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1 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
déterminé, ne se propage pas aux faisceaux voisins et respecte les cellules nerveuses neurones de 2", 3e, 4° ordre, etc., - a
la paroi des pores, un rudiment de sys- tème nerveux : ce sont les cellules sensorielles situées au sein de l'ecto- derme,
olongement qui se ramifie dans le mésoderme. Chez les Actinies, les cellules sensorielles de Yectodevme sont situées au 1
con- stituc une lWOprin·1 générale du protf)- plasma vivant. Cellules sensoriel- les de l'c('Ío'](,I'J1H'. 2 ANATOM
riel- les de l'c('Ío'](,I'J1H'. 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules mosculo et neuro-·pith6liales de l'endoderme.
urones périphé- 1.jCf1WS et centraux des Invertébrés. milieu de cellules de soutènement et de cellules muqueuses (fig. z1,
centraux des Invertébrés. milieu de cellules de soutènement et de cellules muqueuses (fig. z1, a et G). Très grèles et d'a
rtain nombre de fibrilles délicates, formant avec les fibrilles des cellules voisines un plexus nerveux sous-épithélial très
ules, le disque buccal et l'oesophage, on trouve un grand nombre de cellules multipolaires. De nouvelles recherches, faites
thode de Golgi, montreront peut-être les connexions qu'affectent ces cellules multipolaires, avec les nombreuses fibres muscu
des mêmes régions. Dans l'endoderme on trouve en outre, au sein de cellules glandulaires, des cellules spéciales décrites p
endoderme on trouve en outre, au sein de cellules glandulaires, des cellules spéciales décrites par Hertwig : ce sont les cell
dulaires, des cellules spéciales décrites par Hertwig : ce sont les cellules oazc.sczclo-e'pz- ihéliales et les cellules pM;
r Hertwig : ce sont les cellules oazc.sczclo-e'pz- ihéliales et les cellules pM;'o ? 7/f</<'.y (fig. 1 c et d); les prem
musculaire à direction transversale; les secondes, comparables aux cellules sensorielles de l'ectoderme, émettent par leur
n trouve donc deux éléments nerveux bien distincts : d'une part, la cellule sensorielle et la cellule i e iii-o-éj)ll'lh (,'1
s nerveux bien distincts : d'une part, la cellule sensorielle et la cellule i e iii-o-éj)ll'lh (,'11'aie, affectées à la se
j)ll'lh (,'11'aie, affectées à la sensibilité; et, d'autre part, la cellule multipolaire, destinée probable- ment aux muscl
s ou du système sensitif, occupent la périphé- rie du corps : leurs cellules , d'aspect fusiforme, se trouvent soil dissémi-
cellules, d'aspect fusiforme, se trouvent soil dissémi- Ivtc. 1. - Cellules sensorielles, musculo-épithéliales et ncurc-épidi
et ncurc-épidiéhides des Invertébrés. ,D'après Il. Blanchard.) n, cellule sensorielle de l'ectoderme de l'actinia eguinn. -
d.) n, cellule sensorielle de l'ectoderme de l'actinia eguinn. - b, cellules vibratiles de soutien. c, cel- Iules musculo-ép
e soutien. c, cel- Iules musculo-épithéliales de l'endodermc. - tl, cellules Bouro-épithéliales des lames d'Ldtuardsia lidu»
s, les neurônes centraux entourent épithélium cutané renfermant les cellules des neurones sensitifs. - r, couche de fibres mus
erminent dans les couches ilaires et prennent leur origine dans les cellules unipolaires du renflement ganglionnaire. Ces col-
fin calibre (fibres nerveuses sensitives) prennent origine dans les cellules sensorielles bipolaires de l'épithélium cutané. L
ganglionnaire des Invertébrés dont la situation est ils profonde. cellules des neurones centraux peuvent affecter des formes
des neurones centraux peuvent affecter des formes varia- e sont des cellules tantôt multipolaires, tantôt unipolaires, plus ra
tous par des arborisations libres soit dans le ganglion où siège la cellule d'origine (Retzius, v. Lenhossek, de Nabias), s
ériques ne sont plus représentés que par le nerf olfactif, dont les cellules d'origine se trouvent disséminées au sein de l'
isséminées au sein de l'épithélium de la muqueuse de Schneider. Les cellules dq t¡\1\ les autres neurones sensitifs ont aban
nique, et, bien qu'il présente une struc- ture un peu spéciale, ses cellules donnent naissance, comme les cellulddu névraxe,
et que Remak et Ehrenberg eussent découvert en 1833, le premier la cellule , le second le tube nerveux, le trajet des fibres
savons aujourd'hui de par l'anatomie pathologique, que ce sont les cellules des cornes antérieures est le centre trophique du
gues, il peut arriver que la partie de ces fibres, voisine de leurs cellules d'origine, soit déjà revêtue de myéline, alors
ui n'est pas fibre à myéline y est complètement décoloré névroglie, cellules , vais- seaux, etc., - et que partant on peut co
ec cette méthode - colo- ration lente dans une solution faible,-les cellules et leurs prolongements, le cylindre-axe des tub
ool. Aussi, quand on veut avoir de belles colorations carminées des cellules et de leurs prolongements, est-il préférable, d
issent très nettement et très intensivement colorées, ainsi que les cellules nerveuses et les cylindre-axes.. En anatomie pa
a névroglie et le tissu conjonctif et imprègne particulièrement les cellules , leur noyau et leur nucléole, ainsi que le cyli
te méthode a été recommandée par quelques auteurs, pour l'étude des cellules pyramidales de l'écorce, et pour celle des cell
our l'étude des cellules pyramidales de l'écorce, et pour celle des cellules de Purkinje du cervelet. En anatomie patholo- g
loration des cel- lules nerveuses et de leurs noyaux, ainsi que des cellules de la névroglie et des vaisseaux. Les prolongem
Les prolongements cellulaires sont colorés moins fortement que les cellules . La myéline reste incolore. Cette méthode est en
, dans les dissociations à l'état frais, ainsi que pour étudier les cellules nerveuses. On expose la prépara- tion pendant q
triple imprégnation et van (telmchten a employé ce procédé pour les cellules nerveuses du sympathique. Après avoir fait une
ir- cissant, montage dans la résine Dammar sans couvre-objet. Les cellules et leurs prolongements sont teints en noir, comme
ctement les prolongements protoplasmi- ques et cylindre- axiles des cellules nerveuses, ainsi que leurs modes de terminaison
ée par ces méthodes, on constate qu'un petit nom- bre seulement des cellules nerveuses sont convenablement imprégnées, et qu
ules nerveuses sont convenablement imprégnées, et que le nombre des cellules névrogliques imprégnées l'emporte sur celui des
nombre des cellules névrogliques imprégnées l'emporte sur celui des cellules nerveuses. Il existe dans les coupes de nombreux
tés qui obscurcissent les préparations et compliquent l'examen. Les cellules et leurs prolongements se ratatinent sous l'act
vec la méthode de Ziehen, les fibres à myéline et sans myéline, les cellules nerveuses avec leurs prolongements cylindre-axile
miques, sont colorées en bleu-gris. Les noyaux et les nucléoles des cellules nerveuses sont également colorés et différencié
ou médullaire. - GS, ganglion spinal. - EC, premiers rudiments des cellules du tube endothélial du coeur. PC, portion péric
ne peut plus se faire que par une multiplication active de ses cellules . Si, pour une raison quelconque, cette fente s'
des ventricules latéraux. Dareste a montré en ou- tre, que les cellules em- bryonnaires qui donnent Les monstres cy-
halique. FIG. 16. - Schémas destinés à montrer le déplacement des cellules rétiniennes et le développement de la pre- mièr
ée. It, lame terminale embryonnaire. - PII, pédicule oculaire. - R, cellules rétiniennes (a, b, e,) et feuillet rétinien .(l
s tard, lorsque, la vésicule encéphalique an- térieure grandit, les cellules rétiniennes sont reportées aux extrémités laté-
ectodermique donne naissance, par suite d'une prolifération de ses cellules , il une petite masse pleine, premier rudiment d
34). Après la soudure de la lèvre rhomboïdale au segment jugal, les cellules de ces régions émigrent et se portent en avant
- mides et à la substance gélatineuse de Rolando. Les fibres de ces cellules FiG. 34. Coupe transversale du bulbe d'un embry
Ve à XII0 paires). Les nerfs moteurs prennent leur origine dans les cellules ganglionnaires de la lame fondamentale; les nerfs
anglionnaires de la lame fondamentale; les nerfs sensitifs dans les cellules des ganglions crâniens; les ganglions crâniens
sont alors constitués par deux étages, séparés par une cou- che de cellules nerveuses pigmentaires, le locus niger de Sommeri
n- térieur. La plupart de ses libres prennent leur origine dans les cellules ganglionnaires de la rétine, mais quelques-unes
is quelques-unes proviennent, ainsi que Mihaikowicx l'a montré, des cellules du tubercule quadrijumeau antérieur, du nulvina
ntricule. 104 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. E11t' pst formée de cellules épithéliales dégénérées. Freins de la glande
x, ces follicules persistent tels quels; chez les mammi- fères, les cellules prolifèrent et deviennent arrondies et polygonale
t et deviennent arrondies et polygonales. Il s'agit en somme ici de cellules épithéliales dégénérées, n'ayant aucune con- ne
e con- nexion avec des libres nerveuses et aucune analogie avec des cellules gan- glionnaires. Chez les oiseaux, la cavité
éduit il une mince couche, dans laquelle on constate quelques rares cellules ganglionnaires inégalement disséminées, et une
de l'écorce cérébrale, caractérisée par des couches superposées de cellules pyra- midales. Chez les oiseaux, l'écorce prése
III HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX I. - SYSTÈME NERVEUX CENTRAL Cellules neuro-épi- théliales. Membrane limi- tante
Membrane limi- tante externe. Membrane limi- tante interne. Cellules germina- tives. A l'époque de sa formation, l
tous les carac- tères d'un épithélium cylindrique simple, dont les cellules dites neuro-épi- théliales, disposées en une se
che et en palissade, sont allongées dans le sens de la hauteur. Les cellules du neuro-épithélium primitif, s'implan- tent to
nal de l'épendyme, en formant la membrane limitante interne. Chaque cellule neuro-épitltéliale est formée d'un ectoplasma cla
les cel- lules épithéliales, à des distances irrégulières, d'autres cellules , volumineu- ses, arrondies, qui, par leur forme
a homogène et très transparent, se différencient très nettement des cellules épithéliales. Leurs noyaux, volumineux, sont le
s à l'état de repos, les autres en état de karyokinèse. Ce sont les cellules en voie de mitose, découvertes par Altmann, et
mitose, découvertes par Altmann, et que His désigne sous le nom de cellules germinatives (Keimzellen). On les trouve non se
e de la lame cornée désignée sous le nom de lame sensorielle. Les cellules épithéliales se multiplient rapidement, sans que
soit encore résolue. Deux éventualités sont possibles : ou bien les cellules germinatives leur donnent naissance, ou bien le
bien les cellules germinatives leur donnent naissance, ou bien les cellules épithéliales se multiplient par voie directe. Or,
on ne rencontre, d'après Mis, aucune forme de transition entre les cellules épi- théliales et les cellules germina- tives
aucune forme de transition entre les cellules épi- théliales et les cellules germina- tives ; et, d'autre part, on ne ren-
axe cérébro-spinal. Aussi longtemps que le caractère épithélial des cellules est manifeste, on peut distinguer avec His, tro
dschleier). (His) La zone des noyaux constitue Multiplication des cellules épithéliales. Absence de stratifi- cation.
ant l'occlu- sion de la gouttière neurale. (D'après W. His.) CEp, cellules épondymaires. - CG, cellules germi- natives. -
ttière neurale. (D'après W. His.) CEp, cellules épondymaires. - CG, cellules germi- natives. - 3Tli, membrane limitante inte
de l'oc- clusion de la gouttière neurale. (D'après \V. His.) CEp, cellules épendymaires. - CG, cellules germinatives. Jfli
tière neurale. (D'après \V. His.) CEp, cellules épendymaires. - CG, cellules germinatives. Jfli, membrane limitantc interne.
IUCl1lIJrana prima de Ueuson. 136 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules germina- tives. Les cellules épithé- liales
136 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules germina- tives. Les cellules épithé- liales donnent nais- sance à la charp
é- liales donnent nais- sance à la charpente épendymaire. Les cellules ger- minatives donnent naissance aux cellu-
s présente un développement ultérieur très inégal : on y trouve les cellules germinatives, qui sont logées dans les interval
les cellules germinatives, qui sont logées dans les intervalles des cellules épithéliales comme dans de véritables nids. Le
e le tissu de soutènement primordial de la substance blanche. Les cellules germinatives, sont toujours situées chez l'embryo
s- forment et qu'elles émigrent dans les zones pro- fondes. Les cellules germinatives typiques, sont sphéri- ques ou lég
couche ectoplasmique non granuleuse, les différencie nettement des cellules épithéliales environnantes (fig. 73). Le noyau
llules épithéliales environnantes (fig. 73). Le noyau de quelques cellules germinatives est à l'état de repos; il est alor
, caractéris- tiques de la division indirecte. Ces deux ordres de cellules , donneront naissance aux éléments consti- tutif
nneront naissance aux éléments consti- tutifs de l'axe neural : les cellules épithéliales se transforment en sponqio- blaste
de His (myélospongium) et formeront la charpente épendymaire ; les cellules germinatives donneront naissance, aux neuroblaste
ves donneront naissance, aux neuroblastes de Bis, c'est-u- dire aux cellules nerveuses proprement dites, et aux cellules de la
Bis, c'est-u- dire aux cellules nerveuses proprement dites, et aux cellules de la névroglie (Cajal, v. Lenhossek). Le cor
intermédiaire entre la lame neurale et la lame cornée, est formé de cellules arrondies, plus petites que les cellules épithé-
lame cornée, est formé de cellules arrondies, plus petites que les cellules épithé- liales de la gouttière neurale; il cont
ontient, comme la partie adjacente de la lame cornée, de nombreuses cellules germinatives. Après l'occlusion de la gouttière
nglionnaires droit et gauche. Ce pédicule s'amincit 1<'10. 73. - Cellule germi- native delà moelle èpi- nière d'un emb
moelle èpi- nière d'un embryon hu- main. (D'après W. His). CG, cellules termina- tives. - re, octoplasma. - 1'11, end
osition ra- aire des spongio- lastes. Leurs prolonge- ents. cellules épithéliales et germinatives, en mettant largemen
les deux premiers mois de la vie intra-utérine, pendant lequel les cellules épithéliales se transforment en spongioblastes,
el les cellules épithéliales se transforment en spongioblastes, les cellules germinatives en neu1'Oblastes.;1'autrefoetal, éte
ngioblastes en charpente épendymaire, et celles des neuroblastes en cellules nerveuses et en cellules névrogliques. - - §
épendymaire, et celles des neuroblastes en cellules nerveuses et en cellules névrogliques. - - § I. PREMIER STADE. STADE E
. CELLULES ÉPITHÉLIALES. - SPONGIOBLASTES. De très bonne heure, les cellules épithéliales se transforment en spon- - " giobl
noyaux, forme à elle seule le prolongement central ou interne des cellules épithéliales et constitue un faisceau de fibril
limitante in- terne. Dans le prolongement basal ou externe de la cellule , (voile marginal de His), la sub- stance fibril
ve la substance claire, homogène et transparente. A ce stade, les cellules présentent donc quelques analo- gies avec les-c
ryon de Prissiurus de 4m ? 5 S de longueur. (D'après W. His.) CG, cellules germinatives on voie de transformation. MLi, me
quatre prolon- gements, dont un seul appar- tient en réalité à la cellule , les autres provenant de spongio- blastes plu
urs (fig. 78). Entre les colonnes de la zone interne, on trouve les cellules germina- tives qui y sont situées comme dans
r multiplication et leur trans- formation en neuroblastes et en cellules névrogliques, et leur émigration dans la zone
des intervalles vides, cor- respondant aux anciennes loges des cellules germina- tives (fig. 78). Lorsque toutes les ce
s loges des cellules germina- tives (fig. 78). Lorsque toutes les cellules germinatives ont émigré dans la zone moyenne, l
\ ? His.) rlli, membrane limitante interne. - Nu, nids vides dos cellules germinatives. - ZC, zone des colonnes. - ZCSp,
colonnes. - ZCSp, zone des corps spongiohiastiqucs. l<'lG. 77. Cellules spongioblastiques internes, et cellules germina
iohiastiqucs. l<'lG. 77. Cellules spongioblastiques internes, et cellules germinatives d'un embryon humain. (D'après W.Hi
cellules germinatives d'un embryon humain. (D'après W.His.) ("G, cellules germinatives. La cellule de gauche présente un
'un embryon humain. (D'après W.His.) ("G, cellules germinatives. La cellule de gauche présente un noyau en état de repos. D
u de 1. soutènement de la substance blanche. .1 (His), chaque cellule porte en dedans de la membrane limitante interne,
feutrage des fibrilles dont chacune conserve son indépendance. C CELLULES GERMINATIVES. - NEUROBLASTES ET NERFS MOTEURS.
MINATIVES. - NEUROBLASTES ET NERFS MOTEURS. Les transformations des cellules germinatives en neuroblastes, ont été étudiées
. Cet auteur a pu observer tous les stades intermédiaires, entre la cellule germinative et le neuroblaste. Ramon yCajal et
vations sur le poulet. A un certain stade de leur développement, la cellule nerveuse embryon- naire et la cellule névrogliq
ade de leur développement, la cellule nerveuse embryon- naire et la cellule névroglique embryonnaire, se ressemblent étrangem
dans les couches les plus internes de l'axe neural, aux dépens des cellules germinatives, et de là ils émigrent secondairem
rement dans les couches plus externes. (His.) La transformation des cellules germinatives en neuroblastes, et leur migration
u- lent quelquefois dans la cavité épendymaire, que l'on trouve les cellules germinatives. Vers la quatrième semaine de la v
, lorsque le myélospongium est déjà constitué, on trouve encore des cellules germi- natives typiques, sphériques ou ovalaire
d'un protoplasma clair et transparent (fig. 81). Mais à côté de ces cellules , on en trouve d'autres provenant des précédente
e en massue ou en poire, et émet un long et mince prolongement. Ces cellules peuvent être considérées comme des cellules de tr
mince prolongement. Ces cellules peuvent être considérées comme des cellules de transition (His), entre les cellules germina
être considérées comme des cellules de transition (His), entre les cellules germinatives et les neuroblastes. Elles ont de co
ules germinatives et les neuroblastes. Elles ont de commun avec les cellules germinatives leur situation sous la membrane limi
voile marginal est constitué par un feutrage do fibrilles. Les cellules nl'- veuses et les cellules nltvrogliques pro
é par un feutrage do fibrilles. Les cellules nl'- veuses et les cellules nltvrogliques pro- viennent des mêmes éléme
tvrogliques pro- viennent des mêmes éléments embryon- naires. Cellules de transition. 142 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
1Înlll'e.axc. A un stade de développement un peu plus avancé, ces cellules de tran- sitiou présentent un noyau nettement d
èles. Cette fibre n'est autre chose que le futur cylindre-axe de la cellule nerveuse, qui présente dès le début de sa forma
e cylindre-axe. La volumineuse masse protoplasmique qui entoure une cellule germinative suffit à former, pour les ncuroblaste
germinative suffit à former, pour les ncuroblastes FiG. 80 et 81. - Cellules de transition et spongioblastes de la moelle épin
e la moelle épinière d'un embryon humain. (D'après "W. His.; l'G, cellules gcrmmativcs. Ci, cellules de transition. - Sp, sp
embryon humain. (D'après "W. His.; l'G, cellules gcrmmativcs. Ci, cellules de transition. - Sp, spongioblastes. -ZC, zone de
GENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 1 lui-3 par exemple, qui deviendront les cellules antérieures de la moelle, un cylindre-axe assez
couche des colonnes, mais encore de l'activité vitale propre de la cellule , et partant de la même cause que celle qui fa
a même cause que celle qui fait que le protoplasma vésiculeux des cellules germinatives, se déjette sur un côté du noyau p
illon collatéral antérieur (fig. 85). . Les cylindre-axes des cellules des cor- nes antérieures de la moelle, se ren
- parent au niveau de la constitution du tronc mixte. Les fibres des cellules de la corne antérieure s'unissent aux fibres se
NS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. - NERFS SENSITIFS. NERFS SYMPATHIQUES. Les cellules germinatives des rudiments ganglionnaires se tran
phériques entraînent avec elles quelques ganglioblastes et quelques cellules germinatives, qui vont proliférer et constituer,
rnière fibre entraîne à son tour des jeunes ganglioblastes et des cellules germinatives, qui consti- tueront la première é
ganglioblastes et les fibres nerveuses, s'insinuent de nombreuses cellules mésodermiques, qui vont con- stituer le tissu c
rieurs, la masse protoplasmique se déjette sur un des côtés de la cellule , les deux prolongements se rapprochent, s'acco-
i intimement l'un à l'autre, que l'on se trouve en présence d'une cellule unipolaire, dont le prolonge- ment se divise en
près un certain trajet (llg. si), xunsi se trouvent constituées les cellules avec fibres en T de Ranvier, qui représentent le
avec fibres en T de Ranvier, qui représentent le type normal de la cellule ganglionnaire des vertébrés supérieurs. L'unipola
rés supérieurs. L'unipolarisa- tion se rencontre également dans les cellules de ganglions craniens, tels que le ganglion de.
, etc. Seul le ganglion auditif présente d'une façon permanente des cellules bipolaires. Les fibres centrales des gangliobla
ntrales se terminent toutes par des arborisations libres autour des cellules du nevraxe ; toutes les fibres cependant n'affe
elques-unes se portent directement en dedans et pénètrent entre les cellules de la lame alaire, où elles se terminent libremen
meau antérieur de la paire rachidienne. - F, ganglion sympathique. a, cellule bipolaire du gan- glion spinal. - c, cellule un
nglion sympathique. a, cellule bipolaire du gan- glion spinal. - c, cellule unipolaire. - bb, cellules de transition entre le
lule bipolaire du gan- glion spinal. - c, cellule unipolaire. - bb, cellules de transition entre les cellules bi et unipolaire
inal. - c, cellule unipolaire. - bb, cellules de transition entre les cellules bi et unipolaires. - d, libre de fin calibre ve
eloppent les éléments nés de la lèvre rhomboïdale (p. 86 à 89). Les cellules de cette lame donnent en effet naissance, aux fib
pendymaire, et, d'autre part, la transformation des neuroblastes en cellules nerveuses et en cellules névrogliques, répond à
art, la transformation des neuroblastes en cellules nerveuses et en cellules névrogliques, répond à peu près, chez l'embryon
la vie intra- utérine. Mais de longs mois se passent avant que les cellules n'arrivent au stade de leur développement; quel
ue les cellules n'arrivent au stade de leur développement; quelques cellules même, soit nerveuses, soit névrogliques, conser
ser successivement en revue : A. La charpente névroglique; B. Les cellules nerveuses. A. CHARPENTE NÉVROGLIQUE. La charp
. CHARPENTE NÉVROGLIQUE. La charpente névrogliquc comprend : 1" Les cellules épendymaires ; 2° Les cellules névrogliques.
rpente névrogliquc comprend : 1" Les cellules épendymaires ; 2° Les cellules névrogliques. Découverte en 1811 par Keuffel, d
Ewald (1877) insis- tèrent sur les analogies qui existent entre les cellules névrogliques et les cellules nerveuses, et en 1
r les analogies qui existent entre les cellules névrogliques et les cellules nerveuses, et en 1877 M. Duval démontra chez les
rigine ectodermique de la névroglie. L'origine ectodermique de la cellule épendymaire, démontrée par Golgi à l'aide de sa
mise sans contestation; mais il n'en est pas de même de celle de la cellule de Deiters (cellule araignée), tour à tour rega
on; mais il n'en est pas de même de celle de la cellule de Deiters ( cellule araignée), tour à tour regardée tantôt comme pr
de nature conjonctive (Kôlliker, His). L'origine ectodermique de la cellule névroglique de Deiters fut démontrée en 1882 pa
al, Nansen, Ramon y Cajal, v. Lenhossek, l'origine ectodermique des cellules de la névroglie ne peut pas être mise en doute.
és, ou bien est-il indépendant de cette dernière ? Pour Ranvier, la cellule névro- glique adulte serait constituée par un n
onstituée par un noyau et un protoplasma; les pro- longements de la cellule de Deiters n'émaneraient pas directement de la
ements de la cellule de Deiters n'émaneraient pas directement de la cellule , ils ne feraient que la traverser (1882-83). La c
roisant dans différents sens, et qui, traversant le protoplasma des cellules de la névroglie, donneraient à cette dernière l
cette conception, qui a été adoptée par Weigert et par Kollikcr, la cellule araignée adulte n'aurait pas une existence réel
llule araignée adulte n'aurait pas une existence réelle. Quant à la cellule araignée jeune, on admet aujourd'hui, après les
, etc., que ses pro- longements lui appartiennent en propre. 1. - CELLULES ÉPENDYMAIRES, MYÉLOSPONGIUM DE HIS. - Les Cellule
en propre. 1. - CELLULES ÉPENDYMAIRES, MYÉLOSPONGIUM DE HIS. - Les Cellules épendymaires se développent aux dépens des spon
vier. Conception de Vi- gnal, Ramony Cajal, \". Lenhossek. Cellules opemiy- ' maires. 152 ANATOMIE DES CENTRES NE
sition ra- (liairc et lellrs pro- longements. Morphologie des cellules épendymai- res. Particularités des ccllnles
nnexions avec les membranes limitantes externe et in- terne. Que la cellule épendymaire appartienne à la moelle ou à l'encéph
, tels que Reissner,Stieda, Mauthner, avaient déjà constaté que les cellules épithéliales du canal central envoyaient de lon
e : pendant la période foetale ce caractère est commun à toutes les cellules épendymaires, qui forment une couronne épithéli
elle et des cavités ventriculaires de l'encé- phale. Le corps des cellules épendymaires est cunéiforme ou fusiforme. Il re
près Ramon y Cajal par un petit renllement conique (fig. 90). Les cellules épendymaires du voisinage des sillons mé- dians
e l'embryogénie seule per- met d'expliquer. Les prolongements des cellules épendymaires des parois latérales de la moelle
près un trajet plus ou moins long, tandis que les prolongements des cellules épendymaires du plancher et de la voûte l'attei
nt après un trajet relativement court. Mais les pro- longements des cellules épendymaires du plancher ne gardent pas pendant
envoie un prolongement. (fig. 90 et 26 à 30.) Les prolongements des cellules épendymaires du plancher s'étendent du canal de
eure et au niveau du bulbe les fibres transversales du raphé. Les cellules épendymaires situées de chaque côté du plancher,
ntérieur. -Ce, canal central. -Cp, cône épendymaire postél'ieur. -Ep, cellules épendymaires. IVq, cellules névrogliques. La li
-Cp, cône épendymaire postél'ieur. -Ep, cellules épendymaires. IVq, cellules névrogliques. La ligne pointillée indique les lim
llon médian antérieur. Au niveau de la voûte, les prolongements des cellules épendymaires donnent naissance à un petit cône
ui s'opère d'arrière en avant (fig. 26 à 30). Les prolongements des cellules épendymaires du segment, postérieur de la lame
que le sillon d'émergence des racines postérieures (fig. 90). Les cellules épendymaires de la région fusionnée, région qui c
qui vient d'être dit il résulte donc que, les spongioblastes et les cellules épendymaires qui en dérivent ne constituent qu'un
nerveux central. La plus grande partie est formée en effet par les cellules névrogliques. La charpente épendymaire avec sa
directrices de la charpente névroglique, et les pro- longements des cellules névrogliques suivront, en général, la disposition
suivront, en général, la disposition radiaire des prolongements des cellules épendymaires. 2. - cellules NÉVROGLIQUES. - L'a
sition radiaire des prolongements des cellules épendymaires. 2. - cellules NÉVROGLIQUES. - L'apparition des cellules névro-
llules épendymaires. 2. - cellules NÉVROGLIQUES. - L'apparition des cellules névro- gliques est très tardive. Ce n'est qu'ap
hez le poulet, vers le sixième jour de l'incubation (Vignal). Les cellules névrogliques ne sont pas en connexion avec les pa
cherches de Nansen, pratiquées à l'aide de la méthode de Golgi, les cellules névrogliques proviennent des cellules épithé- l
e de la méthode de Golgi, les cellules névrogliques proviennent des cellules épithé- liales du canal central, - et cette opi
al et v. Lenhossek. - D'après les deux premiers auteurs, toutes les cellules névrogliques proviennent des cellules épithélia
premiers auteurs, toutes les cellules névrogliques proviennent des cellules épithéliales, tandis que, pour v. Len- hossek,
llules épithéliales, tandis que, pour v. Len- hossek, les premières cellules névrogliques seules (c'est-à-dire celles qui ex
ent au sixième jour de l'incubation chez le poulet) proviennent des cellules épithéliales; les autres proviennent des cellules
) proviennent des cellules épithéliales; les autres proviennent des cellules en voie de mitose de la couche péri-épendymaire
'Altmann, c'est-à-dire des mêmes éléments qui donnent naissance aux cellules nerveuses. Kolliker s'est rallié à cette derniè
e dernière opinion, et Vignal, dès 1882, avait déjà indiqué que les cellules névrogliques proviennent des neuroblastes. Le
é que les cellules névrogliques proviennent des neuroblastes. Les cellules névrogliques se montrent au début, vers le troisi
série d'intermédiaires (Vignal). Elles revêtent bientôt la forme de cellules étoilées richement ramifiées, présentent un noy
olongements souvent ramifiés, leur a valu pour Jastrowitz le nom de cellules araignées. Quelques cellules présentent à l'un
leur a valu pour Jastrowitz le nom de cellules araignées. Quelques cellules présentent à l'un de leurs pôles un long prolonge
elles décrites par Roll, sous le nom de Pinselzellen (fig. 91). Les cellules de la névroglie sont formées à cette époque d'un
érine (Vignal), jusqu'après la naissance chez le foetus humain, les cellules névrogliques subissent des transformations et a
sion et traversent le protoplasma à l'état différencié, Origine des cellules névrogliques. Morphologie des cellules névr
fférencié, Origine des cellules névrogliques. Morphologie des cellules névrogli- ques. Leurs transforma - tions.
. Leurs transforma - tions. 15G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellule névrogliquo adulte. Les cellules névro- gli
G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellule névrogliquo adulte. Les cellules névro- gliques étudiées d'a- près la méthode
a- près la méthode de Golgi. Caractères qui dis- tinguent les cellules névrogliques des cel- lules nerveuses. ,
guent les cellules névrogliques des cel- lules nerveuses. , I Cellules névrogli- ques de la moelle. tandis que les a
olongements continuent à être des prolongements protoplasmiques. La cellule présente alors une partie adulte et une partie
une partie embryonnaire. Cette différenciation du protoplasma des cellules névrogliques est en- core caractéristique de le
stique de leur origine ectodermique, et ne se retrouve que dans les cellules de même origine : aussi a-t-on pu, jusqu'à un cer
e origine : aussi a-t-on pu, jusqu'à un certain point, comparer les cellules de la névroglie aux cellules du corps muqueux de-
jusqu'à un certain point, comparer les cellules de la névroglie aux cellules du corps muqueux de- Malpighi (Renaut), aux cel
névroglie aux cellules du corps muqueux de- Malpighi (Renaut), aux cellules de soutènement de la rétine (Ranvier), aux cell
i (Renaut), aux cellules de soutènement de la rétine (Ranvier), aux cellules du tissu dit muqueux du sac dentaire (Ranvier), t
es préparations faites suivant la méthode de Golgi, on retrouve les cellules névrogliques, avec tous les caractères qui leur s
iker, Jastrowitz, Gierke, Ranvier, Renaut, Vignal, etc. Ce sont des cellules de forme étoilée, ri- chement ramifiées (cellul
etc. Ce sont des cellules de forme étoilée, ri- chement ramifiées ( cellules araignées de Jastrowitz), plus nombreuses et
effet les anastomoses décrites par Ranvier, Renaut et Vignal. Les cellules névrogliques se distinguent des cellules nerveuse
ier, Renaut et Vignal. Les cellules névrogliques se distinguent des cellules nerveuses par leurs rameaux droits et rigides,
de cet auteur démontre de la façon la plus évidente. Chacune de ces cellules possède en effet, à côté de ces ramifications sec
eignent la péri- phérie de la moelle, où ils se terminent. Quelques cellules présentent en outre un prolongement ventriculai
un prolongement ventriculaire (Cajal). Dans la moelle humaine, les cellules araignées ne présentent en géné- ral qu'un seul
mbryon de brebis, long de 0m,00. (D'après Vignal.) La forme de la cellule de droite est celle que Boll a désignée sous le
le nom de Pinselzelle. HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 157 de la cellule névroglique, car il préexiste au riche chevelu de
57 de la cellule névroglique, car il préexiste au riche chevelu des cellules araignées par lequel il est bientôt masqué (fig
ué (fig. 90). Lorsqu'à l'aide de la méthode de Golgi, on étudie les cellules névrogli- ques dans le stade embryonnaire où le
he ils deviennent lisses, unis, se réunissent aux prolongements des cellules voisines et à ceux des cellules névrogliques, q
se réunissent aux prolongements des cellules voisines et à ceux des cellules névrogliques, qui de la substance grise ont émigr
e Gierke. Très nombreuses dans la substance grise embryonnaire, les cellules de la névroglie émigrent peu à peu dans la subs
eu à peu dans la substance blanche, et on les dis- tingue alors, en cellules névrogliques superficielles et en cellules névrog
es dis- tingue alors, en cellules névrogliques superficielles et en cellules névroglie- que.\' profondes. Les cellules név
es superficielles et en cellules névroglie- que.\' profondes. Les cellules névrogliques profondes revêtent en général l'aspe
cellules névrogliques profondes revêtent en général l'aspect de la cellule araignée typique. Ces cellules ont été étudiées a
es revêtent en général l'aspect de la cellule araignée typique. Ces cellules ont été étudiées avec beaucoup de soin dans la
épinière par v. Lenhossek, qui distingue plusieurs types. a. Les cellules araignées géantes, situées dans la substance géla
ge circulaire autour de ce dernier (fig. 92). Les prolongements des cellules araignées géantes antérieures se rendent dans l
t une commissure névroglique (v. Lenhossek) ; les prolongements des cellules araignées géantes postérieures s'irradient profon
s s'irradient profondément dans les cordons postérieurs. p. - Les cellules araignées de la corne antérieure. Elles répondent
que le corps cellulaire, d'un fin et abondant duvet qui donne à la cellule un aspect givré, décrit par Boll, Ranvier et Vign
givré, décrit par Boll, Ranvier et Vignal (fig. 90 et 93). y. - Les cellules araignées du voisinage de. la commissure grise po
re fait défaut, comme nous l'avons vu pré- cédemment, et toutes les cellules épendymaires se transforment, après l'oc- clusi
, après l'oc- clusion de la partie postérieure du canal central, en cellules araignées de Deiters, qui prennent non pas le c
er Scpta névrogli- ques. Enveloppe névro- glique de Gierke. Cellules névroglie- ques superficielles et profondes.
Gierke. Cellules névroglie- ques superficielles et profondes. Cellules araignées géantes. Commissure névro- glique
ndes. Cellules araignées géantes. Commissure névro- glique. Cellules araignées de la corne anté- rieure. Cellule
névro- glique. Cellules araignées de la corne anté- rieure. Cellules araignées du voisinage do la commissure grise
ommissure grise postérieure. 1;i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules araignées de la stil,tance géla- tineuso de R
Cellules araignées de la stil,tance géla- tineuso de Rolando. Cellules névrogli- ques superficielles. l'a montré, le
ntre de rayonnement (fig. 90). Les prolongements primordiaux de ces cellules décrivent tous des courbes à peu près parallèle
ramifier. Leurs prolongements secondaires sont analogues à ceux des cellules pré- cédentes. 8. Les cellules araignées de l
ondaires sont analogues à ceux des cellules pré- cédentes. 8. Les cellules araignées de la substance gélatineuse de Rolando
'un bouquet de fibres excessivement fines et très nombreuses. Les cellules névrogliques superficielles présentent des aspect
ongements secondaires qui sont épais, rigides, nombreux, Fus. 92. - Cellules épithéliales et cellules névrogliques géantes au
sont épais, rigides, nombreux, Fus. 92. - Cellules épithéliales et cellules névrogliques géantes au voisinage du canal centra
el- lules névrogliques spéciales, décrites par Cajal sous le nom de cellules em- panachées (f, fig. 93). Celles-ci envoient
. En traversant la zone moléculaire ils forment les fibres de Berg- Cellules névroti- ques de l'écorce cérv- belleuse. F
ques de l'écorce cérv- belleuse. FiG. 93. - Différents types de cellules de la névroglie. (D'après v. Gehuchten.) Cellul
fférents types de cellules de la névroglie. (D'après v. Gehuchten.) Cellules de la névroglie de la substance blanche (b, d) et
la substance grise (a, c) de la moelle d'un embryon do vache. e, cellule do la névroglie do la substanco Manche du cervele
glie do la substanco Manche du cervelet d'un chat do huit jours. - f, cellule de la névroglie de la couche moléculairo du cer
un chat do huit jours. ibu ? varuiuuL DES LL : Wrltl : J NERVEUX. Cellules névrogli- ques de l'écorce céré- brale. Le
renflement conique. Dans l'écorce cérébrale, on trouve en outre des cellules araignées dont le corps s'étale largement à la
ngements rarement ramifiés (fig. 94). B. - CELLULES nerveuses Les cellules nerveuses proviennent des neuroblastes. Leur prol
uve en géné- ral tous les intermédiaires entre le neuroblaste et la cellule nerveuse pro- prement dite. A côté de cellules
le neuroblaste et la cellule nerveuse pro- prement dite. A côté de cellules constituées par un noyau volumineux, à contours
longements très grêles, souvent ramifiés (fig. 95). Le noyau de ces cellules est toujours volumineux, et renferme, outre des
s. (D'après G. Retzius.) o, superficie de l'écorce cérébrale. - cz, cellule de Cajal. - ? fibres tangentielles qui no sont pr
tangentielles qui no sont proba- blement que des prolongements des cellules de Cajal. nz, cellules névrogliques. z e, extrémi
ont proba- blement que des prolongements des cellules de Cajal. nz, cellules névrogliques. z e, extrémités pél'iphé- riques
al. nz, cellules névrogliques. z e, extrémités pél'iphé- riques des cellules épendymaires. HISTOGENESE DU SYSTEME NERVEUX. 1
leur situation, les cel- lules nerveuses peuvent être divisées en cellules nerveuses centrales, gan- qlionnaires ou périph
ables. Les unes sont si volumineuses, qu'elles ont mérité le nom de cellules géantes : telles sont les cellules pyramidales
s, qu'elles ont mérité le nom de cellules géantes : telles sont les cellules pyramidales qéantes de la zone rolandique de l'éc
yramidales qéantes de la zone rolandique de l'écorce cérébrale, les cellules motrices mul- tipolai1'es des cornes antérieure
a rétine, longtemps mise en doute, a été démontrée par Golgi. Les cellules ganglionnaires siè- gent dans les ganglions rac
ganglions rachidiens et sympathiques. Elles présentent, comme les cellules centrales, de grandes variétés de forme et de dim
e et de dimen- . sions, sans atteindre toutefois les dimensions des cellules géantes. Les cellules des ganglions rachidiens
, sans atteindre toutefois les dimensions des cellules géantes. Les cellules des ganglions rachidiens sont encapsulées et unip
, la branche centrale avec une fibre radi- culaire postérieure. Les cellules du ganglion auditif (ganglion spirale et intume
anglif01'171e de Scarpa) sont bipolaires, celles des ganglions il Cellules nerveuses centrales. Cellules géantes. Cell
laires, celles des ganglions il Cellules nerveuses centrales. Cellules géantes. Cellules grandes, moyennes etspetite
anglions il Cellules nerveuses centrales. Cellules géantes. Cellules grandes, moyennes etspetites ; grains. Cell
ules géantes. Cellules grandes, moyennes etspetites ; grains. Cellules ganglion- naires. Cellules unipolaires des
s, moyennes etspetites ; grains. Cellules ganglion- naires. Cellules unipolaires des ganglions rachi- diens. Cel
n- naires. Cellules unipolaires des ganglions rachi- diens. Cellules bipolaires du ganglion auditif.' FiG. 95. - C
- diens. Cellules bipolaires du ganglion auditif.' FiG. 95. - Cellules nerveuses de la moelle d'un embryon de mouton l
d'un embryon de mouton long de 45 millim. (D'après W. Vignal.) a, cellule nerveuse peu développée. - b, c, cel- lules ner
développées ; il y a plusieurs larges vacuoles dans c. ric. 96. - Cellule nerveuse de la moelle d'un embryon de brebis lo
'après W. Vignal.) 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. t V 91 . Cellule nerveuse péri pliéril ue desver- 1, tèbrés.
e nerveuse péri pliéril ue desver- 1, tèbrés. Il il I 1 Cellules nerveuses périphériques des In- vertébrés.
t à des dendrites nom- breuses et diversement ramifiées. La seule cellule sensorielle pé- riphérique actuellement connue
lle pé- riphérique actuellement connue chez les Vertébrés, est la cellule olfactive; elle est bipolaire, et donne naiss
cne epitiéUale de la mem- brane de Schneider, représente donc une cellule d'origine du nerf olfactif, et non comme on le
u nerf olfactif, et non comme on le croyait pendant longtemps une cellule de terminaison. Chez les Invertébrés, au contra
Invertébrés, au contraire, les nerfs sensitifs naissent tous d'une cellule nerveuse périphérique découverte par v. Lenhoss
ric et retrouvée par Retzius chez les vers polychètes (Nereis). Les cellules dites terminales des mollusques, des insectes e
., représentent toutes des cel- lules sensitives périphériques, des cellules d'origine de fibres nerveuses. Elles envoient
risations terminales, libres et ramifiées, situées au voisinage des cellules motrices. Au sur et à mesure que l'on s'élève d
sur et à mesure que l'on s'élève dans la série des Invertébrés, la cellule sensitive périphérique abandonne la situation sup
iphérique abandonne la situation superficielle et inler" FIG. 97. - Cellule nerveuse des cornes antérieures do la moelle d'
bres. - n, libres nerveuses provenant du prolongement central des cellules ol- factives ( ? ,z). - e, partie supérieure
des cellules ol- factives ( ? ,z). - e, partie supérieure do deux cellules de soutènement. - o, surface épithéliale HIST
rtébrés une voie d'acheminement vers la situation profonde, que les cellules d'origine des nerfs sensitifs occupent chez les
ègent toutes dans les ganglions cérébro- rachidiens (fig. 99). La cellule olfactive des vertébrés représente donc un stade
constant, de développement phylogénique; elle est l'homologue de la cellule sensitive périphérique des vers oligochètes. Qu
llule sensitive périphérique des vers oligochètes. Quant aux autres cellules sensorielles des Vertébrés, cellules visuelles,
oligochètes. Quant aux autres cellules sensorielles des Vertébrés, cellules visuelles, cellules auditives, cellules gustati
aux autres cellules sensorielles des Vertébrés, cellules visuelles, cellules auditives, cellules gustatives, elles représenten
sensorielles des Vertébrés, cellules visuelles, cellules auditives, cellules gustatives, elles représentent des cellules senso
es, cellules auditives, cellules gustatives, elles représentent des cellules senso- rielles secondaires , en connexion indir
ecte avec des fibres nerveuses et qui ne peuvent être comparées aux cellules olfactives. (Voy. t. II, nerf optique, nerf glo
II, nerf optique, nerf glossopharyngien, nerf auditif, etc.) Les cellules nerveuses, quelles que soient leurs dimensions et
imensions et lem situation, qu'elles appartiennent aux variétés des cellules nerveuses propre- ment dites ou aux variétés de
s nombreux que l'on examine des foetus plus jeunes. D'après A. Tho- Cellule olfactive e sa vraie significa tion. , Cell
'après A. Tho- Cellule olfactive e sa vraie significa tion. , Cellules sensoriel les secondaires- vi suelles, auditi
ires- vi suelles, auditives gustatives. u Prolongements dos cellules nerveuses. i Amas protoplasme 1 ques des de
s et cnrscaractëres. mas qui vient d étudier le développement des cellules pyramidales de l'écorce (1894), on trouve ces g
ervent jusque dans leurs plus fines divi- sions. Dans certaines cellules (cellules de Purkinje de l'é- corce cérébelle
e dans leurs plus fines divi- sions. Dans certaines cellules ( cellules de Purkinje de l'é- corce cérébelleuse, cellule
taines cellules (cellules de Purkinje de l'é- corce cérébelleuse, cellules pyramidales de l'écorce cé- rébrale), les var
s, soit en pointe, soit par un petit bouton terminal. Fic. 100. - Cellules pyramidales en voie de développement. Méthode r
éveloppement. Méthode rapide de Golgi. (D'après A. Thomas.) a, b, cellules de l'écorce cérébrale d'un foetus de lapin de vin
rale d'un foetus de lapin de vingt à vingt-cinq jours environ. - c, cellule de l'écorce cérébrale de la souris âgée de six
dernier mode d'origine est toutefois ty- pique, pour une variété de cellules dé- crites par Cajal, et communément dési- gn
s dé- crites par Cajal, et communément dési- gnées sous le nom de cellules de Cajal; (fig. 103, 94) on les rencontre dans
oi- seaux, dans la substance gélatineuse de' Rolando (Cajal). Les cellules de Cajal se caractérisent en outre, non seu- '
on de l'arborisation ter- minale de la dendrite primordiale d'une cellule pyramidale de l'écorce cérébrale de la souris a
ranches protoplasmiques. b, épines collatérales. FiG. 102. - Deux cellules radiculaires de la moelle dorsale d'un chien nouv
al.') . - Les prolongements protoplasmiques du groupe interne de la cellule a traversent la commissure anté- rieure et s'ét
s'étendent jusque dans la corne antérieure du côté opposé. Ceux de la cellule b n'atteignent pas la commissure. - cy, prolong
, en effet, dans la couche superficielle de l'écorce corticale, des cellules fusiformes ou irrégulières, qui donnent naissan
de ce dernier. Les collatérales sont rares sur le cylindre-axe des cellules motrices des · cornes antérieures, mais se renc
rieures, mais se rencontrent fréquemment sur les cylindres-axes des cellules de Purkinje (fig. 111 ) et de certaines cellules
cylindres-axes des cellules de Purkinje (fig. 111 ) et de certaines cellules de l'écorce cérébrale et cérébelleuse, ainsi qu
ndres-axes appartiennent aux racines postérieures (c'est-à-dire aux cellules des ganglions rachidiens) ou aux « cellules des
eures (c'est-à-dire aux cellules des ganglions rachidiens) ou aux « cellules des cordons » de la moelle de Ramon y Cajal (Vo
des collatérales - s'entrelacent en général avec les dendrites des cellules avoisinantes. D'autres fois elles entourent le
es avoisinantes. D'autres fois elles entourent le corps même de ces cellules ; c'est ce que l'on observe par exemple autour d
ellules; c'est ce que l'on observe par exemple autour des corps des cellules uni ou bipolaires des ganglions cérébro-rachidi
nglions cérébro-rachidiens ou sympathiques, et autour des corps des cellules de Purkinje (fig. 105). Ces derniers sont entouré
korben). D'autres fois encore, les cylindres-axes Fig. 103. - Trois cellules de Cajal. Coupe longitudinale de la couche molécu
des ramifications de premier et de deuxième ordre des dendrites des cellules de Purkinje et s'y terminent par une arbo- risa
ques (V. p. 220). Les cylindres-axes et les dendrites impriment aux cellules nerveuses de très grandes variétés de forme, qu
de d'origine et de ramification du cylindre-axe on dis- tingue : la cellule de Deiters, la cellule de Golgi et la cellule de
fication du cylindre-axe on dis- tingue : la cellule de Deiters, la cellule de Golgi et la cellule de Cajal. Le cylindre-ax
e on dis- tingue : la cellule de Deiters, la cellule de Golgi et la cellule de Cajal. Le cylindre-axe de la cellule de Caja
, la cellule de Golgi et la cellule de Cajal. Le cylindre-axe de la cellule de Cajal peut être multiple, mais il naît toujour
il I Variétés de fOl'm, dcs ccllnles ncrvcn ses. l > Cellule de Cajal. · Fie. 104. - Coupe transversale de l
huchten.) 468 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sa longueur varie. La cellule de Golgi est caractérisée par un très court cyl
X. 160 libres, à l'intérieur même de la substance grise où siège la cellule . Consi- dérées à tort par Golgi comme des cellu
grise où siège la cellule. Consi- dérées à tort par Golgi comme des cellules sensitives, elles répondent au 170 ANATOMIE DES
sensitives, elles répondent au 170 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellule de Golgi. Cellule de Deiters. Son cy11nùl'c-a
épondent au 170 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellule de Golgi. Cellule de Deiters. Son cy11nùl'c-axc. type II de cet
alement désignées sous le nom de cel- lules du type II de Golgi, de cellules de Golgi, de cellules à cylindre-axe court. Ell
le nom de cel- lules du type II de Golgi, de cellules de Golgi, de cellules à cylindre-axe court. Elles ne siègent pas excl
'étendue de la substance grise et jouent, d'après Cajal, le rôle de cellules de transmission (tig. z106, 107, 108, Il,[). Le
de transmission (tig. z106, 107, 108, Il,[). Le cylindre-axe de la cellule de Deiters ou cellule du type 1 de Golgi, est p
z106, 107, 108, Il,[). Le cylindre-axe de la cellule de Deiters ou cellule du type 1 de Golgi, est plus ou moins long. Il
Ranvier avait du reste décrit la division en T du cylindre-axe des cellules unipolaires des ganglions spinaux, dont une bra
e de la division en T du cylindre-axe, non seule- ment de celui des cellules ganglionnaires, mais encore de celui de la majori
es cellules ganglionnaires, mais encore de celui de la majorité des cellules qui envoient leurs cylindres-axes dans la substan
(fig. 109). La division du cylindre-axe et sa richesse Fin. 107. - Cellule nerveuse à cylindre-axe court de la quatrième c
s et verti- cales. c, ramuscules variqueux terminaux. FIG. 108. - Cellule nerveuse cylindre- axe court de la corne postér
pte de la disproportion numérique considérable qui existe entre les cellules nerveuses et les fibres nerveuses, entre le vol
e la substance blanche. Le mode d'origine des dendrites imprime aux cellules de Deiters les formes les plus variées. Ces cel
es imprime aux cellules de Deiters les formes les plus variées. Ces cellules peuvent être, en effet, étoilées et mul- i tipo
es peuvent être, en effet, étoilées et mul- i tipolaires, comme les cellules motrices des cornes antérieures ou fusi formes
ices des cornes antérieures ou fusi formes et bipolaires, comme les cellules olfactives et certaines cellules de la couche s
si formes et bipolaires, comme les cellules olfactives et certaines cellules de la couche superficielle du cerveau; les unes
utres polygonales, triangulaires ou irrégulières, comme cer- taines cellules cérébrales, comme les cellules mitrales du lo
ou irrégulières, comme cer- taines cellules cérébrales, comme les cellules mitrales du lobe olfactif et les cellules gan-
s cérébrales, comme les cellules mitrales du lobe olfactif et les cellules gan- glionnaires de la rétine ; d'au- tres en
ires de la rétine ; d'au- tres encore sont globuleuses, comme les cellules de Purkinje du cervelet; d'autres enfin sont
Purkinje du cervelet; d'autres enfin sont unipolaires, comme les cellules des ganglions rachidiens et comme certaines c
s, comme les cellules des ganglions rachidiens et comme certaines cellules du type de Cajal. Les cellules étoilées et mu
ns rachidiens et comme certaines cellules du type de Cajal. Les cellules étoilées et mul- tipolaires donnent naissance à
amifi- cations noueuses, arboriformes et libres (fig. 102). Les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale sont coniques
oins volu- mineux,d'autant plus volumineux que les dimensions de la cellule sont plus considérables (fig. 110). Les nombreu
dérables (fig. 110). Les nombreux prolongements protoplasmiques des cellules pyramidales se divisent suivant leur origine en d
rites basilaires. La dendrite ascendante se détache du sommet de la cellule , elle est épaisse, se dirige vers la couche sup
ge par des ramifications variqueuses et libres. Ses dendi-ites. Cellules étoilées et multipolaires. Cellules pyramida-
t libres. Ses dendi-ites. Cellules étoilées et multipolaires. Cellules pyramida- les. Fici. 109. - Coupe longitudina
une branche collatérale. 172 "> ANATOMIE .L1S CENTRES NERVEUX. Cellules globu- leuses. Cellules mitrales du bulbe o
72 "> ANATOMIE .L1S CENTRES NERVEUX. Cellules globu- leuses. Cellules mitrales du bulbe olfactif. -Grains du cervel
es. Cellules mitrales du bulbe olfactif. -Grains du cervelet. Cellules des gan- glions rachidiens. Les cellules glob
-Grains du cervelet. Cellules des gan- glions rachidiens. Les cellules globuleuses, telles que les cellules de Purkinje,
gan- glions rachidiens. Les cellules globuleuses, telles que les cellules de Purkinje, donnent naissance a un cynnare-
parallèles au plan transversal d'une lamelle cérébelleuse. Les cellules mitrales du bulbe olfactif donnent nais- sanc
Les grains du cervelet sont, ainsi que Golgi l'a montré, des . cellules ner- veuses au même titre que les grains de l
par une arborisation avortée et di- gitiforme (6g. 111, c). Les cellules des ganglions rachidiens sont dépourvues de dendr
cylindre-axe qui se divise en T après un court trajet. FiG. 110. - Cellule pyramidale géante de l'écorce cérébrale de la s
es du cylindre-axe. HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 173 Certaines cellules spéciales, telles que les spongioblastes de la ré
de Golgi. (D'après G. Retzius.) ak, coucho granuleuse externe. - a, cellule de Purkinjo ; la cellule gaucho est dessinée muni
zius.) ak, coucho granuleuse externe. - a, cellule de Purkinjo ; la cellule gaucho est dessinée munie des ramifications den
llatérales (ar.li) qui se dirigent vers la couche moléculaire. - b, cellules horizontales de Cajal avec leurs prolongements tr
paraissent par cette raison sous forme de points ou do stries. - d, cellule de Golgi avec prolongements dendritiques et cylin
ues et cylindre-axiles (df) qui se rami- fient richement. d, petite cellule de Golgi à prolongements ramifiés. - hf, fibre ne
f, fibres nerveuses à ramification spéciale (prolongement nerveux des cellules do Golgi). - e, cellule névrogliquc donnant nai
ification spéciale (prolongement nerveux des cellules do Golgi). - e, cellule névrogliquc donnant naissance aux fibres de Ber
de Golgi. Conception de Cajal. axiles ramifiés ; dans ce cas ces cellules si spéciales ' rentreraient dans la catégorie d
cas ces cellules si spéciales ' rentreraient dans la catégorie des cellules de Golgi. Nature des dendrites. On sait que dan
e du protoplasma étalé, le cylindre-axe comme un produit issu de la cellule , mais distinct d'elle. Golgi a maintenu cette d
s dendrites comme des organes de nutrition, chargés d'apporter à la cellule les sucs nécessaires à son existence, et le prolo
icyes; et « si les dendrites représentent des agents de FiG. iî2. - Cellules mitrales, glomérules olfactifs et terminaisons ce
jours. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) .. ? . mi, cellules mitrales. - af, prolongements cylindre-axiles des
? . mi, cellules mitrales. - af, prolongements cylindre-axiles des cellules mitrales. - co, branche collatérale du cylindre
rale du cylindre-axe.. - mp, dendrites à direction tangentielle des cellules mitrales. - mpd, dendrite des cel- lules mitral
utrition, ce ne serait qu'en augmentant la surface d'absorption de la cellule à laquelle elles appartiennent» (Cajal). Ramo
e des dendrites, et leur rôle de conducteur nerveux. connexions des cellules nerveuses ENTRE elles. Jusqu'aux tra- vaux de G
ormé par les prolongements protoplasmiques ramifiés des différentes cellules nerveuses, réseau destiné à établir une continu
aux racines postérieures, et recevait les dendrites rami- iiées des cellules des cornes postérieures d'une part et des cellule
rami- iiées des cellules des cornes postérieures d'une part et des cellules des cornes antérieures d'autre part ; ces derni
libiese21silive naissait duréseati de Gerlach, la fibre motrice des cellules des cornes antérieures, et le courant nerveux o
omique de la connexion de la libre radiculaire an- térieure avec la cellule ganglionnaire des cornes antérieures, soupçonnée,
te d'apporter la preuve anatomique de la continuation directe d'une cellule nerveuse avec le cylindre-axe d'une fibre motri
cylindre-axe d'une fibre motrice ; il montra : 1° Que toutes les cellules nerveuses donnent naissance à un cylindre- axe,
cellules nerveuses donnent naissance à un cylindre- axe, soit long ( cellule de Deiters), soit court (cellule de Golgi), leque
nce à un cylindre- axe, soit long (cellule de Deiters), soit court ( cellule de Golgi), lequel émet, à la façon des expansio
xtrémités ramifiées et libres. Quant aux connexions réciproques des cellules et des fibres nerveuses, Golgi se laissa évidem
, en se basant sur l'histogenèse, que le cylindre-axe procède de la cellule par voie de bourgeonnement, que son développement
e comme un élément à part, mais comme une partie constituante de la cellule nerveuse, que celle-ci soit d'origine centrale
t de Golgi; pour lui le cylindre-axe n'est qu'un prolongement de la cellule , il se termine par des ramifications arboriformes
arboriformes; . le réseau n'est qu'apparent, et les connexions des cellules et des fibres se font par l'intermédiaire d'un
ranche terminale du cylindre-axe et comme le court cylindre-axe des cellules du type II de Golgi, se terminent tous par des
el de nos connaissances. Les connexions entre le cylindre-axe et sa cellule d'origine sont, en effet, très intimes : lorsqu
un certain groupe cellulaire, les cylindres- axes appartenant à ces cellules dégénèrent, et cette dégénérescence se fait tou
e se fait toujours dans le sens du développement de la fibre. Si la cellule d'origine est située dans la moelle et qu'elle
ou vers le cervelet, la dégénérescence est dite ascendante ; si la cellule d'origine siège dans le cerveau et qu'elle envo
ssède la fibre nerveuse de dégénérer, lorsqu'elle est séparée de sa cellule d'origine ou lorsque cette cellule est détruite
r, lorsqu'elle est séparée de sa cellule d'origine ou lorsque cette cellule est détruite, a été mise à profit, ainsi que nous
don postérieur correspondant, ainsi qu'une diminution du nombre des cellules des cornes antérieure et postérieure du même côté
bert, Friedlànder et Krause, P. Marie, etc.) Cette atrophie.de la cellule d'origine de la fibre nerveuse, qui se produit
mais encore l'atrophie, voire même la disparition complète de leurs cellules d'origine, si celles-ci n'ont pas déjà été détrui
étendue : son bout périphérique dégénère, son bout central avec sa cellule d'origine s'atrophie. L'atrophie du bout centra
a cellule d'origine s'atrophie. L'atrophie du bout central et de la cellule d'origine semble donc séparer complètement les
expériences sur l'animal adulte, a montré que le bout central et la cellule d'origine présentent constamment des altérations,
e émaciation, quelquefois en une atrophie très considé- rable de la cellule d'origine, pour peu que l'excision n'ait pas été
quée en un point trop éloigné de cette dernière. L'émaciation de la cellule est insignifiante lorsque les extrémités termin
st considérable et peut aller jusqu'à la disparition complète de la cellule , ainsi qu'Hayem l'a montré en 1872, lorsqu'on a
est jamais complète et laisse tou- jours des résidus, sous forme de cellules ratatinées se colorant intensive- ment par le c
se colorant intensive- ment par le carmin et présentant l'aspect de cellules araignées (Forel). Les résultats de la méthode
re périphérique résultent d'une division en T du cylindre-axe de la cellule d'un ganglion rachidien. Lorsqu'on arrache un n
nt dans le noyau de terminaison du nerf sensitif (voy. p. 149); les cellules autour desquelles ces fibres s'ar- bprisent (ce
p. 149); les cellules autour desquelles ces fibres s'ar- bprisent ( cellules d'origine d'un autre neurone) persistent toutes c
quadrijumeau, ou un noyau de terminaison d'un nerf sensitif, - les cellules de ce noyau, qui constituent les cellules d'ori
d'un nerf sensitif, - les cellules de ce noyau, qui constituent les cellules d'origine d'autres systèmes de neurones, se rappr
titué surtout par les fibrilles des ramifications arboriformes. Ces cellules peuvent se rapprocher au point de gêner par leu
égénérées leur faisant défaut, leur activité vitale diminue, et les cellules avec leur cylindre-axe s'atro- phient peu il pe
histogénique que nous venons de faire, il résulte donc que : 1° Les cellules nerveuses de la moelle, du cerveau, ou des gangli
en connexion, 1. Dans l'écorce cérébrale EC, nous avons figuré deux cellules pyramidales, une ccllule de Cajal et une cellul
avons figuré deux cellules pyramidales, une ccllule de Cajal et une cellule de Golgi. Chacune de ces cellules avec son cylind
dales, une ccllule de Cajal et une cellule de Golgi. Chacune de ces cellules avec son cylindre-axe et les ramifications tcr-
NÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 181 soit avec la périphérie, soit avec des cellules plus ou moins éloignées. Plus tard, elles émett
n'existe donc pas dans le système nerveux deux éléments, l'élément cellule nerveuse et l'élément fibre nerveuse; il n'existe
e seule unité, présentant son autonomie propre et constituée par la cellule nerveuse, son prolongement cylindre-axile et les
que par une chaîne de neurones plus ou moins longs (fig. 113). La cellule du neurone peut siéger, soit dans l'axe encéphalo
éphalo-médul- laire, soit dans les ganglions, soit à la périphérie ( cellule olfactive). Le cylindre-axe peut être plus ou m
olfactive). Le cylindre-axe peut être plus ou moins long; une seule cellule nerveuse peut posséder plusieurs cylindres-axes
une seule cellule nerveuse peut posséder plusieurs cylindres-axes ( cellule de Cajal), mais un cylindre-axe minales de ce d
tre neurones dépend donc de la longueur de leurs cylindres-axes. La cellule de Golgi et la cellule de Cajal se ramifient en e
c de la longueur de leurs cylindres-axes. La cellule de Golgi et la cellule de Cajal se ramifient en effet dans l'épaisseur
ramifient en effet dans l'épaisseur même de l'écorce cérébrale : la cellule pyramidale de gauche envoie son cylindre- axe d
son cylindre- axe dans la couche optique Th; le cylindre-axe de la cellule pyramidale de droite se bifurque après uncourt
es collatérales, se termine par des arborisations libres autour d'une cellule de la corne antérieure (CA). Le cylindre-axe de
lule de la corne antérieure (CA). Le cylindre-axe de cette dernière cellule s'arborise librement à la surface d'un muscle M
eurones. Le neurone sensitif de premier ordre est représenté par la cellule du ganglion spinal (GS) dont le cylindre-axe péri
rotubérantiel (XG+lI). Le neurone cérébelleux est représenté par la cellule de la colonne (le Clarke (CC) dont le cylindre-ax
vermis supérior (EcV); le nel/I'one IJ1lLbo-p7'oll/l)Ùanliel par la cellule des noyaux des cordons de Goll et de Burdach do
le thalamus avec un neurone de 3' ordre, lequel peut être soit une cellule de Golgi (G), soit une cellule du thalamus (Th)
de 3' ordre, lequel peut être soit une cellule de Golgi (G), soit une cellule du thalamus (Th) dont le cylindre-axe s'arboris
indre-axe s'arborise dans l'écorce cérébrale EC, au voisinage d'une cellule pyramidale, d'une cellule de Cajal ou d'une cellu
l'écorce cérébrale EC, au voisinage d'une cellule pyramidale, d'une cellule de Cajal ou d'une cellule de Golgi. Mais, par l'i
voisinage d'une cellule pyramidale, d'une cellule de Cajal ou d'une cellule de Golgi. Mais, par l'intermédiaire de la cellu
de Cajal ou d'une cellule de Golgi. Mais, par l'intermédiaire de la cellule de Golgi du thalamus, le neurone sensitif de 2 or
ne sensitif de 2 ordre peut encore entrer en connexion avec une des cellules pyramidales de l'écorce dont le cylindre-axe s'ar
es de l'écorce dont le cylindre-axe s'arborise dans le thalamus. La cellule du neurone sensitif de 1" ordre GS peut en outre
s cel- lules nerveuses. Différents modes de contact entre les cellules . Corbeilles termi- nales de Kôlliker. Conta
ontact lorsque les dendrites font défaut. ne réunit jamais deux cellules nerveuses; le cylindre-axe périphérique ou cent
par des boutons terminaux libres également. 6° Il n'existe pas une cellule motrice et une cellule sensitive, une fibre mot
aux libres également. 6° Il n'existe pas une cellule motrice et une cellule sensitive, une fibre motrice et une fibre sensi
s. » (Leçons sur la physiologie, etc., 1866.) 6° Les connexions des cellules entre elles sont toujours de simples con- nexio
ns des cylindres-axes s'enroulent en liane autour des dendrites des cellules de Purkinje (fibres grimpantes), ou s'emboîtent a
t enfin, grâce à la longueur et la richesse de leurs dendrites, les cellules entrent en contact avec les arborisations termina
rborisations terminales d'un très grand nombre de fibres nerveuses ( cellules pyramidales de l'écorce céré- brale, cellules d
de fibres nerveuses (cellules pyramidales de l'écorce céré- brale, cellules de Purkinje, cellules radiculaires des cornes ant
cellules pyramidales de l'écorce céré- brale, cellules de Purkinje, cellules radiculaires des cornes antérieures). Les aspér
(Ramon y Cajal). Lorsque les dendrites font défaut, comme dans les cellules unipolaires ou bipolaires des ganglions cérébro
vaux de Ranvier et de v. Lenhossek, nous savons en effet que chaque cellule des ganglions rachidiens est entourée d'une cap
pathique. Cette structure est commune, non seule- ment à toutes les cellules des ganglions rachidiens, mais encore à celles de
ous l'avons vu, les prolongements nerveux périphériques, soit d'une cellule radiculaire de la moelle ou du bulbe, soit d'une
soit d'une cellule radiculaire de la moelle ou du bulbe, soit d'une cellule des gan- glions cérébro-rachidiens. Ils se déve
ne. Chaque fibrille représente le prolongement cylindre-axile d'une cellule nerveuse et se détache de la cellule par un côn
longement cylindre-axile d'une cellule nerveuse et se détache de la cellule par un cône d'insertion nettement délimité. Les
tache de la cellule par un cône d'insertion nettement délimité. Les cellules d'origine d'un même nerf périphérique se groupent
la périphérie de ces faisceaux de fibrilles est recouverte par des cellules conjonctives embryonnaires qui prolifèrent, pénèt
s nerveuses en petits faisceaux qu'elles recouvrent (fig. 116). Ces cellules connectives embryonnaires se différencient bien
Ces cellules connectives embryonnaires se différencient bientôt des cellules conjonc- tives ordinaires par la grande longueu
ongitudi- nal, par rapport à leur diamètre transversal. Ce sont des cellules aplaties, très minces, présentant un noyau volu
e prolongements plus ou moins volu- mineux et déprimés. Ces longues cellules plates sont formées d'un proto- plasma excessiv
i2,es de Ranvier =' dont le nombre corres- pond à celui des longues cellules connec- tives .. A cet état de développement,
est dépouillée par dissociation de l'enveloppe que lui forment les cellules Fic. 114. rto. 415. FIG. 114. Groupe de neu
, portion d'un faisceau du nerf sciatiqne. -a, fibres nerveuses. - b, cellules connectives très allongées ot isolées. c, cellu
nerveuses. - b, cellules connectives très allongées ot isolées. c, cellules connectives appliquées sur les fibres nerveuses e
sur les fibres nerveuses et dont les noyaux sont seuls visibles. d, cellules lymphatiques. A -et B, deux fibres nerveuses plus
esquelles on pourrait la confondre à un examen superficiel, par les cellules connectives qui la recouvrent, la netteté de se
eur du protosplama péri-axile, en dedans de la gaine formée par les cellules connectives. Lorsque la myéline apparaît en nap
laire; il est alors excessivement difficile de saisir la limite des cellules connectives qui forment les segments inter-annula
rès W. Vignal.) a, fibrilles noyées dans une substance homogène. b, cellules con- nectives embryonnaires recouvrant la périp
on de 0 ? 2S de long. (D'après Vignal.) a, fibres nerveuses. - b, cellules connectives enveloppant les 3/4 do la filtre ;
ellules connectives enveloppant les 3/4 do la filtre ; l'une de ces cellules a son noyau en voie de di- vision, cette derniè
di- vision, cette dernière est en partie détachée du faisceau. c, cellules connectives complètement détachées du faisceau.
aires. « Chez les embryons des mammifères et les jeunes sujets, des cellules conjonctives s'interposent entre deux segments
re en contact avec le cylindre-axe et qu'elles l'entourent. » Ces cellules connectives, qui constituent un segment intercala
t intercalaire de Vignal, sont donc tout à fait comparables aux cellules enveloppantes foetales qui constituent la gai
normal. - b, un étranglement annulaire sur lequel est appliquée une cellule connective intimement soudée à l'extrémité des
deux étranglements annulaires plus allongés que le précédent, . la cellule connective est nettement interposée entre les d
de face. e et f, la myéline est développée eu gouttelettes dans la cellule con- nectivo formant le segment intercalaire. '
e segment intercalaire. 'g, la myéline est assez développée dans la cellule connective pour qu'elle forme un petit seg-. me
Sur la structure de l'écorce céré- brale de quelques mammifères. La Cellule . Tome VII, 1891. - Deiters, Unte1'suchungen übe
ution ci l'étude de la muqueuse olfactive chez les mam- mifères. La Cellule . Tome Vf, 1890. Du même. La Structure des centres
évrier 1847. - A. Thomas. Contribution à l'Étude du développement des cellules de l'écorce cérébrale par la méthode de Golgi.
nt subordonnée à la substance grise. La substance grise, riche en cellules et en fibres nerveuses, forme les ganglions pér
uins, mais surtout il la richesse plus ou moins considérable de ses cellules en granulations pig- mentaires. La substance
veux. Les éléments nerveux comprenaient les fibres nerveuses et les cellules nerveuses; les éléments non nerveux compre- nai
X DE L'ADULTE. 193 I du feuillet ectodermique au même titre que les cellules de la névroglie : 2° les cellules de la névrogl
ctodermique au même titre que les cellules de la névroglie : 2° les cellules de la névroglie, qui présentent de si grandes ana
es de la névroglie, qui présentent de si grandes analogies avec les cellules nerveuses, proviennent, comme ces dernières, des
oprement dits, ils sont constitués par l'épithélium épendymaire, la cellule névroglique et la cellule nerveuse munie de son
nstitués par l'épithélium épendymaire, la cellule névroglique et la cellule nerveuse munie de son prolongement cylindre-axi
Nous étudierons donc : 1° L'épithélium épendymaire adulte; 3° La cellule névroglique adulte ; 3° La cellule nerveuse adu
lium épendymaire adulte; 3° La cellule névroglique adulte ; 3° La cellule nerveuse adulte ; 4° La fibre nerveuse adulte d
nerveux, tels que les vaisseaux et la trame conjonc- tive. 1° Les cellules épithéliales qui bordent le canal de l'épendyme e
et en particu- lier au voisinage de la commissure postérieure, les cellules épendymaires sont disposées, d'après Lachi, en
disposées, d'après Lachi, en plusieurs couches superposées. Chaque cellule épendymaire est formée d'une masse protoplasmique
t un noyau sphérique et volumineux, plus rapproché de la base de la cellule que de son sommet, se colorant intensivement pa
nstate avec tant de netteté à l'aide de la méthode de Golgi sur les cellules épendymaires foetales, prolongement considéré à t
Quant au prolongement périphérique, qui se détache du sommet de la cellule épendymaire, et qui atteint chez le foetus la p
l- lules névrogliques Ùi l'état adulte. ' vier. Corps do la cellule névrogliquc adulte. La cellule araignée ; a
adulte. ' vier. Corps do la cellule névrogliquc adulte. La cellule araignée ; adulte conserve toute la. vic ses
érienne. La question n'est en litige que pour les prolongements des cellules épendymaires qui tapissent les parois latérales
ires antérieur et postérieur de Retzius (fig. 90, p. 153). 2° Les cellules de la névroglie, qui se montrent dans toutes les
age très dense les cel- lules et les fibres nerveuses, doublent les cellules épendymaires et se pro- longent sur les vaissea
s racines cérébro-rachidiennes (Ranvier). La structure du corps des cellules névrogliques ne peut être étudiée qu'à l'état f
e de la moelle, du cervelet ou du cerveau de l'homme, on trouve des cellules aplaties et allongées, dont le corps mesure 20
foncées. Nous avons étudié plus haut les nombreux prolongements des cellules né- vrogliques examinés à l'aide de la méthode
s à l'aide de la méthode de Golgi, nous n'y reviendrons pas ici. La cellule araignée conserve en général ses caractères penda
n général ses caractères pendant toute la vie. Un certain nombre de cellules embryonnaires subissent toutefois d'après Ranvi
les pro- longements comme une membrane interdigitale (Ranvier). La cellule de la , névroglie, arrivée à l'état adulte, est
. 19 : i sens et constituent les libres de la névroglie, et par une cellule aplatie, granu- leuse, munie d'un noyau, compar
une cellule aplatie, granu- leuse, munie d'un noyau, comparable aux cellules plates du tissu conjonctif décrites par Ranvier
eintes correspondant aux fibres de la névroglie. Chez l'adulte, les cellules névrogliques aplaties de Ranvier se rencon- tre
urcissement. Aussi Kolliker, admettant avec Weigcrt l'existence des cellules de Ranvier, émet-il l'hypothèse que les cellule
rt l'existence des cellules de Ranvier, émet-il l'hypothèse que les cellules névrogliques adultes sécrètent d'un seul côté,
restent encore à déter- miner, se séparer du proto- plasma. 3" Cellules nerveuses. - Nous avons étudié plus haut les
uses. - Nous avons étudié plus haut les formes si variées de la cellule nerveuse, ainsi que le mode d'origine et de ram
ici que la structure de sa masse pro- toplasmique. Le corps de la cellule nerveuse est formé d'une masse de protoplasma à
lles protoplasmiques, parallèles pour la plupart, pénètrent dans la cellule au niveau de chacun de ses prolongements dendriti
li- ker. ! S Structure de la masse protoplasmi- i que de la cellule ner- vousc. Réseau fibrillaire. ? f I F
a cellule ner- vousc. Réseau fibrillaire. ? f I Fig. 121. - Cellule névroglique de l'écorce cérébrale d'un supplici
qncctkaryoptasma du noyau des cel- lules. Nucléolules. Les cellules ner- veuses des centres p sont dépourvues do
moniliforme. Cet aspect, facile il constater lorsqu'on examine des cellules nerveuses à l'aide de la méthode d'Ehrlich, c'est
granulations pigmentaires. Ces granulations, qui sont propres aux cellules nerveuses adultes, se pré- sentent, dans la maj
jaune clair, ou faiblement colorées, occupant en général dans la cellule une po- sition excentrique, au voisinage d'un
ntrique, au voisinage d'une dendrite (fig. 122). Dans cer- taines cellules , telles que celles du locus nige/' de Soemmerin
s, de telle sorte que le noyau représente le seul point clair de la cellule . Le noyau des cellules nerveuses est relativeme
noyau représente le seul point clair de la cellule. Le noyau des cellules nerveuses est relativement volumineux, et mesure
général de vacuoles dési- z gnées sous le nom de nucléolules. Les cellules nerveuses des centres encéphalo-médullaires sont
environnante, c'est-à-dire par la névroglie, les vais- Fi(;. 122. - Cellule de la corne antérieure do la moelle épinière de
certain degré de rétraction et des altérations de forme. Lorsque la cellule n'est pas rétractée, elle occupe toute la place
ral faible- ment par les réactifs colorants. Lorsqu'au contraire la cellule est revenue sur elle-même, elle se colore très
substance grise. Ces différences d'imprégnation que présentent les cellules nerveuses, différences qui correspondraient, d'
es dans leur fonctionnement, les ont fait distinguer par Weigert en cellules chîo2zol)hî*les et en cellules chromophobes. Av
s ont fait distinguer par Weigert en cellules chîo2zol)hî*les et en cellules chromophobes. Avant d'admettre l'hypothèse de Fle
r que l'on rencontre, en général, tous les intermédiaires entre les cellules chromophobes et les cellules chromophiles, et que
ral, tous les intermédiaires entre les cellules chromophobes et les cellules chromophiles, et que les cellules nerveuses rét
les cellules chromophobes et les cellules chromophiles, et que les cellules nerveuses rétractées se colorent plus intensive
ellules nerveuses rétractées se colorent plus intensivement que les cellules non revenues sur elles-mêmes. 4° Fibres nerve
êmes. 4° Fibres nerveuses adultes du névraxe. - Le cylindre-axe des cellules nerveuses adultes, qu'il entre dans la constitu
fibre des centres ou d'un nerf périphérique. Le cylindre-axe des cellules du type II de Golgi est très probablement dépou
. Le Goff et Tourneux, 'Flechsig, Porter, Capobianca él.. 13' f Cellules chromo- philes et chromo- phobes. 1 Gaine
ine périvasculaire est rempli de liquide et renferme en général des cellules lymphatiques, des granulations grais- seuses et
huticnsctsym- pathiques. . 1'nlcs cn T rlc Itan- vier. fc Les cellules des ganglions c{ : .rtll1'()- 1'.ICllilI1CI15
ais les libres de ce tissu n'entrent pas en contact direct avec les cellules ou les fibres nerveuses, dont elles sont toujou
B. Les ganglions sympathiques. A. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. Les cellules nerveuses adultes des ganglions cérébro-rachidi
ourt trajet, ainsi que Ranvier l'a montré en 1875 (fig'. 124). La cellule unipolaire adulte se présente sous la forme d'un
al qu'un seul noyau, dont le volume est en rapport avec celui de la cellule . Le corps de la cellule ne présente ni la striati
t le volume est en rapport avec celui de la cellule. Le corps de la cellule ne présente ni la striation fibrillairc HISTOLO
VEUX DE L'ADULTE. 20t H parallèle, ni le réticulum si manifeste des cellules nerveuses du névraxe, en particulier des grosse
feste des cellules nerveuses du névraxe, en particulier des grosses cellules multipolaires de la moelle épinière. Il contien
soit, Flemming, en se basant sur ces ca- ractères, conclut que les cellules des gan- glions rachidiens président à la nutri
ent une action trophique, et qu'elles ne peuvent être comparées aux cellules multipolaires des cornes antérieures, par exe
ellules multipolaires des cornes antérieures, par exemple, ou aux cellules multipolaires sym- pathiques, qui représentent
s physiologiques, ou des organes du conductibilité. Le volume des cellules nerveuses adul- tes est très variable et oscill
st tapissée, ainsi que Frantzell'a montré en 18G î, d'une couche de cellules épithéliales polygonales, dont le noyau volumin
la face interne de la capsule. Le cylindre-axe qui se détache de la cellule nerveuse unipolaire se recouvre bientôt d'une g
ntourne et se replie, ainsi que Ranvier l'a montré, au niveau de la cellule ganglionnaire, dans l'intérieur même de la caps
e de Schwann et présente un étranglement annulaire (fig. 124). La cellule des ganglions rachidiens occupe donc la partie ce
; l'une des branches de bifurcation se Capsule enùothé- liale des cellules . ... Divisions en T de Ranvier. Fig. 124.
e des cellules. ... Divisions en T de Ranvier. Fig. 124. Deux cellules nerveuses des ganglions spinaux du lapin, iso-
n Icn T est toujours la rilirc centrale. Pour Cajal et Van la cellule des ganglions eéré- liro- rachidiens est co
é- liro- rachidiens est coniparabteauuccel- 'lulc olt;vcticc. Cellules nerveuses bipolaires du ga : =- Iioaacoutiu&l
a périphérie, et s'entremêle avec les fibres motrices éma- nées des cellules antérieures de la moelle pour former le nerf mixt
phérique représente en réalité le prolongement protoplasmique de la cellule ganglionnaire; il joue le rôle d'organe récepte
et qu'il s'entoure, comme ce dernier, d'une gaine de myé- line. La cellule des ganglions rachidiens serait, d'après ces aute
rachidiens serait, d'après ces auteurs, tout à fait comparable aux cellules olfactives, dont elle ne se distingue que par l
stade intermédiaire entre le court prolongement périphérique de la cellule olfactive et le long prolongement périphérique
de la cellule olfactive et le long prolongement périphérique de la cellule ganglionnaire, serait représenté par la cellule
périphérique de la cellule ganglionnaire, serait représenté par la cellule auditive, dont le prolongement périphérique s'arb
dont le prolongement périphérique s'arborise libre- ment entre les cellules ciliées de la macule auditive ou de V organe de C
ellules ciliées de la macule auditive ou de V organe de Corli . Les cellules nerveuses des ganglions acoustiques (ganglion spi
ence gangliforme du nerf vestibulaire) sont bipo- laires, comme les cellules nerveuses des ganglions rachidiens des poissons.
ôles, à un cylindre-axe qui se recouvre d'une gaine de myéline. Ces cellules bipolaires sont encapsulées comme les cellules
aine de myéline. Ces cellules bipolaires sont encapsulées comme les cellules unipolaires des ganglions rachidiens, elles occup
t la gaine de myéline est interrompue à leur niveau. La capsule des cellules bipolaires ne présente, en général, qu'un seul
ig. '1 : : J : i). La différence morphologique qui existe entre les cellules bipolaires des poissons et des ganglions acoust
laires des poissons et des ganglions acoustiques d'une part, et les cellules unipolaires [les ganglions cérébro-rachidiens d
us apparente que réelle. Nous avons vu en effet, plus haut, que les cellules des ganglions rachidiens sont bipolaires au déb
stade de développement, on trouve tous les intermédiaires entre les cellules HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADU
DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 203 bipolaires transitoires et les cellules unipolaires définitives (lig. 87, p. 14.8). Les
res et les cellules unipolaires définitives (lig. 87, p. 14.8). Les cellules unipolaires des ganglions rachidiens se rétracten
lules unipolaires des ganglions rachidiens se rétractent, comme les cellules multipolaires du névraxe, sous l'influence des bi
u de se rétracter régulièrement, comme le font ces der- nières, les cellules ganglionnaires se présentent sous la forme de cor
omique à 2 p. 1000. Entre la capsule endothéliale et le corps de la cellule ganglionnaire, on trouve, en employant la métho
s protoplasmique et l'arborisation terminale du cylindre-axe. Les cellules nerveuses ne sont pas répandues d'une, manière un
, dans le ganglion rachidien ou cérébral. On peut les distinguer en cellules marginales., beaucoup plus nombreuses et plus s
llules marginales., beaucoup plus nombreuses et plus serrées, et en cellules cen- trales. Elles forment, avec les tubes nerv
zyzo21, a été souvent Arborisations péri- cellulaires d'Ehrlich Cellules margina- les et centrales. Fibres nerveusos
-axe dégagé de la gaine de myéline et s'épanouissant pour former la cellule ganglionnaire. - u, noyau de cette cellule. - y,
panouissant pour former la cellule ganglionnaire. - u, noyau de cette cellule . - y, gaine secondaire. - 91, gaine de acI vaun
ule. - y, gaine secondaire. - 91, gaine de acI vaun épanouie sur la cellule . - a, noyau de la gaine secondaire. ` ? Or ANAT
diens. , 1 , I Tl'ant1lx <1e R. v Cajal. - il $Les cellules des ,) f ! anlions s)'mpatbi- ynes çont multi
oelle du poulet au quatrième ou cinquième jour de l'incubation, des cellules nerveuses, situées dans la corne antérieure, do
Un réseau capillaire, il mailles relativement petites, entoure les cellules ganglionnaires et les fibres ner- veuses. Ce ré
toujours situé en dehors de la capsule endothéliale qui recouvre la cellule ganglionnaire. B. ganglions sympathiques. - Jus
Gehuchten, Sala, basés sur la méthode de Golgi, on considérait les cellules des ganglions sympathiques des mammifères comme
cellules des ganglions sympathiques des mammifères comme formées de cellules multipolaires spéciales, dont les nombreux prolon
été depuis confirmées ' par v. Gehuchten, Retzius et Sala, que les cellules nerveuses adultes des ganglions sympathiques ce
thiques centraux des mammifères sont comparables en tous points aux cellules nerveuses du névraxe, et qu'elles sont pourvues
iques et des prolongements longs ou cylindre-axiles (fig. 126). Les cellules sympathiques sont donc multipolaires; elles varie
ntôt s'écartent l'une de l'autre et s'insinuent entre les corps des cellules voisines pour se terminer librement, tantôt HIS
ral pas de branches collatérales, dans le ganglion même où siège sa cellule d'origine. Les cellules sym- pathiques, comme
latérales, dans le ganglion même où siège sa cellule d'origine. Les cellules sym- pathiques, comme les cellules desganglio
ge sa cellule d'origine. Les cellules sym- pathiques, comme les cellules desganglions cérébro - rachidiens , sont ento
sont toutes parallèles à son axe. Par leur structure, fine. les cellules sym- pathiques ressem - hlent donc singulière
es cellules sym- pathiques ressem - hlent donc singulièrement aux cellules multipolaires du névraxe. 11 n'est pas rare de
l'un de l'autre et se colorant vivement par le carmin. Outre les cellules nerveuses avec leurs prolongements dendritiques
on et se mettent en contact avec les prolongements dendritiques des cellules des couches superficielles. Ces fibres nerveuse
ibres traversant les ganglions sympa- thiques. . Fie. 1>G. - Cellule sympathique du ganglion cervical inférieur d'un
ri-cellulaires et dondrites courtes des cel- lules sympathiques. G, cellules avec des expansions courtes et fines. - F, autr
iques. G, cellules avec des expansions courtes et fines. - F, autrc cellule avce dps expansions cpaisscs formant cn 0 \ln nit
ns cpaisscs formant cn 0 \ln nitl péri-cellulaire. s, capsule d'une cellule . Il, noyau d'une arborisation. C, cylindre-axe
s de Rcmak. 206 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres venant des cellules de la moelle épinière. Fibrilles Yal'i- que
s cellules de la moelle épinière. Fibrilles Yal'i- queuses. Cellules unipolai- res dans les gan- glions sympathiqu
es fibres nerveuses centrifuges, qui prennent leur origine dans les cellules de la corne latérale de la moelle (Gaskell), et q
érable de fibrilles variqueuses qui courent tortueusement entre les cellules nerveuses, s'entrecroisent et s'enchevêtrent en t
véritable plexus de rameaux grêles et variqueux (v. Gehuchten). Les cellules sympathiques des batraciens anoures sont unipolai
psulées; elles possèdent un noyau volumineux, situé au sommet de la cellule et semblent donner naissance, ainsi que l3eale et
rches récentes ont montré que la fibre droite appartient seule à la cellule unipolaire dont elle constitue le prolongement
nte une véritable fibre terminale (Arnold, Ehrlich), qui entoure la cellule sympathique d'une sorte de nid péri-cellulaire.
ctives extrême- ment résistantes. Les capillaires qui entourent les cellules sympathiques forment un réseau à mailles assez
céraux, tels que le plexus de Meissner et d'Aucrbach, possèdent des cellules nerveuses multipolaires (Ranvier, ç . Schwalbe,
donnent naissance il trois ou huit expansions. Mais tandis que les cellules du sympathique vertébral possèdent deux espèces
nt cylindre-axile et de nombreux prolongements protoplasmiques, les cellules des ganglions sympathiques viscéraux n'en possè
, soit au niveau d'une fibre musculaire lisse, soit au niveau d'une cellule glandulaire (Cajal). On trouve en outre entre l
fin dans la couche musculaire circulaire de l'intestin (Cajal), des cellules nerveuses isolées, qui constituent les ganglion
lées, qui constituent les ganglions sympathiques interstitiels. Ces cellules ner- veuses isolées sont tantôt fusiformes, tan
us que les libres courtes, et que les fibres épaisses nais- sent de cellules volumineuses, tandis que les fibres grêles provie
s volumineuses, tandis que les fibres grêles proviennent de petites cellules d'origine. Chaque fibre nerveuse à myéline est
ire est continu dans toute la longueur du tube nerveux, depuis sa cellule d'origine jusqu'à son arborisa- tion périphériq
hne et Ewald. Ranvier, rapprochant le segment inter-annulaire de la cellule adipeuse, admet que le protoplasma qui entoure
te, en effet, le prolongement nerveux ou cylindre-axile d'une seule cellule sympathique, ainsi que Cajal, 1W Ilil : er, v.
nssent à une masse protoplasmique unique [et très étendue, sorte de cellule à noyaux multi- ples. Ranvier n'émet du reste c
partiennent à un endothélium découvert par Ranvier et formé par des cellules grandes et minces. Telle est la gaine lamelleus
ection longitudinale et que les mailles élastiques, ainsi que les cellules adipeu- ses,présentent la mêmedirec- tion.
connectives ordinaires, sans mélange de fibres élastiques. Les cellules ici sont des cel- lules plates du tissu conjonc
nombreux que ceux des cel- mes au tissu cellulaire sous-cutané. Les cellules , isolées après dissocia- .ion, apparaissent rec
les étaient appliquées (Ranvier). On trouve encore dans ce issu des cellules lymphatiques, comme dans le tissu conjonctif des
très grêle. - v, vaisseau sanguin. - fe. tissu conjonctif. - ca, cellules adipeuses. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVE
e mode de terminaison peuvent s'effectuer, soit librement entre les cellules épithéliales, comme on le voit, par exemple, da
rpuscules géni- taux et les disques tactiles, soit encore autour de cellules sensorielles spé- ciales, comme dans les bourge
la fibre nerveuse n'entre en connexion directe, soit : '1° avec une cellule sensorielle spéciale, gustative, auditive, etc.,
sensorielle spéciale, gustative, auditive, etc., soit : 2° avec une cellule épithéliale spéciale, telle que les cellules term
tc., soit : 2° avec une cellule épithéliale spéciale, telle que les cellules terminales décrites par Langerhans, et communém
Langerhans ne sont, en effet, ainsi que Ranvier l'a montré, que des cellules migratrices; ils ne présen- tent par conséquent
dans différentes directions, et finalement se terminent entre e les cellules du corps muqueux de Malpighi, par des extrémités
nale libre extrêmement riche des libres nerveuses n, entre les cellules d'un épithélium pavimenteux stratifié. HISTOL
OMIE DES CENTRES NERVEUX. i 1 I i Roseau nerveux autour des cellules rlandulaires. .1 Terminaisons ner- veuses
nt de fines fibres nerveuses, qui sont en contact direct avec la [ cellule glandulaire sans interposition de membrane pr
e propre. Quelques-unes de ces fibrilles pénètrent même entre les cellules glandulaires jus- qu'au niveau de la lumière du
ment par des extrémités libres lé- gèrement renflées, entre les cellules odontoblasüques , et atteignent en général
ramifiées (fig. z6). Ces fibres, d'après Ranvier, embrochent les cellules musculaires cardiaques, et formeraient dans l
, se divisent et se subdi- visent, et se terminent à la surface des cellules musculaires par une extré- mité renflée, souven
qui se terminent très probablement par des taches motrices sur les cellules contractiles de la tunique musculaire (Ranvier)
e centrale du corpuscule, elles sont entourées d'un grand nombre de cellules marginales, présentant un noyau volumineux aplati
u volumineux aplati de haut en bas. Tour à tour regardées comme des cellules épithéliales ou des cellules nerveuses, ces cel
n bas. Tour à tour regardées comme des cellules épithéliales ou des cellules nerveuses, ces cellules sont aujourd'hui, depuis
dées comme des cellules épithéliales ou des cellules nerveuses, ces cellules sont aujourd'hui, depuis les travaux de Ranvier
ont aujourd'hui, depuis les travaux de Ranvier, regardées comme des cellules mésodermiques, différenciées en vue d'une adapt
e massue centrale relativement volumineuse, composée entièrement de cellules polyédriques (Longworlh). Chez l'homme ces corp
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ménisques tactiles. constitué par des cellules tactiles, claires et volumineuses, entourées d'un
it à son cylindre-axe et à sa gaine de Schwann, s'insinue entre les cellules tactiles, puis s'aplatit pour former un disque
s'aplatissent-et se terminent par des ménisques tactiles, autour de cellules spéciales claires, ovoïdes et volumi- neuses, n
echerches sur la . constitution cellulaire de la fibre nerveuse. La Cellule . Tomes III et IV. - v. Gehuchten. La cellule ne
la fibre nerveuse. La Cellule. Tomes III et IV. - v. Gehuchten. La cellule nerveuse du sympathique chez quelques Mammifères
nerveuse du sympathique chez quelques Mammifères et chez l'Homme. La Cellule , Tome VIII, 1892. Golgi. Sulla structura delle
tion l'étendue et l'épaisseur de la substance grise, sa richesse en cellules ganglionnaires, etc., et se rappeler le précepte
histologique est douteuse, on rencontre un grand nombre de petites cellules fusiformes et arrondies et quelques cellules un p
rand nombre de petites cellules fusiformes et arrondies et quelques cellules un peu plus volu- mineuses, riches en pigment,
olu- mineuses, riches en pigment, et qui représentent peut-être des cellules nerveuses incomplètement développées. Le lobe
e propre. Dans ces tubes glandulaires on rencontre deux variétés de cellules ; les unes sont petites, les autres, plus grandes,
a cavité du cinquième ventricule, et dans les couches profondes des cellules plus irrégulières. La couche externe ou blanche
âche, d'aspect réti- culé, et dans les mailles duquel on trouve des cellules lymphatiques en abondance plus ou moins grande.
DES CENTRES NERVEUX. dedans. Ce faisceau prend son origine dans les cellules du ganglion de l'ItaÚI;- nula et se termine par
des lésions du lobe occipital, et contient donc des fibres dont les cellules d'origine siègent, dans l'écorce occipitale et
ce grise, sillonnée par de nombreuses fibres et contient de grandes cellules polygonales et multipolaires. Le corps de ? lYs
rouve de chaque côté un petit noyau ovalaire, contenant des petites cellules et connu sous le nom du noyau de WestJihal ou d'E
de Luys a disparu; sa place on trouve le locus niger (Ln) avec ses cellules fortement pigmentées et disposées en groupes. L'u
ocus niger (Ln) qui a pris une grande extension et qui présente ses cellules pigmentées disposées en groupes. L'aspect du pi
rel (xF), on trouve de chaque côté de la ligne médiane un groupe de cellules nerveuses assez abon- dantes, qui appartiennent
fines fibres vues en section transversale et qui entourent de grosses cellules , dont l'aspect vésiculeux a été décrit par Fore
, ainsi que l'a montré Foret, que les cylindres-axes de ces grosses cellules vésiculeuses. Ces cellules appartiennent à la par
t, que les cylindres-axes de ces grosses cellules vésiculeuses. Ces cellules appartiennent à la partie motrice du trijumeau.
an de Reil médian (Rm). Le locus niger (Ln) présente ses groupes de cellules caractéristiques. Le stmtum intei'medill1n s'es
330). Meynert étudiant l'écorce au point de vue de l'agencement des cellules , y décrivit cinq couches régulièrement stratifi
y décrivit cinq couches régulièrement stratifiées dans lesquelles les cellules varient en forme et en nombre; ce sont : 1" La
1" La couche granuleuse ou molé- culaire; 2° la couche des petites cellules pyramidales; 3° la couche des grandes cellules
a couche des petites cellules pyramidales; 3° la couche des grandes cellules pyramidales; 4° la couche des petites cellules ir
a couche des grandes cellules pyramidales; 4° la couche des petites cellules irrégulières; : 50 la couche des cellules fusifor
s; 4° la couche des petites cellules irrégulières; : 50 la couche des cellules fusiformes (fig. 329 et 330). La 3° couche ou c
es fusiformes (fig. 329 et 330). La 3° couche ou couche des grandes cellules pyramidales est parcourue à sa partie moyenne p
isa en outre, dans cette région, la 2° couche ou couche des petites cellules pyramidales en deux coudes secondaires, et ains
couches, à savoir : 1° la zone moléculaire;, 2° la zone des petites cellules pyramidales; 3° la zone des grandes cellules py
2° la zone des petites cellules pyramidales; 3° la zone des grandes cellules pyramidales; '. 4° la zone des cellules polymor
s; 3° la zone des grandes cellules pyramidales; '. 4° la zone des cellules polymorphes (fig. 330).' La nomenclature de ces
oit par le carmin, on constate que l'écorce cérébrale est formée de cellules ner- veuses, de fibres nerveuses, de névroglie
r- veuses, de fibres nerveuses, de névroglie et de vaisseaux. Les cellules nerveuses présen- tent des formes très variées
t en cou- ches stratifiées. Les fibres nerveuses qui naissent des cellules pyramidales se réunis- sent en fascicules, form
ière générale, la direction des fibres radiées, ainsi que celle des cellules py- ramidales, est perpendiculaire au. grand ax
ticulier au ruban de Vicq d'Azyr. C'est au mode d'agencement des cellules , ainsi qu'au mode de distribution des fibres
le Ramon y Cajai. ; i Structure de l'é=; ,orce cérébrale. i Cellules nerveuses Cellules nerveuses. Fibres radiées.
i Structure de l'é=; ,orce cérébrale. i Cellules nerveuses Cellules nerveuses. Fibres radiées. Fibres transversal
ranuleuse. B, deuxième couche de Meynert ou couche des, . petites cellules pyramidales. C, troisième couche de Meynert o
pyramidales. C, troisième couche de Meynert ou couche des grandes cellules py- ramidales. D, quatrième couche de Meynert
es irrégulières. E, cin- quième couche de Meynert ou . couche des cellules fusiformes. 6li6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
colorés en rouge : 1\[, couche moléculaire. pPg, couche des petites cellules pyramidales. gPy, couche des grandes cellules p
g, couche des petites cellules pyramidales. gPy, couche des grandes cellules pyramidales. - Pm, couche des cellules polymorphe
les. gPy, couche des grandes cellules pyramidales. - Pm, couche des cellules polymorphes. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. G
la région occipitale. Région rolandique (zone psycho-motrice).-Les cellules de l'écorce de la région rolandique se disposen
vu plus haut : 1° la couche moléculaire ; 2° la couche des petites cellules pyramidales ; 3" la couche des grandes cellules
couche des petites cellules pyramidales ; 3" la couche des grandes cellules $pyramidales ; 4° la couche des cellules polymo
; 3" la couche des grandes cellules $pyramidales ; 4° la couche des cellules polymorphes. . 1° Zone moléculaire (1r couche d
e moléculaire (1r couche de Meynert, couche granuleuse, couche sans cellules de Stieda, couche des fibres tangentielles) (fig.
éparée par une mince couche de névroglie sous-pie-mérienne riche en cellules araignées. Sur des préparations colorées par le
ect granu- leux, dans laquelle on trouve disséminées quelques rares cellules nerveuses petites et irrégulières. Sur des prép
des fibres du réseau d.Exncr. 668 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules delà cou- che moléculaire. Cellules polygo-
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules delà cou- che moléculaire. Cellules polygo- sales. i ; Cellules fiisifor. 1 m
ules delà cou- che moléculaire. Cellules polygo- sales. i ; Cellules fiisifor. 1 mes de Citjal. verticales de ce r
réseau se continuaient avec le cylindre-axe ascendant de certaines cellules polymorphes des couches sous-jacentes, et que la
ue le plus grand nombre des fibres du réseau d'Exner proviennent de cellules propres à la couche moléculaire, cellules consi
au d'Exner proviennent de cellules propres à la couche moléculaire, cellules considérées jusqu'à lui comme étant de nature n
nature névroglique, et distingua dans cette couche trois espèces de cellules : des cellules fisifo ? iaes, des cellules tria
que, et distingua dans cette couche trois espèces de cellules : des cellules fisifo ? iaes, des cellules triangulaires et des
couche trois espèces de cellules : des cellules fisifo ? iaes, des cellules triangulaires et des cellules polygonales. Les
les : des cellules fisifo ? iaes, des cellules triangulaires et des cellules polygonales. Les cellziles polygonales (fig. 33
et dont quelques-unes descendent jusque dans la couche des petites cellules pyramidales. Leur cylindre-axe, très mince, se
Leur cylindre-axe, très mince, se détache d'un point latéral de la cellule , affecte une direction soit horizontale, soit a
n- volution, mais n'atteignent jamais la couche sous-jacente. Les cellules fusiformes et es ce u es triangulaires répondent
llulaire que nous avons décrit plus haut (voy. p. 165) sous le nom de cellules de Cajal, cellules caractérisées par la multipl
ns décrit plus haut (voy. p. 165) sous le nom de cellules de Cajal, cellules caractérisées par la multiplicité de leurs cylind
'origine de ces derniers, qui naissent tous d'une den- drite. Les cellules fusiformes (fig. 332) sont en général hipolaires;
trajet horizontal des branches qui se dirigent toutes du Fig. 331. Cellules polygonales de la couche moléculaire de l'écorce
n m- » m > c-1 M z C3> C' CD Fig. 332. - Cellules fusiformes du type de Cajal. Coupe longitudinale
es cylindres-axes. tl, terminaisons libres des dendrites. Fig. 333. Cellules triangulaires du type de Cajal. Coupe longitudina
on par la méthode rapide de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A et B, cellules pluripolaires, triangulaires. - a cylindres-axes
st antero-posterioure. - b, cylindres-axes surnuméraires. - C et D, cellules pluripôlaires plus petites et de forme presque ar
atérales. 670 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le cylindre-axe des cellules fusiformes de la couche molé- culaire est dou
iformes de la couche molé- culaire est double et même triple. Cellules triangu- laires. j La couche molé- culair
nt par des extrémités libres (lisa. 332, d). Le cylindre-axe de ces cellules est double, parfois triple; ils partent chacun
aires ou de rameaux protoplasmiques secon- laires (fig. 332). Les cellules triangulaires (fig. 333, 334) ne sont qu'une mo
araissent entrer en connexion ivec les panaches protoplasmiques des cellules pyramidales. La couche moléculaire est donc f
ules pyramidales. La couche moléculaire est donc formée par les cellules et des fibres nerveuses autochtones a à directi
es provenant des zones sous-jacentes (cylindres-axes ascendants des cellules polymorphes, ramifications terminales de fibres
a reconnu le premier, par les rameaux terminaux ramilles- FiG. 334. Cellule de Cajal en voie de développement. Coupe vertico-
l'écorce ccrebrale. - f, fibres tangentielles, prolongements d'antrcs cellules de Cajal. rc. 33 : i. Cellule de la cou- ch
gentielles, prolongements d'antrcs cellules de Cajal. rc. 33 : i. Cellule de la cou- che des grandes cellules pyramidal
llules de Cajal. rc. 33 : i. Cellule de la cou- che des grandes cellules pyramidales (3° couche de Meyiiert) de l'écor
STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 671 des panaches ascendants des cellules pyramidales (fig. 338, A) et par les nombreuses
ndants des cellules pyramidales (fig. 338, A) et par les nombreuses cellules névro- gliques de la région. Cette 'structure
elet, entre les fibres parallèles des grains et les dendrites des cellules de Purkinje. 2° Couche des petites cellules
les dendrites des cellules de Purkinje. 2° Couche des petites cellules pyramidales.-(2° couche de Meynert, stralo- s
lle se de- tache nettement, est for- mée par un grand nombre de cellules pyramidales, serrées les unes contre les autr
et sans ligne de démarca- tion nette, avec la zone des grandes cellules pyrami- dales. Quelle que soit la cou- che
à laquelle elles appar- tiennent, quel que soit leur volume, les cellules p,1Jl'a- midales (fig. 335,336,338, 339) prés
(fig. 335,336,338, 339) présentent toujours Couche des petites cellules pyramidales 12. couche de Cajal). Caractères
pyramidales 12. couche de Cajal). Caractères géné- l'aux de la cellule pyramidale. l'ic. 336. Cellule pyramidale géa
. Caractères géné- l'aux de la cellule pyramidale. l'ic. 336. Cellule pyramidale géante de l'écorce cérébrale de la s
s- cendante. ` Dondriteshast- laires. Le eylindrc-axc de la cellule pyramidale se continue. soit avec une fibre d
amas de granulations pigmentaires d'un jaune clair. Le noyau de la cellule est volumineux, arrondi, parfois même de forme
et contient un nucléole brillant (fig. 335). Les dendrites de la cellule pyramidale sont très nombreuses et on peut, d'a
tte tige, et en dendrites basilaires, provenant du corps même de la cellule (fig. 336, 338 et 339). La tige ascendante (a,f
onte vers la surface du cerveau, paral- lèlement à celle des autres cellules pyrami- dales. Arrivée dans la couche moléculai
ons terminales entreraient en con- tact avec les capillaires et les cellules de la névroglie, opinion qui n'est adoptée, ni
et 338) sont d'épaisseur variable, elles proviennent du corps de la cellule , et se dirigent les unes en dehors, les autres
fient successivement et se perdent dans le voisinage du corps de la cellule . Le cylindre-axe (cy, fig.-33S) de la cellule p
sinage du corps de la cellule. Le cylindre-axe (cy, fig.-33S) de la cellule pyramidale naît par un petit cône d'origine, so
midale naît par un petit cône d'origine, soit de la base même de la cellule , soit d'une dendrite basi- laire. Il se dirige
'ortiort tle l'arhori,n- l.ion terminale de la tige radiale d'une cellule pyramidale de la souris adulte. Méthode rapide
ge et branches protoplasmi- qucs.A,épines collatérales. Fig. 338. Cellule pyramidale type moyen de l'écorce cérébrale de l'
X. Collatérales du cy- lindre-axe de la cel- lule pyramidale. Cellule psychique .le Cajal. La cellule pyra- midal
e de la cel- lule pyramidale. Cellule psychique .le Cajal. La cellule pyra- midale chez lcs Ver- téhrés. Variétés
a- midale chez lcs Ver- téhrés. Variétés de forme des petites cellules pyramidales. cérébrale, pour se continuer dan
rameaux collatéraux sont plus longs et plus ramifiés (Cajal). La cellule pyramidale se présente chez les petits mammifères
nt les caractères histologiques que présente chez les mammifères la cellule pyramidale, cellule qui, par sa morphologie spéci
stologiques que présente chez les mammifères la cellule pyramidale, cellule qui, par sa morphologie spéciale et son siège e
tue le véritable centre des actions nerveuses d'ordre supérieur, la cellule psychique de Cajal. Cette cellule présente une
s nerveuses d'ordre supérieur, la cellule psychique de Cajal. Cette cellule présente une structure d'autant plus simple, qu'o
si que les dendrites basilaires font défaut, de telle sorte que les cellules pyramidales des batraciens ressemblent singulière
ellules pyramidales des batraciens ressemblent singulière- ment aux cellules pyramidales plus ou moins modifiées, qui constitu
rencontre chez les mammifères (Cajal). Dans la couche des petites cellules pyramidales, les cellules situées immédiatement
fères (Cajal). Dans la couche des petites cellules pyramidales, les cellules situées immédiatement au-dessous de la zone mol
he très touffu dont les ramifications s'entrelacent avec celles des cellules voisines, et occupent presque toute l'épaisseur
scules polymorphes. E, substance blanche. a, panaches épi- neux des cellules pyramidales. b, petites cellules pyramidales plus
blanche. a, panaches épi- neux des cellules pyramidales. b, petites cellules pyramidales plus élevées. - c, cylindre-axe d'u
s cellules pyramidales plus élevées. - c, cylindre-axe d'une petite cellule pyramidale. d, grande cellule py-ramidale.-e, son
evées. - c, cylindre-axe d'une petite cellule pyramidale. d, grande cellule py-ramidale.-e, son cylindre-axe. f, cel- lule
e.-e, son cylindre-axe. f, cel- lule à cylindre-axe ascendant. - g, cellules semblables mais plus petites. - h, ^cellule siége
ndre-axe ascendant. - g, cellules semblables mais plus petites. - h, ^ cellule siégeant dans la substance blanche. i, cellule
plus petites. - h, ^cellule siégeant dans la substance blanche. i, cellule arrondie dont le cylindre-axe se dirige vers [la
rrondie dont le cylindre-axe se dirige vers [la sub- stance blanche cellule du type II de Golgi. ' 676 6 ANATOMIE DES CENTR
76 6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les cylindres-axes des petites cellules pyramidales se con- tinuent avec une fi- br
des ex- trémités libres et renflées. s. Couche des gran- des cellules pyrami- dalcs (3' couche). Le cylindre-axe
cellules pyrami- dalcs (3' couche). Le cylindre-axe des grandes cellules pyramidales se con- tinue en général avec u
bre de projCC2 tion ou d'association. Le cylindre-axe des petites cellules pyramidales descend à travers les couches sous-
rminés par des extrémités renflées et libres. 3° Couche des grandes cellules pyramidales (3° couche ou couche anznzo- nique
s (3° couche ou couche anznzo- nique de Meynert, couche moyenne des cellules nerveuses de Stieda, strata- medio de Golgi, fi
e couche se distingue de la précédente par le plus grand volume des cellules pyramidales qui ont de 20 à 30u-, ainsi que par u
imitée en dehors d'avec la couche précédente, la couche des grandes cellules pyra- midales est un peu mieux délimitée en ded
délimitée en dedans, quoiqu'il ne soit pas rare de voir de grandes cellules pyramidales, disséminées dans la couche des cel
oir de grandes cellules pyramidales, disséminées dans la couche des cellules polymorphes (live couche). Le cylindre-axe des
s cellules polymorphes (live couche). Le cylindre-axe des grandes cellules pyramidales est plus épais que celui des petite
s grandes cellules pyramidales est plus épais que celui des petites cellules pyramidales; il descend en suivant un trajet re
trajet à travers la substance grise, les cylindres-axes des grandes cellules pyramidales émettent des collatérales horizonta
nte (Cajal). Les intervalles qui séparent les petites etles grandes cellules pyramidales sont comblés par un feutrage de fib
CÉRÉBRALE. 677 niveau de la partie moyenne de la couche des grandes cellules pyramidales, où il se présente sur des préparat
ncée correspondant à la. strie externe de Baillarger. 4° Couche des cellules polymorphes ÏD, E, fib. 329 et D. fig. 339). -Dan
rite principale se dirige vers la zone moléculaire. La majorité des cellules de celte zone est toutefois constituée par des él
ascendantes ou obliques, qui s'arborisent dans la couche des grandes cellules pyramidales, mais n'atteignent jamais la couche
laquelle se trouvent les terminaisons en panache des dendrites des cellules pyramidales. Quelques-unes de ces cellules poly
anache des dendrites des cellules pyramidales. Quelques-unes de ces cellules polymorphes possèdent deux ou trois dendrites é
s'arborisent jusque dans la substance blanche. Le cylindre-axe des cellules polymorphes est mince, il a une direction desce
ne fibre nerveuse de la substance blanche (Cajal). i Couche des cellules polygonales (-le cuu- che). i Le cylindre
cellules polygonales (-le cuu- che). i Le cylindre-axe ries cellules poly- morphes se continue avec une fibre de l
continue avec une fibre de la substance blanche. Fil;. a : r0. - Cellule à cylindre-axe court (type II de Golgi) de la 4"
ci variqueuses du cylindre-axe. 678 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules du type U de Golgi. Cellules à cylindre- ax
678 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules du type U de Golgi. Cellules à cylindre- axe ascendant de Martinotti. Ce
de Golgi. Cellules à cylindre- axe ascendant de Martinotti. Cellules névro- tiques. Leur origine. Cellules névro
endant de Martinotti. Cellules névro- tiques. Leur origine. Cellules névrogli- ques d'origine épon- dymaire. Cel
eur origine. Cellules névrogli- ques d'origine épon- dymaire. Cellules araignées. Fibres myéliniques et amyéliniques
ées. Fibres myéliniques et amyéliniques de l'écorce Entre les cellules pyramidales et les cellules polymorphes, on trouv
et amyéliniques de l'écorce Entre les cellules pyramidales et les cellules polymorphes, on trouve encore dans les trois de
e encore dans les trois dernières couches de l'écorce cérébrale des cellules de Golgi, cellules à cylindre-axe court, et des
rois dernières couches de l'écorce cérébrale des cellules de Golgi, cellules à cylindre-axe court, et des cellules spéciales d
ébrale des cellules de Golgi, cellules à cylindre-axe court, et des cellules spéciales décrites par Martinotti, les cellules
e-axe court, et des cellules spéciales décrites par Martinotti, les cellules à cylindre-axe ascendant. Les premières, de for
cylindre-axe, qui naît du corps cellulaire, se décompose près de la cellule en une arborisation variqueuse et libre, dont les
tion variqueuse et libre, dont les rameaux enveloppent le corps des cellules voisines (fig. 340). Quant aux cellules décrite
enveloppent le corps des cellules voisines (fig. 340). Quant aux cellules décrites par Martinotti et dont le cylindre-axe p
dernières couches de l'écorce et principalement dans la couche des cellules poly- morphes (fig. 339, f, g). Fusiformcs ou t
onstituent une arbori- sation terminale très étendue. Pour quelques cellules , cette arborisation se termine dans la couche d
cellules, cette arborisation se termine dans la couche des petites cellules pyramidales (Cajal). Cellules névrogliques. On
se termine dans la couche des petites cellules pyramidales (Cajal). Cellules névrogliques. On trouve dans l'épaisseur de la su
substance grise et blanche de l'écorce cérébrale un grand nombre de cellules névro- gliques qui représentent, grâce à leurs
ment de l'écorce. Les unes, d'origine épithéliale, représentent des cellules épendymaires émigrées dans les substances blanc
vaisseaux d'un véritable man- chon névroglique et correspondent aux cellules araignées de .lastrowitz. ' Les cellules névrog
lique et correspondent aux cellules araignées de .lastrowitz. ' Les cellules névrogliques d'origine épendymaire se reconnaisse
aissent faci- lement grâce à leur orientation radiale : la tige des cellules épendymaire s'atrophie, le corps se raccourcit,
nt à angle droit et se portent dans tous les sens (fig. 341). Les cellules araignées manquent d'orientation radiale, s'insèr
s autres dépourvues d'un manchon de myéline. Les cylindres-axes des cellules pyramidales grandes et moyennes, des cel- lules
andes et moyennes, des cel- lules de Cajal et très probablement des cellules polymorphes, possèdent une gaine médullaire. Il
particularité indiquée par Flechsig. Les cylindres-axes des petites cellules pyramidales, ceux des cellules de Golgi, ceux des
hsig. Les cylindres-axes des petites cellules pyramidales, ceux des cellules de Golgi, ceux des collatérales de petit diamèt
des faisceaux régu- lièrement espacés, qui traversent la couche des cellules polymorphes ainsi que la couche des grandes cel
la couche des cellules polymorphes ainsi que la couche des grandes cellules pyramidales et qui sur de bonnes pré- parations
constituent des faisceaux - compacts et serrés, entre lesquels les cellules nerveuses sont disposées en colonne radiaire; i
de calibres variés : à côté de très grosses fibres appartenant aux cellules pyramidales grandes ou géantes, on en trouve en
cor- - tical envisagé ; ils sont formés par les cylindres-axes des cellules pyramidales Les coupes une fois pratiquées, on
écorce cérébrale. grandes et moyennes et par les cylindres-axes des cellules polymorphes, mais ils renferment en outre des f
finales. d, colla- térales très longues desdites fibres. e, grandes cellules pyramidales. f, éléments globu- leux. A, substa
feutrage super-radiaire d'Edinger, qui occupe la couche des petites cellules pyramidales et une partie de celle des grandes ce
des petites cellules pyramidales et une partie de celle des grandes cellules pyramidales; 3° La strie externe de Baillarger,
rne de Baillarger, située dans l'épaisseur de la couche des grandes cellules pyramidales; 4° Le feutrage mter-radiaire a AfM
Le feutrage mter-radiaire a AfMy ? qui occupe la couche des grandes cellules pyramidales et une partie de la couche des cellul
che des grandes cellules pyramidales et une partie de la couche des cellules polymorphes; 5° Les fibres d'association intm-c
e Meynert, qui occupent au niveau du fond des sillons la couche des cellules polymorphes, et se con- tinuent profondément av
t brables ramifications, variqueuses et terminales, qui entourent les cellules ^p de l'écorce, sont dépourvues d'un manchon de
rès Cajal les suivants : 1° Les collalérales des cylindres-axes des cellules pyramidales et des cellules polymorphes; 2° L
Les collalérales des cylindres-axes des cellules pyramidales et des cellules polymorphes; 2° Les arborisations terminales du
es polymorphes; 2° Les arborisations terminales du cylindre-axe des cellules de Golgi ; 3° Les ramifications terminales des
ications terminales des collatérales et du cylindre-axe de quelques cellules à cylindre-axe ascendant du type de Martinotti;
st formée, d'après Cajal, par : a, les cylindres-axes multiples des cellules fusiformes, triangulaires et polygonales de Caj
laires et polygonales de Cajal; , les cylindres-axes ascendants des cellules pro- fondes de l'écorce décrites par Martinotti
phérie des circonvolutions qu'au voisinage de la couche des petites cellules pyramidales. Son épaisseur est du reste très va
. 342 et fig. 31.-1, fsr). Ce feutrage occupe la couche des petites cellules pyramidales et bipartie supé- rieure de la couc
lules pyramidales et bipartie supé- rieure de la couche des grandes cellules pyramidales contient, ainsi que Tuczek et Exner
Cajal, par : z, les collatérales ascendantes des cylindres-axes des cellules pyramidales moyennes et petites (peut-être auss
tites (peut-être aussi par les collatérales ascendantes des grandes cellules pyramidales); , les arborisations des collatérale
bres médullaires, courtes et fines. Elle correspond à la couche des cellules pyramidales grosses et moyennes (3" couche) et
d'un grand nombre de collatérales provenant des cylindres-axes des cellules pyramidales petites et moyennes; S, des collatéra
s; S, des collatérales ascen- dantes des cylindres-axes des grosses cellules pyramidales. Elle mesure en moyenne 0,11,11,46
us dans les connexions cellulaires. moyenne cie la oc coucne ae cellules ou coucne ues granaes cellules pyramidales, la
ulaires. moyenne cie la oc coucne ae cellules ou coucne ues granaes cellules pyramidales, la strie interne occupe la couche
granaes cellules pyramidales, la strie interne occupe la couche des cellules polymorphes (fig. 342), et appartient au feutra
ouche) ; il est formé par : les collatérales des cylindres-axes des cellules pyra- midales géantes;$, les collatérales des c
res-axes des cellules pyra- midales géantes;$, les collatérales des cellules polymorphes, principale- ment dans sa partie pr
- ment dans sa partie profonde; y, les arborisations terminales des cellules du type Il de Golgi. La partie moyenne de ce fe
par Kaes, ces fibres occupent la partie pro- fonde de la couche des cellules polymorphes, et représentent la partie la plus
avec les fibres de la substance blanche (fig. 317). Connexions des cellules pyramidales. Les fibres tangentiel) es qui occu-
sseur de l'écorce cérébrale assurent les connexions, soit entre les cellules d'une même couche, soit entre les cellules de cou
nnexions, soit entre les cellules d'une même couche, soit entre les cellules de couches voisines. Les connexions des cellule
he, soit entre les cellules de couches voisines. Les connexions des cellules pyramidales sont particulièrement impor- tantes
por- tantes il étudier, car elles sont excessivement nombreuses. La cellule pyramidale occupe en effet toute la hauteur de
après Cajal : 1° Avec les ramifi- cations cylindre-axiles des cellules de Cajal ou cellules autochtones de la couche
ec les ramifi- cations cylindre-axiles des cellules de Cajal ou cellules autochtones de la couche moléculaire; 2° Avec
couche moléculaire; 2° Avec les arbori- sations supérieures des cellules à cylindre-axe ascendant; 3° Avec les colla-
) . Par sa tige et par ses dendrites collatérales et basilaires, la cellule ' pyramidale se met en rapport avec les élément
ries de Baillarger. Par leur grande surface de contact, les grandes cellules pyramidales peuvent recevoir les courants d'un
ules pyramidales peuvent recevoir les courants d'un grand nombre de cellules pyramidales situées au-dessus d'elles; mais ell
uées au-dessus d'elles; mais elles subissent encore l'iniluence des cellules de Golgi, disséminées Connexions au ni- veau
e des courants et les connexions nervoso-protoplasmiques dans les cellules de l'écorce cérébrale. (D'après Cajal.) A, peti
dans les cellules de l'écorce cérébrale. (D'après Cajal.) A, petite cellule pyramidale. - B, grande cellule pyra- midale. C
rébrale. (D'après Cajal.) A, petite cellule pyramidale. - B, grande cellule pyra- midale. C et D, cellules polymorphes. - E
etite cellule pyramidale. - B, grande cellule pyra- midale. C et D, cellules polymorphes. - E, fibres termi- nales venues d'
lon- taircs. L'intelligence pa- rait liée à la présence de la cellule pyrami dale. La multiplicité et l'étendue d
yrami dale. La multiplicité et l'étendue des con- nexions des cellules pyramidales entre elles sont, au point de v
ue de l'intelli- gence. plus impor- tantes que le nombre de ces cellules . dans la couche des cellules pyramidales, des c
impor- tantes que le nombre de ces cellules. dans la couche des cellules pyramidales, des cellules d'association mira et
bre de ces cellules. dans la couche des cellules pyramidales, des cellules d'association mira et inter-hémisphériques, des
dales, des cellules d'association mira et inter-hémisphériques, des cellules des sphères sensitives, sensorielles, etc. Par
ar les nombreuses collatérales qui se détachent du cylindre-axe des cellules pyramidales dans son trajet intra-cortical, par l
e extension et les nombreuses ramifications de ces collatérales, la cellule pyramidale, quelque petite soit-elle, entre en
e, quelque petite soit-elle, entre en connexion avec d'innombrables cellules pyramidales petites ou moyennes situées au-dess
uvement volontaire commence - de même, dans le panache terminal des cellules pyramidales et s'engendre dans l'épaisseur de l
déterminés. La multiplicité et la grande étendue des connexions des cellules pyra- midales semblent être une des conditions
elles. Celles-ci paraissent du reste liées à la présence même de la cellule pyramidale. Absentes chez les poissons où les cel
ce même de la cellule pyramidale. Absentes chez les poissons où les cellules pyramidales ÊÈ/M font défaut (Edinger), ces man
anifestations semblent proportionnelles au .' degré d'évolution des cellules pyramidales. Si le volume de ces cellules est e
.' degré d'évolution des cellules pyramidales. Si le volume de ces cellules est en général en rapport avec la taille de l'a
uelle semble donc être le résultat moins du nombre et du volume des cellules pyramidales, que de la multiplicité et de l'éte
que la gymnastique céré- . brale, puisqu'elle ne peut produire des cellules nerveuses, porte un peu plus loin que d'ordinai
89 d'autres causes, offrent, en compensation d'un moindre nombre de cellules , un développement notable de toutes sortes de c
ce cérébrale, dans laquelle apparaissent les grandes et les petites cellules pyramidales (Vignal), tend à se différencier par
ucture de l'écorce suivant les lobes. Ecorce du lobe frontal. Cellules pyrami- dales géantes de l'écorce rolandique.
ielles apparaissent au niveau du réseau d'Exner et de la couche des cellules polymorphes, vers le quatrième mois après la nais
ois après la nais- sance. Dans la couche des petites et des grandes cellules pyramidales, ... (feutrages super et interradia
tructure nombre de couches, etc ? restent les mêmes; par contre les cellules pyramidales diminuent de volume. C'est en effet a
de volume. C'est en effet au niveau de la région rolandique que ces cellules présentent leurs plus grandes dimen- sions, dim
our arriver à leur maximum dans le lobule J)ai,(Iceîîti-(11, où ces cellules atteignent en moyenne 65 a, d'où le nom de cellul
îti-(11, où ces cellules atteignent en moyenne 65 a, d'où le nom de cellules pyramidales * géantes, que leur a donné Betz. D
eur a donné Betz. Dans la circonvolution pariétale ascendante , les cellules pyramidales géantes ne se rencontrent que dans le
al supérieur, et sur la face qui regarde le sillon de l3olando. Ces cellules pyramidales géantes présentent rarement une forme
plus souvent groupées entre elles sous forme de nids de deux à cinq cellules . Pour Bevann Lewis, les grandes ce 1- STRUCTURE
es de l'écorce typique (5 couches d'après Meynert), et renferme des cellules pyramidales de dimensions grande, moyenne et pe
cellules pyramidales de dimensions grande, moyenne et petite et des cellules polygonales, fusiformes, ou plus ou moins irrégul
cerveau; les fines fibres font au contraire défaut. Les couches des cellules pyramidales petites et grandes contiennent, com
grandes contiennent, comme dans les autres régions de l'écorce, des cellules pyramidales, d'au- tant plus volumineuses et d'
. Mondino décrit en outre dans la couche des petites et des grandes cellules pyramidales, des cellules de forme pyramidale o
dans la couche des petites et des grandes cellules pyramidales, des cellules de forme pyramidale ou irrégulière, dont la den
as et dont le cylindre-axe se détache de la partie inférieure de la cellule ; pour Mondino, ce cylindre-axe se recourbe- ra
s ou moins long et se comporterait comme le cylindre-axe des autres cellules pyramidales. Il s'agit probablement ici de la v
s cellules pyramidales. Il s'agit probablement ici de la variété de cellules il cylindre-axe ascendant décrite par Martinotti.
les il cylindre-axe ascendant décrite par Martinotti. La couche des cellules polymorphes renferme des cellules de forme et d
ite par Martinotti. La couche des cellules polymorphes renferme des cellules de forme et de dimension variables. A côté de c
renferme des cellules de forme et de dimension variables. A côté de cellules pyramidales et de cellules polygonales de petit
rme et de dimension variables. A côté de cellules pyramidales et de cellules polygonales de petite et de moyenne dimensions,
ticulier au voisinage de la substance blanche, un certain nombre de cellules fusi- formes, particulièrement nombreuses et se
l'écorce typique. Coucbo molécu- laire (1re couchc), Couche des cellules pyramidales ('2n et 3° couches;. Couche des
i que dans les autres régions de l'écorce; 2° la couche des petites cellules pyramidales, analogue à celle que l'on rencontr
res régions ; 3° la couche granuleuse externe formée par de petites cellules irrégulières; 4° la couche intermédiaire (Kahle
intermédiaire (Kahle Schicht, Meynert) qui renferme quelques rares cellules pyramidales géantes dites cellules solitaires (
ert) qui renferme quelques rares cellules pyramidales géantes dites cellules solitaires (Meynert) ; DO la couche granu- leus
ulaires et dans laquelle on trouve comme dans la 4e couche de rares cellules soli- taires de Meynert; 7° la couche des petit
des petits éléments ou couche granuleuse interne; 8° la couche des cellules fusiformes (fig. 345). Le ruban de Vicq d'Azyr
uches et était dû, d'après Meynert, à la pauvreté de ces couches en cellules et partant en pigment et non, comme on l'admet
petites cel- lules pyramidales (2e couche) et la couche des grandes cellules pyramidales (4e couche). La couche granuleuse m
3° couche du type commun en deux couches intermédiaires, pauvres en cellules , situées l'une au-dessus, l'autre au-dessous de
ÉCORCE CÉRÉBRALE.. 693 1° La couche moléculaire; 2° La couche des cellules fusi- formes verticales; 3° La couche des fib
fondamentaux de l'écorce céré- brale : on y trouve en effet des cellules de Cajal, des cellules du type II de Golgi, les
rce céré- brale : on y trouve en effet des cellules de Cajal, des cellules du type II de Golgi, les panaches ter- minaux
l, des cellules du type II de Golgi, les panaches ter- minaux des cellules pyramidales, et un nombre extrêmement consi-
êmement consi- dérable de fibrilles nerveuses, provenant soit des cellules ner- veuses autochtones, soit des cy- lindres
e épaisse couche de myéline; elle contient en outre de nombreuses cellules apparte- Couche molécu- laire. (1" couche de
gentielles est très dense et on y ren- contre de nombreu- ses cellules du type do Cajal. - rie. do. aciiema représen
les cinq couches de Cajal. M, couche moléculaire. Fv, couche des cellules fusiformes verticales. pPy, couche des petites
couche des cellules fusiformes verticales. pPy, couche des petites cellules pyramidales. gPy, couche des grandes cellules p
y, couche des petites cellules pyramidales. gPy, couche des grandes cellules pyrami- : : dales.- Pm, couche des cellules polym
gPy, couche des grandes cellules pyrami- : : dales.- Pm, couche des cellules polymorphes. CU4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
CU4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. nant presque toutes au type des « cellules dites de Cajal, ». Ce sont des cellules fusifor
resque toutes au type des « cellules dites de Cajal, ». Ce sont des cellules fusiformes, triangulaires ou étoilées, caractéris
de Golgi. (D'après Cajal.) . A, couche moléculaire.-73, couche des cellules fusiformes.-C, couche des fibres médullaires mo
s médullaires moyennes ou du ruban de Vicq d'Axyr. D, E, couche des cellules pyramidales moyennes et grandes. F, couche des
ales moyennes et grandes. F, couche des corpuscules polymorphes. a, cellules étoilées de la première couche. b, cellules fus
uscules polymorphes. a, cellules étoilées de la première couche. b, cellules fusiformes ou cellules spéciales de la corticalit
cellules étoilées de la première couche. b, cellules fusiformes ou cellules spéciales de la corticalité. c, c, cylindres-axes
ou cellules spéciales de la corticalité. c, c, cylindres-axes. - d, cellule fusiforme verticale.-e, cellules pyriformes sans
icalité. c, c, cylindres-axes. - d, cellule fusiforme verticale.-e, cellules pyriformes sans dendrite ascendante ressemblant
e ascendante ressemblant aux spongioblastes de la rétine. f, petite cellule pyramidale. .</, cellule iL cylindre-axe asc
ux spongioblastes de la rétine. f, petite cellule pyramidale. .</, cellule iL cylindre-axe ascendant. h, cellule fusiforme
e cellule pyramidale. .</, cellule iL cylindre-axe ascendant. h, cellule fusiforme verticale de la troisième couche. i, ce
ascendant. h, cellule fusiforme verticale de la troisième couche. i, cellule à cylindre-axe ascendant s'arborisant dans la c
-axe ascendant s'arborisant dans la couche moléculaire. - j, petite cellule pyramidale. - r, cellule ' pyramidale géante. S
sant dans la couche moléculaire. - j, petite cellule pyramidale. - r, cellule ' pyramidale géante. S, cellules fusiformes de
j, petite cellule pyramidale. - r, cellule ' pyramidale géante. S, cellules fusiformes de la couche des cellules polymorphes,
ellule ' pyramidale géante. S, cellules fusiformes de la couche des cellules polymorphes, munies d'un cylindre-axe ascendant
un cylindre-axe ascendant se terminant dans la couche moléculaire. l, cellule il cylindrc- axc ascendant de Martinotti. zt, c
léculaire. l, cellule il cylindrc- axc ascendant de Martinotti. zt, cellule ovoïde de la couche fibrillaire moyenne, dont le
Elles sont situées dans le voisinage de la 2° couche ou couche des cellules fusiformes verticales; leur grand axe est paral
ue peut-être à une imprégnation incomplète (Cajal). Pour Cajal, ces cellules constituent un type spécial, se rapprochant à cer
be olfactif (voy. p. 735) et des spongioblastes de la rétine. Les cellules de Cajal sont très rares dans la partie superfici
r de nombreuses fibres nerveuses ramifiées, se rencontrent quelques cellules dites du type II de Golgi. Ce sont des cellules é
encontrent quelques cellules dites du type II de Golgi. Ce sont des cellules étoilées, dont les dendrites se divisent et se
irrégulier, qui contraste avec l'aspect lisse des prolongements des cellules de Cajal (fig. 346, a). Leur cylindre- axe chem
i- queux ne dépassent jamais la couche moléculaire. 2° Couche des cellules fusiformes verticales (B. iig. 346). - Au- dess
e la zone moléculaire, on trouve trois ou quatre rangées de petites cellules de forme ovoïde (fig. 346, d), allongées dans le
atteint le ruban de Vicq d'Azyr (3 couche). Le cylindre-axe de ces cellules , d'une extrême finesse, naît de la dendrite des
l'écorce, sans atteindre cependant la substance blanche. Entre ces cellules fusiformes verticales, on rencontre . des cellu
anche. Entre ces cellules fusiformes verticales, on rencontre . des cellules dépourvues de dendrites ascendantes, qui par leur
ne (Cajal) (C, fig. 346). Immédiatement au-dessous de la couche des cellules fusi- formes verticales, se trouve le ruban de
s ver- ticales. ( : °couche de Cajal.) Le cylindre axe de ces cellules n'atteint pastasubstan-c tran- che. Couche
'Azyr. (3" couche de Cajal.) 696 ANATOMIE DES CENTRES .NERVEUX. Cellules de cette couche. avec quelques modifications,
cette couche. avec quelques modifications, la couche des petites cellules pyramidales (2° couche) des autres régions de l
e) des autres régions de l'écorce cérébrale, est constituée par des cellules nerveuses et de nombreuses fibres à myéline et sa
es nerveuses et de nombreuses fibres à myéline et sans myéline. Les cellules sont de trois espèces : cellules pyramidales de p
res à myéline et sans myéline. Les cellules sont de trois espèces : cellules pyramidales de petites dimensions, ayant les mê
que celles que l'on rencontre dans l'écorce typique (fig. 346, j), cellules fusiformes à direction verticale, semblables a
rticale, semblables a celles de la couche précédente (fig. 346, h), cellules triangulaires ou fusi- formes plus épaisses, ca
e arborisation étendue (fig. 346, i). Avant d'aborder la couché des cellules fusi- formes, ce cylindre-axe fournit toujours
ncore dans cette zone, ou dans celle qui est située au-dessous, des cellules déforme ovoïde, triangulaire ou étoilée (lig.346,
erminales se terminent dans la couche moléculaire, au voisinage des cellules dites de Cajal. Les fibres nerveuses du ruban d
ent un feutrage très serré, dans les mailles duquel se trouvent les cellules nerveuses. A l'exception des fibres verti- cale
, qui représentent les cylindres-axes ascendants ou descendants des cellules nerveuses, toutes les fibres du ruban de Vicq d'A
leurs ramifications terminales richement arborisées, entourent les cellules ner- veuses d'un feutrage fibrillaire très dens
veuses d'un feutrage fibrillaire très dense. 4° Couche des grandes cellules pyramidales (D et E, fig. 346). -Cette couche s
ig. 346, r). Ici encore, comme dans le reste de la corticalité, les cellules pyramidales diminuent de volume de bas en haut et
volume de bas en haut et se con- fondent peu à peu avec les petites cellules pyramidales de la couche du ruban de Vicq d'Azy
fig. 346). Dans cette couche, se trouve un grand nombre de petites cellules pyramidales, dont la dendrite radiaire ne parai
re la couche moléculaire. On y trouve en outre un certain nombre de cellules triangulaires ou fusiformes (fig. 31G, s) analo
de cellules triangulaires ou fusiformes (fig. 31G, s) analogues aux cellules à cylindre-axe ascendant décrites par Marlinott
gues aux cellules à cylindre-axe ascendant décrites par Marlinotti, cellules dont le cylindre-axe ascendant se termine par de
par · un plexus de libres ' 1 à myéline. Couche des gran- des cellules pyrami- dales. (4- couche de Cajal.) Cette
), pure- mière circonvolution Umbiquc. confins de la couche des cellules fusiformes verticales, les feutrages intel' et
acorticales de Mcynert(fAc). Ces dernières occupent les couches des cellules polymorphes et des grandes cellules pyramidales
nières occupent les couches des cellules polymorphes et des grandes cellules pyramidales, et sont particulièrement accentuées
manteau cérébral non seulement par l'agencement particulier de ses cellules , mais encore par la grande richesse de ses fibr
e interne, de Baillarger, et la pauvreté de la 3° couche en grandes cellules pyramidales. Les deux premières couches de cett
s de cette circonvolution (couche moléculaire et couche des petites cellules pyramidales) ne présentent rien de spécial dans
autres régions de l'écorce. La troisième couche (couche des grandes cellules pyramidales), con- tient dans sa moitié externe
es pyramidales), con- tient dans sa moitié externe quelques petites cellules pyramidales et dans sa moitié interne des cellu
quelques petites cellules pyramidales et dans sa moitié interne des cellules pyramidales de moyenne grandeur (25 à 36 ! j.')
es, est traversée par les dendrites ascendantes ou primordiales des cellules pyramidales moyennes sous-jacentes, dendrites qui
ent dans la corne d'Ammon. La quatrième couche enfin, ou couche des cellules polymorphes, pré- sente les mêmes caractères qu
ssement se fait surtout aux dépens de la troisième couche, dont les cellules pyramidales deviennent de plus en plus rares et
,ancisi. On trouve dans les nerfs de Lancisi et les tænia tecta des cellules ner- veuses décrites par Golgi, Giacomini, Blum
de substance blanche (fig. 318). La couche moyenne est composée de cellules ovoïdes ou fusiformes à grand axe vertical, cel
st composée de cellules ovoïdes ou fusiformes à grand axe vertical, cellules dont le volume augmente de haut en bas. l'ar le
fiant dans la zone moléculaire , particularité qui les rapproche des cellules pyramidales de l'écorce (Giacomini, Blumenau).
ce (Giacomini, Blumenau). Le cylindre-axe se détache du corps de la cellule , descend et après un court trajet, se continue av
osses fihres antero-postéricures des nerfs de Lancisi. - c, grosses cellules de la région profonde. - d, couche moléculaire ou
de. - d, couche moléculaire ou superficielle. e, cylindre-axe d'une cellule inférieure. - f, celui d'une cellule supérieure.
icielle. e, cylindre-axe d'une cellule inférieure. - f, celui d'une cellule supérieure. - g, corpuscule fusiforme antèro-po
un rat de 15 jours. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a, cellules grandes et profondes se continuant en b avcc des
ouche profonde est constituée par la réunion des cylindres-axes des cellules de la couche moyenne. Ces fibres nerveuses donnen
ment dans les nerfs de Lancisi, à la manière des cylindres-axes des cellules du type II de Golgi. La couche moléculaire, f
. Ci, corne d'Ammon et ses couches. - Alv, alvéus. - l', couche des cellules pyramidales. - L, stratum lacunosum. il/, strat
. M, stratum molecu- lare.- G, couche des grains. -- Pm, couche des cellules polymorphes. Ails, avant-mur. Cge, Cgi, corps g
ée. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 703 2° la couche des petites cellules pyramidales ; 3° la couche des grandes cellules
la couche des petites cellules pyramidales ; 3° la couche des grandes cellules pyramidales ; 4° la couche des cellules polymor
; 3° la couche des grandes cellules pyramidales ; 4° la couche des cellules polymorphes. Mais déjà au niveau de la crête de
arties en fibres tangentielles et sur la dimi- nution du nombre des cellules pyramidales petites et moyennes. La couche molé
ne ligne festonnée ou crétée, qui empiète sur la couche des petites cellules pyramidales. C'est à cette épaisseur inégale de l
qui contient comme celle- de l'écorce typique un certain nombre de cellules du type de Cajal, présente en outre un nom- bre
les du type de Cajal, présente en outre un nom- bre considérable de cellules du type II de Golgi (Cajal). La 2° couche ou co
les du type II de Golgi (Cajal). La 2° couche ou couche des petites cellules pyramidales ne forme pas une couche régulière;
s de la couche moléculaire. Dans la 3c couche ou couche des grandes cellules pyramidales, nous voyons s'exagérer une disposi
rcit et la 3e couche ne con- tient, pour ainsi dire, que de grandes cellules pyramidales, qui peuvent atteindre 401x de long
nstituent la substance réticulée d'Arnold. Couche des petites cellules pyramidales. Couche des gran- des cellules yr
Couche des petites cellules pyramidales. Couche des gran- des cellules yrami- dales et stratum ra- diatum. loi ANA
tratum ra- diatum. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Coucho des cellules polymorphes. Substance blancho du subiculum
coupe vertico-trans- versale. Quant à la 4e couche, couche des cellules polymorphes, elle ne se dis- tingue guère de la
nous le verrons plus loin, les collatérales des cylindres-axes des cellules pyramidales du subiculum et de la région adjace
nuent avec les fibres de l'alvéus, représentent le cylindre-axe des cellules pyramidales de la corne d'Ammon et du subiculum
corce céré- brale, portent principalement sur la morphologie de ses cellules pyrami- 45 Hile de la circon- volution godr
is involuta. - Fus, lobule fusiforme. - G, couche des grains ou des cellules ovoïdes. yP, grande cellule pyramidale du subi-
siforme. - G, couche des grains ou des cellules ovoïdes. yP, grande cellule pyramidale du subi- culum. - H, circonvolution
n limbique. - h, sillon de l'hippocampe. - L, stratum lacunosum. 1. cellule du stratum lacunosum. Lus, lame médullaire supe
e. - i\'C', queue du noyau caudé. - 0, stratum oriens ou couche des cellules polymorphes. - o, cellule de Golgi à cy- lindre
caudé. - 0, stratum oriens ou couche des cellules polymorphes. - o, cellule de Golgi à cy- lindre-axc liorizontal du stratu
ellule de Golgi à cy- lindre-axc liorizontal du stratum oricns.-o', cellule à cylindre-axe arqué de Cajal du stratum oriens
e à cylindre-axe arqué de Cajal du stratum oriens. - l', couche des cellules pyramidales. ), p, cellules pyramidales de cette
jal du stratum oriens. - l', couche des cellules pyramidales. ), p, cellules pyramidales de cette couche. - Pchl, plexus cho
ramidales de cette couche. - Pchl, plexus choroïdes. Pm, couche des cellules polymorphes.pPy; petite cellule pyra- midale du
hl, plexus choroïdes. Pm, couche des cellules polymorphes.pPy; petite cellule pyra- midale du subiculum. - R, stratum radiatu
tricule latéral. ' . dales, le nombre et la variété de forme de ses cellules du type II de Golgi, sa richesse en fibres tang
medullaris invo- luta ou circumvoluta) et au stratum lacunosum. Les cellules pyramidales petites et. moyennes disparaissent,
ellules pyramidales petites et. moyennes disparaissent, les grandes cellules s'accumulent dans la partie profonde de la couc
ndes cellules s'accumulent dans la partie profonde de la couche des cellules pyramidales. Leurs longues den- drites ascendan
es parties supérieures de la couche moléculaire, une zone pauvre en cellule , le stratum radiatum. On a décrit à la corne d'
4" La couche radiaire, stratum radiatum (Meynert). 5° La couche des cellules pyramidales (stratum cellularum pyramidalium) o
oleculare; le stratum lacunosum et le stratum radia- - tam. l Cellules du stra- ' tum moleculare. f r Cellules d
m radia- - tam. l Cellules du stra- ' tum moleculare. f r Cellules du stra- tum lacunosum. . 7° -L'Alnéxs; feuil
. '. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 70'9 « . tum, la couche dès cellules pyramidales, et se terminent dans le stratum Fi
tratum lacunosum (L) et le stra- tum radiatum (R). 77, couche des cellules pyramidales (Py). - Il[, couche des cellules po
(R). 77, couche des cellules pyramidales (Py). - Il[, couche des cellules polymorphes (Pm) ou stratum oriens.-Alv, al-
e moléculaire (Jf) à la couche granuleuse (Py) et à la couche des cellules polymorphes (Pm) de la circonvolution godron-
'III appartiennent à la couche ' moléculaire (M), à la couche des cellules pyramidales géantes (Py) et àla couche des cell
la couche des cellules pyramidales géantes (Py) et àla couche des cellules polymor- plies(Pnx)dela;régiongodronnéedé . l
giongodronnéedé . la corne d'Ammon (CA). Les cylin- dres-axes des cellules polymorphes de la circonvolution godronnée, s
s ovoïdes de la circonvolution godronnée, traversentla couche des cellules polymorphes de la circon- volution godronnée et
ire de la corne d'Ammon. Ils se coudent au voisinage du corps des cellules pyramidales . géantes, se transforment en fibre
connexions entre les grains de la circonvolution godronnée et les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de l
. d'Ammon. , 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. oriens ou couche des cellules polymorphes, par des extrémités non ramifiées (
lgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, substance blanche. - B, couche des cellules polymorphes ou stratum oriens. - C, couche des
couche des cellules polymorphes ou stratum oriens. - C, couche des cellules pyramidales. D, stratum radiatum. E, stratum lacu
tum radiatum. E, stratum lacunosum. - F, stra- tum moleculare. - a, cellule du stratum oriens à cylindre-axe ascendant. b, au
re. - a, cellule du stratum oriens à cylindre-axe ascendant. b, autre cellule du stratum oriens dont le cylindre-axe s'arbori
cellule du stratum oriens dont le cylindre-axe s'arborisc entre les cellules pyramidales. - c, c, cylin- dres-axes. - d, cel
risc entre les cellules pyramidales. - c, c, cylin- dres-axes. - d, cellule du stratum radiatum dont le cylindre-axe fournit
cylindre-axe fournit des rameaux au plexus nerveux situé entre les cellules pyramidales. - e, f, cellules du stratum radiatum
aux au plexus nerveux situé entre les cellules pyramidales. - e, f, cellules du stratum radiatum dont le cylindre-axe se per
cylindre-axe se perd en se ramifiant dans le stratum lacunosum. - g, cellule du stratum lacunosum dont le cylindre-axe desce
aux au plexus situé entre les cel- lules pyramidales. - h, i,,j, n, cellules du stratum lacunosum dont le cylindre-axe s'arbor
e moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. ili la couche des cellules pyramidales; il est presque exclusivement constit
<iffer, Cajal), formé par la réunion des panaches ascendants des cellules pyramidales. Mais le stratum radiatum contient
dales. Mais le stratum radiatum contient en outre quatre espèces de cellules nerveuses et un feutrage de libres plus ou moin
s nerveuses et un feutrage de libres plus ou moins dense. Parmi les cellules , les unes représentent des éléments égarés des
t des éléments égarés des deux couches adjacentes : telles sont les cellules pyramidales égarées (fig. 355, g h) et les cellul
telles sont les cellules pyramidales égarées (fig. 355, g h) et les cellules trian- gulaires ou fusiformes égarées du stratu
descendantes atteignent le stratum oriens. Les autres sont propres Cellules du sira- tum radiatum. Fie. 355. - Coupe de l
on y Cajal.) B, substance blanche. O, stratum oriens. P, couche des cellules pyramidales. /i, stratum radiatum. - L, stratum
radiatum. - L, stratum lacunosum. - J)/, couche moléculaire. a, b, d, cellules de Golgi du stratum oriens il cylindre-axe lior
m oriens il cylindre-axe liorizontal. - c, c, cylindres-axes. - e, f, cellules de Golgi il . 1 cylindre-axe court du stratum r
les de Golgi il . 1 cylindre-axe court du stratum radiatum. - g, h, cellules pyramidales égarées. i, cellule du stratum radi
e court du stratum radiatum. - g, h, cellules pyramidales égarées. i, cellule du stratum radiatum dont le cylindre-axe fourni
um dont le cylindre-axe fournit des rameaux au plexus situé entre les cellules pyramidales. - j, cellule du stratum lacunosum.
it des rameaux au plexus situé entre les cellules pyramidales. - j, cellule du stratum lacunosum. m, n, deux petites cellules
pyramidales. - j, cellule du stratum lacunosum. m, n, deux petites cellules de Golgi de la couche moléculaire. 712 ANATOM
couche moléculaire. 712 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche des cellules pyramidales (2 cou- che). - Caractères de c
dans la classe des mammifères. Caractères qui dis- tinguent les cellules pyramidales de la région hippocampi- que de
d'Am- mon. Leurs ilendritcs. au stratum radiatum, ce sont : les cellules du type II de Golgi et les cellules- - à cylind
e II de Golgi et les cellules- - à cylindre-axe descendant. - Les cellules du type II de Golgi sont des cellules étoilées ou
ylindre-axe descendant. - Les cellules du type II de Golgi sont des cellules étoilées ou triangulaires (fig. 355 e, f, fig.
rent de grandes distances; quelques-unes traver- sent la couche des cellules pyramidales et atteignent le stratum oriens (Caja
s cellules pyramidales et atteignent le stratum oriens (Cajal). Les cellules à cylindre-axe descendant sont fusiformes (fig. 3
ns la constitution du riche plexus peri-cellulaire de la couche des cellules pyramidales; quel- ques rares ramifications ter
amifications terminales atteignent le stratum oriens. 2. Couche des cellules pyramidales (fig. 352, Py). - Cette couche corr
). - Cette couche correspond aux couches des petites et des grandes cellules pyramidales de l'écorce typique. Chez le lapi
l'écorce typique. Chez le lapin, le cobaye, le rat, la couche des cellules pyramidales est épaisse, bien délimitée des cou
limitée des couches voisines et renferme trois ou quatre rangées de cellules , serrées les unes contre les autres. Chez l'homme
ne zone plus large, mal délimitée, absolument semblable à celle des cellules pyramidales grandes et moyennes de l'écorce cér
ique. Les couches les plus supérieures contiennent les plus petites cellules ; les cuuches infé- . rieures, les cellules les
iennent les plus petites cellules; les cuuches infé- . rieures, les cellules les plus volumineuses, cequi a amené Schiiffer à
es couches supérieures, comme l'homologue- de la couche des petites cellules pyramidales de l'écorce typique. , - ' Les cell
e des petites cellules pyramidales de l'écorce typique. , - ' Les cellules pyramidales de la' corne d'\nimdn; bien décrites
ans la région hippocampique de la corne d'Ammon (fig. 356, CA), ces cellules possèdent un corps fusiforme ou ovalaire, pourvu
gion. La lige ou dendrite ascendante est lisse comme le corps de la cellule et traverse sans se diviser la couche des cellu
me le corps de la cellule et traverse sans se diviser la couche des cellules pyramidales; une fois dans le stratum radiatum,
trois collatérales, quis'arbo- risent et se terminent autour des cellules polymorphes. En abordant l'alvéus, la plupart
axe. Il se continue avec une fibre de l'alvéus. 1"¡G. 3 : iG. - Cellules pyram\dè,'1s. des règlOns0t¿\.f>I ? campique
m- mon. Méthode de Golgi. (D'tipre'stfliï61 y Cajal.) CA, petites cellules pyramidales de la région hippo- campique delà c
amidales de la région hippo- campique delà corne cl' : lmmon. -RCg, cellules pyra- midales géantes de la région godronnée de
mon.-a, épaisses collatérales ascendantes des cylindres- axes c des cellules pyramidales géantes. d, rameaux épineux de la t
ules pyramidales géantes. d, rameaux épineux de la tige des petites cellules pyramidales. ex- croissances de la tige des gra
etites cellules pyramidales. ex- croissances de la tige des grandes cellules pyramidales. - ? line collatérale se rendant à
ant des fibres de l'alvéus.-h, libres moussues en relation avec les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de l
e la corne d'Ammon. : 1, alvéus. B, stratum ariens. - C, couche des cellules pyramidales. D, stratum radiatum. - E, stratum
um. - E, stratum la- cunosum. F, stratum moleculare. FiG. 3li7. - Cellule pyramidale géante de la région godronnée de la co
ne d'Ammon, - provenant de la partie superficielle de la couche des cellules pyramidales. Enfant de vingt-deux jours. (Dessi
15 Iules pyramidales sedistinguent par des caractères très nets des cellules ana- logues de l'écorce typique (fig. 357). C
cellules ana- logues de l'écorce typique (fig. 357). Ce sont des cellules pyramidales géantes qui présentent, ainsi que G
a corne d'Am- mon incluse dans la circonvolution go- dronnée, les cellules pyramidales géan- tes sont irrégulièrement diss
u à peu, au voisi- nage du pilier postérieur du trigone, avec les cellules polymorphes de la circonvolution godronnée (ng.
des cel- lules pyramidales géantes, au lieu d'émettre, comme les cellules de la ré- gion hippocampique, des ramifications
émanées des grains de la circon- volution godronnée (Cajal). Les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de l
ociées aux grains de la circonvolu-- tion godronnée, tandis que les cellules pyramidales de la région hippocam- pique n'af
une connexion avec ces mêmes grains. Chez le foetus, le corps des cellules pyramidales géantes, leurs ramifica- tions de
mparables aux amas protoplasmiques que l'on observe dans toutes les cellules en voie de développement (Voy. fig. 100, p. 164
ppement (Voy. fig. 100, p. 164). Caractères qui dis- tinguent les cellules pyramidales do la région godronnée de la co
rs connexions avec les fibres mous- sues de Cajal. Fie.. 338. - Cellule pyramidale géante de la région godronnée de la
- mon et appartenant à la partie superfi- cielle de la couche des cellules pyra- midales. Foetus de mois. (Dessin fait p
s épines. 716 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le cylindre-axe des cellules pyrami- dales de la région go- dronnéo de la
collaté- rale il trajet ascen- dantdecescylindres- axes. Les cellules pyramidales de la région godronnée de là corne d'
re, et le fait a été confirmé par Cajal, que le cylindre-axe de ces cellules émet, à une courte distance de son origine, une
tratum lacuno- sum, assurant ainsi les connexions entre les grandes cellules pyramidales de la région godronnée et un nombre
godronnée et un nombre considérable de panaches dendri- tiques des cellules de la région hippocampique de la corne d'Ammon.
a circonvolution godronnée montrant les rapports existant entre les cellules pyramidales géantes de la « région inférieure »
oussues ou cylindres-axes des grains. E, cylindres-axes des grandes cellules pyramidales allant la fimbria. F, fimbria. G, pet
andes cellules pyramidales allant la fimbria. F, fimbria. G, petite cellule pyramidale ou supérieure. ? faisceau formé de g
la substance blanche. - J, fibres terminales venant du subiculum. L, cellules pyra- midales du subiculum dont le cylindre-axe
TRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 717 1 3. Stratum oriens. Couche des cellules polymorphes. Cajal distingue dans le stratum or
une inférieure, l'autre supérieure. La zone inférieure renferme des cellules fusiformes et irrégulières, dirigées parallèlem
cylindre-axe se comporte, soit comme le cylindre-axe ascendant des cellules décrites par Martinotti (fig. 354, a; fig. 360,
ig. 354, a; fig. 360, A), soit comme le cylindre-axe horizontal des cellules du type II de Golgi delà zone supérieure (fig.
ndrites inférieures, ainsi que les collatérales du cylindre-axe des cellules pyramidales et contient trois espèces de cellules
cylindre-axe des cellules pyramidales et contient trois espèces de cellules nerveuses, dé- crites par Schaiffer : les cellu
trois espèces de cellules nerveuses, dé- crites par Schaiffer : les cellules à cylindre-axe ascendant, les cellules à , cyli
- crites par Schaiffer : les cellules à cylindre-axe ascendant, les cellules à , cylindre-axe descendant et les cellules à c
ndre-axe ascendant, les cellules à , cylindre-axe descendant et les cellules à cylindre-axe horizontal. - Les cellules à cyl
dre-axe descendant et les cellules à cylindre-axe horizontal. - Les cellules à cylindre-axe descendant constituent des cellule
orizontal. - Les cellules à cylindre-axe descendant constituent des cellules pyrami- dales égarées dans le stratum oriens et
ombreuses dans la région hippocampique de la corne d'Ammon. i Les cellules à cylindre-axe Tzori.zozztal (tig. 3â, a, b, d),
. 3â, a, b, d), décrites par Sala et par Schâffer, représentent des cellules du type II de Golgi. Elles occupent toute l'épa
ndes étendues et sont dépourvues d'épines. Le cylindre-axe de ces cellules du type II de Golgi présente des particu- larit
vergent dans tous les sens, mais qui atteignent tous, la couche des cellules pyra- midales qu'ils parcourent horizontalement
t variqueuses, qui entourent d'un feutrage très dense les corps des cellules pyramidales. Les cellules à cylindre-axe ascend
d'un feutrage très dense les corps des cellules pyramidales. Les cellules à cylindre-axe ascendant (fig. 360, B,C, E)sont d
xe ascendant se comporte différemment. Tantôt, analogue à celui des cellules décrites par Martinotli dans l'écorce cérébrale
iens I (3e couche). j. z Zone inférieure. Sa zone plexiforme. Cellules de cette zone. Cellules de Golgi à cylindre
Zone inférieure. Sa zone plexiforme. Cellules de cette zone. Cellules de Golgi à cylindre-axe hori- zontal. Cellu
cette zone. Cellules de Golgi à cylindre-axe hori- zontal. Cellules a cylin- vlre-axe ascendant. lis ANATOMIE DES
a cylin- vlre-axe ascendant. lis ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules à cylindre- axe arqué de Cajal. (fig. 3G0, A)
che de la partie supérieure de la cel- lule, traverse la couche des cellules pyramidales, puis se recourbe en arc à une haut
nd en ligne droite et parallèlement a lui-même, clans la couche des cellules pyramidales, voire même dans le stratum oriens,
e arborisation horizontale ou récurrente, qui entoure les corps des cellules pyramidales d'un riche feutrage de rameaux flex
et fortement variqueux (fig. 360, B,C,E). Les collatérales de ces cellules à cylindre-axe arqué, décrites par Cajal, FiG.
un mois. Méthodes de Cox et de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, cellule du stratum oricns dont le cylindre-axe ascendant
lindre-axe ascendant se termine dans le stratum lacunosum. B, C, E, cellules du stratum oriens dont le cylindre-axe arqué se t
ont le cylindre-axe arqué se termine dans le plexus situé entre les cellules pyramidales. - D, cellule de Golgi du stratum ori
e termine dans le plexus situé entre les cellules pyramidales. - D, cellule de Golgi du stratum oriens à cylindre-axe horiz
de Golgi du stratum oriens à cylindre-axe horizontal. F, couche des cellules pyramidales avec son plexus nerveux inter-cellu
s pyramidales avec son plexus nerveux inter-cellulaire. G, Il, deux cellules à cylindre-axe court du stratum radiatum. - I, fi
stratum radiatum. - I, fibres horizontales du stratum lacunosum. J, cellule fusiforme de Cajal de la couche moléculaire. -
tourent de leurs arborisations variqueuses et épaisses le corps des cellules pyramidales, et concourent ainsi à former le feut
yramidal. Le feutrage péri-pyramidal est donc alimenté : 1° par les cellules à cy- lindre-axe arque du stratum oriens; 2° pa
r les cellules à cy- lindre-axe arque du stratum oriens; 2° par les cellules de Golgi à cylindre- axe horizontal du stratum
s de Golgi à cylindre- axe horizontal du stratum oriens; 3° par les cellules à cylindre-axe descen- dant du stratum radiatum
e en outre dans toute l'épaisseur de la corne d'Ammon de nombreuses cellules de la névroglie, analogues à celles des autres ré
ttement leur origine épithéliale (Cajal). Chez le jeune enfant, ces cellules névrogliques sont très polymorphes, ainsi qu'Az
ent des cylindres-axes ou des collatérales (Azoulay). , Quant aux cellules épendymaires, qui limitent l'alvéus en dehors et
lules épithéliales prismatiques ou cubiques, tuut àfai( analogues aux cellules 6pemlymairesdunévraxe; de leur face profonde se
. Chez le nouveau-né (Cajal, Azoulay), le prolongement radiaire des cellules épendymaires traverse obliquement Yalvéus et le
oriens, puis il se coude pour traverser radiairement la couche des cellules pyramidales et la couche moléculaire dans lesqu
ur même de la couche moléculaire (Cajal). De la face profonde de la cellule épendy- maire, se détache chez le nouveau-né un
riculaire. Chez les jeunes animaux, les prolongements radiaires des cellules épendymaires ne dépassent guère l'alvéus et le st
ou ah/Jus; 2° les nombreuses fibres Feutrage 1)%ripy- ramirlal. Cellules de la né- vroglie. Cellules de l'épen- d3nu
res Feutrage 1)%ripy- ramirlal. Cellules de la né- vroglie. Cellules de l'épen- d3nue de la cornc sphénoïdale. i
r ont montré que cette couche est formée par les cylindres-axes des cellules pyramidales de la corne d'Ammon et qu'elle renf
llules pyramidales de la corne d'Ammon et qu'elle renferme quelques cellules polymorphes égarées du stratum oriens. Les fi
au-dessus du stratum oriens et représentent les cylindres-axes des cellules pyramidales. Les fibres fines, nombreuses sur-
elles correspondent aux collatérales émises par le cylindre-axe des cellules py- ramidales, et ne sont jamais la continuatio
s, et ne sont jamais la continuation directe du cylindre-axe de ces cellules ; par leur aspect et leur finesse elles ressemble
hent à angle droit des fibres de gros calibre ou cylindres-axes des cellules pyramidales, et se voient avec beaucoup de nett
sent dans le stratum oricns; quelques-unes traversent la couche des cellules pyramidales et le stratum radiatum et s'arboris
ns la couche moléculaire de la corne d'Ammon. Le cylindre-axe des cellules pyramidales (soit de la région hippocam- pique,
ertes d'une gaine de myéline. Il en est de même du cylindre-axe des cellules de Martinotti (cellules à cylindres- axes ascen
line. Il en est de même du cylindre-axe des cellules de Martinotti ( cellules à cylindres- axes ascendants du stratum oriens)
- axes ascendants du stratum oriens), de la branche horizontale des cellules il cylindre-axe horizontal de Cajal du stratum
tangentielle ; elles occupent la couche moléculaire, la couche des cellules pyramidales, le STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE
ourte ou à longue distance, des différentes parties constituantes des cellules pyramidales des régions godronnée et hippocampi
xions des ramilications terminales des panaches protoplasmiques des cellules pyramidales et correspond au réseau d'Exner de
tum lacuno- szcoz, relie entre eux les panaches protoplasmiques des cellules pyramidales de la région godronnée et de la rég
des cylindres-axes ascendants (fig. 3;4, a, et fig. 360, A); 3° des cellules étoilées autochtones de la couche moléculaire (
eux, d'après Cajal, que les fines ramifications du cylindre-axe des cellules de Golgi de la couche moléculaire se recou- vre
lution godron- née, elles occupent tout l'intervalle qui sépare les cellules pyramidales géantes de la couche des cellules p
rvalle qui sépare les cellules pyramidales géantes de la couche des cellules polymorphes de la circonvolution go- dronnée (V
ffer, par les épaisses collatérales ascendantes du cylindre-axe des cellules pyramidales géantes de la région godronnée de l
née de la corne d'Ammon ; ces collatérales traversent la couche des cellules pyramidales et le stratum radiatum, puis parcou-
stratum radiatum. Feutrage péri-ccl- lulairc de la couche des cellules pyrami- dales. 2. D'autres fibres représenten
s. 2. D'autres fibres représentent les arborisations terminales des cellules à cylindre-axe ascendant du stratum oriens (fig
feutrage très dense (fig. 359). 5. Les ramifications terminales des cellules à cylindre-axe ascendant du stratum radiatum (f
es par : 1. Les collatérales des cylindres-axes ascendants dont les cellules d'ori- gine occupent le stratum oriens (cellule
scendants dont les cellules d'ori- gine occupent le stratum oriens ( cellules deMartinotti, et cellules à cylindre- axe arqué
s d'ori- gine occupent le stratum oriens (cellules deMartinotti, et cellules à cylindre- axe arqué de Cajal) (fig. 360, A, B
nt vers le stratum lacunosum (fig. 359). 3. Les arborisations des cellules étoilées du type II de Golgi propres au stratum
es et des cylindres-axes qui montent de l'alvéus. - 2° Couche des cellules pyramidales. Les corps des cellules pyra- midal
de l'alvéus. - 2° Couche des cellules pyramidales. Les corps des cellules pyra- midales sont entourés d'un feutrage péric
et en densité ne le cède en rien aux corbeilles pericellulaires des cellules de Purkinje du cervelet, représente une parti-
unes de ses fibrilles représentent les ramifications terminales des cellules à cylindre-axe descendant de Cajal du stratum rad
es de deux variétés cellulaires appartenant au stratum oriens : des cellules et cylindre-axe arqué de Cajal (fig. 360, B, C, E
es cellules et cylindre-axe arqué de Cajal (fig. 360, B, C, E), des cellules à cylindre-axe horizontal (fig. 355, a, b, d), ce
e horizontal (fig. 355, a, b, d), ces dernières sont une variété de cellules du type II de Golgi. 3° Le feutrage du stratum
ué par les fines collatérales, qui se détachent du cylindre-axe des cellules pyrami- dales dans leur trajet vertical, et par
- rales de la substance blanche et les arborisations terminales des cellules du type de Cajal et du type II de Golgi, dans l
ns la couche moléculaire de la corne d'Ammon, les arborisations des cellules de Golgi forment plusieurs plexus superposés; c
parties distinctes de la tige ascendante et du panache terminal des cellules pyra- midales. Les cellules de Golgi du stratum
e ascendante et du panache terminal des cellules pyra- midales. Les cellules de Golgi du stratum lacunosum et du stratum mole-
um et du stratum mole- culare, associent les panaches terminaux des cellules pyramidales. Les cellules de Golgi du stratum r
are, associent les panaches terminaux des cellules pyramidales. Les cellules de Golgi du stratum radiatum assurent les connexi
ratum radiatum assurent les connexions des tiges ascendantes. Les cellules de Golgi à cylindre-axe horizontal du stratum ori
ellules de Golgi à cylindre-axe horizontal du stratum oriens et les cellules à cylindre-axe arqué de la même couche associent
indre-axe arqué de la même couche associent entre eux les corps des cellules pyramidales. Circonvolution godronnée (fascia d
écorce, cérébrale possédant une couche molécu- laire, une couche de cellules pyramidales et une couche de cellules poly- mor
molécu- laire, une couche de cellules pyramidales et une couche de cellules poly- morphes, écorce qui appartient à la. régi
for- mée de trois couches. Couche molécu- laire (1" couche). Cellules de la cou- che moléculaire. Origine des fihre
pique de la corne (l'Am\l1on. 2° Couche granuleuse (ou couche des cellules pyramidales modifiée). 3° Couche des cellules
euse (ou couche des cellules pyramidales modifiée). 3° Couche des cellules polymorphes. S 4° Couche moléculaire. , B. Hé
S 4° Couche moléculaire. , B. Hégion godronnee de la 3° Couche des cellules pyramidales géantes. corne d'Ammon. f 6° Couche
he des cellules pyramidales géantes. corne d'Ammon. f 6° Couche des cellules polymorphes. { 7° Alvéus. Nous avons étudié p
d'Ammon, caractérisée surtout par l'irrégu- larité de forme de ses cellules pyramidales géantes. Nous avons vu que ces cell
de forme de ses cellules pyramidales géantes. Nous avons vu que ces cellules pyramidales sont irrégulièrement disséminées dans
nt au voisinage du pilier postérieur du trigone, avec la couche des cellules po- lymorphes de la circonvolution godronnée (l
voir : la couche moléculaire, la couche granuleuse et la couche des cellules polymorphes. 4° Couche moléculaire. Cette couch
la corticalité cérébrale, reçoit les panaches épineux des grains ou cellules ovoïdes de la circonvolution godronnée; on y trou
ébrale, un grand nombre de fibres tangentielles et deux variétés de cellules ; ce sont : les cellules triangulaires ou grains
de fibres tangentielles et deux variétés de cellules; ce sont : les cellules triangulaires ou grains égarés du stratum granu
ellules triangulaires ou grains égarés du stratum granulosum et les cellules du type Il de Golgi. Les cellules ou grains éga
arés du stratum granulosum et les cellules du type Il de Golgi. Les cellules ou grains égarés sont triangulaires, semblables à
lables à celles du stratum granulosum (voy. plus loin, p. 726). Les cellules du type II de Golgi, bien décrites par Sala, so
traversent le stratum granulosum et se terminent dans la couche des cellules polymorphes. . Les fibres tangentielles de la c
gines suivantes : x Ramifications terminales des cylindres-axes des cellules du type Il de Golgi, cellules autochtones de la
ons terminales des cylindres-axes des cellules du type Il de Golgi, cellules autochtones de la couche moléculaire (fig. 363, b
e cette même couche (fig. 363, a). y Ramifications terminales des cellules à cylindre-axe ascendant de la couche des éléme
RCE CÉRÉBRALE. 725 . 3 Ramifications cylindre-axiles terminales des cellules du type II de Golgi, dont les corps résident da
atum lacunosum (L) et le stra- ' ' tum radiatum (R). ? couche des cellules pyramidales (Py). - III, couche des cellules po
um (R). ? couche des cellules pyramidales (Py). - III, couche des cellules polymorphes (Pm) ou stratum oriens.-Alv, al- '
111 appartiennent à la couche moléculaire (111), iL la couche des cellules pyramidales géantes (Py) et à la couche des cel
a couche des cellules pyramidales géantes (Py) et à la couche des cellules polymor- phes (Pm) de la région godronnée de
s ovoïdes de la circonvolution godronnée traversent la couche des cellules polymorphes de la cir- convolution godronnée et
ire de la corne d'Ammon. Ils se coudent au voisinage du corps des cellules pyramidales géantes, se transforment en fibres
connexions entre les grains de la circonvolution godronnée et les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de l
Les grains de la circonvolution go- dronnée représen- tent les cellules py- ramidales de cette écorce avortée. Cara
Robin. Golgi a montré que ces « grains » représentent de véritables cellules nerveuses ovoïdes, qui sont morphologiquement l
llules nerveuses ovoïdes, qui sont morphologiquement l'analogue des cellules pyramidales de l'écorce typique ou de la corne
ses recherches ont été confirmées par Sala, Schaffer, Cajal, que les cellules ovoïdes du stratum granulosum se distinguent de
, que les cellules ovoïdes du stratum granulosum se distinguent des cellules pyramidales par un certain nombre de caractères
pineux s'insère directement sur le corps cellulaire (fig. 364); les cellules ovoïdes des couches profondes du stratum granulos
llatérale, [et qui se termine par un panache, analogue il celui des cellules pyramidales de l'écorce typique (fig. 365) ; ce n
e plexiforme de la couche des cel- lules polymorphes. - D, zone des cellules irrégulières de la même couche. - a, grain égaré.
des cellules irrégulières de la même couche. - a, grain égaré. - b, cellule iL cylindre-axe court. - c, c, cylindres-axes. d,
aré. - b, cellule iL cylindre-axe court. - c, c, cylindres-axes. d, cellule à cylindre-axe ascendant se ramifiant entre les
e à cylindre-axe ascendant se ramifiant entre les grains. e, autres cellules dont les expansions nerveuses s'arborisent dans
expansions nerveuses s'arborisent dans la couche moléculaire. - h, cellule cylindre-aae court. i, o, cellules à cylindre-axe
dans la couche moléculaire. - h, cellule cylindre-aae court. i, o, cellules à cylindre-axe ascendant. - j, g, cellules iL c
ylindre-aae court. i, o, cellules à cylindre-axe ascendant. - j, g, cellules iL cylindre - axe descendant. - m, collatérales v
re. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. ï27 nellement, enfin que ces cellules présentent des dendrites basilaires (Scliâffer,
silaires (Scliâffer, Cajal) (fig. 365, d). Les panaches épineux des cellules ovoïdes du stratum granulosum se terminent aux
ses terminales de la couche moléculaire. Par leur cylindre-axe, les cellules ovoïdes du stratum granulosum se distinguent en
s ovoïdes du stratum granulosum se distinguent encore nettement des cellules pyramidales des autres régions de l'écorce céré
es des autres régions de l'écorce cérébrale. Le cylindre-axe de ces cellules est fin et dépourvu de gaine de myéline; il tra
est fin et dépourvu de gaine de myéline; il traverse la couche des cellules polymorphes de la cir- Cylindre-axe des grain
rains. Le cylindre -axe des grains pénètre dans la couche des cellules pyramidales géantes de la corne d'Ammon et s'
b,) ; ces collatérales entourent d'un dense feutrage les corps des cellules poly- morphes. Après avoir traversé la troisi
nt ils traversent la couche moléculaire. Arrivés dans la couche des cellules pyramidales géantes, ils se coudent à angle dro
es grains. C, zone plexiforme ou partie supérieure de la couche des cellules polymorphes. D, couche moléculaire de la corne d'
s. D, couche moléculaire de la corne d'Ammon. E, couche des petites cellules pyramidales de la corne d'Ammon. a, grain égaré.
s dépressions des corps et de l'origine des dendrites radiaires des cellules pyramidales géantes de la région godronnée de l
la région hip- pocampique de la corne d'Ammon au-dessus des grandes cellules pyrami- dales, dans une région riche en vacuole
se terminale, superposée aux corps et aux den- drites radiaires des cellules pyramidales géantes. Les cylindres-axes des Ros
volution goaronnce montrant les rapports existant entre les grandes cellules pyramidales de la région inférieure de la corne
ssues ou cylindres-axes des grains. - E, cylindres-axes des grande- cellules pyramidales allant il la limbria. - F, fimbria. G
cellules pyramidales allant il la limbria. - F, fimbria. G, petite cellule pyramidale ou suhéricure.-1/, faisceau formé de
- J, libres terminales venant de la circonvolution godronnée. - L, cellules pyramidales de la circonvolution godronnée dont l
rapport les grains de la cir- convolution godron- née avec les cellules pyramidales géantes delacorne d'Ammon. Couc
les cellules pyramidales géantes delacorne d'Ammon. Couche des cellules polymorphes (3° cou- che). Sa subdivision e
Sa subdivision en zones superficielle, moyenne et profon- de. Cellules de la cou- che des cellules po- Jymorphes.
rficielle, moyenne et profon- de. Cellules de la cou- che des cellules po- Jymorphes. Cellules à. cylindre- axe as
on- de. Cellules de la cou- che des cellules po- Jymorphes. Cellules à. cylindre- axe ascendant de la zone superfi
Cellules à. cylindre- axe ascendant de la zone superficielle. cellules ovoïdes du stratum granulosum ne vont donc pas ju
d'association zntra-c01,ticale, desti- nées à mettre en rapport les cellules ovoïdes de la circonvolution godronnée avec les
la région- godronnée de la corne d'Ammon. -' - - 3° Couche ! des cellules polymorphes. - Cette couche, analogue ainsi due
daires à savoir : la zone limi- tante superficielle ou zone des cellules pyramidales, la zone moyenne ou plexi- forme
la zone moyenne ou plexi- forme et la zone profonde ou zone des cellules fusi- formes; ces deux derniè- res sont plus
nulosum. . La couche des cellu- les polymorphes contient des cellules à cylindre-axe ascendant, des cellules à cylindre
les polymorphes contient des cellules à cylindre-axe ascendant, des cellules à cylindre-axe descendant et des cellules étoil
lindre-axe ascendant, des cellules à cylindre-axe descendant et des cellules étoilées du type II de Golgi. : Les cellules à cy
-axe descendant et des cellules étoilées du type II de Golgi. : Les cellules à cylindre-axe ascendant occupent les zones super
ccupent les zones superficielle et moyenne. Elles correspondent aux cellules à cylindre-axe arqué de la couche des cellules
es correspondent aux cellules à cylindre-axe arqué de la couche des cellules polymorphes de la corne d'Ammon, dontle cylindre-
es polymorphes de la corne d'Ammon, dontle cylindre-axe entoure les cellules pyramidales d'un dense feutrage péricellulaire. L
re les cellules pyramidales d'un dense feutrage péricellulaire. Les cellules de la zone superficielle sont pyramidales ou ét
pyramidales ou étoilées, enclavées par leur base dans la couche des cellules polymorphes (fig. 367, a, b) ; leur corps est pla
lules polymorphes (fig. 367, a, b) ; leur corps est placé entre les cellules ovoïdes du stratum granulosum ; leur dendrite pri
tes (fig. 367, c, c), qui viennent s'arboriser librement autour des cellules ovoïdes de la moitié externe du stratum granulosu
externe du stratum granulosum. Les cylindres-axes ascendants de ces cellules constituent donc deux espèces de plexus, le ple
e plexus supragranulaire et le plexus inlergranidaire de Cajal. Les cellules à cylindre-axe ascendant de la zone moyenne sont
midales ; leurs dendrites ne dépassent pas en général la couche des cellules polymorphes, leur cylindre-axe ascendant traver
orps cellulaires des couches inférieures du stratum granulosum. Les cellules à cylindre-axe descendant (lig. 368, j, g), rares
plus fréquentes dans les zones moyenne et profonde de la couche des cellules polymorphes. Ce sont des cellules étoilées ou fus
enne et profonde de la couche des cellules polymorphes. Ce sont des cellules étoilées ou fusi- formes, dont les dendrites af
horizontale, et s'arborisent dans l'épaisseur même de la couche des cellules polymorphes. Les dendrites des cellules étoilée
sseur même de la couche des cellules polymorphes. Les dendrites des cellules étoilées présentent des épines très nombreuses
ndrites des cellules étoilées présentent des épines très nombreuses Cellules à cylindrc- axe ascendant de la zone moyenne.
reuses Cellules à cylindrc- axe ascendant de la zone moyenne. Cellules a cylindre- axe descendant de la zone profond
ulaire. - B, couche des grains. C, zone plexiforme de la couche des cellules polymorphes. D, zone des cellules irrègulières de
zone plexiforme de la couche des cellules polymorphes. D, zone des cellules irrègulières de la mème couche. a, grain égaré.
e des cellules irrègulières de la mème couche. a, grain égaré. - b, cellule à cylindre-axe court. - c, c, cylindres-axes. - d
garé. - b, cellule à cylindre-axe court. - c, c, cylindres-axes. - d, cellule iL cylindre-axe ascendant se ramifiant entre le
ylindre-axe ascendant se ramifiant entre les grains. - e, f, autres cellules dont les expansions nerveuses s'arborisent dans
expansions nerveuses s'arborisent dans la couche moléculaire. - h, cellule iL cylindre-axe court. - i. o, cellules à cylin
ns la couche moléculaire. - h, cellule iL cylindre-axe court. - i. o, cellules à cylindre-axe ascendant.- j, g, cellules il pr
lindre-axe court. - i. o, cellules à cylindre-axe ascendant.- j, g, cellules il prolongements nerveux descendants. - ici, coll
nts dans la couche moléculaire. 732 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules du type II de Golgi. Cellules u6vro=·li- qu
732 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules du type II de Golgi. Cellules u6vro=·li- ques de la circollvo- lution godro
. Cellules u6vro=·li- ques de la circollvo- lution godronnée. Cellules araignées. Cellules fusiformes ou épendymaire
- ques de la circollvo- lution godronnée. Cellules araignées. Cellules fusiformes ou épendymaires. Lobe olfactif.
n directe de ce- lui du lobe olfactif. (Cajal); les dendrites des cellules fusiformes présentent au contraire un aspect re
u contraire un aspect remarquablement lisse. Le cylindre-axe de ces cellules est en général épais ; il traverse la couche mo
général épais ; il traverse la couche moléculaire et la couche des cellules pyrami- dales de la région godronnée de la corn
t rétrograde, qui s'arborise autour des élé- ments de la couche des cellules polymorphes de la circonvolutiongodronnée. Les
couche des cellules polymorphes de la circonvolutiongodronnée. Les cellules du type II de Golgi 1Hg. 368, h) occupent toute l
I de Golgi 1Hg. 368, h) occupent toute l'épaisseur de la couche des cellules polymorphes; elles sont étoilées et présentent de
inale extrêmement riche et étendue, qui se perd clans la couche des cellules polymorphes; quelques branches traversent toute
erdent dans la couche moléculaire de la circonvolution godronnée. Cellules névrogliques. La circonvolution godronnée contien
névrogliques. La circonvolution godronnée contient, deux espèces de cellules névrogliques : des cellules araignées et des cell
ion godronnée contient, deux espèces de cellules névrogliques : des cellules araignées et des cellules fIlS/- formes. Les
ux espèces de cellules névrogliques : des cellules araignées et des cellules fIlS/- formes. Les cellules araignées ou étoi
iques : des cellules araignées et des cellules fIlS/- formes. Les cellules araignées ou étoilées, bien décrites par Sala, so
t siègent de préférence aux confins de la couche moléculaire. Les cellules fusiformes, bien décrites par Cajal, occupent le
décrites par Cajal, occupent le stratum gra- nulosumetlacouche des cellules polymorphes; leurs prolongements radiai- res se
e extrémité recourbée et pourvue d'une nodosité. Dans la couche des cellules polymorphes et dans la région godronnée de la c
e d'Ammon, on trouve en général tous les intermé- diaires entre les cellules fusiformes et les cellules de l'épendyme ventricu
éral tous les intermé- diaires entre les cellules fusiformes et les cellules de l'épendyme ventricu- laire, de telle sorte q
e l'épendyme ventricu- laire, de telle sorte que d'après Cajal, les cellules névrogliques fusiformes ne sont autre chose que
l, les cellules névrogliques fusiformes ne sont autre chose que des cellules épendymaires émigrées de l'alvéus. , Lobe olfac
), visibles du reste à l'oeil nu, ainsi que l'existence des grandes cellules triangulaires ou multipolaires, que Broca le
triangulaires ou multipolaires, que Broca le premier rapprocha des cellules pyramidales de la région rolandique. Mais la st
glomérules olfactifs. 3. La couche moléculaire. 4. La couche des cellules mitrales. 5. La couche des grains et des fibres
aigus, et forment un feutrage très dense et non anastomotique. Les cellules d'ori- gine des fibres olfactives sont bipolair
la muqueuse de Schneider et représentent un remarquable exemple de cellules nerveuses périphériques (Voy. fig. a69 et p. 16
Couche des glose- rules olfactifs (2° cou- che.) Fie. 369. - Cellule olfactive pé-, riphérique et terminaisons ner-
s. - 11, libres nerveu- ses provenant du prolongement central des cellules olfactives ( ? ? ). - e, partie supérieure de d
l des cellules olfactives ( ? ? ). - e, partie supérieure de deux cellules de sotitèneiiieiit. - o, surface épithéliale.
ariqueuses et en forme de panache, des den- drites primordiales des cellules mitrales du bulbe olfactif. D'après Golgi les f
borisations entrent en contact avec les den- drites empanachées des cellules mitrales. Le glomérule olfactif reçoit en génér
uleux, est comprise entre la couche des glomérules et la couche des cellules mitrales; elle reçoit les dendrites principales
he des cellules mitrales; elle reçoit les dendrites principales des cellules mitrales, ainsi que leurs den- drites latérales
. plus loin). Elle contient, en outre, un certain nombre de petites cellules fusiformes, qui se comportent comme les cellule
nombre de petites cellules fusiformes, qui se comportent comme les cellules mitrales. 4° La couche des cellules mitrales re
, qui se comportent comme les cellules mitrales. 4° La couche des cellules mitrales renferme des cellules nerveuses géante
cellules mitrales. 4° La couche des cellules mitrales renferme des cellules nerveuses géantes, les unes triangulaires, les
gulaires, les autres en forme de mitre (fig. 370, mi, fig. 3ï1, C), cellules signalées et figurées déjà par Walter, par Lockha
Lockharl- Clarke, par Broca, etc., et bien décrites par Golgi. Ces cellules émettent une dendrite épaisse, qui traverse la
vec les arborisations centrales des fibres olfactives. Le corps des cellules mitrales donne en outre naissance il des dendri
t de la racine olfactive externe (fig. 371). Les cylindres-axes des cellules mitrales donnent dans leur trajet de nombreuses
minales entrent en contact, avec les panaches protoplas- miques des cellules pyramidales de l'écorce de la circonvolution du c
uns des autres, des îlots cellulaires formés par les grains et les cellules du type II de Golgi. Les fibres représentent so
pe II de Golgi. Les fibres représentent soit les cylindres-axes des cellules mitrales, soit . ceux des cellules fusiformes d
tent soit les cylindres-axes des cellules mitrales, soit . ceux des cellules fusiformes de la zone moléculaire du bulbe olfact
371, L) qui viennent s'arboriser librement autour des grains et des cellules du type II de Golgi. Les îlots cellulaires sont
ndres- axes ; ils sont analogues aux spongioblastes de la rétine ou cellules ana- crines, (c'est-à-dire dépourvues de cylind
les grains et les ce[- lules anacrines do la rétine. Fixe. 370. Cellules mitrales, glomérules olfactifs et terminaisons ce
de deux jours. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) mi, cellules mitrales. af, prolongements cylindrc-axilcs des c
zius.) mi, cellules mitrales. af, prolongements cylindrc-axilcs des cellules mitrales. - co, Lran- che collatérale du cylind
latérale du cylindre-axe. mp, dendrites il direction tangentielle des cellules mitrales. mpd, dendrite des cellules mitrales s
il direction tangentielle des cellules mitrales. mpd, dendrite des cellules mitrales se rendant dans les glomérules olfactifs
ctif. - o, libres olfactives. ' ï36 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules de Golgi. Origine et termi- naison des libres
tra-- versent perpendiculairement la couche des grains et celle des cellules mitrales, et se terminent dans la zone molécula
t épineuse, qui entre en connexion avec les dendrites latérales des cellules mitrales (fig. 371). Parmi ces grains on trouve
ules mitrales (fig. 371). Parmi ces grains on trouve quelques rares cellules du type II de Golgi (fig. 371, M). Ce sont des
lques rares cellules du type II de Golgi (fig. 371, M). Ce sont des cellules étoilées, volumineuses, découvertes par Golgi,
ts du bulbe olfactif, est encore augmenté par les prolongements des cellules araignées de la névro- glie et par les prolonge
araignées de la névro- glie et par les prolongements radiaires des cellules épendymaires, qui pénè- trent profondément dans
circonvolution de l'hippocampe, sans jamais atteindre la couche des cellules pyramidales. Aucune fibre de la racine olfactiv
jal.) A, muqueuse olfactive. - B, glomérule olfactif du bulbe. - C, cellule initiale. - D, tractus ou pédicule olfactif. E,
ains.- G, région de la racine blanche externe du nerf olfactif.- F, cellules pyramidales du tractus. - M, cellule à cylindre-a
externe du nerf olfactif.- F, cellules pyramidales du tractus. - M, cellule à cylindre-axe court. - J, collatérales îles cy
ule à cylindre-axe court. - J, collatérales îles cylindres-axes des cellules mitrales au niveau du bulbe olfactif. - 11, colla
isée, c'est-à-dire ne- va pas d'une fibre olfactive afférente à une cellule mitrale, mais d'un groupe de fibres olfactives
cellule mitrale, mais d'un groupe de fibres olfactives à une seule cellule mitrale. La voie olfactive représente une chaîn
voie olfactive représente une chaîne d'au moins trois neurones. La cellule d'origine du neurone périphérique siège dans la m
omérule, l'impression est recueillie par la dendrite empanachée des cellules mitrales (neurone de deuxième ordre), pour être p
a circonvolution du crochet et de l'hippocampe. Les 4. panaches des cellules pyramidales de la région (3° neurone) les trans-
ur tour à d'autres régions corticales ou infra-corticales. Mais les cellules mitrales peuvent encore être incitées indirecteme
re être incitées indirectement par des fibres centripètes, dont les cellules d'origine sont inconnues. Ces fibres excitent l
a couche moléculaire du lobe olfactif, les dendrites basilaires des cellules mitrales (fig. 371). Tubercule olfactif. La rég
ce cérébrale avortée caractérisée par le groupement en îlots de ses cellules pyramidales plus ou moins modifiées. Ces îlots
s de ses cellules pyramidales plus ou moins modifiées. Ces îlots de cellules pyramidales donnent il cette écorce une physion
rois couches, ce sont : 1° La couche moléculaire ; 2° la couche des cellules pyra- midales petites et moyennes; 3° la couche
s pyra- midales petites et moyennes; 3° la couche plexiforme ou des cellules poly- mOJ7J/Jes. 1" La couche moléculaire, to
constituée par l'entre-croisement des panaches protoplasmiques des cellules pyramidales de la région, avec un nombre con- s
ibres de fin calibre appartiennent aux ramifications terminales des cellules à cylindre- axe ascendant de la couche des cell
terminales des cellules à cylindre- axe ascendant de la couche des cellules polymorphes, décrites par Martinotti et par Sch
r. Les fibres de gros calibre appartiennent vraisemblable- ment aux cellules pluripolaires du type de Cajal. 2° La couche de
ment aux cellules pluripolaires du type de Cajal. 2° La couche des cellules pyramidales petites et moyennes comprend des ce
La couche des cellules pyramidales petites et moyennes comprend des cellules fort irrégulières, tantôt triangulaires, tantôt f
ou arrondie et occupent les couches profondes. Ils contiennent des cellules petites et grandes. Les petites cellules se tro
ondes. Ils contiennent des cellules petites et grandes. Les petites cellules se trouvent de préférence dans les îlots super-
ficiels, elles sont de forme étoilée, plus petites que les petites cellules pyra- midales et envoient leurs dendrites ramif
l au niveau des îlots. Leur fin cylindre-axe traverse la couche des cellules polymorphes et se continue avec une fibre de la
et se continue avec une fibre de la substance blanche. Les grandes cellules sont fusiformes, triangulaires ou franchement p
e. Le cylindre-axe est épais, il traverse obliquement la couche des cellules polymorphes et se continue avec une fibre à myé
se continue avec une fibre à myéline de la substance blanche. Les cellules des îlots olfactifs sont enlacées d'une très fine
blement du bulbe olfactif (Calleja). 3° La couche plexiforme ou des cellules polymorphes, riche en fibres à myéline disposée
tion verticale, horizontale ou oblique, renferme un grand nombre de cellules volumineuses et irrégulières de forme, qui se c
volumineuses et irrégulières de forme, qui se comportent comme les cellules pyramidales; leurs den- drites s'arborisent dan
fibre de la substance blanche. A côté de ces fibres, on trouve des cellules fusiformes ri cylindre-axe ascendant, analogues à
elles décrites par Martinotti et Cajal dans l'écorce typique et des cellules du type II de 1 Golgi. 4° La substance blanch
strié. Ses fibres, qui sont la continuation des cylindres- axes des cellules polymorphes et des cellules des îlots olfactifs,
la continuation des cylindres- axes des cellules polymorphes et des cellules des îlots olfactifs, affectent une direction su
couche de fibres tan- gentielles, on rencontre une couche mince de cellules nerveuses, de forme pyramidale et dont le prolo
inter-hémisphérique. Le mode de terminaison du cylindre-axe de ces cellules n'estpas encore élucidé. Cette couche grise est p
tres régions de l'hémisphère. Elle contient un très grand nombre de cellules nerveuses, analogues à celles de l'écorce, dont
Société de Bio- logie, 1894). - Du même, L'origine et l'aspect des cellules de la névroglie dans les centres nerveux de l'e
structure de l'écorce cérébrale de quelques mammifères, avec pl. La Cellule , 1891, p. 425. - Du même. Nuovo concepto de la hi
chten (Van) et MARTIX. Le bulbe olfactif de quelques mammifères. La Cellule . T. VII, 1891. GERLACH. Ueber die Structur der
76. KUPFER. De cornu Ammonis textura, 1859. - l\IAGINI, Neuroglia e cellule nervose cerebrali dei 1'eti. Atti del XII Con-
ricker's Handbuch, 1871. MONAKOW (V.). Rôle des diverses couches de cellules ganglionnaires dans le gyrus sigmoïde du chat. Ar
gsber, 1878. Thomas (A.). Contribution à l'étude de l'évolution des cellules cérébrales par la méthode de Golgi (Société de Bi
ajal, les fibres d'association tirent probablement leur origine des cellules pyramidales petites et moyennes et des cellules p
nt leur origine des cellules pyramidales petites et moyennes et des cellules polymorphes. Le FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMM
FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSE» AUX. 745 cylindre-axe de ces cellules donne naissance à une fibre d'association, le p
eurs branches de bifurcation, peu- vent donc mettre en relation une cellule d'un point déterminé de l'écorce, avec plusieur
lation une cellule d'un point déterminé de l'écorce, avec plusieurs cellules siégeant dans des points plus ou moins éloignés d
exe. Quelques fibres représentent d'après Cajal le cylindre-axe des cellules pyramidales petites et moyennes; d'autres provi
cellules pyramidales petites et moyennes; d'autres proviennent des cellules polymorphes. Mais un grand nombre ne sont que l
res. Pour v. Monakow, ces fibres viennent exclusivement des grandes cellules pyramidales. Pour Les fibres d'asso- ciation
idales. Pour Les fibres d'asso- ciation mettent en relation des cellules do l'écorce plus ou moins éloignées les une
libres dans l'écorce cérébrale. Cajal elles viennent en outre des cellules pyramidales petites et moyennes et même de quel
re des cellules pyramidales petites et moyennes et même de quelques cellules polymorphes. Les libres de projection sont de g
terminent par une riche arborisation variqueuse et libre entre les cellules propres de ce ganglion (Cajal). 4° Fibres cen
bres et variqueuses (fig. 372, c), situées en général au niveau des cellules pyramidales. Pendant leur trajet ascendant, ces
es fibres de la sub- stance grise; elles ne s'abouchent avec aucune cellule nerveuse, et leur nombre est assez considérable
belleuses (Cajal). Ces fibres se distinguent des cylindres-axes des cellules pyramidales non seulement par l'épaisseur de leur
rizontal ou oblique, bien différent de celui des cylindres-axes des cellules pyramidales, qui pré- sentent comme on le sait
les. - d, colla- térales très longues desdites libres. - e, grandes cellules pyramidales. J', cellules poly- morphes. - A, s
très longues desdites libres. - e, grandes cellules pyramidales. J', cellules poly- morphes. - A, substance blanche. B, couch
ement les fibres et leurs arborisations terminales, mais encore les cellules d'origine d'un système de neurones. Les choses
ntent très probablement, d'après Cajal, soit les cylindres-axes des cellules pyramidales petites ou moyennes ou des . cellul
ylindres-axes des cellules pyramidales petites ou moyennes ou des . cellules polymorphes, soit les collatérales ou les branche
Ces libres qui repré- sentent, soif les cylindres-axes directs des cellules pyramidales ou poly- morphes, soit les branches
2 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vaisseaux pré- sentent des lésions accentuées. Un grand nombre des cellules pyra- midales sont dégénérées, surtout dans la
occasionnés par elles, notamment en pleine couche optique où les cellules sont délruites, ainsi que les fibres conjonctives
J'OIUg. Cent1'albl., XV, 1896.) Etude spéciale des granulations des cellules des cornes anté- rieures prises chez deux malad
alors dans le corps et dans les prolongements protoplasmiques de la cellule des corpuscules de formes diverses, très partic
E PATHOLOGIE NERVEUSE. sont les granulations qui, dans le corps des cellules des cornes antérieures de la moelle de l'homme
qu'il ne faut pas confondre avec les vraies vacuves du corps de la cellule . Ces granulations colorables de la cellule nerveu
s vacuves du corps de la cellule. Ces granulations colorables de la cellule nerveuse, seraient pour Benda des parties du co
e nerveuse, seraient pour Benda des parties du corps organisé de la cellule , plus ou moins farcies de plus fines granulatio
. Les fines granu- lations préfèrent la coloration des noyaux de la cellule , aussi pour les voir nettement devra-t-on emplo
entrée aqueuse de safranine, on \erra par exemple le nucléole de la cellule rouge-ponceau, les fines granulations et le noy
rt à l'iode, sur les granulations cellulaires et sur le noyau de la cellule . C'est lui qui rend si distinct les pelottes et n
cellule. C'est lui qui rend si distinct les pelottes et noeuds des cellules en voie de prolifération divisionnaire des noya
de ces figures sont de l'acide nucléique. Les granulations de la cellule nerveuse ont donc une importance fonctionnelle
xtrême, et, par conséquent, une grande importance pathologique. Les cellules des connus intérieurs des épileptiques morts en
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 6b taie ne se voit plus, ou bien dans la cellule oedématiée tantôt le proloplasma cellulaire dem
uses dans la substance fondamentale, sont disséminées dans toute la cellule . Il y a donc primitivement altération de la sub
entale qui libère les granulations, lesquelles se répandent dans la cellule . Dans certaines cellules, les granulations sont
anulations, lesquelles se répandent dans la cellule. Dans certaines cellules , les granulations sont devenues de plus en plus
ues de plus en plus fines, ou elles se sont notablement éclaircies ( cellules claires, vitreuses, lessivées de Friedmann). Ce
pe un secteur plus ou moins large par rapport à la périphérie de la cellule , et s'accompagne parfois de la formation de vac
homme de Dieu avait eu raison, sans le savoir, de ne pas quitter sa cellule . Présent, on eût peut-être dis- cuté son avis.
sance incomparable, les éléments essentiels du système nerveux, les cellules avec leurs prolongements ramifiés, y compris le
rtir de la pie-mère : 1° couche de névroglie; 2° couche des petites cellules pyramidales; 3° couche des grandes cellules pyram
; 2° couche des petites cellules pyramidales; 3° couche des grandes cellules pyramidales ; 4° couche des cellules granulées
midales; 3° couche des grandes cellules pyramidales ; 4° couche des cellules granulées ou des granulations (couche grccnu- l
granulées ou des granulations (couche grccnu- leuse); 5° couche des cellules fusiformes, où d'assez grandes pyramides existe
riphérie ; 6° substance médullaire, où se trouvent encore nombre de cellules fusiformes. Meynert étudia la structure his- to
re von den Geiveben, 1870); il vit les prolongements ascendants des cellules s'élever jusqu'à la surface de l'écorce, jusqu'
face de l'écorce, jusqu'à l'espèce de membrane limitante, formée de cellules conjonctives aux nombreux prolongements d'une f
itable disposition épithéliale, qu'il nomme couche de la névroglie ( cellules en pinceau de Boll, cel- lules en araignée de J
lules en araignée de Jastrowitz) ; de l'extrémité inférieure de ces cellules sortait un prolongement, peut-être ramifié (Lüwe)
x qui passent en grossissant toujours entre les groupes des grandes cellules pyramidales. Outre les prolondements ramifiés d
s de projection et d'association révèle la nature des fonctions des cellules pyramidales et des cellules fusiformes : les fi
on révèle la nature des fonctions des cellules pyramidales et des cellules fusiformes : les fibres propres du système d'asso
parallèlement à la surface, ont une direction analogue à celle des cellules fusiformes, d'ailleurs nulle- ment bipolaires,
e aussi à la surface de l'écorce. La stria- lion du protoplasma des cellules nerveuses sur les pièces traitées par les solut
ons d'acide osmique avait été suivie dans les prolonge- ments de la cellule et ces prolongements avaient élé considérés com
méthode à l'or), prolongement déjà assimilé par Gerlach à celui des cellules des cornes antérieures de la moelle, Meynert me
nt les vastes ramifications du pro- longement ascendant des grandes cellules pyramidales montant jusque dans les couches ext
re ces ramifi- cations terminales, le prolongement ascendant de ces cellules émet déjà, peu après sa sortie de la cellule, d
ment ascendant de ces cellules émet déjà, peu après sa sortie de la cellule , des « fibrilles laté- 1 Psychiatrie Klinlk d.
ément ; il combat donc l'opinion qui fait des petites pyramides des cellules de la sensibilité, des grandes, des cellules de
petites pyramides des cellules de la sensibilité, des grandes, des cellules de la motilité, et aussi l'idée de Wundt, qui t
aphie corticale, en particulier par le degré d'éloigne- ment où ces cellules se trouvent de la surface de l'écorce. Les fais
cette couche aucune fibre nerveuse à myéline, mais de très grosses cellules , pourvues d'un prolon- gement descendant, assez
cendant, assez espacées et d'ordinaire disposées en série comme les cellules de l'url : iuje du cervelet. Au niveau de la de
les deux méthodes se complètent. Par quels caractères propres la cellule nerveuse se distingue- t-elle au point de vue o
autres éléments anatomiques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse, une cellule munie d'un prolongement s
miques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse, une cellule munie d'un prolongement spécial, toujours uniqu
uses. Quelle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Selon Golgi, les caractères du protopl
». Le protoplasma vrai n'existait que dans la partie centrale de la cellule nerveuse qui environne le noyau. Golgi a rappel
ironne le noyau. Golgi a rappelé que la structure fibrillaire de la cellule nerveuse a déjà été reconnue par Bemak (1853),
jusqu'à ce que Sclultze (1865, 18G8, f871), en étudiant les grosses cellules nerveuses du cerveau des torpilles, pût se con-
ns interfibrillaires se continuaient dans les prolonge- ments de la cellule . Ce sont là des observations dont la portée n'é
tends sur la nature des parties chromatiques et achromatiques de la cellule nerveuse, de Vissl, de Benda, de Lugaro, etc. I
, dès 1868, ait déjà été agitée par Walther ' : il estimait que les cellules nerveuses ont le pouvoir d'exécuter, dans une c
ts amiboïdes. Walther avait pu observer directement ce fait sur les cellules nerveuses de cerveaux congelés de grenouilles, au
veaux congelés de grenouilles, au moment de la décongélation de ces cellules . Reidingshausen et Popoff 2 instituèrent ensuit
rer la persistance de la contmctililé du protoplasma cellulaire des cellules nerveuses. Les prolongements de la cellule nerv
plasma cellulaire des cellules nerveuses. Les prolongements de la cellule nerveuse sont de deux sortes : l'un, toujours u
m de prolon- yements protoplasmiques. Physiologiquement, toutes les cellules nerveuses sont donc unipolaires ; ce n'est que
ine. Dans cette hypothèse, alors la plus généra- lement admise, les cellules nerveuses affectaient deux modes de connexion a
um nerveux, les ramifications des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses, dont l'orientation vers la surface d
était bien connue, allaient isolément se mettre en rapport avec les cellules de la névroglie et avec les parois des vaisseaux
de nature purement trophique : ils ser- vaient à la nutrition de la cellule nerveuse. de pense, disait Golgi, qui a persist
s nerveuses de la substance grise ? Comment s'établissent entre les cellules , considérées individuellement, et les différentes
une distance plus ')02 PATHOLOGIE NERVEUSE. ou moins grande de la cellule , des ramuscules arborescents, dont la forme var
vant de devenir le cylindraxe d'une fibre à myéline, sont issues de cellules nerveuses qui rappellent celles des cornes anté
la moelle épinière. Les fibres de lu deuxième catégorie sortent de cellules qui ont plutôt l'aspect des cel- lules des corn
rnes postérieures et de la substance de Holando. Delà deux types de cellules nerveuses en rapport avec ces deux catégories d
veuses en rapport avec ces deux catégories de fibres nerveuses. Les cellules du premier type seraient motrices, celles du se
res correspondraient peut- être aux différences de fonctions de ces cellules . Quant au con- sensus physiologique que l'on co
orce, les fibrilles émanées des prolon- gements nerveux moteurs des cellules du premier type avec celles, en nombre infinime
ment plus grand, des prolongements nerveux sensitivo-sensoriels des cellules du deuxième type, « Quelle autre signification
rivait Golgi, aux fibrilles qui, émanant du prolongment nerveux des cellules du premier type (supposées motrices ou psycho-m
ulum diffus, constitué essentiellement de prolongements nerveux des cellules du deuxième type (cellules sensitivo-se2so riel
ntiellement de prolongements nerveux des cellules du deuxième type ( cellules sensitivo-se2so rielles ou psycho-sensilivo-sen
étendues anastomoses directes des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses ou dans le réseau diffus, également h
ssion nerveuse isolée, soit centripète, soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveu- ses, centra
centripète, soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveu- ses, centrales ou périphériques, n'a po
orce, constitué, non par l'anastomose des prolongements directs des cellules nerveuses, mais par les ramifications ultimes e
ar les ramifications ultimes et latérales de leurs cylindraxes. Les cellules et les fibres motrices présenteraient seules les
qu'indirectement en rapport avec des groupes ou des territoires de cellules cen- trales extrêmement étendues. Telle est bie
ue fibre nerveuse, loin de se trouver isolément en rapport avec une cellule , est au contraire, dans la plupart des cas, en
, dans la plupart des cas, en connexion avec des groupes étendus de cellules . Inversement, chaque cellule nerveuse des centr
connexion avec des groupes étendus de cellules. Inversement, chaque cellule nerveuse des centres nerveux peut être en rapport
différentes de ces éléments ? La dis- tinction de ces organites en cellules motrices, sensitives ou senso- rielles, qu'invo
gi nie qu'il y ait à tenir compte de la forme ou de la grandeur des cellules ner- veuses pour la connaissance de leurs fonct
es ner- veuses pour la connaissance de leurs fonctions. Certes, les cellules du premier type qui sont motrices, sont grandes
on ne saurait rien con- jecturer decerlain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules nerveuses, si l'on
urer decerlain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules nerveuses, si l'on n'observe les rapports de ces
veux, et dans ses connexions anatomiques, non dans la forme de la cellule , que se trouve à cet égard le seul critérium dign
critérium digne de foi. Ajoutez que, si la structure anatomique des cellules nerveuses ne sauraitnous renseigner sur leurs f
NERVEUSE. toutes les régions des cenlres nerveux, les deux types de cellules qu'il a distingués se trouvent, dit-il, réunis
e trouva dans cette circon- volulion que trois formes distinctes de cellules : u, des cellules pyramidales (1 ? 2°, 3° couch
e circon- volulion que trois formes distinctes de cellules : u, des cellules pyramidales (1 ? 2°, 3° couches de Meynert); b,
u, des cellules pyramidales (1 ? 2°, 3° couches de Meynert); b, des cellules fusi- formes (5° couche de Meynert); c, des cel
ynert); b, des cellules fusi- formes (5° couche de Meynert); c, des cellules globuleuses ou poly- gonales, à angles émoussés
tence de couches stratifiées nettement isolées. Toute- fois, si les cellules globuleuses se rencontrent dans toute l'épaisseur
rs supé- rieur de l'écorce, formée presque exclusivement de petites cellules pyramidales; 2° en une couche moyenne, occupant
moyenne, occupant le tiers moyen de l'écorce, et constituée par des cellules pyramidales moyennes et grandes, ces dernières
e couche profonde, ou du dernier tiers de l'écorce, où, quoique les cellules pyramidales moyennes et petites ne man- quent p
ules pyramidales moyennes et petites ne man- quent pas, ce sont des cellules globuleuses et des cellules fusi- lormes, plus
petites ne man- quent pas, ce sont des cellules globuleuses et des cellules fusi- lormes, plus nombreuses qu'en aucune autr
n'existe pas d'autre moyen de déterminer l'activité spécifique des cellules nerveuses que l'élude ' Betz in Kiew. Lebel' di
e scientifique; il parle et il croit qu'on a le droit de parler, de cellules montées,voire de cellules sensitives et sensoriel
t il croit qu'on a le droit de parler, de cellules montées,voire de cellules sensitives et sensorielles, et cela parce qu'il
que, à sur- prendre les rapports directs des nerfs moteurs avec les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière.
en même temps, sans doute confondues avec les éléments moteurs, des cellules sensitives. Dans le cervelet ? C'est un champ d
s plus obscur encore. Dans la moelle épinière ? Mais, même pour les cellules des cornes antérieures, le moyen d'affirmer qu'
cornes antérieures, le moyen d'affirmer qu'on a bien affaire à une cellule motrice, tant qu'on n'a point vu son prolongeme
es tissus sont plus jeunes. Voilà com- ment Golgi découvrit que les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière so
erprétation de la nature physiologique des deux types différents de cellules ner- veuses. Au lieu de dire, comme je l'ai fai
es ner- veuses. Au lieu de dire, comme je l'ai fait jusqu'ici : Les cellules du premier type sont en rapport direct, non iso
nerveuses; je pourrài dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses motrices (cellule 7ze ? ,uose motrice),
dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses motrices ( cellule 7ze ? ,uose motrice), sont en rap- port, non is
isolé, avec les fibres nerveuses (du mouvement). » Quant aux autres cellules nerveuses, à celles du deuxième type, dont le p
peuvent désormais être considérées avec plus de fondement comme des cellules de sensibilité (cellule di senso). De ces étu
nsidérées avec plus de fondement comme des cellules de sensibilité ( cellule di senso). De ces études de Golgi sur l'histo
t séparées, d'une manière absolue, que ne le sont les deux types de cellules du mouvement et de la sensibilité; anatomiqueme
e les régions motrices et sensitives de la moelle épinière, que les cellules nerveuses des cornes anté- rieures et postérieu
» Dejlt Golgi fonde sur l'existence des deux types distincts de ses cellules nerveuses, mêlées et confondues dans toutes les
anatomiste de Vienne enseignait que « les énergies spécifiques des cellules nerveuses ne sont que le résultat des différenc
ganes terminaux des nerfs, et que la seule énergie spécifique de la cellule nerveuse, c'est la sen- sibilité (Empfindungsfo
erveau des éner- gies fonctionnelles spécifiquement différentes. La cellule nerveuse ne possède qu'une seule énergie foncti
appareils périphériques des sens, non aux énergies spécifiques des cellules nerveuses des différentes aires corticales du cer
e musculaire devrait être appelée motrice, et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qui innervent le muscle : « Le nerf ni
rf ni la cellule nerveuse qui innervent le muscle : « Le nerf ni la cellule nerveuse ne renferment un principe moteur. » (M
Meynert réfute l'opinion qui voit, dans les petites pyramides, des cellules de sensibilité ; dans les grandes, des cel- lul
i tient les unes pour jeunes, les autres pour vieilles. Lorsque les cellules de l'écorce du cerveau antérieur perçoiventles
nentes. La forme ou l'ordre suivant lequel cette colonie sociale de cellules se range dans l'écorce cérébrale est une dispos
dus élé- mentaires, existe aussi, parce que en dehors du réseau des cellules associées, où les courants sont lents et diffic
r des différences dans leurs processus internes. L'état interne des cellules nerveuses, c'est l'aptitude à sentir l' (Em.p(i
point de vue phylogénétique il paraît bien, en effet, que c'est des cellules constituant le feuillet cutané de la gastrula que
rties différenciées et transformées du tégument cutané : toutes les cellules nerveuses de ces organes sont la postérité de c
: toutes les cellules nerveuses de ces organes sont la postérité de cellules épidermiques modifiées par l'adaptation. Il sui
ents nerveux de l'écorce seront capables de la suppléer. Ainsi, une cellule nerveuse qui, en vertu de ses connexions ana- t
ns, produire une sensation tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellule nerveuse de l'écorce qui, par l'intermé- diaire
age aucun pour les fonctions de la sensibilité. Par exemple, si les cellules nerveuses des sphères visuelles n'ont rien qui
que présentent beaucoup d'autres éléments du corps, par exemple les cellules de sécrétion des glandes. Il n'existe pas de ra
primordial, avec son chimisme élémentaire, se sont développées les cellules des glandes salivaires, hépatiques, ré- nales,
aractère propre ou spécifique, donné par la nature, des éléments ou cellules des centres corticaux de la sensibilité qui ser
s entre les prolongements soit proto- plasmiques, soit nerveux, des cellules nerveuses, Forel se demande pourquoi l'on conti
abandonner que celle des anastomoses des prolongements nerveux des cellules , puisque aucun fait ne l'appuie. Kolliker con-
othèse de Golgi : celle que « les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses ne seraient t pas dénature nerveuse »
res; elles contractent au contraire des rap- ports intimes avec les cellules connectives et avec les vaisseaux san- guins. »
x central : chaque fibre nerveuse n'était que le prolongement d'une cellule nerveuse et la transmission des excitations de
gement d'une cellule nerveuse et la transmission des excitations de cellules à cellules ne se propageait que par des contact
e cellule nerveuse et la transmission des excitations de cellules à cellules ne se propageait que par des contacts entre les
de même pour le système nerveux. » Puis, pourquoi parler encore de cellules motrices et de cellules de sensibilité ? Forel
nerveux. » Puis, pourquoi parler encore de cellules motrices et de cellules de sensibilité ? Forel protestait ; il s'élevait
me type de Golgi, le point initial de l'excitation sensible est une cellule épithéliale, une cellule périphérique de sensib
t initial de l'excitation sensible est une cellule épithéliale, une cellule périphérique de sensibilité d'où sort un prolon
hérique de sensibilité d'où sort un prolongement nerveux, comme des cellules du premier type : c'est de cette cellule périphé-
gement nerveux, comme des cellules du premier type : c'est de cette cellule périphé- rique que part le nerf qui gagne le sy
moteur ne serait donc pas que le premier entre en rapport avec des cellules du deuxième type : la seule diffé- rence, c'est
des cellules du deuxième type : la seule diffé- rence, c'est que la cellule nerveuse d'où sort la fibre sensitive ou sensor
ale. Mais on n'a point le droit d'appeler sensibles ou motrices ces cellules nerveuses. Seul, le mode de terminaison d'une fib
en, qui est bien aussi de l'Ecole de Golgi, les prolon- gements des cellules nerveuses sont de deux sortes, nerveux et pro-
t au voisinage des vaisseaux sanguins et servent à la nutrition des cellules nerveuses; il n'existe point d'anastomoses des ce
trition des cellules nerveuses; il n'existe point d'anastomoses des cellules nerveuses au moyen de ces prolongements. Les pr
elle épinière des myxines, des tubes nerveux sortir directement des cellules des cornes antérieures; ceux des racines postér
t, dit-il, appeler moteurs les premiers, sensibles les seconds. Les cellules nerveuses n'ayant absolument aucun rapport dire
m- position des arcs réflexes et à l'importance physiologique des cellules nerveuses, ne peut plus se soutenir, du moment où
dernières n'ont pas entre elles de communication directe, et où les cellules nerveuses centrales offrent tout aussi peu de com
transmise aux centres supérieurs sans passer directement par les cellules nerveuses. On peut admettre de la même façon, con
veux centrifuges des centres nerveux inférieurs sans passer par les cellules nerveuses de ces centres. Il est par consé- que
ces centres. Il est par consé- quent impossible d'admettre que les cellules nerveuses des centres Archives, 2° série, t. II
ments volon- taires, ce que l'on semble pouvoir appliquer aussi aux cellules ner- veuses des centres supérieurs 1. Quel est
n raison directe de la complexité de structure du réseau. Quant aux cellules des centres nerveux, déchus de leurs fonctions
miques de la sensibilité et de la motilité volontaire, pourquoi les cellules nerveuses centrales des divers organes de la sens
our expliquer les rapports fonctionnels entre les divers groupes de cellules et entre les diverses provinces du système nerveu
ule fibre nerveuse peut avoir des rapports avec un nombre infini de cellules nerveuses centrales ainsi qu'avec les parties l
ervelet, etc., et repré- sente un tissu continu interposé entre les cellules nerveuses, dont l'unique destination est de rel
dantes : elles contractent des rapports avec des groupes étendus de cellules nerveuses; inversement, toute cellule nerveuse
avec des groupes étendus de cellules nerveuses; inversement, toute cellule nerveuse des centres peut être en rapport avec
plus étendus et plus compliqués les rapports des divers groupes de cellules nerveuses et ceux des différentes provinces de ce
oit de cité dans la science. Ainsi Golgi n'admet pas l'existence de cellules nerveuses pourvues de deux, trois, quatre prolo
nsi, la direction du courant nerveux, pour toutes les catégories de cellules nerveuses, n'irait plus du prolon- gement cylin
ellules nerveuses, n'irait plus du prolon- gement cylindraxile à la cellule , mais du prolongement protoplas- mique à la cel
lindraxile à la cellule, mais du prolongement protoplas- mique à la cellule et de celle-ci au cylindraxe. « Ces nouveaux co
nsidérer la signification des différentes parties constitutives des cellules nerveuses 1. » Il n'admet pas que, * pour les b
ouvent la couche dorsale de Forel, la zona incerta qui contient des cellules isolées et le corps de Luys; la commissure de M
utres par la forme et l'agencement de leurs éléments 'constitutifs ( cellules , fibres, névroglie). Cette description est vr
rce est toujours médiate. La fibre centripète se termine dans une cellule du noyau auquel elle aboutit, de là une autre c
mine dans une cellule du noyau auquel elle aboutit, de là une autre cellule transmet l'impression à l'écorce. Ces deux cell
de là une autre cellule transmet l'impression à l'écorce. Ces deux cellules agissent non pas directement, l'une sur l'autre
l'intermédiaire d'une troisième que l'auteur désigne sous le nom de cellule intercalaire. L'excitation partie de l'écorce n
irectement à une fibre centrifuge, elle se communique d'abord à une cellule du noyau d'un nerf moteur; une cellule intercalai
se communique d'abord à une cellule du noyau d'un nerf moteur; une cellule intercalaire la transmet à une troisième cellul
n nerf moteur; une cellule intercalaire la transmet à une troisième cellule en communication avec une fibre motrice qui va
i va au muscle. Une fibre corticale isolée n'agit pas sur une seule cellule motrice, mais met en mouvement, par l'intermé-
cellule motrice, mais met en mouvement, par l'intermé- diaire d'une cellule intercalaire, tout un groupe de cellules motric
par l'intermé- diaire d'une cellule intercalaire, tout un groupe de cellules motrices associées dans leur action, selon un m
leur action, selon un mécanisme préétabli. C'est là la théorie des cellules intercalaires de l'auteur. LWOFF. XXXVIII. L'
u, Korolkow, Giese, Ossipon. A peu d'exceptions près, dit-il, les cellules du système nerveux central des mammifères supér
e du cerveau de ces animaux et de l'homme ne lui a pas présenté les cellules à deux ou plu- sieurs prolongements cylindraxil
les prolongements protoplasmiques ainsi qu'avec les corps d'autres cellules . Les prolongements proto- plasmiques ne s'anast
iques ne s'anastomosent point non plus les uns avec les autres. Les cellules nerveuses représentent donc des éléments com- p
ndépendantes puisque partout elles ne sont que des prolongements de cellules nerveuses. Les faits ne justifient point la div
e cellules nerveuses. Les faits ne justifient point la division des cellules de Golgi en cellules motrices, à longs prolonge
Les faits ne justifient point la division des cellules de Golgi en cellules motrices, à longs prolongements cylindraxiles cel
de Golgi en cellules motrices, à longs prolongements cylindraxiles cellules sen- sitives à courts prolongements cylindraxil
sensitifs (Ramon y Cajal, de Bechterew); elles seraient plutôt des cellules de trains- mission à distance, à des cellules n
s seraient plutôt des cellules de trains- mission à distance, à des cellules nerveuses éloignées, puisqu'elles se continuent
nt se rencontrer en des organes moteurs; ce sont probablement des cellules de raccord, la transmission se faisant à des cell
bablement des cellules de raccord, la transmission se faisant à des cellules proches par l'intermédiaire de courts prolongem
ts prolongements cylindraxiles qui se ramifient aussitôt. Enfin les cellules apolaires jouent très vraisem- blablement le rô
d'éléments copulatifs placés entre les prolon- gements de diverses cellules ; elles transmettent l'excitation de telles cell
nts de diverses cellules; elles transmettent l'excitation de telles cellules à telles autres cellules. Chaque système nerveux
elles transmettent l'excitation de telles cellules à telles autres cellules . Chaque système nerveux contient un chaînon de
lles autres cellules. Chaque système nerveux contient un chaînon de cellules de plusieurs types; la composition organique es
r centripète. Les prolongements protoplasmiques ou dendritiques des cellules ne sont pas seulement destinés à la nutrition d
es des cellules ne sont pas seulement destinés à la nutrition de la cellule , de tout son corps; ils servent aussi à conduir
ents cylindraxiles. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 129 Chacune des cellules nerveuses entre en relations alternatives l'une
es ramifications terminales des prolonge- ments cylindraxiles d'une cellule s'entrelacent avec les dendrites et le corps de
même phéno- mène doit exister par entrelacement des dendrites d'une cellule avec celles de l'autre. Et peut-être aussi entr
peut-être aussi entre les prolongements cylindraxiles des diverses cellules etl'un quelconque des prolonge- ments protoplas
cylindraxes qui, de la couche granuleuse profonde, vont, entre les cellules de Purkinje dans la couche moléculaire, entrela
s avec les plus fins ramuscules des cylindraxes qui proviennent des cellules étoilées de la couche moléculaire (de Bechterew
s avec les prolongements protoplasmiques et avec les corps d'autres cellules conduisent les impressions dans le sens centrif
la moelle, en particulier chez les animaux inférieurs, et dans les cellules apo- laires : le corps de la cellule et les den
imaux inférieurs, et dans les cellules apo- laires : le corps de la cellule et les dendrites qui en représentent les prolon
donc conduire dans les deux directions; exemple : les dendrites des cellules apolaires du lobe olfactif. L'entrelacement des
ulaire à un autre et provoque un échange de courants entre les deux cellules , par suite, l'activité associée de deux ou de q
eux cellules, par suite, l'activité associée de deux ou de quelques cellules fonctionnant ensemble. Enfin, pour les cellules
deux ou de quelques cellules fonctionnant ensemble. Enfin, pour les cellules dépourvues de cylindraxes, il y a conductibilit
rsque les ramuscules terminaux desprolongerneatscylindraxiles d'une cellule prennent contact avec le corps et les prolongemen
ntact avec le corps et les prolongements protoplasmiques des autres cellules , il y a propagation par conti- guïté. Cette thé
VI. SUR la MORPHOLOGIE ET la valeur DES parties constituantes DE la CELLULE NERVEUSE; par C. COLUCCI. (Ann. di nevrol., fasc.
eut-être des troubles apportés par le tabes dans la nutrition de la cellule nerveuse. (Un état gastrique particulier, se ma
it plus intense pendant les nuits qu'il devait passer isolé dans sa cellule . La présence des signes objectifs des hallucinati
on sexuelle à tel point qu'on pourrait croire que ce sont les mêmes cellules cérébrales qui prési- dent aux deux phénomènes.
il préconise le repos pour diminuer la congestion et revivifier la cellule ner- veuse. L'auteur conteste que cette théorie
tômes. Les vaisseaux sont les serviteurs, et non les maîtres, de la cellule : rétablissez l'activité de la cellule et, règl
s, et non les maîtres, de la cellule : rétablissez l'activité de la cellule et, règle générale, les vaisseaux s'arrangeront
; il pense en effet, que, dans beaucoup de cas, la nutrition de la cellule cérébrale est plus sûrement obtenue par l'exerc
st venue confirmer l'exactitude. Il faut d'abord se souvenir que la cellule corticale est l'unité d'activité psychique, et
lymphatique, connectif) dont l'altération réagit à son tour sur la cellule . Mais en ce qui touche la folie la lésion de la
tour sur la cellule. Mais en ce qui touche la folie la lésion de la cellule est la condition primitive : par elle l'arc nerve
'hypérémie corticale et de ses conséquences rapides à l'égard de la cellule et du système lymphatique; or, ce rôle est surt
sposé aux troubles mentaux par l'action toxique de l'alcool sur les cellules corticales. Toutefois le caractère du ^désordre
s temps, excès de boissons, disputes, empri- sonnement et séjour en cellule . Au cinquième jour de la détention, hallucinati
sur les lésions produites par l'action de quelques poisons sur les cellules nerveuses corticales, par Berkley; - Classificati
par M. Rau- lin, externe des hôpitaux, sont la reproduction. Les cellules nerveuses de ce ganglion sont nombreuses, mais
cerveau. Le ganglion de ce nerf est représenté, on le sait, par les cellules olfactives qui se trouvent dans la muqueuse pit
ves qui se trouvent dans la muqueuse pituitaire elle-même. Or ces cellules s'altèrent après la mort avec une grande rapidité
actement semblables à celles du ganglion d'Andersch. La plupart des cellules étaient atrophiées; quelques-unes, généralement
u visible, était trans- formé en corps granuleux. Mais toutes les cellules du ganglion étaient loin de présenter cette lés
e présenter cette lésion qui était disséminée sous forme d'îlots de cellules . Le processus congestif était intense ; la sclé
ulbe rachidien offrait des lésions au niveau des noyaux grêles. Les cellules ganglionnaires y étaient atrophiées surtout dan
système de ces nerfs, leurs branches nerveuses aussi bien que leurs cellules ganglionnaires se montrent égale- ment lésées.
rveux, 1878, II, 348.) La différence entre les deux catégo- ries de cellules nerveuses de Golgi s'est aussi évanouie : il n'y
les nerveuses de Golgi s'est aussi évanouie : il n'y a plus que des cellules nerveuses à prolongements nerveux longs ou cour
« commissures longues » aux prolonge- ments nerveux que beaucoup de cellules envoyaient, par exemple, dans la substance gris
ais la décharge nerveuse résultant de l'excitation transmise par la cellule à ;on prolongement nerveux n'avait lieu, pensai
-on, qu'à la terminaison de ce prolongement dans un ganglion, et la cellule d'origine d'un nerf était censée ne pouvoir agi
ellule d'origine d'un nerf était censée ne pouvoir agir que sur les cellules au contact des- quelles s'arborisaient, par l'i
tes de celles- ci, les ramifications ultimes du cylindraxe de cette cellule . On sait aujourd'hui qu'une cellule nerveuse de
ultimes du cylindraxe de cette cellule. On sait aujourd'hui qu'une cellule nerveuse des ganglions spinaux peut influencer
n voit, dans la substance grise de la moelle épi- nière, autour des cellules nerveuses surdes préparations au Weigert- Pal,
s le cervelet, les collatérales des prolongements cylindraxiles des cellules de Purkinje entrent en contact avec d'autres cell
ndraxiles des cellules de Purkinje entrent en contact avec d'autres cellules de Purkinje et réalisent ainsi entre ces cellul
act avec d'autres cellules de Purkinje et réalisent ainsi entre ces cellules une unité physio- logique. Dans le cerveau, les
. Tout essai de classifica- tion physiologique ou fonctionnelle des cellules nerveuses en cel- lules de la sensibilité ou de
pothèse anatomo-physiologique de Golgi, la fonction trophique de la cellule nerveuse attribuée aux prolongements pro- topla
épinière. I. Chaque fibre nerveuse n'est que le prolongement d'une cellule nerveuse, soit périphérique, soit centrale. Cha
, de son origine à sa terminaison, n'est donc qu'une partie de sa cellule d'origine. Ce fait capital avait déjà été établi,
al, Lenhossek, Retzius, etc. II. Les expansions protoplasmiques des cellules nerveuses se ter- minent librement dans la subs
nt dans la substance grise (Golgi); les prolonge- ments nerveux des cellules nerveuses se terminent de même au moyen de libr
n d'émission des courants nerveux. Dans les éléments qui, comme les cellules nerveuses des ganglions spinaux ou les spon- gi
de réception est représenté par le corps protoplasmique seul de la cellule . III. Les cellules de substance grise de la moe
présenté par le corps protoplasmique seul de la cellule. III. Les cellules de substance grise de la moelle épinière sont d
de substance grise de la moelle épinière sont de deux espèces : les cellules radiculaires « motrices », dont les cylindraxes
rices », dont les cylindraxes constituent la racine antérieure; les cellules des cordons, dont les prolongements nerveux con
ns auxquels ces cel- lules donnent naissance, on distingue : a, les cellules du cordon antéro-latéral du même côté; b, les c
gue : a, les cellules du cordon antéro-latéral du même côté; b, les cellules du cordon postérieur du même côté; c, les cellu
ême côté; b, les cellules du cordon postérieur du même côté; c, les cellules du cordon antérieur du côté opposé (cel- lules
rdon antéro-latéral de l'autre côté). Les cylindraxes de toutes les cellules , excepté peut-être ceux des cel- lules radicula
ttent à leur passage à travers la moelle des collatérales entre les cellules nerveuses. IV. Les fibres sensitives des vertéb
as dans la moelle : elles proviennent, comme l'a établi W. His, des cellules nerveuses des ganglions spinaux intervertébraux
intervertébraux. Dans la capsule endothéliale qui enveloppe chaque cellule des ganglions cérébro- spinaux, entre cette cap
on proto- THÉORIE DES NEURONES. 285 plasmique, suivant Cajal, des cellules de ces ganglions, courant transmis à la moelle
centrale, d'autres courants nerveux encore, provenant peut-être des cellules du grand sympathique, peuvent parvenir à ces ne
llules du grand sympathique, peuvent parvenir à ces neurones. Ces cellules nerveuses, issues de l'ectoderme, et d'abord bipo
rès avoir traversé la substance de Rolando, s'arborisent autour des cellules de la colonne de Clarke (voie cérébelleuse asce
contact avec le corps ou avec les ramifications protoplasmiques des cellules de la corne antérieure : elles constituent la v
res réfCeo-motriees (Kël- liker) ou sensitivo-motrices (Cajal). Les cellules des cornes posté- rieures envoient leurs cylind
s petites pyramides; 3° couche des grandes pyramides; 4° couche des cellules polymorphes . 1. Zone moléculaire. Lescellules
unes sont des collatérales des cylindraxes ascendants de certaines cellules , telles que les cellules fusiformes ou triangulai
es des cylindraxes ascendants de certaines cellules, telles que les cellules fusiformes ou triangulaires de Mar- tinotti. Ma
moléculaire proviennent des quatre types de neurones suivants : 1° cellules poly- gonales, à quatre ou cinq ramifications p
oblique, tantôt horizontal, et demeurant dans la zone moléculaire : cellules spéciales, ou cellules de Cajal, de la zone mol
tal, et demeurant dans la zone moléculaire : cellules spéciales, ou cellules de Cajal, de la zone moléculaire; 2° cellules fus
ellules spéciales, ou cellules de Cajal, de la zone moléculaire; 2° cellules fusi- {ormes, à direction horizontale, dont les
re des fibres nerveuses, restant toujours dans la zone moléculaire ( cellules polyaones de Lenhossek) ; 3° cellules triangula
urs dans la zone moléculaire (cellules polyaones de Lenhossek) ; 3° cellules triangulaires ou étoilées, non plus à deux, mai
se perdent dans les fibrilles nerveuses de la zone moléculaire; 4° cellules fusiformes unipolaires. Ces cellules fusiformes
ses de la zone moléculaire; 4° cellules fusiformes unipolaires. Ces cellules fusiformes de la couche moléculaire doivent être,
es de la couche moléculaire doivent être, comme le pense Cajal, des cellules d'association, unissant à cette zone aux strate
es vont se mêler aux fibres du faisceau tangentiel (Veratti). Les cellules spéciales de la zone moléculaire, presque toutes
les prolongements vari- queux et horizontaux ressemblent à ceux des cellules de Cajal. Pour Retzius, qui a fait une étude sp
llules de Cajal. Pour Retzius, qui a fait une étude spéciale de ces cellules , sur des embryons d'hommes et d'autres mammifèr
les, sur des embryons d'hommes et d'autres mammifères, il s'agit de cellules nerveuses pourvues de plusieurs expansions d'ap
erminales cylindraxiles de longues tiges dont on ignore le lieu des cellules d'origine, forment dans cette première couche d
rré, entre les mailles duquel passent les ramures des dendrites des cellules pyramidales. «Il est, dit Cajal, impossible de
rer cette singulière disposition, qui certainement se ' Quoique les cellules de Cajal présentent encore à la naissance de qu
e les fibrilles parallèles et les arborisations protoplasmiques des cellules de Puikinje. Ce contact serait transversal ou o
ransversal ou oblique; c'est pour- quoi les branches terminales des cellules pyramidales possèdent des épines collatérales c
prolongements protoplasmiques pour transmettre l'onde nerveuse aux cellules pyramidales. Toute cellule pyramidale, à quelqu
pour transmettre l'onde nerveuse aux cellules pyramidales. Toute cellule pyramidale, à quelque couche de l'écorce qu'elle
le pyramidale même et se ramifiant latéralement ou en bas entre les cellules voisines; cl, un cylindraxe, partant de la base
les cellules voisines; cl, un cylindraxe, partant de la base de la cellule , ou d'une expansion proloplasmique basilaire, e
ertèbres inférieurs, toules les expansions proto- plasmiques de ces cellules se réduisent, chez les batraciens, au bouquet t
nque de lige radiale et de véritable panache; chez les poissons, la cellule pyramidale fait défaut. Chez les foetus à terme e
otoplasmiques ». Une fois organi- sées, ces connexions acquises des cellules pyramidales se transmet- traient par hérédité a
hez Gambetta, a coïncidé avec un cerveau de petites dimensions, les cellules nerveuses seraient moins nombreuses ou peut-êtr
re, voire à l'imbécillité, ren- fermeraient un plus grand nombre de cellules ; seulementleurs con- nexions seraient fort impa
ros cerveaux de la baleine et de l'éléphant. » La morphologie de la cellule pyramidale ou psychique n'est d'ailleurs qu'une d
e des conditions anatomiques de la pensée. II. Couche des petites cellules pyramidales (10 à 12 p.). III. Couche des grand
petites cellules pyramidales (10 à 12 p.). III. Couche des grandes cellules pyramidales (20 à 30 p.). Le cylindraxe, très é
ale qui semble destinée à former le corps calleux. IV. Couche des cellules polymorphes. Les cellules de cette couche, où l
former le corps calleux. IV. Couche des cellules polymorphes. Les cellules de cette couche, où l'on rencontre encore quelq
es. Les cellules de cette couche, où l'on rencontre encore quelques cellules pyramidales, sont ovoïdes, fusiformes, triangul
rveuses de la substance blanche. On distingue dans cette couche des cellules à cylindraxe court; Cajal en compte deux espèce
aît et se termine dans l'épaisseur même de la substance grise : les cellules sensitives de Golgi, et les cellules à cylindra
me de la substance grise : les cellules sensitives de Golgi, et les cellules à cylindraxe ascendant de Marti- notti. Les pre
tous les sens, émettant un cylindraxe qui, à peu de distance de]sa cellule d'origine, se décompose en une libre arborisati
libre arborisation dont les ramuscules enveloppent les corps des cellules voisines. Ces cellules de Golgi sont des cellules
ont les ramuscules enveloppent les corps des cellules voisines. Ces cellules de Golgi sont des cellules d'association. Les s
ent les corps des cellules voisines. Ces cellules de Golgi sont des cellules d'association. Les secondes, qu'on trouve d'ail
couches infé- rieures de l'écorce, mais surtout dans la couche des cellules poly- morphes, fusiformes ou triangulaires, à r
nant de toutes les régions de l'écorce, et sans doute de toutes les cellules , grandes et petites pyramides et cellules polym
sans doute de toutes les cellules, grandes et petites pyramides et cellules polymorphes, convergent dans la capsule interne e
atéraux sont : 1° des cylindraxes provenant directement des petites cellules pyramidales de tous les points de l'écorce céré
ou moins rapprochés ou éloignés de l'écorce grise, proviennent des cellules existant probablement dans les trois cou- ches
arvenu à observer directement les connexions de ces fibres avec les cellules poly- morphes et avec quelques cellules pyramid
ions de ces fibres avec les cellules poly- morphes et avec quelques cellules pyramidales géantes. Un point sur lequel on ne
que beaucoup de fibres d'association peuvent mettre en rapport une cellule de telle ou telle région de l'écorce avec un gr
ellule de telle ou telle région de l'écorce avec un grand nombre de cellules situées dans des territoires et peut-être dans
tion représentent soit les prolongements cylindraxiles de certaines cellules pyramidales, soit les branches collatérales née
iqueuses qui semblent envelopper de préférence, dit-il, les petites cellules pyramidales. Ces fibres représentent-elles la ter
ébrale des nerfs sens ! tifs, ou du moins celle des cylindraxes des cellules dans les dendrites desquelles s'arborisele troisi
naîtrait le point du névraxe où les courants afférents arrivent aux cellules de projection et deviennent des courants eué- r
éculaire du cerveau, en se mettant en rapport avecles dendrites des cellules pyramidales. Ainsi, dans le lobe olfactif des mam
s cette zone et s'y arborisent dans les ramures protaplasmiques des cellules pyra- midales. Dans l'écorce cérébrale des rept
zone moléculaire agiraient soit directement sur les dendrites des . cellules pyramidales, soit indirectement sur les fibrill
siologistes a toujours été de déduire la nature fonctionnelle d'une cellule ner- veuse de ses caractères morphologiques : c
res morphologiques : c'est sur ceux-ci que reposait l'hypothèse des cellules de motilité et de sensibilité de Golgi, hypothè
, la muqueuse et le bulbe olfactifs, contiennent un grand nombre de cellules nerveuses à cylindraxes longs; des organes à fo
ue le cervelet, la zone rolandique, renferment un grand nombre de cellules à cylindraxes courts. Ajoutez qu'il existe des ce
d nombre de cellules à cylindraxes courts. Ajoutez qu'il existe des cellules à cylindraxes multiples. Il est donc impossible
s. Il est donc impossible de ramener à une morphologie spéciale les cellules nerveuses dites sensitives ou sen- sorielles, m
Il nous parait bien pourtant, quoique Cajal ne le dise pas, que les cellules du deuxième type de Golgi, qui sont sans doute de
que les cellules du deuxième type de Golgi, qui sont sans doute des cellules de sensibilité, mais comme toutes les autres ce
ans doute des cellules de sensibilité, mais comme toutes les autres cellules nerveuses, sans exception, la sensibilité étant
ravail physiologique,- il nous paraît, comme à von Monakow, que ces cellules de Golgi, appelées dendraxones par von Lenhosse
apport entre la fonction, la mor- phologie et la topographie de ces cellules . Il reste toutefois que les cellules des fibres
logie et la topographie de ces cellules. Il reste toutefois que les cellules des fibres d'association, de commissuration et de
t donc pas la morphologie cellulaire : : ce sont les connexions des cellules entre elles. Ces connexions sont immenses, et bie
« infinité de fibres nerveuses ter- minales avec les dendrites des cellules pyramidales », voici les courants nerveux que l
s de cel- lules autochtones de la zone moléculaire; 2° courants des cellules à cylindraxe ascendant; 3° courants des cellule
e; 2° courants des cellules à cylindraxe ascendant; 3° courants des cellules pyramidales d'asso- ciation, arrivant de tous l
s ascendantes ou~de l'arborisation terminale des cylindraxes de ces cellules ; 4° courants apportés peut-être indirectement des
de ces cellules; 4° courants apportés peut-être indirectement des cellules de la moelle épinière ou du cervelet, etc. ; 5° c
le corps cellulaire, la tige et les expansions protoplasmiques des cellules pyramidales et polymorphes des trois dernières co
nales d'association intrahémisphérique; 40 les arborisations des cellules de Golgi; 5° les fibrilles collatérales, en nombr
brilles collatérales, en nombre infini, émanées des cylindraxes des cellules de ces trois couches profondes pendant leur tra
nt leur trajet intracortical. Le plexus nerveux formé autour de ces cellules par un si grand nombre de filaments paraît absolu
détail tous les rapports de contiguïté que peut soutenir une seule cellule pyramidale, par exemple. Il semble en résulter
exemple. Il semble en résulter que, comme l'admet Golgi, une seule cellule nerveuse peut être en connexions indépen- dante
s éléments nerveux fonctionnelle- ment différents. De même pour les cellules de Purkinje du cerve- let : chaque point du cor
erveuses terminales : par les corbeilles terminales, le corps de la cellule est en rapport avec les cellules étoilées de la c
rbeilles terminales, le corps de la cellule est en rapport avec les cellules étoilées de la couche molé- culaire ; la lige m
e épinière. Grâce au plexus fibrillaire de l'écorce du cerveau, les cellules pyramidales peuvent donc subir l'action : 1° de
veau, les cellules pyramidales peuvent donc subir l'action : 1° des cellules de Golgi ou à cylindraxe court, situées dans le
les de Golgi ou à cylindraxe court, situées dans les couches de ces cellules ; 2° des cellules d'association intrahémisphéri
cylindraxe court, situées dans les couches de ces cellules ; 2° des cellules d'association intrahémisphérique d'un même hémi-
phérique d'un même hémi- THÉORIE DES NEURONES. 293 sphère; 3° des cellules de l'hémisphère opposé, au moyen : a des fibres
alleuses ; b de celles de la commissure blanche antérieure ; 4° des cellules de la moelle ou du cervelet, etc. ; 5° les cellul
rieure ; 4° des cellules de la moelle ou du cervelet, etc. ; 5° les cellules pyramidales situées au-dessus de telle strate d
ersalement aux tiges protoplasmiques et aux corps de cen- taines de cellules , de sorte qu'une seule petite cellule pyramidale
aux corps de cen- taines de cellules, de sorte qu'une seule petite cellule pyramidale peut, par l'intermédaire de ses coll
aire de ses collatérales nerveuses, influer sur plusieurs séries de cellules pyramidales moyennes et petites situées au-dess
s et petites situées au-dessous d'elle ». A son tour, chaque grande cellule pyramidale, par l'effet de la surface considéra
es, peut recueillir un grand nombre de courants nerveux des petites cellules pyramidales situées au-dessus d'elle. En vertu
rants vont, en effet, dans l'écorce grise du cer- veau, des petites cellules pyramidales aux grandes, et de celles-ci aux ce
, des petites cellules pyramidales aux grandes, et de celles-ci aux cellules polymorphes. Tous les éléments constituant le s
s des cylindraxes aux corps et aux expan- sions protoplasmiques des cellules nerveuses. Si ces expansions font défaut (spong
e point du contact efficace des arborisations ner- veuses. Dans les cellules bipolaire (auditives, olfactives, rétiniennes,
nt dans ces prolongements. De même pour la branche périphérique des cellules unipolaires des ganglions spinaux des batracien
proximité des prolongements 294 REVUE CRITIQUE. · descendant des cellules mitrales, ne contiennent ni vaisseaux san- guin
t des cellules mitrales, ne contiennent ni vaisseaux san- guins, ni cellules de névroglie. 11 n'en existe pas non plus dans la
me interne de la rétine, où les ramifications proto- plasmiques des cellules nerveuses ganglionnaires entrent. en rap- port
es cellules nerveuses ganglionnaires entrent. en rap- port avec les cellules bipolaires. Partout où s'arborisent des fibres
proquement. La longueur extrême de certaines tiges protoplasmiques ( cellules pyramidales du cerveau, cellules de Purkinje du
e certaines tiges protoplasmiques (cellules pyramidales du cerveau, cellules de Purkinje du cervelet, etc.), ainsi que l'exu
rance des expansions protoplasmiques latérales et basilaires de ces cellules , sont sans doute en proportion avec le nombre d
rent en contact avec ces branches 1. Entre le volume du corps des cellules nerveuses et la grosseur et le nombre des éléme
asma corres- pondrait à une dignité fonctionnelle plus élevée de la cellule , car les cellules des noyaux moteurs possèdent
rait à une dignité fonctionnelle plus élevée de la cellule, car les cellules des noyaux moteurs possèdent des granules plus gr
x moteurs possèdent des granules plus gros et plus nombreux que les cellules pyramidales de l'écorce céré- brale, et les cel
mbreux que les cellules pyramidales de l'écorce céré- brale, et les cellules volumineuses des poissons, des batraciens et de
es présentent à cet égard une supériorité semblable sur les petites cellules nerveuses des mammifères, telles que les grains
ue; d) extension de ces éléments chromatiques à tout le corps de la cellule et aspect fusiforme de ces corpuscules orientés
tique à celle du corps cellulaire. Ainsi, tandis que le corps de la cellule et ses forte»- branches protoplasmiques, où son
tact efficace qu'avec les ramescences terminales des dendrites. Les cellules obscures se rencontrent chez tous les vertébrés e
ques et la dimi- nution des espaces fibrillaires du cytoplasma. Les cellules chro- mophiles représentent sans doute, comme N
sentent sans doute, comme Nissl le croit, un état fonctionnel de la cellule nerveuse, peut-être en phénomène d'arrêt provoq
la présence, dit Ramon y Cajal, chez certains leucocytes, dans les cellules du tissu connectif et dans celles de la névrogl
elle ne forme toutefois d'amas con- sidérables que dans les grandes cellules nerveuses. L'hislologisle espagnol est porté à
substance baaophile, 1 Non seulement elle fait défaut dans quelques cellules nerveuses, remarque Ramon y Cajal, mais dans le
ion « des- tinée sans doute à servir de matériaux de nutrition à la cellule durant son activité fonctionnelle ». Cajal esti
er d'une façon notable pendant la contraction. Quant au noyau de la cellule nerveuse, il se modifie lui aussi d'une manière
ne subit une concentration progressive en un ou deux nucléoles. Les cellules nerveuses dont la nucléine s'est ainsi différen
la période embryologique de leur existence. Il en est autrement des cellules de la névroglie, on le sait, dans lesquelles la
l. c., 373-377). J. Ni la structure interne ni les connexions de la cellule nerveuse cérébrale n'ont rien qui la distingue
a cellule nerveuse cérébrale n'ont rien qui la distingue des autres cellules nerveuses de même type. Quelle que soit sa fonc
cellules nerveuses de même type. Quelle que soit sa fonction, toute cellule nerveuse semble posséder la : même structure, l
, les mêmes propriétés physiques, la même composition chimique. Les cellules des cornes antérieures de la moelle, les cellul
ion chimique. Les cellules des cornes antérieures de la moelle, les cellules ganglionnaires de la rétine, celles du sympathi
sée, la science ne doit point perdre courage : ce qui distingue les cellules cérébrales de celles de la moelle et des gangli
é- ments, si bien que les mouvements intestins du protoplasma des cellules psychiques pourraient n'être point de même nature
ules psychiques pourraient n'être point de même nature que ceux des cellules nerveuses de ces catégories inférieures. ' Ramo
que, dans la série animale, les fonctions psychiques sont liées aux cellules pyra- midales « cellules psychiques ». Chez les
e, les fonctions psychiques sont liées aux cellules pyra- midales « cellules psychiques ». Chez les poissons, qui, « au pied d
ne saurais accorder il Cajal), il n'y a point, d'après Edinger, de cellules pyra- midales. Les cellules pyramidales possède
l), il n'y a point, d'après Edinger, de cellules pyra- midales. Les cellules pyramidales possèdent des caractères spé- ciaux
aux, mammifères, et qui ont été énumérés. IV. La forme allongée des cellules pyramidales, avec ses pro- longements multiples
avec ses pro- longements multiples, correspond bien à l'idée qu'une cellule ner- veuse doit être en rapport avec le plus gr
pport avec le plus grand nombre possible d'éléments. De même que la cellule de Purkinje du cervelet, grâce à son énorme dév
dendrites) avec des fibres nerveuses d'nne certaine catégorie, les cellules pyramidales recueillent, grâce à leur extrême l
protoplasmiques. Le nombre d'éléments déterminés avec lesquels une cellule peut entrer en relation dépend ainsi de l'extensi
s- miques. - V. - Plus on s'élève dansla série animale, plus la « cellule psy- chique grandit et se complique. On doit na
ire de la cel- lule nerveuse. Vraisemblablement les fonctions d'une cellule psy- chique ont d'autant plus de puissance et d
es, plus longues, plus ramifiées. Le degré de développe- ment de la cellule nerveuse est souvent en rapport avec son volume
est indépendant. En général, le volume des 298 REVUE CRITIQUE. 1 cellules semble être en rapport avec celui de l'animal : l
e en rapport avec celui de l'animal : la poule et le lézard ont des cellules pyramidales plus grandes que le moineau, mais s
les du prolonge- ment nerveux, ou, en d'autres termes, que plus une cellule est grande, plus est grand le nombre des cellul
rmes, que plus une cellule est grande, plus est grand le nombre des cellules (nerveuses, glandu- laires, musculaires) avec l
grosseur du corps cellulaire. VI. Les intervalles qui séparent les cellules psychiques étant remplis de ramifications nerve
ment réciproque. Chez les batraciens et les reptiles, les corps des cellules psychiques arrivent en quelques points presque
ports réciproques existant entre la supériorité fonctionnelle d'une cellule nerveuse et le nombre de ses prolongements peut
lement admise, que l'intelligence est en rapport avec le nombre des cellules du cerveau, et que ces cellules représentent so
est en rapport avec le nombre des cellules du cerveau, et que ces cellules représentent soit un simple instrument de l'âme,
e l'exercice du cerveau, quoique incapable de produire de nouvelles cellules (car les cellules nerveuses ne se multiplient pa,
rveau, quoique incapable de produire de nouvelles cellules (car les cellules nerveuses ne se multiplient pa, comme les cellu
ellules (car les cellules nerveuses ne se multiplient pa, comme les cellules musculaires), peut favoriser d'une manière extr
ait-on dire, qu'il y avait ou diminu- tion corrélative du corps des cellules nerveuses ou réduction du tissu de soutien. Pou
tation hérédi- taire ou autrement, le nombre relativement petit des cellules ner- veuses est compensé par un développement c
tions s'appuient sur une hypo- thèse naturelle relative au rôle des cellules et à celui de leurs pro- longements. On doit ad
apitale pour l'étude des fonctions du cerveau : I. Une ou plusieurs cellules nerveuses servent-elles de subs- tratum à chaqu
teurs ou de neurones où l'impression reçue à la périphérie, par une cellule d'un organe des sens, se propage en avalanche,
valanche, c'est-à-dire par l'intermédiaire d'un nombre croissant de cellules nerveuses, jusqu'au cerveau. 11 existe donc des
t l'impression, par un cône ou par un bâtonnet rétiniens, par une cellule ciliée du limaçon, etc. Mais l'unité d'impression
seul cône, peut affecter des centaines et peut-être des milliers de cellules nerveuses d'un centre de l'écorce cérébrale, et
xemple, se compose d'autant d'unités d'im- pression qu'il y a eu de cellules nerveuses simultanément exci- 300 REVUE CRITIQU
onnexions ou associa- tions d'un nombre extraordinairement grand de cellules pyrami- dales de l'écorce. Ces cellules forment
extraordinairement grand de cellules pyrami- dales de l'écorce. Ces cellules forment un groupe physiologique qui correspond
sations a (p. 5). Le phé- nomène de l'avalanche implique que chaque cellule d'un organe des sens prend part, avec chaque gr
sens prend part, avec chaque groupe correspondant, subor- donné, de cellules pyramidales, à la production des images distinc
e de Corli central, etc. Toutefois, dans l'écorce cérébrale, chaque cellule d'un organe périphérique des sens est représent
des sens est représenté non par une pyramide, mais par un groupe de cellules pyramidales. Chaque groupe de cellules pyramida
amide, mais par un groupe de cellules pyramidales. Chaque groupe de cellules pyramidales relié anato- miquement avec une cel
aque groupe de cellules pyramidales relié anato- miquement avec une cellule sensorielle d'un organe des sens conserve, à l'
nt, les diverses images, ou mieux les unités d'impression que cette cellule lui communique à certains moments. Dans chaque
hologique. La dissemblance dépendrait du petit nombre de groupes de cellules pyramidales communs à deux repré- sentations su
re les collatérales nerveuses et les expansions protoplasmiques des cellules résidant dans le même centre cérébral; peut-être
des cellules résidant dans le même centre cérébral; peut-être les cellules à cylindraxe ascendant de Martinotti et les cellu
peut-être les cellules à cylindraxe ascendant de Martinotti et les cellules pluripo- laires de la première couche corticale
s et des couleurs, etc.) auraient pour substratum de conduction les cellules d'association et celles des flores calleuses de
celles des flores calleuses des hémisphères cérébraux : grâce à ces cellules , les groupes des pyramides des centres visuels,
s mor- phologiques corrélatives à l'état de repos ou d'activité des cellules nerveuses, que, pendant l'activité psychique, l
llules nerveuses, que, pendant l'activité psychique, les formes des cellules de la névroglie de la substance grise du cervea
ort comme des formes fixes, comme des variétés mor- phologiques des cellules typiques de Deiters.Selon Cajal on doit disting
ie de la substance grise. Quant aux théories d'après lesquelles les cellules de Deiters serviraient d'intermédiaire à la nut
faut les abandonner. Sile,plasma sanguin destiné à la nutrition des cellules nerveuses passait par les cellules de la névrog
nguin destiné à la nutrition des cellules nerveuses passait par les cellules de la névroglie avant de parvenir aux cellules ne
uses passait par les cellules de la névroglie avant de parvenir aux cellules nerveuses, elles commenceraient par en absorber
les commenceraient par en absorber une grande partie. En outre, les cellules de la névroglie n'existent que dans certains terr
cérébrale, et elles sont précisément en plus grand nombre là où les cellules nerveuses abondent le moins. Des cellules aussi
us grand nombre là où les cellules nerveuses abondent le moins. Des cellules aussi petites, isolées, délicates, que celles d
évroglie ne sauraient non plus servir de soutien (sustentaculo) aux cellules nerveuses. Pourquoi ces dernières manqueraient-
-elles même parfois de ce pré- tendu mode de soutien, alors que les cellules de la névroglie sont accumulées en très grand n
ivité des fonctions supérieures du cerveau, les diverses classes de cellules de la névroglie distin- guées par R. y Cajal.
sses de cellules de la névroglie distin- guées par R. y Cajal. 1° Cellules de névroglie de la substance blanche. - Elles son
espaces ou interstices par lesquels se répandrait la lymphe. `3° Cellules de névroglie péri-vasculaires. Bien décrites par
pareils pseudopodes qui divergent en tous sens. La fonction de ces cellules THÉORIE DES NEURONES. 303 est de susciter, pa
la plus ou moins grande inten- sité des processus psychiques. 3° Cellules de névroglie de la substance grise. Connues surto
ssés d'un grand nombre de courtes collatérales pennées. Ce sont ces cellules qui ont apparu à Ramon y Cajal sous deux formes
a). Stade de contraction, dans lequel le corps protoplasmique de la cellule grossit tandis que ses prolongements diminuent en
s ramifications secondaires. Sous cet aspect, eiles ressemblent aux cellules pigmentaires et chromatophores de la peau de ce
pigmentaires et chromatophores de la peau de certains animaux : ces cellules , contractiles, étendent leurs expansions dans l
ons dans l'état de repos, les rétractent dans l'état contraire. Ces cellules de la névroglie abondent surtout là où. se renc
léculaire de l'écorce cérébrable, où les panaches périphériques des cellules pyramidales.entrent en contact avec une infinité
s, ces pseudopodes permettent l'établissement de contacts entre les cellules et les arborisations nerveuses aupara- vant sép
lunt(id) qui. étendant ainsi ce stimulus à un groupe particulier de cellules de névroglie, dirige le processus de l'associatio
hèse, b). Etal de relâchement (relaja- cion). Les prolongements des cellules de la névroglie, qui, en réalité, représentent
nerveux », pénètrent alors entre les arborescences nerveuses et les cellules nerveuses ou leurs expansions protoplasmiques,
ctivité ou de repos. Cajal fait remarquer que la contraction de ces cellules de la névroglie ne coïncide pas avec le repos d
ns l'hypothèse de M. Duval (où il n'est pas d'ailleurs question des cellules de névroglie). III. Pour la théorie de l'attent
un petit nombre d'idées associées, outre la contraction intense des cellules de la névroglie qui doit se produire dans le ce
l, sous l'influence de la volonté (voluutad), les pseudo- podes des cellules péri-vasculaires de la névroglie, fixés sur les
ature à favoriser ces hyperhémies physiologiques, en protégeant les cellules nerveuses voisines contre les pressions et les
stème nerveux, masse de remplissage, tissu qui pro- lifère quand la cellule nerveuse dégénère, ne posséderait point les THÉ
quement les fibres de la névroglie, avec les noyaux de toutes les cellules , y compris ceux des cellules de névroglie, et éve
vroglie, avec les noyaux de toutes les cellules, y compris ceux des cellules de névroglie, et éventuelle- ment les corpuscul
s du sang dans les vaisseaux; elle ne colore ni le protoplasma des. cellules nerveuses ou névrogliques ni les prolongements
sont pas encore différenciées des corps protoplasmi- ques de leurs cellules d'origine. La méthode d'imprégnation métal- liq
névroglie, en particulier du rap- port génétique des fibres et des cellules de ce tissu. La méthode de Golgi imprègne en ef
, à l'exception des gaines de myéline, et fait apparaître, avec les cellules nerveuses et leurs prolongements, les cellules ép
apparaître, avec les cellules nerveuses et leurs prolongements, les cellules épen- dymaires, les cellules de la névroglie et
nerveuses et leurs prolongements, les cellules épen- dymaires, les cellules de la névroglie et leurs prolongements (F01'siÏ
r Zellen). Que les fibres de la névroglie ne soient pas nées de ces cellules , mais soient nées originairement comme tissu in
que l'établissent les recherches embryologiques. Le cylindraxe des cellules nerveuses est aussi du protoplasma modifié, dit
vue de la coloration, il se distingue du corps protoplasmique de sa cellule d'origine en s'en éloignant : mais il n'existe
ne et la fonction de la névroglie; Hensen, en 1876, avait suivi les cellules épithéliales jusqu'à la pie-mère, ainsi que l'a
l'a rappelé Lenhossek. Jastrowitz, qui le premier employa le nom de cellules en araignées (Spinlw1tellcn) pour désigner les
le nom de cellules en araignées (Spinlw1tellcn) pour désigner les cellules de Deiters, avait indiqué les rapports de l'épith
sorte de tissu connectif; en d'autres termes, il ne tenait pas les cellules épithéliales pour la matrice des cellules en ar
mes, il ne tenait pas les cellules épithéliales pour la matrice des cellules en araignées, mais bien les cellules en araigné
ithéliales pour la matrice des cellules en araignées, mais bien les cellules en araignées pour la matrice des endothéliums é
s voyons ici jusque dans ses moindres particularités l'identité des cellules de névroglie avec l'épithélium des ventricules.
oderme, une autre de l'ecloderme. Seule, l'origine ectodermique des cellules de Deiters est admissible. La nature est arrivé
douteux un seul instant que, au moins pour les c prolongements des cellules de Deiters », pour les Lang- strahler, fibres d
déjà différenciées à proximité du noyau et du proto- plasma de ces cellules , dont elles sont émancipées, chez l'adulte, à l
nt émancipées du corps cellulaire; 3° parce que ces fibres et leurs cellules se comportent, à l'état pathologique, tout à TH
on répète, après Frommann et Golgi, que la névroglie est formée des cellules et des prolongements de ces cellules, cela n'es
ue la névroglie est formée des cellules et des prolongements de ces cellules , cela n'est exact, chez l'homme, suivant Weigert,
la névroglie est formée, comme l'enseigne Weigert après Ranvier, de cellules , et, en outre, de fibres, celles-ci l'emportant
érer comme l'élément essentiel de ce tissu. Quant à l'origine des cellules de Deiters, Weigert adopte les idées de la scie
emps sur la phylogénie et l'ontogénie de ces éléments : ce sont des cellules émigrées des surfaces inté- rieures des centres
llules émigrées des surfaces inté- rieures des centres nerveux; les cellules épithéliales du canal cen- tral et des ventricu
et périphériques de ces corpuscules s'atrophient, et ces anciennes cellules épithéliales, arrêtées en pleine substance blan
, arrêtées en pleine substance blanche ou grise, se transforment en cellules en araignées. Dislo- cation et différenciation
rment en cellules en araignées. Dislo- cation et différenciation de cellules originairement épithéliales en cellules en arai
ation et différenciation de cellules originairement épithéliales en cellules en araignées, voilà donc le seul mode liistogéniq
est-à-dire durant la phase d'émi- gration et de transformation, ces cellules se multiplient (Lenhossek). Le développement on
s la moelle épinière et le cervelet des oiseaux on trouve de vraies cellules en araignées; dans le cerveau, on ne ren- contr
ransition se montrent dans la moelle épinière : il n'existe que des cellules épithéliales dans l'écorce céré- brale et le lo
ces apparaissent. Chez les poissons, il existe dans le cervelet des cellules de névroglie qui ressemblent, dit Sala y Pons, à
mbryonnaire, on retrouve les formes primitives de ces éléments. Les cellules épithéliales et les 308 REVUE CRITIQUE. cellu
es éléments. Les cellules épithéliales et les 308 REVUE CRITIQUE. cellules de Deiters peuvent remplir la même fonction. Au d
ment et phylogéniquement, comme substance de soutènement, que des cellules épithéliales (moelle épinière des poissons, écorc
emiers stades de leur développement); à des degrés plus élevés, les cellules en araignées dominent (moelle épinière des oise
u et du cervelet de ces derniers); à des degrés intermédiaires, les cellules épithéliales et celles qui se rapprochent déjà
ules épithéliales et celles qui se rapprochent déjà de la forme des cellules en araignées se montrent dans l'écorce cérébral
us un centre nerveux augmente de volume, plus diminue le nombre des cellules épithéliales de soutènement qui envoyaient d'ab
de Weigert, où les corps et les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses, ainsi que le commencement des cylindra
apports admis par Golgi entre les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses et la. névroglie n'existent donc poin
me dans le tabes et les dégénérescences secondaires, que toutes les cellules nerveuses soient frappées comme dans la poliomy
uites comme dans la paralysie générale, que tout l'élément nerveux, cellules et prolongements, dégénèrent comme dans les néc
a paralysie générale en particulier, on voit d'énormes quantités de cellules en araignées ou astrocytes, aux corps cellulair
à l'hypo- thèse de l'existence de rapports entre les dendrites des cellules ner- veuses et les prolongements des cellules d
tre les dendrites des cellules ner- veuses et les prolongements des cellules de la névroglie, condition anatomique des fonct
d'admettre que les fibrilles de la névroglie ne fussent pas nées de cellules de névroglie : « La nouvelle méthode de Wei- ge
éments qui ne se colorent pas par cette méthode, le protoplasma des cellules de névroglie, par exemple, par la raison qu'on
n chimique existant entre les prolonge- ments et le protoplasma des cellules de la névroglie pour nier la réalité de leur co
oivent être considérées comme des prolongements véritables de leurs cellules d'orig-ine. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. DE
oser que même si la corue antérieure était lésée, la suppléance des cellules détruites serait prise par les cellules saines
it lésée, la suppléance des cellules détruites serait prise par les cellules saines du segment blessé et aussi par les cellu
it prise par les cellules saines du segment blessé et aussi par les cellules des autres segments préposées au même muscle ou
logique montre que les fibres nerveuses sont normales; de même les cellules nerveuses, la névroglie, les vaisseaux. Dans la g
ettre en évidence, dans la moelle de sujets adultes, l'existence de cellules identiques par leur forme et par leur situation
nce de cellules identiques par leur forme et par leur situation aux cellules de l'épendyme que l'on trouve chez l'embryon.
