de l'innervation des fibres d'association et des
centres
physiologiques. Etude comparative du mécanisme
s observations avec autopsies montrent encore que chez l'homme, les
centres
optiques primitifs (infra-corti- caux), dépende
stance blanche antéro-postérieure aux segments correspondants des
centres
optiques sous-corticaux. La différence des locali
uronne rayonnante, on retrouve les faisceaux de fibres qui vont des
centres
corticaux aux groupes cellulaires et vice versa
ents vers l'écorce, mais en passant par les groupes de cellules des
centres
primaires qui sont en rapport avec les fibres q
e partie, l'auteur discute la valeur des descrip- tions données des
centres
« moteurs et sensitifs * du cerveau. Il reproch
et, désigner des qualités bien connues et bien définies de certains
centres
, alors qu'il ne paraît pas encore pos- sible de
écoulent pour l'auteur d'un seul et même processus. Ce n'est pas un
centre
qui sent, mais un centre est le siège du proces
un seul et même processus. Ce n'est pas un centre qui sent, mais un
centre
est le siège du processus qui cause la sensation.
théorie c carotte et la théorie « navet » appliquées à l'étude des
centres
nerveux. Il faut forcément une fusion et dire que
mplètement et fond en une seule quatre diverses théories : celle du
centre
d'aperception de Wundt, celle du centre de nive
iverses théories : celle du centre d'aperception de Wundt, celle du
centre
de niveau supérieur de Jackson, celle de l'écor
iation de sensations avec un travail molléculaire siégeant dans les
centres
sensitivo-moteurs, et l'attention est l'exagéra
ogènes sont consommés pour l'énergie initiale d'une action dans les
centres
supérieurs et d'un autre côté, les sensations d
atériels ayant leur origine aussi bien à la périphérie que dans les
centres
. Il y a toujours liaison intime entre le mouvemen
semblent de prime abord vou- loir habiter de préférence les grands
centres
. Là, les bals, les spectacles, les plaisirs de
de cette opération chez des femmes saines d'esprit. C'est dans les
centres
nerveux qu'est le siège du mal et non dans des
- ceci est très remarquable, car le bout nerveux tient encore à son
centre
trophique. Cependant les bouts périphériques' d
tient ma- nifestement à l'interruption entre la1 périphérie et' le
centre
.' Il y a'lieu de croire'que l'extrémité des ner
lender et Krause, Homén, Van Lair et moi-même). Ceci prouve que les
centres
trophiques (ganglions spinaux) peuvent conserve
-.f I ', , t i / . , i.`)fW XLVIII. Remarque SUR la localisation DU
CENTRE
DU GOUT .chez LE 1 ? 4)LAPIN;, par A.-T. SCHTSC
EVUE D'ÀNATOMIE ET DE 'PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES ? 485 riences,' le
centre
delà contraction du sphincter anal est situé un
dans ces conditions la lumière, en excitant la rétine, transmet aux
centres
optiques une irritation spéciale qui se propage
heilfiutde). T ? r 111.' EDINGfiIt.IDe l'origine phylogénétique des
centres
corticaux et de l'appareil', olfactif. L'écorce
par des trousseaux spéciaux de ladite commissure. Chaque partie des
centres
olfactifs possède ainsi des fibres, commissural
e 10 pages. - pagne, 1893. Chez l'auteur. 1 r. " ' J' VIALET. Les
centres
cérébraux de la vision et l'appareil nerveux vi
e "comme base''de' la neurologie, 'par Schoefer, 412. ? 11'11'"
Centres
corticaux, de' l'origine 1 phylogénétique des'-
sensoriel du nerf -, par lllucliin, 488. 4 Goût, localisation du
centre
du ' ' chez le lapin, par Schtsbherbak, 482.
isme, un cas de spon- tané, par Hoefelt, 155. - -« Sphincter. Des
centres
corticaux du anal et du vesical par de Bechte
ieurs sont remplacés par deux rotondités mammiformes portant à leur
centre
une sorte de mamelon saillant; pas d'autopsie.
séquence d'un arrêt de développement du système nerveux central, du
centre
trophique du membre. Cette théorie invoquée par B
érifier s'il existait chez notre sujet une atrophie analogue de ses
centres
médullaires. En vé- rité, celte recherche n'éta
ésultat de nos mensurations : AMÉLIE 29 membre avorté implique un
centre
médullaire préalablement atrophié ? Ne peut-on
ire préalablement atrophié ? Ne peut-on soutenir inversement que le
centre
est atrophié parce qu'il correspond à un membre
génital, vienne nous apprendre que malgré l'absence d'un membre, le
centre
gris corres- pondant n'en a pas moins suivi son
ltats précis. Il est admis par plu- part des physiologistes que les
centres
vaso-moteurs sont disséminés dans la moelle et
ntres vaso-moteurs sont disséminés dans la moelle et qu'en outre un
centre
vaso-moteur principal siège dans le bulbe. Quan
vaso-moteur principal siège dans le bulbe. Quant au siège exact des
centres
d'origine dans la moelle, on manque presque com
inion dePierret qui avait considéré les colonnes de Clarke comme un
centre
vaso-moteur(1). Les faits anatomo-pathologiques d
soutenons, à savoir qu'il existe dans les cornes postérieures, des
centres
vaso-moteurs el des centres régulateurs pour la
xiste dans les cornes postérieures, des centres vaso-moteurs el des
centres
régulateurs pour la nulrition des téguments et
des membres supérieurs et inférieurs, il existe dans la moelle des
centres
sensitifs, moteurs el vaso-moteurs' qui occupent
nsi- blement le même segment de la moelle : en d'autres termes, ces
centres
sont juxtaposés ou superposés. Bien entendu qu'
la ire dorsale, région que je consi- dère comme siège principal des
centres
moteurs, vaso-moteurs et sensitifs des extrémit
térieure. Mais par quel mécanisme ? S'agit-il d'une exci- tation de
centre
ou bien d'une paralysie. Si on veut bien tenir co
a un double mécanisme qui intervient, c'est-à-dire l'excitation des
centres
suivie de leur paralysie. Les études de la gliose
s de douleur qui contractent tous ses traits. Cette tache claire au
centre
de la composition attire nécessairement le prem
ions morphologiques in- discutables. Quant au noyau, il occupe le
centre
de la cellule; la chroma tille y est condensée
tance chromophile se poursuit le plus souvent de la périphé- rie au
centre
et correspond il un changement profond dans la te
ge, sans doute, le v irus s'est propagé le long des nerfs jusqu'aux
centres
, mais les désordres qu'il a entraînés dans les
e bilatérale) sans intervention d'un trouble au moins dynamique des
centres
nerveux. Je ne veux pas rééditer ici les argume
ts. C'est ainsi que pour le membre supérieur, on a pu distinguer le
centre
de commandement de la flexion, de l'extension,
m- ment dissociés. Cependant David Ferrier a isolé chez le singe le
centre
de la préhension (mouvements individuels combin
nc concevoir, sans grande 192 EMILE BOIX témérité, l'existence du
centre
du mouvement opposé, c'est-à-dire du mouvement
ximum dans le geste du magnétiseur projetant son fluide. C'est ce
centre
que chez M. S..., pour une cause que j'ignore con
re flexion, mais celle-ci réductible. Le retard de développement du
centre
d'extension a dû être moindre elles choses ont
ion la plus fragile, comme une sorte de perfection plus grande, les
centres
qui la commandent soient encore une loi général
peu lointaines, ces considérations renforcent mon hypo- thèse : le
centre
d'extension de la main s'est développé plus tardi
on l'a vu, est le siège ordinairement primitif de la gliomatose, le
centre
de la tlexion des membres supérieurs serait périp
ffre les condi- tions les plus favorables à sa production. X. Les
centres
des muscles extenseurs du poignet ont leur siège
teints, ou comme l'expression d'une lésion portant sur un point des
centres
nerveux ? En (1) Brissaud. Loc. cit., p. 512.
s troubles fonctionnels d'un élal morbide quelconque d'un point des
centres
nerveux. Et Gauliez conclut simple- ment : « ce
dent à établir que chacun des mouvements associés a pour origine un
centre
dans les masses encéphaliques. » Dans son pre
me simple, il y a uniquement un réflexe. Dans le tic « an lieu d'un
centre
réflexe muscu- culaire, on voit agir un centre
e tic « an lieu d'un centre réflexe muscu- culaire, on voit agir un
centre
fonctionnel ». Nous retrouvons bien à notre cas
omatiques. On peut marcher avec sa moelle ou tout au moins avec ses
centres
bulbo- médullaires, la corticalité étant distra
ifférencie du réflexe pur). Mais il y a plusieurs grands groupes de
centres
où s'élabo- rent les actes complexes, associés,
us avons appelé le polygone cérébral. L'axe bulbomédullaire sert de
centre
non seulement aux réflexes sim- ples (mouvement
up plus si l'on tient compte de notre polygone formé par les divers
centres
de l'automatisme psychologique (1). Les actes q
centres de l'automatisme psychologique (1). Les actes qui ont leur
centre
dans le polygone, dont je rappelle à vos yeux l
té et de mémoire, mais distincts des actes supérieurs, qui ont leur
centre
en 0 : les actes polygonaux ne sont ni libres,
etc., en un mot toute la vie libre. Au-dessous, est le polygone des
centres
automatiques. D'un côté sont les centres sensor
ssous, est le polygone des centres automatiques. D'un côté sont les
centres
sensoriels de réception (audition, vision, sensib
éception (audition, vision, sensibilité générale) ; de l'autre, les
centres
moteurs de transmission (parole, écriture, divers
sion (parole, écriture, divers mou- vements du corps). Ces divers
centres
sont reliés entre eux, au centre 0, et à la périp
- vements du corps). Ces divers centres sont reliés entre eux, au
centre
0, et à la périphérie. Par ces communications d
nc plus synonyme de mental : le mental ou psychisme supérieur « son
centre
en 0, C automatisme ou psychisme inférieur a son
rieur « son centre en 0, C automatisme ou psychisme inférieur a son
centre
dans le polygone. C'est en me basant sur cette
ont plutôt leur siège dans le polygone patho- logiquement séparé du
centre
0, lequel centre 0, reprend par moments son aut
iège dans le polygone patho- logiquement séparé du centre 0, lequel
centre
0, reprend par moments son autorité et produit
professionnelle, il y a crise spontanée d'hy- perkinésie de ce même
centre
polygonal. Supposons un spasme intraprofessionn
ner la tête pour diminuer la ten- sion et atténuer les douleurs. Le
centre
cortical de la rotation de la tête fut donc mis
- lade, névropathe avéré, une irritation anormale et persistante du
centre
de rotation de la tète et cette irritation s'es
mais fait du torticolis spasmodique « un trouble des fonc- tions du
centre
cortical de la rotation de la tête ». C'est une
rotation de la tête ». C'est une idée bien analogue à la nôtre : ce
centre
cortical de la rota- tion qui n'est pas un cent
e à la nôtre : ce centre cortical de la rota- tion qui n'est pas un
centre
mental est notre centre polygonal. Abordant ens
cortical de la rota- tion qui n'est pas un centre mental est notre
centre
polygonal. Abordant ensuite la question du trai
qu'en disant qu'il s'agit là d'une sorte de suggestion puissante du
centre
cortical de la rotation. » Cette théorie ne m
- pect un peu différent suivant ces régions. (PI. XXVII, À.) - Le
centre
de la lésion parait siéger au cou, environ à 4 ou
ns ce cas, la lésion est unilatérale, présentant manifes- tement un
centre
où les verrucosités. revêtent leur maximum de dév
d'innervation cutanée, Alexander objecte encore que l'altération du
centre
trophique, ganglionnaire ou autre, ne peut être u
e trophique, ganglionnaire ou autre, ne peut être une alrophiede ce
centre
, car l'atrophie de ce centre trophique entraînera
autre, ne peut être une alrophiede ce centre, car l'atrophie de ce
centre
trophique entraînerait une atrophie des territo
de 13;r,rensprung, peut être tout autre chose qu'une altération des
centres
trophiques. Galewsky et Schlossmann, de leur cô
er l'apparition des noevi; peut-être pourrait-on se demander si des
centres
supérieurs n'interviennent pas aussi dans leur
fait généralement de l'irréparabilité d'une lésion traumatique des
centres
nerveux ? Messieurs, voilà une question embarra
'à quel point nos connaissances actuelles en matière d'anatomie des
centres
ner- veux sont à même de nous rendre compte de
t ce faisceau pyramidal conduisent les incitations motrices que les
centres
psycho-moteurs projettent sur les muscles. Les
16 F. RAYMOND la ligne médiane, elles se ramifient dans le foyer ou
centre
de la corne postérieure du côté opposé. Je les
tant par exemple d'une action d'inhibition qui s'exercerait sur les
centres
de la perception. Il n'est pas impossible qu'il
lle avec l'encéphale. On l'a attribué à ce que l'encéphale loge des
centres
phrénateurs, qui exercent sur la production des r
luence modératrice. Selon toute vraisemblance le siège exact de ces
centres
modérateurs est dans le cervelet. Il y a là un
e à établir. Peut-on incriminer un produit toxique agissant sur les
centres
nerveux (3) C'est un point sur lequel je n'enga
ntoure d'un cercle plus ou moins large un champ bleu-pâle, situé au
centre
de la cel- lule (Fig. 3). ) Plus la dissoluti
(Fig. 3). ) Plus la dissolution de la substance chromatique dans le
centre
de la cellule est grande, plus le noyau s'avanc
e la substance chromatique, accompagnée de l'émigration du noyau du
centre
de la cel- lule vers la périphérie ? Pour résou
sur la section des nerfs périphé- riques et l'examen consécutif des
centres
nerveux correspondants par la méthode de Nissl
culière. En comparant les données des recherches microscopiques des
centres
nerveux après la section de leurs cylindres-axe
la substance chromatique avec le déplacement simultané du noyau du
centre
vers la périphérie dans la polynévrite est, d'a
tion avec la lésion des nerfs périphérique. Celle-ci influe sur les
centres
correspondants de la même manière que la sectio
on centrale de la substance chromatique, le déplacement du noyau du
centre
du corps cellulaire vers sa périphérie, bref le
trouve sur la périphérie du corps cellulaire et où l'on voit dans le
centre
de la cellule nerveuse une coloration bien plus
de Ternowka, entouré de jardins frui- tiers et de vignes, est leur
centre
de réunion. La population du gouver- nement de
s douteux que l'axe spinal com- mande la symétrie des lésions ; les
centres
(bulbaires) commandent peut- être aussi les dét
paralysies gé- nérales, comme si, dans cette dernière affection, un
centre
trophique, également inconnu, se trouvait rapid
TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 405 pas l'intervention d'un
centre
nerveux anatomique, mais d'un centre fonc- tion
AL 405 pas l'intervention d'un centre nerveux anatomique, mais d'un
centre
fonc- tionnel dont l'action aboutit à la produc
tels que la parole et l'écriture, qui, selon M. Grasset, ont leurs
centres
non pas dans l'écorce mais dans le « polygone sou
est ponctué de larges taches rouges, circu- laires, plus foncées au
centre
qu'à la périphérie. Il est permis de croire que
tits, rouges et saillants, les autres, plus étendus, blanchâtres au
centre
et purulents, avec une auréole inflammatoire ^p
rines permettait, tout au moins de localiser la lésion au-dessus du
centre
vésical. Le fait de Bresci est en outre, remarq
XIIe vertèbre dorsale est réduit à une mince coque osseuse dont le
centre
est rempli de matière caséeuse. La dure-mère est
de l'os. Certains observateurs ont cru-même que la nutri- tion des
centres
nerveux dépendrait de la glande pituitaire. La su
oigts, pieds-bots. Dans leur appareil cérébro-spinal défectueux les
centres
trophiques sont aussi atteints. Cet oedème dont
s .mêmes symptômes, et liés, eux aussi sans doute, à un trouble des
centres
vaso-moteurs et trophiques. HOSPICE DE BICÈTR
g sur la myélinisation des fibres nerveuses et sur l'existence de «
centres
d'association » ont marqué le début d'une phase n
ction visuelle et le cunéus. Paris, 1894. (4) DHJERINB Anatomie des
centres
nerveux, 1895. 106 LA SALLE AHCHAMBAULT . Au
ntriculaire, toutes trois renferment des fibres qui proviennent des
centres
optiques primaires, c'est-à-dire : du corps genou
e corti- cale et de l'écorce occipitale et vont s'irradier dans les
centres
optiques ; les radiations optiques renferment d
veau à l'autre. En avant il contient des fibres qui proviennent des
centres
optiques primaires aiusi que du corps genouillé
u nombre des éléments qui constiluent un muscle, un nerf, un os, un
centre
nerveux, etc., mais que cette diminu- tion de n
en question sont atteints de la même façon et cela jusque dans les
centres
nerveux, par exemple dans la corne antérieure d
ée sur la tumeur, présente de petites taches brunâtres avec, à leur
centre
, de petits points pigmentaires noirs. 3) La tro
appliquer qu'aux fibres que la sphère visuelle corticale envoie aux
centres
primaires de la vision ; l'on quali- fierait al
e. En b, l'épaississement des méninges a augmenté et il se forme au
centre
du nerf radiculaire une cavité communiquant avec
s et les massues rétrogrades ne sont même pas plus nombreuses qu'au
centre
du ganglion, loin du foyer inflam- matoire. Le
e je n'ai pu acquérir aucune certitude à cet égard. ' Massues des
centres
nerveux (cervelet et substance grise de la moelle
naissent des parties du neurone qui sont les plus rapprochées de son
centre
vital. On peut comparer cette formation à celle
ait au ni- veau des partions du neurone les plus rapprochées de son
centre
vital, 236 NAGEOTTE · soit du corps cellulair
une orange, creusé aux dépens de la région pa- riéto-occipitale des
centres
de l'hémisphère gauche. Le raclage de la poche de
tout très visible avec l'éosine. Le noyau occupe le plus souvent le
centre
. Sa membrane renferme des grains de chromatine
oujours excentrique, bleu presque noir, le nucléole présente en son
centre
une vacuole irrégulière, à bords déchiquetés, b
oduites par l'infec- tion mixte, bacillaire et poly-microbienne, du
centre
ovale, en deux volu- mineux foyers représentant
lité, les symptômes géné- raux éloignent l'idée d'une affection des
centres
nerveux et tendent à faire admettre au contrair
dans toute l'épaisseur de la masse charnue. Il est a remarquer qu'au
centre
de ces îlots de tissu conjonctif épaissi se dét
érées ; mais Sherrington restait très embarrassé pour indiquer leur
centre
trophique. Dans une autre observation, il subsi
l n'est pas rare de voir de petits îlots scléreux contenant en leur
centre
une artère ou une veine altérée ou thrombosée.
19. CHARCOT et Gombault. Note sur un cas de lésions disséminées des
centres
nerveux chez une syphilitique. Archives de phys
croyait pouvoir ainsi démontrer que son schéma sur le mécanisme des
centres
cérébraux dans les aphasies, pouvait s'applique
s se spéciali- sent pour la parole ordinaire et vont constituer les
centres
auditif, visuel, articulaire et graphique des p
des paroles, chez les personnes qui apprennent la musique,autant de
centres
se spécialisent de même pour le langage musical ;
nce d'amusies sans aphasie,etd'aphasies sans amusie.Dans ces cas le
centre
d'idéation est isolé et indépendant'. Ce malade,
. Ce malade, avec amusie et sans aphasie, dévoila à Charcot que les
centres
du langage musical ne sont pas les mêmes que ce
que ceux du langage ordinaire. Et, selon que l'un ou l'autre de ces
centres
serait lésé ou serait dans l'impossibilité de fon
nce d'une mémoire spéciale pour les images musicales, localisées en
centres
spéciaux; comme on voit, Kast marchait sur les
sante puis que la perturbation n'était pas liée à la destruction du
centre
visuel des paroles (pli courbé),mais à la ruptu
paroles (pli courbé),mais à la rupture des communications entre le
centre
visuel commun (cuneus) et le centre spécial.
ure des communications entre le centre visuel commun (cuneus) et le
centre
spécial. Ferrand (2) observe que, de même qu'il
rive fréquemment, par contre et cela prouve l'autonomie relative du
centre
des images motrices du lan- gage musical que be
ejerine, Wernicke et d'autres nieraient volontiers l'existence d'un
centre
spécial pour cette perturbation du langage couran
bilité . Cet auteur dans son schéma des aphasies, ne présente qu'un
centre
différencié pour le langage musi- cal : le cent
ne présente qu'un centre différencié pour le langage musi- cal : le
centre
des images motrices du chant. Il admet donc, qu
peuvent survenir en deux cas. A, quand il existe une altération des
centres
: B. quand les voies de commu- nication qui réu
s : B. quand les voies de commu- nication qui réunissent les divers
centres
entre eux se trouvent interrom- pus. . A. 1°
ntres entre eux se trouvent interrom- pus. . A. 1° Suppression du
centre
des images motrices du chant (Erinne- rungsbild
es les autres fonctions restent intac- tes. ' , 2° Suppression du
centre
des images de sons (Lautbild). Il y a perte de
ales; les autres fonc- tions restent intactes. 3° Suppression du.
centre
des images visuelles des objets (Objectbild). I
tent in- tactes. B. - 1° Interruption des communications entre le
centre
des représen- tations graphiques et les noyaux
'agraphie musi- cale. 2° Interruption des communications entre le
centre
visuel des images des objets et le centre des r
s communications entre le centre visuel des images des objets et le
centre
des représentations graphiques. Elle détermine l'
é d'écrire les chiffres. 3 Interruption des communications entre le
centre
des représentations motrices et le noyau moteur
de répéter le chant. 4° Interruption des communications entre le
centre
des images du son et le centre des représentati
rruption des communications entre le centre des images du son et le
centre
des représentations motrices du chant. Perte du c
n entend les paroles. : 5° Interruption des communications entre le
centre
de représentations motrices des paroles et le c
tions entre le centre de représentations motrices des paroles et le
centre
des images du chant. Elle détermine l'impossibi
ment il prouve que chaque fonction systématique se spécialise en un
centre
fonc- tionnel ; les images motrices des mouveme
ionnel et anatomique différen- cié des autres modes fonctionnels du
centre
d'exécution motrice ; il équi- vaut au centre d
modes fonctionnels du centre d'exécution motrice ; il équi- vaut au
centre
de phonation,à celui de l'écriture ou à n'importe
vaut au centre de phonation,à celui de l'écriture ou à n'importe quel
centre
d'exécution instrumentale. Cliniquement, on ind
n induit que le mécanisme mental du langage était intact ; tous ces
centres
étaient indemnes, moins les centres de la phona
langage était intact ; tous ces centres étaient indemnes, moins les
centres
de la phonation articulée et de l'écriture ; mais
les noyaux des muscles respiratoires et buccaux qui constituent le
centre
physiologique de la fonction de siffler, par l'as
de siffler, par l'as- sociation systématique, comme tous les autres
centres
moteurs du langage. 2° Les hypermusies sont des
nostique de telles températures obser- vées au cours de lésions des
centres
nerveux. Malheureusement,les recher- ches entre
r degré de dé- générescence à la suite de leur séparation d'avec le
centre
trophique La cicatrice est constituée par deux
s ce tissu des espèces de fentes dans lesquelles FiG. 4. Portion du
centre
de la cicatrice conjonctive dans un cas de sectio
daires de plus en plus fines et qui présentent des petits boutons à
centre
clair sur leur trajet, Sur des coupes longitudi
cence des nerfs périphériques, mais aussi dans celle des fibres des
centres
nerveux ; aussi nous avons vu qu'il se forme de
ur na- ture nerveuse (fig. 2). La tumeur est peu vascularisée à son
centre
; mais, sur tout le pourtour, il existe de nomb
ères et nous nous bornerons à exposer les résultats de l'examen des
centres
nerveux,des muscles et des nerfs. , Examen ma
es plus dégénérés, il ne persiste par une ou deux fibres à myéline au
centre
de laquelle on distingue encore un cylindre-axe
upart de ces gaines sont vides et il est impossible de découvrir au
centre
ni myéline, ni cylindre- axe. L'agencement des
lindres jux- taposés les uns aux autres, de dimensions variables.Le
centre
de ces cylindres est souvent occupé par une fib
fibre nerveuse dont la myéline se colore en gris violet et dont le
centre
est occupé par un cylindre-axe coloré en rouge. C
ns paraissent d'autant plus jeunes qu'on se rapproche davantage des
centres
ner- veux. Ganglions rachidiens. Le nombre
ines. Au niveau de la 111, sacrée la zone cornu- commissurale et le
centre
ovale de Flechsig tranchent sur les coupes coloré
ité avec retard dans la transmission, diminuant de la périphérie au
centre
. Douleurs fulgu- rantes. Incoordination très ne
rès prononcées de la sensibilité diminuant de la périphérie vers le
centre
Retard très marqué dans la transmission des imp
ns la même gaine fibreuse ; la persistance d'une fibre à myéline au
centre
de ces éléments ne permet guère de considérer les
VRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 505
centre
: là la gaine conjonctive est formée de tissu jeu
a gaine conjonctive est formée de tissu jeune, riche en noyau et le
centre
n'est plus occupé par une fibre à myéline. Il nou
Symphyse pleurale. Pas de tuberculose viscérale nette. Foie gras.
Centres
nerveux supérieurs Cerveau, cervelet, bulbe, prot
érative au-dessus ou au-dessous du siège de la compres- sion. Les
centres
nerveux supérieurs (cerveau, cervelet, bulbe, pro
es méninges molles. La moelle n'est ni comprimée ni déformée. Les
centres
nerveux supérieurs sont sains, macroscopiquement
ie. Congestion pulmonaire, petits tubercules anciens. Intégrité des
centres
nerveux supérieurs (même au microscope) ; pas d'a
. Rachis : de la VIe à la VIIIe dorsale, foyer de carie ancienne au
centre
des corps vertébraux s'ouvrant en plusieurs end
GNEL-LAVASTIIVE, lac. cit., p, ' 134. (2) V. DRJHRINE, Anatomie des
centres
nerveux, t. il, f. 1, p. 588. IIÉMIASYNERGIE DR
s cas, que la simple manifestation d'une altération dy- namique des
centres
nerveux ? Le mécanisme de production, de la mal
nuer la nuance quelque peu radicale de nos idées sur l'anatomie des
centres
nerveux. Nous avions présumé que notre thèse su
ofonde admiration que nous avons pour les auteurs de l'Analomie des
centres
nerveux nous porterait à garder en face d'eux le
'un seul caractère à chaque faisceau. Les auteurs de l'Anatomie des
centres
nerveux ont évidemment fait subir quelques modi
ette opinion nouvelle, on nous renvoie au tome I de l' Anatomie des
centres
nerveux (1895), p. 773. Mais ainsi qu'on voit par
ment dans les lèvres de la scissure calcarine et affectent, dans le
centre
ovale et dans la cap- sule interne, le même tra
cipètes. Encore faut-il s'en rapporter à la p. 12 de ['Anatomie des
centres
nerveux (t. II), pour apprendre que les fibres
tale externe que l'on observe à la suite de lésions intéressant les
centres
optiques primaires ou la partie inférieure du seg
ne lésion centrale circonscrite a totale- ment détruit entre autres
centres
, le corps genouillé externe ... et l'on nous fa
corps genouillé externe ... et l'on nous fait remarquer (Anat. des
centres
nerveux, t. II, p. 176) « la dégénérescence trè
ccupe serait vite réglée, puisqu'il est admis : que les lésions des
centres
optiques pri- maires ou du segment sous-lenticu
le faisceau longitudinal) et le tapétum. On observe (Anatomie des
centres
nerveux, t. II, p, 109) : « Une dégéné- rescenc
artie aux fibres de projection et de lui proposer comme origine des
centres
antérieurs. En effet, le dessin nous invite à con
vation (Cas Bras, hémisphère droit) a trait à une double lésion des
centres
corticaux de la vision. Voici, du reste, la top
ne sont pas conformes » à la doctrine qu'enseigne l'Analo- mie des
centres
nerveux. Il est un autre élément que nos contra
ésion ganglionnaire circonscrite, sans lacunes de désintégration du
centre
ovale postérieur. Un tel cas supposé,il fau- dr
sant appui. Il s'agit d'un principe et l'on sait que ['Anatomie des
centres
nerveux demeure fidèle à ses principes. C'est p
ir au point de vue de l'origine du premier neurone, le type moteur (
centre
cortical) et le type sensitif (ganglion cérébro-r
t conforme à la caractéristique pyramidale : « décussation entre le
centre
d'origine et le noyau terminal du premier neurone
e notre comparaison, en tant que 382 LASALLE ARCHAMBAULT T second
centre
trophique), au centre pyramidal inférieur, à l'en
n tant que 382 LASALLE ARCHAMBAULT T second centre trophique), au
centre
pyramidal inférieur, à l'ensemble des cellules
lité occi- pitale (surtout l'écorce calcarinienne) font partie d'un
centre
fonctionnel pri- mitivement commun et que l'emb
r que la rétine et l'écorce occipitale se comportent vis-à- vis des
centres
primaires de la vision, d'une façon presque mathé
commissurales qui passent par la com- missure postérieure. Or, ce
centre
optique primaire ne siège pas dans les régions in
connaît son mécanisme fonctionnel. Il est tout à fait comparable au
centre
moteur cortical. Cette manière de voir peut par
dire que pour nous, le lemniscus médian, le ruban de Reil, a comme
centre
terminal de prime importance, le noyau central du
nous le répétons, il s'agit du mécanisme fonctionnel qu'il suit. Ce
centre
ganglionnaire de la vision reçoit la majeure part
e la rétine représente une écorce imparfaite, qu'elle est plutôt un
centre
trophique de type inférieur, puisqu'elle n'entre
ertainement son contingent com- missural, mais c'est au niveau du «
centre
terminal du neurone physiologi- que », entre le
tinue son trajet en passant par la capsule. interne et à travers le
centre
ovale du lobe temporo-occipital pour s'irradier
, ay le rr : y rrrrr, 1·s rW <It, à ... C'est évidemment la un
centre
de haut enseignement en voie .. r ? HMI ? . -II
s plus délicates, les transforma- tions subies par les cellules des
centres
nerveux sous l'influence de causes diverses, et
ques et non fonctionnels.' '' ? ' ' ' ' 4 Quant aux désordres des
centres
nerveux, moelle ou cerveau, il admet qu'ils peu
asculaires, elles'forment des nodules par leur agglomération, et au
centre
, il n'est pas rare- de trouver une- cellule géa
urne ont été pour l'épreuve clinique : Localisations corticales des
centres
moteurs du. cerveau, 'anatomie et physiologie ;
eut, aujourd'hui, considérer nos connaissances sur la structure des
centres
nerveux comme aussi parfaites que celles qui co
cette gaine formée, c'est-à-dire après développe- ment complet des
centres
nerveux, les imprégnations par le sel d'argent
pliquerait-elle aussi par le fait que le corps de la cellule est le
centre
trophique de tous les, éléments qui en éma- nen
ve ne reste pas limitée à un lieu circonscrit, mais se transmet aux
centres
' sensoriels d'un même hémisphère avec une inte
a tumeur siégeait en un point noté d'ordinaire comme appartenant au
centre
de la face et des paupières : il semble donc qu
occupait le siège, ait surtout agi périphériquement, en haut sur le
centre
de rotation de la tête et du cou, en arrière su
t sur le centre de rotation de la tête et du cou, en arrière sur le
centre
du bras. La mort rapide du malade montre aussi
ndes lois de l'automatisme psychique et l'indépendance relative des
centres
nerveux dont l'agrégat complet forme le substra
otrices peut se manifester, non seulement par la mise en action des
centres
qu'elles contien- nent et anatomiquement dispos
aux provisions intellectuelles préalablement emmagasinées dans les
centres
et de transformer ces acquisitions en une activ
période intercalaire à la- veille et au sommeil, dans laquelle les
centres
supérieurs cessant d'inter- venir, les hallucin
l'automatisme cérébral, étaient la révélation de l'existence des
centres
supérieurs exerçant une action modératrice sur to
e, véritable substratum de nos souvenirs, renferme les ditré- rents
centres
perceptifs encéphaliques qui recueillent les imag
oniques de toutes nos impressions sensorielles, et c'est là que les
centres
d'idéation viennent puiser les matériaux néces-
s à cet infatigable travailleur, l'anatomie et la phy- siologie des
centres
nerveux, la physiologie, la pathologie et la cl
lade de le tenir a la main. La paroi mobile du tambour, porte à son
centre
une tige sur laquelle on visse une masse métalr
) se composant d'un tambour de Marey portant un petit index fixé au
centre
de la membrane de caoutchouc. Le tambour se ter
r des faible ? , femmes; A. Cour carrée intérieure avec un faîte au
centre
; B, B, B, Galerie couverte qui circonscrit ' le
sensorielles par cécité verbale. Les rapports qui existent entre le
centre
visuel et le centre era- 12 REVUE DE PATHOLOGIE
ité verbale. Les rapports qui existent entre le centre visuel et le
centre
era- 12 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. phique
E NERVEUSE. phique sont soumis aux mêmes lois que les relations des
centres
auditif et d'articulation. Il y a des gens peu
aphie aura existé sans qu'à l'autopsie on ren- contre une lésion du
centre
moteur graphique. Mais chez certains adultes, à
ne lésion du centre moteur graphique. Mais chez certains adultes, à
centre
graphique émancipé, la cécité verbale ne devra
onc conservé pour ces deux mots. Il existait donc chez ce malade un
centre
graphique automatique, indépendant du centre vi
donc chez ce malade un centre graphique automatique, indépendant du
centre
visuel verbal, pour sa signature. Il est logiqu
et son prénom, il aurait également créé pour ces mots vulgaires un
centre
graphique automatique, qu'il aurait émancipé du
vulgaires un centre graphique automatique, qu'il aurait émancipé du
centre
de la vision des mots et que, dans ces conditio
emble donc plaider indirectement pour l'existence indépendante d'un
centre
moteur graphique automa- tique. {Revue neurolog
ins celles d'entre elles qui se voient au cours d'une affection des
centres
nerveux (tabes, sclérose latérale amyotrophique
lésion surajoutée, secondaire, due indirectement à l'altération des
centres
nerveux par suite du trouble diffus delà nutrit
es seraient sous la dépendance des lésions qu'a provoquées dans les
centres
nerveux l'agent morbide. Tout d'abord, au seul
e s'ensuit* pas qu'elle permette d'affirmer l'indemnité absolue des
centres
nerveux. En effet, nous savons que dans la poly
rquer Babinski, que la substance grise médullaire n'est pas le seul
centre
trophique des nerfs périphériques et qu'à cet é
é- vrite avaient invoqué cette hypothèse que dans les lésions des
centres
les parties qui dégénèrent les premières sont les
nt les parties périphériques, celles qui sont les plus voisines des
centres
(notam- ment les racines antérieures) restant e
n désigne des altérations nerveuses indépendantes d'une lésion des.
centres
nerveux ! On en distingue deux grandes catégori
cep- table que les parties d'une cellule les plus éloignées de leur
centre
trophique, c'est-à-dire du noyau ou des régions
242 SOCIÉTÉS SAVANTES. exclusivement périphériques, mais que les
centres
nerveux ont eux-mêmes subi une perturbation. Si
e est incontestable, il se développe parfois, dans les cellules des
centres
nerveux dont proviennent ces nerfs, des altérat
s de la périphérie des nerfs et des lésions moins marquées dans les
centres
trophiques, on peut être fort embarrassé au point
rite pas d'être ramenée à un cas particulier de trophisme émané des
centres
, et que le moment est au contraire venu d'en me
nt également deux variétés suivant que la lésion préexistante des
centres
nerveux siège au niveau de la moelle (polymyélite
ésultats, mais ils sont difficilement ap- plicables dans les grands
centres
et dans les pays où le nombre des cabarets est
tion de ces fibres ? Il était tout .naturel de le chercher dans les
centres
trophiques des fibres en question, dans les gan-
agent du tabes exercerait d'abord son action pathogène sur certains
centres
cellulaires en y produisant des modifications o
ance de quelques modifications plus ou moins appré- ciables de leur
centre
trophique. Une opinion toute différente a été é
, le futur délirant chronique se replie sur lui-même : il se con-
centre
, il médite. Cette sorte de rumination psychologiq
iques : alcoolisme, névroses, lésions circonscrites et diffuses des
centres
nerveux. Un accès aigu ou subaigu d'alcoolisme
ale ? Une sclérose interstitielle diffuse qui frappe aussi bien les
centres
de perceptions que leurs faisceaux de communica
lite, peut-on dire, dans une région agricole et dépourvue de grands
centres
popu- leux, qu'il faut attribuer le pourcentage
e rapport ce qu'elles sont aujourd'hui r à Paris et dans les grands
centres
. En somme, les chiffres qui suivent, et qui son
mes. Elle est relativement rare chez eux à Paris et dans les grands
centres
. Il fait voir également qu'on observe souvent l
e la paralysie générale est de beaucoup plus fréquente que dans les
centres
populeux, et que la paralysie générale à forme
entre eux des endroits identiques de l'écorce, fibres qui ont leur
centre
trophique dans l'écorce ; ces fibres, pour la bas
tenait à ce que les sollicitations des éléments nerveux partie- du
centre
optique ne parvenaient que tardivement aux tractu
optique ne parvenaient que tardivement aux tractus con- duisant au
centre
des mots. Ce retard venait de la diminution de la
. Nous reviendrons ultérieurement, dans un 'article spécial, sur ce
centre
, très connu désormais, d'enseignement de la psy
teront désormais au moins quelques jours à Paris, à leur retour des
centres
allemands, avant de regagner leur pays, la véri
aux du vestibule par lesquels l'excitation réflexe est transmiseaux
centres
cérébelleux coordinateurs de l'équilibre, et aux
ansmiseaux centres cérébelleux coordinateurs de l'équilibre, et aux
centres
perceptifs de la circonvolution temporo-sphénoïda
t s'expliquer par la transmission de l'exci- tation périphérique au
centre
de la sensibilité générale d'abord, puis par ir
centre de la sensibilité générale d'abord, puis par irradiation au
centre
de la vision qui doit être dans le voisinage. I
isphères mais n'intéres- sant que le pied de la troisième frontale (
centre
moteur verbal) et l'extrémité inférieure de la
moteur verbal) et l'extrémité inférieure de la frontale ascendante (
centre
mastic cateur). L'auteur signale en terminant
qui se répercute sur la partie sensitive - du cerveau présidant au
centre
visuel.. , P. K. 1. XXXVII. Les horreurs du pau
t fait une intéressante communication anatomo- pathologique sur les
centres
cérébraux d'Hitzig chez une femme amputée dès l
LE. même, cette pensée qui écoute toujours, irrite à la longue le
centre
auditif cortical. Quand l'éréthisme de ce centre
ite à la longue le centre auditif cortical. Quand l'éréthisme de ce
centre
est suf- fisant', la décharge a lieu; l'image t
une complexité croissante, la phrase tout entière se constitue. Le
centre
auditif cortical devient plus excitable à mesur
i- niques, p. 241. DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES. 437
centre
auditif temporal. Puis, ce centre sensoriel s'éma
TÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES. 437 centre auditif temporal. Puis, ce
centre
sensoriel s'émancipe de plus en plus ; il fonct
re avant que j'aie fini d'en comprendre le sens. » A ce moment le
centre
auditif cortical est dans un état d'éréthisme tel
le, il peut entrer en jeu : une excitation vient à peine frapper un
centre
sensoriel, visuel, gustatif, olfactif, etc., que
que l'image tonale appropriée aussitôt naît immédiatement dans le
centre
auditif et en sort, avant que le lobe frontal ait
siologique accompagne l'acte, suffit de même pour éveiller, dans ce
centre
irrité, l'image auditive correspondante : les m
nt pas aux oreilles. » Ces faits s'expliquent par la propagation au
centre
moteur du langage de l'excitation du centre aud
par la propagation au centre moteur du langage de l'excitation du
centre
auditif cortical (Baillarger, Séglas, Ribot). S
té morale est sans cesse soumise, cette manière de surmenage de ses
centres
sensoriels ont eu leur contre-coup sur l'état g
tions obscures qui, des profondeurs de l'organisme, arrivent aux
centres
nerveux » (Ribot). L'apparition dans la conscienc
aux, dans la moelle ou dans les nerfs périphériques. Si on place le
centre
de la polyurie dans le bulbe, ces faits en appare
ur un point donné ? Mais s'agit-il d'une action inhibitrice sur les
centres
vaso- moteurs bulbo-médullaires d'où partent le
l'hyperdiurèse. Ne s'agit-il pas d'une action dynamogénique sur les
centres
sécrétoires du rein ? Mais l'existence des nerf
istence des nerfs sécrétoires du rein, et par con- séquent de leurs
centres
, n'est rien moins que démontrée. Il est donc be
'est précisément dans le bulbe que les physiologistes placent les
centres
vaso-moteurs. De quelle manière l'idée fixe, dans
ière l'idée fixe, dans la polyurie hystérique, influence-t-elle ces
centres
? On peut sup- poser que l'idée fixe est le poi
est le point de départ d'un réflexe cortical qui vient aboutir aux
centres
vaso-moteurs bulbaires du rein et les inhiber.
n légitime cette hypo- thèse, sans qu'il soit besoin de supposer un
centre
vaso- moteur rénal, situé dans l'écorce cérébra
on est autorisé à admettre une action inhibitrice psychique sur les
centres
vaso-moteurs rénaux, qui entraine la vaso-dilat
ti- nence nocturne d'urine, etc.). L'idée inhibe probablement les
centres
vaso-moteurs du rein, ce qui entraîne une vaso-
oduit est nécessaire au complet développement et fonctionnement des
centres
nerveux comme le montrent les trou- bles résult
actuel de la physiologie, il est impossible de dire qu'il existe un
centre
de coordination des lettres et une lésion de ce
il existe un centre de coordination des lettres et une lésion de ce
centre
; la dyslexie n'est pas due à la lésion d'un cen
une lésion de ce centre; la dyslexie n'est pas due à la lésion d'un
centre
de coordination des lettres. Deux observations
istance et non direct; 5° il n'y a pas de localisation cérébrale du
centre
de la lecture. Chez l'homme, il est impossible
u centre de la lecture. Chez l'homme, il est impossible de fixer ce
centre
dans les parties du cerveau trouvées lésées che
es mailles sont élargies. Les granulations sont agglomérées vers le
centre
de la cellule; elles sont notablement augmentée
ait presque croire à un trouble cérébral isolé, à une excitation du
centre
auditif. Finalement les malades succombent, ils
nnalité. Or le cercle des conceptions des fous systématiques a pour
centre
leur propre per- sonne. Il est donc peu croyabl
projection et, partant alors de la périphé- rie pour aller vers le
centre
, de suivre les groupes de phénomènes neuro-psyc
du corps de l'individu, etc.) qui se produisent de la périphérie au
centre
, individuellement, dans leurs relations mutuell
, 1894. Au Siège social : 41, rue des Ecoles. Déjemne. Anatomie des
centres
nerveux, avec la collaboration de M ? Déjerine-
nt. — Influence de l'irritation et de l'inflammation des nerfs ou des
centres
nerveux sur la production des troubles trophiques
s n'est pas uniquement dévolu au cerveau et à la moelle épinière. Ces
centres
partagent ce privilège avec les nerfs qui émanent
s troubles de la nutrition qui naissent sous l'action des lésions des
centres
nerveux ou des nerfs, la, plupart d'entre vous se
e l'existence de ces troubles trophiques con-sécutifs aux lésions des
centres
nerveux ou des nerfs. Et cependant la physiologie
ent avec une grande rapidité à la suite de la lésion des nerfs ou des
centres
qui en a provoqué l'apparition, parfois même avec
ubles trophiques qui surviennent à la suite de cer-taines lésions des
centres
nerveux est frappante : les premières sont lentes
e même des lésions qui déterminent,soit dans les nerfs, soit dans les
centres
nerveux, une exaltation de leurs propriétés, une
raisemblable que V excitât ion morbide, l'irritation des nerfs ou des
centres
nerveux sont, au contraire, de nature, sous de ce
irritabilité, ne l'ont recouvrée que par la nutrition, puisque ni les
centres
nerveux, ni le nerf sciatique ne pouvaient la leu
d'être définitivement éteinte dans les nerfs complètement séparés du
centre
nerveux, puis-qu'ils peuvent se régénérer sans qu
ifs aux lésions de la moelle ÉP1NIÈRE Les lésions irritatives des
centres
nerveux, comme celles des nerfs, ont le pouvoir d
séparent, dételle sorte que ces dernières paraissent comme autant de
centres
ou foyers, d'où le processus inflammatoire au-rai
Mais revenons, Messieurs, au décubitus provoqué par les ma-ladies des
centres
nerveux. Vous connaissez trop bien les ac-cidents
monaires, observées chez les alié-nés et dans diverses affections des
centres
nerveux, sont cau-sées parle « transport dans le
fiée: — b, Zone érythé-mateuse. parties médianes, mais bien vers le
centre
de. la région fessière, et, le plus souvent, s'il
aît sur une coupe transversale que le ramollisse-ment pénètre dans le
centre
ovale de Vieussens, jusqu'au voisinage des ventri
et spinale. Les trou-bles de la nutrition consécutifs aux lésions des
centres
nerveux ont assez fréquemment pour.siège les join
e, la conséquence de l'irritation que subissent dans l'encé-phale les
centres
vaso-moteurs ou trophiques. » Elles se développ
ite de causes trau-matiques capables de déterminer un ébranlement des
centres
nerveux. D'un autre côté, beaucoup d'affections d
ent facilement reconnaissables lesârthropathies liées aux lésions des
centres
nerveux et permet-traient de les distinguer les a
xpression de troubles trophiques relevant directement de la lésion du
centre
nerveux spinal. Voici, d'ailleurs, en quelques mo
t souvent en même temps qu'elle, l'irritation de certaines parties du
centre
spinal et plus particulièrement, sans doute, de l
nt, dans certaines conditions, soit les nerfs périphériques, soit les
centres
nerveux eux-mêmes. Nous sommes ainsi en possessio
s à peu près identiques, à la suite d'un grand nom-bre de lésions des
centres
nerveux ou des nerfs périphériques. Les conséquen
précède, que les troubles trophiques liés aux lésions irritatives des
centres
nerveux se trouvent au moins dans un bon nombre d
qu'une application très limitée, car le décubitus aigu par lésion des
centres
nerveux peut se produire dans maintes circonstanc
opagent aussitôt et simultanément dans le sens cen-tripète et dans le
centre
centrifuge. D'après cela, il est permis de 1. G
ritation qui s'exerce d'une manière intermittente, rythmique, sur les
centres
nerveux. Ce serait donc là un phénomène convulsif
il lui est possible de s'arrêter, obligé qu'il est de courir après un
centre
de gravité qui lui échappe. Une attitude partic
ourir d'une manière irrésistible tient-elle exclusivement à ce que le
centre
de gravité se trouve dé-placé par l'inclinaison d
ur les parois des ventricules (Pl. Vil), dans la substance blanche du
centre
ovale, le sept uni lucidum, le corps calleux (Pl.
sur leur trajet des plaques scléreuse en tout semblables à celles des
centres
nerveux, du moins sur les portions de ces nerfs v
centres nerveux, du moins sur les portions de ces nerfs voi-sines des
centres
: les observations de MM. Vulpian et Liou-ville,
voyez, en effet, les plaques siéger sur des régions très diverses des
centres
nerveux, suivant les cas, et il est clair, qu'à c
ésions intimes. Toutefois, vous le savez, l'anatomie histologique des
centres
nerveux est, sous quelques rapports, toute nouvel
qu'il faut attribuer le rôle capital dans certaines altéra-tions des
centres
nerveux et en particulier dans les cas qui nous o
ismes d'une chaussée basaltique, parallèlement les uns aux autres. Au
centre
des disques qui, dans le reste de leur étendue, s
tacher, de distance en distance, des cloisons qui se dirigent vers le
centre
de la moelle,qu'ils partagent en com-partiments t
seule-ment d'une mince couche de protoplasma, apparaissent comme des
centres
d'où naissent les trabécules du réticulum et d'où
j'ai cru devoir vous présenter relativement à l'histologie normale du
centre
nerveux spinal, je n'ai plus qu'un mot à ajouter
oba-blement que des artifices de préparation. Le tissu conjonctif des
centres
ner- II. Après ces préliminaires, il nous dev
a- Fig. 11. — Elle représente une préparation fraîche, provenant du
centre
d'une plaque scléreuse, colorée par le carmin et
aque scléreuse, colorée par le carmin et traitée par dilacération. Au
centre
vaisseau capillaire portant plusieurs noyaux. A d
-tres dans la partie droite de la préparation, formant à gauche et au
centre
, une sorte de réseau résultant, soit de l'enchevê
rment un plus grand nombre de noyaux qu'à l'état normal. Plus près du
centre
de la plaque, les noyaux se sont multipliés encor
hériques alors que, par une section complète, ils ont été séparés des
centres
nerveux. Au préalable, je vous rappellerai que,
lus récentes (1), paraît ne pas exister sur les tubes plus grêles des
centres
nerveux, ou ne s'y montrer tout au moins qu'à l'é
dullaire et les granulations graisseuses ne se ren-contrent jamais au
centre
de la plaque de sclérose, c'est-à-dire flans les
rose primitive et secondaire, et, en un mot, dans des affec-tions des
centres
nerveux très diverses, mais qui ont toutefois cec
istologiques qui la distin-guent des autres formes de la sclérose des
centres
nerveux, et aussi de plusieurs espèces de myélite
r par quel appareil de symptômes se révèle la sclérose en plaques des
centres
nerveux (1). 1. Dans une note publiée dans les
note p. 205), lorsque M. Ranvier démontra que le tissu conjonctif des
centres
nerveux ne diffère pas essentiellement de celui d
on précédente, les lésionsanafomiques delà sclérosemultiloculaire des
centres
nerveux. Laissant donc de côté cette partie de so
à côté des autres formes, mieux connues, de la sclérose primitive des
centres
nerveux, il convient de signaler en premier lieu
phénomènes qui marquent le début de la sclérose multiloculaire des
centres
nerveux. Autant que j'en puis juger, d'après les
que je vous ai présenté comme un type de sclérose multilocu-laire des
centres
nerveux, il me reste à diriger votre attention su
e sclérose à la surface des ventricules latéraux, dans l'intérieur du
centre
ovale et à la face antérieure du bulbe el dans le
t pas exclusivement, tant s'en faut, à la sclérose multiloculaire des
centres
nerveux. Us seront donc étudiés à part, d'une faç
r de compléter le tableau. Parmi les autres maladies organiques des
centres
nerveux dans lesquelles on observe fréquemment le
'autopsie, il m'a toujours été impossible de découvrir, soif dans les
centres
nerveux, soit dans les viscères, une région récen
érébrale:, et spinale correspondant à un envahissement incom-plet des
centres
nerveux parla sclérose, c'est, si Ton veut, la ma
les bande-lettes ; — pl. de sclérose dans les ventricules et dans le
centre
ovale. — Sur une coupe faite à un cen-timètre au-
inées, 1869.) enfin du traitement de la sclérose multiloculaire des
centres
nerveux. Malheureusement, les documents que je po
ation des parois despetifs vaisseaux qu'on rencon-trerait toujours au
centre
des plaques en voie de formation serait le fait i
t donné le siège des îlots sclérosés dans les divers départements des
centres
nerveux, peut-on en déduirelaproductiondesphénomè
ontre là plus prononcée que dans les autres formes de la sclérose des
centres
nerveux. Elle peut être invoquée encore, je crois
voir vu, de son côté, survenir, sous l'influence d'une irritation des
centres
nerveux, une contraction très prononcée de ces mê
mise et soutenue. D'après cette théorie, la couche op-tique serait le
centre
de perception des impressions tactiles: elle répo
ère très complète dans les Leçons de M. Vulpian. D'après celle-ci, le
centre
où les impressions sensitives se transforment en
e et peut-être aussi dans les pédoncules cérébraux, que résiderait le
centre
des impressions sensitives. Suivant cette hypot
glais, M. Broadbent, entre autres (1), opposent que lacouche optique,
centre
présumé des impressions sensitives, doit sans dou
pose en principe que la couche op-tique doit être considérée comme un
centre
; car, en ce qui con-cerne la transmission des imp
rck.) Voir la note p. 316. cérébral, et qui vont s'épanouir dans le
centre
ovale pour con-courir à la composition de la cour
stérieure. Il en a.été de même dans le fait observé parM. Luys(2): le
centre
médian de la couche optique étaitlésé, mais l'alt
. cit., t. III, p. 376.) 2. Luys. — Iconographie photographique des
centres
nerveux, p. 16. localisation ne saurailêtre pou
he optique qui doit être incriminée plutôt que la capsule interne, le
centre
ovale, ou encore le troisième noyau du corps stri
je me fonde. Il existe dans la clinique des maladies organiques des
centres
nerveux un appareil symptomatique peu connu, peu
son maximum l'excitabilité réflexe de la moelle, si cette partie des
centres
nerveux est irritée dans sa partie inférieure, il
nt. — Influence de l'irritation et de l'inflammation des nerfs ou des
centres
nerveux sur la production des troubles trophiques
A SALPÊTRIÈBE SUR UN CAS D'ÉPILEPSIE JACKSONNIENNE PORTANT SUR LE
CENTRE
CONJUGUÉ DES MOUVEMENTS DE LA TÈTE ET DES YEUX,
Roussy () ont au con- traire attribué ce phénomène à la lésion d'un
centre
cortical des mouve-' ments de la tête et des ye
sion d'un centre cortical des mouve-' ments de la tête et des yeux,
centre
qui serait situé au niveau du pli courbe, Ces d
pli courbe, Ces derniers auteurs admettent même l'existence de deux
centres
distincts, l'un oculogyre et l'autre céphalogyr
nardi (.).YeisenLurg (5), Poggio (6) ont confirmé l'existence de ce
centre
des mouvements conjugués de la têteet des yeux.
très nettement délimitée qui permet de déterminer avec précision le
centre
des mouvements convulsifs observés. La lésion é
. T. XXVII. PI. I UN CAS d'épilepsie JACKSONNIENNE portant sur le
centre
conjugué de la tête et des yeux. (Cbiray) . N
l'axe cérébro-spinal qui repose sur le sphénoïde, l'existence d'un
centre
trophique des quatre extrémités ; le dérangemen
d'un centre trophique des quatre extrémités ; le dérangement de ce
centre
entraînerait l'embryon de la polydactylie.Nous
ylie.Nous pouvons supposer que chez l'adulte le même dérèglement du
centre
se traduira par des troubles différents, mais t
venir une lésion de la base du crâne sans admettre l'existence d'un
centre
nerveux spécial de la trophicité. Une altérat
, Du développement du premier rayon digital. La Gazette médicale du
centre
, 1913. (2) APDRT, Maladies familiales el maladi
mmatoires traumatiques du sphénoïde,.avait supposé l'existence d'un
centre
trophique hypothéti- que placé à la base du crâ
ol. I, Wiesbaden. LA CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DANS LES
CENTRES
NERVEUX ÉVOLUANT CHEZ DES SUJETS D'AGE MOYEN,
ans les deux cas l'existence d'une cirrhose hépatique. L'examen des
centres
nerveux ne révélait pas d'altérations macroscop
hiv f. Psychiatrie, 1913, , CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES
CENTRES
NERVEUX 43 il y a quelques traits, qui nous per
la Salpêtrière. zain 3àS.i'11. hln XII A c D ALTÉRATIONS DES
CENTRES
3SESWEOES DANS LA CIRRHOSE HÉPAnoeoe : (Van W
tipi§; a§f<S4t réfkukke. CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES
CENTRES
NERVEUX 47 Fibres à myéline (Spielmeyer). Etat
comparés au type ordinaire. CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES
CENTRES
NERVEUX 49 lières. Ils peuvent atteindre des di
le allongée. Nulle part une trace des altérations caractérisant les
centres
corticaux et sous-corticaux. Cellules nerveuses
nds noyaux clairs, souvent déformés, dans l'écorce cérébrale et les
centres
sous-corti- caux ; enfin un processus de désint
pulmonaire et où le délire était le seul symptôme d'une lésion des
centres
nerveux, l'intérêt est surtout d'ordre anatomique
e extrême. Quant à notre deuxième cas, comme signe de la lésion des
centres
ner- veux, il ne présentait que les altérations
ques (le délire de persécu- CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES
CENTRES
NERVEUX 51 tion), dont la valeur est encore dim
se développer, donnant naissance à des altérations graves dans les
centres
nerveux. Cliniquement ces cas peuvent se manife
nt avant tout porté sur les éléments trophiques et vaso-moteurs des
centres
céréhro spinaux ou mieux du sympathique, centre
t vaso-moteurs des centres céréhro spinaux ou mieux du sympathique,
centres
dont on commence à connaître certaines localisa
-même (fibres spino-olivaires) (1) ; celles qui s'enfoncent vers le
centre
de la formation réticulée grise s'y terminent e
. f. Psych. u. Neur., vol. 26, 1909, p. 534. Dejerine. Anatomie des
centres
nerveux, t. II, 1901. Dejerine et A)i[1RÉ-THOIA
s, il existe un point rouge (la coupe d'un cylindre peut- être), au
centre
d'un espace clair limité par une ligne conjonctiv
capsule fibreuse, dense qui enveloppe la tumeur. Les vaisseaux du
centre
et de la périphérie gardent leurs caractères hist
parvient pas à expliquer pour- quoi les mêmes muscles et les mêmes
centres
nerveux qui exécutent d'une façon normale des o
essionnels d'après la topographie des muscles, ou des nerfs, ou des
centres
cérébraux. Et même, lorsque nous concevons ces tr
pathogénique est tout autre, et ne s'accorde pas avec la notion des
centres
fonctionnels. - r"'1 ? A'lJ(o . . -e -4 CONSI
te la douleur. La pression au-dessus de la tumeur (entre elle et le
centre
) la diminue. L'anesthésie lépreuse se caractéri
la marche, si la lésion n'en- valiit les nerfs vestibulaires ou les
centres
correspondants. L'homme dans la figure 15, auqu
portions les plus distales, mais elle se propage de ces parties au
centre
. Dans la syringomyélie, l'asy- Fig.. 57 Fig.
la moelle, tant au point de vue du conducteur qu'au point de vue du
centre
moteur. Il me semble très juste et très rationn
malade exemptdes ? mp- tômes rénaux et cardiaques, d'altération des
centres
nerveux et du sang, puisqu'il s'agit d'un homme
tes par des lésions nerveuses névritiques et d'autres dépendant des
centres
. Si nous pouvons certainement dire avec Eulenbu
upes syndromiques définis dépen- xxvu 12 174 BARRAQUER dant des
centres
, la même systématisation doit exister dans un cor
de l'hémisphère gauche, la moitié anté- (1) Dejerine, Anatomie des
Centres
nerveux, 1. II, p. 12, Paris, 1901. xxvii 13
considère que c'est surtout au niveau de cette région que siège le
centre
cortical du noyau rouge. Que le pied de la troi
par un contingent thalamo-rubrique provenant du noyau interne, du
centre
médian et de la zone réticulée de la couche optiq
la lame médullaire externe (partie médiane), ai la couche optique (
centre
médian en particulier), et à la corticalité pré
es altérations relèvent en partie de la grosse lacune sié- geant au
centre
de la couche optique. On note une raréfaction trè
de. On a voulu voir dans ce phénomène la preuve de l'existence d'un
centre
de la mimique au niveau de la couche optique. P
E ARCHAMBAULT · constitue un autre argument contre l'existence d'un
centre
de la mimique au niveau de ce ganglion. Il est
faire inlei venir, dans la pathogénie de la glycosurie, l'action de
centres
régulateurs cérébraux placés dans la substance gr
diennes, puis ensuite comme traduisant également la compression des
centres
nerveux et susceptible, dans cecas, de comporte
is, Dissociation albumito-cytologiqte au cours des compressions des
centres
nerveux. Variations de l'albumine après ponction
considérable de sensations, et que celles-ci; même perçues par les
centres
sensoriels, n'atteignent pas la conscience, la
uelle l'origine de l'hystérie consisterait dans l'hyperactivité des
centres
cénesthésiques ou du cerveau organique. C'est p
de sen- sations, d'images, de souvenirs très affectifs, forment un
centre
spécial d'association et une personnalité nouve
les plus intéressantes de cette affection, à savoir la plasticité des
centres
nerveux, par laquelle les idées affectives se t
er, à mon avis, si l'on n'invoque pas une excitabilité spéciale des
centres
vaso-moteurs et du cerveau organique, ce qui s'ac
héorie cénesthésique que j'ai proposée. On admet, en effet, que les
centres
cénesthésiques n'ont pas seulement la faculté de
rophiques (Morselli). Beaucoup d'au- teurs soutiennent même que ces
centres
ont leur siège dans la zone somes- thésique de
ans la zone somes- thésique de Flechsig où résident précisément les
centres
vaso-moleurs, sécrétoires, etc. ; l'on remarque
très souvent, dans l'hystérie, d'une surac- tivité particulière des
centres
vaso-moteurs, sécrétoires ou du cerveau organiq
ique, où l'on constate préci- sément une hyperesthésie spéciale des
centres
cénesthésiques. . Les considérations que nous a
est pas rare que l'hystérie se joigne à une affection organique des
centres
cérébraux et médullaires ; son associa- tion es
géraient tout à fait le diagnostic d'une altération organi- que des
centres
cérébraux, et qui ont été guéris par la suggestio
e ces phénomènes doit être cherchée dans des faits vaso-moteurs des
centres
nerveux d'origine émotive. Ce qui est certain c
est, à mon avis, l'hyperesthésie ou une vive impressionnabilité des
centres
cénesthésiques, d'où la formation d'images céne
ne sont eux-mêmes que l'ex- pression d'une réactivité exagérée des
centres
cénesthésiques. C'est en effet par une hypersen
ne connaissons pas non plus le rôle précis dans la physiologie des
centres
nerveux. La différence est que nous connaissons
relation d'un autre cas suivra ; les altérations anatomiques de ces
centres
y ont eu un caractère aigu. Observation I Kn.
foyer de désintégration aiguë (kémorragies, ramollissements). Les
centres
semi-ovales et l'écorce ont, dans les coupes d'ap
, des faisceaux pyramidaux et des rubans de Reil, une affection des
centres
infra-corticaux peut conditionner une perturbat
loge hypophysaire provoquent l'adiposité par la compression sur un
centre
inconnu de la hase du cer- veau et fait remarqu
Plus récemment, .\sclmer reprend la théorie de Erdheim admettant un
centre
Irophillue il la base du Jo "'JI 21 322 ECIA,
lin signalent la polyurie dans des tumeurs de la glande pinéale. Le
centre
polyurique du bulbe de Claude Bernard est trop
gendre en même temps l'épilepsie et la polyurie par lésion d'un des
centres
polyuriques de la base. Schaffer et Magnus et S
e la croissance, nous admettrons en même temps qu'une réduction des
centres
osléogènes la production des centres anormaux a
ême temps qu'une réduction des centres osléogènes la production des
centres
anormaux aboutissant à des os véritablement hélér
e traduit à nos yeux par des processus différents. La réduction des
centres
ostéogèties et la production des centres anormaux
fférents. La réduction des centres ostéogèties et la production des
centres
anormaux sont étroitement liés et sous la dépen
ult DE LA SOURDIÈRE, 327. Cirrhose hépatique avec altérations des
centres
nerveux chez des sujets d'âge moyen, par W. van
- lepsie cérébrale), par BOLTEN, 360. jacksonienne portant sur le
centre
conjugué des mouvements de la tête el des yeu
erkom, 273. Nerveux (La cirrhose hépatique avec alté- rations des
centres
- chez des sujets d'âge moyen), par W. VAN WOER
e, 4. Cmaao. Sur un cas d'épilepsie jackso- nienne portant sur le
centre
conjugué des mouvements de la tête et des yeux,
108. Woerkom (W. van). La cirrhose hépatique avec altérations des
centres
nerveux évoluant chez des sujets d'âge moyen,
A Sonoièns), LIV et LV. Cirrhose hépatique avec altérations des
centres
nerveux (W. VAN Woerkom), XII. Corps strié (L
avance, les genoux fléchis légèrement, elle semble courir après son
centre
de gravité et pose le talon d'abord sur le sol.
