rébrales des nerfs moteurs crâniens) et repré- sentent les neurones
centraux
, corticaux de ces nerfs. Quant aux fibres de la
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise
centrale
. Sge, substance grise sous-épendymaire. Silo, s
s de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. Sge, substance grise
centrale
. - Soe, substance grise sous-épendymaire. - sJI
- lt1'le, radiations optiques de Gratolet. - Sole, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. - S
ce de section, enclavée entre le globus pallidus,la substance grise
centrale
du troisième ventricule et le corps de Luys, ap
q, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Srlc, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous-épendymaire. Sli, su
e. (Voy. description de cette coupe, lll° partie.) Fiée, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal posté
Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus casruleus. A'cs, noyau
central
supérieur. - NI, noyau latéral de la calotte pé
dies appartiennent à la voie pédon- culaire. - Sgc, substance grise
centrale
. - qPo, substance grise de l'étage antérieur de
aire antérieu- re et les fibres ra- diées. Sge, substance grise
centrale
. - SgPo, substance grise de l'étage antérieur de
v, surface extra-ventriculaire du thalamus. - S,gc, substance grise
centrale
. - si, sillon opto-strié. - SI, septum lucidum. -
ans le pied du pédoncule cérébral sans s'arrêter dans les ganglions
centraux
. Elles passent par le segment postérieur de la
calilé cérébrale, sans interruption aucune, au niveau des ganglions
centraux
, et provienne» dit secteur moyen de l'hémisphère
u (corps opto-striés, tubercules quadrijumeaux) et la substance grise
centrale
(cornes médullaires et noyaux des nerfs crânien
ha- cun des ganglions de la base par une de leur face ou pôle (pôle
central
de Meynert) et leur constituaient une véritable
n de deuxième ordre qui unissait ces ganglions à la substance grise
centrale
croisée; de cette dernière paitait le système d
peuoncute cérébral au lobe H"UllLt11 sans passer par les ganglions
centraux
et qu'il désigne sous le nom de faisceau d'Arnold
n encore myélinisé). ? la voie pyramidale myélinisée. - p', la voie
centrale
des nerfs moteurs crâniens, en particulier du fac
ontale et pariétale ascendantes, sans participation des noyaux gris
centraux
. Il existait en outre dans ce cas une dilatation
utions rolandiques droites sans partici- pation des notant gris
centraux
. 94 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Hypertrophi
que de Forel, le faisceau rétroflexe de Meynert, la substance grise
centrale
du troisième ventricule ; dans le cer- veau moy
de la substance blanche, mais respecte complètement les noyaux gris
centraux
et la capsule interne qui ne sont intéressés en a
constate deux plaques jaunes anciennes, dont l'une occupe la partie
centrale
du cunéus et la lèvre supérieure de la scissure
superficielles et moyennes de ce tubercule et de la substance grise
centrale
de l'aqueduc de Sylvius. FiG. 89. - Cas Bras. C
rtie interne de la couche sagittale externe (se, Fli), et la partie
centrale
de la couche sagittale interne (Sgi, H1'h), et
it dans le faisceau occipito-frontal (OF). Zone rolandique. (Lobe
central
: circonvolutions frontale et pariétale ascendant
niger. dégénéré dans les lésions corticales qui intéressent le lobe
central
. Parmi ces fibres, les unes se terminent dans l
postérieur (Fig. 143 et 144). Cette lésion respecte les noyaux gris
centraux
, en particulier le noyau caudé (Fig. 144) ANATO
cule quadrijumeau antérieur (Qla), des fibres de la substance grise
centrale
(Sgc (d) el. de la substance grise de l'aqueduc d
rose (FPyc) qui longe la corne postérieure. La substance grise
centrale
contient un certain nombre de fascicu- les ab
umeau antérieur (Qa) (Fig. 149) et des fibres de la substance grise
centrale
(Sgc) au voisinage de ce tubercule (Fig. 148 et 1
molatéral. Fil. 163 et 164. - Irrigation vasculaire des noyaux gris
centraux
et de la capsule interne représentée sur deux c
i)g).- Le cerveau du cas Racle (Fig. 165 à 173) présente une lésion
centrale
dans le domaine des branches artérielles du tronc
ure et aphasie mo- trice datant de 30 ans. Topographie de la lésion
centrale
qui a détruit le putamen, évidé le tronc et la
ontre-partie du cas Racle. Chez ce dernier il s'agit d'une lésion
centrale
qui sectionne la partie su- périeure du segment
segment sous-lenticulafre de la capsule interne (Cisl). , La lésion
centrale
qui sectionne le segment antérieur de la capsule
erne (Cip).-Cliez Segalon (Fig. 181 et 182), il s'agit d'une lésion
centrale
de l'extrémité antérieure de la couche oplique
externe (Fig. 188). Dans le cas James (Fig. 183 à 185), la lésion
centrale
occupe la partie moyenne du segment postérieur
enne du pied du pédoncule. Fig. 181 et 182. Cas Séjalon. Lésion
centrale
de la partie moyenne du globus pallidus et de
le cas Lavigne (fig. ils9, 190 et 191) enfin, il s'agit d'une lésion
centrale
qui occupe la partie antérieure du pulvinar et
rétro-lenticulaire de la capsule interne, sectionner les conducteurs
centraux
de la vision, se manifester cliniquement par un
lenticulaire de la capsule interne, sectionne les conduc- teurs
centraux
de la vision. 184 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
lenticulaIre do la capsule interne, sectionne les conduc- teurs
centraux
de la vision. nérescence de faisceaux importa
- Gulden. Experimentelle Untersuchungen itber das peripherische und
centrale
Nervensystem. Arch. f. Psych. und Nervenh. Bd. II
- Hoche. Ueber j'ariationen im Verlaztfe der l'ymmidenbahn. Neurol.
Central
])]., 1897, p. 993. Iss.\nTIER. Dêgènèrations se
end par conséquent les circonvolutions rolandiques, le lobule para-
central
, les pieds d'insertion des circonvolutions fronta
e de paralysie unilatérale des masticateurs par lésion corticale ou
centrale
. Il est probable que, dans ce cas, la paralysie
onctions visuelles qu'en atteignant et détruisant les con- ducteurs
centraux
de la vision qui passent par les couches sagittal
rsque les lésions sont superficielles et respectent les conducteurs
centraux
de la vision, l'hémianopsie fait défaut. Ce son
que soit leur siège, l'hémianopsie n'est jamais complète. La vision
centrale
est en général conser- vée, et la ligne de déma
3 FIG. 210. - Les voies conductrices de la vision : appareil visuel
central
ou intra- cérébral, et appareil visuel périphér
ré variable, d'un trouble visuel relevant d'une seule et même cause
centrale
, commençant par la perte de la perception d'une c
Monakow, obs. III, 1885; Moeli, 1890); exceptionnellement la vision
centrale
est conservée, comme chez le malade de Forster
ais crie et gémit lorsqu'on le maltraite. L'abla- tion de la partie
centrale
de cette sphère auditive détermine une surdité ps
Le plus souvent on constate à l'autopsie de ces malades, des foyers
centraux
bilatéraux et symétriques ou des foyers siégean
enfin, on rencontre les deux sortes de lésions, à savoir des foyers
centraux
et des foyers protubérantiels. La lésion rencon
une hémianesthésie de la sensibilité générale relevant d'une lésion
centrale
de l'hémisphère ne peut être réalisée que dans
Arch. of laryngology, 1881, II. - F. Se- mon et V. Horsley. On the
central
motor Innervation of the larynx. Prelim. Communie
l, 1889, p. 13-83. -DES Mêmes. An expérimental Investigation of the
central
molor Innervation of the Larynx. Philos. Trans. o
es fonctions du cerveau. Paris, 1892. - Du même. Le système nerveux
central
. Structure et fonctions. Paris, II vol., 1899. -
uns. Zwei Palle von Hirntunzor mit gellauel' Localdiagnose. Neurol.
Central
., 1898. CnARCOT. Des Variétés de l'Aphasie. Cécit
ives centrales. (Systèmes des radiations olfactives et du tri- gone
central
.) Aol, aire olfactive. - Bol, bulbe olfactif. -
'nah). - Fiel, faisceau longtlu- dinal dorsal de la substance grise
centrale
de Schutz. - F.11, faisceau rétroflexe de Meynert
- Th, thalamus. - tsc, tænia semicircularis. - Sgc, substance grise
centrale
. - Zr, zone réticulée. 272 ANATOMIE DES CENTRES
e. - Qa, tubercule quadrijumeau postérieur. - SgAq, substance grise
centrale
de l'aqueduc de Sylvius. - SI, septum lucidum.
dont les fibres peuvent être suivies jusque dans la substance grise
centrale
du troisième ventricule. - Tg, corps du trigone
Fig. 22, p. 32, et Fig. 263), s'en- foncent dans la substance grise
centrale
de la région sous-optique, puis du tuber cinere
branches de bifurcation, le faisceau de Vicq d'Azyr et le faisceau
central
de la calotte de Gudden. - Fol, faisceau olfactif
. 11 est séparé de la cavité ventricu- laire par la substance grise
centrale
, mince sur la ligne médiane et il la partie int
PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus. - Sr/c, substance grise
centrale
du troisième ventricule. Tga, pilier antérieur
longitudinal postérieur. Il est pro- bablement l'homologue du noyau
central
supérieur de l'homme (Voy. For- mation réticulé
e,lII°parlie). Le ganglion dorsal est situé dans la substance grise
centrale
du quatrième ventricule, en arrière du faisceau l
res longitudinales qui traversent du haut en bas la substance grise
centrale
du quatrième ventricule en formant le faisceau
). Il abandonne chemin faisant quelques fibres à la substance grise
centrale
du 3e ventricule et au champ de Forel (F), c'es
e du segment postérieur de la capsule interne et la substance grise
centrale
du troisième ventricule ; elle est accolée aux ra
ière, abandonne chemin faisant quelques fibres à la substance grise
centrale
du troisième ventricule, puis pénètre dans la p
égénérescence des radiations striées consécutive a toute lésion
centrale
éten- due ou limitée du corps strie. Dégéné
ues et strio-sous-thalamiques dégénèrent à la suite de toute lésion
centrale
des hémisphères cérébraux qui détruit le corps
us-corticale, sous-jacente aux circonvolutions rolandiques, l'autre
centrale
, intralenticulaire. 1° La lésion sous-jacente a
ésion primitive à la partie postérieure du thalamus. 2° La lésion
centrale
intralenticulaire se présente sous l'aspect de fo
envoient un petit fascicule (FI') dégénéré dans la substance grise
centrale
du troisième ventricule, au-dessus du tubercule m
(Fig. 297et298). Elles peuvent être suivies dans la substance grise
centrale
du troisième ventricule le long du chiasma et d
lier, le faisceau lenticulaire de Forel envoie à la substance grise
centrale
du 3e ventricule (FI') (Fig. 305) au-dessus des t
ons striées se rendant au locus niger, mais bien à ce qu'une lésion
centrale
capsulaire frappe un plus grand nombre de libre
édullaire interne (Lmi), recouvert en dedans par la substance grise
centrale
(Sgc) qui le sépare du troisième ventricule, le
GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 349 Sgc, substance grise
centrale
. - SgPo, substance grise de l'étage antérieur de
que l'on examine des régions plus rapprochées de la substance grise
centrale
(v. Monakow). Le noyau interne reçoit, surtou
n. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sage, substance grise
centrale
du troisième ventricule. - SI, septum lucidum. -
. Le noyau ventral comprend quatre noyaux accessoires; le premier, ou
central
(centraler Nebenlcern vent. a), correspond au f
sule interne et y croise le faisceau de Turck et le faisceau visuel
central
(radiations optiques de Gratiolet). Il résulte
les cellules avoisinantes, puis se continue avec une fibre visuelle
centrale
. Les fibres visuelles centrales se réunissent e
pulvinar et le corps genouillé externe, c'est-à-dire les ganglions
centraux
de la vision, con- tiennent surtout des fibres
antérieur. - 1'Sp, diverticule sus-pi- néal.- Sge, substance grise
centrale
. par les bras des tubercules quadnju- mraw
lion de l'anse pédon- culaire ou des cellules de la substance grise
centrale
qui tapisse la face interne du thalamus. 2. D
rrière du noyau interne du thalamus (Ni) et de la sub- stance grise
centrale
du troisième ventricule (Sgc) qui le recouvre, en
otte. - RrIR, région du ruban de Reil médian ? Sgc, substance grise
centrale
. - sM, sillon de Monro. - Spp, substance perforée
bres à myéline fortement colorées par l'hématoxyline, et une partie
centrale
claire contenant les fibres dépourvues de myéline
al de la calotte de Forel et se terminent dans la sub- stance grise
centrale
de la partie supérieure du quatrième ventricule e
nes al conocimento de los '(l11f/lios del encefalo. VII Terminacion
central
del nervio optico. An. de la Soc. esp. de Iisto
veau. 2 vol. avec atlas. Paris, 1824-1826. - Stieda. Studien uber das
centrale
Ner- vensystem der Vogel 11. Saugethiere. Zeits
pédoncule cérébral, entre la capsule inlerne et la substance grise
centrale
du troisième ventricule. Elle atteint en avant
exe de Meynert. La face interne est tapissée par la substance grise
centrale
dont la séparent incomplètement le faisceau de
ransversal, de la zone réliculée du thalamus à la sub- stance grise
centrale
du troisième ventricule. Elle augmente d'épaisseu
la surface extravenlriculaire du thalamus. - Sr/l', substance grise
centrale
du 3° ventricule. - SI, seplum lucidum. - Sti,
nférieure du thalamus et se perd en dedans, dans la substance grise
centrale
du troisième ventricule. La zona incerta est si
en un faisceau volumineux qui occupe, le long de la substance grise
centrale
du troisième ventricule, la partie supérieure e
: l'une interne, sus-mamillaire, qui s'adosse à la substance grise
centrale
du troisième ventricule; l'autre, externe, plus
segment inférieur de la couronne rayonnante. Sfte, substance grise
centrale
. - SI, septum lucidum. - Slm, stratum zonale de l
Scsccilulcsmuht- polaires et étoilées. La ! : IubtaI1CCQ-rlC
centrale
du troisième ventriculaire. Son étendue. as
u rouge ou de l'écorce cérébrale par exemple. IV. - SUBSTANCE GRISE
CENTRALE
ET COMMISSURES DU PLANCHER DU TROISIÈME VENTRIC
OMMISSURES DU PLANCHER DU TROISIÈME VENTRICULE La substance grise
centrale
tapisse les parois latérales et le plan- cher d
e sous-épen- dymaire des ventricules latéraux et la substance grise
centrale
du cerveau moyen. Elle fait défaut au niveau de
haut où elle tapisse la face interne du thalamus, la substance Fisc
centrale
se fusionne incomplètement à ce niveau avec le no
et per- forée de petits orifices vasculaires. La substance grise
centrale
est tapissée par les cellules cylindriques à ci
e extra ventriculaire de' la couche optique. - Sge, substance grise
centrale
. - SI, septum lucidum. - Spp, lame interpédoncu
u longitudinal postérieur,longent de haut en bas la substance grise
centrale
, ainsi que nous l'avons figuré dans le T. le,,
écrite par Meynert sous celui de commissure de la sub- stance grise
centrale
, est un faisceau formé de lâches fascicules de fi
rmé de lâches fascicules de fibres enclavés dans la substance grise
centrale
, au-dessus du chiasma et des ban- delettes opti
tuber cinereum; la commissure qu'il décrit dans la substance grise
centrale
occupe la partie antérieure de la lame inter- p
ait, d'après Darksche- witsch et Pribytkow, dans la substance grise
centrale
comprise entre le pilier antérieur du trigone e
vons pu suivre ce faisceau plus loin jusque dans la substance grise
centrale
de l'aqueduc deSylvius(fTc, Fig. 262, p. 282).
petits cils qui dépassent le niveau de la muqueuse. Le prolongement
central
, cylindre-axile ou cellulifuge est extrêmement
à former une fibrille olfactive. Cette conti- nuité du prolongement
central
avec une fibrille olfactive, soupçonnée par Sch
s fibres constituent' probablement la courte voie olfactive réflexe
centrale
. La partie hémisphérique de la commissure antér
relais d'arrivée du neurone péri- phérique et de départ du neurone
central
de deuxième ordre; ce dernier est représenté pa
s de la calotte, que passe très vraisemblablement la voie olfactive
centrale
réflexe et que s'établissent les connexions entre
xes dans le pédoncule olfactif. - I, fibre cen- trifuge. - L, fibre
centrale
terminale. - La pointe des flèches indique le sen
l (Fmp). Fiel, faisceau longitudi- nal dorsal de la substance grise
centrale
de Schutz. 7'U, faisceau rétroflexe de Meynert.
d den 1Yil'belthiere. Halle, 18G2. - TaoL,nn. De l'appareil nerveux
central
de l'olfaction. Arch. de Neurol. 1890-1891. Voy.
. FiG. 328. - Les voies conductrices de la vision : appareil visuel
central
ou intra- cérébral, et appareil visuel périphér
aire reçoit en effet ses fibres de la macula lutea (point de vision
centrale
, tache jaune) situé en dehors et un peu au-dess
pond très exactement au pôle postérieur de l'oeil. Dans la partie
centrale
de la macula (fovea centralis), les cellules gan-
la partie inférieure de la papille. Ils n'atteignent pas la partie
centrale
de la papille, mais se cantonnent à sa périphérie
rès grand nombre de fascicules (près de 800) qui entourent l'artère
centrale
du nerf optique, présentent une surface de sectio
Au voisinage immédiat de la gaine piemérienne et autour de l'artère
centrale
du nerf optique, les fibres réti- niennes s'atr
ètement, de sorte qu'à la périphérie du nerf optique et a sa partie
centrale
, les mailles du fin réticulum de soutènement né
t souvent vides. A 15 ou 20 millimètres du globe oculaire, l'artère
centrale
, en se portant obliquement en bas et en dehors,
optique, s'épaissit à ce niveau de telle sorte que sa base devient
centrale
et son som- met périphérique (Fig. 329,2). Plus
longe encore le côté temporal du nerf (Fig. 329,3), puis il devient
central
et s'aplatit de haut en bas au voisinage du tro
Fig. 329,4). Avec la migration du faisceau maculaire dans la partie
centrale
du nerf optique, les fascicules supérieur et in
le faisceau nasal par des croix + + +. M, la macula lutea ou point
central
de la rétine. - N, le champ nasal de la rétine. -
t semble donc être indépendante du point de pénétration de l'artère
centrale
du nerf optique (Henschen). Quant au faisceau
bagiques. caractérisée cli- niquement par l'apparition d'un scotome
central
, c'est-à-dire par l'aboli- tion de la vision ce
n d'un scotome central, c'est-à-dire par l'aboli- tion de la vision
centrale
, et à l'optlialmoscope par la décoloration de la
dans les bandelettes homo-latérales et croisées, la même situation
centrale
que dans le nerf optique et qu'il forme un fais
isceau nasal el d'une partie du lais- ceau muculairc. Situation
centrale
du faisceau macu- laire. Mode de décussa-
s fibres pupil- laires du nerf opti- que. de perte de la vision
centrale
avec intégrité des limites périphériques du cha
on corticale. Mais à la suite des hémia- nopsies doubles, la vision
centrale
peut être conservée ou se rétablir à l'exclusio
ssure calcarine, quelle que soit la position de cet îlot, la vision
centrale
est con- servée. Ceci concorde avec ce crue nou
com- pléte des deux bandelettes, c'est donc dans la substance grise
centrale
de la base du cerveau qu'il faut chercher chez
utsche Zeitsch. f. Nervenh., 1900, p. 428. Bellonci. La terminaison
centrale
du nerf optique chez les mammifères. Arch. itat.
wn opticorum. Arch. f. Opllthal. Bd. XXIX, 1883. - CAHL. Taminalion
central
.de las fibres retinianos. Algunas contribucione
optique, Soc. de Biologie, 1896. - Guxseu. Ueber die periphere und
centrale
1lnoI'Clnung der Sehnervenfasern. Arch. f. Psychi
ip. Transact. of the ophthal. soc. vol. I, 1882. - OBERSTEINER. Der
centrale
Sehapparat in diagnoslicher Bedeutung. Wien. med.
omico sperimezttale alla coztoscenza del tratto ottico e degli organi
central
i dell' apparato delle Visione. Torino, 1881. D
fon- çait dans l'échancrure semi-lunaire et correspondait au lobule
central
de Malacarne : elle se terminait sur la valvule
protubérance et le bulbe rachidien. Celte face présente à sa partie
centrale
le diverticule angulaire du toit du quatrième v
e. pFloc, pédoncule du flocculus. - hCv, hile du cervelet. Le, lobe
central
, Le', ailes du lobe central. - Ldg, lobe digast
ulus. - hCv, hile du cervelet. Le, lobe central, Le', ailes du lobe
central
. - Ldg, lobe digastrique. - Lgr, lobe grêle. At ?
u circonvolutions. Les plus profonds pénètrent jusqu'au noyau blanc
central
du cervelet et séparent les lobes et les lobule
parties hémisphériques rudimentaires, comme la lingula et le lobule
central
par exemple (Fig. 337); tel lobe, très épais au n
yramidal. Les sillons profonds, qui atteignent la substance blanche
centrale
, subdivisent le cervelet en un certain nombre d
14, s'implantent par contre radiairement autour de la masse blanche
centrale
des hémi- sphères dont le développement est con
condaires qui sont, du côté du vermis : 1° la lingula; 2° le lobule
central
; 3° le culmen ; 4° le déclive; ;)0 la lame trans-
iaux, correspondent en effet à l'en- semble du monticule, du lobule
central
et de la lingula, de sorte que le flocculus, pa
, ou encore du lobe quadrilatère, en y joignant les ailes du lobule
central
et les freins de la lingula. Au point de vue em
édicule d'in- sertion du lobe postérieur sur la substance blanche
centrale
du cervelet, se continuent directement avec c
ervelet. Trois sillons profonds qui atteignent la substance blanche
centrale
du cervelet le divisent en quatre lobes secondair
ce sonl, d'avant en arrière : 1° le lobe de la lingula, 2° le lobe
central
, 3° le lobe du culmen, 4° le lobe du déclive. D
6. Les lobes primordiaux et les secondaires du vermis : lingula, lobe
central
, culmen, déclive, bourgeon, terminal (Bt), tube
du cordon de Burdach. - NCG, noyau du cordon de Goll. - Nci, noyau
central
inférieur. - Nfl, noyau du funiculus teres. - N
eure du bulbe. - Rm, ruban de Reil médian. - Sbc, substance blanche
centrale
ou noyau blanc central du vermis. - sef, grand si
an de Reil médian. - Sbc, substance blanche centrale ou noyau blanc
central
du vermis. - sef, grand sillon circonférentiel de
grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sgc, substance grise
centrale
du .4' ventricule. - Sgc', substance grise centra
, substance grise centrale du .4' ventricule. - Sgc', substance grise
centrale
péri-épendymaire. - spo, sillon post-central. -
ofond et le plus antérieur; il sépare le lobe de la lingula du lobe
central
(Fig. 336) et devient rapidement superficiel su
superficiel sur ses parties latérales, où il sépare les ailes du lobe
central
des freins de la lingula. Il se termine de chaq
bercules quadrijumeaux. Le sillon post-central (spo) sépare le lobe
central
du lobe du culmen; comme le sillon précédent, i
Dans la région du vermis, il atteint généralement la masse blanche
centrale
du vermis (Fig. 336) et sépare le lobe central
nt la masse blanche centrale du vermis (Fig. 336) et sépare le lobe
central
de la branche verticale de l'arbre de vie du verm
ie du vermis. Dans quelques cas, sa profondeur est moindre, le lobe
central
s'implante dans ces cas sur la branche vertical
s lobes, au nombre de quatre, sont : le lobe de la lingula, le lobe
central
, le lobe du culmen et le lobe du déclive. I. Lo
ns. Les lames et la- melles de sa facc postérieure. le lobule
central
et le lobule du culmen (Fig. 337), ou encore prat
e postérieure est libre et forme la lèvre antérieure du sillon pré-
central
; elle est tapissée de lamelles transversales au
(Fig. 336). La base du lobe de la lingula se continue avec le lobe
central
, s'im- plante sur la masse blanche centrale du
se continue avec le lobe central, s'im- plante sur la masse blanche
centrale
du vermis et des hémisphères, et affecte des ra
auxquels la lingula envoie un certain nombre de fibres. II. Lobe
central
: lobule central et ailes du lobule central. (F
ngula envoie un certain nombre de fibres. II. Lobe central : lobule
central
et ailes du lobule central. (Fig. 336, 33 i, 33
bre de fibres. II. Lobe central : lobule central et ailes du lobule
central
. (Fig. 336, 33 i, 339). Plus volumineux que le
lingula en arrière duquel il est situé et qu'il surplombe, le lobe
central
occupe le fond de l'échancrure semi-lunaire el
paraît généralement pas à la face supé- rieure du cervelet. Le lobe
central
est en effet recouvert dans presque toute son é
monticule en arrière pour l'aper- cevoir. Ainsi préparé, le lobe
central
forme un petit lobe allongé, aplati, cur- vilig
rtical sa partie médiane qui appartient au vermis supérieur (lobule
central
proprement dit), mince et effilé dans ses parti
x moyen sur lequels ils s'implantent en formant les ailes du lobule
central
. La face antérieure (Fig. 331) recouvre, au niv
gère qui sert de limite aux ailes ou parties hémisphériques du lobe
central
(Fig. 334, 339). La base d'implantation de ce l
). Les faces antérieure et postérieure et le bord supérieur du lobe
central
sont tapissés de lames et de lamelles dont la d
ariétés individuelles. Tantôt ces Sa base d'imld,m tation. Lobe
central
. Ailes du lobe cen- tral. Rapports. Base
t de longueur inégale et se portent de la face antérieure du lobule
central
a la face postérieure de ses ailes. Ce sont en
dique, la partie la plus élevée du vermis. Situé en arrière du lobe
central
, en avant du lobe du déclive, il atteint de chaqu
érieure est tapissée de lames et de lamelles; elle recouvre le lobe
central
et quelquefois les pédoncules cérébelleux supérie
t quelquefois les pédoncules cérébelleux supérieurs lorsque le lobe
central
n'apparaît pas à la face supérieure du cervelet.
re ou cinq lobules secondaires dont l'épaisseur égale celle du lobe
central
et qui occupent généralement, mais pas né- cess
auche rudimentaire qui s'enfonce dans la profondeur du sillon post-
central
à 1 centimètre en dehors du vermis et se termine
nique qui se jolie sur la face postérieure de l'aile gauche du lobe
central
. Le 3° lobule (3,3) ne présente pas de partie h
, échancrure marsupiale. - esl, échancrure semi-lunaire. - Le, lobe
central
. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur et ses cinq l
de l'arbre de vie médian et qui atteint seule la substance blanche
centrale
du vermis (Fig. 336). Dans la région des hémisp
nent rapidement en profondeur, atteignent tous la substance blanche
centrale
, et il résulte de cette disposition que la base d
mais le vermis ne forme plus, comme pour le lobe du culmen, le lobe
central
et le lobe de la lingula, le point le plus sail
tale de l'arbre de vie médian, au voisinage de la substance blanche
centrale
du vermis (Fig. 336). La pyramide est reliée au
et en dedans; elle occupe la partie interne de la substance blanche
centrale
des hémisphères et empiète en avant sur le pédo
toit du 4' ventricule. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 473 blanche
centrale
du vermis. Elle présente trois faces couvertes de
la pyramide ; leur bord antérieur, adhérant à la substance blanche
centrale
du cervelet, se conti- nue insensiblement avec
gue par sa minceur et sa mobilité, et adhère à la substance blanche
centrale
du cervelet. Il forme avec la paroi supérieure du
. pFloc. pédoncule du flocculus. - ho, hile du cervelet. - Le, lobe
central
. Le', ailes du lobe central. - Lrlg, lobe digas
lus. - ho, hile du cervelet. - Le, lobe central. Le', ailes du lobe
central
. - Lrlg, lobe digastrique. - 7 ? lobe grêle. - Li
se (voy. cas Vasseur, Chap. IV), ou détruisent la substance blanche
centrale
sous-jacente (voy. cas Drevel, Chap. IV). Elles
nd du sillon précentral du cervelet qui sépare la lingula du lobule
central
. Les pédoncules cérébelleux supérieurs (Pes) oc
érébelleux supérieurs et se prolonge avec eux dans la masse blanche
centrale
du cervelet. Sa surface est convexe et tapissée p
es pyramides postérieu- res et atteint presque la substance grise
centrale
du bulbe. Au voisinage du collet du bulbe, ce s
stades du développement. Chez l'adulte, elle se réduit à sa partie
centrale
à une couche d'épithélium épendymaire qui tapisse
ue, des pédoncules cérébelleux supérieurs, de la lingula et du lobe
central
. (D'après la photographie d'une pièce durcie da
profondes et recouvertes par une épaisse couche de substance grise
centrale
; quelquefois, elles ne sont apparentes que dans
r extrémité interne est dans ce cas couverte par la substance grise
centrale
. De leur ligne d'émergence qui peut occuper tou
end des tubercules quadrijumeaux postérieurs à la substance blanche
centrale
du vermis; sur la partie médiane, il est formé
rieure du nid d'hirondelle, de telle sorte que la substance blanche
centrale
du cervelet atteint dans cette région la surface
substance grise, l'écorce cérébelleuse, et d'une substance blanche
centrale
relativement peu considérable. L'écorce céréb
t dans le fond des sillons interlobulaires sur la substance blanche
centrale
du vermis et des hémisphères. Elle s'arrête à la
niveau de l'insertion des freins de la lingula et des ailes du lobe
central
sur la base du pédoncule cérébelleux supérieur et
s d'écorce. 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche
centrale
. Ses prolongements périphériques. Pédoncule
céré- belleux. Ramifications den- drinques. Les noyaux gris
centraux
. Substanco blanche centrale. Dimensions et
den- drinques. Les noyaux gris centraux. Substanco blanche
centrale
. Dimensions et as- pect. Préparation de R
lleux à l'autre. Cette masse compacte porte le nom de masse blanche
centrale
, de noyau médullaire du cervelet, de noyau blan
e blanche centrale, de noyau médullaire du cervelet, de noyau blanc
central
des hémisphères et du vermis. De sa périphérie
ervelet (Fig. 358 et 339). Dans l'épaisseur de la substance blanche
centrale
, au voisinage du ver- sant supérieur du toit du
érieur du toit du quatrième ventricule, se trouvent les noyaux gris
centraux
du cervelet formés de chaque côté par quatre amas
tle ou noyau sphérique et l'embole ou bouchon. 1. SUBSTANCE BLANCHE
CENTRALE
DU CERVELET. La Substance blanche centrale du c
. 1. SUBSTANCE BLANCHE CENTRALE DU CERVELET. La Substance blanche
centrale
du cervelet atteint ses plus grandes dimensions s
s épaisse, comprenant la plus grande partie de la substance blanche
centrale
du cervelet, les noyaux gris centraux et la sub
artie de la substance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris
centraux
et la substance blanche des lobes de la face infé
face infé- rieure du cervelet. Ainsi préparée la substance blanche
centrale
occupe toute la largeur du cervelet, et s'étend
segment inférieur de. la préparation de Reil, la substance blanche
centrale
est concave dans la région du vermis, convexe
ie du vermis. Si la préparation de Reil montre la substance blanche
centrale
dans sa plus grande étendue, elle ne nous rense
de cet organe. Elles permettent de distinguer la substance blanche
centrale
des hémisphères, de la substance blanche centra
substance blanche centrale des hémisphères, de la substance blanche
centrale
du vermis. La substance blanche centrale des hé
s, de la substance blanche centrale du vermis. La substance blanche
centrale
des hémisphères forme sur les 1'ic.3î. - La sub
trale des hémisphères forme sur les 1'ic.3î. - La substance blanche
centrale
du cervelet \ue sur une préparation par dissoci
razcx du ce1't'elel. Dans la région du vermis, la substance blanche
centrale
(coupe SI, Fig. 336, p. 452) est infiniment moi
tricule. - Tub valv, tubercule valvulaire. - sue, substance blanche
centrale
du vermis. - sef, grand sillon circonférentiel de
rand sillon circonférentiel de Vicq d'Azy-r. - Sge, substance grise
centrale
. - sil', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - sprp,
en avant et en haut, les petites branches de la lingula et du lobe
central
; en avant et en bas, les branches du nodule et
ntitatives et consistent en un simple épaississement du noyau blanc
central
et de toutes ses branches, et dans l'apparition
médian se rac- courcissent et s'épaississent, la substance blanche
centrale
sè continue en haut et en avant avec le pédoncu
t, en se raccourcissant el en s'étalant à la surface du noyau blanc
central
, consi- dérablement augmenté de volume, perdent
de volume, perdent bientôt leur individualité; la substance blanche
centrale
tend à prendre une forme de plus en plus ova- l
on de transi- tion, dans laquelle la figure de la substance blanche
centrale
rappelle par certains caractères l'arbre de vie
la partie anté- rieure du cervelet (Fig. 316), la substance blanche
centrale
du vermis présente un aspect bilobé, grâce aux
CONFIGURATION INTERIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 511 i 2. noyaux GRIS
centraux
. Au nombre de quatre, les noyaux gris centraux
1 i 2. noyaux GRIS centraux. Au nombre de quatre, les noyaux gris
centraux
du cervelet comprennent de chaque côté : Le noy
gne mé- diane une partie assez considérable de la substance blanche
centrale
du vermis (coupe S2, Fig. 359). Il est situé en
359). Il est situé en arrière de la base de la lin- gula et du lobe
central
, au-dessous de la branche verticale de l'arbre de
x et occupe la partie interne et inférieure de sa substance blanche
centrale
. Située au voisinage du vermis, le long de la p
stons et de zigzags. Chez la plupart des mammifères les noyaux gris
centraux
du cervelet se présentent sous l'aspect d'un am
us lalerali.s noyau lisse, dépourvu de dentelures et de noyau blanc
central
), enfin un noyau antéro-externc (em- bole, nucl
ALE.] 51 : i FiG. 361. - L'olive cérébelleuse, la substance blanche
centrale
des hémisphères céré- belleux et les pédoncules
s par de profondes incisures et pénètrent dans la substance blanche
centrale
des hémisphères; les plus longs atteignent le v
interne des festons, denlelures et denticules. C'est le noyau blanc
central
dit corps dentelé (nucleus medul- laris corpori
sme, Fig. 361), occupe la moitié supérieure de la substance blanche
centrale
des hémisphères et s'entre-croise dans le vermis
ption de cette coupe, p. 627, coupe H3, Fig. 423.) l'ee, faisceau
central
de la calotte. - FG, faisceau de Gowers. - Flop.
la capsule interne. - CNR, capsule du noyau rouge. 1·'cc, faisceau
central
de la calotte. fec, feutrage extra-ciliaire. -
, 26, p. 39) ; il se trouve limité en dedans par la substance grise
centrale
qui entoure l'aqueduc de Sylvius et par les fibre
de nombreuses fibres qui participent à la Fig. 365. - Les ganglions
centraux
(noyau du toit, embole, olive cérébelleuse) et le
637, coupe H6, Fig. 429.) Cj, corps juxta-restiforme. Fcc, faisceau
central
de la calotte. - fec, feutrage extraciliaire. -
du bulbe. - fas, fibres arciformes superficielles. - Fcc, faisceau
central
de la calotte. - fcu, faisceaux cérébello-vesti
stiforme (coupe H9, Fig. 366), entre ce corps et la substance grise
centrale
du qua- trième ventricule, et présente une surf
ies postérieure et externe et qui appartiennent surtout au faisceau
central
de la calotte (Voy. p. Sh). La capsule contient e
Ci, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - Fcc, faisceau
central
de la calotte. - feb, fibres arciformes cérébel
la couronne rayonnante, la capsule interne et le pied du pédoncule
central
, et avons démontré qu'elle pro- vient du secteu
cription de cette coupe, p. 619, coupe P3, Fig. 421.) Fcc, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal posté
J, ganglion inter-pédonculaire. - Le, locus ceruleus. - ives, noyau
central
supérieur. - NI, noyau latéral, compris entre le
Reil latéral. - Hum, ruban de Reil médian. - Sage, substance grise
centrale
. - SgPo, noyaux pontiques. - SR, formation réticu
cription de celle coupe, p. 019, coupe P 4, Fig. z.) Feue, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal posté
ostérieures de la protubérance. z - Lc,locus cwruleus. - Ncs, noyau
central
supérieur. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieu
calotte, en particulier sur le ruban de Reil médian et le faisceau
central
de la calotte. Dans les deux tiers supérieurs d
x fibres longitudinales du ruban de Reil médian (Rm) el du faisceau
central
de la calotte (Fcc). Un peu plus bas (coupe H 8,
t onduleux la substance grise située en avant et en dehors du canal
central
(coupe H 21, Fig. 371), décapitent la corne antér
elques fibres aberrantes ; elles descendent dans la substance grise
centrale
de la moelle, à la base de la corne postérieure,
le ruban de Reil, le faisceau longitudinal postérieur, le faisceau
central
de la calotte, traversent toute la hauteur de l
elleuses et les noyaux gris qui en dépendent; 2° la substance grise
centrale
et les noyaux d'ori- gine el de terminaison des
(e1150s. 552 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 3n Substance grise
centrale
et ses no) aux de nerfs cra- mons. La colon
x direct, faisceau de Gowers) (voy. Chap. IV). La substance grise
centrale
tapisse la face postérieure de la for- mation r
e des autres nerfs craniens sont situés non dans la substance grise
centrale
, mais dans l'épaisseur même de la formation rét
du ruban de Reil latéral situés sur le trajet de la voie acoustique
centrale
. TOPOGRAPHIE ET MORPHOLOGIE GÉNÉRALES DE LA FOR
ls forment : au voisinage du raphé deux noyaux superposés, le noyau
central
supérieur (Ncs, coupes Hl, H 2, Fig. 394 et 395
1). Dans le bulbe enfin, ils forment au voisinage du raphé le noyau
central
inférieur (Nci, coupes H7,H8, Fig. 397, 398), e
angulaire compris entre le noyau rouge en avant, la substance grise
centrale
en dedans et les irradiations de la commissure
e dernier et s'étend dans le sens transversal de la substance grise
centrale
de l'aqueduc de Sylvius au lnc. 392. - La forma
ume et se concen- trent en avant et en dehors de la substance grise
centrale
de l'aqueduc, en un petit faisceau compact, tri
de la calotte, s'étend du ruban de Reil médian à la substance grise
centrale
; son enchevêtrement avec le pédoncule cérébelle
bord postérieur de la commissure de Wernekink et la substance grise
centrale
de l'aqueduc et contient en dedans et en arrière
ébelleux supérieurs. 556 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le noyau
central
supérieur lièrement riche en trabécules gris,
l supérieur lièrement riche en trabécules gris, apparaît le noyau
central
supérieur J' de Bechterew(Ncs, hig. 39, coupeHl
clairsemées de la for- mation réticulée qui le séparent du faisceau
central
de la calotle (Fcc, FiG. 3%. - La formation rét
criplion de cette coupe, p. 622, coupe Hl, Fig. 423). Fcc, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal posté
erulcus. - Lqa. lobe quadrilatère antérieur du cervelet. - Vcs, noyau
central
supérieur. - NI, noyau latéral de la formation
supérieure de la valvule de Vieussens(coupe H2 Fig. 395), le noyau
central
supérieur parai ! élargi et mal délimité en deh
on réticulée de la région protubérantielle supérieure. - Les noyaux
central
supérieur et circonflexe. - Les rubans de Ileil m
de cette coupe, p. si ? 5, Coupe H 2, Fig. 424). a lingula, a lobe
central
, axe de la lingula et axe du lobe central. - Fcc,
. 424). a lingula, a lobe central, axe de la lingula et axe du lobe
central
. - Fcc, faisceau cen- tral de la calotte. - fli
du pont. - Le, locus ceruleus. Nef, noyau circonflexe. - Ncs, noyau
central
supérieur; Ncs' son seg- ment externe. NUI, noy
che en trabécules gris qui semble n'être qu'une dépendance du noyau
central
supérieur, lequel comprend ici un segment interne
rend ici un segment interne (Ncs) et un autre externe (Ncs') (noyau
central
supéro-interne et noyau central supéro-externe
) et un autre externe (Ncs') (noyau central supéro-interne et noyau
central
supéro-externe de Bechterew). Dans la région
en un faisceau compact décrit par Bechterew sous le nom de faisceau
central
de la calotte (Fcc). Très bien délimité en arrièr
ien délimité en arrière par le petit noyau circonflexe, le faisceau
central
de la calotte se continue insensiblement en ava
inent le ruban de Reil médian, et avec celles qui limitent le noyau
central
supérieur en dehors (coupe H2, Fig. 395). 3° Da
espond à l'émergence du trijumeau et à son noyau moteur, les noyaux
central
supérieur et circonflexe disparaissent. Les fib
court trajet avec le faisceau longitudinal en arrière, le faisceau
central
de la calotte en dehors, le ruban de Reil médian
lleux supérieur, le hile du cervelet et la face externe du faisceau
central
de la calotte, les fibres longitudinales sont t
de cette coupe, p. 632, coupe H 4, Fig. i ? 7.) aLc, axe du lobe
central
. - bu, branche verticale de l'arbre de vie médian
d entre-croisement commissural antérieur du vermis. - Fcc, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal posté
s à la partie anléro-inlerne de la formation réticulée. Le faisceau
central
de la calotle (Fcc) se déforme tome il. 36 1
n réticulée dans la région protubérantielle inférieure. -- Le noyau
central
inférieur, le ruban de Reil médian et le faisceau
Le noyau central inférieur, le ruban de Reil médian et le faisceau
central
de la calotte. - L'olive supérieure ou protubér
oupe H7, Fig. 430.) Cj,' corps ju.\Ia-restiloriiie. - Fec, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal pos
- fsmi, fibres semi-circulaires internes du cervelet. - \'ci, noyau
central
inférieur. - Np, noyaux pontiques. - NVI, noyau
re du nerf acoustique. 562 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le noyau
central
inlérieur. La formation réti- culée du segm
présente en arrière du ruban de Reil médian, en dedans du faisceau
central
de la calotte, un petit noyau transversal, le n
aisceau central de la calotte, un petit noyau transversal, le noyau
central
inférieur (Nci), mieux délimité que le noyau réti
ère el en dehors de la formation réticulée, dans la substance grise
centrale
du le ventricule, en dedans du pédoncule cérébe
re la grosse racine descendante spinale du trijumeau et le faisceau
central
de la calotte, où elles s'adossent aux der- nie
on considère des régions Imlbai l'es. plus inférieures. Le faisceau
central
de la calotte (Fcc) se perd et se ter- mine dan
. - La formation réticulée de la région bulbaire supérieure. Le noyau
central
inférieur, le ruban de Reil médian, le faisceau
e. Le noyau central inférieur, le ruban de Reil médian, le faisceau
central
de la calotte et.le faisceau 364 ANATOMIE DES C
ales ou profondes. - fat, fibres arciformes moyennes. Fcc, faisceau
central
de la calotte. - Floc, Ilocculus. - Flp, faisce
. Dans la région bulbaire supérieure (coupe H8, Fig. 398), le noyau
central
inférieur (Nci) limite en arrière la couche inter
champ triangulaire à base antérieure, étendu de la substance grise
centrale
du le ventricule à la pyramide bulbaire et limi
'olive bulbaire. En arrière, ce champ s'adosse à la substance grise
centrale
du plancher du 4e ventricule; en avant, il est en
rs et en arrière, décrivent des arcs en avant de la substance grise
centrale
, traversent toute la formation réticulée grise do
t s'effile; elle est bientôt séparée du reste de la substance grise
centrale
par le faisceau pyramidal croisé qui se rend da
postérieure de la formation réticulée (SR) et à la substance grise
centrale
(Sgc); la face postérieure irrégulièrement l de
che de fibres longitudinales et qui est reliée à la substance grise
centrale
par un pédi- cule mince et étroit (coupes H18 à
e portent en avant, décrivent des arcs autour de la substance grise
centrale
et s'entre-croisent, à angle aigu, au niveau du r
longueur, du fond du sillon médian antérieur à la substance grise
centrale
(Fig. 404), et en liauteur,del'entre-croise-
ubéranliel (coupe H8, Fig. 398, p. 563), avec l'apparition du noyau
central
inférieur (Nci), que le ruban de Reil (Rm) se d
n faisceau distinct, compris entre la pyramide antérieure, le noyau
central
inférieur, l'extrémité supérieure de l'olive bu
e antérieur de la protubérance du noyau réticulé (Nrt), du faisceau
central
de la calotte (Fcc) et d'un petit amas de subst
les cérébelleux. Coupe horizontale passant par la substance blanche
centrale
du vermis au-dessus des noyaux du toit et secti
live protubérantielle (Os) et constitue surtout une voie acoustique
centrale
; mais il reçoit de la formation réticulée quelq
sceau longitudinal dorsal de Scliütz, situé dans la substance grise
centrale
du 4e ventricule, en connexion avec les funiculi
- toxylinique, très bien délimité en arrière par la substance grise
centrale
, en dedans par le raphé, mais qui en avant et e
6x à n° 10 x, T. ICI', Fig. 321 à 323, p. 644 à 655) jusqu'au noyau
central
inférieur (coupes PI à P4 et coupes Hl à H8, Fi
'entre-croisement des pédon- cules cérébelleux supérieurs, du noyau
central
supérieur et du noyau réticulé de la calotte, e
, à l'extrémité supé- rieure de la valvule de Vieussens et au noyau
central
supérieur (coupes P2 à P4 et H1, Fig. 420 à 423
rans- versal, se porte en arrière et envoie dans la substance grise
centrale
de l'aqueduc une fine saillie angulaire. Au-d
faisceau longitudinal postérieur et le sépare de la substance grise
centrale
et du faisceau longitudinal dorsal qu'elle cont
p. 610), du noyau CONFIGURATION INTERIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 583
central
inférieur (Nci), par de nombreux fascicules longi
moyenne : ruban de Reil, faisceau longitudinal postérieur, faisceau
central
de la calotte, noyau réticulé, noyau du nerf ma
umeau. 8/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. Fcc, faisceau
central
de la calotte. - fec, feutrage extraciliaire de l
. - l'cs, pédon- cule cérébelleux supérieur. - Sge, substance grise
centrale
. - SR, formation réticulée. - slrac.a, strie ac
aire. sa fusion avec la iorinationrcttculéo blanche. Faisceau
central
de la calottc. son aspect Ses rapports Se
arrière et le séparent du genou du facial et de la substance grise
centrale
du quatrième ventricule. Au-dessous du noyau de
l'apparition de l'olive bulbaire (Oi) et la disparition du , noyau
central
inférieur, le faisceau longitudinal postérieur (F
ieure des cordons antérieurs do la moelle dont il procède. Faisceau
central
de la calotte (Fcc). Des trois faisceaux com- p
s trois faisceaux com- pacts de la formation réticulée, le faisceau
central
de la calotte est le moins bien délimité; dans
postérieur (voy. cas Rauber, Ille partie, chap. IV). Le faisceau
central
de la calotte (Fcc) apparaît en tant que faisceau
é en arrière par le noyau circonflexe (Nef), en dedans par le noyau
central
supérieur (nets) et le faisceau longitudinal post
ion réticulée (SR) qui limitent le noyau réliculé (Nrt) et le noyau
central
inférieur(Nci). Au voisinage du sillon bulbo-prot
n (Hm) un angle ouvert en arrière qui loge un prolongement du noyau
central
inférieur (Nci). Immédiatement au-dessous (coupe
532). CONFIGURATION INTÉRIEURE UU RHOMBENCÉPHALE. 585 Le faisceau
central
de la calotte (Fcc) occupe donc la partie central
. 585 Le faisceau central de la calotte (Fcc) occupe donc la partie
centrale
de la calotte protubérantielle, et s'élend de l
r le diver- ticule angulaire du to ventricule. La substance blanche
centrale
(Sbc), ou moyeu de cette roue, représente le po
che horizontale de l'arbre de vie médian (bh). La substance blanche
centrale
(Sbc) se réduit à une petite masse ovoïde ou ir
l'épendyme du toit du quatrième ventricule. De la substance blanche
centrale
du vermis (Sbc) se détachent, à la manière des
lent n'être que des branches de bifurcation de la subslance blanche
centrale
(Sbc) qui porte encore de ce fait le nom de tro
r et sa brièveté, se détache de la partie supérieure du noyau blanc
central
et se porte obliquement en haut et en arrière;
ofond sillon. Elle se détache de la partie postérieure du noyau blanc
central
, se porte horizontalement en arrière vers le bo
yau du cordon de Hurdach. NCG, noyau du cordon de Goll.- Vci, noyau
central
inférieur. - Nft, noyau du funiculus teres. - Noi
ussation pyramidale. - Rii, ruban de Reit. - Sbc, substance blanche
centrale
du vermis. - se/, grand sillon circonférentiel du
n circonférentiel du cervelet. - Sgc, Srlc', Spic", substance grise
centrale
du tronc encéphalique et de la partie supérieure
en outre, au voisinage de son implantation sur la substance blanche
centrale
, l'axe long, grêle et mince de la pyramide du ver
ndre dimension qui se détachent directement de la substance blanche
centrale
, deux sont supérieures et deux inférieures. Les
érieures et deux inférieures. Les premières se portent dans le lobe
central
et dans la lingula, les autres dans la luette e
les autres dans la luette elle nodule. La branche ou l'axe du lobe
central
, présente à peu près la même épaisseur que la b
ouvent, elle s'implante sur l'angle supéro-antérieur du noyau blanc
central
du vermis ; plus rarement, elle se détache de l
détache de la branche verticale de l'arbre de vie médian, et le lobe
central
ne représente dans ce cas qu'un des lobules du
la lingula se détache de la partie antéro-supérieure du noyau blanc
central
, et présente un trajet coudé; il se dirige d'abor
axe de la pyramide, se détache de la face inférieure du noyau blanc
central
, au voisinage de l'embouchure de la branche hor
du lobe médian. Il se déta che de la face inférieure du noyau blanc
central
, en un point diamétralement opposé au point d'ins
, et s'irradie dans le nodule. Au voisinage de la substance blanche
centrale
, l'écorce cérébelleuse de la face supérieure du
coupe SI bis la même forme que sur la coupe SI. La substance grise
centrale
(Sgc) qui tapisse le plancher est seulement plu
f du bulbe. zur, fibres sagittales du raphe. Syc, substance grise
centrale
. - SIi, formation réticulée. - Slra VIII, strie
mphé (1') qui s'étendent d'arrière en avant, de la substance grise
centrale
jusque dans la profondeur de l'étage antérieur
che iiiterolivai7-e (SR) ; en arrière, adossée à la substance grise
centrale
, le faisceau longitudinal postérieur (Flp); fusio
es faisceaux obliques qui sillonnent la calotte et la substance grise
centrale
au-dessus de l'entre-croisement pyramidal (xPy)
tte formation son nom de réticulée. Un noyau gris allongé, le noyau
central
inférieur (Nci), sépare dans la région protubér
aisceau longitudinal postérieur (Flp) adjacent à la substance grise
centrale
du quatrième ventricule (Sgc). Les petits amas ir
grise situés à la limite supérieure de la coupe, au-dessus du noyau
central
inférieur, appartiennent [au noyau réticulé (Nr
on des dentelures avoisinant le hile de l'olive. La substance grise
centrale
(Sgc) du quatrième ventricule est plus épaisse qu
erf glosso-pharyngien (IXd), et se continue avec la substance grise
centrale
de la partie fermée du bulbe (Sgc') et de la mo
lles consistent en un simple épaississement de la substance blanche
centrale
du vermis (Sbc) et de toutes ses branches, et d
(Nt) de Stilling. L'augmentation de volume de la substance blanche
centrale
, dans ses dimen- sions verticales et surtout da
accour- cissent et s'épaississent à mesure que la substance blanche
centrale
s'agrandit. L'extrémité postérieure de cette su
branche principale qui se détache directement de la substance blanche
centrale
. L'axe de la luelle s'est raccourci; il se rédu
e anté- rieure. - Rm, ruban de Iteil médian. SGc, substance blanche
centrale
. scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Az
grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sge, substance grise
centrale
. - SgR, substance gélati- neuse de Hoiando. siV
ant aux lobes des faces supérieure et postérieure du vermis : lobes
central
, culmen, déclive, bout- geon terminal, tubercul
réticulée grise, et dans la région protubérantielle par le faisceau
central
de la calotte dont la fusion avec le ruban de Rei
ve bulbaire (Oi), sont très mani- festes. Dans la substance grise
centrale
du plancher du 4e ventricule se trouvent les gr
ca, grand entre-croisement commissural du cervelet. - Fcc, faisceau
central
de la calotte. - NCB, noyau du cordon de Burdach.
grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sage, substance grise
centrale
. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SR,
erne. Des parties supérieure et postérieure de la substance blanche
centrale
se détachent les différents axes du vermis, rec
et avant de se continuer avec la valvule de Tarin. Les axes du lobe
central
, du culmen, de la pyramide, à part leur augmentat
inique, l'entoure; de la partie supé- rieure se détache le faisceau
central
de la calotte (Fcc). La calotte renferme, au vo
ches de l'arbre de vie médian el aux dépens de la substance blanche
centrale
, qui reçoit les pédoncules cérébelleux supérieur,
et S9, Fig. 416 et 417) en se fusionnant avec la substance blanche
centrale
des hémisphères. Il en résulte que les lobules
la moitié antérieure de la face supérieure de la substance blanche
centrale
des hémisphères (coupes S 8 et S 9, Fig. 416 et
s la région des hémisphères en fusionnant avec la subslance blanche
centrale
(Coupes S6 et S 7). Il en résulte que la parlie
e cérébelleux supérieur (Lig', Coupe S4, Fig. 412). L'axe du lobe
central
s'épaissil et se raccourcit, semble n'être, dans
une base distincte de celle de l'amygdale sur la substance blanche
centrale
des hémisphères (Coupe S 7, Fi-. 415). Quantàl'
it lobule séparé, sans connexion aucune avec la sub- stance blanche
centrale
et qu'un profond sillon sépare de la moitié pos-
mun à la pyramide et à la luette, et imprime à la substance blanche
centrale
une apparence accidentée tout à fait spéciale e
obe grêle s'implante sur la face inférieure de la substance blanche
centrale
, dont les dimensions ont considérablement augme
t en avant les lobules du flocculus. Quant à la subslance blanche
centrale
, elle s'accroit du centre à la péri- phérie. Da
vie médian, qui se raccourcissent à mesure que la substance blanche
centrale
grandit. Dans la région de transition (Coupes S
sition (Coupes S 4, S 5, S 6, Fig. 412 à 414), la substance blanche
centrale
augmente subitement : 1° par l'apport considérabl
rs du nid d'hiron- delle(Coupe S 8, Fig. 416), la substance blanche
centrale
des hémisphères présente déjà sa forme ovalaire
s. - fcb, fibres arciformes cérébelto-olivaires. - : feue, faisceau
central
de la calotte. fc</, faisceau céré- belleux
radiculaires du nerf facial. 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
centrale
, des noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse à
rablement, surtout à sa base d'implantation sur la substance blanche
centrale
(coupe S 4, Fig. 412). Sur les coupes plus exte
les coupes S 6 et S 7 (Fig. 414 et 415), avec la substance blanche
centrale
des hémisphères. Les sillons interlobulaires du
lons interlobaires du lobe supérieur des hémisphères. L'axe du lobe
central
ne s'implante plus direc- tement sur la substan
e central ne s'implante plus direc- tement sur la substance blanche
centrale
, mais sur la brandie verticale (bv) de l'arbre
raccourcie, et se raccourcit d'autant plus que la substance blanche
centrale
des hémisphères augmente dans le sens antéro-post
TUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. Goy Dans la substance blanche
centrale
, on trouve, au-dessus du nid d'hirondelle (nh),
ce du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) de la substance blanche
centrale
du cervelet, au-dessus du quatrième ventricule,
rlV4) et le noyau du nerf cochléaire (NVIIIc). La substance blanche
centrale
des hémisphères ne présente pas encore l'am- pl
le lobe quadrilatère antérieur, s'insère sur la sub- stance blanche
centrale
par un large et épais pédicule; les sillons inter
cule; les sillons interlobu- laires atteignent la substance blanche
centrale
et leur profondeur égale celle du sillon transv
base d'implantation, au sur et à me- sure que la substance blanche
centrale
augmente d'épaisseur. Les lobes de la face infé
grêle, s'implantent sur la partie postérieure de la substance blanche
centrale
par un pédicule d'insertion commun, d'autant pl
r la coupe S6 (Fig. 414) sans con- nexion avec la substance blanche
centrale
; l'axe mince, long et grêle du lobe digastrique
mé par la valvule de Tarin (VT), mais bien par la subslance blanche
centrale
recouverte par un feuillet pie- mérien ; la val
icule latéral du 4e ventl'icule (l'IV 4). Dans la substance blanche
centrale
on trouve encore, sur la coupe S 6 (Fig. 414\ l
rébelleux moyen (Pcm) dont les connexions avec la substance blanche
centrale
deviennent très manifestes sur les coupes suiva
g. 417) par l'émergence du nerf trijumeau (V). La substance blanche
centrale
des hémisphères augmente de volume, surtout dans
x lobes se fait - grâce à l'ac- croissement de la substance blanche
centrale
- par deux bases d'implantation distinctes. A
axes des différents lobes et lobules autour d'une substance blanche
centrale
de forme ovalaire et de dimen- sion relativemen
t on trouve à sa place la partie inférieure de la substance blanche
centrale
, consi- dérablement augmentée de volume et tapi
festonnée, close de toute part; elle circonscrit une masse blanche
centrale
, riche r c. '>1 \), - L'arbre de vie des lob
; c'est le corps ou feu- trage inlraciliaire (fie), le noyau blanc
central
de l'olive cérébelleuse. A la surface extérieur
cule cérébelleux moyen (Pcm). Tout le reste de la substance blanche
centrale
de l'hémisphère cérébelleux est constitué par u
étude de cette série de coupes sagittales, que la substance blanche
centrale
du cervelet présente un aspect spécial et tout
crivant une courbe à concavité interne autour de la substance grise
centrale
de l'aqueduc de Sylvius (SgAq). Un petit nombre (
. La languette mé- diane si caractéristique, que la substance grise
centrale
de l'aqueduc (SgAq) envoie entre les deux faisc
ulaire, la com- missure de Wernekink, le ruban de Reil, le faisceau
central
de la calotte et le noyau central supérieur. -
nk, le ruban de Reil, le faisceau central de la calotte et le noyau
central
supérieur. - Coupe P 3, coupe horizontale oblique
p. G43. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. Fcc, faisceau
central
de la calotte. Flp, faisceau longitudinal postéri
Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus coeruleus. Ncs, noyau
central
supérieur. - NI, noyau latéral de la calotte pé
x fibres aberrantes de la voie pédonculaire. - Sge, substance grise
centrale
. SgPo, substance grise de l'étage antérieur de
nt. La calotte pédonculaire, la commissure de Wer- nekink, le noyau
central
supérieur, les faisceaux compacts de la formation
formation réti- culée : faisceau longitudinal postérieur, faisceau
central
de la calotte, ruban de Reil avec les fascicule
p. Gr3. Méthode de Weigerl-Pal, 3/1 grandeur nature. Face, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal posté
postérieures de la protubérance. - Le, locus ca'ruleus. Arcs, noyau
central
supérieur. - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur
de laquelle apparaît : en dedans, de chaque côté du raphé, le noyau
central
supérieur (Ncs) ; en dehors, les fibres fortement
érieur (Ncs) ; en dehors, les fibres fortement colorées du faisceau
central
de la calotte (Fcc); en arrière, le long de la su
tral de la calotte (Fcc); en arrière, le long de la substance grise
centrale
du quatrième ventricule (Sgc), le faisceau longit
e pédon- cule cérébelleux supérieur, la formation réticulée : noyau
central
supérieur et fais- ceaux compacts (faisceau lon
et fais- ceaux compacts (faisceau longitudinal postérieur, faisceau
central
de la calotte, ruban de Reil avec les fascicule
p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Fcc, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal posté
eruleus. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur du cervelet. - Nes, noyau
central
supérieur. NI, noyau latéral. - 7'e;) : , pédon
les trabécules gris de la formation réticulée (SR) forment le noyau
central
supérieur (Ncs), noyau ovalaire qui s'étend du fa
, 630). Une étroite rangée de fibres longitudinales limite le noyau
central
supérieur (Ncs) en dehors et le sépare d'un seg
bres et désigné quelquefois sous le nom de segment externe du noyau
central
supérieur. Le faisceau central de la calotte (F
s le nom de segment externe du noyau central supérieur. Le faisceau
central
de la calotte (Fcc) occupe la même situation que
pro- tubérance et l'émergence du trijumeau; elle intéresse le noyau
central
supérieur, le noyau du ruban de Reillaléral et
la partie antérieure et moyenne de la calotte occupée par le noyau
central
supc- rieur (Ncs), son segment externe (Ncs'),
ntral supc- rieur (Ncs), son segment externe (Ncs'), et le faisceau
central
de la calotte (Fcc). TOM ! : Il..\0 626 ANA
ux dépens des trabécules gris de cette dernière, sépare le faisceau
central
(Fce) du pédoncule cérébelleux supérieur (Y es) e
don- cule cérébelleux supérieur, la formation réticulée, ses noyaux
central
supérieur et circonflexe, ses faisceaux compact
8 p. 615. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. ? ce, faisceau
central
supérieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieu
pont. - Le, locus coeruleus. - Nef, noyau circonllexe. - Ncs, noyau
central
supérieur. - Ncs', sa partie externe. - NRl, no
a calotte. Du raphé, il se porte en dehors, passe entre le faisceau
central
de la calotte (Fcc) et le ruban de Reil médian
sente un système complexe de Gbres en connexion intime avec la voie
centrale
acoustique; il tire son origine du noyau antéri
ume; il représente un petit faisceau irrégulier qui limite le noyau
central
supérieur (Ncs) en arrière et en dehors et qui n'
trijumeau et sectionne la partie supérieure de la subslance blanche
centrale
des hémisphères cérébelleux. L'étage antérieur,
613. Méthode de Weigell-Pal, 3/1 gran- deur nature. Fcc, faisceau
central
de la calotte.- FG, faisceau de Gowers; il suit l
u sillon bulbo-protubéranliel. Calotte. - Dans la calotte, le noyau
central
supérieur a disparu, il a fait place au noyau r
, sillonnent ce faisceau ainsi que le noyau réticulé. Le faisceau
central
de la calotte (Fcc) s'est adossé au ruban de Reil
inuation avec les cordons postérieurs de la moelle. - Fcc, faisceau
central
de la calotte. - fin, fibres arciformes in- ter
ubérance; la calotte avec le ruban de Reil médian (Rm), le faisceau
central
de la calolte (Fcc), le noyau réticulé (Nrt), le
dans le tronc de ce nerf. Il est probable qu'il s'agit ici d'une voie
centrale
de la VIIIe paire, qui se rend en grande partie
e Reil médian, le fais- ceau longitudinal postérieur et le faisceau
central
de la calotte. Les noyaux moteur et sensitif du
15. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. aLc, l'axe du lobe
central
. - bv, branche verticale de l'arbre de vie du lob
d entre-croisement cummissural antérieur du vermis. - Fcc, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal posté
artiennent réellement à la voie trigéminale, il s'agit d'un neurone
central
, indirect, intercalé, reliant peut-être les noy
u. La moitié postérieure de la coupe sectionne la substance blanche
centrale
du cervelet au-dessus de l'olive cérébelleuse e
nt ensuite sur la ligne médiane du vermis, le long de l'axe du lobe
central
(aLc) et de la branche verticale de l'arbre de vi
eux moyen (Pcm) forme la plus grande partie de la substance blanche
centrale
des hémisphères cérébelleux; sa partie interne,
otubérantielle moyenne et ses .connexions avec la substance blanche
centrale
du cervelet. - La voie pédonculaire et ses rappor
l. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps juxta-restiforme. - Fcc, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau longi- tudinal p
lleux supérieur. - Rm, ruban de Reil médian. Sbc, substance blanche
centrale
du vermis. - SgR, substance gélatineuse de Rola
sceau longitudinal postérieur (Flp) sont très diffuses; le faisceau
central
de la calotte (Fcc) et l'olive supérieure (Os)
s à revenir dans cette série de coupes. Dans la substance blanche
centrale
du cervelet, on retrouve les trois pédoncules c
. Dans la région du vermis, la coupe passe par la substance blanche
centrale
(Sbc) et intéresse la couche de fibres qui reco
du toit (xNt). A la partie postéro-externe de la substance blanche
centrale
des hémisphères, on Bibliothèque des Internes
'au ruban de Reil médian (Rm). Le noyau réticulé (Nrt), le faisceau
central
de la calotte (Fcc), l'olive supérieure (Os), l
cipales que présente cette coupe portent sur la sub- stance blanche
centrale
et les noyaux gris centraux du cervelet. Les conn
oupe portent sur la sub- stance blanche centrale et les noyaux gris
centraux
du cervelet. Les connexions du pédoncule cérébe
ions du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) avec la substance blanche
centrale
des hémisphères et la disposition des fibres se
ubérantielle inférieure et ses connexions avec la substance blanche
centrale
du cervelet. - Les trois pédoncules cérébelleux,
al. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps juxta-restiforme.- Fcc, faisceau
central
de la calotte.- fec, feutrage exlra-ci- liaire.
e antérieure du pont (Np) ; il est limité en dehors par le faisceau
central
de la calotte (Fcc) et par les fascicules isolés
s isolés de la formation réticulée (SR) et en arrière, par le noyau
central
inférieur (Nci) qui fait suite au noyau réticul
n faisceau compact à trajet sinueux, qui passe en avant du faisceau
central
de la calotte (Fcc), de l'olive supé- rieure (O
elles pro- cèdent ; elles représentent, en effet, une voie auditive
centrale
, qui relie le noyau de terminaison du nerf coch
amidal, la calotte protubérantielle; le ruban de Reil,; le faisceau
central
de la calotte; l'olive supérieure ou protubéranti
. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps juxta-restiforme. - feue, faisceau
central
de la calotte. - Flp, faisceau lon- gitudinal p
fsmi, fibres semi-circulaires internes du cervelet. - i\'ci, noyau
central
inférieur. - Np, noyaux pontiques. Oc, olive céré
ar une lame arquée, repliée sur elle-même, située entre le faisceau
central
de la calotte (Fee), la grosse racine sensitive
ur, et la manière dont se présentent sur ces coupes les noyaux gris
centraux
du cervelet. Toutes ces coupes intéressent les
passe au-dessus de l'olive cérébelleuse et de la substance blanche
centrale
du vermis; elle sectionne en avant le pédoll- c
férents lobes de la masse principale du vermis, la lingula, le lobe
central
, le culmen et le déclive et intéresse dans la rég
c la substance blanche ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 613
centrale
. Les connexions des axes du lobe quadrilatère ant
lobe quadrilatère antérieur et du culmen avec la substance blanche
centrale
du cervelet, sont seules manifestes sur cette cou
ifestes sur cette coupe qui passe au-dessus de la subslance blanche
centrale
du vermis. Dans la branche verticale de l'arbre
. Dans la branche verticale de l'arbre de vie et dans l'axe du lobe
central
, on aperçoit les fibres parallèles de I'e ? t'e
s sens et qui constitue la masse principale de la substance blanche
centrale
des hémisphères. Les fibres du groupe externe (
t. - fsmi, les fibres semi-circulaires internes. - aLc, axe du lobe
central
. - Lirl, lingula. -¡''la, lobe quadrilatère antér
ent, elles n'occupent plus toute la largeur de la substance blanche
centrale
, mais sont rejetés en dehors et en dedans par le
et pré-centraux, immé- diatement au-dessus de la substance blanche
centrale
du vermis. Sur la moitié droite de la coupe, l'
lement la branche verticale de l'arbre de vie (bv) et l'axe du lobe
central
(aLe). Les fibres semi-circulaires externes (fs
(fsme), qui traverse la plus grande partie de la substance blanche
centrale
des hémisphères et se continue directement avec l
Coupe C 3 (Fig. 434). Cette coupe passe par la substance blanche
centrale
du vermis au-dessus du noyau du loit et intéresse
- tricule. - 177), quatrième segment du facial. substance blanche
centrale
des hémisphères. Les circonvolutions du lobe semi
g, 432), des îlots entièrement indépendants de la substance blanche
centrale
des hémisphères et séparés du lobe quadrilatère
eux lobes quadrilatères postérieurs entre eux. La substance blanche
centrale
du vermis est très réduite dans le sens antéro-
649' Fig. 435. - Le cervelet; sa substance blanche, ses noyaux gris
centraux
, ses connexions avec l'étage antérieur de la pr
te ; elle n'en diffère que par la disposition de la substance blanche
centrale
du vermis, dont les dimensions antéro-postérieu
avec les noyaux du toit la presque-totalité de la substance blanche
centrale
du vermis. Toutefois il existe, en avant des la
ile ce dernier s'insère par un de ses axes sur la substance blanche
centrale
. Les lamelles cérébelleuses situées au voisinag
bes quadrilatères postérieurs droit et gauche. La substance blanche
centrale
du vermis, intéressée il sa partie postérieure,
nent au noyau sphérique ou globule (Ngl). Dans la substance blanche
centrale
, les fibres semi-circulaires externes (fsme) se
cervelet, du pédoncule cérébelleux moyen et de la substance blanche
centrale
du vermis. Elle intéresse la partie supérieure
e (bh) et le pédoncule du flocculus (PFloc). La substance blanche
centrale
des hémisphères se présente sur cette coupe sous
entiel (scf). Autour de l'extrémité externe de la substance blanche
centrale
, s'implantent les nombreux et importants axes d
à la partie moyenne de la face postérieure de la substance blanche
centrale
des hémisphères, elle est tapissée par l'écorce
(bh) - pont qui relie, en arrière des olives, la substance blanche
centrale
des deux hémisphères cérébelleux; - la branche ho
yc) dont l'axe se fusionne de chaque côté avec la substance blanche
centrale
, le sillon prépyramidal (sprp), la section de la
cérébelleuse, et qui se continue en avant avec la substance blanche
centrale
des hémisphères céré- belleux. A gauche, la par
'hématoxyline distinguent seules du reste de la sub- stance blanche
centrale
. Cette dernière est presque exclusivement formée
s'insinue entre la val- vule de Tarin (VT) et la substance blanche
centrale
et appartient au diverticule angulaire du 40 ve
est complète- ment séparée sur cette coupe de la substance blanche
centrale
du cervelet. Il n'en est pas de même à gauche,
et où le corps restiforme (Crst) est séparé de la substance blanche
centrale
des hémisphères par les stries acoustiques (stac)
és latérales du bulbe sont encore adhérentes a ]a substance blanche
centrale
du cervelet, la coupe passe en eflet au-dessus de
aires. Les faisceaux compacts de la for- mation réticulée, le noyau
central
inférieur, le noyau d'origine du facial. - Le cor
u bulbe. - fana, fibres arciformes moyennes du bulbe. Fcc, faisceau
central
de la calotte. - Floc, flocculus. - PFloc, pédonc
Py) est en contact avec le ruban de Reil médian (Rm) et le faisceau
central
de la calotte (Fcc). A droite, l'olive bulbaire (
aire, gagnant en lon- gueur ce qu'il perd en largeur. Le faisceau
central
de la calotte (Fcc) occupe la partie externe de l
nt épaisse aux deux extrémités de ce corps. En arrière, le faisceau
central
de la calotte (Fcc) se confond sans délimitatio
a forma- tion réticulée (S R) qui circonscrivent en dehors le noyau
central
inférieur (Nci). Moins étendu dans le sens sagi
le ruban de Reil médian (Rm), l'olive bulbaire (Oi) et le faisceau
central
de la calotte (Fcc). En arrière, il est séparé du
olando (SgR). En arrière d'elle, au voisinage de la substance grise
centrale
qui tapisse le plancher du quatrième ventricule
(Vsd), traversent le faisceau latéral du bulbe *FIL) et le faisceau
central
de la calotte (Fcc), passent entre l'olive bulb
manifestes sur cette coupe. Les moen>7es (fam) traversent le noyau
central
inférieur (Nci) et ne peuvent sur cette coupe ê
Nci) et ne peuvent sur cette coupe être suivies au delà du faisceau
central
de la calotte (Fcc) ; elles se perdent dans les t
t en dehors de ce faisceau, et les séparent de la sub- stance grise
centrale
du plancher du quatrième ventricule; elles peuven
it ses fibres traverser le ruban de Reil médian (Rm) et le faisceau
central
de la calotte (Fcc), longer le sillon úulúo-p1'ol
es émises par le corps resti- forme (Crst); la disparition du noyau
central
inférieur cl )il remplacement par de nombreuses
et étroite, située le long du raphé, s'étend de la substance grise
centrale
du plancher du quatrième ventricule a la face pos
s'étend de la face postérieure de l'olive (Oi)à la substance grise
centrale
du quatrième ventricule. La formation réticulée
cordon latéral de la moelle, fibres qui se terminent dans le noyau
central
inférieur ou qui en proviennent. La formation r
ibres arciformes superficielles antérieures du bulbe. - Fcc, faisceau
central
de la calotte. - fcv, fibres cérébello-vestibul
psule, renforcée à sa partie postérieure et externe par le faisceau
central
de la calotte (Fce) qui fait corps avec elle.'
cous- tiques. En avant des stries acoustiques, la substance grise
centrale
du quatrième ven- tricule contient un noyau tri
Cj, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - Fcc, faisceau
central
de la calotte. fez, fibres arciformes cérébello
us dense que sur la coupe précédente, et sa fusion avec le faisceau
central
de la calotte (Fcc) est complète. Le corps rest
côté sur un éperon de substance grise formé par la substance grise
centrale
et connu sous le nom de ligula ou tænia. Le planc
juxta-restiforme (Cj) et la partie adjacente de la substance grise
centrale
occu- pent une situation superficielle et attei
OPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 6-il situé dans la substance grise
centrale
du plancher du quatrième ventricule et connu so
la partie interne de cette formation, le long de la substance grise
centrale
du quatrième ventricule; sa substance grise, ou
tance grise et par quelques fibres arciformes. La,subs- tance grise
centrale
du quatrième ventricule recouvre ensuite la face
l'extrémité inférieure de l'olive bulbaire (Oi). La substance grise
centrale
entoure complètement le canal épendymaire réduit
ces noyaux, on trouve un prolongement étroit de la subslance grise
centrale
, et les préparations de moelles d'embryon trait
ement colorées, qui décrivent des arcs autour de la substance grise
centrale
, traversent les formations réticulées blanche e
, qu'au niveau de leur base d'implanta- tion sur la substance grise
centrale
et sur la formation réticulée (SRg). Le noyau d
entre-croi- sement épais et court, compris entre la substance grise
centrale
et le fond du sillon médian antérieur, très rap
s arciformes interréticulées (fir) qui entourent la substance grise
centrale
et n'occupent que la partie adjacente de la for
d'une corne très volumineuse reliée au reste de la substance grise
centrale
par un pédoncule court et épais. Les coupes H 1
monticule qui s'implante par une large base sur la substance grise
centrale
, et du sommet duquel se détachent de nombreuses f
pace compris entre le sillon médian antérieur et la substance grise
centrale
, et s'y entre-croisent par larges fascicules dont
s arciformes (fir) qui entoure sur la coupe H 19 la substance grise
centrale
. Ces fibres appartiennent encore au système, se
les fibres croisées du faisceau pyramidal. Dans la substance grise
centrale
qui entoure le canal épendymaire, on trouve en
lie sur une étendue plus ou moins considérable à la substance grise
centrale
. De là la multiplicité d'aspects, que revêt le
corne antérieure (Coa) à la partie antérieure de la substance grise
centrale
; ces travées sont plus épaisses à droite qu'à g
une corne antérieure reliée par une large base à la substance grise
centrale
et une corne postérieure unie cette même sub- s
centrale et une corne postérieure unie cette même sub- stance grise
centrale
par un col mince, étroit et effilé. Les fibres du
n où s'effectue la décussation de ce faisceau. La substance grise
centrale
de la moitié postérieure du collet du bulbe aff
H21, H22, H23, des particularités intéressantes. La substance grise
centrale
de la coupe H 21 présente, grâce à la décapitatio
21, Fig. 451) sur la même ligne transversale que la substance grise
centrale
, se rapprochent ainsi l'une de l'autre, en même
l'autre, en même temps que le bord postérieur de la substance grise
centrale
s'excave sur la ligne médiane et que les cordon
s prolongements protoplasmiques ou dendriliques, et un prolongement
central
ou cylindre-axile qui se détache de la base ou
nd axe. Cylindre-axe. - Le prolongement t colin- dre-axile ou
central
. figuré par v. hùllil : er, Deiters, Koschewn
ienne et occupe de ce chef une place à part dans le système nerveux
central
. Elle constitue en effet ainsi que Golgi l'a si
s terminales de l'écorce cérébelleuse. 2° Structure des noyaux gris
centraux
. - L'olive cérébelleuse el ses noyaux accessoir
lamelles avoisinantes, s'enchevêtrent avec elles, forment la partie
centrale
des ramuscules. rameaux et branches principales
dendritiques converger en nombre appré- ciable vers les noyaux gris
centraux
, noyau du toit, olive cérébelleuse, noyaux dent
e sous-lobaire (1 ? 1) occupe la périphérie de la substance blanche
centrale
du cervelet : il est recouvert par les fibres en
res et interlobulaires, dont le fond atteint la sub- stance blanche
centrale
, reçoit en avant et en dedans, au niveau du sillo
cérébelleuse du lobe supérieur du cervelet et la substance blanche
centrale
avec : son feutrage sous-lobaire, ses fibres semi
hémisphères cérébraux. S'il n'existe pas dans la substance blanche
centrale
du cervelet de longs faisceaux d'association co
truction est superficielle et n'im- plique pas la substance blanche
centrale
, - cle suivre, à l'aide de la méthode de Marchi
primitifs. En dedans du feutrage sous-lobaire, la substance blanche
centrale
du cervelet présente deux systèmes de libres ne
...lelllP"; do fibres dlllèrell- ciées do la substance blanche
centrale
du cervelet. 7m t) ANATOMIE DES CENTRES NERVE
infcrienr. des libres des pédoncules cérébelleux et des noyaux gris
centraux
du cer- velet. Ces deux systèmes entourent le c
laires externes s'infléchissent en dedans vers la substance blanche
centrale
du vermis; (Coupes H4, Fig. li27, p. 633, Cl à
he verticale de l'arbre de vie (bu) ; 2° à la base des axes du lobe
central
(aLc) et de la lingula (aLig); 3° dans la subst
central (aLc) et de la lingula (aLig); 3° dans la substance blanche
centrale
du vermis (Fig. 465, p. 720). Une petite partie
s externes n'occupent plus toute la largeur de la substance blanche
centrale
, mais sont rejetées en dehors et en dedans d'ab
se portent en dedans et s'entre-croisent dans la substance blanche
centrale
du vermis avec celle du côté opposé, en formant l
izontal oblique en bas et en avant, situé dans la subslance blanche
centrale
du vermis au-dessus du noyau du toit et qui longe
-dessus du noyau du toit et qui longe en s'effilant la base du lobe
central
et de la lingula. Du coude formé par l'union de c
du vermis au- dessus du noyau du toit, la base des axes du lobe
central
et de la lingula. 720 ANATOMIE DES CENTRES NE
rizontale C 4, Fig. 435, p. 649.) 1,'iG. 16. - La substance blanche
centrale
du vermis et le noyau du toit. Les libres en gu
vie du vermis, la face supérieure du noyau du toit et l'axe du lobe
central
; il se prolonge en avant dans l'axe de la lingula
Méthode de Wei- gert-Pal. 10/1 grandeur nature. aLc, axe du lobe
central
. - aLia, axe de la lingula. - a('y, axe de la pyr
oût. Il a donc perdu en deux mois 32 kilogr. 250 ! ! La température
centrale
, prise au rectum, s'est élevée de 37°5 à 37°9,
rieure à 32 kilogrammes, la polyurie, l'élévation de la température
centrale
et la fréquence du pouls. Mais ce n'est pas tou
éciaux pour conduire les sensa- tions thermiques au système nerveux
central
. Comme on rencontre aussi dans la syringomyélie
n confrère Wintler a trouvé un épaississement de la substance grise
centrale
dans un cas d'acromégalie, ce qui ne prouve cep
tat mental de la malade. Le dermographisme est très net, avec ligne
centrale
, anémique très surélevée et zone de congestion
ore à envisager l'influence des vaso-moteurs et' du système nerveux
central
. L'appareil vaso-moteur est certainement troublé
ARIE. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LES FIBRES DISSOCI
sur Psychiatrie, Bd I. FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE
CENTRAL
105 ceau longitudenal inférieur est un faisceau
IX, Band. Wien, 1905. · FAISCEAUX LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET OPTIQUE
CENTRAL
107 ceau se distingue toutefois de la couche de
. Psych., Bd. 38, 1904. FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE
CENTRALE
109 couche sagittale latérale une fonction déte
érale une fonction déterminée, elle représenterait la voie visuelle
centrale
, ses fibres proviennent de la couche optique et s
ien, Bd C XIV Abt. 111, april 1905. , (2) Edinger, Bau der nervosen
Central
organe, 1904. Geschichte eines Patiente>a de
sych., Bd. 31,1903. · FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE
CENTRAL
lit , .Les radiations optiques secondaires prov
t des trois circonvolutions temporales. Dans la région des noyaux
centraux
, un bon nombre de fibres se détachent z de la p
STEINER) XII. Bd. 1905. FAISCEAUX LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET OPTIQUE
CENTRAL
113 basale et antérieure du lobe temporal. En t
déac, Path. générale et Anatomie path., p. 413. (5) Cadiot, Société
centrale
de méd. vét., 28 décembre 1889. 166 RUDLER la
IE. ~ LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LES FIBRES D'ASSOC
nférieur. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
179 Le but que nous avons en vue est de démontr
cipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique
central
. Fv : faisceau de Vialet. Fic. 2. - Coupe ver
du carrefour ventriculaire. Cg : cingulum. Foc : faisceau optique
central
. 180 LASALLE-ARCHAMBAULT couronne rayonnante
a scissure calcarine. Nous lui proposons le nom de faisceau optique
central
afin d'éviter tout malentendu. Nous allons il l
, chemin faisant, la disposi- tion qu'affecte le « faisceau optique
central
» par rapport à la couche sagittale externe pri
é externe. FA : faisceau arqué de Burdach. Foc : faisceau optique
central
, Cg (pointillé) : cingulum inférieur de Beevor.
e Beevor. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
181 une courte étendue. De nouveau une poussée
l. Coupe frontale. C : scissure calcarine. Foc : faisceau optique
central
. 182 LASALLU-ARCT1A111BAULT mière limbique, p
nne rayonnante corticipète et qu'il fait partie du faisceau optique
central
que nous décrirons plus loin. A côté de cela on
Sile 3 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
(Lasalle- A rclJtl11/ lia IIlt) S;e. Couche s
, 1 ? A ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
183 tral dont les fibres sont totalement dégéné
ion limbique et se porter en haut et en dehors vers le lobule para-
central
et la circonvolution pariétale supérieure. Ces fi
mées ; elles représentent les fibres dégénérées du faisceau optique
central
qui se rendent à la scissure calcarine et en plus
petites lésions corticales et sous- corticales. Le faisceau optique
central
(couche sagittale externe de cette région) est
représente cette coupe, et comprend des fibres du faisceau optique
central
, des radiations thalamiques et des fibres d'assoc
me et sectionne les couches sagittales profondes. Le faisceau optique
central
est anormal le long de la paroi ventriculaire s
use, mais LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
185 appréciable de la partie inférieure de la c
e dégénéres- cence dans le territoire qu'occupe le faisceau optique
central
au niveau de la partie moyenne du lobe temporal
par la lésion dans son seg- ment externe, c'est le faisceau optique
central
, la couche sagittale externe du lobe occipital,
nte, un seul faisceau est reconnaissable, c'est le faisceau optique
central
, le faisceau longitudinal inférieur du lobe occip
fie 6 6 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
(Gasalle-drcl.znz6aull) S¡ ? Conclu sagittale
...... .1 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
187 ici on constate l'existence d'une zone gran
lobe occipital et, en particulier, à une partie du faisceau optique
central
. A priori, cette constatation semble en contrad
it que cette zone dégénérée renferme les fibres du faisceau optique
central
; cela est vrai d'une façon générale, mais il est
se porte LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
189 vers le cunéus. Cette strie renferme les fi
vers le cunéus. Cette strie renferme les fibres du faisceau optique
central
des- tinées à la lèvre supérieure de la scissur
t qui concourent à former un faisceau à part, « le faisceau optique
central
» ; elles constituent la presque totalité de la
CENTRAL - . (Lasa lle- A r(ha 111 ba ! llt) Foc. Faisceau optique
central
. Cg. Cingulum. - Cgi. Partie enclavée du corps ge
0VèI11H ? LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
193 volution limbique, le lobule paracentral, l
al, car ce segment ne renferme plus de fibres du « faisceau optique
central
», il n'est formé que de fibres d'association.
as Gir... LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
195 fibres d'association de la région. Elles on
ne pro- vient donc pas de l'écorce cérébrale, mais bien des noyaux
centraux
. Nous voyons ainsi le contingent corticipète de
e sagit- tale externe. Ce fascicule fait partie du faisceau optique
central
et renferme des fibres qui naissent de la parti
lumineuses et l'on ne saurait isoler maintenant le faisceau optique
central
. Les couches sagittales externe et interne se c
elle renferme aussi des libres qui font partie du faisceau optique
central
; nous avons vu en effet, que le corps genouillé
terne est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
197 légèrement touché par un foyer de désintégr
ngitudinal inférieur (que nous avons aussi dénommé faisceau optique
central
) ; c'est la considération de cette couche, de c
s constatations à son égard et nous décrirons le fais- ceau optique
central
. Mais l'étude soignée de huit cas de ramollisse
reviendrons plus loin en faisant la description du faisceau optique
central
. La couche sagittale interne se comporte exacte
17 18 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
(Lasa 1 Jc-Archarn ba rr 11) Nouvelle Iconogr
23 24 LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCE
E CENTRAL LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
201 i mêmes circonvolutions. Pour arriver au tr
du bord supérieur de l'hémisphère (pre- mière frontale, lobule par;¡
central
); même lorsqu'il est intéressé par le foyer au
faisceau est en grande partie respecté au-dessous, vers les royaux
centraux
. Par contre la couche sagittale interne fronto-
- terprétation, nous parlerons dès maintenant du « faisceau optique
central
». Le faisceau^ optique central prend son origi
ès maintenant du « faisceau optique central ». Le faisceau^ optique
central
prend son origine dans la partie supérieure et
la paroi LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR. ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
203 externe de l'extrémité antérieure de la cor
inar de la couche optique. Nous voyons donc que ce faisceau optique
central
, à l'exemple des autres parties de la couronne
». FiG. 5 - Coupe frontale du lobe occipital. Foc, faisceau optique
central
. 204 LASALLE-ARCHAMBAULT Immédiatement aprè
mergence du corps genouillé externe, les fibres du faisceau optique
central
sont refoulées, par les fibres corticifuges se re
sont refoulées, par les fibres corticifuges se ren- dant aux noyaux
centraux
et à la capsule interne, dans l'angle qui sépare
antérieure du lobe temporal. Suivons maintenant le faisceau optique
central
depuis le lobe occipital jus- qu'à la partie an
a scissure calcarine. Au-dessous du ventricule, le faisceau optique
central
se confond en partie avec le faisceau de Vialet
cipital. Fs : faisceau du cuneus de Sachs. Foc : faisceau optique
central
. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISC
ital ; elle en diffère sensiblement. Les fibres du faisceau optique
central
se resserrent et n'occupent que le segment hori
oyen de la couche sagittale externe, les fibres du faisceau optique
central
commencent à se porter en haut et en dedans, et p
tions temporales, et en plus, quel- ques fibres du faisceau optique
central
. c) Le tiers inférieur : les fibres du faisceau
que central. c) Le tiers inférieur : les fibres du faisceau optique
central
. d) Le tiers moyen de la couche sagittale inter
la couche externe comprend surtout les fibres du faisceau opti- que
central
et la couche interne des fibres thalamiques prove
iveau du pulvinar, une grande partie des fibres du faisceau optique
central
s'est portée en dedans et correspond à une lign
ne.. On pourrait dire qu'à ce niveau les fibres du faisceau optique
central
se divisent en deux fascicules de volume inégal
ulons insister davantage sur cette dissociation du faisceau optique
central
, car nous croyons qu'elle, a prêté à beaucoup de
èrement en dehors, traversent l'amas des fibres du faisceau optique
central
, se cuudent fortement au niveau de la partie in
our passer dans la capsule in- terne et se terminer dans les noyaux
centraux
, elles sont remplacées par les fibres du faisce
ne, il en est un bon nombre qui appar- tiennent au faisceau optique
central
, d'autres au faisceau de Türck et aux ra- diati
environ). Revenons à la répartition des fibres du faisceau optique
central
au niveau' du corps genouillé externe ; dès que
illlé externe. Nous avons déjà décrit le trajet du faisceau optique
central
après son émer- gence du corps genouillé extern
de ces considérations en étudiant les relations du faisceau optique
central
au niveau de la partie antérieure du lobe tempo
t une direction antéro-postérieure comme celles du faisceau optique
central
; mais à ce niveau, en raison de l'interpositio
I.IV) une LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
211 lésion de la circonvolution de l'hippocampe
Au niveau du corps genouillé externe, les fibres du faisceau optique
central
longent surtout la paroi ventriculaire externe
en grand LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
213 nombre la partie inférieure du segment vert
u'à ce jour. Si nous avons fait usage du terme « faisceau optique
central
», ce n'est pas que nous ayons été poussé tant
vrai que dans son trajet et dans ses relations, le faisceau optique
central
s'iden- tifie en grande partie avec le faisceau
oyau latéral de la couche optique. Pour nous, le faisceau optique
central
ne provient que du corps genouillé externe et n
scence appréciable dans le territoire qu'occupe le faisceau optique
central
. Quant à la couche sagittale externe du lobe te
r exposé en détail les multiples particularités du faisceau optique
central
, nous nous trouvons en présence de faits qui ne p
e de faits qui ne prêtent guère à aucun doute le « faisceau optique
central
» s'identifie, d'une façon remarquable avec le
t XXXVII. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
215 verser le faisceau longitudinal inférieur.
sentent l'ensemhle des fibres qui consti- tuent le faisceau optique
central
, le faisceau longitudinal. Ce faisceau existe a
ieure. Nous proposons pour ce faisceau le nom de « faisceau optique
central
», ou mieux encore, celui de « faisceau génicul
ieur » des auteurs clas- siques comprend : a) le « faisceau optique
central
» et, en plus, b) un certain nombre de fibres d
radiculaire transverse présente sa plus grande intensité, la cavité
centrale
persiste. La racine postérieure est bouleversée
oxique du cortex, par les produits émanés des gros foyers septiques
centraux
. Il est intéressant de rapprocher la double évo
, c'est le caractère clinique presque latent de cette double lésion
centrale
, si volumineuse que, comme le dé- montrent les
agies.Deux zones se différencient (à gauche) (Pl. LX, 3 et 4) : une
centrale
(démarquée par une ligne pointillée) se coloran
irci, peu abondant sous l'aponévrose, prolifère surtout à la partie
centrale
des muscles. Formant là de larges placards, il
ait ? Il faut admettre en partie ici l'influence du système nerveux
central
. Les deux hémisphères cérébraux sont loin d'avo
que le neurone sensitif du tabétique, attaqué dans son prolongement
central
par la névrite radiculaire d'origine méningitiq
(3) Trouchkowsky, Rapports du grand sympathique et du système nerveux
central
. Moniteur neurol. russe, 1899, p. 55. (4) Lai
ions spinaux à la suite de la section de la branche périphérique ou
centrale
de leurs prolongements. Rivista die patolog. ne
re que parmi les neurones sensitifs attaqués dans leur prolongement
central
par la section expérimentale, quelques-uns seul
de la cellule restant indemne. La dégénéres- cence du prolongement
central
, plus lente à se manifester, plus généralisée,
tion terminale selon le type wallérien, tandis que le prolongement
central
subit un processus d'atrophie rétrograde jusqu'
le type wallérien et s'éteint en moins d'un an ; la dégénérescence
centrale
fait place vers la même date à la régénérescenc
penser que chez les tabétiques, restées intactes dans leur portion
centrale
, elles s'altèrent dans leur portion périphé- ri
aires sont d'aspect normal, de la grandeur habituelle, le noyau est
central
. Il n'existe aucune prolifération des petites cel
x ont été examinés sur coupes transversales, sériées depuis le pôle
central
jusqu'au pôle périphérique. L'examen comparatif
uvé des vaisseaux à paroi très épaissie ou oblitérée dans la partie
centrale
de presque toutes les plaques. Enfin Rossolimo
nte du trijumeau, de l'entrecroisement de la IVe paire, du faisceau
central
de la calotte, du ruban de Reil médian, de la t
de Reil médian, le pédoncule cérébel- leux supérieur et le faisceau
central
de Bechterew. Une partie aussi du lem- niscus l
e seulement un peu le stratum superficiale. Les cellules des noyaux
centraux
supérieurs, des noyaux latéraux et de la substa
son & Ci«, Éditeurs SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 349 noyau
central
inférieur, de l'olive supérieure et des noyaux du
douteuse. Aucune lésion grossière microscopique du système nerveux
central
. Léger épais- sissement méningé surtout dans la
pBEN. Zur Histologie und Pathologie der multiplen sklerose. Neurolog.