: elles sont assez encombrées. Chauffage au charbon de bois. Les cellules ont trois parois de bois; la quatrième est consti
rées et complètement isolées, et nulle part les prolongements d'une cellule ne passent à ceux d'une autre. M. Waldeyer a pr
uvelle méthode d'inves- tigation, nons ne supposions pas que chaque cellule ner- veuse ait une aussi grande quantité de pro
ts pro- toplasmiques ou de dendrites. Outre ces dernières, chaque cellule nerveuse a un ou plusieurs prolongements cylin-
teint toujours les prolonge- ments protoplasmiques de quelque autre cellule et forme autour de ceux-ci tout un réseau d'arb
n fait fondamental de notre conception contemporaine du rapport des cellules nerveuses entre elles. Pour ce qui con- cerne l
nt de leur côté vers les prolongements protoplasmiques des autres cellules nerveuses, ne se continuant nulle part avec eux.
veuse, quel que soit le nombre des prolongements qu'elle émette, la cellule nerveuse LA THÉORIE DES NEURONES. 339 peut êt
e neurones pour chaque région du système nerveux ; par exemple, les cellules pyramidales avec leurs panaches pro- toplasmiqu
les autres élé- ments en y excitant une vibration moléculaire. La cellule nerveuse joue, à l'égard du cylindraxe, le rôle
u cylindraxe, le rôle du centre trophique, car la destruction de la cellule provoque l'atrophie de la fibre, qui est en con
laire, ce qui est d'une grande importance pour la nutrition de la cellule . Outre leurs fonctions spécialement nerveuses, le
'amibe. Un savant allemand, M. VViedersheim, a réussi à observer la cellule nerveuse d'un animal inférieur pendant son acti
n animal inférieur pendant son activité, et il put constater que la cellule ne reste pas en repos, mais change de forme. De
s terminales. De quelle manière s'accomplit donc la nutrition de la cellule et de ses nombreuses dendrites ? Nous savons dé
le, dans lesquelles siègent les prolongements protoplas- miques. La cellule avec ses nombreuses dendrites nous appa- rait d
corticale, qui nous présente pour le moment le plus d'intérêt. Les cellules pyramidales, connues aussi sous le nom de cellu
s d'intérêt. Les cellules pyramidales, connues aussi sous le nom de cellules psychiques, que nous trouvons uniquement dans l
fonctions. Quoique de volume inégal et de différentes formes, les cellules pyramidales gardent partout leurs particularités
la troisième des quatre couches de l'écorce cérébrale. Les petites cellules pyra- midales sont situées plus près de la surf
dans ce réseau épais, formé par les éventails protoplasmiques des cellules pyramidales, se trouvent d'autres éléments nerveu
s et polygonaux. Cependant les ramifications cylindraxiles de ces cellules montrent une tendance à prendre une position para
lles. Ces dernières servent à unir les panaches protoplasmiques des cellules pyramidales. Comme ces panaches montent vers la
son bord externe, un cylindre-axe plus ou moins long lie plusieurs cellules pyramidales, en s'entrelaçant consécutivement d
en rapport intime avec les fonctions psychiques. Ce pa- nache de la cellule pyramidale apparaît comme son supplé- ment, qui
organe supé- rieur de la vie psychique. Quel est donc le rôle des cellules situées dans la première couche de l'écorce cér
stinées à remplir la fonction des voies d'association à l'égard des cellules pyrami- dales ? Nous pouvons les envisager comm
emple, leur attribuent uniquement des fonctions psy- chiques. Les cellules pyramidales ou psychiques, outre leur lien avec
manière suivante, dont nous donnons quelques exemples : 1° D'une cellule pyramidale située, par exemple, dans les lobes
ions terminales, et où il entre en contact avec les dendrites d'une cellule pyramidale quel- conque. Une grande quantité de
e le nombre de voies d'association, c'est-à-dire de liens entre les cellules nerveuses situées dans le même hémisphère est p
nerveuses situées dans le même hémisphère est presque fabuleux. Une cellule se ratta- che à l'aide de filets cylindraxiles
liens commissuraux destinés à transmettre le courant nerveux d'une cellule , située par exemple dans l'hémisphère droit, à
ne cellule, située par exemple dans l'hémisphère droit, à une autre cellule , située dans l'hémisphère gauche ou dans le sen
ontraire, il sont aussi formés de la même manière, déjà décrite. La cellule pyramidale projette un prolongement cylindraxil
, où il émet des ramifications et entre en contact non pas avec une cellule pyramidale, mais avec plu- sieurs, ce qui s'eff
ies de transmission du courant nerveux : ce dernier, naissant d'une cellule , peut se transmettre à l'aide de voies latérale
urones proches et éloignés. Outre les cylindraxes, qui naissent des cellules pyrami- dales ou de quelques autres cellules de
axes, qui naissent des cellules pyrami- dales ou de quelques autres cellules de l'écorce cérébrale, dans cette dernière pass
ons également ici, qu'une fibre entre en connexion avec beaucoup de cellules pyra- midales à l'aide de ses collatérales et d
fications cylin- draxiles. Nous avons affaire ici à des millions de cellules , une grande partie desquelles ont des milliers
cérébrale, notons, que dans sa quatrième couche sont situées des cellules de différentes dimensions, douées de la particula
erveux. Nous ne savons pas encore quelles sont les fonctions de ces cellules . Elles servent, évi- demment, à la transmission
iques à travers les centres inférieurs. L'activité indépendante des cellules pyramidales consiste dans la transformation et
de moléculaire, qui surgit au panache proto- plasmique d'une petite cellule pyramidale, peut passer par son cylindraxe dans
me nerveux, ou transmettre à l'aide des liens latéraux d'une grande cellule pyramidale, à d'autres cellules, situées dans l
aide des liens latéraux d'une grande cellule pyramidale, à d'autres cellules , situées dans la couche sous- jacente. L'écor
ces dernières en occupent deux zones délimitées par une couche de cellules fusiformes verticales. Les couches inférieures on
cellules fusiformes verticales. Les couches inférieures ont plus de cellules , dont le cylindraxe prend la direction ascen- d
ssance n'est pas encore élucidée. Ces cylindreaxes, qui naissent de cellules nerveuses, qui nous sont encore inconnues, cond
arborisations terminales des cylindraxes centrifuges atteignent les cellules de l'appareil périphérique perceptif et ne s'y
nnent à la rétine, pénètrent, à l'aide d'une chaîne de neurones aux cellules du cerveau, d'où partent à travers les fibres c
las- mique des neurones périphériques. L'excitation, parvenue aux cellules de l'écorce cérébrale par l'organe de la vue, se
tion sont formées de la même manière. Nous pouvons admettre que les cellules situées dans deux régions éloignées l'une de l'
he graduellement de l'époque à laquelle il pourra marcher, sont les cellules de Purkinje et celles qui se développent dans l
pour prendre part à la formation de la substance moléculaire; les cellules de Purkinje ont bien la signification de cellules
moléculaire; les cellules de Purkinje ont bien la signification de cellules motrices et les autres sont en connexion intimé
as » le riche développement des branches protoplasmiques des larges cellules motrices. Quant au stratum granuleux interne, q
nt celles, que l'on remarque d'une part entre les prolongements des cellules de Pur- kinje et les plexus ramifiés, et d'autr
s ramifiés, et d'autre part entre les prolongements descendants des cellules en corbeille et les pieds des cellules de Purki
rolongements descendants des cellules en corbeille et les pieds des cellules de Purkinje. En résumé, au sur et à mesure qu
es tubercules quadriju- meaux antérieurs sont atrophiés; seules les cellules ganglionnaires des tubercules quadrijumeaux con
e donnent pas naissance aux fibres optiques; ce rôle est dévolu aux cellules ganglionnaires de la rétine. Les fibres optique
res de la rétine. Les fibres optiques viennent s'épanouir parmi les cellules du corps genouillé externe, mais n'entrent pas
uillé externe, mais n'entrent pas en contact intime avec elles. Ces cellules servent d'appareils de transmission qui envoient
sion qui envoient plus loin les impressions lumineuses. Ce sont des cellules intercalaires de Monakow '. Le corps genouillé
ans la circonvolution calcarine et une diminution assez marquée des cellules des autres couches de la même circonvolution.
ses serait schématiquement la suivante : par l'intermédiaire de ses cellules ganglionnaires, la rétine envoie l'excitation a
ouillé externe; là les cel- lules intercalaires la transmettent aux cellules ganglionnaires qui l'envoient finalement, à l'a
, n° 9.) Roubinovitch. XXIX. SUR UNE particularité DE structure DES CELLULES DE la COLONNE DE CLAME ET SUR L'ÉTAT DE CES CEL
structure DES CELLULES DE la COLONNE DE CLAME ET SUR L'ÉTAT DE CES CELLULES DANS LE TABES SIMPLE OU ASSOCIÉ A LA PARALYSIE
s de para- lysie générale et de tabes, pour y rechercher l'état des cellules des colonnes de Clarke. Dans la paralysie gén
cellules des colonnes de Clarke. Dans la paralysie générale, ces cellules sont augmentées de volume, tuméfiées : leur noy
atophiles n'occupent qu'une couche mince qui borde le contour de la cellule nerveuse. Le noyau n'est presque jamais rond; i
. D'une manière générale, plus le noyau est excen- trique, moins la cellule est riche en éléments chromatophiles et vice ve
. Dans le cas de paralysie générale comme dans ceux de tabès, les cellules de la corne antérieure n'étaient pas tout à fait
moins nombreux. L'existence de ces modifications de structure des cellules de la corne antérieure pourrait expliquer certain
du volume des muscles et l'atrophie simple. Ces modifications des cellules de la colonne de Clarke appar- tiennent-elles e
ou dans celles qui ne présentaient pas de \ lésions grossières, les cellules de la colonne de Clarke ont un aspect à peu prè
Toutefois les modifications sont moins accentuées : le volume des cellules n'est pas augmenté, les prolongements des cellule
: le volume des cellules n'est pas augmenté, les prolongements des cellules sont plus nombreux et plus visibles, la cellule
prolongements des cellules sont plus nombreux et plus visibles, la cellule plus riche en éléments chromatophiles disposés
aussi dans des moelles d'individus morts d'an- tres affections, les cellules de la colonne de Clarke présentent fré- quemmen
ans ce travail. R. DE Musgrave-Clay. XXXVII. SUR H nomenclature DES cellules nerveuses; par FR : 1NE- BAKER. (Nem-York Médic
e divisent en : 1° Éléments collecteurs, ou æsthésione1l1'es. a). Cellules disséminées, ou sporadoneures. b). Cellules ras
æsthésione1l1'es. a). Cellules disséminées, ou sporadoneures. b). Cellules rassemblées en ganglions ou ganglioneures. 2° É
s ou ganglioneures. 2° Éléments associateurs, ou zygoneztres. a). Cellules des voie* courtes, ou brachyneures. b).' Cellul
ygoneztres. a). Cellules des voie* courtes, ou brachyneures. b).' Cellules des voies longues, ou téléneures. 3° Éléments d
es, ou téléneures. 3° Éléments de décharge, ou dynamoncures. (t). Cellules correspondant aux muscle, ou myoneures. b). Cel
ncures. (t). Cellules correspondant aux muscle, ou myoneures. b). Cellules correspondant aux glandes, adénoneures. Il. M.-
. (Il Alanicomio, XII, fasc. 1.) XLIV. Guérison des altérations DES CELLULES NERVEUSES cérébrales; par eiLE5Sl. (Il l11anico
acteur organique consistant dans la dépres- sion de la vitalité des cellules , dans lesquelles se déroule le processus morbid
sécrétions, aux tonus vasculaires, aux phéno- mènes trophiques des cellules de nos tissus, et ses altérations amènent souda
la substance blanche du lobe temporal. 11 s'agissait d'un sarcome à cellules fusiformes avec un stroma résistant de tissu co
cérébrale. M. TRONER (Ileidelberg). Modifications pathologiques des cellules nerveuses; leur mto'op/tOtoftp/He. T... insiste
ne coloration légère de la substance habituellement non colorée des cellules motrices des cornes antérieures et des noyaux d
iens, des altérations des corpuscules colorés à la périphérie de la cellule et dans ses prolongements; une dégénération gra
cellule et dans ses prolongements; une dégénération granuleuse des cellules de Purkinje et des cel- lules pyramidales (alté
SOCIÉTÉS SAVANTES. 405 ments et de leurs prolongements). A côté des cellules lésées, s'en trouvaient d'autres normales. Sur
ze jours avec 8 grammes de trional, on a trouvé des altérations des cellules des cornes antérieures et des cellules de Purki
a trouvé des altérations des cellules des cornes antérieures et des cellules de Purkinje, analogues aux précédentes, mais sa
ent donc les résultats communs suivants : 1° intégrité relative des cellules des ganglions spinaux par rapport aux cellules
tégrité relative des cellules des ganglions spinaux par rapport aux cellules motrices; 2° persis- tance d'éléments normaux à
'alcool, ce sont les parties périphériques et les prolongements des cellules qui étaient surtout intéressés : dans l'empoiso
s couleurs basiques d'aniline montrent l'existence, dans toutes les cellules nerveuses fixées par l'alcool, d'une substance qu
e substance est répartie d'une façon qui varie avec la nature de la cellule et qui est suffisamment -caractéristique pour f
isamment -caractéristique pour faire reconnaître à quelle espèce de cellule on a affaire. La méthode de Beckera montré que,
S SAVANTES. 407 faire admettre qu'il en est de même dans les autres cellules ner- veuses. La question n'est .d'ailleurs pas
chromalophile est constituée par la persistance du protoplasma des cellules embryonnaires, qui s'imprègne plus ou moins de co
; 4° Flemming, dans ses dernières publications sur la structure des cellules des ganglions spinaux, admet, dans la subs- tan
riedmann, Kronthal ont mëmeidentifié la substance chromatophile des cellules nerveuses motrices avec les fibrilles de Max Schu
ement ne nous permettent que de faire l'analyse de la substance des cellules nerveuses. INISSL a fait. depuis plusieurs an
recherches sur les mo- fidications structurales de la substance des cellules motrices par le repos, l'activité, la fatigue.
les motrices par le repos, l'activité, la fatigue. L'excitation des cellules par le courant faradique a seule donné des résu
es couleurs basiques, s'amassent danslescellules motrices, dans les cellules des ganglions sympathi- ques, de la rétine, du
dérer comme scientifiquement établis sont : 1° l'existence dans les cellules nerveuses d'une substance chromatophile et d'un
connus 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. qui agissent sur la substance de la cellule nerveuse, déterminent d'abord une modification
répa- ration de la lésion n'est possible que losrque le noyau de la cellule n'a pas été altéré ; 4° il est a démontrer expé
s correspondant à l'état d'activité, de repos et d'épuisement de la cellule nerveuse. Dans ces expé- riences, il n'est pas
rmiques et non de l'activité physiologique ; 5° la chromophilie des cellules nerveuses est une production artificielle, post
s change- ments que la substitution du linoléum au parquet dans les cellules . La dépense est évaluée à 210 01)0 francs, raba
ez-de-chaussée comprend un vestibule desservant le 1er étage; seize cellules don- nant sur une vaste galerie éclairée sur le
«De concert avec M. le Dr Briand, le soussigné a prévu, pour les cellules du rez-de-chaussée, des châssis fixes, en glace d
si que cela vient d'être fait à l'Asile Clinique dans les nouvelles cellules du pavillon Leuret. Tous les planchers sont en
gitées et le septième aux gâteuses. La construction du Pavillon des cellules (huitième quartier) faisant suite au septième (
ne figurant pas au dossier. Le nouveau pavillon doit comprendre 38 cellules et 1 dortoir de 10 lits, soit au total 48 place
écembre. asiles d'aliénés. 41 S assentiment à cette disposition : cellules uniquement à rez-de- chaussée. Les motifs tirés
ne manque pas d'ail- leurs, à Villejuif, pour faire un pavillon de cellules il rez-de-chaussée. 3° Le pavillon comprend deu
ellules il rez-de-chaussée. 3° Le pavillon comprend deux groupes de cellules , l'un à gauche, l'autre a droite du vestibule d
du groupe de gauche auront, pour s'y rendre, à traverser toutes les cellules du groupe de droite. On aurait pu éviter les
e, l'architecte a pu prévoir une porte à chacune des extrémités des cellules , comme cela doit être, il n'a pu le faire au 1°
pu le faire au 1°I' étage : c'est encore un argument en faveur des cellules à rez-de-chaussée. 6° Les préaux devront avoir
lisses, et non des aspérités comme dans les préaux des quartiers de cellules de quel- ques-uns de nos asiles. S'il y a des s
ans le dossier la description complète, détaillée du type choisi de cellules . En tout cas, nous savons qu'il n'a pas été pos
En tout cas, nous savons qu'il n'a pas été possible d'éclairer les cellules par leurs parties supé- rieures. Nous nous so
Dr Bourneville m'a paru porter sur la disposition intérieure des cellules et sur la nécessité qui s'impose, selon lui, de n
llules et sur la nécessité qui s'impose, selon lui, de ne placer de cellules qu'au rez-de-chaussée. C'est sur ces points, je p
nts, je pense, que doit être concentré le débat. . M. LE Roux. La cellule proposée dans ce projet n'est que la reproducti
roposée dans ce projet n'est que la reproduction du dernier type de cellule , approuvée par la Com- mission à l'Asile Cliniq
corps médical., M. le Rapporteur ne peut admettre l'installation de cellules ailleurs qu'au rez-de-chaussée. Il me permettra
que l'on s'en tienne aux conditions fondamentales d'un service de cellules , telles qu'elles ont été posées par Esquirol, par
rde fort bien aussi avec celle émise, par Féré et pour laquelle les cellules nerveuses restent influencées après l'attaque,
re très accentuée des gaines péri-vascu- laires, dégénérescence des cellules ganglionnaires et oblitération des autres éléme
ltration cellulaire des gaines péri-vasculaires, dégénérescence des cellules ganglionnaires, disparition des éléments de str
- resse les nerfs périphériques, on constate une augmentation des cellules de la névroglie et une dégénérescence des fibres
lite antérieure aiguë, mais il est probable qu'il existait dans les cellules ganglion- naires des altérations que les méthod
les caractères de la moelle foetale, caractérisée par de nombreuses cellules médullaires, de nombreux capillaires, quelques
(acide urique, urée, créatine) pénètrent le tissus nerveux. 3° Les cellules qui entourent les manchons amyélins, la gaine d
dégénérescence des cylindraxes, due elle-même à l'atrophie de leurs cellules d'origine. Dans la myélite transverse, la paral
n entier (gaine de myéline et cylindraxe), sans participation de la cellule originelle. 493 BIBLIOGRAPHIE. La lésion est,
s de la -. par Kroepelin, 396. Cécité brusque, par Vanghop, 54. Cellules nerveuses. Pathologie de la -, par Julinsburer,
aig pour les épilepti- ques, par Peterson, 73. Colonne DE CLARKE. Cellules de la - dans le tabes simple ou asso- cié à l
3 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
l'une de l'autre. On y constate la dis- parition de la plupart des cellules et des libres. Les cellules qui restent sont le
tate la dis- parition de la plupart des cellules et des libres. Les cellules qui restent sont le plus souvent atrophiées et
ses, à gauche comme à droite, sout très bien conservés et que leurs cellules sont normales. Le noyau dorsal gauche du pneumo
minal de KoelliJ.'e ! ' (dans la substance grise centrale) quelques cellules pigmentées et d'autres dégénérées d'une antre m
On rencontre çà et là, à côté d'éléments abso- lument normaux, des cellules dégénérées ou pigmentées, dispersées dans le ti
du côté cérébral, on constate une dégénéres- cence considérable des cellules nerveuses et leur disparition en masse, dans la
mplètement atrophiée à gauche qu'on zip aperçoit que quelques rares cellules nerveuses normales; la plupart des cellules sont
çoit que quelques rares cellules nerveuses normales; la plupart des cellules sont réduites il l'état de granulations anguleu
arlons est relativement bien conservée. On y rencontre sa et là des cellules complètement normales; c'est la partie dorso-laté
ère que la moitié de celui du côté droit. On y trouve de nombreuses cellules dégénérées. Le noyau ventral n'a pu être examin
u corps restiforme présente uue atrophie très nette à droite de ses cellules ganglionnaires. Le noyau de Deite/'s est sensible
ise du pont est très comprimée et atrophiée à gauche (PI. III). Ses cellules ont disparu en grand nombre, surtout dans les par
e est d'un tiers plus petit à droite qu'à gauche. On y remarque des cellules ganglionnai- res dégénérées. Dans l'hémisphère
incissement et resserrement des volutes, dégénération partielle des cellules ). La compres- sion du corps restiforme à gauche
ration marquée par la flèche moyenne serait ainsi pla- cée dans les cellules de la portion latérale de sa voie sensorielle du
artie médiane; cette atrophie correspondait à la dégénérescence des cellules ganglionnaires de la substance grise du pont à
ger donnât des renseignements plus circonstanciés sur le groupe des cellules de cette région interne du corps restiforme qui o
ires sont adjoints des éléments cel- lulaires nombreux. Ce sont des cellules conjonctives à noyaux irrégulière- ment fusifor
(Planche V.) Ce sont des fibromes constitués par des fibres et des cellules conjonctives for- mant un nodule très dense. Il
he des ^libres amyétiniques ; nous n'avons pas constaté non plus de cellules gan- glionnairesacorniales ou altérées. Tout ce
if tous les stades du développement, depuis le tissu dit muqueux, à cellules volumineuses, étoilées ou rondes plongeant dans u
rilles conjonctives, jusqu'à du tissu fibroïde très dense à petites cellules fusiformes emprisonnées par depetites fibrilles c
scum est formé par un stroma fibreux enfermant dans ses mailles des cellules rondes ou étoilées, pouvant être plus ou moins in
et des parties voisines par le néoplasme, la présence de nombreuses cellules embryonnaires donnent la tumeur une apparence mal
gique montre l'existence d'une polynévrite avec état vacuolaire des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle.
ce de névrites périphériques la présence de lésions cellulaires des cellules motrices mé- dullaires, altérations visibles pa
xe qui en émane, sur la possibilité d'altération dynamique de cette cellule commandant la dégénérescence périphérique de so
rs de l'influence qu'a pu avoir une altération même dynamique de la cellule moellulaire motrice sur les altérations de son
Les noyaux des nerfs moteurs oculaires communs sont respectés. Les cellules du côté droit paraissent cependant moins volumine
udoripares, l'existence de gout- telettes graisseuses et de petites cellules adipeuses isolées, disposées en traînées ; d'au
l'examen histologique le plus minutieux ne décela ni tubercules, ni cellules géantes, ni bacilles ; l'inoculation à des coba
2 CHARLES LADAME Nissl, touchant la fine structure analomique de la cellule nerveuse et ses lésions. 1. Quelques modifica
ns la technique histo- logique, nos notions sur l'anatomie fine des cellules nerveuses étaient très élémentaires ; on posséd
un schéma général pouvant s'appliquer indif- féremment à toutes les cellules de n'importe quelle région du 'névraxe. Grâce à
là, ce qui permit, non seulement de fixer certains types définis de cellules , mais aussi de reconnaître les modifications su
uisqu'elle met en évidence les modifications qui s'opèrent dans les cellules nerveuses pendant leur activité fonction- nelle
ie générale des centres nerveux. Cette méthode nous montre dans les cellules nerveuses des lésions qui, hier encore, étaient
VAN Geiiuchten et Nelis, Quelques pointa concernant la structure des cellules des ganglions spinaux. La Cellule, tome XIV, 2°
inta concernant la structure des cellules des ganglions spinaux. La Cellule , tome XIV, 2° fasc., 1898, p. 34. (2) Voir auss
le liquide de Gilson, pour la fixation des éléments nerveux. Les cellules se sont rétractées d'une façon très sensible dans
es et les colorations ont pleinement réussi. Cette rétraction des cellules ne permet pas d'être très affirmatif quant à la
'existence d'une turgescence. Cependant, étant donné que toutes les cellules d'une même préparation sont rétractées uniformé-
tense, agréable à l'oeil. Quoi- qu'elle se porte aussi bien sur les cellules névrogliques et conjonctives que sur les élémen
ant d'une façon si discrète sur les premières que l'observation des cellules nerveuses n'en est nullement gênée. Le bleu d
s les éléments figurés des coupes et d'une façon si intense que les cellules nerveuses ne sont pas suffisamment différenciée
le protoplasma cellulaire. DEUXIEME PARTIE ANATOMIE FINE DE LA CELLULE NERVEUSE. On divise actuellement les éléments n
actuellement les éléments nerveux en deux grands grou- pes (1), les cellules caryochromes et les cellules somatochromes, selon
veux en deux grands grou- pes (1), les cellules caryochromes et les cellules somatochromes, selon que les couleurs basiques
ne se fixent sur le noyau ou sur le pro- toplasma cellulaire. Les cellules somatochromes sont de beaucoup les plus répandues
les mieux connues. Elles feront seules l'objet de notre étude, les cellules ca- ryochromes n'entrant pas dans la compositio
l'éosine, soit par l'érylhro- sine ; elle forme la trame même de la cellule et de ses prolongements. Sa structure est encor
, 1897, p. 169 et suiv. et p. 3` ? -2S : i. L'anatomie fine de la cellule nerveuse. Rapport de ilfoscuu. La Cellule, t. XII
i. L'anatomie fine de la cellule nerveuse. Rapport de ilfoscuu. La Cellule , t. XIII, 2° rase., 1897, p. 318. (2) MAX Sch
on en ce qui concerne la structure de la substance achromatique des cellules des ganglions.il s'ex- prime, en effet, comme s
que nous avons faites nous-même sur la structure du protoplasme des cellules des ganglions spinaux ne nous ont pas conduit à
rveux de l'homme, 21 édition, Louvain, 1897 ; L'anatomie fine de la cellule nerveuse. Tirage à part du Rapport de Moscou, «
ne de la cellule nerveuse. Tirage à part du Rapport de Moscou, « la Cellule », t. XIII, 2e rase., 1897, p. 320. (10) Marine
0. (10) Marinesco, Nouvelles recherches sur la structure fine de la cellule nerveuse. Presse médicale, juin 1897. (11) RA
1895. (14) VAN Gehuchten, Rapport de Moscou, tirage à part de « la Cellule », 1897, p. 336. (15) BErue, Ueber die l'oimili
es interfibrillaires ou les mailles du réseau. Il imprègne ainsi la cellule tout entière. Il est incolore, transparent et n
van Gehuchten et Nélis, Lugaro et d'autres auteurs, ont groupé les cellules nerveuses en divers types caractérisés précisémen
épartition dans le protoplasma cellulaire. « Ce qui caractérise les cellules des ganglions spinaux, dit V. Gehuch- ten dans
huch- ten dans son rapport de Moscou, et ce qui les différencie des cellules motrices, c'est la forme spéciale sous laquelle
olorants. (1) V. Gehuchten, liapponl de Moscou, tirage part de « la Cellule », 1897, p.336. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE
lle. Cette substance chromatique n'existe d'ailleurs pas dans toute cellule nerveuse; elle n'est donc pas indispensable à l
a vie du neurone » (1). La substance chromatique se trouve dans les cellules motrices et dans les cellules des ganglions spi
stance chromatique se trouve dans les cellules motrices et dans les cellules des ganglions spinaux, qui ne diffèrent entre ell
mogastrique pour re- trouver à tous les stades dé la réparation les cellules ayant toutes les apparences d'une cellule motri
des dé la réparation les cellules ayant toutes les apparences d'une cellule motrice normale. On peut encore se convaincre d
e normale. On peut encore se convaincre de ce fait en examinant des cellules mo- trices en voie de chromatolyse à la suite d
e de la section de leur axone. On trouve alors très fréquemment des cellules motrices à des degrés divers de la dissolution
ue rappelant avec une exactitude parfaite des types bien définis de cellules des ganglions cérébro-spinaux. Si l'on examine
. Gehuchten et Nelis l'ont établi, toute une gamme de nuances de la cellule foncée à la cellule claire de Lugaro. Il en e
l'ont établi, toute une gamme de nuances de la cellule foncée à la cellule claire de Lugaro. Il en est de même dans le gan
même dans le ganglion en réparation. On y voit simultané- ment des cellules ayant heureusement franchi l'étal de chromatolyse
mais qui commencent à refaire leurs gra- nulations, à côté d'autres cellules absolument normales par tous leurs caractères m
rappante au type foncé de Lugaro. Selon la définition de Nissl, ces cellules sont à « l'état pychnomorphe ». ' Les prolong
t composé uniquement par de la substance achromatique. Toutes les cellules ganglionnaires possèdent un cône d'origine nettem
ct. - D'après van Gehuchten (1), ce cône peut faire défaut dans les cellules motrices. Nous devons dire tontefois que nous
que nous l'avons trouvé à peu près cons- tamment, dans les grosses cellules du type moteur de la formation réticu- lée du b
Souvent même chez le lapin elle est complètement invisible dans les cellules normales qui sont riches en blocs chromatiques :
es faits obser- vés dans nos propres expériences. La réaction des cellules nerveuses, qui se manifeste à la suite d'une lé-
au sein du liquide cellulaire, avec une turgescence du corps de la cellule et un déplacement du noyau. La désagrégation et
cord aussi pour reconnaître l'existence constante du gonflement des cellules et le rapport directement proportionnel qui exi
qui a toujours lieu, si la lésion n'a pas provoqué l'atrophie de la cellule par une réaction trop violente. Les cellules de
oqué l'atrophie de la cellule par une réaction trop violente. Les cellules des neurones moteurs réparent leur réserve chroma
atique plus facilement, plus rapidement et plus fréquemment que les cellules des neurones sensitifs. Ce point est cependan
oint est cependant encore en discussion. On a môme prétendu que les cellules des neurones sensitifs s'atrophiaient fatalement
t au Congrès de Moscou, Van Gehuchten dit textuelle- ment : « Cette cellule (la cellule sensitive) parcourt donc, comme la ce
de Moscou, Van Gehuchten dit textuelle- ment : « Cette cellule (la cellule sensitive) parcourt donc, comme la cel- lule mo
bservations et qu'il admet actuellement aussi la « réparation » des cellules sensitives. Nos expériences établissent égaleme
lement la réalité de ce fait. La chromatolyse se manifeste dans les cellules nerveuses quand elles sont directement atteinte
coloration uniformément bleu pâle de leurs éléments. , Toutes les cellules ne sont pas cependant en chromatolyse. Quelques-u
u. Ce phénomène est dû, non pas à une résistance plus grande de ces cellules , mais au fait que le pneumogastrique a été réséqu
des branches collatérales. Un fort grossissement nous présente les cellules dans la phase nettement caractérisée de dissolu
.). Le pourtour du noyau est de même plus foncé que le centre de la cellule . . Le noyau est bordé d'une couronne de blocs d
On ne peut absolument pas distinguer de blocs isolés dans certaines cellules (PI. XLV, a), ils s'amassent et s'agglomèrent e
des autres, formant ainsi une bordure souvent discontinue. Dans la cellule normale les blocs n'occupent pas une semblable po
érie de formes de transition entre l'ordon- nance des blocs dans la cellule normale et ces agglomérations pathologiques. No
ues. Nous avons pu suivre plus rigoureusement ce phénomène dans les cellules des ganglions plexiformes. Aussi n'insisterons-
n'insisterons-nous pas pour le moment sur ce point. Le noyau des cellules en chromatolyse est refoulé à la périphérie, fais
mentionnée par les auteurs, nous avons mesuré un certain nombre de cellules normales et pathologiques, appartenant aux noya
représente en divisions micrométriques le plus petit diamètre de la cellule , le dénominateur étant le chiffre de son plus gra
nd diamètre : Noyaux dorsal et ambigu normaux. Lapin, 7 jours. 51 cellules mesurées sur 2 coupes. 318 CHARLES LADAME don
rs par les me- sures des diamètres une augmentation du volume de la cellule , tandis que nos chiffres n'indiquent aucune aug
qu'un diamètre augmente l'autre diminue dans la même proportion. La cellule s'étire, s'allonge dans le sens de migration du n
qui en réalité est bien loin d'être démontrée. La déformation des cellules s'observe déjà facilement dans les noyaux mo- t
eurs du pneumogastrique, mais elle atteint une telle netteté dans les cellules des ganglions plexiformes qu'il est impossible
glions. b) Ganglion plexiforme droit (coupes transv.). - Toutes les cellules du ganglion droit (PI,XLV, G. p. d. I), à quelq
éunis ici et l'on peut suivre le processus de la chromatolyse de la cellule normale jusqu'à la phase ultime de la réaction.
épandu formant le premier stade de la chromatolyse (PI. Xf ? d),les cellules possèdent encore tous leurs blocs chroma- tique
nnés selon les divers types connus. Ils remplissent complètement la cellule . Celle-ci a une apparence plus foncée, mais il n'
des blocs qui s'accumulent à son pourtour, exactement comme dans la cellule normale. Le nucléole est central et fortement c
sl répandus au hasard LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 319 dans la cellule . Il en existe partout, sauf en un point (PI. XLV,
s et leur refoulement à la périphérie cellulaire et nucléaire. La cellule apparaît ainsi foncée avec une tache claire dans
au émigré à la périphérie et commence déjà à faire saillie hors de la cellule (PI. XLV, g) ; sa membrane devient plus évident
- vaincre de la réalité de cette fonte qui envahit graduellement la cellule comme une tache d'huile. La cellule prend ain
qui envahit graduellement la cellule comme une tache d'huile. La cellule prend ainsi un aspect de plus en plus clair avec
-ci a complètement émigré à la périphérie ; dans un grand nombre de cellules , il fait même forte- ment hernie ; sa membrane
e sphérique (P. XLV. i) La partie de la membrane qui est hors de la cellule est fréquemment dé- formée et froissée. Le st
le ganglion que nous étudions, il s'observe sur les trois quarts des cellules environ. Nous avons parlé plus haut du tassem
ssement et de la fonte des corpuscules de Nissl. Un grand nombre de cellules sont tout à fait claires et présentent une tein
aires et présentent une teinte uniforme. Le protoplasma de quelques cellules , cependant, est parsemé de fines granulations q
gèrement plus foncée que dans le cas précédent. A la périphérie des cellules on voit un liseré foncé, parfois même très fonc
ns exception sur plusieurs centaines de noyaux, tandis que pour les cellules dont le noyau est déformé ou fait hernie, nous av
olume normal. On rencontre enfin dans les coupes de ce ganglion des cellules représentant le stade ultime de réaction, cellu
ce ganglion des cellules représentant le stade ultime de réaction, cellules dans lesquelles la fonte chromatique est parach
n, cellules dans lesquelles la fonte chromatique est parachevée. La cellule tout entière est d'un gris bleu sale, sans bordur
éricellulaire, le noyau fait une forte saillie à la périphérie. Ces cellules sont dans quelques cas (1 fois sur 100 environ) d
esurément agran- dies. Comparées à celles du ganglion gauche, les cellules du ganglion plexiforme droit, nous donnent à tr
ractions du tableau suivant représente le plus petit diamètre de la cellule , son plus grand diamètre est représenté par le dé
res : Ganglion plexiforme droit. Pathologique. Lapin 7 jours. 105 cellules mesurées sur 4 coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROM
TOLYSE 321 Ganglion plexiforme gauche. Normal. Lapin 7 jours. 105 cellules mesurées sur 4 coupes. 322 CHARLES LADAME noy
s. 322 CHARLES LADAME noyau est central ou légèrement déplacé; la cellule , de volume normal, n'est pas déformée dans la p
l, n'est pas déformée dans la plupart des cas. Un petit nombre de cellules (PI. XLV,I) nous présente le stade de la tache cl
ien que l'on finit par obtenir, au stade ultime de la réaction, des cellules pâles, uniformément gris-bleu sale avec un noya
ces. Comme phase ultime du phénomène de réaction, nous obtenons une cellule allongée, ayant un pôle libre et l'autre occupé
utre occupé par le noyau, qui fait plus ou moins saillie hors de la cellule . Le protoplasma a une teinte bleu pâle, la limi
s du ganglion plexiforme droit présentent encore un petit nombre de cellules qui sont profondément lésées et qui ont franchi l
du leur noyau, leur protoplasma se chiffonne, se recroqueville. Les cellules ne remplissent pas entièrement leur capsule.
LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE z23 presque entièrement hors de la cellule à laquelle il ne tient plus que par un mince fi
cellule à laquelle il ne tient plus que par un mince filament. La cellule est si pâle qu'on la distingue à peine et son pro
équence d'une très rapide et très violente réac- tion ? ou bien ces cellules étaient-elles déjà pathologiques au moment de l'i
s au moment de l'in- tervention opératoire ? Nous pensons que ces cellules étaient déjà malades lors de l'opération, vu l'
vraisemblable qu'au 22e jour après la résection du nerf vague, les cellules puissent être aussi profondément désor- ganisée
- ganisées. - On rencontre du reste dans tout ganglion normal des cellules en voie de régression. Nous avons rencontré ç
de régression. Nous avons rencontré çà et là dans nos coupes des cellules dont le corps était déchiré en plusieurs lambea
usieurs lambeaux, quoique sain d'apparence. Le proto- plasma de ces cellules n'était pas coloré en bleu pâle, et contenait des
très distincts. Le noyau était si excentrique qu'il ne tenait à la cellule que par un mince filament. Nous n'avons renco
cellule que par un mince filament. Nous n'avons rencontré aucune cellule vacuolaire dans tout le ganglion. L'examen atte
s cependant, à titre comparatif, les mensurations obtenues pour les cellules des deux séries après l'étude des coupes du gangl
olyse dans toute l'étendue du ganglion qui ne renferme que de rares cellules normales. La chromatolyse y est toutefois moins
y est toutefois moins avancée que dans le ganglion droit. Quelques cellules cependant sont arrivées an stade ultime de la réa
ésente le stade moyen de la dissolution des blocs chromatiques, les cellules commencent à se déformer, le protoplasma est un
cléaire le noyau est excentrique, plus ou moins saillant hors de la cellule . Un certain nombre de cellules (PI. XVL,t.u. v.
ue, plus ou moins saillant hors de la cellule. Un certain nombre de cellules (PI. XVL,t.u. v.)a déjà franchi ce stade, la tach
laire et périnucléaire composée de blocs entassés aux confins de la cellule ou autour du noyau ; cette bordure est sou- ven
nous avons faites entre les diamètres cellulaires et nucléaires des cellules saines et pathologiques, il ne ressort en aucun
ogiques, il ne ressort en aucune façon la notion de turgescence des cellules en chromatolyse, comme nous l'avons déjà consta
s chiffres que nous allons donner permettent encore de comparer les cellules des ganglions plexiformes à deux stades différent
a chromatolyse. Nous n'avons trouvé aucun gonflement quelconque des cellules en réaction dans le ganglion gauche, pas plus q
server cependant que cette conclusion repose sur la comparaison des cellules saines et pathologiques d'un même ganglion, car
e numérateur de la fraction représente le plus petit diamètre de la cellule et le dénominateur son plus grand diamètre. Le di
325 Ganglion plexiforme droit. Pathologique. Chien, 22 jours. 112 cellules mesurées dans 4 coupes. 326 CHARLES LADAME Ex
rsale. PI.XLVI, G. p. d. III).- Ce ganglion présente deux ordres de cellules parfaitement caractérisés : des cel- lules qui
sés : des cel- lules qui réparent leurs lésions chromatiques et des cellules en voie d'atrophie destinées à disparaître comp
d'atrophie destinées à disparaître complètement. Un bon nombre de cellules nerveuses qui ont subi la chromatolyse revien-
s dans nos coupes à tous les stades du processus de réparation. Les cellules qui sont aux confins de la réaction,quiont attein
sa surface. Nous avons ensuite (PI.XLYI,b) un'assez grand nombre de cellules qui sont ne voie manifeste de réparation, leur
moins fines qui sont généralement plus volumineuses que celles des cellules précédentes, par le fait d'un commencement d'aggl
i- tués au sein d'une nuée de granulations très denses.. Dans ces cellules le noyau est encore périphérique'; il fait très r
it très rarement her- nie et il n'est nullement déformé. Quelques cellules (PI.XLVI, c) encore dans la réparation de leurs p
evenu clair. Le noyau a repris fréquemment sa place au centre de la cellule ; sa membrane semble s'effacer, tant l'abondance
es blocs reconstitués est grande. Nous rencontrons enfin quelques cellules qui frappent dès l'abord les yeux et qui sont d
ent dès l'abord les yeux et qui sont dans un état très voisin de la cellule normale. Elles n'en diffèrent au fond que par l
grande richesse en blocs chromatiques. On peut même considérer ces cellules (Pl. XLVI, d) comme normales, car elles ne s'éloi
Pl. XLVI, d) comme normales, car elles ne s'éloi- gnent en rien des cellules foncées de Lugaro. Il semble néanmoins que leurs
semble néanmoins que leurs blocs sont plus en désordre que ceux des cellules de Lugano. Parmi les cellules en voie de régres
cs sont plus en désordre que ceux des cellules de Lugano. Parmi les cellules en voie de régression, les unes, les moins avancé
ie ; sa membrane est très évidente, elle est froissée dans quelques cellules , le nucléole est régulier et foncé, le réseau n
st régulier et foncé, le réseau nucléaire est évident. Les autres cellules (Pl. XLVI, f), plus avancée. , sont déjà près de
s lambeaux de protoplasma. Le noyau est presque toujours hors de la cellule , parfois même il reste appendu à un des lambeau
nucléaire est visible. La capsule semble s'être ramassée sur les cellules en voie d'atrophie, elle est envahie par un abo
ns les coupes des ganglions (Pl. XLVI, G. p. d. III), des noyaux de cellules nerveuses, isolés de tout protoplasma, ayant enco
s amas foncés. Enfin, les coupes sont parsemées d'agglomérations de cellules conjonctives, au nombre de dix, vingt et même d
lace jadis occupée par un élément nerveux totale- ment disparu. Ces cellules paraissent être des éléments conjonctifs de néofo
éléments conjonctifs de néofor- mation, des leucocytes émigrés, les cellules de la capsule proliférées, car à l'état normal,
s points du gan- 328 CHARLES LADAME Nous n'avons rencontré aucune cellule vacuolaire dans toute la série des coupes de no
Ganglion plexiforme droit. Pathologique. Jeune chat, l48 jours, 93 cellules mesurées sur 4 coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROM
329 Ganglion plexiforme gauche. Normal. Jeune chai, 118 jours. 93 cellules mesurées sur 4 coupes. L'ATROPHIE OL1V0-PONTO-C
ques au point d'entrecroisement des fibrilles ; il n'existe pas de cellules de Deiters. Quelques rares cylindres-axes coure
rplasie névroglique qui ne serait en tout cas que peu intense. 2° Cellules de Purkinje. - La plupart des cellules ont dispar
tout cas que peu intense. 2° Cellules de Purkinje. - La plupart des cellules ont disparu, mais leur mode de disparition est
taines parties d'une lamelle ou d'une lame, il n'existe plus aucune cellule de Purkinje, ou bien une ou deux cel- lules iso
e cette lame ou lamelle, ou à son sommet, il existe encore quelques cellules , soit trois, quatre, .cinq, six ou même davanta
x ou même davantage normalement distantes les unes des autres ; ces cellules sont irrégulières, ratatinées : elles prennent
liers, ni ronds, ni ovales, quelquefois piriformes ; le corps de la cellule est irrégulier, comme crénelé : sur d'autres cell
le corps de la cellule est irrégulier, comme crénelé : sur d'autres cellules , les lé- sions sont encore plus avancées et on
ncore plus avancées et on peut saisir le processus d'atrophie de la cellule : du noyau peu apparent partent des filaments pro
apparent partent des filaments protoplasmiques qui cloi- sonnent la cellule et lui donnent un aspect vacuolaire : ailleurs le
eux des espaces vides assez larges, dans lesquels on ne distingue ni cellule ni feutrage névroglique ; les fibres névrogliqu
che comprend normalement : 1° des prolongements protoplasmiques des cellules de Pnrkinje; 2. les grandes cellules étoilées a
rolongements protoplasmiques des cellules de Pnrkinje; 2. les grandes cellules étoilées avec leurs arborisations en corbeille
cellules étoilées avec leurs arborisations en corbeille autour des cellules de Purkinje ; 3° les divisions en T des fibres
ains. Il n'existe plus de prolongements protoplasmiques des grandes cellules de Purkinje, ou ils sont extrêmement rares. Les
es cellules de Purkinje, ou ils sont extrêmement rares. Les grandes cellules étoilées sont très diminuées de nombre ; en cer
as l'impres- sion d'un organe malade, les fibres médullaires et les cellules paraissent en aussi grand nombre que sur un noy
l'épaisseur de la coupe, on peut néanmoins constater l'existence de cellules nerveuses. C. Substance blanche du cervelet (PI
ncée dans la moitié inférieure que dans la moitié supérieure. Les cellules des olives et des noyaux juxta-olivaires sont rar
rieur. Il existe une atrophie totale des noyaux du pont, toutes les cellules nerveuses ont disparu et sont remplacées par des
outes les cellules nerveuses ont disparu et sont remplacées par des cellules araignées ou des noyaux et fibrilles névrogliqu
culaire. La substance réticulée de la calotte paraît moins riche en cellules et la dimi- nution des cellules est plus grande
de la calotte paraît moins riche en cellules et la dimi- nution des cellules est plus grande d'un côté, ce qui explique le vol
t bien colorées ; sur les z coupes traitées par le picrocarmin, les cellules du noyau de Deiters et de Bech- terew apparaiss
des pédoncules normaux. Les noyaux rouges sont plus petits, leurs cellules conservées. La couche optique est un peu moins
et, dans la substance grise du pont et les olives inférieures ; les cellules de Purkinje sont pour la plupart disparues, cel
a plupart disparues, celles qui subsistent sont très altérées ; des cellules de la substance grise du pont il ne reste plus tr
ance grise du pont il ne reste plus trace, le plus grand nombre des cellules des olives inférieures sont atrophiées ou dispa
; ces lésions cellulaires ont eu comme conséquence l'atro- phie des cellules de la substance grise du pont, la dégénérescence
rébelleux moyen qui y prend sa principale origine, l'atro- phie des cellules de l'olive inférieure, la dégénérescence partiell
e, la dégénérescence partielle -du corps restiforme, l'atrophie des cellules de Purkinje, la dégénérescence des fibres de pr
éments constituant le manteau gris cérébelleux couche des grains et cellules de Purkinje. C'est une atrophie sans lésions va
ut (obs. de Combettes) ; soit dégénérantes ? c/m«te<M<M : les cellules dePurkiujeetdes différentes couches de l'écorce
ains; au point de vue anatomique par l'existence d'une atrophie des cellules des cornes antérieures en rapport avec l'atrophie
s latéraux sont seulement un peu plus pâles à la périphérie, et les cellules des colonnes de Clarke un peu moins nombreuses d'
, les lamelles plus étroites et plus serrées que normale- ment, les cellules de Purkinje sont moins nombreuses et celles qui p
ntéressent le faisceau de Goll, le faisceau cérébelleux direct; les cellules des colonnes de Clarl,e sont peu nombreuses. Le
stologiques, et les olives ne présentent aucune anomalie dans leurs cellules ou leurs fibres. Le cervelet ne pèse que 80 gra
a moelle est aplatie, mais nulle part il n'existe d'altérations des cellules ni de dégénérescence des cordons. Le nombre des
d'autres atrophies cellulaires primitives telles que l'atrophie des cellules des cornes antérieures dans la maladie de Duchenn
ubation cérébelleuse, les lésions se localisant fréquemment sur les cellules des colonnes de Clarke et les fais- ceaux céréb
Outre la méthode de Busch nous avons employé pour la coloration des cellules du système nerveux central le bleu de toluidide,
du lobe frontal gauche on reçut une quantité assez considérable de cellules névrogliques imprégnées. Sur d'autres préparati
réparations il n'y en a presque point. A l'examen microscopique des cellules nerveuses saute aux yeux la finesse'd'un grand
ne se rencontre bien plus rarement sur les dendrites basilaires des cellules pyramidales. La quantité d'appendices collatéraux
ents sphériques et fusiformes. Par places on peut voir des ilots de cellules , où les dendrites se sont bien conservées, rich
égion supérieure. - Sur bien des préparations on reçut une masse de cellules névrogliques imprégnées et de vais- seaux. Par
de vais- seaux. Par places, dans la substance blanche surtout, les cellules de la névro- glie se rencontrent en telle quant
aspect d'un feutre. Parfois on peut voir très distinctement que les cellules névro- gliques entourent un vaisseau. Concernan
e les cellules névro- gliques entourent un vaisseau. Concernant les cellules nerveuses il faut remar- quer qu'on reçoit,en g
lules nerveuses il faut remar- quer qu'on reçoit,en général, peu de cellules nerveuses imprégnées ; les dendrites sont souve
ébrale par la méthode de Golgi dans le cas donné a démontré que les cellules nerveuses avec leurs dendrites ont été soumises
régions. L'état variqueux des prolongements protoplasma tiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale est bien plus p
ion motrice, on voyait une imprégnation d'un nombre considérable de cellules névrogliques, principa- lement dans la substanc
eau très dense. On recevait une impression comme si la quantité des cellules névrogliques était augmentée. ijftjouv. Iconogr
ns la substance grise il saute aux yeux que la plus grande^ tie des cellules nerveuses est rembourrée par des globules noirs;
r que l'en- dothélium capillaire est rempli de globules noirs ; les cellules nerveuses con- tiennent moius de pigment que ce
grégation du tissu nerveux dans la circonférence des vaisseaux. Les cellules de l'écorce cérébrale sont toutes remplies d'un p
is vas- .culaires dans la substance blanche on pouvait observer des cellules à forme ir- régulière, étendues, chez lesquelle
cléole ? ). 482 SOUKHANOFF ET GEIER Comme il paraît, de pareilles cellules ne sont pas en liaison avec les vaisseaux ; pou
contre çà et là des hémorrhagies très menues et des anévrysmes. Les cellules corticales sont riches en pigment noir. Sur les p
on rencontre des ané- vrysmes et des hémorrhagies très menus ; les cellules nerveuses contiennent une quantité assez marqué
e de pigment. D) Lobe temporal. Ce qui saute aux yeux c'est que les cellules nerveuses contiennent une masse de globules noi
cellules nerveuses contiennent une masse de globules noirs. Ici les cellules avec des globules noirs 1 ! \1 dedans se trouve
amollissements assez considérables, mais elle prend son origine des cellules corticales, qui apparaissent comme l'endroit d'
émorrhagies menues, tromboses menues, dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses, épaississements des parois vasculaires
nerveuses, épaississements des parois vasculaires, périssement des cellules nerveuses, surtout dans la partie périphérique de
tre chose, que des globules graisseux se trouvant dans le corps des cellules névrogliques; c'est pour cette raison que parfo
séminée par places, plus accentuées .dans les fibres nerveuses. Les cellules nerveuses sont remplies de pigment. VI. Au nive
ncore par tout le long de la coupe transversale, Presque toutes les cellules nerveuses sont remplies de globules noirs, surtou
t dans leur intime de petits globules noirs, et en- core de grosses cellules sphériques se trouvant en dedans du vaisseau et c
ès nettement, des blocs et des globu- les noirs menus en dedans des cellules épendymaires. Les cellules de la corne antérieu
des globu- les noirs menus en dedans des cellules épendymaires. Les cellules de la corne antérieure sont très marquées grâce
sont devenues bien moins nombreuses dans le faisceau de Tùrck. Les cellules de Clarke con- tiennent aussi une masse de glob
de globules noirs, quoiqu'elles en sont moins rem- bourrées que les cellules de la corne antérieure. III. Région lombaire. -
augmenté de beaucoup, surtout dans leur région intramédullaire. Les cellules de la corne antérieure sont rem- 486 SOUKHANOFF
- 486 SOUKHANOFF ET GEIER bourrées de globules noirs; les petites cellules moyennes des cornes antérieure et postérieure c
l'un des vaisseaux, en dedans de la moelle épinière, on trouva une cellule géante rembourrée de globules noirs. IV. Cône m
dans la dégénérescence des fibres nerveuses et dans l'existence des cellules , contenant une masse de globules noirs. Par pla
des racines est plus altérée, que leur région extra-médullaire. Les cellules de la corne antérieure et en général les cellul
a-médullaire. Les cellules de la corne antérieure et en général les cellules nerveuses de la substance grise de la moelle ép
ale (coloration par le bleu de méthylène et par la thionine). - Lés cellules de la corne antérieure présentent en général beau
sposition dans le corps cellulaire des blocs chromophiles. Bien des cellules nerveuses apparaissent comme gonflées et arrond
ses apparaissent comme gonflées et arrondies; les prolongements des cellules de ce genre souvent ne sont pas visibles. Le no
cellules de ce genre souvent ne sont pas visibles. Le noyau de ces cellules assez souvent est disposé exceutriquement et a
et a parfois une forme aplatie. Les éléments chromophiles dans ces cellules sont ou en état de désagrégation presque dans t
ellulaire (chromolyse générale et chromo lyse centrale). Il y a des cellules , où l'on peut rencontrer une chromolyse partiel
e partielle ; çà et là on voit des vacuoles aussi. Dans beaucoup de cellules les blocs chromophiles se sont bien conservés (Pl
). II. Région dorsale (coloration par le bleu de polychrome). - Les cellules des cordons de Clarke sont colorées tantôt inte
r le bleu de toluidine,le bleu de polychrome et la thionine). - Les cellules de la corne antérieure présentent une grande va
entent une grande variation concernant la coloration ; le nombre de cellules colorées d'une manière plus ou moins diffuse et
assez considérable (voyez PI. LXXII, G) : les prolongements de ces cellules restent souvent non colorées ou bien ils sont t
restent souvent non colorées ou bien ils sont très minces. Dans ces cellules colorées diffusément les blocs chromophiles son
chromophiles sont conservés parfois seulement sur la périphérie des cellules . Le noyau dans ces cellules conserve une positi
parfois seulement sur la périphérie des cellules. Le noyau dans ces cellules conserve une position centrale et assez souvent p
ire ; assez souvent on voit des noyaux dépourvus de nucléoles ; ces cellules sans nucléoles sont non seule- ment isolées, ma
on en rencontre des groupes entiers (Voyez fig. VI). Dans certaines cellules on peut observer une désagrégation presque complè
désagrégation presque complète des blocs chromophiles, et alors la cellule apparaît colorée uniformément et le proto- plas
et a un aspect un peu vitreux. Par places on ren- contre de petites cellules qui se colorent intensément et diffusément. Parfo
r des vacuoles pour la plupart menues. On rencontre quelquefois des cellules pâles, déformées, colorées faiblement, dans lesqu
quefois dans ces dernières on peut voir un point coloré. Il y a des cellules où les contours du noyau sont irréguliers ; dan
llules où les contours du noyau sont irréguliers ; dans beaucoup de cellules les noyaux sont diminués en volume. Coloration
ttention ici que sur l'état des noyaux. Ces derniers dans certaines cellules , sont d'une 488 SOUKHANOFF ET GEIPR couleur f
ne différence très marquée dans la grandeur des nucléoles. Dans les cellules de la corne antérieure sur les préparations color
ue du noyau, une chromolyse partielle, une colo- ration diffuse des cellules , une modification de la forme du noyau, des vacuo
cellulaire et un contenu exagéré du pigment etc... Dans cer- taines cellules on rencontrait parfois des vides ; dans quelques-
(2) ou avec de simples vacuoles. L'exis- tence d'un grand nombre de cellules avec une chromolyse centrale et avec un noyau d
disposé excentriquement, nous fait douter que ce type de lésion des cellules puisse être envisagé seulement comme une modifica
uisse être envisagé seulement comme une modification secondaire des cellules nerveuses ; en faveur de notre doute parle aussi
souffert comparativement avec les racines postérieures et avec les cellules de la corne antérieure, qui se trouvent en liaiso
surtout par l'hématoxyline de Delafield nous reçûmes dans certaines cellules une-coloration très foncée et intense des noyau
tion très foncée et intense des noyaux. Cela a été observé dans les cellules dont le volume était diminué et le noyau présen
Procédé DE BUSCH. I. Hémisphère rauclte.-a) Région frontale.- Les cellules nerveuses con- tiennent une grande quantité de
(2) Chaules NhLIS, Un nouveau détail de structure du protoplasme des cellules ner- veuses (état spirémateux du protoplasme).
tte différence, qu'il y a ici moins de globules noirs en dedans des cellules ner- veuses que là-bas. Auprès de la périphérie
plus profondes, là la dégénérescence pigmentaire et graisseuse des cellules nerveuses était plus accentuée qu'ici. Là il y av
érébrale un développement exagéré des vaisseaux, le périssement des cellules nerveuses des lobes frontaux bien plus grand ; là
ions de la substance blanche et çà et là dans la substance grise. Les cellules de la corne antérieure contiennent en général u
e quantité considérable de globules noirs menus ; quelques-unes des cellules en sont pleinement rem- plies. - b). Région dor
n petit foyer de désagrégation locale de la substance nerveuse. Les cellules des cordons de Clarke contiennent aussi beaucou
ans d'autres régions de la substance blanche. La dégénérescence des cellules de la corne antérieure est bien plus accusée. U
quantité assez visible de globules pigmentaires graisseux dans les cellules nerveuses, mais la quantité de ces globules est
compacte, ce qui prouve aussi qu'elle dépend de la modification des cellules corticales d'origine. Les fibres dégénérées isolé
s régions inférieures de la moelle épinière si- tuées plus bas. Les cellules de la moelle épinière contiennent ici aussi une
ements vasculaires, la dégénérescence pigmentaire et graisseuse des cellules corticales des cellules nerveuses du tronc céré
égénérescence pigmentaire et graisseuse des cellules corticales des cellules nerveuses du tronc cérébral de la moelle épinière
re des influences trophiques des centres nerveux, c'est-à-dire, des cellules des ganglions spinaux. C'est pour cela que la par
qu'elle est plus accessible à l'influence trophique de la part des cellules nerveuses des ganglions spinaux. La paralysie g
générescence des faisceaux pyramidaux dépend de la modification des cellules de l'écorce cérébrale; leur altération se trouv
reflète, entre autres, sur tout le système nerveux central, où les cellules nerveuses sont sujettes à une dégénérescence pig-
I, IIeft 1, s.s. 1-14. (2) N. A. Vyrouboff, Des dégénérescences des cellules nerveuses et des fibres dans la moelle épinière
ROMATOLYSE 519 mativement le même que celui du noyau gauche, et les cellules ne sont pas plus resserrées les unes contre les
ute la sé'-ie des coupes on a l'impression que le chiffre total des cellules est normal dans les noyaux dorsaux à droite et à
Alors c'est tantôt le noyau dorsal gauche qui semble plus riche en cellules que son congénère, tantôt c'est l'inverse qui a
tre, il est vrai, dans le noyau dorsal droit, de temps à autre, des cellules en voie d'atrophie ; mais ceci n'est pas pour nou
pour toutes les coupes du système nerveux central ; et du reste ces cellules s'observent aussi bien à gauche qu'à droite. b)
tion. La réparation est même très avancée pour un certain nombre de cellules . Comme pour les cas précédents, nous avons ici
ation com- plète ou l'atrophie avec destruction des éléments. Les cellules en voie d'atrophie (PI.LXXVI, a) se présentent so
ux ; on y voit parfois quelques blocs chromophyles reconstitués; la cellule est privée le plus souvent de son noyau. Quand ce
xiste, il est comme appendu à des lambeaux de protoplasma. Bien des cellules (PI. LXXVI, d) se trouvent à un moment critique,
s pôles le noyau presque entièrement énucléé. Le protoplasma de ces cellules est pâle ; on y observe, sous forme de bor- dur
e- grés du processus de réparation. 520 CHARLES LADAME Quelques cellules (PI. LXXVI,e) ont refait des blocs chromatiques,
poudré d'une fine poussière avec un noyau ex- centrique. D'autres cellules (PI.LXXVI,f) reviennent à une forme plus régulièr
et foncés, répandus sans ordre aucun. Puis on rencontre quelques cellules ayant une telle richesse en corpuscules de Niss
yau qui occupe de nouveau une position centrale (PI.LXXVI,g). ' Ces cellules rappellent, comme nous l'avons vu déjà pour celle
Nelis décrivent et figurent dans leur mémoire sur la structure des cellules des gan- glions du lapin. Nulle part la capsu
des cellules des gan- glions du lapin. Nulle part la capsule des cellules des ganglions n'est envahie par des élé- ments
ignalés dans la troisième expérience et qui tenaient la place d'une cellule nerveuse atrophiée et disparue. Nos nombreuses
e ne conduisent de nouveau nullement à la notion de turgescence des cellules dans la phase avancée de la chromatolyse, ces c
gescence des cellules dans la phase avancée de la chromatolyse, ces cellules sont au cent vingt-deuxième jour après le début
as parachevée nous n'a- vons pu trouver aucune différence entre les cellules en chromatolyse et les élé- ments sains ou les
e entre les cellules en chromatolyse et les élé- ments sains ou les cellules en voie de réparation. Les mensurations compara
hique de ce côté n'a été lésé d'une façon quelconque. Le nombre des cellules de l'un et de l'autre ganglion est approximativem
ns avancé que le ganglion du côté droit. ' La grande majorité des cellules , à gauche, en est encore au stale de dissolu- t
du noyau ; d'autres fois le noyau fait une brusque saillie hors de la cellule (1) VAN Geiiuchten et NELIS, loc. cil., p. 315.
rs de la cellule (1) VAN Geiiuchten et NELIS, loc. cil., p. 315. La Cellule , t. XIV, 2e fase. 1898. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHRO
st plus ou moins continue selon l'avancement du processus. Quelques cellules possèdent même des blocs épars non encore dissous
èdent même des blocs épars non encore dissous. Un certain nombre de cellules ont franchi la limite extrême de la dissolu- ti
ent réduites en une poussière ténue(PI,LXXVI, 1). La plupart de ces cellules sont déjà privées de leur noyau. Mais nous avon
s de leur noyau. Mais nous avons ici également un certain nombre de cellules qui sont à la période de réparation ; elles réo
s blocs chromatophiles de néo-formation. (Pl. LXXVI, m.) Quelques cellules même, mais peu nombreuses (PI. LXXVI, n) ont répa
VI, n) ont réparé leurs pertes. Le noyau est revenu au centre de la cellule . Ces éléments nerveux sont riches en blocs volu
conduisent pas à la constatation d'une tur- gescence quelconque des cellules nerveuses en chromatolyse, Nos mensurations ne
r évidemment qu'une valeur relative, vu la rétraction subie par les cellules lors de la fixation par le formol à 5 0/0. De p
à 5 0/0. De plus nous n'avons pas pu faire l'étude comparative des cellules saines et des cellules pathologiques, en raison
n'avons pas pu faire l'étude comparative des cellules saines et des cellules pathologiques, en raison de la réaction qui s'est
du même réactif. Comme on va le voir, les chiffres obtenus pour les cellules du ganglion plexiforme gauche en chromatolyse n
le numérateur des fractions repré- sente le plus petit diamètre des cellules , le dénominateur étant le plus grand, le chiffr
i suit immédiatement chaque fraction et le diamètre nucléaire de la cellule en question. . XIII Si '522 -2 CHARLES LADAME
anglion plexiforme droit, pathologique. Chien adulte, 122 jours. 52 cellules mesurées sur 2 coupes. 1 Nouv. )cO\'On'<AP)n
et discussion des coupes. a) Moelle allongée (PI. LXXVII, A). Les cellules sont toutes revenues à l'état normal, pour le noy
conjonctif du côté opéré dans les noyaux d'origine des nerfs et les cellules ne sont pas res- serrées. Comme dans les cas
aux. Tantôt l'un, tantôt l'autre sur les coupes était plus riche en cellules nerveuses que celui du côté opposé. Mais, le no
nsible du noyau en question, soit en faveur de la dispari- tion des cellules à la suite du traumatisme. Nous dirons en passa
uivant permettent de se. rendre compte des diamètres respectifs des cellules du noyau dorsal droit et du noyau dorsal gauche
dorsal du dixième droit. Côté non opéré. Chat adulte, 147 jours. 94 cellules mesurées sur 6 coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROM
aible grossissement (Pl. LXXVII, G. p. g. V.). Un certain nombre de cellules (PI. LXXVILa) sont déjà revenues complète- ment
réorganisé leur substance chromatique, elles ne se distinguent des cellules normales que par une très grande richesse en co
ma cellulaire. C'est l'état pycknomorphe. Un nombre considérable de cellules sont en pleine réparation, à un stade plus ou m
riphérie cellulaire et nucléaire (PI. LXXVII, c). Le noyau de ces cellules reprend peu à peu sa place au centre de la cellul
Le noyau de ces cellules reprend peu à peu sa place au centre de la cellule ; il n'est plus en relief, car sa membrane est
, central et fortement teinté Mais on rencontre aussi de nombreuses cellules (Pl. LXXVII, d) arrivées au terme de la réactio
avec un noyau faisant le plus souvent hernie. Un bon nombre de ces cellules ont déjà franchi cette dernière étape et sont e
plasma en voie de régression, ces noyaux viennent de quit- ter leur cellules , ils se flétrissent et s'atrophient aussi, mais m
se flétrissent et s'atrophient aussi, mais moins rapidement que les cellules nerveuses elles-mêmes, ils sont beaucoup plus rés
veux en voie d'atrophie. Nous nous bornons donc à signaler ici, les cellules vacuolaires du ganglion gauche chez le chat, po
comparer ici les éléments pathologiques du ganglion gauche avec les cellules du ganglion droit qui sont restées saines. Nous
ires et nucléaires des éléments en réac- tion, en réparation et des cellules saines. Ces dimensions sont très sensiblement l
pour le ganglion gauche; il ressort nettement de ce tableau que les cellules du ganglion pathologique ne sont ni en turgescenc
Ganglion plexiforme droit. Non opéré Chat adulte, 147 jours. 108 cellules mesurées sur trois coupes. LE PHÉNOMÈNE DE LA C
27 Ganglion plexiforme gauche. Opéré. Chat adulte, 147 jours. 108 cellules mesurées sur 3 coupes. 528 CHARLES LADAME Tan
s mesurées sur 3 coupes. 528 CHARLES LADAME Tandis que toutes les cellules du ganglion gauche sont loin même d'avoir entre
que, analyse et discussion des coupes. a) Moelle allongée.. 1 Les cellules des noyaux du pneumogastrique n'offrent aucune ap
B). Tout est parfaitement rentré dans l'ordre, aussi bien pour les cellules du noyau dorsal que pour les éléments du noyau
nts du noyau ambigu. On ne voit même plus la teinte bleu foncée des cellules pychnomorphes, ce qui prouverait qu'elles ont d
atique. Mais on constate une diminution très sensible du nombre des cellules du noyau dorsal droit. Cette diminution porte
traces ; cependant on rencontre çà et là de petits fragments d'une cellule en train de disparaitre. On ne remarque nulle p
ment réparé ses per- tes de substance chromatique. Un bon nombre de cellules ont l'apparence d'é- léments normaux : Elles po
tiques distribués d'une façon plus ou moins régulière au sein de la cellule (PI. LXXVII, G, p, d, VI). D'autres éléments on
épandus sans aucun ordre. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 529 Ces cellules représentent nettement le type des cellules foncé
LA CHROMATOLYSE 529 Ces cellules représentent nettement le type des cellules foncées de Lugaro. D'autres éléments encore (PI
able. Ces blocs sont tantôt réunis par petits groupes au sein de la cellule , tantôt ils forment un ruban composé d'une ou p
nucléaire ; tantôt enfin ils sont répandus au hasard dans toute la cellule . Le noyau est central ; dans quelques cellules
asard dans toute la cellule. Le noyau est central ; dans quelques cellules il n'est toutefois pas encore à sa place normal
façon in- tense qui occupe le centre du noyau. Un petit nombre de cellules nerveuses (Pl. LXXVII, i) sont tout à fait pâles
i en se. détachant par lambeaux qui se désagrègent. Le noyau de ces cellules , que l'on rencontre çà et là isolé dans les prépa
a cellulaire. Nous n'avons nulle part observé une prolifération des cellules conjonctives ou névrogliques aux points occupés
ience précé- dente où nous avons trouvé exceptionnellement quelques cellules vacuo- laires. , Comme du reste nous l'avons
le chien de 122 jours. ' Cette vacuolisation a l'air de frapper les cellules nerveuses non pas, comme on pourrait le suppose
la première vacuole. Celle-ci surgit dans un point quelconque de la cellule (Pl. LXXVII, k) sous la forme d'une tache clair
ole, quelquefois deux ou trois surgissent sur d'autres points de la cellule et grandissent sem- blablement (Pl. LXXVII. 1).
Ce dernier est refoulé passivement et tassé à l'un des pôles de la cellule (PI. LXXVII, m) avec les quelques blocs chromat
nveloppe le noyau qui fait parfois une assez forte saillie hors de la cellule . Sous la pression de plus en plus grande du liq
lquefois en deux grosses vésicules qui occupent la to- talité de la cellule . Celle-ci est gonflée et légèrement augmentée de
ince membrane renflée en un point seulement, à l'un des pôles de la cellule , celui où s'est logé le noyau. La distension fi
olaire qui, du reste, est très rapidement résorbé. Les restes de la cellule nerveuse ainsi éclatée se désagrègent en de très
s fait quelques mensurations comparatives des éléments sains et des cellules vacuolaires ainsi que de celles qui étaient en vo
n'y a nulle turgescence du corps cellulaire pathologique, Quelques cellules vacuolaires, dont la vésicule était arrivée au te
numé- rateur de la fraction représente le plus petit diamètre de la cellule , son plus grand diamètre étant le dénominateur.
qui suit chaque fraction repré- sente le diamètre nucléaire. Les cellules vacuolaires auront leurs divers diamètres transcr
suivant : Ganglion plexiforme droit. Normal. Lapin, 198 jours. 30 cellules mesurées dans 2 coupes. DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMAT
es vaisseaux. L'artère du sillon an- térieur est moins touchée. Les cellules névrogliques de la substance blanche anté- rieu
naissance à une autre infiltration qui peut apparaître autour de la cellule nerveuse (nodules péricellulaires de la rage, Bab
la substance grise sont parsemées de petits vaisseaux infiltrés de cellules embryonnaires. Les réactions vasculaires peuvent
i nous trouvons dès le début, une réaction manifeste de la part des cellules névrogliques , réaction consistant dans la tumé
i se colorant d'une manière très intense par le bleu polychrome. La cellule névroalique ressemble parfois à s'y méprendre aux
a cellule névroalique ressemble parfois à s'y méprendre aux petites cellules kariochromes (fig. 6). Les cellules névrogliq
s à s'y méprendre aux petites cellules kariochromes (fig. 6). Les cellules névrogliques sont très nombreuses au voisinage et
foyers d'inflammation ; il y a là évidemment une néoformation des. cellules , mais je n'ai pas encore eu la chance de trouver
res de kariokinèse. Lorsque la myélite a duré un certain temps, ces cellules produisent des fibrilles de névroglie et leur v
s produisent des fibrilles de névroglie et leur volume diminue. Les cellules de névroglie multipliées, constituent quelquefo
ais nodules et il est fort probable que dans ce cas la réaction des cellules névrogliques est due à leur excitation par une
e dans les espaces lymphatiques interstitiels.. Dans ces nodules de cellules névrogliques, je 568 MARINESCO suis parvenu p
INESCO suis parvenu parfois à trouver des microbes. La réaction des cellules de névroglie est déjà manifeste après 28 heures
e attirer l'attention du lecteur sur ce fait que cette réaction des cellules névrogliques dont nous venons de parler est une
ne réaction primaire, initiale, due à l'irritation nutritive de ces cellules , et il faut la distinguer de la réaction secondai
aut la distinguer de la réaction secondaire, plus tardive des mêmes cellules qui apparaît lorsque la fibre nerveuse est alté
upe relative- ment aux éléments nerveux ; enfin les altérations des cellules et des fibres nerveuses dépendent aussi des tro
circulatoires qui existent dans la myélite. Les altérations de la cellule nerveuse varient depuis la tuméfaction de la su
désorganisation de la substance achromatique et - mutilation de la cellule . La chromatolyse peut présenter tous les types
e aussi bien dans le cordon postérieur que dans le cordon FiG. 6. - Cellules névrogliques de nouvelle formation (myélite aiguë
6. - Cellules névrogliques de nouvelle formation (myélite aiguë). Les cellules ramifiées présentent une certaine ressemblance
es cellules ramifiées présentent une certaine ressemblance avec les cellules kariochromes. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLIT
anisée deviennent la proie des pha- gocytes. Ce sont là des grosses cellules mononucléaires chargées de débris de myéline et
rtis. Il est possible que quelques-uns de ces phagocytes soient des cellules périvasculaires, mais en dehors des leu- cocyte
des cellules périvasculaires, mais en dehors des leu- cocytes, les cellules névrogliques jouent aussi un rôle phagocytaire, e
nes. J'ai développé la même opinion pour le rôle phago- cytaire des cellules névrogliques à l'égard des cellules, nerveuses. A
pour le rôle phago- cytaire des cellules névrogliques à l'égard des cellules , nerveuses. A l'état normal, comme il est connu
rd des cellules, nerveuses. A l'état normal, comme il est connu, la cellule nerveuse est entourée quelquefois d'une espèce
llule nerveuse est entourée quelquefois d'une espèce de couronne de cellules névrogliques. J'ai constaté à plu- sieurs repri
à plu- sieurs reprises que lorsque la substance achromatique de la cellule ner- veuse est altérée, il se produit une espèc
llule ner- veuse est altérée, il se produit une espèce de réveil de cellules névrogli- ques péri cellulaires ; -elles s'hype
ent agressives, envahissent et dévorent le protoplasma altéré de la cellule ner- veuse. C'est à ces cellules de névroglie q
évorent le protoplasma altéré de la cellule ner- veuse. C'est à ces cellules de névroglie que j'ai donné le nom de neurono-
ndroit de rappeler que le professeur Schultze, de Bonn, a FiG. 7-8. Cellule nerveuse radiculaire dans un cas de myélite expér
r du cytoplasma profondément altéré on voit un très grand nombre de cellules névrogliques jeunes. , NATURE ET TRAITEMENT DE
is prend des proportions considérables (fig. 9), de sorte que les cellules nerveuses se perdent dans cette masse de leucoc
ente parfois sous forme de nodules qui existent tantôt autour des cellules nerveuses (fig. 10), tantôt dans le tissu inter
de la prolifération considérable de l'endothélium de la capsule des cellules nerveuses ; prolifération qui parfois est circula
nerveuses ; prolifération qui parfois est circulaire et entoure la cellule nerveuse d'un anneau régulier. D'autres fois, cet
et péri-cellulaire. 574 MARINESCO Iule nerveuse disparait et les cellules endothéliales multipliées occupent toute la cav
s cellules endothéliales multipliées occupent toute la cavité de la cellule . Cette néoformation, qui donne tout à fait l'im-
n dehors de ces lésions, j'ai vu, par ci par là, une irritation des cellules fixes péricapsulairé. La lésion décrite pour la
nditions pathologiques les plus va- riables toutes les fois que les cellules ganglionnaires spinales ont disparu. Le vide cr
glionnaires spinales ont disparu. Le vide créé par l'absence de ces cellules est comblé par un tissu de nou- velle formation
nerf pneumogastrique, pense qu'elles motivent une grande I'ic. 10. Cellule radiculaire dans un cas de rage humaine. Le malad
est mort avec des phénomènes de paralysie ascendante de Landry. La cellule nerveuse est en- tourée d'une masse de leucocyt
nodules. La condition anatomique qui favorise la prolifération des cellules endothéliales de la capsule ganglionnaire, c'est
sule ganglionnaire, c'est l'altération plus ou moins profonde de la cellule nerveuse. C'est pour cette raison, je pense, qu
Par ci, par là, on voit des nodules interstitiels composés par des cellules névrogliques proliférées, et par des leucocytes.
arrivé par- fois d'en rencontrer constitués essentiellement par des cellules névrogli- ques multipliées ; ces nodules siègen
la substance grise. Dans deux de ces cas, j'ai retrouvé autour des cellules nerveuses, mais sur quelques coupes seulement, la
dé- crile par Babès sous le nom de nodule rabique. Les lésions des cellules nerveuses sont très variables quant à leur inte
t à leur intensité et à leur forme. Dans les ganglions spinaux, les cellules , comme l'ont fait remarquer Van Gehuchten et Né
chten et Nélis, subissent l'effet de la compression qu'exercent les cellules endothéliales proliférées ; d'autre part, elles s
on des éléments chromatophiles jusqu'à Fig. 11. - Prolifération des cellules endothéliales de la capsule des cellules des ga
g. 11. - Prolifération des cellules endothéliales de la capsule des cellules des ganglions spinaux, dans un cas de diabète i
ose est très caractéristique dans un de mes cas, car la plupart des cellules ne présentent plus de tra- ces d'éléments chrom
vient for- tement acidophile. J'ai trouvé, en outre, dans certaines cellules radiculai- res motrices des corpuscules brillan
hatique ou un vaisseau sanguin, ou bien encore, le pour- tour de la cellule nerveuse. Chez les lapins inoculés avec le virus
crânienne, je n'ai pas trouvé de lésions vasculaires' Fic. 13. Une cellule nerveuse radiculaire provenant de la région lomba
la moelle ou dans le bulbe. Par contre, dans la plupar des cas, les cellules des ganglions spinaux présentaient une achromatos
de la cavité capsu- laire par un tissu de nouvelle formation. La cellule nerveuse a disparu. Lapin injecté ave( virus
s la propagation du .virus de la rage. J'ajoute que la réaction des cellules névrogliques est très accusée dans les cas où l
graphie différente. Dans les régions occupées par tous ces foyers les cellules ner- veuses ont disparu ou bien sont très atrop
n leucocytaire nodulaire et diffuse, la prolifération primitive des cellules névrogliques, tandis que le tissu nerveux prése
tissu nerveux présente des lésions de nature régressive. Parfois, la cellule et la fibre nerveuse avant d'arriver à la désor
ocoque et le méningocoque, les microbes sont inclus dans de grosses cellules mononucléaires auxquelles ils don- Fio. 19. - C
plus loin dans la substance grise, et même pouvant pénétrer dans la cellule nerveuse. Je dois dire que la présence des micr
e la présence des microbes dans la substance grise au voisinage des cellules nerveuses dé- termine des lésions très graves p
ves pour celle-ci. Parmi ces lésions je citerai la rétraction de la cellule avec nécrose de coagulation, homogénéisation du
yau, etc. On peut dire d'une façon générale que les altérations des cellules ner- veuses qu'on rencontre dans la myélite aig
t passagère jusqu'à la dégénérescence profonde et irréparable de la cellule nerveuse. Il n'y a pas de lésions spécifiques en
lésions que je n'ai pu retrouver dans d'autres. Les altérations des cellules nerveuses sont d'autant plus intenses qu'elles
celles qu'on rencontre du reste dans la plupart des réactions de la cellule nerveuse, c'est la tuméfaction des éléments chr
ces élé- ments. Cette lésion,marquant le début de la réaction de la cellule nerveuse n'a pas été vue fréquemment par les ob
tion des éléments chro- matophiles, la substance fondamentale de la cellule est tantôt colorée, tantôt reste incolore. D'au
unissant enlr'eux, constituent une espèce de réseau, l'aspect de la cellule étant celui de cellules archiochromes. Cet aspect
tituent une espèce de réseau, l'aspect de la cellule étant celui de cellules archiochromes. Cet aspect réticulaire Fie. 21.
laquelle je désire attirer l'attention, c'est l'acliro- Fi(;. 22. - Cellule nerveuse radiculaire provenant de la moelle d'un
venant de la moelle d'un lapin. FiG. 23. Achromatose relative d'une cellule radiculaire, avec déplacement et atro- phie con
, dans les myélites expérimentales et pathologiques. L'aspect de la cellule affec- tée de cette lésion est homogène, le pro
u verre mat ; parfois l'achromatose n'intéresse qu'une partie de la cellule (achromatose partielle, fig. 25). J'ajoute qu
fig. 25). J'ajoute qu'au point de vue de leur sort ultérieur, les cellules atteintes d'achromatose sont vouées à la mort.
t sur la figure. Je pense que dans ce dernier cas, ainsi FiG. 24. - Cellule radiculaire à l'é- tat d'achromalose relative a
trophie des prolongements. Fio. 23. - Achromatose partielle d'une cellule radiculaire, le reste des éléments chro- matoph
défaut, grâce au processus pathologique de la myélite et par là, la cellule ner- veuse altérée se trouve dans les mêmes con
e je vois de pareilles lésions. Voici en quoi elles consistent : la cellule se compose d'une partie centrale, colorée et d'
qui produit parfois l'impression d'une capsule. Le cytoplasma de la cellule ne contient plus d'éléments chromatophiles, dan
moins bien visible que nor- malement. La partie périphérique de la cellule est pâle, elle constitue une espèce d'enveloppe
déjà dit, d'une épaisseur variable Sur la surface de section de la cellule dans lesens longitudinal, cette enveloppe est p
ARINESCO jusqu'à la membrane nucléaire. Elle n'entoure pas tonte la cellule , mais seulement son corps et un ou deux de ses
qui forme comme une espèce d'atmosphère autour du cytoplasma de la cellule est parfois adhérente à sa surface. Quelle es
ification de celle atmosphère granuleuse qui entoure le corps de la cellule ? S'agit-il là d'une masse qui ne lui appartienne
égion altérée constitue une espèce de croûte qui adhère encore à la cellule , mais qui peut aussi se détacher, et alors il s
et alors il se produit une véritable perte dans le cytoplasma. La cellule (fig. 27) présente une lésion très grave du cytop
açon régulière toute la périphérie de la moelle ; tantôt FIG. 27. - Cellule radiculaire; chromatolyse, achromatolyse donnant
, achromatolyse donnant naissance à une destruction partielle de la cellule nerveuse, atrophie avec homogénéisation du noya
u nodulaire ; 2° des phénomènes de réaction progressive du côté des cellules névrogli- ques, lesquelles tout d'abord commenc
se divise et donne naissance à une multipli- cation considérable de cellules névrogliques ; 3° des phénomènes de réac- tion
vrogliques ; 3° des phénomènes de réac- tion régressive du côté des cellules nerveuses variant depuis la simple chromatolyse
et localisées du côté de l'opération. J'ajoute que les lésions des cellules nerveuses sont plus accusées du côté du sciatiq
lient d'une manière consi- dérable et vivent soit à l'intérieur des cellules , soit librement ; enfin parfois ils présentent
Nous rechercherons d'abord si la chromatolyse se manifeste dans les cellules sensitives comme dans les neurones moteurs. Nou
indraxile, soit qu'elle retentisse directe- ment sur le corps de la cellule nerveuse (1). » D'après les auteurs, la chromat
c. de Véd. de Belgique, lS97, p. 1. (2) La pathologie générale delà cellule nerveuse. Presse Médicale, 27 janvier 1898. (
ale, 27 janvier 1898. (3) JACOTTET, Etude sur les altérations des cellules nerveuses de la moelle et des gan- glions spina
, 4 janvier 4899,,p. 3. (5) MARlIOESCO, Pathologie générale de la cellule nerveuse. Presse médicale, 27 janvier 189S. .
au septième jour après la section de la ligature des nerfs sur les cellules des ganglions rachidiens et sur les cellules mult
ture des nerfs sur les cellules des ganglions rachidiens et sur les cellules multipolaires. La lésion atteint d'abord le noy
ssière. La résection est constamment suivie d'une réaction dans les cellules d'origine des nerfs lésés, la lésion est ici pl
oduction de la chromatolyse, puisque celle-ci se manifeste dans les cellules des ganglions plexiformes chez le chien, du côt
chromatolyse se manifeste dans les cel- lules sensibles et dans les cellules motrices à la suite d'une lésion quelcon- que d
neurone. Le phénomène de la chromatolyse se manifeste-t-il dans les cellules sensibles et dans les cellules motrices ? La
omatolyse se manifeste-t-il dans les cellules sensibles et dans les cellules motrices ? La chromatolyse se manifeste aussi b
ellules motrices ? La chromatolyse se manifeste aussi bien dans les cellules sensibles que dans les cellules motrices à la s
se se manifeste aussi bien dans les cellules sensibles que dans les cellules motrices à la suite d'une lésion quelconque de le
s éléments il faut connaître le genre de trau- matisme qu'a subi la cellule ou ses prolongements. LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMA
« Il existe donc une différence profonde entre la manière dont une cellule motrice de la corne antérieure de la moelle et
dont une cellule motrice de la corne antérieure de la moelle et une cellule d'un ganglion spinal réagissent à la section de l
réagissent à la section de leur prolonge- ment périphérique. « La cellule motriceréagit par la dissolution de sa substance
iron 1D jours, puis tout rentre insensible- ment dans l'ordre et la cellule non seulement reconstitue la substance chromati
sente pendant plus de 70 jours un véritable état pychnomorphe. « La cellule sensitive réagit aussi par la dissolution de la s
o- matique. Ce trouble cellulaire est même plus précoce que dans la cellule motrice. Il augmente insensiblement jusqu'au 15
l augmente insensiblement jusqu'au 15e jour après la section. Cette cellule parcourt donc, comme la cellule motrice, et même
au 15e jour après la section. Cette cellule parcourt donc, comme la cellule motrice, et même plus rapi- dement que cette de
ractéristiques de la réaction et de la réparation existent dans les cellules sensibles aussi bien que dans les motrices. On
oyons pouvoir affirmer que (1) VAN GEHUCHTEN, L'anatomie fixe de la cellule nerveuse. Rapport de Moscou, 1897, p. 316. (2
st une condi- tion indispensable à la rapidité de la réparation des cellules lésées. Et même la simple présence du bout péri
ion. . C'est ainsi qu'il s'explique la lenteur de la réparation des cellules des amputés chez lesquels le segment périphériq
des deux bouts du nerf et la ré- paration plus ou moins hâtive des cellules . En se basant sur une seule observation (1) il
Dans nos expériences nous avons constaté le même phénomène dans les cellules des ganglions noueux comme dans celles des noyaux
ertes de substance chromatique. Mais il y avait aussi bon nombre de cellules en voie d'atrophie dans ce ganglion. Nos autres
LYSE 651 matotyse est centrale après la résection du vague dans les cellules sensi- bles comme dans les motrices. Le proce
au. On sait que celui-ci est un organe indispensable à la vie de la cellule . Le traumatisme qui agit sur les prolongements de
de la cellule. Le traumatisme qui agit sur les prolongements de la cellule retentit-il directement sur le noyau ? Provoque
le noyau ? Provoque-t-il sa migration active à l'un des pôles de la cellule ? On bien est-ce par le gonflement ou les autre
noyau est expulsé passivement ? Nous avons fait remarquer que la cellule s'allonge dans le sens de la migration du noyau
dans la théorie de la migration ou de l'expulsion du noyau dans les cellules en chromatolyse, on n'a pas jusqu'ici tenu suffi-
nos cas, nous n'avons observé la moindre augmentation du volume des cellules en chromatolyse en les comparant aux cellules s
ntation du volume des cellules en chromatolyse en les comparant aux cellules saines du noyau correspondant. Nous avons fait
oncluons donc positivement à la non-existence de la turgescence des cellules en chromatolyse, en nous basant sur les faits cit
us ferons observer à ce propos que la réalité de la turgescence des cellules en chromatolyse est admise jusqu'ici sans excepti
rations, de constater qu'elles ne révé- laient aucun gonflement des cellules en chromatolyse. Nous nous aperçu- mes alors qu
ste donc actuellement aucun doute sur l'ab- sence de gonflement des cellules chromatolysées, de sorte que pour nous la chrom
rgentes les opinions des au- teurs qui admettent la turgescence des cellules au sujet de la durée de ce phénomène. Tandis
le constate encore au 100e jour. Van Gehuchten a trouvé « que les cellules gonflent considérablement pendant les 15 à 20 p
éléments chromato- phyles ». t Il ajoute qu'après cette phase les cellules diminuent graduellement de volume et sont reven
art que les affirmations des auteurs au sujet de la turgescence des cellules en chro- matolyse ne reposent que sur des impre
cordon péricellulaire, qui laisse une tache claire au centre de la cellule ? Peut-être aussi la coloration différente des
centre de la cellule ? Peut-être aussi la coloration différente des cellules en chromatolyse les fait-elle paraître plus volum
ions exactes. C'est pourquoi nous avons me- suré un grand nombre de cellules et leurs noyaux. Nous avons déjà donné pour cha
auxquels nous sommes arrivés. Les phénomènes de réparation dans les cellules sensibles et dans les motrices. Le phénomène
ont d'accord sur la constance du phénomène de répa- ration pour les cellules motrices. Cette réparation, cependant, ne peut
ces. Cette réparation, cependant, ne peut pas avoir lieu lorsque la cellule a subi des lésions trop profondes; dans ce cas
cas elle s'atrophie et disparaît. L'atrophie et la disparition des cellules à la suite de la lésion d'un nerf ne saurait do
un nerf ne saurait donc devenir un caractère dis- tinctif entre les cellules motrices et les sensibles, comme on l'avait cru a
'offraient pas la phase de réparation. On découvrit bientôt que les cellules sensibles réparaient leurs lésions comme les mo
noyau dorsal du vague chez le lapin, par exemple. La réparation des cellules s'effectue de la même façon pour les neurones m
rition du processus et dans la rapidité de son évolution. Dans les cellules sensibles la réparation est plus lente à venir et
tion a été constatée depuis longtemps. Van Gehuchten dit que si des cellules motrices disparaissent, ce n'est qu'acci- dente
ices disparaissent, ce n'est qu'acci- dentellement, car il a vu les cellules motrices lésées revenir insensible- ment à l'ét
ossible d'y trouver une lésion quelconque de ces noyaux. Toutes les cellules ont parfaitement réorganisé leurs réserves chro
andis que nous venons de voir qu'il n'y avait aucune diminution des cellules chez le chien et chez le chat. A quoi donc faut
es nos expériences. La réparation est un fait indiscutable pour les cellules sensibles des ganglions plexiformes après la ré
e dégénération cellulaire. Une forme curieuse de dégénération de la cellule nerveuse est celle qui .a lieu par le processus
chez lequel nous n'avons du reste rencontré que quelques très rares cellules vacuolisées. Les auteurs sont loin d'être d'acc
oyaux moteurs dans la moelle lombo-sacde el de la vacuolisation des cellules nerveuses, Revue neurologi que, 1898, p. 517.
tainement rencontrée des deux côtés. Or, ça n'a pas été le cas. Les cellules du ganglion normal n'en présentaient pas trace,
n normal n'en présentaient pas trace, tandis que de très nombreuses cellules du ganglion pathologique en étaient profondémen
at et le lapin. 6. La réparation est un phénomène constant pour les cellules sensibles comme pour les motrices. 7. Les cel
stant pour les cellules sensibles comme pour les motrices. 7. Les cellules sensibles sont plus rapidement éprouvées, plus lo
us long- temps et profondément en réaction et en réparation que les cellules mo- trice. - 8. Le nombre des cellules est se
n et en réparation que les cellules mo- trice. - 8. Le nombre des cellules est sensiblement le même dans les ganglions ple
ement indis- pensable à la réparation de la réserve chromatique des cellules nerveuses. 14. La vacuolisation est une des for
4 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
e certaine importance à des lésions des vaisseaux san- guins et des cellules de la moelle, signalées par divers auteurs. (1)
ns la moelle. Dans le cas de Caterina, les corpuscules de Nissl des cellules trophomo- trices des cornes antérieures étaient
laires ; pas d'artério-sclérose. Lésions dégénératives intenses des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la moell
ieurs, principalement du faisceau de Burdach, avec pigmentation des cellules des cornes antérieures, corps amyloïdes nombreux,
n dorsale postérieure, et des faisceaux pyramidaux; des lésions des cellules de la moelle, l'atrophie scléreuse des ganglions
s ganglions rachidiens. Dans le cerveau, il observe des lésions des cellules corticales, par la méthode de Nissl ; par celle
une prolifération intense des noyaux interstitiels allon- gés, sans cellules rondes, et sans lésions des fibres musculaires, d
ration fort intéressante : au-dessous de la 3e lombaire, toutes les cellules de la corne antérieure ont subi la réaction à dis
yau périphérique ; à partir de la 3e lombaire inclusivement, aucune cellule ne présente plus cet aspect. Les coupes colorée
e postérieure ; cette intégrité ne se comprendrait pas si certaines cellules de la substance grise avaient disparu ; en outr
aines cellules de la substance grise avaient disparu ; en outre,ces cellules étudiées directement par la méthode de Nissl, n
mie des centres nerveux (1). « Nous avons déjà dit, en traitant des cellules de la corne postérieure, que quelques cylindraxes
générer sous l'influence d'une lésion cellulaire de la moelle ; les cellules de la colonne de Clarke. Les scléroses combinée
La colonne de Clarke est très atteinte ; on ne trouve pas traces de cellules . De la 3e à la 6e racine dorsale, les lésions son
olo- rées au bleu de Hochst et à l'éosine.. , '. 58 CROUZON Les cellules des cornes antérieures et des cornes postérieures
des colonnes de Clarke, les fibres sont diminuées de nombre et les cellules sont petites. Comme l'a fait remarquer Kattwinkel
postérieur ; les colonnes de Clarke ont des fibres normales et des cellules nombreuses, mais un peu plus petites que normalem
ZON Elle n'a révélé aucune modification appréciable dans l'état des cellules . Bulbe. Au niveau de la diminution des pyramide
PAR F. CZARNIECKI (de Moscou) La morphologie des dendrites des cellules nerveuses des tubercules qua- drijumeaux antéri
sait davantage aux modifications que subissent les dendrites et les cellules nerveuses des tubercules quadri- jumeaux sous l
e ne s'est pas préoccupée de l'aspect extérieur des dendri- tes des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux dans les c
ifférence très marquée entre l'as- pect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadri- jumeaux antéri
es tubercules quadrijumeaux postérieurs ; de plus les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux anté- ri
1llaux' antérieurs , partie périphérique. - Ici se rencontrent -des cellules nerveuses (V. fig. 1) avec des dendri- tes ; ce
massues, ou un aspect piriforme, ou un aspect en XVII 1 Fig. 1. - Cellule de la partie périphérique du tubercule quadrijume
dimension variables. - Outre les formations sus-indiquées, Fig. 2.- Cellule ner- veuse de la partie périphérique du tu-
ue du tu- bercule quadriju- meau antérieur du lapin. Fig. 3 ? Cellule nerveuse de la partie périphérique du tubercule
rquer que dans la couche périphé- rique, les dendrites de certaines cellules sont sur leurs parties les plus fines, parsemée
e des tubercules quadrijumeaux antérieurs. -Ici les den- drites des cellules nerveuses (V. fig. 4) attenant au corps cellulair
04 CZARNIECKI Ainsi donc en comparant entre elles les dendrites des cellules nerveu- ses de la partie ventrale et de la part
arations. Tubercules quadrijumeaux postérieurs. - Les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux postérie
u corps cellulaire, commencent par donner un nombre assez Fig. 5. - Cellule des tubercules quadrijumeaux postérieurs. DENDR
x postérieurs (V. fig. 6), où saute aux yeux surtout à un Fig. 6. - Cellule des tubercules quadrijumeaux postérieurs du lapin
es saillies. En nous rappelant l'aspect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des régions plus souvent étudiées par
pouvons faci- lement en venir à la conclusion que les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux antérieu
rande ressemblance par leur aspect extérieur avec les dendrites des cellules nerveuses de la moelle épinière. Il existe une
l existe une grande ressemblance entre l'aspect des den- drites des cellules de la corne antérieure de la moelle épinière et l
de la corne antérieure de la moelle épinière et les den- drites des cellules nerveuses de la partie ventrale des tubercules qu
s quadri- jumeaux antérieurs d'un côté ; et entre les dendrites des cellules nerveuses de la corne postérieure de la moelle
de la corne postérieure de la moelle épinière et les dendrites des cellules nerveuses de la partie périphérique des tubercu
ntrale des tubercules quadrijumeaux antérieurs nous rencontrons des cellules nerveuses, dont les dendrites s'étendent à une
ercules qua- drijumeaux antérieurs se rencontrent de préférence des cellules nerveu- ses avec des dendrites assez courtes, a
s osseux entourant des lacunes dans lesquelles se voient encore des cellules graisseuses. Il n'y a pas de zone inflam- matoi
ARALYTIQUE 115 Fig. 3. - Insula droit : atropine et raréfaction des cellules . Fig. 4. - Insula gauche : altérations cellulai
e d'une infiltration marquée (lymphocytes et mononu- cléaires). Les cellules sont reconnaissables, disposées en traînées un pe
l'état normal ; le protoplasma existe quoique altéré. Beau- coup de cellules sont en voie de destruction ; quelques-unes sont
Les travées cellulaires ne sont plus reconnaissables ; beaucoup de cellules sont réduites au noyau ; le protoplasma n'est v
ouchées. Insula gauche. - Moins altéré que la frontale gauche ; les cellules sont plus grosses que celles de l'insula droit,
e réseau Purlcinjieu y est très apparent et les gaines injectées. Les cellules de Purkinje à peine visibles sont pulvérulentes
d'éléments ronds (Fig. 5 et 6). Cervelet gauche. Persistance des cellules de Purkinje qui sont atrophiées mais assez bien
est moins malade dans toute la hauteur de la moelle ou du moins les cellules sont mieux conservées et prennent mieux la couleu
des préparations colorées à l'hématéine et l'éosine, de nombreuses cellules lymphatiques. Les vaisseaux médullaires ne sont
ne sont pas altérés. Enfin, sur toute la hauteur de la moelle, les cellules des cornes postérieures 132 PIC ET BONNAMOUR
iminution du nombre des fibres, et éga- lement sans disposition des cellules . En résumé, l'examen histologique nous a montré
oints, par un tissu conjonctif muqueux dans lequel on trouve quelques cellules rondes et un grand nombre de débris, reste de f
f dense en- globant les vaisseaux. Nombreux vacuoles dans plusieurs cellules hépatiques. Dégénérescence graisseuse très acce
sychoses mais sont considérées comme telles) où l'on retient que la cellule nerveuse a subi dans la vie intra-foetale une évo
C'est le cas de l'idiotie. Il y en a d'autres, au contraire, où la cellule nerveuse, qui a évolué d'une façon normale et c
euses, des couturières. Les idiots sont réfractaires au travail. La cellule nerveuse qui a subi une lésion peut-être depuis
dan- 152 ' BIANCHINI gereuse; d'autre côté la réclusion dans une cellule serait inutile et super- flue. Ces chiffres son
1) avait même parlé, autrefois, de modifications de la tonicité des cellules des capillaires. C'est que, en effet, le systèm
PER ET CROUZON tivité de la circulation sanguine, il exerce sur les cellules endothéliales des capillaires, sur les cellules
, il exerce sur les cellules endothéliales des capillaires, sur les cellules nobles des organes une action véritable- ment t
'influx nerveux retentissent donc à la fois sur la perméabilité des cellules filtrantes et sur l'équilibre molécu- laire des
2. 208 f THOMAS ET HAUSER ' observations que « si la majorité des cellules ganglionnaires reste normale dans le tahes on p
iques, mais cette fois, en nous attachant davantage à l'étude de la cellule ganglionnaire,et nous devons avouer que les alt
ur entrée et à leur sortie des ganglions, et d'apprécier l'état des cellules nerveuses, suivant qu'elles occupent les régions
région circon- férentielle nous entendons la région occupée par les cellules situées immédiatement au-dessous de la capsule
a capsule ganglionnaire; par région mé- diane celle occupée par les cellules qui sont les plus éloignées de la cap- sule gan
les qui sont les plus éloignées de la cap- sule ganglionnaire : les cellules du pôle central sont les cellules circonfé- ren
la cap- sule ganglionnaire : les cellules du pôle central sont les cellules circonfé- rentielles et médianes qui sont les p
nes à leur entrée dans le ganglion (pôlecentral ou médullaire); les cellules du pOle périph6- rique sont les cellules circon
entral ou médullaire); les cellules du pOle périph6- rique sont les cellules circonférentielles et médianes les plus proches d
ints restés jusqu'ici inconnus ou obscurs dans l'architecture de la cellule nerveuse, la solution de certains, problèmes an
ciennes méthodes avaient per- mis de conclure à l'état normal de la cellule , l'introduction de chaque procédé nouveau pose
s ganglions spinaux et la plupart des au- teurs ont proclamé que la cellule du ganglion spinal reste intacte. Lorsque la mé
ion spinal, d'après la plupart des auteurs, des types différents de cellules et la disposition des éléments chromatiques n'e
des dimensions, une coloration aussi tranchées que dans les grandes cellules des cornes antérieures de la moelle par exemple
il y a ou s'il n'y a pas chromatolyse : et si l'on réfléchit que la cellule peut subir à l'état pathologique des variations
uite d'un processus de tuméfaction ou d'atrophie, on conçoit qu'une cellule malade d'un certain type puisse ressembler à une
oit qu'une cellule malade d'un certain type puisse ressembler à une cellule saine d'un autre type. Si la méthode de Nissl
ue certains auteurs, et Marinesco entre autres, ont reconnu que les cellules des ganglions spinaux subissent très vite des a
égénérescence en voie d'évolution (corps granuleux) ; en outre, les cellules et les capsules cellulaires, les noyaux sont bien
sivement en noir, enfin il existe quel- quefois dans le corps de la cellule des boules de graisse de dimensions variables q
à ancienne, il n'y a pas de fibres en voie de dégénérescence. Les cellules ganglionnaires sont moins nombreuses, surtout dan
moins nombreuses, surtout dans les régions circonférentielles, les cellules ont disparu par places, en effet il y a des terri
il y a des terri- toires ganglionnaires qui ne contiennent plus de cellules nerveuses, alors que les territoires adjacents
nerveuses, alors que les territoires adjacents sont très riches en cellules . Parmi les cellules qui restent, un grand nombr
e les territoires adjacents sont très riches en cellules. Parmi les cellules qui restent, un grand nombre sont en voie d'atr
n voie d'atrophie (Pl. XXXI, A). Les espaces laissés libres par les cellules disparues sont occupés par des cellules capsulair
aces laissés libres par les cellules disparues sont occupés par des cellules capsulaires proliférées oudesimples amas capsul
les mêmes modi- fications de la capsule peuvent s'observer pour les cellules en voie d'atrophie. Le noyau des cellules nerve
uvent s'observer pour les cellules en voie d'atrophie. Le noyau des cellules nerveuses est plus ou moins bien coloré, de volum
st plus ou moins bien coloré, de volume proportionnel à celui de la cellule . Le tissu interstitiel n'a pas subi de modifica
un autre le tissu interstitiel est très épaissi et les capsules des cellules ganglionnaires sont séparées les unes des autres
IERE. T. XVII PL. XXXI. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 213 cellules a disparu, d'autres sont petites, atrophiées, sur
ement dévastés, et d'autres contenant un nombre presque nor- mal de cellules . Par endroits les capsules des cellules ganglionn
nombre presque nor- mal de cellules. Par endroits les capsules des cellules ganglionnaires ont pro- liféré; ailleurs, elles
l'in- tensité des altérations cellulaires. Un très grand nombre de cellules ont com- plètement disparu, dans la région circ
s la région médiane du ganglion, mais surtout dans la première. Les cellules disparues sont rem- xvn 14 214 THOMAS ET HAUS
rem- xvn 14 214 THOMAS ET HAUSSER placées soit par des amas de cellules capsulaires, suit par un anneau fibreux d'aspec
llules capsulaires, suit par un anneau fibreux d'aspect hyalin. Les cellules qui subsistent présentent des altérations très ma
it amas de protoplasma surchargé de pigment : d'ailleurs toutes les cellules sont très pigmentées. Les noyaux sont également a
nt altérés et leur degré d'atrophie est proportionnel à celui de la cellule . Quelques capsules sont pro- liférées : mais ce
ques capsules sont pro- liférées : mais ce qui prédomine autour des cellules restantes, c'est du tissu fibreux. Le tissu int
noncées ; il y a des territoires qui sont complètement dépourvus de cellules nerveuses et à leur place on voit des placards
fibro-hyalin, remplaçant les capsules occu- pées auparavant par les cellules (PI. XXXI-B). Région lombaire. Les altérations
huit ans. 3e ganglion sacré droit. Disparition d'un grand nombre de cellules dont la place est occupée par quelques noyaux c
ans l'intérieur du ganglion est moins marquée. La prolifération des cellules capsulaires est moins nette; les capsules sont
es vaisseaux. La capsule gan- glionnaire est peu épaissie. Quelques cellules nerveuses contiennent des boules de graisse col
al est extrêmement prononcée. Il y a une diminution du nombre des cellules ganglionnaires assez considé- rable, plus marqu
circonférence du ganglion que dans les régions mé- dianes. Quelques cellules sont très atrophiées, surchargées de pigment et
umineuses. L'atro- phie du noyau est proportionnelle il celle de la cellule . Certaines cellules sont entourées par une caps
phie du noyau est proportionnelle il celle de la cellule. Certaines cellules sont entourées par une capsule proliférée, aill
une capsule proliférée, ailleurs il n'y a pas de prolifération des cellules capsulaires ; en un mot, il n'existe pas de rappo
aire. De même dans les régions 216 THOMAS ET HAUSER dévastées les cellules disparues ne sont pas toujours remplacées par des
s noyaux qui représentent les vestiges delà capsule. Par places les cellules capsulaires font corps avec le protoplasma de l
laces les cellules capsulaires font corps avec le protoplasma de la cellule nerveuse en voie d'atrophie : lorsque les cellu
protoplasma de la cellule nerveuse en voie d'atrophie : lorsque les cellules nerveuses sont très atrophiées, les cellules ca
d'atrophie : lorsque les cellules nerveuses sont très atrophiées, les cellules capsulaires sont entourées de petites masses pr
sont plus nettes que sur d'autres, sur tel autre la disparition des cellules ou l'atrophie est plus manifeste : mais ce qui es
constant dans tous ces ganglions, c'est la diminution de nombre des cellules et elle est plus appréciable à la circonférence
s. III. Car... Tabes datant de dix ans. 1er ganglion sacré droit. - Cellules nerveuses contenues dans une capsule épaissie,
nglion péné- trer dans la profondeur de celui-ci, d'autre part, des cellules nerveuses d'as- pect normal ou atrophiées compr
s capsules ne contiennent plus que des déchets protoplasmiques . de cellules disparues, ou bien revenues sur elles-mêmes ell
uve que, malgré cette disposition si spéciale des cap- suies, . les cellules nerveuses peuvent conserver leur vitalité, c'est
t beaucoup moins malades : dans le 5° dorsal droit, il y a quelques cellules atrophiées ; dans le 98 dorsal gauche on consta
; dans le 98 dorsal gauche on constate quelques proliférations des cellules capsulaires, mais la plupart des cellules nerveus
elques proliférations des cellules capsulaires, mais la plupart des cellules nerveuses sont normales ; les vaisseaux sont as
tat normal. Dans notre premier travail nous écrivions : « quant aux cellules ganglion- naires, autant que le mode de fixatio
ier examen. En effet, dans les deux ganglions lombaires, quelques cellules ont complète- ment disparu et on ne trouve à le
débris protoplasmiques, ou quelques noyaux capsulaires. Toutes les cellules sont très pigmentées, mais en outre un grand no
emontant à trente ans. 3° ganglion lombaire. - Atrophie de quelques cellules . - Dégénérescence graisseuse des cellules. Prol
e. - Atrophie de quelques cellules. - Dégénérescence graisseuse des cellules . Proliférations capsulaires. ALTÉRATIONS DU GAN
LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDIEN 219 qu'un certain nombre de cellules sont en voie de dégénérescence graisseuse (fig.
raisseuse (fig. 3). L'état du noyau est proportionnel à celui de la cellule . Les mêmes lé- sions existent au centre et à la
épaissies; cependant il existe çà et là quelques proliférations des cellules cap- sulaires autour des cellules en voie d'atr
et là quelques proliférations des cellules cap- sulaires autour des cellules en voie d'atrophie ou des cellules normales. Le
ellules cap- sulaires autour des cellules en voie d'atrophie ou des cellules normales. Le tissu interstitiel est plutôt épai
s de petites granulations noires (Pl. XXXIB). Un. certain nombre de cellules ont complètement disparu, plusieurs sont en voie
ent disparu, plusieurs sont en voie d'atrophie. Dans quelques rares cellules il existe quelques boules colorées en (1) Cette
istingue quel- ques proliférations capsulaires, soit à la place des cellules manquantes, soit autour des cellules en voie d'
psulaires, soit à la place des cellules manquantes, soit autour des cellules en voie d'atrophie. Les cellules capsulaires semb
llules manquantes, soit autour des cellules en voie d'atrophie. Les cellules capsulaires semblent plus volumineuses qu'à l'é
aisseaux sont peu malades. Dans le 5e ganglion lombaire gauche, les cellules ont disparu par zones, alors que dans d'autres
ont disparu par zones, alors que dans d'autres endroits toutes les cellules sont conservées, mais alors à côté de cellules
endroits toutes les cellules sont conservées, mais alors à côté de cellules normales on voit des cellules en voie d'atrophie,
sont conservées, mais alors à côté de cellules normales on voit des cellules en voie d'atrophie, dont le noyau est également
z ' 'Au contraire, dans le 4ar ganglion lombaire droit, racines et cellules parais- sent à peu près normales : dans le 2e g
nt à peu près normales : dans le 2e ganglion lombaire droit, quelques cellules sont atteintes de dégénérescence graisseuse ou
. 5e.ganglion lombaire gauche. - Disparition d'un certain nombre de cellules remplacées par des amas capsulaires. Epaississe
lombaire. Les lésions sont ici minimes : on distingue bien quelques cellules petites en voie^ d'atrophie et par places il semb
es petites en voie^ d'atrophie et par places il semble que quelques cellules ont disparu; mais on ne peut rien affirmer de pré
l : à peine distingue-t-on quelques fibres à myéline. Le nombre des cellules est considérablement diminué, et parmi celles qui
n voie d'iti-opliie(PI. XXXII, A).Certains territoires dépourvus de cellules sont transformés en tissu hyalin. Les capsules de
rvus de cellules sont transformés en tissu hyalin. Les capsules des cellules nerveuses ne sont pas très augmentées, elles so
rès augmentées, elles sont plutôt fibreuses. Les proliférations des cellules capsulaires sont plutôt rares. Le tissu conjoncti
s lésions sont ana- logues, mais cependant moins accusées. Quelques cellules contiennent des boules de graisse colorées en n
ions noires sur le trajet des fibres. On peut affirmer que quelques cellules ont complètement disparu ; parmi celles qui res
it avec soin et à un fort grossissement ; quelquefois en effet, les cellules atrophiées sont très étroites, allongées dans le
aucoup plus gros qu'un gros leucocyte. La surcharge pigmentaire des cellules nerveuses n'est pas exagérée. La place des cell
pigmentaire des cellules nerveuses n'est pas exagérée. La place des cellules nerveuses disparues est occupée par quelques cell
La place des cellules nerveuses disparues est occupée par quelques cellules capsulaires LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACHIDI
plus rarement par des proli- férations capsulaires. Même autour des cellules en voie d'atrophie les cellules capsulaires son
érations capsulaires. Même autour des cellules en voie d'atrophie les cellules capsulaires sont plutôt rares. Le tissu conjonc
laire que dans le trajet sous-arachnoïdien. En ce qui concerne les cellules , ce sont les mêmes altérations que pour les gan
s ; mais c'est là une différence à peine sensible. Par endroits les cellules disparues sont remplacées par des placards de tis
nt un peu moins malades en se rapprochant de la moelle. Beaucoup de cellules ont conservé leur aspect nor- mal ; mais un cer
pect, les lésions y sont un peu moins avancées : il manque moins de cellules . Dans le 6° ganglion dorsal, les altérations ce
laires sont encore moindres ; ce qui prédomine, ce sont des petites cellules , atrophiées, mais il n'y a pas de diminution de n
ivers points des hémorrhagies récentes, de telle sorte que quelques cellules baignent dans des lacs sanguins. Dans le 1 ?
ganglions cervicaux que des ganglions dorsaux, il y a beau- coup de cellules saines et les cellules les plus volumineuses occu
des ganglions dorsaux, il y a beau- coup de cellules saines et les cellules les plus volumineuses occupent surtout le pôle
ent surtout le pôle périphérique du ganglion. Malgré cela, quelques cellules sont extrême- ment petites, quelques capsules s
ici le début de la maladie ne remontait qu'à 18 mois. En général la cellule est d'autant plus malade que les fibres radicul
lus, dans les ganglions malades, c'est une diminution du nombre des cellules , par comparaison avec un ganglion normal pris au
res très distincts : l'enchevêtrement des fibres ner- veuses et des cellules rend ce travail en quelque sorte impossible : tou
périphérique. Or, dans la plupart des cas, il nous a semblé que les cellules étaient moins nombreuses dans la zone circonfér
le périphérique, mais ce n'est pas une règle absolue : de même, les cellules ne disparaissent pas indifféremment dans l'une
fet par placards et ces placards contras- tent par leur pauvreté en cellules avec les zones adjacentes où les cellules sont
tent par leur pauvreté en cellules avec les zones adjacentes où les cellules sont relativement'bien conservées. On ne saurai
mplacés par du tissu fibro-hyalin. Après la réduction du nombre des cellules , la lésion la plus importante est l'atrophie de
bre des cellules, la lésion la plus importante est l'atrophie de la cellule , celle-là étant d'ailleurs la conséquence de ce
e est parfois assez délicate, parce que dans le ganglion normal les cellules sont de dimensions inégales; la plu- part des a
des auteurs reconnaissent, en ce qui concerne leurs dimensions, des cellules grandes,des moyennes, des petites : si l'atrophie
rmer en présence de tel ou tel de ceux-ci, s'il s'agit d'une grande cellule en voie d'atrophie,ou d'une cellule normalement
ux-ci, s'il s'agit d'une grande cellule en voie d'atrophie,ou d'une cellule normalement petite ; mais dans le plus grand no
n. Il y en effet, dans la plu- part des ganglions, un tel nombre de cellules en voie d'atrophie qu'on ne peut les considérer
lle, surtout si on fait la comparaison avec un ganglion normal. Les cellules atrophiées 226 TUOMAS ET HAUSER sont petites,
e pas confondre les petits amas pigmentaires, derniers débris d'une cellule , avec les travées pigmentaires du tissu interst
es pigmentaires du tissu interstitiel. Les résidus pigmentaires des cellules atrophiées sont généralement compris dans des p
ssent reconnaître des capsules également atrophiées. Autour de la cellule en voie de disparition, on peut voir soit une cap
ec proli- fération capsulaire (fig. 5). La réduction simple de la cellule nerveuse, sans prolifération des noyaux constit
la cellule nerveuse, sans prolifération des noyaux constituant les cellules dites endothéliales, est une constatation importa
héliales, est une constatation importante; en effet, en présence de cellules nerveuses atrophiées entourées d'une capsule pr
une capsule proliférée, on pourrait se demander si l'atrophie de la cellule n'est pas la conséquence de la végétation des c
trophie de la cellule n'est pas la conséquence de la végétation des cellules endothéliales de la cap- sule ; le fait précéde
immédiatement cette manière de voir et d'envisager l'atrophie de la cellule nerveuse et la prolifération capsulaire, comme
Car.... peut ne pas endommager pendant longtemps la vitalité de la cellule ner- veuse, car dans ces coques fibreuses on vo
manent de la pro- fondeur de la capsule ganglionnaire. Lorsque la cellule est complètement disparue, sa place peut être enc
ibreux, quelquefois hyalin : enfin il peut se faire qu'un groupe de cellules disparues soit remplacé par du tissu fibreux in
amas de deux ou trois noyaux indiquent les places occupées par les cellules (Pl. XXXII, A et B). Il serait certes désirab
ations pour apprécier aussi exactement que possible la quantité des cellules disparues, mais il ne'faut pas y songer en rais
tion à l'hématéine éosine, Zeiss. obj. D, Oc. 2). En bas à droite : cellule saine légèrement rétractée dans sa capsule dont
capsule dont les éléments sont à peu près normaux. En bas à gauche : cellule en voie d'atrophie avec multiplication des élém
léments nucléaires de la capsule. - En haut à gauche : même lésion, cellule réduite à un amas de pigment. Hyperplasie de la
ncentriques. - En haut à droite : il n'existe plus à la place de la cellule qu'un nodule de tissu conjonctif. 228 THOMAS ET
de tissu conjonctif. 228 THOMAS ET HAUSER si on remarque que les cellules restantes ont une tendance à se tasser les unes
re les autreset qu'on retrouve parfois difficilement les traces des cellules disparues, on peut supposer que le nombre de cell
uttelettes de graisse dans le protoplasma d'un très grand nombre de cellules (fig. 3) ; les gouttelettes sont parfois assez vo
ans des ganglions de sujets âgés non tabétiques, mais le nombre des cellules envahies par la graisse, la quantité et le nomb
ganglions normaux, surtout chez les sujets* âgés. Le noyau de la cellule nerveuse subit ordinairement des modifications
use subit ordinairement des modifications semblables à celles de la cellule . Il s'atrophie en même temps qu'elle. Sou- vent
us le nom d'homogénisation. Mais ces lé- sions sont variables d'une cellule à l'autre et la méthode que nous avons suivie n
ormal ; dans d'autres cas,il se distingue par la multiplication des cellules conjonctives ; dans d'autres cas encore par la
n ce qui concerne le point qui nous occupe, c'est-à-dire l'état des cellules nerveuses ; il n'y a aucun rap- port à établir
ulaire et le nombre des LES ALTÉRATIONS DU GANGLION UACUIDIEN 229 cellules atteintes d'une part et la prolifération du tissu
ès grande importance, s'il y a proportionnalité entre le nombre des cellules atrophiées ou dispa- rues et le degré d'atrophi
us haut, il est très difficile d'apprécier exactement le nombre des cellules disparues, et il est vraisemblablement plus éle
il est très difficile de résoudre : dans quelques cas le nombre des cellules disparues ou atrophiées est considé- rable, mai
gle générale, que dans les ganglions les plus malades le nombre des cellules saines est toujours supé- rieur à celui des cel
le nombre des cellules saines est toujours supé- rieur à celui des cellules disparues ou atrophiées. V. Interprétation. P
sont plus fréquentes, ce sont l'atrophie et la dispari- tion de la cellule , celle-ci étant la conséquence de celle-là ; tout
étant la conséquence de celle-là ; toutefois il est possible que la cellule soit détruite avant d'avoir passé par tous les de
e désintégration, mais le résultat est le même, c'est la mort de la cellule . En tout cas, l'atrophie ou la désin- tégration
ration, le ratatinement, la désintégration et la vacuolisation des cellules ; mais, d'après Wollenberg, ces dernières altér
réparation. Dans trois cas Stroebe (2) a trouvé des altérations des cellules des gan- glions spinaux proportionnelles en int
cence des cor- dons postérieurs. Il mentionne le ratatinement de la cellule , la surcharge de pigment, la vacuolisation du p
e de pigment, la vacuolisation du protoplasma, la prolifération des cellules de la capsule, la dégénération du noyau et des
uscules nucléaires, la dis- parition et la destruction totale de la cellule , l'occupation par les cellules capsulaires prol
parition et la destruction totale de la cellule, l'occupation par les cellules capsulaires proliférées des espaces laissés lib
cellules capsulaires proliférées des espaces laissés libres par les cellules disparues. Redlich 3) est arrivé à des résultat
- lenberg. Un premier fait qui l'a frappé,c'est la pigmentation des cellules ; elle n'envahit pas toutes les cellules, et pa
,c'est la pigmentation des cellules ; elle n'envahit pas toutes les cellules , et parmi celles qui sont pigmentées il en est
t se dispose parfois en couronne,autour du noyau, mais sur d'autres cellules il occupe aussi une position excentrique. En ou
nd il existe des lésions considé- rables du ganglion, le nombre des cellules saines est toujours de beaucoup supérieur à cel
des cellules saines est toujours de beaucoup supérieur à celui des cellules malades. Il y a des cellules qui sont gon- flée
ours de beaucoup supérieur à celui des cellules malades. Il y a des cellules qui sont gon- flées, qui paraissent agrandies e
LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACH1DIEN 231 fait disparu. Quelques cellules manquent complètement. Dans de pareils cas, la
- plit plus ou moins l'espace laissé libre par la disparition de la cellule . . Parmi ces aspects, il en est quelques-uns qu
ues-uns que nous avons observés, en particulier la rétraction de la cellule qui présente un aspect étoilé ou dentelé,et nou
de prépa- ration ; de même'plusieurs fois nous avons rencontré des cellules avec des vacuoles, irrégulièrement colorées, qu
creusées de vacuoles extrêmement fines occupant tout le corps de la cellule qui ne saurait être mieux comparé qu'à une épon
tabétiques, celles qui ont le plus de valeur sont la diminution des cellules , l'atrophie et la désintégration cellulaire ; les
, il n'est pas certain qu'elles traduisent un état pathogique de la cellule . Mais plusieurs auteurs, Rabes et Kremnitzer (7
. des sciences médic., 1896. 232 ' THOMAS ET IIAUSElt de quelques cellules ganglionnaires chez les vieillards. Des constatat
t certains auteurs ont pensé que normalement un cer- tain nombre de cellules disparaissent, et sont remplacées au sur et à mes
llules disparaissent, et sont remplacées au sur et à mesure par des cellules plus petites qui grandiraient à partir du moment
s sont appelées à remplaceras éléments disparus ; les mêmes petites cellules ont pour d'autres auteurs une signification dif
'examiner un ganglion rachidien dans lequel il n'y ait pas quelques cellules nerveuses en voie de désintégra- tion. Le fait
s tabétiques. On est revenu plus récemmentsur cette destruction des cellules nerveuses chez les animaux âgés, et on a prétendu
confirmation de l'hypothèse formu- lée par IIodge, à savoir que les cellules nerveuses s'usant peu à peu meurent dans le cou
s de la vieillesse ; et d'après Pugnat (1), les leuco- cytes et les cellules conjonctives joueraient un rôle important dans le
ulaires : l'une est primitive et se fait L de dedans en dehors; les cellules capsulaires se disposent en plusieurs as- sises
llules capsulaires se disposent en plusieurs as- sises autour de la cellule nerveuse, et sont toujours entremêlées de fibres
re est secondaire et intimement liée à des altérations graves de la cellule ner- veuse dont elles absorbent les débris : et
veuse dont elles absorbent les débris : et en effet, dans ce cas les cellules capsulaires deviennent volumineuses,et le noyau
olifération de la capsule ait pour conséquence la destruction de la cellule nerveuse : il est plus probable que celle-ci pré-
e : il est plus probable que celle-ci pré- cède celle-là et que les cellules capsulaires n'interviennent que lorsque la cell
e-là et que les cellules capsulaires n'interviennent que lorsque la cellule nerveuse est déjà en voie de désagrégation. Les p
s ont été signalées, par Kolesni- (1) Pugnat, De la destruction des cellules nerveuses par les leucocytes chez les animaux â
e attacher une grande impor- tance à la surcharge pigmentaire de la cellule qui serait d'ailleurs plus considérable chez le
cile d'en tirer aucune conclusion. Dans deux cas un grand nombre de cellules étaient atteintes de dégé- nérescence graisseus
i l'a décrite dans la rage, et d'autres auteurs ont trouvé quelques cellules attein- tes de la même dégénérescence dans des
ntaient aucune autre alté- ration cadavérique et la morphologie des cellules était particulièrement bien respectée. A quoi c
e pathologique que si elle coexiste avec une altération grave de la cellule ; d'après Mar- (1) VA-; Gehuchten et NELIS, Les
peut-être aussi à l'état pyknomorphe ou de repos fonctionnel de la cellule , et plus souvent encore à une lésion cadavéri-
urs qui nous ont précédés, de toutes les modifications que subit la cellule nerveuse au cours du tabes, il n'en est qu'une qu
retenir notre attention : c'est la disparition et l'atrophie de la cellule dont la fréquence et l'importance constatées da
i lui ont été faites sont de divers ordres : 1° Les altérations des cellules ganglionnaires ne sont pas constantes; celles q
cordons postérieurs de la moelle; alors même qu'elles existent, les cellules malades sont bien moins nom- breuses que les ce
existent, les cellules malades sont bien moins nom- breuses que les cellules normales; 2° La cellule du ganglion spinal étan
des sont bien moins nom- breuses que les cellules normales; 2° La cellule du ganglion spinal étant une cellule bipolaire do
e les cellules normales; 2° La cellule du ganglion spinal étant une cellule bipolaire donnant naissance par son pôle centra
iphé- rique au nerf périphérique, il n'est pas admissible que si la cellule est ma- lade, la racine seule dégénère et que l
ich fait remarquer qu'on a objecté que les deux prolongements de la cellule n'ont pas la même signification, la racine post
théorie cellulaire, parce qu'il est de règle que la déchéance de la cellule entraîne non seulement celle du cylindre-axe, m
e nous trouver en présence d'une raréfaction aussi considérable des cellules nerveuses, alors que les fibres qui émergent au
USER Rosin, Cassirer, Anderson, Kleist, on a admis jusqu'ici que la cellule du' ganglion spinal se comporte différemment ap
central de la racine postérieure n'a au- cun retentissement sur la cellule d'origine, tandis que la section du bout périph
ient amenés Ù supposer et à déduire que l'influence trophique de la cellule nerveuse est beaucoup moins effective pour la r
i Lugaro, et d'autres auteurs n'ont observé aucune modification des cellules du ganglion rachidien après la section de la raci
e lapin, l'atrophie d'un nombre tout d'abord relativement faible de cellules : l'atro- phie augmente ensuite jusque vers le
en outre de la surcharge pigmentaire et de la dégénéres- cence des cellules , on voit çà et là la disparition d'un certain nom
re d'élé- ments se faisant par groupes. C'est ainsi qu'un groupe de cellules tout à fait intactes avoisine un groupe de cell
qu'un groupe de cellules tout à fait intactes avoisine un groupe de cellules atrophiées, mais normalement assemblées ; à côt
llules atrophiées, mais normalement assemblées ; à côté on voit des cellules hypercolorées et ratatinées, puis des régions d
colorées et ratatinées, puis des régions dans lesquelles toutes les cellules ont disparu et enfin de nou- veau des cellules
esquelles toutes les cellules ont disparu et enfin de nou- veau des cellules normales et dégénérées. Peut-être, dit Iiüster, c
te est-elle en rapport avec un caractère spécifique diffé- rent des cellules et une vulnérabilité spéciale ? A la place des ce
é- rent des cellules et une vulnérabilité spéciale ? A la place des cellules disparues on ne trouve que des vestiges et des
es disparues on ne trouve que des vestiges et des proliférations de cellules conjonctives péricapsulaires ; les cellules qui
t des proliférations de cellules conjonctives péricapsulaires ; les cellules qui dégénèrent ont le même as- pect qu'après la
loyées ne sont pas suffisantes pour dé- celer les lésions fines des cellules nerveuses, mais elles le sont pour bien fixer l
empêche même d'établir un rapport précis entre la raré- faction des cellules et l'atrophie de la racine postérieure, c'est que
t, qu'en outre, comme l'ont démontré Ielmholtz, Gaule et Lewin, les cellules du ganglion spinal sont beaucoup plus nombreuses
s ; il y aurait, d'après Gaule et Lewin, une fibre pour six ou sept cellules . Comme nous l'avons déjà fait remarquer, on ne
THOMAS ET HAUSER réel intérêt et ne pas en tenir compte. Toutes les cellules ne donnent par conséquent pas naissance à une f
bre radiculaire, il existe dans les ganglions rachidiens à côté des cellules bipolaires ; des cellules multi- polaires, des
dans les ganglions rachidiens à côté des cellules bipolaires ; des cellules multi- polaires, des cellules sympathiques et i
à côté des cellules bipolaires ; des cellules multi- polaires, des cellules sympathiques et il en résulte, au point de vue de
e, qu'on ne peut établir un rapport absolu entre la disparition des cellules et l'atrophie des racines, puisque les cellules d
la disparition des cellules et l'atrophie des racines, puisque les cellules dis- parues peuvent fort bien ne pas être des c
puisque les cellules dis- parues peuvent fort bien ne pas être des cellules radiculaires. Enfin nous sommes en droit de nou
un paral- lèle entre l'état anatomique et l'état fonctionnel de la cellule , et il est légitime de supposer que son pouvoir
phie lente et de désintégration, qui aboutit à la disparition de la cellule nerveuse. 2° Malgré leur importance et leur fré
t : 180 dia- mètres. Atrophie et disparition d'un grand nombre de cellules nerveuses, remplacées en partie par des amas ca
lules nerveuses, remplacées en partie par des amas capsulaires. Les cellules capsulaires sont entourées d'un amas de protopl
nt entourées d'un amas de protoplasma assez volumineux. - Plusieurs cellules nerveuses en voie d'atro- phie. Epaississement
rossissement : 280 dia mètres. Disparition d'un certain nombre de cellules remplacées par du tissu fibrohyalin . Atrophie
cellules remplacées par du tissu fibrohyalin . Atrophie de quelques cellules . - Epaississement du tissu interstitiel . Planc
n masse. Grossissement : 190 diamètres. Raréfaction et atrophie des cellules . Vaisseaux nombreux et dilatés. Epaissis- semen
5 dia- mètres. Disparition et atrophie d'un assez grand nombre de cellules . Epaississement du tissu interstitiel. - Fibres
utres, ronds et plus fortement teintés, ressemblent à des noyaux de cellules inflammatoires ; autour du canal épendymaire, l
oyaux de cellules inflammatoires ; autour du canal épendymaire, les cellules névrogliques sont très nombreuses; enlin, dans le
sont très nombreuses; enlin, dans les cornes antérieures, les rares cellules nerveuses qui subsistent sont ou granu- leuses
nflammatoires, des lésions du canal épendymaire, et des lésions des cellules nerveuses. Les lésions congestives légères, con
sions inflammatoires, à peine appréciables à la réunion de quelques cellules rondes autour de l'artère spinale antérieure au n
l'épanchement sanguin, oblitéré et envahi par la prolifération des cellules épendymaires et périépendymairesdans les Ille e
périépendymairesdans les Ille et IVe segments. ' Les lésions des cellules nerveuses, étudiées par la méthode de Nissl, sont
ans la corne antérieure droite sans hémorrhagie du IVe segment, les cellules nerveuses, très nombreuses, sont en chromato- l
dans la corne gauche du même segment atteinte par l'hémorrhagie, les cellules , plus altérées, ont des vacuoles et certaines o
huiques, montre des altérations cellulaires très nettes. Toutes les cellules nerveuses sont altérées, toutes sont en chromatol
vec diffusion du noyau; le noyau est très souvent périphérique; les cellules globuleuses présentent tous les degrés de la neur
gie depuis la forme globuleuse régulière ou échancrée par une seule cellule jusqu'à la des- truction complète au milieu de
ar une seule cellule jusqu'à la des- truction complète au milieu de cellules rondes. Certaines cellules ont des vacuoles. On
à la des- truction complète au milieu de cellules rondes. Certaines cellules ont des vacuoles. On trouve tous les intermédia
une dimi- Xvii 16 246 LA1GNEL-LAVASTINE nution de vitalité des cellules nerveuses probablement sous. la dépendance de l
rvicale traumatique, des lésions de chromatolyse très accentuée des cellules nerveuses des cornes antérieures de la région tra
llulaires. Déjà 21 heures après le traumatisme, non seu- lement les cellules nerveuses, au voisinage immédiat des hémorrhagies
alytique, l'examen histologique des centres solaires montre que les cellules ner- veuses présentent des lésions, à la vérité
e suivie jusqu'à la hauteur du Nucl. XII. Une diminution énorme des cellules nerveuses dans les cornes anté- rieures ; celle
ins atrophiées. Les colonnes de Clarke très altérées, très pauvres en cellules et en fibres nerveuses. Dédoublement du canal c
ties supérieures. La paroi des vaisseaux épais- sie. Diminution des cellules du noyau de Goll. Le corps restiforme se colore
ervelet plus petit que normalement. - '. Diminution.du nombre des cellules et des fibres dans les cornes antérieures, atro
es cellules et des fibres dans les cornes antérieures, atropine des cellules persistante. Les colonnes de Clarke dépourvues de
lutôt l'effet des corps granuleux, que des tubes myéliniques. Les cellules de Clarke font presque complètement défaut, c'est
seulement en examinant plusieurs coupes qu'on rencontre une ou deux cellules ; et même alors elles se trouvent dans un état
sorte que les colonnes sont seulement légè- rement marquées. Les cellules dans la base des cornes antérieures ne présentent
e canal central est oblitéré dans toute sa longueur et rempli par des cellules épendymaires. C'est seulement au-dessus du croi
paraît élargi et entouré d'une couche formée de plusieurs rangs de cellules . Les racines semblent déjà dans les parties inf
vons compté dans plu- sieurs coupes de chaque hauteur, le nombre de cellules chez Luis Hand..., et chez François Hand..., pa
un grossissement très fort, on trouve chez les deux Hand... 21 à 25 cellules , tandis que dans les oli- ves normales, ce nomb
, tandis que dans les oli- ves normales, ce nombre varie de 30 à 40 cellules , ce qui correspond à un ap- pauvrissement d'un
ération située dans le bras horizontal de la substance blanche. Les cellules de Purkinje, de même que les noyaux, ne présenten
l. Les colonnes de Clarke sont pres- que complètement dépourvues de cellules et de fibres. Les cornes anté- rieures présente
entent dans les trois cas une diminution énorme et une atrophie des cellules et une raréfaction des fibres. Enfin on trouve un
tion sur les lésions des cornes anté- rieures et par excellence des cellules motrices, qui furent trouvées chez les trois me
cas du malade R. Sch.... une diminution du nombre et du volume des cellules ganglionnaires dans toute la moelle. Mirto (7)
(7) signale un amincissement du réticulum nerveux avec atrophie des cellules : la région dorsale est la plus touchée. Une atro
sion dit qu'elle était surtout pro- noncée dans le groupe médial de cellules (tout à fait connue dans le cas de Louis Hand..
e l'ataxie héréditaire, ces troubles musculaires et ces lésions des cellules ganglionnaires nous paraissent être beaucoup plus
globe oculaire, crut pouvoir conclure que le début se l'ait par les cellules d'origine des fibres optiques, les cellules de
début se l'ait par les cellules d'origine des fibres optiques, les cellules de la rétine. Moxter (2), en 1895, conclut à so
(I'ophlalinol., p. 139. LA RÉTINE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 305 cellules ganglionnaires de la rétine que l'on considère co
E 305 cellules ganglionnaires de la rétine que l'on considère comme cellules d'origine des fibres optiques ; aussi il donne
cause à l'amaurose du tabes l'atrophie par trouble de nutrition des cellules ganglionnaires réti- niennes. De Grosz (1), e
ive siégerait dans les cel-lmles d'origine des fibres optiques, las cellules ganglionnaires de la rétine. S'il était vrai qu
, las cellules ganglionnaires de la rétine. S'il était vrai que les cellules ganglionnaires sont les pre- miers éléments alt
nération ; il est en effet aujourd'hui bien démontré que, quand une cellule souffre, c'est aux extrémités deses prolongemen
mence, la dégénérescence ne suit pas une mar- che progressive de la cellule à l'extrémité de ses prolongements. Moeli (2),
on interprétation : ils ont constaté l'existence d'assez nombreuses cellules ganglionnaires intactes dans l'atro- phie optiq
l'atro- phie optique complète; aussi ils croient que l'atrophie des cellules gan- glionnaires est secondaire à celle des fib
s gan- glionnaires est secondaire à celle des fibres nerveuses; les cellules gan- glionnaires peuvent d'ailleurs s'atrophier
s éléments conducteurs depuis la couche la plus externe, couche des cellules sensorielles, jusqu'à la couche la plus interne
rps des seconds neurones est dite couche des grains internes ou des cellules bipolaires : cette couche est beaucoup moins épai
pana- ches périphériques des derniers neurones, les plus internes, cellules multipolaires ou ganglionnaires, cellules nerve
rones, les plus internes, cellules multipolaires ou ganglionnaires, cellules nerveuses d'où partent directe- ment les fibres
che est très peu épaisse, formée seule- ment de quelques rangées de cellules : c'est ainsi que les impressions lu- mineuses,
Les fibres optiques sont immédiatement sous-jacentes à la zone des cellules multipolaires et séparées seulement de la membr
ipaux sont dits fibres de Müller, bien qu'il s'agisse en réalité de cellules ; ils sont, en effet, très allongés, leurs extrém
ptiques est certainement moins encore proportionnelle au nombre des cellules gan- glionnaires ; dans certains cas où les cel
au nombre des cellules gan- glionnaires ; dans certains cas où les cellules étaient encore relativement nombreuses, les fib
étaient pas plus nombreuses dans les points de chaque rétine où les cellules étaient en plus grand nombre. Il y a là une rel
ossign..), et remplacés par des amas qui paraissent être formés des cellules arron- dies et qui sont sans doute dus a la pro
la présence constante de LA RÉTINE DANS I.'AMAUBOSE TABÉTIQUE 309 cellules ganglionnaires et la présence très fréquente de l
ment souvent la diminution marquée du nombre des neurones moyens, cellules bipolaires, et l'altération des neurones périphér
s, cellules bipolaires, et l'altération des neurones périphériques, cellules vi- suelles, avec diminution de longueur et de
er qu'il ne s'agit pas d'une dégénérescence primitive, élective des cellules d'origine du nerf optique, les cellules multipola
nce primitive, élective des cellules d'origine du nerf optique, les cellules multipolaires de la rétine. Quelques remarques
as non plus avec l'idée d'une sim- ple dégénérescence primitive des cellules multipolaires de la rétine. Nos constatations a
ance respective. On remarquera ta faible épaisseur de la couche des cellules ganglionnaires à l'état normal, alors même (7)
. Limitante externe. - 3. Grains externes, corps des lors neurones, cellules visuelles. 4. Couche intergranuleuse. a) Fibr
che plexiforme externe. 5. Grains internes, corps des 20. neurones, cellules intermédiaires. 6. Couche plexiforme interne.
urones, cellules intermédiaires. 6. Couche plexiforme interne. 7. Cellules ganglionnaires ou multipolaires, corps des 3es ne
7. Cellules ganglionnaires ou multipolaires, corps des 3es neurones, cellules d'origine des fibres optiques. 8. Fibres opti
saine ; or, on peut constater très nettement que dans la rétine les cellules ganglionnaires (7) sont encore re- lativement t
tique contenait encore un petit nombre de fibres. Or, la couche des cellules ganglionnaires est presque aussi épaisse qu'à l'é
au d'un tissu formé d'une part d'éléments scléreux, d'autre part de cellules adipeuses ; ces trois éléments se combinent de
ces trois éléments se combinent de façons fort diverses, tantôt les cellules et fibres conjonctives, tantôt les cellules adi
rt diverses, tantôt les cellules et fibres conjonctives, tantôt les cellules adipeuses, plus rarement les grosses fibres for
sus inflammatoire proprement dit; nulle part on ne trouve d'amas de cellules rondes, nulle part il n'y a traces d'infiltrati
de même, dans chaque seg- ment il n'existait pas de noyau dont les cellules fussent particulièrement ma- lades. Les cellu
e noyau dont les cellules fussent particulièrement ma- lades. Les cellules des cornes antérieures de la moelle ne présentent
seul phénomène pa- thologique consiste en un peu de petitesse de la cellule , qui a conservé d'ail- leurs sa forme polygonal
versale dis- paraît et dès lors apparaissent des aspects de longues cellules fusiformes, à noyaux allongés, se colorant en r
rtification des noyaux, en un mot comme une manière de mourir de la cellule musculaire (voir fig. 4, c). Nous avons signalé
r, qui présentent un volume tout à fait pareil à celui du noyau des cellules de névroglie. Ces boules sont tantôt isolées, tan
t disséminés dans les espaces interstitiels du tissu nerveux. Les cellules ganglionnaires du noyau lenticulaire n'étaient pa
ont voulu voir dans la dégé- nérescence et l'atrophie primitive des cellules rétiniennes la cause de l'atrophie du nerf opti
de Pal ; en employant cette dernière méthode nous avons coloré les cellules par la cochenille. Un certain nombre de coupes on
rrées, surtout circulaires, elle ne s'infiltre ni de sérosité ni de cellules ,et il est assez rare que l'épaississement prése
lement un espace vide; ra- rement on y rencontre d'assez nombreuses cellules . Au contraire, l'espace sous-arachnoïdien, entr
e et la pie-mère, est presque toujours très abondamment infiltré de cellules rondes. Ces cellules sont à coup sûr des lympho
presque toujours très abondamment infiltré de cellules rondes. Ces cellules sont à coup sûr des lymphocytes ; elles en prés
il nous parait bien plus vrai- semblable qu'il s'agit des noyaux de cellules névrogliques, qu'il y a dans le nerf, à la plac
de vaisseaux assez volumineux subsistent dans le nerf ; beaucoup de cellules de leur paroi interne paraissent avoir subi une d
s par un tissu adulte très riche en fibres et contenant très peu de cellules conjonctives, sauf en quelques points spéciaux
ie, les éléments voisins des bandes ou des îlots du tissu scléreux, cellules ou libres, s'atrophient ou dégénèrent ; et, en
ette gaine est ordinairement épaissie et abon- damment infiltrée de cellules rondes, de lymphocytes. Cette infiltration port
ande partie respectée et on retrouve a tous les niveaux des grandes cellules mo - trices. Ces détails 'd'examen topographi
ge les vaisseaux néofurmés sont nombreux. A signaler la présence de cellules de la corne antérieure au voisinage immédiat de l
x ; c'est grâce à ce phénomène encore que des éléments tels que les cellules des cornes antérieures se trouvent déplacés et re
nt, et à la région cervicale la cavité n'est nulle part tapissée de cellules épendymaires. L'état des vaisseaux, au milieu d
cale, une cavité arrondie, centrale, tapissée en certains points de cellules épendymaires, et entourée d'une paroi névroglique
cessus ; elle n'est que le point de départ de la multiplication des cellules épendymaires et de la prolifération névroglique,'
ue paraît née autour du canal central, du fait d'une végétation des cellules épendymaires. Cette origine se trahirait par l'
r l'existence de bourgeons épithéliaux, par la mul- tiplication des cellules épithéliales épendymaires qui tapissent sur une g
s interne et postéro-exterue contiennent encore un petit nombre des cellules dont la plupart sont tassées, comme repoussées,
lulaires postéro-interne et externe ne présentent plus que quelques cellules extrêmement petites et aplaties ; le groupe antér
le groupe antéro-interne droit a encore sur la coupe deux ou trois cellules assez volumineuses munies d'un petit nombre de
privée de fibres. Il n'y a plus dans la corne droite qu'une ou deux cellules à la partie postéro-interne et quelques cellules
roite qu'une ou deux cellules à la partie postéro-interne et quelques cellules dans les parties antéro et pôstéro-externes, ma
à leur pourtour. - Dans la corne gauche un groupe externe de 5 ou 6 cellules subsiste seul dans la languette, ainsi que deux
6 cellules subsiste seul dans la languette, ainsi que deux ou trois cellules petites éparses. L'épendyme est obturé par un a
érieures sont très diminuées de volume. A droite il existe quelques cellules dans les différents groupes ; elles ne sont bel
terne. A gauche il n'y a plus aucun groupe, mais seulement quelques cellules éparses, petites, aplaties ou recroquevillées,
recroquevillées, sans prolongements. Quelques débris seulement des cellules de Clarke. Les vaisseaux de la substance grise
droite, mais la différence n'est plus très sensible. Il existe des cellules dans les diffé- rents groupes, mais à droite ce
s, mais unipolaires pour la plupart et à noyau presque indivisible. Cellules petites dans les noyaux de Clarke, surtout à ga
rtout aplaties de dedans en dehors. Il n'y a pour ainsi dire aucune cellule , si ce n'est dans le groupe intermédio-latéral
rées, à noyau excentrisé, dans les colonnes de Clarke ; une ou deux cellules dans la partie antérieure, seulement à gauche.
ment latéral des cornes anté- rieures, surtout de la droite ; mêmes cellules . 5e-6e dorsale. La moelle est très aplatie d'av
aplaties d'avant en arrière et inégales. Elles contiennent de rares cellules encore assez volumineuses, mais déformées, unip
es, mais déformées, unipolaires et globuleuses à noyau peu visible. Cellules assez nombreuses et assez belles dans le groupe
transversale des cornes anté- rieures, surtout de la droite. Belles cellules , assez nombreuses et volumineu- ses, à gauche.
sez nombreuses et volumineu- ses, à gauche. A droite presque pas de cellules dans la corne antérieure. Les cellules de Clark
che. A droite presque pas de cellules dans la corne antérieure. Les cellules de Clarke sont très belles, moins nombreuses à dr
rieure, aplatissement transversal des cornes. Même distribution des cellules que sur la coupe précédente, mais cellules moins
s. Même distribution des cellules que sur la coupe précédente, mais cellules moins nom- breuses à droite. 8e-90 dorsale. T
rsale. Toutes les déformations semblent un peu moindres. Quel- ques cellules déformées dans la corne antérieure gauche, pour a
s déformées dans la corne antérieure gauche, pour ainsi dire pas de cellules à droite. sauf dans le groupe intermédio-latéral
volume et leur forme habi- tuels. Néanmoins il n'y a qu'une ou deux cellules petites et arrondies dans chaque corne antérieu
groupes intermédio-latéraux et les colonnes de Clarke ont de belles cellules . 10-11° dorsale. -"Mêmes remarques : dépression
lombaire. Les cornes antérieures sont encore un peu effilées ; les cellules out sensible- ment le même état et le même nomb
ures est très peu fourni, surtout à gauche. Il n'y a presque pas de cellules dans les cornes antérieures, sauf quelques-unes
d'une large zone claire Le groupe intermé- dio-latéral a de belles' cellules à droite seulement, la colonne de Clarke des deux
e normal. Léger aplatisse- ment transversal des cornes antérieures. Cellules très belles dans la corne antérieure droite, tr
tour de la zone radiculaire antérieure. A gauche, quelques très fines cellules dans le groupe antéro-interne, pas ailleurs; ad
dans le groupe antéro-interne, pas ailleurs; adroite, trois grosses cellules dans le groupe antéro-interne, une ou deux en d
. Larges espaces au pourtour des vais- seaux. Quelques très petites cellules seulement dans le groupe antéro-interne à gauch
hypertrophiées, fibres très colorées ou à peine colorables, fibres- cellules à l'état embryonnaire, fibres complètement ou inc
a moelle en effet, les cornes antérieures étaient atrophiées, leurs cellules présentaient des altérations considérables, éta
rise antérieure, cette irrégularité dans l'atteinte des différentes cellules dans le reste delà 448 LÉm ET WILSON moelle d
ant la poliomyélite antérieure n'est étroitement systémati- sée aux cellules des cornes antérieures; elle est au contraire pse
ires sont plus altérées. Il est difficile de dire si les noyaux des cellules fixes de ce tissu sont augmentées de nombre, car
olemme, de sorte que sur les coupes en travers on croirait voir des cellules géantes. Au degré extrême, il ne reste plus que d
pisserie fla- mande, du XVI0 siècle (1 pl.), par A. Marie, 493. Cellules nerveuses des tubercules quadri- jumeaux antéri
nches), 181. CzAnNiEcKi. Sur l'aspect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des tu- bercules quadrijumeaux antéri
5 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
rphologiques différents. La substance grise est une ag-glomération de cellules nerveuses ; la substance blanche est constituée p
, recouvertes de myéline, qui mettent en communication les groupes de cellules nerveuses. La cellule nerveuse est le foyer de
qui mettent en communication les groupes de cellules nerveuses. La cellule nerveuse est le foyer de l'innervation, le centre
perficielle de la substance corticale est constituée par une série de cellules nerveuses pyramidalest de volume variable, réguli
urné vers la périphérie, et la base vers la substance médullaire. Ces cellules sont disséminées dans une trame unissante, nommée
le on voit de nombreux vaisseaux capillaires et des myélocytes. Les cellules nerveuses se présentent sous l'aspect de petites
laire dans l'écorce. Celles qui occupent la superficie, les petites cellules , ont un diamètre moyen de 1 [a à 6; elles émetten
s prolongements ramifiés, qui vont s'anastomoser avec ceux partis des cellules voisines, et constituent ainsi une sorte de résea
qui se dirige vers la substance médullaire des circonvolutions. Les cellules des régions profondes, les grandes cellules, ont
es circonvolutions. Les cellules des régions profondes, les grandes cellules , ont une forme nettement pyramidale, à sommet tou
ts ramifiés; ceux du sommet se con-fondent avec le réseau des petites cellules , ceux des parties latérales se rendent d'une cell
eau des petites cellules, ceux des parties latérales se rendent d'une cellule à une autre et forment ainsi un plexus transversa
La zone profonde de la substance grise corticale est formée par des cellules minces signalées pour la première fois par Meyner
es cellules minces signalées pour la première fois par Meynert. Ces cellules sont allongées, fusiformes, ramifiées, de 30 (a d
nt à la surface des circonvolutions, contrairement à la direction des cellules pyramidales. Ces cellules sont appelées par Ch. R
volutions, contrairement à la direction des cellules pyramidales. Ces cellules sont appelées par Ch. Robin cellules volumineuses
on des cellules pyramidales. Ces cellules sont appelées par Ch. Robin cellules volumineuses de la volition. Elles reçoivent de l
trent en connexion avec les prolongements issus des extrémités de ces cellules . Ces trois ordres de cellules sont répartis, av
ongements issus des extrémités de ces cellules. Ces trois ordres de cellules sont répartis, avec les vaisseaux capillaires, da
de forme sphérique ou ovoïde de 9 [/.à 11 ¡x, destinés à produire des cellules nerveuses (Microphotographie, Pl. A, fig. I). S
ment formée par une matière fondamentale, la névroglie, contenant des cellules étoilées, munies de prolongements fins. Son épais
elle est formée de névroglie renfermant une agglomération de petites cellules nerveuses pyramidales, très nombreuses et très se
paisseur de chacune des couches précédentes ; elle est formée par des cellules pyramidales de dimension moyenne, dont le volume
remière couche. Elle est formée par du tissu conjonctif contenant des cellules arron-dies, rarement triangulaires, de 8 p à 10 [
couleur foncée, a une épaisseur de 0,5 millimètres. On y aperçoit des cellules fusiformes de 30 p. de long, pourvues de prolonge
ont semblables à celles du type général précédent. La 3e, à grosses cellules pyramidales, manque; elle est remplacée par une c
de noyaux analogue à la 4edu type général. La 4° renferme quelques cellules pyramidales isolées, remarquables par leur grosse
yramidales isolées, remarquables par leur grosseur, que Meynert nomme cellules solitaires. La 5e est semblable à la couche de
la couche de noyaux. La 6e est formée par un stratum englobant des cellules solitaires. La 7e contient des cellules à noyau
ar un stratum englobant des cellules solitaires. La 7e contient des cellules à noyaux arrondis ; elle est semblable à la 3e et
est semblable à la 3e et à la 5e couche. La 8e couche renferme les cellules dites fusiformes ; elle est conforme à celle du t
couche corticale comme composée de deux zones, renfermant, l'une des cellules pyramidales, et l'autre des cellules fusiformes.
eux zones, renfermant, l'une des cellules pyramidales, et l'autre des cellules fusiformes. Au point de vue de la structure his
entral, on trouve, dans la partie inférieure seulement de la couche à cellules , des cellules pyramidales d'une dimension considé
uve, dans la partie inférieure seulement de la couche à cellules, des cellules pyramidales d'une dimension considérable, qui les
ules pyramidales d'une dimension considérable, qui les a fait appeler cellules géantes ou gigantesques, variant de 40 ¡j à 60 p-
0 p-, analogues, par leurs fonctions et leurs connexions, aux grandes cellules motrices des cornes antérieures de la moelle (Mic
antérieures de la moelle (Microphotographie, Pl. A, fig. III). Ces cellules géantes ont la forme d'une pyramide allongée. Le
ent pyramidal unique ou bifide. La périphérie émet, comme les grandes cellules , des prolongements ramifiés se résolvant en un ré
ngements ramifiés se résolvant en un réseau nerveux. Le corps de la cellule géante envoie un prolongement basai axile, cylind
i axile, cylindrique, analogue à celui que Deiters a signalé dans les cellules des cornes antérieures, qui se dirige vers la sub
evêt de myéline et forme le cylinder-axis d'une fibre nerveuse. Ces cellules géantes sont des cellules motrices; les régions d
e cylinder-axis d'une fibre nerveuse. Ces cellules géantes sont des cellules motrices; les régions dans lesquelles on les renc
idérées comme le siège de la sensibilité, on remarque que les grandes cellules pyramidales sont en plus faible proportion que da
andis qu'on voit prédominer l'élément granuleux, formé par de petites cellules arrondies ; ce qui permettrait de supposer que ce
mus (Pl. II, 4), est un amas ovoïde gris rougeâtre, constitué par des cellules nerveuses ovalaires, de 20 [¦ à 30 (x de longueur
sistance, striée de filaments blancs, formée par une agglomération de cellules nerveuses multipolaires, variant de 15 p.à 30 [a,
a gaine de Schwann ; ce sont les conductrices de l'influx nerveux des cellules de la substance grise avec lesquelles elles sont
lesquelles elles sont en connexion par leurs deux extrémités. Chaque cellule nerveuse reçoit par un de ses pôles une fibre ner
ar le pôle opposé à une autre fibre. Les fibres qui aboutissent à une cellule sont les fibres afférentes, celles qui en partent
myéline; réduite à son filament axile, elle se porte vers une zone de cellules où elle s'épuise en se mettant en connexion avec
la surface corticale ; 2° des fibres commissurantes qui unissent les cellules nerveuses d'un hémisphère à leur homologue de l'h
logue de l'hémisphère opposé ; 3° des fibres convergentes reliant les cellules corticales aux cellules de noyaux opto-striés.
posé ; 3° des fibres convergentes reliant les cellules corticales aux cellules de noyaux opto-striés. § 1. Les fibres arciform
§ 1. Les fibres arciformes constituent un système d'association des cellules ner-veuses de la substance grise corticale d'un m
Les fibres commissurantes appartiennent au système d'association des cellules nerveuses corticales. Elles unissent les parties
ssurantes est en connexion avec les prolongements issus du réseau des cellules nerveuses de la subs-tance grise ; leur portion m
la substance grise du tubercule correspondant et s'épanouit dans les cellules nerveuses qu'elle renferme (Pl. III). - Vicq-d'
'aux tubercules mamillaires. Ce faisceau prend son origine dans les cellules mêmes que renferme la substance grise des tubercu
orps cendré, de chaque côté de la ligne médiane; ils sont composés de cellules fusiformes, absolument pareilles à celles de la c
one superficielle est formée par de la névroglie contenant de petites cellules triangulaires de 6 p. à 10 (a et de nombreux capi
es dirigées parallèlement à la surface externe, renfermant de grosses cellules ovoïdes ou piriformes, de couleur jaunâtre, de 30
, découvertes par Purkinje (Microphotographie, Pl. B, fig. IV). Ces cellules de Purkinje sont situées sur une seule rangée les
re de la zone profonde, sur laquelle repose le corps glo-buleux de la cellule , tandis que son extrémité caudale émet vers la co
prolongement bifide dont chaque branche se ramifie. Le corps de la cellule renferme un noyau ovoïde, pourvu d'un nucléole; i
a substance amorphe, s'anasto-mosent avec les mêmes prolongements des cellules voisines et vont se terminer dans les petites cel
longements des cellules voisines et vont se terminer dans les petites cellules qui les environnent ou qui forment une lame mince
e par de la névroglie, renfermant une grande quantité de très petites cellules rondes, mesurant de 6 p. à 9 p. de diamètre, qui
9 p. de diamètre, qui donnent à cette couche un aspect granuleux. Ces cellules sont pourvues de petits filaments anastomosés ent
couche grise ou moléculaire; elle contient seulement quelques petites cellules isolées dans la névroglie. A sa limite interne,
s dans la névroglie. A sa limite interne, cette couche renferme des cellules fusiformes et des fibres médullaires parallèles à
arallèles à la surface externe. La seconde couche est la couche des cellules , elle contient les cellules de Purkinje. La tro
ne. La seconde couche est la couche des cellules, elle contient les cellules de Purkinje. La troisième couche, la plus inter
ns, est formée par une substance granuleuse constituée par de petites cellules arrondies, pourvues de prolongements. § %. Subs
s latéraux du quatrième ven-tricule. Cette membrane est composée de cellules nerveuses multipolaires de 30 [/. de long et d'en
anastomosés en un réseau très serré avec les prolongements issus des cellules du voisinage. Quelques-uns de ces prolongements s
substance blanche (Pl. VI, 17; XXVI, 25; XXXIII). La dimension des cellules que contient le corps rhomboïdal permet de suppos
e dimension que celles du cerveau, qui se comportent, par rapport aux cellules nerveuses de la substance grise, de la même maniè
rent en combinaison avec les prolongements des grosses et des petites cellules . Les fibres nerveuses de la substance médullair
s homologues des deux lobes, un troisième groupe met en connexion les cellules corticales avec les cellules du corps rhomboïdal.
un troisième groupe met en connexion les cellules corticales avec les cellules du corps rhomboïdal. § 1. Le système d'associat
elles dérivent (Pl. XXVI). § 3. Les fibres convergentes, issues des cellules de la substance grise corticale, se groupent en u
entes dans la substance grise, où elles entrent en connexion avec les cellules nerveuses qu'elle renferme. article 111. — fibr
t qui leur est propre et vont se terminer dans un amas particulier de cellules nerveuses, appartenant au névraxe, situé sur le c
t les interstices des faisceaux ascendants et vont s'amortir dans les cellules de la substance grise de la protubérance (Pl. VI,
ivent leur direction ascendante nouvelle, et vont s'épanouir dans les cellules d'une agglomération de sub-stance grise décrite p
membrane conjonctive, appelée Ependyme, revêtue à sa face interne de cellules à cils vibrátiles. La substance grise de la moe
ls vibrátiles. La substance grise de la moelle est composée par des cellules nerveuses de petite dimension et de myélocites di
s éléments communs à toute la colonne grise renferment des groupes de cellules particulières (Microph., Pl. C,fig. I). Dans le
fig. I). Dans les cornes antérieures, on distingue trois groupes de cellules multipolaires : l'un vers le bord antérieur, l'au
'autre vers le bord interne et le troisième vers le bord externe. Ces cellules , dites motrices, ont un gros noyausphériquepourvu
tte description est difficile à constater par l'examen d'un groupe de cellules multipolaires, isolées sur une préparation. Toute
pe de cellules multipolaires, isolées sur une préparation. Toutes ces cellules se présentent en effet avec des prolongements lar
médiaire aux cornes antérieures et postérieures renferme un groupe de cellules , réunies vers la région interne et médiane, qu'on
on désigne sous le nom de colonne de Clarke ou noyau de Stilling. Ces cellules sont moins volumineuses que celles des groupes
externes de la base des cornes postérieures, on distingue un amas de cellules que Jacubowitsch considère comme analogues aux ce
ue un amas de cellules que Jacubowitsch considère comme analogues aux cellules ganglionnaires. Les cornes postérieures sont co
d'un aspect gélatineux; elle est formée par un réseau de très petites cellules ovoïdes de couleur jaunâtre, pourvues d'un gros n
autre dans la corne postérieure. Les racines antérieures émergent des cellules motrices des cornes antérieures ; elles sont dési
es racines sensi-tives des nerfs crâniens, qui émergent de groupes de cellules nerveuses faisant partie d'une colonne grise, ou
aré d'une colonne grise. Stilling a désigné le premier ces groupes de cellules sous le nom de noyau d'origine des nerfs. Cette e
ane. Ces deux noyaux sont adossés l'un à l'autre et formés de grandes cellules multipolaires, pourvues d'un noyau et d'un nucléo
des cellules multipolaires, pourvues d'un noyau et d'un nucléole; ces cellules sont semblables à celles que l'on rencontre dans
eure, elle renferme, de chaque côté de la ligne médiane, un groupe de cellules multipolaires de 30 à 60 p de longueur, à prolong
e. Vers la pointe de la partie inférieure se trouve un second amas de cellules multipolaires, indiqué par Stilling en 1846, d'où
antéro-latéral du bulbe ou noyau moteur des nerfs mixtes contient des cellules nerveuses multipolaires de 70 p de longueur et de
est la même que celle des noyaux précédents, c'est-à-dire de grandes cellules multipo-laires, contenant un gros noyau sphérique
rmer le faisceau sensitif du trijumeau. Ce noyau est formé de grosses cellules multipolaires et fait suite, sur un plan plus éle
corne antérieure, de petites saillies qui contiennent les groupes de cellules constituant les noyaux sensitifs des nerfs mixtes
ule, en dehors des noyaux propres du grand hypoglosse, renfermant des cellules de grandeur variable, depuis 35 [/.jusqu'à 40 |x
, à contours arrondis, à prolongements rares et délicats. Cet amas de cellules fort allongé constitue successivement, dès sa par
passe en avant et en dedans du pédoncule et va aboutir à un noyau de cellules . Ces deux groupes de fibres radiculaires enclaven
rmation de l'acoustique, et, plus particulièrement, dans un groupe de cellules éparses, d'une forme ovalaire, pourvues de prolon
es de prolongements très minces et très délicats, assez analogues aux cellules du trijumeau, qui occupe l'espace compris entre l
leus. Les fibres radiculaires émergent d'un groupe allongé de grosses cellules , de 70 p. de long sur 20 à 30 de large, à contour
i entoure l'aqueduc de Sylvius renferme, vers ses bords latéraux, des cellules disséminées sur un long espace en petits amas, qu
nnent nais-sance aux fibres des racines supérieures du trijumeau. Ces cellules volumineuses, de 70 [a de long sur 60 \- de large
a de long sur 60 \- de large, présentent une grande analogie avec les cellules qui constituent dans la moelle les colonnes dites
eur a une forme beaucoup plus nette. Ces noyaux renferment de petites cellules multipolaires, de 20 de diamètre, pourvues de pro
es de prolongements extrêmement fins et délicats, et quelques grosses cellules multi-polaires de 45 {* à 90 [/. de diamètre, à p
oisième ventricule. A ce niveau, elle présente de petites traînées de cellules nerveuses qui sont en connexion avec le muscle ci
latérales, au-dessus de la bandelette optique, un noyau contenant des cellules fusiformes de 30 [¿ de diamètre et quelques cellu
au contenant des cellules fusiformes de 30 [¿ de diamètre et quelques cellules multipolaires à prolongements ramifiés. De ce noy
rt par l'extrémité antérieure du lobe sphé-noïdal, et composé par des cellules présentant tous les caractères des cellules gangl
oïdal, et composé par des cellules présentant tous les caractères des cellules ganglionnaires. Ces cellules ont une coloration j
lules présentant tous les caractères des cellules ganglionnaires. Ces cellules ont une coloration jaunâtre; elles sont apolaires
terne (Pl. IV, 23 ; XL, 30). Cette membrane est composée de petites cellules jaunâtres multipolaires, de 18 à 30 p. de diamètr
. Ge dernier ordre de fibres provenant du cervelet s'amortit dans les cellules nerveuses qu'il renferme. Il est donc probable qu
cule cérébral, un noyau transversal curviligne. Ce noyau renferme des cellules caractérisées par un grand nombre de granulations
iane et un peu en haut. Cette substance grise est composée de petites cellules ovoïdes, jaunâtres, pourvues d'un noyau rond et d
d et de nombreux prolongements très déliés, anastomosés avec ceux des cellules voisines. Ces deux noyaux sont situés sur le tr
ar le côté opposé des fibres efférentes prenant leur origine dans les cellules nerveuses qu'ils renferment (Pl. IV, 14; XXVI, 13
su dense et cohérent, d'une coloration blanc-jaunâtre, renfermant des cellules très fortement pigmentées, dont le volume et l'as
très fortement pigmentées, dont le volume et l'aspect rappellent les cellules des noyaux rouges (Pl. IV, 17; XXVI, 12; XL1I, 16
tins qui s'effilent progressivement pour entrer en connexion avec les cellules nerveuses que renferme la substance grise de ces
travers la substance grise de cette région et vont se distribuer aux cellules nerveuses des différents noyaux qu'elle renferme
ricule moyen sous-jacente à la couche optique, et s'épanouit dans les cellules nerveuses de cette région. Dans ce trajet ascen
rieur de la calotte. Ils lui assignent pour lieu d'origine un amas de cellules qui forme l'étage moyen de la substantia innomina
du faisceau cérébelleux. Ils s'effilent, se perdent dans le réseau de cellules nerveuses que renferme sa masse grise et émergent
la face postéro-interne du corpus Luysii, entre en connexion avec les cellules nerveuses contenues dans sa substance grise et en
également un fascicule, dans un plan plus inférieur (Pl. XXVIII), aux cellules nerveuses qui constituent la substance grise de S
t un lien immédiat entre la substance grise de la protubérance et les cellules nerveuses du corps rhomboïdal (Pl. Vf, 19; XXXI).
let, en une grosse portion externe, le corps restiforme, qui unit les cellules nerveuses de l'olive bulbaire aux cellules du cor
s restiforme, qui unit les cellules nerveuses de l'olive bulbaire aux cellules du corps rhomboïdal, et en une portion interne, l
les cordons de Goll (funiculus cuneatus et gracilis), qui relient les cellules nerveuses des régions postérieures de la moelle a
me de leur faisceau. Ces fibres nouvelles ont pris naissance dans les cellules nerveuses que renferme la substance grise de la p
onvolution frontale ascendante). a. Zone superficielle ou couche de cellules pyramidales de 25 ¡¿ à 40 ¡7. de grandeur, régu
grandeur, régulièrement stratifiées. b. Zone profonde ou couche de cellules fusiformes de 30 y. de diamètre (cellules volum
one profonde ou couche de cellules fusiformes de 30 y. de diamètre ( cellules volumineuses de la volition). c. Névroglie, vai
e et la zone profonde. Ces couches de substance grise sont formées de cellules arrondies, disséminées dans la névroglie. b. Va
c. Faisceau médullaire central de la circonvolution. Fig. III. — Cellules géantes ou gigantesques isolées [lobule paracentr
gantesques isolées [lobule paracentral). a. Corps fibrillaire de la cellule de 40 tu à 80 p.; sa base donne naissance à des
eau de Vicq-d'Azyr. c. Substance grise du tubercule, renfermant des cellules fusiformes. d. Substance grise du plancher du v
entrale axile de la circonvolution cérébelleuse. c. Disposition des cellules de Purkinje autour de la limite supérieure de l
ranuleuse. d. Zone superficielle ou couche rouillée, renfermant des cellules triangulaires de 6 ¡i à 10 p. Fig. V. — Cellu
, renfermant des cellules triangulaires de 6 ¡i à 10 p. Fig. V. — Cellule de Purkinje. a. Gros noyau nucléole. b. Prolo
udal ramifié dichotomiquement. c. Corps fibrillaire piriforme de la cellule , de 30 p. à 70 p, de diamètre. d. Prolongements
olongements très fins partant du pourtour de la base du corps de la cellule , adhérents à un amas de substance granuleuse, for
e, adhérents à un amas de substance granuleuse, formée par de petites cellules rondes de 6 à 9 [/. de diamètre. Planche G. ¦
le épinière (agrandissement delà figure pré-cédente). a. Groupes de cellules multipolaires. b. Trame de la substance grise c
forment les prolongements issus des méninges spinales. Fig. III. — Cellules multipolaires isolées de la substance grise de la
ipolaires isolées de la substance grise de la corne antérieure. Ces cellules présentent des aspects variés. Leur corps, de 80
. Substance grise de Y olive bulbaire, contenant un grand nombre de cellules multipolaires, de 18 ¡¿ à 30 ¡¿de diamètre, dissé
tés aréolaires communiquant entre elles, qu'on désigne sous le nom de cellules (cellules mastoïdiennes). 2. — La faux du cerve
ires communiquant entre elles, qu'on désigne sous le nom de cellules ( cellules mastoïdiennes). 2. — La faux du cerveau est for
aire correspondant, autour duquel il s'enroule et s'épanouit dans les cellules nerveuses qui forment la substance grise de ce pe
antérieur du trigone s'enroule à leur surface et se termine dans les cellules nerveuses que renferme leur iuibsiiîuce grise.
hémi-sphères. Les fibres médullaires qui prennent naissance dans les cellules nerveuses qu'elle renferme, se dirigent toutes ve
ôté opposé, les fibres convergentes pour entrer en connexion avec les cellules nerveuses des noyaux opto-striés. Le trajet des f
artent des filaments ondulés, très fins, qui vont s'atténuer dans les cellules nerveuses de la substance grise et jaune du corps
e, pénètrent dans sa substance grise, où elles s'amortissent dans les cellules nerveuses qu'elle renferme. 17. — Substance gri
es piliers antérieurs du trigone, qui vont ensuite s'amortir dans les cellules nerveuses que renferme la substance grise ; ces f
s nerveuses que renferme la substance grise ; ces fibres émergent des cellules , se rapprochent, se groupent et sortent sous le n
Faisceaux de Vicq-d'Azyr (voir Pl. III). Ils mettent en connexion les cellules nerveuses de la substance grise du centre antérie
cellules nerveuses de la substance grise du centre antérieur avec les cellules nerveuses de la substance grise des tubercules ma
6 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e dans sa forme; mais il existe une diminution légère du nombre des cellules dans l'une des cornes antérieures ; de ces cell
e du nombre des cellules dans l'une des cornes antérieures ; de ces cellules elles-mêmes, quelques-unes sont atrophiées, que
le, l'une des cornes antérieures est très nettement atrophiée ; les cellules sont diminuées de nombre : de celles qui restent
que étranglée à sa base. Sur une coupe, on ne trouve qu'une ou deux cellules d'aspect granuleux et jaunâtre. La corne postér
rie des cornes antérieures est peu marquée ; le nombre etl'état des cellules parait normal; cependant sur certaines préparat
es cellules parait normal; cependant sur certaines préparations les cellules motrices sont peu nom- breuses. Les cornes post
ubstance de Rolanùo; on constate aussi une diminution du nombre des cellules de la colonne de Clarke. Racines. Les racines
rtiellement disparu partout ailleurs. Comme corollaire, les petites cellules de Cajal sont très dimi- nuées en nombre, et l'
s de Cajal sont très dimi- nuées en nombre, et l'on ne voit que des cellules pyramidales grandes ou petites, isolées dans le
s granuleuses et jaunâtres, ou envahies à des degrés divers par les cellules rondes qui sont normalement accolées à ces élém
vec les lésions qui frappent les éléments des cornes. En effet, les cellules de la colonne de Clarke sont détruites dans une
alogue. Sur certaines coupes, les deux côtés sont symétriques ; les cellules constituantes ne parais- sent ni lésées, ni dim
UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 19 rescence granuleuse des cellules et surtout leur disparition complète. La lésion
érieures viennent concorder avec la dégénérescence de certaines des cellules de la corne grise. Est-ce à dire que la lésion
des éléments endogènes s'explique sans dif- ficulté par l'état des cellules des cornes : Le centre trophique se trouvant at
pithélium qui les tapisse, au lieu d'être pavimenteux, est formé de cellules cylindriques assez hautes, disposées sur une ou
s les cel- lules motrices des cornes antérieures de la moelle : les cellules se tuméfient ; les granulations chromatophiles
cuoles se forment à la péri- phérie et dans les prolongements de la cellule , et ces vacuoles pro- duisent une destruction p
aculté de se colorer au bleu de méthylène, et à la longue, toute la cellule s'atrophie. Les altérations des nerfs périphéri
évrites sont secondaires et relèvent du trouble de la nutrition des cellules motrices. IL.- .Sous l'influence des injections
ieures et des cordons postérieurs de la moelle. Les altérations des cellules des ganglions intervertébraux sont insigni- fia
tion directe du streptocoque sur la fibre nerveuse. Les lésions des cellules des cornes antérieures ne sont pas caractéristi
l'opinion que l'étude de l'état de la substance chromatophile de la cellule n'a pas autant d'importance, par elle- même, qu
'importance, par elle- même, que par rapport à l'état général de la cellule , et surtout en tant qu'une indication de l'état
M. Mouratow ajoute .que le ? altérations qu'il a trouvées dans les cellules de la moelle dans les cas des paralysies diphté
urtout prononcée au niveau de la partie cervicale de la moelle. Les cellules des gan- glions et des cornes présentent une pi
ie générale ordinaire avec prédominance nette de la déchéance de la cellule cérébrale. L'interprétation pathogénique de ces
ée dans l'inflammation des vaisseaux et la moindre résistance de la cellule cérébrale. L'hérédité alcoolique est aussi une
. 83 z3 nous appliquons une méthode de coloration spéciale. De la cellule , nous demandons au procédé de Golgi de nous mon-
tous les jours, donne des résultats merveilleux dans l'étude de la cellule radiculaire, la méthode de Golgi est très infid
ire, la méthode de Golgi est très infidèle. L'imprégnation de cette cellule radiculaire est bien plus capricieuse encore qu
cellule radiculaire est bien plus capricieuse encore que celle des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale. En revanche,
orne postérieure, commissure et dans ses deux principaux éléments : cellules et fibres. Ce qui frappe dans les coupes examin
and nombre de fibres à myéline et la présence partout de nombreuses cellules rondes, particulièrement autour du canal de l'é
Nissl qu'il fallait demander de nous faire voir les altérations des cellules médullaires des paralytiques. Ce procédé, avec
ils précieux à noter. Deux ordres d'altération s'observent dans les cellules radiculaires anté- rieures : l'atrophie ou la c
urée, celle qui s'accompagne toujours d'im- potence des membres. La cellule atrophiée n'a plus qu'un prolongement ou deux.
r duquel les granulations chromato- philes ont toujours disparu. La cellule atrophiée revêt d'au- tres aspects; elle a la f
cornes antérieures, dans lesquelles il n'existe plus qu'une ou deux cellules . Elle est plus avancée dans la région lombaire
le système musculaire a longtemps souffert, la des- truction de la cellule radiculaire est un fait accompli. Pre- nons un
a coloration par le bleu polychrome d'Unna, nous fit voir, dans les cellules radiculaires de la moelle cervicale et surtout
deux modes de chromatolyse. Car la désorganisation du corps d'une cellule radiculaire ne semble pas se produire toujours
Quelquefois, il reste au centre de la R8 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cellule ; son nucléole disparaît et la substance homogène,
rment, sans que dans la plupart des cas il parvienne à sortir de la cellule . Ce qui nous expliquerait pourquoi on le rencon
ous expliquerait pourquoi on le rencontre encore dans bon nombre de cellules atrophiées. Les cellules radiculaires ne sont p
n le rencontre encore dans bon nombre de cellules atrophiées. Les cellules radiculaires ne sont point seules frappées de c
elle mesure on peut attacher de l'importance à l'al- tération de la cellule de la colonne de Clarke. Klippel a noté la faci
les plus diverses. Il est plus difficile d'apprécier une lésion des cellules du faisceau intermedio-lateralis, des cel- lule
les du faisceau intermedio-lateralis, des cel- lules de cordon, des cellules de la corne postérieure. Disons seulement que p
ent normale. La pie-mère est souvent le siège d'une infiltration de cellules rondes, sorte de lepto- méningite qui environne
89 à-dire de l'épithélium qui tapisse le canal de l'épendyme. Les cellules de cet épithélium sont toujours détruites, rem-
t toujours détruites, rem- placées par une prolifération intense de cellules rondes qui obstruent le calibre du canal et inf
s remarquable. Autour de leurs parois se voit une infil- tration de cellules rondes parfois si considérable que l'on se croi
lésion, bien constatée, d'un élément important de ce neurone, la cellule radiculaire antérieure ? Bien moins encore que la
uisqu'elle est en rapport avec celle d'un sys- tème de fibres et de cellules qu'elle continue, en remontant, 92 ANATOMIE P
s de la région dorsale, c'est-à-dire partout où dispa- raissent les cellules de la colonne de Clarke, c'est que cette lésion
t que cette lésion est d'autant plus intense que la destruction des cellules de Clarke est plus avancée, que la lésion du fa
à interpréter, parce qu'elles sont aussi les plus mal connues. Les cellules de Clarke sont toujours altérées, quand elles n
sibilité sont graves dans la paralysie générale. L'atrophie de la cellule radiculaire antérieure résulterait LÉSIONS SP
faisceau pyramidal, mais la chroma- tolyse très active de ces mêmes cellules , alors même que les voies pyramidales ne sont q
cause. Nous connaissons mal l'anatomie normale et pathologique des cellules de la corne postérieure, des cellules de cordon
normale et pathologique des cellules de la corne postérieure, des cellules de cordon. Il n'est point facile d'apercevoir une
lésion de ces éléments pas plus que des voies qui les relient aux cellules motrices antérieures. Et cependant, de cette seul
n dehors. Nous avons noté, en effet, une pro- lifération intense de cellules rondes à la périphérie et autour du canal de l'
ns capables, à elles seules, de les réaliser. La chromatolyse des cellules radiculaires s'observe dans les névrites expéri
ion cervicale. Dans la subs- tance grise, il a noté des lésions des cellules nerveuses carac- térisées par l'atrophie pigmen
u que nous savons des névrites périphériques. La chromatolyse des cellules médullaires a été observée, ' 7'<Y< : <
altérée dans ses détails. Les fibres à myéline sont plus rares. Les cellules radiculaires antérieures sont frappées d'atroph
Clarke subissent le même sort. Il en est apparem- ment de même des cellules de cordon, des cellules de la corne postérieure
e sort. Il en est apparem- ment de même des cellules de cordon, des cellules de la corne postérieure. La dure-mère est habit
dégénération descendante ayant pour point de départ la lésion de la cellule pyramidale de l'écorce. Les lésions du cordon p
aient par une dégé nération ascendante des fibres radiculaires. Les cellules de Clarke sont atteintes au même titre et au mê
nt elles font partie. La 100 RECUEIL DE FAITS. chromatolyse des cellules radiculaires aurait sa raison d'être s'il exist
le tronc. Absence de réflexes patellaires. Autopsie. Un sarcome (à cellules rondes) occupe la partie moyenne de la frontale
glossopharyngien, du nerf vague; lésions relative- ment faibles des cellules nerveuses. , 'l't8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
fs craniens et spinaux à l'extrémité musculaire. 3° Dé- chéance des cellules commissurales et des fibres commissurales dans
continuellement leur courant nerveux qui, par les pyramides, va aux cellules des cornes antérieures ; mais ce courant rencontr
raction. On pouvait espérer l'imputer à des lésions anatomiques des cellules motrices ou des nerfs périphériques, ou tout au m
erfs. Peut-être aussi serait-on en droit de faire ressortir que les cellules et les nerfs soumis aux mêmes dystrophies physi
nt, on constate qu'on a affaire à une néo-formation cellulaire. Les cellules présentent des formes et des dimensions diverse
présentent des formes et des dimensions diverses, mais ce sont les cellules polyédriques et les fusiformes qui prédominent;
nd noyau, pas trop forte- ment coloré, souvent granuleux; plusieurs cellules en contiennent deux ou trois. Presque point de
trois. Presque point de substance intercellulaire; par places, les cellules forment des amas, des nodules, entourés d'un ti
as, des nodules, entourés d'un tissu conjonctif. Le caractère des cellules et leur distribution ne laissent guère de doute
GOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. '167 limitent un tissu où les cellules sarcomateuses sont moins abon- , danies et où p
se; quelques blocs arrondis d'une masse granuleuse font l'effet des cellules nerveuses dégéné- rées. Un peu plus haut, au
hon correspond à la partie postérieure de la moelle; les foyers des cellules sarcomateuses sont séparés par de larges bandes
formation qui paraît y avoir pénétré par la fissure antérieure; les cellules sarcomateuses ne sont pas trop encombrées; beau
ne, des corps granuleux; névroglie très infiltrée; presque point de cellules ner- veuses' SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE D
ure; dans un endroit de cette commissure on voit un amas de grandes cellules épithélioïdes - c'est le canal central oblitéré
n rose; dans l'espace limité par ce contour, on aperçoit un amas de cellules sarcomateuses et de globules san- guins. Les co
eux côtés de la tumeur on voit la subs- tance grise, bien pauvre en cellules nerveuses; la substance blanche n'est que compr
x ; cette couche contient aussi le canal central tapissé de grandes cellules épitéhliales qui ne ressemblent guère aux éléme
évident que c'est ici que commence la fente. Cette gliose, riche en cellules névrogliques (bien différentes des cellules sar
Cette gliose, riche en cellules névrogliques (bien différentes des cellules sarcomateuses), est traversée par une grande quan
une légère dégénération périphérique et une hypérémie générale; les cellules des cornes antérieures sont presque saines. L
de nouveau comprimée et déformée. Dans sa partie centrale l'amas de cellules sarcomateuses persiste en forme d'une tâche à b
grands foyers hémorrhagiques ou des tâches d'exsudat dissociant les cellules sarcomateuses. La moelle a subi une compression
s considérable le contenu de ces territoires parait être composé de cellules lymphoïdes à grand 172 CLINIQUE NERVEUSE. n
conservé; ils sont situés dans un tissu névroglique dense, riche en cellules . " . Un peu plus haut, les dimensions de la tum
auche : on y voit une gliose bien développée, tissu dense, riche en cellules névrogliques et en fibrilles formant des touffes
de longue fente ondulée, est entouré d'un tissu scléreux, riche en cellules . Au niveau de la lIe racine cervicale la tumeur
ns le cordon postérieur. Les deux cavités ne sont point revêtues de cellules épithéliales et n'ont guère de connexion avec l
ium); l'état morbide consiste en une prolifération abondante de ces cellules endothéliales. Nous avons donc le droit de rang
a hauteur de plusieurs segments, sans qu'on puisse trouver dans les cellules sarcomateuses des traces d'un pro- cessus dégén
bordé d'une névroglie proliférée, dans l'autre une tache formée des cellules sarcomateuses. Enfin, si cette syringomyélie ét
rolifération névroglique, on trouve des lésions très accentuées des cellules , ce qui est un argument en faveur de l'opinion
. L'examen histologique a montré qu'il s*agit d'un tissu formé de cellules araignées de la névroglie et de fibrilles fines.
s, qui étaient le siège d'une névrite parenchyrnateuse typique. Les cellules et les racines n'étaient pas à beaucoup près au
érisée par une sclérose systématique de tout le tractus moteur, les cellules de la zone rolandique comprises. Or, c'est ici qu
cot et Marie reconnurent l'existence de lésions indubitables des cellules motrices de l'écorce. Dès lors, la sclérose latér
récemment, et on a vu une véritable atrophie détruire peu à peu les cellules des cornes antérieures et réaliser une sclérose l
TES. 229' rée, d'où les décharges à caractère spasmodique. Mais des cellules . saines sont indispensables ? assurer le phénom
infecté, la toxine porte son action simultanément sur les diverses cellules qui réagissent chacune par les processus que no
leucocytes, les endo- théliums vasculaires et périvasculaires, les cellules conjonctives du tissu conjonctif et des tunique
tives du tissu conjonctif et des tuniques des petits vaisseaux, les cellules nerveuses et leurs prolongements cylindraxiles
éactions diffé- rentes que peuvent présenter les divers systèmes de cellules vis-à-vis de la cause pathogène ; la durée même
ssi à la valeur héréditaire individuelle des différents systèmes de cellules , fera que les lésions conjonctives ou les lésio
pas longtemps confiné à ce point. A mesure qu'il se développe, les cellules nerveuses voisines subissent directement l'acti
ter des lésions vasculaires, même peu avancées, sans altération des cellules nerveuses. La sclérose en plaques parait bien p
rminaient de la sorte des lésions plus ou moins accentuées dans les cellules des cornes antérieures de la moelle. Le malade
tervenant que consécutivement à celles de la corticalité. Etat des cellules nerveuses chez un épileptique mort en étal de ana
e Golgi. Dans les régions cervicale et lom- baire de la moelle, les cellules radiculaires ont été reconnues nor- males. De m
les cellules radiculaires ont été reconnues nor- males. De même les cellules des noyaux du bulbe. Dans le cerve- let, les ce
. De même les cellules des noyaux du bulbe. Dans le cerve- let, les cellules de Purkiuje sont généralement saines. C'est à pei
téristique. Dans le cerveau, les lésions sont très importantes. Les cellules pyramidales ont perdu leur forme et leur volume
les préparations font ressortir avec évidence, c'est l'invasion des cellules par des corpuscules apparemment névrogliques ;
ques ; c'est surtout le développe- ment de ceux-ci aux dépens de la cellule qu'ils envahissent : sorte de phagocytose d'ori
ne peut pas dire si cette phagocytose précède ou suit la mort dela cellule . En outre, cette phagocytose n'est pas spéciale a
uvoir regarder la campagne librement qu'à travers une grille. Les cellules étroites, à plafond bas, devraient être remplacée
entre les vésicules thyroïdiennes; il était infiltré par places de cellules embryonnaires. La plupart des vésicules avaient c
sé morphologiquement par des fila- ments articulés et branchés. Les cellules pyramidales de la moelle et les grandes cellule
s et branchés. Les cellules pyramidales de la moelle et les grandes cellules du bulbe étaient très altérées dans leur forme
es ne soient constituées par le trouble amené dans la nutrition des cellules nerveuses par l'intoxication. De nombreuses obs
iable : tantôt il n'y a qu'une lésion dynamique, épui- sement de la cellule ganglionnaire, donnant lieu à des parésies et d
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1. LÉSIONS DES CELLULES NERVEUSES AU COURS DE DIVERSES INTOXICA- TIONS
tanique, de l'ingestion d'iodure de potassium, déterminent dans les cellules nerveuses centrales des lésions protoplasmiques
e); tantôt losangiques et disposées sans ordre il l'intérieur de la cellule (intoxication par l'iodure de potassium et la t
ointement avec elles, se voient parfois des vacuoles dans certaines cellules . Les fissures et les vacuoles, que les auteurs
allèles à la surface. On admettait bien que les pro- longements des cellules pyramidales traversaient cette couche, mais c'e
aximum d'épaisseur, fait qui indique une relation étroite entre les] cellules nerveuses et les éléments de la couche péri- ph
u et y décèle chez la grenouille la z ^présence de deux variétés de cellules , absolument indépendantes fonctionnellement du
ndantes fonctionnellement du tissu nerveux. Ce sont : a) de petites cellules de 6 à 9 fi, avec gros noyau, disséminées dans
ents épais s'attachant à un vaisseau voisin. L'auteur pense que ces cellules tirent leur origine de l'endothélium des vaisse
t par des stades de transi- tion avant d'arriver au type parfait de cellules en araignée de la névroglie. Les lésions pathol
immédiatement sous la pie-mère; 3° Les prolongements terminaux des cellules pyramidales. les uns viennent des cellules pyra
longements terminaux des cellules pyramidales. les uns viennent des cellules pyramidales qui constituent les troisième etqua
s qui constituent les troisième etquatrième couches, les autres des cellules de laseconde couche. A mesure qu'ils s'approche
te. Au sein du tissu gliomateux, on retrouve des cylindraxes et des cellules ner- veuses intacles. Archives, 2e série, t.
présentée par le malade. La tumeur s'insinuant lentement entre les cellules nerveuses et leurs prolongements sans les détru
'est un fait bien connu que le tissu gliomateux s'insinue entre les cellules et les cylin- draxes au point de les enserrer d
les disperse, en raison des lois d'accroissement et d'expansion des cellules pathologiques. Or, cela n'a rien à voir avec le
ement accentuées à droite et à gauche. Atrophies insignifiantes des cellules des cornes REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
érieure et moyeune; à coup sûr, des deux côtés, il y a atrophie des cellules dans la moelle thoracique supérieure et cervica
uses. En somme, lésions systématiques avec atrophie primitive des cellules nerveuses dans les foyers gris moteurs de la moel
s termes, par transmission de la partie latente du sexe opposé. Les cellules du germe s'interfèrent et ce sont les con- diti
ces 20 dernières années : 1° sur les fibres nerveuses; ,2" sur les cellules nerveuses; 3° sur les méninges, la névroglie et
dultes ou les embryons entou- rent comme d'une toile d'araignée les cellules nerveuses grandes ou petites. Mais il faut obse
raitées par la méthode de Nissl, montrent en toute évidence que les cellules d'origine des fibres croisées occupent la parti
fut constaté dans toutes les coupes au niveau d'un grand nombre de cellules situées à la partie postérieure de la corne ant
s réseaux lobaires et aciniques, la déformation polyangulaire des cellules , l'obstruction du tube acinique et partant de sa
ction de ses prolongements axiles que des alté- rations intimes des cellules soumises à un agent toxique. A. Marie. Archiv
e mince pellicule de 1 millimètre d'épaisseur où l'on distingue des cellules nerveuses, les faisceaux fondâmes taux des cord
les cas où l'on constate l'absence des faisceaux pyrami- daux, les cellules des cornes antérieures, examinées d'après Nissl,
ent cervical. Les parties périphériques de la tumeur sont riches en cellules et en vaisseaux à parois épaissies ayant subi l
central est un peu dilaté, par places dédoublé et entouré d'amas de cellules épithé- liales. Immédiatement au-dessus de la t
deux tiers de la commissure grise; on y voit également des amas de cellules de revêtement. Au niveau du bulbe on trouve plu
ticulier est de la plus grande importance. Une des propriétés de la cellule hépa- tique est de détruire certaines matières
e détruire certaines matières toxiques de l'écono- mie. Quand cette cellule est lésée et quand son fonctionnement est altér
on hépatique étaient préparés par l'impré- gnation alcoolique de la cellule nerveuse. Cette dernière n'avait pas succombé à
prendrait pour nier l'action spéciale et directe de l'alcool sur la cellule nerveuse. On reconnaît à la plupart des poisons
isse être autrement invoquée que par son action antérieure sur la cellule hépatique ». Et pourquoi pas aussi sur la cellule
antérieure sur la cellule hépatique ». Et pourquoi pas aussi sur la cellule cérébrale ? N'est-il pas plus naturel d'admettr
hénomène de rappel et que, lésée d'ores et déjà par l'alcool, cette cellule a gardé une certaine infériorité fonction- nell
confusions mentales d'autre origine. Par son action élective sur la cellule céré- brale, l'alcool est essentiellement inves
e faut pas omettre de recon- naître que si, dans ces conditions, la cellule cérébrale suc- combe, c'est qu'elle était préal
ar le poison d'origine externe, au même titre, d'ailleurs, que la cellule hépatique elle-même. En dehors de l'alcoolisme,
cas, par le mécanisme de l'auto-intoxication, et la fragilité de la cellule nerveuse provient soit d'un trouble de sa nutri
e fibrilles très fines au milieu desquelles on trouve de nombreuses cellules . Cette tumeur prend mat les réactifs colorants,
égatif. (Revue neurolo- gique, mai 1898.) E. B. ACII. Lésions DES CELLULES DE la moelle dans UN cas DE maladie DE Parkinso
- minent la maladie de Parkinson. Les auteurs ont trouvé dans les cellules des cornes antérieures de la moelle d'un malade a
ie et coupée avec soin, une fragilité anormale du protoplasma des cellules . Faut-il considérer la fragilité du spongioplas
ns une lésion fonctionnelle des prolongements protoplas- miques des cellules nerveuses, l'explication de la raideur et de l'
rappés de dégénérescence. Il est évident que là où il n'y a plus de cellules motrices, ou de racines antérieures, ou de fibr
les noyaux de la gaine de Schwann d'un bon bleu ; les fibrilles des cellules neuves, bleu-clair ; les noyaux du tissu conjon
yaux du tissu conjonctif et des éléments musculaires, ainsi que les cellules épithé- liales du canal central, bleu-sombre.
t pas entreprendre l'étude des altérations fines du protoplasma des cellules nerveuses poussées d'encéphalite A1GUE. 435
dans la constitution de cette forme de foyer est représenté par les cellules de neuroglie. Ces dernières se trou- vent réuni
e toujours un espace entre elles, sou- vent assez considérable. Ces cellules névrogliques possèdent des caractères particuli
quelquefois a des contours très indistincts. Quelques- unes de ces cellules ne possèdent pas de prolongements, mais la plup
coloré par le carmin. Le plus souvent et dans certaines coupes les cellules névrogliques renferment un seul noyau, mais dan
ne position excen- trique. Dans les préparations qui renferment des cellules à proto- plasma transparent (ftg. 1), nous cons
ont atteints dans leur endothélium. On voit dans certains d'eux les cellules endothéliales tuméfiées, arrondies et proéminan
ndies et proéminant fortement vers la lumière du vaisseau. Quelques cellules même sont en état de pro- lifération évidente.
ments du foyer que nous nous sommes proposé de décrire. Quant aux cellules nerveuses elles ont subi des modifications vari
d'encéphalite aiguë. 437 simple et très rarement la sclérose de ces cellules . Dans toute l'étendue d'un de ces foyers on ne
lules. Dans toute l'étendue d'un de ces foyers on ne trouve que 5-6 cellules ner- veuses seulement profondément altérées. To
fondamentale. Nulle part nous n'avons vu ces espaces bordés par des cellules en forme de croissant (Randzellen de Friedmann)
que nous décrivons, voici ce que- nous trouvons. Quelques-unes des cellules névrogliques sont venues se placer à côté des c
ntracté des rapports inlimes avec eux C/y. 3). Rarement on voit ces cellules se mettre en rapport avec les capillaires et le
gements, fait qui est la règle dans la forme sui- vante. Quelques cellules nerveuses, atteintes des premiers stades de dégé-
, présentent le même phénomène que nous venons de signaler pour les cellules névrogliques, c'est-à-dire se sont mises en 1 a
e passif, fait de simple voisinage comme on pourrait le croire. Les cellules nerveuses qui présentent ce phénomène ont une f
e confondent avec la paroi capillaire. Ce changement de forme de la cellule nerveuse, s'adap- tant exactement à la conforma
érieure du vaisseau, a dû précéder la modification régressive de la cellule et est par consé- quent un processus essentiell
ont constituées par deux éléments principaux : les vaisseaux et les cellules névrogliques. A certains endroits, les capillai
rès serré dans les mailles duquel on ne distingue que de nombreuses cellules de neuroglie. Les vaisseaux d'un certain calibr
t petits capillaires ne paraissent pas manifestement altérés. Les cellules de neuroglie offrent au fort grossissement des ca
c- tères différents de ceux que nous avons décrits pour les mêmes cellules du foyer précédent. Elles ressemblent ici plus au
s mêmes cellules du foyer précédent. Elles ressemblent ici plus aux cellules névrogliques que l'on observe normalement dans
'entrecroisement d'une multitude de fibrilles. Le pro- toplasma des cellules qui en sont richement pourvues est très for- te
nt. Le noyau, dans n'importe laquelle des différentes formes de ces cellules , est situé à leur extrémité la plus large. Chez
. Le nucléole est central. Mats la véritable caractéristique de ces cellules sont leurs prolongements. Ces derniers, à l'inver
ts. Ces derniers, à l'inverse de ce que nous avons observé dans les cellules du foyer forme A, sont nombreux, très longs, mi
st pauvre en protoplasma. Les prolongements venant des défé- renles cellules névrogliques s'entrecroisent dans tous les sens e
nstituent ainsi, à certains endroits, un lacis inextricable. Chaque cellule présente au moins un, mais souvent deux ou plusie
, nous en rencon- trons d'autres moins nombreux. Ce sont de grosses cellules rondes ou légèrement allongées dontle volume dé
e à six fois le volume normal des leucocytes. Le protoplasma de ces cellules est tout à fait transparent ou finement granule
ais de myéline ou d'autres substances étrangères. Les noyaux de ces cellules sont très gros, d'une forme ovalaire et bien colo
une forme ovalaire et bien colorés par le carmin. Dans une pareille cellule nous avons trouvé deux noyaux. Sans aucun doute
s trouvé deux noyaux. Sans aucun doute nous avons affaire ici à des cellules épithélioïdes dont parle Friedmann. Quoique moi
t parle Friedmann. Quoique moins nombreuses que les leucocytes, ces cellules par leur présence donnent une physionomie parti
D'autrefois elles sont arrondies, ovalaires, et ont l'aspect d'une cellule épithéliale cellules épithélioïdes. La fi- gure
ont arrondies, ovalaires, et ont l'aspect d'une cellule épithéliale cellules épithélioïdes. La fi- gure 6 donne le dessin de
re 6 donne le dessin de cette dernière forme. Le protoplasma de ces cellules est coloré très légèrement en rose pâle. Leurs co
éole et des filaments de chromatine. On rencontre assez souvent des cellules à deux noyaux. Les prolongements que ces derniè
endothéliulll des capillaires a proliféré. Quant à la nature de ces cellules , nul doute que cesoientlà des cellules névi-o.-
ré. Quant à la nature de ces cellules, nul doute que cesoientlà des cellules névi-o.-liquesen voie de proliféra- tion. Et po
et, à mesure que nous montons vers l'écorce nous remarquons que, de cellules pâles et à contours vagues qu'elles étaient, el
es prolongements nombreux, fins et très longs. On n'observe plus de cellules à deux noyaux. A quoi tient celte diffé- rence
deux noyaux. A quoi tient celte diffé- rence dans la coloration des cellules névrogliques des substances blanche et grise ?
sculaire. Cet épaississement est constitué par la prolifération des cellules de la paroi vasculaire, et c'est par la formati
t concentriques que cette prolifération se manifeste. Les corps des cellules proliférées se distinguent difficilement; mais en
térée. Mais le fait capital que nous y observons est l'existence de cellules nerveuses a modifications progressives. Ces mod
ne peut pas y être étudié. Dans cette zone donc nous trouvons des cellules nerveuses à noyau riche en chromatine, des cellul
us trouvons des cellules nerveuses à noyau riche en chromatine, des cellules dont le noyau renferme deux, trois, jusqu'à qua
le noyau renferme deux, trois, jusqu'à quatre nucléoles. Certaines cellules possèdent un noyau excessivement long; enfin nous
anormaux, se sont fortement rapprochées jusqu'à simuler une seule cellule , se sont juxtaposées par leur base. Beaucoup d'en
nstate aucune modification, soit qualitative, soit quantitative des cellules névrogliques. Les altérations de l'écorce cér
des gros troncs vasculahes, diminuent rapidement d'intensité. Les cellules nerveuses y sont normalement disposées, et nous a
us aurions affaire à un tissu cortical normal, n'était les quelques cellules ner- veuses en état de dégénérescence. Nous fai
faisons remarquer, à pro- pos des modifications progressives de la cellule nerveuse, qu'à me- sure que l'on s'approche des
ctivité limitée ne s'observe plus. Nous avons même un exemple où la cellule nerveuse possédant deux noyaux se trouve déjà en
de bien anor- mal. Il nous a semblé, par place, rencontrer moins de cellules ner- veuses que dans les circonvolutions corres
tait caractérisé microscopiquement par l'apparition précoce de la cellule ronde et surtout par les petites extravasations s
ant des corrusifs dans le cerveau, il révéla l'existence de grosses cellules rondes et multinucléaires (jusqu'à huit noyaux
lules rondes et multinucléaires (jusqu'à huit noyaux dans la même cellule ). Il fait provenir ces cellules de la proliférati
es (jusqu'à huit noyaux dans la même cellule). Il fait provenir ces cellules de la prolifération des cellules de la névrogli
e cellule). Il fait provenir ces cellules de la prolifération des cellules de la névroglie et les regarde comme cellules-mèr
ré- brale, peuvent présenter lès mêmes propriétés que les grosses cellules rondes et multinucléâires de llayem. La dénomi-
l'inflamma- tion qu'il décrit, provient de la propriété qu'ont les cellules situées à la périphérie des foyers inflammatoir
aladies infectieuses. Gluge parlait déjà d'altérations vagues de la cellule ner- veuse après la fièvre typhoïde. Aujourd'hu
a Lien étudié les modifications de la substance chroma- tophile des cellules nerveuses dans les maladies infectieuses et les
tance tout à fait secondaire, puisque les éléments essentiels de la cellule : le noyau et le protoplasma, ne paraissent pas
tate l'accumulation d'une grande quantité de globules blancs; les cellules névrogliques et les cellules de la paroi vascu-
rande quantité de globules blancs; les cellules névrogliques et les cellules de la paroi vascu- laire prolifèrent, enfin des
bstance fondamentale éprouve des modifications profondes aussi. Les cellules nerveuses dans cette zone dégénèrent. La zone i
ncipal élément de leur constitu- tion est représenté par une grosse cellule ronde, d'aspect épithélial. Ces cellules sont e
t représenté par une grosse cellule ronde, d'aspect épithélial. Ces cellules sont en général situées les unes près des autre
nt une forme allongée, irrégulière par compression réciproque. La cellule épithélioïde a des propriétés essentiellement act
ouvent un grand nombre de noyaux, ce qui la fait ressembler à une cellule géante. L'arrangement de ces cellules est type pa
e qui la fait ressembler à une cellule géante. L'arrangement de ces cellules est type pavi- poussées d'encéphalite aiguë.
n dit que ces foyers d'encé- phalite aiguë ne suppurent jamais; les cellules épithélioïdes disparaissent toujours par dégéné
survient toujours, mais avec la même lenteur que la disparition des cellules épil hélioïdes. L'établissement d'une nouvelle
cJa., Bd XXIV, -1892) a trouvé des petits foyers formés de grosses cellules plus ou moins rondes, disséminées un peu partou
flammatoires avec hémorragies capillaires consécutives dans 1 La cellule épithélioïde, d'alnis Friedmann, provient de la p
épithélioïde, d'alnis Friedmann, provient de la proliféra- tion des cellules de neuroglie, des cellules de la paroi vasculaire
mann, provient de la proliféra- tion des cellules de neuroglie, des cellules de la paroi vasculaire, des cellules bordant le
des cellules de neuroglie, des cellules de la paroi vasculaire, des cellules bordant les espaces pémvasculaires et péricellula
dant les espaces pémvasculaires et péricellulaires et en partie des cellules nerveuses. '- Wernicke, Lehrbuch der Gelciral-I
seaux et dans les tissus. On n'y trouve pas de corps granuleux. Les cellules nerveuses, la neuroglie, la substance fondament
fet, nous trouvons ici principalement des leucocytes et des grosses cellules rondes, les cellules épithélioïdes de Friedmann
i principalement des leucocytes et des grosses cellules rondes, les cellules épithélioïdes de Friedmann. Mais à l'en- contre
us avons trouvé les leucocytes en bien plus grande quantité que les cellules épithélioïdes. Chez nous c'est l'image assez ex
'hématies dans la paroi des vaisseaux, la dégénérescence rapide des cellules nerveuses, la dissolution de la substance fonda
de la substance fondamentale, mais surlout la formation de grosses cellules rondes aux dépens des cellules névrogliques voi
mais surlout la formation de grosses cellules rondes aux dépens des cellules névrogliques voici les principaux phé- poussé
t à première vue l'aspect de petits foyers de ramollisse- ment. Les cellules épithélioïdes sont la réponse - phénomène infla
gent inflammatoire. Pour affirmer l'origine névroglique des grosses cellules rondes, nous ne pouvons assurément pas nous bas
asma cellulaire (Friedmann), mais sur la forme même du noyau de ces cellules . Ce dernier est très gros, ovalaire et d'un asp
areil noyau. Et puis dans la même préparation et à côté des grosses cellules rondes on trouve des leucocytes, de sorte que l
s ne disculons même pas la possibilité de provenance de ces grosses cellules des cellules nerveuses ! Comme nous l'avons vu
s même pas la possibilité de provenance de ces grosses cellules des cellules nerveuses ! Comme nous l'avons vu dans notre de
uses ! Comme nous l'avons vu dans notre description précédente, les cellules nerveuses disparaissent au début de l'inflammat
tate de l'hyperémie, de la dégénérescence précoce et incomplète des cellules nerveuses, coagulation de la subs- tance fondam
onné déjà qu'on trouve dans les foyers d'en- céphalite subaiguë des cellules névrogliques qui ont contracté des rapports trè
imes avec les capillaires et les petits vaisseaux. Certaines de ces cellules , en état de modifications progressives, sont en
e dessin exact. Il ne faut pas confondre ces rapports directs de la cellule névroglique et les capillaires avec ceux se fai
'in- 452 pathologie NERVEUSE. termédiaire des prolongements des cellules névrogliques, fait que l'on observe communément
pour ce dernier cas, on a voulu invoquer les rapports directs des cellules névrogliques avec les vaisseaux comme un fait p
cette affirma- - tion. Comme on peut le voir dans la figure 4, les cellules ner- veuses aussi peuvent présenter le même phé
les ner- veuses aussi peuvent présenter le même phénomène que les cellules névrogliques, et cela dans les mêmes foyers d'enc
lite. On ne peut pourtant pas suspecter l'origine épithé- liale des cellules nerveuses et admettre qu'elles puissent avoir q
entice des vaisseaux et peut-être l'atrophie d'un certain nombre de cellules nerveuses. C'est dans cette zone et dans le voi
ous avons signalé des légères modifications progressives dans les cellules nerveuses. poussées d'encéphalite aiguë. 453
nt au processus inflammatoire qui se passe dans la corticalité. Les cellules de la neuroglie y prolifèrent fortement; c'est
y prolifèrent fortement; c'est surtout ici que nous rencontrons les cellules type épithélioïde, et nous tenons à nous expliq
gnification. La figure 5 représente une petite agglomération de ces cellules épitlié- lioïdes au voisinage des foyers inflam
ve de ce que nous avançons vient se ranger le fait qu'on trouve ces cellules épithélioïdes même dans le voi- sinage des foye
imum d'intensité. Nous ne nous expliquons pas pourtant pourquoi les cellules névrogliques répondent avec plus de vivacité qu
signaler dans les foyers d'encéphalite aiguë l'existence de grosses cellules rondes ou de cellules épithélioïdes 2. Mais cet
rs d'encéphalite aiguë l'existence de grosses cellules rondes ou de cellules épithélioïdes 2. Mais cet auteur a été trop loi
r a été trop loin en soutenant ' Loc. cil. - La prolifération des cellules névrogliques constitue en elle-même un processu
'inflammation aiguë du système 454 pathologie NERVEUSE. que ces cellules constituent l'essence même de cette forme d'inf
ite aiguë sont : la présence de leucocytes, de dégé- nérescence des cellules nerveuses et la dissolution de la sub- stance f
econd lieu seulement nous voyons l'endothélium des vaisseaux et les cellules névrogliques pro- liférer. La prolifération de
- mann. Notre cas montre que, loin des foyers inflammatoires, les cellules névrogliques de la substance blanche prolifèrent
alite subaiguë vient confirmer encore la susceptibilité extrême des cellules de la névroglie vis-à-vis de l'agent inflammato
foyers, avant toute extravasation des, globules blancs du sang, les cellules névrogliques sont déjà en état de prolifé- rati
on assez avancée, phénomène suivant de près la dégéné- rescence des cellules nerveuses. Toutes ces constatations prouvent su
es constatations prouvent surabondamment que les éléments nerveux cellules nerveuses et cellules névrogliques - sont beaucou
uvent surabondamment que les éléments nerveux cellules nerveuses et cellules névrogliques - sont beaucoup plus sensibles à n
plus sensibles à n'importe quelle irritation que toutes les autres cellules de l'économie. C'est pour la même raison que no
avons de la peine à comprendre l'absence complète d'altérations des cellules nerveuses, delà substance fonda- mentale et des
ations des cellules nerveuses, delà substance fonda- mentale et des cellules névrogliques dans les cas d'encépha- lite aigué
ces derniers temps par différents auteurs. D'après Friedmann les cellules épithélioïdes sont destinées à disparaître tout
bservons plus la mort complète du tissu enflammé : il n'y a que les cellules nerveuses qui dégénèrent et disparaissent. L'in
es éléments névrogliques n'y va jusqu'à donner naissance aux vraies cellules épithélioïdes Tout ce que nous pouvons avancer
endant la vie, relèvent histologiquement de l'atrophie complète des cellules nerveuses dans. le domaine des foyers inflammat
EXPLICATION DE LA PLANCHE Fig. 1. Foyer d'encéphalite subaiguë, en, cellules névrogliques en voie de modifications progressi
, cellules névrogliques en voie de modifications progressives; c g, cellules nerveuses dégénérées ou en voie de dégénérescen
grossisse- ment. (Zeiss. ocul. 3 obj. D.) Fig. 3. Accotement des cellules névrogliques à la paroi des capil- laires. Le n
lules névrogliques à la paroi des capil- laires. Le noyau d'une des cellules présente un abondant réseau de fibrilles* de ch
illes* de chromatine. (Zeiss. ocul. 3obj.E.) Fig. i. Accotement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules n
ig. i. Accotement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses en voie de régression, même grossisseme
ncéphalite aiguë spontanée et non suppurative. l, leucocytes ; c e, cellules épithéloides ; c g, cellules nerveuses com- plè
non suppurative. l, leucocytes ; c e, cellules épithéloides ; c g, cellules nerveuses com- plètement dégénérées; ! ), petit
Des cônes et bâtonnets (A) il passe succes- sivement à travers les cellules à cônes et à bâtonnets (B) - la couche plexifor
s cellulaires bipolaires (D), la couche plexiforme interne (E), les cellules ganglionnaires (F), les neurones visuels périph
488 PSYCHOLOGIE. nerf optique, le chiasma, les bandelettes ; les cellules inter- calaires (H) au niveau des noyaux gris c
é dans l'obscurité ces granulations se retirent dans le corps de la cellule , et les expansions pro- toplasmiques paraissent
nous avons donné le schéma (g.2p), la rétine contient encore des cellules nerveuses dont nous allons étudier le rôle pro-
cellules nerveuses dont nous allons étudier le rôle pro- bable. 1 Cellules horizontales de la couche granuleuse interne. C
es horizontales de la couche granuleuse interne. Ce sont de petites cellules situées au-dessous de la couche plexiforme exte
veau du point où les cônes et bâtonnets entrent en contact avec les cellules bipolaires ( ? 28). La supposition la plus prob
bipolaires ( ? 28). La supposition la plus probable, c'est que ces cellules servent à établir des contacts plus intimes, à
influx ner- veux, à ce niveau. 2° Spongioblastes. Le corps de ces cellules est égale- ment situé dans la couche granuleuse
opposé vers la couche plexiforme interne, au niveau du point où les cellules bipolaires entrent en contact avec les cellules
eau du point où les cellules bipolaires entrent en contact avec les cellules ganglionnaires. 1 Nous avons développé ces idée
nous. MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATTENTION. li 63 Ici encore ces cellules ne peuvent servir qu'à perfectionner les contac
es ne peuvent servir qu'à perfectionner les contacts. Ce rôle des cellules horizontales et des spongiobfastes été nettemen
t de modifier les articulations de neurones par l'intermédiaire des cellules horizontales et des sporigioblastes. 464 PSYC
e il un neurone central, mais par l'intermédiaire d'une troisième cellule , le neurone intercalaire f'/<. 29) '. Comme
s se mettent en communication avec les panaches protoplasmiques des cellules pyramidales. 1 Voir dloacclaow.irclc. f. Psych.
ité (R), se réfléchit par les libres visuelles centrifuges jusqu'à la cellule intercalaire. MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATT
Dans cette couche des fibres tangenlielles sont trois espèces de cellules particulières : a) des cellules polygonales angu-
tangenlielles sont trois espèces de cellules particulières : a) des cellules polygonales angu- leuses avec un seul cylindrax
des cellules polygonales angu- leuses avec un seul cylindraxes) des cellules fusiformes de Cajal avec des cylindraxes multip
c des cylindraxes multiples naissant tous d'une den- drite ; c) des cellules triangulaires différant des précédentes seuleme
leur plus grand volume, leur nombre plus grand. (V. flg. 30.) Ces cellules ont pour caractère commun d'être tout en- tière
es centripètes pour le transmettre aux panaches protoplasmiques des cellules pyramidales. Elles sont donc absolument compara
es cellules pyramidales. Elles sont donc absolument comparables aux cellules intercalaires des noyaux gris centraux, ou aux
s jusqu'au niveau du centre visuel (A) où par l'intermédiaire des cellules de cette région les contacts se perfectionnent,
en B il revient sur ses pas jusqu'en A, où par l'intermédiaire des cellules de cette région, il peifectionne les contacts e
cevoir l'image visuelle de la rue, toujours par l'intermédiaire des cellules de Cajal de la couche des fibres tangentielles.
produise, deux condi- tions indispensables : 1° la persistance des cellules motrices de l'écorce qui, si dégénérées, si mal
ce d'une quantité de fibres arcifolmes excitant continuellement les cellules corticales. Conclusions. 1° Les attaques cong
entrent en communication avec les prolongements protoplasmiques des cellules pyramidales. Le transfert de l'excitation se fa
, ceux-ci sont en communication avec les prolonge- ments des autres cellules en formant ce que Torski appelle des « synapses
orski appelle des « synapses ». L'excitation descend du corps de la cellule à la péri- phérie du corps par l'intermédiaire
qu'il distribue par ses prolongements pro- toplasmiques à d'autres cellules ou à des centres cellulaires. Mais chose import
étude des origines nerveuses, de la réaction qui se produit dans la cellule nerveuse, après la section de son cylindraxe, l'a
. système nerveux des cobayes. En effet : 1° c'est avant tout les cellules des cornes antérieures de la moelle qu'attaque, e
tandis que les strep- tocoques se montrent, à l'égard de ces mêmes cellules beaucoup plus indifférents et ne produisent que
mais provoque des modifications dans le prolongement central des cellules des ganglions intervertébraux; 4° la toxine dipht
-il, par l'inter- médiaire des modifications qu'elle amène dans les cellules , tandis que le streptocoque les attaque directe
ormités congénitales DU cerveau dans leurs RAPPORTS AVEC L'ÉTAT DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE ; par N. SOL01 TZOPF. (N
lle, avec atrophie des cornes anté- rieures. Microscopiquement, les cellules motrices des cornes antérieures de la muselle s
duit l'auteur aux conclusions suivantes : 1° Le développement de la cellule nerveuse de la moelle épinière est très étroiteme
très étroitement lié avec celui du prolongement cylindraxile de la cellule pyrami- dale de l'écorce cérébrale. Tant qu'il
de l'écorce cérébrale. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la cellule motrice de la moelle et le prolongement cylindrax
cellule motrice de la moelle et le prolongement cylindraxile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule motr
ent cylindraxile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule motrice de la moelle ne possède que très peu de
hémis- phères ; telle est la cause de l'arrêt du développement des cellules motrices de la moelle épinière. Ces dernières r
herbivores. R. Charon. XXXVI. Recherches SUR l'histologie fine DES CELLULES DU système -sympathique ; par le Dr G. MARINESC
stème -sympathique ; par le Dr G. MARINESCO. Le type principal de cellule nerveuse qui domine dans les gan- glions sympat
glions sympathiques de l'homme est celui qui est représenté par des cellules à noyau excentrique, avec partie centrale de la c
té par des cellules à noyau excentrique, avec partie centrale de la cellule privée des éléments chromatophiles. lesquels se
chromatophiles. lesquels se déposent surtout à la périphérie de la cellule . Le spongioplasma offre un réseau à mailles plu
ascen- dante du faisceau pyramidal consécutive à une affection des cellules des cornes antérieures; quant au tabès spasmodi
de ce faisceau consécutive une altération légère ou passagère des cellules des cornes antérieures. Dans le domaine sensiti
tiplicité des réac- tions que présentent les différentes espèces de cellules nerveuses. L'excitation d'un neurone des centre
e noyau médian se ressemblent, c'est-à-dire qu'ils sont composés de cellules multipolaires grandes, analogues à celles des a
moteurs et que, par contre, le noyau interne est composé de petites cellules polymorphes. Le noyau facial, tout au moins dan
auteur, dans un prochain travail, étudiera les fonctions du noyau à cellules polymorphes du facial. (Revue neurologique, jan-
fren., fasc. II, 1897.) L'oscillation de l'activité spécifique des cellules cérébrales et celle de la circnlation du cervea
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. laires et une partie interne dont les cellules sont en connexion avec les muscles que le facia
s le canal de Fallope ; 2° Le groupe postérieur est formé par les cellules d'origine des fibres du facial supérieur; 3°
res sensitives qui entrent dans la constitution du facial ont leurs cellules d'origine dans le ganglion géniculé. Ces fibres
de la moelle lombo-sacrée ne reste pas intacte, mais que toutes les cellules des cordons dont le cylindraxe a été sectionné,
abolition complète des réflexes des membres inférieurs, puisque les cellules des ganglions spinaux et les cellules radiculai
mbres inférieurs, puisque les cellules des ganglions spinaux et les cellules radiculaires de la corne antérieure ont toujours
rones moteurs périphériques, c'est parce que le tonus normal des cellules motrices de la moelle lombo-sacrée se trouve cons
isais-je (l'auteur continue), très probablement en rapport avec les cellules des seg- ments postérieurs de la substance gris
nte et l'intégrité de sa partie postérieure en con- nexion avec les cellules des cornes postérieures. Cette partie posté- ri
ir et la substance grise plus ou moins incolore. Au microscope, les cellules nerveuses apparaissent avec tous leurs prolonge
colore. Dans les préparations cérébelleuses durcies à l'alcool, les cellules de Purkinje montrent un protoplasma gris jaune
s'épanouissant dans les noyaux en question où, de concert avec les cellules de ceux-ci, elles forment un nouveau neurone, d
et de degré progressivement. P. KEHAVAL. LXL Des altérations DES CELLULES nerveuses PFNDANT l'inanition; par K. Schaffer.
de par le procédé de Nissl au bleu de méthyle (1894 et 1893), de la cellule des cornes antérieures à type somatostichochrome,
sivement fines, ténues (lentille apochromatique homogène). Quelques cellules sont faiblement teintées comme si les granulati
taient peu ou pas colorées. Intégrité des bords et des noyaux de la cellule très rarement vacuolisée. 2° Inanition totale
Le protoplasma, à partir de la partie périnucléaire du corps de la cellule , est parsemée de très fines granulations qui se
- tion des vacuoles à la périphérie change l'aspect des bords des cellules qui sont zigzagues, érodés. La résorption des gra
rem6/. 1895.) Tout cela prouve qu'il y a trouble de nutrition de la cellule , et que la substance chromatique est intimement
expériences sont nécessaires. P. Keraval. LXIII. De l'aspect des cellules motrices DE la corne antérieure DE la MOELLE A
écorce cérébrale du côté opposé, où ils se relient aux neurones des cellules motrices pyramidales, Et c'est précisément à ce
nage, que ceux-ci aboutissent. C'est là qu'est prévu le passage aux cellules motrices, facilité par des con- nexions spécial
P. Keraval. LXV bis. Examen DE DI1·I·LRENTI's5 110DI11C\'l'IONS DES cellules géantes du LOBULE P.IRaCE\1'1WL ; par le Dr Ado
1'1WL ; par le Dr Adolf MEYKR. L'auteur a choisi pour son étude les cellules géantes du lobule paracenlral, parce qu'il lui
i a pain préférable d'étudier les modifi- cations d'un même type de cellules dans des formes variées d'af- feclion, et que,
es dans des formes variées d'af- feclion, et que, d'autre part, ces cellules géantes sont le plus aptes à montrer les modifi
Dans un cas de démence sénile avec artériosclérose, au milieu de cellules d'aspect normal s'en trouvent qui ressemblent à u
u prolongement du sommet, se trouve comprimé un noyau atrophié. Ces cellules sont fréquemment réunies sous forme d'amas, ce
ocal de nutrition. Dans un cas de mélancolie sénile, la plupart des cellules ont des granulations plus petites qu'à l'état n
rencontre parfois une accumulation de pigment jaune. Sur d'au- tres cellules , les minces corpuscules de Nissl sont disposés so
osés sous forme de tourbillons ayant le noyau pour centre. Quelques cellules présentent une combinaison de la degénération v
ans un cas de mort huit jours après une hémorrhagie ménin- gée, les cellules présentent une sorte de dissolution des corpus-
daire mort après plusieurs jours de délire avec convulsions, les cellules montrent une disparition complète des corpuscules
postérieure de la couche optique, où elles s'éparpillent entre les cellules placées un peu en dedans du corps genouillé int
e descendante. En réalité les fibres émanées des c3 lin- draxes des cellules qui se trouvent dans la profondeur du tubercule,
; cette coordination est le fait de l'activité d'un grand nombre de cellules qui ont pour fonction unique d'associer. Voilà
Ainsi pense M. 0 tuszew : : ki, P. IiEn.wnL, LXX. Lésions fines des CELLULES NERVEUSES dans LES poliomyélites chroniques; pa
ouche motrice des bras et des jambes renferme un , nombre énorme de cellules destinées à assurer la coordination délicate de
délicate des muscles dans l'infinie variété des mouvements ; ces cellules motrices et sensitives s'accroissent et se dévelo
EXPLICATION DE LA PLANCHE Fig, 1. Foyer d'encéphalite subaiguë. en, cellules névrogliques en voie de modifications progressi
cellules névrogliques en voie de modifications progressives; c ri, cellules nerveuses dégénérées ou en voie de dégénérescen
ssisse- ment. (Zeiss. ocul. 3 obj. D.) - Fig. 3. - Accotement des cellules névrogliques à la paroi des capil- laires. Le n
lules névrogliques à la paroi des capil- laires. Le noyau d'une des cellules présente un abondant réseau de fibrilles de cli
les de cliromatine. (Zeiss. ocul. 3 obj. D.) Fig. 4. Accolement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules n
ig. 4. Accolement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses en voie de régression, même grossisseme
ncéphalite aiguë spontanée et nou suppurative. l, leucocytes ; c e, cellules épitliéloides ; c g, cellules nerveuses com- pl
nou suppurative. l, leucocytes ; c e, cellules épitliéloides ; c g, cellules nerveuses com- plètement dégénérées ; v, petit
SUfiRI.\ALES. Extirpation des - chez le chien, par Sodou, 487. CELLULES nerveuses. Lésions des - dans les intoxications
tion de la jambe, par van Gehnch[en et de liuck, 3 18. Aspect des cellules des - après le repos, par Jacob. sohn, ù03.
u de méthy- lène chez les - par J. Voisin et Haute, 189. Etat des cellules ner- veuses chez les - morts en état de mal,
. Un cas de -, par Poix, 259. maladie de Pyrkinson. Lésions des cellules de la moelle dans un cas de -, par Ballet et Fa
et catalepsie, par Dupré et ltabé, 5f. Méningite. Altération des cellules de la colonne de Clarke dans la spinale épide
s cordons <ie l3urdacll, par Schiister, 310. Lésions fixes des cellules dans les-chroullues. par))ar)uesco.511. \, Po
7 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
e, principalement chez l'homme, de granula-tions graisseuses dans les cellules hépatiques de la région. Voici quelles sont, Me
ure lobulaire du foie. Sommaire. — Constitution du lobule du foie : cellules hépatiques ; — vaisseaux sanguins et capillaires;
ue nous allons examiner rapidement. (a) Enpremier lieu viennent les cellules hépatiques,formant, par excellence, le parenchyme
e rapportées les fonctions spéciales de la glande hépatique. b) Les cellules sont en quelque sorte rapportées et soute-nues pa
les veines hé-patiques. c) 11 y a encore, dans les interstices des cellules hépatiques, imréseaudecanaliculesbiliaires, des l
lobule. Les in-tervalles des travées capillaires sont comblés par les cellules hépatiques. Mais les cellules ne sont pas disposé
ravées capillaires sont comblés par les cellules hépatiques. Mais les cellules ne sont pas disposées pôle-môle, (1) Diamètre d
facettes, qui répondent-à autant de faces ap-partenant chacune à une cellule particulière, par conséquent, chaque cellule est
-partenant chacune à une cellule particulière, par conséquent, chaque cellule est de rapport avec dix autres cellules. 11 y a d
ulière, par conséquent, chaque cellule est de rapport avec dix autres cellules . 11 y a de plus, quatre gouttières creusées sur l
e schéma, les colonnettes répondent aux capillaires et les balles aux cellules . Cette comparai-son est d'autant plus plau-sible
hez le lapin, et il en est de même à peu près chez l'homme, une seule cellule , en général, sépare les capillaires. Fig. 3. — Sc
facile de comprendre la disposition réciproque des capillaires et des cellules , dans la réalité, et d'interpréter les images qu'
rcot. Œuvres complètes, t. fï. Maladies du fuie. 2 capillaires, les cellules se dessinent sous la forme de quadrila-tères, don
u doit être circonscrit par quatre gouttières appartenant à autant de cellules diffé-rentes: il y a donc quatre cellules pour un
res appartenant à autant de cellules diffé-rentes: il y a donc quatre cellules pour un orifice. Ces disposi-tions schématiques s
et passant par le calibre des colon-nettes suivant le grand axe. Les cellules se présenteront alors sous la forme de rangée d
les allongés, séparés de chaque côté par le calibre du vaisseau ; ces cellules sont isolées les unes des autres par une fente ou
vers le lobule,verticalement, sans intéresser le vaisseau, chaque cellule apparaît comme un hexagone, et l'ensemble des con
la fig. 3 du Mémoire de Hering. Fig. 5. — (D'après Kolliker), A, A, Cellules hépatiques.—B, B, sections transversales des ca-p
capillaires biliaires. Dans le schéma que je viens d'expliquer, les cellules sont représentées se touchant exactement et en co
du lobule, il est nécessaire d'avoir une connaissance précise de la cellule hépatique que, jusqu'ici, nous connaissons seulem
aires biliaires. (Figure demi-schématique.) TROISIÈME LEÇON De la cellule hépatique. Sommaire. — Découverte de la cellule
SIÈME LEÇON De la cellule hépatique. Sommaire. — Découverte de la cellule hépatique. — Contenu des cellules ; — granulation
ique. Sommaire. — Découverte de la cellule hépatique. — Contenu des cellules ; — granulations. — Réactions de la cellule hépat
hépatique. — Contenu des cellules ; — granulations. — Réactions de la cellule hépatique relativement à la matière gyécogène. —
le hépatique relativement à la matière gyécogène. — Altérations de la cellule hépatique : compression ; — atrophie ; — hypertro
entretenir de l'élément en quelque sorte spécifique de la région, la cellule hépatique. Nous en devons la découverte à Purkinj
mal qu'elle peut être convenablement étudiée. Lorsqu'on examine les cellules hépatiques, prises par dis-sociation dans le foie
tre mieux accusée sur les préparations faites après durcissement. Ces cellules dont le diamètre est en moyenne de 0, 16 (x (Hen-
x noyaux. Certains foies même se distinguent par la prédomi-nance des cellules à deux noyaux (Henle). Chez les jeunes su-jets, o
faut pas prendre pour des conditions pathologiques. Le contenu des cellules est formé par une substance demi-liquide, grenue,
t pas la réaction de la graisse et qui remplissent pour ainsi dire la cellule ; 3° des granulations à bords sombres, brillants,
. C'est ici le lieu d'appeler votre attention sur les réactions des cellules hépatiques, relativement à la matière glycogône,
ons sérieuses à l'anatomie pathologique de l'homme. On sait que les cellules hépatiques, chez l'animal récem-ment tué, ont une
d'autres éléments anatomiques. Ainsi, d'après M. Ranvier(3), dans les cellules lymphatiques qui présentent la réaction brun acaj
s plus importants qui distinguent, dans les con-ditions normales, les cellules hépatiques. Cette étude prélimi-minaire était ind
t plus facile qu'il n'est guère d'al-tération hépatique à laquelle la cellule glandulaire ne prenne une part plus ou moins dire
tés. Celle distension des capillaires a pour effet que les rangées de cellules hépatiques, intermédiai-res aux vaisseaux radiés,
ques, qui prennent souvent, en pareille circons-tance, l'apparence de cellules conjonctives fusiformes. C'est là une apparence à
à laquelle il ne faut pas se laisser prendre : l'état granuleux de la cellule , sa teinte jaunâtre et d'autres caractères encore
st possible de produire sur le foie d'un animal cet aplatissement des cellules , en in-troduisant un corps étranger dans la subst
ie, connue sous le nom (Yatrophie sentie, à'atrophie pigmentccire,\as cellules hépatiques se montrent très petites, ratatinées,
s relever l'hypertro-phie, souvent très marquée, que nous offrent les cellules hépatiques dans certains cas de diabète. Dans une
, l'atrophie succède souvent à l'hypertrophie, et, simultanément, les cellules hépatiques subissent, à un certain degré, l'altér
it., p. 379. III. Parmi les altérations les plus vulgaires que la cellule hé-patique peut subir, il faut citer au premier r
s graisseuses, à la vérité très discrètes, dans le proto-plasma de la cellule hépatique, surtout dans l'espèce humaine. Sans so
ttes dont la présence a pour effet de refouler sur un des côtés de la cellule le protoplasma en même temps que le noyau, rappel
emps que le noyau, rappelant ainsi une dispositionbienconnue pour les cellules adipeuses sous-cutanées (Fig. 7). Cette même Fi
Fin. 7.— Granulations graisseuses ? »„ ,. . -, vers le centre de la cellule hcpati- înilltratratlOïl Se rencontre quel-que ch
ntre quel-que chez la chienne en lactation. o • - j - i „ ,„ -a; a, cellules normales à la péri- quefolS, a UI1 degré analogue
le ,d après de Sinety.) ° r ^ 1 des individus cachectiques, etc. La cellule , en semblable circonstance, n'est pas détruite, e
sma et le noyau pourraient reprendre leur place, en même temps que la cellule tout entière recouvrait à la fois les dimension
essivement. La graisse en quantité variable, que renferment alors les cellules , peut résul-ter: 1° d'une transformation chimique
titution, d'infiltration consécutives. Une simple tuméfaction de la cellule , avec augmentation de son opacité relative, accro
acajou contrastant avec la couleur jaune d'or des autres parties, les cellules hépatiques peuvent être complètement détruites et
destruction plus ou moins généralisée et plus ou moins accentuée des cellules hépa- tiques C'est même dans ces circonstances
ques C'est même dans ces circonstances que la destruction to-tale des cellules hépatiques a été notée pour la première fois par
ntrairement à l'opinion de Rokilansky et Dusch, cette destruction des cellules hépatiques n'estpasle résultat de l'action de la
la bile et en particulier des acides biliaires sur les tissus. Les cellules hépatiques peuvent encore devenir le siège de l'a
ération se prononce primitivement dans la zone moyenne du lobule. Les cellules hépatiques, altérées de la sorte, paraissent plus
que. Je mentionnerai, en dernier lieu, l'altération pigmentaire des cellules hépatiques, qui est à proprement parler une exagé
iliverdine qui occupent quelque-fois presque la moitié du corps de la cellule . Telles sont, Messieurs, les principales formes
sont, Messieurs, les principales formes des lésions élémentaires des cellules hépatiques. Nous aurons maintes fois l'occasion d
e genre d'étude. dernière séance et qui, d'après Hering, compare la cellule hépatique à un octaèdre tronqué à ses deux sommet
elles se croisent à angle droit. Il suit de là que, autour de chaque cellule , les demi-canaux figurent deux mailles hexagonale
croisent sous un angle droit. Si nous supposons que dix octaèdres (ou cellules ), construits sur le modèle de celui que nous veno
, par l'apposition successive d'un nombre suffisant d'octaèdres ou de cellules , cette disposition s'étende à toutes les parties
ition du réseau capillaire biliaire et de ses relations : 1° avec les cellules hépatiques, 2° avec les vaisseaux capillaires san
s savez, par nos études antérieures, que, sur une pareille coupe, les cellules apparaissent sous la forme d'un rectangle à grand
se montrent là sous l'aspect d'une ligne parallèle au grand axe de la cellule , à peu près à égale dis-tance des vaisseaux auxqu
s, offrant un léger coude çà et là, vers le milieu du corps de chaque cellule . Ces sinuosités répondent à l'arrête transver-sal
schéma et, dans la nature, au point où se renflent les surfaces de la cellule , on voit dans l'épais-seur du canalicule un pertu
8.) 2° Si la coupe , plus épaisse, comprend une ou deux cou-ches de cellules , on pourra voir par transparence le double réseau
a voir par transparence le double réseau polygonal qui entoure chaque cellule . L'un de ces réseaux sera vu suivant un plan anté
se présen- * }e* des capillaires biliaires r ^ r pénétrant entre deux cellules tent la plupart des coupes et c'est ainsi que j
elle est très mince, autour de chacun des petits carrés que figure la cellule hépatique, dans l'intervalle et à égale dis-tance
ansversales des canaux creusés sur cha-cune des faces latérales de la cellule . Si la coupe est épaisse, de manière à contenir u
us près leur structure. Ont-ils une paroi propre, indépen-dante de la cellule , à la surface de laquelle ils ne feraient que ram
ce de simples sillons, produits par dépression à la périphérie des cellules , une sorte d'empreinte effectuée aux dépens de la
capillaires sont injectés à la gélatine, ils peuvent se détacher des cellules , cela est vrai, mais si l'on fait réchauffer la g
ntouré par l'injection que l'on re-trouve aussi dans l'intervalle des cellules sous forme d'un fin réseau 'Réseau d'Andrejevie e
e telle sorte que cette paroi devrait être considérée comme formée de cellules plates, séparées par un ciment que colore l'argen
cana-licules serait donc composée par la juxtaposition intime de ces cellules . Ces observations très remarquables n'ont pas,
que dans l'état normal. Leur calibre est souvent rempli et comblé de cellules épithéliales cubiques. Par conséquent, il y a lie
foie. —a, sec-tion de la veine centrale d'un lobule ; — b, tissu des cellules hépatiques atro-phiées ; — a, canaux biliaires in
réseau de canalicules de 0,010 à 0,005 y- de diamètre, contenant des cellules épithé-liales nonplus cubiques, mais plus ou moin
anal. Comment interpréter cette disposi-tion? M. Cornil pense que des cellules épithéliales, dévelop-pées dansles canaux interlo
s, s'il faut en croire la plu-part des auteurs, ne contiennent pas de cellules . Cette obli-tération des canalicules intra-lobula
rve d'habitude et dès la première période (1) Cette disparition des cellules s'opère surtout à la périphérie. d'admettre qu'
ces canaux et communiquant avec eux, on voit dans le lobule, dont les cellules hépatiques ont dispa- dans la forme de cirrhose
oue,Messieurs, que ce refoulement par trop plein, pour ainsi dire, de cellules épithéliales dans les canaux intra-lobu-laires, m
s dessinés en a dans la figure précédente. — Les canaux a, remplis de cellules d'épithélium, sont situés au milieu d'un tissu gr
élium, sont situés au milieu d'un tissu granuleux, contenant quelques cellules de tissu conjonctif embryonnaire et des vaisseaux
ogique de Cornil et Ranvier, p. 891. plus simple d'admettre que les cellules plates qui, suivant cet auteur, constituent la pa
t continu avec d'autres canalicules également minces et possédant des cellules disposées bout à bout. Ces canalicules se rendent
analicules se rendent dans des confluents plus volumineux a ; — «, d, cellules de tissu conjonctif, grossissement de 300 diam. —
ection des vaisseaux ra-diés, on voit, sur la ligne de séparation des cellules hépatiques, de petits pertuis arrondis, situés au
ttre en évidence le trajet des canalicules biliaires à la surface des cellules dans certains cas où, en dehors même d'un état pa
apillaires biliaires dans divers cas de cir-rhose et à la présence de cellules ôpithéliales dans leurs ca-vités pouvaient être c
biliaires. B, B, Globules graisseux. C, Noyaux en-core apparents des cellules hépati-ques. Û, vaisseaux sanguins remplis de glo
obulaires, subi-rait une sorte d'aplatissement en pénétrant entre les cellules hépatiques pour former les capillaires biliaires.
ernier devient intra-lobulaires et prendre peu à peu le caractère des cellules hépatiques. Entre ces cellules, les capillaires a
et prendre peu à peu le caractère des cellules hépatiques. Entre ces cellules , les capillaires ainsi formés vont constituer des
lle une cavité où se déverse le produit de l'activité se-crétaire des cellules . Or, dans le foie des vertébrés inférieurs, dans
ucture des glandes en tubes. Ainsi, sur certaines coupes, cinq ou six cellules épithéliales de forme pyramidale reposent par leu
n effet, les ca-naux sans paroi propre, creusés dans l'intervalle des cellules hépatiques, à la vérité, les cellules qui compose
, creusés dans l'intervalle des cellules hépatiques, à la vérité, les cellules qui composent ces parois sont, chez l'homme seu
t au plus; mais c'est là, pour ainsi dire, toute la différence. 2° La cellule glandulaire est, d'un côté, par suite de l'absenc
et délicats sont Fig. 15. — D'après Henle. A, Stroma conjonctif. B, Cellules hépatiques qui n'ont pas été chassées par le pinc
l du lo-bule en traitant par le pinceau des préparations durcies. Les cellules étant chassées, on a sous les yeux les mailles du
i se prolongent en s'enchevê-trant dans les mailles qui encadrent les cellules . Le tissu conjonctif ne parait représenté là que
tissu conjonctif ne parait représenté là que par les fibrilles ; les cellules plates ne s'y rencontrent pas ou tout au moins, e
-laires dans le lobule, comme étant en contact direct avec celles des cellules hépatiques. En se fondant sur les résultats d'inj
'existence d'une fente ou chambre qui sépare la paroi de la travée de cellules (1) Centralblatt, 1869. Charcot. Œuvres compl
en même temps, les espaces qui séparent les vaisseaux capillaires des cellules , sont remplis par le liquide de l'injection. Qu
per l'intervalle qui existe entre la paroi capillaire et la travée de cellules hépatiques (3). Cette dispo-sition s'est montrée
Pfliiger, ces nerfs ne se répandraient pas dans les inters-tices des cellules hépatiques et surtout ne pénétreraient pas dans l
uleuses du foie: H.H, Veines centrales des îlots hépatiques, dont les cellules s'éloignent en rayonnant; M,M, Tissu conjonctif i
s. Ces granulations, incorporées dans les globules blancs ou dans les cellules épithéliales vascu-laires, circulent avec le sang
es par un tissu réticulé dans les mailles duquel sont comprises des cellules lympha-tiques. Or, dans le foie, ces lymphomes oc
leur revêtement épithélial, indice d'une végétation considérable des cellules épithéliales ; — 2° une hyperplasie de la capsule
oie. (Voyez Planche I, flg. 1, 2, 3, 4, et Pl. II, fig. 3.) (1) Les cellules plates et les faisceaux fibriilaires composent la
la pré-sence d'éléments figurés, plus ou moins fortement colorés, des cellules d'épithélium cylindrique, des gouttelettes huileu
m cylindrique, des gouttelettes huileu-ses, souvent des vibrions. Les cellules hépatiques y feraient toujours défaut (Kólliker.)
nt la bilirubine? Nous savons qu'elle existe à l'état normal dans les cellules hépatiques où le microscope et l'analyse chimique
que la bile et les acides biliaires ont la propriété de dissoudre les cellules hépatiques, lorsqu'ils restaient en contact avec
ypothèse émise déjà par Rokitanski pour expliquer la destruc-tion des cellules hépatiques dans les cas d'atrophie jaune aiguë du
re à cette maladie consiste en une rapide altération destruc-tive des cellules hépatiques dans toute l'étendue du foie. C'est à
aisin. Vous n'avez pas oublié que le glycogène occupe dans le foie la cellule hépatique et vous savez aussi sous quelle apparen
re le glycogène dans les leucocytes vi-vants (Hoppe Seyler); dans les cellules en voie de développe-ment [chondromes, épithéliom
parenchyme, en modi-fiant les conditions anatomo-physiologiques de la cellule aurait pour effet d'annihiler la fonction glycogé
tre encore, dansle noyau, du mucus concret (Ch. Robin, Frerichs), des cellules épithéliales ratatinées (Frerichs). Enfin, on y a
rouver dans le noyau, après la séparation des matières so-lubles, des cellules épithéliales ratatinées. Il est vraisemblable q
r, mais qu'il importait de signaler. L'infiltration pigmentaire des cellules hépatiques, les in-farctus pigmentaires qui rempl
t survenue (Budd). 11 est possible qu'elle s'accomplisse sans que les cellules hépatiques, qui persistent, éprouvent des altérat
la pre-mière période. Quelquefois néanmoins, à un moment donné, ces cellules subissent soit dans une partie du foie, c'est-à-d
qui admet, lui aussi, dans certains cas, cette destruction totale des cellules hépatiques. (1) Voir V. Wittich. — Glycogengeha
cristaux de leucine et de tyrosine sur les points où l'altération des cellules était la plus profonde. Vous n'avez pas oublié pe
, au lieu d'un revêtement régulière-ment disposé, on voit parfois des cellules entassées de façon à oblitérer la lumière du cond
ndrique est le plus souvent conservé dans les conduits biliaires. Des cellules embryonnaires ou des leuco-cytes s'accumulent au
ytes s'accumulent au voisinage immédiat du conduit. L'amas de petites cellules prédomine en général sur un des côtés du canal. A
pus, fréquemment chargés de pigment biliaire, au centre des amas de cellules . Les leucocytes en s'agglomé-rant constituent enf
es abcès qui pénètrent dans la substance des lobules en refoulant les cellules hépatiques qu'ils aplatissent et dissocient. Il e
qu'ils aplatissent et dissocient. Il est aisé de reconnaître que les cellules hépatiques ne prennent aucune part à la formation
re, dans les premières phases, de leur épithélium, alors que déjà les cellules purulentes infiltrent le tissu interstitiel. Des
rempli en ce point par un bouchon blanc, formé sur-tout d'un amas de cellules épithéliales, ne dépassant point les dimensions d
tion. Il se produit, en effet, au sein des parties affectées : a. des cellules d'apparence fusiforme qui devien-nent des cellule
affectées : a. des cellules d'apparence fusiforme qui devien-nent des cellules plates ; — 6. des faisceaux de fibrilles plus ou
-t-il que ceux-ci, à savoir les éléments nerveux et mus-culaires, les cellules glandulaires, etc., sont étouffés, aplatis et sem
res et la vésicule étaient vides de bile et remplis par des masses de cellules épithé- (1) St-Bartholo?new's Hosp. Rep., 1868.
sous forme de traînées rayonnantes, dans l'intervalle desquelles les cellules hépatiques paraissent apla-ties. Ces traînées son
s sont d'ordinaire caractérisées par la présence d'un grand nombre de cellules embryonnaires qui se voient encore sur la partie
voisine du lobule. Au centre de la travée, au contraire, les petites cellules n'existent plus. Là, le tissu conjonctif est plus
. Là, le tissu conjonctif est plus développé, mieux formé, composé de cellules plates et de faisceaux fibrillaires bien dessinés
la substance parenchymateuse n'est plus représentée que par quelques cellules hépatiques, souvent déjà profondément altérées, g
aires, bien déve-loppés, ayant une paroi très accentuée et remplis de cellules épithéliales cubiques. Les uns ont une dispositio
rale ; sur les autres, le calibre est comblé en quelque sorte par des cellules irrégulièrement disposées. D'une façon générale
les parties centrales des espaces interlobulaires. Au voi-sinage des cellules hépatiques, les canaux qui forment le ré-seau, de
orail, auquel tous ces détails sont empruntés, ne contiennent que des cellules disposées bout à bout sur une seule rangée. On pe
es petits conduits au moment où ils s'enfoncent dans l'intervalle des cellules hépatiques. Si, après avoir reconnu ces disposi
n remarque que c'est autour d'eux surtout (2) que sont accumulées les cellules embryonnaires quand il s'agit de (1) Les premie
logique, p. 922. la zone la plus voisine, du lobule; au lieu de ces cellules , ce sont des faisceaux de lissu conjonctif, de fo
s ne sont pas affectés au même degré. Us ne sont pas entourés par les cellules em-bryonnaires ; il n'ont pas, comme les canalicu
re est libre, dans quelques-uns cependant elle est obli-térée par des cellules entassées ou par des masses de pigment biliaire..
nt déjà du calibre des capillaires biliaires. Ceux-ci sont remplis de cellules épithéliales placées bout à bout et n'ont plus de
élium distinct. Provient-il des conduits de plus fort calibre ? Les cellules qui les com-posent pénétreraient-elles dans les c
seaux artériels et veineux, qu'on rencontre plus particulièrement les cellules embryonnaires ou encore les faisceaux conjonctifs
ires ou encore les faisceaux conjonctifs de nouvelle formation et les cellules fusiformes. Les cellules embryonnaires prédominen
aux conjonctifs de nouvelle formation et les cellules fusiformes. Les cellules embryonnaires prédominent en particulier autour d
ption, le tissu conjonctif pénétrer dans l'intervalle des colonnes de cellules ou des cellules elles-mêmes à la péri-phérie du l
conjonctif pénétrer dans l'intervalle des colonnes de cellules ou des cellules elles-mêmes à la péri-phérie du lobule et les iso
e qui s'in-sinuent entre les extrémités périphériques des colonnes de cellules . Il s'agit par conséquent, dans ces circons-tance
i bien à la périphérie qu'au centre, isolant les colonnes et même les cellules les unes des autres. On pourrait l'appeler, inter
ses caractères dominants est en effet de constituer autour de chaque cellule hépatique une véritable enceinte conjonctive. C
u tissu conjonctif aux diverses phases de son développement, ici, les cellules em-bryonnaires, là les cellules fusiformes et bie
phases de son développement, ici, les cellules em-bryonnaires, là les cellules fusiformes et bientôt le tissu con-jonctif fibril
rait au parenchyme, je ferai remarquer que la limite entre l'aire des cellules et celle des tractus est brusque, heurtée, sans t
tie périphérique du lobule sous forme de bandelettes. Les colonnes de cellules hépatiques n'ont plus dans leur disposition rayon
s dans un même anneau. Il est très inté-ressant d'étudier ensuite les cellules individuellement : on est surpris de voir que cel
parties périphériques un nombre variable de points, de foyers, où les cellules , ayant conservé la forme polygonale, sont devenue
nsions. En somme, c'est par le mécanisme de l'atrophie simple que les cellules semblent disparaître sous l'influence en partie a
u moins d'une pression qui s'exerce dans toutes les directions. Les cellules présentent une pigmentation plus ou moins pro-non
ister sans qu'il y ait des traces d'altération granulo-graisseuse des cellules hé-patiques. M. Frerichs dit n'avoir observé cett
en voit où le parenchyme n'est plus représenté que par deux ou trois cellules . Cette destruction par morcellement et compress
prononcées parfois que présente le foie granuleux. 3° Laissons les cellules et la gangue conjonctive et pas-sons en revue les
dans les ramifications des veines portes intra-hépatiques ; de jeunes cellules se voient dans l'épaisseur des parois des veines,
rivés de paroi propre; ils paraissent creusés dans le tissu de jeunes cellules ou déjà adultes et limités seulement par une couc
isseaux intra-lobulaires persiste plus ou moins, tant qu'il reste des cellules capables de repré-senter un lobule et que, dans l
nnions tout à l'heure la description, pénètrent dans les lobules, les cellules du foie et simultanément les capil-laires qui sép
lir, en quelque sorte jusqu'à la dernière limite tant qu'il reste des cellules hépatiques, les fonctions qui sont dévolues à ce
peindre la situa-tion en disant que, par suite de la destruction des cellules hépatiques, le foie tend à se transformer progres
nière limite, il reste un assez grand nombre de lobules contenant des cellules hépati-ques et où le sang pénètre dans les capill
ires se détruit du centre à la périphérie, au fur et à mesure que les cellules hépatiques disparaissent. Il en résulte que la sé
on, et les gros conduits s'oblitérer alors que les capillaires et les cellules ne sont pas encore détruits et continuent à sécré
cela, la membrane limitante des tubes contournés se-rait composées de cellules aplaties, juxtaposées, dont les con-tours pourrai
récentes recherches de M. Heidenhain nous ont fait connaître (1). Les cellules qui composent ce revêtement ne sont, on le sait,
ues d'un certain nombre de petits bâtonnets, oc-cupant le corps de la cellule , englobés qu'ils sont dans le protoplasma, et dir
nsi en relief; ils apparaissent comme des stries parallèles quand les cellules sont vues dechamp ; lors-qu'elles sont vues de fa
ts cercles ou de granulations. Ces bâtonnets occupent surtout dans la cellule la partie qui touche à la membrane fondamentale ;
Chargot. Œuvres complètes, t. vi, Maladies des reins. 19 1er une cellule de l'épithélium des tubuli contorti, on voit, du
nse de Henle, les caractères de l'épithélium changent de nouveau, les cellules qui le composent redeviennent sem-blables à celle
ce corticale. Tissu conjonc-tif lamineux dans là région papillaire. — Cellules étoilées de la substance corticale. — Tissu conjo
ance corticale, le tissu conjonctif n'est plus représenté que par des cellules , situées dans l'intervalle des canaux contournés
contournés et des vaisseaux. Ce sont, d'après Schweigger-Seidel, des cellules étoilées ou fusiformes, dont les prolongements fi
vroglie qui, sui-vant lui, forme un véritable réticulum, un réseau de cellules ; mais il n'ose affirmer que les prolongements en
n'ose affirmer que les prolongements en question font corps avec les cellules et ne sont pas des fibrilles ou des fais-ceaux in
s. Toujours est-il que, suivant la remarque de Schweigger-Seidel, les cellules étoilées ou fusiformes ont leur grand diamètre pe
Rey ; il y a là dans l'intervalle des capillaires et des lobules des cellules étoilées, analogues à celles décrites par Schweig
coupes, soit après dilacération, on voit que le nombre des noyaux des cellules conjonctives, dans les mailles des capil-laires,
l'injection, on voit que la matière colorante imprègne seulement les cellules épithéliales, et dans celles-ci, à l'exclusion du
x et les bâtonnets : la cavité des tubes n'est nullement colorée. Les cellules épithéliales sont donc le premier siège de la séc
ntraire, une heure ou plus longtemps après l'injection, on trouve les cellules épithé-liales décolorées, et la matière bleue a p
l'oiseau jusque dans les canaliculi contorti et même jusque dans les cellules épithéliales de ces tubes, où ils occupent le noy
n. On trouve ensuite dans lesautres par-ties des tubes urinifères des cellules libres dans lesquelles les glomérules acquièrent
29. — Coupe à travers un rein atteint de la maladie de Bright. — Les cellules qui tapissent les tubes sont granuleuses, remplie
s, soit sur des coupes transver-sales, et l'on peut constater que les cellules épithéliales n'entrent pas, en général, dans la c
droits mais surtout dans les anses de Henle. Dans ce dernier cas, les cellules épithéliales entrent dans la constitution des cyl
erstitielle très avan-cée. — a, Tissu conjonctif formé de fibres etde cellules plates. — b, Section d'un tube urinifère atrophié
Un tube urinifère contenant aussi un cylin-dre colloïde, et dont les cellules épithéliales sont aplaties--g, Tube urini-fère. —
ont les cellules épithéliales sont aplaties--g, Tube urini-fère. — e, Cellules plates de revêtement d'un kyste formé aux dépens
big. ol. — Cylindres hyalins de la ne- * ^ phrite albumineuse. - 1 cellules du quefois, et qui n'est fondée rein. — 2, Cylind
SUT des analogies gTOS-ayant entraîné à la surface des frag-ments de cellules . — 4, Cylindre hya- sières. On peut trouver, à la
ou dans leur intérieur, des leucocytes, des hématies, des noyaux de cellules , ou même des cellules épithéliales plus ou moins
, des leucocytes, des hématies, des noyaux de cellules, ou même des cellules épithéliales plus ou moins chargées de granulatio
on est due à la présence d'un nombre considérable de jeunes éléments, cellules embryonnaires rondes ou fusiformes ; et avec un p
st désagrégé et a été plus tard remplacé par un revê-tement de jeunes cellules ; en fin de compte, les parties qui composent la r
tée Fig. 34. — Tubes uri-nifères atrophiés et contenant de pe-tites cellules en partie désinté-grées et des gra-nulations grai
uillés de cet épithélium et tapissés souvent par une rangée de jeunes cellules qui forment un revêtement épithélial nouveau, tou
lu-laires que, suivant la théorie adoptée, on appellera leucocytes ou cellules embryonnaires. C'est à cette infiltration cellu-l
a été dit précédemment, à) Le fait initial est la formation de jeunes cellules qui repré-sentent là un tissu embryonnaire ; celu
tenable : la constatation, maintes fois répétée, de l'infiltration de cellules embryonnaires à di-verses phases de l'altération
ar des cylindres granuleux ou ci-reux; 2° par un revêtement de jeunes cellules rondes ou cu-biques dont la nature n'est pas bien
ne seule rangée de cel-lules (1) ; en pareil cas, lorsque les petites cellules remplissent la lumière des conduits, ceux-ci sont
la (1) Cet envahissement des canalicules contournés du rein par des cellules rondes ou cubiques, rappelle ce qui a lieu pour l
tate rien autre chose qu'une tuméfaction trouble des épithéliums. Les cellules glandulaires des canalicules contournés plus somb
volume souvent vraiment énorme de l'organe. b) Outre l'opacité des cellules épithélialcs, on signale encore comme caractérisa
xh. der Heilk. 1867, p. 264), il existait une infiltration de petites cellules dans l'épaisseur de la gangue conjonctive de la
néphrite interstitielle et, en particulier, l'infiltration de petites cellules rondes. Dans la couche corti-cale, les tubes urin
rinifères étaient dissociés, comme disséqués par des nappes de jeunes cellules embryonnaires ; l'altération occupait toute l'épa
es étaient convertis en un tissu embryonnaire constitué par de jeunes cellules très conlluentes. L'épithélium des tubes contourn
ation presque générale de la substance corticale par une multitude de cellules rondes. Celles-ci étaient répandues autour des tu
et particulièrement dans les points ou rôpilhélium a été détaché. Les cellules sont là en si grande abondance que la coupe resse
jusqu'à une oblitération complète de la lumière du vaisseau. b) Les cellules parenchymateuses peuvent aussi être enva-hies par
enva-hies par l'altération amyloïde ; dans le foie, par exemple, les cellules hépatiques sont parfois affectées primitivement,
use, opalescente, qui cache le noyau. Il arrive souvent alors que les cellules altérées se confondent les unes avec les autres.
s fibres-cellules musculaires de l'intestin (Rokitansky), et dans les cellules du tissu conjonctif sous-cutané ou du mé-sentère
de théorie sur lequel je voulais surtout fixer votre attention — les cellules du rein, en pré-sence du glycocolle et de Vacide
tation du résultat de cette expérience. —Hypothèse d'Heidenhain. —Les cellules epitheliales du glomérule jouent un rôle actif da
lté et pour la résoudre, que M. Heidenhain a émis l'hypothèse que les cellules épithéliales du glomérule sont actives dans la sé
s dans la sécrétion de l'eau uri-naire, au même titre que le sont les cellules du labyrinthe dans la sécrétion de l'urée et de l
'urée et de l'acide urique. Or, dans l'expérience dont il s'agit, les cellules du glomérule, par suite de la ligature artériel
rs que, depuis longtemps cependant, les urines sont albumineuses, les cellules de l'épithélium labyrinthique ne présentent aucun
n aiguë (épaississemenf, au voisinage du noyau, du proto-plasma de la cellule , lequel fait en ce point saillie sous forme de pr
et à peu près toujours la conséquence d'une altération matérielle des cellules épithéliales labyrinthiques ; et l'on comprend ai
labyrinthiques ; et l'on comprend aisé-ment, dans la théorie, que ces cellules altérées deviennent incapables de fonctionner, la
s rénaux. Nous retrouvons donc ici ces conditions d'anoœhé- mie des cellules èpithéliales du glomêrule que nous avons fait val
vienne compliquer, est tou-jours due à l'infiltration granuleuse des cellules sécrétantes d'un certain nombre de tubuli, à la d
ne centrale du lobule vers laquelle viennent converger les rangées de cellules hépatiques. B,B, Espace interlobulaire contenan
obulaire, indiquée par un changement dans la direction des rangées de cellules hépatiques. Fig. 2. — Foie du cochon d'Inde, on
légèrement dilatée, vers laquelle viennent con-verger des rangées de cellules hépatiques d'inégale longueur. B,B, Espace et f
, leur direction générale est perpendiculaire à celle des rangées des cellules hépatiques. D,D, Ces canaux émettent en E,E des
émettent en E,E des branches très courtes, parallèles aux rangées de cellules hépatiques. — A ce niveau, la gangue conjonctive
s et en partie masqués par de nombreux leucocytes qui dis-socient les cellules hépatiques. CHARCOT—Œuvres complètes-Leçons sur
ture lobulaire du foie. Sommaire. — Constitution du lobule du foie: cellules liépathiques ; — vais-seaux sanguins et capillair
....................................... 13 TROISIÈME LEÇON. de la cellule hepatique. Sommaire. — Découverte de la cellule
IÈME LEÇON. de la cellule hepatique. Sommaire. — Découverte de la cellule hépatique. — Contenu des cellules ; — granulation
ique. Sommaire. — Découverte de la cellule hépatique. — Contenu des cellules ; — granulations. —Réactions de la cellule hépati
hépatique. — Contenu des cellules ; — granulations. —Réactions de la cellule hépatique relativement à la matière glycogène. —A
ule hépatique relativement à la matière glycogène. —Altérations de la cellule hépatique: compression; — atrophie; — hypertrop
e corticale. Tissu conjonc-tif lamineux dans la région papillaire. —? Cellules étoilées de la substance corticale. — Tissu conjo
tion du résultat do cotte expérience. —Hypothèse d'IIeidenhain. — Los cellules epitheliales du glomérule jouent un rôle actif da
Dégénération) en général, 373.—Altération des vaisseaux, 373; — des cellules , 374 ; — des; mem-branes hyalines, 374 ; — caract
Capuï medus.e, 265. Catarrhe gastro-intestinal, 276. Caséine, 406. Cellules hépatiques, 13. — Al-tération amyloïde des —, 28;
formedes enfants; (Albuminurie dans la), 444. Digestion (État de la cellule hépati-que durant la), 21. Dilatation des tubes
Inflammation récurrente. 222. Insuffisance mitrale (Lésions de la cellule hépatique dans t'),23. K Kieenan (Travaux de)
291,294. — Lésions dans la néphrite interstitielle, 331. Lactation ( Cellules hépatiques dans la), 21, 26. Leucémie, 25, 52,
dans la colique hépati-que, 56 : V. Ictère). Poumon (Lésions de la cellule hépa-tique dans les affections anciennes du), 23.
8 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
sus secondaire, avait l'hypophyse doublée de volume, présentant des cellules chromophiles en abondance, beaucoup de subs- ta
éveloppement exagéré des vaisseaux sanguins et la multiplication de cellules éosinophiles. Mais, chose impor- tante, si on f
ions colorantes normales. La coloration au schralacb montre que les cellules sent riches en granulations thyroïdes. - La p
générescence graisseuse. L'hypophyse est constituée surtout par des cellules cromophobes, mais on remarque aussi des régions
ve des cicatrices des corps jaunes,mais pas de folli- cules, ni des cellules épithéliales appartenant aux corps jaunes ou à la
ie moyenne de la glande, qui attire l'attention par la réaction des cellules , la forme des follicules et l'hyperplasie du tiss
es par des bandes ou trabécules importants du tissu conjonctif. Les cellules ont la réac- tion cyanophile, tandis que celles
lles du reste de l'organe réagissent différemment, et il s'agit des cellules éosinophiles. Le colloïde s'observe dans une ré
upe on ne distingue plus de lobules, mais des masses confluentes de cellules hépatiques profondément altérées. En effet, ces
luentes de cellules hépatiques profondément altérées. En effet, ces cellules sont constituées en général d'un peu de protoplas
sme dont l'aspect est uniforme et le noyau diminué de volume. Les cellules sont disposées sous forme de séries, parfois isol
autres présentent des lésions nécrotiques 'et atrophies marquées de cellules . Dans les régions normales, ou constate des îlo
stance trabéculaire 42 MABINKSCO, PARHON ET MINEA sont pâles. Les cellules de cette dernière sont tassées et disposées sous
me de tubes. Mais on n'observe pas la disposition trabéculaire. Les cellules sont petites, leur noyau est pâle et le protopl
. Mais il est vrai que, même dans cette région, il existe aussi des cellules infiltrées de lypochrome et qui contiennent parfo
és sous forme de réseau. Parfois on trouve à ce niveau une masse de cellules glandulaires dont certaines infiltrées de lypoc
diffuse au milieu de laquelle on observe un nombre assez marqué de cellules plus grandes, probablement des macrophages. O
ou non. Dans les centres nerveux, on observe que le lipochrome des cellules est abondant, ce qui tient à l'âge de la malade
outte de colloïde colorée en violet par l'llématoxyline-éosine. Les cellules de la paroi folliculaire sont en général aplati
ement des granulations graisseuses et représentant probablement des cellules de la glande interstitielle. L'hypophyse est re
a glande interstitielle. L'hypophyse est représenté surtout par des cellules chromophobes et par un certain nombre de cellul
é surtout par des cellules chromophobes et par un certain nombre de cellules cyanophiles. On remarque un certain nombre de f
nctif est plus abondant qu'à l'état normal. Un très grand nombre de cellules contient à leur intérieur des vacuoles assez vo
arquée, il n'y avait que peu de vésicules de graisse et partout les cellules de la moelle remplissaient les espaces intertrabé
e temps une transformation embryon- naire et remplit de ses petites cellules les canaux de flavei-s (Rieliet,18811).» Au poi
ées par un stroma de tissu conjonctif, infil- trépar places par des cellules rondes, dans lequel étaient contenus des tubes
s cellules rondes, dans lequel étaient contenus des tubes pleins de cellules polygonales, disposées en plusieurs couches dont
, disposées en plusieurs couches dont la plus externe est formée de cellules cylindriques. Beaucoup de ces cellules ont subi
a plus externe est formée de cellules cylindriques. Beaucoup de ces cellules ont subi la dégénérescence granuleuse et muqueu
s ce dernier organe présentait des alvéoles irréguliers, remplis de cellules basophiles accumulées sans ordre, comme les éléme
me est à peine indiquée. . Bulbe. - On ne trouve aucune lésion; les cellules des noyaux des nerfs crâniens sont normales.
out Par places les vésicules ont conservé leur forme normale et les cellules épithéliales ont conservé leur ordination réguliè
égulière. Dans d'autres régions, il y a un bouleversement total des cellules épithéliales. Non seule- ment les vésicules ont
rouve épar- pillées dans le tissu conjonctif extrêmement dense, des cellules épithéliales formant des groupes composés d'un
ions de la Adénome de la glande thyroïde. 1, Tissu fibreux. 2, 2, Cellules épithéliales disséminées dans le tissu flhreux. -
t comprimé ; au sein du tissu fibreux on trouve de nombreux amas de cellules épithéliales provenant de fol- licules atrophié
e partout des libres nerveuses, altérées il est vrai, mélangées aux cellules sarcomateuses. C. g. e. il à droite est transfo
e se terminer autour des centres moteurs et trophiques que sont les cellules radiculaires de la moelle. Une partie d'entre e
e la vertèbre avec sa longueur verticale (c). Rangée limitrophe des cellules cartilagineuses. Décatctnation daprès do ChatTe
rnier occupe la place du cartilage qui y était avant. Le rang des cellules cartilagineuses (e, de la lit. 8) a disparu. Dé
te : en bas et en haut, se détache du tissu spongieux une rangée de cellules placées très près l'une contre l'autre et comme
ubstance fondamentale; les capsules renfer- ment chacune de 20 à 30 cellules cartilagineuses; cette couche de cap- sules, do
à 30 cellules cartilagineuses; cette couche de cap- sules, dont les cellules ont une direction verticale, est suivie d'une cou
ériphérique très riche en capsules, dans lesquelles se trouvent les cellules ; enfin, plus loin, un cartilage fibreux, pauvre e
ent les cellules; enfin, plus loin, un cartilage fibreux, pauvre en cellules , qui occupe les trois quarts moyens de l'épaisseu
ion où se trouvait d'abord l'articulation normale est très riche en cellules adipeuses et pauvre en éléments lymphatiques, c
côte et du corps de la vertèbre, dont les mailles sont remplies des cellules lymphatiques (fig. 12, PI. XXVIII). On ne voit
tète de la côte et des vertèbres : a, parcelle du cartilage et des cellules carti- laginenses; b, petits ponts du tissu oss
lacer; c, cavités médullaires 0 ? d, lumière du canal de Havers; e, cellule cartilagineuse détachée par le tissu osseux néo
ondamental du cirhlage (a) est déjà presque transformé en os et les cellules carti- lagineuses se détachent encore plus sur
car- tilage elles se présentent sous forme d'agglomération de 5, 10 cellules et plus. La partie extérieure du cartilage est
substance blanche de la moelle épi- nière et une dégénérescence des cellules des ganglions spinaux; en outre, il existe une
ondamental du cartilage et dans la dégénérescence graisseuse de ses cellules , d'où résulte l'usure. C'est une affection géné-
ait être constitué soit par des éléments lymphatiques, soit par des cellules nerveuses, soit par des élémenls névrogliques. En
tit cordon de fibres ner- veuses, au bout duquel on voit un amas de cellules nerveuses, formation qu'il regarde comme un oei
z 1 238 tClt.1$13f; Galalescu et Urechia qui ont trouvé quelques cellules à noyaux fortement colorés el si protoplasma ac
s névrogliques ; dans les alvéoles il y a toujoms des fibres et des cellules névrogliques, mais il y a aussi probablement des
ELLLJLES.DELAGLATDE1'I\ÉALE CHEZ L'HOMME, . - (IL Krabbe) Fig. 1. Cellules dans le parenchyme, colorées par la méthode de Un
dans le parenchyme, colorées par la méthode de Unna-Pappenheim. a. Cellules pinéales au repos. b. Cellules pinéales avec des
ar la méthode de Unna-Pappenheim. a. Cellules pinéales au repos. b. Cellules pinéales avec des boules dans les noyaux. c. Ce
au repos. b. Cellules pinéales avec des boules dans les noyaux. c. Cellule pinéale dont la boule s'évacue du noyau, d. Cellu
les noyaux. c. Cellule pinéale dont la boule s'évacue du noyau, d. Cellules pinéales en régénéres- cence. c. Cellule névrog
ule s'évacue du noyau, d. Cellules pinéales en régénéres- cence. c. Cellule névroglique. /. Cellules névroglique pyknotique.
. Cellules pinéales en régénéres- cence. c. Cellule névroglique. /. Cellules névroglique pyknotique. Fig. 2 Partie d'une clo
ne. a. Vaisseaux. b. Noyaux de tissu conjonctif. c. Parenchyme. il. Cellules du groupe des Mastcellules. e. Cellule du deuxi
onjonctif. c. Parenchyme. il. Cellules du groupe des Mastcellules. e. Cellule du deuxième groupe. f. Cellule du troisième gro
lules du groupe des Mastcellules. e. Cellule du deuxième groupe. f. Cellule du troisième groupe à granulations régulières. g.
groupe. f. Cellule du troisième groupe à granulations régulières. g. Cellule du troisième groupe à granulations irrégulières
dine seul ou combiné avec l'éosine s'est montré préférable pour les cellules granulées périvasculaires, la méthode deUnmf-Papp
qui, par des travées de tissu conjonctif, est divisé en îlots. Les cellules de ce parenchyme sont d'ordinaire réunies sans
éunies sans ordre ; pourtant on voit dans quelques .glandes que les cellules sonl situées en rangées le long des parois de tis
situées en rangées le long des parois de tissu conjonc- tif. Ces cellules de parenchyme sont de plusieurs types. Dimitrova
n tenir à l'opinion de Pappenheimer d'après laquelle unedivisiondes cellules en différents types ne serait pas possible. P
es en différents types ne serait pas possible. Premier TYPE : LES CELLULES pinéales. Le premier type de cellules, celui qu
ossible. Premier TYPE : LES CELLULES pinéales. Le premier type de cellules , celui qui représente la plus grande partie des
voit, surtout à la colo- ration de Unna-Pappenheim, dans toutes les cellules des granulations fines et régulières, dans quel
plus tard. Le protoplasma n'est pas très distinctement limité, les cellules ne sont pas en contact intime; entre elles on v
dans les noyaux est la méthode de Unna-Pappenheim utilisée pour les cellules du plasma. Par cette méthode, on voit ce qui su
du noyau,sur le côté par où la boule s'ouvre. Dans quelques autres cellules , on voit les granules disséminés dans tout le pro
in ; c'est que les produits des noyaux ne sonl pas ramassés par les cellules granuleuses paravasculaires qui seront men- tio
s paravasculaires qui seront men- tionnées plus loin, parce que ces cellules ont paru être les plus communes dans un cas où
ire si toutes les granulations qu'on trouve dans le protoplasma des cellules ont cette origine; on ne voit aucune différence
t évacués d'un noyau et ceux qu'on trouve dans le protoplasma d'une cellule à noyau « au repos ). Le problème suivant est i
s vraisemblable. Rien de plus variable que le nombre des noyaux des cellules mentionnées, qui contiennent des boules, qui sont
égénération et qui ont un aspect « au repos ». Cependant, comme ces cellules , sous tous les autres rapports, ont le même carac
nsidérer comme un groupe spécial et nous proposons de les appeler : cellules pinéales. Il faut ajouter ici que nous avons tr
ns trouvé quelquefois chez les sujets peu âgés de petits groupes de cellules qui diffèrent des cellules pinéales parce que l
les sujets peu âgés de petits groupes de cellules qui diffèrent des cellules pinéales parce que les noyaux sont plus petits,
chromatine, que les granules de chromatine sont plus fins, que les cellules sont situées plus profondément, qu'on ne voit e
on ne voit entre elles aucun noyau à boules ou à échan- crures. Ces cellules ressemblent beaucoup à celles qui constituent le
z les nouveau-nés et nous croyons qu'il faut les regarder comme des cellules pinéales qui ont conservé leur caractère infantil
ales qui ont conservé leur caractère infantile. Deuxième type : LES CELLULES névrogliques. Cionini a constaté le premier l'e
CELLULES névrogliques. Cionini a constaté le premier l'existence de cellules névrogliques dans SUR LA GLANDE PINÉALE CHEZ L'
a névroglie et Dimitrova a essayé de prouver définitivement que les cellules du parenchyme sont pour la plus grande part des
nt que les cellules du parenchyme sont pour la plus grande part des cellules névrogliques. Elle dit dans ses conclusions : «
onctive..... Par éléments névrogliques nous entendons à la fois des cellules et des fibres, quels que soient d'ail- leurs de
, quels que soient d'ail- leurs des rapports qui existent entre ces cellules et ces fibres. » Les auteurs venus ensuite semb
évroglique, mais ne s'expliquent pas en détail sur la nature de ces cellules . Marburg cite la description de Dimitrova, mais
mais ne dit pas non plus net- tement s'il pense que la plupart des cellules sont des cellules névrogliques ou non. Studnick
on plus net- tement s'il pense que la plupart des cellules sont des cellules névrogliques ou non. Studnicka suit putôt Dimil
nous semble inexacte. Il ne suffit pas en effet de constater qu'une cellule est en contact avec des fibres névrogliques pour
contact avec des fibres névrogliques pour affirmer qu'elle est une cellule névroglique. Si l'on suit sur une coupe quelque
ra qu'après avoir été en contact peu intime avec le protoplasma des cellules pinéales, elles ont une tendance à se réunir ;
efois on verra beaucoup de fibres réunies par une cel- lule ; cette cellule émet en effet un grand nombre de fibres, si grand
ombre de fibres, si grand que les fibres de relativement peu de ces cellules suffiront pour être en contact avec toutes les
peu de ces cellules suffiront pour être en contact avec toutes les cellules du parenchyme. De plus, on remarque que : 1° le
du parenchyme. De plus, on remarque que : 1° le protoplasma de ces cellules suit un peu les faisceaux de fibres névroglique
faisceaux de fibres névrogliques, ce qui ne se voit jamais pour les cellules pinéales; 2° les noyaux sont différents des noyau
les cellules pinéales; 2° les noyaux sont différents des noyaux des cellules pinéales; ils sont plus riches en chromatine et
matine est plus distincte ; 3° on ne voit jamais de boules dans ces cellules . Ces cellules sont en effet des cellules névrog
distincte ; 3° on ne voit jamais de boules dans ces cellules. Ces cellules sont en effet des cellules névrogliques. Sur la f
jamais de boules dans ces cellules. Ces cellules sont en effet des cellules névrogliques. Sur la figure 7 et la figure 19 d
la figure 7 et la figure 19 du travail de Dimitrova on voit de ces cellules (a) que Diiiii- trova a considérées elle aussi
s cellules (a) que Diiiii- trova a considérées elle aussi comme des cellules névrogliques. Mais elle n'a pas noté dans son t
noté dans son texte qu'il y a une très grande différence entre les cellules qui émettent des fibres et les autres qui sont en
que le parenchyme de la glande pinéale consiste essentiellement en cellules non névrogliques, entre lesquelles il existe un
s non névrogliques, entre lesquelles il existe un nombre moindre de cellules névrogliques, émettant un très grand nombre de
un très grand nombre de fibres qui s'entrecroisent avec les autres cellules . Ces cellules névrogliques sont de formes diffé
ombre de fibres qui s'entrecroisent avec les autres cellules. Ces cellules névrogliques sont de formes différentes. Ordinair
s fibres dans plusieurs directions ; mais on voit assez souvent des cellules fusi formes à noyaux oblongs qui émettent seuleme
dès leur origine en forme de pin- ceau. On trouve encore d'autres cellules dans le parenchyme. Elles sont sans doute parti
ans doute partiellement identiques celles que Dimitrova appelle des cellules à noyaux foncés. s'agit de cellules dont les no
elles que Dimitrova appelle des cellules à noyaux foncés. s'agit de cellules dont les noyaux se colorent très inten- sivemen
colorent pas comme les fibres né- vrogliques. Nous pensons que ces cellules sont des cellules névrogliques pylinotiques ; a
e les fibres né- vrogliques. Nous pensons que ces cellules sont des cellules névrogliques pylinotiques ; aussi pensons-nous
si pensons-nous que les cellulles que Dimilrova considère comme des cellules avec des noyaux clairs à granulations plus grosse
c des noyaux clairs à granulations plus grosses sont identiques aux cellules névrogliques vraies. LE TISSU conjonctif. Com
hyme ; mais il y a, spécialement là où les septa sont enfoncés, des cellules pinéales ou des cellules névrogliques isolées (
alement là où les septa sont enfoncés, des cellules pinéales ou des cellules névrogliques isolées (avec des fibres névrogliq
pta. Enfin, on trouve dans les travées de tissu conjonctif d'autres cellules qui seront mentionnées ci-dessous. Nous ajouter
de déblai. En avril 1910, Galalescu et Urechia ont décrit quelques cellules qu'ils ont trouvées autour des vaisseaux de la
qu'ils ont trouvées autour des vaisseaux de la glande pinéale. Ces cellules sont rondes ou ovales aux noyaux fortement colo
'éo- sine, fuchsine acide de van Gieson, etc. Le protoplasma de ces cellules est distinctement limité et contient quelquefoi
qu'on ne peut pas distinguer le noyau. Les auteurs pensent que ces cellules se rapprochent morphologiquement de quelques ce
nsent que ces cellules se rapprochent morphologiquement de quelques cellules semblables observées dans la glande parathyroïdie
descoupesde 100 glandes (14 à 92 ans) spécialement à l'égard de ces cellules ; la meilleure coloration dans ce but est la colo
tres couleurs. Dans 67 glandes nous avons trouvé dans les septa des cellules diffé- rentes des cellules pinéales, des cellul
des nous avons trouvé dans les septa des cellules diffé- rentes des cellules pinéales, des cellules névrogliques et des cellul
ans les septa des cellules diffé- rentes des cellules pinéales, des cellules névrogliques et des cellules de tissu conjoncti
ffé- rentes des cellules pinéales, des cellules névrogliques et des cellules de tissu conjonctif. Nous les divisons en trois
ent limité et neutrophile ou faiblement acidophile. La forme de ces cellules est très variable ; elles sont ordinairement ron-
ont de courts prolonge- ments aux angles. Dans la plupart de ces cellules le protoplasma est rempli de petits gra- nules
empli de petits gra- nules ronds et de la même largeur dans la même cellule . Ces granules sont fortement basophiles et par
montrent de très différents degrés de métachromasie : dans quelques cellules tous les granules sont colorés en rouge, dans q
utre ; quelquefois on voit que les gra- nules dans une partie de la cellule sont bleus, dans l'autre rouges. Par coloration
rempli des granules à de très différents degrés; quelques-unes des cellules sont tellementt remplies de granules qu'elles s
anules également distribués dans le protoplasma ; enfin on voit des cellules où le noyau est entouré de granules pendant que
plasma est libre. Dans quelques cas, autour de quelques-unes de ces cellules granuleu- ses, on voit des granules métachromat
llement par la préparation. Ce qui caractérise ce premier groupe de cellules est la grande régula- rité et la basophilie, qu
c'est ce fait qu'on voit beaucoup de liens de transition entre ces cellules et celles qui sont un peu différentes de mastce
ifférentes de mastcellules ; peut être s'agit-il pour une partie de cellules analogues aux cellules de déblai à granules mét
les ; peut être s'agit-il pour une partie de cellules analogues aux cellules de déblai à granules métachromaliques qui sont dé
e détaillée par Atzheimer ; d'un autre côté, elles diffèrent de ces cellules par la régularité des granules. Dans nos 67 gland
régularité des granules. Dans nos 67 glandes nous avons trouvé ces cellules ; quelquefois elles étaient en très grand nom-
. Leur abondance est surtout frappante si on la compare à celle des cellules semblables dans les autres parties du cerveau. No
eau. Nous ajouterons que nous avons vu, dans un seul cas, outre ces cellules , quel- ques cellules semblables avec des granul
que nous avons vu, dans un seul cas, outre ces cellules, quel- ques cellules semblables avec des granules qui étaient colorés
nt colorés par le vert de lu- mière ; nous pensons qu'il s'agit des cellules acidophiles d'Ehrlich ; elles sont beaucoup plu
; une partie est aussi colorée par la méthode de Heidendain. Ces cellules sont moins communes que celles du premier groupe
ns toutes les glandes examinées. 3) Le troisième groupe consiste en cellules dont toutes les granulations sont lipoïdes.En q
111 elles prennent une couleur faiblement rouge. 268 KRABBE Ces cellules sont aussi communes que celles du premier groupe.
celles du premier groupe. La signification de ces trois groupes de cellules sera discutée dans nos conclusions, Calcifica
on l'a trouvé dans le tissu con- jonctif et dans le protoplasma des cellules pinéales et dans celles où le noyau est divisé.
liques avec leurs kystes. Nous pouvons y ajouter un quatrième : les cellules de déblai. Quant aux deuxième et troisième grou
deuxième et troisième groupes, il n'est pas douteux qu'il s'agit de cellules analogues à celles qui reçoivent des produits de
sième groupe des substances lipoïdes. Quant au premier groupe des cellules , nous les avons trouvées en grand nombre dans l
é par du tissu névroglique et conjonctif et où il n'existait aucune cellule pinéale sécrétante ; aussi concluons nous qu'el
nombre d'entr'elles sont des mastcellules ou une certaine forme de cellules de déblai. En tout cas il est remarquable que ces
ns toute autre partie du cerveau. Donc, les différentes formes de cellules que nous avons trouvées dans les septa n'ont ce
qu'avaient eue les sujets ; sauf que nous avons trouvé beaucoup de cellules plasmatiques dans les glandes de paralytiques gén
ne fonction, il faut la chercher dans le parenchyme, et là dans les cellules pinéales. Déjà ce fait qu'il y a une différence
s pinéales. Déjà ce fait qu'il y a une différence marquée entre les cellules pinéales et les cellules névrogliques fait soup
qu'il y a une différence marquée entre les cellules pinéales et les cellules névrogliques fait soupçonner une fonction des p
fait soupçonner une fonction des premières différente de celle des cellules névrogliques; mais il n'y a rien dans la struct
toire ; c'est la formation des boules granuleuses dans le noyau des cellules pinéales et l'évacuation des granules dans le p
° le processus se continue pendant toute la vie adulte sans que les cellules pinéales disparaissent. Si le processus d'évacuat
parenchyme de la glande pinéale ne consiste pas essentiellement en cellules névrogliques, mais en une sorte de cellules spéci
pas essentiellement en cellules névrogliques, mais en une sorte de cellules spéciales,/^ celln- les pinéales, dans lesquell
lesquelles il se fait un processus qui semble sécrétoire. Entre les cellules pinéales on voit un nombre beaucoupplus petit de
Entre les cellules pinéales on voit un nombre beaucoupplus petit de cellules névrotiques. 2° Le processus sécrétoire se fa
tif de la glande pinéale on trouve toujours dif- férentes formes de cellules dont une partie ressemble à celles qui reçoivent
Archiv. Bd. 200, Il. 1, 1910. LÉGENDE DE LA PLANCHE XL FIG. 1. Cellules dans le parenchyme, coloration par la méthode d
s le parenchyme, coloration par la méthode de Unna-Pappenheim. a. Cellules pinéales au repos. - b. Cellules pinéales avec de
a méthode de Unna-Pappenheim. a. Cellules pinéales au repos. - b. Cellules pinéales avec des boules dans les noyaux. c. Ce
u repos. - b. Cellules pinéales avec des boules dans les noyaux. c. Cellule pinéale dont la boule s'évacue du noyau. d. Cellu
les noyaux. c. Cellule pinéale dont la boule s'évacue du noyau. d. Cellules pinéales en régéuérescence. - e. Cellule névrog
ule s'évacue du noyau. d. Cellules pinéales en régéuérescence. - e. Cellule névroglique. - f. Cellule névroglique en pycnose.