. La membrane, qui ferme maintenant la brèche, a été déchirée à son
centre
quand on a enlevé la dure-mère. Cette membrane
ntéressants et difficiles. Eh ! ne savons-nous pas que Paris est le
centre
de tout ce qui est beau, bien et vrai ? A quoi
ostérieure, à côté du groupe intermedio- latéral, représenterait le
centre
du sphincter de l'anus. G. D. VI. Sur les rap
t entre la topographie des paralysies et celles des altérations des
centres
mo- teurs dans la poliomyélite antérieure aiguë
wmble donc légitime de localiser dans le premier de ces groupes le
centre
des muscles de la jambe et dans le second celui
'ici de l'intervention des globules blancs dans les altérations des
centres
nerveux et que, en matière de psychoses, le tab
blesse naturelle REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 53 ou acquise des
centres
nerveux : de telle sorte que, finale- ment, il
'observe à la suite de lésions soit de l'organe de l'ouïe, soit des
centres
corticaux de l'audi- tion, par exemple chez les
dre paralytique lorsque le malade regarde sa lésion et enfin que le
centre
cervical d'innervation pour les mou- vements de
ation du syndrome. M. Debray estime en outre que les altérations du
centre
postérieur seul suffisent à l'expliquer les deu
, elle peut aussi s'expli- quer par la localisation de la lésion au
centre
visuel ou aux fibres qui l'unissent à la zone c
centre visuel ou aux fibres qui l'unissent à la zone calcarine, le
centre
auditif ou ses voies d'accès étant respectées.
uels cor- respondraient, pour M. le Prof. Grasset, deux ordres de
centres
corticaux : des centres psychiques supérieurs (
t, pour M. le Prof. Grasset, deux ordres de centres corticaux : des
centres
psychiques supérieurs (centre O) et des centres
ordres de centres corticaux : des centres psychiques supérieurs (
centre
O) et des centres psychiques inférieurs (polygone
res corticaux : des centres psychiques supérieurs (centre O) et des
centres
psychiques inférieurs (polygone) qui peuvent fo
tte dissociation est réalisée par 1' ! 1YIJ7UJtisme qui annihile le
centre
O et libère le polygone. Cette émancipation d
. Encore faut-il pour qu'elle puisse donner des résultats que les
centres
supérieurs ne soient pas trop altérés. D'où cet
n morbides. Dans le premier cas on peut s'adresser directement au
centre
O et l'obliger par des exercices méthodiques à ré
Il en résulte une rup- ture d'équilibre dans le fonctionnement des
centres
de l'écorce cérébrale. Lorsque l'intimidation e
festation d'états psychologiques constitués par de l'inhibition des
centres
nerveux; 2° Les phénomènes d'inhibition observé
être constituées par du tissu muqueux un peu particulier. Dans les
centres
nerveux supérieurs ainsi que dans les viscè- re
ion peut-être de nature hémorrhagique, ayant détruit totalement les
centres
sphinctériens, n'ayant fait qu'a- brutir les -f
jaunâtre, disposées en couches stratifiées contre la paroi avec, au
centre
, un liquide séreux d'aspect variable ; mais au mi
gligences du personnel). D'autres invoquent une lésion centrale des
centres
corticaux vaso-trophi- ques (.}olf'¡-oy), des g
étique. Normalement, .en effet, toute excita- tion d'un hémisphère (
centres
moteurs) augmente l'excitabilité des centres co
tion d'un hémisphère (centres moteurs) augmente l'excitabilité des
centres
correspondants de l'autre.Les fibres qui descende
composent le corps calleux (Cajal). D'où, quand l'ex- citation des
centres
d'un côté ne se peut transmettre tout à laitli-
ns vésico-urinaires esl peu connue : on sait seulement que quelques
centres
cél'éhro.spi, naux et ganglions périphériques,
de réagir à l'irritation ; on conclut à l'existence hypothétique de
centres
d'arrêt particuliers. A cela se rapporte la loi
se distinguerait-il de celui de l'innervation volontaire émané des
centres
inférieurs ou cor- nes antérieures de la moelle
structure et sur leur fonc- tion. La racine postérieure, séparée du
centre
, est, contrairement à ce qui a lieu pour le ner
nerfs physiologiques défi- nis par leur unité fonctionnelle et leur
centre
cortical substitués aux nerfs anatomiques défin
radicu- lairc. L'action de stabilisation serait en relation avec le
centre
encéphalique par la voie frouto-cérébclleusc. C
t donc jusqu'à a l'écorce cérébrale elle-même qu'il faut reculer le
centre
neuroni- que d'individualisation : c'esL là seu
sensitif aussi bien que le nerf articulo-moteur ont leur véritable
centre
d'action. 11 faut donc substituer la notion du ne
ps que la corne d'Ammon le cenll'i cortical de l'odorat ou l'un des
centres
sous-corticaux. Dans les xperiences de Luciani
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. chez l'animal, le
centre
sous-cortical de l'odorat a dans la récep- tion
irecte des impressions olfactives un rôle bien supérieur à celui du
centre
cortical moins actif du reste que chez l'homme
t et de la bandelette olfactifs entraîne l'auosmie : celle d'un des
centres
sous-corticaux et même du centre cortical engendr
traîne l'auosmie : celle d'un des centres sous-corticaux et même du
centre
cortical engendre des phénomènes d'excitation,
influence d'un mauvais état général. Conclusions : une lésion des
centres
nerveux, compensée ou latente, s'étant ou non m
de mouvement des membres, probablement à raison de la stabilité du
centre
du gravité du corps entier : mê- me explication
autre part, l'on suppose que des agents toxiques ont imprégné les
centres
nerveux pour provoquer un mouvement con- vulsif
à une toxi-infection passagère par la convulsion choréi- que, les
centres
nerveux, affaiblis déjà auparavant parla prédis
puissante, puisque c'est elle qui crée la faiblesse anatomique des
centres
nerveux on le suppose du moins, en l'absence de
rations successives de l'accouchement, et l'hyperexcitabilité des
centres
supérieurs s'est trouvée diminuée de ce chef. C
nt par conden- sation et différenciation dans le plasma général des
centres
ner- veux. Pour Bethe, comme pour l'auteur, l
aire est formée par le corps neuro- blastique, destiné à devenir le
centre
de la cellule nerveuse, et à augmenter son prol
lobes frontaux ; ceux-ci sont, en effet, les sièges principaux des
centres
d'association, cl si l'on rapproche do leur peu
re, dépendant du tonus et des conditions toniques et trophiques des
centres
nerveux. Le mouvement est prompt, ample, de brè
d'ulcération. A gauche, plaque large comme une pièce de 5 francs, à
centre
décoloré, à périphérie rosée, à bords épaissis.
a- mollissement, certaines observations localisant un ce point le
centre
des muscles du tronc et du cou. C. C. XXV. Sur
suelle, du champ visuel, du sens des couleurs, sans compter que les
centres
ner- veux subissant parallèlement les atteintes
tout ou partie de l'organisme a subi un schock physique dont les
centres
nerveux ont pu subir le contrecoup en masse. Le
entateurs, y a lieu de croire que le groupe antéro-ex- terne est le
centre
du couturier, et le groupe externe proprement d
qu'on descend des altérations s'accusent. Le groupe antéro-externe (
centre
du couturier, diminue et disparaît ; il est rem
postéro-intermédiaire diminue également. Il en est de même pour le
centre
du triceps ; nombre de cellules réagissent immé
la région motrice de la jambe dans la moelle : un peu plus bas, le
centre
du triceps a disparu. Le groupe antéro-externe
de la hanche et le groupe central le sel1li-membranellx,Où cesse le
centre
du grand adducteur, où commence celui du semi-
UE d'anatomie ET de PHYSIOLOGIE pathologiques jambier antérieur; le
centre
de ce muscle occupe le niveau le pins élevé par
ur; le centre de ce muscle occupe le niveau le pins élevé parmi les
centres
des muscles de la jambe parce que, des fibres l
fort dans le ! <='' segment sacré. En de- dans et en arrière du
centre
du jambier antérieur apparaissent d'autres peli
ation avec les autres muscles de la jambe. Ce sont, on dedans de ce
centre
et sur le même plan, le centre desgaslro-enémie
e la jambe. Ce sont, on dedans de ce centre et sur le même plan, le
centre
desgaslro-enémiens ; en arrière, les centres des
et sur le même plan, le centre desgaslro-enémiens ; en arrière, les
centres
des fléchis- seurs des orteils ou du jambier po
eurs des orteils ou du jambier postérieur et du plantaire grêle. Le
centre
de ce dernier muscle doit être en dedans de celui
t alors dans la partie inférieure du groupe central, Une partie des
centres
des muscles de la jambe est d'ailleurs ici rest
et péronier : ils doivent occuper les mêmes groupes en arrière du
centre
des astro-cnémiens, . e) A la partie inférieure
eul groupe de ceux qui innervent les muscles de la jambe ; c'est le
centre
des gasll'o- cnémiens. Le groupe antéro-externe
oit, par contre, à l'inlérieur du groupe antéro-externe el, dans le
centre
des gastru-cnémiens, surgir deux groupes de cel
angle postéro-externe de la corne antérieure, et cor- respondent au
centre
de Marinesco pour les muscles antérieurs du bra
rieur augmente. Ce qui prouve que le groupe an- léro-latéral est le
centre
des muscles antérieurs de l'avant-bras, tandis
réapparition d'un réflexe, on puisse penser que l'arc rellexe ou le
centre
réflexe n'a pas été détruit ou au moins que les
, il y a lieu de croire qu'il s'est agi d'une lé- sion réparable du
centre
spinal réflexe. P. KERAVAL. XXXIV. Troubles con
aux devraient avoir lieu dans les parties de la France éloignées du
centre
du recrutement « des Institutions Nationales «
aine est une maladie toxique, à action réflexe et excitante sur les
centres
nerveux. Il s'est con- vaincu que pendant l'acc
Basedow parait devoir son origine à une intoxication primitive des
centres
lier- veuxproduisant la suracliv ité thyroïdien
u mésocéphalique de l'oculogyrie ainsi démontré, remplit le rôle de
centre
d'association que l'on a voulu faire jouer aux
it le rôle de centre d'association que l'on a voulu faire jouer aux
centres
supra-nucléaires (Parinaud, Raymond), dont l'exis
ralytique pseudo-bulbaire par arrêt pro- bable de développement des
centres
corticaux au niveau de l'o- percule rolandique.
dé- mence mélancolique consécutive à une affection organique des
centres
nerveux : perte de la mémoire, sensiblerie, autom
eures est ainsi conçu : « Est atteint d'une affection organique des
centres
nerveux (sclérose latérale amyotrophique) compl
de glo- bules blancs, on trouve des thromboses, contenant à leur
centre
des amas de leucocytes. Enfin, une der- nière z
anière à empêcher la réparation, le bout périphérique séparé de son
centre
trophique dégénère, tandis que le bout central,
ique dégénère, tandis que le bout central, resté en rapport avec ce
centre
, demeure normal. Après section de la moelle et
até une disparition presque complète des cellules consti- tuant les
centres
des muscles détruits. Il m'est également arrivé
riphérique, est en même temps soustraite aux incitations venues des
centres
supérieurs par la section transversale de la mo
de son cylindraxe et que la suspension de l'influx nerveux venu des
centres
supérieurs favorise l'intensité des altérations
-jaoentes et sur leur réparation, par Parhon et Goldstein, 498.
Centres
moteurs. Voir poliomyé- lite. Cerveau. Abcès
s - physiologiques définis par leur unité fonction- nelle et leur
centre
cortical substitués aux anatomiques définis p
tre la topographie des paralysies et celles des altéra- tions des
centres
moteurs dans la - antérieure aiguë de l'en- f
dans lequel on sent LA PHOBIE DU REGARD. ' 25 que tout brûle, le
centre
, les mains, la poitrine, qu'on s'étouffe presqu
ifférences trop grandes dans la valeur des sujets recrutés dans des
centres
divers, et l'arrêté ministériel de 1902 a pu fa
bres indirectes et superposées, reliées entre elles par au- tant de
centres
nerveux intermédiaires et qu'il appelle le systèm
n'en est plus de même soit à la suite d'une altération primitive du
centre
cortical volontaire, soif se- condairement par
le fait d'une interruption de ses libres d'asso- ciation d'avec le
centre
cortico-im olontaire, Dans le premier cas, tout
as non plus que l'organisme, et en particulier, les muscles, nerfs,
centres
nerveux, soient aptes à renforcer l'éclatdes su
oir), les noyaux des cellules de la né\ roglie et les vaisseaux des
centres
ou des méninges, dont la tunique musculaire app
rbale, et de l'héinia- nopsie homonyme droite ; lésion au niveau du
centre
visuel commun. La lésion interrompt les fibres
commun. La lésion interrompt les fibres de communication avec le
centre
visuel verbal. Amélioration générale. OEdème cé
issance des ma- lades si, dès la nouvelle d'un poste vacant dans un
centre
moins déshérité que ne l'est Quimper, il obtien
si leur recrutement s'opérait par des concours régionaux dans les
centres
de facultés ou écoles de médecine comme cela se p
que l'on sait sur la localisation des fonctions dans le cerveau. Le
centre
nerveux qui contrôle la parole est étroitement as
psycho-névrosique. ' En pathologie mentale on se cantonne trop au
centre
psychique, au système nerveux ; l'on ne tient p
l'ex- cès de la douleur locale avait, par action réflexe sur les
centres
nerveux, amené cette prostration, cet aspect qu
ges différents. Elle occupe, dans l'immobilité réflexe typique, les
centres
d'arrêt du bulbe ou les voies qui; du cerveau o
ulbe ou les voies qui; du cerveau ou de la moelle, agissent sur ces
centres
. Dans l'inertie absolue, il tant envisager : en
bulbe et la moelle cervicale. La plupart des auteurs imputent au
centre
célio-spinal le mye. sis de l'immobilité réflex
tion et contraction pupillaire concomitante, est com- mandée par le
centre
cortical de la convergence. Ce centre, par l'oc
tante, est com- mandée par le centre cortical de la convergence. Ce
centre
, par l'oculomoteur commun, envoie des rênes aux
roduits de dédoublement, ainsi qu'à l'épuisement de l'influence des
centres
sur le système musculaire. 4. L'onde musculaire
ie(100 ,°% ) ; b) l'affaiblis- sementde l'influence exercée sur les
centres
nerveux inférieurs parles centres psychiques su
entde l'influence exercée sur les centres nerveux inférieurs parles
centres
psychiques supérieurs, ex. : démence congénitale
(84 %) et autres démences : c) l'affaiblissement de la tonicité des
centres
spinaux, notamment au début des divers processus
: a) avec une suractivité musculaire parexcitation ou irritation du
centre
ou du conducteur nerveux, ex. : convulsions, co
avec le système nerveux central, ex. : destruction et atrophie des
centres
etconducteurs cérébro-spinaux moteurs ou trophi
s chimiques de dédoublement et de la cessation de l'influence des
centres
nerveux. 7° Dans les psychoses aiguës l'onde musc
, le bégaiement. Dans l'aphasie, il faudra se- couer la torpeur des
centres
sidérés en entraînant méthodique- ment le malad
ennes mérite tout particulièrement l'honneur d'être choisie comme
centre
universitaire pour les grands sacrifices qu'ell
ocondrie (CrasseLI)ne peut s'expliquer que par une perturbation des
centres
corti- eaux où sont déposées les images des sen
le coeur, le foie, etc. Mais le plus souvent, la perturbation des
centres
de la cénesthésie est la conséquence de représent
etc.; ce sont ces représentations qui viennent alors actionner les
centres
cé- nesthésiques et provoquer la reviviscence e
plus facilement que l'état de réceptivité congénital ou acquis des
centres
cénesthésiques est plus développé. . En termina
mentation), jus- LE SYNDROME DE LA NEVRITE ASCENDANTE. 191 qu'aux
centres
nerveux. Il n'est pas douteux cependant que les
i- que,localisé primitivement au siège de la morsure, gagnait les
centres
nerveux en cheminant le long des nerfs péri- ph
On peut distinguer les processus ascendants initiaux rapprochés des
centres
nerveux (névrites ascendan- tes proximo-ccntrnl
rite du trijumeau) et les processus ascendants initiauxdistants des
centres
(névrites ascendan- tes dis to-centrale.s, memb
t sera plus haut placé, plus rapproché des ganglions rachidiens,des
centres
nerveux. Evolution. PRONOSTIC.-Le processus asc
sion uniquement centrale. Or, la paralysie générale, affection des
centres
cérébraux et des méninges cérébrales, peut très
laires ; par BOURNçVILI.1 ? (Sera publié.) Carcinome secondaire des
centres
nerveux avec pré-' sentation.de pièces. (D1' Sa
s le cas de confusion mentale hallucina- toire, les altérations des
centres
nerveux sont d'ordinaire ou trop faibles, ou tr
égard à l'influence plus ou moins dépressive qu'exercent sur les
centres
nerveux des préoccupations tristes et angoissante
ne perdra pas de vue que la dépression organique fonctionnelle des
centres
nerveux n'est point adéquate à leur dépression
mais l'emploi d'une telle médication agissant par sidération des
centres
nerveux, n'est pas exempte de dangers et rend n
; - parle pneumogastrique, le phrénique et les in- tercostaux. Les,
centres
moteurs de ces nerfs sont échelonnés tout le lo
DES MUSCLES DE LA RESPIRATION. 237 Sans contester l'existence d'un
centre
principal de la respira- tion siégeant dans le
cide carbonique, on doit admettre aussi des actions synergiques des
centres
moteurs que nous venons d'énumérer et dont les
énumérer et dont les fonctions sont réglées,comme celles des autres
centres
moteurs, par des sensations musculaires, articu
tre lescentresmoteursmédullairesetles régions qui adres- sent à ces
centres
les sensations qui règlent la motricité. Et l'é
otricité. Et l'étendue même des étages de la moelle occupés par les
centres
moteurs des muscles respiratoires montre que la
talement même, n'a-t-on pas démontré l'existence, chez le chien, de
centres
corticaux régulateurs de la respira- lion ? P
e résulte à son tour de la suppression de l'influx nerveux venu des
centres
supérieurs et agissant sur les cellules de la c
iter les passions.par la douceur et la persuasion, les maladies des
centres
nerveux par l'har- monie et la musique. Sans le
équence de l'épuisement du liquide nourricier par la sécheresse des
centres
nerveux, des nerfs qui en émanent et des expres
s étions tout à fait désarmés. Deux cas de carcinome secondaire des
centres
nerveux. MM. Sabrazès et Bonnes (Bordeaux) pr
ara- tions microscopiques de deux cas de carcinome secondaire des
centres
nerveux, se révélant plus de deux ans après l'abl
doivent être rattachées à une per- turbation, il un ébranlement des
centres
corticaux où sont fixées et enregistrées les im
sensitives et à l'intégrité des associations préétablies entre les
centres
de percep- tion, les points excités de nos diff
1899) : 1° soit de l'action directe des microbes localisés dans les
centres
nerveux ; 2° soit de l'action des produits sécr
t des pédoncules cérébraux. Les voies conductrices afférentes aux
centres
supérieurs augmentent proportionnellement à la
ticalité apparaît chez l'enfant avec le complet déve- loppement des
centres
supérieurs. Mais avant que ce dé- veloppement s
nes des autres, sauf celles de la région frontale où se trouvent le
centre
des récen- tes acquisitions phylogéniques, le l
ant : au deuxième mois, apparaissent des fibres « qui partent des
centres
sensitifs pour se développer dans les parties en-
erdre » (2), ce qui n'implique aucune connexion réelle. L'union des
centres
d'association « ne devient évidente que plusieu
volontaires, et postérieurs aux réflexes proprement dits ayant leur
centre
dans les parties in- férieures du névraxe (Munk
ens auxquels on avait enlevé à l'un l'écorce cérébrale au niveau du
centre
du membre supérieur gauche, au second, les cent
rale au niveau du centre du membre supérieur gauche, au second, les
centres
des mouvements de la face et des membres supéri
ire se produisait dans le membre inférieur chez le sujet opéré du
centre
correspondant. Le pouce n'était plus opposable.
en- fants vers cinq ou six mois et nous pourrons affirmer que les
centres
et les voies des mouvements volontaires, cortex
ré que la synergie fonctionnelle était produite par fcicitalion des
centres
. Sano est particulièrement affir- matif il ce s
au d'innervation distinct » (1). On a même donné la topographie des
centres
de la moelle. Les divers auteurs de ces travaux
tifs, qui lui sont nécessaires. Les fonctions végétatives ont des
centres
nerveux distincts placés dans le bulbe. Or le b
es nerveux distincts placés dans le bulbe. Or le bulbe n'est pas un
centre
homogène ; il ne gouverne que les phénomènes él
essus du bulbe, ce sont très probablement les cou- ches optiques, «
centres
réflexes du sens tactile dans lesquelles les ,
assigne aux ganglions cérébraux. Les ganglions inférieurs sont des
centres
réflexes des- quels se distinguent les ganglion
ité apparaît ainsi comme un organe de perfectionnement. Grâce aux
centres
inférieurs, l'individu est en possession d'une
tous comme point commun l'atteinte du système cérébelleux dans ses
centres
ou dans ses voies afférentes ou efférentes. Le
lutôt tenté de rattacher ces accidents à une lésion orga- nique des
centres
nerveux. G. D. Xi. - Pachyméningite hémorrhagiq
tion rénale, une pigmentation anormale des divers viscères et des
centres
nerveux même du sympathique, de l'hypertrophie de
meilleurs soins aux ma- lades et que l'Asile constitue un véritable
centre
scientifique. B. XIII. -- Rapport j'nédical sur
oint de l'Asile de Mois. '' De nombreux examens histologiques des
centres
nerveux d'a- liénés ont permis à l'auteur d'att
iqueté hémorrhagique assez prononcé des noyaux du corps strié et du
centre
oval. Hémisphère droit. Face interne. La décort
duction pour ces impressions, et que celles-ci sunt perçues par des
centres
particuliers. L'existence de centres de percept
lles-ci sunt perçues par des centres particuliers. L'existence de
centres
de perception de la douleur, dis- tincts de tou
ns le voisinage de la région rolandiync, et qu'il l'état normal, le
centre
de l'hé- misphère gauche intervient seul dans l
tervient seul dans la perception des im- pressions douloureuses, le
centre
droit n'entrant en jeu qu'à l'occasion des doul
araître qu'après elles, c'est-à-dire la suite du réveil complet des
centres
corticaux. Test donc seulement le cerveau, à l'
le, mais tontes deux avant pour sur stratum l'ébranlement des mêmes
centres
. Le travail dans la thérapeutique des maladies
es répétées peuvent être utilisées comme moyeu de décompression des
centres
nerveux et de drainage des matériaux septiques
e àun avenir sérieux dans le traitement de certaines affections des
centres
nerveux. La modération de ces conclusions qu'on
l'action do la lymphe du fait de l'interruption de l'influence des
centres
.trophiques sur les fibres ner- veuses. La simil
e de Koch dans la méningite tuberculeuse et dans la tuberculose des
centres
nerveux, 1903. 438 PATHOLOGIE NERVEUSE. ble
uscles pré- posés aux mouvements de l'écriture ou du dessin, et des
centres
qui président à l'élaboration des idées, les tr
traction faite de toute idée doctrinale concernant l'existence d'un
centre
des mouvements de l'écriture équivalent au cent
l'existence d'un centre des mouvements de l'écriture équivalent au
centre
des mouve- ments d'articulation de Broca. L'a
es de 131'0\\ n-SequaI'l1 et de la queue de chenal. Tuberculose des
centres
nerveux. Syphilis des centres nerveux. Paralysi
e la queue de chenal. Tuberculose des centres nerveux. Syphilis des
centres
nerveux. Paralysie générale. Atrophie musculair
on de pièces, par Sabrazès, p. 206. Deux cas de se- conda iru des
centres
ner- veux, par Sabrazès et Bon- nes, p. 244.
, faite de son bord convexe vers son bord concave, a présenté : i" au
centre
, une cavité C anfractueuse contenant un liquide s
guins et traversée par des espèces de colonnes qui la soutenaient; au
centre
était un noyau dense, blanchâtre, ayant la résist
dans les planches ci-jointes prouvent péremptoirement ce fait, qu'au
centre
de chaque papille intestinale, ou du moins d'un c
este, ce n'est pas (*) Je n ai jamais trouvé de vaisseaux lactés au
centre
des papilles tachetées de points noirs. Seraient-
hes osseuses sous-jacentes. Tout cela se conçoit aisément, puisque le
centre
de gravité du corps était transmis au bord extern
r nacrée de la superficie contraste avec la couleur blanc-jaunâtre du
centre
. Réflexions. — Il est évident que cette tumeur
mis à découvert la trame spongieuse du poumon et a permis de voir au
centre
de chaque foyer une déchirure plus ou moins consi
sont disposées par couches concentriques, mais non point autour d'un
centre
commun; qu'il existe comme plusieurs systèmes de
plus solides , il y a de nombreuses exceptions à cet égard; ainsi au
centre
de cette masse de concrétions, on voit un caillot
de se fraie un passage au travers d'elles, quelquefois il s'arrête au
centre
de ces concrétions, d'autres fois se dirigeant ve
e se bornait pas à un espace aussi circonscrit, mais qu'il y avait au
centre
de la moelle du sang nouvellement épanché ; j'ouv
e , frangées à leur circonférence 5 quelques-unes présentaient à leur
centre
un petit point osseux saillant à fibres rayonnant
u l'avantage de faire découvrir la même substance formant un noyau au
centre
« de la rotule, où elle était déposée dans les ar
dans les capsules synoviales tendineuses et sous-cutanées et jusqu'au
centre
des os, en un mot dans toutes les parties qui con
tions sanguines; i° concrétions sanguines plus ou moins décolorées au
centre
desquelles est contenu un pus sanieux d'abord, pu
ètrent les produits sécrétés. Pourquoi le pus occupe-t-il toujours le
centre
du coagulum sanguin et ne se trouve-t-il jamais e
ois de la veine? C'est parce que le coagulum est moins cohérent à son
centre
qu'à sa circonférence et que la pénétration du pu
nt à son centre qu'à sa circonférence et que la pénétration du pus au
centre
du caillot est un phénomène de capillarité. Le pu
finit par disparaître. Tout le temps que le pus est contenu dans le
centre
du caillot sanguin, les phénomènes sont locaux ;
en général toute l'économie. S'il semble partir d'un point comme d'un
centre
ou d'un foyer , dans combien de cas l'altération
rs divers degrés de développement. Les uns sont demi-transparens au
centre
comme à la surface, d'autres présentent à leur ce
ransparens au centre comme à la surface, d'autres présentent à leur
centre
de petits points blancs caséiformes, d'autres u
ies du cerveau sous le rapport de l'atrophie. Les circonvolutions, le
centre
médullaire, les corps striés et couches optiques,
vec communication du foyer dans le ventricule moyen ; foyer ancien au
centre
de l'hémisphère du même côté. (PLANCHE VI, Ve L
te par le sang épanché. En dehors du foyer apoplectique se voit, au
centre
médullaire de l'hémisphère droit, un kyste apople
er très-ancien remarquable par sa forme oblongue, par sa situation au
centre
de l'hémisphère et dont les commémoratifs n'avaie
un phlegmon diffus sous-cutané de la jambe—Foyer apoplectique dans le
centre
médullaire de l'hémisphère droit.— Trace d'un pet
rité figure 1. Le foyer apoplectique FA occupait toute l'épaisseur du
centre
médullaire de l'hémisphère droit du cerveau. D'un
e du sentiment avec un désordre aussi considérable ? Par son siège au
centre
de l'hémisphère. Une apoplexie dix fois moindre s
ction d'un grand nombre de circonvolutions et d'une bonne portion du
centre
médullaire. Mais je prouverai plus tard que la de
eusé dans l'épaisseur de la couche optique et de la partie voisine du
centre
médullaire. La figure i et i' représente exacteme
ère. J'ai coutume de décrire cette masse de tissu cellulaire comme le
centre
du tissu cellulaire cérébral : elle se prolonge l
érébrale adjacente. La plupart de ces tubercules étaient creux à leur
centre
. vie livraison. 3 Réflexions. - Comment se fa
Jusqu'au 15 août, rien de remarquable : alors exulcération légère au
centre
de la tumeur; cercle rouge inflammatoire tout aut
e vingt-une lignes. Les tégumens amincis et violacés sont excoriés au
centre
de la tumeur. La tumeur, incisée, donne une séros
est le foyer principal de l'altération, qui s'étend de là comme d'un
centre
en diminuant graduellement au dernier pied, aux d
t entre elles les plaques agminées. Plusieurs étaient ulcérées à leur
centre
; mais le plus grand nombre n'offrait aucune perfo
ent arrondies, quelquefois crevassées à leur surface, excavées à leur
centre
, présentent des dimensions variables: tantôt lent
squelles elles sont formées. Il n'est pas rare de voir une pustule au
centre
d'une plaque de Peyer, laquelle est d'ailleurs sa
tion se manifeste tantôt sous la forme de gros boutons ulcérés à leur
centre
, tantôt sous celle de petites ulcérations queje n
aux notables, et que ces inflammations sans douleur réagissent sur le
centre
cérébral, sur le centre circulatoire, et sur tout
inflammations sans douleur réagissent sur le centre cérébral, sur le
centre
circulatoire, et sur toutes les fonctions d'une m
neux et convertis pour la plupart en une sorte de bouillie rosée ; au
centre
de l'un d'eux GLO est une matière jaunâtre que je
eure des plaques pustuleuses de cette figure, qu'on voit proéminer au
centre
d'une plaque gaufrée PG remarquable par sa longue
stules se développent indépendamment les unes des autres et comme par
centres
bien distincts. L'estomac contenait une matière
te que la perte de substance est aussi considérable aux limites qu'au
centre
de l'altération. L'appendice iléo-cœcale ouverte
lable à du pus concret; l'un des ganglions ouverts GLO présente à son
centre
une matière jaunâtre concrète. L'intestin nous a
attention une production cornée accidentelle, on voit qu'il existe au
centre
un organe producteur, que cet organe producteur n
le jour le plus lumineux, sur les fonctions des divers départemens du
centre
nerveux. D'après les observations que j'ai pu rec
portion du calcul paraissait avoir été brisée, Ce calcul occupait le
centre
du trigone vésical. Deux autres petites pierres e
jours a il ne fut plus possible de lever et d'asseoir la malade. Son
centre
de gravité l'entraînait et la faisait tomber de s
portion du calcul paraissait avoir été brisée, Ce calcul occupait le
centre
du trigone vésical. Deux autres petites pierres e
ème cercle qui offre l'aspect jaunâtre de la matière tuberculeuse. Au
centre
se trouvent plusieurs cellules d'inégale capacité
ède quelquefois immédiatement au premier, c'est la présence du pus au
centre
du caillot sanguin. III. Comment se rendre comp
ifs aux grandes opérations chirurgicales. VI. La présence du pus au
centre
des caillots sanguins a fait penser que ces caill
its sécrétés par les parois de la veine. Si le pus occupe toujours le
centre
du coagulum et ne se trouve jamais entre le coagu
ulum et les parois, c'est parce que le coagulum est moins cohérent au
centre
qu'à la circonférence, et que la pénétration du p
rent au centre qu'à la circonférence, et que la pénétration du pus au
centre
du caillot est un phénomène de capillarité. Le pu
matière colorante a disparu. Tout le temps que le pus est contenu au
centre
du caillot sanguin, les phénomènes sont locaux; m
article, Bibliothèque médicale, cahier de novembre, 1826. occupe le
centre
du caillot ou bien encore à l'époque de la décolo
sseaux contenus dans l'épaisseur du cerveau, et foyer apoplectique au
centre
d'un hémissphère. Toutes ces différences provienn
rempli de sang coagulé fortement adhérent aux parois de ce sinus. Au
centre
des caillots se voit une matière puriforme demi-c
ntenait dans son épaisseur un grand nombre de tubercules creux à leur
centre
(*). Rien de plus facile à différencier que les
hes ii, iii, iv, v, vi, ixe livraison.) Considérations générales.
Centres
mobiles de tous les mouvemens qu'exécutent les di
icr, les articulations sterno-claviculaires et acromio-claviculaires,
centre
des mouvemens de l'extrémité supérieure tout enti
le plus souvent observé le cancer gélatiniforme, et de là comme d'un
centre
il s'étendait, d'une part, au petit épiploon, d'u
, ces végétations sont entières; mais, à mesure qu'on s'approche du
centre
de l'altération, on voit qu'elles sont comme tron
usculeuse hypertrophiée, en sorte qu'il y a dans l'estomac comme deux
centres
de dégénération (fig. i, pl. 3), lesquels, d'abor
ouvai une perforation au niveau du pylore. Cette perforation était au
centre
d'un ulcère oblong. Une seconde ulcération commen
exactement circonscrit. L'estomac était percé de part en part dans le
centre
de cette petite in-« duration. L'ouverture arrond
oute la plénitude de sa santé. Ce n'est qu'au bout de cinq ans que le
centre
de la cicatrice s étant ulcéré à la suite d'un ma
s. On voyait des lignes radiées partir de cette ulcération comme d'un
centre
. Mais ces radiations se remarquaient principaleme
du pus infiltré, phis tard quelques gouttelettes de pus ramassées au
centre
d'une induration rouge ou grise, enfin un véritab
e l'animal survit deux à trois mois, vous trouverez des tubercules au
centre
desquels est Un globule mercuriel. XVI. Je sign
isé en plusieurs globules extrêmement petits, dont chacun occupait le
centre
d'un abcès tuberculeux. On se rendra aisément com
s l'épaisseur de quatre à cinq lignes : un globule mercuriel était au
centre
de chaque petit foyer d'induration rouge; une cer
gane. Ces tubercules, comme ceux de l'épiploon, contenaient dans leur
centre
un ou plusieurs globules de mercure. Quelques-uns
ui occupait la circonférence, et une couche puriforme qui occupait le
centre
et au milieu de laquelle étaient les globules mer
ertit dans très-peu de temps en un véritable abcès qui se ramollit du
centre
à la circonférence, étant d'abord environné par u
dans le ramollissement et la conversion en foyer purulent, d'abord du
centre
, puis de la totalité de l'engorgement : ces foyer
introduit dans le canal médullaire d'un os long, et qu'on retrouve au
centre
des abcès purulens, dans le poumon, le foie, et a
s abcès. Dans la première période, un pus lie de vin était ramassé au
centre
d'un caillot sanguin qui obturait la veine. Le ca
re, c'est du pus P ; à sa partie moyenne, c'est un caillot sanguin au
centre
duquel on voit du pus CSP; plus haut, c'est un ca
leur ancienneté. J'ai voulu diviser ces caillots, et j'ai trouvé au
centre
du caillot princbal une collection de pus CP qui
dans les troncs principaux, ces concrétions contenaient du pus à leur
centre
, elles étaient rouges et graduellement de moins e
pulmonaire droite. Les concrétions blanches et pleines de pus à leur
centre
allaient se divisant et se subdivisant comme ces
les diverses nuances de couleur de leur surface, la blancheur de leur
centre
qui est aplati et non creusé en godet comme les t
e , elle perd en partie sa forme sphéroïdale et se creuse en godet au
centre
: cette dernière disposition me paraît s'explique
s : on dirait dun tissu fibreux ou même cartilagineux. Quelquefois au
centre
de ces tumeurs se voient de petites cavités ou gé
uvent des vaisseaux sanguins, très développés, parcourent çà et là le
centre
de la tumeur; d'autres fois, il semble qu'il n'y
eurs encéphaloïdes, dont plusieurs sont converties en bouillie à leur
centre
, leur nombre est tel, qu'elles constituent de la
u'une hypertrophie de la membrane musculeuse. La section pratiquée au
centre
delà tumeur a donné une épaisseur quatre à cinq f
'utérus hyperthrophié qui était, pendant la durée de la gestation, un
centre
de fluxion si considérable, doit redevenir ce qu'
membrane muqueuse gastro-intestinale, dans le plexus solaire, dans le
centre
cérébro-spinal, dans le cœur, dans le poumon? Le
cette irritation gastrique est celle-ci. Angoisse continuelle dont le
centre
est l'épigastre, et qui tantôt se prolonge le lon
êle, une induration rouge dans le lobe inférieur du poumon gauche, au
centre
de laquelle était une espèce de foyer rempli d'un
ptômes qui annoncent que la maladie n'est plus locale et que tous les
centres
nerveux sont simultanément et profondément affect
n rouge-noire de la muqueuse, avec de larges plaques d'ecchymose ; le
centre
de l'altération était le rectum et l'S iliaque du
oisinage de la valvule iléo-cœcale. Ils sont toujours perforés à leur
centre
et cette perforation est indiquée par un petit po
que le choléra envahit une contrée, il s'empare d'un point comme d'un
centre
pour s'étendre de là dans diverses directions. So
gineux dans l'épaisseur du poumon. Le thymus blafard présentait à son
centre
une grande cavité dans laquelle venaient aboutir
ue plaque osseuse présentait des rayons divergents qui procédaient du
centre
à la circonférence. La femme qui fait le sujet de
bercules très denses, demi transparens, desquels partaient comme d'un
centre
une foule de vaisseaux radiés. Ces tubercules par
qui entourait le tronc de la veine-porte; que de ce foyer comme d'un
centre
, partaient des canaux purulents excentriques aux
rte du chien ; dans cette expérience un globule mercuriel occupait le
centre
de chaque petit foyer. La figure 2 représente l
par une peau fine à sa circonférence, cette tumeur est ulcérée à son
centre
dans une assez grande étendue, perforée en P, au
es de cicatrisation commençante. Or une perforation récente située au
centre
de cette partie à demi-cicatrisée, peut en impose
lques lignes. Un caillot gros comme la tête d'une épingle occupait le
centre
de ce ramollissement. Dans plusieurs cas, le pu
Le sang s'y coagule, devient adhérent aux parois, se décolore, et au
centre
de la fiqrine décolorée, se développent des concr
ne coupe de ce même calcul, faite suivant son plus grand diamètre. Au
centre
était un caillot sanguin décoloré, quiest figuré
s léger mouvement du membre sans de vives douleurs, étaient molles au
centre
et très dures à la circonférence, comme dans le c
ouls. Le 29 mars , application de potasse caustique sur le genou au
centre
de la fluctuation. Le30, incision de l'escharre
avaient été comme disséqués : le fémur privé de son périoste était au
centre
de cette vaste dénudation. L'œdème douloureux d
tumeur présente une couche stratifiée peu épaisse et cohérente, et au
centre
des caillots pultacés, sans cohérence. Réflexio
ne présentant d'organisation fibreuse qu'en dedans où il répondait au
centre
phrénique. Le diaphragme avait subi une perte de
re il est vrai , ne devait-elle pas appeler toute l'attention vers le
centre
de la circulation. L'ascite ne permettait pas l'e
latiniforme infiltrée sous l'arachnoïde. Protubérance annulaire. Au
centre
, masse tuberculeuse spl îeroi'dale du volume d'un
Aux membres, la peau distincte recouvrait des muscles distincts, au
centre
desquels se voyaient les os. Dans les cavités spl
6 représentent la coupe de la jambe. On voit le tibia et le péroné au
centre
des parties molles desséchées. Considérations g
être facilement disséquée sur la circonférence de la tumeur, mais au
centre
la tumeur et la muqueuse étaient confondues. Cett
oulevée et saine, à la circonférence et participait à l'altération au
centre
. Thorax. "Lepoumon présentait quelques tumeurs
s volumineux reçoit la veine ombilicale VO dans un canal creusé à son
centre
, et non dans un sillon. Le poumon droit P s'élè
rame fibreuse pénétrée de sucs cancéreux : coloration jaune-orangé au
centre
de la tumeur; quelques taches noires çà et là; ép
crâne. Le développement de ces tumeurs paraissait surtout se faire du
centre
à la circonférence. Les autres os n'ont pas été e
vicule était formée par un tissu analogue à celui des os du crâne. Le
centre
de l'os n'existait plus. La tumeur du bras droi
tait en arrière deux ecchymoses circulaires, dont l'une offrait à son
centre
une petite ouverture. Ces ecchymoses occupaient l
ubstance jaune. Il a été bien manifeste que l'apoplexie occupait le
centre
des circonvolutions; car dans plusieurs une subst
nce blanche. Dans quelques circonvolutions, c'était seulement à son
centre
que la circonvolution présentait une ligne jaunât
catrisées. La substance corticale est seule détruite. A droite , au
centre
médullaire de l'hémisphère, au niveau de la réuni
un ramollissement blanc qui s'étendait dans plusieurs points jusqu'au
centre
du lobe antérieur. Ce lobe antérieur lui-même é
lètement paralysé, et toutes les circonvolutions antérieures, tout le
centre
médullaire du lobe antérieur étaient réduits en b
augmentée, et elle occupe les deux tiers supérieurs et externes du
centre
ovale. Elle est de plus en plus rosée, un peu m
n. bloc, n'ont été constatés que 34 fois sur 300 cas de tumeurs des
centres
nerveux, si nous en croyons la statistique fort
ont rares, puisqu'elles ont été observées 35 fois seulement dans le
centre
ovale ou le corps calleux. Cette localisation d
térieuse de l'épi- lepsie. Ce poison agirait spécialement sur les
centres
vaso-moteurs, soit en paralysant les vaso-dilat
e l'écriture. Il faut admettre qu'il y a une union directe entre le
centre
des concep- tions représentatives des objets et
entre le centre des concep- tions représentatives des objets et le
centre
des conceptions repré- sentative des mouvements
résente une perte de l'association des éléments acoustiques dans le
centre
même de la zone acous- tique, ce qui renverse l
ons de la sollicitation des éléments nerveux et de l'irritation des
centres
engendrant des modalités sensationnelles divers
lle. L'attention est cette faculté que nous avons de dégager d'un
centre
une irritation sur un autre centre également soll
é que nous avons de dégager d'un centre une irritation sur un autre
centre
également sollicité soit par la périphérie, soi
utre centre également sollicité soit par la périphérie, soit par le
centre
préalablement mis en activité. Ce sont les même
ogiques que M. Brissaud expose pour confirmer cette conclusion. Les
centres
de coordination de la moelle président, non seu
ritifs réguliers à leur intérieur le fonctionnement régulier de ces
centres
. A une stimulation péri- phérique anormale, la
e répondra par un mode d'activité plus grande ou plus faible de ses
centres
organiques, les échanges organiques subiront de
troubles tro- phiques articulaires etsurtout osseux, parce que les
centres
spinaux de réaction nutritive des os et des car
ouge, dentelée, adhérente à l'os et très douloureuse au toucher; au
centre
de la boucle qu'elle décrit sur le front se tro
tèmes nerveux et musculaire. « C'est un anesthésique aussi bien des
centres
et des cordons nerveux que des surfaces muqueus
on spéciale élective sur les tissus nerveux; en outre il excite les
centres
modérateurs. Pour Aug. Voisin et Legrand du Sau
ces dans l'intensité de la lésion; on peut presque en désigner deux
centres
: l'un qui occupe la moelle lom- 140 REVUE D'AN
térieur du même côté. Donc tous les organes suprà dénommés sont des
centres
pri- maires des racines postérieures de l'audit
au d'association cen- tral, affectant des rapports intimes avec les
centres
primaires de la racine postérieure de l'acousti
iaques. La ligne de gravité, c'esl-à-dire la ligne qui passe par le
centre
de gravité du corps, arrive en bas, en avant de
dé inïénieux employé par l'auteur pour déterminer le lieu précis du
centre
de gravité chez l'homme en station verticale. L
ablit aussi par un levier du premier genre, le point d'appui est au
centre
du corps de la vertèbre, la résistance est un p
e de gravité passe en arrière de l'axe transversal qui joindrait le
centre
des deux articulations de la hanche, la puissan
i deux types selon que la ligne de gravité passe très en arrière du
centre
articulaire de la hanche, ou au contraire qu'elle
. Ponnier termine en recherchant pour chacune de ces fonctions, les
centres
et les conducteurs utilisés. Notons seulement une
ut la même, qu'elle localise son action dégénérative tantôt sur les
centres
purement intellectuels, tantôt enfin sur les cent
tantôt sur les centres purement intellectuels, tantôt enfin sur les
centres
moteurs. Mais tout en attribuant à la prédisp
i quelques amas de leucocytes qui ne contiennent pas de vaisseau au
centre
. . La surface entière de la moelle est riche en
tellectuel leur ' Magnan. -- Leçons cliniques et recherches sur les
centres
nerveux, . 113 ? lIall et Dahove. - Les Dégénér
le simple bon sens. Qu'est-ce, en effet, que le cerveau ? C'est le
centre
des mouvements, des sensations et des opérations
e substance toxique, et c'est cette subs-- tance qui exerce sur les
centres
nerveux les actions pathogènes diverses qui se
localisation est tout. Cette localisation peut comporter plusieurs
centres
; s'ils sont tous actionnés les uns après Archiv
phénomènes identiques consécutifs; si quelques-uns seulement de ces
centres
sont excités ou inhibés le tableau clinique ser
point. La théorie la plus plausible est celle d'une irritation des
centres
bulbaires avec, ultérieurement, transformation
yroïdisation cause la maladie de Basedow, comment agit-elle sur les
centres
nerveux ? Il faudrait ici céder la place aux phys
et, d'autre part, que nous ne connaissons pas le mécanisme que les
centres
nerveux mettent en oeuvre pour créer les condit
ques interlobulaires, demeurés à leur portée comme voie d'issue. Au
centre
, la voie sanguine sub- siste seule et règne lar
ette réac- tion colorante est faible ; dans les grains néoformés au
centre
des lobules, elle est ordinairement nulle. Et c
l'injection, est, de ce chef, bien plus difficile à colorer que le
centre
, où l'acide osmique n'a pu pénétrer grâce à la
veloppés au maximum pour vicarier la fonction excrétoire annulée du
centre
du lobule. Au sein de ce dernier, là où les lym
o- bules blancs, ce qui empêche la cachexie strumiprive. Mais, au
centre
du lobule, c'est de la thyromucoïne qui s'élimine
us la dépendance du système nerveux central et, dans l'espèce, d'un
centre
butbo-protubérantiel. 234 SOCIÉTÉS SAVANTES.