Central
. blatt, n° 4, 1898. ' 27. Finkelnburg. - Uebe
que, 1900. 105. UNGER. - Ueber multiple insel/'tirmige Sklerose des
central
Nervensystems in Kinde- salter. Leipzig u. Wien
, il est vrai, mais spécia- lement dans les lésions des noyaux gris
centraux
(2) ainsi que J. F. Guyon l'a toul particulière
, p. 281. (2) J. F. Guyot, Contribution à l'élude de l'hyperthermie
centrale
consécutive aux lésions de l'axe cérébro-spinal
généré se fait par l'intermédiaire des tubes nerveux partis du bout
central
qui traversent la cicatrice pour arriver dans le
r trajet, de dimensions parfois considérables. Il se dégage du bout
central
un riche système de vaisseaux anastomosés qu'on
tuée au voisi- nage des bouts sectionnés, tandis que dans la partie
centrale
elle est consti- tuée en grande partie par des
par deux couches : l'une, périphérique, pâle, granuleuse ; l'autre,
centrale
très colorée et d'aspect réticulé. La partie cent
se ; l'autre, centrale très colorée et d'aspect réticulé. La partie
centrale
est parfois représentée comme une espèce de pel
ans la cicatrice. Certaines de ces massues possèdent dans leur région
centrale
un réseau noir, bien indiqué, à mailles plus ou
continuation avec des fibres. Certaines massues offrent une région
centrale
colorée en orange et une région périphé- rique
e le bout supérieur ; certaines d'entr'elles possèdent une par- tie
centrale
mieux colorée que le reste où aboutit le cylindra
ésence de corps granuleux (les vrais macrophages du système nerveux
central
et des nerfs périphériques), disposés en séries l
ent être ou non garnies de cellules-satellites. Souvent.leur région
centrale
est uniforme, tandis qu'u la périphérie, on dis-
taxiques auxquelles les jeunes axones de nouvelle formation du bout
central
sont très sensibles. Le plus souvent elles atti
t conservés qu'à la périphé- rie de la cellule, il y a chromatolyse
centrale
et souveut état poussiéreux de toute la cellule
nt de diviser une racine en deux segments, un segment médullaire ou
central
, et un segment périphérique et d'en pratiquer s
. Les résultats ont été les suivants : sur le segment médullaire ou
central
, les fibres présentent pour plupart l'aspect en
spect en nattes se voit encore, mais beaucoup moins que sur le bout
central
; la transition de l'aspect en nattes à l'aspect
es adultes, mais quelquefois aussi des noyaux, surtout dans le bout
central
des racines antérieures ; mais nous n'avons pu
IVe lombaire droite et la Ve lombaire gauche en trois tronçons : un
central
ou^médullaire, un périphérique ou ganglionnaire
s lésions tiennent le milieu entre celles qui existent dans le bout
central
et dans le bout périphérique (PI. LXXV B"). 492
Tout d'abord les petits cylindres constitués par une fibre nerveuse
centrale
et une gaine dans la constitution de laquelle e
ttes, que nous avons vus plus abondants sur la dissociation du bout
central
de la racine antérieure. Les cylindres constitués
ral de la racine antérieure. Les cylindres constitués par une fibre
centrale
myélinisée ou non myélinisée engainée d'un simple
fibres sont engainées dans le même manchon fibreux, c'est la fibre
centrale
qui est le mieux conservée,elle a quelquefois e
pes longitudinales : elles prédominent, d'ordinaire, dans la région
centrale
des cordons latéraux et postérieurs. A leur nivea
partie antérieure des cordons an- téro-latéraux, et dans la partie
centrale
des postérieurs ; léger épaississement de la né
icule. A la partie inférieure, dislocation et oblitération du canal
central
. Epaississement diffus de la névroglie. Rachi
un peu de chromatolyse discrète, sans pigmentation. Dans la partie
centrale
des cordons latéraux et postérieurs, grosse dilat
e pàleur et quelques granulations noires par le Marchi de la région
centrale
des cordons postérieurs ; cellules nerveuses in
es myéliniques très dégé- nérées par la méthode de Marchi. Le canal
central
ne peut être nettement dif- férencié des vaisse
VII, existait, dans la région lombo-sacrée, une dilatation du canal
central
entourée d'une zone de sclérose névroglique. Nous
ER A distance, on trouve, au-dessus,une pâleur diffuse de la partie
centrale
des cordons postérieurs, disparaissant presque
légères,dans la partie superficielle des cordons postérieurs. Canal
central
oblitéré, cellules nerveuses globuleuses avec c
ieur, la branche horizontale de l'arbre dévie médian, et les lobes,
central
, quadrilatères antérieur et postérieur. Il existe
e pédoncule cérébelleux supérieur, la formation réticulée, le noyau
central
supérieur, le faisceau longitudinal postérieur, l
central supérieur, le faisceau longitudinal postérieur, le faisceau
central
de la calotte,et le ruban de Reil avec les fasc
usion à la possibilité d'une artério-sclérose de la substance grise
centrale
avec ce syndrome. Celte nouvelle interprétation
asales. Au niveau du huitième segment cer- vical, à gauche du canal
central
, et, plus en bas, dans la première dorsale, aus
mière dorsale n'ayant que quelques courtes interruptions ; le canal
central
est oblitéré et représenté par un petit amas de c
maladie de Dupuytren quand elle se localise dans la substance grise
centrale
de la moelle. 2° La plupart des maladies de Dup
1906. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR . ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
PAR R LASALLE ARCHAMBAULT (Albany, New-York
. Elles LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU . OPTIQUE
CENTRAL
TJG3 prennent leur origine dans la sphère visue
que nous avons expo- sées dans notre mémoire sur le système visuel
central
. Le second grief émis contre nous ne nous paraî
ne part, les fibres que la corticalité occipitale envoie aux noyaux
centraux
occupent la couche sagittale interne et non la
le, etc.) LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
565 Nous ne parlons, bien entendu, que de cette
etenir notre attention. Dans le premier cas (cas Cogery) une lésion
centrale
circonscrite a totale- ment détruit entre autre
re. Cette LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
567 dégénérescence se poursuit dans la couche s
des fibres corticipètes et qu'elles'font partie du faisceau optique
central
que nous avons décrit. Leur localisation dans l
constate deux plaques jaunes anciennes dont l'une occupe la partie
centrale
du cunéus et la lèvre supérieure de la scissure
imètres ; LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
569 cette dernière plaque commence en arrière à
atique mais qui n'en est que plus utile : « à la suite d'une lésion
centrale
ou d'un ramollissement temporal intéressant les c
, etc. ». LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
571 Nous tenons à faire remarquer qu'il s'agit
t à notre LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
z disposition, laissent certainement entrevoir,
uches externe et interne, on pourrait dire sans crainte : la lésion
centrale
a entraîné une grosse dégéné- rescence cellulif
ante que nous l'avons individualisé sous le nom de « faisceau optique
central
ou encore de « faisceau géniculo-calcarinien, »
s nouvelles qui nous paraissent dé- montrer que le faisceau optique
central
possède réellement une parfaite iudivi- dualité
r de noua LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
57H veau sur cette inépuisable source d'erreurs
en faisceau longitudinal inférieur, à savoir, le « laisceau optique
central
». Il suffit de se le représenter(au ni- veau d
as l'intention de préciser ici le pourcentage du faisceau op- tique
central
dans la constitution de la couche sagittale exter
Il ressort nettement de ces considérations que le « faisceau optique
central
» est de souche longitudinale, mais que le mant
proposi- tion synthétique de notre mémoire : « Le faisceau optique
central
s'identifie d'une façon remarquable avec le fai
ions transgressé en désignant par le néologisme. « faisceau optique
central
», le contingent ge- nouillé (qui mérite d'avoi
nous dirons que la similitude des faisceaux py- ramidal et optique
central
(ou géniculo-c31carinien), esquissée déjà par nos
especter. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
577 Que l'on veuille bien nous permettre d'appl
e que (pour ne rien préjuger) nous avons dénommé « faisceau optique
central
» Or, ce contingent est le seul qui rencontre, no
obligations du faisceau longitudinal inférieur. Le faisceau optique
central
est la seule image fidèle du long faisceau dont a
vait rêvé notre antiquité. Suivons maintenant le faisceau optique
central
d'une région à l'autre et voyons jusqu'à quel p
pond à la réalité des faits. En premier lieu, le faisceau optique
central
représente pour nous une entité anatomo-fonctio
evers de la médaille. 578 LASALLE ARCHAMBAULT Le faisceau optique
central
tire son origine du plus important des noyaux de
la couche LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
579 externe de ces fibres verticales entre le c
ons capsulaires. Nous ajouterons que les fibres du faisceau optique
central
occupent environ les deux cinquièmes suivants d
vail ultérieur. Passons à la protubérance de notre faisceau optique
central
, que nous em- prunterons à cette partie du lobe
Iconog., 1906, n° 2, p. 205-208). A ce niveau le fais- ceau optique
central
se dispose en fascicules, comme le fait le faisce
fibres transverses ponto-cérébelleuses, de même le faisceau optique
central
est-il séparé de- l'épendyme ventriculaire par l'
èalleux les fibres du faisceau optique 580 ' LASALLE ARCHAMBAULT
central
se déploient progressivement et se cantonnent dan
excavée mais non moins précieuse. Les fibres du faisceau optique
central
se terminent surtout dans les deux lèvres de la
al ; s'il LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
581 n'est pas périphérique dans le sens propre
La discussion est donc nécessairement extra-cérébrale, mais elle est
centrale
et parfaitement conforme à la caractéristique p
itif. Il se rend au corps quadrijumeau antérieur ; la voie acoustique
centrale
se termine en partie dans le corps quadrijumeau
ensoriel. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
583 On serait douc en présence d'un système qui
s rallions à l'idée qu'un petit nombre de fibres passent des noyaux
centraux
dans la bandelette optique ; nous croyons qu'el
oint de vue de notre comparaison des faisceaux pyramidal et optique
central
, aux cellules des cornes antérieures (cellules mu
e étant sensoriel, il est préférable de comparer le ganglion visuel
central
au noyau acoustique ventral (nerf cochléaire) don
uban de Reil, a comme centre terminal de prime importance, le noyau
central
du thalamus. Nous ne croyons pas que la voie se
Nous ne croyons pas que la voie sensitive in loto reparte de ce noyau
central
pour s'irradier dans l'écorce; certainement que
ait n'est LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
S85 guère douteux ; mais nous croyons qu'elle e
corps genouillé externe est le noyau d'origine du faisceau optique
central
et c'est dans sa partie postérieure et supérieu
e chiasma, supéro-externe dans la bandelette. Le faisceau maculaire
central
est l'équivalent du contingent homolatéral du f
ant et que les voies visuelles di- vergent en se rendant aux noyaux
centraux
. La bandelette passe donc dans l'hémisphère ave
ssurales. LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
S87 D'après les auteurs le faisceau maculaire s
e visuel intra-cérébral, que nous avons dénommé, « faisceau optique
central
» ou « faisceau géniculo-calcarinien ». Ce faisce
s volumineux que le faisceau pyramidal, de même le faisceau optique
central
est-il certainement plus développé que la bande
les noyaux des cordons postérieurs. Cependant le faisceau optique
central
est sensiblement moins volumineux qu'il ne para
., 1906, n° 2, p. 205-208 et Cas Roll, p. 190). Le faisceau optique
central
prend naissance au niveau de la base, mais il est
parcours extra-cérébral de son premier neurone. Ainsi que le trajet
central
du nerf auditif, de la racine sensitive du trijum
tal pour s'irradier dans l'écorce calcarinienne. Ce faisceau visuel
central
ressemble beaucoup à la voie pyramidale d'un ni
Ceci nous ramène il la considération du trajet du faisceau optique
central
au niveau du lobe occipital ; il reste en effet
ume ou de qualité. Il en est absolument ainsi du faisceau optique
central
. Ses fibres font partie intégrante des couches
Roll. (Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 190). Le faisceau optique
central
se termine uniquement dans l'écorce du cunéus e
ccipitale LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
589 représente le faisceau pyramidal croisé (en
vite à établir cette similitude de trajet entre le faisceau optique
central
et les faisceaux médullaires de la voie pyramid
ide dès que l'on aborde le renflement lombaire. Le faisceau optique
central
présente les mêmes variations de trajet, de vol
tale) des couches sagittales. Ces deux segments du faisceau optique
central
sont exposés comme le sont les deux faisceaux d
; nous croyons avoir démontré suffisamment que le faisceau optique
central
est au niveau de l'hémisphère ce qu'est la voie
de la voie visuelle, nous avons donné le nom de « faisceau optique
central
» afin de rendre au contingent très impor- tant
laire qui LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE
CENTRAL
591 n'intéresse que le,, faisceaux pyramidal di
ect et pyramidal croisé, de même une lésion circonscrite des noyaux
centraux
ou de la partie antérieure du lobe temporal ne
ons de démontrer, dans un prochain article, que le faisceau optique
central
existe tel que nous l'avons représenté au début,
ault. Le faisceau longitu- dinal inférieur et le faisceau optique
central
(suite et fin) (6 pl.. G sch., 7 flg.), 1031118
), par A. Marie, 412. Faisceau longitudinal et faisceau optique
central
, par LASALLE-ARCHAMBAULT, 561. Faisceau longitu
AMBAULT, 561. Faisceau longitudinal inférieur el faisceau optique
central
(tuile et fin) (6 pl., 6 sch., 7 lig.), par L.1
I, LXIX. Faisceau longitudinal inférieur et le fais- ceau optique
central
(L.1S : 1LLE-AfiCIIAM- BAULT), XXVI11 , XX1X, X
le. La première partie de ce nouveau travail sur le système nerveux
central
est con-sacrée à l'étude de la substance blanche
ive sont donnés dans la description iconographique. système nerveux
central
. La méthode qui m'a paru la meilleure pour bien m
L'INNERVATION L'appareil de l'innervation est formé par une partie
centrale
, le système nerveux cérébro-spinal, nommé aussi c
hérique ou corticale des hémisphères et la substance grise des noyaux
centraux
. § 1. — La substance grise périphérique du cerv
ine très mince et transparente (1). § 2. Substance grise des noyaux
centraux
— La substance grise forme, dans la masse médulla
forme, dans la masse médullaire du cerveau vers la région médiane et
centrale
de la face interne de chaque hémisphère, deux gro
re de Vicq-d'Azyr (PJ. XXVIII, 6, 7 et LU, 11). En outre des noyaux
centraux
opto-striés, on aperçoit dans la substance mé-dul
stance grise et des vaisseaux capillaires entourant une petite cavité
centrale
, contenant parfois de petites concrétions calcair
bstance grise, reliée par des fibres nerveuses médullaires à un noyau
central
de substance grise. article i. - substance gris
stance grise corticale ou périphérique et la substance grise du noyau
central
. § I. La substance grise du cervelet forme à sa
arrondies, pourvues de prolongements. § %. Substance grise du noyau
central
. — La substance grise forme en outre à l'intérieu
disposition arborescente, ramifiée dichotomiquement jusqu'à la région
centrale
de chaque circon-volution cérébelleuse, connue so
cellules de la substance grise corticale, se groupent en un fascicule
central
autour de l'axe de chaque foliole. Ce fascicule s
ce grise, que ces cordons entourent comme une coque, occupe la région
centrale
de la moelle et se prolonge, dans toute son étend
la moelle. Sa partie antérieure renferme sur la ligne d'axe le canal
central
de la moelle. Ce canal s'étend de la cavité ven
de substance grise, disséminés symétriquement de chaque côté du canal
central
, au milieu des fibres nerveuses à direction ascen
de ces pyramides (Microphotographie, Pl. G, fig. IV). , La colonne
centrale
médullaire a donc été subdivisée, par la décussat
aites dans des plans successivement plus élevés montrent que le canal
central
de la moelle se rapproche de plus en plus de la p
niveau du calamus scriptorius. La colonne grise qui entoure le canal
central
s'étale largement sur le plancher de cette cavité
protubérance (Microphotographie, PL C, fig. IV). La substance grise
centrale
se condense ensuite autour de l'aqueduc de Sylviu
. La substance grise de la moelle, qui est demeurée contiguë au canal
central
après la décussation des cordons de la moelle, fo
a couche optique. A la base du ventricule moyen, la substance grise
centrale
s'épaissit, constitue une masse cendrée appelée t
rcularis. § 4. En outre des ganglions olfactifs, la substance grise
centrale
du névraxe donne origine à une autre formation ga
eure qui traverse un ganglion et va se rendre dans la substance grise
centrale
des tubercules quadrijumeaux. La substance gris
dans le bulbe et la protubérance la continuité de la substance grise
centrale
médullaire, on trouve dans la partie encéphalique
veuses groupées en faisceaux pris-matiques autour de la colonne grise
centrale
de la moelle subissent une modifi-cation profonde
s cordons se groupent par conséquent dans le bulbe, en avant du canal
central
, contre le raphé médian. Une portion des cordon
re les régions motrices des noyaux opto-striés du cerveau et le noyau
central
de la substance grise des lobes du cervelet. Le
eaux capillaires nombreux dans cette région. c. Faisceau médullaire
central
de la circonvolution. Fig. III. — Cellules géan
t. a. Zone profonde ou couche granuleuse. b. Substance médullaire
centrale
axile de la circonvolution cérébelleuse. c. Dis
6 à 9 [/. de diamètre. Planche G. ¦* Fig. I. — Substance grise
centrale
de la moelle épinière (région dorsale). a. Corn
moelle épinière (région dorsale). a. Corne postérieure. b. Canal
central
de la moelle. c. Substance médullaire. d. Rac
. Groupes de cellules multipolaires. b. Trame de la substance grise
centrale
de la moelle épinière. c. Racines antérieures d
(coupe faite immédiatement au-dessus du collet du bulbe). a. Canal
central
du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures.
pe auniveau de la région inférieure des olives bulbaires). a. Canal
central
du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures.
e [coupe auniveau de la région moyenne de F olive bulbaire), a. Canal
central
du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures.
aqueduc de Sylvius avec le ventricule moyen et, en bas, avec le canal
central
de la moelle épinière. 16. — Coupe de la protub
présentant les fibres arciformes du raphé médian, la substance grise
centrale
du bulbe (18) et un faisceau blanc à la région po
tion des pyramides postérieures (24). En avant est la substance grise
centrale
qui se continue avec la substance grise du planch
rpose également entre ces deux ordres de fibres. La substance grise
centrale
du bulbe se continue nettement à ce niveau avec l
s genouillés occupent la région postérieure de la masse ganglionnaire
centrale
. La substance grise du corps genouillé externe, q
ellules nerveuses qu'elle renferme, se dirigent toutes vers la région
centrale
; les fibres commissurantes passent sur la ligne
res. 11 s'étend, en arrière du centre médian, vers la substance grise
centrale
de l'axe. 7. — Substance grise du noyau intra-v
rsion dans la substance grise. Le corps strié occupe seul la région
centrale
des hémisphères. Sa tête plonge dans la corne fro
dans les cellules nerveuses qu'elle renferme. 17. — Substance grise
centrale
étalée sur les parois du ventricule moyen. 18.
tenant aux pédoncules cérébelleux supérieurs. 16. — Substance grise
centrale
tapissant les parois du ventricule moyen. 17. —
X). Entre ces deux segments est le raphé médian, la substance grise
centrale
de Taxe, qui se continue avec celle du plancher d
. La section de la région moyenne du cervelet montre la disposition
centrale
de la substance médullaire à l'intérieur de chacu
e de la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise
centrale
du plancher du ventricule moyen, le tuber cinereu
x. 18. — Substance grise interpédonculaire. 19. — Substance grise
centrale
du névraxe. 20. — Cavité du quatrième ventricul
s commissurantes) ; un second faisceau, médian, croise, sur la région
centrale
du chiasma, son homologue de la bandelette opposé
en ; il constitue la portion la plus antérieure de la substance grise
centrale
de l'axe cérébro-spinal ounévraxe. 6. — Tubercu
t inférieures. Ces divers ordres de fibres se dirigent vers la région
centrale
, puis se dissocient. Les fibres convergentes se p
à découvert. Cette excavation est constituée par l'évasement du canal
central
de la moelle; sa forme est celle d'un losange que
se continue en haut avec l'aqueduc de Sylvius et en bas avec le canal
central
du bulbe. Ce sillon représente la tige du calamus
us est le sommet de cet angle. A l'embouchure du sillon et du canal
central
du bulbe, est une petite fossette nommée ventricu
une couche de sub-stance grise en continuité avec la substance grise
centrale
du bulbe et de la moelle ; elle repose en avant s
ontinuité en haut avec l'aqueduc de Sylvius et, en bas, avec le canal
central
du bulbe rachidien (14). 16. — Fibres médullair
ons médians postérieurs, limités sur les côtés par la substance grise
centrale
du bulbe (17). XXXVII. — Encéphale dont on a dé
apparaît la coupe de la glande pinéale, présentant une petite cavité
centrale
qui n'est pas constante; parfois on y rencontre d
ntricule (12, Pl. XXXIV), se terminant en bas à l'embouchure du canal
central
du bulbe. Ce sillon sépare les deux colonnes gris
olonne blanchâtre, très nette, dessinant un V dans Ja substance grise
centrale
. Les fibres des cordons médians postérieurs se
pour laisser passer les cordons latéraux de la moelle. 24. — Canal
central
du bulbe. 25. — Portion antérieure des cordons
entriculaire du trigone, bande-lettes géminées. 16. Substance grise
centrale
du névraxe. 17. — Noyaux d'origine des nerfs mo
rieur et supérieur. 29. — Cornes postérieures de la substance grise
centrale
de la moelle. 30. — Olives bulbaires. Les corps
eurs et des cordons postérieurs de la moelle. 26. — Substance grise
centrale
de la moelle (cornes postérieures). 27. — Olive
eur épanouissement dans cette substance grise. 20. —Substance grise
centrale
, tuber cinereum. 21. — Fibres spinales antérieu
du centre antérieur ; elle est limitée en bas par la substance grise
centrale
qui forme le plancher du ventricule moyen. La p
ui plongent en bas, dans la couche optique et dans la substance grise
centrale
du plancher du ventricule moyen où ils sont attei
rdres de fibrilles blanches : les unes émergent de la substance grise
centrale
, ce sont les racines blanches internes ou courtes
nerfs olfactifs; on remarque que la substance grise occupe la région
centrale
et l'angle supérieur, tandis que la substance bla
la scissure olfactive, montrant sa forme triangulaire et la situation
centrale
de la substance grise. Gavoy. — Encéphale. 20
Ces lames sont tapissées sur leurs deux faces par la substance grise
centrale
qui s'étale, depuis l'aqueduc de Sylvius, sur la
ntrant la forme triangulaire et la substance grise située à la région
centrale
. LV. — Coupe verticale transverse passant par l
se du cerveau.................... 8 § 2. Substance grise des noyaux
centraux
................. H a) couche optique...........
cale des lamelles................. 23 § 2. Substance grise du noyau
central
.................. 24 Article 2. — Substance bla
E ILLUSTRE MAITRE VULPIAN PRÉFACE L anatomie du système nerveux
central
est avant tout une ana- tomie de texture : suiv
stomotique de Gerlach a vécu et le système nerveux, périphérique et
central
, apparaît constitué par une série de neurones s
euro-·pith6liales de l'endoderme. Neurones périphé- 1.jCf1WS et
centraux
des Invertébrés. milieu de cellules de soutèn
erveux, à direction cen- te, entrent en connexion avec les neurones
centraux
(fig. 2). es neurones centraux ou du système mu
trent en connexion avec les neurones centraux (fig. 2). es neurones
centraux
ou du système musculaire, ont une tendance à se
rilles nerveuses. )ans toute la série des Invertébrés, les neurônes
centraux
entourent épithélium cutané renfermant les cell
renflement ganglionnaire. Ces col- entourent la substance ponctuée
centrale
de Leydig à laquelle leur prolongement nerveux pr
rtébrés dont la situation est ils profonde. cellules des neurones
centraux
peuvent affecter des formes varia- e sont des c
1 Substance ponc- tuée de Leydig. Neurones périphé- riqucs et
centraux
chez les Vertébrés. Névraxe des Ver- zèbres
table feutrage de fibrilles nerveuses : c'est la substance ponctuée
centrale
de Leydig, le netrropilème de His; mais elles con
onne vertébrale, pour, «ffi-^1 a stituer les ganglions Les neurones
centraux
concourent- à former Taxe cérébro-spinal ou le
ière, le mode d'agencement et de connexion réciproques des éléments
centraux
qui l'engendrent, mais encore d'après la spéciali
ansmettent les impressions et d'après la constitution des appareils
centraux
qui reçoivent ces dernières. Le mode d'agenceme
e du pédoncule, et sera décrit avec cette partie du système nerveux
central
. La troisième partie de cet ouvrage comprendra
ube nerveux, le trajet des fibres nerveuses dans le système nerveux
central
restait encore inabordable aux histologistes, e
nous permette d'étudier la texture si compliquée du système nerveux
central
. Or, tandis que la structure de ce système, a f
n chez des animaux différents de P¡F ? dwJP.88'S du système nerveux
central
; la Pathologie expérimentajti ? \}}t ? I61eq ? f
t dans son segment périphérique et restait normale dans son segment
central
; au contraire, la racine sensitive était altérée
; au contraire, la racine sensitive était altérée dans son segment
central
, le segment attenant au ganglion persistant intac
G. Cette méthode est basée sur le fait que, dans le système nerveux
central
, les différents systèmes de fibres se recouvrent
r déterminer dans la moelle et en général dans le sys- tème nerveux
central
le trajet de certains faisceaux. Mais cette métho
s périphériques, et le développement des parties du système nerveux
central
, auxquelles aboutissent les nerfs appartenant à
de l'anatomie comparée il l'étude de l'anatomie du système nerveux
central
peut fournir de précieux renseignements. Mais au
e davantage, puis on le sacrifie. On fait durcir le système nerveux
central
, et on le coupe en séries au microtome, d'après
al, Edinger, Phisalix, Held, etc. Enfin, l'étude du système nerveux
central
dans les cas d'arrêt de déve- loppement ou de m
Kaufman, Hoffmann, etc. Il. MODES DE PRÉPARATION DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
1. Ouverture du crâne et extraction du cerveau.
par le pied de la couronne rayonnante, et respecterles noyaux gris
centraux
. Dans ses pesées, Meynert séparait le manteau d
, à un centimètre de distance les unes des autres. Si la lésion est
centrale
, on la mettra en évidence à l'aide de ce dernie
précision très relatif, la topo- graphie d'une lésion corticale ou
centrale
, ainsi que la disposition des dégénérescences s
ici l'hémisphère en trois tronçons, c'est que, dans le cas de lésion
centrale
de l'hémisphère, les seules dégénérescences vra
région de la calotte. Lorsqu'il n'existe pas de lésion corticale ou
centrale
, que le foyer siège dans la protubérance ou le
ert à étudier, à l'aide de coupes, des fragments du système nerveux
central
ou périphérique. Méthode d'Exner. - Les pièce
baume de Canada, sont traitées comme les coupes du système nerveux
central
. Dans les deux cas, enfin, au sortir de l'acide o
ède de la manière suivante : on enlève avec soin le système nerveux
central
en entier, moelle et cerveau, la dure-mère comp
soient applicables à l'étude de la structure fine du système nerveux
central
, et les découvertes faites à l'aide de ces méth
ES CENTRES NERVEUX. placée par une plaque d'ébonite, avec ouverture
centrale
et diaphragme iris. Ce microscope est muni d'
. - GOLGI. Sulla strutura delle fibre nervose midollete periferiche
centrale
. (Archiv. per les sciences medic.), 1880. Vol.
5. - Mercier. Technique microscopique des coupes du système nerveux
central
. Paris, 1894. Nissl. Neurologisches CeK< ! Yd6
Rôle des vésicules dans le développe- ment du système uer- veux
central
. FiG. 12. - Coupe transversale d'un embryon de
La moitié antérieure de cette gouttière est parcourue par l'artère
centrale
de la rétine et sa branche hyaloïdienne. Après la
nt, et ce changement de direction entraîne une déformation du canal
central
, qui n'affecte plus la forme d'une fente anté
hue, qui tient à une légère pénétration de la voûte dans le canal
central
(fig. 26). Les sillons latéraux divisent les
blanche anté- rieure. - Cal, cordon antéro-latéral. - Ce. ca- nal
central
.- CL, corno latérale.- Fa, formation arlplée. -
t losans-ique ' elle occupe la partie antc- rieure élargie du canal
central
et s'é- tend du bord antérieur du faisceau ova-
t des modifications importantes dans la partie postérieure du canal
central
. Celui-ci s'oblitère d'arrière [en avant, par a
lativement petit au centre le la moelle (fig. 29 et 30). Le canal
central
se termine ilors en arrière par une pointe dr
mé aux dépens des éléments des deux parois juxta- posées du canal
central
; les fibres du cordon de Goll n'apparaissent
la disparition complète du prolongement postérieur effilé du : anal
central
. L'évolution de la substance gri- se et de la
a, commissure antérieure. - Cal, cordon antéro-latéral. - Ce, canal
central
. - CL, corne late- rale. - CP, corne postérieur
om- missure antérieure. Cal, cordon antéro-latéral. - Ce, ca- nal
central
. - CL, corne latérale. -CI', corne postérieure.
com- missuro antérieure. Cal, cordon antéro-latéral. Cc, ca- nal
central
. - CL, corne latérale. - CP, corne posté- ricur
rébelleux, la première région donne nais- sance aux ailes du lobule
central
et au lobe cunéiforme ou quadrilatère ; la deux
fournit : la lingula couchée sur la valvule de Vieussens, le lobule
central
qui envoie de chaque côté et en avant du lobe c
du lobe cunéiforme supérieur une petite languette, l'aile du lobule
central
; puis le monticule ou emmenée du vermis, qui se d
ns, chez lesquels le cerveau anté- rieur, en particulier le manteau
central
, est réduit à sa plus simple expres- sion, en s
de Sylvius. - B, bulbe. bc, bourrelet de la) calotte. - Ce, canal
central
. - CI, cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moy
ération pie-mérienne, en un appendice conjonctif du système nerveux
central
. Le lobe antérieur, véritable appa- reil glandu
primaire et destinées à montrer le mode de formation des ganglions
centraux
, de la capsule interne, du corps calleux et du
veloppement, destinées à montrer le mode de formation des ganglions
centraux
, de la capsule interne, du corps calleux et du tr
ma des nerfs-optiques. 126 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Région
centrale
de la face interne ou lobe limbique de Broc
interne peuvent, en résume, se diviser en deux régions : une région
centrale
ou interne, qui entoure le sillon ammo- nique f
ent du huitième mois. (D'après V. 111halkovic.) B, bulbe. - C, lobe
central
. - Cv. cervelet. - F, lobe frontal. - FI, pc ci
commencement du huitième mois. (D'après V. Mihalkovicz.) C, lobe
central
. - F, lobe frontal. - 7 ? 1" circon- volution f
CHAPITRE III HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX I. - SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
Cellules neuro-épi- théliales. Membrane lim
e) Conpes correspondant aux u-, 8° et 3° Irotovertvhres. Cc, canal
central
. - CG, cordon ganglionnaire. - LC, lame corubo.
rants ; elle entoure les noyaux, forme à elle seule le prolongement
central
ou interne des cellules épithéliales et constit
le nom de névroglie, la charpente de soutènement du système nerveux
central
n'a été bien connue que depuis les travaux de Dei
stitue à elle seule tout le tissu de soutènement du système nerveux
central
, ou si ce tissu de soutènement contient du tissu
authner, avaient déjà constaté que les cellules épithéliales du canal
central
envoyaient de longs prolongements, qui, gagnant
c'est-à- dire à l'union des parties antérieure et latérale du canal
central
, présentent Cloison primitive i do His. ! i
(D'après G. Retzius.) -- Ca, cône épendymaire antérieur. -Ce, canal
central
. -Cp, cône épendymaire postél'ieur. -Ep, cellules
ndymaire postérieur (Retzius), insigni- fiant, qui s'étend du canal
central
à la périphérie de la moelle. Le canal central
qui s'étend du canal central à la périphérie de la moelle. Le canal
central
de la moelle ne conserve pas pendant longtemps la
ent, postérieur de la lame alaire, qui limitent en arrière le canal
central
définitif, se réunis- sent en un épais faisceau
postérieurs, perdent nécessairement leurs connexions avec le canal
central
; elles se transforment toutes en cel- lules de
s. Il résulte de ce fait, ainsi que de la trans- formation du canal
central
épendymaire en une cavité circulaire, que toute
qu'une minime partie de la charpente névroglique du système nerveux
central
. La plus grande partie est formée en effet par
lules névrogliques proviennent des cellules épithé- liales du canal
central
, - et cette opinion est défendue par Ramon y Caja
s cellules araignées géantes, situées dans la substance gélatineuse
centrale
, et caractérisées par les dimensions considérable
its, indivis et rayonnés, qui s'étendent très loin, autour du canal
central
, et qui forment un épais feutrage circulaire au
transforment, après l'oc- clusion de la partie postérieure du canal
central
, en cellules araignées de Deiters, qui prennent
al, en cellules araignées de Deiters, qui prennent non pas le canal
central
, mais bien, ainsi que Kolliker Scpta névrogli-
s épithéliales et cellules névrogliques géantes au voisinage du canal
central
. (D'après v. Lenhossek.) HISTOGENÈSE DU SYSTÈ
dans laquelle ils pénètrent quelquefois jus- qu'au niveau du canal
central
(fig. 90 et 93). Dans la couche granuleuse de l
branche périphérique se continue avec un nerf sensitif, la branche
centrale
avec une fibre radi- culaire postérieure. Les c
ne, par une extrémité libre légèrement renflée. Leur prolongement
central
représente une fine fibre nerveuse, qui se réun
risations libres. - n, libres nerveuses provenant du prolongement
central
des cellules ol- factives ( ? ,z). - e, partie
t plexiforme (fig. 105, 111). Les cylindres-axes du système nerveux
central
se terminent donc tous par une extrémité libre,
ie constituante de la cellule nerveuse, que celle-ci soit d'origine
centrale
ou ganglionnaire. Forel, en se basant sur les r
ue d'un nerf sec- tionné ou détruit dégénérait seul, et que le bout
central
ne présentait aucune espèce d'altération; on sa
la dégénéralion et la régénération des nerfs sectionnés, que le bout
central
subit également d'importantes modifications. Ra
ment d'importantes modifications. Ranvier a montré que dans le bout
central
d'un nerf sectionné, la striation du cylindre-axe
thode des déé- nérescences secon- daires. Altérations du bout
central
d'un nerf sec- tionné. Travaux de Kan- vier
c dans toute son étendue : son bout périphérique dégénère, son bout
central
avec sa cellule d'origine s'atrophie. L'atrophi
ut central avec sa cellule d'origine s'atrophie. L'atrophie du bout
central
et de la cellule d'origine semble donc séparer
orel, par ses expériences sur l'animal adulte, a montré que le bout
central
et la cellule d'origine présentent constamment de
, puisque la libre HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. HO radiculaire
centrale
et la fibre périphérique résultent d'une division
généres- cences montrent donc que la fibre nerveuse périphérique ou
centrale
, motrice ou sensitive, s'altère dans toute la l
EUIIONE, et Kolliker sous celui de neurodeudron. Le système nerveux
central
ou périphérique n'est donc constitué que par un
c (Ep) et y reçoit les impressions sensitives et dont le cylindre-axe
central
pénètre dans la moelle où il s'arborise libreme
nit jamais deux cellules nerveuses; le cylindre-axe périphérique ou
central
se termine toujours, soit par des arborisations t
e est à peine différenciée du protoplasma, probable- ment d'origine
centrale
, qui entoure le cylindre-axe et qui est connu sou
uvertes récentes dans l'anatomie et l'histologie du système nerveux
central
. Annales de la Société belge de microscopie. To
The Structure and Conzbination of the Histological Eléments of the
Central
nervous Systems. Bergens Muséums Aarsberetuing.
fois même transparente, comme au niveau de la substance gélatineuse
centrale
et de la substance gélatineuse de Rolando ; sa
ésente une consistance autrement ferme que celle du système nerveux
central
. Le degré de consistance tient en grande partie
eux cen- tral, la consistance est faible. Dans le système nerveux
central
, le mode de répartition des substances " blanch
forme des amas disséminés dans son épaisseur. La substance grise
centrale
se présente sous l'aspect d'une longue colonne,
nd du cône médullaire jusqu'au corps calleux. Elle entoure le canal
central
de l'épendyme, s'élargit, s'étale et s'entr'ouvre
tion des substances blanche et grise, dansicsystëmoner- veux
central
. Substance grise centrale. 1 Substance gr
che et grise, dansicsystëmoner- veux central. Substance grise
centrale
. 1 Substance grise périphérique. Ganglion
se aux ganglions encéphaliques et ces derniers à la substance grise
centrale
. L'ensemble des fibres qui relient l'écorce cér
fibres qui relient les ganglions encéphaliques à la substance grise
centrale
con- stitue le système de projection de 2" ordr
c'est-à-dire par l'ensemble des fibres qui relient la substance grise
centrale
, aux organes de la périphérie du corps. A côt
jection directe qui relie l'écorce cérébrale à la sub- stance grise
centrale
et qui comprend entre autres le faisceau pyramida
es années, on divisait les éléments constitutifs du système nerveux
central
en deux variétés : les éléments nerveux propremen
Golgi, cette division des éléments constitutifs du système nerveux
central
, en éléments nerveux et en éléments non nerveux
constitution anatomique des différents éléments du système nerveux
central
, dont nous allons rapidement passer en revue les
ux, d'après Cajal, Retzius, Sala et Kolliker, au voisinage du canal
central
, dans la substance grise sous-épendymaire, par
s cellules épendymaires qui tapissent les parois latérales du canal
central
; et tous les auteurs admettent en général, à l'
tance grise. La névroglie existe à l'état de pureté autour du canal
central
de la moelle et à la périphérie de la moelle et d
euses soit du système nerveux périphérique, soit du système nerveux
central
, en fibres à myéline et fibres sans myéline. Le
s do structure des tubes nerveux à myéline du système nerveux
central
et des nerfs périphériques. Dans les centres
évraxe. Germano, Cajal, admettent cependant dans le système nerveux
central
l'existence d'étranglements annulaires de Ranvi
est constante dans tous les tubes nerveux de la substance nerveuse
centrale
. Ranvier a montré, en effet, que les tubes myél
t des éléments nerveux, on rencontre encore dans le système nerveux
central
du tissu conjonclifvéritable. Ce tissu con- jon
bin soit 111lC 'ail]c lymphatique. 0 Dans le système nerveux
central
. le tissu eonjonctif n'e- . xiste' ql1 : auto
ier, Cours du Collège de France, inédit). Dans le système nerveux
central
, le tissu conjonctif ne se rencontre qu'autour
inter-tubulaire. En résumé donc, les vaisseaux du système nerveux
central
sont entourés de deux gaines de nature différen
ig. 124). La cellule des ganglions rachidiens occupe donc la partie
centrale
d'un segment intcr-annulaire, et les noyaux qui
Mire la plus prêle de la division Icn T est toujours la rilirc
centrale
. Pour Cajal et Van la cellule des ganglions
l et v. Gehuchten, que la fibre la plus grêle est toujours la fibre
centrale
, c'cst-a-diro celle qui entre dans la consti- t
tinuation directe du prolongement cellulaire, de sorte que la libre
centrale
n'apparaît que comme une branche collatérale.
collatérale. Mais Cajal, se basant sur le fait que le prolongement
central
possède à un degré plus accentué que le prolong
ules unipolaires des ganglions rachidiens, elles occupent la partie
centrale
d'un segment inter-annulaire, et la gaine de myél
Sala, que les cellules nerveuses adultes des ganglions sympathiques
centraux
des mammifères sont comparables en tous points
ontre sur ses bords un double contour bien marqué et un large ruban
central
(fig. 127). Le double contour correspond, ainsi q
pond, ainsi que Ranvier l'a montré, à la gaine de myéline, le ruban
central
au cylindre-axe. Mais le calibre du tube n'est
or- respond très exactement, ainsi que Ranvier l'a montré, au ruban
central
du tube à double contour. Le cylindre-axe ne s'
néralement aplatis. Les arborisations terminales occupent la partie
centrale
du corpuscule, elles sont entourées d'un grand
re granuleuse vaguement striée, cavité connue sous le nom de massue
centrale
. Le nerf qui aborde le cor- puscule de Pacini e
sules emboîtées; cette gaine limel- leuse s'étend jusqu'à la massue
centrale
, et porte dans son trajet capsulaire le nom de
ont saillants dans l'intérieur de la capsule. En abordant la massue
centrale
, le nerf qui occupe l'axe de cette dernière per
nveloppes lamelleuses et sa gaine de myéline, en abordant la massue
centrale
; mais toutes ses gaines se reconstituent au pôl
ite à un nombre très restreint de capsules, et contenant une massue
centrale
relativement volumineuse, composée entièrement
convolution pariétale ascendante de circon- volution rolandique, ou
centrale
postérieure (Pa). L'extrémité supérieure de la
ue. Lc pli fronto-pa- riétal supérieur for- me le lobule para
central
. I,olo ceniral d'1 ? c- kcr. Circonvolution
cending fronlal gyrus (Turner). - Gyrus centralis anterior, V01'de/'c
Central
windung (Henle, Ecker). - Circonvolution transv
. Les deux circonvolutions ascendantes ou centrales forment le lobe
central
d'Eckcr. Leur situation, leur direction vertica
eur de l'hémisphère, et se termine en arrière, dans le lobule para-
central
(Parc) ou ovalccire. Elle est entaillée plus ou
convolution frontale.-ot, scissure collatérale. Pn)'c. lobule para-
central
. po, scissure pariéto-occipitale. - Porc, précuné
elles sont formées d'une mince écorce grise et d'une partie blanche
centrale
, et reçoivent les radiations de la substance bl
3. Bord ou pli falciforme de Broca (Seuil de l'insula).. Sf Lobe
central
(d'Ecker) C. Sillons : " 1. Scissure de Rolan
taire. (,lande pituitaire. 3°Losange opto-pédonculaire ou losange
central
. - Limité en avant par les deux bandelettes et
-pédonculaire. Le tuber cinereum, fait partie de la substance grise
centrale
du troisième ventricule qu'il ferme en arrière
, lobe antérieur et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le, lobe
central
du cervelet. - Lia, lobe antero- inférieur du c
rieurs du trigone et du faisceau de Vicq d'Azyr, et d'un noyau gris
central
, qui se continue en haut avec la substance gris
noyau gris central, qui se continue en haut avec la substance grise
centrale
, qui tapisse le fond du ventricule moyen. Gudden
i tapisse le fond du ventricule moyen. Gudden a montré que ce noyau
central
renferme deux groupes cellulaires, l'un externe
térieure, la région du pied du pédoncule ; la troisième, externe et
centrale
, la région, de la calotte du pédoncule. 1° Le p
e l'étage su- périeur dupédoncule(tey- mentum) occupe la partie
centrale
et externe de la coupe des pédoncules cé- réb
er. - /Vm, noyaux de la troisième paire; (na,nc), noyaux antérieur et
central
; nEIV, noyau de Westphal-Edingcr. - NR, noyau r
hères cérébraux sont reliés entre eux, au niveau de leur par- - tie
centrale
, par tous les organes qui constituent le seuil ou
le des hémisphères, circonscrit autour de son seuil ou de sa partie
centrale
(fig. loi). Le seuil de l'hémisphère comprend :
lobe antérieur ' et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le, lobe
central
du cervelet. - Lia, lobe antéro- inférieur du c
v, .surface extra-ventriculaire du thalamus. - Sgc, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous-épendymairc. Si, s
ont encore décrits sous . le nom de corps opto-strie's ou de noyaux
centraux
des hémisphères ; ils appartiennent au tronc en
lig. 199). Les formes, les connexions, les rapports des noyaux gris
centraux
soit - entre eux, soit avec la capsule interne,
icule moyen ou troisième ventricule. 6° Corps oplo-striés ou noyaux
centraux
. 7° Capsule interne. 1° Corps calleux. Lors
rminent, ainsi que Gudden et Forel l'ont montré, dans le noyau gris
central
de ce tubercule. Toute la partie des piliers an
ntricule (V3), et comme telle est recouverte par la substance grise
centrale
(Sgc), et par l'épendyme ventriculaire (fig. 201)
, revêtue d'une mince couche de substance grise, la substance grise
centrale
(Sgc); la région inférieure, ou région de l'inful
, lobe antérieur et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le, lobe
central
du cervelet. - Lia, lobe antéro-inférieur du ce
Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sgc, substance grise
centrale
. Sge, substance grise sous-épendymaire. - SI, sep
du troisième ventricule; elle est recouverte par la substance grise
centrale
(Sgc) et tapissée par l'épendyme. En avant elle a
, sectionnée il sa partie supérieure, et qui présente un noyau gris
central
, la partie supérieure du noyau externe entouré d'
face extra-ventriculairc de la couche optique. Sge, substance grise
centrale
. - SI, septum lucidum. - l ? 1·.=, première et de
ure de Sylvius. sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise
centrale
. Sge, substance grise sous-ependymaire. - T,, T3,
x parties. La partie antérieure est tapissée par la substance grise
centrale
(Sgc) du troisième ventricule (VJ. La partie post
complètement séparé de la corne frontale (Vf). La subs- tance grise
centrale
(Sgc) tapisse la face interne de la région sous-o
ure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - S7c, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise' sous-épendymaire. Sih,
ieur. RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sge, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous-épendymairc. T, ,
Aq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. - s
On trouve dans cette région limitée en dedans par la substance grise
centrale
(Sge) du troisième ventricule (Va) différents n
ans, par l'anse du noyau lenticulaire (Al). Dans la substance grise
centrale
(Sge), on trouve la section perpendiculaire de
e de l'aqueduc de Sylvius (SAq) qui fait suite à la substance grise
centrale
(Sge) du troisième ventricule. Dans le pulvin
est limitée en dedans par le dernier vestige de la substance grise
centrale
(Sgc), qui entre déjà dans la constitution du t
et auxquelles nous renvoyons. Il n'en est pas de même de la partie
centrale
. La bandelette optique (II) est ici sectionnée
imitée en avant par l'aqueduc de Sylvius (Aq) et la substance grise
centrale
de l'aqueduc (SgAq). Le pied du pédoncule céréb
- RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. - Sge, substance grise
centrale
. -Sge, substance grise sous-épendymaire. so, sill
e inférieur. - Sec, sillon du corps calleux. - Sge, substance grise
centrale
. SrJ), S(v), brandies postérieure et. verticale
s). - pri, sillon prérolandique infé- rieur. - Syc, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous-épcndymaire. - SI, s
trouve, en effet, une couche de substance grise, la substance grise
centrale
(S-c), dans laquelle 29 lie 2t5. - Coupe vert
che postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, subs- tance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous-vpendymaire. - Spa,
inférieur du ventricule, il est en rapport avec la substance grise
centrale
(Sge). Sa face profonde envoie au putamen (NL3)
dullaire externe (lme) du noyau lenticulaire et de la substance grise
centrale
(Sge) par le segment antérieur de la capsule in
rée. Par son extrémité interne, elle plonge dans la substance grise
centrale
(Sgc), tandis que son extrémité externe atteint
e ? surface extra"ven- triculaire du thalamus. Sgc, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous-épendy maire. SI,
internes, se recourbent en haut, pénètrent dans la substance grise
centrale
(Sge) et se terminent dans les régions inférieu
e appartient à la région sous-thalamique. Dans la sub- stance grise
centrale
(Sgc), qui concourt à la former en grande partie,
nte une face interne verti- cale, recouverte par la substance grise
centrale
(Sge) et qui concourt à former la paroi latéral
xe, surface extra-vcntriculaire du thalamus. - Sge, substance grise
centrale
. - S,e, substance grise sous-ependymaire. - sM, s
du thalamus. - sec, sinus du corps calleux. - .S'c, substance grise
centrale
. Sge, substance grise sous-épendymaire. sJl, sill
ec la zone réticulée (Zr). Limitée en dedans par la substance grise
centrale
(Sgc), la région sous-optique est en rapport : en
t très peu accusé (fig. 248), il se confond avec la substance grise
centrale
(Sgc) et n'appa- raît, comme noyau distinct, qu
. - Le bord supérieur de l'hémisphère est formé par le lobule para-
central
(Parc) et la circonvolution frontale ascendante (
e et sphénoïdale et il l'étage supérieur du ventricule. Noyaux gris
centraux
. -Le,, coupes nos 92 et 93 (fig. 256 et 257 intér
(coupe n° 107), le forceps major se place bientôt dans la partie
centrale
du cunéus (itcl etC), au sur et il mesure que
ieto-occipitalc. - L,, première circonvolution limbique. - Le, lobule
central
du cervelet. s - Lg, lobule lingual. - Lia, lob
ieure. On reconnaît au niveau du vermis : la lingala (Lig), le lobule
central
(Le), le culmen (VCu) et le declivum (VDc) du v
e Ro- lando. - scc, sinus du corps calleux. - Sfle, substance grise
centrale
. si, sillon opto-strié. - sa, sillon sus-orbita
du noyau lell- ticulaire (Al), qui le sépare de la. substance grise
centrale
(Sgc). Au-dessous du corps de Luys, s'étale en
a corne (1'tîiti)ioii (CA) et le noyau amygdalien (NA.) Noyaux gris
centraux
. Le noyau caudé (NC) est sectionné dans toute s
les plexus choroïdes de la corne sphénoïdale (Pchsl'h). Noyaux gris
centraux
. Le noyau amygdalien (NA) limite la paroi anté-
lement, comment Meynert a pu décrire au noyau lenticulaire un pôle
central
et un pôle périphérique; le pôle central répond
noyau lenticulaire un pôle central et un pôle périphérique; le pôle
central
répondant il la face supérieure du putamen (NL3
hérique, mais il ne présente pas, comme le croyait Meynert, un pôle
central
, et les fibres qui semblent s'irradier dans le pu
es latérales de la fente cérébrale de Bichat (B). - . Noyaux gris
centraux
. La tête et le tronc du noyau caudé ont disparu,
il leur coloration et à la direction de leurs fibres. Noyaux gris
centraux
. Des trois segments du noyau lenticulaire, le p
igne 37 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors des noyaux gris
centraux
, elle est tangente au bord externe de la corne
es fibres du faisceau uncinatus. 4° La constitution des noyaux gris
centraux
-corps opto-striés et région sous-optique. 50
nsforma- tions successives de la capsule interne et des noyaux gris
centraux
. Nous y suppléons largement par nos deux séries
rizontales macrosco- piques. Ces coupes intéressent les noyaux gris
centraux
, la capsule interne, la région sous-optique et
ès une photographie.) 522 ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX. ganglions
centraux
. Autour de la substance grise sous-épendymaire, o
ehors du pilier antérieur du trigone (Tga) et de la substance grise
centrale
(Sge) qui tapisse le troisième ventricule. Ces fi
tique (II) de l'anse du noyau lenticulaire (Al). La substance grise
centrale
(Sgc), qui tapisse le troisième ventricule et se
yone (Tg). Au-dessus du sillon de Monro (sM), la substance grise
centrale
(Sgc) est très réduite, elle recouvre en effet
de Gratiolet. - scc, sinus du corps cal- leux. .Sc, substance grise
centrale
. Sge, substance grise sous-épendymaire. - sM, sil
llon collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral. - Parc, lobule para
central
. - pCR, pied de la couronne rayonnante. P.VL3,
ure de Sylvius.- sec, sinus du corps calleux. S,gc, substance grise
centrale
. Sge, substance grise sous-épendymaire. strz, s
1"i[I'o(le : CI ? de Meynert (FM), recouvert par la substance grise
centrale
(sage) qui tapisse le troisième vell- tricule (
de Gratiolct. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise snus-épendymaire. z , S
otte du pédoncule, l'aqueduc de Sylvius^ (Aq) et la substance grise
centrale
de l'aqueduc divisent cette région en deux partie
SgAr/, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise
centrale
. Sge, sub- stance grise sous-épendymaire de 'la
sur- stance innominée de Reichert (Sti) au-dessous des noyaux gris
centraux
, et au-dessus du noyau amygdalien. Les fibres
quelques fibres, mais même des groupes de fibres. Dans la partie
centrale
seule de la coupe, il existe de véritables faisce
sée par une épaisse couche de sub- stance grise, la substance grise
centrale
(Sgc); elle fait partie du troisième vcn- 606 A
exv, surface extra-vcntriculaire du thalamus. S{le, substance grise
centrale
. si, sillon opto-strié. Si, septum lucidum. strz,
Vers la partie moyenne du troisième ventricule, la substance grise
centrale
envoie à la paroi interne du côté opposé une lang
uvert d'une couche de substance grise superficielle; dans sa partie
centrale
, on reconnaît déjà l'exis- tence de ses trois z
au. - R1·h· raclialinns optiques de Gratiolet. Sgc, substance grise
centrale
. SI, septum lucidum. T,, première circon- volut
alotte RTh, radiations optiques de Gratiolet. S,gc, substance grise
centrale
. Sge, substance grise sous-cpcndymairc. - Sih, sc
1</, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sgc, substance grise
centrale
. Sue, sub- stance grise sous-épcndymaire. Sli,
en dedans du noyau rouge apparaît, à l'union de la substance grise
centrale
du troisième ventricule (Sgc) avec la substance g
iverticule, le diverticille du subiculum (ds), qui occupe sa partie
centrale
, et autour duquel se réfléchissent t la substan
sur celles des deux séries précédentes (Il et III), les noyaux gris
centraux
, la capsule interne et toutes les parties const
Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sge, substance grise
centrale
. s<) ? stratum zonale. T,, première circonvo
noyau lenticulaire (Al). En dedans de lui, dans la substance grise
centrale
(Sgc), du troisième ventricule (V3) se trouve l
xv, surface cstra-vcntri- culaire du thalamus. Sge, substance grise
centrale
. Sti, substance innominée de Rei- chcrt. strz,
x», surface extra-ventriculaire du thalamus. Sge, sub- stance grise
centrale
. Spa, espace perforé antérieur. Spp, espace perfo
externe reçoit le faisceau thalamique de Forel (Fth); de la partie
centrale
et antérieure de la capsule du noyau rouge, se
de Meynert (FM), tou- jours sectionné obliquement, occupe la partie
centrale
du noyau rouge. Le corps de Luys (CL) a augment
inealis. IiTh, radiations optiques de Gratiolet. Sgc, substance grise
centrale
. Spa, substance perforée antérieure. Spp, subst
médiane il existe un petit noyau impair, allongé, formant le noyau
central
; en dehors, de chaque côté du faisceau longitud
e grise de l'aqueduc. En dedans du noyau latéral, en arrière du noyau
central
ou médian, on trouve de chaque côté un petit no
ate nettement que le tubercule olfactif est formé d'une masse grise
centrale
, entourée de fibres à myéline fortement colorées,
s cas de dégénérescence totale du pédoncule par lésion corticale ou
centrale
. Arrivées au niveau du bord supérieur de la pro
supérieures des circonvolutions rolandiques et dans le lobule para-
central
, son minimum, au pôle occipital. Lorsqu'on exam
ion et probablement d'autres libres nerveuses, venant des ganglions
centraux
ou des centres infra-corticaux ; 6° Les colla
ations libres. - 11, libres nerveu- ses provenant du prolongement
central
des cellules olfactives ( ? ? ). - e, partie su
mes cylindres-axes dans le tractus. - I, fibre centrifuge. - L, fibre
centrale
terminale. - La pointe des flèchesindique le se
b., 1891. BETZ. Auatomischer Nachiveis zweier Gcltirncentra. Medic.
Central
]] ? 1874. BLUME-.\.1U. Zur Entwickelugsgeschichlc
s fibres de projection qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions
centraux
, à la région sous-optique, à la protubérance, a
res nerveuses, provenant des différentes régions du système nerveux
central
. D'après Golgi, les ramifications de ces fibres s
de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sgc, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous- épendymaire. SgPo
éro-externe du ventricule et peut être suivie jusqu'aux noyaux gris
centraux
, où elle retentit sur les fibres radiées du pulvi
e de la commissure antérieure est tapis- sée par la substance grise
centrale
du troisième ventricule (Sgc), et croisée obliq
otte. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sgc, substance grise
centrale
. - Sge, substance grise sous-épondymaire. Sih,
. GuBDEN. Exp81;imentelle Untersuchungen uber das peripherische und
centrale
Nervensystem. Arch. sur Psych. und ^ervenkrank,
zoologique suisse,"t. V, Genève, 1890. - KAIILER (0.). Die nervôsen
Central
.organe, in Todt's Gewebelehre. 3 Aufl. 1886. KAUF
ne des cellules ganglion- naires de la corne antérieure. I. Canal
central
. J. Racines antérieures. K. Racines postérieu
stérieur. F. Sillon antérieur. G. Faisceau postérieur. H. Canal
central
. 1. Commissure antérieure. J. Commissure post
érieure. L. Faisceau antérieur. Figure 4. MOELLE NORMALE. Canal
central
. Coupe pratiquée dans la région cervicale supér
ervicale supérieure, et colorée par la méthode de Weigert. Le canal
central
et ses cellules y sont vues à un fort grossisseme
ostérieur. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur. II. Canal
central
. 1. Commissure antérieure. J. Racine postérie
latéral droit un peu altéré. D. Commissure antérieure. E. Canal
central
. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur.
par la méthode de Pall. Les lésions sont localisées dans la partie
centrale
de la substance grise des cornes antérieures, e
térieure. C. Racine postérieure. n. Sillon postérieur. E. Canal
central
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
. B. Corne postérieure altérée. C. Racine postérieure. D. Canal
central
. E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieu
ure. C. Racines antérieures. D. Commissure antérieure. E. Canal
central
. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur.
la corne. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Canal
central
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
térieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Canal
central
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
téré. E. Racine postérieure. F. Commissure antérieure. G. Canal
central
. H. Sillon postérieur. I. Sillon antérieur.
B. Corne postérieure. 1 C. Racine postérieure sclérosée. D. Canal
central
. E. Commissure antérieure. F. Sillon postérie
C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon postérieur. E. Canal
central
. F. Sillon antérieur. G. Cordon latéral. IL
térieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Canal
central
. F. Commissure grise. G. Sillon antérieur.
érieures. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Canal
central
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
térieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Canal
central
. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérie
e et colorée par la méthode de Pall. On voit la cavité pathologique
centrale
et relativement considérable, ainsi que la sclé
moelle est presque complètement détruite par le néoplasme. Une cavité
centrale
est étalée transversalement, dans laquelle se d
eur. (1. Faisceau antérieur. IL Cavité pathologique. Il'. Canal
central
. /. Faisceau latéral. J. Paroi de la cavité.
et colorée a I'llclllal0r'lllle. Il existe une cavité considérable
centrale
et cordiforme limitée par une paroi bour- geonn
latéral. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur. 77. Cavité
centrale
. 7. Paroi du âliome. J. Substance du gliome.
et colorée par le noir d'aniline et le carmin. Il existe une cavité
centrale
de moyenne dimension ; la préparation est surtout
1-. Sillon postérieur. G. Cordon postérieur sclérosé. H. Cavité
centrale
. /. Paroi du gliome. .1. Substance du gliome
H. Cavité centrale. /. Paroi du gliome. .1. Substance du gliome
central
. K-K. Masses gliomateuses situées dans les fais
recroisement dos pyramides et colorée par le picrocarmin. La cavité
centrale
est entourée de très peu de substance gliomateuse
térieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Canal
central
entouré d'un peu de tissu gliomateux. F. Comm
lement cervical et colorée par le picrocarmin. Il existe une cavité
centrale
avec paroi, et de plus un foyer cavitairc dans la
tie postérieure, d'un aspect cordiforme, gagnant la substance grise
centrale
. A -.1. Cornes antérieures, celle de droite est
les cordons antérieurs. C. Sillon antérieur. D. Substauce ;;rise
centrale
. E. Processus réticulaire. F. Sillon postérie
rée par la méthode de Pall. On voit que le fibrome occupe la partie
centrale
de la moelle, dont la substance tassée est cons
sco (Société de Biologie et Archives de Neurologie, 1890). Nature
centrale
de la paralysie spinale aiguë de l'adulte (Bullet
couvert et comme enveloppé d'une couche de substance grise. La partie
centrale
est formée par une masse de subs-tance blanche da
culaires et où apparaissent comme enclavés les noyaux gan-glionnaires
centraux
, à savoir les couches optiques et les corps strié
s: A, cire, frontale ascendante (cire, pariétale anté-rieure ou cire,
centrale
antérieure) ; — F1, F2, F -\ première, deuxième e
— B, cire, pariétale ascendante (cire, pariétale postérieure ou cire,
centrale
postérieure); — P l, lobule du pli pariétale; — P
troncs artériels que naissent les artères nourricières des ganglions
centraux
: corps striés et couches optiques. Ces artères
isseaux nourriciers. — Système des artères centrales ou des ganglions
centraux
. Artère sylvienne ; ses branches : artères des
centraux. Artère sylvienne ; ses branches : artères des noyaux gris
centraux
; — bran-ches corticales, ramifications et arbori
substance médullaire sous-jacente. Le second système est le système
central
ou des ganglions centraux (masses grises centrale
-jacente. Le second système est le système central ou des ganglions
centraux
(masses grises centrales). Les vaisseaux qui entr
mé par delà substance blanche. Ce sont là les artères des noyaux gris
centraux
ou, d'une façon plus spéciale, les artères du cor
ons de l'insula. — P, branches perfo-rantes destinées aux noyaux gris
centraux
. — 1, artère de la circonvolution de Broca, ou fr
M. Ch. Robin. Ce caractère les distingue des vaisseaux des ganglions
centraux
qui s'en-foncent dans la substance .blanche de la
spé-cialement le siège de certains ramollissements lacunaires séniles
centraux
. 2° Les artères nourricières courtes ou cortica
icières. Nous verrons encore que le système des artères des ganglions
centraux
est construit tout entier et rigoureusement sur c
fin de la branche hori-zontale de la scissure de Sylvius. — G sillon
central
. — A. circonvolution centrale antérieure. — B, ci
le de la scissure de Sylvius. — G sillon central. — A. circonvolution
centrale
antérieure. — B, circonvolution centrale postérie
central. — A. circonvolution centrale antérieure. — B, circonvolution
centrale
postérieure. — F F 2, F 3, circonvolutions fronta
e circonvolution frontale vue du côté du plan médian. — fin du sillon
central
. — A, circonvolution centrale anté-rieure. — B, c
du côté du plan médian. — fin du sillon central. — A, circonvolution
centrale
anté-rieure. — B, circonvolution centrale postéri
entral. — A, circonvolution centrale anté-rieure. — B, circonvolution
centrale
postérieure. — P Avant-coin (Vorz-wickel). — O z,
apsule interne). Sommaire. — Circulation artérielle des noyaux gris
centraux
. — Hémorrhagie intra-encéphalique. — Différences
réquence dans les parties centrales. Origine des arlèpes du système
central
. —Altères terminales ; leurs carac-tères.— Indépe
; leurs carac-tères.— Indépendance des systèmes artériels cortical et
central
. — Analogies entre les artères de la protubérance
ogies entre les artères de la protubérance, du bulbe et des ganglions
centraux
. — Leur mode d'origine explique la prédominance d
ppeler votre atten-tion sur la circulation artérielle des noyaux gris
centraux
. Vous savez que, sous ce nom, on désigne les couc
oublié, Messieurs, comment les artérioles qui constituent le système
central
naissent de chacun des trois gros troncs artériel
mais il ne faut pas la pousser trop loin, car les artères du système
central
, dès leur point de départ, se dirigent perpendicu
e les artères nourricières corti-cales et les artères des noyaux gris
centraux
: les premières, en effet, sont, à proprement par
, des vaisseaux d'un certain calibre. Un autre caractère des noyaux
centraux
c'est que, selon l'acception donnée à ce mot pa
e et de distribution des artères de la protu-bérance et des ganglions
centraux
, une des raisons d'ordre mécanique, capables d'ex
partiments dont la réunion forme ce qu'on pourrait appeler le système
central
, par opposition au système cortical. Rappelez-v
, nerf optique et son ganglion optique. —A, commissure dans la cavité
centrale
de la masse de substance grise. — G, pilier desce
A ces faisceaux qui, du pied du pédoncule, se rendent aux noyaux gris
centraux
, succèdent dans la partie supérieure de la capsul
re — ces divers faisceaux rattachent à l'écorce grise les noyaux gris
centraux
; 4° les faisceaux directs qui, du pied du pédonc
cule, se rendent à l'écorce grise sans s'arrêter dans les noyaux gris
centraux
. On peut, dans la capsule interne elle-même et
naissance à un lacis inextricable qu'on appelle la substance blanche
centrale
. Nous nous rendrons prochainement un compte exact
ce qui regarde d'abord les lésions isolées de chacun des noyaux gris
centraux
, sans participation de la capsule interne, nous n
Les symptômes qui accompagnent ces lésions limitées aux noyaux gris
centraux
, sont ceux Yhémiplègie cérébrale vul-gaire. Celle
ns la majorité des cas, la paralysie liée aux lésions des noyaux gris
centraux
porte sur le mouvement seul; les troubles de la s
sitives venues du côté opposé du corps. Emanés du pied du pédoncule
central
, ces faisceaux, au sor-tir delà capsule, vont con
ricules latéraux. (Meynert 1 composent pour une bonne part la masse
centrale
blanche appelée centre ovale, que l'écorce grise
u même de l'hémisphère tout entier qui s'ob-servent lorsqu'une lésion
centrale
en foyer s'est développée chez de très jeunes suj
1) Le siège qu'occupe cette bande varie suivant le siège de la lésion
centrale
elle se rapproche d'autant plus du bord interne d
parties frontalesd'un lobe, sans affecter directement les noyaux gris
centraux
non plus que la capsule interne. Dans ce cas, il
a scissure de Rolando,HR.— G,capsule interne émergeantdelamasse grise
centrale
, contre l'un de l'autre. L'un, le premier en da
res de formation : l'un siégerait dans un point quelconque des noyaux
centraux
, il serait le premier par l'âge ; l'autre aurait
ondaires du faiceau pyramidal que lors-qu'elles intéressent la région
centrale
ou rolandique du man-teau de l'hémisphère. En deh
icale d'un embryon humain de six semaines. (Grossiss. 50). — G, Canal
central
. — E, Revêtement épithé-lial de ce canal. — G, Su
E, Portion amincie de substance nerveuse fermant en arriè-re le canal
central
(d'après Kolliker). Or, cette autonomie des deu
mois. — a, Cor-nes antérieures. — 6, Cornes postérieures. — c, Canal
central
. — d, Raci-• nos antérieures. — e, Racines postér
s, H. H, des cordons postérieurs, C, représente l'épithélium du canal
central
(d'après Kolliker). Fig. 70. — Coupe transversa
bryon de neuf à dix semaines (Grossiss. 35). — E, Epithélium du canal
central
. — E, Obli-tération de ce canal, sa partie postér
es qui mettent en rapport des étages très-éloignés de substance grise
centrale
. Par en haut, ce système de fibres commissurales
est toujours suivie de la dégénération du bout périphérique, le bout
central
restant indemne : donc le centre trophique de ces
e, c'est-à-dire 14 portion attenante au ganglion, mais bien la partie
centrale
, celle qui tient à la moelle, et la dégénération
èse de l'irritation des éléments ganglionnaires de la substance grise
centrale
, au contact des extrémités des fibres nerveuses d
traumatismes portant sur les membres affectés sera transmise à l'axe
central
soit par les nerfs centripètes cutanés, soit par
ues et les cellules sensitives on œsthésodiques constituent la partie
centrale
des divers systèmes diastaltiques, par la voie de
ement à la com-missure antérieure, et qui, arrivées en avant du canal
central
, pourraient être suivies, jusqu'à une certaine di
régions bien distinctes. Ainsi, à ce point de vue, la substance grise
centrale
doit être distin-guée des cornes ou colonnes de s
s et occipitales étaient grêles et durs, et les sillons précentral et
central
très larges et très profonds. • Des corps granule
isseaux nourriciers. — Système des artères centrales ou des ganglions
centraux
. Artère sylvienne: ses branches : artères des n
centraux. Artère sylvienne: ses branches : artères des noyaux gris
centraux
; — bran-ches corticales, ramifications et arboris
apsule interne). Sommaire. — Circulation artérielle des noyaux gris
centraux
. — Hémorrhagie intra-encéphalique. — Différences
réquence dans les parties centrales. Origine des artères du système
central
. —Artères terminales ; leurs carac-tères.— Indépe
; leurs carac-tères.— Indépendance des systèmes artériels cortical et
central
. — Analogies entre les artères de la protubérance
ogies entre les artères de la protubérance, du bulbe et des ganglions
centraux
. — Leur mode d'origine explique la prédominance d
es ou ganglionnaires, 59 ; — Indépendance des systèmes corti-cal et
central
, 59 ; — Branches de Charcot. Œuvres- complètes,
types, 330 et suiv. Avant-coin, 38. Avant-mur, 8, 298. Axe gris
central
, 378. B Bandelettes optiques, 127; — leurs ra
de tension du système artériel, et les oscillations de la température
centrale
, dans les cas où l'état local ne fournit pas d'in
ux sont ronds, aplatis aux pôles, et que tous deux possèdent un noyau
central
entouré d'une atmosphère 2. Pendant ce temps, l
offre tous les indices d'un refroidissement considérable, la chaleur
centrale
se maintient à un degré très élevé ; la thermomét
e in-crustée. c'", Toute la cellule est claire, sauf un petit noyau
central
. 4° Arthropathies goutteuses. — Les lésions de
gleterre, en Irlande, en France, en Allemagne, et dans toute l'Europe
centrale
. Mais il paraît exister aussi dans les pays chaud
trie rectale, chez les vieillards. — Désaccord entre la température
centrale
et la température extérieure. — Avantages de la t
rds, dans l'état pathologique. — Limites extrêmes de la température
centrale
au-dessus et au-dessous du chiffre normal. — Des
ils l'histoire de plusieurs affec-tions chroniques du système nerveux
central
, qu'il nous est donné d'observer dans cet asile s
provoquant un abaissement réel de la température. Or, cette algidité
centrale
ne peut être sûre-ment reconnue qu'à l'aide du th
ernières limites de l'âge sé-nile. Ainsi, en résumé, la température
centrale
est la même chez les vieillards que chez l'adulte
tances les plus variées. Ainsi, chez les vieillards, la température
centrale
présente seule de la fixité, la température axill
vèle dans tout son jour le désac-cord qui existe entre la température
centrale
et la tempé-rature extérieure, dans l'âge sénile.
ards, dans l'état pathologique, a. Limites extrêmes de la température
centrale
au-dessus et au-dessous du taux normal. — Mes-sie
énoncer quelques-uns de ces faits princi-paux. Io Si la température
centrale
, à un moment quelconque d'une maladie et quelle q
ation est déjà des plus critiques. Si l'élévation de la température
centrale
au-dessus d'un certain point annonce par elle-mêm
ison morbide ou de toute autre cause. L'élévation de la température
centrale
est un des résultats sensibles des actes de chimi
z l'homme comme chez l'animal, élever artificiellement la température
centrale
, et produire par conséquent, un état au moins for
qu'à la condition expresse que, pendant l'expérience, la température
centrale
ne s'élève pas au-dessus d'un certain niveau, qui
nt foudroyés, et l'on rapporte des cas de ce genre, où la température
centrale
, au moment de la mort, se serait élevée jusqu'à 4
sieurs, toujours la morta lieu, en pareil cas, lorsque la température
centrale
a dépassé de 4 ou 5 degrés le taux normal, chez l
animaux soumis à l'ex-périence, l'élévation extrême de la température
centrale
a été le grand agent de la terminaison fatale.
a mort survient, à la suite d'une élévation extrême de la température
centrale
. Pour ceux où la chaleur fébrile se tient pendant
ins accen-tuée et pendant un temps plus ou moins long, la température
centrale
, et même au plus fort de l'état fébrile. Ainsi ag
s vraisemblable, cette conclu-sion que l'exaltation de la température
centrale
constitue, par elle-même, dans la fièvre, un dang
es expérien-ces de Fourcault et d'Edenhuizen, toujours la température
centrale
s'abaisse, et en même temps les mouvements respi-
avoir reconnu que, dans la vieillesse l'exal-tation de la température
centrale
ou son abaissement jus-qu'à un certain niveau ont
termittent. De l'élévation rapide et considérable de la température
centrale
qui sur-vient, à l'époque de la terminaison fatal
ésentaient ordinairement un remarquable abaissement de la température
centrale
, une algidité vraie, état bien digne de fixer l'a
1). II. De l'élévation rapide et considérable de la température
centrale
QUI SURVIENT a l'éPOQUE de la terminaison fatale
rus-quement, à un moment donné, une élévation énorme delà température
centrale
. Permettez-moi de m'arrêter quelques instants à l
accompagnent habituellement l'élévation en question de la température
centrale
. Celle-ci atteint prompte-ment 41, 42 degrés, que
ut récemment, dans un cas de tétanos avec élévation de la température
centrale
, observé chez l'homme et terminé par la mort, M.
as, on observe une élévation rapide et très accusée de la température
centrale
. Or, quelque attention qu'on ap-porte à l'autopsi
idement aux fesses et la malade meurt le sixième jour. La température
centrale
a augmenté chaque jour pour arriver à 42 degrés 2
, sans plaie extérieure, la mort survenir rapidement : la température
centrale
s'était élevée à 40°, 9. Nous retrouvons ce mêm
rance et de la moelle allongée, presque aussitôt après la température
centrale
s'élève brusquement et atteint, au bout de deux o
a clinique des vieillards Sommaire. — Abaissement do la température
centrale
dans certaines affections des vieillards. — Cholé
tomatique du cancer. — Aliénation mentale avec dépression. — Algidilé
centrale
de cause médicamenteuse : sulfate de quinine, dig
tances putrides. — Septicémie avec fièvre. — Septicémie avec algidité
centrale
. Action de la bile. — Abaissement de la tempéra
ature au-dessous du chiffre normal (1) ; de telle sorte que Valgidité
centrale
(c'est ainsi que nous désignerons l'état qui nous
renseignements fournis par la ther-mométrie axillaire, la température
centrale
ne varie pas en général. C'est là un fait dont j'
lié plusieurs mémoires qui montrent que, dans Yurémie, la température
centrale
présente un abaissement régulier de la températur
ties externes ne va pas jusqu'à dépasser le cbiffre de la température
centrale
, si ce n'est peut-être dans un cas, celui d'une i
ut s'élever de quelques dixièmes de degré au-dessus de la température
centrale
. Les expériences récentes de Weber sont venues en
t la chaleur des parties pro-fondes. 1. Mais revenons à Yalgidité
centrale
. Je vous ai déjà dit qu'elle se montre très rarem
ns les cancers gastri-ques et hépatiques qu'on observe cette algidité
centrale
. En dehors de ces circonstances, dans les formes
'incident survenant dans le cours des maladies aiguës, que l'algïdité
centrale
est intéressante à étudier. Et d'abord, recherc
ffet d'amener une dépression plus ou moins profonde de la température
centrale
. C'est surtout lorsqu'ils sont pris à des doses é
e médica-ments et de poisons ont le pouvoir d'abaisser la température
centrale
, un nombre très limité d'agents, au contraire, a
ouville, produit un véritable état fébrile dans lequel la température
centrale
peut s'élever jusqu'à 40 degrés. Nous placerons
expérimentation physiologique, ont pour effet d'élever la température
centrale
, et de produire un véritable état fébrile avec fr
commu-niqués à la, Société de biologie : Abaissement delà température
centrale
par froid extérieur (1871, p. 1) ; tais; et l
roduira la fièvre, quelle autre, au contraire, déterminera l'algidité
centrale
, car sous ce nom de matières putrides ou septique
11 est, en effet, des septicémies avec fièvre, d'autres avec algidité
centrale
. Parfois même ces deux états, en appa-rence oppos
tantôt par une fièvre intense, tantôt, au con-traire, par l'algidité
centrale
. Nous observons fréquemment cette succession de p
urtout la gangrène revêt la forme humide, on peut voir la température
centrale
s'abaisser progressivement jus-qu'à 35, 36 degrés
ner si rapidement un abaissement aussi considérable de la température
centrale
? On suppose qu'elles ont pour effet de détruire
ermine à la fois un arrêt du cœur et un abaissement de la température
centrale
(Leyden, Rôhrig). L'expérimentation a même fait c
s, déterminent le ralentissement des mouvements du cœur et l'algidité
centrale
. On sait que, contrairement à l'opinion ancienn
lleurs, le ralentissement du pouls et l'abaissement de la température
centrale
peuvent s'observer. Rôhrig [Archiv dcr Heilkimd
l'action du cœur tendent à produire un abaissement de la tempéra-ture
centrale
. On comprend facilement qu'un allanguissement de
ilante du sang artériel. Or, dans les cas de ce genre, la température
centrale
s'abaisse, et elle s'abaisse même d'une manière t
ns du cœur lui-même s'accompagnant d'une diminution de la température
centrale
, je puis vous citer comme exemple un fait de rupt
eure. Nous avons vu plusieurs fois, pendant ces accès, la température
centrale
s'abaisser à 3o, 36 degrés, et l'accès passé se r
n observe aussi quelquefois un abaissement nota-ble de la température
centrale
, il en est de même dans la péritonite. Les observ
grande membrane séreuse, déterminer un abaissement de la température
centrale
. Rien n'est plus réel cependant. Ainsi, une péric
i en général, du moins momentanément, l'abaissement de la température
centrale
. A la vérité, ce n'est pas là un résultat constan
st un résultat assez habi-tuel. Ajoutons qu'en pareil cas, l'algidité
centrale
peut par-fois persister ou progresser jusqu'à la
nerveux se traduisent d'abord par un état lipothymique avec algidité
centrale
, suivi ou non de réaction. Magendie a démontré
is, qu'en pareil cas, il se produit un abaisse-ment de la température
centrale
(2). A la suite de certaines lésions traumatiqu
les veines. En même temps, il y avait abaisse-ment de la température
centrale
. Le même mécanisme peut être invoqué pour expliqu
ons-tances dans lesquelles se produit rabaissement de la tempéra-ture
centrale
. Or, en général, lorsque cette dépression ther-mi
drome collapsus peut se produire aussi dans des cas où la température
centrale
reste normale, ou même s'élève au-des-sus du taux
appareil de symptômes si alarmants ? Ici r examen de la température
centrale
va nous fournir des indications précieuses. 1°
où les phénomènes extérieurs a algidité se produisent, la température
centrale
se maintient à un taux élevé, ou môme s'élève j
s que les symptômes du col lapsus se sont manifestées, la température
centrale
s'est abaissée notablement ou est descendue même
s autres phénomènes qui accompagnent l'abaissement de la tempéra-ture
centrale
. Si le collapsus n'est que l'exagération des sy
res d'une défervescence de bon aloi, en même temps que la température
centrale
s'abaisse, les mouvements de la respiration et le
'un délire intense parexemple (1). Si, au contraire, la température
centrale
s'abaissant, la fré-quence du pouls et des mouvem
pour les expliquer, une af-fection des nerfs moteurs, ou d'une partie
centrale
du sys-tème nerveux? Certainement la généralisati
rit et fait dessiner est celui que nous avons représenté. D'une masse
centrale
opaque s'irradient, dans toutes les directions, d
voir pu observer, tout récemment, un goutteux qui porte sur la partie
centrale
de la paupière supérieure gauche une tumeur topha
er dans un état typhoïde avec une élévation notable de la température
centrale
. — Dans un autre cas, bien que les mouvements fus
ométrie rectale, chez les vieillards.— Désaccord entre la température
centrale
et la température extérieure. — Avantages de la t
ards, dans l'état patholo-gique. — Limites extrêmes de la température
centrale
au-dessus et au-dessous du chiffre normal. — Des
termittent. De l'élévation rapide et considérable de la température
centrale
qui survient, à l'époque de la terminaison fatale
trie dans la clinique des vieillards. Abaissement de la température
centrale
dans certaines affections des vieillards. —Cholér
tomatique du cancer. — Aliénation mentale avec dépression. — Algidité
centrale
de cause médicamenteuse : sulfate de quinine, dig
tances putrides. —Septicémie avec fièvre. — Septicé-mie avec algidité
centrale
. Action delà bile.—Abaissement de la températur
ie dans la goutte, 54. 83. Ale, 147; — fabrication, 148. Algidité
centrale
, 298, 331 ; — courte duréedel' —,333334; — dans l
rale, 323, dans les accès épileptiformes et apoplecti-formes, 323 ; —
centrale
, 30, 269, 331; — dans la pneumonie, 31. 36; — dan
aux polynévrites, ne se confondront pas avec des troubles d'origine
central
; quant an dia- gnostic de paludisme il se fera
et postérieurs, hypertrophie du tissu embryonnaire autour du canal
central
. A propos de ce cas et de ceux publiés par Chan
linique permet de placer dans la substance grise entourant le canal
central
, et que, par suite, les lésions de la substance g
x. La même coupe de l'hémisphère gauche révèle contre les ganglions
centraux
une zone triangulaire longue de 2 centimètres,
s altérations disséminées de lasubstance blanche du système nerveux
central
, et des lésions systématiques des racines posté
première. En étudiant la moelle, placée entre le système nerveux
central
et le système nerveux périphérique, avec mission
admissible, si elles ont leur retentissement sur le système nerveux
central
et le système nerveux périphérique. Nous avons
comme pour se soustraire à l'action destructive de la chromatolyse
centrale
. Il se met en contact avec la membrane d'envelo
e, l'autre étant en communication avec le sol. Si on réunit le bout
central
du nerf au muscle au moyen d'un conducteur coll
les. En dehors de la faradisation généralisée et de la voltaïsation
centrale
préconi- sées par Beard et Rokewell, M. R. Vigo
u conclure : 1° que le courant alternatif provenant d'une station
centrale
est bien supporté par le malade à la condition qu
et des gros ganglions, avec localisation principale autour du canal
central
. Dégénérescence des racines postérieures et des
pas d'altération limitée du système des fibres qui unit l'extrémité
centrale
du nerf optique à l'oculomoteur; si celte partie
tte allure indique la probabilité d'une lésion du système nerveux
central
. L'auteur fait remarquer que la sclérose des mu
me dans les glandes lymphatiques, ni ailleurs. Le système nerveux
central
(excepté le bulbe qu'on n'a pas pu conserver vu
même sort est subi par les racines extramédullaires. Dans la partie
centrale
, la substance médullaire manque sur une grande
endant un examen plus minutieux permet de distinguer dans la partie
centrale
de la coupe les contours de la moelle; ils 1
rées. La moelle comprimée revêt l'aspect d'un polygone. La partie
centrale
est détruite par la néoformation qui paraît y avo
arois épaissies, pour la plupart aussi hyalines. Cette néoformation
centrale
occupe principalement la moitié droite de la mo
rieure très élargie. Tout près de celle-ci commence la néoformation
centrale
, séparée cependant de la périphérique par une b
on voit un amas de grandes cellules épithélioïdes - c'est le canal
central
oblitéré. Dans la néoplasie centrale l'attentio
pithélioïdes - c'est le canal central oblitéré. Dans la néoplasie
centrale
l'attention est attirée par un contour sinueux,
(fin. 9) la coupe offre un aspect tout particulier : dans la partie
centrale
de la moelle se trouve une grande cavité de for
iltrée et riche en vaisseaux ; cette couche contient aussi le canal
central
tapissé de grandes cellules épitéhliales qui ne
de la néoformation sarcoma- teuse. Pas de dépendance entre le canal
central
et la cavité ci- dessus décrite. La configura
on aperçoit une fente sinueuse (l'extrémité supérieure de la cavité
centrale
), très étroite, paral- lèle à la corne postérie
us voyons donc les deux lésions médullaires (la cavité et la tumeur
centrale
) quoique juxtaposées, mais indépendantes. Cette
an sinueux, parallèle à la corne postérieure gauche; dans sa partie
centrale
le tissu est beaucoup plus lâche, par places mê
seaux à parois épaissies, les uns offrant encore une petite lumière
centrale
, les autres complètement oblitérés, ne formant
dullaire, mais dans la moitié opposée de l'organe, dans la partie
centrale
du faisceau de Burdach droit. Les deux processus
s faisceaux de Goll dégénérés (dégénération ascendante). Le canal
central
, tout en conservant sa localisation normale, est
la moelle apparaît de nouveau comprimée et déformée. Dans sa partie
centrale
l'amas de cellules sarcomateuses persiste en fo
ure en forme d'un large coin détruisant le tissu nerveux. La partie
centrale
de la moelle est aussi défor- mée : ou y voit d
et des fibres névrogliques lassées concentriquement. * Les canaux
centraux
sont à ce niveau très nombreux ; sur maintes co
upe de la moelle au niveau de la VI* racine cervicale. c, c, canaux
centraux
; t, territoires de désintégration; f, c, bandes d
de la névroglie. Cette lésion a particulièrement atteint la partie
centrale
du cordon postérieur gauche : on y voit une gli
breuses. Sur les différentes coupes pratiquées à ce niveau le canal
central
offre des modifications très variées : il est t
toute la moelle, vaisseaux de dimensions extraordinaires. Le canal
central
, en forme de longue fente ondulée, est entouré d'
postérieurs (sans compter les cordons de Goll dégénérés). Le canal
central
est sur les coupes diverses tantôt double, tantôt
ent cervical. L'autre voie suivie par la néoformation est la partie
centrale
de la moelle : elle y a poussé en forme de co-
creuse : on y voit une cavité à parois conjonctives. La substance
centrale
de la moelle cervicale (au niveau des premières
de cellules épithéliales et n'ont guère de connexion avec le canal
central
; ce dernier offre cependant des anomalies : on
partie supérieure, où la 'néoformation se divise en périphérique et
centrale
, c'est dans celle-ci que nous trouvons les vais
inférieure de la moelle, mais elle a donné encore un prolongement
central
implanté comme une tige dans la moelle dorsale.
ne de cette excavation paraît bien simple : c'est la désintégration
centrale
du tissu néoformé; nous aurions alors, comme da
e du tissu néoformé; nous aurions alors, comme dans la gliomatose
centrale
, une syringomyélie résultant d'une sarcomatose.