Cellules pinéales en régéuérescence. - e. Cellule névroglique. - f. Cellule névroglique en pycnose. Fio. 2. Partie d'un sep
ine. a. Vaisseaux. b. Noyaux de tissu conjonctif. c. Parenchyme. d. Cellules du groupe de Mastcellules. e. Cellule du 2e gro
onjonctif. c. Parenchyme. d. Cellules du groupe de Mastcellules. e. Cellule du 2e groupe. f. Cellule du 3' groupe à granula
d. Cellules du groupe de Mastcellules. e. Cellule du 2e groupe. f. Cellule du 3' groupe à granulations régulières. - g. Ce
2e groupe. f. Cellule du 3' groupe à granulations régulières. - g. Cellule du 3° groupe à granulations iriégulieres. (Trav
logique. LÉSIONS CELLULAIRES Les altérations rencontrées dans les cellules nerveuses des ganglions rachidiens de la région
ire normal. Aperçus cylologiques. Dans la constitution du noyau des cellules uervpu- ses ganglionnaires entre : 1 la membran
onstituant le suc nucléaire. Le nucléole est un organe constant des cellules nerveuses ganglionnaires. D'habitude, chaque no
es noyaux à deux nucléoles de taille à peu près identique. Dans les cellules normales où on ne peut déceler aucune trace de
e de vacuo- les dont le nombre et la situation sont variables d'une cellule à l'autre ; ces vacuoles sont très fréquentes d
l'autre ; ces vacuoles sont très fréquentes dans les nucléoles des cellules nerveuses gan- glionnaires et apparaissent très
ge triacide d'Ehrlich ou le mélange dilué de Giemsa. Dans les mêmes cellules et sur les pièces fixées au liquide de Dominici
rinesco, Journal sur psychologie und neurologie. Leiptig, 190;i, La cellule nerveuse, t. 1, 1909. - IiL ? CLIELI(;IIES CYTU
onine ; ils sont donc amphophiles. Mari- nesco z) a décrit dans les cellules du locus nigel' et du locus coeouleus des petit
pertrophie et bourgeonnement du nucléole. Dans un grand nom- bre de cellules nerveuses ganglionaires, tant dans les grandes ce
nom- bre de cellules nerveuses ganglionaires, tant dans les grandes cellules que dans les petites, le nucléole est considéra
correspond l'hypertrophie du noyau, mais on peut voir dans quelques cellules que ce rapport n'est pas conservé, c'est-à-dire
dire qu'il y a des noyaux à dimensions normales ou (1) Mamnesco, La cellule nerveuse, p. 191. 276 JONNESCO même atrophiés
du noyau et celui du nucléole se présente surtout dans les petites cellules ganglionnaires, A cette hyper- trophie correspo
on) et colorées parla triple coloration de Mallory, le nucléole des cellules ganglionnaires normales apparaît constitué de d
olaire. Par la même fixation et la même coloration appliquées à des cellules ganglionnaires à nucléoles hypertro- phiés, la
Le bourgeonnement nucléolaire s'observe surtout dans les grandes cellules ganglionnaires, entourées d'un grand nombre de ca
ose partielle, dont les noyaux sont hypertrophiés. Dans les petites cellules ganglionnaires, on peut voir des phénomènes de
t en rapport avec un Irouble intense de l'équilibre nutritif de ces cellules ganglionnaires. Dans les cellules normales, le nu
se de l'équilibre nutritif de ces cellules ganglionnaires. Dans les cellules normales, le nucléole est tou- jours situé vers
ie de celui-ci ; cette même position, on peut la retrouver dans les cellules normales des ganglions sympathiques, des cornes a
rnes antérieures de la moelle dans les grandes, moyennes et petites cellules pyramidales de l'écorce cérébrale. Marinesco n'
rinesco n'admet pas une position fixe du nucléole dans le noyau des cellules normales, mais lui aussi constate que : «... on
ne le rencontre jamais à la périphérie du noyau ». Mais si dans les cellules normales la position périphérique fait toujours
es normales la position périphérique fait toujours défaut, dans les cellules altérées celle position est à peu près de règle
es ganglionnaires rétractées ou comprimées par la prolifération des cellules endothéliales de la capsule et présentant une alt
u en passant dans le cyto- plasma cellulaire. Dans quelques grandes cellules ganglionnaires, on voit la moitié des corps de
on gi-antileuseej l'autre en achromatose complète ; au centre de la cellule , le noyau hypel trophié est tout à la périphéri
e chromatophiie en état de désintégration granuleuse. Dans d'autres cellules de la même catégorie, mais dont les corps de Ni
Nissl el la situation périphérique du nucléole. En effet, dans les cellules à substance clarontatoplaile normale el égaleme
le nucléole se trouve toujours situé au centre du noyau ; dans les cellules à substance chromatophile altérée à l'état de dés
e analyse tout se réduit à un trouble de l'équilibre nutritif de la cellule nerveuse ganglionnaire, survenant à la suite de
à la suite des altérations de la substance chromatophile. Dans les cellules à corps de Nissl non altérés et par conséquent
nterviennent en agissant sur loute la substance chromalophile de la cellule , le nucléole n'est pas sus- ceptible de se dépl
s échanges nutritifs sont complètement abolis dans une partie de la cellule (achromatose partielle), normaux ou dimi- nués
ique du nucléole n'est pas, bien entendu, un phé- nomène propre aux cellules des ganglions rachidiens car on peut l'observer
des ganglions rachidiens car on peut l'observer aussi dans d'autres cellules de l'axe cérébro-spinal. Dans son remarquable t
sur la Malaria pernicieuse, Ugo Cerlelli (1) note dans ces grandes cellules pyramidales de l'écorce cérébrale dont les corps
té à la périphé- rie du noyau; de même dans les petites et moyennes cellules pyramidales, dont les corps de Nissl ont complè
ter ce môme phénomène dans la névroglie. Comme on le voit, dans les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale de même que d
les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale de même que dans les cellules des ganglions rachidiens on peut constater les
marquer que l'analogie n'est pas complète, car tandis que, dans les cellules de l'écorce cérébrale il y a déplacement nucléola
ules de l'écorce cérébrale il y a déplacement nucléolaire, dans les cellules qui présentent une lésion généralisée de la subst
nt une lésion généralisée de la substance chroma- tophile, dans les cellules des ganglions rachidiens, ce déplacement a lieu
déplacement a lieu comme nous l'avons vu, le plus souvent dans les cellules dont la substance chromatophile est partielleme
ts d'observation, nous croyons pouvoir affirmer que : 1° Dans les cellules ganglionnaires normales, le nucléole se trouve si
ales, le nucléole se trouve situé au centre du noyau. 2° Dans les cellules qui présentent une altération généralisée de la
e chromatophile, le nucléole garde sa position normale. 3° Dans les cellules qui présentent une altération partielle de celte
ve, 2° Emigration active (2). (1) R. Coc.i.m, Développement de la cellule nerveuse. Le névraxe, Vol. VIII. 1906. (2) Sous
lulaire) ; 3° La destinée du nucléole ainsi émigré et 4° l'état des cellules dans lesquelles a lieu ce phénomène. L'émigra
passive du nucléole est un phénomène très fréquent dans toutes les cellules des ganglions rachidiens. Il est à peu près impos
de ganglions rachidiens sans pouvoir constater dans grand nombre de cellules une telle émigration du nucléole. Cette fréquen
lion rachidien, l'attention est attirée tout de suite par certaines cellules qui, au lieu d'avoir leurs nucléoles au centre de
nce du noyau, plus le sillon sera long et vice versa. Mais dans les cellules normales, ce qui est constant c'est son point de
en situé au centre de la cellule- comme cela exista dans toutes les cellules normales et qu'il n'avait aucune tendance à s'e
il se trouve situé sur un plan plus superficiel que le reste de la cellule . Les deux cor- pusculessatellites amphophiles s
e l'autre. En un mot, on voit assez clairement qu'il s'a- git d'une cellule ne présentant rien de spécial ou de pathologique,
estion au point de vue général, l'état normal ou pathologique de la cellule n'a pas d'importance car ce phénomène, du momen
t qu'il est purement mécanique, se rencontre dans n'importe quelles cellules et n'a aucun rapport avec l'état de celles-ci. Ma
dans notre des- cription, nous nous sommes servis comme type d'une cellule normale, puisque le phénomène d'émigration pass
irée, mais la déchirure n'apparaît pas aussi nettement que dans les cellules à noyaux normaux car il s'agit d'un noyau atrop
nt de départ du centre du noyau, quand le phénomène a lieu dans une cellule normale. 3° Sillon à direction perpendiculaire
tuation du nucléole sur un plan plus superficiel que le resle de la cellule . 5' Absence des modifications morphologiques ob
ie cellulaire et correspondant probablement à unétatspé- cial de la cellule dans laquelle il a lieu. Dans ce cas, il ne s'agi
acement actif f vital, d'une nécessité cellulaire. On dirait que la cellule , sous l'influence exercée par un facteur nocif
ce à la collaboration des différentes parties consti- tuantes de la cellule . Ce phénomène d'émigration aclive ne se laisse
ations sont très probablement en relation étroite avec l'état de la cellule . Dans l'émigration passive, le phénomène se lai
sive, le phénomène se laisse dévoiler d'un seul coup et sur la même cellule , tandis que dans l'émigration active, le fait d
ellule, tandis que dans l'émigration active, le fait d'avoir vu une cellule à nucléole située dans son cytoplasma et n'ayant
yau, il faut recourir à l'analyse histologique d'un grand nombre de cellules et notant dans chacune d'elles les différentes mo
qui la pousse vers le cytoplasma. En effet, dans un grand nombre de cellules , le nucléole est intimement adossé il la paroi
cyto- plasma environnant. Il y a aussi un nombre plus restreint de cellules dans lesquelles le nucléole se trouve engagé da
tera définitivement le noyau. Dans ce dernier cas, on peut voir des cellules dont la membrane modifiée présente l'aspect décri
solubles puisqu'on a observé et que j'ai constaté moi-même dans les cellules em- bryonnaires, la diffusion de la chromatine
eprend à peu près son aspect normal. (1) IIENNEGUY, Leçons sur la cellule . (2) Marinesco, loc. cit. (3) R. LEGENDHS, Co
co, loc. cit. (3) R. LEGENDHS, Contribution à la connaissance de la cellule nerveuse, Arch. d'Anat. mic., 1909. 288 JONNE
diamétralement opposée au segment modifié de la membrane. Dans les cellules à substance chromatophile partielle- ment altér
elle ; 2" cette migration paraît être en rapport avec l'étal de la cellule car toutes les fois que nous l'avons observée, il
e car toutes les fois que nous l'avons observée, il s'agis- sait de cellules malades ; cellules à noyaux et nucléoles hypertro
is que nous l'avons observée, il s'agis- sait de cellules malades ; cellules à noyaux et nucléoles hypertrophiques, corps de
tion intense de la capsule endothéliale comprimant et repoussant la cellule vers un point de sa capsule : 3° enfin, la préd
lière, constituée d'un nombre variable de sphérules. Dans certaines cellules , les sphérules sont au nombre de treize ou même
d'Ehrlich ou la triple coloration de Mallory., nous tombons sur une cellule à nucléoles contenus dans son noyau et possédant
es granulations du cytoplasma, colorées en rouge. De même, dans les cellules dont le nucléole se trouve dans l'amas de pigme
ments d'inégale valeur s'opposent : 1° Fait capital, dans certaines cellules des ganglions rachidiens, il existe normalement t
les du cyloplasma. Enfin, il nous a étédonné de voir dans certaines cellules ganglionnaires de ces granulations nucléaires c
nous venons de dire. Altérations DES noyaux. Dans la majorité des cellules les noyaux se trouvent situés vers le centre du
ués vers le centre du corps cellulaire. Un nombre plus restreint de cellules ont leurs noyaux situés tout à fait à la périph
la catégorie des éléments cel- lulaires considérés ; ainsi dans les cellules ganglionnaires volumineuses ou de taille moyenn
it., p. 260. (2) D. R. Olmer, Recherches sur les granulations de la cellule nerveuse. Thèse, 1901. 292 JONNESCO cellule,
es granulations de la cellule nerveuse. Thèse, 1901. 292 JONNESCO cellule , tandis que dans les petites cellules ganglionnai
e. Thèse, 1901. 292 JONNESCO cellule, tandis que dans les petites cellules ganglionnaires le plus souvent i 18 sont déplac
noyau. L'hypertrophie nucléaire est manifeste dans grand nombre de cellules . On se trouve en présence de noyaux à contours
tours réguliers, de forme ronde ou ovalaire, situés au centre de la cellule et à nucléole le plus souvent hypertrophié. Ce
r chaque coupe on ne peut trouver qu'un nombre restreint de petites cellules gan- glionnaires avec des noyaux atrophiés et m
ertrophie du nucléole. ' La disparition du noyau s'observe dans les cellules à vacuoles multiples et surtout dans les cellul
'observe dans les cellules à vacuoles multiples et surtout dans les cellules à nucléoles émigrés hors du noyau. Dans cer- ta
ns les cellules à nucléoles émigrés hors du noyau. Dans cer- taines cellules à nucléoles protoplasmiques, le noyau ne présente
nservent leur aspect normal, mais le plus souvent dans de pareilles cellules on voit la membrane nucléaire et le réseau de l
CYTOPLASMA ET DE la substance Cnn011tATOP111LE de NISSL. Sur les cellules d'aspect vacuolaire ou fenêtre. -- On sait que la
es d'aspect vacuolaire ou fenêtre. -- On sait que la pré- sence des cellules vacuolaires a été démontrée par un grand nombre d
eurs dans les ganglions rachidiens de l'homme et des vertébrés. Ces cellules se rencontrent dans les ganglions d'apparence n
ats pathologiques. Van Gehnchten et Nelis (1898) (1) ont décrit des cellules vacuo- laires dans les ganglions rachidiens de
ar- tenant à un type cellulaire spécial ; Nelis (1899) retrouve ces cellules dans les ganglions rachidiens des animaux attei
atteints de rage et croit qu'il s'agit d'un état pathologique de la cellule . Lugaro (1900) (LI) a observé l'augmentation de n
ellule. Lugaro (1900) (LI) a observé l'augmentation de nom- bre des cellules vacuolaires chez les animaux (lapins, chiens), qu
qui on a sec- tionné les nerfs correspondants ; pour cet auteur la cellule vacuolaire est une cellule en état de dégénéres
erfs correspondants ; pour cet auteur la cellule vacuolaire est une cellule en état de dégénérescence kystique. Athias (190G)
- les ainsi altérées. Mott (1906) (4) insiste sur l'abondance des cellules vacuolaires dans les gan- glions rachidiens des
lions rachidiens des chevaux atteints de dourine chronique. Enfin les cellules : '[ vacuoles ont été maintes fois trouvées dans
s infectieuses les plus diverses. Ce qui nous fait insister sur ces cellules ce sont certaines particularités de structure q
n[ elles sont réparties dans les ganglions rachidiens examinés. Les cellules ainsi altérées (PI.LII,6. 1) apparaissent cribl
face du corps cellulaire d'une façon irrégulière, Nous avons vu des cellules qui contiennent de vingt jusqu'à trente vacuoles
) VAN GEHUCHTEN et NELIB, Quelques points concernant la structure des cellules des ganglions spinaux, 13ull. de l'Acad. royale
ale de médecine de Belgique, 1898. (2) LuoAno, Sulla pathologia del cellule dei gangli sensilim, Riv. di Patologia ner- vos
di Patologia ner- vosa mentale, 1900. (3) Athias, La vacuole des cellules des ganglions spinaux chez les animaux à l'état
rent. Mais l'absence d'un contenu, l'absence d'éléments cellulaires cellules endothéliales de la capsule ou cellules sallell
ence d'éléments cellulaires cellules endothéliales de la capsule ou cellules sallellitlesde Cajal - dans la ma- jorité de ce
on périphérique qu'on peut rencontrer quelquefois et qui donne à la cellule l'aspect fenê- tré tel qu'il a été décrit par C
d'affirmer avec certitude qu'on se trouve en présence de véritables cellules à vacuoles. L'aspect vacuolaire pourrait être d
lle de Bielschowski. Ce qui nous a particulièrement frappé dans ces cellules vacuolisées ou pseudo-vacuolisées de même que d
pui, la première hypothèse serait le fait de trouver dans certaines cellules des globules rouges en nombre variable à l'inté
ile de se rendre compte que ces globules sanguins et le corps de la cellule ne se trouvent pas sur le même plan. En ce cas
nt à signaler les faits observés. La substance chromatophile de ces cellules d'aspect vacuolaire seliouve toujours altérée :
corps cellu- laire (état poussiéreux). On peut aussi constater des cellules qui se colorent uniformément et intensivement a
ulaire très atrophié ou en état d'homogénéisation. Dans certai- nes cellules la vésicule nucléaire n'est plus visible et on pe
le dernier vestige du contenu nucléaire. Avant de terminer avec ces cellules nous devons ajoutai' que l'aspect vacuolaire av
stance chromatophile et noyaux altérés s'ob- serve surtout dans les cellules nerveuses petites et moyennes de la zone centra
zone centrale du ganglion, tandis que dans la zone périphérique ces cellules sont très rares on font complètement défaut. Al
. Altérations de la substance chromatophile. Dans la majorité des cellules ganglionnaires les blocs chromatôpbiles sont frag
uliers, poussiéreux, ou bien ont disparu complètement. L'aspect des cellules varie suivant l'intensité du proces- sus de chr
e suivant l'intensité du proces- sus de chromatolyse : à côté d'une cellule en achromatose complète on observe des cellules
olyse : à côté d'une cellule en achromatose complète on observe des cellules à substance chromatophile en état de désintégrati
ntégration granuleuse partielle ou généralisée et plus rarement des cellules à corps de Nissl d'apparence normale. Dans les
des cellules à corps de Nissl d'apparence normale. Dans les grosses cellules ganglionnaires ainsi que dans celles de tailles
chromatophile ou faisant complètement défaut et dans le reste de la cellule ils conservent leur aspect normal ; tout à fait à
s conservent leur aspect normal ; tout à fait à la périphérie de la cellule les corps de Nissl apparaissent de forme fusiform
usiforme allongés et disposés à peu près sur un seul rang. Dans ces cellules le noyau garde sa position normale, hypertrophi
us en avons parlé dans un des paragraphes précédents. Dans d'autres cellules appartenant à la même catégorie, les corps de N
male et quelquefois il est augmenté de vo- Lime. Dans les petites cellules obscures l'aspect est tout à fait différent, car
tites cellules obscures l'aspect est tout à fait différent, car ces cellules sont en état d'atrophie pigmentaire ; leur corps
périphérie des éléments cellulaires. Sur une formation spéciale des cellules ganglionnaires. -- Dans le cyto- plasma de cert
e des cellules ganglionnaires. -- Dans le cyto- plasma de certaines cellules des ganglions rachidiens correspondant au membr
tte formation le plus souvent en forme de rosace se trouve dans les cellules à substance chromatophile en état d'achromatose
le en état d'achromatose ou de désintégration granuleuse ; dans les cellules d'apparence normale on ne rencontre que très ra
rencontre que très rarement. Toujours uni- que à l'intérieur d'une cellule , détaille égale ou inférieure à celle du noyau
et homogène qui la sépare du cytoplasma environnant. Dans quelques cellules cette plasmosphère se trouve entou- rée sur tou
ogène, hyaline et sans structure apparente. Mais ce qui varie d'une cellule à l'autre, c'est le nombre, la disposition et la
ère, la taille et la situation de la formation en général. Dans les cellules en état d'achro- 298 JONNESCO matose absolue
nt ramifiés trouve entouré par la soi-disant plasmosphère. Dans les cellules à substance chro- matophile en état de désintég
le plus souvent au voisinage de l'amas pigmentaire. Enfin, dans les cellules d'apparence normale, les filaments sont nombreux,
rs une forme définitive qui serait celle que l'on retrouve dans les cellules en état d'achro- matose absolue.Le polymorphism
rdonnées à l'état de la substance chromatophile ; en effet dans les cellules en état de désintégra- tion granuleuse 011 rema
eu près toujours la même forme A au lieu de C,D,E..x. Dans d'autres cellules en état d'achromatose absolue on aura la forme B.
omatose absolue on aura la forme B. Examinant un nombre variable de cellules en achromatose absolue nous verrons dans toutes
e rapproché d'aucune autre formation cytoplasmique décrite dans les cellules ganglionnaires : granulations nucléoïdes de l.o
tre cette formation et le corps énigmatique de R. Legendre (1), des cellules ganglionnaires d'flelix pomatia. La partie fine
si certaines différences, ainsi Legen- dre (2) décrit et figure des cellules nerveuses contenant trois corps énig- matiques,
un peu latéralement ? » Tandis que noire formation occupe dans les cellules les positions les plus variables. Sur l'origine
e nous l'avons dit, la formation peut se trouver également dans les cellules à corps de Nissl d'apparence normale présentant
u et de son nucléole ; 2° la formation n'apparaît que dans quelques cellules en état de chromatolise, mais on ne la trouve pas
s en état de chromatolise, mais on ne la trouve pas dans toutes les cellules . LÉSIONS PÉRI-CELLULAIRES A côté des lésions
breuse du ganglion, les vaisseaux et les capsules endothéliales des cellules ganglionnaires. Examinons cha- cune de ces part
ents cellulaires, prolifération qui aboutit à l'envahissement de la cellule nerveuse et à la constitution de nodules sembla
ce nodule sont d'aspect morphologique différent : ainsi à côté des cellules constituées par un 300 JONNESCO noyau et une
0 JONNESCO noyau et une mince couche de protoplasma on remarque des cellules à protoplasma abondant et granuleux ou d'aspect
gène et très basophile et à noyau excentrique. A l'intérieur de ces cellules proliférées, nous n'avons jamais pu remarquer l
jamais pu remarquer la présence de pigment ou d'autres débris de la cellule ganglionnaire". détruite ; quelquefois la prolifé
l'intérieur de la capsule franchit la limite de cette dernière. Les cellules se multiplient activement vers l'extérieur, effaç
ar des capillaires de nouvelles for- mations. Cet envahissement des cellules envahissantes par des vaisseaux de nouvelle for
ion nous parait tout à fait caractéristique. La destruc- tion de la cellule nerveuse par la prolifération des cellules satell
e. La destruc- tion de la cellule nerveuse par la prolifération des cellules satellites, en un mot la formation d'un nodule
nnent de plus en plus rares ou font com- plètement défaut. Dans les cellules nerveuses situées au centre du gan- glion nous
dules et d'une manière générale on peut dire que la destruction des cellules par la pro- lifération des éléments capsulaires
e porté qu'après l'examen de toutes les parties constituantes de la cellule ganglionnaire et surtout de l'appareil réticulé (
arisée ; b) immédiatement sous la capsule on voit toute une zone de cellules nerveuses détruites par l'envahissement des élé
ssus delà capsule ; c) dans le reste de cette zone périphérique les cellules ganglionnaires présentent les altérations du no
s assez pour ne plus être forcés de revenir ; d) dans les îlots des cellules ganglionnaires de la zonecent.rale,les lésionsc
n ne peut même pas remarquei' un commencement d'envahis- sement des cellules nerveuses par ces éléments. Les capillaires ne so
es d'un large manchon de fibres collagènes adultes. La majorité des cellules se trouve très atrophiée et envahie par le pig-
s ; seul les nucléoles se trouvent aussi hypertrophiés que dans les cellules de la zone périphérique. A part ces cellules en é
rtrophiés que dans les cellules de la zone périphérique. A part ces cellules en état de dégénérescence pigmentaire on remarq
tat de dégénérescence pigmentaire on remarque par ci parla quelques cellules d'apparence vacuolaire ou fenêtrée. Enfin nous
Marinesco, De la constance des lésions de l'appareil fibrillaire des cellules nerveuses dans la rage humaine el leur valeur d
t granules fuchsinophiles. Dans la figure (f) nous représentons une cellule ganglionnaire envahie par les éléments de la caps
(n"') un nodule beaucoup plus volumineux- que les autres ; et (c. v.) Cellule vacuo- lisée, (m) cellule augmentée de volume c
s volumineux- que les autres ; et (c. v.) Cellule vacuo- lisée, (m) cellule augmentée de volume contenant un corpuscule ovala
pe du IV' ganglion lombaire; (e) commencement d'envahissement de la cellule nerveuse par les éléments de sa capsule ; (c, v,)
c, v,) cel- lule avec plusieurs vacuoles. Planche XLIV. Fio. 1. Cellule ganglionnaire à substance chromatophile en état d
) en (b) noyau central hypertrophié et contenant un grand nombre de cellules fuchsinophiles, (c) nucléole considérablement hyp
ment hypertrophié et adossé contre la membrane nucléaire. FiG. 2. Cellule ganglionnaire augmentée de volume avec en (a) sub
le et en (b) en état de désintégration granuleuse. Au centre de 1.1 cellule le noyau (m) hypertrophié avec nucléole consi-
déplacé vers la substance chromatophile la moins altérée. Fie. 3. Cellule ganglionnaire avec noyau (n) sans membrane nucléa
lus désagrégation du nucléole et en (v) amas de vacuoles. FIG. 5. Cellule criblée d'un grand nombre de vacuoles, (v) amas d
ect poussiéreux, (p) plasmosphère, (f) filaments axiaux (dans cette cellule le noyau n'est pas visible). Fto. 7. - Fixation
sous le microscope, on reconnut une légère diminution du volume des cellules nerveuses et une certaine multiplication des va
it u ne leptoméningite moin ancienne avec abondante infiltration de cellules rondes qui pourtant ne se trouvait pas en tous
HEIIfANOWITSCH Le rapport de l'évolution morbide à l'altération des cellules nerveuses est de même forme et ceci est prouvé
grammes ; atrophie des tubes éminifères, avec absence complète des cellules interstitielles dans les espaces intertubulaire
ticules pesant 22 grammes à eux deux, petits et mous, atrophiés ; les cellules de la lignée séminale ont disparu ; les cellule
s, atrophiés ; les cellules de la lignée séminale ont disparu ; les cellules interstitielles sont diminuées de nombre, mais
ailles fibreuses; elle esl plus jeune, plns fibrillaire et riche en cellules fusiformes. Les vésicules thyroïdiennes persist
d'atrophie. La paroi de ces vésicules est formée par une rangée de cellules cubiques ou aplaties à protoplasma acidophile peu
onnelles, sont dilatées, leur flaque colloïde est parsemée de grosses cellules dissociées vaguement arrondies ou polygonales à
cuole (colloïde ? ) ; quel- ques-unes plus petites sont revêtues de cellules larges stratifiées, claires et vésiculeuses, la
noyés dans une masse compacte de sclérose fibreuse adulte pauvre en cellules . Les quelques rares tubes qui persistent sont s
ré hyalin plus coloré et parfois d'une sorte d'assise cellulaire il cellules plates disposées sur un seul rang et munies d'u
ment dans l'étroite lumière du tube séminipare se pressent quelques cellules petites à noyau foncé ovalaire ou rond, à proto
tits vaisseaux à paroi fibreuse; il est impossible de retrouver des cellules interstitielles à fonction diastématique du tes
tement disparu, même lumière étroite, même persistance des quelques cellules mal dilférenciées dans la lumière de quelques tub
Gougerot, on notait dans la lumière de certains tubes des gros- ses cellules vacuolées analogues aux cellules interstitielles
re de certains tubes des gros- ses cellules vacuolées analogues aux cellules interstitielles qu'on ne trouve pas ici. Surr
la sclérose est formée d'un lacis de fines fibrilles avec de rares cellules fusiformes et sans jamais de nodules, les capilla
segmentées forment alors des amas arrondis ou allongés de 1 à ` ? 0 cellules , agglomérées sans ordre, pressées les unes contre
pressées les unes contre les autres comme fusionnées. Rarement les cellules sont dissociées. Ces cellu- les sont altérées,
ytes. Parfois un placard scléreux est parsemé de nombreuses petites cellules surrénales atrophiées, arrondies'ou polygonales
osées sans ordre, isolées les unes des autres ou par amas de 2. Ces cellules atrophiées ou « microcytes surrénaux » ont les ca
el- lules surrénales et on surprend toutes les transitions entre la cellule de vo- lume à peu près normal et ces cellules p
s transitions entre la cellule de vo- lume à peu près normal et ces cellules plus lésées qui s'atrophient. Enfin dans d'autr
est plus déliée, les capillaires y sont souvent congestionnés, les cellules d'ordination il peu près normale ont le pigment
giocytes. La médullaire semble peu lésée : sclérose légère diffuse, cellules rétractées. La veine centrale est sclérosée et
,difficiles à affirmer,à peine note-t-on un peu de dissociation des cellules de beaucoup d'aciui. Les îlots de Langerhans so
t ne présentent pas de lésions en- docrines évidentes ; à peine les cellules semblent-elles plus petites, plus dis- sociées
de 0 gr. 58, poids moyen d'après Launois), elle est sclérosée. Les cellules nobles semblent altérées, mais leurs lésions so
uivant les points, qui délimitent des alvéoles où sont amassées les cellules nobles. Suivant les régions, la sclérose est inég
les capillaires sont très dilatés, gorgés de globules rouges. Les cellules nobles semblent altérées : les cellules cyanophil
s de globules rouges. Les cellules nobles semblent altérées : les cellules cyanophiles, petites et grandes, unies et binuc
euses, leur protoplasma est très granuleux, vacuolaire. Les grosses cellules à protoplasma éosinophile sont rares, elles son
ophile sont rares, elles sont nettement granuleuses. - De petites cellules à noyau rond foncé, à protoplasma éosinophile son
ile sont in- filtrés en grand nombre. On note çà et là de grosses cellules à large noyau clair, ponctué, presque vésiculeu
On ne voit de substance colloïde ni dans les vaisseaux, ni entre les cellules , il semble donc bien qu'il y ait hypofonctionne
aire ; il n'y a pas de stéatose ni de dégénérescence évi- dente des cellules hépatiques. La congestion est minime, non systéma
ongestionnée avec petits hématomes, capillarités, inflammations des cellules endothéliales et tuméfaction du reticulum, réacti
- teints de tuméfaction trouble avec quelques fois dissociation des cellules (lé- sions de néphrite dégénérative ou altérati
rissaud, son buste ;c la Faculté de 111éde- cine (rri.tn), XXXIX. Cellules de la glande pinéale chez l'homme tIW .wue), \L
9 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
us savons en effet qu'à la suite de la section de son cylindraxe,la cellule nerveuse de la corne antérieure peut présenter
e hauteur. Le noyau musculo-culané est cons- titué par une masse de cellules qui apparaissent au niveau du sixième segment c
u du sixième segment cervical avant le noyau du radial. Lorsque les cellules de ce dernier noyau font leur apparition, elles
sans cause capable de provoquer par elle-même une chromatolyse des cellules motrices médullaires. On nesau- rait utiliser p
aine distance de la moelle, ne détermine pas nécessairement dans sa cellule d'origine des lésions visibles par la méthode de
un foyer de paralysie infantile ayant détruit le groupe externe des cellules motrices du 8e segment cervical médullaire et a
et d'ad- mettre dans chaque segment médullaire une distribution des cellules motrices en groupements correspondant à tel ou
bstance interstitielle sont caractérisées par une infil- tration de cellules rondes et par l'hyperplasie du tissu conjonctif d
ssl, une chromatolyse intense aux Vacuoles et noyau excentrique des cellules motrices sacrées et coccygiennes ; c'est, par l
au dont les parois sont de plus infiltrées d'une grande quantité de cellules embryon- naires. Malgré ces lésions l'artère es
xterne ou adventice de tissu conjonctif représentée surtout par des cellules fusiformes et étoilées.Dans un cerveau de vieil
ne interruption. Cette gaine est exces- sivement mince, composée de cellules très allongées dont le noyau très distinct se c
iques sont donc très épaissies et remplies d'une grande quantité de cellules embryonnaires, leucocytes émigrés du torrent circ
noirs. De plus, ils sont beaucoup plus arrondis que les noyaux des cellules conjonctives. Ile se disposent aussi par amas.
ulaires que cette épaisseur des parois et leur infiltration par des cellules jeunes. Le seul fait un peu anormal est qu'elles
ions dissociant plus ou moins des faisceaux blancs de fibres et des cellules nerveuses. Dans les noyaux gris normaux du cerv
la substance nerveuse grise on constate la présence de volumineuses cellules nerveuses peu nombreuses et qui se voient à un
s important est le cylindre-axe. Sur nos coupes on voit souvent ces cellules chargées d'un pigment assez abondant. Le noyau
plus ou moins la place du protoplasma, c'est là un caractère de ces cellules chez le vieillard : il n'a donc rien d'anormal.
les chez le vieillard : il n'a donc rien d'anormal. A côté de ces cellules sont de nombreuses fibres nerveuses et pour maint
et pour mainte- nir le tout les éléments névrogliques. Les petites cellules de la névrocrlie sont xv 8 114 Il FERRAND t
ssez facilement, leur petite dimension les fait bien distinguer des cellules nerveuses. Enfin le réseau de fibres névrogliques
nait. Par ci par là en trouve-t-on encore une qui a subsisté. Les cellules nerveuses manquent complètement dans cette région
issu redevient absolument normal. Du reste dans cette région où les cellules nerveuses manquent complètement, les rares fibres
s lesquelles sont encore quelques fragments d'éléments nerveux. Les cellules ne disparaissent pas complètement. Quoique beauco
sibles et l'abondante infiltration embryonnaire formée de noyaux de cellules jeunes et fortement colorées qui envahissent ce
glie se resserrent et se comblent de fibres nerveuses intactes. Les cellules névrogliques deviennent plus apparentes, se color
rrive insensiblement dans une région qui ne paraît pas altérée. Les cellules ner- veuses elles-mêmes font leur réapparition,
beau- coup peuvent ainsi passer inaperçues. Il en est de même des cellules névrogliques tombées elles aussi dans la ca- vi
qu'on ne peut plus guère que soupçonner. Parmi ces filaments et ces cellules se voient encore les débris de la gaine lymphatiq
s de la gaine lymphatique du vaisseau dont on reconnaît les grandes cellules plates à leur noyau allongé transversalement. I
pré et Devaux. Comme eux nous avons été frappés par l'aspect de ces cellules hypercolorées fixant forlement l'hématoxyline,
ent être des corps granuleux. Elles sont trop petites pour être des cellules complètes : sont-ce seu- lement des noyaux dont
ons- (1) Dupré et DEvAux, loc. cit. 120 1 FERRAND titué par des cellules volumineuses dont le noyau seul est coloré. Ces c
itué par des cellules volumineuses dont le noyau seul est coloré. Ces cellules sont de dimensions remarquables, assez régulièr
Dans quelques cas très rares, nous avons vu plusieurs noyaux à ces cellules . Mais il est en géné- ral unique, et peut occup
ériphé- riques, ce qui nous explique que souvent sur des coupes ces cellules paraissent manquer de noyau. Il C'est qu'en r
oyau celui-ci est resté dans une autre coupe. Le protoplasma de ces cellules ne prend aucune des colorations auxquelles nous
Maintenant ces corps sont-ils toujours d'origine leucocytaire ? Les cellules de névroglie par exemple ne peuvent-elles pas e
vant se reproduire, la cavité en sera totalement dépourvue. Plus de cellules nerveuses, plus de fibres à myéline et cependant
s sont composées de fibres névrogli- ques : on y voit même quelques cellules . Tout autour de la cavité le tissu cé- rébral c
eau de fibres blanches, nous ne voyons naturellement pas de grosses cellules nerveuses puisqu'il n'y en a pas même normalement
atomique est variable et se traduit par une excitation anormale des cellules motrices de la moelle. Pour la faci- lité clini
ux, ou mieux encore, résulter de dégénérescences nécrobiotiques des cellules nerveuses chez le nouveau-né, à la suite d'un é
acroscopique. Les coupes de la moelle lombaire (Nissl) montrent les cellules ganglion- naires normales et leurs prolongement
ments anormalement colorés, mais pas tous. Moelle cervicale : les cellules ganglionnaires sont en voie de dégéné- rescence
s vaisseaux san- guins sont également plus nombreux, tandis que les cellules ganglionnai- res sont en partie fort dégénérées
ules ganglionnai- res sont en partie fort dégénérées, le nombre des cellules normales est moindre que dans la région cervica
eignent peu les éléments nerveux proprement dits, les fibres et les cellules de la névroglie sonthy- perplasiées et les vais
es du corps se trouve re- produite, avec un ordre analogue, par les cellules centrales dans le cerveau. C'était l'idée de Jo
es racines antérieures paraissent provenir par un trajet direct des cellules motrices de la corne antérieure; la clinique a
ns plusieurs segments successifs de la moelle, une distribution des cellules motrices en groupements correspondant à des mus
ateux ; dans les mailles de ce tissu se logent d'abondantes petites cellules d'aspect polymorphe (fig. 4). A un plus fort gr
obules comparables à ceux de l'épithé- liome lobulé (fig. 2). Ces cellules présentent un noyau assez volumineux, granuleux,
abondant et diversement disposé, suivant le degré de tassement des cellules , de telle sorte que celles-ci apparaissent, suiva
èrement dans les zones plus claires où les vaisseaux et les petites cellules polymorphes sont moins lassées, on peut constat
ymorphes sont moins lassées, on peut constater une autre variété de cellules , d'un aspect tout différent. Ce sont des cellul
autre variété de cellules, d'un aspect tout différent. Ce sont des cellules plus volumineuses, à contour polygonal ou étoilé
ct vésiculeux. Ces éléments ont à peu près la dimension des petites cellules pyramidales. Par la coloration au bleu de méthylè
oration au bleu de méthylène, on peut nettement distinguer dans ces cellules étoilées un gros noyau clair avec nucléole très
tion jaunâtre, disposée à coté du noyau, dans l'un des angles de la cellule . Ces cellules rappellent donc tout à fait l'asp
disposée à coté du noyau, dans l'un des angles de la cellule. Ces cellules rappellent donc tout à fait l'aspect des cellules
la cellule. Ces cellules rappellent donc tout à fait l'aspect des cellules nerveuses vraies, et il nous semble permis de c
ouvons-nous trancher la question de savoir ce qui, dans les petites cellules rondes ou polygonales, revient à la névroglie,
ntrent, après coloration au picro-carmin, une quantité de pe- tites cellules ovalaires ou fusiformes, quelques-unes présentant
effilées une sorte de prolongement filamenteux. La dimension de ces cellules est de 25 à 30 U. de long sur 15 à 20 de large.
les est de 25 à 30 U. de long sur 15 à 20 de large. Le corps de ces cellules est occupé par un noyau volumineux, qui forme à
TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 213 lui seul presque toute la cellule , refoulant le protoplasma aux extrémités de la
que toute la cellule, refoulant le protoplasma aux extrémités de la cellule et contre la paroi. c Ce noyau est d'aspect trè
que cette tumeur se trouve formée par une agglomération de petites cellules ovalaires ou fusiformes ci-dessus dé- crites, f
leurs prouvé qu'il y avait intégrité presque parfaite de toutes les cellules pyramidales du cortex ; même dans les régions les
dans les régions les plus comprimées, c'est-à dire l'opercule, les cellules avaient conservé leur to- pographie normale et
rnaux,-dans laquelle on peut distinguer la substance grise avec ses cellules pyramidales et la substance blanche avec ses fibr
dans lesquelles se serait faite une infiltration abondante de petites cellules ron- des whig. 7 et 8). Fig. 7, Gliomatose di
liomatose diffuse. 1. or stade. Infiltration discrète au pourtour des cellules pyramidales (Obj. 7, ocul. 2, Leitz). Fig. 8.
ntense (Obj. 7, ocul. 2, Leitz). 220 BALLET ET ARMAND DELILLE Ces cellules sont surtout extrêmement nombreuses dans les régi
sition très particu- lière. En effet elles sont groupées autour des cellules pyramidales qu'elles encastrent complètement en
trent alors une véritable couronne d'une ou deux rangées de petites cellules autour de chaque cellule pyramidale. Ces cell
couronne d'une ou deux rangées de petites cellules autour de chaque cellule pyramidale. Ces cellules, examinées à de forts
gées de petites cellules autour de chaque cellule pyramidale. Ces cellules , examinées à de forts grossissements, se montrent
u arrondi, volumineux, emplissant presque à lui seul le corps de la cellule , fixant d'une façon assez intense les colorants
elles rappellent l'aspect des petits mono-nucléaires du sang ou des cellules de la névroglie. Quant aux cellules pyramidal
ono-nucléaires du sang ou des cellules de la névroglie. Quant aux cellules pyramidales ainsi étouffées par ces éléments néof
non uniquement, par une infiltration plus ou moins dense de petites cellules rondes ou ovalaires à noyau volumineux dans tou
rche du processus pathologique. Il se fait d'abord autour de chaque cellule pyramidale, une gaine de ces petites cellules ron
abord autour de chaque cellule pyramidale, une gaine de ces petites cellules rondes ; celle-ci ne tarde pas à s'épaissir, le
oncentriques dont l'accumulation étouffe peu à peu l'élément noble ( cellule pyramidale) ; celle-ci s'atrophie et disparait, s
ucture de l'écorce cérébrale ; on se trouve en pré- sence d'amas de cellules rondes, parcourus par des ramifications vasculai-
OPLASIES CÉRÉBRALES 221 pes, ils apparaissent sous forme de petites cellules arrondies a gros noyau, à protoplasma peu abond
titués d'un corps arrondi et d'un gros noyau, mais certaines de ces cellules sont fusiformes, et quelques-unes envoient de c
auteur, on est donc forcé d'admettre qu'il s'agit dans notre cas de cellules névrogliques à l'état em- bryonnaire, c'est-à-d
s impos- sible que le choc ait déterminé une brusque altération des cellules pyra- midales et qu'à la suite la névroglie, ti
niste de l'élé- ment noble, ait rapidement proliféré et étouffé les cellules pyramidales altérées. - DESCRIPTION D'UN CAS
LAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 291 trophique, c'est-à-dire de la cellule du ganglion rachidien, soit à une lé- sion étro
du ganglion, à moins de supposer une lésion purement dynamique des cellules ganglionnaires (Darier, Babinski). D'autre part,
émité ou pôle central; ses fibres s'y mettent en rap- port avec des cellules ganglionnaires, dont elles sont le prolongement
ont le prolongement central. Les prolongements périphériques de ces cellules se réunissent à l'autre extrémité du ganglion e
anouies dans le parenchyme où elles se mettent en relation avec les cellules . Enfin à l'extrémité opposée elles se rassemble
avions en vue portant sur deux points différents, les fibres et les cellules , il fallait s'adresser aux procédés histologiqu
les gaines de myéline, le cylindraxe, et les éléments nucléés. b) Cellules .- Nous n'avonspu pour l'examen des cellules gangl
es éléments nucléés. b) Cellules.- Nous n'avonspu pour l'examen des cellules ganglionnaires employer que rarement la méthode
ui peuvent résulter d'une atteinte légère, aiguë et réparable de la cellule , à moins qu'elles n'apparaissent à la période t
ion chronique et lente, il ne peut être question, à supposer que la cellule ganglionnaire soit en cause, ni d'une altératio
uctif à un stade initial. S'agit-il de lésions atrophiques de ces cellules ? Nos méthodes habi- tuelles de coloration sont
icro- carmin, le carmin aluné précisent bien la configuration de la cellule , les contours et la structure du noyau. Ce so
d des lésions fines 'du cylindraxe, des fibrilles nerveuses, ou des cellules , les progrès de l'histologie sont subordonnés à
sentant les uns des éléments embryonnaires, les autres des noyaux des cellules Bouleversement des Cbres radiculairespar l'infl
faisceaux de tissu conjonctif adulte, des amas d'éléments nucléés ( cellules conjonctives jeunes).Les méninges sont épaissie
dehors des lésions radiculaires, des altérations très notables des cellules nerveuses et des capsules péricellulaires. Les
épaissies, il y a une multiplication plus ou moins considérable des cellules qui les composent ; on y remarque même des libr
ont limités à une partie de la circonférence, ou concentriques. Les cellules sont généralement petites, beau- coup semblent
ment fin. Les altérations ganglionnaires sont manifestes, plusieurs cellules nerveuses NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIERE,
) Plusieurs étapes de l'atrophie cellulaire. En bas, : 1 droite : Cellule saine légèrement rétractée dans sa capsule dont l
capsule dont les éléments sont à pou près normaux En bas, gauche : Cellule en voie d'atrophie avec multiplication des élémen
éments nucléaires de sa capsule. - En haut, à gauche : Même lésion. Cellule réduite à un amas de pigment H)perplasie de la
oncentriques. - En haut, droite : Il n'existe plus à la place de la cellule qu'un nodule de tissu conjonctif. - LÉSIONS RAD
'histologie fine de ces lésions et les altérations constatées sur les cellules du parenchyme ganglionnaire. I. Topographie D
nature et leur intensité. Disons immédiate- ment que la plupart des cellules ganglionnaires présentent un aspect normal. Ell
min. En outre leur capsule conjonctive se compose d'un seul rang de cellules allongées, conformément à l'état normal. Mais
, conformément à l'état normal. Mais il existe un certain nombre de cellules manifestement anormales. La principale altérati
nt assez nombreux pour constituer un amas de la taille d'une grosse cellule gan- glionnaire dont il semble qu'ils aient pri
ue déchiqueté, irrégulier ayant vraisemblablement appar- tenu à une cellule ganglionnaire atrophiée. De telles figures sont r
comme l'effet d'une coupe dirigée tangentiellement à un pôle de la cellule . Ce sont des aspects pa- thologiques dus non pa
noyaux conjonctifs de la capsule et à l'atrophie concomitante de la cellule ganglionnaire. Ils sont très comparables à ceux
able d'après l'examen d'un grand nombre de coupes qu'une partie des cellules ganglionnaires est aussi en voie d'atrophie et de
l'état normal dans le parenchyme ganglionnaire : ou ne voit pas les cellules entourées d'un anneau fibreux épais ; il n'y a pa
es des fibres. Corrélativement à ces lésions radiculaires, quelques cellules ganglionnaires ont disparu en partie ou en tota
présente une multiplication de ses noyaux qui d'abord forment à la cellule une couronne assez dense, puis finissent par se
n'y ait des infiltrations embryonnaires et des proli- férations des cellules conjonctives. Les cloisons sont très irrégulièrem
anglion rachidien ne présente pas d'altérations importan- tes ; les cellules y paraissent un peu plus petites, comme atrophiée
un peu moins nombreuses, quelques capsules sont épaissies avec des cellules nombreuses proliférées, mais ces altérations so
acines postérieures. Nous n'insisterons pas sur la pigmentation des cellules . On découvre exceptionnellement quelques petits
glion. Le ganglion ne présente rien de particulier à signaler : les cellules nerveu- ses et les capsules péri-cellulaires so
amas nucléaires et quelques capsules épaissies, mais la plupart des cellules sont normales. - Troisième ganglion lombaire dr
altérations de périnévrite font défaut. Dans le ganglion, plusieurs cellules paraissent petites, atrophiées, quel- ques caps
ne gaine fibreuse très épaisse, semée de proliférations nucléaires ( cellules fines du tissu conjonctif, amas embryonnaires)
ertain nombre de capsules ganglionnaires sont hyper- trophiées, les cellules en voie de prolifération manifeste, quelques caps
ation manifeste, quelques capsules sont sclérosées. Malgré cela les cellules nerveuses ne paraissent pas en général sensible
nt entourés de noyaux plus ou moins nombreux. Dans le ganglion, les cellules nerveuses ne présentent pas d'altérations ma- n
du ganglion, les fibres sont parsemées de noyaux appartenant à des cellules conjonctives, les travées qui séparent les fascic
montre un développement anormal du tissu conjonctif du stroma. Les cellules sont entourées d'anneaux fibreux plus ou moins
bles ; les fibres ne présentent pas de dé- générescence ; quant aux cellules , leur structure paraît normale ; leur taille et
isseau ; hémorrhagies interstitielles). Aucune anomalie du côté des cellules ganglionnaires, sauf peut-être un peu d'épaissi
il y avait eu une néo- formation. ' ' Dans quelques ganglions les cellules et les capsules péricellulaires sont normales,
d'autres ganglions les capsules sont extrème- ment épaissies, les cellules capsulaires sont proliférées, mais les cellules
ment épaissies, les cellules capsulaires sont proliférées, mais les cellules nerveuses ne pré- sentent pas d'altération mani
t épaissie. Le parenchyme ganglionnaire paraît absolument sain, les cellules et les capsules péricellulaires sont normales.
ne présentent pas d'altérations manifestes. Dans le ganglion les cellules paraissent plutôt un peu petites, et dans le 2e
s le 2e ganglion lombaire quelques capsules sont épaissies et leurs cellules prolifé- rées. Les vaisseaux ne sont pas malade
stituer un nerf périphérique absolument sain. Au point de vue des cellules ganglionnaires nous n'avons pu relever que la p
er que la présence de quelques épaississements capsulaires avec une cellule centrale amoindrie. 3e Lombaire droit. - Coup
re qui les entoure et qui d'ailleurs n'y pénètre point. Quant aux cellules ganglionnaires, elles sont en grande majorité d'a
nérescence hyaline des tuni- ques des petits vaisseaux. Quaut aux cellules ganglionnaires, autant que le mode de fixation et
nique des névrites et nous porteraient plutôt à mettre en cause les cellules motrices des cornes antérieures. Quant aux re
la manifestation extérieure de l'étal d'excitation per- manente des cellules motrices de la moelle entretenue par les impressi
ar les impressions périphériques ; . 2° Cet état d'excitation des cellules motrices est soumis à une double influence exci
issu conjonctif inters- titiel est-il parfois hyperplasié entre les cellules et autour de leur capsule ; mais on ne peut guè
peut guère prononcer le mot de sclérose. Parmi les altérations des cellules ganglionnaires, il en est quelques- unes qui ne
Redlich aient cru voir dans l'aspect trouble et sombre de certaines cellules un caractère LÉSIONS radiculaires ET ganglionna
a retenu notre attention, c'est l'existence sur un petit nombre de cellules d'un ensemble d'altérations - d'ailleurs déjà plu
érations portent à la fois sur la capsule péri-cellulaire et sur la cellule elle-même. Au lieu d'une rangée unique d'éléments
llule elle-même. Au lieu d'une rangée unique d'éléments nucléés, la cellule ganglionnaire se montre environnée de plusieurs a
ui lui forment une couronne épaisse et compacte; il est rare que la cellule ganglionnaire ait gardé son aspect normal. Presqu
est un amas pigmentaire (Planche XLII, B). La place occupée par la cellule ganglionnaire est alors entièrement envahie par
rte que finalement à la place de la cel- lule normale, il reste une cellule atrophiée ou même il ne reste rien au milieu du
ent d'une section dirigée tangentiellement à la circonférence d'une cellule ; dans ce cas, en effet, les éléments de la cap
t aspect ne peut évidemment se présenter que sur un petit nombre de cellules ganglionnaires, sectionnées forluitemenlpar leur
othèse qu'il s'agit là de figures d'involution normale propres à la cellule ganglionnaire ne saurait non plus être sérieuseme
refuser à y voir un type de lésions, atteignant un petit nombre de cellules et aboutissant à l'atrophie. Nous ne nous pronon-
par compression ou autrement, l'atrophie cellulaire, ou si c'est la cellule , atteinte primitivement, qui réagit à son tour su
upposition est d'autant plus acceptable que l'atrophie simple de la cellule ganglionnaire, sans prolifération des éléments de
e rencontrer. Nous en avons un exemple dans l'obs. I où cer- taines cellules sont manifestement atrophiées sans aucune hyperpl
laire d'une façon sensible- ment proportionnelle et peut réduire la cellule au cinquième de sa taille normale sans altérer
croyons-nous, conclure de ces observations que, si la majorité des cellules ganglionnaires reste normale dans le tabes, on
peut y être suivie très profondément, par conséquent tout près des cellules d'origine, mais remonte-[-elle jusqu'à la cellu
nt tout près des cellules d'origine, mais remonte-[-elle jusqu'à la cellule ? Nous n'avons pu résoudre ce der- nier problèm
e peut s'observer aussi bien au cours des maladies primitives de la cellule ou de la fibre nerveuse, qu'à la suite de trauma-
écrites par ces auteurs portent sur la configuration générale de la cellule (déformation, rétraction), sur l'aspect de son pr
re elles. Dans la plupart des ganglions que nous avons examinés les cellules paraissent normales : dans quelques-uns et plus
uis l'atrophie simple jusqu'à la disparition : en même temps que la cellule s'atrophie, les capsules ganglionnaires prolifè-
un tel point qu'elles finissent par combler la place occupée par la cellule . Il est assez difficile de saisir le début de l'a
'atrophie cellulaire, car sur un ganglion normal les dimensions des cellules sont déjà très diver- ses, il y en a des petite
es, pâleur et disparition des granulations chromatiques des grosses cellules claires ; parfois rétraction, homogénéisation du
rinesco ne leur accorde pas une grande impor- tance : en effet, les cellules des ganglions spinaux subiraient très vite des
us la dépendance de ces lésions. D'ailleurs la structure fine des cellules ganglionnaires bien étudiée ces dernières année
en et Nelis) a montré qu'il existe à l'état normal plusieurs types de cellules qui se différencient par la disposition, la gro
, le nombre des éléments chromatophiles. Les deux types principaux ( cellules claires finement gra- nuleuses, et cellules à g
deux types principaux (cellules claires finement gra- nuleuses, et cellules à gros blocs chromatiques) sont reliés entre eux
res de la racine postérieure est susceptible de remonter jusqu'à la cellule d'origine ou de retentir sur elle. (1) Scuaff
s cas de tabes plus récent. 3° Elles sont minimes par le nombre des cellules atteintes, et toujours disproportionnées au deg
d'inflamma- tion de la capsule péricellulaire avec hyperplasie des cellules ou des fibres conjonctives. Il ne faudrait pa
p d'importance à la disproportion numérique entre les fibres et les cellules frappées d'atrophie. Nos connaissances plus réc
plus complexe qu'on ne l'avait tout d'abord ima- giné : à côté des cellules bipolaires, il existe des cellules multipolaires,
t d'abord ima- giné : à côté des cellules bipolaires, il existe des cellules multipolaires, des cellules sympathiques (Dogie
des cellules bipolaires, il existe des cellules multipolaires, des cellules sympathiques (Dogiel), dont le prolongement se bi
nd nombre de fois sans quitter le ganglion et se termine autour des cellules par des arborisations capsulaires en partie myéli
et des arborisations sous-capsulaires amyéliniques. , Toutes les cellules ne font donc pas partie du neurone sensitif, et l
lules ne font donc pas partie du neurone sensitif, et le nombre des cellules bipolaires, de même que leur proportion par rappo
sur la constitution anatomique du ganglion rachidien. Si, toutes les cellules ganglionnaires étaient des cellules bipolaires
glion rachidien. Si, toutes les cellules ganglionnaires étaient des cellules bipolaires ou des cellules en T de Ranvier, le
les cellules ganglionnaires étaient des cellules bipolaires ou des cellules en T de Ranvier, le nombre des cellules devrait
cellules bipolaires ou des cellules en T de Ranvier, le nombre des cellules devrait être égal à celui des fibres de la racine
plus discordantes ; , .. ainsi, d'après lieimlioltz, le nombre des cellules est beaucoup plus grand que celui des fibres, d
mier, aux 3173 fibres de la racine postérieure correspondent 20.361 cellules ganglionnaires, dans le deuxième aux t.2T[0 fib
xième aux t.2T[0 fibres de la racine postérieure correspondent 27.618 cellules xv 28 426 THOMAS ET UAUSER * faire trop de
Van Gehu- chten, ce neurone serait essentiellement constitué par la cellule ganglion- naire avec son prolongement protoplas
érie cutanée au ganglion et son axone, la fibre radiculaire. Que la cellule vienne à disparaître même fonctionnellement, la
ut central de la racine postérieure n'a aucun retentissement sur la cellule d'origine, tandis que la section du bout périph
qui veut que la.section du cylindre-axe retentisse toujours sur sa cellule d'origine donne à penser que nous con- naissons
e à penser que nous con- naissons encore malle rôle trophique de la cellule ganglionnaire sur ses prolongements.Quoi qu'il
es prolongements.Quoi qu'il en soit,ces expériences montrent que la cellule du ganglion spinal se comporte différemment sui
on alors supposer et déduire qu'à son tour l'action trophique de la cellule est beaucoup moins intense pour la racine posté
i- j ' ganglionnaires. Il y aurait donc une fibre pour six à sept cellules . Tout en ne donnant à ces calculs que la valeur
ucaao, Riv. de patol. n11'V. e mentale, 1901. Sulla alterazioni delle cellule ner- vose dei gangli spinali in seguito al tagl
bation fonc- tionnelle ? Ce que nous savons du rôle trophique de la cellule , grâce à l'expérimentation et à la pathologie,
u bien encore ne fait-elle que révéler une fonc- tion normale de la cellule , la régénération constante du cylindre axe ? En
d'histologie pratique. 428 THOMAS ET HAUSER trait la première, la cellule continuant à vivre encore pour elle-même , plus
ns admettre avec Stroebe qu'il s'agit d'une maladie partielle de la cellule , on peut concevoir que les altérations fonctionne
lièrement celle qui invoque un trouble dynamique ou fonctionnel des cellules du ganglion spinal puise dans les considération
longue durée de la maladie, la partie la plus noble du neurone, la cellule , n'est pas constamment atteinte, du moins autant
téméraire de supposer que la diminution du pouvoir trophique de la cellule est une des causes de cette fragilité. L'incurs
issons si mal le rôle trophique et les phénomènes biologiques de la cellule nerveuse. Pour d'autres auteurs, ce n'est pas d
our les racines postérieures et les nerfs cuta- nés ; toutefois les cellules des cornes antérieures restent saines alors que
eut invoquer encore une altération fonctionnelle ou dynamique de la cellule ganglionnaire dont le pouvoir trophique s'exerc
que, tout en prédominant beaucoup sur le prolongement central de la cellule ? et qzci atteint généralement aussi certaines
laires qui répondent les uns au type lymphocyte, les autres au type cellule plasma- tique. Cette infiltration s'accompagne
aires sont lésés de la même façon : leurs parois sont infiltrées de cellules rondes (fig. 2 et 3). Les lésions du tronc basi
ette région, les fibres cheminent au milieu d'amas irrégu- liers de cellules , croisant à angle droit les fascicules des fibres
nséquent, de la portion de cylindraxe qui est restée attenante à la cellule , surtout lorsque cette amputation a eu lieu au vo
teur est coupé, et encore mieux arraché à son émergence, toutes les cellules du noyau se modifient et un certain nombre d'en
émises par les différents auteurs sur le trajet des cylindraxes des cellules olivaires et sur la direction des llÉlIA5YNGIiG
: 9° une interruption de la voie olivo-ciliaire des deux côtés; les cellules des olives inférieures du bulbe ne sont plus en
s du bulbe ne sont plus en connexion par leurs cylindraxes avec les cellules des olives cérébelleuses et des embolus ; 2° un
dans le fonctionnement du cervelet ; Cajal a fait remarquer que les cellules des olives bulbaires comptent parmi les plus comp
certains cas d'atrophie du cervelet on pouvait voir disparaître les cellules de Purkinje et la couche des grains, tandis que
a nature de cette couche nouvelle, ou plutôt non encore décrite, de cellules cérébelleuses ? Il nous parut tout d'abord qu'il
rébelleuses ? Il nous parut tout d'abord qu'il s'agis- sait bien de cellules nerveuses et non de cellules névrogliques. Nous
out d'abord qu'il s'agis- sait bien de cellules nerveuses et non de cellules névrogliques. Nous basant ensuite sur le fait q
n de cellules névrogliques. Nous basant ensuite sur le fait que ces cellules apparaissent déjà sur un cervelet normal, à la
rmal, à la limite des couches moléculaire et granuleuse, autour des cellules de Purkinje, nous avons cru pouvoir les identifie
de Purkinje, nous avons cru pouvoir les identifier avec les grandes cellules étoilées bien décrites par Ramon y Cajal, Golgi,
l, Golgi, Bechterew, et que Déjerine désigne sous le nom de grandes cellules du type II de Golgi. Depuis cette époque, nou
ouche des grains présente une diminution nota- ble du nombre de ses cellules ; tandis qu'à l'état normal celles-ci constituent
t sur toutes les coupes. Une autre altération frappe de suite : les cellules de Purkinje ont disparu totalement et partout.
is très nettement séparée d'elle, on trouve une couche régulière de cellules ovales, pâles, dont le noyau a son grand axe di
ins particulièrement visible dans ce cas, comporte de 5 à 10 de ces cellules ovales : très confluentes au milieu, elles vont e
fort grossissement, on ne distingue nettement que les noyaux de ces cellules : ils sont ovales, d'un bleu pâle et granuleux, m
r nombre, changent un peu d'as- pect, en ce sens que les noyaux des cellules sont plus colorés. De plus, on voit souvent les
de la substance médullaire. Même disparition totale et absolue des cellules de Pur- kinje ; même réduction de la couche mol
me isolement, en dehors de la couche des grains, de cette couche de cellules ovales à noyau pâle et à 1 ou 2 nucléoles. Sur
urtout sur celle du vermis, présente une augmentation du nombre des cellules fixes : il y a des cellules à noyau rond assez
présente une augmentation du nombre des cellules fixes : il y a des cellules à noyau rond assez nombreuses, les capillaires so
age fibrillaire et serré enfermant dans ses mailles de nom- breuses cellules fixes; ces cellules fixes n'offrent pas cependant
erré enfermant dans ses mailles de nom- breuses cellules fixes; ces cellules fixes n'offrent pas cependant de noyaux en bâto
, c'est-à-dire que l'on voit dissé- minée partout, dans la zone des cellules et dans l'axe blanc des circonvolutions une inf
est tel qu'à un faible grossissement, ils obscurcissent la vue des cellules nerveuses, surtout sur les coupes colorées à la s
nerveuses, surtout sur les coupes colorées à la safranine. Pour les cellules nerveuses du cortex, au Nissl, elles se montrent
ans la couche des fibres transversales du pont et dans les ilots de cellules nerveuses des noyaux du pont. Et, par contre, l
re de la protubérance comme sur celles de la moitié inférieure. Les cellules nerveuses des noyaux du pont sont, par places au
aux fibres transver- sales du pont, on voit manifestement à côté de cellules nerveuses à limites nettes, à noyau bien serti,
c grains chromatophiles (bien visibles même la safranine), d'autres cellules à contours flous, à noyau peu visible, à protop
t à la safranine. On y remarque une infiltration diffuse de petites cellules rondes ou ovales ; cependant immédiatement sous
substance ner- veuse en offre très peu, et, par contre, ces petites cellules sont particulièrement confluentes et abondantes
s permet pas de vérifier. Les festons de l'olive présentent leurs cellules en aussi grand nombre que d'habitude; leurs cel
ésentent leurs cellules en aussi grand nombre que d'habitude; leurs cellules ne semblent pas atrophiées d'une façon appréciabl
uë, sous forme d'un épaississement léger fibrillaire assez riche en cellules à noyau rond ou ovale de leur tunique adven- ti
t diminuée des deux tiers de son épaisseur et notablement pauvre en cellules . « Pour la couche des grains, elle n'est plus m
grains, elle n'est plus marquée que par une légère condensation des cellules qui y sout à peine plus nombreuses que dans la co
e ce fragment et quel que soit le point de cette coupe, les grandes cellules de Purkinje ont complètement disparu... « Dans
laire, la raréfaction de la cou- che des grains, la disparition des cellules de Purkinje en sont toujours les caractères dom
des grains a subi la plus légère réduction dans une dentelure, les cellules de Purkinje disparaissent totalement à ce nivea
paraissent totalement à ce niveau. Elles disparaissent, ces grandes cellules , sans laisser une trace, un vestige même léger
Purkinje, qui mettait en évidence la couche nouvelle des gran- des cellules étoilées. C'est qu'en effet la lésion est ici à
ise est conservée, on voit brusquement, comme nous l'avons dit, les cellules de Purkinje disparaître, la couche des grains s
our disparaître à son tour, ne laissant plus que la mince couche de cellules à caractères si tranchés que nous avons décrite.
ures de la partie sclérosée; elle est constituée par 5 à '10 de ces cellules à noyau ovale, à chromatine peu colorée, piqué d'
ives. La couche molé- culaire est diminuée de hauteur ; la zone des cellules nerveuses, moins épaisse, offre surtout des cel
; la zone des cellules nerveuses, moins épaisse, offre surtout des cellules comme raréfiées ; enfin, l'axe blanc lui- même
ation variable suivant les points observés, portant sur la zone des cellules nerveuses ; elle consiste en ceci : sur une cer
surface de la circonvo- lution, il semble que la couche des petites cellules nerveuses polygonales la plus superficielle est
plus superficielle est comme isolée, séparée de la couche des grandes cellules pyramidales ; il y a entre ces deux couches un
llules pyramidales ; il y a entre ces deux couches un espace où les cellules petites pyramidales manquent plus ou moins comp
i l'on va plus loin, quelquefois même à côté, toutes les couches de cellules nerveuses, raréfiées il est vrai, sont présente
t est représenté par les variations dans cette raréfaction même des cellules nerveuses du cortex ; elle est très inégalement
artie; sur une des faces de la circonvolution observée, la zone des cellules a toute son épaisseur et sur la face opposée, dan
toute son épaisseur et sur la face opposée, dans la même coupe, les cellules plus rares ne se rencontrent que sur une profonde
iers au moins. Dans ces dernières parties, on voit quelques petites cellules pigmentaires en couche assez homogène, sous la zo
ouche assez homogène, sous la zone moléculaire et plus bas quelques cellules pyramidales de moyenne dimension disséminées, l
diatement au-dessous. Au contraire, dans les points où la couche de cellules corticales parait au complet comme nombre, on p
que les pyramidales petites et moyenues sont rares, la plupart des cellules qui la constituent sont polymorphes, polygonales
e. Ainsi, on peut voir en un point de l'écorce où toutes les autres cellules nerveuses ont disparu, un nid isolé de 4-5 belles
s autres cellules nerveuses ont disparu, un nid isolé de 4-5 belles cellules pyramidales intactes et normales, même au Nissl
le premier signe chronologique de l'atrophie est la disparition des cellules de Purkinje ; puis apparaît la raréfaction des
he moléculaire a beaucoup diminué de hauteur et que notre couche de cellules innommée, à l'union de la couche moléculaire et
e seule. Même sur les lamelles les plus atrophiées, cette couche de cellules persiste quand même. Les cellules qui la compos
plus atrophiées, cette couche de cellules persiste quand même. Les cellules qui la composent se dégagent et s'isolent en couc
territoire atrophié. On a toujours l'impression que cette ligne de cellules est mise en vue par la raréfaction des grains,
a partie profonde de la couche moléculaire. Nous retrouvons à ces cellules de la couche innommée les mêmes caractères. Leu
peu poussiéreux. Ils sont aussi plus volumineux que les noyaux des cellules de la couche moléculaire, bien que comme consti
hié, diminue de plus de moitié de sa hauteur, en même temps que ses cellules diminuent de nombre ; et c'est au moment où cette
t au moment où cette diminution de hauteur et la raréfaction de ses cellules , ainsi que des grains, atteignent leur 526 LANN
nt leur 526 LANNOIS ET PAVIOT maximum que la couche innominée des cellules atteint son plein développe- ment, est le mieux
ein développe- ment, est le mieux isolée, paraît le plus fournie en cellules . Nous n'avons pas encore, au moment où nous pub
ns de l'olive ont les dimensions et le développement ordinaire. Les cellules de l'olive ne montrent ni signes d'atrophie ni di
lures de l'écorce cérébelleuse, la lésion apparaît brusquement. Les cellules de Purkinje disparaissent les premières d'une m
disséminés. Concurremment à cette double disparition des couches de cellules nor- males du cervelet, on voit apparaître en d
che des grains et nettement séparée d'elle, une couche innominée de cellules ovales, pâles, à noyau formé de chromatine peu
impression d'être nouvellement formée : il semble nettement que les cellules qui la compo- LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE
STOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 527 sent préexistaient sous les cellules de Purkinje et les grains et qu'elle est seulem
à la paraffine. Ce n'est pas' qu'on ne puisse voir cette couche de cellules sur les fragments conservés dans le Millier ou
l'atrophie olivo-ponto-cérébelleuse, ils disent : « La plupart des cellules de Purkinje ont disparu... Les grains sont moin
nsidérable qui donnait l'aspect d'un cervelet en miniature, que les cellules de Purkinje étaient de forme et de nombre norma
nuleux. La couche moléculaire est étroite... Le déficit des grosses cellules de Purkinje est considérable... là où elles manqu
aux blancs sont le mieux conservés, il y a un grand nom- bre de ces cellules , mais on trouve des lobules entièrement privés de
ules, mais on trouve des lobules entièrement privés de fibres et de cellules . » ' On pourrait peut-être multiplier les descr
de laquelle nous nous som- mes attachés. Quelle est la nature des cellules de cette couche ? Leur volume, les ca- ractères
et l'aspect du noyau ne permettent pas de penser qu'il s'agisse de cellules névrogliques. Ce sont bien des cellules nerveuses
de penser qu'il s'agisse de cellules névrogliques. Ce sont bien des cellules nerveuses. Si on examine avec soin un cervelet
r la méthode de Nissl, on peut déjà distinguer quelques-unes de ces cellules , soit éparses dans la couche moléculaire, soit
ite de la couche moléculaire et de la couche des grains, autour des cellules de Purkinje, ce qui explique pourquoi elles se
ue celles-ci disparaissent. Or, on sait qu'il s'agit là des grandes cellules étoilées qui ont été bien figurées par Ramôn y
ner la partie profonde de la couche des grains. Ce sont ces grandes cellules étoilées que Déjerine désigne sous le nom de gran
andes cellules étoilées que Déjerine désigne sous le nom de grandes cellules du type II de Golgi pour indiquer leurs caractè
ndes cellules du type II de Golgi pour indiquer leurs caractères de cellules de relation. Ces cellules que l'on peut voir ég
e Golgi pour indiquer leurs caractères de cellules de relation. Ces cellules que l'on peut voir également en petit nombre dans
en soit, d'ailleurs, le fait important est de voir cette couche de cellules de relation persister, intacte et continue, alors
relation persister, intacte et continue, alors que les deux autres, cellules de Purkinge et petites cellules étoilées de la co
ontinue, alors que les deux autres, cellules de Purkinge et petites cellules étoilées de la couche des grains, peuvent dispa
e qui répond probablement à la persistance et à la condensation des cellules de relation des couches granuleuse et moléculai
ion des cellules de relation des couches granuleuse et moléculaire ( cellules du type Il de Golgi), la couche moléculaire s'a
couche moléculaire s'atrophiant en même temps que disparaissent les cellules de Purkinje et les grains. La disparition des cel
raissent les cellules de Purkinje et les grains. La disparition des cellules de Purkinje est totale et absolue et précède to
ITÉ DE MOSCOU. SUR L'ASPECT DES PROLONGEMENTS PROTOPLASMIQUES DES CELLULES NERVEUSES DES CORNES ANTÉRIEURE ET POSTÉRIEURE
édents sur l'aspect externe des prolonge- ments protoplasmiques des cellules nerveuses spinales chez les vertébrés adultes e
nditions et l'absence des recherches correspondantes concernant les cellules nerveu- ses spinales. Nos recherches actuelles
tuelles concernent l'aspect des prolonge- ments protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne postérieure et de la corn
és cette fois avec les résultats que nous avons obtenus auparavant. CELLULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 531 Sachant par notre exp
ue pour obtenir une imprégna- tion chromo-argentique suffisante des cellules spinales, chez des verté- brés adultes, il est
ssez considérable de prolongements protoplasmiques, appartenant aux cellules motrices. Ces dendrites sont en général assez f
rts grossissements, apparaissent moins réguliers. Les dendrites des cellules de la corne antérieure ont peu d'appendices col
rrues. Cornes postérieures. - Les prolongements protoplasmiques des cellules de la cornepostérieure,en général, différentd'u
e,en général, différentd'une manièreassez sensibledes dendrites des cellules de la corne antérieure ; tout d'abord ici les den
ces collatéraux ordinaires; ces formations rappellent des Fit. 2. CELLULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 533 appendices collatérau
les appendices collatéraux et les rejetons, certaines dendrites des cellules de la corne antérieure laissent échapper des ra
rieure laissent échapper des ramifications très petites. Toutes les cellules , pourtant, n'ont pas des dendrites riches en ap
ans la substance blanche, auprès de la substance grise, on voit des cellules nerveuses dont les prolongements protoplasmique
pénètrent dans la substance blanche. Les contours des dendrites des cellules de la corne postérieure sont moins réguliers (voy
eure sont moins réguliers (voy. fig. 4). que ceux des dendrites des cellules motrices ; sur leur trajet on observe ordinaire
t de grandeur variables. Il faut encore noter que les dendrites des cellules de la corne postérieure sont plus courtes et se r
postérieure sont plus courtes et se rami- fient plus que celles des cellules motrices. Cas IL- Garçon jumeau, âgé de 1 mois
ures. --Sur nos préparations on rencontre un nombre insignifiant de cellules multipolaires de la corne antérieure avec un corp
rites bien imprégnées, de grosseur variable, appartenant à diverses cellules motrices dont le corps est resté non imprégné e
de filaments très fins et tortueux. Les contours des dendri tes des cellules de la corne antérieure en commun seprésentent,
bien plus lisses que les contours des ramifica- Fi,. 5. Fig. 6. CELLULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 535 lions plus fines et t
bout. Cornes postérieures. - Les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne postérieure, outre qu'ils
richement couverts d'appendices collatéraux, que les dendrites des cellules motrices (voy. fig. 7). Très souvent on rencontre
cellules motrices (voy. fig. 7). Très souvent on rencontre ici des cellules , sur les dendrites desquelles on peut voir une tr
appendices collatéraux on peut voir, sur les dendrites de ces mêmes cellules , d'autres formations, qui ont l'air d'être des
ommons rejetons. Sur les prolongements protoplasmiques de certaines cellules nerveuses de la écorne postérieure, au contraire,
donnent un aspect variqueux. Sur l'une des coupes on a observé une cellule nerveuse, située dans la sub- stance grise de l
fig. 8). Cornes postérieures. - Ici on rencontre assez souvent des cellules ner- veuses avec bonne imprégnation, dont les p
re tantôt plus dense, tantôt plus raréfiée (voy. fig. 8). Outre ces cellules nerveuses à dentrites riches en appen- dices co
es à dentrites riches en appen- dices collatéraux, on rencontre des cellules nerveuses, ayant les pro- Fig. 8. CELLULES DE
raux, on rencontre des cellules nerveuses, ayant les pro- Fig. 8. CELLULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 537 7 longements protopla
e très marquée entre l'aspect des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne antérieure et de la corne
dans les cornes anté- rieures, dans tous nos cas les dendrites des cellules nerveuses ont des con- tours comparativement pl
notons dans l'aspect externe des prolongements protoplasmiques des cellules motrices et sensitives est si grande et saute t
ces dendrites, privées d'appendices collatéraux, appartiennent aux cellules menues, peu nombreuses de la corne postérieure, a
pu voir plus d'une fois que le prolon- gement protoplasmique de la cellule de la corne postérieure, richement couvert d'ap
s l'avons mentionné dans l'un de nos ouvrages précédents. L'une des cellules de la corne postérieure, dont les dendrites éta
nt avoir d'ap- pendices collatéraux. Ensuite, sur les dendrites des cellules de la corne postérieure, outre les appendices c
nt propres aux dendrites xv 35 538 SOUKLIANOFF ET CZARNIECK des cellules nerveuses de la corne postérieure ; on n'en voit
rieure ; on n'en voit pas sur les prolongements protoplasmiques des cellules motrices. Quant à l'état variqueux des prolonge
drites qu'ici. En comparant les prolongements pro- toplasmiques des cellules motrices chez l'homme adulte avec les dendrites
comparant l'aspect des prolongements protoplasmiques de différentes cellules nerveuses, il est facile de s'assurer que quelque
, au contraire, en sont parsemées d'une manière très abondante. Aux cellules nerveuses, dont les prolongements protoplasmi-
t une grande quantité d'appendices collatéraux, se ratta- chent les cellules pyramidales de la moelle épinière, les cellules d
se ratta- chent les cellules pyramidales de la moelle épinière, les cellules de Pur- kinje, du cervelet, la plupart des cell
e épinière, les cellules de Pur- kinje, du cervelet, la plupart des cellules des cornes postérieures de la moelle épinière;
s cellules des cornes postérieures de la moelle épinière; quant aux cellules des cornes antérieures de la moelle épinières,
s dendri- tres, riches en appendices collatéraux, appartiennent aux cellules qui apparaissent comme unités nerveuses, moins
neurones, et qui ont une fonction directrice. La signification des cellules CELLULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 539 pyramidale
, et qui ont une fonction directrice. La signification des cellules CELLULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 539 pyramidales corticale
CELLULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 539 pyramidales corticales et des cellules de Purkinje est, sans doute, autre que celle, p
ules de Purkinje est, sans doute, autre que celle, par exemple, des cellules qu'on rencontre parfois dans l'écorce cérébrale
mple, des cellules qu'on rencontre parfois dans l'écorce cérébrale, cellules de Golgi, de Martinet ti, de Cajal. Il est intére
ules de Golgi, de Martinet ti, de Cajal. Il est intéressant que les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière, pos
connexions réflexes, sont pauvres en appendices collaté- raux ; les cellules spinales motrices sont plus subordonnées que les
raux ; les cellules spinales motrices sont plus subordonnées que les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale et les cellul
ordonnées que les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale et les cellules de Purkinje; les cellu- les spinales motrices d
du premier neurone sensitif. Des prolongements protoplasmiques des cellules de la corne postérieure de la moelle épinière s
rre et très variable; le second neurone sensitif a pour origine ces cellules , et leur cylindraxe forme les sensitives isolées
épinière, qui conduisent les différentes espèces de sensibilité ; ces cellules , à ce qu'il paraît, non seulement reçoivent des
ons vagues qu'elles reçoivent et les rendent spécifiques; ainsi ces cellules servent non seulement de centres réflexes et de s
n autonome très importante. Comme l'aspect des dendrites des autres cellules nerveuses n'est pas encore suffisamment étudié,
dire. Le fait que, les prolongements «protoplasmiques de certaines cellules ner- veuses, ayant une fonction autonome et app
ent parsemés d'appendices collatéraux, tandis que les dendrites des cellules , jouant un rôle subordonné ou bien destinées pr
à conserver et à accumuler les excitations qu'il reçoit des autres cellules nerveuses et à les transmettre plus loin déjà t
ceux-ci ou le réveil pathologique de ractivitéproiiférante de leurs cellules cartilagineuses. Dès 1832, Isidore Geoffroy S
xamen microscopi- que, on constatait une prolifération anormale des cellules cartilagineuses dans le sens de la longueur de
cellules cartilagineuses dans le sens de la longueur de l'os ; les cellules cartilagineuses à l'état de repos ne se trouvai
canaux séminiféres, sclérosés et ratatinés : épithélium très bas ; cellules in- différentes, atrophiées, ne présentant aucu
emuin du côté droit (5 pl. en pliotocollogr.), par Brissaud, 281. Cellule * nerveuses des cornes de la moelle épinière che
Czarnieck et SOUKHANOFF. Les prolonge- ments protoplasmiques des cellules ner- veuses des cornes de la moelle épinière
.), 53. SouKHAXOKF et Czpnwccx. Prolongements protoplasmiques des cellules des cornes de la moelle chez les nouveau-nés
10 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
eines sus-hépatiques. Cette veine est là en contact immédiat avec les cellules du parenchyme du foie, sans interposition de tiss
ces longs corridors des prisons modernes dans lesquels s'ouvrent les cellules latérales. Les rentlements placés à l'extrémité
ortant au type cylindrique. Composé, dans les bronches de calibre, de cellules dont le diamètre vertical l'emporte de beaucoup s
étroit, mais la forme cylindrique est encore très accentuée dans les cellules qui tapissent les extré-mités en cul-de-sac. Ch
remar-quable en ce qu'elle est presque entièrement constituée par des cellules épithéliales cylindriques à cils vibrátiles (Fig.
. 6, d). Le revêtement, ici, est formé d'une couche unique de grandes cellules dont les extrémités effilées touchent la mem-bran
intervalles, que ces extrémités laissent entre elles, sont remplis de cellules rondes ou poly-gonales, privées de cils. Selon to
nales, privées de cils. Selon toute probabilité, ce sont là de jeunes cellules destinées à remplacer les cellules adultes qui vi
probabilité, ce sont là de jeunes cellules destinées à remplacer les cellules adultes qui viendraient à manquer. En outre des
placer les cellules adultes qui viendraient à manquer. En outre des cellules à cils vibrátiles, il convient de signaler l'exis
à cils vibrátiles, il convient de signaler l'existence, çà et là, de cellules cylindriques privées de cils, qui ont été bien dé
ées de cils, qui ont été bien décrites par E. Schultze !. Ce sont des cellules caliciformes ou muqueuses, ainsi qu'on les appell
ution à 9 pour 100), M. OErtel1 a vu, et nous avons vu nous-même, les cellules cylindriques à cils vibrátiles — à la vérité plus
ères, elle s'amin-cit dans les bronchioles terminales. 4° Quant aux cellules qui constituent le revêtement ôpithé-lial, elles
naire du triton, (trito cristasus).— a, capillaires.— b, contours des cellules épitliéliales. — c, noyaux des cellules épitholia
capillaires.— b, contours des cellules épitliéliales. — c, noyaux des cellules épitholiales. — d, un noyau qui semble appartenir
des cellules épitholiales. — d, un noyau qui semble appartenir à deux cellules . (D'après Elenz). où l'étude est plus facile. N
on remarque un ou plusieurs noyaux arrondis : ce sont les noyaux des cellules épilhéliales pulmo-naires. Jamais ils ne se renco
apillaires. Vous avez compris qu'elle marquent la limite des diverses cellules épithéliales, l'imprégnation d'argent ayant pour
n d'argent ayant pour effet de colorer en brun le ciment qui unit ces cellules les unes aux autres. 1 Wurzt. VerhandL, 1861. B
ns la direction de la ligne ab. — aa, ca-pillaires.— c, noyaux. — dd, cellules epitheliales aplaties. Voilà une disposition, j
es noyaux ont une tendance à siéger sur les angles ou sur le bord des cellules , tandis que chez le triton elles occupaient d'hab
être dit continu et uniforme. Il est continu ou complet parce que les cellules voisines se touchent sans lacunes intermédiaires
ez : Elenz, fig. 2, et Schultze. est uniforme, parce que toutes les cellules sont faites sur 1 même modèle {Vollstandig undglu
plus élevé. Ici, les parois alvéolaires sont occupées encore par des cellules complètes, c'est-à-dire possédant un protoplasma
ossettes elles-mêmes, on voit se dessiner les contours de pla-ques ou cellules claires, d'une largeur variable dont la plupart
noyau. Ces plaques résulteraient de la fusion d'un certain nombre de cellules qui, en même temps que leur individualité, perdra
° Sur d'autres alvéoles plus larges, plus distendus (Fig. 13, m), les cellules de l'épithélium avaient subi une espèce d'apla-ti
orte que, sur les coupes transversales, on les voyait sous l'apect de cellules fusiformes, possédant un noyau très saillant, et,
uand l'œil rencontrait de front la paroi alvéolaire, sous l'aspect de cellules polygonales ; — 3° Enfin, on observait des alvéol
tendu, resté à Y état fœtal. III. Alvéole distendu ; la plupart des cellules épithéliales ont subi un aplatissement plus ou mo
ont subi un aplatissement plus ou moins prononcé. constitué par des cellules cuboïdes, tandis que sur d'autres, contiguës aux
les cuboïdes, tandis que sur d'autres, contiguës aux précédentes, les cellules avaient éprouvé un aplatissement très manifeste.
ient éprouvé un aplatissement très manifeste. Cet aplatissement des cellules épithéliales est la règle chez les fœtus à terme
. L'épithélium est continu, composé pour la plus grande par-tie des cellules polygonales, ayant un noyau central, sphéri-que e
Mais, selon toute vrai-semblance, par suite de la fusion de quelques cellules voi-sines, il est interrompu çà et là par des pla
définitive, d'un épithélium continu mais polymorphe. En général, les cellules à protoplasma se voient plutôt dans les mailles i
hez le nouveau-né, d'après Schultze et Henle. L'aplatissement de la cellule èpithéliale qui commence à se prononcera une cert
région plus voisine du fond des cavités alvéolaires. En revanche, les cellules situées sur les bords tranchants qui limitent les
véolaires, se rapprocheraient par leurs caractères morphologiques des cellules pavimen-teuses qui tapissent la face interne de l
e de la bronchiole termi-nale. Voici les dimensions respectives des cellules de revêtement prises sur les divers points des ca
nt pas injectés et que l'œil les rencontre de profil, l'appa-rence de cellules fusiformes, munies d'un noyau allongé ; Gharcot
ien réussies, on observe ce qui suit : Une mince lamelle, composée de cellules d'apparence fusiforme, jointes les unes aux autre
ire de fines granulations (Fig. 15) 2. Les divisions qui séparent les cellules les unes des autres ne sont pas visibles; mais no
ces moyens d'étude très-imparfaits, si cet épithélium est composé de cellules unifor-mes portant toutes des noyaux ou des vesti
faits du domaine pathologique plaident en faveur de l'uniformité des cellules du revêtement épithélial pulmonaire. Toutefois,
toucher : 1° Si l'on en juge par les caractères morphologiques, les cellules aplaties, soudées les unes aux autres, à noyaux r
appeler votre attention estle suivant: Composé d'une seule couche de cellules plates, soudées entre elles par un ciment, l'épit
ore à des revête-ments d'une ou plusieurs couches constituées par des cellules molles et épaisses : à cette dernière catégorie a
mbrane muqueuse gastro-intestinale et des parois bronchiques. Or, les cellules de revêlement des canalicules respiratoires, comm
çon des endotheliums et des epitheliums. — Développement des poumons: cellules hypoblastiques et tissu mésoblastique. Caractèr
tissus vasculaires. — Irritation nutritive. —Irritation formative. — Cellules géantes. — Prolifération par scission. I. Mes
us faisais remarquer que ce revêtement, composé d'une seule couche de cellules plates, juxtaposées et soudées entre elles par un
arle siège de leur dévelop-pement. Ceux-ci doivent être assimilés aux cellules plates du tissu conjonctif, dont ils ne représent
logiquement aux dépens du tissu epithelial et inversement, jamais une cellule conjonctive ou endothéliale ne peut reproduire un
jamais une cellule conjonctive ou endothéliale ne peut reproduire une cellule épithéliale ; et pour ne citer qu'un exemple, rel
ent essentiellement de deux parties bien distinctes: 1° une couche de cellules hypoblastiques qui pren-nent bientôt le caractère
x alvéoles, les autres aux ramifications bron-chiques. Tandis que les cellules "hypoblastiques formeront un revêtement sur toute
tés terminales sont réunies par des rangées non inter-rompues par des cellules hypobla-stiques, —p, diverticulum vésicu-laire qu
le nucléole d'abord, puis sur le noyau, puis sur le protoplasma de la cellule . Une variante de ce processus est la formation de
la cellule. Une variante de ce processus est la formation de grandes cellules ou plaques à noyaux. Elle a lieu quand le protopl
otoplasma ne se divise pas, et il se produit ainsi une variété de ces cellules géantes dont il nous faudra vous parler longuemen
rgent ou de teinture d'iode. Il est établi par ces expériences que la cellule endo-ihéliale se gonfle d'abord, puis se détache,
composé, vous le savez, de faisceaux fibrillaires revêtus çà et là de cellules plates, celles-ci se comportent absolument dans l
t dans le phlegmon spontané ou expérimental, de la même façon que les cellules endothéliales des membranes séreuses. Je citerai
lieu de rele-ver dans tous ces cas la multiplication par scission de cellules 1 Manuel d'histologie pathologique, p. 75, fig.
plates aboutissant à la formation d'éléments embryonnaires ou petites cellules rondes. Les phénomènes de scission sont beaucou
ithé-lium cylindrique complet et très régulier. Il n'y manque pas une cellule et celles-ci ne paraissent pas avoir augmenté no-
à présent, suivant quel processus s'opère l'énorme multiplication des cellules épithéliales qui a lieu en pareil cas l. 4 Leço
es voies respiratoires ; pénétration au fond de ces voies et dans les cellules de l'endothélium ; localisation dans les acini so
ères heures qui suivent l'opération, on trouve dans les alvéoles, les cellules épithé-liales gonflées, tuméfiées et tendant à pr
ion trouble). Leurs noyaux se colorent vivement par le car-min. Les cellules ainsi tuméfiées tendent à se détacher de la paroi
nder, le simple contact du sérum suffit pour amener le gonflement des cellules et le développement des mouvements amiboïdes. L
pas rare de rencontrer alors des plaques à noyaux, — une variété des cellules géantes. M. Friedlander a figuré une de ces cel-l
ui avait acquis des dimensions énormes et renfermait des fragments de cellules végétales ( Virchow's Archiv. loc.cit.). — Les ph
ombault, pré-parateur du cours. primitivement dans la substance des cellules de l'endolhélium pulmonaire. Celles de ces cellul
la substance des cellules de l'endolhélium pulmonaire. Celles de ces cellules qui renferment ces parti-cules sont volumineuses,
points, par suite de l'accumu-lation dans les cavités alvéolaires de cellules épifhéliales gon-flées et aussi en conséquence de
avités, des particules métalliques, ne reste pas limitée à celles des cellules où les particules se sont fixées. Elle se propage
ules où les particules se sont fixées. Elle se propage et s'étend aux cellules voisines, et l'on peut reconnaître là toute la sé
essives sur lesquelles j'ai déjà insisté, à savoir : gonflement de la cellule dont les limites deviennent accentuées, précises,
ment de ce revê-tement endothélial; scission du noyau, scission de la cellule ; formation de plaques a noyaux ou cellules géa
du noyau, scission de la cellule ; formation de plaques a noyaux ou cellules géantes. Je répé-terai que, dans cette forme de p
ent littéralement comblés sur certains points, par l'accu-mulation de cellules gonflées et desquamées, et telle est la raison de
ologiques et aussi les propriétés de l'épithélium propre-ment dit. La cellule plate qui, chez l'adulte à l'état normal, tapisse
ée par un épithélium cylindrique ou encore par un épithélium formé de cellules molles cuboïdes, dispo-sitions qui reproduisent,
stiques. Ces parois paraissent tapissées par un revêtement continu de cellules qui remplace le revête-ment normal et qui, sur ce
ou même fibreux — sont tapissées par un revêtement en colle-rette de cellules cuboïdes, qui remplacent l'épithélium plat. 1 A
centre de la cavité alvéolaire se trouvent habituellement des amas de cellules épithéliales ovoïdes desquamées, der-niers vestig
d'hépatisation. — A, Tissu conjonctif du poumon en prolifération; b, cellules pavimenteuses disposées le long des alvéoles; c,
ération; b, cellules pavimenteuses disposées le long des alvéoles; c, cellules spliéri-ques libres au milieu de ceux-ci; w, vais
aire, avec l'existence d'un revêtement épithélial formé non plus de cellules plates mais bien de cellules cuboïdes. — Tout cel
evêtement épithélial formé non plus de cellules plates mais bien de cellules cuboïdes. — Tout cela peut exister et existe habi
ion d'un revêlement épithélial de type cylindri-que, au revêtement de cellules plates, endothélial morpholo-giquement, qui répon
rémités terminales sont réu-nies pur des rangées non interrom-pues de cellules hypoblastiques.— p, diverticulum pancréatique et
le deuxième jour, chez le poulet, on voit se constituer un groupe de cellules de chaque côté de la partie non divisée du mésobl
ment du corps de WolLT. (Fig. 24, GG). L'amas en question, composé de cellules mésoblastiques, se creuse bientôt d'une petite ca
iques, se creuse bientôt d'une petite cavité qui se montre revêtue de cellules cylindriques. — C'est ainsi que le canal de Wolfî
. — C'est ainsi que le canal de Wolfî est formé. D'où proviennent ces cellules cylindriques ? M. Waldeyer suppose, mais c'est là
és, tapissés par un épithélium cubique et remplis pour la plu-part de cellules épithéliales desquamées, petites et arrondies. Ce
imples dépressions qu'on voit sur un des côtés d'un certain nombre de cellules hépatiques, formant dans le lobule une même co-lo
sous les yeux un tube pourvu d'un revêtement très régulier de petites cellules cubiques Fig. 26) et dont la cavité est complète-
nt la cavité est complète-ment vide ou occupée par un amas de petites cellules rondes. En outre de ces tubes volumineux et qui s
esquelles sont en contact immédiat avec une des faces des colonnes de cellules hépatiques. Lps capillaires biliaires ne sont aut
autre chose que des espaces réservés dans l'intervalle des rangées de cellules hépatiques appartenant à une même co-lonne ou tra
supposant que celte disposition réticulée n'existât point et que les cellules hépatiques d"une même colonne fussent enve-loppée
V, V, vaisseau. —? VL, vaisseau long, — Cexc, canal excréteur. — CH, cellule hépatique. Les colonnes de cellules hépatiques,
, — Cexc, canal excréteur. — CH, cellule hépatique. Les colonnes de cellules hépatiques, avec leur espace capil-laire réservé
aire réservé au centre, sont comparables à des culs-de-sac revêtus de cellules d'épithélium glandulaire en continuité avec le re
entant le canal d'excrétion. Vous voyez sur le schéma que la dernière cellule cubique du conduit d'excré-tion est en contact im
ique du conduit d'excré-tion est en contact immédiat avec la première cellule hépati-que de la rangée correspondante Ces déta
la cirrhose biliaire. En pareil cas, dans le lobule, les colonnes de cellules hépati-ques tendent à disparaître. La lésion s'ac
tra-lobulaire. Elle s'opère par le mécanisme suivant : les rangées de cellules hépatiques d'une même colonne sont remplacées suc
hépatiques d'une même colonne sont remplacées successive-ment par des cellules épithéliales cubiques, en tout semblables à celle
es. En même temps, la colonne cellulaire ou autrement dit la série de cellules cubiques qui, désormais la représente, diminue de
u réseau que forme, dans l'état normal, l'a-nastomose des colonnes de cellules hépatiques. Tel est le dernier terme de l'altér
iaires de nouvelle foomation, A, A, se continuent avec les rangées de cellules hépatiques, B, B. Ces rangées, isolées les unes d
ment et l'on peut observer toutes les firmes intermédiaires, entre la cellule hépatique, telle qu'on le voit en B, et le petit
côté du duodénum, un diverlicule plein d'a-bord, rempli qu'il est de cellules hypoblasliques et qu'entoure une couche épaisse d
s l'amas mésoblastique un réseau serré de conduits solides remplis de cellules hypoblastiques. Suivant Foster et Balfour, les pr
s biliaires, tandis que le réseau formé par des cylindres rem-plis de cellules hypoblastiques représente le parenchyme hépa-tiqu
oie adulte. Supposez, en effet, que chacun de ces cylindres, plein de cellules , représente un conduit dont la ca-vité est presqu
rmé, son influence directe sur la génération et la multiplication des cellules épithéliales de même ordre, détruite par une caus
ation et la multiplication des éléments cellulaires nouveaux, par les cellules anciennes est ici déjà manifeste. Elle a été mise
poils, disposés irrégulièrement et formes de couches concentriques de cellules épithéliales. — d, Stroma du cancer (dessin demi-
s dans le stroma. — /, Globes épithéliaux au centre d'une couronne de cellules épithéliales. — g, Prolongements épidermiques dis
t tombé en grande partie; sur leur paroi on voit encore une cou-he de cellules conjonctives plates, et au centre les restes d'un
cellules conjonctives plates, et au centre les restes d'une masse de cellules épithéliales cornées. 5e régénère et se répand,
o-venance mésoblastique, et ce bourgeon est constitué d'abord par des cellules du même ordre que celle qui forme l'épithé-lium d
puis longtemps relevé M. Cornil, dans le prolongement épithélial, les cellules n'offrent pas un arrangement régulier, et, de plu
s'il s'agit d'un cas prolongé, un commencement d'infiltration par les cellules embryon-naires. En outre, les alvéoles contiennen
r les cellules embryon-naires. En outre, les alvéoles contiennent des cellules épithé-liales volumineuses à un ou à plusieurs no
ou à plusieurs noyaux, et des leuco-cytes. Si le cas est ancien, les cellules ont l'aspect de corps granuleux. Ces altérations
onduits alvéolaires péribron-chiques sont remplis de leucocytes et de cellules épithéliales englobés dans un réseau fibrincux qu
de muco-pus et de corps étrangers divers (débris alimentaires, poils, cellules d'épithélium buccal), que l'on peut constater jus
r jaune. Les lésions interstitielles sont déjà plus prononcées et les cellules embryonnaires infiltrent les parois alvéolaires.
i bien dans les régions splénisées que dans les points hépatisés, les cellules épithéliales et les leucocytes subissent la dégén
se produire la périartérite et la péribronchite et l'infiltration de cellules embryonnaires dans les parois alvéolaires. On peu
n se propage dans toute l'étendue du revêtement épithélial jus-qu'aux cellules hépatiques qui représentent l'épithélium des capi
pithélium des bronches; elle progresse jusqu'au lobule et atteint les cellules plates de revêtement de l'alvéole qui s'irritent,
re dans l'état aigu; mais, en outre, il existait un certain nombre de cellules fusiformes. Ce dernier fait, qui se trouve d'aill
elle formation, au sein du parenchyme pulmonaire. Or, on sait que les cellules fusiformes représentent les premiers rudiments du
peu de chose près les mêmes que dans la forme précédente; ce sont des cellules épithéliales présentant divers degrés d'altératio
d'altération, des globules pyoïdes, purulents, et enfin çà et là des cellules fusiformes. M. Lebert semble admettre que l'hépat
dans lesquelles on voit des gra-nulations masquer le noyau de chaque cellule . Il y a des leu-cocytes, la plupart granuleux: le
tuberculeuses, et qui sont formées d'éléments fibro-plastiques ou de cellules d'épithélium pavimenteux entassées les unes sur l
spaces inlervési-culaires ont doublé, ou même triplé d'épaisseur; les cellules fusiformes ont disparu, et elles ont été remplacé
distincts, ces éléments sont as-sez rares ; 5° on trouve çà et là des cellules épithéliales pavimen-teuses adhérant les unes aux
s aréoles et entre les fibres, matière amorphe finement granuleuse et cellules épi-théliales. — Le tout est infiltré d'abondante
léments contenus dans les alvéoles : réseau fibrineux, leucocytes, et cellules épithéliales détachées des parois. Le dernier ter
euse, chargée de leucocytes, de granulations graisseuses libres et de cellules épithéliales pré-sentant tous les caractères de l
ses muqueuses englobant des globules blancs, des corps granuleux, des cellules épithéliales et des granula-tions graisseuses lib
es. Le contenu des alvéoles rétrécis présente la forme de pelotons de cellules épithéliales englobées dans un magma granulo-grai
épithéliales englobées dans un magma granulo-graisseux. Souvent, les cellules contiennent des cristaux de margarine, dont quelq
l'épithélium tend à se régénérer : on le voit sous la forme de larges cellules polygonales ; on ne trouve pas d'épithéliums cubi
la mu-queuse et de la tunique adventice des bronches, d'abord par des cellules rondes et fusiformes, puis formation de fibrilles
is d'exsudat fibreux dont les filaments englobent principa-lement des cellules épithéliales. Enfin, dans les parties carnisées
es éléments embryon-naires et fusiformes, puis par des fibrilles ; b) cellules épithé-liales gonflées, fondues en un magma, remp
tue par un épithélium cubique, tandis qu'à son centre se trouvent des cellules atteintes à divers degrés de la dégénéralion qui
che endothéliale. En certains points, des orifices réservés entre les cellules feraient communiquer directement la cavité séreus
a reconnu l'existence d'orifices remplis à l'état normal par quelques cellules lymphatiques, et il a même pu voir, assure-t-il,
la plèvre et dans lesquelles le microscope montre une infiltration de cellules embryonnaires. Parenchyme des lobules à peine alt
On a vu de cette façon qu'elle se rencontre : 1° dans l'intérieur des cellules épithéliales ; 2° dans la substance de la paroi a
ents volumineux à bords anguleux, soit libres, soit enclavés dans des cellules de l'épithélium pulmonaire desquamé 2. Ces expéri
étré dans la cavité des alvéoles, où elles étaient contenues dans des cellules épithéliales desquamées. Des particules d'oxyde d
neuses. En effet, on trouvait, soit libres, soit emprisonnés dans des cellules , des corpuscules noirs de forme anguleuse, en tou
t il s'agit. On sait que le bois des conifères est composé de grandes cellules fusi-formes ou closlres qui, sur deux de leurs fa
s la cavité des alvéoles, où elle était contenue dans l'intérieur des cellules épithéliales, tandis que la paroi alvéolaire elle
e, ces globules seraient bientôt enclavés dans l'intérieur de grandes cellules qui sont très probablement des cellules du tissu
s dans l'intérieur de grandes cellules qui sont très probablement des cellules du tissu conjonctif. Toutefois le fait de cette i
ons de diverses couleurs, en même temps que sur beaucoup de points la cellule enveloppante disparaît. Des particularités très
olaire ; 2° d'autres globules rouges ont pénétré dans l'intérieur des cellules de l'épithélium du poumon ; 3° ailleurs, cet epit
ustre. Dans ce cas, la substance pigmentaire noire qui infiltre les cellules se forme vraisemblablement dans la rate, aux dépe
un liquide rouge dans lequel l'examen microscopique montrait : 1° des cellules épithéliales et des noyaux remplis de particules
s d'oxyde de fer étaient non seulement contenues dans l'intérieur des cellules de l'épithé-lium alvéolaire, mais encore qu'elles
précédente malade. Or, les crachats qu'ils rendaient renfermaient des cellules épithéliales farcies de granulations métalliques.
un phénomène habituel, et les crachats ainsi ren-dus contiennent des cellules d'épithélium pulmonaire remplies de charbon. À l'
queuse bronchique est envahie elle-même par la neo-plasie. — a, b, c, cellules géantes. — f, membrane muqueuse ayant subi la tra
jet de simples alvéoles qui sont ouverts dans les conduits, comme les cellules d'une prison sur le corridor central. Les artèr
'à ce niveau, les éperons de divisions des bronchioles retiennent les cellules tuberculeuses qui des- cendent des bronches sup
i reste du conduit alvéo-laire; 2° une zone périphérique, composée de cellules soudées par une gangue commune, laquelle pénètre
s ou tubercules élémentaires, réunis par une gangue embryonnaire. Les cellules géantes, dispersées çàetlà, montrent où sont les
es géantes, dispersées çàetlà, montrent où sont les follicules. Ces cellules constituent le centre de figure de chaque folli-c
s cellules constituent le centre de figure de chaque folli-cule ; les cellules épithélioïdes les enveloppent d'une zone moyenne;
se confondent, en quelque sorte, en une trame qui englobe toutes les cellules géantes avec leurs cellules épithélioïdes. L'aggl
orte, en une trame qui englobe toutes les cellules géantes avec leurs cellules épithélioïdes. L'agglomération tuberculeuse se ma
aux premières phases de son développement. Il n'y a encore que des cellules embryonnaires ; elles sont distinctes les unes de
s élastiques sont redevenues visibles ; çà et là quelques cadavres de cellules géantes. Ques'esl-il donc passé? L'étude delà ban
s cette zone embryonnaire, qui ne se connaît plus qu'à la présence de cellules géantes et à sa disposition géné-rale. La matiè
bryonnaire n'est plus qu'une paroi kystique fibreuse. La présence des cellules géantes qui per-sistent rend à peu près indiscuta
volution ont en général une structure complexe et bien régulière; les cellules géantes, les cellules épithélioïdes, le réticulum
l une structure complexe et bien régulière; les cellules géantes, les cellules épithélioïdes, le réticulum, qui a pu faire croir
plusieurs tubercules primitifs; dis-position concentrique des zones ; cellules géantes souvent re-connaissables; structure absol
bronchioles voisines, dont l'épi-thélium est devenu cylindrique. — B, cellules géantes. On trouve aussi, a-t-il été dit, dans
à l'ordinaire : zone em-bryonnaire ; parois alvéolaires infiltrées de cellules ; alvéoles comblés par des productions embryonnai
remarquables, comme l'a bien montré Schuppel, par la prédominance des cellules géantes. Ils siègent dans les follicules de la gl
ques du tubercule. —Tubercule élémentaire ou follicule tuberculeux. — Cellules géantes : mode de formation. — Cel-lules géantes
e, on reconnaît qu'elles sont composées d'une zone externe de petites cellules arrondies, appartenant au type embryonnaire, c'es
t-à-dire présentant un noyau volumineux, par rapport au protoplasma ; cellules ana-logues par conséquent, à celles qui constitue
is plus petites et plus lassées, plus confluentes. Au centre, est une cellule gigantesque, à protoplasma grenu, à prolongements
le on peut compter régulièrement rangés 20, 30 ou 40 noyaux; c'est la cellule géante, à laquelle on a, dans ces derniers temps,
le important dans la caractéristique de la tuber-culose. Autour de la cellule géante, existe une zone dite moyenne, formée de c
Autour de la cellule géante, existe une zone dite moyenne, formée de cellules plus volumineuses que celles de la zone externe,
, formée de cellules plus volumineuses que celles de la zone externe, cellules épithélioldes, comme les appellent quelques auteu
ns Ja règle, par la partie centrale du follicule, c'est-à-dire par la cellule géante, et s'étend progressivement à la zone moye
t s'étend progressivement à la zone moyenne, c'est-à-dire des grosses cellules , puis à celle des cellules embryonnaires. C'est l
la zone moyenne, c'est-à-dire des grosses cellules, puis à celle des cellules embryonnaires. C'est la désagrégation de ces part
au-cun élément vraiment spécifique; telle n'est pas, par exemple, Ja cellule géante, qui peut faire défaut et qu'on retrouve d
upus, le syphilome, la paroi des ulcères, etc. Telles ne sont pas les cellules volumineuses, épithélioïdes, de la zone moyenne,
ucoup attaché autrefois et qui ne sont autre chose, en somme, que des cellules embryonnaires mal ou peu développées. Tel n'est p
e centrale; 4° l'existence très fréquente, au centre, du nodule de la cellule géante. La nature de cette cellule géante est u
ente, au centre, du nodule de la cellule géante. La nature de cette cellule géante est un point encore à l'étude. De nombreux
r, Thaon et Grancher, en France, ont depuis longtemps, prouvé que ces cellules sont en relation avec les vaisseaux sanguins. Que
coagulation du plasma sanguin dans le vaisseau, avec incorporation de cellules rondes provenant du sang, ou du revêtement endoth
vêtement endothélial du vais-seau. Mais la constitution même de cette cellule bien étudiée par Langhans suffit pour rejeter l'i
question. Il porte non sur le tubercule, mais sur le syphilome, où la cellule géante se pré-sente, du reste, avec tous les cara
caractères qu'on lui connaît dans le tubercule. Pour M. Rrodowsky, la cellule géante est une production analogue aux prolongeme
. La bordure circulaire du manteau, qui entoure quelquefois la grande cellule , est la gaîne lympha-tique, qui, d'après les obse
tique, dans les conditions normales. Il est probable que toutes les cellules géantes ne reconnais-sent pas ce mode de formatio
uente, surtout dans le tubercule, et l'auteur propose de désigner les cellules géantes ainsi produites sous le nom de cellules g
opose de désigner les cellules géantes ainsi produites sous le nom de cellules géantes angioplastiques. Des recherches récente
ngioplastique viennent à l'appui de l'opinion de M. Brodowsky ; une cellule étoilée, à noyaux parié-taux, se voit appendue à
que qui esten rapport, à son tour, avec un vaisseau. Seulementici, la cellule étoilée (ou cellule géante) renferme quelquefois
t, à son tour, avec un vaisseau. Seulementici, la cellule étoilée (ou cellule géante) renferme quelquefois des globules rouges
ui-même n'en renferme pas. C'est donc là, peut-être, l'analogue de la cellule vaso-formatrice découverte par M. Ranvier. D'ap
e tubercule comme dans le syphilome et le sarcome angioplastique, les cellules géantes Fig. 37. — A A', granulations grises du
sées d'un certain nombre de tuber-cules élémentaires indiqués par les cellules géantes B B'. offrent avec les vaisseaux sangui
-mérés se montrent entourés et réunis par une zone commune de petites cellules : ils forment ainsi une unité nouvelle : tu-bercu
, plusieurs follicules élémentaires dont chacun offre à son centre la cellule géante caractéristique. Ces follicules sont envel
nveloppés, comme on l'a dit, par une zone commune composée de petites cellules embryonnaires. L'extension de l'agglomération tub
ois alvéolaires, à savoir les fibres élastiques. D'ailleurs, quelques cellules épi-théliales pulmonaires non encore détruites ou
e des alvéoles encore libres ou dont les parois infiltrées de petites cellules ne sont pas encore très épaissies. Là, on reconna
aux parties centrales du tubercule, ils refoulent et aplatissent les cellules épithéliales pulmonaires, puis finissent, en se d
le. Ces bourgeons sont formés, comme le tubercule, surtout de petites cellules et de filaments ûbriilaires. MM. Cornil et Ranvie
t de pédiculisés. Quelques observations le portent à supposer que les cellules géantes font partie de ces espèces de polypes. En
s'agit là toujours d'exsudats fibrineux, de leuco-cytes émigrés ou de cellules épithéliales proliférées occupant les cavités a
et dont la cavité est le plus souvent comblée par un bouchon formé de cellules épithéliales et de leucocytes dégé-nérés ; b) les
sence habituelle, au sein du » tissu embryonnaire qui la compose, des cellules géantes, » décrites à propos du tubercule élément
r nature par M. le professeur Charroi). A, zone centrale caséeuse. B, cellules géantes. C. zone embryon-naire. D, coupe de vaiss
fait de la présence des produits d'inflammation commune : leucocytes, cellules épithéliales proliférées, exsudât fibrineux, etc.
de l'îlot. La zone dite embryonnaire, remarquable par la présence des cellules géantes, représente les phases les moins avancées
. Ainsi, sur certains points, les alvéoles paraissent comblés par des cellules épi-théliales pulmonaires gonflées ou en voie de
les pulmonai-res.— B. B', bronches. — E, E', Artères. — D' D" D"' D"" cellules géantes. —C, C, zone caséeuse. — F, F', zone embr
877, p. 817. SUR LA STRUCTURE et LE MODE DE DÉVELOPPEMENT DES CELLULES GÉANTES DANS LE TUBERCULE «. Les considérations
'anatomie pathologique de la Faculté. Elles concernent uniquement les cellules géantes qui se rencontrent dans cette forme parti
t dénommé tubercule réticulé ou cyto-gène. On sait qu'on entend par cellules géantes des corps volumi-neux de 20 à 200 j- de d
harcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 19 Quoi qu'il en soit, les cellules géantes, possédant les carac-tères qui viennent d
. Tan-tôt le follicule est exclusivement formé par un amas de petites cellules rondes, pressées les unes contre les autres et on
constitué par une sorte de réticulum sur lequel seraient collées des cellules plates d'où la dénomination de tubercule réticulé
n des réactifs ; que le follicule est ici encore formé par un amas de cellules , mais que celles-ci sont plus développées, munies
e prolongements, et se rapprochent beaucoup par leurs carac-tères des cellules plates du tissu conjonctif. A cette première di
ois zone s dans le folli-cule. La partie centrale est occupée par une cellule géante ; autour de celle-ci existe une zone de ce
ccupée par une cellule géante ; autour de celle-ci existe une zone de cellules qui, en raison de leurs caractères spéciaux, ont
llules qui, en raison de leurs caractères spéciaux, ont recule nom de cellules épithé-lioïdes ; enfin une troisième zone, plus e
s deux variétés i. Ainsi se trouve déterminée la place qu'occupe la cellule géante dans le tubercule : elle est située, lorsq
es autres éléments sont groupés autour d'elle. Lorsqu'une semblable cellule a été isolée par dissociation et disposée de faço
s, une fois complètement isolées, sont faciles à reconnaître pour des cellules épithélioïdes qui avaient conservé des con-nexion
es épithélioïdes qui avaient conservé des con-nexions intimes avec la cellule géante dont les dimensions se trouvent ainsi dimi
tre attachés de la même façon parce qu'ils sont inti-mement unis à la cellule géante et font corps avec elle. Leur protoplasma
l'opération plus loin, on peut, dans certaines circonstances, voir la cellule géante se résoudre, en quelque sorte, en un certa
la structure cellulaire ne saurait faire aucun doute. L'étude de la cellule géante, pratiquée à l'aide de coupes et surtout à
coupes et surtout à l'aide de coupes successives intéressant une même cellule à des niveaux différents, va nous fournir d'autre
es relations intimes unissent les noyaux et les prolongements de la cellule . La troisième coupe, enfin, nous montre un petit
e la cellule. La troisième coupe, enfin, nous montre un petit amas de cellules à protoplasma brillant, à contours assez mal déli
ssus voisins. On voit donc que, sur chacune de ces trois coupes, la cellule géante a changé de forme et de constitution; de p
considérables. Si nous prenons comme point de départ le vo-lume de la cellule sur la coupe n° 3,et que nous représentions ce vo
ont pas permis de suivre plus loin les modifications éprouvées par la cellule géante en question, Quoi qu'il en soit des faits
s pouvoir tirer les conclusions suivantes : la masse qui constitue la cellule géante s'effile vers une de ses extrémités. Si no
accusent de la façon la plus nette au niveau dos prolongements que la cellule géante émet dans tous les sens, nous les avons
rmin. Or, ces différentes modifications se retrouvent en dehors de la cellule géante clans d'autres parties de la néoformation
s favorables. Telle est la modification particulière qui pro-duit les cellules de la zone épithélioïde du follicule ; telle est
icule ; telle est celle qui atteint dans l'intérieur des alvéoles les cellules qui proviennent de la paroi de ces alvéoles; tell
oplasma prend les caractères qui viennent d'être in-diqués. Puis, les cellules s'accolent en plus ou moins grand nombre, leurlig
t ainsi se trouvent constitués des équivalents en quelque sorte de la cellule géante. On sait, de plus, que cette transformatio
o-chimiques, entre la matière caséeuse et la sub-stance centrale delà cellule géante. On est ainsi amené à con-clure que la par
e géante. On est ainsi amené à con-clure que la partie centrale de la cellule géante a eu, à un mo-ment donné, la structure don
és puis fondus ; qu'en un mot, le vice tu-berculeux a procédé dans la cellule géante comme dans la gra-nulation vulgaire que la
nt du centre vers la périphérie. Si cette conception est exacte, la cellule géante serait bien loin d'être, comme l'a indiqué
croissement actif donnerait naissance par voie de bourgeonne-ment aux cellules épithélioïdes. Elle devrait être considérée, au c
eux de ses produits les plus caractéristiques et les plus avancés: la cellule vitreuse et la matière caséeuse i. 1 Extrait du
dans les parties périphériques, des fibres de tissu cellulaire et des cellules apparemment épithéliales plus ou moins altérées,
nion, des tumeurs circonscrites; ils étaient comme infiltrés dans les cellules agrandies du tissu spongieux, et conséquemment, u
tubes nerveux, réduits en parcelles ténues, étaient là variqueux; les cellules nerveuses ne pré-sentaient pas d'altération appré
e tissu de la rate on trouvait, en outre, une très grande quantité de cellules d'épitbélium parvimenteux à angles arrondis, prés
au sphérique, sans nucléole du volume de 0,005 à 0,008 de millim. Ces cellules se distinguaient aisément des globu-les blancs tr
mbre plus ou moins considérable de granulations, de corpuscules ou de cellules pigmentaires ; celle des viscères est en grande p
ts de ce malade. — Deux ans après, M. Virchow6 observa de nom-breuses cellules pigmentaires dans le sang d'un homme qui était de
lle d'un noyau distinct, ces corpuscules ne paraissent avoir avec les cellules proprement dites que des analogies éloignées: Ain
Virchow, les granules de pigment étaient contenus dans de véritables cellules , dont les unes étaient allongées en manière de fu
des corpuscules pigmentaires qui présentaient tous les caractères des cellules à noyau. Le pigment se rencontre en- core sous
s'y rencontrent aussi plus souvent avec les caractères de vérita-bles cellules . Pour ce qui concerne les vaisseaux capillaires,
la cavité même de ces vaisseaux, et non pas en dehors d'eux, dans les cellules des parenchymes, par exemple, ou dans les interva
on. On a re-marqué que le pigment se rencontre fort rarement dans les cellules spléniques ou dans les corpuscules de Malpighi. O
aisseaux capillaires de l'organe ; on les rencontre rarement dans les cellules hépatiques ou dans leurs interstices (Ileschl, Fr
s autres parties de l'encé-phale et de la moelle, qui contiennent des cellules ganglion-naires. Elle se répand en teintes unifor
entaire qui se fait surtout dans la région tout à fait inférieure des cellules de la couche muqueuse. C'est au voisinage des noy
ctifs, ou même après avoir été soumis à leur influence. Les premiers, cellules véritables complètement développées, sont beaucou
; mais, en général, il n'y a pas de nucléole bien reconnaissable. La cellule , qui n'est pas non plus toujours réguliè-rement a
sez nombreuses. L'acide acétique et l'acide lactique font pâlir les cellules , en rendant leurs noyaux encore plus apparents, e
sans noyau ont des dimensions qui se rapprochent de celles des vraies cellules précédemment décrites. Ils contiennent aussi de n
nous les avons montrés ce jour-là même à la Société de biologie. Les cellules hépatiques étaient ra-mollies et se brisaient fac
libre, dans le liquide ambiant, peut être par suite de la rupture des cellules , donnait aux préparations du foie une certaine an
ais peu transparent, à cause de la matière granuleuse qui remplit les cellules , et qui paraît aussi très abondante dans la cavit
oscopique, ne pas contenir de globules puru-lents, mais seulement des cellules d'épilhélium à cylindres et pavimenteux du bassin
complit ce travail morbide: les éléments constitutifs de l'endocarde, cellules plasmatiques et tissu in-termédiaire, paraissent
nombreux, globules purulents et pyoïdes, ainsi que d'assez nombreuses cellules à plusieurs noyaux. Il y a aussi quelques élément
sieurs noyaux. Il y a aussi quelques éléments fibro-plastiques et des cellules épithéliales du poumon chargées de granulations g
oïdine se rencontrent également dans les alvéoles pulmonaires, et les cellules épithéliales qui tapissent les canalicules respir
microscopique y a fait reconnaître les particularités suivantes : les cellules épithéliales paraissent très volumineuses ; elles
ois, en outre, des corpuscules colorés (héma-toïdine). On observe des cellules épithéliales à deux noyaux, des globules de pus,
un degré plus avancé, les alvéoles sont, comme ci-dessus, remplies de cellules épithéliales dégénérées; mais la dégénéra-tion de
ies de cellules épithéliales dégénérées; mais la dégénéra-tion de ces cellules est plus prononcée. Leurs parois sont moins disti
'infarctus, ainsi qu'on l'a vu, les globules de sang sont mêlés à des cellules épithé-liales granuleuses, dégénérées, etc.; tand
dégénérées, etc.; tandis que, dans l'obstruc-tion pure et simple, ces cellules conservent leurs caractères nor-maux, et en même
s. d, e, f, Faisceaux de fibres élastiques pulmonaires. Fig. 2. — Cellules épithéliales pavimenteuses des canalicules respir
es qu'à l'état normal et à surface bosselée. a, c, d, Noyaux de ces cellules entourés de fines granulations. ¿, Plis de la s
entourés de fines granulations. ¿, Plis de la surface d'une de ces cellules (on en voit de semblables sur les autres). Fig.
e ces cellules (on en voit de semblables sur les autres). Fig. 3. — Cellules analogues et finement granuleuses dans toute leur
nre, à la surface des bron-ches pourvues d'anneaux cartilagineux, des cellules prismatiques encore chargées de cils vibrátiles ;
x, des cellules prismatiques encore chargées de cils vibrátiles ; ces cellules sont quelquefois deux à six fois plus larges qu'à
1. — Anthracose pulmonaire. Fig. 2. — 1, particules de charbon. Les cellules qui entrent dans la com-position de cette figure
les qui entrent dans la com-position de cette figure représentent des cellules épithéliales con-tenant de volumineuses particule
la paroi alvéolaire. Fig. S. — Divers détails de prolification des cellules épithéliales. — 1, 1*, cellules épithéliales remp
— Divers détails de prolification des cellules épithéliales. — 1, 1*, cellules épithéliales remplies de particules d'oxyde de fe
çon des endothéliums et des épithéliums. — Développement des poumons: cellules hypoblastiques et tissu mésoblastique. Caractèr
tissus vasculaires. — Irritation nutritive. —Irritation formative. — Cellules géantes. — Prolifération par scission............
es voies respiratoires ; pénétration au fond de ces voies et dans les cellules de l'endothélium; localisation dans les acini, so
ques du tubercule. —Tubercule élémentaire ou follicule tuberculeux. — Cellules géantes : mode de formation. — Cel-lules géantes
caséeuse. — Résumé...... 266 Structure et mode de développement des cellules géantes dans le tubercule........................
uérison, ¿51 ; — distinctions des— guéries, 252 ; — latérales, 274. Cellules cylindriques à cils vibra-tiles, 32; — caliciform
des, 267, 291 ;— scrofu-leuses, 267; — épithéliales du poumon, 283. Cellules géantes, 59, 64, 68, 244, 267, 268; — nature, 269
291; — siège, 291; — noyaux, 292; — forme, 293; — accotement, 294. Cellule vaso-formatrice, 270. Céphalalgie dans la mélaném
; — éLat fœtal de 1' — , 45: — du nouveau né, 4! ; — dimen-sion des cellules de 1' —,48; — caractères, 49 ; — réalité de 1' —
embryogénique, 52, 54; — régénération de 1' —, 91; — indépendance des cellules de P —, 92; — bourgeonnement, 94 ; — métamorphose
632. Fissures du l'oie, 83. Foie, espaces, 85; — fissures, 85; — cellules , 86; — développement, 88; — tumeurs fibrineuses,
2, 187 ;— jaune, 123, 287; — hémoptoïque, 626; — pigmen-taire, 630; — cellules fusiformes dans Y— rouge, 122; — cellules fusifor
626; — pigmen-taire, 630; — cellules fusiformes dans Y— rouge, 122; — cellules fusiformes dans 1' — grise, 129; — albumineuse,
séeuse, 275, 276; — régressive! 449. Muqueuse bronchique, 3?, 34; — cellules cylindriques à cils vi-brátiles de la—,32; — cell
ique, 3?, 34; — cellules cylindriques à cils vi-brátiles de la—,32; — cellules caliciformes de la —, 32 ; — résis-tance de la —,
— divers aspects, 329 ; — granu-lations de —, 329 ; — corpuscu-les, cellules de —, 326, 3."0 ; -réactions chimiques, 330 ; — n
11 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
ÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1888. Pavillon des cellules . Construction des trois derniers pavillons de d
s. Nous avons donné l'an dernier la description du pa- nillon des cellules qui nous rend de très grands ser- vices en nous
d'isolement pour les mala- dies contagieuses. Pavillon disposé en cellules pour les malades agités ou indiscipli- nés.
tion d'un cinquième pavillon à l'usage de dortoirs, du pavillon des cellules et des préaux couverts. Il ne reste donc aujour-
ceux de l'infirmerie, du pavillon de l'isolement et du pavillon des cellules . En ce moment 60 enfants occupent encore des li
sont épais, principalement autour des glandes su- doripares, et les cellules sont en ces points plus étoilées qu'alen- tour,
systématisation, sans sclé- rose de quelque nature que ce soit. Les cellules sont réguliè- rement distendues par de grosses
ous la capsule. Il n'y a pas de lésions scléreuses, mais toutes les cellules du parenchyme sont graisseuses, non pas distend
développe- ment assez marqué des capillaires qui sont élargis ; les cellules névrogliques sont relativement abondantes. La s
t dans les portions les plus superficielles de Fécorce. Les grandes cellules pyramidales et les moyennes sont allongées ; be
ion. Dans le cervelet la couche granuleuse est extrêmement riche en cellules ; les grandes cellules de Pur- kinje sont très
a couche granuleuse est extrêmement riche en cellules ; les grandes cellules de Pur- kinje sont très nombreuses et ne parais
é, il est difficile d'apprécier des altérations quan- titatives des cellules pyramidales sur le cerveau d'un enfant IDIOTIE
les autres réactifs, détermine deux réactions distinctes dans les cellules pyramidales de l'écorce; les unes s'entourent d
aitement par l'alcool que dans le traitement par le bichromate, les cellules va- cuolisées seraient un peu plus abondantes.
ntal névroglique, avec ses éléments cellulaires, parsemé de petites cellules nerveuses peu abon- dantes, présente par le pro
s faits que nous avons regardés. Celle-ci est la couche des petites cellules pyramidales qui sont serrées, à pointe dirigée
e dirigée vers la surface corticale. Dans la couche suivante, les cellules pyramidales sont moyennes (40;a) elles ne sont
t. Ces éléments font place aune couche distincte, celle des grandes cellules 118 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. pyramidales; vis
s toute l'écorce. Meynert ne fait qu'une même couche de la zone des cellules pyrami- dales moyennes et de celle des grandes
la zone des cellules pyrami- dales moyennes et de celle des grandes cellules ; pourtant nous les avons séparées dans les desc
ions qui suivent, à cause de la grande hauteur de la cou- che des cellules moyennes, qui occupe près du tiers de la substa
encore dans le lobe occi- pital par l'interposition d'une couche de cellules . Puis viennent les quatrième et cinquième couch
substance grise. Elle renferme à sa partie supérieure de petites cellules rondes qui n'ont pas encore été comme les cellu
ure de petites cellules rondes qui n'ont pas encore été comme les cellules correspondantes de la même couche du cer- velet
eux, s'organisent naturellement dans les intervalles en colonne de cellules ; en voyant leurs fibres aux faisceaux qui leurs
, là où les faisceaux sont plus gros, et c'est pourquoi les grandes cellules pyramidales se présentent souvent, comme l'a vu
s de la hauteur, ces îlots ne sont que le terme d'une colonnette de cellules rangées- les unes au-dessus des autres et se co
au-dessus des autres et se continuant jusqu'à la couche des petites cellules pyramidales. Dans les couches superficielles, l
des cinq cou- ches dans le sens horizontale, par la sériation des cellules et les travées des faisceaux dans le sens ver-
colorées, on cons- tate que la vascularisation paraît normale ; les cellules nerveuses sont nombreuses, disposées en séries;
substance grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect normal des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dans
es placées bout à bout n'existe plus dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la couche de petites ce
moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la couche de petites cellules pyramidales (2e couche de Meynert), sont devenu
(2e couche de Meynert), sont devenues rares ; pourtant les grandes cellules existent encore, mais nulle part elles ne sont
etz; elles sont, au contraire, assez clairsemées. D'autre part, les cellules interstitielles il petits noyaux sphériques ne pa
iste un certain nombre de foyers de désintégration assez pauvres en cellules , où presque toute la trame de l'écorce grise s'es
u pas de corps granuleux, mais une quantité considérable de petites cellules interstitielles. L'hippocampe du côté gauche a
ise, des amas considérables de corps granuleux dans la blanche. Les cellules géantes de la région sont éparses au milieu de
ssous de celles qu'on s'attend à rencontrer là; la ligne de grandes cellules du corps bordant ne paraît pas altérée. La lè
ion très prononcée, beaucoup plus accusée que partout ailleurs; les cellules interstitielles paraissent abondantes ; à part
le sur nos pièces de faire la distinction entre les deux espèces de cellules de la couche granuleuse. La moelle cervicale a
ies symétriques, mais il y a dispa- rition il peu près complète des cellules motrices dans les deux cornes antérieures. Il e
les motrices dans les deux cornes antérieures. Il existe encore des cellules nerveuses en assez grand nombre dans les cornes
res, qui sont symétriques, contiennent un certain nombre de grandes cellules , relativement très peu abondantes, se colorant
scence pigmentaire que l'on observe à la période de tuméfaction des cellules dans la para- lysie générale. L'atrophie des
interpréter ces états et de les rapporter à des modi- fications des cellules de la névroglie, nous nous bor- nons à les sign
elle de névroglie a son épaisseur normale, peut-être les noyaux des cellules sont-ils un peu plus abondants que chez un enfa
hez un enfant sain du mme âge. La seconde couche, celle des petites cellules pyramidales, présente des altérations dans le n
ué et dans leur disposition réciproque. Au lieu de former un mur de cellules serrées, visibles au pre- mier coup d'oeil, ell
hercher les élé- ments. Dans les deux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales moyennes et couche des grosses ce
s, couche des cellules pyra- midales moyennes et couche des grosses cellules , on observe, vu la grosseur des éléments, des l
observe, vu la grosseur des éléments, des lésions plus nettes. Les cellules sont t diminuées de nombre; en revanche les noy
bre; en revanche les noyaux petits et sphé- riques qui révèlent les cellules névrogliques sont augmentés et dispersés. Les c
révèlent les cellules névrogliques sont augmentés et dispersés. Les cellules au lieu d'être disposées en série régulières, b
isparition de LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. -125 5 cellules intercalaires; en sorte qu'on ne voit que des gro
res; en sorte qu'on ne voit que des groupes con- tinus de plusieurs cellules en nombre assez restreint, ressemblant à des ca
en nombre assez restreint, ressemblant à des capsules allongées de cellules de cartilage. Les cellules situées à la limite
ressemblant à des capsules allongées de cellules de cartilage. Les cellules situées à la limite des deux couches intermédia
situées à la limite des deux couches intermédiaires, aux grandes cellules pyramidales et aux moyennes, présentent à son max
un petit amas de granules réfringents autour de lui. La plupart des cellules susmentionnées, présentent les différents degré
egrés de cette altération avec cette particularité que beaucoup des cellules que l'on voit dans un même champ du mi- croscop
ès au même état; tandis que, plus loin, on rencontre des groupes de cellules à autre état. Les capillaires dans ces deux cou
tance blanche, ce qui domine c'est l'accumulation des noyaux des cellules interstitielles. Il n'y a qu'un petit nombre de c
sumé, on constate la congestion vasculaire, la multi- plication des cellules de la névroglie et la disparition des cellules
multi- plication des cellules de la névroglie et la disparition des cellules nerveuses, disparition qui nous est expliquée p
intermédiaire, couche des fibres arquées, et la couche des grandes cellules pyramidales ne se com- posent plus que de faisc
t plus que de faisceaux fibrillaires descendants avec de nombreuses cellules interstitielles, et c'est dans la couche des ce
nombreuses cellules interstitielles, et c'est dans la couche des cellules pyramidales moyennes que l'on retrouve l'évolutio
s telles que nous venons de l'indiquer. Au-dessus, la sériation des cellules a tout à fait disparu. La couche la plus superf
bstance blanche, l'accumulation des noyaux petits et sphériques des cellules interstitielles est très marquée. Dans les port
lulaire abondant. b). Cervelet, hémisphère droit, rien à noter. Les cellules de Purkinje, sont admirablement conservées. En
urs des deux mêmes éléments, sclérose interstitielle et lésions des cellules pyramidales, évoluant parallèle- ment. c). Mo
a substance grise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée dans les cellules des cornes antérieures; les cornes sont égales;
es couches superficielles. Dans les inférieures, rareté des grandes cellules , abondance d'éléments sphériques de moyen volum
es de moyen volume, groupés par quatre ou six, nom- breuses petites cellules dans la substance blanche; vascularisation rela
arisation relativement peu développée. On a peine à retrouver une cellule nettement triangulaire dans n'importe laquelle
nsition nette entre les deux. De temps en temps existe un groupe de cellules rondes, peu nom- breuses, sans épaississement d
ance grise par les élé- ments sphériques est nettement accusée. Les cellules des couches profondes sont groupées par petits
x, la sériation longitudinale, est assez bien conservée; mais les cellules du parenchyme sont très petites, d'ailleurs l'épa
bondant, à en juger par les vacuoles que présente cette couche. Les cellules de Purlunje sont rares et très espacées les une
ures et la colonne de Clarke sont bien conservées et présentent des cellules nettes avec pro- longements normaux. L'épendyme
l n'y a non plus rien à noter; l'épendyme est doublé d'une gaine de cellules polygonales; les cellules sont normales et les
r; l'épendyme est doublé d'une gaine de cellules polygonales; les cellules sont normales et les tubes sont sains tant la moe
longés, alignés sur des files qui ne comprennent qu'un seul rang de cellules mises bout bout, au lieu d'offrir des colonnettes
es dilatations vasculaires sont très nombreuses; les petits amas de cellules rondes sont abondants entre la première et la s
seulement une vascularisation rameuse assez développée; les grandes cellules pyramidales de la région sont petites et entour
e tubes nerveux, assez nom- breux dans les cordons postérieurs. Les cellules des cornes posté- rieures sont très rares. Le c
une substance grenue où se trouvent en assez grande abondance des cellules rondes. Le revêtement épithélial est incomplet, s
; de plus, ici, les lésions delà moelle existent, portant sur les cellules nerveuses elles-mêmes, avec très peu de lésions
u côté droit, vas- cularisalion ramifiée assez marquée; les grandes cellules pyrami- dales, peu nombreuses, sont à peu près
écorce est toujours très marquée, celle-ci bien nette et riche en cellules , ainsi que les suivantes, comme chez les ani- m
vont seulement diminuant de nombre vers la qua- trième couche de cellules de l'écorce grise : oI35t·.1r1' : \TIUN VI. - A
s de corpus- cules de Glùge, surtout dans la substance blanche. Les cellules pyramidales ne sont serrées que par place, elle
e petit volume. La substance blanche est toute infiltrée de petites cellules rondes, disposées par places en petits amas mil
our de beaucoup de vaisseaux des taches opaques formées d'amas de cellules dont les noyaux sont très gros et dont les corps
t, les cornes postérieures n'offrent qu'une très faible quantité de cellules . Les parois vasculaires sont épaissies. On voit
uche est très réduite, composée d'un réticulum fin où les noyaux de cellules sont rares. Entre cette couche et la seconde ex
lement sur les coupes. Elle interrompt entièrement la sériation des cellules en colonnes longitudinales. Cette sériation rep
n colonnes longitudinales. Cette sériation reparaît au-dessous. Les cellules sont abondantes, surtout les éléments nucléaire
s irréguliers, circonscrits par les vaisseaux dilatés et pauvres en cellules , jusqu'au contact de la substance blanche, où l
ban gris de Vicq-d'Azyr constitué par une accumu- lation de petites cellules rondes dans les colonnettes cellulaires, entre
llules rondes dans les colonnettes cellulaires, entre la couche des cellules moyenne^ et la couche des grandes cellules, se
s, entre la couche des cellules moyenne^ et la couche des grandes cellules , se voit nettement. Les cellules pyramidales sont
moyenne^ et la couche des grandes cellules, se voit nettement. Les cellules pyramidales sont fort dis- tinctes, surtout dan
ont, d'abord, l'épaississement de la névroglie et l'accumulation de cellules en îlots circonscrits au- tour des vaisseaux ra
tes sont infiltrées d'un grand nombre de petites cellule-, mais les cellules pyramidales sont entièrement disparues. Les vai
min et bleu de méthyle. La vascularisation est très développée, les cellules pyramidales globuleuses; autour d'elle existe u
sation ; l'espace comprenant la deuxième et la troisième couche des cellules de la substance grise présente de place en plac
arquée de la gaine des vaisseaux, chacun est entouré d'un cordon de cellules à gros noyaux, fortement colorés en vert, on vo
rps amyloïdes. L'infiltration de toutes les couches par de. petites cellules est assez marquée. Les cellules pyramidales son
toutes les couches par de. petites cellules est assez marquée. Les cellules pyramidales sont pourtant nombreuses. Observati
arqués, formant un réseau serré. L'espace lymphatique est rempli de cellules rondes; autour d'elles existe un espace clair d
plaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellules pyramidales. Ces bandes ne sont pas pures, mais
HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. '13ï d'amas névrogliques et de cellules nerveuses arrondies, granuleuses et pigmentées;
aire et chargée de noyaux. La troi- sième couche, celle des grandes cellules , ne présente que des séries de cellules petites
e couche, celle des grandes cellules, ne présente que des séries de cellules petites, à fins noyaux sphériques, noyés sans ord
e fines tra- bécules, le long desquelles sont dispersées de grosses cellules irrégulières à protoplasma granuleux. L'aspect
Au-dessous de ces points très lésés, il n'existe plus de grandes cellules nerveuses, mais on en rencontre tout à côté par a
la substance grise et la substance blanche sont chargées de petites cellules rondes. On y voit, en grande abondance des bloc
eux semblables à ceux que nous venons d'indiquer. Cervelet droit. - Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche 138 ENCÉPH
risation très développée avec diminution de nombre et de volume des cellules nerveuses qui ont perdu leur sériation dans les
elle cervicale, les cornes antérieures sont petites mais avec leurs cellules bien nettes. de même les cordons antérieurs. Il
s étapes : 10 prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses ; 3° formation des cavités. Ces lésio
se distingue plus. Au-dessous de celte bande, la couche des grandes cellules pyramidales se retrouve, mais avec une ordonnan
mais avec une ordonnance très peu nette. Elle présente ses grosses cellules abondantes encore. Elle est parsemée de curps g
traire comme une série de points isolés, mais assez rapprochés. Les cellules pyramidales bien nettes sont rares dans les pla
ttes sont rares dans les plans sous-jacenls, la plupart des grosses cellules sont globuleuses. On distingue entre elles des
nous relevons l'absence d'accumulation de pigment dans les grandes cellules de l'écorce. C'est un fait exceptionnel, surtout
n constate que les capillaires sont très nombreux et dilatés, les cellules nerveuses ne sont pas disposées en séries, mais d
artenant LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. ,lit Il aux cellules interstitielles. Sur certains points, il existe d
x à trois fois plus épaisse. Cette couche est compo- sée surtout de cellules rondes assez volumineuses, à noyau sphé- rique,
emplies de granulations jaunes de pigment sanguin, à la manière des cellules interstitielles de l'ovaire. Ce sont elles qui
isième couche est occupée par ces faisceaux et un certain nombre de cellules . Ces masses de faisceaux fibrillaires accompagn
de ce tissu fibrillaire feutré, de rares vaisseaux et contenant des cellules à noyaux ronds ou allon- gés, dont quelques-une
utour de certains capillaires, la gaine adventice se remplit de ces cellules , de façon à former des renflements en massue libr
ise est encore assez visible, mais ces séries sont occupées par des cellules inters- titielles en très grande abondance. Sur
, beaucoup plus nombreux, le processus estbeaucoup plus avancé; les cellules ne sont plus disposées en séries, mais elles so
par un réseau très fin d'une dentelle de fibrilles grêle, avec des cellules à noyaux sphériques, corps cellulaires ramifiés
cellulaire qui a disparu des coupes. On n'y rencontre pas une seule cellule nerveuse et cela dans plusieurs champs du microsc
autour, ces fibres sont entourées d'une grande quantité de petites cellules interstitielles, et sur les pièces traitées succe
autant d'espaces clairs. Dans la deuxième couche, celle des petites cellules pyramidales, on voit que presque toutes ces cel
le des petites cellules pyramidales, on voit que presque toutes ces cellules sont petites et globuleuses, et qu'elles ne son
étruits et leur nombre diminué. Dans la troisième couche, celle des cellules moyennes, on voit les colon- nettes que forment
le des cellules moyennes, on voit les colon- nettes que forment ces cellules bout à bout, beaucoup plus dis- tantes les unes
pourvu d'éléments interstitiels. Même vascularisation ramifiée. Les cellules nerveuses sont globu- leuses, leur noyau volumi
s, leur noyau volumineux, clair, nucléole, remplit presque toute la cellule . Le prolongement inférieur est le plus distinct.
inférieur est le plus distinct. Dans la couche suivante des grandes cellules , les altérations sont les mêmes pour les cellul
vante des grandes cellules, les altérations sont les mêmes pour les cellules nerveuses, dont le corps cyto- plasmique est pâ
n nombre considérable. Dans les espaces qui séparent ces rangées de cellules , espaces LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE
ue dans les couches précédentes, un assez grand nombre de noyaux de cellules interstitielles, petits, sphériques et fortemen
lie de globules sanguins avec un certain nombre de leucocytes et de cellules t'usii*oriiie-s ; au pourtour de ces masses un
actères que ci-dessus, elles sont seulement plus marquées, avec des cellules interstitielles très abondantes et des capillaire
couche de névroglie est fibrillaire dans le sens longitudinal ; les cellules interstitielles y sont très nombreuses, les cel
itudinal ; les cellules interstitielles y sont très nombreuses, les cellules de Purkinje sont abondantes, mais elles se colo
ant suivre très loin les prolongements de la plupart. La couche des cellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans
t et présentent un reflet jaunâtre et hyalin comparable à celui des cellules de la paralysie générale, elles sont tuméfiées
prolongements n'existent que peu ou point. Par l'hématoxyline, ces cellules se colorent en gris de lin et leur réfringence
hélium est intact ; on y distingue sur certains points les cils des cellules . La trame conjonctive des cordons blancs est nota
Moelle 10mbai1'c. - Les lésions sont les mêmes, la tuméfaction des cellules et leur raréfaction sont encore plus visibles, à
raréfaction sont encore plus visibles, à cause du grand nombre des cellules motrices en ce point '. (Bourne- ville et Pilli
former des filaments nom- breux et enchevêtrés, chargés de petites cellules rondes et circonscrivant des aréoles qui étaien
l ne puisse y avoir aucune erreur sur les faits exposés ; enfin les cellules pyramidales présentent tous les degrés d'atroph
le de voir son atrophie; la multiplication des noyaux des petites cellules , l'abondance des corps granuleux, mais non le r
rch. Neurologie, p. 39, 1887. Duval et liahoadeau. - Groupement des cellules pyramidales. Soc. anthropologiq. Juillet 1888,
stance grise et de la substance blanche, pour montrer la rareté des cellules pyramidales à leur lieu d'élec- tion (A) et la
12 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nsformées en un maigre tissu de granulations ; fibres élastiques et cellules musculaires des membranes extérieures, couche l
tout est dissocié, désagrégé par les éléments lym- phatiques et les cellules proliférées. » (Letulle 1.) La symptomatologie
maladie de tout le système nerveux. Dans la paralysie générale, les cellules corticales sont pro- fondément altérées. Pour c
térées. Pour certains auteurs (Ballet, Blocq) les prolongements des cellules sont les premiers atteints; pour Colella 2, au
longements nerveux résistent longtemps. Outre les altérations de la cellule , il y a des alté- rations profondes des fibres
(Nelll'olQg. ' Centralbl., XV, 1896.) Ce sont, comme on voit, des cellules qui renferment des granu- lations graisseuses.
rmaline a l'avantage de ne pas dissoudre la graisse ; elle fixe les cellules granuleuses. La pièce est mise, pendant un jour
uelques fibres s'épanouissent directement en dendrites finales. Les cellules de cette région de la couche optique sont indubit
. Toutes les fois aussi qu'il a vidé la cavité oculaire, toutes les cellules nerveuses du noyau en question appartenant au t
en question appartenant au type moteur ont dégénéré, ainsi que les cellules latérales placées dans le faisceau longitudinal
du noyau servant à J'inervation de l'organe du même côté, certaines cellules isolées qui donnent des fibres à l'oculomoteur
ie rapprochée (surtout antérieure), séparées par une zone pauvre en cellules . Dans la pre- mière on rencontrerait le noyau p
yau du même côté ; à cette zone appartiennent encore une partie des cellules latérales. 4° Droit interne. les fibres qui s'y
les. 4° Droit interne. les fibres qui s'y rendent proviennent des cellules disséminées sur tout le côté du noyau homolatéral
ccupe le faisceau longitudinal postérieur. Ce sont : la plupart des cellules latérales ; nombre de cellules situées entre le
postérieur. Ce sont : la plupart des cellules latérales ; nombre de cellules situées entre le segment reculé et le segment r
nt rapproché du noyau en question ; peut-être aussi la moi- tié des cellules qui, de concert avec les cellules d'innervation
; peut-être aussi la moi- tié des cellules qui, de concert avec les cellules d'innervation destinées au droit inférieur, con
gment reculé du noyau des deux côtés. b). Il y a mélange intime des cellules innervant le droit inférieur et le droit intern
contiennent de la nucléine; elles sont éliminées par les noyaux des cellules , pendant la fonte des tissus du corps. Il y a don
c, cette union subit dans le cerveau moyen une interruption par des cellules nerveuses. Lesquelles ? C'est à chercher. P. KE
VI. Nouvelles données ET nouveaux problèmes sur la pathologie DE la cellule nerveuse ; par E. LUG.1R0. (Riv. di. 7at. et me
. 8, 1896.) XVII. Recherches expérimentales sur LES altérations DES cellules nerveuses dans l'intoxication alcoolique AIGUH
veizheilk., XVIII, N. F. "J,18\J¡j.) 1 Etude sur la lecture de la cellule de Purlcinje (écorce céribelleux) parla méthode
ans la substance non colorié; 3° les lésions occupent soit toute la cellule , soit une partie de la cellule, dès que les gra
° les lésions occupent soit toute la cellule, soit une partie de la cellule , dès que les granulations des prolongements dem
tensité des altérations, il s'en fallait de beaucoup que toutes les cellules fussent atteintes. Les mêmes altérations, bien
ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 59 XXI. Pathologie générale DE la cellule NERVEUSE (lésions secon- daires et primitives);
bien est mobile et fugace l'expression des lésions primitives de la cellule nerveuse et combien celles-ci diffèrent toujour
s leurs caractères essen tiels ». M. Marinesco prend pour type la cellule nerveuse de la corne antérieure, qui est compos
-axe, semblant former un réseau intra-eellu- laire. Au centre de la cellule est le noyau avec son nucléole ; autour du noya
erfs sensitifs et des nerfs sympathiques. La dégénérescence de la cellule ne conduit pas toujours à son atrophie ; dans u
éparation succède à la phase de dégénérescence. A cette période les cellules lésées se distinguent par leur hypertrophie et
, d'aspect vitreux. Dans les deux cas, elle aboutit à la mort de la cellule nerveuse. On observe aussi dans les lésions pri
utes les fois que la subs- tance achromatique est très altérée, les cellules névrogliqucs qui se trouvent au voisinage des c
altérée, les cellules névrogliqucs qui se trouvent au voisinage des cellules nerveuses s'hyperplasient et jouent le. rôle de
le même poison a une action différente sur les diverses espèces de cellules nerveuses. A. FENAYMU. revue d'anatomie ET DE
que les cylindraxes des nerfs sensi- tifs sont les prolongements de cellules ganglionnaires semblables à celles des ganglion
lionnaires semblables à celles des ganglions spinaux. ' Ces mêmes cellules donnent naissance, d'une part, à des prolon- ge
? P. RELLAY. XXV. État actuel DE l'anatomie ET DE la pathologie DES CELLULES nerveuses; par F. NISSL. (Centralbl. f. JVC ! '
s connaissons exactement le mode de manifestation du réactif sur la cellule nerveuse, et que nous pouvons en distinguer les
es dendrites représentent des organes conducteurs et de contact, la cellule nerveuse n'en reste pas moins l'article spécifiqu
ssentiel du neurone, surtout si c'est la variété de structure de la cellule qui implique la variété de fonction qu'elle don
. KE ! \AY.\L. XXVI. QUESTIONS critiques relatives A l'anatomie DES CELLULES ner- , veuses; par F. NISsL. (Neurolog. Ce)tt2'
rolog. Ce)tt2'alGl., XV, 1896.) M. Benda a critiqué la division des cellules nerveuses de Nissl, disant que les dénomination
racines postérieures ; 3° les dernières prennent naissance dans les cellules nerveuses de la substance grise et passent à dive
Les autres se rendent aux colonnes de Clarke. Les troi- sièmes, aux cellules des cornes antérieures (collatérales réflexes).
bres myélogènes se dirigent en deux sens. Celles qui vien- nent des cellules des cornes antérieures et rayonnent dans les cor-
ont parallèles au plan transverse. Celles qui vien- nent des autres cellules de la moelle, surtout des cellules des colonnes
Celles qui vien- nent des autres cellules de la moelle, surtout des cellules des colonnes de Clarke, après être sorties de l
ntérieure diminuée du tiers envi- ron ; le groupe antéro-inteme des cellules motrices est bien con- servé ; le groupe postér
phié en partie; le groupe médian a disparu. Réduction de nombre des cellules occupant à ce niveau de la moelle une situation
de systématisation du délire et un agent de chronicilé. Comment la cellule et la camisole, restes surannés des périodes pr
des avantages sérieux : tout d'abord, durant toute l'année, aucune cellule n'a été occupée; sous l'influence du séjour au
ines qui dégé- nèrent bien vite dans l'emprisonnement solitaire des cellules . Le gâtisme par terre, compagnon indispensable
Le gâtisme par terre, compagnon indispensable du séjour dans les cellules , est rentré dans des proportions minima, et dispa
superflues toutes les installations coûteuses qui garnis- sent les cellules . (Annales médico-psychologiques, févr. 1897.) .
tant que les altérations des élé- ments nerveux, principalement des cellules nerveuses, y sont pro- bablement plus profondes
e que l'atrophie des muscles, qui dépend des modifications dans les cellules nerveuses, comme centres tro- phiques, peut dim
même temps, sert à confirmer l'opinion que les mo- difications des cellules nerveuses dans l'affection en question, mal- gr
arinesco, dans un cas, a trouvé des modifications très marquées des cellules dans la région du tronc cérébral, ce qui donne
ect tout particulier. En même temps se colorent aussi très bien les cellules nerveuses (comme par la méthode de Nissl), les
par la méthode de Nissl), les noyaux musculaires des vaisseaux, les cellules névro- gliques, en un mot tous les éléments pri
abdominal, etc.). S'il y a des modifications pathologiques dans les cellules , elles ressortent très nettement dans les prépa
ffet, que se fait la transmisssion aux panaches protoplasmiques des cellules pyramidales, de l'influx nerveux apporté par le
urones visuels, par compression du chiasma ou des bandelettes ; les cellules d'origne de ces neurones étant dans la rétine.
e est bien curieuse. « Le protoplasma embryonnaire contenu dans ces cellules sexuelles aurait son architecture cons- tante i
Dans la discussion, M. Mouratow fait remarquer que la nature des cellules , dont est constituée la paroi de la cavité locali
s, relatives au système nerveux : Recherches sur l'histologie de la cellule nerveuse, avec quelques consi- dët'< : t(MKS
rs reprises l'opi- nion de la paralysie générale débutant par « les cellules motrices et sensitives de la moelle », aussi bi
ne main. Mais que l'amyotrophie soit consécutive à l'atro- phie des cellules motrices et sensitives des cornes antérieures d
comme il était très mal- propre et très désordonné, on l'isolait en cellule où il était vautré presque tout le jour à plat
frontal gauche était rempli d'un liquide col- loïde), ainsi que les cellules ou vacuoles osseuses comprises au voi- sinage d
, l'autre une lésion de la substance grise. Dans les deux cas les cellules nerveuses traitées par l'acide chlorhydrique et l
nt les prolongements protoplasmiques, le citoplasme et le noyau des cellules nerveuses. Elles représentent le substratum ana
ale. J. S. XXXVII. Recherches SUR la capacité PROLIPÉR.1TI\'E DE la CELLULE nerveuse; par Giuseppe LEvi. (Biv. di. part. ne
criture, même chez les gauchers. J. S. ULT. SUR LES altérations des cellules nerveuses par imitation PARTIELLE DU PROLONGEME
urnal of mental Science, janvier 1897.) M. Bevau-Lewis attribue aux cellules de Deiters dans le cerveau un rôle phagocytique
ent les matériaux de déchet; il pense même qu'elles s'attachent aux cellules nerveuses dégénérées, et que, par leur interméd
cellules nerveuses dégénérées, et que, par leur intermédiaire, ces cellules sont absorbées el élimi- nées. Les faits observ
ervés par M. Turner semblent indiquer que d'autres éléments que les cellules de Deiters peuvent jouer un rôle analogue. Les
rencontre à l'état de liberté dans les espaces péri-cellulaires des cellules qui se colorent, ou plutôt dont les bords se colo
trou- ver trois ou quatre, et presque toujours le cytoplasme de la cellule nerveuse la plus voisine de la cellule envahiss
toujours le cytoplasme de la cellule nerveuse la plus voisine de la cellule envahissante manque en par- tie : il semble qu'
lule envahissante manque en par- tie : il semble qu'on ait mordu la cellule nerveuse, et qu'elle soit entamée; on peut obse
ce processus depuis une très légère échancrure jusqu'à l'état où la cellule est réduite à un noyau entouré d'un maigre reli
u cyto- plasme correspond par cesdenteluresàlaposition prise par la cellule envahissante. Le noyau n'est jamais envahi, et
u n'est jamais envahi, et alors même qu'il survit presque seul à sa cellule , il demeure en apparence intact, bien qu'il soi
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. M. Turner ne doute pas que ces cellules soient des leucocytes errants, qui, on le sait,
que les fines ramifications de prolongements proto- plasmiques des cellules de Purkinje ont une structure granuleuse ; les
s, plus fines, plus rapprochées les unes des autres. La plupart des cellules apparaissent colorées dans leur totalité en noi
miques ne sont que des précipités formés de ces granulations. Les cellules de l'écorce du cerveau ne se colorent généralemen
nulations protoplasmiques nettement colorées; parfois cependant une cellule se colore totalement comme celle de Parkinje. Dan
ents protoplasmiques sont aussi colorés, ce qui prouve que quelques cellules de l'ecorce ont la même réaction chi- mique que
uelques cellules de l'ecorce ont la même réaction chi- mique que la cellule de Purkinje. Le nombre des cellules corticales
même réaction chi- mique que la cellule de Purkinje. Le nombre des cellules corticales colorables en totalité progresse des
. P. KERAVAL. LUI. Nouvelles recherches SUR la STRUCTURE FINE DE la CELLULE NERVEUSE ET SUR LES LÉSIONS PRODUITES PAR CERTA
tats de ses nouvelles recherches sur les lésions primitives de la cellule nerveuse produites par l'intoxication expérimenta
ont été émises sur la structure de la substance achromatique de la cellule nerveuse. Cette substance n'est pas amorphe, co
les chromatiques. M. Marinesco continue par une description de la cellule nerveuse telle qu'elle résulte de ses recherche
lle résulte de ses recherches personnelles. Il distingue dans cette cellule trois éléments essentiels : i° une substance chro
tique figurée est constituée par un téseau qui donne au corps de la cellule l'apparence d'une masse spongieuse le spongiopl
oplasma. Ce réseau est formé de mailles dont la densité varie d'une cellule à l'autre. A l'intersection des travées se trou
s M. Marinesco, les fibrilles des prolongements protoplasmiques des cellules et du cylindre-axe sont en relation de continui
les ganglions spinaux : Le premier type comprend surtout de grosses cellules ; la subs- tance achromatique organisée forme u
ules chromatiques polygonaux. Le deuxième type est formé de petites cellules avec trabécules achro- REVUE D'ANATOMIE ET DE P
221 matiques formant un réseau dense. Nombreux points nodaux ; la cellule a un aspect foncé (chromophilie de Nissl). Elémen
dire qu'ils ne jouent pas un rôle important dans la nutrition delà cellule ; on sait, en effet, que ces deux phénomènes, l
onctionnelle des différents centres du langage. G. DERNY. LV. DES CELLULES nerveuses DE chiens vaccinés contre la rage; pa
ntre la rage; parB. NAGY. (Neurolog. Ceî2ti,albl., XV, 1896.) Les cellules de la moelle et du bulbe de ces animaux sont com-
gique, il faut mentionner que les auteurs ont trouvé dans certaines cellules nerveuses, surtout dans la corne antérieure gau
ainsi que dans les nerfs qui émanent de ces noyaux. Les lésions des cellules des centres nerveux consistent essentiellement
ou périphérique. La substance achromatique présente dans certaines cellules un aspect translu- cide et teinté légèrement en
l'hypoglosse. Etant donné le type très variable des altérations des cellules des noyaux protubérantiels, il s'agit sans dout
ns les cornes antérieures ; la gaine périvascu- laire contenait des cellules rondes lymphatiques. Pas de dégénéres- cence de
ndes lymphatiques. Pas de dégénéres- cence de la substance blanche, Cellules de la corne postérieure intactes. Les cellules
a substance blanche, Cellules de la corne postérieure intactes. Les cellules de la corne antérieure étaient altérées ; beau-
s'atténuant de bas en haut ; au-dessus du renflement cervical, les cellules ganglionnaires se présentaient avec leurs caractè
de la myéline ; les cylindraxes ne présentent pas d'altération, les cellules sont respectées, mais il y a raréfaction de leu
ée, elle n'est autre, naturellement, qu'une accélération du jeu des cellules corticales. Mais quelle est, à son tour, la cau
une zone motrice, produit l'épilepsie jacksonieune. Ici c'est une cellule intellectuelle qui est irritée et qui produit de
sition est essentielle ;. c'est : l'état d'équilibre instable de la cellule nerveuse. Le sang de ces malades, noir, poisseux,
-constric- teurs, et modifient aussi directement le prôtoplasma des cellules de l'encéphale; cette dernière hypothèse expliq
s convulsifs. Mais il faut, au préalable, un état particulier de la cellule nerveuse connu sous le nom de prédisposition hé
te, le point d'où part l'irritation, celle-ci aboutit toujours à la cellule cérébrale. Seulement le syndrome épileptique évol
e et la dé- - inence consécutive (probablement par altération de la cellule ) sont la règle. M. Voisin analyse merveilleusem
onsidérer l'esprit uniquement comme la résultante de l'activité des cellules nerveuses, comme une sorte de sécrétion du cerv
dans toutes les formes spasmodiqhes en chassant l'excès de sang des cellules nerveuses motrices et, en déterminant, par son ac
cléreux. Tubercule quadrijumeau postérieur gauche réduit de volume. Cellules bien conformées mais raréfiées. Sclérose nette à
. LÉSIONS PRODUITES EXPÉRIMENTALEMENT PAR L'ALCOOL ÉTHYLIQUE SUR la CELLULE NERVEUSE corticale ; par Henry BERKLEY (de Balti-
altération parenchymateuse atteignant particulièrement les grosses cellules pyramidales de la deuxième et troisième couche.
entait des dégénérescences moiiiiifortiies; altération analogue des cellules de Purkinje, intégrité apparente de la névroglie.
substitué le fait d'observation du contact des prolongements de la cellule nerveuse pour l'explication physiolo- gique des
h au bleu de méthylène ou avec le procédé de Golgi, on sait que les cellules nerveuses de la chaîne ventrale et des ganglion
tenant surtout au type unipolaire, ne laissent pas de présenter des cellules bipolaires et multipolaires (crustacés et vers)
et quitte la moelle : ces fibres sortent donc bien directement des cellules nerveuses du cor- don ventral pour se rendre au
rveuses du cor- don ventral pour se rendre aux muscles. Mais, de sa cellule d'ori- gine jusqu'à sa sortie du ganglion abdom
ecte des prolongements » (Retzius). 3n esb Lorsque l'on compare les cellules ganglionnaires des invertébrés avec les cellule
e l'on compare les cellules ganglionnaires des invertébrés avec les cellules nerveuses du cerveau et de la moelle épinièreldes
peut considérer les branches latérales du prolongement nerveux des cellules motrices de la chaîne ventrale des invertébrés
estime qu'il ne convient pas d'affirmer erieq d'absolu touchant les cellules des ganglions abdominaux ebque chaque cas doit
es). Or, si nous considérons commejr9. trices, pour la plupart, les cellules unipolaires des gangiiona : c%n- traux des inve
ait àgiila. localisation dans la peau d'une partie considérable des cellules de sensibilité, force est d'admetlre que l'exci
l'excitation qui dètenoiitie d'une manière réflexe l'activité de la cellule piriforme et la ro; duction consécutive du mouv
nerveux; celles-eh par le tronc de ce prolongement, conduisent à la cellule J'extita- tion apportée par les libres terminai
ation en impuisiommoj trice a lieu dans le corps protoplasmique des cellules unipolaire d'où partent les courants qu'apporte
s qu'apportent aux muscles les prolonge- ments cylindraxiles de ces cellules ganglionnaires. La directipluadu courant nerveu
ionnaires. La directipluadu courant nerveux des collatérales de ces cellules est donc csjjuji- pète ; ce sont des organes de
conception ne vaut d'ailleurs, suivant v. Len- hossék, que pour les cellules motrices de la chaîne ganglionnaire. S'il exist
existe aussi, dans le système nerveux central des invertébrés, des cellules de sensibilité, et il doit en exister, on le verr
sibilité, et il doit en exister, on le verra bientôt, ainsi que des cellules d'association (Se/tOeHe; ! ), et si ces éléments
ront avoir une fonction différente de celle de ces axodentrites des cellules motrices des invertébrés, c'est-à- dire qu'elle
Le iïeurone (Waldeyer) ou le neurodendrone (K&lliher), c'est la cellule nerveuse avec ses prolongements protoplasmiques
vé au corps protoplasmique nucléé. * Tous les neuroblastes sont des cellules nerveuses jusqu'au moment, très rapproché de le
de leur naissance, où ils émettent un prolonge- ment. Mais d'autres cellules , même après leur développement défi- nitif, doi
itif, doivent encore être appelées de ce nom : ce ne sont point les cellules des ganglions spinaux, qu'on a appelées apolaires
nglions spinaux, qu'on a appelées apolaires, car il n'existe pas de cellules apolaires, mais les cellules épithéliales des s
lées apolaires, car il n'existe pas de cellules apolaires, mais les cellules épithéliales des sens ou neuroépitbéliales, sit
t avec les fibres nerveuses aucun rapport direct : ce sont bien des cellules nerveuses, des « éléments qui déjà, par la natu
lindraxes ni dendrites. Ce sont les ramifications cylindraxiles des cellules nerveuses, mises en rapport avec ces éléments,
éments, qui conduisent aux centres l'excita- tion accumulée dans la cellule neuroépithéliale. Peut-être devrait- on ranger
tres unités nerveuses, on distingue deux par- ties principales : la cellule nerveuse proprement dite (nezzrocyte) et son pr
ent nerveux peut être multiple et se diviser soit à proximité de la cellule (diaxones et THÉORIE DES NEURONES 375 polyaxo
prolongement ner- veux, avec arborisations terminales propres. Les cellules des gan- glions spinaux dans les poissons sont
nglions viscéraux du sympathique, la couche moléculaire du cerveau ( cellules de Cajal). Mais le type propre de l'unité nerve
le le plus simple d'un prolongement ner- veux nous est offert parla cellule périphérique des nerfs des sens, par celle de l
le de la muqueuse olfactive des vertébrés : elle se distingue de la cellule neuroépitheliale par la possession d'un prolongem
omérules du lobe olfactif; on a ici les trois segments du neurone : cellule , fibre et arborisation. Mais dans la plupart de
et arborisation. Mais dans la plupart des cellules, dans toutes les cellules centrales, ce type simple se complique : la cel
ans toutes les cellules centrales, ce type simple se complique : la cellule nerveuse pousse ses den- drites, le prolongemen
ispensables de l'unité nerveuse, puisqu'il existe non seulement des cellules ner- veuses adendriliques (cellules des ganglio
squ'il existe non seulement des cellules ner- veuses adendriliques ( cellules des ganglions spinaux, etc.), mais aussi des pr
prolongements nerveux dépourvus de collatérales, tels qne ceux des cellules d'origine des racines antérieures, des fibres o
s fibres optiques, des fibres olfactives. Chez les invertébrés, les cellules nerveuses typiques sont adendritiques; mais les
ouent un grand rôle. D Des trois parties constituant le neurone, la cellule nerveuse, avec ses dendrites, nous apparait sûr
tres neurones, soit a proximité, soit éloignés, entourer d'au- tres cellules nerveuses de ses ramifications, s'élever dans les
rés comme chez les .invertébrés, depuis l'apparition de la première cellule nerveuse avec son prolongement nerveux, jusqu'a
t un tout avec le corps cellulaire : ils font partie du corps de la cellule ; le 376 REVUE CRITIQUE. prolongement axile, o
REVUE CRITIQUE. prolongement axile, ou axone, est un produit de la cellule ; en ce sens il possède une plus grande indépend
indépendance. Au sortir de la pliaze de croissance que traverse la cellule ner- veuse comme neuroblaste, la première fonct
iiefierdeclcer). A cet égard, et en calculant que les dendrites des cellules nerveuses des cornes antérieures ou de celles d
e- ments protoplasmiques sont bien des organes de nutrition de la cellule nerveuse. Non qu'il faille confiner leur rôle à c
ans la direction du corps cellulaire, où il se mêle au plasma de la cellule . Ces matières ne sont pas non plus directement ti
s plus abondante et plus active là où se trouvent de grands amas de cellules nerveuses, dans la substance grise de l'écorce,
vaisseaux sanguins, en rapport avec l'intensité des échanges de ces cellules . Quant au mode de nutrition de la fibre nerveus
able que ces cylindraxes tirent leur matériel de nutrition de leurs cellules d'origine, non seulement cause de l'énorme distan
togénique, mais parce que le cou- rant de la nutrition va, dans les cellules nerveuses, de la surface THÉORIE DES NEURONES 3
Waller. On peut croire, en effet, que le prolongement nerveux d'une cellule , quelque éloigné qu'il soit de sa cellule d'origi
rolongement nerveux d'une cellule, quelque éloigné qu'il soit de sa cellule d'origine, en fait toujours partie et en dépend
rümpell, voient dans le noyau cellulaire le facteur trophique de la cellule , puisque, chez uneamibe sectionnée en deux ou p
faits rendent plausible l'existence de fonctions trophiques dans la cellule ; ils n'éclairent pas le mécanisme de cette influe
nt périphérique d'une fibre nerveuse devrait bien dégénérer, non la cellule nerveuse et le bout central du nerf. Marinesco
central du nerf. Marinesco soutient que l'activité trophique de la cellule nerveuse n'est point une activité purement auto
xacte que, quelques jours déjà après la section du nerf facial, ses cellules d'origine dans la moelle allongée su- bissent d
sent des altérations dégénératives. La destruction ultérieure de la cellule motrice dépend de la possibilité ou de l'impossib
t anatomique. Dans le cas de rétablissement du courant nerveux, les cellules 3-8 REVUE CRITIQUE. centrales se régénèrent.
ntrales se régénèrent. V. Lenhossék conclut donc que, « pour chaque cellule nerveuse, la connexion (Vea61ndung) normale avec
utre cellule-- est une condition d'existence » (p. 122). Dès que la cellule nerveuse, par suite de la séparation de l'organ
troubles de nutrition qui détermineraient directement la mort des cellules nerveuses séparées de leur prolongement nerveux.
t de cette désorganisation progressive, l'influence trophique de la cellule sur les autres neurones associés diminuerait natu
u prolongement nerveux qui détermineraient ces graves lésions de la cellule nerveuse. Quant au fait de l'abolition de la fonc
aralysies causées par des lésions du cerveau, on voit sou- vent les cellules des cornes antérieures persister longtemps en bon
al, l'état fonctionnel du neurone moteur direct, c'est-à-dire de la cellule motrice de la corne antérieure et de son prolonge
ce qui est inconciliable avec l'hypothèse d'une dégénération de la cellule nerveuse suivant, avec une nécessité absolue, l'a
rinesco et de Golds- cheider. Toutefois l'accord subsiste quant aux cellules des ganglions spinaux, l'hypothèse des excitati
hériques considérées comme nécessaires aux fonctions normales de la cellule étant en harmonie avec les fonctions propres de
s de la cellule étant en harmonie avec les fonctions propres de ces cellules . Quant aux cellules motrices, la cause ne doit
en harmonie avec les fonctions propres de ces cellules. Quant aux cellules motrices, la cause ne doit être cherchée ni dans
périphérique d'un nerf moteur, ce qui accélère la destruction de la cellule d'origine du nerf, c'est que les collatérales r
inuent, après comme avant, d'assaillir de leurs excita- tions cette cellule , alors qu'elle n'est plus capable de se décharger
n Lenhossék a donné récemment une descrip- tion de la structure des cellules des ganglions spinaux, provenant de la moelle é
elle épinière d'un supplicié 1 sain et jeune. Il distingue dans ces cellules dont il énumère plusieurs types, deux éléments :
om de tigroïdes (de ^typosiosç, tigré). Près de la périphérie de la cellule , apparaît une « couronne de granules marginaux
s à l'extérieur, et présentant un aspect réticulé. Dans les grosses cellules , le noyau est presque toujours environné d'un e
Il existe également, d'une manière cons- tante, à la périphérie des cellules moyennes et grosses, une zone marginale, d'envi
elles des amas de matière nutritive accumulés, emmagasinés dans la cellule (ces blocs dimi- nuent et disparaissent dans le
ossède le plus souvent 6 ta. Com- parés aux autpes noyaux, ceux des cellules des ganglions spinaux sont d'une structure plus
éveloppée. La membrane nucléaire est très nette. La grosseur de ces cellules , dont le diamètre varie de 25 à 120 g en longue
lité correspondants. Elles n'ont point de membrane spéciale. Chaque cellule possède une capsule de tissu connectif à l'inté
la capsule se continue dans la gaine de Henle du prolongement. Les cellules des gan- glions spinaux sont, chez l'homme, en
divise en une branche périphérique et en une branche centrale. Les cellules des ganglions spinaux de l'homme sont fortement
longement nerveux. Le pigment ferait défaut dans toutes les petites cellules . Il. Physiologie du neurone. Il est certain qu'
ites cellules. Il. Physiologie du neurone. Il est certain qu'aucune cellule nerveuse ne manifeste spontanément son activité
on protoplasma et de ses prolongements, son entourage immédiat, les cellules voi- sines, le plasma qui le baigne : voilà pou
sma qui le baigne : voilà pour le neurone le monde extérieur. Toute cellule nerveuse qui ne possède qu'un prolonge- ment ne
nerveux central, le courant d'excitation va du protoplasma de la cellule nerveuse des cornes antérieures au protoplasma de
ant nerveux du nerf optique, par exemple : l'excitation d'une seule cellule ganglionnaire de la rétine retentit sur plusieu
une seule cellule ganglionnaire de la rétine retentit sur plusieurs cellules centrales des tubercules quadrijumeaux antérieu
ns externes agissent ici directement sur le protoplasma d'une vraie cellule nerveuse, pourvue d'un prolongement nerveux fort
ONES 381 glomeruli olfactorii. Mais, au lieu d'influencer plusieurs cellules à la fois comme le font les fibres optiques, il
l s'entrelace simplement avec les dendrites descendants d'une seule cellule mitrale; souvent même plusieurs fibres olfactiv
me plusieurs fibres olfactives ne sont en rapport qu'avec une seule cellule mitrale. Quoi qu'il en soit, l'onde nerveuse, app
tion terminale de la fibre olfactive, se transmet aux dentrites des cellules mitrales, et, par l'intermédiaire du corps cell
s de pathologie expérimentale à l'existence de ces fibres, dont les cellules d'origine ne pouvaient être que dans les tuberc
ils occupent la couche moyenne de ces ganglions; ce sont de petites cellules fusiformes d'où sortent de longs dendrites, et
s, et dont proviennent, souvent à une distance consi- dérable de la cellule , les prolongements nerveux qui passent dans le
nales observées par Cajal sont bien celles de ces prolongements des cellules des tuber- cules quadrijumeaux; ces fibres doiv
nt à la nature de ces courants, ou à la nature des fonctions de ces cellules , selon van Gehuchten, elles transmettraient à l
optique. Ranioil y Cajal conjecture que ces fibres agissent sur les cellules de la couche ganglionnaire de la rétine, non pas
terminales des fibres centrifuges, qu'ils servent à transporter aux cellules ganglionnaires quelque excita- tion émanée des
it peut-être nécessaire pour le jeu fonctionnel de la connexion des cellules bipolaires. » Kahmmacber, se référant à d'ancie
n'en est pas moins également cellulifuge, toujours par rapport aux cellules d'origine. Il en est partout ainsi pour les monax
our les monaxones. En est-il de même ponr les diaxones ? Dans les cellules des ganzlions spinaux, les deux prolongements o
ral conduit seul le courant nerveux dans le sens cellulifuge, de la cellule du ganglion dans la moelle épinière; le prolong
de longs processus protoplasmiques, allant de la périphérie à leur cellule nerveuse d'origine ; peu à peu ils se seraient
rés, tous les nerfs sensibles sont formés par les prolongements des cellules des sens (Sinneszellen), situées dans le revêteme
xtérieur du corps, on aurait été autori-é à admettre que toutes les cellules centrales de ces animaux étaient de nature motric
ture motrice. On aurait ainsi pu soutenir que les prolongements des cellules cen- trales (Stammfortsàize), correspondant aux
z les crustacés (Retzius), mais chez les vers (Smirnow), à côté des cellules sensi- bles de l'épiderme ; il a donc été néces
e, dans les organes du système nerveux central des invertébrés, des cellules de sensibilité, cellules d'origine des fibres q
stème nerveux central des invertébrés, des cellules de sensibilité, cellules d'origine des fibres qui se ramifient dans la p
hez l'amphioxus (Retzius). Les ganglions spi- naux font défaut; les cellules sensitives siègent toutes dans la moelle. Il n'
r ses atborisations et le transmet à la THÉORIE DES NEURONES. 383 cellule dans la direction cellulipèle. Retzius vient de c
e. Retzius vient de confirmer la découverte de Smirnow : à côté des cellules d'origine, qui envoient vers les ganglions cent
s la cuticule des vers. de libres terminaisons ner- veuses dont les cellules d'origine n'ont pas encore été trouvées. A la p
été trouvées. A la place d'une seule-catégorie d'élémenfs nerveux ( cellules de Lenhossék), il en existe donc deux dans l'ép
es teimi- naisons nerveuses de Smirnow sont de nature sensitive Les cellules de Lenhossék pourraient appartenir à des organe
olongements nerveux ou cylindraxiles. La fibre sensitive qui, d'une cellule d'un ganglion spmal pénètre dans la moelle épin
s nerveux de la moelle épinière. Grâce à ces collatérales, chaque cellule d'un ganglion spinal peut déployer son activité s
s aux noyaux des cordons postérieurs. Le pro- longement nerveux des cellules mitrales présente des dispositions aiialo-ues.
ige dont ils proviennent. De même que les prolongements nerveux des cellules mitrales, les fibres sensitives distribuent leu
lules mitrales, les fibres sensitives distribuent leurs stimuli aux cellules pyramidales dont les dendrites ' G. Retzins. Di
s latérales des fibres motrices seraient donc de nature réceptrice ( cellules de Purkinje, cellules pyramidales de l'écorce c
motrices seraient donc de nature réceptrice (cellules de Purkinje, cellules pyramidales de l'écorce cérébrale). Elles appar
gique. Ces axodendrites se pourraient comparer aux collatérales des cellules motrices uni- polaires des invertébrés, lesquel
sont constitués par la même substance que le corps cellulaire de la cellule noveuse, il n'y a pas de raison pour lui attrib
stimuli nerveux, et, comme cette action s'exerce à la surface de la cellule et de ses prolongements protoplasmiques. force
ments nerveux, sont au contraire le siège d'amas considérables de cellules nerveuses et d'arborisations terminales de fibres
res ramifications cyliu- draxiles des axones ascendants, celles les cellules de Martinotti (1890). celles qui proviennent d'
ennent d'autres territoires de l'écorce, les bouquets terminaux des cellules pyramidales, les cellules ner- veuses de Cajal
s de l'écorce, les bouquets terminaux des cellules pyramidales, les cellules ner- veuses de Cajal avec leurs arborisations e
ents nerveux les grains, où montent les ramures protoplasmiques des cellules de Purkinje, dont les dendrites sont en contact
ts ner- veux, que s'élevaient les ramifications protoplasmiques des cellules nerveuses pour y quêter les matériaux de la nut
rch. ital.de biol., XIX, 1893, p. 453 sq.; Cf. Lug,,tro,, Siti, les cellules d'origine de la racine descendante du trijumeau.
nte du trijumeau. Ibid., XXIII, 1895, 78), à propos d'une espèce de cellules nerveuses centrales, globuleuses, à contours ne
s nets, de 60 à 80 p., différant com- plètement du type général des cellules nerveuses centrales, puisque les prolongements
si indiscrète : comment, avec le manque d'organes de nutrition, ces cellules adendritiques peuvent-elles se nourrir ? Après
ellement ces eehules d'origine du nerf pathétique, unipolaires, des cellules des ganglions cérébro-spinaux en général (gangl
tc.). Quant à la question de sovoir si l'unique prolongement de ces cellules , prolongement ner- veux à revêtement myélinique
ent myélinique, se comportait d'une manière z identique à celui des cellules de ces ganglions, s'il présentait la division e
it encore se prononcer à ce sujet. Pour K51liker, au contraire, ces cellules globuleuses étaient de véritables cellules multip
liker, au contraire, ces cellules globuleuses étaient de véritables cellules multipolaires; elles représentaient pour lui le
éritables cellules multipolaires; elles représentaient pour lui les cellules d'origine des fibres de la racine supérieure du
CRITIQUE. gnent, dit-il, l'épaisseur des fibres et la grosseur des cellules (HtH ! t<6. der Gewebelehre des Menschen, 18
à cet égard. Il croyait avoir enfin trouvé, dans l'existence de ces cellules dénuées, suivant lui, de dendrites, un fait cap
nuait à considérer les dendrites comme des organes trophiques de la cellule nerveuse. En effet, si confor- mément au princi
el- lules nerveuses, ne va plus du prolongement cylindraxile à la cellule , mais du prolongement protoplasmique à la cellule
cylindraxile à la cellule, mais du prolongement protoplasmique à la cellule , ce n'est rien de moins qu'une « révolution »,
indispensables pour la théorie, font défaut ici, puisque voici des cellules centrales sans prolongements protoplasmiques, com
Je ne peux me dispenser de faire observer, écrivait Golgi, que les cellules nerveuses spéciales dont j'ai reproduit plus ha
par le sel d'argent, dans un certain nombre de prépara- tions, des cellules d'origine et des fibres radiculaires du nerf pa
la racine supé- rieure et de la racine inférieure du trijumeau. Les cellules ner- veuses du noyau d'origne du nerf pathétiqu
ules ner- veuses du noyau d'origne du nerf pathétique sont bien des cellules unipolaires à prolongement nerveux unique. Quan
n des cellules unipolaires à prolongement nerveux unique. Quant aux cellules globuleuses voisines de la racine supérieure du
nombre de collatérales, les prolongements cylindraxiles de ces deux cellules nerveuses pénètrent dans la racine périphérique
nt dans la racine périphérique du nerf de la cinquième paire. « Ces cellules , conclut van Gehuchten, sont donc pourvues de p
nt cylindraxile. L'existence de prolongements protoplasmiques à ces cellules mérite d'être relevée d'une façon spéciale. Ell
erveux. D'ailleurs l'existence, dans le système nerveux central, de cellules uniquement pourvues d'un prolongement cylin- dr
olfactives n'entrent jamais en contact avec le corps cellulaire des cellules mitrales : elles s'arborisent dans les glomérules
lomérules, au milieu des ramifications des dendrites descendant des cellules mitrales : ces dendrites reçoivent donc bien di
trales des fibres optiques et les ramifications protoplasmiques des cellules du lobe optique des oiseaux qui emportent vers
Gehuchten). Enfin, nous avons vu que les prolon- gements axiles des cellules mitrales du lobe olfactif, au moins ceux de la
là où montent précisément les faîtes des bouquets dendritiques des cellules pyramidales, de manière que ces prolongements p
avec raison à ce fait une importance décisive, que dans beaucoup de cellules nerveuses le prolongement nerveux axile ne sort
e prolongement nerveux axile ne sort pas directement du corps de la cellule , mais d'un des rameaux de ses dendrites souvent
E. géant sous la forme d'onde (p. 140). Dans le protoplasma de la cellule nerveuse coexistent à la fois les conditions de l
s dendrites, sans exception, même chez ceux qui appartiennent à des cellules d'une autre catégorie que celle des moHaa;OH6S.
s cellules d'une autre catégorie que celle des moHaa;OH6S. Dans les cellules multipolaires et sans pro- longement nerveux ap
ifications sont en rapport avec les associations fonctionnelles des cellules nerveuses auxquelles elles sont indispensables po
f dans certaines régions du névraxe, dans celles où l'on trouve les cellules dePurkinje et les cellules mitrales en particul
névraxe, dans celles où l'on trouve les cellules dePurkinje et les cellules mitrales en particulier. « A quoi servent, écri
vent, écrit von Lenhossék, les dendrites si énormément nombreux des cellules de la moelle épinière, alors que les fibrilles
lle-ci. Du fait de l'exubérance des ramifications de la plupart des cellules nerveuses, chaque cellule peut entrer en contact
ance des ramifications de la plupart des cellules nerveuses, chaque cellule peut entrer en contact avec un nombre considéra
ne répondent qu'à certaines formes déterminées d'excita- tioii. La cellule est pour ainsi dire accordée pour des excitants
et le cervelet, il se produit des vacuoles dans le protoplasma des cellules , de la tuméfaction hyaline du protoplasma et qu
is la destruction du noyau. Le même phénomène se manifeste dans les cellules des ganglions intervertébraux. Dans le bulbe et
a moelle épinière, il existe un état vacuolaire à la périphérie des cellules . Dans tous les organes nerveux on observe la pr
raréfaction graduelle du protoplasma et du noyau dans toutes les cellules nerveuses et névrogliques. Les fibres nerveuses,
lle ou totale de l'épi- thélium de revêtement du canal central; les cellules épithéliales, noyau et protoplasma, se colorent
uses du cer- veau, du cervelet et du bulbe. Tuméfaction hyaline des cellules nerveuses de la moelle épinière. Cette étude
lésion certaine des racines posté- rieures : un peu d'atrophie des cellules de la corne antérieure. C'est vraisemblablement
ordons postérieurs, et sur la substance grise, spécialement sur les cellules des cornes antérieures. Ces lésions paraissent dé
onstater que ce ne sont pas seulement les faisceaux pyramidaux, les cellules des nerfs moteurs de la corne antérieure, les rac
que ceci de commun, que les fibres qui les composent proviennent de cellules de la substance grise et sont des fibres d'un c
LXXV. Méthode DE fixation permettant aussi bien la coloration DE LA CELLULE PAR LE PROCÉDÉ DE 111SSL QUE CELLE DU MANCHON DE
voie sen- sitive, dégénère principalement en direction caudale. Les cellules nerveuses de la substance grise qui avoisinent
ylindraxiles : il est très probable que les fibres nerveuses de ces cellules passent au côté opposé et se dirigent vers les ré
Cette méthode a sur les autres l'avantage de teinter seulement les cellules et leurs noyaux, indépendamment du fond de la p
nt 11111. Magnan, Mierzijewski et Men- del ? ou bien est-ce dans la cellule que s'installe primitivement la lésion, comme l
ale consiste en une prolifération nucléaire autour des artères. Les cellules ne s'altèrent que postérieurement. M. Ballet, r
distinguer une série de transformations par lesquelles passent les cellules , modifications, qui demeurent inaper- çues dans
complète des voies pyramidales sur toute leur étendue. L'examen des cellules de la moelle, d'après la méthode de Nissl (avec
) a donné des résultats très intéressants. En effet, tandis que les cellules des cordons postérieurs et des ganglions interver
n que la substance chromatophile se trouvât tout de même dans les cellules dans un état de solution. Dans les cellules, trai
t tout de même dans les cellules dans un état de solution. Dans les cellules , traitées par la méthode de Golgi, on voit des
, démontrent l'analogie parfaite qui existe dans la struc- ture des cellules des cornes antérieures dans les deux cas : les
ième mois de la vie intra-utérine. On peut donc en conclure que les cellules des cornes antérieures, dans tous les trois cas p
able à l'absence des voies pyramidales, lesquelles exercent sur ces cellules une influence tonifiante. Chez les em- bryons à
nifiante. Chez les em- bryons à développement normal les fibres des cellules pyrami- dales de l'écorce atteignent les cellul
al les fibres des cellules pyrami- dales de l'écorce atteignent les cellules motrices des cornes anté- rieures de la moelle
tième mois, et de cette époque date la formation' définitive de ces cellules . La communication de M. Solovtzow était accompa
térieurs et latéraux; les lésions diminuent vers la périphérie. Les cellules des cornes antérieures et latérales montrent un
inexact. -1f. RossoLmo croit que l'examen delà fine struc- ture des cellules du système des fibres cérébelleuses pourrait pro-
vigoureusement teintés par les colorants; ces noyaux fcnt partie de cellules dont le proto- plasma doit être très fragile et
inaires, il est impossible de distinguer ce qui appartient à chaque cellule . Par points, il semble qu'on pourrait penser que
qu'on pourrait penser que plusieurs noyaux appartiennent à la même cellule , parce qu'ils se groupent ou s'alignent; mais e
al épendymaire n'est nulle part normal; à sa place est une nappe de cellules à noyau vigoureusement coloré; cette nappe devi
encore, semées de distance en distance, des lignes concentriques de cellules semblab'es; dans l'intervalle de ces lignes est
nous n'avons vu de cavité. Mais ce qui frappe, c'est que, entre ces cellules épend\- maires en surproduction, les cellules n
c'est que, entre ces cellules épend\- maires en surproduction, les cellules néoplasiques du centre de la moelle, au niveau
connectif le sépare du voisin. Dans l'intérieur du lobule sont les cellules néoplasiques, mais alors orientées et de deux f
e orientation rayonnée, ou bien d'une orientation à tourbillon. Les cellules n'ont pas modifié les caractères de leur noyau
ect granuleux, manquant de contour. A la périphérie des lobules les cellules et leurs noyaux UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE.
, les plus étendus en général, paraissent dépourvus de noyaux et de cellules et ne plus être constitués que par un feu- trag
uand ou observe une racine envahie par la néoformation, on voit les cellules s'infiltrer de préférence dans le périnèvrr, le d
la corne antérieure qui consistent en la transformation des grandes cellules pyramidales en bloc granu- leux, sombres, pirif
hauteur on ne trouve la pie-mère intégralement res- pectée par les cellules néoplasiques, qui y font toujours des traînées
us les niveaux, aussi nous avons observé cette réaction du côté des cellules épendymaires sur laquelle nous avons insisté to
la pupille parles partisans de l'origine médullaire. Ace niveau les cellules nerveuses étaient sûrement complètement annihil
ment ou en totalité, une texture fibrillaire; dans ces derniers les cellules diminuant de nombre et finissant même par dispa
si nous n'avons pas là un artifice de préparation, si la chute des cellules dans ces zones que nous regardons comme fibrill
eur qui ailleurs ne nous apparaît pas à cause de l'abon- dance des. cellules . Les manipulations multiples qui rendent encore
aux antérieurs, de chaque côté de la ligne médiane, et renferme des cellules moyennes multipolaires. A ce noyau viennent s'a
iers anté- rieur de ce noyau, on aperçoit un noyau médian à grosses cellules ; - sa partie externe et supérieure, on trouve u
maux. A. FENAYROU. LXXXIII. DES LÉSIONS histologiques FINES DE la CELLULE nerveuse DANS LEURS RAPPORTS AVEC LE DÉVELOPPEM
xine. Les lésions histologiques constatées par eux dans les grandes cellules des cornes antérieures de la moelle à la suite
ttre que, tant que les contractures persistent, des altérations des cellules sont appréciables, et qu'il n'y a pas de tétano
elle s'effectue la com- louaison de la toxine et des éléments de la cellule nerveuse. Lorsque cette combinaison est faite,
écrit, celui de la deuxième frontale. » A. FENAYROU. LXXXVI. LES cellules DES olives inférieures : par 0. KHXKE. (Neui,ol
lb. XVI. 1897.) La méthode de Nissl montre bien qn'il y a entre ces cellules une légère différence quant à leur volume et à
formes, d'aucunes polygonales. Maisla fine structure du corps delà cellule est la même dansles cellules de l'olive et de l'o
es. Maisla fine structure du corps delà cellule est la même dansles cellules de l'olive et de l'olive accessoire de l'homme,
du corps, du noyau, du nu- cléole, du pigment. Dans le corps de la cellule on voit des fils bleus qui semblent continuer c
uelques petits endroits clairs, tranche toujours sur le reste de la cellule . Dans quelques cellules, le noyau est francheme
clairs, tranche toujours sur le reste de la cellule. Dans quelques cellules , le noyau est franchement séparé du corps de la
s quelques cellules, le noyau est franchement séparé du corps de la cellule par un encadrement bleu foncé net. P. 11ERAVAL.
ule quadrijumeau supérieur, à l'endroit où ce dernier possède des cellules vésiculiformes qui donnent naissance à la racine
u; quelques-unes entrent dans le noyau moteur et se distribuent aux cellules de ce dernier. 4° La lésion du cer- velet tout
n de bleu de méthylène de Vissl ou développera les granulations des cellules et l'on pourra combiner le traitement à l'éosin
ieu le 5 mai. Les candidats ont eu à traiter la question suivante : Cellules nerveuses de l'écorce cérébrale, anatomie et phy-
issaud, 485. Alcool. Lésions produites par l' - éthylique sur les cellules ner- veuses, par Berkley, 321. Alcoolique. Al
llules ner- veuses, par Berkley, 321. Alcoolique. Altérations des cellules nerveuses dans l'intoxication - aigue, par De
le et psychique, par Lountz, 8f. - psychique, par Lé- pine, 21. Cellules nerveuses. Méthode pour faire pataitreles-granu
olorai ion. Méthode de - ries pro- longements protoplasmiques des cellules de Purhtuje, par Uonco- roni, 216. Méthode de -
48. Noyaux des nerfs, par de Bechterew, 479. Olives inférieures. Cellules des , par Klinke, 486. Optique. Entrecroiseme
13 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
des lésions exclusivement bornées, par exemple, à certains groupes de cellules nerveuses, à certains faisceaux de fibres? Il est
plus grande précision ; elle nous permet de constater quel groupe de cellules , quels faisceaux de fibres nerveuses ont été irri
e altération occupant le même siège, mais dans laquelle la lésion des cellules nerveuses s'o-père non plus suivant le mode aigu,
corne grise du côté droit était manifeste-ment atrophiée. Les grandes cellules motrices présentaient des altérations profondes ;
substance grise, et peuvent être suivis jusqu'à ce groupe externe des cellules nerveuses motrices. C'est vraisemblablement par l
tions entre les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures. —
res internes issus des racines posté-rieures et le groupe externe des cellules nerveuses multipo-laires des cornes antérieures.
ui peuvent s'établir, à l'aide des prolongements cellulaires, soit de cellule à cellule, soit entre les cellules et les tubes n
s'établir, à l'aide des prolongements cellulaires, soit de cellule à cellule , soit entre les cellules et les tubes nerveux, ta
prolongements cellulaires, soit de cellule à cellule, soit entre les cellules et les tubes nerveux, tant des racines antérieure
Parmi les prolongements qui partent, en nombre variable, des grandes cellules ner-veuses des cornes antérieures, il en est un,
des cornes antérieures, il en est un, vous le savez, qui, dans chaque cellule , se distingue entre tous par des caractères anato
anatomiques bien tranchés. Très fin, très délié à son origine dans la cellule , ce prolongement s'épaissit peu à peu, sans se ra
ments de protoplasma), ils se ramifient bientôt après avoir quitté la cellule , et les ramifica-tions ainsi produites se subdivi
faisceaux radiculaires postérieurs entreraient en connexion avec les cellules nerveuses des cornes antérieures l. Il y a loin d
sque mathématique avec laquelle certains auteurs font communiquer les cellules 1 Gerlach. — In Stricker's Handbuch, t. II, p.
, dans les nerfs optiques, on trouve, comme l'a signalé M. Leber, des cellules conjonctives étoilées et un réticulum fibroïde. J
comprenant le sarcome fuso-cellu-laire et le sarcome médullaire ou à cellules rondes ; — 2° le psammome ou tumeur arénacée, qui
ompose de petits amas calcaires arrondis ou mûriformes, enveloppés de cellules accolées les unes aux autres et qui rappellent, p
cornes de substance grise où l'on ne retrouvait qu'un petit nombre de cellules nerveuses intactes. Cependant, ces conditions, en
ux (centripètes), ces impressions seraient transmises par la voie des cellules ganglionnaires, liées entre elles par leurs prolo
iques et celle qui dépend d'une lésion de la moelle. — Altération des cellules nerveuses mo-trices et tumeurs de la moelle, caus
isons qui tendent à démontrer que la lésion primitive réside dans les cellules nerveuses. 1. Messieurs, Je veux appeler vo
ments bien déterminés de la substance grise, à savoir : Yappareil des cellules nerveuses dites motrices, lesquelles, comme vous
-matiquement aux régionsde lasubstance grise occupées par les grandes cellules motrices, dont elle détermine l'atrophie et même
alité ou dont on ne retrouve que des fragments ; d'un autre côté, des cellules adipeuses s'amassent en dehors du sarcolemme dans
qué la diminution de nombre et de volume qu'avaient subie les grandes cellules motrices, altération qu'on peut cependant très ne
omptes rendus delà Société de Biologie, 1864, p. 187. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infantile a
té communiqué à la Société de biologie par M. Prévost, la plupart des cellules avaient disparu dans la corne antérieure du segme
eures, la disparition ou l'atrophie granuleuse d'un certain nombre de cellules nerveuses motrices et, en outre, l'existence de p
sur les points les plus sérieusement affectés, des groupes entiers de cellules avaient disparu sans laisser de traces. Presque t
scléreuse au voisinage immédiat et jusqu'à une cer-taine distance des cellules lésées, mais il était des points — et 1 Société
st là un fait qu'il convient de faire ressortir — où cette lésion des cellules était la seule altération que l'examen histo-logi
fondement, nous nous sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules nerveuses motrices, qui se trouve déjà mentionnée
entrer dans une discussion en règle à propos du rôle que je prête aux cellules nerveuses motrices dans la production des lésions
— B, corne antérieure droite — b, noyau ganglionnaire médian dont les cellules sont détruites et qui est représenté par un petit
e ovalaire très cir-conscrit qui correspond à un groupe ou agrégat de cellules motrices (Fig. 9). Comment concevoir que cela pui
iser exactement cloués de fonctions propres, comme sont les grandes cellules nerveuses dites motrices? C'est ainsi que, suivan
s, l'altération d'un certain nombre, voire même d'un groupe entier de cellules nerveuses, est la seule lésion que l'examen histo
t se montrer plus accusées vers les parties centrales d'un agrégat de cellules nerveuses que dans les parties périphé-riques ; b
iques ; beaucoup plus accentuées également au voisinage im-médiat des cellules que dans les intervalles qui les séparent ; de te
ise. Il nous paraît évident, d'après tout ce qui précède, que les cellules nerveuses motrices sont bien réellement le siège
us morbide aux faisceaux antéro-latéraux. La lésion en question des cellules nerveuses, à en juger d'après le caractère des al
igner. De même, en effet, que cela arrive pour les tubes nerveux, les cellules nerveuses irri-tées s'atrophient et, au dernier t
ivant moi, seraient un fait secon-daire, consécutif à l'affection des cellules nerveuses. Dans les cas de date ancienne, elles c
out cela ne vient infirmer la théorie d'après laquelle f appareil des cellules nerveuses motrices serait le premier foyer et com
pêLrière, M. Petit/ils, travail ayant pour titre : Atrophie aiguë des cellules nerveuses. (J.-M. C.) et 15 ans 1/2), ils élabl
à quelques égards cependant au point de vue anatomo-pathologique. Les cellules mo-trices étaient profondément altérées dans les
res, les foyers limités ayant fait disparaître des groupes entiers de cellules nerveuses et produit l'épaississement fibroïde du
lus précisément, dans la région de ces cornes qu'occupent les grandes cellules ganglionnaires, dites motrices. Rien, jusqu'ici,
ment circonscrits, que, dans le renflement lombaire, par exemple, ces cellules forment en s'agrégeant {fig. 9). Ce sont là, pour
rtout, présentent 1 Ces vues, relatives au rôle de l'altération des cellules nerveuses des cornes antérieures dans la pathogén
othèse très vraisemblable, que le processus morbide occupe d'abord la cellule nerveuse, pour se propager ensuite à lanévroglie.
nt servi à nos études, consiste, en général, pour ce qui concerne les cellules nerveuses, en une atrophie scléreuse plus ou moin
tion vasculaire surtout marquée au voi-sinage immédiat des groupes de cellules nerveuses. Ces observations établissent — comme
à la périphérie, les lésions trophiques musculaires les Fiq, 10. — Cellules nerveuses des cornes antérieures de la moelle épi
pigmentaire. — D, altération pigmentaire arrivée au dernier terme.—E, cellule atteinte d'atrophie scléreuse. — F, altération va
l'état normal et comme contournés. J'ai comparé cette altération des cellules nerveuses de la moelle épinière à l'hypertrophie
et Damaschino, c'est que, dans ses premières phases, l'altération des cellules nerveuses est marquée par une atrophie avec pigme
st ici le lieu de rappeler les principaux modes d'altération dont les cellules nerveuses des cornes grises antérieures de la moe
mier lieu, la tuméfaction, souvent énorme, que subis-sent parfois ces cellules et que j'ai le premier reconnue, je crois, du moi
connue, je crois, du moins 2° Quelques auteurs ont décrit, dans les cellules nerveuses de l'encéphale, une multiplication des
essus irritatif. M. Leyden dit avoir fait la même observation sur les cellules ganglionnaires de la moelle. Mais il importe de r
le système du grand sympathique, la présence de deux noyaux dans une cellule nerveuse est un fait rare sans doute, mais qui se
e d'un processus irritatif; on ne connaît pas une prolifération de la cellule nerveuse correspondant à la prolifération des * l
tif par exemple. En somme, les altération" diverses que subissent ces cellules par le fait de l'inflammation, à part le gonfleme
E.). 3° Je signalerai, en passant, l'altération dite vacuolaire des cellules ner-veuses des cornes antérieures. Je l'ai mainte
les. C'est un fait normal, pour ainsi dire, dans l'Age sénile que ces cellules soient remplies et distendues par une quantité so
s plutôt rapporter, pour une part, à cette mo-dification sénile de la cellule , l'affaiblissement moteur et les altérations des
de la vie? Quoi qu'il en soit, l'accumulation de pigment, dans une cellule nerveuse spinale, ne suffit pas, à elle seule, qu
en décrit toutes les phases; au premier degré de cette altération, la cellule dimi-nue de volume et la partie transparente du c
t grêles. Enfin, au der-nier degré, ils disparaissent. Le noyau de la cellule subit une atrophie conco-mitante. Cette atrophie
Cette atrophie pigmentaire, qui conduit à la destruction totale delà cellule , se montre liée à des processus irritatifs primit
re (Fig. 10, C, D). 5° Enfin, une dernière forme d'altération de la cellule nerveuse motrice est celle que l'on désigne quelq
ne quelquefois sous le nom de sclérose ou i¥atrophie sclé-reuse. — La cellule a diminué de volume, quelquefois considérablement
osée dans le temps, relativement à l'enchaînement des phénomènes. Les cellules nerveuses seraient le premier siège et le point d
rieures. Tandis que, sous l'influence de cette incitation morbide, la cellule subit les diverses phases d'atrophie capables d'a
uence toute simple de la désorganisation dont souffre l'appa-reil des cellules nerveuses motrices. De cette même lésion des élém
elle intéresse les cornes grises antérieures et, par conséquent, les cellules motrices, mais elle ne s'y limite point, et elle
ologique de la paralysie infantile, relè-vent de l'atrophie aiguë des cellules nerveuses motrices. 1 Charcot. — Leçons sur les
e. — Amyotrophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses motrices cbt ici consécutive: elle se s
moelle: altération limitée aux cornes antérieures de substance grise ( cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines nerv
de substance grise et plus expli-citement l'altération atrophique des cellules molrices de la région. Nous trouvons en quelque s
ent limitée aux cornes grises antérieures ; l'alté-ration des grandes cellules nerveuses étant d'ailleurs une condition nécessai
léropathiques. Ici, en effet, la lésion des cornes antérieures et des cellules nerveuses est nécessairement présente aussi, mais
ir sur la substance grise antérieure et d'y déterminer l'atrophie des cellules motrices. Pour ne parler que des faits dans les
égard les conclusions de travaux français. (.T.-M. GharcoO. que les cellules nerveuses motrices subissent des altérations plus
Bd. rieures de la substance grise, et plus particulièrement sur les cellules nerveuses de la région, en conséquence de quoi le
trophie musculaire protopathique. — A, Corne antérieure gauche. ('Les cellules nerveuses ont persisté, mais présentent des altér
atives.) — B, Corne antérieure droite. (Atrophie presque complète des cellules ner-veuses, un seul petit noyau ganglionnaire (6)
ne réduction dans tous ses diamètres (Fig. 11). Pour ce qui est des cellules nerveuses, ce sont tantôt les ca-ractères de l'at
nt en abondance exclusivement dans l'aire des cornes antérieures. Les cellules nerveuses motrices présentent là tous les degrés
ntaire. Sur les coupes durcies, on retrouve cette même altération des cellules nerveuses. Beaucoup d'entre elles ne sont plus re
de la moelle, mais surtout ù la région cervicale, un grand nombre de cellules nerveuses des cornes antérieures ont disparu, à l
pensable — et l'on ne mentionne pas d'une manière spéciale l'état des cellules des cornés antérieures. Nous croyons devoir rappe
épinière peut, a l'œil nu, paraître tout à t'ait saine, alors que les cellules nerveuses de la substance grise ont subi cepen-da
es datent d'une époque (de 1838-1867), où le rôle de l'altération des cellules nerveuses mêmes n'avait pas encore été mis en lum
pas encore été mis en lumière, et nulle part l'état anatomique de ces cellules ne ?e trouve explicitement mentionné. — Je ferai
janvier 1857. à proposer : c'est que le travail irritatif, dont les cellules sont le siège, se transmet, par la voie des racin
aires nouvellement for-més, quelques-uns prennent le développement de cellules avec protoplasma, mais c'est le cas le plus rare.
la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise ( cellules nerveuses motrices, névroglie), dans la moelle et
mêmes parties renferment, à l'état normal, une certaine proportion de cellules chargées de granulations graisseuses qui représen
mme dans le premier cas, elles portent et sur la névroglie et sur les cellules nerveuses motrices qui sont en plus ou moins gran
al et même du facial. Or, pour ne parler que du premier, les gran-des cellules multipolaires qui le composent et qui ont, au poi
ont, au point de vue morphologique, tant d'analogie avec les grandes cellules motrices de la moelle, se montrent atrophiées ou
de l'hypoglosse composé d'une agré-gation d'une trentaine de grandes cellules multipolaires. — V, un vaisseau qui circonscrit e
rose latérale amyotrophique. On voit qu'il existe à peine cinq ou six cellules nerveuses intactes dans l'aire du noyau de l'hypo
nt à l'égal de ceux des membres, en consé-quence de l'altéra-tion des cellules du noyau de l'hypo-glosse. La langue, cependant,
re l'existence de la sclérose la-térale symétrique, avec atrophie des cellules nerveuses motrices dans les cor-nes antérieures à
travail inflammatoire, et sur ces points un grand nombre des grandes cellules ner-veuses motrices avaient subi une atrophie trè
de ces racines jusqu'aux cornes grises antérieures, où les groupes de cellules nerveuses subissent consécutivement des altératio
imparfait, des lésions très délicates, telles que sont l'atrophie des cellules motrices 1 Duchenne (de Boulogne). — Electrisat
ni déformées. La névroglie y avait sa transparence accoutumée et les cellules motrices, en nombre normal, n'offraient, dans les
ions musculaires dans ce cas ne rele-vaient point de l'altération des cellules nerveuses des cornes antérieures ou des racines n
taient manifestement atro-phiées ; en outre, un bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices, présentaient une atrophie plu
ique des cordons latéraux se combine avec l'atrophie pro-gressive des cellules nerveuses des cornes antérieures. Sans doute, l
à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules nerveuses motrices. Rien, à mon sens, n'est moins
rand axe des faisceaux musculaires, sont entremêlées souvent avec des cellules embryo-plastiques en assez grand nombre. L'inte
ellules embryo-plastiques en assez grand nombre. L'interposition de cellules adipeuses entre ces fibrilles mar-quent une phase
e tissu conjonctif. — M, M, Coupes des faisceaux musculaires. — G, G, Cellules adipeuses. montre la majeure partie depa surfac
s. montre la majeure partie depa surface des coupes occupée par des cellules adipeuses, presque partout contiguës, tassées les
lysie pseudo-hypertro-phique (deuxième période du processus morbide). Cellules adipeuses partout conti-guës et que la pression r
és de leur enveloppe fibril-laire et mis en rapport immédiat avec les cellules du tissu adipeux. — Les faisceaux musculaires, mê
és de leur enveloppe fibrillaire et mis en rapport im-médiat avec les cellules du tissu adipeux (Fig. 28). En somme, la substi
s très profondes de la substance grise centrale et en particulier des cellules nerveuses mo-trices, et, par conséquent, on est e
che pas que, dans aucun de ces cas, la non-existence d'une lésion des cellules nerveuses des cornes antérieures ait jamais été r
'on sait que dans les deux cas, si l'altération porte sur les grandes cellules motrices, il s'en suit forcément la production d'
elle évolue suivant le mode chronique. Les cornes grises antérieures ( cellules nerveuses motrices) et les zones radiculaires ant
respiration, 25 et 26e leçons. Paris, 1870. Sur la tuméfaction des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tub
se, tantôt légèrement allongée, de protoplasma. Quel-ques-unes de ces cellules rudimentaires renferment deux noyaux. Sur les vai
Le réticulum de la névroglie n'est épaissi nulle part, seule-ment les cellules conjonctives étoilées sont manifestement plus vol
s qu'à l'état normal ; quelques-unes renferment deux gros noyaux. Les cellules conjonc-tives ne se montrent pas plus volumineuse
amètre des cylindres d'axe ne va guère au delà du chiffre normal. Les cellules nerveuses de la substance grise n'ont paru présen
ombreux qu'à l'état normal. On trouve sur quelques préparations des cellules nerveuses fortement pigmentées, mais n'offrant d'
mensurations comparatives, on croit recon-naître qu'un bon nombre de cellules nerveuses motrices, dans les diverses régions de
oelle, ont augmenté de volume. Quoi qu'il en soit, ce gonfle-ment des cellules est beaucoup moins prononcé et moins faci-lement
tions pig-mentaires et des masses arrondies offrant l'apparence d'une cellule et renfermant ces agrégats de globules sanguins.
eure gauche de la substance grise, au voisinage du foyer sanguin, les cellules neigeuses multipolaires. Ainsi, tandis que les pl
cellules neigeuses multipolaires. Ainsi, tandis que les plus grosses cellules de la corne droite mesurent en moyenne, dans leur
rnières ont encore un diamètre qui mesure 0 mm-, 056. D'ailleurs, les cellules tuméfiées ne sont pas seulement plus vofumineuses
'excès et leurs parois sont comme bosselées. Les prolongements de ces cellules n'offrent plus, eux-mêmes, leur gracilité habitue
s sont épaissis et tortueux. La sub-stance qui constitue le corps des cellules ainsi altérées, se colore d'ailleurs fortement pa
es cylindres d'axe, décrite dans ces observations, et aussi celle des cellules ner-veuses, ne doivent pas être considérées seule
nflement que présen-tent fréquemment divers éléments anatomiques, les cellules épithéliales glandulaires, les capsules des carti
ouillés de leur enve-loppe de myéline. 11 n'est guère douteux que les cellules ner-veuses tuméfiées puissent éprouver, elles aus
queuse du prolongement axile ( Hauptaxencylinder Forsatz) des grandes cellules nerveuses de la couche cor-ticale du cervelet, ch
arois vasculaires, sur les éléments du tissu inter-stitiel et sur les cellules nerveuses. Etat des vaisseaux. — D'une façon gé
nis dans une masse commune de protoplasma ; tantôt des amas de jeunes cellules plus complètement développées. (Pl. VII, fi g. 6,
) et enfin par l'abondance insolite du tissu fîbrillaire. Quant aux cellules nerveuses, elles ont en grande partie disparu. On
sont les caractères du processus qui préside ici à la destruction des cellules nerveuses. A la région lombaire, la substance d
ire, la substance des cornes antérieures est relativement saine ; les cellules nerveuses y sont abondantes, la plupart semblent
ant ; à ce niveau, on constate la disparition à peu près complète des cellules nerveuses et de la plupart des tubes à myéline qu
s tubes à myéline apparaissent de nouveau ; on distingue çà et là des cellules nerveuses reconnaissables ; quelques- unes, deu
eures sont saines. Le noyau de i'hy-poglosse est rempli de nombreuses cellules assez fortement pig- méritées, mais de volume n
in, et cette dernière raison a une grande importance, on retrouve des cellules nerveuses en voie de destruction à la région lomb
la région cervicale, par exemple, de même qu'à la région dorsale, les cellules nerveuses sont en-core profondément altérées, alo
sseaux, multiplication des noyaux des capillaires, pro-lifération des cellules de la névroglie, sclérose des faisceaux blancs da
lite parenchymateuse chronique. Quanta la pigmentation exagérée des cellules nerveuses, bien que ce ne soit pas là un fait néc
e avec rigidité des membres inférieurs. — Atrophie ou disparition des cellules nerveuses des cornes anté-rieures aux régions cer
régions cervicale et dorsale. — Au bulbe, atrophie et destruction des cellules nerveuses du noyau de l'hypoglosse, atro-phie des
é d'atrophie qu'ont subi, dans les cornes antérieures, la plupart des cellules nerveuses, frappe tout d'abord ; il est évident,
tout d'abord ; il est évident, en outre, qu'un certain nombre de ces cellules ont disparu sans laisser de traces. Ce sont surto
ces cellules ont disparu sans laisser de traces. Ce sont surtout les cellules du groupe interne ou antérieur qui ont subi les a
ieur qui ont subi les altérations les plus profondes ; là, toutes les cellules qui ont persisté sont plus ou moins atrophiées, t
s dimen-sions et tous les autres caractères de l'état sain. Parmi les cellules atrophiées, les unes bien que 6 ou 7 fois plus pe
canal central. Ce dernier était complètement oblitéré par un amas de cellules épithéliales. Dans l'épaisseur de la commissure
gion cervicale : comme dans celle-ci, bien qu'à un degré moindre, les cellules des cornes antérieures étaient atrophiées, réduit
tres régions de la moelle ; elle occupe d'ailleurs le même siège. Les cellules des cornes antérieures sont presque en nombre nor
dessous, nous avons pu constater, delà manière la plus nette, que les cellules des noyaux d'origine de Vhypoglosse, dans toute l
altération rappelait exactement celle qui a été signalée à propos des cellules des cornes antérieures de la moelle, aux régions
ion est volumineux et bien limité de toutes parts, de 40 à 50 grandes cellules tripolaires ou quadripolaires ; par contre, sur l
la même région, on ne pouvait reconnaître que 3 ou 4, au plus, de ces cellules qui fussent à peu près intactes ; les autres avai
n outre, que les tractus délicats (pro-bablement des prolongements de cellules ) qui, dans l'état normal, se croisent et s'entr
roisent et s'entre-croisent en mille directions dans l'intervalle des cellules , s'étaient ici complètement effacées ; et l'on ne
aient ici complètement effacées ; et l'on ne trou-vait plus entre les cellules qu'une masse amorphe, finement gre-nue ; enfin le
immédiatement en dehors du noyau de l'hypoglosse, le petit groupe de cellules que Clarke rattache aux origines inférieures du f
s que Clarke rattache aux origines inférieures du facial ; toutes ces cellules étaient saines et nous ont paru en nombre normal.
on rencontrait le noyau d'origine du pneumogastrique. La plupart des cellules du groupe étaient in-tactes ; un petit nombre seu
anal central, on retrouve les noyaux de l'hy-poglosse. Là encore, les cellules sont atrophiées ou dégénérées. En arrière et de c
étudier les noyaux du spinal ; ils présentent tous les deux quelques cellules qui ont subi la dégénération jaune ou la pigmenta
la pigmentation noire et qui sont en même temps déformées. Les autres cellules de ces noyaux sont normales. Coupe faite au-des
la moelle et des pyra-mides antérieures dans le bulbe. — Atrophie des cellules des cor-nes antérieures de la moelle. — Atrophie
out très prononcée dans celui du nerf hypoglosse ; à côté de quelques cellules demeurées saines, on peut observer dans les autre
ents autres nerfs de la région, sont moins profondément atteints. Les cellules y sont en nombre considérable, et si quelques-une
isolés de la substance centrale contiennent une notable proportion de cellules dégénérées. Moelle. La moelle est le siège d'al
t à peine si on peut évaluer à un cinquième du nombre total celui des cellules épargnées, à la région lombaire, plus de la moiti
ve au travail morbide ; et l'on peut voir, sur toutes les coupes, des cellules réduites à quelques granulations pigmentaires, au
es altérations sont concentrées et encore n'occupent-elles là que les cellules nerveuses, car, ici encore, la névroglie est norm
es peu évidentes de multiplication des noyaux. Quelques-unes de ces cellules nerveuses ont conservé tous les caractères de l'é
pourvues encore de leurs prolongements longs et déliés qui, comme la cellule elle-même, se colorent vivement et unifor-mément
u'elles renferment souvent à l'état normal ne s'est pas accrue. Les cellules qui offrent le premier degré de l'altération se r
e d'amas et ne subissant pas l'influence du carmin. Les parties de la cellule qui n'ont pas été envahies par le pigment se colo
mme flétris, ou mieux ils ont complètement disparu. En même temps, la cellule diminue de volume, elle tend à perdre ses contour
e forme globuleuse. A un degré plus avancé du processus morbide, la cellule , amoin-drie encore dans toutes ses dimensions, ab
dant où ce dernier persiste encore; c'est alors la seule partie de la cellule qui ait conservé la pro-priété de se colorer par
Enfin, on trouve çà et là, sur des points autrefois occupés par une cellule , les granulations jaunes désagrégées, disséminées
uve plus la moindre trace du noyau ou du nucléole. L'altération des cellules ganglionnaires est uniformément répan-due sur tou
ntérieures ; elle ne s'attache pas spécialement à certains groupes de cellules , de telle sorte que les cellules saines et les ce
s spécialement à certains groupes de cellules, de telle sorte que les cellules saines et les cellules, malades à divers degrés,
ns groupes de cellules, de telle sorte que les cellules saines et les cellules , malades à divers degrés, sont partout entremêlée
lules, malades à divers degrés, sont partout entremêlées. Les petites cellules des cornes posté-rieures n'ont paru présenter auc
de la même région d'une moelle saine, ont montré ce qui suit : Les cellules , qui ont conservé la propriété de se colorer par
toute leur étendue (cellulessaines), ont les mêmes dimensions que les cellules de la préparation normale ; toutes les cellules q
es dimensions que les cellules de la préparation normale ; toutes les cellules qui ont perdu leurs prolongements sont atrophiées
es provenant des régions dorsale et cervicale. — Les altéra-tions des cellules sont les mêmes qu'à la région lombaire, plus acce
baire, plus accentuées seulement, surtout au renflement cervical. Les cellules de la colonne vésiculaire sont altérées au même d
sent en tous cas gorgés de globules sanguins. La majeure partie des cellules (les deux tiers environ) offrent, à tous les degr
e plus haut, à propos des diverses régions de la moelle épinière. Les cellules altérées sont disséminées partout et mêlées aux c
pinière. Les cellules altérées sont disséminées partout et mêlées aux cellules saines ; elles n'occupent pas un lieu de prédilec
et en dehors du noyau de l'hypoglosse, on peut étu-dier le groupe de cellules d'origine du spinal. Celles-ci, pour la plupart,
du noyau. On sait qu'à l'état normal il existe, en ce point, quelques cellules plus ou moins pigmentées, mais le nombre en est a
lus restreint. b) Coupe faite à la partie moyenne des olives. — Les cellules des circonvolutions de l'olive n'offrent pas d'al
ypoglosse à ce niveau sont, au contraire, lésées en grand nombre. Les cellules d'origine du pneumogastrique ne paraissent pas au
etit groupe cellulaire que L. Clarke rattache au noyau du facial. Les cellules de ce groupe paraissent remarquablement petites e
tiquée un peu au-dessus de la précédente, permet de constater que les cellules d'origine du glosso-pharyngien ne sont pas sensib
ion sensitive (?), d'après Stilling), fait voir qu'un grand nombre de cellules du fasciculus 1er es et un petit nombre de cellul
n grand nombre de cellules du fasciculus 1er es et un petit nombre de cellules du trijumeau, pré-sentent tous les caractères de
altération qui, d'une façon pour ainsi dire systématique, occupe les cellules ner-veuses, non seulement dans toute la hauteur d
e et du facial. Dans la moelle épinière, elle est limitée aux grandes cellules nerveu-ses des cornes antérieures, cellules dites
e est limitée aux grandes cellules nerveu-ses des cornes antérieures, cellules dites motrices ; les cellules des cornes postérie
ules nerveu-ses des cornes antérieures, cellules dites motrices ; les cellules des cornes postérieures ne paraissent pas être af
que ce processus morbide, quel qu'il soit, a affecté primitivement la cellule ; il ne lui a pas été communi-qué du dehors. En e
qué du dehors. En effet, le réticulum qui entoure de toutes parts les cellules nerveuses malades n'offre pas d'autre altéra-tion
ait être tenté de supposer que le point de départ de l'altération des cellules ganglionnaires doit être cherché en de-hors des c
en particulier de l'hypoglosse, n'a pas d'influence marquée sur leurs cellules d'origine. Or, on a vu que, dans le cas qui nous
sés. De tout ceci, il est, pensons-nous, légitime de conclure que les cellules gan-glionnaires ont été, dans le bulbe et dans la
s, dont il vient d'être question des altérations que présentaient les cellules nerveu-ses dans les diverses régions de la moelle
s absolument rien concernant la na-ture et l'origine de la lésion des cellules nerveuses. Il est en-core bien d'autres desiderat
ue des muscles? Nous ne trouvons à invoquer que cette môme lésion des cellules ner-veuses, d'où nous avons fait procéder déjà l'
à peu de choses près, les mêmes effets que l'atro-phie primitive des cellules nerveuses. D'un autre côté, il est évident que le
musculaires, sont entremêlées avec des noyaux embryoplastiques et des cellules fusiformes en assez grand nombre. Sur d'autres mu
où l'évolution de l'altération paraît plus avancée, les noyaux et les cellules ont diminué de nombre ou semblent avoir disparu,
tissu conjonctif. — M, M, coupes des faisceaux mus-culaires. — G, G, - cellules adi-peuses. disparaître complètement. Cette sub
jeure partie de la surface des coupes transversales occupée par des cellules adipeuses, presque par-tout contiguës, tassées le
lés de leur enveloppe fîbrillaire et mis en rapport immédiat avec les cellules du tissu adipeux (Fig. 33). Mais je le répète, pa
dans les pectoraux et dans les masses sacro-lombaires, la présence de cellules graisseuses est un fait rare, accidentel et, dans
sie pstudo-hypertrophique (Deuxième pé-riode du processus morbide). — Cellules adipeuses partout con-tiguës et que la pression r
és de leur enveloppe fibril-laire et mis en rapport immédiat avec les cellules du tissu adi-peux. — Les faisceaux muscu-laires,
contraire beaucoup plus difffcilement entre ses mors les agrégats de cellules adipeuses. Toujours est-il que, dans les cas où i
parfait, des lésions très délicates, — telles que sont l'atrophie des cellules nerveuses motrices et la sclérose des cornes anté
ni déformées ; la névroglie y avait sa transparence accoutumée et les cellules nerveuses motrices, en nombre normal, n'offraient
étaient manifestement atrophiés ; en ou-tre, un bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices présentaient une atrophie plus
ique des cordons latéraux se combine avec l'atro-phie progressive des cellules nerveuses des cornes antérieures1 Sans doute, les
à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules nerveuses motrices. Rien à mon sens n'est moins j
la paralysie pseudo-hypertrophique ne relèvent pas de l'atro-phie des cellules nerveuses des cornes antérieures, il y a lieu 1
Coupe du tissu végétant. — f, Eléments de nouvelle formation, noyaux, cellules et corps fusiformes. — g, Capillaires en anse ou
représente les différentes phases de la dégénération pigmen-taire des cellules des cormes antérieures. a, Cellule normale. b
a dégénération pigmen-taire des cellules des cormes antérieures. a, Cellule normale. b, c, d, Cellules dégénérées. Charco
des cellules des cormes antérieures. a, Cellule normale. b, c, d, Cellules dégénérées. Charcot,. Syst nerv, t II. Oeuvres
e sclérosée. — C, Corne antérieure remplie de nombreux vaisseaux, les cellules nerveuses y ont complètement disparu. — L, Cordon
rne antérieure, C, est parfaitement normale et contient de nombreuses cellules nerveuses. Il n'y a plus de sclérose de la zone r
crllules nerveuses. Fig. 4.— Diverses phases de la destruction des cellules nerveuses. — a, b, Cellules en voia de destructio
4.— Diverses phases de la destruction des cellules nerveuses. — a, b, Cellules en voia de destruction. — c, Cellule normale. E
des cellules nerveuses. — a, b, Cellules en voia de destruction. — c, Cellule normale. Eig. 5. — Coupe longitudinale du nerf
vaisseau pris dtans la substance grise de la corne antérieure. —? a, Cellule tuméfiée. — b, Cellules contenant plusieurs noyau
substance grise de la corne antérieure. —? a, Cellule tuméfiée. — b, Cellules contenant plusieurs noyaux. — c, Noyau d'une cell
tuméfiée. — b, Cellules contenant plusieurs noyaux. — c, Noyau d'une cellule endotbéliale. Fig. 7. — Vaisseau pris dam la mê
tions entre les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures. —
iques et celle qui dépend d'une lésion de la moelle. — Altération des cellules nerveuses et tu-meurs de la moelle causes d'une t
sons qui lendent à démontrer que la lésion primitive ré-side dans les cellules nerveuses.................................... h63
e. — Amyotrophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses motrices est ici consécutive: elle se s
oelle : altération limitée aux cornes antérieures de substance grise ( cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines nerv
la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise ( cellules nerveuses motrices, névroglie), dans la moelle et
.........»......................... 407 III. Sur la tuméfaction des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tub
ertébrale latente, 112. Cautérisation avec les pointes de feu, 350. Cellules nerveuses motrices (Tu-méfaction des) dans les my
e; rap-ports avec les filets nerveux radi-culaires, 19. — Lésions des cellules nerveuse des — , 179, 204, note. — Après amputati
la paralysie pseudo-hypertrophique 484. (V. Ataxie, Atrophie, Bulbe-, Cellules , Cornes, Paralysies glosso-laryngée et infantil
7,319.— Par compression, 319. (v. Moelle épinière.) — Tuméfaction des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe dans ce
losso-laryngée, 167,261, 453. — Lésions des muscles, 445, 456 ; — des cellules nerveuses motrices, 469 et suiv. —Pseudo-hypert
14 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
aractères généraux de la structure de l'écorce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou nerveuses ; — cellules pyramida
corce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions Sur les cellules nerveuses
nglionnaires ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions Sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance
s des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière ( cellules motrices). — Dimensions, forme, corps, noyau, nuc
prolongements du protoplasma: prolongement nerveux. Comparaison des cellules nerveuses motrices de la moelle avec les cellules
. Comparaison des cellules nerveuses motrices de la moelle avec les cellules pyramidales. Cellules pyramidales : dimensions
ules nerveuses motrices de la moelle avec les cellules pyramidales. Cellules pyramidales : dimensions ; - cellules de la petit
vec les cellules pyramidales. Cellules pyramidales : dimensions ; - cellules de la petite espèce; — cellules de la grosse espè
Cellules pyramidales : dimensions ; - cellules de la petite espèce; — cellules de la grosse espèce ou cellules géantes. — Consti
s ; - cellules de la petite espèce; — cellules de la grosse espèce ou cellules géantes. — Constitution de ces cellules : configu
llules de la grosse espèce ou cellules géantes. — Constitution de ces cellules : configuration, corps, noyau, nucléole; — prolon
asma ; prolongement basai. 2° et 3° Eléments cellulaires globuleux: cellules allongées. 4° et 5° Tubes médullaires; — névrog
ts qui, sans conteste, jouent le rôle fondamental, je veux parler des cellules ganglionnaires ou nerveuses, qui forment en défin
ractéristique de la région ; on les désigne d'habitude sous le nom de cellules pyrami-dales. Le meilleur procédé pour faire bi
Fétude est la mieux connue à l'heure qu'il est: je fais allusion aux cellules ner-veuses des cornes antérieures de la substance
antérieures de la substance grise de la moelle épinière, dites encore cellules motrices. La descrip-tion abrégée que je vais vou
ules motrices. La descrip-tion abrégée que je vais vous tracer de ces cellules nerveuses nous servira pour ainsi dire d'étalon.
entionner d'une façon spéciale plus d'une analogie remarquable. Les cellules motrices sont des cellules sans membrane dis-tinc
ale plus d'une analogie remarquable. Les cellules motrices sont des cellules sans membrane dis-tincte dont le diamètre est var
st constitué par un protoplasma qui paraît grenu lorqu'on envisage la cellule non vivante ; mais dans le sérum, ou après l'acti
te ; mais dans le sérum, ou après l'action de l'acide osmique sur une cellule fraîche, le corps paraît composé par un protoplas
s de nombreux prolonge-ments qui, au moment où-ils se détachent de la cellule , figu-rent un tronc volumineux, lequel s'amoindri
laments parallèles qui peuvent être suivis jusque dans le corps de la cellule . On les appelle pro-longements du protoplasma, po
époque par tous les anatomistes. Il consiste en ce que la plupart des cellules nerveuses motrices, toutes, peut-être, possèdent,
ements que nous avons décrits, un prolon-gement, un seul, pour chaque cellule , qui se différencie des autres par des caractèr
nstant la'raison de cette qualification. Il se détache du corps de la cellule ou d'un de ses prolongements les plus gros, sous
et, à une certaine distance, comme un nerf complet. La connexité des cellules nerveuses, par la voie de ce prolongement, avec l
c pas douteuse. Tels sont, Messieurs, les principaux caractères des cellules nerveuses motrices spinales; il est temps de mett
euses motrices spinales; il est temps de mettre en regard d'elles les cellules pyramidales de l'écorce grise (Fig. 4). Ces cel
rd d'elles les cellules pyramidales de l'écorce grise (Fig. 4). Ces cellules présentent des dimensions très variables. Il en e
en est de très petites relativement: ce sont les plus nombreuses. Ces cellules pyramidales, qu'on pourrait appeler de la petite
s, occupent d'ordinaire la région la plus inférieure de la couche des cellules pyramidales. Leur diamètre atteint jusqu'à 0.022
iamètre atteint jusqu'à 0.022 y. (Koschewnikoff). Enfin, il y a des cellules pyramidales géantes. (Riesenzel-len). Elles ont é
n,) ciales, bien déterminées, de l'écorce grise. Le diamètre de ees cellules gigantesques va quelquefois de 0.040 jx à 0.050 p
uelquefois de 0.040 jx à 0.050 p., c'est-à-dire qu'il égale celui des cellules des cornes antérieures de la moelle, Quoi qu'il
l en soit de ces différences dans les dimensions, la constitution des cellules pyramidales paraît être, au fond, toujours láme
e espèce ou, encore, sur les cel-lules géantes. La' dénomination de cellules pyramidales peut être, jusqu'à un certain point,
effet, de celle d'une pyramide plus ou moins allongée. Le corps de la cellule rap-pelle ce que nous avons dit tout à l'heure ,
eux et re-Fiçj. 4. produit en quelque sorte la forme générale de la cellule . Le nucléole, lui, n'offre rien de particulier.
olon-gement pyramidal caril continue, pour ainsi dire, le corps de la cellule en s'effilant progressivement. 11 pousse dans son
la surface de la circonvolution. Il résulte de cette direction que la cellule est orientée de telle façon que la hase est paral
ramifient de manière à rappeler des prolongements de protoplasma des cellules motrices spinales. Ces prolongements se résolvent
n réseau nerveux, ainsi que cela a lieu, d'après M. Gerlach, pour les cellules spinales? Quelques au-teurs l'affirment. Mais i
, Messieurs, pour les cellulel pyramidales de la grosse espèce et les cellules géantes, — peut-être aussi pour les petites cellu
se espèce et les cellules géantes, — peut-être aussi pour les petites cellules — un prolongement spécial analogue au prolongemen
es — un prolongement spécial analogue au prolongement cylindrique des cellules motrices spinales. C'est, dans un cas comme dans
ssociations heureuses, il est possible, à une certaine distance de la cellule , de voir ce prolonge-ment se recouvrir d'un cylin
. M. Koschewni-koff (1) a mis ce fait hors de doute en dissociant des cellules (1) A. Koschownikoff. — Axencyl'niderforsalz de
rt les cel-lules pyramidales de l'écorce grise — au moins les grandes cellules et les cellules géantes — et d'autre part, les ce
pyramidales de l'écorce grise — au moins les grandes cellules et les cellules géantes — et d'autre part, les cellules motrices
s les grandes cellules et les cellules géantes — et d'autre part, les cellules motrices des cornes antérieures et ces analogies,
uys (1), il nous faudra plus tard les prendre en considération. Les cellules pyramidales ne sont pas les seuls éléments cellul
rt range encore, parmi les éléments nerveux des zones corticales, des cellules allongées, en général fusifor-mes, ramifiées, et
es, et qui, en certains endroits, composent une cinquième couche. Ces cellules ont le plus souvent leur grand axe dirigé parallè
rs temps, plusieurs auteurs l'ont considérée comme constituée par des cellules conjonctives d'un genre à part, dont le corps, po
rès petit protoplasma, serait hérissé de prolon-gements non ramifiés [ cellules araignées de Roll et Golgij. Ces prolongements en
s-cuter, par la suite, cette interprétation. Sans nier l'existence de cellules rameuses, à l'état normal, dans certaines régions
stence de cellules rameuses, à l'état normal, dans certaines régions ( cellules de Deiters), je me bornerai à dire que, très vrai
ici au type du tissu conjonc-tif ordinaire : faisceaux conjonctifs et cellules plates (Ranvier) ; seulement, dans la névroglie,
, une couche de tubes nerveux parallèles, très délicats. Là aussi les cellules nerveuses sont très disséminées^'//. 5,1). A l'œi
° La deuxième couche {Fig. 5, 2) est marquée par une agglomération de cellules nerveuses pyramidales de la petite espèce, très n
° La troisième couche (Fig. 5, 3) est en grande partie formée par des cellules pyramidales, les unes de dimension moyenne, les a
e cette couche, et pénètrent même dans la couche sui-vante. Outre les cellules , on trouve encore dans cette troisième couche des
surface de Técorce grise et forment, dans l'intervalle des groupes de cellules pyramidales, des es-pèces de colonnes. Cette disp
us inférieure de cette couche qu'existent dans certaines ré-gions les cellules géantes. Il semblerait que la rareté des cel-lule
la quatrième couche (Fig. 5, 4) où l'on aperçoit des granulations ou cellules globuleuses, à ca-ractère mal déterminé, et la ci
à ca-ractère mal déterminé, et la cinquième , où nous retrouvons les cellules fusiformes, dont nous avons parlé il y a quelques
ce sillon, l'écorce grise est caractérisée par laprédominancesur les cellules globuleuses des cellules pyra-midales de grande d
e est caractérisée par laprédominancesur les cellules globuleuses des cellules pyra-midales de grande dimension. La région orbit
quadrilatère. Là, les couches granuleuses l'emportent sur les grandes cellules , qui sont relativement rares. 11 y a, d'ailleur
stérieure. 1° Les éléments nerveux, bien développés, sont, ici, des cellules assez volumineuses. Pour M. Meynert, c'étaient le
1874, n°s 37 et 38 ; — ibid., 1881. phôres, avant la découverte des cellules géantes. Elles ont quelquefois 0,030 \- de diamèt
basai est dirige horizontalement et fait quelquefois communiquer deux cellules entre elles. Le territoire où Pon observe cette d
t êlre appelé, vous allez voir pour quelle raison, le département des cellules pyramidales gi-gantesques ou cellules motrices pa
elle raison, le département des cellules pyramidales gi-gantesques ou cellules motrices par excellence. 11 comprend la circonvol
s dans ces régions). C'estlàqu'exis-tent à peu près exclusivement les cellules géantes. Leur ré-partition n'y est pas uniforme,
hez les chimpanzés. Enfin, chez le chien, M. Betz a observé ces mêmes cellules dans les points désignés par Fritsch et Uitzig co
. Ce qui augmente l'intérêt de ce fait, c'est que, chez le chien, les cellules géantes pyramidales n'existeraient que dans les r
doute, Messieurs,, que, chez le singe, cette répartition des grandes cellules nerveuses est à peu près l'apanage des circonvolu
eux. — Régions où existe ce type de stratification. — Département des cellules pyramidales ou cellules gigantesques. — Relation
ce type de stratification. — Département des cellules pyramidales ou cellules gigantesques. — Relation entre ces cellules et le
s cellules pyramidales ou cellules gigantesques. — Relation entre ces cellules et les centres psycho-moteurs. Description de l
tes. — Faits cliniques et expérimentaux relatifs au développement des cellules pyramidales géantes. Structure de 1 ecorce gris
ents cellulaires et qui reçoit les pro-longements protoplasmiques des cellules nerveuses situées dans une couche sous-jacente ;
; — 2° plus bas, une couche où l'on retrouve, suivant M. Meynert, des cellules fusiformes et des fibres médullaires parallèles à
es médullaires parallèles à la ligne limitante ; — 3° au-dessous, les cellules de Purkinje qui occupent la limite supérieure d'u
ntéressant. 11 s'agit de la présence constante dans ce département de cellules pyrami-dales comparativement énormes, et que, pou
ales comparativement énormes, et que, pour ce fait, on a qualifiés de cellules gigantesques. Tout en conservant la forme pyramid
pyramidale propre aux éléments cellulaires nerveux de la région, ces cellules , vous le savez, se différencient non-seulement pa
de protoplasma. Ces derniers traits permettent de les rapprocher des cellules nerveuses motrices des cornes antérieures de la m
aracentral (LP). Je vous rappellerai que l'existence de ces grandes cellules dans l'écorce grise et leur localisation dans les
, de Hitzig, se distingueraient, d'après M. Betz, par la présence des cellules pyramidales gigantesques qu'on ne retrouve nulle
ait pas songé à rechercher dans les centres psycho-moteurs l'état des cellules nerveuses. • Un cas, observé par M. Luys, se
s occupe. Ce fait est le suivant : D'après les études de M. Betz, les cellules pyramidales géantes n'existeraient qu'en petit no
ait au sujet spécial qui vient de nous arrêter. Les régions à grandes cellules ^appar-tiennent au type à cinq couches et elles ne
érisent en définitive, anatomiquement que par la présence même ce ces cellules géantes. Or, ces dernières, morphologiquement, ne
rnières, morphologiquement, ne diffèrent pas d'une façon foncière des cellules pyramidales de la grosse espèce, lesquelles, ains
olongements de protoplasma, les prolongements ner-veux, attributs des cellules motrices. Il paraît naturel de se demander si c
buts des cellules motrices. Il paraît naturel de se demander si ces cellules et même celles de la petite espèce qui les représ
caractère général de l'écorce grise, dans ces régions, c'est que les cellules nerveuses pyramidales y sont, en règle, peu nombr
nt d'une manière notable. Ce n'est point qu'il n'existe là de grosses cellules nerveuses, mais elles sont comparativement très r
une. Si cette interprétation était exacte, il s'en suivrait que les cellules , dont nous venons de parler, seraient des cellule
suivrait que les cellules, dont nous venons de parler, seraient des cellules sensitives. Cette hypothèse se fonde encore sur d
vascularisée ; 2° la seconde couche, 6, correspond aux deux zones de cellules ner-veuses; là, le réseau vasculaire est très ser
stent en des amas assez volumineux de substance grise, renfermant des cellules gan-glionnaires étoilées ou fusiformes, d'assez g
exion avec le corps genouillé interne. Ce dernier ne contient que des cellules nerveuses rudimentaires (Henle) et ne peut être,
grise antérieure du même côté, ayant amené la destruction des grandes cellules nerveuses de la région. L'en-vahissement des corn
nt aussi ceux dans lesquels la substance grise corticale contient les cellules pyramidales les plus volumineuses. DEUXIÈME PAR
ubs-tance grise, vous distinguez : 1° les cornes antérieures avec les cellules dites motrices et l'origine des racines antérieur
nce grise, où elles intéressent nécessairement l'appareil des grandes cellules nerveuses motrices. Ainsi, voilà, de par l'anat
eur de la moelle, les cornes antérieures pour y dé-truire les amas de cellules nerveuses microscopiques qui y sont contenues : l
dans les racines antérieures? Non, caries racines antérieures et les cellules nerveuses sont déjà très développées alors que le
antérieure où elles entrent pro-bablement en rapport avec les grandes cellules motrices. III. Maintenant, Messieurs, nous de
stance grise qui n'est au- tre que le locus niger de Sœmmering. Les cellules nerveuses de cette région ne sont pas encore péné
est dans la substance grise de l'écorce ou, autrement dit, dans les cellules ganglion-naires qui s'y trouvent, que les fibres
do (1829). Lèuret (1839). Etude histologique des circonvolutions. — Cellules géantes de Betz et Miere zejewsky. — Description
as, a fait recon-naître dans l'écorce de l'hémisphère l'existence des cellules ganglionnaires ou nerveuses qui, en raison de la
nt appelées généralement cellu-les pyramidales de l'écorce grise. Ces cellules offrent des dimensions très variables; il en est
ccupent la partie moyenne de la substance grise. Enfin, il existe des cellules pyramidales dites géantes, décrites avec soin par
uefois ûmin 040 à 0,nm050, c'est-à-dire égale le diamètre des grandes cellules ganglionnaires dites motri-ces, des cornes grises
rt des dimensions qu'il y a lieu d'établir un rapprochement entre les cellules des cornes antérieures de la moelle et les grosse
entre les cellules des cornes antérieures de la moelle et les grosses cellules py-ramidales. Il existe, en effet, entre ces deux
qui se ramifient et se subdivisent, on trouve encore dans les grosse cellules pyramidales et^ar-ticulièrement dans les cellules
ore dans les grosse cellules pyramidales et^ar-ticulièrement dans les cellules gigantesques, une disposition bien caractéristiqu
vis, identique au prolongement cylindrique décrit par Deiters sur les cellules ganglionnaires spinales. C'est, dans un cas comme
ssociations heureuses, il est possible, à une certaine distance de la cellule , de voir ce prolongement se recouvrir d'un cylind
différences de forme et de siège, rapprochent d'une part les grandes cellules pyrami-dales de l'écorce cérébrale et d'autre par
andes cellules pyrami-dales de l'écorce cérébrale et d'autre part les cellules mo-trices des cornes antérieures, Ces analogies a
mettre de nouveau en relief, Or, Messieurs, les plus grosses de ces cellules pyramidales, et surtout les cellules géantes, ne
ssieurs, les plus grosses de ces cellules pyramidales, et surtout les cellules géantes, ne se voient pas indifférem- (1) Voy,
crucial. —G. S, gyrus sygmoïde (région des circonvolutions à grandes cellules pyramidales). substance grise des circonvolutio
alement, ainsi que dans le lobule paracentral, que se rencontrent les cellules pyramidales de la grande espèce, et exclusivement
nt les cellules pyramidales de la grande espèce, et exclusivement les cellules géantes: elles sont là disposées en groupes, en î
rconvolutions mé-dianes pourrait-elle être appelée le département des cellules Pyramidales gigantesques. Il est très remarquab
ianes et dans le lobule paracentral que l'on observe les plus grandes cellules pyramidales. Le même auteur a également fait voir
es cellules pyramidales. Le même auteur a également fait voir que ces cellules se ren-contrent chez le chien dans les régions dé
à plusieurs hypothèses. — L'aboutissant de la fibre pyramidale est la cellule antérieure. — Généralement cette cellule arrête
la fibre pyramidale est la cellule antérieure. — Généralement cette cellule arrête le travail de dégénération descendante.
nerveuses sont en rela tions plus ou moins directes avec les grandes cellules pyra-midales de la région. Mais en bas, dans la m
indiquant l'ensemble de l'appareil du faisceau pyrami-dal depuis les cellules de l'écorce grise du cerveau jusqu'aux plaques te
rveau jusqu'aux plaques ter-minales dans les fibres musculaires. — A, Cellules géantes des circonvo-lutions dites motrices. — B,
au pyramidal dans le cordon latéral de la moelle épinière. — D, D, D, Cellules des cornes antérieures de la moelle.— E, E, F, Ké
résentées schémU'iucmcnt par des cylindres axîles qui proviennent des cellules anté-rieure. ..-t qui se terminent dans des libre
rdinaires bien entendu, aucune trace d'altération ; aussi les grandes cellules nerveuses sont parfaitement intactes et la corne
e connexité entre l'extrémité terminale des fibres pyramidales et les cellules motrices multipolaires ; il est même très vrai-se
estée jusqu'ici inconnue. Quoi qu'il en soit, s'il en est ainsi, la cellule nerveuse mo-trice dans le cas de dégénération des
nt l'atrophie et même la dispari-tion complète d'un certain nombre de cellules motrices. M. Hallopeau, dans le service de M. V
it pas, je le crois du moins, relevé le rapportentre l'altération des cellules nerveuses et l'atrophie des muscles. Tout récem
paires rachidiennes.— A, corne antérieure du côté droit contenant dos cellules mo-trices parfaitement saines et en nombre normal
itement saines et en nombre normal.— B, corne antérieure gauche ? les cellules motrices ont disparu, sauf la partie la plus exte
sions tout à l'heure, est en relation d'une façon quelconque avec les cellules nerveuses des cornes antérieures. Dans la règle,
, lorsqu'il existe une dégénération secondaire du cordon laté-ral, la cellule résiste, en raison de sonanatomie, à l'envahis-se
ne le croit d'habitude, sous l'influence de conditions incon-nues, la cellule est atteinte à son tour, elle, s'atrophie et co
t dans les cornes antérieures où elles se mettent en rapport avec les cellules motrices. Mais il possible que quelques-unes d'en
st dans les cornes anté-rieures, et plus précisément encore, dans les cellules dites motrices. 2° En est-il de même pour les r
yramidaux composés de fibres dont le centre trophique serait dans les cellules pyramidales de l'écorce grise de la région roland
avant, aux racines antérieures qui sont en connexion directe avec les cellules des cornes antérieures, par l'intermédiaire du pr
D'un autre côté, les racines pos-térieures sont en relation avec les cellules sesthésodiques. Mais la moelle, ainsi compliqué
sèques sont des commis-sures courtes qui mettent en communication les cellules ses-thésodiques dans toute la hauteur de la moell
es commissurales cour-tes, qui, probablement, mettent en relation les cellules mo-trices des divers étages. Le centre trophique
orts directs entre certaines régions du cerveau proprement dit et les cellules ki-nésodiques des divers étages de l'axe gris. L'
isceaux est dans l'écorce des circonvolu-tions, probablement dans les cellules pyramidales de la subs-tance grise. C'est là qu'e
diverses régions de la moelle où elles entrent en connexion avec les cellules motrices, par l'intermédiaire d'une disposition a
des tubes nerveux de ces faisceaux ; _(eiles en sont séparées par les cellules ganglionnaires qui sont leurs véritables centres
vo-lonté l'emporte ici de beaucoup sur l'excitation artificielle. Les cellules des cornes antérieures sont sans doute un obstacl
nt un faisceau dont le trajet est interrompu à chaque instant par des cellules ganglionnaires? On peut douter qu'il en soit ains
des fibres . nerveuses qui se mettent en rapport avec des groupes de cellules ayant entre elles des connexions particulières ;
ntre les extrémités des fibres nerveuses du faisceau pyramidal et les cellules motrices de la corne correspondante. Ces connexio
es que, dans certains cas, la lésion des tubes nerveux se propage aux cellules ganglionnaires qui s'a-trophient et au tissu conj
veux en voie de des-truction sont le siège, les éléments cellulaires ( cellules gan-glionaires) s'affectent à leur tour. Or, cett
ionaires) s'affectent à leur tour. Or, cette lésion, communi-quée aux cellules motrices, serait purement dynamique ; elle ne cor
s diastaltiques tendineux et cutané dans l'ataxie locomotrice. — A, cellule motrice de la moelle épinière. --E,E, cellules ae
xie locomotrice. — A, cellule motrice de la moelle épinière. --E,E, cellules aesthésodiques. — M, le muscle. -- P, la peau. --
dans l'hystérie. —A, cel-lule motrice de la moelle épinière. -- E,E, cellules aisthésodiques. — M, le muscle. -- P, la peau. —
Relations des extrémités périphériques du faisceau pyramidal avec les cellules des cornes antérieures. -- Lésions de ces cellule
pyramidal avec les cellules des cornes antérieures. -- Lésions de ces cellules . — Elles sont de nature irritative. -- Phénomènes
rémités terminales des fibres nerveuses du faisceau pyra-midal et les cellules motrices des cornes antérieures, dans toute la ha
le siège, retentit sur l'élément ganglionnaire. Ainsi communiquée aux cellules motrices, cette lésion serait purement dynamique,
uis les travaux de Gerlach, le réticulum nerveux. C'est ainsi que les cellules aesthésodiques qu'on sup-pose être l'aboutissant
ripètes seraient touchées à leur tour d'une façon analogue. Or, les cellules motrices ou kinésodiques et les cellules sensitiv
ne façon analogue. Or, les cellules motrices ou kinésodiques et les cellules sensitives on œsthésodiques constituent la partie
x fois, ne sont pas interrompues dans leur cours par laprésence d'une cellule gan-glionnaire, et que, venant du faisceau pyrami
-tomiquement et physiologiquement, elles représentent un sys-tème. La cellule nerveuse motrice, avec ses prolongements multiple
pendant il importe de remarquer que, de tous ces pro-longements de la cellule antérieure spinale, le plus important, le plus ca
le cylindre axile, n'est qu'une émanation de la substance même dè la cellule motrice. Aujourd'hui, l'on sait en effet que, par
l'annonçais, anatomiquement par-lant, une solidarité intime entre la cellule motrice, le nerf moteur et la fibre musculaire; e
utifs d'un même système; et dire même, sans forcer les choses, que la cellule spinale plonge directement dans la substance de l
es, que la cellule spinale plonge directement dans la substance de la cellule muscu-laire par l'intermédiaire de son prolongeme
aractères généraux de la structure de l'écorce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou nerveuses ; — cellules pyramida
corce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions sur les cellules nerveuses
nglionnaires ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance
es des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épimère ( cellules motrices). — Dimensions, forme, corps, noyau, nuc
. Comparaison des eellules nerveuses motrices de la moelle avec les cellules pyramidales. Cellules pyramidales : dimensions
ules nerveuses motrices de la moelle avec les cellules pyramidales. Cellules pyramidales : dimensions ; - cellules de la petit
vec les cellules pyramidales. Cellules pyramidales : dimensions ; - cellules de la petite espèce; — cellules de la grosse espè
Cellules pyramidales : dimensions ; - cellules de la petite espèce; — cellules de la grosse espèce ou cellules géantes. — Consti
s ; - cellules de la petite espèce; — cellules de la grosse espèce ou cellules géantes. — Constitution de ces cellules : configu
llules de la grosse espèce ou cellules géantes. — Constitution de ces cellules : configuration, corps, noyau, nucléole; — prolon
lasma ; prolongement basah 2° et 3° Eléments cellulaires globuleux; cellules allongées. 4° et 5° Tubes médullaires; — névrog
eux. — Régions où existe ce type de stratification. — Département des cellules pyramidales ou cellules gigantesques. — Relation
ce type de stratification. — Département des cellules pyramidales ou cellules gigantesques. — Relation entre ces cellules et le
s cellules pyramidales ou cellules gigantesques. — Relation entre ces cellules et les centres psycho-moteurs. Description de l
tes. — Faits cliniques et expérimentaux relatifs au développement des cellules pyramidales géantes. Structure de l'ecorce gris
do (1829). Lèuret (1839). Etude histologique des circonvolutions. — Cellules géantes de Betz et Miere zejewsky. — Description
à plusieurs hypothèses. -- L'aboutissant delà fibre pyramidale est la cellule antérieure. — Généralement celte cellule arrête
là fibre pyramidale est la cellule antérieure. — Généralement celte cellule arrête le travail do dégénération descendante.
Relations des extrémités périphériques du faisceau pyramidal avec les cellules des cornes antérieures. — Lésions de ces cellules
pyramidal avec les cellules des cornes antérieures. — Lésions de ces cellules . — Elles sont de nature irritative. -- Phénomènes
sations dans la —, 226 ; — Lésions des-tructives de la —, 300, 301. Cellules ganglionnaires ou pyrami-dales, 21 ; — Leur analo
ellules ganglionnaires ou pyrami-dales, 21 ; — Leur analogie avec les cellules motrices de la moelle épinière, leur structure, l
ation et lésions irritatives, 340, 341, 349, 355. K Kinésodiques ( Cellules ). (V. Cel-lules.) Ii Lésions. ( V. Systématiq
384. Processus cerebelli ad testes, 205. Prolongement nerveux des cellules , 21 ; — pyramidal, 23; — basai, 24. Protubéranc
x de GeRLACH ou ré- ticulum nerveux, 20, 350. rlbsenzellen, 21. (v. cellules géantes.) Rigidité des membres, 358 ; — dans
15 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eubossek, qui prouvent que le prolongement central cylindraxile des cellules des ganglions spinaux pénètre dans la moelle ép
Les fibres des cordons postérieurs dérivent donc anatomiquement des cellules des ganglions spinaux. Déjà Waller avait trouvé
- naît, est une affection des neurones. Il est fort douteux que les cellules des ganglions spinaux représentent, comme l'adm
fs périphériques jusqu'aux racines postérieures, en passant par les cellules des glanglions spinaux. 2° Les cellules des gan
eures, en passant par les cellules des glanglions spinaux. 2° Les cellules des ganglions spinaux (Stroebe, Oppenheim, Marie,
dégé- nération. D'ailleurs, dans le cas d'une lésion de déficit des cellules des ganglions spinaux, les nerfs sensibles péri
xiste donc une dégé- nération des colonnes de Clarke ; mais ici les cellules elles- mêmes de ces colonnes sont dégénérées, a
encore interposés par place entre les deux neurones sensitifs. Ces cellules seraient destinées à favoriser la transmission du
es excitations intenses, répétées, ou très fréquentes, chargent les cellules nerveuses autour desquelles s'arborisent les fi
utour desquelles s'arborisent les fibres radiculaires postérieures, cellules qui repré- sentent le second neurone de la voie
détournées ou peu frayées, cette sommation des excitations dans les cellules nerveuses de la substance grise que nous percev
e trouve dans les cordons postérieurs des fibres endogènes dont les cellules d'origine sont dans la substance grise, et que
e de sur- veillance), des chambres d'isolement pour les agités, une cellule matelassée, une salle de bains, une salle-lavab
on de traitement se compose d'une salle de surveillance et de trois cellules en rapport étroit de contiguïté avec cette sall
age de ce lit profond permet d'éviter à bien des malades la mise en cellule . A Leipzig nous avons vu également un lit-cuve
l'isolement passager des agités. Répétons qu'on use très peu de ces cellules et seulement pour quelques quarts d'heure. Po
ond, à parois capi- tonnées, enfin par l'isolement très passager en cellule . Une cellule capitonnée (le plancher doit l'êtr
capi- tonnées, enfin par l'isolement très passager en cellule. Une cellule capitonnée (le plancher doit l'être également)
ncé presque partout aux barreaux et aux grillages. Les fenêtres des cellules sont constituées par des dalles de 15 à 20 mill
ements des grandes articulations sont représen- tés par les grandes cellules et les mouvements des petites articu- lations p
lules et les mouvements des petites articu- lations par les petites cellules . Il suppose que dans la mélancolie, les cellule
ns par les petites cellules. Il suppose que dans la mélancolie, les cellules corticales sont jusqu'à un certain point impuissa
ment quantitatif de la complexité de structure et de connexions des cellules nerveuses corticales. Il se forme ainsi des méc
ire occupée' par les cônes seuls, il marque celle qui est privée de cellules ganglionnaires. Un autre signe distinctif de ha
se et de la substance blanche, en parti- culier les ulcérations des cellules cordonales. Pour la substance grise il est néce
il est nécessaire de distinguer chez l'homme deux zones : zones des cellules radiculaires occupant la partie antéro-externe
occupant la partie antéro-externe de la corne antérieure, zone des cellules cor- donales ou rétro-radiculaires occupant la
e morphologie et de nombre dès les premiers stades. Les lésions des cellules cordonales paraissent évoluer moins vite ; les
reindre considérablement le rôle pathogé- nique des altérations des cellules cordonales dans la sclérose des cordons. ' De
phique ; la lésion prin- cipale consiste en une atrophie simple des cellules des cornes antérieures, cellules motrices et ce
onsiste en une atrophie simple des cellules des cornes antérieures, cellules motrices et cellules cordonales. Ces deux faits
ie simple des cellules des cornes antérieures, cellules motrices et cellules cordonales. Ces deux faits démontrent l'existen
ns auteurs. Cette affection consisterait en une atrophie simple des cellules de la corne antérieure, en une véri- table cell
deux systèmes anatomiques distincts : le proloneurone moteur ; les cellules et fibres de cordon. Sans comp- ter qu'assez so
uvé, sur toute la hauteur de la moelle, des lésions atrophiques des cellules nerveuses et en particulier des cellules radicu
es lésions atrophiques des cellules nerveuses et en particulier des cellules radiculaires. La prolifération névroglique et l
es myélites, et qui se résument dans une atrophie primi- tive de la cellule nerveuse, aboutissant à sa disparition totale. Ce
les moyens qui, par une irri- SOCIÉTÉS SAVANTES. 77 tation de la cellule motrice médullaire, sont capables d'exagérer le
le de réactions du côté des vaisseaux, du tissu interstitiel et des cellules nerveuses. Les deux premières constituent des pro
volumineux et à des nodules. Les phénomènes de réaction du côté des cellules nerveuses abou- tissent rapidement à leur dégén
réaction précoce de défense, qui con- l siste dans l'émigration des cellules mono et polynucléaires, réac- Lion qui a pour b
utes les affections mé- dullaires. Recherches sur les lésions des cellules des ganglions spineaux dans le tabès. Au nom de
rales sans exclure d'une façon certaine une influence trophique des cellules des ganglions spinaux. Peu de temps après, Stro
Tous ces auteurs n'ont pas trouvé de lésions manifestes dans les cellules ganglionnaires.Aussi.de nouvelles recherches s'im
pâleur et même disparition de granulations chromatiques des grosses cellules claires, parfois rétraction, homo- généisation
trophie du corps cellulaire. Je ne parle pas de la pigmentation des cellules , car elle constitue un élément trop variable su
isse pas déterminer à la longue des modifica- tions légères dans la cellule des ganglions spinaux, mais je pense SOCIÉTÉS S
re et je les attribuerais plutôt à la vulnérabilité très grande des cellules elles-mêmes sous l'influence de différents agents
mêmes sous l'influence de différents agents morbides. En effet, les cellules des ganglions spinaux subissent très vite les a
ègle dans le tabès devraient entraîner de profondes altérations des cellules ganglionnaires, et précisé- ment celles-ci sont
es est cela, - une dégénérescence du proto- neurone centripète, les cellules de la corne postérieure ne doi- vent pas demeur
dans le tabes. Les arborisations de ces collatérales entourent des cellules d'origine du second neurone, 1 Archives de Neur
Archives de Neurologie, t. XI, nez 61, p. 1. 116 REVUE CRITIQUE. cellules endogènes des colonnes de Clarke, dont le cylindr
sma, etc. Toutefois, comme à l'état normal le plus grand nombre des cellules des colonnes de Clarke ont leur noyau dans cett
-même des cas d'Oppenheim et de Siemerling où le second neurone les cellules des colonnes de Clarke et leurs prolonge- ments
On recher- cha donc quel était, dans le labes dorsalis, l'état des cellules d'ori- gine des racines et des cordons postérie
es racines et des cordons postérieurs de lamoelle, c'est-à-dire des cellules des ganglions spinaux intervertébraux. Wollenberg
tébraux. Wollenberg cons- tata l'atrophie et la pigmentation de ces cellules ainsi que l'aspect trouble ou sombre de leur pr
léoles, finalement une dispari- tion totale du noyau et de toute la cellule . Outre une dilatation de l'espace capsulaire et
utre une dilatation de l'espace capsulaire et une prolifération des cellules de la paroi de la capsule, il nota une augmenta
ique des racines postérieures- dans le tabes ? Une affection de ces cellules devrait amener la dégénéra- tion des fibres des
as de tabes, à différents stades, des altérations considérables des cellules . ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABE
ules . ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 117 de ces cellules à protoplasma clair, d'autres cellules atrophiées
OGIQUES DU TABES. 117 de ces cellules à protoplasma clair, d'autres cellules atrophiées à protoplasma intensivement coloré,
ntensivement coloré, et dont le noyau'se distinguait mal : quelques cellules avaient même subi le dernier degré de dégénéres
que, dans le tabes, la lésion initiale doit être localisée dans les cellules des ganglions spinaux, et que la dégénération d
postérieurs doit être regardée comme secondaire aux altérations des cellules z d'origine de ces faisceaux. Redlich était d'a
on ne pourrait porter un jugement un peu assuré sur les lésions des cellules des ganglions spinaux dans le^ tabès, qu'après
cience forçaient de localiser la lésion primitive du tabes dans les cellules des ganglions spinaux; mais les résultats de l'
e ce postulat théorique. Dès 1 896, Schaffer commença d'étudier les cellules des ganglions spinaux de ces ganglions correspo
tion du noyau et du nucléole, disparition totale et destruction des cellules des ganglions spinaux, hyperplasie et proliférati
pinal. Il est toujours licite, de supposer une lésion partielle des cellules de ces ganglions. Cliiari, dans tous les cas gr
rfs périphériques. Marinesco a constaté de la chromatolyse dans les cellules des ganglions spinaux, de l'homogé- nisation de
c une dégénération totale des racines postérieures, des lésions des cellules des ganglions spinaux. De même Wollenberg (atro
érieurs dans le tabes. Erb admet d'ailleurs que des altérations des cellules de ces ganglions, échappant à tous nos moyens d
blié en 1897. Comme on ne saurait bien apprécier les lésions de ces cellules que si l'on est parfaitement édifié sur leur ét
ue cette disposition existe, au moins dans un certain nombre de ces cellules . La grosseur et le nombre des éléments chromato
rtout permis à von Lenhossek de distinguer plusieurs espèces de ces cellules , d'eux types surtout, les cellules claires et les
tinguer plusieurs espèces de ces cellules, d'eux types surtout, les cellules claires et les cellules et gros blocs chromatiq
s de ces cellules, d'eux types surtout, les cellules claires et les cellules et gros blocs chromatiques, les premières offra
e pathologique, attendu que si l'on rencontre, dans le tabes, des cellules des ganglions spinaux d'aspect clair à fines gran
chaffer, exécutées avec la coloration de Nissl, c'est que, dans les cellules des ganglions spinaux des tabétiques, il s'en ren
racines postérieures présentent la plus complète dégénération, les cellules nerveuses des ganglions spi- naux se montrent a
Point d'augmentation anormale de pigment ni de vacuoles. Ainsi les cellules des gan- glions spinaux présenteraient, chez le
aspect normal ». Et cependant, lorsqu'il rapproche l'état de ces cellules dans le ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES D
oient pas changées. Point de capsules vides ni de prolifération des cellules capsulaires. Schaffer n'a donc pu confirmer l
capsulaires. Schaffer n'a donc pu confirmer la chromatolyse de ces cellules , signalée par Marinesco : il incline plutôt à c
llules, signalée par Marinesco : il incline plutôt à croire que les cellules des ganglions spinaux dont les corpuscules de N
avoir subi le processus chromatolytique appartiennent au type des cellules claires. En dépit de ces résultats négatifs, Sc
ndiqué de continuer à chercher la lésion initiale du tabes dans les cellules d'origine des racines postérieures ? Les réflex
élément nerveux. On doit donc, si ce phénomène fait défaut dans les cellules des ganglions spinaux, rechercher la lésion ini
ns spinaux, rechercher la lésion initiale du tabès en dehors de ces cellules . Et d'abord, si les cellules du ganglion spinal
ion initiale du tabès en dehors de ces cellules. Et d'abord, si les cellules du ganglion spinal étaient primitivement lésées
lésés, Schaffer écrit qu'après les résultats négatifs relatifs aux cellules des ganglions spinaux « le point de départ de l
es racines, laquelle laisserait intacte la branche périphérique des cellules des ganglions spinaux, aurait l'avantage d'être
rute der Medicin. 1897. 1\ 15 et 16. ' ' 8111 ! e allerazioni délie cellule 1 ! eI'l'ose dei gangli spinali in segllilo .al
parait devoir être toujours mieux établi que, dans les troubles des cellules nerveuses résultant d'une dimi- nution de l'éne
érie, les altérations structurales des prolongements remontent à la cellule , c'est-à-dire à leur centre trophique. Le ralen
t lent et progressif des fonctions, et partant de la nutrition, des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle ép
être très sensibles, écrit Schalfer, aux altérations primitives des cellules nerveuses : leur changement est plus accentué que
ation du centre trophique, ici tropllo-moleur, puisqu'il s'agit des cellules nerveuses des cornes antérieures de la moelle '
s cornes antérieures de la moelle '. Le prolongement nerveux de ces cellules , la fibre radicu- laire du protoneurone moteur,
bres n'entourent plus, de leurs fines arborisations terminales, les cellules motrices des cornes antérieures, privant ainsi
es, les cellules motrices des cornes antérieures, privant ainsi ces cellules d'une part considérable des incitations qui ent
ogique, le trophisme si élevé de ces neurones. « La vitalité de ces cellules dépendant des incitations qui les traversent»,
, la raison d'être de l'amyotrophie tabétique est une affection des cellules trophomo- trices des cornes antérieures, affect
a pathogénie de l'amyotrophie tabétique : celle d'une affection des cellules des cornes antérieures, celle d'une névrite dég
gauche avec arthropathie typique du genou droit, trouva que si les cellules nerveuses de la moelle cervicale étaient complè
cordons postérieurs. Cette dégénération entraîne la perte dans les cellules des cornes antérieures d'une somme immense de s
'état de la substance chromatique ne différait en rien de celui des cellules normales des ganglions spinaux. Ni le noyau ni
e trahissaient aucune altération patholo- gique. Mais le nombre des cellules ne leur sembla plus le même, et les petites cel
le nombre des cellules ne leur sembla plus le même, et les petites cellules obscures leur parurent prédominer sur les cellu
et les petites cellules obscures leur parurent prédominer sur les cellules grosses et claires. Les cellules angulaires étaie
s leur parurent prédominer sur les cellules grosses et claires. Les cellules angulaires étaient aussi plus nombreuses. Le ti
li- féré. Alors même que d'autres recherches établiraient que les cellules avaient réellement diminué de nombre (toujours da
st-il exact que la lésion initiale du tabes se trouve en dehors des cellules des ganglions spinaux, et cela parce que ces ne
parce que ces neurones ne présentent pas de chromatotyse ? « Si la cellule des- ganglions spinaux était le siège de la lés
sensible, qui devraient dégénérer, car l'influence trophique de la. cellule d'origine sur ses prolongements est hors de doute
section de la branche périphérique entraîne la dégénérescence de la cellule des ganglions spinaux, tandis que cette cellule r
égénérescence de la cellule des ganglions spinaux, tandis que cette cellule reste normale après une section de la branche c
iter que de nouvelles expériences "démontrent t si, en réalité, les cellules des ganglions spinaux demeurent bien normales (
s postérieurs dériverait, dans le tabes, d'une lésion primitive des cellules des ganglions spinaux, c'est l'absence de chrom
les des ganglions spinaux, c'est l'absence de chromatolyse dans ces cellules , « car, dit-il, la disso- lution de la substanc
hromatique est un indice anatomique du trouble.de la vitalité de la cellule ». Que faut-il penser de la justesse de ce raiso
la substance chromatique, les auteurs voient « une réaction de la cellule devenue anatomiquement visible, succédant aux con
bien que, de ce fait, toute l'activité interne et l'équilibre de la cellule ont été perturbés d'une manière plus ou moins a
itérium anatomique que l'adaptation des processus biologiques de la cellule aux influences extérieures a eu lieu. C'est ce
essus anormaux d'excitation iront eu diminuant toujours et que la cellule sera de nouveau soumise aux influences stimulatri
latrices aux- quelles elle était autrefois exposée, ou que, dans la cellule , appa- raîtront des éléments qui, sous l'action
la nature ou le degré d'altération de la fonction spécifique d'une cellule . Par exemple, nous ne croyons- pas pouvoir mett
nous ne croyons- pas pouvoir mettre une altération des granula des cellules des cornes antérieures dans un rapport simple, di
e pourrait-on espérer rencontrer des phénomènes de chromatolyse des cellules des ganglions spinaux chez des malades décédés
sont que l'expression anatomique d'altérations primitives de leurs cellules d'origine. Quelle que soit la cause du processu
que soit la cause du processus tabétique, on doit accorder que les cellules n'ont pas été d'un seul coup exposées aux proce
us d'irritation; que les stimulations physiologiques auxquelles les cellules étaient jusqu'ici habituées n'ont cessé de préd
es n'ont cessé de prédominer que progressive- ment, si bien que les cellules ont eu le temps de s'adapter d'une manière quel
« Voici comment nous nous représentons les choses : la fonction des cellules des ganglions spinaux consiste à métamorphoser, d
ie en une exci- tation des cordons postérieurs ; cette activité des cellules est adéquate aux processus normaux de stimulati
us des influences anormales d'excitation, la faculté que possède la cellule de transformer ces stimuli s'en trouve altérée.
méta- morphose normale du stimulus, propagé de la périphérie à la cellule , une transformation anormale a lieu, qui agit d'u
ent qu'un signe anatomique d'une réaction plus ou moins aiguë de la cellule , un défaut d'adaptation, le plus souvent provis
doit avoir subie la substance même, la substance fondamentale de la cellule , et dont dépend sa fonction spécifique, les mét
a déceler. Si le changement de forme et la diminution de nombre des cellules des ganglions spinaux dans le tubes venaient à
constatation serait favorable à leur théorie. Cette adaptation des cellules aux conditions changées du milieu dans lesquell
pour l'existence des parties, dans laquelle certains éléments de la cellule succombent et meurent, tandis que d'autres surviv
sées par Lugaro et par Schaffer, l'absence de chromatolyse dans les cellules des ganglions spinaux chez les tabétiques : la
n initiale des cordons posté- rieurs serait bien localisée dans les cellules d'origine, dont ces faisceaux ne sont que les p
du tissu névroglique avec prolifération des noyaux, disparition des cellules et des fibres ner- veuses sur de vastes espaces
sculaire peut être attribuée soit à des altérations anatomiques des cellules nerveuses des cornes antérieures, soit à une névr
. affection, la destruction des éléments de l'écorce qui sont les cellules d'origine du faisceau pyramidal, entraîne la dégé
ujourd'hui, depuis les expériences de Nissl sur les altérations des cellules radiculaires après la section des nerfs moteurs
Mais continuons la démonstration négative de Redlich. L'état des cellules et des fibres nerveuses du côté de la moelle épin
erruption centrale ou périphérique, entraine, avec l'altération des cellules des ganglions spinaux cor- respondants dans les
s, a noté des lésions manifestes dans les racines postérieures, les cellules des cornes postérieures, les colonnes de Clarke
e ce problème est comme ramassé dans la considération de l'état des cellules des ganglions spinaux, c'est-à- dire du centre
es parties extramédullaires. « Qu'est-ce qui prouve que, lorsqu'une cellule est lésée, ce sont ses parties les plus périphé
les plus périphériques qui souffrent les premières ? ... Quand une cellule pyramidale de l'écorce est altérée dans sa struct
veur de la « théorie gan- glionnaire ». Les légères altérations des cellules des ganglions con- sécutives à la section des r
n manière d'argument contre la nature secondaire des lésions de ces cellules qui, dans le tabes, suc- cèdent à celles des ra
a- tions structurales, au moins suffisamment décelables, dans les cellules des ganglions spinaux'. Gull indiqua le premier
ique, comme une toxine, doctrine que Marie reçu,3 de Strümpell, les cellules nerveuses des différents ganglions des nerfs ra
des nerfs rachidiens. Klippel a décrit et reproduit les lésions des cellules nerveuses du ganglion d'Andersch qui se trouve
h qui se trouve sur le trajet du nerf glosso-pharyngien, celles des cellules olfac- tives de la muqueuse pituitaire représen
uitaire représentant le ganglion du nerf olfactif, enfin celles des cellules du ganglion de Gasser, lésions qui commandaient
x et des . capillaires ». Les branches afférentes et efférentes des cellules des ganglions d'Andersch et de Gasser étaient a
pathique est toujours de nature corticale : or on peut regarder les cellules corticales comme des réservoirs d'éner- gie, ma
pontanément disparu. R.'DE Musgrave CLAY. - VIlI. Remarques sur les cellules géantes de l'écorce motrice chez les aliénés, e
état frais (sans durcissement) : contribution à la pathologie de la cellule nerveuse ; par Joux . Turner. (1'leeJouraul 1 o
le a l'avantage de montrer une richesse inusitée de détails dans la cellule nerveuse et dans ses prolonge- ments, et de nou
e nerveuse et dans ses prolonge- ments, et de nous faire voir cette cellule avec ses dimensions nain. relles en même temps
eux aussi qu'une coupe sur la quan- tité de pigment que contient la cellule et sur le nombre de ses pro- longements ; elle
ieux détails sur la technique du procédé, et fait remarquer que les cellules étudiées par celte méthode montrent il l'égard
onnelle évanouie. Chez les aliénés, il est commun de rencontrer des cellules jeunes ou peu âgées qui sont très abondamment c
mpagnent 'son travail. 1 Substance chromophile. - En examinant la cellule fraîche, ce 'qu'on n'avait pas fait auparavant,
durcissement ou par les réactifs. Il n'est pas douteux que dans la cellule morte la substance chromophile prend' Í1¿ fOl'me
ance chromophile prend' Í1¿ fOl'me et une disposition qui, dans les cellules géantes et lés pyramides saines, ' est celle de
useaux dont le grand axe a la même direction que le grand axe de la cellule . Cette disposition est-elle ^la même dans les a
de la cellule. Cette disposition est-elle ^la même dans les autres cellules corticales, l'auteur en doute. Il "complète la
séparent par une extension protoplasmique en forme d'éventail. 'La cellule est fortement teintée à cause de la grande quanti
une zone plus pâle, non striée et à bords mal délimités (noyau). La cellule est très élastique et - résiste à la pression.
ments diminue. L'évolution ultérieure de ce processus transforme la cellule en un véritable squelette de cellule à contenu
de ce processus transforme la cellule en un véritable squelette de cellule à contenu finement granuleux et sans trace de m
e ou complète de la 'matière chromophile, que l'on observe dans les cellules qui au lieu de s'amincir et de devenir fragiles
bstance granuleuse n'a aucune tendance à deve- .nir granuleuse. Ces cellules peuvent être abondamment chargées - de pigment.
ct. Dans ces cas, la matière chromophile manque ^absolument dans la cellule et dans ses prolongements qui se - colorent Uni
l limitée '(noyau). - Généralement il y a très peu de pigment. La cellule ne présente -dans la majorité des cas aucune an
a moindre pression, avec une cassure nette, généralement près de la cellule . Bien que les altérations cellulaires qui vienn
s ne paraissent pas semblables à celles que l'on observe dans les cellules de la moelle après l'administration de certains p
s qu'elles résultent proba- blement de l'actiou des toxines sur les cellules nerveuses. 11 est .digne de remarque que dans l
ue dans les 5 cas où l'auteur a constaté ce 'genre d'aftéaiion, les cellules géantes étaient toutes altérées de la '.même ma
au même degré, et qu'on ne rencontrait pas, .comme' d'habitude, des cellules à peu près saines et d'autres à : diverses périod
e que, de tout le cerveau, c'est elle qui contient les plus grandes cellules , ensuite parce que cette région représente une
e comme nor- male. Dans tous les cas, naturellement, il y avait des cellules où la substance était en état de dégénérescence
at normal de cet élément particulier impli- quait l'état sain de la cellule toute entière ; certains faits observés sembler
tions intéressantes sur l'action phagocytique des leucocytes sur la cellule nerveuse, et .rappelle les travaux de Sir John
ubstance cbromatophile et ses rapports avec le fonctionnement de la cellule : il expose sur ce point l'état actuel de la sc
nnement des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. t4d cellules nerveuses, il croit pouvoir soutenir que la régul
isposée constitue un bon indice du degré d'orga- nisation auquel la cellule est parvenue dans l'exécution de cer- taines ac
être le massage et les couï. rants électriques. '. G. D. XIII. La cellule nerveuse du coeur du lapin, ses modifications sou
proposé de rechercher : 1° si l'absence, de toute altération de la cellule nerveuse du coeur, au cours de fin : toxication
sse avait au contraire une action marquée sur la structure de cette cellule . 1 Pour résoudre ce problème, 1\111e Formakowsk
mbre de lapins avec les substances précitées et examiné ensuite les cellules ganglionnaires du coeur après coloration parla
entuées, rappelant celles de la chromatolyse dans l'aspect de leurs cellules intracardiaques, mais l'auteur ne se croit pas
eut-être trouvé en présence de simples variétés individuelles de la cellule normale. ' G. D. Xi. Un cas de cysticerques m
que la neuronophagie n'est pas indispensable à la disparition de la cellule nerveuse. Ils estiment que le rôle des leucocytes
aux, temporaux et pariétaux ; gliose sous-pie- mérienne de Dleuler. Cellules à noyaux pauvres en chromatine entourés d'une f
seaux et une oblitération du canal central par la prolifération des cellules ARCHIVES, 2' série, t. XI. 10 146 REVUE D'ANA
ons antéro-latéraux. G. D. XXII. Note sur l'imprégnation isolée des cellules névrogliques par la méthode de Golgi Ramon y Ca
gelées. G. D. XXIII. Contribution à l'étude de la pathologie de la cellule pyra- midale et des localisations motrices dans
e peut amener des réactions cellulaires décelables dans les grandes cellules pyramidales cor- respondantes du télencéphale.