se directement dans la circulation sanguine et va impressionner les
centres
nerveux. Alors apparaissent les symptômes majeu
obstacles, suit parfaitement une route; est-ce que, dans ce ca, les
centres
psychiques n'agissent pas ? ils sont excités. L
e ca, les centres psychiques n'agissent pas ? ils sont excités. Les
centres
moteurs le sont aussi, puisqu'un homme qui souv
parcourt une route très longue sans fatigue. Ainsi, excitation des
centres
psychiques et excitation des ceutres moteurs; c
ysie générale et même aux affections syphilitiques loca- lisées des
centres
nerveux. Nous n'avons pas la prétention de décr
n des nerfs, ni à une altération des racines, ni à une atteinte aux
centres
réflexes. 11 semble s'agir ici d'une action pur
arfaitement systématisée, respecte dans la région lombaire le petit
centre
ovale de Flechsig et la zone marginale de Westpha
n'était nullement tu- berculeux) ; en un point on aperçoit même au
centre
du nodule un début de casélfication. Les artè
erfs articulaires centripètes, qui agissent par l'intermédiaire des
centres
vaso-moteurs et des fibres vaso-motrices sur la
oelle produisent un certain nombre de symptômes dus à une lésion du
centre
cilio-spinal. Ces faits servent en outre à melt
des corridors fermés, des vérandas, ou des galeries couvertes. « Au
centre
, dit Griesinger, se trou- vent quelques bâtimen
de petits bâtiments à un seul étage, aussi éloignés que possible du
centre
, qui renferment les cellules pour les malades a
ale où siègent la conscience et l'idéation et respectant les autres
centres
nerveux, spécialement la moelle et le bulbe. Le
inflammatoire. .Ce sont les vaisseaux qui débutent. Ils forment le
centre
de chaque foyer : la lésion marche ainsi pas à
ent le centre de chaque foyer : la lésion marche ainsi pas à pas du
centre
à la péri- phérie. Cette progression graduelle
10,8 p. 100), le noyau lenticulaire et le cervelet (6,3 p. 100), le
centre
ovale, etc. Les tumeurs n'existaient que chez 5
ave à gauche, au niveau du sillon de Rolando, s'étendant jus- qu'au
centre
du langage. On a recours à la trépanation et on m
t irrégulier dans ses contours : puis la coloration disparait à son
centre
en même temps que le nucléole devient lui-même
divers procédés classiques de conservation et de pré- paration des
centres
nerveux et des nouvelles méthodes de colo- rati
entt'albl., XHL 1894.) M. Flechsig propose de distinguer : 1° des
centres
sensoriels; 2° des centres d'association. . L
Flechsig propose de distinguer : 1° des centres sensoriels; 2° des
centres
d'association. . Les centres sensoriels sont ce
: 1° des centres sensoriels; 2° des centres d'association. . Les
centres
sensoriels sont ceux qui, outre des fibres d'asso
tique, et qui paraissent avoir leur appareil moteur propre. Tels le
centre
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 397 î visuel (fissure calcarine), le
centre
auditif (partie postérieure de la lro temporale
ine), le centre auditif (partie postérieure de la lro temporale, le
centre
olfactif (circonvolution de l'hippocampe et par
lobe frontal), les circonvolutions frontales et ascendantes. Les
centres
d'association ne possèdent pas du tout de fibres
mme l'emporte sur celui de l'animal par l'extrême développement des
centres
d'association qui constituent finalement l'acqu
ciale de l'homme et affluent de toutes les parties du- cerveau. Les
centres
de la parole occupent, dans leur ensemble, le t
occupent, dans leur ensemble, le territoire intermédiaire entre les
centres
sensoriels et les .centres d'association. Obj
entres d'association. Objections physiologiques d'Adamkiewicz : les
centres
sensoriels de l'écorce sont, quant aux mouvemen
x mouvements des appareils sensoriels, dans le même rapport que les
centres
moteurs quant aux sensa- tions des organes mote
eurs quant aux sensa- tions des organes moteurs, et, par suite, des
centres
corticaux ne sont pas des districts à fonctions
en parallèle les lésions nécroscopiques et l'étude histologique du
centre
nerveux, de= paralytiques ayant présentés de te
celle destinée aux malpropres. Mais cette section se distingue des
centres
par des éléments spéciaux. Elle a une pièce exc
stitueraient en quelque sorte l'hôpital de l'asile, c'est-à-dire le
centre
principal de l'action médicale. Je ne vois pas
agit non seulement sur les fibres périphériques, mais aussi sur les
centres
. On rencontre des lésions dégénératives des ner
sue fatale; bactériologiquement par la présence dans le sang et les
centres
nerveux d'un bacille particulier que les auteurs
ilité gé- nérale confirment la théorie qui y fait résider, unis aux
centres
moteurs, des centres pour la sensibilité généra
irment la théorie qui y fait résider, unis aux centres moteurs, des
centres
pour la sensibilité générale : la diminution ou
ion ou l'abolition des réflexes cutanés prouve qu'il s'y trouve des
centres
coordinateurs ou excitateurs correspondants; l'
aspect de foyers multiples, comme la syphilis et la tuberculose des
centres
nerveux, que de véritables néoplasmes. Leur all
us pauvre en fibres que le gauche. En résumé : lésion en foyer du
centre
visuel du côté gauche et rupture des faisceaux
escence des faisceaux optiques du côté gauche, des voies reliant le
centre
visuel au centre acoustique du côté gauche, et de
eaux optiques du côté gauche, des voies reliant le centre visuel au
centre
acoustique du côté gauche, et de celles unissan
isuel au centre acoustique du côté gauche, et de celles unissant le
centre
visuel droit intact au centre acoustique gauche.
côté gauche, et de celles unissant le centre visuel droit intact au
centre
acoustique gauche. De telles lésions sembleraie
s psychiques n'étaient que l'expression d'une maladie organique des
centres
ne) veux. Il n'en était pas de même à l'asile o
influences traumatiques sont mieux connues et outre les lésions des
centres
nerveux eux-mêmes, le shock émotif produit fréque
'un bâti- ment, destiné à recevoir des épileptiques, et qui sera le
centre
d'une colonie de plusieurs centaines de ces mal
nt habituellement la forme d'un coin dont la base est tournée vers le
centre
. — Enfin, les lo-bules profonds revêtent des conf
i forment d'un côté le foie, de l'autre le poumon. Dans le foie, le
centre
du lobule est marqué par la présence de la veine
interposition de tissu conjonctif. — Dans le poumon, au contraire, le
centre
du lobule est occupé par une bronchiole accompagn
tion. Les extrémités libres de ces cloi-sons laissent entre elles, au
centre
du conduit, un espace, une voie libre, un passage
nt l'épithélium plat. 1 Archives de Physiologie, 1876, p. 353. Au
centre
de la cavité alvéolaire se trouvent habituellemen
. — Les parties rlaires, a, fo niant la granulation, correspondent au
centre
du lobule et représentent la coupe des canaux col
onnes de cellules hépatiques, avec leur espace capil-laire réservé au
centre
, sont comparables à des culs-de-sac revêtus de ce
intermédiaire, disséminés dans le stroma. — /, Globes épithéliaux au
centre
d'une couronne de cellules épithéliales. — g, Pro
aroi on voit encore une cou-he de cellules conjonctives plates, et au
centre
les restes d'une masse de cellules épithéliales c
ion des lésions à divers degrés en zones concentriques. Tandis que le
centre
de la région hépatisée est gris, les zones périph
jonctives périacineuses.— F, nodules péribronchiques contenant à leur
centre
une bronchiole, a', et une arteriole, b'. — G, ti
nodules péribron-chiques. Quelquefois on ne trouve pas la bronche au
centre
de ces derniers, lorsque la coupe n'a pas été bie
ou suppurent. Par suite, il se forme un genre particulier d'abcès au
centre
des parties indu-rées ; mais c'est là un point su
ils paraissent muco-pu-rulents, verts, arrondis et présentent à leur
centre
une coloration d'un rouge vineux et évidemment pr
ordre tous à peu près de même diamètre et paraissant présenter à leur
centre
une petite dépression. L'ensemble de ces dépressi
et la nôtre propre, sont fort explicites. Les excavations trouvées au
centre
du tissu pulmonaire induré n'étaient point d'orig
roi alvéolaire est revêtue par un épithélium cubique, tandis qu'à son
centre
se trouvent des cellules atteintes à divers degré
re presque constamment sur la plèvre dia-phragmalique, au pourtour du
centre
phrénique, des taches et des lignes noires analog
qui, sur deux de leurs faces opposées, présentent des dépressions au
centre
desquelles se voit un trou qui pour quelques anat
ayant la consistance du caout-chouc ou une structure alvéolaire ; au
centre
existe une caverne à parois déchiquetées, formées
hiver pendant dix ou douze heures. C'est surtout dans certains grands
centres
manufacturiers que la profession des aigui-seurs
vo-lumineux dont la direction commune est centrifuge par rap-port au
centre
du lobule. Arrivées à l'espace péri-lobulaire, ce
e présente sous la forme d'un poly-gone auquel on peut reconnaître un
centre
, une partie moyenne, et une périphérie. Le centre
peut reconnaître un centre, une partie moyenne, et une périphérie. Le
centre
ou espace intra-lobulaire est formé essentielleme
infundibules etçà et là des fila-ments dé tissu conjonctif allant du
centre
du lobule à la péri-phérie, séparant les acini et
anaux biliaires, l'artère hépatique et la veine porte ; tandis que le
centre
est formé par la veine sus-hépatique ; au con-tra
e, dans le poumon, c'est l'espace intra-lobulaire, c'est-à- dire le
centre
, qui contient les parties importantes, c'est-à-di
concen-triques, régulièrement disposés autour d'un certain nombre de
centres
de formation. D'ailleurs, il y a lieu de distingu
àetlà, montrent où sont les follicules. Ces cellules constituent le
centre
de figure de chaque folli-cule ; les cellules épi
on domaine, à mesure que la mortification s'étend de plus en plus, du
centre
à la périphérie. Tout ce qui précède s'applique
aennec, Cruveilhier, William, Bennets : 1° des kystes tuberculeuxavec
centre
ramolli; 2° des kystes avec centre caséeux ou plâ
ts : 1° des kystes tuberculeuxavec centre ramolli; 2° des kystes avec
centre
caséeux ou plâtreux ; 3° des cavernes froncées; 4
haut degré un petit calcul. Il n'est pas non plus impossi-ble que ce
centre
caséeux puisse se résorber et disparaître. Ce tra
issu ambiant, mais plus petites et plus lassées, plus confluentes. Au
centre
, est une cellule gigantesque, à protoplasma grenu
à la dégénération vitreuse ou caséeuse, comme on voudra l'appeler, du
centre
du follicule. Cette dégénération a pour résultat
rrangement concentrique des élé- ments qui le composent autour d'un
centre
; 2°l'absence de vaisseaux ; 3° la tendance à la v
aséification de la partie centrale; 4° l'existence très fréquente, au
centre
, du nodule de la cellule géante. La nature de c
d'un conduit glandulaire qui joue, en quelque sorte, ici le rôle d'un
centre
de formation, s'étend de proche en proche en engl
lleurs tous les caractères du tubercule aggloméré, à savoir plusieurs
centres
de formation ou, autre-ment dit, plusieurs follic
e-ment dit, plusieurs follicules élémentaires dont chacun offre à son
centre
la cellule géante caractéristique. Ces follicules
olaires ensuite. Les parois alvéo-laires persistent encore souvent au
centre
de l'aggloméra-tion tuberculeuse, et, à plus fort
de celte région centrale qui répond, on le voit, à la description du
centre
caséeux du tubercule élémen-taire, existe, consta
es du nodule les plus voisines de la bronchiole qui joue le rôle de
centre
de for-mation ; elle envahit progressivement les
noyaux périphériques, souvent de prolongements multiples, et dont le
centre
est une masse grenue, réfringente, d'un aspect lo
le géante dans le tubercule : elle est située, lorsqu'elle existe, au
centre
du follicule tuberculeux, dont les autres élément
à noyaux mul-tiples. Ces noyaux, serrés les uns contre les autres au
centre
delà plaque, deviennent de plus en plus rares, à
l'élément apparaît avec ses caractères pour ainsi dire classi-ques :
centre
grenu, réfringent, sans structure, fixant forte-m
de cellules à protoplasma brillant, à contours assez mal délimités au
centre
duquel les éléments se groupent de façon à circon
ion vulgaire que la caséifîcalion envahit, on le sait, en marchant du
centre
vers la périphérie. Si cette conception est exa
d axe, 0,19 cen-timètres et demi de haut en bas ; épaisseur, dans son
centre
, 3 et demi à 4 centimètres) ; elle offre, quand o
assez grand nombre de granulations plus noires, à contours nets et à
centre
plus brillant. On les rencontre à l'élat normal,
globules blancs normaux, soit des granulations un peu plus foncées, à
centre
brillant. Les globules, porteurs d'un noyau, ét
x qu'on rencontre dans le sang à l'état normal, c'est l'existence, au
centre
des premiers, d'un noyau qui manque dans les glob
gauche du cœur, des corpuscules transparents qui renfermaient à leur
centre
, outre les granules de pigment, de deux ou trois
traces de leurs ravages1. L'action directe du poison morbide sur les
centres
nerveux paraît suffire à elle seule pour produire
t des veines caves. En disséquant la concrétion, on la trouve à son
centre
pleine et homogène dans la plus grande partie de
ins détaillées de concrétions polypifor-mes du cœur, renfermantà leur
centre
une matière puriforme, la nôtre est la vingt-deux
bien organisé, adhérant fermement à l'endocarde et contenant dans son
centre
une cuillerée à thé de matière puri-forme parfait
ux caillots fibrineux, du volume d'un pois chacun, et suppures à leur
centre
; ces caillots consti-tuaient des espèces de kyst
ique, on ren-contre, dans le cœur droit, des caillots suppures à leur
centre
. (Legroux, loc. cit., obs. 8.) Obs. V et VI. —
entricule gauche du cœur des concrétions fîbrineuses suppurées à leur
centre
. (Cruveilhier, Anat. pat/iol., 28° livr.) Obs.
ux ventricules des mas-ses fîbrineuses, adhérant à l'endocarde, et au
centre
desquelles existent de petites collections purule
és droites du cœur sont occupées par deux cail-lots non adhérents, au
centre
desquels on trouve une matière opaque, blanchâtre
ule gauche séparé des parois du cœur par une bande membraniforme ; au
centre
du caillot existait une matière sanieuse, purulen
les poumons. Caillot dans le ventricule droit du cœur contenant à son
centre
çà et là une matière ramollie et purulente. M. Do
ns de rapporter en abrégé, nous voyons la matière puriforme siéger au
centre
d'un ou plusieurs caillots plus ou moins organisé
aires. La matière puriforme est à même le caillot dont elle occupe le
centre
; elle n'est ja-mais contenue dans un kyste à paro
es de tous côtés par une concrétion san-guine plus ou moins isolée au
centre
du ventricule droit ; mais, dans ces deux cas, la
e l'artère axillaire et numérale, mais, à mesure qu'il s'éloignait du
centre
circulatoire, il paraissait moins organisé et de
ue plusieurs fois, dans les cas qui nous occupent, on a re-marqué, au
centre
des infractus ou des plaques ecchymofiques, des a
uelquefois la formation des caillots, dans les veines situées loin du
centre
circulatoire, il nous paraît bien difficile de l'
ar leur décoloration des traces non équivoques de leur ancienneté. Au
centre
du caillot principal existait une collection de p
sous forme d'un caillot encore récent, décoloré à la surface, mou au
centre
. On trouve aussi des caillots dans l'hy-pogastriq
s à l'asphyxie, mais bien à l'anémie^ qui se fait subitement dans les
centres
nerveux, en raison de ce que le cœur gauche cesse
ois de la poitrine par son extrémité. En somme, l'existence de deux
centres
distincts de pulsa-tion est le signe presque path
une pulsation bien limitée: aussi rencontre-t-on, en pareil cas, deux
centres
de pulsations : l'un, qui correspond à la tumeur,
, on trouve un point induré, jaune verdatre, sans ramollissement au
centre
, analogue en tout aux productions que nous rencon
cependant ces dernières sont un peu plus molles et comme ramollies au
centre
; mais nulle part il n'y a de vrais foyers. Les p
andes taches verdâtres, dont quelques-unes paraissent contenir à leur
centre
du pus rassemblé en foyer. Quelques gan-glions mé
glions mésentériques sont développés, et il en est qui contiennent au
centre
des dépôts analogues à ceux qui avaient été renco
ce dernier cas, quelques-uns de ces noyaux s'étaient ramollis à leur
centre
, transformé dès lors en une masse demi-liquide, d
d'aspect purulent, que renferment les cavités qui existent parfois au
centre
des caillots, n'est généralement pas du pus, au m
e sanguin dans la cavité même de l'al-véole. Mais souvent aussi, au
centre
des noyaux qui ont passé par celte deuxième phase
d'expériences près d'un bord de la table, et dans une autre série au
centre
de la planche. Dans le premier cas les deux pieds
8 personnes. Lévitations et gravitations de la table suspendue par le
centre
de sa planche, vues par 7 personnes, donnent lieu
es par le malade sur le trajet du doigt amputé et répercutées par les
centres
de la substance corticale, j'ai vu apparaître au
de la peau de l'avant-bras et qui représentent la mise en action des
centres
trophiques intracorticaux. CHRONIQUE ET CORRESP
nes du cerveau : léthargie, hypnose complète. 2° Activité isolée du
centre
du mouvement sub-cortical : position cataleptique
uvement sub-cortical : position cataleptique. 3° Activité isolée du
centre
visuel sub-cortical : imitation incons-cientedes
aleptiques et les hystériques anes-thésiques. 4° Activité isolée du
centre
auditif sub-cortical : répétition inconsciente de
nconsciente des mots, chez les cataleptiques. 5° Activité isolée du
centre
sensitif sub-cortical : mimique inconsciente des
lucinations psychiques, il s'agit dans ces dernières d'un trouble des
centres
moteurs de l'organisme de la parole. L'auteur a
uxquels elle transmet les impressions centripètes des nerfs, sont les
centres
inférieurs surtout; tant qu'elle réagit, immédiat
réagit, immédiatement, sous une excitation quelconque reportée de ces
centres
percepteurs aux nerfs moteurs, ainsi que cela a l
nguine, au péristaltisme des intestins, etc.,— qu'il n'y ait dans les
centres
qui agissent dans ce même système organique et au
ui admet le pouvoir modérateur du cerveau sur l'action réflective des
centres
de la moelle épinière, et de l'autre côté, elle c
s et par un mouvement centripète de cette force accourant de tous les
centres
et de tous les nerfs du corps, la même force, pou
mettant un défaut d'excitabilité des cellules de ce qu'on appelle les
centres
de coordination d'un ordre élevé. Ballet 36, 37
e de l'augmentation d'énergie potentielle, que doivent éprouver les
centres
moteurs, en raison de l'augmentation de l'afflux
uteur est tellement soumis à cette influence qu'il fait intervenir le
centre
d'aperception de Wundt. Le nouveau manuel de ps
utre, sur le contour d'un cercle tracé à la craie dont il occupait le
centre
, plusieurs personnes éveillées prises par lui au
iques de psycho-thérapie devront être fondées d'abord dans les grands
centres
où elles trouveront une alimentation suffisante d
ande prépondérance de la fonction de la moelle épinière en qualité de
centre
nerveux, au lieu de la subordination naturelle de
ans une petite bourgade, à Soursk, éloigné de pas mal de verstes d'un
centre
important. Son père appartenait déjà au clergé. I
logie où tout était à remanier ou à créer, savoir : la pathologie des
centres
nerveux. Cet enseignement offrait donc l'attrait
plus arides relatives à l'anatomie, la physiologie, la pathologie des
centres
nerveux. Doué d'une érudition étonnante, il sav
tous les phénomènes qu'on observe dans les différentes affections des
centres
nerveux. Par des artifices ingénieux, il amplif
s lésions, dont dépendent les symptômes. 11 fit de son laboratoire un
centre
de recherches où se sont formés un grand nombre d
THÉORIE HISTOLOGIQUE DU SOMMEIL Hypothèses sur la physiologie des
centres
nerveux. Par H. le professeur Matus-Duval (l).
tes conceptions sur le mode de fonctionnement intime des éléments des
centres
. Il est universellement admis aujourd'hui que les
de transformation de l'excitation sensitive en excitation motrice, le
centre
réflexe, en un mot, est représenté non par une
t ainsi, et comme il nous est permis d'étendre ces notions à tous les
centres
nerveux, nous pouvons aujourd'hui bien mieux comp
ser que non seulement les connexions des cellules nerveuses, dans les
centres
, sont de pure contiguïté, mais encore que cette c
de l'autonarcose est dans la sensibilité thermique périphérique : son
centre
est situé vers la partie antérieure de l'aqueduc
. Action psycho-mécanique associée à la suggestion. — Création d'un
centre
d'arrêt Par M. le docteur Edgar Bérillon Un d
psychologues le soin d'interpréter le mécanisme par lequel se crée !e
centre
d'arrêt qui permet au malade de trouver pour sa v
des muscles des membres inférieurs, inciiés à cette activité par les
centres
nerveux, ne reste pas sans effet sur les centres
tte activité par les centres nerveux, ne reste pas sans effet sur les
centres
eux-mêmes (encéphale et moelle), de même que sur
e qu'avec des souvenirs d'actions ou de réactions. Or, quels sont ces
centres
de souvenirs d'actions (sur nous) de réaction (de
dont le rôle est si prépondérant dans le phénomène de la pensée? — le
centre
de la mémoire-visuelle ; — le centre de la mémoir
le phénomène de la pensée? — le centre de la mémoire-visuelle ; — le
centre
de la mémoire auditive ; — le centre de la mémoir
re de la mémoire-visuelle ; — le centre de la mémoire auditive ; — le
centre
de la mémoire visuelle verbale; celui de la mémoi
ire visuelle verbale; celui de la mémoire auditive verbale; enfin les
centres
moteurs. Tous ces centres ont leur existence anat
i de la mémoire auditive verbale; enfin les centres moteurs. Tous ces
centres
ont leur existence anatomique démontrée : ainsi !
. Tous ces centres ont leur existence anatomique démontrée : ainsi !e
centre
de la représentation visuelle des mots du langage
pariétal inférieur, et dont la lésion entraîne la cécité verbale ; le
centre
de conservation des empreintes auditives verbales
ale gauche, dont la destruction entraine la surdité verbale; enfin le
centre
d'em-magasinement des mouvements d'articulation,
ernier, au niveau de la deuxième frontale gauche, existe un véritable
centre
de l'écriture, puisque sa destruction entraîne l'
nt amenés à voir l'établissement d'une communication cachée entre tel
centre
du sujet inducteur (celui qui transmet) et tel au
entre tel centre du sujet inducteur (celui qui transmet) et tel autre
centre
du sujet induit (celui auquel est transmis). No
ion: 1° Celles dans lesquelles la transmission se fait entre un des
centres
de l'inducteur et le centre identique du sujet in
les la transmission se fait entre un des centres de l'inducteur et le
centre
identique du sujet induit. — Inductions, transmis
ransmissions homogènes. 2° Celles qui comporte l'induction d'un des
centres
du sujet par un centre autre de l'inducteur. — In
2° Celles qui comporte l'induction d'un des centres du sujet par un
centre
autre de l'inducteur. — Inductions, transmissions
nsmissions homogènes ; elles consisteraient dans l'induction d'un des
centres
du sujet par un centre autre de l'inducteur ; exe
lles consisteraient dans l'induction d'un des centres du sujet par un
centre
autre de l'inducteur ; exemple: induction auditiv
c., etc. On peut imaginer ainsi toutes les combinaisons entre les
centres
; comme l'explique le tableau suivant dans lequel
e les centres ; comme l'explique le tableau suivant dans lequel les
centres
visuels seuls sont pris comme exemples d'inducteu
représentée par le mot vue mentalement par . . i) Voilà pour les
centres
visuels; on peut en faire autant pour les autres
ilà pour les centres visuels; on peut en faire autant pour les autres
centres
. Il est inutile de continuer ce jeu ; on peut s
admettons des transmissions homogènes généralisées : (un ensemble de
centres
inducteurs faisant vibrer l'ensemble identique de
ensemble de centres inducteurs faisant vibrer l'ensemble identique de
centres
du sujet induit), des transmissions allogènes gén
e sensation olfactive par exemple, est éveillée par une induction des
centres
généralement usités, ou par une induction d'un ce
induction des centres généralement usités, ou par une induction d'un
centre
similaire. Si j'ai quelque peu insisté sur la m
lez-vous une transmission visuelle, ne tendez pas, n'exoi-tez pas vos
centres
auditifs, ou ceux de votre sujet, mais recommande
a vôtre, car il est à supposer que les transmissions homogènes (entre
centres
identiques) doivent être plus fréquentes, plus fa
nt par un retentissement sur un autre identique, d'une vibration d'un
centre
donné (de même que la dernière des billes d'ivoir
l'influence de celui de la première) au moins supposera-t-on que les
centres
de réaction (centres moteurs) sont plus sujets, p
de la première) au moins supposera-t-on que les centres de réaction (
centres
moteurs) sont plus sujets, plus aptes à la transm
ntres moteurs) sont plus sujets, plus aptes à la transmission que les
centres
de réception (visuels et auditifs). De là une deu
ées psychologiques bien établies, chercheront la correspondance entre
centres
identiques (et ce sera vraisemblablement au début
e centres identiques (et ce sera vraisemblablement au début entre les
centres
moteurs); tiendront enfin un compte exactdela nat
ases du sommeil hypnotique. — Etat somnambu-lique. — Excitabilité des
centres
cérébro-moteurs ; 7° Suggestion. — Transfert. —
uvée par l'enfant pouvant avoir déterminé un certain trouble dans les
centres
nerveux, mais l'immobilisation prolongée (18 jour
Action psycho-mécanique associée à la suggestion. — Création d'un
centre
d'arrêt, par Bérillon, 306. Adolescent (le somm
religion, par F. Ke-gnault, 150. Hypothèses sur la physiologie des
centres
nerveux (Mathias. Duval), 240. Hystérie et de l
le. Les lésions de la zone motrice corticale limitées à un seul des
centres
moteurs de cette zone ou bien à deux centres vo
limitées à un seul des centres moteurs de cette zone ou bien à deux
centres
voisins ne sont en rapport constant avec leurs
avec leurs symptômes que s'il s'agit de lésions destructives de ces
centres
moteurs et de paralysies partielles consécutives.
tive, alors même que la lésion siège seulement dans le voisinage du
centre
moteur qui parait exclu- sivement intéressé et
ls y ajoutent encore celle-ci, c'est que les lésions destructives des
centres
moteurs entraînent des paralysies permanentes,
encore, nous l'avons vu plus haut, il n'est pas nécessaire que les
centres
moteurs soient directement intéressés. On peut
ue peut dépendre soit de l'hystérie, soit de lésions organiques des
centres
nerveux ou de lésions des nerfs périphériques.
porter, quand elles existent seules, à des lésions orga- niques des
centres
nerveux. Encore faut-il en être prévenu pour ne p
at- tache en général les contractures à des lésions irritatives des
centres
ner- veux, elle maintient les paralysies dans l
, des formes qui correspondent direc- tement aux lésions des divers
centres
moteurs. En nous bornant à la zone motrice, sui
rnant à la zone motrice, suivant que la lésion limitée atteindra un
centre
unique ou deux centres voisins, il y a lieu de
e, suivant que la lésion limitée atteindra un centre unique ou deux
centres
voisins, il y a lieu de décrire, après MM. Charco
que tendent en effet à distinguer dans l'écorce cérébrale autant de
centres
dif- férents qu'il y a de mémoires partielles p
, 5, 8 et 9. 42 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. gnée des
centres
nerveux, tel que la section du tendon d'Achille.
le trajet des nerfs optiques, de station en station, à travers les
centres
visuels infrà- corticaux ou basilaires, depuis
érer les tubercules quadrijumeaux et les couches optiques comme des
centres
visuels secondai- res de la base où viennent ab
vergences com- mencent dès qu'il s'agit de délimiter exactement les
centres
visuels de l'écorce cérébrale : Ferrier les loc
fort ne provoque pas le resserrement des vaisseaux ; il ex- cite le
centre
vaso-dilatateur général comme l'indique le pouls
ateur général comme l'indique le pouls radial. L'ex- citation de ce
centre
par le courant induit trop fort me fut parfaiteme
tendues. Chaque sensation désagréable et inattendue peut exciter le
centre
vaso-dilatateur général. Pour éviter ces contra
une ulcération terminale, à fond sanieux, et même gangreneux ; \ au
centre
on voit l'extrémité nécrosée de la' phalangette (
ue le traumatisme périphé- rique a donné naissance à une lésion des
centres
. Néanmoins, dans les névrites consécutives aux
e, à la façon de certains poisons, il agisse avec élection dans les
centres
nerveux sur tel système dif- érencié, en n'inté
on sait aujourd'hui que la syphilis peut donner naissance, dans les
centres
ner- veux, à des tumeurs gommeuses, à des lésio
sales comme un nodule embryon- naire avec la lumière du vaisseau au
centre
. Quant aux vaisseaux de calibre qui cheminent d
il est fréquent d'apercevoir la coupe transversale d'un vaisseau au
centre
des taches de ce genre qui occupent la commissu
r un espace clair rempli de granulations et montrent souvent à leur
centre
un débris de cylindre-axe atrophié, coloré en r
tres l'intégrité de leur acuité visuelle et la conservation de leur
centre
de vision binoculaire (PITRES) qui supplée il la
rt avec les lésions organiques et intra-crâniennes des nerfs ou des
centres
moteurs de l'oeil, on peut commencer par établir
e l'en- céphale (base du crâne, pédoncules, noyaux protubérantiels,
centres
sus- nucléaires et centres corticaux), il est i
âne, pédoncules, noyaux protubérantiels, centres sus- nucléaires et
centres
corticaux), il est indispensable de marquer la sé
fin, dans l'écorce cérébrale, existent vraisemblable- ment d'autres
centres
commandant aussi aux mouvements associés des yeux
taires. Pour les Italiens (Angelucci) et les Allemands (Knies), ces
centres
oculo-moteurs de l'écorce seraient intimement a
centres oculo-moteurs de l'écorce seraient intimement associés aux
centres
visuels corticaux ; si leur localisation reste
et prend part à la mimique faciale. Comme tel, on lui a assigné un
centre
volontaire cortical soit au voisinage du pli co
s larges, attei- gnant jusqu'à 25 ou 30 centimètres de diamètre. Le
centre
de ces plaques est rose pâle, légèrement dépigm
x- plication satisfaisante à l'autopsie ni dans l'envahissement des
centres
nerveux supérieurs, ni dans une thrombose ou em
es, ils figurent sur la coupe transversale de véritables nodules au
centre
desquels on voit géné- ralement la lumière du v
'auteur, son t grou- pés autour des vaisseaux qui forment autant de
centres
d'infiltration. Dans la substance grise, « le t
écrit les altérations des veines dans les lésions syphilitiques des
centres
nerveux. Il admet qu'il y a une relation intime e
a présence de gaines lymphatiques autour des vaisseaux sanguins des
centres
nerveux pourrait expliquer la fréquence des lés
e remarque pourrai I s'appliquer au sac lymphatique qui entoure les
centres
nerveux et qui n'est autre que la cavité, arach
l érysipèle de la région sacro-coccygienne. Autopsie. - Du côté des
centres
nerveux, pas d'altérations macroscopiques impor
embryonnaires, vivement teintés par l'hématoxy- line (fig. 18). Le
centre
du foyer est au contraire privé de vaisseaux : il
s éléments nobles du tissu ont tota- lement disparu. Tout a tait au
centre
, les cellules se colorent rnal : leurs noyaux p
el- (1) CHANCIT et GOMIIAULT. Sur un cas de lésions disséminées des
centres
nerveux chez une femme syphilitique, Archives d
conclure à la nature syphilitique des lésions rencontrées dans les
centres
nerveux de leur malade. (A suivre.) II. Lancr
muscles dé- pend évidemment d'un changement d'innervation dans les
centres
situés au-dessus des noyaux sous-corticaux. Le
ées de la syphilis peuvent se limiter aux enveloppes immédiates des
centres
nerveux, aussi bien dans la moelle que dans le
irgens (1) a l'ait remarquer il ce propos que la syphilis, dans les
centres
nerveux, paraissait suivre fréquemment une marc
ssement syphilitique du rectum. Les lésions rencontrées du côté des
centres
nerveux justifient le diagnostic de méningite cér
iques, avait émis l'opinion que les lésions syphilitiques, dans les
centres
nerveux, suivaient une marche descendante. Il sem
vropathe, et que l'apparition d'accidents syphilitiques du côté des
centres
nerveux paraît avoir été déterminée par un trau
même point de vue. Dans un important travail sur la syphi- lis des
centres
nerveux, Oppenheim (l)a émis cette opinion, très
commun. - Dans un récent travail deGajkiewicz(l)sur la syphilis des
centres
nerveux accompagné d'observations personnelles,
des jambes, et des engourdissements légers dans les ! 1) Syphilis des
centres
nerveux. Paris; Ballière 1892. DE LA MÉNINGO-MY
du virus syphilitique paraît s'exercer de très bonne heure sur les
centres
nerveux. Sans vouloir émettre autre chose qu'un
e celles qui précèdent dans certains cas les lésions organiques des
centres
nerveux. Jarisch et Finge n'ont-ils pas signalé
étudier. Admettre par exemple que toute altération syphilitique des
centres
nerveux est falalement limitée, circonscrite pa
long du nerf optique au tubercule antérieur du corps quadrijumeau,
centre
optique subcortical, ou au lobe occipital, cent
rps quadrijumeau, centre optique subcortical, ou au lobe occipital,
centre
cortical ; duquel de ces deux points passe-t-elle
nt par cette raison que la macula lutea d'un oeil est liée aux deux
centres
subcorbicaux (1Ve¡,- oiclie), et ainsi en excit
ux (1Ve¡,- oiclie), et ainsi en excitant une macule jaune, les deux
centres
se trouvent excités en même temps. Par suite le
marquer en outre un fait important : c'est que si nous procédons du
centre
à la périphérie de l'arc c'est-à-dire dans le sen
rés vers le dehors, et procédons à l'excitation delà rétine vers le
centre
. Nous voyons qu'à 87° la contracture bilatérale
ers MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES RÉFLEXES INTRAUYPNOTIQUES 317 le
centre
, à 70-68° l'hypertonie gauche se change en catale
e nous voyons à la moitié droite. La marche de l'excitation vers le
centre
ne change pas la contracture bilatérale déjà égal
moitié gauche du corps reste tout à fait flasque. En avançant vers le
centre
nous produisons à 52° une catalepsie tétanique
t correspondante ne s'a- joute qu'il 488°-50°. En procédant vers le
centre
, nous ne pouvons pas mo- difier la contracture
contracture bilatérale; mais si nous amenons la carte irritante du
centre
vers la périphérie, nous pouvons constater, qu'à
de la peau. 3-9 février.- La température du corps est normale. Au
centre
de la ré- gion atteinte par le processus phlegm
s morbides suivants : en deux endroits a) pustules avec eschares au
centre
; sur un troisième point, b) bulle ayant la for
tence de ces troubles et leur développement dans les affections des
centres
nerveux et des nerfs (Charcot) où se trouvent les
s chez les individus qui ne présentent à l'autopsie aucune lésion des
centres
nerveux, ou plutôt chez ceux où l'on ne découvre
s corps striés, les circonvolutions, la protubérance, le cervelet, le
centre
ovale, les pédoncules cérébelleux moyens, les péd
ment dans les corps striés ou les couches optiques, 50 fois ; dans le
centre
ovale, ou au voisinage des circoirvolutioiis ou d
en pressant le petit globe entre deux lames de verre, on reconnaît au
centre
un anévrysme semblable aux autres, mais rompu et
-chement de sang dans la gaine dilatée avec un anévrysme véritable au
centre
. Dans les cas où cette gaine s'est rompue, l'appa
hémisphère gauche un vaste épanchernent qui a labouré la substance du
centre
ovale et dilacéré le corps strié. Un épanchernent
s anévrysmes miliaires clans la protubérance, les circonvolutions, le
centre
ovale et fes couches optiques. Les artères de la
un vaste foyer d'hémorrhagie récente occupant fa presque totalité du
centre
ovale. L'examen des parois du foyer, fait par M.
u'au-dessous de la pie-mère. —On trouve un anévrysme miliaire dans le
centre
ovale de l'hémisphère gauche, un autre dans la pr
meurt le 16 août 1868. A Y autopsie, foyer d'hémorragie récente du
centre
ovale droit avec perforation dans le ventricule l
et dans l'hémisphère gauche, un vaste foyer récent qui a dilacéré le
centre
ovale et fait irruption dans le ventricule latéra
au du lobe occipital. On trouve quelques anévrysmes miliaires dans le
centre
ovale, dans la protubérance et dans les circonvol
foyers d'hémorrhagie récente, l'une dans le cervelet, l'autre dans le
centre
ovale de l'hémisphère gauche. Ce dernier a fait i
ortement athéromateuse ; et, en rapport avec elle, on trouve clans le
centre
ovale du côté droit un foyer d'infiltration cellu
tobre 1866. On trouva à Yautopsie une cicatrice linéaire ocreuse du
centre
ovale. Pas d'anévrysmes miliaires des circonvolut
s de la couche optique. On trouve de plus un ramollissement récent du
centre
ovale du côté droit, en rapport avec une obstruct
ui d'un grain de millet. On trouve un foyer de ramollissement dans le
centre
ovale, des cicatrices ocreuses dans un corps stri
rysmes miliaires ont été vus en coïncidence avec d'autres lésions des
centres
nerveux. Ainsi, dans un cas recueilli par M. Liou
s que sur un point quelconque des parties médianes, mais bien vers le
centre
de la région fessière, et, en règle générale, exc
centimètres ou même plus, s'est développée aux dépens du derme, au
centre
de la partie dénudée, dans le lieu même où exista
ssement. Obs. I. Iung, 76 ans. — Ramollissement blanc peu étendu du
centre
ovale de l'hémisphère droit ; pas d'oblitération
Obs. V. Morlet, 81 ans. —Ramollissement blanc du corps strié et du
centre
ovale, coté gauche. Thrombose Sylvienne, sans ath
Obs. VII. Ilayaert, 74 ans. — Ramollissement blanc. Corps strié et
centre
ovate. — Thrombose sylvienne, athérome. Début a
. T. R. 39°, 2/5. Obs. VIII. Dubois 70 ans. — Ramollissement blanc,
centre
ovale droit. Début le 22 mars 1867, sans état a
T R. 40°, 2/5. Obs. XVIII. Combe, 72 ans. — Ramollissement blanc du
centre
ovale gauche et des circonvolutions du lobe parié
Obs. XXI. — Foureau, 72 ans. — Ramollissement blanc très limité du
centre
ovale. Thrombose sylvienne et athérome. Début l
ar exemple, étant excité, il y a un double mouvement: l'un qui va aux
centres
et qui est perçu, l'autre allant à la périphérie,
qui ne tardait pas à s'organiser et à former une espèce de kyste, au
centre
duquel était déposée une matière variable par l'a
t ancienne, adhérant fortement à la dure-mère, très peu épaisse à son
centre
et ayant sur ses bords environ 2 millimètres d'ép
considérer comme complètement erroné ce point de physiologie, que le
centre
cérébral qui préside aux mouvements de coordinati
re violacée, de consistance assez friable, finement vascularisée ; au
centre
, le tissu de la tumeur est de couleur jaune, plus
he. — Ramollissement blanc, violacé, occupant la substance blanche du
centre
ovale et ayant envahi, la presque totalité du lob
s dans l'ordre suivant : bleu, jaune, orangé, rouge, vert, violet (au
centre
). Or, chez les hystériques amblyopiques, le champ
s aussi bien du côté droit que du côté gauche, elles disparaissent du
centre
â la périphérie, le violet d'abord, le bleu en de
rception. Le phénomène commence par l'apparition d'un point gris au
centre
de la couleur dont le malade va perdre la notion.
e ; le tableau de leur champ visuel présente donc de la périphérie au
centre
les couleurs dans l'ordre suivant: rouge, jaune,
let. C'est un fait constant que le violet et le vert sont toujours au
centre
, et ont toujours le champ visuel le moins étendu.
précise en raison de l'excitabilité variable de diverses parties des
centres
nerveux. Sous ce rapport, l'axe médullaire peut ê
qui en est la conséquence tend à se propager dans toute l'étendue des
centres
et la contraction réflexe, de même que la contrac
lieu à un mouvement réflexe, indice que l'impression est perçue parle
centre
nerveux. Alors on retire l'objet qui sert à maint
ns a sa raison d'être dans une modification spéciale de l'activité du
centre
nerveux; c) La voie centripète de l'arc réflexe
s, une sorte d'action d'arrêt qui détruit la modification spéciale du
centre
nerveux premièrement produite et en vertu de laqu
latente, voy. p. 383) ne peuvent s'expliquer qu'en faisant jouer aux
centres
nerveux un rôle important, et jettent ainsi sur l
re a sa raison d'être dans une modification spéciale de l'activité du
centre
nerveux. Un phénomène réflexe normal exige, pou
° le chemin d'arrivée ou nerfs sensififs; 2° le lieu de réception, ou
centre
nerveux; 3° le chemin de retour ou nerfs moteurs.
les ne permettent plus à l'impression sen-sitive de pénétrer jusqu'au
centre
et les réflexes sont abolis le plus souvent. Dans
es sont abolis le plus souvent. Dans la paralysie infantile, c'est le
centre
nerveux lui-même qui est atteint. Les cellules mo
on des réflexes. Dans le strychnisme, au contraire, l'excitabilité du
centre
moteur est exaltée; d'où il suit que les réflexes
ase désignée sous le nom de léthargie, il semble se passer du côté du
centre
médullaire quelque chose d'analogue à ce qui a li
s sont nombreuses qui font penser à une modification fonctionnelle du
centre
nerveux lui-même, modification dynamique qui, dan
citabilité neuro-musculaire dépend d'une exagération fonctionnelle du
centre
médullaire, les agents qui ont pour propriété de
agents qui ont pour propriété de faire disparaître l'excitabilité du
centre
nerveux doivent nécessairement le faire disparaît
sensitifs par l'intermédiaire desquels l'excitation est transmise au
centre
médullaire d'où elle est réfléchie par la voie de
s exclusivement aux muscles et aux nerfs, mais qu'il s'étend jusqu'au
centre
cérébral lui-même, du moins en ce qui concerne le
5, tant, comment il se fait que le courant galvanique agisse sur le
centre
nerveux, au travers des parois du crâne, non plus
s automatiques développés sous l'influence de l'excitation portée aux
centres
nerveux par la voie du sens musculaire sont jusqu
demande à être prolongée pendant quelques instants pour réagir sur le
centre
nerveux. Au début de l'excitation aucun mouvement
pour marquer son empreinte sur le cerveau et réveiller l'activité des
centres
automatiques. L'intérêt capital dés faits que n
t là un phénomène d'éducation, de mémoire, dont une participation des
centres
nerveux peut seule rendre comple. Ces contractu
et c'est, par conséquent, ainsi que nous l'avons déjà prévu, dans le
centre
spinal qu'il faut aller chercher son point de dép
s, on comprend la participation nécessaire des antagonistes, dont les
centres
spinaux sont liés pliysiologiquement, et aussi la
xe, prédominante, qui fait reparaître l'excitabilité normale dans les
centres
moteurs centraux, et en conséquence, dans les fib
it, nous savons déjà que dans certaines lésions des nerfs ou de leurs
centres
trophiques, le courant galvanique provoque la con
hyperexcitabilité neuro-musculaire comme un phénomène réflexe dont le
centre
est dans la moelle ou cerveau et dont le point de
re réflexe'del'—, p. 407; — sa raison d'être dans une modification du
centre
nerveux, p. 411; — expériences, p. 417; — est-ce
embre dépende de certaines modifications dans ses rapports avec les
centres
de coordination médullaire, et non pas de la ru
tricker's /t0) : d& : <c't, 1872. Huguenin,A ? ta<OMM des
centres
nerveux, trad. de Keller. Paris, 4879. - Charco
tiioubles DE la SENSIBILITÉ D1NS leurs rapports avec les lésions du
centre
ovale ou DE l'écorce cérébrale. Flou- rens, Rec
ibilité dans le côté du corps opposé. Ce qui revient à dire que les
centres
percep- teurs sont situés au-dessus du point lé
ion sérieuse. Si la protubérance est àbon droit considérée comme un
centre
réflexe, nul ne songe plus à y placer le siège
chrôder van der Kolk, Todd, Carpenter) n'autorise à y localiser les
centres
de perception. Les noyaux qu'on y a minu- tieus
nte. 11 semble que ce noyau gris soit pour' ces fibres une sorte de
centre
de relai. C'est un point d'ailleurs sur lequel
e de déterminer la direction des certains groupes de fibres dans le
centre
ovale. M. Brissaud est le premier, croyons-nous,
emaines. dans le bichromate en solution concentrée, la substance du
centre
ovale qui, à la coupe, est uniformément blanche
'on a affaire à de la substance grise plus ou moins diffuse dans le
centre
ovale, invisible à l'état frais, mais devenue a
tie pariéto-occipitale et, probablement, tem- poro-spliéiioïdale du
centre
ovale. (Fzj. 2.) S'il est difficile de détermin
nante (tiers postérieur de la capsule in- terne) ; 2° des fibres du
centre
ovale, qui s.ont comme l'épa- nouissement de la
e pour léser toutes les fibres, ou ce qui revient au même, tous les
centres
percepteurs d'un même hémisphère, ou, suivant q
normaux de continuité entre les conducteurs de la périphérie et les
centres
de perception. Il sera tout exceptionnel, au co
est d'autres qui se limitent à une partie du système : des abcès du
centre
ovale, des foyers de ramollissement, des tumeur
sé aux perceptions : ou bien il existe dans la substance grise, des
centres
corticaux isolés, destinés chacun à recevoir un
borer une sensation spéciale. (Dans cette hypothèse, il y aurait un
centre
pour la 78 REVUE CRITIQUE. sensibilité tactil
nous avons essayé de déterminer les limites, n'est pas divisible en
centres
distincts et isolés, dont la destruction abou-
ressions émanées des sens spéciaux, que pour empêcher l'arrivée aux
centres
des impressions tactiles. L'hypothèse que nous
troubles de la sensibilité dans leurs rapports avec les lésions du
centre
ovale et de l'écorce cérébrale. Cette question
les résultats de leurs expériences, qu'il existe dans l'écorce des
centres
isolés affectés à la per- ception des diverses
s on y cherche vainement des arguments en faveur de l'existence des
centres
sensitifs corti- caux. Ni Ferrier, ni Nothnagel
'ont pu produire de cas déci- sifs qui démontrent la réalité de ces
centres
, admis sur la foi des résultats expérimentaux.
vrai, a cru trouver la démonstration de ses idées sur le siège des
centres
supposés de la vue et de l'ouïe ; dans les fait
ychique, cela ne démontre en aucune façon que le point lésé soit un
centre
de perception pour les impressions auditives, c
entre de perception pour les impressions auditives, c'est-à-dire un
centre
sensitif, mais simplement qu'il sert à l'élabor
opsie, ne prouvent nullement, à notre avis du moins, l'existence de
centres
auditifs ou visuels dans les points indiqués pa
raissent très propres à établir que le pli courbe n'est pas plus le
centre
de la vue, que le tiers postérieur des tempo- r
centre de la vue, que le tiers postérieur des tempo- rales n'est le
centre
de l'ouïe, puisque dans tous ces faits on a pos
e de ces dernières. On ne saurait dès lors admettre l'existence des
centres
sensitif ? tels que Ferrier les conçoit, l'abol
a fonction devant être la conséquence obligée de la destruction des
centres
préposés à cette fonction, si centres il y a.
obligée de la destruction des centres préposés à cette fonction, si
centres
il y a. Les conclusions qui précèdent s'appliqu
admis que les parties motrices de l'écorce sont en môme temps des
centres
destinés à percevoir les impressions émanées' d
, de pyohémie et de scarlatine, a constaté des altérations de ces
centres
, et principalement dans les cellules pyramidales
de la théorie de la suppléance pour le langage, car il n'y a qu'un
centre
et non deux pour le langage. Par conséquent il
pas étonnant qu'un moyen qui prive complètement et brusquement les
centres
nerveux de leur ir- ritant accoutumé puisse ent
l'ac- tion de la morphine une action tonique et trophique sur les
centres
nerveux, et il calme les troubles gastriques. Le
95 cas), elles sont anatomiquement constituées par l'hypérémie des
centres
, ou la méningite. Celle-ci est, soit purulente
rés momentanément par la faiblesse du coeur (hypérémie stasique des
centres
nerveux); ou bien du délire avec agitation, soi
raux, épileptiques; il existe en outre un baraquement-hôpital. Au
centre
, entre les deux divisions, sont situés les bâtime
ies de communication couvertes. Chacune des constructions occupe le
centre
de cours qui les desservent, cours par lesquell
ium. D'où un effet hypno- tique pur et un effet calmant; 2° sur les
centres
moteurs; 3" sur les nerfs moteurs et sensitifs.
Le professeur Chirone affirme que l'écorce cérébrale n'est pas le
centre
indispensable des mouvements épileptiques, ainsi
ale, souvent aussi elle est due à l'excitation d'autres régions des
centres
nerveux, telles que la moelle al- longée. P. M.
rs dans le diagnostic des affections mentales. P. M. XVII. SUR LE
centre
cortical DE L'IRIS chez LES oiseaux ; par OELH.
les tensions centrales qu'il s'en fait une irradiation sur d'autres
centres
; l'angoisse se complique alors de décharges mot
es poses pénibles. La stupeur pure relèverait d'une suractivité des
centres
d'adaptation sous-corticaux, l'équilibre étant
e du noyau lenticulaire. (Analyse, t. lit, p. 346.) La question des
centres
corticaux moteurs. M. SCHLANCENHAUSEN. Contribu
n temps variable, mais toujours plus long après les actions sur les
centres
cérébro-spinaux. La fréquence des modifications
ultés, le médecin est actuellement conduit à placer, sinon dans les
centres
nerveux, que la conser- vation de la connaissan
r les altérations vasculaires capables de modifier l'irrigation des
centres
nerveux. Dans l'état actuel de nos connaissance
trouble fonctionnel ou circula- toire de cette membrane, et même du
centre
optique ; car ces troubles de la vision s'obser
s faut signaler un travail méritant de Duret sur la circulation des
centres
nerveux, et en extraire ce qu'il dit sur la vas
e qui leur fait sup- poser une excitation, d'une certaine durée, du
centre
spinal, ' R. V. XXIV. Aphasie traumatique ; p
epsie crée une condition particulière du système nerveux (epilectic
centre
), une habi- tude épileptique que l'on peut évit
nt aux rapports qui existent entre le corps et l'esprit, tous les
centres
corticaux doivent être capables d'agir ensemble,
s mutuels des idées. Suppo- sons maintenant que quelques-uns de ces
centres
soient dis- sociés, ou que, par malformation co
ttention consiste en un pro- cessus d'inhibition s'exerçant sur les
centres
corticaux (ana- logue à celui qui gouverne les
- cérébrale affecte dans une mesure plus ou moins considérable les
centres
cérébraux les plus élevés et ceux qui sont le siè
paralysie générale sont liées d'une façon intime à des lésions des
centres
sensoriels corticaux du cerveau. Lorsqu'on étud
faire prévoir la théorie suivant laquelle il constituerait le seul
centre
cortical de la vue ; on peut en dire autant de
irconvolution temporo-sphénoïdale, si on la considère comme le seul
centre
cortical de l'audition dans les cas où il exist
convolutions constitueraient ou contien- draient respectivement les
centres
corticaux uniques de la vision et de l'audition
ris, 1882. Des diverses hémorrhagies consécutives aux lésions des
centres
? le ? ,- veux; par Langlois. Thèse de Paris, 1
s de la guerre de 1870-11, par Schwaab et Frmhlich, ! 33. Iris (
centre
cortical de 1') chez les oiseaux, par 0);lt, 22
éir passivement aux ordres qui leur sont donnés et transmis par les
centres
et les conducteurs nerveux ; les organes nerveu
actions volontaires ne sont pas abolies, une éducation nouvelle des
centres
altérés peut rétablir l'équilibre de ces contra
ucation motrice. Remarquons qu'il peut s'appliquer aussi bien aux
centres
supérieurs qui commandent le mouvement qu'aux c
si bien aux centres supérieurs qui commandent le mouvement qu'aux
centres
inférieurs qui en règlent le mécanisme. Il en e
on action déficiente ; d'autre part, si les fonctions dépendant des
centres
nerveux moteurs présentent normale- ment des lo
pas qu'elles soient les seules susceptibles de l'acquérir : que ce
centre
nerveux vienne à être détruit, ou que ses con-
ents 56 THÉRAPEUTIQUE. volontaires est un bon moyen d'activer les
centres
moteurs ou de les suppléer et de réveiller, tan
e font qu'obéir passivement aux ordres qui leur sont donnés par les
centres
nerveux et transmis par les nerfs. Enfin, la se
, la sensibilité sous ses divers modes influence à tout instant les
centres
nerveux et les muscles, et assure d'autre part
les ; ils ne représentent néanmoins encore que des réflexes dont le
centre
est dans la moelle. Plus tard, au contraire, l'
rones inférieurs sont en jeu : dans le second, c'est l'action des
centres
supérieurs qui est altérée ou perdue, et si l'exe
norons pas qu'ii faut tenir compte de l'action d'un grand nombre de
centres
, médullaires, bulbo-protubérantiels, cérébelleu
s : la possi- LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 63 I)iliLé de voir certains
centres
acquérir des fonctions norma- lement dévolues à
her, s'il n'était familier avec les conditions de l'équilibre, le
centre
de gravité du corps humain et de ses divers segme
sensibilité et compter d'autre part sur l'action compensatrice des
centres
corticaux volontaires. Si nous sommes jusqu'ici
s derniers semble préétablie chez l'enfant et dépend sans doute des
centres
nerveux inférieurs ; au contraire, la coor- din
r adaptation à un but déterminé exige ou a exigé l'intervention des
centres
cérébraux conscients. Or, associations et coord
ns profond de cette dénutrition qui tendrait peu à peu à altérer du
centre
à la périphérie toutes les parties du système n
e biolo- gique rudimentaire, indépendamment dn fonctionnement des
centres
nerveux supérieurs et d'autre part, l'incompatibi
nkyloses con- génitales par aligamnios, ou par lésions acquises des
centres
ner- veux : la musculature, les sensibilités et
unication lue par M. Marie au sujet de plusieurs cas de lésions des
centres
nerveux manifestement indemnes de syphilis et p
ux). Les nerfs de la langue. Questions restées dans l'urne : 10 Les
centres
corticaux; 2° Le neurone. Deuxième épreuve ÉCRI
e; cette dernière est une tendance à l'acte, un ordre donné par les
centres
moteurs en état d'éréthisme, mais sans pour cel
mpulsion décomposées par l'analyse com- prennent deux éléments : un
centre
entrant tout à coup en fonction, isolément, san
e phénomène qui s'impose (Magnan). Il y a rupture de l'harmonie des
centres
cérébraux et exubérance d'un cer- tain nombre d
dernier lieu soulagement à la suite de la satisfac- tion donnée au
centre
en état d'éréthisme. Mais dans cet enchaînement
e bien supérieure, force due à l'exa- aération d'un ou de plusieurs
centres
psychiques en état d'éréthisme. La série des
-myélite aiguë entraine M. Goldflam à localiser la maladie dans les
centres
corticaux moteurs. Si le foyer purement mental du
plusieurs reprises des impulsions volontaires. Il y a donc dans ces
centres
une modification, anato- miquement insaisissabl
he du trijumpeau qui a ici une susceptibilité anormale, vers divers
centres
bulbaires, par exemple vers le .centre modérate
bulbaires, par exemple vers le .centre modérateur du coeur, vers le
centre
vaso- moteur etc. L'anémie cérébrale en résulte
ladie dont le sujet présentait exactement les signes, mais dont les
centres
nerveux ne portent aucune lésion. Il s'agit d'u
nt donnée la suppléance possible entre l'écorce, le cervelet et les
centres
labyrinthiques. Sur un cas de paralysie alterne
porte à croire qu'elle répond à une lésion locale du nerf ou des
centres
correspondants. Autant de malades, autant de de
rapidité 240 0 CLINIQUE NERVEUSE. jusqu'au tronc principal et aux
centres
. Dans presque tous les cas le paroxysme doulour
Schaeffer et de Cabienshy. P. KERAVAL. XIX. De la localisation des
centres
du goût dans l'écorce du cerveau ; par Ia.-P. G
i* évidemment, peut indiquer l'existence dans l'écorce cérébrale de
centres
séparés indépendants affectés aux principales s
ératoires s'opposent à la fixation exacte de la localisation de ces
centres
. On est simplement en droit de supposer que la sy
le plus voisin de l'ectosylvienne antérieure, contient surtout les
centres
de l'amer et du salé, que l'ectosyl- REVUE d'aN
e approximativement à la partie moyenne de cette circonvolution. Le
centre
de l'acide serait localisé à la portion inférie
ctosylvienne antérieure, celui du sucré à sa partie supérieure : le
centre
de la sensibilité tactile de la langue occupera
n des lèvres du côté opposé. Peut-être s'agit-il de l'excitation du
centre
du facial que l'on suppose loca- lisé en ce poi
le facial; 3° que dans la paralysie pseudo-bulbaire les réflexes à
centre
bul- baire sont exagérés (Revue neurologique, s
it que, dans ces cas, la cause delà dépression est l'action sur les
centres
nerveux de la toxine ou d'une des toxines du ba
évoluent pour leur propre compte et sont soustraits à l'action dktu
centre
coordinateur 'régulateur. Le rythme et la pério
édant périodiquement et SOCIÉTÉS savantes. 291 rythmiquement. Les
centres
supérieurs auraient un rôle de coor- dinateur p
e que la perception auditive verbale, non seulement l'excitation du
centre
auditif commun, mais celle du centre auditif ve
non seulement l'excitation du centre auditif commun, mais celle du
centre
auditif verbal. Or la fonction du langage est u
'unilatéralité d'une hallucination verbale avec son origine dans un
centre
indifférent à la provenance des sons ? Que les
s hallucinations verbales soient unilatérales ou bilaté- rales, les
centres
corticaux enjeu sont les mêmes et la localisation
oue pas le rôle d'un simple stimu- lus anatomique venant exciter le
centre
sensoriel correspondant. Il donne une direction
nt associés plus ou moins indissolu- blement, l'entrée en action du
centre
génito-spinal réalise un syn- drome épileptogèn
t l'orgasme vénérien. Dans d'autres cas qui sont la règle, c'est le
centre
vésico-spiual qui s'associe au phéno- mène conv
s, mais un relâchement sphinctérien par action nerveuse centrale du
centre
correspondant. Un phénomène analogue se produis
u centre correspondant. Un phénomène analogue se produisant dans le
centre
voisin de Budge, amènerait l'expulsion du sperm
l semble que l'image motrice sexuelle mette en action de nom- breux
centres
nerveux, dont chacun apporterait ses éléments à
Le foyer- morbide, probablement, était localisé dans la région des
centres
. moteurs de l'écoree de l'hémisphère droite; ma
oies naturelles, au moyen de « l'acte spécifique u, reflue vers les
centres
nerveux supérieurs et se crée des voies de déri
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVI. Recherches sur les
centres
spinaux des muscles de la jambe; par le DTAMUON
tie la plus antérieure du groupement primaire postero-interne. Le
centre
du fléchisseur superficiel apparait lui aussi dan
rait lui aussi dans la moitié inférieure du 4° segment lombaire; le
centre
du fléchisseur pro- fond occupe la place qui re
ond occupe la place qui reste en dehors du précédent, en arrière du
centre
des jumeaux. En ce qui concerne les muscles de la
de la moitié supérieure du 4° segment lombaire que serait situé le
centre
du jambier antérieur : immédiatement en arrière
arrière de lui se trouve le Centre des extenseurs des orteils. Les
centres
des péroniens seraient situé à un niveau un peu
cles de la jambe de l'homme. G. D. XXVII. Sur la localisation des
centres
moteurs. du biceps crural, du demi-tendineux et
les cas publiés jusqu'à présent dans le but de préciser le siège du
centre
ou plutôt des centres vaso-moteurs cérébraux :
'à présent dans le but de préciser le siège du centre ou plutôt des
centres
vaso-moteurs cérébraux : en les examinant, on e
r que le corps strié et surtout la tète du noyau caudé contient des
centres
vaso-moteurs. (Revue neurologique, oct. 1902). E.
cessus psychiques les plus importants se passent au niveau du grand
centre
d'asso- ciation postérieur : le nouveau procédé
tre, chiffres en main, que, tout au moins dans la démence, le grand
centre
d'association postérieur, s'atrophie par rappor
le grand centre d'association postérieur, s'atrophie par rapport au
centre
antérieur (Revue neurologique, mai 1902). E. B.
au deuxième degré, lacune vraie c'est-à-dire cavité contenant à son
centre
un vaisseau altéré dans ses parois mais toujour
esprits ouverts à l'évidence. A l'asile de Sainte-Anne, qui est le
centre
de répartition des malades des divers asiles de P
nctions d'autant plus élevées qu'ils se rap- prochent de l'écorce :
centres
médullaires, centres bulbo-protubé- rantiels, c
élevées qu'ils se rap- prochent de l'écorce : centres médullaires,
centres
bulbo-protubé- rantiels, centres opto-striés, c
de l'écorce : centres médullaires, centres bulbo-protubé- rantiels,
centres
opto-striés, cérébelleux et corticaux. Le faiscea
cérébelleux et corticaux. Le faisceau sensitif parcourant tous ces
centres
leur apporte à chacun des apports sensitifs de
ports sensitifs de la périphérie des renseignements auxquels chaque
centre
répond et dans la mesure de son rôle. Si tout a
urone du faisceau sensitif, comme c'estle cas, parle bain, aucundes
centres
coordinateursncse trouve renseigné des exigence
apport sensitif peut encore affluer de la périphérie sur les divers
centres
coordinateurs et l'ataxie est nécessairement mo
nents auxquels on doit d'avoir fait de l'Université de Bordeaux un
centre
scientifique des plus importants au point de vue
ndineux. Les muscles sont séparés par la section médullaire de leur
centre
tonique cérébral, d'où paralysie flasque, tansd
est probable qu'il s'agit de certaines altérations pathologiques du
centre
irien ou de la branche centrifuge de l'arc réfl
vie mentale. I. En effet, la vie végétative.régit la nutrition des
centres
nerveux supérieurs tout aussi bien que celle de
emble de troubles vaso-moteurs et trophiques dus l'alté- ration des
centres
nerveux. Cet oedème précoce montre une défailla
tente du système nerveux et traduit l'action de l'infection sur les
centres
vaso-moteurs, qu'elle se fasse sentir dans les
oint de départ de la vaso-paralysie est dans l'écorce au niv au des
centres
moteurs des membres. La physiologie n'y contred
bres. La physiologie n'y contredit pas ; on sait, en effet, que les
centres
moteurs des membres sont susceptibles d'influen
dans son entier, le système vaso-moteur est d'abord altéré dans ses
centres
les plus fragiles; de même que dans le système
technique de la coloration des - , par Ueiscliowky et Plien, 93.