-dire à l'endroit où la néoformation se répartit en périphérique et
centrale
, on peut voir comme les fibres conjonctives se
ses des traces d'un pro- cessus dégénératif; ensuite dans la partie
centrale
les cel- lules disparaissent formant une fente
m; im- possible aussi de trouver quelque connexion entre le canal
central
et les excavations, le siège de ces lésions resta
- nion de IIofmalln et de Schlesinger- affirmant que toute gliose
centrale
primaire résulte d'une anomalie embryolo- gique
e centrale primaire résulte d'une anomalie embryolo- gique du canal
central
. Dans toutes ses observations anato- miques de
chlesinger a pu constater une connexion entre la cavité et le canal
central
. Notre observation prouve qu'une pareille conne
exion peut faire défaut. , Néanmoins, même dans notre cas, le canal
central
présen- tait des anomalies graves qui, d'après
auteur, dans la moelle prédestinée à une syrin- gomyélie, le canal
central
commence à s'élargir, donne des prolongements o
sités, enfin devient double. Dans notre cas, la dilatation du canal
central
n'était pas très pro- noncée ; quant à la forma
un sarcome ayant pris naissance dans la dure-mère ; dans la partie
centrale
de la moelle sur toute l'étendue de l'organe l'
vêtement épithélial ; une de ces cavités communiquait avec le canal
central
dilaté. D'après l'avis de Kronthal, la syringom
mée jusqu'à certain point par une dilatation compensatoire du canal
central
; mais si cette dilatation fait défaut (le canal
re du canal central; mais si cette dilatation fait défaut (le canal
central
étant par exemple complètement oblitéré), le ti
'une demi-année il a pu constater une dilatation prononcée du canal
central
, accom- pagnée d'une prolifération discrète de
LINIQUE NERVEUSE. chronique produit souvent une dilatation du canal
central
(hydromyélie) et ensuite la syringomyélie, grâc
c'est ce qui fait augmenter d'autant l'aire de la coupe. La partie
centrale
de la moelle est la plus atteinte. le tissu y e
lu- sieurs points ; quoi qu'il en soit, la participation du canal
central
dans ce processus n'est pas obligatoire comme l'a
é n'ait pas été suivi. On devait, en effet, aller visiter la maison
centrale
de Fontevrault où les médecins aliénistes et neur
les lésions organiques qu'elle fait naître dans le système nerveux
central
par athérome, sclérose, etc., mais, aussi, avan
nal, octobre 1897.) L'auteur divise les névrites selon leur origine
centrale
ou péri- phérique. Il distingue parmi ces derni
otographie du monstre. A. M. XXVI. Relations anatomiques DES noyaux
centraux
DES nerfs cochléaires ET vestibulaires; parlFlo
es plus fréquentes des déformations congénitales du système nerveux
central
réside dans l'hydrocéphalie congénitale interne
térieur et latéral. Dans le cas où l'hydrocéphalie atteint le canal
central
, on observe le défaut de développement des arcs
u premier segment cervical, on aperçoit dans la tumeur une cavité
centrale
qui s'étend jusqu'au milieu du troisième segment
, de même que la cavité inférieure, se fond par place avec le canal
central
de la SOCIÉTÉS SAVANTES. 343 moelle, et dan
e de la cavité com- mune est tapissée d'épithélium ; là où le canal
central
est séparé de la cavité précitée, celui-là appa
rdons postérieurs. Dans les régions dorsale et lombaire, le canal
central
est un peu dilaté, par places dédoublé et entou
ules épithé- liales. Immédiatement au-dessus de la tumeur, le canal
central
se dilate rapidement et bientôt occupe les deux
Les auteurs pensent, vu l'existence d'anomalies multiples du canal
central
, que ce sont ces anomalies du canal central qui o
lies multiples du canal central, que ce sont ces anomalies du canal
central
qui ont fourni le terrain sur lequel s'est déve
346 SOCIÉTÉS SAVANTES. par un petit abcès circonscrit); le canal
central
est partout situé en avant de l'abcès. La plus
Le tableau suivant donne, calculée d'après les documents du service
central
, la moyenne des suicides annuels, par mil- lion
font admettre qu'il s'agit d'une formation gliomateuse. Le canal
central
dilaté au niveau du bulbe des régions cervicale
ction, en raison surtout de l'affaiblissement de tous les processus
centraux
, la trans- mission périphérique du courant nerv
rt tant avec le ralentissement périphérique qu'avec l'allongement
central
. Sous l'action prolongée du bromure de potassium,
u purpuriq'ue en rapport probable avec des troubles neurotrophiques
centraux
et périphériques simultanés. A. Marie. CVI. A
léments musculaires, ainsi que les cellules épithé- liales du canal
central
, bleu-sombre. Cette méthode a donné de bons rés
di 1e décembre 1898, à midi, à l'amphi- théâtre de l'Administration
centrale
de l'Assistance publique, avenue Victoria, n° 3
de l'examen histologique complet des altérations du système nerveux
central
cette dernière méthode est la meilleure et la s
névrogliques que l'on observe normalement dans le système ner- veux
central
. Comme morphologie, elles offrent toutes les form
, rond, moins coloré que le protoplasma cellulaire. Le nucléole est
central
. Mats la véritable caractéristique de ces cellu
matique de l'inflammation en général et de celle du système nerveux
central
en paiticulier. Tout cela apparaîtra clairement
la réponse - phénomène inflammatoire particulier au système nerveux
central
des éléments névrogliques à l'agent inflammatoi
A mesure que les éléments constitutifs des foyers d'encé- nerveux
central
; dans les autres organes atteints d'une forte in
lettes ; les cellules inter- calaires (H) au niveau des noyaux gris
centraux
; les radia- tions optiques (1), enfin l'écorce
que nous avons étudiés plus haut. Arrivé au niveau des noyaux gris
centraux
V, ((lg. 26) il se réfléchit et vient faire con
lexe est aujourd'hui assez bien connu ; il comprend les noyaux gris
centraux
de la vision (pulvinar, corps genouillé externe
nisme de ces phénomènes. L'influx nerveux a franchi les noyaux gris
centraux
, est arrivé au niveau du centre cortical. Tant
LOGIE. III. Ajustement des neurones intercalaires des noyaux gris
centraux
. Les noyaux gris de la couche optique sont des
ne se fait pas directement d'un neurone périphérique il un neurone
central
, mais par l'intermédiaire d'une troisième cellu
c absolument comparables aux cellules intercalaires des noyaux gris
centraux
, ou aux spongioblastes de la rétine. On peut do
n de Wer- nicke que toute région corticale représente un territoire
central
de projection pour l'ensemble de la sensibilité
mêmes muscles produisant les mêmes sons, produit par une excitation
centrale
de voisinage due à une lésion du centre verbal,
de laparole subsistant et demeurant actif. Une trop vive excitation
centrale
gêne alors non l'association des idées, au débu
périphériques, mais provoque des modifications dans le prolongement
central
des cellules des ganglions intervertébraux; 4°
ui est représenté par des cellules à noyau excentrique, avec partie
centrale
de la cellule privée des éléments chromatophile
ons en foyer siégeant soit dans l'écorce, soit dans les noyaux gris
centraux
. Ces lésions vont en décroissant à mesure qu'on
. K. LVIII. UNE NOUVELLE méthode DE coloration DU système NERVEUX
central
; par J. Allerhand. (Neurol. Ceztz·ulLl., XVI, 189
nt en contact avec les prolonge- ments protoplasmiques des neurones
centraux
qui, à leur tour, ont des relations avec les ne
le pied des circonvolutions frontales, une partie du lobule para-
central
, et de la circonvolution du corps calleux; 2° la
étachée d'une étude relative à 859 condamnés détenus dans la maison
centrale
de Nîmes. On sait que la pratique du tatouage e
aison de signes cliniques avec des modifications du système nerveux
central
analogues à celles qu'on rencontre dans la para
bulbaire de l'hypoglosse. On est donc obligé de croire à une lésion
centrale
ayant très fortement atteint les racines intra-
u'on entend par système nerveux périphérique d'une part, et système
central
de l'autre. A la suite de celte note une discus
de névrite périphérique liés à des altérations du système nerveux
central
avec troubles trophiques. A. M. XI. Cas DE para
rendue facile par la forme des constructions, pavillons cellulaires
centraux
... tellessont les dispositions spéciales qui do
les visites, et si on est quand même partisan d'un grand par- loir
central
, malgré tous les inconvénients dont nous avons
IRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
. THÉORIE DES NEURONES. par Jules SOURY I. G
u est si intimement liée à celle de l'histologie du système nerveux
central
et périphérique que les travaux des grandes Eco
ourantes sur la texture et la morphologie élémen- taire des organes
centraux
du système nerveux, idées alors em- pruntées à
thode il l'étude histolo- gique d'autres parties du système nerveux
central
, telles que le cervelet et la moelle épinière.
lasma primitif ». Le protoplasma vrai n'existait que dans la partie
centrale
de la cellule nerveuse qui environne le noyau.
s fibres nerveuses dans les diverses provinces du système nerveux
central
, le prolongement nerveux, sans doute d'origine nu
observations des cliniciens sur les fonctions du sys- tème nerveux
central
. Ferrier et Exner avaient vu, comme Tambu- rini
quement, les deux formes d'activité spé- civique du système nerveux
central
ont un siège commun, où leurs éléments se juxta
te thèse ne vaut point, à la vérité, pour tout le système nerveux
central
: Golgi reconnaît que les régions motrices et sen
mêlées et confondues dans toutes les provinces du système nerveux
central
, une loi générale, qui depuis a été souvent vérif
activité spécifique (sensi- bilité et mouvement) du système nerveux
central
». Ainsi, « il 1 aura mélange, dit-il, du siège
central ». Ainsi, « il 1 aura mélange, dit-il, du siège anatomique
central
de la sensibilité tccctileet de l'activité Psyc
ruction locale d'un sens sembleraient bien prouver que ses éléments
centraux
ne sont point disséminés sur toute l'écorce et
sur toute l'écorce et confondus pêle-mêle avec les autres éléments
centraux
de la sensibilité générale et spéciale. La doct
e nerveuse de l'écorce qui, par l'intermé- diaire du réseau nerveux
central
de Golgi ou de Gerlach, serait en rapport avec
nouveau-nés, avant tout exercice notable des sens, si les éléments
centraux
de l'écorce sont fonclionnellement indifférents
l, avec sa seusihibilité élémen- taire, se sont formés les éléments
centraux
des différents sens, est entièrement de plain-p
té, à nier toute anasto- mose entre les éléments du système nerveux
central
: chaque fibre nerveuse n'était que le prolonge
ellule périphé- rique que part le nerf qui gagne le système nerveux
central
, où elle ' V. His. -Zur Gescleiclzle des mensch
fibre sensitive ou sensorielle est périphérique, tandis qu'elle est
centrale
pour le nerf moteur. Dans les deux cas le nerf
f moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la substance grise
centrale
. Mais on n'a point le droit d'appeler sensibles o
ifications fibrillaires, passant directement dans le réseau nerveux
central
de l'écorce ; 2° par la propagation de l'excita
uses des centres supérieurs 1. Quel est donc le siège de l'activité
centrale
du système nerveux, de l'intelligence, de la cons
elligence, de la conscience ? Ce siège serait le réseau fibrillaire
central
de l'écorce. L'étendue et le développement de l
communiquent entre elles dans le vaste réseau du système ner- veux
central
, est un fait incompatible avec la doctrine, ou pl
et du rôle physiologique de son réseau nerveux dif- fus des organes
centraux
du système nerveux. Il y soutient, contre les r
e ce réseau, tous les éléments nerveux, sans exception, des organes
centraux
, entrent dans sa formation, ainsi qu'il a été d
ation caractéristiques pour les diverses parties du système nerveux
central
en rapport avec les fonctions spéciales et distin
l'existence du réseau nerveux, qui envahit toute la substance grise
centrale
, moelle épinière, moelle allongée, noyaux gris
distribution de ces fibres, tout conspire, dans le système nerveux
central
, à rendre plus étendus et plus compliqués les r
A peu d'exceptions près, dit-il, les cellules du système nerveux
central
des mammifères supérieurs paraissent unipolaires,
meau), il est possible que ces trousseaux-là contiennent le système
central
du trijumeau. P.IiERAVAL. IV. DE LA SECTION D
du système vasculaire qui dimi- nue la nutrition du système nerveux
central
. 6° Dans nombre de cas récents on peut constate
ôté. P. KERAVAL. X. SUR LES VOIES LYMPHATIQUES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
; par DALE1VUD0. (Ann. di nev1'ol., allno XIV, f
alformation primitive des éléments de l'ectoderme : système nerveux
central
et périphé- rique et revêtement cutané. L'aut
é la communauté contiguë et a détruit une grande partie du bâtiment
central
. L'église est com- plètement brûlée. Les folles
sence de kystes à épi- thélium avec tumeurs dans le système nerveux
central
jette quel- que lumière sur le mécanisme de la
aractérisé par un dépôt blanchâtre, mou, humide, occupant la partie
centrale
de la langue, lais- sant les bords intacts. Cec
ntes ? D'abord en ce qui concerné la localisation périphérique ou
centrale
, l'anatomie pathologique montre que le système de
IRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
. THÉORIE DES NEURONES'. PAR JULRS SOURY II.
profondément transformé les idées sur l'activité du système nerveux
central
. On donnait le nom de « voies courtes » ou de «
oires de la substance grise que tra- verse son prolongement nerveux
central
, non seulement par les arborisations terminales
que le prolongement d'une cellule nerveuse, soit périphérique, soit
centrale
. Chaque fibre nerveuse, de son origine à sa ter
ces ganglions, courant transmis à la moelle épinière par la branche
centrale
, d'autres courants nerveux encore, provenant pe
ires, puis unipolaires (au moins en apparence), envoient la branche
centrale
de leur prolongement nerveux dans la substance
ièrement dans le cordon latéral. L'existence d'une voie sensitive
centrale
, propageant jusqu'au cerveau les diverses sensa
ui peut rendre raison du mécanisme des fonctions de l'inner- vation
centrale
, de celles de l'écorce cérébrale en particulier,
lules polymorphes. Tous les éléments constituant le système nerveux
central
et péri- phérique sont donc des individus anato
nt périphérique et conduit le courant dans le même sens. La branche
centrale
, plus fine, est un véritable prolongement nerve
duction dont la structure anatomique des appareils périphériques et
centraux
de la vision, de l'audition, de l'olfaction, de
: il y existe bien ainsi une rétine cen- trale, un organe de Corli
central
, etc. Toutefois, dans l'écorce cérébrale, chaqu
miques, du cervelet, du bulbe olfactif, des ganglions acoustiques
centraux
, du lobe optique, etc., présentent constamment la
ie épithéliale demeure à cet état embryonnaire, les prolon- gements
centraux
et périphériques de ces corpuscules s'atrophient,
ment phylogénique. Parmi les différentes parties du système nerveux
central
d'une seule et même espèce, a écrit Sala y Pons
x lois suivantes : 4° sous l'épithélium des ventricules et du canal
central
git toujours une couche épaisse de fibres de né
ge est le plus épais qui existe normalement dans le système nerveux
central
; 2° les surfaces externes du système nerveux cen-
bstance de soutènement, les vaisseaux sont, pour le système nerveux
central
, des corps étrangers au même titre que la pie-
mailles plus serrées dans le cerveau. Dans tout le système nerveux
central
, c'est une règle que toute fibre nerveuse à myé
est déterminée par une maladie infectieuse. Puis viennent la forme
centrale
de la paralysie de Landry, la myélite aiguë à f
disséminées, la sclérose multiple, la myélite transverse. La forme
centrale
de la paralysie de Landry est une maladie du terr
entrales, et par- fois le cerveau est lui aussi atteint. La myélite
centrale
diffuse de Hayem parait-êrte une forme de trans
syphilis provoque si fréquemment la dégénération du système nerveux
central
c'est en outre de l'action spécifique du poison
celles décrites précédemment et siégeant dans la subs- tance grise
centrale
. Dans ces cas il s'agissait aussi d'hémorragies
s d'ictus, des hémorragies siégeant au niveau de la substance grise
centrale
; ces foyers hémorragiques n'étaient pas aussi éte
t sur l'existence de nombreuses hémorragies dans la substance grise
centrale
des épileptiques morts en état de mal, son hypoth
2 2 338 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. prouvé que tout le système nerveux
central
et périphérique consiste dans l'ensemble d'unit
s. En faisant subir à une section quelconque du système ner; veux
central
un durcissement consécutif par des chromates et
axiles, qui est désignée du nom de neurone. Tout le système nerveux
central
et périphérique apparaît à ce point de vue comm
re les impulsions dans les régions sous-jacentes du système nerveux
central
et qui traversent, par exemple, l'hémisphère dr
nt les ondes nerveuses des régions infé- rieures du système nerveux
central
. Nous parlerons des courants centripètes. Nous
voies unissant les appareils périphériques avec le système nerveux
central
, les investigations nouvelles ont donné les rés
inctes : 1° sphère tactile (circonvolutions centrales, lobule para-
central
, partie voisine de la circonvolution du corps cal
nsanity, octobre 1896.) E. B. XXXIII. Coloration du système nerveux
central
EN morceaux ; par G. ILBERG. (neural. Centralbl
ntéressés : dans l'empoisonnement par le trional, c'était la partie
centrale
. M. BEYER (Strasbourg). Les troubles psychiques
parties de l'écorce du cerveau et du cervelet et dans les ganglions
centraux
, mais jamais dans la capsule interne. La mort r
d'anormal dans les nerfs périphériques et dans le système ner- veux
central
; altérations très marquées du parenchyme des fibr
aleries couvertes, leurs constructions massives, leur agglomération
centrale
des services généraux, leurs murailles extérieu
ale, où toute la zone marginale est dégénérée, tandis que la partie
centrale
est presque intacte; il n'y a pas de méningite
t être réalisée à la condition de l'intégrité de la substance grise
centrale
. Cette conclusion se trouve en bonne concordanc
rne, et même la fasse disparaître, de telle sorte que cette couleur
centrale
étant variable, ce sera telle 470 REVUE DE PATH
eurs des sensations doulou- reuses et thermiques entourent le canal
central
et sont reliés au faisceau de Gowers, tandis qu
e- mère médullaire, compression de la moelle, dilatation du canal
central
dans la partie supérieure de la région dorsale.
d'un aspect normal. Au-dessus, on aperçoit une dilatation du canal
central
à certaine distance. Après l'expo- sition des t
Dans le second cas (hydrocéphalie interne et spina bifida) le canal
central
de la région lombaire avait un aspect d'une large
'un rein; encore plus haut se détachait du côté postérieur du canal
central
une cavité en forme de tube. Elle était close d
iquait au milieu de son étendue à une courte distance avec le canal
central
. D'après l'avis des auteurs il s'agit ici d'un
chives, 2° série, t. III. 31 482 SOCIÉTÉS savantes. ment du canal
central
. Dans le premier cas (myélite par compres- sion
sion) au-dessus de la compression de la moelle épinière le canal
central
est dilaté, plus bas il se divise en plusieurs ca
lus bas en une large cavité syringo- myélique, qui occupe la partie
centrale
de la moelle épinière, se prolongeant plus bas
ntrale de la moelle épinière, se prolongeant plus bas dans le canal
central
normal. En outre, on a constaté une hyperplasie
re, on a constaté une hyperplasie névroglique, se dirigent du canal
central
vers les cornes et les cordons postérieurs. D'a
base anatomique une gliose ou une gliomatose de la substance grise
centrale
, et que les cavités, si elles ne présentent pas
on sur une nouvelle espèce d'affection mycosique du système nerveux
central
. Il s'agit d'une malade qui venait d'arriver à
médecine, 143. AFFECTION MYCOTIOUE. Nouvelle - du système nerveux
central
, par Hossolmo, 485. Alcoolique. Intoxication
Haltenhof Vision : OD 1/2 » OG 1/3 Des deux côtés, grande taie
centrale
de la cornée ; a souffert des yeux dans l'enfan
au, sensibles à la pression. Ces lupus peuvent présenter l'atrophie
centrale
de la forme commune, mais souvent on observe un
ongitudinal postérieur et la disparition presque totale du faisceau
central
de la calotte à droite (Plan- che XVII). Cett
calotte à droite (Plan- che XVII). Cette dégénération du^faisceau
central
de la calotte et l'atrophie du fais- ceau longi
et inférieure. On voit sur les coupes plus bas situées le faisceau
central
de la calotte se diriger vers l'olive bulbaire,
s'explique par ce fait qu'elles sont en connexion avec le faisceau
central
de la calotte. L'atrophie du faisceau longitudina
érébello-olivaires. M. Thomas (1) dans un cas de lésion du faisceau
central
de la calotte a fait récemment une constatation
rieur el la substance réticulée bulbo-protubérantielle, le faisceau
central
de la calotte el le faisceau de Helweq. Revue N
érentes coupes, dégénérations du pédoncule cérébelleux, du faisceau
central
de la calotte, du faisceau longitudinal postéri
ore, déjetées latéralement ou dissociées(PI. XXI, C et D). Le canal
central
-est très incliné en général sur l'une des cornes
va- riées des fibres nerveuses, des altérations constantes du canal
central
el des lésions de ses vaisseaux satellites. De
es parois et surtout la déformation et l'atteinte profonde du canal
central
. Réduit sur toute l'étendue de la moelle à une
tes masses nodulaires, la prolifération conjonctive autour du canal
central
, constitueraient les lésions principales de la mo
roite et à gauche. La cécite est presque complète ; seule la vision
centrale
est conservée pour la lumière, mais la malade n
pothèses ont été émises pour expliquer la conservation de la vision
centrale
dans les cas de lésion des sphères visuelles. Dan
ion d'un lobe occipi- tal permet ainsi la conservation de la vision
centrale
dans les champs visuels atteints. Dans une deux
corde avec cette dernière. D'après la première hypothèse, la vision
centrale
aurait dû être abolie chez notre malade, car les
otre malade percevait encore la lumière dans la région de la vision
centrale
. Au contraire, la troisième hypothèse s'accorde a
alades atteints d'hémianopsie double avec conservation de la vision
centrale
pour les formes, les cou- leurs et la lumière,
Magnus (2), malgré une hémianopsie double avait conservé la vision
centrale
et pou- vait lire, reconnaître les objets et ce
nom d'un objet placé dans le champ visuel correspondant à la vision
centrale
mais ne peuvent se représenter la place occupée
lésion symétrique des lobes occipitaux et ayant conservé la vision
centrale
, la vue de l'objet peut encore éveiller parfois
avec les circonvolutions rolandiques. (1) J. Soury, Système nerveux
central
, t. II, p. 1387. (2) V. Nodet, Les agnoscies, l
oit dans cette anomalie crânienne le symptôme possible d'une lésion
centrale
. L'opinion générale place le siège causal des a
on de toute cette cavité n'a montré aucune trace de système nerveux
central
; l'examen histologique de toutes les fibrilles,
ion tout à fait typique. De chacun des ganglions (Schéma 2) du côté
central
part un petit tronc nerveux qui vient faire une
erminal. Ces ganglions présentent des neurones typiques, avec noyau
central
et nucléole très net; il n'y pas de chromatolyse.
millimètres en arrière de la fente sphénoïdale ; à leur terminaison
centrale
ils présentent, comme tous les nerfs, une secti
ossopharyngien, le pneumogastrique, le spinal ont chacun une racine
centrale
propre ; au niveau du trou déchiré postérieur ils
distribution normale, malgré l'absence complète du système nerveux
central
(Sché- ma 5). Dans ces conditions une question
qui à l'état ordinaire, exige, en quelque sorte, un système nerveux
central
. Tout d'abord nous devons dire que, malgré l'ex
moteur une origine périphérique indépendante de la cellule motrice
centrale
. Le squelette crânien et rachidien,outre les al
eloppées, avec une substance corticale jaune, dure et une substance
centrale
noire et molle ; on sait (1) PELIZZI, Note anal
t sous forme d'une masse irrégulière qui a remplacé tous les tissus
centraux
, en les refou- lant à la périphérie, les répart
s sont les plus nombreu- ses, les plus serrées, sauf dans la région
centrale
où la zone foncée contigue à deux vaisseaux est
upe 2 par exemple, on trouve au milieu de la zone de dégénérescence
centrale
de nombreuses sections de deux petits vaisseaux
rvi pour la description générale de la tu- meur, outre la thrombose
centrale
et la zone de dégénérescence environnante, offr
e la commissure grise, et comme encadrée en avant par les vaisseaux
centraux
, arlères et veines, ra- meaux des artères et ve
idère comme provenant d'une dilatation ou d'un diverticule du canal
central
. Dans le cas particulier il est impossible de s
tre oubliée dans cette discussion, c'est la thrombose des vaisseaux
centraux
au niveau de C.VIII, D. I. Cette thrombose est-el
der avec un état fébrile. D'autres fois, la tumeur intra-médullaire
centrale
, ouïe le tableau symp- tomatique d'une syringom
e ses parois, en même temps qu'un élargissement marqué de son canal
central
, dont l'orifice est des plus apparents à l'oeil n
rme de la zone périphérique permet aisément de l'isoler. La portion
centrale
est occupée par une sorte de gelée à reflet céru-
es. - On note une grande dilatation des capillaires de la substance
centrale
. Les glomérules apparaissent très nets dans la su
e dont le malade ne présente aucun sti- gmate ; une lésion nerveuse
centrale
qui s'accompagnerait d'exagération des réflexes
, sur la muqueuse dorsale, un très léger et très étroit enfoncement
central
longitudinal (sillon moyen, sulcus medianus) qui
une sclérose des cordons posté- rieurs spécialement dans la partie
centrale
. La sclérose, beaucoup ac- centuée au niveau de
ie supérieure du volet gauche du triptyque sur bois dont le panneau
central
représente la Trains- figuration du Christ (N 8
er, ont donné les dimensions suivantes : . Névrome terminal du bout
central
: 1,5 centim. de large, sur cent.'de long. Tr
it quatre ans après l'opé- ration et présentait même, comme le bout
central
, un névrome terminal semblant indiquer, dans ce
ous ne croyons pas que le cylindraxe soit une expansion d'une cellule
centrale
enveloppée au niveau de chaque segment par une
i voit dans le tube nerveux, non pas le produit d'un bourgeonnement
central
, mais une chaîne de nelll'O- blasles disposés b
donné les résultais les meilleurs et les plus constants. A. BOUT
central
. 1° Le névrome terminal a la structure classiqu
onduleux que nous avons retrouvés dans le névrome terminal du bout
central
. Ces faisceaux sont entourés d'un épais périnèv
istingue les fibres nerveuses du bout périphérique de celle du bout
central
est donc leur état embryonnaire. Les cylindraxes
t les coupes portant sur cette région de celles portant sur le bout
central
. 4° Les dissociations d'une des ramifications d
également hypertrophié, présente un névrome terminal comme le bout
central
. Histologiquement, le bout central montre ses f
névrome terminal comme le bout central. Histologiquement, le bout
central
montre ses faisceaux dissociés par.du tissu cel
nt la section de faisceaux beaucoup plus larges que ceux du névrome
central
et qui con- tiennent des fibres nues paraissant
étudié par P. Marie, Dejerine, etc., mais qu'en outre tout le bout
central
du nerf subit des modifications plus ou moins m
nité nerveuse, ou neurone, est consti- tuée par la cellule nerveuse
centrale
(cellule ganglionnaire), ses prolon- gements pr
xile. En pathologie, sur la régénération par bourgeonnement du bout
central
, et par la loi de Waller vérifiée tant dans les
des nerfs périphériques chez les monstres privés de système nerveux
central
(IIertwig, G. Durante, Brissaud etBruandet). Il
,Vijhe,Hoffmann,Beard, lcroriep,Iiatschensl;o). La cellule nerveuse
centrale
, dont la structure est si complexe, serait elle-m
éline. Le tube nerveux n'est donc pas le prolongement d'une cellule
centrale
, mais est .constitué par HÉMIMÉLIE RADIALE INTE
n nerf séparé de son c tre trophique dégénère et disparaît; le bout
central
demeure normal : 1 la dégénérescence secondaire
en faveur de cette hypothèse. xvi 23 338 DURANTE Quant au bout
central
, il subit la dégénérescence ou mieux l'atrophie
le, etc., etc.). Quant à la régénération, le bourgeonnement du bout
central
n'a jamais été, prouvé. Au contraire, Einsiedel
aient avancé la possibilité d'une régénération sans réunion du bout
central
, mais avaient renoncé à cette hypothèse en pré-
e du bout périphérique indépendamment de toute réunion avec le bout
central
. Kennedy, Henriksen, l'avaient signalée chez l'
te tentative d'atténuation en est une négation déguisée. La cellule
centrale
et le cylindraxe, en effet, représentent ou ne
e s'achève, par contre, ra- pidement lorsque, après réunion du bout
central
, le bout périphérique peut subir l'action de l'
étaient moins nombreux et plus souvent interrompus que dans le bout
central
. Cette observation est en opposition avec la lo
trant que le nerf est, non pas formé par un prolongement cellulaire
central
, mais constitué par une chaîne de neuroblastes
bras jusqu'à l'ais- selle, avec ses rameaux musculaires. a, Névrome
central
du médian. b, Son bout périphérique avec ses ra
ue est terminé par un renflement fusiforme analogue à celui du bout
central
, mais un peu moins volumi- neux. c, Cubital au
342 DURANTE FIG. B. Coupe longitudinale du névrome terminal du bout
central
, montrant l'en- chevêtrement des fins faisceaux
ome côté gauche de la figure). FiG. D. Coupe transversale du bout
central
immédiatement au-dessus du col du névrome termi
os- sissement. Planche LXIII. FiG. E. Coupe longitudinale du bout
central
du médian au niveau du bras. Plusieurs fibres
egmentaires sont bien plus nombreux et plus larges que dans le bout
central
(comparer la fig.E). Ils paraissent tantôt vide
e colorés par le Pal) au milieu des fibres homogènes. L'extrémité
centrale
de ce fragment correspondait à la coupe D. FiG.
les oedèmes névropathiques liés à des affections du système nerveux
central
que leur étiologie précise suffit à caractérise
Vos, représente la Vie du bienheureux Conrad. Au-dessous du panneau
central
, on voit un possédé, transporté par deux hommes
es cornes antérieures, corps amyloïdes nombreux, occlusion du canal
central
, et, dans le lobule paracentral, raréfaction des
la réaction à distance, c'est-à-dire sont gonflées, en chromatolyse
centrale
avec noyau périphérique ; à partir de la 3e lom
Pas de lésions appréciables. Hémisphères cérébraux. Les noyaux gris
centraux
du côté gauche ne présentent aucune altération.
ée dans un cas (Gor....) Il existe en effet une dilatation du canal
central
de la moelle. Cette lésion a été rencontrée dan
. De même, le deuxième frontal gauche est normal. Les noyaux gris
centraux
et la capsule interne examinés à la coloration hé
substance blanche. Pas d'hémorragie autour. Elle présente une zone
centrale
donnant la sensation d'une ostéome et une zone pé
aduisant ainsi la dégénérescence descendante des fibres d'ori- gine
centrale
, au même titre que les autres processus dégénéra
té de la moelle, épaississement des méninges, oblitération du canal
central
, sclérose des cordons postérieurs et surtout de
qu'elles occupent les régions circonférentielle ou médiane, le pôle
central
ou le pôle périphérique : par région circon- fé
plus éloignées de la cap- sule ganglionnaire : les cellules du pôle
central
sont les cellules circonfé- rentielles et média
lorées (sublimé osmique) dans la moitié interne du ganglion ou pôle
central
; très bien colorées au contraire dans la moitié
ré très marqué de l'atrophie de la racine postérieure dans son bout
central
. Ici, ce qui frappe le plus, c'est l'in- tensit
tous ces ganglions l'atrophie des racines postérieures dans le bout
central
est extrêmement prononcée. Il y a une diminut
de graisse colorées en noir par l'acide osmique. Tandis que le bout
central
est profondément dégénéré, la portion sous-gang
e gauche, les racines postérieures, à leur sortie du ganglion (bout
central
), sont extrêmement atrophiées : cependant il exis
nstate une atrophie extrême des racines postérieures dans leur bout
central
: à peine distingue-t-on quelques fibres à myélin
es deux ganglions, l'atrophie des racines postérieures dans le bout
central
des ganglions est des plus nettes, au contraire l
t dans le trajet sous-arachnoïdien, de telle sorte qu'à l'extrémité
centrale
de là racine postérieure on voit un grand nombre'
it : c'est-à-dire que leur atrophie est plus prononcée dans le pôle
central
du ganglion et au niveau du nerf radicu- laire
ale. Le 12" ganglion dorsal gauche est le plus malade. Dans le pôle
central
du ganglion les racines postérieures sont très at
ent il y a un certain degré de congestion plus marquée dans le pôle
central
du ganglion. Le lue ganglion dorsal présente le
iférées. Les racines postérieures sont très atrophiées dans le pôle
central
du ganglion et dans leur trajet sus-ganglion- n
ésin- tégration existait dans le trajet intra-ganglionnaire du bout
central
de la racine postérieure, au niveau du nerf rad
aire plus accentuée au niveau du nerf radi- culaire et dans le pôle
central
du ganglion que dans le trajet sous-arach- noïd
il, une zone circonférentielle et une zone médiane, la zone du pôle
central
et la zone du pôle périphérique. Or, dans la pl
dans la zone mé- diane,et même pour certains ganglions dans le pôle
central
que dans le pôle périphérique, mais ce n'est pa
n spinal étant une cellule bipolaire donnant naissance par son pôle
central
à la racine postérieure,par son pôle périphé- r
n de la racine poslérieure suivant que la section porte sur le bout
central
ou le bout périphérique; la section du bout cen
rte sur le bout central ou le bout périphérique; la section du bout
central
de la racine postérieure n'a au- cun retentisse
pour le nerf périphérique - ce qui expliquerait que le prolongement
central
subit plus facilement que le périphérique l'inf
traitement suivant : repos le plus complet possible ; galvanisation
centrale
2 m. A et 10' il 1 : i' ; alimentation substantie
attachés qu'à une compression des divers troncs nerveux; une lésion
centrale
d'abord ne serait pas aussi strictement unilaté
s pauvres en cellules et en fibres nerveuses. Dédoublement du canal
central
dans les parties infé- rieures et obturation da
uleur normale. Examen microscopique. - Les parties du tissu nerveux
central
furent. conservées et durcies dans un mélange d
tes, les cornes postérieures du côté du cordon de Burdach. Le canal
central
est oblitéré dans toute sa longueur et rempli par
ns les coupes du 8° et 7e segment dorsal, c'est seulement la partie
centrale
de la zone de Lissauer qui est raréfiée et au-des
uelles le corps restiforme est bien prononcé, on voit que sa partie
centrale
est fortement dégénérée, ce qui correspond au fai
les trois cas on trouve une extrême petitesse du système ner- veux
central
; dans deux de ces cas, c'est le diamètre antéro-
s nerfs optiques contiendrait plus de fibres altérées que la partie
centrale
; bien peu d'auteurs ont examiné attentivement l
non pas dans la portion périphérique du nerf, mais dans sa portion
centrale
, et même dans la portion centrale des bandelett
que du nerf, mais dans sa portion centrale, et même dans la portion
centrale
des bandelettes, aux environs des centres optiq
1899. (2) MOEL1, 6" Congrès de psych. et de neurol. de l'Allemagne
centrale
. Halle, 1900. (3) Holden, Arch. f. Augenheilk.,
étine, d'où partent les impressions lumi- neuses. Leur prolongement
central
reste indivis sur une étendue relati- vement as
aucoup moins épaisse que celle des grains externes. Le prolongement
central
de ces grains se met en rapport dans une couche
n du système nerveux. - Notre examen a porté sur le système nerveux
central
, encéphale et moelle, et sur les nerfs périphériq
temps décrit des processus de calcification dans le système nerveux
central
; c'est surtout dans le travail cle lIubricli (7)
ntionné, ne décelaient aucune lésion grossière au niveau des noyaux
centraux
. Seuls les noyaux lenticulaires présentaient de
beaucoup moins épaisse que ceux des cas plus an- ciens et à lumière
centrale
tout à fait nette et complètement ronde ; il s'
plus périphérique du nerf à cause de la présence des gros vaisseaux
centraux
. Fréquemment, dans les parties vasculaires du n
la périphérie atteinte réunie par une bande de sclérose à la région
centrale
péri-vascu- laire également atteinte ; le reste
e la vision distincte, restait, comme l'ont pensé certains auteurs,
central
dans le nerf. Mais il n'en est pas ainsi ; d'ap
u champ visuel, d'autre part la grande rareté des scotomes purement
centraux
. La sclérose parait varier uniquement avec la d
aient peu sensibles ; le nombre des fibres contenues dans la partie
centrale
du nerf était d'ailleurs encore très considérable
antérieures offre un foyer bémorrhagique sur le trajet de l'artère
centrale
; sur les coupes de la 6e dor- sale la corne po
la direction des artérioles de la corne postérieure et de l'artère
centrale
; son point de départ périphérique est toujours
s montrent des détails de la coupe représentée figure 7. (a) Région
centrale
rétro-épendymaire. Fente à bords végétants, festo
myélinisation. B. - Fag... Région cervicale inférieure. La cavité
centrale
de la figure précédente a complètement disparu, i
vaisseaux, notamment de l'artère du billon antérieur et de sa branche
centrale
. {Thomas et Hauser.) ' Masson ET C", Kdileurs.
ie (PI. LVI, fig. A). Or à la région cervicale inférieure la cavité
centrale
fait défaut, et seule per- siste la fente allon
Les caractères histologiques des parois de ces fentes et de la cavité
centrale
sont tout à fait semblables. La cavité centrale
tes et de la cavité centrale sont tout à fait semblables. La cavité
centrale
, nulle part tapissée d'épithélium, est bordée d
. du sillon postér. et de la corne postérieure) et la grande cavité
centrale
semble n'être que l'épanouissement de l'une d'ell
sions de même nature, en continuité directe, indépendantes du canal
central
. IL- Un second cas,Duh ? dont nous n'avons eu m
é. " A la région dorsale, point intéressant, il n'y a pas de cavité
centrale
, mais seulement une fente antéro-postérieure oc
ong d'un gros vaisseau ; qu'elle est en outre indépendante du canal
central
. III. - Nous ne faisons que mentionner le cas d
x voisins sont malades. A la région cervicale, une cavité arrondie,
centrale
, tapissée en certains points de cellules épendy
rtain niveau déceler la communication de cette cavité avec le canal
central
de l'épendyme. Au-dessous, au contraire, le can
le canal central de l'épendyme. Au-dessous, au contraire, le canal
central
est sur toute la hauteur entière- ment indépend
7 par Ollivier d'Angers qui ignorait l'existence normale d'un canal
central
,le terme de.syringomyélie fut longtemps après (18
sul- tat de la fonte d'une tumeur gliomateuse indépendante du canal
central
. Mais cette théorie,reprise et développée par R
tale due à un arrêt de développement (Occlusion incomplète du canal
central
par absence de commissure grise et défaut de so
des relations étroites entre la cavité syringomyélique et le canal
central
. D'une part, les caractères histologiques donné
ublements, etc.) ou d'arrêts de développe- ment (Hoffmann) du canal
central
l'origine du processus qui évoluera sous le typ
tion qui per- mettent de dire s'il s'agit d'une dilatation du canal
central
et même d'un kyste hématique ancien (Pitres et
ce spéciale, les altérations vasculaires, l'indépen- dance du canal
central
. Ces caractères réunis, et non pas la simple cons
caractères réunis, et non pas la simple constata- tion d'une cavité
centrale
entourée de sclérose névroglique, permettront d'e
n névroglique peut être une réaction d'irritation autour d'un canal
central
dilaté, autour d'un foyer hémorrhagique, et par
e toutes les cavités qui résultent d'une dilatation simple du canal
central
ou d'un foyer hémorrhagique secon- dairement en
mprend ceux où la cavité syringomyélique paraît née autour du canal
central
, du fait d'une végétation des cellules épendymair
ou les fentes secondaires, par la communication constante du canal
central
avec les pertes de substance. Tous ces caractères
t déno- ter la localisation initiale du processus autour d'un canal
central
peut-être malformé congénitalement et autorisen
niqué par M. Comte, nous montre des fentes diverticulaires du canal
central
tapissées d'une couche continue d'épithélium cy
nt trop en effet pour qu'une scission ne s'impose pas. Ici le canal
central
est évidemment étranger au développement de la
a paroi des cavités, en des régions parfois très éloignées du canal
central
. A ces lésions s'ajou- tent des altérations (ép
ticulier dans l'existence de gros vaisseaux de chaque côté du canal
central
». Faisons remar- quer que si la substance gris
- rioles de la corne postérieure, artérioles qui entourent le canal
central
, artère du sillon antérieur qui se ramifie dans
tration des vais- seaux ; maintes fois on note que la grande cavité
centrale
arrondie n'est que l'épanouissement et la conti
ère : si l'on peut à la rigueur attribuer la formation d'une cavité
centrale
aux troubles circulatoires, ce mécanisme ne peut
de nombreux faits témoignent d'ailleurs de cette aptitude du canal
central
à réagir aux causes d'irritation par la dis- te
possible de rapporter à un trouble circulatoire, périphé- rique ou
central
, certaines manifestations de l'hystérie, peut-on
n chez l'homme, Revue neurol., 15 juin 1903 et Bulletin de la Société
centrale
de méd. vétérinaire, oct. 1903; Tics et sténoty
mandèrent la tapisserie. Nous y reviendrons plus loin. Le tableau
central
a comme figure de milieu le Christ, vivement écla
tant comme une ligne izzcuroée, au lieu d'apparaître comme un point
central
. Plus tard désintégration granuleuse et dispari
elle se transforme en boules très fines qui donnent à cette portion
centrale
un aspect granuleux; la coloration par le picro
t organe que débute la lésion dégénérative de la myéline, sa partie
centrale
étant déjà liquéfiée et transformée en boules 3
le cylindraxe en voie de désin- tégration moléculaire; 2° une zone
centrale
, voisine du cylindraxe altéré, où la myéline, f
ateux de la substance nerveuse même et des enveloppes des organes
centraux
, soit à des néoplasmes limités aux enveloppes. Il
s néoplasmes, bien que des sarcomes très étendus du système nerveux
central
puissent souvent ne donner lieu qu'à très peu d
es et, en un point, à l'extrémité infé- rieure de la circonvolution
centrale
antérieure. Le lendemain de l'opération, il y e
e de meurtre commis sur un aliéné, par deux gardiens de la maison
centrale
de Clermont. Cette affaire rappelle le fameux pro
l'hallucination serait considérée avec raison comme étant d'origine
centrale
. Mais il peut aussi arriver que l'activité du c
d'origine périphérique, par opposition aux hallucinations d'origine
centrale
. Cette théorie, acceptée par la plupart des ali
uisirent plus tard, il semble légitime de les rattacher à la lésion
centrale
, t Lwoff. Études sur les troubles intellectuels
s hallucinations unilatérales d'origine périphérique et d'ori- gine
centrale
, et c'est par un même mécanisme, du moins dans
souffert dans les premirs mois de la vie et dont le svstème nerveux
central
a été entravé dans son évolution. Mais' c'est s
? u ? CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES CHANGEMENTS -DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LA POLYNÉVRITE; Par le D' SERGE SOUKIIANOF
nettement et plus définitivement les changements du système nerveux
central
'dans certains cas de la polynévrite. D'après l
ez d'autres au- teurs concernant les changements du système nerveux
central
dans la polynévrite nous nous assurons, que ces
clz., B. 112, 1888, p. 237-259). 2 Willin.Alcoholie paralysies with
central
lésion (illed. 11'ews. July 13). Voyez Jcclzres
posviaszonny prof. Kojéwnikow, 1890, p. 319-372. DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LA POLYNÉVRITE. 179 fut constaté le dévelo
eures et des cordons de Clarke et souvent l'oblitéra- tion du canal
central
. En raison de ces faits, l'auteur en question a
et qui nous intéresse, nous voyons que la lésion du système nerveux
central
, surtout de la moelle épi- nière, dans la polyn
nel était une personne extravagante ; l'oncle et DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LA POLYNEVRITE. 181 le grand-père du côté
ment en voyant le médecin, il commence, comme un DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LA POLYNÉVRITE. 183 enfant capricieux et i
a commissure antérieure. 1 Voyez la figure 15. DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LA POLYNÉVRITE. '185 La région dorsale pré
Préparation, traitée par la méthode de Marchi. DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LA POLYNEVRITE. 187 mais dans ceux de Burd
névrite dont nous venons de parler, l'altération du système nerveux
central
nous présente un in- térêt particulier, concern
érieurs; les fibres radiculaires, après leur en- DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LA POLYNEVRITE. '189 trée dans la moelle,
sensible que la méthode de Weigert, concernant le système nerveux
central
et surtout la moelle épinière dans la polyné- v
u sillon antérieur, ainsi que l'hypertrophie de l'épendyme du canal
central
. Altérations des nerfs périphériques. Quel que
me de ses relations fonctionnelles avec le reste du système nerveux
central
. L'auteur rappelle et résume au début de ce tra
e de lésions et pourquoi beau- coup d'affections du système nerveux
central
se traduisent à leur début par des symptômes en
ressive de ces éléments; 2° d'enlever un centre nerveux des organes
centraux
ou de couper les faisceaux qui sortent de ce ce
ues semaines plus tard, on les tue et on examine le système nerveux
central
. Dans ces conditions on constate qu'un traumati
terminer des altérations étendues à travers tout le système nerveux
central
, mais celles-ci échappent à la plupart des méth
étendues des fibres nerveuses à myéline de tout le système nerveux
central
. IL La commotion de la moelle se traduit par des
séquence d'une psychose, d'un état de souffrance du système nerveux
central
, qui déterminait des modi- fications de structu
en particulier de l'ovaire, peuvent retentir sur le système nerveux
central
, et que cette influence péri- phérique fâcheuse
est qu'il l'ait été : à l'examen de la vue, on constate un scotome
central
de deux pouces de diamètre à la distance d'un p
ne de la papille, et à gauche, une pulsation assez vive de la veine
centrale
de la rétine. En deux mois, sans traitement, on
au-dessous du centre existait une large tache de la cornée au bord
central
de laquelle l'iris adhérait étroitement. Une in
UI. SUR la forme grave DE la sclérose artérielle DU système NERVEUX
central
; par L. JACOBSODN. (Archiu. sur Psychiatrie und
rragies, les tbrombus, sont disséminés dans tout le système nerveux
central
. Dans l'observation personnelle, dont il donne
écutive du phénomène psychique qui seul coïncide avec cette tension
centrale
préreflexe. Un même stimulus souvent répété arr
La seconde scissure de Leuret du mouflon conflue avec la scissure
centrale
et la partie moyenne et inférieure de cette sciss
ez le narval décrit par Turner, pour la partie temporo-pariétale et
centrale
et assez complète pour le lobe frontal. Elle y
scissure dite scissure seconde frontale. Elle manque dans la partie
centrale
et en général dans la région sus-sylvienne où e
latère de la circonvolution paracentrale; c'est une scissure rétro-
centrale
interne. Chez beaucoup d'animaux il y a au cont
entaire -chez les animaux. Les scissures transversales de la région
centrale
ne sont pas, selon Benedikt un privilège des pr
M. Benedikt a insisté sur ce point, qu'il faut chercher la scissure
centrale
par exemple chez les carnivores, en arrière et
mme représentante au moins de la partie supérieure de la scis- sure
centrale
des primates : Plus tard il a insisté sur ce qu
arnivores représente la partie moyenne et inférieure de la scissure
centrale
et il dé- montre aujourd'hui sur le cerveau du
ètres cubes. Nécessité d'une ventilation artificielle. Le chauffage
central
est préférable. Les fenêtres seront grandes; le
ume in-8° de 119 pages. - Valparaiso, 1895. - Imprenta y litografia
central
. 0 ' GARNIER (F.). - Barbe Buvée, en religion,
hure in-8° de 24 pages. - Valparaiso, 1894. - Imprenta y litografia
central
. ' R.1Y3(OND. - Clinique des maladies du systèm
tout le membre ; d'autre part il n'y a aucune donnée pour l'origine
centrale
de cette paralysie. On ne peut de même considér
trophiques; 5° concomitance avec les affections du système nerveux
central
. On sait qu'il n'est pas rare chez les aliénés
ouvent dans la paralysie générale, elle parait due à une irritation
centrale
du nerf vague. Buzzard, parlant de cette forme
ue n'est pas hystérique. La paralysie psy- chique est une paralysie
centrale
qui porte sur des formes déter- minées du mouve
l n'est un signe certain de lésions organiques du sys- tème nerveux
central
(Bechterew). L'asymétrie des réflexes tendi- ne
nante sont des expansions terminales à fonction centripète, (zone
centrale
du centre sensor iel) et. que les fibres collatér
iel aurait donc deux territoires corticaux : un territoire cortical
central
pour les fibres fondamentales de la couronne ra
comme le prouvent encore l'hémianopsie du début, le scotome surtout
central
, la légère céphalalgie consé- cutive. Pendant
co-occipitaux qui d'ordinaire, en pareil cas, trouble la perception
centrale
des stimulus rétiniens (lacunes du champ visuel
es vaisseaux. Sans doute aussi une gomme au sein du système nerveux
central
, une vraie gomme, et non un infiltrat gommeux e
a méthode DE coloration DE WEIGERI' ET PAL, pour LE système NERVEUX
central
durci dans LE formol; par H. l\1ARCUS. (Neurolo
se équivalente immédiatement déter- minée dans les divers appareils
centraux
ou terminaux par chaque modification provoquée
ns de la Suisse. (Rapp. : J. CCÉNOUD, ancien directeur de la police
centrale
à Genève.) Thème réservé. (Rapp. : Scipio SsIEt
que les éléments nerveux formaient à leurs terminaisons des réseaux
centraux
; aujourd'hui les éléments nerveux, au lieu de s
e partout. On peut lui considérer trois portions : 1° Une portion
centrale
qui est constituée par un proto- plasma cellula
motrices. Sa terminaison, quand elle a lieu dans le système nerveux
central
, se fait par des extrémités libres se mettant e
bout périphérique va dégénérer suivant la loi de Waller, le bout
central
va s'altérer suivant le processus de la dégénéres
ncontestées de la pathologie nerveuse. Lorsqu'il ajouta : c le bout
central
reste intact », il indiqua un fait inexact, car
a conception du neurone qui place dans un isolement relatif le bout
central
du neurone en le montrant moins lié au reste du
es deux fragments d'une manière complète, c'est-à-dire dans le bout
central
au même degré de destruction que dans le bout p
dégénérescence qui est physiologi- quement rétrograde dans le bout
central
n'a plus alors son caractère particulier : au p
ervation du cylindre d'axe était au moins fort inconstante. Le bout
central
peut donc parfois dégénérer par un processus an
riphérique le nom de dégéné- rescence Wallérienne ; à celle du bout
central
le nom de dégénérescence ou d'atrophie rétrogra
éneurone. De là ce fait que dans les lésions de tous les neu- rones
centraux
de la chaîne sensitive on trouve à plus ou moins
M. Durante. On peut donc dire que les dégénérescences des neurones
centraux
de la chaîne sensitive retentissent sur le télé
e de la paralysie générale où la lésion occupe d'abord des neurones
centraux
l'intégrité relative de la racine postérieure,
s nettement opposable au tabès vulgaire. Les lésions des neurones
centraux
de la chaîne sensitive retentissent donc sur le
t la loi de la dégénérescence rétro- grade du côté de son extrémité
centrale
, s'il est certain qu'il s'altère suivant la loi
auditive. En effet des fibres du corps trapézoïde, qui sert de voie
centrale
aux sensations auditives, et des olives supérie
xcitation de ce faisceau dans la région du vermis, et à l'extrémité
centrale
de la moelle des animaux nouveau-nés, produit l
u cubital. Il y avait donc trans- mission du courant de l'extrémité
centrale
à l'extrémité périphé- rique des nerfs sectionn
par Zucarrelh, 281. POL1\VItITE. Changements du sys- tème nerveux
central
dans la -, par Soukhaiioll, 177. Pont DE VARO
nale postérieure, par Chubb, 270. artérielle du sys- tème nerveux
central
, par Jacob- sohn, 180. Syndrome rappelant la
1893. (4) Seguin, Contribution à l'étude de l'hémianopsie d'origine
centrale
. Arch. de Neu- rologie, 1886. (5) Pu. SCIIIRM
racérébral, qui a déterminé le phénomène de l'hémianopsie d'origine
centrale
non compliqué d'autres symptômes. Le 2e cas est
l il existe une hémianopsie double avec con- servation d'une partie
centrale
du champ visuel. 5) Quant à la sensibilité, on
t en outre on fit des coupes horizontales passant par les ganglions
centraux
. 1° Sur les coupes frontales, qui passent par l
les coupes horizontales, qui passent par la région des ganglions
centraux
, on voit près du foyer de ra- mollissement la s
ières, signalons des kystes disséminés, au ni- veau des noyaux gris
centraux
, dans l'hémisphère droit, tant dans le putamen
consistent en un- épaississement des parois qui rétrécit la lumière
centrale
, et qui frappe tantôt toutes les membranes vasc
atrophie partielle de la moelle. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA BIFIDA. HYDROPISIE DU QUATRIÈ
de mes premières recherches sur les difformités du système nerveux
central
dans le spina bifida, j'ai eu l'occasion d'observ
\I1 ? c : ("\n x ri.. F,htf'l1r LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA BIFIDA 119 séparées des hémisphèr
! Jt')I\I'IC BI'IIILa,nl, r'nrls LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA 1SIFIDA 121 latéral). Les cordons
la partie dorsale de la (null) LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA BIFIDA 123 moelle épinière dans l
la substance gélatineuse de Rolando et le triangle autour du canal
central
. La base du triangle suit la commissure antérie
la quantité des fibres myéliniques a quelque peu augmenté. Le canal
central
de la moelle épinière est étendu un peu en arri
e et en même temps plus court que sur la coupe précédente. Le canal
central
s'est ouvert en arrière et s'est transformé en
plus en dedans du faisceau fondamental du cordon latéral. Le canal
central
de la moelle épinière est réuni avec le 4e ventri
a coupe précédente, quand il lui fallait se fusionner avec le canal
central
de la moelle épinière. Les fibres sensitives, ind
VS V7 3Q 3111dVNOOOJ1 3'I'I3hOON LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA B1FIDA 125 entre le faisceau fond
ncher au zu ventricule (Phot. 6). La moelle épinière avec son canal
central
se trouve devant l'allongée, et au même niveau
même niveau se trouvent deux canaux : le 4e ventricule et le canal
central
de la moelle épi- nière. Et la moelle épinière
absolument pâle. Après cela le tableau change subitement : le canal
central
de la moelle épinière se fusionne avec le 4e ve
ule (lequel en bas dû s'eufoncer en avant pour s'unir avec le canal
central
(Phot. 14) de la moelle épinière), après sa fusio
stérieure de la moelle allongée. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA BIFIDA 127 L'intérêt de ce cas, e
qui nous occupent on a voulu voir une influence du système nerveux
central
sur le développement des parties malformées. Ma
upart à la période embryonnaire, à une époque où le système nerveux
central
est en pleine période de développement, où ses
rois plus gros. Dans les tourbillons, ils occupent souvent le point
central
; mais ce n'est pas une règle absolue, et l'on vo
caractéristique de ce premier stade, c'est l'existence d'une cavité
centrale
contenant des hématies. Cette cavité tend à se
globules sanguins. L'ensemble du globe forme donc une masse amorphe
centrale
entourée par une ou deux rangées de cellules en
dégénérescence hya- line ; sur les coupes, on voit alors une cavité
centrale
remplie de sang, entourée par des cellules déjà
degré de plus, les cellules avoisinantes se res- serrent, la partie
centrale
ne forme plus qu'une masse homogène, tandis qu'
ou moins accen- tué du noyau ; si ce dernier, tout en n'étant plus
central
, est encore assez éloi- gné d'un bord de la cel
, il y a un cercle clair, périphérique, qui contraste avec une zone
centrale
plus foncée; au contraire le noyau est-il tangent
précédents, et n'en dif- férant que parleur dimension : même corps
central
, mêmes granulations autour de ce dernier. Les t
ences pures et appliquées, 1897. 1 -(4) VAN Gehuchten, Chromalolyse
centrale
et périphérique, Bibliographie anatomique, 1897
ipopp, Influence de l'intoxication bolulinique sur le système nerveux
central
, Annales de l'Institut Pasteur, 1900. (6) MOL
che. Cela tend encore à prouver que ces plaques sont bien d'origine
centrale
. On remarquera également que les plaques d'hype
amps chromatiques chez les hystériques à la rétraction des neurones
centraux
qui correspondent aux cellules neuro-épithéliales
z notre malade. Reste à savoir si les neuro- nes vaso-constricteurs
centraux
, qui tiennent les premiers sous leur dé- pendan
21 1 13 22 23 -2li 27 / DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LA SPINA BIFIDA (N. Solnvtzo). M : 1 ? o
1 ? on & 0< : . fditenl" LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DA\5 LR SPINA BIFIDA. HYDROPISIE DU QUATRIÈ
e vertébrale, la moelle épinière a la structure suivante : le canal
central
est dilaté et s'allonge eu ar- rière. Dans sa p
e de fibres myéliniques seulement aux bords . Plus haut, le canal
central
est moins dilaté et la moelle a déjà une confi-
drir, surtout dans sa partie au- LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA BIFIDA 233 térieure et davantage
nière apparaît en- core plus comprimée d'avant en arrière. Le canal
central
est dilaté dans la di- rection arrière. Les cor
tion d'avant en arrière. Les cordons latéraux ont diminué. Le canal
central
est considérablement dilaté en arrière et a passé
dans l'isthme. L'espace entre la commissure antérieure et le canal
central
est agrandi. Dans les fis- sures latérales, sép
Rolando, le faisceau cérébelleux sont faiblement indiqués. Le canal
central
est allongé encore plus et nous trouvons son ouve
à comparer à celles qu'on remarque dans la moelle normale. Le canal
central
esta tel point élargi en arrière, qu'on aperçoit
allongée, elle n'est presque pas LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA B1FIDA 257 indiquée, mais par con
arce que s'y sont placés tous les faisceaux pyramidaux, et le canal
central
quelque peu élargi dans la direction arrière. L
e longitudinale antérieure s'est allongée postérieurement, le canal
central
s'est 258 SOLOVTZOFF aussi quelque peu étendu
, et maintenant considé- rablement diminuée. Phot. 34. - Le canal
central
de la moelle épinière est tellement élargi dans
que au dehors. La moelle allongée, disposée des deux côtés du canal
central
, se compose de deux moitiés presque égales, et
é et la racine postérieure y est aussi placée. Au devant du canal
central
se réunissent des fibres myéliniques, commen- ç
e des deux côtés de la moelle et LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA BIFIDA 2a9 contenant les racines
ns la coupe précédente, se distingue de l'autre. D'un côté du canal
central
qui est déjà ouvert on trouve les noyaux de Gol
s myéliniques en forme de deux croissants, de l'autre côté du canal
central
les fibres myéliniques ont une autre structure, e
et les racines postérieures y sont situées. , Phot. 36. Le canal
central
dans sa partie postérieure est élargi et trans-
Les cordons antérieurs et latéraux sont bien déve- loppés. Le canal
central
est élargi. Les cordons postérieurs dans leur par
rieure de la moelle est restée sans changements, seulement le canal
central
est plus étroit, les cordons postérieurs sont dép
Editeurs I limtullpr IlcnhauJ, LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA BIFIDA 261 deux côtés, par suite
presque sans changements. Il faut seulement remarquer, que le canal
central
est déplacé dans la direction arrière et aussi
jusqu'à présent, nous voyons que les difformités du système nerveux
central
dans le spina bifida concernent surtout le 4e v
olonne vertébrale, provoquée par LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA BIFIDA 263 l'accumulation surplac
le bas. Comme par l'accumulation excessive de liquide dans le canal
central
de la moelle épinière, sont frappés avant tout
re, sont frappés avant tout les cordons postérieurs et que le canal
central
se déplace dans la direction en arrière, ainsi
e (Phot. 1-3). Pareillement, comme dans la moelle épinière le canal
central
peut s'étendre non uniformément, mais d'un côté p
la fusion des parties antérieures et postérieures du bulbe : le canal
central
de la moelle épinière s'allonge dans la directi
e ven- tricule, étendu en bas. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
DANS LE SPINA BIFIDA 265 Ainsi, comme la cause
lio Romano, de P. Véronèse, etc.). La PI. XLVII reproduit la partie
centrale
d'une gravure hollandaise du début du XVIIe siè
es leur nombre est diminué (3, 5, 8). Toutes sont petites. Le canal
central
est large et double dans les régions inférieures
étroite. Cette diminution de largeur portait surtout sur la portion
centrale
. Il y avait réduction des pédoncules cérébelleux
omptes rendus, 29 juillet 1901. (2) Jules SOURY, Le système nerveux
central
. Structure et fonction. Histoire criti- que des
niforme sur toute sa surface. On voit ainsi que le noyau est tantôt
central
, tantôt tout à fait périphérique. Certaines cel
nent la partie intra-médullaire du neurone sensitif et des neurones
centraux
DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE H91 mo
examen nécroscopique du squelette, des viscères, du système nerveux
central
. Nous n'avons guère eu que vingt-quatre heures*
maladie de Pagel. Comme on le verra, les lésions du système nerveux
central
ne nous ont pas paru assez spéciales et assez l
u conjonctif creusée de petits lacs sanguins. Ces ilots de sclérose
centrale
sont réunis à la coque par des colonnes de tissu
rolongements, la substance fondamentale légèrement bleuie, le noyau
central
. Certaines pré- sentent une pigmentation excess
seul groupe cellulaire du côté correspondant, au voisinage du canal
central
. La lésion de ce groupe cellulaire tiendrait so
dépendance les altérations trophiques des os, la proximité du canal
central
expliquant la fréquence de ces altérations osseus
i cette adi- pose ne relèverait-elle pas d'un trouble d'innervation
centrale
ou périphé- rique au même titre que l'amyotroph
centres trophiques spéciaux dont serait pourvu le sys- tème nerveux
central
ne tire pas sa vraisemblance de la seule observat
(1 pl. en photocollographie), 201. Difformités du système nerveux
central
dans la spina bifida, par N. SOLOVTzoFF (6 pl
veau (4 fig.), 39. SoLovTzoFF.Les difformités du systèmener- veux
central
dans la spina bifida (6 pi. en photocollogr., 1
ints d'helminthiase (LANNOis), XXVI. Difformités du système nerveux
central
dans la spina bifida (N. Solovtzoff),XI à XIV
des jeunes générations médicales, si bien que, ballottés de Bureau
Central
en Agrégation et d'Agrégation en Bureau Central
ballottés de Bureau Central en Agrégation et d'Agrégation en Bureau
Central
, les malheureux auteurs durent déployer une éne
x symptômes dépendant directement des trou- bles du système nerveux
central
ou périphérique, il va sans dire que sous la pl
fonctionnel, il faut distinguer dans la rétine deux parties, l'une
centrale
, 'très étroite et très sensible, correspondant à
e (vision des formes) est con- servée. ' EXPLORATION DE LA VISION
CENTRALE
Vision centrale pour les formes. - ' (Acuité
es) est con- servée. ' EXPLORATION DE LA VISION CENTRALE Vision
centrale
pour les formes. - ' (Acuité visuelle centrale.
ON CENTRALE Vision centrale pour les formes. - ' (Acuité visuelle
centrale
.) . L'acuité visuelle centrale peut être mesuré
r les formes. - ' (Acuité visuelle centrale.) . L'acuité visuelle
centrale
peut être mesurée soit en plaçant devant l'aeil-
rosses lettres. Quand il s'arrête, la mesure de son acuité visuelle
centrale
est donnée par une fraction ayant comme numé-
s à connaître et à surmonter dans la recherche de l'acuité visuelle
centrale
. -Le but de l'épreuve précédente est de mesu- r
s conditions, avoir une idée précise de la sensibi- lité rétinienne
centrale
qu'après avoir éliminé les voiles interposés qui.
, dans presque tous les cas, permettre de mesurer l'acuité visuelle
centrale
. - Il faut, pour cela, une boite de verres cont
ique, on peut toujours parvenir h mesurer la sensibilité rétinienne
centrale
, et EXPLORATION DU NERF OPTIQUE ET DE LA RÉTIr.
raction. , Il faut se garder de croire que l'intégrité de la vision
centrale
signifie intégrité de la rétine. La fovea centr
ode que je vais exposer tout à l'heure. " D'autre part, la vision
centrale
maculaire peut, nous allons le voir, être détru
être détruite et la perception périphérique rester intacte (scotome
central
). Ce scotome central (amblyopie ou cécité centr
erception périphérique rester intacte (scotome central). Ce scotome
central
(amblyopie ou cécité centrale) avec intégrité de
intacte (scotome central). Ce scotome central (amblyopie ou cécité
centrale
) avec intégrité de la vision périphérique, peut
pour l'exploration de la vision rontrnlepour les couleurs. Vision
centrale
pour les couleurs. (Scolontes centraux pour les
our les couleurs. Vision centrale pour les couleurs. (Scolontes
centraux
pour les couleurs.) Dans certaines affections n
our plusieurs ou pour toutes les couleurs. On dit qu'il y a scotome
central
pour le vert, le rouge, etc., ou pour toutes le
, ou pour toutes les couleurs. ' , * . Il peut exister un scotome
central
non seulement pour les couleurs (lumière monoch
nochromatique), mais même pour le blanc. Dans ce cas, le .. scotome
central
est absolu. Il y a cécité de la région maculaire
monochromatique). , La recherche de l'achromatopsie et de l'anopsie
centrale
peut se faire de différentes manières : ' ' 1
, pour affermir d'une manière indiscutable le diagnostic de scotome
central
pour une couleur, de compléter l'examen par l'épr
ouleur reconnue. " ' Une .des dificultés de la recherche du scotome
central
, c'est d'obtenir que l'oeil se dirige exactemen
eut de la sorte, non seulement constater l'existence d'un scotome
central
, mais en déterminer la forme et l'étendue (fig.
l'éclairage des index. Fig'. 4. Recherche et mensuration du scotome
central
il l'aide du stéréoscope (Morax). rig. 5. - Sco
scotome central il l'aide du stéréoscope (Morax). rig. 5. - Scolome
central
des- siné d'après l'examen au sté- rcoscope (
e (ltorax). EXPLORATION DU NERF OPTIQUE ET DE LA RÉTINE. 9 Vision
centrale
pour la lumière. La sensibilité .rétinienne à l
visuel. Lorsque nous fixons un point de l'espace avec notre rétine
centrale
, avec la macula, les objets environnant le point
ue, serait d'employer, comme pour la recherche de l'acuité visuelle
centrale
, des index parcourant l'arc périmétrique de la
e périphérique est si faible proportionnellement à la sensi- bilité
centrale
, qu'en aucun point de son étendue, elle ne permet
le degré du stra- bisme. , Un tableau représentant la projection
centrale
d'une sphère de 2 ? 25 due rayon avec méridiens
urose par troubles cir- culatoires cérébraux. L'embolie de l'artère
centrale
de la rétine, certaines formes de névrite optiq
e (Voir RÉTRÉCISSEMENT du champ visuel) , quelquefois sur la vision
centrale
et périphérique en même temps. ' Dans certains
elle est caractérisée par une diminution ou abolition de la vision
centrale
avec conservation de la vision périphérique.
conservation de la vision périphérique. L'existence d'un scotome
central
double, d'abord limité aux couleurs verte et ro
si la diminution de V n'est pas trop considérable et si le scotome
central
n'est pas absolu : L'amblyopie nicotino-alcooli
tères que l'amblyopie nicotino-alcoolique : diminution de la vision
centrale
et conservation de la vision périphérique, scot
vision centrale et conservation de la vision périphérique, scotome
central
absolu ou relatif (voir p. zig). Il faut toujou
iège et même la nature des lésions nerveuses. . La lacune peut être
centrale
(fig; 34). Elle peut siéger à la périphérie (la
et présenter des formes variées : lacune périphé- Fig. 34. Lacune
centrale
ou scotome central. LACUNES DANS LE CHAMP- VISU
mes variées : lacune périphé- Fig. 34. Lacune centrale ou scotome
central
. LACUNES DANS LE CHAMP- VISUEL..59 rique conc
à établir, leur valeur séméiolo- gique"leur signification. Lacune
centrale
. Scotome central. Les troubles subjectifs sa ré
leur séméiolo- gique"leur signification. Lacune centrale. Scotome
central
. Les troubles subjectifs sa réduisent, en génér
. lacunes du champ visuel. , ' La diminution de l'acuité visuelle
centrale
peut être plus ou moins grande. Le scotome cent
acuité visuelle centrale peut être plus ou moins grande. Le scotome
central
peut exister pour certaines couleurs et faire d
ulement pour cer- taines couleurs, il est dit relatif. Le scotome
central
se montre dans certaines formes de névrites toxi-
de la rétine. Amblyopie toxique nicotino-alcoolique. - Le scotome
central
est le principal signe de l'amblyopie toxique. Qu
lop- per jusqu'à ne laisser subsister qu'une zone étroite de vision
centrale
. On voit même le rétrécissement couvrir ce rest
ntrale. On voit même le rétrécissement couvrir ce restant de vision
centrale
et amener de cette façon l'amblyopie hystérique
rétinienne, mais on peut, exceptionnellement, constater un scotome
central
. Parfois môme, le scotome central coïncide avec
onnellement, constater un scotome central. Parfois môme, le scotome
central
coïncide avec le rétrécissement concentrique. D
sement d'un des champs visuels restants. Persistance de la vision
centrale
. Dans l'hémianopsie, quelle que soit sa forme,
n centrale. Dans l'hémianopsie, quelle que soit sa forme, la vision
centrale
persiste. Pour expliquer cette persistance de l
on centrale persiste. Pour expliquer cette persistance de la vision
centrale
, on a émis des opinions. La substance cérébrale
on a émis des opinions. La substance cérébrale préposée à la vision
centrale
est dans de meilleures conditions circulatoires
u delà. Il y a dissémination corticale de ce faisceau- de la vision
centrale
(Monakow, Bernheimer). ' Chaque macula a une re
le. Dans ce cas, il y a cécité complète ou persistance de la vision
centrale
. En règle générale, il y a cécité com- plète, s
e générale, il y a cécité com- plète, sans persistance de la vision
centrale
. C'est là un fait qui appuie sérieusement la th
ment la théorie de la double représentation maculaire. Si la vision
centrale
persiste, le champ visuel n'existe pour ainsi dir
une zone très étroite entourant le point de fixation. Si la vision
centrale
a disparu, la cécité est complète, mais c'est une
il avec hémianopsie du côté opposé. Assez souvent l'acuité visuelle
centrale
est diminuée, elle peut même baisser considérab
ig. 41, C). Les hémianopsies doubles avec conservation de la vision
centrale
ou avec cécité complète (cécité corticale), son
es hallucinations visuelles. , Hémianopsie par lésion des ganglions
centraux
. Les symptômes associés auxquels donnent lieu l
iés auxquels donnent lieu les hémianopsies par lésion des ganglions
centraux
sont, à vrai dire, mal connus. Les para- lysies
e atrophique des nerfs optiques, la diminution de l'acuité visuelle
centrale
, la paralysie concomitante de certains nerfs de
p visuel restant est presque toujours for- tement altéré; la vision
centrale
très diminuée; il y- a des signes ophtalmoscopi
VEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. forme nodulaire ou diffuse, leur siège
central
ou périphérique, leur na- ture (syphilis, tuber
jets. Le malade s'efforce continuellement pour ramener sur la fosse
centrale
de son oeil paralysé l'image de l'objet fixé. C
se qui correspond il l'oeil paralysé, est vue par une portion moins
centrale
et par conséquent moins sensible de la rétine.
et, une bougie. Celle-ci- est d'abord pla- cée au milieu du carré
central
. Puis on déplace la bougie trans- versalement
3aas) ad- mettent une altération du noyau photomoteur et du neurone
central
pré- ganglionnaire : , mais l'intégrité du neur
preuves ne doivent pas être trop petits, un oeil atteint de scotome
central
pourrait, dans ce cas, passer pour aveugle aux
llo-alcooliqlle et qui se caractérise par l'apparition d'un scotome
central
pour le vert, puis pour le rouge, enfin pour le
ues et fugaces; diminution progressive de la vue; l'acuité visuelle
centrale
[POUIARn.] 122 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL
subjectifs : Diminution progressive de la vision. L'acuité visuelle
centrale
tombe, le champ visuel se modifie dans sa l'orme
corticales. Tumeurs cérébrales centrales avec lésion des ganglions
centraux
. - Ilémianopsie à caractères spéciaux (p. 55);
e. 5, fibres cérébelleuses se rendant suc- cessivement aux noyaux
centraux
du cervelet, à l'écorce cérébelleuse, aux noy
noyau tra- pézoïde et corps trapézoïde. d, fais- ceau acoustique
central
avec e, fibres courtes allant aux tubercules qu
ment périphérique aboutissant aux cils olfactifs et un prolongement
central
; que ces prolongements centraux se réunissent e
ux cils olfactifs et un prolongement central; que ces prolongements
centraux
se réunissent en faisceaux qui traversent la la
trois classes : Anosmie- respiratoire, anosmie essentielle, anosmie
centrale
. . L'aito&i7tie respiratoire -est très fréq
nt gêner le fonctionnement de la tache olfactive. - ' . L'anosmie
centrale
est celle qui nous intéresse le plus ici : elle r
erf vestibulaire, qui transmet les excitations au. cervelet, organe
central
de la coordination des mouvements, et au cervea
sie ou contracture des muscles de l'mil d'ori- gine périphérique ou
centrale
. Le vertige est d'autant plus prononcé que la d
(rouble sensoriel périphérique, soit à un trouble de l'intelligence
centrale
. a) Le malade entend-il les paroles qui lui son
multiples. Le trouble peut être d'origine périphérique ou d'origine
centrale
, et dans ce dernier cas, le langage intérieur p
e. Ces dysarthries peuvent être d'origine périphérique, bulbaire ou
centrale
. Dans les paralysies laryngées,, le malade est
gment postérieur de la capsule interne. Telle est la voie sensitive
centrale
, dite encore principale : « vola médullo-tlzala
térieures, des moyens de transmission complexes; la substance grise
centrale
en est l'élément fonctionnel principal. Il n'y a
ités périphériques et serait atteint d'une lésion sous-corticale ou
centrale
(Wernicke, l3onhoeller, l\anl1ond et Egger). Ma
analogues aux fibres motrices, ou encore l'existence d'une lésion
centrale
, bilatérale. Cette question n'est pas encore ré
se demander si le siège de la lésion dans l'encéphale, cortical ou
central
, pédonculaire ou protubérantiel, peut donner à
rencontrer dans les hémi- anesthésies par lésion sous-corticale et
centrale
thalamique. On s'est demandé si les caractères
é. On peut se demander si l'hémianesthésie de cause thalamique ou
centrale
diffère par elle-même de l'hémianesthésie de caus
nts pour permettre d'affirmer qu'une hémia- nesthésie est d'origine
centrale
(thalamique) ou corticale. Les éléments du diag
nostic de l'hémianesthésie organique à type cérébral (corticale ou
centrale
) offre souvent en clinique de grosses difficultés
MIPLÉGIQUES DOULEURS D'ORIGINE PÉRIPHÉRIQUE ET DOULEURS D'ORIGINE
CENTRALE
Il est assez fréquent chez les hémiplégiques d'
ncts : 1° douleurs d'origine péri- phé1'ique; 2" douleurs d'origine
centrale
. 1° Douleurs d'origine périphérique. Ce sont le
l'âge el du tempérament arthritique du sujet. 2° Douleurs d'origine
centrale
. .Moins fréquentes que les précédentes el. de n
our le médecin il savoir reconnaître ces douleurs dites « d'origine
centrale
», qui, jointes à d'autres symptômes, lui perme
me ne parvient pas à soulager les malades. Les douleurs d'origine
centrale
, chez les hémiplégiques, diffèrent donc des dou
s phénomènes douloureux. C'est ainsi que Vulpian pla- çait le siège
central
du sens de la douleur dans la protubérance annu-
u pli courbe. Goldscheider remarque que les lésions des gan- glions
centraux
sont particulièrement douloureuses; lieiisclieil
éments cellulaires mêmes qui constituent l'organe lésé (noyaux gris
centraux
, Goldschcider) ; 2" ils ne sont que le résultat d
nsitif périphérique, de même il en existe par excitation du neurone
central
. Cette seconde hypothèse parait plus vraisembla
e semble dépendre de troubles psychiques. C'est une variété d'algie
centrale
observée chez des sujets hystériques ou neurast
onoplégie crurale liée à une afleclion organique du système nerveux
central
une perturbation du réflexe plantaire dont voici
xcitation mécanique directe, mais l'intervention du système nerveux
central
qui réfléchit l'excitation nerveuse vers les ne
oir que les réflexes avaient leur origine dans le sys- tème nerveux
central
, il nous reste à préciser la localisation de ces
es réflexes tendineux se mettent en rapport avec le système nerveux
central
aux différentes bailleurs mentionnées ci-dessous
ut siège nerveux ou articulaire, elles semblent bien être d'origine
centrale
. Les lésions thala- miaues seraient particulièr
e gâtisme est dû le plus souvent à des lacunes dans les noyaux gris
centraux
ou dans le domaine de l'artère cérébrale' posté
ventricules dans une certaine étendue. p) Lésions des noyaux gris
centraux
. - Quand les lésions sont slrie- tement limitée
de troubles tro- phiques. si ce n'est dans les paralysies d'origine
centrale
. Les escarres sont fréquentes, en effet, dans l
s 1>scudo-hulhaires; et généralement, à moins qu'une destruction
centrale
étendue ne les enlève rapidement, ils s'affaiblis
, il si a intégrité complète du système nerveux péri- plu'l'igue et
central
, ainsi que des articulations, atrophie et dégéné-
les-ci indiquant d'ordinaire la destruction définitive d'un segment
central
ou périphérique. L'absence de troubles de la se
assez fréquemment de para- lysie faciale. , La paralysie faciale
centrale
est causée par les lésions siégeant en [G. GUIL
s la corticalité jusqu la protubé- rance. On oppose cette paralysie
centrale
du nerf facial à la paralysie périphérique déte
mes cliniques dépendant du siège de la lésion. La paralysie faciale
centrale
a une symptomatologie un peu spéciale. Le dia
mettre les adducteurs en contraction tonique. B) Spasme d'origine
centrale
. Les lésions cérébrales ne parais- sent pas dét
le spasme des adducteurs de telle sorte qu'il n'est pas d'affection
centrale
où l'on trouve plus fréquemment un des trois stad
re dû aussi à l'altération en un point quelconque du neurone moteur
central
, c'est-à-dire de la voie pyramidale qui conduit
paralysés (atrophies consécutives aux paralysies diverses d'origine
centrale
ou périphérique). Ces amyotrophies peuvent être
ssent être dues il une altération primitive du système nerveux soit
central
, soit périphérique, il n'y en a pas de primitiv
is non seulement sur les muscles, mais aussi sur le système nerveux
central
ou périphérique : les amyotrophies progressives,
ne classe d'amyotrophies progressives, avec ou sans lésion nerveuse
centrale
ou périphérique, qui sont héréditaires ou famil
adies du développement portant primitivement sur le système nerveux
central
, paraissent s'accompagner beaucoup moins que les
actéristique et sou- vent précoce de la syphilis du système nerveux
central
(Babinski et Char- pentier), dont la constatati
r Char- rin, nous avons montré la fréquence dans le système nerveux
central
tout particulièrement friable et vulnérable du
niquement d'une lésion péri- phérique, polynévrite, ou d'une lésion
centrale
, myélite : il est pro- bable que, dans beaucoup
ique, serait toujours accompagné d'altéra- tions du système nerveux
central
. D'autres infections et intoxications, la lèpre
ro-intestinaux. Cette symptomatologie montre que le système nerveux
central
est altéré dans son ensemble; pourtant l'in- co
à l'incoordination par lésion du nerf labyrinthique dans sa portion
centrale
ou périphérique, en particulier par lésion de l'o
rcs; on observe quelquefois la petitesse de tout le système nerveux
central
, surtout de la moelle, l'atrophie de la substan
alimen- taire (Schnitzer). f) Nerf labyrinthique, périphérique ou
central
: « ataxie labyrinthique » : Mélange de trouble
soit le cortex, soit d'ordinaire la substance blanche et les noyaux
centraux
, et cela dans les deux hémisphères à la fois. ?
Chez l'anarthriqllcnon ]Ja1'alytir¡1le enfin, où seul le mécanisme
central
de l'articulation des mots est atteint, [MOUTIE
dent au même titre d'une per- turbation probable du système nerveux
central
. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL Y a-t-il tremblement
NTS. suivant Brissaud, un argument en faveur du trouble fonctionnel
central
qui préside il la maladie. Nous n'insisterons
s centres modérateurs ou des centres excitateurs du système nerveux
central
. Les troubles de la sensibilité sont inconstant
ent plutôt rattacher l'athétose double à une lésion des noyaux gris
centraux
, tandis que Kaliler et Pick la rattachaient seule
nt vrai- semblablement d'une affection organique du système nerveux
central
dont [A. LJBAT Fig, '13, 14, 15 et 16. Deux t
re d'auteurs pensent que l'hyperthermie peut être due il une lésion
centrale
soit de l'écorce cérébrale (Ch. Bichet) soit d'
Dans la première heure de Y hémorragie cérébrale, la température
centrale
est abaissée en dépit de la fréquence du pouls et
minal. Enfin, il existe un certain nombre de tachycardies d'origine
centrale
: telles sont celles qui sont dues à des lésion
peuvent dépendre d'alté- rations des nerfs crâniens ou de troubles
centraux
. On se rappellera que le pneumogastrique, par l
ur diagnostique. On peut encore observer des vomissements d'origine
centrale
à la suite des grandes émo- tions, des ébranlem
hocs les plus violents dans la région du plexus solaire. Troubles
centraux
attribués à des états gastriques. Nous avons 'd
e des lacunes de désintégration (Pierre Marie) dans les noyaux gris
centraux
et peut-être aussi dans quelques gros faisceaux d
pes simultanément dans leur trajet périphérique, soif que l'origine
centrale
commune de plusieurs .nerfs soit lésée; il en r
ond de l'oeil. Décoloration de la choroïde. Persistance de l'artère
centrale
de la rétine. - Oreille. Les stigmates sont ici
e réaction méningée subaiguë, qui permettra d'appré- cier l'origine
centrale
méningo-médullaire de certains zonas et de les
emblent trop aux altérations banales, quasi physiologiques du canal
central
de la moelle humaine pour qu'il soit possible d
sylvienne, rhomboïdale et même médullaire; elle montre que le canal
central
sert surtout à diffuser les produits morbifique
es ventricules. On a d'ailleurs tout lieu de penser que si le canal
central
diffuse les poisons, il peut aussi diffuser les a
radiodiagnostic il l'élude des lésions directes du système nerveux
central
se trouveront limitées : soit aux cas où la boi
fications pourront être dues soit il une maladie du système nerveux
central
ou périphérique, soit à des affections dyslroph
des extrémités, con- sécutives à des affections du système nerveux
central
ou périphérique; 4° Affections osseuses dystrop
ET ARTICULAIRES CONSÉCUTIVES A DES AFFECTIONS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
OU PÉRIPHÉRIQUE Les arthropathies tabétiques do
et uniforme. Plus limité, le processus reste localisé il la partie
centrale
de l'os ou se propage il la périphérie; il gagn
ltiplication des tentatives théra- peutiqucs sur le système nerveux
central
. Elles ont été laites avec un certain succès da
quées sur une tumeur volumineuse distante ou non du système nerveux
central
. C'est ainsi que l'on a pu employer dans deux i
est de même dans un certain nombre d'affections du système nerveux
central
, particulièrement dans celles qui atteignent pl
Li - nique, peut s'observer dans des affections du système nerveux
central
, encéphale et moelle, surtout à leur début ou à
de courants qu'avec l'autre. Dans les affections du système nerveux
central
qui atteignent plus par- ticulièrement les neur
nerveux central qui atteignent plus par- ticulièrement les neurones
centraux
, on peut rencontrer de la diminution simple de
phérique de la DR contribue à faire localiser le siège de la lésion
centrale
. La DR se rencontre aussi dans les lésions des
00 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. du nerf a conservé ses rapports avec le bout
central
; mais, en pareil cas, on peut prévoir une guér
maladies qui portent plus particulièrement sur les neurones moteurs
centraux
, soit dans l'encéphale, soit dans la moelle. Da
maladies portant plus particulièrement sur les neurones sensitifs,
centraux
et périphériques. Dans le quatrième nous réunir
DE LÉSIONS PORTANT PLUS PARTICULIÈREMENT SUR LES NEURONES MOTEURS
CENTRAUX
DANS L'ENCÉPHALE ET DANS LA MOELLE Comme type d
tteignant plus spécialement dans l'encé- phale les neurones moteurs
centraux
nous prendrons les paralysies par hémorragie cé
estations symptomatiques dépendant des lésions des neurones moteurs
centraux
s'ajoutent parfois des manifestations dépendant d
s loin. Les maladies portant plus particulièrement sur les neurones
centraux
, dans la moelle épinière. dépendent soit de lés
Les lésions ne sont pas toujours étroitement limitées aux neurones
centraux
, elles s'étendent parfois aussi aux cornes de la
is manifestations symptomatiques dépendant des lésions des neurones
centraux
. "'0; Les développements dans lesquels nous som
s déjà dites, au traitement des affections par lésions des neurones
centraux
intra-méduttaires. Enfin, depuis quelques ann
r l'électricité que les affections portant sur les neurones moteurs
centraux
. Pour éviter des redites trop nombreuses nous n
nner au courant est la direction ascen- dante (pôle négatif du côté
central
, pôle positif du côté, périphérique) : il y a c
e Müller. , INCLUSIONS. 155t de petits fragments (système nerveux
central
, ganglions, nerfs périphé- riques). Ces petits
tude des dégénérations secondaires récentes dans le système nerveux
central
. Méthode d'Exner. Des fragments de cerveau ou d
s des aliénés, 252. Acuité réliuicntce périphérique, 15. visuelle
centrale
, exploration, 2. Echelle typographique, 5. Diff
ri- phériques, 10. Recherche des lacunes, 12. Lacunes, 58. Lacune
centrale
, 40. Lacunes périphériques, rétrécis- sement
du corps, 1276. , Électrothérapie. Lésions des neurones violeurs
centraux
. Hémiplégie cérébrale, 1288. ? Maladies des neu
Carac- tères du champ visuel, 46. - Persi- - stance de la vision
centrale
, 47. - double, 47. - hétérolatérale biles- po
- ticale, 52. par lésion sous-corticale, par lésion des ganglions
centraux
, 55. par lésion de la bandelette, par lé- sio
Hémiplégie. Douleurs d'origine périphé- risque. Douleurs d'origine
centrale
, 571. - Caractères. Causes, 572. Exagé- ratio
glot- tillue respiratoire par irritation directe, li30. d'origine
centrale
. d'origine périphérique, 11 : : Í'1. réflexe, 6
ment électrique, 1510. Scoliose des myopalhiques, 676. Scotomes
centraux
, 40. - pour les cou- leurs, 7. - insulaires, 58
22. Tachycardie, 9441. - par intoxication. - réflexe. - d'origine
centrale
. - dans la maladie de Basedow. - essen- tiell
- Ohuttbilalions passagères dans les tumeurs cérébrales, 121. - -
centrale
, exploration. Vision centrale pour les formes,
dans les tumeurs cérébrales, 121. - - centrale, exploration. Vision
centrale
pour les formes, 2. - - pour les cou- leurs,
vé une gliomatose qui intéressait principalement la substance grise
centrale
; mais par places elle empiétait sur la substanc
sous forme d'îlots qui paraissaient être indépen- dants de la masse
centrale
. Oppenheim (2), dans une première publication c
é. Les réflexes étaient abolis. A l'autopsie, ou a trouvé la partie
centrale
de la moelle creusée d'une exca- vation qui s'é
dorsal et lombaire. Cette exca- vation était indépendante du canal
central
et ne communiquait pas avec lui. Les cordons an
ne ascendante du trijumeau. Elle envahit d'abord la substance grise
centrale
, puis la corne postérieure qu'elle peut détruire
taient envahis par des îlots de gliomatose indépendants de la masse
centrale
. SYRINGOMYÉLIE AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 15 Dans
vous vous rappelez que dans le cas de Schuppel, la substance grise
centrale
et les cordons postérieurs manquaient totalement
f- férent de ce que nous avons ici. Ostwalt a trouvé une rétinite
centrale
avec ou sans iritis, caractérisée par de petite
st ainsi, admettons que la main du malade soit placée dans l'anneau
central
et produise une pression prolongée mais sans vi-
u; admettons même que les vibrations de. la main déplacent l'anneau
central
du plan de l'appareil, le résultat n'en sera pa
toxyline-éosine, on lui reconnaît la structure suivante : la masse
centrale
de la tumeur est exclusivement formée de cellul
ngénère. Tandis que la première se termine en pointe vers la région
centrale
de la moelle, s'éloignant par conséquent de la su
dère des coupes de plus en plus basses ; l'autre qui suit la partie
centrale
de la moelle et qui désorganise cette région jusq
et l'article du Traité de Méde- cine : 1° Mac Dowel, 1861 : Gomme
centrale
de la moelle dorsale. 2° Wilks, 1863 : Gomme po
ne s'agissait pas, comme nous l'avions supposé, d'une hématomyélie
centrale
ni d'un ramollïsse- ment transverse : l'erreur
nt du malade : nous avions supposé la formation .d'une hématomyélie
centrale
, occasionnée par la rupture d'nne artériole .al
e qu'avait prise l'infil- tration embryonnaire dans toute la région
centrale
de la moelle, même en deçà et au delà des tumeu
breuses s'éten- dant jusqu'à la substance grise, attaquant le canal
central
qui est entouré de cellules a"noyaux. Epaississ
. La substance grise est disposée d'une façon asymétrique. Le canal
central
est dilaté sous forme d'une fissure triangulair
res présentent de la dégénérescence vitreuse. Latéralement au canal
central
, dans le centre des cornes grises antérieures,
desquels des faisceaux entiers de fibres sont détruits. Le canal
central
est très dilaté et tapissé d'un épithélium prolif
microscopiques, on voit, au niveau du renflement cervical, le canal
central
dilaté sous forme d'une fissure qui, de la commis
ents arrondis et renfermant de nombreux vaisseaux dilatés. Le canal
central
n'a plus sa forme de fissure ; il revêt un aspe
elle est aplatie suivant son diamètre antéro-postérieur. Le canal
central
, tout. en se disposant transversalement, et en pr
e coupe passant à un centimètre au-dessus du dédoublement, le canal
central
est toujours revêtu d'épithélium, la substance ne
s 2 sillons antérieurs et postérieurs sont très voisins et le canal
central
est déjà divisé en 2 parties par un tractus de
par la dure-mère et la pie-mère épaissies. Il n'existe pas de canal
central
et, dans chaque segment, il est impossible de d
e plus souvent, reconnaître une cause indépendante du système nerveux
central
. Les faitsrapportés sont d'ailleurs aussi peu p
cy with universal rigidity, the resuit of syphilitic disease of the
central
nervous s3·stem . l3rain, 1884, octobre, p. 406.
Bokttigmi. Ueber einen Fall hereditiir syphilitischer Erkrankung des
central
Ner- vensystems. l3erliuerGesellsclaa'rit Psych
largie. On ne trouva aucune autre anomalie dans les organes nerveux
centraux
». « Evidemment ajoute Bartels, les phénomènes
nt à la moitié interne, à partir du point d'émergence des vaisseaux
centraux
, elle disparaît entièrement sous la chorio-réti
rs Pygmées des individus appartenant aux peuples nains de l'Afrique
centrale
. L.Iplu- part des représentations de ce genre n
s parties malformées de la surface cérébrale, tandis que les noyaux
centraux
sont restés intacts. 4° Tous les ventricules so
aisceaux latéraux ne sont pas plus atrophiés que les médians ou les
centraux
. Dans la partie voisine de la protubérance, cette
est généralement divisée en trois par- ties : les faisceaux médian,
central
et latéral. , Le faisceau central, dénommé fais
r- ties : les faisceaux médian, central et latéral. , Le faisceau
central
, dénommé faisceau pyramidal, entre en relation en
olution pa- racentrale; en has, une partie de ces fibres, la partie
centrale
, s'accole aux cellules des cornes antérieures d
ité, qu'on a accepté comme centrifuge uniquement pour les faisceaux
centraux
et internes. Aleynel't prétendait que ces fibres
t directement, sans interposition des cellules nerveuses des noyaux
centraux
, dans l'écorce cérébrale, ou du moins que ces n
oyaux centraux, dans l'écorce cérébrale, ou du moins que ces noyaux
centraux
ne font pas obstacle à la dégénération descenda
largie. On ne trouva aucune autre anomalie dans les organes nerveux
centraux
. » . « Evidemment, ajoute Bartels, les phénomèn
fibreuses s'étendant jusqu'à la substance grise, attaquant le canal
central
qui est entouré de cellules à noyaux. Epais- si
y with unive)-sal 7(/idity, the resull of syphilitic disease ot the
central
nervous syslem. Brain, 1884 oct., p.4.0G : (2)
ement de leurs parois et y sont en général gorgés de sang. Le canal
central
est tapissé d'un bon épithélium cylindrique.