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149 XXVII. De l'évolution des cellules de l'écorce cérébrale chez l'homme; par W.-M. B
Golgi, l'auteur établit ce qui suit : 1° Les premiers rudiments des cellules de l'écorce sont constitués par des groupes com
laprofondeur du tissu encéphaliqueembryonnaire, pénètrent entre les cellules embryonnaires ou entre les corpuscules embryonn
hes corticales plus profondes ; 2° Voici comment se développent les cellules ner- veuses. Les filaments primitifs pénètrent
ui regarde extérieurement devient le prolonge- ment supérieur de la cellule ; celui-ci est donc le plus ancien de tous les
s préparations) sert pendant ce temps à la formation du noyan de la cellule ; la substance du filament qui entoure le corpus
ui entoure le corpuscule sert à la formation du protoplasma de la cellule . Les premiers stades du développement de la cellu
otoplasma de la cellule. Les premiers stades du développement de la cellule sont, par suite, caractérisés par la non-colora
pourtour du noyau ; 4° Plus tard le squelette ovale du corps de la cellule augmente ; il se hérisse de prolongements latér
d'épines puissantes qui deviennent des dendrites. Le corps de la cellule devient anguleux ou perd l'aspect extérieur de py
cime de lacellule ; 5° Les cylindraxes sont des organes tardifs des cellules ; les premières ébauches des cellules n'ont cer
ont des organes tardifs des cellules ; les premières ébauches des cellules n'ont certainement point de névroses. On peut ten
On peut tendre à croire que les cylindraxes émanent des noyaux des cellules , des corpuscules embryonnaires primitifs, mais
ations ultérieures vient également du développement plus tardif des cellules ; les jeunes cellules en effet possèdent un prol
ent également du développement plus tardif des cellules; les jeunes cellules en effet possèdent un prolongement supérieur bieu
saux. Ce n'est que peu à peu, à mesure que s'accroît le corps de la cellule que naissent et s'allongent les prolongements d
ment du sommet commence à se ramifier tel que nous le voyons sur la cellule complètement développée; 7° Les appendices pyri
veloppée; 7° Les appendices pyriformes manquent tout à fait sur les cellules jeunes ; ils ne se montrent que dans la suite sur
e dans la suite sur les prolongements cellulaires, au moment où les cellules sont déjà en possession de leurs formes définit
simultané- ment. Au moment où l'on constate les germes évidents des cellules dans la zone sensitivo-motrice, on ne constate
mmon que des fibres primitives sans trace aucune de la formation de cellules . Dans ,les diverses couches d'une seule et même
s pyramides que dans les couches superficielles de l'écorce; 9° Les cellules nerveuses de l'écorce datent d'une époque où les
nc en somme tardives. P. Keraval. XXVIII. Action de l'éther sur les cellules cérébrales; par 1110 STE- fanowska. (Journal de
é de nombreuses recher- ches expérimentales sur les altérations des cellules nerveuses consécutives soit à un traumatisme, s
t d'étudier à nouveau le mode de formation de ces altérations de la cellule nerveuse et de ses prolongements en soumettant
endices pirifornies disparaissent en masse; les prolonge- ments des cellules nerveuses couverls de granulations sont suscep-
es lésions des racines antérieures des nerfs proloquent du côté des cellules des cornes antérieures correspondantes une réac
ension des libres nerveuses radiculaires étend son action jusqu'aux cellules des cornes antérieures et a sur ces cellules un
d son action jusqu'aux cellules des cornes antérieures et a sur ces cellules une influence directe. Pathogénie des Paralysie
outer sa symptomatologie propre à celle qu'engendre la lésion de la cellule cérébrale. Goitre exophtalmique traité sans s
du noyau dorsal du nerf vague. De plus, les auteurs pensent que ces cellules appartiennent à un type moteur spécial différen
un type moteur spécial différent, par exemple, du type des grandes cellules radiculaires de la corne antérieure de la moelle
sions classiques du tabes, nous trouvons une intégrité complète des cellules des cornes antérieures, des racines antérieures
ieure. Note sur la structure du noyau et la division amilosique des cellules nerveuses du cobaye adulte. 1111. PrnRI.N, de
lètement développées, même du type le plus différencié, tel que les cellules pyramidales peuvent, en dehors de toute cause p
de toute cause pathologique se diviser par amitose. 1° Noyau des cellules nerveuses. Ce noyau présente dans un nucléoplas
vis-à-vis des éléments du nucléole. ' , 2° Division amitosique des cellules nerveuses. Le nucléole se divise suivant divers
te division du noyau est elle-même suivie de la plasmodicrèse de la cellule suivant le processus habituel. Cependant tand
. De nom- breux examens histologiques, il résulte que, à partir des cellules épineuses, il n'existe plus de canal à paroi pr
r source respective, cheminent de concert entre les interstices des cellules et arrivent il la surface cutanée, confondues l
le, tels que phobies, obsessions, impulsions, etc. Dans ces cas, la cellule nerveuse, plus ou moins tarée, est ce qu'elle e
05-lOG. 206 CLINIQUE NERVEUSE. et même. une altération légère des cellules des cornes anlé- rieures (Luce)'. Avec M. Lorra
rescence localisée des faisceaux médullaires, que quelques-unes des cellules de l'axe gris aient été intéres- sées, ce qui p
de la clini- que provisoire m'eût appris qu'on pouvait se passer de cellules d'isolement... et que les malades dangereux et
up mieux et beaucoup plus facilement soignés lorsqu'on n'a point de cellules pour les y enfermer. » Les documents et les con
l faut placer l'oisiveté. Quant aux modifications secondaires de la cellule nerveuse dans la neurasthénie, elles peuvent éc
moins, il y avait des lésions évidentes de dégénérescence dans les cellules motrices de la corne grise antérieure de la moe
rôle. Au microscope, on a constaté une dégénérescence avancée -des cellules et des gaines de myéline des cylindraxes, qui,
ins précises; en voici les conclusions : io L'alitement supprime la cellule et les moyens de contention, mais laisse subsis
yennedes vaisseaux sont sclérosées. Les interstices sont remplis de cellules .arrondies ou polygonales, les unes vraisemblab
çoit aussi par places quelques globules san- guins et des débris de cellules et des fibres nerveuses. Mais si l'on observe l
Il faut mentionner, en outre, dans ce cas l'atrophie extrême des cellules nerveuses. Elles sont arrondies, sans prolongemen
u est riche en chroinutine, ce sont plutôt des neuroblastes que des cellules nerveuses différenciées; abon- dantes en certai
. L'examen histologique a montré qu'il s'agissait d'un sarcome à cellules fusiformes. R. OH I)ILISGRAVF CL.%Y. XXXIV. Sur
st'pas heureux, puisqu'il inquerait une transformation colloïde des cellules de la névroglie semblable à celle des cellules ép
rmation colloïde des cellules de la névroglie semblable à celle des cellules épithé- liales, et que ces corps ne dérivent pa
e des cellules épithé- liales, et que ces corps ne dérivent pas des cellules de la névroglie Ils sont sphériques, ovoïdes ou
il semble qu'ils n'en puisseut plus sortir. Ce sont de très grandes cellules , qui sont très nom- breuses dans le cerveau du
On croit qu'elles pro- viennent de la dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses, des cellules du tissu contiectif (it
iennent de la dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses, des cellules du tissu contiectif (itévi-oglie ? et même des fi
x (iltiguenin, cité par Obersteiner). Enfin Guizzetti pense que ces cellules dérivent en partie de leucocytes mi- grateurs e
éri-vasculaires, qu'elles semultiplient par karyokinêse, et que les cellules ganglionnaires et la névroglie n'en- trent pour
rieur des parois vasculaires des accumulations considérables de ces cellules ; elles étaient remplies de gouttelettes graiss
leuses, au milieu desquelles on ne distinguait qu'à grand peine les cellules indivi- duelles. R. DE Musgbavk-Clay. XXXV. P
lle, parce que l'écorce cérébrale de la truite ne se compose que de cellules épithéliales sans éléments nerveux. Mais la tru
ées à l'aide de la méthode de Golgi paraissent démontrer que chaque cellule nerveuse avec ses rameaux protoplasmiques et son
xial constitue une unité structurale, indé- pendante de toute autre cellule , aucune continuité des éléments n'ayant pu être
ainsi : il y a dans le système nerveux deux variétés principales de cellules : l'une qu'il appelle la cellule nerveuse, prod
veux deux variétés principales de cellules : l'une qu'il appelle la cellule nerveuse, produit la substance transmetteuse ;
use, produit la substance transmetteuse ; l'autre, qu'il appelle la cellule ganglionnaire, est la source de l'impulsion. To
er- rompue. Il faut noter que, dès le commencement, sitôt que les cellules se sont différenciées dans le germe, on peut dist
des prolongements; ces fibrilles qui se développent aux dépens des cellules ganglionnaires servent de trait d'union entre l
E CL1Y. Une nouvelle méthode de Nissl. La structure normale de la cellule et les altérations cytologiques qui aboutissent à
nérescence graisseuse. Quelques remarques sur la physiologie de la cellule dans ses rapports avec l'aliénation mentale. Une
oposée sont les suivants : les coupes sont fraîches et montrent des cellules non ratatinées; l'alcool ne dissout pas la grai
la technique employée, et impose la structure normale d'une grande cellule pyramidale, étudiée par ce procédé, et il insiste
de la structure cellulaire. Il décrit ensuite les altérations de la cellule dans la dégénéres- cence graisseuse et recherch
ravaux récents, le siège de l'impulsion nerveuse n'est pas dans les cellules nerveuses, où est-il ? L'auleur n'est certainem
psule fibreuse; ils paraissent avoir pour origine un gonflement des cellules endotbéliales ; mais cette origine n'est probable
e Musgrave-Clay. XL1. Sur l'histologie normale et la pathologie des cellules ner- veuses corticales (surtout dans leurs rapp
bre 1898.) Les auteurs décrivent d'abord la structure normale de la cellule nerveuse, décrivent ensuite les phénomènes que
lie et un de manie récurrente) ; dans la manie, la pro- portion des cellules atteintes de chromatolyse était de 50 p. 100 da
r les chiffres, elle porte aussi sur le caractère de la lésion, les cellules arrivées au dernier stade de la désintégration
s cas, tout au moins, il y avait aussi une diminution du nombre des cellules nerveuses. C'est dans cette disparition compl
C'est dans cette disparition complète d'une forte proportion des cellules nerveuses corticales, et non pas dans la simple p
prolongements ou dans telle ou telle altération particu- lière des cellules existantes qu'il faut voir, suivant les auteurs,
ant à l'atrophie variqueuse des prolongements protoplas- miques des cellules corticales chez le sujet sain d'esprit et chez
u délire alcoolique : conduit lors de son entrée à l'asile dans une cellule d'agité, il déclara pen- dant qu'on l'y conduis
le, tels que phobies, obsessions, impulsions, etc. Dans ces cas, la cellule nerveuse, plus ou moins tarée, est ce qu'elle e
ophie des libres tangentielles, la chromotalyne légère de certaines cellules . En somme, comme Régis et Gaide l'avaient établ
paralysie générale, au lieu que l'atrophie et la raréfac- tion des cellules nerveuses est au contraire beaucoup moins accu-
elet et du pédoncule cérébel- leux supérieur droit; raréfaction des cellules des cornes anté- rieures affectant les groupes
bulbe, intégrité de la bandelette et du cervelet. Haié- faction des cellules de la corne antérieure. 3° Femme, hémiplégie dr
efférent. A cette dernière correspond la raréfaction numérique des cellules de la corne antérieure dans les régions cervica
remarquer l'inté- grité constante de la'colonne de Clarke dont les cellules d'après cela ne formeraient pas une connexion i
Pas de restreint hors de l'infirmerie, et au dedans l'isolement en cellule est rarement employé. J'ai eu occasion récemmen
res de malade ? , 4 salles de réunion et dortoirs de 3 et 4 lits, 4 cellules . Le premier étage est plus spécialement réservé
r de 3 lits, 4 chambres d'isolement et une chambre d'infirmier. Les cellules ont une double porte, la porte interne étant mu
ents d'écorce excisés a fait constater une dégénération des grosses cellules pyramidales, et une condensation du tissu névro-
ai jamais été partisan; j'ai, du reste, fait disparaître toutes les cellules de mon service dès 1890, c'est-à-dire presque d
Masses'de leucocytes dans le tissu du cerveau. Dégénéres- cence des cellules corticales, depuis la simple atrophie, jusqu'à la
prix, à la déchéance des fibres nerveuses, et à la leucocytose des cellules . P. 11ERAVaL. LU. Troubles de l'équilibre consé
es plus accentués ; la paralysie infantile qui ne porte que sur les cellules motrices ne produit que l'atrophie. Les mêmes r
circonvolutions centrales. En cette région, l'écorce est riche en cellules , parmi lesquelles les cellules pyramidales, mais
cette région, l'écorce est riche en cellules, parmi lesquelles les cellules pyramidales, mais en général les cellules sont
les, parmi lesquelles les cellules pyramidales, mais en général les cellules sont petites. A la région cervicale de la moelle,
s sont petites. A la région cervicale de la moelle, abon- dance des cellules dans les cornes antérieures, notamment en leurs
pression totale du bulbe et de la protubérance avec atrophie des cellules et dégénérescence des fibres surtout dans l'olive
hélium; ceux qui se' rapprochent du gliome présentent un mélange de cellules de tumeur et de fibres fortement rétractiles. E
que l'on considère comme carcinomateuses tirent leur origine de la cellule épendymaire adulte. Il est probable dans ces cond
elle occupe, une région dépourvue de toute connexion même avec les cellules épendymaires normales : ceci toutefois n'exclur
ture alvéolaire et tubulaire de la tumeur; 2° la ressemblance de la cellule , qui est cylindrique, cuboïdale et polyédrique, a
la cellule, qui est cylindrique, cuboïdale et polyédrique, avec la cellule épithéliale; 3° l'hyperchromatose des noyaux; et
° la présence des alvéoles et des tubes; 2° l'aspect épithélial des cellules ; 3° les fibrilles for- tement rétractiles et ra
lant l'aspect de la névroglie, disséminées par places au milieu des cellules . Contre l'idée du gliome alvéolaire, il y a : 1
es. Contre l'idée du gliome alvéolaire, il y a : 1° l'absence de la cellule épendymaire type, caractérisée par ses longs pr
plus fréquente de tumeur cérébrale. Comme le carcinome il dérive de cellules ayant leur origine dans les tissus ectodermique
ntes de son développement. Le carcinome correspon- drait alors à la cellule ectodermique d'une période embryonnaire plus je
todermique d'une période embryonnaire plus jeune, et le gliome à la cellule ectodermique d'une période plus avancée. Suivan
lus avan- cée, et même à l'état adulte avec point de départ dans la cellule épendymaire des ventricules ou dans les plexus
leux diffus, soit à l'état de nodules discrets. Les bacilles et les cellules géantes ont été constatés. En dehors de toute'aut
. La tumeur est parfois sillonnée par des infiltrations diffuses de cellules tuberculeuses et de leucocytes po- lymorphonucl
le intéresse surtout les cornes grises antérieures, ou du moins les cellules ganglionnaires, mais la substance blanche et le
tration cellulaire des gaines périvasculaires, dégénéres- cence des cellules ganglionnaires et destruction des éléments de s
e dégénérescence du système nerveux qui enva- hit primitivement les cellules nerveuses, et qui, par ses manifesta- tions cli
- nérescence et indiquent l'existence d'une lésion irritative des cellules nerveuses (mentales et motrices). L'auteur estime
du tissu chromo- philique : tout ce qu'il faut dire, c'est que les cellules mentales et les cellules motrices sont atteinte
e : tout ce qu'il faut dire, c'est que les cellules mentales et les cellules motrices sont atteintes les unes et les autres. I
ulaire et principalement ce qu'il appelle la spé- cialisation de la cellule , et il conclut que lorsqu'il y a spécialisa- ti
tive de reproduction est remplacée par la fonction spéciale que les cellules assument, et s'il en est ainsi dans d'autres ti
générescence progressive. Dans la dé- générescence syphilitique des cellules nerveuses, l'arrêt du proces- sus est l'excepti
rs cas a des causes multiples qui sont le pouvoir de résistance des cellules , l'intensité du virus, le fait que ce virus est
les chances de guérison d'un malade. Le pouvoir de résistance de la cellule peut être abaissé par bien des facteurs et prin
, acquise ou hérédi- taire, abaisse l'énergie vitale spécifique des cellules , en sorte que sous cette influence des systèmes
acture sans la dégénération, produite par la simple compression des cellules cortico- motrices 1 (chez l'enfant, plus fréque
e. Aucune altération du cordon pyramidal. La plus grande partie des cellules pyramidales étaient intactes. ' Dictionnaire en
y avait pas d'adhérences de la pie-mère. Diminution du nombre des cellules nerveuses, et lésions vasculaires dans la substan
parition des fibres lau- gentielles et de la strie de Les grandes cellules pyramides, mais surtout les petites sont lésées
amides, mais surtout les petites sont lésées; il en est de même des cellules de la moelle. Les cordons postérieurs de la moe
t des amas de 3 ou 4, isolés ou réunis dans la game lymphatique des cellules , notamment des grandes pyramidales. Les cellule
me lymphatique des cellules, notamment des grandes pyramidales. Les cellules les plus entourées par ces grains ont souvent d
, uniformément teintés en bleu, mais à côté on trouve de nombreuses cellules dont les grains et les bâtonnets cllromatopltil
eues, lésions vasculaires, altérations et disparition pattielie des cellules nerveuses, et ne leur recon- naissent qu'une va
s grains bleus de l'écorce cérébrale et de la gaine lymphatique des cellules nerveuses; qu'il s'agisse là de leucocytes comm
veuses; qu'il s'agisse là de leucocytes comme on l'a soutenu, ou de cellules d'origine névrogiique comme ils le pensent, c'e
60. Cécité VERBALE sans aphasie, ni agraphie, par Brissaud, 77. Cellules géantes de l'écorce mo- tiice chez les aliénés,
tposition segmentée, par llachard, 89. Emers. %(tion de T sur les cellules célébrâtes par Stefaaom6a. 150. Expertise con
COLLABORATEURS. ninfiite pottidue, par.1'ouclie, 87. Lésions des cellules des ganglions spinaux dans)e,parMar ! nesco,
16 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
arfois par de minces lamelles osseuses qui limitent de véri- tables cellules spbénoïdales. En poursuivant cette revue de la
me que le sinus spliéiioïdal,.el l'on ne voit plus de traces ni des cellules elhmoïdales ni des cellules mastoïdiennes. Un a
,.el l'on ne voit plus de traces ni des cellules elhmoïdales ni des cellules mastoïdiennes. Un autre fait qui doit retenir l'a
radiographiques ont démontré l'absence totaledu sinus frontal, des cellules mastoïdiennes et la petitesse du sinus sphénoïdal
tjustement l'absence du sinus frontal, du sinus sphénoï- dal el des cellules aérifères. Ce fait m'avait conduit à supposer que
ques constatées après autopsie dans un cas (infiltration de grandes cellules éosinophiles et vaisseaux dilatés) pemet- taien
57 pie-mère de ces régions n'est pas infiltrée sensiblement et les cellules nerveu- ses semblent normales. A la base du cer
ue dans leurs parois on voit des accumulations de lymphocytes et de cellules plasmatiques. A côté de ces formes cellulaires on
cellules plasmatiques. A côté de ces formes cellulaires on voit des cellules grandes, avec un noyau qui présente peu de granul
ranulations basophiles, et possédant un corps protoplasmatique. Ces cellules correspondent assez bien aux pseudo-plasmazelle
1901, p. 652. (6) Pettit et Girard, Processus secrétaires dans les cellules de revêtement des plexus choroïdes des ventricu
if était développé, avec des vais- seaux très épaissis, entourés de cellules embryonnaires. D'Astros et Léger ont noté dans
es. D'Astros et Léger ont noté dans l'hydrocéphalie, la présence de cellules rondes et l'élargissement des mailles des plexu
roïdes étaient un peu congestionnés et légèrement infiltrés par des cellules rondes. ' Gerhardt (4), dans l'un des trois cas
et même dans le tabès, on voit des vasodilatations, des placards de cellules mono- nucléaires et un afflux de polynucléaires
végétations papillaires des plexus choroïdes et des altérations des cellules épilhéliales en contact avec le pus. Dans le ca
hocytes dans la trame conjonclivo-vasculaire et des altérations des cellules épithé- liales. Dans l'observation XI, cas de m
lésion appré- ciahlr qu'une diminution assez marquée du nombre des cellules de Purkinje fit nn certain degré d'atrophie de
ction, deux faits sont à remarquer : d'abord la présence de petites cellules à noyau rond et sombre et à protoplasma à peine
s et latéraux; ils ont montré l'intégrité des ganglions et de leurs cellules et révélé des altérations des fibres à myéline
de Médecine de Bucarest. La cytologie du neurone, comme l'étude des cellules en général, est basée principalement sur l'étud
és de structure du cytoplasma ou du noyau. Ce genre d'études sur la cellule nerveuse qu'on a élevé, pour ainsi dire, en cul
tte question. Mais il est permis de se de- mander si les images des cellules nerveuses que nous avons obtenues au moyen des
moyen des agents fixateurs qui tous allèrent la vraie structure de la cellule nerveuse, correspondent à la réalité et si les
équent altèrent la forme du complexus colloï- dal représenté par la cellule . En effet, la plupart des substances qui existe
cellule. En effet, la plupart des substances qui existent dans une cellule se trou- vent à l'état colloïdal et celle remar
sion-critique de nos connaissances actuelles sur la structure de la cellule nerveuse et de l'examen à la lumière des données
oscopie et, d'autre part, les réactions chromatiques qu'offrent les cellules nerveuses, encore vivantes, xxv 13 194 MARINE
ères colorantes. C'est de l'application de la première méthode à la cellule nerveuse que je m'occuperai dans ce travail, ca
les propriétés générales des colloïdes, car ainsi que je l'ai dit, la cellule nerveuse comme toute autre cellule peut être dé
s, car ainsi que je l'ai dit, la cellule nerveuse comme toute autre cellule peut être définie comme un complexus colloïdal
llaire ou réticulée décrites par différents obser- vateurs dans les cellules soumises à l'action des agents fixateurs. Aussi,
si, il est conduit à nier la présence d'un réseau préformé dans les cellules et il nie également la préexistencedesgranulesd
ine de commerce contiennent toutes les apparences visibles dans les cellules qu'on a traitées par les fixa- teurs. Aussi se
cette constatation n'enlève pas à une struc- ture observée sur les cellules fixées toute valeur comme formation pré- exista
me, l'élasticité, le gonflement, les gels, puis la plasticité de la cellule , les mou"' vements amoeboïdes et d'autres propr
s Hardy s'appliquent non seulement au réseau qu'on constate dans la cellule , mais dans beaucoup de cas aussi aux granules.
au ; ils sont en partie tout ou moins des produits de la fonction des cellules et non pas sous la dépendance des agents fixate
protoplasmique ayant l'aspect de l'éponge. Ensuite, dans les autres cellules , il apparaît après la mort une structure pose-mor
autre qui est riche en eau et pauvre en colloïde. Le cytoplasma des cellules des ganglions nerveux et sympathiques de tous l
pèce de l'animal. Cette constatation peut être faite sur toutes les cellules encore vivantes, soit à l'aide de l'ultramicrosco
e part la couleur de ces granulations et la non-existence, dans les cellules vivantes,de grumeaux à formes géométriques conn
observons une to- nalité brun clair, gris neutre et gris bleu. Les cellules des ganglions sympathiques prélevés sur l'anima
et de structure ullramicrosco- pique que nous avons notées pour les cellules des ganglions spinaux. Il y a cependant deux so
les cellules des ganglions spinaux. Il y a cependant deux sortes de cellules : des cellules gris blanc, à granulations fines
s ganglions spinaux. Il y a cependant deux sortes de cellules : des cellules gris blanc, à granulations fines plus ou moins
d'autres plus près du blanc d'argent et enfin on trouve parfois des cellules gris jaunâtre. Chez l'homme, en général. y y a
l. y y a un rapport entre le volume des granulations et celui de la cellule . Les grosses cellules ganglionnaires, les cellu
ntre le volume des granulations et celui de la cellule. Les grosses cellules ganglionnaires, les cellules radiculaires, les ce
ns et celui de la cellule. Les grosses cellules ganglionnaires, les cellules radiculaires, les cellules géan- tes montrentun
Les grosses cellules ganglionnaires, les cellules radiculaires, les cellules géan- tes montrentune dispersion très fine, dan
yrami- des, les granulations sont plus grosses, tandis que dans les cellules de Pur- kinje,elles sont intermédiaires. Les gr
t la présence de-granulations plus ou moins fines qui impriment aux cellules nerveuses une luminosité variable avec t'age et
s grenouilles, ce qui domine dans les ganglions spinaux ce sont les cellules plus ou moins diaphanes et à côté d'elles on en
d'une si grande finesse qu'elles sont presque invisibles. Dans les cellules diaphanes, on peut aper- cevoir membrane nucléa
ourtour est 1 umineux sur une plus ou moins grande partie. Dans les cellules lumineuses, la membrane du noyau est toujours i
cytoplasma. En dehors des granulations lumineuses, on voit dans la cellule des ganglions spinaux de grenouille, des granul
condensées en amas sur une région plus ou moins considérable de la cellule , tout en affecta ni des formes variables. Tandi
es fait paraître sembla- bles à un croissant lunaire. Dans quelques cellules , on voit presque exclu- sivement des bâtonnets
e latéral. Nous n'avons pas constaté le même polychromisme dans les cellules des ganglions spinaux à la tempé- rature de 39°
odes de la vie embryonnaire. Comme tous les autres composants de la cellule nerveuse, elles subissent des modifications par
e, elles subissent des modifications parallèles à l'évolution de la cellule . Dans les cellules gan- glionnaires du foetus h
des modifications parallèles à l'évolution de la cellule. Dans les cellules gan- glionnaires du foetus humain et chez l'enf
outes ces constatations nous autorisent à affirmer que les diverses cellules nerveuses offrent une structure ultramicroscopiqu
ré de constance et la viscosité du cytoplasma et du karioplasma des cellules nerveuses, car celles-ci varient avec les diffé
à l'autre, ainsi qu'on peut le prouver facilement en trai- tant ces cellules par l'eau distillée qui diminue leur consistance
ndant longtemps. Les modifications que détermine la compression des cellules nerveuses peuvent nous fournir quelques données
nous fournir quelques données sur la consistance du cyloplasma des cellules des ganglions spinaux. Tout d'ahord, nous constat
egré Une compression légère produit une déformation passagère et la cellule revient à sa forme antérieure. Mais si la compr
ts de forme qui mettent en évi- dence le degré de consistance de la cellule et d'autre part sa plasticité. Nous observons t
out d'abord que lorsqu'il s'agit d'une compression plus accusée, la cellule s'allonge, prend une forme plus ou moins ovoïde e
unemodification très intéres- sante qui dénote la plasticité de la cellules nerveuse, c'est la tendance à la 204 ' MARINESC
bulation (fig. 4, PI XXV). 1) apparaît,en effet,à la périphérie de la cellule , comme une espèce d'excroissance se continuant
l'exis- tence des mouvements browniens dans le cytoplasma. de leurs cellules . Or, un des critériums les plus importants pour
ous permet de conclure que le complexus colloïdal qui constitue les cellules nerveuses ne peut pas être considéré comme un s
l, mais comme un milieu très visqueux ou un gel. Si on traite les cellules avec des agents qui produisent une dilution du
tes ces observations, c'est que le cyloplasma et le karioplasma des cellules nerveuses ne peuvent pas être comparés à un sol
e cela a été soutenu par Gaidukow dans son livre intéressant. Les cellules des ganglions spinaux examinés à la température d
mouvements amoeboïdes, malgré que nous ayons prolongé l'examen des cellules pendant plusieurs heures. Mais nous avons const
até, exceptionnellement il est vrai, un phénomène de réaction de la cellule vivante, consistant dans la vaiialion du degré de
vivante, consistant dans la vaiialion du degré de luminosité de la cellule . C'est ainsi que nous avons vu que des cellules d
de luminosité de la cellule. C'est ainsi que nous avons vu que des cellules diaphanes ou semi-diaphanes devenaientplus mate
lques minutes, comme on le voit dans la figure 5. Plus rarement une cellule très lu mineuse aurait tendance à devenir moins
AU MOYEN DE L'ULTRAMICROSCOPE 205 Comme nous venons de le voir, les cellules des ganglions spinaux et sympathiques et des ce
o- nique produit la précipitation des corpuscules de Nissl dans les cellules des ganglions spinaux correspondant à ceux décr
ligne de démarcation avec la zone périphérique voisine. A côté des cellules où l'on constate celle précipitation corpuscula
ide acétique est accompagnée d'un changement dans la tonalité de la cellule . Les sels des métaux monovalents et bivalents et
de très belles images de corpuscules de Nissl,c'est de traiter les cellules vivantes ou encore vivantes, ou les cellules fr
ssl,c'est de traiter les cellules vivantes ou encore vivantes, ou les cellules fraîches des animaux nouveau-nés, par certaines
lorantes. C'est ainsi que si on ajoute une goutte de suspension des cellules ,de gan- glions spinaux dans du sérum d'animal à
tte iliétliode de coloration dite supravitale produit la mort de la cellule et la précipita- tion n'a pas lieu si la cellul
duit la mort de la cellule et la précipita- tion n'a pas lieu si la cellule est encore vivante. En effet, si on pratique da
ions colloïdales se teintent nettement en rose, tandis que dans les cellules altérées par le traumatisme, on voit des corpus
s corpuscules frais, colorés en bleu, comme cela s'observe dans les cellules mortes. De plus, les granulations colloïdales n
pas lorsqu'on traite par des matières colorantes ou ba- siques les cellules des ganglions spinaux s'il y a un certain trouble
i par exemple qu'après les sections nerveuses, lorsqu'on traite des cellules de ganglions greffés par le bleu de méthylène o
areil neurofibrillaire qu'on ne peut pas mettre en évidence dans la cellule vivante, ni à l'ultramicroscope, ni à la lumière
re. Lugaro pense avec raison que la coagulation des colloïdes de la cellule aurait dû em- pêcher l'action précipitante des
i Pighini a répondu qu'il n'est pas démontré que le protoplasma des cellules ner- veuses doit nécessairement contenir des co
a pas pu retrouver la structure fibrillaire dans le protoplasma des cellules nerveuses, ni dans leurs prolongements : aussi, b
es post-mortels. Du reste, depuis long- temps Held a affirmé que la cellule , l'axone et dendrite ne montrent pen- dant la v
t s'expliquer les propriétés morphologi- ques et physiologiques des cellules vibratiles, des myofibrilles, des neuro- fibril
rilles vivantes. Cela ne veut pas dire que les neurofibrilles de la cellule vivante seraient liquides, mais seule- ment que
re par conséquent que les neurofibrilles ne préexistent pas dans la cellule et qu'elles seraient un produit de coa- gulatio
. Or, on ne constate pas de pareils phénomènes lorsqu'on traite les cellules nerveuses par des agents coagulants et particul
escence wallérien ne, etc. Les changements -du milieu interne de la cellule retentissent sur l'état colloïdal des neurofibr
état colloïdal des neurofibrilles comme sur les autres phases de la cellule . Un exemple très démonstratif de ce genre nous
les. En effet,ce corpuscule est la partie la plus réfringente de la cellule lorsqu'on l'examine dans des cellules fraîches au
rtie la plus réfringente de la cellule lorsqu'on l'examine dans des cellules fraîches au condenseur d'Abbé, mais il est homo
sses, lumineuses, en nombre variable ; ou bien lorsqu'on traite les cellules par les agents coagulants. Dans ce dernier cas,
ontrer à l'aide des colorations vitales et supravitales tant que la cellule n'est pas morte ou bien profondément altérée, l
entes substances en solutions isotoniques mises en contact avec les cellules des ganglions spinaux. Nous avons uti- lisé tou
vons employé le chlorure de nickel , de manganèse et de cobalt. Les cellules nerveuses ont été dissociées dans la solution c
l'éclairage latéral avec ceux donnés par l'éclairage direct. Les cellules nerveuses des ganglions spinaux dissociées dans l
dans les pièces fixées par le sublimé ou u l'alcool. Dans certaines cellules , on peut même reconnaître la disposition concen
la formation fait tout d'abord son apparition à la périphérie de la cellule , font défaut à l'émergence et au niveau de la c
i est finement granuleux et diaphane. Le noyau de certaines petites cellules peut être lumineux et granuleux sans qu'on puis
er sa rétraction, il a un aspect homogène et demi-lumineux dans les cellules d'un volume plus considérable, mais en général
ésente cer- tains degrés de luminosité jusqu'à l'étal brillant. Les cellules satellites sont très visibles et lumineuses.
peu près analogues. Dans l'acide chlolydri- que, le cytoplasma des cellules nerveuses est parsemé de fines granulations lum
s comparables à celles pro- duites par l'acide acétique. A côté des cellules lumineuses, on en voit d'autres gris acier dans
l (fig. 10). Au point de vue de la tonalité, on peut distinguer des cellules blanc jaunâtre, blanc d'argent et gris acier do
lasma. A un fort grossissement, on voit à la périphérie de quelques cellules des gra- nulations très nettes constituant une
aire. On remarque parfois la migration passive du noyau de quelques cellules le long des fentes qui se produisent dans le cy
es fentes qui se produisent dans le cytoplasma. Ce sont surtout les cellules diaphanes qui présentent cette rétraction delà
nt le noyau rétracté, que l'on trouve parfois à la périphérie de la cellule : Le nucléole souvent invisible présente quelqu
reste du noyau. ' r L'acétate de plomb augmente la luminosité des cellules dont le cyto- plasma contient des granulations
ma contient des granulations très rapprochées. Un certain nombre de cellules contiennent des granulations disséminées, plus de
ue connu. ' Le nucléole se fait remarquer dans un certain nombre de cellules par la luminosité de son contour et parfois de
nous consta- tons immédiatement que la luminosité de la plupart des cellules a aug- menté, qu'elles sont d'un blanc brillant
e du cytoplasma, karyoplama, rétraction de ce dernier dans quelques cellules , rétraction du corps cellulaire aux contours pé
dans lecytoplama simulant les corpuscules de Nissl. La tonalité des cellules est 'blanc brillant et quelques-unes sont gris
x. Il produit des modifications profondes de l'état colloïdal de la cellule nerveuse.. Les cellules sont évi- demment rétra
ications profondes de l'état colloïdal de la cellule nerveuse.. Les cellules sont évi- demment rétractées, leur périphérie e
est lumineux et contraste par sa luminosité avec la tonalité de la cellule . La précipitation intranucléaire varie avec l'esp
ne important, c'est que le corps cellulaire n'est plus rétracté, la cellule est arrondie. Fait encore plus important, c'est
ez bien pendant quelque temps la structure ultrami- croscopique des cellules nerveuses. Mais si nous faisons usage d'une sol
in fions plus forles.' C'est alors qu'on voit que la luminosité des cellules , particulièrement des cellules gris blanc, augm
ors qu'on voit que la luminosité des cellules, particulièrement des cellules gris blanc, augmente, que les granulations colloï
t légèrement atténué. En prolongeant l'examen, les ganglions ou les cellules conservés dans le sérum hypertonique montrent u
une espèce de rétraction du corps cellulaire et à la périphérie des cellules des boules en nombre et de gran- deur variables
rvé dans le sérum hypertonique par l'eau distillée, on voit que les cellules dissociées dans ce dernier liquide offrent une
particules de volume inégal, mais en tout cas supérieur à celui des cellules du ganglion conservé et dissocié dans le sérum hy
ns pour en former d'autres plus grosses (ng, 14, PI. XXV11). Peu de cellules ont conservé leur luminosité normale, mais leur t
électrolytes telles que l'urée, l'antipyrine et la glycérine sur la cellule nerveuse. Dès le commencement, il faut établir qu
s différents corps est sous la dépendance de l'état où se trouve la cellule nerveuse en expérience, de l'âge et de l'espèce d
rès apparents et très rapides. Nous constatons que la plu- part des cellules ont augmenté de vol urne et qu'elles sont tuméfié
diminution est inversement propor- tionnelle avec la résistance des cellules à la pénétration de l'eau distillée, car il y a
ce des cellules à la pénétration de l'eau distillée, car il y a des cellules hydrophiles dans lesquelles l'eau pénètre très fa
hydrophiles dans lesquelles l'eau pénètre très facile- ment et des cellules hydrophobes qui résistent pendant quelque temps à
ndant ce temps leur tonalité respective. A la première catégorie de cellules , en dehors du gonflement considérable, nous tro
, qui rendent la membrane nucléaire très ap- parente. Puis quelques cellules offrent des lésions encore plus avancées. C'est
e du noyau qui nage dans l'eau distillée est considérable. Dans les cellules où la lésion est moins avan- cée, on peut voir
ouvements browniens et de l'au- tre les changements de tonalité des cellules envahies par l'eau distillée. En effet, progres
que la dilution de cytoplasma fait des progrès, la luminosité de la cellule diminue et la tonalité change. Les cellules bla
rès, la luminosité de la cellule diminue et la tonalité change. Les cellules blanc d'argent, les cellules gris blanc prennent
ule diminue et la tonalité change. Les cellules blanc d'argent, les cellules gris blanc prennent une teinte grisâ- tre ou pl
t une teinte grisâ- tre ou plombée. Lorsqu'au lieu d'examiner les cellules immédiatement, on garde le ganglion dans l'eau
évidemment composé par des granulations, est plus lumineux dans les cellules également plus lumineuses ; 2° la tuméfac- tion
ns les cellules également plus lumineuses ; 2° la tuméfac- tion des cellules n'est pas si considérable comme celle que nous av
st pas si considérable comme celle que nous avons constaté dans les cellules immédiatement dissociées. Aussi les différences
i est difficile à expliquer, car on devrait s'attendre à ce que les cellules du ganglion ayant séjourné plus longtemps dans
ent tout d'abord une dissolution très rapide au centre de certaines cellules grises et qui à mesure qu'elle avance est suivie
ocation de plus en plus accusée du noyau qui peut être chassé de la cellule comme par une force intérieure. Nous le voyons
ide ambiant après une ou plusieurs minutes. Le contour de certaines cellules est échan- cré, irrégulier et dans quelques-une
uses persistent et sont animées de mouvements browniens. Il y a des cellules résistantes dans lesquelles le noyau n'est pas di
istantes dans lesquelles le noyau n'est pas dislo- qué, ce sont des cellules plus ou moins résistantes analogues aux cellules
- qué, ce sont des cellules plus ou moins résistantes analogues aux cellules hydrophobes que nous avons décrites plus haut (
oniaque à 1/200 dans du sérum physiologique, on voit, en dehors des cellules en cytolyse périnu- claire et périphérique, des
dehors des cellules en cytolyse périnu- claire et périphérique, des cellules blanc jaune qui sont devenues beau- coup plus r
t la classe des substances détruisant l'édifice morphologique de la cellule d'une façon extrêmement rapide dans l'ordre sui
tion isoionique, je n'ai pas pu me faire une opinion sur l'état des cellules à cause de la rapidité de la cytolyse réalisée pa
ion conservé dans l'ammoniaque pendant 12 minutes ne montre que des cellules d'un gris nuageux sans granulations lumineuses.
s d'un gris nuageux sans granulations lumineuses. Si on examine les cellules immédiatement dans la solution isotonique, on p
olyse ; par suite de la fonte des granulations d'un grand nombre de cellules , celles-ci prennent une coloration gris de plom
s arcs lu- mineux symétriques sur la membrane du noyau. L'axone des cellules qui persistent est gonflé et légèrement granule
yau n'était pas visible, on ne saurait pas si l'on a devant soi des cellules nerveuses. Si l'on fait usage d'une solution salé
conséquent d'une solution hypertonique, on voit que la membrane des cellules consistantes augmente et dans l'intérieur de cell
symétriques qui contrastent avec l'état diaphane de la plupart des cellules . - L'action produite par l'hydrate de barium es
iolente, il n'y a pas de dissolution et de la cytolyse totale de la cellule , l'action de la substance nocive se borne plus
bstance nocive se borne plus particulièrement à la périphérie de la cellule nerveuse, il n'y a pas de vide périnucléaire. La
arcs bien connus et le nucléole reste invisible. La luminosité des cellules a diminué d'une façon considérable ; elles ont un
t leurs granulations sont plus ou moins fines. Il y a cependant des cellules avec des granulations plus grosses et plus lumi
ans le cytoplasma. Tout d'abord il y a la luminosité géné- rale des cellules ; ensuite, il y a l'apparition d'une cytolyse pér
une cytolyse périphérique et des mouvements browniens dans quelques cellules au niveau de la cytolyse. Le contour de la cell
s dans quelques cellules au niveau de la cytolyse. Le contour de la cellule est déchiré ou festonné. L'axone peut être gonflé
lé et ses contours irréguliers. A une phase plus avancée, certaines cellules se résolvent en une masse diffluente granuleuse
ements browniens. La cytolyse peul être partielle, une région de la cellule de- vient plus diaphane (fit. 21, Pi. XXVIII).
ici, c'est qu'il peut y avoir une cytolyse à la péri- phérie de la cellule , mais avec conservation du contour du cytoplasma,
plasma, on dirait que la cylolyse intéresse la membrane ( ? ) de la cellule et les couches les plus externes du cytoplasma.
t quelques gra- nulations. La glycérine, de par son action sur la cellule nerveuse, occupe une place tout à fait à part d
a des images très variables de l'aspect du protoplasma. En effet la cellule perd sa luminosité et prend un aspect diaphane
érie, soit sur une autre région ou bien encore sur une moitié de la cellule et enfin on voit dans celle-ci des parties lumi
cytolyse. Lors- qu'il y a eu fonte de toutes les granulations, les cellules prennent un aspect grisâtre, d'autres sont abso
tant plus frappant que ce dernier est plus diaphane. Dans certaines cellules à noyau vide, le nucléole est gra- nuleux. Les
glycérine et traitée ensuite par le chlorure de calcium. Toutes les cellules contien- nent des granulations, mais ce qui att
ement de nombreuses granulations lumineuses, mais la luminosité des cellules est généralement accrue et nous pouvons rapproc
tout simple- ment par le chlorure de calcium. Mais en dehors de ces cellules fortement lumineuses, il en existe encore un ce
ect est gris acier ou gris bleuté Enfin à la périphérie de quelques cellules on aper- çoit un contour lumineux. Comme on le
on le voit, les modifications que la gly- cérine pure imprime à la cellule nerveuse ne sont pas définitives, mais en grand
ais en grande partie réversibles lorsqu'on traite ensuite les mêmes cellules par le chlorure de calcium en solution isotoniq
ique. Le vice-versa est aussi vrai : à savoir les modifications des cellules traitées tout d'abord par le chlorure de calciu
ut d'abord par le chlorure de calcium sont réversibles si ces mêmes cellules sont ensuite traitées par la glycérine. En effe
ndant 23 minutes et dans la glycérine 15 minutes, on dis- socie les cellules dans celle dernière substance, on constate en gén
lules dans celle dernière substance, on constate en général que les cellules sont revenues à leur élat antérieur. Comment on
es granulations sont très sensibles aux changements de milieu de la cellule et c'est grâce à cette sensibilité que les granul
is que d'autres, comme ceux qu'on observe dans la coagulation de la cellule sont permanents, irréver- sibles. Toujours ces
ces études nous ontpermis-de mieux comprendre l'état physique de la cellule nerveuse et nous avons vu que le complexus col-
ien comme fluide extrêmement visqueux. Toutes les modifications des cellules nerveuses réalisées par tous leurs- éléments cons
éments chromatophiles. LEGENDE DES PLANCHES Planche XXV FIG. 1. Cellules normales d'un ganglion sacré de petit chien Comme
de petit chien Comme on le voit, la figuie montre quatre sortes de cellules de volume différent : grosses, moyennes, petite
inosité et le volume des granulations augmentent en même temps que la cellule devient plus petite. Le contenu du noyau est in
ntenu du noyau est invisible et le nucléole inactif. FiG. 2. - Deux cellules du ganglion sympathique d'un petit chien, examinè
ectif employé. Fig. 3. Ganglion ciliaire du chien. FIG. 4. Quatre cellules d'un ganglion de chien nouveau-né comprimé à l'ai
leur partie inférieure une excroissance ou globule adhé- rent. D. Cellule fendue partiellement en deux parties, ce qui lui
BIOCYTONEUROLOGIE AU MOYEN DE L'ULTRAMICROSCOPE 221 FiG. 5. Quatre cellules provenant d'un ganglion de petit chien examinées
luminosité et volume moyen et oxone presque diaphane. Ai. La même cellule dont la luminosité a changé pendant notre examen.
édant 91 granulations de volume assez consi- dérable. B'. La même cellule qui commence à subir une modilication partielle d
iminution de la luminosité et du volume des granulations. FiG. 6. Cellules d'un ganglion dorsal de petit chien offrant des m
ie variables. Parfois la région lumineuse intéresse la moitié de la cellule , d'autres fois elle constitue deux segments symét
- . sente plusieurs taches plus ou moins lumineuses. Dans certaines cellules , la membrane - nucléaire est pourvue de deux ar
cléaire est pourvue de deux arcs lumineux. Planche XXVI Fin. 9. - Cellules d'un ganglion spinal traité par l'acide chlorydri
esque toutes les cel- lules une région circulaire vide. Fic.. 10. Cellule d'un ganglion spinal traité par l'acide chlorydri
et la présence de grumeaux à l'intérieur du cytoplasma. FtG. Il, - Cellules dissociées dans le sulfate de zinc en solution is
Elles contiennent presque toutes des grumeaux lumineux occupant la cellule en entier ou en partie, ces grumeaux ressemblen
e, ces grumeaux ressemblent aux corpuscules de Nissl. Il n'y a que la cellule de droite en haut qui en soit dépourvue. Le noy
un nucléole visible avec contour lumineux et brillant. Fie. 12. - Cellules d'un ganglion spinal de petit chien ayant séjourn
es. Le nucléole lumineux, granuleux et même gonflé, occupe, dans la cellule 1, une bonne partie du noyau, son contour est par
nes granulations et sa luminosité est di- minuée. Fie. 13. - Cinq cellules d'un ganglion conservé dans le sérum hypertonique
boules de grosseur différente. Planche XXVII. Fio. 14. Groupe de cellules provenant d'un ganglion conservé dans le sérum hy
variables selon l'espèce cellulaire, augmentant la luminosité de la cellule . Vide nucléaire atténué. FiG. t5. - Trois cellu
luminosité de la cellule. Vide nucléaire atténué. FiG. t5. - Trois cellules d'un ganglion spinal d'un chien jeune, dissociées
eau distillée, examen après 5 minutes. Planche XXVIII. FiG. 18. - Cellules d'un ganglion de petit chien traitées par l'urée
isoto- nique. A. Cellule résistante probablement lipophile. a3. Cellule dont toutes les granulations de cytoplasma sont e
tat de dissolution. Contour lumineux de la membrane nucléaire. C. Cellule dont la périphérie est plus touchée. FiG. 19. C
cléaire. C. Cellule dont la périphérie est plus touchée. FiG. 19. Cellules résistantes d'un ganglion spinal traité par l'amm
tolyse (C). Le contour du noyau lumineux et à l'intérieur des trois cellules le nucléole est lumineux et granuleux. F20. Cel
à 1/400 pendant 3/4 d'heure. Diminution considérable de toutes les cellules , dont le cytoplasma parait presque totalement d
Vide optique nucléaire absolu, ab- sence de nucléole, 1 volume des cellules ne parait ps augmenté. Fin. 21. - Cellule d'un
e nucléole, 1 volume des cellules ne parait ps augmenté. Fin. 21. - Cellule d'un ganglion de petit chien âgé de 3 mois, disso
pes colorées par l'hématoxyline ferrique ou la cochenille, quelques cellules ganglionnaires montrent des altérations partielle
s antérieures dégénérées, alors que les racines postérieures et les cellules ganglionnaires gardaient leur structure normale.
ère intacte, à l'excep- tion de quelques altérations partielles des cellules motrices dans le ren- flement cervical. Pans le
régions lombaire et dorsale, montrent dans la région cervicale des cellules (1) Klinische und anatomiselte Unlersuchung ein
tion des fibres des cordons latéraux ; diminution des fibres et des cellules dans les cornes antérieures et la colonne de Clar
antérieures, intégrité des racines postérieures ; diminu- tion des cellules dans les ganglions spinaux ; dans les nerfs périp
rdons laté- raux ; altération de la colonne de Clarke; atrophie des cellules des cornes anté- rieures à divers degrés. Dans
p. 540. xxv 20 298 LONG che intacte, légère dégénérescence des cellules des cornes antérieures. Dans les nerfs périphér
rquée dans la région cervico-dorsale ; altérations d'une partie des cellules des cornes antérieures, sans diminution numérique
tologique : Dé- générescence des cordons postérieurs ; atrophie des cellules des cornes anté- rieures, des colonnes de Clark
cornes antérieures, diminution du réseau myélinisé et du volume des cellules , sans diminution numérique ; intégrité des racine
on des fibres des racines antérieures et postérieures; atrophie des cellules des cornes antérieures et des colonnes de Clarke.
érieures et des colonnes de Clarke. Dans le bulbe, di- minution des cellules des noyaux du facial, du spinal et de l'hypogloss
cordons postérieurs, diminution du réseau de la colonne dé Clarke; cellules des cornes antérieures, les unes normales, les au
des cordons pos- térieurs ; diminution des fibres à myéline et des cellules multipolaires des cornes antérieures. Dans les
pour l'histologie, on constate qu'il est constitué uniquement par des cellules graisseuses juxtaposées, tassées par pression r
d'un fibro-li- pome, ni d'un angiolipome, mais d'un simple dépôt de cellules graisseuses, comme on en voit à la suite de cer
re. Ce tissu ne forme pas une masse compacte, il est infiltré par les cellules graisseuses et il n'existe plus maintenant de l
e de la corne antérieure droite, jusque-là intacte, se raréfie, les cellules les plus voisines du sillon antérieur perdent l
dans les régions détruites par du tissu fibreux dis- socié par les cellules graisseuses et en certains points orienté en tour
t les filets radiculaires postérieurs, sont hy- pertrophiées. Les cellules graisseuses réparties entre les mailles du tissu
circulatoires dans les régions correspondantes. La disposition des cellules adipeuses, l'absence de multiplication nucléair
sant par SI. Disparition de la tumeur graisseuse dont les dernières cellules g. forment encore quelques niasses isolées, des
se (1) 111AncvLSCO, loc. cil. 332 MINGAZZINl différencierait en cellules amiboïdes englobant la substance striée, Blocq
représentée par les neurones spino- musculaires, qui s'étendent des cellules trophomotrices des cornes anté- rieures de la m
e la périphérie et peut s'y arrêter ; parfois elle commence par les cellules trophomotrices des cornes antérieures, et alors
, il existait d'un seul côté, une certaine faiblesse originelle des cellules des cornes antérieures (abio- trophie), ou des
Et cela surtout, en considération des rapports qu'il y a entre les cellules des cornes antérieures et les ramifications du
aux membres supérieurs, observé une raréfaction et une atrophie des cellules des cornes antérieurs des segments correspondan
et non progressive, qu'il existe soit une destruction localisée des cellules de la corne antérieure, soit une névrite inters
\térhl'oJ ! - lacie antérieure proprement dite. Elle porte sur les cellules et sur le tissu de soutien de la corne. Les c
orte sur les cellules et sur le tissu de soutien de la corne. Les cellules motrices ont disparu complètement au niveau de la
éaire peu serrée pal'semée d'une infi 1 tra- tion modéréede petites cellules rondes. Parfois il existe en un point une minus
on voit qu'elle est comme étriquée, diminuée de volume et rèclle en cellules rondes. Les vaisseaux sont très épaissis, et, a
rondes. Les vaisseaux sont très épaissis, et, au point maxima, les cellules paraissent diminuées de nombre. Elles sont en
e processus et celui des poliomyélites chroniques où l'atteinte des cellules est remarquablement précoce. Ceci se voit encor
te de la partie interne de la corne avec disparition de lotîtes les cellules du groupe anléro-inlerne et conservation des cell
e lotîtes les cellules du groupe anléro-inlerne et conservation des cellules les plus aberrantes du groupe externe. Fait rem
pe externe. Fait remarquable, colorées par la méthode de Nissl, ces cellules se montrent sensiblement normales. Nous arrivon
extrêmement serrée. C'est une sclérose ancienne et très pauvre en cellules . Il en existe pourtant de loin en loin, parfois
es par la méthode de Nissl (di- minution de nombre et de volume des cellules des cornes antérieures, \ chromatolyse, hyperpi
es ou papil- laires (mp) en traits noirs plus ou moins ondulés, les cellules épendy- ma ires en hachures, lorsqu'elles sont
quelques endroits, où on découvre des amas plus ou moins serrés de cellules épendymaires. Il est peu vasculaire et les quel-
ocs sont cependant libres de tout tissu conjonctif et recouverts de cellules épendymaires,comme on le verra plus loin (PI. LUI
la hauteur de la moelle l'épendyme n'est jamais normal. Lorsque les cellules épendymaires tapis- sent la cavité, elles se di
une certaine élection dans la partie centrale de la cavité, où les cellules tapissent sur un ou plusieurs endroits les bord
sérer sur le gliome à leur voisinage im- médiat, ou bien encore les cellules en palissade ne forment la bordure que sur un p
raréfaction qui occupe le centre du gliome, contient une rangée de cellules cubiques épendymaires (PI. LIV, J). Puisque nou
il n'a ni sa place, ni sa forme habituelles. On trouve des amas de cellules polyédriques (épendy- maires) en divers points
liomateux libres dans la cavité ou pédiculés sont couronnés par des cellules épendymaires, disposées en palissades (Div, Dv)
\1Y1 : LIR, IIYPI1 : RPLASIE DU TISSU CONJONCTIF 375 cavité, et les cellules épendymaires sont alors disposées en bordure sur
upart par du lissu conjonc- tif, quelques-uns par des palissades de cellules épendymaires. 2° Des membranes conjonctives (re
ie postérieure présente une augmentation de névroglie ainsi que des cellules de Deiters isolées. Les vaisseaux et les espace
ées. Les vaisseaux et les espaces périvasculaires sont dilatés. Les cellules nerveuses des cornes antérieure et postérieure
DT liniques dans les racines antérieures est raréfié. Le nombre des cellules dans toutes les cornes est quelque peu diminué,
a maladie. Les altérations de dégénérescence et d'atrophie dans les cellules de la corne antérieure gauche au niveau du 7e et
microscopique : à peine quelque lymphocyte par millimètre cube à la cellule de Nageotte. Réaction de Wassermann. - Négative
ieur présente encore la trace du sillon des coupes précédentes. Les cellules disséminées sont rejetées à l'angle externe de
érieure remplacée par une cica- trice presque linéaire infiltrée de cellules rondes (du côté sain l'on reconnaît aisé- ment
trée de cellules rondes (du côté sain l'on reconnaît aisé- ment les cellules normales de la corne) ; 3" la corne postérieure d
ice linéaire d'où une hémiatrophie très marquée de la moelle. Les cellules motrices les plus externes persistent au niveau d
sur les fragments colorés au Marchi. 3° Au niveau de la moelle, les cellules des cornes antérieures du segment cervical et u
pres- que tous des lésions analogues, c'est-à-dire une atrophie des cellules des cornes antérieures. l'atrophie ISOLÉE 1\0
agglutinent les parois et oblitèrent le caual. Dans la plupart, la cellule est elle-même en partie détruite. Les coloratio
ur. Corps thyroïde. - Goitre banal. Hypophyse. - On reconnaît les cellules hypophysaires, mais il est difficile de précise
masse de colloïde éosinophile.Dans un grand nomhre de follicules, les cellules sont aplaties, présentant même une apparence en
sont très abondantes. Dans certains follicules on trouve aussi des cellules desquamées dont une bonne partie contiennent des
peuses. Dans la substance parathyroïdienne elle-même, on trouve des cellules dont certaines ont une structure réticulée, d'a
ro- mopUobe" L'hypophyse est représentée par de belles et grandes cellules dont la plu- part du type éosinophile, avec de
la plu- part du type éosinophile, avec de belles granulations. Les cellules chromo- phobes et dont le corps cellulaire est
e est plus réduit ne sont pas très rares non plus. Dans beaucoup de cellules , la coloration au Scharlach montre de nom- breu
la couche précédente et pauvres en granulations lipoïdes comme les cellules de la couche glomérulaire de la région correspo
rétractée. La zone médullaire est bien représentée formée de belles cellules dans les- quelles on peut observer des fines gr
ine montre que la glande interstitielle est bien représentée et ses cellules riches en granulations lipoïdes. Cette glande p
séminifères, on trouve des granulations lipoï- des surtout dans les cellules de la première couche. La coloration par l'héma-
r l'héma- toxyline-éosine montre que certains tubes contiennent des cellules desqua- mées. Dans d'autres on trouve la disp
d'infiltration cellulaire, constitué par des lymphocytes. Entre ces cellules , on voit des cellules hépatiques atrophiées. Ma
ire, constitué par des lymphocytes. Entre ces cellules, on voit des cellules hépatiques atrophiées. Mais en dehors de ces fo
s cellules hépatiques atrophiées. Mais en dehors de ces foyers, les cellules hépatiques sont bien conservées. On observe enc
ations - ou peu nombreuses - dans les tubes contournés. Partant les cellules de ces derniers ont pris aussi faiblement et d'un
es en substance colloïde et dont un certain nombre présentaient des cellules aplaties d'as- pect endothélioïde, tandis que d
s d'as- pect endothélioïde, tandis que dans d'autres follicules les cellules sem- blaient plutôt en état hyperfonctionnel. O
surrénale on nota surtout l'aspect spongiocytaire de la plupart des cellules de la corticale, En outreil existaitquelques ecta
e ne semble pas improba- ble étant donné l'aspect endothélioïde des cellules d'un grand nombre de follicules ainsi que les a
e cas en pleine activité ainsi qu'à l'hypophyse dont la richesse en cellules éosinophiles indique également une grande activit
17 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
mère et l'arachnoïde se présentent nor- males ; on ne trouve pas de cellules granuleuses dans la moelle épinière, même dans
veux à la place desquels on voit un amas, vaguement circonscrit, de cellules transparentes avec de fines granulations et un
fines granulations et un ou plusieurs noyaux ayant la grosseur des cellules granuleuses situées les unes auprès des autres.
ands se trouve une substance assez étendue et granuleuse, privée de cellules et de noyaux à peu près analogue à la granular
la lésion, constitués presque exclusivement par un amas de grandes cellules , étaient pour ainsi dire enfoncés dans la subst
ient situés dans une fente. On ne pouvait observer dans cet amas de cellules aucun débris de tissu nerveux ou de reticulum d
e, ni de l'hémorrhagie dans les alentours des vaisseaux. > Ces cellules étaient ndes, ayant la grosseur des cellules gra-
vaisseaux. > Ces cellules étaient ndes, ayant la grosseur des cellules gra- nuleuses, nucléaires, mais en grande parti
s, nucléaires, mais en grande partie sans contenu adipeux. Quelques cellules offraient une coloration légèrement jaune, mais
ormaient dans quelques places une petite zone autour de ces amas de cellules et dans quelques autres places pénétraient plus
etits endroits de processus myélitique. La substance grise avec ses cellules , les racines antérieures et postérieures et les m
tissus. Donc la présence de bullettes de gaz a fortement irrité les cellules ner- veuses ; l'effet immédiat de cette irritat
diat de cette irritation est une action soudaine et violente de ces cellules ; les centres moteurs se déchargent et le résult
t et de la sensibilité nous semble prouver, écrit Seppilli, que les cellules ner- veuses de l'écorce dont dépendent la sensi
s deux circonvolutions rolanriiques à droite. Toutefois les grandes cellules pyramidales de Betz subsistaient dans les régio
et ne s'in- troduisent qu'après dans la substance de la corne. Des cellules de Clarke partent deux sortes de fibres. Les un
ibres radiculaires postérieures qui ont préalablement passé par les cellules grises des cornes postérieures, ce sont eux qui
noyaux fusiformes à longs prolongements, comparables à de jeunes cellules du tissu conjonctif et qui en sont réellement; ce
: la l'ensemble des branches des prolongements potoplasmi- ques des cellules nerveuses se terminent à l'aveugle sans débou-
rugueux, et ne présentent aucune structure fibrillaire ; - 2° toute cellule nerveuse est unipolaire, c'est-à-dire qu'elle p
longements potoplas- miques ; 4° il y a en effet deux catégories de cellules nerveuses : a. des cellules dont le prolongemen
; 4° il y a en effet deux catégories de cellules nerveuses : a. des cellules dont le prolongement cylindraxile aboutit à une
rameaux latéraux (exemple : les grandes pyramides de l'écorce, les cellules de Purkinje, les grandes cellules des cornes an
randes pyramides de l'écorce, les cellules de Purkinje, les grandes cellules des cornes antérieures) ; 6. des cellules dont
de Purkinje, les grandes cellules des cornes antérieures) ; 6. des cellules dont le prolongement cylindraxile se résout com
n'y aurait pas lieu non plus, d'après M. Forel, d'admettre que les cellules de la première catégorie (a) soient motrices, et
n périphérique d'une fibre nerveuse qui décide de sa fonction. La cellule d'où provient une fibre nerveuse sera, si elle es
fibre nerveuse sera, si elle est sensible, placée à la périphérie ( cellule cpithéliale de la peau transformée en cellule n
acée à la périphérie (cellule cpithéliale de la peau transformée en cellule nerveuse) ; si elle est motrice, placée au centre
'cil.Quand on extirpe l'écorce, on condamne à la nécrose toutes les cellules du corps genouillé ; quand on enlève l'oeil, il
qui prennent leur origine dans le corps genouillé externe, dans ses cellules , vont se terminer en arborescences dans la sphè
D'ANATOMIE ET DE PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. 115 du côté opposé. Les cellules du corps genouillé n'étant pas bipo- laires, il
veau-né, la dégénérescence de ce nerf des deux côtés, y compris ses cellules d'origine ; 2° la section d'un nerf moteur dans
n rencontre l'atrophie de la racine ascendante de ce nerf, mais les cellules de la substance gélatineuse et le sys- tème des
qu'une abondante prolifération des noyaux; on trouvait çà et là des cellules à noyaux. A une demande de M. Jolly, M. BUCII
stater des différences de forme, de volume et d'évolution entre les cellules épiblastiques et hypoblastiques qui, à l'encont
ité ensemble des caractères distinctifs -- leur est applicable. Les cellules différen- ciées forment de même : des variétés,
urs au témoignage de Koelliker, lorsqu'il s'agit de représenter les cellules nerveuses avec leurs prolon- gements. Or c'est
sont que des schémas imaginaires. Par quels caractères propres la cellule nerveuse se distingue-t-elle, au point de vue o
autres étémentsanatomiques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse une cellule munie d'un prolon- gement
omiques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse une cellule munie d'un prolon- gement spécial; toujours uni
uses. Quelle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Selon Golgi, les carac- tères du pro
rotoplasma vrai n'exis- terait que dans cette partie centrale de la cellule qui environne le noyau. Les prolongements de
ale de la cellule qui environne le noyau. Les prolongements de la cellule nerveuse sont de deux sortes. L'un, toujours un
m de prolongements protoplasmiques. Physiolo- giquement, toutes les cellules nerveuses sont donc uni- polaires ; ce n'est qu
à myéline. Dans cette hypo- thèse, la plus généralement admise, les cellules ner- veuses affecteraient deux modes de connexi
um nerveux, les ramifications des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses, dont l'orien- tation vers la surface
ons est bien connue, vont isolément se mettre en rapport avec les cellules de la névroglie et avec les parois des vaisseaux
gements sont les canaux par lesquels, des vaisseaux sanguins et des cellules de la névroglie, le plasma nutritif arrive aux
res nerveuses de la substance grise ? Com- ment s'établit entre les cellules , considérées individuel- lement, et les différe
à myéline, émet toujours, à une distance plus ou moins grande de la cellule , des ramuscules arbores- cents dont la forme va
de devenir le cylindre-axe d'une fibre à myéline, sont issues de cellules nerveuses qui rappellent celles des cornes anté-
s de la moelle épinière. Les fibres de la 2e caté- gorie sortent de cellules qui ont plutôt l'aspect des cellules des cornes
la 2e caté- gorie sortent de cellules qui ont plutôt l'aspect des cellules des cornes postérieures et de la substance de R
es postérieures et de la substance de Rolulldo. De là deux types de cellules nerveuses en rapport avec les deux catégories d
uses en rapport avec les deux catégories de fibres nerveuses. Les cellules du premier type seraient motrices, celles du se
tres correspondraient peut-être aux différences de fonctions de ces cellules . Quant au consensus physiologique que l'on cons
écorce, les fibrilles émanées des prolongements nerveux moteurs des cellules du premier type avec celles, en nombre infinime
nt plus grand, des prolongements nerveux sensilivo-sensoriels des cellules du deuxième type. « Quelle autre signifi- catio
rit Golgi, aux fibrilles qui, émanant du prolongement nerveux des cellules du premier type (supposées motrices ou psycho-
nts nerveux l'il, I PHYSIOLOGIE. des cellulules du deuxième type ( cellules sensitivo- sensorielles ou psycho-sensitivo-sen
endues anastomoses directes des prolongements pro- toplasmiques des cellules nerveuses ou dans le réseau diffus, également h
sion nerveuse isolée, soit centripète,. soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveuses centrales
entripète,. soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveuses centrales et péri- phériques n'a poin
rce constitué, non par l'anastomose des prolongements directs des cellules nerveuses, mais par les ramifica- tions ultimes
, mais par les ramifica- tions ultimes de leurs cylindres-axes. Les cellules et les ribt,7--Ij motrices présenteraient seule
qu'indirectement en rapport avec des groupes ou des territoires de cellules centrales extrê- mement étendus. Telle est bien
fibre nerveuse, loin de se trouver iso- lément en rapport avec une cellule , est au contraire dans la plupart des cas en co
dans la plupart des cas en connexion avec des groupes étendus de cellules . Inversement, chaque cellule ner- veuse des cen
connexion avec des groupes étendus de cellules. Inversement, chaque cellule ner- veuse des centres nerveux peut être eu rap
différentes de ces éléments ? La distinction de ces organites en cellules motrices et en cellules sensitives ou sensorielle
éments ? La distinction de ces organites en cellules motrices et en cellules sensitives ou sensorielles, qu'invoquait tout à
gi nie qu'il y ait à tenir compte de la forme ou de la grandeur des cellules nerveuses pour la connaissance de leurs fonctio
es nerveuses pour la connaissance de leurs fonctions. Certes, les cellules du premier type qui sont motrices, sont grandes
on ne saurait rien conjecturer de certain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules nerveuses, si l'on
rer de certain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules nerveuses, si l'on n'observe les rapports de ce
p. 45. Cf. Pierrot, sur les relations existant entre le volume des cellules motrices ou sensitives des ce tires nerveux, et
veux, et dans ses connexions anatomiques, non dans la forme de la cellule , que se trouve à cet égard le seul critérium di
itérium digne de foi. Ajoutez que, si la structure anatomique des cellules nerveuses ne saurait nous renseigner sur leurs
que. Dans toutes les régions des centres nerveux, les deux types de cellules qu'il a distingués se trouvent, dit-il, réunis
ne trouve dans cette circonvolution que trois formes distinctes de cellules : «, des cellules py- ramidales (ll°, 2e, 3e co
tte circonvolution que trois formes distinctes de cellules : «, des cellules py- ramidales (ll°, 2e, 3e couche de Meynert);
istence de couches stratifiées nettement isolées. Toutefois, si les cellules globuleuses se rencontrent dans LES FONCTIONS D
sseur de l'écorce, elles abondent surtout au' voisinage des amas de cellules fusiformes, les- quelles ne se trouvent presque
ue « dans les couches les plus profondes de l'écorce ». Quant aux cellules pyramidales, qui existent bien dans toute l'éco
supérieur de l'écorce, et formée presque exclu- sivement de petites cellules pyramidales; 2° en une couche moyenne, occupant
moyenne, occupant le tiers moyen de l'écorce, et constituée par des cellules pyramidales moyennes et grandes, ces dernières
e couche profonde, ou du dernier tiers de l'écorce, où, quoique les cellules pyramydales moyennes et petites ne manquent pas
ules pyramydales moyennes et petites ne manquent pas, ce sont des cellules globuleuses et des cellules fusiformes, plus no
et petites ne manquent pas, ce sont des cellules globuleuses et des cellules fusiformes, plus nombreuses qu'en aucune région
fondement, ne manque point de noter expressément que les petites cellules nerveuses globuleuses y prédominent, surtout da
ses prédécesseurs, Golgi a observé, dans la 0,, la pré- sence de cellules pyramidales des trois dimensions, surtout dans
mensions, surtout dans les couches superficielles et moyennes, de cellules géantes, de grandes cellules solitaires. Ici en
couches superficielles et moyennes, de cellules géantes, de grandes cellules solitaires. Ici encore, les huit couches du sch
n'existe pas d'autre moyen de déterminer l'activité spécifique des cellules nerveuses que l'étude de leurs prolongements ne
scientifique : il parle, et il croit qu'on a le droit de parler, de cellules motrices, voire de cellules sensitives ou senso
croit qu'on a le droit de parler, de cellules motrices, voire de cellules sensitives ou sensorielles, et cela parce qu'il
gique, à surprendre les rapports directs des nerfs moteurs avec les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière \
e \ Où fallait-il chercher, dans l'hypothèse qu'il en existe, des cellules incontestablement motrices ? Dans la zone motri
même temps, sans doute confondues avec les élé- ments moteurs, des cellules sensitives. Dans le cerve- let ? C'est un champ
s des cornes antérieures, le moyen d'affirmer qu'on a affaire à une cellule motrice, tant qu'on n'a pas vu son prolongement
organi cenlrali... p. 209-14. 180 PHYSIOLOGIE. découvrit que les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière so
prétation de la nature physiologique des deux types différents de cellules nerveuses. Au lieu de dire, comme je l'ai fait
ules nerveuses. Au lieu de dire, comme je l'ai fait jusqu'ici : Les cellules du premier type sont en rap- port direct, non i
nerveuses; je pourrai dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses motrices [cellule nervose ntotuici) s
dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses motrices [ cellule nervose ntotuici) sont en rapport direct, non i
olé, avec les fibres ner- veuses (du mouvement). » Quant aux autres cellules nerveuses, aux cellules du deuxième type, dont
veuses (du mouvement). » Quant aux autres cellules nerveuses, aux cellules du deuxième type, dont le prolongement nerveux
uvent désormais être considérées avec plus de fondement comme des cellules de sensibilité [cellule di senso). » Mais, de c
nsidérées avec plus de fondement comme des cellules de sensibilité [ cellule di senso). » Mais, de ces grandes études de Gol
t séparées, d'une manière absolue, que ne le sont les deux types de cellules du mouvement et de la sensibilité; anatomiqueme
s ré- gions motrices et sensitives de la moelle épinière, que les cellules des cornes antérieures et postérieures, sont ri
to- miste de Vienne enseigne que « les énergies spéci- fiques des cellules nerveuses ne sont que le résultat des différenc
erveau des énergies fonction- nelles spécifiquement différentes. La cellule nerveuse ne possède qu'une seule énergie foncti
appareils périphériques des sens, non aux énergies spécifiques des cellules nerveuses des diffé- rentes aires corticales du
sculaire devrait être appelée « motrice », et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qui innervent le muscle. Au point de
oint de vue phylogénétique, il paraît bien, en effet, que c'est des cellules constituant le feuillet cutané de la gastrula q
es diffé- renciées et transformées du tégument cutané, toutes les cellules nerveuses de ces organes sont la postérité des
outes les cellules nerveuses de ces organes sont la postérité des cellules épidermiques modifiées par l'adaptation. Il sui
ts nerveux de l'écorce seraient capables de la suppléer. Ainsi, une cellule nerveuse qui, eu vertu de ses connexions anatom
ns, produire une sensation tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellule nerveuse de l'écorce qui, par l'intermédiaire d
age aucun pour les fonctions de la sensibilité. Par exemple, si les cellules nerveuses des sphères visuelles n'ont rien qui
des sensations dérive de la spécificité naturelle, non acquise, des cellules nerveuses centrales ? Un partisan des idées de
nastomoses entre les prolongements, nerveux ou protoplasmiques, des cellules nerveuses, Forel se demande pourquoi l'on conti
être de même pour le système nerveux. » Puis, pourquoi parler de cellules motrices et de cellules de sensibilité ? Forel
système nerveux. » Puis, pourquoi parler de cellules motrices et de cellules de sensibilité ? Forel proteste; il s'élève con
erfs sensibles, le point initial de l'ex- citation sensible est une cellule épithéliale, une cel- lule sensible périphériqu
ensible périphérique, d'où sort un prolongement nerveux, comme' des cellules du premier type de Golgi : c'est de cette cellu
veux, comme' des cellules du premier type de Golgi : c'est de cette cellule que part le nerf sensible qui gagne le système
teur ne serait donc pas que le premier entre là en rapport avec des cellules du deuxième type : la seule différence serait q
e. Mais on n'a point le droit d'appeler sensibles ou motrices les cellules nerveuses centrales. Seul, le mode de termi- LE
irginales; de cet auteur, touchant la struc- ture des fibres et des cellules nerveuses. Je ne veux que montrer, avec ses con
e histologique de Golgi. Pour Nansen aussi, les prolongements des cellules nerveuses sont de deux sortes, nerveux et proto
t au voisinage des vaisseaux sanguins et servent à la nutrition des cellules ner- veuses; il n'existe point d'anastomoses en
le épinière des myxines, des tubes nerveux sor- tir directement des cellules des cornes antérieures; ceux des racines postér
on peut appeler moteurs les premiers, sensibles les seconds. Les cellules nerveuses n'ayant absolument aucun rap- port di
U. 191 lion des arcs réflexes et à l'importance physiologique des cellules nerveuses, ne peut plus se soutenir, du moment
rnières n'ont pas entre elles de com- munication directe, et où les cellules nerveuses cen- trales offrent tout aussi peu de
st transmise aux centres supérieurs sans passer directement par les cellules nerveuses. On peut admettre de la même façon, c
de ces centres. Il est par conséquent impossible d'admettre que les cellules nerveuses des centres nerveux inférieurs possèd
vements volontaires, ce que l'on semble pouvoir appliquer aussi aux cellules nerveuses des centres supérieurs 1. » Quel es
on directe de la complexité de structure de ce réticulum. Quant aux cellules des centres nerveux, déchues de leurs fonctions
othèse de la nature purement protoplasmique des prolongements des cellules nerveuses, à l'exception du prolongement nerveu
ntes dans la disposition topographique des différentes couches de cellules , Mendel répondait que ce sont précisément ces v
cture histologique des circonvolutions. Que certaines catégories de cellules nerveuses l'emportent en ' nombre dans certaine
ouches de l'écorce soit en rapport avec le nombre et l'activité des cellules nerveuses qui les constituent, ce sont là, pour
me dans les couches optiques, Marchi a rencontré les deux sortes de cellules distinguées par Golgi, celles du premier et cel
mais irrégulièrement disséminées, et sans orientation spéciale. Les cellules nerveuses des corps striés, pyramidales, globul
i. ¡bill., 1886, XII, 285. 200 PHYSIOLOGIE. 8 u, Mais ce sont les cellules du deuxième type qui prévalent dans les corps s
gnent jusqu'à 60 p. et présentent de nombreuses analogies avec les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière. T
s cellules des cornes antérieures de la moelle épinière. Toutes ces cellules nerveuses envoient un prolongement nerveux uniq
olongements protoplasmiques (de 4 à 8). Le prolongement nerveux des cellules du premier type devient, on le sait, le cylindr
sait, le cylindre-axe d'une fibre ner- veuse, tandis que celui des cellules du deuxième type émet des ramifications arbores
brillaire que, par leurs ramuscules latéraux, les fibres issues des cellules du premier type se trouvent en rapport médiat a
ules du premier type se trouvent en rapport médiat avec nombre de cellules du deuxième type. Quant aux ramifications des p
ramifications des prolongements protoplasmiques des deux espèces de cellules nerveuses, elles n'ont rien de commun avec ce r
c ce réseau nerveux; elles se confondent avec les prolongements des cellules de la névroglie qui s'insèrent sur les parois d
n'ont que des fonctions trophiques. Du fait que les deux types de cellules nerveuses coexistent dans les corps striés comm
ivent s'effectuer dans ces'ganglions. Toutefois la prédominance des cellules du deuxième type dans les corps striés permet d
la sphère de la sensibilité (siera senso7'ia). Au contraire, les cellules du premier type l'emportent décidément dans les
cérébrale : il faudrait déterminer quelle est celle des couches de cellules nerveuses stratifiées, ou, si l'on veut, quelle
les nerveuses stratifiées, ou, si l'on veut, quelle est l'espèce de cellules nerveuses, pyramidales, globuleuses, fusiformes
lgi, la constitution histologique de la Fi =. Des trois sortes de cellules nerveuses morphologiquement distinctes que Golg
es devanciers, a distingué dans l'écorce, ce sont naturellement les cellules pyramidales (de 25 à 30 pi) qui dominent dans c
l'homme comme chez le singe, le veau, etc. Les plus grandes de ces cellules prédominent dans le tiers moyen de l'écorce; ma
rce; mais quoique assez rares relati- vement, les autres espèces de cellules nerveuses ne laissent pas de se rencontrer en p
s de Meynert et de Betz. Qu'il n'existe point de stratifications de cellules nerveuses au sens rigoureux du mot, à la bonne
ffecter de rejeter en bloc toutes les observations antérieures. Les cellules pyra- midales ne sont pas cantonnées dans une z
de cette circonvolution, confondues avec les deux autres formes de cellules nerveuses. Soit; mais si l'on constate que les
e, et surtout dans le tiers moyen, où sont réunies les plus grandes cellules pyramidales, et que les autres s'observent surt
e Goll et, à partir de la moelle lom- baire, hyperplasie de petites cellules autour du canal central. Les cellules nerveuses
baire, hyperplasie de petites cellules autour du canal central. Les cellules nerveuses sont indemnes. Endartérite fibreuse de
comme Friedreich, à l'excitabilité exagérée de certains groupes de cellules des cornes antérieures. Commé la face était pri
e était prise aussi, il faut admettre une excitabilité analogue des cellules bulbaires. En 1888, nous trouvons une observati
i de la périphérie au centre, de sorte que, si le malade survit, la cellule de la corne antérieure peut être atteinte. Mais
avec les phénomènes physiologiques qui président à la fonction des cellules nerveuses. De nouvelles recherches s'imposent e
montant que les faisceaux de Goll. Il existe aussi une atrophie des cellules nerveuses multipo- laires des cornes antérieure
de la névroglie sont colorées en bleu ; les noyaux, en rouge ; les cellules , en rougeâtre; les cylindres- axes restent inco
royante et se manifeste par une hypergenèse très accusée de grosses cellules . L'encéphalite ordinaire, qui résulte d'une pla
par une lente prolifération du tissu inters- titiel et la genèse de cellules granuleuses. L'étude analytique des observation
n y constate : 1° des SOCIÉTÉS SAVANTES. 271 Il foyers de grosses cellules épithélioïdes dont l'interprétation est demeuré
gré, ce sont des foyers constitués par une tuméfaction exagérée des cellules de la névroglie et des cylindres- axes, ainsi q
névroglie et des cylindres- axes, ainsi que par l'agglomération de cellules granuleuses. Ces altérations représentent un ty
s et plaques jaunes consécutives à la genèse spontanée de foyers de cellules granuleuses, représentent, traits pour traits,
i, prévenir le directeur qu'un grand malheur était arrivé dans la cellule portant le numéro 8. Le directeur se rendit aussi
ellule portant le numéro 8. Le directeur se rendit aussitôt dans la cellule , et là un spectacle affreux frappa ses yeux. Deux
aris, 1889. - Librairie J.-B. Baillière et fils. CliATIN (J.). La cellule nerveuse. Etudes d'histologie zoologique sur la
insi d'excellentes préparations. De plus, comme par ce procédé, les cellules nerveuses se décolorent complètement, on peut e
est quelquefois manifestement en rapport avec des vaisseaux ou des cellules de Deiters. Les cylinder-axis ont disparu en gr
au élégant qui existe, à ce niveau, à l'état normal. La plupart des cellules nerveuses ont disparu. Celles qui subsistent so
s on trouve des globules hyalins fortement colorés et deux ou trois cellules nerveuses pâles, atrophiées et sans prolongemen
'on ne voit plus de fibres nerveuses. Il reste encore deux ou trois cellules sans prolongements et plus petites qu'à l'état
) des zones vacuolaires dans la périphérie d'un certain nombre de cellules . De plus, en quelques points, le tissu conjonctif
couche située immédiatement au-dessous, on observe des traînées de cellules embryonnaires qui suivent les vaisseaux et pénètr
présente une infiltration graisseuse, intense de presque toutes les cellules hépatiques : pas de lésio-ns dans les espaces p
, et dans la région cervicale constituée par une grande quantité de cellules a noyaux pigmentés. La moelle épinière est pl
a moelle et d,tns le tabes ordinaire. ' On ne peut apercevoir les cellules de Deiters; les parois des vaisseaux sont épais
ôme dans les cornes antérieures surtout au renflement cervical. Les cellules ganglionnaires semblent être plus petites. Les
nes de Clarke présentent dans toute leur hauteur une diminution des cellules ganglionnaires. Les cornes postérieures conti
iplorius, on observe la dégénérescence des cordons postérieurs. Les cellules ganglionnaires de ces derniers semblent plus ra
pluLôt démontrer un vice de développement des tubes nerveux et des cellules dans certaines parties bien définies de la moelle
ent atrophiées. Les fibres fines ont disparu pour la plupart et les cellules ner- veuses sont réduites de nombre et de volum
atrophiées et dans les colonnes de Clarke, les fibres fines et les cellules sont altérées. La pie-mère est légèrement épais
cation des noyaux de la gaine myéliuique. La seule altération des cellules nerveuses qu'on puisse constater est celle des
ération des cellules nerveuses qu'on puisse constater est celle des cellules des colonnes de Clarke. Les cellules des cornes
puisse constater est celle des cellules des colonnes de Clarke. Les cellules des cornes antérieures, nous ont paru saines, à
ubstance grise à la seule colonne de Clarke, dont non seulement les cellules , mais encore les fibres fines ont disparu (PL.
grossissement, colorée par la méthode de Wei- gert et au carmin, a, cellules atrophiées sans noyau et sans prolongement b, t
les sels d'argent imprègnent le réseau lymphatique qui enserre les cellules nerveuses, les cellules de la névroglie, et les
ent le réseau lymphatique qui enserre les cellules nerveuses, les cellules de la névroglie, et les prolongements de ^ces élé
Frommann (de Iéna). De quelques détails de structure des fibres et cellules nerveuses. Il existe actuellement trois opinions
intérieur des mailles du réseau en question. Dans le corps même des cellules nerveuses multipolaires on trouve des fibrilles
usqu'au voisinage du noyau. Une disposition parfois révélée par les cellules de vertébrés et surtout par celles des crustacé
u réseau nucléaire et protoplasmique ; elle est, notamment dans les cellules nerveuses de la rétine et des cornes antérieure
aire extranucléaire. La membrane en question manque sur beaucoup de cellules des cornes antérieures. L'intérieur du noyau es
plus souvent quelques vacuoles plus ou moins volumineuses. Quelques cellules (cornes antérieures- rétine) révèlent une struct
nt la mem- brane rejoignent le réseau protoplasmique du corps de la cellule qui lui aussi s'insère sur la membrane nucléair
ole unique ordinaire ; M. Frommann en a compté jusqu'à six dans les cellules du gan- glion étoilé de la seiche (élédone).
es du gan- glion étoilé de la seiche (élédone). Communication des cellules nerveuses entre elles, connexion des cellules n
. Communication des cellules nerveuses entre elles, connexion des cellules nerveuses avec la substance grise, les cellules d
lles, connexion des cellules nerveuses avec la substance grise, les cellules du tissu con- jonctif, et les vaisseaux. - Déjà
sant libres du protoplasme et du SOCIÉTÉS savantes. 409 noyau des cellules nerveuses ou autres étaient reliées entre elles
la périphérie émettent des fibrilles filiformes qui abandonnent la cellule . Comme ces fils portent le long de leur trajet
à fait la même apparence que celles qui occupent l'intérieur de la cellule et servent d'organes de jonction, comme elles se
mme, de plus, la paroi des capillaires de la substance grise et les cellules nerveuses émettent des fibrilles exactement sembl
seau connectif dans le ganglion étoilé de la seiche. La plupart des cellules sont entourées d'une capsule de tissu conjoncti
, que ce tissu manque sur une certaine étendue et, dans ce cas, les cellules voisines paraissent séparées l'une de l'autre p
l'autre par un hiatus étroit, à travers lequel se rendent, d'une cellule à l'autre, des fins filaments affectant une direc
voit la capsule sous la forme d'un cordon brillant, et, entie deux cellules , une étroite lisière claire : c'est l'hiatus à
les filaments émanés de points cor- respondants de la périphérie de cellules voisines se réunissent dans cet organe sous la
ibrilles très fines et très courtes qui reçoivent les filaments des cellules voisines, de sorte que, quelle que soit la disp
quelle que soit la disposition anatomique, la connexion entre les cellules voisines est assurée. La question qui se pose m
tenant, la voici : En quoi cette structure intime des fibres et des cellules nerveuses intéresse-t-elle la conductibilité et
se demander si l'on ne constate, pas les mêmes détails en d'autres cellules . Les recherches de l'orateur, d'Heitzmann et de
ches de l'orateur, d'Heitzmann et de Leydig apprennent que d'autres cellules ou d'autres dérivés cellu- laires témoignent de
les fibrilles terminales extrêmement minces, s'insinuent entre les cellules on les pénètrent(foie, glandes salivaires). Les
r les cylindres-axes et que les cylindres-axes s'abouchent dans les cellules nerveuses, il s'agit de savoir quels sont les é
les des terminaisons nerveuses et que les éléments fibrillaires des cellules nerveuses et de la subs- tance grise jouent le
s présentent à l'examen hosto- logique une diminution du nombre des cellules pyramidales, com- parativement aux circonvoluti
spinales, par Hitzig, 261. Ecorce cérébrale (développement des cellules multipolaires de l'), par Palmer, 402. Ecritu
Nécrologie, 158, 300, IJ.3 \.. Nerveuses (structure des fibres et cellules ), par rrommann, 07. , TABLE DES MATIÈRES 44'1
grossissement, colorée par la méthode de Wei- gert et au carmin; a, cellules atrophiées sans noyau et sans prolongement b, t
18 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
tique. Infiltration gommeuse diffuse et circonscrite (deux gommes). Cellules géantes. Encarté- rite oblitérante. Ramollissem
ence, dans la zone qui les sépare, d'une infiltration luxuriante de cellules rondes, qui forment dans les coupes colorées à l'
inueuse, plus épaisse qu'à l'état normal et modérément infiltrée de cellules embryonnai- res ; à une certaine distance de la
épaissie et infiltrée par une remarquable prolifération de petites cellules rondes, à noyaux arrondis ou elliptiques, forte
est complètement oblitérée par l'endartérite proliférante. B. Deux cellules géantes, contenues dans le tissu gommeux, et capi
st totalement comblée par la prolifération de l'endartère, dont les cellules sont pressées les unes contre les autres en plusi
la péri et à l'endartérite : la tunique moyenne est envahie par les cellules embryonnaires, dont les noyaux arrondis se mêle
s posté- rieures sont à ce point rétrécies par la prolifération des cellules de l'en- dartère et par l'envahissement des élé
ses parois sont devenues plus claires et ne renferment que quelques cellules rondes ; sa tunique externe est également à pei
ions : très épaissie, réduite à un calibre insignifiant, criblée de cellules inflammatoires, elle présente des caractères qui
fisant, montrent également des altérations de l'endartère, dont les cellules proliférées, gonflées et parfois desquamées rét
ivante : la masse centrale de la tumeur est exclusivement formée de cellules embryonnaires pressées les unes contre les autr
s plus pâles où les noyaux ont perdu l'affinité colorante et où les cellules dégénérées correspondent au stade de dégénéresc
voisine du pédi- cule méningo-médullaire, on observe de magnifiques cellules géantes, dans lesquelles les noyaux groupés en
les noyaux groupés en couronne et orientés suivant les rayons de la cellule , sont au nombre de 20, 30, 50 et plus (Fig. 15, B
transversalement, sous l'aspect habi- tuel d'une petite couronne de cellules conjonctives entourant un ilot de globules sang
tué comme le centre de la tumeur par une infiltration luxuriante de cellules em- bryonnaires et présente çà et là quelques n
stance grise ou substance blanche, s'infiltrer peu à peu de petites cellules dont les voies d'apport sont nettement dessinées
un affluent qui charrie vers le centre de la moelle d'innombrables cellules ; des extrémités ramifiées des vaisseaux ces élé-
élé- ments se déversent dans les interstices de la névroglie et des cellules et s'y condensent en présentant tous les degrés
tration embryonnaire, plus ou moins dense suivant les points, mêmes cellules géantes, mômes zones de dégénérescence caséeuse
ioles et des veinules, engaînées dans un manchon continu de petites cellules . . Dans les coupes intéressant les deux gommes,
r, fragmentés pour la plupart et entou- rés de traînées diffuses de cellules embryonnaires et de corps granuleux ; en ces po
c son infiltration embryonnaire plus ou moins intense ; les petites cellules rondes parsèment diffusément la substance grise
onstituant de véritables petites gommes miliaires. A ce niveau, les cellules nerveuses paraissent saines, leur noyau est nor
a régulière- ment granuleux, sans vacuoles. Plus près du foyer, ces cellules se rétrac- tent, deviennent irrégulières, étran
nage des tumeurs; on reconnaît dans leur portion péri- phérique les cellules nerveuses et dans le reste de leur trajet quelque
'il doit sans doute équivaloir à une suppression fonctionnelle. Les cellules de la colonne de Clarke sont appa- rentes sur l
mère péri-radiculaire était atteinte; un épais man- chon de petites cellules enserre étroitement les racines, surtout dans le
eux dispa- raît et qu'on n'aperçoit qu'une agglomération de petites cellules , aussi ser- rées, aussi confluentes que dans le
me arrondie et circonscrite,- agglomération con- fluente de petites cellules , cellules géantes (2), dilatation du réseau vas-
e et circonscrite,- agglomération con- fluente de petites cellules, cellules géantes (2), dilatation du réseau vas- culaire,
de de Muller : notre recherche a été négative. (2) L'existence de cellules géantes dans les lésions spécifiques de la syphil
d'un gris rougeâtre. Au microscope, M. l'otain ne put découvrir ni cellule nerveuse ni presque aucun tube nerveux distinct
trouvées dans la moelle consistaient surtout dans l'a- trophie des cellules des cornes antérieures et de la colonne de Clarke
xanthème syphilitique qui existait chez ses sujets, aux lésions des cellules médullaires. Il trouvait, dans ces faits, la co
longitu- dinal postérieur.fortes productions fibreuses, nombreuses cellules à noyau, multiplication des noyaux dans les cor
à la substance grise, attaquant le canal central qui est entouré de cellules a"noyaux. Epaississement des tuniques de la basil
é sous forme d'une fissure triangulaire très développée. Quelques cellules ganglionnaires des cornes grises antérieures prés
arrondies où la substance grise est très raréfiée avec atrophie des cellules ganglionnaires, des fibres nerveuses et de la n
nt dès méninges, endartérite oblitérante, hydromyélie, atrophie des cellules ganglionnaires et des fibres nerveuses ». La de
se trouve un tissu constitué par la névroglie épaissie pri- vée de cellules ganglionnaires et de fibres nerveuses. Il existe
ce des cornes grises est irrégulièrement disposée et atrophiée. Des cellules qui persistent, certaines sont ratatinées ; dans
dégénération des cordons postérieurs, hydromyélie, dégénération des cellules ganglionnaires ». La 3e observation de syphilis
blanche, on trouve de très rares fibres nerveuses, et de nombreuses cellules de la névroglie. On ne trouve pas de fibres ner
s sa totalité, disposée irrégu- lièrement et très raréfiée. 0 Les cellules nerveuses sont ratatinées et atrophiées, mais lai
clérosés. La substance grise des divers segments est dégénérée, les cellules rares et atrophiées, les fibres nerveuses dissémi
aire oit il est impossible de découvrir des fibres nerveuses et des cellules ganglionnaires. Entre cette bande et la pie-mère,
ie, 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE dégénérescence des cellules ganglionnaires, dédoublement partiel de la moel
vasculaires, la dégénérescence des cordons postérieurs et celle des cellules des cornes grises., - La syphilis héréditaire s
sphère droit sont plus ou moins normales; dans quelques parties les cellules ner- veuses sont amoindries et quelques-unes de
n'y trouve plus qu'un reticulum à réseau étendu rempli en partie de cellules rondes, de détritus d'une matière colorante jaune
reconnaître cette différence. Ni les faisceaux transversaux, ni les cellules de la protubérance n'of- frent aucune différenc
en has, une partie de ces fibres, la partie centrale, s'accole aux cellules des cornes antérieures de la moelle épinière, tan
s médianes.Tandis que .Jelgers1na (4) croit qu'elles s'accolent aux cellules ventrales de la protubérance (stratum supe1'fie.
1'fie. pon- tis), Winldel' (5) les fait entrer en relation avec les cellules ventrales proximales et Vacher (6) et.l3eclite·
encore un problème à résoudre. Jelgersma le met en contact avec les cellules dorsales (stratum cotapiex2ctz et profundum ponti
rsales (stratum cotapiex2ctz et profundum pontis), Winhler avec les cellules ventrales distales, Frijlinck (9), Kam et Krezcse
les distales, Frijlinck (9), Kam et Krezcser au contraire, avec les cellules dorsales et dorso-tatérates de la partie dis- t
. Quantà la terminaison de ces fibres blanches dans les réseaux des cellules de l'écorce cérébrale, les opinions ne divergen
res du piedpédonculaire passent directement, sans interposition des cellules nerveuses des noyaux centraux, dans l'écorce céré
t propagée de la méninge voisine. L'atteinte primitive, directe des cellules des cornes grises par le poison syphilitique, s
PÊTRIÈRE . menl dans la tuberculose, sonl constitués par de petites cellules dont le noyau semble occuper toute la massse, c
r toute la massse, ce noyau est rond d'où le nom souvent employé de cellules rondes pour désigner ces cellules, elles sont v
nd d'où le nom souvent employé de cellules rondes pour désigner ces cellules , elles sont visibles surtout lorsqu'elles sont
ugeâtre. Au microscope M. Potain, M. Cornil ne purent découvrir une cellule nerveuse ni presque aucun tube nerveux distinct
trouvées dans la moelle consistaient surtout dans l'atro- phie des cellules des cornes antérieures et de la colonne de Clarke
n longitudinal postérieur, fortes productions fibreuses, nombreuses cellules il noyau, multiplication des noyaux dans les co
à la substance grise, attaquant le canal central qui est entouré de cellules à noyaux. Epais- sissement des tuniques de la b
hrillante, rayée par places, dans lesquelles on trouve des amas de cellules rondes. Toute la pie-mère est très élargie, son
ches stratifiées de tissu conjonctif il larges mailles, infiltré de cellules rondes et dans lesquelles à côté des vaisseaux tr
du sa structure et de la tunique adventice part une infiltration de cellules rondes, infiltration des plus marquées dans Jes
périvasculaires énormes et dans lesquels se trouvent de nombreuses cellules . D'autres ont leurs parois tuméfiées, vitreuses
; sur eux et sur les vaisseaux qu'ils supportent, l'infiltration de cellules , rondes est en cer- tains endroits si considéra
sse travée épaisse presque d'un millimètre et remplie de nombreuses cellules rondes. De là partent dans l'intérieur du sinus d
De là partent dans l'intérieur du sinus de petits septa chargés de cellules rondes. C'est surtout au niveau des cordons pos
corne droite est comprise au milieu des végétations et infiltrée de cellules rondes. Quant aux altérations spéciales de la s
dre-axe des parties engainantes. La substance grise et surtout les cellules ganglionnaires et les vaisseaux ne présentent p
postérieure droite dans la région dorsale moyenne et lombaire. Les cellules ganglionnaires très peu pigmentées présentent un
elle on trouve dans les septa conjonctifs ou dans les vaisseaux des cellules rondes. Cependant dans la région sacrée, une pa
é sous forme d'une fissure triangulaire très développée. Quelques cellules ganglionnaires des cornes grises antérieures prés
arrondies où la substance grise est très raréfiée'aVec atrophie des cellules ganglionnaires, des fibres nerveuses et de la n
al se trouve un tissu constitué par la névroglie épaissie privée de cellules ganglionnaires et de fibres nerveuses. Il existe
ce des cornes grises est irrégulièrement disposée et atrophiée. Des cellules qui persistent, certaines sont ratatinées ; dans
nce blanche, on trouve de rares fibres nerveuses et de nom- breuses cellules de la névroglie. , LOCALISATIONS SPINALES DE LA
clérosés. La substance grise des divers segments est dégénérée, les cellules rares et atrophiées, les fibres nerveuses dissémi
ire où il est impossible de découvrir des fibres nerveu- ses et des cellules ganglionnaires. Entre cette bande et la pie-mère,
ite oblitérante, liydromyélie, atrophie des fibres nerveuses et des cellules ganglionnaires. ix 19 ' 290 NOUVELLE ICONOGRA
ge de Giesen. Les interstices sont remplis par d'immenses masses de cellules rondes dont les noyaux sont très gros et placée
ata par places une augmenta- tion nucléaire assez considérable. Les cellules du ganglion spinal étaient en' partie d'une tei
aussi parce que au milieu des amas nucléaires, on trouve de petites cellules à noyaux graisseux. Je crois qu'il ne s'agit pa
uré d'une zone d'infiltration nucléaire. Le parenchyme, fibres et cellules , est compris naturellement dans le pro- cessus
et des colonnes deCIarke sont totalement dépourvues de fibres. Les cellules ganglionnaires, surtout les grandes cellules des
ourvues de fibres. Les cellules ganglionnaires, surtout les grandes cellules des cornes antérieu- res et des colonnes deCIar
ogique. Il nous a été impossible d'observer d'une façon attentive les cellules plus petites, car la méthode de Nissl ne put êt
méthode de Nissl ne put être employée. Les changements des grandes cellules , autant que nous avons pu le constater par d'autr
u encore disparition complète des noyaux, de sorte qu'à la place de cellules on ne voit plus qu'un amas de détritus ; d'autres
place de cellules on ne voit plus qu'un amas de détritus ; d'autres cellules bien qu'ayant encore leurs noyaux manquent de pro
pigmentées. Les espaces lymphatiques péri-cellulaires de nombreuses cellules ganglionnaires sont remplis de noyaux. Ce sont
l'affection, nous n'y trouvons plus sur certaines coupes une seule cellule , sur d'autres, nous ne rencontrons que des cell
coupes une seule cellule, sur d'autres, nous ne rencontrons que des cellules altérées. Dans les cornes antérieures de la moe
moelle dorsale, surtout dans ses parties inférieures de nombreuses cellules ont disparu ; là en effet sur une coupe, on ne
paru ; là en effet sur une coupe, on ne trouve parfois qu'une, 2 ou 3 cellules et celles-là même sont déformées et n'ont pas d
nflement lombaire, on trouve parfois au milieu d'un grand nombre de cellules normales, des cellules ayant subi la dégénéresc
trouve parfois au milieu d'un grand nombre de cellules normales, des cellules ayant subi la dégénérescence décrite plus haut.
par le processus pathologique. Dans la moelle sacrée, bon nombre de cellules ont disparu. C'est dans le renflement cervical
redit l'hématoxyline alunée qui a une affinité remarquable pour les cellules rondes qui forment le fond des lé- sions que no
colorées au picrocarmin nous ont permis d'étudier de plus près les cellules nerveuses de l'axe gris. L'âge,des foetus a var
rt au manteau blanc; les colonnes cellulaires sont très nettes, les cellules ont absolument l'aspect que nous leur connaissons
vées déliées qui séparent les fasci- cules entre eux ne montrent ni cellules à noyau, ni tissu conjonctif appré- ciable, ce
ulièrement tout autour. Sur sa face externe elle est lisse, pas une cellule ne la dépasse, son tissu conjonctif esfmince, dél
parois sont toujours d'une épaisseur régulière, non in- filtrées de cellules et que surtout, ces vaisseaux semblent absolument
out la tunique cxlernc est le siège d'une infiltration abondante de cellules rondes qui s'infiltrent entre les lames conjonc
stéro-latélal. Il s'agit toujours de l'infiltration des paroispar les cellules rondes et de leur épaississement par la prolifé
s peuvent être plus ou moins distendues, mais parfois le nombre des cellules à noyaux est très considérable et nous avons no
ans le sang même au milieu des globules rouges il y ait des amas de cellules embryonnaires semblables à celles qui infiltrent
ns points la lumière du vaisseau est complètement rem- plie par ces cellules . Mais il nous faut encore insister sur la diffu
st très souvent lésée,-épaissie considérablement, infiltrée par des cellules rondes qui forment des traînées embryonnaires au
ublées par la condensation des fibres conjonctives voisines que les cellules embryonnaires infiltrent en larges traînées. Cett
virus spécifique on le trouve maintes fois littéralement bourré de cellules rondes qui le transforment ainsi en un bloc ple
d'une bande épaisse disparaissant complètement par places sous les cellules embryonnaires qui l'infiltrent et la fusionnent
es éléments voisins; souvent elle est pour ainsi dire forcée et les cellules rondes s'étendent jusqu'à la duré- mère. Si c
ir en avant. z Tantôt l'infiltration est relativement discrète, les cellules bien que très serrées les unes contre les autre
rien ne révèle ce processus si vigoureux. Tantôt au contraire ces cellules se tassent, se fondent, se fusionnent en une vé
icroscope elle a la constitution connue de ces tumeurs, beaucoup de cellules dégénérées ne se laissent plus colorer par les
, le plus 302 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE souvent les cellules qui les entourent les pénètrent. On peut voir com
X les tractus déliés qui séparent les fascicules infiltrés par les cellules rondes et celles-ci à certains points s'amassent
e et alors l'aspect est spécial ; sur un des côtés du fascicule les cellules s'amassent comme un croissant fortement coloré en
mbre a disparu englobé, détruit par le processus et a subi avec les cellules embryonnaires la fonte caséeuse que nous avons
eaucoup des lésions très nettes qu'ils présentent, cependant, leurs cellules , étant données les réserves que nous formulerons
les, étant données les réserves que nous formulerons en parlant des cellules de la moelle, nous ont paru conserver leurs carac
e de l'épaisseur normale, nous avons noté surtout l'infiltration de cellules embryonnaires dans les travées cellu- laires, l
tesse nécessaire il de si précises constata- tions. En général, les cellules ollt conservé leurs formes, leur groupement, le
ment-leur calibre, la lumière vide de sang ne contient plus que des cellules à noyaux allongés, entassés en désordre. Autour
matoxyline alunée et dans lequel on peut re- trouver quelques rares cellules rondes. Deux fois nous avons trouvé des lésions
la conservation de parties dissociées encore recon- naissables, de cellules même persistant au milieu des détritus, il faut f
es enveloppes. Au microscope : Région cervicale : cordons blancs, cellules de l'axe gris, canal épendymaire normaux. - R
-ci ; forme une ligne mince légèrement sinueuse, contenant quelques cellules à noyau dans un stroma conjonctif léger. , Ar
nsion de tous les vaisseaux gorgés de sang. Les cordons blancs, les cellules de cornes grises, l'épendyme sont normaux. Les
x. Les racines ne sont pas libres ; elles sont noyées au milieu des cellules rondes qui les entourent et même pénètrent dans
nfiltrés de LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 307 cellules rondes embryonnaires qui se groupent autour des c
ITAIRE 307 cellules rondes embryonnaires qui se groupent autour des cellules nerveuses dans les travées laissées libres par
l'éosine et dans lequel 1'liématoxyline colore un certain nombre de cellules embryonnaires. Celles-ci ont complètement envahi
si que l'espace laissé libre entre les deux méninges soit bourré de cellules rondes. Les vaisseaux de la pie-mère sont diste
dans les minces travées qui séparent les fais- ceaux, de nombreuses cellules embryonnaires se sont infiltrées, sans nulle part
restent en- tourés de leur gaine lymphatique vide et non bourrée de cellules rondes comme nous le verrons dans d'autres cas.
ont encore réunies entre elles par la prolifération exces- sive des cellules embryonnaires qui ont envahi tous les espaces lai
même les racines et ganglions sont sains. La pie-mère infiltrée de cellules rondes, épaisse, irrégulière, festonnée adhère
au de l'insertion du septum médian antérieur, est très infiltrée de cellules rondes, agglomérées par places en petits amas, el
en effet que dans tout le reste de la coupe il ne s'agissait que de cellules rondes plus ou moins agglomérées mais facilement
ris de lin de nombreux noyaux^ peine colorés, de place en place ces cellules ne se colorent plus du tout, il reste un espace
Les vaisseaux sont peu malades, leurs parois sont bien infiltrées de cellules à noyaux mais peu- épaissies. Les vaisseaux de
nsidérable. Les ganglions sont extraordinairement infiltrés par des cellules rondes qui emplissent-lès travées des cellules
nt infiltrés par des cellules rondes qui emplissent-lès travées des cellules nerveuses, ces noyaux se réunissent parfois en
s colorer à part, à l'éosine hématoxyline ils semblent normaux. Les cellules de la substance grise se colorent, à peu près, à
ns la plupart des points. On remarque sur une des coupes un amas de cellules rondes pressées les unes contre les autres et s
s irréguliers prolongent la lésion sur les travées occupées par les cellules nerveuses. La pie-mère est extrêmement épaissie
ntérieur est très large, fibreux contenant peu de vaisseaux, peu de cellules embryonnaires. L'arachnoïde est reconnaissable
paraît peu at- teinte, mais elle disparaît au milieu de la masse de cellules embryonnaires qui remplit tout l'espace entre l
s des vaisseaux volumi- neux à parois très épaisses, et des amas de cellules rondes plus ou moins com- pacts. Tout l'espac
moelle et noyant les filets ner- veux des racines, mais toutes les cellules se colorent fortement, nulle part il n'y a trac
AIRE 313 chent par leur coloration plus pâle sur l'infiltration des cellules embryonnaires qui les entoure. Elles présentent
veux et la gaine conjonctive qui les entoure se sont infiltrées des cellules rondes qui, plus abondantes en un point de la pér
il contient un exsudat grenu et beaucoup de globules à noyaux. Les cellules des cornes grises sont encore distinctes. Les r
a n'empêche pas du reste, qu'un nombre relativement considérable de cellules rondes isolées paraissent errer librement-entre
nt a son axe sur la limite du néoplasme est totalement envahie, les cellules rondes l'infiltrent et ses éléments se montrent d
s laquelle 314 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE seules les cellules de l'opendyme peuvent se distinguer par leur aspe
i- gnaler seulement les vaisseaux radiés absolument comblés par les cellules rondes qui infiltrent leurs parois. Les racin
n manchon cellulaire. Mais il n'y a qu'à la région lombaire que les cellules embryonnaires s'infiltrent au mi- lieu des fasc
aisseur, ses tuniques sont le siège d'une infiltration abondante de cellules rondes qui pénètrent dans ses parties les plus in
oupe est presque saine dans ses parties centrales, on distingue les cellules de la corne antérieure, la colonne de Clarke, l
e, quelques fragments nerveux dans lesquels on distingue encore les cellules du groupe antéro-interne de la corne antérieure
la même coupe, tantôt perpendiculairement, tantôt obliquement ; des cellules embryonnaires abondantes les infiltrent, pé- né
nétrant dans les espaces interfasciculaires ; en certains points, ces cellules groupées autour d'un vaisseau forment une vérit
sont farcies d'éléments embryonnaires qui refoulent et cachent les cellules nerveuses. La pie-mère est très épaisse, infilt
, où on voit encore des fragments de tissu nerveux dissocié par les cellules embryonnaires attenant il sa face interne, du c
is leurs parois plus nettes montrent bien leur infiltration par les cellules rondes, souvent réunis en amas sur une partie s
quoi que ce soit des cornes grises ou des cordons blancs, seulesles cellules de l'épendyme limitant un canal distendu en for
alement effacée, pendant que les parois épaisses sont infiltrées de cellules embryonnaires. C'est la dure-mère dont l'épaiss
ais ce ne sont que des débris, la pie-mère fait corps avec eux, les cellules embryon- naires qui l'infiltrent envahissent ég
RÉDITAIRE 355 racines. Les vaisseaux ont leurs parois infiltrées de cellules rondes, mais leur contenu en est aussi presque
assez nettement la substance blanche et la substance grise avec les cellules motrices, mais il est impossible de fixer la fo
ement de la substance blanche, mais on ne saurait y reconnaître les cellules nerveuses. Du côté gau- che la corne antérieure
rieurs sont légèrement déchiquetés à la périphérie, envahis par les cellules rondes, les cordons postérieurs sont normaux et s
Les racines sont absolument noyées, envahies, déchiquetées par les cellules embryonnaires infiltrées entre la pie-mère et l
vement peu épaissie. Mais entre elle et la pie-mère amas continu de cellules rondes. Dure-mère fibreuse dissociée par de lar
ules rondes. Dure-mère fibreuse dissociée par de larges traînées de cellules embryon- naires. 356 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
st mince, la dure-mère très épaisse. Les racines sont infiltrées de cellules fondes. Les vaisseaux sont toujours le siège de
de. Les artérioles de l'épendyme sont remplies par les détritus des cellules endo- théliales, desquamées.'qui obstruent leur
e assez nettement la substance grise de la subs- tance blanche, les cellules des cornes antérieures sont assez visibles mais l
vio- lets laisse voir à un fort grossissement des éléments variés : cellules embryon- naires en grand nombre, noyaux allongé
ous le nom de corps granuleux. Sur certains espaces mal limités les cellules et les noyaux ont perdu leur affinité pour la m
nte, elles sont en dégénérescence, tandis qu'en d'autres points des cellules rondes embryonnaires très serrées forment des ama
ie, intimement adhérente à la moelle est en contact intime avec les cellules embryonnaires qui emplissent l'espace sous- ara
, comblé par un tissu conjonctif proliféré où se voient des amas de cellules embryonnaires entourant les capillaires et les
core nettement visibles. Les ganglions sont évidemment altérés, les cellules nerveuses persistent au milieu d'une infiltrati
vaisseaux propres sont éminemment dis- tendus, une double rangée de cellules rondes les borde. Dans la substance grise les c
le rangée de cellules rondes les borde. Dans la substance grise les cellules se voient avec peine, ou les distingue mal dans l
t légèrement teinté en rose par l'éosine et contenant de très rares cellules à noyau. Les vaisseaux spinaux antérieurs sont
rs sont manifestement épaissis, leurs tuni- ques sont infiltrées de cellules rondes. La veine postérieure est encore plus at
n, une bande mince de tissu conjonctif très serré et très infiltré de cellules à noyau l'en sépare. La tumeur est, nous-l'av
, il est impossible de distinguer dans la substance grise une seule cellule nerveuse. Il existe des espaces où la coupe n'a
la dure-mère et elle s'étale en demi-lune étroite un amas serré de cellules embryonnaires qui rappelle la tumeur que nous avo
t normaux il nous faut signaler la pie-mère légèrement infiltrée de cellules embryonnaires et envoyant dans le sillon médian
e épaissie. Les vais- seaux ont des parois légèrement infiltrées de cellules rondes, 3 ? NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
e des caractères normaux, aussi bien dans la substance grise où les cellules sont normales que dans les cordons blancs. Le
avant, unies les unes aux autres par une infiltration abondante de cellules embryonnaires. Cps cellules pénètrent du reste
utres par une infiltration abondante de cellules embryonnaires. Cps cellules pénètrent du reste dans l'intérieur des racines
ont une coque très épaissie, fibreuse avec ça et là des traînées de cellules embryonnaires pressées les unes contre les autres
est tel qu'on croirait il une véritable gomme, par de très nombreuses cellules embryonnaires dont quelques-nues semblent avoir
ace sous-arachnoïdien, est absolument rempli en avant par ces mêmes cellules qui comblent tous les intervalles laissés libres
t l'espace sous- arachnoïdien commence à s'infiltrer, de nombreuses cellules embryonnaires mais isolées les unes des autres
moelle proprement dite est normale, la substance grise présente des cellules bien colorée, la substance blanche est seulement
courue par des vaisseaux distendus dont les gaines sont remplies de cellules embryon- naires. Les racines et les ganglions
t en arrière que pour laisser l'espace qui les sépare se remplir de cellules embryonnaires. Celles-ci forment dans l'espace
ssoires. Région cervicale. La moelle proprement dite est saine, les cellules des cornes grises se colorent bien et tous leur
interne par une bande d'une teinte gris bleu uniforme, parsemée de cellules fortement colorées en violet ; cette bande form
t, le canal épendymaire est détruit, il persiste seulement quelques cellules cylindriques en amas irrégulier au centre de la m
échiquetée par endroits, comme craquelée en d'autres. Cependant les cellules de l'axe gris persistent avec leurs caractères
sissement, se montre formé par des fibrilles conjonctives semées de cellules nombreuses mais pâles, peu colorées par 1'liéii
l épendymaire à peu près normal, la substance grise laisse voir ses cellules des cornes antérieures, mais elle est craquelée,
ne épaisseur tout à fait inusitée, elle est infiltrée de nombreuses cellules embryon- naires, mais surtout elle présente au
es de ces vaisseaux sont remarquables par le peu d'affinité que les cellules qui les infiltrent sem- blent avoir il l'égard
des veines spinales posté- rieures soit absolument obstruée par des cellules embryonnaires. La pie-mère a conservé ses carac
a une cer- taine infiltration de l'espace sous-arachnoïdien par les cellules rondes. Celles-ci du reste ne pénètrent pas dan
aississement fibreux de ces parties, soit leur infiltration par des cellules embryonnaires; elle peut être le siège de destruc
qui les englobe. Les ganglions sont toujours infiltrés, mais leurs cellules nerveuses con- servent la plupart de leurs cara
oup les parties les plus lésées. La pie-mère épaissie, infiltrée de cellules rondes adhère à la moelle ou est séparée d'elle
'elle par un exsudat granuleux. Elle est en contact direct avec les cellules qui infiltrent l'espace sous-arachnoïdien. Cet
libre à l'état normal est le siège d'une prolifération abondante de cellules embryonnaires qui com- blent ainsi la région la
réduite à quelques détritus parmi lesquels on peut reconnaître les cellules épendymaires. La dure-mère est extraurdinairement
'entoure (vaisseaux déformés). Envahissement des fascicules par les cellules rondes infiltrées entre les tubes ncr\eux et le
rmet pas le cours normal du sang, leurs tuniques sont infiltrées de cellules rondes ou épaissies par le développe- ment du t
19 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ement vascularisée qn'elle semble être injectée par un liquide. Les cellules nerveuses sont souvent entourées par de fins capi
istingue deux sortes de tissus. Premièrement des foyers des grandes cellules à gros noyaux vésiculeux sans substance inter-
Par place, le tissu conjonctif pénètre dans les foyers des grandes cellules sous forme de filaments bien tenus. Par place, le
inct. Les mailles de ce réseau ne sont pas remplies par les grandes cellules mais elles y sont disposées en une ou quelques
ingue encore la corne antérieure bien pauvre en fibres myéliniques et cellules nerveuses, tandis que de la corne postérieure,
atteint. Dans le Il- segment cervical on ne trouve presque plus de cellules nerveuses ; ça et là on distingue le contour d'
plus de cellules nerveuses ; ça et là on distingue le contour d'une cellule pâle, [sans cylindraxe avec les restes de corpu
, qu'il s'agit non seulement des noyaux de névroglie mais aussi des cellules qui sont en rapport avec les vaisseaux (pour la p
ellules qui sont en rapport avec les vaisseaux (pour la plupart des cellules endothéliales). On y voit une néoformation de vai
cellules endothéliales). On y voit une néoformation de vaisseaux, les cellules se groupent le long de la lumière vasculaire bi
u'on ne distingue pas entre elles de globules rouges. Par place ces cellules restent tout à fait isolées, elles rappellent les
it isolées, elles rappellent les Stâbchenzellen de Nissl. Quant aux cellules nerveuses, d'autres segments.médullaires, elles
venant du ZIP segment cervical par exemple on constate un nombre'de cellules nerveuses diminuées et toutes les cellules des co
on constate un nombre'de cellules nerveuses diminuées et toutes les cellules des cornes antérieures plus ou moins dégénérées
- tômes cérébraux, on constata à côté de lésions insignifiantes des cellules 'nerveuses et des cylindraxes, une congestion n
nt de « toxines » inconnues (d'origine cachectique ou provenant des cellules du néoplasme malin) qui ont une action chimique
du néoplasme malin) qui ont une action chimique et dynamique sur la cellule nerveuse et provoquent des troubles dans son fo
auche (son épais- seur atteint 1/2 mm.). La tumeur est un sarcome à cellules rondes. Dans la moelle même on constate des lés
e la myéline dégénérée, çà et là près des parois des lacu- nes, des cellules avec granulations. Le tissu nerveux est alors a
tout là où les cloisons pie-mériennes pénètrent Fig. 5. Sarcome à cellules rondes. 1. Racines postérieures. 4. Foyer de lé
ières, dans l'espace épispinal ; autour du canal central, entre les cellules épendymaires, ils sont très nombreux dans les esp
par la méthode de Nissl montrent des changements considérables des cellules des cornes antérieures (dans le voisinage du foye
oisinage du foyer de lésion au niveau du IV, segment cervical). Les cellules sont arrondies et pres- que privées de prolonge
vées de prolongements. La chromatolyse est complète. Dans certaines cellules , le noyau est excentrique. Au-dessous de cette ré
gorgés de sang. Parois non épaissies. ^Dans la substance grise le» cellules des cornes antérieures sont entourées des espaces
que la tumeur ne franchit pas. Pourtant dans un endroit on voit les cellules sarcomateuses qui ont envahi une portion dure-
nflammation ou de dégénérescence. La coloration du Nissl montre les cellules nerveuses dégénérées dans une région qui corres
l y a précisément la chromatolyse péri- phérique, le gonflement des cellules , quelquefois même la cellule prend la forme de
yse péri- phérique, le gonflement des cellules, quelquefois même la cellule prend la forme de poire avec le noyau excentriq
Examen microscopique. La tumeur est un sarcome alvéolaire à petites cellules . Examen de la moelle. - Le premier segment cerv
os- térieurs les faisceaux de Goll sont plus fortement colorés, Les cellules ner- veuses sont normales. Dans le VIII° segm
rière et encore moindre en avant. On note aussi des ilôts isolés de cellules sarcomateuses placés entre Fig. 12. Sarcome a
. 1. Masses néoplasiques autour de la moelle épinière. 2. Amas de cellules néoplasiques sur la face interne de la dure-mère.
llules néoplasiques sur la face interne de la dure-mère. 3. Amas de cellules néoplasiques dans les méninges molles. » 4. Ama
mas de cellules néoplasiques dans les méninges molles. » 4. Amas de cellules néoplasiques sur la face externe de la dure-mère.
les couches de la dure-mère. Dans certains segments de la moelle ces cellules néoplasiques se trouvent sur la face interne de
inges molles du côté gauche de la moelle épinière. On peut voir des cellules isolées sarcomateuses môme dans la zone périphé
coupes colorées par la méthode de Nissl ont montré des lésions des cellules nerveuses dans les segments cervicaux de la moell
omatolyse et dans quelques-unes les noyaux furent excentriques. Les cellules étaient en grande partie dépour- vues de prolon
e au contraire les corpuscules de Nissl étaient bien conservés, les cellules en moins grand nombre mais de forme ordinaire,
colorées par la méthode de Nissl démontrèrent des lésions dans les cellules nerveuses de la corne antérieure gauche, là où
oelle. On pouvait y voir avec une certaine certitude la présence de cellules sarcomateuses isolées dans la zone périphérique
in degré à produire les lésions médullaires. Les lésions dans les cellules nerveuses sont aussi à notre avis provoquées TU
TÉBRALE 173 par compression. Le point important à noter est que les cellules étaient lésées dans la corne gauche, tandis qu'
à droite elles étaient presque nor- males. Dans la corne gauche les cellules nerveuses lésées rappelaient tout à fait celles
u cours de la dégénérescence rétrograde. Cette lésion naît dans les cellules motrices quand on coupe les nerfs péri- phériqu
que par suite de cette cause mécanique agissant à la périphérie les cellules nerveuses de la corne gauche antérieure ont sub
aussi par suite d'infiltration des méninges et de la moelle par les cellules néoplasiques (cancéreuses, sarcomateuses). XXII
s sans avoir envahi le canal (myélite toxique, infiltration par les cellules néoplasiques). C'est pour- quoi l'opération peu
179 les masses néoplasiques ont infiltré les méninges molles et des cellules isolées pouvait être constatées dans la moelle
s que les tumeurs endothéliales et les sarcomes alvéolaires nés des cellules endothéliales de l'arachnoïde et de la pie-mère m
dispersés, des cylin- draxes gonflés et des masses dégénérées, des cellules granuleuses, quelque- fois un grand nombre de c
rdons postérieurs (le cas de Pfeiffer, notre observation XIII). Les cellules des cornes antérieures montraient des signes de l
vésanies aussi, l'écorce cérébrale ne restait pas indemne, que les cellules , les fibrilles nerveuses et la névroglie étaient
on peut démontrer au microscope des altérations des tissus nerveux, cellules et fibres, dans des coupes provenant de cerveaux
ndamment décrit les lésions de tous les systèmes histologiques, les cellules ganglionnaires, les fibrilles nerveuses, les tiss
eur intensité Les plus petits capillaires sont mis en évidence. Les cellules ueneuses sont dégénérées ou sclérosées. Nouvell
corce de la paracentrale. (Bleu de toluidine). Lésions marquées des cellules ganglionnaires, du tissu interstitiel et dégéné
oarchitectoniques individuelles ? Que sa- vons-nous du chimisme des cellules et des fibrilles nerveuses ? Les altérations hi
om- pagnent une psychose ? Il s'effectue sans nul doute, dans les cellules et les tissus de l'encéphale des échanges nutri
es et souvent considérables des éléments cellulaires. En effet, les cellules névrogliques, les cellules endothéliales des va
des éléments cellulaires. En effet, les cellules névrogliques, les cellules endothéliales des vaisseaux sont remplies, gorgée
maxillaire et sphénoïdal sont très développés ; on ne voit pas les cellules mastoïdiennes. A la base du crâne la selle turciq
substance grise. Même au sein de ces îlots, on ne distingue plus de cellules nerveuses normales. Partout sur la coupe, il y a
corne, tantôt antérieure, tantôt posté- rieure, distincte, mais les cellules nerveuses y ont disparu et on y trouve des hémo
supérieurs que la figure de la substance grise devient normale. Les cellules nerveuses ysont presque normales.Quelques-unes
de la configuration de la, substance grise et la disparition de ses cellules (hémorragies multiples, infiltration des méning
e reprend sa configura- tion normale, mais là aussi il n'y a pas de cellules nerveuses. On les décèle sous la forme d'ombres
pas de cellules nerveuses. On les décèle sous la forme d'ombres de cellules que l'on reconnaît grâce aux îlots de pig- .men
reconnaît grâce aux îlots de pig- .ment jaune verdâtre (Nissl). Les cellules de Clarke sont également reconnais- sables par
le plus modifiée, et les lésions y étaient telles que pas une seule cellule nerveuse normale ne persista au niveau de la tu
la moelle sacrée.1 . ' 18 FLATAU On n'a pas rencontré une seule cellule nerveuse normale dans toute la moelle lombo-sac
st presque normale. En même temps on y voit déjà un grand nombre de cellules nerveuses normales, mais déplus on constate dan
dilatées.Par place le tissu médullaire contient les exsudats.et les cellules isolées à granulations. L'oedème du tissu est i
nière,il y a une infiltration cellulaire (méningite purulente). Les cellules pénètrent aussi dans le tissu médullaire même e
upes colorées par la méthode de Nissl présentent un petit nombre de cellules nerveuses ; celles-ci se trouvent aussi au niveau
aussi au niveau où la tumeur a atteint son maximum d'épaisseur. Les cellules sont dispersées, on ne constate pas leur groupe
ssl en désagrégation. Parfois on ne distingue plus les contours de la cellule nerveuse, rien que la substance tigroïde indiqu
rien que la substance tigroïde indique l'endroit où il y avait une cellule . Au-dessous et au-dessus de ce niveau le groupeme
une cellule. Au-dessous et au-dessus de ce niveau le groupement des cellules nerveuses redevient normal. Elles paraissent po
nfil- tration cellulaire autour des vaisseaux et l'accumulation des cellules gra- nuleuses. En résumé nous avons constaté
de la substance blanche et grise était devenue méconnaissable. Les cellules ner- veuses étaient profondément modifiées et e
rveuses modifiées avec les contours mal dessinés. On ne voit pas de cellules nerveuses. Les faisceaux de la substance blanche
ne antérieure est presque normale avec le réseau bien conservé (les cellules nerveuses sont des deux côtés diminuées en nomb
vée. Les cloisons sont partout élargies, les vaisseaux dilatés, les cellules nerveuses en petite quantité à l'état d'atrophie;
masse rosâtre, amorphe. Par place on y remarque des petits Ilots de cellules sanguines. Çà et là elles adhèrent aux parois vas
VERTÉBRALE 351 La tumeur appartient à l'espèce de sarcome à petites cellules rondes. On constate les foyers de lésions princ
s foyers sont d'une autre structure, ils renferment une mosaïque de cellules granuleuses fraîches ou détruites. En descendan
en nombre augmenté. Pas de lésion inflammatoire bien distincte. Les cellules de la substance grise (les coupes coloriées par
on en remarquait déplus frais en forme de coins constitués par les cellules granuleuses. Il faut, il nous semble, ranger ce
umeur gommeuse contient des endroits où il y a des accumulations de cellules granuleuses avec la prépon- dérance des cellule
s accumulations de cellules granuleuses avec la prépon- dérance des cellules rondes bien coloriées par l'hématoxyline. Ça et l
ondes bien coloriées par l'hématoxyline. Ça et là se trou- vent les cellules géantes avec des nombreux noyaux. En outre, on vo
idérable, ils sont allongés et se colorent moins intensivement. Les cellules géantes se laissent constater uniquement dans l
La coloration de Nissl ne démontre pas de lésions notables dans les cellules . (Dans la moelle lombaire elles sont très pâ- l
GRAPIIII' 13E LA SaI I'f.TRILRE. 1. \Y111. NI. \\1\'ll RAPPORTS DES CELLULES DE BETZ AVEC LES MOUVEMENTS VOLONTAIRES . - P
Médecine de Bucarest. 11 est généralement admis aujourd'hui que les cellules de Betz consti- tuent l'origine des fibres qui
llemagne et Horsley en Angleterre, ont révoqué en doute le rôle des cellules pyramidales géantes de la zone dite motrice dans
ui mesurait de 1 jusqu'à 2 centimètres carrés, et n'y trouva aucune cellule géante, ni même degrosses pyramidales. L'écorce
ramidales. L'écorce excisée n'offrait pas la structure normale, les cellules ne gardaient plus la disposition caracté- risti
es,mais elles étaient séparées par des bandes cicatriciel- les. Les cellules avaient subi des modifications pathologiques. Bro
ation faradique, ne dépen- dent certainement pas de la présence des cellules pyramidales géantes dans leur centre cortical.
supérieur gauche ayant dimi- nué beaucoup» Fauteur conclut que les cellules de Betz ne sont pas néces- saires pour l'accomp
uvements volontaires. Avant d'entrer dans l'étude des relations des cellules pyramidales géantes avec le faisceau pyramidal
irai quelques mots sur la structure de la région où se trouvent ces cellules . Les recherches de Betz (1), lIa mma rberg (2),
rébral cortex. Journal of Anat. and Physiol., vol. XLI, 1907. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 371 carac
n'y a pas de limite distincte entre les différentes couches et les cellules sont moins denses que dans la pariétale ascendant
cellules sont moins denses que dans la pariétale ascendante, où les cellules paraissent plus serrées et plus nombreuses. En
insi que la seconde couche de la frontale ascendante contientpeu de cellules granu- leuses et beaucoup de petites pyramides.
e la partie inférieure de l'écorce et la substance blanche, car les cellules fusiformes de la sixième couche des- cendent pr
re la troisième de la cinquième. Ensuite nous voyons à la place des cellules de Betz, de grosses pyramides isolées situées à
yramides. III, Couche de moyennes et grandes pyf3R]id V, Couche des cellules géantes. VI, Couche des cellules multiformes. 1
et grandes pyf3R]id V, Couche des cellules géantes. VI, Couche des cellules multiformes. 1 DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUV
he des cellules géantes. VI, Couche des cellules multiformes. 1 DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 373 métho
olution (Gg. 2), c'est, comme nous venons de le voir, l'absence des cellules de Betz et l'existence à leur rio. ? structure
ulaire. V, Couche des grandes pyrami- des profondes. VI, Couche des cellules multiformes. 374 MAU1NESC0 1 place de grosses
t des sections sériées du gyrus post-central, il a constaté que les cellules super- ficielles sont trois fois plus nombreuse
s cellules super- ficielles sont trois fois plus nombreuses que les cellules profondes, mais d'autre part; il convient que c
. Du reste, elles nesont pas disposées sous forme de nids comme les cellules géantes. Le même auteur, constatant leur altéra
capsule interne produisent d'une part la réaction et l'atrophie des cellules géantes dans la frontale ascendante et dans la
uleuse interne dans la partie postérieure et par la disparition des cellules de Betz proprement dites qui sont rempla- cées
ellules de Betz proprement dites qui sont rempla- cées par d'autres cellules ayant certains caractères morphologiques qui le
par leur volume. Voici du reste la moyenne des unes et des autres. Cellules de (1) G. llnnmsco. Note sar la cyloarchilectom
ONOGRAPHIE DE LA SALP);CRILRE. T. XXIII. PI. XXXVIII RAPPORTS DES CELLULES DE BETZ AVEC LES MOUVEMENTS VOLONTAIRES (G. Mar
rizontale du lobule paracentral. Schéma montrant la disposition des cellules de Betz et des grandes cellules sous-granulaires
Schéma montrant la disposition des cellules de Betz et des grandes cellules sous-granulaires types 4 et 5. 5. Disposition d
grandes cellules sous-granulaires types 4 et 5. 5. Disposition des cellules de l3ctz a différents niveaux de la frontale asce
nte. MASSOO & Cie, éditeurs. l'IWlot)l' c m.m ? a, rü P DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 375 Betz.
yau = 21 8 X 18 z. 8 ; nucléole = 6 2 2 X 6 1,, 2. Pour les grosses cellules pyramidales profon- des, situées au-dessous de
toute leur étendue. C'est ainsi par exemple que la topographie des cellules géantes dans la frontale ascendante diffère sui
1VIEI).Dansla partie la plus supérieure de cette circonvolution les cellules sont disposées suivant une ligne ayant t à peu
parcours que. le contour de la circonvolution. Il est vrai que les cellules sont plus fréquentes sur le versant qui regarde
et 5, qui constituent l'ancienne motrice (d'après Brodmann). DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 377 ou
vec la scissure de Rolando. En ce qui concerne la disposition des cellules géantes, il est à noter qu'elles se présentent
tantôt formant de petits nids, plus fréquents là où la densité des cellules est plus grande, c'est-à-dire au niveau de la p
de la partie la plus supérieure de la circonvolution. La forme des cellules est variable, cependant on peut reconnaître les
Au point de vue du volume, il y a à distinguer également de petites cellules de Betz, dont le grand diamètre ne dépasse pas
lobule paracentral. Sui- vant toutes les probabilités, les petites cellules ont la même signification que les grosses,car e
le rolandique. Voici quelques chiffres, dimensions moyennes des dix cellules , qui montrent que le volume des cellules de Betz
imensions moyennes des dix cellules, qui montrent que le volume des cellules de Betz varie dans les trois tiers de la fronta
férieurs. Pour étudier les relations du faisceau pyramidal avec les cellules de Betz, j'ai utilisé la méthode de la réaction
des faisceaux qui passent par la capsule interne, a observé que les cellules de l'écorce correspondante à la lésion, se colo
de la capsule interne, constate la disparition complète des grandes cellules pyramidales du gyrus sigmoïdeus du côté opéré.
cellules pyramidales du gyrus sigmoïdeus du côté opéré. Les grandes cellules du côte opposé ainsi que les petites pyramides
n'a pas pu observer les modi- fications de la structure intime des cellules cérébrales. Dotto et Pusateri (4) ont examiné l
i et de Nissl, ils trouvent des lésions, sur- tout dans les grandes cellules pyramidales. Dotto et Pusateri comparent ces lé
ft, février 1883. (2) VoN Monakow. Du râle des diverses couches des cellules ganglionnaires du gyrus sigmoideus du chat. Arc
Riv. die Patologia nervose e mentale, 1891, vol. Il, ne 1. - DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 379 24 ma
té des réactions cellulaires et des lésions atrophiques des grandes cellules pyramidales, et conclut qu'elles ne constituent
anche sous corticale, il se produit une atrophie rapide des grandes cellules pyramidales, celles-ci étant déjà atrophiées on
té en mon nom (3) des coupes de cerveaux démontrant la réaction des cellules géantes à la suite des lésions de la capsule in
le al1lyotrophique. Dans tous ces cas j'ai constaté des lésions des cellules de Betz. Ces lésions variaient comme intensité
de la moelle et arri- vaient jusqu'à la disparition complète de ces cellules dans le cas de sclérose latérale amyotrophique.
altération de la (1) G. Marinesco, Sur les altérations des grandes cellules pyramidales consécutives aux lésions de la caps
ce du 24 mars. (2) GILBERT Ballet et M. Faune, Atrophie des grandes cellules pyramidales dans la zone motrice de l'écorce ce
g, XIX, 1899-1900. (4) G. tlamESCO, Sur les altérations des grandes cellules pyramidales consécutives aux lésions de la caps
, n" 22. (6) F. SANO, Contribution à l'étude de la pathologie de la cellule lyjanidale et des localisations motrices dans l
380 MARINESCO région inférieure de la moelle, des lésions dans les cellules géantes du lobule paracentral ; il insiste à ce
ôpital Pantélimon. Ils arrivent à la conclusion que la réaction des cellules pyramidales géantes, suivie de leur atrophie puis
on de l'écorce cérébrale naît le faisceau pyramidal ? 2° De quelles cellules de cette région prend-il son origine ? 3° Cette
à ces questions, les auteurs étudient la réaction à dis- tance des cellules cérébrales après la section du faisceau cérébro-s
supérieure de la fron- tale ascendante. Les lésions se limitent aux cellules géantes. Ils étudient aussi les modifications d
es superficielles. Il n'y (1) C. PennoN et M. Goldstein. L'état des cellules pyramidales géantes à la suite des lésions du f
pyramidal tract in man and other mammals. Brain, n" 1, 1909. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 381 avait
is, les lésions corticales consistaient dans l'absence complète des cellules géantes de l'écorce précentrale, dans une dispari
ale ascendantes. Ils remarquent en outre.qu'il est possible que des cellules de la couche supraranulaire aient disparu, mais
ramidales géantes de la couche sous-granulaire de cette zone et ces cellules ne donnent probablement pas naissance qu'à ces fi
donne éga- lement un appui sérieux à la théorie du rôle moteur des cellules de Betz. En effet, il y a des cas de celte mala
terait à une certaine région de l'écorce et plus encore à certaines cellules cérébrales. En effet, Ko- jewnikoff, Charcot et
altérations cellulaires intéressant les grandes pyramidales et les cellules de Betz. Moi-même, j'ai observé la disparition
ique, dans lesquels ils ont noté l'atrophie et la dispa- rition des cellules de Betz ; ils s'en ont servi pour délimiter la zo
érose latérale amyotrophique. Revue Neurologique, n 11, 1909. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 383 motri
icales (disparition des pyramides géantes et diminution des grandes cellules py- ramidales) se limitent à la frontale ascend
le ascendante. Schrôder (2), dans trois cas, trouve des lésions des cellules de Betz se limitant à la zone motrice de Brodma
à présent pour étudier les relations du faisceau pyramidal avec les cellules géantes de la zone motrice. J'ai groupé tous ce
uche. Lésions microscopiques. Dans le lobule paracentral gauche les cellules de Betz sont le siège de grandes lésions allant
ns la frontale ascendante droite et dans le lobule paracentral, les cellules de Betz sont en réaction ; les grandes cellules
bule paracentral, les cellules de Betz sont en réaction ; les grandes cellules de la couche sous-granulaire de la pariétale as
te végétante, dans les noyaux de la base. Examen microscopique. Les cellules de Betz de l'hémisphère droit sont lésées. Les
escendante et dans le lobule paracentral du côté gauche beaucoup de cellules géantes sont en réaction ; très peu sont normal
t dans le lobule paracentral droit on voit une réaction intense des cellules géantes, quelques- unes, sont encore normales,
che. Examen microscopique. - Dans le lobule paracentral gauche, les cellules de Betz, légèrement diminuées comme nombre, son
Iconographie DE la SALPhTRIi.RE. T. XXIII. PI. XXXIX RAPPORTS DES CELLULES DE BETZ AVEC LES MOUVEMENTS VOLONTAIRES (G. Mar
le et pariétale ascendantes (types t, z, ;, q) (malade Eft. A). Les cellules de Betz, ainsi que les grandes cellules sous-gran
;, q) (malade Eft. A). Les cellules de Betz, ainsi que les grandes cellules sous-granulaires sont en réaction à distance. 7
ance. 7- Coupe du lobule paracentral du malade Mar. B. Réaction des cellules de Betz du type 4 et disparition des grandes ce
Réaction des cellules de Betz du type 4 et disparition des grandes cellules sous-granulaires du type 5. 1), - '1)·pes 1, 2,
s Cosma S. Sclérose latérale amyotrophique; persistance des grandes cellules sous-granulaires. DES CELLULES DE BETZ ET DES M
trophique; persistance des grandes cellules sous-granulaires. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 385 tance
tance. Dans la frontale ascendante gauche on voit, en dehors de ces cellules en réaction, quelques pyramides géantes normale
paracentral, là où sa structure le rattache au type 5, les grandes cellules sous-granuleuses sont éga- lement en réaction.
dante et dans le lobule paracentral, colorés au Nissl, la plupart des cellules de Betz sont en réaction. Le corps cellulaire e
olorées au Nissl, on constate la disparition pres- que complète des cellules géantes ; par ci par là on voit encore une cellul
que complète des cellules géantes ; par ci par là on voit encore une cellule de Betz, atrophiée, déformée, présentant la dég
épare ces noyaux. Examen microscopique. Réaction et disparition des cellules de Betz du lobule paracentral et de la frontale
microscopique. Dans les coupes du lobule paracentral beau- coup de cellules de Betz sont en réaction, d'autres sont atrophiée
nt en réaction, d'autres sont atrophiées. On y voit encore quelques cellules qui ont l'aspect normal. Les grandes cellules sou
voit encore quelques cellules qui ont l'aspect normal. Les grandes cellules sous-gra- nulaires du type 5 ont presque toutes
disparu (fig. 7, Pl. XXXIX). On voit également des lésions dans ces cellules des types 1, 2 et 3 de la pariétale as- xxiii ?
le as- xxiii ? 6 386 MARINES CI cendante. On observe encore des cellules pigmentées et atrophiées dans la par- tie supér
endante, c'est-à-dire des types 1, 2, 3 et 4 on ne voit plus ni des cellules de Betz, ni des grandes cellules sous-granulaires
, 2, 3 et 4 on ne voit plus ni des cellules de Betz, ni des grandes cellules sous-granulaires. 11° Betty J... Notes clinique
rne et une portion de l'insula de Reil. Examen microscopique. Les cellules géantes de la frontale ascendante et du lobule
ral sont en réaction, quelques-unes en voie d'atrophie. Les grandes cellules sous -granulaires des types 1, 2, 3 et 5 ont disp
en microscopique. Dans le lobule paracentral gauche, la plupart des cellules de Betz sont en réaction, d'autres sont atrophiée
on, d'autres sont atrophiées. On y voit encore un certain nombre de cellules ayant l'aspect normal. Dans la frontale ascen-
s ayant l'aspect normal. Dans la frontale ascen- dant le nombre des cellules normales est minime. 13° Joséphine M... Notes c
peu prononcées dans le lobule paracen- tral droit où l'on voit des cellules de Betz, d'aspect normal, parmi lesquelles d'au
me constatation dans la frontale ascendante. La plupart des grandes cellules sous-granulaires de la pariétale ascendante per
des coupes colorées au Nissl on observe la disparition complète des cellules de Betz de la frontale ascendante et du lobule
, hémiplégie gauche com- plète. Durée de la maladie, 10 mois. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 38 ? Exam
rontale ascendante et dans le lobule paracentral droit, beaucoup de cellules de Betz sont disparues et celles qui per- siste
mentaire. Dans la pariétale ascendante on ne voit plus que de rares cellules grandes sous-gra- nulaires. 16° Gherson B...
al droit. Les lésions consistent dans la réaction et l'atrophie des cellules de Betz. Mais beaucoup de cellules présentent enc
ns la réaction et l'atrophie des cellules de Betz. Mais beaucoup de cellules présentent encore l'aspect normal. 17° Armeni
ées de la zone motrice du côté du foyer montrent la disparition des cellules géantes du tiers moyen et inférieur de la frontal
u tiers moyen et inférieur de la frontale ascen- dante. Les grandes cellules sous-granulaires de la pariétale ascendante ont
cendante et dans le lobule para- central, où, à côté de beaucoup de cellules de Betz atrophiées, on voit encore quelques cel
de beaucoup de cellules de Betz atrophiées, on voit encore quelques cellules ayant l'aspect normal. 18° Anica N... Notes cli
aisceau pyramidal. Au Nissl on constate la disparition complète des cellules de Betz, de la frontale ascendante et du lobule
s la frontale ascen- dante et dans le lobule paracentral gauche les cellules de Betz sont altérées et en grande partie dispa
e Betz sont altérées et en grande partie disparues. Les lésions des cellules pyramidales géantes sont plus prononcées dans l
le paracentral, où sur une coupe on ne voit plus persister que deux cellules de Betz, tandis que dans le tiers moyen, le nom
eux cellules de Betz, tandis que dans le tiers moyen, le nombre des cellules persistantes est beaucoup plus grand. 388 MARIN
s tiers moyen et inférieur de la frontale ascen- dante. Les grandes cellules sous-granulaires de la pariétale ascendante ont
ces 20 cas d'hémiplégie résiduelle nous voyons que la réaction des cellules de Betz après les lésions de la capsule interne
ions une relation entre les degrés de la paralysie et le nombre des cellules altérées ou disparues, de même, que entre la ré
s atteinte par celte paralysie et la zone cérébrale occupée par les cellules lésées. Dans les hémiplégies complètes on retro
hémiplégies complètes on retrouve une lésion de presque toutes les cellules situées dans la fron- tale ascendante et la par
t et supportent la surcharge pigmentaire de la même manière que les cellules de Betz de la région antérieure. Par consé- que
ns de la capsule interne gauche sont suivies d'altérations dans les cellules de Betz du tiers inférieur de la frontale ascen
cellules de Betz du tiers inférieur de la frontale ascendante, les cellules pyramidales de la circonvolution de Broca reste
e ascendante et dans le lobule paracentral droit presque toutes les cellules de Betz sont en réaction, ainsi que les cellule
presque toutes les cellules de Betz sont en réaction, ainsi que les cellules géantes du type 5. Dans la frontale ascendante et
ans la frontale ascendante et dans le paracentral gauche il y a des cellules de Betz en réaction^ mais la plupart d'entre el
d'entre elles sont atrophiées ; dans le type 5 de ce côté quelques cellules géantes sont en réaction et beaucoup ont dispar
pigmentaires, parmi lesquels on voit encore, par ci, par là, quelques cellules de Betz ayant l'aspect plus ou moins normal. Da
érieurs des frontales ascendantes, l'atrophie et la disparition des cellules de Betz sont un peu moins intenses, mais à mesu
rolandique, sur beaucoup de coupes on ne voit plus aucune trace des cellules de Betz. 3° Leanca S... Notes cliniques. 50 ans
ux croisés et directs. Avec Nissl la dimi- nution et l'atrophie des cellules de Betz des lobules paracentraux et des fron- t
orce. Examen microscopique. Réaction, atro- phie et disparition des cellules de Betz dans les frontales ascendantes et dans
des frontales ascendantes, on voit l'atrophie et la disparition des cellules de Betz. Le nombre des cellules altérées, relativ
it l'atrophie et la disparition des cellules de Betz. Le nombre des cellules altérées, relative- ment petits dans le lobule
es, de sorte que dans le tiers moyen il ne persiste plus que peu de cellules géantes et dans le tiers inférieur elles ont co
roscopique. Dans les lobules paracentraux on voit parmi beaucoup de cellules de Betz normales, des cellules atrophiées présent
racentraux on voit parmi beaucoup de cellules de Betz normales, des cellules atrophiées présentant la dégénérescence pigment
ieurs des frontales descendantes. Dans les tiers moyens le nombre des cellules atrophiées augmente et les cellules normales de
les tiers moyens le nombre des cellules atrophiées augmente et les cellules normales deviennent plus rares au sur et à mesu
escend plus bas, de sorte que sur les coupes du tiers inférieur DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 391 on ne
que celle du côté gauche. Avec la méthode de Nissl on voit que les cellules de Betz des lobules paracentraux sont en partie
ontales ascendantes, ainsi que dans leur tiers moyen la plupart des cellules géantes ont disparu; les lésions sont plus accusé
ns le tiers inférieur de ces circonvolutions on ne voit plus trace de cellules de Betz. 8° Pauna T ? Noies cliniques. 45 ans
des cordons postérieurs. Avec Nissl on constate une diminution des cellules de Betz, dont beaucoup sont atrophiées ou dispa
des remarques que nous venons de faire relatives à la réaction des cellules de Betz consécutivement aux lé- sions de la cap
te des deux côtés est considérable. Du côté gau- che la plupart des cellules de Betz sont altérées. Sur une section on voit à
llules de Betz sont altérées. Sur une section on voit à peine 3 à 4 cellules géantes qui persistent, les autres sont atrophiée
acentral gauche, on constate également la dis- parition des grandes cellules sous-granulaires. D. Paraplégies D'ORIGINE médu
n microscopique. Dans les lobules paracentraux on remarque quelques cellules de Betz présentant la réaction à distance, dont u
lésions cellulaires mais peu démonstratives. Absence de lésions des cellules géantes dans les tiers moyen et inférieur de la f
adie : un mois. Exa- men microscopique. Réaction manifeste dans les cellules de Betz des lobules paracentraux. Dans le tiers
molle au niveau du VI" segment cervical. Examen microscopique. Les cellules de Betz des lobules pa- racentraux et des porti
rès nombreuses, par con- séquent elles ne sont pas disparues. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 393 40 Tu
xamen microscopique. Des lésions indiscutables et très étendues des cellules de Betz dans les lobules paracentraux. Dans le ti
r des frontales ascendantes on voit des] lésions manifestes dans le cellules géantes, dont quelques-unes sont atrophiées. Da
la pariétale ascendante, on ne voit pas de lésions dans les grandes cellules sous-graaulaires. 6° Moïse P... Notes cliniques
oupes dont nous disposons sont du type 5 du lobule paracentral. Les cellules géantes sous-gra- nulaires ne présentent pas de
xamen microscopique. Dans les lobules paracentraux on voit quelques cellules géantes en réaction. Pas de lésions dans les fr
ons manifestes consistant en réaction à distance et en atrophie des cellules de Betz des lobules paracentraux et dans la par
paraplégie, 8 mois. Examen microscopique. Légère réaction dans les cellules de Betz des lobules para- centraux. 10° Lilia
méthode de Nissl on voit dans les lobules paracentraux beaucoup de cellules de Betz en réaction, certaines présentent l'atr
elles sont moins intenses de sorte qu'on ne voit plus que quelques cellules géantes atrophiées et pigmentées ou en chro- ma
a moelle au niveau du VIe segment dorsal. Examen microscopique. Les cellules de Betz des lobules paracentraux ainsi que cell
segment dorsal. - Examen microscopique. - Atrophie pigmentaire des cellules de Betz dans les lobules paracentraux ainsi que
du lobule para- central, ayant la structure du type 5, les grandes cellules sous-granulaires sont conservées, quelques-unes
gment lombaire jusqu'au filum terminal. Examen microscopique. - Les cellules de Betz des lobules paracentraux et des parties
es et qui consistent surtout en atrophies cellulaires. Le corps DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 395 des c
corps DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 395 des cellules est réduit de volume et les prolongements ont dis
les est réduit de volume et les prolongements ont disparu. Quelques cellules ne sont plus qu'une petite masse pigmentaire avec
sse pigmentaire avec très peu de proto- plasme. Très rares sont les cellules ayant un aspect presque normal. Par en- droits
ont les cellules ayant un aspect presque normal. Par en- droits les cellules de Betz ont complètement disparu. On ne voit plus
ique. Une sclérose combinée de la moelle. Examen microscopique. Les cellules de Betz des lobules paracentraux et du tiers su
ns. Examen microscopique. Dans les frontales ascendantes toutes les cellules de Betz ont disparu; dans les lobules paracentr
microscopique. - Dans toute l'étendue des frontales ascendantes les cellules de Betz ont disparu, il n'en persiste quelques-un
t. Durée de la maladie 5 ans. Examen microscopique. Altérations des cellules des cornes antérieures de la moelle cervicale s
icipation manifeste de la substance blanche. Aucune lésion dans les cellules géantes de la zone motrice corticale. En compar
e latérale amyotrophique, nous voyons que la simple disparition des cellules motrices des cornes anté- 396 MARINESCO rieur
vaux que j'ai cités ne laissent plus de doute sur les relations des cellules de Betz avec le faisceau pyramidal et par consé
ce qui peut faire supposer que les prolongements cylindraxiles des cellules géantes des parties inférieures des frontales a
s noyaux. , Dans la sclérose latérale amyotrophique les lésions des cellules de Betz se produisent dans toute l'étendue de l
el que les centres cérébraux des noyaux bulbaires et des noyaux DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 397 médul
i font amener ces deux auteurs à mettre en doute le rôle moteur des cellules de Betz sont loin, d'avoir une base iné- branla
'opération, diminue beaucoup après un lapsde temps, conclut que les cellules de Betz ne sont pas nécessaires pour l'accomplis-
taires. D'ailleurs, Horsley ne met pas en doute les relations deces cellules avec le faisceau pyramidal, au contraire, dans
ouvé que les fibres du fais- ceau pyramidal tirent leur origine des cellules de Betz. L'observation de ce savant cadre assez
me semblent non plus être dé- cisives, car s'il n'a pas trouvé des cellules géantes dans la portion du cerveau excisée, cel
isée, cela ne prouve pas du tout qu'au voisinage il n'y a pas eu de cellules géantes ayant donné naissance aux mouvements prov
ux mouvements de la main, zone excisée dans le cas de Brodmann, les cellules de Betz sont situées dans la partie profonde du
s ces raisons je me crois autorisé d'admettre que les relations des cellules de Belz avec le faisceau pyramidal et partant ave
ement encéphalique), futurs ganglions des racines postérieures, les cellules ganglionnaires envoient d'une part leurs pro- l
al par lequel passent les prolongements intra-médullaires issus des cellules ganglionnaires, ou peut-être aussi les cellules d
dullaires issus des cellules ganglionnaires, ou peut-être aussi les cellules de quel- ques-uns des neurones centripètes ayan
les cellules de quel- ques-uns des neurones centripètes ayant leur cellule au-dessus du gan- glion. Ces données nous per
3 phicité des tissus est régie par l'état d'équilibre trophique des cellules médullaires. Lorsque, par exemple, les cellules
libre trophique des cellules médullaires. Lorsque, par exemple, les cellules des cornes antérieures sont lésées, ou lorsque
sup- pression ou par adultération de l'influx nerveux apporté à ces cellules par des neurones altérés, le trouble trophique
te sur un ganglion sympathique, la répercussion se produira sur les cellules du ganglion de la racine postérieure du même méta
sur le ganglion de la raci ne postérieure, ou sur un groupe de ses cellules ; celles-ci, lésées, transmet- tront mal à la p
ter. Ou bien elle intéresse un groupe de prolongements centraux des cellules ganglionnaires, et alors la répercussion se fera
ce sont les noevi sériés. Ou bien la lésion intéresse un groupe de cellules médullaires ; or, d'après les recherches de M. et
s ; or, d'après les recherches de M. et Mme Parhon, les colonnes de cellules médullaires en rapport avec le sympathique sont
écanisme du trouble trophique peut se produire par transmission aux cellules des cornes antérieures de l'influx sensitivo-tr
direct de l'influx SUR LES NÆVI SYSTEMATIQUES 415 trophique de la cellule ganglionnaire sur ses organes terminaux, qui lui
en particulier le quatrième ; les tètes sont très claires, à fines cellules ; les bases paraissent creusées de larges alvéoles
I', VIe cervicales. On constate la présence d'une tumeur (sarcome à cellules fusiformes) sur la face interne de la dure- mèr
dans le jardin de l'hôpital. FiG. 31. - Tumeur subdurale (sarcome à cellules fusiformes enlevé par une opération). TUMEUR
pes colorées légèrement par l'hématoxyline montrent la présence des cellules fusiformes accumulées (sar- come).Vue avec l'im
ncore des fuseaux allongés ou se trouve dispersé çà et là parmi les cellules sarcomateuses. Ce pigment (sous forme de masses
uantité minime. Quant au rapport qui existe entre ce pigment et les cellules néoplasiques pro- prement dites, on ne peut pas
r d'une manière certaine si ce pig- ment se trouve en dedans de ces cellules ou non. Souvent elles sont recouver- tes par le
men du liquide cé- phalo-rachidien. On trouvait dans ce liquide des cellules néoplasiques, c'était laplupart du temps dans l
réaliser le type de dissociation des sensibilités, l'irritation des cellules motrices (secousses fibrillaires, contractions
a déformation des cylindraxes, la déformation et la disparition des cellules nerveuses. Par suite de ces TUMEURS DE LA MOELL
aordinaire de toute la coupe (comp. Fig. 15 dans-Ii XVIe obs.), les cellules nerveuses et les cylindraxes (quoique un peu mo
ng de toute la moelle lombo-sa- crée"(avec disparition complète des cellules nerveuses), et en allant vers le haut, la confi
e que nous prouve la persistance d'éléments délicats comme sont les cellules nerveuses et l'absence de dégénérescences seconda
même au niveau du maximum de compression exercée par la tumeur, les cellules nerveuses ne disparaissent pas complètement et
ulement des fibres constituantes de cette voie, mais aussi de leurs cellules trophiques. La persistance du segment central d
pelle que Sachs a déjà démontré qu'il n'existe pas à cet endroit de cellules nerveuses gan- glionnaires. En second lieu, il
aires et filamenteux, et siè- gent de préférence dans la couche des cellules pyramidales. On note égale- ment un grand nombr
nglion ciliaire, ou bien s'arrêtent-elles dans ce dernier autour de cellules , qui â leur tour servent d'origine aux nerfs ci
illeurs de même des longs nerfs ciliaires. Ganglion ciliaire. - Les cellules apparaissent dans les nerfs ciliaires avant que
se continue plus haut avec la racine motrice de la IIIe paire. Les cellules paraissent aussi nombreuses qu'à l'état normal (P
ire (PI. LXIV, A), on constate la présence d'un cer- tain nombre de cellules ganglionnaires ; on en rencontre encore dans le
IIIe paire qui reçoit cette racine. Mais au sur et à mesure que les cellules diminuent, les fibres saines diminuent également.
l du ganglion de Gasser est creusé de fissures qui ont respecté les cellules ner- veuses : le bout périphérique de la racine
e tabes, Marina a trouvé en effet une diminution dans le nombre des cellules du ganglion ophtalmique, mais la principale altér
nsisterait dans la dégénérescence chromatolytique de la plupart des cellules , les cellules normales seraient en très petit nom
s la dégénérescence chromatolytique de la plupart des cellules, les cellules normales seraient en très petit nombre. En outre
e méthode. Celle-ci permet de voir-admirablement la morphologie des cellules nerveuses, qui pour la plupart, par la richesse
rotoplasmiques et de leurs arborisa- tions, se comportent comme des cellules sympathiques (PI. LXVI, B et LXVII, C) : les cy
n puisse en tirer une conclusion ferme sur l'état des libres et des cellules . ' Observation II. Elle concerne une femme âg
ar contre, elle ne permet pas d'ap- précier complèlement l'état des cellules . Les longs nerfs ciliaires n'ont pas été examin
us les autres fascicules peuvent être considérés comme normaux. Les cellules du ganglion ciliaire ne présentent aucune altérat
on pourrait objecter que nous ne pouvons conclure à l'intégrité des cellules . Les méthodes que nous avons employées nous parai
ts colorés par cette méthode est bien difficile lorsqu'il s'agit de cellules des ganglions. Si de ces trois observations on
l'aspect futur c'est surtout l'atrophie numérique; il y a moins de cellules , elles sont chétives parce qu'intoxiquées ou fi
de cellules, elles sont chétives parce qu'intoxiquées ou filles de cellules intoxiquées. La tuberculose n'est sans doute pa
erficielles d'épendymite à ébauche de granulations, infiltration de cellules sous épendymaires, proliférations de l'épithélium
érisées par de l'infiltra- tion cellulaire de la gaine dilatée. Ces cellules sont presque exclusivement des lymphocytes. Par
lymphocytes. Parfois on rencontre quelques rares plasmazellen. Les cellules conjonctives de la paroi et de la aine vasculai
ées à l'hématéine-éosine, on voit que le tissu est riche en grosses cellules névrogliques, à noyau rond et clair, ayant parfoi
uées au point de croisement de fibrilles névrogliques : ce sont des cellules du type cellules araignées. Il n'existe, dans la
croisement de fibrilles névrogliques : ce sont des cellules du type cellules araignées. Il n'existe, dans la plaque même, que
raignées. Il n'existe, dans la plaque même, que très peu de petites cellules à noyau rond et foncé : lymphocytes ou petites ce
t se termi- nent dans leurs parois. Il existe par endroits quelques cellules mûriformes. Parmi Ips plaques à distance, en pl
émiueiices dues à la prolifération névroglique et multiplication de cellules névrogliques à gros noyaux. Par endroits se sont
par- ticulièrement tassées et denses, parsemées d'assez nombreuses cellules dont le noyau est du même type que ceux de l'ép
sous-épendymaire immédiate il y a parfois multiplication de grosses cellules névrogliques indiquant un léger processus réact
lus le tissu cérébral est infiltré à ce niveau de très non- breuses cellules à noyau ronds et sombres, tassées les unes contre
érivasculaires,entourant un vaisseau dont la gaine est infiltrée de cellules rondes, sont constituées par des fibrilles névrog
és tout à l'heure sont composés de leucocytes, de lymphocytes et de cellules plas- matiques. Ces éléments engainent les vasa
en leucocytes ; les élé- ments conjonctifs prolifèrent activement ( cellules en bâtonnets) ; il a a aussi des matzellen. C'e
itable tissu de granulation. Çà et là, on observe aussi des amas de cellules épitlléloïdes entourées de lymphocytes, elles e
lules épitlléloïdes entourées de lymphocytes, elles enveloppent des cellules géantes du type deLanghans ; ce sont de petites
t tous les caractères, des gommules figurées plus haut, mais où les cellules géantes font défaut. Il n'existe pas de données
es malformations (13 pl.j, j, par Chevallier, 233, 429, 571, 685. Cellules de Betz (Rapports des - avec les mouvements vol
bles trophiques ; guérison (1 pl.), 135. llnmnssco. Rapports des cellules de Belz avec les mouvements volontaires (2 pi.)
itale (Che- vAt.uEf'1. XIX a XXI, XLVII LUI et LXXVII it LXXIX. Cellules de Betz (DIARInESCO, XXXVIII et XXXJ1;. Chara
20 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
quise par certaines particula- rités ou qualités du sperme ou de la cellule ovulaire ? Ensuite je vous remémore l'exacerbat
ons thalamiques, et en plus, de l'atrophie consi- rable des grosses cellules multipolaires de la partie dorsale du corps genou
nerveux, par exemple dans la corne antérieure de la moelle, où les cellules , parfaitement normales pour le volume et la str
PATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 159 pas situées dans l'intérieur de la cellule . Quelques-unes sont confluentes, formant des co
. On dirait quelquefois que ces granulations se trouvent autour des cellules de la gaine de Schwanou peut-être même dans l'int
ules de la gaine de Schwanou peut-être même dans l'intérieur de ces cellules . (Voyez le dessin, fig. 14). Dans les préparati
laire, avec leurs boules terminales, partent souvent du corps de la cellule . Très fines dès l'origine, les fibres qui naiss
la cellule. Très fines dès l'origine, les fibres qui naissent de la cellule simulent des axo- nes ; celles qui naissent du
es. Tantôt on voit une ou plusieurs fibres, nées du glomérule d'une cellule ,se ramifier en forme de corymbe presqu'aussi- t
bre de ces formations incluses dans une même capsule, au milieu des cellules épithéliales péricellulaires ; ces massues term
our compléter l'étude des ganglions tabétiques j'indiquerai que les cellules nerveuses pourvues de dendrites, avec multiplicat
s cellules nerveuses pourvues de dendrites, avec multiplication des cellules de la capsule péri-cellulaire, considérées par
la capsule péri-cellulaire, considérées par Ramon y Cajal comme des cellules séniles, sont particulièrement abondantes dans le
eunes ; cette sénilité précoce n'est pas faite pour surprendre. Les cellules fenêtrées de Cajal sont également fré- quentes,
lules fenêtrées de Cajal sont également fré- quentes, ainsi que les cellules entourées d'un riche réseau sous-capsulaire déc
ériphériques,de telle sorte que la bifurcation en T disparait ; les cellules radiculaires deviendraient effectivement unipo-
abondantes et remarquablement vigoureuses au voisinage immédiat des cellules . Ce cas est très démonstratif ; il prouve que l
est donc certain que ces formations n'appartiennent pas aux seules cellules des ganglions ; les recherches ultérieures montre
lulaires, ne s'étend peut-être pas aux différents prolongements des cellules . Ramon y Cajal a montré récemment que, sous certa
tat subnor- mal, il apparaît des prolongements dendritiques sur les cellules des gan- glions, qui en sont habituellement dép
rmine une fibre dont on voit l'origine au niveau du glomérule d'une cellule . Noyaux des capsules des massues. Fig. 7. - Obs
Noyaux des capsules des massues. Fig. 7. - Obs. II (tabes avancé). Cellule d'un ganglion sacré. Le cylindraxe fenêtre, par
cé). Cellule d'un ganglion sacré. Le cylindraxe fenêtre, part de la cellule par deux branches qui se réunissent bientôt. Plus
ulaire mûriforme termine une fibre courte naissant du glomérule d'une cellule dont le corps a été enlevé par le rasoir. , F
s connexions n'apparaissent pas. 238 NAGEOTTE Fig. 10. Portion de cellule ganglionnaire avec son cylindraxe, dont la portio
o- mérutaire est très simple. Capsule péri-cellulaire et noyaux des cellules sous-capsu- laires. Plusieurs collatérales néof
; les autres envoient leurs ramifications au loin. Fig. 11. - a) Cellule pourvue d'un appendice naissant du corps cellulai
ndices sembla- bles, mais infiniment petits, se voient au bas de la cellule . b) Cellule dont le cylindraxe, suivi sur une t
bles, mais infiniment petits, se voient au bas de la cellule. b) Cellule dont le cylindraxe, suivi sur une très grande lon
e externe, une moyenne, une interne. La zone externe renferme des cellules nerveuses dont les altérations ne dif- fèrent g
celles que nous décrirons bientôt dans l'écorce. Le protoplasma des cellules névrogliques a proliféré ; les nombreuses rami-
ue normalement. Plus près de la zone moyenne, on rencontre d'autres cellules névrogliques à protoplasma volumineux rarement ra
Nissl dé- signe sous le nom de « Gemstete Zellen » (littéralement : cellules farcies) cet aspect spécial de la dégénérescenc
n nombre de ces éléments le noyau est en kinèse. Au milieu de ces cellules modifiées du tissu cortical, se trouvent des élém
léments étrangers représentés par des leucocytes, des gitterzellen ( cellules réticulées) et des plasmazellen (PI. XXXIX).
A. Paroi de l'abcès. 2e zone ; capillaire de néoformation avec cinq cellules en réseau. B. - Paroi de l'abcès. 2e zone ; par
2e zone ; partie voisine de la zone de nécrose ; plasmazellen et deux cellules réticulées. ' C. - Paroi de l'abcès. ire zone
n et deux cellules réticulées. ' C. - Paroi de l'abcès. ire zone; cellules névrogliques en dégénérescence. ' D. - A droite
ues en dégénérescence. ' D. - A droite, altérations nécrotiques des cellules nerveuses de l'écorce, petites et moyennes pyra-
é de canaux vasculaires, entre lesquels se trouve un tissu formé de cellules allongées arrondies, à noyaux très foncés. Les
les noyaux sont moins volumineux et plus foncés. Il semble que ces cellules appartiennent à un tissu plus stable et que le
PRÉ ET DEVAUX On ne trouve nulle part, dans la paroi de l'abcès, de cellules géantes et la recherche des bacilles de Koch es
on est faci- lement reconnaissable. Des altérations profondes des cellules nerveuses se retrouvent sur toute la surface de
duisant un processus très actif. qui a frappé de mort les différentes cellules avant qu'aucune réaction défensive ou réparatri
ction défensive ou réparatrice ait pu se produire. Les contours des cellules nerveuses sont ratatinés, anguleux ; les prolonge
ellulaires sont fort imprécis. La masse qui constitue le fond de la cellule est très difficile à décrire ; quel- quefois bl
ractérisent un des processus nécrotiques les plus particuliers de la cellule . Ici et là, une très fine granulation ou une so
on d'une poussière très ténue, d'aspect granité. Ici et là, sur les cellules très altérées se ABCÈS CÉRÉBRAL, NÉCROSE CORTIC
éléments nerveux, se colorent les corpuscules po- laires. ' . Les cellules névrogliques, qui se présentent sous des aspects
plus tard. Dans la couche directement sous-pie-mérienne, certaines cellules névrogli- ques irrégulièrement allongées, conto
énéralisé, frappé tous les éléments de l'écorce, principalement les cellules nerveuses et névrogliques. Du côté des cellules
principalement les cellules nerveuses et névrogliques. Du côté des cellules nerveuses, les modifications profondes des contou
par la série des caractères que Nissl a bien décrits, la mort de la cellule . La nécrose de la cellule se déduit beaucoup pl
s que Nissl a bien décrits, la mort de la cellule. La nécrose de la cellule se déduit beaucoup plus des altérations du noyau
es altérations du noyau que de celles du protoplasma. Du côté des cellules névrogliques, la série des altérations que nous a
iais ou transversalement. Dans cette zone on remarque au carmin des cellules « arai- gnées » gonflées, et au Weigert des fib
audés et noyaux lenticu- laires paraissent normaux. Le nombre des cellules nerveuses de l'écorce est diminué ; on en voit do
ndistincts, dont le corps a pris une forme ratatinée. Cependant les cellules d'apparence normale prédominent de beau- coup.
smes répartis également sur les deux hémisphères sont com- posés de cellules cylindriques et appartiennent au type adéno-carci
oloration d'après Van Gieson, dévoile la présence d'une quantité de cellules remarquables : un corps gros, gonflé, entouré d
x qui prennent encore le Weigert. Cette région est riche en grosses cellules à 1 ou 2 noyaux, chargées de détritus (Koernche
our beaucoup d'espaces périvasculaires sont occupés par des amas de cellules cancéreuses ou du sang. Bientôt il ne subsiste pl
ur grandit la zone vacuolée s'étend aux dépens de celle des grosses cellules araignées. Ecorce (Coloration au carmin en bloc
substance blanche. Enfin, où le néoplasme est contigu à l'écorce les cellules nerveuses ne sont souvent plus perpendiculaires
ntricules. 4. Il serait sans doute erroné de considérer les grosses cellules araignées comme le produit d'une prolifération,
gauche fait supposer qu'il s'agit d'un gonfle- ment oedémateux des cellules névrogliques, dû à la pression aiguë exercée pa
s étaient bien conservées ; on y remarquait un état pigmentaire des cellules gan- glionnaires ainsi qu'il est de règle de l'
Par la méthode de Nissl nous nous sommes assurés de l'intégrité des cellules motrices des cornes antérieures, chargées seuleme
es sont par du tissu conjonctif. La question du rôle que jouent les cellules musculaires dans l'édifica- tion du tissu conjo
ipeuse des éléments du muscle ; à la suite de leur exfoliation, les cellules musculaires revenues à l'état embryon- naire se
, on pouvait arriver a constater dans les nerfs cutanés et dans les cellules ganglionnaires, des lésions analogues à celles
u ganglion spinal, ce qui prouve bien qu'elles sont originaires des cellules de ce ganglion (J.-Ch. Roux) (2). Le cordon sym
ces fibres prenaient pour la plupart leur origine dans les petites cellules de la corne latérale. Nous pouvons ajouter au
roite de la figure, on aperçoit la racine antérieure nor- male. Les cellules ganglionnaires sont normales de nombre, de dimens
Région du ganglion à peu près analogue à celle représentée 6gaz Les cellules ganglionnaires ne se dis- tinguent pas de celle
lion représentée figure 1. On voit sur cette figure l'intégrité des cellules ganglionnaires, de leur noyau et de la capsule
rvir de compa- raison avec la figure précédente. Tous les éléments, cellules et fibres, sont normaux (obj. 7, ocul. 2). Fi
pe est située aux environs de la por- tion moyenne du ganglion. Les cellules sont normales en nombre, dimensions et structur
e ne retentit pas, même au bout de ce laps de temps, sur l'état des cellules ganglionnaires sous-jacentes. ' Examens des gan
c. cit. (4) Joseph, loc. cit. (5) LUGARO, Sur les altérations des cellules nerveuses des ganglions spinaux à la suite de l
riphérique déterminait de graves lésions et même la disparition des cellules ganglionnaires. Ces résultats néga- tifs furent
bout de 9, 30, 42, 64, 80 et 106 jours de survie, avait trouvé les cellules ganglionnaires intactes dans 5 cas. Chez le six
médullaire et le long du bord dorsal et du ganglion. A la place des cellules disparues s'étendait du tissu conjonctif. Les f
ar Bumm. Chez quatre animaux, Kleist a étudié l'histologie fine des cellules ganglionnaires depuis le 58 jour jusqu'au 5e mois
até un état de chromatolyse fine ou en amas dans un grand nombre de cellules du ganglion, chromatolyse portant habituellement
Au 4e mois, la chromatolyse avait à peu près disparu ; beaucoup de cellules se montraient en voie d'atrophie, près d'un tiers
diqué Bumm), au voisinage du pôle médullaire et du bord dorsal. Les cellules disparues appartenaient principale- ment à cett
tenaient principale- ment à cette catégorie que Kleist décrit comme cellules de grandes tailles, mu- nies d'un seul prolonge
lorer au Nissl. Contrai- (1) Van GEIIUCIITEN, L'anatomie fine de la cellule nerveuse. La Cellule, 1897. (2) MARINESCO, Pres
ai- (1) Van GEIIUCIITEN, L'anatomie fine de la cellule nerveuse. La Cellule , 1897. (2) MARINESCO, Presse médicale, 1898.
eist, du 5° au 40° jour, Küster.ne note pas de différence entre les cellules ganglionnaires de l'un et de l'autre côté. Il pen
rième mois, où ap- paraît la diminution générale de la grandeur des cellules , et l'atrophie d'un certain nombre d'entre elle
ster constate d'une manière tout à fait évidente,un grand nombre de cellules atrophiées disséminées au milieu des éléments r
s atrophiées disséminées au milieu des éléments restés normaux. Les cellules malades sont d'abord simplement irré- gulières,
à fait disparu. A leur place on constate d'épaisses couron- nes de cellules conjonctives d'origine capsulaire, puis de simple
s lésions ne peuvent s'expliquer autre- ment que par l'atrophie des cellules à la suite de la destruction de leur pro- longe
section des racines postérieures déterminait des modifications des cellules , et des ganglions spinaux, lorsqu'on laissait viv
minution plus ou moins accusée des dimensions, et prolifération des cellules capsulaires ainsi que du tissu interstitiel). Q
s minime et nous désirions surtout nous rendre compte de l'état des cellules et des fibres nerveuses au bout de plusieurs mois
ieurs mois. Nous avons utilisé la méthode de Nissl pour l'étude des cellules ganglion- naires chez quelques animaux sacrifié
es avec de nombreuses formes de transition, pour une même espèce de cellules les éléments chromatiques peu- vent différer en
1904, ne 3. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTERIEURES 311 1 cellules , la méthode de Nissl ne donne pas de résultats su
remarqué non plus d'augmentation du tissu conjonctif. Le nombre des cellules , enfin, nous a toujours paru compa- rable des d
ons thoraciques droit et gauche du chat V, survie 338 jours). Les cellules ganglionnaires nous ont paru bien conservées, san
ues préparations du 2e ganglion sacré gauche (chat IV), une ou deux cellules d'apparence rétractées, petites, surcolorées ;
lules d'apparence rétractées, petites, surcolorées ; mais de telles cellules sont extrêmement rares, et en examinant les cou
n symétrique du côté sain, nous avons pu y retrouver aussi quelques cellules d'aspect à peu près identique. Ajoutons que sur
urs), nous avons pu constater égale- ment, des deux côtés, quelques cellules très fortement pigmentées et ratatinées dans le
il était rare de ne pas trouver dans les ganglions spinaux quelques cellules altérées, reliquat des injections et intoxicati
-Retenons donc ce fait intéressant qu'après une survie d'un an, les cellules ganglionnaires correspondantes aux fibres secti
t, des divergences presque aussi marquées qu'au sujet de l'état des cellules ganglionnaires. Tous admettent que le bout gang
sent, non pas du dernier segment à partir de la section, mais de la cellule ganglionnaire elle-même. D'autre part cependant,
e de celles que nous venons de voir dans le bout ganglionnaire. Les cellules ganglionnaires, comme au 8e mois, se présentent
lisée aux terminaisons les plus lointaines, la partie voisine de la cellule restant indemne. La dégénéres- cence du prolong
ne sectionnée. Ces fibres régénérées auraient leur origine dans les cellules ganglionnaires restées inaltérées. En résumé, l
l subit un processus d'atrophie rétrograde jusqu'au voisinage de la cellule . Nous ne croyons pas de longs développements né
l'évolution que nous venons'de voir, de celle du tabes. Du côté des cellules ganglionnaires, nous n'avons retrouvé chez aucun
me méthode Juliusberger et Meyer (2) ont trouvé le nombre total des cellules diminuées, beaucoup d'entre elles petites, pigmen
et une forte augmentation du tissu conjonctif. Stroebe (4) a vu les cellules ratatinées, vacuolisées, quelque- fois complète
étaient plus malades. Ils ont noté la diminution du nombre total des cellules et leur raréfaction par placards. Ils ont vu un
lules et leur raréfaction par placards. Ils ont vu un bon nombre de cellules altérées, c'est-à-dire atrophiées dans leur ens
nesco (6) considère qu'il n'y a pas de cas de tabes sans lésion des cellules ganglionnaires spinales, lésion qui est habituel-
statons seulement que nos examens expérimentaux nous ont montré des cellules ganglionnaires intactes ; ce fait, il est vrai,
ons apparaî- tre nulle part la dégénérescence à type wallérien ; la cellule ganglionnaire ; spinale y présente des lésions
cence centrale fait place vers la même date à la régénérescence, la cellule ganglionnaire reste normale. Du côté DES neuron
ne coupée commence à dégénérer suivant un processus rétrograde. Les cellules des ganglions spinaux, que certains auteurs ont
ême racine présente de très nombreuses fibres fines régénérées. Les cellules ganglionnaires ont gardé leur aspect normal. 6°
oraciques postérieures gauches. - Survie 247 jours. - Intégrité des cellules des ganglions spinaux ; dégénérescence partiell
à l'hématéine-éosine. Ces coupes présentent un cer- tain nombre de cellules surpigmentées et quelques-unes en état de chromat
de celles des ganglions droits. Pas d'atrophie ni de raréfaction des cellules , pas de modification des capsules endothéliales
posté- rieures, du côté gauche. - Survie 212 jours. - Intégrité des cellules des ganglions spinaux; figures de dégénérescenc
res sacrées postérieures gauches. - Survie 382 jours. Intégrité des cellules ganglionnaires des deux côtés avec dégénérescence
, des fibres des racines postérieures, prolongements cen- traux des cellules bipolaires du ganglion. Ces altérations des fib
sont tout à fait normales (fig. 2 et 4 de la planche XLVIII). Les cellules ganglionnaires sont d'aspect normal, de la grande
le noyau est central. Il n'existe aucune prolifération des petites cellules capsulai- res. La forme du corps cellulaire est
A plus forte raison n'existe-t-il aucune espèce de raréfaction des cellules ganglionnaires, comme il est aisé de le cons- t
glions ne montre aucune différence du nombre ni de la structure des cellules ganglionnaires d'un côté à l'autre. Nous devons
s du 2e ganglion sacré gauche, nous avons pu relever en tout 2 ou 3 cellules hypercolorées et à corps manifestement rétracté
ique, nous avons dû constater, du côté droit, la présence de quelques cellules , également très rares, et présentant des altéra
es pos- térieures, du côté droit. - Survie 338 jours. Intégrité des cellules des ganglions spinaux des deux côtés, avec dégé
auche (côté sain), n'a montré aucune différence nota- ble entre les cellules ganglionnaires de l'un et de l'autre côté. Aucune
TION EXPÉRIMENTALE DES RACINES^ POSTÉRIEURES 331 tion du nombre des cellules , aucune trace de ratatinement ni d'atrophie. Sur
ines sa- crées postérieures gauches. Survie 77 jours. Intégrité des cellules et des fibres à myéline des ganglions correspon
ote sur quelques coupes, d'un côté comme de l'autre, quelques rares cellules fortement pigmentées, et ratatinées d'une maniè
d'une manière manifeste. Il existe donc dans ces ganglions quelques cellules en voie d'atrophie comme celles que nous avions
es sacrées postérieures gauches. - Survie 97 jours. - Intégrité des cellules et des fibres des ganglions spinaux corresponda
ntent sur coupes transversales aucun caractère pathologique, ni des cellules ni des fibres. Les racines postérieures du côté
euses de la myélite syphilitique en plaques, les cylindraxes et les cellules nerveuses ne se- raient pas conservés au milieu
is, par le grand nombre des corps amylacés, par le petit nombre des cellules de névroglie, par la destruction des cylindraxes
es cellules de névroglie, par la destruction des cylindraxes et des cellules nerveuses. L'auteur conclut en admettant la coe
, la dilatation de la lumière et l'infiltration de la paroi par des cellules rondes ou granuleuses (Otto, Probst, Rossolimo)
bst, Rossolimo), de l'infiltration péri- vasculaire par des petites cellules (Huber, Probst, Thomas). Schüle, Goldscheider e
mêmes plaques scléreuses on a encore rencontré des leucocytes, des cellules granuleuses, des gra- nules graisseux ou pigmen
non seulement autour des vaisseaux sanguins, mais aussi autour des cellules nerveuses de la substance grise. Cramer, Greiff
droite elle occupe seulement un peu le stratum superficiale. Les cellules des noyaux centraux supérieurs, des noyaux latéra
résulte de la figure. Avec tout cela il ne faut pas oublier que les cellules des uoyaux des VIe, VIII" paires, du NOUVELLE I
la XI" paire montrent avec des colorations opportunes, toutes leurs cellules encore intactes. Région olivaire inférieure du
es. Pas de trace de l'entrecroisement piniforme.. Mal- gré cela les cellules des noyaux de Goll et de Burdach et de la substan
e pas une seule fibre colorable avec le Weigert ou Weigert-Pal. Les cellules des cornes de la moelle sont présentes. ' Moe
n reconnaissables grâce à la conservation presque complète de leurs cellules . Les racines pos- térieures qui se trouvent sur
ne seule fibre ner- veuse colorable avec la méthode de Weigert. Les cellules de la substance grise sont en grande partie con
apparaît tout à fait normale. Ce fait et celui de l'in- tégrité des cellules nerveuses au milieu de zones complètement scléros
uée par des lymphocytes, par des éléments polynucléaires et par des cellules à noyau assez grand, rond ou ovalaire, entouré d'
tibril- laire et des noyaux de névroglie de grandeur moyenne ; les cellules géantes y sont assez rares. Les tourbillons de
atrophiées. Dans -les zones de sclérose existent, éparses, quelques cellules granuleuses, mais les corps amylacés y font déf
éjà subi préalablement, ne nous permettait pas de les utiliser. Les cellules nerveuses sont presque complètement conservées pa
le nous permet d'apprécier avec exactitude la structure normale des cellules , même dans les endroits où la sclérose sem- ble
des noyaux dentés sont envahies par une gliose assez prononcée. Les cellules ganglionnai- res tout en conservant leur struct
es sembleut appar- tenir à des lymphocytes, des platsmazedlen,à des cellules de l'adventice ; ce- pendant les lymphocytes y
aires, conservation de la plus grande partie des cylindraxes et des cellules ganglionnaires dans les zones des sclérose, abs
de la grande plaque de sclérose du 6e segment dorsal (fig. 5), les cellules des cornes antérieures sont conservées seulement
isséminées sans dégénérescences secondaires et sans destruction des cellules ganglionnaires. Lésions vasculaires (épaississeme
ysiopathologique des amusies. De même que des groupes déterminés de cellules cérébrales se spéciali- sent pour la parole ord
coupe, il existe un processus d'infiltration conjonc- tive jeune à cellules allongées qui suit les capillaires interalvéolair
ale manifeste qui s'étend à la plus grande partie de la glande. Les cellules proliférées et très souvent hypertrophiées form
s phénomènes qui caractérisent la dégénérescence traumati- que. Les cellules endothéliales des vaisseaux montrent, au niveau d
embryonnaire formé de grosses cel- lules, de vaisseaux et d'autres cellules . Il constitue une espèce d'enveloppe au niveau
ns la profondeur. Une partie des fibroblastes provenant des grosses cellules du tissu em- bryonnaire absorbent par voie de p
insi naissance aux corps granuleux. Tandis que la prolifération des cellules névrogliques reste toujours infime, celle des c
fération des cellules névrogliques reste toujours infime, celle des cellules des vaisseaux, et surtout des petits capillaires,
du cylindraxe ont été enlevés par les fibroblastes. Plus tard, les cellules granuleuses, surtout du côté de la pie-mère, se
les granuleuses, surtout du côté de la pie-mère, se transforment en cellules fusiformes ou ramifiées, et surtout à la place
es des nerfs périphériques, c'est-à-dire qu'elles s'accompagnent de cellules fusiformes conjonctives provenant de la cicatri
venant de la cicatrice. L'auteur soutient avec juste raison que les cellules de la gaîne de Schwann ne sont pas des neuroblast
nerveuses de néoformation dont les rameaux se disséminent entre les cellules de la cicatrice et dont quel- ques-unes arriven
e la formation du kyste intramédullaire, et aussi bien l'absence de cellules capables de sécréter des substances chimiotaxidue
ar des ma- crophages bourrés de débris de dégénérescence. Entre ces cellules , on en trouve d'autres, fusiformes, longues, is
s périphériques. Nous remarquons en outre qu'un petit nombre de ces cellules sont en voie de dégénérescence. Des deux extr
oelle, et surtout du bout supé- rieur, se détachent des colonies de cellules fusiformes, réunies en faisceaux assez compacts
s (Pig. t).L;a où ces colonies cellulaires rencontrent la masse des cellules émigrées, elles ne suivent plus leur direction lo
nts, de plus, elles peuvent se trouver aussi bien à l'intérieur des cellules satellites qu'entre leurs interstices. La prése
e Cajal a émise et que nous avons adoptée, sur le rôle joué par ces cellules qui attirent les jeunei axones dans la cicatrice
n jeune chien, 7 jours après l'opération. On y voit des colonies de cellules apotrophiques, fusiformes, à noyaux oblongs const
constituant des faisceaux réunis entre eux par des traînées de ces cellules . Elles circonscrivent des cavités de différente
phiées avec renflements parfois considérables. Puis, des colonies de cellules fusiformes disposées en faisceaux plus ou moins
CE DE LA MOELLE 425 on trouve plusieurs fibres à l'intérieur dé ces cellules . La plupart des cellules- satellites ne contien
oir quel- ques-unes dont le trajet ne correspond pas avec celui des cellules . Section de la moelle chez un jeune chien sacri
s fibres isolées ou réu- nies en faisceaux descendent à travers les cellules [émigrées dans la cicatrice et se présentent so
ramifiant souvent et dont les ramifications s'éparpillent entre les cellules émigrées constituant parfois une espèce de plex
périeure du bout inférieur de la moelle est coiffé par une bande de cellules fusiformes fort analogues à celles que nous trouv
IIÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 427 Ces colonies sont séparées par des cellules mono et polynucléaires. La plupart du temps nou
nouvelle formation dans l'intérieur ou dans les interstices de ces cellules . Il n'y a qu'à la région immédiatement avoisina
er une direction longitudinale, s'éparpillent entre les colonies de cellules et se perdent bientôt. A l'extrémité du bout in
e trouvent des débris de dégénérescence des fibres nerveuses et des cellules granuleuses. La cicatrice est essentiellement c
t constituée par un tissu conjonctif fibreux plus ou moins riche en cellules qui se. présentent sous forme de fibroblastes o
che en cellules qui se. présentent sous forme de fibroblastes ou de cellules étoilées siégeant dans les interstices du tissu c
-elles la cicatrice sans pouvoir pénétrer dans son épaisseur. Les cellules nerveuses situées tout près de la région traumati
iformes, dans les interstices desquelles on voit un certain nombre de cellules d'aspect très différent suivant l'orientation d
de nouvelle formation (F) affectant des connexions intimes avec les cellules apotrophiques ca, en ? RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉ
ituellement courtes, traversant parfois le protoplasma de certaines cellules fusiformes. Ces fibres assez peu nombreuses sont
ite plus haut. Dans les interstices de ces vaisseaux, on trouve des cellules émigrées dont t la plupart présentent une struc
rt de conducteur. Dans les mailles du réseau vasculaire on voit des cellules migratrices. En bas de la figure, il y a une ma
gratrices. En bas de la figure, il y a une masse constituée par ces cellules et dépourvue de vaisseaux. (Compres- sion de la
Une autre, région est formée de détritus, où se trouvent aussi des cellules spongieuses, des lym- phocytes et des globules
bstance fondamentale dans les interstices de laquelle on constate des cellules FM. 8. Plexus de fibres nerveuses de nouvelle f
plexus circonscrivent des mailles, dans lesquelles sont logées ces cellules d'aspect spongieux. RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRES
trois, ou même davantage les gaines de proto- plasma. Le noyau des cellules des bandes protoplasmiques est allongé, fusi- f
es de nouvelle formation entre lesquels sont dissémi- nées quelques cellules granuleuses cg, rg'. Quelques-unes de ces fibres
g'. Quelques-unes de ces fibres fa, fa' traver- sent évidemment les cellules apotrophiques. 434 MARINESCO ET MINEA fois vo
leuses dans les interstices desquelles il y a des fibroblastes, des cellules triangulaires ou bien même étoilées. Dans ce tiss
ar une espèce de bou- ton analogue à celui qu'on connaît autour des cellules radiculaires. Un certain nombre de ces fibres d
des tractus de tissu conjonc- tif, fibreux, compact, très pauvre en cellules . Là où ce tissu est trop abondant les faisceaux
l'existence d'un grand nombre de fibres uerveuses jeunes entre les cellules de cet épithélium. Les fibres sont fines et ne
névroglique. A la périphérie de ces foyers, les neurofibrilles des cellules nerveuses présentent iadégérescence granuleuse,
ndants. ' Le lecteur a rencontré, au cours de ce travail, le nom de cellules aJ1(Jtro- phiques, nous pensons qu'il est utile
hérique d'un nerf, quelques jours après sa section, des colonies de cellules fusifor- mes juxtaposées et superposées et qui
riche en granulations de chromatine. Dans certaines conditions, ces cellules s'allongent et possèdent plusieurs noyaux, méri
nt ainsi le nom qui leur a été donné de bandes protoplasmiques. Ces cellules et ces bandes jouent un rôle important dans le
n certain calibre se dévelop- pent aux dépens du protoplasma de ces cellules : c'est là la raison qui nous a engagés à les a
ces cellules : c'est là la raison qui nous a engagés à les appeler cellules apotrophiques. c'est-à-dire qui attirent et nou
les, avec gaines de myéline très bien colorées. 4° Ganglions. Les cellules des ganglions rachidiens, étudiés par le Nissl
gion cervicale vers la région sacrée, une atrophie très intense des cellules radiculaires, avec un certain degré de 446 .111
Sur les coupes colorées au picro-carmin, on constate que les grandes cellules radiculaires sont très diminuées de volume, com
pas y avoir de véritable -diminution numérique, mais la plupart des cellules sont si atrophiées qu'elles devaient être fonct
rieures (PI. LXIII). Par la méthode de Nissl, on constate qu'aucune cellule n'est intacte, toutes présentent des lésions d'
iles dont les vestiges ne sont conservés qu'à la périphé- rie de la cellule , il y a chromatolyse centrale et souveut état pou
l y a chromatolyse centrale et souveut état poussiéreux de toute la cellule . Le noyau est trouble, poussiéreux, le nucléole e
le est excentré et se colore fort mal ou à peine dans de nombreuses cellules . Certaines cellules ont perdu leur contour, ell
se colore fort mal ou à peine dans de nombreuses cellules. Certaines cellules ont perdu leur contour, elles sont si atrophiée
ne visibles. Enfin il existe de place en place, autour de certaines cellules , quelques figures de neuronophagie. Par contre,
érifier s'il existait une atrophie numérique, nous avons compté les cellules des cornes antérieures dans chaque étage de la mo
pe de la moelle au niveau de la XII" dorsale, montrant l'atrophie des cellules radiculaires de la corne antérieure en contrast
diculaires de la corne antérieure en contraste avec l'intégrité des cellules vésiculaires de Clarke. B. Cellules radiculaire
antérieures, et caractérisée par l'atrophie à différents stades des cellules radiculaires, existence de dégénérations variable
le des muscles, avec atrophie des nerfs périphériques, atrophie des cellules des cornes antérieures de la moelle cervicale,
la colora- tion au picro-carmin. La tumeur est formée de petites cellules rondes à gros noyaux. Ces cellules sont espacée
La tumeur est formée de petites cellules rondes à gros noyaux. Ces cellules sont espacées les unes des autres et on peut re
stices des fibrilles névrogliques. De place en place,on observe des cellules pyramida- les ; ces dernières sont éparses irré
aucune inflammation et leur paroi est formée d'une seule couche de cellules endothéliales. Sur les coupes traitées par la mét
néoplasme et au tissu cortical sain, on re- marque que les petites cellules rondes néoplasiques envahissent peu à peu le ti
tissu nerveux sans le détruire immédiatement. Il existe une zone où cellules pyramidales, cellules névrogliques et cellules
détruire immédiatement. Il existe une zone où cellules pyramidales, cellules névrogliques et cellules tumorales sont rassemblé
l existe une zone où cellules pyramidales, cellules névrogliques et cellules tumorales sont rassemblées les unes à côté des
ec leur méninge molle offrir une barrière à la tumeur (fiâ. 3). Les cellules néoplasi- ques gagnent les parties voisines en
t le tour du sillon et n'attaquent l'iG. 2. - Tissu néoplasique. 1. Cellules nerveuses ; 2, Fibrilles névrogliques 3. cellul
u néoplasique. 1. Cellules nerveuses ; 2, Fibrilles névrogliques 3. cellules sarcomateuses. Fio. 3. - 1. Tumeur; 2. Cortex s
ses. Fio. 3. - 1. Tumeur; 2. Cortex sain; 3. Sillon et pie-mère; 4. Cellules nerveuses. 462 MARCHAND ET PETIT. GLIO-SARCOME
e de très fines lésions consis- tant en la pigmentation de quelques cellules pyramidales et l'accolement à ces cellules de p
pigmentation de quelques cellules pyramidales et l'accolement à ces cellules de petites cellules rondes qui paraissent être de
ques cellules pyramidales et l'accolement à ces cellules de petites cellules rondes qui paraissent être des lymphocytes. Pas d
- ses plus haut, est un glio-sarcome. Il est curieux de trouver des cellules pyramidales bien conformées éparses au milieu d
eux. Les cel- lules pyramidales, considérées généralement comme des cellules peu ré- sistantes, ont ici conservé une apparen
uée des fibres tangentielles sans altération, notable du moins, des cellules de la corticalité. Dans notre cas, comme le fai
des racines antérieures ; mais nous n'avons pu isoler nettement des cellules fusifor- mes comme dans le premier cas et les d
tage des centres ner- veux. Ganglions rachidiens. Le nombre des cellules est légèrement diminué. Les cellules sont pour la
ions rachidiens. Le nombre des cellules est légèrement diminué. Les cellules sont pour la plupart petites, atrophiées. Les c
par la méthode de Weigert pour la névroglie. Méthode de Nissl. Les cellules sont peut-être un peu moins nombreuses qu'à l'é
s, le réseau chromatique est à peine visible ; mais sur beaucoup de cellules qui ont conservé leur volume normal et dont les
ne trouve qu'un nombre très restreint de cylin- dres-axes. 1\ Les cellules de la colonne de Clarke, du tractus intermédio-la
, Dans la substance grise les lésions sont moins considérable : les cellules nerveuses sont en chromatolyse, et peuvent être
ie de la moelle. Méninges molles et vaisseaux sanguins sans lésions ; cellules nerveuses : les unes aplaties, déformées, d'aut
e des postérieurs ; léger épaississement de la névroglie ; dans les cellules nerveuses à peine de chromatolyse ; les vais- s
éninges. Pas de lésions dans les autres régions de la moelle. Les cellules nerveuses présentent, dans toutes les régions du
nombre énorme de leucocytes polynucléaires,avec,ça et là, quelques cellules géantes et petits foyers nécroti- ques. Les vai
et, comme elle, disparaissent dans la région dorsale moyenne. Les cellules nerveuses présentent des lésions de chromatolyse
tolyse diffuse sans pigmentation, et avec légère désorientation des cellules nerveuses. Multi- plication diffuse des noyaux
vaisseaux sanguins. Pas de lésions du cervelet, en particulier, des cellules de Purkinje. Bulbe : pas de méningite, chromato
pas de méningite, chromatolyse et pigmentation légères de certaines cellules des olives et des noyaux du plancher du' IVe ve
le volume total de la moelle est plutôt supérieur à la normale. Les cellules nerveuses sont déformées, aplaties, mais c'est à
aissie. Ca- nal épendymaire méconnaissable, remplacé par un amas de cellules polymorphes. Au-dessus du foyer, pas d'autres l
oires par le Marchi de la région centrale des cordons postérieurs ; cellules nerveuses intactes : oblitération du canal épendy
épendymaire. Au-dessous, chromatolyse et pigmentation de certaines cellules nerveuses : canal épendymaire dilaté, plein de
rébelleux direct, py- ramidal). A distance (région lombaire), les cellules nerveuses présentent à peine une ébauche de chr
l'intérieur des racines et de la moelle. Etant donné la présence de cellules géantes d'apparence jeunes, dans ce tissu d'inf
d'autre altération qu'un peu de pigmentation avec chromatolyse des cellules nerveuses. De la partie supérieure du 1er segme
um, 2 millimètres de diamètre : la paroi est formée d'une rangée de cellules cylindriques entourée d'une zone de fibres névr
rose variable d'une racine à l'autre ; les ganglions présentent des cellules en chromatolyse. Dans la moelle lombo-sacrée ép
o-sacrée épaississement des méninges mol- les ; lésions banales des cellules nerveuses , dégénérescence des cordons pos- tér
ties d'avant en arrière, surtout à gauche, présentent de nombreuses cellules aplaties, presque lamellaires, avec chromatolys
e un peu réduit. Le canal épen- dymaire est remplacé par un amas de cellules polymorphes, aplati d'avant en arrière, sans lu
un épaississement des méninges avec infiltration de polynucléaires. Cellules nerveuses en état de légère chromatolyse avec p
s gauches) ne présentent que des lésions insignifiantes de quelques cellules . OBS. X (n° 877 ? Carie minime de la face posté
vec tuméfaction des gaî- nes de myéline et des cylindres-axes ; les cellules des cornes antérieures, glo- buleuses, sont en
pigmentation ; le canal est repré- senté par un amas irrégulier de cellules polymorphes, sans paroi ni lumière reconnaissab
axes, désintégration de la névroglie : les racines gau- ches et les cellules nerveuses offrent les mêmes lésions que dans le 6
on irrégu- lière des gatnes myéliniques et de leurs cylindres-axes. Cellules nerveuses à peine touchées ; très légère chroma
ment quelle part revient aux lésions des racines et aux lésions des cellules motrices dans la patho- génie des troubles mote
r, que le myosis gauche. Histologiquement,dans l'observation IX les cellules des cornes antérieu- res et les racines sont al
térieu- res et les racines sont altérées ; dans l'observation X les cellules sont glo- buleuses avec chromatolyse et pigment
t qu'à l'état normal ; le canal épendymaire est oblitéré, rempli de cellules polymorphes. Chroma- tolyse légère des cellules
oblitéré, rempli de cellules polymorphes. Chroma- tolyse légère des cellules nerveuses, les vaisseaux sont dilatés, pleins de
atives au-dessus et au-dessous. Dans toute la hauteur de la moelle, cellules nerveuses globuleuses ; ébauche de chromatolyse
rtie superficielle des cordons postérieurs. Canal central oblitéré, cellules nerveuses globuleuses avec chromatolyse et pigmen
de l'oedème et l'âge ou l'activité des lésions tuberculeuses. Les cellules nerveuses peuvent être aplaties, déformées mécani
eux tubercule protubérantiel (V. Reo. neurol., 1906, p. 325) où les cellules nerveuses étaient saines, immédiatement en dehors
Souvent nous avons vu le canal épendymaire remplacé par un amas de cellules irrégulières polymorphes, sans paroi ni lumière ;
ubstance rouge amorphe. L'artère est entourée d'un mince manchon de cellules migratrices. Le foyer cérébelleux occupe la moi
lacune de désintégration autour d'un vaisseau à paroi épaissie.Les cellules ner- veuses sont diminuées de nombre.Celles qui
de foyer scléreux, pas de dimi- nution de nombre des fibres et des cellules nerveuses. Quelques cellules seule- ment ont de
mi- nution de nombre des fibres et des cellules nerveuses. Quelques cellules seule- ment ont des vacuoles et du pigment jaun
xplique, puisque ses fibres centrifuges sont les cylindres-axes des cellules de Pur- kinje. Les dégénérations descendantes d
n ne voit pas dans l'écorce cérébelleuse de réaction à distance des cellules de Purkinje. Ces diverses constatations nous em
e en certaine qnantité, avec des cylindres hyalins granuleux et des cellules rénales. A la main gauche il a les difformités ty
; le canal central est oblitéré et représenté par un petit amas de cellules épendy- maires. Dans les cornes grises antérieu
ntérieures on voit des cavités périvasales un peu plus petites. Les cellules radiculaires vont se perdre irrégulièrement de
e (PI. LXXXI) ( ? ). Dans quelques coupes on ne trouve pas même une cellule : dans quelques autres elles sont très peu nombre
ri- vasales,'lacunes de désintégration, disparition irrégulière des cellules radicu- laires. Le syndrome que le patient no
asculaires. L'exposant anatomo- pathologique est la disparition des cellules radiculaires et la sclérose des cornes antérieu
ons', en effet, que la section d'une fibre nerveuse retentit sur sa cellule d'origine (on y constate de la chromatolyse déj
e dans les lésions centrales circonscrites, l'at- teinte portée aux cellules mêmes ou aux fibres qu'elles enlacent encore, éga
se constituer lorsque le neurone est lésé en un point éloigné de sa cellule ; cette marche qui s'évalue en années, même en diz
du plus important des noyaux de la base, du noyau le plus riche en cellules , le corps genouillé externe. Comme couronne ray
ent surtout dans les deux lèvres de la scissure calcarine, dont les cellules correspondent (non pas mor- phologiquement, mai
mor- phologiquement, mais au.point de vue de notre comparaison) aux cellules des cornes antérieures de la moelle qu'entouren
dal qu'en appa- rence. Le neurone moteur périphérique comprend la cellule multipolaire de la corne antérieure, sa racine,
cussation se fait donc dans le sens de sa conductibilité. C'est des cellules du type inférieur que naissent les racines motric
rachidiens et crâniens (ganglions de Gasser, ganglions acoustiques, cellule olfactive). Bref, la rétine semble réunir au po
de la rétine, mais nous ferons re- marquer que les divers types de cellules que l'on y rencontre, se prêtent assez .bien à
euses des ganglions crâniens ou aux arborisations périphériques. La cellule bipolaire est certaine- ment l'analogue des cel
riphériques. La cellule bipolaire est certaine- ment l'analogue des cellules des ganglions acoustiques ; les cônes et bâtonnet
des plaques mo- trices (éminences et plaques terminales). Quant aux cellules ganglionnaires elles sont pour nous des formes
anglionnaires elles sont pour nous des formes modifiées des grandes cellules que l'on ren- contre en divers endroits de la c
centre trophique), au centre pyramidal inférieur, à l'ensemble des cellules multipolaires des cornes antérieures destinées à
e notre comparaison des faisceaux pyramidal et optique central, aux cellules des cornes antérieures (cellules multipolaires).
pyramidal et optique central, aux cellules des cornes antérieures ( cellules multipolaires). Mais, le nerf optique étant sen
21 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
hode de Weigert-Pal. Au point de vue cellulaire, on trouve dans les cellules pyramidales deux types pathologiques très tranc
s l'un de l'autre. Le premier type est celui que Nissl attribue aux cellules altérées par un processus prolongé chronique ; le
sl comme un caractère de l'état pathologique. Le deuxième type de cellules est celui qui, pour le même auteur, correspond
é. En résumé, on remarque dans ces cas, deux aspects différents des cellules pyramidales : aspects rapportés généralement à
re se succè- dent l'un il l'autre. Il est logique de penser que les cellules altérées chronique- ment siègent au point où la
périphérie, dans le voisinage du cerveau où elle est très riche en cellules et renferme de nombreux vaisseaux capillaires.
ent ensuite plus âgée, renferme surtout des fibres. De nom- breuses cellules conjonctives et des vaisseaux embryonnaires se re
nir, et que par des moyens appropriés, nous pourrions fortifier nos cellules contre les macrophages nos ennemis. Le sérum qu
ment dorsal, cette dernière est déformée dans sa moitié droite, les cellules ganglion- naires de la corne antérieure et de l
proliférés à la périphérie des vaisseaux. On n'y voit pas d'amas de cellules embryonnaires; c'est un tissu de réaction arriv
i, dénote infailliblement une lésion du nerf périphérique ou de ses cellules d'ori- gine. La recherche des réactions électri
i : même, soit dans cette partie du système nerveux qui comprend la cellule multipolaire des cornes antérieures de la moell
alors raisonner par analogie et ne pas localiser la lésion dans les cellules motrices delà corne anté- rieure, qui, en somme
n somme, jouent vis-à-vis du nerf périphérique le même rôle que les cellules du cortex vis-à-vis les fibres des pyramides ? Il
es lésions cellulaires ; on pourrait cependant se deman- der si les cellules ne sont pas impressionnées par les toxines, résul
tissu conjonctif. C'est, sans doute, ce qui s'est produit dans les cellules antérieures de la moelle de nos malades I et Il
facilement s'expliquer par la suppléance fonc- tionnelle des autres cellules . Nous voyons une application de cette même loi
érer tous ses mouvements par la suppléance fonctionnelle des autres cellules motrices. Lorsque la crampe ou la faiblesse muscu
es hématies. Le reste de la préparation est formé par des amas de cellules longues orientées en tourbillon; les globes plu
oc. 2 Zeiss.) FiG. 2. Vaisseaux dont les parois, formées par des cellules accolées parallèle- ment, renferment de nombreu
dans le parenchyme environnant une pointe. autour de laquelle les cellules com- mencent à s'orienter concentrique- ment.
périodes de leur développe- ment. (Obj. DD; oc. 4 Zeiss.) Fic. 4. Cellule nerveuse de l'écorce en chromatolyse périphériq
intra-protoplasmiqne. (Obj. immers 1/12; oc. 4 Zeiss.) Fic.. 5. - Cellule nerveuse de l'écorce en chromatolyse périphériq
u extra-protoplasmique. (Obj. immers i/12; oc. i, Zeiss.) Fig. 6. Cellule nerveuse dont le noyau, refoulé à une extrémité
t que très légèrement. (Obj. immers 1/12; oc. 4, Zeiss'.) FIG. 7. Cellule nerveuse de l'écorce, en- vahie par le heuronop
mas de neuronophages. (Obj. immers 1/12; oc. 4, Zeiss.) Fin. 9. - Cellule nerveuse de l'écorce dont le protoplasma, en pa
enant un leuco- cyte. (Obj. immers 1/12; oc. 4 Zeiss.) FIG. 10. - Cellule nerveuse de l'écorce en achromatose. (Obj. imme
corce en achromatose. (Obj. immers 1/12; oc. 4 Zeiss.) Fis. 11. Cellule nerveuse de l'écorce dont le noyau est à peine
er la conservation relative des éléments cellulaires, notamment des cellules pyramidales dont nous décrivons les lésions (état
en évi- dence par l'histologie : elle est mince, constituée par des cellules plates, allon- gées, à noyau petit, prenant fac
ntant tous comme caractère commun une ordination toute spéciale des cellules . Entre ces amas qui dessinent de véritables lob
es fentes allongées sans parois diffé- renciées, creusées entre les cellules , tantôt enfin de vastes lacunes, bordées par de
ts qui se présentent avec des caractères particuliers : ce sont des cellules allongées, assez volumineuses et fusiformes. Le
rien de spécial ; quant au protoplasma, il occupe le restant de la cellule , sans qu'il contienne de formation intracellulair
etc.). L'éosine le colore avec énergie d'une façon uniforme. Ces cellules sont accolées, tassées les unes contre les autres
tions en tourbillon ne se font pas suivant un type, régulier et les cellules ne sont pas agencées, comme on le voit dans les g
erniers cheminent en général le long des septa. L'on voit alors les cellules s'incliner pour ramper parallèlement au vaissea
extrémités au canal vasculaire. Près des lacunes angiomateuses, les cellules sont plus serrées les unes contre les autres, les
enter les différents stades d'évolution d'un même processus, et les cellules subir une évolution marquée par toute une série
là d'un mécanisme analogue à celui qui règle la transformation des cellules de l'épidémie ? Nous ne pouvons nous empêcher de
est seulement permis de dire qu'il existe un ciment, maintenant les cellules accolées les unes aux autres. Ce sont les globe
mais ce n'est pas une règle absolue, et l'on voit fré- quemment les cellules s'écarter pour laisser la place à un globe. Dans
iforme dans toute la tumeur. Tout d'abord, au milieu d'un amas, les cellules s'écartent laissant un espace où l'on distingue
s. Cette période est la plus délicate à apprécier, car bientôt, les cellules périphériques s'orientent concentriquement de f
eu on retrouve toujours une cavité remplie d'éléments sanguins. Les cellules périphériques ont changé d'aspect : elles sont
par des masses amorphes qui paraissent pro- venir du gonflement des cellules les plus voisines. Ce bourgeonnement aug- mente
donc une masse amorphe centrale entourée par une ou deux rangées de cellules en croissant qui lui constituent une enveloppe.
cavité la différencie de la phase précédente. Il faut ajouter que les cellules 186 DUPRÉ ET DEVAUX périphériques ne forment
rminé son évolution. C'est là un processus qui tranche bien sur les cellules ambiantes, et aboutit à la formation d'un éléme
és ; la fuchsine acide les colore énergiquement, principalement les cellules périphériques ; enfin le bleu de Unna leur donne
ÉBRALE 187 ture très particulière. Elle est formée par uue série de cellules allongées, pa- rallèles, dont les limites se co
ir. Elles renferment quelques rares noyaux plus petits que ceux des cellules de la tu- meur. A l'intérieur, il n'y a pas de
tissu néoplasique mettent trois éléments en relief : l'existence de cellules longues, fusiformes, avec un noyau unique et vo
avec un noyau unique et volumineux occupant la partie médiane de la cellule ; ordonnées en tourbillons concentriques et sép
cas présenter plusieurs noyaux à leur intérieur ; ce sont alors les cellules mères fibroplastiques qui peuvent adhérer entre e
Suivant en cela la description de Robin, il constate la présence de cellules plates, subissant' dans leur protoplasma des mo
méninges. Il montre d'abord que ces endothéliomes sont for- més de cellules plates et de globes. Nous avons dit comment cet a
es plates et de globes. Nous avons dit comment cet auteur décrit la cellule constitutive à propos de l'observation de Bouchar
ar nombre d'auteurs sous le nom de sarcome, tandis que la forme des cellules et les caractères des vaisseaux les en éloignen
la néoforma- tion prend place parmi les endothéliomes. Pour lui les cellules plates de Robin viennent de l'endothélium vascu
ithique. Cène sontpas des épi- théliomes, disent-ils, parce que les cellules ne sont pas soudées entre elles et parce que le
les et parce que les vaisseaux sont directement en rapport avec les cellules . Toutefois, dans une communication à la Société
tumeurs aux sarcomes vrais, parce qu'ils ne contiennent ni petites cellules fusiformes, ni cellules embryonnaires. Il conse
vrais, parce qu'ils ne contiennent ni petites cellules fusiformes, ni cellules embryonnaires. Il conserve dans ce cas le nom d
héliome et le sar- come. Des sarcomes, elle prend les relations des cellules entre elles, c'est- à-dire que ses éléments son
Comme chez ceux-ci, le sang traverse des espaces que dessinent les cellules sans interposition aucune de parois conjonctive
ogie pathologique. TUMEUR CÉRÉBRALE 191 vasculaire c'est' que les cellules voisines ont été envahies par un proces- sus dé
constater la présence de paroi véritable.D'autre part l'absence de cellules jeunesd'aspect embryon- naire éloigne ces endot
ion envoient des pointes vasculaires dans le tissu environnant. Les cellules entre lesquelles ces poi ntes pénètren t,s'orie
triquement emboîtées. Virchow hésite à dire si ce sable procède des cellules ou de la substance intercellulaire. Pour Meyer
l'endothéliumc1e la dure-mère, cet auteur a vu très fréquemment les cellules endothéliales devenir plus nombreuses, prolifér
vent ces proliférations. Cet auteur pense que ce sont sur- tout les cellules des canaux péri-vasculaires qui se multiplient. C
tre aussi dans les corps concentriques. La substance qui envahit la cellule peut, dans quelques cas, se conglo- mérer sous
péri-vasculaires. Mais le plus souvent, ces grains, émis hors de la cellule , s'unissent et il en résulte de petits amas entou
la cellule, s'unissent et il en résulte de petits amas entourés de cellules plus légèrement atteintes. Cette dégénérescen
rcir, enfin les sels d'argent les teintent en brun foncé, comme les cellules plates endo- théliales. Il arrive, surtout lo
ps se dé- veloppent de la même façon, et proviennent lotis deux des cellules de la surface endothéliale ou des canaux périva
idon » décrits par Robertson, ce sont des produits excrétés par les cellules . En résumé, il existe, dans les cellules située
produits excrétés par les cellules. En résumé, il existe, dans les cellules situées autour des vaisseaux, un processus dégé
e nom de dé- générescence hyaline. Il a pour résultat de rendre les cellules homo- gènes et de faire disparaître les noyaux.
on voit alors une cavité centrale remplie de sang, entourée par des cellules déjà compactes, mais ayant encore leur noyau (P
u (Période de coloration par l'hématoxyline). Un peu plus tard, ces cellules présentent des grains de substance hyaline, pui
ombent dans la ca- vité qu'ils rétrécissent ; un degré de plus, les cellules avoisinantes se res- serrent, la partie central
ère n'est pas une capsule au sens propre du mot, elle est formée de cellules accolées et superposées. Cette explication nous
corticale sur différents points et nous avons recherché l'état des cellules nerveuses. Technique employée. Durcissement au
au bleu de Unna, réduction au Glycerinaetermischung. L'examendes cellules de l'écorce présentait un grand intérêt -d'abord
n ne reconnaît que difficilement les éléments nerveux. En effet les cellules sont ratatinées, aplaties, les prolongements in
oro-sphénoïdal) on constate des lésions moins avancées. Les petites cellules ont à peu près gardé leur forme,mais il y a absen
des vacuoles. Les altérations les plus importantes siègent sur les cellules pyramidales. Très peu de ces dernières ont gard
tachaient les prolongements sont à peine accusés. Beau- coup de ces cellules n'ont plus de noyau et elles ont l'aspect d'une m
acement excentrique du noyau est appréciable sur presque toutes les cellules et coïncide toujours avec des modifications du pr
en n'étant plus central, est encore assez éloi- gné d'un bord de la cellule , il y a un cercle clair, périphérique, qui contra
ontraire le noyau est-il tangent à une extrémité ou à un bord de la cellule , celle-ci est divisée en deux parties, l'une cl
r avec la chromatolyse ; plus cette dernière est avan- cée, plus la cellule est gonflée. On trouve,à côté des cellules nerv
est avan- cée, plus la cellule est gonflée. On trouve,à côté des cellules nerveuses,un nombre considérable d'éléments plu
rtis sur toute la préparation mais deviennent confluents autour des cellules . Les uns, les plus gros, sont arrondis ou ellipti
ncie des deux autres variétés. Tous ces corps abondent autour des cellules , et les rapports qu'ils affectent avec elles so
s-uns de ces éléments sont groupés et accolés à la périphérie de la cellule , tandis que d'autres en restent éloignés. Mais
omplètement inclus. Il y en a ordinairement plusieurs pour une même cellule , et il est des figures très curieuses où la cel
s pour une même cellule, et il est des figures très curieuses où la cellule n'apparaît plus que par une de ses extrémités, to
sont eux qui se rencontrent le plus souvent dans l'intérieur de la cellule . Au contraire, les plus volumineux sont ordinai
es mêmes lésions se retrouvent à un degré moin- dre. H y a moins de cellules sans noyau, toutefois la zone de décoloration pér
flement se retrouvent encore, et il existe toute une caté- gorie de cellules assez volumineuses où le corps cellulaire est cra
s corps revêtant trois aspects et ayant une tendance à entourer les cellules et même à les envahir. Nerf optique. - L'exam
par un noyau volumineux, très fortement coloré, appartenant il des cellules en fuseau dont les extrémités donnent parfois n
ont légèrement sclérosées. Discussion. - L'étude histologique des cellules de l'écorce pratiquée à l'aide de la méthode de
lésions sont étendues à toute la surface du cerveau, et si quelques cellules ont gardé leur aspect normal la grande majorité s
ent de suite l'attention par le gonfle- ment qu'elles impriment aux cellules , et par les modifications de la subs- tance chr
ules, et par les modifications de la subs- tance chromatique. Les cellules sont augmentées de volume, leursbordsdéformés, et
és, etquelque- fois le gonflement ne porte que sur une partie de la cellule . Il est d'au- tant plus accusé que la chromatol
forme cellulaire normale : TUMEUR CÉRÉBRALE 199 Souvent aussi la cellule apparaît divisée en deux parties : d'un côté des
tiques toujours petits encadrant-le noyau rejeté dans un coin de la cellule , de l'autre l'aspect chromatolylique précédemment
rs cet état que Marinesco (1) qualifie du nom « d'achromatose ». La cellule peut en outre être craquelée, présenter des fis
te et Eltlinger (2). L'absence du noyau ne se note que sur quelques cellules seulement. Tout au contraire, dès qu'il y a chr
uvement de translation il peut aller occuper ou une extrémité de la cellule , ou s'accoler sur un de ses bords, ou même être
lule, ou s'accoler sur un de ses bords, ou même être rejeté hors la cellule . Il conserve longlemps son aspect normal et n'e
ilement visible. Les prolongements sont encore très nets lorsque la cellule a sa forme normale, et ils s'estompent de plus
e révélation, dit Ballet (3), d'un trouble de la nutrition dans les cellules , et elle constitue ainsi une méthode qui permet
t elle constitue ainsi une méthode qui permet de reconnaître que la cellule est en voie de désorganisation, alors que les a
» z (1) Marinesco, Recherches sur quelques lésions peu connues des cellules corticales, Revue de neurologie, 1899. (2) NA
vue de neurologie, 1899. (2) NAGEOTTE et L ? fTLI\G6lt, Lésions des cellules nerveuses dans les intoxications et les infecti
bleu de méthylène commence à colorer la partie achromatique dans la cellule . Cette sensibilité de la partie achromatique vi
état chromatophilique que présentent pen- dant un certain temps les cellules du nerf lésé ». Le gonflement du corps cellulai
94). (2) LrG"'l1o, Nuovi clati nuovi problemi nella patologia della cellule nervose, Rivista di pathologia nervosa e mental
IIAI11l\EbCO, Des lésions primitives et des lésions secondaires de la cellule nerveuse, Société de biologie, 1896. Dps polyné
rapport avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellules nerveuses, Revue de Neurologie, 1896. Pathologie
s nerveuses, Revue de Neurologie, 1896. Pathologie gé- némle' de la cellule nerveuse, Presse médicale, 1897. Hiblopal1wlogie
de la cellule nerveuse, Presse médicale, 1897. Hiblopal1wlogie de la cellule ner- veuse, Revue générale des sciences pures e
vue. Pour lui le gonflement appartient à la phase de réparation des cellules . Si ces dernières doivent guérir, il y a du gon
e qui nous empêche d'accepter cette théorie, c'est qu'il existe des cellules encore gonflées dont le noyau est en train de d
de disparaître ; d'autre part, rarement il est vrai, on trouve des cellules en achromatose également gonflées. Ces deux faits
rations variables, qui toutes ont pour conséquence l'atrophie de la cellule et sa disparition complète ». Dans notre cas, c
tions où la méthode de Nissl a mis en lumière les altérations de la cellule corticale, on trouve deux éléments : le gonflem
la cellule corticale, on trouve deux éléments : le gonflement de la cellule qui se déforme et la chromatolyse. Ces deux élé
portées aux forces de tension en présence dans la constitution delà cellule . *- Il doit se produire des troubles dans l'équ
- Il doit se produire des troubles dans l'équilibre osmotique de la cellule , vis-à-vis du milieu dans lequel elle se nourri
qui expli- quent, d'une part le gonflement et la déformation de la cellule , d'autre part la chromatolyse et les modificati
et même la dislocation progressive des éléments constitutifs de la cellule les uns par rapport aux autres. Ces processus pat
) Marinesco, loc. cil. et Elude sur l'évolution et l'involulion de la cellule nerveuse, Revue de neurologie, 1899. Les phénom
ne du néoplasme. Le reste de l'écorce au con- traire renfermait des cellules pour la plupart augmentées de volume. 11 est lé
D'après Marinesco (3) il s'agit alors d'une lésion primitive de la cellule . Les agents capables de l'engendrer atteignent
ande importance et y voit l'expression d'une lésion primitive de la cellule , par opposition aux altérations consécutives à
et Congrès de Moscou, 1897. (4) ACQUISITO et PUSATERI, Lésions des cellules dans l'urémie expérimentale, Riv. di pathologia
s empêcher de les attribuer à l'action de produits toxiques sur les cellules de l'écorce. A côté de la zone péri-néoplasique,
a décrites Neumayer; dans toute l'étendue de l'écorce cérébrale, les cellules présentaient l'aspect d'éléments frappés par un
pré- sence de petits'corps très abondants, et confluant autour des cellules . Ils se présentent sous trois formes. Les uns,
e son contenu qui garde le bleu d'une façon énergique. Autour des cellules en chromalolyse. tous ces corps augmentent de qua
- tité ; mais la localisation est spéciale à chaque forme. Entre la cellule et les plus gros, existe un certain espace ; le
dans le protoplasma, allant même jusque dans le noyau. Lorsque les cellules sont très atteintes, l'en- vahissement par ces
n, de leur distribution,de leurs rapports avec les vaisseaux et les cellules . Ils semblent appelés à détruire les cellules n
les vaisseaux et les cellules. Ils semblent appelés à détruire les cellules nerveuses qui ont perdu toute valeur fonc- tion
in- (1) Ballet et I)UTIL, Sur quelques lésions expérimentales de la cellule nerveuse- Semaine médicale, 1891. 204 DUPRÉ E
ent macrophages. On a d'abord attribué cette propriété aux seu- les cellules endothéliales, puis au tissu conjonctif périvascu
phagocytaire se cons- tate dans toute une série d'affections où la cellule nerveuse est atteinte de façons différentes; ce
ant les avis sont partagés lorsqu'il s'agit despé- cifier l'élément, cellules névrogliques ou leucocytes, qui ce rôle est dévol
ier qui ait vu la pénétration des leucocytes dans l'intérieur de la cellule nerveuse. Dans le lobe électrique de la torpille,
ocytes, qui grâce à leurs mouvements amiboïdes pénétraient dans les cellules nerveuses pour les détruire. Ce sont donc bien
ette opinion contre KraHSS (3) qui attribue ce rôle destructeur aux cellules névrogliques. Van Gehuchten et Nelis, étudiant
gnalé la présence de leucocytes en très grande abondance autour des cellules nerveuses;et, d'autre part, la prolifération des
autour des cellules nerveuses;et, d'autre part, la prolifération des cellules de la capsule de ces ganglions. Ici donc, on tr
eneuronophagie est appliqué par Marinesco (4) à l'englobe- ment des cellules nerveuses par la névroglie. Cet auteur, qui fait
auteur, qui fait la part la plus grande à l'action destructive des cellules névroglique, a signalé sans y insister la prése
gnalé sans y insister la présence de nombreux leucocytes autour des cellules en chro- (1) Metchnikoff, L'Inflammation, Paris
ammation, Paris, 1891. (2) VALENZrI, I combiamenli microscopi delle cellule nervose nella loro allivila %un- zionale. Atti
par les leucocytes et les noyaux de névroglie dans la destruction des cellules ner- verses. Compt. rend. Soc. Biologie, 1896.
RALE 205 matolyse, et conclut que la neuronophagie est fonction des cellules névro- gliques. Pareille opinion est aussi ce
(1) qui rapporte à la névroglie la présence de noyaux entourant les cellules nerveuses dans des cas de méningites et d'encép
(2) ne croit pas qu'il. faille considérer comme des leucocytes des cellules névrogliques qui normale- ment sont groupées au
maux, fait intervenir les leucocytes seuls, dans la destruction des cellules nerveuses. Franca et Athias (6) reprennent la q
morphologiques ils en signalent d'autres dans la localisation. Les cellules névrogliques se groupent autour du cône d'origi
ent autour du cône d'origine de l'axone, restent assez éloignés des cellules nerveuses ou, si elles s'en rapprochent, ne pénét
ttribue aux leucocytes l'action la plus importante, sans dénier aux cellules névrogliques un rôle adjuvant éven- tuel, mais
stes et neurologistes, Angers, 1898. (5) Pugnat, La destruction des cellules nerveuses par les leucocytes. Compt. rend. Soc.
iias, Sur le râle joué par les leuco- cytes dans la destruction des cellules nerveuses . Compt. rend. Soc. Biologie, 1890. (
t absorbés par les leucocytes; pour les autres, ce rôle revient aux cellules névrogliques. Il paraît pos- sible, d'après ce
et que sous l'effet d'une inflammation plus ou moins prolongée, les cellules nerveu- ses soient touchées en même temps que l
n même temps que l'élément névroglique. Mais très probablement, les cellules nerveuses sont d'autant moins résistantes qu'el
diapédèse leucocytaire. Les leucocytes se précipitent donc vers les cellules nerveuses, peut-être, suivant une hypothèse de Ra
les soutenir dans leur lutte. Accumulés en grand nombre autour des cellules nerveuses malades ou mortes, ils jouent peut-être
ient restés, dans un état assez voisin de celui des leucocytes, des cellules embryon- naires et des amibes, et, comme ces ce
ucocytes, des cellules embryon- naires et des amibes, et, comme ces cellules , ils.se rétracteraient sous l'influence des exc
paraître, qu'il existe pour les êtres monoplastidaires et pour les cellules végétales et animales, un optimum de veille par
tenu qu'il existait pour chaque couleur un système parti- culier de cellules nerveuses et que ces diverses cellules se trouvai
un système parti- culier de cellules nerveuses et que ces diverses cellules se trouvaient in- tercalées les unes dans les a
ériques à la rétraction des neurones centraux qui correspondent aux cellules neuro-épithéliales du pourtour de la rétine, et
eaux fondamentaux du cordon antérieur, des deux côtés on trouve des cellules appartenant aux groupes des corne^ antérieures ;
é le mécanisme de l'ossification du carti- lage de conjugaison. Les cellules cartilagineuses se multiplient, s'ordon- nent e
de la diaphyse pé- nètrent et effondrent les cavités renfermant les cellules cartilagineuses (li- gned'érosion),ilsapportent
l'achondroplasie, le cartilage de conjugaison est bouleversé ; les cellules cartilagineuses sont disposées sans ordre, ne for
tance fondamentale, de telle sorte que l'on trouve soit des amas de cellules cartilagineuses entourées d'une gangue calcifiée,
4. Espaces médullaires. A PROPOS D'UN cas d'achondroplasie 287 cellules rondes, cavités médullaires de tissu spongieux ve
cartilage épiphysaire est dans une sorte d'état de torpeur, que les cellules cartilagineuses ne se divisent pas, que l'os re
if fibrillaire très délicat, sous lequel il existe soit des amas de cellules cartilagineuses, soit des ilots de tissu osseux t
ire de l'écorce, que ces troubles compromettraient la nutrition des cellules et produiraient finalement, par un mécanisme indi
est une auto-intoxication, dont les agents, portés au contact de la cellule corticale, c'est-à-dire du réactif le plus sens
l'empoisonnement de l'économie par les produits excrémentitiels des cellules néoplasiques. Les produits toxiques d'origine n
ature névroglique ou leucocytaire qui semblent jouer, vis-à-vis des cellules nerveuses, un rôle neuronophagique sur lequel nou
mêmes lésions {chromatolyse et infiltration péricellulaire par des cellules rondes) dans les intoxications les plus variées
rtement par l'éosine. Entre les faisceaux fibreux, on distingue des cellules allongées dont les noyaux ne pren- nent pas l'h
e nombreux vaisseaux,délimitant des alvéoles, renfermant de grosses cellules rondes ou un réseau de fibrilles délicates. Sur
de matière caséeuse. Enfin, on trouve des formations rappelant les cellules géantes. 368 DUPRÉ ET DEVAUX - Pie-mère. - Ép
ntient un feutrage serré de fines fibrilles, infiltré de nombreuses cellules rondes. Les vaisseaux de calibre sont peu altérés
ntraire, ont leur paroi épaissie et sont entourés par un manchon de cellules rondes. Circonvolutions.- Dans les couches supe
st abondant, les fibres tangentielles sont peut-être raréfiées. Les cellules nerveuses des diverses couches sont normales comm
idérable, les grains chromatiques sont rares, même dans les grandes cellules géantes. La congestion très marquée dans la sub
ée dans la substance grise atteint son maximum dans les couches ,de cellules moyennes. Dans les couches superficielles les v
s nette ; ce qui frappe également c'est la présence de faisceaux de cellules fusiformes à protoplasma peu abondant, à noyau
un autre processus dégénératif, consistant, en l'infil- tration des cellules par une matière prenant fortement l'éosine et abo
e prenant fortement l'éosine et abou- tissant à la rétraction de la cellule : c'est la dégénérescence hyaline. Elle- n'est
ction les zones péri et pava- vasculaires. III. - Les lésions des cellules corticales sont les suivantes : dans les circon
ypothèse certains arguments laistopatlcologi j2ces (altérations des cellules corticales et des nerfs optiques comparables au
scence hyaline telle que la décrit Robertson. Quant aux lésions des cellules corticales, nous n'avons pu encore pratiquer l'ex
e dans toute la substance grise une diminution énorme du nombre des cellules nerveuses. Les cellules qui existent encore son
grise une diminution énorme du nombre des cellules nerveuses. Les cellules qui existent encore sont tantôt normales tantôt a
les qui existent encore sont tantôt normales tantôt atrophiées. Les cellules atrophiées sont petites, elles se colorent très i
ostérieure. Les fibres y ont en grande partie disparu ainsi que les cellules . Dans beaucoup de préparations on ne trouve pas
que les cellules. Dans beaucoup de préparations on ne trouve pas de cellules du tout, sur d'au- tres leur nombre est diminué
res de la moelle, ses parois sont revêtues de plusieurs couches des cellules rondes. Dans ses par- ties supérieures il est o
cence des fibres dans les noyaux des cordons de Goll. Le nombre des cellules est dimi- nué ; on trouve seulement par ci par
des cellules est dimi- nué ; on trouve seulement par ci par là une cellule . * La sclérose du faisceau cérébelleux direct s
le bulbe, mais leur structure est intacte, tant au point de vue des cellules que des fibres (PI. XLVIII, A et B). Dans la
ù se forment les pédoncules cérébraux (PI. XLVIII, C et D). , Les cellules de la substance grise de la protubérance paraisse
bres névrogliques. Dans le lumen de l'aqueduc on trouve beaucoup de cellules blanches accolées à ses parois. Cervelet plus p
s. Atrophie de la substance grise de la moelle avec disparition des cellules . Dans le bulbe, une dégénérescence du faisceau
sceaux pyramidaux croisés et des faisceaux cérébelleux directs. Les cellules des cornes antérieures de la moelle étaient atrop
s. Le cervelet était atrophié, ses lames étroites et mollasses. Les cellules du noyau dentelé étaient en partie ratatinées.
en corps granuleux, la couche mo- léculaire étroite, le nombre des cellules de Purkinje considérablement diminué. On trouva
rablement diminué. On trouvait des endroits où il n'y avait plus de cellules . Les cel- lules persistantes étaient sans lésio
mère. Ils sont peu nom- breux et probablement peu importants. Les cellules de Purkinje sont diminuées en nombre ; elles s'ét
as de noyau visible. En somme, atrophie et diminution de nombre des cellules de Purkinje. L'examen de la protubérance et du
elet examiné par Fraser il manque le réseau épais qui en- toure les cellules de Purkinje ; cette altération parait correspondr
de Marchi, la double coloration de Weigert avec le picro-carmin. Cellules nerveuses. - Les cellules nerveuses ont été color
ration de Weigert avec le picro-carmin. Cellules nerveuses. - Les cellules nerveuses ont été colorées par la méthode de Ni
. La première intéresse les tubercules quadrijumeaux. On y voit des cellules à contours flous, mal délimités, indécis. Elles p
coloration est uniforme. Le noyau se détache mal sur le fond de la cellule . Sa position n'est parfois indiquée que par la
par la situation du nucléole qui prend bien la couleur. Lorsque la cellule se teint vivement, on ne distingue parfois même p
oyau est tantôt central, tantôt tout à fait périphérique. Certaines cellules offrent un aspect nettement vacuolaire. Leur fo
sur elles-mêmes, et considérablement réduites. Le plus souvent les cellules ne présentent aucun prolongement, lorsque l'on en
entent aucun prolongement, lorsque l'on en voit dans quelques rares cellules disséminées, ils dépassent très rarement le nom
minées, ils dépassent très rarement le nombre de deux ou trois. Ces cellules sont réunies sous forme de deux noyaux symétriq
forme de deux noyaux symétriques ; il semble qu'il s'agisse ici des cellules motrices. La seconde coupe porte au niveau de l
pe porte au niveau de la région moyenne du bulbe (Pl. L, B, C). Les cellules , à part quelques rares exceptions, ne présentent
lées sur elles-mêmes, considérablement atro- phiées. Le corps de la cellule semble avoir complètement disparu. Deux ou trois
er en un point légèrement renflé, tel est l'aspect présenté par les cellules nerveuses. Dans quelques-unes on remarque les v
e rongé le corps cellulaire. Leur aspect général rappelle celui des cellules ob- servées dans la paralysie infantile aiguë a
éresse la région cervicale (PI. LI, D). Quoique très dégénérées les cellules ne présentent pas ici de lésions aussi avancées q
diminué de volume. Les contours en sont mal délimi- tés. Certaines cellules présentent des bords crénelés et échancrés, d'aut
la moelle, aussi n'en donnerons-nous qu'une seule description. Les cellules sont considérablement atrophiées, le noyau ne se
istingue pas du reste du corps cellulaire (Pl. LI, E, F). Certaines cellules présentent des bords très échancrés et ont un n
moins abon- dantes qui parfois occupent la plus grande partie de la cellule . Dans ces con- ditions le protoplasma. est rédu
e et rejeté en un point périphérique du corps cellulaire. Certaines cellules prennent à peine la cou- leur, d'autres sont vi
xemple pour la moelle. Ils sont gros et normalement développés. Les cellules qui les composent ont un volume normal, elles pre
des degrés divers. Chez certaines le noyau prend la couleur, et la cellule est teintée d'une façon diffuse. Cer- taines, r
e alors mal sur le fond cellulaire uniformément co- loré. Certaines cellules même prennent mal la couleur. En un mot ce que l'
matolyse généralisés et touchant à des degrés divers la plupart des cellules . Quelques rares présentent de l'excentri- . cit
ce du ganglion et s'étendent dans les interstices laissés entre les cellules . Des hémorrhagies abondantes occupent l'intérie
n rôle manifestement inhibiteur et nullement dynamogène. II. - La cellule nerveuse est profondément dégénérée sur toute la
itivo- motrices. D'après les données histologiques habituelles, des cellules ner- (1) Vaschide ET Vonevs, op. cit. 400 VAS
out en pensant à l'opi- nion de quelques auteurs qui voient dans la cellule un centre n'ayant qu'une fonction trophique et
rmal ? ? IV. - Notons que malgré l'état du système nerveux et de la cellule en particulier les muscles étaient sensiblement
quadrijumeaux la présence de deux noyaux symétriques et composés de cellules motrices. En l'absence constatée anatomiquement
és. Les tubuli et les anses de Henle sont assez bien conservés, les cellules ne sont pas déformées et le noyau se colore bie
normale. Le. stroma ne présente pas de traces d'épaississement, les cellules sont bien colorées, les artérioles même ne semb
en certains points on ne retrouve qu'une infil- tration diffuse des cellules rondes, disposées sans ordonnance et où on ne d
es rondes, disposées sans ordonnance et où on ne distingue plus les cellules thyroïdiennes des leucocytes migrateurs diapédésé
ette gangue épaisse étouffe en certains en- droits complètement les cellules glandulaires, et on ne trouve plus alors qu'une
acent les boyaux épithéliaux de la subs- tance corticale, formés de cellules normales, à gros noyaux, présentant fort peu de
tués à sa face profonde sont normaux. Dans la' substance grise, les cellules ont le nom- bre et le volume normaux, les vaiss
Nissl. Les résultats ont été compa- rables aux deux régions. Les cellules radiculaires des cornes antérieures apparaissent
Un bon nombre de ces UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET ' 425 5 cellules sont absolument saines, les éléments chromatophyl
s enfin ont subi la migration du noyau. Mais nous n'avons trouvé ni cellules gonflées, ni cellules surcolorées, couvertes d'un
gration du noyau. Mais nous n'avons trouvé ni cellules gonflées, ni cellules surcolorées, couvertes d'une teinte bleue génér
anomalies, qui d'ailleurs n'atteignent qu'un nom- bre restreint de cellules radiculaires, ne sont que les lésions de la vieil
très différente de celle du tabes, que d'ailleurs les racines, les cellules radiculaires antérieures et la colonne de Clark
is de certifier, c'est que la même altération apparente des grandes cellules motrices n'a pas toujours les mêmes conséquence
res - au sens qu'on attribue à ce mot - c'est-à-dire des groupes de cellules , bien moins différenciées par leurs rap- ports
nocif, suivant qu'il aura détruit ou seulement ef- fleuré certaines cellules , puisse déterminer une paralysie atrophique ir-
es d'excitation et totalement incapables d'en opérer le triage. Aux cellules cérébrales seules incombe le soin de cette délica
urines sont normales, sans sucre, ni albumine. Un abondant dépôt de cellules pavimenteuses de la vessie nous fait penser à la
quable signale l'influence du virus rubéolique sur la vitalité 'des cellules sécrétantes du corps thyroïde. Les lésions sont
22 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntres; ils y contracteraient sans distinction des rapports avec les cellules nerveuses des différentes parties des sphères v
s de l'alveus et de la fimbria, en communication directe avec les cellules du stratum convolutum et de la fascia dentata,
t, rien au cuir chevelu. Polyadénite inguinale. c Il n'y a pas de cellules ou de chambre d'isolement dans la section. IMBÉ
vier. 9 juillet. -Court... est en punition à l'infirmerie, faute de cellules et par manque de places à la Sûreté pour avoir
res directes traversant le ganglion sans prendre d'attache avec les cellules et puisant la vie dans la moelle même, et qu'ains
ue ces fibres ne sont pas des fibres nerveuses.) Mais il révèle les cellules chromophiles et les cellules chromopholes. MM
fibres nerveuses.) Mais il révèle les cellules chromophiles et les cellules chromopholes. MM. GLUCK et Bernhardt. Un cas
circulation cérébro-spinale en particulier avec les fonctions de la cellule nerveuse. Là finit cette première partie du tra
d'un étage; son coût 44,000 francs. Il a été relié aux anciennes cellules , avec lesquelles il forme l'ensemble de la sect
ombre, et sous le rapport du chauffage et de la ventilation. Quatre cellules nouvelles ont été construites, dont deux avec p
ées d'appel spéciales ont été établies également dans le dessus des cellules ; en même temps que des ouvertures étaient prati
o syphon, avec poêle à eau et chambre d'air particulière à chaque cellule , dans le sous-sol ; des prises extérieures amènen
nt l'air du- dehors, dans lesdites chambres, d'où il monte dans les cellules et de là dans les gaines de ventilation. Nous a
existait une tempe- 168 VARIA. rature de 18 à 19 degrés dans les cellules el un fort courant h leur partie supérieure.
en avant le quartier neuf de sûreté,'son préau, un petit préau, les cellules , enfin leurs préaux spéciaux; le' tout contigu
les autres réactifs, détermine deux réactions distinctes dans les cellules pyramidales de l'écorce ; les unes s'entourent
aitement par l'alcool que dans le traitement par le bichromate, les cellules va- cuolisées seraient un peu plus abondantes.
ntal névroglique, avec ses éléments cellulaires, parsemé de petites cellules nerveuses peu abon- dantes, présente par le pro
s faits que nous avons regardés. Celle-ci est la couche des petites cellules pyramidales qui sont serrées, à pointe dirigée
e dirigée vers la surface corticale. Dans la couche suivante, les cellules pyramidales sont moyennes (40p.) elles ne sont
. Ces éléments font place à une couche distincte, celle des grandes cellules 182 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. pyramidales; visib
s toute l'écorce. Meynert ne fait qu'une même couche de la zone des cellules pyrami- dates moyennes et de celle des grandes
la zone des cellules pyrami- dates moyennes et de celle des grandes cellules ; pourtant nous les avons séparées dans les des
ions qui suivent, à cause de la grande hauteur de la cou- che des cellules moyennes, qui occupe près du tiers de la substa
encore dans le lobe occi- pital par l'interposition d'une couche de cellules . Puis viennent les quatrième et cinquième couch
substance grise. Elle renferme à sa partie supérieure de petites cellules rondes qui n'ont pas encore été comme les cellu
ure de petites cellules rondes qui n'ont pas encore été comme les cellules correspondantes de la même couche du cer- velet
eux, s'organisent naturellement dans les intervalles en colonne de cellules ; en voyant leurs fibres aux faisceaux qui leurs
, là où les faisceaux sont plus gros, et c'est pourquoi les grandes cellules pyramidales se présentent souvent, comme l'a vu
s de la hauteur, ces îlots ne sont que le terme d'une colonnette de cellules rangées les unes au-dessus des autres et se con
au-dessus des autres et se continuant jusqu'à la couche des petites cellules pyramidales. Dans les couches superficielles, l
des cinq cou- ches dans le sens horizontale, par la sériation des cellules et les travées des faisceaux dans le sens ver-
colorées, on cons- tate que la vascularisation paraît normale; les cellules nerveuses sont nombreuses, disposées en séries;
substance grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect normal des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dans
es placées bout à bout n'existe plus dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la couche' de petites c
oyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la couche' de petites cellules pyramidales (2° couche de Meynert), sont devenu
(2° couche de Meynert), sont devenues rares ; pourtant les grandes cellules existent encore, mais nulle part elles ne sont
tz; elles sont, au contraire, assez clair-semées. D'autre part, les cellules interstitielles à petits noyaux sphériques ne pa-
iste un certain nombre de foyers de désintégration assez pauvres en cellules , où presque toute la trame de l'écorce grise s'es
u pas de corps granuleux, mais une quantité considérable de petites cellules intersti- tielles. L'hippocampe du côté gauch
ise, des amas considérables de corps granuleux dans la blanche. Les cellules géantes de la région sont éparses au milieu de
ssous de celles qu'on s'attend à rencontrer là; la ligne de grandes cellules du corps bordant ne parait pas altérée. La lè
ion très prononcée, beaucoup plus accusée que partout ailleurs; les cellules interstitielles paraissent abondantes; à part c
le sur nos pièces de faire la distinction entre les deux espèces de cellules de la couche granuleuse. (A suivre.) PATHOLOG
éculaire que le choc a déterminée dans la trame nerveuse, dans la cellule cérébrale. De cette modification, nous ne savons
mond. Ncurologiral 188 t. I, n° 3. 250 REVUE CRITIQUE. autour des cellules nerveuses ayant pour suite l'altération de leur
culation, de diminuer les excitations senso- rielles, de calmer les cellules nerveuses excitées, d'arrêter la dé- chéance or
gressive où l'on voit se développer, parallèlement aux lésions des cellules multipolaires des cornes antérieures de la moelle
e la physiologie. 1\1. Bernheim répond qu'il existe une loi : toute cellule cérébrale impressionnée par une idée tend à la
icroscope des altérations scléreuses ayant déterminé l'atrophie des cellules du noyau de l'hypoglosse, du facial, et des gro
ption. (Allg. Zeitsch. f. Psych. XLV, 4.) P. KEHAVAL. VARIA Les CELLULES d'observation des aliénés dans LES hospices ; par
vrier dernier, signalait aux préfets l'installation défectueuse des cellules destinées, dans les hôpitaux, à recevoir les al
manière dont ses instructions avaient été suivies et sur l'état des cellules destinées au dépôt provisoire des aliénés, elle
date de leur entrée à l'hôpital, et les conditions matérielles des cellules où sont reçus ces malades. . Une telle enquêt
'attention avait été attirée sur les installations défectueuses des cellules dans les hospices et d'autre part, que les inst
galement sauvegardé. Or, le même rapport nous apprend que les trois cellules destinées aux aliénés sont situées à vingt mètr
i occupe un logement dans une aile, domine de ses fenêtres lesdites cellules et que c'est ainsi que la sur- veillance peut s
i que la sur- veillance peut s'exercer pendant la nuit. « Les trois cellules , dit le « rapporteur, sonl surveillées lejourpa
érieure dont les fenêtres, comme je l'ai dit, c ont une vue sur les cellules a S'il est admis desormaisque l'obser- vation d
ra seulement à l'hospice, ce ne peut être qu'à la condition que les cellules soient conve- nablement installées et surveillé
cesser cet état de choses et cet état de choses a cessé : Quant aux cellules où les aliénés sont placés dans les hospices, n
1889 or- donnant l'enquête pouvait déjà dire que « beaucoup de ces cellules VARIA. 307 Î sont privées d'air, de chauffage
ous-préfet de R..., que je citais tout à l'heure, il est dit : « La cellule occupée actuellement par la fille L... (c'est c
e que par un verre dormant et le chauffage y est impossible., Cette cellule est d'ailleurs attenante à la salle des morts, et
avoir à signaler des installations plus déplorables encore. « La cellule affectée aux hommes, dit le sous-préfet de T...,
... En dehors de ces inconvénients il convient de remarquer que les cellules , éta- blies au niveau du sol, sans plancher ni
Voici un rapport du sous-préfet de S... : < A l'aspect de ces cellules , je devrais dire de ces étables combien mon coeur
n coin en guise de lit... » Si le Sous-Préfet de S... compare les cellules qu'il a visitées à des étables. le Sous-Préfet
C'est pire qu'un chenil ! . x ' 308 VARIA. A A..., la visite des cellules a été faite par le secrétaire général, qui s'ex
secrétaire général, qui s'exprime ainsi dans son' rapport : « Deux cellules sont réser- vées à l'hospice d'A... pour les al
aujourd'hui une telle appréciation quoique depuis cette époque les cellules aient subi diverses modifications; les murs not
de celle du sous-préfet de B..., qui a trouvé dans cette ville deux cellules en sous-sol où l'on accède par un escalier extr
en sous-sol où l'on accède par un escalier extrêmement étroit; «ces cellules , dit-il; rappellent les plus mauvais cachots de
es de toute pitié et de tout intérêt. » Le plus grand nombre de ces cellules est sans aucun moyen de chauffage. A B..., le s
n lui affirmant que les fous ont toujours trop chaud. A C..., les cellules sont également mal closes et non chauffées; or
ille jetée sur le plancher constitue tout le mobilier. A L..., la cellule est située au fond de la cour des communs de l'
de ..., après avoir visité l'hospice de M..., rapporte que : « Les cellules affectées aux aliénés en observation sont dans
leurs aliments par un guichet pratiqué dans la porte. » A M..., la cellule pour les aliénés est placée dans les dépendances
dances de l'hospice, entre la vacherie et une écurie à porcs. Cette cellule a 3 mètres et demi de long, 2 mètres et demi de
de janvier il serait plus confortable d'habiter la vacherie que la cellule . Dans le département de ..., il n'y a de cellul
vacherie que la cellule. Dans le département de ..., il n'y a de cellules pour les aliénés en observation qu'à l'hospice
pour les aliénés en observation qu'à l'hospice du chef-lieu. « Ces cellules , dit le rapport, sont au nombre de deux. Elles
ontinuel- lement ouvertes. En outre, dans un coin de chacune de ces cellules , on a installé une garde-robe constituée simple
es autres malades n'entendent les cris poussés par les aliénés, ces cellules ont été placées à 200 mètres environ des bâtiment
la sur- veillance n'est pas possible pendant la nuit. A A...,.les cellules ont lm 75 de largeur, 2m 20 de longueur et de h
fage ni aucune surveillance. On retrouve encore çà et là, dans les cellules des hospices, les moyens de contrainte barbare
longtemps disparu des asiles. Le sous-préfet de S..., parlant des cellules des hospices de cette ville, dit : « Elles sont
soient pas incom- modés par le voisinage des aliénés agités... Les cellules sont dallées, et quatre anneaux de fer, scellés
démence furieuse ». A D..., le secrétaire général a trouvé dans une cellule un car- can de fer fixé à une chaîne dont l'ext
éfet, se trouva un rapport du secré- taire général qui, parlant des cellules d'observation de l'hospice de P..., les qualifi
, les dépôts mortuaires devant être pla- cés hors de la vue, et les cellules d'aliénés hors de l'ouïe des ma- lades. elles s
s hors de l'ouïe des ma- lades. elles soient conduites à placer ces cellules près de ces dépôts ? Comment espérer que l'on p
n pourrait utilement leur demander de construire et d'installer des cellules convena- bles ? Elles allégueraient, parfois no
une grosse dépense pour la construction, le chauffage, la garde de cellules qui ne serviront peut-être pas deux fois par an
ties symétriques, mais il y a dispa- rition à peu près complète des cellules motrices dans les deux cornes antérieures. Il e
les motrices dans les deux cornes antérieures. Il existe encore des cellules nerveuses en assez grand nombre dans les cornes
res, qui sont symétriques, contiennent un certain nombre de grandes cellules , relativement très peu abondantes, se colorant
scence pigmentaire que l'on observe à la période de tuméfaction des cellules dans la para- lysie générale. 1 Yoy. Arch. de
interpréter ces états et de les rapporter à des modi- fications des cellules de la névroglie, nous nous bor- nons à les sign
elle de névroglie a son épaisseur normale, peut-être les noyaux des cellules sont-ils un peu plus abondants que chez un enfa
ez un enfant sain du mime âge. La seconde couche, celle des petites cellules pyramidales, présente des altérations dans le n
ué et dans leur disposition réciproque. Au lieu de former un mur de cellules serrées, visibles au pre- mier coup d'oeil, ell
hercher les élé- ments. Dans les deux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales moyennes et couche des grosses ce
s, couche des cellules pyra- midales moyennes et couche des grosses cellules , on observe vu la grosseur des éléments, des lé
n observe vu la grosseur des éléments, des lésions plus nettes. Les cellules sont diminuées de nombre; en revanche les noyau
bre; en revanche les noyaux petits et sphé- riques qui révèlent les cellules névrogliques sont augmentés et dispersés. Les c
révèlent les cellules névrogliques sont augmentés et dispersés. Les cellules au lieu d'être disposées en série régulières, b
e blanche, présente ces mêmes séries morcelées par disparition de cellules intercalaires ; en sorte qu'on ne voit que des gr
es ; en sorte qu'on ne voit que des groupes con- tinus de plusieurs cellules en nombre assez restreint, ressemblant à des ca
en nombre assez restreint, ressemblant à des capsules allongées de cellules de cartilage. Les cellules situées à la limite
ressemblant à des capsules allongées de cellules de cartilage. Les cellules situées à la limite des deux couches intermédia
situées à la limite des deux couches intermédiaires, aux grandes cellules pyramidales et aux moyennes, présentent à son max
un- petit amas de granules réfringents autourde lui. La plupart des cellules sus-mentionnées, présentent les ditiérents degr
grés de celt e altération avec cetle particularité que beaucoup des cellules que l'on voit dans un même champ du mi- croscop
ès au même état; tandis que, plus loin, on rencontre des groupes de cellules à autre état. Les capillaires dans ces deux cou
tance blanche, ce qui domine c'est l'accumulation des noyaux des cellules interstitielles. Il n'y a qu'un petit nombre de c
sumé, on constate la congestion vasculaire, la multi- plication des cellules de la névroglie et la disparition des cellules
multi- plication des cellules de la névroglie et la disparition des cellules nerveuses, disparition qui nous est expliquée p
intermédiaire, couche des fibres arquées, et la couche des grandes cellules pyramidales ne se com- posent plus que de faisc
t plus que de faisceaux fibrillaires descendants avec de nombreuses cellules interstitielles, et c'est dans la couche des ce
nombreuses cellules interstitielles, et c'est dans la couche des cellules pyramidales moyennes que l'on retrouve l'évolutio
s telles que nous venons de l'indiquer. Au-dessus, la sérialion des cellules a tout à fait disparu. La couche la plus superf
bstance blanche, l'accumulation des noyaux petits et sphériques des cellules interstitielles est très marquée. Dans les port
lulaire abondant. b). Cervelet, hémisphère droit, rien à noter. Les cellules de Purkinje, sont admirablement conservées. En
ours des deux mêmes éléments, sclérose interstitielle etlésions des cellules pyramidales, évoluantparallèle- ment. c). Moe
a substance grise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée dans les cellules des cornes antérieures; les cornes sont égales;
es couches superficielles. Dans les inférieures, rareté des grandes cellules , abondance d'éléments sphériques de moyen volum
es de moyen volume, groupés par quatre oa six, nom- breuses petites cellules dans la substance blanche; vascularisation rela
arisation relativement peu développée. On a peine à retrouver une cellule nettement triangulaire dans n'importe laquelle
nsition nette entre les deux. De temps en temps existe un groupe de cellules rondes, peu nom- breuses, sans épaississement d
ance grise par les élé- ments sphériques est nettement accusée. Les cellules des couches profondes sont groupées par petits
x, la sériation longitudinale, est assez bien conservée; mais les cellules du parenchyme sont très petites, d'ailleurs l'épa
bondant, à en juger par les vacuoles que présente cette couche. Les cellules de Purkinje sont rares et très espacées les une
ures et la colonne de Clarke sont bien conservées et présentent des cellules nettes avec pro- longements normaux. L'épendyme
l n'y a non plus rien à noter; l'épendyme est doublé d'une gaine de cellules polygonales; les cellules sont normales et les
r; l'épendyme est doublé d'une gaine de cellules polygonales; les cellules sont normales et les tubes sont sains tant la moe
llongés, alignés sur des files qui ne comprennent qu'un seu rang de cellules mises bout bout, au lieu d'offrir des colonnettes
es dilatations vasculaires sont très nombreuses; les petits amas de cellules rondes sont abondants entre la première et la s
seulement une vascularisation rameuse assez développée; les grandes cellules pyramidales de la région sont petites et entour
e tubes nerveux, assez nom- breux dans les cordons postérieurs. Les cellules des cornes posté- rieures sont très rares. Le c
une substance grenue où se trouvent en assez grande abondance des cellules rondes. Le revêtement épithélial est incomplet, s
de plus, ici, les lésions de la moelle existent, portant sur les cellules nerveuses elles-mêmes, avec très peu de lésions
u côté droit, vas- cularisation ramifiée assez marquée; les grandes cellules pyrami- dales, peu nombreuses, sont à peu près
ce est - toujours très marquée, celle-ci bien nette et riche en - cellules , ainsi que les suivantes, comme chez les ani- .