Centres
spinaux, Recherches sur les des muscles de la j
lle épinière, par Soukliariolï, 154. Goût. De la localisation des
centres
dndans l'écorce du cerveau. llar Gorschhow, 2
. Mimique. La-, par Cuyer. Moelle épinière. Voir Golgi. -, Voir
Centres
moteurs. -. Voir Queue de cheval. Mo) ! )'mr&
ations pseudo-membraneuses ; et de cette façon, une compression des
centres
moteurs. Mais bien que la pachyméningite puisse
des cellules des cornes antérieures sont indemnes, qu'il existe des
centres
trophiques dans l'écorce (Quincke Hirt Eisenloh
vements aux membres paralysés. On éduque, ou plutôt on rééduque les
centres
cérébraux moteurs lésés, ou du moins on réincit
ns le chiasma et la bandelette. Le faisceau entre- croisé occupe le
centre
du nerf optique, et, dans la bandelette, la par
nt au début sur une portion limitée du corps de la cellule, soit au
centre
(tuméfaction homogène), la périphérie restant n
gle ou d'une plume, 'on touche la peau et la muqueuse de l'anus. Le
centre
de ce réflexe est la troisième ou 108 REVUE D'A
lexe anal émane de la quatrième paire radiculaire sacrée, et de son
centre
qui siège un peu au-dessus d'elle, c'est-à-dire
c'est-à-dire au niveau de la troisième paire de racines sacrées. Le
centre
réflexe anal occupe en réalité le milieu des te
des territoires du renflement lombaire qui renferment une série de
centres
de réflexes des organes du bassin ; il est situé
les racines des paires cervicales postérieures; plus haut, vers les
centres
, la substance gélatineuse est encore le centre
plus haut, vers les centres, la substance gélatineuse est encore le
centre
de formation des fibres de la racine ascendante
en, Landois, Noiszewski). Toute'image tombant sur la rétine a son
centre
sur la macula lutea. Tout mouvement de la tête
uvement de la tête produit' une nouvelle image déterminant un autre
centre
. Le premier centre est contigu à la ligne de dé
produit' une nouvelle image déterminant un autre centre. Le premier
centre
est contigu à la ligne de démarcation de la sec
forma en une hémiopie bilatérale incomplète, que l'on put suivre du
centre
à la périphérie dans les moitiés droites et gauch
piétant sur le lobe temporal; il y croirait plutôt qu'à un foyer du
centre
ovale partant du centre optique du lobe occipit
oral; il y croirait plutôt qu'à un foyer du centre ovale partant du
centre
optique du lobe occipital et intéressant les fi
u nerf lésé contient, sur tout le trajet depuis l'en- trée dans les
centres
nerveux, jusqu'au noyau beaucoup de masses noir
queraient par les lésions consécutives des éléments cellulaires des
centres
nerveux. On pourrait invoquer ces mêmes lésions p
ques aux diverses régions du cerveau, peuvent être envisagées comme
centres
primaires des fibres optiques. Toutes les expér
ire commun. Les observations sur le rapport des fibres optiques aux
centres
primaires aboutirent aux résultats suivants : che
ès les observations de M. le Dr PRIBYTFOV il existe, .hors ces deux
centres
, un troisième situé entre la substantia nigra et
us ». Le pulvinar et le thalamus opticus en général ne sont pas des
centres
optiques. Discussion : M. le Dr DARKSCHEViTSCH
'ablation de zones mo- trices. Les expériences avec l'ablation d'un
centre
moteur quel- conque ont été faites sur des chie
ait être envisagée comme résultat d'excitation par voie réflexe des
centres
vaso-moteurs des muscles.. II). MM. les Drs L.
nt le front regarde le petit bois. Le plus court côté est occupé au
centre
par les bâtiments d'administration. Ces bâtiments
es des cornes antérieures de substance grise de la moelle épinière,
centres
trophiques.des muscles. Du moins est-il probabl
alisation de l'atrophie dans certains muscles cor- respondant à des
centres
spinaux déterminés (groupe d'Erb), sa fréquente
es. - Si l'origine de la myopathie ne peut être recherchée dans les
centres
, il nous reste à savoir quels sont les organes
ibuts qui les rendent visibles elles pro- lifèrent, constituent des
centres
d'attraction pour le proto- plasma transformé.
les réflexes aussi. C'est une émotive, et une épuisée dont tous les
centres
ner- veux sont en état de souffrance. Un traite
riculaires au point de vue de la localisation de la lésion dans les
centres
nerveux. Observation CCCLIII. (Résumé.) F. Mo..
i ont cherché à expliquer l'amblyopie hystérique par l'hypothèse de
centres
distincts pour la vision monoculaire et binocul
inhérente aux cellules et aux fibres de ce système, et comme des
centres
d'ordre plus élevé se développent successivement,
ille, un acte de volition stimule l'activité fonctionnelle dans les
centres
moteurs et produit des mouvements prédéterminés.
t établie d'une façon satisfaisante, la réexcitation des séries des
centres
nerveux qui y concourent devient aisée et la répé
hacun des muscles, mais il est très probable, que, chez l'homme, le
centre
de l'accommodation et des mouvements de l'iris ré
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 269 En somme, le clou entré au niveau du
centre
moteur de la jambe, avait probablement lésé sur
ur de la jambe, avait probablement lésé sur un point sous-jacent le
centre
moteur du bras et et de l'épaule. Une questio
t en rétrocédant du reste, se rattachent à des lésions occupant les
centres
nerveux. L'amblyopie chronique de l'hystérie ou
des éléments chimiques de l'urine a provoqué des troubles dans les
centres
coordinateurs. C'est l'histoire de la chorée rh
lets nerveux; le bourgeon osseux hyperplasié se prolongeait vers le
centre
jusque dans le ganglion spiral (d'où la surdité
ons. Il est évident qu'il y avait par suite trouble fonctionnel des
centres
moteurs, le sentiment en modifiant l'activité.
oit non seulement les faisceaux et leurs émanations avec les divers
centres
microsco- piques, mais aussi deux coupes transv
la face. M. KnOEPEUK. De l'action de quelques médicaments sur les
centres
nerveux. Etudiant les effets de ces médicaments s
ccidents paralytiques. Suivant toute appa- rence, il gêne un peu le
centre
générateur des mouvements, mais active la contr
e d'un coryza, amenant la mort en quelques heures par paralysie des
centres
respiratoires. - L'autre observation con- cerne
" session. 28G SOCIÉTÉS SAVANTES. S'il est possible dans un petit
centre
de réunir en un même asile, sous une même direc
trop grande extension de l'opération et à la basse organisation des
centres
thermotaxi- ques, étant incapables de résister
quet (1,500 fr.). MM. Deuierre et Doumer : Album stéréoscopique des
centres
nerveux. Prix Adrien Buisson (10,500 fr.). 4,50
t très peu prononcée. Une lésion organique de "l'écorce du cerveau (
centre
du bras) est encore plus improbable 'parce que
suivants : Paralysie complète des mouvements, dont l'épaule est le
centre
; paralysie incomplète des mouvements d'extensio
idérations une base anatomique, rechercher l'état des rachis et des
centres
ner- veux ; des circonstances particulières nou
ue du champ visuel pour lacouleur blanche (voir fig. 49 et 50). Les
centres
visuels des autres couleurs ne pouvaient être d
'une 376 () REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. seule et même lésion des
centres
idéo-moteurs. (Annules médico- psychologiques,
une suractivité céré- brale extrême, c'est l'exaltation de tous les
centres
corticaux, y compris ceux de la zone psycho-mol
ar une rare excep- tion, et ne relevant pas d'une lésion connue des
centres
ner- veux=. Une se fait pas d'illusions «sur la
utérus à travers le corps, ses altérations, ses douleurs ont été le
centre
autour duquel gravitaient tous les autres symp-
vaient être expliqués par aucune lésion grossière et déterminée des
centres
nerveux. Dans ses leçons de 18811-1885, il a ex
c de changer de point de vue et de prendre un autre phénomène comme
centre
de la définition. Ce sont en- core les éludes d
ociation facile de leur unité mentale, disait M. Charcot, ^certains
centres
peuvent-être mis en jeu sans que les autres rég
.) Observation intéressante, suivie d'autopsie; on trouva dans le
centre
ovale du côté droit un ramollissement gélatineux,
hériques entraînent non seulement des modifications allant jusqu'au
centre
, mais encore une altération du noyau lui-même.
u correspondant. Considérant comme prouvées les modifications des
centres
de la moelle épinière consécutives aux affectio
éralisation trop - complète de l'influence de la périphérie sur les
centres
. Les expé- riences de Gudden ont démontré que c
s névrites les plus graves ne sont pas suivies de modifications des
centres
moteurs. D'un autre côté, dans les'amyotrophies
portance de l'influence simultanée d'une seule et même cause sur le
centre
et la périphérie. Il est dis- posé à expliquer
tte influence simultanée, plutôt que par la lésion consécutive du
centre
. M. L. Miner suppose qu'il existe des symptômes
llosum est une commissure composée de fibres dont une partie a pour
centre
l'hémisphère gauche et l'autre l'hé- misphère d
e des localisations, consacrant cepen- dant son étude principale au
centre
et aux trajets visuels. Disons tout de suite de
ale, M. Hensens suit les trajets visuels depuis la papillè'jusqu'au
centre
visuel, complétant sur un grand nombre de point
aussi appro- fondie que peu précaire à laquelle l'auteur soumet les
centres
visuels eux-mêmes. Il passe en revue les princi
s à ce sens par les différents auteurs; il fait voir d'abord que le
centre
visuel ne peut pas être situé dans le lobe pariét
eux-mêmes (Sehstrahlung). L'auteur montre de la même manière que le
centre
de la perception lumineuse ne peut pas se trouv
sur des cas négatifs, l'auteur ramène successivement le lieu de ce
centre
à la partie médiane du lobe occipital, et finit
hémisphères. " L'auteur cherche encore à déterminer la position du
centre
visuel en suivant les phénomènes de dégénéresce
es quadrijumeaux antérieurs, et il y abordera aussi la question des
centres
visuels supérieurs. ...... . ' . E.-A. HOMES. ?
tiques dans le tabes », par M. le professeur N. M. Popov; « Sur les
centres
corti- caux des sphincters vésical et rectal »,
t connaître les traits es- sentiels de cette nouvelle affection des
centres
nerveux. En 1863, il affir- ma son existence, d
le être tout simplement, dit P. Ma- rie, l'indice des scléroses des
centres
nerveux réunissant les deux condi- tions suivan
re survenues dans l'enfance pendant la période de développement des
centres
nerveux. » C'est ainsi qu'elle a pu être consta
e et dans le temps, répercussion d'une lésion des extrémités sur le
centre
, sur un centre spécial, par progres- sion lente
mps, répercussion d'une lésion des extrémités sur le centre, sur un
centre
spécial, par progres- sion lente de la partie b
e tous ces troubles qui trahissent un déficit considérable dans les
centres
réflexes dont les incitations normales assurent l
ale, surdité ver- bale).A chacun des quatre syndromes correspond un
centre
cortical spécial. Celle division un peu schémat
ts syndromes sont faciles à comprendre quand on se rappelle que les
centres
du langage sont unis les uns aux autres par des
anatomo- cliniques. De plus les lésions peuvent intéresser soit les
centres
eux-mê- mes, soit leur fibre d'association, à l
écrivait, man- geait, etc.. de la main droite. Déplus la lésion du
centre
de la cécité verbale, dans l'hémisphère gauche,
écité verbale. La localisation dans l'hémisphère gauche de l'un des
centres
de l'aphasie est donc certaine. On serait donc
ie est donc certaine. On serait donc obligé d'admettre que certains
centres
du langage étaient bien situés dans l'hémisphèr
pariétale ou temporale,dans l'aire ou sur les confins immédiats des
centres
de la vision ou de l'audition des mots. Le plus s
Il ne semble donc pas que ce lobule puisse être considéré comme le
centre
unique et exclusif de l'évocation mnésique des
ids du corps se porle sur un seul pied, la verticale passant par le
centre
de gravité tombe, cela va desoi, sur la surlace
nt le long de l'axe du chemin parcouru. La verticale passant par le
centre
de gravité du corps se rapproche à chaque pas du
i) ; l'épaule du côté portant est abaissée. Il faut que la ligne du
centre
de gravité ne tombe point en dehors du pied por
le poids du corps, et au déplacement de la verticale passant par le
centre
de gravité du corps en dehors du pied portant sur
st ainsi que le vieux vigneron courbé rétablit comme le gorille son
centre
de gravité en fléchissant les hanches et les geno
teil en extension Et le groupe de l'enfant et de l'adorateur est le
centre
vers lequel aspirent les multiples visages, extat
oloration Weigert-Pal). Rétraction des circonvolutions, atrophie du
centre
ovale. B - Ecorce cérébelleuse normale (chambre
a été faite 24 heures après la mort, après formolage préalable des
centres
nerveux (Voy. Planches XIX, XX, XXI, XXII). Les
lable des centres nerveux (Voy. Planches XIX, XX, XXI, XXII). Les
centres
encéphaliques sont relativement petits, le cervel
rains, sur le faisceau axial de chaque lamelle cérébelleuse, sur le
centre
ovale pro- prement dit. Les fascicules sont plu
tou- jours au système cérébelleux, mais l'atteignant soit dans ses
centres
et dans ses voies afférentes ou efférentes, soi
est plus grande dans les isthmes qui relient les circonvolutions au
centre
ovale. Ce détail nous paraît très important ; en
r arrangement ressemble beaucoup à celui des perles cancéreuses. Au
centre
de la perle on voit assez fréquemment un petit
nons compte du fait que tout le cerveau et par conséquent aussi les
centres
corticaux de la vision se 'trouvaient dans un éta
la dénomination deM.Zahn un carcinome périvasculaire ; en effet au
centre
des alvéoles se trouve un petit vaisseau. ALTÉR
ansparence de ce foyer sont celles des tuberculomes, on aperçoit un
centre
caséeux entouré d'une zone vasculaire rougeâtre
ucture typique des granulomes tuberculeux, elle est cons- tituée au
centre
par un tissu à l'état de nécrobiose finement gran
ieure de la protubérance, le tuberculome est toujours placé dans le
centre
de la calotte et siège sur l'aqueduc, son volume
le symptomatique peut s'expliquer par des lésions siégeant dans les
centres
coordinateurs supra-nucléaires (tubercules quad
omplet accord. En effet, tandis que pour Von Monakow l'existence de
centres
supra-nucléaires pour les mouvements associés d
jumeaux, s'impose, pour d'autres auteurs (Nothnagel, Weinland), les
centres
ou les voies d'association, qui régissent les m
modernes ont porté une contribution certaine à la localisation des
centres
, ou pour mieux dire, des voies d'as- sociation
Parinaud, Sauvinaud et d'autres auteurs ad- mettent l'existence de
centres
coordinateurs supranucléaires ; or sans (1) Loc
dri- jumeaux. Selon cet auteur, ces spasmes prouvent l'existence de
centres
sous-corticaux, et il est d'avis qu'il faut adm
les quadrijumeaux, non seulement des voies motrices, mais aussi des
centres
moteurs individualisés comme les centres corticau
s motrices, mais aussi des centres moteurs individualisés comme les
centres
corticaux. Un fait qui nous frappa par sa const
ff) pla- cent dans la protubérance et les pédoncules cérébraux, les
centres
vaso- moteurs. Il est important encore de remar
ctent les régions sensitives du pédoncule. Reinhold (2) place les
centres
vaso-moteurs dans la substance grise sous-épend
d'avis que les tubercules quadrijumeaux sont en connexion avec des
centres
thermo- lytiques : faut-il dès lors supposer da
aut-il dès lors supposer dans notre cas une action insuffisante des
centres
lhermolytiques croisés, produite par la destructi
es et disposées sur plusieurs couches. A mesure qu'on approche du
centre
cette prolifération devient telle que tous les
Les capillaires,simplement dilatés à la périphérie, sont forcés, au
centre
, par la masse sanguine qui s'est répandue entre
lules néoformées et aboutissant à un simple exsudat hémorragique au
centre
de la glande, et qu'on retrouve à un degré plus
concentriques. Ces cor- puscules très brillants contiennent en leur
centre
des cristaux en forme d'aiguil- les diversement
sion du sang se voit aussi dans les artères. La papille présente au
centre
une excavation profonde : les bords de la pa- p
ette crampe est due à l'incoordination du cen- tre de l'écriture,du
centre
du jeu de piano, en un mot,à la perturbation atax
centre du jeu de piano, en un mot,à la perturbation ataxi- que des
centres
professionnels. Erb localise le centre de l'écrit
perturbation ataxi- que des centres professionnels. Erb localise le
centre
de l'écriture dans la substance grise de la moe
ce grise de la moelle cervicale. Quelle que soit la localisation du
centre
professionnel, pour nous la crampe, qui résume
taxie pro- fessionnelle serait une conséquence d'une altération des
centres
nerveux.Nords- trôm attribue la crampe professi
professionnelle doit être attribuée aux modifications éducatrices du
centre
des professions, modifications occasionnées par
ns occasionnées par les troubles locaux, musculaires, et autres. Ce
centre
peut se trouver ou dans la même région que le cen
et autres. Ce centre peut se trouver ou dans la même région que le
centre
d'a- graphie, ou dans son voisinage. Quelle que
graphie, ou dans son voisinage. Quelle que soit la localisation de ce
centre
, sa rééducation s'impose par le traitement. Q
e juxta-sulcique qui représente par sa situation et par sa forme le
centre
ovale de Flechsig. On observe cependant dans cett
, on constate que la fesse gauche est congestionnée, dure, et à son
centre
se trouve une écorchure légère. La température
encontrer dans les autopsies tardives, surtout lorsqu'il s'agit des
centres
nerveux. Nous venons d'observer un chien qui pr
lésion n'est relevée du côté des organes thoraciques et abdominaux.
Centres
nerveux. Les os du crâne et de la colonne vertébr
Le thymus existait et pesait 8 grammes. L'examen macroscopique des
centres
nerveux : cerveau, bulbe, moelle, ne révéla auc
rvation de Bonnier (89) : « Ramollissement bulbaire intéressant les
centres
mo- teurs de l'oeil (VIe paire droite) et le fa
es oedèmes avec les phénomènes vasomoteurs ; nous savons que si les
centres
trophiques, vasomoteurs et sécrétoires sont indép
altération du système nerveux et plus précisément une anomalie des
centres
trophiques conjonctifs qui pouvait se présenter d
croire que ce dernier fût la conséquence d'une dystrophie aiguë des
centres
trophiques conjonctifs ? Pas sûrement. Alors, il
ation fonctionnelle ou bien anatomique, passagère ou permanente des
centres
nerveux dont l'intégrité est nécessaire pour qu
est nécessaire pour que la sécrétion lymphatique soit normale. Ces
centres
présentent t dans certains sujets une labilité
ntent d'une façon sporadique à la suite des lésions anatomiques des
centres
mêmes. Nous devons à présent parler de la local
centres mêmes. Nous devons à présent parler de la localisation des
centres
en question. Mais si la physiologie normale et
ces cas d'une urticaire vulgaire chez des sujets chez lesquels les
centres
ou les voies dont nous cherchons la localisatio
, trophoedème) symptomatiques, nous prouve qu'il ne s'agit pas d'un
centre
unique pour la lympho-sécrétion, mais plutôt qu'i
la lympho-sécrétion, mais plutôt qu'il doit exis- ter une série de
centres
métamériquement disposés. Pour la pluralité de
série de centres métamériquement disposés. Pour la pluralité de ces
centres
ou de ces voies plaide aussi l'observa- tion ;
ne pouvons rien affirmer de plus précis sur la localisation de ces
centres
ni sur les voies lesquelles doivent en partir.
l'action du système nerveux central, et d'autres qui localisent ces
centres
dans les ganglions spinaux [Morat (140)], et d'
physiologistes et des pathologistes, nous ne pouvons localiser les
centres
et les voies des vasomoteurs, nous ne pouvons p
conclure que tandis que nombre d'arguments nous démontrent que les
centres
et les voies de la lymphosécrétion doivent se t
halie ; Acéphalie.- Si- gnification de l'hémicranie Destruction des
centres
et persistance des ganglions. Préliminaires L
qui l'anencéphalie était une affection destructive et convulsive des
centres
nerveux (7). Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire,
al argument de l'existence des nerfs périphériques en l'absence des
centres
, argument fondé, dit-il, sur l'ancien système f
on distingue sur les coupes transversales un tissu nerveux ayant au
centre
un canal épendymaire nette- ment limité par des
examen des méninges. Cette disposition méningée est, cependant, le
centre
même de la question. Son importance ressortira
rieurs. Nous constatons, on outre, que les fibres sensitives, dont le
centre
trophique se trouve en dehors du système centra
nt. Pendant que se désagré- geait le tissu médullaire séparé de son
centre
trophique, l'inflammation s'est lentement propa
AUD Sur une conpe transversale du nerf, le cylindraxe se détache au
centre
de sa gaine de myéline. On y découvre une série
i se contractent et attirent en arrière la colonne vertébrale et le
centre
de gravité. Le pro- fesseur Marinesco a baptisé
se porte horizontalement en s'at- ténuant progressivement jusqu'au
centre
de l'épiphyse. Dans les os les moins malades, e
es, disparaissent bientôt et ne constituent pas de larges travées à
centre
cartilagineux persistant jusque dans l'os défin
e n'existe qu'à la périphérie et laisse, au 510 ponAK L'r DURANTE
centre
, un large canal médullaire. L'enveloppe osseuse p
en travées osseuses, soit à un tissu spongieux à larges mailles au
centre
duquel il n'existe pas à proprement parler d'es
ssant, ici par lésion directe, là, indirectement par altération des
centres
nerveux. La même distinction doit être établie
également songer à un trouble trophique d'origine nerveuse, car les
centres
nerveux des achondroplasiques n'avaient jamais ét
ervations étudiées spécialement à ce point de vue « les lésions des
centres
étaient carac- térisées par de la congestion, d
elles qui parfois se développent secon- dairement à des lésions des
centres
nerveux et qui rentrent dans la catégorie des t
sa cause déterminante. S'agit-il de modi- fications invisibles des
centres
nerveux ? s'agit-il de troubles glandulaires con-
pement des membres on observe souvent un arrêt de développement des
centres
nerveux correspondants. T'iedemann (8), Gurlt (
lue que le défaut des excitations qui arrivent de la périphérie aux
centres
nerveux, produit leur atrophie progressive. Cet
st récemment revenu sur cette théorie ; il admet la pré- sence d'un
centre
hypothétique placé dans la base du crâne dont l'a
5-6 jours après le choléra. Autopsie. L'examen macroscopique des
centres
nerveux nous montre NOUVELLE Iconographie DE la
à la coupe S S 1 bis du schéma de Dejerine (fig. 407, anatomie des
centres
nerveux), on voit que les couches superficielle
t assez dense immédiatement au-dessous de la lame olivaire, mais au
centre
de l'olive il est très pâle ; on y retrouve des f
la mort tout à fait extraordinaire. Chez l'adulte, l'excitation des
centres
nerveux détermine des troubles intenses, et la
tives particulièrement précises : en dehors de l'état anatomique des
centres
ner- veux, la méningite foetale se traduit par
nt, répétons-le, la méningite n'envahit pas spécialement tel ou tel
centre
, mais la moelle tout entière; et l'envahis- sem
umeurs de cette nature, développées dans la masse nerveuse même, au
centre
du cerveau ou du cervelet. Cornil et Ranvier on
tres au faible grossissement (PI. LXXV b et c). Chaque foyer a pour
centre
un vaisseau et l'on en peut distinguer plusieurs
ilaments. c) Enfin toute trace de la paroi a disparu : on trouve au
centre
des amas d'infiltration quelques globules rouge
de globules rouges à peine déformés ; pas de cellules blanches. Au
centre
de certaines de ces hémorragies on trouve des res
pas des perturbations d'un autre ordre relevant de l'altération des
centres
nerveux. Il ne serait pas surprenant, à priori, q
articulier, puisqu'il s'agit, non pas sim- plement de l'absence des
centres
, mais de leur disparition progressive à la suit
ppement soient soumis, étroitement ou non, à l'action trophique des
centres
. Chez les pseudencéphaliens, en effet, l'action
te réduc- tion reconnaît pour cause, non pas l'action trophique des
centres
nerveux, mais l'action immédiate de la méningit
UDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPRALIE 679 cause : le rôle trophique des
centres
n'intervient donc pas plus ici qu'il n'in- terv
E DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 695 6. Destruction des
centres
et persistance des ganglions. - L'absence de sy
ux apparaissaient en rela- tion de continuité avec les cellules des
centres
moteurs et sensitifs. C'est une fois l'ensemble
ar l'action du sympathique, l'oeil étant complètement isolé de tout
centre
cérébral ou médullaire. Ce rôle du sympathique
ation politique et sociale de l'Espagne d'alors. Pl. LXXIX, D. Au
centre
de la composition un énergumène nu coiffé d'un
OLOGIQUE DU CERVEAU DANS DEUX CAS DE RAMOLLISSEMENT DE LA RÉGION DU
CENTRE
CORTICAL VISUEL, PAR JOUKOWSKY. Dans les tr
akow, Arch. f. Psych., vol. XVI, XVII, XX et XXIII. (3) Vialet, Les
centres
cérébraux de la vision et l'appareil visuel intra
ramollissement, qui a détruit dans l'hémisphère droit la région du
centre
visuel cortical, d'autre part d'un foyer de ramol
ans ce cas, était déterminée, par conséquent, par la destruction du
centre
visuel cortical dans l'hémisphère droit et par
opinions de Charcot (1), Sé- rieux (2), Dejerine (3), se trouve le
centre
de la vision des mots, dont la lésion détermine
s, mais très près de ceux-ci dans les voies conduis : ) ! ) ! , aux
centres
supérieurs.. , (1) A belgyogyaszat kézikoenyve,
lles, ainsi que nous le verrons plus loin, mais leur étude dans les
centres
nerveux n'a pas été spécialisée ; leur aspect et
e à la règle, en ce qui concerne le siège des cysticerques dans les
centres
nerveux. C'est là qu'on les rencon- tre le plus
l y avait 111 parasi- tes, dont 22 dans les méninges et 89 dans les
centres
. Dans le cas qui s'est offert à notre étude, le
ements à cet égard. Est-ce justement en rapport avec l'invasion des
centres
par les parasites ? Il s'est produit en second
raphasie devait faire supposer qu'il n'y avait pas des- truction du
centre
de l'audition verbale, mais seulement isolement d
ion du centre de l'audition verbale, mais seulement isolement de ce
centre
d'avec les voies acoustiques, les connexions avec
t de ce centre d'avec les voies acoustiques, les connexions avec le
centre
de Broca étant intactes. Et, ce qui vient bien
e qui vient bien à l'appui de cette hypothèse de la conservation du
centre
des images auditives des mots, c'est l'existence
l'ouïe très actives, qui dénotaient un état d'excitation de ce même
centre
. Ces hallucinations se sont produites à diverses
er de l'interruption des voies d'association qui relient les divers
centres
corticaux (aphasies internucléaires de Pitres). I
iler les mêmes cortèges d'infirmités ou de douleurs; ils servent de
centre
de' ralliement aux.'mêmes mendiants,' qui 'quêt
ortement teints par la fuchsine acide occupent plus volontiers le
centre
des amas. (Col. Van Guson, obj. AA; oc. 2 Zeiss
en que le mécanisme psychologique de cet état soit l'inhibition des
centres
supérieurs de la conscience intellectuelle et de
e rapportés à l'action de voisinage exercée par le néoplasme sur le
centre
cortical de la VIle paire, en raison du type cé
uer des coupes en différents points. Tantôt nos coupes ont porté au
centre
, tantôt à la périphérie, tantôt sur une partie
es allongées, assez volumineuses et fusiformes. Leur noyau,situé au
centre
,est de grande dimension et possède un nucléole
raire, et c'est la ma- jorité, s'orientent en un tourbillon dont le
centre
est souvent représenté par un globe. Ces format
, s'enroulent, se confondent, pour ar- river à constituer plusieurs
centres
dans un seul lobe. La présence d'un vaisseau mo
ibro-plastiques des éléments allongés, ayant un noyau volumineux au
centre
du protoplasma. Ces corps peuvent dans certains
e, Revue de neurologie, 1899. Les phénomènes de réparation dans les
centres
nerveux après les sections des nerfs périphériq
é par un réseau à larges mailles avec un ou deux grains no- daux au
centre
du protoplasma. Les leucocytes sont plus petits,
rougeur s'atténuer et dis- paraître à la fois à la périphérie et au
centre
, dans l'espace laissé libre par les caractères
sant sur les vaso-moteurs, soit à la périphérie, soit au niveau des
centres
médullaires. Mais je ne crois pas pour cela qu'
is les travaux de Nothnagel, de Bechterew et de Brissaud (2) que le
centre
de coordination du rire et du pleurer spasmo- d
part l'hypothèse, d'ailleurs appuyée sur de nombreux faits, que le
centre
visuel de la scissure calcarine n'est qu'une proj
iverses parties du corps, les unes vont fixer leur énergie dans les
centres
(transformation d'une certaine substance instab
es empê- chent les ondulations qui vont fixer leur énergie dans les
centres
d'y par- venir, ces ondulations se réfléchiront
qui commandent une même région du corps, sont situés dans les mêmes
centres
(centres sensitivo-moteurs), et qu'ils sont sou
ndent une même région du corps, sont situés dans les mêmes centres (
centres
sensitivo-moteurs), et qu'ils sont souvent lésé
The the1'1no-polypnoiec contre and thermdtaxis, Ibid., 1889. Ileal
centres
in man, Brain, 1889. The funetiqn o/'luber cine
/'luber cinereum. Journ. of. nerv. and. mental, dis. 1861. Vaso-tonic
centres
in the thalami. Ibid., 1891. The inlerbrain : i
due évidemment à l'hypooxygénie des tissus, et particulièrement du
centre
respiratoire bulbaire, consécutive à ce ra- len
ion sont diminués de volume les cordons pos- térieur, qui dans leur
centre
, des deux côtés contiennent une zone sans myé-
la périphérie de la moelle et devient de plus en plus mince vers le
centre
. Cette zone de sclérose a la forme d'un cône. Les
des libres sensitives. Ici, l'épendyme qui occupe ordinairement le
centre
de la région est situé à la partie antérieure à t
t les parties propres à la moelle et en dehors de la dépendance des
centres
supérieurs étaient à peu près intactes, ainsi l
l Névroglie. - La névroglie a été étudiée dans toute la hauteur des
centres
nerveux par l'ancienne méthode du picro-carmin.
lammation d'autant plus vive que l'on s'élève davantage du côté des
centres
nerveux supérieurs. VIII Dans l'examen psycho
ant à l'opi- nion de quelques auteurs qui voient dans la cellule un
centre
n'ayant qu'une fonction trophique et nullement
ogiques actuelles rapprochées de cette cons- (1) Mort, Ganglions et
centres
nerveux. Archives de physiologie, 1895, n 1, p. 2
iologie, 1895, n 1, p. 200- 205. Morat, Qu'est-ce que c'est qu'un
centre
nerveux. Revue scientifique, 24 novembre 1894,
re nerveux. Revue scientifique, 24 novembre 1894, p. 642. BlOnnT,
Centres
nerveux fonctionnels et centres nerveux trophique
24 novembre 1894, p. 642. BlOnnT, Centres nerveux fonctionnels et
centres
nerveux trophiques. Revue scienti- fique, 1er d
vie bio- logique rudimentaire indépendamment du fonctionnement des
centres
nerveux supérieurs et d'autre part l'incompatib
ils seront abolis. Récemment, Curcio (1) a décrit dans la moelle un
centre
trophique des os, qu'il a déterminé expérimenta
gine du trophoedème ? On peut la chercher dans une al- tération des
centres
trophiques du tissu cellulaire sous-cutané. Mai
res trophiques du tissu cellulaire sous-cutané. Mais où siègent ces
centres
? Vraisemblablement dans la moelle, dans la sub
lablement dans la moelle, dans la substance grise, au voisinage des
centres
trophiques des muscles. Bien que les constatati
ns histologiques n'aient pas permis d'isoler les uns des autres les
centres
de ces différents systèmes, la coexistence de t
sseux, musculaire ou conjonctif, autorise à admettre l'existence de
centres
autonomes pour chacun de ces systèmes. La toute
que la dystro- phie musculaire est commandée par une altération des
centres
trophiques des muscles, on doit considérer le t
e trophoedème chronique comme la consé- quence d'une altération des
centres
trophiques du tissu cellulaire. Dans le trophoe
ophoedème congénital, on incriminera une anomalie congé- nitale des
centres
trophiques conjonctifs. Pour le trophcedème acqui
ème acquis, il faut admettre une fragilité congénitale de ces mêmes
centres
qui les rend plus facilement altérables sous l'
u troplieedéme, mais qui relève, elle aussi, d'une altéra- tion des
centres
trophiques. Les observations de M. Hertoghe met
mer l'hypothèse de l'existence d'une im- perfection congénitale des
centres
qui président au développement et à la nutritio
bscurité du mécanisme qui préside à cette fonction. Existe-t-il des
centres
trophiques distincts, ou bien l'action trophiqu
thologistes, les premiers ayant de la tendance à nier l'existence de
centres
trophiques, les seconds, encouragés par les nom
ologie doit à la pathologie, s'obstinant à la recherche deces mêmes
centres
tant discutés. Le fait que nous présentons ici,
ut en parais- sant jeter quelque clarté dans la discussion dont les
centres
et nerfs tro- phiques peuvent être l'objet. Not
nterprétation des faits plaiderait donc en faveur de l'existence de
centres
trophiques distincts et indépendants. Malheureuse
nous adresser pour élucider la question, fort discutée encore, des
centres
trophiques. En raison de leur variété, de leur
araissent être plutôt l'expression de lésions éparses, frappant des
centres
fonctionnels distincts. Ainsi que le dit Bris-
ORME D'IIYPERTITOPIIIE DES MEMBRES .485 que ces éléments soient des
centres
- au sens qu'on attribue à ce mot - c'est-à-dir
posons exister, nous comprendrions difficilement, en effet, que les
centres
de la vessie et du rectum fussent toujours respec
la vessie et du rectum fussent toujours respec- tés, alors que les
centres
moteurs pelviens très voisins sont souvent tou-
un certain nombre de cas, de lésions médullaires ayant affecté des
centres
trophiques spéciaux, a été formulée d'ailleurs
de ces différents cas lui parait propre à fortifier la doctrine des
centres
trophiques. Et selon la présence ou l'absence d
actions tro- phiques du tissu conjonctif sous-cutané n'ont ni mêmes
centres
, ni mêmes conducteurs que les muscles et la pea
sies minutieuses, de reconnaître, de distinguer et de localiser les
centres
et les conducteurs d'innervation du tissu conjo
s-cutané », et aux os, aurait pu ajouter Landouzy. L'existence de
centres
trophiques spéciaux dont serait pourvu le sys-
; comme si la même cause, selon la profondeur de son action sur les
centres
nerveux, n'était pas sus- ceptible d'effets con
E. RAPIN consécutif à une altération - irritation, excitation - du
centre
trophi- que conjonctif du membre abdominal gauc
, M. Meige revient à maintes leprises sur la part qu'une lésion des
centres
pourrait avoir dans le mécanisme nutritif de nos
oubles de nutrition ? Existe-t-il une lésion ? Siège-t-elle sur les
centres
ou les conducteurs trophiques ? Frappe-t-elle le
ème spinal de l'autre, et bien que la distribution périphérique des
centres
corticaux soit segmentaire (Charcot, Déjerine)
caux soit segmentaire (Charcot, Déjerine) comme la distribution des
centres
médullaires, on s'accordeà admettre que l'anesthé
itre que les dystrophies musculaires, relevant d'une altération des
centres
nerveux, qui président au développement et à la
ème s'accorderait avec l'hypothèse d'une altération métamérique des
centres
médullaires. Il y aurait alors une dystrophie c
hez notre malade. Je ne vois pas non plus qu'une lésion acquise des
centres
nerveux, méningée, céré- brale, ou spinale, pui
; mais l'étude plus complète de l'anatomie et de la physiologie des
centres
nerveux a montré des différences notables dans
ent, sauf une légère excitation initiale, reste sans action sur les
centres
nerveux et sur le système nerveux sensitif, et
d'atteindre un nombre suffisant d'appareils terminaux pour que les
centres
analysent la sensation et distinguent entre l'i
rive à cette conclusion importante que, dans le cerveau humain, les
centres
les plus élevés sont ceux dont l'évolu- tion s'
uite de l'abolition, permanente ou temporaire, des fonctions de ces
centres
, les centres inférieurs, qui comprennent la plu
lition, permanente ou temporaire, des fonctions de ces centres, les
centres
inférieurs, qui comprennent la plus grande part
l'écorce cérébrale, sont mis en activité ; la tendance même de ces
centres
inférieurs à entrer en suractivité, détermine a
ion des convulsions cor- respond à la disposition topographique des
centres
moteurs dans l'é- corce du cerveau; ainsi n'ent
les uns après les autres, que les territoires musculaires dont les
centres
sont situés, dans l'écorce cérébrale, les uns à
pent pas du tout aux convulsions; c'est qu'alors généralement leurs
centres
corticaux sont faiblement excitables ou ne sont
ns la production des convulsions musculaires. En extirpant certains
centres
moteurs isolément, on élimine du même coup du tab
tion de l'excitation concorde avec la disposition topographique des
centres
corticaux, mais elle ne souffre aucune modificati
le, des départements corticaux voisins. En pra- tiquant autour d'un
centre
une section complète, on ne trouble pas non plu
ontairement, d'en effleurer la surface avec la paume de la main, du
centre
à la périphérie, pour déterminer la rigidité av
cale; une caresse en sens inverse, c'est-à-dire de la périphérie au
centre
, rompt le charme. Toutes les parties du corps s
promenant la chaîne conductrice positive d'une machine statique du
centre
à la péri- phérie, on obtient aussi la cataleps
légèrement les téguments avec la même électrode de la périphérie au
centre
. Ce n'est pas le simple contact de la tige qui
négatif catalepsie, s'il est conduit légèrement de la périphérie au
centre
; inversement, il délie la contraction musculai
rémités périphériques des nerfs sensitifs, et en second lieu sur le
centre
spinal, sans excepter cependant les troncs nerv
les troncs nerveux ; il doit y avoir aussi une action à part sur le
centre
céré- bral puisqu'on observe de la somnolence.
de Neurologie, t. VIII, p. 365. SOCIÉTÉS SAVANTES. 93 Soit A, Le
centre
des images acoustiques des mots. M. Le centre d
NTES. 93 Soit A, Le centre des images acoustiques des mots. M. Le
centre
des images motrices des mots. AM, La voie d'uni
re des images motrices des mots. AM, La voie d'union entre ces deux
centres
. Aa, La voie d'entrée centripète des impression
i s'apprennent en somme avec elle et émanent de la formation d'un
centre
des signes écrits 0. Pour lire, il faut que ce ce
ormation d'un centre des signes écrits 0. Pour lire, il faut que ce
centre
soit joint à A, la lecture à haute voix utilisa
ntermédiaire de la voie OAB. La pratique de l'écriture développe le
centre
E (centre commémoratif des mouvements de l'écri
de la voie OAB. La pratique de l'écriture développe le centre E (
centre
commémoratif des mouvements de l'écriture), et, p
'une inter- ruption complète ne peut avoir lieu qu'au voisinage des
centres
et des lieux de convergence; c'est pourquoi l'a
M. Otto, c'est l'absence de convulsions, malgré l'infiltration des
centres
moeurs. Il rappelle que le diagnostic est parfo
s actif que la morphine; il agit favorablement sur la nutrition des
centres
ner- veux par neutralisation des agents d'excit
e, en raison de la relation intime qui existe entre l'ovaire et les
centres
nerveux; et pour l'homme, il assigne comme sièg
jet, aux connexions des fibres et des cellules, dans l'ensemble des
centres
nerveux. Ce n'est plus, si l'on veut, de l'histol
. M. Wilbrand admet dans les couches corticales du cerveau, trois
centres
distincts pour le sens de la lumière, celui des c
s couleurs et celui de l'espace (acuité visuelle). Il croit que ces
centres
sont su- perposés et non juxtaposés, attachant
t cette disposition une grande importance. L'impression traverse le
centre
de la lumière avant d'arriver à celui des coule
couleurs, celui de la lumière et des couleurs, avant d'aï river au
centre
de l'espace. 11 est partisan de lasemi-décussat
les faits et fait va- loir les raisons contraires à l'existence de
centres
juxtaposés pour les trois modes de sensibilité.
exe. La sup- pression de la fonction delà moelle considérée comme
centre
est due à la commotion, qui cependant n'a pas p
teinte jaune brun(F ? 3). Pneumonie au deuxième degré à droite au
centre
du lobe moyen; 1 congestion des lobes inférieur
st oblitérée à son origine à la sylvienne par une masse jaunâtre au
centre
, déco- lorée et fibroide à la périphérie. DES
tégrité des vaisseaux. On n'a pas songé à suivre les nerfs jusqu'au
centre
, mais on a examiné la moelle et le bulbe qui so
r les rapports qui rattachent la sphère visuelle (de Muiik i) Aux
centres
optiques infra-corticaux et au nerf optique; par
zone A). Le nerf optique de cet animal est, par l'intermédiaire des
centres
infra-corticaux, en rapport étroit avec les tro
après l'opération), des arrêts de développement qui portent sur les
centres
visuels infra-corticaux et se propagent sans in
ssion d'une excitabilité réflexe témoignant de l'insuffi- sance des
centres
d'arrêt corticaux. La mort résultait d'une hémo
xcès ou par défaut réside dans l'atteinte directe ou à distance des
centres
corticaux en connexion avec les centres réflexe
e directe ou à distance des centres corticaux en connexion avec les
centres
réflexes de la moelle; elle n'im- plique aucune
e la température doit faire songer suivant le cas, à l'atteinte des
centres
thermiques ou à leur intégrité; il y a là matiè
te du simple déplacement avec intégrité des éléments anatomiques du
centre
en quesiion, la conservation des facultés intel
ments de l'encéphale et dans la répar- tition du sang au sein de ce
centre
nerveux. P. K. XXIV. Inversion du sens génital;
uatre jours après ,la femme meurt, et, à l'autopsie, on trouve au
centre
de l'axe gris, vers la quatrième cervicale, un
olyurie un caractère de certitude complète. Le pouvoir réflexe du
centre
spinal paraît résister davantage, car nous cons-
logique se circonscrit de plus en plus aux troubles fonctionnels du
centre
médullaire. Une remarque qu'il n'est pas inutil
l'écorce du cerveau chez les chiens offre les mêmes limites que les
centres
moteurs de Hitzig. Le même auteur a a publié pl
ts de la température interne du corps; il admet, par suite, que les
centres
thermiques du cerveau de l'homme se trouvent à
entres thermiques du cerveau de l'homme se trouvent à proximité des
centres
psycho-moteurs. Ainsi les investigations et les
ns lésées dans les affections psychiques doivent figurer celles des
centres
thermiques. Les troubles de la calorification,
vait à peine maigri. On no peut donc supposer ici qu'un trouble des
centres
thermiques du cerveau promptement enrayé par le
'un trouble thermique de cette nature dépend de modifications des
centres
nerveux tellement graves qu'elles sont incompatib
t démontrer que l'hallucination est produite par une excitation des
centres
senso- riels. Parmi ces faits, on peut citer le
nerveux. En d'autres termes, l'hallucination se passerait dans les
centres
où sont reçues les impressions des sens ; elle
es les impressions des sens ; elle résulterait d'une excitation des
centres
sensoriels. 20 Les phénomènes de contraste. M.
ert, etc. Puis on lui fait reporter les yeux sur un autre carré, au
centre
duquel on a marqué un point pour immobiliser le r
qu'il existe, dans des régions indéter- minées de l'encéphale, des
centres
sensitifs communs aux organes des sens et aux t
us paraît rendre probable que l'hallucination visuelle intéresse le
centre
de la vision. Ainsi, chez un sujet dont la cornée
ts au réflexe simple; leur domaine se trouve limité à la moelle, au
centre
génito-spinal de Büdge. C'est l'onanisme chez l
une influence psychique, comme dans l'état normal, qui agit sur le
centre
génito-spinal ; mais l'idée, le sentiment ou le
l relatif à l'idiotie, et de préférence aux lésions anatomiques des
centres
nerveux dans l'idiotie. Pria; Moreau de Tours.
ns disséminées, basses, à rez- de-chaussée, couvertes de chaume; au
centre
brûle a feu ouvert uu foyer empestant le logis.
s prononcé, avec hémorrhagies capillaires ; les organes occupant le
centre
de la table sont anémiés. Un second chien soumi
mis le même jour à la force centripète mourait en 3 mi- nutes ; les
centres
encéphaliques sont anémiés, tandis que les orga
relatif à l'idiotie et de préférence aux lésions anatomiques des
centres
nerveux dans l'idiotie. Prix Esquirol. Ce prix de
ur la couche optique, en partie sur le plafond opposé il ce dernier
centre
, le milieu de la plaque passant par le bord ext
ent aussi l'auteur i penser, qu'il y a eu destruc- tion de certains
centres
corticaux moteurs et logo-moteurs, con- forméme
upent autour du sillon de Rolando et de l'insula et notam- ment les
centres
oro-lingaux de Ferrier, avec les fibres d'asso-
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 93 libres nerveuses irradiant jusqu'au
centre
olfactif du cerveau. Il y a d'ailleurs lieu de
l gauche (cancer) de l'olfactif du même côté. Quant aux maladies du
centre
olfactif, 1'liéiiiianosinie des hystériques, co
oie, c'est qu'évidem- ment la région touchée est bien exactement un
centre
et bien le même centre, sinon il y a lieu de dé
ent la région touchée est bien exactement un centre et bien le même
centre
, sinon il y a lieu de décider à son sens, que le
'énucléation du globe de l'oeil par Gudden), ou en un mot des trois
centres
G. F. A. de Munk. Or ces régions représentent s
on externe du pédoncule est douée de facultés sensibles. Le nouveau
centre
aurait no- tamment sous sa dépendance le noyau
après l'énu- cléation du globe de l'mil, ni après l'extirpation du
centre
visuel de Munk et qu'il n'a rien à faire avec l
corticales notée dans ces trois faits, sur l'atteinte simultanée du
centre
ovale et la diffi- culté d'assigner exactement
; XII, p. 356.) P. K. X. ÉTUDE générale DE la localisation dans LES
CENTRES
NERVEUX, SUIVIE D'UNE ÉTUDE CRITIQUE SUR LES RE
de l'état de la science sur la question des localisations dans les
centres
ner- veux ; c'est dire assez combien l'auteur a
qui se fonde sur les réactions diverses des différentes parties des
centres
nerveux, envisageant toutes l'échelle animale.
ologique dans la moelle et le bulbe, et passe en revue les nombreux
centres
des membres de la respiration et de la circulat
llissement. L'examen microscopique montra que la lésion occupait le
centre
de la corne antérieure dans toute sa hauteur; m
e en jeu plusieurs forces et les fasse concourir au même effet. Ces
centres
de coordination deviennent surtout nécessaires
nous montrant des formes cliniques qui répondent à la lésion de ces
centres
de coordination; et l'anatomie, pour quelques-u
lui est exclusivement affecté. Un même nerf est en rapport avec des
centres
multiples; il peut trans- mettre des excitation
c de nouvelles connexions des noyaux avec les nerfs optiques et les
centres
cor- ticaux. Ce sont les tubercules quadrijumea
e sont pas favorables à l'hypothèse de la lésion simultanée de deux
centres
d'innervation. La fixité pendant des années de
VEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 171 forme de diplopie par la lésion d'un
centre
qui serait préposé à l'adaptation de la converg
aux différentes distances. Il y a quelques raisons de croire que ce
centre
siège dans le cervelet. Les voici : Depuis qu
ations d'ordre physiologique plai- dent, on le voit, en faveur d'un
centre
de coordination des mouvements oculaires pour l
titre de complication dans le cours de plusieurs états morbides des
centres
nerveux. Elle provoque, selon la fonction du ne
nant longtemps que la nutrition des nerfs était subor- donnée à des
centres
trophiques, et beaucoup de per- sonnes se refus
s névrites spontanées puissent se propager de la périphérie vers le
centre
, et atteindre par une migration centripète les
ève sous nos yeux pendant qu'on en pratique l'examen. Le soir, le
centre
de la plaque rouge est dépouillé d'épiderme sur u
e sens transversal. Elle se compose de zones d'aspect différent. Au
centre
existe une tache noirâtre de tissus sphacélés m
ale interne. Le ramollissement s'enfonce assez profondément dans le
centre
ovale, mais il n'atteint pas les masses central
sain. Ces foyers de ramollissement pénètrent profondément dans le
centre
de l'hémisphère, où ils détruisent presque complè
s périphériques, présente un diamètre de six centimètres, et, à sou
centre
, une épaisseur de trois centi- mètres. DES NÉ
représentée .par des cicatrices blanches, légère- ment déprimées au
centre
, un peu pigmentées à la périphérie et formant d
e la rétine. Il pense en outre qu'il doit exister dans l'oeil des
centres
nerveux particuliers, analogues aux ganglions int
l. et J. P. 23 i REVUE DE PIIISIOL031l;. IV.SLJR L\ situation des
centres
IrOTF.URS D.1NS L'PNCISPH\LE, P.\R RAP- port AU
que l'animal emploie pour satisfaire son appétit. Le premier a son
centre
dans la .moelle allongée; en effet, un foetus a
est indispensable pour cela que le cerveau intervienne. Tous les
centres
moteurs de Ferrier sont groupés autour du sillon
on trouve d'avant, en arrière et de haut en bas une quinzaine de
centres
qui s'échelonnent régulièrement autour de la scis
, aux mouve- ments de mastication, etc. Chez les carnassiers, les
centres
sont groupés autour du sillon cruciforme ; mais
on cruciforme ; mais il n'y a dans son voisinage immédiat que les
centres
qui président aux mouvements des yeux et aux mouv
i président aux mouvements des yeux et aux mouvements de course. Le
centre
des mouvements des mâchoires est comme relégué
n n'est chez eux que le dernier terme de la série. Chez le chat, le
centre
des yeux est éloigné des autres; en effet, le tou
ins dans son hypothèse un moyen de retenir aisément la position des
centres
moteurs. R. BL. et J. P. V. Ll TUÉORtE DU CENTR
L'auteur a été conduit par ses expériences à nier l'existence de
centres
d'inhibition. D'après lui, quand on retranche les
stence de centres d'inhibition. D'après lui, quand on retranche les
centres
nerveux supérieurs, ou quand on sectionne un ne
bserve au-dessous de la section n'est pas due à la suppression d'un
centre
modérateur, mais à une con- centration de l'act
mination de ce qu'il nomme « l'équivalent mécanique de l'action des
centres
supérieurs », qui ne serait autre chose que la di
ès inévitable : c'est la diffusion de l'excitation produite par les
centres
, excitation qui produitla contraction simultané
érébrale, réduite en masse rosée, avec petit foyer hémorrhagique au
centre
. C'est là le siège du centre auditif d'après Fe
sée, avec petit foyer hémorrhagique au centre. C'est là le siège du
centre
auditif d'après Ferrier et Munck : la suppléance
vations analogues du professeu Lépine qui croit à l'indépendance du
centre
moteur et peut être sensitif du pouce et de cel
tème périphérique du grand sympathique et peut- être aussi dans les
centres
supérieurs du bulbe, ainsi que peu- vent le fai
stincts). Les grosses cellules ganglionnaires nerveuses, de quelque
centre
qu'elles proviennent chez l'homme et l'animal (
e, par exemple, quelle est la limite exacte 'et le siège 'précis du
centre
pour les mouvements isoles du membre inférieur
adhérent, qui forme une sorte de tube,fibrineux décoloré dont. le,
centre
est encore noir, et rouge. , " . Le lobule para
e ? olume3et'îêriptlis',lé` é)tules , lymphatiques ,qui,i6[ vers le
centre
, L prennent 'en' ceiieral très faibleiiien4,la-co
de la moelle jouent vis-à-vis des muscles correspondants le rôle de
centres
tro- phiques, dont Jajdestructtqnjjentraîne con
. 't.'™l ^"V ]fW./tt)' "îVi- V ' 1 résultat, ! 1 action spéciale du
centre
nerveux a du luter- - ti t Mm a- ? » ' r rl' 11
ne sorte d'action d'arrêt qui détruit la modi- iication spéciale du
centre
, nerveux, .premièrement ÉTUDE DE L'HYPNOTISEE C
éflexes. '-Dans'testrychnisme au 'contraire;' l'excitabilité'; du
centre
moteur estlexaltée ; d'oùH'suit que les réflexes
r * . ,;... ? 'i'.r ; .lui 1 1 1 ;D il bf, 1 . ? ? , du cote, du,
centre
médullaire, quelque chose dana- logue à ce qui
ité, neuro-musculaire 'dépend[d'une exagération fonctionnelle,) du,
centre
mé- '' ; - .. J -li ....' wl ! Idullaire,, le
agentsjqui ont pour, propriété le,, .disparaître l'excitabilitéidu
centre
nerveux doivent.né- t cessairem.ent.Je faire.di
tteiitioii stir,ce, fait que des lésions même peu importantes, des,
centres
, nerveux ? des organes protecteurs, ou qui avoi
ong supi- nateur par exemple, le dissocier de la périphérie vers le
centre
, dans tout son trajet le long du tronc nerveux.