. La substance grise est disposée d'une façon asymétrique. Le canal
central
est dilaté sous forme d'une fissure triangulair
es présentent de 'la dégénérescence vitreuse. Latéralement au canal
central
, dans le centre des cornes grises antérieures,
au desquels des faisceaux entiers de fibres sont détruits. Le canal
central
est très dilaté et tapissé d'un épithélium prol
microscopiques on voit, au niveau du renflement cervical, le canal
central
dilaté sous forme d'une fissure qui, de la-commis
ents arrondis et renfermant de nombreux vaisseaux dilatés. Le canal
central
n'a plus sa forme de fissure, il revêt un aspec
elle est aplatie suivant son diamètre antéro-hostérieur. Le canal
central
, tout en se disposant tranversalement et en prena
une coupe passant un centimètre au-dessus du dédoublement le canal
central
est toujours revêtu (l'épithélium, la substance n
x sil- lons antérieurs et postérieurs sont très voisins et le canal
central
est déjà divisé en deux parties par un tractus
par la dure-mère et la pie-mère épaissies. Il n'existe pas de canal
central
et dans cbaque segment il est impossible de dis
noyaux serrés, leur hase à la périphérie, leur sommet vers le canal
central
, passent entre la substance ner- veuse et la dé
s'avançant jusqu'à la commissure postérieure de la substance grise
centrale
; d'autres encore pénètrent les cordons latérau
ne ne présente pas les altérations décrites par Heubuer. Le canal
central
est partiellement oblitéré, surtout dans la moiti
morrhagie siège sur les deux hémisphères, au niveau du lobule para-
central
, la zone atteinte est plus considérable à droite.
es accidents présentés par cet enfant ont eu réellement une origine
centrale
, il devait y avoir en cause, non pas les lésion
VO-MOTEURS 327 paralysies arsenicales sont nécessairement d'origine
centrale
, qu'il est des cas où la participation de la mo
ut le cerveau gauche est détruit, réduit en pulpe, seuls les noyaux
centraux
persistent,reconnaissables. Le cerveau droit pr
té, évidemment compri- mée. La tumeur se désorganise dans sa partie
centrale
grenue craquelée, mais la dure-mère s'éloigne d
du cordon de Burdach. CB, cordon de Burdach. Sgc, substance grise
centrale
, périépendy- maire. SgR, substance gélatineus
U, noyau du cordon latéral. FG, faisceau de Gouers. Fee, faisceau
central
de la calotte. Oi, olive inférieure. XII, fib
e interne. Oia, olive inférieure gauche atrophiée. Fcca, faisceau
central
de la calotte atro- phié. Nlld, noyau du cord
e dans le noyau terminal de KoelliJ.'e ! ' (dans la substance grise
centrale
) quelques cellules pigmentées et d'autres dégén
res et sont dégénérés. C'est le cas en particulier pour le faisceau
central
de la calotte de Bechterew qui prend naissance
face, est assurément le symptôme d'une hémi-anesthé- sie d'origine
centrale
. L'aplatissement du nerf trijumeau à gauche ne
st mieux con- servé que la périphérie du C R. Il ajoute que la voie
centrale
de la ca- lotte est nettement développée, tandi
région indiquée. On sait que Edinger désigne sous le nom de « voie
centrale
sensorielle du (1) ANDRé (Thomas, Le cervelet (
x du thalamus à gauche et à droite. Il ajoute cependant que la voie
centrale
de la calotte de Bechterew était atrophiée du c
ué dans les premiers jours de mai, par le professeur Isola : Vision
centrale
et périphérique perdue. Pupilles dilatées, réfl
ci est dû à la présence d'une masse néoplasique qui soude la partie
centrale
de la base du cerveau à la dure-mère. - Une d
donc dans toutes ses parties constitutives, motrice et sensi- tive,
centrale
et périphérique, que le système nerveux est lésé
suel était rétréci d'une manière considérable et réduit à la vision
centrale
. La vision des couleurs paraissait intacte; les p
r soit nettement des ganglions lymphatiques, soit au moins un noyau
central
dur. Chez le malade de i}1. IIayem, deux ans au
têtes prennent un aspect tout à fait curieux, par exemple le groupe
central
qui repré- sente un médecin en train d'extraire
upe, l'alcoolisme. Et en particulier pour les hémiplégies d'origine
centrale
. Pour celles d'origine corticale, l'influence de
, écartent nettement cette idée. Etant admise l'idée d'une lésion
centrale
il reste à expliquer pourquoi l'hé- miplégie n'
pièces dans l'alcool. Il met de petits fragments du système nerveux
central
dans de l'alcool à 96°. Sans les enrober, il le
utopsie on constate 316 C UAIILES LADAME un léger névrome au bout
central
du nerf réséqué, pas de réunion des deux bouts
pourtour, exactement comme dans la cellule normale. Le nucléole est
central
et fortement coloré. Un second stade nous prése
à cet endroit. Le noyau est encore normal et globuleux. Le nucléole
central
est vivement coloré. Dans les stades suivants (
vivement coloré. Dans les stades suivants (PI. XLV, g, h), la tache
centrale
s'agrandit de plus en plus en tous sens, tant p
105 cellules mesurées sur 4 coupes. 322 CHARLES LADAME noyau est
central
ou légèrement déplacé; la cellule, de volume norm
du côté de la migration du noyau. Le nucléole, vivement coloré, est
central
. La très grande majorité des éléments nerveux p
rouve pas de réunion des deux bouts du nerf réséqué, il y a au bout
central
un névrome volumineux. Les ganglions plexiforme
otubérance et le cervelet, l'isthme de l'encéphale et les ganglions
centraux
. Le manteau cortical est également conservé et le
upérieur, le culmen ; l'uvula, le nodule de la lingula et le lobule
central
le sont davantage : le déclive et le tubercule
surprenant. l'atrophie OLIVO- PONTo-cÉnÉI3ELLEUSE ' 337 B. Noyaux
centraux
(PI. XLVIII et XLVII, D). Ils sont plus petits qu
la couche granuleuse et de la couche moléculaire. 2° Noyaux gris
centraux
. - Il a été dejà dit plus haut que la toison du
it plus haut que la toison du corps dentelé et sa substance blanche
centrale
(bile) qui se continue avec le pédoncule cérébe
à former les fibres semi-circulaires internes. 3° Substance blanche
centrale
du vermis. -- Arbre de vie. - lllalâré cela, il
Arbre de vie. - lllalâré cela, il existe dans la substance blanche
centrale
du vermis un confluent de fibres à myéline, ass
ses dimensions transversales et longitudinales. Substance blanche
centrale
des hémisphères (PI. XLVII et XLVIII). - Sauf l
t en arrière et en dehors, ces fibres qui appartiennent au faisceau
central
de la calotte contribuent à former en dehors de
couche externe de la subs- tance blanche périolivaire. Le faisceau
central
se dégage ensuite peu à peu, il est moins compa
supérieure que dans sa moitié inférieure ; d'autre part le faisceau
central
est plus petit d'un côté et l'olive du même côté
même côté est moins développée. La diminution de volume du faisceau
central
est due peut-être à un certain degré d'atrophie
d'un côté, ce qui explique le volume moins considérable du faisceau
central
de la calotte correspondant. L'atrophie de la p
es). Elles occupent, à leur pénétration dans le cervelet, la partie
centrale
du corps restiforme ; les fibres dégénérées qui s
mpté parmi les fibres de projection de l'écorce sur les noyaux gris
centraux
. A son entrée dans le cervelet, le corps restif
u vermis est elle-même la conséquence de l'atrophie des noyaux gris
centraux
et principalement du noyau du toit, du bouchon
avec atrophie relativement beaucoup moins accentuée des noyaux gris
centraux
(noyau dentelé, noyau du toit, bouchon, noyau sph
ur le vermis, contrastant avec l'intégrité relative des noyaux gris
centraux
: noyau dentelé, noyau du toit, noyau sphérique
olives, la substance grise du pont et le cervelet (les noyaux gris
centraux
exceptés) ; cependant il existe entre elles quelq
attention ; les atrophies cérébelleuses dans lesquelles les noyaux
centraux
sont profondément lésés, au même degré que l'écor
té droit. Dans la partie in- férieure de la moelle dorsale le canal
central
est dilaté ; vers l'extrémité infé- ' l'atrophi
bo- lies, ce qui tient d'une part à l'intégrité relative des noyaux
centraux
ou la conservation de quelques régions de l'éco
e des olives, et la protubérance et la petitesse du système nerveux
central
coexistent avec l'atrophie cérébelleuse et peu(
ette hypothèse est surtout admissible pour les vaisseaux des noyaux
centraux
et de la capsule interne à cause de leur consti
le sens le plus direct, se fait sentir aussitôt dans les noyaux gris
centraux
, dans la capsule interne et la portion postérie
lleurs possible). Il suffit, d'après nous. d'admettre l'hémorrhagie
centrale
, la lésion pédonculaire, plus ou moins proche d
a substance cérébrale, déterminant une hémiparésie gauche d'origine
centrale
. On exprima la probabilité d'une lésion des fai
mière. Cela nous donne la figure VI tel' (PI. LII). Les noyaux gris
centraux
sont atteints en plein, le' corps strié notamment
la grande aile du sphénoïde. Il en est résulté une lésion d'origine
centrale
. Et il dit en outre que : '< l'expérimentati
a partie antérieure du lobe temporal, la substance grise des noyaux
centraux
et principalement du noyau caudé, ainsi que la
FiG. 11. CO, Couche optique. SR, Sillon de Rolando. - VL, Ventricule
central
. 1 390 RENÉ MARTIAL est traversée par le co
de ces canaux se termine à la surface externe de la circonvolution
centrale
postérieure......... le second va plus en arriè
ultats de nos recherches personnelles concernant le système nerveux
central
de deux malades qui ont souffert de paralysie g
ch dont nous nous sommes ser- vis : les morceaux du système nerveux
central
étaient durcis dans la solu- tion de formol (d'
us avons employé pour la coloration des cellules du système nerveux
central
le bleu de toluidide, le bleu de poly- chrome,
n ne rencontre qu'une dégénérescence disséminée. La région du canal
central
présente à de petits grossissements, une nuance
scence dans le faisceau de Türck est un peu plus rapproché du canal
central
. Dans les autres régions on observe appro- xima
uprès du bout de la corne postérieure et la base au niveau du canal
central
; la région de dégénérescence, en se raréfiant un
périphérie du corps cellulaire (chromolyse générale et chromo lyse
centrale
). Il y a des cellules, où l'on peut rencontrer
places, on observe une zone claire périnucléaire ou une chromolyse
centrale
. Les contours du noyau souvent ne sont pas nets ;
érie des cellules. Le noyau dans ces cellules conserve une position
centrale
et assez souvent passe aussi dans les régions p
s modifications très marquées : leur gonflement, une chromolyse (1)
centrale
(terme nouveau de Van Gehuchten) avec une posit
es. L'exis- tence d'un grand nombre de cellules avec une chromolyse
centrale
et avec un noyau disposé excentriquement, nous
s. La modification de la pression dans la cavité du système nerveux
central
, le trouble de la circulation régulière de la l
générale, qui se reflète, entre autres, sur tout le système nerveux
central
, où les cellules nerveuses sont sujettes à une dé
deux bouts du nerf réséqué, mais un gros névrome fusiforme au bout
central
. Immédiatement après la mort, la moelle allongé
ar c'est le cas ordinaire pour toutes les coupes du système nerveux
central
; et du reste ces cellules s'observent aussi bi
.LXXVI,f) reviennent à une forme plus régulière, avec un noyau plus
central
et un protoplasma contenant de nombreux blocs, gr
uer le proto- plasma et le noyau qui occupe de nouveau une position
centrale
(PI.LXXVI,g). ' Ces cellules rappellent, comme
amètre (PI. LXXVI, i, k.). Quoi qu'il en soit le noyau n'est jamais
central
. Le protoplasma est semé çà et là de fines gran
erf vago-sym- pathique gauche réséqué, mais un gros névrome au bout
central
avec pointe d'accroissement à l'extrémité infér
t souvent masquée par les granula- tions. Le nucléole est régulier,
central
et fortement teinté Mais on rencontre aussi de
s du nerf réséqué, mais il existe un gros névrome fusiforme au bout
central
, avec pointe d'ac- croissement. Un espace de
les ont l'apparence d'é- léments normaux : Elles possèdent un noyau
central
, un protoplasma clair, une grande richesse de g
n ils sont répandus au hasard dans toute la cellule. Le noyau est
central
; dans quelques cellules il n'est toutefois pas e
écrétion du pus, on sera conduit à reconnaître l'initiative de l'état
central
. On pouvait seulement soupçonner l'existence d'
is que les doigts s'agitaient continuelle- 'ment; enfin l'influence
centrale
ne s'exerçait plus sur le membre abdominal corr
bstance grise antérieure. Certains leucocytes situés dans la partie
centrale
du foyer sont remplis de microcoques (staphylocoq
yer de nécrose avec ramollissement dû à l'oblitération de l'artériole
centrale
par des grains de lycopodium ; la corne postéri
grise, substance blanche étant intacte. 586 MARINESCO une myélite
centrale
(fig. 19) comme on en voit rarement, même dans la
intra-ra- chidienne d'une culture de méningocoque virulent. Myélite
centrale
plus accusée à gauche, accompagnée de paraplégi
eur et postérieur) par les bacilles qui ont envahi également le canal
central
. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 589
Voici en quoi elles consistent : la cellule se compose d'une partie
centrale
, colorée et d'une espèce d'enveloppe périphérique
épendymaire me permet d'expliquer la présence de foyers de myélite
centraux
autour de ce canal à une région supérieure à ce
la même pathogénie ; il incrimine une altération du système nerveux
central
sans laquelle est impossible d'expliquer la con
cavée bilatéralement dans 1 observation de Raehlmann. Les vaisseaux
centraux
naissent du centre de la papille ordinairement
oculaire externe gauche. L'existence de troubles du système nerveux
central
au cours de la der- mo-neuro-fibromatose, depui
chromatolyse surgit chaque fois qu'un neu- rone moteur ou sensible,
central
ou périphérique, se trouve lésé dans son intégr
e dans les amputations des membres où l'effort régénérateur du bout
central
du nerf (1) Marinesco, Contribution à l'élude d
segments du nerf sectionné; mais seulement l'existence d'un névrome
central
plus ou moins développé. Cependant au 118e jour
simple présence du bout périphérique dans le voisinage du seg- ment
central
suffit à ses yeux pour faciliter la réparation.
ent et où par con- séquent, dit-il, « l'effort régénérateur du bout
central
du nerf reste sté- rile ». Van Gehuchten s'es
. 4, 3e colonne. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 651 matotyse est
centrale
après la résection du vague dans les cellules sen
Il est un point sur lequel insiste avec raison Môbius, l'origine
centrale
, celle-ci nous semble indiscutable, mais pour c
' En résumé, ce qui nous semble le plus probable, c'est l'origine
centrale
de l'affection et l'analogie du processus qui l
érôme artériel généralisé. Ramollissement cérébral : 1" vaste foyer
central
à droite (corps calleux, noyau caudé, anse 7-ol
tale des accidents, s'accompagne d'un abaissement de la température
centrale
et périphérique. Le thermomètre est au-dessous
t flasques et inertes. Les extrémités sont froides ; la température
centrale
s'abaisse à 36°, 35° (OBs. LXXV) et même au-des
DE L'AtiESTHiSIE SENSORIELLE DANS LES AFFECTIONS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
; parR. THomsrN et H. Oppenheim. (Arch. f. Psych
on la rencontre dans bien d'autres affections du système ner- veux
central
. 2»Elleconstitue un complexussymptomatiquequipres
enté sur des affec- tions palpables, il lésion, du système nerveux
central
; elle n'a, d'après nos observations, pas l'imp
et de l'état d'impres- sionnabilite irritalive des nerfs et organes
centraux
(aperception; connaissance consciente du proces
es aliénés excitables et passagèrement agités. Dans ]*établissement
central
, on a pu, grâce à un aména- gement architectura
quement dans celte méninge ; il exis- tait en même temps une cavité
centrale
longue de 6 centim. dans la moelle dorsale infé
lulaires. Nulle part il n'existe de revêtement épithélial. Le canal
central
estici ouvert, là oblitéré, là encore méconnais
core méconnaissable; sur quelques coupes, on croirait voir le canal
central
oblitéré, fort sombre, au 102 SOCIÉTÉS SAVANTES
chambre claire électrique, sur la fine structure du système nerveux
central
, montre la répartition des masses grises sur des
OGIE NERVEUSE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'HG111ATOPSIE D'ORIGINE
CENTRALE
HÉIIANOPSIE corticale); Par E.-C. SEGUIN (de Ne
s produite par des lésions d'un nerf optique, ou d'une portion plus
centrale
de l'appareil optique, pouvant s'étendre en arr
pupilles, les muscles et le fond de l'oeil étaient normaux. Vision
centrale
du côté droit = I, du côté gauche = 2/3. Le tro
gauches, sans anesthésie. Intelligence normale, ouïe bonne, vision
centrale
= 1 (H. 2). Il y avait une hémianopsie homonyme
vision verti- cale n'embrassant pas le point de fixation. La vision
centrale
était bonne comme auparavant, ainsi qu'il était
s que ces faits aient aucun rapport avec le trouble visuel, qui est
central
, comme vous le dites. Je suis tout-à-fait de vo
uver de la névro-rétinite. LISTE DE cas D'FIÉ61111\0l'SIE d'origine
centrale
avec autopsie, ET D'HÉilfANOPStE traumatique ju
5. SEGU1N, L. C. A contribution to the Patholoy of hemia- nopsia of
central
engin. Case with spécimen. Read before the New
de Meynert, car chez le rat, on a respecté les petits noyaux du lobe
central
du cervelet qui occupent le toit du quatrième v
que des intermé- diaires, dirigés et régis par un mécanisme nerveux
central
, leurs attitudes doivent refléter l'état du cen
on de ses « muscles et de ses os. Une fois développés, les éléments
centraux
240 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. « son
sions accidentelles. Leur activité « désintègre et fatigue l'organe
central
, et cette fatigue est la me- « sure de la décom
us tard que « cette intermittence se retrouve dans chacun des actes
centraux
« considéré isolément Il apparaît donc claireme
exclusivement liée à la phase de désintégration des «actes nerveux
centraux
. « Cela posé, une nouvelle question surgit : To
iences sur la durée des actes « psychiques et sur la calorification
centrale
. Tout acte centralest « nécessairement lié à la
« ont jeté une vive lumière sur les rapports de la thermogénèse «
centrale
avec l'activité psychique. Je me bornerai à rappe
ansmission « nerveuse. Ces faits indiquent clairement que les actes
centraux
« qui sont accompagnés de la conscience la plus
fonctionnelle. « Cherchons maintenant ce qui caractérise les actes
centraux
« qui s'accompagnent d'un minimum de conscience
ansmission relative- « ment très rapide. En fait, tout acte nerveux
central
demande « un certain temps pour s'accomplir; la
ent liée à la désintégration fonc- « tionnelle des éléments nerveux
centraux
; son intensité est di- « rectement proportionne
lors que peu de cas, il n'y a même que certains stades de paralysie
centrale
non atropllique, dans lesquels l'excitabilité méc
qu'on n'oublie pas qu'il s'agit des malades dangereux. Le bureau
central
de statistique a publié ce qui suit : En 1882, il
convénients dans la mesure du possible par l'association d'un asile
central
à une série d'édifices agricoles. E. KIFLLBER
ionset en affections du système nerveux, tant dans ses départements
centraux
que dans ses départements périphériques. Les fa
rédité : l'enfant avait présenté des anomalies du système ner- ^eux
central
(faiblesse intellectuelle, bizarreries, excitabil
mal épileptique où le retour au fonc- tionnement normal des organes
centraux
s'effectue en partant du coma réactionnel par é
mbre des assistés f07(1853). On espère construire un grand bâtiment
central
. ilosbach. Asile d'idiots pour enfants de six à
ance des aliénés : ce sont : Il La construction d'un asile régional
central
pour 1,000 indi- vidus près d'Emmendigen, petit
essaire au but en ques- tion. Dans ces 400 malades, l'établissement
central
ligure pour 200. Ce contingent sera pris aux de
lation; système de fosses mo- biles. Au rez-de-chaussée, calorifère
central
avec une étuve, cave au bois et au charbon, etc
dans l'ancien édifice réservé aux soeurs, on a monté une laverie
centrale
à eau chaude. 330 VARIA. Grand-duché de Saxe-
joint l'asile à la colonie, on a construit, près de l'établissement
central
, deux nouveaux bâtiments; c'est d'abord un quarti
autres. Il estime au contraire que l'altération du système nerveux
central
et périphérique dépend uniquement « de ce que l
riphérie de la fibre, et remonte progressivement vers son extrémité
centrale
, pensera-t-on que, dans l'espèce, cette dégénér
y a (selon leur hypothèse) dans le cerveau, pendant l'irritation
centrale
à côté des fonctions proprement dites, irrita-
, à l'état normal, cela n'au- rait pas lieu dans le système nerveux
central
, pour- quoi il faudrait avoir une action d'arrê
circonvolutions frontale et pariétale ascendantes. Les noyaux gris
centraux
paraissent intacts. A la coupe pédiculo-pariéta
aux ventricules latéraux et nullement à celte région si reculée, si
centrale
que nous avons trouvé altérée dans les autopsie
r dans ce contraste un élément de diagnostic en faveur d'une lésion
centrale
. ' Conclusions générales. l- L'exagération des
alysie périphérique absolue, et peut-être aussi dans la para- lysie
centrale
, mais sans réaction dégénérative subsidiaire. P.
la dif- férence qui existerait, d'après lui, entre l'électrisation
centrale
et l'électrisation périphérique de la peau. Il
est loin d'être toujours aussi facile. P. K. UV cas D'ANGIOS\RCOME
central
DE la moelle ; par G. GLASER. (Arch. f. Psych.,
évrite primitive) et une paralysie musculaire progressive d'origine
centrale
(poliomyélite). REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 41l L
comme dans les autres affections destructives du sys- tème nerveux
central
, des dégénérations secondaires dont l'inten- si
tion des tubes nerveux, analogue à celle qui s'observe dans le bout
central
d'un nerf sectionné au voisinage de la section,
sumé clair, méthodique, attrayant, de l'anatomie du système nerveux
central
, ou plutôt de la texture et des rapports de l'e
la texture et des rapports de l'ensemble des systèmes des organes
centraux
. Cent vingt gravures schématiques ou demi-schéma-
. Ilémiauesthésie, par Seeligmuller, 108. Hémianopsie d'origine
centrale
, par Ségtiiii, 176. Hérédité de la paralysie
centre ano-vésical dans la), par Kirchholf, Hï3; - (anoio-sarcome
central
de la), 446. Morplunisme (rapport médico-légal)
MY% me, par Harhnann, 84. Nerfs crâniens (trajet des faisceaux
centraux
des), par Edinner, 313. Nerveux (structure des
\1'Ii;2LS. Syphilis et tabès, par Berger, 108. « Système nerveux
central
(structure du), par Edinger, 45J. Tabès combi
F. III, 1892.) - : ptn&'najn. PO) : nolll;- 1° Créer un rouage
central
préposé à' l'assistance des aliénés en Prusse,
n des asiles privés incombe, au lieu et place des membres du bureau
central
en ques- tion, au conseil médical du gouverneme
publics devront chaque année envoyer un rapport détaillé au bureau
central
. 3° Il faut simplifier le plus possible les pra
ux, et c'est dans la partiej renflée. du fuseau que naît la tigelle
centrale
, : tout cela par une condensation progressive ?
sente la composition histologique suivante : D'ordinaire la région
centrale
du nodule est occupée par un corps sphéroïdal,
nes pressées les unes contre les autres, enveloppant ainsi le corps
central
d'une coque épaisse et' compacte. Généralement,
as-, tant par sa transparence avecla teinte sombre du corpuscules
central
. (' .4 i- I ? a9' : fL]"amt ? )'uî)0 Enfin, pou
rzebinski"'dit*avoir ôbservéparfois ? eàTlâ plâce'düglobe'sr hyalin
central
;'un corpuscule'» celluliforme' **unï ou pluri-0f&
érique,'1 oblong ou : claviforme; très ! foncé remplacer la cellule
centrale
(PL : I ? g..3; b ? g : 5, a;a; ? 6; a; fig. 7, *
c un pareil noyau d'autres éléments nucléiformes'dont la position
centrale
n'est qu'apparente : ' ceux,5 par exemple ? qui o
, ar et : . yav > - .. Mais ce n'est;pas seulement sur la région
centrale
du lobule que (portent les variations morpholog
ides ou renferment des cellules globuleuses semblables aux éléments
centraux
des nodules. Ici encore je n'ai jamais eu l'occ
reuses différenciées par les caractères morphologiques de la partie
centrale
ou de la masse enveloppante du nodule. Je propo
en une'masse hyaline (PL., Il, fig. 23) qui se; creusent d'alvéolés
centraux
. Enfin, par une dérogation à la règle, on .1 I
longs développements, Langhans exprime l'idée que le corps homogène
central
de son foyer typique serait le produit d'une so
euses dont un exemple nous est fourni par l'obsolescence de la zone
centrale
du tubercule. De leur côté, les cellules vésicu
tribue Rakhma- ninoff. Ils voient en effet dans le corps réfringent
central
un restant de cylindraxe et considèrent en cons
simplement des granulations de myéline. Parfois le contour du corps
central
se plisse de telle façon que celui-ci se trouve
llules ou des vacuoles remplissant éventuellement l'office de corps
central
, ni avec la forme ordinairement noduleuse des f
sation primitive. Tantôt l'anomalie porte uniquement sur la masse
centrale
qui prend ici d'habitude un développement consi
Que cet équilibre vienne au contraire à se rompre, et la substance
centrale
disparaîtra par résorption. Si l'hyperplasie se
lymphe. Le concentrisme qui s'observe parfois autour d'une vacuole
centrale
a sans doute la même raison d'être que celui de
t le centre est occupé par des formations diverses. Tantôt le corps
central
est représenté par un bloc consistant, foncé, a
foyers, élémentaires avec des éléments nucléaires comme corpuscules
centraux
. En , c, un nodule à vacuole cloisonnée central
comme corpuscules centraux. En , c, un nodule à vacuole cloisonnée
centrale
. En d, la masse ceutrale est formée par un corps
Un nodule mésoneuritique « en toile d'araignée » avec bloc vitreux
central
(a). " ' 1 , 1 Fig. 9. 1/250. Petit foyer méson
). . , Fig. 10. 1/200. Nodule à structure tourbillonnante avec bloc
central
vitreux (a) fortement nucléé. ' Fig. 11. 1/20
emi-mésoneuritique, demi-périneuritique, formé autour d'une vacuole
centrale
(v) à paroi nucléée et à contenu gros- sièremen
nodule est occupé par un bloc hyalin (c); à côté de cette sphérule
centrale
on dis- tingue un autre corpuscule (c') de même
dulisation du loyer etauconcehtrisme des couches. En guise.de corps
central
, un'groupe de trois alvéoles relativement volum
2. 1/400. Premiers rudiments d'un nodule mésoneuritique. c, cellule
centrale
logée dans, une caité.tn,moyau en croissant appli
01 Fig. 24. 1/400. Début de la stratification autour d'une cellule
centrale
.)} Fig. 25, 26 et 27. 1/400., Trois coupes tran
ant de trois microtomisations successives opérées sui le renflement
central
d'un grand i fuseau composite. La comparaison d
écutivement des changements aussi bien «.i- dans les fibres du bout
central
que dans les éléments cellu- lairés dont elles
rique n'est en ce cas que la cause déterminante qui pousse l'organe
central
préalablement malade à constituer de toutes piè
ornes antérieures, multiplication des noyaux dans la paroi du canal
central
de la moelle. P. K. XII. DES troubles mentaux
ude se termine par des rappro- chements entre la structure nerveuse
centrale
et celle des expan- sions nerveuses olfactives,
r A. Marie. 152 - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVII. HLMATOMYÉUE
centrale
; par L. 111NOB. (Archiv f. Psychiat., , -- XXIV
la sensibilité tactile. Cette asso- ciation' de - 1'liémort-lia-ie
centrale
de la moelle à la gliomatose vraie, sous l'infl
le. L'autopsie montre en effet le sang ensaucissonîîé dans le canal
central
qu'il a dilaté par série de poussées annulaires
iques sont dégénérées, détruites; atteinte symétrique des ganglions
centraux
et de la pointe voisine de la face inférieure d
t la localisation ou apoplexie quand la lésion occupe les ganglions
centraux
, des troubles de la respira- tion dépendant aus
liérente , aux méninges. E, nriii a mesure qu'on s'éloigne du point
central
, on voit que la'désorganisation' dé1 la substan
actéristiques des cordons postérieurs, tumé- faction delà névroglie
centrale
: depuis l'extrémité supérieure de la moelle ce
UE, DE IPATHOLOGIE. NERVEUSE. trophie de la névroglie dans le canal
central
, la dégénérescence des cordons postérieurs, une
s mains ; tout concourt au diagnostic : hyperplasie de la névroglie
centrale
. Mais en réfléchissant, le professeur voit que
tf)tVttfVf)p VII. CONTRIBUTION L'ÉTUDE de l l origine ET du, trajet
central
DU nerf auditif; par S.JKIRILZE=. (Neûrolog.rCe
h . î ( Ir"l : XIV. LES circonvolutions ascendantes comme organe
central
DES cordons POSTÉRIEURS' ET DUTR ! JUMEAU;'pai'
tigmates permanents laissés par l'ergotisme SUR' LE système nerveux
central
; par R. WAL- KERI. (Archiv f. T/C/M'a XXV, 2.)
nt gouvernés par des conseils locaux. Il n'existait pas. d'autorité
centrale
exerçant, une- surveil- lance générale. 1 - - ?
édier aux abus, ériger des asiles publics et installer une autorité
centrale
. Il fut organisé un conseil général pour la sur
tendait jusqu'au sillon de Rolando. · 24() 6 pathologie NERVEUSE.
centraux
. S'il existe des taches ocreuses sous-épendymaire
iné;[, ! i ? e'nsatio'ii déterminée est alors,employée par l'organe
central
à conslituerde toutes pièces des hallucinations
clati6ns ? abaissent, il en résulte un processus * de ,condensation
centrale
, avec production de° liquider cérébro-spinal et
- pression et de .température extérieures sur l'organisme nerveux ,,
central
. La pression atmosphérique agit sur 1, oi,,aiiisi
l'organisme animal . deux combustions d'ordre différent : l'une,'1
centrale
ou nerveuse, .» oui -llrtl .. I H - ... I .1 1
u' moins au point de vue de sa continuité, - de la lente combustion
centrale
,11 qui là inaintient au niveau utile, et)' qui,
ovoque ainsi une impulsion qui détermine une sorte.de lésion locale
centrale
, avec vibrations en retour le long des nerfs, v
uer; mais 'alors' l'action centripète- se traduit3 par' u`ne lésion
centrale
; qui peut être mortelle, ou siiion-ell&est-
parition générale^des fibres, s'étendant'a tout le système nerveux'
central
et ce. sont les fibres les plus fines, qui sont
question la matière de la médecine mentale ; 2° l'ad- ministration
centrale
doit s'adjoindre un médecin aliéniste expéri- m
ite, il convenait de. traiter de l'examen ultérieur de l'or- 9 cane
central
séparé du co· p s.; i ? o , 11 y, , ' b' L ? ? ?
gne limitante vers'-le .- prolonge- z ment)consiste, ! a. satpartie
centrale
,; en une sul)sLaiicetiiicolore ? et SOCIÉTÉS' S
ctromoteur produite par l'application du pâle négatif sur la partie
centrale
du nerf augmente l'excitabilité de celui-ci. L'
par une bobine avec fais- 446 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. - ceau
central
de fer doux, d'un réducteur de potentiel ou d'une
il provoque des changements mo- léculaires dans le système nerveux
central
. M ...,. ? La deuxième partie traite des effets
foyers élémentaires avec des éléments nucléaires" comme corpuscules
centraux
. En c, un. nodule à vacuole cloisonnée centrale
" comme corpuscules centraux. En c, un. nodule à vacuole cloisonnée
centrale
." En d, la masse ceutrale est formée par, un corp
0. Un nodule mésoneuritique « en toile d'araignée avec bloc vitreux
central
(a). ' '3 ,. Fig. 9. 1/250. petit foyer méson
(b). Fig. 10. - 1/200. Nodule à structure tourbillonnante avec bloc
central
vitreux (a) fortement nucléé. -" ' ? K Iw*-» '
emi-mésoneuritique, demi-périneuritique, formé autour d'une vacuole
centrale
(u) à paroi nucléée et à contenu gros- sièrement
nodule est occupé par un bloc hyalin (c) ; à côté de cette sphérule
centrale
on dis- tingue un autre corpuscule (c') de'même
2. 1/400. Premiers rudiments d'un nodule mésoneuritique. c, cellule
centrale
, logée dans une cavité, n, noyau en croissant app
I% ig. 2f. - 1/400. Début de la stratification autour d'une cellule
centrale
. Fig. 25, 26 et 27. 1/400. Trois coupes transve
ant de trois microtomisations successives opérées sur le renflement
central
d'un grand fuseau composite. La comparaison des
dltaire,tpar Brie, 452. Circonvolutions ascendantes comme origine
centrale
des cordons pos- térieui@s et du trijumeau, par
stigmates perma- nents laissés ' par I' ? sur le système nerveux
central
, par ' \Vall : er; 224. t ? ? ' ? < '' Ero
en rapport avec un accès maniaque,' par Fronda, 52. HËMATOMYÉLiE*
centrale
, par Minor, 152. · , ;o - 1 'l ? - -; IIÉaucx
Dauriac,' 468.- *»--- , 1, Nerf moteur, des altérations du bout
central
du - après' la- lésion du bout périphérique, pa
ceux qui ont été observés au syndrome spasmodique de notre forme
centrale
spinale latérale, dont il est le seul aboutissa
présenté les mêmes caractères dans sa marche que celui de la forme
centrale
spinale latérale : à savoir un mois environ apr
un caractère fondamental. Ces deux syndromes caractérisent la forme
centrale
postéro-latérale. Le syndrome de symptômes tabé
ndrome de symptômes tabé- toïdes sert à la différencier de la forme
centrale
laté- raie. L'existence constante au contraire
tante au contraire du syndrome spasmodique la distingue de la forme
centrale
posté- rieure. Les différents symptômes qui con
t symptomatiques d'une autre maladie organique du système nerveux
central
.-Très souvent, elles accom- pagnaient les doule
, dis-je, pris dans leur ensemble servent à spécialiser notre forme
centrale
spinale postéro-latérale. Car son tableau clini
ne se rencontre dans aucune autre maladie connue du système nerveux
central
. C. FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE. Obser
aucune autre maladie connue du système nerveux central. C. FORME
CENTRALE
SPINALE POSTÉRIEURE. Observation XX (M. P. Mari
S ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 39 PATHOLOGIE DE LA FORME
CENTRALE
SPINALE POSTÉRIEURE. Cette forme d'accidents sp
essayons d'esquisser les grands traits de la pathologie de la forme
centrale
spinale posté- rieure. Avant de procéder à la
que nous avons déjà vu dans la symptomatologie du début de la forme
centrale
spi- nale latérale (OBS. V). Elle a été observé
peuvent et ne doivent pas figurer au tableau cli- nique de la force
centrale
postérieure. Ce sont : a). Le syndrome de la pa
asmodique. Ce syndrome, qui était le seul aboutissant de la forme
centrale
spinale latérale et qui constituait avec le syn
t avec le syndrome tabétoïde la vraie caractéristique de la forme
centrale
spinale postéro-latérale fait au contraire défa
ntrale spinale postéro-latérale fait au contraire défaut à la forme
centrale
spinale postérieure. b). Symptômes myatrophique
s progressive, tous ces caractères, dis-je, donnent à notre forme
centrale
spinale postérieure un cachet de spécialité. Ap
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES I. Etude sur le trajet
central
des nerfs vaso-moteurs; par IIELWEG. (Arch. f.
nt ~les groupes de cellules et les capillaires, oblitérant le canal
central
sur toute sa hauteur. Infiltration pigmentaire
le pays autour d'un grand établissement formant un asile-hospice
central
, plusieurs petits asiles d'hospitalisation et tra
tout. Atrophie du lobe frontal, des ascendantes, des lobes para-
centraux
, des gyri recti, des circonvolutions du corps cal
envoie jusque dans les Pyrénées et au fond des montagnes du plateau
central
de la France. Dans le départe- meut de la Lozèr
d'organiser le con- cours. Les uns ont proposé de faire un concours
central
et unique pour toute la France ; les autres déf
vacantes ne seraient pas déterminées dans le système d'un concours
central
et uni que, beaucoup déjeunes gens seraient cer
u'en nombre insuffisant. « Pris entre les difficultés d'un Concours
central
et unique, et l'impossibilité du système par dé
.., chirurgien des hôpitaux; M. le D'' Picqué, chirurgien du bureau
central
. La composition écrite a eu lieu lundi 10 dé- c
y), Lutz (hôpital Saint-Louis), Rourgoin, directeur de la Pharmacie
Centrale
; jurés supplémen- taires, MM. Guinoehet (Charit
mission des aliénés dans les asiles 2^'ivcs en Pi,tisse. Le Comité
central
des Sociétés médicales d'arrondissement de Berlin
vreux. Ch. 11ÉRissry, imp,- 189. Z Tableau III. TABLEAU DE LA FORME
CENTRALE
SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS. Tableau
postérieures. Fleclisi ? d'après ses études du système nerveux
central
, selon la méthode du développement embryon- nai
ante, le pli courbe est la région spéciale de la vision claire ou
centrale
de t'oei) opposé, et peut-être d'une petite éte
a figuré à titre de symptôme de la période du début de la- forme
centrale
spinale postérieure chez le malade de l'OBSER-
dégénèrent de bas en haut; 3° des fibres qui passent dans la partie
centrale
de la commissure postérieure, mais qui i ne son
ses ont presque toujours employé la méthode de Flechsig. Parcours
central
des racines postérieures ; leur terminaison. Le
os (contusion). IL Paralysie partielle de la sensibilité (gliome
central
de la moelle cervicale ? ). Lésion de la zone rad
x gauches, gliome avec formation de cavités dans la substance grise
centrale
de la même région. Pas d'autopsie. P. K. XII. D
de Reil) ; C, un arc réflexe qui com- prend aussi le premier relai
central
des nerfs auditifs et op- tiques et les faiscea
cun des organes des sens s'accentue et s'individualise dans le bout
central
de l'arc réflexe.. Enfin l'appareil intellectuel
a plus grande partie de la coupe transverse de la moelle ; un canal
central
oblitéré par une prolifération endothéliale de l'
ydropisies, la frankiinisation agissant comme une espèce de massage
central
et améliorant les malades en quelques séances.
rgie du coeur et stases qui se surajoutent en plein système nerveux
central
). Sortir le malade de chez lui, lui donner le p
enmarks, Virchoio's arch, 1884, Bd. 98, p. 3G9.-Remah. Fin Tull von
centrale
)' Gliomatose (Syoingo- myelie) Deutsche medicin
omelia, Brain, 1886, p. 447. Joliet. Sur un cas d'anomalie du canal
central
de la moelle épinière. (Gazette médicale de Par
tte zone qu'est le centre cherché, ou plus exactement dans l'aire
centrale
de cette zone. Là est le centre absolu de la fo
a moelle épinière; elles semblent être une place du système nerveux
central
tout particulièrement prédis- posée à subir l'i
décompression extrêmement brusque. Accident appartenant à la forme
centrale
spinale latérale. Histoire. Demetres Guaris, âg
amen attentif peut généralement discerner. Le n° 19 où le scotome
central
de l'alcoolisme est greffé .sur le rétrécisseme
nées, des travaux importants sur les altérations du système nerveux
central
et périphérique produites par les intoxications
ur pathologique de la vacuo- lisation. Lésions du système nerveux
central
produites par les dé- charges d'électricité sta
n de la myéline. Influence de l'layperémie sur le système nerveux
central
. Des études ont été faites sur ce sujet par il.
qui doivent être considérées comme analogues à celles de la myélite
centrale
aiguë. Dans l'intoxication chronique, la lésion
s la nutrition des éléments nerveux. Altérations du système nerveux
central
dans les maladies infectieuses. Ces modificatio
prouve la division possible des éléments nobles du système nerveux
central
. Dans le bulbe et dans la moelle, les lésions s
nce de l'extirpation de la glande thyroïde sur le sys- tème nerveux
central
. L'excitabilité de l'écorce augmente d'après le
s recherches de M. Avtokratoff, ZD Modifications du système nerveux
central
dans le vernissage REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
auxquels il avait enlevé diffé- rentes^ parties du système nerveux
central
, à l'hypnotisme .d'animaux non mutilés. Ses suj
tion du cylindre-axe des nerfs périphériques et des cordons nerveux
centraux
. Tous les nerfs présentent cette striation, qui
ce. BIBLIOGRAPHIE. Anfimoff. - Des altérations du système nerveux
central
des ani- maux dans le vernissage de la peau. Th
1886. Blumenau. De l'influence de l'aimant sur le système nerveux
central
. Jouru. de 3liei : iiewsk-y, 0e an., fasc. 1, 188
E NERVEUSE. 477 7 1(lousne[zoff. Des altérations du système nerveux
central
dans l'hypérémie expérimentale. Thèse inaugural
nt-Pétersbourg, 1887. Rosenthal. Des altérations du système nerveux
central
dans les maladies infectieuses. Thèse inaugural
xclusivement à la désintégration fonctionnelle des éléments nerveux
centraux
, la conscience possède une intensité en proportio
l, par Camuset, 296. Ilypérémie (influence sur le système nerveux
central
), 462. Hypnotisme (grand et petit), par Babin
du système ner- TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. 507 veux
central
dans le vernissage de la), 468. Pellagre (tro
des), par Loewenfeld, 111. Varia, 161, 499. Vaso-moteurs (trajet
central
des nerfs), par Hehvig, 108. Yeux (paralysie
par Babiuski dans les lésions orga- niques-du système neuro-moteur
central
et consistant dans un mouvement d'extension des
a mâchoire inférieure et trois à la mâchoire supérieure, l'incisive
centrale
droite manquant. Les molaires, encore temporair
s triangulaires ou semi-ovoïdes. Tous ont une dépression à peu près
centrale
. On trouve encore un autre ilot sur la partie p
ence de lois définissant et réglant les devoirs de l'administration
centrale
et ceux de l'administration locale vis-à-vis de
mais bien d'une paralysie des droits inférieurs d'origine organique
centrale
, ce que vient corroborer la présence d'autres s
ment dans l'un des trois types cliniques qu'il a décrits, la lésion
centrale
ici n'est point nucléaire à son avis mais bien
. Gio1'n. della R. Acad. di Torino. 1895, fasc. 2. ' Stein. Neurol.
central
. 1893. TRAITEMENT DE l'ÉPILEPSIE. 83 y eut su
j'ai traités avec la gymnastique passive sont décrits dans la Revue
centrale
de médecine générale, 1897, sous la rubrique :
ns articulaires, par le Dr Otto Thilo, Riga», et dans la même Revue
centrale
, '1897, n° 54 : « Pour le traitement des fractu
n bout périphérique et la réaction cellulaire avec atrophie du bout
central
de l'axone arrêtent précisément les limites du ne
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 127 X. Sur les altérations du système nerveux
central
dans l'em- poisonnement lent par le chlorhydrat
endrites et des den- draxones, sont partout dans le système nerveux
central
révélées par le sel d'argent sous la forme de n
péné- trable embrouillement de ces fibres dans le système nerveux
central
des vertébrés nous empêche et nous empêchera touj
2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' (homonyme, bitemporale, binasale,
centrale
incomplète, double, avec hallucinations, à la c
re donnent des collatérales, qui se perdent dans la substance grise
centrale
. Une dégénérescence nettement visible sur les c
lons détachés mis en communication par des corridors. Le pavillon
central
, est destiné exclusivement à l'enseignement et au
e de chaque pavillon, c'est-à-dire que la salle des cours (pavillon
central
) 198 ENSEIGNEMENT. et les salles de surveil
ont des bâtiments à rez-de-chaussée. Au premier étage du pavillon
central
se trouvent de vastes laboratoires de chimie, d
rez-de-chaussée doit nous arrêter plus longuement. Dans le pavillon
central
se trouvent : 1° la salle des cours pour cent a
bureaux; G. une salle de réception. Le prix de revient du pavillon
central
s'est élevé à 137.500 francs. Pavillons latérau
vestibule où viennent aboutir le corridor (lui col 4. i au bâtiment
central
(salle des cours) et le monte-charge'qtt, du so
ar de vastes jardins et disposées symétriquement autour du bâtiment
central
et des cuisines qui sont au milieu de la coloni
des méde- cins par le téléphone. Eclairage électrique. Chauffage
central
(vapeur à basse pression) avec appareils instal
us-sol et par le rez-de-chaussée (longueur 130 mètres). Le bâtiment
central
sert à la fois de bâtiment d'admi- nistration e
malades de deuxième et de troisième classes. En arrière du bâtiment
central
se trouve un pavillon avec deux suites de réuni
ouvement, et il n'y a pas un instant où il n'en rende. Le réservoir
central
débite sans cesse. Mais ce débit n'est pas cons
grossiers, évidents, la plupart morphologiques, du système nerveux
central
, correspond aux besoins pratiques de la science
rapports et si pauvres sous d'autres. Mais dans le système nerveux
central
, tout dépend non pas de la quantité, mais de la
cellules d'origine sont dans les noyaux bulbaires, et les neurones
centraux
, ou cortico-bulbaires, qui ont leur origine dan
e celle-ci réalisait tous les caractères des hémi- plégies de cause
centrale
. Elle était peu prononcée. Les réflexes étaient
s arrivant plus tôt à leur développement complet, et en territoires
centraux
qui n'atteignent que plus tard l'état adulte. S
uronne rayonnante dans les zones péri- phériques. Les territoires
centraux
des zones d'association (surtout la partie Arch
ques ne présentent que faible- ment ces caractères. Les territoires
centraux
sont des territoires terminaux : ils sont essen
nt être interprétés comme des actions à distance. Les territoires
centraux
des zones d'association sont des centres qui so
ssociation des idées est particulièrement troublée. Les territoires
centraux
sont donc, suivant toute apparence, d'une haute
appliqué parallèlement avec n'importe quel traitement de la lésion
centrale
. Le traitement mécanothérapeutique ou plutôt ma
seule, que l'hémiplégique marchera un beau matin seul, si la lésion
centrale
guérit, sinon, tant pis, il restera tel que et
nstruction monumentale est essentiellement composée d'un bâtiment
central
, de près de 150 mètres de façade, des extrémités
ux ailes perpendiculaires de 50 mètres de longueur'. 1. Le bâtiment
central
(BB) est à deux étages; les deux ailes n'ont qu
. (Voir le plan.) Les malades paisibles sont logés dans le bâtiment
central
: les sujets affaiblis au rez-de-chaussée ; les
veillance continue, habitent les ailes perpendiculaires au bâtiment
central
: le premier groupe (agités), au rez-de-chaussé
. Un fil spécial met en communication l'établissement avec le poste
central
de pompiers de Leipzig. Des ateliers ont été in
: 1° Le bâtiment d'administration (A), situé en avant du bàtiment
central
avec lequel il est étroitement en rapport. Au rez
.) sont placés au centre de l'établissement, en arrière du bâtiment
central
(quartier de malades) auquel ils sont réunis pa
lorifère, etc. Le rez-de-chaussée (4 mètres de hauteur)~du bâtiment
central
a trois entrées : il renferme les salles de dis
é un avertisseur qui met en communication la clinique avec le poste
central
de pompiers de la ville. Le système du tout à l
les asiles élevés, il y a une quarantaine d'années, dans l'Europe
centrale
: constructions monumentales (genre caserne), bât
s de petits dortoirs (de 3 à 4 lits, parfois de 12). Pas de bains
centraux
. Chaque quartier possède une salle de bains ave
ises percées il fermeture hermétique dans chaque dortoir. Chauffage
central
. Cellules. Fenêtres : les unes hors de la porté
ctéristique due au rôle prépondérant du centre moteur, le mécanisme
central
est le même que dans l'hallucination senso- rie
e nerveuse, la désorganisation se fait plus rapidement dans le bout
central
que dans le bout périphérique et c'est là ce qu
es boni effets qu'il obtient de la galvanisation du système nerveux
central
dans certaines névroses. Il nie que les effets
s les incontinences d'origine nerveuse ou musculaire ou d'origine
centrale
. S. Leduc a communiqué un procédé de Traitement
ste, il existe dans d'autres régions cérébrales (la substance grise
centrale
) des par tics, d'une moindre étendue il est vrai,
e de ces complexus de neurones d'une nature analogue, dont les plus
centraux
se revê- tent les premiers de myéline, tandis q
COMMUNICATIONS DIVERSES. Sur la nécessité de fonder des Instituts
centraux
pour l'anatomie du cerveau; par 0. N'OGT (de Be
le faire collectionner en ces endroits pour l'envoyer à un Institut
central
où il sera étudié ; i li) quelquefois une pièce
ons. Cela n'arriverait pas si ces pièces étaient dans un Insti- tut
central
et à la disposition de tous les chercheurs. B.
s lobe droit et lobe moyen du cervelet, avec destruction des noyaux
centraux
de ces lobes ; par SwiTALsm (de Lemlerg). Con
spéciale. C'est pourquoi il est bien vraisemblable, que l'appareil
central
des muscles du mou- vement est construit de mêm
euse de la cellule, migration périphé- rique du noyau, décoloration
centrale
de la cellule. Ce qui nous paraît aujourd'hui p
st surtout à re- marquer pour certaines maladies du système nerveux
central
et en particulier pour la paralysie générale.
onstance dans certaines affections, avec lésions du système nerveux
central
, ce phénomène acquiert une signification partic
éflexe plantaire dans les différentes affections du système nerveux
central
. Nous citerons principalement celles de Cestan
ies couvertes, sauf pour relier les pavillons cliniques au bâtiment
central
. Pas de quartier d'isolement à proprement parle
s et une chambre d'isolement (capacité : 15 mètres cubes). Bâtiment
central
avec salle des cours (Auditorium) , labora- toi
'Open-door : on ne voit ni murs d'enceinte, ni grilles. Chauffage
central
vapeur età airchaud. Eclairageclectrique. Eau d
leuse de la cellule, "migration périphérique du noyau, décoloration
centrale
de la cellule. ' Si donc l'hypothèse qui impu
sé au niveau du collet du bulbe, descendent dans la substance grise
centrale
de la moelle, puis réintègrent le faisceau pyra
d'après Tuczek, affecte principalement le cordon de Goll et la zone
centrale
radiculaire et laisse relativement intactes les
gions dorsales et cervicales. Elle affecte le plus souvent la zone
centrale
de la région lombaire, et dans la région cervical
et au nasal interne. Les parties les plus basses du système nerveux
central
amène- raient les segments les plus postérieurs
blement les éléments sensitifs de la même partie du système nerveux
central
que les parties de la peau du front voisines de
roit. L'étude microscopique du noyau de ce nerf montre que le noyau
central
de Perlia y a particulièrement souffert. Il y e
de Versailles. Cette fois, il fut arrêté et conduit au commissariat
central
, où l'on reconnut que l'on avait affaire à un f
ar llitzig, 338; par Mo- nakow, 410 ; par 0. Vogt, 413. Instituts
centraux
pour l'anatomie du -, par 0. Vogt, 415. Colora-
abord semblables et portant sur les mômes points des systèmes nerveux
central
ou périphérique, produisent, dans les cas patholo
de la substance grise dans une certaine étendue en hauteur : Myélite
centrale
, hématomyélie, etc. 6) Lésions irritatives des gr
de la langue, chez le chien, cinquante jours après l'avulsion du bout
central
du nerf hypoglosse. (Archiv. de Physiolog., t. II
ons de la moelle épinière, telles quel'hématomyélie, la myélite aiguë
centrale
, la paralysie infantile, affections dans lesquell
énération du nerf, le retour de l'excitabi-lité est lent pour le bout
central
; il est rapide, au contraire, pour le bout périp
le légère, l'excitabilité électrique revient prompfement vers le bout
central
; jamais elle n'a cessé d'exister d'une façon com
nt se régénérer sans qu'il y ait réunion du bout périphérique au bout
central
(1). D'ailleurs, c'est par hypothèse seulement et
la fibre musculaire. — Je citerai, en premier lieu, la myélite aiguë
centrale
. Lorsqu'elle est quelque peu gé-néralisée et qu'e
à peine progressive, de la paralysie infantile, de la myélite aiguë
centrale
, et en général de toutes les amyolrophies de caus
semblable encore, pourcequi concerne l'hématomyélie, la myélite aiguë
centrale
et, en un mot, toutes tes affections irritatives
st des circonstances où la ressemblance entre les affections de cause
centrale
et celles qui dépendent d'une lésion des nerfs pé
tées à la périphérie, bien qu'ils reconnaissent, en réalité une cause
centrale
. Comment comprendre, d'un autre côté, l'apparit
inguerainsi du decubi tus chro- 1. Brown-Séquard. — Lectures on the
central
nervous System Philadelp.,1868, p. 248. — Gouyba.
rlendemain, les vésicules ou les bulles se développent vers la partie
centrale
de la plaque érythé-mateuse: elles renferment un
ion huileuse, puis la tache eccliymotique, apparaissent sur la partie
centrale
de la plaque érythémateuse, c'est-à-dire à 4 ou 5
eur dans les cas douteux. L'abaissement très marqué de la température
centrale
au-des • sous du taux normal, constaté au début d
in nombre de cas au moins, paraît n'être qu'un accident de la myélite
centrale
^ témoin le cas cité plus haut, de Duriau, où la m
agrande fréquence de cet accident dans les cas d'hématomyélite aiguë,
centrale
, où lalésion occupe surtout les régions centrales
des nerfs périphériques. Les casd'hématomyéliteoude myélite spontanée
centrale
, suivis d'eschare précoces, sont également contra
iron au-dessus de la queue de cheval. Enfin, dans un cas de myélite
centrale
chez un enfant, ayant pris origine au voisinage d
gie, les cartilages diarthrodiaux étaient incrustés, vers leur partie
centrale
, de dépôts d'urale de soude tantôt cristallisé, t
ntérieure du côté gau-che. — B, Commissure grise postérieure et canal
central
. — C, Sillon médian intérieur, — a, a. Groupe de
r prakt. Heilkunde, 1862, n° 1. 2. Remark. — Allgemeine mediziniche
central
Zeitung, mars 1863, kO st. 3. Rosenthal. — Lerh
Anat. Bd. III. 2. Brown-Séquard. — Researches on Epilepsy, p. 70. —
Central
Nervous System, p. 148, 172, 174. 3. M. Schiff.
ourd'hui, par exemple, que les nerfs trophiques ont tous leur origine
centrale
dans les ganglions spinaux postérieurs ou dans le
ns pathologiques développées sur un nerf sensitif, soit à son origine
centrale
, soit sur un point de son trajet,, retentissant d
de ce fait m'a, de longue date, conduit à chercher si la température
centrale
était modifiée chez ces malades. Or l'expérience
ncée, tels sont le tétanos, 1. Sur les variations de la température
centrale
qui s observent dans cer-taines affections convul
es transversales: zone périphérique ; — zone de transition : — région
centrale
. — Coupes lon-gitudinales. — Altérations des vais
anière presque exclusive ; tels sont, par exemple, les bords du canal
central
, le cordon de l'épendyme. Elle est prédominante a
font remarquer par leur grande dimension, présentent vers leur partie
centrale
un corps figuré, arrondi ou légèrement ovalaire,
ressivement, de plus en plus, à mesure que l'on approche de la région
centrale
de la plaque, région où elles acquièrent leur plu
acer de plus en plus (1). c) C'est — vous le savez — dans la région
centrale
de la plaque scléreuse que l'on observe les altér
on-gestion. — Symptômes : État du pouls : élévation de la température
centrale
. — Cas d'attaques apoplectiformes chez d'anciens
toujours la terminaison fatate. Ces modifications de la température
centrale
ont été étudiées par M. Wesfphal dans les attaque
d'une simple attaque congestive. Eh bien, l'examen de la température
centrale
fournirait, en pareille occurrence, un renseignem
ervé, mon ami Duchenne (de Boulogne) et moi, dans la forme de myélite
centrale
subaiguë ou chronique qui produit les symptômes d
ctent les îlots scléreux dans les diverses parties du système nerveux
central
, nous est, quant à présent, complètement inconnue
des plaques en voie de formation serait le fait initial ; de ce point
central
, l'irritation se propage-rait au réticulum de la
ire, à l'origine de toutes les maladies chroniques du système nerveux
central
. C. Le pronostic jusqu'ici est des plus sombres
sérieux, à moins de compli-cation, par exemple Y embolie de l'artère
centrale
de la rétine, il s'agit d'un ramollissement consé
rétine le long des vaisseaux: — 3° la branche principale de l'artère
centrale
qui se distribue dans la partie inférieure de la
centriquement, même dans le cas où l'acuité visuelle et la perception
centrale
des couleurs sont normales dans l'œil du côté non
lepsie. — Signes diagnostiques fournis par l'examen de la température
centrale
dans l'état de mal hysléro-épileptiquc et l'état
rs, que, sous le rapport des modifications imprimées à la température
centrale
, les convulsions toniques épileptiformes des hyst
eux, etquinousmontre les modifications qu'a présentées la température
centrale
chez la nommée Chevall.., pend int le cours de Y
lyopie sera parvenu à un haut degré. Le cercle du violet, — couleur
centrale
par excellence, — pourra se rétrécir jusqu'à reve
puis, la maladie progressant, ce sera le tour du vert, —autre couleur
centrale
;—puis, le tour du rouge, de l'orangé. Le jaune e
si nettement sur la substance blanche et même sur la substance grise
centrale
. I, Partie supérieure de la région cervicale, i
che nettement sur la substance blanche et même sur la substance grise
centrale
). 1, partie supérieure du renflement cervical.
de la substance grise dans une certaine étendue en hauteur : Myélite
centrale
, hématomyélle, etc. — b) Lésions irritatives des
s transversales : zone périphérique ; — zone de transition ; — région
centrale
.— Coupes lon-gitudinales. — Altérations des vaiss
on-gestion. — Symptômes : État du pouls : élévation de la température
centrale
. — Cas d'attaques apoplectiformes chez d'ancien
psie. — Signes diagnostiques fournis par l'examen de la température
centrale
dans l'état de mal hystéro-épileptique et l'état
ver-tébrale, 66; — dans l'hématomyé-lie, 65 ; — dans la myélite aiguë
centrale
, 65 ; — dans la sclérose en plaques, 241. (V. Myo
rophie musculaire, Myopathies, Sclé-rose en plaques.) Myélite aiguë
centrale
, 65.— Dimi-nution de la contractilité électri-que
vertirent; mais en revanche la thermanesthésie siégeant à la partie
centrale
du membre inférieur droit empira : ici la malad
2. E. C. Se-uiii. A contribution to the pathology of hémianopsie of
central
origine (cortex-hémianopsie), in Journal of ? ie-
ie de Basedow. Conclusion : La maladie de Basedow est une affection
centrale
, siégeant, dans la substance grise du bulbe, à
ux. Phtisie diabétique. Autopsie : destruction des cellules du lobe
central
. G. D. IX. Ataxie LOCOMOTRICE : ARTHROPATHIE DE
ssus anatomique. Après avoir discuté les diagnostics de : myé- lite
centrale
hémorrhagique lombaire paraplégie urinaire névr
cunéi- forme dans la colonne droite. OBS. Vil. Lésion médullaire
centrale
de l'hémisphère droit, à peu près au niveau du
des noyaux du sarcolemme et du périmysium interne, nombreux noyaux
centraux
; prolifération du tissu conjonctif faiblement
de la dégénérescence qui est la plus forte en une portion presque ,
centrale
. Ces altérations tiennent aux perturbations qui s
ne de jours la restauration commence à s'effectuer à partir du bout
central
, finalement la névrite reste confinée aux extré
dont la pre- mière contient ceux qui frappent le système nerveux
central
et qui constituent la plus grande partie de la
nt un cachet d'originalité. Ces formes spinales sont : a). La forme
centrale
spinale latérale ; b). La forme centrale spinal
ales sont : a). La forme centrale spinale latérale ; b). La forme
centrale
spinale postéro-latérale ; -- c). La forme cent
b). La forme centrale spinale postéro-latérale ; -- c). La forme
centrale
spinale postérieure ; d). La forme spinale post
de celle qui est de beaucoup la plus fréquente, à savoir la forme
centrale
spinale latérale. A. FORME CENTRALE SPINALE LAT
les grandes lignes de l'histoire clinique de notre forme spinale
centrale
latérale. , On peut facilement constater si l'o
dix cas à anesthésie partielle, qui se rapportaient à la gliomatose
centrale
. Dans deux cas parmi les dix, il n'y a pas eu d
s moments provoquant ou entretenant ces douleurs, dont le caractère
central
est habituelle- ment évident. La continuité d
crainte d'avoir le vertige prédispose et prépare le système nerveux
central
. Ceux qui voya- gent pour la première fois sur
es mouvements du liquide céphalo-rachidien. Pour le système nerveux
central
, comme aussi pour les autres organes nous avons
suivant l'étage supérieur; 2° les autres, de chacun des noyaux gris
centraux
à l'écorce cérébrale (libres cortico- optiques
erne et antérieure, périphérique et à sommet interne et postérieur,
central
; l'un de ses bords, son bord interne répond imm
st périphérique et superficiel et le tractus moteur cortico-crural,
central
et profond. Brown-Sequart. Juurnal de la physio
ar exemple, à une sclérose des faisceaux postérieurs, à une myélite
centrale
chronique, à une hydromyélie ou syrin- gomyélie
voir traversé directement la capsule sans s'arrêter aux noyaux gris
centraux
ou fibres pédonculaires ou directes delà capsul
ans les por- tions cervicale et dorsale de la moelle, près du canal
central
, ainsi que dans le domaine des cornes postérieu
at plasmatique qui infiltre lo tissu fondamental entourant le canal
central
oblitéré ; des amas de cet exsudat s'interposen
nnd paihologische J'eiaiide,ii ? ige2 des liuckentuaoks. Neurolog.
Central
., 1883, n" 23. Hosenhach. II'ralclt, 1SS, n" 51.
a Landelette, le fais- « ceau non entre-croisé occupe une situation
centrale
et n\irri\e point PL ? 1'il)llérie. » P. Keiuva
duit dans les nerfs vasculaires périphéri- ques ou dans leur organe
central
la maladie précédente. C'est ainsi qu'à la suit
s d'aliénés privés, ce n'est ni à la police ni à l'adminis- tration
centrale
, qui manquent de spécialistes, qu'il faudrait la
ice des aliénés au ministère n'est pas nécessaire. A côté du bureau
central
des requêtes, existe une corporation spéciale d
Ch. IIsmsser, mp. -- 56. Catsaras, Tableau I. TABLEAU DE LA FORME
CENTRALE
SPINALE LATÉRALE Vol. XVI. Novembre 1888. Nu 48
motrice et l'absence des réflexes font absolument défaut à la forme
centrale
spinale latérale de la patho- logie dés plongeu
eure de cette forme. Voilà l'aboutissant par excellence de la forme
centrale
spi- nale latérale, de beaucoup la plus fréquen
jamais pro- gressive, ces caractères, dis-je, donnent notre forme
centrale
spinale latérale un cachet clinique tout à fait
qui ne se rencontre dans aucune maladie con- nue du système nerveux
central
. 13. Forme centrale spinale l'0511'sn0-LAllin.l
ans aucune maladie con- nue du système nerveux central. 13. Forme
centrale
spinale l'0511'sn0-LAllin.lLC. OusHRVADON XtV.
squisser les grandes lignes de l'histoire clinique de notre forme
centrale
spinale postéro-latérale. Ici encore, comme pou
inicien, presque sous les mêmes allures cliniques que dans la forme
centrale
spinale latérale. En effet, les symptômes diver
s processus pathologiques ayant lieu dans la circonférence du canal
central
, il existait des degrés de transition. Il est d
dromyélie congénitale et la dilatation par diverses causes du canal
central
ou de sa partie pos- térieure détachée dans la
mptomatique décrit par nous. 2). Les cellules épithéliales du canal
central
qui sont restées de la période embryonnaire emp
pace plus ou moins grand le long de la moelle épinière. Leur partie
centrale
dégé- nère parfois en formant des cavités, et c
e relation directe avec nos observations. 3). L'épendyme du canal
central
normal s'hyper- plasie sous forme d'une tumeur
t correspondre au tableau de la destruction com- plète de la partie
centrale
de la moelle épinière (cas de Krauss) quelques
- tion de la substance gélatineuse, qui se trouve autour du canal
central
, dans les cornes postérieures, et leur prolonga
musculaires, ce qui s'en va de soi, n'excluent pas la localisation
centrale
du processus : la gliomatose de la moelle épini
ecter une fréquence insolite dans les affections du système nerveux
central
les plus diverses dénuées d'action sur l'aire des
ité à l'é- corce grise de la partie supérieure de la circonvolution
centrale
antérieure gauche et à celle de la partie posté
umière les rapports physiologiques qui unissent la eircouvo- lution
centrale
antéroeuregauciie avec le membre supérieur droit;
RaVII. LIN C.1S DE SCL1;RGSI : \fULTILOCUL llltE du systèmenerveux
central
par K. IlEss. (Arclt, f. Psych., XIX, 1.) Cou
X. Contribution A l'étude DE la tuberculose dans LE système nerveux
central
; par A. Hoche. (rh·c7t. f. Psyciv., XIX, 1.) D
XIII. Contribution LA PATHOLOGIE des paralysies laryngées d'origine
centrale
; par C. Eisenlohr. (Arch. f. Psych., XIX, 2.)
), ou de vomissements très opiniâtres. Un cas de fièvre d'ori- gine
centrale
. Deux faits d'accidents épileptiformes. - La moel
de M. Pelman. En second lieu, Hagen avait calculé, qu'en rranconie
centrale
, pour un suicide se passant dans un asile, quat
en micrographie et de son application à l'étude du système nerveux
central
: préparations à l'appui. Séance du 18 juin 1
la démence paralytique est une affection de tout le système nerveux
central
. Sans doute, en bien des cas, elle se loca- lis
peu'ou prou atteint. Examinant, par conséquent, le système nerveux
central
d'un malade mort au cours d'une première attaqu
ion que rien ne justifie. Les médecins et les chirurgiens du Bureau
central
des hôpitaux de Paris, par exemple, peuvent êtr
que des muscles des yeux), par Weslphal, 538; laryn- ée d oriâine
centrale
), l : isenlolir, ir3; (générale), par Nasse, 75
ébrales, par iNlickle,-i5; inuililoctil;tire du système ner- veux
central
), par Hess, 140. Sénat (discussion de la loi su
ial,issuv, imp. - 1188. CATSARAS. Tableau II. TABLEAU DE LA FORME
CENTRALE
SPINALE POSTÉRO-LATÉRALE.
de l'apophyse mastoïde. —L'apophyse mastoïde est formée d'une partie
centrale
plus ou moins développée, qui comprend l'ensemble
tous les caractères de la table interne des os du crâne. La partie
centrale
de l'apophyse présente de grandes variations de s
u cellulipète dont nous venons de suivre le parcours, et en une fibre
centrale
ou cellulifuge qui appartient au nerf intermédiai
'agissait de l'anastomose du bout périphérique du facial avec le bout
central
du spinal. Cette ingénieuse intervention fut rapi
auche, pour les centres du langage. Centre de l'audition. — La voie
centrale
de l'audition part du noyau ventral ou antérieur
iatio acustica du corps genouillé interne, dernier neurone de la voie
centrale
de l'audition, dont les fibres se myélinisent plu
rojection genouillées externes-corticales, dernier neurone de la voie
centrale
optique, qui vient se terminer sur la face intern
en arrière du gyrus supra-marginalis, en haut en avant de l'opercule
central
ou rolandique, qui est le siège des centres moteu
ui relie le segment supérieur à la capsule interne et aux noyaux gris
centraux
. Elle livre passage au pied de la courone rayonna
interrompre le dernier neurone genouillé interne-cortical de la voie
centrale
de l'audition. Gomme l'entre-croisement des fibre
opposé à la lésion cérébrale. D'après Korner, cette surdité d'origine
centrale
aurait été observée dans quatre cas d'abcès du lo
sera impossible de déterminer si ces troubles dépendent d'une lésion
centrale
(faisceau de Turck ou cervelet), ou bien d'une al
ments ou lobules qui sont, d'avant en arrière : la lingula, le lobule
central
, le culmen, le déclive et le bourgeon terminal. S
e en huit lobules, qu'on nomme; freins de la lingula, ailes du lobule
central
, lobules quadrilatère et semi-lunaire supérieur,
t considérer séparément la substance grise corticale, les noyaux gris
centraux
et la substance blanche. Si l'on pratique une c
. (Ramon y Cajal, Structure du système nerveux, 1 8q5.) Noyaux gris
centraux
. — Ils sont au nombre de huit, quatre de chaque c
ongues ou extra-céré-Ueuses. Les premières unissent chaque noyau gris
central
à l'écorce de l'hémisphère correspondant, ou bien
niveau de la portion antérieure du vermis supérieur (lingula, lobule
central
, culmen). b) Le faisceau de Gowers, ou spino-cé
leux ventral. — Il réunit les cylindre-axes des cellules de la région
centrale
de la moelle des deux côtés (Bechterew), et remon
cérébelleuse, et, en partie aussi, au vermis supérieur et aux noyaux
centraux
. (Bechterew.) Le faisceau spinal, voie efférent
régions antérieure et moyenne de l'écorce cérébelleuse et des noyaux
centraux
, se termine dans les noyaux politiques inférieurs
onculaires supérieures qui dérivent de l'écorce du vermis, des noyaux
centraux
et surtout du noyau dentelé. Après entre-croiseme
Le nerf vestibulaire est constitué par les prolongements internes ou
centraux
des cellules bipolaires du ganglion de Scarpa. Ap
aires sont l'aboutissant d'une voie d'association longue, le faisceau
central
de la calotte qui descend des cellules cle la sub
rvicale, continue probablement jusqu'à la moelle l'action du faisceau
central
. Les cellules multipolaires des noyaux de Deite
— — postéro-inférieurs, rapprochés de la ligne médiane...... 3 —
central
hémisphérique............................ 1 — D
lus de 2 I/a centimètres, pour éviter à coup sûr la lésion des noyaux
centraux
ainsi que des nerfs et vaisseaux qui pénétrent da
es menschlichen Ohres, Wiesbaden, i8g4-Soury (J.), Le système nerveux
central
. Paris, 1899. Spee (Gr.), Skeletlehre. Abt. II.
ez grand volume, sans atteindre le corps dentelé et les autres noyaux
centraux
du cervelet. A droite, on remarque deux cellule
qu'il a rencontrés pendant son exercice à la consultation du Bureau
central
et a pu voir que l'hystérie mâle est très fréqu
1 Il. 11<Uie. - L'l«/slérie il la cOllsultatlU11 (lit lfurettza
central
(Pro ? .llécl. 27 juillet 1880). CAS 1) HYSTE
l inférieur. ' -10 CLINIQUE NERVEUSE. les deux yeux, sans scotome
central
. Le goût, l'ouïe, l'odorat sont affaiblis à gau
- tion normale en conséquence de la curvature de la ligne médiane
centrale
, dont j'ai parlé plus haut. Les altérations de
oit avoir aucune influence sur les mouvements DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 69 rétablis de l'extrémité post
ons seront analysés plus lard. (11 SMture.) DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION1 Par M. P. TROLARD, Profescur
'autres. Je laisse à d'autres plus habiles et DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 71 mieux outillés que moi le so
¡' cinerium quand il n'est pas à découvert. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 73 En résumé, les connexions en
, entre la base d'adhérence du crochet hippo- DE l'appareil nerveux
central
DE l'olfaction. 7." 1") campique et le bord ext
t profondément dans la couche optique et vont DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 77 Je me demande s'il ne faut p
rveuses facilement distinyuables à l'u'il nu. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 79 où ce pilier contourne le bo
ur du pavillon pédonculaire. » l'lus loin, il DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 81 dit : « Nous avons distingué
nuer, ' d'une autre part, au corps bordant. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 83 A la description classique d
branche interne de bifurcation de Fig. 13. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 85 la circonvolution godronnée.
d'autres fois plus difficiles à constater. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 87 Î Je reprends le trajet de n
sant partie de l'appareil de l'olfac- tion. DE l'appareil nerveux
central
DE l'olfaction. 89 bien fondé à comprendre les
ent t entre le trigone et la corne d'Ammon. du l'appareil nerveux
central
de l'olfaction. 1.) 1 til' et un seul pilier. I
es cordes transversales de la lyre. 92 ANATOMIE. APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION Luys. - Le système commissurant
des pro- ductions du septum lucidum. » Luys. « La substance grise
centrale
forme d'avant en ar- rière plusieurs intumescen
brale, et en particulier la zone motrice, est pour Luciani l'organe
central
des convulsions épileptiques. L'excitation morb
du phénomène, l'écorce ne devait pas être considérée comme l'organe
central
des con- vulsions, qu'elle n'en était que le po
ablement mo- teurs, situés dans d'autres régions du système nerveux
central
. » Non seulement l'épilepsie a toujours pour sp
e celles de Luciani,-qu'il existe une forme d'épilepsie d'origine
centrale
et une forme d'origine périphérique, car « on ne
e l'excitation de régions également distinctes du sys- tème nerveux
central
, n'y voit qu'un symptôme complexe. Unverricht n
l'épilepsie corticale. 121 table du cerveau apparaît comme l'organe
central
des con- vulsions épileptiques. Toutefois, à
apsule interne, pédoncules, pont), mais elle a toujours pour organe
central
, constituant l'élément essentiel de sa pathogén
a plupart des cliniciens et des physiolo- gistes italiens, l'organe
central
de l'épilepsie, et qui est la condition nécessa
r une incurvation des vertèbres, il se fait une dilatation du canal
central
de l'organe intra-rachidien avec les lésions clas
) P. K. XXIII. LES CIRCONVOLUTIONS ASCENDANTES CONSTITUANT L'ORGANE
CENTRAL
des cordons POSTÉRIEURS ; par P. FLECHSIG et 0.
gnent, en traver- sant la couche intermédiaire des olives, l'organe
central
, abou- tissent aux circonvolutions ascendantes
logiques. rieures; de ces olives part, vers le cerveau, le faisceau
central
de la cas lotte de Bechterew qui prend lin à la
ans le développement du renflement cervical : dédoublement du canal
central
, de la fissure antérieure, et une tumeur adhére
au nombre de 500, ont été conduits sous bonne escorte dans le hall
central
. Mais les flammes ayant atteint cette partie de l
mbaire est coupé en deux moitiés - égales ; seulement, dans le bout
central
, à la surface antérieure, la section a légèreme
nt du côté de la lésion. Moscou, juin 1889. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION' Par M. P. TROLARD, Professeur
la face juxta-pédonculaire du crochet, subs- DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 205 tance blanche dont nous con
édullaire de la cloison transparente était en DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 207 grande partie composée de f
erfs de Lancisi, comme l'admettait Foville ,. DE l'appareil nerveux
central
DE l'olfaction. 209. FOVILLE ET A'lEYNERT (ce d
erminent, par les piliers réfléchis, dans, le DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 11 tubercule antérieur de la co
rrefour est ensuite mis en communication avec DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 213 le tubercule antérieur de l
anté- rieurs. C'est l'arc direct. Réflexions. L'appareil nerveux
central
de l'ol- faction, tel que je viens de le décrir
mblable à celui des autres appareils nerveux. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 21 J> En dehors de l'observa
ur le sens de l'olfaction » d'où la nécessité d'un appareil nerveux
central
en rapport avec ce sens. Aussi, est-il probable
le contrecoup de la suractivité imprimée aux DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 217 autres sens; que sous l'inf
d Bernard, que le chef de l'Ecole naturaliste DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 2190 doit probablement ses succ
E quelques PIIÉr\OÈrOES observés dans LE domaine du système nerveux
central
après LE rappel A la \'lE DES tendus; par J. Ma
ectorale et en instituant des commissions locales et une inspection
centrale
. Les formalités à remplir impliquaient, pour l'
ain taux devrait pouvoir être contrôlé étroitement par les pouvoirs
centraux
. La création par la nouvelle loi de ce pouvoir
centraux. La création par la nouvelle loi de ce pouvoir régulateur
central
est des plus désirables. M. PARAUD rappelle l
de l'asile de Bron, il en reporte tout le mérite à l'administration
centrale
. M. Magnan porte, en finis- sant, un toast à la
culaire progressive (type facio-scapulo-huméral. Voyez le Neurolog.
Centrale
, de 1889 "j. M. UHTHOFF présente un homme de qu
courbe tétanique subit une modification. Si l'on agit - tir le bout
central
du nerf, on obtient, dans ces conditions, une c
contraction trémulante du muscle, le même excitant appliqué au bout
central
provoque une contraction lente uniforme. Il fau
ne de nos Ecoles des Arts-et-Métiers, s'est lait recevoir a l'Ecole
centrale
, qu'il a quittée avec le diplôme. C'était donc
s et il supporte, sans fatigue, de longues marches. Admis à l'École
centrale
, C... n'a pu obtenir le diplôme de sortie : il
e à ne pas exclure dans le cas cité, la pos- sibilité d'une origine
centrale
de la maladie (d'après plusieurs anatomistes, l
ULSIVE DES pupilles (hippus) dans LES affections du système nerveux
central
; par 0. Damsch. (Neurol. Centralbl., 1890.) L
les occupe l'épaisseur de ce cordon, leur place correspond au noyau
central
inférieur quoiqu'il soit pour cela un peu trop
série des vertébrés on constate, dans la sphère du système nerveux
central
, une ten- dance au déplacement des fonctions d'
n roulement analogue à celui qui existe pour les médecins du Bureau
Central
, à Paris, et des médecins des hôpitaux. Quand i
s mus- cles de l ? par Westphal, 269. Olfaction, appareil nerveux
central
de l ? par Trolard : -63, 203. OPTIQUE, altér
e figure représente la face externe du noyau cérébral dont la saillie
centrale
est encore revêtue par l'insula. F, partie infé
eloppe blanche qui se porte à la cloison transparente. Cette partie
centrale
est divisée en deux moitiés symétriques par la cl
bral ; en V V la doublure fibreuse de l'insula, séparée de la saillie
centrale
des faces latérales du noyau ; en h h h L L, la s
section des couches fibreuses qui, de la circonférence de la saillie
centrale
de la face latérale du noyau, rayonne à la face i
rale répondant à l'extrémité temporale du ven-tricule. N L, saillie
centrale
des faces latérales du noyau. R', faisceau fibr
érales du noyau. R', faisceau fibreux qui se porte de cette saillie
centrale
dans les par-ties temporales R K". A A A, moign
moignon des couches fibreuses qui, de la circonférence de la saillie
centrale
du noyau, se portent à la face interne de l'hémis
oignons des grandes couches rayonnantes de l'hémisphère. L L, saillie
centrale
des faces latérales du noyau, b, tubérosité tempo
orale de la circonvolution de l'ourlet. B", son crochet. 0, saillie
centrale
des faces latérales du noyau, -+- +, fibres passa
érales du noyau, -+- +, fibres passant de la surface de cette saillie
centrale
dans les parties transversales infé-rieures du co
es qui montent au corps calleux et de celles qui re-vêtent la saillie
centrale
des faces latérales du noyau. Les couches fibre
ées de la région adhérente du ruban fibreux de l'ourlet. L, saillie
centrale
des faces latérales du noyau. J J, parties tran
rficielle du quadrilatère perforé. g g, couche fibreuse de la saillie
centrale
des faces latérales du noyau issue de la marge du
sue de la marge du quadrilatère perforé. V V, fibres de cette saillie
centrale
qui se portent à la région supérieure du corps ca
urlet qui se termine en R. De chaque côté, S S désignent la saillie
centrale
des faces latérales du noyau. 1 Sur le côté dro
enne de l'espace perforé. On voit en -+- + des fibres de la saillie
centrale
S rattachées à la bran-che P' du faisceau postéri
ipital. FIGURE 2e. Base du crâne à l'intérieur. I, quadrilatère
central
. 1-5, rayon antérieur. 1-2, rayon latéral anté-ri
pouls, laquelle ne s'accompagne d'aucune élévation de la température
centrale
. La fréquence du pouls sans fièvre est d'ailleu
ues. — Modifications de la papille dans les cas d'embolie de l'artère
centrale
de la rétine, dans la glycosurie, la rétino-choro
très accusés ; la dépression cupuliforme qu'elle offre dans sapartie
centrale
; enfin la teinte légèrement rosée qui distingue a
emple, qui accompagne la sclérose en plaques. L'embolie de l'artère
centrale
de la rétine donne lieu, à la longue, à des appar
our. Cet exsudât a une teinte gris rougeâtre. Çà et là, les vaisseaux
centraux
sont, en apparence, interrompus. Ce phénomène, tr
re attention la dilatation kystique que présente quelquefois le canal
central
de la moelle épinière. Dans un cas de Gull, et da
cemment par M. Budge relativement au mode d'action du système nerveux
central
sur les fonctions de la vessie 2. En réalité, s
blement du plan médian antéro-postérieur et qu'ils occupent la partie
centrale
de la substance grise au voisinage de la commissu
médian anléro-postérieur, où ils occupent, de chaque côté, la partie
centrale
de la substance grise. 11 résulte de cette dispos
umeur intra-spinale (probablement un gliôme) qui occuperait la partie
centrale
de la moelle, dans la moitié inférieure du renfle
oelle épinière, un espace rela-tivement restreint, la substance grise
centrale
est cependant, au point de vue physiologique, la
nte du centre spinal. Qu'il me suffise de vous rappeler que ce cordon
central
de substance grise est un lieu de passage obligé
ntôt et qui, comme les premières, peuvent affecter la substance grise
centrale
. Dans ces myélites centrales, la lésion inflamm
sont nombreuses. Nous citerons, à titre d'exemple, la myé-lite aiguë
centrale
, c'est-à-dire localisée principalement dans la su
-diquant une participation au moins temporaire de la sub-stance grise
centrale
? Quelques observations faites par MM. Duchenne et
lus propre à éta-blir l'action directe des lésions du système nerveux
central
sur la nutrition des parties osseuses, puisqu'il
imitées aux cornes antérieures de la substance grise. — Myélite aiguë
centrale
généralisée, hémato-myélie, myé-lites traumalique
culièrement intéressant en ce que les oscillations de la tempéra-ture
centrale
y ont été nolées pendant toute la durée de la pér
lable que, à l'exemple de ce qui a lieu parfois dans la myélite aiguë
centrale
vulgaire, les altérations de la moelle épinière,
ire, en outre de l'appui que lui prête l'histoire de la myélite aiguë
centrale
vulgaire, compte encore, en sa faveur, l'expérime
et en même temps les plus graves. Je veux parler de la myélite aiguë
centrale
généralisée 1. La lésion se traduit ici, le plus
que peuvent subir les muscles des membres pa-ralysés dans la myélite
centrale
aiguë se trouvent signalées déjà par Rokitansky.
nale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite
centrale
chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales
spéciales, incoordination motrice, etc. 3° Divers types de myélite
centrale
, spontanée ou trauma- i Voir Leçon I, p. 13.
nt cette altération spinale comme résultant d'une dilatation du canal
central
de la moelle épi-nière. Il est certain que, dans
ésignée par Ollivier fd'Angers) sous le nom de syHngomyélie ou cavité
centrale
dans la moelle épinière (Traité des mala-dies de
ie, assez communément rapportés jusqu'alors à une dilatation du can d
central
, peuvent résulter de la fonte d'un tissu patholog
phies spinales affectant le mode chronique, dans lesquelles la lésion
centrale
, ne reconnaissant plus une circonscription aussi
neau incomplet formé de substance embryonnaire. Aussitôt que le canal
central
est fermé en arrière, la masse embryonnaire tend
mois. — a, cornes antérieures. — ù, cornes pos-térieures. — c, canal
central
. — r/, racines antérieures. — e, racines postérie
ment disséminée et pouvant attaquer indifféremment la substance grise
centrale
ou les faisceaux blancs. c) Les nerfs périphéri
moelle épinière des altérations très profondes de la substance grise
centrale
et en particulier des cellules nerveuses mo-trice
leçons de cette année2, de montrer que les lésions du système nerveux
central
retentissent quelquefois, par la voie des nerfs,
des lésions remar-quables occupant principalement la substance grise
centrale
, la substance blanche étant, au contraire, à pein
u'à la moelle et suivant toute probabilité jusqu'à la substance grise
centrale
. En effet, dans la plupart de ces cas, l'anesthés
y-sés semblent indiquer qu'il s'agissait là d'une forme de la myélite
centrale
subaiguë, sur laquelle je me propose d'appe-ler b
e nous montrent aucune modification appréciable. c) Système nerveux
central
. — L'encéphale n'est le siège d'au-cune altératio
là, les noyaux nous ont paru nom-breux, surtout au voisinage du canal
central
. Ce dernier était complètement oblitéré par un am
es au niveau du bec du calamus. — En avant et de chaque côté du canal
central
, on retrouve les noyaux de l'hy-poglosse. Là enco
par deux îlots de substance grise complètement isolés de la substance
centrale
contiennent une notable proportion de cellules dé
ans que le thermomètre accusât la moindre élévation de la température
centrale
. Ce désordre des mouve-ments du cœur s'accompagna
es. — Modifications de la papille dans les cas d'embo-lie de l'artère
centrale
de la rétine, dans li glycosurie, la rétino-choro
imitées aux cornes antérieures de la substance grise. — Myélite aiguë
centrale
généralisée, hématomyélie, myélites traumatiques,
nale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite
centrale
chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales
e, US. — Dans l'hémiparaplégie spi-nale, 132. — Dans la myélite aiguë
centrale
, 209. — Dans la pachymé-ningite, £76. Aorte (An
ie, 139. — Dans Y hé-miplégie cérébrale, 269. — Dans la myélite aiguë
centrale
, 215. — Dans la pachy méningite, 215. — Dans la p
Dans Y atrophie musculaire protopathique, 220. Dans la myélite aiguë
centrale
, 209. — Dans la paralysie générale spinale, 190.
s la paralysie glosso-laryngée, 463, 474. E Embolie de l'artère
centrale
de la rétine, 51. Epilepsie dans la compression
phique, 477. (V. Amyotrophies, Atrophie, Lipoma-tose, etc.) Myélite
centrale
, 165, 167, 202,208. — consécutive aux maladies
anvier 1902), nous voyons figurés trois groupements : un groupement
central
A,celui du petit pectoral, un groupement interne
s deux faces de cette coupe nous avons en effet la masse des noyaux
centraux
dans leur partie la plus large. Or c'est là le
ion, ou celles qui sont parallèles sectionnent les artères des noyaux
centraux
perpendiculairement à leur axe et que c'est la
on les soupçonne. On les voit alors très bien, occupant les noyaux
centraux
, c'est-à-dire les segments du noyau lenticulair
gue il l'état normal. A l'état normal en effet, la coupe des noyaux
centraux
montre le tissu gris comme piqueté d'un nombre
conde, il y a au contraire formation d'une cavité entre le vaisseau
central
et le parenchyme cérébral : c'est une lacune vrai
stinguer au microscope un espace suffisamment étendu entre l'artère
centrale
.de la lacune et le tissu cérébral même altéré qu
nts normaux ou pathologiques. 1° Lésions du vaisseau. - Le vaisseau
central
est habituellement une ar- tère de volume moyen
le- même par les leucocytes. Telles sont les lésions de la région
centrale
de la lacune : ce sont en somme celles d'une ar
rd même de la cavité. Ce bord est plus ou moins éloigné du vaisseau
central
suivant ses an- fractuosités. Il est en effet d
la lacune. Du moment qu'il existe un espace vide entre le.vaisseau
central
et les parois de tissu cérébral ces parois sont
à un moindre degré les lésions que nous avons décrites l'artériole
centrale
de la lacune, c'est-à-dire que leur paroi est t
à notre avis la genèse de ces corps granuleux. Autour d'un vaisseau
central
d'une lacune était une gaine périvasculaire et
ux et la cavité s'augmentant inégale- ment on ne voit plus d'artère
centrale
. On observe alors de préférence au voisinage de
nt tous les caractères que nous avons décrits précédemment à l'artère
centrale
. Elles sont toutes perméables et si elles ont d
in- filtration; on y trouve également peu de vaisseaux. Le vaisseau
central
manque même assez fréquemment. Peut-être pour
arrêt de développement du système vasculaire ou du système nerveux (
central
ou périphérique). Cette théorie, qui peut bien s'
esque toutes les autopsies (porencépha- lies, atrophie des névromes
centraux
) et les troubles intellectuels, états de compré
e, le pédon- cule, le bulbe et la moelle (système du neurone moteur
central
). 1 Ce cas, publié dans l'Atlas du système nerv
traire, à savoir, que chaque point périphérique a son point d'image
centrale
conjuguée, et qu'il n'y a pas d'image commune à
nition topographique s'est faite. Il n'y a pas d'appareil ner- veux
central
, pas d'images subjectives, mais la localisation s
pposition diamé- trale de l'appareil périphérique et des récepteurs
centraux
. Il semble que cha- que appareil sensoriel ait
u'a- vec les autres sens. Supposons que pour une raison de lésion
centrale
ou périphérique notre vue s'émousse ; nous rest
ue les organes latéraux des Amphibiens et des Poissons, les organes
centraux
des Turbellariés, les organes marginaux des Méd
éresser simulta- nément deux points différents de notre sensibilité
centrale
. Ce qui est vrai d'un point l'est de tous, et t
tion périphérique de l'empreinte sensorielle et par la distribution
centrale
de l'image conjuguée. Il n'y a pas plus d'opéra
lle jaillisse d'une acquisition périphé- rique ou d'une imagination
centrale
, c'est toujours un réflexe, un acte moteur inco
uvoir suivre dans leur trajet et étudier dans leur forme les noyaux
centraux
, les noyaux optostriés. Mais grande fut notre sur
IÉ PAR LA RADIOGRAPHIE, PAR Ch. INFROIT, bt Chef du laboratoire
central
de radiographie de la Salpêtrière. Jean HEITZ
planche XXXI) un fémur un peu diminué de diamètre, eL dont le canal
central
, très nettement visible sur le cliché, a ses prop
xtrémités. La racine postérieure l'aborde par son extrémité ou pôle
central
; ses fibres s'y mettent en rap- port avec des c
t avec des cellules ganglionnaires, dont elles sont le prolongement
central
. Les prolongements périphériques de ces cellules
ue cellulaire et que l'on peut appeler du nom de pâle ganglionnaire
central
. Plus loin les fibres se sont épanouies dans le
aversée du ganglion, les racines se comportent différemment au pôle
central
et au pôle périphérique. Au pôle central les raci
rtent différemment au pôle central et au pôle périphérique. Au pôle
central
les racines sont très atro- phiées, elles sont
xiste dans le bout sus-ganglion- naire et se poursuit jusqu'au pôle
central
du ganglion. Elle paraît même plus accentuée, p
ent teintés ne laissent pas apercevoir de cylindraxes. Dans le bout
central
du ganglion on rencontre également des fibres a
eures se comportent très différemment suivant qu'on examine le pôle
central
ou le pôle périphéri- que. Dans le pôle central
'on examine le pôle central ou le pôle périphéri- que. Dans le pôle
central
les racines sont au moins aussi atrophiées que da
à un plus fort grossissement, on voit s'amincir leurs Dans le bout
central
aes racines postérieures et le poie centrai uu ga
pé longitudinalement). Dans la portion sus-ganglionnaire et le pôle
central
du ganglion la racine pos- térieure est légèrem
ure est atrophiée dans sa portion sus-ganglionnaire et dans le pôle
central
du ganglion, normale dans le pôle périphérique du
atrophiée dans toute sa portion sus-ganglion- naire et dans le pôle
central
du ganglion, mais dans le pôle périphérique et au
culaire est également très riche en faisceaux fibreux. Dans le pôle
central
du ganglion la racine postérieure est également a
anglionnaire de l'épinèvre et de la racine pos- térieure. Le pôle
central
du ganglion contient peu de fibres à myéline ; il
bien colorées et nullement dégénérées. Quant à la masse conjonctive
centrale
, par son aspect végétant, par sa richesse en élém
stérieure existe dans toute la portion sus-ganglionnaire et le pôle
central
du ganglion, elle disparaît dans le pôle périph
ui s'enroulent sur eux-mêmes. 322 THOMAS ET HAUSER Dans le pôle
central
du ganglion, l'atrophie des racines postérieures
térieure est atrophiée dans la portion sus-ganglionnaire et le pôle
central
du ganglion, normale au contraire dans le pôle pé
a présence de quelques épaississements capsulaires avec une cellule
centrale
amoindrie. 3e Lombaire droit. - Coupes perpen
fs allongés appartenant à la gaine de Schwann. Tandis que le bout
central
est profondément dégénéré, la portion sous-gan-
ompact qu'à l'état normal. Dans le ganglion même, la région du pôle
central
est pauvre en fibres, tandis qu'à l'autre extré
e dans le parenchyme ganglionnaire, au moins dans la région du pôle
central
, où les fibres encore groupées par petits faiscea
ique ou médullaire, et que l'atrophie gagne progressivement le bout
central
. Cependant, sur plusieurs des ganglions et des ra
ce point. Ces auteurs ont en effet démontré que la section du bout
central
de la racine postérieure n'a aucun retentisseme
l se comporte différemment suivant que la section porte sur le bout
central
ou le bout périphérique de la racine postérieure
vose dei gangli spinali in seguito al taglio della branca perferica a
centrale
del loro prolongamento. LÉSIONS RADICULAIRES
AIRES DU TABES 427 phérique.On conçoit dès lors que le prolongement
central
doué d'une vita- lité moindre que le prolongeme
sente ce caractère particulier de ne pas dépasser le niveau du pôle
central
du ganglion; quelquefois cependant les tubes ne
ire dont le pouvoir trophique s'exerce moins activement sur le bout
central
de la racine postérieure que sur son bout périp
itif périphérique, tout en prédominant beaucoup sur le prolongement
central
de la cellule ? et qzci atteint généralement auss
u longitudinal non dégénéré, qui va en se renforçant jusqu'au noyau
central
supérieur de la calotte, dans lequel il semble
que nous venons d'indiquer, plus haut à la portion interne du noyau
central
supérieur qui prend sa place ; le côté externe
eur qui prend sa place ; le côté externe est limité par le faisceau
central
de la calotte. Dans l'aire ainsi délimitée les
ante. La substance blanche est très réduite de volume et les noyaux
centraux
524 LANNOIS ET PAVIOT font une saillie, très
l'Université de Moscou. ET FÉLIX CZARNIECK, médecin du Bureau
central
d'admis- sion pour les aliénés (à Moscou). Da
ieures à l'aide d'une coupe, passant approximativement par le canal
central
; grâce à ce procédé proposé par Soukhanoff, la
Saint Cristophe entre Saint Egidius et Saint Benoît, sur le panneau
central
d'un tryptique du Musée de Bouges; Un Saint Cri
rs Saint Cristophe. Outre celui de II. Memling.qui forme le panneau
central
d'un tryptique du Musée de Bruges, un autre don
es, mais atrophiées, mal colorées, avec un noyau effacé. Le canal
central
est dilaté et occupé par une prolifération des
sement, longtemps et bien- tôt la suspension disparaît des services
centraux
de plusieurs , services médicaux de différentes
n, dû à une altération générale, vaso-motrice, du système ner- veux
central
. C'était une forme légère -d'aphasie amnésique tr
ol sont toxiques. Leur action s'étend aussi bien au système nerveux
central
qu'à l'appareil cir- culatoire. En certains cas
qui caractérise les coupes au niveau du centre ovale, des ganglions
centraux
, des pédoncules cérébraux et de la protubérance
ésultats microscopiques ont montré une hémorragie autour du canal
central
, dans l'épididyme même, autour et entre les cellu
« Elle occasionne, dit-il, l'amélioration de la vue périphérique et
centrale
, en arrêtant le développement de l'atrophie et en
lésions sont' limitées aux cellules de l'écorce des lobes frontal,
central
et occipi- tal, sans altérations vasculaires ni
res et posté- rieures, ainsi que les parties qui entourent le canal
central
. C'est pourquoi pendant la vie de l'animal, on
ablement parce que les segments de substance grise voisins du canal
central
sont conservés. P. KEHAYAL. XI. Lésions dégén
e. A la hau- teur du septième segment dorsal de la moelle, l'artère
centrale
, qui côtoie le canal central, présente une évid
segment dorsal de la moelle, l'artère centrale, qui côtoie le canal
central
, présente une évidente prolifération des libres
es, indé- pendantes et beaucoup plus petites que celles de l'artère
centrale
. On en voit aussi sur une branche latérale de c
, l'ori- gine exogène. · XXII. Les difformités du système nerveux
central
dans le spina bifida (Hydropisie du quatrième v
que secondairement, soit par lésions des parties du système nerveux
central
en rapport avec les cellules de Pur- kinje, soi
ain moment restent étrangers à la cellule, qui, en qualité de bouts
centraux
des fibres nerveuses, n'arrivent à la cellule que
ellules ganglionaires présentent, d'après Nissl, de la chromatolyse
centrale
, avec diminution du noyau et granu- lation dens
Dr STEPANOFF. M. SOLOVTZOV. Sur les altérations du système nerveux
central
dans le spizà bifide ! (hydrocéphalie du IVeven
ologiques, septembre-octobre 1897.) 2 3 Soury. Le système nerveux
central
, structure eG fondions, p. 1329. (Paris, Carré
Brandt, Edinger, Guérin, Deplanque pour lesquels le système nerveux
central
de l'embryon est responsable de l'arrêt de déve-
as, au cours desquels M. Lortat l'attribue non à un trouble réflexe
central
, mais à ce que l'action des muscles extenseurs
lIIouRAvIEFF. Contribution à la question des altérations du tronçon
central
du nerf sectionné. Chez des lapins on excisait
variable (jusqu'à 140 jours) les animaux étaient décapités. Le bout
central
du nerf sectionné est traité par l'acide osmiqu
ancolie. Paris,' casson, 1897, et surtout J. Soury. Système nerveux
central
. Paris. Carré et Naud, 18J9,-t. If, p. 1333 et
déchaîné l'avalanche nerveuse i. » ' J. Soury. Le système nerveux
central
. Paris, Carré et Naud, 1899, 11, p. 1336. 266
une fête organisée, nous dit-il, par les anciens élèves de l'Ecole
Centrale
. Il écrit même à son frère à cette intention, n
es manchons de myéline, tandis que le cylindraxe conduit l'excitant
central
. Pierson et Sperling disent qu'il'y a inégalité
s, pulsatiles. Il s'agirait de contractions vasculaires de l'artère
centrale
de la rétine anémiant le centre de la rétine et
du glaucome. Le mécanisme en est connu. La contraction de l'artère
centrale
de la rétine produirait de l'amblyopie périphér
ère centrale de la rétine produirait de l'amblyopie périphérique et
centrale
et non des cercles colorés à disposition spectr
due à un épuisement nerveux, à un arrêt de fonctionnement d'origine
centrale
. Les deux causes sont corré- latives l'une de l
ère droit en comprimant z la partie supérieure de la circonvolution
centrale
antérieure et la partie postérieure de la premi
ajies miliaires récèntes dans les corps optiques. La circonvolution
centrale
gauche et le lobe paracentral présentent des al
ernie post-opératoi1'c; 23 de la moelle épinière avec hénhltomyélie
centrale
. Secrétaires des séances : A. 131 : ll ? STEI ?
-elle être considérée comme une hyperesthésie généralisée de nature
centrale
. Les réac- tions électriques indiquent une dégé
conservation de l'acuité visuelle. Il s'agit évidemment d'un foyer
central
et la simultanéité de tous les accidents rapide
THOLOGIE NERVEUSE. 397 I conséquent un surmenage du système nerveux
central
: cette manière de voir est confirmée par l'app
nus aliénés et des inculpés présumés aliénés est annexé à la prison
centrale
de Budapest. Cet asile spécial reçoit a)les indiv
ue les névrites périphériques sont souvent accompagnées de troubles
centraux
. 0 ' M. PAI11XAUD. Les paralysies toxiques on
posés en plusieurs couches autour du noyau. En dehors de cette zone
centrale
, pignomorphe, on voit une zone périphérique, pl
l'met en relief cette région impor- tante que constituent la partie
centrale
du sphénoïde et le sommet du rocher et étudie l
, elle se confond, pour ainsi dire, avec l'étude de la voie optique
centrale
, sur laquelle plane encore maintes obscurités.