- vont seulement diminuant de nombre vers la qua- trième couche de cellules de l'écorce grise : Observation VI. - Assas...,
s de corpui- cules de Gtuge, surtout dans la substance blanche. Les cellules pyramidales ne sont serrées que par place, elle
e petit volume. La substance blanche est toute infiltrée de petites cellules rondes, disposées par places en petits amas mil
our de beaucoup de vaisseaux des taches opaques formées d'amas de cellules dont les noyaux sont très gros et dont les corps
t, les cornes postérieures n'offrent qu'une très faible quantité de cellules . Les parois vasculaires sont épaissies. On voit
che est très réduite, composée d'un réticulum fin où les ^noyaux de cellules sont rares. Entre cette couche et la seconde ex
lement sur les coupes. Elle interrompt entièrement la sériation des cellules en colonnes longitudinales. Cette sériation rep
n colonnes longitudinales. Cette sériation reparait au-dessous. Les cellules sont abondantes, surtout les éléments nucléaire
s irréguliers, circonscrits par les vaisseaux dilatés et pauvres en cellules , jusqu'au contact de la substance blanche, où l
ban gris de Vicq-d'Azyr constitué par une accumu- lation de petites cellules rondes dans les colonnettes cellulaires, entre
llules rondes dans les colonnettes cellulaires, entre la couche des cellules moyennes et la couche des grandes cellules, se
s, entre la couche des cellules moyennes et la couche des grandes cellules , se voit nettement. Les cellules pyramidales sont
moyennes et la couche des grandes cellules, se voit nettement. Les cellules pyramidales sont fort dis- tinctes, surtout dan
ont, d'abord, l'épaississement de la névroglie et l'accumulation de cellules en îlots circonscrits an- tour des vaisseaux ra
Les couches suivantes sont infiltrées d'un grand nombre de petites cellules , mais les cellules pyramidales sont entièrement
tes sont infiltrées d'un grand nombre de petites cellules, mais les cellules pyramidales sont entièrement disparues. Les vai
min et bleu de méthyle. La vascularisation est très developpée, les cellules pyramidales globuleuses; autour d'elle existe u
sation ; l'espace comprenant la deuxième et la troisième couche des cellules de la substance grise présente de place en plac
arquée de la gaine des vaisseaux, chacun est entouré d'un cordon de cellules à gros noyaux, fortement colorés en vert, on vo
orps amyloïdes. L'infiltration de toutes les couches par de petites cellules est assez marquée. Les cellules pyramidales son
e toutes les couches par de petites cellules est assez marquée. Les cellules pyramidales sont pourtant nombreuses. Observati
arqués, formant un réseau séné. L'espace lymphatique est rempli de cellules rondes; autour d'elles existe un espace clair d
plaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellules pyramidales. Ces bandes ne sont pas pures, mais
rtain nombre 348 anatomie pathologique. d'amas névrogliques et de cellules nerveuses arrondies, granuleuses et pigmentées;
aire et chargée de noyaux. La troi- sième couche, celle des grandes cellules , ne présente que des séries de cellules petites
e couche, celle des grandes cellules, ne présente que des séries de cellules petites, à fins noyaux sphériques, noyés sans ord
e fines tra- bécules, le long desquelles sont dispersées de grosses cellules irrégulières à protoplasma granuleux. L'aspect
Au-dessous de ces points très lésés, il n'existe plus de grandes cellules nerveuses, mais on en rencontre tout à côté par a
la substance grise et la substance blanche sont chargées de petites cellules rondes. On y voit, en grande abondance des bloc
sseux semblables à ceux que nous venons d'indiquer. Cervelet droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche LÉSIONS DE
risalion très développée avec diminution de nombre et de volume des cellules nerveuses qui ont perdu leur sériation dans les
oelle cemicalu, les cornes antérieures sont petites mais avec leurs cellules bien nettes, de même les cordons antérieurs. Il
s étapes : 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses ; 3° formation des cavités. Ces lésio
se distingue plus. Au-dessous de cette bande, la couche des grandes cellules pyramidales se retrouve, mais avec une ordonnan
mais avec une ordonnance très peu nette. Elle présente ses grosses cellules abondantes encore. Elle est parsemée de corps g
traire comme une série de points isolés, mais assez rapprochés. Les cellules pyramidales bien neltes sont rares dans les pla
ltes sont rares dans les plans sous-jacents, la plupart des grosses cellules sont globuleuses. On distingue entre elles des
nous relevons l'absence d'accumulation de pigment dans les grandes cellules de l'écorce. C'est un fait exceptionnel, surtout
n constate que les capillaires sont très nombreux et dilatés, les cellules nerveuses ne sont pas disposées en séries, mais d
tits noyaux sphériques appartenant 3S2 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. aux cellules interstitielles. Sur certains points, il existe d
x à trois fois plus épaisse. Cette couche est compo- sée surtout de cellules rondes assez volumineuses, à noyau sphé- rique,
emplies de granulations jaunes de pigment sanguin, à la manière des cellules interstitielles de l'ovaire. Ce sont elles qui
isième couche est occupée par ces faisceaux et un certain nombre de cellules . Ces masses de faisceaux fibrillaires accompagn
de ce lissu fibrillaire feutré, de rares vaisseaux et contenant des cellules à noyaux ronds ou allon- gés, dont quelques-une
utour de certains capillaires, la gaine adventice se remplit de ces cellules , de façon à former des renflements en massue libr
ise est encore assez visible, mais ces séries sont occupées par des cellules inters- titielles en très grande abondance. Sur
beaucoup plus nombreux, le processus est beaucoup plus avancé; les cellules ne sont plus disposées en séries, mais elles so
par un réseau très fin d'une dentelle de fibrilles grêle, avec des cellules à noyaux sphériques, à corps cellulaires ramifi
cellulaire qui a disparu des coupes. On n'y rencontre pas une seule cellule nerveuse et cela dans plusieurs champs du microsc
autour, ces fibres sont entourées d'une grande quantité de petites cellules interstitielles, et sur les pièces traitées succe
autant d'espaces clairs. Dans la deuxième couche, celle des petites cellules pyramidales, on voit que presque toutes ces cel
le des petites cellules pyramidales, on voit que presque toutes ces cellules sont petites et globuleuses, et qu'elles ne son
étruits et leur nombre diminué. Dans la troisième couche, celle des cellules moyennes, on voit les colon- nettes que forment
le des cellules moyennes, on voit les colon- nettes que forment ces cellules bout à bout, beaucoup plus dis- tantes les unes
pourvu d'éléments interstitiels. Même vascularisation ramifiée. Les cellules nerveuses sont globu- leuses, leur noyau volumi
s, leur noyau volumineux, clair, nucléole, remplit presque toute la cellule . Le prolongement inférieur est le plus distinct.
inférieur est le plus distinct. Dans la couche suivante des grandes cellules , les altérations sont les mêmes pour les cellul
vante des grandes cellules, les altérations sont les mêmes pour les cellules nerveuses, dont le corps cyto- plasmique est pâ
n nombre considérable. Dans les espaces qui séparent ces rangées de cellules , espaces Archives, t. XVIII. 23 384 ANATOMIE
ue dans les couches précédentes, un assez grand nombre de noyaux de cellules interstitielles, petits, sphériques et fortemen
lie de globules sanguins avec un certain nombre de leucocytes et de cellules fusiformes ; au pourtour de ces masses un grand
actères que ci-dessus, elles sont seulement plus marquées, avec des cellules interstitielles très abondantes et des capillaire
couche de névroglie est fibrillaire dans le sens longitudinal ; les cellules interstitielles y sont très nombreuses, les cel
itudinal ; les cellules interstitielles y sont très nombreuses, les cellules de Purkinje sont abondantes, mais elles se colo
ant suivre très loin les prolongements de la plupart. La couche des cellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans
t et présentent un reflet jaunâtre et hyalin comparable à celui des cellules de la paralysie générale, elles sont tuméfiées
prolongements n'existent que peu ou point. Par l'hématoxyline, ces cellules se colorent en gris de lin et leur refringence
hélium est intact ; on y distingue sur certains points les cils des cellules . La trame conjonctive des cordons blancs est nota
- Moelle lombaires Les lésions sont les mêmes, la tuméfaction des cellules et leur raréfaction sont encore plus visibles, à
raréfaction sont encore plus visibles, à cause- du grand nombre des cellules motrices en ce point '. (Bourne- ville et Pilhe
former des filaments nom- breux et enchevêtrés, chargés de petites cellules rondes et circonscrivant des aréoles qui étaien
l ne puisse y avoir aucune erreur sur les faits exposés ; enfin les cellules pyramidales présentent tous les degrés d'atroph
le de voir son atrophie; la multiplication des noyaux des petites cellules , l'abondance des corps granuleux, mais non le r
n Arch. Neurologie, p. 39, 1887. Duval et Mahoudeau. Groupement des cellules pyramidales. Soc. anthropologie, Juillet 1888,
stance grise et de la substance blanche, pour montrer la rareté des cellules pyramidales à leur lieu d'élection (A) et la vasc
és et du tronc, suivant l'intensité et la durée de l'excitation des cellules nerveuses de ces centres ? Rien de plus net que
ires, dont les véritables appareils moteurs ou d'exécution sont les cellules nerveuses du bulbe et de la moelle. « Psycholog
stitue-t-il, au point de vue physiologique, un système afférent aux cellules motrices du bulbe et de la moelle. Il y a la
e la sensibilité générale, quelle est la fonction physiologique des cellules ner- veuses de l'écorce cérébrale ? Sentir et p
es sensorielles de l'écorce, d'éléments moteurs, confondus avec les cellules de sensibilité spéciale, ou groupés et isolés e
la moelle, au niveau des commissures transversales qui relient les cellules des nerfs moteurs symétriques : l'impulsion vol
roisé, retentirait là, à un certain niveau de l'axe spinal, sur les cellules motrices des muscles du côté opposé et sur cell
u du myxoedème, nous trouvons une prolifération et une division des cellules , et non pas leur atrophie, donc nous avons dans
ordinairement simple, des amphibies; une couche interne composée de cellules , une couche externe constituée par des fibres e
ibies, par une couche - externe comprenautdeux groupes distincts de cellules . Les dipnes, - chez lesquels Fulliquet a tout r
ospice, par Mono. 88 ; (les - devant la loi), par Men- del,302; -( cellules d'observation des) dans les hospices par Mo-
ce grise et de la substance 1>lancle, pour montrer la rareté des cellules pyramidales a leur lieu d'élection (A) et la vasc
23 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e à l'exagération du tonus. Le centre du réflexe tonus est dans les cellules des cornes antérieures de la substance grise. L
LOGIE NERVEUSE. 51 trifuges sont les prolongements cellulifuges des cellules antérieures de la moelle. - Au-dessus de ces
lifuges des cellules antérieures de la moelle. - Au-dessus de ces cellules radiculaires, sont les cellules sem- blables de
de la moelle. - Au-dessus de ces cellules radiculaires, sont les cellules sem- blables des étages supérieurs, qui agissen
ction inhibitrice du tonus qui part de la protubérance et vient aux cellules radiculaires par le faisceau pyramidal. (Revue ne
hommes, l'installation récente également des bains-douches, et les cellules capitonnées du quartier de traitement. Tous les q
t l5LLIFiER, croient à l'unité structu- rale et fonctionnelle de la cellule nerveuse et expliquent par les connexions périp
moyennes n'offrent rien de spécial, la quatrième couche, celle des cellules étoilées ou strie de 126 REVUE CRITIQUE. Genn
nt de prolonge- ments nerveux sont mêlés, Cual a distingué : 1° des cellules ner- veuses étoilées autochtones ; 2° des ramif
la substance blanche ; 3° des ramifications d'axones ascendants de cellules des couches infé- rieures (zone des grains, zon
scules polymorphes) ; 4° des ramifications collatérales d'axones de cellules des zones supérieures (couches des pyramides pe
ilée, constituent donc en fort grand nombre cette quatrième couche, cellules dont les dendrites se ramifient exclusivement d
Cajal de la subdiviser en deux (couches des grandes et des petites cellules étoilées),et d'y décrire : 1° des cellules étoilé
s grandes et des petites cellules étoilées),et d'y décrire : 1° des cellules étoilées géantes ; 2° des cellules étoilées moy
toilées),et d'y décrire : 1° des cellules étoilées géantes ; 2° des cellules étoilées moyennes à longs et forts axones desce
dantes et à collatérales destinées aux couches inférieures ; 3° des cellules petites à courts dendrites variqueux, à axone c
de contiguïté en nombre infini avec les corps et les dendrites des cellules indigènes de cette zone, c'est-à-dire de la cou
des cellules indigènes de cette zone, c'est-à-dire de la couche des cellules étoilées, comme elles ont fait d'ailleurs pour
comme elles ont fait d'ailleurs pour les tiges des pyramides et des cellules des couches inférieures. Souvent ces longues fibr
de grands espaces pour se résoudre finalement dans la couche des cellules étoilées en collatérales et en prolongements axil
ons ultimes entrent certainement en contact avec des cen- taines de cellules nerveuses de la zone des cellules étoilées et ave
n contact avec des cen- taines de cellules nerveuses de la zone des cellules étoilées et avec un nombre considérable de gran
de moyennes pyramides. REVUE CRITIQUE. 127 7 A quelle espèce de cellules appartiennent ces fibres nerveuses ? Sont ce de
innombrables fibres myéliniques qui se distribuent dans la zone des cellules étoilées, dès qu'on admet que les puissants ple
cente, cinquième couche de cette aire corticale, couche des petites cellules sphéroïdales {couche des grains) ou couche des
tes cellules sphéroïdales {couche des grains) ou couche des petites cellules ri axone ascendant, comme la dé- nomme CAJAL, a
dant, comme la dé- nomme CAJAL, ainsi que de la septième couche des cellules 'polo- morphes, montent d'innombrables axones q
se ramifient dans le plexus optique, ou strie de Gennaiu, entre les cellules étoilées de la quatrième zone. Ajoutez qu'en tr
etites et moyennes pyramides des deuxième et troisième couches. Les cellules de la couche des grains (cinquième couche ou co
ules de la couche des grains (cinquième couche ou couche de petites cellules il axone ascendant) sont des cellules petites,
e couche ou couche de petites cellules il axone ascendant) sont des cellules petites, il dendrites descendants ou latéraux c
courts, dont un ou plusieurs prolongements montent dans la zone des cellules étoilées, à cylindraxe ascendant, émanant le pl
de Gennaiu où il s'arborise. 128 . REVUE CRITIQUE. La couche cles cellules pyramidales géantes, ou sixième zone, est formé
he après avoir envoyé deux ou trois collatérales dans la couche des cellules polymorphes. La couche des cellules polymorphes
collatérales dans la couche des cellules polymorphes. La couche des cellules polymorphes, ou septième zone, renferme quatre
quatre espèces d'éléments nerveux : 1° les plus nombreux sont des cellules fusiformes, ovoïdes, triangulaires, dont l'axone
c au-dessous des corps cellulaires avant de monter dans la zone des cellules étoilées et de s'y ramifier et envoie quelquefois
hes inférieures. La tige pro- toplasmique s'épuise dans la zone des cellules étoilées ; 2' cellules fusiformes ou triangulai
e pro- toplasmique s'épuise dans la zone des cellules étoilées ; 2' cellules fusiformes ou triangulaires; souvent de taille
estinées aux plexus de la zone de Gennaiu et il d'autres zones ; 3° cellules du deuxième type de GOLGI, à cylindraxe court,
de GOLGI, à cylindraxe court, s'arborisant dans cette même zone des cellules polymorphes; 4° cellules-triangulaires ou fusifor
l'éminent histologiste espagnol divise ainsi en deux la couche des cellules polymorphes : 1° couche des grandes cellules à
en deux la couche des cellules polymorphes : 1° couche des grandes cellules à axones ascendants ; 2° couches des cellules p
1° couche des grandes cellules à axones ascendants ; 2° couches des cellules polymorplies propre- ment dites ou couche des é
eaux qu'il a découverts dans différentes régions de l'écorce. Les cellules du premier type se rencontrent peut-être dans t
les branches de celui-ci peuvent descendre jusque dans la zone des cellules polymorphes. L'axone, d'une finesse extrême, is
s'appliquer aux tiges protoplasmiques et aux corps cellulaires des cellules pyramidales disposées en séries verticales ; il
s situées dans des zones distinctes d'un territoire cortical. Les cellules du second type sont des éléments dont le volume
épaisseur de l'écorce, ce que sont, dans la couche moléculaire, les cellules de CAJAL et de lii,,rzius. Les fibres myélini
he de l'écorce grise où abondent, quoiqu'en moins grand nombre, des cellules étoilées spéciales. « Si, conclut CAJAL, ces fa
'examen microscopique on trouve des altérations manifestes dans les cellules des cornes antérieures. Le corps des cellules par
s manifestes dans les cellules des cornes antérieures. Le corps des cellules parait homogène ou granuleux, la substance clrr
e l'intoxication) on voit des vacuoles apparaitre à l'intérieur des cellules , principale- ment il la périphérie, vacuoles de
, de caractère segmen- taire. M. Rybakoff penche à croire que les cellules médullaires sont les éléments les plus sensible
as suivi dans ses expériences le processus de la régénération des cellules . En outre, ses propres expériences lui font croir
19, lors de sa première condamna- tion, essayé de se pendre dans sa cellule . Le 2 novembre 1898, une dame D... vient déclar
d'une infection ou d'une intoxication ayant lésé plus ou moins les cellules cérébrales, et c'est le reliquat de cette lésio
vent l'épilepsie a été créée par accident, par une action sur les cellules corticales d'une infection ou d'une intoxication
s, puis mourut. On trouva, à l'autopsie, des lésions manifestes des cellules pyramidales des zones motrices. M. JOFFROY tr
individualisés, réduits à des granulations difficiles à définir. La cellule a perdu son aspect stricochrome et prend une te
le lapin, n'est pas suivie inévitablement de chromatolyse dans les cellules d'origine des fibres sectionnées, contrairement
pas prouvé, ainsi que l'affirme M. Marinesco que la réparation des cellules nerveuses, altérées par suite de la section du
te soudure lui parait avoir une influence sur le sort ultérieur des cellules du nerf lésé. Dans le cas où elle a lieu. les c
ltérieur des cellules du nerf lésé. Dans le cas où elle a lieu. les cellules reviennent à l'état normal; dans le cas contraire
ten admet qu'à la suite de la section d'un nerf moteur cranien, les cellules d'origine des fibres lésées parcourent d'abord
quel moment après la section de l'hypoglosse, l'hypertrophie des cellules d'origine de ce nerf atteint son maximum. Selon M
la suite de la section du nerf vague dans la région cervicale, les cellules du ganglion noueux de ce nerf, après la phase d
gnent son travail. De même, la dégénérescence et la disparition des cellules du noyau dorsal du nerf vague dans le bulbe, ap
he, elle a lieu par le dépla- cement des otolithes sur les cils des cellules . Quand on imprime à l'individu un mouvement acc
de l'équilibre, en déplaçant en arrière l'otolilhe sur les cils des cellules . Les mouvements accélérés circulaires, eux, pro-
térale de plus en plus complète rétablit rapidement la fonction des cellules nerveuses endommagées par l'anémie. Mieux s'éta
ion en ce moment de la pression sanguine viendrait encore nuire aux cellules déjà affaiblies; c'est aussi pourquoi les chiens
tranquilles pendant l'opération, n'imposent aucune fatigue à leurs cellules nerveuses anémiées par la forcipressure. Anatom
es par la forcipressure. Anatomie pathologique. Les altérations des cellules des cornes antérieures de la moelle sacrée et l
u,ssé à la périphérie ou isolé au milieu d'une anse échancrée de la cellule malade. Dix à douze heures après l'opération (e
s et l'élément anatomique est recoquillé. A côté'de cela, certaines cellules sont réduites à des ombres au milieu desquelles
de celle-ci plus haut, l'liypervascnlarisation et l'altération des cellules décroissent d'intensité. Nulle part il n'y a de
rvécu le plus longtemps, quatorze et seize jours (exp. V et VI) les cellules sont en nombre normal, on constate à peine quel
rfois accumulée autour du noyau normal, rarement marginal. Puis les cellules sont à peu près nor- males, il n'y a guère qu'u
loration bleue diffuse avec formation réticulée dans le corps de la cellule et dissociation de quelques cellules au bout de
n réticulée dans le corps de la cellule et dissociation de quelques cellules au bout de vingt-huit heures, les granulations
ures, les granulations se pressent encore autour du noyau, quelques cellules sont divisées en compartiments rayonnés - dans
ale, tantôt la substance chromatique est complètement atrophiée, la cellule est tuméfiée quoique son noyau soit conservé, les
es bains chauds ; il n'y a guère que ceux qui ont vécu longtemps en cellules . On vainc leur résistance par l'injection d'un
barrassera des sec- tions de surveillance continue pour agités, des cellules , des chambres d'isolement, des divisions d'agit
ans la voie motrice; l'un qui va de l'écorce des zones motrices aux cellules des cornes antérieurs, l'autre de ces cellules
s zones motrices aux cellules des cornes antérieurs, l'autre de ces cellules aux muscles. Le neurone périphérique produit le
ie seulement) du côté opposé; quelques-unes s'interrompent dans les cellules du noyau rouge, mais la plupart se dirigent vers
es périvasculaires de la substance blanche et grise médullaire. Les cellules des cornes antérieures et des colonnes de Clark
les préparations colorées par les couleurs d'aniline on trouve des cellules sans prolongements ou avec des prolongements la
tolyse périnu- cléaire, diffuse ou insulaire, etc., etc. Dans les cellules du renflement cervical, on constate souvent des
lules du renflement cervical, on constate souvent des vacuoles. Les cellules des noyaux bulbaires ont subi de graves altérat
umogastrique. Des altérations analogues ont été constatées dans les cellules des noyaux de la protubérance, des corps quadri
la présence de nodules interstitiels formés de leu- cocytes et des cellules névrogliques. Nulle part, dans la moelle, il n'
le part, dans la moelle, il n'y avait des microbes. Les lésions des cellules nerveuses, loca- lisées principalement dans la
gère du cytoplasma avec migration du noyau jusqu'à l'atrophie de la cellule . Parmi les cellules altérées, les unes, celles
avec migration du noyau jusqu'à l'atrophie de la cellule. Parmi les cellules altérées, les unes, celles qui se trouvaient près
muscles des membres, le tremblement qu'il attribue à une lésion des cellules motrices cérébrales ou tout au moins du faiscea
et prédisposé. P. KERAVAL. XL \11. Contribution à la pathologie des cellules des ganglions spi- naux ; par 0. JULIUSI3URGER
et E. MEYER. (iveuuolog. Centrulblatt, XVII, 1898.) 1° Examen des cellules des ganglions spinaux dans la région lombaire d
uge neutre, à l'alun hématique donnent de très belles images. Les cellules des ganglions spinaux sont entourées d'une capsul
ici, et carac- térisé par une richesse nette de noyaux. Nombreuses cellules du genre des cellules granuleuses, de deux espè
par une richesse nette de noyaux. Nombreuses cellules du genre des cellules granuleuses, de deux espèces. A. Celles dont le
r le rouge neutre. Leur noyau est tout à fait semblable à celui des cellules A. Dans les deux espèces le protoplasma lui-mêm
deux espèces le protoplasma lui-même est incolore ; la grandeur des cellules est variable. Ce sont surtout des cellules de l
colore ; la grandeur des cellules est variable. Ce sont surtout des cellules de l'espèce,A, qui ont été trouvées dans le tis
t en très petit nombre, à l'inverse des nerfs et des racines. Les cellules du ganglion spinal étaient surtout arrondies, que
RVEUSE.' 323 quefois allongées ou un peu anguleuses, le corps de la cellule res- tant, comme à l'état normal contigu à la c
noyau ni le nucléole. Il semblait cependant y avoir davantage de cellules petites et sombres que de cellules grandes et cla
t cependant y avoir davantage de cellules petites et sombres que de cellules grandes et claires, plus de cellules anguleuses
ules petites et sombres que de cellules grandes et claires, plus de cellules anguleuses, que normalement. Aucune multiplicatio
que normalement. Aucune multiplication du tissu interstitiel ni des cellules granuleuses. Mais, de ce qu'il n'y a pas d'alté
du cor- don postérieur ne dépende point d'un trouble primitif de la cellule du ganglion spinal. En effet, le processus tabé
opinion que l'on se fasse de la cause spéciale de ce processus, les cellules des ganglions spinaux peuvent continuer à recevoi
des excitations anormales, la capacité métamorphique normale de la cellule du ganglion spinal est modifiée de telle sorte
- morphose normale de l'excitation qui, de la périphérie, va à la cellule , ait lieu une métamorphose anormale qui exerce su
stérieurs une action nocive. Cette modification de l'activité de la cellule du ganglion spinal aurait lieu non tout d'un coup
e sauraient résulter que de la réac- tion plus ou moins aiguë de la cellule ou de son défaut d'accom- modation. Il n'y a do
tion spécifique. La modification de forme et le rapetissement de la cellule du ganglion, s'ils étaient constants, montrerai
Rien ne prouve non plus qu'il y ait modifi- cation primitive de la cellule en question, mais l'absence de lésion anatomiqu
jeune. L'hémiparésie doit être rattachée à la lésion primitive des cellules pyramidales des ascendantes. Ce l'ait permet d'
la lésion des cordons postérieurs émanait d'un trouble primitif des cellules des ganglions spinaux. P. Keraval. REVUE DE P
ais leurs parois ne présentaient pas la plus petite infiltration de cellules anormales, ni la moindre trace d'in- flammation
ayant intéressé principalement les groupes antérieur et interne des cellules des cornes antérieures ; les cornes postérieure
, dans les cas d'intoxication aiguë, intéressent principalement les cellules des cornes antérieures : chromatolyse partielle
sée, formation de vacuoles avec atrophie con- sécutive de certaines cellules , etc., phénomènes qui ne présentent du reste ri
s altéra- tions sont le plus prononcées chez les cobayes ; 3° Les cellules des ganglions spinaux subissent des altérations
aux subissent des altérations analogues, mais un peu plus tard. Les cellules de l'écorce céré- bi aie, des grands ganglions
olutions motrices ne nous montrèrent non plus aucune altération des cellules nerveuses, des méninges, ni des vaisseaux. Moel
la moelle. Le Nissl montre de grandes variétés dans l'affinité des cellules pour le bleu de méthylène et l'on pourrait y dé
iffuses ou limitées en un point du corps cellulaire. Dans certaines cellules les corpuscules se fondent en blocs beaucoup pl
yalin, l'apparence vitreuse se retrouvent dans un certain nombre de cellules , coïncidant ou non avec des déformations du cor
uelques particules colorées, se rencontrent dans un grand nombre de cellules dont le protoplasma a gardé tout autour son asp
son aspect ordinaire ou au contraire est devenu hyalin. Quelques cellules en présentent un certain nombre : deux, trois ; e
pigment que l'on trouve à l'état normal dans la plupart des grandes cellules de la moelle. Au niveau du renflement ce1'vical
vicalles lésions cellulaires sont beau- coup moins accentuées : les cellules les plus altérées présentent une transformation
e de tous les noyaux bul- baires, celui de l'hypoglosse possède les cellules de beaucoup les plus grandes et les plus richem
les plus richement arborisées, et que par ces seuls caractères ces cellules se rapprochent ainsi le plus de celles des corn
uement en l'état hyalin, la coloration diffuse d'un petit nombre de cellules . D'autres étaient vacuolées. Ces quelques lésio
qui ont étudié les 358 CLINIQUE NERVEUSE. lésions secondaires des cellules d'origine de l'hypoglosse après section ou arra
arrachement de ce nerf. Le noyau dorsal du pneumogastrique formé de cellules beaucoup plus petites que celles de l'hypogloss
e celles du noyau ambigu qui en présente qu'un très petit nombre de cellules mal colorées ou vacuo- laires. Quant aux autres
leur aspect est absolument normal. On pouvait cependant, parmi les cellules qui sont dissémi- nées sous le plancher en deho
u bulbe. H n'existe en aucun point de trace de diapédèse autour des cellules nerveuses altérées. Les vaisseaux ne présentent
inges des zones d'infiltration limité, mais assez serrée de petites cellules rondes. Notons enfin que des préparations au ma
g du trajet intramédullaire des racines antérieures. Le pigment des cellules nerveuses est, dans 'ces préparations, fortemen
certaines altéra- tions : telles sont les déformations du corps des cellules , leur degré de rétraction, leurs modifications
l'a rappelé à propos des ganglions rachi- clients2@ l'aspect d'une cellule nerveuse prise dans un ganglion spinal et exami
thodes de Dogiel diffère considérablement de l'aspect de cette même cellule fixée à l'alcool et colorée au bleu de méthylèn
artition ; corpuscules cliromatophyles de Nissl. A l'état frais les cellules d'un même ganglion spinal ne présentent entre e
8. (A propos des fissures mises en évidence dans le protoplasma des cellules par la fixation au formol.) 2 Bonne. Recherch
uniquement, non sur l'agencement et le nombre des prolongements des cellules , ^ainsi que Dogiel l'a fait avec raison mais su
se soit produite dans le même sens et au même degré pour toutes les cellules examinées ? ' ! On ne saurait donc trop multipl
ra quelles interprétations erronées on avait faites de l'aspect des cellules colorées au Nissl et faisait remarquer une fois
corpuscules chromatophiles qui donnent un aspect si particulier aux cellules fixées par ce réactif, quelle que soit la color
arfaite que le bleu de méthylène. Les modifications de la forme des cellules sont toujours plus rares et moins accentuées ap
chro- mates qu'après action de l'alcool ; dans ce dernier cas les cellules sont souvent plus ratatinées et souvent aussi, si
rticu- larité : la variété infinie de formes et de dimensions des cellules de la moelle, on voit combien délicate est l'esti
contre, de même que les déformations par ratatinement du corps des cellules sont plus nombreuses dans les pièces qui ont sé
le prolongement pénètre dans le feutrage névroglique qui entoure la cellule . La rétraction du corps cellulaire agissant dan
xpérimentales, ou même des simples modifications fonctionnelles des cellules nerveuses (Lugaro). Quelquefois ces déplacement
remarquer que les noyaux les plus excentriques s'observent dans des cellules dont un prolonge- ment ou plusieurs a été le si
s dont un prolonge- ment ou plusieurs a été le siège d'une rupture, cellules qui offrent ainsi plus de prise à l'action de l
On conçoit, d'un autre côté, que par sa situation au centre de la cellule , son contenu plus homogène, sa forme plus régul
aire hernie et sur le point de rompre la membrane d'enveloppe de la cellule . Cette rupture peut d'ailleurs s'observer, nous
au. Les amas de pigment jaune brun qu'on peut observer dans toute cellule des cornes antérieures nous fournissent des ter
plasme a été le siège, on voit les grains déformer le contour de la cellule par une saillie plus ou moins accentuée, ou bie
les grains se répandent dans la cavité de la cage névroglique ; la cellule est toujours alors profondément désintégrée.
long de la colonne médullo-bulbaire. Sans doute, la propagation de cellule en cellule par simple voisinage tout le long de
colonne médullo-bulbaire. Sans doute, la propagation de cellule en cellule par simple voisinage tout le long de la colonne
intéressante surtout par la localisation exclusive des lésions aux cellules motrices des 1 Schultze. liùiieli. oaecl. \Voch
s faisceaux blancs de la moelle sont atteints en même temps que les cellules des cornes antérieures ; les altérations des va
morrhagies), l'épaississement de la névroglie, la prolifération des cellules épendymaires sont fréquemment notées. On voit q
ment, une systématisation, une élection des lésions pour les seules cellules motrices des cornes antérieures, se rencontre a
phé- riques a été spécialement notée, avec ou sans altération des cellules médullaires. Notre observation vient s'ajouter
essoires, et surtout des lésions aussi exactement systématisées aux cellules , centres des neurones moteurs périphériques, av
antérieure ascendante aiguë avec lésions exactement localisées aux cellules des neurones moteurs péri- phériques et avec sy
rentes à la moelle épinière se terminent en s'arborisant autour des cellules de la substance grise, avec laquelle elles ont
sensitives centrales. E. r.m. XIII. Sur les altérations des grandes cellules pyramidales consécu- tives aux lésions de la ca
laire, l'auteur s'est demandé quel pouvait être le sort des grandes cellules pyramidales après les lésions de la capsule int
côté que le foyer destructif, portent exclusivement sur les grosses cellules pyramidales; mais la lésion de celles-ci dépend,
EVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 l'atrophie des cellules pyramidales sont avancées. Le protoplasma de la
rophie des cellules pyramidales sont avancées. Le protoplasma de la cellule est transformé en substance jaunâtre, qu'on a app
rmation clinique, des éléments chromatophiles. Cette réaction de la cellule nerveuse pyramidale, allant jusqu'à son atrophi
ns en foyer de la capsule interne nous démontre que ces lésions des cellules pyramidales sont irré- parables. (Revue neurolo
1899 de la Revue médicale. A. Fenayrou. XVI. La manière d'être des cellules ;des ganglions spinaux dans le tabes éclairée p
la grosseur et le nombre des mottes, distinguer trois espèces de cellules : 1° La cellule claire qui possède presque toujou
le nombre des mottes, distinguer trois espèces de cellules : 1° La cellule claire qui possède presque toujours sa cou- ron
possède presque toujours sa cou- ronne de mottes marginales; 2° La cellule à grosses mottes qui ne possède pas sa couronne
floconneux, quelquefois les plus grosses sont à gros angles ; 3° La cellule intermédiaire aux deux premières espèces. Dan
ue dans le tabes absolu : c'est tout. Pas de capsules vides, pas de cellules des capsules qui prolifèrent. Cette constatatio
l est également possible qu'il y ait aussi des fibres provenaut des cellules funiformes de la corne postérieure (Lenhossek,
1. (Newolog. Centralbl.. XVII, 1898.) Il s'agit des relations de la cellule nerveuse avec les dernières ramifications cylin
cylindraxiles. Dans tous les points du système nerveux central les cellules nerveuses et aussi leurs dendrites sont enlacées
hématoxyline et il l'argent permet de compter le long des bords des cellules et de leurs dendrites chacun des petits boutons
compte de l'énorme profusion des arborescences terminales de chaque cellule et des plus grands prolongements protoplas- miq
ndes, Francfort, 1896). Les nodules bleus sont accumulés autour des cellules en masse bien plus grande que ne l'indiquent les
e Ileld : C'est un vrai réseau qui enveloppe en certains points les cellules comme d'une toile à mailles et prend part à leu
à leur approvisionnement d'arborescences terminales. Les grosses cellules motrices sont ainsi encadrées d'une couronne de
t ni lacis, ni réseau il mailles. Enfin, çà Ft là, au voisinage des cellules nerveuses, un vrai réseau fermé est formé de fi
points nodaux. Impossible encore de dire s'il y a une catégorie de cellules pourvues de réseaux ter- minaux, s'il en existe
t sa pro- longation il de très grandes distances. Entre les amas de cellules REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
e de voile membraneux clair qui, tantôt enveloppe partiellement une cellule granuleuse, tantôt pénètre entre les amas de gr
e entre les amas de granulations et entoure simultanément plusieurs cellules . Ce même tissu de la zone externe glisse au-dessu
raies terminaisons nerveuses puis- qu'elles s'ajustent au corps des cellules granuleuses au moyen des boutons terminaux typi
ssage ininterrompu du protoplasme des terminaisons nerveuses et des cellules nerveuses. Les coupes les plus minces à la para
ite linéaire tranchée entre les fibres nerveuses amyéliniques et la cellule nerveuse. D'autre part il est certain que les t
qui les empêche de se distinguer les uns des autres. Tandis que la cellule se compose de rayons à mailles. Ces rayons, com
n neurohyaloplasme. Mais nulle part la substance fondamentale de la cellule n'est en rapport continu avec les terminaisons
r le coussinet de leurs boutons terminaux, sur le protoplasme de la cellule nerveuse d'une manière que nous ignorons; les b
erminaux s'ap- puient, s'appliquent intimement sur la surface de la cellule . Mais s'il se fait une union physiologique, il
amiboïde puisque les arborescences terminales ne jouent pas sur les cellules elles dendrites. Se fait-il pendant la vie une
olécu- laire portant à la fois sur les bouton nets terminaux et les cellules . Se formet-il une unité fonctionnelle de ces de
vantage admissible. La structure de la substance fondamentale de la cellule est bien réti- forme et en rayons analogues à c
bien réti- forme et en rayons analogues à ceux d'une ruche. Mais la cellule nerveuse des animaux supérieurs n'est pas un si
il. Les boutonnets terminaux sans nombre de n'importe quelle grande cellule et ses dendrites qu'on peut aisé- ment suivre,
fs comme d'un épais feutrage, chercher les organes qui, au sein des cellules mêmes, produisent une activité soit en exerçant
activité soit en exerçant une influence directe sur le eorps de la cellule , soit en agissant sur les dendrites centripètes
binaison insé- parable des arborescences terminales d'une part, des cellules nerveuses et des dendrites d'autre part. P. KER
déchéance des libres myéliniques, l'atrophie et la destruction des cellules nerveuses; abondance de cellules à gra- nulatio
, l'atrophie et la destruction des cellules nerveuses; abondance de cellules à gra- nulations graisseuses, de cellules- arai
moelle cervicale, mais on a réussi à suivre de ces fibres jusqu'aux cellules du noyau externe de la couche optique ; -elles
est impossible de savoir si les fines lignes qui passent entre les cellules à petits grains sont des fibres nerveuses ou un
e de l'auditif. A l'intérieur de ce tissu, gros et pe- tits amas de cellules nerveuses évidentes dont chacune est séparée du
, avec un noyau central entouré d'une zone plus claire. Ce sont des cellules nerveuses, bien qu'elles n'aient ni prolongemen
indraxes, car elles ont un aspect tout à fait semblable à celui des cellules nerveuses de la moelle anencéphale et des gangl
pithélium à une couche; pour le ligament, c'est quantité de petites cellules cylindriques. La paroi tympa- nique, déchirée s
eurement, entrés en contact direct avec le nerf lui-même; quant aux cellules auxquelles le nerf cochléaire eût dû envoyer ses
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. cerveau et à la moelle. Les cellules sont dégénérées. Les cellules des ganglions spi
LOGIQUES. cerveau et à la moelle. Les cellules sont dégénérées. Les cellules des ganglions spinaux présentent en effet une d
iver au nucléole également. De sorte qu'à un moment donné, toute la cellule s'émiette et se fond en un espace presque vide. L
en un espace presque vide. Les mêmes altérations existent dans les cellules des ganglions du grand sympathique. En ce qui c
commence par les prolongements protoplasmiques des den- drites des cellules qu'elle brise, ou bien elle monte dans la cellule
den- drites des cellules qu'elle brise, ou bien elle monte dans la cellule même. Finalement tous les prolongements sont dé
restes rares et épais de protoplasma dégénéré, dans l'espace de la cellule dilatée, marquent la place occupée autrefois par
arborescences terminales c3lindraiiles qui entourent le corps de la cellule se détachent. En même temps, les vaisseaux sont
pillaires péricellulaires. Ces descriptions s'appliquent encore aux cellules de la protubé- rance, du bulbe, du tronc, des h
nt pas des altérations post-morlem, car une seule et même espèce de cellules présente des degrés variés de dégénérescence. C
puis longtemps empoisonnés. Mêmes réflexions en ce qui concerne les cellules cérébelleuses géantes de Purkinje. Pathogénie
sensibilité sont donc d'origine centrale, de là leur diffusion. Aux cellules des cornes antérieures, il faut rattacher l'hyp
xcilabilité élec- trique, la réaction de fatigue, les parésies. Aux cellules du cerveau, l'excitation, puis, la stupeur des
u cerveau moyen, où il disparaît dans un gros amas, bien limité, de cellules placées sur le côté du noyau du pathétique, que
rieure du corps genouillé thalamique, ainsi qu'à un étroit noyau de cellules assez grosses qui s'intercale entre le noyau ro
s autres fibres optiques, dans la rétine où il se termine entre les cellules de la couche ganglionnaire. Quelques fibres iso
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. granuleuse interne. Chaque cellule est embrassée par les branches terminales, comm
dian vient donc de l'isthme et se termine dans la rétine autour des cellules de la couche ganglionnaire. Dans ce trajet, il
tique (lobe optique, corps genouillé thalamique, noyau à grosses cellules ). D'autre part, l'écorce du lobe optique contie
s). D'autre part, l'écorce du lobe optique contient une couche de cellules profondes qui fournissent des fibres de la substa
médiane vers le hile antérieur du gan- glion de l'isthme autour des cellules duquel il se répand. C'est le tractus isthinote
pressions optiques, acoustiques et sensitives d'autres centres aux cellules de ce ganglion; celles-ci les renvoient aux fibre
t en outre de restreindre l'emploi des hypnotiques ; l'isolement en cellule dont on a tant abusé devient exceptionnel ; les
également un travail de Rabow0. En '1871, à l'asile de Brème, les cellules d'isolement sont supprimées, et le traitement p
s nous étions accoutumés pendant le système de l'isolement dans les cellules ... Les ma- lades gardent, grâce à la mise en sc
égénéraient bien vite autrefois dans l'emprisonnement solitaire des cellules . Le gâtisme par terre, compagnon indispensable
s. Le gâtisme par terre, compagnon indispensable du séjour dans les cellules , dis- paraît complètement. » A Ekaterinoslav,
r l'acheter et y faire construire des usines gigantesques. Isolé en cellule , le malade déchire ses habits, ses draps, casse l
voici un aperçu sommaire : X... aperçoit derrière le carreau de sa cellule le géant des îles, c'est un de ses camarades qu
la reine Olga. Dieu défait le carreau de la porte et entre dans la cellule , le malade le prend par le pied, mais l'apparit
re, on va te brûler au four crématoire. Fais 400 fois le tour de ta cellule et tu trouveras alors un trou pour sortir. Tu ira
tu vivras 400.000 ans . et le malade fait constamment le tour de sa cellule à grands pas. La baleine entre dans la cellule
amment le tour de sa cellule à grands pas. La baleine entre dans la cellule escortée de ses parents, puis la scène change, il
Le malade vit constamment dans un monde imaginaire. Les murs de sa cellule lui semblent des caveaux remplis de têtes d'hom
hen, Elitzky et Rybalkin) il faut craindre une atrophie des grandes cellules motrices, un kyste hémorragique, la dégénéresce
enté la coagulabilité. et provoqué la dégénérescence graisseuse des cellules endothéliales des veines. De là les thromboses, l
s. (.\-eurolog. Centrulbl., XVII, 1898.) Observation I. - Sarcome à cellules rondes dans le lobe frontal gauche. Il s'agit
IE NERVEUSE. pathologiques. On constate : 1° une lésion toxique des cellules de l'écorce ; 2° des altérations secondaires (a
lle, mais un arrêt de développement. Le trouble de la nutrition des cellules a nui aux fibres subordonnées. D'où l'atrophie
itérés; le tissu nerveux est hypérémiée ou infiltré de noyaux ou de cellules au sein du périnerf et de l'endonerf ; déchéanc
, foyers disséminés ; infiltration de la pie-mère par de nombreuses cellules rondes au niveau des zones d'entrée des racines
lâche, la gaine lymphatique est remplie d'un liquide et de grosses cellules à petites granulations, à noyau périphérique, o
u périphérique, ordonnées en séries. Au lieu de nerfs on trouve des cellules gra- nuleuses, eu séries régulières, séparées p
i des vaisseaux, ni dans leur voisinage, il n'y a de collections de cellules rondes. A partir du milieu de la moelle dorsale
PATHOLOGIE NERVEUSE. ailleurs il semble divisé en deux ; tout près, cellules rondes accu- mulées qui diffèrent (par la color
i atteinte, et qu'il y a eu mobilisation si rapide de si nombreuses cellules granuleuses ser- vant au transport d'abondants
estruction. Il est impossible cependant de savoir d'où viennent ces cellules ; les éléments de la paroi des vaisseaux ne part
deront de lui un bon et sympathique souvenir. E. Il. VARIA. Les cellules pour les aliénés dans les hôpitaux : réformes U
dansles hôpitaux de province concernant la déplorable situation des cellules affectées aux aliénés. A la suite de nos dires,
tants après, ne voyant pas le jeune Pinson dans son lit, examina la cellule et l'aperçut pendu au barreau de la fenêtre. II
lignault, 416. Capsule interne. Sur les altérations des grandes cellules pyramidales consécutives aux lésions de la-,
ch, 311. CnT.rontc. Les symptômes de la -, par Worcester, 501). Cellules dans les hôpitaux et ré- formes urgentes, par B
Fou. Un 76. Ganglions spinaux. Contribution àla pathologie des cellules des -, par Jullusbergel' et Meyer, 322. Glyco
230. Le labjlll1thique, pal' Bounier, 310. La manière d'être des cellules des ganglions spinaux dans le-- éclairée par la
24 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mun, où la surveillance était plus effective. Je savais enfin qu'en cellule , il était capable d'accomplir une évasion qui e
faisant subir des transformations impor- tantes. C'est ainsi que 12 cellules ont été supprimées pour être converties en G gr
nt le médecin reste le seul juge. 30 asiles d'aliénés. Les autres cellules , par mesure d'économie, ont été conservées, tel
e là que partirait l'excitation primordiale qui va retentir sur les cellules motrices bulbo médullaires. Toute question de
ais la tunique externe est envahie par une prolifération de petites cellules rondes a large noyau, disposées sous forme de no-
ent négatives au point de vue pathologique. Dans le bulbe, quelques cellules présentent, avec le bleu de mé- thylène, une ch
thylène, une chromatolyse centrale. Dans l'écorce cérébrale, les cellules de la névroglie sont nombreuses autour des vaisse
qui ne se voient plus dans la substance blanche sous-corticale, les cellules nerveuses ne présentent que de légères altérati
ation, nodulaire ou diffuse, interstitielle et périvasculaire, sans cellules géantes, mais à bacille de Koch. - Cliniquement
uent six cas d'encéphalite dont deux suppurés, avec dégénération de cellules géantes chro- matolyse, lésions de la capsule i
r. Guerrini (G.). Dell' azione délia (atica sulla slrttllurct délie cellule nervose délia co<'/ecct'ff. Brochure in-8» d
vec réduction des fibres tangentielles de l'écorce, et atrophie des cellules de la seconde couche. Je me réserve de discuter
e lIitzig. Greppin, tout en constatant la disparition de'nombreuses cellules nerveuses et la réduction des fibres tangentiel
avait pas 'l'16 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. trace de prolifération des cellules araignées, comme on le voit souvent dans la par
sse du côté gauche. P. KEnAVaL. III. Remarques sur la structure des cellules des ganglions spinaux; par M. de Lenhossek. (Ne
'acide picrique. Quant à la coloration de la substance tig-oïde des cellules ner- veuses (corps de Nissl), c'est bien réelle
de corps d'embryon on voit les paities du système nerveux, dont les cellules sont déjà pourvues de tigioïde, ressortir en bl
re déplacée. L'aspect si différent de la structure de chacune des cellules ner- veuses dans les ganglions spinaux (cellule
ure de chacune des cellules ner- veuses dans les ganglions spinaux ( cellules obscures, cellules claires, cellules à fines gr
cellules ner- veuses dans les ganglions spinaux (cellules obscures, cellules claires, cellules à fines granulations, cellule
es dans les ganglions spinaux (cellules obscures, cellules claires, cellules à fines granulations, cellules à grosses granula-
cellules obscures, cellules claires, cellules à fines granulations, cellules à grosses granula- tions), irrégulièrement ench
vêtrées, tient réellement à une diffé- rence de structure de chaque cellule . Celle-ci est produite : 1° par la différence d
r de la substance fonda- mentale, c'est-à-dire du protoplasma de la cellule qui existe entre la substance tigroïde. La divi
cription des diverses colorabilités, densités, granulifications des cellules nerveuses des ganglions spinaux, purement et si
ure de la substance fondamentale, c'est-à-dire du proto- plasma des cellules des ganglions spinaux qui existe entre les mott
ann. Il y a aussi, dans les gan- glions spinaux des mammifères, des cellules à différenciation fibrillaire du plasma fondame
hossek l'avait déjà reconnue dans le cylindraxe et la partie de la cellule du ganglion spinal désignée sous le nom de cône o
OGIE PATHOLOGIQUES. Lugaro possède de beaux échantillons de grandes cellules à struc- ture périphérique fibrillaire chez les
spasmodique des extrémités inférieures de se produire. A côté de cellules déchues, on trouve un grand nombre de cel- lule
est intéressante. P. Keraval. Y1L Contribution à la coloration des cellules nerveuses; par F. LuIT11LEU et J. SonGo. (Neuro
ir à l'essence d'origan; 8° baume du Canada. Les granulations des cellules , celles du nucléole, les noyaux '( de la névrog
n sont intenses et franches, mais aux dépens de la colo- ration des cellules . Jamais néanmoins la coloration du fin réseau d
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149 XI. De la structure des cellules nerveuses des ganglions spinaux; par E. Heimann
x d'être d'accord avec Lenhossek sur la structure fibrillaire de la cellule nerveuse. P. RERA V AL. XII. Contribution au do
l s'agit évidemment de dégénérescences secondaires par atrophie des cellules nerveuses correspondant aux systèmes atteints.
hez une fillette de douze ans, par métastase d'un sarcome à petites cellules du tissu rétropéritonéal. A la hauteur des raci
rtes de phénomènes succèdent à la résection des prolon- gements des cellules nerveuses : 1° une phase de réaction caracté- r
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ment du noyau qui quitte le centre de la cellule et se rapproche de la périphérie ; 2° une phase
lulaire augmente de volume, le noyau reprend sa place normale, la cellule devient pycnomorphe mais elle s'hypertrophie jusq
06° jour qui suit la section, puis elle décroit de volume. Quelques cellules ne peuvent suffire aux dépenses de réparation de
la régénération du nerf suit son cours normal, la répara- tion des cellules s'effectue également et de même manière. Si la
tion des nerfs périphériques est donc fonction de la réparation des cellules et celle-ci dépend de celle-là. En réséquant un
ieux en arrachant le nerf, on arrête la phase de régénération de la cellule . En ce cas, vingt jours plus tard, la cellule d
de régénération de la cellule. En ce cas, vingt jours plus tard, la cellule diminue de \olume dans toutes ses parties, et d
ns toutes ses parties, et devient complètement apycnomorphe. Telles cellules à peine visibles ou complètement disparues, se
u fortement atrophié ainsi que son contenu; les prolongements de la cellule ont complète- ment disparu ou sont réduits à pe
ée, ce qui donne l'im- pression de solution de continuité. D'autres cellules sont atrophiées et sombres; il y a atrophie du
s et sombres; il y a atrophie du corps et des prolongements de la cellule , le noyau n'est pas atrophié au même degré que le
est peut-être bien due à la rétraction du réseau fibrillaire de la cellule nerveuse. Telle est la phase 3, la phase de dégén
des nerfs, empêche la réparation des altérations de réaction de la cellule et entraine sa mort. Il n'y a donc pas derépara
eul fait bien établi, c'est que l'on a affaire à une irritation des cellules corticales; quant à la nature de l'agent irritant
de d'une prolifération de la névroglie, et d'une dégénérescence des cellules REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ICI L corticales, et
bou- teille de Leyde. On peut objecter à cette théorie : 10 que les cellules corticales fonctionnent d'une manière parfaitem
n de l'étiologie de l'état anatomique, et qu'elle ne dit pas si les cellules sont pri- mitivement irritées directement ou se
hypéresthésiées, ce qui est un point capital. La physiologie de la cellule nerveuse exige en effet que, tout au moins dans
t à tout le moins la première manifestation ; l'hypéresthésie de la cellule nerveuse peut d'ailleurs être obtenue par bien
lsives, qui, à leur tour pro- duisent une irritabilité anormale des cellules corticales : celles-ci deviennent moins capable
omures et de l'atropine : les bromures diminuent la sensibilité des cellules corticales devenues hypéresthésiques aux variatio
isse échapper, à la coupe, un liquide lactescent, louche, chargé de cellules granuleuses et de débris de parenchyme médullai
ant un rôle d'arrêt, se.s fonctions inhibitrices s'exercant sur les cellules motrices de la moelle. Mais cette théorie était
hombencéphale tiansmet- tent constamment une action excitatrice aux cellules motrices de la corne antérieure de la moelle pa
éorie par celle de l'anastomose des prolongements cylindraxiles des cellules sensitives et motrices. Forel dénonça cette nou
ison libre des prolongements protoplasmiques et cylindraxiles de la cellule nerveuse. La coloration de Nissl mit en évidenc
et Koellileer,croient àl'unité struc- turale et fonctionnelle de la cellule nerveuse dans les différents -territoires, et e
ent comme - fondée l'hétérogénéité structurale et fonctionnelle des cellules des centres différents. Pour prendre parti dans
Il a découvert dans la quatrième zone de la scissure calcarine des cellules étoilées autochtones, qui lui paraissent caract
rticale. Il réfute l'hypothèse de Mathias Duval sur l'amiboisme des cellules - nerveuses, mais il admet la contractilité des
névroglie, permettant un contact plus intime entre les panaches des cellules ' pyramidales et les arborisations cylindraxile
titiel de fibrilles inter et intra-cellulaires, unissant toutes les cellules du névraxe. La théorie des neurones demeure acc
lyurie. Nous n'avons tenu aucun compte des traces d'albu- mine, des cellules épithéliales et des leucocytes que con- tenait
. Atta- quer la corticalité cérébrale, c'est enlever une partie des cellules et sectionner leurs prolongements ; c'est cause
e quelconque provoquent des excitations secondaires dans toutes les cellules corticales ; toutes ces excitations, étant d'un
ovocateurs des accès, l'auteur admet les altérations nutritives des cellules de l'écorce (processus de métamorphose locale d
omine sur les autres. C'est surtout le panache pro- toplaslique des cellules pyramidales et les dendrites de la couche super
gine du corps cellulaire, par exemple, sur la tige ascen- dante des cellules pyramidales les appendices collatéraux commence
ulaire. Dans l'écorce cérébrale les dendrites de presque toutes les cellules nerveuses sont recouvertes d'une grande quantit
ébrale des animaux adultes bien por- tants on rencontre parfois des cellules nerveuses, sur les pro- longements desquelles o
; peut-être, ce sont des éléments nerveux appar- tenant au type des cellules à prolongement cylindre-axe court ou ascendant
u type des cellules à prolongement cylindre-axe court ou ascendant ( cellules de Golgi et celles de Martinotti) ; les dendrit
de Golgi et celles de Martinotti) ; les dendrites de ces dernières cellules se trouvent en état vari- queux et diffèrent tr
y Cajal parvint à s'assurer à l'aide de la coloration spéciale des cellules nerveuses corticales par le bleu de méthy- lène
it toujours seulement sur les prolongements protoplas- matiques des cellules corticales et pourquoi elles manquent toujours
conclusions suivantes : z10 Les prolongements protoplasmatiques des cellules ner- veuses de l'écorce cérébrale des animaux a
rites terminales qui sont en élat perlé ; 3° chez quelques-unes des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale, que l'on renco
odifications particulières des prolonge- ments protoplasmatiques de cellules nerveuses corticales dans divers procès patholo
ndrite déformée peut rester intacte. Les dendrites basi- laires des cellules pyramidales se soumettent à la lésion plus tard
il ne faut pas douter que les prolongements proto- plasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale peu- vent se mo
ntré que l'état variqueux des prolongements protoplas- matiqnes des cellules nerveuses de l'écorce eérébrale, comme phénomèn
nifestation des modifications cadavériques n'est pas égale dans les cellules saines et les cellules déjà modifiées par l'un
ations cadavériques n'est pas égale dans les cellules saines et les cellules déjà modifiées par l'un ou l'autre processus mo
ent, on peut supposer que les prolon- gements protoplasmatiques des cellules nerveuses avec trouble de nutrition quelques he
ue-des conditions qui provoquent l'état variqueux des dendrites des cellules nerveuses corticales, il nous reste encore à me
ormale et patho- logique. Comme nous l'avons vu, presque toutes les cellules nerveuses de l'écorce cérébrale ont sur leurs d
ans la perception des excitations cellulipètes qui parviennent à la cellule nerveuse des autres éléments ner- veux. On peut
des autres éléments ner- veux. On peut considérer les dendrites des cellules nerveuses comme des organes ayant une liaison i
comme des organes ayant une liaison intime avec la nutrition de la cellule ; les appendices collatéraux doivent aussi avoir
atéraux doivent aussi avoir un rapport avec cette fonction. Plus la cellule nerveuse est riche de prolongements protoplasma
tion que l'état moniliforme des prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale ne peut pas ser
ueux des dendrites est une indication sur l'état pathologique de la cellule nerveuse développée. Lais- sant de côté l'aspec
nt de côté l'aspect perlé des prolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses embryonnaires, nous nous occuperons d
un symptôme pathologique. Nous avons déjà indiqué plus haut que les cellules ner- veuses de l'écorce cérébrale dans diverses
e plus facilement. Comme il est bien probable que les dendrites des cellules nerveuses servent non seulement à la réception
tat variqueux DES DENDRITES corticales. 281 dans la nutrition de la cellule nerveuse, c'est-à-dire des or- ganes ayant une
organes aussi délicats que les prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses. Quelle est donc la forme du trouble
ène à l'état moniliforme des prolongements protoplasmatiques de ses cellules nerveuses ? Des modifica- tions plus grossières
ments morphologiques dans les prolonge- ments protoplasmatiques des cellules nerveuses. L'état variqueux des dendrites, même
e dernier est rapproché du corps cellulaire, plus la lé- sion de la cellule est grave et intense. D'après l'exploration 282
r exemple, Ceni), même lorsque l'état variqueux est très marqué, la cellule nerveuse conserve sa fonction trophique relativ
conclusion que l'état perlé des prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce céré- brale chez les anim
ues- tion. L'état perlé des prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale qui a été constat
ernant l'état moniliforme des prolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans des maladi
vie se trouvent en état de faiblesse et ne peuvent pas marcher, les cellules nerveuses corticales présentent de grandes part
cu trois jours, nous avons constaté un nombre assez considérable de cellules ner- veuses, dont les dendrites étaient en état
er cas l'état moniliforme des prolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale doit correspond
mentale, 1890, vol. I, fasc. 10). Anglade. Sur les altérations des cellules nerveuses, de la cel- ule pyramidale en particu
Sur la structure de l'écorce cérébrale de quelques mammifères. (La Cellule . 1891, t. VII, fascicule 1.) SUR l'état varique
eboïsme nerveux. Paris, 1898. DUVAL (Mathias). - L'amoeboïsme des cellules nerveuses. (Revue scientifique (revue rose), t.
ez les inverté- brés avec quelques remarques sur les vertébrés. (La Cellule , 1898, t. XII, 1er fascicule, p. 37.) HEGER (
RO. Sulle modificaziom morfologiche funzionali dei den- driti delle cellule nervoso. (Rivista di patologica nervosa e mentale
signification physiologique des prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses. (Archives italiennes de Biologie. 18
t de Solvay. Bruxelles, 1898, t. Il, fascicule 1. HENIUT. Sur les cellules nerveuses multipolaires et la théorie du « Neur
lober, vol. XLIV, p. 729.) Rybakoff (J.). Sur la pathologie de la cellule nerveuse et ses prolongements (méthode de Golgi
lles, 1897, fascicule Il ! . Stefanowska (Micheline). Evolution des cellules nerveuses cor- ticales chez la souris après la
97. Soukhanoff (S.). Contribution à l'étude des modifications des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans l'anémie exp
ie, 20 avril, 1898.) SOUKHANOFF lS.). L'anatomie pathologique de la cellule ner- veuse en rapport avec l'atrophie variqueus
avec l'atrophie variqueuse des dendrites de l'écorce cérébrale. (La Cellule , 1898, t. XIV, 2° fascicule.) Soukhanoff (S.).
des modifications que subissent les prolongements dendritiques des cellules nerveuses sous l'influence des narcotiques. (La
tiques des cellules nerveuses sous l'influence des narcotiques. (La Cellule , 1898, t. XIV, 2" fasci- cule.) . SOUKllAN01'
'F (S.). Contribution à l'étude de l'état et du dévelop- pement des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale chez quelques ver
ments pour servir à l'étude de l'état moniliforme des dendrites des cellules de l'écorce cérébrale. Mos- cou, 1899. TANzi
veloppement des OBJETS DE PIÉTÉ COMME INSTRUMENTS DE MEURTRE. 289 cellules de l'écorce cérébrale par la méthode de Golgi. Co
. VJNCE1\ZI (Livio). Sur les fines altérations morphologiques des cellules nerveuses dans le tétanos expérimental. (Archives
it dernière et s'est jeté sur le gardien qui, ce matin, a ouvert sa cellule ; cris inarticulés. 12. Plus calme, moins délir
erv. et iiieizt., fase. 111, 1899.) XXXI. Sur les altérations des cellules nerveuses de la moelle épinière consécutives à
nerv. et ment., fasc. I, 1899.) XXXVIII. Sur les altérations des cellules du noyau d'origine à la suite de la section ou
u sang dans le tissu nerveux. C'est seulement quand la lésion de la cellule nerveuse devient irréparable, que l'affaiblisse
c favorable pour la cessation de la contracture. J. Scr.AS. L. La cellule nerveuse représente-t-elle une unité embryologi-
concentré. 316 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Cellules et fibres nerveuses sont d'un gris sombre tirant
mêmes éléments anatomiques. Ces grains sont gros dans les grosses cellules des cornes antérieures, petits dans les granulati
s dans les fibres nerveuses. L'auteur montre, à l'appui, de grandes cellules pyramidales de l'écorce (lapin), la couche exte
'analyser l'écorce grise, d'individualiser, pour ainsi dire, chaque cellule avec ses parties constitutives et ses pro- long
es à chaque moitié du corps. Le ganglion se compose d'un manteau de cellules , la plupart unipolaires, qui entoure un épais f
des fibres nerveuses et des dendrites, appelé neurophile (His). Les cellules sont, les unes mo- trices, les autres commissur
oujours mixtes, les fibres motrices émanant des prolonge- ments des cellules des ganglions, les fibres réceptrices arrivant de
nts des cellules des ganglions, les fibres réceptrices arrivant des cellules sensorielles périphériqnes placées sous les anten
ellules sensorielles périphériqnes placées sous les antennules; ces cellules -là envoient dans les antennules un court prolonge
méthode de coloration pour qu'on puisse contrôler la continuité des cellules nerveuses. Au point de vue physiologique, les c
inuité des cellules nerveuses. Au point de vue physiologique, les cellules nerveuse de l'écrevisse sont, dans les ganglion
osées à la surface de celui-ci comme un manteau. Le corps de chaque cellule n'a d'autre prolongement que son prolongement p
ation reçus par les dendrites ne se portent pas dans le corps de la cellule , qui se tient à l'écart, mais vont directement
directement au lieu d'implantation des dendrites en contournant la cellule , et, celluli-fugitifs, au prolongement principa
l faudrait enlever complètement le complexus des proto- plasmas des cellules nerveuses, en épargnant autant que possible le
tion, où l'antenne est complètement paralysée. Il en conclut que la cellule , cette partie du neurone qui contient le noyau,
ent permanent de l'appareil, réflexe central est impossible sans la cellule qui exerce sur le neu- rone une action nutritiv
rement nerveuses. Seulement M. Bethe n'a enlevé qu'une partie de la cellule , il a laissé les éparpillements de son proto- p
ant son assertion à toute la série animale, il. Bethe ajoute que la cellule , organe purement trophique, n'a de rapport avec
rs il y a une énorme distance. Peut-on raisonnablement comparer les cellules des gan- glions spinaux des écrevisses à celles
visses à celles des vertébrés ? Chez ces der- niers, le corps de la cellule , piriforme, ne s'écarte pas du tout, des extrém
ormes, des fibres sympathiques et autres. Sans doute le corps de la cellule , avec ses dendrites, exerce une influence sur l
a subs- tance basophile (colorable, tigroïde de Nissl) ; mais toute cellule possède à côté de la substance tigroïde, à côté
des dimensions, des dispositions, des structures, des variétés des cellules , par exemple des cellules pyramidales, en REVUE
sitions, des structures, des variétés des cellules, par exemple des cellules pyramidales, en REVUE D'ANATOMIE Er DE PHYSIOLO
GIQUES. 319 divers points de l'écorce ne se comprendrait pas si ces cellules n'avaient qu'un rôle nutritif, on ne comprendra
M. Bethe attribue enfin les phénomènes intellectuels non plus aux cellules mais aux fibrilles et à la grille qu'elles formen
oduite par une provision d'images commémoratives conservées dans la cellule . Car elles ne sont pas spontanées, elles survienn
nancement particulier des molécules du cerveau, obtenu soit dans la cellule , soit dans la grille des ^ fibrilles, la mémoir
sont répartis en surface, il y a sûrement des anastomoses entre les cellules , on y voit toutes les transitions entre les ana
ovenant que d'une neurofibrille (Apâthy). Il est à supposer que ces cellules -là sont l'intermédiaire de réflexes tout à fait
iaire de réflexes tout à fait diffus; c'est ce qui explique que les cellules voisines sont reliées entre elles. Cela n'a plu
tral. Il n'est donc pas probable que l'on trouve des anastomoses de cellules sises à côté les unes des autres, dans les coll
cellules sises à côté les unes des autres, dans les collections de cellules de même sorte des animaux vertébrés. Dans les p
s; et il faut avoir de la chance pour tomber sur la liaison de deux cellules nerveuses au moyen des fibrilles primitives dan
ue on voit fréquemment ce qui suit : les fibrilles primitives d'une cellule nerveuse se divisent en branches minces et passen
ntaire partent des fibrilles plus épaisses qui s'en vont à d'autres cellules : jamais on ne voit une fibrille primitive se ter
st pourquoi il y a lieu de penser à un lien de continuité entre les cellules du système nerveux cen- tral par les fibrilles.
droit, un peu en avant de son milieu. Elle est constituée par des cellules nerveuses semblables à celles des cornes postérie
uronne rayonnante, entre la capsule interne et les ascendantes, les cellules nerveuses présentent déjà divers degrés de matu
ent déjà divers degrés de maturité, quant à la forme du corps de la cellule , en divers segments de l'écorce. La zone olfact
ques corticaux 1, 2, 4 de Flechsig), montrent la forme du corps des cellules , la disposition des couches de celles-ci, le rapp
position des couches de celles-ci, le rapport quantitatif entre les cellules et le tissu intermédiaire, identiques à ce qu'i
terminaux (de Flechsig) surtout le cerveau frontal, contiennent des cellules pressées les unes contre les autres, encore emb
dis- posées tout autrement que chez l'adulte. Ceci prouve que les cellules comme les fibres nerveuses, prennent, successivem
médiaire suit le mouvement d'adaptation quantitatif par rapport aux cellules (Flechsig). La partie latérale du ruban de Reil
c'est un trousseau peu compact entre les fibres duquel existent des cellules constituant chez le rat et la souris un assez g
artie postérieure de la substance noire; on trouve là de nombreuses cellules entre lesquelles des fibres myéliniques nombreu
ne hémorrhagique chez un enfant de 9 ans, avec changements dans les cellules nerveuses ; par William G. SPILLEIi. (titre Jou
gique très complet des lésions. Les modifications pathologiques des cellules nerveuses consistaient en une tuméfaction marqu
e tuméfaction marquée et une chromatolyse intense. Dans beaucoup de cellules il ne restait qu'une petite quantité d'éléments
i qu'on l'a observé chez elle cette nuit pen- dant qu'elle était en cellule . Les pressions légères sur les globes oculaires
t analogue a été publié par nous encore tout récemment (1891). La cellule de la zone motrice de l'écorce du cerveau est l'o
nt le sens musculaire, il faut l'opération synergique de nombreuses cellules , c'est-à-dire la combinaison de nombreuses idée
ilatés et contenaient une substance colloide. Un certain nombre des cellules qui entraient dans leur constitution avaient te
ous and mental discase, janvier 1899.) Cette tumeur, un sarcome à cellules rondes, siégeait au niveau des deux dernières v
les névroses fonctionnelles : en effet la nutrition parfaite de la cellule nerveuse en assure l'intégrité. L'auteur n'a
ions dans les atomes constituants des molécules qui comprennent les cellules nerveuses; seulement on est obligé de désigner
simple rétrécissement jusqu'à l'oblitération totale; enfin, par des cellules volumineuses de 60 à 100 fi, surtout fréquentes
neuses de 60 à 100 fi, surtout fréquentes dans les masses blanches, cellules arrondies à noyaux souvent multiples, à proto-
et vitreux, sans granulations pigmentaires, ni chromatophiles ; ces cellule =, avec la méthode de Nissl, ne se comportent pa
e=, avec la méthode de Nissl, ne se comportent pas comme les vraies cellules nerveuses, jeunes, adultes ou séniles; convenab
les stades de leur développement, elles paraissent plutôt être des cellules de nature névroglique, considérablement hyperpl
des cellules de nature névroglique, considérablement hyperplasiées ( cellules géantes). Les éléments nerveux (tubes et cellul
nt hyperplasiées (cellules géantes). Les éléments nerveux (tubes et cellules ) subissent une atrophie lente jusqu'à la destru
e Nissl. - Circonvolution frontale ascendante droite. Le nombre des cellules pyramidales parait sen- CHORÉE CHRONIQUE HÉRÉDI
les éléments qui subsistent sont loin d'être absolument sains. Les cellules nerveuses qui semblent le moins altérées, ont l
ions et la teinte bleue, très mar- quée dans la région basale de la cellule , est presque insignifiante au niveau de son ext
effilée. Quant au noyau, situé à peu près exactement au centre des cellules , sa coloration est d'un bleu pâle, on distingue
en son centre un nucléole fortement teinté. Mais dans bon nombre de cellules l'aspect est différent, et on trouve autour du
léaire sont plus ou moins considérables, si bien que dans certaines cellules la substance chro- matique se réduit à une band
éduit à une bande plus ou moins étroite bordant la périphérie de la cellule . Dans d'autres cellules au contraire, c'est imm
ou moins étroite bordant la périphérie de la cellule. Dans d'autres cellules au contraire, c'est immédiatement autour du noy
r du noyau que se trouve la substance chro- matique, le reste de la cellule étant grisâtre, presque incolore. A côté de ces
reste de la cellule étant grisâtre, presque incolore. A côté de ces cellules qui semblent déjà malades, nous en voyons un as
égé. Leur nombre est très grand et il nous représente le nombre des cellules pyramidales détruites. Nous constatons enfin da
l'étendue de nos préparations, une très grande abondance de petites cellules rondes, ou pour mieux dire de petits noyaux ass
rvus d'un petit nucléole. Isolées en certains endroits, ces petites cellules forment le plus souvent des agglomé- rations 'c
lèles et faiblements distants de la paroi du capillaire. Enfin, ces cellules affectent avec les cellules nerveuses de l'écorce
s de la paroi du capillaire. Enfin, ces cellules affectent avec les cellules nerveuses de l'écorce des rap- portsqui présent
upe, on peut se figurer combien peuvent êlre nombreuses les petites cellules rondes autour d'une seule cellule pyramidale. L
vent êlre nombreuses les petites cellules rondes autour d'une seule cellule pyramidale. Les cellules nerveuses, à peu près
petites cellules rondes autour d'une seule cellule pyramidale. Les cellules nerveuses, à peu près normales, sont aussi bien
erveuses, à peu près normales, sont aussi bien entourées de petites cellules que les éléments nerveux altérés, ces derniers
les éléments altérés presque complètement pénétrés par les petites cellules , ces dernières entourant le noyau altéré de la
les petites cellules, ces dernières entourant le noyau altéré de la cellule nerveuse et sem- blant achever d'en détruire la
la méthode de Nissl, de nous rendre compte des rapport des petites cellules avec Fiy. Il. Ecorce cérébrale, Frontale ascend
bj. 4.) Cette figure est destinée à montrer l'abondance des petites cellules rondes dans toute l'étendue de l'écorce cérébra
copique. CHORÉE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE lHU ? TINGTO-.1. 473 na les cellules nerveuses et leurs loges. On constate alors que l
ulaire. Dans la subs- tance blanche le développement de ces petites cellules est égale- Fir. 12. - Écorce cérébrale. (.Métho
ant en certains points des amas en îlots, entourant en d'autres les cellules nerveuses plus ou moins désagrégées, ou constit
n plus grand nombre. Nous ne nous sommes point borné à l'examen des cellules de l'écorce cérébrale et avons pratiqué les mét
appliquée ici sur des coupes des différentes régions : les grandes cellules des cor- nes antérieures sont à peu près normal
à peu près normales, on ne rencontre pas autour d'elles de petites cellules rondes; ces dernières, en revanche, existent en
es; ces dernières, en revanche, existent en grand nombre autour des cellules nerveuses plus petites avec lesquelles elles af
plus haut à propos de l'écorce cérébrale. Notons en outre que les cellules nerveuses de la colonne de Clarke nous ont semblé
n de boules caracté- ristiques. De quelle nature sont ces petites cellules rondes ? quel serait leur rôle ? Elles apparais
te le noyau en bissac des leucocytes polynucléaires. Si ces petites cellules étaient des leu- cocytes, il faudrait admettre
ace de diapédèse. D'autre part, elles présentent les caractères des cellules névro- gliques. Sur des préparations colorées p
la méthode de Rosin. les noyaux se colorent en vert comme ceux des cellules névrogli- ques, etl'on peut constatera l'aide d
le rôle joué par ces éléments ? Est-ce que ces nombreuses petites cellules que nous rencontrons autour de quelques cadavres
lques cadavres cellu- laires jouissent du pouvoir de phagocyter les cellules nerveuses' ? ' ? Que font alors les petites cel
phagocyter les cellules nerveuses' ? ' ? Que font alors les petites cellules que nous rencontrons autour des cellules pyrami
Que font alors les petites cellules que nous rencontrons autour des cellules pyramidales d'apparence saine 1 N'est-il pas lo
fin si la présence de ces éléments pathologiques dans les loges des cellules pyramidales de la région motrice, n'est pas pou
s des cellules pyramidales de la région motrice, n'est pas pour ces cellules une cause d'irritation, et si les petits amas d
que traduirait le mouvement choréique ? En résumé : Altération des cellules pyramidales et des petites cellules de l'écorce
? En résumé : Altération des cellules pyramidales et des petites cellules de l'écorce cérébrale allant de la raréfaction
llulaires. Infiltration interstitielle et péricellulaiie de petites cellules rondes à gros noyau, à protoplasme souvent impe
ent au niveau des circonvolutions -ascendantes droites. Ces petites cellules rondes déjà signalées par Grep- pin, par Lannoi
ure névroglique. Ces altérations cellulaires et l'infil- tration de cellules névrogliques existent également dans la moelle
mps après qu'on a cessé toute pression. F... regarde les murs de sa cellule , et aux interrogations qu'on lui pose sur les o
es sen- soriels des perceptions, des images emmagasinées dans les cellules et qui s'imposent au patient comme des réalités.
dire qu'il y a émission de pensée sans excitation quelconque d'une cellule cérébrale. Nulle idee abstraite ou objective n'
ite ou objective n'est conçue sans une irri- tation préalable de la cellule psychique. Rien ne se Cl'é(( rien. Je veux pens
'é(( rien. Je veux penser à telle chose, j'excite mentalement des cellules qui paraissaient dormir. Il y a donc excita;ti} ?
s des sens ; l'excitation est répercutée au centre, grossie par les cellules hyperesthésiées, modifiée, transfor- mée en ima
es aliénés. L'alcool ne suffit pas à produire l'hyperesthésie des cellules . Sur un grand nombre d'alcooliques, même hérédi-
, même hérédi- taires, nous n'avons pas observé ces phénomènes. Les cellules nerveuses de l'écorce ont résisté chez eux aux
vant principalement la face postérieure du noyau lenticulaire. Les cellules des noyaux du cordon postérieur envoient donc des
se composent de deux neurones. L'un, le neurone antérieur, part des cellules nerveuses de la rétine, et se rend au corps gen
uillé, où il se ramifie. L'autre, le neurone posté- rieur, part des cellules du corps genouillé, et se termine par des arbor
isuelle étant produite par le contact des nerfs de la rétine et des cellules nerveuses de la région occipitale, le mécanisme d
recherches de MM. van Gehuchten et Nelis sur les modifications des cellules de la moelle dans les cas de mélectomie récente
le noyau du facial, chez presque tous les animaux, trois groupes de cellules : un groupe interne ou noyau secondaire interne
groupe interne du noyau primitif est constitué par deux espèces de cellules : 1° de grosses cellules sticochromes qui siègent
primitif est constitué par deux espèces de cellules : 1° de grosses cellules sticochromes qui siègent surtoutàla partie anté
idérer comme représentant l'origine de l'auriculaire; 2° de petites cellules contenant relativement peu de substance chroma-
nerfs des muscles intérieurs de l'oreille ou même peuvent être des cellules sympa- thiques. Quant au groupe externe, il ser
stic de l'urémie. A l'examen microscopique de l'urine on trouve des cellules épithéliales, des globules de sang et de pus.
s d'association. .Probablement par l'action compensatrice, d'autres cellules étaient entrées en jeu. Le malade avait l'intel
mbre inférieur; par conséquent il semble très vraisemblable que des cellules d'origine d'un nerf récurrent ont été atteintes
s sanctions pénales doivent être la réprimande et l'isolement de la cellule . Quant aux récompenses elles iront des félicita
um, par Bérillon, 177. 1 Ganglions spinaux. De la structure des cellules nerveuses des-,par Hermann, I 49. Génie et fo
e - atteinte de sm imnomyélie, par Lombardi, 316. Altérations des cellules de la -, consécutives à l'occlusion de l'aort
25 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
sement de l'ouverture, on tombe dans une cavité aréolaire. Toutes les cellules sont pleines de pus : il y a des séquestres abond
e : nous l'avons nommée crête ou bulle digastrique. Elle répond à une cellule du groupe sinuso-digastrique. Sur t ao temporau
partie centrale plus ou moins développée, qui comprend l'ensemble des cellules mastoïdiennes, et d'une couche corticale qu'on pe
ne trouve qu'une couche finement spongieuse, au sein de laquelle les cellules se développent peu à peu par résorption de tissu
a grande cavité an traie. Avec les progrès de l'âge, le nombre de ces cellules augmente et leur capacité s'accroît par fusion ré
ande toute la pathologie de la région, et qui se distingue des autres cellules par sa situation fixe, et sa communication direct
en. — De même que « le canal par lequel la caisse communique avec les cellules mastoïdiennes résulte de la conjugaison des porti
il possède déjà ses dimensions définitives, contrairement aux autres cellules de l'apophyse. Cette constatation, utile au point
e opératoire, démontre aussi la diversité d'origine de l'antre et des cellules mastoïdiennes. Depoutre assigne a l'antre, chez
u tegmen antri, de faible épaisseur et creusée quelquefois de petites cellules , confine à la fosse cérébrale moyenne. L'extrémit
oyenne. L'extrémité inférieure, si l'antre est volumineux, répond aux cellules apicales et sinuso-digastriques. La paroi antéro-
mastoïdienne un angle aigu ouvert en dehors, occupé par le groupe des cellules limitrophes postérieures du conduit ; elle est sé
ens. —En outre de l'antre, l'apophyse est creusée de cavités, nommées cellules mastoïdiennes, dont le nombre, la capacité et la
mbryologique. « Il existe, disent Schwartzc et Eysell, deux sortes de cellules : les cellules provenant de l'écaillé et les cell
Il existe, disent Schwartzc et Eysell, deux sortes de cellules : les cellules provenant de l'écaillé et les cellules provenant
deux sortes de cellules : les cellules provenant de l'écaillé et les cellules provenant de la portion pétreuse. Les deux groupe
Barbarin, existe avec une netteté parfaite chez certains animaux. Les cellules pétreuscs sont plus grandes que les cellules squa
ez certains animaux. Les cellules pétreuscs sont plus grandes que les cellules squameuses (Schwartze). On peut établir un seco
un second groupement en tenant compte des rapports topographiques des cellules . Autour de l'antre, en effet, on remarque une zon
ellules. Autour de l'antre, en effet, on remarque une zone de petites cellules dont les dimensions vont en augmentant à mesure q
en avant à la corticale prémastoïdienne. Il comprend à ce niveau les cellules limitrophes postérieures du conduit, fusionnées,
. Barbarin a trouvé bien souvent sous la corticale externe une grosse cellule qui ne présentait d'orifice qu'à sa partie intern
e Lenoir). Une exploration superficielle pourra faire confondre cette cellule avec l'antre lui-même. Le sommet de l'apophyse,
, surtout sur les temporaux des vieillards, contient très souvent des cellules volumineuses qui forment le groupe cellulaire api
mince. Dans la zone postéro-supérieure de l'apophyse, il existe des cellules , quelquefois assez volumineuses, en rapport en ha
r les apophyses scléreuses on n'y ren-contre quelquefois qu'une seule cellule , entièrement bloquée par du tissu éburné : c'est
une seule cellule, entièrement bloquée par du tissu éburné : c'est la cellule mastoïdienne aberrante. Dans la zone postéro-in
e et la moitié inférieure du sinus sigmoïde, on remarque une série de cellules , dont les plus antérieures s'insinuent entre le g
uent le groupepostéro-inférieur, sinuso-digaslrique (pl. VIII). Ces cellules postérieures, juxta-sinusales, ont été bien étudi
tion nous parait par trop artificielle et sans application utile. Les cellules qui le composent peuvent faire partie des groupes
à l'exclusion des autres ; mais dans 12 cas il y avait coïncidence de cellules postéro-supérieures, postéro-inférieures et posté
e groupe cellulaire postéro-supérieur (27 fois): viennent ensuite les cellules postérieures (i3 fois), et les cellules postéro-i
7 fois): viennent ensuite les cellules postérieures (i3 fois), et les cellules postéro-inférieures (12 fois). » Une des cellul
(i3 fois), et les cellules postéro-inférieures (12 fois). » Une des cellules postérieures de ce groupe vient faire hernie en d
euse et au sinus sigmoïde. Le groupe sinuso-cérébral est composé de cellules squameuses : le groupe sinuso-digastnque comprend
osé de cellules squameuses : le groupe sinuso-digastnque comprend des cellules pétreuses. Cette description des cellules masto
o-digastnque comprend des cellules pétreuses. Cette description des cellules mastoïdiennes ne satisfait pas seulement aux exig
e Gozzolino comprenant 515 cas de mastoïdites. Si la distribution des cellules le permet, le pus peut, se frayer une voie à trav
enne, il faudrait la réserver aux cas assez rares de suppurations des cellules apicales. Et l'on devra désormais accoupler les n
mais c'est elle seule qui, presque toujours, renferme les véritables cellules mastoïdiennes communiquant avec la caisse. C'est
yenne. Le point supérieur du plan médian indique l'extrême limite des cellules mastoïdiennes. L'antre occupe un espace quadrilat
Une zone triangulaire, inférieure, apicale ; elle comprend toutes les cellules de la pointe. L'horizontale AB rencontre la lig
oint L. En haut, en arrière, et en bas de ce point sont disposées les cellules du groupe sinuso-cérébral. L'horizontale inférieu
int M ; en avant, en haut et en arrière de ce point, on rencontre les cellules du groupe sinuso-digastrique. Pour atteindre la "
fois aussi, il se creuse, soit en totalité, soit plutôt en partie, de cellules , dont le nombre et les dimensions sont des plus v
ombre et les dimensions sont des plus variables. Presque toujours les cellules plus volumineuses se trouvent à la base de la pyr
n diamètre de 2,5 millimètres; par cet orifice, on pénétrait dans les cellules aériennes situées autour de la caisse et du labyr
les cellules aériennes situées autour de la caisse et du labyrinthe, cellules qui s'étendent en avant jusqu'au sommet du rocher
mide. Au niveau de la fossette du ganglion de Gasser, il existait une cellule assez volumineuse, qui était située en avant et a
en haut et en dedans, et limite, du côté de la caisse, le groupe des cellules limitrophes supérieures du conduit. La membrane
de tissu osseux compact, interposée entre la cavité tympanique et les cellules mastoïdiennes, laquelle se continue en dedans et
fortement vers la caisse; en dehors, à la cavité prépyramidale et aux cellules limitrophes postérieures du conduit. Sur les apop
itrophes postérieures du conduit. Sur les apophyses pneumatiques, les cellules sinuso-digastriques creusent en arrière le massif
. —- oreille et encéphale 8 Les prolongements cylindre-axiles des cellules motrices de ces deux centres passent, d'après La
otubérance et entourent de leurs ramifications terminales les grandes cellules du noyau bulbo-protubérantiel. Ce dernier forme
ns sa partie inférieure par une masse compacte, bien circonscrite, de cellules multipolaires. Dans sa partie moyenne, on peut di
tal, sourcilier et orbiculaire palpébrai, produit la chromalolyse des cellules nerveuses au niveau de la zone postérieure du noy
etzius et V. Lenhossek, un ganglion périphérique. Le prolongement des cellules unipolaires de ce ganglion se bifurque en une fib
intermédiaire de Wrisberg, et qui se termine dans le bulbe autour des cellules d'un noyau accolé au faisceau solitaire. La sol
bes inférieur-moyen et inférieur-antérieur du cervelet, en dehors aux cellules mastoïdiennes postérieures, smuso-cérébrales et s
ces veinules, extrêmement ténues, sont formées d'une seule couche de cellules endothéliaies et présentent un trajet tortueux av
les minuscules d'origine se trouvent dans la muqueuse qui tapisse les cellules mastoïdiennes périantraies et postéro-supérieures
nécrose du tegmen tympani, dans la veine mastoïdienne par ostéite des cellules postérieures, dans le sinus caverneux par ostéite
rne. Puis, en évidant par en bas et plus profondément, on ouvrira les cellules postérieures sinuso-digastriques et l'on pourra a
'intervention. A-t-on trouvé, en fouillant dans la zone sinusale, des cellules malades, atteintes manifestement de nécrosa ? A-t
rès Ramon y Cajal, l'écorce cérébrale est formée de quatre couches de cellules , disposées dans l'ordre suivant : i° Le stratum
dre suivant : i° Le stratum zonale, ou zone moléculaire des petites cellules polymorphes ; 2° La zone des petites cellules pyr
moléculaire des petites cellules polymorphes ; 2° La zone des petites cellules pyramidales; 3° La zone des grandes cellules pyra
; 2° La zone des petites cellules pyramidales; 3° La zone des grandes cellules pyramidales; 4° La zone des corpuscules polymorph
constate, dans la troisième zone de Cajal, une couche de très petites cellules pyramidales (grains corticaux). On a signalé auss
cellules pyramidales (grains corticaux). On a signalé aussi quelques cellules pyramidales géantes dans la première circonvoluti
ral sont constituées par les prolongements cylindre-axiles de grandes cellules pyramidales qui se réunissent pour former les voi
le tegmen tympani, soit sur Veminentia arcuata, soit sur le toit des cellules mastoïdiennes sinuso-céré-brales. Au-dessus de ce
constituerait une voie motrice qui transmettrait les excitations des cellules pyramidales de l'écorce de la sphère auditive aux
tuée par deux couches : 1 " La couche moléculaire, qui contient les cellules de Purkinje, avec ses prolongements protoplasmiqu
ngements protoplasmiques remarquablement arborescents, et les petites cellules étoilées, si curieuses par la disposition en corb
dants des cylindre-axes. 2" La couche granuleuse, formée de grandes cellules étoilées et surtout de petits corpuscules ou grai
lechsig) ou spino-cérébelleux dorsal. Il est formé par les axones des cellules de la colonne de Clarke du même côté, au niveau d
wers, ou spino-cérébelleux ventral. — Il réunit les cylindre-axes des cellules de la région centrale de la moelle des deux côtés
traverse le pédoncule cérébelleux inférieur et s'épanouit autour des cellules du même côte de la corne antérieure de la moelle
est surtout une voie afférente croisée, constituée par tes axones des cellules olivaires du côté opposé, reliées à l'écorce céré
ibulaire est constitué par les prolongements internes ou centraux des cellules bipolaires du ganglion de Scarpa. Après avoir pén
ollatérales et ses ramifications terminales s'épanouissent autour des cellules des noyaux triangulaires, Deiters et descendens.
ntes semblent aussi se terminer, du moins chez l'homme, au niveau des cellules des noyaux de Deiters et de Bechterew, reliés par
association longue, le faisceau central de la calotte qui descend des cellules cle la substance réticulée de la calotte. (Bechte
ue probablement jusqu'à la moelle l'action du faisceau central. Les cellules multipolaires des noyaux de Deiters et de Bechter
diverses formes. Paris, i885. Bellin (M.), Etude sur l'anatomie des cellules mastoïdiennes et leurs suppurations. Thèse de Par
e et pathologique des groupes cellulaires postérieurs de la mastoïde. Cellules juxta-sinusales. Annales des maladies de l'orei
ire. La paroi supérieure du conduit auditif offre de rares el petites cellules pneumatiques (cellules limitrophes supérieures) .
e du conduit auditif offre de rares el petites cellules pneumatiques ( cellules limitrophes supérieures) . On aperçoit Vaditus
asé. La paroi supérieure offre plus d'épaisseur et de plus nombreuses cellules limitrophes que celle du temporal de la figure 2.
sente un aspect aréolaire. Au-dessous du promontoire, on aperçoit une cellule pétreuse qui semble être un diverticule de la cai
le développement d'une ostéite diffuse. Partout, en effet, de grandes cellules , sous la capsule labyrinthique, entre la cavité t
abyrinthique, entre la cavité tympanique et la fosse jugulaire. Les cellules squameuses sont remarquablement développées. La p
L'apophyse mastoïde offre une structure pneumatique, avec de grandes cellules postérieures ou juxta-sinusales. L'antre est vast
oupe apical. La bulle digastrique effondrée est en connexion avec les cellules du groupe sinuso-digastrique. Figure 3. — Le tr
ue, est remarquable par les dimensions et la disposition rayonnée des cellules . Cette coupe sagittale intéresse le sommet de l
e est du type mixte, avec prédominance du tissu pneumatique à petites cellules . Le sillon sigmoïde est très profond. L'angle mas
été légèrement ébréebé. L'apophyse est du type pneumatique à petites cellules , avec corticale externe épaisse. Le sillon sigmoï
ur de la coupe. L'apophyse est du type pneumatique, avec volumineuses cellules postéro-supérieures sinuso-cérébrales. Le sillon
du coude de l'aditus. L'apophyse mastoïde est du type mixte à petites cellules . Le sillon sigmoïde est très profond. L'angle mas
du coude de l'aditus. L'apophyse mastoïde est du type mixte à petites cellules . Le sillon sigmoïde est de profondeur moyenne. L'
extrémité inférieure.L'apophyse mastoïde est du type mixte à petites cellules avec corticale assez épaisse. Le sillon sigmoïde
ano-mastoïdienne du canal de Fallope et la fosse jugulaire, plusieurs cellules du groupe sinuso-digastrique. La capsule labyri
vaste. Entre le canal de Fallope et la fosse jugulaire, on trouve les cellules les plus antérieures du groupe si nu so-di gastri
les autres noyaux centraux du cervelet. A droite, on remarque deux cellules mastoïdiennes postérieures, séparées par une larg
nvolution temporale. L'apophyse zygomatique est creusée de nombreuses cellules qui prolongent en avant le groupe des cellules li
creusée de nombreuses cellules qui prolongent en avant le groupe des cellules limitrophes supérieures du conduit. Au-dessous
sous du sinus sigmoïde, l'apophyse mastoïde est creusée de nombreuses cellules qui appartiennent au groupe sinuso-digastrique. C
26 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
cérébrale l'ensemble des fibres qui, prenant leur origine dans les cellules de la cor- ticalité cérébrale, relient cette de
l- lules pyramida- les grandes et moyennes et dans quelques cellules poly- morphes de l'é- corce cérébrale; t 2°
cérébral au corps opto-strié, à une époque, par conséquent, où les cellules nerveuses corticales sont encore à l'état de ne
du pédoncule cérébelleux moyen gauche, entre en connexion avec une cellule (cll) des fibres longitudinales de la protubéra
une fibre de môme nom du coté opposé, entre en connexion 'avec une cellule de l'olive bulbaire et pénètre dans le cordon p
profondes du corps restiforme droit qui entre en connexion avec une cellule de l'olive droite et se continue avec le cordon
es les autres. Nous savons que si l'on sépare le cylindre-axe de sa cellule d'origine, la partie de ce cylindre-axe située
wallérienne ou cellulifuge. Nous savons aussi que, dans ce cas, la cellule présente des altérations de texture (v. Gudden,
rone est plus court, qu'il estlésé en un point plus rapproché de sa cellule d'origine et que le sujet a été frappé à un âge
utre origine (fibres longues et courtes d'association provenant des cellules descordons, fibres de la formation réticulée bu
cence est constitué seulement par les fibres qui, séparées de leurs cellules d'origine, ont subi la dégénérescence wallérienne
pour cette étude. pouvant s'accompagner d'une atrophie complète des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale et au-dessous
neurone lésé et s'accompagner même d'une disparition complète de la cellule d'origine. La méthode de Weigert per- mettra bi
soit, lorsque la chose est possible, par celle de Nissl, l'état des cellules des neurones correspondant aux fibres dégénérée
et subissent une réduction simple de volume portant à fois sur les cellules , le cylindre- axe et la gaine de myéline atroph
d'or iginethalamique, des fibres thalami- corticales, qui, nées des cellules de la couche optique, se dirigent vers la cortica
mités congé- nitales du cerveau dans leurs rapports avec l'état des cellules neneuses de la moelle. Nouvelle Iconographie de
calité motrice elle-même. Que le neurone moteur soit touché dans sa cellule ou dans son prolongement cylin- dre-axile, les
superficielles représentent pour la plupart les cylindres-axes des cellules mitrales, petites, moyennes et géantes du bulbe
vement constituée par des fibres qui, prenant leur origine dans les cellules pyramidales petites et moyennes du tubercule ol
e fibre mitrale, aucune fibre du bulbe olfactif. Elles naissent des cellules pyramidales petites et moyennes de la substance
trajet antéro-postérieur par un apport incessant de fibres nées des cellules de l'aire olfactive. Les radiations olfactives
HALAMIQUE. - Le faisceau septo-thalamique(fsth) (Fig. 253) naît des cellules de l'aire olfactive et du septum lucidum ; il t
alien et se terminent dans l'aire olfactive, el des fibres dont les cellules d'origine siègent dans l'espace perforé antérie
'alvcus, mais elle est surtout alimentée par les cylindres-axes des cellules pyramidales géantes de la région godronnée de l
région godronnée de la corne d'Ammon et par les cylindres-axes des cellules polymorphes de la circonvolution godronnée; la
. L'alceus int raæntri- culaire (Alv) reçoit les cylindres-axes des cellules pyramidales de la région hippocampique de la co
iculaire (Alvx) est constitué par une partie des cylindres-axes des cellules poly- morphes de la circonvolution godronnée qu
delette diago- nale de Broca) et se terminent finalement autour des cellules de la région. Les fibres les plus longues attei
if. Il existait en outre une destruction partielle de la couche des cellules pyramidales de la corne d'Ammon et du hile de l
issurales et d'as- sociation du rhinencéphale. La destruction des cellules pyramidales de ia corne u Aininoii CL UU nue ue
le stratum lacunosum, l'alveus et la fimbria sont tributaires de ces cellules . tnc. 266. - Cas Chab Topographie de la plaqu
le lingual et de la circonvolution de l'hippocampe. Destruction des cellules pyrami- dales de la corne d'Ammon et du hile de
e accessoire (Tma, Fig. 254, 333). Le ganglion interne conlient des cellules triangulaires ou étoilées de volume moyen, mesu
t en général une direction arquée et rappellent par leur aspect les cellules de l'olive céré- belleuse ou bulbaire (Kôlliker
les cellules de l'olive céré- belleuse ou bulbaire (Kôlliker). Les cellules du ganglion externe sont beaucoup plus volumine
nt de longues dendrites peu ramifiées et sont assez analo- gues aux cellules étoilées du thalamus; elles envoient leurs cylind
ceau mamillaire principal (Fmp). - Ce faisceau lire son origine des cellules du noyau interne du tubercule mamillaire et de sa
ajal, 1896.) A, noyau interne du tubercule mamil- laire. - b, ses cellules fusiformes superfi- cielles ; c, ses cellules é
il- laire. - b, ses cellules fusiformes superfi- cielles ; c, ses cellules étoilées dont le cylindre axe se continue avec
e très voisine de celle de l'écorce cérébrale. On y trouve : 1° des cellules nerveuses et des cellules névrogliques plongées
de l'écorce cérébrale. On y trouve : 1° des cellules nerveuses et des cellules névrogliques plongées au sein d'une substance f
es prennent leur origine dans le corps strié ou s'y terminent. 1° Cellules nerveuses. - Les cellules nerveuses sont pourvues
ans le corps strié ou s'y terminent. 1° Cellules nerveuses. - Les cellules nerveuses sont pourvues de nom- breux prolongem
e et les mam- mifères, ont démontré que le plus grand nombre de ces cellules répondent t au type Il de Golgi : elles possède
s'arborise librement au voisinage du corps cellulaire. Ce sont des cellules tantôt étoilées, tantôt triangulaires, fusiform
reprises et sont couvertes d'épines et d'aspérités ; TOME Il. 20 Cellules nerveuses. Cellules à cylindre a\o court ot à
ertes d'épines et d'aspérités ; TOME Il. 20 Cellules nerveuses. Cellules à cylindre a\o court ot à den- trites velues.
rt ot à den- trites velues. 306 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules à cylindre- axe long et a trajet descendant.
borisation complexe et très enchevè- trée. A côté de ces nombreuses cellules de moyenne et petite taille, on trouve irréguli
ement disséminées dans le noyau caudé et dans le puta- men quelques cellules de grande taille, véritables cellules géantes, à
et dans le puta- men quelques cellules de grande taille, véritables cellules géantes, à den- drites amples et velues (Fig. 2
toires souvent fort éloignés. Le corps strié possède en outre des cellules correspondant au type cellulaire de Deiters,; s
Gehuchlen, P.la- mon, Cajal, Kolliker,. Morphologi- quement, ces cellules se distin- guent mal des cellules du type II
iker,. Morphologi- quement, ces cellules se distin- guent mal des cellules du type II de Golgi; elles sont en général vo
s facile de suivre le cy- lindre-axe dans toute sa longueur, et ces cellules peuvent facilement être confondues avec les cel
ngueur, et ces cellules peuvent facilement être confondues avec les cellules géantes du type II de Golgi. Les cylindres- axe
es cellules géantes du type II de Golgi. Les cylindres- axes de ces cellules ont tous un trajet descendant (Cajal); aucun ne s
érale ou une mince branche de bifurcation à trajet ascendant. Les cellules à cylindre-axe long ou court et a dendrites ramif
u caudé. Dans le pulamen de l'homme, Külliher a décrit en outre des cellules de petite ou de moyenne dimension à corps cellu
nne dimension à corps cellulaire poli[ et grêle, remar- Fig. 278. - Cellule géante du type Il de Golgi (à cylindre-axe cour
breuses et peu ramifiées, mais excessivement longues et étendues. Cellules névrogliques et épendymaires. - Les cellules névr
t longues et étendues. Cellules névrogliques et épendymaires. - Les cellules névrogliques du corps strié revêtent en général
ellules névrogliques du corps strié revêtent en général la forme de cellules étoilées, de cellules araignées. Les unes, d'ap
u corps strié revêtent en général la forme de cellules étoilées, de cellules araignées. Les unes, d'apparence moussue, ne po
ce gaine de myéline, et qui s'arborisent librement au voisinage des cellules de Golgi et des cellules à cylindre-axe long.
ui s'arborisent librement au voisinage des cellules de Golgi et des cellules à cylindre-axe long. Les fibres nerveuses qui p
ne dans le corps strié sont représentées par les cylindres-axes des cellules de Deiters. Elles affectent toutes un trajet de
striés, et sont destinées à relier le corps strié à la FIG. 279. - Cellule de Deiters à cylindre-axe long du corps strié du
iters à cylindre-axe long du corps strié du lapin adulte; à droite, cellule du type II de Golgi, à cylindre court, à dendrite
de Golgi, à cylindre court, à dendrites velues. Méthode de Golgi. Cellules névrogli- qucs et épendniiiai- res. 1- Fi
orps strié reçoit enfin des fibres terminales ascendantes, dont les cellules d'origine sont encore inconnues et qui lui arrive
nent par une arborisation complexe et sou- vent fort élendue. Les cellules et les fibres nerveuses du corps strié sont plong
ti- caux et par les arborisations cylindre- axiles terminales des cellules du type II de Golgi. Dans ce feutrage entrent e
pe II de Golgi. Dans ce feutrage entrent encore les dendrites des cellules nerveuses du corps strié et les prolongements d
la couche optique. Cette opposition qui existe entre le lnc. 80. - Cellules épendymaires du corps strié. Foetus humain de
llaires. V. Monakow a noté la diminution de volume et de nombre des cellules nerveuses du corps strié; Marinesco, à l'aide d
e considéré comme un faisceau d'association cortico-striée dont les cellules d'origine siègent dans l'écorce cérébrale et do
sa structure véritable, caractérisée par des couches stratifiées de cellules pyramidales, que chez les amphibies, les reptiles
es fibres slriofuges cons tiiiiées par les longs cylindres-axes des cellules du corps slrié, el des libres striopèles, termi
ules du corps slrié, el des libres striopèles, terminales, dont les cellules d'origine sont encore mal connues; elles se gro
e l'autre par une couche de substance grise riche en volu- mineuses cellules nerveuses, qui appartient à la substance innominé
térieure du noyau externe du thalamus, et au noyau interne dont les cellules sont en voie de désintégration vitreuse (Fig. 30G
egment moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence vitreuse des cellules du noyau interne du thalamus (Ni), du centre mé
pilier antérieur du trigone. Malgré la dégénérescence vitreuse des cellules du noyau interne du thalamus (Ni) du centre méd
ucnrEX. Contribution à l'élude du système nerveux des Téleostéens. La Cellule , t. X, 1893, fasc. 2. - Goltz. Der Hund olwc G1
de noyau semilunaire de Flechsig (NF). Nissl (1889) montra que les cellules de la couche optique se disposent en groupes de
v. Monakow (1su) enfin, se basant à la fois sur les dimensions des cellules nerveuses, leur groupe- ment et les connexions
s genouillés externe et interne et le ganglion de l'habenula. Les cellules nerveuses des différents noyaux du thalamus appar
des différents noyaux du thalamus appartien- nent aux deux types de cellules décrits par Golgi (Voy. T. 1"1', Histogenèse, p
(Voy. T. 1"1', Histogenèse, p. 170). On y trouve par conséquent des cellules du type II de Golgi, ou à cylindre-axe court, e
t des cellules du type II de Golgi, ou à cylindre-axe court, et des cellules du type I à cylindre-axe long. Les recherches p
axes qui sortent du thalamus ou qui y entrent. Pour v. Monakow, les cellules intercalaires ou cellules du type II de Golgi s
us ou qui y entrent. Pour v. Monakow, les cellules intercalaires ou cellules du type II de Golgi seraient très nombreuses et
e, d'autre part. Pour v. Kôl- liker, par contre, l'existence de ces cellules à cylindres-axes courts ne serait pas démontrée
à cylindres-axes courts ne serait pas démontrée chez l'homme. Les cellules nerveuses du thalamus présentent des formes varia
, triangulaires ou fusi- formes, et ressemblent par leur aspect aux cellules des cornes antérieures de la moelle épinière. L
ion et abandonne en général une ou deux collatérales. A côté de ces cellules étoilées à longs prolongements ramifiés, Kôllik
par leur mode d'arborisation dendritique (A, Fig. 318). Ce sont des cellules de moyenne et petite dimen- sions(25a 45 IL) à
es deux formes cellulaires se trouvent tous les intermédiaires. Les cellules étoilées sont disséminées dans toute l'étendue
es étoilées sont disséminées dans toute l'étendue du thalamus ; les cellules pénicillées siègent surtout dans la partie inte
dans la partie interne du pulvinar et du noyau externe. Toutes ces cellules sont plongées au sein d'une substance fondamen-
tions cylindraxiles terminales et collatérales et par les fibres et cellules de la névroglie. Dans les noyaux antérieur, exter
ient à la face supérieure du thalamus (Fig. 310 et 7, p. 10). Les cellules nerveuses du noyau antérieur (Na) sont petites, é
é dans un dédouble- ment du stratum zonale, est caractérisé par ses cellules nerveuses volumineuses, ainsi que par la riches
e fibres appartenant au pédoncule interne de la couche optique. Ses cellules sont très analogues à celles du noyau principal
rminaison de ces fibres sont encore inconnus. Proviennent-elles des cellules du noyau antérieur (fibres tha- Bibliothèque de
vec le faisceau de la calotte de Gudden, prend son origine dans les cellules du tubercule mamillaire (Fig. 274, 276 et 277) et
e. Comme le noyau antérieur, il contient un grand nombre de petites cellules étoilées ou pyramidales, très rappro- chées les
ourées d'une substance fondamentale pauvre en fibres à myéline. Ces cellules sont d'autant plus petites que l'on examine des
rnier, sur les coupes colorées suivant la méthode de Weigert. Les cellules du centre médian de Luys sont petites, triangulai
sus de ce noyau, on trouve un petit groupe très bien différencié de cellules nerveuses, le noyau Il grandes cellules, nucleus
pe très bien différencié de cellules nerveuses, le noyau Il grandes cellules , nucleus magno-cellu- laris, de Ganser, Nissl e
med. c), remarquable, comme son nom l'indique, par le volume de ses cellules nerveuses multipolaires. Il se retrouve également
rveuses multipolaires. Il se retrouve également chez l'homme et ses cellules sont particulièrement apparentes sur les coupes t
e connaisse pas encore le trajet que suivent les cylindres-axes des cellules du centre médian de Luys, nous savons toute- fo
on trouve constamment, dans la lame médullaire interne, de petites cellules nerveuses, et quelques rares cellules multipolair
édullaire interne, de petites cellules nerveuses, et quelques rares cellules multipolaires plus volumineuses. L'origine de
ne n'est pas encore élucidée. La plupart proviennent évidemment des cellules nerveuses situées dans la lame médullaire inter
nt en deux segments le seg- 360 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les cellules ner- veuses du noyau ex- terne. ment intern
partie postérieure du pied du pédoncule cérébral (v. Monakow). Les cellules nerveuses du noyau externe sont en général volumi
groupement un peu spécial. Dans la zone réticulée ou grillagée, les cellules nerveuses sont petites, entourées d'une substan
outes les mailles de celte zone. Çà et là, on trouve quelques rares cellules multipolaires plus volumineuses. Le segment antér
proche par sa structure de celle de la zone réticulée : les petites cellules sont réunies en petits groupes très rapprochés, l
e médullaire externe et des régions ventrales du noyau externe, les cellules deviennent plus volumineuses, atteignent le dou
es deviennent plus volumineuses, atteignent le double du volume des cellules précédentes, et se rencontrent soit isolées, so
eigert ou de Pal, une colo- ration foncée. Celle distribution des cellules du noyau externe du thalamus, pour nette qu'elle
- Ci, corps genouillé interne. 36'r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules nerveuses du pulvinar. 16 Cing, cingulum; C
ibres thalamo-corticales qui prennent leur origine dans les petites cellules multipolaires des couches superfi- cielles du t
ses multipolaires et étoilées, de dimensions variables. Les petites cellules occupent les régions internes du pulvinar et se d
nt par le carmin. Plus on s'approche du champ de Wernicke, plus les cellules augmentent de volume. Elles sont isolées ou réuni
fibres émettent quelques collatérales, qui se ramifient autour des cellules sous-jacentes, puis se recourbent après un trajet
Hexueux, qui se mettent en relation avec un nombre considérable de cellules nerveuses (Fig. 314 c, D). Les fibres profond
cellulaires et s'entrelacent avec les panaches protoplasmiques des cellules ganglionnaires du corps genouillé externe. Ma
rps genouillé externe, par de larges arborisations qui enlacent les cellules du pulvinar. Le corps genouillé externe et le pul
melles grises du corps genouillé externe contiennent deux sortes de cellules étudiées par Tartuferi (1881), P. Ramon (1890) et
à-vis des réactifs colorants. Traitées par la méthode de Golgi, ces cellules apparaissent pourvues de nombreuses dendrites,
et quelques collatérales qui se rami- fient immédiatement entre les cellules avoisinantes, puis se continue avec une fibre v
ale (libres cortico-genouillés externes) (voy. p. 67), qui nées des cellules de la zone visuelle corticale s'arborisent dans
genouillé externe et le tubercule quadriju- meaux antérieurs. Les cellules du corps genouillé externe envoient dans la bande
ber- cule quadrijumeau antérieur (Voy. Nerf optique, p. 419). Les cellules nerveuses du corps genouillé interne sont analogu
es fibres tlralazzzo- corticales qui, prenant leur origine dans les cellules des divers noyaux du thalamus, en particulier d
plus ou moins étendue du thalamus et une atrophie des fibres et des cellules dans la partie correspondante de l'écorce. Mais
thalamo-corticales, des fibres d'origine thalamique, qui, nées des cellules de la couche optique, se dirigent vers la corti-
fibres efférenles , tl¡alamofuges, qui, prenant naissance dans les cellules du thalamus, empruntent plus particulièrement le
e homolatérale et croisée, nous ne savons en réalité, ni de quelles cellules proviennent ces fibres, ni dans quelles masses gr
u chien nouveau- né (d'après Cajal, lb9'r). Méthode de Golgi. ,1, cellules du noyau interne. - B, cellules étoilées du noy
ajal, lb9'r). Méthode de Golgi. ,1, cellules du noyau interne. - B, cellules étoilées du noyau externe. - C. coupe transvers
lami. - D, faisceau rétrollexe de leynert. - (1, cylindre- axes des cellules du noyau interne. z, cylindre-axes des cellules
ylindre- axes des cellules du noyau interne. z, cylindre-axes des cellules du noyau externe. - c, collatérales. GANGLIONS
du fais- ceau rétroflexe de Meynert prennent leur origine dans les cellules du ganglion de l'habenula et se terminent par d
es fibres du lænia thalami, qui le séparent du noyau externe. Ses cellules sont caractéristiques et remar- quables par l
re amyélinique du faisceau rétroflexe de Meynert (Voy. p. 386). Ces cellules , qui sont caractéristiques du FiG. 319. - Arbor
et tout à fait analogue aux nids péricellulaires qui entourent les cellules de Purkinje du cervelet. Les cellules du noyau
llulaires qui entourent les cellules de Purkinje du cervelet. Les cellules du noyau externe (Fig. 318) sont très analogues à
et se continue avec une grosse fibre du fais- ceau rétroflexe. Ces cellules sont entourées d'un feutrage très dense, consti
urd'hui assez bien connu, il n'en est pas de même du siège de leurs cellules d'origine. Le tamia thalami constitue en effet
la plupart tirent leur origine moins de l'écorce temporale que des cellules de la substance innominée sous-lenticulaire qui
culaire qui constituent le ganglion de l'anse pédon- culaire ou des cellules de la substance grise centrale qui tapisse la fac
nt par le carmin; elles représentent les cylindres-axes des petites cellules du noyau interne de l'habenula (Fig. 318 A); le
bifurcation des fibres du faisceau rétroflexe de Meynert (A). - il, cellules du ganglion interpédonculaire vues de champ. C,
ibres du faisceau rétroflexe. 388 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules du gan- glion intcrpddoncu- lairc. Leurs co
se portent en haut et en bas et se ramifient libre- ment entre les cellules . Quant au cylindre-axe, il se termine par deux à
ndiqué, mais occupent des plans vertico-transversaux distincts. Les cellules du ganglion interpédonculaire qui entrent en cont
act avec les fibres du faisceau rétroflexe sont, ou bien de petites cellules étoilées, pourvues de fines dendrites, el dont
nes dendrites, el dont le cylindre-axe se comporte à la manière des cellules du type II de Golgi, ou bien des cellules volum
comporte à la manière des cellules du type II de Golgi, ou bien des cellules volumineuses, fusiformes ou triangulaires à cylin
s épineux disposés souvent en bois de cerf enchevêtrés (Cajal). Les cellules les plus périphériques sont parallèles à la surfa
e* libre du ganglion et affectent souvent l'aspect d'un fuseau. Les cellules profondes pos- sèdent des dendrites plus courte
ui se terminent par un épais panache à texture très compliquée. Ces cellules sont toutes aplaties transversalement, quoique
platies transversalement, quoique d'une façon moins absolue que les cellules de Purkinje du cervelet (Cajal). Leurs cylindre
un stroma conjonctif très dense, dont les mailles sont tapissées de cellules arrondies ou fusiformes, de t5 u. de diamètre e
me un ganglion nerveux. D'après Bizzozero, un certain nombre de ses cellules présenterait des prolongements plus ou moins ra
ou moins ramifiés; d'après Cionini, elle contiendrait de nombreuses cellules névrogliques. Quant aux fibres nerveuses de la gl
uton terminal (Cajal). Entre ces rameaux on trouve quelques petites cellules nerveuses, analo- gues aux grains du cervelet,
ylindre-axe n'a pu encore être décelé. Il s'agil peut- être ici des cellules sympathiques interstitielles de Cajal. Nous n'a
en. Contri- bution à l'étude du système nerveux des téléostéens. La Cellule , t. X, 1893. - GULDEN. Mittheilung ùbea das gan
u lait qu'il doit à sa richesse en capillaires et au pigment de ses cellules nerveuses ; sur les coupes traitées par le carm
li à l'aide de la méthode de Golgi le trajet des cylindres-axes des cellules du corps de Luys. Quoi qu'il en soit, le corps de
du troisième ventriculaire. Son étendue. assez grand nombre de cellules multipolaires et étoilées, quelquefois fusi- fo
ui occupe la moitié ou le tiers du corps cellulaire. L'étude de ces cellules à l'aide de la méthode de Golgi montre qu'elles a
, ni la destination de leurs cylindres-axes. Quoi qu'il en soit ces cellules s'atrophient nettement ainsi que Mahaim l'a signa
fices vasculaires. La substance grise centrale est tapissée par les cellules cylindriques à cils vibratiles de la lame épend
a lame épendymaire et traversée par les prolongements radiés de ces cellules . Elle contient de nombreuses cellules névroglique
s prolongements radiés de ces cellules. Elle contient de nombreuses cellules névrogliques et quelques cellules nerveuses dis
ules. Elle contient de nombreuses cellules névrogliques et quelques cellules nerveuses disséminées, plus nombreuses et plus vo
1..0 anghon opti- que basai. Les éminences la- térales. Les cellules ppcn- dymaires. Les libres. 406 ANATOMIE DE
ctwe pé- riphériquc ou de ler ordre. Siège périphérique de sa cellule d'ori- gine. Les nerfs olfactif et optique oc
rales, car on ne peut guère assi- miler à une voie périphérique les cellules visuelles (cônes et bâtonnets) et les cellules
oie périphérique les cellules visuelles (cônes et bâtonnets) et les cellules bipolaires de la rétine. NERF OLFACTIF. - PREMI
ifs et sensoriels cranio-rachidiens par le siège périphérique de sa cellule d'origine et l'absence de revêtement myélinique d
e revêtement myélinique de son prolon- gement cylindre-axile. Les cellules olfactives dont il tire son origine siègent dans
rieure des cornets et de la cloison des fosses nasales. Ce sont des cellules nerveuses périphériques et disséminées, non gro
oupées en couches ou en ganglions, profondément enclavées entre les cellules épithéliales cylindriques ou prismatiques de la m
très mince couche de protoplasma ; il se loge dans les cupules des cellules épithéliales ou de soutènement, et émet un pro-
ce dans les cannelures longitudinales de la partie supé- rieure des cellules épithéliales et arrive jusqu'à la surface libre d
plu- sieurs (v. Gehucliten, v. Iilliker) dendrites empanachées des cellules mitrales. Le glomérule recevrait en outre des f
neurone central de deuxième ordre; ce dernier est représenté par la cellule mitrale du bulbe olfactif dont la dendrite em-
res toutefois représentent probablement, non les cylindres-axes des cellules mitrales, mais les cylindres-axes des cellules py
s cylindres-axes des cellules mitrales, mais les cylindres-axes des cellules pyramidales du tubercule olfactif et appartienn
jal). A, muqueuse olfactive. - B, glomérule olfactif du bulbe. - C, cellule mitrale. - D, pédoncule olfactif. - E, grains d
du bulbe olfactif. - G, région de la strie olfactive externe. - F, cellules pyramidales du pédoncule olfactif. - .1[, cellule
ve externe. - F, cellules pyramidales du pédoncule olfactif. - .1[, cellule à cylindre-axe court. - J, collatérales des cyl
lule à cylindre-axe court. - J, collatérales des cylindres-axes des cellules mitrales au niveau du bulbe olfactif. - II, col
it dans la substance grise du tubercule olfactif, soit au- tour des cellules mitrales et dans la zone moléculaire du bulbe olf
ux, soit avec la première circonvolution limbique du même côté. Les cellules pyramidales géantes du hile et de la région godro
éantes du hile et de la région godronnée de la corne d'Ammon et les cellules polymorphes de la circonvolution godronnée sont
et les cellules polymorphes de la circonvolution godronnée sont les cellules d'origine du trigone cérébral. Par ses fibres c
ique de la commissure antérieure qui, prenant leur origine dans les cellules pyramidales de la circonvolution du crochet et de
la corne d'Ammon, les fibres du stratum lacunosum qui unissent les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de l
pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon aux cellules du stratum lacunosum et à la région hippocampiq
ribution à l'élude de la muqueuse olfactive chez les mammifères. La Cellule , 1891. - Du même. Anatomie du système nerveux d
s fibres rétiniennes (Fig. 314) entourent un nombre considérable de cellules ganglionnaires. L'articulation des neurones vis
ctement, de l'arborisation terminale du neurone extra-cérébral à la cellule d'origine du neurone intracérébral, soit par in
neurone intracérébral, soit par interposition d'une ou de plusieurs cellules du type de Golgi, comme l'admet v. Monakow. Or
fibres corticipètes. Les premières pren- nent leur origine dans les cellules pyramidales géantes de l'écorce occi- pitale et
queduc de Sylvius. Les autres repré- sentent les cylindres-axes des cellules du corps genouillé externe, du pulvinar et du t
ubercule quadrijumeau antérieur, et s'arborisent dans la couche des cellules polymorphes et les couches des cellules pyrami-
borisent dans la couche des cellules polymorphes et les couches des cellules pyrami- dales géantes de la zone visuelle corti
les ou optiques prennent pour la plupart naissance dans les grandes cellules ganglionnaires multipolaires de la rétine dont
l'oeil. Dans la partie centrale de la macula (fovea centralis), les cellules gan- glionnaires et, partant, les fibres nerveu
mince à ce niveau n'étant représentée que par une simple couche de cellules visuelles en cônes. Mais à la périphérie de la ma
de cellules visuelles en cônes. Mais à la périphérie de la macula les cellules ganglionnaires sont excessivement nombreuses, s
rt par leurs arborisations terminales, avec un très grand nombre de cellules d'origine des radiations optiques; d'où la probab
out le corps genouillé externe, leurs contacts à ce niveau avec des cellules d'ori- gine des radiations optiques beaucoup pl
ert (fontainartige Ilanbenkreuznng) qui, prenant naissance dans les cellules du tubercule quadrijumeau antérieur, descendent
es, ces libres centrifuges de la bandelette optique proviennent des cellules fusi- formes el étoilées du tubercule quadrijum
rmineraient par des arborisations libres autour des spongioblastes ( cellules anacrines) de la rétine. Pour v. Kolfiker, elles
contribuciones. Madrid, 1894. - Du même. La rétine des vertébrés. La Cellule , t. IX, 1r fascicule, 1893. - Du même. Estructu
chten. La structure des lobes optiques chez l'embryon de poulet. La Cellule , 1892. Golgi. Untersuchungen icber den feinaen Ba
de qui coitlent le fond du sillon post-central. - Pj, la couche des cellules de Purkinje intermédiaire entre la couche moléc
e granuleuse de l'écorce du cervelet. Disposition irrégulière des cellules de Purkinje dans la partie intraventriculaire d
ui s'étend jus- qu'à l'aqueduc de Sylvius et renferme de nombreuses cellules nerveuses fortement pigmentées. Les fossettes
nt avec la petite racine motrice descendante du trijumeau (Vd), les cellules vésiculeuses de Forel qui lui donnent ori- gine
omplexe; les uns sont autochtones et prennent leur origine dans les cellules du noyau de Deiters, les autres sont la continu
'écorce céré- belleuse, avec disparition plus ou moins complète des cellules de Purkinje et atrophie de la substance grise a
plongé au sein d'une substance grise riche en névroglie, pauvre en cellules nerveuses. Les fibres transversales de laprotu-
ieur en dedans, du pédoncule cérébelleux supé- rieur en dehors, des cellules du locus coeruleus et de la petite racine motri
aryngien, un petit amas gris mal délimité contenant de volumineuses cellules polygonales, l'usiformes ou arrondies et désign
me ventricule (Sgc), le faisceau longitudinal postérieur (Flp), les cellules pigmentées du locus aeruleus (Le) et la section s
isceau d'origine médullaire, con- stitué par les cylindres-axes des cellules de la colonne de Clarke. La grosse racine sensi
e ventricule contient un noyau volumineux arrondi, riche en grosses cellules multipolaires, le noyau de l'hypo- glosse (Nxu)
érébelleux direct de Flechsig (écu), faisceau ascendant qui, né des cellules de la colonne de Clarke, occupe la périphérie l
au système des fibres sensitives qui, prenant leur origine dans les cellules des noyaux des cordons postérieurs (NCp), monte
la sépara- tion de ces deux noyaux est effectuée par un faisceau de cellules épendymaires. Cette coupe montre très nettement
une mince couche claire, intermédiaire, qui contient les corps des cellules de Purkinje, disposées en une seule rangée. E
ierons successivement : 1° La couche intermédiaire ou la couche des cellules de Purkinje (cP) ; 2° La couche moléculaire (cm
ouches céré- belleuses de dehors en dedans, cela tient à ce que les cellules de Purkinje constituent un des éléments les plu
nombre de cel- lules de Purkinje. Couche intermé- diaire. La cellule de Pur- kinje. Ses dimensions. Couche inter
kinje. Ses dimensions. Couche intermédiaire, couche des grandes cellules ou couche des cellules cle Purkinje. Les cellul
. Couche intermédiaire, couche des grandes cellules ou couche des cellules cle Purkinje. Les cellules de Purkinje découverte
ouche des grandes cellules ou couche des cellules cle Purkinje. Les cellules de Purkinje découvertes en 1837, par l'auteur d
en 1837, par l'auteur dont elles portent le nom, appartiennent aux cellules les plus différenciées du corps humain. Ce sont
t granuleuse, plus près toutefois de la première, dans laquelle les cellules de Purkinje sont rangées par beaucoup d'auteurs
a peu près partout égale. - cl', couche intermédiaire o couche des cellules de Purkinje disposées en une seule rangée. - Sbl,
thode de Nissl permet de déceler dans le corps cel- FIG. 155. - Les cellules de Purkinje elles libres terminales de la couche
au grand axe d'une lamelle cérébelleuse. (Méthode de Golgi.) l'j, cellule de Purkinje des crêtes des lamelles cérébelleuses
, cellule de Purkinje des crêtes des lamelles cérébelleuses. - pi, s, cellule de Purkinje des fonds des sillons. Les arborisa
nje des fonds des sillons. Les arborisations en bois de cerf de ces cellules occupent toute la hau- teur de la couche molécu
toute la hau- teur de la couche moléculaire. - cy, cylindre-axe des cellules de Purkinje. - coll, collaté rales récurrentes
de Purkinje. - coll, collaté rales récurrentes du cylindre-axe des cellules de Purkinje. -cs, cellule étoilée de la couche
té rales récurrentes du cylindre-axe des cellules de Purkinje. -cs, cellule étoilée de la couche moléculaire, dont les arbo
ire constitué en partie par les arborisations cylindre-axiles d'une cellule étoilée de la couche moléculaire, en partie par l
bstance blanche (sali s'arborisant dans la couche granuleuse. - as, cellule araignée ou astrocyte de la substance blanche.
à la fois réticulée et fibrillaire de la chromaline à la base de la cellule , la chromaline présente une disposition réticulée
sivement par les réactifs colorants. A l'encontre de la plupart des cellules nerveuses, la cellule de Purkinje ne contient q
fs colorants. A l'encontre de la plupart des cellules nerveuses, la cellule de Purkinje ne contient que de très rares granula
je ne contient que de très rares granulations pigmen- ta ires. La cellule de Purkinje possède deux sorles de prolongements
e du cervelet. Dendrites. - Du pôle périphérique ou supérieur de la cellule de Purkinje se détachent une ou deux grosses br
guent des épines longues et grêles qui recouvrent les dendrites des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale. Rameaux et r
e la couche moléculaire; elle se trouve recouverte par la couche de cellules embryonnaires de Vignal qui diminue peu à peu à
mesure que le sujet grandit. L'arborisation en bois de cerf de la cellule de Pur/, in je est orientée dans STRUCTURE ET T
i. Il naîtpar un cône d'origine du pôle inférieur ou base de la cellule de Purkinje, s'entoure presque im- médiatemen
substance blanche des lames et lamelles cérébelleuses FiG. 4.'iC. Cellule de Purkinje et fibres de Bergmann de son prolonge
au grand axe d'une lamelle cérébelleuse. (Méthode de Golgi.) Pj, cellule de Purkinje d'une crête de circonvolution.- cy,
plantation latérale. - coll, ses co l- latérales récurrentes. - ce, cellule empanachée de la couche granuleuse, dont les pr
, puis se terminent librement autour des corps et des dendrites des cellules de Purkinje voisines (Fig. 155 et 1-56). Couche
s prolongements prolo- plasmiques et cylindre-axiles de ces petites cellules , qui constituent des éléments propres, caractér
re région du névraxe. Les grains (Fig. 457) représentent de petites cellules nerveuses, arrondies ou anguleuses, de G à 10 p
en sens opposé et qui croisent et s'entrelacent avec les épines des cellules de Purkinje (Cajal). Elles n'émettent dans leur
et par conséquent perpendiculaire aux arborisations sagittales des cellules de Purkinje. Il résulte de cette disposition qu
a hauteur de la couche moléculaire, alors que les arborisations des cellules de Pur- kinje sont étalées, tandis que sur les
aral- lèles au grand axe des circonvolutions, les arborisations des cellules de Purkinje sont vues de champ ou de profil (Fi
érébelleuse, la couche interne contient encore un certain nombre de cellules volumineuses et multipolaires, découvertes et f
ajal, v. Kulliker, v. Gehuchlen, Retzius, Azoulay, etc. Ce sont des cellules à cylindre-axe court ou cellules du type Il de Go
Retzius, Azoulay, etc. Ce sont des cellules à cylindre-axe court ou cellules du type Il de Golgi, qui mesurent 30 à 40 p. et
0 p. et dont quelques-unes atteignent les dimensions colossales des cellules de Purkinje. v. Külliker les désigne sous le nom
ellules de Purkinje. v. Külliker les désigne sous le nom de grandes cellules granuleuses (grosse lvruerzellen), Relzius sous c
s cellules granuleuses (grosse lvruerzellen), Relzius sous celui de cellules de Golgi de l'écorce cérébelleuse. On les trouve
du cervelet, les fibres parallèles de la couche moléculaire et les cellules de Purkinje vues de champ. - Coupe longitudinale
e. - e, extrémité granuleuse terminale des fibres parallèles. - il, cellule de Purkinje, vue de champ. - f, cylindre-axe d'un
les. - il, cellule de Purkinje, vue de champ. - f, cylindre-axe d'une cellule de Pur- kinje. Les grandes cel- lules du ty
posent, en particulier chez le chat, soit au-dessous, soit entre les cellules de Purkinje, en une rangée presque aussi serrée
trêmement grêles, à peine épineux et d'aspect cylindre- axile ; les cellules auxquelles appartiennent ces dendrites ont été dé
tiennent ces dendrites ont été décrites par Azoulay, sous le nom de cellules éloilées et Î)î,oloïtgeî21eîîls protoplas- miqu
la couche granuleuse et dans la substance blanche, de volumineuses cellules étoilées qui envoient leur cylindre-axe dans la s
- stance blanche et leurs dendrites dans la couche moléculaire. Ces cellules très rares, et qui n'ont encore été constatées
statées que chez de jeunes animaux, sont aussi volumineuses que les cellules de Purkinje. Elles sont trian- gulaires, fusifo
usiformes ou étoilées, situées aux confins de la substance blanche ( cellules marginales de Cajal), ou dans l'épaisseur de cell
he (cellules marginales de Cajal), ou dans l'épaisseur de celle-ci ( cellules interstitielles). Les dendrites sont épaisses,
fibres parallèles et les arborisa- tions à direction sagittale des cellules de Purkinje (Fig. 457 et 459), un certain nombr
le des cellules de Purkinje (Fig. 457 et 459), un certain nombre de cellules propres, autochtones, multipolaires et étoi- lé
ET zon S ,P. CM fi' ci rc 3 U¡l11- Fin. r : i8. - Cellule du type II de Golgi de la couche granuleuse de l'
a zone moléculaire. ci/, ram if1cfltion du court cylindre-axe de la cellule du type 11 de Golgi. 700 ' ANATOMIE DES CENTRES
jet et le mode de terminaison sont encore mal connus. Les grandes cellules étoilées (grosse 111ndenze lIen, Korbzellende v.
culairement au grand axe des lamelles (Fig. 485 et hui9), comme les cellules de Purkinje. Les dendrites naissent de la parti
s de Purkinje. Les dendrites naissent de la partie supérieure de la cellule et atteignent en se ramifiant la périphérie de
l'ont montré, et sur les coupes qui montrent les arborisations des cellules de Purkinje étalées, il se trouve par conséquent
né suivant sa longueur. Il longe la partie supérieure des corps des cellules de Purkinje, atteint souvent chez l'homme 0 ? J5
sent en un fais- ceau terminal et libre, qui enveloppe le corps des cellules de Purkinje à la façon d'une corbeille, d'un pa
latérales descendantes est en général propor- tionnel au nombre des cellules de Purkinje, elles sont par conséquent plus rar
je, elles sont par conséquent plus rares au fond des sillons où les cellules de Purkinje sont plus écartées. Il est à remarq
ales descendantes, appar- tenant à une seule ou à plusieurs grandes cellules étoilées, concourent à la formation d'un seul n
'épaisseur de l'écorce cérébelleuse, il existe un certain nombre de cellules névrogliques spéciales, dites cellules empanachée
existe un certain nombre de cellules névrogliques spéciales, dites cellules empanachées de Cajal (ce, Fig. 456), dont les c
n dedans de la couche moléculaire, et décrivit la forme étoilée des cellules névrogliques de la substance blanche. Depuis, Ram
ehuchten, v. Külliker, Retzius, se sont occupés de la question. Les cellules , donnant naissance aux fibres de Bergmann, parais
granuleuse. - C, substance blanche de la lamelle cérébelleuse. - a, cellule de Purkinje vue de face. - o, collatérale récurre
nje vue de face. - o, collatérale récurrente du cylindre- axe de la cellule de Purkinje. - b, petites cellules étoilées de la
récurrente du cylindre- axe de la cellule de Purkinje. - b, petites cellules étoilées de la couche moléculaire. d, nid péric
rborisations terminales descendantes des cylindres-axes des petites cellules étoilées de la couche moléculaire. - e, cellule é
res-axes des petites cellules étoilées de la couche moléculaire. - e, cellule étoilée superficielle. - g, grain avec son cyli
ndre-axe ascendant qui se bifurque en i. - h, fibres moussues. - j, cellule névroglique empanachée. - n, fibres grimpantes. -
s. - j, cellule névroglique empanachée. - n, fibres grimpantes. - ne, cellule névroglique de la zone des grains. ? grande cel
impantes. - ne, cellule névroglique de la zone des grains. ? grande cellule isolée du type Il de Golgi, de la couche granul
e cellule isolée du type Il de Golgi, de la couche granuleuse. La cellule névru- glique empanachée et les libres de Ber
les libres de Berg- mann. 02 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les cellules arai- gnées de la substance blanche. Les li
ments, au nombre de 8 à 15, se détachent du pôle périphérique de la cellule , s'écartent les uns des autres à la façon des b
açon des branches d'un candélabre, puis passent entre les corps des cellules de Purkinje, traversent radiairement toute l'ép
des autres d'une distance de z1 et vont se perdre au voisinage des cellules de Purkinje. Le rendement 1 conique périphériqu
t dans ces cas, les fibres névrogliques transversales entourent les cellules de Purkinje de véritable paniers névrogliques.
ntre, il existe un feutrage névroglique très dense et de nombreuses cellules araignées (astrocyles) (as, Fig. 153) dont les
fibres excessivement fines sont surtout abondantes au voisinage des cellules de Purkinje, c'est-à-dire au niveau du quart ou
a couche moléculaire. Les fibres radiées passent entre le corps des cellules de Purkinje, puis se coudent et entrent, comme
eutrage des libres transver- sales situées au-dessous des corps des cellules de Purkinje. Les fibres longitudinales se prése
i entoure le corps et les branches prin- cipales de la dendrite des cellules de Purkinje. Les coupes parallèles au grand axe
fibres et présenle à sa limile supérieure, au-dessous du corps des cellules de Pur- kinje, une couche assez épaisse de libr
d'un fin poin- tillé très abondant, situé au-dessous des corps des cellules de Purkinje et au-dessous des fibres longitudin
s-corticale et dont les mailles sont occupées par les grains et les cellules du type II de Golgi. La disposition plexiforme es
ntripètes ou terminales de l'écorce cérébelleuse. Or, de toutes les cellules de l'écorce cérébelleuse, la cellule de Purkinje
rébelleuse. Or, de toutes les cellules de l'écorce cérébelleuse, la cellule de Purkinje seule envoie son cylindre-axe dans
Les nids péricellu. laires. Fibres moussues. Toutes les autres cellules de l'écorce cérébelleuse représentent en effet
autres cellules de l'écorce cérébelleuse représentent en effet des cellules autochtones ou cellules d'association, dont les c
orce cérébelleuse représentent en effet des cellules autochtones ou cellules d'association, dont les cylindres-axes assurent
ticaux plus ou moins voisins ou superposés. Dans cette catégorie de cellules rentrent : 1° les grains dont les cylindres-axe
couche moléculaire dont les cylindres-axes entourent les corps des cellules de Purkinje de corbeilles terminales; 3° les cell
les corps des cellules de Purkinje de corbeilles terminales; 3° les cellules du type II de Golgi de la zone granuleuse. D'ap
. D'après Cajal, les cylindres- axes de ces différentes variétés de cellules seraient dépourvus d'une gaine de myéline, et p
gert,; il en serait de même des collatérales des cylindres-axes des cellules de Purkinje. Pour v. Kolliker à l'opinion duque
ylindres-axes des grains et les collatérales des cylindres-axes des cellules de Purkinje seraient recou- verts d'une gaine d
es centripètes ou termina/es concourent avec les cylindres-axes des cellules de Purkinje et la branche ascendante des grains,
la ma- nière d'une liane autour des arborisations dendritiques des cellules de Purkinje. Les arborisations terminales des f
t un trajet plus ou moins flexueux. Arrivées au niveau du corps des cellules de Purkinje, elles abandonnent à celui-ci une r
ur les ramifications de premier et deuxième ordre des dendrites des cellules de Purkinje, les en- lacent comme une liane et
tJ9 et lui-60). Les fibres grimpantes sont aussi nombreuses que les cellules de Purkinje et leur développement s'effectue pa
ffectue parallèlement à celui des panaches protoplas- miques de ces cellules (Manouélian). Les fibres mozcsszces (filrras mu
20 à 30, occupent de grandes étendues, s'effilent dans la région des cellules de Purkinje et se prolongent en partie dans la
oires : le bouchon et le noyau sphérique, contiennent de nombreuses cellules penicilléus de taille moyenne (18 à 3G 11.), irré
eur de la lame festonnée. Du corps globuleux ou irrégulier de ces cellules , se déta- chent en un point assez rapproché,
lame festonnée. Cette dispo- sition est surtout manifeste sur les cellules qui occupent les bords de la lame festonnée du
occupent les bords de la lame festonnée du corps dentelé. Sur les cellules plus centrales, la forme globuleuse du corps ce
H7 (Fig. 428 à ! a0) et, Coupes C3 à C6 (Fig. 31. à li-a-7).] Les cellules nerveuses occupent les mailles d'un feutrage de f
se formé par des fibrilles névrogtiques, de nombreuses Fu.. 4(;1. - Cellules de l'olive cérébelleuse du foetus humain de six
us humain de six mois. (Méthode de Golgi.) Gy, cylindre-axe d'une cellule du corps dentelé. - fec, feutrage ealrctciliair
telé d'un foetus humain de six mois (Fig. 462). Comme à cet âge les cellules de Purkinje sont encore à un stade d'évolution
edes pédoncules cérébelleux supérieur,moyen ou inférieur. Entre les cellules nerveuses, on rencontre des fascicules plus ou mo
sque ininterrompue de sub- stance grise (Wcidcnrcich) de nombreuses cellules ganglionnaires volu- mincuses, multipolaires ou
iques peu ramifiés, mais très étendus, et un cylindre- Fil,. 462. - Cellules et arborisations cylindraxiles terminales de l'ol
live cérébelleuse. Les libre-, termi- nalo.. Les volumineuses cellules multipolai- res du noyau du toit. i 08 ANATOM
phère et envoie à la corticalité cérébel- leuse des fibres dont les cellules siègenl dans le corps dentelé. Elle envoie en o
surtout alimenté par des fibres qui prennent leur origine dans les cellules du corps dentelé ou qui s'y terminent. Il est sil
27 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
M. Bonnier ne croit pas que, lorsque nous regardons Notre-Dame, les cellules corticales correspondant à la vision de cet édifi
ions de l'éther, ni avec les modifications physico-chimiques de mes cellules rétiniennes ou cérébrales. La perception d'une
mes deux perceptions de la fenêtre et de la table, et si le groupe de cellules visuelles mis en action par les rayons lumineux
tions actives des neurones (Rabl Ruckardt, Lépine, M. Duval) ou des cellules névrogliques (Cajal) ne permettent pas de pousser
ite. L'épen- dyme constitue la partie médiane de la cavité ; li,des cellules épithéliales NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
s. Au milieu, la paroi antérieure de la cavité est tapissée par des cellules épendymaires se continuant jusqu'à la base des
térieures sont déjetées en dehors, grêles, fissurées. Leurs grandes cellules gardent un aspect normal. Au niveau de la V° do
continuité avec cette lacune tend à se reconstituer. Une couche de cellules épithéliales,bien que discontinue,marque les li
formation bulbaire avec centre aréolaire et périphérie à nombreuses cellules embryonnaires. Un peu plus bas les deux formati
mpare l'olive droite et l'olive gauche, on voit que le nom- bre des cellules de l'olive droite est très diminué, aussi s'expli
te, il y avait en réalité une diminution du nombre et du volume des cellules nerveuses. Les coupes de la région inférieure d
es. L'hématoxyline de Delafield, colore parfaitement les noyaux des cellules jeunes ; certaines figures vasculaires ont été
ctères normaux. Tout le placard est formé par la masse compacte des cellules jeunes à noyau fortement teinté par l'hématoxylin
vers la région atteinte, on voit la pie-mère infiltrée peu à peu de cellules rondes en longues traînées parfois unicellulair
dont les capillaires apparaissent dilatés, puis bientôt entourés de cellules jeunes, pénétrant comme eux en longues séries per
e substance cérébrale, s'arrangeant en colon- nettes de une ou deux cellules de front. A la limite de la substance saine, ils
a périphérie quelques noyaux mal colorés, puis le manchon serré des cellules rondes ; ce sont des zones de ra- mollissement.
tre le vaisseau peu atteint de la périphérie du placard, entouré de cellules jeunes, mais dont les tuniques restent distinctes
gueur. Les autres couches sont pénétrées plus irrégulièrement ; les cellules de Purkinje restent longtemps distinctes, la co
les noyaux se différencient peu à première vue de ceux des petites cellules nerveuses voisines ; ces derniers cependant son
ules, mais non modifiés dans leurs parois et non en- tourés par des cellules jeunes. Dans les cordons postérieurs, on remarq
e substance intacte ; autour de ces zones, il n'y a ni vaisseaux ni cellules jeunes. Le long des septa pénètrent dans la sub
dante, se montrent deux amas nucléaires importants ; l'un, formé de cellules rondes et de quelques cellules fusiformes et en
cléaires importants ; l'un, formé de cellules rondes et de quelques cellules fusiformes et en continuité directe avec la ménin
constitué par l'infiltration de l'espace sous-arachnoidien par les cellules rondes, dont les noyaux forment un feutrage serré
seaux à parois minces, gorgés de sang, étroitement entourés par les cellules jeunes, néo-vaisseaux fragiles massés parfois aut
envahissement d'une faible épaisseur de l'écorce sous-jacente. Les cellules jeunes qui composent cet exsudat épais, consist
tré. En raison de l'intensité de l'infiltration, des caractères des cellules qui la composent, des lésions vasculaires, nous
ts cités à l'envahissement de la substance blanche par des cônes de cellules jeunes, mais aux compressions et rétractions venu
ne atrophie tar- dive et affecter parfois avec plus d'intensité les cellules de la colonne de Clarke ; l'infiltration nucléa
es. De notre côté, nous avons noté surtout (en dehors de l'état des cellules , impossible à vérifier en raison du mode de fix
ec-intensité; aucune trace de changements régressifs, aucune de ces cellules à noyaux graisseux, situés dans les amas, et ra
entes. A côté de la production de gros tubercules, contenant peu de cellules géantes et de bacilles, la tuberculose pourrait
siège d'une inflammation ; on trouve à son intérieur une multitude de cellules rondes se colorant fortement. A son contact ave
étendue. Les corps genouillés paraissent peu altérés; leurs grosses cellules paraissent saines. Les nerfs optiques et la r
es sphères visuelles et aboutissant à la destruc- tion complète des cellules nerveuses de ces centres. 1 Wilbrand avait émis
qui soutient qu'il y a dans les lobes occi- pitaux, deux groupes de cellules bien distincts, l'un affecté à la percep- tion
ccord avec nos constatations nécropsiques, que, dans notre cas, les cellules affec- tées aux sensations colorées auraient ét
tiques ou myopathiques ; suivant les cas, on a lésion primitive des cellules , ou lésion secondaire ascendante, ou enfin simp
; une couche répond à celle du pourpre rétinien, puis une couche de cellules aux cônes et aux bâtonnets, viennent ensuite :
llules aux cônes et aux bâtonnets, viennent ensuite : une couche de cellules ganglionnaires, une couche de cellules homologu
nent ensuite : une couche de cellules ganglionnaires, une couche de cellules homologues à celles de l'écorce cérébrale, enfin
tain que les fibres nerveuses motrices existent. t. L'absence des cellules nerveuses motrices centrales étant bien constatée
ont une évolution indépendante; les cylindraxes proviendraient des cellules de la gaine de Schv=an ou encore des éléments d
nt au cylindraxe moteur une origine périphérique indépendante de la cellule motrice centrale. Le squelette crânien et rac
u. L'hypophyse était tout entière formée de travées épithéliales, à cellules bien constituées ; elle semblait ainsi réduite
La tumeur est formée dans sa presque totalité par un assemblage de cellules rondes et fusiformes, et de fibrilles diverseme
s se trouvent des vaisseaux de calibres variés, et par endroits des cellules ner- veuses plus ou moins altérées. L'associati
upe C,VIII-D, I ; les parties les plus fon- cées sont celles où les cellules rondes et fusiformes sont les plus nombreu- ses
faisceaux, aux réseaux fibrillaires les plus purs. On rencontre les cellules nerveuses principalement en avant de chaque côté
celles correspondant aux cornes postérieures. La majeure partie des cellules de la tumeur sont des cellules fusiformes (PI.
postérieures. La majeure partie des cellules de la tumeur sont des cellules fusiformes (PI. XXXIII, L) peu riches en protop
phile,qui les remplit presque complètement. On trouve dans quelques cellules 2 et même 3 noyaux ; dans ces cas il y a une plus
il y a une plus grande quantité de protoplasma. Des deux pôles des cellules fusiformes ou de toute la périphérie des cellul
es deux pôles des cellules fusiformes ou de toute la périphérie des cellules arrondies partent des prolongements fibrillaires
écis avec le corps cellulaire sont très difficiles à apprécier. Les cellules elles-mêmes sont très irrégulièrement disposées e
quelques fibrilles allongées dans le même sens. Cet arrangement des cellules est nettement apparent lorsqu'elles sont vues d
1l0CilE à sa direction. Lorsque cette section est transversale, les cellules sont égale- ment coupées transversalement et pa
les interstices cellulaires sont bien évidemment des émanations des cellules . On distingue très nettement les prolongements
gue très nettement les prolongements qui partent des extrémités des cellules fusiformes, et ceux qui partent des rares cellule
s extrémités des cellules fusiformes, et ceux qui partent des rares cellules à prolongements multiples. Les colorants habitu
ssociées, englobées ; elles disparaissent en très grande partie ; les cellules nerveuses sont-elles aussi isolées, elles sont
dans certaines parties de la tumeur ; ils ont des parois formées de cellules gonflées reposant souvent sur un simple feu- tr
lement thromboses, le tissu néoplasique a perdu toute vitalité; les cellules ne sont plus apparentes que par leurs noyaux très
st légèrement dilaté et tapissé d'un épithélium très haut, dont les cellules possèdent des noyaux très chromatiques, et des pr
aire tend à remplacer complètement celui-ci ; les éléments nerveux, cellules et fibres nerveuses, disparaissent graduellement
veuses, disparaissent graduellement ; il ne reste plus que quelques cellules des cornes antérieures perdues au milieu du tissu
ndehors, pour les artérioles, par une couche endothéliale formée de cellules gonflées, à gros noyau, et revêtue extérieureme
s gonflées, à gros noyau, et revêtue extérieurement d'une couche de cellules musculaires, lisses, et de quelques rares fibri
our la plupart oblitérées par la tuméfaction et la desquamation des cellules endothéliales. Dans les portions périphériques
e grise est presque complètement infiltrée par les fibrilles et les cellules gliomateuses ; il eu est de même de la substance
orme de fentes irrégulières, tapissées par une couche incomplète de cellules cylin- driques, ou mieux pyramidales. Leur base
'envahissement de la moelle est moindre ; il existe encore quelques cellules nerveuses dans les cornes antérieures, qui ne s
r de la coupe sont totalement dégénérées, et infiltrées de quelques cellules migratrices. Au niveau de la coupe D,IV, il n'e
illes névrogliques. L'épithélium est formé par plusieurs couches de cellules cylindriques pressées les unes contre les autres,
rogliques préexistantes,et étouffant graduellement tubes nerveux et cellules ganglionnaires. C'était là le fait d'action des
aussi différents que ceux des autres formes de sarcome, parfois les cellules rondes, ovales ou allongées, prédominent, ou bi
ou bien elles sont toutes les mêmes. » On pourrait ajouter que les cellules du gliome sont généralement plus petites que dans
nts qui suivent sont en faveur de l'idée de gliome : 1° Quoique les cellules polymorphes de la tumeur ne présentent que par
tumeur ne présentent que par place une vague ressemblance avec les cellules névrogliques, les fibrilles qui en émanent offr
me contient le plus souvent passablement de faisceaux nerveux et de cellules ganglionnaires encore en fonction ; les destruc
ns). Nous avons vu qu'en pleine masse de la tumeur persistaient des cellules nerveuses, quelques-unes ayant encore leurs prolo
ine précise de la tumeur. Est-ce de la névroglie adulle, est-ce des cellules épendymaires. ou de quelque in- clusion cellula
annexées à l'observation, nous montrent le canal épendymaire et ses cellules de revêt- tement intimement mêlés aux éléments
ent à lui assigner une origine congénitale. 3° La participation des cellules de revêtement épendymaire à la cons- titution d
as d'artérite. En de rares points on voit un peu de tuméfaction des cellules endothéliales des capillaires ; ces derniers so
s leurs parois quelques granulations pigmentaires. Les noyaux des cellules hépatiques sont inégaux ; quelques-uns, volumineu
ions. Les tubes contourné^ sont désordonnés : les uns possèdent des cellules hy- pertrophiées ,les autres des cellules de di
s : les uns possèdent des cellules hy- pertrophiées ,les autres des cellules de dimensions normales. Toutes ces cellules ont
trophiées ,les autres des cellules de dimensions normales. Toutes ces cellules ont des contours fusionnés et présentent un con
. Dans cette substance corticale on trouve des alvéoles remplies de cellules du type cubique à noyau bien coloré, à protopla
e à noyau bien coloré, à protoplasma assez large ; certaines de ces cellules ont des contours nets, une forme en raquette et r
Les branches d'Heidenhain et les tubes droits sont sains, mais leurs cellules sont en désordre et, dans les branches larges,
s leurs cellules sont en désordre et, dans les branches larges, les cellules granuleuses, mais à uoyau visible, sont fusionn
omérules apparaissent très nets dans la substance corticale ; leurs cellules , bien limitées, sont, par places, en voie de dégé
riartérielle, ainsi qu'autour des capillaires intertubulaires. Les cellules des tubes séminifères présentent de la dégénére
ez larges, inégales, renfermant de la substance colloïde, ont leurs cellules en voie de fonte muqueuse et de chroma- tolyse
e des éléments cellulaires normaux de 1 hypophyse. Presque toutes ces cellules sont des éosinophiles , certaines d'entre elles
on trouve nulle part de division 1-,aryolinétiqtie. - Il n'y a pas de cellules cyanophiles. Quelques éléments par leur irrégular
par leur irrégularité et surtout par leur noyau pâle rappellent les cellules sidérophiles (s). 1S, Point de la préparation o
t les cellules sidérophiles (s). 1S, Point de la préparation où les cellules cummencent à s'éloigner tout à fait du type norma
ET ACROMÉGALIE 171 L'étude du cerveau a montré son intégrité : les cellules pyramidales étaient nombreuses, grandes et bien
marquée de l'épithélium de l'épendyme, une diminution numérique des cellules des cornes antérieures : ces dernières, normale
et 7 pour le groupe postérieur. Mais cette diminution du nombre des cellules est surtout marquée à la région dorsale, où l'on
érieur. De plus, à ce niveau, la lumière de l'épendyme renferme des cellules épithéliales libres. Sur certaines des préparatio
stance blanche, en dehors de la corne postérieure, quelques grosses cellules isolées, arrondies, qui paraissent être des cellu
quelques grosses cellules isolées, arrondies, qui paraissent être des cellules névrogliques. A la région lombaire on trouve de
l'épen- dyme, avec desquamation cellulaire. On compte en moyenne 17 cellules mo- trices dans le groupe externe, 6 dans le gr
Les capillaires sillonnant les travées sont à peu près normaux. Les cellules qui forment la masse du tube épithélial appartien
iennent presque toutes au type éosinophile. Il n'y a pas du tout de cellules cyanoplllies. Il y a peut-être quelques élément
rme générale est polygonale par pression réciproque ; on trouve des cellules arrondies qui correspondent à des cellules sain
réciproque ; on trouve des cellules arrondies qui correspondent à des cellules saines, cependant elles sont rares ; la plupart
régulièrement polygonaux. B.(PI. XL). En certains points enfin les cellules , toujours du type éosinophile, prennent une for
e forme allongée, étirée; le cytoplasma effilé s'accole à celui des cellules voisines de façon à former des masses pleines san
njonctive. Dans ces endroits on ne rencontre plus que de très rares cellules éosinophiles de forme typique. Ce sont ces poin
n observe en effet toujours parmi les éléments éosinophiles (1) des cellules à 2, 3, 4, et jusqu'à 7 noyaux. Ces noyaux sont
éosinophiles que nous venons d'étudier, on trouve çà et là quelques cellules à gros noyau vésiculeux, clair, qui sont vraisemb
es à gros noyau vésiculeux, clair, qui sont vraisembla- blement des cellules sidérophiles. Ce sont les seules cellules qui ind
t vraisembla- blement des cellules sidérophiles. Ce sont les seules cellules qui indiquent un processus physiologique au sen
et aspect justifie l'opinion émise par l'un de nous, à savoir que les cellules t éosinophiles sont la forme primordiale d'où d
ordons (pith(ll'\I" complètement remaniés par Lu I) roi itération des cellules glandulaires devenues presque toutes atypiques.
de nombreux globules blancs, mono et poly-nucléaires, ainsi que des cellules épithéliales, assez nombreuses, parfaitement co
ble thrombus leucocytique. La tumeur épithéliale apparaît formée de cellules étroitement pressées les unes contre les autres
aire extrêmement délicat que l'on ne voit que par dissociation. Ces cellules présentent des for- mes diverses qui toutes se
ement dissociées par écrasement, car dans la masse de la tumeur les cellules sont déformées par pression réciproque. C'est a
vant les points examinés et qui répondent aux types suivants : t a. Cellules à deux noyaux isolés ou accolés en sablier (en pe
es à deux noyaux isolés ou accolés en sablier (en petit nombre). b. Cellules ovalaires, larges, à protoplasma se colorant mal,
nuleux, à noyau plus ou moins excentrique, déformé, mal coloré. Ces cellules , nombreuses, représentent des éléments en dégén
ombreuses, représentent des éléments en dégénérescence colloïde. c. Cellules à noyau en caryolyse (assez rares). d. Cellules
ence colloïde. c. Cellules à noyau en caryolyse (assez rares). d. Cellules à noyau géant, paraissant occuper la totalité ou
solés de la tumeur et'représentent des éléments en karyokinèse, des cellules sidérophiles atypiques, probablement. e. Cell
aryokinèse, des cellules sidérophiles atypiques, probablement. e. Cellules à 3 noyaux (rares). Les cellules libres dans qu
es atypiques, probablement. e. Cellules à 3 noyaux (rares). Les cellules libres dans quelques vaisseaux affectent le type
tion colloïde située au centre du prolongement ven- triculaire, les cellules sont presque toutes en dégénérescence colloïde, a
cissement. 174 LAUNOIS ET ROY On est frappé de la similitude des cellules de cette tumeur avec celles du corps pituitaire
elle n'a rien que de très normal dans les épithéliomas dérivés des cellules qui normalement ont une sécrétion, soit muqueuse,
ssi bien en longueur qu'en largeur, en réunissant étroitement leurs cellules en de petits faisceaux (fibres) au moyen de leu
uer, comme un des signes caractéristiques du tabes, l'intégrité des cellules ganglion- naires de la colonne de Clarke, alors
es cellules ganglion- naires de la colonne de Clarke, alors que ces cellules ont été trouvées al- térées indépendamment de n
men du cerveau montre : Lobe frontal droit. Diminution du nombre de cellules dans les cou- ches superficielles de l'écorce (
hes superficielles de l'écorce (l'l. LIV, B). En plusieurs points les cellules nerveuses sont augmentées de volume et le proto
bien il se présente granuleux et dégénéré. Dans certains points les cellules prennent mal la couleur (PI. LIV, A). On trouve u
que (Pl. LIV, B). Lobe frontal gauche. - Diminution du nombre des cellules des couches superficielles : pigmentation hémat
en- contre par ci par là plusieurs grosses bactéries, en bâton. Les cellules qui revêtent les parois du canal épendymaire so
s par une substance fibrillaire qui semble de la fibrine. Plusieurs cellules de la suhstance grise se présentent atrophiques e
rin, les plas- mazellen ne dérivent ni des éléments du sang, ni des cellules fixes du tissu conjonctif (fibroblastes), mais
es cellules fixes du tissu conjonctif (fibroblastes), mais sont des cellules sui generis préexis- tantes à côté des cellules
tes), mais sont des cellules sui generis préexis- tantes à côté des cellules fixes. Les plasmazellen répondent lentement à l
croscopique : nombreux cristaux de phosphates et d'urates, quelques cellules pavimenteuses et cylindres épithéliaux. (2) V
croissait de même. Au commencement, on leur avait réservé quelques cellules dans une dépendance de l'église, où ils demeuraie
glise (sieckenkamer, littéralement : chambre des malades), dont les cellules en beau bois de chêne se voient encore aujourd'hu
nes, des macérations, des pénitences souvent fort dures, la mise en cellule pour un temps plus ou moins long, enfin, dans u
Lecène d'abord, puis par Meslay, a montré une dissociation par des cellules adi- peuses du nerf dont la charpente conjoncti
ts parfaitement insuffisants. Dans les nerfs, comme dans les autres cellules , il faut chercher à surprendre les altéra- tion
hysiologiques, la nutrition, la reproduction, la régénération de la cellule . Dans le tube nerveux ce protoplasma est situé,
1903), nous ne croyons pas que le cylindraxe soit une expansion d'une cellule centrale enveloppée au niveau de chaque segment
une cellule centrale enveloppée au niveau de chaque segment par une cellule mésodermique. Chaque seg- ment interannulaire n
interannulaire nous parait 1 eprésenter, dans son ensemble, une seule cellule nerveuse périphérique, dont le protoplasma a di
des fibres ou sous le périnèvre et ayant la forme et le volume des cellules granuleuses d'Ihrlicll. 328 DURANTE . Les cou
des dont on ne peut distinguer nettement le corps cellulaire. Les cellules adipeuses sont généralement disséminées sans ordr
sez réguliers, se conti- nue à chacune de ses extrémités par 4 ou 5 cellules larges, ovoïdes, nucléées et à protoplasma fine
nt par lepicro- carmin et les couleurs d'aniline, soit à de longues cellules fusiformes imbriquées, se différenciant mal les
MEDIAN NÉVROME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 329 absolument certaines cellules traitées par le Golgi. S'agit-il de granulations
pues par une gouttelette de graisse notablement plus petite. qu'une cellule adipeuse. Sur les coupes transversales, ces fai
t, sur leur continuité, de larges dilatations ayant le caractère de cellules adipeuses. Il ne s'agit pas de vieux débris de
bres sont parsemées de grains noirs souvent réunis en amas dans des cellules ayant l'aspect de cellules granuleuses. Dans le
ns noirs souvent réunis en amas dans des cellules ayant l'aspect de cellules granuleuses. Dans le bout périphérique, au nive
d'aspect homogène, les autres de fibres moniliformes rappelant des cellules fusi- formes unies bout à bout. Quelques-uns de
e de l'endonèvre qui enserre presque chaque fibre dans un anneau de cellules concentri- ques. Enfin, au niveau du col el d
, qu'il y a lieu de discuter l'origine d'une partie au moins de ces cellules adipeuses. L'origine congénitale parle en faveu
u à diverses reprises depuis 1894, est sans rapport avec l'état des cellules centrales. Elle est caracté- risée, suivant l'â
effet, la possibilité de tubes nerveux proliférant en l'absence des cellules ganglionnaires pour leur donner naissance. Celte
odernes, on accorde à chaque segment interannulaire la valeur d'une cellule ner- veuse entière susceptible, par conséquent,
amas granuleux noirs et ramifiés, rappelant parleur forme certaines cellules nerveuses. Il ne nous est pas possible de nous pr
oncer sur leur nature, mais nous pensons plutôt qu'il s'agit ici de cellules granu- leuses ou d'espaces lymphatiques remplis
ne classique, l'unité nerveuse, ou neurone, est consti- tuée par la cellule nerveuse centrale (cellule ganglionnaire), ses pr
use, ou neurone, est consti- tuée par la cellule nerveuse centrale ( cellule ganglionnaire), ses prolon- gements protoplasmi
ques,. qu'à la périphérie par ses ramifications cylindraxiles. La cellule ganglionnaire est le centre protoplasmique et tro
rée. La constitution des segments interannu- laires était due à des cellules mésoblastiques venant secondairement en- tourer
re (Golte, Semper,Vijhe,Hoffmann,Beard, lcroriep,Iiatschensl;o). La cellule nerveuse centrale, dont la structure est si com
bianco et Fraguito, etc., le produit du fusionne- ment de plusieurs cellules embryonnaires. En histologie, la discontinuité
c., etc., montrent que chaque segment inlerannulaire représente une cellule nerveuse ayant différencié, selon son axe, un f
bé de myéline. Le tube nerveux n'est donc pas le prolongement d'une cellule centrale, mais est .constitué par HÉMIMÉLIE RAD
Cie, Editeurs NÉVROME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 337 une chitine de cellules nerveuses périphériques (neuroblastes neuroforma-
toutes les parties du système ner- veux (Apathy, Bethe, Nissl). Les cellules nerveuses s'anastomosent souvent aussi entre el
u cylindraxe se mettent en rapport souvent avec celles de plusieurs cellules (Dogiel, Délier, Kaplan), et toujours avec une pa
es constitutifs perdent leur différenciation, repassent à l'état de cellules protoplasmiques, subissent, en un mot, une régr
its dans lesquels, il une altération intense, à une destruction des cellules des cornes antérieures avec dégénérescence plus
et en rapport les fibrilles cylindro-axiles, non pas avec une seule cellule , mais avec plusieurs éléments différents, dont
apable de maintenir son état différencié. (1) Nous savons que les cellules musculaires, après régression cellulaire, sont su
rès régression cellulaire, sont su- sceptibles de se transformer en cellules adipeuses. Il n'est pas impossible que les neu-
tronc nerveux. Les fibres renflées de distance en distance par des cellules adipeuses, que nous avons observées, plaideraie
que, après réunion, la formation segmentaire du nerf aux dépens des cellules fusiformes remplissant les vieilles gaines de Sch
nts. Toute tentative d'atténuation en est une négation déguisée. La cellule centrale et le cylindraxe, en effet, représente
moses fibrillaires entre les neurones, et protoplasmiques entre les cellules ganglionnaires, et sur la régénération disconti
bout périphérique, considèrent le tube nerveux comme une chaîne de cellules nerveuses périphériques dilié- renciées, vérita
La substance chromatophile pendant le cours du développement de la cellule nerveuse (Journ. de Neurol., 1900). Bqll. Ueb.
doelst. Etude sur la constitution cellulaire de la fibre nerveuse (La cellule , 1887 et 1889). V. Gehuchten. - Phénomènes de
se de Chenais, Paris, 1902, observation III. 358 MAURICE DIDE Des cellules ayant plutôt l'aspect de cellules thyroïdiennes f
ation III. 358 MAURICE DIDE Des cellules ayant plutôt l'aspect de cellules thyroïdiennes forment t certains amas d'apparen
ées conjonctives voisines, on voit des boyaux irréguliers formés de cellules résultant peut-être de la prolifération de l'en
s leur intérieur. Au voisinage de certains vaisseaux, on trouve des cellules conjonc- tives en nombre anormal. Dans les bo
tives en nombre anormal. Dans les boyaux cellulaires proliférés, la cellule se colore beaucoup plus. L'examen de la coupe
sont très nombreux, allongés et manifestement multipliés. Dans les cellules qui infiltrent le tissu conjonctif, la plupart de
las- mazellen d'Unna. Dans certaines vésicules sans colloïde où les cellules sont libres, on voit des éléments thyroïdiens d
yaux irréguliers se colorent en masse; on y trouve aussi de grandes cellules à protoplasma granuleux nettement limitées dont
28 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ères suivants : 1° La tumeur est essentiellement constituée par des cellules dont les noyaux bien visibles sont arrondis ; c
par des cellules dont les noyaux bien visibles sont arrondis ; ces cellules sont séparées par du tissu nerveux ; 2° On co
hronique avec épaississement énorme de la tunique externe. 2° Les cellules se présentent avec un protoplasma plus ou moins
. UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 7 Quelques-unes de ces cellules offrent un vestige de prolongement protoplasmiq
pas suivre bien loin et qui parait artificiellement brisé. Quelques cellules encore à protoplasma plus étendu et de forme ir
forme irrégulière, présentent des amas de granula- tions ocreuses ( cellules nerveuses dégénérées) ? En résumé, d'après les
dents, on peut conclure qu'il s'agit ici d'une tumeur gliomateuse à cellules irrégulièrement arrondies avec protoplasma dont
emarquables ; il en est de même pour les branches terminales. Les cellules du ganglion de Gasser ont conservé leur forme r
c l'écorce cérébrale. Ici siègent les neu- rones pyramidaux, nommés cellules psychiques. Ce n'est pas en vain que ces derniè
qu'au sur et à mesure que nous descendons l'échelle zoologique, les cellules psychiques deviennent plus pauvres en prolongem
2 Voir Archives de Neurologie, n° 17. 16 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cellules les plus perfectionnées et munies du plus grand
re qu'une vie psychique supé- rieure exige un plus grand volume des cellules pyramidales. Chez les vertébrés inférieurs les
volume des cellules pyramidales. Chez les vertébrés inférieurs les cellules pyramidales for- ment un réseau plus dense et s
tenant. Les éléments pyramidaux de l'écorce cérébrale sont nommés cellules psychiques, uniquement parce qu'elles apparaissen
action amène des actes psychiques. LA THÉORIE DES NEURONES. 17 La cellule psychique est organisée de la même façon que tous
c l'activité suprême et énigmatique qui est en lien étroit avec les cellules pyramidales ou psychiques. Nous devons supposer
ntre l'activité des neurones psychiques et les fonctions des autres cellules ner- veuses ne consiste point dans la forme ext
dans les premières de la terminaison du prolongement au corps de la cellule , en affectant, par consé- quent, la direction c
opère pas d'interruption sus-mentionnée entre les prolongements des cellules nerveuses. Le sommeil amène un relâchement géné
le existeun réseauépais, formé par les panaches protoplasmiques des cellules pyramidales et psychiques. Une plus forte press
rites et les collaté- rales disparaissent complètement; chacune des cellules psy- chiques devient moins riche en contacts av
nable. L'anéantissement du plus grand nombre des contacts entre les cellules psychiques de même qu'une LA THÉORIE DES NEURON
après l'opinion de Meynert, en rapport avec le manque d'oxygène aux cellules du cerveau. Sans entrer dans d'autres détails s
rones sont liés entre eux en paires et de deux manières : 1° Deux cellules qui émettent une grande quantité de den- drites
unissent à l'aide d'un prolongement membraniforme. Une seule de ces cellules est munie de la fibre cylindraxile. Ce seront,
Ce seront, d'après l'avis de M. Renaut, neurones jumeaux. 2° Deux cellules voisines se joignent à l'aide d'un prolonge- 28
plasmique commun , tandis que la fibre nerveuse part d'une des deux cellules . Ce seront des neurones couplés de M. Renaut.
moins actif. Le bromure exerce une influence inhibitrice sur les cellules ner- veuses ; il faut donc le donner par doses
i la lésion intéresse ou non le neurone inférieur, qui comprend les cellules des cornes antérieures de la moelle et les nerfs
ressive reconnaissant pour substratum exclusif une alté- ration des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la moe
ntripète et peut-être aussi ailleurs, car si ni la dégénération des cellules de la corne antérieure, ni la sclé- rose latéra
t soutenue par d'autres auteurs. L'étude de l'histologie fine de la cellule nerveuse, les recherches expérimentales mon- tr
s expérimentales mon- trant que la lésion d'un nerf retentit sur la cellule nerveuse d'ori- gine, ont changé singulièrement
A. Maladies nerveuses. Thèmes de programme : 1. Pathologie de la cellule nerveuse (Anatomie fine et lésions pathologiques)
pport prévu : V. Gehuchten (de Louvain) : « L'anatomie fine de la cellule nerveuse. » Communications annoncées : Pr Ch. D
ancs. Coi.ucci (C.). Contribuzione alla isloloclia palologica della cellule nervosa in alcune malallic mentali. Volume in-8
sclérose latérale amyotrophique. Qu'est-ce ? Son siège est dans les cellules des cornes anté- rieures et dans les faisceaux
e ; cirrhose du pancréas; dégénérescence atro- phique chronique des cellules et des fibres des cornes anté- rieures grises d
embryonnaires se forment par la superposition couche par couche de cellules en voie de prolifération, et l'on peut concevoi
actéristique. Weismann reconnaît que cette activité réside dans les cellules elles-mêmes. Cette force de développement qui dét
être l'un des facteurs de la folie n'est pas, en ce qui touche les cellules , d'ordre qualificatif. Le développement cortical,
fisance des connexions cellulaires et des processus de relation des cellules entre elles. 2° Variation exagérée. - L'auteur
tal doit être cherchée dans une spéciali- sation différentielle des cellules individuelles : ici encore l'excès de développe
tissus organiques autres que le tissu nerveux, la régénération des cellules épuisées, ou mieux dégénérées, s'accomplit par mu
ter fait remarquer que les impulsions nerveuses qui portent sur les cellules constituent l'agent principal qui déterminent ce
rminent ce méta- bolisme. La première condition de l'activité d'une cellule corticale c'est la réception par cette cellule
de l'activité d'une cellule corticale c'est la réception par cette cellule d'une succession constante de stimulations modé
lule d'une succession constante de stimulations modérées venant des cellules voisines. Si abondam- ment qu'un centre puisse
ce résultat, la plasti- 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cité des cellules est de première importance, ou, en d'autres ter
mulations. Et quand la régénéra- tion est imparfaite, c'est que les cellules sont devenues incapables ou de recevoir la stim
élancolie avec stupeur une lésion primitivement inflamma- toire des cellules nerveuses. R. DE MUSGRAVE CLAY. VII. UN cas DE
ec parois très épaisses et d'un aspect hyalin. Un grand nombre de cellules lymphoïdes se voient surtout autour des vaisseaux
main gauche. Le bromure utile pour achever de réduire au calme les cellules REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
nouvelle formation à dégénérescence hyaline, dégénération lente des cellules gan- glionnaires, hyperplasie névroglique, peti
initivement le succès. Examen de la pièce : raréfaction des grandes cellules pyrami- dales, atrophie des cellules restantes,
ièce : raréfaction des grandes cellules pyrami- dales, atrophie des cellules restantes, hémorragies punctiformes. Conclusion
ffets DE la DÉGÉNÉRESCENCE ascendante sur LES nerfs MIXTES, SUR LES CELLULES NERVEUSES DES GANGLIONS, SUR LES RACINES POS- T
, Fleming étudie les effets de la dégénérescence ascendante sur les cellules ganglionnaires, les racines postérieures et la
consacre le plus d'intérêt. Il décrit d'abord les caractères de la cellule ganglionnaire normale, tels qu'ils sont connus
détails et les résume dans ces conclusions : Les altérations des cellules ganglionnaires (ganglions des racines postérieu
euse, surviennent du quatrième au septième jour, bien avant que les cellules multipo- laires de la moelle ne soient altérées
nuent etdavienuentexcentriques. Les éléments chromatiques de ces cellules subissent des changements dans leurs dimensions e
laires s'élargissent. Fleming admet une grande différence entre les cellules ganglionnaires et les cellules multipolaires de l
dmet une grande différence entre les cellules ganglionnaires et les cellules multipolaires de la moelle. P. RELLAY. REVUE
épen- dyme colorées par la méthode de Weigert, le protoplosma des cellules hypertrophiées de la névroglie est teinté en jaun
ent épaissies des fibres paraissent être souvent placées contre une cellule de la névroglie. Il soutient que ce n'est pas une
peut pas reconnaître de connexions directes entre les fibres et la cellule , pour que cette connexion n'existe pas. Il sera
tout juste aussi rationnel de nier l'existence du protoplasma de'la cellule de névroglie en donnant pour raison qu'on ne le
e encore, par des lésions de dégénérescence portant surtout sur les cellules endothéliales. - L'infiltration des petites cel
urtout sur les cellules endothéliales. - L'infiltration des petites cellules arrondies fait presque toujours entièrement déf
, XIX, N. F., vu, 1896.) M. Bogdan ne pratique plus la réclusion en cellules , car c'est, parait-il, un moyen d'agiter les ma
ait-il, un moyen d'agiter les malades et de les rendre furieux. Les cellules ont été transformées en chambres munies de leurs
ra plus à se préoccuper du garnissage du plancher et des parois des cellules . J'oubliais : M. Bogdan a aussi inventé les sor
entes ou des ganglions rachidiens. Or, ces systèmes de fibres ou de cellules ner- veuses sont nombreux : nous devons donc le
n. Le premier système comprend toutes les fibres qui, parties des cellules des ganglions rachidiens, abordent le cordon po
s courtes) se terminent, dès leur entrée dans la moelle, autour des cellules de la corne posté- rieure ; les autres (fibres
es (fibres moyennes) suivent un trajet plus long et aboutissent aux cellules de la colonne de Clarke ou à celles de la base
mplètement étudié; il com- prend toutes les fibres qui, parties des cellules de la subs- tance grise médullaire, accomplisse
ut cela doit forcément entraîner un fonctionnement variable.. Les cellules nerveuses qui se rencontrent dans la portion se
elle, ne présentent pas moins de variétés. Nous avons le groupe des cellules du ganglion vertébral - celui des colonnes de C
es du ganglion vertébral - celui des colonnes de Clarke - celui des cellules qui se ren- contrent nombreuses dans la corne p
dans la corne postérieure et à la base- de la corne antérieure. Ces cellules forment autant de sys-' tèmes dont la topograph
aperçu anatomique montre la complexité des systèmes de fibres et de cellules nerveuses qui constituent la portion sensitive
u longues ? A quelle période se prennent les fibres endogènes ? Les cellules (ganglion rachidien, colonnes de Clarke, corne
ffet, il ne suffit pas de savoir sur quels systèmes de libres ou de cellules nerveuses évolue le tabes médullaire, depuis so
ent parenchymateux, frappant l'élé- ment nerveux lui-même (fibre ou cellule ) ? Est-il, au contraire, interstitiel*, d'essen
rt aux faisceaux de fibres nerveuses des cordons postérieurs et aux cellules de la portion sensitive de la moelle. Dans la s
Lissauer et la zone cornu-radiculaire ; elles s'épuisent autour des cellules de la corne postérieure adja- cente. Les fibres
uvent sur une bailleur de plusieurs centimètres, pour se rendre aux cellules des colonnes de Clarke et à celles de la base d
naissance, au moins pour les régions cervicale et dorsale, dans les cellules de cordons situées à la base de la corne 1%u. 1
En effet, toutes les fibres radiculaires sont continues, depuis la cellule ganglionnaire jusqu'à leurs terminaisons dans l
éflexe, c'est-à-dire de l'apport de l'impression périphé- rique aux cellules motrices. Si le tabes initial renseigne sur la
alunée, hématéine) nous ont permis d'étudier la pro- lifération des cellules interstitielles; en associant à ces colo- rants
rachidiens choisis à différents niveaux, nous ont donné l'état des cellules d'origine des racines postérieures. Les lésions
, escarres). Dans les espaces, interstitiels ou péritubulaires, les cellules (embryonnaires ou conjonctives) ne nous ont jam
ses existent, dès le début du tabès, au niveau du tube nerveux ; la cellule du ganglion vertébral reste intacte; ces lésion
examiné les racines postérieures, les cordons correspondants et les cellules des ganglions rachidiens. La dissociation des r
n évolution (période de la disparition totale du tube nerveux). Les cellules des ganglions vertébraux nous ont paru remar- q
destruction des tubes nerveux est très intense; l'altération de la cellule originelle, si elle existe, devrait être énorme
es ces raisons nous empêchent de croire à une lésion importante des cellules du ganglion rachidien, au cours du processus ta
histologiquçs : substance blanche, substance grise, tubes nerveux, cellules nerveuses, enveloppes séreuses, etc. ? A côté d
ladie classique de Bayle où le cachet démentiel ouvre la scène, les cellules cérébrales et les tubes ner- veux sont les prem
sions rares, est celle dont le processus morbide commence par la cellule nerveuse. Les autres sont sujettes à des rémissio
s à des rémissions plus ou moins complètes et durables parce que la cellule nerveuse est la dernière atteinte, et leur pron
s thérapeutes désignaient sous le nom de médication altérante de la cellule organique. Nous ne craignons pas d'affirmer que
bromure, de chloral, de morphine ou d'autres stupéfianls ont sur la cellule nerveuse une action beaucoup plus délétère que
Burdach) avec raréfaction de la myéline. A la méthode de Nissl, les cellules radiculaires antérieures et celles de la colonn
s évidente, consiste essentiellement en une infiltration de petites cellules rondes, presque uniquement constituées par un n
tituées par un noyau volumineux que l'on voit déjà dans la zone des cellules polygonales, qui augmente dans la zone des peti
one des cellules polygonales, qui augmente dans la zone des petites cellules et atteint tout son développement dans la zone
cellules et atteint tout son développement dans la zone des grandes cellules pyramidales. Ces cellules se ren- contrent égal
on développement dans la zone des grandes cellules pyramidales. Ces cellules se ren- contrent également dans la substance bl
t pour la plupart disposées, au nombre de trois à six, autour de la cellule pyramidale dont elles ont envahi la gaine lymphat
culaire et, d'autre part, une moindre résistance organique de la cellule nerveuse. Cette moindre résistance s'affirme par
de l'alcool. Aussi voit-on, sous l'influence d'une cause légère, la cellule nerveuse chuter. Or, cette moindre résistance o
ance organique ne peut s'expliquer que par une dégénéra- lion de la cellule . C'est donc la dégénération, l'inflammation qui
té cérébrale. L'alcoolisme personnel mine le cerveau, atteignant la cellule sous forme de délire, de démence, et les vaisse
ppliquer aux excès, au surmenage, à {'infection, etc., qui usent la cellule et con- gestionnent le système nerveux. Seuleme
maladie ont apparu en dernier lieu. Ce qui semble prouver que les cellules cérébrales qui sont le substratum des souvenirs o
vers la zona incerta, en se finissant, comme il le parait, dans les cellules de la partie la plus interne ; 3° la troi- sièm
rtie des fibres, en passant par le centre médian, s'achève dans les cellules situées de son côté potéro-médian concernant le
res de la névroglie, ainsi qu'une hyper- plaxie très marquée de ses cellules (surtout dans la substance grise altérée) ; bea
péri, mais dans certains endroits sont restés des cylindraxes. Les cellules nerveuses sont presque intactes. Dans la partie
Ce foyer consiste en SOCIÉTÉS SAVANTES. 353 une masse de grosses cellules névrogliques (avec un réseau de libres de névro
t trouvent que les modifications primitives n'ont lieu que dans les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière (C
ections du toxine diphtérique à des cobayes. Pour la coloration des cellules de la moelle épinière il se servait principalemen
de certains cylindraxes) et des altérations particulières dans les cellules de la moelle épinière, principalement dans les
sse presque homogène, sa disparition complète sur la périphérie des cellules (la chromatolyse périphérique de Marinesco) et
ntôt très grosses, occupant quelquefois la plus grande partie de la cellule , et alors le noyau est repoussé vers la périphé-
rie ; les prolongements s'ouvrent, se colorent mal parfois et la cellule de même. Les phénomènes, qui ont été observés pen
copique démon- tra l'existence des névrites très marquées; dans les cellules de la moelle épinière, les modifications étaien
ÉS SAVANTES. 357 térique avant tout apparaissait une altération des cellules médul- laires, mais en ce temps on ne remarque
qu'il y a une relation entre les névrites et les modifications des cellules , à savoir : le poison diphtérique pour la plupa
oison diphtérique pour la plupart n'est pas assez fort pour tuer la cellule ; pourtant il peut y provoquer de grossiers déra
es. M. ORLOWSKY remarqua que les modifications analogues dans les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière ont
tificielle de la tem- pérature constatèrent que la régénération des cellules survient dans soixante-et-onze heures environ.
ble de convenir avec l'explication du rapporteur, que la lésion des cellules des cornes antérieures doit être regardée comme
des pouvoirs de dynamogénie et d'inhibition dévolus aux neurones et cellules . M. Aimé définit ensuite l'élément psychique mo
eux- sortes : ·1° les fibres moussues, provenant proba- blement des cellules des colonnes de Clarke et des noyaux bulbaires
t les cylindraxes s'ar- borisent en plexus grimpants, provenant des cellules des noyaux du pont de Yarole, qui, une fois arr
à la zone moléculaire, s'appliquent contre la tige ascendante des cellules de Purkinje, Il s'élévant par son intermédiaire
axes descendants de l'écorce du cervelet dérivent exclusivement des cellules de Purkinje. Chaque portion du corps et des ram
rotoplasmiques des dendrites. Les corbeilles terminales des petites cellules étoilées de la couche moléculaire, cellules d'a
terminales des petites cellules étoilées de la couche moléculaire, cellules d'association', entourent le ' C'est à propos d
aire, cellules d'association', entourent le ' C'est à propos de ces cellules étoilées, dont Golgi avait reconnu la nature ne
vi les fibres nerveuses delasubs- 400 REVUE CRITIQUE. corps de la cellule . Enfin, les arborisations grimpantes sont succe
'écorce du cerve- let (1897), a vu qu'à un stade embryonnaire où la cellule de Purkinje ne possède pas de panache, la fibre
ronc protoplasmique d'abord, puis chacune de ses branches. Quand la cellule de Purkinje est devenue adulte, les mailles du
épines des dendrites. a Le fait qu'une fibre entoure le corps d'une cellule tant que celle-ci ne possède pas de prolongemen
l'arborisation terminale de cette fibre nerveuse, cylindraxile, des cellules étoilées, constituent, en se ramifiant autour d
cellules étoilées, constituent, en se ramifiant autour du corps des cellules de Purkinje, un plexus très épais, intimement s
elation dynamique, une véritable communication de courant entre les cellules étoilées et les cellules de Purkinje. » 1 GEN
ritable communication de courant entre les cellules étoilées et les cellules de Purkinje. » 1 GENÈSE DES CIRCONVOLUTIONS DU
llulaire devient libre pour recevoir des excitations secondaires de cellules d'association (corbeilles terminales des cellul
secondaires de cellules d'association (corbeilles terminales des cellules étoilées). » Il résulte de ces dispositions ana
tomiques de l'écorce du cervelet ». Le cylindraxe, très long, des cellules étoilées, a un trajet non seulement parallèle à l
transversal, c'est-à- dire parallèle au plan des arborisations des cellules de Pur- kinje, ainsi que les fins prolongements
, émettent, on le sait, des collatérales qui s'arborisent entre les cellules des noyaux protubérantiels : les prolongements
lules des noyaux protubérantiels : les prolongements nerveux de ces cellules se terminent par les arborisations grimpantes q
t la tige ascen- dante et les branches maîtresses des dendrites des cellules de Purkinje. Tout mouvement volontaire, parti d
tigelles sans ramification des prolongements protoplas- miques des cellules de l'écorce cérébrale des amphibiens, on s'élèv
ment aux ramures et aux ramescences luxu- riantes des dendrites des cellules pyramidales de l'homme. Or, Ramon y Cajal l'ens
on y Cajal a vu (1 890) que, dans le développement du cervelet, les cellules de Purkinje les plus rapprochées de la surface
ugaro a observé la constance de ces faits, non seulement pour les cellules de Purkinje, mais pour tous les neurones de l'éco
rçait surtout ici une action dénotritive plutôt que toxique sur les cellules corticales (hyperoxydalion, légère coagulation
43,0 SOCIÉTÉS SAVANTES. z Sur quelques lésions expérimentales de la cellule nerveuse. MM. Gilbert Ballet et A. DUTIL (de Pa
faites sur le cobaye dans le but d'étudier les lésions légères des cellules nerveuses de la moelle provoquées par l'anémie
analo- gies que peuvent présenter les altérations primitives de la cellule nerveuse ainsi produites, avec celles qui appar
res que ces anémies transi- toires produisent dans la structure des cellules ganglionnaires spinales. Nous avons ainsi noté
issent intéressants au point de vue de la pathologie générale de la cellule nerveuse. La première lésion apparente, c'est
ablement toute la série des modifications bien connues que subit la cellule lorsque J'anémie de la moelle a été long- temps
Nous l'avons vue se localiser dans les points les plus divers de la cellule . Nous n'avons pas constaté qu'elle se cantonal pl
ralement, soit au pourtour du noyau, soit à l'un des pôles de la cellule , à la base d'un prolongement protoplasmique. La p
cellule, à la base d'un prolongement protoplasmique. La plupart des cellules ainsi lésées ont subi un certain degré de tuméfac
mplète des granulations chromatophiles dans la presque lotalité des cellules ganglionnaires des cornes antérieures du renfleme
s ganglionnaires des cornes antérieures du renflement lomhaire. Ces cellules , dont les granulations avaient disparu, offraie
gré de désintégration. Fait important à noter, les animaux dont les cellules spinales étaient ainsi altérées jouissaient pou
que les modi- fications de structure, subies par un grand nombre de cellules ainsi lésées par anémie transitoire du centre s
ection des nerfs périphéri- ques, c'est-à-dire la tuméfaction de la cellule , qui tend à prendre la forme globuleuse, la dis
l'ectopie plus ou moins avancée du noyau pour un certain nombre de cellules . Tels sont les traits de ressemblance que l'on
rences très nettes qui existent entre les lésions secondaires de la cellule nerveuse, c'est-à-dire consécu- tives aux secti
sions primitives produites par une injure diiecte faite à ces mêmes cellules gan- glionnaires (anémie expérimentale, etc.).
a valeur d'un type de dégénération, l'altération secon- daire de la cellule nerveuse et à l'opposer eu même temps aux modes
es des autres, d'une part les altérations que déter- mine, dans les cellules ganglionnaires spinales, la section des nerfs c
nts, et, d'autre part, les désintégrations aiguës et bru- tales des cellules spinales qu'entraînent la ligature définitive ou
Mais il n'en est pas moins vrai qu'une atteinte directe portée à la cellule nerveuse, lorsqu'elle est suffisamment atténuée,
Nous croyons donc que la séparation des lésions dégénératives de la cellule nerveuse en deux types, le secondaire et le pri
en'anatomie patholo- gique, tel ou tel cas dans lequel l'aspect des cellules altérées ne permette pas d'affirmer ou d'infirm
chro- mastologie est la première lésion appréciable par laquelle la cellule nerveuse révèle sa souffrance; mais elle n'impl
ui-même gravement atteint et si les connexions physiologiques de la cellule nerveuse avec les cellules voisines sont conser
et si les connexions physiologiques de la cellule nerveuse avec les cellules voisines sont conservées. i > L'histopatho
cellules voisines sont conservées. i > L'histopathologie de la cellule nerveuse. - M. Marinesco. Quand on se rapporte
nerveuse. - M. Marinesco. Quand on se rapporte à la structure de la cellule nerveuse, telle qu'elle élait admise il y a qui
observateurs, Flemming, Nissl, Benda, etc., dans la structure de la cellule nerveuse, c'est la décou- verte d'un nouvel élé
Marinesco, etc.), la substance fonda- mentale ou achromatique de la cellule fut considérée comme une substance amorphe. A c
ès du cylindraxe. La chroma- tolyse peut gagner tout le corps de la cellule nerveuse, mais, une chose essentielle à noter,
r, c'est, que le noyau qui, à l'état normal, occupe le centre de la cellule , émigré à ce moment vers la péri- phérie. Cette
e la substance chro- matique est ainsi désintégrée, le centre de la cellule présente un fond plus ou moins uniforme dans le
, éventualité qui présente dans les cas de lésions primitives de la cellule nerveuse, lésions que nous étudie- rons plus lo
ion anatomique a eu une autre conséquence : celle de prouver que la cellule nerveuse constitue une unité, un neurone dont l
euse. Par conséquent, il n'existe pas de névrites sans réaction des cellules des nerfs atteints. J'ai montré aussi l'exclusi
ens de décrire peuvent, dans une deuxième phase, rétrocéder,. et la cellule récupère un aspect normal; cette deuxième phase
de réparation. Pour connaître exactement ce qui se passe dans la cellule nerveuse pendant la phase de réparation, il faut
e pendant un, deux, trois ou quatre mois. On voit bien alors que la cellule , avant de revenir à son aspect normal, présente
près la section, et qui intéresse à la fois le volume général de la cellule et celui des éléments chromatophiles. Ceux-ci a
grandes dimensions, se colorent d'une manière plus foncée; ainsi la cellule présente, d'une part, une coloration plus inten
une disposition variable dans les prolongements et le corps de la cellule . Même dans les pièces traitées par la méthode de
t voir une vague striation, qui est assez évidente dans les grandes cellules de la substance réticulée du bulbe; mais, pour
fibrilles du prolon- gement nerveux, en traversant le collet de la cellule , se présentent sous l'aspect de faisceaux rayon
flements chromatiques minuscules qui, sur les coupes obliques de la cellule , font partie' intégrante des filaments achromatiq
e les fibrilles de ces prolongements et les travées du réseau de la cellule . Cette continuité a une grande importance au po
ports qui existent entre les lésions des prolongement et ceux de la cellule , ce qui confirme l'opinion que j'ai émise le prem
ntinuation du réticulum intra-cellulaire. , Sur la pathologie des cellules neiveuscs. MM. les Drs A. Golscheider et E. PLA
erlin). Les auteurs emploient la méthode de Nissl pour observer les cellules , - et l'injection de nitrile malonique (CN-CH2C
à 43° ou 44° centigrades la tempé- rature des lapins, le volume des cellules nerveuses est agrandi et les corpuscules de Nis
d'antitoxine retarde ce processus de désorganisation et permet à la cellule de revenir plus rapidement à sa forme, normale.
. SA3RAZES (Bordeaux). - Il' semble que l'élude du proloplasma -des cellules nerveuses ait absorbé toute l'attention des obser
un organe reproducteur et préside simplement à la . nutrition de la cellule . Mais à chaque altération protoplasmique -corre
tion du noyau qu'il importe d'étudier. Or, cette étude du noyau des cellules nerveuses, à l'état normal comme à l'état patho
.Nouvelle Iconographie de la Salpétrière (1897), étudié l'état des , cellules nerveuses médullaires dans la rage humaine. A cot
rieure et postérieure dont la confusion n'est pas possible avec les cellules endothéliales, les leucocytes, les cel- lules n
l- lules névrogliques, une ébauche de karyokinèse qui avorte. La- cellule nerveuse réagit, vis-à-vis de l'irritant patholog
a ; ce stade correspond à la période des spasmes rabiques ; mais la cellule ne peut suffire à réparer ses pertes et à lutte
alors survient le stade paralytique de la rage et cela bien que la cellule ait fait effort auparavant, par l'intermédiaire
ration est très variable ; l'épithélium qui tapisse le canal et les cellules péri- épendymaires ont une grande tendance à la
troncs nerveux. Dans la moelle, ces lésions s'observent dans les cellules ganglionnaires antérieures, dans la névroglie des
nsion des faisceaux des racines postérieures. Les modifications des cellules des ganglions inter-vertébraux, dans cette dégé
être de l'atrophie simple et correspondent aux modifi- cations des cellules des cornes antérieures, qu'on rencontre dans la
la dégénérescence rétrograde des faisceaux moteurs. L'atropie des cellules des cornes antérieures résulte de la mor- bidit
ans cet important recueil durant l'année 1897 : La néoformation des cellules nerveuses dans le cerveau du singe, consécutive à
'iuverse des maladiesexogènes celles-ci, de bonne heure, lèsent les cellules ou cylindraxes. Elle frappe à tort et à travers
t pour lui à une action réflexe spéciale du système nerveux sur les cellules germinatives. La pathologie et surtout les résu
atif et le reste de l'économie; pour expli- quer que l'ablation des cellules germinatives puisse arrêter le déve- loppement
ades de la dernière classe sont répartis en 14 quartiers, dont 2 de cellules (hommes et femmes) ce qui fait des sections de
ogie, par Charon, 362. CRtE cervicale, par Hetherington, 155. Cellule nerveuse. Sur quelques lé- sions expérimentales
scence. Effets de la - as- cendante sur les nerfs mixtes, sur les cellules nerveuses des gan- glions, sur les racines post
29 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
sions avancées, tandis que seules, les lésions récentes, formées de cellules vivantes, non encore incrustées de sels cal- ca
s folli- culaires et on ne trouve qu'une quantité infime de petites cellules et la structure de ces régions ne rappelle null
s trouvons en présence d'une lésion systéma- tisée qui a envahi les cellules des cornes antérieures de la moelle cervi- cale
de prouver qu'il y a, ou non, lésion anatomique de telles ou telles cellules cérébrales, à l'origine des spasmes dont la cause
simplement d'un trouble dynamique, physiologique, passager, de ces cellules soumises de par la ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFES
es, semblerait avoir pour rôle de coordonner les mouve- ments : les cellules du cervelet préposées à telle ou telle fonction,
use, diffuse ou en foyer, ou qu'il y a simple trouble dynamique des cellules nerveuses préposées à telle ou telle fonction ;
nerveuse « noyée dans le sang », sans alté- ration appréciable des cellules nerveuses (examen fait par Manouélian). Danysz
s congestifs, et il émet l'hypo- thèse d'une action directe sur les cellules nerveuses. Scholz (2) expérimente sur 5 laperea
Il existe également quelques foyers de ramollissement, avec amas de cellules rondes, le long des gaines vasculaires, surtout
n, provoqué par les rayons du radium ». En effet, il note, pour les cellules nerveuses,un certain degré de chromatolyse,parfoi
parfois, également, une tendance à la dégénérescence graisseuse des cellules épithéliales, des capsules péricellulaires dans l
llulaires dans les ganglions rachidiens. Le Marchi montre, dans les cellules des cornes antérieures et de l'écorce céré- bra
cune altération par la méthode de Marchi ou l'hématéine-éosine, ses cellules n'apparaissent nullement modifiées ni par la mé
sant que les plus im- portantes dépassent à peine le diamètre d'une cellule des cornes antérieu- res : 2 à 3 seulement ont
breuses petites hémorrhagies dans la substance grise, intégrité des cellules nerveuses (coloration par le Bleu de toluidine-
(coloration par le Bleu de toluidine- éosine-orange). D - Exp. 2. Cellules pyramidales du cerveau, dans la région des hémorr
s la région des hémorrhagies. Méthode de Ramon y Cajal. E - Exp. 3. Cellules nerveuses de la corne antérieure, niveau très voi
c'est à peine si, dans la région lombaire, on trouve quelques rares cellules présentant une ébauche de chromatolyse, et si,
la constitution du corps vivant. Cette molécule et plus tard cette cellule furent la première ébauche de l'homme, du règne
ouver sous la complexité actuelle. ' Cette substance vivante, cette cellule qui n'appartient encore ni au règne animal, ui
té et en quantité par la nature de l'excitant. C'est ainsi que la cellule se nourrit, s'accroît et prolifère. Déjà nous rem
ents sans entrevoir leurs causes. Les choses se passent comme si la cellule voulait et, à un degré moins avancé de connaissan
entre temps. Il se forme alors pour unir ces différents rouages une cellule nerveuse qui reçoit et transmet l'excitation re
d'organisation un peu plus élevé, on rencontre deux, trois, quatre cellules nerveuses intermédiaires, de sorte que, à ce mo
comme on ne pourrait pas toujours distinguer sous le microscope une cellule médullaire d'une cellule cérébrale,il il devien
toujours distinguer sous le microscope une cellule médullaire d'une cellule cérébrale,il il devient logique, même à priori,de
caractère strictement dépendant de la con- formation biologique des cellules . Il serait d'une nature tranquille ou empor- té
ent, s'enchevêtrent. Sous la pression d'excitations extérieures, la cellule nerveuse organisée par l'hérédité se modifie da
ications peut également s'attribuer à la fixation du poison sur des cellules cérébrales physiologiquement épuisées par un tr
aire était formé de tissu fibreux épais, avec de nombreuses grandes cellules de tissu conjonc- tif. Pour Janssen, la cause d
moelle ? D'après les don- nées physiologiques et pathologiques, les cellules motrices des cornes anté- rieures de la moelle
habituels ; d'autre part il permettra aux muscles surmenés, et aux cellules cérébrales excitées ou épuisées, de reprendre l
ait assez logique d'admettre une altération dynamique passagère des cellules nerveuses préposées à la coordination des mouve-
s préposées à la coordination des mouve- ments professionnels : ces cellules , particulièrement fragiles chez un pré- disposé
l ne s'agit pas ici d'hypernéphrome malin de cancer réno-surrénal à cellules claires. Le cancer surrénal, constaté dans ce c
élioma cylindrique du type gastro-intestinal ; il est formé par des cellules d'épithélium cylindrique réparties sur une seule
r et conte- nant, pour la plupart, un seul noyau bien coloré. Les cellules cancéreuses sont soutenues par un axe conjonctivo
ires à paroi mince, gorgés de sang. On trouve, en grand nombre, des cellules conjoncti- ves jeunes, paraissant réunies par l
ssu conjonctif forme des alvéoles dans lesquelles sont groupées des cellules du type épithélioïde, Il existe des amas altérés,
ule de Glisson montre qu'il s'agit d'une néoplasie épithéliale. Les cellules qui cons- tituent la tumeur, sont groupées sans
ntervalles d'un tissu conjonctif lâche, peu abondant et parsemé des cellules jeunes. Les éléments cancéreux sont polyédrique
polyédriques et irréguliers ; leur volume est variable ; quel- ques cellules contiennent deux, trois et même quatre noyaux. Su
deux, trois et même quatre noyaux. Sur certains points, on voit des cellules cylindriques, groupées sur une seule rangée, se
abondant, dense, présentant peu d'éléments cellulaires, des amas de cellules épithélioïdes, cubiques, cylindro-cubiques ou en
au qui ne montre qu'exceptionnellement des figures de division. Ces cellules sont réunies dans des espaces arrondis qui les
les caractères des capillaires sanguins et lymphatiques. Parfois, les cellules cancéreuses font irruption en dehors des vaisse
résumé, cet épithélioma cylindrique lobulé et tubulé du cerveau, à cellules claires, appartient au type gastro-intestinal et,
du lobule occipital droit et consécutif à un épithélioma primitif à cellules claires du rein droit juxla-sur1'l}¡wl, Cancér
té télangiecta- \ 3 si . BOINET sique, d'aspect hémorragique, à cellules claires, semblable au cancer primitif du rein q
tissu fibro-scléreux assez dense avec infiltration périphérique de cellules embryonnaires. Les cellules néoplasiques se pré
nse avec infiltration périphérique de cellules embryonnaires. Les cellules néoplasiques se présentent sous la forme de frang
arois propres. Beaucoup d'entre elles ont perdu leurs caractères de cellules claires et ont l'apparence de cellules sarcomat
nt perdu leurs caractères de cellules claires et ont l'apparence de cellules sarcomateuses, d'apparence classique, à noyau bie
nt franchement l'éosine; mais il s'agit toujours d'uu épithélioma à cellules claires. Le tissu nerveux environnant présente
ma primitif du rein. Il appartient au type tubuleux cylindri- que à cellules claires. C'est un épithélioma a tendances télangi
x très dilatés, d'abondantes hé- morragies et le type épithélioma à cellules claires disposées en tubes creux. Observation I
llulaires colorables. Cependant, la proportion des fibrilles et des cellules n'est pas égale dans toutes les parties delà co
delà coupe; on observe, en un point central, une prédo- minance de cellules arrondies ou ovalaires, d'apparence sarcomateuse,
icule latéral gauche. La prolifération névroglique est diffuse, les cellules sont plus nombreuses que dans la partie snus-pé
la tumeur; cependant, le réseau fibrillaire reste prédominant. Les cellules sont pour la plupart ovalaires, quelques-unes s
que par un petit espace conjonctivo-lymphatique. Il existe quelques cellules ner- veuses, atrophiées, en chromatolyse, sans
ue des éléments nobles du système nerveux. On observe de nombreuses cellules nerveuses toutes très altérées et présen- tant
rées et présen- tant les lésions suivantes : formation autour de la cellule d'un espace clair donnant une apparence capsulé
de- vient très excentrique et fait parfois saillie en dehors de la cellule ; 4" chro- matolyse. Il existe très peu de fi
de l'agent infectieux soit au niveau des nerfs, soit au niveau des cellules médullaires, si l'on considère cet aspect du pr
s qui obligeaient à écarter l'hypothèse de lé- sions localisées aux cellules motrices des cornes antérieures. L'autopsie, et
. Dustin). I. Différents stades de la dégénérescence vacuolaire des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle lo
? c. jeunes cylindraxes ; g. s. anciennes gaines de Schwann ; c. s. cellules de Schwann ; /, leucocytes 1. - Fixation par la
montre les anciennes gaines de Schwann flétries, vacuolcuses ; les cellules de Schwann très nombreuses forment les bandes c
baires paraissaient absolument normaux, exception faite de quelques cellules présen- tant un léger degré de cbromolyse, comm
s de chromolyse intense et de vacuolisation dans un grand nombre de cellules radiculaires. Ici nous n'avons plus affaire à u
toujours excentrique, également très turgescent. Seules les grandes cellules radiculaires subissent la chromolyse, les petites
grandes cellules radiculaires subissent la chromolyse, les petites cellules funiculaires de la région médullaire présidant à
actes, conservent des blocs de Nissl bien dis- tincts. Toutes les cellules motrices ne paraissent toutefois pas être égaleme
lytique qui se manifeste avec son maximum d'intensité au niveau des cellules formant les colonnes centrales et postério- lat
souvent coexistant avec celles-ci, nous avons pu constater dans les cellules motrices des segments lombo-sacrés des modifica
PI. XL). On voit apparaître une ou deux petites vacuoles au sein de cellules généra- lement en chromalyse et assez fortement
illaire bien nette ; lorsque l'état spumeux atteint un haut degré, la cellule paraît être frappée à mort (fig. I, il) ; dans
et s'atrophient. LA POLYNÉVRITE GRAVIDIQUE 355 De même que les cellules en chromolyse simple, les cellules en état de va-
E GRAVIDIQUE 355 De même que les cellules en chromolyse simple, les cellules en état de va- cuolisation ne se trouvent pas u
fférents groupes cellulaires des cornes antérieures. La plupart des cellules des colonnes centrales et postéro-latérales son
que ? L'autopsie pratiquée rapidement après la mort, la présence de cellules vacuolisées dans la moelle lombo-sacrée et rien
ces cpllules dans certains noyaux des cornes antérieures, à côté de cellules tout à fait indemnes per- mettent d'écarter ces
tent d'écarter ces différentes hypothèses. Ce mode d'altération des cellules nerveuses ne constitue pas une rareté anatomo-p
part nous avons observé maintes fois la vacuolisation de certaines cellules nerveuses ; encore tout récemment nous l'avons co
s nerveuses ; encore tout récemment nous l'avons constatée dans des cellules de ganglions rachidiens humains au cours de la ra
s humains au cours de la rage (1) ; nous l'avons retrouvée dans les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière du
ique ; HAUSIIALTER et Colin (3) l'ont signalée et dessinée dans les cellules cérébrales d'un hémisphère microgyrique. SOLOVT
qui parait fréquemment être dû à des lésions des prolongements de la cellule , surtout lorsque à ces lésions s'ajoutent une c
ntent que fort peu de lésions. Nons avons noté un certain nombre de cellules en chro- molyse au niveau des ganglions rachidi
ement aux lésions banales résultant de toute affection grave. Les cellules capsulaires entourant les cellules ganglionnaires
nt de toute affection grave. Les cellules capsulaires entourant les cellules ganglionnaires ne sont guère augmentées en nomb
sont guère augmentées en nombre. Nous n'avons nulle part observé de cellules ganglion- naires pénétrées ou pourvues de prolo
ion- naires pénétrées ou pourvues de prolongements néoformés, ni de cellules anormalement pigmentées. (t) Cas non encore p
ériphérique dégénère ; au cours de cette dégénérescence on voit les cellules de Schwann présenter de nombreuses mitoses et s
suivront les jeunes cylindraxes issues du bout central du nerf.Ces cellules , bien étudiées par Büngner, jouent, comme le dé
egment périphérique présente encore de ci de là quelques nodules de cellules inflammatoires. Ces deux faits, dus, le premier,
phériques et des muscles innervés par eux et chromolyse intense des cellules d'origine des cylindraxes lésés et suivie d'un
e des fibres à myéline, on peut distinguer deux degrés : ou bien la cellule à myéline est seule frappée, le cylindraxe pers
es cylindraxes cen- traux. La névrite parenchymateuse limitée aux cellules à myéline paraît être assez rare : elle se mani
ateuse périaxilesegmentaire décrit par Gom- BAULT. Dans ce type les cellules à myéline dégénèrent déplace en place, tandis q
es cylindraxes ne restent pas indifférents à, la dégénérescence des cellules à myéline, leurs véritables cellules satellites.
rents à, la dégénérescence des cellules à myéline, leurs véritables cellules satellites. Les réactions très curieuses observ
conséquent d'une névrite parenchymateuse. (1) Maiunesco. Voir La cellules nerveuse, 2 vol. (2) BiescEowshr, Journ. f. Psy
constaté l'existence dans les troncs nerveux de petites colonies de cellules migratrices, qui, persistant après deux mois, d
troubles des cylindraxes sont primitifs, tandis que les lésions des cellules à myélines et du tissu conjonctif ne sont que les
les que la névrite segmentaire juvénile. L'affection frappe ici les cellules satellites du neurone, tandis que les cylindrax
ations étroites qui lient l'activité du neurone à l'activité de ses cellules satellites ; pour ne citer que deux exemples de
e Schwann lorsque le cylindraxe qu'elles entourent est séparé de sa cellule et dégénère, et la multiplication des cellules ca
rent est séparé de sa cellule et dégénère, et la multiplication des cellules capsulaires des ganglions rachidiens se faisant
des ganglions rachidiens se faisant parallèlement à l'atrophie des cellules ganglionnaires (rage, sénilité, délire hallucin
ongements tient incontestablement sous sa dépendance l'activité des cellules satellites. Celles-ci, il leur tour, lors- que
écente, pourraient, la rigueur, expliquer une lésion secondaire des cellules de Schwann succédant à un trouble dyna- mique l
ines antérieures ; 3° Lésions médullaires localisées uniquement aux cellules radiculaires d'origine des nerfs malades, sans
s nerfs malades, sans lésions de myélite et sans lésion des petites cellules funiculaires. Reprenons ces trois points en dét
trouble dynamique des neurones. Nous savons en effet que les seules cellules influencées par ces modifications centrales son
eules cellules influencées par ces modifications centrales sont les cellules satellites des neurones ; cellules capsulaires de
modifications centrales sont les cellules satellites des neurones ; cellules capsulaires des gan- glions rachidiens et cellu
s des neurones ; cellules capsulaires des gan- glions rachidiens et cellules à myéline échelonnées le long des cylin- draxes
ppent à la dégénérescence. Enfin il est difficile de s'imaginer une cellule nerveuse frappée au point de voir son cylindraxe
jectera-t-on, les phénomènes de chromolyse etde vacuoli- sation des cellules radiculaires dénotent une lésion profonde de la m
ne sont vraisemblablement dus qu'à l'épuisement total de certaines cellules qui, déjà frappées par la toxi-infection dont s
t les ganglions rachidiens, les ganglions du pneumogastrique ou les cellules de la corne d'Ammon ? En résumé, nous croyons
es. A ces lésions succèdent la chromolyse el la vacuolisa- tion des cellules d'origine des axones lésés. Les cellules funicula
el la vacuolisa- tion des cellules d'origine des axones lésés. Les cellules funiculaires, 'les racines antérieures, les rac
t également atteinte, le canal épendymaireest partout oblitéré, les cellules nerveuses sont mé- connaissables, et ne reprenn
LIOMYÉLITE AIGUË < 3 381 ; v z ont fait la numération dans une cellule construite spécialement à cet effet : p. Comme
méthode de Naeotte. Seulement nous avons fait la numération dans la cellule de Thoma-Zeiss, ordinairement employée pour la
umération des globules blancs du sang. Nous avons calculé que cette cellule mesure 5 millimètres cubes. Au début nous avo
ions de- viennent importantes, quand il s'agit d'un grand nombre de cellules (100 ou plus par millimètre cube). Voici, par e
, 4.4 et 40 par 3 mii- limètres cubes. Avec un nombre plus grand de cellules , les erreurs peu- vent être beaucoup plus grand
suspendre l'opération. Le liquide était clair et la numération des cellules nous a donné 2 lymphocytes par millimètre cube.
vier. La pression était de 90 milli- mètres ; nous avons trouvé 170 cellules par millimètre cube, dont 42 0/0 étaient des le
pression était de 120 millimètres. La numération nous donne 22 à 25 cellules par millimètre cube, et il n'y a maintenant que
iers mois de la maladie, on a trouvé une augmentation du nombre des cellules . En général, il s'est agi exclusivement de lympho
'précise qu'on ne l'avait jusqu'ici sur le degré d'augmentation des cellules . Aux deux cas, antérieurement publiés comme ayant
semaine, nous pouvons en ajouter trois autres (avec numération des cellules ).De ces trois cas,deux nous donnent la démonstr
on pouvait attendre. Car, en examinant l'état des mé- ninges et les cellules qu'on y a trouvées, on a constaté en général qu'i
ude des noyaux des quatre dernières paires de nerfs crâniens. Les cellules de tous ces noyaux nous ont paru absolument norma
cerveau et la protubérance, et par la méthode de Weigert-Pal. Les cellules des cornes antérieures étaient normales sur toute
tait pas d'autres modifications qu'une aug- mentation de nombre des cellules épendymaires. La prolifération de celles-ci obs
bstruait à certains niveaux la lumière de l'épendyme et on voyait ces cellules pénétrer dans l'épaisseur de la substance blanc
ue ces amas cellulaires sont formés pour leur plus grande partie de cellules rondes dont le noyau fortement coloré occupe pres
asma : ces cel- lules sont donc des lymphocytes. En outre, quelques cellules ont tous les carac- tères des cellules conjonct
phocytes. En outre, quelques cellules ont tous les carac- tères des cellules conjonctives et un petit nombre, plus claires, so
s conjonctives et un petit nombre, plus claires, sont analogues aux cellules du sarcolemme. Sur des coupes colorées par la thi
ence, mais en petit nombre, de mastzellen. On rencontre des amas de cellules analogues sur quelques coupes au milieu des fib
t entière. Tout-autour des fibres existe une légère infiltration de cellules conjonctives et de lymphocytes et quelques fibres
e Unna, on constate que les unes sont des lymphocytes, d'autres des cellules conjonctives ; certaines enfin, très volumineus
au voisi- nage des vaisseaux où elles sont étalées. Le corps de la cellule est rempli de granulations métachromatiques vio
andues à une certaine distance du corps cellulaire. Le noyau de ces cellules est arrondi, coloré en bleu de façon un peu plu
u plus intense que normalement. Il est rejeté à la périphérie de la cellule et présente plusieurs nucléoles. On retrouve le
e la cellule et présente plusieurs nucléoles. On retrouve les mêmes cellules au milieu même des fibres musculaires où elles
où elle est disparue par suite de la prolifération cellulaire. Les cellules chromophiles sont beaucoup plus nombreuses que le
re. Les cellules chromophiles sont beaucoup plus nombreuses que les cellules chromophobes et certains acini centraux en part
centraux en particulier sont uniquement cons- titués par de grosses cellules éosinophiles. Le colloïde est peu abondant. Gla
et celles d'un volume moyen apparaissent presque toutes remplies de cellules à travers lesquelles il est possible de constat
neuses est recouverte d'une ou plus souvent de plusieurs rangées de cellules cubiques, à noyau bien coloré. Les gouttes sarc
f, présentent sur un point de leur paroi une prolifération de leurs cellules . Il se forme ainsi une sorte d'éepron qui pénèt
ellulaires infiltrés au milieu des fibres : la banalité même de ces cellules , le peu d'intensité de la réac- tion interstiti
liés à une altération congénitale du ganglion spinal,ou plutôt des cellules ganglionnaires des racines postérieures de la moe
ue des nerfs périphériques, des racines spinales, des méninges, des cellules de la substance grise, n'a pas permis de déceler
son importance ne saurait échapper. L'intégrité des racines ou des cellules de la moelle au jour de l'autopsie, vingt ans a
près l'évolution delà maladie, ne prouve pas que ces racines ou ces cellules n'aient pas été lésées sous une forme ou sous une
épaississe- ment de la pie-mère et son infiltration diffuse par des cellules rondes. Ses vaisseaux sont dilatés, remplis de
latés, remplis de sang ; leur paroi est épaissie, infiltrée par des cellules rondes. Les vaisseaux du cerveau sont aussi hyper
intracellulaire, tantôt forme de petits amas libres. La plupart des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale montrent des diff
se, atrophie pigmentaire, kariolyse et dé- sagrégation complète des cellules ). Les espaces péri-cellulaires sont élargis. Le
bitude est augmenté. La substance grise contient un grand nombre de cellules en araignée et un nombre plus grand que normaleme
DES CÔTES 499 fibreux. On trouve une pigmentation très marquée des cellules de la moelle épinière et une atrophie des cellu
très marquée des cellules de la moelle épinière et une atrophie des cellules nerveuses ganglionnaires. La plupart présentent
ique du ganglion de la région lombaire, il a été trouvé beaucoup de cellules nerveuses touchées par différents processus de dé
glion montre, dans un endroit, un morceau de tissu osseux, avec des cellules osseuses très nettes, situé entre les fibres et l
avec des cellules osseuses très nettes, situé entre les fibres et les cellules gan- glionnaires. Ce foyer osseux est entouré p
cellulaire ; de plus, on 500 ROUDNEW constate dans le cerveau des cellules et des fibres nerveuses en voie de dégé- néresc
scope, on voyait une dégénérescence des racines posté- rieures, des cellules des ganglions intervertébraux et des faisceaux de
ppelle que les fibres nerveuses responsables de l'atrophie ont leur cellule d'origine beaucoup plus haut.- L'ostéophytose r
citant d'ordre réflexe; elles servi- raient à charger d'énergie les cellules motrices de la moelle et du cervelet et aussi e
, tandis que, dans la marche, grâce aux vibrations incessantes, les cellules se rechargent et ! e tonus se maintient. Egger
berculeuse, mais que l'examen anatomique a révélé être un sarcome à cellules géantes. Exception faite pour les inspi- rateur
xyline-éosine ou à 1'liéniiLo ? yliiie-Vaii Gieson, on voit que les cellules de Purkinje ont presque disparu dans toutes les
ins et la couche moléculaire, il existe un espace clair répondant aux cellules de Purkinje disparues. La couche moléculaire
ce de ces fibres à myéliue qui se terminent en corbeille autour des cellules de Purkinje. Dans la couche des grains, les fib
t atrophiés ; ils sont égaux et symétriques. Microscopiquement, les cellules sont évidemment moins nombreuses, bien que sur
. Les deux bouchons paraissent avoir leurs dimensions normales; les cellules ne sont pas très malades; les fibres myéli- niq
obules. - Ils paraissent également normaux tant au point de vue des cellules que des fibres myéliniques. Les noyaux dentelés
e tache blanche. Il y a diminution d'épaisseur de la lamelle. Les cellules sont petites, pigmentées, presque sans prolongeme
uées de nombre. Elles ne présen- tent pas d'autres altérations. Les cellules ne sont pas très nombreuses ; certai- nes d'ent
histologique on constate la disparition de l'immense majo- rité des cellules ; on en constate encore quelques-unes, mais très
t en faisceaux qui sortent du bile. On y rencontre là de nombreuses cellules . Les fibrilles névrogliques sont, au niveau du
orment un réseau dans lequel on rencontre de nombreux noyaux et des cellules araignées. Les parolives internes et externes p
ulaires internes sont bien conservées. Natu- rellement, les grandes cellules formant les noyaux de Deiters et de Bechterew n
ces pédoncules, aussi bien pré que rétropyramidaux sont composés de cellules normales d'aspect et 612 LEJONNE ET LHERMITTE
let, caractérisée histolo;iquement par la disparition de toutes les cellules de Purkinje, d'un grand nombre des cellules de
sparition de toutes les cellules de Purkinje, d'un grand nombre des cellules de la couche des grains remplacée par un feutrage
ues. Celles-ci consistent en une agénésie plus ou moins marquée des cellules et des fibres cérébel- leuses, comme dans les c
as de Nonne et de Miura ou encore en une dimi- nution numérique des cellules de l'écorce cérébelleuse, comme l'ont mon- tré
nt d'une simple paroi endothéliale immédia- tement entourée par les cellules névrogliques (fit, 3, c). Tantôt les capillaire
puis bientôt l'obstruction des lumières vasculaires. De plus les cellules endotliéliales souvent très tuméfiées sont le siè
sociation de tous les éléments bulbaires et protuberantiels par les cellules du néoplasme qui dissèquent, peut-on dire, fibre
ire, fibre à fibre, les voies ner- veuses. De place en place, les cellules névrogliques abandonnent cette disposition dif-
tous les cas d'hydrocéphalie, et mal- gré l'énorme compression, les cellules pyramidales géantes sont assez bien con- servée
e même présenter une densité plus grande que d'habitude. Les autres cellules pyramidales, grandes, moyennes et petites sont
se présente des modifications qui retiennent toute l'attention. Les cellules qui constituent les nids sous-capsulaires sont am
hro- matine sont quelquefois très denses. Par ci par là on voit des cellules à deux 634 . MARINESCO ET GOLDSTEIN noyaux. L
634 . MARINESCO ET GOLDSTEIN noyaux. L'aspect du protoplasme des cellules acidophiles, sur les sections co- lorées avec l
arie du rouge-brun jus- qu'au rouge-carmin. Seulement dans de rares cellules ou distinguo des granu- lations. A la périphéri
rares cellules ou distinguo des granu- lations. A la périphérie les cellules sont tellement nombreuses que la superpo- sitio
rpo- sition des noyaux ne permet plus de voir leur protoplasma. Les cellules ont des dimensions variables, quelquefois elles
s granulations. Certains acini ne contiennent qu'un petit nombre de cellules , mais celles- ci sont généralement volumineuses
re de cellules, mais celles- ci sont généralement volumineuses. Les cellules semblent granuleuses. Celles qui appartiennent
ules semblent granuleuses. Celles qui appartiennent à la classe des cellules grandes sont relativement rares, mais non excep
tral, tantôt périphérique. Cer- tains acini sont constitués par des cellules entourées par une couche très mince de protopla
ue dans ce cas l'hypophyse est constituée essentiel- lement par des cellules acidophiles présentant toutes les phases de révol
volution : depuis le stade embryonnaire jusqu'à la phase de grandes cellules éosinophiles granuleuses.il n'existe pas, pour
Coupe de la portion glandulaire de l'hypophyse montrant des grandes cellules éosinophiles granuleuses et des vaisseaux dilatés
CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 635 pés, la couche des cellules épithéliales qui les tapisse est régulière. On vo
is en forme de peloton, et situés entre les espaces laissés par les cellules sertoliennes. Mais on ne voit pas de figures de
. Le tissu conjonctif interstitiel est abondant, avec beau- coup de cellules conjonctives, mais avec de très rares cellules in
, avec beau- coup de cellules conjonctives, mais avec de très rares cellules interstitielles typiques. Dans le testicule e
r ca- libre est beaucoup plus petit que dans l'autre testicule. Les cellules épithéliales qui tapissent ces tubes sont rangé
be. Daus ces tubes, on ne voit que deux espèces de cellu- les : des cellules rondes avec un grand noyau, contenant un nucléole
cellules rondes avec un grand noyau, contenant un nucléole, et des cellules sertoliennes, incomplètement développées. Les cel
éole, et des cellules sertoliennes, incomplètement développées. Les cellules rondes sont très pauvres en chromatine, de sort
ont un aspect clair et on n'y .voit nulle trace de karyokinôse. Les cellules de Sertoli sont également claires et se termine
f interstitiel est très abondant et présente une grande quantité de cellules pleines de granulations, de graisse et de forma
occupent tout le protoplasma, masquant tout à fait la structure de la cellule , de sorte qu'on n'aperçoit plus aucune trace de
é montrant l'hypertrophie et la sclérose du tissu interstitiel. Les cellules épithéliales des tubes séminaux sont rangées irré
il existe en outre des follicules de forme irrégulière et pleins de cellules épithéliales. L'épithélium des follicules rempl
es remplis par l'exsudat est plus ou moins aplati. La plupart des cellules , sur les préparations colorées au Sclarlach, cont
vacuoles. Par endroits l'ovule est remplacé par une infiltration de cellules ayant l'as- pect de nodules. Les traces d'invol
riphérie de ces zones, sont petits, irréguliers, et contiennent des cellules aplaties, ramassées les unes au-dessus des autres
l'épithélium glandulaire est représenté par une ou deux rangées de cellules aplaties. Ils sont séparés les uns des autres par
ïdale qui remplit ces follicules, on voit par ci par là beaucoup de cellules dégénérées, vacuolaires. Il nous semble hors de
ux peu développés, et dans le tissu conjonctif on n'a trouvé aucune cellule inters- titielle. Pour cette raison les auteurs
ppement plus grand des vaisseaux sanguins et une multiplication des cellules éosi- nophiles. Quelques injections de suc orch
nimaux mâles châtrés on trouve le plus souvent une prédominance des cellules éosinophiles qui peut même être très marquée. Cep
t loin d'être constante, et dans certains cas nous avons trouvé les cellules chromophobes formant la majorité. Cette éven-,
nce, à un virus donné, des LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 659 cellules nerveuses situées près du foyer initial, en const
uelques petites infiltrations cellulaires, mais sans altération des cellules ganglionnaires. Cependant, pour ma part, je ne pe
spécifique, inflammation qui a pour conséquence une destruction des cellules gan- glionnaires plus ou moins étendue, en géné
pas la fonction des organes, mais les met simplement en marche. La cellule nerveuse est adaptée à la fonction qu'elle comm
du chimisme humain qu'en analysant isolément une unité de vie, une cellule et en reportant ensuite, par la pensée, sur l'o
isme entier les résultats de cette investigation biolo- gique. La cellule est l'organisation vitale élémentaire et l'homme
siste le processus de la vie. Ces transposi- tions d'atomes dans la cellule sont déterminées par des excitations chimi- que
bumine vivante et, de la sorte, de l'énergie chimique passe dans la cellule où elle s'accumule sous forme d'énergie potenti
i- milés. En résumé, les excitations extérieures en agissant sur la cellule , déterminent au sein de celle-ci des réactions
ions inorganiques comme celles-ci se différencient entre elles. Les cellules vivantes ne sont pas toutes de même espèce ; no
vantes ne sont pas toutes de même espèce ; nous avons notamment les cellules nerveuses, musculaires, glandulaires différentes
hérédité avectacompositionmotécutaire propre à chacune d'elles, les cellules développent leurs réactions spéciales chaque fo
ption biologique, est précisément cette force dégagée au sein de la cellule au moment où celle-ci subit certaines excitatio
'affinités chimiques. La mani- festation de la vie dans la première cellule lui a donné naissance. Il a été l'expression de
oxydation pour l'oxygène. Grâce à sa structure physico-chimique, la cellule est adaptée à l'assimi- lation des aliments, c'
vie et d'en perpétuer l'espèce. Les choses se pas- sent comme si la cellule avait l'instinct de sa conservation et de sa repr
re de leur struc- ture physico-chimique. Ainsi, il se rencontre des cellules qui transfor- ment le sucre en alcool ; d'autre
; d'autres se gonflent et se raccourcissent, lorsqu'on les excite ( cellule musculaire), etc. Comme ces propriétés sont l'e
caractéristique au mot instinct. En effet, nous observons dans les cellules du corps humain de véritables instincts, des pr
la sécrétion du suc gastrique. En se multipliant par division les cellules forment nécessairement des tissus, c'est-à-dire
e et la quantité infinitési- 704 LEFÈVRE maie élaborée par chaque cellule multipliée par le nombre de celles-ci devient f
ubsistance. Des lois mécaniques analogues à celles qui empêchent la cellule de dépasser un certain degré de développement s
ans se diviser et qui déjà sont connues, forcent certai- nement les cellules tissulaires à se différencier, lorsque les descen
llules tissulaires à se différencier, lorsque les descendants de la cellule primitive commencent à former une masse trop cons
e la seg- mentation continue et que s'accroît la masse vivante, les cellules se diffé- rencient, se spécialisent et le trava
eux-ci ne se trouvent plus dans les conditions vitales de la simple cellule dont toutes les parties baignent dans le milieu e
tre. Celui-ci représente donc un point dans l'espace occupé par des cellules de composition et de fonction différentes et ré
thermiques, lumineuses, mécaniques ou électriques agis- sant sur la cellule , mettent en liberté des énergies chimiques, therm
ons intérieures capables d'agir, chacune suivant sa nature, sur des cellules , des tissus, des organes voisins ou éloignés. L
anes voisins ou éloignés. La manifestation des propriétés de chaque cellule d'organes a pour résultat et non pour but de le
des socié- tés dont les éléments doivent réagir entre eux comme les cellules entre elles et les organes entre eux. Pour celu
r que toutes les manifestations humai- nes dérivent du chimisme des cellules . En effet, c'est un fait qui ne sera contesté p
ensation ou pensée relève d'un substratum et, par conséquent, d'une cellule , puisque celle-ci représente l'unité de vie dans
nécessairement relever de compositions cellulaires différentes. Des cellules identiques devraient réagir de la même façon vi
n genre de vie en transformant les caractères physico-chimiques des cellules dont elle est formée. Le résultat final n'a pas
nte qui n'aurait jamais pu exister sans les posséder. Ils sont à la cellule ce que l'hydratation est à l'eau. Peuvent seule
est adapté à leur fournir. L'énergie mise en liberté au sein de la cellule excitée n'agit pas nécessairement sur place et
stants, par un mécanisme réflexe, c'est-à-dire que chacune de leurs cellules est reliée au système nerveux central par deux
lle ou en acte d'inhibition, en vertu des adaptations spéciales des cellules nerveuses. Lorsqu'un aliment tombe dans l'estom
ionnée d'une façon adéquate et cette sensation est conduite par une cellule ner- veuse avec ses prolongements ou nerfs jusq
jusqu'à la moelle où elle est réflé- chie directement sur une autre cellule nerveuse qui réagira en excitant, par l'intermé
par une suite de communications, la sensation initiale agit sur une cellule sensi- tive qui réagit à son tour sur une cellu
iale agit sur une cellule sensi- tive qui réagit à son tour sur une cellule sécrétrice "adaptée à la mise en activité des g
ologique, en vertu desquels le courant nerveux passe de cer- taines cellules sur d'autres, se réfléchit, sans le concours delà
d'autres, se réfléchit, sans le concours delà volonté, de certaines cellules sur d'autres pour se transformer et s'étendre.
ganes distincts, donner la vie à l'être formé par cet assemblage de cellules et de groupements cellulaires consisterait donc,
, mais par une hormone du nom de sécrétine et qui, sécrétée par les cellules épithéliales du duodénum sous l'influence de l'ac
ans le sang doivent jouir logiquement de la propriété d'exciter les cellules et que l'action directe de l'acide carbo- nique
se transforme directement en mouvement en se réfléchissant sur une cellule nerveuse, sans atteindre la phase de l'idéation.
etenaient la vie c'est-à-dire le mouvement intra- moléculaire de la cellule où se réfugie la vie élémentaire car, pas plus
-t-il pas dans les cristaux en voie d'accroissement la formation de cellules , l'organisation d'un noyau, son expulsion, le d
nisation d'un noyau, son expulsion, le développement d'une nouvelle cellule autour de celui-ci,tous phénomènes vitaux. Ne n
ssation d'un phéno- mène important, la respiration. Mais toutes les cellules 'composantes n'ont pas pour cela cessé de vivre
fins natu- relles de l'être résultant d'une vaste agglomération de cellules vivantes. Les unités de vie comme les composés
d'expériences, de connaissances et de leçons matérialisées dans les cellules . Si tout s'arrêtait dans la nature, la pensée d
t le modifier, chacune suivant sa nature, puisqu'elles excitent ses cellules et changent leur équilibre physico-chimi- que.
30 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
par dégénérescences athéromateuses diffuses des capillaires et des cellules de l'écorce cérébrale. Cette affection se disti
opérée de la même façon (prolrlération névralgique, atrophie des cellules pyramidales, hémorrhagies punctiformes) reste s
s lésion circonscrite ni corticale et sans altération de nombre des cellules de purkinje. Tous les fais- ceaux cérébelleux d
au niveau où on le trouve. L'auteur n'ose pas se prononcer sur les cellules d'où émanent ce faisceau qu'il considère comme pr
égénérescence vallérienne du bout périphérique ni la chromolyse des cellules d'origine. , . Un autre fait qui tend à prouver
des réflexes. ( ? 1). : ` XX. Rapports entre les prolongements des cellules nerveuses des invertébrés et des vertébrés; pdr
médecine mentale de Belgique, décembre 1900.) L'étude comparée delà cellule nerveuse des animaux des divers, embranchements
nimaux des divers, embranchements conduit à cette conclusion que la cellule nerveuse est construite d'après un même plan. L
t dire cependant que chez les divers animaux, les prolongements des cellules nerveuses se terminent librement et se mettent
simple contact. G. Deny. XX Des modifications morphologiques des cellules des cornes antérieures de la moelle en action;
uand on soumet à l'action d'un courant induit un nerf sensitil, les cellules nerveuses motrices changent de formes. Les auteur
à l'alcool. Conclusions : 1° La provision d'énergie potentielle des cellules motrices de la moelle est contenue dans la subs
est contenue dans la substance chroma- tique ; 2° l'activité de ces cellules s'accompagne d'altérations morphologiques expri
chéance de leur substance chromatique ; 3° le volume du corps de la cellule et celui de son noyau ne changent généralement
celui de son noyau ne changent généralement pas pendant qu'agit la cellule ; le nucléole augmente de volume ; 4° la situati
nte de volume ; 4° la situation du noyau par rapport au corps de la cellule reste la même; 5° les prolongements protoplasmi
a cellule reste la même; 5° les prolongements protoplasmiques de la cellule participent à son activité; l'épuisement de la
miques de la cellule participent à son activité; l'épuisement de la cellule s'accompagne d'altérations de la substance chroma
ant les centres corticaux d'un hémisphère vient de constater que la cellule de la moelle prend un aspect finement grenu, et
omatique est l'expression fondamentale de l'état d'excitation de la cellule . (illoiphologiscite Differelzzen zwischen nthende
s que triomphe la méthode de Golgi. Apàthy y a vu, dans les grandes cellules , des réseaux formés de REVUE D'ANATOMIE ET DE P
nt nerveux s'en vont, comme un méridien, au pôle de la sphère de la cellule , et s'en reviennent au prolongement nerveux. Da
is il est très rare d'arriver à l'imprégnation totale des grosses cellules . Le sel d'argent se dépose à l'intérieur de la ce
des grosses cellules. Le sel d'argent se dépose à l'intérieur de la cellule et montre les types d'Apâthy f figures). On v
eut souvent suivre loin jusque dans le neuropde; en entrant dans la cellule , ils s'accumulent en petits amas d'où partent d
mas d'où partent des tractus plus ou moins épais vers le dôme de la cellule . Ils laissent généralement le noyau de la cellu
ers le dôme de la cellule. Ils laissent généralement le noyau de la cellule libre, et préfèrent la couche externe de celle-
etits grains est en raison inverse de la grandeur de la coupe de la cellule ; ils sont donc très épais au niveau du col de
upe de la cellule ; ils sont donc très épais au niveau du col de la cellule et du prolongement nerveux. Plus minces sont le
d'un cordon de fibrilles primitives, se comportent, de même que les cellules nerveuses des vertébrés, autrement que les fibr
e peut s'expliquer, ni par un trouble de l'activité trophique de la cellule nerveuse médullaire, ni par des perturbations v
e muscle. Il est plus que probable que l'intégrité anatomique d'une cellule com- plexe comme la fibre musculaire est intime
endant de multiplier les chambres d'iso- lement et de conserver les cellules en y installant l'alitement à portes ouvertes.
minuant l'excitabilité, l'isolement disparut. On n'employa plus les cellules que rarement et en maintenant les portes ouvert
er les dimensions, des salles de jour, de restreindre le nombre des cellules à 1 pour 15 agiles, de transformer les cellules
indre le nombre des cellules à 1 pour 15 agiles, de transformer les cellules en chambres d'isolement (on ne conser- vera qu'
cellules en chambres d'isolement (on ne conser- vera qu'une à deux cellules du type ancien), de diminuer le nombre des serv
ance continue par fractionnement des malades ; l'alitement dans les cellules des insociables généralement tranquilles; quatr
ités en permanence qui ne se soumettent pas au traitement au lit; 2 cellules pour les aliénés relativement calmes, mais agre
pièce séparée. En cas de refus persistant, on place le lit dans une cellule dont on ne ferme la porte que si le malade est
romener, aller même à l'air. On peut dire que ce système a évité la cellule , l'isolement en cellule, à la pluralité des 146
air. On peut dire que ce système a évité la cellule, l'isolement en cellule , à la pluralité des 146 agités en question, et
pluralité des 146 agités en question, et a permis de remplacer les cellules par des chambres d'isolement, sans l'isolement.
solement. Ce sont les épileptiques qui nécessitent le maintien de 4 cellules vraies, dont deux seulement, en moyenne, sont f
une chambre séparée, et, dans les moments critiques, de fermer la cellule . Inversement, l'épileptique, peu suggestible , ob
mation des soporifiques) ; 5° l'isolement est réduit au minimum : 4 cellules suffisent, et au delà, pour 220 hommes; et enco
question de savoir si cet état morbide a pour siège le neurone, la cellule nerveuse, la fibre nerveuse, ou bien tous ces div
atinement, déplacement de la névralgie, stratification anormale des cellules et fibres nerveuses). L'auteur croit à la simul
rement dites, il existe des formes où la lésion frappe à la fois la cellule et le cylindraxe : c'est la cellulo-névrite. Le p
entes impulsions qu'on maîtrise à grand'peine. On le place dans une cellule . On ne laisse à sa disposition qu'une paillasse
on discute encore actuellement chez nous, celles de l'isolement en cellule , du traitement par le lit, des quartiers spécia
en effet ni quartier cellulaire spécial, ni isolement prolongé en cellule , ni emploi habituel des « calmants ». Et cependan
eiller suppression des quartiers cellu- laires - pas d'isolement en cellule ou du moins isolement dans des limites très res
ourg sur cette question des quartiers d'agités et de l'isolement en cellule , qu'il considère à juste titre comme une des pl
xpérience de dix années, qu'on peut traiter les malades agités sans cellules , et cela dans de meilleures conditions qu'en em
s cas dans lesquels il s'est vu obligé de recourir à l'isolement en cellule , à une quantité négligeable, et cela malgré un
des infirmiers, tandis qu'on peut sans inconvénient les laisser en cellule 1 A cela M. Rieger de répondre que ces malades,
psychiques s'aggravent par le fait' même de leur séquestration en cellule ; ils contractent les pires habitudes et, si l'is
ors devant les yeux des manifestations psychiques artificielles. La cellule , l'isolement ont produit leur oeuvre : il devient
t alors exact de dire que de pareils malades ne peuvent vivre qu'en cellule '. ' Il convient à ce propos de rappeler l'opin
-- temps, par d'éminents aliénistes français. Renaudin considère la cellule « comme une cause permanente d'excitation, comm
ins nui- sible, ajoute Renaudin, sous le rapport hygiénique. « La cellule , comme habitation de jour, dit Parchappe, ne' peu
tempo- raire et pour une courte durée. Le séjour permanent dans une cellule , loin d'être efficace pour amener l'apaisement
ntretenir l'agitation. » Foville déclare que «· l'isolement dans la cellule a des inconvénients graves : l'halluciné, l'agi
cette pièce, s'ou- vrent deux chambres d'isolement séparées par une cellule capitonnée. Ces trois chambres' constituent le
ou moins éloigné, où l'insuffisance du personnel et l'isolement en cellule tendent une surveillance .constante bien diffic
eux d'autrefois étant le produit artificiel de la camisole et de la cellule , on a recours à un lit capitonné placé dans la
, ou (en cas de nécessité absolue) au transport du patient dans une cellule dont parois et parquet sont soigneuse- ment cap
on avec la villa précé- dente par une galerie assez large, a quatre cellules , dont une très solide et une salle de bains.
es baignoires mobiles se transportant sur des rails jusque dans les cellules . Dans les salles de surveil- lance continue se
le de surveillance ; 6° Connexion étroite de cette salle avec les cellules d'isolement;-7° Situation des appartements des mé
. Je me sépare de ces auteurs en ce que : 1° Je n'assimile pas la cellule nerveuse à un condensa- teur comme la bouteille
l- ler un peu plus au fond des choses ; 3° Au lieu de limiter aux cellules du bulbe et de l'écorce l'assimilation de la ce
e limiter aux cellules du bulbe et de l'écorce l'assimilation de la cellule nerveuse à un élément électrique, je l'étends à
cellule nerveuse à un élément électrique, je l'étends à toutes les cellules nerveuses ; 4° Au lieu de limiter la conception
rt des recherches de Ranke sur les réactions cellulaires, que toute cellule est une pile hydro-électrique, un couple éleclr
tisme puisse déter- miner d'emblée une lésion du groupe externe des cellules , de la corne antérieure, l'auteur croit plutôt
e était constituée, en effet, par des amas embryonnaires, entre les cellules desquels on distinguait par places, de nombreus
t conjonctives; au milieu de ces amas se trouvaient disséminées des cellules géantes entourées de cellules épithélioïdes et
es amas se trouvaient disséminées des cellules géantes entourées de cellules épithélioïdes et dans lesquelles les auteurs pu
c cylindre-axe gonflé en certains points, très aminci en d'autres ; cellules globuleuses, gonflées, d'apparence homogène, ou
de cette tumeur a démontré qu'il s'agissait d'une sarcome à petites cellules . D'après l'auteur, cette tumeur a été la cause
s actes biologiques et les échanges chimiques, dont est le siège la cellule vivante, les recherches sur la constitution des
tait arrivé à une division de l'établissement par quar- tiers : les cellules , les demi-agités, les tranquilles, les faibles ou
r un lacis serré de fascicules fibrillaires. Toutes les variétés de cellules sont présentes et les pyramidales géantes forment
ans cet organe, était méconnue ou niée. On ignorait l'existence des cellules nerveuses. Les représentants officiels de l'ens
s fibres, s'éclaira d'une lueur nouvelle, grâce à la découverte des cellules nerveuses, dont l'honneur revient à Ehrenberg,
a, catégoriquement, que toutes les fibres du cer- veau naissent des cellules nerveuses. Entre temps, Virchow nous avait révé
urs recherches. Il s'agissait de déchiffrer l'agencement intime des cellules ner- veuses, des fibres nerveuses et de la névr
eau et la moelle se réduisent à des agglomérations considérables de cellules multipo- laires et de fibres primitives, celles
, celles-ci ne communiquant entre elles que par l'intermédiaire des cellules . Tous les phénomènes d'inner- vation reposent s
lules. Tous les phénomènes d'inner- vation reposent sur l'union des cellules isolées ou des agrégats de cellules avec d'autr
vation reposent sur l'union des cellules isolées ou des agrégats de cellules avec d'autres cellules et avec les fibres central
nion des cellules isolées ou des agrégats de cellules avec d'autres cellules et avec les fibres centrales et péri- phériques
Gerlach objectivisait'cettè couceptiou des rapports anatomiques des cellules et des fibres nerveuses. Il édifiait sa doctrin
ent réticulé des fibrilles qui étaient censées unir entre elles les cellules nerveuses. La doctrine du réseau de Gerlach a r
ale que les centres nerveux se composent d'éléments parenchymateux, cellules et fibres, soutenus par une trame interstitiell
n 1860, Luys fut plus affirmatif. Il avança que la dégénération des cellules des cornes antérieures de- la moelle constituai
d'atrophie muscu- laire progressive, en rapport avec une lésion des cellules tropho- motrices des cornes antérieures de la m
ie spinale infantile avait pour substra- tum une atrophie aiguë des cellules tropho-motrices des cornes antérieures. Dans
al une sclé- rose des cordons latéraux, associée à une atrophie des cellules tropho-motrices des cornes antérieures. Cette
i, tout à fait renoncer à la mise des malades dans des quartiers de cellules qui depuis ce temps restent complètement inoccu
alades. J'y ajouterai volontiers de mon côté : 4° que l'usage des cellules doit en être exclu. Cependant, vu que plusieurs d
ppliquant systématiquement le repos au lit, se servent également de cellules , je pense que le refus de se servir par princip
nt de cellules, je pense que le refus de se servir par principe des cellules n'est pas une condition fondamentale du système
des chambres il part qui n'ont cependant rien de com- mun avec les cellules habituelles. Nous avons des confrères, le profe
st de même du rejet de l'usage de chambres isolées (j'ai en vue les cellules de l'ancien type) qui doit faire naître une sér
e au lit. C'est pourquoi je renonce à considérer le non-usage des cellules comme un élément indispensable du système d'alite
oin du tout des bâtiments composés uniquement des pavillons isolés ( cellules ). Les pièces à un lit doivent se trouver près d
et psychiques de la maladie. Le refus de se servir par principe des cellules n'est pas une condition fondamentale du système
ppement du régime au lit; d'un autre côté la diminution d'usage des cellules est un des premiers bienfaits de ce régime. 3
lit est susceptible d'abolir complètement l'emprisonnement dans les cellules . Les maladies caractérisées par un état d'agita
aboutit, en sui- vant les fibres nerveuses, à des agglomérations de cellules de l'écorce cérébrale, après avoir traversé un
ur déterminant de la forme du crâne». A l'examen microscopique, les cellules étaient de formation simple, généralement arron
t petites, rabougries. Le noyau était ordinairement au centre de la cellule et présentait une lacune arrondie : parfois, il
ent, chez les enfants dans la période de croissance, aussi bien les cellules que les fibres nerveuses. Parfois, comme dans u
la lésion essentielle du cerveau semble être la dégénérescence des cellules pyramidales du cortex (Kingdon et Hussell, Tran
rable, variant de 3/5 à 1/2 pouce, à l'examen microscopique, les cellules sont vues arrondies ou piriformes et insuffisante
é- SECTION DE PSYCHIATRIE. 309 rations de dégénérescence dans les cellules nerveuses du cortex, dans la motor area, et une
van-Lewis a noté un durcissement de la névroglie, des fibres et des cellules local ou diffus, avec une atrophie progressive
et des cellules local ou diffus, avec une atrophie progressive des cellules nerveuses. « Les cellules du cerveau des imbéci
diffus, avec une atrophie progressive des cellules nerveuses. « Les cellules du cerveau des imbéciles épileptiques à l'âge adu
vent une étendue considérable, un développement des neurones ou des cellules nerveuses, pas plus grand que celui qu'on obser
n, aussi bien que Bevan-Lewis, a remarqué la vacuité des noyaux des cellules corticales dans un pareil cas, encore que, comm
de la névroglie, une dégénérescence graisseuse et pigmentaire des cellules nerveuses et une atrophie de leurs processus, ave
e leurs processus, avec dimi- nution du nombre des ganglions et des cellules pyramidales. L'hypertrophie du cerveau est une
e, nous pouvons d'ailleurs résumer les anomalies, en disant que les cellules nerveuses sont ordinairement arrondies ou poirc
es branches primaires et secondaires. Ce sont plus spécialement les cellules pyramidales qui sont atteintes. Le Dur Andrieze
t-à-dire : anomalies de croissance et de nutrition im- primées à la cellule nerveuse croissante aussi bien qu'à la cellule
ion im- primées à la cellule nerveuse croissante aussi bien qu'à la cellule de névroglie, et affectant de préférence l'une
i montrent d'une façon con- cluante la relation entre le nombre des cellules pyramidales et des cellules fusiformes et le ca
cluante la relation entre le nombre des cellules pyramidales et des cellules fusiformes et le caractère de l'insuffisance ment
caractère de l'insuffisance mentale. Avec une idiotie profonde, ces cellules sont en faible proportion, et elles augmentent
rsonnellement. Ils reproduisent successivement les dispositions des cellules et des' fibres nerveuses dans les diffé- rentes
ques bien distinctes et leurs éléments, parmi lesquels existent les cellules géantes; dans d'autres cas les cellules sont ra
parmi lesquels existent les cellules géantes; dans d'autres cas les cellules sont ratatinées, il n'y a pas de régularité dans
tinées, il n'y a pas de régularité dans leurs arran- gements et les cellules géantes manquent. Ce qui caractérise la substan
ordinaire, car cette dernière se présente sous la forme d'îlots de cellules ganglionnaires incrustés dans la substance blanch
essemblent à la quatrième couche de la substance grise de l'écorce ( cellules polymorphes). Par conséquent il existe un type
pement (qui s'exprime par la, présence des éléments ressemblant aux cellules ganglionnaires de la couche profonde de l'écorc
descellulesganglionnairesde grande dimension rappelant les grandes cellules pyramidales de la troi- sième couche de l'écorc
Ainsi on constate dans ce cerveau la présence de l'liétérotopie de cellules ganglionnaires dans la subs- tance blanche sous
la subs- tance blanche sous-corticale et l'hétérotopie des grandes cellules pyramidales dans la couche zonale. L'examen d
conclusion que la richesse de la substance grise et l'abondance des cellules nerveuses peuvent être accompagnées d'idiolie. Ma
substance blanche n'est que la continua- tion des prolongements des cellules nerveuses : ainsi la richesse des ramifications
si la richesse des ramifications dendriques et cylindraxiles de ces cellules favorise le développement abondant de la substa
dans les cerveaux où la substance blanche est peu déve- loppée, les cellules nerveuses doivent être pauvres en prolonge- men
abolie. La mul- tiplication et la grande étendue des connexions des cellules pyra- midales semble être une des conditions pr
tendue de leur connexion (Déjerine). Par conséquent la richesse des cellules nerveuses peut coexister avec l'idiotie, si les c
chesse des cellules nerveuses peut coexister avec l'idiotie, si les cellules sont dépourvues de leurs ramifications multiple
être, se transformer en éléments d'ordre supérieur, c'est-à-dire en cellules nerveuses. Dans la couche des neuroblastes se r
ses. Dans la couche des neuroblastes se rencontrent quelquefois des cellules polymorphes. Ainsi les neuroblastes qui conserv
peuvent sous l'influence d'une impulsion propice se transformer en cellules nerveuses et contribuer à rehausser l'acti- vit
oppement des circon- volutions sans malformations, avec lésions des cellules nerveuses (Idiotie congénitale idiopathique);
l faut repousser définitivement les divisions ne renfermant que des cellules isolées (sauf dans les asiles des criminels) ;
s on se fatigue davantage qu'en surveillant des hommes renfermés en cellules ou même enchaînés ; 7° Les gardes sont forcémen
oins de neurones superposés : les neu- rones périphériques dont les cellules d'origine sont dans les noyaux bulbaires, et le
ntraux, ou cortico-bulbaires, qui ont leur origine dans les grandes cellules pyramidales des opercules frontal et rolandique
olution de Broca ou qui en émanent, que ces lésions soient dans les cellules d'origine des neurones ou dans les voies conduc
. L'hypothèse d'images de mémoire déposées dans certains groupes de cellules n'est nul- lement prouvée. Malgré ses réserve
et aux « nerveux », les barreaux sont supprimés. Les fenêtres des cellules sont protégées intérieurement par des volets en f
tilation, très soignée, a nécessité des dépenses considérables. Les cellules , en particulier, sont très bien ventilées. Les
ersaire de l'isolement cellulaire. Les malades ne restent isolés en cellule que durant quelques heures. Nous avons vu des mal
te et par deux fenêtres. Autour de cette salle sont groupées quatre cellules et une chambre d'observation. L'office, les close
les closets, la salle de bains en sont séparés par un corridor. Les cellules ont 5 mètres de long sur 3 mètres de large et 4
sont orientées à l'est ; la chambre d'observation au sud. Deux des cellules ouvrent directement sur la salle de réunion. Les
des cellules ouvrent directement sur la salle de réunion. Les deux cellules destinées aux malades particulièrement bruyants d
ors qui, eux-mêmes, ont une issue sur des jardins. Le parquet des cellules et de la chambre d'isolement est en bois de chê
salle de bains, les closets, l'office sont bitumés. Les murs des cellules sont revêtus de mortier de ciment et peints à l
leur partie inférieure et à la colle à la partie supérieure. Les cellules possèdent de solides doubles portes avec serrure
des chaque pour une population totale de 120 sujets. Dans certaines cellules on a installé une sorte de chaise percée fixée
s il fermeture hermétique dans chaque dortoir. Chauffage central. Cellules . Fenêtres : les unes hors de la portée des malade
vitres incassables. Les murs sont peints à l'huile. Dans certaines cellules , lit massif, scellé dans le parquet ; dans d'au
rofesseur Grashey n'est point partisan de l'isolement t prolongé en cellule , en raison des habitudes de malpropreté que les
à. citer : les travaux : de Gaetano Corrado sur les altérations des cellules nerveuses dans la mort par l'électricité et ceu
cérébrales ou spinales de nombreuses, bulles de gaz. Le corps* des- cellules nerveuses : subit. des- déformations variées, éro
rrégulier, le protoplasma semble poussé tout entier d'un côté de la cellule . l'intérieur la substance colorée est dissoute,
e chromatique a-une tendance marquée à se séparer- du reste de : la cellule ; dans quel- ques cellules de l'écorce on remarq
nce marquée à se séparer- du reste de : la cellule; dans quel- ques cellules de l'écorce on remarque des traces'd'ol'ientation
vers la mem- brane nucléaire et iL se porter à la; périphérie de la cellule . Prévost et Batelli qui avaient déjà présenté e
s de plus en plus grand à mesure qu'ils se rapprochent de l'écorce ( cellules de projection et d'association), et dont le min
'en dirai s'.applique aussi bien à l'élude de la névroglie et de la cellule . Malgré le grand nombre de travaux qu'on publie
international DE médecine. microscopiques reproduisant l'aspect des cellules pyramidales (grandes cellules du lobule paracen
roscopiques reproduisant l'aspect des cellules pyramidales (grandes cellules du lobule paracentral) chez douze malades, mort
entaux plus ou moins accentués. On constate que, dans cinq cas, les cellules ont con- servé le type normal, ce qui démontre,
ppré- ciable à nos investigations. Dans sept cas, au contraire, les cellules sont manifestement altérées, et cette altératio
seulement ici les caractères fondamentaux : forme globuleuse de la cellule , migration périphé- rique du noyau, décoloratio
ule, migration périphé- rique du noyau, décoloration centrale de la cellule . Ce qui nous paraît aujourd'hui particulièremen
-infection, quels qu'en soient la nature et le siège, agira sur les cellules nerveuses pour en modifier la structure et la f
exactement semblables à celles que nous venons de montrer dans les cellules cérébrales. De même que les polynévrites sont f
ion, d'une congestion méningée, sans aucune lésion histologique des cellules de l'écorce examinée par la mé- thode de Nissl.
ontra l'existence des lésions suivantes : 1° Distension des grandes cellules de la couche pyramidale dont la forme est deven
igner par un terme spécial de Cyt- tarcedènze (K6-¡;ê(po'l = grosse cellule ronde, o ! ô ? x = oedème), qui .indique le cha
x = oedème), qui .indique le changement morphologique de la grande cellule pyra- midale ainsi que la nature oedémateuse de
eux de ces grains. 3° Déplacement du noyau vers la périphérie de la cellule et par- fois disparition complète du noyau. 4
isparition complète du noyau. 4° Absence des prolongements dans les cellules ainsi lésées. : )0 Augmentation inusitée de noyau
nte quinze photographies micros- copiques reproduisant l'aspect des cellules pyramidales (grandes cellules du lobule paracen
copiques reproduisant l'aspect des cellules pyramidales (grandes cellules du lobule paracentral) chez douze malades, morts
entaux plus ou moins accentués. On constate que, dans cinq cas, les cellules ont conservé le type nor- mal, ce qui démontre,
ppréciable à nos inves- tigations. Dans sept cas, au contraire, les cellules sont manifeste- ment altérées, et cette altérat
ent les mêmes caractères dans tous les cas : forme globuleuse de la cellule , "migration périphérique du noyau, décoloration
le, "migration périphérique du noyau, décoloration centrale de la cellule . ' Si donc l'hypothèse qui impute l'apparition
-infection, quels qu'en soient la nature et le siège, agira sur les cellules nerveuses pour en modifier la structure et la f
nt. Il montre que les centres nerveux supérieurs réagissent sur les cellules motrices de la corne antérieure de la moelle pa
hèrent entre elles. P. KERAVAL. XXVIII. De quelques altérations des cellules nerveuses de l'écorce du cerveau révélées par l
iformes, gemmules, épines, des prolongements protoplasmi- ques, des cellules pyramidales chez les paralytiques généraux,, or
ns ces cas, les prolongements protoplasmiques d'un nombre énorme de cellules pyramidales étaient privés de leurs appendices
arrondis ou- irréguliers. Les prolongements de beaucoup d'autres cellules pyramidales n'étaient pourvus que d'un très petit
situés à des distances très considérables les uns des autres ; les cellules , débarrassées de leurs prolongements latéraux p
quelques prolongements protoplasmiques. Nulle part il n'y avait de cellules abondamment pourvues de ces prolongements pyrif
révèle l'abondance de ces prolongements sur l'immense majorité des cellules pyramidales. Trois aliénés atteints de délire a
nts de délire aigu ou de démence secondaire avaient : de nombreuses cellules abondamment pourvues d'appen- dices latéraux ;
bondamment pourvues d'appen- dices latéraux ; et d'assez nombreuses cellules moins richement dotées sous ce rapport que cell
ux. Il est; tout à fait exceptionnel en ces cas-là de constater des cellules dont; REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
roupes de noyaux les plus éloignés du centre. Puis, viendraient les cellules destinées à la branche maxillaire inférieure, e
particulièrement souffert. Il y existe néanmoins encore quelques cellules tout à fait normales. L'atrophie de la partie du
ntramédullaires. Il existe encore une atrophie presque complète des cellules externes du noyau qui sont disséminées dans l'é
ue, sont normaux. Ce serait, dans l'espèce, une lésion primaire des cellules , exactement comme dans le cas de paralysie prog
dents mentaux des maladies générales, par Maurice Faure, 4 : 7. Cellules . Prolongements des - nerveuses chez les inverté
lexe plantaire dans la -, par AnI III - Dell ell et Rouvièr, 450. Cellules nerveuses rie 1'01- corce dansia, par Agapoff,
31 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
s, du pigment sanguin. Il y a pro- duction de tissu conjonctif avec cellules embryonnaires (5). En somme, il est bien éviden
, des faisceaux pyramidaux,des faisceaux cérébelleux directs et des cellules de la colonne de Clarke. Le sixième malade de
let est au moins douteuse, et qu'il n'existe pas de raréfaction des cellules de Purkinje. Par contre, dans son ensemble, l
est diminuée de volume ; elle présente une diminution du nombre des cellules de la colonne de Clarke, et des altérations int
l ; il ne présente pas de lésions mi- croscopiques et le nombre des cellules de Purkinje n'a pas diminué. Dans la protubéran
la substance grise de la moelle est atrophiée avec disparition des cellules . , Chez la soeur, Amélie Haud... dont l'autopsi
ations de la substance grise (atrophie partielle ou disparition des cellules de la corne postérieure, atrophie des colonnes
eure, atrophie des colonnes de Clarke et absence presque totale des cellules correspondantes), et des lésions de la substance
blablement des lésions microscopiques qui sont les suivantes : 1° Cellules de Purkinje. -a) Diminution de nombre partout, av
domi- nance pour certaines régions irrégulièrement distribuées. Ces cellules ne 134 RAYMOND forment pas d'amas ; elles son
s une à une, quelquefois deux à deux. Sur de longs intervalles, ces cellules ont complètement disparu. Cette diminution des
valles, ces cellules ont complètement disparu. Cette diminution des cellules est irrégulière, au maximum sur une lamelle cér
le cérébelleuse, elle cesse ou à peu près sur la suivante. b) Les cellules qui restent sont petites, bien que pourvues encor
, semblable à celle que l'on observe, par exemple, dans les grandes cellules des cornes antérieures de la moelle, au cours d
ronique. Mais ici, il n'y a pas de surcharge pigmentaire. 90 Autres cellules nerveuses. - a) Couche moléculaire, très diminuée
uée de hauteur, sans doute par la disparition des prolongements des cellules de Pur- kinje qui se perdent dans cette couche.
ules de Pur- kinje qui se perdent dans cette couche. De plus, les cellules nerveuses de cette même couche sont petites, souv
n nombre d'éléments moins grand. En résumé, il existe au niveau des cellules de l'écorce cérébelleuse, un processus d'atroph
, il s'agit encore d'une dégénération secondaire à la disparition des cellules d'origine. D. 'Protubérance, bulbe. Ici les l
partout un ré- seau myélinique abondant et un assez grand nombre de cellules motrices, mais elles sont petites et plusieurs
st à l'opposé, absolument réduite de volume, pauvre en fibres et en cellules , surtout au niveau des colonnes de Clarke et de
les fibres 136 RAYMOND - à myéline sont sinueuses et fines ; les cellules ganglionnaires assez abondantes sont petites, m
minée de la vie. Tantôt, il est atteint d'atrophie dégénérative ; les cellules MALADIE DE FR1EDREICU ET 111 : ftÉDO-ATAlIE CÉR
La coexistence possible, assez fréquente peut-être, de lésions des cellules des cornes antérieures et d'un certain degré d'
u conjonc- tif, riches en vaisseaux ; les alvéoles occupées par des cellules allongées à gros noyaux. Sarcome. Néoplasme de
coloration rouge uniforme, dans laquelle on voit difficilement les cellules nerveuses. Celles-ci paraissent par endroits ento
ype alvéolaire peu riche en tissu conjonctif, très bien vascularisé ; cellules à gros noyaux allongés, très serrés ; leur arra
sécher. Dans la région voisine de la tumeur on remarque d'énormes « cellules arai- gnées » en grand nombre. En arrière du
très altérée à proximité immédiate et en avant de la tu- meur. Les cellules paraissent atrophiées, perdues dans de gros espac
ébral et entouré de tissu conjonctif, il y a cependant des îlots de cellules infiltrées dans le tissu nerveux (fig. 6). Poin
tes précédem- ment. Dans la substance grise des vacuoles autour des cellules nerveuses; dans la blanche, partout des vacuole
d'avec le tissu cérébral ; point de zone d'in(lamma- tion. Grosses cellules araignées à proximité. Des coupes de la moelle
rises de la base et de la protubérance ont un aspect cri- blé : les cellules sont perdues dans de larges espaces blancs. La
e par des follicules circonscrits ou confluents qui contiennent des cellules embryonnaires ou géantes. Sur une coupe frontal
- cendante du trijumeau des deux côtés. On ne voit pas de trace des cellules du noyau de la IIIe paire ni à droite ni à gauc
raversent le noyau rouge et vont au sil- lon interpédonculaire. Les cellules du locus niger sont un peu décolorées à gauche.
qua- drijumeaux postérieurs ont la même dimension, on voit bien les cellules ner- veuses de la substance ganglionnaire des d
est formée par un petit faisceau de fibres pâles et atrophiées. Les cellules de la substance grise du locus coerules à ce ni
éléments cellulaires sont très bien con- servés, peut-être quelques cellules sont un peu petites, mais elles ont conservé le
st certaine, et c'est, dans notre cas,la disparition com- plète des cellules des noyaux de la III° paire. Le tubercule était a
180 BALLET ET LAIGNEL-LAVASTINE colloïde et d'autres montrent leurs cellules proliférées et disposées sur plusieurs couches.
tous les acini perdent leur individualité sous l'amas uniforme des cellules épithé- liales néoformées (fig 3). Ces cellul
amas uniforme des cellules épithé- liales néoformées (fig 3). Ces cellules sont diverses ; les plus nombreuses, cylindriques
les plus nombreuses, cylindriques, ont conservé les caractères des cellules des acini normaux ; d'autres, plus volumineuses,
; elles contiennent un ou deux noyaux fortement colorés ; d'autres cellules , beaucoup plus petites et plus où moins cylindriq
ent du pigment ferrique d'origine hématique. Nous n'avons pas vu de cellules cyanophiles (1). Nulle part il n'existe de cellul
avons pas vu de cellules cyanophiles (1). Nulle part il n'existe de cellules atypiques. Les capillaires,simplement dilatés à
rcés, au centre, par la masse sanguine qui s'est répandue entre les cellules glandulaires. En somme, c'est là, pour reprendr
ux dans la zone intermédiaire, échouant en un désordre chaotique de cellules néoformées et aboutissant à un simple exsudat h
rmale. Dans les acini exactement juxtaposés on voit une rangée de cellules cylindriques,dont les unes, volumineuses (granu
Dans les mailles d'une sclérose légère on voit des acinis bordés de cellules cylindriques dont les plus volumineu- ses (gr
dont les autres, sans contenu colloïde, sont réduites à des amas de cellules épithéliales proliférées. Ces amas épithéliaux, s
centrale. Les acini ont perdu leur individua- lité sur l'amas des cellules épithélia- les néoformées, cellules à noyau p
ndividua- lité sur l'amas des cellules épithélia- les néoformées, cellules à noyau pâle, sidérophiles, cellules volumineu-
s épithélia- les néoformées, cellules à noyau pâle, sidérophiles, cellules volumineu- i ses, souvent binucléées, éosinophi
les, cellules volumineu- i ses, souvent binucléées, éosinophiles, cellules chargées de pigment ferrique, mélangées d'hémat
épileptiques qui enserrent la sclérose, des vési- cules dont les cellules épithéliales sont plus ou moins proliférées.
culée- La 1mbéculaire n'existe plus qu'entre quelques adénomes. Les cellules prennent bien les colorants. Peu sont spongieus
rtrophie parenchy- mateuse de l'hypophyse par proliféra- tion des cellules épithéliales ou hypo- physite parenchymateuse h
choroïdien fonctionne comme une glande (1) et que certaines de ses cellules contiennent des corps muriformes (2), analogues à
autres par une double rangée plus ou moins aplatie et visi- ble de cellules épithéliales. En dehors de ces corpuscules, les p
ithélial des houppes, vues de face,apparaissentsous forme de belles cellules plates à cinq pans, à noyau bien coloré. Dans les
cinq pans, à noyau bien coloré. Dans les pédicules des houppes, les cellules épithéliales sont cubiques et d'aspect tout à fai
quelques corpuscules hyalins dans les espa- ces sous-méningés. Les cellules nerveuses sont peu pigmentées. La méthode de Ni
ntés de nombre. Sympathique. Dans les ganglions senti-lmcaires, les cellules nerveuses sont normales ; mais il y a proliféra
es cellules nerveuses sont normales ; mais il y a prolifération des cellules des capsules endothéliales et augmentation du t
rains est du pigment jaune. Entre certaines fibres sont des amas de cellules rondes. Il n'y a pas de dégénéres- cence graiss
sain. Foie. Le foie, dont les travées hépatiques sont formées de cellules pres- que toutés normales,est atteint de scléro
histo-physiologiques de Pettit et Gi- rard (1) sur la sécrétion des cellules des plexus choroïdes, nous inclinent à penser q
gènes, elles seraient dues pour une large part à la destruction des cellules cordonales de la subs- tance grise ». Pour co
t épaissies, fibreuses, et néanmoins très infiltrées par de petites cellules rondes ; il y a de la périvascularite très marqué
nt détruit la presque totalité de la substance grise. Au Nissl. Les cellules grandes pyramidales ont conservé leur forme ; l
Reins. 270 grammes. Examen HISTOLOGIQUE. Méninges. Infiltrées de cellules rondes, extrê- mement congestionnées, elles con
icielle et, dans leur partie profonde, de l'infiltration de petites cellules rondes, qui est maxima dans les sillons. Les gr
sseaux. La périartérite et l'artérite, par l'accumulation des petites cellules rondes, masquent tout détail de structure des t
s accentuée, caracté- risée par une infiltration diffuse de petites cellules rondes et une dégénéres- cence des fibres à myé
enne des faisceaux de Goll et de Burdach (pl. XXXIII, fig. ). Les cellules nerveuses paraissent normales. A la région dors
hidien. Il présente une infiltration extrêmement intense de petites cellules rondes. Les cellules nerveuses sont très pigmen
infiltration extrêmement intense de petites cellules rondes. Les cellules nerveuses sont très pigmentées. , Foie. Dégénér
ut les veines ont leurs parois très altérées, infiltrées de petites cellules rondes. L'écorce est infiltrée d'une façon géné
gestionnés et présentent une périvascularite intense. Au Nissl, les cellules pyramidales apparaissent déformées, mal colorées
es cellules pyramidales apparaissent déformées, mal colorées et les cellules pyramidales sont pour la plupart en neuronophagie
tion de la paroi de ses vaisseaux. Le Nissl montre l'altération des cellules des noyaux de la Xe et de la IXe pai- res ; ces
ration des cellules des noyaux de la Xe et de la IXe pai- res ; ces cellules sont globuleuses ; leur protoplasma reste coloré
oins systématique que le gauche (pl. XXXIII, fig. 1). Au Nissl, les cellules des cornes antérieures paraissent altérées. Elles
yramidal croisé (pl. XXXIII, fig. 2). Au Nissl, même altération des cellules des cornes antérieures. Les cellules de la colo
Au Nissl, même altération des cellules des cornes antérieures. Les cellules de la colonne de Clarke paraissent moins touchées
se et plus localisé que l'autre (pi. XXXIII, fig. 3). Au Nissl, les cellules ont conservé leur noyau, mais elles sont en chrom
atoire de Vaucluse. 212 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE nombreuses cellules et fort épaissie. Il n'y a pas d'altération appré
ellules et fort épaissie. Il n'y a pas d'altération appréciable des cellules de la substance grise. Les préparations par la mé
comme à la région lombaire, une leptoméningite manifeste. Quelques cellules des cornes antérieures et des colonnes de Clark
vaisseaux sont épaissies et entourées de nombreux noyaux. Quelques cellules des cornes antérieures sont pigmen- tées. Les
paissie et infiltrée. La gaine des vaisseaux est remplie de petites cellules . Les fibres de Tuckset ont en grande partie dis
matoxyline-éosine, on aperçoit la pie-mère épaissie et infiltrée de cellules rondes. Ces mêmes éléments s'observent dans la
moelle. La méthode de Nissl ne montre pas d'altération notable des cellules . Les coupes, traitées par la méthode de Marchi
fibreuse tout autour de la moelle. Elle est infiltrée par place de cellules embryonnaires. Cette infiltra- tion prédomine à
LAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 215 dont la paroi est infiltrée de cellules rondes, et aussi de petits foyers hémor- rhagiq
ondes, et aussi de petits foyers hémor- rhagiques dans lesquels les cellules rondes sont mélangées aux globules du sang. I
sont très altérées. Le canal de l'épendyme est obstrué et rempli de cellules en amas. 3° Moelle cervicale. Comme dans les ré
s les régions précédentes, la pie-mère est épaissie et infiltrée de cellules embryonnaires, lésions surtout marquées à la pa
Le canal de l'épendyme est obstrué par un amas cellulaire. Quelques cellules des cornes antérieures présentent. des altération
les parois des vaisseaux sont infiltrées et entourées de nombreuses cellules rondes. Les fibres tangentielles ont, en grande
tangentielles ont, en grande partie, disparu. Le nombre des petites cellules nerveuses superficielles (cellules de Cajal) es
, disparu. Le nombre des petites cellules nerveuses superficielles ( cellules de Cajal) est très diminué. Les cellules pyramida
nerveuses superficielles (cellules de Cajal) est très diminué. Les cellules pyramidales sont d'aspect à peu près normal.
escence en bandes de beaucoup de leurs fibres à myéline. Nissl. Les cellules nerveuses sont relativement bien conservées. Mo
la limite de séparation de ceux-ci (pl. XXXIII, fig. 8). Nissl. Les cellules de la colonne de Clarke sont altérées , beaucoup
t-Pal. Le faisceau de Burdach est complètement dégénéré. Nissl. Les cellules nerveuses sont fortement colorées. Beaucoup sont
PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 217 Bulbe, - Il existe de la méningite ; les cellules nerveuses paraissent nor- males. Ecorce céréb
inges, peu épaissies, sont infiltrées, surtout dans les sillons, de cellules rondes ou ovales. Les vaisseaux sont en dégéné-
ivascularite et dépôt pigmentaires sont aussi plus alté- rés. Les cellules nerveuses ont pour la plupart conservé leur forme
r forme et leur noyau. Les grains chromatiques sont nets. Certaines cellules sont pigmentées. Nerf optique. - Atteint d'une
sine. Les méninges, très épaissies, sont fibreuses et infiltrées de cellules rondes. L'écorce, infiltrée de cellules rondes,
fibreuses et infiltrées de cellules rondes. L'écorce, infiltrée de cellules rondes, présente un peu de périvascularite. On
r sont rares, les fibres de Tuczeck ont disparu. Au Nissl, quelques cellules pyramidales ont subi la déformation globu- leus
rès uormal dans son ensemble. Les pyramides sont normales. Quelques cellules des noyaux de l'hypoglosse sont globuleuses. A la
la sclérose des cordons de Goll (pl. XXXIV, fig. 9). Au Nissl, les cellules des cornes sont normales. Dans la partie moyenne
cèlent de grosses lésions in0am- matoires : infiltration de petites cellules rondes, déformation globuleuse et chromatolyse
petites cellules rondes, déformation globuleuse et chromatolyse des cellules nerveuses, fragmentation, destruction, disparitio
s; leurs ganglions présen- tent une infiltration intense de petites cellules rondes. Au Nissl les cellules nerveuses n'ont p
ent une infiltration intense de petites cellules rondes. Au Nissl les cellules nerveuses n'ont pas de grains nets ; elles ont
Les reins ont leurs vaisseaux dilatés et quelques foyers de petites cellules rondes. Dans le foie existe un peu de dégénér
rès clairsemées, les fibres de Tuczeck ont disparu. Au Nissl, les cellules sont peu altérées. Bulbe. Il existe un certain
les artères et surtout les veines ont leurs parois infil- trées de cellules rondes et sont entourées de ces mêmes cellules.
rois infil- trées de cellules rondes et sont entourées de ces mêmes cellules . A la région dorsale dans le faisceau latéral s
ES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 221 Le foie est gras ; les cellules de la zone péri-portale contiennent des goutte-
ment considé- rable de la pie-mère, infiltration intense de petites cellules rondes à la partie interne. La périphérie de la
; hémorrhagies interstitielles péri-vasculaires. * Au Nissl, les cellules pyramidales sont inégalement altérées ; les unes
tration, plus abondante que dans la méninge-céré- brale, de petites cellules rondes. Vaisseaux. L'artère spinale antérieure
nés et enflammés ; gra- nulations épendymaires très nombreuses. Les cellules des noyaux de l'hypo- glosse et du pneumogastri
de petites cellu- les rondes d'une façon très intense ; ces petites cellules dissocient;par places les fibres radiculaires e
s rares capillaires ont leur trajet souligné par un petit nombre de cellules rondes. Remarquons que dans ces cordons antéro-
yramidaux se trouve une zone de tissu nerveux sain. Au Nissl, les cellules des cornes antérieures paraissent normales. A l
ruits alors que d'autres de la même racine sont intacts. Au Nissl ; cellules nerveuses normales. Moelle dorsale. - A l'hémat
tense caractérisée par un épaississement fibreux, l'infiltration de cellules rondes souvent réunies en nodules. L'artère s
me que les substances blanche et grise où l'on voit des traînées de cellules rondes autour des vaisseaux ; les artères de la s
de Goll (pl. XXXIV, fig. 6). Au Nissl, dans la corne antérieure les cellules sont globuleuses, en chroma- tolyse avec noyau
yau périphérique ; la colonne de Clarke est détruite en partie, les cellules qui subsistent sont très altérées. Moelle lomba
spect relativement normal de la moelle. Au Nissl, la majorité des cellules nerveuses sont normales ; la quantité de pigmen
bres de Tuczeck et de Baillarger. Au Nissl, altération profonde des cellules . Bulbe. - Granulations du plancher du 4e ventri
sacrée. fléma 1 oxy lin e-éo sine. Les méninges sont infiltrées de cellules rondes ; les vaisseaux des sillons médians anté
bstances blanche et grise de la moelle sont également infiltrées de cellules rondes. Beaucoup de cellules nerveuses, altérées,
la moelle sont également infiltrées de cellules rondes. Beaucoup de cellules nerveuses, altérées, sont en neurono- phagie. L
ntérieure est atteinte d'endartérite marquée. Le tissu nerveux, - cellules et fibres - se. colore très mal. Les racines so
ace périvasculaire de l'artère spinale postérieure. 11'issl.- Les cellules nerveuses en état picnomorphe sont souvent déform
laires de la moitié postérieure de la moelle. Nissl. La plupart des cellules nerveuses sont normales. Quelques-unes ont leur
uelques-unes ont leur noyau excentrique. Les plus altérées sont les cellules de la colonne de Clarke. SCLÉROSES COMBINÉES
rvicale. Hématoxyline-éosine. L'infiltration de la pie-mère par des cellules rondes et du pigment sanguin est plus marquée à l
n petit foyer de ramollissement avec pigment sanguin. Alors que les cellules des cor- nes latérales sont nombreuses, bien co
breuses, bien colorées quoiqu'en état de neuronophagie intense, les cellules des cornes antérieures ont presque totalement dis
rme les constatations précédentes. Dans les cornes antérieures, les cellules nerveuses sont rares ; celles qui subsistent sont
stent sont altérées, en chromatolyse,en voie de dégénérescence; les cellules des cornes laté- rales ont conservé leur forme;
recouvert de granulations épendymaires. Périartérite discrète. Les cellules des noyaux des X8 et XIIe paires sont normales.
sies, fibreuses, infiltrées à leur partie interne par de numbreuses cellules rondes, ont de la périartérite et de la périphléb
ésintégration centrées par des vaisseaux inflammés et contenant des cellules rondes,de grandes cellules pleines de corps réf
des vaisseaux inflammés et contenant des cellules rondes,de grandes cellules pleines de corps réfringents et du pigment ocre
et du pigment ocre. Les artères sont en dégénérescence hyaline. Les cellules nerveuses ont conservé leur forme ou sont en chro
SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 229 Les cellules des cornes antérieures sont en neuronophagie, chr
dans la moelle cervicale, moins la radiculite parenchymateuse. Les cellules nerveuses sont normales au Nissl. Moelle lomb
les régions cervicale et surtout dorsale. Nissl. Les lésions des cellules nerveuses sont énormes : chromatolyse, caryolys
nance sur les cornes antérieures qui ne contiennent presque plus de cellules . Cerveau. En plus d'une pachyméningite hémorrha
diation, disparition des fibres de Tuczeck, et relative intégrité des cellules pyramidales. En résumé, ces six scléroses com
stent Pierre Marie, Guillain et Crouzon, soit à des altérations des cellules nerveuses de la moelle, lé- sions sur lesquelle
rtout au niveau des sillons ; elles sont envahies par de nombreuses cellules embryonnaires. Au fond des sillons, la pie-mère
circulent dans les méninges molles sont en- tourés d'un manchon de cellules embryonnaires. Dans le cortex, les altérations
au niveau des vaisseaux. Ceux-ci sont entourés d'un grand nombre de cellules rondes, tassées les unes contre les autres. On
de la dégénérescence hyaloïde. Pas de néoformation vasculaire. Les cellules nerveuses sont atrophiées ; les noyaux sont très
hro- mophiles prennent peu les colorants électifs et, dans quelques cellules , on ob* serve des vacuoles. Fig. 1. MÉNINGO
e épaisse; toute la couche moléculaire est en- vahie par de grosses cellules en araignée, à prolongements épais, se divisant e
Lobe droit.- Les méninges molles sont envahies par de nom- breuses cellules embryonnaires. Dans les cellules de Purkinje, les
sont envahies par de nom- breuses cellules embryonnaires. Dans les cellules de Purkinje, les granulations chromophiles ne s
olles sont très épaissies, stratifiées, envahies par une multitude de cellules rondes. Les cellules de Purkinje sont totalemen
es, stratifiées, envahies par une multitude de cellules rondes. Les cellules de Purkinje sont totalement disparues dans le lob
éreux, quelques petits vaisseaux sont complètement obstrués par des cellules embryonnaires. Fig. 2. Lobe frontal gauche, cou
pyramidaux sont atteints des deux côtés d'une légère sclérose. Les cellules des noyaux moteurs présentent peu de prolongement
e la moelle, la pie-mère, au fond du sillon antérieur, est bourrée de cellules embryonnaires. L'épithélium du canal central
central est le siège d'une prolifération active de cellu- les. Les cellules des cornes antérieures renferment des granulation
ction de la lymphe était la conséquence d'une vraie sécré- tion des cellules de la paroi des capillaires, et non d'une simple
ns les ganglions spinaux [Morat (140)], et d'autres encore dans les cellules du Rattone qui se trouvent dans les racines pos
eux ayant au centre un canal épendymaire nette- ment limité par des cellules dont les cils sont plus ou moins bien conservés.
aux méninges, dans le segment lombaire supérieur de la moelle. Les cellules ne sont que très .peu altérées, le bleu de méth
postérieure ac- quiert une épaisseur mesurable ; elle renferme des cellules embryonnaires disposées dans toute sa longueur
nglions spinaux ne sont intéressés qu'à la dernière extrémité : leurs cellules constitutives sont parfaitement saines ; c'est
njonctives épaisses divisant en trois la masse glanglionniire ; les cellules , fort diminuées de nom- bre, notablement endomm
remarquable réside ici dans la moelle. Elle ne renferme plus aucune cellule nerveuse, mais elle ne renferme pas davantage de
e la moelle le temps de se développer davantage ; elle renferme des cellules , dont nous n'avons pas trouvé trace précédemmen
t pas nécessairement des globules sanguins; ce sont bien plutôt des cellules de tissu conjonctif embryonnaire. J'ai précédem
connaissable. Même, dans les segments inférieurs de la moelle, les cellules nerveuses devraient être à peine modifiées. Or
tutifs de la moelle. Au milieu de ces débris, on distingue quelques cellules ayant encore des contours assez précis, mais ce
quelques cellules ayant encore des contours assez précis, mais ces cellules sont dans un état de dégénérescence très avancé :
la région cervicale, une vague apparence du canal épendymaire. Les cellules nerveuses sont un peu moins dégénérées, elles son
gment cervical, que l'on rencontre, non pas à proprement parler des cellules , mais des vesti- ges que l'on peut assimiler av
des vesti- ges que l'on peut assimiler avec quelque certitude à des cellules . L'opposition est donc ici de la plus grande ne
ui ne sont, pour une bonne part, que la continuation anatomique des cellules cérébrales ; le retentissement est 388 RABAUD
est gravement compromise ; les colorations au Nissl mon- trent des cellules dans un état de dégénérescence assez accusé ; de
s un état de dégénérescence assez accusé ; de plus, nom- bre de ces cellules ont certainement disparu sous l'effort d'une prol
ctive intense que l'on peut discerner sur la figure ; néanmoins ces cellules existent encore et montrent que le ganglion rachi
ar une prolifération conjonctive ayant détruit un certain nombre de cellules , ayant conduit les autres à un état d'altération
s un reste de l'épithélium épendymaire disloqué, ainsi que quelques cellules corres- pondant aux cornes antérieures. Quant à
lie a la périphérie de la moelle. C. Corne antérieure de la moelle. Cellule avec granulations et réseau de névroglie. D. Pa
myéline est incapable de montrer les fins détails de structure des cellules . Telle ne convient qu'aux éléments cellulaires.
l'hématéine et la fuchsine picriquée de Van Gieson (noyaux violets, cellules et fibres rouges, myélinejaune, fibrilles de né
s tubes nerveux serrés les uns contre les autres, les noyaux et les cellules ner- veuses. L'examen à un fort grossissement
es globules rouges et les différentes sortes de leucocytes. - Les cellules montrent avec plus ou moins de netteté suivant l'
s vaisseaux. . D'ailleurs ces fibrilles n'affectent jamais avec les cellules nerveuses que des rapports de contiguïté. La
reconnaissent à. leur as- pect et à leur coloration plus pâle. Les cellules sont enserrées dans ce plexus où elles envoient
cy- lindraxes coupés dans toutes les directions. Dans la zone des cellules on voit un lacis très serré de fibres et de fibri
ie forment un feutrage serré au milieu duquel se détachent quelques cellules . De nombreux prolongements peuvent être suivis
s, on pourra étudier les dégénérescences par la méthode de Pal, les cellules nerveuses par la co- loration de Nissl, on décè
sclérose latérale amyotrophique au début, car un certain nombre de cellules gan- glionnaires des moelles dorsale et lombair
on verrait apparaître l'amaurose avec idiotie de Sachs. Enfin les cellules motrices spinales pourraient être mises en cause
pas illogique d'admettre que, dans le cas particulier, ce sont les cellules nucléaires de l'orbiculaire palpébral, plus vigou
érin ; ce ^dernier est caracté- risé par le défaut d'ordination des cellules cartilagineuses et par la synostose précoce des
la diaphyse (voy. PI. LVI, fig. 9). a) Zone de prolifération. Les cellules du cartilage indifférent se multiplient et cons
e interstitielle parfaitement hyaline. b) Zone de rivulation. Les cellules multipliées augmentent de volume, deviennent pl
nt en colonnes régulières composées chacune d'une rangée de 40 à 60 cellules dont les plus rapprochées de la ligne d'ossificat
e est constituée par une substance fondamentale fibreuse et par des cellules spéciales (ostéoblastes). Au voisinage de la di
commeplus haut la substance fonda- mentale séparant les colonnes de cellules cartilagineuses. Comme celle-ci elles servent d
èrement à leur surface, sécrètent de l'oséine et se transforment en cellules osseuses. Les travées ainsi formees délimitent
s et tendant de plus en plus à se disposer en séries linéaires, les cellules cartilagi- neuses, largement espacées, sont dis
udimentaire et souvent totalement absente. Si, par places, quelques cellules présentent encore une ébauche d'ordination, ce
les cartilagineux particuliers, arrondis ou ovoïdes, renfermant des cellules cartilagineuses arrondies, fortement tassées les
non seulement que les autres éléments de la coupe,mais même que les cellules cartilagineuses normales (Voy. b. PI. LIV, fig.
tituée par une substance interstitielle fibrillaire semée de minces cellules cartilagineuses aplaties et disposées concentriqu
e aucune tendance à l'ossification. Parfois quelques volu- mineuses cellules cartilagineuses persistent encore au fond de ces
lètement défaut et est remplacée par un car- tilage fibreux semé de cellules cartilagineuses rares et dispersées sans ordre.
ge indifférent. b) adénome cartilagineux, noyau nettement limité de cellules cartilagineuses hypertrophiées ? ) bande fibreuse
s hypertrophiées ? ) bande fibreuse. -s) cartilage scléreux semé de cellules rares et disposées sans ordre ; absence complète
oie d'ossification. Sa portion supérieure enferme encore de grosses cellules cartilagineuses. En b) la substance interstitie
MICROMÉLIES CONGÉNITALES 505 Parfois on y reconnaît encore quelques cellules cartilagineuses, mais celles- ci, inconstantes,
anales [(congestion, hémorrhagies récentes, infiltration de petites cellules ) et, en tout cas, trop récentes pour pouvoir le
elève sont de faible importance. Dans la zone de multiplication les cellules sont parfois un peu plus espacées et séparées p
s colonnes cellulaires, un peu courtes, ne renfermaient que 20 à 30 cellules au lieu de 40. Ces détails, à vrai dire, sont t
omme si il y avait défaut d'apposition de substance osseuse par les cellules médullaires (Stilling) ou même disparaissent pa
La moelle osseuse est riche en tissu fibrillaire, en leucocytes, en cellules adipeuses (S. l4lüller) et e'n cellules géantes
rillaire, en leucocytes, en cellules adipeuses (S. l4lüller) et e'n cellules géantes (Porak et Durante,Stilling).Il n'est pa
cation périostale. - Le périoste est généralement épais et riche en cellules , mais ne recouvre qu'une mince couche de tissu co
oste diaphysaire et ses prolongements, on observe fréquemment t des cellules capsulées ou des amas plus ou moins importants de
nt t des cellules capsulées ou des amas plus ou moins importants de cellules carti- lagineuses qui, parfois, sont en voie de
10). Il semble y avoir essentiellement une végétation excessive des cellules cartilagineuses et une inertie des ostéosblas-
congestion, des hémorrhagies récentes, une infiltration de petites cellules , lésions trop récentes et trop diffuses pour pouv
il s'agit d'une affection systématisée il un tissu, à une espèce de cellules (musculaire dans un cas, osseuse dans l'autre). D
ndulaires con- génitaux modifiant les conditions de vitalité de ces cellules ? s'agit-il d'un vice de développement remontan
es glandulaires simples ou multiples, qui réagissent leur tour sur la cellule osseuse, chacun selon sa formule personnelle, e
ossible pendant les premières périodes du développement lorsque les cellules sont encore en grande partie à l'état indiffére
. Et il est bon de rappeler que les membres sont constitués par des cellules qui jouissent pour un temps très long de cette
b) à la persistance relativement 1 longue à l'état indifférent des cellules destinées à la formation des mem- bres ; c) à l
trace des doigts. Dans ces bourgeons, dans l'intérieur desquels les cellules se différencient pour former les par- ties du s
aine, comme de petits bourgeons arrondis et formés par une masse de cellules indifférentes entourées par une couche ectoderm
que le tibia ne se différenciant pas normale- ment de la masse des cellules indifférentes qui représenteraient ce qu'on app
MEMBRES H79 dre le mécanisme des altérations du pied. La masse des cellules indiffé- rentes qui formait l'extrémité distale
orte du côté tibial a déterminé une hyperproduction. Et puisque les cellules de cette extrémité dans cette époque sont orienté
es transversalement, sont raréfiées et plus minces qu'ailleurs. Les cellules nerveuses semblent à ce même niveau moins nom-
lobes inférieurs, qui cependant restent toujours très minces. Les cellules du corps dentelé sont conservées pour la plus gra
bon tiers environ : l'amygdale en est cependant moins touchée. Les cellules de Purkinje sont notablement diminuées de nombre.
rieur de Vicq d'Azyr j'ai pu compter seule- ment une dizaine de ces cellules , tandis que la même lame appartenant à un cerve
sain en contenait sur la même coupe 84. Au niveau de l'amygdale les cellules de Purkinje conservées sont en plus grand nombre.
ininterrompue : elles sont en général plus nombreuses au- tour des cellules encore existantes ou en voie de disparition. La
cervelet, la protubérance et le bulbe; diminution considérable des cellules de Purkinje et augmentation de la nevroglia au
e constater aucune modifi- cation appréciable dans l'ordination des cellules secrétrices ni dans leurs carac- tères propres.
amelle, fortement teintée en rouge par l'éosine et ren- fermant des cellules très aplaties tangentiellement à la surface. Les
fermant des cellules très aplaties tangentiellement à la surface. Les cellules cartilagineuses sont beaucoup plus nombreuses d
cavités médullaires. Quelques-unes renferment encore des groupes de cellules cartilagineuses qu'entoure une mince couche de su
du système nerveux sur les fonctions végétatives et spécifiques des cellules , lesquelles croissent, se multiplient, et surto
ques des troubles fonctionnels, de la manière anormale de vivre des cellules , ou encore des traumas. Il insiste sur une semb
que, embryonnaires, foetales, adultes, ou d'ori- gine ovulaire, les cellules qui échappent à la loi d'organisation pour subir
nte de l'âge et du procédé formateur des organes et des tissus. Les cellules peuvent être sollicitées et proliférer à un âge
périoste ou la moelle engendrent les ostéoblastes, c'est-à-dire des cellules formatrices qui ressemblent à des fibroblastes
nt en partie en une substance fondamentale homogène, en par- tie en cellules osseuses (1). Il est donc à penser que plus est g
complètement dissocier la paroi du vaisseau. On voit au milieu des cellules blanches des éléments de la paroi, sous forme d
enons de décrire sont reliés par une zone infiltrée (PI. LXXV a). Les cellules épendymaires sont conservées en majeure partie
ont décrit Chaslin, Perusini, etc. · Entre ces filaments il y a des cellules d'infiltration, lymphocytes, grands mononucléai
disparu en quelques points ; la couche superficielle se compose de cellules rondes et de détritus, formant un véritable abcès
e pré- sente des saillies dont certaines sont coiffées d'un bloc de cellules blanches.C'est ici que nous avons rencontré le
cuoles très volume- z neuses, dans lesquelles on trouve souvent une cellule blanche d'infiltration, grand mononucléaire ou
composées par un amas de globules rouges à peine déformés ; pas de cellules blanches. Au centre de certaines de ces hémorragi
gements nerveux apparaissaient en rela- tion de continuité avec les cellules des centres moteurs et sensitifs. C'est une foi
32 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
visite des parents, des permissions de sortie, des congés, enfin la cellule . Mais, chaque fois que l'enfant montre quelque
illon d'isolement pour les maladies contagieuses et le pavillon des cellules . Bien qu'il ne s'agît là que de constructions r
uels viendra sans doute s'ad- joindre prochainement le pavillon dés cellules , si l'Admi- nistration actuelle de l'Assistance
ait diviser en deux parties. Dans la première , on a aménagé quatre cellules , dont le service était autrefois absolument dép
u à envoyer les malades soit à la Sûreté, soit dans le quartier des cellules de la 1" et de la 2e section, pratique détestab
mposait paraissait, au micro^ cope, formée de tissu connectif et de cellules adipeuses. Il nm. avait pas la plus légère trac
l'autopsie du cas de Ord, faite par Greenfield, il est noté que les cellules de la glande thyroïde sont comprimées par du tiss
L'atrophie du corps thyroïde, accompagnée de la destruction de ses cellules , équivaut, foiietionnellement parlant, à son abse
prolifération conjonctive. On remarque une infiltratiou marquée des cellules hépatiques surtout dans les parties centrales d
s au sein d'un tissu spécial,com- posé d'un grand nombre de petites cellules ramifiées avec EXAMEN HISTOLOGIQUE. 119 des f
s de la coupe. Tout au- tour des points caséeux sont dispersées des cellules géantes, arrondies et opaques. La moelle cerv
s la substance grise, on trouve une grande diminution de nombre des cellules des cornes postérieures.- Les cellules des corn
nde diminution de nombre des cellules des cornes postérieures.- Les cellules des cornes antérieures sont plus nombreuses, ma
alée dans les myélites. Il existe pourtant un assez grand nombre de cellules intactes. Le canal de l'épendyme est normal et
n descendante des cordons. Tout le long de la moelle, on trouve des cellules nerveuses altérées, comme il a été dit ci-dessu
hée aux bulbes olfactifs, une matière gélatineuse formée de petites cellules rondes analogues à celles du sarcome. Les tu- m
tu- meurs protubérantielles sont caséeuses et formées de petites cellules rondes, recoquevillées et cassées. H6 TUBERCULO
n du tissu cérébral. A leur périphérie, on voit une mince couche de cellules embryonnaires, dont les plus internes sont fusi
fusiformes et s'organisent en un tissu fibroide calcifié. Quelques cellules géantes sont répandues dans cette couche. La zo
foieprésente des nodules mi- .liaires avec la constitution typique, cellules géantes très rares, cellules épithélioides à ty
.liaires avec la constitution typique, cellules géantes très rares, cellules épithélioides à type fusiforme, se transfor- ma
n tissu calcifié, en sorte que le tubercule est réduit à un amas do cellules embryon- naires à centre caséeux. On retrouve d
mbryon- naires à centre caséeux. On retrouve des infiltrations de cellules embryonnaires en amas ou en îlots. Dans tous les
issu de granulations richement vascula- risées, enfin une couche de cellules embryonnaires, sans vaisseaux, parsemée d'un gr
llules embryonnaires, sans vaisseaux, parsemée d'un grand nombre de cellules géantes développées. Les cellules les plus inte
ux, parsemée d'un grand nombre de cellules géantes développées. Les cellules les plus internes de cette couche subissent la
ez un enfant sain du même âge. La seconde couche, celle des petites cellules pyramidales, présente des altérations dans le n
é, et dans leur disposition réciproque. Au lieu de former un mur do cellules serrées, vi- sibles au premier coup d'oeil, ell
chercher les éléments. Dans les deux couches suivantes, couche des cellules pyramidales moyennes et couche des grosses cell
s, couche des cellules pyramidales moyennes et couche des grosses cellules , on observe, vu la grosseur des éléments, des l
observe, vu la grosseur des éléments, des lésions plus nettes. Les cellules sont diminuées de nombre ; en revanche, les noy
e ; en revanche, les noyaux petits et sphériques qui révèlent les cellules névrogliques sont augmentés et dispersés. Les cel
blanche, pré- sentent les mêmes séries morcelées par disparition de cellules intercalaires; en sorte qu'on ne voit que des g
aires; en sorte qu'on ne voit que des groupes continus de plusieurs cellules en nombre assez restreint, ressemblant à des EX
ressemblant à des EXAMEN HISTOLOGIQUE. 151 capsules allongées de cellules de cartilage. Les cellules situées àlalimite de
HISTOLOGIQUE. 151 capsules allongées de cellules de cartilage. Les cellules situées àlalimite des deux couches intermédiair
lules situées àlalimite des deux couches intermédiaires aux grandes cellules pyramidales et aux moyennes, présentent à son m
petit amas de granules ré- fringents autour de lui. La plupart des cellules sus-mention- nées, présentent les différents de
és de cette altération, avec cette particularité que la plupart des cellules que l'on voit dans un même champ du microscope,
ubstance blanche, ce qui domine c'est l'accumulation des noyaux des cellules interstitielles. Il n'y a qu'un petit nombre de
résumé, on constate la congestion vasculaire, la multiplication des cellules de la névroglie et la disparition des cellules
a multiplication des cellules de la névroglie et la disparition des cellules nerveuses, disparition qui nous est expliquée p
ermé- diaire, couche des fibres arquées, et la couche des grandes cellules pyramidales ne se composent plus que de faisceaux
t plus que de faisceaux fibrillaires descendants avec de nombreuses cellules intersti- tielles, et c'est dans la couche des
nombreuses cellules intersti- tielles, et c'est dans la couche des cellules pyramidales moyen- nes que l'on retrouve l'évol
telles que nous venons de l'indiquer. Au-dessus, la sériation des cellules a tout à fait disparu. La couche la plus superfic
tance blanche, l'accu- mulation des noyaux petits et sphériques des cellules intersti- tielles est très marquée. Dans les po
llulaire abondant. b) Cervelet, Hémisphère droit, rien à noter. Les cellules du Purkinje sont admirablement conservées. En r
ours des deux mêmes éléments, sclérose interstitielle et lésion des cellules pyrami- dales, évoluant parallèlement. c) Moe
a substance grise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée dans les cellules des cornes antérieures; les cornes sont égales;
tes. f) Glandes sous-maxillaires. - Pas de suppuration ; mais les cellules petites, cubiques, non granuleuses, remplissent l
euse diffuse subaiguë des deux hémisphères ; atrophie prononcée des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle ép
colorées, on constate que la vascularisation paraît normale; les cellules nerveuses sont nombreuses, disposées en séries; b
substance grise s'y ramifient, la morcellent; l'as- pect normal des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dan
es placées bout à bout n'existe plus dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la couche des petites c
oyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la couche des petites cellules pyramidales 1,2° couche de Meynert), sont deven
1,2° couche de Meynert), sont devenues rares ; pourtant les grandes cellules existent encore, mais nulle part elles ne sont
tz; elles sont, au contraire, assez clair-semées. D'autre part, les cellules interstitielles à petits noyaux sphériques ne p
iste un certain nombre de foyers de désintégration assez pauvres en cellules , ou pres- que toute la trame de l'écorce grise
ux substances, est infiltrée d'une quantité considérable de petites cellules interstitielles. Il y en a moins dans la substa
ise, des amas considérables de corps granuleux dans la blanche. Les cellules géantes de la région sont éparses au milieu de
us de celles qu'on s'attend à rencontrer la ; la ligne de grandes cellules du corps bordant ne paraît pas altérée. La lèvr
ion très prononcée, beaucoup plus accusée que partout ailleurs; les cellules interstitielles paraissent abondan- tes ; à par
, on trouve une raréfaction des éléments nerveux de la cou- che des cellules de Purkinjo ; une diminution d'épaisseur de la
arties symétriques, mais il y a disparition à peu près complète des cellules motrices dans les deux cornes antérieures. Il e
les motrices dans les deux cornes antérieures. Il existe encore des cellules nerveu- ses en assez grand nombre dans les corn
ntérieures, symétriques, contiennent un certain nom- bre de grandes cellules , relativement très peu abondantes, se colorant
générales et diffuses. Il n'y a nulle part d'état pigmentaire des cellules , ni rien d'analogue à l'état hyalin si développé
yalin si développé que l'on observe à la période de tuméfaction des cellules dans la paralysie générale. ' L'atrophie des
on constate que les capillaires sont très nombreux et dilatés; les cellules nerveuses ne sont pas disposées en séries, mais
quantité 'considérable de petits noyaux sphériques appartenant aux cellules interstitielles. Sur certains points, il existe
x à trois fois plus épaisse. Cette couche est composée surtout de cellules rondes assez volumineuses à noyau sphérique, dont
mplies de granulations jaunes de pigment san- guin à la manière des cellules interstitielles de l'ovaire. Ce sont elles qui
oisième couche est occupée parces faisceaux et un certain nombre de cellules . Ces masses de faisceaux fibrillaires accompagn
de ce tissu fibrillaire feutré, de rares vaisseaux et contenant des cellules à noyaux ronds ou allongés, dont quelques-rues
es, la gaine adventice se remplit EXAMEN HISTOLOGIQUE. 189 de ces cellules , de façon à former des renflements en massue li
ise est encore assez visible, mais ces séries sont occupées par des cellules interstitielles en très grande abon- dance. Sur
aucoup plus nombreux, le pro- cessus est beaucoup plus avancé ; les cellules ne sont plus dis- posées en séries, mais elles
par un réseau très fin d'une dentelle de fibrilles grêles avec des cellules à noyaux sphériques, à corps cellulaires ramifi
u- laire qui a disparu des coupes. On n'y rencontre pas une seule cellule nerveuse et cela dans plusieurs champs du microsc
autour, ces fibres sont entourées d'une grande quantité de petites cellules interstitielles et sur les pièces traitées succ
autant d'espaces clairs. Dans la deuxième couche, celle des petites cellules pyrami- dales, on voit que presque toutes ces c
des petites cellules pyrami- dales, on voit que presque toutes ces cellules sont petites et globuleuses, et qu'elles ne son
ruits et leur nom- bre diminué. Dans la troisième couche, celle des cellules moyennes, on voit les colonnettes dueformentces
celle des cellules moyennes, on voit les colonnettes dueformentces cellules bout à bout beaucoup plus distantes les unes de
urvu d'éléments interstitiels. Même vascularisation ramifiée. Les cellules nerveuses sont globuleuses, leur noyau volumineux
s, leur noyau volumineux, clair, nucléolé, remplit presque toute la cellule . Le prolonge- ment inférieur est le plus distin
inférieur est le plus distinct. Dans la couche suivante des grandes cellules , les altérations sont les mêmes pour les cellul
vante des grandes cellules, les altérations sont les mêmes pour les cellules nerveuses, dont le corps cy- toplasmique est pâ
n nombre considérable. Dans les espaces qui séparent ces rangées de cellules , espaces par où £ t descendent les fibrilles qu
que dans les couches précédentes un assez grand nombre de noyaux de cellules interstitielles, petits, sphériques et fortemen
lie de globules sanguins avec un certain nombre de leucocytes et do cellules fusiformes; au pourtour de ces masses, un grand
actères que ci-dessus, elles sont seulement plus marquées, avec des cellules interstitielles très abondantes et des capillaire
couche de névroglie est fibrillairo dans le sens longitudinal ; les cellules interstitiel- les y sont très nombreuses, les c
udinal ; les cellules interstitiel- les y sont très nombreuses, les cellules de Purkinje sont abon- dantes, mais elles se co
ge- RÉFLEXIONS : HÉRÉDITÉ. 191 ments de la plupart. La couche des cellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans
des faisceaux fibrillaires volumineux et entre-croisés autour des cellules nerveuses. Celles-ci, nettement diminuées de nomb
et présentent un refletjau- nâtre et hyalin comparable à celui des cellules de la paralysio générale, elles sont tuméfiées
rs prolongements n'existe que peu ou point. Par l'hématoxyline, ces cellules se colorent en gris de lin et leur réfringence
thélium est intact; on y distingue sur certains points les cils des cellules . La trame conjonctive des cordons blancs est no
Moelle lombaires Les lésions sont les mêmes, la tuméfac- tion des cellules et leur raréfaction sont encore plus visibles, à
raréfaction sont encore plus visibles, à cause du grand nombre des cellules motrices en ce point (1). RÉFLEXIONS.- Cette ob
es sont,en effet, assez rares chez des en- fants aussi jeunes ; les cellules nerveuses sont plus ou moins diminuées de nombr
nu par transparence, atteignant 1 à 2 millim. de dia- mètre où les cellules nerveuses ont disparu; il n'y a plus qu'un rése
superficielle, brunâtre, doit cette coloration à un grand nombre de cellules tuméfiées, chargées de granula- tions pigmentai
ng épanché ; le pigment de ces globules rouges a été repris par les cellules interstitielles de la paroi du foyer que nous a
te seconde lésion sur la première. Dans la moelle, l'altération des cellules nerveuses est bien nette, c'est la nécrose de c
ait signalée d'abord, notons-le : précisément dans les myélites les cellules qui meurent de cette façon nous ont montré les
e désintégration moléculaire complète; après quoi, les débris de la cellule s'éliminent. Los lésions de la substance blanch
EUDO -hermaphrodisme. 203 alvéoles irrégulières qui contiennent des cellules embryon- naires ; ce tissu fibreux se rencontre
droits d'apparence fibreuse ; il diminue, et même cède le pas aux cellules embryonnaires dans les parties molles, jeunes, de
33 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
que cette diminution de volume tenait à la réduction du nombre des cellules et des tubes nerveux; enfin Variot a remarqué d
n la remarque de Lancereaux, à l'agénésie ou à une modification des cellules de la moelle, pendant la durée de la vie foetal
le de la zone motrice, et particulièrement de la couche des grandes cellules de cette zone. Si donc le syndrome est fréquent
les cel- lules motrices, ou lorsque ces tumeurs absorbent les dites cellules dans un processus rapide de transformation néop
iation; la partie fondamen- tale du néoplasme est formée de petites cellules rondes avec noyau volu- mineux ; ce sont des ce
ée de petites cellules rondes avec noyau volu- mineux ; ce sont des cellules sarcomateuses typiques. Restait à déterminer le
tement vascularisée, s'infiltrait peu à peu, à sa face profonde, de cellules embryonnaires et ne tardait pas à faire corps a
sépare les deux tissus. Le tissu de la tumeur est formé de petites cellules rondes, chacune de ces cellules possède un noya
u de la tumeur est formé de petites cellules rondes, chacune de ces cellules possède un noyau relativement volumineux et une m
dehors de cette membrane et immédiate- ment contre, se trouvent les cellules sarcomateuses. Dans quelques en- droits, toute
ce de paroi vasculaire a même disparu, et le sang chemine entre les cellules s'accumulant par places en petits foyers d'hémorr
ées à ce niveau mon- trent la dure-mère saine passant au-dessus des cellules embryonnaires, et non dissociée par elles. '
ÉBRALE 81 mêmes sont également plus denses, plus compactes ; et les cellules ner- veuses, disséminées dans la gangue névrogl
en très grand nombre entourés d'une couche plus ou moins épaisse de cellules embryonnaires en tout semblables aux cellules g
s ou moins épaisse de cellules embryonnaires en tout semblables aux cellules globuleuses du sarcome. Cette multiplication d'
très précise le diagnostic histolo- gique de la tumeur : sarcome à cellules globo-cellulaires, siégeant primi- , tivement s
totalité de l'encéphale ! 'j j L'infiltration de la méninge par les cellules du sarcome au voisinage de la sphère 'motrice d
dont cette région fait partie, mais elle se met en rapport avec les cellules motrices etprobablementvaso-molrices (1) Je ren
lasie de la névroglie détermine, comme tout corps étranger dans les cellules de la substance grise, de l'excitation, laquell
onnelle. J'ai pu constater à l'aide de la méthode de Nissi, que les cellules nerveuses sont atrophiées non seulement au vois
ance. Le rein offre des lésions diffuses : altérations diffuses des cellules des tubes contournés qui se colorent mal en gén
sceaux postéro-iatéraux. Pour ce qui est de la substance grise, les cellules des cornes antérieures sont intactes au niveau
eau cérébelleux direct est éga- lement le siège d'altération. Les cellules des cornes antérieures semblent présenter leur no
INIQUES DE LA FACULTÉ DE BORDEAUX. NOTE - SUR LES LÉSIONS DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE P
hénomènes de congestion, de diapédèse et de réaction de la part des cellules endothélia- les, de l'épithélium épendymaire et
rt des cellules endothélia- les, de l'épithélium épendymaire et des cellules névrogliques qui se mul- tiplient par karyokinè
liques qui se mul- tiplient par karyokinèse. A un second stade, les cellules nerveuses se creu- sent de vacuoles, les cellul
second stade, les cellules nerveuses se creu- sent de vacuoles, les cellules névrogliques contiennent des granulations grais
ues contiennent des granulations graisseuses. A une 3e période, les cellules nerveuses deviennent vésicu- leuses et elles pe
paralytique du lapin consistent en une encéphalo-myélite aiguë. Les cellules de Purkinje du cervelet et les cel- lules motri
tion leuco- cytairedesespaces lymphatiques autour etjusque dans les cellules nerveuses qui s'atrophient, deviennent vacuolai
erposée aux fibres et aux cellules- nerveuses est hyperplasiée, les cellules en araignée se multiplient par karyokinèse. L'h
r karyokinèse. L'hyperplasie névroglique favorise la régression des cellules et des fibres'nerveuses dont la myéline est fra
uleuse. M. Marinesco (2) a étudié chez le lapin les altérations des cellules ner- veuses à l'aide de la méthode de Nissl. Da
e mince de corpuscules chromatiques de Nissl, à la périphérie de la cellule , ensuite une couche très dense, et, entre les d
diaire sans corpuscules. Il est à remar- quer que, dans beaucoup de cellules , les éléments chromatiques très den- ses.'chang
'une façon très vive. Nous avons borné nos recherches à l'étude des cellules nerveuses de la moelle cervicale d'un rabique q
steur, 1895. (2) MAIIINESCO. Presse médicale, no 8, 1897. , , DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 157
sultats, nous tenons à rappeler succinctement quel est l'aspect des cellules nerveuses de la moelle après l'action de la thi
t de publier sur ce sujet un travail des pJus remarqua- bles. Les cellules nerveuses de la moelle appartiennent toutes au ty
tance chroma- tique, réseau achromatique ou spongioplasma. Dans les cellules motrices de la corne antérieure, la substance c
disposée sous forme de grumeaux qui s'étalent à la périphérie de la cellule et s'allongent en fuseaux dans les expansions p
e sont sillonnées par des espaces linéaires qui parcourent toute la cellule et convergent vers le cylindraxe, établissant ain
a région périnucléaire et du cylindre-axe. Ces espaces clairs de la cellule sont ménagés entre les dépôts chroma- tiques, d
ar du spongioplasma. - Les dépôts chromatiques ont,dans les grandes cellules et les moyennes, l'apparence soit de gros grume
au achromatique qui constitue en quelque sorte la char- pente de la cellule nerveuse se termine à la périphérie en s'insérant
giques in- discutables. Quant au noyau, il occupe le centre de la cellule ; la chroma tille y est condensée en un seul nuc
nucléaire est traversé par un réseau irrégulier de linine dans DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 159
bleu clair, le nucléole est violacé. Tels sont les caractères des cellules motrices radiculaires de la corne an- térieure
diculaires de la corne an- térieure à l'état normal. La plupart des cellules des cornes antérieures et par conséquent un bon
cellules des cornes antérieures et par conséquent un bon nombre des cellules de cordon ont exactement les caractères décrits
elle existent d'autres types cellulaires ; c'est ainsi que dans les cellules nerveuses de la substance gélatineuse de Rolando,
s protoplasmi- ques principales (1). Dans le noyau de ces dernières cellules , la chroma- tine est agglomérée en une série de
lules dites de cordon. Après avoir montré comment se présentent les cellules de la moelle à l'état normal, il nous sera rela
consistent les modifications anatomo-pathologiques imprimées à ces cellules par le virus rabique. On est d'abord frappé p
internes des cornes anté- rieures sont altérés au premier chef. Les cellules postéro-externes et an- térieures de ces mêmes
C. CABANNES mais plus diffuses et moins accentuées. La plupart des cellules de la subs-' tance de Rolando et des cornes pos
ules de la subs-' tance de Rolando et des cornes postérieures etdes cellules situées à l'union des cornes antérieures et pos
en établissant une échelle de gra- dation (1). ,. - - ' ' A. Les cellules mesurent de 37 à 40 N sur 24 à 25 ? elles ont con
d'un espace clair oblique. Dans chaque préparation, on compte 7 à 8 cellules répondant à ce type, B. La cellule nerveuse enc
préparation, on compte 7 à 8 cellules répondant à ce type, B. La cellule nerveuse encore polygonale a perdu en grande part
ériphérique et centrale (corne antérieure). Disparition du noyau. D Cellule nerveuse au début de l'altération. COUPES DE MO
ellé. Méthode de \ ? 1. = f un 1)) MASSON & cte, éditeurs DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE RIUMAINE 161
cas, la chromatolyse ne respecte plus qu'un segment li- mité de la cellule , parfois à l'extrémité opposée du cylindre-axe en
ffectuée avec plus ou moins d'intensité. On trouve à peu près 3 à 4 cellules ainsi altérées par coupe. C. La cellule ovala
trouve à peu près 3 à 4 cellules ainsi altérées par coupe. C. La cellule ovalaire ou globuleuse, parfois encore polyédriqu
la membrane nucléaire s'efface et disparaît. Il ne reste plus de la cellule qu'une sorte de globe à contours assez marqués
planche XIX, B).Dans la tête de la corne antérieure, on note 2 ou 3 cellules à ce degré de dégéné- rescence. Dans les autres
aments analogues. Les 1<'w. 13, 14, 15, 1G. Fio. 17, 18. DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 163
18. DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 163 cellules présentant de semblables figures nucléaires sont
actères morphologiques rendent impossible toute confusion entre ces cellules nerveuses et les corpuscules névrogliques ainsi
ué un véritable pe- loton chromatique reporté à la périphérie de la cellule (Fig. ? 4. et 25). En dehors de cet état du noy
tat du noyau bien digne de fixer l'altention, on ne relève dans les cellules nerveuses aucune phase karyokinétique régulière,
oncordent dans leurs grandes lignes, surtout en ce qui concerne les cellules de la corne antérieure; il semble cependant que l
l'homme que dans celle des animaux. Dans notre cas, la plupart des cellules des cornes pos- térieures et de la région inter
sont pour ainsi dire cadavérisées. Les dépôts chromatiques de la cellule subissent les premières altéra- Fia. 19, 20, 21
m- brane nucléaire. Une double tendance s'accuse au début dans la cellule nerveuse dont le protoplasma'perd ses granulati
nèse. Mais les lésions dégénératives deviennent prédominantes et la cellule est atteinte non seulement dans ses réserves nu
ompte des données les plus récentes sur la physiologie générale des cellules nerveuses, on est conduit il tenter une interprét
ont montré qu'une lésion d'un nerf périphé- rique retentit sur ses cellules d'origine en provoquant une désagrégation de la
fs jusqu'aux centres, mais les désordres qu'il a entraînés dans les cellules nerveuses ne ressem- blent en rien aux phénomèn
iode d'excitation de la rage correspond un hyperfonctionnemen t des cellules nerveuses qui consomment, sans les réparer, les m
représenté par la chromatolyse périphéri- que. La stimulation de la cellule par le virus rabique se traduit aussi par un ch
ns y aboutir vers la karyokinèse. On se demande actuellement si les cellules nerveuses sont susceptibles de manifester des p
de certaines exci- tations ; M. Giuscppe Lévi (2) a montré que les cellules nerveuses de l'é- corce cérébrale,au voisinage
présentent (les (igu- (1) llnnmcsco. Recherches sur l'histol. de la cellule nerveuse avec quelques considé- rations physiol
2) GlUSEppE Liivi. Recherches sur les propriétés prolifératives de la cellule nerveuse (Rivista di Pathologia nerv. e mentale
nerveuse (Rivista di Pathologia nerv. e mentale, oct. 1896). DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 165
'il existe, comme l'a prétendu M. Babés (1), une multiplication des cellules nerveuses, maison est obligé'd'admettre,avec ce
s, maison est obligé'd'admettre,avec cet auteur,que le noyau de ces cellules ne reste pas absolument inerte : il réagit sous
il ressort des recherches de D. S. Ramon Y Ca- jal (2) que dans les cellules nerveuses, et dans celles des cornes antérieu-
e développe suivant son diamètre transversal, ce seront surtout les cellules de la base de la corne antérieure et celles du gr
du groupe moyen qui seront tout d'abord endommagées tandis que les cellules du groupe anléro-externe et antéro-interne rest
tes, et cela parce que les recherches récentes m'ont montré que les cellules situées loin du foyer de gliose présentent des
haut, le processus de gliose laisse relativement intactes certaines cellules de la corne antérieure. Des tentatives de loc
rgie relative et d'autre part, l'histologie fine m'a montré que les cellules situées loin du foyer de gliose ne restent pas ab
nt. J'ai constaté, en effet, des lé- sions des plus nettes dans ces cellules . II - Nous avons vu que trois des malades qui
ec leurs ostéophytes, dépendent de l'atrophie du groupe des grosses cellules antérieures de la moelle. Enfin, la lésion origin
t que préci- sément dans le premier âge les altérations de quelques cellules médul- laires, des cornes antérieures par exemp
). MM. Joffroy et Achard concluaient à l'altération dynami- que des cellules motrices, sous l'influence de la sclérose descend
o- glie et sur les éléments conjonctifs ; les cylindres-axes et les cellules gan- glionnaires n'y participent nullement. 2
-axes de ces fibres représentent des prolongements descen- dant des cellules psycho-motrices (Fig. 1). Par leurs arborisations
ations termi- nales, ils vont se mettre en rapport avec les grosses cellules motrices des cornes antérieures de la moelle. D
les motrices des cornes antérieures de la moelle. De chacune de ces cellules motrices part (1) A. Chipault, Etudes de chirur
eurone, central Ne, dont le corps cellulaire est représenté par une cellule pyramidale eps de la zone psycho-mo- trice de
sé, sous forme d'une arborisation terminale qui enlace une grosse cellule motrice. Un neurone périphérique N p, dont le
, dont le corps cellulaire C m est représenté par une des grosses cellules motrices des cor- nes antérieures, et dont le p
entral Ne (Fig. 2), dont le corps cellulaire est représenté par une cellule du noyau de Burdach B, ou du noyau de Goll G. U
neurone; elle ga- gne la périphérie et se met en rapport avec les cellules épithé- liales de la peau et des muqueu- ses.