Normalement, toute excitation périphérique' de la peau agit sur le
centre
vaso-moteur (moelle allongée), gagnant ensuite le
et inversement l'anémie de l'autre. L'excitabilité pathologique des
centres
de l'hystérique fait que la moindre excitation
vasculaire, lorsque l'anesthésie est complète, agit vivement sur le
centre
transformant l'anémie angiospastique de la moi-
e déplacement des phénomènes anormaux d'un côté à l'autre. Puis les
centres
d'innervation vasculaire récupérant leur état p
émoire, qu'une faiblesse de résis- tance congénitale ou acquise des
centres
vaso-moteurs. Tout ce qui trouble l'autorégular
s génitales, ano- malies sexuelles. L'excitation s'étend-elle à des
centres
voisins delà moelle allongée, on observe des pa
inue) et termine dans/des conditions topogra-' phiques normales.'le
centre
, ner ? çm.lLesthuit. cornes'de'snbs-t tancé7ai'
Jfl tf tw 1^ W·.·) 11111111 Ji, -1- 4 i 1 organisation spéciale des
centres
cérébraux ; deux.varieles a ' ? no. ? r.i i ^^.
pour les), 389. Cellules ganglionnaires(histochimie des), 263.
Centres
moteurs (sur la situation des dans l'encéphale,
r), 257. Larmes de sang, par Damalix 353. Localisation dans les
centres
ner- veux (étude générale sur la), sui- vie d
389, 393. Recensement des aliénés, 399. Réflexes inhibitoires (
centres
des), par James, 234. Respiration ordinaire (
on de cette partie produit l'aphasie motrice; une artériole pour le
centre
de la mémoire des mouvements nécessaires il la
uand les muscles en question sont soustraits à l'influence de leurs
centres
trophiques, au- trement dit à l'influence des c
cause de cette paralysie deltoïdienne ne peut siéger que dans les'
centres
trophiques spinaux ou dans les filets nerveux qui
malaisé de concevoir une lésion bilatérale des cornes, limitée aux
centres
trophiques des deltoïdes. Enfin l'existence de
l est aussi possible que, par voie réflexe, ils aillent exciter les
centres
trophiques médullaires correspondants. Sous l'i
tances me permettent de faire l'autopsie et l'examen méthodique des
centres
nerveux me démontre qu'il s'agit, non d'une ass
s la peau. Je dis « pas sensiblement davantage », parce que dans le
centre
du bou- ton se trouve une ouverture dont le dia
e des sutures osseuses la sensibilité douloureuse est plus fine. Le
centre
de la sensibilité douloureuse la plus faible est
nsibilité douloureuse la plus faible est la région du bassin. De ce
centre
vers les bouts des doigts des extrémités supérieu
faites (avec le safran, la fuschine) on voit des stries partant du
centre
et s'irradiant vers la zone claire périphé- riq
r Charpy, de Toulouse, dans sa remarquable étude ana- tomique des
centres
nerveux (in Traité d'ana- lomie humaine, publié
cygien, ligament caudal. Ce filament terminal est. comme perdu au
centre
des racines nerveuses qui vont constituer la qu
rce qu'elles sont la conséquence d'une désorganisation profonde des
centres
trophiques de ces muscles ou des nerfs qui en é
uelles exposent les lésions qui intéressent isolément la région des
centres
de l'innervation réflexe de la vessie et du rectu
er la limite supérieure du cône terminal immédiatement au-dessus du
centre
ano-vésical, qui siège au ni- veau de l'émergen
voir en cause une affection du cône terminal ayant désor- ganisé le
centre
dit ano-résical, le centre où les impressions par
du cône terminal ayant désor- ganisé le centre dit ano-résical, le
centre
où les impressions parties de la vessie et du r
région fes- sière inférieure (lésion en foyer ayant désorganisé le
centre
ano-vésical, Il la base du cône terminal). c)
ce au point d'attache des muscles fléchisseurs, et la résistance au
centre
de gravité de l'avant-bras et de la main. Dan
à la sortie de la moelle de la 8epaire radiculaire, fut pris comme
centre
d'une incision menée de la IVe apophyse épineus
leau a été vu dans un cas de lésions en foyer, ayant désorganisé le
centre
ano-vésical à la base du cône terminal. Je m'
alisé dans le cône terminal. Dans- ce cône en effet se trouvent les
centres
ano-vésical et génito-spinat. De ce cône parten
nes. Un foyer morbide qui siégerait à ce niveau et détruirait ` les
centres
et les conducteurs que je viens de vous rappeler
très limitée dans le sens transversal, puisse désor- ganiser les
centres
spinaux du sciatique par exemple, sans intéress
comme organe dans la sensibilité con- duit à la supposition que les
centres
trophiques de la peau sont situés, avec les cen
osition que les centres trophiques de la peau sont situés, avec les
centres
trophiques des nerfs de la sensibilité, dans les
trophiques des muscles, organes du mouvement, sont situés, avec les
centres
trophiques des nerfs moteurs, dans les cornes ant
expérimentales [Max Joseph (1), Justus Gaule (2)] montrent que les
centres
trophiques de la peau sont effective- ment situ
effective- ment situés dans les ganglions, par conséquent avec les
centres
trophi- ques des nerfs de la sensibilité. Com
ui peut attaquer, tantôt isolé- ment, tantôt il la fois, différents
centres
et conséquemmeut provoquer des désordres psychi
, l'innervation des vaisseaux et enfin l'eczéma si elle attaque/les
centres
trophiques. ' On peut accorder aux irritations
(22 millimètres sur 26) où ils sont manifestement plus visibles au
centre
qu'à la périphérie. * \ Depuis cette époque, le
oculaire commun pour aboutir finalement au muscle droit interne; a,
centre
du petit oblique ; b, centre du droit inférieur;
finalement au muscle droit interne; a, centre du petit oblique ; b,
centre
du droit inférieur; c, centre du droit supérieur
erne; a, centre du petit oblique ; b, centre du droit inférieur; c,
centre
du droit supérieur et du releveur de la paupièr
eur; c, centre du droit supérieur et du releveur de la paupière; d,
centre
du droit interne; e, centre photo-moteur; i f,
rieur et du releveur de la paupière; d, centre du droit interne; e,
centre
photo-moteur; i f, centre accommodateur. OPHT
paupière; d, centre du droit interne; e, centre photo-moteur; i f,
centre
accommodateur. OPHTALMOPLÉGIE EXTERNE BILATÉRAL
ré que cette colonne grise se com- pose, en réalité, d'une série de
centres
successifs, destinés aux divers muscles des yeu
En avant, sur la paroi du troisième ventricule, vous apercevez les
centres
des muscles de l'accommodation et des muscles d
de l'iris. Puis, sous l'aqueduc de Sylvius, d'arrière en avant, les
centres
des muscles droit interne, releveur de la paupi
les données précédentes. Veuillez remarquer, je vous prie, que ces
centres
occupent la partie supérieure de la protubérance,
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTRIÈRE de la couche optique; que les
centres
du nerf moteur oculaire droit tou- chent presqu
ulaire droit tou- chent presque ceux du moteur oculaire gauche. Ces
centres
, situés en effet de chaque côté de la ligne méd
es fibres du faisceau pyramidal gauche. Dans cette supposition, les
centres
accommoda Leur et photo-moteur sont complètemen
lmoplégie externe et une qphtalmoplégie externe bilatérale, car les
centres
droits et gauches de la troisième paire sont co
ologie, le rôle des infections dans le déterminisme des lésions des
centres
nerveux a été mis en lumière par la méthode exp
noyaux situés au-dessous de l'aqueduc de Sylvius, c'est-à-dire les
centres
postérieurs des nerfs moteurs oculaires communs
moteurs oculaires communs ainsi que l'origine des pathétiques. Les
centres
antérieurs des nerfs de la troisième paire, à sa-
centres antérieurs des nerfs de la troisième paire, à sa- voir, les
centres
accommodateur et photo-moteur, étant respectés, i
c les filets iriens et ciliaires sont-ils respectés ? Parce que les
centres
antérieurs des noyaux de la troisième paire, qui
occupent le troisième ventricule, sont assez nettement séparés des
centres
postérieurs et qu'ils reçoivent sans doute une
tous les cas, la clinique plaide pour l'indépendance rela- tive des
centres
antérieurs et des centres postérieurs du nerf mot
plaide pour l'indépendance rela- tive des centres antérieurs et des
centres
postérieurs du nerf moteur ocu- Fic. 5 ? Les ar
voit partir de son pourtour un grand nombre de bandes rayonnées, au
centre
desquelles il existe un vaisseau altéré; les vais
es moins volumineux sont des cylindres-axes dénudés et tuméfiés. Au
centre
est un vaisseau entouré d'une couronne du corps
fonctionner et a provoqué ainsi une interruption complète entre les
centres
médullaires inférieurs et l'écorce cérébrale, d
n d'une lésion transverse totale pour abolir le pouvoir réflexe des
centres
médullaires. Les réflexes cutanés persistaient
es lignes sont des angles obtus très ouverts. Une ligne tracée du
centre
des hanches au centre des épaules peut être con
ngles obtus très ouverts. Une ligne tracée du centre des hanches au
centre
des épaules peut être considérée comme l'axe du
centre des épaules peut être considérée comme l'axe du tronc. Du
centre
des hanches au centre de l'articu- lation ,tiLi
peut être considérée comme l'axe du tronc. Du centre des hanches au
centre
de l'articu- lation ,tiLio-tarsienne, une aulre
gne représente approximativement l'axe des membres inférieurs. Du
centre
des épaules au centre d'articulation de la tête
ximativement l'axe des membres inférieurs. Du centre des épaules au
centre
d'articulation de la tête et du cou, une troisi
nts segments du corps, montre en outre que la verticale abaissée du
centre
des , 1 épaules tombe sur l'articulation tibio-
u pied (Fig. 70). Il en résulte que la perpendiculaire a baissée du
centre
des hanches sur la verticale des épaules, au li
E DU TRONC DU NERF AUDITIF. 41 dans la gaine de Schwann, disposésau
centre
de segments de longueur moyenne, entre deux étr
et ne se reconnaissent guère que sous l'aspect de points noirs, au
centre
de la couche jaunâtre et mince de myéline qui l
, incapables de stimuler d'une façon suffisante les fonctions des
centres
nerveux. L'infiltration porte d'ailleurs sur le
un fait indiscutable, c'est bien celui relatif à la localisation du
centre
du langage au niveau de la circonvolution de Br
a fourni un appui inattendu à la démonstration de l'existence de ce
centre
. Cependant, on trouve encore cà et là, éparses
phère gauche ; il y a un lien entre le rôle de l'hémisphère comme
centre
du langage, et son rôle comme centre des mouvemen
le rôle de l'hémisphère comme centre du langage, et son rôle comme
centre
des mouvements les plus délicats du membre supé
, ascendante, c'est-à-dire tous les points que l'on donne comme les
centres
moteurs du cerveau, sont injectées et adhérentes
nt la marche et à la fois l'attitude de la femme grosse (rejet du
centre
gravité en arrière), le signe de Romberg, de l'in
les nerfs, moteurs ou sensitifs. Il diminue le pouvoir réflexe des
centres
nerveux, ralentit le pouls, et augmente la tens
u à un mouvement réflexe, indice que l'impression est perçue par le
centre
nerveux. Alors on retire l'objet qui sert à mai
iproque et intime qu'exercent l'un sur l'autre le tégu- ment et les
centres
nerveux, et qui reste comme le souvenir de leur
il n'y a nulle part de vésicules. Le 3, on voit se développer au
centre
des plaques rouges, sous forme de traînées long
nente compliquée de contracture due à une lésion, quelconque, des
centres
nerveux, l'autre avec une contracture hémiplégiqu
r un pronostic très grave, puisqu'ils admettaient une affection des
centres
nerveux. Une autre petite fille de six ans, jal
clinique, que les individus pré- sentant une atrésie prononcée des
centres
encéphaliques et notamment du cerveau, de gross
sycho-médullaires par tr2ns/'ertlent du poison de la périphérie aux
centres
. Les au'opsies en indiqueraient le substratum a
erfs (Erb, Hempel), tandis que le myosis dériverait d'une lésion du
centre
dilatateur de la pupille dans la moelle ou des
tion de la conductibilité, le myosis résultant de la paralysie des
centres
, source desfibres pupillo-dilatatrices, alors que
un fait qui, à son sens, témoignerait de la trans- mission par les
centres
vasculaires d'une Meee à l'autre des accidents
re : température 38°,6 6 à 39°. L'autopsie démontre l'intégrité des
centres
nerveux; les fibres, les cellules, les noyaux m
nerfs optiques dansl'orbite, on observe la disparition totale de ce
centre
. Au bout de cinq à sept jours, la cavité crânienn
tir du troisième jour de l'accident. Il semble donc probable que le
centre
cardiaque n'a point été directement intéressé p
ante,sans que son anestlasie ! tit6tem0()if[ee jusqu'à la mort. Les
centres
nerveux n'ont présenté à l'ceil nu aucune lésio
er qu'il existe dans des régions indé- terminées de l'encéphale des
centres
sensitifs communs aux organes des sens et aux t
volonté n'agit que d'une manière indirecte, par exci- tation des
centres
volontairement excitables. Seitz-Zehender 2 rac
60, u 3 : .> ct 33. 2M se CLINIQUE NERVEUSE. une irritation du
centre
oculo-pupillaire vaso-moteur, en même temps que
du centre oculo-pupillaire vaso-moteur, en même temps que celle du
centre
respiratoire, vrai- semblablement sous l'influe
on- traction musculaire énergique, déterminent une para- lysie du
centre
constricteur pupillaire. Leeser admet que, dans
Leeser admet que, dans les cas de ce genre, il y a excitation du
centre
dilatateur, tandis que, dans les cas d'effort r
e et musculaire, l'anoxémie s'y surajoute, amenant une paralysie du
centre
constricteur permet- tant la dilatation extrême
r le singe, par exemple, nous voyons MM. Ferrier et Yeo placer leur
centre
visuel à la fois dans le lobe occipital et dans
limite postéro-inférieure de la zone motrice. Cette localisation du
centre
de l'hémianop- sie dans la partie postéro-infér
isphères cérébraux, qui ont surtout des relations multiples avec le
centre
physio- logique de la rétine. 1 réré, loc.cit
urs au présent mémoire à admettre, dans les couches optiques, des
centres
inhibiloires empêchant les contractions rhythmiqu
la terminologie allemande, se reporter au livre de Huguenin sur les
centres
nerveux. (Traduction française, 1879.) 3t6 revu
essus ou à la limite de la région lombaire, de manière à laisser le
centre
ano-spinal en dehors de l'expérience. Les exame
ral du côté opposé, dans lequel elles continuent leur route vers le
centre
ano-spi- nal. H.D'O. VII. STRUCTURE DU PIED D
peresthésie de la muqueuse du larynx et d'une byperexcitabilité des
centres
nerveux, par suite de laquelle l'irritation du
nte et tournante qui s'élargit et s'ouvre d'un côté, tandis que son
centre
s'obscurcit et que ses bords se découpent de plus
tendi- neux sont des réflexes, dont les ganglions spinaux sont le
centre
; Brissaud en fait des réflexes médullaires ; Gow
connexion de la troi- sième paire avec les corps quadrijumeaux (le
centre
de l'expression réflexe des émotions d'après Fe
ession d'une idée mentale, et considère les lobes optiques comme le
centre
réflexe com- mun à ces deux ordres d'impression
s d'impressions. 3° Rappelant le siège particulièrement à gauche du
centre
du langage, s'en référant à Ferrier qui appelle
t; se rangeant à la sup- position de M. Voisin sur l'existence d'un
centre
de grandeur, l'auteur signale la possibilité de
ignale la possibilité de l'existence dans l'hémisphère droit « d'un
centre
d'exaltation » dont l'initiative produit les il-
grandeur, les idées exaltées, et dans l'hémisphère ' gauche d'un «
centre
de dépression » dont l'initiative provo- querai
ent dans la mélan- colie. 4° Enfin poursuivant l'existence de ces
centres
, s'appuyant sur Austin, qui avait remarqué, sau
ra- ducteur admet les opinions de l'auteur sur l'existence de ces
centres
dans leurs hémisphères respectifs sans les locali
as des hallucinations. L'hallucination a en effet son siège dans le
centre
même, l'illusion au contraire dans l'organe du
ns l'hémisphère gauche ; ou, en intervertissant les termes, que les
centres
moteurs dans l'hémisphère gauche, ont une impor-
hère gauche, ont une impor- tance quantilive supérieure à celle des
centres
homologues dans l'hémisphère droit. Si l'on rap
rtions non motrices. Or, dans les régions cérébrales où siègent les
centres
de mouvement, la destruction du tissu cortical
épartement relativement restreint re- présente le champ absolu d'un
centre
moteur , le reste représente le champ relatif.
ir gré à tll. Exner d'avoir insisté sur les champs t'c- latifs 'des
centres
moteurs, qui permettent de comprendre quel- que
délimités par MM. Charcot et Pitres : ainsi ces auteurs placent le
centre
cortical des muscles de la langue dans la parti
ntérieur (circonvolution frontale ascendante). M. Exner localise ce
centre
un peu plus haut. De même, pour MM. Charcot et
e même, pour MM. Charcot et Pitres, les muscles du visage ont leurs
centres
dans les extrémités inférieures des deux circonvo
emagne, admette un rayonne- ment de l'excitation de la corne sur le
centre
épiieptogéne vaso- moteur, M. Coulbault incline
besoin par des expériences la et la thérapeutique des malidies des
centres
nerveux et principale- ment de l'épilepsie. Pri
réalisé un progrès capi- tal dans la thérapeutique des maladies des
centres
nerveux, tel que serait, par exemple, la découv
la lésion nerveuse doit être transportée de la périphérie dans les
centres
. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOS
nt agir un traumatisme. L'excitation sensitive créée se transmet au
centre
par la voie centripète. Elle est en- registrée,
udes explique-t-elle que, en fait, nous percevions non la forme des
centres
corticaux intéressés, mais celle de nos bras ou
dis- tance intracorticale soit connue parla conscience. L'ordre des
centres
percep- teurs n'entraîne aucunement la percepti
que mo- dification de la conscience correspond une modification des
centres
nerveux ; mais on ne préjuge pas la question de
loin de connaître encore les processus intimes, et à l'anatomie des
centres
nerveux qui, quels que soient les progrès qu'elle
ciation des idées, que les anatomistes se soient mis d'accord sur les
centres
ou les faisceaux d'association. Cf. M. et Mme 0
us autres que la sim- ple « distribution » des impressions dans les
centres
nerveux (2), puisque, pour distinguer les deux
immédiatement de la distribution topographique des images dans nos
centres
. » (3) Ibid., p. 15. 28, 70. -Des expériences t
enés à considérer la perception de la forme comme dépendant, non du
centre
visuel lui-même, mais comme étant due à l'actio
e étant due à l'action spéciale d'un territoire cortical voisin, le
centre
optomoteur (Sachs, Pick) (2). Les guérisons d'ave
suit exactement le trajet de la corne postérieure (PI. XIV, A). Au
centre
elle naît en arrière et à gauche de l'épendyme,
oupe ici représentée. Elle présente là, une formation bulbaire avec
centre
aréolaire et périphérie à nombreuses cellules emb
qui marque ses limites, elle est de ce fait moins excavée ; en son
centre
le cartilage est villeux. La face inférieure de l
u résistante à la pression qui la fragmente facilement. Comme les
centres
nerveux avaient été conservés par la méthode de K
aut pour comprendre le mode d'envahissement étudier les bords et le
centre
de la lésion. En suivant la surface cérébrale du
e la méninge, l'infiltration du cortex vont en s'accentuant vers le
centre
du placard. A ce niveau, la substance cérébrale i
e tous atteints et de petites zones de ramollisseme.it se voient au
centre
de la région malade. La zone corticale sous-jac
aient l'aspect de cône à base périphérique, à sommet dirigé vers le
centre
. Elles pénétraient par les cornes postérieures,
cille étant très rarement décelé dans les lésions tuberculeuses des
centres
nerveux. A défaut de signes cliniques, le diagn
lente, une limitation secondaire, il esl vrai, mais bien exacte aux
centres
nerveux, une faible réaction scléreuse, et une
djoint des asiles d'aliénés. Les lobes occipitaux sont le siège des
centres
visuels corticaux; c'est un fait définitivement
hen, llun, Vialet). Précisant encore, les'auteurs admettent que les
centres
visuels corticaux occupent la face interne des
irme les résul- tats des travaux antérieurs sur la localisation des
centres
visuels, mais elle montre les différents troubl
Pas de lésion du bulbe et de la moelle. La localisation exacte des
centres
visuels n'est pas encore complète- ment détermi
pas d'apporter quelques documents nouveaux sur la localisation des
centres
visuels ; mais notre cas permet de'préciser les
outissant à la destruc- tion complète des cellules nerveuses de ces
centres
. 1 Wilbrand avait émis l'hypqthèse qu'il exista
e ces centres. 1 Wilbrand avait émis l'hypqthèse qu'il existait des
centres
séparés pour les couleurs, la lumière et les fo
u processus pathologique sur telle ou telle fibre ou sur tel ou lel
centre
. » Diminution de l'acuité vi- suelle, abolition
urs, The journal of mental science, octobre 1901. (2) VIALET, Les
centres
cérébraux de la vision, Paris, Alcan, éd., 1893,
l'huile de foie de morue, atteint actuellement d'une affection des
centres
ner- veux de nature paralytique. Notre malade e
ition répugnante dans certains pays, de préférence au voisinage des
centres
thaumaturgiques. En outre, les oedèmes ont été
s il y a plusieurs gros infarctus de globules rouges. Vestiges de
centres
nerveux névraxiles. Malgré cette absence totale
che de cellules homologues à celles de l'écorce cérébrale, enfin au
centre
une couche de fibres nerveuses. Un nerf optique
upe, à gauche et en arrière, la pie-mère ne paraît pas modifiée. Au
centre
de la coupe, là où l'on peut supposer le canal de
e au milieu de la substance blanche du cordon postérieur gauche, au
centre
géométrique de la coupe. Enfin la Phot. 6. d'un
e oedémateux ou dégénéré ; ce fait s'observe principalement vers le
centre
de la tumeur, où existe un peloton vasculaire d
eloppée aux dépens de la névroglie, ce tissu de soutien spécial des
centres
nerveux. Cette opinion est basée sur divers arg
ns ses dimensions, la tige pituitaire forme un mamelon creusé à son
centre
et occupe sa position normale en arrière du chias
ucus. Il semble qu'un produit de sécrétion se soit accumulé dans le
centre
même du prolongement intra-ventriculaire de la
e colloïde que la section macroscopique du cerveau avait décelée au
centre
du prolongement intraventriculaire), un aspect
iques absolument remarquable.Les vaisseaux les plus petits, situés au
centre
du prolongement ventriculaire, ont une paroi co
mme le plus habituel. Au voisinage de la portion colloïde située au
centre
du prolongement ven- triculaire, les cellules s
ntes, et si on veut parler anatomiquement, un engour- dissement des
centres
corticaux correspondants, et, dans les deux cas,
s préférez le langage anatomique, c'est la diminution du nombre des
centres
corti- caux qui fonctionnent d'une manière comp
proprement dit, accident qui relève d'une irritation matérielle des
centres
ou conducteurs nerveux, ou d'un tic, trouble ps
dance aux irritations chroniques diffuses portant à la fois sur les
centres
nerveux et sur les autres appareils. L'identité
es analogies avec le myxoedème), ou que l'on invoque une lésion des
centres
nerveux du trophisme cellulo-cutané (ainsi que la
tigue de l'écorce cérébrale, ou d'une sorte d'hyperexcitabilité des
centres
sous-corticaux. Nous savons seulement qu'il s'agi
ales pouvaient être l'agent provocateur de cette décharge brusque des
centres
sous-corticaux. Si on rencontre le phénomène
De même qu'il peut y avoir amnésie ou paralysie fonctionnelle d'un
centre
correspondant à la marche, de même il peut y av
ion. On connut qu'il s'y faisait des miracles. Gheel fut bientôt un
centre
de pèle- rinage, où les malades et les infirmes
rendre la di- reclion des cures rituelles. Gheel devint par là un
centre
thaumaturgique de premier ordre. Tout le mérite
d'un lipome diffus dissociant avec sclérose fasciculée du nerf. Au
centre
des faisceaux, les tubes nerveux, pressés les u
is après la première opération, qu'une étroite zone anesthésique au
centre
de la pulpe de l'index et un émoussement léger
s ce point, une prolifération des éléments nerveux séparés de leurs
centres
médullaires. 2° La persistance des diverses sen
cylindraxes sont presque toujours parfaitement bien différenciés au
centre
des fibres. Toutefois, ils nesontpas toujours exa
également disposés. Ces noyaux paraissent répondre, surtout dans le
centre
des faisceaux, soit à des fibres cylindriques,
aisément avec des éléments conjonctifs. Si parfois.il apparaît, au
centre
et au bord d'une de ces fibres, un corps plus c
'aspect finemeptgrenu du protoplasma. D'autres, enfin, montrent, au
centre
de leur axe protoplasmique, un filament axial net
strie rouge cylindraxile et la bande protoplasmique plus claire au
centre
de laquelle il vient se perdre. Le cylindraxe e
enfin, une fibre dans laquelle existait un noyau caractéristique au
centre
même du cylindraxe renflé à ce niveau. s, On pe
ents conjonctifs, car nous avons pu différencier par places, à leur
centre
, un axe plus dense se colorant en rouge plus vi
des rapports de contiguïté avec les neurones voisins, tant dans les
centres
par ses prolongements protoplasmiques,. qu'à la p
ses ramifications cylindraxiles. La cellule ganglionnaire est le
centre
protoplasmique et trophique de son prolongement
His qui avait décrit des cylindraxes nus bourgeonnant au dehors des
centres
. En histologie, sur les résultats fournis par l
ent du bout central, et par la loi de Waller vérifiée tant dans les
centres
qu'à la périphérie. Toutes ces données sont dis
un conduc- teur ininterrompu quoique d'origine pluricellulaire. Au
centre
et à la périphérie, ces fibrilles s'anastomosen
ter et même se régénérer jusqu'à un certain point indépendamment du
centre
. La persistance de la sensibilité dans le terri
s et présentent parfois un aspect annelé. Dans la fibre occupant le
centre
de la figure, le cylindraxe, parti de l'étranglem
dégénérescence rétrograde dans les nerfs périphériques et dans les
centres
nerveux (Soc. anat. et Soc. de Biol., 1894 ; Bull
es psychomo- teurs, qui impliquent nécessairement la mise en jeu de
centres
supérieurs d'association et de coordination, et
si, peut-être, de troubles endogènes quelconques dans la région des
centres
auditifs du cerveau. Concernant la terminaison
arité morphologique absolument circonscrite : ce n'est jamais qu'un
centre
d'où émanent, dans les parties environnantes, e
; et encore, il arrive quelquefois que la partie la plus profonde du
centre
ovale n'acquiert pas la même consistance que tout
aisceau pyramidal, au niveau de la pénétration de ce faisceau dans le
centre
ovale. Lorsqu'un hémisphère a pris la consistan
x ne s'y prête pas. Tout au plus prend-on le soin de prélever dans le
centre
ovale ou dans la capsule interne les trois ou qua
que les parties médullaires, c'est-à-dire celles qui appartiennent au
centre
ovale, présentent des teintes différentes. La col
La coloration générale de la sur-face de coupe est toujours celle des
centres
nerveux imprégnés par la solution saline ; mais l
nerveux, dans l'hémisphère ou dans n'importe quelle autre région des
centres
, constituent des masses de fibres parfaitement is
de? D'ailleurs, pour ce qui concerne plus spécialement l'anatomie des
centres
nerveux, les gravures, les photographies, les ima
n ouvrage d'ensemble l'état actuel de la science sur la structure des
centres
nerveux. Le livre d'Obersteiner remplirait ce des
nsées traverser suivant leur longueur n'ont pas, surtout au milieu du
centre
ovale, la direction rectiligne que suppose un pla
CL. Claustrum (avant-mur). CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 71, 77. DE. Pilier descendant du forait ou
Cin. Cingulum, 145, 147. CO. Centre ovale, faisceau ou libres du
centre
ovale, 148. Dsu. Diverticulum sub subiculo, fis
x, 155. Cin. Cingulum, 157. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 159. Dsu. Sillon latéral du subiculum, 1
1G6. Cin. Cingulum, 109. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 170. Dsu. Sillon latéral du subiculum, 1
0. Cin. Cingulum, 175, 184. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 184. F1. Première circonvolution frontale.
x, 189. Cin. Cingulum, 191. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 192. Dsu. Diverliculum inféro-interne du v
x, 198. Cin. Cingulum, 203. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 198, 204. Dsu. Diverliculum inféro-interne
222. CL. Claustrum, 222. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale. CP. Commissure postérieure, 205, 211, 218.
ssure de Meynert, 227, 229. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 256, 238. CP. Commissure postérieure, 23
Commissure de Meynert, 247. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 252. CP. Commissure postérieure. CTE.
Commissure de Meynert, 263. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 269. CTE. Faisceau du tegmentum allant à
. Claustrum, 27G, 287, 288. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 280. F. Circonvolution frontale ascendan
ngulum. CL. Claustrum, 511. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale. DL. Discus lenliformis, 311, 519. F. C
m, 552. CL. Claustrum, 454. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale. DF. Pilier descendant du fornix ou pilie
Cingulum. CL. Cloustrum. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale. COL Commissure inférieure (dans la substan
e, 405. CL. Claustrum, 592. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 406. DE. Pilier descendant du fornix ou
CL. Claustrum, 410, 418. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du
centre
ovale, 418. EPA. Espace perforé antérieur, 407,
de cette enveloppe exté- rieure du ganglion pour se diriger vers le
centre
sont plus volumineux qu'à l'état normal. En cer
dues de proche en proche des ascen- dantes au faisceau pyramidal du
centre
ovale, puisque au-dessus de la décussation on n
extrême a agi comme excitant soit sur l'écorce grise, soit sur les
centres
profonds. P. K. XI. UN cas DE dypsomanie guér
s d'onomatomanie qui semblent dépendre d'une excitation anormale du
centre
des images verbales motrices. Les hallucination
n chien qui présentait après la mort une destruction com- plète des
centres
moteurs des membres. Il n'y aurait donc pas dans
entres moteurs des membres. Il n'y aurait donc pas dans l'écorce de
centres
circonscrits servant obstinément à des fonc- ti
de glycosurie. M. le docent Rumpr. Contribution à la pathologie des
centres
corticaux moteurs. Homme de trente ans, frappé
a dyslexie occuperait, d'après M. Berlin, la même situation dans le
centre
nosologique que la cécité verbale isolée. D'après
nerait d'une interrup- tion entre le cadre des images écrites et le
centre
des images phonétiques, lescentres eux-mêmes et
bon lui semblerait, ces garanties feraient défaut. Un sénateur au
centre
. Il faudrait dire : « par le juge de paix assis
le, mais en pro- duisant une agitation sympathique, irra- diée du
centre
; la douleur s'irradie le long de tout le membr
ur se tenir debout 2. Comment se développent ou mieux se créent ces
centres
médullaires d'actions coordonnées ? « A la mani
c'est vraisemblablement à cause du développe- ment incomplet de ses
centres
nerveux. « Si l'en- fant, dit-il, présentait un
en relation avec des groupes cellulaires correspondants dans les
centres
spéciaux. Des groupes corticaux part le stimu-
. Des groupes corticaux part le stimu- lus, à l'occasion duquel ces
centres
spinaux entrent automatiquement en action. M.
ce mécanisme saisissant à l'aide d'une image. Il compare les divers
centres
médul- laires, relatifs à la marche, à ces roul
e changer l'air. C'est ainsi que, dans le cas de la mar- che, les
centres
spinaux, une fois activés par le centre cortica
le cas de la mar- che, les centres spinaux, une fois activés par le
centre
cortical, continuent à agir automatiquement jus
203 gées comme actions automatiques secondaires résidant dans des
centres
spinaux, s'appuie, d'ailleurs, sur un ensemble
nombre d'expériences qui démontrent que, chez certains animaux, le
centre
des mouvements coordonnés pour la marche est da
raison du petit nombre de fibres nerveuses qui subsis- taient, un
centre
cérébral organisé pour la marchen'au- rait pas
ément à chacune des cellules du groupe spi- nal, que, par suite, le
centre
des mouvements coor- donnés pour cet acte subsi
s'efface graduellement, et presque tout se passe désormais dans les
centres
spinaux. Dans ces centres s'est organisé un app
presque tout se passe désormais dans les centres spinaux. Dans ces
centres
s'est organisé un appareil de cellules reliées
ou tel mode d'ascension et de descente (mémoire psychologique), les
centres
spinaux, eux, chargés de l'exécution dite autom
ar l'éduca- tion est automatiquement représentée à la fois par un
centre
d'incitation et de représentation cortical et par
e d'incitation et de représentation cortical et par un ou plusieurs
centres
spinaux où seule réside désormais la mémoire de
s'agit ici d'une influence d'arrêt portant son ac- tion soit sur le
centre
cortical de la station ou de la marche - cas da
che - cas dans lequel l'impulsion initiale fera défaut, soit sur le
centre
spinal, et alors l'ordre donné n'est pas exécut
ettait normalement, mais que l'exécution auto- matique des actes du
centre
spinal, en conséquence de quelque désordre surv
onnées, selon l'intensité même de l'action d'inhibition. Le rôle du
centre
cortical étant, en somme, de mettre en jeu le m
de toute immixtion de symptô- mes relevant d'une participation des
centres
affectés au mécanisme du saut et de divers autr
mique qu'elle soit, l'affection n'en occupe pas moins \ dans les
centres
nerveux certaines régions, certains organes, qu
dilaiateurs (Franck), soit plutôt un point de la moelle ou même des
centres
supérieurs commun aux filets sudoraux et irido-
tion bien difficile à résoudre. Il est cependant probable que les
centres
supérieurs 1 Dartre et lltorat. - In Dllval, ar
sion directe de l'écorce cérébrale, soit par retentissement sur les
centres
bulbaires. On connaît à cet égard l'opinion de
ne lésion qui intéresse soit le système grand sympathique, soit les
centres
bulbaire ou spinal. Elle se présente au même ti
circonvolution frontale ascen- dante, sinueuse, est déprimée à son
centre
qui est très grêle et surplombé par la circonvo
! ings Jakson, etc., ont attribué l'automatisme à l'épuisement des
centres
cérébraux supérieurs par la décharge, et à la p
e temporaire du contrôle que ces derniers devraient exercer sur les
centres
com- plexes qui se trouvent juste au-dessous d'
t un discours. Cette « Verbigération » est une crampe coordonnée du
centre
cérébr11 des organes de la parole qui est absol
stique pathologique pourKiernan serait un trouble primitif dans les
centres
vaso- moteurs, amenant une stase sanguine qui e
u'il y a entre l'aphasie ataxique, qui résulte de la destruction du
centre
de coordination moteur de la parole articulée, et
eur de la parole articulée, et l'aphasie amnésique dans laquelle le
centre
acoustique des images phoné- tiques se trouve d
trice progressive, on ne trouvait aucune altération appréciable des
centres
nerveux'. . Que fallait-il penser de ces fait
onsécutives, sans qu'à l'autopsie on découvre aucune altération des
centres
nerveux, des racines rachidiennes ni des nerfs
ant été suivi d'une autopsie régulière avec examen histologique des
centres
nerveux et des nerfs périphériques. Observati
use. faut ajouter que les artères ainsi altérées ne forment pas des
centres
d'où s'irradient des travées con- jonctives éla
on nombre de cas, indépendants de toute altération matérielle des
centres
nerveux. L'apoplexie elle-même est quelquefois
RVEUSE. paire dont le point de départ semble être plutôt dans les
centres
nerveux que dans la périphérie. En réalité la p
l est ferme, assez dur ; une, la plus antérieure, est nummulaire, à
centre
un peu déprimé, lisse, blanche, à bords légèrem
, au simple balancement, tandis que la thoracique est rapprochée du
centre
du tracé en deve- nant moins ample que celle du
qu'il veut décrire, Kalhbaum fait de la verbigération une crampe du
centre
cérébral des organes de la parole; il en serait
soit besoin d'invoquer pour cela une crampe coordonnée de certains
centres
cérébraux. Un exemple bien connu est celui du g
aques de vitiligo, et la marche excentrique de celles-ci, avec leur
centre
décoloré et leur pourtour foncé, sont bien fait
quente que chez les individus ne pré- sentant aucune altération des
centres
nerveux. J'ai cependant SOCIÉTÉS savantes. 449
ée par son caractère obsédant ne tarde pas à stimuler, à exciter le
centre
cortical et il éveiller ainsi l'image tonale, l
elles elle se trouvait pour sa- tisfaire sa manie; elle marchait au
centre
des pavés : elle a en. core une sorte ce délire
ges tonales qui continuentàs'écliap- per presque automatiquement du
centre
curtical. Ils se montrent indifférents à ce qui
égère blépharoptooe gauche, nystagmus des globes oculaires quand le
centre
de la pupille est, pendant l'excur- sion du côt
des ganglions spinaux. Conclusions. - 1° Les fibres motrices ont un
centre
tro- phique dans la moelle. - 2° Un certain nom
cet organe, et se rendent ensuite à la péri- phérie, ont aussi leur
centre
trophique dans la moelle. Ainsi s'explique la d
section périphérique des nerfs. - 3° Le ganglion spinal confient un
centre
trophique autonome pour les fibres nerveuses sens
argument sérieux à l'appui de l'opinion que le ganglion contient un
centre
pour les organes périphériques. 4° Toute cellul
cellule nerveuse ganglionnaire est en connexiou aussi bien avec le
centre
qu'avec la périphérie. M. Sn ? 1lmLING. Contrib
cherches personnelles, M. Franck a montré d'abord qu'il existe cinq
centres
distincts dans le pied de la couronne rayonnant
one motrice et seuls excitables. Ce sont d'avant en arrière : 1° un
centre
pour les mouvements bilatéraux d'ouverture des
aux d'ouverture des paupières et de dilatation de la pupille; 2° un
centre
pour les mouvements du membre antérieur du côté
re pour les mouvements du membre antérieur du côté opposé ; 3° un
centre
pour les mouvements des deux membres du côté op
e basant sur l'étude des lésions circonscrites; 2° les ré- gions du
centre
ovale qui correspondent à ces deux portions de
laire et des articulations, rayonnant autour des jointures, comme
centre
quand il s'agit de paralysies segmentaires et lim
résident veillait un peu plus... (Vives réclamations à gauche et au
centre
.) M. LE Président. Monsieur de Gavardie, je ne
ou qui ont. rapporté son apparition à la présence d'altérations des
centres
nerveux indépendantes de la maladie DE LA MALAD
l, lSS1111 ? cJ\t Ll J f11 IX. Etude critique expérimentale sur LES
centres
moteurs corticaux ; par A. 1li.nc.ccl. Travail
: Gqddell(' r L'auteur. nmontrera qu'ils [ en onti aussi' avec les»
centres
(rotateurs de la têtèi'eti qüe l,r'lésion deslfi
r'" ' (l.nh"I ? ? f1n.... ci ni Qn'1')'f ? r, t)t.7 ' 1 Jours a'ces
centres
et .annihilera, par-moments-.1 absence,, de 1 »
Nous verrons ce que pèse cette pierres angulaire de la théorie, des
centres
optiques de M.'Luys.-i il nny 1f ? ji1ff. <)''
LISSEME1\T DE LA FRONTALE ASCENDANTE DU CÔTÉ DROIT, U OCCUPANT ' LE
CENTRE
DU . P.\CLIL;,par 11NECHT : (All. Zcitsch1'. f.
re, fût possible. Cette association s'explique par le voisinage des
centres
moteurs du membre supé- rieur droit et des musc
aiblesse irritable qui se traduit par l'exagération de l'action des
centres
sous-corticaux, comparée à celle du cerveau ? L
serve l'empreinte. Ces hyperémies collatérales excitent de même les
centres
sensoriels sous-corticaux; c'est sous leur acti
que''ce foyer en permanence déterminerait une anémie continue, des
centres
du langage. ? ... ? ? ? " ' ' ' x ' ' 't'a a
phénomènes de l'hypnose émanent d'excitations qui vont agir sur les
centres
du patient, centres qui réfléchissent les mouve
e émanent d'excitations qui vont agir sur les centres du patient,
centres
qui réfléchissent les mouvements. Dans les états
elle. Intégrité , des adères.,Coloi-aLion,])Ieue,-griseil4rune, des
centres
,en-, question. Sang noir, ., dépourvu de) consis
1base les récentes études d'anatomie et de physio- 1 ? -ic sur les
centres
, nerveux et pour point de ralliement. Texis- tè
ate une disposition radiaire des.circonvolutions vers le bord ou le
centre
de la perte de substance; on voit alors les circo
iques de la peau paraissent se développer de la périphérie vers les
centres
, ou du moins qu'il n'y a pas de continuité appa
a pas de continuité apparente des altérations nerveuses depuis les
centres
jusqu'aux extrémités péri- phériques. Nous av
périphériques qui se montrent dans le cours des affec- tions des
centres
nerveux. Dans cette hypothèse, la lésion centra
ces né- vrites paraissent liées à des altérations primitives des
centres
nerveux, nous n'avons pas trouvé d'altérations
pathologiques ne nous permettent que des conjectures sur l'état des
centres
nerveux. Chaque fois qu'il s'agit de troubles p
il existe une prédisposition toute particulière à la congestion des
centres
nerveux chez les enfants et chez les adolescent
ale. Les parents de nos enfants n'ont eu ni affection organique des
centres
nerveux, ni état névropathique qui mérite d'êtr
épaississement de la substance grise qui se trouve au voisinage des
centres
mo- teurs, mais ne les intéresse pas. On remarq
présence de deux ou plusieurs noyaux dans une cellule nerveuse des
centres
, dans cer- tains cas au moins, est un fait actu
des cellules à divers degrés, avec ou sans déplacement du noyau. Le
centre
est occupé par une grande cel- lule tuméfiée et
i : il avait une éponge, maintenue au dehors par une ficelle, et au
centre
de laquelle se trouvait l'aliment. Ces expérien
spèce étant en rapport avec des actions vasculaires différentes. Le
centre
vaso-moteur sous -cortical, d'abord affecté par
d'idées. Exemples : telle excitation de la sensibilité agit par le
centre
sous-cortical sur la moelle comme vaso-constric
sation de déplaisir, de douleur (asphyxie vasculaire temporaire des
centres
). Les tissus nerveux de l'individu conservent d
pathiques résultant de l'o- pération. Le corps thyroïde serait un
centre
d'innervation vaso-motrice dont la suppression
s sur les troubles trophiques des ongles dans quelques maladies des
centres
nerveux; par MiLircHEViTcn. Thèse de Paris, 188
s plus éle- vées, il fait des découvertes, il cherche le point du
centre
du soleil et voit à travers, à l'aide d'un instru
ause, le poison, distribué dans tout l'encéphale, agit sur tous les
centres
sensoriels et provoque, dès que la dose est suf
r certains procédés, l'activité psychique, sensitive et motrice des
centres
nerveux et cela isolément d'un seul côté, ou si
ée par l'anatomie pathologique est venue prouver qu'une lésion d'un
centre
cortical déterminé, donne lieu suivant son inte
psycho-sensorielle ; il donne pour siège aux hallu- cinations, les
centres
corticaux où sont perçues les impressions et ar
9. DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3j 1 1Úl état d'excitation des
centres
sensol iels de l'écorce'. 1. Aux nombreux argum
régions que la physiologie expérimentale avait dési- gnées comme
centres
sensoriels corticaux, ont été trouvées altérées
sion était plus étendue et dépassait les limites assi- gnées à ces
centres
, mais néanmoins en comparant ces faits, en supe
, on trouve toujours une région commune qui correspond justement au
centre
sensoriel cortical. On peut s'en assurer eu com
paravant dans mes rêves la perception visuelle. » La destruction du
centre
cortical qui recueille et conserve les images v
èrement cette situation mentale nouvelle. Quand, au contraire, ce
centre
cortical se trouve excité, c'est l'inverse qui
ou si des substances odorantes sont répan- dues auprès de lui, les
centres
corticaux visuels, olfac- tifs, sollicités par
qui suivant leur caractère produisent un rêve ou un cauchemar. Les
centres
psychiques supé- rieurs sont au repos et l'auto
le la conscience (région antérieure), et stimule au contraire les
centres
sensoriels de l'écorce (région postérieure). Da
façon incons- ciente, poussé par les incitations de la région des
centres
sensoriels, à des actes, qui échappent au con-
a nulle différence pour le siège et la genèse, et c'est encore aux
centres
senso- riels de l'écorce qu'il faut les rattach
isphères cé- rébraux et elles désignent comme siège organique les
centres
sensoriels de l'écorce; 4° Les expériences dans
largement distribué et très prononcé dans la substance blanche des
centres
nerveux et de fort légères altérations dans la
arrivé M. Flechsig dans ses investigations sur le développement des
centres
nerveux ; encore Flechsig ne parle-t-il qu'avec
s envisager ces parties de la subs- tance grise comme contenant les
centres
de ces fibres. Dans notre cas, les libres dégén
is. Er. conséquence de ce qui précède, nous devons admettre que les
centres
corticaux de ces mouvements atteints doivent se
laquelle se dirigeaient les fibres dégénérées, c'est-à-dire que les
centres
des mouvements des jambes, du tronc et, en part
r et d'autres, et avec des faits pathologiques qui prouvent que les
centres
mo- teurs des extrémités se trouvent dans la pa
la langue sont dans la partie inférieure. Il est à présumer que ces
centres
occupent en général une surface beaucoup plus é
s dégénérées ne représentait qu'une partie de celle qu'occupent ces
centres
. z74 le RECUEIL DE FAITS. Pour terminer, nous
lie, M. Stenger tend à admettre que le lobe occipital renferme deux
centres
: l'un situé à la pointe et correspondant à la
TEMPÉRATURE DANS QUELQUES FORMES DE MALADIES mentales (rapproché du
centre
régulateur de la chaleur); par W. BECNTGMW. (Ar
ravail mus- >M. Stenger explique le mécanisme fonctionnel de ces
centres
par des considérations histologiques qui sont l
oncert avec la pathologie expérimentale, admettre les troubles d'un
centre
régulateur de ! a chaleur siégeant dans l'écorc
te de leur genèse, que M. Berger tend à rattacher à l'excitation du
centre
vaso-moteur de l'écorce. P. K. XXV. Idées délir
r aucune cause extérieure à l'organisme. Il faut donc penser que le
centre
régulateur de la chaleur a eu dans l'espèce a s
ladie et que les lésions les plus intenses occupent le voisinage du
centre
de la parole, ce qui explique pourquoi la pa- r
ui, il se serait, dans l'espèce, effectué quelque anomalie dans les
centres
trophiques, dont l'équilibre revenu dans l'orga
quantités prolongées agit sur l'encéphale, le muscle cardiaque, les
centres
neuro-vasculaires, l'appareil gastro-hépa- tiqu
pileptique annule l'action directrice, paralysant momentanément les
centres
les plus élevés, (les centres de la voli- tion,
ectrice, paralysant momentanément les centres les plus élevés, (les
centres
de la voli- tion, les centres modéro-moteurs de
ent les centres les plus élevés, (les centres de la voli- tion, les
centres
modéro-moteurs de Ferrier), les centres inférieur
ntres de la voli- tion, les centres modéro-moteurs de Ferrier), les
centres
inférieurs restant seuls en activité, ne peuven
. La théorie nerveuse nous a fait passer en revue les lé- sions des
centres
nerveux et des nerfs rencontrées chez les diabé-
veux, si petit qu'il soit, peut en assurer la transmission vers les
centres
nerveux. » Les paralysies doivent être divisé
de la scène morbide, explique peut-être pourquoi la souffrance des
centres
nerveux dont l'amoindrissement est alors porté
1311, 155. Moral insanity, 145, 40G. Morphinisme, 154. Moteurs (
centres
corticaux), 98. Mouvements (perception des), 97
des cellules à divers degrés, avec ou sans déplacement du noyau. Le
centre
est occupé par une grande cel- lule tuméfiée et
en outre de déceler l'existence d'une affec- tion plus étendue des
centres
nerveux. Or si l'on considère que les troubles
re au tabès, à la paralysie générale ou la syphilis conglomérée des
centres
nerveux; il en constitue une manifestation caract
d'un manche en acier nickelé, long de 20 à 25 centimètres, fixé au
centre
d'un disque de même sub- stance qui, à sa circo
tre, on a affaire à un état pathologique. SUR LA LOCALISATION DES
CENTRES
DES REFLEXES TENDINEUX ET OSSEUX. Quelques mots
ES TENDINEUX ET OSSEUX. Quelques mots enfin sur la localisation des
centres
des réflexes tendi- neux dans le névraxe. Comme
ci-dessous les données que nous pos- sédons sur la localisation des
centres
des principaux réflexes. Ces localisations qui,
fait exactes relative- ment à l'ordre de succession en hauteur des
centres
des réflexes tendi- neux depuis la protubérance
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 47 TABLEAU 140 Il Localisations des
centres
des réflexes tendineux et osseux. 48 SÉMIOLOGIE
, dans les poliomyélites ce symptôme est produit par une lésion des
centres
réflexes eux-mêmes, par une lésion des cellules
urtant n'est pas un indice cer- tain d'un désordre irrémédiable des
centres
nerveux. Les réflexes tendi- neux peuvent repar
lexes tendineux se comportent ainsi. lésions siégeant au-dessus DES
centres
DES réflexes tendineux. Nous venons d'envisager
ar une altération du système nerveux central siégeant au-dessus des
centres
des réflexes tendineux ? Telle est la question qu
d'après laquelle le cervelet aurait une action excitatrice sur les
centres
médullaires des réflexes, la région psycho-motr
rôle excitateur qu'exercerait, à l'état normal, le cervelet sur les
centres
médul- laires. Mais la plupart des auteurs, Opp
fluence de lésions du système pyramidal siégeant au-dessus de leurs
centres
. CARACTÈRES PERMETTANT DE DISTINGUER LA SURRErL
s désordres anato- miques s'étendent au moins du cinquième segment,
centre
du réflexe de (') Si j'en juge par mes observat
on de l'avant-bras sur le bras, jusqu'au huitième segment cervical,
centre
du réflexe de flexion de la main et des doigts. S
eil cas on a le droit de dire à priori que c'est le réflexe dont le
centre
se trouve le plus rapproché du cinquième segmen
i de prona- tion fût exagéré. Il ressort de ces observations que le
centre
du réflexe de pronation se trouve au-dessus du
ations que le centre du réflexe de pronation se trouve au-dessus du
centre
du réflexe d'extension de l'avant-bras. Cet e
ivers départements de l'écorce céré- brale, en particulier dans les
centres
moteurs et déterminer ainsi des manifestations
aire, celle qui est liée à une altération de l'écorce cérébrale, du
centre
ovale ou de la capsule interne. Il existe certa
réflexes de défense témoigne que la moelle est délivrée du joug des
centres
supérieurs; mais, comme on le voit par ce qui p
ne s'observeraient que quand il y a persistance de l'influence des
centres
supérieurs. Dans la section complète, l'extensi
lètement abolis; la moelle n'était donc pas entièrement libérée des
centres
supérieurs; or, chez ce malade, bien souvent, des
e ; elle est tonique dans l'un, clonique, phasique dans l'autre. Le
centre
de cette activité a pour siège unique les noyau
jeu d'un autre RÉFLEXES DE DÉFENSE 1,51 appareil réflexe dont le
centre
occupe le mésocéphale, les noyaux para- cérébel
e occupe le mésocéphale, les noyaux para- cérébelleux probablement (
centre
des réflexes de posture). Une lésion cantonnée
e à une lésion occupant une des parties de l'arc réflexe ayant pour
centre
les noyaux paracérébelleux détermine une paraplég
us forts (période de shock mise à part) que la séparation entre les
centres
spinaux et les centres mésocé- phaliques est pl
ock mise à part) que la séparation entre les centres spinaux et les
centres
mésocé- phaliques est plus grande, que la libér
ment une double lésion cérébrale. La suppression de l'influence des
centres
mésocéphaliques n'est donc pas indispensable pour
ail sur la réflectivité hyperalgésique sont des réflexes ayant leur
centre
dans l'encéphale. Quant aux mouvements de la ma
pathologique traduisent la libération de la moelle par rapport aux
centres
supérieurs. Les faits observés cadrent fort bie
si l'on admettait qu'il est sous la dépendance de l'irritation des
centres
nerveux produite par le reliquat de la lésion ?
portantes. Comment le comprendre ? On pourrait dire que lorsque les
centres
supérieurs ont asservi les centres infé- rieurs
On pourrait dire que lorsque les centres supérieurs ont asservi les
centres
infé- rieurs, ceux qui correspondaient aux cent
ont asservi les centres infé- rieurs, ceux qui correspondaient aux
centres
spinaux, ils ont inhibé les réactions susceptib
a contraction provoque un mouvement conjugué ont dans la moelle des
centres
fonc- tionnant d'une manière synergique. Sans
établir avec certitude, dans certains cas de lésion spinale, que le
centre
des réflexes de défense se trouve dans la portion
ns la portion de la moelle située au-dessous de la lésion. Quant au
centre
spécial des réflexes hyperalgé- siques, dans le
emblablement parce que l'excitation, après s'être réfléchie dans le
centre
encéphalique présumé, est arrêtée à son retour pa
elle est arrêtée par le barrage en question et ne par- vient pas au
centre
encéphalique. Les réflexes de défense paraissen
bite on la porte devant l'oeil, de manière à faire pénétrer dans les
centres
une quantité bien plus grande de lumière, tout
'autre, ce qui tient évidemment à ce que la lumière impressionne le
centre
du réflexe d'une manière plus active ; de plus,
he, d'autres pensaient qu'il dépendait d'une irritation directe des
centres
nerveux. Par mes recherches sur l'homme, par de
ères intrinsèques, que la paralysie était due à une compression des
centres
nerveux ; d'autre part, contrairement à ce qui
e ces carac- tères appartiennent aux paralysies par compression des
centres
nerveux ('). Le 3 mai un nouvel examen du fond
dineux, il y a lieu de penser qu'elle est due à une compression des
centres
nerveux, à condition qu'elle ne soit pas associ
roire que cette affection est liée à une perturbation organique des
centres
nerveux, je pense que les lésions dont elle dép
éserves. Il serait permis de supposer qu'elle occupe une région des
centres
nerveux avoisinant ces faisceaux, par exem- ple
ie pyramidale ; on peut affirmer qu'il est atteint d'une lésion des
centres
nerveux. Les mouvements spas- modiques que l'on
ont été montées en série, et si quelques défauts d'imprégnation au
centre
de certains morceaux sont venus, par places et su
vascularisation constatée était due à une suppression d'action des
centres
vaso-constricteurs correspondant à la main gauche
à la main gauche : abolition du tonus vasculaire entretenu par ces
centres
, d'où vaso-dilatation relative dans cette main, e
arois vasculaires, la disparition souvent complète de la myéline au
centre
des ilots de sclérose, constituent au (') M. J.
u les circonvolutions du côté gauche particulièrement au niveau des
centres
psycho-moteurs de la face et du membre supérieu
e pathogénie « centrale » de ces mômes troubles, l'exci- tation des
centres
médullaires et ganglionnaires du sympathique pouv
d'un secteur se rapprochant peu à peu, comme le disait Forster, du
centre
du champ visuel. La vision centrale, quand le s
lacée en décubitus latéral gauche. Incision cutanée en prenant pour
centre
les apophyses de D 6-D 7. Cette incision s'éten
tions que le néoplasme a pu faire subir aux cellules constituant le
centre
de ces réflexes, altérations dont les effets, e
ntient, sur les relations entre les lésions de la périphérie et des
centres
, des idées qui étaient en partie nouvelles à l'
laquelle l'atrophie musculaire est indépendante de toute lésion des
centres
nerveux ou des nerfs périphériques, et qui est co
l'anatomie de développement ('). (') C'est, en particulier pour les
centres
nerveux, le cas de la sclérose latérale amyotroph
que l'hystérie fût apte à exercer une action perturbatrice sur les
centres
des réflexes tendineux et sur les centres vasom
ion perturbatrice sur les centres des réflexes tendineux et sur les
centres
vasomoteurs, de penser aussi qu'elle pût amener
teurs, de penser aussi qu'elle pût amener une perturbation dans les
centres
régulateurs de la tempéra- ture. Toutes ces déd
ues sont par contre fréquents. C'est ce qui a motivé la création de
Centres
de neurologie de l'avant, spécialement destinés
ive. Les accidents pithiatiques sont plus fréquents encore dans les
Centres
de neurologie de l'arrière, chez les soldats qu
de la main, sans aucun signe dénotant l'existence d'une lésion des
centres
nerveux ou des nerfs périphériques, et que l'au
les influences psy- chiques que ceux qui sont liés aux lésions des
centres
ou des troncs nerveux. Aucun des caractères sig
bles consécutifs au traumatisme et indépendants de toute lésion des
centres
ou des troncs nerveux. Si exacte que soit la no
Les crises hystériques ont été fréquemment observées dans certains
Centres
. Elle se distinguent déjà des crises épileptiques
tue l'élément prédominant. Dans une réunion des représentants des
Centres
neurologiques (i5 décembre 1916) ayant pour ord
question ni de réforme, ni de gratification, les représentants des
Centres
neurologiques ont témoigné qu'ils partageaient
nt donné les résultats thérapeutiques remarquables obtenus dans les
Centres
neurolo- giques de l'avant et dans ceux de l'ar
i a demandé la création de services spéciaux ; aux chefs des divers
Centres
et leurs collaborateurs, dont les efforts ont é
s efforts, encouragé les initiatives et complété l'organisation des
Centres
neurologiques. Est-ce à dire que dans cette v
égage de tous ces travaux l'impression que, dans un grand nombre de
Centres
de neurologie militaire, on a été frappé par la f
lade étaient conservés. L'hypothèse d'une affection organique des
centres
ou des nerfs péri- phériques devait être écarté
narcose avait mis hors de doute l'existence d'une perturbation des
centres
médullaires, nous retrou- vâmes les signes sur
aissant incontestablement sous la dépendance d'une perturbation des
centres
médullaires, il y avait des raisons de penser q
produit) : 1° d'un nerf centripète qui transporte l'excitation à un
centre
nerveux ; 20 d'un centre nerveux qui reçoit cet
entripète qui transporte l'excitation à un centre nerveux ; 20 d'un
centre
nerveux qui reçoit cette excitation et la trans
te. « Les affections articulaires, lorsqu'elles retentissent sur le
centre
spi- nal, écrit-il, déterminent tantôt une exal
trophique. » Il faut ajouter que ces deux modes de perturbation des
centres
médullaires peuvent se trouver combinés chez un m
ec surréflectivité tendineuse, l'existence d'une pertur- bation des
centres
spinaux consécutive à une irritation périphérique
is, alors même que la surréflectivité fait défaut, l'excitation des
centres
médullaires et l'incitation centrifuge sont mises
é puissent dépendre tantôt d'un état d'excitation ou de stupeur des
centres
moteurs spinaux, comme Charcot l'avait supposé,
e la tétanie qui, de l'avis unanime, dépendent d'une excitation des
centres
nerveux par un poison qui les imprègne, constit
par le traumatisme, mais qu'elles impliquent une pertur- bation des
centres
nerveux, et c'est là l'idée principale que renfer
sion périphérique déterminant une pertur- bation à la fois dans les
centres
spinaux et dans le système sympa- thique (').
sv, Boisseau et d'Oelsnitz, La station neurologique de Salins (Jura) (
centre
de psycho- névroses) après trois mois de foncti
voir survenir, après les traumatismes crâniens, des néoplasmes des
centres
nerveux. Et chez notre malade, souffrant longte
icale des Hôpitaux, 7 novembre 1902). 87. Lésions syphilitiques des
centres
nerveux. Foyers de ramollissement dans le bulbe
x lésions des nerfs. Troubles nerveux consé- cutifs aux lésions des
centres
nerveux. Accidents hystériques. Troubles ner- v
ents hystériques. Troubles ner- veux d'origine réflexe (Travaux des
centres
de neurologie) (en collaboration avec Froment.