SUR TROIS cas d'hémianopsie. 4335 toutefois dans une étroite zone
centrale
, qui correspond à la tache jaune; je vous indiq
homonyme latérale droite (Itg. 23), avec conservation de la vision
centrale
pour toutes les couleurs. La réaction pu- pilla
ption visuelle ne peut dépendre que d'une lésion de la voie optique
centrale
. Comme, d'autre part, les autres manifestations
roite (fig. 24), portant sur toutes les couleurs. L'acuité visuelle
centrale
était intacte. Dans la partie conservée du cham
e des cellules nerveuses), et leur aboutissement dans les amas gris
centraux
: pulvinar, tubercule quadrijumeau antérieur et
umeau antérieur et surtout, corps genouillé externe. Des neurones
centraux
, leur lieu d'origine est représenté par ces mêm
ue est représenté par la cellule bipolaire de la rétine. Le neurone
central
ne serait autre que la cellule nerveuse de la c
les fibres du premier groupe, celles qui vont aboutir aux amas gris
centraux
, ne participeraient qu'à l'exé- cution des acte
tres termes, les cellules nerveuses contenues dans les amas gris
centraux
n'émettraient pas de prolongements centri- pète
cas où une lésion intéresse la voie optique dans sa portion la plus
centrale
et notamment les centres corticaux de la vision
trique très minutieux démontra que, des deux côtés;, 4*. ? = vision
centrale
était intacte. Les papilles présentaient11 letfc'
nd, de Gowers, de Knies, relatives à la conservation de la vision
centrale
, des deux côtés, en cas d'intégrité de la partie
d'une opinion controversée. ' Ainsi, d'après Foerster, si la vision
centrale
est habituelle- ment conservée dans les cas d'h
er. - - D'après von Monakow, l'intégrité habituelle de la vision,
centrale
, dans les cas d'hémianopsie, serait imputable à c
e reste intacte dans une faible portion de son étendue, la vision
centrale
sera conservée. N'empêche qu'elle devra perdre de
u'elle devra perdre de son acuité, dans toute hémianopsie d'origine
centrale
, et c'est, t aussi ce qui a lieu habituellement
Symptômes communément associés A l'hémianopsie homonyme d'origine
centrale
. - Messieurs, l'hémianopsie homonyme peut être
a cécité de l'ânze. La première n'est pas autre chose qu'une cécité
centrale
; elle résulte d'une hémianopsie bilatérale doub
ianopsie latérale homonyme droite, avec con- servation de la vision
centrale
(ftg. 27). Elle existe pour 460 . CLINIQUE NERV
elle qu'à l'idée de la plupart des analomistes, les trois amas gris
centraux
, représentés, de chaque côté, parle tubercule q
r d'une hémianopsie gauche, ou vice versa. En pareil cas, la vision
centrale
est seule conservée, ce qui suppose l'intégrité
un trajet cen- trifuge, pour se rendre, les unes dans les ganglions
centraux
(fibres c01'tico-ganglionnaires), les autres da
trécissement, leur anéantissement complet, sous la forme de scotome
central
pour les couleurs, n'a pu être observé; 7° les
eur. Dans les cas très rares où l'amblyopie commence par un scotome
central
avec perte de la perception pour le vert et cha
rs la considèrent comme une sénescence présénile du système nerveux
central
. Hedlich, Koller, Kettscher, Saas et Dana ont t
des crises d'exacerbation. Il s'agit bien là d'une algie d'origine
centrale
. M. Ballet a vu trois cas semblables. société
de certaines affections du - par L. Corning, 70. Difformités du -
central
dans le spina bifida, par Solstvtzoff, 1 a. T
ues de la conscience, p. 19. LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 3t. nèse
centrale
réduite au minimum. La répétition, l'exercice,
n et de réintégration impliqués dans tout acte du système nerveux
central
. » Ces lois, comme l'a fait remarquer Buccola,
nismes déjà assez hautement différenciés pour qu'un système nerveux
central
, condition de la conscience, ait apparn. V. Juies
mburini, les processus des représentations motrices : 1° la phase
centrale
est constituée par le réveil, dans un centre co
mouvement; 3° la phase centripète est constituée par la perception
centrale
des modifications survenues dans les appareils
ces et la conscience du mouvement accompli fassent défaut. La phase
centrale
et la phase centrifuge du processus suffisent p
hallucina- tions; ,la parole n'est prs perçue comme un processus
central
: elle est projetée aux parties où va l'impulsus
ogressent nos connaissances sur l'anatomie fine des organes nerveux
centraux
, il apparaît tou- jours pius clairement que, co
la région présigmoïde, d'une façon visuelle par Krause 1 ; ' On the
central
motor innervation of the larynx, journal, 21 dé-
pitale et les centres oculo-moteurs, et l'excitation de l'expansion
centrale
de ces tractus produira pratiquement le même ef
raient été mieux expliqués par un trouble ou une perte de la vision
centrale
; car on sait bien que lorsque la vision centra
erte de la vision centrale ; car on sait bien que lorsque la vision
centrale
est perdue ou affaiblie chez un homme les objet
cisément ce que l'on observe chez cet animal. La perte de la vision
centrale
rendait compte de ce fait, noté par Sch¡pfer chez
r rapport au premier Un signe distinctif entre l'hémiopie d'origine
centrale
et celle d'ori- gine périphérique a été supposé
déviait à droite. On le LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 97 le point
central
qui fut examiné avec grand soin à ce point de v
ec une portion delà rétine qu'une autre. Eu particulier la vi- sion
centrale
est celle qui est la moins affectée dans tous les
1865 à 1888. P. K. XXI. UN cas DE paralysie alcoolique avec lésion
centrale
; par K. ScnAFFER. (Ncurol. Cenlralbl., 1889.)
e potassium s'accumule donc de préfé- rence dans le système nerveux
central
, mais c'est tout ce qui ressort de cette observ
de la région qui nous occupe, mais on n'y trouve ni artère ni veine
centrale
, c'est dans lesegmentinférieur de l'insertion o
es trousseaux de fibres qui occupent le secteur médian du pédoncule
central
, parce que les fibres s'y entrelacent en un tre
e peut être symptomatique de lésions anatomiques du système nerveux
central
. (Archio fùr Psychiat, Xllf, 2.) P. Keraval. BI
organe dont la substance grise, loin de se former après la blanche,
centrale
, aurait, dès le qua- trième ou cinquième mois,
, en soi, un intérêt indiscutable. ANATOMIE DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION 2 Par M. P. TROLARD, Professeu
ce par un crochet, dont la partie effilée sé- DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 185 pare en partie la portion l
isseur de la corne d'Ammon, à base dirigée en DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 187 bas, à sommet allant à la r
nant la substance grise de la circonvolution. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE r.'01,FAÔ'PION. 189 Extrémité antérieure de
lé postérieure de la lame réticulée, que nous DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 191 avons vue diminuer de large
nière le genou calleux et semble se confondre DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 193 après un trajet plus ou moi
it bien moins développée que d'ordt- naire. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 195 il faut ajouter de petits t
ronné et de ses annexes, notamment le trigone DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 191 chez le foetus à une époque
es de Pans, 1837. 198 ANATOMIE. tère de ses points de convergence
centraux
qui pareillement sont hors rang, les tubercules
on sur les rapports de la formation ammonique DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 201 avec le trigone chez le mou
branes que nous avons présentés comme formant DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 203 l'origine de ce même cercle
la suivre au-dessous de celui-ci jusque dans DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE 1,'OLFACTION. 207 les petites lames grises d
ui en sont données, je ne saurais l'affirmer. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 20H de l'ourlet. Elles nous par
il semble que Archives, t. XXI. 14 210 ANATOMIE. APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. Lancisi n'ait pas limité sa des
des fibres nerveuses entre elles a lieu, dans le système nerveux
central
, non par l'anastomose des prolongements di- rec
, mais ils démontrent aussi que cette sphère s'irradie de son point
central
dans le lobe temporal en haut vers la région pari
même que la substance grise à droite, et celle qui entoure le canal
central
du Secondary degeneration of the spinal cored,
ie d'influenza a occasionné de nombreux troubles du système nerveux
central
et périphérique. L'auteur a 264 REVUE DE PATHOL
pillaires de l'encéphale, que le plomb intoxique le système nerveux
central
. La diminution de l'élasticité et de la résista
champ visuel. Les troubles de la vue sont constitués par le scotome
central
(Cas. XV à XXIII). -le rétré- cissement plus ou
line, qui s'effectue en peu de semaines, on voit que les trousseaux
centraux
qui, sont en relations d'une part, avec le tube
ive, très énergique, au processus pathologique du sys- tème nerveux
central
; - 2° leurs altérations paraissent être ho- mo
DE la genèse DE la CARYOKINÈSE dans LES CELLULES DU SYSTÈME nerveux
central
DES CHIENS ET DES lapins jeunes ou NOUVEAU-NÉS;
38' ! ments nerveux ou au tissu de soutènement du système nerveux
central
. La caryocinèse se produit surtout dans les cellu
surtout dans les cellules épen- dymaires du ventricule ou du canal
central
de la moelle; on y voit une 11 ? pergéiièse de
les cérébrales. Il est même pro- bable que, dans le système nerveux
central
, chaque groupe de cel- lules en état d'activité
ions cutanées (dou- leur - piqûre eau chaude). L'irritation du bout
central
du pneumogastrique, d'un seul 'côté, arrête aus
r une incision transverse immédiatement extérieure au sillon pré-
central
, l'animal vécut seulement 24 heures. Il n'y avait
SAVANTES. 63 chronique. Toutes ces modifications du système non eux
centrale
et périphériques sont complètement indépendante
i dans les cas où on a trouvé des lésions dans le sys- tème nerveux
central
et dans les nerfs périphériques, les modifi- ca
e autointoxication de l'organisme et les pallies du syslème nerveux
central
qui ont le plus des rapports avec l'ati- vité p
: « Il sera formé, auprès du ministère de l'intérieur, un comité
central
avec lequel correspondront les directeurs et les
. Obsession dentaire, par Galippé, 1. Olfaction (appareil nerveux
central
de l'), par Trolard, 183. Optiques (centres !
hili- tique, par Thomsen, 451. Paralysie alcoolique avec lésion
centrale
, par Schaiffer, z par fiojwvmlco0', 462; - de l
riboisière, mais il n'y fut pas admis. Il se traîna jusqu'au bureau
central
; et de là, fut envoyé à l'Hôtel-Dieu (annexe),
e maladie du coeur, chez lequel Morgagni a montré un ramollissement
central
de la moelle dorsale et au milieu de la lésion
pilepsie partielle brachiale, c'est la partie moyenne de la portion
centrale
de la frontale et pariétale ascendante. De quel
. Nous croyons pouvoir la rattacher à l'embolie gazeuse de l'artère
centrale
de la rétine. C'est elle qui seule peut donner
it le sujet de ['Expérience VI une oblitération gazeuse de l'artère
centrale
de la rétine. C'est à la présence de fines bu
au centre et aux cordons latéraux de la moelle, nous avons la forme
centrale
spinale latérale; quand c'est au centre, aux co
au centre et aux cordons postérieurs, donne naissance à la forme
centrale
spinale postérieure. La localisation exclusive
nguent pas du reste de l'endo-nerf, et ne présentent pas de lumière
centrale
; elles n'offrent aucun caractère qui les rattac
'appareil musculaire de la jambe. C'est donc bien une manifestation
centrale
. P. K. VII. DE L'ORIGINE nucléaire DE la branch
ts de ce nerf empêche l'accroissement ultérieur des fibres du tronc
central
jusqu'au muscle, une atrophie lente maras- tiqu
c central jusqu'au muscle, une atrophie lente maras- tique du tronc
central
et de ses origines cellulaires ; 3° chez un lap
e ni paralytique, hémianopsie droite absolue et complète (la vision
centrale
des deux yeux est conservée); acuité visuelle d
t des modifications notables : elle devient indépendante du canal
central
qui se trouve placé au-devant d'elle; elle s'ét
coupes soumises au procédé de Weigert, elle présente dans sa partie
centrale
, une couleur jaune pur, qui, vers la périphérie
lasie glioma- teuse est la commissure grise et la région du canal
central
. C'est également dans cette partie qu'a pris na
ouve à la partie supérieure, là où elle est confondue avec le canal
central
. Dans son trajet vers la partie inférieure de l
e des cordons postérieurs, n'ayant plus aucun rapport avec le canal
central
, ni avec la commissure postérieure. (.1 suivr
vec celles de la physiologie et de la pathologie du système nerveux
central
. Tout d'abord, des difficultés presque insurmon
ourantes sur la texture et la morphologie élé- menlaire des organes
centraux
du système nerveux, idées empruntées à Gerlach,
primitif». Le protoplasma vrai n'exis- terait que dans cette partie
centrale
de la cellule qui environne le noyau. Les pro
fibres nerveuses dans les diverses provinces du sys- tème nerveux
central
, le prolongement nerveux, sans doute d'origine
miquement, les deux formes d'activité spécifique du système nerveux
central
ont un siège commun, où leurs éléments se juxta
ette thèse ne vaut point, à la vérité, pour tout le système nerveux
central
: Golgi reconnaît que les ré- gions motrices et
ité. En se différenciant, les différents centres du système nerveux
central
n'ont point conservé, comme on le voit déjà dan
aux ani- maux et aux végétaux. 1, 3G8. ' 11. Vluul : . Ueber die
centrale
Organe sur das Seheit und das IIoc/'t11 bei den
e nerveuse de l'écorce qui, par l'intermédiaire du réseau nerveux
central
, serait en rapport avec plusieurs nerfs de sen-
nouveau-nés, avant tout exercice notable des sens, si les éléments
centraux
de l'écorce sont fonctionnellement indifférents
ette cellule que part le nerf sensible qui gagne le système nerveux
central
, où elle se ter- mine, dans le réseau nerveux d
d'où sort la fibre sensible est périphé- rique, tandis qu'elle est
centrale
pour le nerf moteur. Dans les deux cas, le nerf
ifications fibrillaires, passant directement dans le réseau nerveux
central
de l'écorce ; 2° par la propa- gation de l'exci
des centres supérieurs 1. » Quel est donc le siège de l'activité
centrale
du système nerveux, de l'intelligence, de la co
160->. 192 . PHYSIOLOGIE Ce siège serait le réseau fibrillaire
central
de l'écorce. L'étendue et le développement de l
veux unique, ainsi que celle de la composition du réticulum nerveux
central
, sont naturellement très discutées. Koelliker,
ui communiquent entre elles dans le vaste réseau du système nerveux
central
et périphé- rique, est un fait incompatible ave
rphologiques bien tranchées. Pour- quoi, demandait-il, les éléments
centraux
des divers organes de la sensibilité et du mouv
ivé lui ont permis d'affirmer que « la structure du système nerveux
central
des vertébrés inférieurs ne diffère point, en g
recherches d'anatomie sur la constitution intime du système nerveux
central
sont à peine commencées. Ainsi, il ne suffit pa
tes les ano- malies. Mâchoire supérieure. - Côté gauche. Incisive
centrale
perma- nente, large et complètement évoluée. -
de la couronne apparaît hors de la gencive. Côté gauche. L'incisive
centrale
est placée sur un plan légère- ment antérieur p
ibution : 1 L'ÉTUDE des affections syphilitiques DU système nerveux
central
avec quelques REMARQUES sur LA POLYUROE ET la p
moelle lom- baire, hyperplasie de petites cellules autour du canal
central
. Les cellules nerveuses sont indemnes. Endartér
. D'après l'auteur, la paralysie saturnine ne`serait pas purement
centrale
. Ce serait une névrite trophomotrice ou une myoné
pinion la plus plausible, c'est que ces altérations ont une origine
centrale
et que, ne trouvât-on pas de lésions médullaire
it d'admettre l'idée des troubles trophiques fonctionnels d'origine
centrale
. Discussion. - M. Ean partage l'avis de M. Hitz
érations aient pour foyer commun d'origine les appareils trophiques
centraux
. M. SCHUELTZE partage aussi cette manière de vo
paissie, avait une teinte laiteuse. A la partie supérieure du gyrus
central
antérieur, la pie-mère et l'arachnoïde étaient
trois cents criminels aliénés en question, construire trois asiles
centraux
de chacun cent malades, pour les pro- vinces de
ns un réseau très fin immédiatement sous-jacent aux prolongements
centraux
des épithéliums sensoriels, ou, selon d'autres ob
vations, elles entrent en relation directe avec les prolongements
centraux
. De cette description il appert que les fibrill
'est une preuve, au contraire, et une preuve éclatante de l'origine
centrale
de la microcé- phalie. Le cerveau atrophié ne
tée par M. Nageotte. Une infection portant sur le système ner- veux
central
a produit deux foyers dans l'axe cérébro-spinal e
on d'autres foyers de ramollissement au niveau du sys- tème nerveux
central
. Le malade ayant succombé, l'étude métho- dique
malade ayant succombé, l'étude métho- dique de son système nerveux
central
fut faite par la méthode de Marchi. o- Il s'a
ar la méthode de Marchi. o- Il s'agit d'un ramollissement surtout
central
de l'hémisphère cérébelleux gauche, capable par
maximum au niveau des cordons postérieurs et formation d'une cavité
centrale
. Présence au niveau de'ces cordons postérieurs,
'une façon diffuse le tissu nerveux et enfin tombent dans la cavité
centrale
.. Pour les auteurs, ces cellules épithélioïdes
ération nettement localisée au pédoncule céré- belleux, au faisceau
central
de la calotte et au faisceau longitudi- nal pos
aiement et affai- blissement de la vue réduits à la fin à la vision
centrale
correspon- dante au champ des macula, perte de
hypothèse de Von Monakow, qui explique la conservation de la vision
centrale
dans les cas de lésions des sphères visuelles p
Ces techniques sont trop peu comparables. En tout cas, si un réseau
central
infirme le neurome, l'absence de ce réseau ne s
dans le système nerveux périphérique, mais aussi dans le système
central
et dans le cerveau en particulier. -K. ROTII, A--
al. A l'examen microscopique, on constata dans le système ner- veux
central
un grand nombre de tubercules rabiques et des mo-
cherches, M. ALTER déduit que certaines maladies du système nerveux
central
, au premier rang la paralysie générale et l'épi
es des solutions chlorosodiques, notam- ment sur le système nerveux
central
du paralytique général. M. ALTEU attendrait éga
XXIX. L'état actuel de l'anatomie pathologique du système nerveux
central
, par 1VISSL. (Centmlblatt sur Ne2ueizheill,rtzde.
tzde. XXVI. N. F. XIV. 1903). L'anatomie pathologique des organes
centraux
s'est, jusque dans les temps les plus récents,
mposants nerveux, ni dans les composants d'autre nature des organes
centraux
. Les au très formes d'altérations régres- sives
à ces deux animaux, fort limitée, se trouve dans la circonvolution
centrale
antérieure (frontale ascendante) au niveau de l
yau du cordon antérieur ou respi- ratoire de ulisslawsl;y, le noyau
central
inférieur de Rolier,. le noyau réticulaire du t
. le noyau réticulaire du tegmentum pontis de Hechterew, le noyau
central
supérieur ou médian de ]3eclitei-ev, le noyau ino
11 occupe les mêmes portions de la formation réticulée que le noyau
central
inférieur, c'est-à-dire celles qui représen- te
-on le nommer noyau centrai supérieur latéral, ou tout court, noyau
central
supérieur, média), ou mieux médian. On le trouv
i été vue que dans les maladies fonc- tionnelles du système nerveux
central
; la réaction paradoxale apparente à la lumière
ides sauf la carotide interne. On prend ensuite la pression du bout
central
et du bout périphérique de la carotide à l'aide
que celle des vaisseaux du cercle artériel de Willis; celle du bout
central
est la pression de la partie ascendante de l'aort
telle dispositiond ans-d'autres processus pathologiques (la myélite
centrale
, la myélite infectieuse avec abcès, les hémor-
es, les grandes pyramidales sont de forme normale avec chromatolyse
centrale
ou totale en sont neuronophagées surtout au niv
lexion serait localisée aux noyaux latéraux, l'extension aux noyaux
centraux
. Dans une seconde période, on a enlevé les musc
a dans l'Etat de New-York. En même temps que la création d'un asile
central
d'Etat ou d'asiles régionaux, je réclame l'inte
cissement plus ou moins concentrique du champ visuel, ou un scotome
central
des plus évidents, et tous les signes ordinaire
. Dans les premier et deuxième segments sacrés les deux groupements
centraux
innervent les deux chefs du biceps crural. Dans
biceps crural. Dans le cinquième segment lom- baire, le groupement
central
innerve le demi-membraneux et pro- bablement au
ment aussi le demi-tendineux. Le quatrième segment, le grou- pement
central
est en rapport avec le grand adducteur, le groupe
e ces segments. Le centre du grand adducteur occupe le groupement
central
du quatrième segment. Dans la partie centrale du
r occupe le groupement central du quatrième segment. Dans la partie
centrale
du troi- sième se trouvent les centres des deux
VANTES. 281 droit interne. Dans le cinquième segment, le groupement
central
innerve le demi-membraneux et probablement le d
t de sa famille, avait obtenu pour lui une place à l'administration
centrale
, à Paris. Z... était encore tourmenté des ennui
ication sur une nouvelle méthode de colora- tion du système nerveux
central
; par H.-v. SCHROETTER. (ACli-0- log. Centralb.
jumeaux postérieurs la plus voisine de l'axe, au niveau du noyau
central
supérieur de Bechterew, le nombre des fibres entr
e lui est inférieure pour l'étude anatomique des fibres des organes
centraux
. P. KERAVAL. LXIV. Que sont les corpuscules de
en général dans les paralysies de l'extrémité supérieure d'origine
centrale
. Prend-on la main du côté malade dans la sienne
férieures. Son apparition indique donc une lésion du neurone moteur
central
au-dessus du renflement cervical. On le trouve
seulement. Les lésions qu'elle avait pro- voquées dans ce ganglion
central
n'avaient ainsi produit que des symptômes d'irr
par action réflexe fait vivement contracter l'utérus. Celle du bout
central
du nerf vague, sectionné au cou, a aussi agi, m
périphérique du sciatique sec- tionné et tout à fait séparé du bout
central
se serait régénéré et aurait recouvré sa foncti
le bout du nerf; ce ne sont pas non plus des fibres venues du bout
central
dans le bout périphérique. Je n'ai pas dit cela
ubercules quadriju- meaux, avec remarques sur le trajet du faisceau
central
de la calotte; par J. SORCO. (Neurol. Centralbl
ient pratiqué la section du nerf sciatique avec arrachement du bout
central
, les auteurs estiment que chez les animaux adulte
e des détenus, à la condition, bien entendu, que l'administra- tion
centrale
se décide à ne plus introduire dans les prisons q
oqués. Cet asile-prison serait situé au voisinagne du péniten- cier
central
et pourvu d'un quartier spécial d'observation.
e, il faut, en dehors des habitations des assistés : 1° un bâtiment
central
d'ad- ministration, où les colons ne devront au
nera jamais l'asile spécial créé dans la mère-patrie. Un bâtiment
central
serait annexé à la colonie, et servirait à la foi
cas, qu'à un moment donné c'est la disproportion même de l'organe
central
de la circulation qui fait apparaître l'asystolie
ité. Les malades présentent, en outre presque toujours des signes
centraux
ou périphériques d'athérome artériel. C'est pour
ts mais moins nombreux et plus souvent interrompus que dans le bout
central
. L'auteur fait remarquer que cette obser- vatio
trant que le nerf est, non pas formé par un prolongement cellulaire
central
, mais cons- titué par une chaîne de neuroblaste
mais surtout marquées au niveau de la première frontale. Oiromoiyse
centrale
, légère pigmentation jaune pale, légère atrophi
rtion de la première frontale ou frontale interne. - LP, lobe para-
central
. ' CCC, circonvolution du corps calleux. CC, corp
Anatomie pathologique. L'état ac- tuel de l ? du système nerveux
central
, par Nissl. 154. A : 'EI\CEPII ,"LIE. Un cas d'
communication sur une nouvelle de coloration du système nerveux
central
, par Schroetter, 320. Meurtrier. Un - de quat
cules quadrijumeaux avec remar- ques sur le trajet du faisceau
central
de la calotte, par Sorgo, 397. Cas insolite de
t dans la paralysie générale des lésions de tout le système nerveux
central
. Nous sommes forcés ici de sortir de notre cadr
schare est due à la névrite périphérique relevant soit d'une lésion
centrale
(encéphale), soit d'un état général de cachexie
tendineux l'existence d'une affection organique du système nerveux
central
, car, d'ordinaire, on n'observe pas ces phénomè
bles de la muqueuse buccale. 5° Au u niveau de l'ouverture du canal
central
les territoires en rapport avec la peau de la f
ériques qui constituent le nerf, d'autre part, il des prolongements
centraux
qui gagnent le cerveau ou la moelle (racines po
-elles dues à des aplasies simples indépendantes du système nerveux
central
, dérivent-elles d'ab- sences ou d'atrophies des
antérieures du cordon pos- térieur et la paroi postérieure du canal
central
de bas en haut. Même résultat chez un chien tué
les terminaisons anté- rieures des cordons postérieurs et le canal
central
appartient au groupe des cordons sensitifs et s
assez démonstratifs, et permettent de considérer le système nerveux
central
comme un réservoir d'énergie, se déchargeant à
ouleuse, 1897. Librairie Edouard Privât. DACODET. Système nerveux
central
; coupes histologiques. - Volume in-8o cartonné
use locale qui puisse les expliquer. Ce sont des douleurs d'origine
centrale
, traduisant l'irritation de l'écorce. · Objec
tales, puis chacune des tranches en coupes verticales. La substance
centrale
surtout au niveau de la corticalité offre une c
a céphalalgie, l'exis- tence dans les membres de douleurs d'origine
centrale
, l'in- ' Cet examen a été fait par M. Z la comp
e d'après laquelle l'état de faiblesse irritable du système nerveux
central
auquel est due la confusion mentale serait le r
RIBYTKOFF et Werziloff présentent un malade atteint d'héinalomyélie
centrale
. Le malade, âgé de dix-huit ans, paysan, sans a
Une autre partie de la tumeur s'enfonce directement dans la partie
centrale
de la moelle où elle forme une colonne nette- m
elle forme une colonne nette- ment délimitée, pourvue d'une cavité
centrale
, tapissée d'un tissu connectif. Au niveau de la
connectif. Au niveau de la région dorsale supérieure, la tumeur )
centrale
et la cavité se séparent l'une de l'autre : celle
ant aucun rapport apparent avec la tumeur, localisée dans la partie
centrale
de la région cervicale supérieure et développée
nt endothélial et ne parais- sent pas être en rapport avec le canal
central
. Celui-ci, grâce à la formation de diverticules
st pas encore bien élu- cidé ; en tous cas, l'intervention du canal
central
dans ce processus n'est pas obligatoire, bien q
ale, et d'un autre travail intitulé : Les coupes du système nerveux
central
. Programme des prix proposés pour les années 18
ur la chirurgie), Nocard et Miquel (pour le projet d'un laboratoire
central
des asiles) et Collin (pour les aliénés criminels
es affections consécutives à, « une modification du système nerveux
central
, ganglion- naire ou périphérique* ». ' Ichthy
, chez certains indi- vidus atteints de maladies du système nerveux
central
ou périphérique, un état iehthyosique particuli
ant son trajet en haut et en dedans pour aboutir aux gros vaisseaux
centraux
. (Ici un accident n'a pas permis d'en préciser
ables, mais toutes microscopiques ; elles siégeaient dans la partie
centrale
de la substance grise, en arrière des cornes an
uteurs reconnaissent à ces phénomènes hallucinatoires une ori- gine
centrale
et leur appliquent la théorie générale des halluc
eux sexes, la sensibilité à la douleur dépend surtout de l'appareil
central
de la sensibilité; elle est donc dans le plus é
en était de même du nucléole. Par places, ces noyaux au lieu d'être
centraux
, étaient refoulés à la périphérie de la cel- lu
r en jour, de nouveaux groupes se fondent et se rattachent au point
central
. Une armée est en train de se réunir, sachant à
and neurologist, oct. 97.) E. B. XXXII. Syphilis DU système nerveux
central
; par le 1)' SYDNEY Hun. Dans un long et inté
sur les différentes formes que revêt la syphilis du système nerveux
central
. D'.une façon générale, les accidents se rencon
IRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
. THÉORIE DES NEURONES; Par JULES SOURY, Dir
nt d'arrivée, sans modification ni changement. Le système nerveux
central
des invertébrés est construit sur le même plan.
libres arborisations ? constituant encore, non un « réseau nerveux
central
», mais fixa feutrage. « La connexion physiolog
la chaîne ganglionnaire. S'il existe aussi, dans le système nerveux
central
des invertébrés, des cellules de sensibilité, e
la lymphe qui, des capillaires sanguins, vient baigner les organes
centraux
et remplit toutes les lacunes que laissent entr
re depuis l'extrémité sec- tionnée jusqu'à son lélodeudron; le bout
central
demeure d'abord intact. Que le nerf soit moteur
nerveuse devrait bien dégénérer, non la cellule nerveuse et le bout
central
du nerf. Marinesco soutient que l'activité trop
fibrillaire se divise en une branche périphérique et en une branche
centrale
. Les cellules des ganglions spinaux de l'homme
llulifuge. Dans le nerf moteur périphérique issu du système nerveux
central
, le courant d'excitation va du protoplasma de la
s'arborisent éga- lement à leur extrémité. Pourtant le prolongement
central
conduit seul le courant nerveux dans le sens ce
eraient transformés en fibres nerveuses, tandis que le prolongement
central
aurait toujours été un axone. Aussi le principe
donc été nécessaire d'admettre, dans les organes du système nerveux
central
des invertébrés, des cellules de sensibilité, c
ow : à côté des cellules d'origine, qui envoient vers les ganglions
centraux
leur long prolongement cylindraxile, il existe
éléments nerveux. D'ailleurs l'existence, dans le système nerveux
central
, de cellules uniquement pourvues d'un prolongemen
UR LES ALTÉRATIONS artificielles ET CADAVÉRIQUES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
ET PÉRIPHÉRIQUE; par le Dr P. S FA MEN (Lo Sper
chute partielle ou totale de l'épi- thélium de revêtement du canal
central
; les cellules épithéliales, noyau et protoplasm
osé et se dirigent vers les régions plus élevées du système nerveux
central
. Par conséquent, si l'on se représente toute la
emploi des méthodes DE colorations électives SUR LE système nerveux
central
durci AUI'ORMOL; par H. Gudukn. (Pieurolr Cenlr
OW, Mouratow, KojEWNmow et PRI13YTKOFF. N. M. Wersiloff : Myélite
centrale
aiguë ascendante (avec dé- monstration de prépa
qui répond le mieux au tableau objectif de la maladie. L'excitation
centrale
du sympathique présente cette particula- rité q
t certaines particularités du traitement. De plus, cette excitation
centrale
produit des lésions anatomiques capables de ren
te à interrompre le circuit morbide : 1° En supprimant l'excitation
centrale
par les calmants et les toniques généraux du sy
émoire intitulé hontni- bution à l'étude de fhénzinnopsie d'origine
centrale
(t. li, 4886, p. 176) et, en 1893, des Leçons s
avons insisté tout à l'heure. Les coupes où la tumeur a une portion
centrale
, c'est la place de la corne gauche qui est occu
lant, sous forme de grosse virgule bien allongée autour de la masse
centrale
qui occupe la moitié gauche de la moelle. Nou
rieur du noyau principal, s'éloigne peu à peu de la substance grise
centrale
et pénètre dans un noyau qui appartient à la co
ais, le plus souvent, elle provient d'unelésion de l'arc céré- bral
central
; elle est alors la conséquence de la suppression
qui, des prolongements cellu- laires, rayonnent dans le protoplasma
central
. Tous ces fils s'en- trecroisent en formant un
ites par Meynert qui relient le noyau du trijumeau à l'écorce (voie
centrale
). P. 111RAVdL. XC111. CONTBIBUTION A LA CONNA
territoire d'un nerf anatomiquement précisé, soit d'un prolongement
central
ou radiculaire postérieur, myélite expliquant l
J. Row, 1, 91. - cérébrale, par Kraus,)64.du système ner- veux
central
, par Sydney Kuli. 309. S1STÎ : 11E Rn1'I;LC. tl
ent préventif de l'ischémie, du ramollissement, et de l'hémorrhagie
centrale
. Ces trois lésions, pour M. Lancereaux, ne corr
olement cardiaque, suicide. Autopsie. Néoplasme occupant la portion
centrale
de la région cervicale de la moelle. llIéningo-
ites. - Autopsie. Tumeur occupant à gauche une partie des ganglions
centraux
et de la couronne rayonnante du lobe temporal.
et, chez la femme, de l'hyperémie cérébrale notamment des ganglions
centraux
et de l'écorce. Cinq observations à l'appui. Di
périphérique symp- tomatique ne soulage jamais quand le traitement
central
n'exerce aucune action sur le foyer morbide ; 2
morbide ; 2° il n'a jamais le même effet curatif que le traitement
central
; 3° jamais le traitement périphérique n'entrav
mais le traitement périphérique n'entrave les progrès d'une maladie
centrale
; 4° certaines lésions organiques récentes font
périphérique symptomatique, ce sont maintes névralgies d'ori- gine
centrale
(tabes); l'électricité redonne de la vigueur à ce
etite branche invisible auparavant, il en était de même de l'artère
centrale
de la rétine ; donc les deux carotides étaient
les aliénés de symptômes nerveux périphériques ayant une ori- gine
centrale
, surtout dans le domaine uro-génital (aménorrhée,
rtout frappante à droite). Aucun signe de lésion du système nerveux
central
. P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE I.
essllel'ven ? Pflicgcr's Arch., v, 18tif.) P. K. V. Sur l'origine
centrale
du NERF accessoire de VILLIS par L. DARKsciiFWI
tion DE VE1GERT DESTINÉE aux FIBRES NERVEUSES A MYÉLINE DES organes
centraux
; par M. FRIEDMANN. (Neurol. Centralbl., 4 885.)
l (découvert par Bechterew). La zone interne renferme : 1° le noyau
central
de Roller très développé, au niveau de l'extrém
, en parti- culier, du pédoncule cérébelleux moyen) ' ; 3° le noyau
central
supérieur, au niveau du tiers supérieur de la p
e postérieure du faisceau radiculaire' du cordon latéral), au noyau
central
de Roller (fibres du reste du faisceau radicula
eaux radiculaires mais surtout celui du cordon antérieur), au noyau
central
supérieur (faisceau radiculaire du cordon anté-
olives part de chaque côté un trousseau compact de faisceaux (voie
centrale
de la calotte de l'auteur) qui, traversant la p
groupe des noyaux situés dans le toit du quatrième ventricule (lobe
central
du cervelet); tel est le faisceau spinal qui ne
res situées au dedans du corps restiforme qui pénètre dans l'organe
central
, il émane du nerf vestibulaire (racine du nerf
les fonctionnels du larynx dans les affec- tions du système nerveux
central
. Examen à ce point de vue plus de 200 malades à
elative à la tension unilatérale des adducteurs, dans les processus
centraux
qui se traduisent par des accès. La contracture
as, d'une manière générale, l'existence d'une paralysie postérieure
centrale
ou périphérique. Maïs la pa- ralysie partielle
e, on note fréquemment aussi des symptômes qui indiquent une lésion
centrale
, et, dans un cas donné, il est difficile d'excl
d'exclure ou de diagnostiquer l'existence si- multanée d'une lésion
centrale
. Séance du 4 décembre 885. - Présidence DE M. W
aux des services admi- nistratifs, les médecins de l'administration
centrale
ou des éta- blissements généraux de bienfaisanc
xperimentclle - Anatomische Untersu- chungen ùber das periphere und
centrale
Nervensyslem dans : Archiv. f. Psychiatrie. L
oya à l'Hôtel-Dieu dans le service des. Merklen, médecin du Bureau,
central
, qui con- firma le diagnostic de M. Brun et qui
phie articulaire ; il est certain qu'elle dépend du système nerveux
central
; or, puisque les cornes antérieures de la moell
c- centue en particulier dans les colonnes postérieures. Le canal
central
est oblitéré et offre dans la circonférence un
F. XXV. Contribution A l'anatomie pathologique du système nerveux
central
, par Tu. RUMPF. (A9'CIE. f. Psyeh., XVI, 2.) I.
ux). Il est impossible de déterminer si ces névrites sont d'origine
centrale
ou périphérique, malgré les der- niers efforts
rale comme à la sensibilité spéciale. Si l'on veut que les éléments
centraux
qui reçoivent les impressions du côté para- lys
famille, propension à faire des néoplasmes dans le système nerveux
central
; un oncle est mort de gliome de la protubéranc
lorsque la paralysie se généralise que l'on rencontre une lésion
centrale
des cornes antérieures. Mais il est impossible de
qui restent pendant un certain temps paralysés; quand les ganglions
centraux
de la base du cerveau sont au contraire hyperex
é qui ne correspond à aucune lésion organique du système nerveux ni
central
, ni periphérique, les données, de l'anamnèse m'
soir. Il parait donc exister un léger abaissement de la température
centrale
. Le ventre est volumineux. Les membres sont g
ent ainsi : . IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 327 pérature
centrale
; hier seulement elle a été prise et on a trouvé :
duit une contraction très marquée des artérioles du système nerveux
central
, et par suite si le malade est sous son action,
ues communiquant entre eux dans le cerveau à l'aide de deux organes
centraux
juxtaposés. M. Stein (de Francfort). L'emploi d
ire. - .\0 11 se pourrait qu'il modifiât la circulation des organes
centraux
. qu'il transformât le centre régulateur de la c
pitres les plus inté- ressants sont ceux concernant les noyaux gris
centraux
et la cap- sule interne; toute obscurité dispar
antérieure et dans le voisinage de la partie moyenne du sillon post
central
( ? ) La masse du cerveau gorgée de sang et ass
compliquée de zona, 212. Fibres nerveuses à myéline des organes
centraux
(procédé de coloration des), 105. Folie (guér
83. Laryngés (troubles - dans les atleclions du système nerveux
central
), 119. Lectures (troubles de la chez les para
Nécrologie : Gudden, 133. Nerf accessoire de Willis (ori- gine
centrale
du), 104. Nerf médian(paralysies du), 226. Né
s), 89. Syphilis et paralysie générale, 80, 86. Système nerveux
central
(ana- tomie pathologique du), 217. Tabes (com
a VI" paire gauche, même atrophie do nombreuses cellules, la partie
centrale
et externe du noyau étant seule com- plètement
glabre, il n'y a pas de seins ; l'hymen est circulaire, à orifice
central
. - Traitement : on continue l'élixir polybromuré,
- veux dans le sillon antérieur et dans l'adventice des vaisseaux
centraux
à l'endroit où s'exerçait la compression, c'est-à
de la com- pression, de l'hydromyelie en divers endroits. Le canal
central
, en réalité, partout dilaté, était le siège d'u
laté, était le siège d'une hylterplasie de la substance gélatineuse
centrale
puricanaliculaire : celle-ci en im- posait pour
centrale puricanaliculaire : celle-ci en im- posait pour une glioso
centrale
au niveau par exemple de la plus forte dilatati
était moindre dans le renflement lombaire où simultanément le canal
central
formait un diverticufum prononcé. A l'endroit où
la vertèbre, il existait une hy- tlromyélie congénitale avec gliose
centrale
modérée. L'action compressive de la tumeur a ba
entrale modérée. L'action compressive de la tumeur a barré le canal
central
au lieu com- primé ; en rétrécissant le lit du
s. Les fissures de la corne antérieure droite, au point où le canal
central
a atteint son maximum de dilata- lion, se sont
rrégulières, leur trajet en rapport avec la direction des vaisseaux
centraux
, l'a-pecl très transparent, raréfié, du tissu a
dans les fissures et dans l'anneau gliomateux qui entoure le canal
central
, la paroi des vaisseaux, très épaissie, a, par
ubi la dégénérescence hyaline, et la stase du liquide dans le canal
central
a comprimé de dedans en dehors les petits vaiss
les fibres néuogliqucb se multiplient. P. KERAV1L. VI. Le trajet
central
des nerfs des muscles des yeux, par J. Piltz. (
é. l'. 1lER.tV1L. IX. -, Biologie et travail de la cellule nerveuse
centrale
; par P. Kronthal. (Neurolog. Centralbl., XXII,
es nerveuses. Tant que les leucocytes arriveront au système nerveux
central
, les cellules nerveuses naîtront et mourront. L
on celles des cellules en particulier. Dès que le système nerveux
central
est lésé, l'aclil ité mentale présente des troubl
lombaire. P. Keraval. XI. -- Examen histologique du système nerveux
central
d'un malade affecté d'idiotie amaurotique famil
altération, insuliforme, empiète sur les groupes médians, latéraux,
centraux
des cellules. Dégénérescence excessive des pyra
exclusivement extra-utérin, qui a porté sur tout le système nerveux
central
, et avant tout sur l'écorce des hémisphères cér
ur les graves lésionsjjbservéesà la fois du côté du système nerveux
central
, des nerfs et des vaisseaux chez un idiot qui é
çoit le tissu sain, mais l'image est celle de l'embolie de l'artère
centrale
de la rétine. Il en existe 24 cas, chez des jui
douve dans l'hémiplégie ou dans la monoplégie brachiale par lésion
centrale
, et j'estime que, l'affection doit dépendre, d'un
dans les états névrohathiqucs, ne (1) .1. Soury. Le système nerveux
central
, Paris 1899. (2) 'l'Il. Robot. - La psychologie
l1hLine nUcll'ail'e, -- 4° 1)[éten4li.e(lue dans le système nerveux
central
normal, les Ieucoclles quittent les capillaires
a pathogénie du gonflement des papilles. L'oblitération de la veine
centrale
de la rétine dans son passage par le canal de la
x grands types : celles qui l'expliquent par des troubles d'origine
centrale
, théories toujours plus ou moins vagues ; et ce
es des moLs ' ? Sans doute, il est de règle (qu'une surdité verbale
centrale
entraîne l'oubli et l'inintelligence (les mots
paraphasie présente une indépendance relative de la surdité verbale
centrale
, et sent- ble généralement l'expression nécessa
. Mais alors, il est difficile d'élucider les rapports de l'aphasie
centrale
motrice avec l'amnésie verbale, parce que la pr
riture. Quand l'écriture est conservée, l'au- eu montrant l'origine
centrale
des accidents, l'abaisse la valeur du centre mo
l['Ltgl-,Il)llio des mots défectueux, généralement liée il l'alexie
centrale
, et par suite, dans les cas de foyer localisa-
tre n'est ni absolue, ni univoque. La preuve en est dans l'a- lexie
centrale
sans amnésie verbale, ainsi que dans l'amnésie
italier que celui qu'on assigne ac- Iw'llen1l'nl, dans les hôpitaux
centraux
, à toute nouvelle section. Il est fort probable
taace des aliénés criminels en France. L'auteur propose 1° un asile
central
d'Etat ou mieux qualre quarliersspéciaux an- ne
trie. Division de l'établissement en deux grandes parties : l'asile
central
, la colonie ; différenciation des différents pa
rôle spécial qu'ils on àremplir; sur- veillance continue il l'asile
central
; vie en liberté àla colunie,nlo- restraint par
ll'alll)I. Ville. pharmacien de 1re classe, attaché il la pharmacie
centrale
des hôpitaux de Paris, esl nommé pharma- ('il'I
nopsie homonyme hys- térique avec persistance de la vision du point
central
analogue à ce qui se passse dans l'hémianopsie
un et externe avec les libres du ruban de Reil et la voie sensitive
centrale
. Ce noyau est en rapport avec le ¡. ! 1oso-phar
du trouble de la nu- trition, la cause des atrophies, doivent être
centraux
et non péri- phériques. « La décalcification
l'oplttalntoscul>e. L'rcil auclie présente une taie ancienne et
centrale
de la cornée ; les réflexes irions sont normaux
ssociés par la secousse ou des coupes, notamment du système nerveux
central
; par F. Reich. (1'\"e(1-010g. Centralbl. XXI,
ittents. La con- jonctive et la cornée, aussi bien dans son segment
central
que dans ses segments interne et externe, sont
dc fuçon mal-eillanle,j c res- semblerais ces sauvages de l'Afrique
centrale
qui s'irri- tent contre la pluie et le vent.
nsécutivement déterminé l'arrêt de développement du système nerveux
central
. Le développement excessivement faible des régi
tes catégories d'enfants sont séparés. [Annales de la policlinique
centrale
de Bruxelles, août 1904.) Dl' MATAGNE, CORRESPO
injection n'agit pas, ce qui prouve que la cause est funiculaire ou
centrale
. Lorsque la cocaïne amène non la sédation momen-
sthésie à la pression, hypersécrétion. Dans les névralgies de cause
centrale
, on a cons- taté quelquefois, en outre, de la l
ose que la névralgie périphérique aboutit à un tic et la né- ualgie
centrale
à un spasme. Cicniospasmes et f)t/0< ! M.
13. Suppression de l'absinthe. L'absinthe en Belgique. La section
centrale
de la Cham- bre helge vient d'approuver une pro
Oise (22 mars), que la Chambre volera les conclusions de sa section
centrale
. A propos de cette proposition de loi, M. Hardu
nitlcation, par Iwanoff, 41. Biologie et travail de la - nerveuse
centrale
, par Kron- (lIai, : il. - - Voir Kronihal. Su
és par la secousse ou des coupes notamment du système ner- veux
central
, par Reich, 291. 506 table DES matières. Pria
nner et Wilson, 446. Système nerveux. Examen his- tologique du- -
central
d'un malade affecté d'idiotie amau- rotique f
Vue. VoirCentres. Wundt et sa psychologie, 465. Yeux. 1 e trajet
central
des nerfs des muscles des , par l'iltz, 47. '
oplégie crurale liée à une affection organique du système ner- veux
central
une perturbation dans le réflexe cutané plantaire
reconnaissant pour cause une affection organique du système neigeux
central
non seulement, comme on le sait, une modificati
voie centripète (nerf sensitif ou racine postérieure); 6) la partie
centrale
(sub- stance grise) ; c) la voie centrifuge (ra
-il être engendré directement par une altération du système nerveux
central
siégeant au-dessus des centres des réflexes ten
llons passer en revue les principales affections du système nerveux
central
dont la surréflectivité est une des manifestation
flectivité a été souvent notée C) et où les lésions des noyaux gris
centraux
sont assez communes. Mais, dans l'état actuel d
pe il en va autrement. Dans certaines affections du système nerveux
central
, les mouvements réflexes de flexion du pied, de
t possible qu'elle soit causée par une altéra- tion des noyaux gris
centraux
sans participation du système pyramidal, et, po
mique, comme nous venons de le voir, des lésions du système nerveux
central
; ces lésions intéressent la voie pyramidale do
ent d'une monoplégie brachiale liée à une lésion du système nerveux
central
. Le signe de la pronation, l'hypothermie et l'e
pas d'écarter l'hypothèse d'affection organique du système nerveux
central
, sa présence donne le droit d'affirmer l'existe
e, ou si elle est liée à une affection organique du système nerveux
central
. VII CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES MENT
. () Brown-Séquard, Lectures on the Physiology and Putholoyy of the
central
Nervous Svslem, 1860 et Journal de la Physiolog
e en extension, dépend comme celle-ci de lésions du système nerveux
central
intéres- (') Voir : Exposé des travaux scientif
mique, comme nous venons de le voir, des lésions du système nerveux
central
; ces lésions intéressent la voie pyramidale dont
malade qui nous occupe, c'est bien à une lésion du système nerveux
central
qu'il faut attribuer le trouble pupillaire; ce
plus haut, cette abolition dénote une altération du système nerveux
central
, d'origine syphilitique selon toute probabilité
qui déclare que ce signe lui paraît indiquer que le système nerveux
central
est touché par la syphilis, par Harris ('), pou
précédemment précisées, nous parait indiquer que le système nerveux
central
est atteint par la syphillis et que le sujet ch
18.' III TORTICOLIS SPASMODIQUE AVEC LÉSIONS DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
. EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES MULTIPLES JJ. Babins
re, chez lui, divers troubles liés à des lésions du système nerveux
central
et des exostoses ostéogé- niques. Voici, résu
t, selon toute pro- babilité, liés à une altération des noyaux gris
centraux
, et il y a tout lieu d'admettre que c'est à cet
tre sous la dépendance d'une affection organique du système nerveux
central
: on tend à admettre, comme on le sait, que cet
ttre, comme on le sait, que cette lésion siège dans les noyaux gris
centraux
. IV DE LA DÉGÉNÉRATION ET DE LA RÉGÉNÉRA TION
a protubérance el du bulbe et s'enfonçant dans la substance blanche
centrale
de l'hémisphère cérébelleux correspondant en su
parfaitement nette, qui permet CAn. Corne antérieure. FCC. Faisceau
central
de calotte. FCd. Faisceau cérébelleux direct. F
ne sont pas exceptionnels dans les affections du sys- tème nerveux
central
et il n'est pas rare de les constater dans l'hémi
établir le diagnostic d'une affection organique du système nerveux
central
et comptent parmi les manifestations objec- tiv
comme dans les autres affections destruc- tives du système nerveux
central
, des dégénérations secondaires dont l'intensité
tion des tubes nerveux, analogue à celle qui s'observe dans le bout
central
d'un nerf sectionné, au voisinage de la sec- ti
forme de paraplégie était causée par des lésions du système nerveux
central
(sclérose spinale, néoplasme comprimant la moel
serve chez les blessés des membres, n'excluait pas une pathogénie «
centrale
» de ces mômes troubles, l'exci- tation des cen
appelé l'attention, qui dépend aussi des lésions du système nerveux
central
inté- ressant la voie pyramidale et dans laquel
dyschromatopsie semblable à celle du tabès : elle atteint la partie
centrale
et respecte la périphérie du champ visuel et elle
D7 CiP F ? E'Z. ? à F ? C'A C/A 77M DU CHAMP VISUEL ET DE LA VISION
CENTRALE
DANS L'ATROPHIE TABÉTIQUE DES NERFS OPTIQUES
intéressant de joindre une étude des champs visuels et de la vision
centrale
des atrophies tabétiques que nous avons examinées
ns montrer que la recherche du champ visuel et l'étude de la vision
centrale
dans l'atrophie tabétique peuvent être parfois de
ion telle que l'on croirait tout d'abord à une hémianopsie de cause
centrale
. » Voyons maintenant ce que nous pouvons conclu
puis longtemps acquise. Toutefois on a signalé les cas où la vision
centrale
reste indemne, malgré un rétrécissement concent
la forme habituellement fatale de cette affection. 3" Du scotome
central
dans l'atrophie tabétique. Si de Wecker, Parina
description différente, ils étaient toutefois d'avis que le scotome
central
n'existait jamais ou ne s'observait que d'une f
ais ou ne s'observait que d'une façon exceptionnelle. Et le scotome
central
était le symptôme dontla pré- sence, dans les c
Récemment, Uhthoff émit l'opinion qu'on peut obser- ver le scotome
central
dans 2 pour 100 des cas d'atrophie tabétique. D
ons. On doit regretter que la grande majorité de ces cas de scotome
central
dans l'atrophie tabétique ait été simplement én
servations. D'après ces observations, la plupart des cas de scotome
central
consta- tés chez les tabétiques ne sont qu'une
tiques de ses nerfs optiques. 1.' Il y a d'autres cas où le scotome
central
n'est qu'un scotome central z 356 PARAPLÉGIES
. 1.' Il y a d'autres cas où le scotome central n'est qu'un scotome
central
z 356 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE
peu, comme le disait Forster, du centre du champ visuel. La vision
centrale
, quand le secteur est complété, peut être compl
ois quarts du champ visuel. En résumé : On peut observer un scotome
central
: i° chez un tabétique atteint d'amblyopie toxi
avec atrophie tabétique. On peut aussi obser- ver un pseudo-scotome
central
, par suite des progrès constants du rétré- ciss
étique une névrite rétrobulbaire d'origine syphilitique. Le scotome
central
dans l'atrophie tabétique sans lésion surajoutée
e bonne acuité visuelle, et parfois de la conservation de la vision
centrale
intacte : 4° Le scotome central est très rare d
de la conservation de la vision centrale intacte : 4° Le scotome
central
est très rare dans l'atrophie tabétique. Quand il
la disparition progressive d'un secteur du champ visuel, la vision
centrale
peut être abolie, tandis que persiste une grand
tie du champ visuel périphérique. Il s'agit là d'un pseudo- scotome
central
qu'il ne faut pas confondre avec un vrai scotome
o- scotome central qu'il ne faut pas confondre avec un vrai scotome
central
. BIBLIOGRAPHIE Babinski J. Du traitement merc
tous les troubles symptomatiques observés et que le système nerveux
central
ne présente aucune modification. Il signifie si
les nerfs ou y sont bien plus accusées que dans le système nerveux
central
. Il y a tout lieu d'admettre, et ce n'est pas l
névrites provoquent à la fois une perturbation du sys- tème nerveux
central
et du système nerveux périphérique : que parfois
x plus nombreux et ils occupent dans beaucoup de fibres leur partie
centrale
. Nous devons faire remarquer qu'il ne faut pas
tains cas, pour le système musculaire, comme pour le système nerveux
central
, un lien entre l'anatomie pathologique et l'ana
mer que l'on a affaire à une affection organique du système nerveux
central
. Je n'ai pas besoin d'insister sur les signes o
t fait cet examen permettent d'affirmer la réalité d'une hémorragie
centrale
. Que la commotion physique produite par éclatem
mme hystériques des accidents liés à des lésions du système nerveux
central
, lorsque les signes caractéristiques de ces affec
aux affections organiques classées, aux lésions du système nerveux
central
ou périphérique et aux lésions des gros troncs
rquer que dans certaines affections organiques du sys- tème nerveux
central
comme l'hémiplégie infantile on peut observer une
lade que du côté sain. Ce dernier caractère implique une irritation
centrale
et il y a tout lieu selon nous de faire rentrer
ent que la stase de la papille est due à la compression de la veine
centrale
dans la gaine durale. C'est, du reste, ce que f
lympho- cytose, d'habitude très intense dans la syphilis du système
central
en voie d'évolution, n'était dans ce cas que lé
Sydenham (Id., janvier 1907). t3z. Du champ visuel et de la vision
centrale
dans l'atrophie tabétique des nerfs . optiques
litérations artérielles et troubles vaso-moteurs d'origine réflexe ou
centrale
. Leur diagnostic différentiel par l'oscillométr
é plantaire dans certaines affections organiques du système nerveux
central
27 II. - Du phénomène des orteils et de sa vale
cor 258 III. Torticolis spasmodique avec lésions du système nerveux
central
262 IV. De la dégénération et de la régénératio
une forme de pseudo-tabes 349 VIII. Du champ visuel et de la vision
centrale
dans l'atrophie labétiquc des nerfs optiques 35
village, dans le but, a-t-il dit, d'aller 10 MÉDECINE LÉGALE. en
centrale
pour y gagner quelque argent et passer en Algérie
il 2 ans pour injures et à 6 mois pour vol, qu'il subit à la maison
centrale
de 1\îme·. Sorti le 11 octobre 1890, pour être
des certificats, qu'il n'a point. De concert avec un cama- rade de
centrale
qu'il rencontre, il vole des ballots de flanelle
ste dans certains asiles de l'étranger, il a été créé un réfectoire
central
pouvant recevoir 300 malades. Y prendre ses rep
sion puissante à l'existence monotone des quartiers. Ce réfec- toir
central
est aménagé d; telle sorte qu'il puisse être tran
en quelques minutes, en une salle de spectacle. En créant une usine
centrale
commune aux deux asiles, pour l'électricité et
cellules présentent, avec le bleu de mé- thylène, une chromatolyse
centrale
. Dans l'écorce cérébrale, les cellules de la né
médian; b) névrose ; troubles nombreux de la sensibilité par action
centrale
(inhalations) ; neurasthénie avec état aigu et
riode de démence. Pendant la période prodromique le système nerveux
central
du prévenu étant déjà dans des conditions anorm
iné. A la réunion des psychiatres et neurologistes de l'Allemagne
centrale
à Halle, le 24 octobre 1897, le professeur Binswa
rnement correspondant, ainsi qu'à l'encombrement de l'établissement
central
en question. montrent que l'asile psychiatrique
ver les établissements installés dans les gouvernements du point du
central
de ces derniers, où sont ces asiles, sans cause
VIII. Contribution au durcissement « in situ » du système nerveux
central
; par H. PFISTER. (Neurolog. Centralbl., XVII, 189
e dépend, lui, de la place occupée par la lésion du système nerveux
central
; il constitue les accidents types de la ma- "l
cules cérébraux à l'exception des fibres radiculaires des faisceaux
centraux
du même étage; de presque toute la région de la
au moins en partie en longs cordons. P. Keraval. XVIII. Du trajet
central
du faisceau de Gowers; par G.-J. ROSSOLIMO. (1\
était à faire entre l'épi- lepsie et la syphilis du système nerveux
central
; le retour nocturne des paroxysmes militait en
part peu active à la formation des cavités pathologiques. Le canal
central
est atteint SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 3 de façon
le névraxe et qu'elle peut causer la défaillance du système nerveux
central
: en conséquence, les psychoses dont il s'agit so
onhomme Normand, janvier.) BIBLIOGRAPHIE. IL Le système nerveux
central
. Structure et fonctions. Histoire cri- tique de
Etudes, à la Sorbonne, vient depublierunvolumesurle système nerveux
central
qui prendra rang parmi les plus grands livres d
s, M. J. Soury étudie les fonctions conductrices du système nerveux
central
, les voies sensitives et motrices, les voies se
s par les deux blessés, des agents de police accoururent t du poste
central
de la mairie du 5e arrondissement, toute voisine,
ité en dehors sur la ligne mé- diane par une verticale avec encoche
centrale
. En outre ce champ visuel hémiopique est rétréc
asmatique on peut observer divers degrés de déformation ; la partie
centrale
de la dendrite déformée peut rester intacte. Le
ont une affinité plus proche avec les élé- ments du système nerveux
central
, provoquent plus vite quel- quefois les changem
tres environ du pylore une large taclie ecchymotique dont la partie
centrale
est tellement amincie qu'elle se déchire quand
omplexes dans la méningite basilaire tuberculeuse. Dans la syphilis
centrale
, l'iné- galité est presque constante; fréquente
nt perdus, de distinguer une paralysie périphérique d'une paralysie
centrale
. En mai 1890, Fortunati le retrouvait chez un t
prolongement périphérique et dans le ganglion un long prolongement
central
qui est la fibre sensitive. Jusque-là rien de n
éments morphologiques. La prétention d'Apâthy de tenir le neuropile
central
pour une grille élémentaire de diffusion, ne su
éflexe, mais que le fonctionnement permanent de l'appareil, réflexe
central
est impossible sans la cellule qui exerce sur le
ment pas les fibrilles dans tow leur parcours. Le système nerveux
central
des vertébrés n'est pas non plus propre à résoudr
exes orientés dans une direction déterminée dans le système nerveux
central
. Il n'est donc pas probable que l'on trouve des
nerveuses au moyen des fibrilles primitives dans le système nerveux
central
. Mais chez la sangsue on voit fréquemment ce qu
cen- tral par les fibrilles. P. KERAVAL. LVII. Hétérotopie, canal
central
double et triple de la moelle; par H. SENATOR.
. Ce n'est pas tout; les régions dorsale et lombaire ont un canal
central
double et triple. Le canal central, simple dans l
dorsale et lombaire ont un canal central double et triple. Le canal
central
, simple dans la moelle cervicale, a la forme et
le. L'ordre et le sens dans lequel se développent les conducteurs
centraux
indique le sens de leur conductibilité. P. IZERaV
Ces modifications étaient constatées dans tout le système nerveux
central
(écorce cérébrale et cérébelleuse, noyaux bulbair
on et il songeait depuis quelques années à la fondation d'un office
central
d'accueil et de protection pour les anciennes m
il partageait avec mon autre maître M. Magnan, le service du Bureau
central
de la répartition des aliénés. C'est à cette ép
taire de Kief. De toutes les maladies organiques du système nerveux
central
, qu'il m'est arrivé de rencontrer pendant ce la
la plupart des cas se rapportaient aux maladies du système nerveux
central
post- syphilitique. Ces observations m'ont dé
l'hypertrophie des éléments du tissu conjonctif du système nerveux
central
, laquelle ne cède à aucun autre traitement, si
on des vaisseaux sanguins plus dangereuse encore du système nerveux
central
. Voyons à présent, si les effets de l'emploi du
les affections secon- daires du tissu conjonctif du système nerveux
central
,-et de l'autre côté, différentes affections des
e si fréquente et si précoce du tissu conjonctif du syslème nerveux
central
, chez ces malheu- reux ? 9 La réponse est bie
tain. - 4° L'héiniacliromatopsie n'est pas nécessairement d'origine
centrale
. Pool\rd. LXVII. Notes sur les propriétés toxiq
e d'un pois se trouve immédiatement en arrière de la circonvolution
centrale
postérieure. A la suite de l'opération survint
les affections de ce genre peut se réduire à une anomalie du canal
central
. M. Roth, vu le caractère électif de la gliomat
du champ visuel pour le 'vert, le bleu et le rouge. Pas de scotome
central
. Olfaction complète- ment abolie. Le malade éta
de cette habitude, les troubles visuels. Mais l'absence de scotome
central
, la conservation du champ visuel normal pour le
un empoisonnement d'origine familiale, attaquant le système nerveux
central
prédisposé de ceux qui sont de la période de dé
fection rare, étudiée récemment par le Dl' Pitres et dont la lésion
centrale
52 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. n'est po
ianopsie homonyme temporale gauche avec conser- vation de la vision
centrale
. M. FERRA ND montre le cerveau. Celui-ci présen
olution du corps calleux; C. C., corps calleux; L. P., lobule para-
central
; L. Q., lobule quadrilatère ou avant-coin; - C.,
Origines dn -, par Mai 1- nesco, 51 i. Faisceau DE GowERS. Trajet
central
du -, par liossollmo, 153. · Foui;. Génie et
e atteinte de syringomyélie et d' -, par Lom- bardi, 306. , canal
central
double et triple de la moelle, par Senator, 3
dante, par Van Gehuchten, 525. Système nerveux. Durcissement du
central
, par Pfisler, 147. Alté- rations du consécutive
sécutives à l'ar- rachement des nerfs, par Mari- nesco. 155. Le -
central
, structure et fonctions, par Soury, 179. Le p
avec les travaux de von Leubossek, qui prouvent que le prolongement
central
cylindraxile des cellules des ganglions spinaux
nerfs centripètes, laquelle consiste dans la conduction à l'organe
central
des excitations périphériques, il appelle égaleme
servir à d'autres expériences, il ' Jules Soury. Le Système nerveux
central
, structure et fonctions, etc. Paris, G. Carré e
mps existé, dans la physiologie et la pathologie du système nerveux
central
, une opinion tout à fait erronée si, par ces ex
t., 1892, p. 29, 81, 11r, 155, 166, etc. et 400. Le Système nerveux
central
, t. II, 962-3. ' Obersteiner. Die Pathogenese d
iologie expérimentale établit en effet que l'ir- ritation du trajet
central
du faisceau sensitif ne détermine aucune douleu
ue malade comme atteint d'une maladie déterminée du système nerveux
central
, et à se familiariser avec les méthodes de diag
breux postes de secours; avertisseur en communication avec le poste
central
de pompiers de la ville. A Leipzig, la clinique
onc situer la lésion à la base du cer- veau, et la supposer presque
centrale
, mais peut-être intéressant un peu plus le côté
r. 1° La doctrine de la localisation des fonctions dans un organe
central
(nerveux) est la base qui rend possible l'étude d
l'étude de la psy- chologie et de la psycho-pathologie, cet organe
central
réunissant REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 55 né
'affection se voit au niveau de la macula lutea. Entourant la fovea
centrale
et concentrique à elle, bien que deux ou trois
sorte qu'on peut suivre les plus petits d'entre eux jusqu'au point
central
. 2e cas (celui de Kuh). Idiotie, amblyopie prog
oser que l'abolition du réflexe tendineux dépend aussi d'une lésion
centrale
ou voisine du centre, d'une altération des raci
vaisseaux lympha- tiques, les grandes cavités séreuses et le canal
central
. COMMUNICATIONS DIVERSES Hémiplégie spinale g
le prolongement cylindraxile en T devrait dégénérer, et la branche
centrale
, c'est-à-dire la racine postérieure, et la branch
ei gangli spinali in segllilo .al laglio delta branca perifericca o
centrale
dei loro ]Jrolongamenlo. .Riv. di patol. nerv.
nche périphérique, demeurent au contraire normales quand la branche
centrale
a été coupée. C'est un principe qui parait devo
trophie tabétique lui parait ainsi, comme àcliarcot, être d'origine
centrale
. Mais Schaffer a insisté sur la lésion de défic
n initiale, avait écrit Schaffer, ce n'est pas seulement la branche
centrale
, c'est-à-dire la racine postérieure, c'est auss
dis que cette cellule reste normale après une section de la branche
centrale
; il localisa donc la lésion initiale du tabes d
es excitations transmises norma- lement à ces organes, interruption
centrale
ou périphérique, entraine, avec l'altération de
e chromophile, le nucléole est ovale ou arrondi, nettement .limité,
central
et entouré d'une zone plus pâle, non striée et à
lorent Uniformément en bleu mat. Le nucléole est presque tou- jours
central
et volumineux, entouré d'une zone pâle et mal lim
ensuite parce que cette région représente une partie de l'extrémité
centrale
du faisceau pyramidal dont le grand développeme
rescence hyaline de tous les vaisseaux et une oblitération du canal
central
par la prolifération des cellules ARCHIVES, 2'
« Champ visuel normal pour le blanc et les couleurs. Pas de scotome
central
. Le sujet est emmétrope des deux yeux. Les pupi
hamps visuels normaux pour le blanc et les couleurs. Pas de scotome
central
». Il n'existe pas de troubles auditifs, pas de
Mais à notre avis, il s'agit là d'une pseudo-névralgie d'origine
centrale
sans. altération nerveuse périphérique. Dans tous
asile clinique ? Un établissement semblable doit être une station
centrale
rapprochée pour tous les malades qui ont besoin d
table hôpital destiné au traitement des maladies du système nerveux
central
. Les mesures disciplinaires ont été remplacées
péricellulaires et chimiques, s'étendant à tout le système nerveux
central
périphérique. L'aspect du ganglion nerveux du v
- pathogènes de l'influenza peuvent porter sur le système nerveux
central
, périphérique ou sympathique et qu'ils peuvent êt
s du 17 novembre 1897.) In-8° de 12 page ? . Chez l'auteur : Maison
centrale
de Graillon. a COLIN. - Du système de l'Open-lJ
myloïdes, colloïdes, hyaloïdes et granuleux dans le système nerveux
central
; par William-J. Simlleb. (The Yetv-Yo ? ,Ii méd
dans un grand nombre de cas les corps amyloïdes du système nerveux
central
, et il a constaté qu'ils présentaient toujours
ême entouré d'un cercle plus large de la même teinte que le noyau
central
. Ils ne se colorent ni avec l'hématoxyline de Del
diamètre, que l'on rencontre fréquemmen- dans le sys- tème nerveux
central
des aliénés, et que cet auteur croit dériver de
peut les rencontrer dans différentes mala- dies du système nerveux
central
. Dans des processus pathologiques de longue dur
couvrir aucun signe formel d'affection organique du système nerveux
central
ou phériphérique. Si l'on analyse les symptômes
nées, on ne peut s'empêcher de se sou- venir que le système nerveux
central
, aussi bien que la peau et ses annexes, est d'o
en ailes parallèles symétriques agglomérées avec services généraux
centraux
. Pour le désencombrer on créa deux asiles annex
81-95.) Discussion d'intérêt local sur l'organisation d'un Institut
central
, pour l'étude de l'étiologie et la pathologie d
nt reliées entre elles dans un même bâti- ment composé d'une partie
centrale
, de deux ailes latérales aux- quelles sont anne
locaux des- tinés aux malades et à l'enseignement : II. La partie
centrale
du corps de bâtiment, situé en façade, est suré
. Fontbastier; son père est au bagne et sa mère est dans une maison
centrale
. (L'In- dicalcur tle Cogii(ic, 31 janvier 1901.
auteur et à la source : - 1° HORSLEY (Remarks on thé surgery of the
central
nervous sys- tem. À it71al of surgery, 1896, vo
doigts de la main gauche. 2° HORSLEY (Remarks on thé surgery of the
central
System. The British médical Journal, 1890. T. 1
sième paire. - 4° Elle indique toujours une dégénérescence nerveuse
centrale
, intéressant soit le noyau du moteur oculaire,
« 3° Dans les organes périphériques aussi bien que dans les organes
centraux
, l'activité et l'inhibition sont évidemment sépa-
'aux gang-lions voisins et le réflexe se propage au système nerveux
central
. Quelquefois aussi les névroses réflexes ont po
is, ou isolément, les membranes et les vaisseaux du système nerveux
central
. L'auteur passe en revue les diverses lésions p
ration provenant des suites d'anomalies de développe- ment du canal
central
; 5° Les altérations qui forment la base de cet
e affection peuvent être présentées de la façon suivante : le canal
central
subit une inflammation chronique de ses parois,
A ce degré d'évolution, la cavité conserve encore l'aspect du canal
central
. Plus tard, la quantité du liquide cérébro-spin
ans divers endroits leur épithélium, preuve qu'il s'agit d'un canal
central
extrêmement dilaté. On pourrait appeler les alt
6° La syringomyélie vraie sans anomalies ni participation du canal
central
, mais avec désagrégation de la gliomatose et form
développement et la patho- génie de ses lésions, puisque le neurone
central
manquait, tandis que,dans d'autres cas, la dégé
s fortement colorés en bleu dans l'écorce et la substance blanche
centrale
des circonvolutions. Us forment des amas de 3 ou
e. 70. Système nerveux. Corps amyiontes. hyaloïdes, etc., dans le
central
, par Smiller, 308. Généralisation cancéreuse
s veines intra-lobulaires qui occupent, leur nom l'indique, la partie
centrale
de chaque lobule ; les sillons qui entourent ces
es espaces, on voit un orifice arrondi : c'est la section de la veine
centrale
ou intra-lobulaire. — On désigne sous le nom espa
es du lobule. Il en est qui occupent presque ex-clusivement la partie
centrale
, dans le voisinage immédiat de la veine intra-lob
fluence, la périphérie du lobule paraîtra plus foncée que la partie
centrale
. Vous voyez ainsi, Messieurs, à quoi tiennent l
la précédente. Les capillaires parais-sent rayonner autour d'un point
central
représenté par le cali-bre de la veine intra-lobu
il cas, ladilatation d'abord transitoire, puis permanente de la veine
centrale
et de la zone capillaire qui y atteint immédiatem
foie cardiaque, une dilatation plus ou moins considérable de la veine
centrale
, le plus souvent avec épaississement de la gaine
eine visible. On remarque en même temps que les vaisseaux de la veine
centrale
sont, eux aussi, considérablement dilatés. Celle
oir par l'acide osmique --h, veine dans \e f0je oTas des phthisiques,
centrale
,d après de Sinety.) ° r ^ 1 des individus cach
iliaires dans Vatrophie jaune aiguë du foie. —a, sec-tion de la veine
centrale
d'un lobule ; — b, tissu des cellules hépatiques
deux points du lo-bule : à la périphérie et au voisinage de la veine
centrale
. A propos de ce dernier point, je ferai remarquer
cirrhose intra-lobulaire qui a pour siège la péri-phérie de la veine
centrale
et la zone immédiatement située en dehors de cell
il et Ranvier). Il est rare qu'on ne rencontre pas dans leur partie
centrale
un orifice vasculaire et communément aussi un can
ve d'habitude un abaissement plus ou moins prononcé de la température
centrale
qui des-cend à 36°, 5. M. Rohrig (2) et tout de
ment dits. Ceux-ci sont com-posés, pour la majeure partie, d'un noyau
central
formé prin-cipalement de matière colorante et d'u
encore par une élévation brusque et très prononcée de la température
centrale
: 40, 41 degrés, avec algidité extérieure, et acc
calculs com-posés et qui sont, en somme, les plus communs, une partie
centrale
ou noyau et une écorce. Ainsi, on trouve dans la,
on trouve dans la, grande majorité des calculs biliaires: 1° un noyau
central
; 2° une zone moyenne, en général constituée par p
ractérisé par une élévation plus ou moins prononcée de la température
centrale
et dont le début est marqué, en général, par un f
liés au passage d'un calcul dans les voies biliaires. La température
centrale
, notée dans deux de ces cas, s'est élevée à 40°,
que la co-loration foncée est principalement marquée dans leur partie
centrale
. (Voir la figure de l'Atlas de Frerichs). Quand o
sez intense pour que le lit du malade en soit ébranlé. La température
centrale
s'élève à 39°, 40°, 41°. Les sueurs sont parfois
ue d'un phé-nomène purement nerveux, sans élévation de la température
centrale
. D'autres fois, au contraire, dans des circonstan
ment au voisinage des tubes droits, en d'autres termes dans la partie
centrale
des lobules du rein que l'infiltration se dévelop
ques, souvent déjà profondément altérées, groupées autour de la veine
centrale
. Mais, la lésion la plus intéressante, la plus
s. Les uns ont une disposition régulière de l'épithélium avec lumière
centrale
; sur les autres, le calibre est comblé en quelqu
rminée par le syndrome ictère grave avec élé-vation de la température
centrale
, délire, coma, etc., mode de terminaison tout à f
al et l'orientation est ren-due d'autant plus laborieuse que la veine
centrale
, ce point de repère par excellence dans les condi
j'ai pu constater que ces dépôts se composent de deux parties : l'une
centrale
, amorphe, occupe le canalicule dont elle obstrue
ne substance colloïde, e, à lames concentri-ques et un amas granuleux
central
, /, formé de granulations d'hématine, — v, Vaisse
ée par des cy-lindres hyalins ou ci-reux. — 2° Autour de cette région
centrale
, on cherche tout d'abord en vain les canalicules
t la région du labyrinthe se sont atrophiées et affaissées. La partie
centrale
du lobule, au contraire, est restée Fig. 34. —
anula-tion saillante sur la surface du rein correspond à cette partie
centrale
du lobule ; elle présente une coloration tantôt j
des tubes contournés était gra-nuleux, mais peu tuméfié, et le canal
central
de ces tubes était libre sur tout son parcours.
rmal, dessin un peu schéma-tique (faible grossissement). A,A, Veine
centrale
du lobule vers laquelle viennent converger les ra
la ligature du canal cho-lédoque (faible grossissement". A,A, Veine
centrale
du lobule légèrement dilatée, vers laquelle vienn
canal cholédoque par un calcul (fai-ble grossissement). A,A, Veine
centrale
du lobule. B,B, Espaces interlobulaires, très é
lobule et l'isole des lobules voisins. A,A, Lobules avec leur veine
centrale
. B, Espace interlobulaire envaht par la scléros
alicules biliaires au niveau d'un espace interlobulaire. .4, Partie
centrale
de l'espace. Région des canalicules volumineux.
te de scissure comparable à une scissure de Sylvius enfermant un lobe
central
. Ainsi, il y a une forme du cerveau propre aux
ns un nom qui exprime sa véritable nature, et nous l'appellerons lobe
central
. Le point où la scissure de Sylvius se termine
s. Les bords qui limitent la scissure de Sylvius recouvrent le lobe
central
en se rapprochant comme deux lèvres. La lèvre ant
, sur la face externe de l'hémisphère, quatre lobes entourant le lobe
central
. M. Arnold a également distingué quatre lobes dan
superficiels. Je voudrais ajouter à cette description celle du lobe
central
ou insula, qui présente quelques plis dans VOrang
emportent de beaucoup sur celles qui sont au-dessous. Enfin le lobe
central
est grand et occupe le fond très-élargi de la val
terne de l'hémisphère, nous dirions ici quelques mots de ceux du lobe
central
, s'ils n'avaient déjà été décrits, par les auteur
l'opercule de la scissure de Sylvius ne recouvre point encore le lobe
central
; elle est encore bien apparente au moment de la n
ir à une race américaine, ces individus sont originaires de l'Afrique
centrale
. L'existence de cheveux très-crépus le ferait seu
XXIX, p. 451, et — Francis de Castelnau, Renseignements sur VAfrique
centrale
et sur une nation d'hommes à queue qui s'y trouve
ce externe de l'hémisphère des Primates, tin de ces lobes est le lobe
central
; il répond à ce bouton terminal de l'axe autour d
s ventricules latéraux. Les autres lobes sont disposés autour du lobe
central
et plus élevés que ce dernier lobe ; ils se dével
se développent en entourant ce groupe in-teruiédiaire : aussi le lobe
central
est-il caché dans le fond d'une grande vallée. Ce
ne, mais avec une différence fondamentale. Ainsi, au lieu d'un lobe
central
, nous trouvons sur la face interne une grande ouv
lobe central, nous trouvons sur la face interne une grande ouverture
centrale
; cette ouverture conduit dans la cavité de l'hémi
utour de cette ouverture comme ceux de la face externe autour du lobe
central
. Deux scissures principales divisent cette face
au sommet du lobe temporal et côtoie le bord inférieur de l'ouverture
centrale
. Sa partie postérieure, celle qui est derrière l'
e centrale. Sa partie postérieure, celle qui est derrière l'ouverture
centrale
, est profonde; l'antérieure, celle qui suit le bo
ofonde; l'antérieure, celle qui suit le bord inférieur de l'ouverture
centrale
, est oblitérée. Nous nommons cette scissure sciss
dans les Guenons et les Macaques. Située derrière la grande ouverture
centrale
, au-dessus de la scissure des hippocampes, elle r
au pli de la zone interne et borde inférieurement la grande ouverture
centrale
. 2° Le pli temporal moyen interne. Il borde la sc
tre trophique des os dans la moelle épinière, au voisinage du canal
central
, centre que Hudelo et Heitz n'ont d'ailleurs pas
ndre jus- qu'à la périphérie de l'os ou rester limitées à la partie
centrale
. En hau- teur elles gagnent souvent jusqu'aux é
equi est tout à fait spécial, c'est la structure de toute la partie
centrale
de la diaphyse, cette partie ne présente plus a
euvent être d'origine périphérique ; les autres invoquent l'origine
centrale
. Parmi les premiers, défenseurs de l'origine pé
essionnelles se trouve Duchenne de Boulogne, défenseur de l'origine
centrale
. « Comment admettre, dit-il, qu'un muscle serait
ontraire, de supposer que la perturbation règne dans l'acte nerveux
central
. Cette hypothèse me paraît justifiée par la cli-
e les spasmes fonctionnels devaient bien, eux aussi, être d'origine
centrale
. De ces deux opinions contradictoires, mais déf
soit des crampes d'origine périphérique, soit des crampes d'origine
centrale
. Nous avons eu en effet l'occasion d'observer dan
la place prépondérante; c'est alors qu'on devra invoquer l'origine
centrale
. ' Ce mot d'origine centrale doit-il sous-enten
alors qu'on devra invoquer l'origine centrale. ' Ce mot d'origine
centrale
doit-il sous-entendre une lésion cérébrale, soi
ser toutes ces affections - que leur origine soit périphéri- que ou
centrale
dans la classe des névroses, en adoptant la défin
bsence de toute lésion périphérique, il faudra invoquer une origine
centrale
, cérébrale ; et ce sera d'ailleurs dans la majori
d'ailleurs dans la majorité des cas ; mais, sous ce terme d'origine
centrale
, nous ne pouvons, dans l'étal actuel de nos con
professionnelles : l'une d'origine périphérique, l'autre d'origine
centrale
, est assurément un peu théorique, car entre les
ode de simple angiospasme artériel ; ce qui prouvait bien l'origine
centrale
de certains spasmes vasculaires. Mais comment e
être au même titre que le spasme musculaire rapporté à une origine
centrale
. Brissaud, Hallion et Meige en ont pu- blié un
les vasculaires peuvent être, comme les troubles moteurs, d'origine
centrale
. C'est un lien de passage entre les crampes pro
put reprendre ses fonctions. B. Crampes professionnelles D'ORIGINE
centrale
. Dans la majorité des spasmes fonctionnels, mal
sation de la névrose. On en est donc conduit à admettre une origine
centrale
. En employant ce mot, nous ne voulons point pré
de certaines crampes, et une preuve pres- que absolue de l'origine
centrale
de ces névroses ? . On peut également trouver c
onnels associés; cette concomitance est bien en faveur de l'origine
centrale
de la plupart des crampes profes- sionnelles.
détermine le phénomène est différent suivant qu'il est corti- cal,
central
, unilatéral, ou bilatéral comme chez les pseudo-b
tiche Riv-speriment di fren. XXIII, 1841, in SOURY, Système nerveux
central
, 1899. (4) FRANcEsio Franceschi, Sur lemécanism
ûre de l'existence de races de Pygmées ; les Négrillos de l'Afrique
centrale
ne sont pas non plus des micromèles et doivent
cé dans l'exercice des facultés intellec- tuelles. C'est une erreur
centrale
de la psychologie de considérer la conscience c
les mouvements associés ne peuvent être, dans ce cas, que d'origine
centrale
et corticale, quoique les sen- sations périphér
les nerfs moteurs. On ne crut pas, dans ce cas, à une participation
centrale
. Mais, comme le remarque M. Pierre Marie, si ce
r au point de vue de la démonstration que nous faisons de l'origine
centrale
de cer- taines dyskinésies fonctionnelles. L'
ine centrale de cer- taines dyskinésies fonctionnelles. L'origine
centrale
de la majorité des névroses coordinatrices d'occu
anatomique appréciable, et semblent relever uniquement d'une cause
centrale
, cé- rébrale. Avant de clore ce chapitre palhog
tentiæ,Que si l'on a affaire au con- traire à une névrose d'origine
centrale
, le rôle des intoxications peut également s'att
ofessionnel, chez les sujets dont l'appareil moteur périphérique et
central
est également soumis à l'imprégnation brightiqu
- tic, les crampes d'origine périphérique, et les crampes d'origine
centrale
. Sur les premières peut agir un traitement loca
causée par un simple trouble physiologi- que ou dynamique d'origine
centrale
. La concomitance,ou la succession de plusieurs
riphérique. Sans aucun doute,il s'agit ici d'un phénomène d'origine
centrale
. Mais quels sont les centres pris ? Sont-ils lo
s traumatismes [Etienne (11)], tantôt une lésion du système nerveux
central
(Testi) ; ou une altération des centres spinaux
icales. Mediz. Obosr., 1901, p. 681, en russe. (9) Loc. cil. (10)
Central
/. Chir., 1898, n° 22. (11) lahresberichl d. Ch
n aucune façon, être interprété comme l'indice d'une localisa- tion
centrale
: c'est seulement une difficulté à tenir le regar
ine périphérique ; Les autres, avec Duchenne, invoquent une origine
centrale
. A notre avis, les deux théories peuvent être v
tent pas de la reconnaître. Il faut donc admettre alors une origine
centrale
. En employant ce mot, nous ne pouvons préjuger,
titioner, 1873, juin, août. 110. PoroFF. ootyrap/iie. Son origine
centrale
ou périphérique. 9led.`pribav. St-Petersb., 188
oyers hémorragiques et aux portions té- langiectasiques ; sa partie
centrale
est grisâtre et ce tissu néoplasique apparaît,
tumeur se prolonge directement en haut, atteignant les noyaux gros
centraux
et surtout les couches optiques, se propageant
et du chiasma, on voit l'envahissement néoplasique des noyaux gris
centraux
, surtout des couches optiques, les masses néoplas
s égale dans toutes les parties delà coupe; on observe, en un point
central
, une prédo- minance de cellules arrondies ou ov
lite, la poliomyélite ou la polynévrite. La myélite, qu'elle soit
centrale
ou transversale, peut être spasmodique ou flasq
us : A repris son volume normal. Foie : De stase. Système nerveux
central
: Les centres nerveux ne présentaient aucune lé
longues traînées que suivront les jeunes cylindraxes issues du bout
central
du nerf.Ces cellules, bien étudiées par Büngner
phérique, s'accompagne de phénomènes particuliers au niveau du bout
central
et du bout périphérique, le premier donnant nai
tiels : croissance et régénération des cylindraxes aux dépens du bout
central
; formation des bandes cellulaires aux dépens d
chez l'homme : dans noire cas la croissance des cylindraxes du bout
central
vers le bout périphé- rique est manifeste, mais
ération. Nos préparations nous ont montré que la croissance du bout
central
des nerfs n'avait pas encore atteint les terminai
t du bout (1) CAJ.%L, ibid. (2) A'IAAI\RSCO, ibid. 360 DUSTIN
central
; les cylindraxes néoformés à ce niveau pénètrent
s trou- bles symptomatiques qu'on observe et que le système nerveux
central
ne présente aucune modification. Il signifie si
les nerfs ou y sont bien plus accusées que dans le système nerveux
central
. Il y a tout lieu d'admettre, et ce n'est d'ail
névrites, provoquent à la fois une perturbation du système nerveux
central
et du système nerveux périphérique, que parfois
POLYNÉVRITE GRAVIDIQUE 367 nouveaux cylindraxes naissent du tronçon
central
du nerf lésé, parcourent toute la cicatrice lai
pie- mère. Dans la région lombaire et sacrée supérieure, la partie
centrale
de chaque cordon est seule prise, les parties p
t deux petits kystes remplis de substance colloïde. Système nerveux
central
. Nous avons employé les méthodes suivantes : hé
oup plus nombreuses que les cellules chromophobes et certains acini
centraux
en particulier sont uniquement cons- titués par
physiologique très marqué. Le cristallin montre une légère opacité
centrale
. ` . La mobilité oculaire est normale dans tous
ET PILRIIE-AVEIL des affections du système nerveux périphérique ou
central
, faits sur les- quels Morrow (1) a bien insisté
reproche à Marie et Léri de ne pas avoir examiné le système nerveux
central
dans leurs cas de spondylose. Si on devait adme
irrégulière qu'elle nous éloigne de l'idée d'une influence nerveuse
centrale
; d'autre part les lésions trouvées sur les nerf
z 542 NOUËT ET TREPSAT En 1895, à 21 ans, ayant échoué à l'Ecole
centrale
il doit partir pour le ré- giment et effectue 3
la direction du vaisseau et formant un feutrage assez dense. Noyaux
centraux
. Les noyaux du toit à l'oeil nu ne paraissent pas
res sont très diminuées de nombre, variqueuses. Substance blanche
centrale
des hémisphères. Dans la moitié supérieure par
leux moyen du côté gauche, Ce foyer s'enfonce dans la masse blanche
centrale
du cervelet où il s'atténue et disparaît ; ses di
gauche, on n'y constate plus aucune fibre à myéline. Le faisceau
central
de la calotte est nettement réduit de volume, du
l existe également une atrophie pro- noncée de la substance blanche
centrale
avec raréfaction des fibres myé- liniques. 3°
lésions sont à peine appréciables. Conservation des autres noyaux
centraux
du cervelet, noyaux du toit, èmboles et globule
ongiludinalpos- térieur gauche et une partie des fibres du faisceau
central
de la calotte. En face de ces lésions complexes
rf moteur oculaire commun et des faisceaux d'association : faisceau
central
de la calotte et faisceau longitu- dinal postér
cérébelleux spinaux et la petitesse congénitale du système nerveux
central
associé à des symptômes cérébelleux. Dans les t
relativement rares, mais non exceptionnelles. Leur noyau est tantôt
central
, tantôt périphérique. Cer- tains acini sont con
ectieux, ne nientpas une certaine susceptibilité du système nerveux
central
et qui est plus marquée en certains individus. Or
-à-dire que chacune de leurs cellules est reliée au système nerveux
central
par deux fibres au moins dont l'une, centripète
on. Mais ce n'est que tardivement qu'il a envahi la substance grise
centrale
, quoi qu'il fût sous-jacent à cette même substa
demi-dure, d'aspect aréo- laire, blanchâtre, et occupant la portion
centrale
de la substance blanche. Tout autour du tissu n
au monde avec quelque chose de défectueux dans le système ner- veux
central
, il a une atrophie congénitale du membre supérieu
d'entre elles possèdent un noyau collé contre la paroi ou un noyau
central
: des nerfs et des vaisseaux REVUE D'ANATOMIE E
es ou en tas, accolés à cette enveloppe. Parfois cependant ils sont
centraux
, surtout dans les fibres qui occupent l'intérie
nt cylindraxile protoplasmique de la cellule nerveuse ganglionnaire
centrale
et que la formation ou la diffé- renciation du
est à ces altérations qu'on peut rattacher- l'oblitération du canal
central
, la pigmentation des cellules ner- veuses, l'ab
ques. P. K. IX. Nouvelle communication relative A L'ÉTUDE DU trajet
central
DE l'acoustique; par S. KIRILZEW. (Neurolog. Ce
BECHTEREW. (Neurolog. CeH< ! 'a/6<., XIII, 1894.) Le faisceau
central
de la calotte de l'auteur (1885), qui part des
côté de ces olives part, dans la direction du cerveau, le faisceau
central
de la calotte, il est évident que celui-ci et c
re dans la région lombaire. Ce tuber- cule est parti de ? vaisseaux
centraux
. Son travail est remar- quable surtout par un e
ater la propagation du processus tuber- culeux par la voie du canal
central
. Un bel exemple de tuber- culose nodulaire de R
antérieur et surtout dans le faisceau pyramidal direct. Le canal
central
est oblitéré et il en reste une petite cavité pav
petite cavité pavée par l'épendyme. Dans quelques coupes, le canal
central
est entiè- rement oblitéré; mais dans toutes, o
endyme, une prolifération abondante de la névroglie autour du canal
central
. A côté de ces lésions, on voit, dans le faisce
eaucoup plus que nous ne l'avons indiqué plus haut. Autour du canal
central
oblitéré partiellement, on voit une riche proli
deux cellules géantes, situé directement sous la pie-mère. Le canal
central
est obliléié et, dans le tissu périépendymaire,
est riche en leucocytes et en noyaux. Les vaisseaux autour du canal
central
oblitéré sont exces- sivement dilatés. De même,
it amas de leucocytes à forme triangulaire. Au côté gauche du canal
central
, dans la commissure grise, il y a également un
entraîné la dégénérescence de la substance nerveuse. Dans le canal
central
et dans la pie-mère nous avons remarqué les mêm
parois des vaisseaux y sont aussi légèrement infiltrées et le canal
central
est oblitéré. Dans les cordons latéraux la dégé
Rendu, Gunsser et nous-même, on a observé la tuberculose 1 Minor,
Centrale
Hxmatomyelie (Archiv. sur Psychiatrie und Nerven-
de la sensibilité après les hémorragies dans le voisinage du canal
central
et Rosenthal l'a pu remarquer au cours d'une my
Dans le cas de M. Rosenthal, il y avait des lésions autour du canal
central
. Archives, t. XXX. 13 194 . CLINIQUE NERVEUSE
mais on peut chercher aussi son point de départ dans les vaisseaux
centraux
. Les nodules tuberculeux ont le même caractère
nsser, on a vu se développer la dégénérescence secondaire. Le canal
central
est oblitéré par la prolifération des cellules
éré par la prolifération des cellules épendymaires; autour du canal
central
, il y a pro- lifération abondante de la névrogl
La sixième session ' de ce Congrès a eu lieu le 1e'' août au Dôme
central
de l'Exposition, dont le président et le secré-
ation. J'ai d'abord cherché une lésion en dehors du système nerveux
central
, où rien de typique n'était relevable. En revan
interlobulaires et des grains marginaux du lobule. Dans les grains
centraux
cette réac- tion colorante est faible ; dans le
La sécrétion thyroïdienne est sous la dépendance du système nerveux
central
et, dans l'espèce, d'un centre butbo-protubéranti
ti- tielle et diffuse qui porte sur l'ensemble du système nerveux
central
. Il est bien évident que les lésions décrites dan
ésions d'inflammation, diffuse étendues à tout le système nerveux
central
, ou au moins à une grande partie de ce système, e
. Elles sont déterminées par l'influence médiate du système nerveux
central
(troubles vaso- moteurs, etc.) combinée à l'inf
u- ratrophie générale, de la débilité générale du système nerveux
central
. A cet égard, le mot de Cullen n'est pas très loi
pour expliquer la pro- duction des arthropathies d'origine nerveuse
centrale
, et particu- lièrement des arthropathies de l'a
tantôt en dedans de l'axe spinal lui-mênie, mais en dehors du canal
central
. Comme exemple de syringomélie du premier group
omyélie primitive les cavités produites par une distension du canal
central
: il s'agit là d'hydromyélie et cela ne correspon
sai sur le rôle de l'infection dans les maladies du système nerveux
central
.- BAU7.AN. Du traitement de l'alcoolisme et de
d'une certaine liberté, et l'asile proprement dit, l'établissement
central
, où les aliénés 1 Kraepelin. Psychiatrie. Leipz
llance constante. Partout, aussi bien à la colo- nie qu'à l'hôpital
central
, se manifeste la préoccupation d'écar- ter ce q
nte de tout le personnel médical. Les pavillons composant l'asile
central
sont tous dissem- blables, et cela se conçoit,
ont pu être pratiquées n'ont douné aucune lésion du système nerveux
central
ou périphérique. Pineles donne quatre observati
HÉNOMÈNE D'UNE LÉSION SYPHILITIQUE HÉRÉDITAIRE DU SYS- TÈME NERVEUX
central
; par J. HOFFMANN. (Neurolog. Centmlbl., XIII, 1
lente dans 0,7 p. 100. Hématomyélie dans 1 cas, dilatation du canal
central
chez 3 hommes. ' Paul SÉRIEUX. REVUE D'ANATOM
épandent à la péri- phérie du corps cellulaire, quittant la portion
centrale
qui reste claire; puis ces granulations éclaten
est-elle une auto-intoxication ou une affection d'origine purement
centrale
? N'est-elle pas plutôt une auto-intoxication p
les tuber- cules quadrijumeaux du côté gauche à la substance grise
centrale
; il y a deslructioll'parlielle du faisceau long
Villejuif les deux infir- meries réunies, sont placées sur la ligne
centrale
de l'asile et font en quelque sorte partie des
t fait par ces malades et celui de l'infirmerie doit être le plus
central
afin d'égaliser dans la limite du possible les di
imum, on aura un quartier largement suffisant. Son emplacement sera
central
, dans le voisinage de l'infirmerie ou en face d
l'un et l'autre système (psychose polynévritique), D'autres organes
centraux
peuvent être simultanément atteints (moelle épini
ieu (de Prague). Communication sur la pathologie du système nerveux
central
. L'auteur communique d'abord un cas de tumeur d
de corps polygonaux ou arrondis. Le noyau n'avait plus sa situation
centrale
, mais avait gagné la zone périphérique. La prés
étendu - des cas de folie, par H. Tul : e, 87. Acoustique. Trajet
central
du nerf - , par Kwilizew, 141. Acromégalie pa
facial supérieur pour diffé- rencier la paralysie faciale d'origine
centrale
de la paralysie faciale périphérique. Cette int
culaire des paupières à la paralysie : « Dans l'hémiplégie de cause
centrale
, les malades peuvent fermer les deux yeux, l'oc
ne pourra plus être niée dans tous les cas d'hémiplégie de cause
centrale
. » Coingt(1878) fait rentrer la paralysie de l'
iese : un homme de trente-cinq ans est atteint de paralysie faciale
centrale
. Au repos tout le facial gauche - Iiivisict di
e sa valeur pour le diagnostic différentiel de la paralysie faciale
centrale
et de la paralysie périphérique. Latente, la
est toujours élargie et que dans certains cas de paralysie faciale
centrale
elle peut être dimi- nuée, rétrécie. Quelle d
tres nerfs moteurs de la face. Dans l'autre, il s'agit d'une lésion
centrale
, ayant frappé les centres d'origine de tous les
mouvements volon- taires ; mais sa tonicité, par suite de la lésion
centrale
, est diminuée du côté paralysé et sa prédominan
n, dix- neuf ans, bonne santé, très travailleur, candidat à l'Ecole
centrale
; 4° une fille, dix-huit ans, bien portante ; 5
s de malades atteints d'affections nerveuses unilatérales d'origine
centrale
(hémiplégie avec ou sans contractures, sclérose
ltiples : hémiplégie droite et hémianopsie du côté droit, d'origine
centrale
probable- ment, avec atteinte du nerf facial dr
lui parait rationnelle. Deux faits cliniques renversent la théorie
centrale
d'un centre coordinateur du système nerveux. L'
té de réaction des appareils coordinateurs et habitue les appareils
centraux
régulateurs à se contenter d'un minimum d'impre
re dont la localisa- tion principale se fait sur le système nerveux
central
. Parmi les premiers, les néoplasmes intra-crani
t'e infan- tile et chorée. Lésions microbiennes du système nerveux
central
. Biochure m-8" de12 pages. Lyon, 1S9S. Librairi
orte de deux façons différentes. Tantôt atteint par la chromatolyse
centrale
, il est détruit sur place, fondu tout comme les
impossible de découvrir aucun signe de maladie organique du système
central
ou périphérique. Il existe deux classes de sens
on hypersécrétion qui agit défavorablement sur le système nerveux
central
. C'est un cercle vicieux qu'on peut interrompre e
s dommages de toute sorte qui peuvent porter sur le système nerveux
central
depuis la nais- sance ; 3° une cause occasionne
énés représente le tvpe de l'Open door. Il se compose d'un bâtiment
central
pour les services géné- raux et de trois cottag
ontributions à la Pathologie et à l'Anatomie du système ne)'. veuee
central
). Il a donc parfaitement pu passer inaperçu par l
dromyélie comme source de diverses monstruosités du système nerveux
central
. La syphilis congénitale, qui dans les organes
sous forme de gommes miliaires, se révèle dans le système ner- veux
central
par des inflammations chroniques des vaisseaux, c
utre que l'orateur n'ait pas fait l'examen de l'épithélium du canal
central
dans les cas sur lesquels il s'appuie. M. MOURA
cas de désagrégation aiguë de la ntyé- line dans le système nerveux
central
et périphérique ; sarcomes mul- tiples. Malad
ves heureuses, de résultats [définitifs. L'étude du système nerveux
central
et notamment des lésions des cellules dans les
ques, sié- geant le plus souvent autour du noyau, que celui-ci soit
central
ou excentrique. Les éléments chromatiques devie
urent, avec les caractères de la chromatolyse (chromatolyse à siège
central
), bien qu'il soit démontré que ce dernier signe n
ouvelles est la suivante : Apathy n'a jamais vune interruption soit
centrale
, soit péri- phérique, dans la continuité de la
1898.) E. B. XXXV. Des difformités congénitales du système nerveux
central
par Nicolas SOLOVTZOFF. (Noua. Iconogr. de la S
éphalie interne provoque différentes difformités du système nerveux
central
: absence de l'écorce, du pulvinar et des corps
u'à celle d'une lésion concomitante au moins fonctionnelle du noyau
central
ventriculaire de la troisième paire. A. Marie.
uteur a trouvé à l'examen histologique la coexistence d'une myélite
centrale
aiguë et de l'atrophie des cornes anté- rieures
ptoméningite tuberculeuse. Gliomatose de la moelle épinière; cavité
centrale
au-dessous du renflement cer- vical. La tête de
auses des diffé- rentes difformités congénitales du système nerveux
central
; par Nicolas SOLO-fZOI11. (1OLLU. Icoaogr. de l
ses recherches sur les difformités congénitales du système nerveux
central
, l'auteur présente quatre nouvelles obser- vati
difformités est l'hydropisie des ventri- cules latéraux et du canal
central
de la moelle épinière. L'accrois- sement énorme
- clut que toutes les difformités congénitales du système nerveux
central
ont pour cause la syphilis héréditaire. R. Ciiaro
t choisies. A. Fenayrou. XIII. Trépanation dans l'épilepsie. Le
Central
Blatt sur Nervenheil kunde und psychiatrie de jan
secrétaire de la Société de médecine de'Marseille. L'administration
centrale
, en le 'nommant un jour directeur- médecin de l
ÉTÉS SAVANTES. tions anatomiques du système nerveux périphérique et
central
. Le délire interprète des sensations réelles. C
ganiques. Ces poisons frappent le sys- tème-nerveux périphérique et
central
, créant des sensations péni- bles dont l'interp
ontre-amiral Besson, commandant de la marine ; Bonnaud, commissaire
central
; Girard-Cor- nillon, président de la Commission
tion médicamenteuse. Les lésions Itisiologiqiies du système nerveux
central
dans la chorée chronique héréditaire. M. Rtsi
eu l'occasion de praliqner l'examen histologique du système nerveux
central
d'un sujet atteint de cho- rée chronique hérédi
MM cours d'une méningite tuberculeuse- Ramollissement du pédoncule
central
par thrombose de la veine basilaire. M. Léon
éobrajensky. Selon lui, il s'agit seulement d'une anomalie du canal
central
. Quanta la dégé- nérescence des organes interne
e un piqueté rouge considérable et une forte hyperémie. Noyaux gris
centraux
nor- maux. Liquide abondant dans les ventricule
lres, par Féré, 327. Les lésions histologiques du système nerveux
central
dans la - chronique téré- ditaire, Ilispal, 401
côté intéressé par une affection nerceuse unila- térale d'origine
centrale
, par Eoeuue, 61. Faciale. Einihypcitroplne ,
uses des différentes difformités conéni- tales du système nerveux
central
, par Solovtzolf. 336. Sur un cas d' hérédo-sy
et- comme source de diverses mons- truosllés du système nerveux
central
, par Sulowzow, 250. li I'Fnw uaosE uuilatérale,
périeure au cours d'une tuberculeuse. Ramollissement du pédoncule
central
par throm- bose de la veine basilaire, par d'
e. Un cas de désagrégation aiguë de la- dans le système ner- veux
central
et périphérique. Sar- comes multiples, par Mour
e'ami'G. Ballet, sur quelques troubles dépendant du système nerveux
central
dans lé cours de la maladie de Ba- sedow, et do
. Gillert Dallet. De quelques troubles dépendant du système nerveux
central
observés chez les malades atteints de lloitne exo
nts placés'sôus lr1`dépeiîdâncé ün m édiatc^ du ? systèm e7 nerveux^
central
'1\1 : Ballet ''en' "signal e d'autres qui, bie
ès vraisemblablement d un trouble des fonctiôns dû systèâlé nérvéüx
central
. Diarrhées paroxys- .1 f HIll # ? t' 1; 1 . ...
exoplitlialiiiiqiie peut' être directement produit' par une lésion
centrale
. Est-ce àaüë pôür,'célaque tl,on pUle Pf, ? du\re
nsidérations. .lJ £ lQ ? nrl pl)y0, ! ogique.q11E}1cent les organes^
centraux
sur les .nerfs, crâniens précités. Pourrie cerv
postérieur; e),à,travers la ligne ]nédiane,,ef,cn arrière du canal
central
, dans la corne opposée ? » . c 11";1,1 rI 1 : J,I
ieur$de,;lat moitié " droite du champ visuel, tandis que, l'acuité,
centrale
,, et le, fond de J'oeil sonl restés llormau,\'.