nales, qui se mettent en rap- port avec les prolonorements 1) d'une cellule cordonale c; ces prolonge- ments sont représent
te dans l'autre moitié de la moelle, en E. Là, elle impressionne la cellule cordonale c, et elle se propage de bas en haut
ut dans la moelle, le long du prolongement cyl indraxile p de cette cellule cordonale. On conçoit dès lors que dans le cas
cette transmission, se missent en rapport de contiguïté avec des cellules cor- donnales situées au même nnu et dont les
de cette question etont constaté en particulier une altération des cellules des cornes antérieures ; M. Klip- pel nous semb
OLOGIQUE DE LA POLYNÉVRITE DANS SES RAPPORTS AVEC LES LÉSIONS DE LA CELLULE NERVEUSE PAR SERGE SOUKHANOFF, Médecin de l
oissement de nos con- naissances concernant la structure fine de la cellule nerveuse l'état nor- mal ou pathologique. Le su
, en outre, nous avons à présent la possibilité de définir dans les cellules nerveuses altérées des modifications qu'on ne p
et subit encore de nombreuses modifica- tions. Le protoplasma des cellules nerveuses coloré ainsi n'apparaît pas uniforme.
gures de la dis- position desquelles il résulte que les différentes cellules nerveuses n'ont pas un aspect identique. Dans l
rveuses n'ont pas un aspect identique. Dans l'état pathologique des cellules nerveuses on observe toute une série de modific
nique fit découvrir de nouvelles modifica- tions survenues dans les cellules nerveuses, se trouve la polynévrite. Ce ne sont
hi. 350 SERGE SOUKHANOFF tionspar des fibres dégénérées. Dans les cellules de la corne postérieure, ainsi que de la corne
ennent plus, d'autres moins, et sa disposition dans les différentes cellules présente des figures très variées. Région cer
rieures. II. Préparations par la méthode de Nissl. -Beaucoup des cellules de la corne antérieure apparaissent modifiées;
les éléments ganglionnaires n'est pas partout identique. Il y a des cellules qui sont plus attaquées, d'autres moins. Bien d
y a des cellules qui sont plus attaquées, d'autres moins. Bien des cellules restent évidem- ment intactes. On peut juger
ères de la substance chromatique, et, en outre, par l'endroit de la cellule où se trouve le noyau. En examinant diverses prép
iverses préparations on peut voir très nettement que dans certaines cellules la substance chroma- tique n'est pas distribuée
ts degrés de modification dans la subs- tance chromatique. Dans les cellules , où la dissolution.de la substance chromatique
lus la dissolution de la substance chromatique dans le centre de la cellule est grande, plus le noyau s'avance vers la périph
ce vers la périphérie; il forme quelquefois sur la périphérie de la cellule une convexité. Dans la dissolution périphérique
logique nE la polynévrite 351 se rencontre rarement, le noyau de la cellule reste dans la partie cen- trale du corps cellul
reste dans la partie cen- trale du corps cellulaire (Fig. 4). Les cellules avec modification centrale de la substance chroma
stance chromatique dif- fèrent par leur aspect extérieur des autres cellules et surtout des cellules normales. En effet, leu
fèrent par leur aspect extérieur des autres cellules et surtout des cellules normales. En effet, leurs contours deviennent p
es normales. En effet, leurs contours deviennent plus arrondis, les cellules ont l'aspect gonflé. Dans les ganglions inter
ans les ganglions intervertébraux, on peut constater dans certaines cellules nerveuses, ainsi que dans les cellules motrices d
eut constater dans certaines cellules nerveuses, ainsi que dans les cellules motrices de la corne an- térieure, une dissolut
renchymateuse très accentuée. Pour ces recherches ont été Fig. 3. - Cellule de la corne antérieure de la moelle épinière. F
. - Cellule de la corne antérieure de la moelle épinière. Fig. 4. - Cellule de la corne antérieure de la moelle épinière. 3
ux après la section de leurs cylindres-axes avec l'état de quelques cellules dans la polynévrite, M. Marinesco, dans un réce
urtant à un degré bien moins accentué. Il est à remarquer que les cellules gonflées, la dissolution centrale de la substan
e tableau histologique qui résume les modifications principales des cellules nerveuses dans notre cas de polyné- vrite- ont
gion lombaire de la moelle (1) Mabinesco, Pathologie générale de la cellule nerveuse. Lésions secondaires el pri- ntilives.
rapport avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellules nerveuses. Revue neurologique, 1896, no 5. SUR
M. Sano xi), il résulte que les modifications sus- nommées dans les cellules nerveuses restent stationnaires très longtemps,
ons avoir le droit de dire que les modifications observées dans les cellules nerveuses, où le noyau se trouve sur la périphé
périphérie du corps cellulaire et où l'on voit dans le centre de la cellule nerveuse une coloration bien plus claire, dépende
nerveux. Nous pouvons désigner ces anomalies dé la structure de la cellule nerveuse, d'après la terminologie de M. Marinesco
ives, qui apparaissent après l'action immédiate d'un poison sur les cellules nerveuses ou à la suite d'un trouble de leur nutr
toxications provoquent des anomalies définies dans la structure des cellules nerveuses. Mais on ne peut considérer comme cho
uro- logie et d'hypnologie, 1897. (2) Marinesco, Pathologie de la cellule nerveuse. Paris, 1897, p. 37. (3) Sabrazès et C
euse. Paris, 1897, p. 37. (3) Sabrazès et CABANNES, Les lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine. No
lt. (5) Marinesco, Nouvelles recherches sur la structure fine de la cellule nerveuse et sur les lésions produites par certa
ations de la fonction et les modifications de la structure fine des cellules nerveuses. Dans notre casde polynévrite, outre
tre casde polynévrite, outre les modifications secondaires dans les cellules nerveuses, il y en avait encore des modifications
deux dernières causes. Est-ce seulement la partie chromatique de la cellule qui a été attaquée dans notre cas de polynévrit
ifications primitives,de même que les modifications secondaires des cellules nerveuses dans notre cas, consistaient principale
ns l'autre forme des corpuscules chromati- ques qui, dans certaines cellules nerveuses, semblaient subir une dissolu- tion d
ile de dire définitivement à quel degré de lésion du protoplasma la cellule nerveuse peut se reconstituer, et quel est le deg
rescence du prolongement cylindre-axile et au dé- périssement de la cellule entière. On peut admettre que,peul-être,les mo-
s intervertébraux, surtout de ce fait que la fonction trophique des cellules en question a été atteinte. La lésion des cordons
ur les voies conductrices longues dont l'origine se trouve dans les cellules des ganglions intervertébraux et qui entrent dans
ines postérieures. L'influence des modifications survenues dans les cellules des ganglions spinaux ne peut être omise dans a
de Tiraspol, par P. E. I,AUNOts (2 phototypies), 355. Lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine (no
che), 113. , Polynévrite dans ses rapports avec les lésions de la cellule nerveuse (histolo- giepathologique),par SOUKIIA
s), 374. , CABANNES (C.) et J. Sabrazès. Note sur les lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine (25
che), 109. Sabrazès (T.) et C. CABANNES. Note sur les lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine (25
ogique de la polynévrite dans ses rapports avec les lésions de la cellule nerveuse (6 figu- res), 347. Souques (A.) et
34 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
nt sous ses mains, de façon qu'on a été obligé de l'isoler dans une cellule . Cet accès de violence aveugle a été de courte
'écorce » (1). Suivant Lino, la sensibilité générale occuperait les cellules les plus superficielles, la sensibilité muscula
les cellules les plus superficielles, la sensibilité musculaire les cellules des' couches moyennes, et la motilité les grand
aire les cellules des' couches moyennes, et la motilité les grandes cellules profondes. D'autres, tenant compte de ce que le
rontales, là les fibres sensitives se mettent en connexion avec les cellules d'origine des fibres motrices. La sphère auditi
Sylvius ; les fibres du nerf cochléairese ter- minent là autour des cellules d'origine des fibres qui vont aux masses grises
ce entre les centres d'asso- ciation et les centres de projection : cellules fusiformes géantes, surabon- 56 G. G.15G , da
nne un tissu embryonnaire jeune, il n'offre pas en effet de grandes cellules étoilées avec des prolongements de diffé- rente
ration des noyaux musculaires forment, çà et là, de pareils amas de cellules géantes. Une étude plus complète de ce tissu de
érée de leucocytes. Le tissu conjonctif également est très riche en cellules de différentes 122 A. WEIL ET J. NISSIM forme
llules de différentes 122 A. WEIL ET J. NISSIM formes, depuis les cellules fusiformes jusqu'aux grosses cellules poly- mor
J. NISSIM formes, depuis les cellules fusiformes jusqu'aux grosses cellules poly- morphes contenant des nombreuses figures
figures kariokinéliques. Au milieu de la tumeur, là où ces grosses cellules se trouvent plus libres dans un tissu conjoncti
pongieux, l'étiforiiie, elles sont plus rondes et ressemblent à des cellules cartilagineuses-sans capsule; un peu en dehors, d
st uniquement formée par du tissu con- jonctif fin, muni de grosses cellules et de nombreux vaisseaux. Ce tissu celluleux et
e l'idée qu'il s'agit là d'un tissu embryonnaire muni de nombreuses cellules con- jonctives. Celles-ci proviennent de la pro
lules con- jonctives. Celles-ci proviennent de la prolifération des cellules du tissu conjonctif, et, dans les larges traîné
utres points du'centre de la tumeur, on les voit passer à l'état de cellules cartilagineuses avec formation de substance hyali
res coupes nous monlrent, dans un tissu extraordinairement riche en cellules et en vaisseaux, de larges traînées conjonctives
tance fondamentale est condensée, mais non calcifiée; les anciennes cellules conjonctives sont reléguées dans de petites fente
njonctives sont reléguées dans de petites fentes anguleuses, et les cellules embryonnaires, dans un ordre presque régulier, s'
des tendons apparaît une multiplication du tissu interstitiel, des cellules embryonnaires nombreuses par la prolifération des
r. En effet nous avons trouvé, au sein de la tumeur, une ébauche de cellules cartilagineuses et de trabécules osseuses, elle i
ue, on trouve dans un point du tissu conjonctif avec des nombreuses cellules embryonnaires, ailleurs du tissu osseux, plus loi
muscle, le tissu interstitiel de ce der- nier s'infiltre d'abord de cellules embryonnaires ; à celles-ci succède bien- tôt d
n constate une sclérose nette du faisceau py- ramidal direct. Les cellules de la corne antérieure sont normales. Les cellu
al direct. Les cellules de la corne antérieure sont normales. Les cellules de la colonne de Clarke sont altérées ; elles son
ans le vermis superior. En aucun point il n'existe d'altération ; les cellules de Purkinje, en particulier, sont normales comm
uement, il n'y avait pas d'atrophie, il n'y avait aucune lésion des cellules de Purkinje. Un pareil fait ne vient pas confir
MITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU DANS LEURS RAPPORTS AVEC L'ÉTAT DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE (I) PAR N. SOLOVTZOFF
e Nissl. Avant tout il existe une différence très marquée entre les cellules de la corne antérieure et entre les cellules de
très marquée entre les cellules de la corne antérieure et entre les cellules des cordons de Clarke et des ganglions interverté
ères sont d'une grandeur normale et à contours réguliers. Quant aux cellules de la corne antérieure, elle diffèrent de beaucou
férence consiste dans leur for- me tout à fait extraordinaire ; ces cellules ont une masse de vacuoles, peu de chromatine qu
il est au contraire très accusé. Ce sont surtout les anomalies des cellules du cas II et du cas III qui sont les plus remar-
ujours assez pour qu'on puisse voir la différence avec l'aspect des cellules motrices normales. Ici d'ail- leurs le reste de
la méthode de Golgi on voit très nettement les anoma- lies dans les cellules motrices. La cellule n'apparaît pas toute noire e
voit très nettement les anoma- lies dans les cellules motrices. La cellule n'apparaît pas toute noire et Fie. 3 et 4. Cell
les motrices. La cellule n'apparaît pas toute noire et Fie. 3 et 4. Cellules de la corne antérieure (cas 111). Le noyau est en
r la méthode de Nissl nous observons ce qui suit : la plu- part des cellules n'ont qu'un noyau avec une quantité insignifiante
s; ces filaments s'unissent quelquefois, et il en résulte alors des cellules avec grandes vacuoles (Fig. 3 et 4). L'aspect
rs des cellules avec grandes vacuoles (Fig. 3 et 4). L'aspect des cellules est très varié, tantôt elles ont la forme de demi
t les décrire. Mais la principale particularité propre à toutes les cellules consiste en ceci : elles sont presque toutes pr
vacuoles (Fig. 5). Comment expliquer cet aspect extraordinaire des cellules ? pourquoi diffèrent- elles tant de l'aspect no
pourquoi diffèrent- elles tant de l'aspect normal qu'affectent les cellules nerveuses et pourquoi ne sont-ce que les cellul
qu'affectent les cellules nerveuses et pourquoi ne sont-ce que les cellules motrices qui ont un aspect si sin- gulier, tand
cellules motrices qui ont un aspect si sin- gulier, tandis que les cellules des cordons de Clarke et des ganglions in- terv
es voies motrices de la moelle épinière qui vontdu cerveau vers les cellules motrices delà moelle épinière. Ces dernières, pri
ipal de développement que leur donnait le cerveau,se sont FiG. 5. - Cellule de la corne antérieure (cas II). Grandes vacuoles
développement embryonnaire. Et s'il en est ainsi, si en vérité nos cellules ne sont pas développées parce qu'elles ne rece-
arce qu'elles ne rece- vaient pas de stimulation correspondante des cellules pyramidales, alors elles doivent ressembler par
dales, alors elles doivent ressembler par leur aspect extérieur aux cellules embryon- naires peu développées. Il est vrai qu
u développées. Il est vrai que le prolongement cylindre axile de la cellule pyramidale ne s'anastomose pas avec les prolongem
u lieu, car tout le neurone supérieur avait péri ; de sorte que les cellules motrices de la moelle épinière dans nos cas étaie
si étrange doit être considéré, d'après nous, comme étant celui de cellules incomplètement développées, c'est-à-dire embryonn
e qui précède, nous allons porter nos investigations concernant les cellules de la moelle épinière sur des em- bryons de l'h
use sur la moelle par suite d'un si long séjour dans le formol. Les cellules se coloraient tout aussi bien que les cellules de
dans le formol. Les cellules se coloraient tout aussi bien que les cellules des embryons dont la moelle venait d'être placé
d'être placée dans la formaline. En examinant le développement des cellules chez les embryons en com- mençant par ceux qui
s avons remarqué que chez les embryons de 2 à 3 mois la plupart des cellules consistaient seulement en noyaux (Fig. 6). Le g
DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 195 d'un autre, enfin toute la cellule apparaît entourée de protoplasme (Fig. 8). Le p
seau est disposé inégalement autour des noyaux ; les contours de la cellule ne sont pas en- core nets. Mais au sur et à mes
- core nets. Mais au sur et à mesure que l'embryon se développe, la cellule aussi commence à prendre une forme plus définie
au une accumulation considérable du proto- plasme (Fig. 9), mais la cellule est encore loin d'être formée complè- tement, s
rmée complè- tement, sa forme est encore très bizarre (Fig. 10). La cellule est compo- sée d'un noyau entouré d'un réseau a
noyau entouré d'un réseau achromatique très lâche de sorte que les cellules ont un aspect spongieux (poreux) (Fig. 11). La ch
ériode, c'est-à-dire au cinquième mois de la vie intra-utérine, les cellules des ganglions inler-verlébraux sont déjà tout à
iode plus avancée la substance chromatique commence aussi Fig. 6. - Cellule de la corne antérieure d'un embryon de 12 centi
a corne antérieure d'un embryon de 12 centimètres de longueur. La cellule est réduite à un noyau de forme ronde autour du
ronde autour duquel on ne distingue pas de protoplasma. Fia. 7. Cellule de la corne antérieure d'un embryon de 16 centi
e protoplasma qui se développe d'un seul côté du noyau. FiG. 8. - Cellule de la corne antérieure d'un embryon de 16 centi
e presque complète- ment. 196 N. SOLOVTZOFF à paraître dans les cellules sous l'aspect de blocs informes, qui se colo- r
tlespoints nodauxdu spongioplasme ; quant à la seconde moitié de la cellule , elle ne contient pas de chromatine et n'est comp
ioplasma. Enfin les grains de chromatine apparaissent dans toute la cellule . Cela a lieu il la fin de la vie intra-utérine, a
rquer, que la chromatine n'appa- raît pas à la fois dans toutes les cellules et partout le long de la moelle épinière ; l'on
ut le long de la moelle épinière ; l'on peut souvent rencontrer des cellules avec chromatine et des cellules sans chromatine
; l'on peut souvent rencontrer des cellules avec chromatine et des cellules sans chromatine l'une près de l'autre. Pourtant v
ne l'une près de l'autre. Pourtant vers la fin de Fio. 9, 10 et 11. Cellules de la corne antérieure d'un embryon de 4 à 5 mois
4 à 5 mois ; grandes vacuoles, aspect spongieux. Fm. 12 et 13. - Cellules de la corne antérieure d'un embryon de 6 mois, av
ORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 197 la vie intra-utérine toutes les cellules deviennent régulières, contiennent de la chroma
es, contiennent de la chromatine, et quand l'enfant est à terme les cellules sont totale- ment formées, elles ont une forme
chromatine disposée autour du noyau, comme cela doit être dans une cellule . Un fait analogue s'observe il l'examen des cel
être dans une cellule. Un fait analogue s'observe il l'examen des cellules nerveuses de la moelle épinière chez les animau
cellules nerveuses de la moelle épinière chez les animaux. Ainsi la cellule embryonnaire d'un boeuf et d'un porc à une cert
un embryon humain. Il n'y a point de grains chromatiques ici, et la cellule ne consiste qu'en une substance chromatique avec
supposition s'est confirmée complètement : l'aspect sin- gulier des cellules motrices de la moelle épinière chez nos monstres
ices de la moelle épinière chez nos monstres dé- pend de ce que ces cellules ne reçoivent pas des cellules pyramidales de l'
z nos monstres dé- pend de ce que ces cellules ne reçoivent pas des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale le stimulus n
leur développement. En un mot nous avons le droit de considérer les cellules de nos cas, comme des cellules embryonnaires in
ous avons le droit de considérer les cellules de nos cas, comme des cellules embryonnaires incomplètement développées. Les cel
s, comme des cellules embryonnaires incomplètement développées. Les cellules de nos monstres ainsi que celles des embryons d
ant est loin d'être clair : Nous disions, que chez nos monstres les cellules motrices de la moelle épinière ne s'étaient pas
resque totalement), mais comment alors expliquer ce même aspect des cellules chez les em- bryons même à la deuxième moitié d
. Mais ici quoi- que le cerveau soit déjà assez bien développé, les cellules motrices de la moelle épinière ne reçoivent pas
ulus nécessaire pour leur développement. En effet à cette époque la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale ne s'est pas e
de l'écorce cérébrale ne s'est pas encore mise en connexion avec la cellule motrice de la moelle épinière. D'après les in
n humain âgé de 7 à 8 mois, les prolongements cylindre-axiles de la cellule pyramidale s'observent seulement dans la moelle
u'ils paraîtront dans cette dernière, lorsque la connexion entre la cellule pyramidale de l'é- (1) Van GEIIUCIITEY, Faiscea
e etd'fIypnologie, 1896, Ne 13. . 198 N. SOLOVTZOFF corce et la cellule motrice de la moelle épinière se sera établie que
et la cellule motrice de la moelle épinière se sera établie que les cellules commenceront à prendre leur forme régulière. La c
t terme. Ainsi la même cause a provoqué l'aspect si singulier des cellules mo- trices de la moelle épinière dans nos cas e
cellules mo- trices de la moelle épinière dans nos cas et celui des cellules dans les embryons durant la première moitié de
re moitié de leur vie intra-utérine, l'absence du cerveau priva les cellules motrices de la moelle épinière du stimulus indi
au soit déjà assez bien développé, il n'a pas encore influé sur les cellules des cornes antérieures; le contact n'a pas encore
des cornes antérieures; le contact n'a pas encore eu lieu entre les cellules motrices de la moelle épinière et les cellules py
re eu lieu entre les cellules motrices de la moelle épinière et les cellules pyrami- dales de l'écorce cérébrale, de sorte q
cellules pyrami- dales de l'écorce cérébrale, de sorte que pour les cellules motrices de la moelle épinière de l'embryon, c'
ait pas d'hémi- sphères. CONCLUSIONS. 1° Le développement de la cellule nerveuse de la moelle épinière est très étroite
rès étroitement lié avec celui du prolongement cylindre-axile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale. Tant qu'il
de l'écorce cérébrale. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la cellule motrice de la moelle épinière et le prolongemen
trice de la moelle épinière et le prolongement cylindre-axile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule mo
t cylindre-axile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule motrice de la moelle épinière ne possède que tr
des hémisphères, telle est la cause de l'arrêt du développement des cellules motrices de la moelle épinière. Ces dernières r
une lésion pri- mitive de la moelle, qui a entraîné l'atrophie des cellules trophiques de la corne correspondant au membre
une atrophie simple avec diminution correspon- dante du nombre des cellules . Observation. Affection articulaire ancienne
cylindre primitif est comme dissocié des voisins, encerclé par des cellules embryonnaires ou plus anciennes, à noyau volumi
issl et le picro-carmin en masse. La différence entre le nombre des cellules d'une corne à l'autre est suffisamment marquée po
n émergence de . la moelle, que les différences entre le nombre des cellules d'un côté à l'autre sont visibles. 3° lombair
t de la corne antérieure. Il y a, à ce niveau, une différence de 24 cellules entre les cornes. Réduction de 1/2. 268 ACHAR
nts dont l'un plus marqué ir sa partie externe. La numération des cellules faite il un très faible grossissement (objectif 0
nt (objectif 0, Nachet, oculaire 1), de telle façon que les petites cellules ne sont pas aperçues, fait¡compter 23 cellules
açon que les petites cellules ne sont pas aperçues, fait¡compter 23 cellules à gauche, 14 à droite. 4° lombaire. Les cornes
accentuée entre la corne droite et la corne gauche. On compte 41 cellules du côté sain contre 26 du côté atrophié. 5e lom
ombaire. La corne gauche est plus renflée, absolument arrondie. Les cellules sont disposées par groupes, le plus important est
rt la différence entre les deux cornes. La corne gauche renferme 89 cellules , la corne droite 75. 9e sacrée. Diminution de
la corne droite 75. 9e sacrée. Diminution de tous les groupes de cellules à droite, surtout peut-être au niveau du groupe
roite, surtout peut-être au niveau du groupe interne. A gauche 92 cellules , 72 cellules à droite. 2° sacrée. La corne gauc
t peut-être au niveau du groupe interne. A gauche 92 cellules, 72 cellules à droite. 2° sacrée. La corne gauche est arrond
une ligne courbe, se traduit par une ligne rectiligne. On compte 101 cellules il gauche, 93 à droite. 38 sacrée. - La moell
ppée, surtout dans sa partie externe. La corne gauche renferme 83 cellules , la corne droite 52. Pour le groupe antéro-exte
mération concluante, étant donné surtout le grand nombre de petites cellules . , Mais il est il remarquer que, du côté droit,
e antérieure limitée par une ligne courbe fait saillie. Quant aux cellules elles-mêmes, elles ne montrent point de différenc
e et de la corne saine, ni dans le vo- lume, ni dans la forme de la cellule , ni dans le développement des prolonge- ments.
t auteur étudia la moelle. Il constata une atrophie pigmentaire des cellules de la moelle lombaire avec modification du nomb
des cellules de la moelle lombaire avec modification du nombre des cellules , sans modification de la névroglie. Mais les lé
attentive recherche, pour arriver à établir que, du côté droit, les cellules sont un peu plus développées qu'à gauche. (1)
servation est précieuse. Elle montre l'existence d'une atrophie des cellules médullaires, mais très peu marquée, d'après l'avi
e, elle est limitée à la région lombo-sacrée. Par la numéralion des cellules , on note une différence considérable (jusqu'à 2
alion des cellules, on note une différence considérable (jusqu'à 29 cellules en moins du côté droit). L'atrophie est en outr
losé. Il y avait diminution de la substance grise avec atrophie des cellules , et en outre diminution de la substance blanche
nvolutions montre une diminution du nombre et du volume des grandes cellules pyramidales. L'atrophie de l'écorce cérébrale,
ce de canal qu'elle forme on trouve un tissu spongieux com- posé de cellules hexagonales. ' Testelin et Dambressi rapportent
d'infiltration cellulaire, de tissu conjonctif néo-formé, d'amas de cellules fusi- formes, etc. CES. XIII. (Mac Grégor (A.
qui soulevaient la peau de la joue étaient dues à de grands amas de cellules épithéliales disposées concentrique- ment, en d
oqué dans lo tissu conjonctif voisin une abondante prolifération de cellules rondes; il en était de même le long et au pourt
me des poils, des glandes sébacées disten- dues par le sébum et des cellules dégénérées, et aussi à l'hypertrophie du pan- n
ve cependant des traces de processus inflammatoire (accumulation de cellules rondes dans le tissu conjonctif et autour des v
mée en membrane, dans laquelle pour- tant on ne rencontre point les cellules spéciales de l'écorce cérébrale ; cependant dan
t dans la partie des hémisphères qui est conservée, il existe des cellules nerveuses (Fig. 2). En résumé, quelles sont les
est-à-dire de la voie motrice allant de l'écorce cérébrale vers les cellules des cornes antérieures), l'absence du système f
al, nous avons trouvé les cordons postérieurs bien dévelop- Fig. 2. Cellule pyramidale de l'écorce cérébrale (Cas I). 380
traient des deux côtés dans la membrane, et se terminaient dans les cellules nerveuses. Passons maintenant à l'examen du cas
t les racines antérieures, nous trouvons de deux côtés un groupe de cellules nerveuses multipolaires. La structure de ces cell
un groupe de cellules nerveuses multipolaires. La structure de ces cellules ner- veuses présente les particularités suivant
ains de chromatine, qui sont disposés irrégulièrement; la forme des cellules est irrégulière; on voit aussi un ré- seau achr
achromatique très net, parfois des vacuoles (Fig. 3). En un mot ces cellules rappellent tout à fait celles d'un embryon il la
lérine. Dans tous les cas précédents, à l'exception du premier, les cellules de la corne antérieure examinées par la méthode
protaplasma avec des contours peu visibles (Fig. 4). Mais avec ces cellules , il y a aussi des cellules plus développées ; e
urs peu visibles (Fig. 4). Mais avec ces cellules, il y a aussi des cellules plus développées ; elles contiennent des grains
orme irrégulièrc et ne sont pas nombreux; l'aspect extérieur de ces cellules est aussi irrégulier ; tantôt elles sont très p
ndes et allon- gées (Fig. 3). Comme nous l'avons déjà indiqué ces cellules ressemblent aux cel- lules embryonnaires. Nos r
blent aux cel- lules embryonnaires. Nos recherches récentes sur les cellules des em- bryons ont parfaitement confirmé les ré
ons ont parfaitement confirmé les résultais obtenus auparavant. Les cellules nerveuses chez le foetus humain passent par certa
uses chez le foetus humain passent par certains stades de Fig. 3. - Cellule de la corne antérieure de forme irrégulière con
la vie intra-utérine. C'est ainsi que chez un foetus de-'2 mois les cellules de la corne antérieure sont constituées presque u
est formé seulement d'un réseau achromatique ; mais à mesure que la cellule se développe, les contours deviennent plus acce
e déjà une masse de vacuoles ; mais si le cerveau est fixé Py. 4. - Cellule de la corne antérieure (Cas V, le cyclope). Fig
. 4. - Cellule de la corne antérieure (Cas V, le cyclope). Fig. 5.- Cellule de la corne antérieure (Cas IL). DES DIFFORMITÉ
ers la fin de la vie embr onnaire, aux environs du 7e mois, que les cellules présentent leur aspect ordinaire. Selon nous, u
les présentent leur aspect ordinaire. Selon nous, un tel aspect des cellules de la corne antérieure résulte de l'absence des
aspect des cellules de la corne antérieure résulte de l'absence des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale. Dans la premiè
moitié de la vie intra-utérine les prolongements cylindre-axiles des cellules pyramidales de l'écorce ne s'observent pas enco
du cerveau et des voies pyramidales ont arrêté le développement des cellules des cornes antérieures. Selon l'é- poque à laqu
logique qui sépare le cer- veau de la moelle épinière, l'aspect des cellules apparaît différent. Ainsi dans le cas de l'enfa
fut établi le contact entre les prolongements cylindres-axiles des cellules pyramidales 'de l'écorce cérébrale et les dendrit
es cellules pyramidales 'de l'écorce cérébrale et les dendrites des cellules motrices de la corne antérieure. Voilà pourquoi
dans- ce cas, on ne peut noter qu'une diminution de la quantité des cellules des cornes antérieures sans modification de leu
ons venant de l'écorce cérébrale. ' Quant aux autres monstres leurs cellules présentent un degré de déve- loppement embryonn
ns était gros le reste de la substance cérébrale, plus l'aspect des cellules était bi- zarre : mais pour ce qui est des cell
us l'aspect des cellules était bi- zarre : mais pour ce qui est des cellules des ganglions inter-vertébraux, qui se développ
ral et reçoivent leur stimulus principalement de la périphérie, ces cellules -ci se sont développées très bien chez tous nos
ous avons faite antérieurement, à savoir que le développe- ment des cellules nerveuses de la corne antérieure de la moelle épi
nts de la 384 NICOLAS SOLOVTZOFF moelle épinière, il savoir : des cellules nerveuses, des fibres myéliniques et même des r
iniques et même des racines antérieures parlant indubitablement des cellules . C'était réellement la moelle épinière, qui se
ravers lesquelles passent les racines antérieures, qui louchent les cellules motri- ces ; du côté postérieur la paroi de ce
engendre parfois la cyclopie. V. Dans toutes ces difformités les cellules des cornes antérieures restent à un stade de dé
oscopique. - Tissu embryonnaire très jeune, à savoir pas de grandes cellules étoilées avec des prolongements de différentes fo
passage du tissu fibreux au tissu osseux et la trans- formation des cellules conjonctives en corpuscules osseux. Observation
t aux dépens de la partie interne des segments primordiaux dont les cellules s'allongent sous forme de lamelles char- gées d
nt au tissu inter et intra-musculaire, il se développe aux dépens des cellules migratrices de la somatoplèvre. Au contraire, l
gestif et son tissu conjonctif qui dérivent sont tous les deux des cellules migra- trices de la splanclinopièvre, respectés
ormités congénitales du cerveau dans leurs rapports avec l'état des cellules nerveuses de la moelle, par N. SOLOVT- zoff (
tés congé- nitales du cerveau dans leurs rapports avec l'état des cellules nerveuses de la moelle (13 fig. et 6 phot.), 18
35 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
myélinisatrices, des fibres nerveuses, l'in- tégrité suffisante des cellules ganglionnaires; enfin, l'ab- sence de toute inf
ibres des colonnes postérieu- res de la moelle avait pour siège les cellules des ganglions des ra- cines postérieures, et l'
travail dans lequel ils déclarent n'avoir pas trouvé de lésions des cellules ganglionnai- res des racines postérieures chez
ns la Presse Médicale, parait un article sur les altérations de ces cellules : on décrit d'abord les types de cellules que l
ur les altérations de ces cellules : on décrit d'abord les types de cellules que l'on rencontre dans les ganglions normaux,
ganglions normaux, puis on indique les modifications subies par ces cellules chez les tabétiques telles que la destruction d
es agents colorants) et modifications de volume du corps même de la cellule . Cette der- nière modification parait toutefois
nesco ressemblent beaucoup à celles que l'on observe dans les mêmes cellules chez les paralytiques généraux. Mais il est intér
scute ensuite la question des rapports entre les altérations de ces cellules et la dégénérescence des fibres des colonnes post
fibres de la moelle et le peu d'importance relative des lésions des cellules des ganglions des racines posté- rieures, on es
a moelle n'est pas sous la dépendance d'ude lésion primitive de ces cellules . D'autre part les lésions de ces cellules, ne s
e lésion primitive de ces cellules. D'autre part les lésions de ces cellules , ne sont pas consécutives à une altération de l
démontré que l'on peut sectionner le prolongement central de : ces cellules , c'est-à-dire les fibres des racines postérieures
x à l'état de veille montrent les prolongements proloplasmiques des cellules garnis d'appendices piriformes. 2. Sous l'influ
ngements protoplasmiques prennent franchement l'aspect moniliforme. Cellules et dendrites sont quelque peu défigurées : ont
e d'aboi d sur les rameaux protoplasmiques de la couche des petites cellules pyramidales, où elles affectent la marche centr
che centripète, pour atteindre finalement les dendrites des grandes cellules pyramidales. P. KERAVAL. VLLe rôle physiologiqu
: 1. Une couche névroglique, constituée par une énorme quantité de cellules des formes les plus différentes, y compris les
mais sans noyau (surtout chez l'homme). 2. Une couche de petites cellules nerveuses multipolaires de toutes formes. 3. Une
nerveuses multipolaires de toutes formes. 3. Une couche de grandes cellules nerveuses, surtout dans la partie latérale, exter
lules des cornes antérieures de la moelle. 4. Une couche de petites cellules ganglionnaires, au delà desquelles commence la su
cinerea de Tartuferi. Correspond également à la couche des petites cellules , et n'est en réalité pas une couche distincte.
tions. 4. Strato bianco cineFPO, correspond à la couche des grandes cellules nerveuses. 5. Cin- quième couche. Strato bianco
cinereo profundo. Elle correspond à la troisième couche de petites cellules nerveuses. Elle forme la limite tranchée entre
l le porte à la moelle où, par voie de contact, il est transmis aux cellules nerveuses de la corne antérieure, et de là, au
tubérantiel sert à la transmission des excita- tions lumineuses aux cellules nerveuses des masses grises de la protubérance,
s masses grises de la protubérance, près du faisceau pyramidal. Ces cellules sont munies d'une énorme quantité de collatéral
i vont de haut en bas ? fibres cortico-protubéranlielles. Ces mêmes cellules forment par leurs cylindraxes presque tout le p
ériaxillairede Gombault. 3. Dans les ganglions intervertébraux, les cellules sont atteintes de chro- matolyse primitive et d
steiner. La ré- gion radiculaire antéro-externe est intacte. 5. Les cellules des cornes antérieures, manifestement moins nom
b) les fibres radiaires de l'écorce du cer- velet ; c) les grandes cellules de la couche à gros grains et les cel- lules de
s la couche optique, et notamment dans son article externe dont les cellules ont subi la chromatolyse et la dégénérescence s
plus intense des fibres d'association de toutes catégories, que Les cellules nerveuses ont le plus diminué, qu'elles ont le pl
qui répond probablement à la persistance et à la conden- sation des cellules de relation des couches granuleuses et molécu-
couche moléculaire s'atrophiant en même temps que disparaissent les cellules de Purkinje et les grains. La disparition des c
raissent les cellules de Purkinje et les grains. La disparition des cellules de Purkinje est totale et absolue et précède tout
et. R. C. XVIII. Sur l'aspect des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieure
déterminer avec une grande précision les détails morphologiques des cellules médul- - laires. Us ont constaté entre autres c
intéressantes, que l'as- pect des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne antérieure était très dif
mme adulte, indique que dans la moelle adulte les prolongements des cellules motrices sont encore plus gros, plus longs et p
périphérique tout en prédominant sur le prolongement central de la cellule et qui atteint généralement- aussi certaines po
u niveau du renfle- ment lombaire un groupe plus ou moins limité de cellules radicu- laires, mais non différencié normalemen
r des arti- culations du pied, est constitué principalement par les cellules radiculaires de l'extrémité caudale du renfleme
l'articulation tibio-tarsienne et occu- pant 18 jambe, est formé de cellules situées en avant et en dedans des précédentes ;
la région postérieure et externe du groupe latéral. Tandis que ces cellules se placent à la partie postérieure et externe d
lules se placent à la partie postérieure et externe de la corne les cellules qui correspondent aux muscles de la cuisse grou
peut les ponctionner et les drainer. Quant aux interventions sur la cellule nerveuse elle-même, il faut se laisser guider par
longata; E. Bossi : La c eaaione aiirett e l'intima struttura delle cellule nervose del rnidollo spinale umano ; E. Rossr :
ale umano ; E. Rossr : La reazione aurea e l'intima St1'UltUi délie cellule nervose dei yangli spinali umarzi; - A. VAN GEU
des Archives- de Neurologie (p. 378) qui mentionnent : « Il y a des cellules qui, servent parfois et des malades qu'il faut
icle doit avoir con- fondu le mot chambre d'isolement avec celui de cellule . En 1875, il y avait énormément de chambres d'i
g de supprimer la plupart de ces chambres d'isolement et les vraies cellules y sont bien rares. Quant aux moyens de contrain
est autorisé à conclure que la diminution de l'apport d'oxygène aux cellules corticales, est, selon toute probabilités, la p
lité réglée par une di- minution de résistance, certaines fibres et cellules . Ce sont naturel- lement les plus délicates et
de l'encéphale, des lésions exclusivement cellulaires. Les grandes cellules pyrami- dales sont rondes, globuleuses avec un
lques hématies. Ce liquide contient, de plus, de' très nom- breuses cellules volumineuses, trois fois grosses comme un lym-
ellules volumineuses, trois fois grosses comme un lym- phocyte. Ces cellules se colorent uniformément en violet clair par l'
que, de texture sarco- SOCIÉTÉS SAVANTES. - 173 mateuse à petites cellules . Cette méningite est diffuse, nodulaire par pla
e considérable. Pour moi, ces éléments doivent être assimilés aux cellules qui pullulent dans les cordons postérieurs et y s
le et rapide de ces cordons. Or la méthode de marche montre que ces cellules des cordons ne sont autres que des corps granul
sont autres que des corps granuleux : un certain nombre des grandes cellules du liquide céphalo-rachidien représentent donc,
tomiques des centres nerveux, un état chimique encore inconnu de la cellule ner- veuse suffisant pour nous expliquer son im
le est l'action intime du sang chargé de la matière toxique sur les cellules nerveuses ? « Est-ce une combi- naison chimique
nerveuses ? « Est-ce une combi- naison chimique du poison avec les cellules ? Est-ce un trou- ble mécanique dans la circula
il s'agit d'une combinaison chimique passagère du poison avec les cellules de la substance grise du cerveau » (Ch. Richet :
male; dans un cas seulement, on nota l'augmentation de vo- lume des cellules qui s'observe dans l'hypertrophie consécu- tive
rathyroïdienne, de cytotoxine capable de produire aucune lésion des cellules glandulaires in situ. Cepen- dant, il ne semble
autre organe, ce poison étant le produit de rebut du métabolisme de cellules particulières, fibres musculaires ou cellules n
but du métabolisme de cellules particulières, fibres musculaires ou cellules nerveuses, par exemple, - ou bien est-il direct
le sang, poisons qui sont évidemment des substances stimulantes des cellules nerveuses. En vue de démontrer l'existence de c
ux des cas, pas de modification ; dans un autre, dégénérescence des cellules du parenchyme avec hyperplasie du tissu conjonc
lume de la glande et à la dégénérescence et à la disparition de ses cellules . Cela veut-il dire que les symptômes sont ceux
la malade. F. A. GElER. Sur les prolongements protoplasmaliques des cellules nerveuses de la moélle épinière chez les vertéb
tation des préparations). Ayant examiné par la méthode Golgi les cellules nerveuses de la moelle épinière chez le chien, le
es de S. Soukhanoff et F. Cramiecki, a trouvé que les dendrites des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures
es se diffè- rent les unes des autres; tandis que les dendrites des cellules ner- veuses de la corne antérieure ont des cont
uve-l-on de-ci, de-là, dans la lumière des vasa 2e·uo·ua quelques cellules rpillléliaies isolées. Les altérations du parench
s une artériole dont la lumière est remplie par une collerette de cellules épithéliales. Je ne vous étonnerai pas non plus e
et a décrit un processus très intéressant de l'en- vahissement des cellules épithéliales à l'intérieur même du périnèvre.
ancer peut facile- ment pénétrer la gaine du ganglion spinal et les cellules epilLéliales envahissent ainsi sou stroma en re
les envahissent ainsi sou stroma en respectant plus 011 niuiiis les cellules ganglionnaires, et de là fuseut le long des rac
ne gangue si 1 Il'O-lIéop ! ilSi'l"e, élait peu à peu envahi parles cellules épithéliales qui s'in- filtrent dans les maille
jusqu'à un certain point les éléments nerveux : fibres à myéline et cellules ganglionnaires. , Fig. 14, Envahissement dus ra
5 A ce niveau, le périoste avoisinant commence à s'infiltrer. Les cellules épithéliales cheminent le long des racines post
ans la destruction progressive des racines postérieures, depuis les cellules des ganglions rachidiens où elles naissent jusq
ne excitation spasmodique venue des ganglions sympa- thiques ou des cellules nerveuses contenues dans les plexus ner- veux v
a théorie du neurone. M. AzouLaY présente de belles préparations de cellules et de fibrilles nerveusès par le nouveau procéd
glions rachidiens de nombreux tabétiques. Il a toujours trouvé les cellules nerveuses de ces ganglions altérées et, cela d'au
égions lombaire et sacrée. 11 y a surtout disparition de nombreuses cellules . F. BOISSIER. SOCIÉTÉS SAVANTES. 345 SOCIÉTÉ
ion de la chromatolyse centrale avec dépla cement du noyau dans les cellules du système nerveux central de l'homme ; par Joh
visé ses cas en deux classes, la pre- mière qui comprend le type de cellules des imbéciles, la seconde, qu'il appelle le typ
blient, ils trouvèrent, le système nerveux cen- tral envahi par des cellules migratrices, lésion déjà citée par M. Jonkowski
ogie des lésions ner- veuses du tétanos. Mais cette accumulation de cellules migratrices n'est pas plus spécifique, pas plus
: lésions prédominantes dans le cerveau et au niveau des couches de cellules du manteau gris, lésions analogues, mais moins
la moelle, se traduisant ici et là par une infiltration de petites cellules inflammatoires. Dans le cerveau, amas de cellul
ration de petites cellules inflammatoires. Dans le cerveau, amas de cellules rondes péricellulaires et travées autour des ca
illaires ; dans l'axe gris medullaire, dissémination diffuse de ces cellules . Il ne semble pas que ces cellules migratrices ai
re, dissémination diffuse de ces cellules. Il ne semble pas que ces cellules migratrices aient pénétré dans le protoplasma d
ue ces cellules migratrices aient pénétré dans le protoplasma de la cellule nerveuse; mais le cas est suraigu. la mort est
variables et qui parais- saient incluses dans le protoplasma de la cellule unipolaire, les gouttelettes étaient apparentes
e leur évolution (au milieu de la saison hivernale) sont ceux d'une cellule ganglionnaire. Ces gouttelettes ont perdu leur
situées dans l'épaisseur de la capsule conjonc- tive, entourant la cellule ganglionnaire dans laquelle elles forment une s
382 REVUE D'ANATOMIÉ ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. refoulent la cellule nerveuse qui souvent ne remplit même plus la mo
tion de la gre- nouille. Leur situation au voisinage immédiat d'une cellule ner- veuse, permet d'envisager le rôle probable
ent dans la nutrition des éléments voisins : capsule conjonctive et cellule unipolaire. 1 G. Carrier. LXIII. Les anomalies
leur myélination parfaite. n. DE MUSGRAVE-CLAY, Remarques sur la cellule de la névroglie et ses prolonge- ments ; par R.
PEI\ (The Journal of Mental Science. Oct.i902). Les altérations des cellules de la névroglie se rencontrent com- REVUE D'ANA
ques brusques et à les isoler; il est possible aussi d'accorder aux cellules de la névroglie et à leurs prolongements l'éner
rencontrent les granulations pigmentaires dans toutes les grandes cellules nerveuses chez l'homme et chez les animaux; il es
nce de ces granulations pigmentaires dans l'intérieur et autour des cellules de la névroglie ? Il est à remarquer que le pig
st à remarquer que le pigment devient d'autant plus abondant que la cellule vieillit et réclame, pour entrer en activité, u
gmate intra- crânien de dégénérescence, n'apparaissant que dans les cellules dont les fonctions ne sont déjà plus capables d
dant nécessaire à leur vitalité faiblissante. Les prolongements des cellules de la névroglie ressemblent beaucoup aux flagel
logiques. et il ne faut pas oublier que' Spina et Vejnar ont vu des cellules de la névroglie en mouvement, ainsi que les mou
est fourni principalement par l'hyperplasie et la prolifération des cellules de la névroglie. La cellule de la névroglie pos
l'hyperplasie et la prolifération des cellules de la névroglie. La cellule de la névroglie possède donc une organisation s
elle du tissu conjonc- tif du reste de l'organisme. La partie de la cellule de la névroglie qui mérite le plus d'attention
s. On voit sou- vent ces prolongements en contact apparent avec une cellule endo- tlléliale dans la paroi d'un capillaire,
apillaire, ou bien adhérente au con- duit vasculaire qui sépare les cellules endothéliales. Si un réseau fibrillaire très fi
les produits de décomposition cellulaire, et que des particules de cellules nerveuses chromatolysées trouvent dans ces prolon
rouvent dans ces prolonge- ments en quelque sorte tentaculaires des cellules de la névroglie une issue nécessaire hors de l'
atteindre le neurone. s'il est vrai que la névroglie exerce sur la cellule nerveuse une action trophique. En terminant,
e. En terminant, l'auteur insiste sur la nécessité d'examiner ces cellules aussitôt que possible après la mort, car, de même
e les voies de con- duction intercellulaires et la périphérie de la cellule nerveuse ; par le Dr Donaggio. (Riv. Sp. di fre
4, lu03.) D'après l'auteur, l'appareil complexe périphérique de la cellule nerveuse n'est pas doué de capacité de conducti
où les ramifications fibrillaires rejoignaient l'intérieur de la cellule , repliés dans une duplicature du réticulum périph
bertson a donné des toxines : « des substances qui absorbées par la cellule nerveuse corticale en troublent le métabolisme.
bertson : « Les différents états toxiques qui tendent à altérer les cellules nerveuses proviennent : 1° d'agents toxiques ve
oxines venues d'ailleurs, qui altèrent l'activité fonctionnelle des cellules nerveuses corticales en troublant leur métaboli
dont les principales sont les suivantes : L'action cinétique de la cellule est de nature explosive, et, de plu- sieurs faç
on de certains états physiologiques. i° L'énergie de réaction de la cellule corticale à l'égard des agents de stimulation,
les rendre irréguliers et leur associer des troubles men- taux. Une cellule corticale se développe, se charge d'énergie, se
t inhérente. Les toxines peuvent troubler le fonctionnement de la cellule nerveuse, mais non pas donner aux symptômes menta
que le fait primordial est une faiblesse morbide héréditaire des cellules nerveuses corticales, le second fait une stimulat
e c'est qu'elle permet d'espérer des progrès thérapeutiques : si la cellule cérébrale devient spontanément malade, il est c
c la pré- sence d'albumine dans l'urine. BIBLIOGRAPHIE. XII. La cellule nerveuse normale et pathologique. Altérations his
une étude critique de l'histologie nor- male et pathologique de la cellule nerveuse. Il y discute l'existence réelle des c
hologiques, les modifications appor- tées à la structure intime des cellules nerveuses par les maladies antérieures, l'inani
tée sur divers points de l'histologie normale et pathologique de la cellule nerveuse, mais encore une exposition nette et p
sui- vantes : . I. Les corps de Nissl existent réellement dans la cellule ner- veuse sur l'animal vivant comme sur le cad
nt être des éléments en rapport avec l'activité fonctionnelle de la cellule . La raréfaction des corps de Nissl constitue un
, ni des artifices de préparation. II. L'involution dite sénile des cellules nerveuses n'est pas un phénomène rigoureusement
Elle se caractérise par l'atrophie simple ou pseudo-pigmentaire des cellules atteintes, ce qui explique l'affai- blissement
s vieillards. III. Les petits éléments ronds observés au niveau des cellules nerveuses en désagrégation ne pénètrent jamais
ute fonction de phagocytose, de neurophugie ou de lgocylose sur les cellules nerveuses. IV. Le pigment jaune des cellules ne
u de lgocylose sur les cellules nerveuses. IV. Le pigment jaune des cellules nerveuses n'est pas un vrai pigment, ce n'est p
ies générales, résulte d'une action toxique ou auto-toxique sur les cellules du cer- veau. VI. La fréquence des troubles c
erminante ; d'autre part, des lésions chroniques réalisées dans les cellules nerveuses. 424 il BIBLIOGRAPHIE. L'alcoolisme
ntes espèces cellulaires. Elles prédominent souvent au centre de la cellule , sans indiquer pour cela une atteinte pri- miti
inant. Ce type semble corres- pondre à l'épuisement fonctionnel des cellules . IX. Le délire aigu est un syndrome de nature t
brillaire et conduc- tible qui se continue à travers le corps de la cellule d'un côté avec l'axone et ses arborisations ter
auteurs concluent que tandis que la fatigue est démontrable dans la cellule nerveuse, on n'a jamais pu la constater dans les
érable du neurone est celle qui est la plus éloignée du corps de la cellule et de son noyau, c'est-à-dire les arborisa- tio
ameaux collatéraux et terminaux pour retour- ner en arrière vers la cellule d'origine. Si l'épuisement ou l'excès de stimul
ns le tabes, en même temps que des altérations chromo- lytiques des cellules des cornes antérieures. Edinger soutient que ce
carac- tères, ce sont : 1° un réseau en chapelet qui enveloppe les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale et qui n'avai
été observé dans le cerveau de l'homme, mais seulement autour des cellules nerveuses de quelques animaux inférieurs (cobaye
suivants : 1° le réseau péricellulaire ; 2° la différenciation des cellules en cel- lules pâles et cellules foncées; 3° l'o
lulaire ; 2° la différenciation des cellules en cel- lules pâles et cellules foncées; 3° l'origine du réseau, qui part des d
ellules foncées; 3° l'origine du réseau, qui part des dendrites des cellules foncées ; 4° la fonction des éléments collaté-
ces faits, ils montrent d'abord qu'il existe un système distinct de cellules cor- ticales qui, par le moyen des dernières ra
UES. 479 l'intermédiaire d'un réseau péricellulaire enveloppant les cellules pyramidales; ils nous apprennent ensuite que le
réseau, en sorte que, s'ils tirent leur ori- aine du cylindraxe des cellules pyramidales, ce qui est fort pro- bable, et si
e que, d'une manière générale, l'ensemble du sys- tème pyramidal de cellules ne fait qu'une, et que, par suite, pra- tiqueme
lules ne fait qu'une, et que, par suite, pra- tiquement, toutes les cellules corticales sont en continuité les unes avec les
toutes à démonlrer que la conception rigide qui faisait de chaque* cellule nerveuse et de ses prolongements une entité ind
sortie, et ce point sera naturellement au niveau du réseau et de la cellule qu'il contient. Dans un autre travail l'auteur
auteur a fait remarquer que, tandis que dans l'écorce cérébrale les cellules pâles sont beaucoup plus nombreuses que les cel
cérébrale les cellules pâles sont beaucoup plus nombreuses que les cellules foncées, c'est l'inverse que l'on observe dans
coordination des mouvements simultanés. Mais si l'on admet que les cellules foncées sont conductrices des stimu- lations af
pas toujours dans un sens unique (des dendrites vers le corps de la cellule , puis de la cellule le long du cylindraxe), com
sens unique (des dendrites vers le corps de la cellule, puis de la cellule le long du cylindraxe), comme on l'admet généra
comme on l'admet généralement. Le courant doit se diriger vers les cellules foncées par la voie de de leurs cylindraxes, et d
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ce qui touche les cellules des ganglions spinaux postérieurs. Ces cellules
ce qui touche les cellules des ganglions spinaux postérieurs. Ces cellules , on le sait, sont unipolaires, et. leur unique pr
unipolaires, et. leur unique prolongement se divise non loin de la cellule par une disposition en T. Or, ce prolongement a
us avons toutes raisons de le penser- concourent à la formation des cellules pyramidales; et en présence des résultats impor
ut le système nerveux et paraissant traverser sans interruption les cellules cérébrales, il faut se dire qu'il y a encore bi
a encore bien des recherches à faire sur les connexions intimes des cellules entre elles. Mais en matière de psychologie n
les décharges comme allant directement de l'écorce aux différentes cellules nerveuses efférentes ou tout simplement comme d
n. Le contraste entre les effets du sommeil et de la narcose sur la cellule nerveuse est particu- lièrement frappant, et ic
on de l'hôpital. Sur la question du développement des dendrites des cellules nerveuses spinales chez les vertébrés supérieur
le cours du développement des prolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses des cornes antérieures. A. BEnNSTEIN,
quoique dépendant d'une syphilis antérieure, s'est exercée sur la cellule germinative; ou spermatique et a si bien modifié
tion a été décidée à la suite d'un drame qui s'est déroulé dans une cellule de l'asile de Bron. Un des gardiens rasait un m
5. Voir Tabès. La - et le pronostic du tabès, par Terrien, 496. Cellules nerveuses. Voir Moelle. Sur la signification de
aliénation men- tale, par Ioiies, 400. C Il RO,%I,%1'0 LYSE. Voir Cellules ner- veuses. COGNI11ON. Voir Anatomie, Colo
eue de cheval. Sur l'aspect des prolongements protoplasmiques des cellules ner- veuses des cornes antérieures et postéri
par Sivitalski. 242. Sur les prolongements protoplasme- ques des cellules nerveuses de la épinière chez les vertébrés su-
36 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion des méninges et des parois vasculaires par de très nombreuses cellules dont les noyaux arrondis sont avides de matières
de méningo- myélite diffuse embryonnaire , à cause de l'aspect des cellules infiltrantes. Ces auteurs en ont parfaitement m
régulièrement étendue à tous les faisceaux de la moelle, et, si les cellules nerveuses souffrent de la circu- lation défectu
moindre degré. Cette lésion est constituée par une accumulation de cellules à noyaux arrondis dans la paroi et la gaine lym
noyaux transversaux des vaisseaux de calibre, qui appartiennent aux cellules musculaires, sont res- pectés malgré la présenc
t aux cellules musculaires, sont res- pectés malgré la présence des cellules embryonnaires infiltrantes. Ces cellules appart
tés malgré la présence des cellules embryonnaires infiltrantes. Ces cellules appartiennent au tissu mésodermique ; ce sont des
s. Ces cellules appartiennent au tissu mésodermique ; ce sont des cellules fixes, qui n'ont nullement le noyau des leucocyte
plus volumineux sont les'plus atteints, surtout dans la région des cellules pyrami- 10 PATHOLOGIE NERVEUSE. dales, aussi
bien marquée au processus pathologique ; il n'y a encore que peu de cellules arai- gnées. Les éléments nerveux cellulaires
artiennent à d'autres capillaires coupés en travers; les noyaux des cellules de la névroglie sont plus volumineux et plus pâ
et aux environs de la fente de Bichat. La pie-mère est infiltrée de cellules rondes embryonnaires, qui, vers la base, se dis
ntenses. Pourtant il n'y a aucune lésion des éléments nerveux : les cellules des noyaux gris et les fibres des divers faisce
lorées à l'hématoxyline, ce nerf est remarquable par la quantité de cellules embryonnaires qu'il contient ; les septa conjon
Les éléments nerveux de la moelle ont en vérité peu souffert; les cellules se colorent fort bien et ont de beaux prolongemen
peu étendues; elles sont presque exclusivement fibreuses, avec des cellules plates et peu de cellules rondes ; elles ne con
presque exclusivement fibreuses, avec des cellules plates et peu de cellules rondes ; elles ne contiennent pas de capillaires.
LOGIE NERVEUSE. tunique celluleuse qui est épaissie et infiltrée de cellules embryon- naires; ces cellules sont en réalité d
euse qui est épaissie et infiltrée de cellules embryon- naires; ces cellules sont en réalité disposées autour des capillaires
e une lésion cellulaire très étendue et manifestement récente : les cellules hépatiques, dans des territoires très larges, s
et sus-hépatiques; ils sont plus étendus que les territoires où les cellules ne sont pas altérées. ' Les reins pèsent ensemb
s contiennent aussi quelques corps amyloïdes. Dans le cerveau les cellules nerveuses sont toutes fortement pig- mentées et
ésions vasculaires dans les faisceaux posté- rieurs (les noyaux des cellules sont seuls visibles, de sorte que la teinte fon
consiste en une infiltration assez discrète de la pie-mère par des cellules embry- onnaires et, cho,e remarquable, elle ne
ans les cordons postérieurs. Il n'y a pas de lésion appréciable des cellules ganglionnaires. Cerveau. On trouve les lésions
tres éléments de l'écorce : c'est ainsi que dans la zone malade les cellules sont incontestablement moins nombreuses que dan
s la zone saine; de plus on sait qu'à l'é,tat normal les noyaux des cellules ganglionnaires se colorent d'une façon beaucoup
de, comme d'ailleurs toujours chez les paralytiques, les noyaux des cellules ganglionnaires se colorent très bien. Cette cir-
centuées que dans la région motrice à la superficie. Les noyaux des cellules de la névroglie sont très abondants ; on trouve
de la névroglie sont très abondants ; on trouve un grand nombre de cellules araignées à la superficie sur- tout, eufinlesfi
Ordinairement, au^milieu'de^ chaque .loge se trouve' nichée une des cellules précédemment décrites. ,9 ? z N .- n ..m...i, i
mpose la paroi des" alvéoles. A leur centre on'distingué une'grosse cellule "godronnée qui cette fois' ne, flottè'plusdans'
ternes ont'souvent leurs' intervalles^ également occupés "par des cellules vésiculeuses mais déjà. contournées' en croissant
ratus tout à fait périphériques, il n'existe plus'que des séries de cellules aplaties.. ? m *» s ; <" z Sur les' coupes
e, système alvéolaire primitif se trouve constitué par une série de cellules godronnées disposées les unes au-dessus' des au
a- ginal l'appareil' pris dans' son (ensemble'.et imposé celui de cellules " godronnées aux'éléments'suspendus "dans le'liqui
éments'suspendus "dans le'liquide. Il considère celles-ci comme des cellules endothéliàles, onflées et détachées de leur sub
s'occupe même exclusivement de l'appareil de Renaut et surtout des cellules si caractéristiques que l'on y rencontre. Il est
' une appellation nouvelle : mais le terme qu'il a'choisi, celui'de cellules vésiculeuses simples ou multiloculaires (eiii-u
as, une, seule fois je n'ai rencontré d'éléments assimi- lables aux cellules vésiculeuses dont, Langhans a si souvent noté l
9, c.). Dans certains cas, son diamètre dépasse à peine celui d'une cellule endothé- liale (l. I, fig. 8, ii; PL. II, fig.
Au lieu9d'une substance amorphe1 on< rencontre ici-" tantôt une cellule unique'(PL : 'I;tfigr9,' c;'Pi ? ."n,' fig ? 1, a
I;tfigr9,' c;'Pi ? ."n,' fig ? 1, a; fig. 24), tantôtideuxiou trois cellules globuleuses (PL' II, fig. d2, a', fig.-i '-)2;,
oyau sphérique,'1 oblong ou : claviforme; très ! foncé remplacer la cellule centrale (PL : I ? g..3; b ? g : 5, a;a; ? 6; a;
sur. toutes). les. coupes , équatoriales < du nodule. Quant aux cellules corolliformes que 'Renaut,. · Kopp t et. Langha
des plaques endothéliales. Les cavités sont vides ou renferment des cellules globuleuses semblables aux éléments centraux de
s. Ici encore je n'ai jamais eu l'occasion de noter la présence des cellules godronnées.' Au milieu de ce tissu; 'et toujour
oyau étroitement appliqué contre la paroi,' l'absence constante' de cellules ou de noyaux libres à côté'deTespaee videj'ennn
ans le stroma, mésoneurial, ni- · dans l'épaisseur ! lés foÿgrs dés cellules godronnées de Renaut. Enfin, hormis peut-être e
même de cette glande'. Quanta ses Illasenzellen, autrement dit les cellules godron- nées de Renaut, elles ne seraient autre
lules godron- nées de Renaut, elles ne seraient autre chose que des cellules endothéliales oedémàtiées. Pour ce qui concerne
l'obsolescence de la zone centrale du tubercule. De leur côté, les cellules vésiculeuses doivent être considérées comme des
e, pour quelques-unes d'entre elles, il y ait eu confusion avec les cellules godronnées de Renaut généralement si répandues
ct ordinaire des blocs hyalins, ni avec la présence des noyaux, des cellules ou des vacuoles remplissant éventuellement l'of
largit, on voit apparaître d'abord le reticulum conjonctif avec ses cellules endothéliales et godron- nées ; puis les fuseau
nd ici d'habitude un développement considérable. Tantôt ce sont les cellules corolliformes qui disparaissent pour faire plac
our faire place à des corps protoplasmiques globuleux, comme si les cellules endothéliales s'arrêtaient au stade précurseur
sorte d'équilibre stable entre la résistance .du contenu (lymphe ou cellule ) et la pres- sion de la coque, et celle-ci ira
manchon conjonctif épi- neurial volumineux, entièrement dépourvu de cellules adi- peuses. Or, cette double altération compte
atière conjonctive; tantôt il se' trouve formé par une ou plusieurs cellules endo- théliales turgides et granuleuses, ou, bi
'observer, il faut, citer- encore, parmi les figures centrales, les, cellules godronnées de Renaut rencontrées par Kopp et La
eprésentant une des formes diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellules entourées déjà de couches condensées et formant a
ormation du foyer. Plusieurs mailles du réseau renferment de belles cellules endo- théliales granuleuses (c). Fig. 5. 1/15
yau entouré d'une zone vitreuse. En b, le reticulum initialavec ses cellules granuleuses. s' ' ' ' ' Fig. 8. -1/250. Un nodu
de l'endonèvre dans la couche superficielle du faisceau. En b deux cellules indifférentes. , Fig. 13. 1/300. Un beau nodule
g. 17. 1/300. Un petit bloc hyalin légèrement strié renfermant deux cellules accolées (c) et une vacuole (v). - -> Fig. 1
vacuole (v). - -> Fig. 18. 1/400. Un nodule isolé contenant deux cellules (c, c) et beaucoup de noyaux (M, î) plus ou moi
n irrégulièrement concentrique. Pas de vacuoles, mais seulement des cellules et des noyaux. Le centre du nodule est occupé p
ême nature, mais plus petit et va- guement délimité. En d, d, d, d, cellules indifférentes. v. Capillaire ectasié avec tuméf
llules indifférentes. v. Capillaire ectasié avec tuméfaction de ses cellules pariétales. Fig. 20. 1/400. Un foyer périneurit
i- culum mésoneurial autour du tissu lamelleux. Enfin', les grosses cellules endothéliales font complètement défaut et 'les
Fig. 22. 1/400. Premiers rudiments d'un nodule mésoneuritique. c, cellule centrale logée dans, une caité.tn,moyau en croiss
u foyer, 01 Fig. 24. 1/400. Début de la stratification autour d'une cellule centrale.)} Fig. 25, 26 et 27. 1/400., Trois co
ste des lésions des méninges, des vais- seaux, de la névroglie, des cellules et des,tubes nerveux.. La pie-mère'est épaissie
normal; mais les noyaux; arrondis sont rares, et presque toutes les cellules sont allon- gées, car le processus la% dépassé
affectent une, forme étoilée. Ces corps ressemblent un peu à une cellule ganglionnaire, mais ils contiennent ordinairement
eaucoup; puis' leurs noyaux semblent s'isoler'dans Jle corpsi de la cellule et s'entourer, d'une ! zone plus éclaire ;' enfin
us; dans les 'régions supérieures du faisceau pyramidal on voit les cellules de la névroglie s'hypertrophier. et former de g
les cellules de la névroglie s'hypertrophier. et former de grandes cellules araignées avec. des crêtes d'empreintes multiples
coloré, prend cet aspect, trouble qui le fait ressembler celui des. cellules gangli- onnaires ; comme sur les coupes transve
la quatrième racine cervicale; hypertrophie consi- ? , déi-iible des cellules de la névroglie, qui prennent un corps protoplas-
SYSTÈME NERVEUX. 121 - M malien eiidügèiie. 1 Alors -le corps de la cellule primitive devient en granuleux, pâlit et tombe
n ''f'ù ? Il 1 ,- ' foyer de sclérose. En résumé, il semble que les cellules de la névroglie se gonflent pendant que leurs n
rps cel- lulaire dégénère, et se détruit en laissant en liberté des cellules filles. La lésion parait avoir débuté dans le f
rt ; ils pré- sentent des dilatations fusiformes vacubtiseës. Les cellules nerveuses des cornes antérieures, grandes et peti
de1 volume, mais'dans un aspect "tout parlicul ier -du 'corps de la cellule ,1 le noyau restant intact ou -non;' le protopla
dioit au niveau de la première racine dorsale; aspects variés des cellules de la névroglie qui, après s'être hypertrophiées
éguliers d'une substance qui se-colore fortement partiel carmin; la cellule prend ainsi un' aspect tigré;'Cetaspect,'qui res*
n peu aux figures que l'on obtient par )a méthode de NissI dans les cellules normales ? répond'évidemment ici à rétât pTalho-
leuse que l'on observe dans les cachexies. Sur une coupe toutes les cellules ne sont pas altérées, mais seulement un certain
ires sont atteints, mais c'est dans le groupe antérieur ' 1 que les cellules altérées sont les plus nombreuses. Les cellules d
térieur ' 1 que les cellules altérées sont les plus nombreuses. Les cellules delà1 colonne de Clarhe, qui présentent une sit
e. Ces artères présentent une endartérite trôs'mar-'1' ' ` Fig. 23. Cellules des cornes antérieures/dont, deux présentent des
n volume qui sont les plus atteints sur- l tout. dans la couche des cellules ;pyramidales ; : les;ros capillaires- et lest·ar
ins atteinte.. 31%/[t;ij,<i ul n[ ,lmraplq Les éléments nerveux, cellules et fibres, sont absolument sains; les fibres ta
les cas de compression et qui semble produite par le cheminement de cellules migra- trices dans les gaines de myéline; cette
rocher de cette lésion insolite l'aspect singulier que prennent les cellules de.' la névroglie dans le faisceau pyramidal; i
tout particulière- . ' D'ailleurs, peut-on supposer l'existence de cellules de cordons pour r les voies pyramidales ? Dans
omment les fibres pyramidales pourraient être sous la dépendance de cellules des cornes de la moelle. Kôlliker, dans la dern
imité d'his- tologie (1S93), dit formellement qu'il n'existe pas de cellules de cordons pour les voies pyramidales. 2 Une
nerveux; ce sont les vaisseaux qui com- mencent, les fibres et les cellules ne sont atteintes que consé- cutivement. r-v ·u
uisent en commençant par la super- a ficie des circonvolutions, les cellules nerveuses s'altèrent et la z -- lésion de l'éco
xydation et hypercirculation du cerveau, empoisonnement direct' des cellules ; 5° durée des psy- choses ? Au delà d'une semai
ques, atrophie dégénératrice des muscles, vacuoles dans les grandes cellules des cornes antérieures, multiplication des noya
du plasma cellulaire dans le cylindre d'axe et la nature exacte des cellules araignées et em- bryonnaires de His. L'auteur-
yme et substance gélatineuse). ' ' · Abordant ensuite l'étude des cellules nerveuses, il fait l'historique des recherches
es, il fait l'historique des recherches relatives aux neuroblastes, cellules motrices anté- rieures et aesthésiohlastes des
s lesquels il se produit une prolifération du tissu conjonctif, des cellules de la névroglie, et des éléments de la paroi va
daire. Naturellement le , tissu du cerveau est imbibé, dissocé; les cellules nerveuses et les fibres myéliniques sont dégéné
OLOGIE NERVEUSE. Autopsie. Dégénérescence partielle et atrophie des cellules des cornes antérieures, surtout dans le renflem
ération simul- tanée et directe ou successive, mais disséminée, des cellules ner- veuses, des muscles et des nerfs, sous l'i
ié ôu la`rdestrûction`dës Wil ., -ne r Il 1 n. 'Ir l - n,. - ,. v cellules inhibitrices, oit'pal, 1 atrophie des fibres qui,
laire est augmentée.-Le lobule paracentral est très vasculaire. Les cellules sont en général normales mais les espaces péric
e couches sont augmentés et dilatés. En un point seulement quelques cellules atrophiées. Par points 'également' les1 prolong
s' sans "nucléoles,* beaucoup - de prolongements absents , quelques cellules pigmentées'avec i espaces'péricellulairës'dilàt
e -intrinsèque et extrinsèque qui est négativement chémotactée.`Les cellules ne., peuvent : défendre contre.cette toxin e le
de'la corne grise' antérieure, dans laquelle les altérations 'des' cellules de cette'corne'sont si légères qu'elles peuvent
ire que; dans leur J trajet, elles ne sont pas interrompues par'des cellules t nerveuses ! "} Il ne nous a pas été possible
ne ascendante dont les libres prennent naissance dans la région des cellules ,de, la base de la corne postérieure et très pro-
ns ^des fibres, nerveuses, du tissu conjonctif interstitiel 'et des cellules elles-mêmes ? Ces lésions sont : à pigmentation
cence graisseuse du protoplasma,vacuolisation` et destruction de la cellule . Quand - la dégénérescence peut être suivie (ob
s les,éléments du;ganglion sont alté- rés et la destruction de, ses cellules survient quand il y a eu rétrac- tion de l'orga
ntinuité; par l'intermédiaire dés racines postérieures, ils- qu'aux cellules des ganglions spinaux, où finalement elle produit
, détermine,, la destruction. des éléments nerveux, fibres d'abord, cellules ensuite, REVUE D'ANATOMIE.ET^DE PHYSIOLOGIE PAT
la respiration, dysar- thrie.'àlort."Azttopi,ë ? Moelle lésioÏÏ dë, cellules des cornes anté- rieures (moindre'dâns`laFmôell
suite d'un trouble dans le déve- loppement des fibres blanches, les cellules embryonnaires indiffé- rentes se^sont transform
i l'on préfère, il y a eu dansl'oeuf adultération histogénétiquedes cellules embryonnaires destinées à former des fibres bla
midal, les fibres qui vont de l'écorce à à la couche optique et les cellules nerveuses des divers noyaux de la couche optiqu
de Reil est composée de fibres - qui, proviennent directement$des, cellules nerveuses-originelles du cordon postérieur du,
' ' s ? 24f =,Ki. M. le,. r ? (m ? i 1 XXXVI. SUR la présence - de CELLULES ganglionnaires , dans LES racines spéciales ant
ieures,, spécialement' lombaires du chat de tout âge, il existe des cellules qui ne semblent pas tout à fait accidentelles e
e éxtra- utérine. Comparativement à celles du anglin°spirial ? tces cellules sont de grandeur médiocre. Elles se, trouvent s
nt,, déjà* rejoint ou presque le nerf. Le mode le connexion.de ces ^ cellules avec les fibres du fais- ceau radiculaire n'a p
cine asèendantes dont(llésu fibres naissent 'dans' la '- région des cellules de la base1 de = la corne 'postérieure et^très pr
ormale, dégénérescence, graisseuse, état trouble du protoplasma des cellules . La,genèse la plus probable, c'est que la'cause
, moelle et, par continuité, par les racines postérieures jusqu'aux cellules des ganglions spinaux où elle occasionne ses ra
lement, détermine la destruction des éléments nerveux (fibres, puis cellules ), des ganglions spinaux. L'atteinte du tissu co
éylili= draxe ; 30 les rameaux nerveux terminus de'là' fibre.1 'Lés cellules s'unissent entré elles par en'haut-à 'a' 1'2ald
veux qui vol,it il au x1'pi-oloii -e- ments protoplasmiques de deux cellules simultanément. 'Les rameaux nerveux s'enchevêtr
ameaux nerveux s'enchevêtrent dans' les' rameaux nerveux d'au- tres cellules , où. tes rameaux nerveux aboutissent au''nerf mêm
aque teéminale d'üiii fibre ? iüùscûlairé' pàr, éâémple),`vônt à la cellule nerveuse d'un-autre,neurone ou aux' cellules3 de^
rs d'anatomie pathologique, a établi qu'il s'agissait de sarcomes à cellules embryonnaires : 0 fioi"à-i t31n : ? L'analyse cia
,s ? · 1". ,.... , . associées, dans le, liquide ventriculaire des, cellules 0 ees,oula . ssociées, détachées ^des tumeurs p
sistance,- exceptionnelle aux alcools, lé 'miasme^paludéen placé la cellule nerveuse cérébrale vis^à-vis ' Jdes ^liqueurs'
sultats ? La couché fsuperficielle né.vro,-li4ue'èst'épàissie;, les cellules aaigzécs sont plus nombreuses et plus volumineu
' gènes d'aspect,. pouvant" atteindre J6 |-t,irf\ J \ ? \ )' ? Lès- cellules ^ étoiléeê "ou. céllulës~n5vrogliques;^i sont légè
s dans les diverses couches de la"u7staiicd>,-i,ise,< 1\ ^Les cellules pyramidales, .présentent en certains endroits (ca
plupart des couches de Meynert; elle est très rare dans les grandes cellules pyramidales. - Moelle. On constate, surtout dan
e ventriculaire)' et par ceux de l'exameiiMiistologique (lésion des cellules nevrogliques, des vaisseaux de 1 ecorce et ! .ff;
nerait·lafdestruction des fibres ner- veuses étales allérations^des cellules nerveuses. Enfin, depuis que ^ Tuczek1 eut' con
utilisés, mais'ils ont l'inconvénient' de détruire la substance des cellules ; de'plus^ils forment avec les manchons de myél
fectueux.'Eni effet, il demeure sans action surfît nombre infini de cellules et peut aisé- ment induire en* erreur ? La péri
ands progrès à'la structure du système nerveux ne colore que peu de cellules et peu 'de fibres; elle est par suite inutilisa
390 . SOCiÉTÉS"SAVANTES : h voir la matière colorante- quitter les cellules . Ceci- s'applique"1 k'i bien des couleurs, d'an
nt foncés ? 0 n') peut dire qu'il n'y a pas de procédé colorant les cellules avec leurs;1 prolongements et les ramifications
, un agent électif pour la névro-lie. L'étude de ila structure; des cellules nerveuses exige un durcissement préalable qui les
i'= vetise est un termeigénérique qui comprend bien des, formes 'de cellules ^ nerveuses, <ayant chacune sa morphologie ^c
éticule colorera no gloliqa peo ab gJA,) A a Le; prolongement della cellule prond'somorigine'dans un orba-1 niteide substan
*n"q"uë celte' dernière ? zSirdonc, cbmme'1'a'sign'alé Flesch ? lës" cellules "d'un ? ganglion spinal sont colorées à des degr
115 nyau, seii- «' sitifidutrijumeau se-traduisent,par,une forme de cellules à strue 1 tureségalementvdéterminée ? ilsera'dé
lules à strue 1 tureségalementvdéterminée ? ilsera'démontré°que les cellules » de f chaque'espèce sont'en rapport avec la fon
hon pasi à une tvariété chimique'des'substances'dont se compose la' cellule , z ni, une variété de structure' dans les cellu
nt se compose la' cellule, z ni, une variété de structure' dans les cellules ,' mais bien à la pro- portion de substance colo
es- nerveuses.1- Ilc semble, qu'après l'action dé ce; courant ! les cellules pâles deviennent des ! cellules', fortement col
s deviennent des ! cellules', fortement colorables ? Peut-être les, cellules ; tout en ayant'là même fonction, présentent-elles
ce; qui' revient à dire que'la' modification 1 de texture j d'unè 3` cellule 3`nerveuse' est' l'expression anatomique de fon
ions distinctes,' ce^qui n'a pas lieu dans l'espèce.1 A côté de ces cellules , on en' trouve qui ont la propriété ,de s'irn-i
pourraient contenir; de substance, colorable. Ce sont'là> des i cellules 'chromo-\ philes par excellence;- Elles; sont,
iplutôt à, un grumeau coloré 394 SOCIÉTÉS 'SAVANTES. - qu'à une cellule ; en vain fait-on agir sur. elles;tousles réactifs
ralement : un noyau cellulaireptout-à-s fait différent de celui des cellules précédemmenttdécrites : Elles) sont, aussi beau
.., ) ? i foyer pathologique.Onjpourratt penser qu il s agit la. de cellules ne, fonctionnant plus, en voie de régression po
défaut. A Liège le service ,' des, hommes ne contient pas une seule cellule d'isolement. Enfin «les seuls malades dont on p
vrait en hiver/ et qu'on affirmait être- des pas de sor- ciers, les cellules des religieuses*, auxquelles- ces toits, corres-
tè aü's-ub"st-itü't"je'à'n"n'i'n de ce que le toit en question z la cellule de la soeur Jamain, dont la fenêtre était garni
. dans la brique, et ? ? ? ? . ,. donna également acte de ce que la cellule de la soeur Gabnelle - r" 11f't rn .rtr) ? f.c'
eprésentant une des formes diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellules entourées déjà de couches condensées et formant a
ormation du foyer. Plusieurs mailles du réseau renferment de belles cellules endo- thé)in)es granuleuses (c). ' . ' ·y · ' .
au entouré d'une zone vitreuse. En b, le reticulum initial avec ses cellules granuleuses. Fig. 8. 1/250. Un nodule mésoneuri
de l'endonèvre dans la couche superficielle du faisceau. En b deux cellules indifférentes. Fig. 13. 1/300. Un beau nodule m
g. 17. 1/300. Un petit bloc hyalin légèrement strié renfermant deux cellules accolées (c) et une vacuole (u). Fig. 18. 1/400
et une vacuole (u). Fig. 18. 1/400. Un nodule isolé contenant deux cellules (c, c) et beaucoup de noyaux (at, ! t) plus ou
n irrégulièrement concentrique. Pas de vacuoles, mais seulement des cellules et des1" noyaux." Le centre du nodule est occup
ême nature, mais plus petit et va- guement délimité. En d, d, d, d, cellules indifférentes. v. Capillaire ectasié avec tuméf
llules indifférentes. v. Capillaire ectasié avec tuméfaction de ses cellules pariétales. Fig. 20. 1/400. Un foyer périneurit
i- culum mésoneurial autour du tissu, lamelleux. Enfin, les grosses cellules endothéliales font complètement défaut et les n
Fig. 22. 1/400. Premiers rudiments d'un nodule mésoneuritique. c, cellule centrale, logée dans une cavité, n, noyau en croi
foyer. I% ig. 2f. - 1/400. Début de la stratification autour d'une cellule centrale. Fig. 25, 26 et 27. 1/400. Trois coupe
ale avec les affections des lobes occipitaux, par Soeppili, 195., Cellule nerveuse, anatomie de la - , par \issl, 391.
37 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dont les faisceaux sont enchevêtrés dans toutes les directions. Les cellules appartiennent au type fusi- forme. Dans certain
es plus ou moins grêles ou larges. Mais dans d'autres faisceaux les cellules extrêmement grosses et nombreuses se touchent p
tement sans interposition de fibres conjonctives. La plupart de ces cellules pré- sentent des noyaux volumineux de forme trè
es dans cette pièce cadavérique. En même temps le protoplasma des cellules subit une transfor- mation colloïde; il devient
; il devient réfringent, et refoule le noyau à la péri- phérie. Les cellules ainsi modifiées ont tendance à se fusionner et
iées ont tendance à se fusionner et donnent naissance parfois à des cellules géantes à noyaux mul- tiples. Dans les parties
qu'elle le parait à première vue, comme l'a montré M. Duclaux'. Les cellules qui cons- tituent autant de microbes ont leur v
leur vie propre, leurs besoins, leurs exigences, tout comme chaque cellule de l'organisme. Les uns se nourrissent , absorb
lument comme les autres, et l'on peut très bien concevoir que nos cellules puissent sécréter des substances toxiques dans ce
f- fusé par lui dans l'organisme entier, il viendrait irriter les cellules nerveuses de l'encéphale et de la moelle et déter
ose irrégulièrement disposée des cordons latéraux et l'atrophie des cellules des cornes antérieures à la région dorsale. M.
ce que quand il est entré en équilibre de forces avec un autre. Une cellule nerveuse n'a de sensation que quand elle a l'occa
' Il faut que de deux côtés opposés du champ de la conscience les cellules soient sollicitées pour qu'il y ait complexus psy
bre dynamique. Il y a toujours un processus moléculaire entre deux, cellules qui s'influencent réci- proquement. u . REVUE
niveau; il pourrait bien y avoir un ramollissement circonscrit des cellules appartenant à l'accessoire (atrophie du trapèze
un asile d'aliénés. Vendredi matin on l'a trouvée pendue dans sa cellule . Le médecin de l'hospice n'a pu que constater le
t être tenue pour le prolongement cylindraxile protoplasmique de la cellule nerveuse ganglionnaire centrale et que la forma
ème ventri- cule. Atrophie complète des éléments nerveux, fibres et cellules . Extrême altération des vaisseaux. Syphilis pro
eut rattacher- l'oblitération du canal central, la pigmentation des cellules ner- veuses, l'abondance des corps amyloïdes, q
Durée d'environ deux ans et demi. A l'autopsie, dégénération des cellules ganglionnaires du noyau de l'hypoglosse, du noyau
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 155 processus cylindraxiles des cellules ganglionnaires au-dessus du tronc des nerfs glo
vient probablement du noyau du moteur oculaire commun. Le groupe de cellules postéro- latéral de la corne antérieure de la m
point de vue histologique, on a surtout noté la dégénérescence des cellules nerveuses, l'augmentation des éléments lymphati
téré; mais dans toutes, on trouve, à côté de la proliféra- tion des cellules de l'épendyme, une prolifération abondante de la
LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 187 un tubercule composé de cellules épithéloïdes et de leucocytes qui se trouvent à
au côté interne des racines posté- rieures, un tubercule composé de cellules épithéloïdes et de leuco- cytes. Dans la série
ge des racines pos- térieures, deux tubercules isolés contenant des cellules géantes. On peut suivre ces deux tubercules enc
uivre ces deux tubercules encore plus bas, mais on ne voit plus les cellules géantes. Le processus de la prolifération de la
parallèlement avec la propagation du processus tuber- culeux. Les cellules ganglionnaires ne sont pas visiblement altérées ;
s deux cordons de Goll commencent à appa- raître de petits îlots de cellules rondes placées, en partie, autour d'un vaisseau
NERVEUSE. racines antérieures droites, un tubercule contenant deux cellules géantes, situé directement sous la pie-mère. Le
rieure, on observe une petite agglomé- ration isolée et composée de cellules épithéliales. B. Moelle dorsale : I (partie sup
nt infiltrées et on trouve, dans une coupe, un tubercule composé de cellules épithé- lioïdes. Si nous envisageons quelques
une infiltration allongée, en connexion avec un tubercule muni de cellules géantes. Ce tubercule se trouve sur le côté exter
hir la substance blanche et la substance grise. On a pu trouver les cellules géantes non seulement dans les nodules de la mo
secondaire. Le canal central est oblitéré par la prolifération des cellules épendymaires; autour du canal central, il y a pro
les-ci on trouve encore des nodules tuberculeux, typiques, avec des cellules géantes. La tuberculose y est caracté- risée d'
aux ; et peuvent donner naissance même aux tubercules contenant les cellules géantes. - Outre ces lésions, on trouve une pro
éreuse de la glande avec des- truction complète des alvéoles et des cellules épithéliales, à la suite de l'hyperlhyroïdisati
ont doublés d'une néoformation conjonctive ^ mince, d'une couche de cellules plates endothéliformes qu'on ne retrouve pas à
me des granu- lations réfringentes à l'intérieur du protoplasma des cellules épithéliales. · La thyrocolloïne est le résul
de la sécrétion thy- roïdienne. Elle n'est nullement formée par des cellules particu- lières, comme le croyait 0. Langendorf
n dire autant des altérations de la névroglie, des vaisseaux et des cellules . La distinction avec la démence sénile et certain
glie. Dans deux cas aigus, ils ont observé une dégénérescence des cellules ganglionnaires et une hypertrophie des éléments d
s de myéline de tous les tubes ne sont pas absolument saines. Les cellules nerveuses et les cylindres-axes n'ont pas souffer
res qui se colorent encore fort bien; on voit alors qu'il «'agit de cellules embryonnaires qui ont subi sur place une nécros
ont un peu allongés, d'autres presque fusiformes; il semble que les cellules embryonnaires qui leur ont donné naissance étaien
de cette couche adventice la pie-mère proprement dite est pauvre en cellules colorées et les cellules qu'on aperçoit sont to
la pie-mère proprement dite est pauvre en cellules colorées et les cellules qu'on aperçoit sont toutes absolument rondes; o
bsolument rondes; on distingue également dans ses inters- tices des cellules dégénérées. Pourtant à la face profonde de la p
e-mère, dans la région dor- sale de préférence, on voit des amas de cellules à noyaux aplatis, bien colorés, tous orientés p
le. Il se forme ainsi en plusieurs points des amas triangulaires de cellules fusi- formes tellement serrées les unes contre
es colorées à l'hématoxyline, elles forment une tache violette. Les cellules sont orientées parallèlement au vaisseau et, su
; nodule formé, vpr- l'origine d'un vais- seau médullaire, par clos cellules aplaties. Ilémaloxyline et éosine. formes; ces
dont il a été question plus haut (rtg. 10). , Quelques-unes de ces cellules ont pourtant gardé leur aspect embryonnaire et
vaisseaux de moyen calibre ont leurs parois épaissies et garnies de cellules fusiformes comme celles qui forment des amas à
e. L'endartère est saine. La pie-mère présente une infiltration des cellules embryonnaires qui sont de mieux en mieux coloré
nt subi une diminution considérable que dans Je gyrus rectus. Les cellules de l'écorce n'ont pas subi d'altération appréciab
liculum nerveux, n'ont pas subi une grande réduction de volume. Les cellules qu'elles contienne' t, étud'ée-' sur des coupes c
si belles que dans une moelle normale. - Il en est de même pour les cellules des colonnes de Clurke, dont pourtant le réticu
ou moins nettement limités. Jamais aucun leucocyte ne se mêle à ces cellules embryonnaires. La pie- mère qui tapisse les cor
férieure du renflement cervical où, sur un espace assez limité, les cellules embryonnaires accumulées autour des vaisseaux d
ées, malgré .la disparition de leur réticulum nerveux normal. Leurs cellules sont absolument intactes. Les colonnes de Clccr
que dans le cas précédent. Il n'existe d'ailleurs aucune lésion des cellules de la moelle ni des fibres des racines antérieure
s avec infiltration cellu- laire plus ou moins serrée; çà et là les cellules embryonnaires se tassent pour former des nodule
résentent une infiltra- tion très abondante de leurs parois par des cellules rondes. En somme, il s'agit là d'une sorte de f
nflammation diffuse, caractérisée par les mêmes infil- trations des cellules rondes. D'ailleurs, ce n'est pas là une excepti
cette méningo-myélite, qui est caractérisée par une infiltration de cellules rondes avec, le plus souvent, peu d'épaississem
a semblé, en effet, que d'une part on ne trouvait aucune lésion des cellules ou des tubes, qui ne soit en relation avec une
énérale dé- montrent largement la réalité ; il est probable que les cellules rondes ne sont pas là à poste fixe, mais qu'ell
st inutile d'ajouter que, dans tous nos cas, l'infiltration par des cellules absolument rondes ne saurait être confondue ave
premier lieu; elle consiste essentiellement en une infiltration de cellules rondes qui envahit la pie-mère, l'arachnoïde, l
le faisceau cérébelleux direct, le faisceau pyramidal croisé et les cellules de Clarke, on n'a trouvé, dans les deux seules
nfectieuse (dans un cas grippale) et due à la localisation dans les cellules cérébrales et les espaces lymphatiques de l'écorc
années on pensait que dans l'alro- phie musculaire progressive, les cellules des cornes antérieures et les racines de même n
examinées, mais son étendue reste proportionnelle à l'atrophie, des cellules de la substance grise. Elle respecte les faisce
e est l'expression ana- tomique de la dégénérescence des fibres des cellules de cordon déjà décrites en 1866, par Charcot et
ce est secondaire, qu'elle est intimement liée à la disparition des cellules , c'est que non seulement on l'observe dans le t
ancs de la moelle épinière, nées sous l'influence de l'atrophie des cellules ganglionnaires, de quelque origine que soit cet
ul étage, aussi éloignés que possible du centre, qui renferment les cellules pour les malades agités que l'on isole. » Au
dissociation en une matière fine- ment grenue. Non seulement les cellules de la névroglie ne sont pas multi- pliées mais
e sont pas multi- pliées mais elles se décomposent. S'agit-il d'une cellule actini- forme, elle devient malle et prend un a
n aspect grenu, ses prolon- gements tombent et la voilà à l'état de cellule nue. Puis c'est le noyau qui se liquéfie au sei
t n'est plus coloré que par la rubine, finalement, à la place de la cellule , on ne trouve plus qu'un magma composé d'un dét
la scène, elles consistent en une infiltration de celles-ci par des cellules , avec épaississement et, parfois, rétrécissemen
que dans la première l'infiltration des parois vasculaires par des cellules est plus dissymétrique que dans la seconde, les c
XXXV. CONTRIBUTION A l'étude DE la DISPOSITION ET DES fonctions DES CELLULES DE la MOELLE cervicale, avec UNE NOTE SUR LES alt
et de son mémoire sont les suivantes : 1° La grande majorité des cellules motrices de la moelle cervi- cale présente une
- cale présente une disposition bien définie; 2° Certaines de ces cellules sont disposées en colonne qui tra- versent plus
nt cervical à la partie inférieure du pre- mier segment dorsal. Les cellules de la portion supérieure de ce territoire fourn
t aux muscles de l'épaule et de la partie supé- rieure du bras. Les cellules de la portion inférieure fournissent à l'avant-
dehors et au-dessous de celui qui fournit aux fléchisseurs; ,5° Les cellules qui donnent naissance aux nerfs qui innervent les
e celles qui innervent les muscles fléchisseurs; 6° Le groupe des cellules qui innervent les muscles du dos est situé à la
t en rapport direct avec le nombre et l'état plus ou moins sain des cellules ganglionnaires du segment médullaire d'où part
lement au sur et à mesure que l'animal commence à marcher, sont les cellules de Purkinje et les petites étoilées de la zone mo
de Purkinje et les petites étoilées de la zone molé- culaire : ces cellules ont donc bien la signification de cellules mo-
zone molé- culaire : ces cellules ont donc bien la signification de cellules mo- trices. Quant aux grains, leur degré de dév
logist, janvier 1895.) E. B. XXXIX. ETUDE SUR la dégénérescence DES CELLULES NERVEUSES dans UN cas d'atrophie cérébrale loca
e marquée des circonvolutions frontales des deux côtés. L'étude des cellules corticales des parties atrophiées, faite par la
, lui a permis d'étudier les divers stades de la dégénérescence des cellules nerveuses. Tout d'abord, les granulations de ch
n des centres nerveux et des nouvelles méthodes de colo- ration des cellules et des nerfs : méthode de Nissl, de Golgi-Cajal,
matériaux de nutrition est si faible que l'on constate du côté des cellules une sorte d'autopha- gisme ; à cette période co
sont à ce point diminués que l'on constate une désintégration de la cellule ner- veuse, accompagnée d'accroissement des tis
se pas que d'être délicate et de détruire parfois les relations des cellules entre elles. Néanmoins, lorsque cette méthode a
insanity, oct. 1894.) E. B. XLIV. DE la nomenclature anatomique DES CELLULES NERVEUSES ET DE son but immédiat; par F. NISSL.
ut immédiat; par F. NISSL. (Neu1'olog. Cezlt·al6l., \IV, 1895.) Les cellules nerveuses centrales se décomposent en : a. Cell
V, 1895.) Les cellules nerveuses centrales se décomposent en : a. Cellules nerveuses cytochromes. Grains. Le corps cellulair
l'on rencontre dans la couche des noyaux du cervelet : Type CI. , Cellules de la couche nucléaire. Cellules périphériques
noyaux du cervelet : Type CI. , Cellules de la couche nucléaire. Cellules périphériques de la couche nucléaire, presque a
ellules périphériques de la couche nucléaire, presque au niveau des cellules de Purkinje. y. Noyaux du bulbe olfactif (renfl
e Purkinje. y. Noyaux du bulbe olfactif (renflement olfactif). b. Cellules nerveuses kàryochromes. - Cellules noyaux. Le cor
factif (renflement olfactif). b. Cellules nerveuses kàryochromes. - Cellules noyaux. Le corps cellulaire n'est qu'indiqué. L
n'est qu'indiqué. Le noyau'coloré atteint le volume des noyaux des cellules nerveuses, volume toujours supérieur à celui de
toujours supérieur à celui des noyaux de la névroglie, exemple les cellules de la substance gélatineuse de Rolando : : Ty
substance gélatineuse de Rolando : : Type a. Couche de Rolando. Cellules du ganglion de l'habenula. c. Cellules nerveuse
Type a. Couche de Rolando. Cellules du ganglion de l'habenula. c. Cellules nerveuses somaiochromes. Cellules à corps cellula
les du ganglion de l'habenula. c. Cellules nerveuses somaiochromes. Cellules à corps cellulaire. Le corps de la cellule ento
erveuses somaiochromes. Cellules à corps cellulaire. Le corps de la cellule entoure complètement le noyau de la cellule et
lulaire. Le corps de la cellule entoure complètement le noyau de la cellule et possède un contour net. a. Arkyochromes. L
contour net. a. Arkyochromes. La partie constituante colorée de la cellule est disposée en réseau («pxuç). 1. Type enark
). 1. Type enarkyochrome ; 2. Type ampharkyochrome; 3. Type des cellules olfactives. : j3. Sléchochromes. La partie cons
l- lule a la forme de raies ayant 'la même direction. 1. Type des cellules nerveuses motrices ; . 2. Type des grandes cell
. 1. Type des cellules nerveuses motrices ; . 2. Type des grandes cellules de la corne d'Ammon ; 3. Type des cellules de l
. 2. Type des grandes cellules de la corne d'Ammon ; 3. Type des cellules de l'écorce ; i. Type des cellules nerveuses sp
la corne d'Ammon ; 3. Type des cellules de l'écorce ; i. Type des cellules nerveuses spinales. (. Arl¡yostichoch1'omes. Un
les de Purkinje. , Gl' ! Joclt1'01nes, La partie constitutive de la cellule colorée se compose de petites granulations Nous
sur-le-llfein). L'état actuel de l'anatomie et de la pathologie des cellules nerveuses. - Les cellules nerveuses ne sont pas
uel de l'anatomie et de la pathologie des cellules nerveuses. - Les cellules nerveuses ne sont pas toutes construites sur le
s toutes construites sur le même plan : il y a de nombreux types de cellules nerveuses, bien caractérisés au point de vue morp
de l'inexactitude du schéma de Max Schullze sur la structure de la cellule nerveuse et de l'existence de types variés d'él
use de notre ignorance touchant les fonctions de tel ou tel type de cellules nerveuses. Dans toute la série des vertébrés ch
rie des vertébrés chaque territoire du système nerveux renferme des cellules du même type. Si donc on arrive à connaître SOC
res, on saura par là même quelles sont les fonctions de tel type de cellules . Le rapport qui existe entre la structure des é
re des éléments nerveux et ' leur fonction est bien établi pour les cellules qui, dans la série entière des vertébrés, occup
ont démontrées. Ces éléments sont nettement différenciés des autres cellules nerveuses, et il est aisé d'en donner les carac-
de ce dernier. Nous ne savons rien de précis sur les fonctions des cellules des ganglions spinaux : mais nous savons que le
tions des cellules des ganglions spinaux : mais nous savons que les cellules du noyau de la racine descendante du trijumeau
ont la même fonction que les éléments des ganglions spinaux. Les cellules nerveuses d'un même type, par exemple les cellule
ons spinaux. Les cellules nerveuses d'un même type, par exemple les cellules motrices, peuvent se présenter sous différents
s quantités des substances nerveuses colorée et non colorée de la cellule . La dimension de celle-ci joue un rôle, car la co
oue un rôle, car la coloration la plus légère se rencontre dans les cellules les plus volumineuses et vice versa. La différe
es plus volumineuses et vice versa. La différence de coloration des cellules nerveuses n'est pas artificiellement produite :
roduite : elle correspond à des modifications de la nutrition de la cellule vivante, modifications encore inconnues, et don
lément ner- veux. Les différences constatées dans la coloration des cellules nerveuses tiennent probablement à des états fon
es tiennent probablement à des états fonctionnels différents de ces cellules (repos, activité); c'est ce que confirmerait l'ex
atières colorantes, il faut noter la chromophilie. On rencontre des cellules chromophiles dans les divers types de cellules. E
ie. On rencontre des cellules chromophiles dans les divers types de cellules . Elles se distinguent par leur apparence homogè
nt été faites sur des lapins afin de déterminer les altérations des cellules ganglionnaires consécutives à l'intoxi- cation
cation alcoolique aiguë. Les recherches ont porté surtout sur les cellules de Purkinje du cervelet. Dans l'empoisonnement ai
uatre heures, on a constaté des altérations des rami- fications des cellules , des modifications dans la répartition de la '
de lésions. Ces altérations ne frap- pent qu'un certain nombre des cellules de Purkinje. Chez un chien, mort en trente heur
res rayonnantes et tangentielles; la troisième, corres- pondant aux cellules ganglionnaires. C'est la couche moyenne qui par
omiques devraient porter non seulement sur les fibres, mais sur les cellules ganglionnaires. M. ALZfait observer qu'il n'a
clonies sont en rapport avec des altérations minimes et fugaces des cellules nerveuses. 428 BIBLIOGRAPHIE. 5° Maladie des
s la première partie du rapport de M. Bourneville, De nos jours, la cellule n'est le plus souvent qu'une habitation de nuit
pourquoi j'estime qu'il doit être possible de faire dormir dans des cellules ou des cham- bres d'isolement un agité sur deux
étant donné surtout que nous con- damnons d'une manière générale la cellule comme habitation de jour; il convient dès lors
e moitié de la population couchera en des chambres d'isolement ou cellules et l'autre moitié en commun, et cette deuxième mo
d'isolement, chambres d'isolement qui n'ont rien de commun avec les cellules d'isolement des agités mais qui sont de vraies
s du système de fibres nerveuses destinées à relier entre elles les cellules de la substance corticale du cerveau. Parallè
ative des muscles, altérations du cordon de Goll, vacuolisation des cellules ganglionnaires de la corne antérieure de la moe
let. Consécutivement à l'alté- ration des fibres d'association, les cellules qui leur correspondent ont dû dégénérer, comme
tiennent pas de fibres dégénérées L'olive droite est atiophiée; les cellules en sont en majeure partie SOCIÉTÉS savantes. 47
ommunication sur la méthode de Nissl, appliquée à la coloration des cellules des cornes antérieures de la moelle et des cell
coloration des cellules des cornes antérieures de la moelle et des cellules de Purlcinja du lapin et de l'homme. Présentati
examen des cornes antérieures a montré, à côté d'un grand nombre de cellules normales, d'autres éléments présentant diffé- r
altéra- tions ne se révélaient que dans les parties centrales de la cellule : au lieu des corpuscules bleu foncé caractéris
des plus avancés la lésion, au lieu de se limiter à la partie de la cellule entourant le noyau, s'étendait aux régions péri
ourant le noyau, s'étendait aux régions périphériques, et certaines cellules parais- saient remplies d'une masse poussiéreus
ais avait gagné la zone périphérique. La présence d'altérations des cellules ganglionnaires de la moelle dans les cas de név
térioscléreuse du cerveau par Alzheimer , 260. Dégénérescence des cellules nerveuses dans l ? -.cérébrale localisée par Pr
tomie pathologique par Hahn, 477. corticale par Bonhoffer, 480. Cellules nerveuses. De la nomen- clature anatomique des
d'abcès de la , par llomen, 317. Dispo- sitions et fonctions des cellules de la cervicale, par Collins, 391. Cordons po
38 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e méningo-corticale et méningo-protubéran- tielle, infiltration des cellules rondes dans lapartie profonde de la méninge mol
ion des cellules rondes dans lapartie profonde de la méninge molle, cellules qui envahissent la substance nerveuse dans sa s
iles. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES l. - Les cellules plasmatiques de la paralysie généra- le ; par l
une façon catégorique il la théorie de l'origine fibroplastique des cellules plasmati- ques. L'examen attentif de celles de
que des cellules plasmati- ques. L'examen attentif de celles de ces cellules que l'on rencontre à l'intérieur des capillaire
ace péricapillaire, on trouve toutes les formes de passage entre la cellule endothéliale normale, des éléments plus jeunes
cellule endothéliale normale, des éléments plus jeunes et enfin des cellules plasmatiques mûres du type Marschalko. Les él
ermet d'envahir le tissu nerveux ambiant. M. de Buck attribue aux cellules plasmatiques un rôle REVUE D'ANATOMIE ET DE P
a paralysie générale. Mais si l'infiltration périvasculaire, si les cellules plas- matiques du processus paralytique sont d'
l. Sur la présence d'un réseau spécial dans la région pigmentée des cellules nerveuses; par G. Marinesco. {Journal de Neurol
eau est très visible, quoique d'aspect un peu dif- férent, dans les cellules sticchochromes, telles que les cel- lules radic
es cellules sticchochromes, telles que les cel- lules radiculaires, cellules des noyaux crâniens, cellules de Betz,, etc. Il
lles que les cel- lules radiculaires, cellules des noyaux crâniens, cellules de Betz,, etc. Il est constitué par une trame f
par voie de trans- formation chimique du réseau préexistant dans la cellule nerveuse : sa présence est intimement liée à ce
puisque chez elles, le pig- ment occupe la plus grande partie de la cellule , G. D"rY. 111. - Clonus du droit abdominal dans
ningites, les ramollissements du cerveau, ainsi que les lésions des cellules géantes rencontrées au cours des hémiplégies et
et plus ou moins en dedans du groupe X de Onuf et constitué par des cellules intermédiaires, quant à leur volume, entre les
tué par des cellules intermédiaires, quant à leur volume, entre les cellules de ce dernier et les cellules motrices ordinair
aires, quant à leur volume, entre les cellules de ce dernier et les cellules motrices ordinaires. Au groupe intermedio-latér
mbre correspondant. A l'autopsie on ne trouva pas d'altérations des cellules des cornes antérieures ; par contre les cellule
d'altérations des cellules des cornes antérieures ; par contre les cellules de la corne postérieure droite et de la zone in
lastique et poly- blastique (manchons périvasculaires, polyblastes, cellules que, (manchores perivasculaires, polyblastes, c
polyblastes, cellules que, (manchores perivasculaires, polyblastes, cellules plasma- tiques, mastzcllen). En se fondant su
minance pour les amaspéri-vasculaire.sNulle part,on ne rencontre de cellules géan- tes. Les vaisseaux de la dure-mère sont
ns les parties anté- rieures de la coupe. Il existe encore quelques cellules nerveuses arrondies, ayant gardé leur noyau et
e tissu fibreux, on trouve des portions complètement ossifiées avec cellules osseuses typiques et système de llavurs. 102
séreux d'aspect variable ; mais au microscope ces éléments sont des cellules sébacées et des cellules épithélia- les plaies;
; mais au microscope ces éléments sont des cellules sébacées et des cellules épithélia- les plaies; de plus, tous les faits
e). Cependant l'examen histologique a montré des vais- seaux et des cellules géantes qui ont fait repousser le kyste hyda- f
rs sont le pro- longement des racines postérieures et. naissent des cellules des ganglions intervertébraux. Chaque fibre des
sent exclusivement dans le faisceau de Burdach. C'est au milieu des cellules des noyaux de Goll et de Curllach que se ter- m
nis, que leur délimitation exacte est im- possible. Us viennent des cellules de la moelle, les premiers nais- sant surtout d
nent des cellules de la moelle, les premiers nais- sant surtout des cellules des colonnes de Clarke. Au-dessus du lover de m
vale), d'où viennent ces libres ? Des racines posté- rieures ou des cellules des faisceaux ? L'interruption transversale et
a moelle par un foyer détruit simultanément racines postérieures et cellules de substance grise, y compris celles qui émette
blement des fibres endogènes, c'est-à-dire des libres nées dans les cellules de la substance grise ; il se pourrait toutefoi
va- gue au-dessous du ganglion jugulaire. Du 9° au 284e jour, les cellules des ganglions spinal et jugulaire subissent le pr
yau et la chromato- lyse. Cependant dès le 80° jour, la plupart des cellules tendent il se régénérer. IL- Section chez cha
es ou du nerf vague au-dessus du ganglion jugulaire. L'atrophie des cellules des ganglions spinaux ne commence qu'au début du
ne commence qu'au début du 3e mois. Du ? au 4" mois, le nombre des cellules altérées dans lel1r1(\tUl'e commence il augment
anglion devenu plus pe- tit renferme encore un très grand nombre de cellules , et,, parmi celles-ci, ilen est, en assez grand
e trahissent point du grossière altéra- lion de texture. Entre le-, cellules restantes, groupées, existe un tissu intermédia
es. Indéniable est l'influence du prolongement central intact des cellules des ganglions spinaux sur leur structure et sur l
rique, incapable de 1'(0- cupérer sa fonction ; la régénération des cellules altérées ne peut avoir lieu, tandis qu'elle s'o
rées ne peut avoir lieu, tandis qu'elle s'observe sur de nombreuses cellules après laséparation du nerf périphérique. P. Ker
° congestion avec vascularité active ou passive; 2° infiltration de cellules rondes plus ou moins groupées en no- dules infe
rondes plus ou moins groupées en no- dules infectieux, présence des cellules endothéliales et de neuro- nophages ; 3° scléro
se et de neuronophagie et finalement on voit la disparition de la cellule elle-même. Peut-être ces lésions encore peu connu
tricité. P. KERAVAL. XXXIII. Nouvelles méthodes de coloration des cellules nerveuses ; appoint a la question des canalicul
sive chez un homme de 3lî ans, évoluant en 3 ans.Mort soudaine. Les cellules des cornes an- térieures de la moelle el du bul
e cortical aux pieds des F2 ; altérations nécroticlues diffuses des cellules de l'écorcu frontale. Un nouceaucas de soi-di
Recherches sur l'origine des prolongements pro- toplasmiques de la cellule nerveuse; par 1 RAGNITO. (In .ln,nali di Nevrol
sent au sujet de l'origine, des prolongements protoplasmiques de la cellule nerveuse, l'auteur conclut que le seul fait démon
ée par le corps neuro- blastique, destiné à devenir le centre de la cellule nerveuse, et à augmenter son proloplasma. En te
produits par la rupture de la vésicule occupant la périphérie de la cellule embryonnaire, est fondée sur des observations inc
state une cer- taine uniformité des éléments, la rareté des grandes cellules pyra- midales, et la pauvreté des prolongements
yoitc1ail'emenl les rapports qui existent entre la névroglie et la cellule nerveuse, rapports qui montrent les disposition
mité des éléments constitutifs de l'écorce cérébrale, la rareté des cellules pyrami- dales géantes, on comprend facilement l
fibrilles indépendantes entre elles et le système fibrillaire de la cellule avoisinante est simplement apparenté. Toute gro
eu égard à celles qui semblent avoir des rapports intimes avec la cellule ; elles ne s'y terminent pas, mais vont contribue
de fibrilles d'un calice, une partie seulement se terminait dans la cellule et que le reste, en nombre beaucoup plus consid
ffrent des rapports de conti- nuité avec le système fibrillaire des cellules avoisinantes. .1. S. REVUE D'ANATOMIE ET DE
vec atrophie légère plus ou moins'accenluée dans un petit nombre de cellules distribuées presque uniformément à toute la par
l'encéphale examinée. Dans la moelle, il décrit des altérations des cellules radiculaires de la colonne de Clarke, surtout d
la colonne de Clarke, surtout dans la région lom- baire. Les autres cellules médullaires présentaient les mêmes altérations
dant, il ne et oit, pas pouvoir infirmer la doctrine du neurone. La cellule à court cylindraxe que fort rencontre aussi bien
lement fournir de bons renseignements sur la structure intime du la cellule normale et pathologique. Cepen- dant, on ne doi
sions très nettes et très caractéristiques. On observerait dans les cellules une tendance du noyau il se rétracter avec augm
a rage ou bien si elles constituent un mode spécial de réaction des cellules de la corne d'Ammon..1. S. LIV. -L'importance d
tions d'électricité..1. S. LV. Le réticulum neuroflbrillaire des cellules motrices dans la moelle épinière des animaux té
r affir- mer en toute sécurité que le réticulum 11b ! 'jllail'e des cellules mo- trices de la moelle épinière des lapins tét
, on trouve au niveau du cerveau une dif- férence marquée entre les cellules superficielles et les cellules profondes de la
u une dif- férence marquée entre les cellules superficielles et les cellules profondes de la substance corticale. Les cellul
rficielles et les cellules profondes de la substance corticale. Les cellules présentent la forme et le volume ordinaires, ma
épinière : Abondance extraordinaire du pigment jaune- brun dans la cellule nerveuse. 214 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
érose en plaques. M. LEJONNE montre les préparations de lésions des cellules des cornes antérieures dans la sclérose en plaq
des élément), ner- FAITS DIVERS. 239 veux pris en particulier : cellules nerveuses. ueurolibrilles, cylin- draxes, gaine
es du, 11l)'line, dégénérescences récentes granulo- graisseusus des cellules et des fibres, név roglie, nerfs périphériques.
gens) et ne se calme que lorsque l'on fait signe de le conduire en cellule . A l'entrée idiotie complète; aujourd'hui on po
la considération des sys- tèmes d'aires axono-dendriliques dont les cellules corti- cales ne sont qu'un élément. Si la pla
ouve de lésions cellulaires qu'à partir du 3c segment lombaire. Les cellules motrices y sont réparties en 4groupes : anté ro
antéro-externe;externe proprement dit;central. Par-ci par-là, 2 à 3 cellules ont réagi, surtout dans le groupe externe, moin
également. Il en est de même pour le centre du triceps ; nombre de cellules réagissent immédiatement en arrière de son extr
immédiatement en arrière de son extrémité inférieure ; ce sont les cellules qui représentent le début de la région motrice de
A la partie inférieure de ce segment apparaît un nouveau groupe de cellules , en arrières de celui des muscles de la jambe ;
erne el, dans le centre des gastru-cnémiens, surgir deux groupes de cellules plus grosses que les cellules motrices ordinair
stru-cnémiens, surgir deux groupes de cellules plus grosses que les cellules motrices ordinaires, en rapport avec les péro-
ommençante d es cellules-) Le 4c segment lom- baire contient peu de cellules en chromatolyse ; elles occupent le groupe exte
localisation des muscles du pied et de la jambe. Ici encore peu de cellules lésées dans leurs rapports avec les muscles de
es de la cuisse. Dans les deux observations, vacuolisation dans les cellules des groupes postéro et post-postéro-latéraux. P
postéro et post-postéro-latéraux. P. KERAVAL.. LIX. Des groupes de cellules motrices du renflement cer- vical chez l'homme
aienL en relation avec lesmuscles postérieurs de l'avant-bras ; ces cellules sont atteintes de chromatolyse. (l) Dans le 8
ute laparlie externe de la corne anté- rieure gauche est peuplée de cellules dégénérées qui forment deux gros groupes, dans
cephalie et microgyrie en même temps. L\l1. Atrophie lamellaire des cellules de Purkinje ; par André Thomas. (Travail du lab
ctérisées par l'atrophie et la dispa- rition d'un certain nombre de cellules de Purkinje auxquelles s s'étaient substitués d
e antérieure gauche et présente un nombre plus restreint de grandes cellules . L'interprétation des troubles de l'équilibre e
la corne antérieure ne s'est pas faite exclusivement aux dépens des cellules , et les arborisations terminales des libres pyram
uestion, l'auteur conclut doses recherches personnelles que : 1° la cellule ganglionnaire no prend aucune part à la formation
u début de son dévelop- pement ne présente aucune connexion avec la cellule ganglion- naire; - 30 la fibre nerveuse périphé
ives de cette fibre. - 5° Les prolongements protoplasmiques de la cellule nerveuse se développent aux dépens des chaînes ce
ux dépens des chaînes cellu- laires ; - G" les neurofibrilles de la cellule nerveuse sont un pro- duit tardif de différenci
veau des faisceaux pyramidaires directs et croisés. Les lésions des cellules des cornes antérieures ont montré les altératio
de chromatolyse, atrophie pro- gressive de tous les éléments de la cellule , surcharge pigmen- taire. Dans le type spasmo
dons prédominait ; dans le type amyotrophique c'était la lésion des cellules qui pré- dominait ; mais dans tous les cas les
leuco-myélite ou de mé- ningo-myélite, soit ir, des altérations des cellules nerveuses de la moelle; - scléroses postérieure
ésocéphalique des oculogyres doit être placé dans le groupement des cellules grises de la région protubérantielle, que les a
cielle, la plus interne est lisse et re- couverte par une couche de cellules en dégénérescence grais- seuse qui lui donnent
d'épaisseur variable ; en de- hors elle aboutit à un tissu lâche de cellules fusiformes, enfin vient la couche propre des fa
c le pus, on trouve une couche irrégulière, granuleuse, formée de cellules rondes en dégénérescence. Plus en dedans, les l
nts nerveux plus ou moins altérés, au milieu desquels on trouve des cellules fusiformes en voie de formation. Celles-ci, dis
issu nerveux. Il a pu noter progres- sivement les altérations de la cellule nerveuse, la dégé- nérescence de son protoplasm
. Westphall (2) étudie minutieusement les diverses va- riétés des cellules observées dans 3 cas d'abcès du cer- veau ; il
1900, h. 206. HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE DE L'ABCES CÉRÉBRAL. 453 cellules conjonctives. Bien que dans son cas II, l'abcès,
mal différenciée de la cavité de l'ab- cès, est constituée par des cellules rondes, fortement pressées l'une contre l'autre
ent en outre des vaisseaux capil- laires grêles et peunombreux, des cellules nucléées et des éléments morts. La couche moyen
e nettement limi- tée est la plus large. Elle présente un stroma de cellules fusiformes, irrégulièrement entrecroisées ou di
e de nombreux vaisseaux, à parois épaissies et un certain nombre de cellules rondes disséminées, rassem- blées en plus grand
d'irritation,large, mais mal délimitée. est parsemée de nombreuses cellules rondes ; elle est ri- che en vaisseaux ; elle p
rondes ; elle est ri- che en vaisseaux ; elle présente en outre des cellules né- vrogliques, de différentes dimensions, allo
ts par Westphal, présentant tous les types de transition avec les cellules fusiformes de la couche précédente et ayant par
plupart sont d'origine conjonctive, quel- ques-uns représentent des cellules névrogliques gon- flées, enfin des lymphocytes
couche la plus interne, caractérisée surtoutpar la pré- sence des cellules granuleuses ; les couches les plus ex- ternes o
oulay, est essentiellement\ granuleuse et formée de leucocytes. Les cellules son toutes sensiblement de même dimension ; leu
ints où cette zone interne occupe une ré- gion normalement riche en cellules nerveuses, on voit sur les pièces colorées par
les pièces colorées par les méthodes de Nissl ou de Held, entre les cellules granuleuses, des blocs protoplas- miques amorph
ent il n'y a pas de noyau, parfois un noyau mal coloré. Ce sont des cellules nerveuses en nécrose de coagulation. Par places
les nerveuses en nécrose de coagulation. Par places on trouve des cellules nerveuses parfaitement reconnaissables, mais pr
ophagie est évidente. Sur aucune coupe nous n'a- vons pu trouver de cellule en chromatolyse franche, seu- lement quelques c
pu trouver de cellule en chromatolyse franche, seu- lement quelques cellules en chromatolyse périphérique peu accentuée et l
de coagulation nous ont semblé les deux modes de disparition de la cellule nerveuse. II. A cette première zone, granuleuse
ressivement de la cavité même de l'abcès. La paroi est infiltrée de cellules poly- nucléaires, analogues à celles de la couc
'on s'éloigne de la cavité de l'abcès.Elle est constituée par des cellules nombreuses, très variables d'aspect et de direc-
, allongées, avec un noyau assez volumi- neux, ovalaire ou allongé, cellules conjonctives, isolées ou réunies par amas ; des
u allongé, cellules conjonctives, isolées ou réunies par amas ; des cellules névrogliques gonflées et déformées; enfin des l
com- me l'a bien indiqué Kôlpin, par une orientation nouvelle des cellules conjonctives. Ala place des mailles irrégu- liè
'impression d'un tissu compact, fortement organisé et résistant.Les cellules mi- gratrices sont moins abondantes ; elles son
te cette zone, sur les coupes favo- rables, on peut reconnaître des cellules nerveuses plus ou moins modifiées. Les cellules
eut reconnaître des cellules nerveuses plus ou moins modifiées. Les cellules normales sont assez 45S ANATOMIE PATHOLOGIQUE
us a semblé beau- coup plus rare que ne le dit Kolpin.Cependant les cellules placées au voisinage des vaisseaux dilatés prés
hromatolyse. C'est encore autour des vaisseaux que l'on observe des cellules névrogliques gonflées, et des altérations des f
Tous les auteurs ont signalé le gonflement et la multiplication des cellules névrogliques. Sur les coupes traitées par la mé
ouches de la zone moyenne, son parallélisme avec la disposition des cellules conjonctives nous feraient bien plutôt admettre
et les différents tissus du cortex ; ` ? ° délestons exclusives des cellules pyramidales. (1) Voir Bourneville. Archives,
ntripètes et centrifuges dans le fonctionnement et la nutrition des cellules ner- veuses ; par G. Marinesco. D'après Walter,
et du nerf sciatique chez des lapins et des chiens, et l'étude des cellules radiculaires ainsi isolées, l'auteur a été amen
rité du bout central. Les modifications qu'il a constatées dans ces cellules consistent dans la multiplication ou l'hypertro
Or, dans ce cas, j'ai constaté une disparition presque complète des cellules consti- tuant les centres des muscles détruits.
t de mala- die de Friedreich. Il ne restait pas la moindre trace de cellules dans le foyerde paralysie infantile. C'est prob
la section transverse de la moelle sur les lésions secondaires des cellules motrices sous-jacentes et sur leur réparation ;
M. GOLUSTE1N. - Les auteurs ont recherché quel est le sort d'une cellule qui, mise en état de réaction à distance par la s
oelle a une influence certaine sur les phénomènes de réaction de la cellule nerveuse à la suite dp la section de son cylind
tions. De plus, la section de la moelle empêche la répa, ration des cellules en réaction placées au-dessous de la section et
Cajal considère ces lésions comme résultant de l'état de repos des cellules . Les auteurs pensent au contraire, avec Marines
un fort grossissement, on voit que la tumeur est constituée par des cellules névrogliques, plongées dans une substance libri
trictement limitée. Dans les ménin- gites,onpeut constater : 1° des cellules grossièrement et entière- ment altérées ; 2° de
e spécifique et il y a généralement dégénérescence concomitante des cellules hépatiques, ce qui indique une action du foie d
e progressive, par Préol) ! 'ujenski, 148. - - ltul1el- laire des cellules de Purkinje, par Tliomas, 325. - ^ muscu- lai
e de la - -, par Gruner et Ber- tolotti, 198. Canalicules. Voir Cellules . Cécité. Relations cliniques de la la paralys
ticale, par Collet et Gruber, 214. - - Voir Méuino-encf;phalile. Cellules . Les plasmatiques de la paralysie générale, pnr
i, 220. -- du pied, par Claude et Dreyfus, 50'r. Coloration. Voir Cellules . Comité pour l'étude et la nrolec- lion de l'
Reticulum neurofibrillaire, localisation mo- trice, angiosarcome, cellules motrices. - Recherche sur l'ori- gine nt les
émiplégiques, par Mario Bertolotti. 334. Paralysie générale. Voir Cellules plasmatiques. - -, poliomyé- lite. - Discussi
lectuel, par Dallrlac, 230. Réticulum neurofibrillaire. Le - des cellules motrices dans la moelle épinière des animaux té
39 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
motrices conductrices, le premier qui va de la périphérie jusqu'aux cellules des cornes antérieures dans la moelle, et le se
illaires), qui se rencontrent pour entrer en relation au niveau des cellules dites motrices des cornes antérieures. » La dif
rnes antérieures du renflement lombaire, dégénérescence des grandes cellules dans les cornes antérieures (vacuolisation), de
des cornes antérieures de la moelle cervicale; atrophie des grandes cellules ou formation de vacuoles dans ces' éléments, de
iques.- Observation III. Paralysie spinale aiguë, vacuolisation des cellules nerveuses. Dégénérescence segmentaire des racin
e. - OGselw2tioz Il ? Paralysie d'un seul membre, vacuolisation des cellules nerveuses, dégénérescence très marquée des raci
, surtout des fibres tangentielles des lobes frontaux, atrophie des cellules pyramidales. Epaississement de la névroglie dan
s artificielles. Les es- paces artificiels que l'on voit autour des cellules , dans les sections durcies, sont absentes sur l
cies, sont absentes sur les coupes fraîches; sur ces dernières, les cellules nerveuses sont considérablement plus larges, leur
mence la première, est-ce celle de la fibre à myéline, celle de la cellule ou celle des vaisseaux ? On sait que chacune d'el
ent spino-muscu- laire des trajets pyramidaux. Tous les groupes des cellules de la corne antérieure (et latérale) ont la sig
antérieure, formée, en partie au moins, par les prolongements des cellules de la corne antérieure et des fibres radiculaires
ée d'une façon évi- dente dans un de leurs cas.- L'augmentation des cellules chro- mophiles dans la glande pituitaire témoig
certaine continuité du germe plasma en ce sens qu'une partie de la cellule reproductrice passe à la génération suivante et
cessation des relations nutritives entre l'être généra- teur et sa cellule reproductrice : toutefois ces particularités orga
long des petits vaisseaux. z Dégénérescence granulo-graisseuse des cellules pyramidales, etc. R. M.-C. SOCIÉTÉS SAVANTES
n qui paraît fort bien conçue. R. AL-C. 00. Nouvelles fenêtres pour cellules ; par POETZ. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLV1
cette infiltration est située en arrière du canal central, dont les cellules ont proliféré à ce niveau, mais qui en reste pa
corne antérieure gauche disparait presque complètement ; toutes ses cellules ne sont pourtant pas détruites et on les retrou
NEVROGLIRUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 113 la moelle, un petit amas de cellules proliférées, refoulé par la tumeur, mais très n
de la tumeur est constituée par un tissu fibrillaire, contenant des cellules en quantité variable suivant les points; de plu
arrondies qui sont peut-être les débris d'éléments cellulaires. Les cellules sont en eli'et beaucoup moins abondantes dans c
gurés ont subi une dégénérescence qui les rend méconnaissables. Les cellules contiennent un noyau plus volumineux que les cell
issables. Les cellules contiennent un noyau plus volumineux que les cellules névrogliques normales ; ce noyau est arrondi ou
emblables sont d'ail- leurs semés dans tout le tissu. * Outre les cellules dont il vient d'être question, on trouve aussi
ormation résulte certainement d'une transformation particulière des cellules de la névroglie, car on peut trouver tous les sta
trouver tous les stades de la transformation. La comparaison de ces cellules avec celles que l'on trouve dans cerlains gliom
pçonner qu'il y a là une ten- dance à l'évolution ganglionnaire des cellules néoplasiques. Les fibres sont de volume et de d
r des éléments nerveux qui n'ont pas été étouffés complètement. Les cellules ont les mêmes aspects que dans la tumeur circon
un gliome vrai, tel qu'on en rencontre dans le cerveau. Entre les cellules le tissu est formé de fibres très fines; par pl
qu'elle renferme; ces amas pig- mentaires sont situés soit dans les cellules , soit dans la paroi vas- culaire et dans le tis
nés d'une gaine conjonctive épaisse, formée de grosses fibres et de cellules plates : c'est du tissu fibreux à proprement pa
ur le tissu néoplasique, d'origine névro- glique est très pauvre en cellules . (Obj. ° Véric6, oc. 1. Hëmtoxime et éosine.) '
onscrite parait en voie d'accroissement et est richement pourvue de cellules , à son centre au contraire ses éléments actifs se
elles sont déformées par compression, elles conservent encore leurs cellules et leur réticulum nerveux intacts en apparence,
sparait presque. Néanmoins, il est probable qu'un certain nombre de cellules profondes ont été détruites, sur- tout dans le
diffuses, tandis que les tumeurs de la moelle sont très pauvres en cellules , très riches au contraire en fibrilles, et plus
s de la névroglie; ce tissu, d'origine ectodermique, est composé de cellules et de fibres : tantôt les cellules'proli- fèren
s fibres, et l'on a une tumeur plutôt circonscrite, assez pauvre en cellules , se développant lentement, avec une tendance ma
vaisseaux de la base..Le. microscope révèle de nombreux foyers de. cellules dans' les espaces périvasculaires de tout l'encép
s occupent les ,, espaces péricellu ? laires;. atrophie des grandes cellules de Betz. Dégénérescence des fibres nerveuses à
'III s'agit pour l'auteur, d'un retour à l'état'ernbryonn'aire des cellules du tissu con- jonctif, qui, après cela', se son
ique montre la diminu- tion du nombre de ganglions et l'absence des cellules de ces der-, niers dans certaines couches, et l
séjour au lit ; non, c'est en calmant directement, paraît-il, la cellule nerveuse cérébrale en éréthisme qu'elle amena l
isme qu'elle amena l'apaisement, tout en lui laissant ainsi qu'à la cellule bulbo- spinale leur libre exercice, de telle so
ix heures de calme, si bien que le malade, jusqu'alors tenu dans sa cellule , reprend la vie commune, puis brusquement l'acc
t de maladie : Produits de la vie cellu- laire de nos tissus ou des cellules microbiennes parasites, ces alca- loïdes (leuco
° A la porte de chaque dortoir et de chaque asiles d'aliénés. 267 cellule on affiche le cubage d'air et le nombre de lits c
re que peu d'observations de cette sorte de tumeur cérébrale où des cellules ganglionnaires entrent à titre d'éléments const
nstitutifs. A un point de vue général, il est cu- rieux de voir une cellule néoplasique reproduire un élément d'une aussi h
ique reproduire un élément d'une aussi haute différenciation que la cellule nerveuse; au point de vue plus spécial du systè
eur parenté avec les éléments de soutien des cen- tres nerveux, les cellules de la névroglie. Je viens d'observer une de ces
- trique et un protaplasma trouble; 3 neuroblaste plus développé; 4 cellule nerveuse adulte du type multipolaire, avec vn g
noyau nucléole et des prolongements brisés pres de leur origine; 5 cellule semblable en forme de poulpe avec un prolongement
mblable en forme de poulpe avec un prolongement c)lindraxile; 6, 6' cellules du type pyramidal ; 7 cellule fusiforme ; 8 cellu
un prolongement c)lindraxile; 6, 6' cellules du type pyramidal ; 7 cellule fusiforme ; 8 cellule araignée avec deux petits
indraxile; 6, 6' cellules du type pyramidal ; 7 cellule fusiforme ; 8 cellule araignée avec deux petits noyaux; 9 neuroblaste
les fragments moléaires s'éparpillent dans le protoplasma : 13 à 15 cellules de formes diverses à noyaux multiples ou divisé
rs suivant les points ; tantôt on a sous les yeux un tissu riche en cellules qui, à part leur volume plus considérable et le
sidérable et leur abondance extrême, ressemblent parfaitement à des cellules névrogliques; tantôt au contraire le tissu para
llules névrogliques; tantôt au contraire le tissu parait composé de cellules nerveuses, à prolonge- ments multiples, et de f
sont là des formes purement embryonnaires des neuroblastes ; 2° des cellules avec un noyau semblable, ou quelquefois deux ou
fibrilles fines et réfringentes (cel- lules névrogliques) ; 3° des cellules plus avancées encore dans leur évolution; qui p
eu blan- châtre et est, un peu plus ferme; il est constitué par des cellules nerveuses à différents stades de leur évolution
prbtoplasma un peu trouble, très avide de carmin; le tout forme des cellules arrondies, de volume variable (2, 2', 2", fig.
ntermédiaire de l'évolution des éléments suivants; 3° de véritables cellules ganglionnaires reconnaissables à leur volume én
ent des feutrages ou des faisceaux serrés. - 1 - 1 , , . , , 'Les cellules ganglionnaires adultes ont des formes très variée
Pig. 17. Coupe prise dans une portion glanglionnaire de la tumeur; cellules nerveuses éparses dans un bain formé exclusivemen
s qui semblent prendre ces caractères à une certaine distance de la cellule , leur calibre devenant régulier et leur aspect
fibrillaire; de telle sorte qu'il semble très probable qu'une seule cellule estcapable de fournir plusieurs fibres au résea
res au réseau des cylindres d'axe qui par- courent la tumeur. Ces cellules à type médullaire siègent plutôt dans le prolonge
gé et qui sont faites sur le type cortical; ce sont à vrai dire des cellules pyrami- dales, remarquables par la longueur et
autre chose qu'un prolongement cylindraxile. Le protoplasma de ces cellules , comme celui^des cellules à type médullaire, es
ement cylindraxile. Le protoplasma de ces cellules, comme celui^des cellules à type médullaire, est finement, grenu et ne di
laire, est finement, grenu et ne diffère en rien du protoplasma des cellules nerveuses normales; il ne contient pourtant jam
tant jamais de pigment. On rencontre encore une troisième espèce de cellules qui ont la forme d'un fuseau très allongé (7, f
elles sont moins nom- breuses que les précédentes. Les noyaux des cellules n'ont pas tous le même aspect ; ceux des cellul
Les noyaux des cellules n'ont pas tous le même aspect ; ceux des cellules ganglionnaires à type médullaire ont pour la plup
munis d'un nucléole volumineux; ils sont peu avides de couleur. Les cellules ganglion- naires à type cortical au contraire o
allongés ou étranglés en bissac; d'autre part on trouve de grandes cellules arrondies, à protoplasma trouble qui contiennen
tion endogène à un stade tardif de l'évolution. , . A côté de ces cellules , où la division des noyaux parait s'effectuer.
es, on voit que l'on a affaire à une évolution rl1or,-{ bide et les cellules néo-formées portent.pour la plupart .le cachet
on que la précédente. Le' tissu est constitué exclusivement par des cellules ganglionnaires du type pyramidal, des filaments
ine ; je dois ajouter que même dans ces points on trouve encore des cellules ganglionnaires éparses au milieu de la névroglie
où le tissu est fait sur le type nerveux pur, on n'aperçoit que des cellules ganglionnaires qui enlacent leurs prolongements
Fig. 19. Coupe prise dans une portion névrogliques de la tumeur. Cellules et réticulum névrogliques; une cellule araignée ;
névrogliques de la tumeur. Cellules et réticulum névrogliques; une cellule araignée ; neuroblastes plus ou moins avancés d
che, simple ou double, formée par un pareil feutrage. Origine des cellules néoplasiques. Sur toute la tumeur l'écorce céré
nts commencent à entrer en proliféra- tion ; on voit les noyaux des cellules de la névroglie éparses dans l'écorce augmenter
qui présente un intérêt tout particulier : c'est autour des grandes cellules pyramidales; on sait qu'il existe normalement d
CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 287 Î dansée cas actuel, autour de la cellule pyramidale et dans l'espace clair qui l'entoure
visible, déri- vent évidemment du petit noyau de remplacement de la cellule nerveuse. En descendant vers le néoplasme, on v
dant vers le néoplasme, on voit cette disposi- tion s'exagérer, les cellules pyramidales sont détruites progressi- vement et
ont détruites progressi- vement et remplacées par de petits nids de cellules embryonnaires qui finissent par se diffuser 'da
s et se mélanger aux élé- ments néoplasiques quittes entourent. Ces cellules sont-elles des- tinées à produire les cellules
ittes entourent. Ces cellules sont-elles des- tinées à produire les cellules ganglionnaires du néoplasme à l'ex- clusion dès
iode embryonnaire et donnent naissance indifféremment les uns à des cellules de la névroglie, les autres à des cellules gan-
fféremment les uns à des cellules de la névroglie, les autres à des cellules gan- glionnaires. .. , 2° Lésions secondair
Lésions secondaires du cerveau. J'ai déjà fait remarquer rig. 20.- Cellules pyramidales d'une portion de l'écorce prises à la
ormal sauf une congestion assez intense; les parois vasculaires,les cellules ganglionnaires et névrogliques neprésentent auc
ibres'très fines plus ou moins horizontales, qui répond aux petites cellules pyramidales; 3° ce réseau devient de plus en pl
en plus puissant à mesure qu'on descend dans la zone des grandes cellules pyramidales où ses fibres s'entre-croisent avec l
pour témoigner de l'intégrité relative des tissus ; d'ailleurs les cellules nerveuses ne paraissent pas avoir souffert. Les
primé; elle débute par la deuxième couche, qui répond aux petites cellules pyramidales, et, point important, elle est tou-
meur avait toute l'apparence d'un téra- tome ; elle était formée de cellules à la périphérie, de fibres au . centre,' présen
est la seule indiscutable. Les tumeurs développées aux dépens des cellules formatives des tissus nerveux peuvent donc repr
espèces d'éléments qui caractérisent ce tissu à l'état adulte : les cellules névrogliques, avec les fibres qui en dérivent,
les cellules névrogliques, avec les fibres qui en dérivent, et les cellules ganglionnaires, avec les cylindres d'axe qu'ell
e pour acquérir la diffé- renciation supérieure qui caractérise les cellules nerveuses. Dans un mémoire précédent je me suis
it des points purement glio- mateux et de plus, fait important, des cellules disséminées d'une nature toute particulière; ce
tant, des cellules disséminées d'une nature toute particulière; ces cellules arrondies, ou munies d'un court prolongement, à
cte- ment les formes intermédiaires entre les neuroblastes et les cellules nerveuses, formes qui sont si abondantes dans la
et d'une petite salle de réunion et chaque pavillon d'agités de six cellules seulement disposées de chaque côté d'un couloir.
en effet, il y a une loi, généralement admise, suivant laquelle des cellules semblables et à nutrition simi- laire, qui exéc
e défectueuse, parce que la somme d'énergie nerveuse d'un groupe de cellules n'est pas plus considérable que celle d'un autr
s au moyen de l'air chaud, parfaitement éclairées et ventilées. Les cellules destinées aux malades agités, violents ou destr
s processus d'atrophie, de sclérose, de dégénérescence à forme de cellules granuleuses, etc., se confondent, dit-il. Soit. M
affection systéma- tique, car comment englober dans le système des cellules nerveuses atteintes. Enfin je n'ai vu qu'un tab
tifiée; faible prolifération du tissu intersti- tiel. Intégrité des cellules et ganglions spinaux. Atrophie du cor- don post
jusqu'à la partie supérieure de la région dorsale. Dimi- nution des cellules de la colonne de Clarke, atrophie du cordon pos-
. A la péri- phérie des corps olivaires, au point correspondant aux cellules Fig. 37. L'une des olives sclérosées, vue à un
par deux petites masses, forte- ment colorées, ne contenant aucune cellule dans leur intérieur et présentant un bord irrég
montrent franchis- sant la ligne médiane, pour se terminer dans les cellules ner- veuses qui remplissent les couches antérie
lèves 1, M. Pierret a longuement insisté, sur la disparition de ces cellules nerveuses comprises à l'état normal entre les f
at normal entre les fibres des pédoncules céré- belleux moyens; ces cellules disparaissent également dans les vieilles lésio
communication entre ces deux grands systèmes se fait au niveau des cellules grises de la partie antérieure de la protubéran
des pédoncules céré- belleux moyens, la disparition des nombreuses cellules ner- veuses qui les mettent normalement en rela
nvulsion indique une certaine instabilité pathologique de certaines cellules corticales, quelle que soit d'ailleurs la lésio
illeurs la lésion qui provoque cette instabilité. La décharge d'une cellule se propage aux cellules voisines, à la manière d'
rovoque cette instabilité. La décharge d'une cellule se propage aux cellules voisines, à la manière d'une trainée de poudre,
ulation de la lymphe cérébrale. De là des troubles de nutrition des cellules nerveuses, des modifications de l'innervation d
Les fibres myéliniques sont noir bleues, la névroglie jaune, les cellules incolores ou noir brun avec leurs prolongements.
formément brunâtre, dans lequel on distingue parfaitement fibres et cellules nerveuses. P. K. Archives, t. XXVI. 26 402
s faisceaux pyramidaux; en outre de celle-ci, il y a des lésions de cellules . Mais ce que nous ignorons, c'est lé rôle des d
elles se confondent. Donc, chez l'homme comme chez les animaux, les cellules nerveuses qui occupent l'extrémité caudale de l
es de la sphère visuelle de l'écorce, de sorte qu'à chaque poste de cellules correspond un territoire cortical, assez circon
res corticaux aux groupes cellulaires et vice versa. La plupart des cellules périphériques du corps genouillé externe, et, à
nt leurs éléments vers l'écorce, mais en passant par les groupes de cellules des centres primaires qui sont en rapport avec
s'agit dans l'espèce des mêmes lésions que celles qui frappent les cellules nerveuses en d'autres parties du cerveau et que l
ies du cerveau et que leur der- nier terme est la destruction de la cellule . Il semble aussi que tous les noyaux ne soient
natomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. crâniens. L'altération des cellules est ausssi en rapport avec l'alté- ration dans
plasma; les 406 revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. cellules araignées qu'on rencontre chez l'adulte sont abse
entourés en partie de protoplasma légè- rement coloré : ce sont des cellules rudimentaires, dont certaines affectent mieux u
t certaines affectent mieux une forme pyramidale; les noyaux de ces cellules rudimentaires sont comparativement plus larges
lules rudimentaires sont comparativement plus larges que ceux des cellules de la seconde couche chez l'adulte; comme la prem
couches. On y distingue 1° des noyaux du tissu conjonctif; 2° des cellules nerveuses à forme pyramidale constituées par un n
ngue-t-on de ci et de là une ébauche de prolongement du sommet; ces cellules , dont les dimensions maxima sont de 18 p., repr
ma sont de 18 p., représentent le premierstade du développement des cellules géantes ; 3° quelques larges noyaux irrégulière
. A la partie la plus profonde de l'écorce, existent quelques rares cellules fusiformes. Les capillaires sanguins, ici comme
e celle écorce con- siste dans la prédominance des noyaux, soit des cellules nerveuses, soit des cellules du tissu conjoncti
s la prédominance des noyaux, soit des cellules nerveuses, soit des cellules du tissu conjonctif et dans la richesse des résea
er les idées émises par M. Bevan Lewis au sujet des altérations des cellules nerveuses et de leurs noyaux dans l'épilepsie.
effet, très fré- quents chez certains animaux. R. M.-C. XLIV. La CELLULE NERVEUSE CONSIDÉRÉE COMME BASE DE LA £ neurolog
ant l'exposé des plus récentes recherches sur la constitution de la cellule nerveuse, et en particu- lier des importants tr
hie des cornes antérieures portant principalement sur let groupe de cellules postéro-latérales ? mais lés'deux autres groupe
qui exercent une influence trophique sur les fibres qui'partent des cellules nerveuses; 4°'quand on'coupe untmembrH'ou un ne
tité et en qualité qui ne sont plus capables de déterminer dans les cellules ganglionnaires l'activité trophique 'suffi- san
nerveux centraux président aussi à l'altération des fibres que les cellules nerveuses des ganglions spinaux envoient à la m
e que le ganglion exerce sur elles une influence distincte ; 8° les cellules des ganglions spinaux restent en apparence inde
également les régions mo- trices, car je crois avoir montré que les cellules du groupe postéro- latéral des cornes antérieur
al des cornes antérieures sont de nature motrice. L'atrophie de ces cellules doit démontrer qu'elles possèdent une force de ré
lles possèdent une force de résistance spé- cifique moindre que les cellules des ganglions spinaux; 10" dans le cordon posté
, - ,. .) .r nf ? y, r., ,rtlo3 Enfin, malgré, l'absence tptaie des cellules des cornes antérieures,, et des raciries'aritér
re du tiers supérieur du noyau de l'hypoglosse, existe un groupe de cellules nerveuses situé en dehors etf uiîc peu u au-des
est'le' noyau' dorsal qui,'en réalité forme une' petite colonne de' cellules siluées'priricipaleménl au-dessous des fibres du'
primitiyqi et, secondaire sont )ConstituéeS) exclusivement, par des^ cellules de, la, névroglie. Elles ont leur origine dans
par des^cellules de, la, névroglie. Elles ont leur origine dans les cellules de,.Ia,nevrogt[e placées entre ;les,, couches ^
en contact avec la paroi de ces vaisseaux. Les accu- mulations des cellules delà névroglie'qui sé rencoitréiit'dâüsFcet end
t, , prennent , en . général .une h forme plus ou moins ovoïde, les cellules de nevroghe qui les.cons ? tituent § éloignent
tiplication- de3 noyaux; abondance de noyaux fusiformes et quelques cellules vésiculeuses, ayant la forme de bagues à cachet
cylindre-axe, il faut noter la prolifération, par karyokinèse, des cellules de la gaine de Schwann. On les constate dès le
s le second jour, sur le tronçon péri- phérique du nerf séparé. Ces cellules pénètrent dans la lumière du tube nerveux ; leu
des, gorgés de ces débris ; elles ressemblent alors tout à fait aux cellules granuleuses des dégénérescences du système nerv
omie les produits de dégénérescence des nerfs. La proliféiatipn des cellules de la gaine de Schwann n'a cepen- SOCIÉTÉS SAVA
chon coupé de l'ancienne gaine de Schwann et s'en- gagent entre les cellules du tissu conjonctif intermédiaire, à l'en- droi
aire qu'un rôle passif. Mais il se peut fort bien que les anciennes cellules de la gaine de Schwann qui ont proliféré vienne
bres. En tout cas, il n'y a ni hyperplasie nerveuse discontinue par cellules isolées ou systèmes de cellules indépendantes,
yperplasie nerveuse discontinue par cellules isolées ou systèmes de cellules indépendantes, ni réunion par première inten- t
bilatérale' avec psychique, 'par Vorster, 1fI5 ? - I P'1'JIII.) Cellule nerveuse, la considérée "comme base''de' la neu
40 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
VEUSE. 59 la moelle épinière : altérations d'intensité variable des cellules de la substance grise, particulièrement des cel
é variable des cellules de la substance grise, particulièrement des cellules des cornes anté- rieures (noyau moins net et dé
protoplasmique). Absence de congestion sanguine. Prolifération des cellules névro- gjiques. Les parties des racines rachidi
ulsions réflexes qui, venant des racines postérieures, tiennent les cellules motrices REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 61 d
lèpre. Ces bacilles n'étaient pas réunis en masses denses dans les cellules lépreuses comme on les rencontre dans la lèpre
mince que normalement, couche granuleuse foncée; couche de petites cellules pyramidales altérée surtout dans la région psyc
cellules pyramidales altérée surtout dans la région psychomotrice, cellules rabougries et trop pigmentées ; légères extrava
ann suppose qu'a une certaine phase du processus de l'évolution les cellules se divisent en deux variétés : d'une part, les
olution les cellules se divisent en deux variétés : d'une part, les cellules , de reproduction, aux- quelles est dévolue la p
uction, aux- quelles est dévolue la préservation de l'espèce et les cellules soma- tiques, auxquelles incombent la préservat
-germe détermine primitivement le caractère des colonies variées de cellules somatiques, ces cellules somatiques n'auraient
ement le caractère des colonies variées de cellules somatiques, ces cellules somatiques n'auraient que bien peu d'influence
par divers exemples, que les causes extérieures agissant sur les cellules somatiques, en particulier sur le cerveau, non se
e cerveau, non seulement peuvent, mais doivent se répercuter sur la cellule germe et modifier son caractère. L'hérédité p
déformé dans son contour ; le cylindre-axe est intact ; les grandes cellules pyramidales sont les plus atteintes. Les vais
MIE ET DE PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES. 1. Sur les altérations des cellules nerveuses, de la cellule pyramidale en particul
PATHOLOGIQUES. 1. Sur les altérations des cellules nerveuses, de la cellule pyramidale en particulier, dans la paralysie gé
eure du lobe frontal du cer- veau gauche ont montré que pas une des cellules nerveuses n'avait conservé ses caractères norma
eprésentée par les fines travées qui se voient dans l'intérieur des cellules dont les granulations chromatophiles ont dispar
s travées s'annonce par la formation de vacuoles, au pourtour de la cellule , vacuoles qui s'agrandissent peu à peu, jusqu'à
et disparait. Tantôt, au contraire, le noyau quitte le centre de la cellule , vient s'adosser contre la paroi où il prend de
accomplit dans l'intérieur du corps cellulaire. L'enveloppe de la cellule est parfois rompue. Elle a visiblement éclaté s
, il semble que, sous l'influence d'un agent nocif quel- conque, la cellule voit disparaître successivement sa substance ch
e garde plus sa forme; le noyau ne peut se maintenir à sa place. La cellule est frappée à mort, si le noyau disparaît compl
étlico-psychologiqties, août 1898.) " E. B. Il. Modifications des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans un cas de
somatiques peuvent produire des modifications dans la structure des cellules nerveuses; aussi une autopsie complète est-elle
t-elle nécessaire pour interpréter les lésions rencontrées dans ces cellules . Dans les deux cas qui font l'objet de ce travail
ce à la psychose. Dans le cas de délire aigu se rencontre, dans les cellules nerveuses de l'écorce, une REVUE D'ANATOMIE E
ntiellement dans la dis- parition de la substance chromatique de la cellule . Le corps cellulaire et ses prolongements prése
fréquemment élargi. Ces altérations se présentent dans beaucoup de cellules deldiffé- rentes parties de l'écorce. Toutefois
es deldiffé- rentes parties de l'écorce. Toutefois dans les petites cellules pyra- midales l'aspect est un peu différent : l
lence et le coma. Il paraît probable que ces modes d'altération des cellules ner- veuses sont dus à une intoxication, sans q
ulaire, la plus extérieure; les deux couches des petites et grandes cellules pyramidales ; et enfin la couche des cellules p
es petites et grandes cellules pyramidales ; et enfin la couche des cellules polymorphes. Mais il est impossible de dire que
nts qui constituent cette écorce cérébrale, aucun, soit fibre, soit cellule , soit carac- téristique de l'importance fonctio
l'analyse minutieuse de la structure cellu- laire : sans doute les cellules pyramidales ont quelque relation, directe ou in
DE- PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. à l'auteur quelques hypothèses : la cellule corticale commandant les mouvements de ce muscl
rmé- diaire de plusieurs racines ; une de celles-ci étant coupée la cellule corticale est du coup frappée d'inhibition ; ma
appée d'inhibition ; mais une fois rétablie dans son activité cette cellule transmet ses ordres au muscle par les racines r
ivité glandulaire, amème l'élimination de la plus grande partie des cellules altérées par le poison. Il se produit ensuite p
tion énergique. Mais cette réaction qui aboutit à l'élimination des cellules glandulaires^altérées doit être facilitée et pr
une tumeur de la grosseur d'une demi-orange. C'était un sarcome à cellules rondes. Les suites opératoires furent très bonn
l'opération, les fibres nerveuses motrices ayant été séparées, les cellules pyramidales ont dégénéré. De même on peut se dema
créée-t-elle une prédisposition en diminuant la résistance de la cellule nerveuse à la fatigue ? M. Ballet. Je ne veux r
cependant que la mort est causée par l'action d'un microbe sur les cellules nerveuses ou au moins par l'action des ptomaïne
ficiles de la psychologie. Dans l'écorce cérébrale existe outre les cellules des connexions multiples, fonctionnelles mais n
rmamente. Enfin, dans les derniers temps de la vie, en excitant les cellules motrices de la région, il aurait provoqué les c
e qui n'empêche, qu'en cas de nécessité, on ne les enferme dans une cellule municipale en atten- daut que les foruralrtés v
prolongements. L'auteur a examiné d'après la méthode de Golgi, les cellules de l'écorce cérébrale des cobayes qui avaient s
pense que toutes ces altérations tiennent à l'action directe sur la cellule de la substance nocive, quelle que soit la natu
le de surveillance; 5° La connexion étroite de cette salle avec les cellules d'iso- lement ; 6° La situation des apparteme
. L'étude du système nerveux central et notamment des lésions des cellules dans les infections et les auto-intoxications est
produit, à la suite de la section d'un nerf périphérique, dans les cellules où il prend son origine, succède une phase de r
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. diée en détail par M. Marinesco sur les cellules du noyau de l'hy- poglosse de lapins, sacrifiés
tion foncée du corps cellulaire et par l'augmentation de volume des cellules ; l'aspect foncé de la cellule tient à la den-
et par l'augmentation de volume des cellules ; l'aspect foncé de la cellule tient à la den- sité et à l'augmentation de vol
rtrophie cellulaire est à son maximum au quatre-vingt-dixième jour ( cellules géantes) ; après le centième jour, la cellule d
-vingt-dixième jour (cellules géantes) ; après le centième jour, la cellule diminue progressivement de volume. Contraire- m
lité du spongio-plasmasout les agents du changement de volume de la cellule nerveuse. La réparation se fait, d'une façon géné
estruction ou de, dégénérescence abou- tissant à la disparition des cellules profondément altérées, M. Ma- rinesco s'appuyan
la méthode de Nissl, con- sistaient en des altérations des grandes cellules pyramidales et des cellules de Betz : tuméfacti
istaient en des altérations des grandes cellules pyramidales et des cellules de Betz : tuméfaction et déformation plus ou moin
ion cellulaire, migration du noyau, chromatolyse) de la plupart des cellules des cornes antérieures de la moelle épinière. L
st pas certain qu'elles fussent le résultat d'une injure faite à la cellule parla substance toxique qui, quelle qu'elle soi
a manifestation de la réaction à distance qui se produit dans toute cellule dont le pro- longement cylindraxile est altéré.
ivant les différentes méthodes, ne s'est pas montrée altérée. Les cellules bulbaires, au niveau du noyau des nerfs mixtes, n
ments constituant le manteau gris cérébelleux, couche des grains et cellules de l'ur- kinje, atrophie sans lésion vasculaire
ieds élargis en entonnoir, et pre- nant appui sur la marginale, des cellules épendymaires du névraxe foetal en train de deve
ducteur du système nerveux et ses relations topographiques avec les cellules ; par le professeur H. ALIATIIY. L'idée fondamen
ment ininterrompu, au même titre que le système circulatoire. Les cellules ganglionnaires et nerveuses sont essentiellement
s ganglionnaires et nerveuses sont essentiellement différentes. Les cellules nerveuses sont analogues à la cellule musculair
ntiellement différentes. Les cellules nerveuses sont analogues à la cellule musculaire et produisent une substance conductr
une substance conductrice, la fibre ner- veuse, absolument comme la cellule musculaire produit un élément contractile, la f
re produit un élément contractile, la fibre musculaire. Quant aux cellules ganglionnaires, elles sont introduites dans le
batterie électrique, les éléments qui engendrent le courant. Les cellules ganglionnaires produisent l'impulsion qui doit êt
ganglionnaires produisent l'impulsion qui doit être conduite et les cellules nerveuses produisent la substance conduc- trice
les cellules nerveuses produisent la substance conduc- trice. Une cellule nerveuse est généralement en connexion avec plu-
Une cellule nerveuse est généralement en connexion avec plu- sieurs cellules par une ou plusieurs fibres primitives; une cellu
ec plu- sieurs cellules par une ou plusieurs fibres primitives; une cellule ganglionnaire peut, de même, être en relation a
lule ganglionnaire peut, de même, être en relation avec plusieurs cellules nerveuses; mais une cellule sensorielle n'est en
même, être en relation avec plusieurs cellules nerveuses; mais une cellule sensorielle n'est en relation qu'avec une seule
s; mais une cellule sensorielle n'est en relation qu'avec une seule cellule ganglionnaire. On ne voit aucun réseau dans le
re. On ne voit aucun réseau dans le protoplasma périnucléaire des cellules nerveuses. Dans le corps de la cellule ganglionna
otoplasma périnucléaire des cellules nerveuses. Dans le corps de la cellule ganglionnaire la fibre primitive conductrice fo
ol' iizsu ? 21ly, j juillet 1898.) E. B. XXXII. Modifications des cellules nerveuses dans les maladies somatiques ; par le
s somatiques ; par le D1' Ilocii. En étudiant les altérations des cellules nerveuses dans le labo- ratoire du Dr 1\issl, à
elberg, l'auteur a été frappé de la fréquence des modifications des cellules nerveuses de l'écorce dans les maladies les plu
les maladies les plus variées : les modifications possibles de ces cellules dans les diverses maladies somatiques sont impor-
euse. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 315 Les cellules sont modifiées dans leur aspect : elles sont tord
ui se répartit souvent sous forme de poussière à la périphérie delà cellule , alors que le centre de la cellule est très fai
e poussière à la périphérie delà cellule, alors que le centre de la cellule est très faiblement coloré en bleu, et le noyau
atre heures, puis durcis à l'alcool, ont montré, en effet, dans les cellules des altérations semblables à celles qui ont été
en déduire que les altérations décrites sont dues à de l'oedème des cellules . Le fait que les diverses affections dans lesqu
r de cette hypothèse. Une autre influence peut être exercée sur les cellules par l'extraction rapide de l'eau, dans le durci
er de ce travail est que de telles altérations rencontrées dans les cellules de l'écorce cérébrale d'un aliéné devront être
d'éléments cellulaires entièrement différents l'un de l'autre, les cellules nerveuses et les cellules ganglionnaires. Une fib
tièrement différents l'un de l'autre, les cellules nerveuses et les cellules ganglionnaires. Une fibre nerveuse sort du prol
lules ganglionnaires. Une fibre nerveuse sort du prolongement d'une cellule nerveuse et traverse un certain -nombre de cell
olongement d'une cellule nerveuse et traverse un certain -nombre de cellules ganglionnaires de structure compliquée, avant d
, engendre parfois la cyclopie; 5° dans toutes ces difformités, les cellules des cornes antérieures restent à un stade de dé
on respiratoire et exerce en outre une action des- tructive sur les cellules vivantes organiques. Enfin, il n'y a pas d'acco
r l'une et dysphagie pour l'autre. A l'autopsie, dégénérescence des cellules nerveuses médullaires dans les groupes correspo
ions expérimentales, pas de lésions vasculaires, mais seulement-dès cellules et des fibres aussi bien des grosses fibres que
de l'atrophie des cornes anté- rieures avec destruction de grosses cellules pyramidales. Les lésions principales ont leur s
'on trouve des lésions des cornes grises antérieures et des grosses cellules . D'après les remarques de différents auteurs, l
e la substance blanche, de même qu'une dégénération pigmentaire des cellules des cornes antérieures et des colonnes de Clark
olorées par des couleurs d'aniline basiques font voir de nombreuses cellules des cornes antérieures et des colonnes de Clark
façon plus intense que le corps de la cel- lule lui-même ; quelques cellules ont leurs prolongements cassés. Toutes ces alté
'était pas accoutumé de leur voir quand on les maintenait debout en cellule . SYNDROME CONSECUTIF A UNE BLESSURE DE LA MOE
; cependant lllott et Mari- nesco sont arrivés à découvrir quelques cellules altérées dans la corne postérieure opposée à l'
ct, leur consistance, leur constitution normaux. Au microscope, les cellules des cornes anté- rieures apparaissent rapetissé
ouvant persister le jour, rêveries objectivant l'intoxication de la cellule cérébrale. C'est dans cette forme que l'on obse
'alcoolisme, etc. Ils sont la conséquence de l'empoisonnement de la cellule . Mais il semble que ces troubles ne devraient d
oubles ne devraient durer qu'autant que les toxines agissent sur la cellule et qu'une fois ces dernières éliminées, ils aient
e, les congestions des méninges, des altérations pigmen- taires des cellules , mais on n'avait pas trouvé la véritable lésion
ns cellulaires présentent trois grands caractères : déformation des cellules , déplacement du noyau vers la périphérie, dépla
phérie, déplacement qui peut aller jusqu'à la projection hors de la cellule et chromatolyse. Ces lésions limitées aux grand
ors de la cellule et chromatolyse. Ces lésions limitées aux grandes cellules pyrami- dales sont les mêmes que celles produit
-infectieuse a déterminé les lésions en agissant directement sur la cellule parla réaction à distance sur le cylindraxe. Le
s expériences de Marinesco, de Ballet et de Faure ont montré que la cellule cérébrale se comporte comme la cellule médullai
t de Faure ont montré que la cellule cérébrale se comporte comme la cellule médullaire vis-à-vis des nerfs. Les cellules cé
le se comporte comme la cellule médullaire vis-à-vis des nerfs. Les cellules cérébrales s'atrophient sans qu'on puisse dire
on, la mort du sujet avait été accidentelle et rapide; peut-être la cellule qui pourtant avait souf- fert, n'avait-elle pas
n par la connaissance plus profonde des lésions histologiques des cellules cérébrales à diviser ces maladies en deux grandes
un défaut non encore connu de développement ou d'organisation de la cellule . Peut-être cette conception ferait-elle descend
ble indiquer seulement la disparition d'un aliment de réserve de la cellule . La déformation de celle-ci est plus impor- tan
sont pas des éléments de réserve. C'est la trame fondamentale de la cellule qui a la plus grande importance, mais on n'est
e cette trame. La chroma- tolyse constatée indique seulement que la cellule a souffert; il est impossible de définir le rôl
diverses intoxications dans les lésions qu'il a constatées dans les cellules . Des causes multi- ples peuvent les produire.
des vésanies ! Vous avez vu ces chambres d'isolement, ces anciennes cellules où le soleil entre si peu, qui s'ouvrent sur un
étliode de Nissl a permis de constater une diminution du nombre des cellules pyramidales des deuxième et troisième couches d
t enfin une infiltration intersti- tielle très abondante de petites cellules rondes de nature vraisem- blablement névrogliqu
dans les parties profondes de l'écorce et principalement autour des cellules pyramidales en voie d'atrophie. L'existence de
un état de fureur redoutable qui nécessitait son isolement dans une cellule matelassée. Les attaques qui se produisaient ja
yaux moteurs dans la moelle lombo-sacrée et de la vacuolisation des cellules nerveuses; par les L)I, Van Cishuciu'en et de l
à la partie inférieure du 4'' segment sacré. Un certain nombre des cellules cbromatolysées présentaient, en nombre variable
asma cellulaire. La question de la vacuolisation du protoplasma des cellules ner- veuses ne peut pas recevoir, dans l'état a
bique. L'action de ce bacille nouveau se porte spécialement sur les cellules nerveuses, dont les auteurs décrivent les lésions
c du tabès que le signe de Westphal. f XLVL Des altérations des cellules nerveuses provoquées par l'ar- senic ; par le D
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 475 'J rapidement des altérations des cellules nerveuses de la moelle qui peuvent se résumer a
ux d'origine : a) Un noyau moteur ventral ou noyau moteur à grandes cellules , constituant le noyau ambigu. Ce noyau appartie
res de ce nerf. b) Un noyau moteur dorsal ou noyau moteur à petites cellules . Ce noyau~appartient à la fois aux fibres du va
ciné et agité à son arrivée, était autrefois isolé la nuit dans une cellule ; là, constamment sous le coup de visions effra
tenait debout, poussait ou frap- pait les parois capitonnées de la cellule , s'agitait, criait, appelait au secours, interp
es exsudats librino-purulents sont infiltrés de globules de pus, de cellules embryonnaires ; les vaisseaux sont fortement di
n histologique de la moelle montre un aspect vacuolaire anormal des cellules des cornes antérieures, mais la conservation de
'emploi de la mé- thode de Nissl aurait décelé des lésions dans les cellules des cornes antérieures. C'est plutôt un défaut
stratifiés en rapport avec des méninges épaissies et infiltrées de cellules embryonnaires. On trouve encore des espaces lacun
out au niveau des cornes antérieures; quelques-uns sont entourés de cellules embryonnaires. La conserva- tion de cette moell
as de paralysie infantile traité par l'électricité ; par Citoz. Les cellules de l'écorce grise dans l'éclampsie. 11JI. Aac ?
par la méthode de Nissl, ils ont pu constater : Io l'altération des cellules pyramidales ; 2° la présence, autour de ces cel
altération des cellules pyramidales ; 2° la présence, autour de ces cellules , d'éléments anormaux. On observe deux degrés d'
des grains chromatiques correspond évidemment à l'épuisement de la cellule . Sa déformation parfois très accusée, est la co
cessus destructif. Ces lésions n'ont rien de spécifique. Autour des cellules pyramidales, mais non exclusive- ment autour d'
idales, mais non exclusive- ment autour d'elles, on voit de petites cellules rondes fortement colorées. Elles sont disséminé
Elles sont disséminées un peu partout, pénètrent dans la loge de la cellule pyramidale et s'appuient contre ses parois. Ces
dans les diverses couches de l'écorce grise et notamment autour des cellules pyramidales, des cellules rondes ou ovales plus
de l'écorce grise et notamment autour des cellules pyramidales, des cellules rondes ou ovales plus volumineuses et moins col
s plus volumineux représentent le noyau. Ces éléments entourent les cellules pyra- midales les pénètrent évidemment et sembl
idemment et semblent se substituer à celles qui sont détruites. Ces cellules ne se rencontrent, dans les mêmes conditions, q
On serait tenté de leur attribuer un rôle excitant, vis-à-vis de la cellule motrice. Quant à la nature on peut se demander si
e- t-elle l'incapacité totale de ill.- créer, par bturgis, 152. CELLULES nerveuses. Modifications z les maladies soma-
- nienne héréditaire, par P. Mai le et Saiutou, 321. Eclampsie. Cellules de l'écorce grise dans l' . par et l'ons. : 0j.
a ,par iniai-atidoii de bloiityel, 189. - Sur les altérations des cellules nerveuses de la cellule pyrami- dale, en part
loiityel, 189. - Sur les altérations des cellules nerveuses de la cellule pyrami- dale, en particulier dans la - z. par
cation de la et de l'é- criture, par Itosa, 306. Pathologie de la cellule nerveuse. Contribution à la et de ses prolong
ent con- ducteur du - t-t ses relations topo- glaphiques avec les cellules , par Apathy, 3t'r. Des difformités con- génit
41 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
dans le myocarde, le trypauosome se localise à l'inlé- rieur de la cellule noble; il s'y multiplie, eu formant de nombreuses
rapport arec le système vasculaire. De tels foyers, envahis par les cellules migratrices, se transforment en foyers d'infiltra
ur d'un élément anatomique, qui parait être, en règle générale, une cellule de la névrolo- gie. Dans celle-ci, le parasite
ie par divisions binaires succes- sives et il finit par détruire la cellule et constituer une agglomération d'éléments libr
ou même lésion primitive, neuronite motrice, frappant à la fois les cellules des cornes antérieures et leurs prolongements dan
fiée de la tige pituitaire (1). Atrophie testiculaire avec absence de cellules interstitielles et canalicules sémiuipares peu
de mitose au niveau de l'épithélium séminipare; dégénérescence des cellules interstitielles; ré- gression des follicules ov
sions de méningo-encéphalite \Paviot et Josserand) ; et lésions des cellules du cortex et des cornes médullaires signalées par
s signalées par Edoardo Poggio qui admet l'irritation chronique des cellules radiculaires antérieures dans le paramyoclonus.
eau intramédullaire. neflzlojj 1) qui a necru un réseau sortant des cellules , nommées à (1) Uber die l3eziehung der sog. Zel
férents). DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 13 L tort cellules de Schwann, et ressemblant à celui que nous avons
ère, les coupes longitudinales nous montrent que la disposition des cellules de la névroglie est tout aulre que celle des cell
sposition des cellules de la névroglie est tout aulre que celle des cellules de Schwann. Ces dernières cellules se trouvent,
lie est tout aulre que celle des cellules de Schwann. Ces dernières cellules se trouvent, avec une certaine régularité, altern
té fait défaut dans la substance blanche de la moelle épinière. Les cellules de la névroglie sont disposées irrégulièrement, p
, par endroits nous voyons des groupes de deux ou même de plusieurs cellules . On expli- que facilement celle différence de d
nce de disposition par la différence de struc- FiG. 11. Même coupe. Cellules névralgiques. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALY
ure nêvroglique. Nemiloff (loc. cit.) croit que son réseau issu des cellules , de Schwann et les réseaux intra-médullaires ne s
rées selon van Gieson. Cependant les fibres issues du voisinage des cellules névrogliques et tra- versant obliquement les es
ute « cellulaires » pour marquer la différence qui existe entre les cellules névrogliques avec leurs noyaux ronds de volume
ppartiennent aux.éléments fibrillaires ou s'il ne s'agit pas ici de cellules ou de noyaux névrogliques ratatinés, tels que n
reproduits quelques-uns de ces élé- ments. Ce sont tout d'abord des cellules rondes (fig. 13) semblables à celles que nous a
sentant en général la plupart des éléments cellulaires névrogliques cellules jeunes ou à leur plus haut point de vitalité selo
point de vitalité selon Eisalh. A leur côté nous trouvons plusieurs cellules névrogliques à l'état d'involution (Eisath). On
ques à l'état d'involution (Eisath). On voit assez,souvent dans les cellules névrogliques de la subs- tance blanche du cerve
lasme). Le long de quelques vaisseaux, nous trouvons des groupes de cellules Fie. 12 et 13. Cas d'épilepsie. Ecorce cérébral
érébrale, fixation Eisath. Coloration d'après Alzheimer. Immersion. Cellules névrogliques jeunes. 136 HASKOVEC ET RASTA né
rt suffisait avant que nous ne connaissions mieux le cytoplasme des cellules névro- gliques. Aujourd'hui que nous connaisson
vro- gliques. Aujourd'hui que nous connaissons le cytoplasme de ces cellules avec ses prolongements (plasmatiques), il est s
remier cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale. Mêmes méthodes. Cellules névrogliques. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALY
veau, par exemple dans le système nerveux des foetus, se compose de cellules et d'une subs- Fie. 15. Second cas de paralysie
ie. 15. Second cas de paralysie agitante. Cervelet. Même méthode. . Cellules névrogliques. 138 IIASKO1VEC ET BASTA tance f
avées plutôt épaisses que fines. La connexion de ce réseau avec les cellules névrogliques est facile à discerner. Ces même
u nêvroglique toutes les espèces d'éléments plasmatiques depuis les cellules rondes sans prolongement jusqu'aux cellules à pro
plasmatiques depuis les cellules rondes sans prolongement jusqu'aux cellules à pro- longements bien ramifiés. Mais ce n'est
ui courent, tantôt librement, tantôt à la périphérie du corps de la cellule névroglique, tantôt enveloppées sur une partie
la substance du système nerveux central sauf aux éléments nerveux ( cellules et, cylindraxes) et aux vaisseaux. En conséquen
corce cérébrale. Eisath ? Izheimer. Réseau névroglique' avec jeunes cellules rondes. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AG
ur. loo. 1S. Epilepsie. Homme de 35 ans. Cerveau. Eisath-Alzheimer. Cellules névrogliques de divers âges (d'après la classif
sent en formations d'aspect arachnoïde qui ne diffèrent en rien des cellules arachnoïdes si l'amas du protoplasme qu'elles c
es réseaux intramédullaires des nerfs périphériques. ni Quant aux cellules nerveuses, la richesse de leur pigmentation attir
r pigmentation attire aussi particulièrement notre attention. Les cellules nerveuses de la moelle épinière offrent tout d'ah
ente les coupes colorées au bleu de toluidine ou à la thionine. Les cellules offrent outre leurpigmentation quelques signes
signes de picnomorphie et d'altération du noyau. De même la grande cellule py- ramidale présente une pigmentation bien ava
présente une pigmentation bien avancée comme d'ailleurs toutes les cellules de l'écorce cérébrale qui offrent des altérations
es évidentes (fig. 20, thionine et bleu de toluidine)etdansquelqués cellules on y observe également les signes de la neurono
es coupes provenant du cervelet et colorées d'après van Gieson, les cellules de Purkinje présentent une vacuolisation plus ou
lschowshy et en partie d'après Cajal. La pig- mentation des grandes cellules pyramidales de l'écorce cérébrale offre le même
ébrale offre le même aspect caractéristique que la pigmentation des cellules de la corne antérieure de la moelle épinière. L
s dans ces régions, sur lequel Marinesco insiste dans son traité La cellule nerveuse, apparaît bien clairement dans la fig. 2
e nerveuse, apparaît bien clairement dans la fig. 22 (oc et p). Les cellules des olives inférieures ne présentent pas d'altéra
emier cas. , Fig. 20. Second cas de paralysie agitante. Flemming. Cellules radiculaires. Immersion. 142 2 HASKOVEC ET BAST
n exsudat amorphe sans lymphocytes. La richesse de pigmentation des cellules radiculaires dans la moelle épi- nière a été co
ltération particulière dans les prolon- gements plasmatiques de ces cellules (Dana) (1). (1) Voir LEWY (Handbuch der Neurolo
loïdine. Thionine. Immersion). « et 6 à divers niveaux. Fic. 22. La cellule « z3 du premier cas de paralysie agitante (LÜelsc
le « z3 du premier cas de paralysie agitante (LÜelschowsyy), ' » la cellule du second cas (Cajal). a et à à un différent nive
rquables dans les noyaux des nerfs crâniens. En ce qui concerne les cellules de Purkinje, leur nombre paraît être réduit et
ky, nous avons obtenu, en ce qui concerne des neurofibrilles de ces cellules , l'imprégnation parfaite tant du réseau intrace
énie de la paralysie agitante. Il décrit une forme particulière des cellules névrogliques trouvées dans la substance blanche d
stème nerveux central dans six cas de paralysie agitante. s'agit de cellules assez volumineuses ressemblant aux cellules ami
sie agitante. s'agit de cellules assez volumineuses ressemblant aux cellules amiboïdes, toutefois elles en dif- fèrent en ce
stent en connexion syncy- liale. Elles se distinguent également des cellules amiboïdes vraies par la pauvreté de leurs signe
se particulière en éléments cellulaires. Quant à la disposition des cellules épi thél iales, toute la thyroïde est en généra
él iales, toute la thyroïde est en général de type parenchymateux : cellules épithéliales formant des groupes sans lumen; fo
ais sans cyctes prononcés; tissu fibreux extrêmement restreint. Les cellules épithéliales (1) Voir LEWY, loc. cit. (2) Voi
çà et là, surtout au voisinage des vaisseaux, de petits groupes de cellules rondes (lymphocytes). Lors de la dissection de
ules on ne rencontre dans l'inclusion que quelques rares groupes de cellules épithéliales sans aucun lumen. A l'inclusion ad
surtout dans la zone périphérique, des follicules et des groupes de cellules épithéliales qui offrent le même aspect que le
ssives. Au con- traire, ces altérations sont très avancées dans les cellules névrogliques DU CERVELET. 2. Les altérations
T. 2. Les altérations régressives et celles de la sénilité dans les cellules nerveuses consistent dans la pigmentation, la p
avec l'exacerbation du processus tubercu- leux. L'aplatissement des cellules épithéliales dans les follicules des inclusions
inophile qui semblent résulter précisément de la transformation des cellules desquamées. L'épithélium de la paroi des follic
grande abondance de granulations ou gouttelettes lipoïdes dans les cellules de la paroi folliculaire et plus encore dans les
es dans les cellules de la paroi folliculaire et plus encore dans les cellules desquamées. Dans l'hypophyse on observe aussi
sclérose ainsi que des capillaires dilatés et remplis de sang. Les cellules sont pour la plupart éosino- philes. Les autres
ns lipoïdes assez abondantes. Dans le lobe nerveux on rencontre des cellules pigmentaires de forme irrégulière à granulation
uche corticale assez riche en gra- nulations lipoïdes. Pourtant les cellules sont peu volumineuses et leurs aréoles 0 NOUVEL
est pas abondaut. La médullaire contient un grand nombre de petites cellules appartenant à sa propre subs- tance (n'étant pa
appartenant à sa propre subs- tance (n'étant pas par conséquent dps cellules d'infiltration) et on peut se demander s'il ne
peut se demander s'il ne s'agit pas d'un processus prohfératif. Les cellules plus volu- mineuses sont moins nombreuses. Le
cellulaire. La disposition en lobules n'est pas reconnaissable. Les cellules contiennent souvent des gra- nulations pigmenta
l'atrophie ne soit pas manifeste. On observe aussi des îlots où les cellules ont subi une véritable transforma- tion adipeus
hes en lipoides ces substances ne sont pas très abondantes dans les cellules hépatiques. Les reins présentent de la sclérose
tration microcellulaire. Nous n'avons pas trouvé des cylindres. Les cellules des tubes contournés semblent aplaties. Etude D
sens étroit du mot et une lésion du neurone périphérique (nerfs ou cellules du cen- tre trophique médullaire). Ici, l'exame
lésions plus fines dans la structure fibrillaire et de Nissl de la cellule nerveuse). La conservation assez prolongée de n
ur les IVe-Ya segments dorsaux ne montre rien d'anormal ni dans les cellules , ni dans les méninges, ni dans les racines. Les
, ils abondent surtout dans les faisceaux pyramidaux latéraux. Les. cellules ne présentent rien d'a- normal. Les segments su
méthode de Nissl, n'ont noté, eux non plus, rien d'anormal dans les cellules médul- laires. Et examinant quatre moelles épin
ire de la moelle.Dans les trois autres cas, rien d'anormal dans les cellules . La substance blanche de la moelle n'a présenté
n montre quelques corpuscules amyloïdes, des globules blancs et des cellules épithéliales, d'ailleurs en petit nombre, mais
ARINESCO ET (iOLUSTEIP1 légère de ces organes, sans altérations des cellules ; on notait la présence d'adénomes dans les sur
hyse qui démontrait nettement des lésions dégénératives des grosses cellules épithéliales. Plus lard, en 1908, Wernik publia
la lésion nous porterait à l'admettre et cela d'autant plus que les cellules d'origine du sympathique sont disposées dans la
eau de la paroi de l'hydrocèle ; là, l'endothélium est cubique avec cellules rondes ou ovales à la surface il y a de nombreu
fibrome typique ancien, riche en fibrilles collogènes et parsemé de cellules conjonctives à noyaux allon- gés. L'examen par
ses artères dont la tunique moyenne est nettement myoma- teuse. Les cellules musculaires lisses de cette tunique paraissaient
e multiplier activement, leurs noyaux se divisant par amitose ; les cellules ainsi néofor- mées essaimaient dans le tissu co
bservent de place eu 328 , DUSTIN FT LTPPNN9 place des nodules de cellules inflammatoires et des mastzellen en assez grande
e d'une réaction régénérative d'une extraordinaire exubérance ; les cellules centrales d'ori- gine des fibres du sciatique o
formés d'un magma caséeux comprenant çà et là quel- ques restes de cellules géantes détruites. A la périphérie de la masse ca
aisait le tour du granulome, mais dans laquelle il n'y avait pas de cellules géantes. Une coloration au Ziehl a décelé de no
ion des méninges très intense, '402 RAUZ1ER ET BAUMEL mais pas de cellules géantes. L'infiltration est à prédominance polynu
ies et infiltrées de nombreux polynucléaires ; on y retrouve quelques cellules géantes. Il y en a une dans la moelle elle-même
du squelette crânien, de la couche externe de la dure-mère, et des cellules interstitielles ostéogènes de Gud- den (2). Une
s ostéogènes de Gud- den (2). Une fois obtenue la transformation en cellules osseuses de tous ces éléments, il y a fixation
du protoplasma grâce il quoi il est facile de les différencier des cellules névrogliques. A part les leucocytes on rencontr
s. A part les leucocytes on rencontre encore des lymphocytes et des cellules plasmatiques (plasma- zellen), surtout dans les
d'aulres ce n'est que la périphérie qui est modifiée, mais bien des cellules nerveuses n'en restent pas moins normales. (Juant
liculttnt, ouïe gliaspongium - arec des centres vitaux séparés, les cellules névrogliques (Schulze, Kôiiiker. dis, Gre- pin,
e tissu normal sous deux formes principales : sous forme de petites cellules fondamen- tales (Geriislgl iazellell) et sous f
tes cellules fondamen- tales (Geriislgl iazellell) et sous forme de cellules plus différenciées, plus lIeltes, plusgrandes e
lus différenciées, plus lIeltes, plusgrandes et plus autonomes, les cellules névrogliques marginales (1) IAwnlarv J , The ne
ve une quantité de leucocytes, mais on remarque surtout les grosses cellules névrogliques dites marginales (lari- nalgliazel
a est envahi par des leucocytes (petits noyaux ronds, obscurs). Les cellules névrogliques, qui ont conservé leurs contours lai
contours laissent voir les leucocytes la périphérie, tandis que les cellules détruites présentent tout un groupe de leucocyt
eucocytes au centre de leur corps. Ainsi nous avons devant nous des cellules névrogliques géantes ci plu- sieurs noyaux ayan
s ne sontpas éga- LÉGENDE DES PLANCHES PLANCHE LXII Fio. 1. Les cellules névrogliques amiboiJes (Alzheimer) et les leucocy
s capillaire. V li, espaces périvasculaires de Virchow-Robin ; epc, cellules épithélioïdes ; atle,celltile adventice ; glc, ce
obin ; epc, cellules épithélioïdes ; atle,celltile adventice ; glc, cellules névrogliques 8/"c,ér.thr()- cytes. Fie.. 3. L
tion. Autour, les espaces lymphatiques (VU) de Virchow-Robin ; epc, cellules épithélioides (endothéliales). Fig. 4. - Nevroô
u réticulaire. L. lumen : mlr, membrane réticulaire terminale : gale, cellules névrogliques. NOUVELLE Iconographie DE la SAL
ar) ; en dehors de lui nous avons les contours peu nets des grosses cellules marginales. Paral- lèlement à la paroi du vaiss
aisseau, on voit qu'à la membrana glise perivascularis adhèrent des cellules allongées (cellules épitliélioïdes). Ce sont des
à la membrana glise perivascularis adhèrent des cellules allongées ( cellules épitliélioïdes). Ce sont des cellules non du ti
dhèrent des cellules allongées (cellules épitliélioïdes). Ce sont des cellules non du tissu névronlique, maisdu tissu conjonct
s marqué. Au centre de ce dernier on remarque les corps des grosses cellules névrogliques du type marginal. Elles sont unies
protoplasmique ; ce groupe cellulaire central est enveloppé par des cellules névrogliques allongées faisant partie du même g
gées faisant partie du même gliaspongium. Dans l'ilot inférieur les cellules névrogliques allongées forment le centre (la co
tel groupe cellulaire central s'étendent 438 SNESSAREFF d'autres cellules du même genre, d'autres encore les entourent à la
ne unité qui est un 'îlot. Si nous avons parlé plus haut de grosses cellules névrogliques, de ce qu'elles deviennent à un ce
de l'autono- mie de toute une portion de tissu nêvroglique. Là les cellules névrogliques changent un peu de place, ne modif
e sont entourés d'une partie du gliaspongium différenciée (avec des cellules névrogliques du type marginal) grâce il la comp
protoplasme et à l'allongement de certaines parties il se forme des cellules névrogliques allongées qu'on appelle fusiformes
que ces parois du côté de la névroglie sont recou- vertes des mêmes cellules épithélioïdes dont nous avons parlé à propos de
rilles névrogliques s'étendant en faisceaux (PI. LXII, fig. 4). Les cellules faisant partie de ce tissu névroglique s'éten-
vons parlé plus haut, fai- sant un avec elles; 2° les noyaux de ses cellules ont une forme ovoïde, sont assez gros, avec deu
° les fibrilles occupent la partie qui correspond a l'exoplasma des cellules névrogliques. On peut ajouter encore que les fi
éments indépendants et s'étendent en faisceaux dans l'exoplasma des cellules névrogliques et encore plus loin dans les Irabé
ne peuvent pas être considérées comme appartenant à telle ou telle cellule , car elles s'étendent dans le protoplasme de pl
elle cellule, car elles s'étendent dans le protoplasme de plusieurs cellules . En outre, un faisceau de fibrilles d'une cellu
sme de plusieurs cellules. En outre, un faisceau de fibrilles d'une cellule s'unit au faisceau d'une autre cellule, ce qui se
faisceau de fibrilles d'une cellule s'unit au faisceau d'une autre cellule , ce qui sert à la formation du réseau fibrillai
iv«sculares et super ftciales ne sont pas recouvertes uniquement de cellules éplthélioïdes (synonyme : les cellules d'adventic
as recouvertes uniquement de cellules éplthélioïdes (synonyme : les cellules d'adventice de Rohin-Bis d'après Duval, de péri
ice de Rohin-Bis d'après Duval, de péritbéiiuu) d'après Eberth, les cellules endolhéliales d'après Key-Retzius) dont nous av
d'un très fin tissu réticulé à mailles étroites qui forme avec les cellules ce qu'on peut nommer la membrana terminalis du
mbranes sont intimement accolées l'une à l'autre et il n'y a pas de cellules épithélioïdes, mais les cellules adventicielles
l'une à l'autre et il n'y a pas de cellules épithélioïdes, mais les cellules adventicielles seules ; en outre, par places le
glie, par la mem- brane réticulaire qui saisit dans ses mailles les cellules épithélioïdes en pé- nétrant en partie dans leu
us sombres représentent*les vaisseaux dont la lumière est rempliede cellules . Dans les espaces périvasculaires nous voyons d
à la périphérie, se continue par les fibres collagènes des vieilles cellules conjonctives des méninges et dans la substance
i de leur côté présentent un lien organique et géné- tique avec les cellules dites adventicielles des vaisseaux du cerveau et
cellules dites adventicielles des vaisseaux du cerveau et avec les cellules épithélioïdes qui leur sont identiques et qui tap
es es- paces lymphatiques périvascnlaires. La réunion de toutes les cellules s2lsy dites par un réseau fibrillaire continu s
a fibre nerveuse ; ensuite que les fibrilles sont produites par les cellules dites adrenticielles des vaisseaux (c'est un fa
des vaisseaux (c'est un fait prouvé) (1)et, à ce qui paraît, par les cellules (1) ZIEGLER, Heilung von Ilil'l1w, ulldell Silz
ividus morts du choléra asiatique, nous avons vu que les noyaux des cellules névrogliques étaient amassés dans certains endroi
e ; ensuite, ou bien en faisant la compression par sa masse sur les cellules nerveuses ou en provoquant une contraction toniqu
rcique, le pourtour du sinus sphénoïdal, les voûtes orbitaires, les cellules mastoïdiennes ou les branches du maxillaire supér
tat t normal, elles sont moins « en contre-bas » des rochers et des cellules mas- toïdiennes. Plus en avant, la base apparaî
cas de Sicard et Descomps, qui ont attribué au bacille de Koch les cellules géantes qu'ils ont trouvées ; ensuite, celui de
nt dorsal jusqu'au IIe segment sacré. Se basant sur l'existence des cellules géantes, les au- teurs considérant la lésion co
es VIl", VIIIe et IXe seg- ment dorsaux. Il s'agissait d'un sarcome cellules rondes, très vascularisé, présentant dans sa gr
point de vue les recherches de A. Oscvald sur l'étal colloïdal des cellules enflammées sont intéressantes ; elles montrent qu
différents : hématies, lymphocytes, polynucléaires, macro- phages, cellules endothéliales, néoplasiques, etc., de sorte qu'il
42 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
corps thyroïde. L'impulsion date de la conjonction fécondante de la cellule mâle et de la cellule femelle. L'évolution s'acco
lsion date de la conjonction fécondante de la cellule mâle et de la cellule femelle. L'évolution s'accomplit dans le squele
êtements, même le maillot, et reste la plupart du temps nu dans une cellule capitonnée. Tremblement de la langue, accrocs d
eut observer que certains lobes se colorent t mal ; les limites des cellules n'apparaissent plus nettement ; l'intérieur des
imites des cellules n'apparaissent plus nettement ; l'intérieur des cellules elles-mêmes n'offre plus qu'une apparence indisti
.supérieures à la normale ; ils contiennent peut-être un peu plus de cellules granuleuses que d'habitude. Du côté de ['orei
aitement développés, mais ne contiennent qu'un très petit nombre de cellules granuleuses et sont tapissés, presque exclusiveme
granuleuses et sont tapissés, presque exclusivement, par de grandes cellules claires. Les cellules granuleuses représentent de
pissés, presque exclusivement, par de grandes cellules claires. Les cellules granuleuses représentent des éléments jeunes ;
sa partie glandulaire, les travées sont remplies de toutes petites cellules d'aspect lymphoïde, auxquelles se mélangent un
es d'aspect lymphoïde, auxquelles se mélangent un certain nombre de cellules chromo- philes volumineuses. L'atrophie glandul
'à l'état normal, malgré l'augmentation de volume de la glande. Les cellules épithéliales sont très petites, aplaties, tassées
, au Marchi, et au Weigert, paraît absolu- ment saine ; les grandes cellules pyramidales ont un nombre suffisant d'éléments
la névroglie, contrastant avec une légère chromatolyse de certaines cellules . Les noyaux bulbaires présentent en effet quelq
rtaines cellules. Les noyaux bulbaires présentent en effet quelques cellules dont les éléments chromatophiles sont moins nombr
et lombaire, moelle dorsale) paraît tout à fait saine : les grandes cellules radiculaires, entourées de nombreux prolongements
s habituelles avec un réseau de fibrilles bien myélini- sées et des cellules radiculaires de nombre et d'aspect normaux (La co
lumineuse gaine de Schwann est formé de couches concentriques ; les cellules conjonctives qui le composent montrent des noya
est mieux démontrable que sur les coupes transversales (fig. 7). Les cellules fibreuses qui le constituent sont allongées dan
fibres motrices n'ont pas eu un retentissement appréciable sur les cellules des cornes antérieures de la moelle. En passant
r une diminution de nombre ou de volume des éléments histologiques ( cellules ou fibres conductrices des centres nerveux, fib
ur la couche moléculaire, sur la couche des grains et sur celle des cellules de Purkinje. Cette atrophie est à peu près symé
n. à l'éosine on remarque que les prolongements protoplasmiques des cellules de Purkinje qui sont assez nets dans la couche
s pu observer dans cette couche un grand nombre de corps amyloides. Cellules de Purkinje. Dans la plupart des lamelles du lobe
les du lobe quadrilatère, du culmen et du déclive, du flocculus les cellules de Purkinje ont complè- tement disparu et n'ont
açon homogène au carmin et qui sont vraisemblablement les restes de cellules de Purkinje atrophiées. Dans d'autres lamelles
trophiées. Dans d'autres lamelles encore on retrouve quelques rares cellules : mais celles-ci sont très petites, manifesteme
oléculaire. On ne trouve que rarement des lamelles avec une ou deux cellules de Purkinje non atrophiées. Couche des grains.
arquée de la couche des grains et une perte complète ou presque des cellules de Purkinje, d'autres lamelles aussi nombreuses
forte intensité. Dans ces lamelles on trouve encore quelques rares cellules de Purkinje, pour la plupart cependant en état
elques- unes mêmes de ces lamelles l'atrophie se limite presque aux cellules de Pur- kinje ; la couche des grains présente u
CERVELET 75 phie, d'autres où la lésion se limite exclusivement aux cellules de Purkinje ; dans ces lamelles en effet, les g
xiste au contraire dans ces la- melles une diminution de nombre des cellules de Pukinje ; celles qui persis- tent sont irrég
coupes sagittales, observé quelques lamelles où presque toutes les cellules de Purkinje étaient disparues, et où la couche
athologique, mais assez fréquemment on retrouve des lamelles où les cellules de Purkinje sont diminuées de nombre, petites, et
distribuées d'une façon irrégulière. Cette diminution de nombre des cellules de Purkinje, bien que manifeste, n'atteint pas
ses plis sont nombreux, profonds, pas rétrécis, et contiennent des cellules en aussi grand nombre que celles du cer- velet
nombre que celles du cer- velet normal qui nous sert de témoin. Ces cellules , sur des coupes minces colorées au carmin, ne p
qu'ils paraissent être bien développés et contenir de nom- breuses cellules . Les noyaux du toit sont bien visibles et paraiss
n visibles et paraissent aussi être bien développés el contenir des cellules aussi nombreuses que dans les noyaux du toit de
orner à dire que les noyaux de Deiters nous ont paru bien riches en cellules et que le segment interne du corps restiforme e
substance grise de la protubérance nous ont paru aussi contenir des cellules aussi nombreuses que sur des coupes normales. L
au carmin montrent que les olives contiennent de très nom- breuses cellules , bien conservées. Les noyaux juxta-olivaires, i
qu'à l'état normal. Les noyaux arqués sont très gros, et riches en cellules ; le noyau latéral du bulbe est nettement appar
fait normal. Au niveau de Ll et des coupes de la région dorsale les cellules de la colonne de Clarke sont abondantes, pas at
aussi bien la couche moléculaire que 78 ITALO ROSSI la couche des cellules de Purkinje et celle des grains : elles consisten
ne perte complète ou par- tielle, avec des lésions atrophiques, des cellules de Purkinje. Dans d'autres lamelles les lésions
lamelles les lésions sont cantonnées à la couche des grains et aux cellules de Purkinje. Ailleurs enfin, l'altération consi
ement dans l'atrophie et la disparition de plus ou moins nombreuses cellules de Purkinje. On peut encore ajouter que la subs
avec une intensité égale les couches moléculaires, des grains et les cellules de Purkinje, dans les autres lobes on rencontre
tres lamelles où l'atrophie se limite à la couche des grains et aux cellules de Purkinje. On en observe d'autres enfin où la
observe d'autres enfin où la diminution de nombre et l'atrophie des cellules de Purkinje constituent les seules altérations
ression que le fait primaire est l'atro- phie et la disparition des cellules de Purkinje, auxquelles succèdent la raréfactio
ure que parmi les éléments cellulaires de l'écorce cérébelleuse les cellules de Purkinje se présentent les plus vulnérables
e et des grains) dépend en grande partie de l'état de la couche des cellules de Purkinje ? Si quelques observations dans la
enchymateuses consistant dans la simple atrophie ou disparition des cellules de Purkinje n'est pas sans intérêt. Il montre en
nstrative ; nous voulons parler du cas d' « Atrophie lamellaire des cellules de Pur- kinje » publié en 1905 par André Thomas
de lamel- les l'atrophie et la disparition d'une certain nombre de cellules de Pur- kinje, et des altérations de la couche
l'autopsie permit de rattacher à une forte diminution de nombre des cellules de Purkinje, à des altérations de la substance
je, à des altérations de la substance chromatique et des noyaux des cellules de Purkinje restantes et des cellules des noyau
chromatique et des noyaux des cellules de Purkinje restantes et des cellules des noyaux centraux du cervelet. Contrairement au
processus inflammatoires. (1) A. Thomas, Atrophie lamellaire des cellules de Purkinje. Revue Neurologique, n° 18, 1905. ,
énération de la substance blanche malgré les lésions prononcées des cellules de Purkinje. Même contraste particulier se retrou
qui existait dans l'observation déjà citée d'atrophie lamellaire des cellules de Purkinje de Thomas. Un fait particulier de l
(object. 4). - Lamelle non atrophiée, contenant encore de nombreuses cellules de Purkinje (2), qui cependant manquent presque
d'aspect normal (3). B (id.) - Lamelle montrant la disparition de cellules de Purkinje; espacement irré- gulier des restan
s restantes. C (id.). - Lamelle non atrophiée contenant deux seules cellules de Purkinje d'aspect normal (1) ; beaucoup de c
deux seules cellules de Purkinje d'aspect normal (1) ; beaucoup de cellules ont disparu, les restantes sont pour la plupart
ie de la couche moléculaire (1), dispa- rition presque complète des cellules de Purkinje, atrophie et raréfaction de la couche
. - A côté de deux lamelles non atrophiées, contenant de nombreuses cellules de Purkinje (2), deux lamelles fortement atrophié
elles fortement atrophiées, avec disparition pres- que complète des cellules de Purkinje. Atrophie de la couche moléculaire (1
û à un défaut de photographie). 1. - Couche moléculaire. 3. - Une cellule de Purkinje. / (id.). - Couche des grains raréf
rieure ont des parois épaissies et sont très apparents. Les grosses cellules ganglionnaires de la corne antérieure ont presque
com- plètement disparu ; on y trouve seulement quelques très rares cellules , pres- que toutes fortement atrophiées, rondes,
longements ni noyaux ; ici et là on rencontre quelques vestiges des cellules disparues sous forme de petits blocs protoplasm
a périphérie, surtout à l'angle antéro-internede la corne, quelques cellules encore assez bien conservées. Dans les segments
éseau myélinique avec sclérose légère, une diminution du nombre des cellules et des lésions atrophiques dans quelques-unes des
nombre des cellules et des lésions atrophiques dans quelques-unes des cellules restantes. Il existe en outre, dans les racines
se y est moins accusée. Au sein du foyer on retrouve quelques rares cellules très atrophiées, mais à la périphérie et sur- N
ANTILE 129 tout à la partie médiale de la corne on observe quelques cellules d'aspect nor- mal. L'asymétrie de la moelle est
nique, hyperplasie du tissu névroglique et diminution de nombre des cellules . Ces foyers, bien que moins intenses que le foyer
e est presque insignifiante. De même il semble qu'à ce ni- veau les cellules de la corne gauche soient un peu moins nombreuses
dans cette dernière il s'agissait d'une inflammation primitive des cellules motrices des cornes antérieures, - d'un process
hement inflammatoire, d'une vraie myélite intéressant à la fois les cellules nerveuses, les tubes nerveux et les vaisseaux.
ue nous permet de croire à un retentissement de celte lésion sur la cellule centrale du protoneurone, siégeant dans le gangli
fois admise la possibilité d'une lésion ou d'une modification de la cellule centrale intra-ganglionnaire du protoneurone cent
ntermédiaire allant vers le ganglion sympathique voisin. Quelques cellules du système sympathique ont donc une origine com-
es nerfs (Simon et Hoche) (2). 4 Le fonctionnement défectueux de la cellule du protoneurone centripète peut donc par action
le prolongement cylindraxile signalé plus haut réunissant certaines cellules d'un ganglion sympathique à celles des ganglion
qu'il s'agisse d'une véritable hypersécrétion de la lymphe par les cellules endo- théliales des capillaires, si on accepte
conjonctif interfasciculaire abondant, composé en grande partie de cellules adipeuses vient encore s'interposer en- tre les
yé- linique, une forte réduction de nombre et une atrophie de leurs cellules . En relation avec les lésions de ces noyaux, en
'autre, leur réseau myélinique est également riche en fibres. Les cellules enfin des cornes antérieures, sur des coupes colo
colorée, ou irrégulièrement gonflée. On voit une grande quantité de cellules éparses, ovalaires plutôt que rondes, avec un n
uvent unique. Il y a quelquefois deux noyaux. Le protoplasma de ces cellules se colore assez bien à l'hématéine-éosine. On v
ces cellules se colore assez bien à l'hématéine-éosine. On voit ces cellules en abon- dance plus grande dans les foyers de n
s éléments nécrosés. On constate aussi une grande prolifération des cellules névrogliques ayant pour but de réparer peut- êt
constate de petits foyers hémorragiques dans la substance même. Les cellules des cornes antérieures présentent les altératio
ucléole est plus net ; on voit les granulations. Le protoplasma des cellules est trouble et présente un degré avancé de chroma
hromatolyse. Les cy- lindraxessontplus ou moins gonflés. Autour des cellules nerveuseson cons- tate des cellules névroglique
us ou moins gonflés. Autour des cellules nerveuseson cons- tate des cellules névrogliques et de rares leucocytes. Dans toute l
dans la coupe examinée). Dans toute la coupe on voit en général des cellules névrogliques libres en abondance et des lymphoc
né- vrogliques, des leucocytes, des petits foyers d'hémorragie. Les cellules nerveuses des cornes antérieures sont troubles,
e pigment ; le plus souvent on constate un lésion plus profonde des cellules nerveuses, quelquefois leur disparitio complète
ules nerveuses, quelquefois leur disparitio complète. Autour de ces cellules on voit des éléments névrogliques e plus grande
es figures de « neuronophagie » ; les cylindraxes sont gonflés ; lE cellules de la colonne de Clarke ont presque disparu. D'ai
ion lombaire. Région lombaire. Les lésions sont moins intenses. Les cellules ner- veuses sont troubles, les fibres nerveuses
n seulement les canalicules séminipares ne sont pas développés, les cellules de la lignée séminale ne sont pas différenciées
as différenciées, mais dans le tissu conjonctif on ne trouve aucune cellule interstitielle. Ce cas est donc difficile à int
s. La face externe (arachnoïdale) est tapissée de 2 ou 3 assises de cellules cu- biques qui, dans certains points, forment d
nte au cortex. La couche moléculaire du cerveau est scléreuse : les cellules de névroglie y sont multipliées. Les capillai
ace périvas- culaire on trouve du pigment ocre (hémoglobine). Les cellules nerveuses sont altérées, mais principalement les
ine). Les cellules nerveuses sont altérées, mais principalement les cellules pyra- midales de Betz qui sont déformées, globu
tent pas d'altération. La glande pituitaire normale. Les cordons de cellules épithéliales polyé- driques du lobe antérieur s
s polyé- driques du lobe antérieur sont normalement constitués. Les cellules ont leur protoplasma bien différencié et leurs
eux bien colorés. Corps thyroïde. - Les vésicules sont tapissées de cellules épithéliales normales et pleines de substance c
les et pleines de substance colloïde, parfois il y a prolifération de cellules épithéliales et de cellule. Le tissu conjonctif
lloïde, parfois il y a prolifération de cellules épithéliales et de cellule . Le tissu conjonctif paraît peu augmenter. Le t
non développés. Sur la paroi propre du canalicule sont situées des cellules épithéliales cubi- ques à gros noyaux rangés su
liales cubi- ques à gros noyaux rangés sur une ou deux couches. Ces cellules épithélia- les ne sont pas différenciées et on
pithélia- les ne sont pas différenciées et on ne peut distinguer ni cellules de Sertoli ni aucune cellule de la lignée sémin
érenciées et on ne peut distinguer ni cellules de Sertoli ni aucune cellule de la lignée séminale : spermatogonie, spermatocy
oie de segmentation. Dans les travées fibreuses on ne trouve aucune CELLULE interstitielle. Capsules surrénales saines, nor
ULE interstitielle. Capsules surrénales saines, normales. Peut-être cellules chromaffisses moins nombreuses. Reins congest
ociété anatomique dans sa séance du 23 novembre 1906. L'absence des cellules interstitielles dans les testicules a été spéci
ubles fonctionnels ou organiques ayant leur origine soit t dans les cellules motrices du ganglion ciliaire, soit dans les file
a physiologie. On sait que la nicotine est un poison spécifique des cellules sym- pathiques ; injectée dans l'orbite du sing
e du singe, son action élective se manifeste par la destruction des cellules sympathiques du ganglion ciliaire ; cette lésio
substance blanche semée « d'araignées gonflées ». La répartition des cellules nerveuses dans l'écorce est « brouillée » depui
82 WEBER Cela me fait supposer qu'il s'agit plutôt de gonflement de cellules exis- tantes que de formations récentes (Iconog
des fibres nerveuses encore colo- rahles. Il s'agit d'un sarcome à cellules fusiformes (prof. Askanazy). Examen des coupes
compose d'une masse de tissu névroglique, d'un feutrage de grosses cellules araignées-. En dehors vient une zone contenant de
est-ce un « effet mécani- que ? » Veut-on admettre que les nids de cellules araignées qui se ren- contrent jusqu'à l'extrém
, Fig. 11. Moelle cervicale (à la 8e paire cervicale) Nombre de cellules : côté sain 33 ; côté atrophié 18. 11GDIIMLLIE
que aucune modification histologique des éléments nerveux, tubes et cellules ; leurs dimensions sont les mêmes des deux côté
s nombreux à droite qu'à gauche ; on a pu faire le dénombrement des cellules des cornes antérieures et, sur toutes les pré-
é est d'un quart plus petite que la corne du côté sain. Peut-être les cellules sont-elles un peu moins nombreuses du côté de l
nsidèrent comme robuste, constituée même par des éléments spéciaux ( cellules épithéliales moussues). Au contraire, par les m
tien dans la couche moléculaire aussi bien d'ailleurs qu'autour des cellules de Purkinje et dans la couche des grains est ex
tion dont les résultats concor- dent, on ne met pas en évidence les cellules épithéliales de Cajal bien que les cellules épe
met pas en évidence les cellules épithéliales de Cajal bien que les cellules épendymaires se colorent parfaitement. Ce n'est p
ntée par une fibre ram- pante et quelques rares noyaux ; autour des cellules de Purkinje, les corbeilles fibrillaires sont f
533. - VAl'< GEIIUCII'l'EN, La structure des centres nerveux. La Cellule , t. 7, 1891. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêt
parallèles, réalisant un contraste avec le réseau de la couche des cellules de Purkinje disposé en nids, en pelotons d'où c
nucléaire, qui épouse parfaitement tous les contours delà ligne des cellules de Purkinje ; celle prédominance scléreuse sous
ouche des grains dans toute son épaisseur et s'étend de la zone des cellules de Purkinje à la substance blanche. Il est part
réseau fibrillaire n'est pas assez dense au niveau de la couche des cellules de Purkinje. Celle vieille femme n'est pas une
autour de lui, la prédominance fréquente de ce processus autour des cellules de Purkinje, l'absence de méningite concomitant
des cellules de Purkinje, l'absence de méningite concomitante et de cellules en bâtonnet. Ces caractères s'opposent ci ce qu
rose est régulière avec de faibles prédominances régio- nales ; les cellules de Purkinje sont absentes, on voit beaucoup de no
a zone de sclérose atrophique est toujours très limitée; autour des cellules de Purkinje le réseau névroglique est particuli
aller jusqu'à la plaque, mais n'aboutiront jamais à la lacune. Les cellules en bâtonnet (Staibctenzellen de Nissl) y abonde
M. Aynaud, ne révèle par la méthode de Nissl aucune altération des cellules nerveuses. La moelle, examinée au Marchi, fait vo
groupe cellulaire postéro-in- terne est particulièrement pauvre en cellules . Dans les segments cervicaux inférieurs (VI,VII
tituants présentent encore un processus net de désintégration : les cellules sont arrondies, pigmentées, sans chromatophiles
oyau. A la moelle lombaire, la substance grise est normale. ' Les cellules nerveuses des segments médullaires où n'existe au
rmale. Il n'existe aucune trace de sclérose. Il est à noter que les cellules ehromophobes sont très rares et qu'au contraire
u contraire les éléments chromophiles sont nombreux et serrés ; les cellules éosinophiles sont plus nombreuses que les cyanoph
dérive des lésions nerveuses périphériques et de la destruction des cellules des cornes antérieures ; il serait facile égaleme
us avons cons- taté l'aspect d'une glande en activité modérée : les cellules chromophiles étaient abondantes, régulièrement
hiles étaient abondantes, régulièrement ordonnées, par endroits les cellules (1) CunscnMANN.'Deutsche Zeitsch. f. Nervenhkei
384 LHERMITTE ET ARTOM éosinophiles étaient plus abondantes que les cellules basophiles ; dans d'autres régions la proportio
iens. Un autre mécanisme pourrait être le retentissement direct des cellules ganglionnaires, lésées par la névrite sensitive
nsitifs craniens ou rachidiens issus de la crête de Sagemehl et les cellules des ganglions sympathiques du même système méta
stème métamérien ou des voisins. Le fonctionnement défectueux de la cellule du protoneurone centripète peut donc, par action
t la remarque de Lancereaux, à l'agénésie ou à une modification des cellules de la moelle, pendant la durée de la vie foetale.
T la moelle ; l'atrophie consistait en une diminution du nombre des cellules nerveuses : « Un seul mécanisme peut en rendre
st possible que le microscope démontre une diminution du nombre des cellules motrices dans la portion de l'écorce correspondan
rès Warren Harmon LEwis). Après la troisième semaine : Formation de cellules musculaires sur la partie centrale du myotome.
e moyenne, et se poursuivent jusque dans la région dor- sale. Les cellules de la corne du côté de l'hémimélie sont de dimens
a partie inférieure était atrophié de telle façon que le nombre des cellules était réduit à 1/8, 1/9. Cet auteur conclut de
et Papinian de leur côté ont conclu que, dans le groupe dorsal des cellules du noyau de la sep- tième paire, on doit recher
43 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
midale i REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 55 des cellules nerveuses varie avec le degré d'amenée ou de déme
it jusqu'à présent pour l'étude des altérations patho- logiques des cellules corticales dans les cas d'aliénation mentale. -
rce motrice (sphère tactile du ' ' corps de Flechsig) au niveau des cellules pyramidales de' moyenne grosseur, et, dans l'éc
les de' moyenne grosseur, et, dans l'écorce visuelle, au niveau des cellules nerveuses ' étoilées (Stzadien u6. d. Hirnrinde
était un tissu, qui était composé de fibrilles sclérotiques et des cellules ressemblant à des cellules musculaires striées,
composé de fibrilles sclérotiques et des cellules ressemblant à des cellules musculaires striées, comme on les trouve dans l
remplie d'un liquide lymphatique, d'éléments ner- - veux (fibres et cellules névrogliques), d'éléments figurés du sang; 'ell
ur estconstituéepar une masse centrale nécrosée entourée de tubes à cellules cylindriques ame- nant la destruction progressi
un petit tube à lumière centrale vide, à paroi formée par de hautes cellules cylindriques, les cellules no- plasiques, tantô
trale vide, à paroi formée par de hautes cellules cylindriques, les cellules no- plasiques, tantôt un tube plus volumineux.
ns ce dernier cas, la paroi est formée soit par une seule couche de cellules cylindriques, soit par plusieurs couches de cellu
eule couche de cellules cylindriques, soit par plusieurs couches de cellules CAS DE PAPILLOME ÉPITHÉLIOIDE DU NOYAU ROUGE 89
papille. Cette papille, qu'un léger espace sépare de la couche des cellules néoplasiques, présente au centre un vaisseau re
u moins nettes; autour du vaisseau se dispose une infiltration de cellules rondes et de fibrilles donnant l'aspect d'un tiss
les à l'axe montrent une semblable dispo- sition soit petit tube de cellules , soit gros tube avec papille cen- trale autour
-conjonctifs s'anastomoser, de même on peut apercevoir la couche de cellules épithéliales, pousser des prolongements sous fo
très végétant, se présentant sous la forme de collerette de grosses cellules entourant un tractus vasculo-conjonctifet s'agran
onjonctifet s'agrandissant par une série de bourgeons externes. Les cellules néoplasiques sont cylindriques, très hautes, à
-t,6 jours à la même distance de la base et du sommet et comme se cellules ont la même hauteur et le même aspect, il en résu
occupé par la papille vasculaire (fig. 8). A certains endroits, les cellules subissent une multiplication active, revêtent l
ultiplication active, revêtent le tube, de deux ou trois couches de cellules qui deviennent alors plus petites et cubiques,
est recouverte sur sa face interne, pédozzculuire, d'une couche de cellules cylindriques néoplasiques ; or ces cellules sont
uluire, d'une couche de cellules cylindriques néoplasiques ; or ces cellules sont rangées en une série de papilles envahissa
montre que le noyau très allongé est toujours placé au centre de la cellule , qu'il est entouré d'un protoplasma bien coloré d
de résistance au processus d'envahissement de dedans en dehors des cellules néoplasiques qui se seraient ainsi réfléchies sur
e de celle des endothéliomes de la pie-mère, tumeurs com- posées de cellules aplaties ou fusiformes, souvent orientées en no
vêtement épithélial. La couche cel- luleuse externe était formée de cellules cylindriques courtes et épaisses. En examinant
rapproche de celle de Rindfleisch. Dans notre cas, il est vrai, les cellules néoplasiques, sont élevées, plus hautes, mais d'u
ées, plus hautes, mais d'une part Rindfleisch dit plus loin que les cellules peuvent revêtir un aspect tout à fait cylindriq
eur corticale rolaudique avec papilles vasculaires, dans lequel les cellules néoplasiques étaient cubiques. Enfin dans son T
d'Analomie pathologique (t. 1, p. 431, 1898) Xiégler admet que les cellules de l'endothéliome cérébral peuvent revêtir l'as
aires nées de la pie-mère et revêtues d'une ou plusieurs couches de cellules cubiques ou cylindriques. Mais il est difficile
de papillomes analogues aux végétations du plexus cho- roïde ? Les cellules néoplasiques sont-elles d'origine épendymaire ?
us les plexus choroïdes ne nous a rien montré d'anormal ; enfin les cellules néoplasiques nous ont paru un peu différentes d
nfin les cellules néoplasiques nous ont paru un peu différentes des cellules épendymaires qui sont plus petites avec d'une p
nérescence wallérienne observée après la destruction complète de la cellule d'origine des nerfs périphériques. Nous avons t
émie, la cachexie. L'excitation exagérée des centres ferait que les cellules se déchargeraient en plusieurs temps ; la condu
ffisante pour laisser passer assez vite, tout le courant venu de la cellule surchargée. C'est dans les cas de cet ordre que
s considérer comme liées- à des causes multiples : malformation des cellules motrices TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMES C
rveuse, cette modification associée à une malformation possible des cellules corticales ou nucléaires donnerait lieu au trem
e fibrilles fines entrelacées, au milieu desquelles se trouvent des cellules nombreuses, des éléments ner- veux altérés et d
euses, des éléments ner- veux altérés et des vaisseaux malades. Les cellules sont de deux variétés : les unes sont de forme
e assez bien, et leur réseau nucléaire est bien accusé. Ce sont les cellules gliomateuses. Les autres, moins nombreuses, son
Le protoplasma se colore à peine ; elles paraissent représenter les cellules de la névroglie envahie par les cellules gliomate
paraissent représenter les cellules de la névroglie envahie par les cellules gliomateuses. Les éléments nerveux présentent u
aussi des processus de date diffé- rente : les uns sont chargés de cellules granuleuses ; les autres sont entourés d'une mo
e cellules granuleuses ; les autres sont entourés d'une mosaïque de cellules de la névroglie qui ne tardent pas à envahir le
rtérielles sont calcifiées. Il résulte de ces constatations que les cellules gliomateuses ne se rencontrent pas in s;<M,
nt de lésion hépatique que par cette altération fonctionnelle de la cellule . Cette altération prévue par M. Klippet dans les
res ont porté sur l'écorce cérébrale et atteint surtout les grandes cellules pyramidales et les petites cellules névroglique
et atteint surtout les grandes cellules pyramidales et les petites cellules névrogliques. Les préparations colorées par l
les cas les plus graves, il se résout en granulations. Les petites cellules de la névroglie se multiplient, deviennent SOCI
SOCIÉTÉS SAVANTES. - 179 abondantes et pénètrent souvent dans les cellules pyramidales où un halo clair les sépare de la m
ou moins longtemps après l'injec- tion, montrent successivement des cellules en voie de régénération ou en restauration comp
ules en voie de régénération ou en restauration complètes. Quelques cellules seulement grave- ment atteintes sont vouées à u
lle, constamment ellrayée qu'elle était par les cris des malades en cellule , par les querelles journalières entre agitées.
rébrale, diapédèse abondante, infiltration du tissu par les petites cellules rondes. > Les parois des vaisseaux, mais s
sseaux, mais surtout les gaines vasculaires sont pleines de petites cellules . Prolifération de la névroglie, surtout au nive
lifération de la névroglie, surtout au niveau de la périphérie. Les cellules nerveuses paraissent dimi- nuées en nombre. Le
veuses paraissent dimi- nuées en nombre. Le protoplasma des grandes cellules pyrami- dales prend mal l'éosine; le corps cell
s n'ont plus de noyau, d'autres enfin sont envahies par une ou deux cellules rondes qui semblent avoir péné- tré dans leur p
e de la parole, délire hallucinatoire, dégénérescence graisseuse de cellules de l'écorce. Il y aurait bien encore une object
e de moines qui se prolonge de siècle en siècle dans l'histoire. Sa cellule fut l'antre de la Sibylle d'où sortaient sans c
inture d'opium qui paralyse momentanément l'action phagocytaire des cellules blanches. 344 SOCIÉTÉS SAVANTES. Les alcooliq
des yeux. 1° La rétine présentait des altérations de la couche des cellules nerveuses, caractérisées par une série de modif
ments, altérations tout à fait semblables à celles qui frappent les cellules nerveuses de l'écorce : -. 2° La papille, don
du tissu interstitiel : augmentation considérable du nombre de ces cellules névrogliques, épaississement des travées conjon
iques, épaississement des travées conjonctives et prolifération des cellules conjonctives de sa gaine piale. Si l'on rappr
ue. Sur une dentelure dont un des côtés a encore l'aspect sain, les cellules de Purkinje disparaissent brusquement en même t
oléculaire diminue considérable- ment de.volume; la disparition des cellules de Purkinje paraît' être le phénomène primordia
le phénomène primordial. Le fait important est qu'au moment où les cellules de Purkinje et les grains disparaissent, on voi
urkinje et les grains disparaissent, on voit s'isoler une couche de cellules ovales, pâles, à noyau formé de chromatine peu
Cette couche, nouvellement apparue, est constituée par les grandes cellules étoilées de la couche des grains, cellules de rel
nstituée par les grandes cellules étoilées de la couche des grains, cellules de rela- tion ou du type II de Golgi/et est mis
ées, probablement au voisi- nage des étranglements annulaires : les cellules s'y groupent en collerette autour du cylindraxe
note de la dégénérescence rétrograde, et la réaction à distance des cellules d'origine. Enfin les éléments cancéreux peuvent
presque toujours arrivent à tapisser l'endothélium des capsules des cellules ganglionnaires. Celles-ci peuvent rési-ler fort
issante et destructive. ' Les éléments essentiels sont toujours des cellules à petits noyaux ovalaires ou arrondis, entourés
épais, plus abondants, leurs parois formées de plusieurs couches de cellules arrondies qui peuvent subir des dégénéres- cenc
éments nobles par excellence du z système nerveux, c'est-à-dire les cellules nerveuses. Maintes fois, nous avons rencontré d
rmis d'affirmer qu'il n'existait aucune parenté d'origine entre ces cellules et les cellules nerveuses, mais encore qu'elles
qu'il n'existait aucune parenté d'origine entre ces cellules et les cellules nerveuses, mais encore qu'elles n'étaient nulleme
ïdes. Notre sarcome du cervelet était formé par des amas de petites cellules rondes bien tassées, sans réticulum. Les trois
tout par des végétations cellulaires très intenses et polymorphes ( cellules rondes ; cellules fusiformes ; principalement, gr
tations cellulaires très intenses et polymorphes (cellules rondes ; cellules fusiformes ; principalement, grandes lames prot
s de ces tumeurs, dont quelques-unes rappellent l'aspect étoile des cellules névrogliques enflammées, ont dénommé le sarcome
ment sarcomateux, sans mélange d'éléments névro- gliques, fibres ou cellules . Nous pensons donc avec Klippel que le glio-sar
our le second : structure embryon- naire, tissu très.végétant, avec cellules polymorphes et myéloplaxes, évolution rapide, t
in nombre d'éléments isolés dans les couches des grandes et pelites cellules , excentricité des noyaux, zone de dégé- néresce
qu'on détache la pie-mère de la surface du cerveau, on ne trouve ni cellules ni plexus nerveux dans les parois des artériole
ate, par les procédés de Golgi,. Ramon y Cajal, etc., etc., que les cellules de Ramon, situées dans la couche moléculaire, i
qui forment un riche plexus, et que des prolongements axiles de ces cellules vont se ramifiant et se diri- geant, en fin de
apports de contiguïté entre les prolongements axiles ascendants des cellules sous-jacentes (surtout des cellules de Martinot
ongements axiles ascendants des cellules sous-jacentes (surtout des cellules de Martinotti), des cellules pyramidales et d'a
es cellules sous-jacentes (surtout des cellules de Martinotti), des cellules pyramidales et d'autres cylindres terminaux.
e voici montrent que les branches terminales des cylindres-axes des cellules polyaxoniques de Ramon vont vers les vaisseaux
upart des tissus. Tous ces faits nous conduisent à admettre que les cellules polyaxoniques., de Ramon, situées dans la couch
tence, établie par M. Pierrel, des voies de communication entre les cellules de lamoelle et les nerfs vasomoteurs du tronc.
me qui est éclairci par les relations signalées plus haut entre les cellules polyaxoniques de Ramon et les vaisseaux de la c
tions diverses suivant les différents étages médul- laires. 1 Les cellules du; cortex présentaient les différents degrés de
e, abaissée ou refoulée, à vaisseaux très dilatés, est infiltrée de cellules rondes qui pénètrent à une plus ou moins grande
ou moins grande distance des vaisseaux. B. Lésions cellulaires. Les cellules nerveuses, devenues globu- leuses, ont leurs gr
, la défense et la dégénération de l'élément. ., Comme dans toute cellule , dans la fibre striée considérée à l'élat norma
oplasma jusque- là, à l'état de plasmode indivis, s'individualiseen cellules distinctes qui tombent dans le tissu interstiti
étranglent entre les noyaux ou se séparent de même en une chaîne de cellules fusiformes. 3° Métamorphoses. La biologie cellu
ellulaire. La fibre striée est revenue à l'état plus indifférent de cellules musculaires embryonnaires. Ces cellules, dissém
l'état plus indifférent de cellules musculaires embryonnaires. Ces cellules , disséminées dans le tissu conjonctif, sont plu
, le sarcoplasma s'hyperplasie, prend le dessus et se transforme en cellules musculaires distinctes ayant des caractères emb
s distinctes ayant des caractères embryonnaires. Secondairement ces cellules se mé- tamorphosent et perdent leurs caractères
à rédiger quinze lignes sous la forme d'une protesta- tion. Dans la cellule voisine, Annette ayant compris qu'on l'influence
ar Duchenne et Aran et rattaché à la lésion bien connue des grosses cellules des cornes antérieures. « Il existe donc, concl
, ayant déterminé l'oblitération de cette dernière. Infiltration de cellules rondes et fusiformes, surtout sous la pie- mère
lüge, pas de début de transformation graisseuse au sein des grandes cellules pyramidales. Cette observation met en relief de
e D1' Serge SOCKUANOFF. (Revue neurologique, septembre 1899.) Les cellules nerveuses de l'écorce cérébrale de différents ver
brés nouveau-nés présentent beaucoup de variétés. D'un côté, les cellules corticales chez certains mammifères nou- veau-n
quer qu'ici aussi il existe un phénomène ana- logue, à savoir : les cellules corticales chez les choucas nouveau- nés se car
n arrière le faisceau pyramidal croisé et en dedans les groupes des cellules ganglionnaires les plus externes de la corne an
on projette d'appliquer l'alitement, ne devront pas être privés de cellules . P. KERAVAL. 11f. Traitement de l'épilepsie p
son application et de l'abolition des moyens coercitifs (camisole, cellule ), l'aspect du service s'est entièrement modifié :
isparition des grains chromophiles; éclaircissement du centre de la cellule ; migration périphérique du noyau. Cette altérat
adies aiguës et la confusion mentale. Considérant que les grandes cellules pyramidales sont suscep- tibles, comme les cell
que les grandes cellules pyramidales sont suscep- tibles, comme les cellules spinales, de dégénérer, de s'atrophier et de di
e atrophie s'accompagne des mêmes aspects mor- phologiques dans les cellules cérébrales et dans les cellules - spinales, il
s aspects mor- phologiques dans les cellules cérébrales et dans les cellules - spinales, il y a lieu de présumer l'origine s
aisceaux de Goll et de Burdach, après avoil été interrompue par les cellules des noyaux correspondants ? se porte au cervele
iforme et au cer- velet immédiatement sans être interrompue par des cellules . Donc toutes les fibres ascendantes longues des
le-ci les fibres des racines postérieures sont interrompues par les cellules des colonnes de Clarke, comme elles le sont par'l
les cellules des colonnes de Clarke, comme elles le sont par'les cellules des noyaux des cordons de Goll et de Burdach dans
- A. Fenayrou. XXXVII. Etudes sur l'évolution et l'involution de la cellule ner- veuse ; parle Pr Marinesco. (Revue neurolo
moire du plus haut intérêt résume la suite de ses recherches sur la cellule nerveuse. Les deux premiers élé- ments qui appa
nerveuse. Les deux premiers élé- ments qui apparaissent dans toute cellule nerveuse depuis ses premières origines sont : 1
-tluide qui remplit les mailles de cette charpente, à mesure que la cellule nerveuse s'accroît, il apparaît un troisième él
formes géométriques, les éléments chromatopliiles, à mesure que la cellule radiculaire se développe, la substance chro- ma
tance chro- matique apparaît aussi dans les régions profondes de la cellule , si bien que chez l'enfant nouveau-né cette cel
profondes de la cellule, si bien que chez l'enfant nouveau-né cette cellule présente une grande ressemblance, à part le vol
ance, à part le volume, avec celles de l'adulte. alors que dans les cellules radiculaires et dans les cellules géantes pyram
s de l'adulte. alors que dans les cellules radiculaires et dans les cellules géantes pyramidales, le corps cellulaire augmen
ssant toute la cel- lule nerveuse, il n'en est pas de même pour les cellules des colon- nes de Clarlce, certaines cellules d
pas de même pour les cellules des colon- nes de Clarlce, certaines cellules des cordons de la moelle épinière, les cellules
Clarlce, certaines cellules des cordons de la moelle épinière, les cellules du sympathique, certaines cellules des ganglions
rdons de la moelle épinière, les cellules du sympathique, certaines cellules des ganglions spi- naux et certaines cellules c
ympathique, certaines cellules des ganglions spi- naux et certaines cellules cérébrales; dans ces dernières la subs- tance c
n développés dans la région périnucléaire. Malgré la fixité de la cellule nerveuse, la persistance remarqua- ble de sa st
néanmoins soumise à la fatale loi de l'involution. A mesure que la cellule avance en Age, le volume des éléments chromatop
s et leur transformation en fine poussière, il se produit, dans les cellules atteintes, une réduction du nombre des éléments
t et devient arrondie. Cette description se rapporte aussi bien aux cellules radiculaires qu'aux grandes cellules pyramidales.
ion se rapporte aussi bien aux cellules radiculaires qu'aux grandes cellules pyramidales. Une caractéristique de la sénescen
es cellules pyramidales. Une caractéristique de la sénescence de la cellule nerveuse, c'est la présence, dans son cyoplasma
rables par les différents réacliïs, tels que les granules noirs des cellules des ganglions spinaux ; 2° les granulations ery
gment, c'est que toute altération prolongée dans la nutrition de la cellule nerveuse s'accompagne de formations de pigment.
point qui. sera plus tard l'extrémité, des cornes postérieures, des cellules qui formeront par leur dévelop- pement ultérieu
dymaire. B. La formation du septum postérieur; C. La présence des cellules névrogliques immigrées dans la par- tie la plus
emprisonner un segment plus ou moins étendu du coin invaginé et des cellules cornées du septum postérieur. 5" Le sinus rho
eux facteurs sont perçus par des groupes parfaitement distincts des cellules céré- brales, et que les groupes affectés à la
moment de la naissance, mais elle fait complètement défaut dans les cellules adultes. Les résultats de ces recherches prou
ntrairement à l'opi- nion de Solovizoff, que le développement de la cellule nerveuse radiculaire est indépendant de sa conn
u'une matière de réserve des- tinée à subvenir à la nutrition de la cellule nerveuse. Enfin, la constatation par M. von Bie
aire de l'écorce cérébrale et qu'elle est effectuée par les petites cellules qui occupent cette région. E. B. 518 REVUE DE
med. Journ., octobre 1901.) 12 figures, montrant des altérations de cellules nerveuses à di- vers degrés ; l'auteur développ
ue à une poliomyélite chronique strictement loca- lisée aux grandes cellules des cornes antérieures de la substance grise de
trophie considérable, en nombre et en volume, au niveau des grandes cellules de la substance grise, avec lésions secondaires
s sur la -, par llasoin, 150. Sur un cas de -, par Cuylitz, 50. Cellule nerveuse. Etudes sur l'évo- lution et l'involut
logie. Contribution à l'étude de l'état et du développe- ment des cellules nerveuses de l' -' chez quelques vertébrés -
44 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- Dans les maladies comme la paralysie générale par exemple où la cellule nerveuse s'altère, on trouve dans les cornes de l
on trouve dans les cornes de la moelle épinière, des lésions de ces cellules qui peuvent être considérées comme l'analogue d
s cellulaire et gonflement 'du cylindraxe qui en sort. Plus tard la cellule ainsi altérée se présentera avec l'aspect connu
C'est pour nous une manière de se détruire du tube nerveux et de la cellule ' Contribution ci l'ancelonaie pathologique de
ns : d'abord ce sont des nécroses massives des tubes nerveux et des cellules nerveuses. Cette nécrobiose peut être très rapi
, Bd. 26, cité par Minnich, loc. cil. 42 . ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cellules multipolaires la tuméfaction, un état globuleux,
l, constater qu'en pareil cas les granulations et bâtonnets de la cellule sont détruits, liquéfiés dans la masse du protopl
en ce qui concerne les tubes nerveux. Il parait en être de même des cellules nerveuses puisqu'il nous est permis de rappro-
une exception. Anatomie pathologique : disparition par atrophie des cellules des cornes antérieures dans toute la hauteur de
du fragment de tumeur enlevé montre qu'il s'agissait d'un sarcome à cellules fusiforne=. R. DE Musgrave CL.1Y. XXII. Sur L
médecin en chef de l'asile de Clermont, dit que la maison manque de cellules , que les gardiens sont en nombre insuffisant, que
dans l'al- coolisme chronique avec démence. Elles portent sur les cellules , les tubes nerveux et les vaisseaux. Partout les
t sur les cellules, les tubes nerveux et les vaisseaux. Partout les cellules sont presque toutes, petites, atrophiées, avec
rés de la même manière : amas de granulations siégeant ici dans les cellules endothéliales. Toutes les lésions qui viennent
pigmentaires dans gaines lymphatiques et pig- mentation ocreuse des cellules nerveuses elles-mêmes. Cette dernière lésion se
éressé), mais seraient dues à des altérations d'origine toxique des cellules gan- glionnaires. Griesinger, en 1857, considér
t et confus. Kirchhoff croit également à une action chimique sur la cellule nerveuse et pense que la fièvre, à elle seule,
ouvèrent dans la polynévrite une vacuo- lisation très distincte des cellules des cornes antérieures de la substance grise. '
es changements con- sistent dans l'atrophie et la vacuolisation des cellules , dans les changements des vaisseaux, dans de pe
oméningite spinale. Sharkey observa la prolifération des noyaux des cellules dans la substance grise en général et la dispar
fer aussi rencontra dans la polynévrite alcoolique une atrophie des cellules des cornes antérieures et des cordons de Clarke
obules granuleux (observ. II, III et IV), dans la vacuolisation des cellules (observ. III) et dans la lésion des cordons pos
En outre, Campbell rencontra des va- cuoles et la pigmentation des cellules des cornes antérieures et postérieures et des c
me les petits fais- ceaux des fibres dégénérées se tendent vers les cellules de la corne antérieure correspondante. Nous ren
épinière, il est remarquer que nous ne trouvâmes pas de lésion des cellules de la substance grise, ni sur les préparations co
re et à l'arachnoïde, aux vaisseaux sanguins, à la névro- glie, aux cellules nerveuses, aux fibres nerveuses; 2° clinique- m
s importantes relations anatomiques qui existent dans le cerveau de cellule à cellule et de région à région. R. M. C. IV. D
tes relations anatomiques qui existent dans le cerveau de cellule à cellule et de région à région. R. M. C. IV. Dualité DE
inairement diminuée, et la présence dans cette couche de nombreuses cellules étoilées, est, comme l'a montré Bevan Lewis, pr
montré Bevan Lewis, presque caractéristique de la folie sénile. Des cellules étoilées plus petites se rencontrent souvent dans
ans la subs- tance blanche. Tous les degrés de dégénérescence de la cellule nerveuse peuvent se rencontrer dansles cerveaux
s constante dans ces cerveaux séniles, celle qui atteint toutes les cellules , quelle que soit leur taille, c'est la dégé- né
ourvus de fibres nerveuses nor- males. La pigmentation exagérée des cellules ganglionnaires, situées dans les cornes antérie
es de Clarke, est un caractère constant. La dégé- nérescence de ces cellules est loin d'être aussi fréquente qu'on serait te
tre considérablement épaissis, et quelquefois ils sont infiltrés de cellules graisseuses. Les modifications présentées par l
ires et dans leur voisinage immédiat les amas ordinaires de petites cellules arrondies; on rencontre souvent aussi, autour d
mentaux. Il pense donc que l'état vacuolé et la dégénérescence des cellules nerveuses peuvent souvent être le résultat d'un
tive sur 224 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la cellule nerveuse, mais ils ne sauraient demeurer sans eff
verruqueuses. Sous l'influence de ce travail il est naturel que des cellules épithéliales se trouvent isolées et enchâssées da
ostérieures. P. K. XXV. DE CE QUE L'ON appelle LES granulations DES CELLULES nerveuses; par F. NtssL. (Neurolog. Centl'albl.
tl'albl., XIII, 189r.) Etude microchimique des plus importantes des cellules , avec magnifiques dessins; dissection chimique
agnifiques dessins; dissection chimique des éléments composants des cellules ; discussion avec Rosin. Conclusions. - Si nous
nous caractérisons l'une des parties fondamen- tales du corps de la cellule , en disant qu'elle a une forme (appa- rente), c
herches dans LES CENTRES nerveux, EN particulier pour localiser LES CELLULES nerveuses ; par F. NISSL (Cent1'¡¡liJ ! . f. Ne
supprimer les relations directes (musculaires ou sensorielles) des cellules nerveuses avec leur organe terminal, chez un an
traux ou de couper les faisceaux qui sortent de ce centre; dans les cellules nerveuses du centre le plus voisin de celui qui
re le plus voisin ; 3° la régression variera suivant la forme de la cellule ; d'une manière générale, il s'agira d'abord d'u
portions du protoplasma colorables ; puis, pour quelques formes de cellules , de phénomènes spécifiques dans le noyau de la
s formes de cellules, de phénomènes spécifiques dans le noyau de la cellule ; c'est ce qu'on constate quand on emploie une
vent l'intervention opératoire; 4° enfin la loi est que dès que les cellules nerveuses des centres sont directement atteinte
ment atteintes par un agent nocif, elles régressent, tandis que les cellules de la névroglie du pourtour subissent une altér
on progressive quel que soit l'agent nocif. Voici comment réagit la cellule de la névroglie ; son proto- plasme ou corps ce
que- là il résistait aux agents colorants, il devient visible et la cellule prolifère par voie de karyokinèse (Weigert). Po
t). Pour qu'on observe celte compensation entre la régression de la cellule nerveuse et'la progression de la cellule névrog
entre la régression de la cellule nerveuse et'la progression de la cellule névroglique, il faut que l'agent nocif ait uniq
lésé les éléments spécifiques des centres nerveux, c'est-à-dire la cellule et les fibres nerveuses. Combinaison de la méth
ction du contre-coup; il est prohable qu'il y a eu aussi lésion des cellules , mais on ne possède point de réaction sensible et
a différence n'étant due qu'au degré des altérations subies par les cellules motrices corticales. L'auteur rappelle ensuite
uire le pouvoir d'inhibition de la couche sensorielle. laissant les cellules motrices libres d'accomplir leur fonc- tion de
on est modérément accusée, il peut subsister un nombre suffisant de cellules saines pour maîtriser temporairement ces déchar
hes motrices n'est pas assez profonde pour rompre le groupement des cellules , les contractions musculaires comprendront des
ce et de la main. - Si les lésions de dégénérescence s'étendent aux cellules motrices, cette action associée est détruite, e
olonne de Clarhe ; f). Lésions légères du groupe antéro-interne des cellules de la corne anté- rieure ; g). Atrophie du noya
hacune pour 25 malades, deux chambres pour les sujets alités, trois cellules pour chaque section de 25 aliénés, une salle de
sser d'un quartier cellulaire spécial. Dans plusieurs quartiers les cellules prévues pourront être transformées en simples c
vira de chambre d'exa- men et d'opérations. Chambres d'isolement, cellules . - Leur nombre sera de 10 pour 100 aliénés. Leu
Éclairage nocturne par l'ex- asiles d'aliénés. 305 térieur de la cellule . Portes solides, s'ouvrant en dehors, rapide- m
de plusieurs appareils de fermeture. Doubles portes pour certaines cellules . La plupart des cellules ne devront pas avoir d
e fermeture. Doubles portes pour certaines cellules. La plupart des cellules ne devront pas avoir de judas. Les murs doivent
eux corridors éclairés par en haut, sur chacun desquels donnent six cellules et deux chambres d'isolement. Cet établissement
logique. Dans le bulbe on est frappé par le riche développement des cellules de noyaux arci- formes des deux côtés. Dans la
e Clarlce, du côté gauche, un nombre beaucoup moins considérable de cellules nerveuses que dans la colonne correspon- dante
ence de la quatrième paire dorsale la différence dans le nombre des cellules nerveuses des colonnes citées disparaît et la moe
et quelques-unes même complètement oblitérées, sans lumière et les cellules des parois sont atrophiées. On peut encore nole
sie, décollée par places; son endothélium est très gonflé; quelques cellules ont perdu leur noyau. Dans la tunique moyenne e
parations de la peau on trouve des hémorragies interstitielles. Les cellules épi- théliales de la couche de 111alpiâhi au ni
t serait plus rationnel et plus humain que de les enfermer dans une cellule de prison, où, trop souvent, ils réussissent à
commémorative des impressions n'est autre chose que la synergie des cellules reliées entre elles par des REVUE DE PATHOLOGIE
er étendu dans la région de l'ocu- lomoteur droit qui a détruit les cellules et les fibres du noyau de 374 REVUE D'ANATOMIE
l XXXV. DE l'importance DES détails de structure révélés dans les CELLULES NERVEUSES PAR LES COULEURS D'ANILINE BASIQUES; pa
les couleurs basiques d'aniline dans le protoplasma du corps de la cellule ne sont ni des granulations d'Ehrlich, ni une s
distingue nettement de la substance fibrillairc différenciée de la cellule , substance développée, perfectionnée dans le pr
lure à la disposition réelle de cette substance dans le corps de la cellule ; 4° le cylindraxe doit être tenu pour le degré
ré le plus haut de différenciation fibrillaire d'un prolongement de cellule nerveuse; 5° les cellules des cornes anté- rieu
enciation fibrillaire d'un prolongement de cellule nerveuse; 5° les cellules des cornes anté- rieures de la moelle et toutes
5° les cellules des cornes anté- rieures de la moelle et toutes les cellules à organisation sériaire ou filiforme du neuropl
'il faut chercher l'origine du faisceau latéro-céréhelleux dans les cellules de Clarke-Stilling; 3° la zone périphérique con
lombaire, pour la plus grande partie, de fibres myélogènes dont les cellules originelles occupent lasubstance grise lombaire
s comme pro- duits par les fibres commissurales myélogènes dont les cellules originelles occupent les régions en dehors des
térales à arborescences terminales au sein de la subs- tance grise ( cellules nerveuses), passent directement des racines pos
érieures de la moelle où, en rayon- nant, elles gagnent les grosses cellules motrices ? En d'autres termes y a-t-il des fibr
tionnelles dans lesquelles il y a conservation indivi- duelle de la cellule simplement modifiée dans son volume et sa struc
scences organiques caractérisées par une disparition complète de la cellule absorbée par un tissu étranger, il montre que l
soriels renferment des fibres de deux espèces; les unes émanent des cellules des centres, les autres vont aux cellules des c
ces; les unes émanent des cellules des centres, les autres vont aux cellules des centres. Tantôt ces fibres se mélangent confu
s. Quel rôle maintenant jouent les prolongements cylindraxilesdes cellules motrices à l'égard de la fonction sensitive et de
nique microscopique de ces dernières années nous apprennent que les cellules nerveuses de la rétine et du ganglion spinal co
nt des constructions homologues à celles des ganglions spinaux; ces cellules envoient tous les cylin- draxes aux centres. Le
veux du nerf optique sont comparables au noyau grêle, ou encore aux cellules de la moelle autour desquelles se trouvent les
autour desquelles se trouvent les fibres nadiculaires postérieures, cellules principalement placées il la périphérie anté- r
optique sont donc bien les homologues de ceux-ci. La structure des cellules des ganglions spinaux, unipolaire, n'est qu'une
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. ce qui est spécial en l'espèce, c'est que la cellule est entourée d'une sorte de capsule revêtue de
c'est que la cellule est entourée d'une sorte de capsule revêtue de cellules endothéliales. En résumé, il y a analogie entre
périphérique est l'bomo- logue des prolongements protoplasmiques de cellules rétiniennes et du ganglion spinal cochléaire. L
'homologue des nerfs optique et acuus- tique. Le noyau grêle et les cellules nerveuses de la base de la corne postérieure, s
lle, corres- pondent aux centres optiques et auditifs primaires. La cellule nerveuse de la corne antérieure, de laquelle pa
nerveuses des racines postérieures se terminent en partie dans les cellules des colonnes de Clarke, lesquelles envoient leurs
ra qu'atro- phie simple de ce dernier. Il est donc probable que les cellules d'où partent les fibres du ruban de Reil occupe
u cordon de Burdach et l'atrophie ne vient que consécutivement. Les cellules scnsitives et motrices sont toujours atteintes;
nsitives et motrices sont toujours atteintes; quant aux lésions des cellules des ganglions spinaux on n'en a pas encore de pre
es cordons latéraux dans la région dorsale. Diminution du nombre de cellules dans les cornes antérieures du renflement lomba
LXI. Lésions produites par l'action DE l'alcool éthylique SUR LES CELLULES DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE; par le Dr BEItCELET. En
ses quotidiennes d'alcool éthylique pur, l'auteur a trouvé dans ces cellules des lésions constantes. Le nucléole est augment
ique de sa série détermine cependant des lésions accentuées sur les cellules nerveuses. (American journal of insanity, juill
ont bleues; tout ce qui est dégénéré est complètement décoloré. Les cellules nerveuses sont très distinctes, leurs noyaux so
en faveur de l'origine névrotique périartérielle du plocessus. Les cellules sont étouffées sans distinction dans la prolifé
moléculaire analogue il celle qui en produit le dégagement dans la cellule , avec une simple variation de degré. La fibre e
liquer les sym- ptômes présentés du côté droit. On constata que les cellules pla- cées sur le prolongement du noyau de la tr
r et ne pré- sentent rien de particulier dans leur aménagement. Les cellules sont vastes, leurs fenêtres ont des vitres inca
me nerveux pris dans son ensemble. On peut définir le neurone : une cellule nerveuse avec ses divers prolongements, ses pro
jusqu'aux muscles, à la peau, aux organes des sens, etc., etc. La cellule nerveuse est connue depuis longtemps et Deiters,
ouveau de neurone, c'est- à-dire l'unité nerveuse, c'est que chaque cellule nerveuse, chaque neurone, est un petit organism
onception il fallait démontrer que les nombreux prolongements de la cellule nerveuse ne s'anas- tomosent pas pour former un
rtout briser le réseau de Gerlach pour établir l'indépendance de la cellule nerveuse. Or, en 1874, Golgi, faisant usage d'u
histologique, démontra que les prolongements pro-, toplasmiques des cellules nerveuses ne s'anastomosaient pas, qu'ils se dé
ogie du neurone. Les neurones peuvent être de petites ou de grandes cellules nerveuses, leurs prolongements peuvent former d
d'un noyau. La forme, l'as- pect, les différences relatives de ces cellules suivant les régions de la moelle, du cervelet,
ct d'une arborisation. 450 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. exemple d'une cellule de la corne antérieure de la moelle et passer p
prolongement dendritique celui qui, par- tant d'un des pôles d'une cellule du ganglion intervertébral, s'en va à travers l
sible se terminer dans'la peau. Le prolongement neural de ces mêmes cellules va à travers la racine postérieure se ramifier
on de considérer le prolon- gement périphérique du tube en T, de la cellule du ganglion intervertébral. L'embryologie démon
vertébral. L'embryologie démontre d'ailleurs que primi- tivement la cellule en question a deux pôles opposés et que le tube
scle. Le prolongement cylindraxe ou neural naît soit du corps de la cellule , soit de l'un de ses dendrites. Dans son trajet
tout dès l'origine. Le neurone se présente donc en résumé comme une cellule ayant des prolongements dendritiques et général
x nerveux de quelque nature qu'on le suppose, gagne le centre de la cellule il suit les prolongements dendrites, chaquefois q
prolongements dendrites, chaquefois qu'il s'échappe du corps de la cellule pour s'en éloigner il suit le pro- longement cy
uscle; le courant nerveux qui s'éloigne à ce moment du centre d'une cellule de l'écorce suit son prolongement cylindraxe ju
érer les fibres de la sensibilité dans leur trajet compris entre la cellule du ganglion intervertébral et la péri- phérie,
phérie, comme constituées par les prolongements dendrites de cette cellule . La loi physiologique qui vient d'être indiquée
ervertébral marche en effet vers le centre du neurone qui forme les cellules de ces ganglions; elle doit donc suivre les pro
res. De même de tous les neurones, à cylindraxes courts comme les cellules du second type de Golgi ou à longs prolongements,
motrice se compose de deux neurones. Le premier archineu- rone a sa cellule d'origine dans la zone motrice de l'écorce ; so
périphérique (Waldeyer, Flatau). 428 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. une cellule de Deiters dont le prolongement cylindraxe s'en v
que celui que nous venons d'étudier; ces neurones sont ceux dont la cellule est dans la moelle, le bulbe, le cerveau, au lieu
PATHOLOGIQUE. partie de la chaîne sensitive est représenté par une cellule dont le prolongement cylindraxe va se terminer
e et une structure sem- blables à celles des autres neurones. Une cellule calleuse, par exemple, est constituée par un ce
partout. De nombreuses, collatérales partent du prolongement des cellules calleuses, d'autres des fibres de projections pou
tubercule quadrijumeau antérieur, dans lesquels elles ^touchent les cellules originelles des systèmes descendants (noyaux de
eurs de la inoelle). Les libres optiques étant en relation avec ces cellules , il existe une communication réflexe commune oc
ux, mais isolément, allant alors, par la commissure antérieure, aux cellules motrices de la corne antérieure de l'autre côté
momentanée DE l'aorte abdominale. Contribution A la pathologie des cellules nerveuses; par A. SARBO, (Neurolog. Cealralbl.,
bdominale, on obtient une désagrégation du protoplasma du corps des cellules nerveuses en fines granulations, suivie d'une a
e progressive du noyau. Quelquefois il y a tuméfaction uniforme des cellules avec sclérose partielle du protoplasma. Quoi qu
euf jours après la ligature, la désagrégation a été com- plète, des cellules ont disparu, et les cornes de la moelle sont re
474 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lioïdes, de cellules de prolifération; les fibres nerveuses sont atro-
principalement par l'écorce des hémisphères. Fibres myéliniques et cellules sont les facteurs des fonctions. On arrive par
PECTIVE DE la partie chromatique ET achromatique du CITOPLAS21E des cellules nerveuses ; par E. LUGARO. (Riv. di pat. IW'V.
e, par Sibbald, 305. 1 Alcool. Lésions produites par l' - sur les cellules du cerveau, par Berckley, 39t. Alcooliques. S
cas de - absolue par anopsie, guérison ; par Schirman, 271. J. CELLULES nerveuses. Ce que l'on appelle les granulations
par Batty-'fuke, 205. - anormales, par Mickle, 393. Ctronsnc des cellules nerveuses, par Lugaro, 479. Coloration. Métho
45 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
spasme du système vascu- laire des reins, ou à une intoxication de cellules glandu- laires 2 » il mettra sur la voie de la
'on veut arriver à la suppression de lits spéciaux pour gâteux, des cellules où les malades gisent dans le varech ou la pail
gens) et ne se calme que lorsque l'on fait signe de le conduire en cellule . (Fig. 11). · Puberté et organes génitaux. Sa
lulaire de Golgi dans les éléments ner- veux en général et dans les cellules nerveuses des ganglions sympathiques en particu
s ne présente pas des rejetons semblables à ceux du même réseau des cellules spinales motrices ou des cellules corticales py
blables à ceux du même réseau des cellules spinales motrices ou des cellules corticales pyramidales; pourtant on voit çà et
ramidales; pourtant on voit çà et là, à la périphérie du réseau des cellules des ganglions sympathiques, de petits appendice
petits appendices qui rappellent les rejetons du réseau des autres cellules . G. DENY. III. Le mécanisme du tonus et des réf
que cette diminution résulte de phénomènes dégénératifs du côté des cellules nerveuses : c'est une véritable agénésie. Malgr
ventricules latéraux, l'étude des altérations de l'épen- dyme, des cellules épithéliales, de la substance grise sous-épen-
? ) et les autres cas sont topiques. On y voit la prolifération des cellules épithéliales, l'hyperplasie de la névro- glie e
la dilatation des vaisseaux, l'infiltration du tissu par de petites cellules , les traces d'un exsudat. Les autres cas ne pré
ps calleux dans l'hydrocéphalie interne, et de la destruction des cellules de l'écorce cérébrale qui va de pair avec celle d
urs de l'écorce, il existe une connexion des plus intimes entre les cellules sensorielles et mo- trices reliées qui présiden
fonction primitive de ces groupes sensitivo-moteurs corti- caux de cellules , en tant que groupes accouplés, consiste à déter-
ujours une infiltration interstitielle et péricellulaire de petites cellules rondes, à gros noyau, à protoplasma souvent imper
ex. Deux hypothèses sont en présence sur la nature de ces petites cellules rondes ou grains. Pour les uns, ce sont des leuco
lives bulbai- res, vacuolisation, chromatolyse et vacuolisation des cellules , sclérose et demyélinisation d'une grande parti
Elles consistent en une dégéné- ration assez spéciales des grandes cellules motrices ; il s'agit dans la grande majorité de
noyau, seul, peut rester fort longtemps comme dernier vestige de la cellule motrice. ' 7° Ces altérations de la corne antér
au niveau du renilwiie4 lombaire, un groupe plus ou moins limité de cellules radiculaires. Ces groupes semblent s'im- brique
ans toute l'écorce sous-jacente, jusqu'à une certaine profondeur. Cellules NnVGUSRS. Les cellules nerveuses ne sont pas inta
us-jacente, jusqu'à une certaine profondeur. Cellules NnVGUSRS. Les cellules nerveuses ne sont pas intactes. Dans les légion
éveloppement (lobule paracentral, cir- convolutions frontales), les cellules ne sont plus tassées à la suite les unes des au
ment en petits amas ou en chaînettes courtes. De plus, toutes ces cellules sont peu différenciées, à tel point qu'il devie
à reconnaître sur des circonvolutions saines. Bref, la plupart des cellules ne dépassent guère le volume des petiles pyrami
t, quand on examine les coupes aux forts grossissements. Ainsi, les cellules ont des prolon- gements petits, grêles, peu nom
toutes les rote- ches de l'écorce cérébrale coiitioni2ent moins de cellules qu'à l'état normal; en outre, les cellules enco
e coiitioni2ent moins de cellules qu'à l'état normal; en outre, les cellules encore existantes, sont petites, delor- mées, m
étendue plus ou moins considérable, des zones où l'agencement des cellules , de même que leurs caractères structuraux, reprod
eux la dysgénésie ou l'arrêt de développe- ment si évident pour les cellules nerveuses. Sclérose 1\ÉVItOGLQUR. - Malgré les
méninge voisine; mais, partout ailleurs, les éléments névrogliques, cellules et fibrilles, conservent leur disposition habi-
S PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 129 décrites à ce niveau, et les fibres et cellules nerveuses des couches correspondantes ont dispa
de sclérose diminuent peu à peu d'intensité; la sextuple rangée de cellules conjonctives et névrogli- ques qui aux abords d
avancées. Non seulement il est impossible de découvrir une seule cellule nerveuse saine, mais en maint endroit, toute trac
de ces loges sont vides, mais la plu- part contiennent ou bien des cellules de névroglie à noyau volumi- neux demeurées là
roglie à noyau volumi- neux demeurées là après la destruction de la cellule nerveuse, ou quelques débris de la cellule disp
rès la destruction de la cellule nerveuse, ou quelques débris de la cellule disparue : un noyau sans nucléole, gonflé et in
colorés semblant être le vestige d'un essai de multiplication d'une cellule nerveuse irri- tée. Les éléments fibrillaires
lus ou moins volumineux enfin on rencontre surtout en abondance des cellules de la couche pigmentaire encore bien reconnaiss
chée en certains points ce qui est le cas dans notre figure 19. Les cellules épilhéhales qui composent cette couche, sont pl
diamètres. 1, Limitante interne; 2, fibres de lluller, 3, noyauide cellule nerveuse proliMree; i, lacuacresula l'a désintégr
, fragment de bâtonnet; 14, cello coucllcpi,-mciitaire; 13, débris de cellules de la même couche; 16, couche pigmentaire; 17, ce
13, débris de cellules de la même couche; 16, couche pigmentaire; 17, cellules dépourvues de pigment; 18, membrane titrée; 10,
les dépourvues de pigment; 18, membrane titrée; 10, capillaire; 20, cellule pigmentée de la dioroïfcfcre à paroi épaissie ; 2
choroïdien, très riche en faisceaux de fibres conjoncti- ves, et en cellules fortement pigmentées, 20, contient en outre de
cellules fortement pigmentées, 20, contient en outre de nombreuses cellules lymphatiques et un certain nombre de lym- phocy
lète d'éléments nobles auxquels se sont substi- tuées de nombreuses cellules conjonctives et névrogliques. Du côté de l'aeil
La pie-mère est épaisse, fibreuse et infiltrée par place de petites cellules rondes ; elle est le siège de nombreuses petites
utour desquelles se voient également des corpuscules hyalins. Les cellules nerveuses à l'exception des cellules géantes para
des corpuscules hyalins. Les cellules nerveuses à l'exception des cellules géantes parais- sent peu lésées, mais les cellu
l'exception des cellules géantes parais- sent peu lésées, mais les cellules géantes présentent des altérations manifestes.
a périphérie. Cette sclérose est jeune, elle est constituée par des cellules rondes elle dissocie les éléments du rein, sépa
fibreuse et sont transformés eu petits blocs d'aspect vitreux. Les cellules épithétiales des tubes contournés sont abrasées;
endues et les capillaires dilatés. il n'y a pas de sclérose, et les cellules hépatiques ainsi que leurs noyaux se colorent b
antôt d'une façon, tantôt .tout différemment, si l'on admet que ces cellules réagissent en sa présence tantôt physiologiquem
ne chez divers individus des résultats variés et opposés. Quand les cellules de la fonction d'assimilation et de désassimila
ration ou guérison de l'état pathologique. Quand, au contraire, ces cellules , pour des causes individuelles, organiques, que
nt à celles qui entrai- nent une détermination cérébrale, certaines cellules nerveuses apparaissent partiellement détruites
gonflement du protoplasma, rejet du noyau vers la périphérie de la cellule , disparition du nucléole. Des éléments nouveaux a
toujours très perceptibles, formant un réseau localisé autour de la cellule nerveuse. Ils sont d'autant plus ner- veux que
st plus atteinte. Ces petits corps pénètrent dans l'intérieur de la cellule et finissent par l'envahir tout entier. C'est l
et finissent par l'envahir tout entier. C'est la phagocytose d'une cellule nerveuse devenue inutile, désagrégée et digérée
ces éléments biophag-es ? proviennent-ils de la mobi- lisation des cellules du tissu fixe ou ne représentent-ils qu'une fon
première temporale) a permis de constater une atrophie notable des cellules de l'écorce. Cette atrophie des cellules du cer
r une atrophie notable des cellules de l'écorce. Cette atrophie des cellules du cerveau sous l'influence de la lésion des fi
c. Méd. des hôpitaux, 3t mars 1899), en ce qui concerne les grandes cellules pyramidales de la zone motrice. La nouvelle obs
plégie progressive. La ponction lombaire avait montré beau- coup de cellules polynucléaires. Note sur l'état des fibres A my
ormale que les autres facultés humaines. Etant donné la loi : toute cellule cérébrale actionnée par une idée actionne à sou
s autres inflammations de même pathogénie. Il n'est pas jus- qu'aux cellules dites « mastzellen » qu'on puisse rencontrer comm
les espaces lymphatiques et viennent se mettre eu contact avec les cellules nerveuses elles-mêmes. Les hémorrhagies miliair
que lymphatique de l'écorce cérébrale. Les SOCIÉTÉS SAVANTES. 233 cellules hépatiques, celles du rein et du myocarde sont so
sociée des tuberculeux. La méningite tuberculeuse chroni- que, avec cellules géantes et bacilles de Loch dans l'exsudat, ou
nflammation, se traduit par l'hyperhémie active, la tuméfaction des cellules ner- veuses, les figures de karyokinèse, le con
kinèse, le contact des éléments nerveux avec des exsudations ou des cellules embryonnaires, les proliféra- tions endothélial
ées par l'atrophie du neurone en toutes ses parties, le corps de la cellule , les prolongements neuraux et surtout les den-
nt, il est aussi difficile de conclure ici que là. On sait que la cellule nerveuse est un organe complexe, com- prenant d
toplasmiques et un protoplasme dénutrition. Si l'on admet que cette cellule est tout d'abord lésée, un nouveau problème se
et cela de très bonne heure à à savoir la réaction névroglique. Les cellules endothéliales et les cellules névrogliques adja
à savoir la réaction névroglique. Les cellules endothéliales et les cellules névrogliques adjacentes prolifèrent activement,
sont deux faits con- temporains. Par contre-coup ou directement la cellule ner- veuse s'altère, se désorganise. Mais le
ntre en acti- vité nucléaire. Les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses reçoivent des excitations anormales q
oires, et que le premier rôle revient aux lésions des fibres et des cellules nerveuses, engendrées par des substances toxiques
ées, parmi lesquelles je me borne à signaler la présence de petites cellules rondes et de nodules infectieux témoignant d'une
répondérantes, ou tout au moins plus apparentes, dans la couche des cellules de Purkinje, qui étaient modifiées qualitativem
qui ont été décrites dans les méninges, l'écorce grise (névroglie, cellules ) et même la substance blanche par Philippe et J
e inférieure de la moelle cervicale, une disparition très nette des cellules de la colonne latérale gauche ou trachéo inter-
e ou trachéo inter- medio-latéralis de Clarke ainsi que des petites cellules de la base de la corne postérieure. Celles qui
de la fenêtre, démolit le baquet hygiénique et creuse le mur de sa cellule . Fouillé, on le trouve porteur d'une assignatio
vent il parle seul, qu'à chaque instant il monte à la fenêtre de sa cellule en faisant des signes de croix ou bien en se livr
. Persécuté à un haut degré, il ne peut souffrir son compagnon de cellule et lui cherche querelle à propos de rien. 11 lui
rieures aiguës de l'adulte et les attribua à une atrophie aiguë des cellules antérieures de la moelle. Cette hypothèse de Du
blanche enveloppante. Dans les parties détruites, il n'y a plus ni cellules nerveuses, ni fibres nerveuses. On y rencontre
latés à parois épaissies, entourées d'une couche épaisse de petites cellules . Ces lésions vasculaires semblent intéresser ex
les vaisseaux altérés on trouve un nombre considérable de petites cellules entremêlées avec des cellules de neuroglie hypert
uve un nombre considérable de petites cellules entremêlées avec des cellules de neuroglie hypertrophiées renfermant un ou de
a méthode expérimentale de Nissl, c'est-à-dire à la recherche des cellules en chromolyse quelques jours après la section exp
'est pas à l'abri de tout reproche : tout d'abord la chromolyse des cellules radiculaires n'est pas un phénomène constant, p
ection des nerfs spinaux n'a jamais été suivie de la chromolyse des cellules médullaires correspondantes ; ensuite cette métho
r le trajet des fibres radiculaires entre le point sectionné et les cellules d'origine. ' Nous croyons avoir trouvé une méth
de vingt-cinq à trente-cinq jours, de la disparition com- plète des cellules d'origine et de la dégénérescence wallérienne c
formé de fibres radiculaires, mais de fibres centrales ayant leurs cellules d'origine dans le noyau de Deiters, pour devenir,
s directes. Les unes proviennent du noyau dorsal ou noyau à petites cellules , les autres du noyau ventral, noyau à grosses c
au à petites cellules, les autres du noyau ventral, noyau à grosses cellules ou noyau ambigu, conformément à nos observation
cylindraxiles d'un neurone voisin. Or, l'étude de l'anatomie de la cellule nerveuse nous permet d'affirmer que, dans la majo
rmet d'affirmer que, dans la majorité des cas, le contact entre les cellules nerveuses est assuré à l'aide d'ap- pareils ter
démontré que, chez les animaux adultes et bien portants, toutes les cellules corticales sont munies d'innombrables appendice
n contact avec les dendrites. , · En résumé, les deux pôles de la cellule nerveuse portent des ter- minaisons épaissies,
désassimi- lation circulant dans le sang et empoisonnant ainsi nos cellules nerveuses. En tout cas, l'absence ou la mauvais
Ioteylco) ', ont montré qu'il existe incontestablement dans chaque cellule ou fibre musculaire deux 'substances contractil
ou sarcoplasme, qui se trouve plus ou moins abondamment dans chaque cellule ou fibre musculaire. Le sarcoplasme possède des
par une coloration moins régulière de la myéline par le Pal, et des cellules fusiformes ainsi que des bandes protoplasmi- qu
l'adulte. · Le nerf périphérique n'est pas le prolongement d'une cellule centrale, mais une chaîne de cellules différenc
'est pas le prolongement d'une cellule centrale, mais une chaîne de cellules différenciées. On peut toutefois se demander si
s de granulations embryonnaires ayant concouru à la formation de la cellule gan- glionnaire. L'unité fonctionnelle de cet
cérébrale a montré les lésions suivantes : Un très grand nombre de cellules nerveuses sont altérées, parti- culièrement dan
circonvolutions ascendantes ont plus d'éléments sains, les grandes cellules pyramidales y sont à peu près normales et ce so
lules pyramidales y sont à peu près normales et ce sont surtout les cellules moyennes qui sont le siège des alté- rations, e
nses dans les circonvolutions. Ce sont les lésions ordinaires de la cellule ner- veuse ; chromatolyse, désintégration granu
ment, trau- matisme, surmenage, infection. Des lésions marquées des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale ont été constat
ptiques, et ces courants arri- vent dans un nombre correspondant de cellules nerveuses du lobe ' Nous avons signalé bien des
tique reçoivent de même un courant, et celui-ci parvient à quelques cellules de l'écorce du lobe temporal, etc. Mais les fib
erf optique sont interrompues dans leur voie vers le centre par des cellules des noyaux de la couche optique; de même les fi
me les fibrilles du nerf acoustique,ont une discon- tinuité par les cellules des noyaux du corps genouillé interne et ceux d
tant qu'il y a de nombreuses communications anato- miques entre les cellules des divers noyaux nommés, il arrivera que, en v
sion, si nous voyons l'objet, le courant excité, qui a atteint la cellule correspondante, poursuivra sa voie, le long du ch
le long du chemin irayé par le courant secondaire, et arrivera à la cellule , qui appar- tient à la fibrille acoustique, et
un courant, chacune pour soi; ces courants divers arrivent dans des cellules correspondantes du lobe occipital, mais produisen
al, mais produisent là des courants secondaires. Ainsi le groupe de cellules excitées dans le lobe occipital seront alliées
'est-ce qui aura lieu dans l'écorce ? En tàtant, un grand nombre de cellules nerveuses dans la circonvolution centrale est m
locale est occasionnée; en goû- tant l'objet, de même un groupe de cellules est excité dans une autre partie des circonvolu
le nom de l'objet et de ses qualités particulières, des groupes de cellules dans le lobe temporal sont de même alliés dans
nouveau, le long de fibres d'association qui allient un groupe de cellules excitées à un autre groupe : ainsi donc la voie n
quelques ombres pour qu'il fut tout àfait ressemblant : il y a des cellules qui servent parfois, et des malades qu'il faut
s conjonctifs et névrogliques et par celle des fibres radiées ; les cellules ganglion- naires diversement lésées disparaisse
es à peu près intacts simplement séparés les uns des autres par des cellules néoformées, celles-ci se rencontrant surtout près
u pourtour des vaisseaux. Quand les lésions sont plus avancées, les cellules conjonctives et névrogliques, sont alors tellem
et subissent la dégénéres- cence descendante. Proviennent-elles des cellules de la substance grise ' ? Voici un fait de ta
rds de ti-abécules né 7e-, piques contenant des neuroblastes et des cellules indifférente» disposes en tas. Nulle trace de b
jaunâtre diffus : ils ne doivent pas présenter de granulations. Les cellules nerveuses sont invisibles ou très faiblement co
inaire incolores, bien que, dans les préparations heureuses, chaque cellule à peu près soit enlacée d'un épais enchevêtreme
les très fines. Il existe des exemples de colorations parfaites des cellules et des ramifications terminales. Souvent aussi
Souvent aussi la coloration du brun au noir s'étend aux noyaux des cellules , aux hématies, aux noyaux, aux fibres et aux ce
ux noyaux des cellules, aux hématies, aux noyaux, aux fibres et aux cellules de la névroglie. Des précautions spéciales sont
llée à 1/15 Il aurait l'avantage de colorer un plus grand nombre de cellules avec REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
ance du cylin- draxe qui parait ne pas commencer immédiatement à la cellule et ne pas aller jusqu'à l'extrémité des fibres.
aux rouge-brun, le tissu scléreux et la névroglie rouge-violet; les cellules nerveuses sont rouges. La coloration est plus n
ment distri- buée de la substance blanche du nerveux central. Les cellules de la moelle et du cerveau sont le sièee d'altéra
culum peri-cellulaire intimement associé au reticulum semblable des cellules nerveuses voisines. Cette disposition figure tr
t permanente. Si on a encore quelquefois recours à l'isolement en cellules pour les malades trop bruyants, c'est toujours pe
e ne permet de déceler la présence d'un élément nerveux quelconque, cellule oil fibre. Ce tissu est constitué, d'une façon
erstitiels et périvasculaires, sont uniformément constitués par des cellules rondes, petites, à proloplasma presque nul, à n
njonctivo-vasculaires sont épaissis, souvent encombrés de nodules à cellules rondes. Les vaisseaux artériels ou veineux prés
aquelle s'aperçoivent quelques tubes inyéliniqties et 5 à 6 grandes cellules radiculaires; ces cellules sont petites, presqu
ues tubes inyéliniqties et 5 à 6 grandes cellules radiculaires; ces cellules sont petites, presque totalement privées de leu
nnent, en assez grand nombre, des nodules inflammatoires de petites cellules rondes à gros noyau, et des vaisseaux altérés de
a substance grise est représentée simple- ment par quelques grandes cellules radiculaires, disséminées çà et ta à travers le
grise a repris sa configuration et sa structure habituelles ; les cellules des cornes antérieures, suffisamment nombreuses,
pour effet de favoriser l'éli- mination des toxines agissant sur la cellule cérébrale et le malade guérit de ses troubles i
ier cas, elles consistaient en : carcinome de l'esto- mac à petites cellules , propagation aux corps vertébraux, embolie canc
empruntées à divers auteurs et tendant à infirmer la notion de la cellule nerveuse considérée comme centre trophique de la
correspondante et l'unité cellulaire du neurone. Même séparée de sa cellule la fibre sectionnée continue à fonctionner et à
urant nerveux général. Le cylindraxe ne serait pas un produit de la cellule nerveuse, et le nerf périphérique ne serait pas
erait pas issu par bourgeonnement de l'axe central, pas plus que la cellule de myéline ne serait venue l'entourer accessoir
entourer accessoirement, mais il serait un produit interne de cette cellule à myéline dont il ferait partie intégrante. M. Du
ocellulaire de - dans les éléments nerveux en général et dans les cellules nerveuses des ganglions sympa- thiques en par
46 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
^ elle nous,annonça' quielle était retlevemié folle; et demanda une cellule : . Une fois; comme elle se présentait à;nous;n
par l'intermédiaire de la subs- tance grise, (richesse du raphé en cellules ) les nerfs bullaires au pédoncule cç,r;ér : al;
lui-même est constitué : ,16'1 '¡jr,f noln"'} 9r wr.h In4"Pai· des cellules garigIlÓiÍnaires'dÓ'Iiner pl"oIÓh-g.e'mèrlt'éyli\
criieIiL' ¡)i.ihêés'(pl : c11r type) ; .. "'111')('1 - 92° Pardcs cellules gànglioÜi\'àii'és'don l']éprdlonge'iii8h'l'cylih'
" Enfin, par les fibres du tractus olfaolorius. T¥.I¡\ somme, les ; cellules ganglionnaires ;de lai couche, grise' des lqr ¡
nuité directe qu'entre les fibres de la couronne rayonnante* et les cellules ganglionnaires du second type. Cette disposition
llIS1011Sal : ) .Gl Il ,·U`ll· .uJ'r') ltt, 1 1t1.tffiwÍ1f1l la Les cellules de la corne, antérieure'- envoient'-leurs-prolong
ts de la corne postérieure; , , 1 Il .41 , .1 J . 1`itI Il ? 3° Les cellules du noyau de Slilling ou colonne de Clarke sont
points det la, corne posté- rieure ; , z ... - - ·trwJ . y5°, Les cellules de.la corne postérieure. sont munies-de prolonge-
J,IaI'l'( -1 3 ? JJlI-' 1" On trouve fréquemment dans la moelle des cellules adjacentes, qui envoient leurs prolongements cy
rvelet sont caractérisés par ul).e rougeur. intense,ll'atrophie des, cellules de Purkinjeet des cellules de la couche externe
r ul).e rougeur. intense,ll'atrophie des,cellules de Purkinjeet des cellules de la couche externe, l'épaississement strié des
eurs, ne`renfermçaucune,lïlmei 1 ! .J2rvcue ;j11RfhçnfP} ? sq : Ao , cellules rondes,, avec, un ép,air . r,cWi.s,)j, ! J¡ : f
asie I de la névroglie ; au-dessus' du fo)'oi ? plU' l'abondance de cellules 'granuleuses. Les' n0J11brelÍx,' '(¡Î1éin1/sÍ¡¡'c
es fibres d'association détruites et- la mise hors de'fonction des' cellules corticales. ' Comme ces altérations -sont gross
bichromate de potasse, n'ont montré aucune modification notable des cellules . 7° Racines correspondant à ces ganglions. Les
lésée, examinée à l'état frais, présentait les éléments suivants : cellules et fibres nerveuses ; fibres, noyaux et cellule
léments suivants : cellules et fibres nerveuses ; fibres, noyaux et cellules de la névroglie ; vaisseaux, cristaux de choles
ses et pigmentaires. En donnant la description des 'altérations des cellules ner- veuses, nous suivrons la méthode de Doiter
r lui dans son ouvrage classique en prenant pour type les grandes cellules pyramidales de cette région. Remarquons, cependan
ellules pyramidales de cette région. Remarquons, cependant, que les cellules des autres couches présentaient les mômes ? alt
s autres couches présentaient les mômes ? altérations. Le corps des cellules est tuméfié à différents de- grés, présentant t
Cette tuméfaction se bornait exclusivement au corps, dans certaines cellules , sans se continuer sur les prolongements qu'on
continuer sur les prolongements qu'on pouvait isoler alors avec la cellule sur une longueur de quatre-vingt-dix à cent mic
ne présentaient pas d'hypertrophie. (PL. III, fig. 1.) Sur d'autres cellules , beaucoup plus nombreuses que les précé- dentes
entent neuf à dix micro-millimètres de diamètre à leur origine. Les cellules , ainsi tuméfiées, n'offrent pas de trace de pig
ue le noyau prend également part à la tuméfaction généralisée de la cellule , car il occupe presque tout l'intérieur du prot
e et soixante il soixante-six micro-millimètres pour le corps de la cellule , .. 1 PlliI'SllC/t(lIlrlen ! le/Je" Cchirrt. uu
ante à quarante-six micro-millimètres au plus. Le noyau, dans ces cellules ainsi hypertrophiées, conserve tantôt- sa place c
même faisant complètement défaut. En faisant mouvoir le corps de la cellule sous le verre, on peut constater facilement la
cilement la position excentrique du noyau et l'aspect vitreux de la cellule . La dernière forme de l'altération cellulaire e
cellulaire est enfin la formation des vacuoles (vacuolisation des cellules ). Ainsi, certaines cellules tuméfiées, présentant
rmation des vacuoles (vacuolisation des cellules). Ainsi, certaines cellules tuméfiées, présentant les caractères que nous a
leucocyte. Nous n'avons trouvé des vacuoles que dans le corps de la cellule , mais jamais dans les prolongements, comme cela
us [Phosphore, 1880), et par Popoff [Arsenic, 1882). Le noyau des cellules ainsi vacuolisées ou bien était refoulé vers la p
cuoles étaient nombreuses, ne se retrouvait plus, et le corps de la cellule était formé par un entrecroise- ' ment de ligne
parties de forme circulaire. (IL. III, fig. 3.) Quand le corps des cellules prend une forme polygonale, dans l'intérieur du
ointes très minces et très courtes. Les altérations de la forme des cellules se présentent de la manière suivante : le corps
affecte une forme polygonale irrégulière. Les mensurations de ces cellules isolées, prises en des endroits identiques des de
ants : Hémisphère. 224 RECUEIL DE FAITS. droit (partie tuméfiée). Cellules pyramidales, dites géantes; corps entre l'origi
considérable et la tuméfaction très prononcée. Les mensurations des cellules des autres couches nous ont donné des résultats
nous ont donné des résultats analogues. Le méthyl vert colorait ces cellules hypertrophiées et vacuolisées d'une couleur ver
ine et leurs corps pâles et arron- dis, nous avons aussi trouvé des cellules dites araignées, avec de nombreux prolongements
ment bien par l'hématoxyline. Nous n'avons jamais constaté sur ces cellules soit de la tuméfaction, soit de la vacuolisation
de la tuméfaction, soit de la vacuolisation analogues à celles des cellules nerveuses. Le diamètre du corps de ces cellules
logues à celles des cellules nerveuses. Le diamètre du corps de ces cellules n'excédait jamais six à neuf micro-milli- mètre
e du foyer de ramol- lissement, sans épaississement des parois. Les cellules ner- veuses des lobes frontaux, temporaux et oc
l'attention est attirée tout d'abord sur la tuméfaction notable des cellules nerveuses, qui les atteint indifféremment dans
ifféremment dans toutes les cinq couches de la substance grise. Les cellules - tuméfiées sont disposées dans l'ordre connu.
s dernières. Dans la partie horizontale de la région corticale, les cellules des couches superficielles de la substance gris
voisines de la surface convexe, elles sont t plus clairsemées. Les cellules araignées n'ont été trouvées que dans le fond d
el et les vaisseaux ne présentaient pas d'altérations notables, les cellules ner- veuses présentaient les caractères de la t
lon. A un grossissement de 3/7 et 3/8 Vérick, les altérations des cellules nerveuses se présentaient avec les caractères que
E'\C¡ : ;PIl \[,['1 ¡.; P,UlE : \CIl HLI.TEUSE. 227 longemcnls des cellules sans vacuolisation est la règle et qu'il et plu
vacuolisation est la règle et qu'il et plus rare de rencontrer une cellule à la fois tuméfiée et- vacuolisée. Dans les par
ans les parties plus centrales, on trouve cepen- dant nombre de ces cellules (dites géantes) tuméfiées et vacuo- lisécs en m
cel- lules étaient beaucoup plus prononcées. Ainsi, souvent, une cellule vacuolisée et ayant perdu son noyau et ses prolon
vec tuméfaction des noyaux de sa paroi, tandis qu'au' contraire les cellules qui se trouvaient un peu plus éloignées des vai
es vaisseaux, ces dernières paraissaient pénétrer dans le corps des cellules voisines en formant ainsi des excavations dans
ement le rapport mutuel entre les vaisseaux de cette ^région et les cellules nerveuses, on peut constater qu'il n'existe pas
le. (Archives de Physiologie, 1875.) 228 RECUEIL DE FAITS. et des cellules dites araignées. Relativement à la prépondé- ra
lativement à la prépondé- rance de ces deux formes d'altération des cellules et des vais- seaux, on peut remarquer que l'épa
ississement des parois des vaisseaux ainsi que la vacuolisation des cellules se rencontre beaucoup plus rarement, ainsi que
ion des cellules se rencontre beaucoup plus rarement, ainsi que les cellules araignées. Ainsi, nous n'avons jamais rencontré
ans un même endroit; cette altération ne s'observe que sur quelques cellules , relativement peu nombreuses. L'épais- sissemen
s de la partie horizontale de la substance grise. La présence des cellules tuméfiées seule indique quelle est la partie qui
é dans d'autres parties de la région corticale, d'altérations des cellules nerveuses, nous devons cependant remarquer que l'
ts. Les premiers se rapportant à l'altération des éléments nerveux ( cellules ), les seconds à celle de la névroglie et des va
omme une encéphalite interstitielle avec altération consécutive des cellules nerveuses, ou bien est-ce le contraire qui a li
oint tranchant la question ; dans le tissu interstitiel ou dans les cellules ? Sur plusieurs coupes, nous avons pu constater
Sur plusieurs coupes, nous avons pu constater la tuméfac- tion des cellules à un degré très avancé alors que la névroglie e
côtés des hémisphères consistait uniquement dans la présence des cellules tuméfiées sur les coupes du côté droit. Dans d'au
du côté droit. Dans d'autres parties, cependant, la tuméfaction des cellules se trouvait as- sociée à des altérations de la
s altérations parenchymateuses. Remarquons que la vacuolisation des cellules nerveuses se trouvait exclusivement dans les pa
erveuses se trouvait exclusivement dans les parties qui avaient des cellules araignées et où les vaisseaux étaient profondém
pig- mentaires, etc.). Ces lésions, cependant (vacuolisation des cellules et encéphalite interstitielle), étaient tellement
omparativement à la prédominance bien marquée de la tuméfaction des cellules , que nous nous croyons pleine- ment autorisé à
lules, que nous nous croyons pleine- ment autorisé à considérer les cellules nerveuses comme le véritable point d'issue du p
t tout nos conclusions sur les faits déjà indiqués : présence des cellules tuméfiées dans, un stroma non lésé, avec des vais
onsidérations suivantes ; , 230 RECUEIL DE FAITS. On sait que les cellules nerveuses, après la tuméfaction du début, subis
de, l'irritation se propage sur le tissu interstitiel entourant les cellules et, tout en exerçant une influence destructive
t. Les éléments de la névroglie deviennent alors plus nombreux, les cellules nerveuses, en se vacuolisant, finissent par dis
ssible; en raison de la pré- sence des lésions parenchymateuses des cellules , alors que le tissu interstitiel et les vaissea
s étudions, dans un processus pathologique qui a dû débuter par les cellules nerveuses et qui, dans certains endroits, où il
éments nerveux affectés tout d'abord. Le processus d'altération des cellules (alors parenchymateux) est plus ancien dans l'e
dans l'endroit où nous constatons les lésions des vaisseaux et les cellules araignées. Il résulte de ces faits que, dans ce
ésulte de ces faits que, dans cette région seulement, on trouve les cellules dans un état de destruction plus avancé, représ
ndique également, à ce qu'il nous semble, que les éléments nerveux ( cellules ) doi- vent être considérés comme le point de dé
omme le point de départ de l'altération. Quant à la tuméfaction des cellules des couches superficielles et des parties excen
celles qu'il a décrites pour la première fois, en 18721, ', sur les cellules des cornes antérieures de la moelle dans la tép
au. En effet, si l'on compare notre description des altérations des cellules à celle faite par M. Charcot (loc. cit., p. 184),
est d'autant plus fondé qu'il n'y a aucune raison d'admettre qu'une cellule ner- veuse dite motrice de la région corticale,
ttre qu'une cellule ner- veuse dite motrice de la région corticale, cellule qui ressemble morphologiquement à celle des cor
auteur, en discutant la question des altérations dans le corps des cellules , remarque que, dans certaines formes de myélite
des cellules, remarque que, dans certaines formes de myélites, les cellules nerveuses peuvent subir spontané- ment une alté
Cette lésion se caractérise principalement par la tuméfaction de la cellule , avec altéra- tions atrophiques consécutives du
agulation-nécrose). En admettant cette explication, la présence des cellules tu- méfiées et altérées à divers degrés, dans u
onduleuses et très fortes, mais on n'y constate pas la présence de cellules nerveuses, tandis que les noyaux de la névrogli
s lymphatiques périvasculaires. Dans certaines parties, les grandes cellules multipolaires sont tumé- fiées sans altération
et qu'il se borne à la constatation de la tuméfaction des grandes cellules multipolaires de l'écorce. Il reste muet sur l'
ous intéresse. En indiquant ensuite que, dans d'autres parties, les cellules pyramidales ne présentaient pas d'altération, i
s éléments nerveux, épaisseur de la trame névroglique, présence des cellules arai- gnées et vascularisation excessivement re
évolution : hy- pertrophie diffuse des éléments nerveux (fibres et cellules ) ; ensuite compression des parties normales voi
ent les mêmes caractères mor- phologiques et chimiques que ceux des cellules nerveuses, mais qui ne les sont pas pourtant, p
léoles. Ce fait s'expliquerait, d'après lui, par la segmentation de cellules nerveuses et par la formation d'étranglements sur
auteur; en outre, la présence de deux ou plusieurs noyaux dans une cellule nerveuse des centres, dans cer- tains cas au mo
re ENCÉPHALITE PARENCHYMATEUSE. 23,) -) que fort rarement sur une cellule isolée, ou plutôt même jamais (Mierzejewski). I
ge foncé. Microscopiquement, ils ont trouvé des corps analogues aux cellules avec plusieurs noyaux, hypertrophie des cylindr
-axes, ils n'ont jamais pu constater ni la segmentation directe des cellules nerveuses ni leur néoformation, avec les caract
de préciser ce fait encore plus nettement. Nous dirons donc que les cellules nerveuses elles-mêmes, pour cette fois au moins
. 236 RECUEIL DE FAITS. EXPLICATION DE LA PLANCHE III Fig. 1. - Cellule pyramidale géante isolée de la région de la lésio
, sans altération du noyau et du nucléole. (Verick. 317.) Fig. 2. Cellule de la même région, tuméfaction plus prononcée, in
s'amincissent rapidement (Verick, 3/7.) Fig. 3. Vacuolisation d'une cellule pyramidale prise du fond du sillon, Déplacement
e. Double coloration à l'hémotoxyline et au carmin. Tuméfaction des cellules à divers degrés avec conservation des noyaux da
re et deuxième frontales de l'hémisphère sain (gauche). Les grandes cellules pyramidales ne présentent pas d'altérations ni du
e par le même endroit de l'hémisphère lésé (droit). Tuméfaction des cellules à divers degrés, avec ou sans déplacement du no
d'un tissu conjonctif à fibres résistantes englobant de nombreuses cellules rondes, tandis que les cellules parenchymateuse
résistantes englobant de nombreuses cellules rondes, tandis que les cellules parenchymateuses ont presque entièrement disparu.
ailles fines semblent avoir condensé en un petit espace nom- bre de cellules normales de la substance grise. C'est Je lobe fro
eur se propage alors jusqu'à l'écorce et, nuisant à la vitalité des cellules , arrête de ce fait le travail de la pensée et les
ntait de l'hémianopsie. L'écorce est seule altérée : rétraction dès cellules pyramidales' et déchéance de leurs prolongements.
e des aménagements spéciaux ; mais on donnerait alors à l'asile une cellule de prison qui ne serait plus favorable au traite-
s les cornes antérieures de la partie cervicale, quelques- unes des cellules nerveuses avaient subi lés modifications pa- th
u n'était pas visible, ou ne l'était qu'à peine ; enfin de quelques cellules il ne restait qu'un amas de pigment. Il est à r
restait qu'un amas de pigment. Il est à remarquer que le nombre des cellules ainsi modifiées était insi- gnifiant relativeme
lules ainsi modifiées était insi- gnifiant relativement à celui des cellules normales. Le reste de la substance grise dans l
La substance grise du bulbe était de même tout à fait indemne ; les cellules qui constituent le noyau du nerf hypo- glosse s
n suc blanchâtre analogue au suc cancéreux et présentent de grosses cellules avec de gros noyaux à nucléocles comme les cell
tent de grosses cellules avec de gros noyaux à nucléocles comme les cellules cancéreuses. On trouve aussi des élé- ments de
s canalicules uri- nipares ont disparu dans les points envahis. Les cellules épilhé- liales de leur face interne se trouvent
gnées disséminées, les éléments nerveux étant à peine perceptibles; cellules araignées ou connexions avec les vaisseaux remp
s blancs dans les parois et les espaces adventices; intégrité des cellules nerveuses. L'auteur fait ressortir que la prolifé
on dut retirer la conclusion l'année suivante. M. Fischer. Sur les cellules capitonnées. Après avoir traité des indications
ur les cellules capitonnées. Après avoir traité des indications des cellules capitonnées, des difficultés de leur aména- gem
sultent; après avoir discuté les avantages et les inconvénients des cellules dont les parois sont en toile à voile (cellules
s inconvénients des cellules dont les parois sont en toile à voile ( cellules de Schlager), l'auteur conclut en ces termes :
le (cellules de Schlager), l'auteur conclut en ces termes : 1 Les cellules capitonnées constituent une nécessité inéluctable
en danger, il est du devoir de tout établissement de construire des cellules capitonnées en nombre proportionné; 3° La con
être alléguée comme un motif suffisant à justifier l'absence de ces cellules ; 4° Comme on ne connaît actuellement pas d'ins
mploi des moyens de coercition. D'après ce qu'il a vu, au sujet des cellules capitonnées, surtout en Angleterre, celles qui
iénés qui se frottent aux parois ne sauraient être laissés dans ces cellules qui sont insuffisantes pour eux. Elles ont, d'a
bre, qu'ils isolent les ma- lades; on emploiera, au besoin, dans la cellule , le système d'inon- dation en usage à Stefansfe
parti- culière observée chez les), 109; (asiles pour les), 136. Cellules capitonnés, 431. Céphalée des adolescents, par
temporales. EXPLICATION DES PLANCHES. 133 PLANCHE Il ! Fig. 1. Cellule pyramidale géante isolée de la région do la lésio
sans altération rlu noyau et du nucléole. (Vericlc. 3/7.) Fig. 2. Cellule de la même région, tuméfaction plus prononcée, in
s'amincissent rapidement (Verick, 3/7.) Fig. 3. Vacuolisation d'une cellule pyramidale prise du fond du sillon, Déplacement
e. Double coloration à l'hémotoxyline et au carmin. Tuméfaction des cellules à divers degrés avec conservation des noyaux da
re et deuxième frontales de l'hémisphère sain (gauche). Les grandes cellules pyramidales ne présentent pas d'altérations ni du
e par le même endroit de l'hémisphère lésé (droit). Tuméfaction des cellules à divers degrés, avec ou sans déplacement du no
47 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
renflement cervical jusqu'au renflement lombaire, l'atro- phie des cellules est surtout marquée au niveau des renflements.
termes suivants. 1. -Parmi les éléments de cette écorce, seules les cellules de Parkinje possèdent une ramification extrêmem
drites hérissées de pointes latérales. La variété d'aspects de ces cellules suivant les divers animaux, leur forme dont la co
trahissent des modifications philogénéliques et ontogénétiques. Les cellules en panier et les cellules de Golgi des jeunes a
ns philogénéliques et ontogénétiques. Les cellules en panier et les cellules de Golgi des jeunes animaux régressent à mesure
imaux régressent à mesure que croît l'organisme. ? Pourquoi maintes cellules ont-elles une forme compliquée et possèdent-ell
articipent pas à l'activité qui prend sa source dans le corps de la cellule . Aujourd'hui nous savons d'après la structure d
omes des dendri- tes ressemblent plus aux neurosomes du corps de la cellule qu'à ceux du cylindraxe (Shinkischi-Ilataï) ; l
, propres aux dendrites, ont été observées aussi sur le corps de la cellule , jamais sur les axones (Soukhano\\). Le cylin-
anes de réception aux organes moteur sans passcr par le corps de la cellule . Tout cela nous force à reconnaître que les den-
nt prendre part ci l'activité nerveuse parallèlement au corps au la cellule . Nous tendrions donc à adhérer il l'idée de Lcn-
tes jouissent des mêmes fonctions que le protoplasma du corps de la cellule ; elles ne servent pas seulement il. conduire l
s données établissant l'endroit de ces contacts. Ainsi le corps des cellules de Purkinje n'a pas de pointes et cependant il
a- REVUE d'anatomie ET de PHYSIOLOGIE pathologiques. 47 niers des cellules corbelliformes. SoukIIanow a fait remarquer que
nt principalement l'apanage des cellu- les à fonction autonome, des cellules de Purkinje, autonomes comme les cellules pyram
à fonction autonome, des cellules de Purkinje, autonomes comme les cellules pyramidales; pour lui, les pointes ne servent p
er à celle de Leuhossek sur le rôle des dendrites. Le corps de la cellule , les dendrites et les pointes latérales, re- pr
s nerveux et leur fonction est confirmé par la forme extérieure des cellules cortico- cérébelleuses chez les divers animaux
férents âges. Dans l'écorcedu cervelet de n'importe quel animal les cellules de Purkinje se distingue nettement entre toutes
e par la quantité de leurs pointes latérales. Ces éléments sont les cellules les plus importantes les cellules spécifiques d
latérales. Ces éléments sont les cellules les plus importantes les cellules spécifiques de cette région, sont les vec- tric
e cette région, sont les vec- trices de sa fonction, car seules les cellules de Purkinje expédient leur influx hors des limi
nts, à courts cylindraxes, se terminent dans cette écorce. Puis les cellules de Purkinje varient de forme selon les animaux;
sl élevé en organisation, plus complexe est la forme extérieure des cellules , plus elles sont riches en dendrites et pointes
x), des particularités correspondantes dans la forme extérieure des cellules de Purkinje. Enfin les phases de développe- men
e des cellules de Purkinje. Enfin les phases de développe- ment des cellules de Purkinje éclairent le fait de la complication
e dans le cours de l'accroissement de l'organisme On sait que les cellules pyramidales, ces éléments fondamen- taux de l'é
tiques, qui correspondent à la complica- tion de la fonction de ces cellules pendant le développement de l'organisme animal
l'organisme animal d'un individu ou d'une espèce. Par contre, les cellules corbelliformes et les cellules de Golgi simplifie
idu ou d'une espèce. Par contre, les cellules corbelliformes et les cellules de Golgi simplifient 48 revue d'anatomie ET de
leur forme avec la croissance de l'animal, ressemblant en cela aux cellules de la corne antérieure de la moelle (Geier). Donc
llules de la corne antérieure de la moelle (Geier). Donc toutes les cellules , tous les organes et tissus, ne se perfection-
sme; quelques-unes mêmes régressent. 11 est très probable . que les cellules de la moelle possèdent chez le jeune animal une
fonction plus intense que chez l'animal adulte. Il se peut que les cellules en corbeilles --et les cellules de Golgi aient
l'animal adulte. Il se peut que les cellules en corbeilles --et les cellules de Golgi aient dans l'organisme jeune plus d'in-
sme jeune plus d'in- dépendance et que chez l'adulte, seulement les cellules de Pur- kinje acquièrent dans le cervelet un rô
la complexité graduelle de la forme des éléments d'un rang élevé ( cellules de Purkinje et cellules pyramidales) du moineau o
e de la forme des éléments d'un rang élevé (cellules de Purkinje et cellules pyramidales) du moineau ou du cobaye à l'homme,
lte. On peut aussi s'expli- quer la régression du développement des cellules en corbeilles, des cellules de Golgi, des cellu
quer la régression du développement des cellules en corbeilles, des cellules de Golgi, des cellules des cornes antérieures il
éveloppement des cellules en corbeilles, des cellules de Golgi, des cellules des cornes antérieures il me- sure que croît l'
une échelle si sensible des modifications auxquelles est soumise la cellule dans le développement (ltltiloâéuétique etontogen
uétique etontogeneti- que) de l'organisme, alors que le corps de la cellule siège unique d'après la théoriedela polarité dy
en outre des fibres nerveuses à myéline (bleu-noir), les noyaux des cellules de la né\ roglie et les vaisseaux des centres o
tunique musculaire apparaît bleu-clair. Sont aussi distincts : les cellules du canal central avec leurs noyaux basaux ; les
ie toute antérieure où ses libres se met- tent en rapport avec les , cellules du ganglion optique basai de Meynert. Il se-pro
dite présenter des tu- bercules agglomérés contenant de nombreuses cellules géantes. Dans le même cas, les racines de la qu
, aux diverses hauteurs de la moelle, ont été pris pour l'étude des cellules avec la méthode deNissl, sur plusieurs muscles de
re partout la conservation parfaite de son réseau fibrillaire : ses cellules étudiées par la méthode de Nisslsontbien conser
ntbien conservées et ne paraissent pas diminuées de nom- bre. Les cellules radiculaires de la moelle, étudiées aux diverses
les- ; on retrouve 92 CLINIQUE NERVEUSE. seulement quelques rares cellules avec chromatolyse légère centrale et quelques c
elques rares cellules avec chromatolyse légère centrale et quelques cellules très riches en pigment. Méninges, vaisseaux (ex
dente, au Marchi, dans la moelle sacrée et lombaire inférieure. Les cellules de la moellc ne présentent que de très minimes
araît plus accentuée chez t'épitcptiqueque chez le paralytique. Les cellules à gros noyau lobé se rencontrent de préférence
de préférence chez le paralytique il lym- phocytose très forte. Les cellules polynucléaires ne se \ oient guère que chez le
Chez les épileptique ? comme chez les pa- ralytiques se voient les cellules éosinophiles et les cellules granu- lo-graisseu
chez les pa- ralytiques se voient les cellules éosinophiles et les cellules granu- lo-graisseuses. Dans les cas où il n'exi
PATHOLOGIQUES XIV. Une variante dans la méthode de coloration des cellules nerveuses de Nissl par A. A. PIEWNITZKI. (Oboz-
r. Les noyaux de la névroglie sont d'un violet-bleuâtre; ceux des cellules nerveuses clairs, vésiculeux, montrent un réseau
résultats les plus remarquables ont été d'ailleurs obtenus sur les cellules des ganglions spinaux des mammifères. Ce n'est
s ou moins parallèle, donnant l'impression de raies. Non.Dans les cellules des ganglions spinaux du boeuf, du chat, du lap
as- Lomotiques, qui s'étend uniformément à tout le pourtour de la cellule . Ce maillé présente une coloration noire aussi in
une coloration noire aussi intense que les neuro-fibrilles d'autres cellules . Souvent on perçoit un gros réseau à larges mai
te; ce maillé correspondrait à la charpente neuro-fibril- laire des cellules nerveuses centrales où l'on distingue également
ain de 25 millim. de long a révélé des traces de fibrilles dans les cellules nerveuses de la moelle ainsi que des grilles fibr
moelle ainsi que des grilles fibrillaires bien développées dans les cellules des ganglions spinaux. Chez un foetus de 4 mois
aux. Chez un foetus de 4 mois, de 15 centim., il existait, dans les cellules mo- trices des cornes antérieures, des neuro-fi
cornes antérieures, des neuro-fibrilles formant dans le corps de la cellule un réticulum à mailles relativement larges, dép
e que les fibrilles se produisent sur place et non par anastomse de cellules fibrilligènes. P. ISRAVaL. XVII. Nouvelle métho
fibrilligènes. P. ISRAVaL. XVII. Nouvelle méthode de coloration des cellules ner- veuses et leurs canalicules séreux ; par W
qui, sillonnant toute la substance grise du cerveau, s'en vont aux cellules ; en se ramifiant dans le protoplasma, ils con-
nt alors l'aspect de drains qui garnissent toute la substance de la cellule et leur paroi est formée par le protoplas- ma.
tophile se forme par les processus de métamorphose régressive de la cellule nerveuse. Evidemment la substance chromatophile
e nerveuse. Evidemment la substance chromatophile sécrétée par la cellule nerveuse, en se morcelant en granules excessiveme
ance chromatophile dépendent de la présence dans le protoplasma des cellules nerveuses de subs- tance achromatique. Conclu
t aux miens, je me crois en droit de supposer qu'il existe dans les cellules nerveuses trois formes de canalicules : 1° un r
un réseau de bourgeons artériels se ramifiant dans le corps de la cellule ; ils sont, en y entrant, limités par des parois q
t pas des canaux ; ils ne constituent pas un élément préformé de la cellule , puisqu'ils proviennent de la dissociation et d
ion et de la répartition accidentelles de l'élément constitutif des cellules , de la substance chromato- phile, entre les par
'il conduit les excitations; il ne fait que les conduire. Jamais la cellule nerveuse n'engendre de stimulus. P. KERAVAL.
ndymite granuleuse du 4c ventri- cule ; une accumulation de petites cellules rondes, assez grosses, ovales, dans la gaine et
une prolifération sous-pie-mérienne atypique de la névroglie, avec cellules araignées petites et gros- ses ; une infiltrati
eurones président à la conductibilité thermique et douloureuse ; la cellule nerveuse du premier neu- rone (nommé aussi prot
- rent un mal de Pott après ponction lombaire à polynucléaires et cellules pâles. On vit à l'autopsie qu'il s'agissait d'un
irection et administration. VARIA. 157 .Xo-resh'ainL Isolement en cellule . ' Section de surveil- lance. -'1·ra'ail et col
e folie furieuse et se précipita fête baissée contre les murs de sa cellule . Il s'est gravement blessé au crâne. Un l'a con
es altérations étaient dans le premier cas pré- dominantes dans les cellules étoilées avec intégrité relative 184 CONGRÈS DE
elative 184 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. des cellules de Purkinje ; elles étaient inverses dans le seco
cile à interpréter. On peut cependant peoser à une modification des cellules ganglionnaires à la suite de la stimulation pér
entation.de pièces. (D1' Sabrazès.) Présentation de préparations de cellules hématoma- crophages. (D ? Sabrazès et MURA TET.
e en- tourée de paravents, le malade est aussi isolé que dans une cellule .De telle sorte que je suis surpris de voir cette
défendue par les médecins qui combattent la camisole de force et la cellule . 220 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLO
de l'influx nerveux venu des centres supérieurs et agissant sur les cellules de la corne antérieure. La suppression de cet i
montré récemment, des modifications structurales-évidentes dans les cellules de la corne anté- rieure et, dans de pareilles
éaction à dis- tance est beaucoup influencée et la réparation de la cellule empêchée ou retardée. L'hystérie, bien que ne r
Bonnes, la seconde par MM. Cassaët, Sabrazès, Charrier et Bonnes. Cellules hématomacrophages. MM. Sabrazès et 11URA'CET (B
MM. Sabrazès et 11URA'CET (Bordeaux) montrent des prépa- rations de cellules hématomacrôphages provenant d'un cas d'hémorrag
e avec irruption ventriculaire (liquide rachidien intra-vital). Ces cellules que MM. Sabrazès et Muratet ont signalées les p
M. Sabrazès et Muratet ont signalées les premiers - proviennent des cellules de revêtement des travées et des parois des esp
du cerveau, vascularisation active, altération à divers degrés des cellules et des fibres, prolifération de la névroglic.
es, tantôt rangés à la file, tantôt formant des groupes. Autour des cellules ner- veuses ayant le plus souffert dans leur nu
utrition, on les voit réunis, contrastant par leur vitalité avec la cellule elle-même, au protoplasme trop clair, réticulé,
Pierret voir des bacilles très petits dans le voisinage de quelques cellules nerveuses. 4° Pronostic. Les psychoses grippa
ons sont - aplaties surtout dans la zone frontale et pariétale. Les cellules qui se trouvent dans les régions atrophiées ont
, un état crépusculaire de l'es- (1) Cette confusion des couches de cellules paraît être des plus importantes au point de vu
Elle accom- pagne toujours les transformations pathologiques de la cellule elle- même. Ainsi dans un cas de ramollissement
muniquer les régions homologues des deux hémisphères ainsi que les cellules des mêmes couches ou des couches voisines ne se
n marquées ne feront que se caractériser en croissant. De plus, les cellules qui composent le cortex sont en nombre égal il
apports anatomiques avec les noyaux moteurs de 'l'hypoglosse et les cellules d'origine des nerfs moteurs de l'oeil.Il transm
ités congénitales du cerveau dans leurs rapports avec les états des cellules nerveuses de la moelle. (Nouvelle Iconographie
; les colonnes de Clarke sont presque complètement dépour- vues de cellules et de fibres ; diminution de volume des cornes
t de fibres ; diminution de volume des cornes antérieures, dont les cellules sont atrophiées, les fibres raréfiées. L'auteur
processus dégénéralif primaire aurait son point de départ dans les cellules ganglionnaires de la rétine. Chez onze ta- béli
amauroliques examinés, l'auteur a constaté la présence constante de cellules ganglionnaires, relativement nombreuses malgré
nt diminution marquée du nombre des neurones moyens, altération des cellules visuelles avec diminution de lon- gueur et de n
ant les cornes antérieures, sur toute la hauteur de la moelle ; les cellules multipolairesont presque complètement disparu ; l
insi qu'une luxuriante prolifération des fibres névrogliques et des cellules araignées. La netteté et typique des deux proce
directeur de l'Asile d'aliénés de Rennes. [''ou étranglé dans sa CELLULE . - : -lice, 5 septembre. Dépê- che particulière
and état d'excitation, on l'enferma, à dix heures du soir, dans une cellule , après lui avoir mis la camisole de force. Hier
inistrative... D'où la nécessité d'avoir la nuit un in- lirmier aux cellules . Pourquoi cellule et camisole ? ' ? Les asiles
la nécessité d'avoir la nuit un in- lirmier aux cellules. Pourquoi cellule et camisole ? ' ? Les asiles d'aliénés aux colo
tenait en l'absence du poison ; mais des que l'alcool intoxique les cellules , quelque mi- nime qu'en soit la dose. le délire
ence. N'en sera-t-ilpas de même un jour pour toutes les variétés de cellules dont les histologistes cherchent actuellement à
lymphatique spinal, et c'est par elle que les libres nerveuses, les cellules et la névroglie subissent la dégénération oedém
é anatomique est com- plète ; pas de granulations miliaires, pas de cellules géantes, pas de caséification. Dans la première
interstitiel n'a pas réagi, il n'y a ni infiltration nodulaire, ni cellules géantes, ni bacilles de Koch ; au contraire, de
antes, ni bacilles de Koch ; au contraire, des lésions intenses des cellules motrices dorso lombaires. Philippe interprète l
Ij III ph a- tiques de la dure-mère ; nulle part on ne retrouve des cellules Sl'R LA PATHOGÉNIE DES ALTERATIONS MÉDULLAIRES.