Réformes. Incapacité et gratifications dans les névroses. Travaux des
centres
de neurologie (Revue neurologique, juillet igi6
en toute certitude, si elle reconnaît pour cause une altération des
centres
nerveux ou des nerfs périphériques, s'il s'agit d
aux altérations des dendriles. J'en aurai fini avec les lésions des
centres
nerveux, quand je vous aurai (1) ROLLIER, Arch.
e postérieure de Flechsig. Dans la moelle foetale on aperçoit, au
centre
des cordons postérieurs à la région lombaire, à
t qui se relie en arrière aux champs postéro-externes ; c'est là le
centre
ovale de Flechsig, qui se retrouve avec sa form
ivant, une con- fusion que je m'efforcerai de dissiper. En haut, le
centre
ovale se continue avec un faisceau cunéiforme a
à fibres longues, qui, dans la région lombaire, passe au travers du
centre
ovale de Flechsig, avec lequel il est à tort co
La 4e sacrée manque. 3e Sacrée. La sclérose forme un triangle au
centre
du cordon postérieur ; l'angle externe de ce tr
tituant l'extrémité inférieure de la formation qui mérite le nom de
centre
ovale de Flechsig. 5° Lombaire. - Tandis qu'à c
s volumineuse et prendre déplus en plus l'aspect caractéristique du
centre
ovale de Flechsig, tel qu'il existe dans la moe
é ; l'angle postéro-interne s'arrondit. 4" Lombaire. A ce niveau le
centre
ovale de Flechsig est complètement développé ;
mps postéro-externes sont à leur maximum d'étendue. 3* Lombaire. Le
centre
ovale fait place à un faisceau cunéiforme dont la
s il me faut dis- cuter les rapports qu'affecte ce faisceau avec le
centre
ovale de Flechsig, car il existe actuellement e
à devenir classique est la suivante : le faisceau de Hoche devient
centre
ovale de Flechsig à la région lombaire et trian
ns exact; tout en admettant à tort la nature endogène des fibres du
centre
ovale deFlechsig, nous avons déjà, Ettlinger et
entre les dimensions de la sclérose médio-périphérique et celles du
centre
ovale conservé dans le tabès incipiens; cette a
aires postérieures et qui représente la prolongation par en haut du
centre
ovale de Flechsig (Les faisceaux sont d'autant mo
sées; ces fibres sont les mêmes que celles qui sont représentées au
centre
du centre ovale dans la figure précédente. 40
s fibres sont les mêmes que celles qui sont représentées au centre du
centre
ovale dans la figure précédente. 40 NAGEOTTE
à celles des planches V et VI pour être convaincu de ce fait que le
centre
ovale de Flechsig, décrit et figuré par son aut
ntièrement distinct. La distinction est tellement radicale que le
centre
ovale de Flechsig est constitué par des fibres
es toutes celles qui for- ment une traînée de plus en plus dense au
centre
de chaque cordon il partir de la 1e sacrée. E
cordons postérieurs dans son magnifique ouvrage sur l'anatomie des
centres
nerveux (1). « Nous avons déjà dit, en traitant
ette externe (zone radiculaire antérieure, champs postéro-externes,
centre
ovale de Flechsig et cordon de Goll) ne présent
r antéro-postérieure dans le cordon de Goll. Il est probable que le
centre
ovale de Flechsig, continué en haut par un fais
ire moyenne, en partie dans la zone radiculaire antérieure ; C o F,
centre
ovale de Flechsig (fibres radiculaires). A droite
aisceau de Hoche. C. Le triangle médian est entièrement distinct du
centre
ovale de Flechsig, qui est un faisceau radicula
rs de l'encéphale (au- dessus de la couche optique considérée comme
centre
de coordination mimique), puisque les mouvement
la couche optique, comme le déclare Mingazzini, mais l'écorce ou le
centre
ovale simplement (BetcUerew) » (3). Dans les ca
ordre fondamental de la nutrition, ou le trouble des organes ou des
centres
nerveux qui les commandent, on observe que la l
ent une action stimulante sur les surfaces ostéogéniques ou sur les
centres
trophiques dont dépend leur activité. Mais il e
des cellules et elle est plus appréciable à la circonférence qu'au
centre
de l'organe. Région sacrée (ter sacré droit, 2°
roportionnel à celui de la cellule. Les mêmes lé- sions existent au
centre
et à la périphérie, mais elles sont en général pl
Les lésions sont en général plus marquées à la circonférence qu'au
centre
du ganglion. Le tissu interstitiel n'est pas tr
épaissi. Les lésions sont également accusées à la circonférence et au
centre
des ganglions. Dans les deux autres ganglions
istinctes, elles ne sont. pas plus nombreuses à la périphérie qu'au
centre
. Les capsules sont en général peu proliférées.
que dans le territoire même des vaso-moteurs dont elle a touché les
centres
, et n'entraîne pas dans les régions sous-jacentes
à la paraplégie flasque. L'autonomie des vaso-moteurs vis-à-vis des
centres
bulbo-el1csphaliglles est donc considéra- bleme
ain degré de vaso-dilatation paralytique, l'examen histologique des
centres
solaires montre que les cellules ner- veuses pr
re mises sur le compte de la destruction plus ou moins complète des
centres
des nerfs splanchniques qui siègent, comme on s
foraine, on voit éclore une nuée de mendiants. Car il n'est pas de
centre
thaumaturgique sans sentinelles éclopées, monta
e Samalcis, berceau de ce temple de Delphes, le plus formidable des
centres
thaumaturgiques de l'antiquité, où la Pythie ren-
et qui a été l'objet de diagnostics variés : hystérie, syphilis des
centres
nerveux, neurasthénie et particulièrement migra
épaississement, lié manifestement à la prolifération périostique. Au
centre
de la tuméfaction, le doigt percevait cependant
as nettement limitée, on voit qu'elle devient moins intense vers le
centre
de la moelle, et respecte complètement la parti
et prend ici la forme d'un triangle dont le sommet est dirigé vers le
centre
de la substance grise. La région lombaire inf
et même dans la portion centrale des bandelettes, aux environs des
centres
optiques primaires, des corps genouillés extern
pas suffisant pour annihiler passagèrement l'action régulatrice des
centres
supérieurs, en laissant libre essor aux actes d'a
S<)'e</e)t/t ! <f/e/. (4) Decacoau, Calcification dans le
centre
oval el dans le noyau lenticulaire. An- nales m
onservée. Poncet (2) a constaté une sclérose prédo- minante dans le
centre
du nerf optique, il croit que l'amaurose tabétiqu
ériphérie partent souvent un ou deux prolongements fibreux ; à leur
centre
on voit parfois un ou deux globules rouges, com
ées présentent de nombreux nodules fibreux dont certains ont à leur
centre
un ou deux globules rouges. Dans ces cas l'abonda
com- plètement obturés, certains ont encore un globule rouge à leur
centre
, quelques- uns ont une lumière libre. L'espace
ire » : la plupart des nodules ont en- core un globule rouge à leur
centre
. Très petit nombre de fibres nerveuses. Grosse
ou deux globules rouges, ils for- ment des nodules isolés. Tout le
centre
au contraire a conservé, avec ses fibres, son a
st aussi ici périvasculaire, mais prédomine autour des vaisseaux du
centre
et non à la périphérie, sous la méninge. ÉTUDE
est prédomi- nante ; dans le nerf optique comme dans l'ensemble des
centres
nerveux (dans le tabes ou la paralysie générale
dans toute l'étendue de la coupe, aussi bien à la périphérie qu'au
centre
: dans ces cas il y avait sclérose surtout au pou
tteint à peu pressa totalité, mais elle est souvent plus marquée au
centre
, au moins dans la partie la plus périphérique d
uivant leur ancienneté, plus ou moins épais et percés ou non à leur
centre
d'un orifice, soit vide, (i) Il existerait une
térieures des fentes ou des ban- des scléreuses rectilignes dont le
centre
était occupé souvent par un vaisseau épaissi et
.). Donc la lésion semble pénétrer par la péri- phérie et gagner le
centre
de la moelle, marche inverse de celle qui se réal
ion bien spéciale sem- blant se propager autour des vaisseaux comme
centres
et dont on ne trouve guère d'exemples dans les
voisins ; mais très fréquemment à la limite interne de la paroi, au
centre
des nodules se trouvent des vaisseaux malades,
sans coordination, sans discipline, comme affranchies en partie des
centres
, qui ne savent plus, ne peuvent plus se faire o
infantile. A gauche, le foyer est plus étendu qu'à droite et à/son
centre
on voit un gros vaisseau dont la gaîne contient
omplètement confondus, ce qui lui donne un contour polycyclique; au
centre
ou près du centre de presque tous ces foyers, on
dus, ce qui lui donne un contour polycyclique; au centre ou près du
centre
de presque tous ces foyers, on voit encore un p
-externe des deux cornes antérieures ; à gauche un gros vaisseau au
centre
du foyer. B. 6c-"je cer- vicale. Partie inférie
fibres du tout ; le foyer de gauche est largement vacuolaire à son
centre
. A cause de ces foyers les cornes antérieures son
lons pour démonstration que l'existence d'un vaisseau situé près du
centre
de la plupart des foyers. D'ailleurs en dehors
clair ; en certains points même, semblait-il, un vaisseau était au
centre
d'un petit foyer de dégénérescence tout à fait au
ènes psychomoteurs, qui impliquent nécessairement la mise en jeu de
centres
supérieurs d'association et de coordination et qu
La position de la main qui s'appuie sur la bouche et qui marque le
centre
figuratif et idéal de la composition est représ
résumé, le rhumatisme portant sur l'appareil vaso-mo- teur, crée un
centre
d'appel pour la manifestation ulté- rieure de t
ages tonales qui continuent à s'échapper presque automatiquement du
centre
cortical. Ils se montrent indifférents à ce qui
n des nerfs dans les membres et de la diffusion de l'irritation aux
centres
nerveux dans les maladies viscérales. P. S. X
ymptôme purement hystérique. Il est dû à un trouble fonctionnel des
centres
corticaux coordinateurs qui n'atteint point les
tionnel des centres corticaux coordinateurs qui n'atteint point les
centres
des mouvements simples des membres inférieurs. Il
es individus en état d'hynoptisme). Dès lors la par- ticipation des
centres
infra-corticaux est purement secondaire, ceux-c
ent secondaire, ceux-ci étant privés de l'influence régulatrice des
centres
corticaux. Il y a donc lieu de traiter ce sympt
souvent la conséquence directe d'une infection, de l'action sur les
centres
nerveux du mi- crobe ou de ses toxines, et cela
tution, leur nutrition, leurs rapports, en limitant leur action au
centre
moteur du bras gauche. La chorée ordinaire doit t
e et intériorise des phénomènes dus à l'excitation pathologique des
centres
qui président à la formation, ici, des SOCIÉTÉS
erbales auditives; là, des images verbales d'articulation. Les deux
centres
ainsi hyperexcités correspondent entre eux par
nt elles reconnaissent pour unique cause une congestion intense des
centres
nerveux qu'on constate à l'autopsie. M. BRIAN
re le point de départ de la stimulation qui, par la média- tion des
centres
nerveux déterminerait l'excitation des nerfs va
xe bulbo- MALADIE DE RAYNAUD ET ERYTIIR0111ELALGIE. 183 spinal du
centre
de l'action réflexe, la symétrie des phénomènes.
donc comme cause un réflexe dont le point de départ est dans les
centres
nerveux eux-mêmes (réflexe interne). Suivant que
paralytique due soit à une diminution du pouvoir excito-moteur des
centres
médul- laires, soit à une modification directe
faisceau de Burdach, on observe une autre lésion qui correspond au
centre
ovale de Flechsig, lequel chez l'embryon, se dé
idées fixes. 11 y a psychologiquement une désu- nion des plus hauts
centres
, et entre les idées saines et les idées fixes i
la parole intérieure normale et pathologique. A l'état normal, les
centres
d'articulation des mots (résonance articulée) f
ir proéminence des images commémoratives des mots contenus dans des
centres
d'articulation résonatrice de ces mots, d'où la
i de toute épilepsie jaclcsonuienne. Il s'agit d'une irritation des
centres
corticaux sans qu'on ait besoin de faire interv
Psychiat., LI, 1.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE. XII. Azzalomie des
centres
nerveux; par J. DEJERINF, avec la colla- borati
tractilité réflexe des vaisseaux du cerveau par l'intermédiaire des
centres
vaso-mo- teurs généraux bulbaires et produiraie
s généraux bulbaires et produiraient les convulsions en excitant le
centre
convulsit' du bulbe surtout chez les sujets hér
ive siégeant dans la région psycho-motrice gauche et intéressant le
centre
du bras droit. Quant à la nature de cette lésion,
iège de cette lésion, il était hors de doute qu'elle intéressait le
centre
du bras droit. Mais ce centre comprenant une as
hors de doute qu'elle intéressait le centre du bras droit. Mais ce
centre
comprenant une assez grande partie de la région
ériences sur des singes, Beevor et Horsley ont trouvé un point du
centre
du bras dont l'irritation a pour conséquence : ab
t enlevée immédiatement avant la ligne rolandique, de sorte que le [
centre
de la couronne était au niveau de la partie sup
encé par les convul- sions localisées dans les muscles dépendant du
centre
qui était le siège de l'irritation. Il y a dans
par latforiiialioil d'une cavité régulièrement cylin- drique à leur
centre
. La question est de savoir si cette cavité est
et dudit faisceau, il n'y a que son tiers interne qui s'en aille au
centre
sans interruption à travers la calotte, car une
te hypothèse, il y aurait intérêt à faire des recherches du côté du
centre
vaso-moteur du plancher du qua- trième ventricu
peut dire que le développement fonctionnel de l'écorce se^ fait du
centre
à la périphérie, les fonctions les plus hautes et
tles.premières atteintes. ( j , , . h i ,; - iJLes fonctions de ces
centres
é ! evés paraissent être essentiellement inhibi
te cette méthode. Sur un animal adulte ou à peu près, on enlève les
centres
ou on sectionneles tractus dont on veut trouver
s cellules nerveuses; 2° quand, dans l'organe central, on enlève un
centre
, les cellules nerveuses du centre voisin et qui e
ns l'organe central, on enlève un centre, les cellules nerveuses du
centre
voisin et qui en dépend directement subissent u
330 sociétés' savantes. premières semaines, ne va pas au delà du
centre
voisin. Peu im- porte que l'on enlève le centre
e va pas au delà du centre voisin. Peu im- porte que l'on enlève le
centre
ou qu'on coupe les trousseaux unis- sant les de
enlève le centre ou qu'on coupe les trousseaux unis- sant les deux
centres
; 3° la rétrogression suit une marche variable s
t dans les cas qu'ils décrivent aucune altération fonctionnelle des
centres
nerveux ou des conducteurs optiques, mais consi
omplète encore, puisque de ce côté la vision ne s'avance qu'à S0 du
centre
. En môme temps, nous constatons un fait étrange
;peut)évidemment pas,songer,ici à une,lésion complète définitive,du
centre
dulangage.puisque le phénomène n'est que passag
ôle prépondérant par son action essentiel- lement modificatrice des
centres
nerveux. 380 RECUEIL DE FAITS. CAS DE CHORÉE
mmation aurait coupé les communications intra- cérébrales entre les
centres
sensoriels intacts et ceux placés dans les lobe
es et les exigences de la vie de l'Allemagne de l'Est, du Sud et du
centre
. M. K.ROEMER. Les opinions des directeurs d'asi
ajouter de gages. Mais Berlin et ses environs cons- tituent un bon
centre
d'attraction permanente pour les jeunes infirmi
i admet à l'état sain l'hypérémie par- tielle au niveau de certains
centres
, nécessaire pour que les ima- ges obtenues aien
: « C'est ce que l'on peut exprimer avec Fechner en disant que les
centres
hypérémiés sont en état de veille alors que le re
e est suffisante, et que l'irritation progressive par le poison des
centres
nerveux pré- disposés, est arrivée au degré vou
lexes de l'irritation des DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 449
centres
nerveux disparaissent, ne laissant après eux qu'u
d'éleclrophysiologie ont surtout roulé cette année sur l'étude des
centres
cérébraux. Cette question est loin encore d'êtr
n des élec- trodes un accès épileptique. On commence par exciter le
centre
du mouvement du membre antérieur droit. Une foi
abilité de l'écorce déterminée, M. Ram enlève la substance grise du
centre
gauche, découvre l'hémisphère droit et excite a
roit et excite alternativement la substance blanche sous-jacente au
centre
sain et au centre mutilé. La seule différence e
ernativement la substance blanche sous-jacente au centre sain et au
centre
mutilé. La seule différence entre les accès sur-
différence entre les accès sur- venus avant et après l'ablation du
centre
cortical consiste en ceci : que dans le dernier
rnier cas les groupes musculaires qui sont sous la dépendance de ce
centre
n'entrent plus en convulsion, ce qui est d'aill
il établit à l'aide de l'ex- citation faradique, le territoire des
centres
corticaux en notant le minimum de courant néces
un accès épileptique. Il fait ensuite avec précaution l'ablation du
centre
moteur correspondant, ferme la plaie et laisse
un certain temps on remarque autour de la plaie la néoformation des
centres
corticaux abolis. Le Dr Joukoff dans le même la
lement dans l'inflammation traumatique; 2° la destruction des mêmes
centres
du côté opposé diminue l'ltyperexcitabilité tra
abilité traumalique de l'écorce; 3° lorsqu'on enlève de nouveau les
centres
corticaux néoformés à la suite d'une première a
euxième fois dans les régions voisines ou même au niveau d'un autre
centre
. REVUE d'électrothérapie. 455 Dans une très i
a cavité crânienne, il est légitime de diminuer l'excita- bilité du
centre
cérébral et en particulier de l'écorce par le bro
expliquer l'association complexe qui forme cette représentation; un
centre
primaire serait réservé dans l'écorce à la perc
réservé dans l'écorce à la perception directe et autour de lui des
centres
secondaires à J'emmagasinernent des images. Il
sontsousia dépendance d'une 1 bibliographie. 481 intoxication des
centres
nerveux surajoutée aux lésions chroniques de la
vulsil's ou comateux déterminés par l'action des toxines sur des
centres
nerveux déjà profondément altérés peut être compr
uverts. C'est le type qui a été réalisé à Wurzbourg. On trouve deux
centres
dans l'avant- corps des bâtiments ; une salle d
115·o ? srE, pathogénie de l' par Rossoiimo, 385. Anatomie des
centres
nerveux, par Déjerine, 237. Anémie, maladies
qu'elle est liée à une lésion inflammatoire ou dégénéra live de son
centre
bulbaire. En ce cas, une asphyxie mortelle ou u
his par le processus myélitique; si cet envahissement porte sur les
centres
respiratoires et cardio-vasculaires, le malade
cette formation est couverte tout autour de fibres myéliniques. Au
centre
de ce triangle, il y a beaucoup de vaisseaux. P
e, on peut les caractériser de la manière suivante : l'absence d'un
centre
quelconque provoque une absence du système qui co
centre quelconque provoque une absence du système qui commence à ce
centre
et l'absence du système qui s'y termine immédiate
ble, il semble qu'il n'ait connu de la vie que les jouissan- ces du
centre
. - Erreur. Ce festoyeur, ce franc luron, dont la
minée par une affection préalable des différents appareils nerveux,
centres
ou conducteurs. Vous serez ainsi amenés à const
particulière en vertu de l'action spinale exercée par un véritable
centre
, et si, corollairement, la moelle est composée el
vec la symétrie et la régularité de développement d'une maladie des
centres
nerveux. 2° La sclérodermie en bandes ou en zon
m le fait prévoir, ne relève pas d'une perturbation préala- ble des
centres
ou des racines, et parait bien plutôt subordonnée
étamérie spinale, en ce sens qu'elle gagne de la périphérie vers le
centre
, comme une onde perpendi- culaire à l'axe des m
s sa racine implique une symétrie d'action qui n'apparlient qu'à un
centre
nerveux : moelle épinière ou cordon sympathique
voir leur conjonction qu'en un point de la moelle représentant le
centre
métamérique du tronçon antibrachial.Ici l'inter
mier chef, ne laisse subsister aucun doute sur le rôle dominant des
centres
nerveux trophiques. Vous ne vous méprendrez pas
ne vous méprendrez pas sur la signification que j'attribue au terme
centre
trophique pour la commodité du langage. Ne po
st pas indépendante de toute influence nerveuse cen- trale. Car les
centres
nerveux, pendant le temps que dure le développe-
nts cylin- draxiles est un fait actuellement établi. Bien plus, les
centres
nerveux sont susceptibles d'être modifiés à dis
pel (1), Leyden (2), Achard et L. Lévi (3) d'atrophie localisée des
centres
nerveux en rapport avec l'atrophie musculaire et
es entraînent, elles aussi, l'atrophie de la corne antérieure et du
centre
cérébral correspondant au membre paralysé. L'in
e plus favorablement que l'ap- pareil labyrinthique, conducteurs et
centres
. En effet cette recherche clinique et anatomo-p
cornes postérieures ou enfin sur les fibres qui en émanent vers les
centres
plus élevés, formant les cordons postérieurs. Q
tômes du tabes relèvent de la contribution du labyrinthe et de ses
centres
à la symptomatologie générale, et que certains
guement développé ailleurs (1). Ce ganglion auriculaire est donc le
centre
d'un protoneurone centripète ou plutôt d'un éno
stinct du vestibulaire. Je ne retracerai pas ici la description des
centres
bulbo-protubérantiels, cérébelleux, cérébraux d
-à-dire le tabes laby- rinthique. Remarquons tout d'abord que les
centres
primaires, bulbo-protubéran- tiels, ceux qui co
ostérieures de la moelle, sont si haut placés dans le voisinage des
centres
supérieurs que les fibres qui en émanent n'ont
te des cornes postérieures, d'où les impressions s'élèvent vers les
centres
supérieurs et corticaux, pour former les images t
es de toute nature, tactilité tégumentaire. thermesthésie, etc. Ces
centres
occupent les zones sensitives paicto-occipitcle
soit directe- ment, soit après d'intéressants relais, vont vers les
centres
supérieurs et corticaux former les images audit
des fibres qui des cornes postérieures vont direc- tement vers les
centres
nucléaires des cornes antérieures, formant un a
flexe d'une extrême brièveté. De môme nous trouverons au niveau des
centres
labyrinthiques bulbo-protubél';1l1ticls des fibre
byrinthiques primaires, prolongeant les cornes postérieu- res,à des
centres
nucléaires prolongeant les cornes antérieures de
rment l'homologation des flbresdu système labyrinthique et de leurs
centres
avec l'appareil des racines postérieures et de
leurs centres avec l'appareil des racines postérieures et de leurs
centres
primaires. De par l'anatomie normale, s'il exis
res centripètes du tronc labyrinthique émettent sans doute vers les
centres
supérieurs un très grand nombre de fibres, plus
es centres supérieurs un très grand nombre de fibres, plus qu'aucun
centre
médullaire des racines postérieu- res. Mais tan
des racines postérieu- res. Mais tandis que les fibres émanées des
centres
médullaires des racines postérieures cheminent
res parallèles, il n'en est pas de même pour les fibres émanées des
centres
labyrinthiques. Celles-ci diver- gent en tous s
les, chaque fibre gagnant iso- . lément ou à peu près isolément les
centres
supérieurs dont beaucoup ne sont pas éloignés.
périphérique. Mais il faut admettre que c'est surtout au niveau des
centres
labyrinthiques que doit apparaître la lésion syst
tabes vers le bulbe, ou sa localisation initiale dans ce point des
centres
nerveux; il n'y a rien d'étonnant à ce que le tab
es ampullaires des canaux semi-circulaires de l'oreille interne aux
centres
bulbaires, cérébel- leux et cérébraux, les donn
tude les moindres écarts autour de l'attitude verticale. De plus le
centre
du monde objectif révélé par la vue est égale-
ai sur ce point. . La tête est enfin en quelque sorte la base et le
centre
d'opérations de toutes nos investigations senso
? Sais-je même où sont mes muscles et si j'en ai ? En fait, de mes
centres
de représentation d'attitudes, qui selon moi ne s
ement et l'arrêt de l'orbite, quand le labyrinthe est lésé dans ses
centres
, les mouvements dits, je ne sais pourquoi, comp
même le plus souvent se rappeler que, quand il s'agit du tabes, les
centres
sont au moins aussi accessibles à la lésion systé
one centripète, il faut tenir compte de l'irritabilité pro- pre des
centres
bulbo-médullaires auquel aboutit ce protoneurone,
Il semble que dès que le protoneurone est lésé, l'irritabilité des
centres
en rapport avec ce protoneurone est accrue mome
t c'est maintenant la base de sustentation qui doit courir après le
centre
de gravité. Les remarqua- bles appropriations d
hroniques chez des individus porteurs d'appareils ampullaires ou de
centres
labyrinthiques particulièrement susceptibles ; il
tion et la coordination de l'effort musculaire destiné à ramener le
centre
de gra- vité et la base de sustentation sur la
- (1) Rapports entre l'appareil ampullaire de l'oreille interne les
centres
oculumo- leurs. Soc. de Biologie, 11 mai 1895 e
lbaire, comme il s'en voit assez fré- quemment dans la syphilis des
centres
, et irradiant dès noyaux du nerf ampullaire ver
u, placard violacé du diamètre d'une pièce de 0 fr. 50 ayant en son
centre
une dépression jaunâtre. Placard analogue sur
re. A droite de cette plaque, une autre plus petite, portant en son
centre
un point brunâtre. Une autre à gauche. Sur le t
Et, détournant ses regards d'un trop séduisant visage, il les con-
centre
sur le contenu de la bouteille uroscopique où se
e; si, en outre, on remarque l'existence d'une plaque congestive au
centre
de la joue, si le sujet éprouve une sensation p
capable encore d'éliminer les poisons qui produisent le malaise des
centres
nerveux (céphalalgie, rachialgie, névralgies), de
it système d'images motrices ou, en d'autres termes qui a excité un
centre
fonctionnel. Mais nous voudrions faire ob- serv
iétale et temporale, dans l'aire ou sur les con- fins immédiats des
centres
de la vision et de l'audition des mots. Le plus
Il ne semble donc pas que ce lobule puisse être considéré comme le
centre
unique et exclusif de l'évocation amnésique des m
es 1 ra et 2e temporales. Coupe 5 (PL LXXVII et Schéma 5). C'est le
centre
du foyer hémorrha- gique. Toute la substance bl
uite. Tcbirkoff croit que ces oedèmes dépendent d'une affection des
centres
vaso-moteurs, due le plus souvent à la syphilis,
roubles de nutrition. Existe-t-il une lésion ? Siège-t-elle sur les
centres
ou les conducteurs trophiques ? Frappe-l-elle l
e trophoe- dème ne sont pas commandés l'un et l'autre par les mêmes
centres
de trophicité, réagissant vers un extrême ou l'
s causes des troubles de l'évolution : à savoir des altérations des
centres
trophiques chargés d'as- surer le développement
rimitive une affection commandée par une altération congénitale des
centres
de la trophicité musculaire, on pourra égalemen
héréditaire comme la consé- quence d'une altération congénitale des
centres
qui président au dévelop- pement du tissu cellu
Il se peut que la cause première soit une disposition anormale des
centres
trophiques. Ce qui est certain c'est que l'anom
issu conjonctif, conséquence d'une lésion ou d'une perver- sion des
centres
trophiques chargés d'assurer la vitalité de ce ti
soutenu que l'ataxie était une névrose : pour ceux-ci, la lésion des
centres
nerveux, trouvée à l'autopsie, ne se produirait q
taxie locomotrice progressive, est une des formes de la sclé-rose des
centres
nerveux. La sclérose ou induration grise des ce
sclé-rose des centres nerveux. La sclérose ou induration grise des
centres
nerveux répond, vous ne l'avez pas oublié, à l'un
ochent, quant à la texture, beaucoup plus de la substance blanche des
centres
nerveux que tous les autres nerfs. C'est ainsi qu
attache à l'étude ophthalmoscopique dans la clinique des maladies des
centres
nerveux. Je ne saurais donc trop vous recommander
, développées sous l'in-fluence plus ou moins directe de la lésion du
centre
spinal. Dès à présent, il n'est pas inutile de
ant évidemment à titre de symptôme de la lésion de ce département des
centres
nerveux. On observe surtout ces arthropathies :
termine la lésion articulaire ; car, évidemment toutes les régions du
centre
spinal ne sauraient être indistinctement mises en
naissance. Car, Messieurs, les effets de la compression lente sur le
centre
nerveux spinal ne varient guère que suivant la ré
le centre nerveux spinal ne varient guère que suivant la région de ce
centre
qui est intéressée et, en dehors de cette circons
ur coloration et tous leurs autres caractères, la substance grise des
centres
nerveux où, d'ailleurs, ils naissent de préférenc
entôt, dans l'immense majorité des cas, les éléments qui composent le
centre
nerveux spinal réa-gissent à leur manière. Au niv
e lésions organiques primitivement situées en dehors de la moelle, ce
centre
nerveux n'a pas encore manifesté sa souffrance. Q
rrompue oumême très sérieusement intéressée. Il semble que, placée au
centre
, la substance grise soit protégée contre les caus
'à des fibres nerveuses restées saines ; ces impressions parvenues au
centre
de per-ception, par cette voie anormale, seraient
peler votre attention sur le cas où l'une des moitiés latérales de ce
centre
est seule lésée par le fait de la compression.
esthésie croisée paraît être une conséquence fréquente des lésions du
centre
spinal par un instrument tranchant. Cependant le
1 Charcot et Gombault. — Note sur un cas de lésions disséminées des
centre
nerveux observées chez une femme syphilitique. In
eut en dire autant d'une tumeur qui, primitivement développée vers le
centre
de la moelle cervicale, s'étendrait principalemen
tent d'une époque où nos moyens d'exploration, en ce qui concerne les
centres
nerveux, étaient beaucoup moins puis-sants qu'ils
ndant, au point de vue physiologique, la partie la plus importante du
centre
spinal. Qu'il me suffise de vous rappeler que ce
limité, je le répèle, si circonscrit, qu'occupe la substance grise au
centre
de la moelle épinière, il y a lieu d'établir plus
re, les premières études régulières, relativement à la nécroscopie du
centre
spinal, dans la paralysie infantile. Dès 1864,
éparent ; de telle sorte que ces dernières paraissent comme autant de
centres
ou foyers, d'où le processus morbide auraii rayon
à, elle paraît rayonner autour du groupe cellulaire comme autour d'un
centre
. Ce n'est qu'au plus haut degré de l'altération e
ocessus irritatifs, le cylindre axile des tubes nerveux, soit dans le
centre
cérébro-spinal, soit dans les nerfs périphé-rique
s de tumeurs intraspi-nales (gliômes ou sarcomes), qui, développés au
centre
de la substance grise, dans la région cervicale,
alors, aux symptôme déjà si variés de l'induration mulliloculaire des
centres
ner-veux, viennent se joindre des amyotrophies à
survenir, c'est-à-dire qu'une lésion primitivement développée dans le
centre
gris envahisse consécutivement les faisceaux blan
ions musculaires qui surviennent ainsi en consé-quence des lésions du
centre
spinal. Je n'aurai pas à insister longuement sur
entôt, histologiquement, par les caractères propres à la sclérose des
centres
nerveux. Dans l'isthme et dans le bulbe, la sclér
s concomitantes de la substance grise dans les mêmes départements des
centres
ner-veux ; — 3° des lésions consécutives des raci
e. Vous n'ignorez pas, Messieurs, qu'il existe, dans cette partie des
centres
nerveux, un certain nombre de noyaux de substance
l'autopsie, par la formation d'un foyer hémorragique siégeant dans le
centre
ovale de l'hémisphère droit. La contracture survi
in, par MM. Eulenbourg et Cohnheim 4, les résultats de l'autopsie des
centres
nerveux avaient été négatifs. À la vérité, dans c
xister entre le tabès dorsal spasmodique et la sclérose enplaques des
centres
nerveux. C'est là, ainsi que je vous l'ai fait pr
e une affection préexistante des voies urinaires peut retentir sur le
centre
spinal, et y déterminer soit une lésion organique
des faits anatomiques et expérimentaux, Budge et Gianuzzi placent le
centre
gônito-spinal, et d'où parlent les nerfs de la ve
termes, par quel mécanisme la lésion génito-urinaire retentit sur le
centre
spi-nal, et y détermine l'inflammation. L'idée
aussitôt après la cessation du courantl. 1 Herzen. — Expér. sur les
centres
modérateurs de l'action réflexe. Turin, 1864. L
t très remarquable de voir que, dans la règle, les lésions graves des
centres
nerveux qui sont si fréquemment la conséquence de
s des parties pé-riphériques, produits en conséquence d'une lésion du
centre
nerveux spinal, et sur lesquels j'ai "appelé l'at
a été ici une conséquence en quelque sorte immédiate de la lésion des
centres
nerveux. Cette hypothèse, se rattachant étroiteme
anifes-tement épaissies. Des portions de substance blanche prise au
centre
des cordons latéraux à la région cervicale et à l
i souvent aux muscles le séjour au lit longtemps prolongé. Etat des
centres
nerveux. — Le cerveau, le cervelet et Yisthme de
rès durcissement, sur des coupes transversales, a. été trouvé sain.
Centres
nerveux. Préparations faites après durcissement d
on et de la consistance, les caractères de l'état sain. y. Etat des
centres
nerveux et des nerfs bulbaires. — Le cerveau prop
cervical ont offert les caractères de l'état normal. y. Examen des
centres
nerveux, préparations durcies par l'acide chromiq
enfin, aucun épaississement des tractus con-jonctifs qui rayonnent du
centre
gris vers la périphérie de la moelle. C'est dan
tération des cellules ganglionnaires doit être cherché en de-hors des
centres
nerveux, c'est-à-dire dans les nerfs périphé-riqu
n'ont été affectés que secondairement, consécutivement àla lésion des
centres
nerveux. Si maintenant l'attention se porte sur
-cédé, parla voie des nerfs bulbaires et rachidiens, de la lésion des
centres
nerveux? Les arguments favorables à cette opi-nio
Pagel chez une tabétique, Curcio (3) a même été jusqu'à décrire un
centre
trophique des os dans la moelle épinière, au vois
ique des os dans la moelle épinière, au voisinage du canal central,
centre
que Hudelo et Heitz n'ont d'ailleurs pas retrouvé
autre, détermine parfois jusqu'à des lésions matérielles, dans les
centres
trophiques correspondants, de la corne antérieu
épaississement mar- qué de la couche compacte du côté concave et au
centre
une légère ostéite raréfiante avec quelques fin
de la tête est telle qu'une ligne droite verticale passant par son
centre
de gravité, tombe en avant du point d'appui de
sive et gra- duelle, et non subite, ne peul tenir à une lésion d'un
centre
coordonna- teur qui, par accident, serait susce
susceptible de cesser subitement son fonc- tionnement à l'instar du
centre
de Broca. » Et plus loin, il ajoute : « Qu'il y
entre de Broca. » Et plus loin, il ajoute : « Qu'il y ait ou non un
centre
de la coordination de l'écriture, il est clair
nique. » « Existerait-il ailleurs, écrit-il encore, un point des
centres
nerveux qui, surexcité ou épuisé par l'exercice
maladies de l'esprit, des psychonévroses, ne font intervenir ni des
centres
coor- donnateurs, ni des lésions anatomiques pr
tions vaso-motri- ces très nettes, à tel point qu'on a pu parler de
centres
vaso-moteurs cor- ticaux. M. François Franck ad
centres vaso-moteurs cor- ticaux. M. François Franck admet, non des
centres
vaso-moteurs corti- caux proprement dits, c'esl
centres vaso-moteurs corti- caux proprement dits, c'esl-à-dire des
centres
spécialisés comme tels, mais plutôt des centres
s, c'esl-à-dire des centres spécialisés comme tels, mais plutôt des
centres
qui sont en rapport avec les véritables centres
ls, mais plutôt des centres qui sont en rapport avec les véritables
centres
vaso-moteurs à siège bulbo-spinal. Quoi qu'il e
ait d'écrire provoquait une association morbide corticale entre les
centres
moteurs et les centres vaso-moteurs, d'où spasm
une association morbide corticale entre les centres moteurs et les
centres
vaso-moteurs, d'où spasme artériel périphérique v
; l'état actuel de nos connaissances sur le rôle physiologique des
centres
nerveux est trop peu avancé pour que l'on puiss
thologiques dont les lésions siègent en des points diffé- rents des
centres
nerveux ; -les unes frappent l'étage supérieur, c
e. ou pleurer spasmodique in- dépendants d'une lésion organique des
centres
nerveux. Lorsque la lésion siège uniquement sur
réunis par 124 VIRÉS ET ANGLADA BETCHEREw, que le thalamus est le
centre
important des mouvements d'ex- pression innée (
e par suppression des connexions nerveuses réunissant entre eux les
centres
, puisque un conducteur nerveux peut être et excit
odique proviennent de l'inter- ruption organique produite entre les
centres
d'arrêt du cerveau et les noyaux des nerfs bulb
es noyaux des nerfs bulbaires ; or, on sait bien maintenant que les
centres
d'innervations bulbaires siègent dans la cortic
e syndrome rire et pleurer. Il faut considérer ce thalamus comme un
centre
réflexe de coor- dination de la mimique, en rap
d'union entre le cen- tre originel d'expression de la mimique et le
centre
de son réflexe automa- tique, le thalamus, qui
on réflexe automa- tique, le thalamus, qui ne joue aucun rôle comme
centre
moteur autonome, comme l'ont montré Dejerine (1
bition, on comprend de quelle importance sera son altération sur le
centre
coordinateur du rire et du pleurer. Cette altérat
ut ou une partie (3). Le tout se résume donc en ceci : le thalamus,
centre
de coordination réflexe, répond à une excitatio
ent les cinq organes des sens articulés physiologiquement avec leur
centre
de mémoire respectif et 176 LEFÈVRE ceux-ci r
s en un seul et représenté les cinq mémoires par un seul organe, le
centre
I. Ainsi est constituée l'extrémité sensitive de
partie de l'extérieur a pénétré jusqu'à un ou plusieurs neurones du
centre
qui, modifiés par elle si peu que ce soit dans le
autres. Elle peut ainsi prendre connaissance de la mémoire latente (
centre
I), c'est-à-dire de faits déjà enregistrés ou en
ion primitive, c'est-à-dire la sensation peut en- core atteindre le
centre
Il où elle sera extériorisée par la parole, la mi
l'écriture, trois groupements neuroniques différents unifiés dans le
centre
II, soit encore, si sa nature s'y prête, parven
dans le centre II, soit encore, si sa nature s'y prête, parvenir au
centre
III, c'est-à-dire être réalisée, devenir effect
nstituée par la vue de gens qui dansent, en se réfléchissant sur le
centre
II, fera crier danser... danser, et, en passant
ur le centre II, fera crier danser... danser, et, en passant par le
centre
III, déterminera l'action de dan- ser. C'est ai
ourse folle, qu'elle ne l'a pas fait et qu'elle a eu tort. Les deux
centres
II et III con- ditionnent seulement les mouveme
que [les exci- tations qui en partent doivent encore passer par les
centres
moteurs de chaque muscle en particulier. i. L
r par les centres moteurs de chaque muscle en particulier. i. Lie
centre
1 résume toutes les mémoires : visuelle, uuuitive
monde extérieur du corps L'arc diastaltilue est formé par tous les
centres
compris entre l'extrémité sensitive (entrée) et
la figure II montre qu'elle sera successivement reçue, enregistrée (
centre
I), perçue et réfléchie dans dif- férentes dire
t le spectacle, de telle sorte que celui-ci est prolongé jus- qu'au
centre
I. Réfléchie de ce point la sensation-spectacle d
transforme en mouvements et en cris appropriés (imitation) dans les
centres
II et III et, enfin-, en conditionnant un équilib
n des ESSAI SUR LA PHYSOLOGIE DE L'ESPRIT 183 anciennes idées, un
centre
inconscient dont la fonction était de réaliser, d
e avec cette différence que je masquais mon ignorance au moyen d'un
centre
et non plus avec un mot. Il était cependant si
PINAY ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 197 l'existence d'un
centre
de l'écriture n'est rien moins que prouvé, et les
études de M. Pierre Mariesur l'aphasie ont montré qu'en réalité le
centre
même du langage articulé, que l'on croyait bien d
angage articulé, que l'on croyait bien délimité, était, en tant que
centre
, très discutable. A Vaschide on peut répondre d'a
t les accidents paralytiques ou spasmodi- ques dus à une lésion des
centres
ou des conducteurs nerveux : hémi- plégie d'ori
se rencontrent en un angle presque droit en arrière, angle dont le
centre
siège dans la gibbosité. Toute une partie du tron
l s'agit ici d'un phénomène d'origine centrale. Mais quels sont les
centres
pris ? Sont-ils logés dans le cerveau ou bien d
lules motrices des cornes anté- rieures de la moelle sont aussi les
centres
trophiques des différents tissus. Leur maladie
ents troubles trophiques. On connaît, d'autre part, l'influence des
centres
corticaux sur la nutrition des tissus; on décrit
ce fait. Par conséquent il faut faire la supposition que l'état du
centre
de la main droite influence le centre trophique d
la supposition que l'état du centre de la main droite influence le
centre
trophique de la main gauche et peut y faire naî
ître le môme phénomène. C'est pour ainsi dire un empié- tement d'un
centre
sur l'autre. Cénas a proposé dans son cas une exp
,on peut émettre une autre supposition.Etant donné une mala- die du
centre
cortical, l'innervation bilatérale de l'écorce a
e lésion du système nerveux central (Testi) ; ou une altération des
centres
spinaux tenant sous leur dépendance la nutritio
cancéreuse et de localisation néoplasique secondaire au niveau des
centres
corticaux moteurs des circon- volutions cérébra
al, l'infiltration néo- plasique a le volume d'une petite pomme. Le
centre
de ces noyaux cancéreux est jaunâtre, un peu ra
e cancer surrénal, constaté dans ce cas, est très rarement observé.