! )nn'r ? )'Wt)' ? il If' XV. Altérations- DUr sosTÈtEli`tEnvt : ur
central
''affectant ''parti- CULIÈREMENT Les 1 CORDOXS
ils sont congénitaux ? ils troublent le développement de l'organe
central
, occasionnent directement des modifications dans
cette hypothèse. Nous serions très disposés à penser que la lésion
centrale
est une condition pré- disposante et non pas un
affec- tions des centres nerveux. Dans cette hypothèse, la lésion
centrale
modifierait l'état de la nutrition des nerfs pé
continues, entre la moelle et les nerfs altérés. Entre l'altération
centrale
et l'altération des nerfs périphé- riques, les
tion- nelle entre les différents territoires du système ner- veux
central
et notamment les circonvolutions céré- brales.
les autres parties de la région corticale, ainsi que les ganglions
centraux
, n'offrent pas d'altérations visibles à l'oeil
x, se montrent en plus grand nombre dans la partie profonde et plus
centrale
de l'épaississement. Dans les parties périphéri
ats de l'étude histologique sur une autre partie du système nerveux
central
. Malgré nos recherches bibliographiques, nous n
. Klebs a étudié la question des néoplasmes dans le système nerveux
central
. (Beitruge sur Geschwulst Lelare, 1S77. I. Heft
de neuf cas de ces tumeurs dans diverses parties du système nerveux
central
, M. Klebs dis- tingue trois périodes bien tranc
rie, 1882, p. 392. Ueber 'paî,eizchy ? ? ial6se eilzt(21duiigeiz im
central
nerven sysiem und z' ! I1'e beziehun- gen ziir
er une- transition aux néoplasmes homologues du système ner- veux
central
. Nous n'avons pas ici à discuter leur point de
lobe carré, du lobe temporal, à la partie antérieure du lobe para-
central
, à la partie avoisinante de la ire frontale et en
formes de syphilis sont-elles capables de déterminer dans l'organe
central
des modifications persistantes prédisposant tou
e de l'hallucination; il repoussa également la théorie psychique ou
centrale
qui fait de ce syndrome un phénomène purement i
citante, au lieu d'être une impression extérieure, est une décharge
centrale
, qui du même coup annihile la conscience (régio
étaient en beaucoup plus grande quantité dans la circonvolu- tion
centrale
antérieure que dans la circonvolution centrale
la circonvolu- tion centrale antérieure que dans la circonvolution
centrale
postérieure; dans l'une, comme dans l'autre, on
u moindre; ils se trouvaient exclusivement dans la cir- convolution
centrale
antérieure, en partie près de la scissure de Ro
Sllvius. Se. pr., Scissure praecentrate. C. c a.. Circonvolution
centrale
antérieure (frontale ascendante). Se. li., Scis
cendante). Se. li., Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution
centrale
postérieure (pariétale ascendante). Se. par., S
cipital. Se. pn.. Scissure proecentrale. C. c. a., Circonvolution
centrale
antérieure. Se li., Scissure de Rolando. C. c
antérieure. Se li., Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution
centrale
postérieure. Se. par., Scissure interpariétale.
e carré. Se. pr., Scissure præcclltrale. C. c. a., Circonvolution
centrale
antérieure. Se. Il., Scissure de Rolando. ' C
érieure. Se. Il., Scissure de Rolando. ' C. c. p., Circonvolution
centrale
postérieure. Se. par., Scissure interpariétale.
RITIQUE. Se. pr., Scissure praecentrale. C. c. a., Circonvolution
centrale
antérieure. Sc. R., Scissure de Rolando. C. c
antérieure. Sc. R., Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution
centrale
postérieure. Se. par., Scissure interpariétale.
6.-Coupe frontale de l'hémisphère droit à travers la circonvolution
centrale
antérieure. Sc. S., Scissure de Sylvius. lus.
tions anormales, qui, quelle qu'en soit l'origine périphé- rique ou
centrale
, portent le malade à commettre des actes violents
souffrir; comme on rencontre des lésions dans le système nerveux
central
, c'est à ses altérations qu'on doit s'en prendre.
, ne peut-on la trouver dans l'effacement de l'in- fluence nerveuse
centrale
, chez les diabétiques ? Rappelons-nous que le p
pour produire des altérations anatomiques dans les organs ner- veux
centraux
; 2. Dégénérations secondaires dans le cerveau et
n et responsabilité, 268. Syphilis et tabès, 107. Système nerveux
central
(affections du), 1 05 ;-(dans l'ergotisme), 1 1
hius. Sc. yr., Scissure ] ! riDccntrale. C. c. a., Circonvolution
centrale
antérieure (frontale ascendante). Se ? Scissure
ascendante). Se ? Scissure de Romande. C. c. 1)., Circonvolution
centrale
postérieure (pariétale ascendante). Sc. par., S
pital. Se. yr·.. Scissure prfficentrale. C. c. a., Circonvolution
centrale
antérieure. .Se ? Scissure de Rolando. C. c.
e antérieure. .Se ? Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution
centrale
postérieure. Se. par., Scissure interpariétale.
carré. Se. pr., Scissure precentrale. - C. c. a., Circonvolution
centrale
antérieure. Se. fi., Scissure de Rolando. r.
ntérieure. Se. fi., Scissure de Rolando. r. c. p., Circonvolution
centrale
postérieure. Sc. par., Scissure interpariétale.
le,. Se. pur., Scissure pi-wceiitrale. ' C. c. a., Circonvolution
centrale
antérieure. Sc. It., Scissure de Rolando. C.
ntérieure. Sc. It., Scissure de Rolando. C. G. p., Circonvolution
centrale
postérieure. Se par., Scissure interpariétale.
6. Coupe frontale de l'hémisphère droit ù travers la circonvolution
centrale
antérieure. Se. S., Scissure de Sylvius. Ins.
chercher à déterminer si cette extrémité frappée la pre- mière est
centrale
ou au contraire périphérique, mais cette recher
gâlisme Attitude des membrcs. -Méningite : marche de la température
centrale
; - Pneumonie. -Autopsie : atrophie des lobes fr
t sèche et modéré- ment chaude malgré l'élévation de la température
centrale
. Traces méningitiques très prononcées. Rien à l
nous avons eu maintes fois l'occasion de l'observer, la température
centrale
demeurait à peu près normale ou ne s'élevait qu
reste, si l'on admet, probablement avec raison, que la température
centrale
chez l'homme n'est guère influen- cée par la te
s premiers. CH. F. IV. ÉTUDES microscopiques sur LE SYSTÈME nerveux
central
DES REP- TILES ET DES BATRACIENS; par F. I\1ASO
ouille, M. Mason est arrivé aux conclusions suivantes : 10 le canal
central
de la moelle est cylindrique chez la grenouille.
elle des relations anatomiques et physiologiques du système nerveux
central
de l'homme et du chien, nous avertit de ne pas
III. Influence de la Syphilis sur les maladies du système nerveux
central
, par le Dr Cu. Chauvet. Vol. in-8° de 94 pages. P
de la syphilis sur quelques-unes des affections du système nerveux
central
et non pas de décrire des lésions syphilitiques
e, la même situation que celle qui est faite aux médecins du bureau
central
, par rapport aux médecins des hôpitaux. Anr. 7.
d'Inde, nous avons pratiqué, au cinquième jour, l'examen du bout
central
de ce nerf. Or, ici, en raison de circons- tanc
ats différents suivant qu'elles seront pratiquées près de l'origine
centrale
comme en 1, où on pourra ne trouver aucune libre
e frontal, sur les bords de la scissure de Sylvius et sur la partie
centrale
du lobe occipital. Au niveau de ces adhérences,
27< ! REVUE CRITIQUE. thésiques agissent sur la cellule nerveuse
centrale
, sur la cel- lule sensitive principalement; ils
qûre du centre intact), soit par action réflexe (excitation du bout
central
du nerf dépresseur du côté sain). '$ REVUE DE
e l'effet, sur la circulation abdominale, des excitations des bouts
centraux
des nerfs vagues et des nerfs dépresseurs, et d
ontractions moins complexes que détermine la faradisa- tion du bout
central
du sciatique, et il est logique de chercher à c
ion se ferait graduellement et serait surtout marquée sur le bout
central
comme s'il se produisait à ce niveau une sorte de
ane transparente comme un liquide, qui serait contenu dans un canal
central
du cylindre-axe. Ces extrémités renflées pourra
momentanée è'f.™9^ - On'employa ? successivemënt'Ia''gàlva.nisati6n
centrale
et pé- riphérique,'Ile bromure de potassium et
ubles de nutrition, consécutifs, , à une, causeLcommune, de siège,,
central
;. clall ! 1'empchetJ pas" de reconnaître'qu'il),
des, etc.); d) la façon dont l'ap- plication a été faite (générale,
centrale
, locale) ; e) la position des pôles ; le tempér
e, la même situation que celle qui est faite aux médecins du bureau
central
, par rapport aux médecins des hô- pitaux. ART
re circonvolution frontale, de la partie antérieure du lobe para-
central
, des parties moyenne et postérieure de la circonv
ntionnons seulement le nystagmus et l'abaissement de la température
centrale
(36°,2), suivi d'une élévation assez rapide (3
; mais cette couleur n'est pas le bleu, c'est au contraire la plus
centrale
, celle qui se perd normalement la première, le
en être le nerf centripète de même que le cervelet en est l'organe
central
d'où partent alors les réflexes coordina- teurs
s de la bandelette optique; la couche optique n'est pas un organe
central
de la vision; 6° La prétendue racine optique in
ecte ou réflexe, lorsque l'exitation porte sur la moelle ou le bout
central
d'un nerf mixte, dans les névroses, les phlegma
ticulier qu'il a observé dans certaines maladies du système nerveux
central
: lorsqu'on vient à rac- courcir passivement ce
catalepsie expérimentale, Berger admet une exaltation des appareils
centraux
intracor- tical et spinal, exaltation déterminé
e sucre dans le sang) produite par l'excitation faradique des bouts
centraux
des nerfs vagues chez le chien, des nerfs dépre
s supprime l'effet sur la vascularisation des excitations des bouts
centraux
, des vagues et des nerfs dépresseurs. Cet arra-
; substance médullaire jaunâtre, molle, peu vasculaire. Gan- glions
centraux
uniformément atrophiés; leur substance grise est
nt mis obstacle à la con- naissance des maladies du système nerveux
central
, et parti- culièrement des maladies mentales, f
va se terminer derrière l'extrémité supérieure de la circonvolution
centrale
postérieure (ou circonvolution pariétale ascend
efl'invôlutiôn à€> la* substance-' grise doslaicircdrivoliition ^
centrale
intérieure (ou frohtàle1'a"steridarnte),;fC«, tju
région iÉ ? )")f.)'jr ? ? ' 'f 1)1 fr f ? rr ? n "'i -11 du lobe
central
, séparés de la 'surtace 'cérébrale que par'une'
pathologiques développées sur un nerf sensitif, soit à son origine
centrale
, soit sur un point de son trajet, retentissant da
il avait au préa- lable interrompu la conductibilité avec l'organe
central
par la contusion, la section, la résection, ou
éaire. Néoplasie cellu- laire et nucléaire du névrilemme. C. Bout
central
.- Il dégénère dans toute la portion voisine de
n ce qui concerne le bout périphé- rique. La dégénérescence du bout
central
serait attribuable à une action locale, soit in
ailleurs ni pour l'endroit enserré dans la ligature ni pour le bout
central
, chaque segment interannulaire jouissant d'une
ien qu'on sache que les altérations ordinaires du système nerveux
central
d'origine syphilitique coïncident avec l'intégrit
QUELLES MESURES LES anomalies DE DÉVELOPPE- ment DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
PEUVENT-ELLES SERVIR DE base anatomique (prédis
Au même ordre d'idées appartiennent la petitesse du système nerveux
central
coïncidant avec des altérations anatomiques évi
ptique n'a pas nécessairement pour conséquence laperte de la vision
centrale
. Dans les deux cas que rapporte Bramwell, il n'
fectives, et, de ce fait, une exagération de pression dans l'organe
central
; sous cette influence, il y a eu stase et thro
ces paralysies, avec atrophie, ont été plus probablement de cause
centrale
que de cause périphérique. Il fait encore remarqu
ue chez les femmes saines ; elles agissent sur le système nerveux
central
soit par action réflexe, soit par l'épuisement pr
LI. DES rapports DE la sclérose multiloculaire DU SYSTÈME nerveux
central
avec la paralysie générale progressive des alié
lérose médullaire. PourM. S., l'aspect des lésions dans les organes
centraux
confirme les deux diagnostics portés pendant la
vulsions); amélioration rapide SOUS L'INFLUENCE DE la galvanisation
centrale
SUIVIE D'UNE faradisation générale, DES TONIQUE
ué chaque jour pendant une demi-heure sous forme de galvanisation
centrale
, le pôle négatif était placé au creux de l'estoma
de Neurologie, fasc. 1, p. 99,1880. 2 L'élévation de la température
centrale
a été mentionnée par divers auteurs et plus par
e de l'), par 1·Iorton, ? S4. Anesthésie (1') due il une lésion
centrale
peut être remplacée par del'hyperestliesie sous
r Mickle, 152. Syphilis nerveuse, par Fut, 313. - Système nerveux
central
(études microscopiques sur le), des rep- tile
e, deuxième, troisième circonvolutions frontales. A, circonvolution
centrale
antérieure (ou frontale ascendante). B, circonv
ion centrale antérieure (ou frontale ascendante). B, circonvolution
centrale
postérieure (ou pariétale ascendante). R, sillo
um). C e, corps calleux. Ca, substance grise de la circonvolution
centrale
antérieure, ou fron- tale ascendante, qui pénèt
la face posté- rieure.) T p, substance grise de la circonvolution
centrale
postérieure, ou pa- riétale ascendante, qui pén
de savoir s'il y avait eu syphilis. L'auteur diagnostiqua : lésion
centrale
du centre commun des oculomoteurs communs, dans
age. Hésitation entre la démence simple, com- pliquée decettelésion
centrale
, la paralysie, générale, et la sclérose en plaq
ltération des fibres centripètes est pour 111. Jen- drassik d'ordre
central
. Ces deux savants croient à l'origine infec- ti
r l'hystérie conduisent naturellement t à lui attribuer une origine
centrale
, plutôt que périphérique, et que les deux théor
rminant par de la contrac- ture ; malgré la superficie de la lésion
centrale
, il existe une bande dégénérative parlant du ce
entre les fibres larges. P. K. V. Contribution A l'étude DU trajet
central
DES NERFS sensoriels ; par P. FLECHSIG. (Neurol
tiellement du noyau antérieur de l'acoustique et représente la voie
centrale
de l'acoustique. » 11 aurait, de concert avec B
llules sont demeurées intactes. P. K. Xi. DE L'ORIGINE ET DU trajet
central
DU nerf accessoire DE Willis; par 0. DEES. (All
drijumeau supérieur qui, après entre-croisement en arrière du canal
central
, se rendent à l'écorce cérébrale. P. K. XV. SUR
nte plus claire qui seule appartient aux foetus plus mûrs. La masse
centrale
peut s'appeler corps restiforme primitif (virgule
fection ir- ritative dea parties postérieures de la substance grise
centrale
. H. M. C. III. Folie du doute; par P. J. KoWA
tesse de leur vie commune; iinpressionnabililé anormale d'un organe
central
sollicité par une excitation périphérique anor-
deux sont entrés en fonctions immé- diatement. Concours du bureau
central
DE médecine. Nous enregistrons avec le plus gra
Babinski, nommé médecin des hôpitaux au dernier concours du Bureau
central
. - KING'S Collège DE Londres. - M. le Dr E.-E.
s, l'absence de contractilité~fa- radique plaident contre l'origine
centrale
des acci-' dents ; il les explique par une névr
ériphériques, on ne pourrait pas admettre l'hypothèse d'une névrite
centrale
qui porterait sur les origines intra-craniennes
ités, principalement DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES; par M. BERNHARDT. (
Central
, f. Nervenh., 1886.) Voici la symptomatologie
accidents génito-vésicaux, on arrive à diagnostiqueur une lésion
centrale
. La discussion du fait ne permet pas de dire dava
AL. XLIV. UN cas d'hypéridrose unilatérale; parj. FLtIEDL.ENDER. (
Central
, f. Nerv. 1886.) Trois symptômes cardinaux : hy
lques cas INSOLITES DE paralysie saturnine ; - par P. J. 11OBBIUS. (
Central
, f. Neruezzh., 1886.) Trois observations^ La pa
a su- ture frontale à la suture sagittale, elle adhère parsa partie
centrale
à l'os même qui en ce point est déprimé. Un peu
nséquences persistantes DE l'ergotisme A l'égard DU système nerveux
central
, par F. TUCZEK. (Arch. f. Psych, XVIII, 2.) Sui
brication des bois- sons alcooliques, dans les régions de l'Afrique
centrale
où l'usage de ces boissons n'existe pas ou ne s
nution du champ visuel ne semble atteindre que rare- ment le point
central
et qu'il s'agit par conséquent plutôt d'un rétr
ique commune résulte d'un spasme temporaire - DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 335 des vajsseaux sylviens avec
à l'apogée de son développement. ANATOMIE DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION; Par M. Il. THO LARD, Professe
à en faire que la synthèse en quelque sorte. DE l'appareil nerveux
central
DE l'olfaction. M9 Mais pour que cette synthèse
tes oui je me suis défié, non pas du désir de DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 341 démontrer la justesse d'une
s lobes cérébraux, constitués de toutes pièces et reliés à la masse
centrale
par les pédoncules. Je n'y veux point contredir
xture, elle est cérébrale en grande partie. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 345 Personne n'y a songé, que j
rs externe, le quadrilatère est plutôt blanc. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 347 Cette partie blanche a la f
dirai plus loin, il n'est pas rare de voir la DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 349 bande adhérer par sa partie
'arc olfactif, que je propose de conserver. DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 3D'l bande, on voit très bien l
aire. Cette disposition anatomique n'est donc DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 353 qu'une variété des nombreus
lus interne de quelques fibres diagonales qui DE L'APPAREIL NERVEUX
CENTRAL
DE L'OLFACTION. 35S vont, sinon chez tous les o
, les troubles de la perceptibilité différentielle pour la vision
centrale
sont toujours accompagnés de modifications nota
- Cerveau du tri chien de mer, d'a- près Steiner. A, Hémisphère
central
. - B. Lobe optique. - C, Cervelet. - 0. Lobe
é du sphincter irien et du muscle ciliaire indique que les noyaux
centraux
des nerfs en question sont lésés. S'il est vrai q
(Neurol. Centralbl., 1888.) Toutes les parties du système nerveux
central
excitables chez les animaux adultes sont inexci
omplète de la couche profonde et des couches supérieures des noyaux
centraux
dupont de Varole. P. K. 432 REVUE D'ANATOMIE ET
apoplexie imminente. Un champ visuel hé- mianopsique ou une lacune
centrale
suppose toujours une lésion, une perte de subst
asiles, 130, 451; -, de l'internat de Charenton, 139; - du bureau
central
de médecine, 140. Congrès des aliénistes de la
- mon, 69. Ergotisme, conséquences de l' sur le système nerveux
central
, par Tuczek, 263. Fièvre typhoïde chez les al
par l3ernharcÎt, z extirpation du vague, par Uees, 483 ; trajet
central
des sensoriels, par TABLE DES MATIÈRES /,il F
ez une héréditaire, par Bouclier, 280. Olfaction, appareil neneux
central
de l' - par 1'rolarll, 335. OPII1'lI.IUIOPI.\
tomiques ont porté sur les muscles, les nerfs et le système nerveux
central
des lapins paralysés, et cela aux diverses péri
vations ayant trait à des affections organiques du système nerveux
central
atteignant la voie pyramidale, sa présence est si
us précisées, dénote presque sûrement une lésion du système nerveux
central
d'origine syphi- litique, et que le sujet chez
0). Erb dit que ce signe lui paraît indiquer que le système nerveux
central
est tou- ché par la syphilis (Zur Fruhdiagnosed
hnheim très apparents et il existe beau- coup de noyaux à la partie
centrale
des fibres. Ainsi, le long supina- leur, les mu
il existe pour le système musculaire, comme pour le système nerveux
central
. un lien entre l'anatomie pathologique et l'ana
us les troubles symptomatiques observés et que le système nerveux
central
ne présente aucune modification. Il signifie simp
les nerfs ou y sont bien plus accusées que dans le système nerveux
central
. Il y a tout lieu d'admettre, et ce n'est pas l
e en extension, dépend comme celle-ci de lésions du système nerveux
central
intéressant le système pyramidal, ce que démont
aradoxal du coude » (p. 34). C. - Du champ visuel et de la vision
centrale
dans l'atrophie tabétique des nerfs optiques.
uité visuelle et parfois d'une conserva- tion parfaite de la vision
centrale
. « Il' Le scotome central est très rare dans l'
e conserva- tion parfaite de la vision centrale. « Il' Le scotome
central
est très rare dans l'atrophie tabétique. Quand
à disparition pro- gressive d'un secteur du champ visuel, la vision
centrale
peut être abolie, tandis que persiste une grand
ie du champ visuel péri- phérique. Il s'agit là d'un pseudo-scotome
central
qu'il ne faut pas confondre avec un scotome cen
pseudo-scotome central qu'il ne faut pas confondre avec un scotome
central
vrai. » D. Cytodiagnostic. La cytologie du li
on papillaire coïncider avec une acuité normale, où il a un scotome
central
avec une dyschromatopsie semblable à celle du t
. Elle ressemble bien plus à celle qu'on peut observer dans le bout
central
du nerf au voisinage de la section. » Comme on
de cet appareil, soit à sa périphérie seulement, quoique sa partie
centrale
constitue tou- jours le siège primitif du désor
phie, dans tous ces cas, ne reconnaisse pour cause une perturbation
centrale
. Mes obser- vations ont montré qu'une atrophie
7. Coupe de la Protubérance. CAn. Corne antérieure. - FCC. Faisceau
central
de la calotte. FCd. Faisceau cérébelleux : direct
ne sont pas exceptionnels dans les allections du système nerveux
central
et il n'est pas rare de les constater dans l'hémi
établir le diagnostic d'une affection organique du système nerveux
central
et comptent parmi les manifestations objectives p
il traduit une perturbation dans la circulation du système nerveux
central
. IX. - HYSTERIE. - PITHIATISME E Pour précise
ydenham (Id., janvier '907). 132. Du champ visuel et de la vision
centrale
dans l'atrophie tabétique'des nerfs optiques (e
endineux des membres supérieurs 1)2 Du champ visuel et de la vision
centrale
dans l'atrophie tabétique des nerfs optiques 92
'une noix. Dans le centre de cette zone on peut distinguer un point
central
plus foncé. Il est de toute évidence que ces po
moment actuel est sans doute 'celle des tumeurs du système nerveux
central
. Après une longue époque pendant laquelle les n
use, la colonne peut ne pas présenter de déformations (localisation
centrale
des tumeurs). Comme trait le plus caractéristique
u Siam, contrairement à ce que nous avons observé en Perse, en Asie
centrale
, en Indo-Chine et à Canton, où les formes tuber
fait normale. Elle ne présente aucune altération du système nerveux
central
ou périphérique. Les réflexes ten- dineux et cu
n présence d'un syndrome étendu qui englobe soit le système nerveux
central
, soit le système périphérique. Il y a dans ces
vité et par sa' diffusion à toutes les parties du système ner- veux
central
ou périphérique : Tous trois, les rejetons de cet
u niveau du III° segment dorsal. Elle est placée en dehors du point
central
de la moitié droite de la moelle. Au-dessous du
le long de ces dernières, dans l'espace épispinal ; autour du canal
central
, entre les cellules épendymaires, ils sont très n
.) et de la partie inférieure du tronc étaient sans doute d'origine
centrale
, c'est-à-dire dépendaient de la compression de la
lysie générale. Homme de 48 ans. - Fragment de l'écorce de la para-
centrale
. (Bleu de toluidine). Les lésions vasculaires, le
out cas, quelque chose dans les connexions des neurones centrifuges
centraux
gê- nait les manifestations voulues de l'activi
ophie osseuse aurait son origine dans une lésion du système nerveux
central
ou périphérique et même, pour quelques auteurs (P
phes et de névropathologistes ont démon- tré que le système nerveux
central
peut être attaqué par la syphilis déjà dans les
quence relative de la précocité dans la syphilis du système nerveux
central
, la- quelle, selon lui, atteindrait le quart de
la capsule interne droite, à la suite d'une endoartérite du rameau
central
de l'artère de la fosse de Sylvius. 3° (Beob.
e de l'hérédité névropa- thique dans la syphilis du système nerveux
central
en généra)abstraction faite des infections méta
iples de maladies fonc- tionnelles et organiques du système nerveux
central
est reconnue de tous. 302 COSTANT1NI Pour ce
le déve- loppement d'une affection syphilitique du système nerveux
central
, l'in- fluence favorable du traitement spécifiq
lé des statistiques d'affec- tions syphilitiques du système nerveux
central
ont naturellement tenu compte seulement des cas
e durée variable, d'une affec- tion syphilitique du système nerveux
central
. Mais que savons-nous des autres cas d'infectio
non, et qui n'ont été suivis d'aucune affection du système nerveux
central
? Il serait peut-être utile d'avoir une statist
soignés ou non, qui ont été frappés de lé- sions du système nerveux
central
et les syphililiques, soignés ou non, et qui n'
plus le dessin caractéristique de maillesjaunes avecun point rouge
central
(le cylindraxe). A leur place il y a un tissu de
eaux sont par place tout à fait oblitérés, aussi bien dans le tissu
central
qu'à la périphérie de la coupe. On constate par
autrefois on attribuait à la catégorie des névromes. Dans la partie
centrale
du Ve segment dorsal on voit une formation ellipt
st stratifiée, rappelle la structure de la méninge molle. La partie
centrale
est moins colorée et possède une structure du tis
du tissu conjonctif. Dans la zone périphérique, de même que dans la
centrale
, on voit un grand nombre d'espaces veineux dila
9. (4) A. W. Cuipbell. Ilistological studies on the localisation of
central
/u71ction.Cam- bridge, 1905. (5) K. BRODMASN.
(6) SUF.RIIINGTON and Grunbaum. Observation on the Physiology of the
Central
Cortex of someo/ the htgleer Apes. Proc. Roy. S
deux types sont confondus, est constituée par le fond de la scisure
centrale
. Cette limite se continue également sur le lobu
la frontale ascendante et dans la partie antérieure du lobule para-
central
et d'autre part déterminent les mêmes phénomènes
à la frontale ascendante et à la partie antérieure du lobule para-
central
est de 3 cm. 94. Smith donne 4 millimètres pour l
e des grandes cellules pyramidales dans la zone motrice de l'écorce
centrale
après la section expérimentale des fibres de pto-
e tiers supérieur de la frontaie ascendante et dans le lobule para-
central
, où, à côté de beaucoup de cellules de Betz atrop
antes montrent que dans les premières, surtout dans le lobule para-
central
gauche, la plupart des pyramides géantes sont tra
opique. Légère réaction dans les cellules de Betz des lobules para-
centraux
. 10° Lilia B ? Notes cliniques. 56' ans, parapl
endantes des deux côtés. Dans la partie postérieure du lobule para-
central
, ayant la structure du type 5, les grandes cellul
uée par Brissaud et Achard aux zonas, etc... Lésion du prolongement
central
ou radiculaire postérieur » (p. 266 et 267). C'
ventse présenter. Ou bien elle intéresse un groupe de prolongements
centraux
des cellules ganglionnaires, et alors la réperc
colo- ration différentes. Dans la région correspondante à la partie
centrale
de la substance grise, on voit une masse compac
On y voit dis- tinctement une fente syringomyélique dans la région
centrale
qui de là, en zig-zag, se rend on arrière. La
ste de cette masse molle et la fente syringomyélique dans la partie
centrale
de la coupe. Au niveau du Xe segment dorsal on
rès intenses. Ainsi par exemple dans le cas de Glaser (angiosarcome
central
) sont apparues des fortes douleurs et des pares
t 508 AKCHAMBAULT acquise. Lorsque l'on détruit une voie nerveuse
centrale
chez l'animal nouveau-né, on constate la dispar
mais aussi de leurs cellules trophiques. La persistance du segment
central
d'une voie nerveuse sectionnée est dans ces cir
ubstance blanche est réduite au moins de moitié. La substance grise
centrale
et périventriculaire, de même que le tubercinér
me on le sait, soit à dés altérations primitives du système nerveux
central
, soit à des lésions inflammatoires (étendues, m
tions mentales suscitées,par la lésion primitive du système nerveux
central
, plutôt que par l'insuffisance des sécrétions int
déficit intellectuel d'origine inflammatoire ou hypo- biotrophique
centrale
, n'est ni infantilique ni essentielle, mais est a
aussi des symptômes or- ganiques qui expriment clairement la lésion
centrale
, tels les tics, l'athé- tose, les chorées, et l
isme simple (tel qu'il le comprend) comme débutant par un processus
central
, parce que dans cette variété de nanisme, c'est
s achondroplasiques. Seul fait digne de mention : les trois orteils
centraux
ont des deux côtés une. base d'implantation com
ennes sont normales et les fontanelles sont fermées ; la fontanelle
centrale
n'est pas déprimée comme chez le père. Les chev
déformés à leur extrémité en baguette de tambour. Les trois orteils
centraux
sont, comme chez le père, implantés sur une base
ire, situé sur le bord externe du nerf optique, reçoit par son pôle
central
trois racines qui lui viennent du moteur oculaire
mesure qu'on examine des coupes de plus en plus rapprochées du pôle
central
du ganglion, les fibres à myéline diminuent, su
sillon interpédonculaire. Trijumeau et ganglion de Gasser. Le bout
central
de la racine sen- sitive du trijumeau est compl
la dé- générescence peut être poursuiviejusquedans le nerf. Le pôle
central
du ganglion de Gasser est creusé de fissures qu
ropre du système nerveux, ils sont peu connus. Les faits, où lésion
centrale
congénitale et lésion squelettique congénitale co
s. Semaine méd., 1897. p. 13. Fermo. Vitiligo et tumeur néorogtique
centrale
de la moelle. Rev. Neural., 1905, p. 283. Fic
et ! particulier des métastases cancéreuses dans le système nerveux
central
. Zeitschr. f. Krehsforsch, rr, 1906 ; Rev. Neurol
culaire, des lésions du centre ovale et des plaques des noyaux gris
centraux
. C'est à ces dernières lésions que l'auteur att
e (1) sur le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau optique
central
, nous avons soutenu la thèse que les faisceaux
très appréciable et qu'elles présentent en outre, dans leur partie
centrale
, la même structure histologique que l'écorce. C
forme un fascicule nettement isolé au milieu de la substance grise
centrale
. 648 ARCIIAMBAULT Sur les coupes qui passent
foyer de ramollissement occupant la presque totalité de la portion
centrale
du centre ovale, et une tumeur du volume d'une
s il n'y avait pas de ramollissement périphérique ; la lésion était
centrale
, située au noyau lenticulaire. Il existait en p
nsitivo- motrice et qui proviennent sans doute de la voie sensitive
centrale
. Or là aussi aussi ces fibres se terminent élec
u plus exactement subcon- sciente, un dynamisme nerveux quelconque,
central
ou irradiant la périphérie. Le dernier apparaît
poser les conclusions suivantes : 1° des lésions du système nerveux
central
ont été observées chez des lépreux; 2° bien que
orobieff. T. IlTr3 : lhONr·. Sur les altérations du système nerveux
central
dans les paralysies saturnines. En introduisa
t propagée par les nerfs optiques, les bandelettes, les noyaux gris
centraux
, les radia- tions optiques jusqu'au centre visu
mêlées aux radiations optiques centripètes, jusqu'aux noyaux gris
centraux
, où par l'intermédiaire des oculo-moteurs s'est
les fibres sous-jacentes allant du centre visuel aux noyaux gris
centraux
. Luciani et Tamburini avaient déjà fait une exp
périphérie, ils font habituellement défaut, t, alors qu'à la pallie
centrale
ils sont mal individualisés, réduits à des gran
Les porencéphalies dont nous venons de parler sont donc d'ori- gine
centrale
, c'est-à-dire qu'elles sont produites par la pres
ès 6 heures, état flou des granulations de Nissl, avec accumulation
centrale
de la substance chromatique et forma- tion de v
périphérique produit le reflexe, le mouvement volontaire dépend du
central
et de son action sur le périphérique. Dans la m
sur le périphérique. Dans la maladie de Little l'action du neurone
central
est affaiblie, il y a un désiquilibre entre l'inn
ucrr. Sur les altérations pathologo-analomiqlles du système nerveux
central
, dues à l'cmpoisonnement par le poisson. L'aute
Meillon (Alired). Contribution à l'étude des paralysies du larynx
centrale
. Métais (Abel). De la recherche du sperme au poin
point n'est atteint de ramollissement. Il s'agit donc d'une lésion
centrale
et c'est pour la mettre en évidence que nous avon
ent de constater la destruction, immédiatement au-dessus des noyaux
centraux
, au niveau du pied de la couronne rayonnante de
céphaliques. Que cet état soit accompagné de congestion ou d'anémie
centrale
, nous devons admettre qu'il influe fortement su
lume, surtout dans le sens d'un diamètre, avec noyau plus ou moins
central
et chromatolyse plutôt centrale; d'autres, surtou
n diamètre, avec noyau plus ou moins central et chromatolyse plutôt
centrale
; d'autres, surtout celles siégeant le plus loin
paralysie bilatérale des nerfs péroniers. Diagnostic : Hématomyélie
centrale
immédiatement au-dessus du cône médullaire. O
o-cutanés, principalement du côté gauche. Diagnostic : Hématomyélie
centrale
au niveau de la première et de la deuxième raci
environs de Rennes, s'est présentée hier soir devant le commissaire
central
, lui demandant une carte d'entrée au conseil de
u à quelque distance suivant les hasards des rétractions du segment
central
. Du reste un examen attentif de préparations au
en effet que rien n'est plus variable que l'état du système nerveux
central
ou périphérique dans les maladies donnant lieu
r Joffroy2 nomme hallucinogène. 2° Une excitation périphérique ou
centrale
des organes sensoriels. Et comment expliquons
omplexe ; ses connexions avec les autres régions du système nerveux
central
sont multiples et, d'autre part, ses divers éta
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. La terminaison des nerfs dans les organes
centraux
; , par L. AUI'.RB.1C11. (Newolog. Centralbl.. X
amifications cylindraxiles. Dans tous les points du système nerveux
central
les cellules nerveuses et aussi leurs dendrites s
x, de formes irrégulières (Golgi. Fine structure du système nerveux
central
et périphérique, p. 249 et 250). La couche gr
un peu moins bleue, épaisse, vague, dont l'accumulation à la région
centrale
de l'organe qui nous occupe contraste avec la z
oussures des amas de granulations, ce qui fait supposer que la zone
centrale
des renflements mousseux constitue des organes
un halo ; on y voit un proto- plasma finement grenu, avec un noyau
central
entouré d'une zone plus claire. Ce sont des cel
Pathogénie. - Les troubles de la sensibilité sont donc d'origine
centrale
, de là leur diffusion. Aux cellules des cornes an
ganglionnaire. Dans ce trajet, il fournit aux postes de terminaison
centrale
du nerf op- tique (lobe optique, corps genouill
ssives Cherchewski est obligé de faire appel à un facteur d'origine
centrale
sur lequel nous aurons à revenir, une grave obj
rveux volontaire lancé par le cerveau. Cette théo- rie de l'origine
centrale
du sens musculaire n'est plus guère ad- mise en
ions mus- culaires périphériques et ne fait intervenir la sensation
centrale
et d'activité cérébrale qu'à l'occasion des mou
onstituée par l'association de la sensation d'innervation d'origine
centrale
avec la sensation des attitudes segmentaires. C
ontre le mal fondé des expériences qui prétendent prouver l'origine
centrale
du sens musculaire. Les sensations illu- soires
lement due à la conscience que nous avons de notre activité motrice
centrale
, trouve pour Claparède une autre explication en
l n'admet que des éléments périphériques à l'exclusion d'un élément
central
du sens musculaire. Par de nombreux côtés son t
arer entre eux des poids différents. En ce qui concerne l'origine
centrale
ou périphérique du sens musculaire la question
alysies névritiques, à côté des paralysies hémiplégiques d'origine
centrale
, on peut encore en observer un autre groupe, où
ormale, qui, en même temps qu'elles agissent sur le système nerveux
central
, exercent une influence locale. L'évolution res
ramollissement dont le pourtour seul atteint la zone des ganglions
centraux
et la capsule interne. Intégrité des ascendante
rale témoignant de la participation du grand sympathique. Ascension
centrale
des accidents caractérisée par : des douleurs i
cellules rondes. A partir du milieu de la moelle dorsale, le canal
central
est dilaté ; 506 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
respiratoires, élève la pression artérielle. abaisse la température
centrale
, il diminue la destruction des globules rouges;
Archives, 20 série, t. VIII. 33 514 4 SOCIÉTÉS SAVANTES. canal
central
, et des espaces lymphatiques des cornes postérieu
s. Berlin, 1899. Librairie Fischer's. SOUli1' (J.). Système nerveux
central
. Structure et fonctions. Histoire critique des
mpoisonnement. Sur les altérations anatomiques du système nerveux
central
dues il l' - par le poison, par Tehe ! 'l1lchef
, par van Gehuchten, 220 La terminaison des - dans les organes
centraux
, par Auerbach, 405. Neurasthénie. Les trépidati
Babinski, 156. Paralysie. Sur les altérations du système nerveux
central
dans la - saturnine, par Rybakolf, l'r9. Un c
S ET HYSTÉRIQUES. 33 rique est toujours plus affecté que le segment
central
. Dans l'hystérie, l'épaule ou la cuisse peuvent
Les mouvements peuvent venir dans les doigts tandis que le segment
central
est encore absolument inerte. On n'a pas la moi
névrose que j'ai mentionné. Pour l'hémiplégie organique, la partie
centrale
de l'extrémité est toujours un peu indemne, le
ircumduction, qui fait avancer la jambe. Dans l'hystérie, la partie
centrale
(la hanche) ne jouit pas de ce privilège, la pa
hérique d'une extrémité souffre plus de la paralysie que le segment
central
, nous supposons que les fibres repré- sentative
périphérique sont beaucoup plus nom- breuses que celles du segment
central
, de sorte que l'influence corticale devient plu
, t. XXVI. 4 50 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
central
un rapport de dépendance ? Pick a répondu affirma
e l'enfance qui est la cause première de la surdi- mutité d'origine
centrale
. 56 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
RILTSEFF. Contribution ci l'étude des noyaux d'origine et du trajet
central
du nerf acoustique. - Le rapporteur a étudié six
ours et avec des épreuves analogues à celles des médecins du Bureau
central
que M. Delasiauve fut nommé méde- cin de Bicêtr
conduite des affaires de la maison. La lecture du rapport du comité
central
fournit l'occasion -.l'évêque de Car- lisle, qu
nts néoplasiques; cette infiltration est située en arrière du canal
central
, dont les cellules ont proliféré à ce niveau, m
d'une infiltration diffuse située en arrière de la substance grise
centrale
, au ni\eau du col de la corne postérieure gauche.
nvahit dé,à presque la totalité des cordons posté- rieurs. Le canal
central
est dilaté sur une petite étendue, il forme Fiv
; elle est très friable et toute craquelée sur les coupes. Le canal
central
n'est plus dilaté sur ce point; il forme là, co
urraient retrouver leur chemin et aboutir précisé- ment aux organes
centraux
auxquels étaient destinées les fibres des racin
une tumeur, et cette tumeur est complètement indépendante du canal
central
, la chose n'est pas douteuse ; mais de quelle e
ésagrégation, se fait en ^ plein tissu'név'roglique et sa situation
centrale
permet de sup- poser qu'elle est sous la dépend
lité, débute en même temps en, plusieurs points du- système nerveux
central
et périphérique, mais plus particulièrement dan
EUSE;¡' « vroglic ? l'atl'Ophie l,et la ldégéuérationr desflémnls'"
centraux
(e) > périphériques;^ 11Jhl1 JD11 ! Wp.U'd :
- l'autre, qu'il y a déve- loppement' imparfait (du système nerveux
central
et que les os crânienss partagent celte'conditi
ducatiou. L'année suivante (1856), il était nommé médecin du Bureau
central
. Quatre ans plus tord (1860), à son second conc
ement, en particulier par les anciens internes, candidats au Bureau
central
, qui étaient assurés de trouver là les sujets a
arches in patliological anatomy and phy- siology, especially of the
central
nervous system... 208 J.-M. CHARCOT. Membre h
d'élever la température de l'urine au même degré que la température
centrale
, pourvu que l'écart ne soit pas trop accentué,
le n'a pas produit un abaisse- ment plus sensible de la température
centrale
. L'injection ne doit pas être faite ni trop len
ns en tous cas sur la nécessité d'installer toujours une infirmerie
centrale
bien pourvue prête à parer à toutes les éventua
é d'Anthropologie DE Paris. Legs Fauvette. Le pré- sident du comité
central
de la Société d'anthropologie de Paris, reconnu
la tumeur envoie dans la circonvolution de l'ourlet; dans la partie
centrale
de la tumeur on en trouve d'autres, en très gra
logie joue un grand rôle. Virchow a décrit, sous le nom de névromes
centraux
, de Fi. 26. Tumeur du cerveau vue sur une coupe
e( vraisemblance que ces tumeurs avaient pour /origine des névromes
centraux
, tels que Yirchow les a décrits. 1 Dans le cas
es divers services. 1 Deux ailes se détachent en avant de la partie
centrale
des deux grands pavillons : le rez-de-chaussée
viennent, du moins la chose est possible, d'une névrite des organes
centraux
. On peut égale- ment incriminer, dans l'espèce,
sions, pas plus dans les nerfs périphé- riques que dans les organes
centraux
.' ' 1 ? < -*' ' J1> -^ > z Comparant c
essayé de préciser Hughlings Jackson. Pour lui, le système nerveux
central
se compose de trois plans superposés repré- sen
v f. Pscleicat., XXIII, 3.) Blépharoptose à gauche ; dégénérescence
centrale
du noyau de l'oculo-moteur commun correspondant
anique des trousseaux nerveux; car ce sont les trousseaux ner- veux
centraux
qui subissent les premiers ces transformations. E
métrique sus- mentionnée, mais aussi par une diminution de l'acuité
centrale
, des troubles de l'accommodation, de la paresse
forme chronique. Il en existe aussi une forme très rare, le scotome
central
ou paracentral, déjà observé par Wilbrand et So
t récemment Edinger appelait l'attention sur les douleurs d'origine
centrale
à propos d'un cas dans lequel on trouva une lés
ift, 1892, n° 11). Il a montré que les douleurs avaient une origine
centrale
, quel que fût le point lésé dans le trajet des
laires sont lésés, mais non point quand il y a lésion des trac- tus
centraux
que régit immédiatement l'écorce, car alors chaqu
qui s'observent du côté des fonctions physiques du système nerveux
central
ou péri- phérique et qui consistent en des modi
t suivie d'al- térations'pathologiques'qui atteignent aussi le bout
central
. Leur inten- sité dépend de l'espècelietjsurtou
es bouts périphériques' des' nerfs dégénèrent- bien avant les bouts
centraux
;t 3" l'origine de cette dégénérescence tient ma-
es mêmes causes qui président a la dégénérescence des bouts nerveux
centraux
président aussi à l'altération des fibres que l
la sensibilité. Elle diffère des altérations pathologiques du bout
central
du nerf périphérique, parce qu'il y a des différe
e anatomique et physiologique; on en peut conclure que dans le bout
central
des nerfs dégénèrent non les fibres qui sont en r
noyau qui a alors déterminé la dégénérescence descen- date,du' bout
central
, entre le ganglion géniculé et le noyau du 7t '
qui prouve leur indépen- * danco embryogenique du système nerveux,
central
.du. tuyau me- " dullail'e.,w.,m.,nrn Mifin ? rr
'dire que' les' fibres dû neéf vestibulaire vont'non pascaux noyaux
centraux
du cervelet,' mais' infra au' lobule dii' pneum
aine, si fréquent en pareil cas, vient à l'appui de l'irradia- tion
centrale
. Toutefois, la localisation du scotome à l'oeil à
ution à l'élude des affections postsyphilitiques du système nerveux
central
et périphérique. Le malade en ques- tion présen
ion, pour ainsi parler, des anciennes extrémités des fibres du bout
central
, à l'endroit lésé. Ou bien la jeune fibre provi
Système ^nerveux. «Contribution au développement' pathologique du
central
, parLeonowa, 485. Coiitiibntion à l'étude des'a
à la question extrêmement importante de l'ossification de la région
centrale
de l'os sphénoïde : nous la développerons dans
me est le résultat d'une irritation primitive ou réflexe du neurone
central
ou périphérique de la septième paire. Ayant obs
rapide du releveur antagoniste. Dans la paralysie faciale d'origine
centrale
, il y a le signe de Revilliod qui consiste en c
us engageraient à penser qu'une petite partie des fibres de la voie
centrale
du facial aillent aussi au noyau du même côté,
ritation du neurone péri- phérique et exceptionnellement du neurone
central
du facial. Car juste- ment, dans ces cas, la ca
le de l'écorce était' presque partout bien conservée. Les ganglions
centraux
et les noyaux dentelés montraient les mêmes alt
tères sont décrits plus haut et qui est localisé dans les ganglions
centraux
. Observation II. 1 Kr..., 45 ans, entre à l'h
ques clairs et déformés dans l'écorce et surtout dans les ganglions
centraux
et dans les noyaux dentelés le rapproche égalemen
n, etc. Mentionnons les foyers de désintégration dans les ganglions
centraux
, qui ne ressemblent nullement à l'image du ramoll
rouve un gros tubercule soli- taire de forme ovoïde, dont la partie
centrale
est caséifiée. Par l'examen en série des coupes
. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 63 sa partie
centrale
, est criblé de vacuoles; on observe, à la périphé
xternes des faisceaux de Burdach et quelques fascicules profonds et
centraux
des fais- ceaux de Goll ; la zone marginale esl
ne limitée parle noyau du facial, l'olive supérieure et le faisceau
central
de la calotte. Il chemine parallèlement au fais
486. Mottez Expérimental enquiry upon the a(fe1"el1t tracts of the
central
ne,'vous ststem of the monkey. Brain, vol. 18 (
. - Thicle et Horsley. A sludy of the degeneralions observed in the
central
ne ? -vous system il ! a case of fracture dislo
ieure. Cp, cordon postérieur. Crst, corps restiforme. Fcc, faisceau
central
de la calotte. FG, faisceau de Gowers. Ftp, fai
tème nerveux, mais de préférence et plus t6t le périphérique que le
central
. C'est pourquoi on observe moins fréquemment de
s on n'a l'occasion de constater ni paralysie, ni atrophie de cause
centrale
, ni anesthésie de type segmentaire, ni troubles
segmentaire, quoique la maladie intéresse aussi le système nerveux
central
. La cause en est que, avant qu'on puisse voir la
endent plus difficile la coaptation et partant le tra- vail du bout
central
(1), et d'autre part si l'hygiène est insuffisant
le concept symptoma- tique entre des mêmes manifestations d'origine
centrale
et d'origine périphérique, nous voyons d'un aut
tre attribuée plutôt à la dégénérescence de la substance médullaire
centrale
qu'à la disparition des éléments cellulaires de
uatre cas, on doit noter la région operculaire de la circonvolution
centrale
antérieure (cir- convolution frontale ascendant
rès marquée, laquelle intéres- sait surtout la substance médullaire
centrale
et la zone marginale grise latérale. Ici encore
iers moyen, dans la substance grise réticulée des zones latérale et
centrale
. Ici encore, c'est surtout avec la substance mo
ous a (1) Le faisceau longitudinal inférieur et le faisceau optique
central
. Nouvelle Ico- nographie de la Salpêtrière, 190
t la décoloration intense et généralisée de la substance médullaire
centrale
du noyau rouge. En outre, la capsule de ce noya
um du corps calleux. ' Il existe également dans ce cas une lésion
centrale
très importante. Dans le sens horizontal, cette
ipitale. Pour ce qui en est de la réaction déterminée par la lésion
centrale
siégeant dans la partie supérieure de la capsul
plus, longtemps. Quant à la dégénérescence occasionnée par la lésion
centrale
, on voit qu'elle est devenue de beaucoup plus a
e suivante (PI. XXXV-C) est prise au niveau du maximum de la lésion
centrale
et passe par la bandelette optique, le corps de L
du noyau rouge. On remarque que tandis que la substance médullaire
centrale
de ce noyau est notablement dégénérée, sa capsule
uge. On note la décoloration généralisée de la substance médullaire
centrale
de ce noyau ainsi que la raréfaction très notable
noyau, sauf une certaine pâleur relative de la substance médullaire
centrale
. La capsule frontale du noyau rouge est parfait
verticale de l'insula ; un prolongement filiforme gagne la par- tie
centrale
de l'opercule rolandique. Malgré le voisinage si
né- ralisée, mais peu intense toutefois, de sa substance médullaire
centrale
. A cet endroit, la capsule du noyau rouge paraî
e assez souvent une certaine raréfaction de la substance médullaire
centrale
. Dans les lésions du bord supéro-inlerne du lob
de nouveaux symptômes apparurent, indiquant que la substance grise
centrale
entrait en ligne. C'étaient des crises intestinal
rès les avoir libérés, s'être ensuite fixées sur la substance grise
centrale
qui, d'accord avec le grand sympalhi- SCLÉROSE
oso-génilale, les différentes formes de syphilis du système nerveux
central
(syphilis héréditaire, paralysie cérébrale prog
rf sympathique ou peut-être de certaines parties du système nerveux
central
? ), fonctionne insuffisamment, il survient alors
s : ils pu- rent démontrer que certaines parties du système nerveux
central
(par exemple le noyau du valgus, le noyau du mo
le, de la moelle, du système sympathique, c'est-à-dire des neurones
centraux
, périphériques, DÉBILITÉ NERVEUSE 407 l ' ,
laire, ovariens, etc., sont la preuve de celle irritabilité nerveuse,
centrale
et périphérique. Souvent la sphère génitale est
ucléaires) est nourrie par des rameaux de l'artère de l'hémorrhagie
centrale
(Charcot), venant elle-même de la cérébrale moy
artères de la parole ou DE L'A- PHASIE. On devine que l'hémorrhagie
centrale
limitée à la branche artérielle donnera lieu à
n'est pas superflu de faire remarquer que l'artère de l'hémorrhagie
centrale
prenant son origine au niveau de l'espace perfo
de la troisième circonvo- lution frontale gauche. Ramollissement
central
, diffus de la substance blanche du lobe pariéta
altéré (urémie, ammoniémie, urinémie, etc.) sur le système nerveux
central
. Pourtant les formes ci iniques si diverses de
eurs : 1° exaltation de la tension physiologique du système nerveux
central
, conséquence immédiate de la grossesse; 2° empo
wski. (lrrl. f. Psyr/r., XIV. 1.) Si l'on traite le système nerveux
central
de l'embryon par une solution de pepsine chlorh
la névroglie à cette destruction parenchymateuse du système nerveux
central
indiquerait que la névroglie est de nature nerv
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. IL Recherches sur L1 substance guise
centrale
DE la moelle 15PI- NIÈRE ET DE LA MOELLE ALLONG
ibles à l'excitation. Chez un lapin chloralisé l'excitation du bout
central
produit toujours un arrêt en expiration, l'acti
stion, M. Ilenrijeail a répété l'expérience de l'excitation du bout
central
du pneumogastrique après avoir enlevé les centres
enlevé les centres nerveux sensibles, c'est-à-dire les hémisphères
centraux
et, dans ces conditions, il n'a jamais obtenu l
u nerf vague gauche qui semble innerver presque à lui seul l'organe
central
en question, si l'on en juge par la différence
avant ni après. Absence d'étiologie. M. Berger croit à l'excitation
centrale
, corticale ou bulbaire de l'hypoglosse. Il en r
quent, l'auteur considère cette atlection dépen- dante d'une lésion
centrale
et bien circonscrite. 11 la localise dans le pl
ou le commissaire de police, sans passer par le dépôt, ni le bureau
central
de répartition. G. D. V. SuR le quartier D'.\LI
de l'hémisphère, de leurs lobes respectifs. La dénomination de lobe
central
a été formulée dans bien des recueils. L'énumér
gyrus (Huxley, Foville) ; Ascending 1 oîilal gyrus (Turner) ; Gyrus
central
antérieur (Ecker, Henle) ; Circonvolution trans
'un sarcome à cellules arrondies, avec dégénérescence de la portion
centrale
. Dc ! u;tti'm<;(;<fs. Homme de dix-neuf a
iir',iT->npi , pf) fi' , 'mm. 1W n ? W 1 ? > ' 1 ? .' mission
centrale
traitanl toutes les questions relatives aux a)oen
85 pu100 des cas, et dérive d'un affaiblissement du système nerveux
central
, localisé sur lestractûs`p's3chiqüès; sensitifs
ljprocède 8plut0l' de ' `tuôublës'1 locüï °dul'sj·sténie' `ïzéivëûâ
central
,6de`foÿershémorrhaôi`lues`et`emboliques, ellncide
thèse trop libérale des noyaux libres, parce que le système nerveux
central
possède beaucoup plus de cellules qu'on ne l'ac
ntenu cellulaire. Il oublie que le développement du système nerveux
central
comporte une période fondamentale dans laquelle
nstant de sa genèse, le mouvement passionnel corrélatif de l'organe
central
; jamais on ne voit, en tout cas, une mine éploré
en plu- sieurs fascicules, il est situé à peu de distance du canal
central
et se trouve enfermé dans les cornes latérales;
hommes et 13,131 faites parles femmes. 258 varia. III. Hôpital
central
d'Upsala. A une demi-heure d'Upsala, situé sur
ent d'une commune chaudière. Une source située derrière le bâtiment
central
offre son contenu à une machine élé- vatoire qu
ure).- Le lobe paracentral est bien développé avec un sillon médian
central
. Le lobe carré est large et parait normal ainsi
tale. P. Kérwal. IX. La substance DE soutènement du système nerveux
central
; par Gierke. (Neurol. Cenlrulbl., 1883.) Ce
1 322 REVUE d'anatomie et de physiologie. tout le système nerveux
central
, depuis les méninges jusqu'au re- vêtement épit
couche optique, mais de la lésion simultanée de la substance grise
centrale
adjacente, qui entoure la partie la plus profon
ytt'ri l'i7ztérieur du 131 i- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. canal
central
est normale. - M. Sebulz ajoute que les variétés
4° Chez un enfant de vingt-sept jours, en dehors du lobule para-
central
, en dehors des circonvolutions ascendantes, en de
ons. Cette extension de l'atrophie indique dans l'espèce une lésion
centrale
portant sur certains centres trophiques. Jusqu'
paralysie de l'oculomoteur externe gauche manifes- tement de cause
centrale
(dilatation pupillaire alternante, parésies par
mianopsie dont étende ! seul a touché quelques mots'; 3° Le scotome
central
continu et même progressif, avec dé- coloration
lling rappelle que, dans son livre d'après la structure des organes
centraux
de la vue, il a décrit une racine optique céréb
dans les paralysies du grand dentelé), 82. Optique (disposition
centrale
et pé- riphérique des fibres du nerf -, et su
mme), 342. Sensibilité cutanée et sens muscu- laire (localisation
centrale
), 322. Séquestration des aliénés dans leur fa
ffections du système nerveux), par de Céren- ville, 99. Surdité
centrale
unilatérale, 82. Surdité (sur une cause de), 86
sions, elle meurt, avec une élévation]considérable cle la température
centrale
qui atteint 42° au rectum le 21 février 1867. À
guleux, mais toujours nets et arrêtés, s'est développée sur la partie
centrale
de la plaque érythémateuse, c'est-à-dire à 4 ou 5
; je veux parler de l'ascension brusque du chiffre de la température
centrale
au-dessus de 39°, symptômes qui, d'après mes obse
e actuelle) que l'on observe à la suite des troubles de l'innervation
centrale
, théorie qu'il croit pouvoir être substituée à ce
'explication des troubles trophiques survenus à la suite d'irritation
centrale
. VI. Hémorragie cérébrale du tiers postérieur
rnières années, concernant les modifications que subit la température
centrale
dans l'apoplexie consécutive à l'hémorragie céréb
ehors de toute complication — une brusque élévation de la température
centrale
. Dans l'espace de douze, vingt-quatre, quarante-h
inflammatoire viscérale, une série de modifications de la température
centrale
répondant à trois périodes successives. Dans la p
rile proprement dit, puisqu'ils apparaissent alors que la température
centrale
ne s'élèvepas sensiblement au-dessus du taux norm
ion des physiologistes sur la cause de Vabaissement de la température
centrale
, qui, d'après les observations (au nombre de plus
biologie, 1871, p. 100. IX. Sur les variations de la température
centrale
qui s'observent dans certaines affections convuls
aladies convulsives sont marquées par une élévation de la température
centrale
. Dans le tétanos spontané ou traumatique, par exe
ique du muscle au sang qui le traverse. L'élévation de la température
centrale
, Wundfleber, (Archiv für Chirurgie, Bd II.) — B
rb. — Heber die Agoniesteigerung der Koerperwarme bei Krankheiten des
Central
nervensyslems, Deutsches Archiv für klinische Med
de ces deux affections nous ont montré constamment que la température
centrale
, quelque intense que soient les mouvements convul
nous avons recherché ce que devient dans ces deux cas la température
centrale
. Dans tous les cas, nous avons exploré la tempé
gnent presque immédiatement d'une élévation notable de la température
centrale
; celle-ci, au contraire, n'est pas affectée d'un
l'on voit à nu le tissu rugueux, irrégulier et celluleux de la partie
centrale
des os du crâne... L'érosion est la plus profonde
ppréciable, et je me vois conduit à conclure que le siège de l'organe
central
du langage articulé,— si toutefois il existe un t
les nerfs périphériques, mais bien sur une partie du système nerveux
central
, telle par exemple, que le cerveau ou la moelle é
urs des membres chez les hémiplégiques reconnaissent tantôt une cause
centrale
, tantôt, au contraire, une origine périphérique.
e rectale 37°,8. 3 et 4 août. — Mémo état, seulement la température
centrale
s'élève progressivement tle4, au soir, elle attei
s'étaient produites sur la fesse du côté paralysé, et la température
centrale
avait atteint 39°, 4, bien qu'il n'existât aucune
n-Séquard, Course of lectures on the ï'hysiology and Pathology of the
Central
Nervous System, I p. 174. Philadelphia, 1860. ' "
. M. Landolt a prouvé récemment que le violet est perçu par la partie
centrale
de la rétine, et que les autres couleurs sont rép
rétine, et que les autres couleurs sont réparties autour de ce cercle
central
, dons des zones concentriques d'inégale largeur,
on des couleurs. Le champ visuel diminuant déplus en plus, la couleur
centrale
, le violet, finira par disparaître. Si cette dimi
tons colorés ; ce n'est que quelques instants plus tard que la partie
centrale
des cartons est vue sous sa couleur réelle. Enfin
ge, le vert, et le violet qui a la plus faible étendue et est le plus
central
. J'ai reconnu des variétés à ce tableau ; à côt
un rétrécissement concentrique de tous les champs visuels; le cercle
central
du violet se rétrécit de plus en plus et disparaî
lexe du phénomène, pourraient être reproduites ici à l'appui du siège
central
de la lésion dynamique qui y donne naissance. M
ce que ce n'est point là un phénomène périphérique, mais un phénomène
central
, spinal, au moins pour une part. Le phénomène du
périmentalement que la tonicité musculaire est un phénomène d'origine
centrale
, le résultat d'une activité réflexe permanente et
, qui fait reparaître l'excitabilité normale dans les centres moteurs
centraux
, et en conséquence, dans les fibres du faisceau p
......"................ 94 IX. Sur les variations de la température
centrale
qui "s'observent dans certaines affections conv
es, ecchymoses viscérales chez les —, p. 86. Apoplexie, température
centrale
dans 1' —, p. 91, 94. Arachnoïde, abcès dans la
72;— du tiers postérieur de la capsule interne, p. 89 ; — température
centrale
dans I' —, p, 91. Hyperexcitabilité neuro - muscu
ison d'une contracture hystérique par—, p. 474,522. T Température
centrale
dans l'apoplexie cérébrale, p. 91; — clans certai
ôté, mais on remarque en plus que la branche supérieure de l'artère
centrale
de la rétine présente un volume anormal, une di
orter aussi à toutes les régions du système nerveux périphérique et
central
. Nous ne pouvons donc pas admettre que, par exe
toires. Nous connais- sons mieux les altérations du système nerveux
central
, que nous observons dans les affections organiq
s non exclusivement, dans la substance grise, qui entoure la cavité
centrale
. Outre cela de petites hémorragies dans la couc
phénomènes oculo-moteurs dans ce cas sont sans doute d'une origine
centrale
; il est vraisemblable, que nous avons eu ici aff
ide, mais encore dans différentes autres régions du système nerveux
central
. M. `ŸEIDENH11)1GR trouve possible, que la dégé
che Beobachtun- gen ûber traumatische Affectionen des Buckenmarkcs,
centrale
Haemotomyelie und centrale HÕhlenhiJdung. » 3
aumatische Affectionen des Buckenmarkcs, centrale Haemotomyelie und
centrale
HÕhlenhiJdung. » 3. Pathogénie et 'traitement d
n (de Glasgow) : a Some newer Methods of Treatment in Diseas of the
Central
Nervous Systèm. » B. Maladies mentales. Thèmes
Une HETÉROTOPIE DE la moelle artificielle; par J. COLINS (Neuralog.
Central
. Ch. XIV, 1895). Il s'agit d'une moelle emprunt
ratique exalterait le zèle des professeurs et des élèves. Une école
centrale
d'infir'miers serait cependant désavantageuse, pa
nt arrivé à 1 gardien pour 8 et même pour 7 ma- lades. Avec l'école
centrale
, les directeurs-médecins devraient en avoir en
et se dirigent individuellement en pleine initia- tive ; le comité
central
d'origine leur sert seulement de lien, d'appui
nclut ainsi : la L'artère cérébrale postérieure alimente l'appareil
central
optique et oculomoteur du même côté; ses termin
ques de la para- lysie générale classique. , Neu1'o-fib1'oIJwtose
centrale
du cervelet et de la base de l'encéphale. : 11\i.
Faculté, ont fait une communication sur un cas de neuro-fibromatose
centrale
du cervelet et de la base de l'en- céphale. C'e
morbide spécial, mais comme un symptôme élémentaire, dont l'origine
centrale
est délimitée localement dans chaque cas, ainsi
VEUSE. 329 XXVII. Troubles DE l'écriture occasionnés par UNE alexie
centrale
isolée; par F. MaACK. (Centralbl. f. 1\enuenlee
graisseuse. L'hérédité cérébrale produit du côté du système nerveux
central
, d'une part, une tendance à l'inflammation diff
appartiennent au faisceau dit déclinant t (M onako tU) , La voie
centrale
de la calotte et la racine bulbaire du trijumeau
t de Varole. Les fibres ascendantes présentent, peut-être, une voie
centrale
pour les fibres du trijumeau, qui conduisent le
a partie principales des fihres se disperse dans la région du noyau
central
de la couche optique; 2° une petite quantité de
uation du système des fibres, décrit par M. Ilüsel, et sert de voie
centrale
du noyau sensitif du triju- meau. · En outre,
consécutives ce qui mène par l'atrophie et la diminution des lobes
centraux
en- tiers et par la sclérose lobulaire, observé
centrales droites, qui a provoqué leur atrophie. La circonvolution
centrale
antérieure, ainsi que la postérieure, sont deux
bstance blanche, le corps calleux et la partie médiane de la région
centrale
de l'hé- misphère droit présentent un vaste foy
rt postérieur de la protu- bérance ; en touchant la-substance grise
centrale
de la région pos- térieure du bulbe il s'en élo
nsidérer comme prouvé qu'on a affaire ici à une paralysie d'origine
centrale
et non périphérique. M. le professeur KOjEWNIKO
verte. Notre conviction d'avoir trouvé la clef des rapports nerveux
centraux
n'était pas une illusion, presque toutes nos re
rnant le système nerveux périphé- sociétés savantes. 417 rique et
central
. Je me suis borné à présenter ici un résumé des
s noyaux paraissent intacts et gardent, en général, leur posi- tion
centrale
. Les altérations que nous venons de décrire son
dis fondamentale parce qu'on avait admis depuis Waller que le bout
central
d'un nerf sectionné et son centre d'origine reste
t toujours la même ; le plus souvent elle occupe la substance grise
centrale
de la corne anté- rieure et postérieure; plus r
s souvent en une accumulation de sang pur sous forme d'hématomyélie
centrale
; ensuite on peut constater l'hémato- myélie ma
anneau de tissu névroglique hyperplasié. VI. Dans ces cas le canal
central
se montre généralement non pas oblitéré, mais o
être expliquée par l'existence d'un foyer. SOCIÉTÉS SAVANTES. 441
central
ascendant (le plus souvent hématomyélie centrale)
IÉTÉS SAVANTES. 441 central ascendant (le plus souvent hématomyélie
centrale
), ou, autrement, elle en fait présumer l'existe
ciation syrin- gomyélique exclusive il n'existe qu'une seule lésion
centrale
loca- lisée. Ces cas arrivent rarement à l'auto
he dite titubante tenait la première place. Dans le système nerveux
central
, la corne antérieure de la moelle et le cervele
un degré faible de concentration, détermine dans le système nerveux
central
des lésions extrêmement nettes qu'on peut recon
idents nerveux graves que chez l'homme. L'examen du système nerveux
central
des animaux qui ont succombé à la suite de l'ino-
s. Etude clinique et anatomo-pathologique d'un cas d'hématomyélie
centrale
. MM Pitre et SABRAZÈs,de Bordeaux. Il s'agit d'
Pitre et SABRAZÈs,de Bordeaux. Il s'agit d'un cas d'hémato- myélie
centrale
de la partie effilée du renflement lombaire consé
es de l'autopsie. En somme, il découle de ce cas que l'hématomyélie
centrale
peut simuler, au point de vue clinique et anato
qui concernent l'action du liquide thyroïdien surle système nerveux
central
, sont assez intéressantes et importantes pour q
la suite de l'interruption d'un tronc nerveux, remonte dans le bout
central
vers le centre trophique, mise en lumière par V
ndrait-elle d'emblée sur les plus fins vaisseaux du système nerveux
central
, à l'exclusion d'altérations du même genre en d
uelles on constatait en même temps : de l'hydromyélie, de la gliose
centrale
, de la sclérose en plaques vraie, et un fait d'
ive dans l'ataxie héréditaire et piobablement ausssi dans la gliose
centrale
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 505 M. Strumpe
; la conservation du goût signifie que la lésion porte sur le bout
central
du ganglion géniculé ; par conséquent, l'altérati
le goitre ou par la sécrétion thyroïdienne, ou subir une excitation
centrale
primitive, chez les basedowiens sans goitre.
ion de l' -, 172. Alexie. Troubles de l'écriture cau- sés par une
centrale
isolée par Maack, 329. Algies. Traitement des
volu- mineux du -, par Trénel et Antheaume, 1. Neurofibromatose
centrale
du - et de la base de l'encéphale, par Mossé et
ale d'origine vasculaire, par liossoliino, 231. 11É11A1'01(Yl.LIC
centrale
, par Pilres et Sabrazès, 412. IIÉll-,E. llydr
percep- tion est absolument rectiligne et ne présente pas d'encoche
centrale
cor- respondant à la macula. Mais ce n'est pa
oitiés par une verticale, sans qu'on puisse constater cette encoche
centrale
qui indique l'intégrité fonc- tionnellè de la m
u de la macula et donner lieu à l'ab- sence temporaire de l'encoche
centrale
constatée habituellement dans l'hémiopie de cau
ment, mais l'hémiopie est toujours complète avec une petite encoche
centrale
. On ne cons- tate aucun trouble intellectuel.
ient aplatis, mais non détruits. Ce corps dur est formé par un bloc
central
de subs- tance caséeuse, enveloppé par une zone
des accès, l'aura, considérée comme l'écho extérieur d'un processus
central
, comme la première expression phénoménale du chan
on en foyer, ni au niveau de l'écorce, ni au niveau des noyaux gris
centraux
. On' note en l'enlevant un oedème sous- pie-mér
tre un lien entre cetle maladie et lesaffections du système nerveux
central
. Ainsi Kobner, qui a fait des observations dans
n intime entre le lichen ruber et les affections du système nerveux
central
. Materne et Dubois- Klarenitli se sont convainc
le lien entre la lésion cutanée et la maladie du système ner- veux
central
était très en relief, le malade observé avait des
it en même temps des altérations organiques dans le système nerveux
central
, comme nous le voyons clairement dans les obser
e dépendance du lichen ruber de , désordres dans le système nerveux
central
est encore plus prononcée. VU. - Un homme de 20
ontre claire- ment, que nous avons devant nous une maladie nerveuse
centrale
, qui se localise dans la moelle épinière. , V
l'él. des symptômes oculaires dans les maladies du système nerveux
central
, th. 18îS, p. 131, 135. (5) 0. Berger, Zur Semi
à notre avis, vigoureusement en faveur de l'existence d'une lésion
centrale
, cérébrale ou médullaire, peut être d'un simple t
, peut être d'un simple trou- ble fonctionnel des noyaux trophiques
centraux
. De plus on ne conçoit pas bien que lorsque tan
férieurs du trapèze, également ossifiés, de sorte que la dépression
centrale
offre, dans son ensemble, la forme d'un coeur de
vé leur coloration normale. Examen histologique. Le système nerveux
central
(cervelet, bulbe et moelle) a été durci et fixé
es cas de paralysie faciale non spécifique, la dégénérescence du bout
central
avec atrophie du noyau, secondairement aux lési
ure. Du côté opposé existe un foyer de sclérose circonscrit et plus
central
(Pl. XXXV,3). On voit donc que l'examen histolo
s le cours de la maladie. OBs. XV. FLORSCHUETZ, Allgemeine Medicin.
Central
. Zeitung, 1873, nos 98 et 99. Berthold H....,
veau de l'articulation chondro-costale des 4e et 5° côtes. La masse
centrale
envoie également en dehors, une masse bifurquée d
1895, XXVI, 1-20. DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
(1). a l'AR NICOLAS SOLOVTZOFF, Prosecteu
u 3, mai-juin 1898. DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
369 pement, peut amener à une atrophie complète
ment des modifications intéressantes dans les ganglions céré- braux
centraux
. La partie du cerveau attenante à ces derniers es
l'hydrocéphalie interne agit sur les bulbes olfactifs ; leur cavité
centrale
est élargie, ce qui se comprend aisément si l'o
mp; crie, Editeurs. DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
373 vrit un cerveau d'un aspect tout à fait ano
érieur. Mais sur des coupes transversales, on remarque que le canal
central
, dans les parties dorsale et cervicale, est trè
amp; Cle, Editeurs. DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
375 Quel mécanisme peut-on invoquer pour expliq
t la cause principale de ces énormes difformités du système nerveux
central
, prenant l'aspect de l'anencéphalie et de l'a-
et même de cerveau. Si ce processus morbide s'étend aussi au canal
central
de la moelle épinière à une distance plus ou mo
e produit aussi une accu- mulation extrême du liquide dans le canal
central
qui peut provoquer un développement incomplet d
Nous allons maintenant étudier la structure fine du système nerveux
central
chez nos monstres. Commençons par l'examen des de
& cie, Editeurs DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
377 Goll, celui de Burdach, la voie cérébelleus
le nerf hypoglosse, le faisceau longitudinal posté- rieur, le noyau
central
inférieur, le ruban deReil, qui est très diminué
ives accessoires, les faisceaux longitudinaux postérieurs, le noyau
central
inférieur, le ruhan de Reil, qui est bien dévelop
I. PI. XLIV T u V DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
(N. Solovtzofr) Cas I. - T. Coupe au niveau d
amp; cie, Editeurs. DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
379 est soudée avec la pie-mère, comme nous l'a
s déjà dit, par une accumulation excessive de liquide dans le canal
central
; cette accumulation de liquide s'est produite
1. XLVI a b c d DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
(N. SoloYtzoff) a. - Cas III. Coupe de la moe
et pneumogastrique. DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
38t En examinant cette membrane par la méthode
ntérieure (Cas IL). DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
383 dans le sublimé ou dans l'alcool pur, alors
x, qui se développent tout à fait indépendamment du système nerveux
central
et reçoivent leur stimulus principalement de la
uite d'une hydrocéphalie interne du cerveau, propagée vers le canal
central
. Le processus ayant débuté à une période très pré
épinière examinons d'une manière plus détaillée le système nerveux
central
de la fillette, chez laquelle était seulement a
élargi, mais pourtant il est clos sur toute sa longueur ; le canal
central
de la moelle est aussi tellement élargi qu'en c
taitpas assez marquée pourprovoquer une ouverture complète du canal
central
et fendre la colonne vertébrale. CI, DES DIFF
e vertébrale. CI, DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
38 Pourtant il est indiscutable, que si le proc
éphalie interne provoque différentes difformités du système nerveux
central
: absence de l'écorce, du pulvinar et des corps g
e qui lui est attribué se trouve au musée de Berlin (1). Le panneau
central
représente la Vierge avec l'enfant Jésus, entouré
sells. sur Psych. und Nerven., 12 décembre 1892. (2) Bruns, Neurol.
Central
! )., 1893. 426 A. SOUQUES ET P. DUVAL lade,
Lévi (9 phot.), 83. Difformités congénitales du système ner- veux
central
, par N.SOLOVTZOFF (28 phot., 5 fig.), 368. Di
SOLOVT70FF (N.). Des difformités congéni- tales du système nerveux
central
(28 . phot., 5 fig.), 368. Souques (A.) et Pi
nier), XXXI, XXXII. Difformités congénitales du système ner- veux
central
(N. Solovtzoit), XL, XLI, XLlI, XLIII, 1LIV, XL
corps amyloïdes. Ces derniers abondaient également autour du canal
central
. Développement du tissu conjonctif dans les cor
constatait un grand nombre de corpuscules amyloïdes autour du canal
central
. ' ALTÉRATIONS DE LA MOELLE EPIXIHRH. 39 GROU
- rescence du bout périphérique du nerf opéré, tandis que le bout
central
restait normal. Le Dr Geu fit dans le laboratoi
nstata la dégénérescence du bout périphé- rique, tandis que le bout
central
restait intact. En somme, il se prononce en fav
contrait quelques tubes indemnes de toute altération. Dans le bout
central
, au contraire, au milieu d'un grand nombre de
u tissu conjonctif qui entoure les faisceaux nerveux des deux bouts
central
et péri- phérique, et qui, selon lui, se transf
faite avec une force de 4 à 5 kilos, nous trouvons : 1° Le canal
central
distendu par un exsudat plas- tique ; 2° De l
t avec une force de 5 kilos. Fig. 4. Tubes nerveux indemnes du bout
central
du nerf sciatique d'un lapin sacrifié 8 jours a
la curabilité des quelques mala- dies organiques du système nerveux
central
est une des plus intéressantes que la pathologi
paire chez les reptiles qui représente le développement de l'organe
central
du cerveau moyen; chez l'iguane, elle fait sail
K. V. SUR LES paralysies PROGRESSIVES ATROPHIQUES, LEUR NA- TURE
centrale
ou périphérique; par C. EISEVLOHR. (Neurol. Cen
i bien sur les or- ganes nerveux périphériques, que sur les organes
centraux
. L'auteur relate une observation de paralysie p
névrite multiple a succédé à des troubles fonctionnels des organes
centraux
; ce qui signifie que tou- jours, même lorsqu'e
es psychiques greffés sur une anomalie de développement de l'organe
central
(congé- nital, infantile, juvénile), comportent
eils ganglionnaires locaux des parois vasculaires. 2° L'application
centrale
de l'électricité déterminerait aussi, dans les ca
s souffrant d'hémicranie et d'autres de névroses du système nerveux
central
ont, de même, montré que, dans une application
tème nerveux central ont, de même, montré que, dans une application
centrale
appropriée, le courant faradique se comporte, a
des courants électriques exactement comme les névroses des organes
centraux
. - 6° Il est des cas qui, par leur tableau clin
ubitablement de formes morbides à lésions anato- miques des organes
centraux
; or, ils se sont comportés vis-à-vis des deux s
au chaude en un cas morbide, est la môme que celle de l'application
centrale
des courants galvaniques et faradiques. L'eau f
thérapique par les centres on sont même aggravées par l'application
centrale
de cet agent. En revanche, quelques uns de ces
prenaient habituel- lement leur véritable origine dans les organes
centraux
ou exceptionnel- lement, dans les ganglions. El
ranie et disparaissaient, à la condition qu'elles fussent d'origine
centrale
, par l'électrisation du bulbe ou de la moelle c
e sont en rapport direct avec l'intensité de la paralysie. L'acuité
centrale
se comporte à peu de chose près comme la paralysi
x bénéficient de la charité légale. Cette in- tervention du pouvoir
central
vis-à-vis des aliénés riches a été vivement cri
ades y trouvent place. Le tiers des aliénés occupe un établissement
central
dans le genre des autres asiles ; les autres, r
s, nouvellement construites à quelque distance de l'éta- blissemeut
central
, tout près du domaine et du village. Une chaus-
lage. Une chaus- sée coupe le terrain : d'un côté on trouve l'asile
central
; de l'autre, est la ferme avec les bâtiments éc
omiques et les locaux exlé- varia. 141 rieurs des colons. L'asile
central
se compose de pavillons séparés : bâtiments d'a
ux obser- vations de M. Charcot. G. D. XXI II. UN cas DE syphilis
centrale
secondaire; par M. le Dr LANDOUZY. (FI', méd" 1
pèce d'une lésion ou d'un trouble fonctionnel de la substance grise
centrale
du plancher du troisième ventricule (Christian
èsavoir'cousulté'le bureau royal de sta- tistique, et la commission
centrale
, admis Jespropositions.,de la Société. 1 Déso
'excitation aussi bien adéquate, qu'électrique ou mécanique du bout
central
extra ou intra-crânien du nerf optique exerce t
Traube et Hoscnthal ont constaté à la suite de l'excitation du bout
central
de la partie cervicale du pneumogastrique. C'es
tout à fait le contraire qu'on ob- tient après l'excitation du bout
central
du trijumeau. Les excita- tions du nerf auditif
ux qui se rattachent à des lésions matérielles évidentes du système
central
. Ces lésions ne sont pas absolument rares chez
par le côté gauche, extension rapide aux deux cristallins. D'abord
centrale
, elle ne tarde pas à se généraliser. Elle peut
e l'hémichorée a résulté d'un foyer ancien gagnant certains tractus
centraux
, d'où le diagnostic d'hémichorée posthémiplégiq
quième paires dor- sales. Elle refoule en avant et àgauche l'organe
central
, qu'elle réduit à l'état de ruban (ramollisseme
e la névrose électrique. Quand on a longtemps électrisé les organes
centraux
, ils souffrent, et cette souffrance se traduit
e la sclérotique; on voit encore l'émergence irrégulière de Tarière
centrale
de la rétine qui nait parfois sur le limbe de l
ues; donc il représente un élément de diagnostic entre les troubles
centraux
et périphé- riques ou plutôt entre les paralysi
es. On peut par conséquent supposer que, par ce fait, les districts
centraux
en question avaient été pen- dant la vie le siè
la province du Rhin, 445. Surdité verbale, 95. Syphilis, 99; - (
centrale
secon- daire), 226 j - (cérébrale), 226. Syst
avec une force de 5 kilos. Fig. 4. - Tubes nerveux indemnes du bout
central
du uerf sciatique d'un lapin sacrifié 8 jours a
vet. - Influence de la syphilis sur les maladies du système nerveux
central
, th. d'agrégation, 1880. 3 Pierre Marie. Leçons
Jeunes et âgés appartiennent à des familles où le sys- tème nerveux
central
est électivement frappé de déchéance, et où les
.) Revue critique. Les hallucinations sensorielles sont d'origine
centrale
, mais il peut se faire que les voies nerveuses pé
ns DES cellules nerveuses DE la moelle; par K. SCHAFFER. (Neurolog.
Central
., 1891.) Conclusions en partie conformes aux re
CHERCHES anatomiques SUR la marche DES FIBRES DE la SUBSTANCE GRISE
CENTRALE
DES CAVITES CÉRÉBRALES ET LA DISPARU- TION DES
on de l'infundibulum; 2° Les fibres qui occupent la substance grise
centrale
des cavités, se terminent dans les noyaux des c
racine descendante, dans les grosses cellules de la substance grise
centrale
des ventricules, autour de l'aqueduc de Sylvius.
à 50 , dans lesquelles il est parfois permis de distinguer un noyau
central
et une écorce périphérique, mais jamais de couc
re de la cécité psychique. Quant à la transforma- tion des troubles
centraux
de la vue en hallucinations visuelles pressées
est impossible-est suivie d'une dégénérescence des fibres du bout
central
et des cellules dont ils proviennent. Expérience
proprement dite. M. le Dr DORNSCfII : VITCTH est d'avis que le bout
central
des fibres est atteint de dégénération consécut
ceau de Flechsig (allant de l'entre-croisement à la substance grise
centrale
du troi- 136 SOCIÉTÉS SAVANTES. sième ventric
es plaques motrices dans les diverses affections du système nerveux
central
et périphé- rique : maladie de Charcot, polynév
à clefs. Dans les sections d'agités, de gâteux, d'alités, chauffage
central
à l'air chaude Tout est planchéié à l'exception
te de l'hyperplasie de la couche profonde du périnèvre, et, du côté
central
, par le tissu intra- fasciculaire du fascicule
ROGRESSIVE. 201 de loges, qui rayonnent autour du corps chromatique
central
. Il en résulte alors un aspect COl'olli(01'me.
qui se sont élevés sur la pathogénie de cette lésion. A. Théorie
centrale
. Pour Erb 1, les myopathies recon- naîtraient u
e transmission des sons, et est relié de l'autre au système nerveux
central
? C'est par ces derniers liens que la pathologi
tes D/ tube = o ; D / os = o ; D/ or opposée = o. Large perforation
centrale
à gauche, avec enfonçure du tympan; et manche '
, gros corps thyroïde. M= à 65 centimètres à droite et à gauche. DV
central
mobile à volonté par l'occlusion des oreilles.
r. - B, D/ oreille opposée = B, c'est-à-dire réflexes intacts, D.V.
central
. Tympans normaux et mobiles sur les yeux, mem-
est pas seulement par suite de ses rapports avec le système nerveux
central
que l'appareil percepteur des sons réagit d'une
droite qu'à gauche et M = à plus de 50 centimètres à droite, D. V.
central
.' M. Bien perçue sur le crâne à droite et à gau
indique que le siège de la lésion cause de surdité gauche n'est pas
central
; ce n'est pas une lésion du foyer sensoriel : nou
i produisent une diminution de l'activité fonctionnelle de l'organe
central
(exemple : maladresse tardive et toute particuliè
om de noyau mé- dian antérieur, - enfin un noyau impair sagittal ou
central
avec ses REVUE DE pathologie NERVEUSE. 263 gr
tribution A l'étude des affections syphilitiques DU système nerveux
central
; par R. SCHULZ. (Neurolog. Centralbl., 1891.) O
lytiques. P. K. VII. UNE observation DE syphilis DU système nerveux
central
BEVL- tant l'aspect d'une paralysie générale ta
occupant tous les systèmes et tous les éléments du système nerveux
central
; de là la multiplicité des symptômes. P. K. V
Trousseau se rattachent à l'hyperexcita- bililé du système nerveux
central
(cerveau -bulbe - moelle). Les troubles vaso-mo
e parenté des convulsions cloniques et toniques; 3° la localisation
centrale
des premières; 4° la disparition de ces convuls
tération de la forme du truuble visuel, de l'existence d'un scotome
central
, d'un scotome pour les couleurs, de l'unilatéra
ellectuelles, mais en même temps se développe une paralysie motrice
centrale
progressive. La genèse des paralysies du syst
ctivité volontaire, ainsi que la paralysie motrice aiguë, d'origine
centrale
. Le thé, au contraire, agit peu sur l'activité
le chloral et l'opium, pouvant agir défavo- rablement sur l'organe
central
de la circulation; excellence des bains chauds
erminant la microcéphalie dépend essentiellement du système nerveux
central
, et la déformation (ou malformation) crânienne
tions congénitales ou accidentelles, de maladies du système nerveux
central
ou périphérique, ou de laloneuroses spasmodique
s hystériques etl'on ne saurait guère imaginer une lésion organique
centrale
ou périphérique susceptible de réaliser une sem
érébral qui amène un état de faiblesse irritable du système nerveux
central
; toutes les causes dépressives pourront donc a
les mêmes prisonniers : les rapports adressés à l'ad- ministration
centrale
en font foi. Ces rapports ont attiré l'attention
. Journal of nervous and mental diseases. Bremer (L.). Itching of
central
origin or brain. Brochure in-8° mu BULLETIN BIB
le bruit scandé, irrégulier, fût transmis et perçu par les organes
centraux
de l'audition, étant donné les insertions supér
tch et Fikhonof. - Des affections consécutives du sys- tème nerveux
central
. Après avoir présenté deux malades atteints d'a
or. croit que beaucoup de symptômes qu'on pourrait considérer comme
centraux
, dans les névrites aiguës, dépendent en réalité
amy- loïdes du -, par Redlich, 114; affections consécutives du
central
, par Darkchévitch et Fik- lionof, 471. ' - Ta
'épilepsie (Voir W. Iîecblerevv Messager de Se1l1'ol. 1SU3. Ncurol.