Les vaisseaux se comportent comme dans la coupe supérieure. -Les cellules radiculaires, étudiées au Xissi, montrent presque
omatolyse,aec prolongements disparus ou peu nets : dans beaucoup de cellules le noyau a disparu, et la cel- lule a alors un
eu dis- tinct, à limites peu nettes, avec nucléole peu visible. Les cellules qui présentent de l'atrophie proprement dite so
tuméfies comme dans les coupes au niveau de la pachyméningite. Les cellules , à part quelques rares, ou il existe ' une légè
s qui se colorent mal, des points nettement l'1ll.iliéb et quelques cellules géantes : il est entouré d'une zone d'inflamma-
lle ne montre pas d'altérations remarquables de sa structure. Les cellules radiculaires ne semblent pas être diminuées de
plète ; le novau est cependant conservé el central : dans des rares cellules il est invisible. Les vaisseaux, lrl'" légL'rem
égère décoloration presque limitée au faisceau du Goll. - ' . Les cellules radiculaires au-dessous et au-dessus de la lésion
- plique parla lésion de lapartiecellulairc de l'arc réflexe, les cellules lombaires s'étant montrées intactes, il moins q
mie et la diminution temporaire ou permanente de l'irritabilité des cellules : sans vouloir discuter celte opinion, nous nou
seulement, par endroit, on retrouve autours des vaisseaux quelques cellules allongées. ' La dure est discrètement épaissie,
lilicls et péri-cellulaires de la moelle ne sont pas dilatés. Les cellules de la moelle dans toute l'étendue de la ltach Inn
de la ltach Inn- ningite sont bien conservées; dans quelques rares cellules seule- ment les prolongements manquent et il ex
tantôt périphérique : ! eno\ : u)esf.dan< la grande majorité des cellules , visible, central et n'offre d'al- térations d'
ent fibreux qui présente cà pI là des placards embrvon- naires, des cellules géantes nombreuses, quelques 1·Lileslnnmr ragie
par des traînées inflammatoires dans lesquelles on trouve quelques cellules géantes. Aussi bien l'inlil- 1 l'a lion "llIhr'
es géantes. Aussi bien l'inlil- 1 l'a lion "llIhr'onlHlil'e que les cellules géantes manquent dans les parties lal¡"ralp pl
ste une inlil- lralion forte constituée parties polynucléaires, des cellules rondes el allongées ; l'infiltration est seulem
'a- ,;on l ,"g-L'l '1'. presque l'iiiliiii-atioii cellulaire. Des cellules i-a(li(-ulair-es de la moelle beaucoup se trouven
ment peu nets : le noyau est central ou périphérique, dans quelques cellules seulement il esl peu nette- ment distinct du co
s cellules seulement il esl peu nette- ment distinct du corps de la cellule , tandis tiue le nucléole est en- 1'01'1' hien é
, tandis tiue le nucléole est en- 1'01'1' hien évident. Beaucoup de cellules sonL très riches en pig-- ment : pas d'atrophie
ue. Anatomiquement, on était en présence d'un épithélioma à grandes cellules localisé au vermis superior. Dans un troisième ca
4919G nécrologie. faisceaux du côté malade que du côté sain ; les cellules ganglion- naires des noyaux n'offraient cependa
uct, p. 54. psy- chique fonctionnelle, par Van Vlenten, p. 317. Cellules nerveuses. Voir l'isel. Nouvelle méthode de col
r Sissl. -. Voir Fibres ne) ? e1lses. ? . Voir Ra11lon. -. Voir Cellules nerveuses. Commotion médullaire.^ Para- lysie
'n-Irnlnwf. p. 78. Les exploits d'un - 1L-l'll'tlllglt, dall ? iI cellule Sujfi( ? d'uifuu.j)..t : ! ti.)n qUI \'eul 01
, p. 321. Nissl. Une variante dans la méthode de coloration des cellules nerveuses de -, par Piewnitzki, p. 113. Noirc
48 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
al; ces lésions sont surtout apparentes aux points où la couche des cellules nerveuses présente des altérations plus intense
les nerveuses présente des altérations plus intenses. De nombreuses cellules de cette couche présentent en effet, à divers d
suite une ou plusieurs vacuoles du protoplasme, qui, dans certaines cellules , présente un aspect aréolaire. Quand les lésions
rotoplasme ont atteint ce degré, le noyau est à la périphérie de la cellule , fait le plus souvent hernie et son nucléole est
ntenant l'exis- tence d'un certain nombre de neuronophages, petites cellules à noyau rond, à protoplasme rare, présentant un
Grossissement 'r10 diamèlres. Seules les couches des fibres et des cellules non ruses ont été représentées. Les cellules ne
ches des fibres et des cellules non ruses ont été représentées. Les cellules neneu-es sont très altérées, lion nombre (['entre
LE FOND DE 1,'CEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 11 longements, cellules dont la nature est très discutée et que nous cr
lules dont la nature est très discutée et que nous croyons être des cellules de névroglie. On les rencontre dans le voisinag
e des cellules de névroglie. On les rencontre dans le voisinage des cellules nerveuses plus ou moins altérées, accolées à el
çà et là les pénétrer. Les lésions semblent surtout cantonnées aux cellules nerveuses de la rétine, et les autres couches n
he des fibres ner- veuses de la rétine un certain nombre de petites cellules de névro- glie et des cellules conjonctives. Ce
rétine un certain nombre de petites cellules de névro- glie et des cellules conjonctives. Ces éléments apparaissent en quan
ents du tissu conjonctif existent en bien plus grand nombre que les cellules de névroglie. Ce sont pour la plupart des cellu
nombre que les cellules de névroglie. Ce sont pour la plupart des cellules conjonctives à noyau allongé, à masse protoplasmi
ne parait pas modifiée. Nous avons dit qu'il existait également des cellules de névro- glie, leur nombre est infiniment moin
névro- glie, leur nombre est infiniment moins grand que celui des cellules conjonctives, nous les trouvons, surtout du côté
tourées de nombreux éléments conjonctifs. Ces derniers, à l'état de cellules conjonctives adultes, sont tous dirigés transvers
près Berger, est dans l'espèce, considérablement hypertrophiée. Les cellules con- jonctives qui la constituent se mêlent au
se mêlent au niveau des espaces interfasciculaires à de nombreuses cellules névrogliques que nous allons étudier en remonta
e qu'elle est représentée, figure 2, nous voyons que les couches de cellules névrogliques qui, normalement, se trouvent rang
ondant et les contours cel- lulaires sont de forme irrégulière. Ces cellules sont pourvues de prolongements multiples poussé
second plan et leur nombre est infime compara- tivement à celui des cellules névrogliques. Les travées conjonc- Fig. 4. Co
rand nombre des éléments conjonctifs et névrogliques. En a, amas de cellules conjonctives dans la ^aine du nerf; en n, cellu
s. En a, amas de cellules conjonctives dans la ^aine du nerf; en n, cellules névrogliques iulra-fascicularres, représentées da
elles lormcul de véritables mandions comme eu ra; la plupart de ces cellules possèdent des prolongements, nous en avons représ
ion de l'épaisseur des travées conjonctives qui sont très riches en cellules et au milieu des- quelles nous retrouvons les p
gaine piale du nerf est également le siège d'une augmentation des cellules conjonctives, qui forment comme en a par exemple
autres. Ce qui frappe surtout, c'est l'augmentation du nombre des cellules de névroglie péri et intra-fasciculaires. Alors q
e d'un faisceau de fibres nerveuses du nerf optique, que quelques cellules névrogliques, nous en comptons ici jusqu'à quaran
cellules névrogliques, nous en comptons ici jusqu'à quarante; ces cellules , disséminées entre les fibres nerveuses, accolées
lérose évidemment constituées par la réunion d'un certain nombre de cellules névrogliques. Les tubes nerveux ne présentent p
diffuses, cantonnées à la couche des fibres et surtout à celle des cellules nerveuses, au niveau de laquelle elles sont en
la coloration par la fuchsine acide, et, celles qui aboutissent aux cellules malades sont profondément altérées ; leur aspect
iforme, leur minceur extrême en certains points. Dans la couche des cellules nerveuses, de nombreux éléments sont profondéme
delà rétine. 2° Papille : Bien qu'infiltrée par d'assez nombreuses cellules conjonctives et névrogliques, la papille présen
aissent normales et leurs faisceaux qui ne sont pas noyés parmi les cellules de soutien, comme ceux de l'oeil droit, sont tr
minent et nous ne voyons point à leur pourtour d'épais faisceaux de cellules conjonctives se dirigeant dans toutes les direc
ovenant de la choroïde est le siège d'une évidente augmentation des cellules conjonctives. Sa partie externe est d'apparence
fectent les mêmes rapports que ceux observés pour l'autre nerf. Les cellules névrogliques intrafasciculaires ne sont guère a
imètre en avant du chiasma, présente une augmentation du nombre des cellules névrogliques péri et intrafasciculaires; toutef
uoique en moins grande abon- dance que du côté droit, de nombreuses cellules conjonctives adultes. Observation II. S. A...
lésions apparentes de la couche des fibres nerveuses. La couche des cellules nerveuses présente quelques éléments en voie d'
entation du volume des travées conjonctives interfasciculaires, les cellules névrogliques ililv.1- lasoictilaii-es sont très
ratravéculaircs ont leur tunique e,teiiie épaissie, très nombreuses cellules de névroglie retiré- sentées par des points nou
des parois de la veine ni de l'artère; néanmoins de très nombreuses cellules conjonctives existent autour d'elles; et il s'en
s enfin que dans les' espaces interfasciculaires de très nombreuses cellules de névroglie se mêlent aux éléments conjonctifs
tefois leur paroi n'est pas épaissie et ils ne sont pas entourés de cellules conjonctives. L'altération la plus frappante es
conjonctives. L'altération la plus frappante est l'augmentation des cellules conjonctives qui constituent la portion choroïd
e, il présente les altérations suivantes : augmentation notable des cellules névrogli- ques intrafasciculaires dont le nombr
laire (m, fig. 5), on peut constater l'augmen- tation du nombre des cellules névrogliques intrafasciculaires, les travées co
n, dans la gaine piale, nous constatons l'existence de nombreuses cellules conjonctives qui constituent notamment dans le vo
n. On voit, en outre, que les faisceaux nerveux sont très riches en cellules de névroglie, ces cellules que nous avons décrite
es faisceaux nerveux sont très riches en cellules de névroglie, ces cellules que nous avons décrites plus haut, sont, pour l
d'atrophie des fibres optiques. Nous constatons que la quantité de cellules conjonctives et névrogliques, situées entre les
- tion de formol à 40 p. 1000, ce qui nous a permis d'étudier les cellules nerveuses, la névroglie, la myéline à l'aide des
t en quelques points ils ont totalement disparu, b) La couche des cellules nerveuses est celle qui présente le ma- ximum d
préparations il n'est plus possible de retrouver même la trace des cellules nerveuses qui ne sont plus représentées, en que
r des débris informes; à leur place, nous trouvons d'innombrables cellules de névroglie de volume et de forme variables, à n
- mètre. La figure 6 montre bien l'envahissement de la couche des cellules nerveuses par ces éléments tous pourvus de proto-
névrogliques et con- jonctifs tassés les uns contre les autres. Les cellules de névroglie qui semblent être les plus nombreu
e la macula. Seules sont représentées ici la couche des fibres et des cellules nerveuses et une paitie (le la couche granuleus
lules nerveuses et une paitie (le la couche granuleuse interne. Les cellules nerveuses ont disparu, à leur place nombreuses
nterne. Les cellules nerveuses ont disparu, à leur place nombreuses cellules de névroglie : Gr. - 300. 24 ANATOMIE PATHOLOGI
ntes, elles sont pour la plupart orientées longitudi- nalement. Les cellules conjonctives en nombre également considé- rable
a partie voi- sine de la rétine où en M, par exemple, la couche des cellules nerveuses qui ne contient plus un seul élément
tient plus un seul élément nerveux présente une quintuple rangée de cellules conjonctives et névrogliques. Ces cellules nous
une quintuple rangée de cellules conjonctives et névrogliques. Ces cellules nous les trouvons en égale quantité, aussi bien d
nts est considérable : là où normalement il n'y a qu'une dizaine de cellules de névroglie, nous en trouvons ici près de cent.
onjonctifs; 7, rétine avec ses diffé- rentes couches; 7), couche de cellules nerveuses de la rétine au niveau de laquelle on n
., à son entrée dans le globe oculaire, l, travées conjonctives; n, cellules de névroglie dont nous n'avons 'igui'uquo)canou
jonctives épaissies ; n, faisceaux, nerveux complètement remplis de cellules de névroglie dont les uojau\ sont représentés par
ptique ; 10 La rétine présentait des altérations de la couche des cellules nerveuses caractérisées par une série de modifica
s; alté- rations tout à fait semblables à celles qui frappent les cellules nerveuses de l'écorce dans la paralysie générale.
du tissu interstitiel : augmentation considérable du nombre de ses cellules névrogliques, épais- sissement des travées conj
iques, épais- sissement des travées conjonctives, prolifération des cellules conjonctives de sa gaine piale, altérations div
e tenterons pas quant à présent de différencier les altérations des cellules nerveuses de la rétine de celles que l'on renco
ration des éléments nobles de la papille et du nerf optique par des cellules conjonctives et névrogliques, épaississement de
ssement de la trame con- jonctive du nerf, altérations diffuses des cellules ganglion- naires et des fibres nerveuses de la
déterminer dans les cas les plus avancés la destruction totale des cellules nerveuses de la rétine et la production de la s
ce, tous les individus sollicitent habituellement un même groupe de cellules cen- trales pour y développer une fonction déte
ns centres acquérir des fonctions norma- lement dévolues à d'autres cellules . Ce n'est pas tout encore de connaître les prin
ait des réactions sensitivo-motrices malgré la dégéné- rescence des cellules nerveuses sur toute la hauteur du névraxe. En r
THOLOGIQUES. 93 X. Contribution à la technique de la coloration des cellules ner- veuses ; par MM. 131RLSCnONSIiY et Plien.
celle du bleu de méthyle, excelle pour la substance chromophile des cellules nerveuses. L'auteur emploie le violet de crésyle
, on peut croire au premier degré d'une lésion qui irrite celle des cellules sphinctériennes non préposées à la lumière, ou
mière, ou à une action irritative exercée sur ces dernières par des cellules sphinctériennes malades voisines. L'union centr
; si l'excitant se distribue également aux deux noyaux, l'effet des cellules motrices se règle d'après le degré de la lésion
ésion. 11 n'est pas rare en neuropathologie de voir deux groupes de cellules voisins, à action fort semblable, se comporter
dorsalis, les auteurs ont trouvé une atrophie primitibe des grandes cellules radi- culaires de la substance grise avec atrop
ALE. L'imitation, dit M. Marandon, « est le besoin éprouvé par la cellule nerveuse de reproduire ce qui l'impressionne. I
'ordre pathologique. » La persuasion est la lente pénétration de la cellule ner- veuse par des impressions répétées, qui an
ent qu'avec l'intégrité de l'appareil con- ducteur et récepteur des cellules de l'écorce ; qu'il y ait un déve- loppement dé
ules de l'écorce ; qu'il y ait un déve- loppement défectueux de ces cellules , il en résultera un vice d'innervation centrale
NTES. les racines. Ces fibres sont électivement celles qui vont aux cellules motrices des cornes antérieures. C'est là une l
ce d'une poliomyélite antérieure subaigue (diminution de nombre des cellules ; processus d'atrophie simple et exceptionnellem
sont atrophiés sensiblement au prorata des altérations des grandes cellules d'origine. Cette observation, qui appartient in
laire, préalablement intact ou malade, envahir la lymphe qui arrose cellules et fibres, et agir sur le parenchyme : ici inte
iques identiques dans les ramuscules sensitifs de la peau, dans les cellules des gan- glions spinaux (segments intraspinaux)
, autorise à formuler que le tabès émane d'une lésion primitive des cellules des ganglions spi- naux, qui aboutit à la nécro
gliques se multiplient, mais les noyaux, peu. On ne voit que peu de cellules granuleuses, un petit nombre seulement de cellule
voit que peu de cellules granuleuses, un petit nombre seulement de cellules étoilées ou cellules névrogliques riches en pro
ules granuleuses, un petit nombre seulement de cellules étoilées ou cellules névrogliques riches en protoplasma, gonflées, e
ion ; de là les variantes anatomopathologiques : chroma- tolyse des cellules , tuméfaction des cylindraxes, régression des ga
ité que ces débris peuvent demeurer sur place longtemps à l'état de cellules calcifiées, de mottes hyalines, de corpuscules
itation faible qui ne parait pas altérer le parenchyme : telles les cellules satellites des grandes cellules pyramidales de
altérer le parenchyme : telles les cellules satellites des grandes cellules pyramidales de l'écorce se multiplient sans alté-
me jour. Tout près du foyer nécrosé, on rencontre encore de grosses cellules épi- thehoïdes à un ou plusieurs noyaux, des ce
re de grosses cellules épi- thehoïdes à un ou plusieurs noyaux, des cellules mésodermiques du système vasculaire, endothélia
sé par des fibres nerveuses amyéliniques; dans la zone margi- nale, cellules étoilées de névroglie gonflées ; b. Sclérose diff
misphère massif, épais; feutrage de névroglie avec nombreux noyaux, cellules étoilées assez grosses. Un cas de ce genre obse
u. Quelques points ramollis presque exclusivement formés de grosses cellules épithélioïdes ou de grosses cellules étoilées g
xclusivement formés de grosses cellules épithélioïdes ou de grosses cellules étoilées gorgées de liquide. P. KERAYAL. XV. Co
fs crâniens, et, dans une observation de Sossedofi et Glochner, les cellules du noyau dorsal du pneumogastrique présentaient
- lules de la névralgie et une raréfaction assez considérable des cellules nerveuses. Il existe de l'atrophie des fibres pyr
diagnostic de tabes. Il y avait en outre une altération notable des cellules des cornes antérieures. M. H. LV. Un cas de mig
forces des malades, en combattant les altérations nutritives des cellules nerveuses, par une meilleure irrigation du cervea
nclure que les toxines tuberculeuses sont des poisons déprimant les cellules nerveuses. Les cas qu'il publie seraient donc c
oelle épinière. Le procédé GoLGi-VERATTi permet de révéler dans les cellules de la moelle épinière l'existence d'un réseau i
les. Le réseau endocellulaire s'obtient plus difficilement dans les cellules de la moelle épinière que dans les cellules des
difficilement dans les cellules de la moelle épinière que dans les cellules des ganglions spinaux. L'aspect externe du rése
t externe du réseau intra-cellulaire de Golgi, inclus en dedans des cellules spinales, présente beaucoup de variétés dans le
s cellules spinales, présente beaucoup de variétés dans les grosses cellules motrices ce réseau a une structure plus compli-
pend de la forme du corps cellulaire ; ainsi, par exemple, dans les cellules spinales fusiformes le réseau a l'aspect fusifo
iformes le réseau a l'aspect fusiforme dans son ensemble ; dans les cellules rondes, le réseau a l'aspect correspondant, etc
rondes, le réseau a l'aspect correspondant, etc. Dans les petites cellules spinales le réseau affecte une telle simplicité q
t même pas parler ici d'un réseau. Dans quelques-unes des petites cellules fusiformes les rejetons du réseau endocellulaire,
une des préparations on pouvait voir comment dans la dendrite d'une cellule fusiforme menue passent parallèlement deux reje
e réseau n'a pas de rapport avec les voies dites conductrices de la cellule nerveuse ; il présente seulement un système parti
euse ; il présente seulement un système particulier, inclus dans la cellule et pénétrant dans ses dendrites ; il est diffi-
pro- testé... à moins qu'on ne les ait pas consultés du tout. Aux cellules , dont celles de l'Asile clinique sont une copie,
coupes serrées. On a constaté alors que chez le premier chien, les cellules du groupe- ment intermédiaire du noyau du sciat
e, sept. 1902). E. B. XXXI. Réseau endocellulaire de Golgi dans les cellules nerveuses de la moelle épinière ; par le Dr Sou
sma cellulaire ? il s'agit d'un système particulier, inclus dans la cellule , pénétrant dans les dendrites ; mais il est bie
u jour où l'on réussira à révéler ce réseau endocellulaire dans les cellules patho- logiques (Revue neurologique, sept. 1902
ement libéré de cette forme matérielle et morale. On a supprimé les cellules , mais on les a remplacées par des « chambres d'
ruyants (ronfleurs), mais ne doivent pas être considérées comme des cellules pour sujets dangereux : les vitres sont d'aille
e qui peut, en cas d'urgence, venir à l'aide de la veilleuse. Les cellules ont environ 50 mètres carrés. Leurs parois sont
grilles. Entre les deux fenêtres il y a des rideaux. Sur les quatre cellules , trois possèdent, ainsi que la grande salle, de
e ne peut ainsi ni voir ni atteindre la bouche de chaleur. Chaque cellule a une bouche de ventilation. L'éclairage électriq
, tantôt refusent, tantôt acceptent volon- tiers les aliments. La cellule réservée aux aliénés criminels possède deux grill
ot : les malades y sont traités par le repos au lit, la porte de la cellule restant ouverte. Seul l'aména- gement des grill
) pour malades agités et violents avec surveillance continue. Une cellule pour aliéné criminel (pavillon d'isolement IV).
es de vitres ordinaires, à l'exception des fenêtres intérieures des cellules . Dans les salles de bains et les closets les vi
. D" SERGE SouKHANOFF et Feliks GZ : IIiNIEC61. Les dendrites des cellules nerveuses de la moelle épinière chez les vertébré
ière d'un vieux lapin (d'aspect bien portant), chez lequel bien des cellules spinales de calibre menu étaient pourvues de df-i
df-iilli ites, se trouvant en état variqueux. Chez d'antres petites cellules toutes les dendi ites étaient parsemées d'appen
s et grandeurs; lesprolongementsprotopiasmatiques,appar- tenant aux cellules motrices de la corne antérieure, étaient pauvres
postérieures; les contours des prolongements protoplasmatiques des cellules motrices sont plus réguliers et moins sinueux e
somme, plus pauvres en appendices collatéraux que les dendrites des cellules sensitives ayant des contours moins réguliers e
des dendrites motrices et sur un grand nombre de ramifications des cellules de la corne postérieure. Pour conclu- sion, les
emande deux nutritions; une nutrition trophique qui lui vient de la cellule gan- glionnaire et une nutrition d'activité qui
besoin ; les deux étais sont engendrés par un état corrélatif de la cellule nerveuse. De déduc- tiou en déduction l'auteur
a- raphasie par lésion droite du cer- v·eau, par .lolTroy, 203. Cellules nerveuses. Contribution à la technique de la co
ère. par Soul : llauolF, 307. Réseau emlocellllalre de - dans les cellules nerveuses ils la moelle épinière, par Soukliari
49 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ons médullaires étaient exactement localisées au groupe central des cellules du 1 CI' et du 2e myélotomo cervical, d'où l'on
ions sont les mê- mes : 1° ou bien ils agissent directement sur les cellules céré- brales en altérant leur dynamisme ; - : 0
ent sur la circulation et la nutrition, et, secondairement, sur les cellules cérébrales dont ils ont perturbé les moyens de
e réparation et de dépuration. Dans les deux cas, c'est donc sur la cellule et ses pro- longements qu'il faut rechercher la
ce de l'action du poison. Parfois l'action peut-être élective et la cellule peut révéler des lé- sions alors que toute le r
ute le reste de l'économie paraît intact. Parfois, au contraire, la cellule cérébrale peut rester intacte en apparence et u
es toxiques, il arrive souvent que l'on ne révèle aucune lésion des cellules corticales (Faure et Des- - % aulx). Dans les m
ropres, actuellement, à mettre en évi- i- dence les altérations des cellules nerveuses (substances chroma- toltlmle et ncuro
e toxiques variés peuvent produire des lésions analo- gues dans les cellules hépatiques, et beaucoup de lésions hépati - (lu
ue cortical (chromato- lyse a début central, forme globuleuse de la cellule , migration périphérique du noyau) correspondant
itre que la psychose elle-même, l'expression de l'injure faite à la cellule parle poison. VI. Crises gastriques tabétiques,
. Dans la substance grise on note l'atrophie avec, pigmentation des cellules de la corne antérieure et de la colonne de Clar
logique, était uni- forme, très riche en capillaires; on y voit des cellules de diverses 36 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOL
, l'examen histologique du bulbe pratiqué par JI. Paviol montra les cellules des noyaux olivaies atteintes de chromatolyse s
re\ enus à l'état rond, d'autre'- surchargés de pigment jaune ; les cellules normales sont l'exception. Cette affection, à l
s sont parfois altérés. On y trouve (Lagner et Weigert) des amas de cellules lymphatiques analogues à celles qui existent da
dégénérescence graissseuse du foieet du rein, la clroniatolyse des cellules nerveuses, lésions habi- REVUE DE PATHOLOGIE
-Tandis que la théorie du neuroneassimilela fi- bre nerveuse à une cellule mésodermique perforée par le cylindre- axe, la
que, la différenciation disparaît, mais peut reparaître lorsque les cellules devenues indifférentes sont de nouveau mises en
haschich, etc.) b) indirecte- ment, par suite de l'intoxication des cellules germinales par des toxiques organiques ou non.
n peut admettre l'unité del'alexine, agent dissolvant de toutes les cellules à élimi- ner. Plus on ira et plus deviendront f
entre les alexines et les toxines albuminoïdes. La destruction de cellules provoque deux réactions l'une, très forte, abouti
rès forte, aboutit à la production d'une substance agissant sur les cellules dé- truites ; l'autre produit une substance agi
t une substance agissant d'une façon diffuse sur un grand nombre de cellules . Cette façon de voir CONGRÈS DES MÉDECINS ALI
une description : il est la traduction d'une atteinte directe de la cellule pensante par des toxiques char- riés par le san
iguës sont la traduction d'une atteinte plus ou moins diffuse des cellules noblesdu cortex par des toxiques complexes. On es
es, abcès, etc. Dans les inflammations chroniques ce sont, soit les cellules dérivées des libroblasies, des parois vasculair
réagissent au cours des processus méningés et vasculaires, soit les cellules névrogliques qui interviennent quand la substan
as le même degré. B) Etude histologique. 1° Tissu nerveux, a) Les cellules nerveuses s'atrophient et disparaissent : le nom-
cellules nerveuses s'atrophient et disparaissent : le nom- bredes cellules atrophiées n'estpasproportionnelà l'âge, il res
atrophiées n'estpasproportionnelà l'âge, il reste très souvent des cellules saines chez les sujets les plus âgés. L'atrophi
de la couche blanche sous- jacente. 2° 1 issu névroglique. a) Les cellules névrogliques parais- sent augmenter de nombre ;
diminution des éléments nerveux. Les noyaux qui entourent certaines cellules nerveuses en voie de destruction ne jouent null
assement du tissu dans les espaces laissés vides par l'atrophie des cellules nerveuses. b) La prolifération des fibriles név
avec la démence (5 cas,dont un personnel). Les mêmes lésions des cellules et des fibres, nerveuses et névrogliques, peuve
pen- dante, produisent l'altération des vaisseaux. L'atrophie des cellules ,et des fibres nerveuses en par- ticulier, sembl
ns de l'existence ; la sénilité et la dégénérescence atrophique des cellules nerveuses seraient ainsi la conséquence de mult
ue commun, d'ori- gine toxique, de désintégration et d'atrophie des cellules et des fibres nerveuses. ' 2° Les petites lés
ifférentes, que l'on pouvait considérer la cel- lule nerveuse et la cellule névrogliqùo comme des soeurs en- nemies s'obser
a première occasion morbide. La maladie diminue la résistance de la cellule nerveuse, exalte, au con- traire, l'activité de
ce de la cellule nerveuse, exalte, au con- traire, l'activité de la cellule névroglique. L'une réagit par la mort, l'autre
tantôt à des névrites périphériques, tan- tôt à des altérations des cellules spinales des cornes antérieu- res coexistant av
echerches histologiques sur l'origine et le mode de formation de la cellule nerveuse dans la moelle épi- nière et dans la p
ne forme 'bipolaire identiques et sont produits par kariokinèse des cellules germinatives placées autour du canal central. G
les éléments nerveux s'établis- sent à la suite de la formation des cellules nerveuses. La cellule nerveuse se développe aux
ablis- sent à la suite de la formation des cellules nerveuses. La cellule nerveuse se développe aux dépens d'un neuroblaste
mer vers le 10e jour et apparaît en« principe à la périphérie de la cellule . - J. SL3GLAS. XI. Action du calcium sur l'éc
e la région cérébrale..1. Séglas. XII. - Le mode de formation de.la cellule nerveuse dans les ganglions spinaux du poulet ;
e complément de travaux anté- rieurs sur le mode de formation de la cellule nerveuse dans la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
a protubérance des embryons de poulet. L'étude de laformation de la cellule nerveuse dans les ganglions spinaux a été faite
matique apparaissent plus tard. Le résultat indiscutable est que la cellule des ganglions est due à l'évolution et au perfe
de Gegenbaur,l'auteur aboutit aux conclusions suivantes : 1° Les cellules du feuillet ectodermique ont une forme allon- g
ux prolongements (prolon- gements bipolaires) grâce auxquels chaque cellule entre en con- nexion avec les cellules voisines
laires) grâce auxquels chaque cellule entre en con- nexion avec les cellules voisines. 2° Les neuroblastes de la région médu
tives seulement vers la fin du troi- sième jour. C'est alors que la cellule ganglionnaire se différencie, en se recouvrant
ÉGLAS, \ \. - La première apparition des neuro-flbrilles dans les cellules spinales des vertébrés ; par HRAG1;1T0. lin Riv
, entre le nombre des fibrilles apparentes et le mince réseau de la cellule colorée. La substance chromatique non éliminée
une partie de la fibrille longue et du réseau. Mais les images des cellules ganglion- naires, par lu contraste qui existe e
u canal médullaire au milieu des Prolongements centripètes de leurs cellules . z Séglas. XXIV. Les oscillations périodiques m
réticulum fibrillaire endo-cel, lulaire et sur le cylindraxe de la cellule nerveuse des vertébrés ; les différentes méthod
prolongement cylindraxile. - Le prolongement z nylinclravile de la cellule nerveuse des vertébrés vient du reticu- lum fib
d'un point du faisceau pyra- mitlal. avec lésions consécutives des cellules des cornes antérieu- res (Jonroy et Achard, Ste
cles par l'intermédiaire de lésions matérielles ou dy- namiques des cellules des cornes antérieures, des troubles vaso- mote
propagation des lésions des fibres descendantes dégéné- rées de la cellule nerveuse, à travers la substance grise spinale,
rveux embryonnaires et sur la formation du réti- culum interne delà cellule nerveuse; par Carlo 11EST.\. (In Rivista di- Fr
libre, réuni à un autre neuroblaste plus ou moins éloigné. 4" La cellule nerveuse n'est pas une unité embryologique. Kilo
une différenciation des nouvelles neuronhrilles dans le corps de la cellule du neuroblaste primitif. D'abord la fibrille trav
erait une affection de l'unité sensitivo-inotrice primaire et de sa cellule terminale, le muscle. D'après le degré de résis
z 4" A Van Gehuchten. Considéra- tions sur la structure interne des cellules nerveuses et sur les annexions anatomiques des
l'étude de l'aspect externe des prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses colorés par le bleu de méthylène. 6°
110 )Iicliotte. Contribution à l'élude de l'his- tologie fine de la cellule nerveuse ; 12° A Van Gehuchten. La poliomyélite
érieure aiguë de l'adulte ; 13° E. Rossi. L'in- tima stuttura délie cellule nervose umane. Le volume VU contient les articl
rébelleux supérieurs ; - 4° Dott. EnricoHossi. Fina islologia délie cellule nervose giganti della cordeccia céré- bral uman
psie confirma l'exactitude du diagnostic ; on trouva un sarcome à cellules polymorphes, très vasculaire, ayant infiltré le t
dia- tions thalamiques et le faisceau longitudinal inférieur. Les cellules pyramidales de l'écorce, étudiées par la méthode
s séniles et chez les or- ganiques,et dans le plus grand nombre des cellules en voie de chromatoylse. Ce sont les mêmes plaq
globine en oxyhémoglobine, alors capable d'amener l'oxygénation des cellules dans l'inti- mité des tissus. Le système nerveu
conséquences sont les éléments les plus sensibles, c'est-à-dire les cellules nerveuses. Que le système nerveux vienne à souf
secondaire avec parésie de l'appareil inhibitoire. A mesure que les cellules motrices corticales et médullaires se fatiguent
e Directeur de l'Assistance et de l'hygiène publiques, III2zvtAN. CELLULES DE l'hospice de SAINT-0¡"11>R. Il est un cer
fera mieux de combiner celles pour les agités avec les quartiers de cellules . Une station d'observation doit contenir : une
nier à l'asile d'alié- nés de Privas, a été trouvé asphyxié dans sa cellule , ses fournitu- res de literie entièrement brûlé
éthode de Donaggio des lésions du réticulum neuro-fibrillaire de la cellule nerveuse dans l'inanition expérimentale ; par R
versale ; la formation de vacuoles est évidente, on observe dans la cellule de gros rubans prenant leur origine dans les no
profonde dureliculum, il tel point qu'on peut ne rencontrer dans la cellule que. peu de granulations licite- ment colorées.
t..l. S. XL1. - Sur la présence des corpuscules à l'intérieur des cellules nerveuses spinales dans l'inanition expérimen-
Par l'emploi de la' méthode de Donaggio, on peut observer dans les cellules de la moelle épinière des formations de couleur
mence précoce, les lésions prédominaient dans la couche des grandes cellules pyramidaleset, au contraire, que ces lésions po
idaleset, au contraire, que ces lésions portaient sur la couche des cellules polymorphes dans le type paranoide.il y aurait
e même écorce en profondeur. G. Deny. XLIV. Sur la nucléole de la cellule nerveuse ; par .Ion. G. Lâche (de CucaresL). (J
ssants détails sur la mor- phologie et la structure du nucléole des cellules nerveuses. D'après l'auteur, deux substances, a
formations réticulées, qu'elle met en évidence dans l'intérieur des cellules , des simples coagulations d'albumine qu'elle y l'
stance interlibrillaire ». Les rélicu- lums ligures par S. dans les cellules les moins altérées trahissent évidemment une im
it né- gligé de donner, même approximativement, la proportion des cellules saines et des cellules altérées. 11 faut noter en
r, même approximativement, la proportion des cellules saines et des cellules altérées. 11 faut noter en outre que la méthode
s le lobule paracentral. tandis que partout ailleurs la plupart des cellules étaient déjà fortement altérées, notamment dans 1
alement atteintes. S. décrit des lésions analogues dans les grandes cellules de la moelle, notamment dans celles des renflem
on )par continuité ou par configuré) des prolongements de plusieurs cellules voisines, il est vraisem- blable que les excita
sines, il est vraisem- blable que les excitations diffusées par ces cellules se perdent sans effet physiologique particulier
e perdent sans effet physiologique particulier. Mais si deux de ces cellules ou un plus grand nombre sont elles-mêmes excité
d'aNATOMIU ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lion commandée par une cellule dans les ramifications d'une autre étant d'auta
ger le sens de la conduction dans les prolongements qui mettent les cellules en rapport réciproque, G. considère les segment
» qui seraient schemati- quement également distantes de chacune des cellules partici- pantes, mais dont la situation varie n
ient plus faciles qu'ailleurs, rendraient plus inti- me l'union des cellules d'un même groupe et, par là. l'association des
me groupe et, par là. l'association des excitations parvenues à ces cellules . De telles excitations sont plus vite reconnues
s. Dans l'écorce cérébrale, la lésion atteint surtout les grandes cellules de la ? )- couche de la région motrice. Dans le c
lules de la ? )- couche de la région motrice. Dans le cervelet, les cellules de Purkinje sont en outre très raréfiées ; la cou
le, notam- ment au niveau des renflements cervical et lombaire, les cellules des colonnes de Clarke et des cornes postérieul
conduction nerveuse et l'indépendance relative des fibrilles et des cellules nei euses ait t été complètement ruinée par des
ce embryogéniquo des libres nerveuses périphériques par rapport aux cellules nerveuses. Il existe cependant de nombreux résu
stologique décela une dégé- nérescence scléreuso ou pigmentaire des cellules ganglionnaires et des altérations très accentué
l. Autour des vaisseaux il existait en outre une grande quantité de cellules plasmatiques et des plasma- zellen. C'est à cet
ticité cellulaire et par une incomplétude des liquides baignant les cellules . Les deux phénomènes sont du reste absolument l
e les travées hépatiques. Cette infiltration est constituée par des cellules embryonnaires et épithélioïdes, et par quelques
des cellules embryonnaires et épithélioïdes, et par quelques rares cellules géantes. Le tissu conjonctif IMJ : ÉCILLI 1 P
1lu]e ean es, d'\111 grand nombre de cel- lules épithélioïdes et de cellules embryonnaires. Dans le tissu qui sépare les fol
iques (isolement des malades contagieux, chauffage des quartiers et cellules , désencombrement des dortoirs, régime alimentai
périeurs, on trouve la reproduction sexuelle ou conjugaison par les cellules des glandes sexuelles. Ces cellules continuent
sexuelle ou conjugaison par les cellules des glandes sexuelles. Ces cellules continuent la vie de leurs parents, de sorte que
, il continue à vivre dans ses descen- dants ; la chromatine de nos cellules germinatives est le porteur de toutes les quali
s morbides. Voir Patio- logic mentale. Cécité. Voir Hystérique. Cellule nerveuse. Recherches Iiistologiques sur l'origi
ns un cas d'atrophie cong. du cervelet, par Straussler, p. 393. Cellules de l'hospice de Saint- Omer, 1. 239. CENI. Vo
ir Réticulum. Sur la présence des corpuscules à l'intérieur des cellules nerveuses spinales dans 1' - -, par Riva, p. 38
dans la démence précoce, par Klippel et Thermite. p. 34. - Voir Cellule nerveuse. Les alté- rations de la épinière dans
47. Arse nicale, par René h.1'.Conzène, p. 45^,. Nucléole. Voir Cellule tirer- vluse. Nymphomanie. Sur quelques ca-
cherches sur le - - endo-cel- lulaire et sur le cylindraxe de la cellule nerveuse des verté- hré,; les différentes métho
ts nerveux embryonnaires et sur la formation du - in- terne de la cellule nerveuse, par Besta. Etude par la mé- thode d
mé- thode de Donaggio des lésions du - neuro-fibrillaire de la cellule nerveuse dans l'inani- tion expérimentale, par
50 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
s lésions exclusivement bornées, par exemple, à certains groupes de cellules nerveuses, à cer- tains faisceaux de fibres. Il
plus grande précision; elle nous permet de constater quel groupe de cellules , quels faisceaux de fibres nerveux ont été irrité
stance gélatineuse de Rolando. C. Col de la corne postérieure. D. Cellules de la colonne de Clarke. E. Veines profondes de
e. E. Veines profondes de la moelle. F. Groupe antéro-interne des cellules ganglion- naires de la corde antérieure. G. G
ganglion- naires de la corde antérieure. G. Groupe antérieur des cellules ganglionnaires de la corne antérieure. H. Gro
nglionnaires de la corne antérieure. H. Groupe antéro-externe des cellules ganglion- naires de la corne antérieure. I. C
postérieure. IC. Racine postérieure. Figure 2. MOELLE NORMALE. Cellules ganglionnaires de la substance grise de la corne
tiquée dans la région cervicale et colorée par le picro-carmin. Les cellules vues un fort grossissement (obj. 4, Vérick) appar
e antéro-externe. A. Cellule multipolaire. B. Noyau d'une autre cellule . C. Nucléole. D. Prolongement ramifié. E. P
ent de Deiters non ramifié. E'. Prolongement de Deiters d'une autre cellule . F. Réseau fibrillaire de la région. G. Coupe
eure, et colorée par la méthode de Weigert. Le canal central et ses cellules y sont vues à un fort grossissement (obj. 4, Véri
canal. E. Tubes nerveux de la commissure antérieure. C. Plateau des cellules . F. Vaisseau. PLANCHE III FIGURE 5. MOELLE
l central. 1. Commissure antérieure. J. Racine postérieure. Jt. Cellule de la corne antérieure. Figure 10. MOELLE NOR
Jt. Cellule de la corne antérieure. Figure 10. MOELLE NORMALE. Cellules nerveuses de la colonne de Clarke. Coupe pratiq
atiquée dans la région lombaire et colorée par le picro-carmin. Les cellules sont vues à un fort grossissement (obj. 4, Vérick
nt (obj. 4, Vérick). En comparant à la figure 2, qui représente les cellules des cornes antérieures de la même moelle, préparé
A-A-A. Cellules ovoïdes. B. Noyau. C. Nucléole d'une autre de ces cellules . D. Espace vacuolaire péri-cellulaire. E. Rés
postérieure. J. Faisceau latéral. Figure 12. MOELLE D'AMPUTÉ. - CELLULES de la corne antérieure de substance grise atrophi
té. ri. Région non altérée de la corne antérieure. B. Groupe de cellules ganglion- naires respectées. C. Corne postéri
in et vue à un grossis- sement moyen (obj. 2, Vérick). A ? 1.-fl. Cellules ganglionnaires indemnes. B. Cellule altérée.
picro-carmin. On y voit la diminution de nombre et l'altération des cellules ganglionnaires. A. Racines antérieures. B. Co
x coupés transversalement de la substance blanche avoisinante. D. Cellule ganglionnaire restée saine. E-E-E. Cellules gan
dire qu'il existe de la sclérose postérieure et des altérations des cellules des cornes anté- rieures. A. Corne antérieure
précé- dente, mais y est plus limitée. A. Corne antérieure. A'. Cellules de la corne. B. Corne postérieure. C. Racine
à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). On y voit les lésions des cellules et leur disparition en du tissu fibrillaire. A-
érée alors que la symétrique présente son réseau fibrillaire et ses cellules ganglionnaires normales. Le manteau blanc de la m
rphe, cicatriciel, la droite montrant son réseau fibrillaire et ses cellules normales. A. Corne saine. a-a-a. Ses cellules
fibrillaire et ses cellules normales. A. Corne saine. a-a-a. Ses cellules ganglion- naires. A'. Corne altérée. B. Cor
orne antérieure de la préparation précédente. On reconnaît quelques cellules très altérées dans un tissu formé de détritus g
Son noyau. C. Son nucléole. D. Ses granulations. E-E. Débris de cellules . F. Cellule très altérée. G-G. Lcucocythcs,
aires moyennes de Burdach. - A. Corne antérieure. a. L'une de ses cellules . B. Corne postérieure. C. Racine postérieure.
n grossissement fort (obj. 4, Vérick). On y distingue les lésions des cellules ganglionnaires des cornes antérieures. A. Tis
térieures. A. Tissu fibrillaire. B-B. Cellules peu altérées. C. Cellules atrophiées et privées de prolongements. D-D. Ce
. Ces derniers n'existent pas encore. A. Corne antérieure. a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Corne postérieure. C. Raci
veloppement des faisceaux de Burdach. A. Corne antérieure. a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Cornes postérieures. C. Ra
et vue à un fort grossissement (obj. 7, Vérick). Les altérations des cellules s'y remarquent bien. A. Cellule peu altérée.
t le tissu fibrillaire du gliome. A. Cavité pathologique. B-li. Cellules de revêtement de la paroi. C. Tissu gliomateux.
51 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ns pu, pour la pre- mière fois constater la disparition des grandes cellules pyramidales qui existent normalement dans la ré
core elle affecte toute la hauteur de ce système depuis la grande cellule pyramidale de l'écorce jusqu'à la grande cellule
e depuis la grande cellule pyramidale de l'écorce jusqu'à la grande cellule des cornes antérieures de la moelle, d'où elle
, y compris les circonvolu- tions motrices. Disparition des grandes cellules pyrami- dales de l'éco7,ce. Dupont (Sébastien
e ; en explorant toute la coupe on ne peut trouver une seule grande cellule pyramidale. 1 Pour ne pas allonger démesurément
coupe existent les corps granuleux ; on ne trouve plus de grandes cellules pyramidales. Dans le reste de la circonvolution
deux tiers infé- rieurs ; plus bas, on n'en voit plus ; les grandes cellules pyra- midales font à peu près complétement défa
pariétale ascendante il n'y a plus de corps granuleux ; les grandes cellules pyramidales se comportent comme dans la partie
s corps granuleux ; on constate l'exis- tence d'une ou deux grandes cellules pyramidables sur chaque coupe. Circonvolution
niveau du lobule paracentral. Pas de corps granuleux ; les grandes cellules pyramidales se voient ici en plus grande quanti
deur de celui-ci. On n'en trouve aucun dans l'espace occupé par les cellules du locus niger non CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMY
tance grise il y a une diminution considérabledu nombre des grandes cellules motrices ; cette diminution est d'ailleurs un p
ifférentes coupes. Sur quelques-unes, on voit à peine deux au trois cellules dans cha- que corne antérieure, souvent leurs p
ceau cérébelleux. Coloration plus foncée des faisceaux de Goll. Les cellules motrices des cornes antérieures ont beaucoup di
occupée par le faisceau pyramidal dans ce segment de la moelle. Les cellules motrices des cornes antérieures sont abondantes
ris les circonvolutions motrices.- Diminution du nombre des grandes cellules de l'écorce. Bornic..., soixante ans, couturièr
ayonnant du centre ovale vers l'écorce ; il existe quelques grandes cellules pyramidales, mais leur nombre est notablement d
e contient qu'un très petit nombre de corps granuleux ; les grandes cellules pyramidales y ont à peu près complètement dispa
ellules pyramidales y ont à peu près complètement disparu, mais les cellules pyramidales moyennes sont, en revanche, très ne
ante gauche, contient des corps granuleux en abondance, les grandes cellules pyramidales ont beaucoup diminué de nombre, c'e
n nombre de corps granuleux et une diminution du nombre des grandes cellules pyramidales. Les autres parties des circonvolut
plutôt un peu sur celui-ci. Moelle cervicale. Le nombre des grandes cellules des cornes antérieures est très diminué. Celles
ns les espaces périvasculaires; quelques-uns sont contenus dans les cellules nerveuses, indi- quant ainsi leur altération pl
quelques fines granulations bleues, siégeant à l'un des pôles de la cellule , tantôt la cellule a presque entièrement dispar
ulations bleues, siégeant à l'un des pôles de la cellule, tantôt la cellule a presque entièrement disparu et ses restes son
28 PATHOLOGIE NERVEUSE. Disparition presque complète des grandes cellules de la subs- tance grise, ainsi que des fibres n
ez abondants dans les espaces périvasculaires. Un certain nombre de cellules nerveuses des cornes anté- rieures présentent a
s postérieur avec les deux tiers antérieurs de ces faisceaux. Les cellules des cornes antérieures existent en assez grand
les autres régions de la moelle; un très petit nombre seulement de cellules nerveuses des cornes antérieures ont pris la co
use ; mais ce qui domine, c'est une augmentation très accentuée des cellules adipeuses du tissu interstitiel. Dans le lary
e, soit dans les circonvolu- tions, soit dans la couche optique des cellules ner- veuses un peu granuleuses présentent jusqu
si facilement évitée, car dans le cas où on aurait eu affaire à des cellules ner- 32 PATHOLOGIE NERVEUSE. veuses, le corps
art, la disparition totale ou la diminution du nombre des grandes cellules 'pyramidales de l'écorce; dans t'OBSER- VATION
niveau du lobule paracentral, on ne trou- vait plus de ces grandes cellules . Un peu au-dessous, on en rencontrait quelques-
ur aucune préparation nous n'avons pu retrouver ces nids de grandes cellules pyramidales qu'il est si facile de trouver sur
qu'il est si facile de trouver sur un cerveau normal, toujours ces cellules se montraient absolument isolées les unes des a
ait un bien plus grand nombre. Ajoutons, que pour la plupart, ces cellules n'étaient pas aussi volumineuses, aussi belles
façon un peu plus intense qu'à l'ordinaire( ? ). Quant aux autres cellules de l'écorce, elles ne nous ont pas semblé modif
s cellules de l'écorce, elles ne nous ont pas semblé modifiées, les cellules pyramidales moyennes étaient notamment assez be
es deux côtés. La substance grise ne présentait rien d'anormal. Les cellules ner- veuses étaient indemnes. Sur les coupes fa
ième et du cinquième nerf lombaire, on trouvait du pigment dans les cellules nerveuses des cornes antérieures. Pas de vacuol
ique, et ses faisceaux nerveux transfor- més en tissu scléreux. Les cellules nerveuses étaient atrophiées. Pour expliquer ce
rophie'dans les cordons postérieurs (p. 577), et la disparition des cellules nerveuses du groupe latéral de la corne antérie
taient cependant bon nombre de tubes altérés. Pour ce qui est des cellules oblongues, à forme de citron, dont parle le Dr
llberg1, dans sa thèse d'a- grégation, et qu'il considère comme des cellules régé- nératrices provenant du tissu conjonctif
oppent, ils forment un réseau dans les mailles duquel on voit des cellules étoilées. En croissant, le tissu conjonctif com
dans la partie intramédullaire des racines postérieures et dans les cellules nerveuses des cornes antérieures. Après une tra
traumatisme également que nous attribuons les altérations dans les cellules nerveuses des cornes antérieures, altérations d
re dégénératif comme le prouvent les vacuoles qu'on trouve dans les cellules nerveuses (Voy. fig. 3, PL. I). Comme nous avon
Voy. fig. 3, PL. I). Comme nous avons constaté la vacuolisation des cellules nerveuses des cornes antérieures chez des lapin
on dans la rupture partielle des tubes nerveux qui se relient à ces cellules , que de supposer une transmission par continuit
postérieur du côté opéré, qui forme un réseau fibreux contenant des cellules étoilées. Ce réseau en- vahissant de plus en pl
uses et moins fortes du côté correspondant à la traction ; 8° Les cellules nerveuses de la corne antérieure sont bien moin
es postérieures et antérieures, ainsi qu'une atrophie prononcée des cellules nerveuses des cornes antérieures. En nous bas
ines postérieures et enfin à la vacuolisation et à l'atrophie des cellules nerveuses des cornes antérieures. Ces deux caus
rieures ; en de la vascularisation et de l'atrophie consécutive des cellules des cornes antérieures. Ces modifications const
res années. Indépendamment de l'atrophie et de la disparition des cellules nerveuses dans les cornes antérieures, les alté
ieur droit, tmm, 05; le cordon postérieur gauche, 1 ? 20. Fig. 3. Cellule nerveuse en voie de vacuolisation provenant de la
même : 1° Chaque fibre sans branches est en connexion avec chaque cellule de Purkinje. Le cylindre axe passe dans le protap
ellule de Purkinje. Le cylindre axe passe dans le protaplasma de la cellule , la gaine médullaire dans la capsule névroglique
la cellule, la gaine médullaire dans la capsule névroglique de la cellule ; 2° Le cylindre axe se convertit dans la cellu
vroglique de la cellule ; 2° Le cylindre axe se convertit dans la cellule en un certain nombre de fibrilles qui passent d
L'altération constante de la sub- stance grise (dégénérescence des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieure
constance de la dégénérescence atrophique et de la disparition des cellules nerveuses après l'opération sans aucun processu
onnexions si riches, si multipliées, qu'af- fectent entre elles les cellules nerveuses au moven de leurs prolongements dans
n des ganglions spinaux, mais qu'elle émane de la destruction des cellules nerveuses qui, selon toute probabilité, servent d
K. II. SUR la signification DE la formation DE vacuoles dans LES cellules nerveuses ; par P. Rosenbach. Remarque SUR LE t
Pick. CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE DE la formation DE vacuoles dans LES CELLULES NERVEUSES, ganglionnaires DE la moelle, par R.
appréciation et formule la pathogénie suivante : le protoplasma des cellules nerveuses possède une certaine cohésion, une ce
s. Evidemment cet accident arrivera souvent et s'accentuera sur des cellules préalablement altérées, mais la formation de la
tances vacuoliques avec altération du protoplasma dans les grandes cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures
ent des altérations très nettes qui attei- gnent principalement les cellules . Extrêmement vives dans la moelle (cornes antér
ieures) elles se résument en : disparition de la transparence de la cellule , tuméfaction trouble de son noyau, résistance d
vient indistinct, perd ses limites, dis- parait totalement comme la cellule transformée en un débris in- forme qui cède à l
l'éther des particules de sa substance. Il en est de même pour des cellules nerveuses ganglionnaires de l'écorce, les cellu
de même pour des cellules nerveuses ganglionnaires de l'écorce, les cellules cérébelleuses de Purkinje, celles des ganglions s
oïde); leurs parois, peu altérées, sont parfois stéateuses (lapins, cellules endothéliales) ; névroglie tuméfiée et trouble
I. Evidemmenl il ne désigne pas une apparence semblable à celle des cellules du foie malade; les cellules, tout en conservan
as une apparence semblable à celle des cellules du foie malade; les cellules , tout en conservant leur configuration normale,
ouche optique. Enfin, comme nous l'avons dit dans l'autopsie, les cellules nerveuses de la couche optique quoique très nom
lammée; enfin à la région lombaire où la substance grise (grandes cellules nerveuses et fibres nerveuses à myéline observé
e M. Déjeriiie qui, malgré les résultats de l'autopsie (lésions des cellules motrices de la substance grise et des faisceaux
FiG. z Pédoncule gauche, Observation I. A, corps rantileux. - B, cellules pigmentées du locus niger. FIG. 5. Protubérance
pôt formé de corpuscules muqueux, d'oxalate calcique et de quelques cellules épithéliales. 2° Examen physico-chimique : '
es hystériques. Mais dans les deux cas il y a une modification, des cellules qui servent au substratum de la mé- moire puisq
oire parait plutôt due à une anesthésie ou à une paralysie de ces cellules qu'à un défaut d'harmonie dans l'activité des deu
de cas est extraordinairement t rare. Guérison. P. K. VI. SUR LES CELLULES NERVEUSES ganglionnaires DE l'écorce DU CERVEAU
S; par E. MENDEL. (Neurol. Centralbl., 1884). A l'état normal, la cellule corticale est entourée d'un espace 4 Voy. Archi
), elle mesure à la base de 7 à 50 li.; en hauteur 10 à 75 z. Les cellules les plus grandes occupent le lobule paracentral ;
ngles et des prolongements dépendent d'ailleurs de la situation des cellules pyramidales par rapport à l'axe optique du micr
; au dernier degré de l'altération, ils font défaut. Intégrité des cellules des gros ganglions, de la protu- bérance, des n
être le siège d'altérations extrêmement pro- noncées, quant à leurs cellules . VII. Sur l'état des aliénés en RussiE;parM.Kow
ndra-t-on ses mesures pourl'a- venir à Emmendingen. On pourvoira;de cellules d'isolement les quartiers d'épileptiques propre
x' ans)'. Quant' à, l'esameliüiic'i·ôscopiqite en tous ces cas; les cellules nerveuses, ont plus ou imomsl disparu, dans les
umeaux supérieurs ! et inférieurs dans les couches, optiques ;,des; cellules épargnées prennent mal les réactifs colorants 1 e
quand il s'agissait d'une'atrophie unilaté-' raie. Intégrité 'des' cellules corticales des''lobes' occipitaux.' ' l" ' Quel
line'carmin brun de Bismarck) dans le but plus spécial de fixer les cellules .' Du reste, les éléments' cellulaires des organ
, démontré que la destruction d'un lobe occipital détermine sur les cellules nerveuses des organes placés en avant de lui le
Il ' t i , . . l' 1, t. l' l ,< i. , v. M. E. MENDEL. Sur les cellules nerveuses ganglionnaires de l écorce , dans la
'1 .1 1 1 r, il.1 ? I qu'après avoir fixe 1 j¡lstologlC normale des cellules nerveuses, 1 \. ,1 ' .. Il \'\\ \ \ 1 \ il ? j-
~proloplasmà''cellu- laire ; 3° de la sclérose et de l'atrophie des cellules ? 4° des altéra- tions des noyaux identiques à
otoplasma. Discussion : M. l3mswnc>rn. L examen d un groupe de cellules géantes pyra- midales dans les circonvolutions
vient d'entei1arë. Les celllules sont lésées par groupes. Dans les cellules jeunes, noyau et pigment sont en raison inverse
s les cellules jeunes, noyau et pigment sont en raison inverse; des cellules ^avancées en âge, normalement pigmentées, permet
e lui. Il est, sur-le-champ, facile de recon- naître l'atrophie des cellules nerveuses de l'écorce des paralytiques généraux
du jour. L'un d'eux, qui était resté dix-huit ans enfermé dans une cellule obscure, fut pris d'une sorte de ravissement lo
des, il ne disposait dans les deux quartiers d'isolement que de six cellules pour chacun. Le chiffre de la population a rapi
chiffre de la population a rapidement atteint 450 de sorte que les cellules devinrent insuffisantes. On a donc installé dans
de salle de jour; une chambre de gardiens ou de gardiennes et trois cellules d'isolement. La cellule est munie d'un verre épai
mbre de gardiens ou de gardiennes et trois cellules d'isolement. La cellule est munie d'un verre épais de 13 millim., bleu-
structeurs, la vue du dehors, car on ne voit de l'extérieur dans la cellule qu'à l'aide d'une lumière arti- ficielle ; les
formé le quartier cel- 298 VARIA. lulaire des hommes avec ses dix cellules . Ce résultat a été atteint grâce au traitement
. L'an dernier, pour diminuer l'encombrement on a augmenté de trois cellules le bâtiment d'iso- lement, on a élargi le local
2 cent. cubes; - dans les dortoirs : 32 à 37 cent. cubes;- dans les cellules : 54 cent. cubes ; ils pos- sèdent, à tous les
rigine apparente des racines de la première paire dorsale, quelques cellules nerveuses des cornes antérieures semblent un pe
eures de la moelle, les changements décrits plus haut ont, dans les cellules nerveuses, un plus grand développement et embra
ppement des cellules-araignées. En outre, on voit le gonflement des cellules nerveuses et le change- ment de la névroglie. L
modification de la nutrition qui entraine l'équilibre instable des cellules nerveuses des centres moteurs; dès lors, une exci
tion la plus cons- tante, une dégénérescence hyaline (colloïde) des cellules ner- veuses ; premier stade : tuméfaction, trou
remier stade : tuméfaction, trouble; hypertrophie, gonflement de la cellule , hypertrophie du noyau arrondi et parfois divis
s- solvent aisément dans l'essence de girofle, recoquillement des cellules , conservation des noyaux. Dans les premiers stade
ue des vaisseaux, thromboses hyalines, dégénéres- cence hyaline des cellules de l'écorce englobant par places (ma- cules) la
neurasthénie cérébro-spinale, dans les régions seules où il y a des cellules ganglionnaires (inaction des conducteurs nerveu
sium, 108. Caféine et alcool, par Lewis, 423. Cannabinone, 122. Cellules nerveuses (vacuoles dans les), 90. Cérébrale
267. , Paratdehyde,parDenda,t07,249. Paralysie générale (état des cellules nerveuses dans la), par \Iendel, 232; par Meu
droit, L ? t, 05; le cordon postérieur gauche, 1"n", 20. Fig. 3. Cellule nerveuse en voie de vacuolisation provenant de la
Fig, 4. Pédoncule gauche, Observation I. A, corpo ârauulew - l3, cellules pigmentées du tocusuiger. Fig, 5. Protubérance
52 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
e les unissait en un même système. Cet organe intermédiaire est Une cellule centrale. Les cellules nerveuses sont connues d
e système. Cet organe intermédiaire est Une cellule centrale. Les cellules nerveuses sont connues depuis longtemps des anato
nnover les a depuis figurées avec l'exactitude qu'on lui connaît. Ces cellules que Will, Purkinje et Valentin, Todd et Bowman, W
ensitives, et d'où rayonnent certaines fibres motrices (2). Ainsi les cellules peuvent être considérées comme des intermédiaires
tre générateur d'impulsions. En effet, la fibre sensitive agit sur la cellule centrale et la modifie de manière à réveiller en
le est l'idée qu'il faut se faire des propriétés et des réactions des cellules nerveuses centrales. III. Nous avons considéré
res nerveuses fasciculées forment un nerf, de même un grand nombre de cellules nerveuses agrégées forment un ganglion. Les gangl
un ganglion. Les ganglions, eu égard à la forme et au groupement des cellules , sont de quatre ordres. 1° Dans certains gangli
les, sont de quatre ordres. 1° Dans certains ganglions nerveux, les cellules sont accumulées comme des grains dans une masse d
avec les autres. On ignore complètement quel rôle jouent ces amas de cellules libres; peut-être ont-elles avec les fibres des r
relations qu'on n'a point aperçues. 2° Un second ordre comprend des cellules auxquelles ne se rattache qu'une seule fibre nerv
re nerveuse, du moins en apparence. 3° Souvent dans un ganglion une cellule reçoit une seule fibre nerveuse, et en émet une s
et en émet une seule qui continue son trajet vers d'autres points. La cellule apparaît alors comme un renflement sur le trajet
nt sur le trajet d'une fibre. On pourrait, à priori, con cevoir ces cellules comme constituant un appareil de renforcement ou
s effets qui résultent des propriétés qui lui sont particulières. Ces cellules se retrouvent surtout dans les ganglions excentri
es, tels que les ganglions intervertébraux. On leur a donné le nom de cellules bipolaires. MM. Wagner, Ch. Robin, Ecker et quelq
veux de la lame spirale du limaçon. 4° Dans d'autres ganglions, les cellules nerveuses émettent des prolongements multiples. D
tent des prolongements multiples. De ces rayons les uns passent d'une cellule à une autre, unissant en un réseau très-compliqué
vec l'axe de certaines fibres nerveuses périphériques. On désigne ces cellules à rayons multiples sous le nom de cellules multip
iphériques. On désigne ces cellules à rayons multiples sous le nom de cellules multipolaires. Cette structure se retrouve surt
ntres. En conséquence de ces anastomoses, il semble impossible qu'une cellule soit seule modifiée ; ses modifications doivent r
difiée ; ses modifications doivent rayonner en quelque sorte vers les cellules voisines, et d'une stimulation simple peuvent ain
n effet, que MM. Wagner et Ch. Robin ont vu pour la première fois les cellules bipolaires. Il est certain que le plus grand no
due du tranchant antérieur des axes gris, l'élément principal est une cellule rayonnée. Cette cellule a été l'objet d'un grand
ur des axes gris, l'élément principal est une cellule rayonnée. Cette cellule a été l'objet d'un grand nombre de recherches. Sa
ment granuleuse. Le nucleus est en général beaucoup plus petit que la cellule ; quant au nucléole, il est très-clair et très-bri
éole, il est très-clair et très-brillant. De toutes les parties de la cellule nerveuse, c'est celle que l'œil découvre le plus
rveuse, c'est celle que l'œil découvre le plus facilement. Quelques cellules contiennent un pigment coloré le plus souvent en
en brun ; il ne paraît pas d'ailleurs que la coloration de toutes les cellules soit exclusivement due à ce pigment ; elle paraît
s encore dans une seule tranche prise isolément; souvent à côté d'une cellule bien distincte, on en voit d'autres dont le diamè
velles, on annonce souvent ce qu'on n'a jamais ni vu ni mesuré. Les cellules d'ailleurs variant beaucoup dans leur forme, on n
on qu'on étudie. Cet accroissement porte sur toutes les parties de la cellule . On peut en donner une idée par quelques mesures
0m0025. O^OOôO. 0m0075. Nous avons négligé dans cette évaluation la cellule elle-même, dont les formes sont trop irrégulières
ensibles, et s'expriment dans le même sens que celles du noyau. Les cellules rayonnées ne sont point uniformément répandues da
ceaux disséminés. Outre ces deux amas, on découvre un grand nombre de cellules éparses dont quelques-unes sont à peine plus renf
à peine plus renflées que les fibres qu'elles émettent. Ce système de cellules forme un plexus ganglionnaire qui s'étend jusque
ents vont enfin s'unir aux faisceaux postérieurs; ainsi le plexus des cellules de la moelle sert d'intermédiaire entre le systèm
bien qu'il semble appartenir plus particulièrement à celui-ci. Les cellules rayonnées émettent de longs prolongements ramifié
s directions les plus opposées et arrivent à une ténuité extrême. Les cellules elles-mêmes, ainsi que nous l'avons déjà dit, ne
Par quelques-uns de ces prolongements qui passent comme un pont d'une cellule à une autre cellule (1), ces cellules s'unissant
ces prolongements qui passent comme un pont d'une cellule à une autre cellule (1), ces cellules s'unissant de proche en (1) L
qui passent comme un pont d'une cellule à une autre cellule (1), ces cellules s'unissant de proche en (1) L'existence de ces
lules s'unissant de proche en (1) L'existence de ces connexions des cellules multipolaires entre elles, a été depuis longtemps
on unis les uns « avec les autres. — L'hypothèse d'un simple dépôt de cellules ganglionnaires « entre les filets nerveux, par ra
t dans l'Institut, t. XX, 1852, p. 272. Je signalais entre toutes les cellules un vaste système d'anastomoses aussi faciles à dé
ffets de cette pénétration. Or il y a un point où les anastomoses des cellules deviennent si visibles, que c'est un véritable je
echerches ne me permettent pas de penser qu'aucun prolongement de ces cellules se termine librement ; et ceux qui ne s'unissent
les se termine librement ; et ceux qui ne s'unissent point à d'autres cellules sont évidemment en connexion soit avec fies racin
faisceaux et des racines postérieures, se portaient dans les petites cellules multipolaires qui sont aux confins de la substanc
aires qui sont aux confins de la substance gélatineuse ; or comme ces cellules sont par leurs prolongements en connexion avec le
comme ces cellules sont par leurs prolongements en connexion avec les cellules multipolaires qui sont situées dans les cornes an
antérieures, il est certain que par l'intermédiaire de ces plexus des cellules multipolaires, il y a entre les fibres des (t)
ux d'étudier ces faits sur des tranches longitudinales; on y voit les cellules s'unir les unes avec les autres de la manière la
. Il est probable d'ailleurs que les prolongements anastomotiques des cellules ne sont ni exclusivement centrifuges, ni exclusiv
Van Deen, de Brown-Séquard, et de Schiff. Suivant Owsjannikow, chaque cellule de la moelle, dans les poissons, fournit quatre p
e change en fibre nerveuse motrice, un quatrième, enfin, qui unit les cellules du côté droit à celles du côté gauche. En accepta
oint l'opinion de Kôlliker. Mais en ce qui touche les anastomoses des cellules entre elles, nous certifions contrairement à son
t très-courtes et fort grosses. Cela arrive plus particulièrement aux cellules qui forment les amas situés en regard des faiscea
antérieurs et des faisceaux moyens ; mais le plus souvent les petites cellules multipolaires des cornes postérieures de l'axe co
ment d'accord avec celles de Schilling, quant à l'absence complète de cellules multipolaires dans la commissure grise. Le point
s et des racines sensitives. Ces communications des ramifications des cellules avec les cordons postérieurs m'avaient longtemps
à donner à ces choses une attention soutenue. Les prolongements des cellules ont d'abord comme elles un contenu granuleux, mai
M. Kolliker dans celle de l'homme. Outre ces tractus rayonnants des cellules , la substance des (l) Séances de la société nhi
s se rattachent aux racines postérieures des nerfs spinaux. Outre les cellules de la substance gélatineuse, outre ces (1) On a
elles en ont à certains égards l'apparence. Mais les rayonnements des cellules entre elles sont eux-mêmes semblables aux fibres
fibres transversales, les loges comprennent encore un petit nombre de cellules multipolaires, et des fibres très-délicates qui r
cellules multipolaires, et des fibres très-délicates qui relient ces cellules au tranchant des faisceaux postérieurs. Ces obs
du ventricule, et communique avec lui. Outre cette cavité, de petites cellules creusées dans la substance même du conarium, renf
uant au tissu de la glande pinède, il contient, suivant Kôlliker, des cellules pâles, arrondies, sans prolongements, et quelques
et dans laquelle on découvre, en effet, comme élément principal, les cellules multipolaires qui composent les tranchants antéri
tipolaires qui composent les tranchants antérieurs des axes gris. Ces cellules forment, sur les tranches que nous examinons, deu
l'un interne qui touche au plan médian du bulbe, répond à cet amas de cellules multipolaires qui, dans la moelle, touche au fais
résente l'amas qui correspond dans la moelle au faisceau latéral. Ces cellules du bulbe sont fort petites, eu égard à celles du
renflement cervical, et celles-ci, à leur tour, sont moindres que les cellules du renflement lombaire. Cette diminution de la gr
cellules du renflement lombaire. Cette diminution de la grandeur des cellules , à mesure qu'on se rapproche de l'encéphale, est
ment plissée et chiffonnée. Leur substance a pour éléments de petites cellules à noyaux, très-rapprochées les unes des autres. L
erses. Chacun de ces petits ganglions est à son tour formé de petites cellules nerveuses, accumulées suivant un certain ordre au
nerveuses peuvent être plus facilement suivies. Mais la petitesse des cellules composantes, et l'extrême difficulté de ces reche
amorphe, au milieu de laquelle l'œil distingue une grande quantité de cellules multipolaires que caractérise la grande quantité
est la,plus mince. La couche la plus profonde est formée de petites cellules dont le noyau est bien distinct. Ces cellules son
e est formée de petites cellules dont le noyau est bien distinct. Ces cellules sont nombreuses et très-rapprochées les unes des
La couche intermédiaire est transparente, elle comprend de grandes cellules multipolaires très-claires avec un noyau bien dis
llules multipolaires très-claires avec un noyau bien distinct. De ces cellules sortent des prolongements qui s'enfoncent dans la
la dent. Ces éléments se continuent-ils avec les rayons des grandes cellules de la couche intermédiaire ? Cela peut avoir lieu
e grise, les postérieurs ont une écorce mince de fibres blanches. Les cellules de la substance grise sont incolores et se distin
s ou moins de coloration de ces couches, provient du plus ou moins de cellules qui sont mêlées parmi leurs fibres (2). M. Hann
deuxième couche est grise, et contient une grande quantité de petites cellules nerveuses. Cette couche est parcourue par des fib
quatrième est d'un gris rougeâtre et fort épaisse, elle contient des cellules semblables à celles de la deuxième couche, mais b
re résolu. Les éléments principaux des couches grises sont : 1° une cellule arrondie fort petite qui ne m'a point paru émettr
point paru émettre de prolongements. Le noyau et le nucléole de cette cellule sont bien distincts; 2° des cellules à prolongeme
Le noyau et le nucléole de cette cellule sont bien distincts; 2° des cellules à prolongements multiples. Ces couches sont trave
s les tranchants antérieurs des axes gris, où leur connexion avec les cellules multipolaires est un fait bien certain. Ainsi, le
bien certain. Ainsi, les fibres qui des racines antérieures vont aux cellules des cornes antérieures des axes gris, cheminent d
gent vers le ventricule de la moelle; d'autres s'unissent aux petites cellules multipolaires qui occupent l'intervalle des clois
comme certaines fibres des racines antérieures, s'unir au système des cellules multipolaires. Si nous rappelons ici que, par l
rappelons ici que, par les ponts intermédiaires qui les unissent, ces cellules forment un réseau très-serré, on peut concevoir c
scicula-tions blanches et par les anastomoses longitudinales de ses cellules , elle peut être considérée comme un conducteur et
se prolonger à travers la masse du faisceau moyen, jusqu'aux noyaux à cellules multipolaires qui représentent l'axe gris du bulb
les racines du facial, c'est-à-dire dans cette lame grise si riche en cellules multipolaires, qui prolonge (1) Longet, Ànat. e
plancher du quatrième ventricule, c'est-à-dire jusqu'aux axes gris à cellules multipolaires de la région du bulbe. (b) Nerf p
'ai pu saisir aucune des connexions qui les unissent probablement aux cellules multipolaires si apparentes de cette masse grise.
une seule fibre nerveuse ; 3° par l'union d'une fibre unique avec une cellule multipolaire à prolongements centripètes multiple
lusieurs fibres nerveuses pourraient se réunir en une seule; 3" d'une cellule multipolaire où s'uniraient plusieurs fibres céré
cerveau intermédiaire s'est effectuée, on doit voir, dans le bord des cellules ouvertes en dedans du cerveau antérieur, les prem
tiques, mais en petit nombre; on y voit aussi, dans certains cas, des cellules pigmentaires qui sont fort abondantes chez les ru
. On sait aujourd'hui que cette membrane est un epithelium composé de cellules cylindriques dans la moelle, et dans l'encéphale
mposé de cellules cylindriques dans la moelle, et dans l'encéphale de cellules à cils vibratiles. On peut consulter sur ce point
Je ne m'étendrai point ici sur la forme et sur les dimensions de ces cellules . Ces détails appartiennent à un traité d'anatomie
lastiques. Elle est tapissée à l'intérieur par un epithelium formé de cellules polygonales à noyau plat. Le ligament dentelé n'a
tout ailleurs est libre à sa face externe et revêtu par une couche de cellules épithéliales, semblables à celles qui tapissent l
sur tous les autres. Elle contient en outre un assez grand nombre de cellules pigmentaires. 2° Nerfs et vaisseaux des membran
édiane. Le même type se retrouve, dans l'elhmoïde, seulement les deux cellules aériennes y sont divisées par des cloisons plus o
visées par des cloisons plus ou moins compliquées en une multitude de cellules aériennes. Le vomer n'est donc autre chose que l'
tain point être expliqués par l'organisation des centres nerveux. Les cellules multipolaires dont nous avons parlé, leurs connex
ps calleux. Mais dans cette inextricable complication de fibres et de cellules dont le noyau de l'encéphale se compose, qui pour
veux qui l'anime, et si ce système est lui-même formé de fibres et de cellules , nous pouvons, par hypothèse, en réduire l'histoi
les, nous pouvons, par hypothèse, en réduire l'histoire à celle d'une cellule simple : cette supposition est plus commode pour
plus de clarté, qu'il s'agit d'une première impression, et que notre cellule centrale est pour la première fois modifiée. Cett
; mais la cause cessant d'agir, l'impression s'efface peu à peu et la cellule revient graduellement à un certain équilibre. Les
un certain équilibre s'établit. Or, de deux choses l'une : ou bien la cellule centrale revient absolument à son (1) Locke. Es
première il est résulté une modification persistante. Dans ce cas, la cellule en revenant au repos n'est pas absolument telle q
e sens de cette seconde hypothèse. Il est certain qu'il reste dans la cellule nerveuse quelque chose de l'impression première;
s, une nouvelle impression, différente de la première, soit reçue. La cellule sera de nouveau excitée et modifiée; mais cette m
chose déjà modifiée, différera évidemment de ce qu'elle eût été si la cellule n'avait subi aucune modification antérieure. Ains
uvoir être contesté, dépend probablement de la constitution de chaque cellule nerveuse prise à part, car au point de vue de l'a
e nerveuse prise à part, car au point de vue de l'automatisme, chaque cellule est un centre nerveux complet. Cette manière de
pénétrable ? Nous venons d'examiner le cas où il s'agit d'une seule cellule centrale. Or, nous avons anatomiquement démontré
eule cellule centrale. Or, nous avons anatomiquement démontré que ces cellules ne sont point des centres isolés, et qu'elles com
es généraux de l'organisation. A l'aide de ces prolongements , chaque cellule est directement ou indirectement, d'une manière m
ctement, d'une manière médiate ou immédiate, unie à toutes les autres cellules centrales. Il doit donc y avoir en chacune d'elle
nerveux entier vibre, pour ainsi dire, sous la dépendance d'une seule cellule . De là, pour une impression isolée des réactions
solée des réactions multiples, mais coordonnées cependant, toutes les cellules étant certainement enchaînées dans un ordre admir
écrits pour les quiétistes de tous les âges : « Étant seul dans ta cellule , ferme ta porte, et t'assis en un « coin. Élève t
53 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ssons osseux), dans sa plus grande partie, d'une simple couche de cellules épithéliales, membrane qui se plisse déjà chez le
plus seulement purement épithélial, il est constitué de nombreuses cellules nerveuses d'où partent des faisceaux de -projec
dées nouvelles d'Apathy, de Bethe, de Nissl, sur la structure de la cellule nerveuse qui, grâce à ses connexions inter et i
cules chromophiles de Nissl, liés à la vie et à la fonction de la cellule , recèlent des sources d'énergie chimique employ
, du moins pour les novateurs vers lesquels incline Edinger, si les cellules nerveuses, avec leurs prolongements, sont des u
rs chez la plu- part des biologistes. Comme il est démontré que les cellules nerveuses, avec leurs prolongements, sont bien
sans aucune difficulté. Les auteurs présentent des préparations de cellules pyramidales absolument normales dans des cerveaux
prennent plus aucune coloration, ils sont en bouillie; les petites cellules pyra- midales ne sont presque plus visibles, le
s cellules pyra- midales ne sont presque plus visibles, les grandes cellules sont beaucoup mieux conservées. Elles ont gardé
ains s'étend une sorte de réticulum coloré donnant au contenu de la cellule l'aspect d'une toile d'araignée. Le noyau et GO
gonflé et coloré, ses limites disparaissent dans la substance de la cellule . Le nucléole est très gros et ses contours sont
u de choses encore sur le mécanisme in- time de la mémoire, sur les cellules qui entrent en jeu et sur leur mode de fonction
nt absolument aucun rapport avec le puissant appareil cortical, aux cellules et aux fibres nerveuses extrêmement nombreuses,
on y constatait en outre un certain degré de proliféra- , tion des cellules fines des capsules endothéliales. G. OE1';Y. VI
e certaines 118 REVUE d'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. cellules géantes, des myocaryocytes rencontrés dans des ét
sse en revue détaillée tout ce qui intéresse la mor- phologie de la cellule nerveuse : 1° méthodes de recherches. méthode d
ions de von Gehuchten, procédé de l'auteur ; 2° anatomie fine de la cellule nereu>e, phénomènes de la chromatolyse en gé
IQUES. 12a XVII. Recherches cytométriques et caryométriques sur les cellules radiculaires motrices après la section de leur
vail montrent que les phé- nomènes de réaction et de réparation des cellules nerveuses après la section de leur cylindre-axe
la condition d'avoir l'intégrité de ses prolongements et lorsqu'une cellule perd son cylindreaxe d'une manière définitive,
en outre en valeurla par- ticipation du noyau et du nucléole de la cellule nerveuse aux pro- cessus de réaction et de répa
l y a une association réactionnelle des parties constituantes de la cellule , car lorsque le corps cellulaire s'hypertrophie
es éléments épithéliaux qu'il faut considérer comme de véritables cellules glandulaires. Ces cellules élaborent deux substan
u'il faut considérer comme de véritables cellules glandulaires. Ces cellules élaborent deux substances ; la plus abondante s
ue du noyau. Dans certaines conditions qu'il n'a pu déterminer, ces cellules peuvent produire, en outre, une substance grass
tre même une autre si les vacuoles que l'on observe alors entre les cellules con- tiennent un produit de sécrétion spéciale.
iste une concordance complète entre les phénomènes de sécrétion des cellules de la thyroïde et des parathyroïdieunes, de mêm
drait à celle de la thyroïde. L. Delmas. XXVII. De l'anastomose des cellules nerveuses et quelques particu- larités de struc
ouche du bulbe olfactif. Il décrit en outre les diverses formes des cellules mitrales qu'on peut observer dans le bulbe d'un
rales qu'on peut observer dans le bulbe d'un même animal. Parmi ces cellules il en est qui envoient deux ou plusieurs prolon-
y avait une- - énorme infiltration des parois des vaisseaux par des cellules ron- des : Les cornes antérieures étaient très-
la queue du cheval. Histologiquement, c'était un sarcome à petites cellules . Réflexions. Dr B. Sachs, pour poser le diagnos
rt au bout de quinze jours. L'autopsie montra la dégénération des cellules nerveuses des cornes antérieures, la dégénérati
ces faisceaux sont formés en grande partie de fibres provenant des cellules nerveuses de la substance grise du côte opposé, c
Marchi) il est possible de trouver de grosses lésions au niveau des cellules et des tubes nerveux (cellules d'abord petites
ver de grosses lésions au niveau des cellules et des tubes nerveux ( cellules d'abord petites avec chromatolyse et même achro
ente, outre les altérations dégénératives précé- dentes des amas de cellules volumineuses, polygonales et surtout épithélioï
autres et fréquemment chargées de granulations graisseuses : toutes cellules en voie de prolifération très marquée comme le
ten- sité des altérations de la substance grise (corne postérieure, cellules cordonales, colonnes de Clarl : e); la variabil
ale, et la méthode de 1\issl ne décèle pas de lé- sions du côté des cellules nerveuses. Par contre, il existe sur toute' la
e la moelle et particulièrement dans le groupe postéro-latéral, des cellules altérées, qui présentent une ressemblance surpr
ules altérées, qui présentent une ressemblance surprenante avec les cellules auxquelles on a coupé le cylindraxe, c'est-à-di
ce primitive des nerfs péri- phériques ; tandis que les lésions des cellules radiculaires sont secondaires il cette dégénére
e. Ils arrivent à cette conclusion : Au cours des polynévrites, les cellules des ganglions rachidiens ne sont pas prises ave
achidiens ne sont pas prises avec la même constance que les grandes cellules radiculaires des cornes antérieures de la moëll
les types lésionnels sont plus nombreux que ceux rencontrés dans la cellule radiculaire motrice. M. DUPRÉ rapporte un cas
t une action stimulante sur touteslescellules et en particulier les cellules nerveuses. Elles sont indiquées dans les états
ralysie Dénérale..1. SGLA=. XXXVI. Modifications de structure de la cellule nerveuse de l'écorce dans la fatigue ; par GUID
s modifications, que le processus de putréfaction peut imprimer aux cellules , nerveuses déjà altérées pathologi- quement ; p
t. nerv. et ment., 1900, fa=c. 2.) XXXVIII. Sur la pathologie des cellules des ganglions sensitifs; par Luz.no. (Riv. di p
dégénéres- cence wallérienne secondaire : et, dans les lésions des cellules ner- veuses, s'il s'agit d'altérations directes
e. Par la méthode de Nissl, Dana tronva des altérations des grandes cellules des cornes antérieures : « pigmentation marquée
des noyaux, atrophie et absence d'un certain nombre de deutrites ». Cellules des colonnes de Charke intactes. Par la méthode
e des extrémités des dentrites des fibres nerveuses provenant des cellules corticales, au point où elles atteignent les cell
provenant des cellules corticales, au point où elles atteignent les cellules motrices des cornes antérieures et en même temp
des cornes antérieures et en même temps une lésion fonctionnelle de cellules motrices spinales elles-mêmes. De plus, dans les
cerveau à la moelle, mais Sander ne place pas cet obstacle dans les cellules nerveuses. FOULARD. XLVtIL autopsie dans un c
ale, aucune modification, si ce n'est une pigmentation anormale des cellules corticales. Le corps pituitaire est macrosco- p
ne difficulté à appliquer le principe des courants moléculaires aux cellules paroiicliyinaue uses. ' L'inhibition est une
il la découverte d'apparence bien modeste qui nous a montré que les cellules d'un fragment de tissu nerveux, durci dans l'al
nte préoccupation, si l'altération débute par la névroglie, par les cellules ou par les vaisseaux ? A quoi bon tant d'effort
e commun, le grand hypoglosse, le sciatique et le médian.. Pour les cellules , il a employé les méthodes de Nissl et de Golgi
tent en une chromatolyse qui frappe d'abord la zone marginale de la cellule puts'se'drffusû-et se généralise. La cellule es
a zone marginale de la cellule puts'se'drffusû-et se généralise. La cellule est alors décolorée, bleu clair, avec un aspect
ision, tortueux, atrophiés ou variqueux, granuleux et segmentés. La cellule peut présenter aussi de la dégénérescence granu
éaire ou siégeant à l'apex, tantôt diffuse et générale. Beaucoup de cellules finissent ainsi par dispa- raître sans laisser
s phases. Le corps dei2lelé (lu cei-velet, les noyaumbulbaires, les cellules des. cOI'l1l ! li.oant¡ ! ¡'ieür- présentenl*le
'ieür- présentenl*les mêmes lésions quélê-cortexcÚé- bral. Dans les cellules des cornes postérieures on observe seule- 2o2 r
ri-cellulaires. On note aussi une infiltration nucléaire autour des cellules altérées, et cette infiltration est plus grande
altérées, et cette infiltration est plus grande aux endroits où les cellules altérées sont en plus grand nombre et plus grav
te de la dégénérescence graisseuse, et une atrophie pigmentaire dla cellule hépatique. La rate quelques foyers de nécrobios
il offre ièS1 ? n-s-"de méningo-encéphalite, de dégénérescence des cellules nerveuses communes à la plupart des intoxications
r cliniquement des délires sans pouvoir constater aucune lésion des cellules nerveuses. M. BRIAND. - M. Roubinowitch a insis
ransitoire. Il ne peut croire qu'avec des lésions très marquées des cellules très nerveuses, on ne puisse constater cliniqueme
. Comme l'a fort bien mis en relief M. Carrier dans son rapport, la cellule nerveuse est lésée primitivement dans le délire
histologique montre qu'on est en présence d'un sar- come à petites cellules fusiformes, et qu'il ne contient que des traces
ène. La glycogenèse étant une des fonctions les plus constantes des cellules en voie de multiplication, on peut en conclure
ais les mouvements d'ensemble, c'est-à-dire les actes : ce sont les cellules pyramidales de l'écorce motrice qui sont en faute
ules pyramidales de l'écorce motrice qui sont en fautes, et non les cellules subordonnées de la moelle : la même forme de rai-
pulsions entrailles (paresthésie) ou confusion dans la décharge des cellules corticales (ataxie hystérique et contractures p
eux par fatigue amenant secondairement un défaut de nutrition de la cellule nerveuse par pénétration de substances toxiques
présente 15 photographies microscopiques reproduisant l'aspect des cellules pyramidales (grandes cellules du lobule paracen
roscopiques reproduisant l'aspect des cellules pyramidales (grandes cellules du lobule paracentral) chez douze malades, morts
taux plus ou moins accen- tués. On constate que, dans cinq cas, les cellules ont conservé le type normal, ce qui démontre un
appréciable à nos investigations. Dans sept cas, au contraire, les cellules sont mani- festement altérées et cette altérati
eulement ici les caractères fonda- mentaux : forme globuleuse de la cellule , migration périphérique du noyau, décoloration
llule, migration périphérique du noyau, décoloration centiale de la cellule . Ce qui nous parait aujourd'hui particulièremen
-infection, quels qu'en soient la nature et le siège, agira sur les cellules nerveuses pour en modi- fier la structure et la
exactement semblables à celles que nous venons de montrer dans les cellules cérébrales. De même que les polyné- vrites sont
de pneumonie, d'infection puerpérale, etc.). DU IIIsSIE auteur. La cellule nerveuse et le neurone ; structure et fonction
ert Ballet). Revue neurologique, octobre 1897. Atrophie des grandes cellules pyra- midales dans la zone motrice de l'écorce
sl a montré, en même temps que l'absence d'inflammation des grandes cellules pyramidales, décrites pour la première fois par
Ballet et consistant essentiellement dans la forme globuleuse de la cellule , la chromatulyse et la migration périphérique d
ysie générale, il semble qu'il y ait là une affection primitive des cellules ner- veuses de l'écorce du cerveau, limitée pre
t que, en même temps que les altérations de dégé- nérescence de ces cellules , il se produise des substances toxiques qui aff
sions des tractus pyramidaux sont consécutives à la destruction des cellules nerveu- ses corticales, et que les altérations
baire, et augmentent d'intensité lorsque de grandes destructions de cellules nerveuses corticales succèdent à des états conv
une proposition telle que celle-ci : il y a des individus dont les cellules nerveuses sont susceptibles de dé- chéance prém
s lesquels il existe une altération bien définie de la majorité des cellules ner- veuses géantes et pyramidales de l'écorce
s cellules ner- veuses géantes et pyramidales de l'écorce : or, ces cellules , surtout les premières, sont considérées avec v
tout les premières, sont considérées avec vraisemblance comme des cellules motrices du niveau le plus élevé, et l'altération
le qui se produit expérimentalement après la section des axones des cellules motrices. 1. de Musgrave-Clay. XXII. Épilepsie
nternés provisoirement dans les dépôts de police, les hospices, les cellules d'observation des hôpitaux, etc. 4° Quand l'a
insisté sur l'organisation défectueuse, pour ne pas dire plus, des cellules d'observation des hôpitaux. BIBLIOGRAPHIE.
insi que par les altérations cadavériques, vis-à-vis desquelles les cellules corticales et spinales se comportent très différe
artificiels est résolue par l'examen de la forme équivalente de la cellule . On peut ranger sous trois chefs les résultats
des altérations primitives ou secondaires selon que le corps de la cellule ou l'axone sont atteints. (Marinesco, etc.). Il
morbides : il en a distingué sept, plus six espèces différentes de cellules mortes. Les difficultés deviennent inextricables
ultés deviennent inextricables quand on considère non seulement les cellules pyramidales mais en outre les petites cellules.
re non seulement les cellules pyramidales mais en outre les petites cellules . Plus M. Heibronner a prolongé ses recherches,
heureux : il a pu, à côté de types pathologiquement uni- formes de cellules nerveuses, discerner des altérations parallèles
ussi favorisé : il a trouvé quelque chose d'assez analogue pour les cellules de la névroglie, dont la manière d'être lui a rap
mmencer par créer, c'est une pathologie intelli- gible à tous de la cellule nerveuse et de la névroglie. C'est chez l'homme
Il faut s'occuper de toute l'écorce et non point unique- ment de la cellule en particulier, et de la propagation des altéra-
emière heure n'ayant pas été satisfaites. Peut-être les allures des cellules plastiques de Alarschallco dans la paralysie géné
LIX. Démonstration par projections lumineuses des modifications des cellules nerveuses corticales dans la paralysie générale ;
LX. Quelques altérations pathologiques observées dans les grandes cellules nerveuses des aliénés, avec étude spéciale de l'é
nstration microscopique de l'histologie normale et pathologique des cellules de la névroglie ; par Ford, Rodertson. (The Jou
une seule. La névroglie est attachée aux artères, aux fibres et aux cellules ner- veuses, auxquelles elle forme un milieu gé
ilieu général de soutien : l'au- teur y a trouvé une autre série de cellules qu'il appelle cellules de la mésoglie et qui so
n : l'au- teur y a trouvé une autre série de cellules qu'il appelle cellules de la mésoglie et qui sont constituées par un c
L n'ont aucune connexion ni avec le tissu vasculaire, ni avec les cellules nerveuses ni avec les fibres nerveuses. Les cellu
e, ni avec les cellules nerveuses ni avec les fibres nerveuses. Les cellules de la mésoglie ont un aspect absolument différe
ules de la mésoglie ont un aspect absolument différent de celui des cellules de la névroglie, se rencontrent également dans
ie. Nous ne connaissons pas encore avec certitude les fonctions des cellules de la mésoglie, mais elles jouent assurément un
su connectif, dans les mailles duquel se trou- vaient de nombreuses cellules , mono-nucléées et avec cytoplasme abondant, tou
et ordre, et plus spécia- lement à une variété de sarcome à petites cellules rondes. Virchow a décrit sous ce nom une tumeur
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Au microscope, les cellules corticales de la circonvolution fron- tale asce
t que celle de leurs antago- nistes ne soit éveillée. G. D. LXXI. Cellules nerveuses à deux noyaux; par Sano. (Journ. de Net
gions examinées, les altérations dégénéra- tives déjà signalées des cellules de leurs prolongements dendriti- ques et de la
DE THÉRAPEUTIQUE. ques de gelsemium déterminent la chromatolyse des cellules qui constituent les noyaux des nerfs moteurs cé
ent les divers autres agents qui exercent une action novice sur les cellules nerveuses motrices. R. de IUSGIlAV4;-OL1Y. II
tre de voir si, dans la paralysie générale, la lésion débute par la cellule ou le tissu de soutien. Il a toujours trouvé de
névrogliques peuvent d'ailleurs être très accu- sées, alors que la cellule reste saine. En résumé, M. Marchand estime que
les accidente mentaux des maladies générales, par Faure, . 340. Cellules radiculaires motrices après section de leur cyl
d'anatomie pathologique, par . Botton, 520. des modifications des cellules dans la paralysie é- nérale, par Watson, 520. -
ralysie é- nérale, par Watson, 520. - des altérations des grandes cellules nerveuses chez les aliénés, par 'J'uruer, 50.
rveuses chez les aliénés, par 'J'uruer, 50. - de l'histologie des cellules de la névroglie, pd ! ' 1\0- bertson, 520. ll
accomo- clateurs de 1 ? par de Bechterew, 118. Modifications des cellules de l'- dans la fatigue, parGuenini, 223. Ec
54 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
s violentes. Le plus souvent, on était contraint de la maintenir en cellule . Durant l'été de 1878, Dup... se calma, et on p
nce grise de la moelle (substance poliosynectique). Puis étudie les cellules ganglion- naires de cette substance ; parmi les
ont jointes à son travail, il en est une qui représente deux de ces cellules unies pat- une seule fibre formée par un prolon
hez les enfants et les jeunes chats, les prolongements polaires des cellules font souvent défaut ou sont très courts, il y a q
t défaut ou sont très courts, il y a quelque- fois deux noyaux. Les cellules des colonnesde Clarhe et du tractus intermedio-
z analogue à celui-ci, signalé par Beale et Arnold dans certaines cellules du sympathique de la grenouille. Dans l'olive,
ules du sympathique de la grenouille. Dans l'olive, le diamètre des cellules varie moins que dans les régions précédentes, m
aissent à la région cervicale, c'est à peine si par - ci par-là une cellule enfouie dans un amas de tissu synectique in- di
elleux, et dans les mailles de ce dernier, existe une collection de cellules nerveuses multipolaires, de gros calibre, que C
érébelleux inférieurs. Pour résoudre la question des connexions des cellules qui nous occupent, Ai. Monakow s'est proposé d'él
rme qui marche avec lui, trouve une fin provisoire dans les grandes cellules du noyau externe de l'acoustique. Peut-être le
nique microsco- pique. les assertions d'Aufrecht sur l'atrophie des cellules nerveuses de la moelle cervicale et dorsale (gr
de la moelle lombaire présente une disparition presque absolue des cellules nerveuses; en même temps on constate des altérati
n constate des altérations vasculaires (parois épaissies, riches en cellules ) ; quelques vaisseaux contiennent de grandes qu
huitze une myéliteaiguë parenchymateuse, une atrophie primitive des cellules nerveuses. Peut-être, vu la présence de la ma-
ès du « locits coeruleus », dans le noyau moteur du nerf trijumeau ( cellules soi-disant trophiques). Ci-jointes des photogra
lulaires (fibres d'association); dans la seconde (celle des petites cellules pyramidales) prédominent encore des fibres d'asso
existe aussi des fibres de toutes directions; la couche des grandes cellules pyramidales renferme des fibres épaisses qui co
es à myéline; l'hyperplasie de la névroglie et le développement des cellules araignées seraient secondaires ou con- comtants
possède, en outre, sa division cellu- laire particulière de treize cellules , plus une salle de jour, une étuve, etc. Les ce
ère de treize cellules, plus une salle de jour, une étuve, etc. Les cellules sont très spacieuses; les parois en sont ci- me
on cellulaire de chaque sexe dispose de deux baignoires. Toutes les cellules sont garnies ; aussi, plusieurs ma- lades demeu
bandonnée. Le bâtiment, très anguleux, contient des chambres et des cellules petites, obscures comme les corridors. Tout accus
es comme les corridors. Tout accuse l'ancienneté et l'exiguïté. Dix cellules très basses sont éclairées par des ouvertures l
pétrole. Chauffage au bois dans des poêles de faïence, excepté aux cellules (chauffage à air chaud parle ous-soi). Système
iteux sont placés sur une paillasse percée d'un truu médian. Trente cellules assez spacieuses, à parois cimentées, prennent
sentent des altérations considérables, ils sont entourés de petites cellules qui infiltrent la tunique cellu- leuse des arté
obiotique parce que les lésions consistent dans une tuméfaction des cellules de la névroglie avec multiplication des noyaux
on des noyaux et finalement état vacuolaire et destruc- tion de ces cellules . Ainsi se forme, d'après M. Chantemesse, un ram
auche, usages dont elles sont redevables, l'une et l'autre, non aux cellules de leur écorce, mais bien aux irradiations caps
ister dans ce travail c'est le grand développement de la névroglie ( cellules et -02 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. fibres to
'est-à-dire dans la-première couche corticale, et dans la couche de cellules fusiformes située au-dessous de la cinquième co
tissu connectif est l'élément primi- tif de la maladie, et que les cellules nerveuses ne sont atteintes que consécutivement
le. L'examen microscopique montra qu'il s'agissait d'un sarcome à cellules arrondies, avec dégénérescence de la portion cent
'on le lui demandait. A ces faits correspondait un état anormal des cellules 'des'noyaux -d'origine de-la neuvième paire et de
: malheureusement,'ont été seuls examinés), présentaient, à côté de cellules saines, des cellules plus ouimoins/pigmeiilées,
été seuls examinés), présentaient, à côté de cellules saines, des cellules plus ouimoins/pigmeiilées,qet. ,d;autresjégèremen
uvent,trésinette, allait, parfois jusqu'à remplacer complètement la cellule . Le tissu connectif était plus abondant qu'à l'
et dans sa tenue.' )itauraittdéc)arej.avoir vu àip la fenêtre de.sa cellule ? z 2s1(isv ? .91 3s snfisj, et 9ui, J(-gi6llàb
se plaint que, des, miljiers de, rats, viennent .la nuit .jians.sa, cellule , et tient dauLrssppos;absuresdme,mëjgenre ? ;
ralysie saturnine., de rattacher, aune altération fonctionnelle des cellules nerveuses ganglionnaires, la dégénérescence pér
les segments de conducteurs qui établissent la continuité entre les cellules et les morceaux de nerfs dégénérés demeurentintac
le les travaux de Schiff. Il y a matière à rattacher l'atrophie des cellules pyramidales à une dégénérescence ascendante des
bres, parce que le système nerveux central possède beaucoup plus de cellules qu'on ne l'acceple générale- ment. Mais il va t
ance grise (aspect, réaction ; 'développement).Ranvier attribue aux cellules araignées la même origine qu'aux cellules nerve
ent).Ranvier attribue aux cellules araignées la même origine qu'aux cellules nerveuses; il les rattache au neuroépithé- blil
port avec les' parois ' vâsculaires. Comme on ne. saurait parler de cellules araignées 'sans toucher. un mot de la paralvqie
ès injecté, est, de même que le fond même de la lésion, infiltré de cellules granuleuses : ces altérations présentent dans l
arge que dans la subs- tance blanche; dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses dans leur voisinage. Les cordons post
deux patients. Dans ces derniers temps, on a augmenté le nombre des cellules ; il atteint maintenant 2p p. 100 et l'on s'occu
verroux, en haut comma en bas, sont chargées de la fermeture. Toute cellule possède ses latrines dont le siège est percé d'un
pourrait en guise d'escabeau, permettre d'atteindre la fenêtre. Les cellules sont chauffées par le moyen de l'eau chaude; les
un peu petites, comme dans le vieil asile qui en compte vingt. Ces cellules , à parois cimentées, sont éclairées latéralement
du chauffage à l'eau chaude par des poëles en faïence qui, dans les cellules , sont entourés d'un grillage en bois. Les cellu
ce qui, dans les cellules, sont entourés d'un grillage en bois. Les cellules , petites, à parois cimentées, contiennent des l
au chlorure de chaux ; elles n'exhalent pas d'odeur. Chauffage des cellules à l'eau chaude; les tuyaux princi- paux courent
s, on les a recouverts de tôle. Chaque quartier renferme vingt-sept cellules spacieuses, dont dix-sept jouissent de l'éclair
quartier cellulaire a deux promenoirs. Le 11 OEdmann a inventé des cellules à air. Elles résultent du dressage vertical dan
llulaire circu- laire,'sans étages, divisé de chaque côté en treize cellules . Salles de jour et de travail partout séparées.
ourvus de parapets. Eclairage au pétrole. Au-dessus de la porte des cellules et des chambres d'isolement, ona percé des oeil
ieds cubiques d'air par tête, et même 800 pour les gâteux. Dans les cellules , le squelette de la fenêtre est en- tièrement e
Les malades disposent de 950 à 1,030 pieds cubiques d'air dans les cellules et les chambres d'isolement ; leurs fenêtres ne c
r, on a installé un gui- chet valvulaire pour l'observation. Chaque cellule a ses latrines et son poêle en faïence entouré
fs à immersion dans l'huile démontre sa parfaite ho- mogénéité. Les cellules de la névroglie sont remarquables par les prolo
des éléments nerveux; elle sert de tuteur à chaque fibre, à chaque cellule , en même temps qu'elle embrasse ARLinVES.t.VtII
très gros calibre, et que la disposition en est très régulière. Les cellules de la névroglie s'appliquent contre les élé- me
yéiiniques, tandis que les cellulesnévrogliquesassu- jettissent les cellules nerveuses. Il y existe aussi des endroits tout
oelle, du bulbe, du cerveau), possèdent une enveloppe de névroglie ( cellules et substance fon- damentale), les autres (subst
rigine pie-mérienne) sur laquelle s'attachent les prolongements des cellules névrogliques. En tout cas, il existe bien réell
développe- ment de cette zone. La lésion porte spécialement sur les cellules pyramidales géantes. L'atrophie s'est limitée d
is vitreuses, d'un tissu périvasculaire finement granuleux, et de cellules nerveuses ayant subi, elles aussi, la dégénéresce
aux qui occupent la substance même de ce réseau appartiennent à des cellules formant des centres qui rassemblent autour d'eu
sidérable. Le réseau proprement dit est ininterrompu. En dehors des cellules déjà mentionnées du réseau et des cellules-arai
nées du réseau et des cellules-araignées, il existe encore soit des cellules jeunes, soit des cellules en voie de développem
ules-araignées, il existe encore soit des cellules jeunes, soit des cellules en voie de développement. M. Friedmann, admet,
nexion avec elle. L'auteur doute qu'en dehors des prolongements des cellules , il y ait des fibres libres; nulle part on ne v
eulement sur le tissu conjonctif, mais encore sur les fibres et les cellules nerveuses, sans qu'il soit permis de préciser d
rieurs renfermeraient de courtes fibres qui s'arrêtent ailleurs ( cellules des cornes postérieures ? ); toutefois, l'importa
le et notamment à la région lombaire (prolifération très accusée de cellules araignées, disparition absolue d'un certain nom
e de cellules araignées, disparition absolue d'un certain nombre de cellules nerveuses). Dégénérescence fort prononcée (nomb
e de cellules nerveuses). Dégénérescence fort prononcée (nombreuses cellules granuleuses, prolifération interstitielle modér
ula- lions. Il constate alors que la formation de vacuoles dans les cellules nerveuses ganglionnaires pourrait se produire p
généralement une altéra- tion artificielle; que la pigmentation des cellules nerveuses constitue un état normal régulier; qu
cadavériques, mais bien pathologiques; qu'enfin l' agglomération de cellules rondes autour et jztsytt'ri l'i7ztérieur du 131
e, du bulbe et envahir la région des noyaux gris. Hyper- plasie des cellules de la névroglie, à divers degrés de développement
ures) des excitations électriques, tandis que la sommation dans les cellules dériverait de contre-coups (actions ultérieures
. D'une manière générale, on constate une atrophie dégénérative des cellules ner- veuses, de la névroglie et des vaisseaux,
nservant leur intégrité. En ce qui a trait à la moelle, ce sont les cellules des cornes an- térieures qui souffrent le plus.
e, le noyau devient fortement réfringent, tandis que le corps de la cellule se creuse de vacuoles et perd toute con- nexion
noyau n'a plus de limites tranchées, et disparait totalement, les cellules sont réduites à de petits grumeaux amorphes en pa
t que difficilement le protoplasme.-Le même processus atteint les cellules ganglionnaires de l'écorce du cerveau, et les cel
atteint les cellules ganglionnaires de l'écorce du cerveau, et les cellules cérébelleuses de Purkinje, mais l'altération ar
mais l'altération arrive rarement aux phases ultimes. C'est sur les cellules nerveuses des ganglions spi- naux du grand symp
La paroi même du vaisseau offre une dégé- nérescence graisseuse des cellules endothéiiaies.Lanévrogtie est le siège d'une tu
u malade, on trouve des corps arrondis (corpuscules amyloïdes). Les cellules de Purkinje font entièrement défaut dans les po
ranuleuse, située REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 355 au-dessous des cellules de Purkinje, qui est large à l'étal normal, se
ouve réduite dans toute la région atrophiée, à une étroite bande de cellules . Mais bien que le nombre des éléments consti- t
uit, ces éléments eux-mêmes,- qui sont en majeure partie de petites cellules nerveuses étoilees, ne paraissent que peu altér
cope décèle une infiltration de la tunique adventice par de petites cellules rondes, et l'hyperplasie des éléments de la mem-
t réellement, comme dans les maladies précédentes, une atrophie des cellules de ces cornes, serait-il juste de considérer ce
directe, elle n'a lieu que par l'intermédiaire d'un noyau à grandes cellules dit nucleus ma- gnocellularis acustici. L'ensei
Seulement, en redoublant d'attention, on voit que la pluralité des cellules , qu'il s'agisse de la forme svelte des cellules o
ue la pluralité des cellules, qu'il s'agisse de la forme svelte des cellules olfactives de M. Schultze ou des cellules épith
se de la forme svelte des cellules olfactives de M. Schultze ou des cellules épithéliales ordinaires, ont conservé, sinon qu
raie sous-jacente, de sorte que, s'il demeure établi que toutes les cellules delà muqueuse olfactive ont des cils vibratiles
n'aurait plus de valeur dans la question de savoir quelles sont les cellules qui se font les intermédiaires des sensations o
loppement périphé- rique d'où le modelage forcé de telles et telles cellules , les modifications de leur mouvement propre, et
que par une incitation nerveuse ; le mouvement ondulatoire gagne la cellule de la substance grise; cette cellule, en l'arrêta
mouvement ondulatoire gagne la cellule de la substance grise; cette cellule , en l'arrêtant, le transforme de diverses maniè
55 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ent une grande irrégularité dans la segmentation embryon- naire des cellules germinatives qui président à la formation des ray
tion va suivre : Pas d'infiltrations inflammatoires. Les noyaux des cellules névro- gliques avaient en partie subi de grosse
ar le bleu de méthylène, il se trouvait dans le cas d'Alzheimer des cellules névrogliques gigantesques aux grands noyaux riche
ogliques gigantesques aux grands noyaux riches en chroma- tine. Les cellules nerveuses montraient parfois des altérations, que
parant le parenchyme en de petits îlots uni-ou multilobulaires. Les cellules sont petites, mais du reste en bon état ; beauc
à faible grossissement, on remarque qu'à certains endroits (X) les cellules ner- veuses semblent avoir disparu ou tout au m
aractères ordi- naires. Parfois ils sont parallèles à la surface. Cellules nerveuses. Un certain nombre d'entre elles ont le
haut et à gauche est le type normal. 46 WOERKOM lésions. D'autres cellules , et c'est le plus grand nombre, sont en forte dég
le protoplasma ayant une struc- ture spongieuse (PI. XII). Quelques cellules nerveuses sont sur le point de dis- paraître :
plasmique. Ainsi nous trouvons tous les stades de l'intégrité de la cellule jusqu'à l'atrophie extrême. Souvent les cellules
e l'intégrité de la cellule jusqu'à l'atrophie extrême. Souvent les cellules saines et les cellules atrophiées sont juxtapos
lule jusqu'à l'atrophie extrême. Souvent les cellules saines et les cellules atrophiées sont juxtaposées. Pas d'augmentation d
iées sont juxtaposées. Pas d'augmentation du pigment jaune dans les cellules . Névroglie. Un grand nombre de noyaux névrogliq
nent plus petits. Ils sont trouvés aussi bien dans la proximité des cellules nerveuses, qui sont en forte dégénération qu'au-
cellules nerveuses, qui sont en forte dégénération qu'au- tour des cellules qui ne montrent aucune lésion manifeste. Ils sont
rolongements se continuant, dans le stroma réti- culaire ; quelques cellules araignées donnant naissance à des fibres névrogli
s fibres névrogli- ques. Dans les couches sous-jacentes ce sont les cellules à noyaux grands et clairs qui attirent notre at
ant à celui des amibes ; leurs dimensions peuvent égaler celles des cellules de Betz. Elles sont faiblement colorées et contie
mer). Est trouvée autour des grands noyaux névrogli- ques, dans les cellules nerveuses et le tong des vaisseaux. , . Nouvell
s déjà remarquées plus haut. On y trouve une simple disparition des cellules nerveuses,dont quelques-unes sont encore vague-
moins il est extrêmement rare. Pourtant la présence de beaucoup de cellules araignées volumineuses et la forte production de
te prolifération interstitielle est à peine appréciable. A côté des cellules arai- gnées nous apercevons encore un grand nom
lules arai- gnées nous apercevons encore un grand nombre de petites cellules à proto- plasma granuleux, faiblement coloré, r
gré d'inten- sité la névroglie est en prolifération manifeste : des cellules chargées de pro- duits de désintégration, d'aut
es foyers perforés, les chercher attentivement. Couches optiques. Cellules nerveuses en forte dégénération ; noyaux à la p
les éléments clairs, fortement déformés, à dimensions énormes.. Les cellules nerveuses sont en forte dégénération, les noyaux
fortement colorés, le protoplasme à structure alvéolaire. Entre les cellules il y a quelques spécimens qui ressemblent beaucou
les cellules il y a quelques spécimens qui ressemblent beaucoup aux cellules nerveuses dégénérées, mais qui montrent leur id
grains le type du noyau névroglique sus-décrit n'est retrouvé. Les cellules de Purkinje sont en dégénération plus ou moins
altérations caractérisant les centres corticaux et sous-corticaux. Cellules nerveuses sans grosses lésions. Coupes coloriée
pect atropliique. Examen microscopique de l'écorce (Nissl). - Les cellules sont en forte dégénération : perte des blocs chro
asma, noyaux gonflés ou très petits, ronds ou déformés. Beaucoup de cellules sont entourées de trabantzellen. Neurophagie très
, parfois il y a deux amas chromatiques ou plus. Dans la couche des cellules fusiformes ces noyaux ont des dimensions énormes,
une zone dans laquelle les fibres nerveuses sont démyélinisées, les cellules ner- veuses et névrogliques moins visibles et e
upes, la gauche est plus étroite et plus courte que la droite ; les cellules y sont cependant en nombre sensiblement égal et d
la région du canal de l'épendyme se trouve un assez grand nombre de cellules fortement colorées mais on ne voit aucune lumiè
nettement moins larges que les mêmes éléments du côté droit. Les cellules de la colonne de Clarke, comme sur la plupart des
pes, la colonne de Clarke n'est représentée à gauche que par 1 ou 2 cellules , tandis qu'on en compte 5 ou 6 à droite ; un ou d
; ou peut difficilement reconnaître les vestiges cellulaires ; les cellules des groupes latéraux sont en état d'atrophie si
d'atrophie simple. Il existe en outre une. raréfaction marquée des cellules et des fibrilles intercellulaires. La racine an
ure est très épaisse, et constituée par plusieurs couches de fibres cellules a noyau allongé et disposées parallèlement les un
de la pellagre. Le sang donne les mêmes tableaux, on y remarque des cellules avec une vacuo- lisitioti en bordure avec un éc
lade 2 ans d'une pellagre. Commencement d'une cachexie; beaucoup de cellules de Fürex avec des vacuoles, des grands mononucl
cytes, des lymphocytes en quantité augmentée et en petit nombre des cellules de Fiirex. 8° ti. V., âgée de 40 ans; malade à
sang contient beaucoup de gros lymphocytes à un noyau ainsi que des cellules de Fiirex, des leucocytes avec des vacuoles et
ans. Malade 2 ans. Pellagre cachectique. Des gros mo- nonucléaires, cellules de Furex, leucocytes vacuolisés. 1` ? ° 13. S.,
us intensément coloré que le noyau même. Parfois on y rencontre des cellules avec des vacuoles. 23' S. G., psychose pellagri
ntre dans le sang des grands et des petits lymphocytes, parfois des cellules vacuolisées. 32° M. R., psychose pellagrique. O
utrophiles et un petit nombre de leucocytes neutrophiles. Plusieurs cellules montrent des vacuoles et pos- sèdent des symptô
cuoles et pos- sèdent des symptômes de désagrégation. Au milieu des cellules on trouve une masse de bactéries grosses, court
s lymphocytes, une quantilé augmentée de leucocytes vacuolisés, des cellules de Fûrex, des leucocytes en état de désagrégati
ressant de noter celle circonstance, qu'on y trouve de très grosses cellules à un noyau, qui surpassent la grandeur des gran
c'est ce que Pappenheima a nommé les macrolymphocytes; parfois ces cellules contiennent des noyaux neu- trophiles et alors
nt des noyaux neu- trophiles et alors elles correspondent ainsi aux cellules qui ont élé nom- mées par le même Pappenheim le
eim les promyélocytes. Ensuite, nous nous arrêterons à l'examen des Cellules qui se nomment les cellules Pürex. En faisant m
te, nous nous arrêterons à l'examen des Cellules qui se nomment les cellules Pürex. En faisant mes recherches j'ai estimé comm
rotoplasma celluleux. Il convient de noter une absence complète des cellules éosinophiles : pas une de mes prépara- tions ne
moigne la modification présente du sang (p, 328). Ferrata joint les cellules de Fürex, ou les cel - Iules d'irritation aux f
irritation aux formes pathologiques. « Anzi da alcune autori queste cellule sono state retenute come eritroblasti patologici
l, dans un nombre minime. En ce qui con- cerne la vacualisation des cellules , quoiqu'elle se rencontre dans le sang normal,
infecioni gravi si trovano frequetemenle âlterazioni a carico delle cellule a tipo linfoidi consistente in vacuolisa- sioni
moelle frappent et les cornes antérieures dont un certain nombre de cellules sont altérées, et les cordons postérieurs où el
e, çà et là, la dégénérescence et l'atrophie portaient même sur les cellules ganglionnaires ou cellules principales (Stauptz
nce et l'atrophie portaient même sur les cellules ganglionnaires ou cellules principales (Stauptzellen de l'auteur). De l'
, toutefois, la dégénérescence et l'atrophie d'un certain nombre de cellules principales. Les seules régions dont la lésion
substance moléculaire et avec la charpente grise constituée par les cellules de deuxième et de troisième grandeur. Il est po
lules de deuxième et de troisième grandeur. Il est possible que les cellules principales (cellules de première grandeur) de
e troisième grandeur. Il est possible que les cellules principales ( cellules de première grandeur) de ces mêmes régions envo
ent normal de 0.78, preuve indirecte du fonctionnement normal de la cellule hépatique. Dans le même sens dépose d'ailleurs
rès forle tension du liquide. Celui- ci était extrêmement pauvre en cellules : c'est ;i peine si, sur de nombreux champs mic
tient 0 gr. 80 d'albumine, 18 lymphocytes par millimètre cube, à la cellule de Nageotte. Après centrifugation et coloration d
s vaisseaux; elle se manifeste par la présence d'un grand nombre de cellules araignées. Autour des noyaux névrogliques il se t
gment jaune. Au milieu des noyaux névroglique, on remarque quelques cellules nerveuses .de petite taille. Les cellules, rare
que, on remarque quelques cellules nerveuses .de petite taille. Les cellules , rares, de grande taille, ont rassemblé beaucoup
lette optique et la commissure de Meynert ont un aspect normal. Les cellules nerveuses du globus pallidus sonton dégénérescenc
terne et l'avant-mur sont sans altérations bien appré- ciables. Les cellules du ganglion ansae peduncularis ont l'aspect retro
ente, il a perdu la moitié ou le tiers de son volume ordinaire, ses cellules sont en forte dégé- nérescence pigmentaire, mai
dans les corps quadrijumeaux une augmentation de la névroglie, les cellules nerveuses ne sont pas diminuées d'une manière b
ne sont pas diminuées d'une manière bien appréciable. Les grandes cellules de segmenlation sonten dégénérescence pigmentaire
bstance grise de l'étage ventral : augmentation du pigment dans les cellules nerveuses avec quelques proliférations diffuses d
Van Gieson des signes légers d'involution généralisée. Parmi les cellules des noyaux de la VU' paire, on en rencontre qui s
inférieures n'ont rien de particulier. Ce n'est que le pigment des cellules nerveuses et l'augmentation légère de la névrogli
ration diffuse de la névroglie et la dégénérescence pigmentaire des cellules nerveuses des cornes antérieures et surtout des
ez les vieillards. Partout les couches sont bien différenciées. Les cellules pyramidales contiennent, en général, peu de pig-
es pyramidales contiennent, en général, peu de pig- ment. Parmi les cellules géantes de Betz, présentes en bon nombre dans les
; surtout autour des vaisseaux, on remarque parfois des groupes de cellules araignées ; l'écorce elle-même n'a pas dans ces
état. L'écorce du cervelet est sans altérations importantes. Les cellules de Purkinje ont l'aspect normal. Dans la couche d
je ont l'aspect normal. Dans la couche des grains, on reconnaît les cellules de Gol-i ; dans la couche plexiforme, on remarque
Gol-i ; dans la couche plexiforme, on remarque, en bon nombre, les cellules étoilées. Les cornes d'Ammon montrent une couch
e, les cellules étoilées. Les cornes d'Ammon montrent une couche de cellules pyramidales normales ; à certaines places, au b
ne sont nulle part très avan- cés. Il est vrai qu'un bon nombre de cellules nerveuses ont disparu et qu'on en remarque qui
et qu'on en remarque qui sont en atrophie extrême ; en général les cellules pyramidales ont conservé leur disposition norma
e la névroglie fibrillaire est constatée en plusieurs endroits. Les cellules nerveuses sont souvent entou- rées par quelques
uses sont souvent entou- rées par quelques noyaux névrogliques, les cellules du globus pallidus sont en dégénérescence pigme
hon très épais de lymphocytes et de plasmazellen. A cette place les cellules névrogliques sont également en réaction : les n
mal, les signes d'inflammation vasculaire sont presque absents, les cellules ner- veuses ont beaucoup de pigment, mais en gé
centigrammes d'albumine et 4,9 lymphocytes par millimètre cube à la cellule de Nageotte. L'examen électrique pratiqué par M
tel néoplasme. La masse principale du tissu consiste en traînées de cellules allongées et aplaties. se présentant parfois so
s, réunies en faisceaux qui s'entrecroisent dans tous les sens. Ces cellules ont un protoplasma coloré en jaune clair par le v
r structure que nous avons rencontrée à plusieurs reprises dans les cellules des tumeurs en question. Le contenu de ces noya
foncée. Ils rappellent beaucoup les noyaux remplis de glycogène des cellules hépatiques ; or la réaction de glycogène a donné
r la réaction de glycogène a donné un résultat négatif. La nappe de cellules néoplasiques est traversée par de nom- breux va
n minces lamelles. - La coexistence habituelle de la formation de cellules endothéliales et des corpuscnles calcaires nous
ion, il y a au fond du tube un petit culot blanchâtre contenant des cellules poly et mononucléaires en pro- portion à peu pr
mononucléaires en pro- portion à peu près normale et de nombreuses cellules endothéliales et même des placards qui indiquen
ot, quelques cylindres hyalins ; pas de granuleux, ni de graisseux. Cellules vaginales. Le 27 juillet, la nuit s'est passée
e négative. Histologie -du culot de centrifugation. Très nombreuses cellules épithéliales de la vessie. Mu- cus très abondan
fisante des produits du 384 BOLTEN , - métabolisme de nos propres cellules corporelles et de quelques sortes de produits i
le propre etjusqu'à maintenant connu de la calilase dans la vie des cellules et donne un aperçu des opinions diver- gentes d
e chloroforme, l'élher et d'autres se fixent de préférence dans les cellules du cerveau par suite de leur solubilité dans le
ment le dosage. Instabilité. Irritabilité. - S'il y a fatigue de la cellule nerveuse, cérébrale, médullaire, ou même des ga
ux total, par ordre la première réaction sera la neurasthé- nie. La cellule nerveuso intoxiquée commence son travail paresseu
réaction pathologique la plus élémentaire du système nerveux. Si la cellule est intoxiquée il est facile d'interpréter tout l
nconscientes prouve le degré d'mfério- rité psyclro-motrice. , La cellule du neurasthénique reçoit le toxique et travaille
passé ou passent inaperçues, ou d'une irritabilité ex- cessive des cellules bulbaires ou corticales. L'épilepsie fonctionnell
56 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
otalement privés de nerfs et de vaisseaux. On cite comme exemples les cellules épithéliales, les cartilages qui, néanmoins, si u
de tout système nerveux, on voit les tissus s'enfler subitement, les cellules croître et se multiplier. Chez l'embryon, les cel
ubitement, les cellules croître et se multiplier. Chez l'embryon, les cellules naissent, s'accrois-sent et se multiplient avant
ltérations apprécia-bles au microscope. Dans ces trois ganglions, les cellules ner-veuses avaient disparu, et, au voisinage immé
élite centrale, hématomyélie, etc. 6) Lésions irritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance
avité articulaire renferme des globules rouges, des leucocytes et des cellules formelle avec les faits expérimentaux recueilli
lequel le nerf facial du côté droit avait épithéliales ; enfin, les cellules du cartilage diarthrodial sont le siège d'un tra-
ionné, il se produit constamment des alté-rations (multiplication des cellules du segment intcr-annuhire) qui révèlent un proces
région des cornes antérieures, ou épargnent tout au moins les grandes cellules nerveuses multipolaires qui siègent dans cette ré
expresse qui vient d'être signalée, à savoir l'intégrité des grandes cellules nerveuses se trouve remplie, les lésions dont il
rs on pourrait voir survenir, en con-séquence de la participation des cellules motrices, une atro-phie plus ou moins rapide et p
tre nécroscopi-quement, de la manière la plus nette, l'altération des cellules nerveuses à laquelle doit être rattachée, suivant
mètres, une réduction très manifeste ; de plus, le groupe externe des cellules motrices a complètement disparu et l'on voit à sa
correspondant et y avait déterminé l'atrophie d'un certain nombre de cellules motrices. 1. Chez une femme atteinte de scléros
ndue en hauteur, et plus particulièrement les cornes antérieures. Les cellules nerveuses présentaient à ce niveau, pour la plu-p
nutrition des muscles tant qu'elles n'intéressent pas le système des cellules nerveuses motrices. On ne conçoit guère d'excepti
a contractilité électrique dès le sixième jour après l'accident. de cellules motrices {Fig. 2). La névroglie, dans les points
té-rieure droite, malade, sans le noyau ganglionnaire médian dont les cellules sont détruites et qui est représenté par un petit
onséquent, les marques d'un travail inflammatoire. En même temps, les cellules ner veusesprésentent divers degrés et divers mode
léments affectés en premier lieu ? Tout porte àcroire que ce sont les cellules nerveuses. On comprendrait difficilement, en effe
ltération pût se mon-trer étroitement localisée dans le voisinage des cellules si elle avait son point de départ dans la névrogl
'atrophie d'un certain nombre, voire même d'un groupe tout entier, de cellules nerveuses, est la seule altération que l'examen
ent beaucoup plus accusées vers les parties centrales d'un agrégat de cellules nerveuses, que dans les parties périphériques, be
ériques, beaucoup plus accentuées également au voisinage immédiat des cellules que dans les intervalles qui les séparent, détell
ubstance grise. Il paraitévident, d'après loutce qui précède, que les cellules ner-veuses motrices sont bien réellement le siège
s qui viennent d'être émises relativement au rôle de l'altération des cellules nerveuses, dites motrices, dans la pathogénie de
r comme un fait essentiel l'altéra-tion profonde d'un grand nombre de cellules motrices, dans les régions de la moelle d'où éman
nerfs qui se rendent aux muscles paralysés (1). Dans le voisinage des cellules atrophiées, le réseau conjonctif présente, à peu
avail d'irritation suraiguë s'empare tout à coup d'un grand nombre de cellules nerveuses et leur fait perdre subite-ment leurs f
es et leur fait perdre subite-ment leurs fonctions motrices. Quelques cellules , légèrement atteintes, récupéreront quelque jour
euses of Nerve Cells, p. 683. New-York, 1861. 1. Sur l'atrophie des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infantile, c
trophiemusculaireprogressiveoffre à étudier l'atrophie irritative des cellules motrices dans son mode chronique (2). Il ne s'agi
s'agit plus ici d'un processus d'irritation suraiguë envahissant les cellules nerveuses tout à coup et en grand nombre : celles
Joffroy, loc. cit. — Vulpian, loc. cit. 2. Voir sur l'atrophie des cellules motrices dans l'atrophie musculaire progres-sive
uelle nous appelions votre attention, il n'y a qu'un seul instant, la cellule nerveuse n'est, au contraire, affectée que second
-bable que ces affections se rattachent, elles aussi, aune lésion des cellules nerveuses motrices. La paralysie spinale de l'adu
; tandis qu'au con-traire celles qui portent soif sur les agrégats de cellules motrices étages sur le plancher du quatrième vent
eCath. Aubel.)—Duehenne et Joffroy. De l'atrophie aiguë et chron. des cellules nerv. de lamoelle et du bulbe rachidien. (Arch. d
arquable que, suivantles recherches les plus récentes, les lésions de cellules nerveuses antérieures jouent dans la production d
reconnu, if y a lieu de rechercher, Messieurs, pourquoi la lésion des cellules nerveuses motrices entraîne avec elle celle des f
, ne sont pas assez délicats pour permettre d'atteindre isolément les cellules nerveuses. Il faut donc se borner, pour le moment
à constater que, — comparables en cela aux nerfs périphériques, — les cellules nerveuses motrices ont le pouvoir, lorsqu'elles s
24 heures à peine après l'accident. (Gharcot). Sur la tuméfaction des cellules ner-veuses motrices et des cylindres d'axe des tu
ure et canal central. — C, Sillon médian intérieur, — a, a. Groupe de cellules antérieur externe. — b, b', Groupe de cel-lules a
erne. — b, b', Groupe de cel-lules antérieur interne, — c', Groupe de cellules postérieur externe du côté droit. Le groupe cellu
rquablement atrophiées et dé-formées et un certain nombre des grandes cellules nerveuses, celles du groupe externe surtout, avai
si l'on songe qu'une lésion irrita-tive, primitive ou secondaire, des cellules nerveuses descornes antérieures de la substance g
t le phénomène chimique cle la sécré-tion, ou, autrement dit, sur les cellules sécrétantes. Cette in-fluence du nerf sur- la séc
aître que le nerf glandulaire, soumis aux excitations, amène dans les cellules sécrétantes une modification de la nutrition inti
ue les terminaisons des nerfs glandu-laires pénètrent jusque dans les cellules sécrétantes (1) M.Hei-denhain a même essayé de dé
à quelques égards, de celle qu'offre la glande à l'état de repos. Les cellules anciennes, dites muqueuses, paraissent, en effet,
ueuses, paraissent, en effet, après l'irritation, rempla-cées par des cellules jeunes de formation récente (2). Si les vues de M
nerf une influence pour ainsi dire directe sur le déve-loppement des cellules glandulaires (3). L'hypothèse qui vient d'être
veuses jusque dans les nucléoles des corpuscules de la cornée, et les cellules conjonctives de la membrane cligno-tante (1). I
ul-times vont se rendre. Leur rôle physiologique serait non pas les cellules dites muqueuses perdraient tout simplement leur c
t tout simplement leur contenu de mucus et reprendraient l'aspect des cellules glandulaires pariétales. Il n'y aurait donc pas i
Il n'y aurait donc pas ici, comme le veut M. Heidenhain, formation de cellules nouvelles. 1. Voir Khùne : in Gaz, hebdom., t.
de môme que le rôle des nerfs sécréteurs est de mettre enjeu dans les cellules glandulaires une propriété immanente, tout à fait
muel a paru, et qui mettent hors de doute l'influence des lésions des cellules nerveuses antérieures sur le dévelop-pement des d
nerfs d'absorption, qui, suivant ce physiolo-giste, agiraient sur les cellules endothéliales des vaisseaux san-guins, de la même
empêche d'admettre que les irritations pathologiques, portant sur les cellules nerveuses des cornes antérieures, seront transmis
rolifération des noyaux qui entourent l'épcndyme ; — pigmentation des cellules nerveuses, très prononcée, principalement dans le
ation des cellules nerveuses, très prononcée, principalement dans les cellules de la co-lonne vésiculeusc de Clarke) ; les autre
r les coupes de plaques scléreuses à l'état frais. — Modification des cellules nerveuses. — Mode de succession des lésions. Me
rêterons pas à décrire les éléments nerveux proprement dits, tubes ou cellules ; nous n'insisterons pas non plus sur leurs rappo
nnaires, leur noyau, leur nucléole et aussi les pro-longements de ces cellules se colorent fortementsous l'influence de ce réact
(Kôlliker) ; c'est-à-dire qu'elle serait essentiellement composée de cellules étoilées, en général pauvres en protoplasma, port
avec les autres, de manière à relier en un seul système les diverses cellules et à les rendre pour ainsi dire solidaires [Kôlli
stant, pour exemple, il importe ici de distinguer en premier lieu des cellules et en second lieu un réseau de trabécules fibroïd
s et en second lieu un réseau de trabécules fibroïdes qui relient ces cellules entre elles. Il s'agira d'abord de ce que l'on vo
qui, d'autres fois, au contraire, sont renfer-més dans une véritable cellule arrondie ou étoilée (myélo-cites, variété cellule
dans une véritable cellule arrondie ou étoilée (myélo-cites, variété cellule ), et munis de prolongements plus ou moins nombreu
connexions qu'elles peuventavoir soit avec les noyaux, soit avec les cellules qui occupent les nœuds du réti-culum ; leur textu
te l'aspect spongieux que nous avons déjà mentionné. Ajoutons que les cellules étoilées se montrent plus nombreuses que partout
lementdéveloppées, qu'il devient fort difficile de les distinguer des cellules nerveuses ; mais nous aurons l'oc-casion d'insist
ter sur ce point. Un réseau fibroïde dense, à mailles étroites, des cellules nombreuses se retrouvent aussi dans les parties d
ant contribué à la connaissance du tissu conjonctif, a montré que les cellules , décrites parGolgi etBoll, ne sont proba-blement
euse,une lame de protoplasma qui, avec le noyau, constitue une petite cellule plate de tissu conjonctif. Au-dessous et au-dessu
e cellule plate de tissu conjonctif. Au-dessous et au-dessus de cette cellule , les petits faisceaux se poursuivent. Il ne me pa
s dou-teux, ajoute M. Ranvier, que cet ensemble ait été pris pour une cellule rami-fiée, mais c'est là une erreur qui, j'en sui
e. » Sur d'autres points des mêmes préparations, on peut observer des cellules plates isolées ou bien des entrecroi-sements sans
server des cellules plates isolées ou bien des entrecroi-sements sans cellules , dispositions qui ne laissent aucun doute sur l'i
ticulum qu'elles doivent rem-placer bientôt, en partie aux dépens des cellules et des noyaux delà névrogiie? Naissent-elles, au
ont semblé parfois prendre racine dans la substance des noyaux ou des cellules , et que ce fait, s'il était confirmé, pourrait-êt
nveloppe (Fettkorn-chen Zellen) ; ces derniers ne sont autres que des cellules de la névroglie ayant subi la dégénération granul
mars et avril 1866 ; thèse de Paris, 1867, p. 44. qu'éprouvent les cellules nerveuses, lorsque, par suite de l'en-vahissement
elles se trouvent comprises dans l'aire d'uneplaque de sclérose. Ces cellules ne sont pas le siège d'une prolifération nucléair
, contrairement à ce qui a lieu dans les mêmes circonstances pour les cellules conjonc-tives dont les noyaux se multiplient habi
substance d'aspect vitreux, brillante. Il en est de même du corps de cellule qui, en outre, semble composé de couches concentr
lume re-lativement considérable, s'empare de toutes les parties de la cellule en même temps que des prolongements cellulaires s
echerches, les parties sclérosées seraient formées de fibrilles et de cellules plates, en tout semblables aux cellules du tissu
nt formées de fibrilles et de cellules plates, en tout semblables aux cellules du tissu conjonctif ordinaire. Il est arrivé à ce
le siège, s'était communiqué, en certaines régions de la moelle, aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance
ellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise et ces cellules , en conséquence, avaient subi des altéra-tions pr
nsécutive, relève le plus souvent d'une lésion irritaiive des grandes cellules dites motrices (1 ). Contracture permanente des
ite centrale, hématomyélle, etc. — b) Lésions irritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance
r les coupes de plaques scléreuses à l'état frais. — Modifications de cellules nerveuses. — Mode de succession des lésions......
Siège, note, 113, 119 ; lésions des jointures, 120 ; — altération des cellules des cornes antérieures, 122 ; — dans Vatrophie mu
Arthropathies dans 1' —, progressive, 122. — Lésions inci-tatives des cellules nerveuses dans T — 69 ; — sa tendance à la gé-nér
(Hémorrhagie des) dans les lésions spinales, 128. Catalepsie, 447. Cellules nerveuses motrices des cor-nes antérieures de la
antérieures de la substance grise de la moelle, 62. — Lésions de ces cellules : forme aiguë (pa-ralysie infantile), 68 ; — form
s la production des troubles trophiques, 72. — Dégénération jaune des cellules nerveuses, 218, 219. — Lésions des — dans la sclé
. Aura.) Griffe dans un cas de sclérose en plaques avec lésions des cellules nerveuses, note, 63 ; — dans la pa-ralysie agitan
lésions ana-tomiques, 72 ; — labio-glosso-la- ryngée : lésions des cellules mo-trices, 72, 263, 236. — pseudo-hypertrophiqu
Ataxie locomo-t r i c e ;. En p la q u es dissémiu ées .(Lé-sions des cellules motrices dans la—), 72 ; — et paralysie agitante.
57 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u- teur de travaux appréciés sur l'anatomie et la physiologie des cellules neryeuses'des"ganglipns'spinaux, sur'l'ahatomiedu
ie des cellules neryeuses'des"ganglipns'spinaux, sur'l'ahatomiedu cellules ^neryeuses*l'des>'gangHpnsiV'spinaux,' sur,'ran
stologique des plus délicates, les transforma- tions subies par les cellules des centres nerveux sous l'influence de causes
rt la porte à toutes les heures, sur le couvert qui respondoit à la cellule de la soeur Jamain, des pas d'hommes qu'elles d
l était commode d'y accéder sans échelle, et entrer ensuite dans la cellule , soit de la soeur de Malo, soit de la soeur Jam
le, soit de la soeur de Malo, soit de la soeur Jamain. La- première cellule était en effet, privée de barreaux, et la secon
ant qu'une certaine nuit. comme on se mettait en devoir d'ouvrir la cellule de la soeur Jamain, elle mit ses ciseaux sur le
arachnoïde sont, dans toute la hauteur de la moelle, infiltrées de cellules , à' gros noyaux se colorant' vivement, cellules e
elle, infiltrées de cellules, à' gros noyaux se colorant' vivement, cellules embryon- naires.'Ces cellules sont surtout abon
à' gros noyaux se colorant' vivement, cellules embryon- naires.'Ces cellules sont surtout abondantes autour des capillaires
eur agglomération, et au centre, il n'est pas rare- de trouver une- cellule géante polynucléaire. Dans beaucoup de veinules
s, et,à la tuberculose ainsi- les- granulations embryonnaires) avec cellule géante» centrale, ainsi les foyers gommeux micr
,F(mflt'. 1 ·Dri..v,n a.lEi' 81tlrJlJ 3..Î .{ i.i ^ 4 Du nombre des cellules nécessaires hLns lesasiles.publics de trai- ten
era en bois dur; 12° utilité des sièges fixes des latrines dans les cellules ; 13- un-mobilier fixe est tout à fait inutile.
eret Rieger qu'il est impossible de tomber d'accord sur un-type de, cellules , pas plus que sur un nombre centésimal régulier
x autres questions avaient été mises dans l'urne : Pneumogastrique, cellules nerveuses. » " Epreuve orale. La question trait
s d'axe, quels rapports existent entre eux et les prolongements des cellules nerveuses, quelle est la structure et les parti
frent ces derniers, comment se com- portent les fibres naissant des cellules calleuses des circonvo- lutions de l'un des hém
de l'hémisphère du côté opposé; nous connaissons dans la moelle les cellules donnant naissance à des fibres qui vont se mêle
rmale. Tout récemment, Golgi lui-même3 a décrit les altérations des cellules de l'écorce cérébrale, qu'il a pu observer dans
ÉNÉRALE. 87 Les éléments cellulaires offrent aussi des lésions. Les cellules cé- rébrales dans les différentes zones de Meyn
diminution de volume de leurs prolongements. Même pour beaucoup de cellules ceux-ci sont invi- sibles et le corps de la cel
ur beaucoup de cellules ceux-ci sont invi- sibles et le corps de la cellule semble réduit à un protoplasma de forme arrondi
alaire sans les angles tels qu'on les observe au niveau des grandes cellules pyramidales dans l'état normal et au niveau de
s cellules pyramidales dans l'état normal et au niveau de certaines cellules polygonales de l'écorce. Les espaces lymphatiqu
. Enfin le protoplasma est chargé en dépôts pigmen- taires. 1 Les cellules rondes de l'écorce sont plutôt en voie d'atrophie
ont augmentés de volnme. 2° Par l'acide osmique. On voit dans les cellules et dans les vaisseaux de l'écorce, au niveau de
ubstance blanche et au niveau de la limite inférieure delà zone des cellules polymorphes, on constate des atrophies dégé- né
les expansions protoplasmiques basilaires; enfin sur le corps de la cellule . Remarquons en passant que ces altérations sont
es lésions s'expliquerait-elle aussi par le fait que le corps de la cellule est le centre trophique de tous les, éléments qui
Toutes ces altérations sont à différents degrés sur les diverses cellules de l'écorce, mais elles semblent en général suivr
la marche que nous venons d'indiquer. Ce sont surtout les grandes cellules pyramidales qui sont atteintes; les polymorphes e
ules pyramidales qui sont atteintes; les polymorphes et les petites cellules pyramidales le sont beaucoup moins. Peut-être c
yramides vient de ce qu'elles s'imprègnent plus rarement. Quant aux cellules spé- ciales de Cajal, comme leur imprégnation e
imprégnation est très difficile, nous ne pouvons rien préciser. Les cellules à cylindre d'axe ascen-, dant de Martinotti par
es. Dans la même coupe et dans une même couche on rencontre y. 3. Cellules pyramidales altérées dans l'écorce cérébrale d'un
brale d'un paralytique général et d'une mélancolique. A, B, C, D. Cellules pyramidales de l'écorce d'un paralytique général,
OGIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 89. parfois côte à côte plusieurs cellules altérées, mais d'ordinaire les cellules malades
rfois côte à côte plusieurs cellules altérées, mais d'ordinaire les cellules malades sont mêlées aux éléments sains. Les cellu
'ordinaire les cellules malades sont mêlées aux éléments sains. Les cellules du cervelet présentent des altérations analogue
rophie des protoplasmas cellulaires, les changements de forme de la cellule nerveuse qui, de triangu- laire qu'elle est à l
sont mis en relief par ce procédé appliqué d'abord à l'étude de la cellule normale et sans lequel nous ne connaîtrions enc
es autres procédés de cet élément si complexe dans sa structure, la cellule de l'écorce cérébrale. Les éléments anatomiques
s d'as- 90 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. signer à la destruction de la cellule cérébrale un processus que l'on puisse qualifie
iques, cette atrophie et cette rareté des expansions du corps de la cellule , cette atro- phie de saillies épineuses qui à l
térations nouvelles, elle vient confirmer ce fait déjà connu que la cellule cérébrale est touchée par la maladie qui nous o
logues, cela n'ôte rien à ce fait que dans la paralysie générale la cellule nerveuse s'amoindrit, s'étiole et s'atrophie.
ées est précisément d'établir des rapports fonctionnels entre les cellules nerveuses et les prolongements terminaux des cy-
'arsenic, le plomb et l'antimoine, des altérations de structure des cellules gan- glionnaires, analogues à celles qu'on obse
nt les sen- sations f s'emrriâgâsinent à l'état de résidus dansées- cellules nerveuses^' quelles modifications elles'y4 déte
une plus longue durée. 9' fp ? Qu'y a-t-il sous cette faiblesse des cellules nerveuses à rete- nir les sensations qui les on
sensations *. Il y a certaine- ment une condition particulière des cellules qui doit être'une sorte d'épuisement, de fatigu
eux renferme un préau, une chambre de réunion, un réfectoire, trois cellules installées selon les données modernes, plusieur
a laquelle seroient resti- tuées les linges et habits trouvés en sa cellule lorsqu'elle fust arrestée à requeste du dict pr
t rien moins que la consta- tation définitive de la disparition des cellules nerveuses motrices dans le bulbe et la moelle d
cellulaire, considéré comme la somme des actes biologiques dont la cellule est le siège, est-il donc pour toujours hors de
rmis aux cyta- logues de définir le rôle énorme que jouent, dans la cellule , le noyau et les plastidules; il faut, avec le
ur Gauthier, épier et surprendre les actions et les réactions de la cellule vivante. Ce travail, si difficile à première vu
nflit de certains poisons, avec les sub- stances albuminoïdes de la cellule , les déviations les plus variées de l'intellige
. Que dis-je ? nous savons, depuis les travaux de Bouellard, que la cellule fatiguée s'empoisonne elle-même et peut mourir,
les méthodes d'examen se perfectionnent, plus aussi on trouve les cellules de la substance grise altérées ; à tel point que
tie essentielle du nerf, n'est autre chose qu'un prolongement d'une cellule nerveuse dont il dépend étroitement. Le corps d
t d'une cellule nerveuse dont il dépend étroitement. Le corps de la cellule et ses prolongements constituent les diffé- ren
'empêche d'admettre qu'une perturbation de la partie centrale de la cellule ,, s'y traduisant par des altérations morphologi
es; cela me parait d'autant plus accep- table que les parties d'une cellule les plus éloignées de leur centre trophique, c'
onner la lésion du cylindre-axe à, une modification dynamique de la cellule d'où dépend celui-ci, on peut admettre que cert
ions de paralysie saturnine on a noté l'existence d'altérations des cellules des cornes antérieures de la moelle. Il faut re
e périphérique est incontestable, il se développe parfois, dans les cellules des centres nerveux dont proviennent ces nerfs,
e notion de la dépendance absolue du cylindre- axe par rapport à la cellule et cela en quelque point que ce soit de son par
'agent actif de la nutrition locale à laquelle concourent aussi les cellules conjonctives de la gaine de Henle. Si, chez les a
, se croient forcés d'invoquer fatalement l'action à distance de la cellule gan- glionnaire, dont le cylindre-axe dépend en
érence possible de cons- titution entre le cylindre-axe émané d'une cellule sensitive et celui issu d'une cellule motrice o
e le cylindre-axe émané d'une cellule sensitive et celui issu d'une cellule motrice ou d'une sensorielle. ' .La structure d
es cylindres-axes est une et uniforme, la constitu- tion intime des cellules ganglionnaires l'est aussi. Voilà ce que nous a
prenant la question de cette façon, on arrive à conclure que toute cellule motrice ganglionnaire est en somme toujours aus
chose motrice. Elle l'est du mouve- ment nerveux qui va exciter la cellule motrice, laquelle est l'instru- ment de la réac
faitement individuelle aussi. Et sans nier l'influence grande de la cellule ganglionnaire sur un nerf dans tout son par- co
n devrait réserver l'asile spécial qui serait doté d'un quartier de cellules pour les ivrognes qui auraient un accès de déli
d'hypothèse, comme celui des lésions du système sensitif, dans les cellules nerveuses. Les altérations périphériques des fi
s motrices peuvent être attribuées à une modification dynamique des cellules ,dont ces fibres dérivent, c'est-à-dire des cel
dynamique des cellules ,dont ces fibres dérivent, c'est-à-dire des cellules motrices de la moelle et du bulbe. Dans certain
e, ce sont les altérations des vaisseaux, tandis que l'atrophie des cellules nerveuses apparaît tardivement et constitue un
YS- TÈME NERVEUX AVEC REMARQUES SUR LES CELLULES NERVEUSES ET LES CELLULES DE la névroglie; par H. ROSIN. (Neurolog. Ceitir.
colorées dans les élé- ments histologiques, il résulterait que les cellules de la névroglie sont, par rapport à la névrogli
la névroglie même, un vrai tissu conjonctif, le protoplasma de ces cellules rappelant l'assemblage des fibres fines du tiss
ment antérieur; les cellules-araignées notamment correspondent aux cellules du tissu conjonctif réticulaire. Les cellules n
t correspondent aux cellules du tissu conjonctif réticulaire. Les cellules nerveuses possèdent dans leur protoplasma une sub
grains et une substance acidophile à fibres fines. Le noyau de ces cellules présente dans les préparations à l'alcool cette
, la sclérose de l'ensemble des cordons postérieurs, l'atrophie des cellules de la corne antérieure et de la colonne de Clar
tions histologiques et de dessins représentant des altérations de cellules cérébrales, médullaires et du grand sympathique d
ndothélium et celui des lym- phatiques voisins, lequel est formé de cellules sinueuses. En second lieu, on voit que là où le
e opinion que j'ai émise le premier en 1881 : c'est à savoir que la cellule névroglique est une cellule neuro- épithéliale.
premier en 1881 : c'est à savoir que la cellule névroglique est une cellule neuro- épithéliale. J'ajouterai pour ma part qu
neuro- épithéliale. J'ajouterai pour ma part que c'est là aussi une cellule nerveuse, dont la différenciation est demeurée
Le fait de la réduction de l'épithélium épendymaire à une ligne de cellules cubiques ou prismatiques basses en certains poi
t plus re- 340 SOCIÉTÉS savantes ! présenté que par une couche de cellules plates, endothéliformes, qu'il faut imprégner d
pithélium cylindrique et se développent dans les intervalles de ses cellules . J'ai signalé ce fait dès 1881. Dans les préparat
es aurait trouvées tapissées d'un revêtement continu : ici formé de cellules épendymaires longues et typiques, là de cellule
inu : ici formé de cellules épendymaires longues et typiques, là de cellules prismatiques basses, et enfin d'un vernis épendy-
its tels que l'existence de jeunes éléments, ayant l'appa- rence de cellules de remplacement, entreles pieds des longues cel-
sion oriente sa plaque équatoriale parallèlement à la hauteur de la cellule épendymaire : les deux cellules filles sont dan
ale parallèlement à la hauteur de la cellule épendymaire : les deux cellules filles sont dans ce cas juxtaposées et augmente
n donne une plaque équatoriale perpendi- culaire à la hauteur de la cellule épendymaire : les deux cellules filles sont alo
perpendi- culaire à la hauteur de la cellule épendymaire : les deux cellules filles sont alors superposées et l'épaisseur de
si l'on peut voir des grains devenir secondairement l'origine d'une cellule du type sensoriel, qui primitivement profonde p
el- lules épendymaires ordinaires, qui dès lors jouent le rôle de cellules de soutien, tout comme dans les neuro-épithéliums
plus fréquemment dans le sens tangentiel. Comme, en même temps, les cellules des chaînes radiales pous- sent des prolongemen
ans un sens prépondérant, comme l'a vu le premier Reissner. Là, les cellules du neuro-épithélium deviennent rares, à longs p
indres d'axe, puis, en fin de compte, par la substance blanche. Ces cellules , qui manifestement viennent des grains issus eu
cellules, qui manifestement viennent des grains issus eux-mêmes des cellules épithéliales bordant l'épendyme, ont d'emblée l
bordant l'épendyme, ont d'emblée l'aspect et la signification des a cellules Araignées ». Epi- théliales de race bien que pl
és récemment, sont dans des conditions convenables. Les préaux, les cellules , les cabinets d'ai- sance, etc., sont, au contr
'urate de soude, d'acide urique, parfois des globules sanguins, des cellules rénales et de l'albumine. On voit qu'il y a des
où les malades sont passés après le leveretprennenl les repas. Les cellules sontboisées, non capitonnées, sans tinettes, et
eu petit nombre. Dans un asile bien tenu, possédant un quartier de cellules bien organisé, les évasions ne sont pas à crain
s granulations embryonnaires dont quelques-unes étaient pourvues de cellules géantes. ' z . 3° Les altérations des vaissea
. Foyer de ? ? ? t0-m ? smp. scptum médium postérieur, iiifiliré de cellules rondes; vp, veinule de la pic- mere oblitérée;p
repos et état d'action. . Dans le premier cas (V. fig. 18, a), la cellule glandulaire consiste en un réseau de fibrilles
andeurs différentes, mais ayant toutes une forme arrondie. Chaque cellule est munie d'un noyau, de forme arrondie, ovale
lus nettement, ses mailles s'élargissent; sur la périphérie de la cellule se montrent des vacuoles remplies d'une subst
de l'afflux d'eau dans la glande), le tableau de la struc- ture des cellules glandulaires change complètement. La parotide,
e au toucher; ses lobules sont plus petits, moins transparents; les cellules sont , v rig. 1S. Fig. 19. REVUE D'ANATOMIE
ellulaire est ratatiné, des mailles sont à peine perceptibles et la cellule est remplie d'un nombre considé- rable de granu
excitant le sympathique, on laisse intact l'auriculo- temporal, les cellules tout en conservant les mêmes dimensions, la mêm
nt élargies. Les granulations sont agglomérées vers le centre de la cellule ; elles sont notablement augmentées de volume.
de l'auriculo- temporal et du sympathique, la va- cuolisation des cellules devient ex- trême ; il ne reste souvent de tout
des cellules devient ex- trême ; il ne reste souvent de toute la cellule qu'un seul noyau qui, lui aussi, devient quelqu
aussi, devient quelquefois à peine perceptible ; à la place de la cellule on observe une énorme cavité (V. fig. 20, c)
a folie systé- matique des prisonniers, condamnés à la réclusion en cellule , qui débute par des hallucinations isolées de l
11 est donc permis de supposer l'exis- tence de lésions graves des cellules , des tubes et des vaisseaux cérébraux. Dans l
a inflammation des nerfs, il y a aussi dégénérescence (toxique) des cellules en sorte que la maladie n'est pas une psychose.
résultat uni- voque de l'action de la plupart des toxiques sur les cellules céré- brales. M. Korsakow n'est donc pas plus
es ou petites. On les utilisera comme chambres d'isolement ou comme cellules d'aliénés criminels. Deux autres constructions
ne, pathologie du noyau lenticulaire et (le la par Sommer, 316. Cellules , du nombre des néces- saires dans les asiles, e
58 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cidia canina et celle du Bothryllis sont formées de deux rangées de cellules . La tératologie parlait dans le même sens par s
en montrant que le rudiment de la corde est formé de deux rangs de cellules , alors même que cet organe n'en forme plus tard
c'est qu'il la découvre ana- tomiquement formée de deux rangées de cellules , chacune de ces deux rangées étant provenue d'u
angées étant provenue d'une des moitiés de l'oeuf : « Cha- cune des cellules du stade II contient, dit-il, l'une des moitiés d
me suffit pas. Dites-moi encore, et prouvez-moi, qu'il est né d'une cellule unique ; car si je le puis croire constitué primi
nique ; car si je le puis croire constitué primitive- ment par deux cellules dont l'une sera née dans la partie droite de l'
bauche simple ; mais ajoutez encore, avec preuve à l'appui, que les cellules qui ont formé cette ébauche lui sont toutes ven
n. » En plusieurs passages, M. Bonne revient sur cette idée que les cellules de l'embryon en for- mation vont s'enchevêtrant
r du blasto. pore de la gastrula qui vient de se former et dont les cellules sem- blent être encore disposées, par rapport a
nerveux compris seront donc doubles et médians cependant que leurs cellules se disposeront, pendant le cours du développeme
du même côté (stade IV), ayant été tué, Il est resté dans la ou les cellules vivantes, un animal ascidie susceptible de se d
'oeuf était tué à gauche. Tout au plus pourrait-on admettre que les cellules non atteintes, auraient pu conserver une vie ce
ver une vie cellulaire et se déve- lopper plus ou moins en tant que cellules ; mais on ne concevrait pas qu'elles eussent pu
ère vivant ». Chabry décrit ensuite l'évolution et le mouvement des cellules au stade VIII puis au stade X\'I.I1 Il termine
mentés dans le sens méridien. Tour à tour il tuera ou bien les deux cellules nées du blastomère primitif de droite, ou les d
de son point d'attache, c'est-à-dire à l'endroit habituel, est une cellule pigmentaire superficielle représentant l'oeil.
soi un individu, un co- être ? Chabry opère ensuite sur les deux cellules du côté droit qu'il tue. Il obtient «un demi -i
s ». Puis il opère sur de nouveaux oeufs en tuant non plus les deux cellules du stade IV nés d'un même blastomère (' ! ) ini
IV nés d'un même blastomère (' ! ) initial des stades II, mais deux cellules de ce stade IV nées chacune d'un blastomère ini-
omère ini- tial différent. Dès lors le résultat est tout autre. Les cellules res- pectées restent encore plus ou moins longt
'évolution de l'oeuf,Chabry décrira des phé- nomènes analogues. Les cellules blastomériques iront tantôt se fuyant, tantôt s
arfaitement et d'une distance incessamment variable. Jusque-là, ces cellules se seront heurtées, repoussées ou au contraire ét
aît simple alors que anatomiquement cette ébauche a été for- mée de cellules fournies par l'un et l'autre côté de l'oeuf s'acc
rincipe de la « formation cellulaire double » en montrant que ses « cellules se disposent pendant le développe- ment à droit
aussitôt vers l'écorce. Après section des racines postérieures, les cellules motrices des cornes antérieures ne présentent p
ut donc in- voquer une lésion secondaire de ces racines et de leurs cellules pour expliquer les troubles moteurs. Dans le
n plus minces. Ces fibres néoformées doivent leur nutri- tion à des cellules spéciales qui apparaissent en colonies au niveau.
dans les processus de régéné- ration nerveuse, ont reçu le nom de « cellules apo trophiques».IVIaI- gré ces efforts combinés
it des réactions bien différentes dans les deux prolongements de la cellule ganglionnaire ; le prolongement péri- phérique,
l subit un processus d'atrophie rétrograde jusqu'au voisinage de la cellule . Les recherches ont mis en évidence l'existence
sif. L'auteur pense que cet autre facteur est un état approprié des cellules nerveuses, et pro- bablement un état d'extrême
s dans les capillaires expliquerait la dégénérescence en plaque des cellules nerveuses ; leur enchâsse- ment dans les petits
itiale des tissus céré- braux, degré suivant lequel l'équilibre des cellules nerveuses va- riera de telle facon que les unes
hique, et ces deux facteurs sont, d'abord, l'état d'instabilité des cellules nerveuses, la dissolution sénile du système ner
pe, on a trouvé de l'atrophie musculaire simple, de l'atrophie des cellules radiculaires motrices, de la dégénérescence des r
ont peu graves,en général, ne com- promettent pas la vitalité de la cellule , et ce à cause de l'intégrité des vaisseaux qui
1Ulsculaires de suc de substance grise dans les insuffisances de la cellule cérébrale. Neuf observations à ce sujet sont pr
l'étude de la topographie des lésions corticales (des fibres et des cellules ) montre qu'il existe entre Fa et Pa un contrast
lus légère, mais évidente au Pal ; altérations cellulaires (grandes cellules pyramidales et cellules géantes de Betz) ;- dan
e au Pal ; altérations cellulaires (grandes cellules pyramidales et cellules géantes de Betz) ;- dans Pa au contraire, aspec
ale. P. Bernheim : Concep- tion du tabès. M. RETIENNE (Nancy) : Les cellules des cornes antérieures dans les arthropathies n
tances grise et blanche par les éléments sus-mentionnés et par les cellules en bâtonnets. Hyperplasie névroglique dissé- mi
illes nerveuses. Dégénérescence, neu- ronophagie et destruction des cellules ganglionnaires. La syphilis cérébrale diffuse s
ution transitoire de polynucléai- res avariés ; entrée en scène des cellules endothéliales et de mononucléaires petits ou mo
rable de fibres fines, disposées en faisceaux et séparées par des cellules apotrophiques. Ces fibres finissent par une massu
onnaissances sur l'anatomic et la phy- siologie de cet organe. La cellule de Purkinje a été bien vue, mais nous pouvons d
le paralysie radiale. S'agit-il d'un certain de- gré d'agénésie des cellules radiculaires des groupes correspondants ou bien
iénés ; ire partie : développement, mor- phologie et connexions des cellules nerveuses (tome II, fascicule 6, de la Revue gé
est exclusivement consacré au développement et à la morphologie des cellules nerveuses du pallium ; un prochain fascicule tr
res années : d'après l'opinion ancienne et la plus répandue, chaque cellule et ses prolongements dérivent d'un seul élément
nts à la formation de ce que l'on con- sidère comme représentant la cellule et ses prolongements. Mais la deuxième opinion
nts de soutien) ; 2° le stade neuro-épithélial (les descendants des cellules se différencient et deviennent des cellules ner
(les descendants des cellules se différencient et deviennent des cellules nerveuses ou névrogliques); 3° la filiation ontog
rticipation d'éléments de nature diverse à la formation d'une seule cellule ). Ces données primitives servent de guide à l'a
oblastes qui vont for- mer la couche corticale ; multiplication des cellules ; déblaiement des voies) ; 2° Période de différ
de la vie foetale et 2 premiers mois de la vie extra-utérine) ; les cellules du cortex deviennent adultes et constituent des c
on encore dis- cutée, les uns admettant la rotation pour les seules cellules dont l'axone est dirigé en dehors, les autres,
one est dirigé en dehors, les autres, au contraire, pour toutes les cellules , sauf celles-ci. Il semble qu'il faille s'en teni
opposées. Le chapitre II est consacré tout d'abord à l'étude des cellules de chaque couche d'après les données des méthod
des qui donnent, l'une exclusivement, l'autre surtout, la forme des cellules et de leurs prolongements. éléments nécessaires
pas oublier, en effet, que toutes les fibres nerveuses, toutes les cellules nerveuses de l'écorce, ne con- tiennent pas des
eurofibrilles terminales à la périphérie des cytosomes (corps de la cellule ) et des dendrites ; ou plutôt, ce qu'on sait, ten
ispositifs révélés par le chromate d'ar- gent, de la silhouette des cellules , pour ainsi dire. L'étude de chaque couche est
enclature et sur les types nouveaux introduits ces derniers temps : cellules névrogliformes, bipenicillées, etc. L'auteur rem-
s, bipenicillées, etc. L'auteur rem- place les termes défectueux de cellules à cylindraxe court et à cy- lindraxe long, par
de cellules à cylindraxe court et à cy- lindraxe long, par ceux de cellules à neurite corticicole et à neurite corticifuge.
association, puis les fibres autochtomes ; puis, les connexions des cellules à neurite corticifuge ; à ce sujet, est exa- mi
se raccordent aux voies corticifuges grâce aux collatérales et aux cellules à court axone ; puis, les hypothèses émises sur
che du courant principal et des courants dérivés,et sur le rôle des cellules à neurite corticicole. Il réserve pour le fasci
ues chiffres ayant trait au nombre, au volume et au poids total des cellules nerveuses du cor- tex terminent l'article ; mai
tre ovale et la couche zonale, la différenciation pro- gressive des cellules à neurite corticifuge, etc. Quelle que soit l'at-
on, ont maltraité et violenté une pauvre idiote. Ils ont été mis en cellule . (Liberté, du 25 août.) . Si la municipalité av
t seulement des modifications dans la forme et l'aspect de quelques cellules surtout du lobule paraoentral dont beaucoup éta
au- vier tome II. (2) L. marchands Lésions des neuro/ibrillcs des cellules p ! Jl"lIllll- dales dans quelques maladies lne
, par l'étroite parenté histologique qui unit la névroglie et les cellules . En somme, l'altération porterait sur le tissu
écorce, particulièrement dans les couches profondes. Les noyaux des cellules semblaient gonflés à un haut degré ; la membran
ais en revanche une néoformation pathologique des fibrilles ; les cellules étaient enserrées par le tissu de soutien. Niss
couches pi ofondes par exemple, il a vu de nom- breuses et grandes cellules de névroglie tendant à la régression et semblab
particulière; ces noyaux se trouvaient en grand nombre auprès des cellules malades, et semblaient même les pénétrer non se
aux sanguins et lymphatiques, en action phagocy- taire de certaines cellules . Klippel et Lhermitte voient dans la démence pr
s éléments vasculo-conjonctifs (leucocytes, endothélium vasculaire, cellules conjonctives). Les dé- mences vésaniques au con
lésion ar- rêtée dans son évolution ; malgré les quelques amas de cellules embryonnaires encore visibles au milieu du tissu
eu une durée assez longue pour altérer d'une façon irrémédiable les cellules de l'écorce. Si, au contraire, le cortex a été
ges et les différents tissus du cortex ; des lésions exclusives des cellules pyramidales. Il y aurait dès lors une démence p
es tares héréditaires chargées. Il s'agirait d'une adultération des cellules psy- chiques pendant la vie intra-utérine ou da
il en est souvent ainsi. Il est certain que l'isolement, surtout en cellule , est encore un procédé barbare et irrationnel d
représentation mentale, mais exprime un trouble fonc- tionnel de la cellule nerveuse. Quant aux troubles psychiques qui l'a
ÉJERINE. - Je pense que la neurasthénie n'est pas une maladie de la cellule , qu'il s'agit avant tout de troubles fonctionne
oire périphérique d'un nerf moteur peut n'avoir aucun effet sur les cellules du noyau de ce nerf ; que, chez l'homme, après
ossi etc. ; absence chez plusieurs singes. Configuration de leurs cellules qui ne réalisent pas le type mo- teur. Intégr
e les centres des sphincters pupillaires sont repré- sentés par les cellules du segment proximal du noyau du III les plus vo
s plus accentuées occupent la courbe la plus pro- fonde des grandes cellules pyramidales, les cellules de Betz et les cellul
la courbe la plus pro- fonde des grandes cellules pyramidales, les cellules de Betz et les cellules polymorphes. Ce sont de
fonde des grandes cellules pyramidales, les cellules de Betz et les cellules polymorphes. Ce sont des lésions chroniques de Ni
constate une prolifération abondante de la névroglie aussi bien des cellules satellites que des éléments périvas- culaires.
ence précoce serait fonction d'un processus lent de destruction des cellules nerveuses, prédominant surtout au niveau des co
zones centrales, ainsi qu'en témoigne l'abondante prolifération des cellules satellites que l'on rencontre dans ces régions.
RAPHIE. 311 régime des punitions actuelles devrait être réformé, la cellule transformée, la prison commune radicalement sup
pensionnaire de la maison. Aussi, vivait-il la plupart du temps en cellule . Plus calme depuis quelques semaines, il avait
er Desabres, qui fut traîné hors de la salle et transporté dans une cellule .Là, se passa une scène de sauvagerie inouie ; l
s centrales ; quelques fibriles on- duleuses dans les dendrites des cellules de Betz,mais leur cytosome n'en contient pas en
sur toute la longueur de la moelle et dans le tronc céré- bral. Les cellules pyr. n'ont pas encore de fibrilles, même dans l
n'ont pas encore de fibrilles, même dans leurs dendrites. Dans les cellules des cornes antérieures et dans les ' racines an
. se refuse à admettre la pénétration par croissance des axones des cellules pyr. dans la voie pyr. 11 considère comme étant e
« masses protoplasmiques striées, teintes en noir », unissant deux cellules , qu'il aurait sou- vent rencontrées à cette pér
s, intéressant les fibres myéliniques, les fibrilles, les fibres et cellules névrogliques, les vaisseaux, mais surtout les cel
OLOGIE PATHOLOGIQUES mence, on voit la graisse s'accumuler dans les cellules de l'adven- tice après avoir pris naissance dan
naissance dans d'autres éléments ; on la ren- contre aussi dans les cellules nerveuses et névrogliques. Dans l'idiotie amaur
'existe toutefois que sous forme d'une très fine poussière dans les cellules nerveuses ; il existe en même temps un autre pro-
oglie, elle présente dans différents cas de troubles psychiques des cellules à cytosome volumineux, ressemblant à des cellul
psychiques des cellules à cytosome volumineux, ressemblant à des cellules amiboïdes (Eisath), contenant des granulations «
peut être est-ce là la voie par laquelle la graisse arrive dans les cellules de l'adventice. A. insiste, en terminant, sur l
Alzheimer a constamment trouvé la pie-mère épaissie et infiltrée de cellules plasmatiques et de leucocytes, tan- dis que ces
ramidales géantes est seule conservée dans toute son étendue et ses cellules sont absolument semblables en tout à celles de
intégrité de la voie pyramidale s'explique facilement par celle des cellules pyramidales géantes et grandes que l'on considère
es fibres. L'hémiplégie relève donc de lésions siégeant au-delà des cellules de projection. (33e Réunion des neuro- logistes
ssociée avec des lésions dégénératives de la glande dont l'état des cellules révèle le non fonctionnement (Observ. II). F. T
rement at- teint : infiltration surtout circumvasculaire de petites cellules à noyau volumineux et fortement basophile. siég
n.In- tégrité des nerfs, des fuseaux et du tissu conjonctif. Pas de cellules épithélioïdes. Il existait peut-être une tumeur
après l'hémiplégie. Il est vraisemblablement lié à des lésions des cellules motrices, la simple excitation de fibres de trans
parce que nos vo- lontés ne sont que le résultat du travail de nos cellules cérébra- les, dont l'action est déterminée. Pou
et à en examiner le culot. Cette numération se fait au moyen de la cellule à compter de Fuchs et Rosenthal. D'après l'aute
sculaires de suc de substan- ce grise dans les insuffisance de la cellule cérébrale, par Ré- monel et Voivencl, p. 86. Da
59 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
généralisée d'emblée.Mais, les éléments nerveux pro- prement dits, cellules nerveuses et cylindraxes résistent longtemps au
s et bilatérales peuvent dépendre exclusivement de l'excitation des cellules grises de la zone rolandique. (Revue neurologiq
à un étage de quelques millimètres d'épaisseur. La destruction des cellules des cornes antérieures sur une étendue très lim
es parois, de très nombreuses cel- lules d'aspect épithélioïde. Ces cellules sont très volumineuses, ' polyédriques ou arron
t granuleux; le noyau, souvent double, est très petit, arrondi. Ces cellules paraissent tout d'abord s'accumuler dans la gai
ux et enfin tombent dans la cavité centrale.. Pour les auteurs, ces cellules épithélioïdes ont la même signifi- cation et la
lammatoires du système- nerveux. Peut-être cette transformation des cellules inflammatoires en cellules épi- thélioïdes se p
veux. Peut-être cette transformation des cellules inflammatoires en cellules épi- thélioïdes se produit-elle surtout dans le
mitive siège dans la rétine et qu'elle consiste dans l'atrophie des cellules multipolaires ou ganglionnaires, cellules d'ori
siste dans l'atrophie des cellules multipolaires ou ganglionnaires, cellules d'origine des libres optiques. Nous avons coupé
ans tous les cas nous avons trouvé un nombre encore considérable de cellules ganglionnaires, nombre souvent très comparable
t ni au nombre des fibres conservées dans le nerf, ni au nombre des cellules multipolaires. - Les autres couches de neuron
ux extrêmement nombreux disséminés sur un fond uniforme, parsemé de cellules névrogliques. L'examen de cas plus récents nous
iée ne signifie que ce vaisseau est constitué par une seule immense cellule tubulaire. La dégénération autogène n'est plus
vaisseaux, une accumulation des leucocytes, une multiplication des cellules de la névroglie, son oedème, la dégénérescence de
n des cellules de la névroglie, son oedème, la dégénérescence des cellules nerveuses, etc.). Le processus morbide s'était ex
glions spinaux l'accumulation des leucocytes, la multiplication des cellules endothéliales, la neu- ronophagie. L'étude anat
r en tissu thyroïdien. Leur structure histologique comprend : des cellules polymor- phes avec grand noyau et protoplasma c
éfense des tissus environnants se traduit par une prolifération des cellules fixes et un apport de cellules migratrices, et
se traduit par une prolifération des cellules fixes et un apport de cellules migratrices, et c'est le groupement de .ces div
ononucléaires, mais l'élément caractéristique est représenté par la cellule lépreuse ou lepraze'llen : - celle-ci, quatre à
valle desquelles apparaissent de véri- tables amas bacillaires. Les cellules géantes sont remar- quables par leur volume. Du
e qu'on y retrouve les réactions histologiques du léprome avec la cellule lépreuse (leprazellen), la cellule géante et les
histologiques du léprome avec la cellule lépreuse (leprazellen), la cellule géante et les amas énormes de bacilles caractér
parmi lesquels Babes, Marinesco ont trouvé des bacilles dans les cellules motrices et dans les cellules sensitives. De plus
esco ont trouvé des bacilles dans les cellules motrices et dans les cellules sensitives. De plus, Looft, MM. Jeanselme, Mari
èpre, on a trouvé des bacilles dans la gaîne de Schwann et dans les cellules des cornes antérieures ; ne peut-on dès lors ém
du poison, celui-ci se combine continuellement au corps même delà cellule qui s'épuise, subit l'altération régressive, la d
ent il ne s'en produit généralement qu'une très faible quantité, la cellule n'est que soulagée, elle n'est pas débarrassée
ttaque est l'expression directe de l'an- crage de la toxine dans la cellule nerveuse des divers territoires, d'où la physio
ptique et les attaques d'épi- lepsie sllbintmntes; l'épuisement des cellules nerveuses, les dégé- nérescences de ces cellule
; l'épuisement des cellules nerveuses, les dégé- nérescences de ces cellules . Généralement, par contre, il se produit assez
fctue réparation complète, bien que passagère, de la vitalité de la cellule . Cette hypothèse s'appliquerait fort bien à d'a
s temps les plus récents, efforcé de déterminer les altérations des cellules nerveuses et des fibres en insistant surtout sur
u territoire dans l'enceinte duquel on constatait l'exis- tence des cellules et fibres nerveuses altérées. Par contre, on ne
rveux. Mais, le problème le plus important, celui des relations des cellules , des fibres et de la substance grise, attend enco
ux. Le picrocarmin montre que chez le chat il se compose de grosses cellules multipolaires déjà visibles à l'oeil nu, souvent
laires déjà visibles à l'oeil nu, souvent plus volumineuses que les cellules motrices des cornes antérieures de la moelle. 1
le trouve également chez le chien et l'homme, mais chez l'homme les cellules en sont moins grosses et il est moins prononcé.
moin. La comparaison montre des lésions des neurofibrilles dans les cellules nerveuses du paralytique, au maximum dans les p
que les phénomènes dé myokymie peuvent dépendre de l'irritation des cellules nerveuses des cornes anté- rieures. H2 Z . SO
de la substance nerveuse. On apercevait encore beaucoup de petites cellules et de fibres, se trouvant dans différents stades
ute contestation, c'est l'existence d'une profonde altération de la cellule nerveuse et de ses prolongements dans tous les
beaucoup de psychoses. A cette objection, nous répondrons que si la cellule nerveuse est 220 SOCIÉTÉS SAVANTES. lésée iso
ans tous les processus toxi-infectieux aboutissent à la mort de la- cellule , fassent complètement défaut dans la démence pr
ytaire, qui semblent jouer le rôle de neuronophages vis-a-vis de la cellule nerveuse. Cette prolifération de la névroglie
ns notables de la névroglie, la même localisation du processus à la cellule nerveuse dont les angles sont arrondis, les pro
éments vasculo-conjonctifs (leucocytes, endothéliums vascu- laires, cellules conjonctives). « Les délires et les démences vésa
sions destructives avec désintégration plus ou moins complète de la cellule , mais tandis que l'élément noble est seul intéres
ces, écrit son élève, M. Bridier, la plus constante est celle de la cellule corticale. Il ne s'agit pas seulement d'une lés
t Lhermitte dans 4 cas de démence précoce (diminution du nombre des cellules py- ramidales, en dehors des zones psychomotric
(tuméfaction, gonflement, modifications de la forme cellulaire des cellules géantes de la rolandique, avec chromatolyse int
e, bien plutôt qu'à une lésion toxique. La diminution du nombre des cellules pyramidales (Klippel et Lhermitte) semble indiq
petites pyramidales sont un peu atteintes ; les autres variétés de cellules sont normales. Cervelet, protubérance et bulbe pa
dans un muscle et recherche, après une quinzaine de jours, dans les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière, la
isations : enlever un muscle et trouver dans la moelle un groupe de cellules nerveuses en réaction à distance, c'est prouver l
eyer, et que chaque noyau, loin d'être constitué par une colonne de cellules ininterrompue et verticale, est consti- tué par
e gauche ne fait plus de saillie; elle ne con- tient plus que trois cellules en voie de destruction, tandis que la corne lat
de destruction, tandis que la corne latérale droite contient douze cellules normales. Dans Dv, on compte pour dix cellules
roite contient douze cellules normales. Dans Dv, on compte pour dix cellules normales dans GLU (corne latérale droite), seul
cellules normales dans GLU (corne latérale droite), seulement cinq cellules altérées dans C L G. Même aspect dans 1 ? Dan
ase. Ce qui reste deb C L contient, par coupe, à A seulement quatre cellules , et dix cellules SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 à D.
deb C L contient, par coupe, à A seulement quatre cellules, et dix cellules SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 à D. A la partie exter
à D. A la partie externe de la base des C A reste un petit noyau de cellules fusiformes semblables aux cellules de la C L. Ce
des C A reste un petit noyau de cellules fusiformes semblables aux cellules de la C L. Ce noyau, à G, ne contient, par coup
ellules de la C L. Ce noyau, à G, ne contient, par coupe, que trois cellules , et elles sont presque complètement détruites,
onophagie intense, le noyau homo- logue D contient au contraire dix cellules normales. En conclusion : .' ' 1° Des neurone
istinct du noyau postél'O-exte1'ne de la corne antérieure, dont les cellules sont étoilées '. Schéma bulbaire. Le Dr Pierr
niveau des membres d'une SOCIÉTÉS SAVANTES. 245 régénération. Les cellules qui ont été très vivement lésées tendent t à di
sparaître grâce à l'intervention de macrophages ; il semble que ces cellules sont remplacées par des cellules nerveuses sim-
de macrophages ; il semble que ces cellules sont remplacées par des cellules nerveuses sim- ples, voisines du groupe moteur,
, z série, t. XVIII. 17 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. maintenus dans des cellules ou dans des quartiers de force (sûreté de Bicêt
l nerveux ; il peut l'élever par l'éducation ; ce potentiel va à la cellule nerveuse, pour la cërébration ; à la cellule mu
; ce potentiel va à la cellule nerveuse, pour la cërébration ; à la cellule musculaire, pour la musculation ; G° La fatig
asculaire, avec pigmenta- tion jaune disséminée autour de certaines cellules de cet endothe- lium : quelques cellules en bât
éminée autour de certaines cellules de cet endothe- lium : quelques cellules en bâtonnet (Stâbchenzellen) au voisinage imméd
à peine marquée de la névroglie. Lésions profondes et diffuses des cellules nerveuses frontales : disparition du protaplasm
petisse et dont la membrane est plissée. Vacuolisation de certaines cellules pyra- midales. Dégénération hyaline de la plupa
spécial de cer- tains phtisiques dans les lésions destructives des cellules du lobe frontal, et parce qu'elle permet de rap
euses, névroglie.La structure du noyau et les grains de Nissl de la cellule sont très nets : nets aussi les mailles et le r
rolifération névro- glique. Fibres des nerfs optiques indemnes. Les cellules nerveuses offrent tous les stades de la déchéan
le genou de la racine du facial qui correspond au côté lésé. 2. Les cellules du noyau du facial lésé présentent l'altération
l'oculomoteur externe. 3. Les mêmes altérations se voient dans les cellules des portions médiales du noyau du facial du côté
une courbe convexe en arrière et en dehors. Ce noyau se compose de cellules motrices tout à fait semblables à celles du noy
lée. A ce moment, tous les cylindraxes sont brun foncé ou noir, les cellules jaunâtres ou brunes, le reste des tissus forme
fixer à l'or ou au platine. (Voir le mémoire). Par ce procédé, les cellules nerveuses témoignent fréquemment d'une structur
ntrées Bethe. On peut souvent suivre les fibrilles de la portion de cellule vectrice du noyau à travers le cône originel ju
elle des réseaux de Golgi. Ces réseaux en certains types de petites cellules font le tour de la périphérie du corps de la ce
de petites cellules font le tour de la périphérie du corps de la cellule et des dendrites à l'état de larges raies noires,
dans la solution fixatrice de formol ; la substance chromophile des cellules , notamment quand on fait agir trop peu de temps
e coupes longitudinales (antéropostérieures ou trans- versales) des cellules des cornes antérieures de la moelle du boeuf tr
même côté en dessinant un arc sensiblement parallèle au bord de la cellule , dont la convexité regarde le noyau ; les autre
ien plus compliqué. Ils se rapprocheraient plutôt du feutrage des cellules nerveuses de la rétine décrit par Uogiel. Les rai
ignalés par de Quervain dans les corpuscules de Nissl. Et les mêmes cellules de la moelle soumise à des coupes horizontales
e nom de fibres et qui semblent être les intégrantes absolues de la cellule nerveuse . P. Ki.raval. LXV. Les formes patholo
011 dégénérative de l'extrémité supérieure gauche indique u] des cellules des cornes antérieures. Le myosis gauche p<
lation. Il est à croire qu'il s'est agi d'une toxine qui a lésé les cellules des couches nucléaires du nerf optique et leur
s de pré- servation naturelle du sang reprirent leur empire, et les cellules des noyaux du nerf se remirent à fonctionner no
filets pupillaires correspondants ou de leurs noyaux (atrophie des cellules nerveuses correspondantes). X. Chez un enfant n
thogénie. - Friedreich et Unverriclit imputent le paramyoclonus aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la- moelle.
n profondeur du processus patholo- gique, de l'atteinte des grandes cellules nerveuses. Chez ce malade la myoclonie fut très
des échanges (Axenfeld et Huchard), théorie de l'épuisement de la cellule nerveuse (Beard), théorie anatomique et vaso-motr
istes et Médecins allemands, Ver- worn a soutenu que le corps de la cellule avec son prolongement nerveux et ses dendrites
traire : la substance fibrillaire serait autonome, indépendante des cellules nerveuses. M. Muenzer pense que toutes les fibres
ses. M. Muenzer pense que toutes les fibres qui pro- viennent d'une cellule nerveuse appartiennent à un neurone; le neurone
cicatrice, entre le bout périphérique et les parties centrales, les cellules nerveuses. Il n'existe pas de régénération auto
lète des nerfs sectionnés et de la restau- ration fonctionnelle des cellules ou des extrémités nerveuses alté- rées par une
éjà admettre que c'est la fonction qui détermine la disposition des cellules en groupements principaux et les sous- division
chasse la lymphe; les cel- lules s'y rétractent, principalement les cellules dentelées de la gaine médullaire, et forment ai
s considérable d'air atmosphérique. Dès que cesse l'irritation, les cellules reprennent leur forme primitive, la gaine médul
des organes autres que le cerveau, qui présen- tait des lésions des cellules ganglionnaires de l'écorce, des hémor- ragies p
sontdisposéssanssymétrie de chaque côté de l'avenue principale. Les cellules sont remplacées par des chambres d'isolement av
les faits suivants : L'altération et la raréfaction constante des cellules de Pmkinja, altération allant de la chromatolys
On trouve rarement des leucocytes autour des vaisseaux. .Autour des cellules de Purkinje atteintes et à la place des dis- pa
pense que le fait est dû à la sensibilité plus ou moins grande des cellules nerveuses suivant qu'elles sont préparées à des
il a constaté des proliférations névrogliques abondantes autour dès cellules de Purkinjé; dans une démence rapide chez une s
uvé des lésions cellulaires et l'existence d'éléments analogues aux cellules de Purkinje, mais plus petits et doublant en dess
e, mais plus petits et doublant en dessous la couche normale de ces cellules ; enfin dans une démence à longue évolution, le
es couches profondes sont les plus atteintes. Mêmes altérations des cellules motrices. Légère augmentation des cellules de n
s. Mêmes altérations des cellules motrices. Légère augmentation des cellules de névroglie. Phagocytose bien marquée et désin
60 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ce en suspendant le mouvement de désintégra- tion fonctionnelle des cellules nerveuses de l'écorce; le sentiment de la cénes
riété spécifique, acquise au cours de l'évolution phylogénique, des cellules nerveuses de telle ou telle aire corticale, ell
on cérébrale est due, selon Gley, à une influence vaso-motrice. Les cellules céré- brales, excitées, réagissent à leur tour
s les éléments anatomiques dési- gnés habituellement sous le nom de cellules nerveuses. Celles-ci, toujours d'un volume nota
contre la déchéance fonctionnelle dont sont encore frappées ici les cellules nerveuses : nous avons assisté déjà à d'autres
merveux (les facultés intellectuelles ! ) dans tel ou tel groupe de cellules ? « Si jedisaisque les fonctions dites intellec
estion des troubles de nutrition ne saurait être agitée puisque les cellules sont demeurées intactes. P. 1C · III. DE CE Q
en un mot d'un trouble fonctionnel de l'imprégnation cellulaire, la cellule ne reprodui- sant plus l'image visuelle de la p
sains d'esprit et bien portants. " Définitif chez le dément, ses cellules ne fonctionnant plus, il est complexe chez l'al
: ' A l'état normal, les léflexions ou la lecture provoque dans les cellules du cerveau chargées des images verbales, la gen
ns éveillées dans l'esprit. Mais nous ne les articu- lons pas Si la cellule en question est atteinte d'un état de faiblesse o
per- cevons les voix cérébrales qui témoignent de la résonance des cellules imprégnées à tort. P. KERAVAL. IX. Guérison D
paralysie semblable à celui qu'a décrit DrescIlfeld ; atrophie des cellules des cornes antérieures ; concrétions amyloides
rise négativement quand on provoque un courant ascendant qui va des cellules de la rétine aux cônes corres- pondants (tonici
lysie générale des aliénés, il déclare que dans son groupe c'est la cellule cérébrale intoxiquée qui détermine l'irritabilité
ans la discussion, parce qu'il n'est pas histologiste. Pour lui, la cellule cérébrale doit flotter dans une atmosphère de vai
d le fonctionnement de ceux-ci est tloublé, il peut y avoir dans la cellule encombrement de matériaux toxiques qui vicient
yaux des éléments du liquide coagulé peut aboutir à la formation de cellules géantes qui, à leur tour, engendrent des vaisse
-exemple, qui est la plus grande de toutes. Les diverses douches de cellules ner- veuses et de la névroglie qui sont contenu
tion brusque et complète du poison. On enferme les malades dans des cellules semblables à celles des asiles d'aliénés, et on l
'avoir élucidé. Non seulement il avait constaté l'état colloïde des cellules antérieures, mais il avait pu produire expérimen-
la moelle (il s'agissait d'une paralysie des quatre mem- bres), les cellules nerveuses étaient en voie de destruction. » Dan
a constitution de la substance grise, ni dans le nombre des grandes cellules , ni dans l'état des vaisseaux. Sous ce rapport,
tions spinales. Dans un cas d'OEttinger 1, la lésion vacuolaire des cellules de la corne antérieure était très prononcée. Da
es par la dimi- nution de la substance grise et un état trouble des cellules . Sharkey Korsakoff 3 signalent des modification
dmis et incontesté, c'est l'action trophique permanente des grandes cellules motrices des cornes antérieures sur les fibres
ine, toujours elle détermine l'atrophie dés muscles tributaires des cellules nerveuses altérées. La forme primitive n'a rien
, dans un certain nombre de cas, 180 1 CLINIQUE NERVEUSE. que les cellules des cornes antérieures ont subi des altérations
aits analogues et j'ai observé, comme M. Pitres, la disparition des cellules motrices dans les différents étages de la moell
cusable d'y recourir quelquefois) nous invite à admettre que si les cellules antérieures sont malades, et s'il s'ensuit une
procédés techniques sont insuffisants pour déceler la lésion des cellules antérieures ; ou bien cette lésion est purementfo
nerf sciatique détermine un trouble de l'influence 12,o- phique des cellules motrices de la substance grise dans la ré- gion
s juxtaposées, peut-être n'apportent elles que le concours de leurs cellules de l'intellect ? Mais je ne puis faire que des
convexité externe correspon- dant au point où existent les petites cellules pyrami- dales. Elle peut être bien distinguée s
dans celle de leurs connexions anatomiques, non dans la forme de la cellule , que se trouve à cet égard le seul critérium.
ns les différentes zones de l'écorce céré- brale, les deux types de cellules du mouvement et de la sensibilité sont réunis e
e di- recte, isolée, soit centripète, soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveuses centrales
centripète, soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveuses centrales et périphériques. La commun
eux central, non par l'anastomose des prolongements di- rects des cellules nerveuses, mais au moyen d'un vaste réseau diff
de Tooth, consister principalement en fibres fines et provenir des cellules de la colonne de Clarke. Il monte jusqu'au noyau
lbe des foyers plus ou moins développés, constitués par des amas de cellules rondes avec un noyau très développé. Ces cellul
s par des amas de cellules rondes avec un noyau très développé. Ces cellules , un peu plus volumineuses que les glo- bules bl
s volumineuses que les glo- bules blancs, et ressemblant plutôt aux cellules du cerveau d'un embryon de cinq à six mois, siè
On constate, en outre, l'atrophie ou la destruction de nom- breuses cellules nerveuses et une diminution du nombre des fibres
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 275 sions de la substance grise et de ses cellules , l'amyotrophie constatée pendant la vie, sur le
témoigne d'un parfait déve- loppement ; il se compose de huit à dix cellules méthodiquement groupées. Puis, les cellules qui
e compose de huit à dix cellules méthodiquement groupées. Puis, les cellules qui constituent le résidu des cornes grises ant
traina chez deux lapins, du côté lésé, la disparition de toutes les cellules ner- veuses du noyau supérieur (dorsal) et infé
; sans quoi l'on eût, dans le corps du noyau, retrouvé intactes les cellules qui correspondent aux fibres nerveuses en quest
cropsie. Ces procédés ont montré nettement à M. Greppin : 1° Les cellules nerveuses de l'écorce (1" et 2° catégorie de Golg
ellules nerveuses de l'écorce (1" et 2° catégorie de Golgi); 2° Les cellules cérébelleuses de PurMnje; 3" Les cellules nerve
gorie de Golgi); 2° Les cellules cérébelleuses de PurMnje; 3" Les cellules nerveuses de la 2' catégorie et lesfibies nerveus
es couches zonulaire et mierocelltilaire de l'é- corce ; . 5° Les cellules nerveuses de la 2- catégorie dans le corps strié;
s cellules nerveuses de la 2- catégorie dans le corps strié; G° Les cellules (fusiformes et stellaires) de la névroglie et leu
péricellulaires, la dégé- nérescence pigmentaire et l'atrophie des cellules pyramidales et des autres cellules nerveuses de
ce pigmentaire et l'atrophie des cellules pyramidales et des autres cellules nerveuses de la substance grise des frontales y
on musculaire correspondante) due à la dégénérescence primitive des cellules nerveuses des cornes antérieures. La dégéné- re
cellules nerveuses des cornes antérieures. La dégéné- rescence des cellules de la moelle entraîne la dégénérescence des ner
ivers systèmes de projection sont reliés les uns aux autres par des cellules intercalaires. Les grosses cellules de la rétin
liés les uns aux autres par des cellules intercalaires. Les grosses cellules de la rétine établissent une communication entr
tal. La troisième couche corticale du même lobe contient de grosses cellules pyramidales qui projettent leurs fibres dans le
asepsie, engendreront une encéphalite aiguë prolifératrice (grosses cellules granuleuses) ; l'avivement ordinaire aseptique
avec nécrobiose (prolifération de cellules-araignées, émigration de cellules rondes). -L'encéphalite aiguë non suppurée abou
s). -L'encéphalite aiguë non suppurée aboutit, par l'irritation des cellules de la né- vroglie et des éléments anatomiques d
un tissu conjonctif; à cette organisation partici- pent les grosses cellules granuleuses qui ne sont autre chose que des cel
nt les grosses cellules granuleuses qui ne sont autre chose que des cellules ou des éléments anatomiques transformés. Ces cell
chose que des cellules ou des éléments anatomiques transformés. Ces cellules granuleuses actives diffèrent des cellules gran
omiques transformés. Ces cellules granuleuses actives diffèrent des cellules granuleuses dégénéra- tives du ramollissement c
es cellules granuleuses dégénéra- tives du ramollissement cérébral, cellules qui ont principalement pour origine des leucocy
Infiltration des parois des vaisseaux; recoquillement des grosses cellules nerveuses. Epaississement des cylindres-axes dans
urol. Centralbl, 1890.) Les conclusions sont intéressantes : 1° les cellules nerveuses du bulbe et du pont de Varole prennen
araissent être ho- mologues à celles qui ont été observées dans les cellules de la moelle et décrites par Charcot, Leyden, E
);- 3° ces altérations atteignent presque sans exception toutes les cellules nerveuses de la région; elles acquièrent leur p
lus éprouvés. P. K. XXXVII. DE la genèse DE la CARYOKINÈSE dans LES CELLULES DU SYSTÈME nerveux central DES CHIENS ET DES la
précités, trouvé quantité vai iable de caryokinèses, soit dans les cellules qui appartien- nent aux parois vascnlaires,soit
système nerveux central. La caryocinèse se produit surtout dans les cellules épen- dymaires du ventricule ou du canal centra
canal central de la moelle; on y voit une 11 ? pergéiièse de jeunes cellules qui bouchent le conduit. Moins luxuriante est l
i bouchent le conduit. Moins luxuriante est la caryocinèse dans les cellules nerveuses de l'écorce et des gros ganglions. En
'écorce et des gros ganglions. Encore moins abondante est celle des cellules de la substance blanche du cerveau, qui sont évid
ve. En tout cas, jamais il ne se fait de scission du noyau dans les cellules nerveuses arrivées à leur par- fait développeme
amidaux, noyau relié lui-même au cervelet. Les impressions vont aux cellules cérébelleuses, et, de là, aux cellules de l'éco
et. Les impressions vont aux cellules cérébelleuses, et, de là, aux cellules de l'écorce motrice du cerveau, avec lesquelles
eux, et c'est le cervelet qui pré- side à l'arrêt de l'activité des cellules cérébrales. Il est même pro- bable que, dans le
de cel- lules en état d'activité continue est doublé d'un groupe de cellules d'arrêt. P. K. XL. Contribution A la QUESTION
ment au bout de quatre jours d'influenza fébrile. P. K. XLII. LES CELLULES NERVEUSES SONT-ELLES amiboïdes ? hypothèse A l'
ar RABL- RUCKHARD. (Neurol. Centralbl., 1890.) Un grand nombre de cellules nerveuses (cellules multipolaires de la substan
(Neurol. Centralbl., 1890.) Un grand nombre de cellules nerveuses ( cellules multipolaires de la substance grise de la moell
rveuses (cellules multipolaires de la substance grise de la moelle- cellules pyramidales de l'é- corce cérébrale - cellules
grise de la moelle- cellules pyramidales de l'é- corce cérébrale - cellules de Purkinje du cervelet- ganglions du nerf opti
un réseau fin d'éléments ner- reux ou neurosponge de Waldeyer. Ces cellules nerveuses multi- polaires sont le siège de mouv
ements moléculaires qui s'écoulent par le neurosponge. Ainsi chaque cellule pyramidale contient dans son protoplasma une qu
ue interruption dans le réseau correspond dans des groupes d'autres cellules un arrêt ou une ac- célération des mouvements a
a plus grande largeur comportait 14 centimètres. C'est un sarcome à cellules géantes, originaire du déplacement des os du cr
montre l'absence de toute structure; il n'existe plus que quelques cellules disséminées, mais elles sont intactes; on constat
ise de la moelle épinière; les auteurs disent qu'ils ont trouvé des cellules de petite dimension dont le nombre était égal d
ombre était égal dans les deux cornes; quelques-unes de ces petites cellules étaient dépourvues de prolongements et présen-
des muscles d'un côté du corps à une modification morphologique des cellules que l'on observe dans les deux cornes antérieur
'on trouve assez souvent des déviations de la forme ordinaire - des cellules encore plus prononcées que celles observées par
éorie né- vrotique, la théorie de la modification fonctionnelle des cellules des cornes antérieures (Vulpian), celle des cen
r vérifier l'hy- pothèse qui a été avancée par quelques-uns que les cellules super- ficielles de l'écorce motrice sont sensi
tuie, porter atteinte à la liberté du malade, l'enfe1'me,' dans une cellule d'isolement lorsqu'il est furieux, le forcer à pr
qu'on voie le rouge dans une hallucination, c'est toujours la même cellule qui vibre. » Nous savons aussi que l'hallucinat
ion dans leurs parties terminales. Cette irritation se transmet aux cellules de la corne antérieure de la moelle et détermin
hies sans aucune modification du côté des gauglions spéciaux ni des cellules . La sclérose descendante du tra- jet pyramidal
) SOCIÉTÉS SAVANTES. de la modification anatomique ou dynamique des cellules des cornes antérieures n'expliquent pas complèt
première de la maladie dans les modifications des particules de la cellule embryonnaire qui servent de source de développe
LC1'I\ IIlBLI06RAPllIQUI : , 159, 319, 4.7r,. CAnYOMfLSE dans les cellules du s's- tème nerveux, par Buchholz, 286. Céci
61 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
ucation les fonctions disparues ; 3° En ravivant la dynamogénie des cellules nerveuses et des fibres musculaires ; 4° En a
i fonctionne, et un nerf inerte ? Savons-nous ce qui se passe dans la cellule nerveuse quand elle fait des idées, du délire, du
est là une auto-suggestion pure; sans doute, il y a peut-être dans la cellule cérébrale qui crée ladouleur un processus anormal
ce, cette moindre résislance étant établie par un état d'adynamie des cellules nerveuses présidant à la formation de la volonté.
t provenir, selon toute probabilité, de l'intégrité fonctionnelle des cellules nerveuses volitives, celle-ci actionnent les cent
mages. Ce centre est inutile pour la compréhension des faits ; chaque cellule psychique peut, en effet, recevoir les images, en
ilets émissifs les associer à celles qui sont acquises par les autres cellules . Je ferai le même reproche au récent schéma de
Nous avons pris connaissance des rapports qu'ont enlre elles les cellules psychiques. Leur filet émissif se divise en nombr
ameaux allant à grandes distances, mettant ainsi en communication une cellule avec un grand nombre d'autres cellules; de sorte
tant ainsi en communication une cellule avec un grand nombre d'autres cellules ; de sorte qu'une image visuelle ou auditive met e
mage visuelle ou auditive met en branle un nombre considérable de nos cellules psychiques, comme une pierre jetée dans l'eau for
ux se produiront, différents de ceux qui sont causés par la lésion de cellules nerveuses. [Voir la figure ci-dessous). Schéma
ème auditif est identique à celui du système visuel. Là encore, trois cellules : 1 lésée: c'est la surdité; 2 lésée : on entend
rois, quatre, six fois par jour cette impulsion souvent maladive, les cellules cérébrales sont vite épuisées et remises sans ces
que des médecins pourront le secourir, il réussit à se préserver; ses cellules volîtives dominent, dans leur état de tension ext
s cellules volîtives dominent, dans leur état de tension extrême, les cellules pathogènes prêtes à se décharger. Les premières p
e trouble fonctionnel en agissant directement ou indirectement sur la cellule vivante aux fonctions déréglées, dont, suivant le
pnogène est encore de mise; elle a en effet pour but d'apprendre à la cellule nerveuse à dormir. Les hypnotiques devront être
enne de la continuité des fibres nerveuses avec les prolongements des cellules du cerveau et de la moelle ; on reconnaît actuell
sellement admis aujourd'hui, dit le professeur Mathias Duval, que les cellules nerveuses sont en rapport les unes avec les autre
tre ». Ceux-ci sont d'autant plus compliqués que l'on a affaire à une cellule plus évoluée, soit en âge, soit dans la série zoo
une association d'idées, serait due aux nombreuses ramifications des cellules nerveuses, ramifications venant s'accoler à celle
s des cellules nerveuses, ramifications venant s'accoler à celles des cellules voisines, de sorte que les points de contact se p
ge répété des courants nerveux doit provoquer l'hypertrophie dans les cellules nerveuses en fonction ; quand le passage de l'inf
un effort de volonté; c'est qu'alors sans doute les prolongements des cellules intelligentes vont chercher ceux des centres subc
tion ou arrêt, les tiennent en respect (M. Azoulay veut attribuer aux cellules névrogliques un rôle qui parait beaucoup moins ét
et, dans ces maladies, c'est la méningite, la tumeur qui comprime les cellules supérieures ; l'alcool, le tabac, la syphilis les
courcissement ou la disparition des arborisations protoplasmiques des cellules nerveuses ? La connexion entre le centre d'arrêt
ouble anatomique qui lui a donné naissance ; à force de la sentir, la cellule centrale ou périphérique établirait donc des conn
rs une impression ressentie par ces voisines pourrait retentir sur la cellule primitivement affectée ou sur le nerf qui a été a
supprimer des douleurs, peut agir localement sur les fibrilles et les cellules nerveuses périphériques, ou d'une façon générale
ir réflexe en agissant sur les lieux de contact des prolongements des cellules nerveuses; l'idée qu'un poison peut porter son ac
ules nerveuses; l'idée qu'un poison peut porter son action non sur la cellule nerveuse, mais spécialement et exclusivement sur
r à l'évidence la réalité de ce phénomène étrange, d'après lequel nos cellules nerveuses seraient en tous points comparables à d
éveloppée, l'intelligence moins ouverte. M. Ramon y Cajal a étudié la cellule psychique chez divers vertébrés : la grenouille,
elligent. Grâce à la nouvelle méthode de Golgi pour la coloration des cellules nerveuses, M. Azoulay a pu révéler à la Société d
escence psychique qui peut devenir absolue ; dans ces affections, les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale, qui sont les c
e principale et ses ramifications offrent de nombreuses nodosités; la cellule elle-même se déforme et perd son aspect normal ;
croscopie et aux autopsies faites dans les maisons d'aliénés, que les cellules cérébrales aussi bien que les cellules de la moel
les maisons d'aliénés, que les cellules cérébrales aussi bien que les cellules de la moelle épinière peuvent présenter des carac
, qui ne va que jusqu'au premier anneau constricteur de Ramier, si la cellule constituante de la fibre qui est blessée meurt).
égénèrent donc pas, aussi longtemps qu'elles sont en rapport avec une cellule nerveuse. Les bouts centraux des nerfs moteurs ne
des nerfs moteurs ne dégénèrent jamais; ils sont en rapport avec les cellules des cornes antérieures de la moelle. On suppose d
cellules des cornes antérieures de la moelle. On suppose donc que les cellules nerveuses exercent une influence trophique sur le
r les fibres nerveuses; dès qu'une fibre n'a plus de rapport avec une cellule nerveuse, elle dégénère. On ignore absolument de
erait-ce pas le fluide vital ou électro-chimique, qui se dégage de la cellule nerveuse, comme le courant électrique sortant d'u
un l'apport de continuité ni avec des fibres musculaires, ni avec des cellules sécrétantes. Mais nous comprenons plus difficilem
le ne pouvant jaillir, de même que l'influence"tephique, que hors des cellules nerveuses —(voir tome II, op. cit. p. 98). — Nous
ons les phénomènes vitaux, c'est cette mobilité des prolongements des cellules nerveuses, qui parait hors de doute aujourd'hui.
actées ou détruites; mais on a démontré en outre que le mouvement des cellules nerveuses n'est pas une simple hypothèse. En 1890
ét'd,eau douce appelé leptodera hyalind, a vu que chez cet animal les cellules nerveuses présentèrent des mouvements amiboïdes a
ts. (Anatom. Aôçg. 1890) « D'autre part, ajoute M. Mathias Duval, les cellules olfactives sont considérées aujourd'hui comme des
Duval, les cellules olfactives sont considérées aujourd'hui comme des cellules nerveuses, et on sait que leurs prolongements pér
l'homme endormi des réactions réflexes, mais ne passent pas dans les cellules de l'écorce cérébrale; des excitations plus forte
cérébrales du neurone sensitif, par suite le passage jusque dans les cellules de l'écorce, et par suite le réveil, dont les dif
e, par cette excitation dynamogénique, à se frayer une voie jusqu'aux cellules motrices, et la conductibilité interrompue, rétab
; mais comme en dernière analyse les centres nerveux se composent de cellules , ici encore la recherche his- tologique peut
cherche his- tologique peut trouver place. Quel est l'état de ces cellules , quelles sont les modifications de forme, d'aspec
il, ne vise que les modifications de forme, d'aspect, de rapports des cellules nerveuses. Pour la contraction musculaire, l'ob
ons pas encore la constatation d'une modification incontestable de la cellule nerveuse. C'est donc uniquement par des hypothèse
es articulations sont produites par des ramifications partant de deux cellules différentes et se disposant au voisinage les unes
de mouvements. Ces neurones sont les éléments connus sous le nom de cellules olfactives, dans l'épithélium de la muqueuse olfa
établi par Cajal, par Vax Gehuchten, etc., que ces éléments sont des cellules nerveuses bipolaires et représentent le neurone s
es bipolaires et représentent le neurone sensitif de l'olfaction. Ces cellules bipolaires, ont deux prolongements: l'un profond,
cie, représentant le prolongement de protoplasma, s'insinue entre les cellules épithcliales, et émerge libre à la surface de la
es souvenirs, montrent qu'évidemment les voies intercommunicantes des cellules cérébrales ne sont pas toutes largement ouvertes
nécessaire par l'épuisement, par la fatigue des éléments nerveux. Une cellule nerveuse est comme une cellule glandulaire; quand
r la fatigue des éléments nerveux. Une cellule nerveuse est comme une cellule glandulaire; quand elle a longtemps donné, il fau
le faire que par la cessation de toute activité; c'est ainsi que les cellules glanduiaires présentent des alternatives de trava
-maxillaire, quelque épuisée qu'elle soit. De même on peut forcer les cellules cérébrales à demeurer en activité malgré leur bes
t finalement le sommeil s'établit d'une manière inéluctable. Si les cellules nerveuses ne sont pas fatiguées, si le sommeil n'
eil n'est pas imposé par le besoin, il faut, pour ramener, mettre les cellules nerveuses dans les conditions mêmes du repos. Une
à la recherche de ces excitations, comme les prolongements libres des cellules olfactives vont à la recherche des particules odo
ements de protopiasma; peut-être l'état de veille ou d'activité de la cellule nerveuse con-siste-t-il dans l'oscillation de ces
eux que l'on peut constater et qui sont classiquement connus pour les cellules les plus diverses. Pseudopodes amœboïdes ou mouve
mment ne pas comparer ce sommeil de l'être uni-cellulaire à celui des cellules nerveuses des êtres composés? Ce n'est pas d'aujo
s, c'est d'abord dans le domaine do ce sens que les communications de cellules à cellules se rétablissent, puis, rapidement, tou
abord dans le domaine do ce sens que les communications de cellules à cellules se rétablissent, puis, rapidement, toutes les art
tres en instance de réveil. Le fonctionnement total et synergique des cellules nerveuses se rétablit ainsi peu à peu, par un pro
tablit ainsi peu à peu, par un progrès intermittent et éparpillé; les cellules se réveillent chacune pour son compte, comme se r
ue cette théorie n'est guère neuve, car elle ne fait qu'appliquer aux cellules nerveuses ce qui est admis aujourd'hui pour tous
rétention qu'ait celte théorie, c'est de chercher quelle est, dans la cellule nerveuse, la partie modifiée. Nous pensons avoir
cliniques est évidemment le trouble grave de l'activité chimique des cellules ganglionnaires de l'écorce cérébrale. On a prob
une inanition produite par une mise à contribution extraordinaire des cellules ganglionnaires et à une intoxication dc l'organe
ence. Il était couché sur son hamac, placé transversalement clans une cellule simple de la 4' division, dont l'orientation est
de potassium. De plus, je fais admettre d'urgence ce malade dans une cellule double de l'infirmerie avec deux co-détenus,' cha
le 14 août ; je le revis alors et le replaçai immédiatement dans une cellule double avec deux co-détenus. L'amblyopie, au di
par le Dr Dehenne. Il revint à Mazas le 14 novembre et fut remis en cellule double jusqu'à sa libération définitive, qui eut
mbre. Il est donc resté à Mazas, en trois fois, pendant 87 jours en cellule double avec six prisonniers différents. Pas un
dirigeait, sans la moindre hésitation, vers les objets placés dans la cellule , dont il pouvait avoir besoin pour son traitement
devait être fait en présence du seul gardien qui l'avait amené de sa cellule . A mon avis, cet individu simulait. Pourquoi? P
rquoi? Parce qu'il voulait rester à Mazas, où il faisait son temps en cellule . Il lui répugnait fort d'aller dans une autre pri
qui l'empêche de bénéficier de la réduction de la peine, de droit en cellule . Je ne lui dis pas que je croyais à la simulati
. Je dois rappeler que ce prisonnier a été à trois intervalles mis en cellule double avec six détenus différents qui, sur ma re
62 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
is serrés les uns contre les autres avec, dans les interstices, des cellules polymorphes. Pas de libres élastiques nettes. L
iphérie on voit des points constitués presque exclusivement par des cellules analogues à celles du sarcome vrai (rig, 3) ;.
de Gass< ! 1', des deux côtés, renferment un cer- tain nombre de cellules , atteintes de ehromalolvse surtout péri- phériq
: dans le noyau du facial gauche : atrophie simple de nombreuses cellules , quelques-unes ayant conservé leur aspect normal.
Dans le noyau de la VI" paire gauche, même atrophie do nombreuses cellules , la partie centrale et externe du noyau étant seu
apparaît l'état vari- v queux des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses motrices corticales et de sa signific
des mouvements amoého'ides des pro- longemenls protoplasmiques des cellules . Quatre-vingts expé- riences sur chais, chiens,
donc pas être assimilées il des manifestations fonction- neiles des cellules nerveuses. u. Elles peuvent d'ailleurs pro- ven
rs qui attribuent, les altérations précitées h l'Ullloe- boisme des cellules nerveuses doivent êlre considérés comme totalem
régénérées rétabliraient la communication entre ces cordons et les cellules motrices au-dessous de l'endroit comprimé. Mais
peu de temps avant la mort des. deux cotés, car les altérations des cellules molrices de cette sphère indiquaicirt-tinc affe
e contraste si nettement avec la persistance des cylindraxes et des cellules ner- veuses, qu'un serait tenté de considérer l
les levers anciens, les relations topographiques des fibres et des cellules (substance grise et. subs- tance blanche) sembl
infectieux. Ce n'est que bien plus tard que les cylindraxes et les cellules périssent. Ce qui semble- rait le prouver, c'es
line ouvre la marche ; puis il peut se produire une néoformation de cellules ; finalement les fibres néuogliqucb se multiplien
moelle sont le siègl' (l'allé l'll 1 ions mal'(luées, tant sur les cellules que sur les fibres. L'appréciation de leur degr
amidal entrecroisé. l'. 1lER.tV1L. IX. -, Biologie et travail de la cellule nerveuse centrale; par P. Kronthal. (Neurolog.
partent des excitations qui sont constamment conduites au sein des cellules centrales ; ce)- les-ci les renvoient passiveme
oient passivement à la périphérie parles voies qui h'y rendent. Ces cellules naissent et meurent continuellement. Ces deux f
n'est pas en notre pou- voir d'agir sur la naissance et la mort des cellules nerveuses. Tant que les leucocytes arriveront a
Tant que les leucocytes arriveront au système nerveux central, les cellules nerveuses naîtront et mourront. Les processus ly-
sont tous des propriétés de l'organisme global, mais non celles des cellules en particulier. Dès que le système nerveux cent
nsuliforme, empiète sur les groupes médians, latéraux, centraux des cellules . Dégénérescence excessive des pyramides du bulb
ncules cérébraux commencent à se dévelop- per (mottes de myéline et cellules granuleuses). Intégrité du noyau lenticulaire,
diaires, pas de fi- bres tangentielles. Aucun élémentdïnflammalion. Cellules pyra- midales extrêmement dégénérées'tout à fai
ur manchon cellulaire péri vascu lai re composé en grande partie de cellules ])1amatiqnes, les cellules en bâtonnet, la dis-
vascu lai re composé en grande partie de cellules ])1amatiqnes, les cellules en bâtonnet, la dis- position irrégulière des c
bâtonnet, la dis- position irrégulière des couches cellulaires, les cellules nerveu- ses sclérosées, la disparition des fibr
rme expansi\e et délirante sont remarquables par le grand nombre de cellules présentant le mode de régression chromolv ti- q
constatées au niveau des lobes frontaux intéressaient à la lois les cellules , les vaisseaux et la néloglie. G. 1)., Zizi.
libres des nerfs optiques, un lé- ger (J'dl'IIIl' de la couche des cellules nerveuses, un épaissis-c- 11ll'111 dl' la couch
dermiques. P. Keraval. II. Essais de traitement des aliénés sans la cellule et au moyen de l'hydrothérapie ; par.W. ALTER,
démontrer, d'une part que, l'énergie électrique agit sur toutes les cellules de l'organisme en exagérant leur \ il111lé fonc
toxiques, créés par la fatigue, ont amené une intoxication suit des cellules de la cornu antérieure de la moelle, soif des n
la couche finement grenue en question des libres qui, provenant de cellules de la couche sou* jacente arrivent en se divisa
à l'instr cluhi·L lè L'oi·oau. · lJn oulre, lil Cecl- terew, chaque cellule granuleuse envoie à la couche finement grenue u
ent, la dégéné- rescence atteint les prolongements cylindrwilus des cellules de la couche grenue. Ces prolongements c limlra
I'. 111'sR.\V.1L. XXI. Critique du mémoire'de Kronthal intitulé : Cellule nerveuse et psychose; par 1\ ISSL. (Centralúlat
normaux de l'hom- me, du chien, du chat et du lapin contiennent des cellules ner- \l'U('S ne pll¡"danl pas de 110) au dol('
basiques n'agissent que sur le noal1 et non sur le protoplasina des cellules non nerveuses ou que les REVUE D'ANATOMIE ET DE
oclles quittent les capillaires pour émigrer dans le tissu, que les cellules nerveuses soient le produit de leucocytes en li
te pas de dil1ï'I'I'ncl' essenfielfes entre les prolongements d'une cellule ! H'nl'UM'. En l'11'el, il e.\iLe dl's le cvlin
UD0'ERNIG. (1Yeur%g, .yt'72t7'Ulbl, XXHL 1. 1904.) Chromatolyse des cellules nerveuses occupant la partie du noyau dorsal qu
0sso-phaJ'yngil'nne, Iêmes lésions, mais d'un nombre moins grand de cellules dans le groupe le plus inférieur de la portion
X 11. Sur quelques altérations de l'appareil neuro- fibrillaire des cellules corticales dans la démence sénile; par IRAGNITO
aires el des formes intermédiaires aux dépens despetites et grandes cellules mononucléaires 01 éosinophiles. Deux tableaux e
met à l'abri des sources d'excitation exté- rieures, l'action de la cellule est infidèle et inconstante ; elle est avantage
e et la lièvre typhoïde. M. Ballet reconnaît que si les lésions des cellules no sont pas spécifiques d'une psychose polynévr
quelques préparations où il est possible de voir que, si certaines cellules el neuro-fibrilles paraissent intactes, la plup
min étant peu réussies, il nous esldiflicile de juger de l'élal des cellules nerveuses duc. n. e. Il nous paru ce- pondanl q
expliquer pill'l'aLl'o- phie d'une partie.d'entr'elles. Les grosses cellules de la base c. . e. sont conservées. Sur des cou
loration au carmin a donné de meilleurs résultats, l'atrophie des cellules nerveuses de c. g. e. (non comprises celles'de la
es, marquées surtout par l' « évolu- tion granulo-pigmenlaire r des cellules , et, d'autre part, des lésions consécutives, qu
s connexions entre les différents territoires ou entre les diverses cellules de l'écorcc par atrophie des prolon- gemcnts qu
soit marquée par des modifications dans la vie fonctionnelle de la cellule elle-même,' modi- fications en vertu desquelles
isées à la faveur d'une action directe d'un toxique présumé sur les cellules cérébrales, action dont les effets immédiats on
éléments les plus vulnérables, à litre de reliquat. Ace moment, la cellule , détruite en partie, mais ayant recouvré une ce
e processus éteint. En d'autres termes, la période aiguë passée, la cellule amoindrie, mais non plus gênée danss on fonctio
à la faveur d'une action directe d'un principe modificateur sur les cellules cérébrales, ac- tion d ailleurs susceptible de
es lésions diverses du noyau, de la déformation protoplasmique; les cellules neuropliages envahissent les éléments déformés.
postérieures, les auteurs étudient l'état des différents groupes de cellules de la moelle dans les seg- ments de cet organe
le mémoire au moyen des ligures. Ils prétendent que les groupes do cellules distingués ne repré- sentent toujours pas une s
nage est formé de substances amorphe (dégénérescence graisseuse des cellules des cornes anté- rieures). Le diagnostic anatol
qu'il s'agissait de confusion mentale toxique, vu l inté- grité des cellules corticales et, du foie. Et il semble permis de
amine contient des fibres nerveuses ou des fragments de fibres, des cellules nerveuses, des cellules névrogliques. des hémat
s nerveuses ou des fragments de fibres, des cellules nerveuses, des cellules névrogliques. des hématies, etc. On le soumet à
- sacrée démontré que 54 ans après l'amputation de la cuisse, les cellules du noyau delà jambe et de celui du pied étaient c
t fondamentale delà paralysie générale inflammatoire réside dans la cellule nerveuse. G. D, LX1V. La dualité fonctionnelle
urs ('tableau d'Edinger), s'attendre il rencontrer une atrophie des cellules depuis le VIe segment cervical, jusqu'au leu do
tendue, mais la dégénérescence n'est évidente que pour le groupe de cellules antéro-externe. Les investigateurs contemporain
athologique. Il. C. LXXIX. Sur l'aspect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux antérieu
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 303 dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux postérie
s et d'appendices collatéraux en grande quantité. Les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux antérieu
urs présentent la plus grande ressemblance avec les den- drites des cellules nerveuses de la moelle épinière. Il, C. LXXX. U
3, 1904.) lleclterrite ? ltisLolu,itlue portant spécialement sur la cellule des ganglions rachidiens chez, les tabétiques,
générale de l'être, dans la composition et dans la forme aussi des cellules qui le composent, et en particulier îles cellul
a forme aussi des cellules qui le composent, et en particulier îles cellules sexuelles, par suite, des modifications dans la
ui adopta la vie aquatique, et elle en- traîna une modification des cellules sexuelles qui déjà esquissèrent le fémur réduit
ntient les subs- tances caractéristiques do certaines catégories de cellules de l'or- ganisme, il doit donc être louché en m
es de l'or- ganisme, il doit donc être louché en même temps que ces cellules , et par les mêmes agent*. Si ces agents ont une
de les localiser en elles, elpar suite les organes for- més Ue ces cellules , subiront l'effet de cette déchéance ou de cet
s le pensons, la ditferenciation repose sur la séparation, dans des cellules déterminées, et par le moyen de la division hétér
ident que, grâce la substance nou- velle, une nouvelle catégorie de cellules pourra se différencier en même temps que les an
de cellules pourra se différencier en même temps que les anciennes cellules seront pins ou moins modifiées, et ces nouvelle
anciennes cellules seront pins ou moins modifiées, et ces nouvelles cellules pourront donner naissance il un nouvel organe e
ncer, lèpre) sur les éléments cellulaires et en particulier sur les cellules sexuelles, de l'excès ou de l'insuffisance des
ntion.. J'ai cru pouvoir poser en loi que le protoplasma de toute cellule vivante est susceptible de se contracter sous l
ouvement. Cette contractilité, je l'ai relevée chez 43 espèces de cellules appartenant aux deux règnes et à divers tissus.
ant aux deux règnes et à divers tissus. Elle a été observée chez la cellule nerveuse, par J. Havct, Jean Demoor, Micheline
neurone lut dépourvu d'une faculté qui appartient il tant d'autres cellules , et qui paraît être la condition même de la vit
flexion sera rendue difficile, sinon impossi- ble. , Or, plus une cellule , plus un neurone est jeune, plus il se rapproch
XXV. Quelques considérations relatives au mode de ré- partition des cellules motrices de la moelle au niveau de l'origine de
- L'innervation postérieure se fait par groupe antéro-interne de cellules ; il contient outre de grandes cellules commissur
ar groupe antéro-interne de cellules ; il contient outre de grandes cellules commissurales, des cellules motrices destinées
cellules ; il contient outre de grandes cellules commissurales, des cellules motrices destinées aux muscles du dos (vertébraux
oisinage du bord anté- rieur de la corne antérieure, tandis que des cellules chargées d'innerver les muscles les plus éloign
ur delà même corne. Pour le plan transversal de.la coupe, quand les cellules mo- trices destinées aux parties antérieures et
encouragement de 300 francsà \I. le))'' Henri Carrier, de Lyon : La cellule nerveuse normale et patholofli- que ; une menti
de deux semaines la pleine diffé- renciation de couches isolées de cellules ; les cellules pyramida- les sont bien développé
nes la pleine diffé- renciation de couches isolées de cellules; les cellules pyramida- les sont bien développées. Donc, à ce
es autres, par Naecke, 62. Es- sais de traitement des - sans la cellule et au moyen de l'hv- drothérapie, par Alter, 69
la genèse de quelques symptômes dans l'é- tat , par Aller, 146. Cellules nerveuses. Des condi- tions dans lesquelles app
quence et étiologie de la précoce, par Crocq, 60. -sé- nile. Voir Cellules corticales. JOO TABLE DES MATIÈRES. Voir Héré
at, 308. Déments précoces. Voir Stéréo- typie. .Dendrites. Voir Cellules ner- veuses. Dercum. Voir Lipomatose. - * -
matières fécales dans 1 ? par Goelze, 66. Etat variqueux. Voir Cellules nerveuses. De l'- mental des épileptiques rév
r De- roubaix, 307. Kronthal. Critique du mémoire de intitulé : Cellule ner- veuse et psychose, par Nissl, 126. LAN
ale la plus inférieure de la -, par Purves-Stewart, 296. Voir . Cellules motrices. Morphine. Voir Contracture. Morphin
. par Liass, 315. - du membre supérieur, Voir Paralysies,- Voir Cellules motrices. Neurasthénie. Voir Angoisse. NEUiIO
63 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'a pu dé- couvrir nulle trace d'éléments nerveux; il n'y avait ni cellules , ni fibres, mais seulement un tissu conjonctif
se, ainsi que l'atrophie et la vacuolisation avec tuméfac- tion des cellules ganglionaires, et l'actus, à peu près; plus haut
e, il put découvrir à l'aide du microscope une certaine quantité de cellules ganglionnaires et de fihres nerveuses. Une anné
ration, remplie de tissus moelleux consistant en fibres de Remak et cellules ganglionnaires. Paul Dentan 3 dans sa thèse, éc
trice, contenant une assez grande quantité de fibres blanches et de cellules qui ressemblent beaucoup aux cellules multipo-
tité de fibres blanches et de cellules qui ressemblent beaucoup aux cellules multipo- laires. Cette découverte sert à convai
o rappelle encore de remarquables obser- vations d'hypertrophie des cellules nerveuses de l'écorce, sur- tout des grandes ce
ertrophie des cellules nerveuses de l'écorce, sur- tout des grandes cellules pyramidales, de la névroglie et des vaisseaux,
état plus labile et plus instable de l'équilibre mo- léculaire des cellules nerveuses. Voilà pour la nature et les analogie
dou- loureuses et thermiques. M. Rumpf en conclut que les grandes cellules multipolaires des cornes grises antérieures de la
a jambe et le facial inférieur. On trouve à l'autopsie un sarcome à cellules rondes occupant la région comprise entre le sil
au côté malade s'atrophier, diminuer de volume et d'épaisseur ; ses cellules et ses fibres blanches (coloration de Weigert) se
phalite caustique. Ils sont caractérisés par l'existence de grosses cellules épilhélioïdes, de même que le ramollissement cé
ue le ramollissement cérébral a pour élément anatomopathologique la cellule granu- leuse ordinaire. De treize observations
processus commence par un stade aigu de deux à trois semaines, les cellules normales prolifèrent en grosses cellules épithéli
deux à trois semaines, les cellules normales prolifèrent en grosses cellules épithéliocides. On constate en même temps les p
de l'inflammation : hype- rémie tuméfaction des cylindraxes et des cellules de la névroglie exsudation de cellules rondes -
ction des cylindraxes et des cellules de la névroglie exsudation de cellules rondes - prolifération des parois vasculaires.
tissu de fibres fines conjonc- tives qui circonscrivent les grosses cellules en question, et les étouffent par rétraction (s
dans la partie inférieure de la protubérance, en connexion avec des cellules , d'ou, par l'intermédiaire du raphé, ces fibres
plus que toutes les théories. M. 11F : UOLD. Traitement au lit et cellule . Dans le service des hommes de l'asile deSorau,
r l'emploi de ce système. Tantôt il est préférable à l'emploi de la cellule , tantôt au contraire celle-ci est supérieure à
ne lumière deux succédanés, le traitement au lit et la réclusion en cellule . (Allg. Zcitsch. f. Psychiat., XLVII, 5.) P. K
fibres dans les cordons antérieur et postérieur, une diminution de cellules , une raréfaction du réseau des fibres ner- veus
campe et son crochet, circonvolution crêtée) concourent par leurs cellules de l'intellect à la perfection de l'olfaction,
a (Etat de New-York. Dr Wey) a coûté 9,375,000 fr., il comprend 765 cellules séparées, des ateliers, des magasins, des salle
a reçu en moyenne 922 délinquants. On va construire 500 nou- velles cellules . REVUE DE thérapeutique. 227 Cet établissemen
. Il considère au contraire que la lésion primordiale siège dans la cellule , en un mot qu'il y a encéphalite parenchymateus
eut s'expliquer sans un locus minoris resistenlioe résidant dans la cellule même, aussi croit-il à l'influence de la prédispo
; c'était une dégénérescence granulo-pigmentaire du protoplasma des cellules (surtout les petites) et de leur noyau. M. Pi
parole. Il explique que, pour lui aussi, c'est l'élément noble, la cellule , qui est la première touchée. La lésion de la c
ent noble, la cellule, qui est la première touchée. La lésion de la cellule est rarement seule, mais seule elle est l'élément
te des troubles de l'intel- ligence correspondant à la lésion de la cellule . Dans l'alcoolisme, la cellule est aussi touché
ence correspondant à la lésion de la cellule. Dans l'alcoolisme, la cellule est aussi touchée, il est vrai, mais secondaireme
dire au - '.sujet des lésions qu'il a lui-même constatées dans les cellules , indé- pendamment de la question de date de ces
ue M. Ballet, comme MM. Joffroy et Magnan, admet l'altération de la cellule . Il persiste donc à croire que c'est là le subs
substratum anatomique essentiel de l'affection. Cette lésion de la cellule doit être mise à l'étude, paral- lèlement et in
égnation d'argent par la méthode de Golgi ne va pas assez loin. Les cellules forment un plexus inextri- cable, un réseau; le
us inextri- cable, un réseau; les prolongements protoplasmiques des cellules multipolaires sont réunis les uns avec les autr
us de la membrane propre qui constitue la pie-mère. rang de petites cellules qui doublent absolument la pie-mère, d'où une c
- croisent et prennent la disposition des fibres de névroglie Les cellules sont le seul point où prennentnaissance les cellu
Analogie entre le cervelet et les organes des sens supérieurs. Les cellules de la surface de la circonvolution mettent des an
fibres de Muller. Ces fibres se touchent toutes par leur pied. Ces cellules des fibres de Muller dans larétine sont des élé
gnoires pour les agités ont fait, avec les jardins annexés à chaque cellule , l'admiration des visiteurs. Si la surveillance e
non-restraint est par suite appliqué dans la plus large mesure. Les cellules , au nombre de 40, bien disposées, complètent ce
de la cinquième paire des deux côtés; dégénérescence des groupes de cellules décrits par Westphal au niveau du noyau de l'oc
du nerf sus-scapulaire. M. M'fSTPH.L. - Nouveau groupe annulaire de cellules placées en dehors et en avant des deux nouveaux
cellules placées en dehors et en avant des deux nouveaux groupes de cellules de l'oculo- moteur commun déjà décrits par l'au
auteur. Ce groupe annulaire comprend cinquante à soixante séries de cellules à l'état normal. Or, dans un cas pathologique,
icale et de la partie supérieure de la moelle dorsale, atrophie des cellules dans les noyaux moteurs du bulbe, mais avec con
- Présidence de M. W. SANDER.. M. Kronthal. Histologie des grandes cellules des cornes antérieures. Voyez le l eurol. Centr
nce de M. Ëmminghaus. M. NISSL. Des altérations, chez le lapin, des cellules originelles du noyau du facial à la suite de l'
duit dans les vingt-quatre heuresqui suivent par l'alté- ration des cellules de son noyau. Déjà les éléments chromatiques de
ation des cellules de son noyau. Déjà les éléments chromatiques des cellules granulées commencent à se dissocier. Dès les deux
es deux ou trois jours ultérieurs, l'effritement s'étend à toute la cellule . Les granulations, de colorées qu'elles étaient
nent une apparence plus homo- gène. Le quatrième jour, en outre, la cellule entière se tuméfie ; elle se montre globuleuse
ent, la structure ancienne du protoplasma a disparu, le corps de la cellule parait saupoudré de particelles colorées. Il es
tie presque intacte de l'élément cellulaire. Plus tard il quitte la cellule même; on n'en voit plus traces. Le dixième jour
a cellule même; on n'en voit plus traces. Le dixième jour, bien des cellules ont subi la dissociation totale ; ce sont des m
prolonge- ments. Ces altérations ne portent point sur toutes les cellules du noyau d'origine du nerf en même temps; elles
noyau d'ori- gine à trois branches. A partir du douzième jour, les cellules tumé- fiées qui n'ont pas encore subi la dégéné
leur tour. Vers le dix-huitième jour à peu près, presque toutes les cellules du noyau sont affectées. M. KtOEusEft. - Un cas
psycho- sensoriels. Les recherches de Golgi sur l'histologie des cellules nerveuses ont fixé spécialement l'attention de
ion de M. Soury; elles concluent que les connexions anatomiques des cellules ont plus de valeur que leur forme; que les fonc
Mais en même temps, Mendel a observé une diminution du nombre des cellules de la substance ferrugine du côté affecté. Ce der
origine centrale de la maladie (d'après plusieurs anatomistes, les cellules mentionnées seraient des centres trophiques).
bilité mentale; atrophie musculaire de la main droite.» 0 Envoyé en cellule . 372 " ' RECUEIL DE FAITS. 10 août. - Tranqui
. - Tranquille depuis sa réintégration. - Est resté quatre jours en cellule .' Va travailler à la buanderie. Dit êlre sujet à
é renvoyé successivement de la buanderie et du marais. Envoyé en' cellule . - , 15. - La sensibilité dans ses différents m
derniers temps il a fait deux tentatives d'évasion et a été mis en cellule huit jours, durant lesquels il s'est masturbé u
gan- glion. Quant au ganglion lenticulaire, les altérations de ses cellules paraissent avoir une grande valeur. Les trouble
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 399 XXXI. HISTOLOGIE DES grandes CELLULES des cornes antérieures par P. KEONTH.,L. (Neuro
minutes on monte dans le baume. Par ce procédé, on voit que : 1 les cellules nerveuses des cornes anlérieures n'ont pas de g
rolongement, qui a une structure fibrillaire indéniable, jusqu'à la cellule ; ces fibrilles, on ne les retrouve plus sur un
les, on ne les retrouve plus sur un autre prolongement de la même cellule . Chez l'homme, il existe des granulations en grou
granulations en groupes, soit dans les prolongements, soit dans les cellules , granulations rondes ou fusiformes qui sont le
ituation correspond à celle du plus pelit ren- forcé ; un groupe de cellules occupe l'épaisseur de ce cordon, leur place cor
ux moyens lenticulaires. On trouve, au microscope, une atrophie des cellules de la deuxième couche (ascendants et troisième
laires (réplétion extraor- dinaire des vaisseaux, prolifération des cellules de leurs parois), une diminution médiocre des f
., 1890.) Revue des altérations de la névroglie, des vaisseaux, des cellules , des fibres nerveuses, des lésions de la moelle
ion, ou l'isolement, peut se faire non pas seulement à l'aide de la cellule (slrong room des Anglais) mais aussi à l'aide d
prompts à se faire du mal, mais je prescrirais plus volontiers la cellule aux hommes, les petits locaux aux femmes. Du re
de cette façon on a en réalité doublé et davantage le nombre des cellules . Mais il est très difficile de construire un qu
et surtout le corridor SOCIÉTÉS SAVANTES. 41o qui s'ouvre sur une cellule de chaque côté. On n'adoptera pas davantage l'e
ule de chaque côté. On n'adoptera pas davantage l'enclavement de la cellule entre deux corridors; il est enfin impossible d
roits, de façon à obtenir un double front avec une double rangée de cellules , chaque série de cellules s'ouvrirait sur un se
un double front avec une double rangée de cellules, chaque série de cellules s'ouvrirait sur un seul corridor; mais il impor
es s'ouvrirait sur un seul corridor; mais il importerait que chaque cellule fût bien séparée de sa voisine, qu'elle n'ait a
chauffage et aux appareils de déjec- tions. En ce qui regarde la cellule en soi, voici celle qui par la plupart de ses é
bres d'angle ont chacune son vestibule adjacent au corridor. Chaque cellule du rez-de-chaussée mesure 14 pieds de haut, 16
u bâtiment en question est réservé aux femmes. Le chauffage des dix cellules se fait simultanément par l'air chaud. QUARAN
les parties les plus fortement scléreuses, il n'y a plus du tout de cellules de Purkinje; la couche granuleuse s'est' aussi co
trouve, selon le degré de la sclérose, divers degrés d'atrophie des cellules de Purkinje. Suivant l'intensité de cette atrop
conséquent, les grosses fibres myéliniques sont en rapport avec les cellules de Purkinje. L'altéra- tion des grosses fibres
es de Neurologie. Séance de décembre 1890. SOCIÉTÉS SAVANTES. 419 cellules à tous les stades de l'atrophie pigmentaire, dans
SAVANTES. d'autres, il existe, en plein centre ovale, des oasis de cellules ner- veuses. Les fibres intra-corticales sont b
ibres intra-corticales sont bien développées; la couche des grandes cellules pyramidales est au contraire défectueuse; ces é
aire défectueuse; ces éléments sont rares, petits; au contraire les cellules rondes y pré- dominent ; impossible de trouver
ire les cellules rondes y pré- dominent ; impossible de trouver les cellules pyramidales géantes de Betz. M. Cramer (d'Ebe
ar Scllultze,ltl7. CERVELET, fonctions du -, par Bechterew, 137 ; cellules du , par Renaut, 256 ; - atrophie du , par Cr
li, 273; - racines du auditif, par Baginsky, 273; altérations des cellules du noyau du facial chez le lapin à la suite d
ogie du - , par Bernhardt, Oppenheim, 425. Traitement au lit et cellule , par Hebold, 144. Trapèze, lacune partielle d
64 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e grise est à peine recon- naissabte ; on trouve cependant de rares cellules , mais atrophiées, mal colorées, avec un noyau e
. Le canal central est dilaté et occupé par une prolifération des cellules de la paroi ; cette prolifération se retrouve sur
(toujours au-dessous de la onzième paire dorsale), contiennent des cellules normales et en nombre sensible- ment normal. On
s cellules normales et en nombre sensible- ment normal. On voit des cellules rondes à la base des cornes pos- térieures (col
dorsale, où les 14 il CLTNIQUE-NERYEUSE. cornes antérieures, les cellules des colonnes de Clat·Ire et les nerfs survivent
dans notre observation et nous venons d'y insister l'intégrité des cellules des cornes antérieures, des cellules de la colo
d'y insister l'intégrité des cellules des cornes antérieures, des cellules de la colonne de Clarke, et des nerfs, au-dessous
'étendant à toute l'étendue du faisceau pyramidal avec atrophie des cellules ganglionnaires; sans lésion vasculaire). Il y a
porales, microscopiquement la dégénérescence graisseuse des petites cellules de l'écorce, en particulier des cellules pyramida
nce graisseuse des petites cellules de l'écorce, en particulier des cellules pyramidales. Le système vasculaire et le tissu
r ceux d'un chat, croit dans les pas des gens qui passent devant sa cellule reconnaître ceux de sa femme. Inégalité pupilla
donné les muscles frap- pés : il a respecté les groupes externes de cellules des cornes anté- rieures, puisque les fléchisse
rritoires gris dépour- vus d'hémorrhagie, le traumatisme a dans les cellules nerveuses pu déterminer un trouble moléculaire,
u presque toujours lésées. Les ganglions inter- vertébraux et leurs cellules nerveuses sont parfois affectées, il en est de
spinales plus rarement prises. Le reste du tissu nerveux, fibres et cellules des colonnes de Clarke, cellules des cornes pos
reste du tissu nerveux, fibres et cellules des colonnes de Clarke, cellules des cornes postérieures et antérieures, nerfs s
stades cliniques sont les manifestations de lésions intéressant les cellules motrices des cornes antérieures, lésions qui el
r des toxines nées sur place et produites par le surmenage desdites cellules mo- trices ? R. CH,\RON. 74 REVUE DE PATHOLOG
qui indique un certain degré de névrite quel que soit l'état de la cellule de la corne anté- rieure ; 3° L'absence de si
autour du canal central, dans l'épididyme même, autour et entre les cellules ganglionnaires des cornes antérieures et postér
sécutive de la moelle. II. Altérations pathologiques précoces des cellules ganglion- - naires, avec relation d'un cas; par
les mais peu accentuées; au cerveau, les lésions sont' limitées aux cellules de l'écorce des lobes frontal, central et occipi-
ormation et l'interruption du contact entre diffé- rents groupes de cellules nerveuses par protrusion ou rétraction des fila
oi la théorie doit expliquer les phénomènes mentaux, complexité des cellules nerveuses. d'où instabilité considérable, et de
où il nous est donné de les observer. , z C'est attribuer aussi aux cellules nerveuses un pouvoir de sélec- tion à peine cro
ariables (profil lointain, etc.) toujours cependant les différentes cellules ainsi différemment stimulées sont aussitôt apte
copique révèle, dans les points complètement nécrosés, l'absence de cellules nerveuses; on y voit un réseau vas- culaire trè
très développé, turgescent, dont les parois sont farcies de petites cellules , des espaces lymphatiques encombrés de nom- bre
etites cellules, des espaces lymphatiques encombrés de nom- breuses cellules granulo-graisseuses uninucléaires qui remplissent
es moins altérées de la moelle sacrée et de la moelle lombaire, les cellules des cornes antérieures présentent une raréfacti
rnissent des colorations distinctives accentuées entre cylindraxes, cellules nerveuses, corps des cellules de la névroglie,
nctives accentuées entre cylindraxes, cellules nerveuses, corps des cellules de la névroglie, tissu conjonctif. P. KEravAL.
re, un autre processus dégénératif consistant en l'infiltration des cellules par une matière prenant fortement l'éosine et a
ère prenant fortement l'éosine et aboutissant à la rétraction de la cellule : c'est la dégé- nérescence hyaline. Elle n'est
prédilection les zones péri et paravasculaires ; 3° Les lésions des cellules corticales sont les suivantes : dans les'circon
hypothèse certains arguments histopathologiques (altérations des cellules corticales et des nerfs optiques comparables aux
t colorées au bleu polychrome d'Unna, montre que la disparition des cellules de Purkinje et de la couche des grains met en v
tomicrographies présentées par les auteurs, on voit cette couche de cellules apparaître au sur et à mesure que les grains se
raît à la partie extérieure de la couche des grains, formée par des cellules dont les noyaux seuls REVUE D'ANATOMIE ET DE ^P
, cet aspect du noyau ne permettent pas de penser qu'il s'agisse de cellules nevrogliques. MM. Lannois et Paviot, con- sidér
a coloration au Nissl, on peut déjà distinguer quelques-unes de ces cellules sur un cervelet normal, à la limite des deux co
, à la limite des deux couches moléculaire et granuleuse autour des cellules de Purkinje, pensent qu'il s'agit de grandes ce
se autour des cellules de Purkinje, pensent qu'il s'agit de grandes cellules étoilées de la couche des grains, cellules qui
qu'il s'agit de grandes cellules étoilées de la couche des grains, cellules qui s'étendent jusqu'à la partie pro- fonde de
olgi, Ra- z mon y Cajal, Bechterew. Qu'il s'agisse de ces grandes cellules étoilées, appelées grandes cellules du type II
Qu'il s'agisse de ces grandes cellules étoilées, appelées grandes cellules du type II de Golgi par M. Dejerine, ou de tout a
nnommées, il paraît évident qu'elles ne peuvent être autres que des cellules nerveuses. - Les auteurs comptent, en continuan
tantes d'éléments ner- veux du cervelet, respecterait seulement les cellules de relation, si toutefois, cette couche innommé
ules de relation, si toutefois, cette couche innommée est celle des cellules de relation de la corticalité cérébelleuse. L
lésions des parties du système nerveux central en rapport avec les cellules de Pur- kinje, soit par lésions de celles qui e
rs d'une atro- phie fonctionnelle secondaire pour les grains et les cellules de Pur- kinje, la couche innommée, probablement
et les cellules de Pur- kinje, la couche innommée, probablement de cellules de relation, restant longtemps intacte. G. Carr
r. 148 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVI. La cellule peut-elle avoir la valeur d'une unité, au point
Paladino, Capobianco et Fra- gnito ont montré que le cylindraxe des cellules nerveuses a une origine pluricellulaire, surgis
nt plusieurs questions. Comment un cylindraxe, sorti d'une série de cellules , entre t-il en rapport avec une cellule nerveus
raxe, sorti d'une série de cellules, entre t-il en rapport avec une cellule nerveuse ? Se fond-il, à quelque distance de la c
mot, les prolongements sont-ils des bourgeons du corps même de la cellule , ou sont-ce des éléments rapportés qui jusqu'à un
ts rapportés qui jusqu'à un cer- tain moment restent étrangers à la cellule , qui, en qualité de bouts centraux des fibres n
en qualité de bouts centraux des fibres nerveuses, n'arrivent à la cellule que plus tard pour concourir à sa structure ?
structure ? Quels sont les éléments constitutifs du protoplasma des cellules nerveuses ? Quelle est l'origine, quelles sont
min aluné, après durcissement au sublimé, montre ce qui suit. Les cellules sont formées par une membrane fortement colorée,
s. Autour de la membrane limitante, nulle trace de protoplasma. Ces cellules sont des noyaux, pourvues d'une substance filam
les noyaux secondaires ont fourni des parties de protoplasma de la cellule , à 1 état, partie de mottes chromatiques, parti
quent aux noyaux primitifs, mais tout l'effort du façonnement de la cellule pyramidale porte -sur la cime. Sur une coupe de
: une couche supérieure super- ficielle, très épaisse, composée de cellules sphéroïdales ,ou ellipti- ques disposées le=une
ul côté de ceux-ci comme pour leur former un bonnet. Les cordons de cellules qui forment la couche supérieure se transformen
r. Parfois deux de ces fibrilles se réunissent au pôle opposé de la cellule , en dessinant ainsi un fuseau : si non, les deu
ont enclavé le noyau divergent et déterminent par là la forme de la cellule pyramidale. La structure fibrillaire déjà appar
ra l'objet d'un pro- chain travail avec planches. En tout cas, la cellule nerveuse a, comme la fibre, une origine plurice
uit de la fusion de la substance chromatique de plusieurs noyaux de cellules qui concourent à la formation du pro- toplasma
ux de cellules qui concourent à la formation du pro- toplasma de la cellule nerveuse. P. IIEIIAVAL. XXVII. Aperçu général s
eau. P. KERAVAL. XXVIII. De l'influence de l'anémie aiguë sur les cellules motrices de la moelle; par J. 1BELTZSr. (Obozré
es à la méthode de Nissl modifiée par Téliatnik. (Figures.) - Les cellules des lapins dont la moelle n'a pas été forcipressé
rès vingt minutes d'expérience, on. constate sur un grand nombre de cellules une déchéance peu accusée des corpuscules de Ni
ulations de Nissl qui porte sur presque toute la péri- phérie de la cellule et gagne davantage le centre : les prolonge- me
le centre : les prolonge- ments cellulaires sont moins marqués, la cellule même tendant à s'arrondir. - A la suite d'une
une forcipressure aortique de soixante minutes, les altérations des cellules motrices de la moelle sont beaucoup plus tranch
La décadence des corspuscules de Nissl embrasse pres- que toute la cellule , dont la forme est encore plus ronde : elle est
ore plus ronde : elle est comme gonflée, un peu agrandie. C'est une cellule fantôme; mais son noyau et son nucléole ne prés
c le faisceau de Gowers; par 0. Kohnstamm. (A'(;Uî-0109. Cen- « Les cellules de la substance grise de la moelle, écrit Edinger
nt encore être sûre- ment distinguées de celles qui proviennent des cellules commissu- rales, mais la clinique et l'expérime
e. La méthode de Nissl ne trahit aucune dégénérescence du groupe de cellules antéro-médian au- dessous de la lésion, tandis
édian au- dessous de la lésion, tandis qu'au-dessus on constate des cellules dégénérées dans presque tous les groupes, surto
ble n'est révélée par rien, sauf, peut-être, par la disposition des cellules de Purkinje, d'une étonnante régularité. Quoi q
ravées osseuses et irrégularité dans la disposition des couches des cellules cartilagineuses du cartilage d'encroûtement. Les
oglique dans les couches corticales profondes, avec tuméfaction des cellules névro- gliques en plus dans les couches superfi
lles et dans la subs- 164 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. tance blanche. Les cellules ganglionaires présentent, d'après Nissl, de la
e van Pieson, on trouve un dépôt de pigment autour des noyaux des cellules ganglionnaires. Raréfaction très prononcée des fi
osant presque toujours nécessaire comme diminuant la résistance des cellules psychiques. La pathogénie parait comporter ensu
: os du crâne, dure-mère, etc. ; 2° la patho- logie spéciale de la cellule nerveuse, avec l'étude de tous les modes de dég
ielles de la perfection struc- turale et du fonctionnement de cette cellule ne peuvent être exa- minés par 1'liématiiioii-i
émoi le personnel de la prison. A des cris déchirants partant de la cellule , les gardiens accou- rurent. Le marabout, qui
gnée du centre. Quand en effet les fibres sont séparées de leurs cellules , l'influence trophique de celles-ci cesse sur n'i
, on constate une épendymite prononcée avec hyperplasie notable des cellules épendymaires et hyperplasie de la névroglie dan
paracentral présentent des altérations parenchymateuses graves des cellules et des fibres. Dans la plupart des cellules, on
forme d'épendymite granuleuse et de lésions paren- chymateuses des cellules et des fibres de l'écorce cérébrale. Comme ces
cours de la syphilis et sont dus aux lésions paren- chymateuses dcs cellules corticales. Ces ictus sont moins durables que c
que dans des états liés à des tumeur;, cérébrales. Il a trouvé les cellules nerveuses et particu- lièrementles cellules pyr
brales. Il a trouvé les cellules nerveuses et particu- lièrementles cellules pyramidales intacles même chez des sujets morts
t probablement grippale. Sur une forme particulière de réaction des cellules radiculaires après la rupture des nerfs périphé
M. 6. \IarlVESao.-I;n étudiant les modifications structurales des cellules nerveuses radiculaires après la rupture des nerfs
fs périphé- riques, j'ai eu l'occasion de rencontrer dans certaines cellules un type de lésion qui mérite d'être rapporté. E
ellules un type de lésion qui mérite d'être rapporté. Eu effet, ces cellules altérées, non seulement ne présentent pas la ch
tendu que l'on ne rencontre pas cette particularité dans tontes les cellules altérées, aussi je pense qu'il s'agirait là d'u
joute celle des éléments chromatophiles, varie dans les différentes cellules de la corne antérieure. F. Hoi=sOEn. 424 BIBL
, encé- phalite et myélite ; souvent une atrophie du cerveau et des cellules des cornes antérieures. Il n'y a pas de centr
scrite et des altérations réparables des éléments paren- chymateux, cellules et fibres nerveuses, dans le territoire privé t
cel- lules nerveuses. Les prolongements longs, qui partent de ces cellules , ne sont autres que les cylindraxes des fibres du
sous forme d'arborisations terminales. Celles-ci enlaceraient les cellules nerveuses de ces mêmes amas gris, desquelles par-
neurones périphériques, leur origine est dans la rétine (couche des cellules nerveuses), et leur aboutissement dans les amas
le neurone périphérique de la voie optique est représenté par la cellule bipolaire de la rétine. Le neurone central ne ser
e bipolaire de la rétine. Le neurone central ne serait autre que la cellule nerveuse de la couche ganglionnaire, rétinienne
ue. Au delà des bandelettes optiques, les prolongements longs des cellules nerveuses de la rétine formeraient deux faisceaux
des changements de diamètre des pupilles. Eu d'au- tres termes, les cellules nerveuses contenues dans les amas gris centraux
périmentale. L'anatomie pathologique, l'étude des modifications des cellules de l'écorce, fourniront aussi des renseignements
ique, Voir Anes- l7tésie. anémie aiguë. Influence de l' sur les cellules motrices de la moelle, par Bielitzky, 151. Aa
ltapm, 48. -, par l3erillon, 9s. céié- brale, par Touche, 329. CELLULES ganglionnaires. Altérations pathologiques préco
. ' ELONGATION TROPHIQUE, par Chipault, 86. ) Embryologie. Voir Cellule . Emotions. Les-, par feergi, 251. Epilepsie,
65 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ues, doivent être im- médiatement attribuées à une dégénération des cellules nerveuses. Cette dégénération peut être primiti
ive ou secondaire. Dans la paralysie générale la dégénérescence des cellules nerveuses sur- vient fréquemment sans les appar
s. Il est cependant plus que probable que la lésion primitive de la cellule nerveuse est la condition essentielle de la mal
curable. La lésion ne peut en effet porter que sur des fibres etdes cellules nerveuses, le genre de la lésion ne peut alors
les désordres de l'agitation nocturne. On n'économise donc pas les cellules par le traitement au lit. Nous avons reconnu qu
. On a, pour répondre aux besoins reconnus, amé- nagé de nombreuses cellules . Nous possédons dans la division des hommes pou
es pour 296 malades, 17 locaux d'isolement, et, pour 286 femmes, 34 cellules . Au pavillon des femmes furieuses remanié, on a
de en liberté. Sinon l'asile le reprendra. P. K. Il. LE nombre DE CELLULES nécessaire aux asiles publics DE traite- ment E
talisation; DISPOSITION ET installation LES PLUS convenables DE ces CELLULES ; par Kreuser. (Allg. Zeitsch. f. Psy- chiat., L
se 500 lits peuvent en avoir moins, mais, quand il y a davantage de cellules , on peut plus facilement et plus vite recevoir
res. Utilité des doubles portes au moins partiellement; 9° quelques cellules seront pourvues d'un guichet d'observation; 10°
climats; 120 cabinets d'aisances fixes, du moins pour une part des cellules ; 13° mobilier fixe tout à fait inu- tile. P. K
frappant sur la tête avec le livre saint. On les enferme dans des cellules sombres et humides et, pour les guérir par l'inan
génération du faisceau pyramidal gauche; dimi- nution de nombre des cellules des cornes antérieures. Aussi exis- tait-il de
oir pour base une altération matérielle, nutritive, biochimique des cellules motrices des circonvolutions, des noyaux gris ou
pération pra- tiquée révéla qu'il s'agissait d'un sarcome à grosses cellules rondes ayant plus ou moins subi la dégénéresenc
centraux. Les tumeurs en ques- tion étaient des sarcomes à petites cellules rondes. M. WULFF lit un mémoire sur l'hypoplasi
n d'asiles spéciaux pour les aliénés dits criminels. Un quartier de cellules bien organisé et bien surveillé nous paraît suffi
ait des misères. Avant la police me suivait. On m'électrise dans ma cellule par les regards (judas) de la porte. Je n'ai pa
. Les pro- duits de désassimilation qui s'accumulent alors dans les cellules du cerveau les allèrent profondément et finisse
trouble de la circulation du cerveau, modifie la nutrition de ces cellules et donne lieu à la production de composés cliniqu
est due à ce qu'il existe un baraquement pour chaque sexe et des cellules à grilles. Le baraquement reçoit les malades dont
n exige une surveillance continue d'un ou de plusieurs malades. Les cellules à grilles sont des chambres séparées en deux pa
la pièce, il ne faut pas qu'il permette aux malades de grimper. Ces cellules sont particulièrement utiles quand on veut sépa
cytes. Un fort gros- sissement révèle les altérations suivantes des cellules nerveuses. Les unes n'ont présenté que peu d'al
é dans lequel on peut distinguer des lacunes plus claires. Quelques cellules moins altérées témoignent encore au niveau du p
paroi manque. Nulle part il n'y a de dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses, ni de désagrégation grenue des proto-
les nerveuses, ni de désagrégation grenue des proto- plasmas. Les cellules de la névroglie présentent d'une manière générale
qu'il y ait eu multiplication des noyaux non cellulaires autour des cellules nerveuses. M. FunEn. De la genèse des hallucina
résulte un rappro- chement des noyaux de la névroglie; en outre les cellules lym- phoides multiplient pour lui, il n'y apas
ration des éléments névrogliques dépassant toute attente. Quant aux cellules lymphatiques, la cellule migratrice de l'organism
liques dépassant toute attente. Quant aux cellules lymphatiques, la cellule migratrice de l'organisme est un hôte absolumen
nflammation infectieuse peut produire une forte accumulation de ces cellules . En ce qui concerne les espaces péricellulaires
iaque presque fu- rieuse ; à l'autopsie l'écorce était encombrée de cellules de la né- vroglie subissant la division indirec
s la commissure grise, comme une fente plus ou moins allongée : les cellules épithéliales ont des formes assez irrégulières.
formation de ce fouillis névroglique dont l'origine est dans les cellules de la névroglie elle-même. Du reste, l'épithélium
'épithélium superfi- ciel n'est qu'une variante morphologique de la cellule névroglique. proprement dite. Celle-ci est, à q
ment dite. Celle-ci est, à quelque profondeur qu'on l'envisage, une cellule de remplacement de l'épithélium superficiel. Tous
re des éléments profonds de la névroglie. il semble alors que les cellules névrogliques proprement dites, groupées en boya
ellules névrogliques proprement dites, groupées en boyaux comme les cellules d'un épithélioma tubulé, se canaliculisent par
'y aurait pas lieu, suivant lui, d'admettre la lésion primitive des cellules nerveuses au sens de la théorie de Charcot. P.
vantages de la petitesse de l'organe, telles que multiplication des cellules , moindre quantité delà névroglie ? C'est ce que l
yers, et cela jusqu'à la moelle lombaire; en revanche, l'aspect des cellules nerveuses des colonnes de Clarke laisse à désir
ombaire et sacrée, il y a complète intégrité de la substance grise ( cellules ou fibres), des fibres antérieures et postérieu
ar une lésion des vaisseaux, dès hémorrhagies, la prolifération des cellules et la sclé- rose (tissu fibrillaire des foyers
fortement la zone motrice. La dissémination de l'irritation sur les cellules 'et les fibres explique qu'il y ait eu, non de
e des cordons latéraux droits. Dans les couches corticales, petites cellules nerveuses bien plus nombreuses que normalement;
ans les nucléoles des lacunes arrondies, blanchâtres, même dans les cellules dont les noyaux à contours normaux sont normale
lière de segments pauvres et de seg- ments riches en fibres. Les. cellules forment aussi des groupes irrégulièrement ordon-
ace des circonvolutions sont souvent obliques et transversaux ; les cellules sont petites, recoquevillées, vacuolisées. Paro
es fibres de tissu conjonctif et de vaisseaux épaissis ; nombreuses cellules rondes entre l'endo- thélium du vaisseau et la
ourtour du conduit. Dans la moelle, tuméfaction de la plupart des cellules (carmin) arrondies, sans prolongements ; noyau
à voir, nucléole ; vaisseaux gonflés de sang, entourés de magmas de cellules rondes. Cordon antérieur droit un peu plus épai
paire ou noyau IV comprendrait d'après les auteurs trois groupes de cellules : 1° le noyau IV à petites cellules, postérieur
les auteurs trois groupes de cellules : 1° le noyau IV à petites cellules , postérieur, de Westphal mentionné par lui en 188
r possède un réseau très fourni de fibres fines ou fortes entre les cellules . Or le faux noyau de \Vest'- phal-seràil seul d
en a pas une seule qui se rende dans le noyau de Westphal ; 3° les cellules du noyau de Westphal ne sont pas motri- .SOCIÉT
phériques de ce nerf sont altérées. Le noyau principal à petites cellules de Westphal n'a rien à faire avec le pathétique.
ane central notamment dans le but de déterminer la localisation des cellules nerveuses. Voici en quoi consiste cette méthode.