Centres
nerveux. - On trouve sur la dure-mère un noyau ca
de la scissure de Ro- lando. Ce noyau cancéreux correspond donc au
centre
cortical du membre supérieur et sa localisation
nienne à type brachial droit. On n'observe aucune autre lésion- des
centres
nerveux. Examen microscopique. Ce noyau métasla
e ; ils sont atteints d'une faible dégénérescence grais- seuse. ·
Centres
nerveux. - L'encéphale est très congestionné ; le
ucune gomme, aucun foyer d'hémorragie ni de ramollissement dans les
centres
nerveux. La dissection des globes oculaires, de
dres importants. Dans ce cas on constate au niveau des nerfs et des
centres
nerveux de grosses lésions auxquelles i I est d
n volume normal. Foie : De stase. Système nerveux central : Les
centres
nerveux ne présentaient aucune lésion macroscopiq
cylindraxe en dégénérescence d'nu nerf périphé- rique séparé de son
centre
trophique ; HAUSIIALTER et Colin (3) l'ont signal
ellules satellites. Les réactions très curieuses observées dans les
centres
nerveux au voi- sinage de tumeurs (BIELSCIIOWSK
tes. » . Nous voyons que, d'après cet auteur, l'action trophique du
centre
cellulaire médullaire joue un rôle essentiel da
sont souvent que la réaction visible des troubles dynamiques de ces
centres
trophiques. Ce mécanisme s'observe certainement
au niveau des troncs nerveux, et des altérations fort sérieuses des
centres
médullaires. (t) DUSTIN, Journal médical. Bruxe
s si le tronc a une position verticale ou plutôt si la verticale du
centre
de gravité tombe entre les points d'appui du tron
l, donner au tronc une position verticale telle que la verticale du
centre
de gravité tombe entre les points d'appui du tr
culaires pénètrent dans le ganglion, mais ne s'y arrêtent pas, leur
centre
trophique étant situé à la périphérie, ou dans
ation noirâtre, assez analogue d'aspect au locus niger et située au
centre
même de la moelle, au niveau et autour du canal
é a pu être étendu à des régions voisines, placées au même niveau :
centres
gris et racines postérieures. En somme nous v
et une ossification partielle; ils n'ont pas trouvé de lésions des
centres
nerveux ni de modifications au niveau des méninge
re que, si une lésion médullaire était cause de celle atrophie, les
centres
trophiques les plus atteints auraient dû favori
s mots. En outre, il est bien reconnu par les physiologistes que le
centre
bulbaire de la respiralion est un centre de coo
ar les physiologistes que le centre bulbaire de la respiralion est un
centre
de coordination. Mais, dans ces cas, les muscle
et une intensité augmentée. En conséquence, on peut conclure que le
centre
bulbaire pour la coordination de la respiration
yau du pneumogastrique (il est probablement plus exact de parler du
centre
bulbaire de la respiration que du noyau du pneumo
vons rapporter un tel arrêt de la respiration qu'à une paralysie du
centre
respiratoire du bulbe. Ce qui est surtout caracté
açon nor- male. Cette dissociation remarquable entre la fonction du
centre
respira- toire du bulbe et la fonction du coeur
rapporter l'arrêt de la respiration dans ces cas à une paralysie du
centre
respiratoire dans le bulbe. Dans les cas observ
ompression du bulbe qui peut être la cause d'une para- lysie de son
centre
respiratoire est facile à comprendre. C'est seule
it connaître une forme de troubles respiratoires se rappor- tant au
centre
de la respiration dans le bulbe, troubles qui con
inaire sur l'avant-bras. Une figure de femme mal ébauchée occupe le
centre
de la région abdominale. Observation XVIII. (
ndre ces tu- meurs et la tolérance extraordinairementprolongée d'un
centre
aussi sen- sible et aussi important que le bulb
'est-à- dire que le procès commence dans les groupes musculaires au
centre
desquels le procès de poliomyélite s'était déjà
les cellules et que l'action directe de l'acide carbo- nique sur le
centre
respiratoire semble être admise. En tout cas, qu'
t avoir l'idée cons- ciente d'aller à selle, de manger, puisque les
centres
d'enregistrement et d'idéation ne sont pas enco
e son existence, puisqu'il ne possède ni organe d'enregistrement ni
centre
de perception. Pas d'organe, pas de fonction. P
rs considéré le sommeil nerveux comme le résultat de l'inhibition des
centres
cérébraux supérieurs, et la suppression de l'exer
mes, sous l'influence d'images qui impressionnent favorablement leurs
centres
visuels. En résumé : pour un homme, la déviation
ression naturelle, en partie sous la dépendance du fonctionnement des
centres
nerveux sensoriels, il éprouve, plus ou moins, ma
se de ce genre aura lieu au commencement du sommeil, au moment où les
centres
d'arrêt faiblissent, si toutefois l'hypnotiseur n
le sommeil hypnotique est plutôt quantitative que qualificative : les
centres
de l'ouïe ne sont pas endormis dans le sommeil ar
subconscient est employé à des actes soumis à la seule influence des
centres
médullaire ou bulbaire. Cet état a particulièreme
par des plantes ou par des-accidents de terrain, sont perçues par ses
centres
olfactifs. A ce moment chez les sujets entraînés
pos, les images terrifiantes du temps de guerre, déterminent dans les
centres
nerveux des complexus de sensations internes, qui
nt-Jean. Puis, il décrivait avec la main une circonférence ayant pour
centre
l'enfant malade. Ensuite, il faisait force signes
aiblesse de leurs organes.de la vue, de l'ouïe, de l'état général des
centres
nerveux. A ce compte, que d'efforts perdus ! Pour
n lumière, c'est que les effets produits par certains parfums sur les
centres
nerveux correspondent par leur intensité k une vé
ou quand ils y arrivent, c'est très tard et avec une grande peine. Le
centre
de réceptivité pour les mots imprimés (pli courbe
compte de la mauvaise volonté, de la paresse. C'est un trouble du
centre
psychique de la lecture des mots imprimés dont il
L'abolition ou la diminution du sens olfactif ont sur l'ensemble des
centres
nerveux les répercussions les plus inattendues. E
le va et vient d'aujourd'hui et offrait beaucoup de coins obscurs. Le
centre
de ce marché homosexuel d'alors était G « Allée d
oce de l'hypnose (qui n'est pas autre chose qu'un ordre donné par les
centres
nerveux, un réflexe, un rapport » musculaire amen
franchement pathologique. Il résulte d'une mauvaise coordination des
centres
psychiques dont le faisceau est toujours moins te
au est toujours moins tendu et un peu relâché dans l'état de sommeil,
centres
qui, sons le coup d'un réveil un peu brusque, n'o
plus prolongé et plus spontané, en cas d'altérations permanentes des
centres
nerveux, causées par l'intoxication ou la dégénér
olfactives et des cellules de Schtiltze ; 4° Intégrité du nerf et des
centres
olfactifs. Ajoutez it cela les perturbations qu
ce autour de l'objet présumé ; il lui a été facile de trouver, au
centre
de la circonférence, l'objet convenu. Tous ces li
même au sein de la grande communauté religieuse qui fait fonction de
centre
d'activité ; elle reconnaît et aide tous ces grou
anes de la vie végétative, de sens normaux apportant fidèlement à des
centres
nerveux -complètement développés les impressions
anwatisme ; Anorexique guérie par l'hypnotisme. Dr Bérillox. — Le
centre
du réveil ; interprétatiou anatomo-physio-logique
ent. Loin de moi la pensée de discuter s'il y a. ou non. un. ou des
centres
de sommeil ou de réveil ; je n'oserai pas aller j
une fonction annulée par suite de la non-activité ou sommeil, de son
centre
organique, sans cependant aller jusqu'à l'hypothè
e son centre organique, sans cependant aller jusqu'à l'hypothèse d'un
centre
spécial du sommeil. Par suite d'une modification
meillait, je l'ai réveillée. Ainsi envisagée, réveil des différents
centres
nerveux, réveil des organes, des fonctions qui do
le Dr Fernand Dcbief. vice-president de la Chambre des députés. Au
centre
de la table d'honneur se trouvaient M. le profess
intoxications n'aient été la cause primordiale de cette morbidité des
centres
nerveux. Dans l'un comme dans l'autre cas,il va
Merci. {Triple sa/re d'applaudissements). TRAVAUX ORIGINAUX Le
centre
du réveil, interprétation anatomo-physiologique
fesseur a l'Ecole de psychologie. L'existence dans l'encéphale d'un
centre
préposé à la réalisation du sommeil, comme il en
Cartaz a signalé les faits qui militent en faveur de l'hypothèse d'un
centre
du sommeil. A mon avis, l'observation des phéno
la cessation du sommeil, tendrait plutôt à démontrer l'existence d'un
centre
da réveil. Le premier fait qui autorise la suppos
un centre da réveil. Le premier fait qui autorise la supposition d'un
centre
cérébral, dont la fonction spéciale est de nous m
orie de faits. Ile ne peuvent s'expliquer que par l'intervention d'un
centre
cérébral intervenant pour les éveiller, comme le
ettre que ces diverses excitations viennent directement intéresser le
centre
cérébral dont la fonction serait de provoquer le
u sens du réveil occupera, dans le cerveau, une situation voisine des
centres
de la vision, de l'audition de la mimique faciale
é directe avec eux. ïî ne devra pas non plus se trouver éloigné des
centres
de la sensibilité tactile. Cela revient k dire qu
ue c'est par l'intoxication carbonique que s'effectue l'inhibition du
centre
préposé a la fonction du réveil. Ce centre se tro
s'effectue l'inhibition du centre préposé a la fonction du réveil. Ce
centre
se trouverait chez la marmotte vers la partie ant
par un mécanisme identique. Le sommeil anesthésique apparaît quand le
centre
du réveil inhibé par l'intoxication des gaz anest
. encore plus que l'état do sommeil, dépend donc de l'intégrité de ce
centre
. Quaud par l'influence d'une cauee quelconque, in
sommeil artificiel partager ou de sommeil pathologique prolongé. Le
centre
du réveil serait donc un centre moteur présidant
e sommeil pathologique prolongé. Le centre du réveil serait donc un
centre
moteur présidant à lu mise enjeu d'un ensemble d'
réveil, mais aussi le maintien de l'état de veille. L'homme, dont le
centre
du réveil serait altéré, serait autant dans l'imp
un sommeil irrésistible et prolongé, la lésion devrait intéresser le
centre
du réveil. Bien que les faits recueillis a ce s
exposé plusieurs faits qui tendraient k démontrer la possibilité d'un
centre
cérébral dont les lésions ont pour principal symp
nt. . L'hypnotisme ne serait donc pas antre chose que l'inhibition du
centre
dn réveil, que cette inhibition soit le résultat
est celle qui transmet le plus directement, par les filetenerveox. au
centre
cérébral dont le retour à l'activité semble marqu
éducation ont déterminé progressivement, chez l'homme, l'évolution du
centre
du réveil vers un fonctionnement de plus en plus
la plue éclatante du perfectionnement mécanique auquel est arrivé ce
centre
, puisqu'il suffit de quelques excitations périphé
ion anatomo -physiologique de l'hypnotisme basée sur l'existence d'un
centre
du réveil,est des plus plausibles. Elle est de na
et cela, en vertu de sa situation centrale et de l'importance do son
centre
nerveux : le plexus sola Ire — reçoit des influen
ndance directe du plexus solaire. L'irritation continue de ce dernier
centre
, qui est la condition de toute dyspepsie chroniqu
grave les phénomènes dyspeptiques; l'excitation locale, -trouvant des
centres
nerveux supérieurs qui vibrent d'une manière part
i se pose, lorsqu'il s'agit de rétablir l'intégrité fonctionnelle des
centres
nerveux. Les principales (le ces modalités sont l
re la formule du Dr Crocq, que le pouvoir de résistance appartient au
centre
psychique supérieur et que plus ce centre est par
de résistance appartient au centre psychique supérieur et que plus ce
centre
est paralysé, plus cette résistance s'affaiblit.
citation prolongée et monotone de l'œil produit d'abord la fatigue du
centre
de la vue et puis la fatigue générale du cerveau,
rs le but désiré. Le sommeil par l'apaisement qu'il sait donner aux
centres
surexcités peut-être utilisé dans le traitement d
étroits qui semblent tout naturels, qu'ils doivent dériver d'un même
centre
de coordination. Un certain nombre de médecins
nt au système de Brocca, en cherchant l'origine de l'écriture dans an
centre
analogue à celui que l'on a trouvé pour le langag
en un seul point. Y a-t-il des faits qui nous forcent à admettre un
centre
particulier cérébral, c'est-à-dire la manière don
celui de gauche pour l'ordonnance de la forme des lettres. Quand ce
centre
est détruit ou oblitéré, il est suppléé par un si
ère, c'est-à-dire une écriture renversée. D'autres auteurs placent ce
centre
de coordination dans la moelle, à la hauteur du r
ssociés des extrémités antérieures et postérieures, a pu localiser ce
centre
de coordination dans la moelle, en un point limit
lle, en un point limité de la région cervicale. Erbs n'admet pas ce
centre
de coordination de l'écriture. Pour lui, chaque
hilarant, un stimulant, un diffusible et un excitant, en un mot, des
centres
nerveux et de leurs ramifications. En donnant a
d'éveiller successivement et séparément les fonctions des différents
centres
de la sensibilité générale et spéciale du cerveau
ercussion ou la pression des points du cuir chevelu correspondant aux
centres
cérébraux sous-jacents, et cela durant l'hypnose
s'il a percuté à gauche. De ce côté, la surdité persiste encore ; le
centre
gauche de l'audition ayant été percuté à son tour
ndiques (précisément au pli de passage fronto-pariétal inférieur), le
centre
cortical de l'hypoglosse : les muscles de la lang
nférieur, dont le siège cortical est situé immédiatement au-dessus du
centre
de l'hypoglosse. B... remue donc maintenant les l
s elle ne peut toujours articuler un seul mot. Percussion à gauche du
centre
de Broca ; B... répond sur le champ aux questions
ne crânienne correspondant a un point de l'écorce situé en arrière du
centre
de Broca. Rainaldi a donc (toujours par hypothè
du langage articulé et la phonation. Notons en passant que tous ces
centres
corticaux du facial inférieur, de l'hypoglosse, d
agel, et en général les ouvrages actuels relatif a la localisation du
centre
de la vision mentale, il aurait percuté la région
mprend pas le sens des symboles graphiques des mots; la percussion du
centre
de la mémoire visuelle des mots, du lobule du pli
eur droit, dans la léthargie, ne permettait pas d'expérimenter sur le
centre
de la mémoire motrice des signes graphiques ou de
ire en pressant le cuir chevelu de la zone crânienne correspondant au
centre
d'Exner. Inutile d'insister sur les réveils suc
r sur les réveils successifs et toujours d'après le même procédé, des
centres
« moteurs » des membres supérieurs et inférieurs.
lité do ces parties ; c'est qu'ils n'ont point, selon Rainaldi, leurs
centres
corticaux dans les frontale et pariétale ascendan
lement aux nerfs et aux muscles, mais aussi « aux régions motrices du
centre
cérébral ». Ainsi, en dirigeant un courant galvan
peuvent naturellement être produits que par l'excitation directe des
centres
cérébraux. » Ce fut alors que, avec Fritsch. Hitz
ussi avec une épingle les régions du cuir chevelu correspondantes aux
centres
moteurs de l'écorce cérébrale. L'éminent savant a
es d'où ce3 auteurs ont tiré ce qu'ils savaient de la topographie des
centres
fonctionnels de l'écorce. Quand on a vu Rainaldi
ons sociales et politiques, dérivent de cette propriété psychique des
centres
nerveux, la suggestibilité. Ce qu'on appelle l'op
filles d'un esprit borné et dont toutes les idées se remuent dans un
centre
très étroit. Sans être des religieuses ferventes
la suggestion, il fallait trouver le moyen de la faire parvenir à ses
centres
cérébraux, rendus presque inaccessibles par la su
lésion ou le trouble qui commande ces symptômes existe, non dans les
centres
sensoriels ou sensitifs qui perçoivent, mais dans
ne en critiquant la théorie actuellement admise du fonctionnement des
centres
moteurs et des localisations cérébrables; il n'en
émotion violente, venant dans l'intervalle porter son action sur les
centres
nerveux, peut arrêter la suggestion primitive dan
he des cônes. N'est-il pas possible de démontrer que les cellules des
centres
percepteurs participent aussi à cette spécialisat
stème nerveux centrât, c'est-à-dire par les cellules spécialisées des
centres
psychiques et, dans une certaine mesure, par cell
pupille. 11 est donc bien établi que les cellules perceptrices des
centres
nerveux préposés à l'exercice des diverses sensat
ont paru verts, au premier moment du réveil, parce qu'à ce moment les
centres
percepteurs du vert étaient seuls éveillés! » J
t en y faisant jouer le principal rôle aux cellules per-ceptrices des
centres
nerveux. C'est bien la un des cas dans lesquels s
ne modalité particulière très fugitive des cellules percep-trices des
centres
nerveux. On remarquera d'abord que l'isolement
e cellules réceptrices, auxquels ces conducteurs aboutissent dans les
centres
nerveux, comme étant disposés pour la perception
est indifférent), sont amenées chacune à une cellule spécialisée des
centres
percepteurs qui en prennent connaissance, soit à
ert dans la lumière blanche. On peut de même supposer que les trois
centres
, après avoir été passagèrement paralysés, ne reco
n défaut de simultanéité dans la récupération de l'activité des trois
centres
percepteurs de la lumière colorée. Les cellules d
éside nécessairement dans une inégale rapidité de la reviviscence des
centres
préposés à la vision des couleurs. Voici, résum
s qui leur a été attribuée par Yung ; 2° Il y a, en effet, dans les
centres
nerveux, pour la perception de ces couleurs, des
res, plus ou moins fugitives, imprimées aux cellules perceptrices des
centres
nerveux. La netteté tranchante donnée intention
uiétude, celle-ci se fut répercutée en se grossissant encore dans les
centres
impressionnables du sujet, Heureusement, le médec
irecteur de l'Asile d'Aliénés de La Roche-sur-Yon. L'existence d'un
centre
cérébral destiné à recueillir les images motrices
. je crois, n'avait pas encore été lait jusqu'ici. l'importance de ce
centre
comme voie de pénétration des suggestions thérape
ujets atteints de cecité verbale. Application à le demonstration d'un
centre
moteur graphique fonctionnellement distinct. (Pro
avec son cerveau. La première reçoit l'impression ; le second par son
centre
cortical visuel le perçoit. Mais l'image visuelle
st qu'une illusion de l'esprit sur la couleur fournie par un œil ; le
centre
sensoriel voit la vraie couleur ; mais l'esprit d
qui provient de l'œil amblyopique. L'hypothèse de la multiplicité des
centres
sensitifs satisfait même mon esprit et, jusqu'à p
crée cette hémianesthésie ; mais ce quelque chose n'est pas dans les
centres
sensoriels cervicaux; j'ai démontré que ceux-ci p
ré que ceux-ci perçoivent. Ce quelque chose est, à mon avis, dans les
centres
psychiques, dans les cellules des lots antérieurs
liée à l'organe ; nous ne l'observons que comme fonction du cerveau,
centre
de la vie psychique, comme de la vie végétative.
ni dans une de ses parties ; elles sont localisées uniquement dans le
centre
nerveux cérébral, ce sont des manifestations psyc
rétine : il voit avec son cerveau ; la rétine reçoit l'impression, le
centre
cortical visuel la perçoit. Mais l'hystérique neu
ns l'élat d'hypnotisme, l'activité psychique sensitive et motrice des
centres
nerveux, et cela d'un seul côté ou simultanément
es à l'Académie des Sciences, il l'eut dans son service qui devint un
centre
de recherches et d'enseignement hypnologiques.
s-je, non pas un seul, mais plusieurs sièges de conscience, plusieurs
centres
de subjectivité, plusieurs moi distinctifs et en
subjectivité, plusieurs moi distinctifs et en nombre égal à celui des
centres
nerveux. Il y a quarante et un ans, un homme af
ous les éléments essentiels de la vie animale, et principalement d'un
centre
cérébral ou quasi-cérébral, et d'un centre psychi
le, et principalement d'un centre cérébral ou quasi-cérébral, et d'un
centre
psychique ou moi propre dans ce cerveau ou manièr
doctrine tout à fait inouïe jusque-là dans son enseignement, que les
centres
nerveux de l'axe rachidien sont autant de cerveau
en, d'un autre esprit que mon esprit, et je la rapporte à l'un de ces
centres
psychiques secondaires dont les cerveaux respecti
ant contact avec M. médullaires et aboutit à la cellule bulbaire B,
centre
de nouveaux réflexes. Le cylindraxe de B se met
ébrale intellectuelle. A, par son cylindraxe ramifié a', deviendra un
centre
de vibration pour de nombreuses cellules nerveuse
examen rapide et sommaire. Que la suggestion morale qui atteintles
centres
psychiques, les sous-Moi de l'économie végétative
ice, d'où qu'elle soit venue, a été atteindre, très probablement, les
centres
psychiques de la vie végétative pour en faire les
uments prochains de la guérison. Mais est-elle passée par le canal du
centre
psychique capital, du Moi propre- ment dit, d
ent, on doit incliner à admettre le contraire. Mais alors comment les
centres
végétatifs auraient-ils été directement touchés ?
erte du Dr Bianchi, il a exprimé le vœu que Paris possédât bientôt un
centre
de réunion où les médecins de province et de l'ét
ps, abandonnés à eux-mêmes, tombent, c'est-à-dire se dirigent vers le
centre
de la terre, est indiscutable. Et pourtant, nous
-même, s'élever dans les airs, c'est-à-dire s'éloigner directement du
centre
de la terre : n'y a-t-il pas là une opposition ap
ort de pensée ou d'attention, ainsi que tout exercice un peu long des
centres
sensoriels, notamment la vue. De là un besoin ins
a conduit à l'idée d'essayer de créer par la suggestion hypnotique un
centre
inhibitoire du réflexe naupathique. J'y ai plei
e elle Yuréthrotornie interne. * * * Les liens qui unissent aux
centres
nerveux les organes de la fonction urinaire sont
nes de la fonction urinaire sont bien connus. On sait (Bûdge) que les
centres
préposés aux fonctions urinaires et sexuelles siè
'on sait aussi quelles conditions peuvent produire l'excitation de ce
centre
et par conséquent l'accomplissement de la fonctio
onction qui en dépend. Chez l'homme en état d'équilibre parfait, le
centre
spinal peut entrer en jeu par une excitation venu
riphérie de l'extrémité radiculaire des nerfs produit l'excitation du
centre
spinal, lequel provoque à son tour l'idëation, l'
'amour parfait (Herbert-Spencer) serait produite par le consensus des
centres
corticaux et spinaux à l'état physiologique. Ma
omalies préputiales ou clitoridiennes. Ici l'excitation permanente du
centre
médullaire par une lésion permanente entraine la
la ménopause. Mais dans ce cas l'impression, après avoir intéressé le
centre
spinal, se réfléchit vers les zones de l'idêation
nfin d'affections de la prostate. Mais au lieu d'une excitation des
centres
, l'irritation radiculaire peut en produire l'inhi
ait par une irritation radiculaire ascendante, la destruction même du
centre
préposé aux fonctions de cet organe ; et l'existe
écissement, par exemple, suffirait à compromettre l'intégrité même du
centre
spinal préposé aux fonctions génitales etpar vois
e du centre spinal préposé aux fonctions génitales etpar voisinage le
centre
des fonctions urinaires. On devine quelles donn
venir de bonne heure en se rappelant que les causes d'irritations des
centres
nerveux peuvent amener des lésions dégénératives
nerveux peuvent amener des lésions dégénératives irrémédiables de ces
centres
. Enfin, c'est à l'électrolyse qu'il faut avoir
une cicatrice qui expose à la récidive et continue à impressionner le
centre
génito-spinal. L'obstacle détruit grâce à l'éle
n 1883, parait, dans la Revue scientifique, un article sur Un nouveau
centre
de vision dans Vœil humain, résumé de recherches
l'in- fluence suggestive, en calmant l'hyperactivité morbide des
centres
nerveux, en isolant le cerveau des causes d'excit
ces séparées l'une de l'autre par un espace de deux jours, je crée un
centre
d'arrêt très réel pour l'habitude automatique qu'
leur position initiale. Bien plus, tous les ordres que je donnai aux
centres
psycho-moteurs s'exécutèrent à la lettre : ainsi,
e le fonctionnement des deux hémisphères cérébraux. On sait que les
centres
qui commandent aux mouvements de la main droite s
erveau, et que les mouvements de la main gauche sont produits par les
centres
d'action placés dans l'hémisphère droit. A l'ét
ils habituent leur cerveau à rompre l'harmonie qui unit entre eux les
centres
moteurs ainsi que les contres auditifs, de telle
des organes est créée dans le sommeil hypnotique par l'excitation des
centres
moteurs correspondants, les autres parties de la
, comme du reste toutes les autres phobies. Elle a son siège dans les
centres
de l'idéation. La; preuve, c'est que ce n'est jam
es conscientes se passe un autre phénomène, inconscient celui-ci. Les
centres
sexuels de l'écorce cérébrale, de la moelle allon
e que subit le système nerveux central de la femme et dont les autres
centres
que ceux frappés par ce processus s'aperçoivent e
cation psychophysiologique de la volonté. — Création expérimentale de
centres
d'arrêt psychiques. — Le pouvoir excito-moteur et
ité fonctionnelle, comme étant le résultat de l'épuisement des autres
centres
nerveux. « Mais, dit-il, en supposant même que
l'impossibilité d'ouvrir les yeux venait de la paralysie de certains
centres
nerveux et à l'épuisement des muscles releveurs.
ion que le phénomène mesmérique reposait sur le changement d'état des
centres
cérébraux spinaux et des systèmes circulatoire, r
ique ou mental qu'elle ne vise pas directement ; ce qui prouve que le
centre
volontaire, une fois éveillé, tend à soumettre à
flexe pharyngé. De là, pour peu que tarde le retour à l'équilibre des
centres
nerveux, l'indication formelle du traitement par
ou inhibitrice. On a voulu faire de la protubérance, du bulbe, les
centres
émotifs (Clarke, Todde, etc.). Ils n'ont pour mis
es psychoses par intoxications variées où l'imprégnation probable des
centres
nerveux par les toxines et les toxiques laisse su
rente et un ans par un procédé identique. Il sem- ble que, dans les
centres
d'idéation comme dans les centres moteurs, les
ique. Il sem- ble que, dans les centres d'idéation comme dans les
centres
moteurs, les cellules cérébrales aient une tend
reux un grand nombre de gaines de myéline avec leur cylindraxe au
centre
, tandis qu'en b, au moins sur les limites de la f
er nettement sur les figures 2 et 3 (Pr.. I); elle s'avance vers le
centre
de la moelle sous la forme d'un triangle à base
b.) ne présentent plus de cylindre axile dans leur intérieur; au
centre
de quelques autres au contraire (a, a.) on voit
xécute des mouvements de translation circulaire, ayant la tête pour
centre
, et l'accompagnant de mouvements extrêmes de fl
f moteur oculaire commun. (Le 6 6 manque dans l'original). il Les
centres
du réflexe servant à rétrécir la pupille ne se tr
. 8° Dans le plancher du troisième ventricule, il n'existe pas de
centres
qui servent à contracter les muscles moteurs de l
de l'oeil en général, sans excepter les globes oculaires. 10° Les
centres
pour les mouvements volontaires du globe de l'o
l. 11" Jusqu'à présent, on n'a pas encore démontré l'existence du
centre
de l'accommodation sur le plancher du quatrième v
on que la résection d'un côté du bulbe n'entraîne pas l'atrophie du
centre
visuel de Munk du côté opposé; on y rencontre,
u'une petite diminution de volume; jamais il n'obtint l'atrophie du
centre
visuel croisé, non plus que l'hypertrophie comp
correspond, à raison de sa situation dans la région occipitale, au
centre
visuel de Munk; sa résection détermine aussi l'
llé interne, située sur les côtés de la précé- dente, appartient au
centre
auditif de Munk. Ces deux premières 126 REVUE D
ide au tubercule externe de la couche optique se trouve en avant du
centre
visuel; celle dont relève la couche grillée, to
sément la double condition d'une diminution dans l'excitabilité des
centres
corticaux (disparition d'une partie dos cellule
maladie devaient être expliqués par un ébranlement des dif- férents
centres
nerveux.Duret, quelques années plus tard. s'effor
cela même après. des lésions qui allaient jusqu'à l'extirpation du
centre
1 de la, respiration dansée charnus scriptorius..
partie antérieure sont, pour une partie, la suite de la lésion des
centres
des mouvements des yeux, et pour le reste, les
e plus vraisemblable que l'influence directe du traumatisme sur les
centres
de l'encéphale est, dans la commotion, l'élémen
nt les fibres de ce nerf des circonvolutions au bulbe, à travers le
centre
ovale, la capsule interne, le pédoncule et la p
NERVEUSE. 1° A la suite de lésions corticales; 2° - de lésions du
centre
ovale'; 3° de lésions de la capsule interne et
c extension au-dehors et rétraction de la langue. L'action de ces
centres
oro-linguaux serait, d'après Ferrier, plus ou'
s bilatérale; aussi, différant en cela des lésions destructives des
centres
des membres, les lésions des centres oro-lingua
des lésions destructives des centres des membres, les lésions des
centres
oro-linguaux ne provoqueraient pas une paralysi
t à l'extrémité postérieure des frontales moyenne et inférieure. Le
centre
cortical de l'aphasie et celui de l'hypoglosse
dans le pied de la circonvolution frontale ascendante, se trouve le
centre
des mouvements des muscles de la langue, et, pa
la langue, et, par suite, l'origine corticale de l'hypoglosse. Ce
centre
est bilatéral, différant en cela de celui de 15
e sait, est unilatéral et loca- lisé' à l'hémisphère gauche. - Le
centre
cortical de l'hypoglosse n'est pas le seul qui
facial inférieur et la branche motrice du trijumeau. 2° Lésions du
centre
ovale. Ainsi que l'a démontré Pitres, le centre
au. 2° Lésions du centre ovale. Ainsi que l'a démontré Pitres, le
centre
ovale est décomposable en un certain nombre de
sceaux de fibres blanches, destinées à relier à la périphérie les
centres
contenus dans la substance grise des circonvo-
omatique, la section des conducteurs équivaut à la destruction du
centre
. Parmi les faisceaux blancs du centre ovale, de
quivaut à la destruction du centre. Parmi les faisceaux blancs du
centre
ovale, deux nous intéressent tout particulièrem
ns du premier donnent lieu à l'apha- sie, tout comme les lésions du
centre
cortical corres- pondant ; les lésions du secon
opalllle" ataxiuues et crises gas- triques) , on pourrait placer le
centre
tropliiue des jointures. DE L'HSJIIATROPHIE DE
de la vessie ou des sphincters ne peut être abolie que lorsque les
centres
médullaires sont détruits ou lorsque les filets
nt de ce fait, outre les fibres des deux oculo-moteurs externes, le
centre
des vaso-moteurs rénaux. P. K. 250 REVUE DE P
que les considérations deDuval et Raymond sur l'existence de deux
centres
séparés, pour la langue sont confirmés par les re
des auteurs. On peut conclure aussi qu'il est très probable que le
centre
classique n'est pas non seulement moteur pour la
abondantes de liquides et sur l'état de sécheresse particulière des
centres
nerveux qui parait jouer un rôle si important d
e excitation centrale réflexe; l'excitation aurait été transmise au
centre
par les fibres de l'étage supérieur des pédoncu
stologique est mal définie à la hauteur du premier nerf cervical au
centre
de la corne antérieure droite. 2° Un long foy
asé sur l'étude et la discussion de quinze observations, les divers
centres
réflexes spéciaux sont en rapport avec différen
es divers centres réflexes spéciaux sont en rapport avec différents
centres
encéphaliques, et, si chaque genre de réflexes
e de réflexes médullaires présente une allure variée, c'est que les
centres
céré- braux localement dissociés auxquels ils c
ements moteurs ou sensoriels du cerveau, paralyse eu même temps les
centres
médullaires eu connexion avec eux; l'excitation
rticales entraîne au contraire après elle une hyperexcitabilité des
centres
réflexes spéciaux. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES SO
toxique) et Kirchgasser (de Cologne). Ce dernier a observé dans les
centres
manufacturiers de cette ville, vingt et un cas
ncées par les auteurs touchant la structure du tissu conjonctif des
centres
nerveux, et les théories sur l'inflammation de
res sont dilatés et les cellules se trouvent reportées en dehors du
centre
de leur en- clos. Les vaisseaux tantôt vides, t
dien et cinq malades, une petite pièce destinée à deux malades : au
centre
existe une petite chambre qui, permettant d'emb
bres qui ser- vent à rétrécir la pupille et de la localisation du
centre
de l'iris et de la contraction des muscles mo
ie doit reconnaître pour cause quelque modifica- tion dynamique des
centres
nerveux, et, eu rapprochant cette donnée de ce
lles puissent raisonnablement simuler toutes les autres lésions des
centres
nerveux. Je n'hésite pas à dire que bien souven
e pour limiter à la frontale ascendante dans son tiers inférieur le
centre
des mouvements de la face. G. D. VIII. UN cas
nt d'un aphasique. « Il semble que chez lui, dit M. Mitchell, « les
centres
physiologiquement inférieurs du langage (je veux
parler du langage intérieur) ayant été soustraits au contrôle « des
centres
supérieurs (centres d'inhibition), les groupes ne
térieur) ayant été soustraits au contrôle « des centres supérieurs (
centres
d'inhibition), les groupes nerveux « qui serven
folie est un processus déter- miné par des états pathologiques des
centres
subordonnés. » P. K. XX.iVIt. LA VARIABILITÉ
st l'écorce qui entre la première en jeu; dans l'illusion, c'est le
centre
sous-cor- tical qui est le premier sollicité pa
ement périphérique ' (corps étrangers ou néoplasmes d'un nerf ou du
centre
sous-cor- tical lui-même). P. K. XXXVIII. Un
dans l'espèce, d'une aphasie, non par impotence fonction- nelle des
centres
, non par arr êt de la conductibilité des voies de
action réflexe de l'agent électrique sur les vaisseaux sanguins des
centres
nerveux (faradisation selon la méthode de Rumpf
SUR les nouveaux travaux concernant l'action DE la chaleur SUR LES
CENTRES
respiratoires ainsi QUE sur les nerfs du COEUR
bulbaire, qui sera mentionnée' plus tard, confirme l'existence d'un
centre
cerébial laryngien. Hystérie, 7eystéro-éPilepsi
e. Il faut en conclure que les rapports des nerfs optiques avec les
centres
visuels cérébraux sont plus complexes qu'on ne
tait : « De l'idiotie et en particulier des lésions anatomiques des
centres
nerveux dans l'idiotie » Prix Aubanel. Ce prix,
de mettre la paralysie sur le compte d'une affection dynamique des
centres
nerveux. Quant à l'hémianesthésie, il nous para
LAIRE. 193 altération purement dynamique du système nerveux ; les
centres
gris de la moelle et les nerfs périphériques so
or, puisque les cornes antérieures de la moelle cons- tituent le
centre
trophique des muscles et qu'elles ne sont pas a
il n'y a pas de transmissions de pression à travers l'ensemble des
centres
nerveux par l'intermédiaire du liquide céphalo-
quels part l'irritation. La convulsion statique part dès l'abord du
centre
; tantôt tonique, tantôt clonique, elle se local
res ; mais les fibres qui joignent directement, sans passer par les
centres
coordinateurs, l'écorce aux muscles ne paraissant
qui confirme encore le diagnostic et exclut l'idée d'une lésion des
centres
nerveux. L'auteur insiste sur l'action favorable
plasme irritait par propaga- tion les zones 7, 8, 11 d'Exner, et le
centre
11 de la première temporale. Les convulsions gé
tus nerveux périphériques quelconques. L'envahissement simultané du
centre
et de la périphérie, l'élection du poison pour
e prix Belhomme relatif à l'idiotie et de préférence aux USIOns des
centres
nerveux dans .'idiotie. 2 Voir aussi le Compt
pli de passage se rendant de la deuxième circonvolution frontale au
centre
du cap de la troisième circon- volution frontal
sa peau était translucide avec une tache circonscrite de rougeur au
centre
des joues; les paupières inférieures étaient en
ue l'ablation de la glande thyroïde a une action évi- dente sur les
centres
nerveux et expliquent les phé- nomènes nerveux
voisinage de la glande thyroïde, à l'action de la mu- cine sur les
centres
nerveux, etc., etc. Si la physiologie de la gla
par exemple, de laisser, si c'est possible, les parties de chaque
centre
de façon que la représentation des mouvements des
s, dans la blessure qui mise à décou- vert, est proéminente dans le
centre
, la périphérie étant bien unie. Voici maintenan
sommet delà tête (la place exacte déterminée par mensuration est le
centre
du tiers supé- rieur de la frontale ascendante,
e du sillon frontal supérieur) se trouvait une cicatrice carrée, au
centre
de laquelle on pouvait percevoir l'ab- sence de
nt la masse cérébrale on a dû lier trois grosses veines venant du
centre
du membre supérieur, parce qu'elles traversaient
r s'étendait largement sous l'écorce). Avant de fermer la plaie, le
centre
de la région du pouce fut en- levé par une libr
o 231, 1884), le professeur Schâfer et moi nous avons montré que le
centre
des muscles du tronc était situé dans la circon
sseur Ferrier a mon- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 397 tré que le
centre
des mouvements de la tête et du cou est au- des
laire survient après la liga- ture des vaisseaux qui fournissent le
centre
moteur des mou- vements perdus; 2° Chez l'hom
que ou fonctionnel survient après des opérations pratiquées sur les
centres
moteurs; 3° L'arrêt des attaques épileptiformes
supposer que probablement le sens musculaire est représenté dans le
centre
excito-moteur. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDI
ecroisés ou non et de leurs fibres optiques et pupilluires avec les
centres
de cesorgunes. - 1 Voy. Arch. de Neurologie, t.
réflexe; peut-être y a-t-il un troisième système ayant un troisième
centre
. En tout cas, jusqu'ici l'on n'a trouvé que deux
troisième centre. En tout cas, jusqu'ici l'on n'a trouvé que deux
centres
, un dans le corps genouillé externe, l'autre dans
modifiât la circulation des organes centraux. qu'il transformât le
centre
régulateur de la chaleur, car on voit les ex- t
cordons posté- SOCIÉTÉS SAVANTES. 409 rieurs et l'extirpation des
centres
corticaux moteurs. Conclusions fo La même régio
o La même région de l'écorce cérébrale (gyrus sigmoide) contient le
centre
des sensations tactiles et frigorifiques ou des c
tactiles et frigorifiques ou des conducteurs qui les apportent à ce
centre
; 2° les cordons postérieurs de la moelle trans-
mise par d'autres nerfs à d'autres tractus et de ceux-ci à d'autres
centres
céré- braux que la sensibilité à l'égard du fro
auteur porte sur les deux premiers faits le diagnostic de lésion du
centre
cortical mo- teur, sur les deux derniers, celui
isations fonctionnelles. La substance blanche des hémisphères et du
centre
ovale sont étu- diées au moyen des coupes de Pi
dée qu'il a eue de joindre au texte un atlas d'anatomie normale des
centres
nerveux, permettant au lecteur de se retrouver,
et de suicidés, par Flescli, 89.. Chaleur (action de la sur les
centres
respiratoires et circu- latoires), 104. Chiru
M. Lefèvre, professeur à l'Institut Tajot sur les Devoirs des grands
centres
industriels à l'égard des anormaux, par 31. le Dr
ns la production expérimentale d'une inégalité fonctionnelle dans les
centres
de l'écorce cérébrale. En effet, pendant, que cer
ne se conçoit pas sans une inhibition modifiant les associations des
centres
nerveux et suspendant une partie des fonctions cé
psychiques : 2° Les agents physiques. Dans la première catégorie les
centres
nerveux sont simplement impressionnés par une idé
que SI. Ollier a dit de l'une d'elles : « Je n'ai jamais douté que le
centre
du christianisme ne fut « dans la souffrance ». (
aire d'inhiber son psychisme, de « suspendre le fonctionnement de ses
centres
cérébraux supérieurs, en « le faisant dormir prof
ne sensation interne, une odeur, etc.. toute impression transférée au
centre
psychique crée une idée. Tout phénomène de consci
longtemps que tout le monde sait que « toute impression transférée au
centre
psychique crée une idée. » Il y a encore plus lon
viennent des organes périphé- riques et qui ont le cerveau comme
centre
; pour les autres les sensations seraient celles
x de Pagano, Cherringhtonj Bechterew. etc.. soutient l'existence d'un
centre
de l'Emotion dans le noyau coudé, par opposition
udé, par opposition à M. Bevault d'Allonnes qui veut la voir dans les
centres
receptivo-excitateurs automatiques, dont la récep
; leur étude nous conduit a une théorie éclectique. Nombreux sont les
centres
qui participent en même temps que le noyau coudé
Drs Bérillon et Magnin, l'inhibition et la dynamogénie des différents
centres
qui participent, en même temps que le noyau eau d
me vasculaire influençant le sympathique et indirectement le cerveau {
centre
de différents troubles observés). Il résulte do
ui, c'est à tort que le siège de l'intelligence est localisé dans les
centres
nerveux. Il y a dit-il, de l'intelligence dans to
ogiquement. On lui a permis, passez-moi l'expression, de ratteler son
centre
supérieur à ses centres inférieurs désagrégés par
rmis, passez-moi l'expression, de ratteler son centre supérieur à ses
centres
inférieurs désagrégés par la maladie. Dans ce cas
Le traitement des buveurs par la suggestion hypnotique. Création d'un
centre
d'arrêt psychique. (Congrès des aliènistes et neu
ar les plaques métalliques en se diffusant dans les nerfs et dans les
centres
nerveux, favorise l'activité des molécules nerveu
reconnaît que l'engourdissement (ou la diminution fonctionnelle) d'un
centre
suggestionné, par exemple de la motilité, compren
ents, des sensations, des représentations des images de mouvements du
centre
suggéré ; puis cette diminution du "centre moteur
es images de mouvements du centre suggéré ; puis cette diminution du "
centre
moteur amène une diminution de tous les centres d
s cette diminution du "centre moteur amène une diminution de tous les
centres
de l'écorce intimement liés avec lui, et enfin la
iés avec lui, et enfin la suggestion produisant une hypo-fonction des
centres
moteurs et sensitifs de l'écorce, produit, en mêm
sensitifs de l'écorce, produit, en même temps, une byperfonction des
centres
antagonistes de la base, fait qui d'ailleurs donn
turellement, ne peut donner une explication complète de ce fait qu'un
centre
sensitif ou moteur appartenant à une hémisphère p
moteur appartenant à une hémisphère peut s'éteindre et que seuls les
centres
du même côté s'effacent. Mais il soutient que la
pnose profonde peut les produire par l'inhibition de quelques-uns des
centres
et la dynamogénie des autres, que ces phénomènes
a vérité, l'auteur soutient que l'hystérie favorise l'association des
centres
psychomoteurs, sensitifs et sensoriels, pour entr
ns la production expérimentale d'une inégalité fonctionnelle dans les
centres
de l'écorce cérébrale et que la production d'inhi
s régions. Il donne donc une explication de l'état d'hypofonction des
centres
de l'écorce et de Thyperfonction des antagonistes
manière logique propre à l'auteur (lequel se base sur la théorie des
centres
associatifs de Janet) et qui peut prendre place p
traitement dechoix. Parlui, il devient possible d'augmenter.dans les
centres
nerveux, l'action des pouvoirs d'arrêt et de réal
lilorhydrie, chacun ne sait-il pas que chez les vieux dyspeptiques, à
centres
cérébraux et sympathiques toujours prêts à montre
ment, toute modification gastrique est transmise au cerveau. Les deux
centres
étant ainsi calmés, il n'y a plus aucun empêcheme
érale accaparer son attention et la majeure partie de ses énergies Le
centre
mécanique de l'émotion s'abaisse au détriment des
t il faut que vous sachiez que le cerveau possède des organes appelés
centres
nerveux, neurones et cellules où sont recueillies
donc naturel d'imaginer que chacune de ces manifestations ait son
centre
nerveux dans l'encéphale. Je dois compléter cette
urone du système nerveux. Mais je vous prie de retenir que ces divers
centres
sont enchaînés par des liens de solidarité qui ex
ns de solidarité qui expliquent pourquoi une lésion localisée dans un
centre
peut se répercuter sur tous les autres centres qu
ésion localisée dans un centre peut se répercuter sur tous les autres
centres
qui ont avec lui des correspondances bien établie
z toujours dans votre esprit la loi de solidarité qui unit les divers
centres
nerveux, et, gardez-vous, par une conclusion trop
icieusement exposé que plus la vie semblait soustraite à l'action des
centres
supérieurs qui constituent l'état de conscience,
a n'oublie point de signaler que l'inertie fonctionnelle de ces mêmes
centres
supérieurs état somnique. hypnotique, rêverie, di
n imposée à leur attention et de la fatigue qui en résulte pour leurs
centres
nerveux supérieurs, dans une sorte de se mi-hypno
cations de la circulation — toujours périphérique — sur le compte des
centres
vaso-moteurs fonctionnels sous la dépendance dire
le mécanisme intime de cette influence, exercée par l'hypnose sur les
centres
vaso-moteurs fonctionnels, avec le siège soit dan
) (l)que le sommeil hypnotique.exerce un pouvoir inhibitoire sur .les
centres
vaso-constricteurs et la dynamogénie des vaso-dil
n de la tension et la dilatation des vaisseaux périphériques dues aux
centres
vasomoteurs. Les conditions psychiques et en pa
, à la même théorie, admettant que le choc émotif peut influencer les
centres
vasomoteurs par le même mécanisme. De tous ces
, enfin de tout travail psychique,régularise l'afflux sanguin par les
centres
vasomoteurs, et congestionnant la périphérie, déc
die de Basedow. Revue de l'Hypnotisme 1909). tionne les organes des
centres
(d'après les travaux de Mosso) et spécia— lement
cooliques, enfin â certaines catégories de malades frappés dans leurs
centres
nerveux Les hystériques, les névropathes et les s
mp de la conscience des idées de mouvement dépend de l'activité des
centres
psychomoteurs. Les mouvements en rapport avec l
s mouvements en rapport avec l'exercice et la grande activité des
centres
psychomoteurs s'effectuent, s'ils ne rencontrent
e-t-il en revanche des stimulus concurrents, y a-t-il torpidité des
centres
, il faut, pour que l'acte s'accomplisse, que l'id
ociés qui tiennent à ce que l'irritation volontaire irradie sur les
centres
voi- sins à raison d'un arrêt de la décharge.
on école ; 3° Il existe dans l'épaisseur de la couche corticale des
centres
moteurs et des centres sensoriels, séparés; mai
dans l'épaisseur de la couche corticale des centres moteurs et des
centres
sensoriels, séparés; mais ils sont étroite- men
n a donc raison de dire du cerveau antérieur qu'il est sur- tout un
centre
psychique, bien que, si l'on va au fond des chose
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IL A propos du goitre exophtalmique. Le
centre
bulbaire. Traitement par le thymus; par le D1'
lupart des symptômes basedowiens peut donc être considérée comme le
centre
bulbaire du goitre exophtal- mique. Suit ensuit
ion d'une toxine, simplement par suite d'un trouble fonctionnel des
centres
nerveux. La répétition de ces accidents peut êt
s membraneuses ont été envahies à la longue par l'ossifica- tion de
centres
supplémentaires, qui donnent les os en question.
aire. N, nasion. 11, II, plan orbi- taire honzonial, passant par le
centre
de l'orbite et le trou optique, Op. - CC, plan
les zones de l'écorce cérébrale, depuis la zone d'Ext)er Itisqu'a.1
centre
ovale proprement dit. En outre, les fibres nerveu
. Dans la substance blanche se trouvent des espaces lacunaires au
centre
desquels sont des artères à parois hyalines, remp
explique, comme l'a montre M. Meige, par l'absence d'inhibition des
centres
corticaux supé-' rieurs sur les centres des éta
l'absence d'inhibition des centres corticaux supé-' rieurs sur les
centres
des étages inférieurs du cerveau et de la moell
rôle général d'un médecin-directeur, ces sections consti- tuent des
centres
autonomes : elles facilitent et améliorent l'admi
n renferme 260 nourriciers. La plupart sont des agri- culteurs ; au
centre
de la paroisse de Saint-Dimphne, se rencon- tre
1GNEL-LAV.1ST11E (de Paris). J'ai examiné, avec M. Vigou- roux, les
centres
nerveux de 42 paralytiques généraux. Les résul-
e et calmante, sous laforme de lampes à incandescence éclairant les
centres
nerveux et combinée à la dou- che statique par
prononcées chez une faible d'esprit congénitale ou par lésion des
centres
nerveux dans la première enfance. Agitation inces
réactions réflexes : directement, par action vaso- motrice sur les
centres
nerveux, action réflexe démontrée expén- mental
en être autrement, puisque la vie végétative régit la nutrition des
centres
nerveux supérieurs comme celle de tous les autr
ble de troubles vaso-moteurs et trophi- ques dus à l'altération des
centres
nerveux. Cet oedème précoce montre une défailla
nte du sys- tème nerveux et traduit l'action de l'infection sur les
centres
vaso- moteurs, qu'elle se fasse sentir dans les
oint de départ de la vaso-paralysie est dans l'écorce au niveau des
centres
moteurs des membres. La physiologie n'y contr
mbres. La physiologie n'y contredit pas ; on sait, en effet, queles
centres
moteurs des membres sont susceptibles d'influen
s son en- tier, le système vaso-moteurs est d'abord altéré dans ses
centres
les plus fragiles, de même que dans le système
ne savons pas d'une façon précise quels éléments anatomiques, quels
centres
entrent en jeu dans ces phénomènes d'excitation
d'origine plus obscure encore. Elle se produit dans les cas où les
centres
supérieurs ont perdu tout pouvoir régulateur ;
pénible. Darasz- kievicz explique ce phénomène par le fait que les
centres
repren- nent brusquement leur pouvoir sur le to
antéro-postérieure pouvant se poursuivre, les supérieurs, jusqu'au
centre
de la corne grise anté- rieure, les inférieurs,
natomo-pathologique que dans cette régression, le noyau, qui est le
centre
trophique du myocyle, joue un rôle actif, à la
ession du myoplasme, qui s'ir- radie toujours autour du noyau comme
centre
trophique, et cette sarcolyse, aidée de la prol
e dément précoce est un inhibé (Meeus), d'où automatisme facile des
centres
inférieurs. Ce qui confirme cette thèse, c'est
galement avec cette même thèse (Meige) : l'absence d'inhibition des
centres
corticaux supérieurs sur ceux des étages inféri
ument incontestables, ils admettent des fésions syphi- litiques des
centres
nerveux et indiquent comment les troubles psy-
ison cellulaire de Louvain) il y aurait même lieu de créer, vers le
centre
du pays (au lieu des positions excen- triques d
ation extérieure d'un trouble, d'une lésion plus ou moins grave des
centres
cérébraux et le chirurgien ne peut rien obtenir
, médical ou chirurgical, ne peut lui constituer de toute pièce les
centres
absents ou disparus et si comme le montrent les
SOCIÉTÉS SAVANTES. térie, en aggravant l'état d'engourdissement des
centres
nerveux, caractéristique de la névrose. L'hysté
fibrilles du nerf optique sont interrompues dans leur voie vers le
centre
par des cellules des noyaux de la couche optiqu
e partie des circonvolutions centrales; dans la partie qui forme le
centre
du nerf gtosso-pharyngien et voici le résultat i
s le dedans jusqu'à 40°. Le patient ne distingue les couleurs qu'au
centre
du champ visuel et quant à l'intensité de la vue
perception de la couleur verte pouvait être constatée seulement au
centre
du champ visuel droit. De l'oeil gauche le mala
e courbe transversale, constituent un faisceau de rayons ayant pour
centre
les confins de la substance grise centrale du can
ijumeau; la branche centrifuge en occuperait la portion motrice. Le
centre
réflexe réside problablement dans le noyau mote
dans la capsule interne et dans les ganglions de la base, et que le
centre
du membre iiiré- · rieur était conservé. P. Ker
s la profondeur du tiers antérieurde la couche optique se trouve un
centre
sous-cortical de la rate. 11° Tous les troubles
duellement de haut en bas. 15° Le ganglion semi-lunaire contient un
centre
dont l'activité aboutit à la protec- tion du ry
urtout des ganglions intercalaires entre les tractus optiques et le
centre
de la vision, on conçoit aisé- ment quetaprédom
tre 440 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE' PATHOLOGIQUES. de ces
centres
qui a été primitivement atteint. Au point de vue
ique, prend une forme définie et pénètre dans la conscience dans le
centre
correspondant de perception du lobe temporo-sph
transmettent comme des ondes de vibrations subconscientes jusqu'au
centre
récepteur, où un groupe de neurones, par l'inte
veille, en tant que gymnastique rationnelle, pour raviver dans les
centres
moteurs corticaux, la représentation des mouvem
, car c'est dans la substance griae péri-épendymmre que siègent les
centres
de la toni- cité spiiiiitérienne et nous savons
oue pas le rôle d'un simple stimulus anatomique venant exciter le
centre
sensoriel correspondant. Il donne une direction
trépidation épileptoïde bilatérale mit sur la voie des lésions des
centres
nerveux. On constate alors le syn- drome cérébe
endant à infirmer la notion de la cellule nerveuse considérée comme
centre
trophique de la fibre nerveuse correspondante e
méthode des exercices eurythmiques et de favori- ser l'activité des
centres
rolaudiques en l'associant à celle des centres
- ser l'activité des centres rolaudiques en l'associant à celle des
centres
acous iques mis en éveil par des excitations mu
s en éveil par des excitations musicales bien ryth- mées. Ainsi les
centres
rotandiques entrent en travail d'une ma- nière
il d'une ma- nière presque automatique, et par association avec les
centres
acoustiques corticaux . BIBLIOGRAPHIE. 537 I
les coupes transversales. Il n'existe donc pas une segmentation des
centres
médullaires, en forme ganglionnaire, comme on le
as d'amputation, d'atro- phie, etc., et établir, par conséquent, le
centre
spinal de chaque muscle, inconnu jusqu'alors.
15. Globes oculaires. Voir Paralysie. Goitre exophtalmique. Le
centre
Imlbaire. Traitement par le thy- mus, pal Ble
ent pas l'intensité qu'elles auraient dû avoir, que les fonctions des
centres
visuels participaient, dans une certaine mesure,
t parait disposer Marie-Louise provient simplement de ce fait que les
centres
visuels étant les moins touchés, leur fonction ét
es souvenirs antérieurs à l'état second. Il en est de même des autres
centres
sensoriels dont les fonctions n'étaient pas compl
récissement du champ de la conscience. On peut dire même que tous les
centres
cérébraux étant atteints dans leurfonction il ne
i par ses supérieurs, et malgré son intérêt devoir Lourdes devenir un
centre
de dévotion, fit-il une résistance longue et tena
ns organiques cela se conçoit par ce fait que tous les organes ont un
centre
de projection encéphalique et c'est ce fait seul
t merveilleux que nous apercevons nous donne la pleine « assurance du
centre
lumineux que nous n'apercevons pas... ce « que co
tat de passivité relative, un engourdissement plus ou moins marqué du
centre
0, du schéma polygonal de Grasset, la musique va
sa prière et il lui fit pousser une longue barbe ; en même temps son
centre
s'accrût lui apportant ainsi un surcroit de laide
omie des divers territoires de l'écorce cérébrale, car tandis que les
centres
psychomoteurs perdaient d'une façon presque compl
rdaient d'une façon presque complète leur activité fonctionnelle, les
centres
dans lesquels sont localisées les fonctions supér
le même cadre et qui méritent une attention plus détaillée. (>) Au
centre
du tableau, l'on voit une tête de vieil homme, à
développer toujours, est un des meilleurs freins, des plus puissants
centres
d'arrêt à nos passions, à nos entraînements comme
de veille, en tant que gymnastique rationnelle, pour raviver dans les
centres
moteurs corticaux la représentation des mouvement
ent un calcul, une attention soutenue, provoquent une suractivité des
centres
nerveux et à la fatigue musculaire proprement dit
ffort centrifuge plus ou moins conscient de l'attention, agissant des
centres
cérébraux vers les extrémités nerveuses des sens
orte en sens contraire et se replie des extrémités sensibles vers les
centres
pour laisser f organisme en un état passif plus o
e de l'organisme, se replie sur elle-même et s'accumule dans certains
centres
cérébraux. Cet état ne peut évidemment se réalise
rééduquer méthodiquement les mouvements de façon à rétablir duns les
centres
psycho-moteurs les images de ces mouvements mais
es automatiques et à développer le pouvoir fixateur et correcteur des
centres
supérieurs ». M. Meige emploie plusieurs procéd
onsabilité. « Il parait démontré également qu'il y a deux ordres de
centres
psychiques, comme il y a deux ordres de phénomène
s psychiques, comme il y a deux ordres de phénomènes psychiques : des
centres
psychiques supérieurs (centre O de M. Grasset) et
ordres de phénomènes psychiques : des centres psychiques supérieurs (
centre
O de M. Grasset) et des centres psychiques inféri
s : des centres psychiques supérieurs (centre O de M. Grasset) et des
centres
psychiques inférieurs (polygone de M. Grasset) ».
polygone de M. Grasset) ». Intimement associés à l'état normal, ces
centres
se désunissent à l'état de sommeil et de distract
deux psychothérapies : la psychothérapie supérieure qui s'adresse aux
centres
supérieurs et la psychothérapie inférieure qui ag
x centres supérieurs et la psychothérapie inférieure qui agit sur les
centres
inférieurs. La psychothérapie supérieure fortif
nce du moi supérieur. La psychothérapie inférieure agissant sur les
centres
inférieurs désagrégés aide plutôt à la disjonctio
isjonction des psychismes. En endormant un individu on annihile ses
centres
supérieurs, on agit sur ses centres inférieurs dé
rmant un individu on annihile ses centres supérieurs, on agit sur ses
centres
inférieurs désagrégés, on fait de la psychothérap
bstitutive. Tout revient à l'implantation par l'hypnotiseur, dans les
centres
psychiques inférieurs désagrégés du sujet, d'une
partielle (sans présenter de signe de sommeil). C'est en somme à ses
centres
inférieurs désagrégés que s'adresse le suggestion
u sujet et amener par des raisonnements, par des conseils moraux, son
centre
supérieur à reprendre la direction des centres, à
es conseils moraux, son centre supérieur à reprendre la direction des
centres
, à résister aux insinuations de ses centres psych
eprendre la direction des centres, à résister aux insinuations de ses
centres
psychiques inférieurs. » Chez tous les alcooliq
affirmations de M. Grasset ont de trop absolu. Sa conception sur les
centres
psychiques est certes très séduisante. Elle nous
ogiquement. On lui a permis, passez-moi l'expression, de ratteler son
centre
supérieur à ses centres inférieurs désagrégés par
rmis, passez-moi l'expression, de ratteler son centre supérieur à ses
centres
inférieurs désagrégés par la maladie. Dans ce cas
essive, la discipline psycho-mécanique aura pour but la création d'un
centre
d'arrêt psychique. Cet effet sera réalisé en mett
ra ajouter une gymnastique spéciale destinée àréaliser la création de
centres
psychiques d'arrêt. Un fait remarquable, c'est qu
toutefois, en pratique, elle est très utile, parce qu'elle réalise un
centre
d'attraction qui sollicite l'attention oculaire.
s lors, poser notre diagnostic de vomissements dus à des troubles des
centres
nerveux et non à une maladie de l'estomac, lésion
Seulement l'alcoolisme dont l'action toxique affecte profondément les
centres
nerveux, détermine de ce fait une atteinte plus g
termine de ce fait une atteinte plus grave des facultés mentales. Les
centres
d'arrêt psychiques, l'attention, la réflexion, la
t acquis et ce qui est héréditaire et quel rôle joue l'épuisement des
centres
nerveux, etc. ? » Mais nous ne voulons pas ajou
Chacun connaît son schéma et comment il a été critiqué. Appelons son
centre
O la surconscience et son polygone la sousconscie
pnose un moyen unique d'agir sur le polygone et par conséquent sur le
centre
vasonioteur. C'est pour cela que nous pouvons gué
uit chez la rênime à cette époque peut très bien se localiser sur les
centres
nerveux et déterminer la. rétraction des prolonge
, entre la moelle et le cerveau. L'action de ce segment supérieur des
centres
nerveux sur le segment inférieur qui est la moell
ournage qui réduit à néant les organes témoins. C'est la lésion des
centres
vaso- moteurs spinaux qui détermine l'arrêt de
p- seule paraisse notablement épaissie. L'examen histologique des
centres
nerveux ne donne que des résultats né- gatifs.
et la gaine de myéline incolorable ; souvent aussi on ne trouve an
centre
du manchon fibreux qu'un espace central plus clai
ume des éléments histologiques (cellules ou fibres conductrices des
centres
nerveux, fibres périphériques motrices,sensitives
que, la névrite interstitielle avec ou sans hypertrophie ; dans les
centres
nerveux la sclérose névroglique en tourbil- lon
ers dans les ganglions centraux, dans la capsule interne et dans le
centre
ovale. C'est ici qu'il convient de citer le cas
t'opinion la plus problablenous sem- ble celle d'une altération des
centres
spinaux probablement vaso-moteurs qui tiennent
s'agit dans son cas d'une espèce de poliomyélite ayant atteint les
centres
qui tiennentsous leur dépendance le tissu conjo
gine du trophoedème : « On peut la chercher dans une altération des
centres
trophiques du tissu conjonctif sous-cutané. .