Central
1894 ; voir aussi la Revue de l'sych., 1897 el
cles entrant en jeu, son exagération indique la lésion du neu- rone
central
; sa diminution ou son absence trahit la lésion d
s. Les paralysies organiques, à raison de la destruction du neurone
central
, s'accompagnent presque toujours d'une diminuti
énoncé plus haut. La fausse sensation tient à l'excitation du bout
central
des conducteurs de la sensibilité et du sens mu
ceux-ci attirant à eux le pouvoir suprême sur le système nerveux
central
en augmentant la masse et la surface deleurprotop
n'indique pas la constitution des libres nerveuses dans la portion
centrale
(le la racine postérieure opérée. Or la recherche
e apparaît bleu-clair. Sont aussi distincts : les cellules du canal
central
avec leurs noyaux basaux ; les noyaux du périne
(R.). Thérapeutique aérienne antiseptique. Iu-8° de 3d pages. Imp.
centrale
Le Mans. CROS-MAYREVIELLE. L'assistance publiqu
VEUSE. seulement quelques rares cellules avec chromatolyse légère
centrale
et quelques cellules très riches en pigment. Mé
uments entre les divers asi- les et faciliterait à l'administration
centrale
la centralisation de renseignements très import
condaire, in- demne d'une affection syphilitique du système nerveux
central
, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 111 trahit un état c
à la méthode de coloration des fibres nerveuses du système nerveux
central
; par A. D. KAT- ZOWSKY. (Obozn ! nie psichiat1
ce mélange pendant 5 à 7 heu- res les fragments du système nerveux
central
; on les porte en- suite dans une solution aque
et les capillaires du noyau dentelé du cerve- let et des ganglions
centraux
du cerveau présentent la dégéné- rescence calca
munication des gaines optiques avec la cavité cérébrale et l'oedème
central
ne peut se propager au tronc du nerf optique. L
la moelle, dans la com- pression de la moelle, dans l'hemaiomyelie
centrale
et l'apo- pleaie du cordon latéral de la moelle
é du muscle par rupture de la communication avec le système nerveux
central
, ex. : destruction et atrophie des centres etco
ssant à une affection profonde jusque là latente du système nerveux
central
. P. KERAVAL. SOCIETES SAVANTES SOCIÉTÉ DE NIW
cien- ce, remontent désormais à la surface et accaparent le champ
central
de l'attention. Jlead s'était borné à enlever à
athique, souvent curable par un traitement local approprié, l'autre
central
, psy- chique, le plus souvent héréditaire et di
lus reculés jusqu'à nos jours ont divisé les médecins sur l'origine
centrale
ou périphérique de l'hypochondrie. Enfin, à p
s est une perturbation ou un ébranlement, d'origine périphérique ou
centrale
, de la cénesthésie cérébrale, en un mot une psy
e l'incitation peut bien être d'origine tantôt périphérique, tantôt
centrale
, et qu'ainsi l'opinion de M. Pierre Roy se just
le cercle et l'on admet qu'il peut traduire une lé- sion uniquement
centrale
. Or, la paralysie générale, affection des centr
oins des sensibilités. Il s'agi t donc bien d'un désordre d'origine
centrale
. On doit corriger les mouvements^convulsifs par
que : le sterno-mastoïdien tire son innerva- tion motrice du groupe
central
des deux premiers myélato- mes cervicaux. Dan
ns des cas de troubles organiques du faisceau pyra- midal. L'organe
central
, le seul qui nous intéresse à pré- sent, pourra
s- ceauimportantdans l'organisa lion interne du[système ner- veux
central
;il existe également très développé dansla série
(3) Solovtzoff. (Des difformités congénitales du système ner- veux
central
. Nlle leonobr. de la Salpètl'ière, 1808, p 308) a
us avons l'expérience des con- cours régionaux, celles des concours
centraux
; un nouveau con- cours ne donnerait pas un rec
gisse d'une même poussée pathologique ayant dans la substance grise
centrale
af- fecté laforme dcsyringomyélio gliomateuse,
igna- ler, après le décès, l'abaissement progressif de la chaleur
centrale
qui arrive à se mettre de niveau avec la tempér
mission des impressions douloureuses. La dou- leur est un phénomène
central
, cérébral, résultant uniquement de la difficult
premiéroétant surtout d'origine périphérique clin seconde d'origine
centrale
, mais tontes deux avant pour sur stratum l'ébra
onstaté une lésion exacteiiieiilloci- lisée aux groupes cellulaires
centraux
et latéraux des 3° el -'m mjclolomcs cervicaux.
ocu ! aire,x;0] ! ! ati(jue,. indique les dégénérescences delà voie
centrale
des muscles corres- pondant* : celle dégénéresc
enciation de la substance grise d'avec la blanche, car de la partie
centrale
de la moelle il ne reste plus qu'un tissu vagueme
tant dans le sillon antérieur que dans la moelle, même dans la zone
centrale
, sont légèrement épaissis dans leurs deux tuniq
dans la moelle au niveau de la compression maxima (ramollissement
central
: à la périphérie destruction moins forte de la
dimi- nution de volume très probablement relève plus de la perte
centrale
complète en tissu nerveux que de l'action direc
la moelle, à la grande intensité duquel parait dû le ramollissement
central
qui existe la où cette péri-pachyméningite est
. 448 PATHOLOGIE NERVEUSE. lÙ'Il/ncn histologique : Le gros noyau
central
qui se trouve dans ]au)'e-Mtf'')'eestung ! 'os'
s typiques, abondants surtout dans le voisi- nage du gros tubercule
central
. Les vaisseaux durc-mériens sont très sclérosés
ll1alulysl' presque complète ; le novau est cependant conservé el
central
: dans des rares cellules il est invisible. Les
ra antériuur llu sepLum.1u nivcau tlt ermunls L` ? -LI, le faisceau
central
conservé reprend une forme à peu près trian- gu
(1 IC : UL\IïO : \S 11 : I>l ! Ll.\lRE, 1 : 1"/ I totyse, tantôt
centrale
, tantôt périphérique : ! eno\ : u)esf.dan< l
: ! eno\ : u)esf.dan< la grande majorité des cellules, visible,
central
et n'offre d'al- térations d'aucune sorte. Au n
ts proloplas- lI11qIll's sont ordinairement peu nets : le noyau est
central
ou périphérique, dans quelques cellules seuleme
se ces douleurs en trois groupes : douleurs intercostales d'origine
centrale
, douleurs intercostales d'origine périphérique,
- tion it la méthode de colora- tion des - - du système nerveux
central
, par Kat- sowslw, 11 : 1. Folie de la persécu
antérieure du corps genouillé en dehors de laquelle est la masse
centrale
de l'hémisphère. Ces parties étant reconnues; n
ker. Gewebelehre, 18G7, page 306. 1 L. Stieda.- Stii(lien iiber das
centrale
Neî,veiilstea der Wirbelthiere. Leipzig, 1870.
côté distingue trois noyaux d'ori- gine au nerf auditif : son noyau
central
correspond au noyau médian des racines postérie
ue dans le myxoedème, il existe une altération du système nerveux
central
. En effet, dit-il, dans tous les cas on a observé
orth pense, de son côté, que le myxoedème est une maladie d'origine
centrale
, sous la dépendance de troubles de la nutritio
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Contribution A l'étude DE la sclérose
centrale
(SCLÉ- rose PLRII ! PENDYJI11RE); parAug. Eickh
eté, une coloration rouge livide, une légère dilatation de l'artère
centrale
avant sa division en des ramifications exiguës,
stérieurs dans la région cervicale, une dilatation brusque du canal
central
à partir du segment dorsal supérieur de l'organ
om- pagnent alors de la prolifération de la substance gélatineuse
centrale
. Les cordons sont peu atteints, mais les cornes d
suivent, elles aussi, la marche de l'agrandis- sement de l'octasie
centrale
. En somme, tout portant à conclure à la dilatat
V. La question du galvanomètre; hal 1C D Er11C5L liE\fAü (Berlin). (
Centrale
, f. Ne·vet7reaZ7unde, n° 12 du 15 juin 1880.)
d'hyocyanium. Il applique l'électricité sous forme de galvanisation
centrale
et de courant bi-temporal. L'ex- citation menta
En aucun cas,W... ne constata d'altération anatomique dans le bout
central
par rapport au lieu de préhension. Pas de troub
riva peu à peu a la période de centralisation;, en fondant un asile
central
pour les aliénés criminels. Dans cet. asile, que
l n'y a rien d'anor- mal, tant à la surface que dansles noyaux gris
centraux
(Fig 9). Hémisphère droit. A travers les méning
dans le cas actuel, que comme un simple trouble trophique d'origine
centrale
. On pourrait donc invoquer ce fait comme preuve
oir ces catégories de malades, ou bien encore créer un asile d'Etat
central
; car s'il est admis que ces individus seront à la
SAVANTES. accès : Je m'appuie pour condamner la création d'un asile
central
sur ce fait, qu'à Broadmoore, on trouve des mal
rveillé, sera calme et inoffensif demain. L'enverrez-vous à l'asile
central
? 2 . M. Motet. Presque tous nos malades en son
ins caractères, l'oeil gauche, l'impres- sion habituelle. La vision
centrale
est réduite à droite d'un tiers, à gauche d'un
rieur du nerf. Remarques sur l'anatomie comparée du système nerveux
central
, relatives principalement aux trois classes les
na esculenta et pipa dorsigera) ce nerf naît de deux racines, l'une
centrale
, l'autre latérale, toutes deux originaires du l
contondant était survenue une légère diminution à l'acuité visuelle
centrale
, coïncidant avec un état trouble de la rétine é
ation en sera effectuée. De l'action de la lymphe sur les organes
centraux
, par le Dr Th. Rumpf. La double série d'expérie
nsi les résultats de ses recherches : 9° Pour conserver les organes
centraux
, il ne suffit pas de leur assurer une circulati
absolue de cette continuité détermine la des- truction des organes
centraux
, effectuée en partie par l'action de la lymphe
sous ce titre : Action de l'ergot de seigle sur le système nerveux
central
, le résultat de l'examen pratiqué par lui sur l
e; F. Allier, 1882. AGENO (L.) et BEISSO. Del sistenza commissurale
centrale
dell' erzce- fale Mniano. Un vol. in-4", Gènes
e(rir.30)'. I. Fer- rier avait observé que l'intégrité de la vision
centrale
et de la région avoisinante semblait spéciale a
correspondant, et de la moitié interne de l'oeil opposé, la vision
centrale
étant presque toujours res- pectée dans tous le
yenne des fibres de ces or- ganes contient le système de projection
centrale
du sens de la vue, entre autres parties constit
371 l férieur et le font empiéter sur la partie inférieure du gyrus
central
antérieur (circonvolution frontale ascendante).
ébrale, par Ch, Féré, 338. Anatomie comparée du système nerveux
central
, 237. Anomalie de formation particulière du c
'), 376. Ergot de seigle (action (10 l') sur le système nerveux
central
, 242. Er«onsme (psclioses claus l'), 1>ar
ma),936. .( ? (distubution du nerf dans la tétme). 311. Organes
centraux
(action de la lymphe sur les), 210, Paralysie
la moelle épinière dans un cas de récente), 103. Système noivuux
central
(action de l'ergot de seigle sur le), 212. Ta
e connaître l'importance. Bechterew propose pour lui le nom de voie
centrale
de la calotte. Il apparaît au-dessus et en arri
à former la capsule blanche. Il faut éviter de confondre ce cordon
central
de la calotte avec un petit faisceau visible da
res parties de la formation réti- culaire, par conséquent du cordon
central
; et se compose de fibres issues de la substanc
longitudinal postérieur, s'en- chevêtrent avec une partie du cordon
central
, mais on reconnaît chez les foetus de sept mois
emiers sont munis de forts manchons de myéline tandis que le cordon
central
est encore amyélinique. Le cordon central gagne
line tandis que le cordon central est encore amyélinique. Le cordon
central
gagne le cerveau en s'infléchis- sant en bas et
let, les giosses olives font presque complètement défaut, le cordon
central
de la calotte manque absolument, les noyaux len
de circonspection, à partir du moment où j'entrais dans les organes
centraux
et dans l'écorce, afin d'éliminer le plus pos-
mitive, soit à des doubles vasomoteurs intrarénaux (système nerveux
central
ou grand sympathique). Le pronostic en est béni
une inspection générale réor- ganisée, fortifiée, et par un comité
central
qui les relie et qui exerce son influence- sur
sons centrales, comme le Gouvernement en a fait l'essai à la maison
centrale
de Gaillon, ou des établissements nouveaux cons
ype de surdité verbale auquel je donnerai le nom de surdité verbale
centrale
. La plupart des cas de surdité verbale centrale
de surdité verbale centrale. La plupart des cas de surdité verbale
centrale
se présenteront avec les caractères suivants :
on cor- recte. Le plus grand nombre des observations de surdité
centrale
des mots mentionnent, en même temps que la surd
gnale pas habituellement dans les obser- vations de surdité verbale
centrale
le défaut d'imagi- nation orale; c'est à tort q
ée. Comment expliquer les symptômes habituels de la surdité verbale
centrale
? La formation des images orales consécutivemen
DE 1,A SURDITÉ VERBALE. 187 II. Tous les faits de surdité verbale
centrale
ne se présentent pas aveclasymptomatologie préc
ve, et que par suite la paraphasie consécutive à la surdité verbale
centrale
n'existe pas. III. Les considérations précédent
chenschrift, 1883, n<" 51 et 52. y Loc. cit. DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS L'ÉPILEPSIE. 209 clonusme parait pour le m
ui de myoclonie que lui propose See- ligmüller. DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS L'ÉPILEPSIE; Par BOURNEVILLE. - Les rech
itzoz,. Ioutpellier et Paris, 1886, p. 1072; etc. DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS 1,'ÉPILEPSIE. '2) ! 1 semblant à un accès
S L'ÉPILEPSIE. 2)3 3 - 21 le CLINIQUE NERVEUSE. DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS 1/ÉPILEPSIE. 215 Chez vingt-sept malades n
ciennes : lo les accès isolés d'épilepsie augmentent la température
centrale
; 2° cette augmentation varie entre un dixième
ait qu'il s'agit d'un mode d'in- fection nouveau du système nerveux
central
et des nerfs (proces- sus chronique) ; il est d
; intégrité des cellules. Accumulation d'endothélium, dans le canal
central
au milieu d'un tissu scléreux. Les veines centr
malades suffirait par cour d'appel ; on aurait eu ainsi une maison
centrale
d'aliénés, comme on a une maison centrale pénit
urait eu ainsi une maison centrale d'aliénés, comme on a une maison
centrale
pénitentiaire. Les faits n'ont que trop démontr
e place dans le quartier des condamnés d'aliénés annexé a la maison
centrale
de Caillou, et lorsque le Gouvernement a' préparé
Bicètre, nous apprenait que notre malade se trouvait à la Maison
centrale
de Gaillon. Aussitôt nous avons écrit au direct
ur vagabondage et tentative de vol; que, d'abord écroué à la Maison
centrale
de Poissy, il en avait été extrait le 12 jan- v
le Dr Boularan, médecin du quartier spécial d'aliénés de la Maison
centrale
de Gaillon, nous apprenait en même temps que du
ouait s'être évadé de Ricêtre;ma)gréce)a, il fut envoyé à la prison
centrale
de Poissy, d'où en janvier 1886, à cause de ses
on orale. Au contraire de ce qui se passe dans la surdité verbale
centrale
, l'imagination orale n'est pas atteinte dans la
mment, avec la surdité corticale partielle. , 2" La surdité verbale
centrale
{type Giraudeau) ca- ractérisée par la perte de
ter les mots sans autre trouble du langage. 3° La surdité verbale
centrale
{des illettrés et des auditifs) caractérisée pa
rales. (Dans le cas de lésion du centre mp il y a sur- dité verbale
centrale
. Par la ^oie mp io, les images orales communiquen
d le centre me peut sup- pléer le centre mp, il y a surdité verbale
centrale
(type Giraudeau) ; quand le centre mé ne peut s
le centre mé ne peut suppléer le centre mp, il y a surdité verbale
centrale
(des illettré* et des auditifs) JAMES JACKSON
6K; déformation de la papille et émer- gence anormale des vaisseaux
centraux
; atrophie de la verge, cryptorchidie ; scrotum
même, les criminels qui étaient passagè- rement malades à la prison
centrale
ont été tranférés au lazareth de cette prison;
iers seulement des malades dut être séquestré dans un établissement
central
relati- vement fermé, les deux tiers étant hosp
ai installé également dans la plus grande partie de l'établissement
central
et qu'actuellement je n'ai sur six cents aliéné
, 319 ; procursive par Bourneville et Bricon , 3121 ; Température
centrale
dans l', par Bourneville, 209. Glande pinéale
sibilité ni de la motilité. Tout ici indiquait une. lésion nerveuse
centrale
, grave, et probablement cérébelleuse. On pencha
t en l'espèce est l'intégrité relative des compartiments sensoriels
centraux
: la dégénérescence porte ' principalement sur
s-ci correspondent presque exclusivement aux faisceaux ^ sensoriels
centraux
, c'est-à-dire aux compartiments 'sensoriels' ce
sensoriels centraux, c'est-à-dire aux compartiments 'sensoriels'
centraux
. (Ueb. ar/Mc/te«6 ? t6K<Me/fe< : <H d.Ge
arie au Congrès de médecine de 1900. On les observe dans les noyaux
centraux
, surtout dans le noyau len- ticulaire, et elles
lui vint en aide et le transporta dans une voiture à bras au bureau
central
où il reçut les soins que récla- mait son état.
de Gaillon, installé dans une des dépendances de l'ancienne maison
centrale
, cessera, à dater du 4 janvier 1903, 78 , » FAI
. ' 1° Nature de la tumeur. -La tumeur estconstituéepar une masse
centrale
nécrosée entourée de tubes à cellules cylindrique
tubes revêtent deux aspects. On voit tantôt un petit tube à lumière
centrale
vide, à paroi formée par de hautes cellules cyl
Sur les coupes parallèles à l'axe, on voit parfaitement les tractus
centraux
vasculo-conjonctifs s'anastomoser, de même on p
papilles richement rami- fiées, dont chacune possédait un vaisseau
central
, très peu de tissu conjonctif et un double revê
entent déjà des signes indéniables d'altérations du système nerveux
central
. B. -11'ystugmus avec exagération des réflexes.
'ici encore une anomalie dans le développe- ment du système nerveux
central
a entraîné l'apparition des signes morbides.
al des manifestations nerveuses de même nature, d'origine nettement
centrale
(inégalité pupillaire, asymétrie faciale, exagé
it en effet regarder ces types comme les représentants d'une lésion
centrale
progressive- ment croissante d'après la variété
t être admise dans la plu- part des cas. Le rôle du système nerveux
central
a été démontré expérimentalement. Vulpian a éta
tremblements infantiles à une altération définie du système nerveux
central
Sans vouloir empiéter sur le domaine de l'anato
moelle surtout des cordons antéro-latéraux et de la substance grise
centrale
. Suivent un certain nombre de considérations su
- rait comparable à celle des mêmes agents sur le système nerveux
central
(anesthésie chirurgicale). Il est certain que le
poison plus violent que l'éther pour le système nerveux aussi bien
central
que périphérique, et cela probablement parce qu
a surface opposée de la scissure de Sylvius droite. Les ganglions
centraux
droits étaient aussi envahis par la tumeur qui av
tion et une altération de tout le sys- tème nerveux périphérique et
central
; tantôt c'est le système péri- phérique qui sou
système péri- phérique qui souflre le plus, tantôt c'est le système
central
. C'est pourquoi on observe des cas de polynévri
e dans la scis- sure de Glaser. ni de celle du bout périphérique ou
central
du facial dans le trou stylomastoïdien. L'élong
cité verbale pure, cécité générale avec conserva- tion de la vision
centrale
. Perte du sens stéréognostique, du sens de l'or
e des centres nerveux et décrit successivement l'ap- pareil nerveux
central
: Ie De la motilité et de la sensibilité géné-
iomoteurs, les voies efférentes et afférentes de l'appareil nerveux
central
du langage, etc. M. B. VII. Des maladies mental
upérieurs et du tiers infé- rieur des deux cornées, sur le méridien
central
; persistance de cette altération jusqu'à la mo
liénés atteints de lésions ou de troubles graves du système nerveux
central
; or, l'influence du système nerveux sur l'état
tres nerveux. Trois d'entre eux avaient envahi la substance blanche
centrale
d'un des hémisphères. Deux avaient également dé
point d'envahir, dans- certains cas, la totalité du système nerveux
central
et périphérique à la façon d'une véritable mala
ntrent des tumeurs 7nul- tiples envahissant tout le système nerveux
central
sous la forme de noyaux isolés, plus ou moins v
eu à examiner deux cas de ces tumeurs multiples du système nerveux
central
, et toujours, dans tous les noyaux, nous avons
s affaire, en réalité, à une sarcomatose de tout le système nerveux
central
ou périphérique. Enfin, comme nous le verrons p
et l'existence des noyaux sarcomateux dans tout le système nerveux,
central
ou périphérique, et leur évolution fibreuse, et
noyaux néopla- siques. Dansies deux affections, le système nerveux
central
peut être atteint, alors que le fait est, depui
et cyanose des extrémités ; abaissement notable de la température
centrale
qui est en même temps inversée, le degré thermiqu
la situation de médecin en chef de classe exceptionnelle. Un bureau
central
d'examen des aliénés du département, annexé il
par la fonda- tion, dans des contrées convenables, d'établissements
centraux
, reproduisant en petit les institutions spécial
ers dans le phleg- ? non. - Phlegmon ante et rétro-sternal. Pneumonie
centrale
, gauche. Autopsie. Péricardite fibriazo-purule
stantes. ' De ce qui précède, s'impose le diagnostic de pneumonie
centrale
des deux lobes du poumon gauche. Péricarde. Nou
nclusion unique, l'existence de certaines relations entre la région
centrale
du lobe pariétal et les états de mélancolie. 1°
e produits chez les animaux par l'excitation de la région pariétale
centrale
; 2° Que cette région est en relation étroite a
la partie REVUE D'ANATOMIE El' DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 501
centrale
, diminue, et on constate assez souvent qu'à leur
tance gélatineuse de tiolaitdo, comme celles qui entourent le canal
central
persistant forment la substance gélatineuse pér
eux couleurs se rencontrent au milieu du spectre. Alors, à ce point
central
se développe une couleur nouvelle, le vert : puis
. La lésion du nerf est-elle primitive ou secondaire à une lésion
centrale
? La moelle est incontestablement lésée : on ne p
n de l'autre, ce sont deux effets d'un même état du système nerveux
central
. ' Un cas de paralysie radiculaire supérieure b
îne tubuleuse finement striée dans le sens de sa longueur ; 2° un axe
central
que revêt, peut-être, une membrane pellucide. Cet
issait en un même système. Cet organe intermédiaire est Une cellule
centrale
. Les cellules nerveuses sont connues depuis lon
rateur d'impulsions. En effet, la fibre sensitive agit sur la cellule
centrale
et la modifie de manière à réveiller en elle une
que, et le plan médian qui sépare ces deux moitiés du système nerveux
central
coïncide avec le plan médian du corps. Dans les
ion démontre qu'il y a également des segments dans le système nerveux
central
. Cette proposition est certaine dans les animau
l un segment réel ? y a-t-il pour chaque vertèbre un ganglion nerveux
central
? C'est là une question importante au point de vue
e rapports entre elles. Ainsi, dans les animaux qui offrent une masse
centrale
formée de ganglions distincts, plus les filets qu
t plus on pourra concevoir de perfection dans l'action de cette masse
centrale
(1). 11 y a plus de véritable philosophie dans
xacte et très-simple de la disposition élémentaire du système nerveux
central
dans un animal vertébré (1). Nous prendrons pour
isceaux longitudinaux, qui se confondent le plus souvent avec l'arête
centrale
des cordons antérieurs ; mais qui, dans certains
deux amas, que nous désignerons l'un et l'autre sous le nom de noyau
central
des couches optiques, communiquent entre eux, dès
gent en étages superposés sur la valvule de Vieussens; 2° Le lobule
central
compris dans féchancrure semilunaire ; 3° Le lo
le domine, on a pu croire, avec quelque raison, qu'il était le moteur
central
des facultés génératrices. Mais peut-être s'agit-
uflés autour de l'ensemble du ventricule latéral entourent une région
centrale
qui recouvre le noyau d'enroulement. Cette région
ui recouvre le noyau d'enroulement. Cette région porte le nom de lobe
central
ou d1Insula. L'ensemble de ces lobes a la forme d
ts, et leur ensemble décrit une courbe assez régulière autour du lobe
central
. Mais à mesure qu'ils se développent, cette courb
ps strié externe, est Yinsula. Nous lui donnons encore le nom de lobe
central
. Ainsi, nous distinguerons, sur la face externe
e l'hémisphère , cinq groupes de plis ou cinq lobes, savoir : le lobe
central
, et autour de celui-ci quatre lobes : le frontal,
ntal, le pariétal, le temporo-sphénoïdal et l'occipital. A. Du lobe
central
. Ce lobe est complètement lisse dans la plupart
t représentés par Rolando, par M. Arnold et par M. Foville. Le lobe
central
paraît particulier à l'homme et aux singes, peut-
interne de l'hémisphère en trois lobes, groupés autour de l'ouverture
centrale
. Le premier lobe est situé au-dessus du corps c
prement dits, et naissent dans la profondeur de la moelle, de l'arête
centrale
des faisceaux moyens par des racines qui s'entrec
de la moelle se comportent avec les fibres longitudinales de l'arête
centrale
des faisceaux antérieurs. Ces fibres de la commis
ventricule médian. Ce groupe représente, par sa structure, l'arête
centrale
des cordons antérieurs tels qu'ils sont constitué
ssure presque entière pénètre dans ce lobe, glisse sous le ventricule
central
jusqu'à son extrémité, et s'y termine. Quant au r
très-serré, on peut concevoir ce réseau comme servant d'intermédiaire
central
entre les deux ordres de racines dans la moelle.
nt solide. On pourrait, à priori, concevoir dans le système nerveux
central
trois moyens de multiplication des fibres nerveus
cation résulte une lame distincte qui limitera immédiatement le canal
central
du tube. Ce tube est l'axe nerveux primitif; de t
est l'axe nerveux primitif; de toutes les parties du système nerveux
central
, celle-ci apparaît la première et persiste, penda
celui de ventricule céphaloracbidien. Les diamètres du tube nerveux
central
ne sont point uniformes. Avant même que la goutti
bit dans sa partie cépha-lique une forte courbure, et le tube nerveux
central
se plie à ce mouvement général. Cette inflexion
quis. La scissure de Sylvius, large encore et béante, enferme un lobe
central
. Les lobes frontaux sont grands ; quant aux lobes
encéphale est composé d'ampoules résultant de la dilatation d'un tube
central
. Admettons que le cerveau vésiculeux d'un certain
ns l'utérus, avec cette différence qu'elle est fixée dans sa position
centrale
par le ligament dentelé, et les divers nerfs rach
s plus faibles dimensions, la vertèbre sphéno-pariétale est son asile
central
; mais s'accroît-il davantage, on le voit se prolo
et II. DEUXIÈME PARTIE. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
. Nous laisserons ici de côté les mouvements alt
'il accomplit ont plusieurs agents dans l'économie du système nerveux
central
. Nous pen- sons que, dans ces cas où le corps c
ette partie de mon livre, l'histoire physiologique du système nerveux
central
. Parmi les faits que j'ai rappelés, j'insiterai p
sont un et demi, cinq, huit et demi centimètres. On noircit le cercle
central
. La zone qui le sépare de la deuxième circonféren
n peut lui donner par une impulsion rapide de la main, le cercle noir
central
et les zones colorées qui l'entourent conserveron
clarté, qu'il s'agit d'une première impression, et que notre cellule
centrale
est pour la première fois modifiée. Cette modific
in équilibre s'établit. Or, de deux choses l'une : ou bien la cellule
centrale
revient absolument à son (1) Locke. Essai philo
le ? Nous venons d'examiner le cas où il s'agit d'une seule cellule
centrale
. Or, nous avons anatomiquement démontré que ces c
s fixes, en entretenant une excitation sympathique du système nerveux
central
. Le principe d'association que nous avons invoq
Pages DEUXIÈME PARTIE. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
CHAPITRE PREMIER. — Des nerfs.................
t des fibres optiques, outre celui du chias- ma, dans un point plus
central
, deviendra inutile. » Quant à cette hémianopsie
: la sphère visuelle a bien son centre fonctionnel, sa localisation
centrale
, dans la zone occipito-pariétale des hémisphère
ue l'écorce des lobes occipitaux des singes ne représente la partie
centrale
, Le localizz. fans., p. 88. 40 PHYSIOLOGIE
in, de New- York, Contribution à l'étude de l'hémianopsie d'origine
centrale
. Arch. de neU1'ol., 1886, 206 sq. 2 Le locali
aux nerveux a pu être suivi dans tant de régions du système nerveux
central
et que le trajet intra-cépha- lique des nerfs o
orie n'a pu acquérir quelque solidité que du jour où la terminaison
centrale
, dans l'écorce cérébrale et non ailleurs, des a
ature élémentaire (étincelles, globes de feu, etc.); plus elle sera
centrale
, plus les hallu- cinations seront complexes (fi
les études de Forel et d'Onufrowic 2 : sur le trajet et l'origine
centrale
du nerf acoustique, en particulier sur les rapp
ne, peu d'études ont autant d'attrait que celle delà localisation
centrale
du sens de l'odorat, entré depuis si long- temp
re et s'accumule de cette fa- çon aux cavités profondes. Cet influx
central
du sang donne naissance à des congestions viscé
des bulles d'air, on trouve aussi des perles gazeuses dans l'artère
centrale
qui en est oblitérée, Moelle. - Il y a des bu
immense majorité des cas, ces accidents frappent le système nerveux
central
que, suivant la partie affectée de ce système,
racine postérieure n'entraîne pas la dégénérescence de tout le bout
central
, tandis qu'elle n'en- traîne que la dégénéresce
et faciaux , principalement dans le domaine du trijumeau, d'origine
centrale
ou périphérique. M. REMAK. Observation d'athé
ation choisit la portion du centre cortical du facial ou du système
central
des fibres du facial qui commande au peaucier.
M. 13Fnn. D'un nouveau procédé de durcissement du système ner- veux
central
avec démonstration. Voyez le Centrait ! . f. dir;
trouver de comparables à l'espace porte pour le foie, à la bronche
centrale
d'un acinus pour le poumon, mais pourtant il es
point de départ de cette maladie dans une lésion du système nerveux
central
. Goodhart publia l'observation d'un cas de myxo
sme ce qui provoque une altération des fonctions du système nerveux
central
aussi bien que de celui des autres organes. Out
de ces changements, la myxoedémie et l'anémie, le système nerveux
central
subit de même des changements : ri., les centres
oduit une substance indispensable à la nutrition du système nerveux
central
. Les animaux survivent à l'extirpation de l'une
oduit une substance indispensable à la nutrition du système nerveux
central
, donc après l'extirpation le cerveau est privé
fs. De scrupuleuses recher- ches et explorations du système nerveux
central
des animaux opérés démontrèrent que le plus de
rébrale, ce qui expliquerait tous les phénomènes du système nerveux
central
. L'auteur suppose que l'extirpation de la gland
avis que la raison de l'altération des fonctions du système nerveux
central
peut être expliquée avec le plus de probabilité
ganglions hémisphériques n'ont pas été intéressés, et que la lésion
centrale
avait probablement son siège dans la couche opt
à un foyer physiologique occupant les organes du système ner- veux
central
, l'hypnotisme n'aboutit pas à la catalepsie. Quoi
. - Rente..., soixante-onze ans, épilepsie tardive. Coupes du para,
central
gauche. - Les trois premières couches de l'écor
subordonner les troubles du mouvement aux altérations des organes
centraux
de la sensibilité, elle considère la zone mo- t
sur l'extension des fonctions psychiques à tout le système nerveux
central
'. Ils s'acheminaient ainsi vers l'hypothèse de
référence, aux parties du corps correspondant au : siège de la lésion
centrale
, ou s'étendeut-ils unifor- mément à toute la mo
it l'anémie et la cachexie, des changements dans le système nerveux
central
, pareils aux changements produits par des intox
ions nutritives ont pour suite l'affaiblissement du système nerveux
central
; la prolongation de ces altérations peut pro-
s'observaient encore à la partie infé- rieure de la circonvolution
centrale
antérieure gauche et au niveau de l'insula du m
sées, le sommeil reparait. Ici la modification du système nerveux
central
a favorisé la cessation des hallucinations. Le mê
vaisseaux encéphaliques, s'opposerait au retour du sang de la veine
centrale
de la rétine. Cette théorie a été renversée par 0
vrai que la majorité des affections spécifiques du système nerveux
central
présentent une évolution défavorable; parmi ell
phalie, la chambre médi- cale de Berlin et du Brandbourg, le comité
central
des sociétés médicales du district de Berlin, s
hiatrie, par I Krafft-Ebing, 958; - études sur le système nerveux
central
, par Obersteiner, (159; les enfants cri- mmel
1; Ballet, 281. Syringomyélie, par Kronthal, 297. Système nerveux
central
(nouveau procédé de durcissement du) par Band
n qui indique que l'inhibition observée soit d'une nature autre que
centrale
. (Revue neurolo- gique, 1893.) . E. B. XVI. É
n stomacale. C. Mater. Méthode de 31ai-chi sur le système nerveux
central
des nouveau-nés. KoaFELD. De la folie systématiqu
ésentation de deux frères atteints d'une maladie du système nerveux
central
de famille. Redlich. Présentation d'un cas de d
le terrain prédisposé d'une faiblesse irritable du système nerveux
central
. On ne saurait contester qu'une vive émotion ne
nt ou purement névrosiques ou liées à une lésion du système nerveux
central
ou périphérique; ces troubles nerveux résultent o
es cubes; 4° nécessité de la ventilation artificielle; 5° chauffage
central
désirable; 6° grandes fenêtres dont un tiers à
spécifique sur les mêmes points ou dans d'autres du système nerveux
central
. Tels sont les caractères principaux qui permet
grosse tumeur n'avait pas porté atteinte aux fonctions des organes
centraux
. Les tumeurs en ques- tion étaient des sarcomes
t pour prouver cette localisation sur la constric- tion de l'artère
centrale
de la rétine qu'il avait constatée chez des mal
e pour diminuer le pouvoir excito-moteur de la moelle. A la théorie
centrale
de Raynaud, Vulpian a opposé la théorie périphé
és et de l'encéphale, ce qui indique la mise en jeu d'une influence
centrale
portant à la fois sur les nerfs des vais- seaux
ntre d'ailleurs d'une façon très nette le réflexe à point de départ
central
(émotion, idée fixe) qui cause la symptomatolog
s de Raynaud et de Weir Mitchell rattachés à l'hystérie, la théorie
centrale
doit être acteptée. Raynaud avait invoqué en fa
sement rapide et brusque du 192 CLINIQUE MENTALE. système nerveux
central
(très souvent consécutif, pour les auteurs les
nications relatives à la lia ? ,yokiitèse dans le sys- tème nerveux
central
. La constatation a une grande importance pour l
constatation a une grande importance pour la pathologie des organes
centraux
. Tout récemment dans un travail sur la paralysi
TÉS SAVANTES. montrer aisément et suivant la karyokinèsede l'organe
central
de l'homme, même quand l'autopsie est pratiquée
une nouvelle méthode de recherche expérimentale du système nerveux
central
notamment pour fixer la localisation des cel- l
huchten, etc., sur l'embryologie et l'histologie du système nerveux
central
. P. S. XV. Monopole de l'alcool et dixième de l
eux d'aisances; habitation pour un médecin célibataire; chauf- fage
central
; buanderie. Les dépenses de construction pour
harcot. P. Keraval. XXIII. Quelques COURTES remarques sur LE trajet
central
DE la calotte DE Bechterew, par HELWEG. (A1·chi
HELwEG, a fait eu 1886 paraître un mémoire en danois sur le trajet
central
des tractus nerveux vaso-moteurs (en partie tra
avec la commissure postérieure. Pour ce dernier auteur le faisceau
central
en question cesse dans les territoires qui avoi
lus tard, à nouveau avec les deux autres tiers ( ? ). Le faisceau
central
de la calotte est donc bien le trait d'union `
et qui, suivant Bechterew, doivent être la prolongation du faisceau
central
de la calotte. Sur ce dernier point AI. Helweg
ties du segment en ques- tion (zone radiculaire postérieure, partie
centrale
) s'étaient gra- duellement réparées, de sorte q
histologique attentif a été effectué de tout le système ner- 'veux
central
, de certains nerfs et de certains muscles. L'aute
us anatqmo-pathologique dans cer- tains serments du système nerveux
central
et peut-être dans les organes périphériques. (V
de formation, aucune maladie nerveuse. - 20 Syringomyélie (gliose
centrale
). Femme de cinquante et un ans, atteinte à dix-se
Nissl. Sur une nouvelle méthode de recherches appliquée « l'organe
central
notamment dans le but de déterminer la localisati
ation rétrograde de ces cellules nerveuses; 2° quand, dans l'organe
central
, on enlève un centre, les cellules nerveuses du
quinze jours quisuivent l'inter- vention expérimentale; 4° l'organe
central
obéit à la loi suivante : au moment où les cell
visuel. Dans ces dernières années, M. Pitres' signale le scotome
central
et l'hémiopie comme possibles dans l'hystérie, sa
8° au delà. C'est là un caractère bien connu des hémiopies de cause
centrale
dans lesquelles une petite portion du champ vis
it'd'attirer plus fortem'en.tl'àttenti6n'de'lâlniàliïd sur le point
central
pour déterminer un rétrécissement con si ! déra
^ extrémité .une lettre^, B. Si la malade regarde fixement la croix
centrale
, d'un seul oeil, de, l'oeil gauche elle voit la
sultats, leur action se diffusant davantage dans le système nerveux
central
; 2° Voici maintenant en quoi l'observation est
qu'on peut faire le diagnostic de l'étiologie. Si la température
centrale
est au-dessous de la moyenne, c'est l'urémie qu
une question intéressante : vaut-il mieux avoir de grands parloirs
centraux
ou n'est-il pas préférable que chaque quartier
as préférable que chaque quartier ait le sien ? Les grands parloirs
centraux
sont d'usage courant. Au pensionnat de Ville-Ev
e de ces quatre divisions. On voit qu'en somme, les grands parloirs
centraux
ne servent qu'aux tranquilles et aux semi-tranq
rapeutiques. Une chose encore qui me porte à condamner ces parloirs
centraux
, c'est qu'ils ont un cachet spécial qui rappell
ettes aux angles, d'une garniture de cheminée et d'une suspension
centrale
, meublé de bancs à dossier, de chaises et de tabl
artie détachée, disposée pour laisser s'écouler l'eau, par un tuyau
central
. De cette façon le parquet en chêne ciré de la
re bon de faire abs- traction des seules lésions du système nerveux
central
et de voir dans certaines de ces manifestations
'est pas une malade exclusivement cantonnée dans le système nerveux
central
. On sait en effe t combien sont nom- breuses en
spéciale pour les , 116. Karyokinèse dans le système nei- \eux
central
, par Nissl, 235. LEnmlscus,dégénération descend
de son entrée, est de 1 a environ (Sap-pey), se dirige suivant l'axe
central
du lobule, sans diminuer beaucoup de volume, jusq
au-tres, mais seulement par l'intermédiaire du chemin ou du pas-sage
central
. Et, si vous voulez bien me permettre une com-par
isposition qui rappelle celle d'une maison romaine avec son impluvium
central
et ses cubicula. En général, les alvéoles des inf
ules, tandis que chez le triton elles occupaient d'habitude la partie
centrale
. Le revêtement épithélial pulmonaire, lorsqu'il
pour la plus grande par-tie des cellules polygonales, ayant un noyau
central
, sphéri-que et un protoplasma grenu. Quant à ses
s plus claires, sail-lantes, les granulations, en un mot, à la région
centrale
du 1 Voir, sur ce point, Charcot, toc. cit., p.
ériphérique du lobule, et elle s'étend progressivement vers la région
centrale
, occupée par la veine intra-lobulaire. Elle s'opè
ts dans les conduits, comme les cellules d'une prison sur le corridor
central
. Les artères suivent les ramifications bronchiq
ation. D'ailleurs, il y a lieu de distinguer deux zones : 1° une zone
centrale
caséeuse, percée d'un trou déchi- Charcot. Œuvr
es deux cas, deux zones; une zone périphérique embryonnaire, une zone
centrale
ca-séeuse non colorée par les réactifs ordinaires
le à la présence des tuniques élastiques, se distingue vers la partie
centrale
du néoplasme tuberculeux, au voisinage de la peti
i permet la caséification, laquelle est donc con-finée dans la partie
centrale
. Des vaisseaux se sont dévelop-pés dans cette zon
du substratum fibreux intercellulaire, sans trace de mortification
centrale
. Le tissu du poumon, au voisi-nage, présente d'ai
nt plus volumineux. Il y a une zone périphérique fibreuse et une zone
centrale
également fibreuse, mais où se dessinent les vest
harcot fait remarquer qu'il est bien difficile d'admettre que la zone
centrale
, après avoir subi la fonte caséeuse, a été, après
bercule élémenlaire ainsi caractérisé anatomiquement : c'est Xopacité
centrale
, ré-pondant à la dégénération vitreuse ou caséeus
granulations graisseuses. Elle commence, dans Ja règle, par la partie
centrale
du follicule, c'est-à-dire par la cellule géante,
aux ; 3° la tendance à la vitrification ou caséification de la partie
centrale
; 4° l'existence très fréquente, au centre, du nod
e l'inflammation com-» mune. Elle représente la dégénération caséeuse
centrale
» d'une agglomération tuberculeuse, et, de fait,
'une agglomération tuberculeuse, et, de fait, elle occupe » la partie
centrale
d'une production embryonnaire qu'on doit » appele
titution complexe, il y a lieu d'y distinguer deux régions: 1° Région
centrale
; celle-ci paraît constituée par une substance hom
nt comblées par le détritus caséeux. 2° Tout autour de celte région
centrale
qui répond, on le voit, à la description du centr
qui suit exactement tous les contours du bord limi-tant de la région
centrale
. Cette zone offre, sur les couches traitées par l
une coloration rosée, qui contraste avec la teinte jaune de la région
centrale
; les contours alvéolaires marqués par la présence
es alvéoles et leurs parois net-tement limitées, du côlé de la région
centrale
, elle offre, au contraire, du côté opposé, des bo
us souvent sur un rang, et » alors au voisinage immédiat de la région
centrale
, quand la » zone est mince, quelquefois sur deux
'espèce de couronne vir-» luelle qu'elles forment autour de la région
centrale
se trouve » interrompue, parce que quelques-unes
teurs. (Dessin fait sur nature par M. le professeur Charroi). A, zone
centrale
caséeuse. B, cellules géantes. C. zone embryon-na
ence vitreuse ou caséeuse, comparable à celle qui constitue la région
centrale
des nodules tuberculeux. « D'après » cela », dit
e l'inflammation commune. C'est au sein des nodules, dans leur région
centrale
, et ici encore, aux dépens de la néoformation emb
circonstance, reconnaître trois zone s dans le folli-cule. La partie
centrale
est occupée par une cellule géante ; autour de ce
au-delà, ils se perdent en se fondant dans la masse grenue de la zone
centrale
. Si on pousse l'opération plus loin, on peut, dan
réactions micro-chimiques, entre la matière caséeuse et la sub-stance
centrale
delà cellule géante. On est ainsi amené à con-clu
ale delà cellule géante. On est ainsi amené à con-clure que la partie
centrale
de la cellule géante a eu, à un mo-ment donné, la
mplètes, t. v, Poumons. ¿6 tantôt, si l'ulcération est au contraire
centrale
, elles se per-forent ou seulement s'amincissent,
n homme qui, jusque là, n'avait eu aucun trouble du côté de l'or-gane
central
de la circulation, un état typhoïde concomittant
ouches extérieures étaient d'une consistance plus ferme que la partie
centrale
. Celle-ci était d'une couleur plus foncée, elle é
e habituelle-ment pas une texture homogène ; il se compose d'un noyau
central
et, à l'extérieur, de couches fibrineuses cencent
ible; celle, par exemple, d'une lésion quelconque du système ner-veux
central
ou périphérique, qu'on pourrait être surtout tent
erte soudaine de la vision de l'œil gau-che par thrombose de l'artère
centrale
de la rétine, circons-tance, dans l'espèce, bien
se artérielle, 312, 313; — oblitérante de l'aorte, 560; — de l'artère
centrale
de la rétine, 599 ; — de l'artère numérale, 313 ;
iques, 262 ; — confluence, 264; — élémentaire, 266, ¿81; — opa-cité
centrale
, 268 ; — stroma, 268 ; — formation autour d'un va
es secondes ; l'inspection du tympan montre que par une perforation
centrale
étroite, du pus s'est épanché dans le conduit a
et dorsale). Ces cavernes étaient situées postérieurement au canal
central
, dans la com- missure grise, dans les cornes po
Ces cavernes ont pu tantôt passer pour des élargissements du canal
central
, à cause de leur situation et de leurs cellules
s; d'autres fois on n'a trouvé aucune communication avec le canal
central
. On les a considérées comme des foyers de ramolli
région dorsale. La plupart des cavernes communiquent avec le canal
central
, soit dans toute leur longueur, soit par leur par
ment par en haut ; et au point où commence le diverticule, le canal
central
gagne de côté sa largeur normale. On explique
sanguine le rapport constant que présente la caverne avec le canal
central
par son extrémité supérieure; car les cavernes
ais pourquoi un diverticule ? et non une simple dilatation du canal
central
? C'est qu'il y a moins d'obstacle à l'extension
ule dans les cordons postérieurs qu'à la simple dilatation du canal
central
en son siège normal. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
par la gélatine : nous avons donc là un repli, indépendant du canal
central
, produit par le même processus que les dilatati
e-t-elle la régénération des faisceaux atro- phiés dans les organes
centraux
? pour M. Schultze, les faits connus de régénér
aire. SOCIÉTÉS SAVANTES. 117 Contribution à l'étude de la myélite
centrale
, par M. PUTNAM. Le sujet de l'observation était
eur intégrité fonction- nelle. Mais, le plus souvent, la lésion est
centrale
, et si, dans ces conditions, elle peut intéress
ux dans les autres parties de l'encéphale. Les paralysies d'origine
centrale
revêtent deux formes particulièrement intéressa
dit, est impossible. Le champ visuel est normal ainsi que la vision
centrale
pour la perception des formes, de la lumière et
deux yeux, plus prononcé dans l'oeil droit du côté nasal. La vision
centrale
est relativement peu altérée. Avec un verre con
sensibilité pour la lumière est légère- ment affaiblie à la vision
centrale
. Pas de dyschromatopsie. Pas de lésions ophthal
is qu'on n'observe jamais d'altérations ascendantes dans le segment
central
des nerfs sectionnés, il semble que, dans certa
exions contractées par le bout périphérique du cubital avec le bout
central
du brachial cutané, également intéressé dans la
D'où ce fait intéressant que les impressions transmises à l'organe
central
étaient localisées comme venant du domaine du c
tomique assigné à la transmission d'irritation sensible aux organes
centraux
a été susceptible de changer dans les condi- ti
pourrait pas être consi- dérée comme une lésion trophique d'origine
centrale
, au même titre que le mal perforant dans l'atax
teinte involontaire du cervelet.' Or, le cervelet est bien l'organe
central
de l'équilibre; mais'1'appareitvestibulaire aff
iraient-ils se fixer exclusivement en certaines régions de l'organe
central
. 11 faudrait plutôt penser, dans l'espèce, à z
spécialement du Kt pour les lésions spécifiques du système nerveux
central
1. M. BAuiLFn (deFiil)otir- , montre quelques p
s venons de relater. DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 289
central
et delà partie supérieure des frontale et parié-
1 . 1 1 , 1 1 ? el % Il z être.reproduites.ici'à, l'appui, du siège
central
.de la lé- sion dynamique qui y donné naissance.
aliénés. , , f, ., p ? 1 ? ,, , , , Si on peut soupçonner 1 origine
centrale
pu médullaire de quel- ., ' crues névralgies d'
nt en traversant le canal carotidien ou par les ganglions et plexus
centraux
, M. Rosenthal imagine la conception que voici :
troubles par(l'inhalation amylique (qui calme le spasme vasculaire
central
), la production du transfert par violente émoti
rvation cen- trale angiomusculaire, par la dépression des ganglions
centraux
352' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vaso-dilat
durable et vigoureuse. De cette' double, action péri- pliériqûé et
centrale
résulte une accélération du courant circu- lato
D. BERNARD. XXX. SUK une forme particulière ET curable DE myélite
centrale
diffuse chronique (/MC/0;)a//«C ayant des symp-
/MC/0;)a//«C ayant des symp- tôiiies analogues d ceux de la myélite
centrale
diffuse chronique 4 et se terminant par la guér
le diffuse subaiguë du môme auteur, elle n'est autre que la myélite
centrale
diffuse elle-même (Vulpian). 11 s'agissait donc
ue, et termine en citant des cas d'otllématome sans lésion nerveuse
centrale
(G uéniot et l,odentu, Heyfolder, l3aslien).
aifectum peuaHeindrO) certains déparLoment-s.) du s3'tiattn nerveux
central
dprmit : ro.impot.ancc;;t,cmoinsqIes,sympL()mco
outeslesapparencescliniquesdelapropagalion d'une névrite à l'organe
central
, rien ne, saurait établir que les lésions de la
mis évidemment de conclure à une lésion aussi grossière de l'organe
central
. C'est à l'intégrité de l'écorce et au développ
rveuses dans l'inflamma- tion de la), par Barraqucr, 350. Myélite
centrale
, 117, Myélite arsenicale, 117. Myélite des co
Myélite arsenicale, 117. Myélite des cornes grises, 120. .Myélite
centrale
iiiiitise chronique (forme particulière et cura
( 1 1 ' ' Dirons-nous avec Vulpian, qu'il s'agit d'une'myé- lite
centrale
diffuse »sùbaiguë vraie, en indiquant par ce de
pian le soutenait, qu'il s'agit, dans ce cas, d'une myélite diffuse
centrale
avec prédominance d'altérations dans les cornes
tre part ; nous croyons que nous sommes en pré- sence d'une myélite
centrale
diffuse subaiguë, mais spéciale et, malgré l'au
us limité) se croisent en divers points périphériques; 8° la partie
centrale
du champ visuel se présente normale, chez les c
men ophthalmoscopique négatif dans la plupart des cas; 10° l'acuité
centrale
est absolument indépendante de la sensibilité v
topsie. Inté- grité de l'encéphale. Dysmorphie congénitale du canal
central
de la moelle, multiplication du tissu conjoncti
a syphilis), tantôt greffé sur d'autres maladies du système nerveux
central
, sur la poliomyélite antérieure (observation de
vahir tous les méridiens irrégulièrement. c. Diminution de l'acuité
centrale
par lésions anatomiques des milieux (hémorrhagi
ans doute, un individu, qui est affecté de tares du système nerveux
central
, succombera plus aisément à l'impul- sion crimi
existante ou de par le fait du choc traumatique, le système nerveux
central
a subi une modification psyclio-pliysique d'ord
ales chez les apoplectiques. Enfin, par l'étude de la tem- pérature
centrale
, il est permis désormais de porter le pronostic d
congénitales ou accidentelles, à des maladies du système nerveux
central
ou périphérique, enfin à ce qu'il appelle des lal
atin, entre 6 et 7 heures, et prenaient parfois la forme du scotôme
central
bilatéral, parfois encore la forme hémiopique.
'est pas absolue, il arrive que la malade ne conserve que la partie
centrale
du champ visuel intacte. « Il lui semble, dit-ell
fait réduite dans les mêmes conditions. d). Amblyopie transitoire
centrale
. Cette forme paraît moins fréquente que la form
(exemple les cas de Raullet 31) sont évidemment des cas de scotôme
central
, monoculaire ou binoculaire, transitoire. Parmi
issait toujours avoir lieu dans un seul oeil, tandis que le scotôme
central
persistait également dans les deux côtés, en re
tache aussi au scotôme scintillant, puisque l'amblyopie transitoire
centrale
était accompagnée de photesthésie périphérique.
pe, on constatait la pulsation des branches principales de l'artère
centrale
, visible jusqu'au delà du disque optique. Pas
e cas, il a noté amaurose transitoire; dans un autre cas le scotôme
central
transitoire, sous forme de véritables accès de
cellules nerveuses, tandis que le système des faisceaux conducteurs
centraux
cioit moins vite. Puis le développement myélini
. P. KÉRAVAL. IX. NOUVELLE méthode DE coloration du système NERVEUX
central
; par Th. Ziehen. (Neural. Centralbl., 1891.) .
pathologie NERVEUSE. - XXIV. DE l'hémianopsie bilatérale D'ORIGINE
centrale
; par A. Groenouw^ (Archiv f. Psychiat., XXIII,
aite. Conclusion. Quand, dans l'hémianopsie bilatérale, d'origine
centrale
, une partie du champ visuel reste conservée, cett
n cause. P. K. XXVII. Contribution A la syphilis DU système nerveux
central
ET des psychopathes ; par OEBEKE. (Allg. Zeitsc
tre attri- buée à l'épuisement rapide et brusque du système nerveux
central
(très souvent consécutif pour les auteurs les p
e quelle forme d'amblyopie transitoire, monoculaire ou binoculaire,
centrale
ou hémiopique ; il peut, dans les différentes c
e se rapporte pas ' Parmi les observations intéressantes de scolôme
central
transitoire, accompagné de scintillement, citon
rticularités de celle de Galézowski, relatée par Baralt : amblyopie
centrale
monoculaire à droite, accompagnée de mi- graine
double inner- vation de la macula). Mais le cas de Parry (scotôme
central
binoculaire et scin- tillement périphérique mon
er cortical distinct'. Le fait, que lors de l'amblyopie binoculaire
centrale
et péri- phérique, les sensations de nuage, de
que les rapports croisés de chaque hémisphère (soit pour la vision
centrale
, soit pour les points symétriques du champ visu
aient binoculaire, devait tenir à un trouble dans l'écorce visuelle
centrale
des deux hémisphères, tandis que le scintillement
isuelle, nous pouvons comprendre pour- quoi l'amblyopie transitoire
centrale
est bien plus rare que le scotôme périphérique
omplète à droite. La ligne de démarcation empiétait, dans la région
centrale
, comme d'ordinaire, du côté hémianopsique. Au bou
nt aveugle, mais l'examen démontra la persistance d'un champ visuel
central
, très limité (3 à 5 degrés de diamètre), où la
trouble visuel présente (scotôme périphérique scintillant, scotôme
central
, hémiopie, etc.) et s'il est accom- pagné ou no
scotômes périphériques symétriques (hémiopie partielle), le scotôme
central
monoculaire ou binoculaire, l'amblyopie ou même
ble, etc. La vision périphérique est plus souvent intéressée que la
centrale
, et lés deux yeux à la fois plus souvent qu'un
re dans n'importe quel endroit de l'écorce visuelle, pour la vision
centrale
ou pour la périphérique, pour la vision d'un se
se rétracte, échappe aux agents colorants de même que son nucléole
central
. Çà et là dans cette masse se produisent des la
apillaires quoique plus accusées sur les secteurs externes. Scotome
central
pour le rouge et le vert. Peu de temps avant la
trophie portait sur les groupes de cellules supérieurs, inférieurs,
centraux
et anUéro-latérax. Les altérations dégénéra- ti
s de Schuetz, il faut le rattacher aux noyaux de la substance grise
centrale
. En ce qui concerne le noyau de l'oculo-moteur
E (R.). Ricerche islologiche e batlerioscopiche sul sislema nervoso
centrale
periferico nella lepra. Brochure in-8° de 43 pa
es, par No- lau, Klincke, 68. HÉMiANOPSiE, bilatérale d'origine
centrale
, par Graenouw; - bila- térale inférieure, par H
sions artérielles dans la , par Brasch, 503; - du système nerveux
central
, par (Ebeke, 277. Système NERVEUX central, co
- du système nerveux central, par (Ebeke, 277. Système NERVEUX
central
, coloration du, - par Ziehen, 261. Tabès dors
un nouveau concours, réglementé de telle façon que, comme au Bureau
Central
, nos favoris fidèles ne peuvent y être battus.
Ministre de l'Inférieur Monsieur le Préfet de la Seine, Le service
central
de l'inspection générale, à l'occasion du ré- c
des médecins des asile» par les con- cours d'abord régionaux, puis
centraux
, après les résultats vrai- ment remarquables de
parlant, on. peut espérer un changement considérable dans la vision
centrale
dans les cas où il y a une vision centrale cons
sidérable dans la vision centrale dans les cas où il y a une vision
centrale
conservée immédiatement après l'acci- dent, mai
observer. L'existence de symptômes paraissant indiquer une lésion
centrale
ou cérébelleuse ne doit pas faire rejeter d'emblé
rsalement du double de son diamètre nor- mal et renferme une cavité
centrale
irrégulière. Le foyer de myé- lite assez bien l
euls les sphincters soient restés totalement paralysés. La cavité
centrale
qui existait dans le renflement pa- thologique
rophique lié assez souvent à de graves lésions du système nerveux
central
. Bali et Thibierge ont signalé le mal perforant
ries et négligences du personnel). D'autres invoquent une lésion
centrale
des centres corticaux vaso-trophi- ques (.}olf'
ceau anormalement rirronscrit occupe la portion antérieure du canal
central
: il se 122 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
divise en deux trousseaux plus .bas. Ceux-ci errent autour du canal
central
: au* niveau de l'immergence de l'accessoire, ils
e l'écorce du cerveau ; c) par l'irritation de quel- ques ganglions
centraux
et du pédoncule cérébral ; d) par l'irrita- tio
s, canitic en touffes. Indéniable est l'influence du prolongement
central
intact des cellules des ganglions spinaux sur l
e les coupes de Flechsig, on observe de, l'atrophie des noyaux gris
centraux
avec des saillies anormales des aisseaux de ces
l 134 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. nerveux
central
de l'olfaction. Chez tous les vertébrés mahrosmi-
itielabyrintinque et dans lus cas de lésion interne des conducteurs
centraux
. Il est affaibli dans les lésions périphé- riqu
qu'il est d'ordinaire conservé dans la paralysie faciale d'origine
centrale
. Il est aug- menté dans Dtyperestttésie du nerf
'une In perexcitabililé spéciale, des neu- rones du système nerveux
central
, de produire des convulsions l1lyocloni(IUeS pe
ues après des traumatismes. Hémiplégie et hemianestliesie d'origine
centrale
. JDL CLAUDE et Lejonne montrent une malade dont
s deux cas qu'ils publient, le diagnostic fut porté de localisation
centrale
dans la calotte pédonculaire, au' niveau des tu
lateur de pcl'lul'1m ! i ons dans la circulation du système nerveux
central
. F. T. XL. Les oedèmes circonscrits aigus et ch
sse des muscles épicondyliens. Il n'est pas dû à un point de départ
central
, mais à un phénomène de réaction musculaire, dé
! )\rr.T. Le faisceau longitudinal inférieur elle faisceau optique
central
. 1 t : nF. Contribution expérimentale à la fai"
n 4groupes : anté ro-interne; antéro-externe;externe proprement dit;
central
. Par-ci par-là, 2 à 3 cellules ont réagi, surto
out dans le groupe externe, moins dans les groupes antéro-exteme et
central
. De concert avec les expérimentateurs, y a lieu
groupe externe proprement dit, celui du triceps fémoral. Le groupe
central
, bien délimité plus bas, dansleï0 segment lomba
ne représente donc maintenant les muscles de la hanche et le groupe
central
le sel1li-membranellx,Où cesse le centre du gra
semi-tendi. neux naissant alors dans la partie inférieure du groupe
central
, Une partie des centres des muscles de la jambe
-épineux, et dans le 6°, au deltoïde. Intégrité également du groupe
central
, situé en dedans de ce dernier, qui innerve le
la cellule ganglion- naire; - 30 la fibre nerveuse périphérique et
centrale
se déve- 328 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
rique. 332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Les lésions du neurone
central
se traduisent d'habitude par une augmentation p
nerf, mais pénétration de la cicatrice par fibrille venant du bout
central
. F. 1301SSIER. BIBLIOGRAPHIE Y, - Enquête
se multiplient et s'organisent dans tous les pays et qu'un institut
central
soit né dans chaque région pour corriger les tr
écédentes. Les cellu- les nerveuses sont normales. Leur noyau reste
central
, fortement coloré et pourvu de son nucléole, le
hérique séparé de son centre trophique dégénère, tandis que le bout
central
, resté en rapport avec ce centre, demeure normal.
ainsi isolées, l'auteur a été amené à nier cette intégrité du bout
central
. Les modifications qu'il a constatées dans ces
Revue neurologique, février 1905.) E. B. LXXI. - Vitiligo et tumeur
centrale
de la moelle ; par L. FERRIO. De nombreuses obs
rmit de découvrir un processus néoplasi- que, ayant envahi le canal
central
de la moelle dans toute sa longueur. A l'aide d
ans oser affirmer qu'il existe une relation directe entre la gliose
centrale
de la moelle et le vitiligo, l'auteur pense qu'il
international pour l'assistance aux aliénés Le Comité organisateur
central
de ce Congrès, qui aura lieu a Milan du 26 au 3
ique tardive, par Souques, J53. - - et hé- mianesthésie d'origine
centrale
, par Claude et Lejonne, 153. - - et rhumatism
ns la épinière du poulet, par La Pegna, 327. Vitiligo et tumeur
centrale
de la -, par Ferrio, 499. Mouvements de compe
a radiographie latérale du crâne, des altérationsévidentes du corps
central
du sphénoïde et du plan ethmoïdal, sans que toute
vent avoir les altérations du profil radiographique de cette région
centrale
du sphé- noïde. Avant de poursuivre notre exa
n°`2pour constater que, à la suite de cet enfoncement de la partie
centrale
de l'os sphénoïde, l'angle sphé- noïdil devient
arquable des os de la face à la suite de l'enfoncement de la partie
centrale
du sphénoïde, et c'est là peut-être la raison fon
remarquable des os de la face est dû à l'enfoncement de la par- tie
centrale
du sphénoïde. A la suite de cet enfoncement, l'an
la base du crâne ou lordose basilaire, par l'écrase- ment du corps
central
du sphénoïde, par les déviations des ailes sphéno
is permis de supposer que l'altération excessivement grave du corps
central
du sphénoïde que l'on rencontre chez les oxycépha
la pie-mère et très intenses des plexus choroïdes. Dans la par- tie
centrale
de ceux-ci, le tissu conjonctif était développé,
ulement une hydrocéphalie, mais d'autres lésions du système nerveux
central
donnant lieu à des syndromes divers. C'est ainsi
stologiques complets portant non seulement sur le sys- tème nerveux
central
, et sur les parois de l'estomac, mais encore sur
- tropine dans toutes les opérations intéressant le système nerveux
central
. Actuellement, ce médicament est très employé p
ite. La surface médiane de l'hémisphère est irri- guée par l'artère
centrale
postérieure, et la convexité par l'artère central
guée par l'artère centrale postérieure, et la convexité par l'artère
centrale
antérieure. Les effets de compression et de com
vitiligo. Parfois primitives, parfois secondaires par décoloration
centrale
des zones byperpigmentées (et à ce sujet notre
tour des nucléoles devient lumineux, brillant, tandis que la partie
centrale
est plus ou moins lumineuse ; ou bien tout le n
. Pour Gegenbauer,la clavicule est un os mixte provenant d'un noyau
central
conjonctif et de deux nodules latéraux car- til
raréfaction des fibres ner- veuses arrive à son maximum, la partie
centrale
des fascicules est occupée presque entièrement
interstitielle s'observent déjà plusieurs millimètres avant le pôle
central
du ganglion rachidien, tandis que les racines S 1
sculaire, on puisse faire appel à l'intervention du système nerveux
central
ou périphérique comme dans la myopathie. Il pense
s faits relèvent d'une névrite périphérique et non d'une altération
centrale
. Dans d'autres cas, par contre, tributaires éga
tance grise s'anastomoser avec les artérioles provenant de l'artère
centrale
, sont malades également. Autour de chacune d'en
TS MUSCLES Bit 1 Il existe donc deux territoires médullaires ; l'un
central
, dépendant de l'artère sutco-conmissuraie,. l'a
l'on voit dans les inflam- mations médullaires, entre le territoire
central
et le territoire périphéri- que, une zone inter
suivant une courbe à concavité postérieure et détruisant la région
centrale
, la base des cornes, les zones adjacentes du fa
tôt que de larges cavités. Au niveau de Du, elle coupe la partie
centrale
de la moelle où elle ac- quiert son maximum ; l
e de fentes, uniques à droite, multiples à gauche. En Dvi, elle est
centrale
et transversale et ne déborde pas la subs- tanc
assez irrégulièrement le type circu- laire, elle est exclusivement
centrale
, limitée en avant par le sillon anté- rieur, do
ticule postéro-latéral dans la corne postérieure. En Dx elle reste
centrale
. Elle devient à peine appréciable en Dxi et en
'agit plus en réalité de fente, mais d'une raréfaction de la partie
centrale
du gliome. Puis au niveau de LI, Lu, on se trou
partout, mais elle a lieu avec une certaine élection dans la partie
centrale
de la cavité, où les cellules tapissent sur un ou
s à différents intervalles. Ainsi sur une première coupe, la cavité
centrale
envoie en arrière et à gauche un diverticule situ
rieures. A la jonction du diverticule postéro-latéral de la cavité
centrale
, celle-ci se dilate autour d'un petit amas de f
sparu à ce niveau. Enfin plus bas la fissure disparait et la cavité
centrale
reste seule, la pie-mère reparaît, mais encore
se sont surtout appuyés sur les anomalies de développement du canal
central
(occlusion défectueuse, diverticules), propres ex
minutes autour d'une statuette de bronze située au- près du massif
central
de la cour. Durant sa course circulaire, il chant
quels appartient à la IVe vertèbre et se dirige en haut. La portion
centrale
des corps des vertèbres et les disques interverté
elle nous parait quand on l'observe, plaider en faveur d'une lésion
centrale
plutôt que d'une lésion périphérique, radiculai
édian du cubital ; qu'une amyotrophie diffuse soit plutôt d'origine
centrale
ou radiculaire. En réalité il n'en est rien,
a névrite, leur conservation du côté atteint en faveur de la lésion
centrale
. Nous pensons également que l'existence du côté
ugmentation de l'albumine rachidienne plaide en faveur d'une lésion
centrale
, médullaire ou radiculaire. (On sait cepen- dan
éflexes radial et cubi- tal du côté malade, on conclura à la lésion
centrale
, médullaire. 3° L'existence de troubles subject
euses et mentales, p. 159. `VALLEC7WEaf·It. - Sur le ramollissement
central
de la moelle dans la méningite syphiliti- que,
les pôles cellulaires se confondent, faisant disparaître la lumière
centrale
. D'au- tres sont remplis de débris qui agglutin
fluide nerveux provient ou bien d'une faiblesse de la force motrice
centrale
ou bien d'une résistance et d'obstacles dans les
gnements intéressants sur la physiologie surtout du système nerveux
central
qui valent la peine d'être lus dans l'original.
s observe. Il semble qu'on assiste à la désintégration des neurones
centraux
d'où résultent les troubles psycho-moteurs et l
répare dans l'état de maladie, l'altération morbide des neuro- nes
centraux
les fait passer par un état analogue suscitant le
gisse de ses Leçons sur la Structure des organes du système nerveux
central
de l'Homme et des Animaux', de ses nombreux mém
e dans l'étude et l'interprétation des fonctions du système nerveux
central
. Ces fonctions, ils les considèrent comme des m
de, les choses ne nous appa- ' Voy. Jules Soury. Le Système nerveux
central
. Structure et fonctions. Paris, G. Carré et C.
r et intrafibrillaires serait déjà, en un certain sens, « un organe
central
», Edinger dit peu de choses dans le dernier tr
parties, sauf les voies pyramidales. L'hydrocéphalie d'une région
centrale
reste sans influence sur le développement des aut
t du troisième ventricule, mais le quatrième ventricule et le canal
central
médullaire n'étaient pas dilatés. Sous l'influe
ants subissant l'impré- gnation bacillaire ont leur système nerveux
central
impressionné par la toxine tuberculeuse. Cette
ieurs représente essentiellement une' colonie d'appareils réflexes,
centraux
et périphériques, qui, encore que plus ou moins
enre, quoique plus ou moins étroitement reliés à l'organe nerveux
central
.. Edinger réserve beaucoup de questions que Bet
mais remonter des animaux à l'homme. L'anatomie du système nerveux
central
et la psychologie ne sont que deux méthodes d'i
XIX. Contribution à la casuistique des tumeurs du système nerveux
central
; par Micuelzzi. (Il IIÉtî,g(tg711, 1900, mais.)
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 128 5 XXI. Les altérations du système nerveux
central
dans l'intoxica- tion par le bromure de potassi
des nerfs périphériques. L'astéréognose peut être périphé- rique ou
centrale
. Dans beaucoup de cas l'astéréognose a une orig
elles de Brissaud, Remuno Riuzgio Mingozzini, etc., la localisation
centrale
de la lésion du rire et du pleurer spasmodique.
rrive ordinairement dans le steppage. ' L'examen du système nerveux
central
et périphérique ainsi que celui des muscles nou
n médecin. - Coups de couteau. Huit victimes. (Londres, 7 mai). Les
Central
News racontent un incident tragique 'qui s'est
e. La sensibilité de la cornée gauche, aussi bien dans sa por- tion
centrale
que dans ses segments interne et externe, est abs
e nature douce et reposante. Vous trouverez dans ce coin du plateau
central
qui est le haut Limousin, des collines d'où le
s complètement éclairés sur les connexions et le rôle des ganglions
centraux
et de toutes les parties du mésencé- phale ? Sa
se dans différentes régions des hémisphères céré- braux. Les noyaux
centraux
peuvent être frappés de la même . ré'éinégal- :
la rue de Bourgogne. Farges fut aus- sitôt conduit au commissariat
central
, où il a passé la nuit. Il a été écroué ce mati
tomiques en rapport avec la cicatrisation de la plaie de l'or- gane
central
. L'affection étant uni-latérale, la lésion doit s
n étant uni-latérale, la lésion doit siéger au niveau des ganglions
centraux
, au voisinage du segment posté- rieur de la cap
de son antagoniste; 3° la destruction complète des neurones moteurs
centraux
ou péri- phériques ou de leurs prolongements cy
rations péricellulaires et péricylin- ctroïdes des neurones moteurs
centraux
et périphériques produi- sent, lorsque le fonct
lte de la première. L'une résulte de la lésion des neurones moteurs
centraux
, l'autre de l'altération des neurones moteurs p
u mésocéphale (cervelet, noyau rouge, masses grises du pont, noyaux
centraux
), dont nous connaissons et des voies centripète
doit être considéré comme une propriété générale du système nerveux
central
et particulièrement de la partie médul- laire d
obablement de revenir sur ce travail : Deux observations d'algidité
centrale
d'assez longe durée, chez deux paralytiques gén
ort survenue 58 heures après la première constatation de l'algidité
centrale
. La seconde observation est relative à un paral
urvintle huitième jour après la première constatation de l'algidité
centrale
, sans coma, ni convulsions. Ce dernier malade
neurologistes attachent à ces troubles en leur donnant.une origine
centrale
, les auteurs, tout en faisant quelques réserves
névrose, une altération moléculaire et chimique du système nerveux
central
, donnant à celui-ci la capacité d'accumuler l'é
ique du nouveau système est l'union intime d'un petit établissemeni
central
, installé avec tous les perfectionnements moder
le. Au début on crut néces- saire de conserver pour l'établissement
central
des murs et des grilles; mais on finit par reco
portes qui font communiquer les salles de jour avec le réfectoire
central
restant ouvertes. Grâce à cette disposition on a
ce à cette disposition on a pu éviter d'avoir recours à un corridor
central
, ce qui aurait rendu la sur- veillance plus dif
ni grenier ni caves. Le toit est fait de bois et ciment. Chauffage
central
, avec installation des appareils dans un sous-sol
s périphériques, ni à la moelle. Elles sont ordinairement d'origine
centrale
. Donc elles ne sont pas des actes réflexes II.
à une broncho-pneumonie, l'autre est un cas de méningite avec abcès
central
, consécutive à une pneumonie compliquée d'arthrit
ielle du corps restiformé, par l'intégrité relative des noyaux gris
centraux
; c'est une atrophie primitive dégénérative systé
étude de I ? par Gonzalès, 231. Intoxication du système nerveux
central
par le bromure, la ca- féine, etc., par Portiol
généraux. Etude de la dépendance des - par Ricard, 277. Algidité
centrale
chez ces par Joffroy, 329. P.11S4LYSIE généra
- rosée, existent quelques corps jaunes. Les vaisseaux de la partie
centrale
sont abondants, gorgés de sang. Leur paroi est
ouvent aussi on ne trouve an centre du manchon fibreux qu'un espace
central
plus clair qui représente la place de la fibre
l'étude des éléments cellulaires de la corticalité, des noyaux gris
centraux
, ainsi que des masses grises de la probubérance e
(culmen et déclive) du floc- culus, du lobe digastrique et du lobe
central
du vermis est nettement atro- phiée, tandis que
ve), auxquels succèdent en ordre d'intensité le lobe grêle, le lobe
central
du cer- velet, la lingula, le lobe digastrique
s plus atteintes. Dans les autres lobes (grêle, digastrique, lobe
central
du vermis, pyra- mide, lingula) on retrouve, co
ation des noyaux. Les vaisseaux ne paraissent pas malades. Noyaux
centraux
. - Le noyau dentelé ne paraît pas avoir subi une
stingue pas, par sa coloration plus foncée, de la substance blanche
centrale
du cervelet, comme dans les coupes 'du cervelet
s noyaux, l'entrecroisement des noyaux du toit. Substance blanche
centrale
des hémisphères ; elle n'est pas décolorée, ne
t abondantes, se détachent bien sur le fond de la substance blanche
centrale
et on peut très bien les suivre sur les coupes tr
bstance blanche placée au milieu des lamelles. La substance blanche
centrale
du cervelet, les noyaux gris centraux ne montre
amelles. La substance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris
centraux
ne montrent aucun fait de dégénération ou d'atr
es faisceaux de Gowers. A part déjà que dans notre cas la substance
centrale
du cervelet et les fibres arciformes externes p
oyaux des cellules de Purkinje restantes et des cellules des noyaux
centraux
du cervelet. Contrairement au cas de Thomas, il
ce blanche sous-corticale et même plus bas, au niveau des ganglions
centraux
, voir même dans le pédoncule. On objecta encore
térieures, la colonne de Clarhe, la substance grise autour du canal
central
, la substance blanche des cor- dons antéro-laté
LE 141 différent, et parle en faveur d'une lésion du neurone moteur
central
. Lés troubles de la motilité se limitent ici au
flammatoire dans le pédoncule, des petits foyers dans les ganglions
centraux
, dans la capsule interne et dans le centre oval
permet de croire à un retentissement de celte lésion sur la cellule
centrale
du protoneurone, siégeant dans le ganglion de la
ise la possibilité d'une lésion ou d'une modification de la cellule
centrale
intra-ganglionnaire du protoneurone centripète, s
lien qui rattache le trouble trophique à la lésion, le plus souvent
centrale
, du système ner- veux. D'autres fois, ce lien b
ntaire du trophoedème. Ce caractère parle donc aussi pour l'origine
centrale
de ce trouble trophi- que, bien qu'il ne faut p
oite des plus nettes, avec sa forme habituelle et la légère encoche
centrale
de 10° environ correspondant à la macula.Bien que
3° une hémianopsie homonyme latérale droite, avec légère en- coche
centrale
de 10 degrés environ correspondant à la macula.
t jamais eu de troubles sensitifs subjectifs, de douleurs d'origine
centrale
du côté hémiplégie, et que dans l'histoire de sa
e, où il existe dans la moitié du champ visuel aveugle, une encoche
centrale
plus ou moins étendue, SYNDROME DE WEBER AVEC H
BER AVEC HÉMIANOPSIE DATANT DE 28 ANS 207 correspondant à la vision
centrale
ou maculaire qui échappe à la perte hé- mianops
actères des hémianopsies corticales (c'est- à-dire avec une encoche
centrale
de 10° environ correspondant à la vision centra
avec une encoche centrale de 10° environ correspondant à la vision
centrale
conservée, bien que les coupes microscopiques sér
mais d'une lésion des libres non entrecroisées de la voie sensitive
centrale
, c'est-à-dire des fibres qui émanées.du noyau du
dier encore beaucoup mieux les effets généraux sur le tissu nerveux
central
. 2° Il faut surtout se souvenir que tout néopla
la névroglie ne présentent aucune altération de structure. Le canal
central
de la moelle offre des dimensions normales. 308
examiné avec soin ; on n'y a constaté aucune lésion corti- cale ou
centrale
. La moelle ne présentait aucune altération à l'oe
culaire, tandis que le médius anormal offre un point d'ossification
central
. 3e phalange. Sont toutes ossifiées, et les pha
la substance blan- che des deux hémisphères et dans les noyaux gris
centraux
. Plus nombreuses et plus volumineuses à droite,
itu- dinal supérieur et de l'occipito-frontal. Dans les noyaux gris
centraux
, elles siè- gent dans la substance grise du noy
itale. Quelquefois on a voulu voir une influence du système nerveux
central
. Mais, comme on l'a fait remarquer, ces malform
rt à la. période embryon- naire, à une époque où le système nerveux
central
est en pleine période de développement, où ses
troisième semaine : Formation de cellules musculaires sur la partie
centrale
du myotome. Après la quatrième semaine : Les os
présente à la fois leurs tendons infé- rieurs, distaux, et la masse
centrale
de la main. Les muscles du pouce sont les moins
1886, p. 501. PERRERo (E.). - Se le alterazioni del sistema nervoso
centrale
siano primitive o secon- . darie aile mostruosi
amp. Le premier lambeau ayant été soigneusement disséqué, la partie
centrale
du pédicule a pu se séparer aisément de la paroi
- tive frappant surtout, mais non exclusivement, le système nerveux
central
dans sa partie motrice. C'est encore à une lési
l'anneau reposant sur celui-ci, on peut faire passer par son tube
central
la goupille servant de rayon et, suivant la place
itudes nou- velles, désorienté, comme si, sur une espèce de clavier
central
, on avait ap- pris à manoeuvrer quelques touche
lexe (col'1léale), mais qu'on doit l'attribuer à des- faits d'ordre
central
, soit dans le sens de Mendel, soit dans celui d
17. OBERS'rEINEIi. - Cité par Testut. Anatomia del Sistema nervoso
centrale
, p. 459. Torino, 1898. , 18. SPITZKA. Cité pa
Les altérations médullaires étaient exactement localisées au groupe
central
des cellules du 1 CI' et du 2e myélotomo cervical
lyse dite primitive essecondaire et la chromatolyse périphérique et
centrale
, soit exacte. Il est même vraisemblable que bea
ns d'un type anafonio-palhologique cortical (chromato- lyse a début
central
, forme globuleuse de la cellule, migration péri
es étroites rela- tions physio-pathologiques avecle système nerveux
central
, est sans doute la glande plus propre à l'accom
nisme où a commencé le processus destructif dans le système nerveux
central
, des conditions par- ticulières inconnues de no
Tous relèvent de l'aboulie et, comme les précédents, sont d'origine
centrale
(affaiblissement des images motrices). L'abouli
s effets diroctset indirects de la syphilis sur le système nerv eux
central
. 2. Organisation du ma- tériel concernant les a
ts de repère les plus utiles pour la détermina- tion de la scissure
centrale
(Brissaud, Anal, du ce¡'- 2ecczcde l'homme, tex
- raît aussi préférable de fixer l'extrémité inférieure du sillon
central
à une dislance anormale de la scissure de Sylvi
ès mai 'que pour le blanc. Quelquefois même la vision est seulement
centrale
. Cependant, même à ce degré, ni lira(T't-l;bin7
issu conjonctif est plus visible que dans le tabes, et l'excavation
centrale
plus marquée. Les vaisseaux conservent leur cal
té- rant les fonctions et la morphologie des éléments cellulaires
centraux
et c'était, d'ailleurs, par cetteconclusion que s
rdinairement, dur et sclérosé. La couronne rayonnante et les noyaux
centraux
parti- cipent à l'atrophie. D'une façon général
e, avec raréfaction des corpuscules de Nissl (fausse chromatolyse
centrale
) ou avec surcharge pigmentaire. Les diffé- rent
ues, peuvent être observées dans l'écorce et dans les noyaux gris
centraux
. 3° Vaisseaux. Les lésions artério-scléreuses d
rveau est, non seulement l'organe de la pensée, mais aussi l'organe
central
du mouve- ment, de la sensibilité et le rapport
eux est déjà pratiquement recon- nue. Lorsqu'un détenu d'une maison
centrale
présente des attaques d'hystérie avérée, on ne
s par kariokinèse des cellules germinatives placées autour du canal
central
. Grâce à la méthode de Cajal, on peut voir la s
sont. dès l'origine, réunis matériellement avec le système nerveux
central
. Ce travail, extrêmement intéressant, est accom
très fines fibrilles dispo- sées en réseau et irradiant d'une zone
centrale
. ? . Description des méthodes de coloration. - Il
le trajet de l'arc réflexe : voie centripète trigémellaire, noyau
central
,voies et fibres centrifuges de la 7e paire. Sur
olynucléaire rachi- dienne permet, au contraire, d'affirmer le type
central
myéli- tique avec une évolution brutale aiguë q
tions centrales, et plus spécialement de la vitesse du déchaînement
central
des volitions (efforts volontaires). Les recher
inutiles à cause de l'imperfec- tion de la technique. Pour le côté
central
des états psy- chiques, les expériences faites
nclusions sur l'influence que le brome produit dans le déchaînement
central
des mouvements. 268 ÉTUDE CRITIQUE. Les 500
ammes de brome produit une augmentation de l'irrita- bilité motrice
centrale
et peut être une altération de la perception. L
rome est l'expression d'une certaine augmentation de l'irritabilité
centrale
. RECHERCHES mixtes. Les deux recherches mixte
e 5. Ce phénomène est, lui aussi, l'effet de l'irritabilité motrice
centrale
augmentée. Comme précédemment,l'in- fluence des
ice n'est pas remarquable. Une diminution de l'excitabilité motrice
centrale
ne se fuit pas non plus voir. VII. Recherches
les associations mécaniques des additions, sur le déchaîne- ment
central
des mouvements et sur la marche des mou- vement
alade mélangée de noir. Pas de polyopie monoculaire. Pas de scotome
central
. Le fond de l'oeil est normal. TROUBLES MOTEU
tion, le résultat fut complètement négatif : pas de névrome du bout
central
, pas défibres régénérées, dégénération totale du
°, 10 î^, 17 Ie jours, des fibres nerveuses nées du névrome du bout
central
traversaient la cicatriceet péné- traient dans
té des fibres régénérées du segment périphérique avec celle du bout
central
, les auteurs, après avoir soigneusement décrit le
e l'état de fatigue ? La fatigue physio- logique est-elle d'origine
centrale
ou périphérique ? 2 J Ce sont là des questions
cul des paramètres permet de dire si une action est périphérique ou
centrale
, il permet donc de diagnosti- quer le siège des
les circonstances susceptibles d'augmen- ter l'excitation nerveuse
centrale
ou périphérique. G. C. LI. Rapports du rhumatis
éséquilibrante que les chocs peuvent exercer sur le système nerveux
central
et on s'explique que des troubles névropathique
maire et secondaire, systé- matique ou diffuse du système nerveux
central
, par Donaggio, . p. r43. 1' a-t-il une rég. ant
r rappeler, à s'y méprendre, celle de la substance grise des noyaux
centraux
ou des circonvolutions, si bien que au premier
ant caractérisé surtout par un état d'épuisement du système nerveux
central
, il n'est pas étonnant qu'un moyen qui prive co
sant, dès les premiers jours, directement sur le système ner- veux
central
. D'où cette conclusion d'avoir à réserver pareill
cillation thermique considérable, ainsi qu'à la déperdition séreuse
centrale
(pustulation périphérique). En effet, fréquentes
bles profonds, voire irréparables danslanutrition du systèmenerveux
central
. Aussi, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 115 5 ma
taché à la trésorerie d'Afrique, et enfin commis d'adminis- tration
centrale
. Sa conduite dans ces divers emplois semble avo
porte de soupeser. Le licenciement serait effectué par la direction
centrale
sous les auspices et indications du médecin, fa
ocaux de la cuisine, le logis des machines, la buanderie, les bains
centraux
, la salle des morts. Total : dix-huit édifices en
il nerveux des organes génitaux chez la femme et le système nerveux
central
, on reconnaîtra que toute irritation périphériq
plication des plaques de zinc, les différences entre la température
centrale
et les tem- pératures périphériques étaient plu
it indiquée dans l'établissement ordinaire et non ailleurs. L'asile
central
de l'État doit être exclusivement réservé aux c
écidera seule de l'admission ou de la sortie des malades de l'asile
central
. 111. DA&oET. Nous avons déjà en France l'é
que toute modification matérielle survenue dans le système nerveux
central
chez l'homme, dont la marche a été suivie atten
ent , surtout des névro- glies. Il résulte que le système nerveux
central
se distingue des autres organes par la pression
r perpendiculairement à leur direction, et on aperçoit leur lumière
centrale
, et lesrameauxcollatéraux qui en partent en div
ont parallèles à ses faisceaux nerveux ; la substance gélatineuse
centrale
en est tout à fait dépourvue (voy. ? 7F), ainsi
ntrale en est tout à fait dépourvue (voy. ? 7F), ainsi que le canal
central
, qu'on peut sans doute considérer avec Roudanow
ère du sillon antérieur, quand elle a atteint le voisinage du canal
central
de la moelle épinière, se divise en une multitu
: les rameaux de l'artère du sillon n'irradient pas autour de l'axe
central
dans tous les sens ; son tronc principal est ce
nd ils atteignent la commissure postérieure, s'éloignent de l'axe
central
. Elle a malheureusement conduit l'auteur à une no
lement dans la substance grise de la moelle de chaque côté du canal
central
, à quelque distance de celui-ci et s'anastomose
ures), faites dans la substance grise à quelque distance du canal
central
. (Voy. /'7</. XII l. s. c.) Sur des coupes hor
forme de deux lumières vasculaires situées de chaque côté du canal
central
, car elles ont été rencontrées perpendiculairem
ement, on observe quatre lumières vasculaires au voisinage du canal
central
, deux de chaque côté. Par les artères longues a
artères commissurales : elles fournissent du sang à la partie grise
centrale
de la moelle épi- nière, en occupent symétrique
upent symétriquement les deux tiers environ de chaque côté du canal
central
; mais, laissant à la périphérie une zone qui e
u, des circonvolutions et des sillons non moins que des noyaux gris
centraux
. Par des mensurations nombreuses et précises, i
ilatérale DE la moelle ; par le Dur Richard SCHULZ (de Brunswick). (
Central
! ), /. Nei,v., n° 15, 1er août 1880.) Un hom
pour exprimer la relation, avec les affec- tions du système nerveux
central
, et spécialement l'exagéra- tion des réflexes s
us l'influence de la fara- disation générale et de la galvanisation
centrale
, le malade guérit en six semaines. 378 s REVU
ssistait à des manifestations permettant de con- clure à une lésion
centrale
. Telles des douleurs névralgiques dans le bras
uvements voulus dans les membres supérieurs, évidemment d'origine
centrale
(les nerfs périphériques n'ont malheureusement pa
ésentés par ce malade était d'ordre purement dynamique, aucune lésion
centrale
ou périphérique ne pouvant expliquer la distribut
faits de l'imagination, aux phénomènes par auto-suggestion, d'origine
centrale
, mais qu'elle s'étend aux douleurs réelles et qui
étachée. Il en est de même des perturbations d'origine psychique ou
centrale
. Lorsque chez notre garçon l'idée de lombric suff
ier, qui a fdit une étude très approfondie de la méthode à l'Institut
central
de Stockholm, s'est efforcé dans son organisation
endre à Bordeaux, où il vient préparer les examens d'entrée à l'École
centrale
. Il se fatigue de nouveau cérébralement et les cr
oint de départ un trouble de l'appareil labyrinthique périphérique ou
central
; et ce n'est que secondairement que la vue ou le
il suffise d'un peu de réflexion pour trouver dans le système nerveux
central
un grand nombre de fonctions de première importan
a dans ces cas une irradiation du mouvement d'une partie des organes
centraux
aux parties voisines. 3° Au lieu de se trouver,
fférents degrés de fatigue dans les parties particulières des organes
centraux
et périphériques. Les différents degrés de fa
ouvement à celui qui dort, il faut croire que les parties des organes
centraux
et périphériques qui y sont intéressés sont un pe
se à proprement parler ; ce sont des modificateurs du système nerveux
central
portant leur action d'abord sur le bulbe, et agis
atomique qui lui a donné naissance ; à force de la sentir, la cellule
centrale
ou périphérique établirait donc des connexions av
rveux dégénère dans toute l'étendue du bout périphérique... Les bouts
centraux
des nerfs coupés ne dégénèrent pas (réserve faite
ne racine postérieure, en deçà des ganglions intervertébraux, le bout
central
dégénère, et le bout périphérique ne dégénèrent p
ngtemps qu'elles sont en rapport avec une cellule nerveuse. Les bouts
centraux
des nerfs moteurs ne dégénèrent jamais; ils sont
se ressoudent, probablement par une espèce de bourgeonnement du bout
central
allant à la rencontre du périphérique. On a v
continuité avec tous les centres nerveux. Il faut donc qu'à l'origine
centrale
des nerfs centrifugés il y ait une disposition in
sseur Mathias Duval; les ramifications cérébrales du neurone sensitif
central
(comme dit Van Gehuchten) se rétractent de plus e
nes sen-sitifs périphériques s'articulent avec les neurones sensitifs
centraux
; les noyaux de Burdach (pyramides postérieures du
ions des neurones sensitifs périphériques avec les neurones sensitifs
centraux
que le passage est supprimé ou rendu plus diffici
es ramifications des prolongements de protoplasma du neurone sensitif
central
. Ces deux ordres de rameaux présentent-t-ils ce m
l'appliquons aux prolongements de protoplasma des neurones sensitifs
centraux
et nous disons hardiment: il est probable que, à
sse la franchir; du neurone sensitif périphérique au neurone sensitif
central
, le passage de l'influx quelconque qui est l'esse
riction à cet énoncé-que l'articulation des neurones périphériques et
centraux
est devenue infranchissable; elle est seulement d
u niveau des articulations des neurones périphériques et des neurones
centraux
que se fait l'interruption, la désarticulation ou
ions semblables entre d'autres neurones. D'abord entre les neurones
centraux
cérébraux. L'incohérence des rêves, la manière br
importants sont ceux qui se manifestent entre les neurones sensitifs
centraux
et les neurones sensitifs périphériques. 6° Com
au voisinage des prolongements de protoplasma des neurones sensitifs
centraux
. Ces derniers prolongements, que rien ne sollicit
t de veille, les prolongements protoplasmiques des neurones sensitifs
centraux
sont sans cesse sollicités par les excitations qu
é notre couche, fait la première toilette du matin, quelques neurones
centraux
sont encore restés dans l'isolement; il faut, pou
entre les neurones sensitifs périphériques et les neurones sensitifs
centraux
. — Le sommeil, c'est-à-dire l'état d'isolement,
rejeté, il fut transféré ,à Sainte-Pélagie, et, de là, à l'infirmerie
centrale
de la Santé, pour y être traité spécialement par
, il avoua une légère amélioration. Puis, il fut envoyé à Pinfirmerie
centrale
à la prison de la Santé, où j'eus l'occasion de l
irresponsabilité des criminels, a recueilli, entre autres à la Maison
centrale
de Fontevrault, au service médical de laquelle il
CAUSES DES DIFFÉRENTES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
(1) PAR R NICOLAS SOLOVTZOFF Prosecteur de
mes recherches sur les difformités congénitales du système nerve11X
central
, je passe maintenant à la description de cas plus
ès, sa soeur est morte de diarrhée.A l'autopsie, le système nerveux
central
chez la seconde était normal, tandis que chez l
être bien imbibés. Passons maintenant à l'examen du système nerveux
central
de la fillette sans cervelet. A l'examen micr
cérébraux ; 3° une atrophie presque totale des ganglions cérébraux
centraux
(le pulvinar, les corps genouillés et les noyau
du 3° ventricule. Passons maintenant à l'examen du système nerveux
central
des cas III et IV. Au-dessous de l'ouverture
écartent les fibres entrecroisées dans la ligne du milieu. Le canal
central
de la moelle et celui de la formation supérieur
dromyélie). Par conséquent, pendant la formation du système nerveux
central
, la partie dorsale située au-dessus de l'ouvert
la cause de toutes les difformités congénitales du système nerveux
central
que nous avons décrites est l'hydrocéphalie et l'
s décrites est l'hydro- pisie des ventricules cérébraux et du canal
central
de la moelle épinière. L'accroissement énorme d
sicules qui provoque les différentes difformités du système nerveux
central
. Cette artérite généralisée dépend, pensons-nou
la cause de toutes les difformités congénitales du système nerveux
central
est la syphilis héréditaire (1). , (1) En termi
dégénérées, l'irrigation est moindre, les vaisseaux ont une lumière
centrale
étroite; leur gaine externe est entourée d'un m
pla- sié ou d'exsudat à l'orifice du follicule représente la squame
centrale
ou la petite pustule (2). Vous le voyez, ce p
cluent toute ingérence pri- mitive et directe des appareils nerveux
centraux
ou périphériques. VIII. Je reviens aux cas de m
de développement (2) ». La meilleure preuve que le système nerveux
central
n'est pas indispen- sable au développement des
dans son ensemble, ou peu s'en faut, sans avoir de système nerveux
central
. Si, comme il arrive souvent, une monstruosité,
t sous la dépendance d'un état morbide antérieur du système nerveux
central
. Mais vous voyez bien que cette théorie a fait
t accompli normalement malgré l'absence complète du système nerveux
central
. 88 B. BRISSAUD plus on moins grave de la seg
ées, en effet, non seulement dans les maladies du sys- tème nerveux
central
et dans les affections des nerfs périphériques, m
manent aussi bien que dans le nerf labyrinthique et ses conducteurs
centraux
, des appareils de même si- gnification morpholo
n, c'est-à-dire dans l'appareil labyrinthique tant périphérique que
central
, la raison anatomique de la fréquence extrême d
ou actifs. Troisième point : nous avons conscience des phénomè- nes
centraux
, vraisemblablement cérébraux, qui nous révèlent s
rquoi, compensateurs, disparaissent quand la lésion la- byrinthique
centrale
est définitive et bilatérale, car l'oeil n'a plus
re la totalité des symptômes d'origine auriculaire, périphérique ou
centrale
. Il faut même le plus souvent se rappeler que,
ent qu'une irritation de l'appareil labyrin- thique périphérique ou
central
pourra, par irradiation, éveiller des symp- tôm
urs, etc. Inversement nous savons qu'une irritation périphérique ou
centrale
, dans le domaine de n'importe quel appareil, pe
é baptisé. Il consiste en ce fait qu'une irritation périphérique ou
centrale
, dans un domaine nerveux donné, pourra cheminer
sifflement, hallucination) de l'appareil cochléaire périphérique ou
central
. Ils sont d'une trop grande banalité dans les a
ONNIER que soit le point. de départ de l'irritation périphérique ou
centrale
qui éveille la réaction nucléaire symptomatique
s beaucoup d'affections de l'appareil labyrinthique périphérique ou
central
; James et Aloys Kreidl l'ont signalée comme très
berg en qualité de sujet dont l'appareil ampullaire périphérique ou
central
, parfois les deux, se trouve 158 PIERRE BONNIER
tomatiques d'une affection de l'appareil ampullaire périphérique ou
central
. 1. Si nous revenons à l'accès vertigineux lui-
tre. Placard analogue sur le grand trochanter droit avec dépression
centrale
. Sur le dos du pied, bande bleuâtre occupant le
nerfs sensitifs, soit par une action réflexe, soit par une lé- sion
centrale
, irritation corticale. La distribution du phénomè
s de J.-B. Charcot. Coloration par la méthode de Nissl. Disparition
centrale
du corps de Nissl ; aspect très grenu, colorati
maire, devenues cubiques par tassement et déformation. De la cavité
centrale
partent quelques petits diverticules. Il est
s. Pas de délimitation nette entre les deux substances corticale et
centrale
; décortication difficile. 1 ' Le tissu est gri
tions générales qui comportent une altération de la substance grise
centrale
. Toutefois dans la syringomyélie l'anesthésie d
par de l'anesthésie tactile ; que les lésions de la substance grise
centrale
donnent habituellement naissance à des troubles d
la substance blanche des cordons postérieurs et la substance grise
centrale
. En résumé, les troubles objectifs de la sensib
auses des différentes difformités congénitales du système nerveux
central
), par N. So- LOVTzorF, 37. Hypothyroïdie béni
ses des différentes difformités congénitales du système ner- veux
central
(19 phot.), 37. Souques A. et J. Castaigne. Con
culose ainsi- les- granulations embryonnaires) avec cellule géante»
centrale
, ainsi les foyers gommeux microscopiques des mé
et vague période prodromique et par lés symptômes ; de' la myélite
centrale
aii;uë ? nf ? eu ? vi<"-1 Y ? 1 .'f. ' rhr ' l
a affaire à un état d'affaiblissement imminent du système nerveux
central
; ils relèvent'la'force de résistance' des malades
e rivières et de mer sont indiqués pourrenforcer le système nerveux
central
. La réaction des'individus' est" d'ailleurstrès
ètres; 4° nécessité de la ventilation artificielle; 5° le chauffage
central
est à souhai- ter ; 6° on les pourvoira de^ lar
montre une méningite suppurée diffuse.de tout le, sys- tème nerveux
central
; l'organisme ne contient cependant aucun foyer
de lésion du lobe occipital. 11 y avait complète amaurose d'origine
centrale
; la réaction pupillaire était conservée ; il n
nties surtout au repos, analogues aux douleurs tabétiques d'origine
centrale
et indépendantes de mouvement et de pression.
totale; se rappeler aussi que les paralysies et anesthésies à cause
centrale
sont plutôt seg- mentaires, alors que les mêmes
réflexe pharyngien, ni selérotical. Champ visuel réduit à la vision
centrale
la plus res- 142 SOCIÉTÉS SAVANTES. ^ treinte
très élevés,' de la formé'd'un quadrilatère régulier, avec une cour
centrale
, laquelle est entourée d'un large' promenoir, s
ments semblables, parallèles deux à deux et circonscrivant une cour
centrale
. On a divisé cet t grand bâtiment par une ligne
ogénese des plaques de sclérose disséminées dans le système nerveux
central
. (Revue neurologique. 1893.) E. B. XDL A propos
ouvement, les images auditives ou optiques. C'est dire que le siège
central
des hallucinations de la vue et de l'ouïe est (
e, du moins l'impression qu'on a affaire à une altération d'origine
centrale
. Comment, en effet, dans l'hypothèse d'une orig
démonstration que je viens de rappeler, les partisans de l'origine
centrale
de la polyné- vrite avaient invoqué cette hypot
des troncs nerveux dans la polynévrite, tout en admettant l'origine
centrale
de celle-ci. Mais si l'origine centrale de la p
tout en admettant l'origine centrale de celle-ci. Mais si l'origine
centrale
de la polynévrite typique me semble devoir être a
les névrites périphériques, de distinguer celles qui sont de cause
centrale
et celles qui sont réellement de cause périphériq
absolument indé- pendante de toute modification du système nerveux
central
. Il existe, en revanche, un très grand nombre d
aire, et rien n'empêche d'admettre qu'une perturbation de la partie
centrale
de la cellule,, s'y traduisant par des altérati
s troubles symptomatiques qu'on observe et que le système nerveux
central
ne présente aucune modification. Il signifie simp
s névrites provoquent à la fois une perturbation du système nerveux
central
et du système nerveux périphérique ; que parfoi
èvres éruptives, grippe, etc., etc.).-Enfin, les névrites d'origine
centrale
reconnaissent également deux variétés suivant q
'elles sont sous la dépendance d'une affection du sys- tème nerveux
central
. La discussion n'étant pas épuisée et la séance
i inexact de le considérer comme une affection du système nerveux
central
que d'en faire une maladie exclusivement périphér
sur l'origine des paralysies diphté- riques : sont-elles d'origine
centrale
ou périphérique ou bien en- core d'origine myop
a moitié nasale de la rétine, mais ne s'étend que jusqu'à la moitié
centrale
de celle-ci. 2° Le faisceau croisé du nerf opti
oit, il y a suppression de l'action optico- réflexe du champ visuel
central
droit. Evidemment les réflexes rétiniens sont e
invincibles. Le 24 juin, elle pesait 58 kilogrammes; sa température
centrale
était de 360,8; son pouls battait 84 fois par m
du diagnostic différentiel dans les affections du système nerveux
central
(hémiplégie hystérique et d'origine cérébrale).
es place- ments familiaux et l'inauguration de la petite infirmerie
centrale
, un banquet a réuni les Congressistes, qu'un tr
galvanisation. P. K. 1,XVII. Les troubles unilatéraux DE la vision
centrale
ET leurs rapports avec l'hystérie ; par M. UNIE
latéraux et que, ce qui les dis- tingue des autres troubles visuels
centraux
, c'est qu'ils ne sont pas hémianopsiques. Ils o
egré du rétrécissement concentrique et de la diminution de l'acuité
centrale
. . L'origine en est cérébrale. Ils apparaissent
e la cornée, de la conjonctive, de la peau de la face, évi- demment
centraux
. On peut les suggérer; aussi rapides dans leur
énérales par des boites disséminées, reliées électriquementau poste
central
dusurveillant général. - Un mouvement d'horloge
ganique par lésions, siégeant en d'autres points du système nerveux
central
et périphérique, s'expliquent dans cette hypoth
considère généralement comme liés à la destruction de colonne grise
centrale
médullaire, et qui carac- térisent les myélites
eaux nourri- ciers spinaux. C'est principalement la colonne grise
centrale
qui parait souffrir de l'insuffisance de l'irri
ées sont en rapport avec la structure anatomique du système nerveux
central
et subsistent, mais l'opération terminale est fau
la perception est demeurée cor- recte, parce que le système nerveux
central
est des plus affaiblis. De là les nombreuses il
riés pro- duits par la présence de toxiques dans le système nerveux
central
et périphérique. M. Haury étudie une par une
ique, les phénomènes observés sont de deux ordres : périphérique et
central
. L'étude critique des symptômes périphériques :
nsie, Dalby et Withers, 392. Vision, troubles unilatéraux de la
centrale
, par Knies, 399. Visites dans les asiles, par D
ion (gliomateuse) débute presque tou- jours dans la substance grise
centrale
, et qu'elle prend naissance à la région cervica
ndant ne présente pas, après la destruction de la subs- tance grise
centrale
, les mêmes allures que lorsqu'il résulte de lés
us, à la variété d'excitabilité des nerfs de la peau ou des organes
centraux
; l'exercice plus ou moins sou- tenu des régions
roduits par le transport brusque de l'excitation dans les appareils
centraux
profonds, revue de pathologie Mentale. 8t car
par conséquent l'in- citation semble se transmettre dans les foyers
centraux
profonds ; -i9° Cela explique aussi que la sect
doivent être distin- guées par la dénomination d'aphasie partielle,
centrale
et péri- phérique. La lésion de AM s'appellera
ysie bulbaire, en rapport avec des lésions encéphaliques à tendance
centrale
. Dans les dernières années, on a publié une dou
t avec des maladies psychiques ou des mala- dies du système nerveux
central
, les unes sont symptomatiques d'un trouble ment
d'un trouble mental congénital, d'une lésion des organes nerveux
centraux
(exemple : idiotie, épilepsie congéniale, psychos
ule et de la moelle épinière. Dans le renflement cervical, le canal
central
est dilaté; cette dilatation, médiane, rejoint
es vésicules de cysli- cerques. La pie-mère et l'écorce des organes
centraux
, les parois des ventricules, surtout à gauche,
ps encore, enveloppée la texture intime, l'architecture des organes
centraux
. Nous n'enregistrerons dans le cadre des descri
nt des pyramides; 2° des coupes transverses à l'endroit où le canal
central
se dispose à s'ouvrir, et termine par un aperçu
lyses micrographiques dans les divers endroits du système nerveux
central
, et aux divers étages de ces endroits, de même qu
ent intacte autour du point de fixation, c'est-à-dire que la vision
centrale
est conservée. Au point de vue anatomique : ell
indifférente susceptible d'expliquer la persis- tance de la vision
centrale
dans l'hémianopsie d'origine céré- brale. Des v
ctrique à rotation, s'addi- tionnent et placent les organes nerveux
centraux
dans un état d'irritation croissante. Une longu
dante (ceutraleaulérierel; 3° l'artère delà parié- tale ascendante (
centrale
postérieure). L'ensemble de l'encéphale pèse 84
ère intellectuelle (démence primaire), soit la réaction de l'organe
central
contre l'ictus trauiuatique (manie furieuse ou
145. 2 Westphal. - Ueber einen Fall von ! grosser Degeneralion des
central
? ! e)'ueM ? 4'<eH : ï, etc. C/ta)' : Yc) ! !
motion qu'à l'épanchement même. L'hématomyélie provoque une myélite
centrale
, et à ce titre est suivie à courte échéance d'a
e rapporter aux changements qui surviennent dans le système nerveux
central
. Effectivement, des recherches expérimentales e
s et les recherches sus-mentionnées prouvent que le système nerveux
central
peut exercer une influence notable sur la tempé
dans cette observation, un abaissement no- table de la température
centrale
; elle n'atteignait, en effet, au rectum que 34°
de ses membres, M. G. Ballet, vient d'être nommé médecin du bureau
central
. Elections. Après élections, le bureau est ains
e infirmerie de cons- truction récente, élevée a la dignité d'asile
central
fermé, devant recevoir au maximum 80 malades; l
decin en chef. La colonie tout entière, y compris l'établissement
central
, est placée sous l'autorité du ministre delà ju
eux, auraient pu être rattachés à la diphthérie et à une affection
centrale
. L'auteur élimine l'idée de la chorée électriqu
périphériques des nerfs sensitifs dans un cas de tabès avec lésion
centrale
(atrophie dégénérative du nerf fémoro- cutané p
iques peuvent être seuls lésés sans qu'il y ait de lésion tabétique
centrale
(neuro-tabes périphérique). Avant Déjerine, Wes
s à signaler sont : les maladies de l'orbite, l'embolie de l'artère
centrale
, l'intoxication saturnine, les hémor- rhagies,
é le Dr Hurel (Pierre-Alexandre), médecin à Gaillon et de la maison
centrale
de cette ville. Ce con- frère distingué n'avait
dico-psychologique de Paris. Nommé en 1869, médecin de la maison
centrale
de Gaillon, et frappé du nombre de criminels de
t de mai 1875. Le quartier des condamnés aliénés annexé à la maison
centrale
de Cation, in Azzn. méd.-psych., n° de mars-1877.
de statistique du quartier des condamnés aliénés annexé à la maison
centrale
de Gaillon; in Compte rendu du Congrès interna-
, par AI- tbaus, G4. 64. Syriti,oiilyélie, 428. Système nerveux
central
, par Kah- ler (An. Kéruval), 13. Tabes (couti
rarement dans les anciens. Dans le cortex cérébral, dans les noyaux
centraux
, dans la protubérance, dans le bulbe, dans le c
lé se révèle. Les localisations du parasite dans le système nerveux
central
sont cons- tatables dans des cas aigus de trypa
riphérique, lorsque le parasite se localise dans le système nerveux
central
, il déler- Fio. 2. Kystes de la protubérance de
foyers parasitaires nombreux, répandus dans tout le système nerveux
central
, sont décelés par l'examen histo-pathoiogique. Ic
n'y avait pas de processus inflammatoire du côté du système nerveux
central
. Nous possédons quelques observations dans lesq
le, le plus grand nombre d'affections organiques du système nerveux
central
. En faisant nos études dans des zones d'une popul
1908), myxo- chondrosarcome de la base du crâne (Wenhardt, Neurol.