ève les centres ou on sectionneles tractus dont on veut trouver les cellules nerveuses aux- quelles ils commandent. On sacri
lles on rentre. · i 1° Si l'on supprime les liens qui unissent' les cellules nerveuses avec leur organe terminal, qu'il s'ag
cellules nerveuses avec leur organe terminal, qu'il s'agisse d'une cellule musculaire ou d'une cellule épithéliale sensori
r organe terminal, qu'il s'agisse d'une cellule musculaire ou d'une cellule épithéliale sensorielle, il se produit une altéra
héliale sensorielle, il se produit une altération rétrograde de ces cellules nerveuses; 2° quand, dans l'organe central, on
erveuses; 2° quand, dans l'organe central, on enlève un centre, les cellules nerveuses du centre voisin et qui en dépend dir
s; 3° la rétrogression suit une marche variable suivant le type des cellules nerveuses. Mais on peut dire, en géné- ral, que
ation se traduit d'abord par une tuméfaction du pro- toplasma de la cellule ; la substance colorable du corps cellulaire se
rme en une masse grenue particulière. Si l'on sait bien colorer les cellules nerveuses, toutes les altérations peuvent être
ale; 4° l'organe central obéit à la loi suivante : au moment où les cellules nerveuses sont directement atteintes par l'agen
ntes par l'agent nocif, et subissent une altération régressive, les cellules de la névroglie qui les environnent sont égalem
elle que soit l'in- fluence nuisible dont l'action soit limitée aux cellules nerveuses et aux fibres nerveuses, toujours les
imitée aux cellules nerveuses et aux fibres nerveuses, toujours les cellules voisines de la névroglie réagissent, leur proto
c'est le maximum de développement des phénomènes progres- sifs, les cellules névrogliques prolifèrent par le procédé de la ka-
sitôt et sûrement les régressions cellulaires. Toutefois, quand la cellule a un long chemin à parcourir pour arriver au poin
r. Le chercheur éprouve aussi de très grandes difficultés quand les cellules nerveuses qui dépendent du foyer de la destructio
pas à pas la technique, con- naître exactement toutes les formes de cellules , leurs altérations, et les causes d'erreur poss
ction. Prenons par exemple les noyaux de la couche optique dont les cellules s'altèrent, régressent, quand on détruit l'écorce
corticale. Quant à d'autres points encore obscurs dans l'étude des cellules nerveuses, telle la chromophilie, il faut se mo
Une série de coupes montrent d'une façon extrêmement nette que les cellules neiveuses de la couche bibliographie. 331 opt
oici une autre série qui présente les altérations régres- sives des cellules nerveuses motrices du noyau du facial à leurs dif
l à leurs dif- férents stades. Une troisième catégorie localise les cellules ner- veuses de nerfs mixtes dans la moelle. On
du médian, du radial, du cubital, ou simplement celles de quelques cellules . Ces préparations permettent de préciser le lie
lques cellules. Ces préparations permettent de préciser le lieu des cellules motrices, mais celui aussi des cel- lules des g
des cel- lules des ganglions spinaux, ainsi que d'une catégorie de cellules nerveuses rétiformes ou de tout autre structure
insi que les relations régio- nales de ces organes. De même que les cellules nerveuses de la substance gélatineuse de Roland
es sensitives s'entrecroisent de telle sorte qu'une partie de leurs cellules subissent une altération dans la corne postérie
rne postérieure du même côté, en même temps qu'une autre partie des cellules sont en régression dans la corne pos- térieure
du côté opposé. Pareilles particularités se voient pour les grandes cellules nerveuses à structure rétiforme, tandis que les
es grandes cellules nerveuses à structure rétiforme, tandis que les cellules nerveuses motrices subissent toujours une altérat
ection de planches fixant la structure différente de chaque type de cellules nerveuses. M. Sommer. Quelques résultats de la
it être d'origine corticale et due à un trouble dyna- mogénique des cellules de l'écorce ou à des lésions microsco- piques i
corce ou à des lésions microsco- piques inflammatoires de ces mêmes cellules . Voici d'ailleurs trois observations dont nous
enflements cervicaux et lombaires. Les éléments névrogliques et les cellules étaient altérés. Ces dernières particulièrement
vroglie hyperthrophiée avait étouffé les fibrilles nerveuses et les cellules ganglionnaires particulièrement les cellules de
illes nerveuses et les cellules ganglionnaires particulièrement les cellules de la colonne de Clarke. Ces altérations paraisse
it préférable à la symétrie monotone pour les constructions; peu de cellules mais . asiles d'aliénés. 411 une cellule capi
s constructions; peu de cellules mais . asiles d'aliénés. 411 une cellule capitonnée sérieuse, des chambres d'isolement et
ntagieuses; bains et hydrothérapie; cuisine; ateliers; pavillon des cellules . Archives, t. XXIX. 27 418 asiles d'aliénés.
datant de quelques semaines et terminé par la mort : on trouva les cellules corticales dans un état de dégénérescence très
dans un état de dégénérescence très accusé et très avancé, avec des cellules étoilées et des noyaux en état de prolifération a
r Scuolz. (Allg. Zeitsch. ? Psychiat., 1 ? 3 et 4.) Supprimer les cellules , en traitant tous les agités au lit. Si l'on so
tance somatique, on n'aura plus du tout de système coercitif. La cellule en est en effet le dernier terme. Et l'on n'aura
bler le repos des malades. En pareil cas, au lieu de les envoyer en cellule ou de les transporter dans un quartier de surve
. Le malheu- reux seul te calme en se sentant soigné, tandis que la cellule , qui d'ailleurs n'est pas isolante et le quarti
es de temps à autre susmentionnés, le calme arrive, tandis que la cellule sombre et nue aggrave souvent au plus haut point
ouvent aucun plaisir à jouer le rôle de geôlières et à nettoyer des cellules . Si au contraire les aliénés sont traités au li
la garde, surtout pour la garde de nuit. Supprimons en tout cas les cellules et multiplions le traite- ment au lit. Dissémin
les criminels, par Hughes, 311. Cécité verbale, par Sachs, 52. CELLULES des asiles, par Creuser, 70. Céphalalgie post i
389. Localisations sensitives de l'écorce, par Déjeune, 299 ; des cellules nerveuses, par nlssl, 329. Magistrature, les
66 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
déjà l'occasion de parler (2), qui doit son existence aux images de cellules rétrécies du système nerveux central, colorées d'
us ne pouvons pas provoquer, en exci- tant le nerf centripète d'une cellule quelconque du système nerveux central intacte,
onjonctif cicatriciel de réparation. Ce tissu conjonctif irrite les cellules motrices des cornes antérieures de la moelle du
nteste aujourd'hui qu'il y ait là du tissu con- jonclif) irrite les cellules motrices, personne ne l'admet plus. Le fait (1)
ysiologique que pour qu'il existe de la contracture il faut que les cellules motrices des cornes anté- rieures soient excilé
ontracture peut se pro- duire sans elle. I ! faut seulement que les cellules cérébrales, d'où parlent ces fibres, soient lés
n'existe pas. On conçoit en effet, dit Charcot, que l'irritation des cellules nerveuses qui provoque la contracture s'établis
fondamentale de la contracture spasmodique serait l'excitation des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle, i
trychnisme spontané, comme Charcot caractérise l'état tétanique des cellules des cornes antérieures dans ces cas de contractur
hystériques, par la perte du pouvoir inhibiteur du cerveau sur les cellules motrices de la moelle. Ceci nous fait passer à
st pas tout à fait exacte, nous verrons plus tard ce qui excite les cellules motrices de la moelle. Mya et Levy, Rïtssell,
l'interruption des courants de la voie directe cortico- spinale aux cellules radiculaires de la moelle ; soustraites ainsi à l
trice, au frein d'arrêt, des neurones du téléencéphale qui sont les cellules d'origine des fibres du faisceau pyramidal, et ab
théorie de Bastian-Jackson : à l'état normal le cervelet excite les cellules des cornes antérieures et le cerveau inhibe ces
plaçait la dégénérescence du faisceau pyramidal et qui irritait les cellules médullaires, pour Jackson, Bastian et les autre
ysostose) : le développe- ment des différents sinus du crâne et des cellules aérifères mastoïdiennes est très incomplet. Déj
ques m'ont convaincu de l'absence totale des sinus frontaux et des cellules mastoïdiennes dans le crâne d'Helsingfors ; en
fosses na- sales (sinus frontaux,sphénoïdaux et maxillaires) et des cellules aérifères mastoïdiennes. F. Irrégularités dan
e si- nus sphénoïdal n'a que la grosseur d'une petite cerise et les cellules mas- LES ALTÉRATIONS DU CRANE DANS LA DYSOSTOSE
moelle a presque complètement disparu. Dans la substance grise, les cellules nerveuses sont réduites à quelques vestiges à p
ions noires de Marchi manquent et qu'il y a accumulation de petites cellules rondes autour des travées sclérosées. Des altér
e en même temps que les travées scléreuses interfibrillaires et les cellules rondes. Auprès de la méninge des faisceaux de f
raréfiées et privées de leurs gaînes de myéline, sont entourées de cellules rondes (PI.XXI) : c'est une méningite subaiguë,
clérose fibreuse ; on voit même des nodules inflam- matoires et des cellules géantes. Les coupes inférieures, traitées par l
it. A l'hématoxyline-éosine, la colonne de Clarke droite montre des cellules ner- veuses déformées, globuleuses, avec noyau
et déformé et grosse vésicule graisseuse. gauche,au contraire, les cellules de Clarke sont normales. La partie moyenne du r
zones intermédiaires. , Méthode de Cajal. - Moelle cervicale : Des cellules des cornes antérieures aucune ne présente la st
Moelle cervicale : On peut dire tout d'abord qu'un certain nombre de cellules sont discrètement ratatinées et qu'elles se lai
qui ont été décrits par Nissl sous le nom de maladie chronique des cellules (chronische Zeller- krankung). Convenablement
ules (chronische Zeller- krankung). Convenablement décolorées les cellules des cornes antérieures montrent dans leur plus
s corps tigroïdes échelonnés en cercle à la périphérie. Dans quelques cellules , en outre, les grains de substance chromatophil
e toujours intensément coloré et d'aspect normal. Dans beaucoup des cellules complètement chromatolysées le noyau se trouve dé
noyau se trouve déplacé à la périphérie. Un nombre très petit de cellules présente des vacuoles énormes, qui en occupent
ent presque complètement le corps, avec perte complète du noyau. De cellules complètement normales il n'y en a, on peut dire,
abituel. - 140 G. CATOLA Moelle dorsale : La plus grande part des cellules de la colonne de Clarke présentent chromatolyse
ites indistinctes. Leurs nucléo- les apparaissent normaux. Dans les cellules des cornes antérieures on observe les mêmes alt
la moelle cervicale. 1 Moelle lombaire : A ce niveau le nombre des cellules , complètement chro- matolysées, est beaucoup mo
t intacte. En outre il n'y avait pas d'altérations essentielles des cellules ni d'altérations à foyer pareilles à celles décri
- baire il y avait dégénération graisseuse du plus grand nombre des cellules radiculaires antérieures, névrite parenchymateu
ein du tissu interstitiel on observe un nombre assez remarquable de cellules granuleuses (Kôrnchenzellen), rondes ou ovales, à
générescence wallérienne serait une régression cellulaire aiguë des cellules segmentaires qui retourneraient à l'état em- br
qui retourneraient à l'état em- bryonnaire,donnant naissance à des cellules filles plus ou moins capables de s'adapter à de
nérescence pri- maire,au contraire,serait une maladie qui frappe la cellule dans la vitalité de toutes ses parties, le prot
ies, le protoplasma y compris ; il y auraitdonc mortifica- tion des cellules segmentaires. Après la description que nous avo
llaire. En effet, les altérations que nous avons observées dans les cellules ganglionnaires de la moelle épinière ne seraient
neurones moteurs au sein même de leurs centres. Les altérations des cellules , on peut le répéter très brièvement, ne sont pa
uvent à tout le corps cellulaire. Seulement un tout petit nombre de cellules , remplacées par des vacuoles énormes entourées
aurait donc une proportion manifeste entre l'état pathologique des cellules et celui de ieursproiongementscyiindraxiies périp
iques. Il y a d'ailleurs un autre fait très important. Beaucoup des cellules de cornes antérieures, outre la chromatolyse to
On peut donc penser qu'une partie seulement des altérations de nos cellules sont à mettre sur le compte de l'atteinte direc
par conséquent que donner la preuve que lorsqu'il s'est produit, la cellule était toujours capable de régir à une lésion de s
à l'acide picrique et sublimé en solution saturée ana. - Aspect des cellules ganglionnaires à petit grossissement après 48 heu
à contenu colloïde. Entre les deux sont tous les intermédiaires.Les cellules sont d'autantplus aplaties que la masse colloïd
d'autantplus aplaties que la masse colloïde est plus abondante. Ces cellules épithéliales cylindriques sont les unes à proto
llules épithéliales cylindriques sont les unes à protoplasma clair, cellules principales de Langendorff, les autres à protop
, les autres à protoplasma granuleux fortement coloré par l'éosine, cellules colloïdes de Langendorff. Ces deux aspects marq
dante de la formation des boules colloïdes, dans le protoplasma des cellules foncées. (1) Extrait du Rapport présenté en aoû
oïde est très abondant et leur paroi formée d'une rangée de petites cellules . Dans les petites vésicules le protoplasma est
es le protoplasma est assez étendu pour qu'on puisse distinguer les cellules principales de Langendorff et les cellules coll
on puisse distinguer les cellules principales de Langendorff et les cellules colloïdes. A cause des qualités rétractiles des
ci excrétion interne. Il résulte, en effet, de l'histologie que la cellule vésiculaire est bi-po- laire : la colloïde sort
ue la cellule vésiculaire est bi-po- laire : la colloïde sort de la cellule par le point opposé à celui qui est en contact
s s'échappent directement dans le sang par le pôle vasculaire de la cellule , pendant que la colloïde sort par lepôle sécrétoi
ceptée sans difficulté. Juillet. P... s'alimente seul, mais dans sa cellule ; il ne veut pas manger au réfectoire. Il a com
et boire l'eau de la fontaine. Août. - Ne veut plus sortir de sa cellule où il s'enferme ; il défend qu'on y entre et si
is enveloppé seulement de sa couverture et se promène ainsi dans sa cellule . Juillet. Un jour on l'habille de force et on l
ule. Juillet. Un jour on l'habille de force et on le met hors de sa cellule . Depuis lors, il s'habille, se promène dans la
la cour, mange au réfectoire. Mais le soir, une fois rentré dans sa cellule , avant de se coucher, il défait son lit, plie s
ans. Tous les malins il dit à l'infirmier qui ouvre la porte de sa cellule la même phrase stéréotypée : « Vous me porterez
immobile auprès d'un banc ou d'un mas- sif. Le soir, rentré dans sa cellule , il continue à plier ses draps et son matelas,
la surface des circonvolutions. Il est formé d'une seule assise, de cellules cubiques à noyaux arrondis ou ovalaires au nive
LLIN décider si ces micro -organismes sont situés à l'intérieur des cellules du feuillet viscéral ou s'ils ont été entraînés
diplocoques, mais le fait n'est pas constant. Ecorce cérébrale. Les cellules pyramidales présentent des altérations considér
lle (1) Marinesco, l ! eclterches sur le noyau et le nucléole de la cellule nerveuse à l'état normal et pathologique. Journ
me ou ratatinée. » Indépendamment de ces altérations graves de la cellule nerveuse, l'écorce cérébrale présente encore de
e la charpente de soutien, surtout dans les parties profondes : les cellules de névroglie ont considérablement augmenté de n
idérablement augmenté de nombre : il est fréquent de rencontrer des cellules pyramidales environnées d'un nombre considérable
ires sont tout à fait du même type qu'à droite (PI. XLIX), mais les cellules pyramidales sont singulièrement diminuées de no
bide dont nous ne connaissons que le reliquat, un certain nombre de cellules nerveuses de l'hémisphère microgyrique aient éc
é- rose névroglique est également très accentuée dans la région des cellules pyramidales profondes. NOUVELLE Iconographie
ogénéisation du noyau avec atrophie. Vacuole nucléolaire. En E, une cellule névroglique est appli- quée à la base du dendri
la commissure antérieure de la moelle des fibres qui réunissent les cellules des deux cornes antérieures, et qui peuvent per
t atteindre, par la commissure antérieure de la moelle, les grandes cellules radiculaires antérieures de la corne du côté oppo
stérieur, des lésions disséminées des cordons antéro-latéraux ; les cellules des ganglions spinaux étaient atrophiées, la pie-
rtie supérieure une concavité re- couverte d'un feutrage de grosses cellules . C'est encore une réaction à la com- pression,
onction. En dehors de cette zone vient, comme d'habitude, celle des cellules névro- gliques (araignées) gonflées. Ces alté
ne invasion très étendue et mal délimitée du tissu cérébral par des cellules sarcomateuses. 3° De dégénérescence colloïde (
2, toute la substance blanche est occupée par des va- cuoles et des cellules araignées gonflées. Puis le tiers supérieur de la
ne sont nullement comparables à celles de la substance blanche. Les cellules satellites sont sans doute en nombre exagéré et à
re exagéré et à plus d'un endroit elles semblent avoir endommagé la cellule nerveuse. Mais la structure générale de l'écorc
rveuse. Mais la structure générale de l'écorce, même la forme de la cellule et de son noyau sont bien conservées, alors que
orte intelligence et écorce cérébrale, parfois même intelligence et cellules nerveuses de l'écorce ; cela est-il bien justif
nstitutes in Wien) ; il a trouvé des altérations vascu- laires, des cellules nerveuses dégénérées, une augmentation des cellul
cu- laires, des cellules nerveuses dégénérées, une augmentation des cellules QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 371 sa
une de ces individualités particulières est formée exclusivement de cellules ou de molécules. La biologie et la physiologie
nature humaine, on.doit faire abstraction des quelques trillons de cellules dont elle est formée et la considérer comme éta
dont elle est formée et la considérer comme étant, soit une grosse cellule ^ soit une juxtaposition de quelques grosses cel
de la matière vivante sont liées à des structures différentes. Deux cellules absolument identiques doivent exercer les mêmes
monctoires ou modifiée dans sa composition et rendue inerte que les cellules continuent, par habitude, à élaborer le contre-
changement survenu en lui, s'il avait été modifié' dans toutes ses cellules en même temps et s'il n'avait pas conservé la m
d'habitude mais sur l'individu complet formé d'une juxtaposition de cellules qui sont entre elles dans un rapport 't de dépe
à laquelle il lui sera possible d'actionner l'organe visuel dans ses cellules composantes, en modifiant leur équilibre physic
'être élémentaires, nécessitent la coopération d'un grand nombre de cellules interdépendantes et de fonctions différentes, d
car l'être complet n'est rien d'aulre en lui-même qu'une réunion de cellules . Le sursaut humain produit par la détonation du
Voici un autre exemple indiscutable de la faculté d'imitation de la cellule vivante. L'homme qui change de milieu reproduit
rganisme se trouve sous la dépendance du système nerveux et de deux cellules nerveuses au moins, puisque l'arc réflexe com-
pement des membres chez les têtards de gre- nouille. L'agénésie des cellules nerveuses répondant à la main dans les cas d'ec
ulement les canalicules séminipares n'étaient pas dévelop- pés, les cellules de la lignée séminale pas différenciées (le malad
avait 44 ans), mais dans le tissu conjonctif on ne trouvait aucune cellule inter- stitielle. L'adiastématie précoce telle
adventice des artérioles et des veinules sont infiltrées de petites cellules rondes. Les lésions des cellules nerveuses sont
nules sont infiltrées de petites cellules rondes. Les lésions des cellules nerveuses sont très nettes,et parles colorations
vaisseaux de l'écorce sont multipliés. Leur gaine est infiltrée de cellules rondes. Le cervelet ne nous a pas paru présente
par la méthode de Nissl nousontpermis de constater l'intégrité des cellules de la corne antérieure. Il y a méningite chroni
67 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue, dans les centres d'idéation comme dans les centres moteurs, les cellules cérébrales aient une tendance à se spécialiser
eau pyramidal; il met en relation la zone motrice du cerveau et les cellules des cornes anté- rieures de la moelle; il dégén
omme cela a lieu dans cette dernière affection, de l'atrophie des cellules antérieures. Aussi ne saurait-il être ques- tio
sissement fort (-8kt7- Ver.) ne nous a décelé aucune altération des cellules de ces cornes. Toutefois il im- porte de releve
peu développés sur la moelle de notre malade. Sur les points où les cellules de ces groupes étaient les plus évidentes, nous
achevée et paraît être toujours envoie d'évolution on distingue des cellules araignées nombreuses. Le corps de ces cellules
ion on distingue des cellules araignées nombreuses. Le corps de ces cellules est très dé- veloppé et leurs noyaux des plus n
'elles envoient entre les éléments nerveux non encore détruits. Ces cellules sont en plus grande abondance dans les cordons
son de- gré le plus avancé, on distingue un assez grand nombre de cellules araignées, qu'il est facile de reconnaître à le
ère, à leurs prolongements nom- breux, à leur noyau volumineux. Ces cellules , ouïe sait, existent, à l'état normal, dans le
analogue à la nôtre, on l'a vu, 1 Charcot. Si»' la tuméfaction des cellules nerveuses motrices, et du cylindre-axe des tube
LE. 73 l'auteur note également le développement remar- quable des cellules araignées, spécialement autour des vaisseaux.
on, puis disparition consécu- tive des tubes nerveux ; formation de cellules à prolon- gements ou cellules araignées; lésion
tive des tubes nerveux ; formation de cellules à prolon- gements ou cellules araignées; lésions des vaisseaux et aussi des g
aux placés plus haut dans l'échelle, et renferme un grand nombre de cellules de Deiters. Il y a une grande uniformité de vol
llules de Deiters. Il y a une grande uniformité de volume entre les cellules qui constituent, chez le même animal, la troisi
type à six couches résulte de l'interposition d'un plan de petites cellules à forme angalaire et pyramidale. Il y a une rem
une remarquable ressemblance dans le contour et le grou- pement des cellules corticales chez le porc et le mouton. Dans les
es chez le porc et le mouton. Dans les deux espèces la forme de ces cellules est presque invariablement celle d'une pyramide
ententde volume àmesurequ'elles sont plus profondément situées. Les cellules pyramidales motrices sont, chez ce dernier anim
en grand nombre autour du sillon cervical. Cette agglomération des cellules de Betz autour de ce dernier sillon se rencontr
variables dans leurs dimensions chez l'homme et chez le singe, ces cellules ont, au contraire, un volume uniforme remar- qu
stance nerveuse, à mesure qu'on descend l'échelle zoologique. Les cellules , caractérisées parleur contour arrondi et l'absen
l'excitabilité des centres corticaux (disparition d'une partie dos cellules ) et d'incitations constantes de par les pro- du
que l'atrophie des muscles des membres résulte d'une atrophie des cellules des cornes antérieures de la moelle, et d'autre
t marquées à l'aide de lettres. Il existe'une sec- tion spéciale de cellules (vingt cellules pour chaque sexe). Les chambres
ide de lettres. Il existe'une sec- tion spéciale de cellules (vingt cellules pour chaque sexe). Les chambres delà troisième
oit oblige de faire intervenir d'appareils spéciaux élévateurs. Les cellules sont spacieuses, leurs parois cimentées , de colo
e lieux d'aisances Le chauffage s'effectue par l'air chaud pour les cellules , ailleurs, par des poêles (tourbe et houille).
oute de porcelaine blanche; ce n'est que par exception, et dans les cellules , que l'on utilise de la vaisselle en métal. - O
ux d'habitation au sud ou au-sud-est. Les chambres à coucher et les cellules sont munies de tolets; les portes s'ouvrent ver
Chauffage à l'aide de poêles et de courants de vapeur' chaude; les cellules sont en particulier chauffées et ventilées par
n particulier chauffées et ventilées par ce dernier moyen. - Quinze cellules assurent l'isolement chez les hommes et chez le
es, in- firmes ; enfin on a installé un quartier cellulaire de huit cellules pour les hommes, de dix cellules pour les femme
llé un quartier cellulaire de huit cellules pour les hommes, de dix cellules pour les femmes. Dans les étages supérieurs on
le cubage d'air pour chaque lit est de 4.'i3 à 653 pieds cubes. Les cellules ne renferment pas de latrines. Quinze baignoires
tration et tuméfaction de la charpente connective par de nombreuses cellules ; inté- grité des cellules multipolaires grises
a charpente connective par de nombreuses cellules ; inté- grité des cellules multipolaires grises et des tubes nerveux en de
ne, (foyer dorsal), à la fois les éléments de nouvelle for- mation ( cellules rondes) qu'on est accoutumé de considérer comme
cence caséeuse et vitreuse des vaisseaux (réticulums englobant des cellules granuleuses, des leucocytes, des endothéliums, de
ux). Les zones récemment atteintes sont le siège d'une néoplasie de cellules ressemblant aux cellules ner- veuses, issues, p
atteintes sont le siège d'une néoplasie de cellules ressemblant aux cellules ner- veuses, issues, pour les auteurs, des fibr
ale sénile, dont le début devrait peut-être être cherché dans les cellules des épiphyses et des cartilages articulaires, et
térieure de la corne antérieure droite consistant en un feutrage de cellules araignées. 3° Dans le territoire du quatrième e
s analogues. Dans toutes ces régions il y a disparition des grandes cellules multipolaires de la corne antérieure malade; ce
fois, sousla forme de disparition progressive des éléments nerveux ( cellules ganglionnaires et fibres nerveuses). [Depuis
s propositions précé- dentes. Il existait bien encore de nombreuses cellules nerveuses, mais la plupart d'entre elles étaien
. 366 SOCIÉTÉS SAVANTES. mentsde l'écorce et, en particulier, des cellules . Il est à regretter que le procédé d'Exner détr
potasse, coloration par la fuchsine acide) permet bien l'examen des cellules , mais on ne saurait s'y fier complète- ment. L'
tion est primitive, qu'on a attribué beaucoup trop d'importance aux cellules ; il en appelle aux phénomènes cliniques qui, pou
l'assemblée les attaches des fibres nerveuses en question avec les cellules envisagées. Ce n'est pas à dire non plus que le c
s ; en un mot le cerveau est atteint d'encéphalite interstitielle : cellules nerveuses partout normales. Le malade visé dans
contraire de celte manière de voir, puisqu'il a toujours trouvé le- cellules nerveuses normales. M. Mendel espère d'ailleurs m
urs montrer prochainement à M. Tuczek, les lésions indubitables des cellules nerveuses de cerveaux de paralytiques. Il l'eng
t que l'union anatomique des fibres tangentes à la surface avec les cellules nerveuses ganglionnaires était encore à montrer
ctions mentales séniles, dans les démences terminales. Pourquoi les cellules ganglionnaires demeurent elles intactes ? On ne
e également jus- qu'ici de notions vraies relatives à la nature des cellules , à leurs conditions de nutrition, à la conducti
complètement, qu'on ne constate aucune altération pathologique des cellules nerveuses. C'est évidemment aux préparations hist
récente, il a toujours trouvé des foyers cir- conscrits de petites cellules ; ces foyers ne font jamais défaut, sur- tout à
de coloration de noyaux excellent pour faire ressortir les petites cellules ; l'orateur a vu chez Flechsig de ces foyers, qu'i
la relation établie par M. Binswanger entre les groupes de petites cellules et les manifestations cliniques de la paralysie
chymateuses vé- ritables, exclusives (dégénérescence atrophique des cellules et des fibres nerveuses). Il a notamment observ
orps. M. Meynert (de Vienne). On a peu constaté d'altérations des cellules nerveuses dans la substance grise. Tout ce qui re
rme de comparaison. Elle présente deux stades. Dans le premier, les cellules des cornes de la moelle sont milles. Dans le se
ujours le même bord. De même, dans la paralysie générale, certaines cellules gan- glionnaires ont un protoplasma plus mou, t
s caractères scléreux que ceux de la poliomyélite. Tandis que les cellules normales de la moelle se colorent complètement, l
e l'oculomoteur commun. Un noyau gris spécial comprenant de grosses cellules nerveuses occupe le foyer de ces irradiations.
miques avec les fibres out leur cause dans la petitesse extrême des cellules qui ne permet pas de suivre les conducteurs ner
de Reil de Ruller le noyau de substance grise décrit par lui ; les cellules n'en sont pas aussi petites que le pense Roller
lcool ; elle a l'avantage de permettre l'étude micrographique : les cellules , assez claires et tuméfiées, se colorent très bie
il les avait dilatés en refoulant la substance nerveuse (fibres et cellules ) atrophiée contre les vaisseaux aux- quels ces
concentriques, à peu près comme pour les corpuscules amyloides. Les cellules nerveuses ganglionnaires présentent les mêmes v
tion. Naturellement les espaces péricellulaires sont dilatés et les cellules se trouvent reportées en dehors du centre de leur
appartient aux couches qui renferment des SOCIÉTÉS SAVANTES. 381 cellules nerveuses ganglionnaires. La pointe du lobe tempo
s hommes (est), le logement des femmes (ouest); les chambres et les cellules regardent autant que possible le sud, tandis que
les deux petites ailes sont réservées la divi- sion cellulaire. Dix cellules pour les hommes, autant pour les femmes, jouiss
tion des aliments. Chaque pavil- lon dispose d'un certain nombre de cellules et de chambres d'iso- lement. La moitié externe
unicipal de Copenhague. Direc- teur-professeur Goeiucke. Vingt-cinq cellules le constituent. Il occupe le côté sud-ouest de
ez-de-chaussée un étage. En entrant on a, à droite et à gauche cinq cellules d'hommes; la disposition est la même au premier
inq cellules d'hommes; la disposition est la même au premier étage ( cellules de femmes). Le sous-sol en contient aussi cinq de
(fenêtre grillée) et sont pourvues de leurs latrines. En avant des cellules existent des corridors, mais il n'y a pas de sa
884, une femme de ser- vice commit l'imprudence de pénétrer dans la cellule d'une folle dangereuse, sans se faire suivre de
68 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
ig. 1). Une sensation D, perçue par le nerf tactile d, fait vibrer la cellule médullaire S de la corne postérieure ou sensitive
S de la corne postérieure ou sensitive qui transmet la perception aux cellules M M, à la corne antérieure préposée au mouvement.
aux phénomènes D, terminaisons tactiles. — d d', nerf tactile. — S, cellule de la corne postérieure de la moelle. — M M', cel
f tactile. — S, cellule de la corne postérieure de la moelle. — M M', cellules de la corne antérieure du mouvement. — m, muscles
râce aux découvertes de Cajal qui ont amené la théorie du neurone. La cellule nerveuse ne se continue pas avec les nerfs, mais
ités. De môme il n'y a que simple contact entre les prolongements des cellules nerveuses. Cette nouvelle conception permet de
iété des phénomènes psychiques si on admet que les contacts entre les cellules peuvent varier d'un individu à l'autre et chez le
filet nerveux d se divise en deux rameaux : un d', en contact avec la cellule S ; l'autre d" qui donne des collatérales prenant
; l'autre d" qui donne des collatérales prenant contact avec d'autres cellules D, terminaisons tactiles du d d' nerf tactile.
autres cellules D, terminaisons tactiles du d d' nerf tactile. — S. cellule de la corne postérieure de la moëlle. — M. cellul
nerf tactile. — S. cellule de la corne postérieure de la moëlle. — M. cellule de la corne antérieure. — m. muscles. — d". colla
m. muscles. — d". collatérale tactile allant prendre contact avec B. cellule bulbaire. — A, A', A", A'", cellules intellectuel
le allant prendre contact avec B. cellule bulbaire. — A, A', A", A'", cellules intellectuelles de l'écorcc cérébrale. — a. cylin
lodraxe de A"', prenant contact avec M. médullaires et aboutit à la cellule bulbaire B, centre de nouveaux réflexes. Le cyl
de nouveaux réflexes. Le cylindraxe de B se met en rapport avec la cellule A de l'écorce cérébrale intellectuelle. A, par so
draxe ramifié a', deviendra un centre de vibration pour de nombreuses cellules nerveuses A' A" A"'. L'une d'elles, A"',_devi
oqué par la sensation D. Le courant A allant en a' a" excite d'autres cellules A' A" qui pourraient devenir point de départ de m
ements centrifuges, mais le courant a"' est plus intense, et c'est la cellule A'" qui est déterminante du mouvement centrifuge.
tive d'arrêt. La vue d'un être hai, par exemple, pousse à le tuer. La cellule A'", excitée, envoie l'impulsion homicide par son
ule A'", excitée, envoie l'impulsion homicide par son cylindraxe à la cellule motrice M. Mais une collatérale a' du cylindraxe
e motrice M. Mais une collatérale a' du cylindraxe a vient exciter la cellule A' qui éveille en nous l'idée de châtiment et vie
les muscles antagonistes. La perception visuelle fait donc vibrer des cellules cérébrales rappelant des douleurs et des haines ;
mouvement d'attaque, aussitôt réprimé par la mise en action d'autres cellules qui se représentent le châtiment et amènent la co
elle" différente de S. pour éviter la confusion, faire vibrer les cellules A' A". Il n'y a donc pas prédominance d'une idée
amène la disparition des courants dérivés A' A" ; l'excitation de la cellule A amène encore, de suite, celle de la cellule A'"
A" ; l'excitation de la cellule A amène encore, de suite, celle de la cellule A'". De même dans l'imitation. Ici, l'acte qui
d'associations d'idées, de raisonnement. Chez le passionné, certaines cellules cérébrales correspondantes à sa passion, dès qu'e
et sont moins raisonnables. Il y a, dans notre cerveau, certaines cellules déterminantes fortement empreintes par hérédité o
ux actes sont des sentiments, des passions, des idées morales. Si ces cellules déterminantes n'existent pas, nous pouvons avoir
e pas d'associations d'idées et amène de suite l'acte ; mais l'unique cellule excitée ne l'est que momentanément, elle rentre d
t, môme anormal (impulsion homicide). La sensation excite vivement la cellule A"' d'où part immédiat le courant centrifuge. En
A"' d'où part immédiat le courant centrifuge. En d'autres termes, la cellule conçoit une représentation trop intense de l'acte
tendre, pour transférer le malade dans un asile, qu'il ait été mis en cellule ; car, dans bien des cas, les symptômes sont trop
que le premier problème de la psychologie était la physiologie de la cellule nerveuse ; mais il entrevoyait aussi pour la psyc
tales et en médecine légale. Maladies nerveuses : 1° Pathologie de la cellule nerveuse ; 2° Pathogénie de la syringomyélie ; 3°
il s'agit du réflexe. Le courant sensilif apporte la sensation â une cellule de la corne médullaire postérieure ; celle-ci est
de la corne médullaire postérieure ; celle-ci est en contact avec une cellule de la corne antérieure qui transmet un mouvement.
Cajal, il peut y avoir contact direct du cylindraxe sensilif ec de la cellule motrice. Suivant rintensité du courant centripète
tre membres et à tout le corps. Donc le courant sensitif passe â la cellule de la corne antérieure de la moitié symétrique de
blié dans la Revue en juillet 1896. pas épuisé, il passe de cette cellule de la corne antérieure à une autre cellule moiric
épuisé, il passe de cette cellule de la corne antérieure à une autre cellule moirice actionnant les muscles symétriques de l'a
autre moitié du corps. S'il n'est pas épuisé, il s'irradie aux autres cellules nerveuses. Les réflexes simples : dilatation de
chaîne est plus complexe. Le courant centripète excite de nombreuses cellules centrifuges pour amener cette complexité de mouve
onsécutifs, il faut admettre que le courant excite successivement une cellule de la corne antérieure A qui détermine, le premie
e la corne antérieure A qui détermine, le premier mouvement, puis une cellule B de la même corne antérieure qui détermine un se
la même corne antérieure qui détermine un second mouvement, puis une cellule C d'où troisième mouvement. Cette série en cascad
tion a provoqué un acte. Le fait seul que le courant a passé entre la cellule sensitive et la motrice, facilite le contact pour
plexe : ainsi l'acte exécuté dans le somnambulisme. Le fait que les cellules prennent contact par leurs prolongements explique
ncinésiquus dans les hémiplégies, le courant centripète passant de la cellule sensitive à la cellule moirice de l'hémisphère co
miplégies, le courant centripète passant de la cellule sensitive à la cellule moirice de l'hémisphère correspondant, d'où acte
igence. 2 vol. in-8° 1888, Hachette, édit. n'est pas épuisé, à la cellule motrice de l'hémisphère opposé, d'où acte semblab
osent cet acte. Si, pour un molif inconnu, le contact se perd entre cellules sensitive et motrice, l'être ne sait plus exécute
basique ne sait plus marcher. Chez l'ataxiquc, il y a destruction des cellules . Il peut toutefois se servir d'autres cellules, e
il y a destruction des cellules. Il peut toutefois se servir d'autres cellules , et une nouvelle et pénible éducation peut lui ré
oie elle-même soit atteinte par la maladie qui détruit conducteurs et cellules nerveuses. De même Lasègue a montré que l'hysté
e Instinctif. Son caractère propre est l'innéité. Le contact entre la cellule sensible et la motrice existe donc de naissance.
vant le même mécanisme : passage du courant centripète à une première cellule A ; celle-ci provoque un mouvement et transmet le
; celle-ci provoque un mouvement et transmet le courant à une seconde cellule B qui fournit un second mouvement et transmet le
s avons envisagé le courant qui détermine l'acte (courant centripète, cellule sensitive, cellule motrice, courant centrifuge),
courant qui détermine l'acte (courant centripète, cellule sensitive, cellule motrice, courant centrifuge), comme simple du côt
ive, cellule motrice, courant centrifuge), comme simple du côté de la cellule sensitive, et seulement complexe du côté moteur o
cellule sensitive, et seulement complexe du côté moteur où plusieurs cellules peuvent être actionnées en cascade. Le côté cen
Le côté centripète ou sensitif peut être aussi complexe et plusieurs cellules sensitives successivement actionnées. Ainsi on fr
du souvenir du coup qui amène la fuite. Le courant passe donc par les cellules visuelles, puis par les cellules de mémoire tacti
fuite. Le courant passe donc par les cellules visuelles, puis par les cellules de mémoire tactile avant de devenir centrifuge. C
nisme de l'acte volontaire consiste en ce que le courant venant de la cellule sensitive actionne plusieurs cellules intellectue
n ce que le courant venant de la cellule sensitive actionne plusieurs cellules intellectuelles. Celles-ci sont actionnées simult
e déterminisme est amené par cette excitation simultanée de plusieurs cellules ces cellules, intellectuelles, d'où la perception
e est amené par cette excitation simultanée de plusieurs cellules ces cellules , intellectuelles, d'où la perception de plusieurs
eption de plusieurs motifs qui pourraient causer différents actes. La cellule dominante qui l'emporte peut représenter un senti
ésenter un sentiment, une raison, une idée, etc., etc. Supposez les cellules intellectuelles associées en cascade ou en série,
Comme nous l'avons vu pour l'acte complexe réflexe ou automatique, la cellule intellectuelle A provoquera un mouvement, puis ac
cellule intellectuelle A provoquera un mouvement, puis actionnera la cellule B qui provoquera un second mouvement et actionner
nera la cellule B qui provoquera un second mouvement et actionnera la cellule C, et ainsi de suite. On peut, en certains cas
modalité de la fonction nerveuse. Il est une propriété inhérente à la cellule nerveuse, aux neurones qui ont des pouvoirs de dy
n, puisqu'il est la variation manifestée de ces pouvoirs entre telles cellules , tels neurones psychiques. Il est une force qui s
de perceptions actuelles ou remémorées (Beaunis), assimilation parles cellules ou neurones supérieurs, dits psychiques, d'une ex
'une sensation, elle a pénétré la conscience ; elle s'inscrit dans la cellule , dans un groupe de cellules ou de neurones psychi
tré la conscience ; elle s'inscrit dans la cellule, dans un groupe de cellules ou de neurones psychiques. L'inhibition d'idées c
69 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
enne des vaisseaux sont sclérosées. Les interstices sont remplis de cellules arrondies ou polygonales, les unes vraisemblabl
çoit aussi par places quelques globules san- guins et des débris de cellules et des fibres nerveuses. Mais si l'on observe l
Il faut mentionner, en outre, dans ce cas l'atrophie extrême des cellules nerveuses. Elles sont arrondies, sans prolongemen
au est riche en chromatine, ce sont plutôt des neuroblastes que des cellules nerveuses différenciées; abon- dantes en certai
e. Il y a prolifération de la névroglie et diminution du nombre des cellules nerveuses.- La coloration de Weigert-Pal n'a pa
r la méthode de Nisl, on observe surtout l'atrophie simple de ces cellules avec perte de leurs prolongements : il n'y a plus
llules avec perte de leurs prolongements : il n'y a plus de grandes cellules pyramidales. Le tissu interstitiel a proliféré.
s fibres et dans la gaine des vaisseaux, on trouve des quantités de cellules rondes dont le protoplasma est rempli de granul
ve cependant, ..dans...le voisinage des vaisseaux, quelques grandes cellules araignées il. protoplasma granuleux. , ? '" ' u
s diverses couches cellulaires ne sont pas reconnaisse- : blés, les cellules sont souvent disposées en tourbillons, en spira
our des vaisseaux, elles sont peu abondantes. Il y a peu de grandes cellules pyramidales; celles qui restent .sont arrondies
er- veuse par les méthodes habituellement employées. De même, les cellules migratrices chargées de granulations myéliniques
te déjà éloignée. On ne rencontre non plus, en cette région, aucune cellule nerveuse ; comme les fibres, ces éléments ont e
glique et des \lai -seaux... Ce tissu névroglique est très riche en cellules de toutes tailles (divers types d'astroc-tes ;
Histologie des idioties. à protoplasma abondant) ; certaines de ces cellules pourraient, il première vue, être prises pour d
s de ces cellules pourraient, il première vue, être prises pour des cellules pyramidales mais attentivement examinées, elles
èles, sont accompagnées de nombreuses fibrilles névrogli- ques, les cellules nerveuses sont petites, arrondies, diminuées de
ainsi dire, plus trace des libres du réseau d'Exner. Du côté des cellules nerveuses, on observe avant tout une diminution
nts. Il est impossible de diffé- rencier les diverses couches ; les cellules sont toutes de dimensions sensiblement égales;
laire, sans être ni très pigmentées, ni chromatolysées. Les grandes cellules pyrami- dales sont rares et déformées. Enfin, l
tes les artères et veines de cette région, apparaissent des amas de cellules rondes peu riches en protoplasma, il noyau très
n exagé- rée : mêmes lésions d'endartérite; même envahissement de cellules rondes disposées en nappes. De plus, elle est trè
ques espaces aréolaires, dans lesquels se montrent quelques grosses cellules migra- trices à protoplasma abondant et granule
fines des éléments nerveux consistent sur- tout en une atrophie des cellules et des fibres nerveuses : cellules arrondies, p
sur- tout en une atrophie des cellules et des fibres nerveuses : cellules arrondies, petites, très peu nombreuses, disparue
du côté des vaisseaux. La névroglie épendymaire est très dense, les cellules cubiques épithéliales sont nombreuses, souvent
pissés d'épithé- lium cylindrique ou cubique. Partout se voient des cellules rondes à fins prolongements, mais peu de grande
le même aspect ; leurs parois sont très épaisses, mais avec peu de cellules rondes ; seulement en certains points de la sub
nce blanche, on découvre dans leur gaine adventice quelques grosses cellules à protoplasma chargé de granulations myélinique
re les autres, rappelent la struc- ture de la dure-mère ; pauvre en cellules et en vaisseaux, elle renferme de véritables la
éléments fixes du tissu conjonctif, pareille méningite renferme des cellules migratrices en quantités variables, des globule
re est au maximum. L'élément dominant dans certains cas, c'est la cellule ronde à protoplasma peu abondant ou nul, à noyau
u abondant ou nul, à noyau fortement coloré par l'hématoxyline. Ces cellules forment des nappes d'une grande étendue, des ma
ents fixes plus ou moins reconnais- sables sans fibres à myéline ni cellules nerveuses, constituent tout le tissu des points
toute la substance cérébrale, existent de nombreuses altérations : cellules nerveuses atro- phiées, arrondies ou fusiformes
rations : cellules nerveuses atro- phiées, arrondies ou fusiformes; cellules pyramidales très rares ou totalement absentes.
arement d'une grosse méningite ; puis, cette méningite peu riche en cellules , est toujours plus fibreuse, moins vasoformalri
rand nombre d'élé- ments. On trouve aussi dans certains points, des cellules à protoplasma incolore par le \issu, assez gran
- fiées. D'autre part, on rencontre de ci de la, des groupes de cellules pyramidales ayant subi une hypertrophie notable,
z rectilignes, gro-ses, disposées en faisceaux et en tourbillons; cellules le plus souvent petites, à noyau arrondi et pourv
rondi et pourvues de fins prolongements. On trouve moins de grandes cellules araignées que dans la paralysie générale des al
orce, dont la substance grise, aplatie, offre une diminution de ses cellules , dans leur nombre et dans leurs dimensions, ave
leurs dimensions, avec disparition plus ou moins totale des grandes cellules pyramidales. La destruction des fibres des plex
on des fibres des plexus corticaux est en rapport avec l'état des cellules . Dans certaines circonvolutions, nous avons pu
. On constate, en résumé, la prolifération des vaisseaux et,, des cellules non différenciées ; un retard considérable dans
ifférenciées ; un retard considérable dans l'apparition des petites cellules pyramidales; un développe- ment incomplet des g
70 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
une sclérose des cordons pyramidaux et une altération profonde des cellules des cornes antérieures de la moelle. Nous laiss
à-fasciculaire, ses fibres sont plus apparentes que d'habitude, ses cellules sont gonflées, quelques- unes contiennent plusi
té déformée en la dépouillant de ses mé- ninges ; 2° les noyaux des cellules volumineuses ont une forme ovalaire, plus souve
ules volumineuses ont une forme ovalaire, plus souvent que ceux des cellules plus petites ; 3° les cellules nerveuses du ren
ovalaire, plus souvent que ceux des cellules plus petites ; 3° les cellules nerveuses du renflement crural, sont au moins aus
erne était normal ; pas de perforation du tympan ; la caisse et les cellules de l'apophyse mastoïde étaient remplies par un
une structure granuleuse; l'examen histologique y fit découvrir des cellules fusiformes et arrondies en voie de prolifération.
- temps l'a établi M. Charcot, la lésion dominante' est celle des cellules nerveuses de la corne antérieure spinale. La qu
tée, croyons-nous, consiste à admettre que la destruc- tion de la cellule nerveuse entraîne à sa suite la dégé- nération
fibre nerveuse portant sur le prolonge- ment du cylindre axe de la cellule à laquelle elle ap- partient ; à la destruction
de la cellule à laquelle elle ap- partient ; à la destruction de la cellule correspondrait la dégénération wallérienne de l
ne en aucune façon sur l'état de la fibre nerveuse pendant que sa cellule d'origine subit les modifications succes- sives
e à admettre une diminution progressive de l'action trophique de la cellule : dans ce cas, la dégénération wallérienne comm
glionnaire irait en s'atténuant; il s'agirait encore ici, pour la cellule comme pour la fibre d'un processus purement pas
ofesseur Charcot, que les modifications qui se pro- duisent dans la cellule sont de nature irritative et que cette irritati
ême nature et que la simple diminution du pouvoir trophique de la cellule ganglionnaire ne nous paraît pas expliquer. En
ble ne s'est produit, ou que tout au moins l'action trophique de la cellule nerveuse n'est pas directement en cause, mais b
le, des lésions évidentes ; elles sont exclusivement localisées aux cellules nerveuses des cornes antérieures qui sont en gr
une pression DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 243 t nuisible sur 1 es. cellules , nerveuses, sous-jacen tes. Dans -les parties o
s altérations de la substance grise, il est ^certain que cellesides cellules nerveuses jouent le rôle f« le, plus, important
bstance blanche sont si profondément altérées. L'état trouble des cellules nerveuses, décrit par M. Mier- zejewsky dans la
's'pitVioI;\iè' ]d; ;]b'tdcé)fgranuÎèuSîr'Ÿ61siil([ du noyau de ces cellules . Une seule lésion's'est présentée1 ? ? I"\lp" t ?
hl d'If ""11'1"" ? 111ql . ",qp"r¡""(T d encéphalite chronique, des cellules nerveuses munies , '0*UjJjJR')' ,-l ? sa ? f· .
ucléoles, dans les ,, si t ·' , i 1 1 1 1 1, If et Il 1' I 1 r, 1 cellules pathologiques dont nous parlons, appar- tiennen
la Il; 1 J : 1., 'Il '1 ? ? fI'" 1 r t question de savoir si ces cellules sont bien des cellules 1 Ir .J. t . 1.1"" "Il -
'1 ? ? fI'" 1 r t question de savoir si ces cellules sont bien des cellules 1 Ir .J. t . 1.1"" "Il -1 ? ^ i t Il' ,1 nerv
termédiaires que Stricker et Urger ont récemment décrits, comme des cellules de la né- vroglie pouvant affecter, à un moment
vroglie pouvant affecter, à un moment donné,- les appa- rences de cellules ganglionnaires ? Nous pouvons' ce- pendant affi
nglionnaires ? Nous pouvons' ce- pendant affirmer que la nature des cellules , où nous ·, ! ')) -. J4 - ' . , ' avons const
1 , ¿ J' lî",\ " ,JI Pt... '\1 i, . ment, c'est précisément que ces cellules , entourées de "B-,1 ? ¡ : Jt : 111J- : J1 .JIt
- : J1 .JIt : .J .j"-i il' 1 ? 1 tt'.1 ? ( I. SI" ? . ? r'flr ,. ,. cellules identiques et incontestablement ganglionnaires,
W Ji 1 `l li i ? `· ont les caractères tranchés qui distinguent les cellules Gi0(U ! G'JI<OUhil .'JlJ;f11'" li r't'iw/`rl
... l ''j) ,,( ? ? r ? ' , ? 1 ? ' 'i ..... ... sont évidemment des cellules dont le protoplasma , .. 1" f;" , " 1. l ; 1 1
,j il il - 1 1 ;I ,, , celui des fibres nerveuses. Enfin, parmi ces cellules , . i' m ... " ' ' 1. ? ) -1 sont éparpillés,
é, c'est ' 1 l' ' "1 " , , -, ,J ( z que la multiplication de ces cellules est d'autant plus .L ? < ,( 1 t.. . , Il' -
(""1 . - 1'" ! ! t i ' : ,- i 1 t', F avons signalé l'existence des cellules araignées dans la couche superficielle de la su
i-i'Mrtjilq .10 ? ' '. - que ce fait' nous semble établir que les,, cellules arai,,1Tf r ,...,I("Il")t ? .t..tff"16r'iJ; j'
) ? r ? } ? r- - I"1 Ainsi1 que'dans la paralysi'e ? énérale "les 1 cellules [')'1 . , 1, r, 1 p,IW i-t l'1 Ilfl'TVj7. , ..
'à' affaire à'des préparations qui ren-, ' ferment côte - côte* des cellules araignées et des, noyaux en nombre parfois'égal
t'T \"1"/ pi . . 4 ? J' I ,... ? 1 Il c \ gu'er"cesrtoüfes'Ipetites cellules araignées des noyaux . 'ln1 ...(1' 11 ,1 11.· ?
'ii'1, j" " ... une 1 filiatIOn" la' transformation du noyau, en ? cellules .- , > ,1" . ,ri . ? >> ''il "" J"" * '
> ''il "" J"" * ' ' ' araisnées ? Cë n'est pas tout. A côté des, cellules 1" (f . 1. ¡ \ 1 ? n )11 n .... \ Iq 1) V ,1 r
, ,de 1 A 1 v9.a·U1 vl 11 ,II` il l b ? mêmes 'dimensions que les cellules araignées , elles- , mêmes, 'mais qui ne renfer
re que^ces masses , Il lit ) ? 111 mi ' *»' J.... ne sont'pas"des cellules , mais des condensations fibri- neusësl' Comme l
ons nous décident à envisager ces corps colorés comme de véritables cellules . En premier lieu, z nous-nous fondons sur leur
des 'corps incontestablement cellulaires, nous voulons parler 'des cellules araignées qui sont pour- vues'de noyaux.'Ensuit
. ' r.. j ... 1.1 , , .... . 1, - ? j portance : c'est ,que ces | cellules ) ramifiées s'anasto- r 1 ' i . ) , j. f. j ' -
x on ne voit plus, sur certains points de la' coupe, que les seules cellules araignées. De plus, s'il s'agissait de noyaux s
? 1 1 >1111fl(. 9 ,tr : r;lr(mr'1 z fui`) ·31+ plastique de ces cellule `s ? '' fil' ^ ? u ao 'V Hn'6us"parait' certain*
'' fil' ^ ? u ao 'V Hn'6us"parait' certain* crue très soûvent`jles cellules r ? t j,r i, , I ., araignées1 affectent 'la'
? 1 'En-d'autres' termes',1 le' nomade ? Il )ri n. rl ? ., "Il, t, cellules an -iop i astiques ne"sâurait être rationnellemen
, v n,, i,'i'jn5y. ? M JtI'IJ'1 p-f ? f." b 1C ? J), Jli''ll"ll des cellules araignées avec les capillaires., D'abord ces -M
,v mr.t : .1'i lLl ? 1 tjt.b ? jfx-tntj a période initiale, que ces cellules , relativement peu nom, pWnrlirq tf;tu l'9qt 11'
e, la même ? ) ¡I ! lll ! ) ? 1 U' q Ut (U" ! 1 'Ii eli - 1 1 IJI ! cellule seperdent a peu de distance les uns des autres.su
pr 't tt,enll ! fil 11 1 II ? W l' -tl , . l"h'U'CJ J11 11 ? I ? J cellules avoisinantes (PL. V, fia. 7). ï v ! ) ? 'It) P; :
voir JI. l' 3.lJl ? '. ? 1 ¡Ii, ,"J t)tI.)).. 1 > > que les cellules araignées sont très souvent des, cel- 11 1 tKW
diffuse au voisinage de la substance grise. tl, Fig. 1. -A, A, cellules araignées à prolongements ramifiés et à proto-
nées à prolongements ramifiés et à proto- plasma assez abondant. B, cellule incomplètement formée. Le proto- plasma est à p
encore moins avancées de la formation de ces éléments. Fig. 2. - Cellules araignées isolées. Fig. 3. - Un capillaire dont
nées isolées. Fig. 3. - Un capillaire dont la paroi consiste en une cellule à prolon- gements ramifiés. Fig. 4. - Capilla
e dont les parois ont des prolongements anasto- mosés avec ceux des cellules araignées situées dans son voisinage. Fig. 5. C
vec ceux des cellules araignées situées dans son voisinage. Fig. 5. Cellule à prolongements traversée par une lumière circu-
yaux qui proéminent tantôt en dedans, tantôt en dehors. Fig. 8. - Cellules nerveuses dont le noyau s'est divisé. L'explica
pos. Les anes- 27< ! REVUE CRITIQUE. thésiques agissent sur la cellule nerveuse centrale, sur la cel- lule sensitive p
ipalement; ils déterminent une coagulation de la substance de cette cellule , coagulation qui ne serait pas définitive, puis
dans une atmosphère chloroformique. On s'explique ainsi comment les cellules nerveuses des hémisphères cérébraux et de la mo
minés dans la partie sclérosée, et développement considérable des cellules de Deiter. Les parois vasculaires semblent nor-
laires semblent nor- males, il n'existe ni corpuscules amylacés, ni cellules granu- leuses. Au-dessus et au-dessous de la li
omo-pathologique DE la para- LYSIE AGITANTE : DE L'HYPERTROPHIE DES CELLULES NERVEUSES DE la RÉGION protubérantielle ; par M
là de produits en voie de formation, à en juger par l'abondance de cellules embryon- naires que nous avons trouvées dans ce
ux présentent des pro- longements ramifiés et affectent la forme de cellules araignées. Tout à fait à la surface, la condens
aine quantité de cylindres axiles très délicats. Mais celles de ces cellules qui sont les plus voisines du centre de scléros
tives à des cas de méningo-encéphalite, on ne ren- contre pas de cellules araignées dans les portions de la circonvolutio
orps restiforme, va aboutir, en partie, à un noyau diffus à grosses cellules et, en partie, au corps restiforme lui-même. Ce
ages, Paris. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 443 s'exerçant sur des cellules plus susceptibles que de coutume, les fait agir
ichesse du système d'association qui réunit les unes aux autres les cellules motrices de la substance grise. Ainsi, la cause p
rs. Massage. Toniques. L'auteur attribue cet état à une maladie des cellules à grand prolongement de la corne antérieure de
rouva ces tumeurs constituées par un nombre considérable de grandes cellules arrondies, multinuclées, contenues dans un stro
été étonné de constater au microscope que la tumeur était formée de cellules rondes et ovalaires contenues dans un stroma gr
eaux étaient nombreux et leurs parois mêmes étaient infiltrées de cellules ovalaires. Il s'agissait d'un glz'8me mou du pont
e hépatique ou musculaire, qui est le siège d'une destruction des cellules et des fibres suivie de néoplasie réparatrice (fi
ire; au microscope pigmen- 496 REVUE DE thérapeutique. tation des cellules du ganglion et dilatation des capillaires sangu
la lésion primordiale et est arrivée à la constater jusque dans les cellules des cornes antérieures de la moelle. Le trava
ve à la propagation de l'inflammation du cordon latéral aux grandes cellules des cornes antérieures ; la lésion est alors id
raphie. 499 amyotrophique. Cette atrophie porterait surtout sur les cellules du groupe antérieur de la corne antérieure et s
uvefune.disposi- tion ïlrinâlé°désélériiérits : 'leplûs 1 grosses cellules pyramidales,est, dans 1-Flongueur, de 0,035 milli
t : mur hypertrophié,lasu;sanejgrse,sea9otilpoe -essentiellement.de cellules .propres,J fusifQrme ? élément^ que 1M : 112eyne
jf> JP"«71RtLVM09| rîf.'Ot* 9l fil ftrrt'\< ♦ A mon avis, les cellules de ce district ne. font. pas exception a ta loi
la 574 REVUE d'anatomie pathologique. dispariti6n-dêi' irâiidds " cellules "" motrices des'cornes antérieu- res, avec atrop
c atrophie des racines nerveuses qui partaient du point malade. Les cellules nerveuses étaient remplacées par des globules d
res, et d'une ma- nière générale par toute la substance grise ; les cellules du tissu conjonctif de la substance grise étaie
és; des globules de graisse, semblables à ceux qui remplaçaient les cellules nerveuses, adhéraient à la membrane externe de
ent détruit : ainsi en est-il dans un des cas de la disparition des cellules multipolaires dans toute la hauteur de- la moel
s vaisseaux en particulier plutôt que d'une altération primaire des cellules , celle-ci appartenant, pour l'auteur, surtout à
e côté, du genre gliome, contiennent dans leur intérieur de grandes cellules multipo- laires (Meu)'o'OH ! e de Klebs); elles
l étaient seuls malades : Dans les régions dorsale et lombaire, les cellules nerveuses, aussi bien dans les cornes postérieu
ie della rés orpti on-de sl molécules 1 grais- seuses exprimées des cellules par l'attrition traumatique de l'aliéné au moye
tures,' etc.) repose sur les appareils de coercition au lit ou la cellule capitonnée. Une telle complication est indépendan
premier cas par la consistance molle des tissus et la néoplasie de cellules gra- nuleuses, par la fermeté, lerecoquevilleme
ux dans le cervelet intégrité des cornes antérieures atrophie des cellules dans les pyramides de Clarke). , IL De dégénére
omplètement. Si cependant on connaît aujourd'hui les propriétés des cellules motrices de la moelle on ne sait pas encore par
halite diffuse au voisinage de la substance grise. Fig. 1. -A, A, cellules araignées à prolongements ramifiés et à proto-
s à prolongements ramifiés et à proto- 1)1,tsini assez abondant. B, cellule incomplètement formée. Le proto- plasma est à p
encore moins avancées de la formation de ces éléments. Fig. 2. -- Cellules araignées isolées. Fig. 3. Un capillaire dont l
ignées isolées. Fig. 3. Un capillaire dont la paroi consiste en une cellule à prolon- gements ramifiés. Fig. i. Capillair
e dont les parois ont des prolongements anasto- mosés avec ceux des cellules araignées situées dans son voisinage. Fig. 5. C
vec ceux des cellules araignées situées dans son voisinage. Fig. 5. Cellule il prolongements traversée par une lumière circu-
noyaux qui proéminent tantôt en dedans, tantôt en dehors. Fig. 8. Cellules nerveuses dont le noyau s'est divisé. EXPLICATI
71 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
endant l'année 1888. Nouveaux pavillons de dortoirs. Pavillon des cellules . SITUATION DU SERVICE. - ENSEIGNEMENT PRIMAIRE.
CONSTRUCTION D'UN NOUVEAU PAVILLON DE DORTOIRS ET DU PAVILLON DES CELLULES . Dans notre dernier Compte rendu, nous terminio
construction d'un nouveau pavillon de dortoirs et du pavillon des cellules . L'adjudication de ces deux bâtiments a eu lieu
7.505 fr. réservée pour imprévus, il a été prélevé : Pavillon des Cellules . XLIX Le pavillon des cellules doit nous arrête
il a été prélevé : Pavillon des Cellules. XLIX Le pavillon des cellules doit nous arrêter plus long- temps. Il est situ
de ce petit service central, il y a quatre chambres d'isolement, ou cellules , et une cham- bre d'infirmier. Quatre chambres
se fait par l'extérieur des BOURNEVILLE, 1888. H" L PAVILLON DES CELLULES . cellules.* La porte est en chêne, d'une épaiss
l'extérieur des BOURNEVILLE, 1888. H" L PAVILLON DES CELLULES. cellules .* La porte est en chêne, d'une épaisseur de 54
e. Il n'y a pas non plus de verrous extérieurs; aussi, la porte des cellules ressemble- t-elle extérieurement à une porte or
de sa largeur, on peut très bien voir tout ce qui se passe dans la cellule (1). Cette glace est munie d'un obturateur en c
ermet, quand cette trappe est levée, d'éclairer l'intérieur de la cellule par un bec de gaz placé devant la vitre. Quatre
eur de la cellule par un bec de gaz placé devant la vitre. Quatre cellules sont munies de sièges d'aisances ren- fermant u
- fermant un pot dont l'enlèvement se fait par le couloir. Quatre cellules diffèrent des autres : deux destinées aux malad
um formant un revêtement et une sorte de capitonnage. Dans ces deux cellules la fenêtre ( ! ) Nuus avons employé pour l'une
té par M. Palu, serrurier à Neuilly-sur-Marne, et adopté pour les cellules de quelques asiles de la Seine. Ce système, très
(simplicité, résistance, facilité de surveillance). PAVILLON DES CELLULES . LI est située à une hauteur plus grande que da
t aucune prise sur le bord supé- rieur du capitonnage. La troisième cellule , peinte entièrement en ton bleu cobalt, est des
atrième est réservée pour un aménagement ultérieur. Dans ces quatre cellules , les portes et les angles voisins sont disposés
complète. Le coucher consiste en paille ou en paillasse pour les cellules d'agités ; pour les autres en une caisse en bois
ermettant d'y passer des liens, comme cela existe encore dans les cellules d'un grand nombre d'asiles. Les caisses-lits sont
pour atteindre soit la fenêtre, soit la bouche de chaleur. Quatre cellules ou chambres d'isolement sont pourvues d'un sièg
tous, le vase vient s'adapter exactement à la face LII PAVILLON DES CELLULES . inférieure du siège proprement dit ; il est pl
ge, par lequel il ne peut point passer. On le retire du couloir des cellules en le faisant glisser sur deux rails à l'aide d
de d'un crochet qui s'adapte à la poignée du vase. En résumé, ces cellules diffèrent de la plupart des autres : 1° par l'a
nous réclamions la transformation des cabanons en chambres ou en cellules convenablement disposées et ne rappelant plus e
STANCE DES ALIENES. 2° à examiner les conditions d'installation des cellules dans les hospices ; 3° à procéder « sans tarder
pos des autres. Plusieurs de ces cabanons, servent de débarras. Les cellules , dit la supérieure, n'étaient pas commodes pour
uent styrax, cautérisa- tion au nitrate d'argent. 11 n'y a pas de cellules on de chambre d'isolement dans la section. (j(Í
ier. 9 juillet. - Court... est en punition à l'infirmerie, faute de cellules et par manque de places à la Sûreté pour avoir
La Maison des vieillards et des orphelins de Lunéville possède deux cellules , situées dans un petit bâtiment de la basse-cour,
e, de l'autre à la salle des morts, loin de toute surveillance. Ces cellules ont été construites en 1885-188G. Les malades s
nt les hommes et gauche les femmes. Le rez-de-chaussée comprend les cellules avec préau extérieur, un cabinet avec bai- gnoi
ATIÈRES. DEUXIÈME PARTIE clinique Fig. 17. Plan du pavillon des cellules . Fig. 18. -Vue du pavillon des cellules, du pré
g. 17. Plan du pavillon des cellules. Fig. 18. -Vue du pavillon des cellules , du préau et de la clôture.
72 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
x ou dans la corne antérieure, en grappes encadrant ~les groupes de cellules et les capillaires, oblitérant le canal central
disparu. Dans les cornes posté- rieures, il n'y a plus que quelques cellules éparses. Les trousseaux de fibres nerveuses ont
de substance amyloïde. P. K. IV. DES altérations PROGRESSIVES DES CELLULES NERVEUSES dans LES inflammations. Appendice rel
cherches; l'hypergénese des noyaux ne serait pas démontrée dans les cellules nerveuses pyramidales. Dans l'in- flammatiou de
Dans l'in- flammatiou de la substance grise du cerveau, ce sont les cellules fondes dont les noyaux se multiplient. Dès le t
tion. Tel est le rajeunissement ou retour à l'état embryonnaire des cellules . Pour que le noyau se divise, il faut que les c
yonnaire des cellules. Pour que le noyau se divise, il faut que les cellules nerveuses se soient transformées en gros élémen
uses se soient transformées en gros éléments ronds semblables à des cellules granuleuses. Quoi qu'il en soit, ce sont surtou
rmales des couches cérébrales du système nerveux et non les grosses cellules des cornes antérieures qui sont le plus capables
les faisceaux cérébelleux et pyramidaux ; en même temps atrophie de cellules nerveuses au sein des co- lonnes de Clarke. Mai
ie externe et interne, inflammation granu- leuse de l'épendyme. Les cellules et les fibres de l'écorce out dis- paru ; intég
uche en un fin réseau de fibrilles dans lequel s'enche- vêtrent des cellules araignées, des cellules rondes ; altérations vas-
fibrilles dans lequel s'enche- vêtrent des cellules araignées, des cellules rondes ; altérations vas- culaires aboutissant
e, au moment où les tubes se recou- vrent de myéline, avant que les cellules géantes soient complètement développées. m Ra
ertes de la micro-chimie ont montré que la composition chimique des cellules et des- tissus influe sur les fonctions de l'or
es sur la karyoki- nèse montrent qu'à chaque mode de division de la cellule correspondent des réactions distinctes. Les pré
valeur pathologique et au mode de formation de la vacuolisation des cellules . Les va- cuoles se forment dans les cellules an
e la vacuolisation des cellules. Les va- cuoles se forment dans les cellules animales et végétales dans des conditions physi
ts extérieurs, soit par des agents intérieurs, parties nobles de la cellule qui se nourrissent aux dépens des autres. Pour
issent aux dépens des autres. Pour M. Anfimoff la vacuolisation des cellules est de nature pathologique; en effet, sur un gr
ins et de chiens bien portants, il n'a trouvé que très rarement des cellules vacuolisées ; suivant lui, si ces animaux ne pr
min. Les circonvolutions sont plus aplaties qu'à l'état normal. Les cellules y sont rares, quelquefois absentes ; leur proto
calis, il est insoluble dans l'alcool et l'éther. Le pourtour de la cellule présente des usures, et souvent une portion se
sures, et souvent une portion se colore autrement que le reste. Les cellules pyramidales s'arrondissent, perdent leurs angle
ans la substance blanche de ces circonvolutions un grand' nombre de cellules en forme d'araignées. Quelquefois Béliakoff a t
-mur présentent le même processus atrophique. Dans le cervelet, les cellules de Purhinje seules sont atteintes, quoique les
soient aussi avancées que dans les lobes frontaux : peut-être ces cellules ont-elles moins besoin de matériaux de reconstitu
lules ont-elles moins besoin de matériaux de reconstitution que les cellules des lobes frontaux ? Les tubercules quadriju- m
Burdach et, après un court trajet vertical, se dispersent entre les cellules de la colonne de Clarke. Les autres pénètrent d
grise ; quelques-unes de ces fibres entrent en con- nexion avec les cellules de la région moyenne de la substance grise; d'a
e la plus postérieure des cordons latéraux et se terminent dans les cellules de la corne postérieure, quelques-unes seule- m
re pour passer dans la corne antérieure du côté opposé. Des petites cellules de la corne postérieure, où aboutissent princip
u limitant du cordon antéro-latéral. D'autres fibres partant de ces cellules forment le plus grande partie des cordons de Go
une grande ressem- blance avec la forme simple des terminaisons des cellules ner- veuses motrices; l'innervation de quelques
s cellules ner- veuses motrices; l'innervation de quelques-unes des cellules de la glande est suffisante pour que celle-ci p
s bâtonnets et les cônes se forment aux dépens du protoplasma des cellules de la couche granuleuse externe, au cinquième m
e intellectuel qui est formé de faisceaux conducteurs et d'oasis de cellules dégé- nérant dans leur totalité à la suite d'un
e portion de l'arc réflexe qui unit le centre optique au groupe des cellules de l'oculomoteur commun qui commandent au droit
tral oblitéré par une prolifération endothéliale de l'épendyme; des cellules nerveuses, surtout celles des cornes antérieures,
l'aqueduc de Sylvius, mais elle se termine surtout dans les grosses cellules du toit ' qui sont pourvues de prolongements au
passentpas dans le torus semi-circulaire; ils se terminent dans des cellules ovales à uoyau vésiculaire. Parmi les fibres as
onnelle, comme le veut Turick, ou de la suppression de l'action des cellules ou centres trophiques comme le pense le professeu
rveux présente tou- jours les mêmes lésions : l'atrophie simple des cellules ner- veuses, leur vacuolisation, la perte de le
la vacuolisation est artificiel le. R. Schultz n'a trouvé que deux cellules vacuolisées dans vingt moelles examinées, moell
dans les moelles séniles, on trouve toujours une grande quantité de cellules vacuolisées; il est étonnant que R. Schultz n'e
tué par la décharge et on trouvait les lésions suivantes : t Les cellules de l'écorce étaient opaques; granuleuses. Dans
, l'exsudat avait l'aspect de masses amor- phes. Dans la couche des cellules pyramidales s'étaient pro- duites des hémorrhag
pillaires. Les globules sanguins avaient pris une teinte noire. Les cellules des cornes anté- rieures offraient les mêmes lé
certain temps. Le microscope montrait des lésions dégénératives des cellules ganglionnaires et la fragmentation de la myélin
ules du cerveau et de la moelle se colorent mal par le carmin ; ces cellules sont opaques, ont perdu leurs prolongements et
drijumeaux, le bulbe et la moelle ; dans le cervelet, la couche des cellules de Purkinje est la plus atteinte. Les extravasa
inflammation parenchymateuse siégeant dans la substance grise. Les cellules sont granuleuses, opaques, leur forme est arron
ie, elles sont privées de leurs prolongements. Plus ra- rement, les cellules se colorent mal par le carmin, leur noyau est i
yau est intact, leur protoplasma homogène ; quelquefois plusieurs cellules sont vacuolisées. Etude sur la paralysie alcool
ont absentes ; s'il en existe, elles sont de nature atrophique; les cellules sont désagrégées, ratati- nées, vacuolisées. Po
rvé la présence de corpuscules étrangers dans la substance même des cellules . Les cellules sont très altérées. Dans l'écorce
e de corpuscules étrangers dans la substance même des cellules. Les cellules sont très altérées. Dans l'écorce, ces altérati
tions vont en aug- mentant de la périphérie vers la profondeur. Les cellules ner- veuses se divisent dans les maladies infec
t dans les maladies infectieuses : on observe souvent deux ou trois cellules dans un même espace péricellu- laire et l'exist
ellu- laire et l'existence fréquente de deux noyaux dans une même cellule prouve la division possible des éléments nobles d
- Le D'' Soudakevitch observé que dans la Icpro les cap- sules des cellules nerveuses des ganglions sont épaissies; leur en
; leur endothélium desquame, prolifère et remplit la capsule. Les cellules nerveuses contiennent des bacilles, leur pro- t
ro- toplasma devient homogène, hyalin et offre les caractères des cellules sclérosées. La cellule devient petite et perd son
omogène, hyalin et offre les caractères des cellules sclérosées. La cellule devient petite et perd son noyau. Une autre lés
réseau de filets qui s'étendent dans toutes les directions. Plus la cellule contient de bacilles, moins nom- breuses sont l
débris irréguliers ; quand les bacilles sont peu nombreux dans une cellule , ils sont complètement désagrégés; au contraire
émorragies capillaires. Dans la plupart des cas, le protoplasma des cellules devient homogène, hyaloïde et peu colorable par
ranuleuse, qui se propage du centre à la périphérie. A cet état, la cellule se désagrège et ses granulations remplissent l'
oncée pour donner au protoplasma un aspect réticulé. La capsule des cellules est in- filtrée, épaissie. Dans plusieurs cas d
diminution de moitié et une pigmentation très intense du corps des cellules . Il est évident que ce processus atrophique gén
o-myélite'parenchymateuse. Les cylindres-axes, les prolongements de cellules , et ces cellules elles-mêmes paraissent tuméfié
ymateuse. Les cylindres-axes, les prolongements de cellules, et ces cellules elles-mêmes paraissent tuméfiés, opaques ; le c
qu'à chaque phase dé la karyokinèse, les différentes parties de la cellule ont une électivité spéciale pour certains color
la cellule ont une électivité spéciale pour certains colorants. La cellule , à l'état de repos, se colore autrement que la
olorants. La cellule, à l'état de repos, se colore autrement que la cellule en voie de division. La coloration triple d'éos
mal au microscope, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 471 sauf que les cellules pyramidales paraissaient plus petites que norma
rtance des fibres d'association et l'inutilité d'un grand nombre de cellules non reliées entre elles. ' Nous avons examiné
ns périphériques ont souvent pour cause des lésions atrophiques des cellules de la corne antérieure. Sous peu, M. Erlitsky v
d'inanition. Le premier, il a fait conaitre l'atrophie simple des cellules nerveuses. Dans le même laboratoire, nous avons
es nerfs présentent cette striation, qui se continue au corps de la cellule . La technique a été longuement exposée dans le
précédent', par Bourneville, 90 : nouveau cas, par Cousot, 479. Cellules nerveuses (altérations pro- gressives des dans
73 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ndis que, d'autre part elle est consécutive à la dégénérescence des cellules nerveuses; mais est-ce que dans l'une et l'autr
la même origine, étant donné qu'elle est pré- coce, que Jes grandes cellules des cornes antérieures sont indemnes, qu'il exi
de la substance blanche et grise de la moelle, même au microscope; cellules nerveuses normales. Rien qui puisse expliquer l
rofondément, on trouve, notamment contre le noyau interne, quelques cellules ressemblant, par leur grandeur et leur forme, à
leur grandeur et leur forme, à celles du noyau externe. Ce sont ces cellules périphériques du noyau interne qui en se groupa
tre suivie jusqu'au plan inférieur de l'émergence de l'auditif. Les cellules multipolaires du noyau externe ontun volume con
d'argent) permet en outre de for- muler ce qui suit sur le type des cellules et la direction de leurs prolongements. La pl
s cellules et la direction de leurs prolongements. La plupart des cellules du noyau externe appartiennent au pre- mier des
sans cependant pouvoir déterminer leur marche ultérieure. Quelques cellules envoient aussi leurs prolongements en dedans, m
deux côtés étaient atrophiés. P. Kéraval. VI. Des altérations DES cellules nerveuses DE la moelle; par K. SCHAFFER. (Neuro
altérations portent au début sur une portion limitée du corps de la cellule , soit au centre (tuméfaction homogène), la péri
normale ; soit au bord du protoplasma (sclé- rose), le reste de la cellule demeurant sain. 2" C'est le noyau qui résiste l
lule est affecté. 3 Il s'agit d'une dégénérescence partielle des cellules nerveuses entraînant la diminution de fonction.
noyau moteur du même côté; la racine descendante, dans les grosses cellules de la substance grise centrale des ventricules,
res qui expliquent la conservation totale ou partielle des quelques cellules indemnes et l'existence intégrale des fibres d'en
tance conjonctive, noyaux à contenu granuleux qui appartiennent aux cellules de la névroglie augmentées de volume ; ces noyaux
altération des éléments des parois vasculaires, ni accumulation de cellules autour des vaisseaux, ni multiplication, ni néo
e secon- daire bilatérale. Ici, il y à division des noyaux dans les cellules con jonctives de la substance blanche et de la
n est en réalité le premier acte des processus de prolifération des cellules conjonctives ; elle est graduel- lement remplac
ctives ; elle est graduel- lement remplacée par la karyomitose. Les cellules nerveuses n'y prennent aucune part. P. K. XV.
epté au niveau des pyramides, des régions fronto-pariétales. Peu de cellules dans l'écorce de ces menues circonvolutions ; a
ppe des courants électriques; ils suivent ces éléments jus- qu'à la cellule nerveuse du cerveau où, les mêmes conditions phy-
sion qui laisse également après elle une raie sur l'enveloppe de la cellule , c'est-à-dire une empreinte (Wagner, Bidder, Ke
uvelle impression occupe, non, comme le pense Meynert, une nouvelle cellule , mais seulement une nou- velle partie d'une cel
t, une nouvelle cellule, mais seulement une nou- velle partie d'une cellule ou d'une terminaison de fibres ner- veuses. Q
e-est suivie d'une dégénérescence des fibres du bout central et des cellules dont ils proviennent. Expérience première : le
u du facial (picro-carminé) démontre une atrophie importante de ses cellules . Dans d'autres expériences au lieu d'arracher l
acine que dans le noyau du facial les mêmes lésions, l'atrophie des cellules était pourtant un peu moins prononcée. Les expéri
hiadicus). Sont atteintes les fibres des racines antérieures et les cellules des cornes antérieures des parties correspondan
est atteint de dégénération consécutivement à une altération des cellules de la substance grise. M. le professeur KAJEWNI
, l'exagération des réflexes tendineux par l'hypertonie des grandes cellules de la moelle provoquée par l'irritation des ner
inées est aussi sus- ceptible de réaliser une destruction lente des cellules ganglionnaires de la moelle cervicale. Le fait
et, assez sou- vent à la périphérie, des vésicules graisseuses, des cellules spéciales variant entre 8 et 20 p., composées d
petites goutelettes grais- seuses`(de 3 à 5 p.). Comme, parfois ces cellules 'ne contiennent qu'une seule Moutelette simulan
ulant une vacuole, on a l'impression qu'on se trouve en présence de cellules à noyaux. Tout d'abord nous nous sommes demandé
Tout d'abord nous nous sommes demandés s'il ne s'agirait pas là de cellules plas- matiques d'Ehrlich (mastzlelen), mais bie
is bientôt, nous nous sommesren- du compte par les réactions de ces cellules qu'il s'agissait de cel- lules graisseuses. Il
dans l'intervalle des lamelles des- quelles se trouvent parfois des cellules plates. Le contenu est constitué par des élémen
douter de la valeur spécifique attribuée par Langhans et Kopp aux « cellules vési- culeuses » dans le myxoedème. Nous avons
cture histologique (qui les montre composées de tubes et non pas de cellules ), constitueraient un appareil organique qui exi
ent une origine spinale, et traduiraient un trouble dyna- mique des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de substa
ypothèse de Erb, c'est-à-dire en admettant un trouble dynamique des cellules trophiques, nous devrions observer, en raison d
laire, à la construction de laquelle participent un grand nombre de cellules fusiformes. Les cellules se réunis- sent pour f
de laquelle participent un grand nombre de cellules fusiformes. Les cellules se réunis- sent pour former des fibres grêles,
ents cellulaires. Les fibres étant devenues adultes, les noyaux des cellules passeraient à l'état de cellules invisibles ou
t devenues adultes, les noyaux des cellules passeraient à l'état de cellules invisibles ou cellules sommeillantes de Gra- vi
noyaux des cellules passeraient à l'état de cellules invisibles ou cellules sommeillantes de Gra- vitz (Schlümmernden Zelle
ation, revient à l'état de protoplasme ordi- naire, et aussitôt les cellules sommeillantes reprennent leur activité et les a
. l\Ietchnikofi' 2, dans les faisceaux musculaires, ce seraient les cellules musculaires qui joueraient le rôle de pha- gocy
asma ; celui-ci englobe et digère les fibrilles et se transforme en cellules amiboïdes. Un mécanisme analogue a été observ
on de phagocytes : le sarcoplasma des faisceaux se différencie en cellules amiboïdes qui englobent la substance striée. No
quable par la minceur de ses faisceaux; on y observe souvent des cellules adipeuses, et ses- mailles contiennent des cellul
rve souvent des cellules adipeuses, et ses- mailles contiennent des cellules lymphatiques en nombre variable. Le tissu conjo
développement, ne résulte pas d'un simple dépôt de graisse dans les cellules 'fixes du tissu conjonctif. Les cel- lules adip
u tissu conjonctif. Les cel- lules adipeuses sont, à l'origine, des cellules spéciales qui apparaissent le long des vaisseau
ules spéciales qui apparaissent le long des vaisseaux sanguins. Une cellule adi- peuse représente, en réalité, comme le dit
. Or, la description que nous avons donnée de la multiplication des cellules adipeuses jeunes, dé- montre le rôle actif que
es conjonctives, mais résulte-t-il d'une hyperplasie auto- gène des cellules adipeuses. Nous pouvons ajouter que le mécanism
l en cinq semaines, et évité les complications. C'est ainsi que les cellules mastoïdes se prennent, suppurent, et nul traite
ystème nerveux, l'énergie qu'engendre l'attention est inhérente aux cellules et aux fibres de ce système, et comme des centr
pas à ce dernier. Il n'est pas encore possible dans la colonne des cellules du noyau de l'ocuio- moteur commun d'attribuer
, (inféro-autérieur), un noyau dorsal (supérieur), - des groupes de cellules médianes et latérales (le premier de ces groupes
rturbation dynamique ou d'une altération dans le fonctionnement des cellules des cornes antérieures et plus généralement des
nement des cellules des cornes antérieures et plus généralement des cellules motrices dans tout l'appareil cérébro-spinal D.
Léger oedème de la pie-mère. Anémie cérébrale. Vacuolisation des cellules nerveuses du noyau du facial et des deux trijumea
es en arrivant dans le labyrinthe peu- vent coaguler la lymphe; des cellules lymphatiques, par division des noyaux, se forme
des cellules lymphatiques, par division des noyaux, se forment des cellules géantes dont proviennent du tissu SOCIÉTÉS SAVA
x capable d'oblitérer la lu- mière des canaux semi-circulaires, ces cellules géantes peuvent également jouer le rôle d'angio
ectrisation galvanique. Les accumula- teurs sont composés de trente cellules ; ils sont contenus dans un coffre en gutta-perc
ils sont contenus dans un coffre en gutta-percha, par séries de dix cellules . Chaque cellule ou chambre se compose d'une lam
dans un coffre en gutta-percha, par séries de dix cellules. Chaque cellule ou chambre se compose d'une lame positive et de
de la dégénérescence des racines antérieures de la moelle, et des cellules des cornes antérieures. L'examen complet n'a pas
ies deux espèces de tissus. 4° Sur les limites du tissu normal, les cellules de la névroglie étaient augmentées de volume; l
rares fibres nerveuses. 2° A la périphérie, un tissu très riche en cellules : cellules rondes, ovales, anguleuses, contenant
es nerveuses. 2° A la périphérie, un tissu très riche en cellules : cellules rondes, ovales, anguleuses, contenant de un à q
, avec un protoplasma granuleux. Les unes étaient grosses comme une cellule migratrice, les autres quatre fois plus volumin
leurs résultats i dans d'autres circonstances, la dégénération des cellules nerveuses dans des portions particulières du ce
grande cour de chaque côté. Ce bâtiment contenait cinquante petites cellules , fermées à clef la nuit. Quand on découvrit le
auquel nul moyen n'avait réussi et qui se corrigea après sa mise en cellule . Une femme atteinte de manie chronique changea
mation de, ses opinions, et il y trouve une .preuve du fait que les cellules des trajets croisés et des non croisés des part
ngation de la -, cn Orient, par Rastonil. 88 ; - alté- ration des cellules nerveuses de la -, par Schaffer, 107 ; atro-
74 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ts bien déterminés de la substance grise, c'est-à-dire l'appareil des cellules nerveuses dites motrices, lesquelles , comme vous
ofondément, on voit, avec les spores et les tubes, un grand nombre de cellules polygonales d'épithélium et des culs-de sac gland
talité ou dont on ne retrouve que des fragments ; d'un autre côté des cellules adipeuses s'amassent en dehors du sarcolemme dans
rqué la diminution de nombre et de volume qu'avaient subi les grandes cellules motrices, altération qu'on peut cependant très-ne
ntre les mains de mon ami M. Duchenne (de Boulogne)1. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infan-tile,
té communiqué à la Société de biologie par M. Prévost, la plupart des cellules avaient disparu dans la corne antérieure du segme
là substance grise. Dans loutes les régions de la moelle, les grandes cellules motrices étaient altérées profon-dément, bien qu'
ur les points les plus sérieu-sement affecîés, des groupes entiers de cellules avaient disparu sans laisser de traces. Presque t
scléreuse au voisinage immédiat et jusqu'à une certaine dislance des cellules lésées ; mais il était des points— et c'est là un
st là un fait qu'il convient de faire ressortir — où cette lésion des cellules était la seule altération que l'examen histologiq
fondement, nous nous sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules nerveuses motrices, qui se trouve déjà mentionnée
entrer dans une discussion en règle à propos du rôle que je prête aux cellules nerveuses motrices dans la production des lé-sion
ecueillis depuis la publication de notre travail. Ainsi la lésion des cellules motrices se trouve expressément signalée dans une
droit. La lésion porte exclusivement sur le groupe antéro-exlerne des cellules ner-veuses, a, cervix cornu posterions; — b, grou
er-veuses, a, cervix cornu posterions; — b, groupe postéro-externe de cellules ner-veuses; — c, groupe antéro-exlerne. Les cellu
stéro-externe de cellules ner-veuses; — c, groupe antéro-exlerne. Les cellules de ce dernier groupe ont complète-ment disparu, t
la commissure. circonscrit qui correspond à un groupe ou agrégat de cellules mo-trices. Gomment concevoir que cela puisse être
s organes spéciaux doués de fonctions propres, comme sont les grandes cellules nerveuses dites motrices. C'est ainsi que suivant
ts l'altération d'un certain nombre, voire même d'un groupe entier de cellules nerveuses, est la seule lésion que l'examen histo
rer beaucoup plus accusées vers les parties centrales d'un agrégat de cellules nerveuses, que dans les parties périphériques ; b
riques ; beaucoup plus accentuées également au voisinage immédiat des cellules que dans les intervalles qui les séparent; de tel
e grise. Il nous paraît évident,d'après tout ce qui précède,que les cellules nerveuses motrices sont bien réellement le siège
us morbide aux faisceaux antéro-latéraux. La lésion en question des cellules nerveuses, à en juger d'après le caractère des al
eigner. De même, en effet que cela arrive pour les tubes nerveux, les cellules nerveuses irritées s'atrophient et, au dernier te
ivant moi, seraient un fait secondaire, consécu-tif à l'affection des cellules nerveuses. Dans les cas de date ancienne, elles c
tout cela ne vient infirmer la théorie d'après laquelle Vappareil des cellules nerveuses motrices serait le premier foyer et com
mment formées aux dépens des tissus fibreux de la peau. De nombreuses cellules fusiformes étaient mêlées au tissu fibreux, mais
est moins épaisse que celle de la peau voisine, qu'elle se compose de cellules épithô-liales qui se divisent, comme à l'état nor
ns, qui ne sont pas très-multipliés. M. Malassez n'a trouvé ni fibres cellules muscu-laires, ni nerfs bien évidents. « Il résult
nde. Au-des-sous de ces deux lames épithéliales, existe une couche de cellules plates qui les sépare des tissus muqueux propreme
les plates qui les sépare des tissus muqueux proprement dits. « Ces cellules plates sont analogues à celles de la couche con-j
est frappé immédiatement de la différence d'aspect que présentent les cellules épithéliales, suivant qu'on les considère dans la
ance corticale ou dans la substance médullaire. Dans la première, les cellules sont granuleuses et ressemblent plus ou moins à c
ransparente tout à fait analogue à celle que l'on ren-contre dans les cellules des glandes salivaires. Le protoplasma est égalem
asma est également refoulé à la périphérie avec le noyau, et toute la cellule se trouve convertie en une véritable ampoule vési
issu fibreux qui le re-couvre, n'a démontré nulle part l'existence de cellules de cartilage. Le fragment supérieur du péroné est
l'on peut dire sans exagération que chaque fibre musculaire ou chaque cellule constitue une pile. On constate en effet des cour
sur les corps organisés. Chaque élément de notre pile représente une cellule de l'appareil électrique spécial des poissons, ou
préférai dément, on aperçoit sous le champ du microscope une foule de cellules bizarrement conformées. Quelques-unes présenten
rmes ; d'autres enfin sont reliées par un style très-grêle à d'autres cellules ou à des corps sphé-riques présentant un noyau en
s sont très-petits et présentent généralement la moitié du volume des cellules auxquelles ils s'attachent ; ils sont parfois iso
présente un peu de proto-plasma granuleux. D'autres fois enfin, une cellule sphérique avec pédicule grêle se continue netteme
cellule sphérique avec pédicule grêle se continue nettement avec une cellule irrégulière, épithéloïde. Nous désignerons celte
régulière, épithéloïde. Nous désignerons celte variété sous le nom de cellules mucédiformes. A côté de cette variété, s'en tro
spect irrégulier; elles présentent un noyau très-épais sans nucléole: cellules à prolongements multiples. — D'autres enfin resse
s extrémités manque-rait et serait terminée par une partie arrondie : cellules en massue. Ces dernières présentent un beau noyau
t décrire. Il va sans dire que 1 II est impossible de confondre ces cellules avec une mucédinée quelconque dont le sporange, l
et le strorna d'implantation ou mycélium est caracté-ristique. les cellules épidermiques, grandes et petites variétés de tout
et des perles d'épithélium. On peut reconnaître sur une partie de ces cellules les irrégularités de contour décrites par Max-Sch
chultze et qui les ont fait désigner sous le nom de stachel-zellen ou cellules à engrenage, cellules épineuses. Les glandes séba
fait désigner sous le nom de stachel-zellen ou cellules à engrenage, cellules épineuses. Les glandes sébacées, les glandes sudo
i-leux présentent sur le prépuce une altération très-notable de leurs cellules épithéliales. — Dans tous ces organes, les cellul
-notable de leurs cellules épithéliales. — Dans tous ces organes, les cellules épithéliales ont un vo-lume considérable ; celui
rabécules du corps spongieux, des corps caverneux étaient remplies de cellules lymphoïdes, dont quelques-unes commençaient à pre
able des papilles du derme. Ces papilles étaient infiltrées de jeunes cellules lymphoïdes. Petit à petit, en- se dirigeant ver
s dont l'aspect physique et la forme rappelait très-bien l'aspect des cellules épithéliales devenues hyalines ; je ne crois pas
enues hyalines ; je ne crois pas cependant qu'on eût affaire là à des cellules épithéliales, mais bien plutôt à des masses irré-
ont les parois étaient intactes, mais suivies d'une longue traînée de cellules lymphoïdes? Un des ganglions inguinaux engorgés
l'on trouve presque exclusivement les mêmes conduits remplis aussi de cellules épithé-liales ; çà et là, quelques-uns de ces con
lques-uns de ces conduits ont subi la dégénéres-cence graisseuse. Les cellules constituantes mesurent environ neuf à douze milli
l s'y produit, au contraire, d'une façon évidente une infiltration de cellules arrondies; l'infiltration augmen-tant, les fibres
ant, les fibres du tissu conjonctif sont séparées et écartées par les cellules ; il en résulte finalement un feutrage qu'on ne s
'établit autour des vais-seaux au voisinage desquels s'accumulent les cellules epitheliales. Les bourgeons eux-mêmes présentent
le siège d'une véritable inflammation catarrhale qui les a remplis de cellules épithéliales à différents degrés de transformatio
nomes par M. Broca. Elle est, en effet, constituée par des travées de cellules épithéliales, repré-sentant des sortes de tubes b
laces et séparés les uns des autres par un stroma fort développé. Les cellules épithéliales sont en général peti-tes, dentelées
tubes uri infères, comme dans la néphrite catarrhale, sont remplis de cellules épithéliales plus ou moins transformées, surtout
e cellules épithéliales plus ou moins transformées, surtout de jeunes cellules se colorant facile-ment par le carmin. — L'artère
it à l'état d'une sorte de pulpe jaunâtre où on rencontre surtout des cellules de pus et quel-ques cellules osseuses déformées.
lpe jaunâtre où on rencontre surtout des cellules de pus et quel-ques cellules osseuses déformées. Pas de pus dans les articulat
es ; 3° une couche périphérique formée principalement de noyaux et de cellules embryo-plastiques entre-mêlés de corps fusifoimes
75 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rapport avec des alté- rations peu considérables produites dans les cellules des cornes antérieures, était-ce sous la dépend
s symptômes nerveux. Phtisie diabétique. Autopsie : destruction des cellules du lobe central. G. D. IX. Ataxie LOCOMOTRICE
is vascu- laires ; le tissu nerveux, infiltré de grosses et petites cellules , souffre dans sa nutrition, se désagrège; les c
Epanchement sanguin et séreux dans cette gaine. Agglo- mération de cellules , périnévrite, gonflement ampullaire de la - gai
t, chez les reptiles, les matériaux de développement à une série de cellules ner- veuses ganglionnaires qui forment le mante
t de la moelle après amputation, mais il n'est pas démontré que les cellules des colonnes de Clarke du côté amputé diminuent
membres inférieurs; car, ainsi que le dit lteynolds, le nombre des cellules de Ctafke n'est pas toujours le même des deux c
lard in extenso '. - M. (de Mannheim). Des altérations actives des cellules nerveuses ganglionnaires dans les inflammations
les inflammations. Il s'agit de la question de la prolifération des cellules nerveuses ganglionnaires avec présentation de d
sentation de dessins. Les vieux arguments anatomo- pathologiques de cellules à plusieurs noyaux, transformation finement gra
rs de l'inflammation, la transformation de la structure normale des cellules pyramidales de l'écorce en un très beau réseau
e en un très beau réseau chromatique à larges mailles, tant que les cellules conservent leur état reconnaissable. On trouve
conservent leur état reconnaissable. On trouve alors que dans les cellules qui s'arrondissent, il se produit fréquemment dés
il se produit fréquemment dés karyo- kinases. Du reste, toutes les cellules nerveuses ne semblent pas être capables de subi
nement en se basant sur l'aspect anatomique et le développement des cellules chez les embryons : par exemple les grandes cel
eloppement des cellules chez les embryons : par exemple les grandes cellules multipolaires de la moelle n'en paraissent pas
'appui, des grosses granula- tions qu'on rencontre dans les grandes cellules nerveuses de la moelle épinière du lapin. On in
nombreuses préparations, ne croit pas que ces granulations dans les cellules nerveuses aient rien à faire avec les granulati
e l'importance au point de vue de l'histoire du développement de la cellule nerveuse. Vignal a vu que, dans les cellules em-
du développement de la cellule nerveuse. Vignal a vu que, dans les cellules em- bryonnaires, ces granulations se groupent d
ue et que, finalement, elles produisent la striation du corps de la cellule que nous connaissons chez les cellules nerveuses
t la striation du corps de la cellule que nous connaissons chez les cellules nerveuses développées. M. Benda réclame l'honne
ction spécial du corps cellulaire à l'égard des couleurs, certaines cellules se colorant fortement parce que la matière chro
se sont adonnés à rechercher pour les expliquer. Dans la lésion des cellules cérébrales doit certainement résider toute l'ex
somme de travail fournie. Il doit y avoir une prédisposition de la cellule cérébrale à être lésée et les troubles psychiques
t que chez l'adulte, alors qu'il n'y aplus, comme chez l'enfant, de cellules à l'état de formation, qui contrebalancent l'infl
à l'état de formation, qui contrebalancent l'influence néfaste des cellules malades. C'est dans les villes que la pro- port
in, nous réclamions la transformation des cabanons en chambres ou cellules convenablement disposées et ne rappelant plus en
dations spéciales au point de vue des conditions d'installation des cellules qui leur sont affectées ; mais, dès aujourd'hui
tions spéciales au point de vue des conditions d'installation des cellules » et de la « durée de la mise en observation » ne
qués, formant un réseau serré. L'organe lym- phatique est rempli de cellules rondes; autour d'elles existe un espace clair d
plaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellules pyramidales. Ces bandes ne sont pas pures, mais
pures, mais contiennent un certain nombre d'amas névrogliques et de cellules nerveuses arrondies, granu- leuses et pigmentée
llaire et chargée de noyaux. La troisième couche, celle des grandes cellules , ne pré- sente que des séries de cellules petit
couche, celle des grandes cellules, ne pré- sente que des séries de cellules petites, à fins noyaux sphériques, noyés sans o
de fines trabécules, le long desquelles sont dispersées de grosses cellules irrégulières à protoplasma irrégulier. L'aspect
Au-dessous de ces points très lésés, il n'existe plus de grandes cellules nerveuses, mais on en rencontre tout à côté par a
la substance grise et la substance blanche sont chargées de petites cellules rondes. On y voit, en grande abondance des bloc
blables à ceux que nous venons d'indiquer. Cervelet du côté droit ? Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche externe et
risation très développée avec diminution de nombre et de volume des cellules nerveuses qui ont perdu leur sériation dans les
elle cervicale, les cornes antérieures sont petites mais avec leurs cellules bien nettes, de même les cordons anté- rieurs.
s étapes : 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses; 3° formation des cavités. Ces lésion
ns une' région trop infé- rieure, la coupe de cette même colonne de cellules , qui n'existe qu'à la moelle dorsale et la coup
eau DE l'aphasie (aphémie). C'est le faisceau de fibres partant des cellules de l'écorce du pied de la troisième circonvolut
res à influence DE l'axe cérébro-spinal. 259 Elles réunissent les cellules motrices de l'écorce cérébrale aux grandes cell
réunissent les cellules motrices de l'écorce cérébrale aux grandes cellules motrices des cornes antérieures de la moelle et
fibres centri- fuges entre-croisées se mettent en l'apport avec les cellules des noyaux d'origine des nerfs moteurs du bulbe
érique d'un nerf sectionné, on est en effet conduit à attribuer aux cellules de la zone corticale motrice, une influence tro
influence trophique analogue à celle que l'on attribue aux grandes cellules motrices des cornes antérieures. Quant au mécan
médullaire, l'est aussi par l'altération atrophique de ses grandes cellules motrices qui engendre en effet constamment une
qui correspondent à la nutrition des muscles. La lésion des grandes cellules motrices des cornes antérieures est-elle p2,i-
es intervalles entre les élé- ments du tissu sous-jacent. Quant aux cellules nerveuses de la ' moelle épinière, une grande p
ation pathologique apparente, mais on rencontre assez souvent des cellules avec un protoplasma granuleux d'un aspect trouble
s sont complètement dépourvues de prolongements, ou à peu près; les cellules de ce type se ren- contrent principalement au n
ses posté- rieures. Un phénomène plus rare est représenté par des cellules nerveuses qui se distinguent par un protoplasma f
résultant de l'absence à peu près complète do prolongements. Les cellules de ce type se rencontrent seulement dans les gr
r variable qui d'ailleurs se trouvent plus souvent dans le corps de cellules qui ne présentent pas d'autres modifications. I
odifications. Il faut cependant dire que, d'une façon générale, les cellules munies de vacuoles se rencontrent très rarement
la lésion des cornes antérieures et plus spécialement des grandes cellules motrices ou pyramidales, c'est-à-dire myathro-
e commun avec le complexus symptomatique décrit par nous. 2). Les cellules épithéliales du canal central qui sont restées
parfaites pour nous donner une repré- sentation bien nette sur les cellules et surtout sur les fibres atteintes. Dans bien
if, diverses altérations de la myéline, des cylindres axes et des cellules nerveuses avaient déjà été constatés par Zacher
néral, nous connaissons seulement que certains groupes de fibres et cellules nerveuses peuvent périr, se détruire et se dépl
ières plus délimitées, affecte de préfé- rence certains systèmes de cellules et de fibres ner- veuses. Cette localisation sp
e la région des oculo-moteurs communs (troncs, fibres radiculaires, cellules des noyaux réels) ; à côté de cela, on trouve à
eval au-dessus de ces noyaux ordi- naires, deux nouveaux groupes de cellules encore inconnus dont les cellules sont plus pet
naires, deux nouveaux groupes de cellules encore inconnus dont les cellules sont plus petites que ne le sont celles de ces de
ules mais atrophie presque complète de groupes cellulaires (petites cellules ) encore inconnus qui siègent au niveau de l'entre
vaisseaux (hyperplasie, sclérose) ; infiltrations de toutes petites cellules au sein des foyers protubérantiels et bulbaires
térieures absolument pure; atrophie, disparition presque totale des cellules de la substance fondamen- tale ; ces altération
et. Les espaces périvasculaires sont gorgés de globules blancs. Les cellules rondes et les noyaux prédominent par rapport au
ancs. Les cellules rondes et les noyaux prédominent par rapport aux cellules pyramidales, soit dans l'écorce, soit dans la l
che des grandes pyramides présente dans la 111 temporale gauche 1,3 cellule ronde pour 1 cellule nerveuse. Sur le cerveau d
ides présente dans la 111 temporale gauche 1,3 cellule ronde pour 1 cellule nerveuse. Sur le cerveau de cette malade, elle
ouche des grandes pyramides présente dans la 2, frontale gauche 1,4 cellule ronde pour 1 cellule nerveuse. Sur le cerveau d
amides présente dans la 2, frontale gauche 1,4 cellule ronde pour 1 cellule nerveuse. Sur le cerveau de celte malade, elle
lle présente dans la même frontale 1,9 pour 1. Donc le nombre des cellules rondes de l'écorce augmente consi- dérablement
t simplement dû à des globules blancs du sang extravasés. Quant aux cellules ner- veuses, elles se colorent moins par les co
ques, par Combemalle, 181. Catatonie, par Séglas et Chaslin, 52. Cellules ganglionnaires (altérations des -) dans les inf
Teissier, ï3 ; (anévrysmesmiliairesde la), 7'r; (granulations des cellules de 'a des lapins), par Virchow, 100; (tubercu
76 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
que les adultes'sont enfermés de* ohaqlle côté dans des espèces de cellules , ou mieux, de boîtes,' les enfants sont témoins
iqne, ils couchent au Dépôt. Au lieu de les faire coucher clans des cellules séparées,' il arrive qu'on les fait coucher dan
gé de treize ans, admis le 21 mars, ont passé; la nuit dans la même cellule au Dépôt de la Préfecture. Ces' raisons, jointe
atten- dant leur transfert à Sainte-Anne, mis isolément dans les cellules de l'Infirmerie spéciale. S'ils sont inoffensifs,
sez grand nombre, quinze, vingt, vingt-cinq même. Or, le nombre des cellules , huit du côté des hommes, quatre du côté des fe
résulte nécessairement que plusieurs malades couchent dans la même cellule . Dans le jour, l'encombrement plus grand, oblig
grand, oblige fatalement à mettre plusieurs malades dans la même cellule . Nous maintenons formellement ce que nous avons
rrivé au Dépôt le 10 Juin à onze heu- res du matin; il a été mis en cellule avecl'enfant lier..., et un adulte; il est part
duit le 16 juin, à deux heures, au Dépôt. Il a été enfermé daus une cellule en compa- gnie de deux hommes; l'un d'eux a vou
de la porte. Sur l'appel de l'enfant, cet homme a été mis dans une cellule voisine. Il criait et donnait des coups de poin
d'instruction, a signalé avec rai- son l'insuffisance du nombre des cellules de l'infirmerie spé- ciale, en même temps que l
pôt. Mais j'estime que nous ne pouvons deman- der à visiter que les cellules affectées au service des alié- nés (1). ' , J
ébilité mentale; atropliie musculaire de la main droite.» Envoyé en cellule . DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 1
août. Tranquille depuis sa réintégration. Est resté quatre jours en cellule . Va travailler à la buanderie. Dit être sujet à d
té renvoyé successivement de la buanderie et du marais. Envoyé en cellule . 15. La sensibilité dans ses différents modes p
derniers temps il a fait deux tentatives d'évasion et a été mis en cellule huit jours, durant lesquels il s'est masturbé u
présente souvent des périodes d'agitation qui obli- gent, faute de cellule ou de chambre d'isolement, à le main- tenir sur
a lésion,- Sur certains îlots, il est composé presque uniquement de cellules de la paroi alvéolaire desquamées, tuméfiées, r
oyaux : c'est de la pzetwzonic épi.tl7éliale. - Sur d'autres, ces cellules sont mêlées d'un certain nombre de leucocytes,
e elle se confond. En effet, cette deuxième, couche, ou des petites cellules pyramidales, est la peu distincte. La troisième
cellules pyramidales, est la peu distincte. La troisième couche des cellules pyramidales moyennes n'a plus les cellules disp
La troisième couche des cellules pyramidales moyennes n'a plus les cellules disposées régulièrement bout 78 Examen histolog
par les faisceaux des fibres qui gagnent la substance blanche, les cellules n'ont plus leur ordination caractéristique; on
ne voit due de nombreux noyaux sphériques, appartenant à de petites cellules . La 4.111. et la 5 ? couches, celles des cellul
nant à de petites cellules. La 4.111. et la 5 ? couches, celles des cellules volumineuses, n'en ont à peu près plus : c'est
s : c'est le tissu névroglique, formé d'un très fin réticulum, avec cellules rares, espacées qui le remplissent. Les faiscea
de libres arquées sont rendus plus évidents par la disparition des cellules . Dans la substance blanche on voit une quantité
'à l'état normal de noyaux très petits, sphériques, répondant à des cellules de la névroglie et remplissant tous les interva
n des fibres se dirigeant vers la substance est inter- rompue ; les cellules de névroglie se colorent 'fortement; mais les c
rompue ; les cellules de névroglie se colorent 'fortement; mais les cellules nerveuses sont très rares. Ces points parais- s
e, dont les noyaux sont peu abondants. Dans la région des grandes cellules , on en retrouve à peine quelqu'une de loin en loi
ient se résumer ainsi : sclérosé prolifératine, au point de vue des cellules , des couches superficielles de la substance gri
profondes, reprise du processus irritatif dans la moelle. Ici, les cellules sont raréfiées dans toute la hauteur de la subs
éfiées dans toute la hauteur de la substance grise, les colonnes de cellules qui la parcourent perpendiculairement, sont dev
u'à ce niveau, la substance intercellulaire est très abondante, des cellules au contraire sont rares. Il existe des vaisseau
erte de substance qui s'estproc1uite pendant les manipulations, les cellules nerveuses des différentes, couclie ssont confon
rveuses des différentes, couclie ssont confondues. Seules, quelques cellules pyramida- les de la couche clos petites cellule
. Seules, quelques cellules pyramida- les de la couche clos petites cellules ou de celles des cellules moyennes ont conservé
s pyramida- les de la couche clos petites cellules ou de celles des cellules moyennes ont conservé leur forme spéciale. Le
es quatre couches de la substance grise normales en apparence ; les cellules de Purkinjc ne parais- sent pas diminuées de no
en sont symétriques, les cornes sont très grêles, leurs groupes de cellules persistent, mais les élé- ments y sont peu abon
épileptique, plus que de dément sénile; car il n'y a pas de grosses cellules en état d'atrophie pigmentairc ou granuleuse; c
77 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uche formée de substance d'ap- parence amorphe, parsemée de petites cellules irrégu- lièrement disposées, ayant le plus souv
rallèlement à la surface. 3° Au-dessous est une épaisse couche de cellules pyramidales, qu'on ne voit pas distinctement sé
pyramides et un stratum profond de grandes pyramides, quoique ces cellules soient du reste d'autant plus volumineuses et s
rtoutd'autant plus allongées qu'elles sont plus profon- des. 4° Aux cellules pyramidales les plus profondes LA CORNE D'AMMON
ales les plus profondes LA CORNE D'AMMON. 5 succède une couche de cellules nerveuses étoilées ou fusiformes. 5° Enfin vien
raît (a, lîq. 2). 2° La couche sous-jacente (substance amorphe avec cellules irrégulièrement dis- posées) est pénétrée par u
-dire de la distri- bution des éléments nerveux. 3" La couche des cellules pyramidales est formée d'éléments tous de plus
nts tous de plus en plus volumineux, c'est-à-dire que les petites cellules pyramidales disparaissent presque complète- men
plète- ment (c. feg. 2). 4° Rien de particulier pour la couche de cellules nerveuses étoilées (d, fig. 2), non plus que po
première. En effet : 1° La première couche (substance amorphe avec cellules irrégulièrement disposées), ne présente ici de
abord pour des noyaux libres, mais qui sont en réalité de petites cellules à corps protoplasmatique rudimentaire. Ces élém
atum granulosum; Arndt et Meynert ayant reconnu la nature nerveuse ( cellules ) de ses éléments, Meynert LA CORNE D'AMMON. 7
ensemble de la formation ammonique. 4° Au- dessous est la couche de cellules nerveuses étoilées, et enfin, 5° la couche médu
la pro- fondeur : une couche de substance amorphe, une couche de cellules pyramidales (stratum racliaitim), une couche de
couche de cellules pyramidales (stratum racliaitim), une couche de cellules nerveuses étoilées, et enfin la subs- tance bla
12 ANATOMIE. l'auteur résume, il nie la présence d'une couche de cellules étoilées entre la couche des grandes pyra- mide
ent com- posée de ces éléments. Plus profondément on ne trouve ni cellules irrégulières, ni cellules fusiformes. Il n'y a
éments. Plus profondément on ne trouve ni cellules irrégulières, ni cellules fusiformes. Il n'y a même pas de substance conj
ance grise de la corne d'Ammon on trouve une couche particulière de cellules rondes, dépourvues de prolongements et étroitem
iker2 il consi- dère les éléments du stratum granulosum comme des cellules nerveuses. Depuis cette époque, la formation am
morphe; A, stratum granulosum ; c, stratum tadiatum; d, couches des cellules nerveuses étoilées ; couette de substance blanc
es racines antérieures de Krause. Schwalbe affirme en plus, que des cellules ganglionnaires sont contenues dans le segment e
if interne, se trouvent des îlots de substance grise, contenant des cellules nerveuses. Pour le tissu réticulaire, aussi bie
à l'examen microsco- pique, des îlots de substance grise, avec des cellules ganglionnaires. Ce fait s'observe principalemen
ont colorés au car- min. Leur vive coloration, et surtout celle des cellules ganglionnaires qui s'accentuent encore davantag
res nerveuses très grêles. Toute l'étendue du tissu est couverte de cellules ganglionnaires et de nombreux noyaux. Les cellu
est couverte de cellules ganglionnaires et de nombreux noyaux. Les cellules ganglionnaires, à protoplasma gra- nuleux, cont
- laire ou ovalaire, renfermant des nucléoles (PL. V,lîq. 8). Les cellules ont pour la plupart deux prolongements et sont
ments et sont revêtues d'une membrane. II est à remarquer que les cellules ganglionnaires sont plus petites, toutes les fo
itude. En analysant de plus près la relation qui existe entre ces cellules ganglionnaires et les îlots eux-mêmes, il est f
onnaires et les îlots eux-mêmes, il est facile de s'assurer que ces cellules servent de ganglions ou noyaux, à des branches
ésentent pas la moindre trace d'un îlot de substance grise, ni de cellules ganglionnaires. Chez d'autres individus au cont
nir un îlot plus ou moins grand, voire même deux îlots, garnis de cellules ganglionnaires. On en arrive ainsi à la conclus
la quantité et l'étendue des îlots de substance grise, avec leurs cellules ganglionnaires, contenus dans le tronc du nerf
erf auditif que nous venons de décrire.. , Rien de nouveau, que les cellules ganglionnaires, c'est-à-dire les ganglions ou n
and sympathique. Henle2 affirme qu'on trouve un certain nombre de cellules nerveuses disséminées entre les fibres du nerf
que « dans le méat audi- tif interne, le nerf auditif contient des cellules gan- glionnaires, très faciles à découvrir chez
ne trouve qu'avec peine chez l'homme. » Stannius'a vu de nombreuses cellules ner- veuses dans les branches du nerf auditif.
du nerf auditif de l'homme et des mammifères, un grand nombre de cellules nerveuses bipolaires. Pierret' signale des amas
mbre de cellules nerveuses bipolaires. Pierret' signale des amas de cellules ganglionnaires enclavées entre les tubes médull
nerveux volumineux un îlot de la substance grise avec beau- coup de cellules ganglionnaires vivement colorées. Il s'échappe de
l'autre individu montrant deux ilôts de la substance grise avec des cellules ganglion- naires. Fig. 8. 3/9 Hart ? Trois ce
rise avec des cellules ganglion- naires. Fig. 8. 3/9 Hart ? Trois cellules ganglionnaires de la substance grise des ilôts
e grise des ilôts mentionnés. On voit la membrane propre autour des cellules , protoplasma finement grenu, un grand noyau ova
l'encéphale, caractérisée par le dépôt de tissu muqueux autour des cellules nerveuses. Dans le cas qu'il publie, les troubl
aires, feutrage épais de fines fibrilles conjonctives, atrophie des cellules nerveuses un travail identique dans la couche s
t., t Jutt < Uy et dans cette masse plus ou moins homogène, les cellules gan- glionnaires paraissaient gonflées et,comme
protoplasma.'Les altérations étaient surtout marquées dans les'' cellules ganglionnaires des colonnes de* Clarke, ' du grou
'autopsie démontre l'intégrité des centres nerveux; les fibres, les cellules , les noyaux même de l'oculo-moteur sont demeurés
à la région du bulbe. Prolifération du tissu interstitiel (grandes cellules araignées en nombre), atrophie desfibres nerveu
raignées en nombre), atrophie desfibres nerveuses, développement de cellules granuleuses en amas, tels en sont les caractère
té de fig. 28. recueil DE faits. 32) corps granuleux. Enfin les cellules nerveuses y font absolument défaut. La corne
t présente au contraire toutes les apparences de l'état normal, les cellules nerveuses y sont en grand nombre, munies de bea
éveloppement à droite et à gauche et renferment la même quantité de cellules nerveuses saines. Réflexions. Autant qu'on pe
t indépendante des autres couches de la rétine, y compris celle des cellules nerveuses. P. K. IV. Anatomie des tubercules an
dulées. Il existe des fibres, très fines qui paraissent naître des cellules pigmentées de la substance de Soemmering et qui
ent considérable du tissu conjonctif interstitiel et l'atrophie des cellules de Purkinje. Celles-ci disparaissent complètement
utissant à la destruction granulo-grais- seuse des vaisseaux et des cellules pyramidales. (\111. 13oucliard et Sommer.) La
he; - b, stratum yanulosum ; - c, stratum radiatum; - z couches des cellules nerveuses étoilées; ? couche de substance blanc
nerveux volumineux un îlot de la substance grise avec beau- coup de cellules ganglionnaires vivement colotées. Il s'échappe de
l'autre individu montrant deux îlots de la substance grise avec des cellules ganglion- 1 - naires. rit. 8. 3/9 Hart. : Tro
avec des cellules ganglion- 1 - naires. rit. 8. 3/9 Hart. : Trois cellules ganglionnaires de la substance grise des îlots
e grise des îlots mentionnés. On voit la membrane propre autour des cellules , protoplasma finement grenu, un grand noyau ova
78 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
e Charcot-Marie. Elle est, de plus, une preuve que les nerfs et les cellules des cornes antérieures sont indemnes ; ce qui n
nt dans les cas de très forte hydrocéphalie. L'écorce se compose de cellules nerveuses dans la première époque de leur forma
des deux côtés de la ligne du milieu se trouve une accumulation de cellules nerveuses à la première époque de leur formation,
yramides manquent. Quant aux olives, elles ne contiennent pas leurs cellules spéciales. Ainsi nous avons ici le faisceau lon
où la moelle épinière se transforme en membrane, nous trouvons les cellules nerveuses disposées symétriquement de part el d'a
ôtés vont vers elle les racines nerveuses qui se terminent dans les cellules nerveuses. Au-dessus de l'ouverture, la moelle ép
te ni foyers de sclérose ni cavités syringomyéliques. Le nombre des cellules nerveuses dans les cornes antérieures est sensi
ue dans les points correspon- dants d'une moelle normale. Parmi ces cellules beaucoup ont conservé leur intégrité parfaite ;
née comparativement, a donné les résultais suivants : le nombre des cellules nerveuses, les lésions de chromatolyse sont les
matolyse sont les mêmes que dans la moelle du myopathique, mais les cellules des cornes antérieures sont moins rapetissées e
e centrale étroite; leur gaine externe est entourée d'un manchon de cellules conjonctives. On ne trouve pas de tubercules da
86 E. BRISSAUD embryonnaires résultant delà division de la première cellule , se règle et se gouverne spontanément; l'appari
re, dans chacun des feuillets du blastoderme, la multiplication des cellules s'accomplit de telle sorte que les organes pren
entral. 88 B. BRISSAUD plus on moins grave de la segmentation des cellules . trouble autochtone, et dont la persistance est
e, on ne reconnaît plus rien de l'ordre et des rapports normaux des cellules dermiques et épidermiques : l'atrophie et l'hyper
yéline semble tuméfiée mais reste incolore par le picro-carmin. Les cellules de la colonne de Clarke sont moins nombreuses à g
corne antérieure gauche est un peu plus étroite que la droite, ses cellules sont peut-être un peu moins nombreuses, mais cell
min. La corne antérieure gauche est plus courte que la droite. Les cellules \ paraissent normales des deux côtés. On ne tro
cellules \ paraissent normales des deux côtés. On ne trouve pas de cellules altérées dans la corne droite. Si quelques-unes
à un moment donné, elles ont disparu sans laisser de traces ; Les cellules de la colonne de Clarke sont moins nombreuses à g
ement bien fournis des deux côtés. Par les colorants nucléaires des cellules nerveuses se colorent bien, ne paraissent pas a
1) Extrémité inférieure de la circonvolution pariétale ascendante. Cellules nerveuses normales comme nombre, volume et prolon
Fibres profondes saines. 2) Circonvolution du lobe paracentral. Cellules nerveuses diminuées de nombre et un peu atrophiée
ution occipitale. xii 8 102 GILLES DE LA TOURETTE ET G. DURANTE Cellules normales. Fibres superficielles très diminuées.
ro- phie de la corne antérieure gauche, mais là comme ailleurs, les cellules motrices paraissent absolument normales quant à
s et leurs affinités colorantes. , 6) Dans la colonne de Clarke les cellules sont, d'une façon générale, un peu moins nombre
reste les altérations limitées aux tubes nerveux avec intégrité des cellules qui siégeaient uniquement dans l'écorce sont de c
, alté- ration légère caractérisée par une diminution du nombre des cellules dans les colonnes de Clarke. Cette altération d
rsale et accessoirement d'une altération légère et plus récente des cellules de la colonne de Clarke. L'étiologie de ces lés
ongation exagérée des segments intra-médullaires des racines. Les cellules des cornes antérieures de la moelle ont surtout s
s périphériques. Le retentissement d'une lésion des nerfs jusqu'aux cellules d'origine de leurs prolongements cylin- draxile
ent d'origine réflexe correspondent à une altération atrophique des cellules motrices qui progressivement se raréfient et di
mas de protoneurones parallèles, dont les cellu- les, les premières cellules bipolaires qui aient été d'ailleurs décrites, ont
ibres du nerf cochléaire avaient presque toutes disparu et quelques cellules gan- glionnaires seules persistaient. Enfin Col
des. 1° Méthode de Nissl pour l'examen de la substance grise et des cellules nerveuses. 2° Méthode de Marchi.. : 3° Méthod
ent à l'atrophie simple de tou- tes les parties constituantes de la cellule . Sur une coupe de la moelle cervicale inférieur
rsale), on est frappé de la diminution de volume très prononcée des cellules de ce groupe postéro-latéral. Quelques cellules
très prononcée des cellules de ce groupe postéro-latéral. Quelques cellules gardent encore quelques prolongements; d'autres
ons du cytoplasme, on s'aperçoit qu'aux modifications du volume des cellules al- térées correspondent des altérations fines
e des cellules al- térées correspondent des altérations fines de la cellule . Dans les cellules les mieux conservées, les él
térées correspondent des altérations fines de la cellule. Dans les cellules les mieux conservées, les éléments chromatopliile
e. Le noyau et le nucléole sont beaucoup moins atteints. Dans les cellules très atrophiées, les altérations sont considérabl
s cellules très atrophiées, les altérations sont considérables. Les cellules sans prolongements se présentent habituellement s
eux-mêmes sont atrophiés et arrondis. Il existe, de plus, dans ces cellules , des masses jaunâtres composées par des granu-
plas- ma. Quant au noyau et au nucléole, ilsiont atrophiés dans ces cellules très altérées ; ils manquent parfois complèteme
nquent parfois complètement. La substance' fondamentale de quelques cellules atrophiées est légèrement teintée en bleu par la
s. Les colonnes de Clarke présentent des altérations notables : les cellules sont intactes, mais le réseau des fibres est ne
ctif péricellulaire. La capsule ne semble point épaissie. Parmi les cellules , les unes se co- lorent bien par les réactifs,
noyau, leur nu- cléole sont bien visibles ; ce sont en général les cellules les plus petites. Elles sont la plupart infiltr
l'entourant d'un cercle, tantôt réunis en un point quelconque de la cellule . Les autres ne remplissent pas la capsule dont
ue de la cellule. Les autres ne remplissent pas la capsule dont les cellules semblent aug- mentées de volume ; elles se colo
avec sclérose interfasci- culaire notable. En certains endroits les cellules adipeuses au milieu de ce tissu conjonctif sont
u nombre de noyaux entre chaque fihre avec inliltration de quelques cellules adipeuses, partout la striation est conservée. Ce
é de fibres restées saines. Les faisceaux sont déjà envahis par des cellules adi- NoUV. ! cO ! <OGRAfmh ! )ELASAtPÊTRIÈKE
ons cellulaires des cornes antérieures consistant en atrophie de la cellule . 2° Des altérations des nerfs périphériques : .
Burdach, la zone cornu- commissurale était à peu près intacte. Les cellules des cornes antérieures et des ganglions spinaux
dons. 1° Lésions de la substance grise. - Il existe des lésions des cellules et des lésions des fibres. Le nombre des cell
des lésions des cellules et des lésions des fibres. Le nombre des cellules des cornes antérieures n'est pas très inférieur à
COT-MARIE -319 celui que l'on voit snr une moelle normale. Mais ces cellules sont dimi- nuées de volume. Dans notre cas où l
s notre cas où la méthode de Nissl a été employée pour l'examen des cellules , leur atrophie est des plus manifestes et se mo
le. A un faible grossissement, outre cette diminution de volume des cellules , on constate chez nombre d'entre elles la perte d
longements. A un très fort grossissement, les altérations fines des cellules apparais- sent avec la plus grande netteté. A u
sont modifiés de forme et de volume. Le noyau et le nucléole de la cellule sont relativement in- tacts. A un degré plus av
la cellule sont relativement in- tacts. A un degré plus avancé, les cellules se présentent sous forme de corps arrondis sans
omatophites et ceux-ci sont très atrophiés; en certains points delà cellule on trouve des masses jaunâtres composées par des
matique du protoplasma. Le noyau et le nucléole sont absents. Les cellules des cornes postérieures sont diminuées de nombre
i bien dans le cas examiné par Mari- nesco que dans le nôtre. Les cellules des colonnes de Clarke sont conservées ; mais le
ns spinaux fait par nous, nous permet d'admettre une altération des cellules des ganglions; elles sont tout à fait compara-
sont tout à fait compara- bles à celles qui sont signalées dans les cellules des cornes antérieures. Les lésions du cytoplas
mme l'indice de la transformation de la substance chromatique de la cellule ; plus du tiers des cellules des gan- glions pré
mation de la substance chromatique de la cellule; plus du tiers des cellules des gan- glions présentent des amas de granulat
rdons de Goll et Burdach ; 2° Des lésions atrophiques probables des cellules des cornes antérieures; 3° Des altérations des
érable des cornes antérieures avec disparition presque complète des cellules nerveuses de ces cornes, atrophie et sclérose des
rnes antérieures sont légè- rement diminuées de volume. Les grosses cellules des groupes antérieurs sont beaucoup moins nomb
urs prolonge- ments sont peu nombreux, courts, ratatinés ; quelques cellules en sont totale- ment dépourvues. Parmi ces ce
és ; quelques cellules en sont totale- ment dépourvues. Parmi ces cellules plus ou moins altérées, on en retrouve un certain
hérie. Tendance du noyau à devenir périphérique, dans bon nombre de cellules . Ilérnatox ! Jline d'Heidenhain et éosine. - Né
q. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 383 cellules épithéliales (1) provenant de la desquamation de
a lésion anatomo-palhologique bien connue, l'altération des grosses cellules des cornes antérieures essentiellement atteinte
olée dans la pathologie ; assez fréquem- ment la lésion s'étend aux cellules des noyaux antérieurs et inférieurs du bulbe, e
TROI'JlOE DOUBLE DU TYPE SCAI'UW-llG1>1ÉRAL 397 d'une lésion des cellules radiculaires des cornes antérieures de la moelle,
fonction d'un trouble dynamique des corps cellulaires. Pour que la cellule radiculaire exerce son action trophique normale,
e incitation des cellulesradieu- laires droites puisse agir sur les cellules radiculaires gauches et récipro- quement. Les p
s'il n'y aurait pas lieu¡ de tenir'compte des lésions probables des cellules corticales faisant partie du système des fibres
7cclo-li- ]JOll'Ultose) a été maintes fois signalée. Suivant que la cellule adipeuse participe plus ou moins à la proliféra
79 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 111. - Sur la continuité des cellules nerveuses et sur quelques autres sujets connexe
nd moyen par lequel s'établit une connexion en- tre les différentes cellules du système nerveux central ; et bien qu'il soit
à quel- que durée, il faudrait qu'il comprît aussi les rapports des cellules cérébelleuses que nous ignorons encore à peu pr
ue cette méthode montre une continuité réelle entre les différentes cellules corticales ; car non seulement les cellules int
e entre les différentes cellules corticales ; car non seulement les cellules intercalaires sont réunies par leurs prolongement
elet partant des fibres qui passent directement dans les axones des cellules pyramidales. IL DE MUSGRAVE CLAY. IV. Psychol
emblable à la .-)2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. perturbation des cellules cérébrales corticales qui donne naissance à l'a
la fatigue ; mais la fatigue détermine -t-elle une modification des cellules nerveuses elles-mêmes, ou bien des tissus envir
térébène on lui aurait épargné une longue maladie destructrice des cellules cérébrales. Plusieurs faits publiés paraissent in
e grosse différence dans les dimensions ou dans l'arrange, ment des cellules cérébrales, ou dans ces deux choses à la fois ;
que nous rejetons l'hypothèse dualiste, il ne faut pas dire que les cellules nerveuses sont un accumulateur; elles ne se con
dont ila été parléplus haut, des relations avec tous les groupes de cellules motrices. Cesnotions d'anatomie sont suivies de
erme : pénétration d'un ou plu- sieurs éléments cellulaires dans la cellule nerveuse. Ainsi com- prisse processus est connu
oit dans un ganglion de Casser, des globules de pus s'accoler à des cellules nerveuses en creusant des encoches. Depuis, de
aires, des polynucléaires, des plasmazellen, des masl- zellen ; les cellules granulo-graisseusesne se trouvent que dans les
les centres nerveux et les ganglions, ne peut se produire dans les cellules saines. 4° Sa répartition est détail- lée dans
ire, jamais microbienne. la neuronophagie n'existant jamais dans la cellule saine, n'est ja- mais primaire, mais primaire e
aire, ou secondaire ; la simple accumulation de noyaux autour de la cellule n'est qu'un processus névroglique et non de la
constant, qui nécessite 2 conditions : altération régressive de la cellule nerveuse, et modification progressive delà névrog
jamais dans la sénilité. Enfin, il n'y a que dégé- nérescence de la cellule nerveuse suivie de cicatrisation par la névrogl
uivie de cicatrisation par la névroglie et non destruction de cette cellule par la név roglie. Toutes ces conclusions ont p
onstate des thrombus, des extravasa sanguins sous-corti- caux ; les cellules de l'écorce sont gonflées mais ne paraissent pas
ATHOLOGIE NERVEUSE. lion avec altération intéressant uniquement les cellules des cor- nes antél ieurns est rare. D'un autre
ire dont la contraction doit agir dans une di- rection donnée, à la cellule nerveuse, quand le champ où elle recueille des
t éloigné de ce- lui auquel elle en transmet : tel est le cas de la cellule py- ramidale, etc. Quant aux organismes, l'Au
x,dès le stade où un même paral- lèle à l'équateur rencontre quatre cellules (4 cellules en tout chez les Echinodermes, 8 en
de où un même paral- lèle à l'équateur rencontre quatre cellules (4 cellules en tout chez les Echinodermes, 8 en tout chez l
en tout chez les Ascidies, etc.),on ne peut plus reconnaître les 2 cellules provenant d'un blastomère donné. Le 2e plan m
st plus représentée que par un cordon formé d'une seule rangée de cellules , ce qui esc aussi le cas dans le dévolop- pemen
eulement, chez la larve dérivée d'un seul blastomère, le nombre des cellules est relativement plus petit. Enfin, sans sépare
troisième seulement divise cha- cun des quatre blastomètres en une cellule animale et une cellule végétative, celle-ci rec
vise cha- cun des quatre blastomètres en une cellule animale et une cellule végétative, celle-ci reconnaissable chez certai
ré- sence d'un anneau pigmenté. La quatrième segmentation donne 8 cellules animales et 8 végétatives dont quatre,très petite
s sans arrêter leur déve- loppement ultérieur, non seulement ces 16 cellules , mais les 32 de la génération suivante ; les ré
de sels de chaux. L'isolement effectué, il n'y a qu'a replonger les cellules (dont la nature, avons-nous vu, peut chez certa
nnue) dans de l'eau de mer naturelle, pour les voir proliférer. Les cellules du stade 2, en d'autres termes, les deux blasto
egmentation disparaissant rapidement ; mais, dans tous les cas, les cellules se rapprochent et finissent par fermer complète
à ce terme, mais poussent encore très loin leur développement. Les cellules du stade 8 (dont 4 ani- males et 4 végétatives)
répartissent donc pas d'une façon rigoureusement tranchée entre les cellules animales et végé- tatives ; les unes et les aut
vent encore une assez grande quantité des diverses propriétés de la cellule primitive nécessaires à l'être complet : il sem
qu'elle contient soit enrayée et guidée par la présence des autres cellules . Ainsi les cellules végétatives qui, dans l'oeu
it enrayée et guidée par la présence des autres cellules. Ainsi les cellules végétatives qui, dans l'oeuf complet, ne donnen
tes normalement. Au contraire, les blastulas provenant des quatre cellules animales vivent plus longtemps et en plus grand
es autres, à l'activité végétative (gastru- lation), - Enfin, les cellules du stade 16 peuvent encore donner chacune une g
Cajal, assurée par ce double fait que des groupes isodynamiques de cellules (af- fectées à la même qualité) sont répartis d
dans un numéro sui- vant. J. S. XII. Sur les rapports entre les « cellules à bâtonnets » (Stab- cheuzellen) et les élément
mais surtout dans la paralysie pro- gressive. Ce sont, dit-il, des cellules névrogliques allongées ; aux deux pôles du prot
suivant une ligne correspondante à l'axe longitudinal du noyau. Ces cellules allongées sont orientées le plus souvent parall
allèlement à la direction des fibres de la cou- ronne rayonnée. Ces cellules ont été nommées à Heidelberg : « Wurstzellen »,
ée. Ces cellules ont été nommées à Heidelberg : « Wurstzellen », ou cellules en saucisse. Nissl et Alzheiner on[ préféré le
cisse. Nissl et Alzheiner on[ préféré le nom de Stabcheuzellen » où cellules en bâtonnets. Les cellules névrogliques allongé
préféré le nom de Stabcheuzellen » où cellules en bâtonnets. Les cellules névrogliques allongées et à bâtonnets se rencontr
l'affinité tinctoriale de ces éléments à bâton- nets montre que les cellules à bâtonnets ayant un noyau large, un carioplasm
nt des éléments en état de modification progressive, tandis que les cellules à bâtonnets, rétractées, très co- lorées, repré
ion uni-auriculaire. J. S. XXII. Les altérations cadavériques des cellules nerveuses étu- diées par la méthode de DonaggIo
llaire vraiment importante ; vers la 30e heure la délicatesse de la cellule commence à se manifester par un réseau moins ré
ruct bien en évidence ces altéra- trous purement cadavériques de la cellule nerveuse. Cette méthode bÍ i LEGISLATION. de
sont suivies de période de calme. Il demande lui-même à être mis en cellule et qu'on lui melte la camisole de force. Il p
se trouve dans le même état de mélancolie. Il demande à aller en cellule car il est le grand coupable ; il a tous les vice
n lui envoie des courants à distance. Il demande souvent d'aller en cellule , il ne mérite pas de 'vivre au milieu des autre
de l'attribut essentiel qui caractérise les mécanismes composés de' cellules nerveuses,l'inhibition. L'ins- tabilité fonctio
s agents ambiants, comme l'alcool, agissant directement soit sur la cellule du germe soit sur celle du sperme, peuvent ac-
ac- teurs héréditaires, ou, dans d'autres cas, les éliminer. Car la cellule du germe a sa vie propre, comme les autres élém
pension de 3° classe. « Ils l'avaient installée dans une étroite cellule en bois H48 VARIA. construite à dessein dans
n- dritiques ou le cytosome, voire même avec les axiterminales de cellules autres que celles dont proviennent les fibres aff
- midales moyennes,ont déjà impressionné directement ou par les . cellules à court taxone, dans les couches plus profondes,u
les à court taxone, dans les couches plus profondes,une infinité de cellules , elles-mêmes en rapport direct ou indirect par le
, soit les deux à la fois, et comment, grâce au jeu des résidus des cellules intéressées, sont évoqués les souvenirs rudimen
ubstance cérébrale ; et 2° une altération simultanément étendue des cellules nerveuses qui est négative ou positive, la lési
sion négative étant ca- ractérisée comme chez les imbéciles par une cellule à peu de pro- longements, et la lésion positive
s par l'auteur ne révèlent aucune- augmentation du pigment dans les cellules nerveuses ; 3° mais ils montrent la fréquence d
t aussi,par les observations rapportées.que les diverses couches de cellules cérébrales réagissent différemment à l'égard de
réagissent différemment à l'égard des agents irritants. Les grandes cellules pyramidales ont paru être les dernières à dégén
que dans l'idiotie épileptique, on voit se modifier le contour des cellules des couches supérieures, tandis que celui des c
contour des cellules des couches supérieures, tandis que celui des cellules pyramidales demeure sans change- ment. 5° Enf
MENTALE. 423 0 dans les états ou dans les rapports de celles des cellules cérébrales dont les activités normales sont acc
ient ou étaient rares. A l'autopsie on constata une suppuration des cellules iiiistoi- diennes, une atrophie du nerf auditif
accomplis pendant ces dernières années dans l'étude du cytosome des cellules ner- veuses, des fibres amyéliniques axiles et
s toutefois nous souvenir que beaucoup de toxines en s'unissant aux cellules nerveuses ou en modifiant de toute autre manièr
arquée au microscope par la présence dans les gaines vasculaires de cellules conjonctives hypertro- phiées, de cellules plas
es gaines vasculaires de cellules conjonctives hypertro- phiées, de cellules plasmatiques comme il en entre dans l'encépha-
ie générale, ayant, été rencontrés dans d'autres inflammations), de cellules diverses du type em- bryonnaire. Klippel pose l
s du type em- bryonnaire. Klippel pose le problème de l'origine des cellules qui infiltrent les gaines lymphatiques dans les
e que l'agent pathogène en action simultanée sur le sang et sur les cellules des , gaines vasculaires entraîne ici et là des
loi des - de mise en garde dans les asiles ; par Marnaj.p. 435. Cellules . Sur la continuité des - nerveuses et sur quelq
orifiques, p. 173. Dowwccro. Voir Réticutum fibre[- [aire. Voir Cellules ner- VCllSPS. Dysenterie. Sur l'étiologie de
. générale traumatique; par Collet, p. 154.- progressive ; voir Cellules . Pathologie de la générale des aliénés ; par
on primitive du en- docellulaire et des fibres lon- gues dans les cellules de la moelle épinière. Recherches expérimenta
80 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
crustations calcaires. C'est ce qui se produit, par exemple, dans les cellules cérébrales, d'après les obser-vations de M. le pr
artie la plus superficielle et sont logés, soit dans l'intervalle des cellules , soit dans leur intérieur même, ainsi que nous l'
réactif qu'on peut démontrer la présence des dépôts à l'intérieur des cellules du cartilage. Mais on possède d'autres moyens de
es de Malpighi sont injectés; les tubules urinifères sont remplies de cellules épithéliales distendues, opaques, et rem-plies de
e sels ; et montrent au microscope des cylindres fibrineux, garnis de cellules épithéliales, ou chargés de gra-nulations.M peut
r une vascularisation plus intense. Il existe, à l'état normal, des cellules de cartilage dans ces appendices synoviaux (Kôlli
déjà parlé. D'après M. Ranvier, il y aurait d'abord prolifération des cellules , puis formation d'un vrai cartilage ; la calcific
é-sence de deux faits principaux: le premier est la prolifération des cellules et la formation de capsules secondaires ; le seco
y verser leur contenu. On les y retrouve souvent avec les débris des cellules épithéliales (Rindfleisch, 0. Weber); d'autres fo
urfaces osseuses. Dans les parties jjrofondes, la prolifération des cellules Vig. 12. — Rhumatisme noueux. Surface du cartil
alcaires et s'ouvrent dans les espaces médullaires superficiels : les cellules qu'elles con-tiennent deviennent des cellules emb
ires superficiels : les cellules qu'elles con-tiennent deviennent des cellules embryonnaires de la moelle, et c'est à leurs dépe
les qui se développent dans ces circonstances, à la prolifération des cellules du cartilage diarthrodial. Cepen-dant le périoste
le qui subit cette transformation ; tantôt, au contraire, ce sont les cellules du cartilage qui prennent l'apparence de cellules
traire, ce sont les cellules du cartilage qui prennent l'apparence de cellules de tissu conjonctif. Quelle que soit la valeur de
, les chondroplastes les plus superficiels sont devenus globuleux; la cellule qu'ils contiennent s'est divisée, et a donné nais
qu'ils contiennent s'est divisée, et a donné naissance à une ou deux cellules secon-daires. Les choses peuvent en rester là,
formation nouvelle, les capsules viennent s'ouvrir pour y verser les cellules qu'elles contien-nent ; on voit alors celles-ci s
seuses subit une vascula-risation prononcée avec prolifération de ses cellules . Hasse (2) 1. Porster. —Handbuch der path. Anat
corps globuleux, dont les uns sont des cel-lules de cartilage ou des cellules épithéliales ayant subi la dé-génération graisseu
aiguë; tandis que la mucosine est produite par la transforma-tion des cellules épithéliales et de la substance fondamentale du c
s surfaces sous-jacentes, et l'on trouve alors le carti-lage dont les cellules ont subi dans les chondroplastes la dégé-nération
ssent la dégénération graisseuse, comme on le voit dans les os et les cellules de cartilages. D'ailleurs, à une époque plus avan
laire (d'après M. Gornil). p, Surface articulaire. v, n Groupe de cellules cartilagineuses infdtrécs et hérissées de cristau
en partie schématique, de la dissolution desurates qui incrustent une cellule cartilagineuse, sous l'influence de l'acide acé-t
'acide urique. c", Capsule dont la membrane apparaît, tandis que la cellule reste encore in-crustée. c'", Toute la cellule
araît, tandis que la cellule reste encore in-crustée. c'", Toute la cellule est claire, sauf un petit noyau central. 4° Art
e segmentation de la substance fondamentale, et de proliféra-tion des cellules , de telle sorte que, si les deux altérations se r
goutte, on voit se dissoudre les cris-taux d'urate de soude dont les cellules sont infiltrées ; celles-ci reprennent alors leur
n-siblement augmenté, et par une formation nouvelle de noyaux et de cellules embryo-plastiques ; le mamelon tout entier est im
aire du cartilage ; on ne les rencontrait jamais dans l'intérieur des cellules . Celles-ci ne nous ont pas paru présenter d'altér
matière siégeait exclusivement dans les espaces intercellulaires. Les cellules cartilagineuses elles-mêmes avaient l'aspect norm
soyeuses de cris-taux fins et allongés qui se dirigeaient du côté des cellules de cartilage libres de tout dépôt (Fig. 27, 0). A
ge libres de tout dépôt (Fig. 27, 0). A la limite du dépôt, entre les cellules tout à fait transparentes et les portions noires
es opaques (Fig. 27, N et Fig. 28, C) ayant la forme et le volume des cellules cartilagi-neuses, et de ces masses partaient des
out était dissous il restait aux points primitivement noirs de belles cellules cartilagineuses. Comme la dissolution se faisait
contenus dans la substance fondamentale du cartilage en lais-sant les cellules noires et encore incrustées (Fig. 28, c"). Puis l
lules noires et encore incrustées (Fig. 28, c"). Puis la membrane des cellules commençait à apparaître et les urates contenus da
en partie schématique de la dissolution dés-unîtes qui incrustent une cellule cartilagineuse sous l'influence de l'acide acétiq
une cellule cartilagineuse sous l'influence de l'acide acétique. — c, Cellules cartilagineuses incrustées et hérissées de crista
il se forme des cristaux d'acide uriquc,"u ; en c" la membrane de la cellule cartilagineuse paraît, tandis que son noyau reste
emps (Fig. 28, c"). Bientôt les urates renfermées dans le noyau de la cellule laissaient voir, en se dis-solvant, la membrane d
ltrées et hérissées de cristaux soyeux très fins d'urate de soude. o, Cellules cartilagineuses normales. même expérience qui n
s cartilages, se fait à la fois dans l'intérieur et à l'extérieur des cellules cartilagineuses. Les urates sont dans l'intérieur
ur des cellules cartilagineuses. Les urates sont dans l'intérieur des cellules , sous forme amorphe, et ces dernières, transformé
use du tissu cellulaire sous-muqueux ; on y rencontrait également des cellules de tissu conjonctif remplies de granula-tions fin
xaminés à un plus fort grossissement (300 diam.), sont vus remplis de cellules épithé-liales volumineuses, à contenu granuleux (
tivement enpetite quantité. De l'épithélium plus ou moins altéré, des cellules de pus, des dé-pouilles granuleuses (waxy casts)
t due aux granulations protéiques et graisseu-ses contenue:, dans les cellules épithéliales des tubes qur 1. Dickinson. — Medi
ent graduellement évident qu'une relation existe entre le dépôt et la cellule propre du cartilage, ou, pour être plus explicite
x étaient, dans le cas qu'il rapporte, composés d'urate de soude. Les cellules des cartilages affectés n'avaient pas disparu, et
iaire du cartilage; on ne les rencontrait jamais dans l'intérieur des cellules . Celles-ci ne nous ont pas paru présenter d'altér
rs vu, dans ce cas au moins, que la matière amorphe siégeait dans les cellules et que les cristaux aciculaires libres prenaient
e centres de cristallisation, et qui avaient le volume et la forme de cellules cartilagineuses parfaitement normales. Comme la d
rmédiaire du cartilage disparaissaient les pre-miers, en laissant les cellules de cartilage noires et encore incrustées (fîg. 19
lage noires et encore incrustées (fîg. 19, c1). Puis, la membrane des cellules com-mençait à paraître, et les urates contenus da
la matière amorphe d'urate se dépose aussi bien dans l'intérieur des cellules cartilagineuses qu'en dehors d'elles. Là, comme d
es, le processus est identique, la matière amorphe conte-nue dans les cellules de cartilage d'une part, dans les tubes urinifère
examen microscopique du dépôt nous a montré des globules muqueux, des cellules épi-théliales, des tubes urinifères, plus ou moin
ontournés très altérés, opaques à un faible grossissement, remplis de cellules épithéliales inliltrées de granulations graisseus
es, dont les plus grosses ont de 3 à 4 millièmes de mil-limètres. Les cellules épithéliales sont généralement volumi-neuses. Les
voit des tubes uri-nifères, presque complètement sains, possédant des cellules épithéliales transparentes ou légèrement granuleu
urate de soude. L'addition de l'acide acétique faisait apparaître des cellules cartilagineuses là où, avant la dissolution, on n
a profondeur de l'organe, ou, s'ils s'y produisent, ils épargnent tes cellules hépatiques et oc-cupent exclusivement la trame co
unes de ces petites masses, on distingue, à l'aide du microscope, des cellules plus ou moins nombreuses qui ne diffèrent pas des
scope, des cellules plus ou moins nombreuses qui ne diffèrent pas des cellules ordinaires du cartilage. C'est là le premier vest
s s'hypertrophient et il se forme, dans leur inté-rieur, de nouvelles cellules cartilagineuses; en même temps la substance fonda
a substance fondamentale, les capsules mères s'ouvrent et versent les cellules qu'elles renferment dans les sillons qui séparent
t et tombent dans la cavité articulaire où elles subissent, comme les cellules , la dégénérescence granuleuse ou mu-queuse. Mis
eurs points l'hypertrophie des chondroplastes avec proliféra-tion des cellules et la segmentation de la substance fondamen-tale
81 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
su conjonctif ou ses équivalents... Les éléments nobles des tissus ( cellules glandulaires, fibres musculaires), s'atrophient
IV, XV, fig. 2). Les éléments de cette néoformation sont de petites cellules rondes munies d'un noyau volumineux qui occupe
munies d'un noyau volumineux qui occupe presque tout le corps de la cellule . Pressées les unes contre les autres en amas co
, considérablement augmentées d'épaisseur, sont criblées de petites cellules rondes semblables à celles qui infiltrent les mén
x qui en cons- tituent la charpente, sont répandues des traînées de cellules rondes qui les dis- socient. Ajoutons que le ca
la seconde il sa membrane interne. Au niveau de ces deux zones, les cellules rondes sont tellement nombreuses qu'elles ca- c
paisseur. Ceci se voit surtout sur les parties latérales ; quelques cellules rondes disséminées pénètrent dans la moelle à c
es sont intactes. Dans la veine spinale antérieure, l'infiltration de cellules ron- des devient de plus en plus compacte à mes
e-mériennes qui conduisent les petits vaisseaux sont recouvertes de cellules rondes semblables à celles qui ont envahi les t
façon que les cloisons se présentent souvent comme des traînées de cellules 'embryonnaires en forme de triangles très allon
osmique et montées dans la glycérine. Dans la substance grise, les cellules des cornes antérieures se colorent mal par le c
ésence ici n'est pas sans relation avec les altérations des grandes cellules dont il sera question dans un instant. On la vo
tes. Elle se colore vivement par le carmin et l'hématoxyline. Les cellules nerveuses des cornes antérieures sont toutes dans
su névroglique ne montre pas d'indices d'irritation bien nets : les cellules n'y sont pas hypertrophiées, le feutrage fibrilla
aut. Canal central oblitéré par une production abondante de petites cellules à gros noyau. On aperçoit enlin sur les coupes
r (smp) est considérablement épaissi par un amas compact de petites cellules rondes ; tout au pourtour, celles-ci font irrup
carmin d'alun. Smp. Septum médian postérieur élargi et infiltré de cellules rondes ; vers sa base il présente la coupe d'un
ule de la pie-mère oblitérée. Pm. Pie-mère épaissie et infiltrée de cellules rondes. fg. Petit foyer gommeux intra-médullair
ui est très réduite. En outre leur gaîne lymphatique ren- ferme des cellules embryonnaires, eu abondance d'autant plus grande
éritables nodules arrondis avec 10, 1, lfi rangées concentriques de cellules embryonnaires, orientées au- tour d'un capillai
vrai, on aperçoit au sein de nodules embryonnaires semblables, une cellule géante absolument typique entourée de sa coller
une cellule géante absolument typique entourée de sa collerette de cellules épithélioïdes (Voir planche XIII, XIV, XV, fig. 5
rmin d'alun, ces filets nerveux se montrent sous la forme d'amas de cellules embryonnaires au milieu desquelles on reconnaît
matoxyline, grossissement 90 diam.). En bas et à droite on voit une cellule géante très nette, entourée de sa collerette de c
on voit une cellule géante très nette, entourée de sa collerette de cellules épithé- lioïdes. FIG. 6. CYLINDRES d'axe dans
breux entrelacés, coupés çà et là de libres élasti- ques, dénués de cellules embryonnaires. Les vésicules adipeuses s'y pré-
rfasciculaire est très épaissi, très ondulé, contenant ça et là des cellules connectives peu apparentes. Les gaines lamelleuse
noble; il forme des travées épaisses, entrecroisées, infiltrées de cellules jeunes et dissocie, en quelque sorte, les fibre
s ne sont plus représentées que par des gaines vides, encombrées de cellules embryonnaires et dépourvues de cylindre axe. La m
nalement transformé en un cordon fibreux. Nousn'avons pas trouvé de cellules géantes dans les nombreuses coupes que nous avons
nsistent essentiellement en une infiltration abon- dante de petites cellules rondes, munies d'un gros noyau qui occupe pres-
mère, nous avons signalé, clans la ré- gion dorsale, la présence de cellules géantes typiques : on a ainsi l'appa- rence com
sur quelques artérioles de second ordre. Ce sont les mêmes petites cellules rondes qui envahissent les parois veineuses, et
la paroi des petits vaisseaux qui occupent ces travées, des amas de cellules rondes sem- blables à celles qui infiltrent les
récédentes. Les éléments nobles des cornes antérieures, les grandes cellules ont beaucoup souffert. Elles sont ratatinées, s
conjonctives émanées de la méninge offrent des parois infiltrées de cellules rondes d'autant plus abondantes qu'on se rapproch
ment réduit par suite de l'hypertrophie de leur paroi ; les amas de cellules embryon- naires qui remplissent leurs gaines ly
ment de la façon suivante. Les travées vasculaires sont chargées de cellules embryonnaires qui envahissent par places le tis
s capillaires : d'où nutrition insuffisante, atro- phie des grandes cellules . On ne saurait dire avec précision quelle est l'o
s chercher ces caractères spé- cifiques. L'atrophie pigmentaire des cellules , la production d'exsudats colloïdes, l'hypertro
la for- mation de véritables granulations embryonnaires pourvues de cellules géantes (1); dans l'évolution de cette néoforma
désignés parfois sous le nom de granulomes (Vir- (1) La présence de cellules géantes dans les lésions spécifiques de la syphil
du vaisseau. La tunique adventice est envahie ultérieurement : des cellules rondes s'accumulent autour des vasa nourriciers
méninges et des parois veineuses, granulations embryon- naires avec cellules géantes) et que nous avons trouvés confirmés par
, mais qu'elle pré- sente en de certains points des amas de petites cellules rondes que l'hématoxy- line colore fortement en
itation. On trouve, tombées dans la lumière du vaisseau, de grandes cellules endothéliales des formes les plus bizarres, ren
UE 169 artères. Les unes ont leurs parois épaissies et couvertes de cellules rondes(fig. 15); d'autres sont oblitérées par d
modifications importan- tes du côlé de la névroglie et des grandes cellules . La corne droite antérieure ne présente pas une
llules. La corne droite antérieure ne présente pas une seule grande cellule , on peut dire, qui paraisse normale sur les cou
dans les deux cornes des stades plus avancés d'atrophie des grandes cellules ; mais alors elles sont méconnaissables ; le ra
; le ratatinement est complet, le noyau finit par disparaître ; la cellule est remplacée par un bloc de granulations jaunâtr
apparentes. Mais l'attention est attirée surtout par la présence de cellules de Deiters hypertrophiées dont les prolongement
s, en marquent le trajet. La névroglie a proliféré abondamment; les cellules nerveuses sont atrophiées. Les lésions des cord
obles du tissu ont tota- lement disparu. Tout a tait au centre, les cellules se colorent rnal : leurs noyaux prennent une te
apparence normale dans la moelle dorsale in- férieure : les grandes cellules recouvrent leur forme, leurs dimensions : elles
vestiges importants qui en ont subsisté. C'est une infiltration de cellules rondes très évidente en certains endroits de la
autour des vaisseaux qui pénètrent en ce point, une accumulation de cellules rondes semblable à celle que nous avons décrite
stérieure), on ne constate pas de lésions appréciables. Les grandes cellules des cornes antérieures se montrent normales comme
quelques petits vaisseaux méningés ont leurs tuniques infiltrées de cellules rondos et sont plus ou moins oblitérées ; mais
rtantes. Cepen- dant, dans la moitié gauche do toute la région, les cellules nerveuses qui com- posent ces noyaux paraissent
une tuméfaction de l'enveloppe du nerf, formée d'un amas de petites cellules rondes à gros noyau. Toute la région périphériq
utre la coupe de petits vaisseaux dont les parois sont pénétrées de cellules rondes exactement semblables il celles qui infi
intimement soudées à la moelle : tout au plus existe-t-il quelques cellules rondes au pourtour des petits vaisseaux qui son
cette méningite ; le tissu montre au microscope un grand nombre de cellules rondes et de corps granuleux. Nous signalerons
nature syphilitique de la maladie (granulations embryonnaires avec cellules géantes, foyers gommeux mi- croscopiques émanan
82 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
réseau à travées épaisses. Dans ce tissu, on observe de nombreuses cellules de Deiters qui sont tuméfiées et qui ont un asp
ux. Les mailles du réticulum sont vides, ou bien occupées par des cellules arrondies ou polygonales, légèrement granuleuses,
Elle présente de vastes mailles qui contiennent un grand nombre de cellules analogues à celles que nous avons décrites tout
eure : il y a en certains points des accumulations compactes de ces cellules . Les fibres nerveuses qui s'y rencontrent sont
is de sang. Il existe une prolifération nucléaire abondante, et des cellules analogues à celles décrites dans la subs- tance
Un certain nombre de ces masses, les plus volumineuses, sont des cellules ganglionnaires ayant subit la dégénérescence vitr
érescence vitreuse. On ne trouve dans les cornes antérieures aucune cellule nerveuse ayant conservé ses caractères normaux.
ucune cellule nerveuse ayant conservé ses caractères normaux. Les cellules de la colonne de Clarke sont également modifiées
ion des cylindres-axes, infiltration cellu- laire. La plupart des cellules des cornes antérieures conservent leur configur
s l'altération des vaisseaux, ni l'infiltration cellu- laire et les cellules des cornes aiitérieuresparaisseiitlout àfait nor-
un vaisseau assez considé- rable et celui-ci était entouré par des cellules , les unes petites, arrondies, n'ayant pour ains
ar l'action de l'alcool, a vu des corps granuleux se transformer en cellules parfaitement t semblables à celles qu'ils ont c
spaces du réseau sont tout à fait vides, ou bien ils renferment des cellules arrondies ou polygonales qui se ren- contrent é
MOELLE ÉPINIÈRE. 53 La substance grise est également altérée : les cellules gan- glionnaires sont transformées en blocs vit
lanche sont peu prononcées : -. en certains points apparaissent des cellules de Deiters qui sont tuméfiées et les travées co
ui sont tuméfiées et les travées conjonctives sont épaissies. Les cellules des cornes antérieures présentent toutes une dégé
es cornes antérieures présentent toutes une dégé- Fig. 10. à, 0, c, cellules des cornes antérieures, au niveau de la qua- tr
roglie, de même que le tissu conjonclif, paraissent épaissis. Les cellules des cornes antérieures présentent la plupart une
entraîné la des- truction des fibres nerveuses et l'altération des cellules ganglionnaires ; aussi, comprend-on sans peine
es du tissu interstitiel ont acquis une épaisseur considérable. Les cellules des cornes antérieures ont subi la dégénérescen
des qui font complètement défaut dans le premier cas. Du côté des cellules des cornes antérieures, on constate également d
folie avec hallucinations et violence. On doit isoler le malade en cellule pendant quelques heures. Dans les intervalles d
écessitant trois fois le cathétérisme. Le malade est placé dans une cellule éloignée des autres alié- nés et peu éclairée.
s. Il est bien probable que c'est le pouvoir excito-moteur même des cellules des cornes antérieures qui est exagéré, mais ce
appliqué à la périphérie. Quoi qu'il en soit, dans le tétanos, les cellules des cornes antérieures de la moelle envoient au
on qualifie de l'appellation tétanique. Dans l'épilepsie, ces mêmes cellules envoient aux mêmes muscles une excitation diffé
ébrale dé l'épilepsie. Il compare, après Schroeder van der Kolk, la cellule nerveuse à une bouteille de Leyde. Dans l'épile
. L'excitation, le courant conséquence de la décharge, transmet aux cellules du bulbe et de la moelle l'incitation à leur fo
ion. Chez notre malade, quand la décharge épileptique a lieu, les cellules de la moelle obéissent à ce qu'on peut appeler
ssitôt que la décharge cérébrale est apaisée. - Elles obéissent aux cellules cérébrales à cause de la subor- dination de la
indique, d'après l'auteur, une atrophie dégénéralive des fibres et cellules nerveuses, des noyaux, des oculomoteurs com- mu
ée dans la corne postérieure, en se terminant probablement dans les cellules nerveuses situées en cet endroit. - 2° Il n'y a
ment développés. Dans chacune des zones correspondantes on voit des cellules nerveuses assez bien marquées, et des fibres bl
de myéline. P. KÉRAVAL. VIII. DE l'existence ET DE l'importance DES CELLULES granuleuses dans LE système nerveux DE l'homme
x DE l'homme ; par Tir. 11OSbNIIEIM. (Arch. ? Psycle. XVII, 3.) Les cellules granuleuses ou granulées d'Ehrlich, cellules irré
Psycle. XVII, 3.) Les cellules granuleuses ou granulées d'Ehrlich, cellules irrégu- lières à gros noyaux, dont le protoplas
finalement de granulations brillantes libres ou contenues dans des cellules . Cette dernière forme de l'altération se rattache
aux cas d'athéromes accompagnés de dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses et des vaisseaux, d'oedème cérébral ou
e paralysie générale avancée, ou ne notera l'absence de lésions des cellules nerveuses, seulement, beau- coup de ces cellule
nce de lésions des cellules nerveuses, seulement, beau- coup de ces cellules sont demeurées intactes. P. K. Xi. DE L'ORIGINE
u dit de l'accessoire. Ce noyau se compose d'un groupe de grandes cellules multipolaires, disposées en chapelet. Ce groupe e
tié de la moelle du côté opposé. Mais il est aussi probable que des cellules nerveuses interrompent les fibres radiculaires
ébut de la maladie. A l'autopsie : dégénérescence et atrophie des cellules nerveuses de l'ecorce cérébrale et de la moelle
ements fibrillaires indiquaient une affection tropho-irritative des cellules nerveuses des cornes antérieures, et les nécros
e, vont en se ramifiant à travers la couche des granulations et des cellules jusque dans le substratum de névroglie en un pl
l. L'élection au carminate d'ammoniaque témoigne de l'intégrité des cellules nerveuses. Les vaisseaux sont intacts, à l'exce
ns la première temporale droite. En quelques points on constate des cellules araignées isolées, mais sans qu'on soit en droi
ux. Au fond de ces préaux, à l'opposé des barreaux, se trouvent les cellules , dont la cloison, correspondant aux barreaux, e
es, lorsque le temps le permet. Tous les malades des quatre ou cinq cellules de chaque préau sont ensemble dans ce préau pen
les empêche non plus, la nuit, de causer ensemble. La porte de la cellule est fermée, il est vrai, mais comme elle est comp
me elle est composée de barreaux, la voix s'entend sans peine d'une cellule à l'autre. Ajou- tons que, dans le jour, les ba
r préau, comme auparavant, moyennant quoi ils réintégreraient leurs cellules . Comme on le pense bien, M. le directeur qui en
- pice de Bicêtre, 1878, n° 25. 1 faits DIVERS. 139 quartier de cellules réalisant un isolement complet et toutes les co
rrection, soit neuf ans de déten- tion. L'enfant fut ramené dans sa cellule . Une heure après on le trouva mort; il s'était
une atrophie générale de la moelle, une pig- mentation anormale des cellules nerveuses, un dépôt abon- dant de corps amyloïd
partie des fibres motrices du trijumeau prennent nais-ance dans les cellules qui, dans le voisinage de l'aqueduc de Sylvius,
araignées qui forment de nouveaux vaisseaux. Atrophie parallèle des cellules nerveuses et des fibres nerveuses qui disparaisse
simple, sans autre modification dans la structure histologique, des cellules des cornes antérieures cor- respondantes ; cett
heure ou deux (Krauss). La myéline n'étant pas touchée, on voit les cellules nerveuses, x les cylindraxes, le tissu conjonct
ion interstitielle et celle-ci à l'intoxication pri- mordiale de la cellule cérébrale ; cette prolifération serait d'abord
rolifération serait d'abord un adjuvant utile pour désintoxiquer la cellule noble, et plus tard nuisible par excès de dével
uches se continuent sur la tache olfactive de la muqueuse nasale ( cellules , bâtonnets et membrane limitante). La membrane
du cerveau détermine la multiplication des fibres nerveuses et des cellules . Aussi les organes de la base aug- ment-ils de
fille était entré hier soir il l'asile et avait été interné dans la cellule ne 29, où il était surveillé par un gardien nommé
ur aliénation mentale, par Zenker, 115 ; comme péna- lité, 301. Cellules granuleuses, importance des - dans le système n
83 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la pression. De plus, à quelque distance des sacs angiomateux les cellules de Purkinje avaient disparu, peut-être par suit
érations intéressantes sur la dégénérescence et la régénération des cellules ganglionnaires. (American journal of insanity,
t également lésées. Dégénérescence ascendante des nerfs jusqu'aux cellules des cornes antérieures. Dégénérescence des racine
e formalité que la décision du médecin traitant. Il n'existe pas de cellules . Les agités sont attachés à une chaîne. M. Va
haque division : SOCIÉTÉS SAVANTES. 69 Dr Deiiio. Altérations des cellules ganglionnaÍ1'es dans les into,7.Í- cations. D
rs russes (Danillo, Popow, Tschisch) ont étudié les altérations des cellules provoquées par des intoxications expérimentales
t des plus importants : ils ont limité leurs recherches aux grandes cellules motrices de la corne antérieure et décrit les a
cocaïne, la nicotine, l'antipyrine, l'alcool. Nissl pense que les cellules ganglionnaires à fonction physiolo- gique spéci
'anémie grave) ; enfin les stades terminaux des dégénérescences des cellules ganglionnaires sont difficiles à différencier.
dé par Nissl. Les recherches ont porté sur deux lapins. Les grandes cellules motrices présentaientla modi- fication spéciale
ient surtout sur la substance chromophile et sur le noyau. D'autres cellules de la corne antérieure étaient également intére
ient également intéressées. Les lésions por- taient surtout sur les cellules du groupe moyen de la région dor- sale. Les cel
urtout sur les cellules du groupe moyen de la région dor- sale. Les cellules des ganglions spinaux étaient normales, de même
nt normales, de même celles de la corne postérieure. Les noyaux des cellules du bulbe étaient eux aussi altérés. (Allg. Zeit
ctuellement, surtout depuis les recherches de von Lenhossek sur les cellules particulières de la substance grise ' Bouchard.
Archives, te série, t. IL 6 82 ANATOMIE. de la moelle, dénommées cellules des cordons, que ces fibres sont les prolongeme
ents de neurones dont l'élément noble ne serait autre que ces mêmes cellules des cordons. Mais si l'on se reporte aux descri
néomembrane encore en voie d'organisation formée de leucocytes, de cellules conjonctives allongées, de masses fibri- neuses
e l'énergie corticale. Les éléments moteurs sont constitués par des cellules de forme spéciale, mais ces cellules ne sont pas
oteurs sont constitués par des cellules de forme spéciale, mais ces cellules ne sont pas limitées dans des zones spéciales d
des de l'activité corticale paraissent-ils être dus bien plus à des cellules de formes différentes, répandues dans les diverse
les diverses couches de l'écorce plutôt qu'à la distribution de ces cellules dans des zones spéciales de la surface cortical
'étaient pas très prononcées. Les modi- fications dans l'aspect des cellules ganglionnaires, particulièrement dans les corne
lus sévères, M. Raymond voit dans l'hérédité un des attributs de la cellule . L'étude des myoclonies forme deux chapitres in
altée jusqu'à frapper au visage le policeman qui la conduisait à sa cellule . Le procès de cette triste alcoolique a dû être
it blessé ses gardiens. Hier matin un gardien se présenta dans sa cellule . Mais le fou élait parvenu pendant la nuit à se d
ne barre de fer de sa lucarne. Lorsque le gardien pénétra dans sa cellule , le fou le frappa vio- lemment à la tête d'un c
ion. L'examen microscopique, par le procédé de Nissl, montre que la cellule quadrangulaire, qui est à bords concaves, avec
3 août avec notre ami le professeur Spillmann. Il se compose de six cellules analogues mesurant environ 2 mètres de long, 1m
nd il n'y a pas assez de places, on met deux individus dans la même cellule ! Deux cellules sont au ? 'M-e-c/t6f ! Mëe. Ell
assez de places, on met deux individus dans la même cellule ! Deux cellules sont au ? 'M-e-c/t6f ! Mëe. Elles ont une petit
e ouverture avec barreaux el grillage au-dessus de la porte. Quatre cellules sont dans la cave; on y descend par un escalier
de vingt marches, éclairé au tournant par un bec de gaz. Trois des cellules n'ont aucun éclairage ; la quatrième a un très
s les criminels. Nous n'insisterons ni sur la promiscuité (deux par cellules ), ni sur la transmission des maladies infectieu
jamais eu recours aux moyens de coerci- tion, mais nous avions des cellules aux murs épais et aux vitres incassables. Depui
rnières années nos malades sont traités par le séjour au lit et les cellules sont devenues inutiles. Autrefois nous cherchio
sont devenues inutiles. Autrefois nous cherchions à construire des cellules de plus en plus solides et bien appropriées, ma
myéline, dans le dernier cas la myéline est boursouflée, lésée. Les cellules nerveuses sont aussi atteintes, mais non profondé
ns vascu- laires consistent en une infiltration, parfois énorme, de cellules embryonnaires à noyaux régulièrement arrondis,
s cylindres-axes dépouillés de leur myéline, mais non détruits. Les cellules nerveuses sont altérées, mais non détruites non
st sous l'in- fluence des vaisseaux, la prolifération excessive des cellules em- bryonnaires à noyaux ronds, la présence de
ée. Quant aux tumeurs, elles sont exclusivement constituées par des cellules em- bryonnaires pressées les unes contre les au
l'heure actuelle, déceler des altérations fines et primitives de la cellule . Ce sont précisé- ment ces altérations fines et
place-t-il la cause de l'amyotrophie tabétique dans l'affection des cellules (rophomotrices des cornes antérieures. 320 RE
ultant des altérations les plus pri- mitives, dites dynamiques, des cellules trophomotrices, se montre à la périphérie quant
es fibres - nerveuses périphériques dans toute leur longueur, de la cellule jusqu'aux terminaisons, parce que le trouble tr
uble trophique résultant de la diminution de l'énergie vitale de la cellule nerveuse se montre au point le plus périphériqu
détruisant d'une manière véhémente et complète non seulement les cellules mais aussi tous les autres éléments histologiques
L'expression clinique de ces altérations lentes et progressives des cellules , c'est l'amyotrophie, qui ne montre ni secousses
èle soit une lésion scléreuse, soit une dégénérescence amyloïde des cellules , et dans tous les cas, l'atrophie des fibres et
yloïde des cellules, et dans tous les cas, l'atrophie des fibres et cellules . P. K. XIV. DES CONVULSIONS ET DE l'amnésie obs
de la zone du langage partent des fibres de projections venues des cellules pyramidales. Les mieux connues- sont celles de
a messe matinale, il fut pris d'un mal de tête et se retira dans sa cellule , où il éprouva tout à coup une crise de la mala
c armés de lances d'un feu qui sentait le soufre, entrer dans ma « cellule pour me percer; mais avec la croix que je tenais
'une sorte d'installation provisoire. Peut-être ne préparait-on une cellule qu'à chaque entrée ; peut-être les Capucins n'é
figures démonstratives et de considérations sur l'histologie de la cellule nerveuse, montre que les polynévrites déterminent
Il était dans un état de fureur extraordinaire, on le mit dans une cellule de sûreté. Après quelques instants il se précipit
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 48l t représentent les cylindres des cellules de Purkinje. Ces fibres des- cendantes se distr
côté opposé soit du même côté, puis se mettent en relation avec les cellules de l'étage supérieur de la protubérance, établi
xion en partie croisée, en partie directe, entre le cervelet et les cellules du « tegmentum pontis » ; 4° Faisceau interne
res corticales se ter- minent au niveau de la protubérance dans les cellules de la substance grise du même côté, établissant
se réticulaire du toit de la protubérance, formée en partie par des cellules géantes médianes, en partie par de petites cell
partie par des cellules géantes médianes, en partie par de petites cellules . Les prolongements protoplasmiques des cellules
rtie par de petites cellules. Les prolongements protoplasmiques des cellules situées près du raphé s'eliti-e-croiseiiL avec
ues des cellules situées près du raphé s'eliti-e-croiseiiL avec les cellules de la subs- tance réticulaire du côté opposé, f
éléments de la névroglie de la protubérance peuvent être divisés en cellules à longs prolongements, cellules à courts prolon
rotubérance peuvent être divisés en cellules à longs prolongements, cellules à courts prolongements et cellules coudées. (Th
cellules à longs prolongements, cellules à courts prolongements et cellules coudées. (The alienist neurologist, avril 1896.
482 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. gements des cellules de Deilers ne sont pas des prolongements et que
longements et que les fibres de la névroglie s'enroulent autour des cellules de la névroglie sans avoir de connexion directe
es cellules de la névroglie sans avoir de connexion directe avec la cellule elle- même. Cette méthode a l'avantage de ne co
qui peuvent se produire sur un autre point. « Aux agitées chaque cellule n'était occupée que par une seule ma- lade. Le
cellule n'était occupée que par une seule ma- lade. Le couloir des cellules du rez-de-chaussée et celui des cellules du pre
e ma- lade. Le couloir des cellules du rez-de-chaussée et celui des cellules du premier étage étaient garnis sur presque tou
lles criant et gesticulant. Nous' devons dire que les ma- lades des cellules étaient presque toutes debout se promenant dans
cnfdntsopérés de- double congénitale, par Vurpas et Egëli, 153. CELLULES Etat des - ganglionnaires dans les intoxication
84 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
par la volonté de l'expérimentateur. 5° L'expérience terminée, les cellules nerveuses et les fonctions influencées sont repla
rupture de contact entre les différents neurones, soit parce que les cellules ganglionaires rentreraient leurs ramifications co
'irritation externe, banale ou microbienne amène la prolifération des cellules du stratum dentelé (Cf. Kühneman, Mon. fur prakt.
a suggestibilité naturelle. Il en est de même d'agents toxiques de la cellule nerveuse, tels que l'alcool, le tabac ou les narc
(suite) (1) II LE SOMMEIL CHEZ LES VÉGÉTAUX I. — LE SOMMEIL DES CELLULES VÉGÉTALES Les êtres polyplastidaires descendent
ntant actuel dans l'ovule. Dès lors on est en droit d'inférer que les cellules des êtres polyplastidaires ont des propriétés ana
s non classés Si l'on vient à ébranler, à comprimer ou à couper une cellule d'une plante appartenant aux genres Chara, Nitell
ffisante, l'arrêt des mouvements circulatoires a lieu dans toutes les cellules de la plante. Toutefois le phénomène est plus mar
la plante. Toutefois le phénomène est plus marqué au voisinage de la cellule atteinte. Il se produit plus aisément dans les pl
atteinte. Il se produit plus aisément dans les plantes jeunes. Les cellules des pedicelles des tentacules de la feuille de Dr
laments perlés. Au bout d:un certain temps, elles disparaissent et la cellule se montre de nouveau pleine d'un liquide pourpre
côte interlobaire déterminent de même la rétraction du bioprotéon des cellules des glandes de la feuille II. — Mouvements phys
ouvements physiques I. — Ondulations thermiques.—Il existe pour les cellules végétales, comme pour les êtres monoplastidaires,
es êtres monoplastidaires, une température optima de veille. Dans les cellules de Nitella flexilis les mouvements circulatoires
nts circulatoires cessent à 0°5 et un peu au-dessous de 37°; dans les cellules des poils des genres Tradescantia et Cucurbita à
température de —14°, les mouvements bioprotéiques s'arrêtent dans les cellules des poils staminaux de cette plante. De plus leur
ffé de 16° à 40°. Le sommeil par la chaleur se produit aussi dans les cellules des poils des Mormodica. Si l'on expose pendant
s sphériques. La température optima de rétraction du bioprotéon des cellules des tentacules foliaires de Drosera rotundifolia
er d. Einwirkung d. "Lichtes auf die Pilze Helsingfors. 1890. les cellules s'endorment.aussi sous l'influence de la lumière
ea. Pringsheim a montré qu'une lumière intense déterminait dans les cellules végétales : 1° la rigidité du bioprotéon; 2° la f
i l'on fait agir pendant un certain temps une lumière intense sur les cellules cylindriques des plantes du genre Mesocarpus, le
iques des plantes du genre Mesocarpus, le ruban chlorophyllien de ces cellules se ramasse en un corps vermiforme d'un vert foncé
ert foncé (Stahl.) 3° Ondulations électriques. — Il existe pour les cellules végétales, un optimum électrique de veille. Grand
ussi un certain nombre d'expérimentateurs ont provoqué le sommeil des cellules végétales par des excitations électriques. Becq
riques. Becquerel (1) a montré que les mouvements bioprotéiques des cellules des Chara s'arrêtaient sous l'influence d'un cour
nstant d'une certaine intensité. De son côté Jurgensen a vu, dans les cellules de Vallisneria spiralis (vallisnère), les mouveme
vit des courants électriques d'intensité suffisante amener, dans les cellules des poils staminaux de Tradescantia virginica, la
rt longtemps. D'une façon générale les mouvements circulatoires des cellules végétales sont suspendus, lorsqu'on les dépose da
lus long à se produire. Le phénomène a été observé par Kühne chez les cellules de Tradescantia vir-ginica. Jean Demoor a vu de
ica. Jean Demoor a vu de son côté, les mouvements bioprotéiques des cellules des poils staminaux de cette plante cesser dans l
ls staminaux de cette plante cesser dans le (1) Oscar Hertwig. — La Cellule . vide, dans l'hydrogène, dans l'acide carboni
yra était suspendue par l'action du chloroforme. Si l'on plonge des cellules de Vallisneria, d'Hydrocharis, etc., dans une sol
vement la concentration, le bioprotéon se rétracte peu à peu dans les cellules de ces plantes, et se présente sous l'aspect de p
cobra, viande en infusion, provoquent la rétraction du bioprotéon des cellules radiculaires de Drosera rotundifolia. Les faibl
aibles solutions de carbonate d'ammoniaque ont la même action sur les cellules radiculaires de Dionœa muscipula, d'Eu-phorbia pe
rotéon des glandes foliaires de Dionœa muscipula. Le bioprotéon des cellules des glandes, des processus qua-drifides et des po
quadrifides et les pointes. Cette substance agit de même sur les cellules des processus bifides et quadrifides et des gland
Gun-glienund Hirnrindzetlen » (incapacité fonctionnelle de toutes les cellules sous-corticales des ganglions et du cerveau) prov
rche l'explication dans une inhibition de l'activité d'une partie des cellules ganglionnaires, comparable à celle qui se produit
t organe n'est pas sain. » (2) Que la pensée soit élaborée dans une cellule cérébrale, qu'on la considère comme le résultat d
Le sommeil des organes végétaux n'est que le résultat du sommeil des cellules végétales qui les composent, et dont quelques-une
ibe. C'est la rétraction ou mieux la contraction du bioprotéon de ces cellules qui détermine, dans les organes végétaux, les mou
ieure. Nous avons vu que, sous diverses influences, le bioprotéon des cellules de ces tentacules se rétrac- (1) A. Sabatier, l
cembre 1902 et Janvier 1903. tait. Cette rétraction se propage de cellule en cellule, après un court arrêt à la cloison qui
et Janvier 1903. tait. Cette rétraction se propage de cellule en cellule , après un court arrêt à la cloison qui les sépare
flexion, qui persiste plusieurs heures, résulte de la contraction des cellules situées à la face interne de la base du tentacule
énomène fait rapprocher l'une de l'autre les molécules des parois des cellules , de la même façon que les molécules du protoplasm
de la même façon que les molécules du protoplasma contenues dans les cellules ; il en résulte que les parois des cellules se con
oplasma contenues dans les cellules; il en résulte que les parois des cellules se contractent. » (1) Sous l'influence des caus
active, consiste dans un tissu parenchymateux mou, constitué par des cellules arrondies à enveloppe mince de cellulose pure, et
annin concentrée, entourée d'une mince enveloppe. Il existe entre ces cellules de vastes méats remplis d'eau ou d'air. Ce (1)
'autre part, les observations de Widersheim (1890) ont révélé que les cellules nerveuses ne sont pas immobiles, mais présentent
ulterait du défaut de contiguïté parfaite entre les ramifications des cellules » et ajoute (3) : «il ne me parait pas irrationne
ommeil naturel puisse être causé par le retrait des prolongements des cellules (du senssorium) amenant ainsi l'isolement de cell
l'homme endormi, des réactions réflexes, mais ne passent pas dans les cellules de l'écorce cérébrale... » Le même auteur (5) e
'une contraction manifeste du bioprotéon. 2° Il existe, pour chaque cellule , à l'égard des différents modes du mouvement, un
étamines. 5° Dans le règne végétal, elle est plus marquée chez les cellules et les organes jeunes, lesquels présentent ainsi
entent ainsi une propension au sommeil que nous retrouverons chez les cellules animales jeunes, chez le petit de l'animal et che
par la volonté de l'expérimentateur. 5° L'expérience terminée, les cellules nerveuses et les fonctions influencées sont rempl
85 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n effet, une lésion qui amène l'usure cérébrale, la destruction des cellules intellectuelles se concilierait-elle avec la co
e sitpé7,o-a ? îtéi,iettî ou olfactif, possédant en sa muqueuse des cellules pigmentaires en rapport direct avec la première
nt les substances odorantes, entrent dès lors en contact avec les cellules olfactives, et y provoquent les vibrations molécu
l'atrophie scléreuse sénile de ses racines, la perte de pigment des cellules (Hutchinson et 0-le), la déchirure traumatique
n voici le sommaire : Observation L-Il s'agit d'un gliome à petites cellules occu- pant, dans l'hémisphère droit, le segment
. Observation II. Généralisation d'un cancer médullaire à grandes cellules avec gros noyaux siégeant à gauche au milieu du
rgissements du canal central, à cause de leur situation et de leurs cellules épithéliales; d'autres fois on n'a trouvé aucun
que prononcée. Mais aussi leur caractère d'immobilité, l'absence de cellules granuleuses (avant-coureurs de l'atrophie des é
dans la moelle dorsale supérieure. Disparition du groupe moyen de cellules des cornes antérieures, depuis la quatrième pai
e était notablement atro- phiée et'ne contenait plus qu'une ou deux cellules en bon état ; mais à droite les groupes de cell
qu'une ou deux cellules en bon état ; mais à droite les groupes de cellules étaient sains. A la région lom- baire, les corn
eur de la gaine et non pas appliqués à sa surface, à la façon des cellules plates du tissu conjonctif. Évidemment il ne s'
petites et semblent en voie d'atrophie. La trame conjonctive et les cellules nerveuses ne présentent aucune modification app
u conjonctif dissociées en même temps que les fibres nerveuses, les cellules plates ont paru plus nombreuses, plus volumineu
es granulations brunâtres qui paraissent résider surtout dans les cellules du périthélium. Les coupes transversales du ner
xa, ne présente aucune altération appréciable de ses fibres, de ses cellules ou du tissu conjonctif. Racines. La racine post
opinion de Kuhne, d'après laquelle le pourpre serait un produit des cellules pigmentaires de la rétine. Il pense en outre qu
uivantes : le pourpre est une substance albuminoïde, formée par les cellules de revête- ment de la rétine et dont la product
r et du bras, l'exis- tence en plein canal vertébral d'un sarcome à cellules fusi- formes, péridure-mérien qui, implanté sur
érieurs à une longue impotence (pas d'altération correspondante des cellules antérieures de la moelle), tandis que celle des
ration accentuée des endothéliums de -la gaine et des cloisons; ces cellules d'abord considérablement hypertrophiées se sont
autres (mailles vides), ou de les remplacer par des conglomérats de cellules , ondothéliaies. Dans les parties moyennes, on t
es surle revêtement endothélial des tractus arachnoïdiens : grosses cellules rondes, à gros noyaux ronds, conglomérées parfo
sous une forme encore inconnue. Contribution ci l'hislor.hiulie des cellules ganglionnaires, par M. Wrr- kowski (de Strasbou
plus que des débris d'enveloppe pâles, mais distincts). Les grosses cellules ganglionnaires nerveuses, de quelque centre qu'el
estige ou que facilement il présente la réaction de lanucléine. Les cellules elles- mêmes se comportent diversement à l'égar
ons. Du moins le recoquevilicmcntet la rayure sont-ils spéciaux aux cellules de l'écorce cérébrale et cérébelleuse, sans toute
utefois se montrer constants. D'autres éléments (noyaux du cerveau, cellules de la corne antérieure de la moelle) présentent
i généralement promptement devant les alcalis. Un certain nombre de cellules contiennent des substances réfractaires, car en
s, très faiblement gra- nuleux, arrondis : ainsi en est-il pour les cellules fortement pig- mentées du corps rbombuidai du c
différences d'âge de ces éléments et que les variations dans les cellules d'une substance à structure moléculaire complexe
structure moléculaire complexe sont en rapport avec la fonction des cellules . C'est, du reste, ce qu'ont confirmédes recherc
ne (comme le noyau) est en relation étroite avec la formation de la cellule . En existe-L-il une pour les cellules ner- veus
troite avec la formation de la cellule. En existe-L-il une pour les cellules ner- veuses adultes, développées : cela est enc
qui concerne la pathologie, Strickeret Ungcronl découvert dans les cellules nerveuses enflammées des altérations particulière
oupes. On;m'.5 reéQnn : i ? lilûs2 trace de$a structure normale les cellules adipeûsèsfiitës nlVé ? i , 1 , e.1 1 l 141l 1,
spontanées étaient réellement sous la dépendance d'altérations des cellules des cornes ai bilé, F-- e eti 1 tk 1 J 1 M <
ophie musculaire concomitante, quand on sait pertinemment que les cellules antérieures de la moelle jouent vis-à-vis des m
ent dans l'intérieur de la moelle entre les différents groupes de cellules nerveuses qui correspondent'aux'groupes mus- cu
De l'alaxie locomotrice, Paris, 1882). D. B. XXXII. Altérations des cellules nerveuses D1NS'L'IN1L : lvi- ' TIrl1'ION de la
cessivement en revue la plupart des alté- rations que subissent les cellules nerveuses dans'les différentes variétés de myél
ophie. Ce qu'il a. observé, c'est une augmentation de volume de, la cellule , dont le protoplasma est plus clair, plus réfri
rles caractères du protoplasma, il s'agirait d'une hydropisie de la cellule , bien plutôt que d'une hypertrophie véritable.
raisons qu'il fait valoir à l'appui de cette opinion : l°Acôté des cellules qui ne contiennent que des corpuscules profonds
que s'il s'agissait d'une va- cuole, on n'observerait rien entre la cellule et le tissu am- biant. 2° Dans l'espace libre r
lule et le tissu am- biant. 2° Dans l'espace libre réservé entre la cellule et le tissu voisin, se voient des corpuscules l
comme dimension, que ceux qui sont contenus dans l'intérieur de la cellule . Quand cet espace est plus grand que les dimens
petit, le corpus- cule se loge d'un côté dans le protaplasma de la cellule , de l'autre côté dans le tissu nerveux voisin.
ssu nerveux voisin. 31 Ces mêmes corpuscules se retrouvent loin des cellules , en plein tissu nerveux, et cela aussi bien dan
ant la nature et l'origine de ces cor- puscules ? A l'intérieur des cellules nerveuses fortement colo- 35S REVUE DE PATHOLOG
inflammatoire. Ces boules de myéline seraient incorporées par les cellules nerveuses, lorsque celles-ci ont été modifiées pa
rme « altération vacuolaire » ! celui d'infiltration médullaire des cellules nerveuses ? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigm
mentaire et atrophie pigmentaire. L auteur pense que le pigment des cellules nerveuses est de provenance hématique. On le've
férentes phases de l'al- tération et de'l'atrophie pigmentaires des cellules nerveuses.' En résume, le mémoire de M. Barraqu
s dégénéiescenccspigmenlaires localisées dans- l'espèce aux grandes cellules (pyramidales de la zone corticale motrice. 2°
ue pendantla vie extra-utérine ainsi qu'en témoigne la présence des cellules pyramidales bien développées, et probable- ment
élite éhrônique"dû faisçëâu, pyra- midal dans les cordons latéraux ( cellules granuleuses) ? ? Ainsi, malgré touteslesapparen
s malades; 79 valides. Le bâtiment réservé aux aliénés renferme 190 cellules , tant au rez-de-chaussée qu'au pre- mier étage,
gités et les malades violents, de vases de nuit en caout- chouc, de cellules capitonnées et caoutchoutées ; un agencement ré
tonnées et caoutchoutées ; un agencement réservé aux gâteux. Chaque cellule est munie d'un système de signal électrique. L'
gités, consignés au rez-de-chaussée, sont visités avant d'entrer en cellules ; celles-ci sont explorées dès qu'ils en sorten
ances suicides ou agressives qui exigent une surveillance spéciale ( cellules du rez-de-chaussée); 2° les épileptiques et ceu
tiques et ceux dont l'intelligence est affaiblie ; ils occupent des cellules en partie capitonnées, au rez- de-chaussée ; 3°
pés, dans le service SOCIÉTÉS SAVANTES. " 403 des hommes, par des cellules (plus de deux cents) de chaque côté d'un corrid
s) de chaque côté d'un corridor médian; chaque fenêtre éclaire deux cellules . Aux extrémités du corridor existent des salles
(manie pro- duite par le), 117. Buveurs (asiles pour les), 389. Cellules ganglionnaires(histochimie des), 263. Centres
86 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ope on constate la pigmentation et la dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses ; la proliféra- tion des éléments con
de coloration rosée. Au microscope on trouva une infiltration de cellules rondes entre les faisceaux nerveux et les cellule
infiltration de cellules rondes entre les faisceaux nerveux et les cellules gan- glionnaires. Les vaisseaux étaient remplis
alement dilatées par places. La plupart des 64 CLINIQUE NERVEUSE. cellules ganglionnaires ne présentaient pas d'altération.
aires ne présentaient pas d'altération. Dans un point cependant les cellules étaient ratatinées. Dans un autre endroit on tr
autre endroit on trouva une hémorrhagie ponctiforme. Le noyau des cellules était très net : il y avait une pigmentation pr
go Ebsteinet que nous retrouverons plus loin : pigmenta- tion des cellules ganglionnaires, dilatation des vais- seaux. M.
fibres qui dissocient les éléments du ganglion sans présenter de cellules de nouvelle formation; mais dans la plupart des
considérable d'éléments embryonnaires qui entou- rent à la fois les cellules nerveuses et les vaisseaux, sans tou- tefois pr
ose veineuse, on trouve au contraire des altérations manifestes des cellules . - En quelques points de la préparation, notamm
e, où la néoformation conjonctive est plus abondante, on voit ces cellules petites, ratatinées et comme atrophiées par la co
lles sont fortement colorées en rouge par le carmin, tandis que les cellules saines fixent davantage l'acide pi- crique. L
rmal. En résumé, prolifération nucléaire abondante, compression des cellules du ganglion qui s'atrophient : telles sont les
examen approfondi du cerveau décèle une tuméfaction albumineuse des cellules corticales ; intégrité des fibres ner- veuses.
ganglion qui adhère intimement il 1'épiderme. En cet endroit, les cellules épidermiques ne transforment en neuroépithéliums
e on saisira, sur le dessin, à l'aide de cet instrument, toutes les cellules . M. le professeur KAST (de Fribourg). Contribut
lobent de grosses cel- lules rondes, la plupart à plusieurs noyaux, cellules contenant graisse et substance blanche nerveuse
cission karyokiné- tique des noyaux; il n'y a pas ou presque pas de cellules de pus. L'irritation septique est caractérisée
st caractérisée parla production précoce de nombreux extravasats de cellules rondes issues des vaisseaux voi- sins ; ces cel
extravasats de cellules rondes issues des vaisseaux voi- sins ; ces cellules préforméës prolifèrent dans le tissu même à la
cellules accolées les unes aux autres en étoiles ou en fuseaux avec cellules ordinaires disséminées entre les premières. Tou
abécules formés par des noyaux, puis par une rapide tuméfaction des cellules mêmes du tissu conjonctif, et en même temps par
es mêmes du tissu conjonctif, et en même temps par la formation des cellules granuleuses. Les 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. travé
n due à la cautéri sation, principalement de la prolifé- ration des cellules de la névroglie dont une grande part serait man
e sorte de demi-lune constituée par le gonflement et la saillie des cellules endothéliales qui bientôt prolifèrent pour donner
s endothéliales qui bientôt prolifèrent pour donner naissance à des cellules du tissu conjonctif. Les cellules à plusieurs n
èrent pour donner naissance à des cellules du tissu conjonctif. Les cellules à plusieurs noyaux englobées dans le réseau con
as dès le premier jour subi la destruction molécule à molécule; les cellules marginales de la demi-lune que nous avons menti
tomosent entre elles. Mais il est impossible de dé- montrer que des cellules de pus émanent de cette prolifération. La proli
par l'abouchement et la canalisation des cellules-araignées et des cellules fusiformes du tissu conjonctif. La pie-mère et
er inflammatoire participe vivementà toutes les proliférations. Les cellules nerveuses subissent en même temps la régression :
méfaction homo- gène, finalement déchéance granuleuse, formation de cellules granuleuses. Les cylindraxes ne paraissent pas
très vite et disparaissent en donnant naissance à la forma- tion de cellules granuleuses. M. le professeur SCHOLTZE (d'Heide
de chien et de coupes de moelles de chiens, afin de montrer que les cellules nerveuses normales présentent dans les ganglion
: séquestration et restraint; nombre et espèce des « cages » et des cellules ; espèce et quantité du régime ali- faits DIVERS
le siège d'une grande activité. Rien ne se fait sans le secours des cellules du plan supérieur, c'est-à-dire des circonvolut
rveuses seraient nécessaires pour trans- mettre les ordres à chaque cellule médullaire. En ad- mettant, au contraire, que l
assez de fibres pour transmettre son action isolément à chacune des cellules du groupe spi- nal, que, par suite, le centre d
et l'apprentissage est long. Dans ce mécanisme, des grou- pes de cellules corticales et spinales sont en jeu; mais, tout
les centres spinaux. Dans ces centres s'est organisé un appareil de cellules reliées entre elles, qui fonctionne de lui-même
ACE. 223 pigmentaire, tantôt en une dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses et en altérations vasculaires, conges
vicaux avec une abondante prolifération nucléaire comprimant les cellules et riche dépôt de pigment, en faisant l'autopsi
ons cervicaux une dilatation marquée de vais- seaux, l'atrophie des cellules nerveuses avec accu- mulation de granulations p
il est probable que, dans ces deux cas, la phase de destruction des cellules avait remplacé la période d'excitation et ainsi
drose de la face. Celle-ci est la conséquence de l'excitation des cellules du ganglion ou des filets nerveux qui la traver
aisseaux. D. Cloisonnements partant de l'enveloppe et entourant des cellules ganglionnaires. E. Cellules normales du gangl
les du ganglion. F. Prolifération embryonnaire comprimant. G. Les cellules malades du ganglion. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE'
5 janvier 1887. 308 SOCIÉTÉS SAVANTES. de l'hémisphère gauche des cellules granulo-graisseuses, des fibres nerveuses fraca
i seraient' obligés de rester sans cesse à l'infirmerie ou dans les cellules , la nourriture peut être apportée de la cuisine p
e lors du mauvais temps. . Enfin, il est nécessaire d'établir des cellules séparées pour le traitement des malades dangere
pagnons. Un grand nombre de guérisons sont obtenues au moyen de ces cellules ; il faut donc que les malades soient soustraits
ar un ou deux d'entre eux qui sont turbulents. Un certain nombre de cellules d'isolement est donc nécessaire pour de tels ma
grise et les cordons blancs ont les apparences de l'état normal : cellules et tubes sont également sains. Le tissu conjoncti
yau de l'ieypoqlosse et de ses racines. Absence presque complète de cellules 476 sociétés savantes. du côté gauche; en ce
ayant le diamètre de demi- lentilles : en ces endroits, les petites cellules normales de la couche corticale exlerne ont aug
4 mars 1887. PRÉSIDENCE DE M. WESTPHAL. M. WESTPHAL. Des groupes de cellules nerveuses ganglionnaires au niveau du noyau de
rectes qui traversent le ganglion, sans entrer en relation avec les cellules de cet organe, et se rendent ensuite à la péri-
anglion contient un centre pour les organes périphériques. 4° Toute cellule nerveuse ganglionnaire est en connexiou aussi b
, soit dans l'écorce, soit dans la substance blanche, des foyers de cellules granuleuses. M. OPPENHEIM. Sur un cas de para
ste de la maladie in- flammatoire. M. H. Wirchow parle encore des cellules qui existent dans la substance gélatineuse de R
uve surtout au point où le nerf sort du cerveau; ils sont formés de cellules nerveuses modifiées. C'est au jeune âge que doi
monter le processus, car chez le nouveau-né on ne rencontre que des cellules nerveuses normales, et c'est chez l'adulte et l'e
le Archives, t. XV. 31 482 sociétés savantes. et l'atrophie des cellules multipolaires, ici presque totale, qui est le p
aisseaux. D. Cloisonnements partant de l'enveloppe et entourant des cellules ganglionnaires. E. Cellules normales du gangl
les du ganglion. F. Prolifération embryonnaire comprimant. G. Les cellules malades du ganglion. Ê%Ieux. I.b. ILbIt183hY, n
87 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ches corticales sous-jacentes, dans le second il y a une lésion des cellules de la substance grise, une véritable encéphalit
itution plus ou moins étendue de la névroglie aux éléments nerveux ( cellules et tubes). Nous pouvons résumer en ces quelques
de l'autre. L'un, placé sur la ligne médiane, est formé de petites cellules . L'autre, placé latéralement, est constitué par
e pariéto-occipital; vous obtiendrez encore l'atrophie du groupe de cellules nerveuses du tubercule antérieur correspondant,
nent encore d'atrésies de la substance grise et en particulier, des cellules nerveuses de la moelle épinière. Mais on ne sau
u volume de la substance grise contrastant avec la par- cimonie des cellules nerveuses et des irradiations blanches qui en p
nt que c'est non pas la substance fonda- mentale servant de lit aux cellules nerveuses, mais bien la cel- lule même, qui ass
'importance, une simple querelle. Aussi, pour avoir produit sur les cellules cérébrales un ébran- lement suffisant pour abou
atique, alors que les idées, délirantes ont disparu, indique que la cellule cérébrale a été plus profondé- ment atteinte qu
e existent des fibrilles droites sépa- rées les unes des autres. La cellule nerveuse se compose de deux substances : l'une,
dans la substance intermédiaire aux mêmes fibrilles. Le noyau de la cellule est tantôt obscur, tantôt nettement limité par
nt protoplasmique. Une longue observation ou la com- pression d'une cellule entraine la disparition très prompte de tous le
uleux, s'entou- rant d'un double contour, tandis que le corps de la cellule lui- même passe lui-même à l'état granuleux. On
yeux la structure générale du protoplasma vivant, identique dans la cellule nerveuse à celle du protoplasma ordinaire; ce p
s fibrilles de la fibre se comportent, par rapport au corps de la cellule , comme les cils vibratiles d'une cellule de ce no
par rapport au corps de la cellule, comme les cils vibratiles d'une cellule de ce nom par rap- port au réseau protoplasmiqu
s conducteurs isolés, qui, séparés dans le nerf, fusionnent dans la cellule ; une excitation d'une certaine force peut rompr
pédoncule ; il s'y adjoindrait également quelques fibres issues des cellules qui se trouvent à l'intérieur de ce système, ma
doncules cérébraux ; les pédoncules cérébraux paraissent tenir des cellules protubérantielles, et non pas directement des p
vont-elles plus loin, ou les fibres, entrées en connexion avec les cellules du noyau rouge, ont-elles d'autres connexions i
pédoncule cérébelleux moyen se terminent provi- soirement dans les cellules protubérantielles qui empêchent tout autre atro
e à peu près les mêmes caractères que chez le lapin ; ici aussi les cellules nerveuses gan- glionnaires sont le point de dép
au an- térieur, ce sont, ce qui ne se voyait pas chez le lapin, les cellules ner- veuses de la couche grise superficielle qu
hysiologie « générale nous enseigne que le tissu nerveux, fibres ou cellules , « n'échappe point à la loi biologique universe
nes antérieure et postérieure; dans la corne antérieure droite, les cellules nerveuses ont presque entièrement disparu, mais
n de ces pavillons renferme douze chambres de malades (a) et quatre cellules (cc') qui d'ailleurs ne sont que rare- ment uti
bleu-clair, sans diffé- rence de sexes. No-restraint. On ne met en cellule que les aliénés très agités; on n'use ni des ca
malades une vive injection vasculaire, une copieuse accumulation de cellules granuleuses surtout le long des vaisseaux; les
mulation de cellules granuleuses surtout le long des vaisseaux; les cellules nerveuses sont les unes conservées, les autres
ce; on peut, malgré la netteté des symptômes cliniques, trouver des cellules nerveuses complètement intactes. La méthode d'E
teur commun et du pathétique. Le premier se compose de groupes de cellules qui envoient chacun leurs petites fibres au nerf
ne médiane par rapport au noyau principal, existe un petit noyau de cellules fusiformes dont les relations avec le nerf ne s
e, au-dessous des tubercules quadrijumeaux, une autre collection de cellules nerveuses qu'il n'est pas toujours facile de sé
de séparer franchement du noyau de l'oculomoteur commun; dans ces cellules arrivent de nombreux tractus issus de la substanc
000 mètres cubes d'air); au centre, des chambres d'isolement; des cellules , des lieux d'aisances. Ceci fait, llerxltansen se
ites chambres). Chacun des quatre quartiers a à sa disposition deux cellules et un cabinet d'aisances (système des fosses mo
t deux avances orientées au nord- est qui contiennent chacune trois cellules précédées par une anti- chambre commune; elles
particulière permettant de recevoir des criminels aliénés dans deux cellules du quartier des hommes; 6° les derniers bâtimen
été doté d'une annexe qui comprend une grande salle aérée et quatre cellules , le tout dépourvu de grilles. Depuis 1883, un méd
on et chauf- fage à l'aide de canaux d'air spéciaux et des poêles à cellules de l'ingénieur Born de Magdebourg. Chaque quart
VRITE segmentaire 347 d'aucune altération appréciable du tissu. Les cellules sont notamment aussi bien développées dans la c
s étudiés par l'auteur). En raison de la modification subie par les cellules des cornes antérieures, cl le. tube nerveux, di
mblée sur une fibre nerveuse qui a con- servé ses rapports avec une cellule nerveuse inaltérée ? Il faut nécessairement adm
our cause de l'hypnotisme l'arrêt d'action (Thatigheitshemmung) des cellules ganglionnaires dans la substance corticale; cet
r des centres inhibitifs. Bubnoff et Heiden- hain supposent que les cellules ganglionnaires sont dans un certain mouvement m
alepsie, les influences extérieures éveillent une petite partie des cellules de l'écorce; enfin, pendant l'état somnambuliqu
u cerveau, et, éveillant ici la DE l'hypnotisme. 377 fonction des cellules , l'irritation ainsi provoquée peut descendre pa
nnelle à la suite d'une déviation des propriétés physiologiques des cellules ner- veuses cérébrales, ou bulbaires et ne poss
arrangement moléculaire particulier, une distribution spéciale des cellules nerveuses du système cérébro-spinal. Jusqu'ici
d'un exsudat albumineux granuleux, de nombreux corps amylacés et de cellules ganglionnaires fortement pigmentées notamment d
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. affection inflammatoire primitive des cellules nerveuses, laquelle est surtout accusée dans le
itive des cellules nerveuses, laquelle est surtout accusée dans les cellules dites motrices, où elle prend peut-être naissan
la voie publique, il fut conduit au poste de police et mis dans une cellule qu'occupait déjà un autre ivrogne, et qu'une ro
mène vital, et résulte principalement de l'activité nutri- tive des cellules de la névroglie et des cellules lymphatiques sor-
ement de l'activité nutri- tive des cellules de la névroglie et des cellules lymphatiques sor- ties des vaisseaux par diapéd
opposer de résistance au travail destructif exeicé sur elle par les cellules lymphatiques, tandis que les cylindres-axes, ay
que les cylindres-axes, ayant conservé leurs connexions avec les cellules nerveuses d'où ils émanent, sont doués d'une vita
ués d'une vitalité qui leur permet de lutter contre l'action de ces cellules . Dans le chapitre il, l'auteur fait une étude c
88 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
ents et par une punition; le souvenir des prisonniers morts dans leur cellule s’imposa avec ténacité dans cet esprit incapable
es. Un calcul difficile (1). Combien notre cerveau compte-t-il de cellules nerveuses? La réponse à ce rébus nous est donnée,
. Fouiller les circonvolutions d’un microscope avisé, dénombrer les cellules contenues dans un millimètre cube de substance ne
ffirment que notre cerveau dispose de neuf milliards cent millions de cellules nerveuses. (1) Gabelle du médecin, 1« mars 1900
ient plus complexe. Le neurone sensitif S, transmet son courant à une cellule psychique -J-, centre de sentiment. Celte dernièr
is ces fleurs, ces gazons? — Elles n'y touchent jamais ! » Puis des cellules . — « Rien de plus apaisant pour une agitée, dit M
de plus apaisant pour une agitée, dit M. Voisin, que de la mettre en cellule , dans l’obscurité ; cela la calme très vite. — Et
nde cour, mais II faut avoir aussi quelques {et il appuie sur ce mot) cellules : je ne conseillerai jamais de les supprimer compl
. (4) Forc-1, dans la Revue de l'Hypnotisme, lr* année, p. SIS. cellule peu aérée et s'exerce à respirer le moins possibl
cette cause et de supprimer ainsi toute cause capable d’entretenir la cellule nerveuse dans un état anormal d’irritabilité. Il
teraient du défaut de contiguïté parfaite entre les ramifications des cellules , l’attention (1) Paul SOLLicn : Genèse et natur
est pas particulière aux plastides isolées. Elle appartient aussi aux cellules des êtres polyplastidaires. Et à cela rien d’éton
elle des phyto- blastes de renflement moteur de la sensitive, des cellules des Spongiaires et des Cœlentérés, des leucocytes
, des cellules des Spongiaires et des Cœlentérés, des leucocytes, des cellules épithéliales à cils vibratiles, des cellules musc
rés, des leucocytes, des cellules épithéliales à cils vibratiles, des cellules musculaires et des spermatozoïdes des Vertébrés s
s propre, et il y a lieu d’inférer : 1° Que le protoplasma de toute cellule à enveloppe rigide est susceptible de se mouvoir
perceptibles avec nos moyens actuels d'investigation ; 2° Que toute cellule sans enveloppe rigide est susceptible de se défor
Schulze, Frey, Ranvier, Jean Demoor (8) et Manouélian ; 5° Pour les cellules cérébrales de la grenouille par Waî-ther (9), de
s chef les invertébrés avec quelques remarques sur les vertébrés. (La cellule , t XXI, fasc. 7, 1853.) (7) Robert Qdier : Rech
(7) Robert Qdier : Recherches expérimentales sur les mouvements de la cellule nerveuse de la moelle épinière. (Genève 1898.)
sc. 3, Bruxelles, 1897.) (2) Soukhanoff : Sur les modifications des cellules nerveuses et de Vécorce cérébrale dans l'anémie e
de des modifications que subissent les prolongements dendritiques des cellules nerveuses sous l'influence des narcotiques. (La c
ritiques des cellules nerveuses sous l'influence des narcotiques. (La cellule , t. XIV., fasc. 2, 1898.) (3) Jean Demoor : La
l'amiboisme nerveux, Paris, 1893. Mathias Duval. : L'amiboisme des cellules nerveuses. (Rev. scient , 12 mars 1898). Les neur
eur source respective, cheminent de conocrt entre les interstices des cellules el arrivent à la surface cutanée confondues l’une
à un individu quelconque dans la société, est aussi applicable à une cellule quelconque dans l'organisme, et l’on peut dire qu
elconque dans l'organisme, et l’on peut dire que : Vévolution d'une cellule quelconque d’un individu, depuis la conception de
idu jusqu’à l’âge adulte, reproduit l’évolution du tissu auquel cette cellule appartient, depuis le premier être vivant jusqu’à
emier être vivant jusqu’à Vtndividu considéré. Il en résulte qu'une cellule quelconque dans un corps d’enfant est plus près d
cellulaire, de l’état mono-plastidaire, de l’état de l’amibe, que la cellule correspondante dans un corps d’adulte. Il en est
ule correspondante dans un corps d’adulte. Il en est de même pour une cellule quelconque dans un corps de femme, car on sait qu
phénomènes de régression pour l’individu, il en existe aussi pour la cellule . Les cellules régressent sous diverses influences
e régression pour l’individu, il en existe aussi pour la cellule. Les cellules régressent sous diverses influences toxiques. C’e
nces toxiques. C’est ainsi qu’au cours de l’inflammation, on voit des cellules haut placées dans l’échelle histoiogique revenir
anémie). Or on sait que Soukhanoff a observé l’aspect moniliforme des cellules cérébrales du cobaye, après ligature des carotide
cela n’a plus lieu de nous surprendre, depuis que SoukhanofT a vu les cellules pyramidales du cobaye prendre (d’une manière peu
vet a vu les neurones des Mollusques gastéropodes, et Jean Demoor les cellules pyramidales du chien rétracter leurs prolongement
ypnose. Ce qui s’explique assez bien depuis que Robert Odier a vu les cellules des cornes antérieures de la moelle deplusieurs a
ornes antérieures de la moelle deplusieurs animaux, et Manouélian les cellules mitrales du bulbe olfactif et les cellules pyrami
animaux, et Manouélian les cellules mitrales du bulbe olfactif et les cellules pyramidales de la souris rétracter leurs prolonge
rès électrocution, et Jean Demoor la rétraction des prolongements des cellules corticales du chien après un choc électrique? Et
Qucrton ayant d’ailleurs observé la rétraction des prolongements des cellules pyramidales du chien, après de violentes souffran
t ainsi que Querton ayant observé la rétraction des prolongements des cellules pyramidales de la souris blanche, du cobaye, de l
rébroïdes de certains crustacés, et par Micheline Stefanowska sur les cellules pyramidales de la souris et du cobaye. Pour le ch
es Annélides et des Mollusques gastéropodes, par Robert Odier sur les cellules des cornes antérieures de la moelle du cobaye et
ieures de la moelle du cobaye et du lapin, et par Jean Demoor sur les cellules pyramidales du chien. Pour le chloral, par J. Hav
Annélides et des Mollusques gastéropodes, et par Jean Demoor sur les cellules pyramidales du chien. Pour le trional, par Soukha
ellules pyramidales du chien. Pour le trional, par Soukhanoff sur les cellules cérébrales du cobaye. Pour la cocaïne, par Jean D
♦ * Dans les cas analogues à celui qui vient d’ètre rapporté, la cellule nerveuse, plus ou moins tarée, esc ce qu’elle est
ueillies sous le microscope, je constitue une idée, qui est l’idée de cellule nerveuse, et qui pourra se fixer sur un neurone a
rvenir, pour expliquer la contracture, une prétendue irritation de la cellule nerveuse. Sans doute toutnouvel apport d’ondulati
de l’estomac. Puis, déviation de la nutrition avec prédominance de la cellule graisseuse, tendance à lapolv-sarcie et à la surc
é que les dendrides protoplasmiques produisent des impulsions vers la cellule , qui correspondent aux fonctions volontaires, et
neuraxonc produit des impulsions qui ont tendance à l’éloigner de la cellule et qui correspondent à la vie automatique. Nous a
89 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntre automatique spinal de la marche qui est seul en jeu. Certaines cellules de ce centre présentent une activité exagérée p
rdent là entre les racines antérieures qui rayonnent et les grandes cellules nerveuses. Les fibres de la zone radiculaire post
ninges; parois vasculaires épaissies et infiltrées; accumulation de cellules rondesjusque dans : la substance corticale. Con
mais l'un d'eux est sérieusement blessé pendant la lutte. I,olé en cellule , L... se calme rapidement. Le lendemain l'accès
res, il lutte avec les infirmiers. On doit au plus tôt l'isoler, en cellule . La crise se ter- mine par un sommeil semi-coma
qûres. Travail publié in extenso 1. M. Hoche (de Strasbourg). Des cellules nerveuses des racines ~ antérieures de la moell
olog. Centralblatt de 1891 2 sur le groupe, jusqu'alors inconnu, de cellules que l'on trouve dans les parties lombaire et sa
ières et leurs gaines sont dilatées; ces dernières sont remplies de cellules migratrices et de pigment sanguin à profusion, la
e de leur paroi ; on y trouvait des foyers inflammatoires à petites cellules ; les parois vasculaires étaient à ce point épai
iveau des cloisons et des espaces péri-vasculaires sous la forme de cellules granulo- graisseuses accumulées; les cellules n
ires sous la forme de cellules granulo- graisseuses accumulées; les cellules nerveuses des cornes antérieures contenaient de
éliniques et des altérations des ganglions spinaux (infiltration de cellules rondes, pigmentation accusée). Il n'a pu consta
ie de la rétine se limite aux couches profondes de la membrane; les cellules y sont notamment en très petit nombre; il en es
cependant ceux-ci parvinrent à le maîtriser et à le ramener dans la cellule , préparée à son intention à l'infirmerie. (Radi
. Hier soir, après un accès de folie furieuse, il dut être mis en cellule . La porte n'était fermée sur lui que depuis un mo
e, aperçurent le corps de l'aliéné accroché à la grille à air de la cellule , une moitié du cadavre pendait en dehors. 268
avait hier soir-grimpé jusqu'au grillage de la petite fenêtre de la cellule . Il passa d'abord les jambes et les cuisses, le
eux temps.' Pre- mier temps : il se produit dans l'esprit, dans les cellules cor- ticales du cerveau, si vous voulez, un trè
itation violente. On est obligé de la camisoler et de la passer aux cellules . Pas d'attaques constatées. Une urine, pas d'al
hagard, crie qu'on veut le tuer, l'empoisonner. On l'isole dans une cellule . A peine enfermé, il se précipite de toutes ses
il tombe sur le plancher. La plaie saigne abondamment, le mur de la cellule est ensanglanté et il y a une mare de sang par
dans l'écorce des espèces de vir- gules dans l'axe longitudinal des cellules , formant des rayons par rapport à la surface. C
uvre-objet dont les bords portent sur ces deux lamelles. Dans cette cellule on introduit une à deux gouttes de solution du
dis que le carmin ammoniacal colore normalement noyaux et corps des cellules de l'écorce, l'hématoxyline ne prend que peu ou n
OGIQUES. 397 pas du tout sur le corps de l'élément même des grandes cellules pyrami- dales et de leurs prolongements, tandis
t : une dégénérescence vas- culaire par prolifération des noyaux et cellules de la paroi, - une altération consécutive des c
es noyaux et cellules de la paroi, - une altération consécutive des cellules nerveuses, finalement, l'atro- phie cérébrale.
ytiques, on voit que les capillaires sont gorgés de sang et que les cellules des parois vasculaires prolifèrent ; l'as- pect
il n'y a pas encore d'altération de la substance céré- brale ni des cellules nerveuses. P. K. VII. DES différentes situation
. Hydrocéphalie interne. Compression céré- brale. On y trouve : les cellules pauvres en noyaux de la subs- tance fondamental
es pauvres en noyaux de la subs- tance fondamentale (Gierke) ou des cellules assez semblables ; de gros éléments ronds analo
s il est impossible de décider si ces prolongements vont s'unir aux cellules de la tunique adventice des artères ou à des ce
nt s'unir aux cellules de la tunique adventice des artères ou à des cellules de la névroglie accolées aux parois des vaissea
s cellules de la névroglie accolées aux parois des vaisseaux... Les cellules rondes en nids sont manifestement issues des ce
sseaux... Les cellules rondes en nids sont manifestement issues des cellules araignées. En tout cas, nous avons certainement a
les araignées. En tout cas, nous avons certainement affaire ici aux cellules desoutènement du système nerveux central. Comme
citation primitive peut être suivie de courants allant de certaines cellules à d'autres groupes cellulaires, et finalement a
e et ses suites nous conduisent à supposer qu'il se forme entre les cellules ner- yeuses des groupements qui les préparent à
c'est que « durant « la période d'inhibition, il se forme entre les cellules nerveuses « des groupements fonctionnels » ; la
n veut, correspond physi- quement à la formation d'un groupement de cellules (action dia- tactique). Si le groupe ainsi form
rants qui ne vont pas directement aux muscles, mais bien à d'autres cellules parmi lesquelles ils déter- minent de nouveaux
paralysie géné- rale, et que les altérations de la névroglie et des cellules nerveuses ne sont que consécutives. 1 414 R
de ce fait que les divers processus chimiques qui ont lieu dans les cellules existent, grâce à la présence des substances al
: la nucléine et la neurokératine. Le pro- toplasma du corps de la cellule en général, contient au moins trois formes albu
soit propre. La globuline de la substance grise, qu'il s'agisse des cellules nerveuses ou de la névrogie, tout en présen- ta
ine. Dès que ce sentiment a atteint une suffi- sante intensité, les cellules sensitives de l'écorce surmenées, trans- metten
s sensitives de l'écorce surmenées, trans- mettent leur fatigue aux cellules motrices qui engendrent le mouvement voulu. Cet
puis une lésion des noyaux du bulbe, enfin une atrophie étendue des cellules ner- veuses de l'écorce. Dans le bulbe, les noy
e, les noyaux externes, internes et antérieurs du nerf auditif, les cellules de l'éminence grêle (eminen- tia teres); en mêm
); en même temps, tout autour, il existe une infitration de petites cellules et de très graves altérations dans les vaisseaux.
mment dans les ascendantes et le lobe fron- tal, de très nombreuses cellules ont dégénéré, principalement au niveau de la tr
nt des pré- parations à l'alcool, d'une atrophie plus prononcée des cellules nerveuses en des couches déterminées, notamment
pe, non pas seulement les fibres, mais aussi (méthode de Nissl) les cellules de l'écorce. Qu'il sévisse avec une intensité s
musculaires, tandis que les nerfs périphériques aussi bien que les cellules nerveuses de la, moelle sont complètement intac
fois, il a eu une terrible attaque qui a nécessité sou transport en cellule . Ce n'est pas tout. Truphème a commis antérieurem
r P. Blocq et Onanoff, 443. BULLETIN bibliographique, 288, 457. CELLULES nerveuses des cornes an- térieures de la moelle
90 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
out de la plante du pied, qui, par sa disposition spéciale dans les cellules d'un tissu conjonctif élastique qui le comprime
aralysie amyotrophique sont sous la dépendance d'une altération des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la moe
te quelle partie de l'appareil repré- senté par ces trois organes : cellule ganglionnaire des cornes anté- rieures, fibre m
rouges. Hislologiquement. -Il s'agit d'une dégénérescence aiguë des cellules ganglionnaires des cornes antérieures. Celles-c
et des vaisseaux, qui se développe à la suite de la destruction des cellules ganglionnaires. Le cas qu'on vient de lire es
lésion de la poliomyélite était due à une altération ¡primitive des cellules ganglionnaires, alors que Roger, Damaschino et Ro
suite formellement la manière de voir de cet auteur : ce sont les cellules ganglionnaires qui sont atteintes primitivement.
ire, une alté- ration considérable des deux cornes antérieures. Les cellules ganglion- naires ont àpeu près disparu sur tout
es nerveuses qui traversent la substance grise n'existent plus. Les cellules 1. Sclültze, Ziir Lehre von der Spinalen f(inde
sur toute la hauteur de la moelle, une atrophie très prononcée des cellules ganglionnaires. Cette lésion atteint son maximu
vical' et lombaire. En certains endroits, il ne reste plus trace de cellules nerveuses, ailleurs leur nombre est très réduit,
cornes antérieures, la névroglie est envahie par un grand nombre de cellules araignées dont les prolongements forment un rés
n'est pas, quant à son intensité, proportionnelle il l'atrophie des cellules glanglionnaires des cornes antérieures. Les ner
ces formes aiguës, elle devait dépendre d'une lésion atrophique des cellules ganglion- naires des cornes antérieures. » L'
este de la région, ont tout à fait disparu à ce niveau. De même les cellules nerveuses ont en grande partie disparu, et cell
ucun prolongement, et qui se colorent très difficilement. Certaines cellules présentent une véritable tuméfaction trouble :
al pris par la corne antérieure à la suite de la lésion du groupe des cellules antéro- externes. Fig. 3. - Coupe du nerf méd
substance amorphe remplaçant la substance normale; b, b, débris de cellules ganglionnaires; c, leucocytes; d, débris de tub
remarquables. L'espace péricellulaire contient un grand nombre de cellules migratrices fortement colorées. Des cellules anal
ent un grand nombre de cellules migratrices fortement colorées. Des cellules analogues se remarquent dans toute la région, e
morrha- gique qui a détruit la substance nerveuse. La plupart des cellules sont détruites, mais il en persiste quelques- u
ésion n'est pas aussi accusée que dans les régions supérieures. Les cellules des cornes antérieures n'ont pas diminué de nom
assez riche, et s'entrecroise dans toutes les directions. Quant aux cellules , leur nombre est diminué; quoique la différence
oique la différence avec l'état normal soit extrêmement faible; les cellules ont presque toutes leur noyau et leurs prolonge
compose surtout de tissu graisseux, où ne se trouvent que de rares cellules embryonnaires. Dans l'étendue du tissu de nouve
musculaire est dissociée en ses éléments primitifs par de grandes cellules mononucléaires à noyau ovale, à protoplasma grenu
u ovale, à protoplasma grenu, qui pénètrent entre les éléments. Ces cellules sont le plus souvent disposées en séries parall
l'endothelium est tuméfié et trouble. On remarque aussi, entre les cellules sériées que nous venons de signaler, des sortes
générescence hyaline de globules sanguins. On trouve enfin quelques cellules basophyles dans les mêmes endroits. Les plaqu
une diminution peu marquée du réseau fibrillaire, et du nombre des cellules des cornes antérieures, ainsi qu'à de légères déf
l'avait pressenti cet observateur, la conséquence d'une lésion des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la moe
porte quelle partie de l'appareil représenté par ses trois organes; cellules ganglionnaires des cornes antérieures, fibre ne
p plus complexe. Cet arc se compose en réa- lité, non seulement des cellules ganglionnaires des cornes antérieures, de la fi
nt une influence régulatrice analogue sur les centres tro- phiques ( cellules ganglionnaires des cornes antérieures) de la moel
s plus restreint, est celle d'une lésion de l'arc neuro-musculaire ( cellules cérébrales motrices, cellules ganglion- naires
une lésion de l'arc neuro-musculaire (cellules cérébrales motrices, cellules ganglion- naires de la moelle, nerfs moteurs, m
itié supérieure du 4e ventricule, l'affection s'attaque surtout aux cellules ganglionnaires inférieures du facial et à la po
ui la complique parfois; la propagation du processus atrophique aux cellules d'origine de l'hypo- glosse, du facial, du mast
rcément une altération des noyaux moteurs du bulbe supérieur et des cellules des cornes antérieures de la moelle. La lésion
s quelque localisé qu'il soit à une plus ou moins grande étendue de cellules ganglionnaires spinales et bulbaires, il n'en e
rée, alors que sa symétrique présente son réseau fibrillaire et ses cellules ganglionnaires normales. Le manteau blanc de la m
91 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'influence du sommeil. Il peut se faire que la maladie rende la cellule nerveuse plus impressionnable à l'action de l'a
ral comme au physique, que le résultat de cette pro- priété de la cellule nerveuse de reproduire, comme par une nécessité
six gardiens pour se rendre maîtres de lui, et alors qu'il était en cellule , la porte s'était effondrée sous ses coups. A la
ubstance graisseuse ; tous sont vides de globules san- guins. Les cellules nerveuses qu'on rencontre disséminées dans les
fluence du carmin une colora- tion rouge uniforme très intense. Les cellules pyramidales parais- sent en moins grand nombre
nt aux confinsdes substances griseetbianche, une grande quantité de cellules araignées de toute dimension dont quelques-unes
cependant que ces activités dérivent d'anomalies molé- culaires des cellules nerveuses. Le mécanisme psychique est alors gui
l de Schwalbe), le noyau externe de l'acoustique ou noyau à grandes cellules de Deiters(Laura et Monakow), les fibres arcifo
ur (Mendel) n'ont rien à voir avec'l'acoustique. En re- vanche, les cellules ganglionnaires disséminées ou groupées au sein
me en témoi- gnent la perméabilité des vaisseaux, et l'existence de cellules granuleuses sur le trajet des faisceaux de Grat
racines postérieures de la moelle forment les nerfs sensitifs; les cellules multipolaires desganglions intervertébraux sont c
ntre néanmoins dans la corne antéro-latérale les mêmes groupes-de cellules que chez les carnassiers et chez l'homme, bien, p
ie. paires sacrées. Ainsi, tandis que chez le chat la colonne des cellules postéro-externes se compose de cellules polygonal
chez le chat la colonne des cellules postéro-externes se compose de cellules polygonales bien définies, nettes jusquo dans l
ements ; même état d'atro- phie comparative à l'égard du groupe des cellules antérieures de la même corne. A la partie supér
érieure du renflement lom- baire, on ne rencontre plus que quelques cellules du groupe antérieur collées contre le faisceau
Les cordons latéraux envoient de puissants trousseaux de fibres aux cellules , ce qui doit tenir au développement remarquable
onservation des pièces dans la glycérine, il s'était formé dans les cellules nerveuses des vacuoles arti- ficielles. P. K.
(Leipzig)',M. Richter disait que l'on rencontre, une diminution des cellules nerveuses ganglionnaires dans les deux couches
altération ; dans le cas d'atrophie bilatérale, la dimi- nution des cellules est plus marquée. Les cellules de l'écorce du l
phie bilatérale, la dimi- nution des cellules est plus marquée. Les cellules de l'écorce du lobe occipital demeurent intacte
sion qu'un état trouble des méninges molles, présentait quantité de cellules granulo- graisseuses ; on les suivait jusque da
ux branches destinées aux corps genouillés interne et externe ; ces cellules dégénératives ne se retrouvaient ensuite que da
aux pour se rendre aux bandelettes optiques ne conte- naient pas de cellules granulo-graisseuses.En ce qui concerne les rela
e l'appareil installé à Munich pour observer les malades dans leurs cellules ? M. DE GUDDEN. A Munich, on introduit aussi de
ntre auditif propre est le tubercule acoustique. Le noyau à grosses cellules de Deiters n'a a rien directement à voir avec l
corce cérébrale révélait une atrophie presque complète, des grandes cellules pyramidales, sans autre altération des autres c
des grandes cellules pyramidales, sans autre altération des autres cellules . On peut, par suite, se demander si les différent
ules. On peut, par suite, se demander si les différentes couches de cellules ne se relient pas à diverses fonctions, chacune à
onctions, chacune à cha- cune. Les faits semblent démontrer que les cellules pyramidales les plus nombreuses et les plus gro
ontal à atrophier radica- lement le faisceau pyramidal, les grandes cellules pyramidales s'étaient maintenues en partie bien
ue. Il adjure de se servir des procédés spéciaux à la recherche des cellules pour l'étude des cellules, des procédés spéciau
des procédés spéciaux à la recherche des cellules pour l'étude des cellules , des procédés spéciaux à la recherche des fibres
ude des fibres. Sa méthode à lui 2 décèle presque exclusivement les cellules corticales. Si l'on envisage leur disposition top
x malade a été battu, attaché, qu'il est resté 10 mois 1/2 dans une cellule avec des fers qui l'ont blessé aux pieds et aux
fection provient d'une excitabilité exagérée de certains groupes de cellules dans les cornes antérieures de la moelle ; mais
GIE NERVEUSE. vascularité extrême, des hémorrhagies nombreuses, des cellules rondes en abondance sans substance intermédiair
la moelle cervicale, le siège d'une altération périphérique (pas de cellules granuleuses). Intégrité de la substance grise et
de cellules granuleuses). Intégrité de la substance grise et de ses cellules . Hyperplasie interstitielle avec atrophie des t
s; tuméfaction des fibres nerveuses de la névroglie ; intégrité des cellules . Accumulation d'endothélium, dans le canal cent
ant trouvé comme d'habitude le paquet d'habits déposé en dehors des cellules et correspondant à chaque lit, a fermé la porte
l'expiration de sa peine. 9 décembre. Il est envoyé pour 8 jours en cellule pour avoir voulu aider un hystéro-épileptique,
substance grise fondamentale (sens de Deiters) et indirectement des cellules nerveuses ganglionnaires. La substance blanche
fibres a une situation principalement latéro-venlrale; les grosses cellules ganglionnaires du feuillet gris inférieur n'ont
ont aucun rapport, même indirect, avec le nerf optique. Les petites cellules ganglionnaires semblent, d'une manière géné- ra
llé externe occupent la substance grise grillagée (lacis de petites cellules ganglionnaires), la partie laté- rale inférieur
), la partie laté- rale inférieure du ganglion. Les amas médians de cellules du 1 Voy. Arch. de Neurologie, t. IX, p. 256.
, ceux en particulier qui, situés inférieure- ment, sont peuplés de cellules de gros calibre, semblent avant tout être l'ori
. - Les racines optiques proviennent sans exception directement des cellules nerveuses ganglionnaires des centres optiques p
primaires et n'ont pas une mince importance pour la vitalité de ces cellules . Dans le pulvi- nar, ce sont, avant tout, les p
ance aux fibres de projections optiques. Une assez forte partie des cellules nerveuses ganglionnaires du pulvinar (plans trans
tiques. Y a-t-il dans le segment inférieur de la couche optique des cellules nerveuses ganglionnaires qui soient directement
prouver que les fibres zoniformes de la coiffe, qui proviennent des cellules nerveuses de la substance grise superficielle,
s au centre des proliférations; secondairement se sont altérées des cellules nerveuses de la seconde couche corticale; intég
eu inflammation. Il n'y a d'ailleurs que très peu d'altération des cellules , et ce n'est que dans les gaines lymphatiques d
nchâtre, inodore, au milieu duquel, au microscope, on voit quelques cellules épi- théliales. La palpation des régions inguin
catégorie pendant la nuit ; quelques-uns seront tenus non dans des cellules mais dans des chambres fermées, aérées, aussi c
ongestion de la substance mé- dullaire etsurtout par l'atrophie des cellules de la substance grise. Cette atrophie cellulair
92 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'est pas (comme l'admet aujourd'hui M. Charcot) par irritation des cellules motrices antérieures que la lésion latérale ent
connaissons déjà quelques systèmes. Il y a là le réseau qui lie les cellules ganglionnaires entre elles, puis les fibres qui
rolongements fins et moyens qui partout sortent du corps même de la cellule et de la pointe de ses pôles les plus puissants;
t médian du noyau opposé des faisceaux de Burdach et s'unissent aux cellules nerveuses qui s'y trouvent. P.K. III. Contrib
e partie des internes vont au noyau interne (à grandes et petites cellules ) de l'acoustique, le restedesracines internes pas
yons humains, il résulte qu'il émane d'une colonne ininterrompue de cellules , qui, dans la moelle spinale, est située en arr
me paire cervicale. A quelque hauteur qu'on l'examine, l'aspect des cellules composantes est partout le même. La racine de l
ordon latéral du bulbe ; 2° les olives supérieures ; 3° unnoyau .de cellules petites et moyennes situé dans le territoire de l
ce noyau reçoit des fibres qui le mettent en communication avec les cellules du segment antérieur (cérébelleux) de la protub
it entre les fibres de ces derniers, soit dans un groupe de petites cellules ganglionnaires, elles-mêmes en con- vexion avec
ellules ganglionnaires, elles-mêmes en con- vexion avec les grosses cellules de l'oculo-moteur commun. Le groupe des petites
es grosses cellules de l'oculo-moteur commun. Le groupe des petites cellules en question (noyau supérieur de l'ocu- lo-moteu
reçoivent plus haut encore des fibres issues du groupe des petites cellules qui représentent une espèce de commissure nouve
centimètres de long). Ce dernier commence dans un groupe de petites cellules nerveuses placées en arrière etau-dessus du noy
lacé en dehors et avant du faisceau spinal, monte entre les petites cellules sus-mentionnées et les fibres du segment extern
es antérieures se montrent intactes. Dégénérescence remarquable des cellules nerveuses qui occupent l'angle compris entre le
. La subs- tance fondamentale au sein de laquelle sont plongées les cellules qui nous occupent, est épaissie. Par conséquent
sie. Par conséquent, le faisceau py- ramidal fournit des fibres aux cellules des processus réticulaires. Il est donc possibl
ssus réticulaires. Il est donc possible que par l'intermédiaire des cellules en ques. tion, les pyramides soient en rapport
sait paraissait, au micros- cope, formée'de tissu coritiectif et de cellules adipeuses. 1/ n'y avait pas la plus légère trac
une origine réflexe et résultant d'une modification dans l'état des cellules des cornes antérieures de la moelle; il est vra
oins d'éléments cellulaires à la corne gauche qu'à la droite et les cellules , dans l'une comme dans l'autre, se trowentdans
altération est cepen- dant pius sensible dans la corne gauche. Les cellules ont perdu leur forme arachnoïdienne ordinaire.
fait privées de ramifications. De plus, on remarque encore dans les cellules , des granules de pig- ment, qui tantôt remplit
es cellules, des granules de pig- ment, qui tantôt remplit toute la cellule de façon que le nucléole devient tout à fait in
evient tout à fait invisible, et tantôt s'amasse dans un coin de la cellule écartaut ainsi le nucléole. Les cellules des co
amasse dans un coin de la cellule écartaut ainsi le nucléole. Les cellules des cornes postérieures sont arrondies ou de form
Fig. 2 Coupe transversale de la moëlle (région lombaire). Fig. i. Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance
e en voie de dégénération pigmentaire. Fig. 4. Les vaisseaux et les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substanc
pourrait d'après, l'auteur, être rapproché de la dégénérescence des cellules nerveuses observées chez les chiens sacrifiés ava
nte du facial et de la troisième paire) occupant le côté droit. Les cellules de la corne antérieure droite présentent les al
ur dans les Archives de Neurologie de 43, n° 18). Naturellement les cellules ner- veuses des cornes antérieures sont aussi a
s antérieures sont aussi atteintes. Intégrité abso- lue des petites cellules nerveuses de la moitié supérieure de l'é- corce
encéphaloméningée avec oedème interstitiel. Il existe un sarcome à cellules fusiformes qui, originaire de la glande pinéale
oint, la dure-mère participe à l'adhérence générale. Intégri té des cellules nerveuses et des éléments des diverses couches co
lissement hrun-gris, gros comme un noyau de cerise; dégénérescence ( cellules granuleuses) dans la partie postérieure de la c
sible de for- muler une règle relative à l'altération primitive des cellules qui commandent au radial, du radial lui-même, d
tive des cellules qui commandent au radial, du radial lui-même, des cellules centrales ou des tractus nerveux périphériques
'autopsie du cas de Ord, faite par Greeiirield, il est noté que les cellules de la glande thyroïde sont comprimées par du tiss
L'atrophie du corps thyroïde, accompagnée de la destruction de ses cellules , équivaut. fonctionnellement parlant, à son absen
prolifération conjonctive. On remarque une infiltratiou marquée des cellules hépatiques surtout dans les parties centrales d
complètement perdu la parole. Chez tous ces individus, les grandes cellules nerveuses de la troisième couche de l'écorce, d
éole de la même façon, désagrégation de ces organes; le corps de la cellule est tantôt recoquillé, atrophié et tous ses pro
ement, c'est l'alcool qui met un évidence les plus beaux aperçus de cellules nerveuses, mais il détruit les fibres. La solut
'hématoxyline de Weigert, d'après son nouveau procédé. L'examen des cellules nerveuses, des noyaux du tissu conjonctif, des
gnée d'hypergenèse du tissu conjonctif sans aucune accumulation de cellules de graise; le grand dorsal ne contient presque pl
intervalles trop courts, à des affections puerpérales graves, les cellules nerveuses ganglionnaires se sont montrées diminué
upe, comprimé par des tractus de tissu conjonctif cicatriciel ; les cellules en étaient recoquillées et pigmentées (couleur ja
au degré le plus extrême de la rétraction cicatricielle, à côté des cellules nerveuses, soumises aux altérations les plus marq
ig. 2. Coupe transversale de la moelle (région lombaire). Fig. 3. - Cellules nerveuses îles cornes antérieures de la substance
pu voie de dégénération pynen ! ;rire. Fig. 4. Les vaisseaux et les cellules nerveuses îles cornes antérieures de là substan
93 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
i-même, mais de la membrane adipeuse médullaire, laquelle tapisse les cellules du tissu spongieux. Cette substance fibreuse se p
fracture de l'extrémité supérieure du fémur. XXIIlc LIVRAISON. 2 cellules du tissu spongieux, qu'on peut considérer comme u
fficile d'imaginer une fracture dans laquelle un plus grand nombre de cellules aurait été divisé. (Planche ji, xxme livraison)
ou moins dense, étendu de l'un à Fautre fragment, tissu qui naît des cellules de l'os divisé, et qui paraît un développement de
très grand ramollissement. Cet os présentait une multitude de petites cellules remplies d'une matière jaunâtre ayant l'aspect du
eur disposition aux alvéoles d'un gâteau de miel, ou mieux encore aux cellules que présente une grenade coupée verticalement. L'
ans la fosse temporale gauche, elle semblait transformée elle-même en cellules contenant une matière de même apparence que les o
les contenant une matière de même apparence que les os. De semblables cellules soulevaient en plusieurs points la muqueuse nasal
ble. Il semble que l'affection ait consisté dans une hypertrophie des cellules du diploë, avec ramollissement et absorption des
des particules terreuses de l'os, puis dépôt de pus concret dans ces cellules . « L'opération fut tout-à-fait insuffisante con
granulations oblongues et inégales en volume sont contenues dans des cellules fibreuses. Le phosphate calcaire a complètement d
on sent à laide du doigt quelques petites concrétions calcaires. Les cellules dans lesquelles est contenue la matière concrète
plutôt celluleux qui m'était présenté était un tissu osseux dont les cellules étaient remplies par du suc cancéreux ayant la co
aractère anatomique le plus constant, est contenu dans des mailles ou cellules d'où on l'exprime comme d'une éponge : ce suc can
a planche i. C'était une trame aréolaire fibreuse dont les mailles ou cellules étaient remplies par une matière cancéreuse concr
neux. Lorsque ces derniers ont un certain volume, ils sont creusés de cellules irrégulières (voyez en TC) ou de géodes (voyez en
ce. C'est au milieu de cette partie stalactiforme qu'on rencontre des cellules , des géodes, qui, pendant la vie, devaient être r
consistance de la synovie, et miscible à l'eau. Un certain nombre de cellules contiennent du sang concret. Vue dans son ensembl
muscles droits de l'abdomen. Sa cavité était subdivisée en plusieurs cellules par des cloisons incomplètes. Sa surface interne
que j'attribuais surtout à l'insufisance des vêtemens et au froid des cellules glaciales où ils étaient sans garantie contre la
* externe bosselée. La tranche ou coupe de la tumeur présentait des cellules ou aréoles remplies par une matière semblable à d
. La section de cette masse a montré qu'elle était constituée par des cellules à parois osseuses et cartilagineuses, contenant u
osseuses, qui divisaient ce corps en un nombre assez considérable de cellules . Dans l'intérieur de ces cellules se voyait un ti
en un nombre assez considérable de cellules. Dans l'intérieur de ces cellules se voyait un tissu qui offrait quelque analogie a
rens, par autant de cordons dont le sommet s'enfonçait dans autant de cellules au fond desquelles ils adhéraient intimement. Il
s au fond desquelles ils adhéraient intimement. Il y avait donc douze cellules ou arrière-cavités, dont chacune aurait pu deveni
dû à des «olonnes fibreuses qui interceptaient quelquefois de petites cellules . Reflexions. — La formation de ces hernies inte
on, parce qu'à chaque inspiration l'air tend à se précipiter dans les cellules pulmonaires correspondantes. Le fait, qui est l
n globules ou diversement configuré suivant la forme des aréoles ou cellules dans lesquelles il est contenu. 3° Globules oss
en partie sous le doigt qui les comprime, et donnant la sensation de cellules distinctes, ou celle d'un paquet de veines variqu
euâtre, couleur due à la grande quantité de sang qui distendait leurs cellules ; c'était le plus grand nombre; les autres offraie
sse avoir le même résultat qu'un allongement réel. i° Les varices a cellules ou ampullaires qui se subdivisent en circonférent
qu'un des points de cette circonférence. Une variété de ces varices à cellules , c'est la varice a compartimens ou multiloculaire
laire, dans laquelle l'ampoule variqueuse est subdivisée en plusieurs cellules plus petites séparées par des brides. Ijes varice
la peau par un fascia superficiel assez résistant; que les varices à cellules finissent par vaincre cette résistance, érailler
igne, il est facile de trouver les ouvertures de communication de ces cellules ; mais, lorsqu'en même temps que ces am- XXXV* L
sible, de distinguer plusieurs tuniques dans leur épaisseur. Dans les cellules à compartimens, il n'y a d'épaississement qu'au n
y a d'épaississement qu'au niveau des brides qui séparent les petites cellules . Que deviennent les valvules dans les varices?
? Il était rationnel d'admettre que les étranglemens qui séparent les cellules répondaient au bord adhérent des valvules; mais l
ique. Emphysème du bord antérieur du poumon caractérisé par de vastes cellules séparées seulement par des brides. Les artères
émoptysie est causée par la rupture de la poche anévrysmale, dans les cellules pulmonaires ; il n'en fut point ainsi, l'hémoptys
n ressort; une exhalation séreuse se fit en grande abondance dans les cellules pulmonaires, d'où engouement, asphyxie. Tous les
pour se débarrasser par l'expectoration des liquides qui engouent les cellules pulmonaires et les dernières divisions bronchique
volume considérable qui avait déjeté le vomer à gauche et détruit les cellules de l'ethmoïde. En exerçant des tractions sur ce
et ayant enlevé cette membrane, j'ai vu au niveau de ces trous „ des cellules osseuses remplies de matière grise que j'ai prise
'être que la substance grise du cerveau, dont la pénétration dans des cellules de nouvelle formation s'expliquerait par le même
variétés possibles de cette infiltration : profondément, ce sont des cellules remplies de pus concret qui adhère intimement à l
à-peu-près normales: un peu plus superficiellement, les parois de ces cellules infiltrées de pus sont fragiles, minces, à moitié
fragiles, minces, à moitié usées; plus superficiellement encore, les cellules sont réduites en fragmens irréguliers, détachés o
te fragilité tiennent à du pus et à de la sérosité infiltrés dans les cellules pulmonaires. lie'flexions. La malade me paraît
isseuse, de la saillie des colonnes charnues et des petites poches ou cellules qu'elles interceptent, on voit parfaitement sur c
formait un cul-de-sac assez profond. La vessie était à colonnes et à cellules : aucune des cellules ne contenait de calculs.
assez profond. La vessie était à colonnes et à cellules : aucune des cellules ne contenait de calculs. Dans le cas suivant, q
es urines bien difficile, et l'épaisseur des parois de la vessie, les cellules C,C,C qu'elle présente, attestent que cet organe
CP, 20 la coupe de la vessie, dont on peut apprécier l'épaisseur. La cellule C divisée présente ceci de remarquable que, contr
ulsion de l'urine, la portion des parois de la vessie qui répond à la cellule C, moins résistante, a cédé. Je ferai également r
gauche présente la structure celluleuse de la prostate : chacune des cellules contenait un ou plusieurs petits calculs. Une cou
tate tout entière était donc convertie en un tissu spongieux dont les cellules , qui communiquaient toutes les unes avec les autr
les unes avec les autres, étaient remplies de calculs. Il y avait des cellules de divers ordres : les plus petites ne contenaien
mais présentaient d'innombrables ouvertures de communication avec les cellules prostatiques voisines. On aurait d'ailleurs inu
e disposition décrite sous le nom de vessie à colonnes et de vessie à cellules , mais aucune des cellules ne contenait de calculs
le nom de vessie à colonnes et de vessie à cellules, mais aucune des cellules ne contenait de calculs. Derrière le trigone qui
réticulé delà surface interne du cœur. On y voyait un grand nombre de cellules à orifice très étroit, multiloculaires. Le tissu
organe, faite pl. 2 démontre que ces bosselures répondent à autant de cellules remplies de suc muqueux. Chaque grain glanduleux
aucun mélange d'urine. Quelques calculs nagent au milieu du pus. Les cellules (fig. 3) qui ont remplacé les cônes du rein, comm
peux, qui le soutient, le rein n'est plus qu'une membrane disposée en cellules à parois très minces. Le bassinet contenait un
in ( voyez fig. i) offre la transformation en poche multiloculaire, à cellules très inégales pour la capacité,ici plus minces, l
able. Ce calcul (fig. i ) était étranglé au niveau de l'orifice de la cellule , et présentait dans ce point une espèce de col ,
de col , qui supportait une tête, laquelle était reçue dans une autre cellule . Scié dans sa portion la plus volumineuse, ce cal
ier est transformé en membrane ou kyste multiloculaire, dont chaque cellule remplace un cône du rein, alors le liquide conten
ein, dans les points épaissis qui séparent les bases des cônes et les cellules , quelques traces de la substance propre. C'est su
ul rein, et sur l'autre les deux reins étaient convertis en autant de cellules à parois minces et transparentes, qu'il y a de cô
u crâne, soit du fémur, soit du tibia, je n'ai vu autre chose que des cellules blanchies par le pus à côté de cellules remplies
e n'ai vu autre chose que des cellules blanchies par le pus à côté de cellules remplies de sang non coagulé; que dans un certain
la synovie, qui englue les doigts et qui est accumulé dans de petites cellules ou aréoles creusées au centre de quelques-uns de
isposition vasculaire s'observait surtout dans les lobules creusés de cellules remplies de suc d'apparence synoviale. Les figu
t encore reconnaître le tissti de l'organe. Que sont ces aréoles ou cellules dans lesquelles est contenu le suc cancéreux? Ce
dans lesquelles est contenu le suc cancéreux? Ce sont les aréoles ou cellules veineuses de l'organe au sein duquel s'est dévelo
icable, un véritable tissu caverneux, se distendent et deviennent des cellules dans l'intervalle desquelles le tissu propre de l
rimé s'atrophie, à tel point que l'organe est entièrement converti en cellules que remplit le suc cancéreux. Plus tard, la mor
reux. D'une autre part, il importait de prouver que les aréoles des cellules de l'utérus, du vagin, de la vessie, du canal de
utérus, du vagin, de la vessie, du canal de l'urètre étaient bien des cellules veineuses; et pour cela il m'a suffi d'établir qu
our cela il m'a suffi d'établir qu'il y avait communication entre ces cellules et les veines libres; or la pression extérieure,
éritonéale présente une disposition celluleuse très prononcée. Chaque cellule est remplie de suc cancéreux. La coupe de ce tiss
sous la forme de vermisseaux, le suc cancéreux épais contenu dans les cellules ; soumis à l'action d'un jet d'eau et débarrassé
us est converti dans toute son étendue en un tissu spongieux dont les cellules sont remplies de suc cancéreux. Au centre est une
a disposition spongieuse du tissu utérin, l'inégalité de capacité des cellules et la communication de ces cellules entre elles;
érin, l'inégalité de capacité des cellules et la communication de ces cellules entre elles; dans les points les moins altérés, s
n, dont les filamens avaient été dissociés en raison de l'ampleur des cellules ; dans les points les plus altérés, le tissu utéri
figurée dans une des précédentes livraisons. La communication de ces cellules avec les veines libres que remplissait également
cription, toutes les variétés de forme et d'aspect que présentent les cellules , qui forment deux groupes bien distincts, l'un su
s, l'un supérieur, l'autre inférieur, susceptibles de séparation. Ces cellules , qui représentent assez bien une ruche à miel, ét
e et l'odeur du blanc d'ceuf, transparent dans l'immense majorité des cellules , brunâtre ou noirâtre dans quelques-unes. La co
les, brunâtre ou noirâtre dans quelques-unes. La coupe présente des cellules ouvertes et des cellules non ouvertes. Il est ais
dans quelques-unes. La coupe présente des cellules ouvertes et des cellules non ouvertes. Il est aisé de voir que, pour la pl
cellules non ouvertes. Il est aisé de voir que, pour la plupart, ces cellules sont complètement isolées les unes des autres; qu
faits comme avec un emporte-pièce : les cloisons de séparation de ces cellules sont toujours composées de deux lamelles, dont ch
ont toujours composées de deux lamelles, dont chacune appartient à la cellule correspondante. Ces lamelles fibreuses sont très
e idée de l'épaisseur variable et de la disposition des parois de ces cellules . Les cellules les plus considérables, et surtou
sseur variable et de la disposition des parois de ces cellules. Les cellules les plus considérables, et surtout les cellules o
e ces cellules. Les cellules les plus considérables, et surtout les cellules oblongues, présentent souvent des valvules ou rep
La coupe de ces tumeurs a montré qu'elles étaient constituées par des cellules de capacités variables qui n'avaient aucune commu
e communication les unes avec les autres; quand on ouvrait une de ces cellules , on voyait les cellules voisines faire saillie da
avec les autres; quand on ouvrait une de ces cellules, on voyait les cellules voisines faire saillie dans l'intérieur de la cel
on voyait les cellules voisines faire saillie dans l'intérieur de la cellule ouverte, de manière à lui donner une forme euboïd
verte, de manière à lui donner une forme euboïde. Les parois de ces cellules étaient très résistantes, ici transparentes, là o
quide contenu était transparent et albumineux pour un grand nombre de cellules , trouble et purulent pour les autres, d'où il rés
te; la seule dif-férence consiste dans le défaut de communication des cellules entre elles dans le kyste, tandis que leur commun
s tissus caverneux. Au reste, sous le rapport de la communication des cellules , les kystes aréolaires de l'ovaire présentent un
ent un grand nombre de variétés; car il est des cas dans lesquels les cellules sont complètement isolées les unes des autres, d'
s dans lesquels la communication n'existe que pour un petit nombre de cellules , et enfin d'autres dans lesquels toutes les cellu
petit nombre de cellules, et enfin d'autres dans lesquels toutes les cellules communiquent entre elles. Si l'on considère, d'
ais dans le tissu cellulaire adipeux ou médullaire qui en remplit les cellules . 4e liv., pl. iv, p. 2. — Sur le tissu spongieux
reuse. 30e liv., pl. v, p. 3. — Io Varices serpentines ; 2° varices à cellules ou ampullaires subdivisées en circonférentielles,
94 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
re. La substance grise est le siège d'altérations importantes ; les cellules nerveuses sont rares dans les cornes antérieure
des de la dégénération atrophique. Dans les colonnes de Clarke, les cellules sont également très rares et manifestement en v
lérose. Dans la partie restante de la corne anté- rieure gauche les cellules nerveuses ont presque disparu, celles qui per-
ions d'atrophie. Dans la corne antérieure droite, au contraire, les cellules nerveuses sont normales, nombreuses et très vol
u de diverses circonvolutions de l'hémisphère droit du cerveau. Les cellules nerveuses sont altérées et en voie d'atrophie dan
difiées dans le lobe occipital. Dans le lobe pariétal on trouve des cellules atrophiées avec leucocytes dans les espaces péri-
le région, mais dans son ensemble et aux divers étages; de plus les cellules des cornes antérieures à la région dorso-lombai
hes profondes de l'épidémie se montrent très foncées, parce que les cellules n'y sont pas aussi grosses et que dans les couche
s dans les couches profondes la fixent davantage. L'exfoliation des cellules superficielles qui constitue le symptôme inva-
ignalées plus bas. Je ferai observer l'abondance du protoplasma des cellules à pointes de la couche de Mal- pighi, surtout v
oit dans l'eczéma chronique. Dans 1' « epidemic skin disease », les cellules à pointes de la couche profonde ne sont pas not
dis que la couche superficielle contient un grand nombre de grosses cellules mal colorées. Il semble que dans cette maladie,
deur naturelle PI. V) on voit les prolongements épineux des grosses cellules de la cou- che de Malpighi. Dans plusieurs de c
grosses cellules de la cou- che de Malpighi. Dans plusieurs de ces cellules on observe les altérations nucléaires décrites
des noyaux atteints est moindre, et les lé- sions sont limitées aux cellules les plus superficielles de la couche de Mal- pi
eux et même une absence complète des tubes à certains endroits. Les cellules de la névroglie par contre étaient augmentées e
ive gauche on constate en effet une prolifération cellu- laire. Les cellules névrogliqucs sont relativement grandes et ont un
ltration cellulaire. Ce sont, dans la, membrane externe des petites cellules rondes, se colorant fortement par le carmin et
. FIG. 54. Schéma montrant la disposition des différents groupes de cellules nerveuses qui constituent le noyau d'origine du
s vaisseaux qui pénètrent dans le foyer et qui sont déjà chargés de cellules migratrices, on voit souvent une bande très rég
volume très égal, qui répondent de tout point à la description des cellules embryonnaires. Cet aspect, qui rappelle par cer
ires de la syphilis nerveuse, sont infiniment plus nombreux que les cellules embryonnairesànoyaux ronds et en somme les altéra
ue encore fort bien dans tout ce tissu. Dans la substance grise les cellules nerveuses sont encore conservées, mais elles so
ésés que tout à fait au voisinage du foyer de myélite. Toutes ces cellules qui infiltrent soit les fentes interstitielles de
s la syphilis. Mais la grande différence réside clans la nature des cellules infiltrantes; au lieu des noyaux ronds, petits,
ma, qui constituent l'infiltration syphilitique, nous avons ici des cellules à protoplasma très visible, à noyaux irrégu- li
ou même bourgeonnants, tantôt bien colorés, tantôt diffus dans une cellule en voie de dégénérescence. En un mot ce sont des
lein foyer de myélite lés cylindres-axes sont dénudés, altérés, les cellules nerveuses 334 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
consistent en une infiltration, parfois énorme, des parois par des cellules embryonnaires il noyaux régulièrement arrondis.
dothélium et la tunique musculeuse sont intacts ; l'accumulation de cellules embryonnaires se fait uniquement clans la tunique
iltration discrète dans le tissu conjonctif avoisi- nant. Parmi ces cellules embryonnaires à noyaux arrondis on ne voit pour
rare d'apercevoir un noyau bourgeonnant. Notons l'absence de toute cellule épithélioïde. Vers le milieu du foyer on aperço
ne et altérés, mais non détruits. De place en place on aperçoit des cellules de la névroglie considérablement tuméfiées, les
ie de un ou plusieurs noyaux (I'L. LU). Dans la substance grise les cellules nerveuses ne sont pas détruites, mais elles son
à l'extérieur, de petites granulations arron- dies formées par des cellules fusiformes concentriques entremêlées de cellule
es formées par des cellules fusiformes concentriques entremêlées de cellules arrondies; dans les points favorables on peut se
syphilitiques anciens, puisqu'ils sont formés en majeure partie de cellules allongées qui trahissent une évolution fibreuse.
ale, plusieurs nodules arrondis, plus ou moins bien limités, où les cellules arrondies sont beaucoup plus ser- rées qu'aille
parois épaissies des capil- laires du foie, après la disparition de cellules hépatiques. Toute cette sclérose esl précédée p
pillaire, qui pénètre dans l'intérieur des lobules en étouffant les cellules hépatiques sur son passage. La régression des cel
touffant les cellules hépatiques sur son passage. La régression des cellules embryon- naires laisse le tissu de sclérose déc
se décrit plus haut ; mais il reste par places des amas arrondis de cellules embryonnaires très caractéristiques. Par places
nnaires très caractéristiques. Par places on aperçoit de véritables cellules géantes. En quelques points les veines-portes p
illosités fibreuses dont quelques-unes sont fortement infiltrées de cellules em- bryonnaires. La forme du foyer de myélite
filtra- 346 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE , / lion de cellules noyau, arrondi chez la deuxième. Que les cellules
ÈRE , / lion de cellules noyau, arrondi chez la deuxième. Que les cellules embryon- naires, à noyau petit, arrondi, à prot
viennent du retour à l'état embryonnaire et de la prolifération des cellules fixes du tissu con- jonctif, il n'en est pas mo
95 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
4 L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE. 20 lésions qui ont leur origine dans les cellules ganglion- naires de ces mêmes régions. Et nous
ce genre. Supposons une des- truction définitive et matérielle des cellules cérébrales qui ont emmagasiné les modifications
amen microsco- pique : substance grise : diminution et atrophie des cellules gan- glionnaires des cornes antérieures des par
s des parties cervicale et thora- cique, augmentation en nombre des cellules araignées de Deiters, hémorrhagies capillaires
es intactes est beaucoup plus considérable relativement à celui des cellules restées intactes dans les cornes antérieures.
me entre l'atrophie des fibres des racines antérieures et celle des cellules des cornes antérieures, il faut en conclure que
nclure que les racines antérieures proviennent non seulement de ces cellules , et il faut croire qu'en second lieu, ce sont e
s cellules, et il faut croire qu'en second lieu, ce sont encore les cellules de la base de la corne postérieure qui leur don
se étiologique et croit pouvoir affir- mer que c'est encore dans la cellule germinative que préexistent, Archives, t. XXIV.
cielle des cir- convolutions s'accroît rapidement, il s'y forme des cellules nerveuses, tandis que le système des faisceaux
recherches, la dégénérescence commence par une partie limitée de la cellule , celle qui est accessible aux agents colo- rant
ue le noyau et les prolongements meurent et se résolvent; enfin, la cellule en- tière se ratatine ou disparaît. P. IC. VI
ction. L'autopsie révéla : dans la moelle une atrophie complète des cellules des cornes antérieures avec dégénérescence très
Usés; mais intégrité des nerfs spinaux périphériques, alors que les cellules des cornes anté- rieures sont totalement dégéné
ce qui concerne les nerfs spinaux, faut-il penser à l'influence des cellules nerveuses incluses dans le nerf lui-même ? P. K
se produit une colo- ration gris bleuté des fibres myéliniques, des cellules nerveuses, des cellules de la névroglie, avec l
ion gris bleuté des fibres myéliniques, des cellules nerveuses, des cellules de la névroglie, avec leurs prolongements, les dé
anatomie ET DE physiologie pathologiques. X. DE la DISTRIBUTION DES CELLULES NERVEUSES dans LE SEGMENT LE PLUS INFÉRIEUR DU
du que, sur une coupe transverse de moelle épinière, l'existence de cellules nerveuses est limitée à la substance grise et q
les nerveuses est limitée à la substance grise et que, les quelques cellules nerveuses isolées, qui occupent la substance bl
dans toutes les racines postérieures de la moelle, il y a quelques cellules nerveuses, exceptionnellement même de petits grou
es cellulaires dont les éléments ont les mêmes caractères que les cellules des ganglions spinaux des quelles ils tiennent au
nent au point de vue émbryogénique; jusqu'ici, on n'a pas trouvé de cellules ner- veuses dans les racines antérieures. En ou
d'ordinaire le ganglion du nerf coccygien (Schlemm), ainsi que les cellules nerveuses des fins trousseaux nerveux du filum
udi- mentaire. M. Hoche a aussi observé (5 cas sur 6 examens) des cellules nerveuses au-dessous du renflement lombaire qui v
sceaux radiculaires descendants. Elles n'ont pas les caractères des cellules de la substance grise; grosses, ovales, par- fo
nt fréquemment fortement pigmentées... Pour ces motifs, ce sont des cellules auto- nomes, indépendantes, d'autant plus qu'en
indépendantes, d'autant plus qu'en ces régions, on ne trouve pas de cellules nerveuses dans la substance blanche (il ne s'agit
gration). Dans la queue de cheval, il n'est pas rare de trouver des cellules nerveuses (embryon humain de huit mois). P. KER
seaux sur le plancher du qua- trième ventricule, dégénérescence des cellules nerveuses dans les noyaux des cordons postérieu
e, de l'acous- tique, dans le corps optostrie; lésions diffuses des cellules nerveuses de l'écorce. - P. IL XXI. LE topoti
En un mot, lésion de la substance grise du cerveau et de la moelle ( cellules des cornes an- térieures, noyaux du bulbe et du
édé des myopathies spinales avec altération primi- tive des grandes cellules motrices de la substance grise des cornes antér
héorie de l'encéphalite parenchymateuse, de la lésion primitive des cellules nerveuses. Il est à remarquer que, dans ce cas,
a lésion dans l'encéphale dans les grandes comme dans les petites cellules et que dans la moelle, si la lésion atrophique ét
s. De sorte que dans la moelle ainsi que dans le cerveau toutes les cellules nerveuses, grandes et petites, psychiques, mo-
est essentiellement caractérisée par une altération primi- tive des cellules nerveuses. Cette conclusion s'impose d'autant plu
générale tend à en faire une variété des atro- phies chroniques des cellules nerveuses comme la sclérose latérale amyotrophi
e à dé- montrer que le tabes résulte d'une altération primitive des cellules ganglionnaires périphériques et des ganglions s
et à l'hématoxyline alunée pour étudier le corps et le noyau de la cellule . Intoxication des lapins par le plomb, le phosp
L'auteur fait remarquer qu'il existe toute une variété de formes de cellules dans le cerveau et dans la moelle. Il en est une
. La cel- lule dans son ensemble prend l'aspect .tigré. Ce sont ces cellules granulées qui chez les vertébrés et, en particu
ps elles s'arrondissent et la substance achromatique du corps de la cellule s'imprègne deagents colorants. Puis, chacune d'
ne finesse extrême, et d'une pâleur caractéristique. Le corps de la cellule s'effrite de cette façon; les granules disparai
ours. Quoi qu'il en soit, l'arsenic agit d'abord sur le'corps de la cellule . Lapremière altération nucléaire apparaisous la
l'intoxication phosphorée on assiste aux mêmes altérations dans les cellules et dans les noyaux, mais elles sont moins accusée
tions se comportent diffé- remment. Les granulations du corps de la cellule se rapetissent et semblent plus homogènes ; on
effectuait une coagulation moléculaire, de sorte que le corps de la cellule est parsemé à un moment donné de grains plus ne
la méthode Nissl au rouge magenta pour les coupes de la moelle. Les cellules se voient d'une merveilleuse façon ; leurs prolon
nsidérable des fibresnerveuses avec multiplication très accusée des cellules araignées, dans les première et troisième front
la première temporale gauche, on était frappé de la disparition des cellules nerveuses au sein des première et deuxième couc
yau de l'oculo-moteur commun, l'atrophie portait sur les groupes de cellules supérieurs, inférieurs, centraux et anUéro-laté
ions dorsale et lombaire. Discussion : M. Siemetiling. Le groupe de cellules que Westphal qualifia d'abord de noyau postérie
acé dans le faisceau longitudinal postérieur lui-même. Ce groupe de cellules paraît commander à l'élévateur de la pau- pière
la pau- pière supérieure, moins il y a de hlépliaroptose, mieux ces cellules là sont conservées. Séance du 11 mai 1891. Pr
pal, la multiplication consécutive du tissu interstitiel, celle des cellules de Deiters, la genèse de corps amylacés et de c
l, celle des cellules de Deiters, la genèse de corps amylacés et de cellules granulo-graisseuses, la dégénérescence des vais
92. Typographie A. Davy. DERVILLE et GuEHMONpREz. Sarcome à petites cellules de l'avant-bras droit. Brochure in-8° de 4 page
la moelle, par P. Ma- rie, 359. Bulletin bibliographique, 159. CELLULES nerveuses, dans le seg- ment le plus inférieur
es de la chez le lapin, par Nissl, 494. Myélite, altération des cellules dans la-aiguë, par Friedmann, 260; Oppenheim,
96 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
ion était loin d'être complète : il manquait encore le quartier des cellules et quatre pa- villons de deux dortoirs chacun,
sé des raisons qui plaident en faveur de l'érection du pavillon des cellules de la section des enfants et de la construction
i usage de cor- toir. Je vais vous les donner en commençant par les cellules . Vous n'ignorez pas que parmi les enfants, il e
umérer, il faut : 1° recourir à la camisole, puisqu'il n'y a pas de cellules , ce qui est tout à fait déplorable ; Ou bien em
llules, ce qui est tout à fait déplorable ; Ou bien emprunter une cellule il l'une des autres sections, ce qui offre des in
e des inconvé- nients nombreux et ne peut se faire que le jour, les cellules étant occupées la nuit par des malades qui, le
, le jour, se pro- mènent dans leur préau ; parfois il n'y a pas de cellule libre ; toujours les infirmiers des cellules so
parfois il n'y a pas de cellule libre ; toujours les infirmiers des cellules sont mécontents d'avoir à répondre de malades é
t énergiquement à l'appui de la construction rapide du pavillon des cellules . Cette construc- tion d'ailleurs réaliserait co
e; - pavillon d'isolement pour les malades contagieux ; pavillon de cellules pour les malades agités ou indisciplinés;- 3° s
troduisait au Conseil de surveillance le projet de construction des cellules , d'un pavillon pour 40 lits, et de deux préaux
de M. Navarre a eu pour conséquence d'empêcher là construction des cellules et d'un pavillon de dortoirs qui serait aujourd
nicipal a voté le projet comprenant la construction du pavillon des cellules , d'un pavillon de dortoirs (40 lits) et des deu
e, ledit projet comprenant la construction d'un pavillon disposé en cellules , d'un bâtiment à usage de dortoirs et de deux p
vis susvisés, comprenant la cons- traction d'un pavillon disposé en cellules , d'un bâtiment à usage de dortoirs et de deux p
és, épileptiques, etc. Dans le cours de l'année 1888, les nouvelles cellules nous permettront de faire cesser tous les grave
uat pro- bablement suffisant pour la construction du pavillon des cellules . - Depuis le mois d'octobre 1883, époque où ont
ant trouvé comme d'habitude le paquet d'habits déposé en dehors des cellules et correspondant à chaque lit, a fermé la porte
expiration de sa peine. 9 décembre. - Il est envoyé pour 8 jours en cellule pour avoir voulu aider un hystéro-épileptique,
qués, formant un réseau serré. L'organe lym- phatique est rempli de cellules rondes; autour d'elles existe un espace clair d
plaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellules pyramidales. Ces bandes ne sont pas pures, mais
pures, mais contiennent un certain nombre d'amas névrogliques et de cellules nerveuses arrondies, granu- leuses et pigmentée
llaire et chargée de noyaux. La troisième couche, celle des grandes cellules , ne pré- sente que des séries de cellules petit
couche, celle des grandes cellules, ne pré- sente que des séries de cellules petites, à fins noyaux sphériques, noyés sans o
de fines trabécules, le long desquelles sont dispersées de grosses cellules irrégulières à protoplasma irrégulier. L'aspect
Au-dessous de ces points très lésés, il n'existe plus de grandes cellules nerveuses, mais on en rencontre tout à côté par a
la substance grise et la substance blanche sont chargées de petites cellules rondes. On y voit, en grande abondance des bloc
mblables à ceux que nous venons d'indiquer. Cervelet du calé droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche externe et
risalion très développée avec diminution de nombre et de volume des cellules nerveuses qui ont perdu leur sériation dans les
elle cervicale, les cornes antérieures sont petites mais avec leurs cellules bien nettes, de même les cordons anté- rieurs.
s étapes : 10 prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses; 3° formation des cavités. Ces lésion
97 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
exclusivement : nous voulons parler de la présence de nom- breuses cellules embryonnaires disséminées soit dans la subs- ta
ce, au point d'intersection des faisceaux conjonctifs, existent des cellules conjonctives de la névroglie (cellules araignée
ux conjonctifs, existent des cellules conjonctives de la névroglie ( cellules araignées). Les tubes ner- veux présentent auss
sur quelques-uns on constate une tuméfaction du cylindre-axe. Les cellules nerveuses de la substance grise sont nombreuses,
, présentant les mêmes caractères que dans la région cervicale. Les cellules nerveuses sont plus altérées; elles sont rares,
tion. 3° Région lombaire. Légère sclérose du cordon latéral ; les cellules nerveuses grosses, nombreuses, sont saines. En
ose commençante du faisceau latéral; 2° Dégénération granuleuse des cellules motrices de la subs- tance grise, surtout dans
tantôt petit, tantôt comme tuméfié. d, Tubes nerveux vides. b, Cellule de la névroglie, sans noyau; à prolongements mult
qui se trouvent ainsi plus éloignés les uns des autres. FiG. 3. - Cellules de la névroglie dessinées isolément (gross. obj.
ent (gross. obj. 7, î, Verick. Ocul. 2 Nachet). La plupart de ces cellules sont sans noyau; elles sont nombreuses, dissémi
voie de dégénération granulo-graisseuse. Le protoplasma de quelques cellules est jaune, granuleux. Leurs prolongements ont dis
ents ont disparu dans quelques points, il ne reste à la place de la cellule qu'un amas de granu- lationsjaunâtres. CLINIQ
phe porte la dénomination de : Note affé- rente à la pathologie des cellules nerveuses ; c'est un appendice de M. W. à ses r
ndice de M. W. à ses recherches sur la réaction liislocliimique des cellules et de leurs noyaux Dia pièces provenant d'encép
soumis à son exa- men. Nulle part, il n'a trouvé d'altérations des cellules nerveuses qui indiquassent un processus inflamm
éléments. En dehors des foyers, ou rencontre d'abord de nombreuses cellules en voie de destruction granuleuse, plus loin de
ombreuses cellules en voie de destruction granuleuse, plus loin des cellules privées de leurs noyaux, plus loin encore, en d
yaux, plus loin encore, en de» endroits qui paraissent normaux, des cellules munies de leurs noyaux, mais solubles com- plèt
i complète qu'on e-t contraint d'admettre une lésion matérielle des cellules nerveuses, que nous ne connaissons pas encore,
lète de fibres dans toutes les couches; seule la couche des grandes cellules présente quelques libres isolées, et encore les
pe on ren- contre des hématies extravasées, de grandes quantités de cellules (globules blancs) entre les fibres nerveuses éc
rait d'un ramollisse- ment rouge, et l'orateur ne croit pas que les cellules mentionnées se transforment directement en cell
oit pas que les cellules mentionnées se transforment directement en cellules granuleuses. M. SCIIULTZE. Présentation d'anoma
es centres ner- veux par neutralisation des agents d'excitation des cellules de per- ception, par arrêt des impressions reçu
tives à la disposition, au trajet, aux connexions des fibres et des cellules , dans l'ensemble des centres nerveux. Ce n'est
vaient qu'elle était sous la dépendance de la myélite affectant les cellules motrices des cornes anté- rieures. Tous ces c
cès hier; ce matin encore, les yeux sont hagards; on a dû, faute de cellule , lui mettre la camisole à cause de son agitatio
THOLOGIE NERVEUSE. 257 façon trouvé ce qui suit : Chez le lapin les cellules du corps ge- nouillé externe et du pulvinar, la
. Les éléments corticaux en question sont directement rattachés aux cellules ganglionnaires du corps genouillé externe et du
bercule bi-jumeau antérieur est encore obscur. La disparition des cellules nerveuses de ces régions infra-corticales entraîn
de la sphère visuelle a lieu par l'intermédiaire de la nécrose des cellules ganglion- naires du pulvinar et du corps genoui
éliniques dégénèrent et dispa- raissent ; en effet, de même que les cellules granuio-graisseuses précèdent l'organisation de
celles de la sclérose des cordons laté- raux et la dégenération des cellules nerveuses. Celles qu'on pourrait rattacher à la
transporté au château de l'OEuf, et on le laissa garrotté dans une cellule jusqu'au matin. Dans une demi-heure, il avait t
y a sclé- rose étendue de l'écorce grise, étiolement, atrophie des cellules nerveuses ganglionnaires. Cette étude anatomo-p
lève tous les signes d'une encépha- lite corticale interstitielle; ( cellules araignées nombreuses et très développées, proli
antôt petit, tantôt comme tuméfié. , d, Tubes nerveux vides. b, Cellule de la névroglie, sans noyau, à prolongements mult
qui se trouvent ainsi plus éloignés les uns des autres. FiG. 3. - Cellules de la névroglie dessinées isolément (gross. obj.
lément (gross. obj. 7, Verick. Ocul. 2 Nachet). La plupart de ces cellules sont sans noyau; elles sont nombreuses, dissémi
plus évidents de la lésion du faisceau pyramidal croisé. FtG. 4.- Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance
voie de dégénération granulo-graisseuse. Le protoplasma de quelques cellules est jaune, granuleux. Leurs prolongements ont dis
ents ont disparu dans quelques points, il ne reste à la place de la cellule qu'un amas de granu- lations jaunâtres. - EXP
98 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
vus dans toute leur longueur, parce qu'ils sont logés dans de petites cellules osseuses, et qu'ils en sortent difficilement quan
ns les coupes pratiquées au niveau de la région lombaire. Fig. -12. Cellule nerveuse centrale dont un prolongement se continu
inue avec Taxe cylindrique d'une fibre nerveuse (d'après Ecker). à. Cellule multipolaire. á. Son noyau. c. Son nucléole.
multipolaire. á. Son noyau. c. Son nucléole. d. Rayon de cette cellule qui se porte dans l'axe de la fibre nerveuse d'
cellule qui se porte dans l'axe de la fibre nerveuse d'. Fig. 45. Cellules conjuguées de l'axe gris dans la région cervicale
région cervicale de la moelle d'une vache (grossies 2-10 fois). a. Cellule multipolaire. b. Autre cellule multipolaire.
une vache (grossies 2-10 fois). a. Cellule multipolaire. b. Autre cellule multipolaire. c. Pont qui les unit en un même s
ntricule de la moelle, tandis que d'autres fibres se portent dans les cellules multipolaires des cornes postérieures. d. Racin
es des nerfs spinaux dont certaines fibres sont en rapport avec les cellules multipolaires des cornes antérieures des axes gri
les cellules multipolaires des cornes antérieures des axes gris. c. Cellules multipolaires de la substance grise spongieuse de
tricule de la moelle épinière, revêtu à l'intérieur d'une couche de cellules épithéliales. g\ Petits canaux vasculaires situ
antérieure des faisceaux postérieurs ou sensitifs se portent dans les cellules de l'axe gris et vers le ventricule centrai. h.
blanches provenant du novau blanc du cervelet. t/ b. Couche de cellules grises, c. Couche de cellules multipolaires pâl
lanc du cervelet. t/ b. Couche de cellules grises, c. Couche de cellules multipolaires pâles et trans- parentes, qui env
99 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
. L'histoire d'une foule de can- cers viscéraux nous le prouve. Les cellules méta typiques et môme atypiques gardent longtem
omatique exige. Les centres de coordination sont des groupements de cellules motrices reliées chacune à chacune suivant une
faisceau pyramidal continue d'exercer son influence motrice sur les cellules des cornes antérieures de la moelle, ces dernière
yrinthique est formé des prolongements centraux et périphériques de cellules bipolaires identiques à celles des ganglions spin
entique d'éléments neurodermiques embryonnaires. Ils sont formés de cellules plutôt épithé- liales, qui vont chez les deux p
ou accolées en un prolongement unique ou double de Deiters, sera la cellule nerveuse. On la trouve dans le neurotome médullai
pro- longements, épithélium sensoriel de soutènement, d'isolement, cellules de Deiters, de Corti, de Claudius, etc. Il se d
la papille, ses productions ciliaires vont fournir les pinceaux des cellules sensorielles et de soutène- ment, ces derniers
s basales et réticulaires, les gaines des prolongements, etc. Les cellules nerveuses, à type amibien, étendent vers d'autres
s vraisemblable que le dernier pro- longement du plexus embrasse la cellule infusoriforme ciliée sans la péné- trer, et que
de continuité ni de pénétration. L'élément amibien nerveux palpe la cellule infusoriforme et perçoit son irritation spécifi
une image sensorielle toute différente dans sa spé- cificité. Les cellules épithéliales des papilles labyrinthiques sont don
u'une enveloppe fibreuse. Son revêtement non papil- laire, formé de cellules plates ou cubiques simples, a la signification d'
corne postérieure et particulièrement vers une formation de grosses cellules , colonne de Clar- cke, d'où partent des prolong
nes postérieures, et particulièrement vers une formation de grosses cellules , noyau de Deiters, d'où partent des fibres centra
nts infusoriformes. Il esl constitué, dans sa forme adulte, par des cellules bipolaires ; ce sont même, remarque Cannieu, le
illes enchevêtrées, analogues aux ramosités émanées directement des cellules nucléaires auxquelles elles communiquent leur irr
res auxquelles elles communiquent leur irritation. Ce sont donc des cellules rameuses comme celles de la moelle, mais leurs ra
vant de s'éparpiller. On a donné le nom de centres trophiques aux cellules de ces ganglions neuraux. Toute cellule est cen
de centres trophiques aux cellules de ces ganglions neuraux. Toute cellule est centre trophique pour ses propres prolonge-
racine postérieure étant surtout composée de ces prolongements des cellules du cordon neural segmenté, celles-ci sont des c
aisceaux de prolon- gements périphériques et centraux, comme chaque cellule centrale est centre trophique pour ses ramifica
ganglions, 1894. 31G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Ces cellules sont encapsulées dans de petites loges formées d'
élium de son- tènement et d'isolement des papilles. Le noyau de ces cellules est remar- quablement gros. Les prolongements
perdent la leur pro- gressivement il mesure qu'ils s'approchent des cellules des ganglions mé- dullaires. Cannieu a bien m
soit après un certain parcours dans la rampe spi- rale osseuse, aux cellules du ganglion de Corti, formant le rameau inférieur
e d'une autre façon, et que cette formation mixte, placée entre les cellules du ganglion de Corti (ganglion spinal des racin
anglion de Corti (ganglion spinal des racines postérieures), et les cellules du noyau antérieur (tête des cornes postérieure
squelles elle se continue d'ailleurs, ne peut être assimilée qu'aux cellules et aux fibres de la subs- tance gélatineuse de
y soit moins abon- dante. Tous ces prolongements centripètes des cellules du ganglion auriculaire neural, divisé en gangl
de Bech- terew et le noyau deDeiters. Ce dernier, avec ses grosses cellules et surtout par la destination de ses fibres aff
de l'abducens et du facial placés au-devant de lui. Il est formé de cellules analogues à celles de la base des cornes postér
au supérieur de IIenle, le noyau dorsal latéral, le noyau à grosses cellules , etc. Celles-ci peuvent atteindre 100 p chez l'
rantielle et une partie bulbaire. La première con- tient de grosses cellules avec de gros noyaux et peu de prolongements. Ce
nification d'un ganglion spinal ? Sa partie inférieure contient des cellules à type moteur, mais moins grandes que celles des
auteurs (Bechterew) ; ce serait en effet un prolongement direct des cellules du ganglion de Scarpa atteignant les noyaux céréb
est l'homologue du faisceau cérébelleuxdirectdehlecll- sig, qui des cellules de la colonne de Clarke remonte vers le même verm
ologues les fibres médullaires unissant les cornes postérieures aux cellules motrices antérieures. Du noyau interne et du no
100 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
follicules primordiaux contenant leur ovule avec une seule rangée de cellules . On voyait quelques follicules atrophiés, mais au
Dans la lumière des glandes, on observait un grand nombre de petites cellules rondes, présentant les caractères des éléments em
— aussi bien que celui qui recevait les cavités, — étaient formés de cellules à cils vibrátiles. Les petits corps globulaires,
s. Un jour, G. paraissait préoccupée, menaçait de s'enfuir. Mise en cellule , elle a cassé tout ce qu'elle a pu, a déchiré les
e est jaïouse. Pour rétablir l'ordre, on fut obligé de la conduire en cellule . Aujourd'hui, elleseplaint énergiquement, accuse
, elle s'est contusionné le poignet droit. 7 juillet. — G... est en cellule ; elle continue de proférer des menaces ou refuse
e Delsinne a dit que je serais malheureuse...Quand elle me mettait en cellule , elle me faisait garder... Avec elle, je ne me su
frère m'abandonne... Je n'irai plus à la Salpétrière... On m'a mis en cellule . Elles m'ont placé un torchon sale sur la figure.
le vois, je suis toute bouleversée... lime tiendrait tout le temps en cellule que je ne dirais rien. » La compression estarrè
oût. — Hier, à midi, G... se sentant malade, a demandé à être mise en cellule . Pendant plusieurs heures elle a eu du délire, ca
hi. Au bout de quelques minutes, G... va se placer dans un coin de sa cellule , la figure dirigée vers le mur. Durant toute la
tantôt elle était assise sur son lit, tantôt couchée. La porte de sa cellule ayant été laissée entre-bâillée, elle s'est enfui
is ; puis elle se lève, rit et va se mettre debout dans un coin de sa cellule ,les bras croisés sur sa poitrine, les yeux fixes,
reune fois.» (1 ) A 3 heures, une personne du service entre dans sa cellule ; elle s'imagine que c'est M. X... et se livre en
, donne-moi... » Elle se lève, va se placer debout dans un coin de sa cellule , appuie son corps contre le mur qu'elle embrasse,
ze heures. De onze heures à une heure du matin, elle a marché dans sa cellule . A une heure, elle s'est recouchée et a dormi jus
hée ou a marché. Actuellement (11 heures), elle va et vient dans sa cellule , abaissant et relevant alternativement la tête. L
et, en recouvrant connaissance, elle a paru toute surprise d'être en cellule . Elle a mangé, a été tranquille, a voulu sortir d
nettoyé les escargots qu'elle avait apportés avec elle en entrant en cellule (11 août'. 18 août. — Hier, dans la soirée, ell
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