trophiques du tissu conjonctif sous-cutané. . Mais où siègent ces
centres
? Vraisemblablement dans la moelle, dans la sub
lablement dans la moelle, dans la substance grise, au voisinage des
centres
trophiques des muscles. Bien que les constatati
ns histologiques n'aient pas permis d'isoler les uns des autres les
centres
de ces différents systèmes, la coexistence des tr
osseux, musculaire et conjonctif autorise à admettre l'existence de
centres
autonomes pour chacun de ces systèmes. » 1 Les
émis l'hypothèse de l'existence d'une imperfection congénitale des
centres
qui président au développe- ment et à la nutrit
arrondie de 7 il 8 centimètres de diamètre, d'un violet foncé à son
centre
, moins asphyxique à la périphérie. Cette région e
e comportent dans tous ces cas très diffé- rents comme jouissant de
centres
trophiques et régulateurs de nutrition leur app
r, la statue d'écorché la plus fameuse et la plus répandue dans les
centres
d'enseignement. C'est l'Ecorché de Hou- don, qu
alamus et intéressant la région sous- optique, on voit en dehors du
centre
médian de Luys, dans la région du ru- ban de Re
onditions de la circulation du pédoncule cérébral, des voies et des
centres
optiques peuvent nous expliquer la possibilité
qui sont plus ou moins respectées sont celles qui correspondent aux
centres
ovales de Flechsig et un peu aux champs ventrau
e qui tend à remonter dans l'anneau. Les organes génitaux situés au
centre
d'un triangle curviligne saillant ont un aspect
s de la mydriase spasmodique sont ceux que provoque l'excitation du
centre
irido-dilatateur de la moelle cervicale ou des
auteurs qui n'admettent pas son existence s'appuient sur ce que les
centres
pupil- laires ne sont pas soumis à la volonté;
es ne sont pas soumis à la volonté; dès lors.il leur semble que ces
centres
doivent échapper aux manifestations de la névrose
ich commencent à se combiner dans les moeurs indigènes modernes des
centres
européanisés. (1) Tableau des folies haschichiq
eure un bord tranchant et recourbé vers le haut, surmontée dans son
centre
et un peu en arrière par une petite apophyse st
constate qu'il présente à sa partie inférieure une petite fossette,
centre
de convergence de huit plis cutanés disposés radi
aient, presque toutes, un hublot. Ces cabines avaient une sortie au
centre
de la cale où les serviteurs étaient logés. Les l
TEIiri, loc. cit., p. 533. - VAl'< GEIIUCII'l'EN, La structure des
centres
nerveux. La Cellule, t. 7, 1891. NOUVELLE Ico
circonvolutions et qu'elle va en diminuant de la périphérie vers le
centre
de la couche moléculaire. Cette méningo-cortica
les couleurs et voyait très bien, dit-il, les objets situés dans le
centre
du champ visuel. On lui fit une ponction lombai
dans une lé- sion du système nerveux, parfois dans la syphilis des
centres
. C'est ainsi que Cousin attribue à la tare nerv
me nerveux lui même. C'est en rapport avec ce qui se passe dans les
centres
nerveux, consécutivement aux sections des nerfs
eut pu attendre. C'est qu'il existe pour la périphérie et pour les
centres
nerveux une indépendance dans le développement
su moins différencié. Main : on peut cependant y remarquer quelques
centres
de condensa- tion qui représenteront tous les o
espectives. C. - Examen likistalogique. L'examen histologique des
centres
nerveux, des nerfs et des muscles a montré, de
e occipital qui n'est plus réduit qu'à une simple lame de tissu, le
centre
étant creusé par une énorme excavation. Les par
pour déterminer à la surface du crâne l'en- droit correspondant au
centre
du cerveau intéressé, il faut préalablement rec
le, placée dans les ouvertures, la direction mathéma- tique vers le
centre
du casque. C'est pourquoi nous avons dû invente
se annulaire de caoutchouc dur, avec un toit métallique compact, du
centre
duquel des- cend un tube d'un demi-millimètre d
ettent de les regarder comme dépendant d'un trouble fonctionnel des
centres
trophiques, le trouble fonctionnel étant peut êtr
tre de ces infections a été le point de départ d'une altération des
centres
nerveux ou d'une modification de l'état général d
écrétrices qui sont douées, comme les vaso-motrices, de voies et de
centres
spéciaux, ces centres pouvant pré- senter chez
uées, comme les vaso-motrices, de voies et de centres spéciaux, ces
centres
pouvant pré- senter chez certains sujets une ex
nque d'action inliibilrice sur la sécrétion lymphatique de certains
centres
nerveux, surtout médullaires, et ces deux facte
onnelle ou hyperexcita- bihté, hypothétiques d'ailleurs de certains
centres
en rapport avec l'in- nervation des lymphatique
obable d'une lésion ou d'une perturbation fonctionnelle de certains
centres
nerveux. Les cas de trophoedème avec goitre,
ion nerveuse qu'il localise, non pas à la périphérie, mais dans les
centres
cérébraux. Il ne croit pas à une lésion grave,
d'une altération ou tout au moins d'une irritation des nerfs ou des
centres
nerveux. Il s'en inquiète; mais il garde confianc
otation et pour l'immobilisation tête à droite, demi à droite et au
centre
, péniblement et pas toujours avec une correction
a roideur, des imperfections ; notamment dans l'immobilisa- tion au
centre
, la tête s'arrête invariablement en légère déviat
t long- temps contre la défectuosité du point d'arrêt de la tête au
centre
, l'axe du cou étant invariablement déplacé un p
à me sur- veiller toujours, et c'est depuis que l'immobilisation au
centre
est réellement t bonne. Les rotations sont en m
ivée à proximité de l'extrême gauche, et que le retour de droite au
centre
se fait,durant certains exercices, avec une rap
rais sans difficulté aller bien plus loin et rester, tout au moins au
centre
, aussi longtemps qu'avant d'être atteint de tor
ite, pour, de retour LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 501 au
centre
, trouver l'attitude correcte, et c'était à peu pr
il m'est à peu près constamment im- possible de conduire la tête au
centre
sans constater la position incorrecte que je vo
s je ne fais pas encore grand'chose de bon. La prise de position au
centre
est longue, difficile, et rarement bien réussie
ouvement demi à droite impossible à conserver, le retour de droite au
centre
s'exécute avec une brusquerie qui me semble aug
les cas où un individu n'est plus soumis à l'action de ses propres
centres
nerveux et où la fixation des yeux ne dépend pl
ans le cer- veau. MM. Siemerling et Baedeker (24) ont localisé le
centre
de la IVe paire dans le noyau conlenu dans le s
au comme étant en rapport étroit avec l'oculomoteur, toujours comme
centre
de l'élévation des paupières supérieures. Aussi
IIIe paire). Cependant l'hypothèse de placer aussi dans ce noyau le
centre
du facial supérieur ne semble pas soutenable à
ue M. Siemerling localisa le SUR LE PHÉNOMÈNE DE CHARLES BELL 515
centre
de l'élévateur de la paupière. M. Giannelli, dans
mène de Ch. Bell doit être attribué à un réflexe ou s'il dérive des
centres
nerveux supérieurs. J'ai voulu reprendre la que
granuleux disposés en séries linéaires dirigées de l'écorce vers le
centre
ovale ; en explorant toute la coupe on ne peut
ntre d'abondants corps granuleux, dis- posés en série, rayonnant du
centre
ovale vers l'écorce ; il existe quelques grande
de congélation (microtome de Roy, perfectionné par Malassez), le
centre
ovale ayant été préalablement des- siné par tra
granuleux forment des séries linéaires dirigées de l'écorce vers le
centre
ovale; à mesure qu'on se rapproche de l'écorce,
odifier leur action vitale, et accélérer en même temps l'action des
centres
nerveux restés indemnes, même alors les chances
ions, se pro- page le long des racines postérieures coupées vers le
centre
de la moelle. Les ganglions intervertébraux ser
ion des plus fins vais- seaux, par l'intermédiaire des nerfs ou des
centres
périphé- riques locaux, provoque une hyperémie
ge; une forte excitation, au contraire, se réfléchit jusque sur les
centres
de la moelle et produit une hypothermie étendue
ain, mais alors les réactions se font plus lentement (autonomie des
centres
nerveux péri- phériques séparés du centre spina
lentement (autonomie des centres nerveux péri- phériques séparés du
centre
spinal), et la température du voisi- nage ne s'
losités issues d'un abondant exsudat gélatiniforme (compression des
centres
et des racines nerveuses qui en partent). P. K.
elles), les hallucinations ne peuvent survenir sans le concours des
centres
sensoriels sous-corticaux. 10" Une conception,
es malades, pas plus que tous les cas d'innervation irrésistible du
centre
de la parole, ne sont ni des hallucinations, ni
tation (dépourvue du caractère centrifuge) se transforment, dans le
centre
sous-cortical del'ouïe, en hallucinations réell
l'électricité. échappent à toute guérison électrothérapique par les
centres
on sont même aggravées par l'application centra
tation électrique nécessaire à déchaîner par son application sur le
centre
psychomoteur la convulsion la plus faible du me
s hystérogènes par l'électrisation statique, la gal- vanisation des
centres
nerveux, les inhalations anesthésiques, l'anémi
êves qu'il rattache à la perte de la coordination fonctionnelle des
centres
cérébraux su- périeurs et passe en revue les pr
giques de la folie : les arrêts ou les vices de développement des
centres
nerveux, les modifications cliniques ou physiques
n cérébrale, les maladies qui retentissent par voie réflexe sur les
centres
nerveux, et enfin les blessures et les affections
ceau pyrami- dal n'ayant pas ou presque pas de relations avec les
centres
de la vie végétative, ceux-ci puissent rester i
ève sa tête affaissée; il semble que l'écorce affaiblie à l'égal du
centre
respiratoire ait besoin, pour reprendre ses fon
lus profonde dans sa phase inspiratoire. Cet endroit, qu'il nomme «
centre
de l'inspiration du troisième ventricule », occ
jumeaux ( ? cor- por;).quadriemii]a).L'excitation fut-portée sur ce
centre
lou- jours, après l'ablation préalable de deux
aude Bernard e111'estphal. La strychnine excite également les^ deux
centres
, mentionnés, tandis que le'chloral produitun ef
tandis que le'chloral produitun effet contraire. La, destruction du
centre
inspiratoire met en n r"vidence l'existence^ d'
du centre inspiratoire met en n r"vidence l'existence^ d'Ull autre,
centre
qui, situé dans la substance de corps quadrijum
l'inspi- talion résulte d'une série d excitations, qui arrivent au
centre
général de la respiration par,trois voies diffé
ration active résultent d'une série d'exci- tations qui arrivent au
centre
par d'autres fibres du pneumogas- trique, par l
rijumeau et par tous les autres nerfs sensibles. Les excitations du
centre
respiratoire lui-même ne paraissent pas être de
à déter- miner dans le troisième ventricule l'existence d'un autre
centre
, qui est celui de la coordination. Les animaux,
qu'auxcouches optiques, ne peuvent plus, après la destruction de ce
centre
, coor- donner leurs mouvements nécessaires pour
, qui s'y y écoule au moment de l'opération même. L'existence de ce
centre
de coordination dans le troisième ventricule a
s cérébraux elles corps striés ne sont entravés en rien tant que le
centre
de coordination du troisième ventricule n'est p
ent être rapportés soit à des lésions matérielles et grossières des
centres
cérébro-médullaires, soit à des modifications p
utionnelles, des troubles d'association considérés comme émanés des
centres
vasculaires. De l'examen à ces points de vue de
rition qui entraine l'équilibre instable des cellules nerveuses des
centres
moteurs; dès lors, une exci- tation périphériqu
nt musculaire gé- néral et à l'état aslhéuique du malade. Enfin les
centres
corti- caux auxquels on rattache la vision étai
tact ont coïncidé, dans ce cas, avec des lésions très accentuées du
centre
cortical de l'audition du côté droit et des rég
re cortical de l'audition du côté droit et des régions contiguës au
centre
du loucher du même côté; d'autre part, bien que
plètent à mesure que le territoire devient libre sur la zone des
centres
sensoriels et des instincts. Cette vaste région
e est la base organique de nos souvenirs; c'est dans les différents
centres
qui la constituent que se trouvent déposées les
oniques de toutes nos impressions sensorielles, et c'est là que les
centres
supérieurs viennent puiser les matériaux nécess
ntrôle ni le pouvoir modérateur qu'exerce la région antérieure (les
centres
supérieurs); il se montre gourmand, voleur, enc
ndre que ces dégénérés puissent, grâce à l'intégrité de l'un de ces
centres
(ouïe, vue, toucher, etc.), présenter certaines
, l'idiot écho, suivant que ces sujets ont conservé l'intégrité des
centres
percep- SOCIÉTÉS SAVANTES. 435 tifs ! de la v
le révèle, nous montre les pro- fondes modifications des différents
centres
de l'axe cérébro-spinal. 1 Foville. - Ann. méd.
postérieure, nous allons trouver encore là un mécanisme faussé. Le
centre
de l'audition ne peut plus retenir les images t
nir les images tonales qui tendent à s'échapper, et de même que des
centres
médullaires partaient des mouvements irrésistib
médullaires partaient des mouvements irrésistibles, de même de ces
centres
perceptifs s'échappent des images tonales, des mo
tout même désordre, même lésion fonctionnelle, qu'il s'agisse des
centres
médullaires ou cérébraux. Ce qui prédomine dans
olument dépourvu de certaines aptitudes, de certaines facultés. Ses
centres
de perception sont inégalement impressionnables,
part, certaines relations, certaines associations, entre différents
centres
, sont troublées ou même entièrement rompues; en
use constituée par un équilibre instable dans le fonctionnement des
centres
nerveux. Conclusion : une hypnotisation facile
nelle des hémisphères cérébraux, en même temps qu'ils désignent les
centres
sensoriels de l'écorce, comme siège organique.
'une.myélite aiguë infectieuse ayant abouti à la désorganisation du
centre
des réflexes. En tont état de cause, un dénouem
pour conférer à une plus grande surface la pression des selles. Le
centre
de l'anneau est occupé par un autre anneau métall
fi- samment pour, en attirant les lamelles de la périphérie vers le
centre
, les obliger à presser le tuyau du grand anneau
étralement et transférerait le point d'ap- plication de la force du
centre
à l'autre, dans ce cas, la plume du tam- bour n
ence de l'i- négalité pupillaire, qui dénonçait la participation du
centre
cilio-spinal, on formula le diagnostic suivant
res. 1 Sur une coupe passant par la 1"= racine dorsale, ou par le
centre
de l'adhérence méningomédullaire gauche (décrit
ieure gauche a complètement dis- paru ; son siège correspondrait au
centre
même de la tumeur; la corne postérieure gauche
e confond avec la traînée de ramollissement lacunaire qui occupe le
centre
du névraxe et descend à 2 2 centimètres environ
noyaux sont généralement bien colorés : cependant il existe vers le
centre
de la tumeur et dans le milieu de la végétation
n, formé aux dépens des racines antérieures, est constitué comme le
centre
de la tumeur par une infiltration luxuriante de c
rtériole, chaque vemule forme comme un affluent qui charrie vers le
centre
de la moelle d'innombrables cellules ; des extr
(Pl. IX etX, C, E, F). Les coupes, colorées au Pal, passant par le
centre
de la gomme gauche, montrent bien cette inégali
grande des tubercules soli- taires et des gommes tuberculeuses des
centres
nerveux, nous croyons devoir nous arrêter au mo
i les notions que nous possédions alors sur la syphilis acquise des
centres
nerveux commençaient à être satisfaisantes, on
sation médullaire, et combien peu-souvent songe-t-on à examiner les
centres
nerveux ? Toutefois, si l'on se rangea l'opinio
tes par Charcot et Gombault (1) dans un cas de syphilis acquise des
centres
nerveux. Dans leur cas, le processus était nett
HARCOT et A. 'GO.)113AULT. Note sur un cas de lésions disséminées des
centres
ner- veux observées chez une femme syphilitique
la dégénérescence vitreuse. Latéralement au canal central, dans le
centre
des cornes grises antérieures, se voient 2 zone
rnes ne révèle rien de particulier. Légère hyper- calcification des
centres
d'ossification. La substance cérébrale ramollie
harcot et A. GOII1AUL'l'. Note sur un cas de lésions disséminées' des
centres
nerveux observées chez une femme syphilitique.
en 2 ou 3 mamelons secondaires. Parmi ces mamelons, il y en a 3 au
centre
desquels existe une dépression assez profonde,
a signalé l'existence de populations naines, principalement dans le
centre
de l'Afrique. L'authenticité du fait, longtemps t
'une sorte de mitre que surmonte un trèfle irrégulier, percé à son -
centre
d'un trou rond (2). ' (1) L'Archéologie Egyptie
hi tué à diagnostiquer la syphilis chez les dégénérés physiques des
centres
nerveux. ¡ Du reste, à ce point de vue même, la
de cas où l'hémorrhagie due à l'hérédo- syphilis siégeait dans les
centres
nerveux, malheureusement on n'a pas sou- vent s
écrites par Charcot et Gombault dans un cas de syphilis acquise des
centres
nerveux. Dans leur cas le processus était nette
'la dégénérescence vitreuse. Latéralement au canal central, dans le
centre
des cornes grises antérieures, se voient 2 zone
est bon de rap- peler l'aspect de nos coupes à l'état normal. Au
centre
du canal rachidien beaucoup trop vaste pour les é
l, lorsque la coupe les rencontre un peu plus bas. La moelle est au
centre
, on y rencontre les mêmes parties que chez l'ad
perceptibles qu'avec peine, de grands espaces ramollis ou vides au
centre
indiquent la tendance de ces néoplas- mes à la
es cellulaires qui s'avancent de la périphérie de la moelle vers le
centre
, plus ou moins-épaisses, toujours plus larges d
es rondes. Les vaisseaux de la pie-mère sont distendus, ils sont le
centre
de ces forma- tions embryonnaires. L'arachnoï
une forme allongée dans le sens transversal et au lieu d'occuper le
centre
du canal rachidien se dévie sur le côté. Les di
t, ceux de la moelle proprement dite, artères épendymaires, sont le
centre
des tractus conjonctifs qui vont se perdre dans
t des matières fécales. A priori tout ce que produit une lésion des
centres
moteurs spinaux peut être produit par une lésio
inaux peut être produit par une lésion des nerfs qui émanent de ces
centres
. En fait, je crois avoir montré qu'il en est ai
ité va, d'une façon générale, en diminuant de la périphérie vers le
centre
. D'ordinaire les extenseurs sont plus fortement
és,endo et péri-artérite endo et péri-phlébite. Ils sont de plus le
centre
des infiltrations nodulaires qui s'é- tendent a
e. A la région lombaire la mqelle n'a pas encore repris sa place au
centre
du canal rachidien, la tumeur est encore presqu
s em- bryonnaires, ceux-ci sont groupés surtout à la périphérie, le
centre
du néo- plasme présente au contraire une perte
e dans là substance grise. Queue de cheval. Le microscope montre au
centre
un noyau granuleux qui représente sans doute la
des parois très épaisses et dans les racines les vaisseaux sont les
centres
de nodules embryonnaires. Dure-mère épaisse, fibr
iste seulement quelques cellules cylindriques en amas irrégulier au
centre
de la moelle ; celle-ci pré- sente des pertes d
sque comblé par les détritus endothé- liaux de desquamation sont le
centre
des nodules embryonnaires plus ou moins étalés
ée, leurs tubes nerveux semblent être rassemblés, comme refoulés au
centre
de la gaine par un anneau de coloration plus cl
cale donne des coupes où la moelle est très abîmée, on reconnaît au
centre
le canal épendymaire à peu près normal, la substa
scope, on trouve dans la ré- gion de la voûte vasculaire une artère
centre
d'un amas nucléaire considérable dont les paroi
82. n* 21 . on voit clairement jusqu'à quel point peuvent arriver les
centres
psychomoteurs par suite de l'entière inactivité d
es du cerveau, il trouva une différence frappante: dans la région des
centres
psychomoteurs, à gauche, tout était normal, tandi
'abord tous les phénomènes réflexes d'origine cérébrale. L'action des
centres
nerveux sur la circulation, sur la respiration, s
eule actionnée par l'idée. Il faut que l'idée fasse inhibition sur le
centre
moteur cortical du bras; il faut que celui-ci, fr
uggestion plus efficace, parce qu'elle est plus facile à réaliser, le
centre
moteur du bras. La contre-suggestion résultant du
n à l'état de veille. Chez eux l'idée reçue actionne suffisamment les
centres
automatiques pour se transformer en actes; il y a
pas le droit de les passer sous silence. Au fond de l'activité des
centres
nerveux, au fond des sensations, des représentati
n sait, un mouvement moléculaire des particules du protoplasma de ces
centres
; ce mouvement se propage sur les cordons nerveux
cela même, d'admettre que ce mouvement moléculaire peut se passer des
centres
nerveux de l'inducteur dans l'air et de l'air dan
er des centres nerveux de l'inducteur dans l'air et de l'air dans les
centres
nerveux du « lecteur » des pensées; et dans le ca
s lois de la transmission isolée de l'excitation nerveuse suivant les
centres
et les filets nerveux à l'état intact, et le cara
tes nerveux se déterminent par la liaison des filets nerveux avec des
centres
déterminés, et par les connexions réciproques de
tation nerveuse ne se limite pas aux sphères directement excitées des
centres
et des filets nerveux, mais se propage d'un filet
propage d'un filet nerveux à tous les autres filets voisins, et d'un
centre
à tous les autres centres du cerveau, ou, en d'au
ux à tous les autres filets voisins, et d'un centre à tous les autres
centres
du cerveau, ou, en d'autres termes, s'induise dan
ble? Sans aucun doute. — non. puisque l'excitation d'une catégorie de
centres
cérébraux, par exemple les centres visuels, dev
l'excitation d'une catégorie de centres cérébraux, par exemple les
centres
visuels, devrait s'accompagner, par induction, d'
devrait s'accompagner, par induction, d'une excitation simultanée des
centres
d'autres sensations, ainsi que des centres moteur
excitation simultanée des centres d'autres sensations, ainsi que des
centres
moteurs du cerveau, et les sensations visuelles d
érieure de nos organes des sens arrivant jusqu'à tel ou tel groupe de
centres
nerveux, ou chaque excitation apparaissant en eux
evrait, suivant l'induction des excitations d'un nerf à l'autre, d'un
centre
à l'autre, mettre en jeu simultané toute la sphèr
e, d'un centre à l'autre, mettre en jeu simultané toute la sphère des
centres
nerveux sensoriels, psychiques et moteur-*, et pr
hériques auxquels se transmet cette excitation. En arrivant jusqu'aux
centres
des sensations, des représentations, etc., l'exci
ment de sensations et de représentations, visuelles dans un groupe de
centres
, auditives dans un autre, olfactives dans un troi
rnier entre en jeu sous les impulsions nerveuses que lui envoient les
centres
nerveux. Détruisez, éliminez ces impulsions en ch
et les représentations correspon- dantes, se reproduisant dans les
centres
du cerveau, s'accompagnent d'une transmission exc
sanguins par la transmission excentrique de l'excitation nerveuse des
centres
de sensations et de représentations sur les nerfs
ernant ces sortes de phénomènes sont indiqués dans mon livre ur les -
Centres
psychomoteurs • et dans le • Messager de l'Europe
citer tous les mouvements très conformes au but et effectués par les
centres
réflexes du cerveau et de la moelle épinière surt
les centres réflexes du cerveau et de la moelle épinière surtout. Ces
centres
réflexes transmettent l'excitation des voies sens
'effectue sous la seule influence des excitations provoquées dans les
centres
actifs qui participent à la production de tels ou
méditées, et l'attente d'un certain résultat provoque l'irritation de
centres
nerveux déterminés, qui président précisément aux
ifférente d'un eut unique, c'est-à-dire de VexcilabUité augmentée des
centres
nerveux, et que la variété des dites manifestatio
lui est proportionnée? Dans ce cas, en effet, on a fait agir sur les
centres
nerveux, par une voie ou i«ar une autre, une exci
n- (Alexis), professeur libre d'anatomie. — La loi de la position des
centres
nerveux. (Brochure de 8 pages. — Chez l'auteur, 3
pu être grossie par le sensorium exalté, conservée et répétée par le
centre
nerveux, devenant ainsi le point de départ d'une
ue Bonaparte, Paria, 1893.) Julien (Alexis). — Loi de la position des
centres
nerveux. (Brochure de 8 pages. — Chez l'auteur,
même chez les hystériques et les hypnotises, l'excitation de certains
centres
qui se prononcent puissamment, par la paralysie d
menton, par exemple, ou le nez, voient, dans l'état d'hystérisme, le
centre
cortical de la vision qui réside dans le cerveau,
s exister (suggestion négative), malgré qu'il l'eût sous ses yeux, le
centre
visuel cortical prend la place de l'œil : il voit
la même manière que les images réelles se portent de la périphérie au
centre
. En effet, elles sont sujettes à ces modification
s qu'il était imaginaire. Mais pour que cela arrive, il faut que le
centre
cérébral de la vision soit substitué a l'organe d
nous avons dans l'écorce cérébrale îles amas de substance nerveuse,
centres
moteurs qui président précisément aux mouvements,
elligente, car elle part d'une force motrice qui est en même temps un
centre
psychique, l'écorce cérébrale. La grande diffic
de certains centrescérébraux, tandis qu'augmente l'activité d'autres
centres
, dans l'espèce, des centres moteurs. Celle-ci e
x, tandis qu'augmente l'activité d'autres centres, dans l'espèce, des
centres
moteurs. Celle-ci est la cause de ces singulier
s, elle faisait une légère grimace. Pour réveiller par suggestion son
centre
auditif, si la chose était encore possible, je fr
eurs. Parla, 1891.) Debierre (Dr Ch ) et Douser Dr E.). — Album des
centres
nerveux. (48 figures schématiques. — Félix Alcan.
d'un abcès, voulait faire arracher la première molaire, qui était le
centre
du mal ; très énervée, excitée au plus haut degré
ire età méditer d'un bout ò, l'autre. Dr 11" : LaCRBNT. Album des
centres
nerveux, par MM. Cit. Dbbibrre et E. Douubr. Pa
M. Cit. Dbbibrre et E. Douubr. Paris, F. Alcan, 1892. L'Album des
centres
nerveux se compose de quarante-huit figures schém
cours d'anato-mie, et particulièrement de l'Album stéréosco pique des
centres
nerveux, de* mêmes auteurs; chacune de ces figure
M. le professeur Charcot, 286. Britisch medical association, 393.
Centres
nerveux (album des), 351. Chloroforme (aide don
téro-postérieur et qui présente les dimensions d'une noix. Dans le
centre
de cette zone on peut distinguer un point centr
et de là les uns pénètrent sous forme de fes- tons étroits vers le
centre
de cordon, d'autres finissent sur place. Les raci
s fibres normales qui vont sous forme d'étroites languettes vers le
centre
. On constate aussi une zone de fibres assez bie
y a des raies claires qui vont radialement de la périphérie vers le
centre
. Les raies ne sont pas nettement limitées. Elles
rées gonflées parmi d'autres normales. A mesure qu'on s'approche du
centre
le nombre des fibres dégénérées diminue. Nulle
xceptionnel de voir dans ces masses énormes un cylindraxe gonflé au
centre
. Le plus souvent elles sont amorphes. Tout ce X
longues (sensi- tives et motrices) qui sont plus éloignés de leurs
centres
trophiques, dégé- nèrent plus vile. Kollarits p
laire à la plus légère modification de la circulation sanguine des
centres
nerveux, soit par un agent physique, soit par u
es dont il est question ici même pour la connaissance de l'état des
centres
nerveux, qui régissent le système de la circulati
constricteurs et les dilatateurs des vaisseaux qui sont régis par des
centres
nerveux particuliers, logés dans la moelle épin
ntres nerveux particuliers, logés dans la moelle épinière et par le
centre
vaso- moteur commun qui se trouve dans la moell
és dans leurs parois. La physiologie qui reconnaît l'existence d'un
centre
vasomoteur princi- pal, sait expliquer le mécan
e produit cette action para- lysante : il la périphérie ou dans les
centres
.Mai s nous savons qu'un centre vasomoteur, dont
ysante : il la périphérie ou dans les centres.Mai s nous savons qu'un
centre
vasomoteur, dont le siège est dans la moelle al
s expériences, est extrêmement sensible ; que les irritations de ce
centre
sont suivies de retrécissement et non de la di-
de retrécissement et non de la di- latation des vaisseaux (1). Le
centre
vasomoteur appartient à la vie végétale ; son act
duite par l'irritation locale comme le résultat de l'activité de ce
centre
vasomoteur, c'est-à-dire d'admettre que les irr
ans l'autre, au contraire, ce sont les constricteurs. Donc les deux
centres
, si on en admet l'existence, sont dans le même
observe un seul genre. Avec le blanc on admettrait l'irritation des
centres
de la constriction, avec le rouge, celle de la
quels nerfs penserons-nous ? : ' haut-it admettre : Il que les deux
centres
de la dilatation et de la constriction se trouv
tion de l'autre n'entre en jeu qu'après une très forte ; 2° un seul
centre
est en état d'irritabilité, mais qui répond à l'i
origine nerveuse des vais- seaux sans admettre un désordre dans les
centres
qui régissent le système vasculaire et dont le
HISME ROUGE ET BLANC 201 que dans tous les cas de dermographisme ce
centre
se trouve en désoldre, tous les phénomènes dont
rmographisme blanc, quand il survient seul, indique l'irritation du
centre
vasomoteur (spasme) ; b) Le dermographisme roug
e) ; b) Le dermographisme rouge seul, indique la fatigue de ce même
centre
(parésie) ; - c) Le blanc et le rouge, quand
ent remplacés l'un parl'autre,fontpenserà à la neurasthé- nie de ce
centre
Toutes ces observations ont été faites en 1902
spéciale, une manière d'agir résultant d'une certaine structure des
centres
, un type particulier d'humanité. L'hystérique n
et état était dû à la toxi-infection hansénienne impressionnant les
centres
nerveux. Il ne le semble pas. L'étude des lé- p
pas dû à l'action directe de la toxi-infection lé- preuse, sur les
centres
nerveux. En effet, le lépreux d'Orient, ignorant
'on peut l'imagi- ner en déplaçant seulement, en relevant jusqu'aux
centres
supérieurs le siège supposé de sa paresse, qui
rtition des fibres dès faisceaux pyramidaux par exemple ou dans les
centres
des mémoires au- ditives, visuelles, etc. Il y
l le défaut. Ce n'est pas à la périphérie qu'il est caché, c'est au
centre
; car ce n'est pas le mouvement qui embarrasse le
ue dans son squelette. Ce sont des troubles secondaires. L'état des
centres
, voilà ce qui est essentiel. Les centres du tim
es secondaires. L'état des centres, voilà ce qui est essentiel. Les
centres
du timide sont « mal arrangés ». De ce dérangem
e la substance grise. Partout on voit des hémorragies et surtout au
centre
de la coupe. Les racines et les méninges molles s
ombaires supérieurs, ces hémorragies distendent en quelque sorte le
centre
de la coupe ; les vaisseaux augmentés en nombre,
s les cordons postérieurs. Ces foyers vont de la périphérie vers le
centre
sous forme de raies allongées, de coins, de seg
s allongées, de coins, de segments ou sous forme de petits îlots au
centre
de la coupe. Il y a des foyers nécrosiques dans l
x). Des hémorragies existent même dans la région sacrée, surtout au
centre
, dans la substance grise. Résumé. Dans ce cas l
et des zones radiculai- .res) et dans les antérieurs (le fond et le
centre
en partie). Les vaisseaux en nombre augmenté. P
ement pas de la présence des cellules pyramidales géantes dans leur
centre
cortical. M. Horsley (2), après avoir déterminé
polandique de l'homme est divisée par la scisure de Rolando en deux
centres
tout différents au point de vue de la structure
te et par l'absence des pyramides géantes. La limite entre les deux
centres
, abstraction faite d'une zone de passage très c
scendante. 378 MARINESCO 1 Iules qui envoient leur cylindraxe aux
centres
bulbo-protubérantiels des~ muscles de la face,
du larynx, etc. sont moins volumineuses que celles qui incitent les
centres
médullaires des muscles des membres supérieurs ou
de myélite dans la région lombaire. Arté- rio-sclérose intense des
centres
nerveux. Fxamen microscopique. Dans les lobules
le processus fût assez ancien, ne produit pas de réaction dans les
centres
moteurs cérébraux. On conçoit facilement l'import
lésions corticales de même que entre le membre plus atteint et son
centre
cérébral. En effet, chez les paraplégiques les
les parties inférieures des frontales ascendantes, c'est-à-dire aux
centres
corticaux de la face, du larynx, etc. Or, ces par
es supérieurs étant également plus atteints, il est naturel que les
centres
cérébraux des noyaux bulbaires et des noyaux DE
écorce, dont l'excitation électrique démontrait qu'il s'agissait du
centre
cortical du bras et obser- vant que la paralysi
ne, le fasciculus arcualus, le clauslrum, l'insula (postel'ior), le
centre
oval placé sous l'o- perculum rolandicill/i,le
dens. Celte destruction s'étend jusqu'à la partie correspondante du
centre
ovale, de façon à couper le fasciculus a1'r24at
ntinuité à bords nets, mais de forme irrégulière, se trouve dans le
centre
ovale correspondant au gyrus front tales ascend
e du fasciculus arcualus, du clauslrum et de l'insula (posterior), le
centre
ovale placé sous l'operculum rolandicum, le bor
capsule interne ». Voici, du reste, en quels termes l'Anatomie des
centres
nerveux décrit ce faisceau : « C'est un long fa
épendyme et la substance grise sous-épendymaire, à (t) Analomie des
centres
nerveux, Paris, 1895, p. 758-765. xxiii 34 51
e attention^ Atteints, dès le jeune âge, d'une lésion chronique des
centres
nerveux, telle que la sclérose. cérébrale, ils ne
uses ont été figurés par Velasquez dans le personnage qui occupe le
centre
du tableau des Ménines, etc.).» - Enfin M. Sain
ius : les deux noyaux les plus antérieurs sont considérés comme les
centres
des mouvements de l'iris et du muscle ciliaire
s comme les centres des mouvements de l'iris et du muscle ciliaire (
centre
photo-moteur et centre accommodateur). En réalité
mouvements de l'iris et du muscle ciliaire (centre photo-moteur et
centre
accommodateur). En réalité, la situa- tion exac
ommodateur). En réalité, la situa- tion exacte de ces deux derniers
centres
n'est pas encore très bien déli- mitée ; mais p
ius ou de l'extrémité postérieure du IIIe ventricule, il existe des
centres
qui fournissent des fibres distinctes à l'iris
est mal connue. Le rachis et la base du crâne sont trop voisins des
centres
nerveux pour qu'il n'y ait pendant la jeu- ness
ssement sur ceux des processus dystrophiants. Mais l'existence d'un
centre
bulbaire, dont le trouble entraînerait l'acro-
abituellement heurtés, ou comprimés, du foetus,co ! 1S- tituent des
centres
de localisation pour les facteurs pathogènes. E
elle et peut exister aux quatre extrémités, sans que la lésion d'un
centre
spécial régulateur soit nécessaire; la symé- tr
! nMs/umo)'. Neurol. Zentralbl., 1903, p. 749. lfaceoTre et Riche.
Centres
nerveux inférieurs. Tumeurs intrarachidiennes. Ma
(1), il existait,avec la sclérose périventriculaire, des lésions du
centre
ovale et des plaques des noyaux gris centraux. C'
ux coupes de cette région l'aspect d'une mosaïque. On dirait que le
centre
ovale été envahi de toutes parts par une hyperpla
is au nombre de deux. Tout d'abord il conviendrait d'organiser le
centre
co- lonial, de telle façon que la présence d'un
sont ces considérations qui m'ont déterminé récem- ment à réunir au
centre
colonial toutes les enfants pla- cées à Dun - e
lle : à propos de la physiologie des cen- tres sensoriels (voies et
centres
optiques p.189 à 196, auditifs, etc.,p.212)et d
centres optiques p.189 à 196, auditifs, etc.,p.212)et de celle des
centres
du langage(p.209,216)et d'autres centres de sou
etc.,p.212)et de celle des centres du langage(p.209,216)et d'autres
centres
de souvenir. J'ai cité à cette occasion les agnos
général. Kralft-Ebing attribue un rôle important aux altérations du
centre
vaso-moteur dans la pathogénie et l'évolution c
tain nombre de symptômes qu'il faut en- core attribuer à l'état des
centres
vaso-moteurs ; tels sont les attaques syncopale
antérieure de Fa au niveau du pied de r2,c'est- à-dire,en effet, du
centre
du membre .supérieur. Voici les éléments princi
roupe musculaire parétique ; la lésion en foyer met tout d'abord un
centre
en acti- vité, puis, successivement, tous les c
out d'abord un centre en acti- vité, puis, successivement, tous les
centres
voisins. Dans le cas de l'A. les convulsions co
la lésion trouvait, dans son cheminement dans le cortex, cer- tains
centres
inexcitables, c'est-à-dire incapables de conduire
- nospasme du membre) et diminuer ou supprimer t'excitabilité des
centres
particuliers de la zone du membre supérieur, prob
éviation de la langue à droite. A l'autopsie pas d'autre lésion des
centres
nerveux que sclérose de la corne d'Ammon gauche
se de ses oeuvres. Ce point d'histoire valait d'être déterminé. Les
centres
du langage musical ne sont pas les mêmes que ceux
re ; dans les mêmes conditions anatomiques ou fonctionnelles de ces
centres
,les amusies présentent les mêmes va- riétés cli
que, comme le dit Sérieux, le poison a une action élective sur les
centres
psychiques supérieurs et qu'il respecte ou ne t
et qu'il respecte ou ne trouble que passagèrement et au début les
centres
de projection. F. TISSOT X. Observation cliniqu
éflexe cutané. dont l'arc est formé par la 5e racine lombaire et le
centre
réflexe par le 5e segment médullaire lombaire.
ives,et de celle de la valeur des caryocinèses obser- vées dans les
centres
et notamment dans l'écorce, au cours de la répa
me et des animaux supérieurs ; par exemple, le balancement entre le
centre
ovale et la couche zonale, la différenciation pro
après Klippel et Lhermitte, les lésions se localise- raient sur les
centres
d'association, tandis que les élé- ments consti
- piques, toute la projection frontale fut trouvée coupée dans le
centre
ovale. Il n'y avait plus aucune relation entre la
re depuis la légère diminution jus- qu'à l'inhibition complète- des
centres
fonctionnels de l'écorce cé- rébrale. L'hystéri
on à la théorie physiologique. Quant à rapporter rigoureusement aux
centres
anatomiques du cerveau tels qu'on les délimite
ue de l'activité cérébrale, dans la- quelle l'autonomie étroite des
centres
corticaux telle qu'on la con- çoit encore dispa
unilatérale du nerf vestibulaire se compense à la longue grâce aux
centres
musculaires d'Ewald ; on conçoit qu'il ne saura
iques, dont la place naturelle se trouve dans ces asiles des grands
centres
universitaires. Ces asiles contiennent, en effe
ganisation et, par suite, de permettre leur multiplication dans les
centres
de population où elles seront jugées utiles, de
récents tra- vaux des auteurs qui voient dans les noyaux d'E. W. le
centre
du sphincter de la pupille (Kostenitsch, Boedek
re et lésion des au- tres noyaux oculomoteuis. B. conclut que les
centres
des sphincters pupillaires sont repré- sentés p
l'existence, dans la partie inférieure de la moelle cervicale, d'un
centre
d'inhibition pour le réflexe lumineux et la dil
emarque que tous les auteurs admettent une voie ré- flexe ayant son
centre
dans la région des quadrijumeaux, tandis que la
connaît diverses personnes, et tout un roman s'organise, avec, pour
centre
, l'idée de richesse. En octobre 1904, on l'enfu
ement narcogène (Magnan et Laborde 1887. Magnan. Recherches sur les
centres
nerveux 2e sé- rie, p. 65. Eaux-de-vie de maïs
is que la formation des fibrilles est encore très en retard dans le
centre
ovale elles circonvolutions centrales ; quelques
OLOGIE PATHOLOGIQUES. son origine à la dépression fonctionnelle des
centres
corticaux qui président à l'appareil nerveux de
rb, affections qui bien souvent s'associent au grave épuisement des
centres
corticaux sensorio-moteurs. XVII.-Weitere Mit
, congénitales pour ainsi dire : champ de projec- tion d'un membre,
centres
de fonctions déterminées, que les pro- cessus i
misphère gauche, servir au mouvement, même avec l'intervention des
centres
de l'hémisphère droit : complètement incapables d
irconvo- lutions centrales ne sont pas dirigées directement par les
centres
sen- soriels postérieurs : elles le sont toujou
les jouent dans les mouvements du corps un rôle analogue à celui du
centre
de Broca dans ceux du langage. Ce cas montre la
ite et le ramollissement isché- mique. F. TISSOT. XLI. Examen des
centres
nerveux dans deux cas d'hystérie ; par CLAUDE.
ence nocturne d'urine. Ce profond sommeil,en éliminant l'action des
centres
cérébraux qui pendant l'état de veille règlent le
onduction par le nerf facial 3H4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. le
centre
réflexe de ce nerf, c'est-à-dire le bulbe, devien
'Encéphale, 1907, ho 5.) Depuis Broca, on admet généralement que le
centre
moteur du langage a sa localisation corticale d
devenue, dit l'auteur, grâce à notre constitution anato- mique, le
centre
des manifestations affectives, la physionomie ac-
qu'a- natomiduement, par la preuve que l'homme peut gouverner ses
centres
moteurs par ses centres intellectuels et surtout
ar la preuve que l'homme peut gouverner ses centres moteurs par ses
centres
intellectuels et surtout par la preuve que ces
odui- sent la pensée indépendamment de la constitution des autres
centres
. Cette démonstration ne paraît pas possible, tant
rare, caractérisée par l'existence d' « une idée de persécution au
centre
des conceptions délirantes concernant la santé
tres ; du côté sud il est de 600 mètres et au Nord de 700). Dans le
centre
de l'aire antérieure, l'entrée de l'Asile a une
vestiaire et les salles de travail pour la couture et lingerie. Au
centre
se trouve un bâtiment à un seul étage contenant
e la tuberculose parentale prépare un développement imparfait des
centres
nerveux et est capable à elle seule, comme l'alco
semble donc qu'il faille autre chose qu'une lésion irritative d'un
centre
pour produire l'hallucination, il faut la prédisp
. C¡';1<ESTl ! OPATIlIES. Les -, par Dupré et Camus, p. 208.
Centres
nerveux. Voir Hystérie. Cervelet. Voir Encéphal
es. Définition et nature de l' -, par Crocq, p. 365. Exa- men des
centres
nerveux dans deux cas d' -, par Claude, p. 37
t de ce groupe, en se basant sur de (1) MAGNAN.- Recherches sur les
centres
nerveux, 2° série, 1893, 499. DE LA FOLIE M
eaude la région lombo-sacrée. cicatrice médiane, ombi- liouee à son
centre
et pourvue de quelques poils à la périphérie. L
à la nutrition des éléments nerveux, par son siège spécial près des
centres
psychiques, par ses étroites rela- tions physio
hèse que l'hypophyse ait aussi des propriétés hypnotiques sur les
centres
nerveux, hypothèse d'ailleurs confirmée dans cert
vraisemblablement doit *-on origine à l'intoxication initiale des
centres
nerveux par un pervertissement fonctionnel de l'h
qui répond parfaitement à son action trophique antitoxique sur les
centres
nerveux. 38 REVUE d'anATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
on diabétique siégeant simul- tanément sur les diverses régions des
centres
nerveux, qui peu- vent produire les svmptômes '
ne n'emploie pas de notation spéciale (voir Dé,jerine, Anatomie des
centres
nerveux, I, fig. 180, p. 294 et 181, p. 299), e
er comme le sillon prérolandique, lequel, d'après Déjerine (.4. des
Centres
nerveux, 1 p. 252), « n'at- teint qu'exceptionn
nvolutions frontales, déjà formées ou simplement ébauchées, vers le
centre
de la dépression frontale 80 ANATOMIE PATHOLO
gastrique droit et de l'accessoire. C'est la lésion de ces derniers
centres
que les auteurs rattachent les troubles car- di
c'est-à-dire la situation anormale de la pupille qui n'est plus au
centre
de l'iris, mais empiète soit sur le bord intern
emière série comprend les recherches faites sur le cadavre dans les
centres
nerveux eux-mêmes, dans environ 100cas oùlamort
iques. La deuxième série porte sur 64 cas d'affections diverses des
centres
ner- veux ; le liquide céphalo-rachidien, exami
fois infectieuses ou to- xiques, exercent leur influence et sur les
centres
nerveux et sur la crase sanguine ; aussi n'est-
en outre, contrairement à l'opi- nion soutenue par M. Dide, que les
centres
nerveux se suffi- sent à eux-mêmes dans la défe
ructueuses du tréponème, faites par M. Queyrat et par moi, dans les
centres
nerveux et dans les méninges de plusieurs paral
moin- dre succès, le tréponème pâle dans le sang et au niveau des
centres
nerveux d'un sujet qui a succombé à une méningo-
me du champ visuel implique l'existence dune grave perturbation des
centres
psychiques. L'anesthésie hystérique, d'origine
sychiques, en dehors de l'inhibition corticale plus faillie sur les
centres
mimiques, peut encore se réduire à une associat
laires s'il n'y a pas en même temps des altérations matérielles des
centres
trophiques spinaux (Charcot, Ilallopeau, Larrieu,
amique llisunloltr). IV. Origine vaso-mo- trice, par altération des
centres
vasu-moteurs corticam, et action sur les muscle
ations de la substance grise spinale (Dorglierini). IX. Présence de
centres
trophiques cérébraux dans l'écorce, au voisinag
nce de centres trophiques cérébraux dans l'écorce, au voisinage des
centres
moteurs (Kirch- hoff). - X. Intervention de plu
e dans l'une quelconque de ses parties, qui prédomine tantôt sur le
centre
trophique. tanlôt sur le conducteur nerveux, tant
- 7° Doit Giuseppe, Tricomi, Allegri. Les calices de Ifeld dans les
centres
acoustiques ; 8 'A Van Gehuchten. Contribution
ire ; si elle existe, c'est une pure coïncidence, parce qu'alors le
centre
inhibitoire de l'encéphale cesse d'exercer son
centre inhibitoire de l'encéphale cesse d'exercer son action sur le
centre
médullaire.producteur des réflexes, à cause de
raît pas y avoir perle de substance. La périphérie, non plus que le
centre
, ne sont in- durés ; mais cette lésion ressembl
Divel'sc5 coupes pratiquées dans les hémisphères cérébraux,dans le
centre
ou l'isthme ne révèlent aucune lésion, et montrcn
té d'admettre, n'a-t-il pas simplement actionné et orienté vers les
centres
nerveux une syphilis en évolution qui sans lui
ONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 205 lement dans le
centre
ovale du côté gauche. Il existait, en outre, un
deux autres négalives. Laconstante positive est due à l'action des
centres
nerveux ; les deux constantes négatives sont le
positive qui traduit l'action excitante de cette substance sur les
centres
nerveux. L'ingestion de sucre, qui est un alime
s nerveux du triju- meau et surtout agir par choc en retour sur les
centres
nerveux toujours malades dans ces cas ; au ne r
ne orientation, air salubre, sol sablonneux et sec, éloignement des
centres
de popula- tion, extension du travail agricole.
ts rapportés par Bethe sur la régénération des libres nerveuses des
centres
sont insuffi- samment explicites et d'ailleurs
ec toute certitude que le paramètre positif b est dû à l'action des
centres
nerveux, dont l'effort grandit au cours du trav
que l'alcool à peti- tes doses exerce une action excitante sur les
centres
ner- veux. Sous l'influence de petites doses d'
ique attribuée à ce para- mètre, qui traduit l'action excitante des
centres
nerveux à l'égard du muscle. La diminution de
toxiques produites par le travail restant sur place ; b (action des
centres
) est augmenté, ce qui s'explique par la nécessi
centres) est augmenté, ce qui s'explique par la nécessité, pour les
centres
nerveux, d'envoyer des excitations plus fortes
t con- duit à admettre une action excitante de la caféine sur les
centres
nerveux, et c'est par l'intermédiaire des centres
a caféine sur les centres nerveux, et c'est par l'intermédiaire des
centres
nerveux que se produit l'action excitante sur l
alement à l'intoaica 11Õn-parIëS déchets de la nutrition. Quant aux
centres
"nerveux ""non seulement ils ne présentent aucu
ions de myocardite notamment, lésions valvulaires, allé- rationsdes
centres
cardiaques bulbaires, L'évolution de ces symp-
mes lois etpartant doivent être dillérents comme lieu d'origine. Le
centre
du clonus du pied est donc différent du centre
lieu d'origine. Le centre du clonus du pied est donc différent du
centre
des réflexes rotuliens;il est vraisembablement in
liens;il est vraisembablement intermédiai- re entre celui-ci et les
centres
des réflexes organiques de la cir- culation et
en se charge de poisons, qui viennent soit de l'organisme, soit des
centres
nerveux. Les mé- ninges peu perméables de dedan
ceñiros nerveux aboutissant à une annihilation plus ou moins forte du
centre
psychique supérieur et conscient, dissociation po
n pouvant résulter de toutes les impressions capables de distraire le
centre
de son rôle de contrôle, de fixer l'attention, on
lief beaucoup de lois. S'agit-il de la pesanteur, des propriétés du
centre
de gravité des corps solides, du pendule, de la c
xtrémité un seau plein d'eau, fera saisir à la fois les propriétés du
centre
de gravite et celles du levier. Nous arrivons à
nt gênés par 1' c odeur » au point de vouloir quitter la salle ! Le
centre
du sommeil. M. Soca a rapporté récemment l'observ
rs années, à admettre l'existence, entre le bulbe et le cerveau, d'un
centre
jouant un rôle prépondérant dans le mécanisme du
à s'accumuler dans le sang; lorsque sa proportion est suffisante, le
centre
en question, au lieu d'être engourdi, se trouve e
e manifeste. J'ai désigné celte manœuvre sous le nom de création de
centres
psychiques d'arrêt et je la considère comme const
cas, l'appareil vaso-moteur qui est plus particulièrement touché. Les
centres
vaso-constricteurs et vaso-dilatateurs sont disso
cul de la grosseur d'un pois, formé de couches concentriques, dont le
centre
était occupé par un poil, de 4 à 5 millimètres de
us qui les présentent, des perturbations fonctionnelles profondes des
centres
cérébro-spinaux. Lors même que les sujets sont do
rééducation de la volonté et de créer chez ces malades de véritables
centres
psychiques d'arrêt. Au contraire, on arrive ass
ment pour procéder à la rééducation de la volonté et à la création de
centres
psychiques d'arrêt, mais aussi à l'éducation de l
bstralum et un aliment à ses sensations voluptueuses, elle se créa un
centre
nerveux de dérivation, j'allais dire d'inversion
tive, poussés à leurs dernières conclusions, à mettre enjeu les mômes
centres
nerveux, provocateurs de mêmes sensations voluptu
er chez le même individu. En devenant alcoolique, il a pu exciter ses
centres
moteurs et faire appel au malcomitial. D'ailleurs
teint, selon le cas, par deux procédés différents : 1° La création de
centres
d'arrêts psychiques et la culture du pouvoir d'in
e vraie. Outre les suggestions nécessaires et dans le but de créer un
centre
d'arrêt psychique, contre ces mouvements impulsif
l ayant été sacrifié, on ne constata, à l'autopsie, aucune lésion des
centres
nerveux. Dans le second cas, il s'agit d'un chi
ces troubles sur leur marche et sur l'absence de lésions visibles des
centres
nerveux, capables de les expliquer, propose de le
es troubles vaso-moteurs et de l'expression émotive, au détriment des
centres
cérébraux supérieurs. Il n'est pas du tout prouvé
caces sont les actions mécaniques destinées à réaliser la création de
centres
psychiques d'arrêt [*). Un fait très remarquable,
on.— Action psycho-mécanique associée à la suggestion.— Création d'un
centre
d'arrêt. Revue de PHypnotisme, 9' année, 1895, p.
ntion la plus efficace sera celle qui tendra à obtenir la création de
centres
psychiques d'arrêt et à utiliser ce que le profes
à se faire. Lorsque les exercices tendant à créer et à développer des
centres
d'arrêt auront été faits à plusieurs reprises dan
ets éprouve une nouvelle émotion. Il en résulte une dissociation des
centres
cérébraux ; ceux-ci fonctionnent les uns en dehor
icultés du début; elle vit de sa vie personnelle; elle est devenue un
centre
d'études justement appréciées. Elle est quelque c
diminuant, par vos méthodes d'enseignement pédagogique l'aptitude des
centres
aux troubles de leur fonctionnement, vous faites
ait pu créer en lui par autosuggestion et entraînement méthodique des
centres
d'inhibition, des crans d'arrêt suffisants pour f
ique un cerveau bien développé, un cerveau humain. L'intelligence des
centres
corticaux qui doit exister quelque part pour rend
mpagnent pas à pas dans toutes ses phases, en rapport avec l'état des
centres
encéphaliques. Aussi l'examen de la sensibilité
ns « visuellement » l'antévu. Il est indispensable qu'à un moment ses
centres
nerveux aient reçu l'impression de cette image qu
ue de l'auto-suggestion appelle l'activité de l'individu sur certains
centres
nerveux. Elle développe certaines facultés et ce
ement est l'occasion d'une création ou d'une augmentation de certains
centres
nerveux. Considérons le centre nerveux dans l'e
n ou d'une augmentation de certains centres nerveux. Considérons le
centre
nerveux dans l'exemple d'auto-suggestion, auoir d
e nerveux dans l'exemple d'auto-suggestion, auoir de bonnes idées. Le
centre
nerveux qui préside à ce travail peut donner dans
Quand l'auto-suggestion auotr de bonnes idées aura été pratiquée, le
centre
nerveux qui préside à ce travail aura été sollici
ois plus grand, soit cent bonnes idées dans une journée. Si ce même
centre
nerveux est sollicité tous les jours, si son acti
auto-suggestion bien pratiquée, en vertu de la loi d'entraînement, le
centre
nerveux grandira, grossira, s'augmentera; les cel
uant un travail dix ou cent fois plus grand. Il existera un véritable
centre
nerveux, nous assistons à la création d'un centre
istera un véritable centre nerveux, nous assistons à la création d'un
centre
nerveux. Ce sont en effet les cellules nerveuse
ement produit sont des résultantes qui ont pour origine l'activité de
centres
nerveux. Le muscle qui se contracte se contracte
e muscle qui se contracte se contracte parce que l'impulsion vient du
centre
nerveux qui lui est spécial. L'idée émise est émi
ui est spécial. L'idée émise est émise parce que l'impulsion vient du
centre
nerveux qui lui est spécial. VII. — Exercice d'
la région de la fesse. La graisse y est accu- mulée surtout vers le
centre
et au bord inférieur, au-dessus du pli fessier.
ments alternatifs de flexion et d'extension qui ont évidemment pour
centre
l'articulation du poignet. Les doigts participe
e propose d'enregistrer les oscillations. La paroi mobile porte à son
centre
une petite tige sur laquelle on visse une masse
de ces amyotrophies, c'est l'altération dynamique oustructurale des
centres
trophiques spinaux ». Depuis, la question au po
ire plus ou moins géné- ralisé qui, à son tour, retentissant sur le
centre
circulatoire, donne lieu à des lésions ventricu
s de Hensen et Woelkers à considérer le groupe anté- rieur comme le
centre
des filets nerveux destinés à la musculature in
l'ophthalmoplégie externe pourrait être réalisée par une lésion des
centres
.corticaux régissant les muscles des yeux et des
sur une série de coupes soigneusement colorées, et que, ni dans les
centres
moteurs, ni dans les fibres radiculaires des ne
t ce muscle en avant de tous les autres, immédiatement derrière les
centres
photo-moteur et irien. En outre, le ptosis est
injectés. Les circonvolutions,- celles du lobule paracentral et des
centres
moteurs en particulier, n'offrent aucune modifi
ocié. Le muscle droit interne de l'oeil gauche, innervé par le même
centre
que le droit externe de l'oeil droit pour les dép
de l'oeil droit en dedans peut s'ex- pliquer par la mise en jeu du
centre
d'innervation des deux droits internes pour la
ines irradiations qui résultent des con- nexions assez complexes du
centre
d'innervation de l'oeil. Les spasmes qui compli
out dans la scène inférieure dont le personnage possédé forme le ..
centre
. Ce personnage lui-même a subi une transformation
céphale e et les nerfs périphériques, soit plus spécialement sur le
centre
ou sur les extrémités. Borchtchoffl a publié, d
and compte de l'influence que peuvent exercer certaines parties des
centres
psycho-moteurs de l'écorce cérébrale sur la nut
a suite d'une lésion cérébrale. Quant à l'influence trophique des
centres
corticaux sur la nutrition des muscles en parti
raux, que parce que ceux-ci desservent les communications entre les
centres
psycho-moteurs du cerveau et les centres trophi
s communications entre les centres psycho-moteurs du cerveau et les
centres
trophiques de la moelle' ». Voici, dit-il, comm
t-il, comment nous nous représentons les choses : « On sait que les
centres
psycho-moteurs exercent une influence régu- lat
voir excito-moteur de la moelle. Que les communi- cations entre les
centres
psycho-moteurs et la substance grise (système a
nomènes réflexes. On peut se représenter que certaines portions des
centres
psycho- moteurs exercent une influence régulatr
psycho- moteurs exercent une influence régulatrice analogue sur les
centres
tro- phiques (cellules ganglionnaires des corne
llules ganglionnaires des cornes antérieures) de la moelle. Que ces
centres
trophiques cessent d'être en communication avec l
e ces centres trophiques cessent d'être en communication avec leurs
centres
régulateurs compris dans la zone psycho-motrice,
enant, au point de vue qui nous intéresse, que la participation des
centres
corticaux au complexus clinique a été attestée
s. Etant données alors, d'une part la notion du rôle que jouent les
centres
cérébraux dans la pathogénie de quelques atroph
ressortissent, jusqu'à un certain point, à.une lésion primitive des
centres
cérébraux, lésion réparée ou indéterminée au mo
qu'on y constate. 4° Il y a lieu, selon nous, de supposer que les
centres
cérébraux dont la participation au processus es
s le bulbe, elle envahit les parois du 3e ventricule et détruit les
centres
photo-moteur et irien. La lésion de ces centres
cule et détruit les centres photo-moteur et irien. La lésion de ces
centres
se traduit par la parésie ou la paralysie du mu
riase et la paralysie de l'accommodation. Puis, la lésion saute des
centres
photo-moteur et irien du côté droit sur le noya
sur le noyau de la 6e paire gauche. Six mois plus tard, les autres
centres
de l'oculo-moteur, jusqu'alors indemnes, sont pri
u'une congestion légère des enveloppes ménin- gées, sans lésion des
centres
nerveux : cerveau, bulbe, moelle épinière. L'ex
s nerveux sont assez abondants, mais ils de- viennent rares vers le
centre
, où tout le fond est constitué par du tissu con
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