Central
1.,45 juin 1898), tumeur des méninges ou méning
. Fait particulier, re syn- drome de Jackson n'avait pas une origme
centrale
, mais avait été consécutif à des lésions nerveu
ies négatives et dans les autres on a trouvé l'ischémie des organes
centraux
et surtout celle des zones rolandiques et pieds
e, les autres la font dépendre des altérations du sys- tème nerveux
central
, périphérique ou encore des muscles. Le plus gr
édullaire qui rayonnent autour du cylindraxe qui est alors le point
central
du disque de la coupe transver- sale et se diri
g des fibres nerveuses dans la substance blanche du système nerveux
central
. Plusieurs auteurs nient absolument l'existence
le réseau névroglique dans la substance blanche du système nerveux
central
a attiré (1) Betrachlungen uber den lalsachlicl
en rencontrons souvent dans le tissu névroglique du système nerveux
central
, et que l'on avait désignés (1) Rivista di pat.
as beaucoup des coupes provenant du foetus. Dans le système nerveux
central
adulte, on trouve dans le tissu nêvroglique tou
nt une nature névro- glique à toute la substance du système nerveux
central
sauf aux éléments nerveux (cellules et, cylindr
l est bien probable que l'augmentation de la consistance du système
central
chez un adulte et chez un vieillard est due en pa
euvent laisser croire que le tissu névro- glique du système nerveux
central
est de formation syncytiale, qu'il le reste mêm
e long des cylindraxes dans la substance blanche du système nerveux
central
et les réseaux intramédullaires des nerfs périphé
névrogliques trouvées dans la substance blanche du système nerveux
central
dans six cas de paralysie agitante. s'agit de cel
e long des cylindraxes dans la substance blanche du système nerveux
central
et le réseau intramédullaire dans les nerfs périp
nerfs périphériques el dans la substance blanche du système nerveux
central
dans la paralysie agitante au point de vue pathog
e premier cas, influe sur LE tissu NEVUOGLIQUE du système NER- VEUX
CENTRAL
ET SUR LA STRUCTURE DES GAINES MÉDULLAIRES DES NE
s muscles, qu'il croyait secondaire à une lésion du système nerveux
central
. Plus tard, en effet, Arnozan (1890) et Jacques
ultats que nous avons relatés plus haut. L'examen de la température
centrale
n'a démontré aucune modification, seulement un
dans la moelle duquel on trouva une tumeur névroglique de la région
centrale
. En outre, d'après Delmas et Roger, le vitiligo a
catrice. A la suite de la seconde opération les cylindraxes du bout
central
ont présenté une vive réaction régénérative ; n
conjonctives irrégulières. La fig. 2 montre la régénération du bout
central
du sciatique, après la première névrectomie. Un
es occupent la substance blanche de l'hémisphère et les noyaux gris
centraux
. La substance blanche de l'hémisphère a complèt
il en est de même de la substance blanche sous-jacente. Ganglions
centraux
. - La destruction du Noyau lenticulaire comprend
e et de l'insula, et s'est arrêtée très brusquement aux noyaux gris
centraux
et à la paroi du ventricule latéral, qui en forme
io. A. Coupe horizontale passant par le tiers supérieur des ganglions
centraux
. , Destruction de l'insu la. de la capsule exte
l'hémisphère gauche passant par la partie inférieure des ganglions
centraux
, destinée à montrer la lésion de l'insula, de l'a
.- Coupe horizontale passant par l'extrémité supérieure des ganglions
centraux
. Vaste lésion ayant détruit le noyau lenticulai
ervé, chez une vingtaine de malades qui avaient présenté une lésion
centrale
ou périphérique dans la sphère du facial inféri
peut se rencontrer dans certains cas de paralysie faciale d'origine
centrale
. ' 396 . PITRES ET ABADIE atteint. Ils sont s
par lésion des centres trophiques, c'est-à-dire, du système nerveux
central
ou périphérique (deutéropathidues), est en voie
YEII, l'un de¡¡ proloplasmatischen und faseriçen Slitt;.suGslan.. des
Central
nerven Systems, Arch. f. Psychiatrie. 1901, Bd.
inuation de leur prolongement protoplasmique ; ce groupe cellulaire
central
est enveloppé par des cellules névrogliques allon
aurait pu voir que, perpendiculairement à un tel groupe cellulaire
central
s'étendent 438 SNESSAREFF d'autres cellules d
oyennes, n'est pas seulement relatif et dû au soulèvement du massif
central
sphéno-basilaire : il est aussi absolu et dû à
dus au rétrécissement des orifices traversés par le système nerveux
central
, par les vaisseaux et les nerfs qui vont dans le
sortir' que, dans ces cas, une sensation accompagnant l'innervation
centrale
, pourrait bien intervenir et il dit, dans sa Ph
n, le sens musculaire dérive donc à la fois d'une faculté d'origine
centrale
motrice, la faculté locomotrice; et d'autre par
tions d'innervation ; elles dépendent uniquement de l'innervation
centrale
des organes moteurs et leur origine serait donc p
centrale des organes moteurs et leur origine serait donc plu- tôt
centrale
que périphérique. On voit aisément que chacune
qui notre conscience de l'activité musculaire est en grande partie
centrale
, initiale et réalisable dans les centres moteur
x muscles, ou dans LE SENS MUSCULAIRE. 89 une sensation d'origine
centrale
, accompagnant l'innervation volontaire des musc
qui regardent le sens musculaire comme ayant il la fois une origine
centrale
et une origine périphérique. 11 subdivise même
non de son exécution. H est nécessaire que l'effet de l'excitation
centrale
, c'est-à-dire la contraction, soit produit pour
la position de nos membres, en un mot les effets de l'incita- tion
centrale
. - Fait-elle défaut, toutes ces notionsmanquent
, sensation de contraction des muscles, et sensations d'innervation
centrale
, qui ne peuvent jamais être séparés à l'état no
, qui ne peuvent jamais être séparés à l'état normal, l'innervation
centrale
amenant sur-le- 9 le REVUE CRITIQUE. champ un
d'innervation », de « décharge nerveuse », et auraient une origine
centrale
. Les notions fournies par ce qu'on nomme propre
ois groupes. Pour les uns, ie sens musculaire est d'origine motrice
centrale
: telle est l'o- piuion de Wundt, deMeynert, de
le sens musculaire est d'origine à la fois motrice et sensorielle,
centrale
et périphérique, opinion sou- tenue par J. Mull
l'intégrité de la capsule interne, du centre ovale et des ganglions
centraux
démontre qu'il s'agissait d'une hémia- nesthési
aires intérieures, et de fonder dans la capitale une administration
centrale
de toutes les maisons d'aliénés. Une commission
re et la plus élevée de la scissure de Sylvius, Insula, gan- glions
centraux
, corne d'Ammon,rien. Sur le ventricule latéral
». La mémoire, dit l'auteur est une fonction de la cellule nerveuse
centrale
sur la voie de l'arc réflexe. De cette définiti
fait porter sa peine à trois ans de prison. ' Envoyée à la Maison
centrale
de Montpellier, elle y a unebonne conduite, tra
ment de la visite médicale, le Dr Bringuier, mé- decin de la Maison
centrale
, la trouve, plongée dans un profond sommeil acc
nes observés chez F.. par M. Bringuierpendantson séjour à la Maison
centrale
. Sa peine terminée, F... quitte la Maison centr
ur à la Maison centrale. Sa peine terminée, F... quitte la Maison
centrale
et entre le 4 juin 1884 à l'Hôtel-Dieu Saint-El
pathologique de la nevrogtie produite dans le voisi- nage du canal
central
, accompagnée souvent de for- mation de lacunes
ns et demi. Remalc (1884.) 19 décrit un fait clinique de gliomatose
centrale
, carac- térisée par la perte du sens de la doul
s cas suivis d'autopsie, diagnostique chez son malade la gliomatose
centrale
avec syringomyélie. Dans le courant de la même
tres symptômes carac- téristiques des cas typiques de la gliomatose
centrale
, figurent au nombre des symptômes cités par l'a
e cela, je ne m'occuperai pas des cas plus rares de la gliomatose
centrale
, marchant sans phénomènes d'anesthésie par- tie
peu près à un centimètre au-dessous de la moelle allongée, le canal
central
de la moelle épinière se dilatait peu à peu. Au
ilatée dans sa totalité qu'à sa partie cervicale. La paroi du canal
central
di- laté se compose d'une membrane scléreuse, b
l'hémichorée se rattache à l'hémorrhagie ou aux ramollisse- ments
centraux
mais elle peut aussi se montrer dans les abcès,
ntérieur sur le développement des autres parties du système nerveux
central
; par Alexandra STEINLECHNEit- GRETSCHISCHNIICOF
secondaire des faisceaux pyramidaux; par consé- quent les ganglions
centraux
(globus pallidus du noyau lenticu- culaire et c
eaux pyramidaux, des fibres corticales qui se rendent aux ganglions
centraux
et servent à transmettre les ordres de l'écorce
cel- lules contiennent des vacuoles, et non seulement une vacuole
centrale
, mais plusieurs une foule de vacuoles marginales.
e de cette affection, mais ne se prononce en faveur ni de l'origine
centrale
, ni de l'origine péri- phérique du spasme. - Le
almos- cope sans diminution notable de son diamètre, l'excavation
centrale
un peu [plus marquée, la trame de tissu conjoncti
de celle des ataxiques en ce que chez les premiers l'excava- tion
centrale
est plus marquée et la trame conjonctive plus v
e coupe longitudinale du nerf et de la papille passant par l'artère
centrale
(voir fig. 2) exister en quantité moindre que d
au méridien horizontal de 1, £ Pil droit du malade V... ; a, artère
centrale
; v, veine; c, petit vaisseau entouré de nombreux
NERAUX. Il Î riches en fibres d'apparence normale que les faisceaux
centraux
. Dans la partie inférieure de la figure 9 qui r
e de ces fibres altérées est beaucoup plus grand dans les faisceaux
centraux
que dans les fais- ceaux périphériques, ce qui
centripètes des pupilles se heurtent au fait indéniable de l'union
centrale
des noyaux sphinc- tériens et de l'entre-croise
ernières par des cellules sphinctériennes malades voisines. L'union
centrale
des noyaux sphinctériens ne nuit pas à l'inégale
nsverse. Il faut admettre une lésion médullaire dorsale,transverse,
centrale
, coïncidant avec une lésion vertébrale, mais in
ment des facultés mentales, en un mot, de l'état du système nerveux
central
. Si le système nerveux est taré, soit héréditai
t défectueux de ces cellules, il en résultera un vice d'innervation
centrale
en vue de la coordination des mouvements oculai
supposé dans la syringomyélie. Contribution à l'étude de l'origine
centrale
de la paralysie saturnine. Observation avec aut
Marchi ; coupes et dissociations) sur les pièces du système nerveux
central
et périphérique, démontre avant tout l'existenc
aymond, Oppenheim, Jolly, etc.), qui ont toujours soutenu l'origine
centrale
de certaines formes Se paralysie saturnine, not
at actuel de la théorie de l'inflammation dans le sys- tème nerveux
central
; par E. STORCH. (Ceitti,albl. f.Nerueilaeilk.,
a disposition du vaisseau ainsi que de l'endroit du système nerveux
central
atteint. La toxine peut aussi, en péné- trant d
fection, a obtenu une inflammation de la moelle atteignant le canal
central
, espèce de syringomyélie iiifiani2nit- loire.
genou, on est conduit à admettre que cette paralysie est d'origine
centrale
. 11 y aurait donc dans la nouvelle deux étages
te de laquelle la dégé- nérescence secondaire a atteint le faisceau
central
de la calotte dans le pédoncule, la protubéranc
rotubérance et le bulbe, avec les fibres périolivaires. Le faisceau
central
de la calotte irait donc bien de la capsule pér
et vésicales, mais un relâchement sphinctérien par action nerveuse
centrale
du centre correspondant. Un phénomène analogue
u du sciatique étaient en réaction, taudis que celles du groupement
central
du même noyau étaient intactes. Au contraire, c
altérations étaient cantonnées à la moitié inférieure du groupement
central
. Chez le troisième chien les altérations corres
-membraneux étaient situées dans la moitié supérieure du groupement
central
, tandis que celles correspondantes à l'extir- p
ésenté par le groupement intermédiaire et non pas par le groupement
central
comme l'avaient soutenu antérieurement les aute
l comme l'avaient soutenu antérieurement les auteurs. Ce groupement
central
représente le noyau du demi- membraneux et du d
sui- virent, l'anesthésie cédait à la sommation. Ataxie d'origine
centrale
et d'origine périphérique. MM. DÉ.1ER1NE ET M.
bétique contraste fortement avec la faible ligne d'ataxie d'origine
centrale
. La cause de cette différence entre l'ataxie pé
a cause de cette différence entre l'ataxie périphérique et l'ataxie
centrale
, doit être cherchée ~~ ailleurs que dans les tr
CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITE DE GIESSEN. 818 Chauffage,
central
(vapeur à basse pression). Distribution d'eau f
pièces servant de bureaux administratifs avec le poste téléphonique
central
, la salle à manger des assistants, un cabinet m
r que l'air arrive avec un certain degré hygrométrique. Chauffage
central
à la vapeur à basse pression. Installation des
tions. Eclairage. La lumière électrique est fournie par une usine
centrale
qui distribue également la lumière aux autres ins
pho- niques sont les suivants : -. 1° Réseau indépendant du poste
central
(situé dans le bâtiment principal) et faisant c
fesseur, les chambres des médecins de chaque division avec le poste
central
. 40 Réseau permettant d'appeler directement le
c le 1"'étage des pavillons d'agités (111). Dans la nuit le poste
central
est mis en communication avec la loge du concie
tre elles. Chaque bâtiment doit être en communication avec le poste
central
du bureau d'administration et ses annexes : cui
res explique que dans les cas de thrombose ou d'embolie de l'artère
centrale
, ils ne puissent, comme les groupes cellulaires
alleux ( ? ), 6° A tout trousseau sensitif (centripète) des organes
centraux
doit correspondre un trousseau moteur. Le systè
s pupilles dans le cours des maladies organiques du système nerveux
central
, M. Piltz en vient au phénomène pupillaire en q
cause doit en être cherchée dans une affection du système ner- veux
central
: on a affaire alors à la réaction pupillaire neu
organique, compliquée par l'hystérie, par PopofT, 302. d'origine
centrale
et d'origine périphérique, par Déjerme et Eg-
des yeux, par bornas, 199. Contribution à l'étude de l'o- rigille
centrale
de la saturnine, par Pllilippe et de Guthard, '
, en particulier de l'appareil cir- culatoire et du système nerveux
central
. Ainsi comprise, l'étude d'un cas tératologique
e est la conséquence d'un arrêt de développement du système nerveux
central
, du centre trophique du membre. Cette théorie i
ion certaines affections amyotrophiques des extrémités et d'origine
centrale
comme la paralysie infantile, la poliomyélite ant
cet oedème. Ceci nous conduit à dire quel- ques mots sur l'origine
centrale
des vaso-moteurs. La question de l'origine des
isse- ment. Il n'existe pas d'hémorrhagie au niveau des noyaux gris
centraux
. Le cervelet n'est porteur d'aucune altération
es réfringents (corne postérieure). C. Chromatolysc périphérique et
centrale
(corne antérieure). Disparition du noyau. D Cel
226 GRASSET d'autres termes, la maladie est-elle périphérique ou
centrale
? Malgré les nombreuses discussions auxquelles
. Et Gauliez conclut simple- ment : « celte interprétation (théorie
centrale
de Duchenne) s'accorde d'ailleurs avec les rech
te la théo- rie nerveuse périphérique de Jaccoud. Dans la théorie
centrale
qu'il adopte, il élimine la théorie bulbomédul-
te inter- vention iliérapetitipue. L'auteur n'oublie pas sa théorie
centrale
et corti- cale du torticolis et alors il admet
t parmi nous comme les bushmen parmi les grands nègres de l'Afrique
centrale
. Ce sont des dégénérés au premier chef destinés
iciel, dont toutes les branches sont cutanées. On voit que le point
central
d'où rayonnent les ramifications de la lésion e
de largeur. On peut distinguer à ce naevus trois portions, l'une
centrale
, dans laquelle les taches sont plus dis- crèt
ion hypertrophique; il faudrait donc admettre plutôt une excitation
centrale
; cependant Recklinghausen accepte que l'abolit
ropriétés de l'être achevé ; il a, notam- ment, un appareil nerveux
central
, le neurotome, pourvu d'une paire rachidienne f
ur le territoire d'un nerf anatomiquement précisé ; 2° prolongement
central
ou radiculaire postérieur, myélite expli- quant
it en dernière analyse à deux neurones superposés : - Un neurone,
central
Ne, dont le corps cellulaire est représenté par
neurones superposés. Fig. 1. 314. - ... F. RAYMOND -Un neurone
central
Ne (Fig. 2), dont le corps cellulaire est représe
) Enfin d'abondantes collatérales ramifiées dans la substance grise
centrale
et dans la partie interne de la base de la corne
ents artériels spasmo- diques, en particulier au niveau de l'artère
centrale
de la' rétine, engour- dissements, fourmillemen
ostic fatal ; ce sont de véri- tables troubles trophiques d'origine
centrale
. Elles sont aussi rares que l'arthrite vulgaire
ite, mais encore les substances blanche et grise du système nerveux
central
. Pour la recherche des modifications récentes des
stribuée également; cette substance a disparu tantôt dans la partie
centrale
du corps cellulaire (très souvenl), tantôt dans l
très rarement). C'est pour cela que, dans le premier cas, la partie
centrale
sera bleu-clair et dans le second la partie périp
s, où la dissolution.de la substance chromatique a envahi la partie
centrale
du corps cellulaire, le noyau oc- cupe une posi
trale du corps cellulaire (Fig. 4). Les cellules avec modification
centrale
de la substance chromatique dif- fèrent par leu
ans les cellules motrices de la corne an- térieure, une dissolution
centrale
de la substance chromatique avec la position pé
le procédé de Nissl. Quelle est la signification de la dissolution
centrale
de la substance chromatique, accompagnée de l'é
affaire à un processus plus aigu que dans le second. La dissolution
centrale
de la substance chromatique avec le déplacement
entué. Il est à remarquer que les cellules gonflées, la dissolution
centrale
de la substance chromatique, le déplacement du
es au sens propre du mot. Sans doute un trouble trophique d'origine
centrale
mais pure- ment fonctionnel d'abord, explique l
ssalongo admet bien que la névrite est se- condaire, mais d'origine
centrale
. En somme, en tenant compte des opinions systém
es districts relèvent sans doute d'un trouble tro- phique d'origine
centrale
(d'où l'influence de la tare héréditaire) et dans
es Lépreux (1). C'est le volet droit d'un tryptique dont le panneau
central
est consacré au Martyr de Saint Sébastien et le v
ant, de valeur inégale, mais qui retiennent tou- (1) N° 20, Panneau
central
d'un tryptique. LA LÈPRE DANS L'ART 455 jours
om d'auteur (N°9 576 à 579, salle A). · La composition du panneau
central
représente un Saint Evoque céré- moniant dans u
émergent les racines antérieures des nerfs spinaux. e. Ventricule
central
de la moelle. /. Cordons disséminés sur la tête
Ventricule central de la moelle. /. Cordons disséminés sur la tête
centrale
du faisceau latéral. g. Cornes postérieures des
tiquées au niveau de la région lombaire. Fig. -12. Cellule nerveuse
centrale
dont un prolongement se continue avec Taxe cylind
tituent la commissure antérieure. f. Petits cordons formant l'arête
centrale
des fais-ceaux antérieurs et compris dans l'épais
es. Ce sont là les cordons longitudinaux de la commissure. g. Canal
central
ou ventricule de la moelle épinière, revêtu à l
ssure antérieure. i. Petits faisceaux disséminés, formant l'arête
centrale
des faisceaux moyens. j. Fibres qui de la face
érieurs. Fig. 2. Structure d'une feuille du cervelet. a. Faisceau
central
de fibres blanches provenant du novau blanc du
bres la rêne droite des habense de la glande pinéale. g. Noyau gris
central
de la couche optique. k. Pilier droit de la voûte
cervelet après l'ablation de la protubérance et du bulbe. a. Lobule
central
compris dans l'échancrure semi- lunaire. b. B
f optique. CL. Cervelet latéral. C. A. Cervelet antérieur. L. C. Lobe
central
. SC. S. Scissure de Sylvius. N. OL. Lobe ou nerf
tif. N. OL. Lobes olfactifs. L. 0. Lobes orbitaires. L. C. Lobe
central
à découvert au centre d'une fosse de Sylvius la
erie ; par M. l'économe de l'hospice, d'après les tarifs du Magasin
central
, pour la couture, la vannerie et le rempaillage
Bicètre, nous apprenait que notre malade se trouvait à la Maison
centrale
de Gaillon. Aussitôt nous avons écrit au direct
ur vagabondage et tentative de vol; que, d'abord écroué à la Maison
centrale
de Poissy, il en avait été extrait le 12 jan- v
le Dr Boularan, médecin du quartier spécial d'aliénés de la Maison
centrale
de Gaillon, nous apprenait en môme temps que du
ait s'être évadé de Bicêtre; malgré cela, il fut envoyé à la prison
centrale
de Poissy, d'où en janvier 1886, à cause de ses
re et la plus élevée de la scissure de Sylvius, Disula, gan- glions
centraux
, corne d'Ammon, rien. Sur le ventricule latéral
tale interne est bien développée, très sillonnée. Le lobule para-
central
est très développé, bien isolé des circonvolution
il a eus en 1884 et en 1886. Dans les deux cas, la tena- pérature
centrale
a suivi la marche régulière signalée souvent pa
tion frontale interne est bien développée ainsi que le lobule para-
central
. - La scissure calloso-marginalc est sinueuse, pr
circonvolution du corps calleux vers le sommet du triangle para-
central
. Il existe également un pli pariéto-timbique post
ecter une fréquence insolite dans les affections du système nerveux
central
les plus diverses dénuées d'action sur l'aire des
double (Iteoue de médecine, 1888, p. 10). III. De la Température
centrale
dans l'épilepsie; Par BOURNEVILLE. Les rech
in. ¡Vochenschl'¡ft, n"' 43 et 44, oct. 1886. 188 DE la température
centrale
dans l'épilepsie. sence de certains processus,
dition. Montpellier et Paris, 1886, p. 1072; etc. DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS L'ÉPILEPSIE. 189 des accès, fièvre qui peu
nombre d'expériences : ce sont celles-là seu- 190 DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS L'ÉPILEPSIE. lementque parait connaître M.
aux enseignements de l'École de la Salpêtrière. DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS L'ÉPILEPSIE. 191 192 DE LA TEMPÉRATURE CEN
LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 191 192 DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS 1,'ÉPILEPSIE. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE D
192 DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS 1,'ÉPILEPSIE. DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS L'ÉPILEPSIE. 193 Chez vingt-sept malades n
le tableau des cas de la première catégorie : 194 DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS L'ÉPILEPSIE, DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DA
194 DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE, DE LA TEMPÉRATURE
CENTRALE
DANS L'ÉPILEPSIE. 195 rature a fourni des résul
ciennes : 1° les accès isolés d'épilepsie augmentent la température
centrale
; - 20 cette augmentation varie entre un dixièm
de relever dans cette observation, c'estlamarcho de la température
centrale
. Elle présente tout d'abord un abaissement cons
élargisse- ment notable des espaces médullaires ainsi que du canal
central
par résorp tion de la paroi osseuse. Cette al
résent, l'existence d'une polynévrite, c'est-à-dire tous les éléments
centraux
- et périphériques de l'atteinte bipolaire du s
rome se trouvent ramenés à l'unité d'un symptôme essentiel et comme
central
, autour duquel tous les autres convergent, et don
s et à ces fractures spontanées, on a reconnu une origine trophique
centrale
. A une des séances de l'année dernière, à la So
n reconnaître, comme on le croyait jusqu'ici, une origine trophique
centrale
à ces lésions articulaires et os- seuses et si
ons ne sont pas, comme on le croyait jusqu'ici, d'origine trophique
centrale
, exclusivement liées à une lésion des cordons p
du Thal. opt. Sauf au point de départ du néoplasme, dans la région
centrale
droite, où le tissu nerveux fut repoussé et en
it à 39°. Autopsie. L'autopsie n'a porté que sur le système nerveux
central
. Pas de sang dans le crâne. Il y a sur l'hémisp
ne de Willis, et assez nom- breuses petites lacunes dans les noyaux
centraux
des deux hémisphères. Observation Il (PI. XXVII
droit. Il existe de nombreuses petites lacunes dans les noyaux gris
centraux
. Pas d'athérome des gros vaisseaux de la base.
, agissant au moment de la vie intra-utérine sur le système nerveux
central
puisse produire également des malformations cutan
oubles fonctionnels et d'altérations anatomiques du système nerveux
central
. Ces affections-provoquent, en outre, des déforma
type que Marburg a décrit comme la conséquence d'un ramollissement
central
des plaques névrogliques. L'autre type,qui sera
(1), on sait que le nucléole est constitué de deux parties : l'une,
centrale
, acidophile ou oxyphile, l'autre, périphérique, b
nglionnaires normales apparaît constitué de deux substances : l'une
centrale
, oxyphile, l'autre, périphérique, basophile : la
état de désintégration granuleuse, le nucléole conserve sa position
centrale
, mais il présente des phénomènes intenses de bo
atophile la moins altérée. Dans les deux premiers cas, la situation
centrale
du nucléole pourrait être expliquée en admettan
t de départ qui est toujours au centre du noyau. Ce point de départ
central
prouve que le nucléole était bien situé au cent
lors la masse homogène présenter un petit sillon avec une extrémité
centrale
et arrondie et une extrémilé périphérique occupée
de linine est analogue à celle observée dans les noyaux à nucléole
central
; 2° Les filaments de linine au lieu de converg
à la périphérie. D'une façon générale on peut voir que la position
centrale
ou périphérique dépend de la catégorie des élémen
trophié. Ce dernier occupe des positions différentes : il peut être
central
,excentrique, ou intimement adossé contre la membr
onnée sur toute son étendue. A l'intérieur on rencontre un nucléole
central
ou périphérique et en même temps un nombre consid
surtout dans les cellules nerveuses petites et moyennes de la zone
centrale
du ganglion, tandis que dans la zone périphérique
en état de désintégra- tion granuleuse irrégulière (a) en (b) noyau
central
hypertrophié et contenant un grand nombre de ce
nterrompre ses occupations et se rendit comme de coutume au magasin
central
de la Salpêtrière. 1 Cependant la figure demeur
ns cataractes périphériques, du côté droit une zone d'opacification
centrale
occupant le champ pupillaire et gênant légèreme
eitrag zur Lellre des l\IuskelLon us, Y 01'1. Bemerkaug. Allg. med.
Central
. Zig" 1861 , n" 100) et celles de Brondgeest (O
s les causes aptes à provoquer l'état atrophique du système nerveux
central
, il est besoin, avant toute autre considération,
oires. Oppenheim a publié un seul cas d'atrophie du système nerveux
central
(moelle épinière). Long et Wiki, qui ont décrit
ation permet de la diviser en deux régions très tranchées : la zone
centrale
, qui est arrondie, occupe le lobule et la parti
evenir confluents. Parallèlement à ces modifications de la région
centrale
, on voit la zone péri- phérique devenir plus sa
par celle du milieu extérieur, mais à un degré moindre que la zone
centrale
. A ce stade, le nez n'est pas douloureux ; cepe
est très foncée ; cependant elles se distinguent bien, car la zone
centrale
a des tonalités bleues, tandis que celles de la
atigue rapide à la marche, d'un peu d'abaissement de la température
centrale
(mais la température est trop rarement notée).
de cellules larges stratifiées, claires et vésiculeuses, la lumière
centrale
se rétrécit ; quelques acini assez rares ne pos
peu lésée : sclérose légère diffuse, cellules rétractées. La veine
centrale
est sclérosée et sa paroi épaissie porte une sort
droplasie se rencontre, et sous sa forme habituelle, dans l'Afrique
centrale
. Nous donnons ici la photographie d'un cas qui pr
mique du chaud de ce même membre inférieur gauche(subs- tance grise
centrale
) ; 3° Le tractus sensitivo-sensoriel et thermiq
es aplatis, presque méconnaissables, au voisinage immédiat du canal
central
du système. Cette zone demeure toujours étroite.
de Memling, l'un à l'hô- pital St-Jean, à Bruges, l'autre, panneau
central
du tryptique de Charles- Quint au musée du Prad
me avec la base du cerveau ; une exostose en occupait l'enfoncement
central
. La pl. XXV, A reproduit une coupe faite au niv
limbique. Pa, circonvol. pariétale ascendante. - Par, lobule para-
central
. P ? deuxième circonvol. pariétale. Pul, pulvinar
ette anesthésie a bien tous les caractères de l'anesthésie de cause
centrale
, elle est plus marquée aux extrémités qu'à la rac
a force motrice volontaire, on avait t penché pour une localisation
centrale
dans la calotte pédonculaire à la hauteur des t
voit que ces adénomes, par leur abon- Fig. 3. - Pituitaire. Partie
centrale
. Les acini ont perdu leur individua- lité sur
e la base de l'encéphale rend compte des lésions du système nerveux
central
. Alors que les coupes de Fleschsig et de Pitres
ues (1). L'examen du système nerveux cérébro-spinal et sympathique,
central
et périphérique, a montré à Sainton et J. State
l tra- duit une perturbation dans la circulation du système nerveux
central
. Rappelons en effet l'observation de Cabot (1)
e aurait pour nous une origine périphérique d'abord, et une origine
centrale
ensuite. C'est-à-dire qu'elle se déclare d'abord
tachant d'une façon exclusive la crampe professionnelle à une cause
centrale
. Pour nous, les deux LA CRAMPE PROFESSIONNELLE
impossible d'affirmer l'existence de la lésion anatomo-pathologique
centrale
, il est, par contre, très facile de prouver que l
eur, est bourrée de cellules embryonnaires. L'épithélium du canal
central
est le siège d'une prolifération active de cellu-
r die asthe- nische Lâlzmung nebst einer Obductions befund, Neurol.
central
Blitt., février 1902 ; W. Sinklkr, Myasthénie g
énie,puisque nous n'avons constaté aucune lésion du système nerveux
central
ou périphérique. Nous ne connaissons jusqu'ici
'le pendant du cas de Laquer-Weigert : intégrité du système nerveux
central
et périphérique ; lympho-sarcome du thymus et inf
l'estomac, on ne peut pas douter de l'influence du système nerveux
central
dans la production de l'urticaire. La théorie d
épendance des phénomènes vasomoteurs de l'action du système nerveux
central
, et d'autres qui localisent ces centres dans le
ne très grande autorité, parcourir, pour ga- gner sa place, l'allée
centrale
de la chapelle du couvent, n'y eût-il que quelq
fort possible que les ventricules du cerveau, de même que le canal
central
de la moelle puissent être intéressés dans cette
globules rouges, d'abondants leucocytes. (1) WiLHAM BULLOCH, The
central
ne l'VOUS system o' an anencephalous foetus. Jour
(PI. XLV bis-G à L). (1) David WATERSTON et 11 : DW1N 1lIATnEW, The
central
nervo2vs system of an anence- phalic foetus, Re
laire. Toutefois, ce tissu conjonctif n'est pas seul dans la partie
centrale
, et l'on rencontre, par amas d'étendue variable
sensitives, dont le centre trophique se trouve en dehors du système
central
, sont moins atteintes ; que, dans la région lom
expliquer pourquoi, sous l'influence d'une dégénérescence d'origine
centrale
, le seul segment de la moelle que nous retrou-
c- tif. Chez l'un d'eux, il paraît persister encore, dans la partie
centrale
, une cer- taine quantité de substance cérébrale
groupement musculaire insolite, paradoxal ; aucune lésion nerveuse
centrale
ou péri- phérique ne permettait d'expliquer ce
tite taille dont on trouve de nombreux représentants dans l'Afrique
centrale
. Nous tpnons en main quelques photographies qui
elette de ces individus. Le canal médullaire, parfois régulièrement
central
, est souvent déplacé laté- ralement et excentri
n périoslale chez un rachitique. - Enfant de 1 jour. Dans la partie
centrale
de la coupe, un certain nombre de travées osseuse
ns colorables. Les noyaux réticulé et inférieur, la substance grise
centrale
, les stries acoustiques, la pyramide antérieure,
e, surtout à sa partie supérieure là où prend naissance le faisceau
central
de la calotte, est bien colorée par l'hématoxylin
ulier. Coupes sagittales du cervelet. Sur toutes ces coupes le lobe
central
, les lobes quadrilatère antérieur et postérieur
e très clairs. Seulement à l'endroit où prend naissance le faisceau
central
de la calotte la capsule olivaire est plus dens
CLÉROSE EN PLAQUES 591 sont atteints exclusivement dans leur partie
centrale
en même temps que la commissure grise. A la 4
la diaphyse qui a conservé ses caractères normaux et dont le canal
central
n'est nullement mo- difié, succède un tissu for
yclopédique des Sciences médicales on trouve que le système nerveux
central
peut être le siège de tumeurs de cette nature,
e intensité incroyable et la présence de détritus. Dans la partie
centrale
, qui recouvre le 4e ventricule on rencontre à 1/2
s deux côtés sur la tente du cervelet. Les hémorragies de la partie
centrale
du cervelet appuient également cette hypothèse.
développement continue. L'indépendance des ébauches vis-à-vis l'axe
central
est tel que Schaper a pu voir la rétine continu
ntage. Toutefois, il serait assez surprenant que le système nerveux
central
, sans action sur l'ensemble de l'organisme, exe
ne laisse aucun doute sur l'existence préalable du système nerveux
central
; il s'est formé, il s'est développé, tandis que
our détruits ; ils sont cependant atteints, avant même que le tissu
central
ait en- tièrement disparu. Les constatations hi
e façon plus ou moins grave ; ils sont d'ailleurs isolés du système
central
et réduits à un rôle très restreint. Il suffit, a
l joue chez l'adulte. Au moment de la naissance, le système nerveux
central
, quand il en persiste un fragment, reprend tout
Icono- graphie de la Sapélrière, mai-juin, 1903. W. Bulloch. The
central
nervous system of an anencephalous foetus. Journ.
tpellier médical, 1904, n° 47. Damn Waterston and Enwm MATTHEW. The
central
nervous system af an anencé- phalic Foetus. Rev
assiques, que la localisation de l'hémichorée répond à cette partie
centrale
de la subs- tance blanche qui avoisine les corp
n ne relèvent pas de lésions organiques de l'encéphale; cette cause
centrale
n'en est même pas la cause la plus com- mune. L
rappelait, en petit, l'aspect du mal perforant avec son ulcération
centrale
, son épaissis- sement de l'épidémie au pourtour
nal de l'épendyme : d'où l'aspect de la moelle creusée d'un ca- nal
central
relativement considérable a été comparé à un rose
on qui se montrait au contraire extrêmement nette au niveau du bout
central
. Ce fait, à lui seul, établissait la dégénérescen
pourtour des lacs de substance colloïde dé- crits plus haut. Canal
central
oblitéré par une production abondante de petites
iques de cellules embryonnaires, orientées au- tour d'un capillaire
central
plus on moins obstrué par la néoformation. Sur
scle associé de l'autre oeil. La paralysie du même muscle d'origine
centrale
(nucléaire, sus-nucléaire ou corticale) s'accom
un carac- tère domine tous les autres dans les paralysies d'origine
centrale
, celui des paralysies dissociées ou associées.
incipales formes de paralysies oculaires, d'origine périphérique ou
centrale
, qu'on peut rapporter à des lésions or- ganique
ien en blocs noirâtres, arrondis ou ovalaires, dépourvus de lumière
centrale
. Ce nerf a donc subi un double processus de név
iltration méningée. Elles intéressent d'une part la substance grise
centrale
sur une hauteur de 5 à G racines, et d'autre pa
urs du sang dans les veines (1) HAYEH, Note sur deux cas de myélite
centrale
aiguë et diffuse (Archives de phy- siologie, 18
'ensemble du tissu une coloration d'un brun sale. Dans cette partie
centrale
, il existe une perte de substance sur toutes le
appli- que en particulier au noyau de l'hypoglosse, au noyau moteur
central
(antéro- latéral, accessoire de l'hypoglosse, n
nt semblables il celles qui infiltrent le périnèvre. Dans la partie
centrale
au con- traire, bien que les travées interstiti
graves, qui évoluent clinique- ment avec les allures de la myélite
centrale
aiguë. Les accidents médullai- res, les paralys
te avec celui de la maladie que l'on désigne sous le nom de myélite
centrale
aiguë. Rappelons que M. le professeur Hayem en
ique courte et peu significative, et avec les allures de la myélite
centrale
aiguë, pour aboutir à la mort en l'espace de qu
rac- ture gauche se joint (seulement à l'excitation des points plus
centraux
de la rétine) à l'hémicontracture droite déjà d
psie gauche apparaît avec l'excitation des points de la rétine plus
centraux
, plus voi- sins de la macula lutea. Ces deux so
l'hémicontracture droite se présente à l'excilalion d'un point plus
central
. Pour la moitié temporale de la rétine droite le
ne une hémi- contracture droite, tandis que la série de points plus
centraux
constitue le lieu des points dont l'excitation
nts qui donnent une hémiconlracture droite et qui ont un siège plus
central
, et ceux, dont l'irritation produit une hémi- c
arc périphérique donne une hémicontracture droite, tandis que l'arc
central
donne une hémicontracture gauche ; ce fait coïnci
NTIIAII1PNOTIQUES 319 une hémicontracture gauche, pendant que l'arc
central
produit une hémi- contracture gauche ; ce fait
asse la moitié nasale de la rétine, mais occupe seulement la région
centrale
de celle-ci. b) Le faisceau croisé de l'opticus
la moitié temporale de la rétine où elle occupe seulement la région
centrale
. c) Le passage réciproque du faisceau croisé et
les, ne sont pas consécutives à une altération de leur prolongement
central
puisque Lugaro et d'autres physiologistes ont d
hysiologistes ont démontré que l'on peut sectionner le prolongement
central
de : ces cellules, c'est-à-dire les fibres des
ules ganglionnaires, au delà desquelles commence la substance grise
centrale
du canal encéphalomédullaire. Cette répartition,
ne énorme quantité de fibres radiaires allant de la substance grise
centrale
à la troi- sième couche de Tartuferi inclusivem
ntaire, plus rarement du processus secondaire de Marinesco. Le bout
central
et le bout périphérique des fibres nerveuses su
urone sensitif périphérique tout en prédominant sur le prolongement
central
de la cellule et qui atteint généralement- auss
es tragiques. 11 procède dans certains cas d'une croyance erronnée,
centrale
et organisée, qui conduit le malade à jouer un
l'on observe sur la tache jaune dans les cas d'embolie de l'artère
centrale
de la rétine. Les nerfs optiques sont atrophiés,
ne névrite intertitielle ou parenchymateuse. Sur le système nerveux
central
des lésions variables ont été signalées de l'éc
e quelque réflexion nacrée du segment interne, près la dépression
centrale
de chaque côté (image renversée). Observation X
hez un enfant en plus bas âge, c'est-à-dire dont le système nerveux
central
était plus délicat, plus sensible aux excitatio
exemple, une stimulation forte et prolongée sur tel système nerveux
central
prédisposé pour déterminer à la fois des troubl
du poison ne porte pas sur les muscles mais sur le système nerveux
central
. Pour préciser sur quelle partie du sys- tème n
rveux central. Pour préciser sur quelle partie du sys- tème nerveux
central
, chez un autre chien parathyroïdectomisé, la se
noyau de la branche supérieure du facial des deux côtés; le trajet
central
de cet arc est la calotte. C'est le réflexe sus
es d'ordre génital ont fait défaut. Les auteurs discutent l'origine
centrale
ou périphéri- que de ces paralysies, et insiste
elation indubitable, étroite. Sur quelle portion du système nerveux
central
ou périphé- rique siègent donc les altérations
intéressantes se pré- sentent à l'observation. Le système nerveux
central
et ses enveloppes sont indem- nes de toute méta
Ces phénomènes consistent comme vous le savez en une z chromatolyse
centrale
avec état vésiculeux du protoplasma cellulaire
total ou partiel, la différentiation avec les affections d'origine
centrale
repose toujours sur la coexis- tence, dans le s
diffuses qui siègent dans l'appareil conjonctif du système nerveux
central
portent en elles-mêmes comme un cachet d'origin
arciformes cérébello-olivaires, une partie de l'olive, le faisceau
central
de la calotte, le noyau ambigu et les libres de
xie locomotrice. G. C. LVI. Sur la signification de la chromatolyse
centrale
avec dépla cement du noyau dans les cellules du
ale avec dépla cement du noyau dans les cellules du système nerveux
central
de l'homme ; par John TUnNER. (The Journal of M
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. pales altérations du système nerveux
central
étaient les suivantes : 1° Il y avait une défec
arborisations terminales à la périphérie ou dans la substance grise
centrale
. Le système nerveux tout entier peut être considé
les prolon- gements ramifiés des dendrites dans la substance grise
centrale
. Tout retard apporté au passage du stimulus, se
ment développés et qui forment la grande masse du système nerveux
central
, c'est-à-dire les neurones d'association. La rési
ndraxe, car nous voyons que les tractus entrants du système nerveux
central
sont myélines avant les tractus sortants. L'étu
E MOSCOU Séance DU 11 octobre 1902 Sur les modifications du canal
central
dans les traumatismes de la moelle épinière (av
phique ; une telle fragmentation existe donc aussi dans la coupe
centrale
de la fibre coupée. Présentation des préparatio
occupé du contrôle de ces investigations sur les malades du Bureau
Central
d'Admission pour les aliénés de Moscou, et chez
e manière automatique. W.-K. BaTH admet la possibilité de l'origine
centrale
de la para- plégie dans le cas du rapporteur, c
. En contrôlant les investigations de BnA sur les malades du Bureau
central
d'Admission de police pour les aliénés, le rapp
rveuses. Voir Moelle. Sur la signification de la chroma- z tolyse
centrale
avec déplacement du noyau dans les de l'homme,
262. - Voir Faisceau pyramidal. Sur les mo- difications du canal
central
dans les traumatismes de la -, par lllinor, 5
re cherchée que dans un fonc- tionnement vicieux du système nerveux
central
. De là les théories psychologiques. La plus s
s aphasie motrice ou sensorielle, fait qui exclut déjà toute lésion
centrale
ou pédonculaire. La lésion ne pouvant exister qu'
ommencé par un bouton qui aurait augmenté de volume, puis l'escarre
centrale
serait tombée, tout se serait passé sans douleur.
l'intérieur de la masse cérébelleuse : dans la subs- tance blanche
centrale
sont de larges cavités irrégulières, subdivi- s
e mobile du phénomène du genou, dont les oscillations sont de cause
centrale
(obs. Il).'Ici, ce sont des anes- REVUE DE PATH
sur différents points intéressant la physiologie du système nerveux
central
. Dans ces expériences on ne peut utiliser que l
10 juillet rapporte les deux faits suivants : « Au sortir du poste
central
de police, à 11 heures du soir, un marchand de
cependant persistance de cet épaississement 190 RECUEIL DE FAITS.
central
; 2° l'oedème avec coloration ordinaire de la pea
près laquelle la main gauche est très peu enflée, sauf l'empalement
central
mentionné plus haut, qui persiste toujours. Mai
ces différents phénomènes hallucinatoires peut être périphérique ou
centrale
. Les hallucinations périphériques sont celles d
t se résumer ainsi : toute hallucination est un phénomène d'origine
centrale
, cérébrale ; il n'y a pas d'halluci- nation d'o
que la cellule quadrangulaire, qui est à bords concaves, avec noyau
central
, dans l'état normal, perd ses granulations chro
cette appréhension. La relation qui existe entre le système nerveux
central
et l'ap- pareil digestif est mise en évidence,
teur pense qu'il s'agit d'une myopathie sans aucune lésion nerveuse
centrale
ou périphérique. Il se base sur le carac- tère
peu plus élevé que l'autre, et deux prolongements de ramollissement
central
dépas- sent en haut et en bas l'étage des tumeu
On a déjà signalé dans les maladies chroniques du système ner- veux
central
, et particulièrement dans la folie, des changemen
E. 13LIN. X. L'action DU LIQUIDE thyroïdien SUR LE SYSTÈME nerveux
central
; par le Dr HASKOVEC. Au moyen de nombreuses e
us les tremblements; 2° les tremblements sont en principe d'origine
centrale
, cérébrale et cérébro-spinale, rarement d'origi
E paralysie générale a forme CIBCUL41RG ; par FpOENKEL. (Nezrrolog.
Central
., XIV, 1895.) Malade observé pendant cinq ans e
iencéphalile diffuse et leur relation avec les .scléroses de noyaux
centraux
correspondants. Il conclut en classant en 5 grou-
isants ; car c'est le 23 nivôse an V seulement que l'Administration
centrale
du département reçoit les plans et devis dressé
ant les dits plans, devis et soumissions, invite l'Admi- nistration
centrale
à charger le dit citoyen Guillon seul soumission-
rain du bureau de bienfaisance, fera partie intégrante de la maison
centrale
des soeurs de charité attachées à ce bureau, le
et épileptiques faisait désormais partie intégrante de la maison
centrale
des soeurs de charité attachées à ce bureau. Les
sentir sur tout l'organisme, principalement sur le système nerveux
central
, exemple : le vertige à slomaco lceso, les convul
cette scissure très anormale aussi, commence à la scissure post-
centrale
et aboutit à la pointe du lobe occipital. Elle es
asymétrie entre les deux moitiés latérales de la moelle et le canal
central
est très large. Ce dernier s'élargit de plus en
en plus élevées, on note successivement : l'agrandissement du canal
central
et de la cavité qui le suit et avec laquelle il
érente. Les encoches latérales s'effacent progressivement. Le canal
central
augmenté de la cavité placée derrière lui et les
quide céphalo- rachidien a provoqué la dilatation anormale du canal
central
. Puis, ce liquide trop abondant a dilacéré les
tral. Puis, ce liquide trop abondant a dilacéré les parois du canal
central
et pénétré le tissu nerveux, dans le point rend
peut être accompagné de profondes altérations du système ner- veux
central
incompatibles avec la vie. CMUSET. XXL DE L1 di
nt : a, les faisceaux unissant l'écorce hémisphérique et les noyaux
centraux
avec la substance grise médullaire et les noyaux
par Bourneville, 255. Action du liquide - sur le système nerveux
central
, par llaskovec, 310. Extrait - et crétinisme,
sont au nombre de 6 : antéro-interne, antérieur, antéro-externe,
central
, externe et postéro-externe. Le nerf circonflexe,
autres des foyers d'intensité spéciale, les premiers dans le lobule
central
, les derniers dans les lobules postéro-pariétau
subliminale avec conscience, hyperacuité auditive, hyperréceptivité
centrale
, exaltation de l'émotivité et delà sugges- tion
qtie à son entrée dans le globe de l'oeil, la papille .en sa partie
centrale
et la rétine en ses parties supérieure siège du
cas de sarcomatose nodu- laire primitive de tout le système nerveux
central
el périphérique. Cette variété de néoplasie évo
die de Recklinghausen peut s'accompagner de locali- sation nerveuse
centrale
(1 cas personnel de Tailleur), d'autre part len
ne sont pas en rapport avec des lésions du cervelet ou du faisceau
central
de la calotte, il ne s'agit pas là de tumeurs n
i ioiinelles. Madame Dnai : nmE fait observer que quand le faisceau
central
de la calotte est lésé, la dégénérescence se lo
ion, la surveillance et le service médical. A l'infirmerie ou dépôt
central
se concentrent les services administratifs : mais
IÉTÉS SAVANTES. rasthéniques, a son origine dans le système nerveux
central
, non dans le muscle. Il y dans ce fait un moyen
irecteur de la maison rapport sur l'état mental du nommé d... 297
centrale
de Poissy. Un rapport de police, rédigé à la suit
rapport SUR l'état mental DU nommé D... 299 M. Tomps, commissaire
central
. Pendant son séjour à la maison d'arrêt (novemb
t invité à donner des explications sur son identité au Commissariat
central
. Au cours de ses explications, il montra une le
pé ces différents postes, et la lettre fut saisie parle Commissaire
central
. Il n'en fallut pas davantage pour mettre D...
e fait le rôle direct de l'excitation psycho-sensorielle, d'origine
centrale
ou péri- phérique, dans l'insomnie de ces malad
ires. C'est à cette dégéné- rescence wallérienne des fibres du bout
central
d'un nerf arraché, dégénérescence contraire à l
on y trouvera en dégénérescence complète toutes les fibres du bout
central
depuis leur noyau d'ori- gine réelle jusqu'à le
mes ainsi que des bandes protoplasmi- ques renfermant un cylindraxe
central
caractéristique. L'état embryonnaire de ces élé
ne néoforma- tion sur place en dehors de toute réunion avec le bout
central
. Cette observation de régénération autogène che
e. · Le nerf périphérique n'est pas le prolongement d'une cellule
centrale
, mais une chaîne de cellules différenciées. On pe
àtant, un grand nombre de cellules nerveuses dans la circonvolution
centrale
est mis en action et une hyperhémie locale est
la vue en question, voulant probablement signifier par là l'origine
centrale
du mal. Plus tard, au mois de septembre de la m
d'avis que la cause de l'affaiblissement de la vue était d'origine
centrale
, attendu que l'ophtalmoscopie des deux yeux don
-chaussée et d'un étage. Il com- prend, en bas, à droite du couloir
central
, un dortoir de quatorze lits, destiné aux tuber
sceau de rayons ayant pour centre les confins de la substance grise
centrale
du canal encéphalomédullaire, envoient quelques
ne paralysie périphé- rique de l'oculomoteur commun d'une paralysie
centrale
. P. Keraval. 3 REXUU U.1\.1'lU\111. E1' Lh PH
e l'oculomoteur externe s'accompagner de dégénérescence du faisceau
central
de la calotte, de la grosse olive et du système d
e (faisceau REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 433
central
de la calotte` ? ), plutôt que des éléments du fa
que irrégulièrement distri- buée de la substance blanche du nerveux
central
. Les cellules de la moelle et du cerveau sont l
istent soit dans le déplacement du noyau, soit dans la cbromatolyse
centrale
avec pulvérulence des grains cbromatophiles, so
ar les techniques habituellement employées par le système nerveux
central
. A. Coupes uzt niveau du foyer principal (3° ra
, être assez vio- lente. s'exercer profondément, jusqu'à l'axe gris
central
, car c'est dans la substance griae péri-épendym
re \ Il est aujourd'hui à peu près certain que la voie acoustique
centrale
possède « un chiasma analogueau chiasma optique »
nerf périphérique ne serait pas issu par bourgeonnement de l'axe
central
, pas plus que la cellule de myéline ne serait ven
rioles afférentes pé- nètrent jusqu'à cette colonne celluleuse
centrale
, et là elles se divisent en gran- des mailles
préciser. P. K. XXII. DE L4 paraplégie sénile; par W.-R. GowEns. (
central
. f. Nervenheilk., 1890.) , Mémoire écrit en a
'conséquent la forme myopathique émane aussi du système ner- veux
central
. Une autre observation à l'appui de cette asserti
nt qu'il s'agit là d'une lésion REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. H'1
centrale
. Si l'on épluche avec soin les anammestiques, on
uchement. P. K. XL. CONTRIBUTION A la syphilis DU système NERVEUX
central
, par E. SIEUERLING. (Archiv f. Psychiat., XXII,
o-pathologique de trois observations de syphilis du système nerveux
central
, qui se résument brièvement ainsi. La première
r un incendie. Des passants, ayant remarqué au sommet du bâtiment
central
quelques points incandescents, prévinrent immédia
penser que la maladie reconnaissait pour cause une lésion nerveuse
centrale
. L'état général du malade s'est amélioré. R. M.
miner un accès d'épilepsie sont d'origine périphérique ou d'origine
centrale
. Les premières seront dues à des impressions mo
ouleverse- ment fonctionnel, partiel ou général, du système nerveux
central
, sous le conp d'une excitation auormale, et pro
paralysie motrice, ni phénomène d'excitation. Or le système nerveux
central
du pigeon ne possède pas de système qui, au poi
x racines de la moelle. M. SCHULTZE. Les lésions du système nerveux
central
, chez les phlhisiques ne sont pas encore suffis
les ganglions et les racines spinaux. Mais, y a-t-il une douleur
centrale
, c'est-à-dire une douleur qui, prenant naissance
rale, c'est-à-dire une douleur qui, prenant naissance dans l'organe
central
, soit ressentie à la périphérie. Il est évident q
Telle était la cause des douleurs prenant naissance dans l'organe
central
, et réfléchies, senties à la périphérie. Remarquo
rofonde et irrégulière de la papille ; derrière elle, dans l'artère
centrale
ou- verte existe un bouchon rond. Il parait avo
ravaux forcés. Elle avait été envoyée, le 27 juin 1891, à la maison
centrale
de Montpellier. Elle y tomba malade à plusieurs
e laissant à nu la sclérotique, l'émergence irrégulière de l'artère
centrale
de la ré- tine, unnoevus, quelques tics. Chez d
je lui fis fermer l'oeil droit et fixer avec l'autre oeil le point
central
. Il s'attendait à voir avancer sur l'arc de cer
ous voyez qu'elle ne voit un papier que s'il est tout près du point
central
du périmètre, à une distance de 5° au plus. N
au périmètre, l'oeil droit fermé et l'oeil gauche fixé sur le point
central
, j'avance lentement mon doigt sur l'arc de cerc
tainement affaire ici aux cellules desoutènement du système nerveux
central
. Comme il existe en outre une prolifération vas
E DE DYSTROPHIE, MAIS OCCASIONNÉE PAR UNE LÉSION DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
; par G. WERDNIG. (Archiv. f. Psych., XXII, 2.)
évoluer de concert avec les phénomènes d'excitation, car, atrophie
centrale
signifie, paralysie périphérique. Et d'autre part
l'organe des sens, au moment où se produit l'hallucination purement
centrale
. 2° Hallucinations motrices. Tout mouvement est
dir ou de les transformer. Naturellement, la direction de l'asile
central
et de l'assistance familiale annexe incombe à u
r la quinine, par l : rlenmeyer, 112. Rétine, embolie de l'artère
centrale
de la par Manz, 251. Sensibilité, troubles de
oyant qu'il s'agissait d'un frisson de fièvre releva la température
centrale
de la patiente, tempé- rature qui fut trouvée d
ine-KIumpke admet, au point de vue des rapports de la myélite aiguë
centrale
diffuse et de la poly- névrite, « qu'il s'agit
sur le système nerveux périphérique, tantôt sur le système nerveux
central
, d'un seul et même agent pathogène, virulent, i
cin, 13d I, 1880-1881, p. 387-131). 4. Paul Blocq, De la nature «
centrale
» de la Paralysie spinale aiguë de l'adulle (Bu
oit. - La papille est d'un blanc chatoyant avec petite exca- vation
centrale
; son bord supéro-interne (image ophthalmoscopique
ccroissement exagéré d'un 1. La malade a été présentée à la Société
centrale
do médecine du Nord dans la séance du Il mars 1
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S1L1'1 : TPII : RE. paralysie d'origine
centrale
, qui pourtant produit plus souvent qu'on ne le
re. 1. G. Ballet. De quelques troubles dépendant du système nerveux
central
observés chez les malades atteints de goitre ex
ents ; enfin la ligne médiane est occupée par un 'dernier noyau dit
central
. - -l Ainsi que le fait remarquer Perlia, la va
iphérique des nerfs moteurs. Cette fois l'examen du système nerveux
central
à l'oeil nu et après durcissement resta absolum
peu de jours dans un profond marasme. L'examen du système nerveux
central
à l'oeil nu et après durcissement resta absolum
12 avril. Ni syphilis, ni diphthérie. L'auteur croit à une lésion
centrale
nucléaire. GEORGES GUIGNON, Chef de clinique
hésie complète appar- tiendrait de préférence aux lésions d'origine
centrale
. 1. Ziehl, Deutsche merl. n'oeil., n° 17, 1889.
ulcération, d'eczéma, de phlébite, etc., absence de cause locale ou
centrale
de stase prolongée, à moins qu'on ne veuille fa
e rhumatismale ou a frigore sans songer à la rattacher à une lésion
centrale
. La marche de la maladie nous aurait peut-être
Pas de tabes. Ons. XVI. - Paralysie des muscles oculaires de cause
centrale
(Licli- theim). Jeune fille de vingt et un an
a planche XLVII a trait à un cas de syringomyélie. Le néoplasme est
central
, sa cavité est en forme de fente perpendiculaire
dorsale, presque complètement détruite par le néoplasme. Une cavité
centrale
est étalée transversalement, dans laquelle se d
st, elle aussi, un peu élargie dans le sens transversal ; la cavité
centrale
est moins grande, et toutes les parties de la m
te des cordons laté- raux. Dans la région lombaire enfin, la cavité
centrale
et le gliome qui l'entourent sont réduits à des
oelle épinière, un espace relati-vement restreint, la substance grise
centrale
est cependant, au 4e ANNÉE. 1 point de vue ph
nte du centre spinal. Qu'il me suffise de vous rappeler que ce cordon
central
de substance grise est un lieu de passage obligé
-quement, d'une façon très-nette, ce qu'il appelle la substance grise
centrale
et les cornes de substance grise. La première aur
qu'ici et qui, comme les premières, ont pour siège la substance grise
centrale
. Dans ces myélites centrales, la lésion inflamm
ndi-quant une participation au moins temporaire de la substance grise
centrale
? Quelques observations faites par MM. Duchenne et
sairement le résultat d'une modification morbide de l'inner- nation
centrale
. Or une lésion permanente et appréciable de la mo
propre à établir l'in-fluence directe des lésions du système nerveux
central
sur la nutri-tion des parties osseuses, puisqu'il
a trouverons, ou dans le muscle lui-même, ou dans le système ner-veux
central
. S'agit-il du système nerveux? c'est le plus souv
hefs de la Commune, sur un certain nombre de membres du fameux comité
central
, et il démontre facilement que tel, de par ses pr
Comme action médiate : 7° La sédation du système nerveux volontaire
central
et péri-phérique ; — 8° le ralentissement de la r
en qu'assez résistant de tissu compacte circonscrivant un large canal
central
rempli de moelle jaune. L'os a pris une forme arr
eil en couvrant ou découvrant une portion plus ou moins grande du fer
central
de la bobine, lequel sert à interrompre le couran
ande au cœur une somme plus considérable de travail. III. Déchirure
centrale
du périnée pendant l'accouchement. Passage de l'e
arrière, 3 centimètres et demi d'étendue. Il existait une boutonnière
centrale
qui avait moins d\ 15 millimètres, et était dista
rs, que, sous le rapport des modifications imprimées à la température
centrale
, les convulsions toniques, épileptiformes, des hy
pètent en grand nombre, dans un court espace de temps, la température
centrale
s'élève d'une manière très-remarquable2; et très-
x et qui nous montre lesmodifications qu'a présentées la tem-pérature
centrale
chez la nommée Chevalier, pendant le cours de l'é
it l'in-tensité des convulsions d'élévation notable de la température
centrale
. * Voy. l'observation deFadayat, qui a succombé
, et qui présentait des altérations très-curieuses du système nerveux
central
. On trou-vait disséminées à la base du cerveau de
r notre premier diagnostic, et nous fûmes forcé d'admettre une lésion
centrale
. Notre malade, sur de nouvelles instances, accusa
complication du côté des yeux est une preuve évidente d'une affection
centrale
, et nous nous trouvons justement devant un de ces
bien pour le système nerveux périphérique que pour le système nerveux
central
, que quand il entre en fonction, il développe la
ulement du système nerveux — celle qui préside à la circula-tion soit
centrale
, soit périphérique. A doses toxiques, tout le sys
marest, 125. PiïticiiLonuHE de fer, 239, 52!. Périnée (Déeliiruro
centrale
du) pen-dant l'accouchement, par Letenheur, (An.-
entre optique cortical arbitraire; aussi je peux déterminer la voie
centrale
que l'excitation parcourt. C'est autre chose po
rale que l'excitation parcourt. C'est autre chose pour l'excitation
centrale
produite par l'hallucination. Celle-ci s'effect
le champ olfactif cor- tical gauche se transmettait au champ visuel
central
gauche; ce dernier était donc moins disposé pou
centres subcorticaux et atteint par la voie acoustique sensorielle
centrale
(laquelle est, comme on sait, croisée) le centre
nt formée par la suc- cession des corps vertébraux, et que le canal
central
n'est point creusé au milieu d'eux, mais en arr
rales dominent, ne peut guère survenir qu'à titre de retentissement
central
d'une stimulation périphéri- que. Si les douleu
nt cura- risante. La paralysie en question n'est donc pas d'origine
centrale
; elle ne tient pas non plus à une modification
s destruc- lions osseuses, l'indolence, la concomitance de troubles
centraux
divers, sollicitent dès l'abord son attention,
thropathie revient aux influences extérieures est faible; la lésion
centrale
préexistante l'emporte sur les causes occasionnel
: NV, Provodiachlchié pouli mozga, Kazan, 1893. (4) Haxs Un.)), Die
centrale
GehoerIeiLung, Arch. f. Anal, und Physiol., 111,
e toute lésion intéressant l'appareil labyrinthique périphérique ou
central
. LE NERF LABYRINTHIQUE 36t connaître ou en im
n du noyau in- terne et du noyau glosso-pharyngien. Ce noyau, noyau
central
de Roller ou central inférieur del3eclaterew, a
et du noyau glosso-pharyngien. Ce noyau, noyau central de Roller ou
central
inférieur del3eclaterew, appartient au champ infé
esl que plus tard le nerf labyrinthique est formé des prolongements
centraux
et périphériques de cellules bipolaires identiq
forme ciliée sans la péné- trer, et que là comme dans les ganglions
centraux
, il y ait uniquement rap- ports de contiguïté e
u corps embryonnaire et l'expansion mésodermique, ses prolongements
centraux
et périphériques s'étirent, surtout les centrau
ses prolongements centraux et périphériques s'étirent, surtout les
centraux
qui vont former la plus grande partie, la parti
sses cellules, colonne de Clar- cke, d'où partent des prolongements
centraux
qui gagnent plus spéciale- ment le cervelet. a'
iques pour leurs deux faisceaux de prolon- gements périphériques et
centraux
, comme chaque cellule centrale est centre troph
de prolon- gements périphériques et centraux, comme chaque cellule
centrale
est centre trophique pour ses ramifications et
eur gaine de Schwann en sortant des biles osseux du labyrinthe. Les
centraux
perdent la leur pro- gressivement il mesure qu'
IIubuenin), noyau dorsal médian, noyau principal de Schwalbe, noyau
central
de Stieda, noyau médian de la racine postérieur
aux formations labyrinthiques des Vertébrés, en passantpar l'organe
central
du Cténopbore et les organes latéraux des Verté
) '- G. Ballet. De quelques troubles dépendant du système nerveux
central
ob'e¡'vé, chez les malades atteints de goitre exo
tics avec des états cérébraux divers vont à l'appui de l'origine
centrale
' dont nous avons pu fournir un exempter peut-ê
144. 3Chvostek. - lVeitac,' 13eilrng zur Itcl'dwcisen sclérose de,'
central
71ei-veiisysteis. (.l11gm. Wiener medizinischc
déc. 1871. 4 Fr. Boll Histologie et lzislogénie du système nerveux
central
; in Arch. sur Psychiatrie, 1873. 5 Debove, ci
a pupille, ni dans les bandelettes optiques, ni dans leur extrémité
centrale
, dans les corps genouillés et les tu- hercules
tent, sur toute leur éten- due, à l'intérieur de la substance grise
centrale
sans s'entrecroiser. Il 11 existe pour chaque o
e par le nerf optique dans la moitié correspondante de la substance
centrale
, dans le noyau et le tronc du nerf moteur ocu-
bres du jury étaient : MM. Beaudrimont, direc- teur de la pharmacie
centrale
, président ; Vialla, pharmacien do Bicêlre; Buu
lamus est symétrique; les deux noyaux de l'hypoglosse à leur partie
centrale
présentent une légère coloration grisâtre. L'or
la conséquence. Ces troubles peuvent affecter le système nerveux
central
et périphérique dans toutes ses fonctions : mo-
celluleux. - A, Scolex avec ses quatre \en- touses et son rostellum
central
. - B, Crochets de la rangée supérieure du roste
tion centrifuge émanée des parties détruites, mais d'une excitation
centrale
réflexe; l'excitation aurait été transmise au c
ollissement myelitiques dans toute l'étendue transverse de l'organe
central
, assez uniformément répartis dans les substance
corps strié. La lésion a porté profondément sans que les ganglions
centraux
soient intéressés; en surface, elle a atteint le
. K. XXXII. SUR l'inflammation parenchymateuse DU SYSTÈME NERVEUX
CENTRAL
ET SES RAPPORTS AVEC LE GLIOME ; par Paul MEYER
évidemment en rapport avec la plus grande partie du système nerveux
central
, survenant sous furme d'accès à évolution brusq
chymateuse vraie et les gliomes ou neuro-gliomes du système nerveux
central
. L'échelonnement des accès et le cachet des sym
maître les effets du froid sur le système nerveux périphérique et
central
, sur la congestion cérébrale, fait entrevoir auss
e supposer qu'il existe une certaine disposition du système nerveux
central
à s'affecter en plusieurs segments à la fois, sou
que. Les coupes ont été exécutées sur l'ensemble du système nerveux
central
d'un homme ayant succombé à la forme tabétique
iaires. Un quartier de ce genre est actuellement annexé à la Maison
centrale
de Gaillon; 2° les aliénés dits criminels, c'est-
il n'y a pas de salle de jours spéciales. C'est l'ad- ministration
centrale
de l'hôpital qui veille à l'entretien de ces pe
334. Gliôme (inflammation parenchyma- ' teuse du système nerveux
central
420 TABLE DES MATIÈRES. et ses rapports ave
l'année 1 ! job, ces malades furent-el- les hospitalisées au siège
central
de la colonie, dans un pavillon spécialement co
nt son admission, Céline..., placée en observation à l'infirmerie
centrale
, en compagnie de ses petites camarades, apparaît
que ceci me l'ut connu je ramenai la petite Rosa...à l'in- firmerie
centrale
(10 octobre), il suffit d'un séjour d'une semaine
ous contentons, pendant le tempsoùles enfants sont réunies au siège
central
, sous la surveillance d'une de nos anciennes in
monstrueuses d'amphibiens de la disjonction du système ner- veux
central
en deux moitiés parallèles ». a « On est alors
nerveux des vertébrés de celle qui ca- ractérise le système nerveux
central
ou chaine ganglionnaire des Annélides». (Elémen
e contestera d'ailleurs pas l'autorité, je tiens le système nerveux
central
, le névraxe, pour primitivement dou- ble, et je
à un ou à plusieurs plans de symétrie, enfin par rapport à un point
central
. Dans ce dernier cas, l'oeuf est dit isotrope.
ns sa portion ter- minale selon le type Wallérien ; le prolongement
central
subit un processus d'atrophie rétrograde jusqu'
Deiters) ; des troubles du goût, et, à propos de ceux-ci, le trajet
central
des fibres de la corde : leur noyau serait dans l
e aux études nouvelles ; ils ont souvent la même acuité de vi- sion
centrale
, mais non de vision périphérique. . L'extase re
ésence de renflements moniliformes sui tout le trajet de la branche
centrale
jusqu'à l'intérieur du ganglion, renflements du
nce et plus lard régénérées telles qu'on n'en voit pas dans le bout
central
des nerfs sec- tionnés et d'autre part les fibr
éres- cence 1 abétiquc consiste dans l'intoxication de la branche
centrale
des racines postérieures, qui empêche les fibres
t. On ne rencontre jamais de C. nerveuses jeunes dans les organes
centraux
chez l'adulte. Il peut y avoir des C. à différenc
bauli- et PHILIPPE, -1 1 lislologie pathologique du système nerveux
central
. (In Manuel d'Histologie pathologique de Cornil e
enues pour pen- sions civiles encaissées pour le compte du receveur
central
de la Seine. Le mandat sera appuyé d'un état no
compte de retenues pour pensions civiles pour le compte dû receveur
central
de la ? eine. Nous aurions ainsi des retraites
ère dont se déroule le procès psychologique dans le système nerveux
central
malade. I Et enfin lorsque nous nous plaçons su
és par une disposi- tion héréditaire défectueuse du système nerveux
central
. Ils sont comparables à des processus mentaux é
'. 13y Dr F. 1\IoTT, London. ` On the Evolution of the Vertébrale
Central
nervous System. Synopsis of lecture by W. H. Ga
té et conduit au poste. Après interrogatoire, M. Payen, commissaire
central
* l'a fait mettre en observation à l'hôpital mil
on de la lésion productrice de l'imm. réfl. dans la substance grise
centrale
, ou dans le toit mésencéphalique, ou dans la mo
troubles de l'équilibre vraisemblablement dénués de toute origine
centrale
. Le lecteur se rappelle sans doute que durant s
es circonvolutions motrices, de la zone de Wermcke, des noyaux gris
centraux
. Mais c'est aussi pour réfuter avec de con- vai
té nrtjrutaire (Iziils les Illec- tinns diverses du système'nerveux
central
et périphérique ; d'après l ? n : mm : (Srl1¡Nn
mpris, tout cela nous permet de re- jeter positivement le processus
central
comme cause de l'ataxie et tout cela nous oblig
z C r. 0 s 5 n f r 0 9- cz Fie. 5. Pavillon
central
(ancien palais), à Mombello. 446 asiles d'alién
l'épilepsie peut d'être d'origine réflexe, soit périphérique, soit
centrale
(com- me dans l'épilepsie jacksonnienne), elle
al, 45, 45. sf. Deuxième sillon sous-frontal. Su. Substance grise
centrale
sous-épendymaire. si. Sillon du lobule lingual.
us-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. SG. Substance grise
centrale
sous-épenclymaire. si. Sillon du lobule lingual
re de Sylvius, 185. sC. Sinus du corps calleux. SG. Substance grise
centrale
sous-épendymaire, 188. T1. Première circonvolutio
anche postérieure de la scissure de Sylvius, 195. SG. Substance grise
centrale
sous-épendymaire, 196. T1. Première circonvolutio
anche postérieure de la scissure de Sylvius, 204. SG. Substance grise
centrale
sous-épendymaire, 205, 209, 216. T1. Première cir
cissure de Sylvius. sC. Sinus du corps calleux. SG. Substance grise
centrale
sous-épendymaire, 227. T1. Première circonvolut
'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise
centrale
sous-épendymaire, 555, 554. SE. Sillon de l'hippo
RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 575. SG. Substance grise
centrale
sous-épendymaire, 558, 566. T1. Première circon
Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise
centrale
sous-épendymaire. Tse. Tsenia semi-circularis,
yeux, plus à droite. Toutes les couleurs sont reconnues à la vision
centrale
. Archivas, t. XV. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE.
s loin), ou encore celles qui ressortis- sent à une lésion nerveuse
centrale
d'ordre réflexe. Les éphidroses partielles de l
nir plus loin. B. - Dans une deuxième classe la lésion n'est plus
centrale
, mais.elle affecte le grand sympathique dans sa
ations vasculaires et conjonctives de l'ensemble du système nerveux
central
et périphé- rique. L'évolution générale démontr
tate pas de lésions. Les altérations vasculaires du système nerveux
central
et périphérique n'auraient, d'après Zacher, auc
rement mécanique parfaitement aseptique détermine aussi une nécrose
centrale
; puis, se montre une zone de dégénérescence av
tale interne est bien développée, très sillonnée. Le lobule para-
central
est très développé, bien isolé des circonvolution
'il a eus en 1884 et en 1886. Dans les deux cas, la tem- pérature
centrale
a suivi la marche régulière signalée souvent pa
ressort clairement de toutes les observations que si la température
centrale
est le plus sou- vent élevée de quelques dixièm
coloration et comme consistance; la substance blanche et les noyaux
centraux
dans un parfait état ; enOn la protubérance, le
reproduit par suggestion, tandis que la paralysie faciale d'origine
centrale
ne peut être obtenue à l'aide de ce procédé de
(Lebreton', Dumontpallier2), évidemment indépendantes d'une lésion
centrale
. Pour terminer, nous ne confondrons pas les att
rieurs de la moelle, deux régions tout à fait distinctes : l'une
centrale
(cordons de Goll), qui peut être sclérosée dans
t07t frontale interne est bien développée ainsi que le lobule para-
central
. La scissure c(illoso-i ? iai,gi7tale est sinueus
circonvolution du corps calleux vers le sommet du triangle para-
central
. existe également un pli pariéto-limbique postéri
sec- tionné les deux nerfs pneumogastriques. En irritant leur but
central
, nous avons obtenu l'arrêt de la respiration, c
nce du balancement et cessait avec lui. - Donc, l'excitation du but
central
des pneumo- gastriques, comme aussi leur irrita
ultat parla section des pneumo-gastriques, l'excitation de leur but
central
et le balancement du lapin. Les respirations s'
re (catalepsie), et états de distribution anor- male de l'impulsion
centrale
motrice (paracinèse, tels que raideurs au début
cune théorie exacte. Il émanerait d'après M. Thomsen, de phénomènes
centraux
fonctionnels, en attendant qu'on en ait indiqué
malades ressemblent à ceux des saturnins (névrite optique, scotome
central
). Et cependant le plomb n'a rien à faire dans l
partielle dans le ganglion et le nerf périphérique après la section
centrale
des nerfs, et la dégénéres- cence de la racine
gnostic doit être fait d'avec les para- lysies organiques d'origine
centrale
ou périphérique, et sera faci- lité parla reche
ooliques. Volume m-8° de 213 pages. - Montpellier, 1888. Imprimerie
centrale
du Midi. CULLEIIIIE (A.). Les Frontières de la
Srcum (E.-C.) A contribution to the pcttTcolo,7d of hemianopsia of
central
origin (roi-ler-henii(i7topsia. Brochure in-S° de
ie ; par M. l'économe de l'hospice, d'après les tarifs du Magasin
central
, pour la couture, la vannerie et le rempaillage
ue possible à la propagation des maladies conta- gieuses. La partie
centrale
de cet étage renferme, du côté de l'entrée, l'e
és absolu- ment distinctes et semblables, séparées par une partie
centrale
qui comprend la cage de l'escalier, le cabinet de
convenable dans chaque pièce, et qui aboutissent à un grand coffre
central
vertical (fig. 1, v.) dans lequel passe le tuya
soir. Il parait donc exister un léger abaissement de la température
centrale
. Le ventre est volumineux. Les membres sont g
portants se résument ainsi : h\ le IDIOTIE CRÉTINOÏDE. pérature
centrale
; hier seulement elle a été prise et on a trouvé
sage à la circonvolution du corps calleux et deux au lobule para-
central
. Le lobule paracentral est long et coupé pro- f
du £ corps calleux est bien nourrie, ainsi que les lobules para-
central
, quadrilatère et le coin. Le lobe temporo-occipit
és d'épilepsie déterminaient une légère élévation de la température
centrale
. Deux ans plus tard, dans nos Etudes cliniques
é- rité. Sur le premier. point : augmentation de la tem- pérature
centrale
sous l'influence des accès isolés d'épilepsie,
clusions. 1° Les accès isolés d'épilepsie augmentent la température
centrale
; 2° Cette augmentation varie entre un dixième d
qu'ils n'occasionnent qu'une légère augmentation de la température
centrale
. Nous l'avons démontré dans notre thèse en 1870
t voir que les accès isolés d'épilepsie augmentaient la température
centrale
de quelques dixièmes de degré à un degré et dem
parfait. La figure 23, qui repré- sente la marche de la température
centrale
, nous offre deux ascensions : l'une qui répond
gure 24, inédite, nous montre une seule ascension do la température
centrale
, celle de la période convulsive. Un exemple d
nsula possède, de chaque côté, quatre digitations. La température
centrale
a été prise à des intervalles rapprochés dans c
Il est fort remarquable qu'ainsi que je l'ai démontré, la température
centrale
ne s'élève pas notablement dans ces séries interm
la ne nous dit rien de bon ; et, bien que depuis hier, la température
centrale
ne se soit pas élevée au-dessus de 38°8, je reclo
etc., etc. ; et enfin, par-dessus tout, l'élévation de la température
centrale
qui, brusquement, dans l'espace de quelques heure
ves limitées étroitement aux cornes antérieures de la substance grise
centrale
de la moelle ; il serait bien difficile, pour ne
nt se montrer étroitement limitées non seulement à la substance grise
centrale
, mais encore plus explicitement, aux seules corne
usion, non seulement dans, les diverses parties de la substance grise
centrale
, mais encore quelquefois dans la substance blanch
mouvements associés des yeux, nécessairement binoculaires et de cause
centrale
, — diplopie spéciale consécutive. 2° Nystagmus.
encontrer que dans le cas d'une lésion profonde de la substance grise
centrale
et dans ce cas-là, nécessairement, les troubles m
mble de tous ses caractères, sauf toutefois l'élévation de la chaleur
centrale
qui fait défaut, du moins dans la règle. Néanmoin
et à une étude, poursuivie pendant quelques jours, de la température
centrale
. Sur le premier point les résultats ont été rassu
it dans notre cas, à savoir que, malgré l'élévation de la température
centrale
, la proportion des déchets urinaires n'a pas subi
haleurs avec un pouls de 140 à 150 parfois. Cependant, la température
centrale
moyenne est de 37"4 ; elle s'élève L Le pouls m
nt aux services hospitaliers ordinaires mais encore à celui du bureau
central
où se présentent pour l'admission dans les hôpita
récemment par M. le Dr Marie : l'hystérie à la consultation du bureau
central
des Hôpitaux de Paris. V. progrès médical, p. 68,
s certaines régions de la moelle épinière, les vestiges de la myélite
centrale
aiguë, cause de tousles désordres. Ils se présent
sclérosetabétique des faisceaux postérieurs, divers types de myélite
centrale
spontanée ou traumatique, l'hydromyélie ou syrin-
permettent d'annoncer l'existence de 1. « Syringoyméiie : « cavité
centrale
dans la moelle épinière, » Ollivier d'Angers, Par
ormées en conséquence d'une malformation ou d'une dilatation du canal
central
: à ces cas-là M118 Baiimler propose de réserver
que les autres espèces de cavités spinales, l'hydromyélie, la myélite
centrale
cavitaire, ne viendront pas, quelque jour, figure
e de la 5e paire. Qu'il y ait ou non formation cavitaire, la partie
centrale
de la commissure grise, en arrière du canal centr
taire, la partie centrale de la commissure grise, en arrière du canal
central
qu'on trouve souvent parfaitement indemne, est un
t de phénomènes spasmodiques. Pour ce qui est de la substance grise
centrale
, nos connaissances, en ce qui concerne les effets
evant des lésions limitées aux diverses régions de la substance grise
centrale
, et ici il y a lieu de distinguer : a. les symptô
nnaître dans la moelle l'existence de la « syringomyélie ou du gliome
central
. Ce qu'il y a de spécial dans ces trou-« blesdela
r la nécessité d'exclure les autres parties, que c'est dans la région
centrale
, commissurale de la substance grise, qu'il convie
leur nature, gliomateuses ou non gliomateuses, de la substance grise
centrale
, les mêmes conditions anatomo-pathologiques relat
e, du type Aran-Duchenne, soit, mieux encore, d'une myélite partielle
centrale
, localisée dans les régions qu'occupent habituell
tc. Bd. 11, p.705. Braunschweig, 1841. (2) Modem Pathology of the
central
nervous syslem. The Lancet, 1886, no 1 ; cit. n
is cette « théorie» a pour base la Neuronthéorie du système nerveux
central
, absolument impossible au point de vue physiolo
t son existence aux images de cellules rétrécies du système nerveux
central
, colorées d'après la méthode de M. C. Golgi.
tant le nerf centripète d'une cellule quelconque du système nerveux
central
intacte, ni dans elle, ni dans son nerf centrifug
aveur de ceci que toutes les voies de la douleur du système nerveux
central
s'unissent quelque part dans les environs du co
es il se développe un état d'excitalion quelconque dans les organes
centraux
des- tinés aux mouvements associés, par lesquel
gie chez eux est la conséquence sur- tout des lésions des ganglions
centraux
, qui sont pour lui les centres des mouvements a
ompte dans l'étude des dégénérations secondaires du système nerveux
central
. Pendant les pre- miers mois elles peuvent être
la plus grande partie de la cavité porencéphalique, toute la région
centrale
(corps opto-striés et capsule interne) et s'arr
maxillaire, et nullement dans une protru- sion en bec de la partie
centrale
de la face. Plusieurs auteurs indiquent, au con
le développement du squelette facial,. 2° Inflexion de la partie
centrale
de la base entraînant une sorte de cyphose de l
s deux pou- mons, intestinale et péritonéale. Le système nerveux,
central
et périphérique, ne présente aucune lésion macr
ues ont pris une coloration noir foncé (fig. 5), tandis que la zone
centrale
de chaque fibre, correspondante au cylindraxe,
e part des cellules de la colonne de Clarke présentent chromatolyse
centrale
et noyau à limites indistinctes. Leurs nucléo-
isseaux, les zones périvasculaires, le tissu de soutien et le canal
central
étaient indem- nes de toute lésion appréciable.
la moelle épinière, en y dé- terminant pour ainsi dire une névrite
centrale
. A côté des dégénérations récentes, disposées s
tent de- puis longtemps entre les auteurs qui soutiennent l'origine
centrale
des névrites (centralistes) et ceux qui admette
883. 21. EtSENLonn. Ueber progressive atrophische Lahmungen, ill1'e
centrale
oder peri- · phere Natur. Neurologisches Centra
'y passe, recevoir occullement les instructions de l'administration
centrale
et fournir aussi des rapports occulles. Il en est
ophtalmique 'et hystérie avec accès d'automatisme ambulatoire. Soc.
centrale
de méd. du Nord, 1898, p. 129. Raymond. htyxcr-
sse fut respecté. Peut-être la lésion ne serait-elle pas uniquement
centrale
. Le neurone aurait été touché dans sa totalité
s ans. Rien de notable également en ce qui concerne les noyaux gris
centraux
. Le corps calleux existe, mais son épaisseur es
ervables. Ajoutons que parfois, ce nucléole présente dans sa partie
centrale
une grosse vacuole (PI. XLIX). Cet aspect est c
moitié interne. Pour l'oeil gauche, on constate, en outre du scotome
central
, que la perception nette est limitée au quadran
'on se sert d'un point blanc opaque, le champ pré- sente un scotome
central
et se trouve limité à sa moitié inférieure. A dro
ent des phénomènes plus ou moins étendus du côté du système nerveux
central
toujours assez graves pour faire porter un diag
qui se voient dans le cas des lésions organiques du système nerveux
central
ou des nerfs périphériques. » A un moment don
amen macroscopique et microscopique des nerfs et du système nerveux
central
ne décela rien d'anormal. Chez les malades de D
d'un accès. Dans ce cas, il s'était formé une thrombose de l'artère
centrale
de la rétine. Je n'attache pas bien entendu à
au dou- ble point de vue de leurs lésions causales et de leur siège
central
ou péri- phérique. Aujourd'hui, à propos du s
e rappelle assez bien l'aspect d'une carène de navire avec sa bosse
centrale
saillante, limitée par deux dépressions latérales
ue celui-ci regarde comme caractéristiques de la maladie. La partie
centrale
du noyau fixe forte- ment la couleur ; mais la
everria. La portion saine du noyau est, à de rares exceptions près,
centrale
. Dans les colorations soigneusement faites (ave
-vésicaux. Il y a ta une association de symptômes, les uns de cause
centrale
, les autres de cause périphérique, qui imprime
ois, les caractères d'une affection périphérique et d'une affection
centrale
; dans' cette région seulement, en effet, la mo
e par excellence de la sensibilité, transmettant au système nerveux
central
toutes les sensations extérieures de douleur, de
distribution symétrique de l'éruption qui en indique la provenance
centrale
, les aggravations et les améliorations dans le co
hasie motrice ou sensorielle, faitclui excluait t déjà toute lésion
centrale
ou pédonculaire. La lésion ne pouvait exister q
on de l'os à la surface, raréfaction au voisinage immédiat du canal
central
. Etal compact con- servé avec raréfaction comme
pénètre très loin. Sur certains points elle rejoint la raréfaction
centrale
en sorte qu'il y a des îlots d'os compact compl
nent perpendiculaires soit à la surface exté- rieure, soit au canal
central
. « Etant donnée la préparation déjà subie par l
E DÉFORMANTE DE PAGET 207 L'examen macroscopique du système nerveux
central
, sauf un état oedémateux du cerveau, qui partic
r commun. IV. Nerf pathétique avec son noyau d'origine -n. c, noyau
central
, e. ? noyau d'Edinger Westphal n. v. a, noyau ven
e bactérienne peuvent déterminer des altérations du système nerveux
central
. Des lésions analogues ont été rencontrées chez
absorption de farine de seigle ergoté ; maladies du système nerveux
central
; extirpation du corps thyroïde. Mais la forme es
saine, avec un rebord périphérique nettement délimité, et un point
central
déprimé, ombiliqué, sec, de couleur gris-noirâtre
. Ce « bouton » aurait peu à peu augmenté de volume, puis l'eschare
centrale
tombée spontanément ou arrachée par le grattage a
ements surtout ceux du bras gauche deviennent difficiles. Au bureau
central
, examiné par M. le Dr Lejars, il est reçu dans
n'ont permis de trouver aucune lésion nerveuse ni périphérique, ni
centrale
. Nous ne pouvons en faveur de notre diagnostic
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